t insupportable. 1902. — L'enfant commence à écrire des barres, des
lettres
, des chiffres. Il connaît les couleurs, les surfa
u de solution, que cette année, la veille de notre départ. Voici la
lettre
de M. G. Mesureur, fixant les attri-butions de M.
r, Comme suite aux propositions que vous m'avez transmise par votre
lettre
flu 10 février courant et relative aux fonctions
l'écriture en apprenant la géométrie, et en s'exerçant à dessiner des
lettres
et des chiffres en se basant sur le tracé de la c
lorées sur fond noir, images blanches sur fond noir), à apprendre les
lettres
(grandes lettres noires sur fond ? blanc, puis le
oir, images blanches sur fond noir), à apprendre les lettres (grandes
lettres
noires sur fond ? blanc, puis lettres beaucoup pl
apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond ? blanc, puis
lettres
beaucoup plus petites); pour l'éducation de la pa
Legraux, de Paris(l); Mlle Emilie Mac Lean, M. Eugène Morel, homme de
lettres
; M. Alexandre Malarevsky, M. le Dr S. Maupaté, di
Menuiserie. 2 coffres, 10 châssis pour le jardinier, 6 séries de
lettres
et chiffres pour les classes, 1 casse à bâtonnets
. — Ordres du jour des Commissions. — Affiches diverses. — Entêtes de
lettres
. — — Divers imprimés pour les Ecoles d'infirmière
oir sa nouvelle adresse. Nous avons essayé aussi de les convoquer par
lettre
. La plupart, n'ayant pas besoin de nous, ne se re
.................... 53 — décorateurs..................... 5 — en
lettres
......................... 1 — en voitures.......
availler. Il ne veut même plus écrire et la lecture reste limitée aux
lettres
a, e. i, 0, u. 1904. — L'état de l'enfant Beau.
'enfant commence à nouer, à lacer et à boutonner ; il peut placer les
lettres
, les chiffres et les couleurs sur le tableau, et
commence à Fig. 10. — Maz., à 15 ans (1899). reproduire quelques
lettres
sur l'ardoise et connaît toutes les lettres de l'
9). reproduire quelques lettres sur l'ardoise et connaît toutes les
lettres
de l'alphabet, ainsi que quelques surfaces, telle
eur et moins méchant. 11 travaille bien à la fiasse, connaît quelques
lettres
O, I, U, A, et commence à faire les barres et les
fant vient à la petite école, a appris à con-naître les couleurs, les
lettres
et les surfaces. Il exécute bien tous les mouveme
omme les parties de son corps, les couleurs, les chiffres et quelques
lettres
. XV. Le bih... (Cyrille), idiotie profonde; sur
lacer, nouer, boutonner, distingue les couleurs et reconnaît quelques
lettres
et quelques chiffres. 1905. ?— Le Biha... est r
a-vailler avec plaisir. Assez rapidement, il a appris à connaître les
lettres
, les chiffres et à les reproduire; actuellement,
st très mal doué. Avec difficulté il es* parvenu à tracer tou-tes les
lettres
et les chiffres, établit une relation entre eux e
et la gauche très maladroite; il trace plus ou moins bien toutes les
lettres
. L'instabilité mentale, quoique amoin-drie, exist
âgé de 7 ans 1/2. Cet enfant, à son arrivée, ne connais-sait que les
lettres
et les chiffres; d'une instabilité et d'une inatt
tonner et nouer. Il connaît et nomme les couleurs, les sur-faces, les
lettres
et les chiffres qu'il arrive à reproduire sur l'a
uire sur l'ardoise. Il commence même à former et à assembler quelques
lettres
au crayon sur le cahier. Les colères assez fréque
que l'en-fant a voulu représenter, enfin il forme presque toutes les
lettres
et commence à les assembler. Cet enfant qui, ay
pour la lecture au syllabaire. Nous obtenons davan-tage à l'aide des
lettres
mobiles. La parole, chez cet enfant, continue à s
-tention est encore très grande. 1905. — Pard... connaît toutes les
lettres
, les chiffres, com-mence à tracer quelques bâtons
à fait ingrate, notions classiques presque nulles, ne connaît que ses
lettres
et un peu les chiffres; c'est ainsi qu'il confond
es boîtes aux leçons de choses. ?— En 1898, il reconnaît et nomme les
lettres
, chiffres, sur-faces : place bien les bâtonnets d
l sait s'habiller, lacer, nouer, boutonner, connaît ses chiffres, ses
lettres
, il commence à lire; nous espérons qu'il passera
nfant a été rendu propre, a appris à s'habiller, reconnaît toutes les
lettres
et les chiffres. 1895. — L'amélioration continu
tes phrases. — En 1894, il s'habille et se déshabille seul, place les
lettres
, les surfaces, les cou-leurs. Il commence à forme
s lettres, les surfaces, les cou-leurs. Il commence à former quelques
lettres
et chiffres en 1895. Toujours en mouvement, Fél..
ions sensées. Il a pris goût à la classe, connaît et nomme toutes les
lettres
de l'alphabet ainsi que les chiffres, les cou-leu
laisir en classe, est en bonne voie pour la lecture, trace toutes les
lettres
et les chiffres et ébauche même l'addi-tion, No
ment d'affectivité. — Au point de vue classique, elle connaissait ses
lettres
et ne faisait que commencer à syllaber. Elle ne s
il manuel. Aucune aptitude pour l'étude; ne connaissait pas une seule
lettre
et ne savait même pas tenir un porte-plume. La ph
ole étant très défectueuse, il lui est très difficile d'articuler les
lettres
franchement et d'émettre les sons. Sa voix est na
elle manquerait de goût pour l'étude. Enfin, elle connaît toutes les
lettres
, commence à écrire. Elle distingue bien toutes le
compagnes de sa division. Elle qui, au début, ne connais-sait aucune
lettre
alphabétique, sait aujourd'hui .syllaber, tout po
à croire que sa lecture sera courante d'ici peu; elle forme bien les
lettres
, elle copie très lisiblement, connaît tous les ch
ustine a pris goût à l'étude, elle qui ne connaissait pas la première
lettre
de l'alphabet sait aujou.rdhui syllaber par-faite
ut qu'elle était tout à fait nulle en classe, connaissait à peine les
lettres
et les chiffres. I0O5- — L'enfant mise en trait
difficile; elle s'intéresse cependant aux leçons de choses, place les
lettres
et les chiffres sans trop les connaître. Elle com
. —r Cette enfant était nulle en instruction, connaissait à peine ses
lettres
, ne savait pas écrire. Elle était incapable de se
orné à quelques petites copies, à faire les chiffres et assembler ses
lettres
. Il faut ajouter qu'Augus-tine est toujours très
ive. En classe, elle commence à écrire, forme à peu près toutes les
lettres
, les distingue les unes des autres, ainsi que les
. Au point de vue de la lecture, l'enfant ne reconnaît pas encore ses
lettres
, elle les nomme mais au hasard. Pour l'écriture,
crire quelques mots, ne fait que de petites copies, elle con-naît ses
lettres
et commence à les assembler. Pour ce travail, ell
en, son orthographe est encore défectueuse mais elle peut rédiger une
lettre
; connaît les trois premières opérations de l'arit
it pas, mais elle était nulle en instruction, connaissait à peine les
lettres
. Le caractère était méchant, querelleur; elle se
gles de l'arithmétique, commen-çait la division et savait rédiger une
lettre
; en un mot l'enfant pouvait se tirer de peine. El
re le sens des mots; elle commence également à copier, forme bien les
lettres
et les chiffres. La -parole est plus facile, le
prononcia-tion était mauvaise, elle zézayait beaucoup, prononçait les
lettres
; et g comme z; elle disait zuze pour juge, touzo
également très en retard au point de vue scolaire, ne connaissait ni
lettres
, ni chiffres, ne savait pas écrire; vu son âge av
cole. Quand elle est arrivée parmi nous, elle connaissait à peine les
lettres
, les nommait avec peu d'assurance, l'écriture éta
uche est fortement dévié en dedans ce qui l'empêche de distinguer les
lettres
à première vue. Malgré tous ces inconvénients, el
mière vue. Malgré tous ces inconvénients, elle a appris à écrire, les
lettres
et les chif-fres sont bien formés, elle commence
les chif-fres sont bien formés, elle commence à copier, assemble les
lettres
. Tout porte à croire que l'enfant lira couramment
lligence. Elle parlait, mais avait un défaut de prononciation pour la
lettre
r; ainsi pour dire travaille, elle prononçait tav
rche très bien. En classe les progrès sont notables, elle connaît ses
lettres
, com-mence à compter, aime la gymnastique et le c
envers les personnes qui l'entourent. Elle commence à rassembler ses
lettres
, connaît également les chiffres, sait les placer
n'indiquait l'intelligence. Elle ne savait pas lire, mais formait les
lettres
et les chiffres; elle ne savait pas compter, ne p
connaît les trois premières opérations de l'arithmétique, rédige une
lettre
, son écriture est lisible et bien formée; en un m
re pour venir en classe le moins possible: elle n'aimait pas l'école.
Lettres
, chiffres, écriture, tout lui était inconnu; sa f
téresse princi-palement à la classe, elle connaît les chiffres et les
lettres
et commence à les assembler. Elle marche et parle
ge avec impudence. Elle était nulle pour la classe, ne connaissait ni
lettres
, ni chiffres, ne traçait pas une lettre; on avait
la classe, ne connaissait ni lettres, ni chiffres, ne traçait pas une
lettre
; on avait toute la peine du monde à la maintenir
continus. En classe elle a appris à faire des dictées, à rédiger une
lettre
pour sa famille et enfin la multiplication qu'ell
se et y met toute son attention; elle écrit lisiblement, assemble les
lettres
, commence à compter et récite quelques fables. A
eçons de choses, ainsi que les principales céréales; connaît quelques
lettres
et quelques chiffres. Elle aime beaucoup la gym
, mais surtout au point de vue classique. Elle écrit lisiblement, ses
lettres
sont bien formées; elle suit une dictée du cours
marche et dans ses mouvements. En classe, elle ne connaissait aucune
lettre
et paraissait insou-ciante de s'instruire. Mise
qui paraissait nulle, s'éveilla, et elle ne tarda pas à connaître ses
lettres
, puis à syllaber et parvint à lire couramment à l
lle est en bonne voie d'amé-lioration. Elle aime l'école, connaît les
lettres
, les chiffres et commence à écrire. Ses progrès n
Elle com-mence à faire des rédactions, écrit et rédige elle-même ses
lettres
. — Le caractère est brusque mais non méchant. —
ttention sur ce qui lui était enseigné. Elle a appris à connaître ses
lettres
, à syllaber et maintenant lit presque couramment.
bonne. Il commence à s'habiller, à se déshabiller, à reconnaître les
lettres
, à écrire. Sait monter les escaliers, sauter. 1
es escaliers, sauter. 1898. — Assemble les syllabes, forme bien les
lettres
et les chiffres, s'habille seul et convenablement
rs 1840, l’estomac et la jambe gauche se paralysent, et (1, Voir la
lettre
du D' P. Vidart, directeur de l'établissement hyd
it dans son sommeil. Deux jours après, nous recevons de son mari la
lettre
suivante : i Mon cher Monsieur, « Comme nous
public. Nous avons déjà fait connaître (tome XI, page iüî>), la
lettre
par laquelle M. Carpentier faisait hommage à la S
es jetées à sa mémoire. Nous sommes heureux de citer le passage d'une
lettre
à la reine, oit se révèle dans toute sa grandeur
u, si le vice inspire un tel langage? Les sentiments exprimés dans la
lettre
qui précède n’étonneront aucun de ¡ceux qui ont l
ENNE. Nous empruntons au Nouvelliste de Marseille, du 7 février, la
lettre
suivante, dontil a reçu communication, et que plu
uses à faire à Votre Grandeur, pour n’avoir pas répondu plus tôt à la
lettre
dont vous m’avez honoré le 21 juillet; mais elle
ix en-Savoie, te 10 août 1841. Monseigneur, En vous confirmant ma
lettre
du 1" de ce mois, qui répondait à celle dont Votr
distingués. « Le vicomte DE LAPASSE. » « P. S. En relisant cette
lettre
, écrite fort à la hâte, je ne voudrais pas que vo
d’agir sur la matière par des agents en dehors de la matière. » La
lettre
et le passage qui précèdent montrent un homme imp
a manière de voir à ce sujet se trouve tout entière contenue dans les
lettres
que j’ai eu l’honneur de vous écrire en 1841. Vot
aves discussions... Mais les discussions ne sont pas l’objet de cette
lettre
. Vous me signalez dans la vôtre, Monseigneur, l
Aussi, Monseigneur, ce n’est pas sans regret que j’ai vu dans votre
lettre
du 20 novembre dernier, que vous aviez donné à MM
homme de science et de haute capacité. Je joins encore à mon pli la
lettre
de M. de Résimont, qui accompagnait l’envoi de so
de M. de Résimont, qui accompagnait l’envoi de son ouvrage, plus une
lettre
de M. Ternoux, ingénieur des ponts et chaussées d
s observations sur Marie Froment et M"1" Schmitz. Enfin une troisième
lettre
, venant d’un médecin fort instruit de Lodève , M.
Messieurs m’ont écrit, ils ne se doutaient guère, je pense, que leurs
lettres
arriveraient jusqu’à vous, Monseigneur, car ils n
ous et moi une correspondance polémique sur le magnétisme animal. Ces
lettres
feront comprendre à Votre Grandeur que le magnéti
). FAITS ET EXPÉRIENCES, 1° MAGNÉTISATION d’üN SINGE. Voici une
lettre
qui me fut écrite il y a plus de quatre ans, mais
(!es Plantes, se rappellera sans peine le nom du signataire de cette
lettre
; car sur la cage de beaucoup d’animaux 011 lit :
encé mon pli lorsque,, successivement, je me suis vu arriver diverses
lettres
de médecins, de malades, d’expérimentateurs instr
ire en copiant moi-même, pour pièces à l’appui, tout ou partie de ces
lettres
qui, écrites de ma main, auront un caractère d’au
me pardonner le long retard que j’ai mis à répondre à votre dernière
lettre
, n° 1450, retard dont vous connaissez maintenant
issez maintenant les motifs; veuillez m’excuser si, dans la copie des
lettres
que j’ai l’honneur de vous envoyer à l’appui de m
amitié. 11 a fallu des circonstances aussi graves que celles de votre
lettre
du 20 novembre, pour m’engager à leur donner une
mais porté un jugement favorable. •le joins au mémoire la copie des
lettres
que vous m’avez envoyée en même temps. Je n ai
s et politiques de Paris, et la Société d'encouragement des sciences,
lettres
et arts de Milan, ont proposé des sujets de prix
naux : et, de plus, il importe que ces documents restent joints à mes
lettres
, puisque ce sont là les preuves de ma doctrine, p
u 1)' de llésimont, dont j’ai eu l'honneur de vous entretenir dans ma
lettre
du -> décembre dernier. Je le croyais depuis l
eigneur, et je n’y reviendrai pas, m’en étant assez expliqué dans mes
lettres
des 26 décembre et 11 janvier dernier. Quant au f
MAGIE. A Monsieur le baron du Potet. Monsieur le baron, Dans la
lettre
qui accompagnait l’envoi que vous me fîtes de vot
ute, de cette expérience annoncée par le Dr André, de Brème, dans une
lettre
qu’il adressait à la Gazette d’Augsbourg, et que
icité animale. Voici le fait, tel que le rapporte le signataire de la
lettre
en question, liomuie honorablement connu, du rest
supplémentaire, quasi-humaine et immortelle. Mais la longueur de ma
lettre
m’avertit de, couper court à cette relation des m
serai enchantée de profiter. J’ajouterai seulement, en terminant ma
lettre
déjà beaucoup trop longue, que les Coups paraisse
naissance. Ce premier avis marque seulement notre sollicitude ; des
lettres
devant être envoyées aux habitués du banquet qui
gnétique. Nos lecteurs ont eu déjà un aperçu de ce phénomène par la
lettre
de M. Gathy, insérée dans notre dernier numéro. N
es organes de la science, l'Union médicale du 30 avril, qui publie la
lettre
suivante adressée à M. Amédée Latour : Strasbou
gasconnade, et si vous ac- cordez la publicité de vos colonnes à ma
lettre
, je passerai probablement pendant un certain temp
ls se trouvaient tous réunis à Châtillon. J’avais publié la veille la
lettre
de notre honorable confrère M. Eissen, de Strasbo
bliés par les journaux m’avaient laissé indifférent, tandis que cette
lettre
m’avait profondément impressionné. L’occasion éta
sembla devoir admirablement compléter les conditions indiquées par la
lettre
de M. Eissen. Première expérience. Un vase de
art on lit dans le Siècle du 1" mai, le récit suivant, emprunté à une
lettre
écrite de Bordeaux : « Nous sommes ici, mon che
ndu parler de l’efTet du magnétisme animal sur une table; d’après une
lettre
d’Allemagne que je venais de lire, j’ai voulu en
s surnaturel sur la terre. L H. Un autre journal belge publie une
lettre
, datée de Heidel-berg 25 avril, qui est ainsi con
ous extrayons d’une feuille piémontaise, intitulée les Etincelles, la
lettre
qui suit : Monsieur le rédacteur, En réplique
uvre, si nous ne savions que les quelques instants qu’il consacre aux
lettres
sont dérobés au soulagement de ses semblables. L’
La crise qu’elle avait alors étant survenue après la réception d'une
lettre
, donnait à penser qu’elle avait mis son projet à
ître un lien de parenté, une même origine. Hélas ! l’esprit a fui, la
lettre
seule est restée; simulacre vain, la consécration
urrice. (Dis.) Le même journal a publié, clans son numéro du 28, la
lettre
ci-après, adressée à son rédacteur : « Paris, l
, etc. « Le secrétaire-général, « DOMICILE. » En insérant cette
lettre
, nous ne prétendons pas garantir la solidité de s
EUX. Un de nos abonnés nous communique la traduction suivante d’une
lettre
du célèbre socialiste anglais, Robert Owen : Lo
t Owen : Londres, 20 mai 18D3. Mon cher ami, En réponse à votre
lettre
du 12, réponse que j’ai différée pour vous satisf
vif intérêt, dans le Journal du Magnétisme du 25 avril dernier, votre
lettre
à M. Hébert, dans laquelle vous rendez compte des
vélés, vous vous appuierez sur les exemples que vous citez dans votre
lettre
: sur l’incrédulité vaincue, l’immortalité triomp
des personnes recomxnandables pour la plupart, dites-vous dans votre
lettre
, qui se mettent en rapport avec les esprits, et s
source ! J’en ai trop dit de Saint-Martin, pour ne pas finir cette
lettre
par quelques passages de cet auteur. Ils vous ser
inistre; beaucoup de médecins, des avocats, des avoués, des hommes de
lettres
, etc. Tous les commissaires portaient la médaille
« Alex, de SAINT-CHÉRON. » Ce compte-rendu a motivé l’envoi de la
lettre
suivante au directeur du journal : « Monsieur l
signé de coups correspondant aux mots oui et non, et aux vingt-quatre
lettres
de l'alphabet. Les réponses ont lieu, la conversa
èrement, à chaque question. Si, par exemple, vous êtes convenu que la
lettre
A serait représentée par 1 coup, Il par 2 coups,
v face du faits et analogui n'a pas nous pu des récii coniraen Un m
lettre
de a Diin primes p ronde en miniatun au prix «D
1° Rotation. Un médecin bien connude Paris a adressé au Siècle une
lettre
dont voici quelques extraits : « Dimanche derni
ion et répulsion. Le Courrier de lu Drôme et de CArdèche publie une
lettre
qui lui est adressée par M. Gauthier, dans laquel
ups et élévation. M. de Gasparin a adressé au Journal de Genève une
lettre
fort curieuse sur les tables tournantes. Nous cro
les tables tournantes. Nous croyons devoir donner un extrait de cette
lettre
, faisant connaître des expériences dont l’exactit
ements. Un médecin de La Châtre écrit au rédacteur de la Patrie une
lettre
dont voici les passages principaux : « Monsieur
Bonjean, membre de l’Académie royale de Savoie, écrit à la Patrie une
lettre
, datée de Chambéry, 18 mai, b. laquelle nous empr
’il a été trouvé dans les papiers de M. Despine, qui, dans une de ses
lettres
à Mgr Alexis, dit l’avoir reçu de Rome même. Ce d
La confirmation de ce fait se trouve dans les passages suivants d’une
lettre
adressée à la Patrie du 18 niai : « J’ai fait,
xpériences publiques. « Samedi dernier, M. François Guidi, homme de
lettres
et professeur de magnétisme, avait réuni dans ses
espace, expérience dont il a rendu compte dans nos colonnes. Voici sa
lettre
: Toulouse, 24 mai 1853. « Quelques journaux
ler comme lui ; mais je le comprends tout de même. — Epelez-moi les
lettres
de son titre. — An ! je veux bien : C e 1 s e.
tour, substitut du procureur impérial ; le comte de Serizay, homme de
lettres
; Jouas Leba-ron, chimiste, etc., etc. J’ai l’ho
rs après, on lisait dans le même journal : « La Pairie a publié une
lettre
datée d’llençon et portant la signature du Dr Pré
e lettre datée d’llençon et portant la signature du Dr Prévost. Cette
lettre
nous est signalée comme un faux matériel. Aussi n
ost, en déposant au parquet du procureur impérial l’original de cette
lettre
, pour qu’il soit possible d’en rechercher et fair
ême n’est-elle point un songe? Baron DU POTET. Nous avons reçu la
lettre
suivante : ci Monsieur le rédacteur, « J’espè
é tous les objets qui se lient à cette matière, dit M. Lordat dans sa
lettre
à M. Cazaintre au sujet de l'observation rapporté
Elles constituent l’objet immédiat de la vision ou de la sensation.» (
Lettres
à une princesse d‘ Allemagne, lettre xxxiv.) «
la vision ou de la sensation.» (Lettres à une princesse d‘ Allemagne,
lettre
xxxiv.) « Nous savons, dit M. Prévost, de Genèv
r sa mémoire, M. Philips lui a fait oublier son nom, puis la première
lettre
de l’alphabet. «C’est étonnant!» disait tout haut
ètes, ce point excepté. On lui a demandé s’il se rappelait la seconde
lettre
, il a répondu B, mais il n’a pu se rappeler A, et
pu se rappeler A, et pourtant, pour aider sa mémoire , il a tracé la
lettre
dans l’espace, avec son doigt, mais sans pouvoir
sbourg, l’Abeille du Nord, cité par la Patrie du 3 juin, contient une
lettre
de M. Tschere-panoff, qui relate des faits extrêm
nche en arrière; deux battements indiquent oui, un veut dire non; les
lettres
de l’alphabet sont représentées respectivement pa
laient seules devoir leur rendre à la fin de l’année, a VARIÉTÉS.
Lettre
«le M. iinstnn. — Les détracteurs du magnétisme a
le nom de Jésus, le signe de la (1) Voir sur ce sujet les savanles
lettres
de M. l’abbé Almignana. TomcjV, pages 41.174 et s
. TABLES MOUVANTES. Le Journal des Débats lu 30 août contient une
lettre
fort importante, dont voici la teneur : Yallevr
er, et je croirais vous faire injure en sollicitant l’insertion de ma
lettre
. Votre impartialité m’en est garant. « Le compt
s ; mais aujourd’hui elle a perdu tout intérêt d’actualité. — D’une
lettre
publiée par YAssa/iblâc nationale du 8 mai, il ré
ment peut être bon à consulter. — La Patrie du \h mai contenait une
lettre
de M. Louis Sœhnée, de laquelle il semble résulte
« Vous avez lu ce matin, dans le Journal des Débats, l’extrait d’une
lettre
de M. le professeur Chevreul à M. Ampère et son i
ère de voir doivent être multipliées au delà des limites d’une simple
lettre
, et seront mieux placées dans un travail spécial;
u ne peuvent être rapportées à aucune loi fixe? i ,Te termine cette
lettre
, car elle est déjà bien longue ; et je 11e saurai
rivoisé. «Dr PIÉGU. » Le rédacteur de 1 ’Union, en publiant cette
lettre
, a fait ses réserves dans une note ainsi conçue :
’une inconséquence. — Le Messager du Midi, du 20 juin, contient une
lettre
pleine de réflexions fort judicieuses, écrite par
1 Indépendance, belge parlait, dans un de ses derniers numéros, d'une
lettre
adressée à l’Empereur par un ancien membre de la
numéro du 10 de ce mois, qu’un montagnard exilé venait d’adresser une
lettre
îil’Em-pereur, à propos de tables tournantes. i
ni volontaire. « J’attends de vous, Monsieur, l’insertion do celte
lettre
dans \’ Indépendance belge, et je vous prie d'agr
l-Loire. » Voici, d’après le Journal des Débuts du 17 septembre, la
lettre
à laquelle XIndépendance avait fait allusion. «
trairement à tous les usages sans doute, la permission de finir cette
lettre
par mon nom seul. » (Suit la signature). On v
dversaire du magnétisme, répondant, dans le Journal des D/bats, à une
lettre
de M. de Gasparin, a déclaré ne pouvoir accepter
uelconque, qu’elle doit être infinie ou qu’elle n’existe pas. Si la
lettre
de M. Foucault est le dernier mot des corps savan
récierez, je n’en doute pas, monsieur, les motifs honorables de cette
lettre
, vous trouverez juste d’en faire part à vos lecte
s Pyrénées-Orientalcs, feuille qui se publie à Perpignan, contient la
lettre
suivante, dans son numéro du 21 juin dernier :
Un de nos abonnés nous écrit au sujet de la relation qui précède, une
lettre
que voici tout entière : « Monsieur le Rédacteu
ÉRIENCES, 1° 7.oo-Magnétoscope. Un de nos abonnés nous adresse la
lettre
suivante : Paris, 9 mars 1853. « Monsieur le
u magnétisme vital. A cette fin on coupe une petite bande de papier à
lettre
de la largeuv de deux millimètres , et longue de
enant une affirmation contradictoire. La. Patrie du 22 contient une
lettre
d’un de nos abonnés de Fécamp, qui est ainsi conç
RT. » 2° OBJET MAGNÉTISÉ. Nous extrayons les faits suivants d’une
lettre
qu’un de nos abonnés nous adresse de Suisse : «
CONTROVERSES. On lit clans le Courrier de l’Eure du 26 juillet la
lettre
suivante : Vorneuil, 10 juillet 1853. a Monsi
quelques savants fascinés par l’amour du merveilleux. « D’après la
lettre
par laquelle vous me faites l’honneur de me deman
m LOÜYET. Un de nos abonnés nous communique l’extrait suivant d’une
lettre
qu’il a reçue d’un magnétiste italien qui habite
OLUTION DE GLANDES. n Mon cher monsieur Rey, «Dans votre dernière
lettre
,, vous me priez de vous faire part des phénomènes
et ne s’est trouvé en défaut. J’avais laissé sur mon secrétaire une
lettre
inachevée, et, vu l’éloignement de mon domicile,
j’avais écrit à la personne à laquelle j’adressais précisément cette
lettre
, elle me répondit que j’avais écrit le matin, mai
ette lettre, elle me répondit que j’avais écrit le matin, mais que ma
lettre
n’avait point été finie; sur ma demande, elle en
emande, elle en a lu le contenu. J’envoyai deux personnes chercher ma
lettre
, les paroles de la somnambule l’avaient fidèlemen
reçu des nouvelles de sa mère ; elle me dit qu’en bas il y avait une
lettre
que le facteur venait d’apporter, mais que le por
Une personne présente descendit à la hâte ; elle trouva en effet une
lettre
arrivée depuis un quart d’heure environ. Je priai
Tables ! fables ! s’est d’abord écriée la science. A le prendre à la
lettre
, il est vrai, de l’un à l’autre la différence n’e
que vous voudrez bien accueillir avec bienveillance cette trop longue
lettre
, qui ne contient cependant qu’une très-faible par
e se propage dans ce pays. Nous extrayons les passages suivants de sa
lettre
: « ....Quoique depuis un an vous n’ayez reçu d
'ils le répandent au dehors. « Presque chaque semaine je reçois des
lettres
de gens qui me sont complètement Inconnus, me tém
plaire du Manuel de lEtudiant nuif/nt'/ispur, écrit à M. du Potet une
lettre
de laquelle nous donnons plus bas quelques passag
une lettre de laquelle nous donnons plus bas quelques passages. Cette
lettre
, touchante de naïveté et de bon sens, dénote chez
uction. Nous copions presque littéralement, afin de laisser à cette
lettre
son cachet d’originalité : « ... Je vous dirai,
yeux, ce n’est qu’un accord qu’ils ont ensemble : «les mots et. des
lettres
, qu'il devine les choses qu’on lui demande. A la
s abonnés dans un voyage qu’il fit à llouen. Voici un extrait de la
lettre
qu'il nous a adressée : Le 13 juillet dernier,
sonnes par le procédé que M. J. Gautier a fait connaître. Voici une
lettre
écrite à M. Hébert sur ce sujet : Quo les jeune
. Chevalier ; mais encore des hommes remarquables et honorés dans les
lettres
, les arts, le haut commerce, l’armée, voire même
y. (Moniteur judiciaire de Lyon.) Chronique. — Je publie les deux
lettres
suivantes, comme documents pouvant servir ii l'hi
Revue de« Journaux. — Le Constitutionnel du 22 novembre contient une
lettre
relative aux tables tournantes. L’auteur, qui se
nnes qui, pendant le sommeil magnétique, parvenaient à déchillrer des
lettres
écrites en anglais, quoique cette langue leur fût
ussi M. du Potet a-t-il cru devoir adresser au journal en question la
lettre
suivante : A Monsieur le Réducteur en chef du P
e esprit de justice, j’espère que vous voudrez bien donner place à ma
lettre
dans un de vos prochains numéros. Agréez, etc.
extrême et intérieur de cette soucoupe sont gravées les vingt-quatre
lettres
de l’alphabet, placées à distances égales, les in
lle, par des intervalles distincts, s’arrêtant en sautant à certaines
lettres
, formait ainsi en réponse aux interrogations des
n sautillant touché les deux syllabes Théo, avec addition d’une autre
lettre
. Alors un des assistants s’écria que c’était Théo
aits qui contribueront à élucider cette question. Premier cas. La
lettre
suivante, adressée à M. du Potet, président du Ba
alhoun avait l’habitude d’écrire l'm pour I’inn, et qu’il a plusieurs
lettres
de lui 0(1 se trouve cette abréviation. Mmc Macou
la même chose. Son mari, le feu général Macoumb, lui avait montré une
lettre
de Calhoun où cette abréviation particulière à Ca
spondance. Avis divers, 56, 123, 143, 224, 552, 648. Philanthropie.
Lettre
de M. du Potet offrant à M. le Préfet de police d
339. Sauvons le genre humain, ouvrage inédit, par Victor Hennequin.
Lettres
de l'auteur au sujet de ce livre, qu'il annonce a
s’y baigna. Dans cet état, elle avait aussi l’habitude d’écrire des
lettres
, et à des personnes assez influentes, car voici à
qui était alors M. Carlier, et on lui demanda ce que signifiaient les
lettres
qu’elle avait écrites ; elle ré- pondit, comme
s recherches les plus curieuses. Je prouverai qu’il a été produit des
lettres
d’une, deux et trois pages, d’une belle écriture
us n’obtenons pas en Europe ; il y a des mains qui vous touchent, des
lettres
qui vous sont remises entre les doigts. — L’as-tu
les plus nébuleuses, de corriger nos vers boiteux, de nous dicter des
lettres
d’affaires les plus prudentes et de nous composer
veau de l’homme, vous aurez la clef des arcanes qui ont été jusqu’ici
lettres
closes. Notre pensée, qui se transporte aussi v
te. Ce n’est qu’à sept heures du matin que nous avons appris, par une
lettre
de Paris, la mort de Marie arrivée la veille à si
n papier plié à l'intérieur duquel était écrit un mot formé de quatre
lettres
; et, prenant la main de la dame, h l'effet de s'a
: les phrases s’interrompent ou se construisent défectueusement; les
lettres
se succèdent sans ordre; ce sont des mots dépourv
électrique. Le récepteur tourne sans aucune impulsion directe, énonce
lettre
à lettre, ou signe à signe, des dépêches, des dis
e. Le récepteur tourne sans aucune impulsion directe, énonce lettre à
lettre
, ou signe à signe, des dépêches, des discours ent
es a publié, dans ses numéros des 24 février, 2 et 9 mars , plusieurs
lettres
de M. Mabru qui propose à tous les partisans du m
manqué de joûteurs pour relever le gant. Le même journal a inséré les
lettres
de MM. de Rovère, Matthieu, Lecoq, Gentil, Derrie
on s’occupe de la science de l’homme. Les conclusions (citées dans la
lettre
deM. Derrien) sont extrêmement favorables au magn
audrait à un aveu de stupide ignorance ou de mensonge impudent. De la
lettre
de M. Mabru, il n’y a donc qu’une conséquence pos
dre qu’à y gagner. Lorsque le magnétisme a demandé à l’Académie ses
lettres
de naturalisation, il ne s’était pas encore répan
s, dos architectes, dos jurisconsultes, des négociants, des hommes de
lettres
seraient-ils moins compétents, lorsqu'il s'agit d
oir auprès de sa table à ouvrage. Elle prit du papier, et écrivit une
lettre
à son mari. Elle lui annonçait qu’elle avait fo
’elle espérait trouver bientôt le moyen d’en finir avec la vie. Cette
lettre
était affectueuse ; elle se sentait coupable, dis
e papier fût complé- tement dans l’obscurité, M"* *** continuait sa
lettre
; si on interposait un écran entre l’œil et le pa
t plus occulte, mai, parfaitement visilu et d un aspect lumineux. Les
lettres
od.ques du chevalier de Reichentoch ont dissipé t
ble qu’elle soit en sa proportion du degré potentiel-moléculaire. Les
lettres
de Reichenbach nous l'enseignent péremptoirement,
t que l’on ne décrit pas. J’ai mentionné cette scène dans ma première
lettre
. — Avant d'être réveillée, Anna me prédit: « Du
uvrage cité. (S) Ce savant nomme vie spiritualisée ce que , dans ma
lettre
précédente, j ai spécialisé sous la simple désign
es, est insérée en notre organisme, la phrénologie nous l’apprend. La
lettre
de cette bible divine demeure muette au fond de b
ano, savant cl rigoureux investigateur, s’est fait coa-naître par ses
lettres
si remarquables sur le magnétisme, qu'il appelle
Hippone, il fautait contre la réalité, lorsque n’in-terprélant que la
lettre
de la légende adamique, il déniait des antipodes
pelle par I.icbig, ùan.' m:» NouutUi Ltttrti iur ta chimie, 1852. 37*
lettre
, p. 304. ou, comme nous dirions actuellement, l
mémo. o Un fait Identique paraît se produire en ce moment. « I.es
lettres
de Calcutta, reçues cette semaine, mandent quo l'
Springfield, médium, fut dernièrement informée par les esprits qu’une
lettre
lui avait été récemment écrite de Boston, et ne l
n, avec la date, l’adresse, etc. Il n’a pas encore été vérifié si une
lettre
pareille lui a été réellement écrite de Boston :
parcourt; il y lit le caractère des livres qu’il a devant lui, de la
lettre
qu’il écrit. C’est un miroir interne où viennent
e me suis occupé de votre « fils aussitôt après la réception de votre
lettre
; il fut sou-« lagé ii l’instant, hier 20 décembre
nous qualifions aussi réciproquement tous les deux, « votre dernière
lettre
m’oblige à «vous écrire immédiatement pour vous r
heneau , qui me disait «Je n’ai pas eu « le temps de répondre à votre
lettre
du 14 du mois der-o nier, mais je crois devoir vo
e de M. Chencau, qui m’informait qu’aussitôt après la réception de ma
lettre
, il s’était occupé de M. Pierre 11...... et il
e une fois pour moi. » Voici maintenant ce qu’il me disait dans une
lettre
du 0 janvier 185/i : « Ne m’oubliez pas surtout a
atants, et le Mesmerista les enregistre avec soin. Nous lui devons la
lettre
du docteur Vandoni que nous croyons être agréable
ons-nous?.... JOS. BARTHÉ. Nouvelle-Orléans, 26 septembre 185*.
Lettre
de M. le docteur Carlo Vandoni à M. Alix, préside
de questions pour la circon stance et en outre la suscription d’une
lettre
écrite par son gendre. « Parti d’Ajaccio le 7 f
M"' de C*** la relation détaillée de cette séance magnétique. « Ma
lettre
, qui fut un événement singulier et inattendu,, li
ais que dégager ma parole. « Il paraît que — comme les livres — les
lettres
et les médailles aussi ont leurs destinées. M. de
annonce ces jours-ci qu’il vient de recevoir enfin sa médaille et les
lettres
que le consul général d’Autriche, il y a six mois
grès là-bas doit joliment marcher. M. de Reichenbach, au départ de la
lettre
qu’il m’adresse, allait répondre à celle de M. le
la société, ces remercîments qu’il lui adresse. Je ne connais pas les
lettres
odiques, telles que les a publiées Caha-gnet ; ma
t une lutte des plus opiniâtres : le crayon, traçant par saccades des
lettres
aussitôt interrompues que commencées, semblait se
sitôt que j’en aurai le loisir. « Mais excusez, je vous prie, cette
lettre
interminable, à la-quelle, après l’avoir commencé
des phénomènes somnambuliques et ami du merveilleux, en recevant une
lettre
m’invitant à me rendre sur cette terre mystique.
t une lettre m’invitant à me rendre sur cette terre mystique. Cette
lettre
, je vous l’envoie en vous priant de l’insérer éga
. « Constant Lhéract. o 125 , Grande-Rue. » La lecture de cette
lettre
me jeta dans un assez grand embarras. Je croyais
ravers sa douteuse clarté le portrait de ¡’Empereur et la dédicace en
lettres
rouges. En cet instant solennel, ce fut un enth
sent en se jouant de la crédulité publique. J'allais terminer cette
lettre
déjà trop longue, monsieur le rédacteur, lorsque
. Je crois donc, de toute justice, devoir rapporter en entier cette
lettre
, afin de faire connaître , tant la loyauté que l
quiste a avoué sa supercherie. » Ce qui m’a valu l’honneur de cette
lettre
, monsieur le rédacteur, c’est le regret qu’a épro
, la suggestion qui peut être faite quand on indique par le doigt les
lettres
d’un alphabet écrit- La table se lève d’un côté e
ite. Mais j’ai remarqué une chose, c’est que souvent, après plusieurs
lettres
, on croit savoir le mot, et l’on attend la procha
lusieurs lettres, on croit savoir le mot, et l’on attend la prochaine
lettre
avec confiance ; mais bien souvent on s’est tromp
ais bien souvent on s’est trompé, et la table ne s’arrête pas à cette
lettre
attendue partout le cercle , mais à uue autre, pa
enfant était bien sérieusement malade. Peu de jours après, arriva une
lettre
, dans laquelle on lui manda qu’il avait été malad
li. Elle me dit que bien sûr il avait été beaucoup plus malade que la
lettre
ne disait, mais que, tout allant bien, on n’avait
, mais que ce n’était rien de grave. Elle écrivit cependant, et cette
lettre
croisa en route une autre de son mari, dans laque
le corbillard. Tout cela fut écrit à son mari; mais le jour où cette
lettre
fut mise à la poste, une lettre de son mari l’inf
rit à son mari; mais le jour où cette lettre fut mise à la poste, une
lettre
de son mari l’informa de la mort d’une cousine à
ec le temps la guérira entièrement. Pour en finir avec cette longue
lettre
, une demoiselle bien connue comme écrivain, miss
de la seconde vue, des corps, des tables, etc., dans le sens de cette
lettre
, et j’ai tout lieu de croire que mon discours a r
à partir au premier avis. Peu de temps après, je reçus en effet une
lettre
de faire part, mais encadrée d’une sinistre bande
t assez clairement indiquées par le fait même. Rappelé au but de ma
lettre
dont je me suis écarté un instant, toujours cette
nt il gagner à la venue de cette croyance. Le but de ma trop longue
lettre
n’ost donc pas la négation des esprit», mais de r
il gagner li la venue île cette croyance. Le but de ma trop longue
lettre
n'est donc pas la négation des esprit», mais de r
ans notre dernier numéro et qui altôront complé-ZZiïJSSL Phrase de la
lettre
du savant professeur Grégory ^ÎÏÏSüug- * *9- **
.-F. Gardner, de Boston, a reçu de M. N. M. Laning , de Baltimore, la
lettre
suivante, datée du 22 avril dernier, que je tradu
preuves. — Sous ce titre, le Spiritual Telegraph vient de publier la
lettre
que voici, datée de Nevv-York le 23 avril dernier
ot suivant que nous nous îaisons un devoir d’ajouter à la suite de la
lettre
précédente, c^me son complément nécessaire : «
phénomènes magnétiques de perception extranormale , donnez place à ma
lettre
dans les colonnes de votre journal. Agréez, etc
alisme, a adressé au journal le Christian spiritualist de New-York la
lettre
suivante, qui a été reproduite par plusieurs autr
saurais le faire, et j’abuserais de vos moments en prolongeant cette
lettre
. «Peut-être un jour vous communiquerai-je, pour
ro de juin dernier : Pour psychométrer un individu, vous prenez une
lettre
écrite par lui. Vous fermez les yeux, afin de vou
bstraction , de concentration et de passivité. Vous placez ensuite la
lettre
au centre de votre front, l’expérience ayant cons
ions ; les traits les plus prononcés du caractère de l’auteur de la
lettre
s’offrent à vous les premiers ; vous ressentez un
la fermeté , et si cet organe est très-développé chez l’auteur de la
lettre
, la sensation, qui commencera par être sem-biabe
n écrit, et le pnyc/iomélreur décrivit exactement, non l’auteur de la
lettre
, mais la personne qui avait présenté l’écrit. Une
e et se mit à écrire. Il sembla d’abord qu’elle traçait au hasard des
lettres
dont la réunion ne signifiait rien ; mais, avec u
ignifiait rien ; mais, avec un peu d’attention, on reconnut que ces
lettres
étaient écrites à rebours, à la manière orientale
donnait une valeur conventionnelle, que le chiffre 1 représentait la
lettre
a, le chiffre 2 la lettre b, et ainsi de suite ;
tionnelle, que le chiffre 1 représentait la lettre a, le chiffre 2 la
lettre
b, et ainsi de suite ; réciproquement, pour expri
b, et ainsi de suite ; réciproquement, pour exprimer des nombres, la
lettre
a tenait lieu du chiffre 1, la lettre 6 du chiffr
, pour exprimer des nombres, la lettre a tenait lieu du chiffre 1, la
lettre
6 du chiffre 2, et ainsi de suite, et l’astérisqu
à lui faire comprendre quelques mots d’italien qu’en en appelant les
lettres
une à une et en se servant des dénominations grec
Vuillermedunant, secrétaire adjoint de la Société du Mesmérisme, une
lettre
dans laquelle se trouvent rapportés certains fait
il n’aurait consulté personne............ « Baron DTJ POTET. » La
lettre
que nous insérons n’offrira point aux lecteurs ha
r sont depuis longtemps d’une notoriété positive pour eux. Mais cette
lettre
montre que, sur des points différents et sans s'ê
nce des Indes Anglaises à Calcutta, nous envoie une brochure avec une
lettre
. La lettre est sous forme de circulaire adressé
Anglaises à Calcutta, nous envoie une brochure avec une lettre. La
lettre
est sous forme de circulaire adressée à la presse
témoignages individuels et de pièces officielles. Tout d’abord une
lettre
du 22 juin 1856, signée par 11 des h0 membres du
elles ne contiennent aucune substance nui-« sible. 11 garantit qu’une
lettre
contenant des susdites « poudres, dans les mains
k, où devront « être adressées toutes les demandes. « Le prix , par
lettre
, contenant 8 paquets de poudres, « nombre suffisa
extrême satisfaction, dans le Mesmerisla du mois de mai dernier, une
lettre
de M. le docteur Vandoni, de Milan, dans laquelle
x fleurs désignées à. la mort ! Robert D'AULNE. CORRESPONDANCE.
Lettre
ii M. le baron du Pot et, directeur du Journal du
ième siècle jusqu'à nos jours. « Monsieur le directeur, n Dans la
lettre
que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire fin d’
sur la table, à la vue de tout le monde), et, de cette manière, cinq
lettres
furent successive ent reçues par ces mains : tout
aient enfermées dans des enveloppes et adressées au cercle. Une autre
lettre
tomba du plafond, au-dessus de nos tètes, sur la
, au-dessus de nos tètes, sur la table devant nous. On reçut donc six
lettres
dans cette soirée ; elles furent toutes lues, exc
qu'aucune des personnes présentes ne connaissait suffisamment. Ces
lettres
semblaient avoir été écrites pendant la séance, e
ent également parfaites, ainsi que chacun le reconnut. L une de ces
lettres
était écrite avec des encres de différentes coule
uvait préciser où une couleur finissait et une autre commençait. La
lettre
qui tomba du plafond, je la vis au moment de son
s quelque chose qui frappait mes doigts, et je suppose que c’était la
lettre
que je reçus ensuite dans la main. Je sentis égal
rte : c'était froid et pâteux. Je sentis distinctement des doigts. La
lettre
était tenue par cette main qui, plusieurs fois, l
enveloppe, cachetée et adressée au cercle qui en prit lecture. Ces
lettres
traitaient de divers sujets, quelques-unes étaien
ls ne les auraient pas exprimées s'ils avaient été les auteurs de ces
lettres
. Les esprits secouèrent rigoureusement les tabl
t pour ses affaires et rencontra en route le facteur qui lui remit la
lettre
écrite la veille par ma gardienne, et après en av
il pria le facteur de poursuivre jusque chez lui et de remettre cette
lettre
à ma mère. Voyant arriver le facteur, ma mère dit
lettre à ma mère. Voyant arriver le facteur, ma mère dit: c C’est une
lettre
de Paris, n’est-ce pas ? » Et la voyant décache
» Elle ne fut point détrompée de sa pré-vivion en apprenant par celte
lettre
l’état mauvais de ma santé, car, depuis son rêve,
ue des allégories morales et non des réci's faits pour être pris à la
lettre
. En s’en tenant même aux textes sacrés, on ne voi
recommandation de guérir par l’imposition des mains n’est plus qu’une
lettre
morte ou comme le souvenir de merveilles exceptio
e pièce se trouve dans un 'grand nombre d'ouvrages. Voyei notamment :
Lettres
sur le Magnétisme, par Ricard, lettre II; Diction
d'ouvrages. Voyei notamment : Lettres sur le Magnétisme, par Ricard,
lettre
II; Dictionnaire de Théologie, de Borgier, nouvel
accepta avec reconnaissance le titre de membre du jury ; et, dans sa
lettre
de remercîments, il exprima combien il appréciait
l’archevêque de Caracas (Venezuela). Ce prélat venait de dresser une
lettre
pastorale qu’il se disposait à distribuer à ses d
eu. Le Spiritual Telegrapk du 1" novembre dernier renferme une longue
lettre
de M. Ch. W. Cathcart, ancien membre du congrès,
s’éloigne de plusieurs pas. Les mains du médium agitent un instant la
lettre
, puis la droite saisit un crayon et écrit ces mot
un meuble de la chambre où était son cadavre, on a trouvé une longue
lettre
adressée à un de ses amis, et dans laquelle il ex
ette science deux excellents ouvrages qui ont le plus grand succès.
LETTRE
ENCYCLIQUE De la sainte inquisition romaine et
s exceptions près, les savants, les hommes instruits et les hommes de
lettres
nous prennent en pitié ! Les savants veulent bien
es, et ils passent leur chemin. Les hommes instruits et les hommes de
lettres
ne sont guère plus traitables. Dans leurs convers
savants ! pau~ — flùâ — vres tommes instr»!*»1 pauvres hommes de
lettres
! Vous n’avez pas vu, vous n’avez pas expérimenté
« Nous le voyons revenir à Amsterdam ; d’ici là, il nous écrira une
lettre
des Indes ; il sera content de ce j’ai déclaré.
r la réalité du magnétisme, 106. Inquisition (l') et le magnétisme.
Lettre
encyclique de la sainte inquisition romaine et un
isme , suivie de réflexions par M. du Potet. 613. — Critique de cette
lettre
, au double point de vue de la science et de la lo
mes, 375, 617 ; — de l'image d'une personne vivante, 277. Apport de
lettres
par les esprits, 570. Ascension humaine. Person
— qui se livrent à de longues conversations, 450; — qui apportent des
lettres
, 570; — qui se mettent en contact avec des person
tique. Expériences, 468, 495, 505. Magnétisme (le) dans l'histoire.
Lettre
de M. Piérart sur certains faits d'exorcisme, de
s , 43, 156 , 475, 591, 617. Observation sympathico-homœopa-thique.
Lettre
de M. Petit d'Or-moy, 422. Obsession. Fait, 96.
èrement contractée. V. — Un somnambule lucide peut, en louchant une
lettre
, indiquer le caractère, le sexe, l'âge, la consti
titution de lu personne qui l’a écrite et le sens du contenu de cette
lettre
; même en lire les mots, bien quelle soit cachetée
z sept pièces d’argenterie, cuillères et fourchettes, marquées à îles
lettres
différentes, recouvertes d'un oxyde jaunâtre et e
fluide galvanique par l’aimantation à distance, soit en indiquant des
lettres
sur un cadran comme le télégraphe électrique, soi
à une personne de la séance, M. P..., négociant, qu’il recevrait une
lettre
le lendemain à quatre heures un quart, ce qui est
possibilité d’une équivoque, d’un contre-sens, d’une substitution de
lettre
, etc. ? Aux expériences de l’auteur nous opposons
nédites encore. n La plus singulière est celle que nous fournit une
lettre
à'Aspasic à Pêriclês, supposée sans doute, mais t
ce que dit Aspasie sur le rire sceptique dont Périclès accueillera sa
lettre
. A cette époque si florissante du somnambulisme s
s plus sérieuses que celles qui viennent de nous être fournies par la
lettre
d’Aspasie et par Aristophane. Strabon, par exempl
ute voix à mesure qu’elle les reproduisait sur le papier. C’était une
lettre
adressée à son père, et dans laquelle elle lui de
dité, l’endroit où elle était déposée. « Lorsqu'elle eut terminé sa
lettre
, elle la ferma, y mit l'adresse de son père, et l
ntes m’ont été suggérées par la lecture des commentaires faits sur la
lettre
que j'ai écrite au rédacteur du Journal des Pyrén
i, journal de Montpellier, publie, dans son numéro du 25 décembre, la
lettre
qui suit, écrite par M. le I)r Roux, un des médec
abet, après avoir enjoint à la table de frapper du pied à la première
lettre
du mot, puis à la seconde, et ainsi de suite. Alo
ine ce mouvement de la table, lors de l’appellation de telle ou telle
lettre
, et peu à peu il devient facile de prévoir quel s
des expérimentateurs sont confuses ou divergentes, et dans ce cas les
lettres
successives ne forment qu’un assemblage informe d
0. Cet écrit est anonyme, mais l’auteur s’est fait connaître par la
lettre
suivante, adressée au rédacteur de la Presse, et
n existence est connue des plus studieux magnétistes. Le sens de la
lettre
ci-dessus est assez difficile à pénétrer, mais l’
phie spirituelle : « 1° L’esprit frappant tant de coups pour chaque
lettre
; « 2° L’esprit guidant et fixant la main du med
ettre; « 2° L’esprit guidant et fixant la main du medium sur chaque
lettre
; « 3° L’esprit entraînant la main de ce medium
e, comme dit M. d’Ourches, de la magic? M XIFFRE. Voici une autre
lettre
sur le même sujet, adressée également à M. du Pot
homme qui vit au milieu de nous, il dit en terminant : « Voici une
lettre
adressée à M. Babinet par M. le comte d’Ourches,
pas l’autorité, le savoir et l'expérience acquis". Nous laissons à sa
lettre
sa lorme originale et légère. •* Monsieur, «
ris le coût du présent arrêt. » Chronique. _ Nous trouvons dans une
lettre
de remer-ciments adressée par M. Capern, de Londr
blic, surtout en magnétisme? » l.a Société tlu Mesmérisme a reçu la
lettre
suivante, qui sc qualifie d’elle-même : « Les d
» 41 janvier 1851. » — Voici un témoignage semblable, extrait d’une
lettre
d" M. Jos. Barthet, président de la Société du Ma
une intelligence lorsque, employant l’alphabet, on la vit désigner
lettre
par lettre, jusqu'à ce que des mots fussent compo
igence lorsque, employant l’alphabet, on la vit désigner lettre par
lettre
, jusqu'à ce que des mots fussent composés. « Te
par la reine douairière, sœur du roi de Prusse, sur le contenu d’une
lettre
qu’elle venait d’écrire à son frère, il réclama q
e concentration intellectuelle, et lui rapporta la substance de cette
lettre
. Une autre fois, il fit retrouver à la comtesse d
emplit do son essence, do sa présence et de sa puissance. » (Falconi,
Lettre
à une fille spirit.) sensitives de l’àme, savoi
ation avec les esprits. Voici la première el la plus importante des
lettres
pastorales qui ont. annoncé cette décision au cle
ien , nous avons jugé à propos de vous adresser ces réflexions. Notre
lettre
n’est pas destinée à être lue du haut de la chair
imprudents pour s'y livrer. A ceux-là vous pourrez communiquer notre
lettre
, dont nous enverrons plusieurs exemplaires dans l
e conscience, qu’il adoptait pour son diocèse les prescriptions de la
lettre
de M. l’é- vèque de Viviers sur le danger des e
génieuses et pleines d’intérêt que fait à ce sujet M. Léger, dans une
lettre
qu’il m’a écrite, et que voici : Cher collègue,
SPRITS. — ÉVOCATIONS. Mgr Dnpanloup, évêque d’Orléans, a adressé la
lettre
suiv ante à son clergé : Orléans, 15 décembre 1
bler une bonne fois l’enfer. 1 Au. KAUR. » M. d'Ourches, dans une
lettre
insérée dans l'avant-dernier numéro de cc Journal
ureau du Journal du Magnétisme. Sécrologic- — M. du Potet a reçu la
lettre
suivante : Toulouse, 20 février 1851. Monsieu
publié à Sens, a reçu d’un de ses abonnés, qui est aussi le nôtre, la
lettre
suivante, qui est insérée dans son numéro du 20 j
érer aujourd’hui. 2° ENLÈVEMENT DES PERSONNES. J'ai dit, dans une
lettre
insérée au n* 174 du Journal du Magnétisme, que l
A. BROYAS. FAITS ET EXPÉRIENCES, 1° TABLES PARLANTES. Voici une
lettre
sur l’évocation des esprits adressée k l'Univers
frappant des coups : un pour oui, deux pour non; et, pour former des
lettres
, des coups correspondant à l’ordre numérique des
r former des lettres, des coups correspondant à l’ordre numérique des
lettres
dans l'alphabet. Une demi-heure se passe encore s
ous, selon les signes convenus, lui dit la même personne, la première
lettre
du nom de baptême de M. l’abbé Gay ? » La table
ans délai la table frappa quatre coups ; c’était un D. « La seconde
lettre
. » Cinq coups ; c’était un E. Chacun pouvait de
cette publication ; des conseils graves nous y ont décidé. Dût cette
lettre
ne servir qu’au plus petit bien d’une seule âme,
détruire les effets magnétiques. Voici comment il s’exprime dans une
lettre
adressée au rédacteur de la Patrie, et insérée da
osée par les exigences du principe. Nous reconnaissons qu’un homme de
lettres
ne peut s’assujétir à la rigoureuse exactitude du
Pote/. Monsieur, Je ne sais si vous avez gardé le souvenir de ma
lettre
du 1" février. Le doute où je suis à cet égard m’
oir, au début de celle-ci, de vous en rappeler le sujet, car ces deux
lettres
sont sœurs. 11 s’agit de mon jeune commis, Augu
a Patrie du 16 mai dernier contenait la note suivante, extraite d’une
lettre
adressée de Saint-Etienne au Salut publie : « C
. MORIN. (1) Journal du Magnétisme, n» ISO, page CO de ce volume.
LETTRES
SUR L’ÉVOCATION DES ESPRITS, par H.Camon. Dmlu, é
mancipaient de Cambrai, avait publié un travail littéraire intitulé :
Lettres
sur l'évocation des esprits. Un exemplaire de cet
ge a élé envoyé par l’auteur à Mgr l’archevêque, qui lui a adressé la
lettre
suivante : « Monsieur, u J’ai reçu l’exemplai
la lettre suivante : « Monsieur, u J’ai reçu l’exemplaire de vos
Lettres
sur révocation des « esprits, que vous aVez bien
même que la question fût terminée, la corbeille écrit le mot Dieu, en
lettres
fort lisibles et plus grandes que les autres. «
es progrès chaque jour croissants du magnétisme, la publication de ma
lettre
puisse être de quelque utilité, je vous autorise
eligieux et politique. Elle a eu ses beaux jours dans les arts et les
lettres
; le tour de la science est venu pour ce noble et
as mieux trouvé. Aux quatre angles du recto de la couverture sont les
lettres
D, I, E, U, dont l'ensemble forme le mot Dieu. C’
vons reçu le prospectus du journal : II Magnéto,fi/o, annoncé dans la
lettre
de M. Allix comme organe de la So-ciclà magnetica
soit, non pas seulement en germe, mais explicitement exprimé dans la
lettre
de la Société exé-gétique de Stockholm à celle de
m à celle des Amis réunis de Strasbourg, ou les commentaires de cette
lettre
, publiés depuis dans les Annules du magnétisme. C
ftl. le secrétaire, reprenant ensuite la parole, a donné lecture des
lettres
suivantes, reçues de personnes à [qui des médaill
ais comment vous exprimer le bonheur que j’ai éprouvé en lisant votre
lettre
du 19 courant, par 1 annonce mie vous me faites d
mentais sur le fluide magnétique , et j’écrivais à Frappart la petite
lettre
que vous avez citée en partie dans votre Manuel.
eux et tout dévoué frère, j. GRAVÉ. Nantes, le IG août 185t. La
lettre
suivante étant en italien, et nos lecteurs ne con
ami, Vous avez bien voulu insérer dans le Journal du Magnétisme une
lettre
que je vous écrivais, au mois d’août 1853, sur l’
et efl'et ne sont pas encore très-précises; mais pour (1) Voyez .ça
lettre
, tome XII, page 608. peu que l’on ait été témoi
encore temps; plus tard, je l’espère, j’y entrerai. En terminant ma
lettre
, j’ajouterai, contrairement à l’opinion de certai
allemands. Finalement, le Petit Catéchisme de M. Hébert, grâce aux
lettres
de naturalisation que les différentes traductions
. des décorations. En Angleterre, quand un nom est suivi de ces trois
lettres
F. R. S. (membre de la Société Royale), celui qui
trouve, dans le numéro 180, du 25 janvier dernier, à la page 55, une
lettre
de M. le D' Roux, publiée par le Messager du Midi
x, publiée par le Messager du Midi, journal de Montpellier. Dans sa
lettre
sur les tables tournantes, M. Roux réfute l’opini
it quelconque. Pardonnez, monsieur le rédacteur, la prolixité de ma
lettre
, et agréez, etc. AYMERICH. Marseille, le 9 fé
, et agréez, etc. AYMERICH. Marseille, le 9 février 1854. Cette
lettre
s’éloigne assez du cercle embrassé par les ex-
mières de sa vaste expérience pour éclairer ce débat. Voici l'autre
lettre
: Monsieur le rédacteur, Vous avez inséré, da
de votre excellent Journal, un article de M. Clément, au sujet de la
lettre
que j avais eu l’honneur de vous adresser au mois
heureux, Monsieur, que les réflexions que renferme cette trop longue
lettre
et l’importance des questions qu’elle soulève, en
sions sans être touché (1). » N’est-ce pas la confirmation en toute
lettre
du rayonne -ment mesmérique qui frappe plusieurs
cole du Potet ; car, éblouis par le somnambulisme, Puvségur et (1 )
Lettre
à Bailly sur le rapport do 1784, Deleuze oubliè
e la page ouverte. Je n’ai jamais obtenu de réponse, ou seulement des
lettres
ne formant aucun sens, c’est-à-dire que l’esprit
s longues années, des assemblées électives. Je lui adressai, dans une
lettre
, des fieurs magnétisées destinées à être remises
l’engagement, dans la bonne foi qui m’animait, de leur communiquer la
lettre
qui m’annoncerait le résultat de cette magnétisat
oncerait le résultat de cette magnétisation à distance. Voici cette
lettre
de M. de R..., arrivée ici le 8 juillet 1853. i
let 1853. ii Mon cher conseiller, « Nous avons reçu votre aimable
lettre
avec grand plaisir ; nous commencions à croire qu
nous avez pris de bien court pour suivre vos instructions, car votre
lettre
nous est parvenue avant-hier, à dix heures du soi
e et charmante adepte du mesmérisme, est la Iiiledc 1’aulcur de cette
lettre
. ( Elle désignait mon cabinet, à côté du salon.
ir que vous en aviez exprimé, s’est mise en rapport et lui a remis la
lettre
que vous m’avez écrite et en vertu de laquelle no
en vertu de laquelle nous agissons. « Interrogée sur l’auteur de la
lettre
, Mme B... a parcouru beaucoup de chemin, a passé
onsultations sur les cheveux. Elle voit encore que c’est à moi que la
lettre
est adressée, et elle me désigne du doigt directe
ne du doigt directement pour l'indiquer. Elle résume bien toute votre
lettre
. « Son mari lui recommande d’être exacte, parce
enne lucidité ne l'a pas abandonnée. M. de Lagrange ayant sur lui une
lettre
de son beau-père, M. Roger, de l’Opéra, qui est e
rt avec la somnambule et lui demande ce que fait celui qui a écrit la
lettre
. _ « Mmc B... se transporte fort loin par terre
e transporte fort loin par terre, à plus de cent cinquante lieues. La
lettre
, dit-elle, est d’un parent de M. de Lagrange. Mmc
, sans présenter aucun objet venant d'elle. M-' W... dicta une longue
lettre
, contenant les détails les plus circon- stancié
. Napier eût écrit la vie de Montrose. Quand M. Napier lui montra des
lettres
de cet homme célè- lire, elle ne fut pas mise s
lisme, un domestique frappa à la porte et entra, tenant à la main une
lettre
adressée au I)r Gaddock , qui se trouvait avec mo
trouvait avec moi. Celui-ci jeta un coup d’œil sur l'extérieur de la
lettre
, me la remit cachetée, et me dit en sortant : « V
préféré les exercices non préparés , je remis à la somnambule Emma la
lettre
cachetée, sans l’avoir ouverte, et sans avoir la
ant qu'il s’agissait probablement de quelque malade. Elle saisit la
lettre
sans tourner vers elle ses yeux fermés, La plaça
Dr Gaddock avec le père de l’enfant perdu, le même qui avait écrit la
lettre
et qui était dans une grande inquiétude. Je dis à
une grande inquiétude. Je dis à M. Gaddock que, sans avoir ouvert la
lettre
, j’en connaissais le contenu, et que l’enfant per
le contenu, et que l’enfant perdu était sauf. Ayant ensuite ouvert la
lettre
sur la demande de M. Gaddock, je trouvai qu’Emma
le renfermait. Comme Emma ne sait pas lire, il faut que le sens de la
lettre
lui soit par-v enu par quelque mystérieuse sympat
hie, sans le secours de l’écriture. Comme elle nommait l’auteur de la
lettre
, je pus croire un instant qu’elle le connaissait
t vers M. Gaddock ; il était arrivé au moment où celui-ci recevait sa
lettre
. M. Gaddock et la demoiselle m’assurèrent que per
’avait entendu parler de cette aventure jusqu’à la réception de cette
lettre
, et qu’Emma avait été endormie dans la salle à ma
ait reçu une réponse affirmative. Emma lui dit que la petite fdle (la
lettre
parlait seulement d’un enfant, et néanmoins la lu
Emma ait lu, non les mots écrits, mais les pensées exprimées dans la
lettre
. 11 est possible qu’elle ait été mise par l’écrit
qu’elle s’est exprimée comme si la connaissance lui était venue de la
lettre
elle-même. « J’ajouterai que l’enfant, quand el
act avec cette personne ; tel qu’une mèche de cheveux, un anneau, une
lettre
, etc. « Cet état est voisin de la clairvoyance
istal, n Tels sont, en résumé, les traits les plus saillants de ces
Lettres
; la publicité qu’elles ont reçue dans l'Edinburg
Monsieur le rédacteur, Votre numéro du 25 juin dernier contient une
lettre
de M. Aymerich (deMarseille), lequel m’invite à l
musculaire considérée comme cause de la rotation. Pour revenir à la
lettre
de M. Aymerich, sans admettre que ses expériences
osé à une table tournante la question suivante : « Quelles sont les
lettres
formant la ligne initiale de la page du second li
ar des coups marquant la place qu’elles occupent dans l’alphabet, les
lettres
composant la ligne demandée, et, vérification fai
faite, ces désignations ont été trouvées exactes, sauf deux ou trois
lettres
. Et n’oubliez pas qu’aucun des expérimentateurs n
s un état magnétique plus ou moins avancé, n’aient eu l’intuition des
lettres
demandées et n’aient ainsi influencé le meuble en
de l’après-midi, et que ce serait le dernier, ce qui est arrivé à la
lettre
, quoiqu’elle ignorât éveillée ce qu’elle avait di
éros que nous avons reçus : On lit dans le numéro du 15 juillet une
lettre
de M. H.-S. Olcott, écrite de New-York : d J’eu
tour des attaques de Satan. Quelques semaines après, ils reçurent des
lettres
de Cuba qui leur annoncèrent que leur fils était
e. Mode extraordinaire d’écriture. — M. Cory éci il de Wau-kegan la
lettre
suivante : « Parmi les faits nombreux qui prouv
e est illisible pendant quelques minutes, mais bientôt elle paraît en
lettres
fort nettes, qui peuvent être tout la fois vues e
n connue dans toute la contrée. « 11 m’arriva un jour d’appeler les
lettres
de l’alphabet. Une voix me dit : « Sors, et revie
, de tenir des réunions dans le même but, etc. Nous lui empruntons la
lettre
suivante : « Voyageant dans l’État de l’Ohio, j
du magnétiseur ; mais surtout cette autre assertion contenue dans la
lettre
d’un médecin étranger à 11. Deleuze, savoir : que
a confirmé dernièrement les assertions du jeune somnambule , dans une
lettre
qu’il écrivit à M. Hedde quelque temps avant sa m
les Joiii-uanx. — Nous trouvons clans le Nouvelliste de Marseille une
lettre
très-curieuse que lui écrit, de Cadix, un Marseil
mouvement. De l’un des manuscrits sortit le chiffre 8, de l’autre la
lettre
arabe alcph, d’un troisième le delta grec, et ain
le delta grec, et ainsi de suite. A la fin, la chambre fut remplie de
lettres
et de chiffres animés qui se courbaient, s’étenda
ue seule, soit directe, soit par l'intermédiaire de l’eau, etc. Les
lettres
N. S. {no slecp, sans sommeil) accompagnent -très
désintéressement, et l’on ne bannit pas les philan hropes. » — line
lettre
de Bucharest, publiée par la Gazelle de Cologne d
, mue par un moteur invisible, se porte successivement sur toutes les
lettres
de l'alphabet dont la combinaison donne une série
ersonnes qui 111’auront donné leur adhésion. Voici, en attendant, une
lettre
que m’a déjà adressée M. Charpignon. Orléans, 8
main de la fille de M. Laurie a été mise en mouvement et a écrit les
lettres
M. B. Personne ne sut quel était le personnage
on portefeuille et me dit : « Faites-moi le plaisir de chercher « les
lettres
de ma femme. » Je les lui remis. Il les prit et l
de l’ordre physique. M. L*** a donné à cet opuscule la forme d’une
lettre
. Le début rappelle que tout ce qui n’est pas ha
dans le cœur et les souvenirs de M"* d’Oberkircli, et des nombreuses
lettres
qu’en renferme son livre. On a beaucoup écrit s
ivait un peu plus loin. La lune était claire, « on aurait pu lire une
lettre
, aussi les ombres, par opposi- * tion, étaient
perdu sans cela. « Vous avez écrit à cette femme. « — Oui. « — La
lettre
est dans un petit sac brodé qu’elle porte à « sa
, 81, 161, 356. Clergé (le) et les sciences occultes, mandements et
lettres
pastorales de divers prétats, contre les expérien
liam Gre-gory, D. M. Citations et analyse, par M. A. S. Morin, 503.
Lettres
sur l'évocation des esprits, par H Carion.— Réfut
igence du gérant ou des membres de la commission de surveillance, par
lettres
adressées aux actionnaires et par avis inséré aux
Censeurs, MM. Letur et IIurul. Nous publierons prochainement une
lettre
remarquable d’un membre correspondant, M. Clapier
ne l’avons pas encore lu, mais voici, en en attendant l’analyse, une
lettre
à l’auteur et sa réponse, qui donneront un avant
Cher cl honorable Monsieur, J'ai clé très-sensible à l'obligeante
lettre
que vous avez daigné m'adresser ; je suis loin de
INSTITUTIONS MAGNÉTIQUES. JURY MAGNÉTIQUE. Nous espérons que la
lettre
suivante sera lue avec intérêt par les magnétiste
se magnétiques De plus, j’ai reçu le 13 de ce mois, de Mantoue, une
lettre
de mon ami et confrère, Louis Coddé, fameux par s
nt auxiliaire de la médecine homœopathique. Avant de terminer cette
lettre
, je veux vous mettre au fait d’une magnétisation
vait être survenue sans maléfice. Les abeilles et le choléra. — Des
lettres
de St-Pétcrsbourg donnent les détails suivants su
st à cette scène qu'il est fait allusion dans l’extrait suivant d’une
lettre
que nous adresse M. Laforgue : « Je vous remerc
a Caatîlle. — M. Cl....r — reçu en son temps l’abon. — Transmis votre
lettre
la S. phil. qui doit y répondre prochainement. —
par l'intermédiaire deFr...ge. Lyon. —M. Gu....d. —VuM. F...e.— Une
lettre
part à votre adresse Edimburg. — M11"' Cr..a. —
..e.— Une lettre part à votre adresse Edimburg. — M11"' Cr..a. —Une
lettre
explicative vous parviendra d'ici quelques jours.
Nantes. — M. Gr..é. — Transmis à la S. magnétol. le passage de votre
lettre
qui la concerne. Lille. — M. D....s. — Martial
dée de m’adresser à la somnambule. J’enfermai • dans une enveloppe de
lettre
quelques plumes du fugitif; je présentai cette en
enveloppe à la femme Cheyroux et je lui demandai : Qui a écrit cette
lettre
? elle me répondit : Ce n’est pas une personne ;
mnambule.avec une dame; quand elle fut endormie, nous lui remîmes une
lettre
. Elle nous déclara que cette lettre était d’une p
ut endormie, nous lui remîmes une lettre. Elle nous déclara que cette
lettre
était d’une personne qui se trouvait aux colonies
sa maladie. » Plus tard, je lui remis une enveloppe contenant trois
lettres
; elle dit que ces trois lettres émanaient de troi
i remis une enveloppe contenant trois lettres; elle dit que ces trois
lettres
émanaient de trois personnes différentes; qu'une
me Cheyroux ne pouvait avoir connaissance des faits contenus dans ces
lettres
. » Marguerite Meynieux, veuve Rougerie. — J’ava
es yeux.) » Le témoin Corally ajoute à sa déposition. — J'avais une
lettre
qu’un de mes parents, habitant l’Angleterre, m’av
la guérit gratis. » M. Lassimone, professeur de dessin.— Jémis une
lettre
dans les mains de la somnambule; elle me dit qu’e
tes sur le travail de M. Jobard ( tome v, page 337), nous ont valu la
lettre
suivante : A M. le baron du Potet. Monsieur l
aux; mais j’avais à m’excuser près de vous, tout en répondant à votre
lettre
spirituelle et amicale pour moi. Tout à vous.
e qu'ils ont eue jusqu’ici. » Le même journal, du 3 mars, publie la
lettre
suivante, qui est un monument aussi sagement conç
e de J. B. Porta, de Y Histoire de l'inquisition de Lorenti, et des
Lettres
sur la démomlogie de sir Walter Scolt, pour const
gagent à faire un chapitre spécial de variétés où nous insérerons les
lettres
les plus importantes qui nous seront adressées, e
avec «lu collyre, sur le front des femmes et surtout des enfants, la
lettre
clif, la première de leur alphabet. Aussi en Orie
lanthropie se manifeste en toute occasion, nous adresse à ce sujet la
lettre
qui suit. Très-cher Monsieur du Potet, Je doi
a grande lutte. Les quelques lignes dont vous avez fait précéder la
lettre
du prêtre Almignana (1) nous ont surpris en nous
ef de ces mystères, nous publions à titre de renseignement curieux la
lettre
suivante : A MM. les rédacteurs du Journal du M
seur de philosophie à Rennes, a publié, dans XAuxiliaire Breton, une.
lettre
à la date du 15 janvier, reproduite par le Courri
égatifs de ceux dont M. Dumas s’est fait l'éditeur responsable. Cette
lettre
accablante et malveillante est restée sans répons
NÉTIQUE. A M. le baron du Pot et de Sennevoy. Cher Monsieur, Ma
lettre
de janvier dernier (1) vous faisait part de diver
qu’ils m’approchent. En voici assez pour le moment; dans une autre
lettre
je vous communiquerai des expériences d’une natur
; je reçois peu d’étrangers, un ou deux à peine par année; mais votre
lettre
m’a plu, et j’ai désiré connaître une personne qu
del-P*lils-Champl, n” 18-ÏO. N.-Orléans. — M. Jos. II.— Remis votre
lettre
à A. G. — Sous n'enverrons plus par V. Hébert. —
Poitiers. — M.V....e. — L'impression du n* 66 était faite quand sotie
lettre
est parvenue. — Une lettre vous dira pour les u"‘
mpression du n* 66 était faite quand sotie lettre est parvenue. — Une
lettre
vous dira pour les u"‘ relatifs au disque. Pau.
velles cures magnétiques, dont quelques-unes sont mentionnées dans la
lettre
suivante adressée à M. Laporte. Monsieur, Je
ence et les propriétés. Elle écrit à M. Durieux de Cambrai une longue
lettre
sur ce sujet; nous en extrayons le passage suivan
i se passa. Je me rendis à la séance du 2 février dernier, muni des
lettres
de MM. Picard et Dugnani, insérées dans ce journa
cette opération à lecole de médecine: « Avec l’espoir, dit-il dans sa
lettre
d’envoi, que ce magnifique témoignage de la prati
e suis chargé par l’école médicale de vous accuser réception de votre
lettre
n° 44, et de son contenu, relatant un cas d’opéra
x de Desion, son premier élève; c’est à ce titre que nous publions la
lettre
suivante, dont M. Alexandre-Martin, qui la possèd
c moi, il n’en est cependant pas plus heureux. Il cite, page 9, une
lettre
de M. Chaussier, du 24 septembre 1784, où il. est
miner *on état, et m’informer de son parfait rétablissement par une
lettre
du 22 décembre 1782, dans laquelle il paroit surt
sauroit être suspect à la Société royale. Peut-être a-t-elle porté ma
lettre
sur son cœur, parce qu’ayant soulagé les maux de
el est le titre que M. Jobard donne au phénomène qu’il décrit dans la
lettre
suivante adressée à M.du Potet. Mon cher maitre
dication de la personne qui a fait le réabonnement. — Point reçu la
lettre
annoncée. — Oui, les Arcanes sont parues. Reims
a bibliothèque de tous les magnétiseurs studieux, par l’extrait d’une
lettre
qui concerne la magnétisation des animaux. L’aute
donné les prénotions du magnétisme lui écrivit l’automne dernier une
lettre
dans laquelle se trouve le passage suivant qui s’
ique. Ce mauvais esprit ne s’exerce pas seulement dans le domaine des
lettres
. Les sciences aussi, partout où elles sont le pro
ces différents arguments. Pour preuve, nous ne voudrions citer que sa
lettre
sur le sommeil et les songes, dont les théories,
, J étais pressé lorsque j’eus l’honneur de vous écrire ma dernière
lettre
, et je ne pus vous adresser aucune note des résul
er. Nous y avons lu, avec beaucoup de satisfaction, les intéressantes
lettres
de M. l’abbé Almignana, et nous lui en faisons no
uire à la science dont ils ont à cœur de propager l’étude. Les deux
lettres
de M. Alexandre Dumas ont été republiées ici, et
a brochure promise. Bruxelles. — M. J....J. — Un ami vous porte une
lettre
. Lyon. — M. M.....y. — Expédié par M. Bor...l.
édié par M. Bor...l. Londres. — M. M...e. — Il y a eu croisement de
lettres
par mal entendu. -Rien de fâcheux. — Envoyé deux
s quelques détails sur l’état du magnétisme dans différents pays : la
lettre
qui suit ouvre cette série de renseignements. A
à probablement, il n’avait encore montrée qu’à sa mère. Ceci est à la
lettre
, et, quelque invraisemblable que doive paraître m
ation du mesmérisme. Le premier numéro contient un fragment d’une des
lettres
de M. Jobard, «pie nous avons publiées. — Le ma
analyse des Arcanes. — Point encore reçu l'annoncé par votre dernière
lettre
. Londres. — M. M...C — Envoie du n“ 32. — Grand
nne, 24, 91; — suédoise, 58; — belge, 59; — française, 60, 53, 115.
Lettre
de Desion à Thouret, sur l'examen du mesmérisme :
é à M. de S. V. Lacourade. — M. D......u — awz-vcus reçu ma seconde
lettre
? Ooul-House. — M. D.....s — j'attendrai îotre a
estion si controversée, nous transcrivons les passages suivants d’une
lettre
à nous adressée par l’un de nos abonnés, M. Thiry
eule vous a laissé mourir. ljiUre de Deieuze. — Nous publions cette
lettre
comme souvenir d'un homme bien regrettable;puis p
s, 156. Paris, 19 octobre 1827. Je vous remercie, Monsieur, de la
lettre
que vous m’avez fait l’amitié dem’écrire: je l'ai
uriez jamais atteint par les remèdes de la médecine. Votre dernière
lettre
est du H», si vous voulez m’en écrire une demain
affaires qui l’intéressent; 3° de déchiffrer des livres fermés ou des
lettres
cachetées, au moyen du seul contact. On fait d’au
thématiques ; j’ai beau savoir que sans retirer de leur enveloppe des
lettres
que je lui présentais, il m’en indiquait les aute
arrière, et m’en disait les noms qui n’étaient pas consignés dans ces
lettres
; ces faits n’ont pas pour moi la portée que je s
et d’erreurs. En effet, cesomnambulesi lucide, qui a su lire tant de
lettres
les yeux fermés, n’a su déchiffrer devant moi qu’
. D ailleurs vous trouverez bientôt dans ce Journal, une analyse, des
lettres
peut-être, sur celte nouvelle doctrine, qui a plu
conquises. Du POTBT. PETITE CORRESPONDANCE. Londres.——Reçu *05
lettre
» et les galettes.—Merci de Uni de sollicitude. —
nous ne savons de la science antique que les deux ou trois premières
lettres
de son alphabet. I)u Potet. Coi’P D'ceiL SUR
éjà donné à cette promesse un commencement d’exécution en publiant la
lettre
de M. Boméa; nous continuons. — Le lendemain de
40, il n’a point progressé. Qu’on en juge par l’extrait suivant d’une
lettre
de M. Thiry, déjà cité à propos de l’anti-magnéti
er les partisans, et, pour preuve, nous croyons devoir reproduire une
lettre
fort spirituelle adressée au baron du Potet par u
aron du Potet par un des savants les plus connus de Bruxelles. » La
lettre
en question est celle où M. Jobard traite du Magn
et m’obligèrent de faire insérer dans les journaux du département des
lettres
de mes chefs qui devaient faire tomber la calomni
rance, jeta par la bouche un taffetas plié dans lequel parut écrit en
lettres
rouges le nom de MARIE et les quatre lettres init
ns lequel parut écrit en lettres rouges le nom de MARIE et les quatre
lettres
initiales de saint Hubert et de saint François de
er la note qui accompagne le titre Théories. Cet oubli nous a valu la
lettre
suivante, dont la publication est un devoir pour
ues, nous lisons : « Us ont même leurs magnétiseurs, que l’auteur des
Lettres
chinoises compare aux convulsionnaires de saint M
vrier de Merthyr,nomme Longfcl-low, écrivit, la semaine dernière, une
lettre
à sa femme, qui’se trouvait alors à Newport, pour
souvent demandés sur cette recherche. iNous croyons devoir publier la
lettre
suivante pour répondre a toutes ces demandes. M
nc). Ii' :tl juilli-l I84G. Monsieur Lapone, Conformément à votre
lettre
du 11 juillet courant, par laquelle vous inc dite
ure et à la minute qu’elles avaient indiquées. Maupertuis ( Œuvres,
lettre
18 ) regarde la prévision comme posgible pendant
rt, si ce n’est que je ne suis pas un philosophe de votre espèce. » (
Lettres
sur le Magnét., p. 8S,) « Vous renverseriez tou
odiguent avec profusion. « Les médecins me tuent, disait d’Alembert (
Lettre
du P. Uervier, p. 46) ; je voudrais faire appeler
ar on est bientôt las de jouer la.comédie quand on n’y gagne rien.» (
Lettres
sur le Magnèt., p. 149- ^ Cette prévision n’a p
idée, qui se rapproche un peu de celle que vous avez émise dans votre
lettre
, que celte obsession pourrait bien être le fait d
ogie entre elles. «Donnez à un somnambule, dit le docteur Ho-re(F (
Lettre
à Dcliuse ), dix personnes affectées de la même m
ry nous écrit de Meta : « Vous savez que, dans une de mes dernières
lettres
, et d’après votre demande, je vous faisais l’énu-
baron de Guillemain. 11 était toujours présent à la rédaction de mes
lettres
, car c’est de pair que nous vous écrivions, et, p
p. IX. — Procédés pratiques du magnétisme. Ciiap. X. — Conclusions;
lettre
sur le magnétisme. Deuxième Volume. — Paroles d
re sur le magnétisme. Deuxième Volume. — Paroles d'un Somnambule.
Lettre
des membres de laSocieté magnêlique de Toulouse,
. — Vous m'avez envoyé 1 fr. de trop. Metz. — M. T.....— Une longue
lettre
va vous partir. Barcelone. — M. P .... y G ....
il lui a dit telle et telle chose. Quelque temps après, on reçoit une
lettre
de C, disant qu’il a vu A à telle époque, et que
ELATIVES AU MAGNÉTISME. Deuxième observation. (Suite.) Dans une
lettre
postérieure à la dernière publiée, M. M"* dit :
re à la dernière publiée, M. M"* dit : « J’aurais bien une dernière
lettre
à écrire à M. du Potet au sujet de notre obsédé;
être appliqués ici à l’obsédé anglais. J’ai lu confidentiellement les
lettres
que ce malheureux a écrites, et, si la personne q
e l’enchantement de ses persécuteurs. » Quatrième observation. La
lettre
suivante nous a été adressée par notre correspond
en entretenir, en font foi. J’ai l’honneur, etc. JOllARD. — La
lettre
de M. Jobard est si féconde cri observations judi
sait. Il n’en était absolument rien. Cependant elle écrivit plusieurs
lettres
incohérentes dans lesquelles elle reprochait au m
. Le jour, l'heure el le lieu de la réunion, seront indiqués dans les
lettres
de convocation. Aux Abonnés. — Les personnes do
cevront pas le prochain numéro. N.-Orléans, — M. J. B.....I. — Reçu
lettres
el journaux, par Havre et Bordeaux. — Toul ce q
NS MAGNÉTIQUES. § Il. — Lyon. (5e article.) Dans nia précédente
lettre
, mes chers élèves, après vous avoir signalé des t
mais je n'ai qu’un instant pour émettre mes pensées. Dans ma dernière
lettre
, je vous parlerai sans voile et sans allégories.
sur Mn° C***, somnambule. Lui ayant donné, durant son sommeil, une
lettre
écrite par une malade sur laquelle je voulais la
r la France. C’est à lui qu’il s’adressa pour faire rendre une de ses
lettres
à M. Des-eartes, et pour l’engager ii lui répondr
a pas dix vers grecs tout semblables à ceux qu’il a mis au bas de sa
lettre
. « M. Descartes, qui était d’une civilité sans
urait pas mieux tiré le plan «Je Stockholm qu’il l’avait fait dans sa
lettre
; que le palais et la bibliothèque y étaient parf
a personne. « Cette histoire est publique, et il y a peu de gens de
lettres
qui l'aient ignorée. » Cinquième observation ((
es. Nous ne pouvons nous empêcher de citer un fragment de la dernière
lettre
qu’il nous écrit ; il donnera lui-môme une idée d
r une planche. Après deux ou trois jours, elle connaissait toutes les
lettres
. « Un de ces jours je fus visité par un Indien,
un cadavre. « Trois semaines après, la mère de.M"' Fulvia reçut une
lettre
d’Afrique, lui annonçant la triste nouvelle que s
ienne, bien convaincu que sa fille est déshonorée, en a fait dans une
lettre
l’aveu à son gendre fn-tur ; celui-ci prend la ch
rnal, n* 88 de cette année, que vous donnez un extrait de ma dernière
lettre
. J’y ai rencontré une erreur que je désire releve
charlatanisme d'un industriel; mes deux articles m’ont aussi valu des
lettres
anonymes, et d’autres par lesquelles le magnétism
étisme et ses prôneurs étaient habillés de main de maître. Reproches,
lettres
anonymes et lettres signées ne firent que m’encou
rs étaient habillés de main de maître. Reproches, lettres anonymes et
lettres
signées ne firent que m’encourager â continuer me
suite prochainement.) CLINIQUE MAGNÉTIQUE- — Nous extrayons d’une
lettre
d'un de nos abonnés de Lyon le passage suivant :
ble, une des plus belles portions de l’histoire; la poésie, reine des
lettres
; la philosophie, la médecine, la magie, la physiq
cette force humaine à travers l’espace. Du reste, qui prendrait à la
lettre
ce que je viens de dire n’entrerait pas du tout d
kilogrammes, le slone anglais équivalant à 6,349 grammes. Dans une
lettre
publiée par le Zoist, M. Esdaile écrit à son frèr
endu domine. — Le Mauricien, journal de l’île de France, publie une
lettre
de Calcutta qui donne le détail de l’opération qu
relatons page 199. La Démocratie pacifique du 28 mars, qui résume la
lettre
du Mauricien, confond comme loi le nom du patient
es formant un contraste frappant : « J’ai décrit dans ma précédente
lettre
au docteur ËllioUon l’extraction d’une amygdale p
’astrologie de Bulda et la science d’Hermès; et saint Jérôme, dans sa
lettre
à Paulin, indique parfaitement leur manière d’étu
vives du banquet présidé par vous, en leur communiquant l’objet de ma
lettre
, que je les prie, dans cette réunion solennelle,
L. Durand. Cherbourg:, 6 mai 1847. VARIÉTÉS. Révélation.—Une
lettre
d’Odessa, 24 octobre 1842, adressée à la Gaieite
en. Au moment de mettre sous presse, nous recevons de M. Laporte la
lettre
suivante : Monsieur le directeur, Si j’avais
n assemblée générale, à Paris, dans le local qui sera indiqué par les
lettres
de convocation. Art. 23. —Cette assemblée sera
. Le magnétisme à Rome. — L'Echo de la Nièvre du 21 avril publie la
lettre
suivante, adressée de Rome, 17 mars, k un curé du
us doivent savoir que monseigneur Gousset, ci-dessus nommé, reçut une
lettre
du cardinal Cas-tracane, grand pénitencier, qui f
nous être employés en faveur de l’humanité. Avant de terminer cette
lettre
, je crois devoir vous faire part d’une surprenant
ager des doctrines qui tendent au matérialisme et à l'hérésie.» Une
lettre
de la Corogne, publiée dans le Constitution? nel
e. MM. les membres de la commission nous ont adressé ij.ee sujet la
lettre
suivante : Monsieur le directeur du Journal du
possible. A.-R. Guinaud. Ljon, 22 mai 1847. Epilepsie.—Dans une
lettre
de remerciements adressée à M. AViart, président
du phlegme nerveux qui occasionnait les accès. o M"" Piron, par sa
lettre
du 28 décembre 1845, m’annonçait que le mal du no
uellement je ne le magnétise plus que tous les douze jours. » Cette
lettre
est du 19mars 184 G. Depuis, on a cessé de magnét
; Un trésorier, M. Liénaru. Nous voyons, par l’examen de quelques
lettres
et procès-verbaux, que de nombreuses guérisons on
rie d'A. Rb.nû elComp., ru« de Seiue, 33. CLINIQUE MAGNÉTIQUE Des
lettres
de l'île Bourbon, où le magnétisme est très-ancie
de Port-Louis (île Maurice). On nous adresse fréquemment de longues
lettres
sur les cures prodigieuses qu’obtient M. Laforgue
s de ce digne ami de l’humanité s’affaiblissent. II nous dit dans une
lettre
du 5 juin dernier : «J’obtiens chaque jour des
ité est attestée par plusieurs analogues contenus dans les nombreuses
lettres
qui nous parviennent journellement : «Il y a en
ociété vient de recevoir d’un vénérable prêtre, Espagnol réfugié, une
lettre
pleine d’onction, destinée à lever le doute, fair
azette de France.) Vue à distance. — Le Sud de Marseille publie une
lettre
de Saint-Dénis (île Bourbon), datée du 10 mars, e
e dont voici la nouvelle. « Je vais te raconter, dit l’auteur de la
lettre
, une chose bien extraordinaire, à laquelle tu n’a
» — Le Commerce du 12 et le Courrier français du 13 reproduisent la
lettre
publiée par le Sud concernant la recherche de la
uveau qui a, comme les autres, un commencement d’exécution. C’est une
lettre
; les termes peuvent n’en être pas parfaitement ch
c la déclaration que le malade ou ses parents font au verso de ladite
lettre
. De cette manière l’on a, non plus de simples a
s. ElûoTheux. — M. T‘". La visite qui v. a été ann. par ma dernière
lettre
ne pourra avoir lieu. Beinu. — M. D"\ Informez-
lez accueillir en frère notre ami Lap. iiacourade__M. D‘*\ Reçu vos
lettres
. —Envoyé par Meisageries gén. h M. l'r. le ball
Secrétaire. L’envoi du document qui précède était accompagné de la
lettre
suivante : A M. le baron du Volet de Senncvoy.
agnétiques, qui facilitent leurs larcins. On lit à cet égard dans les
Lettres
de Victor Jacquemont: « Ils tourmentent le somm
ient observer ce phénomène. On ne lui accusa pas même réception de sa
lettre
. Ce procédé dédaigneux, si semblable à ceux des A
ème observation. Voulez-vous me permettre de vous écrire une longue
lettre
sur ce qui s’est passé chez moi aujourd’hui? Cett
une longue lettre sur ce qui s’est passé chez moi aujourd’hui? Cette
lettre
ne sera peut-être pas sans un certain intérêt de
en des gens, je puis le dire sans vanité, ayant reçu une vingtaine de
lettres
anonymes, dont les unes me disent que si je ne cr
travers deux portes et une muraille. « Pourriez-vous lire l’une des
lettres
qui se trouvent dans la poche de l’un ou de l’aut
Je peux tout dans ce moment-ci, je vois très-bien. — Messieurs, uno
lettre
. » , M. Delaage tire une lettre de sa poche et
vois très-bien. — Messieurs, uno lettre. » , M. Delaage tire une
lettre
de sa poche et la remit à Alexis. ll l'appuya c
tion, Alexis lut «J’aireçii, mon U'ès-chsr aipi,;. » On ouvrit la
lettre
, elle était de M. de Lamennais, et la première li
je l'apportai à Alexis. « Ah! c’est singulier, dit-il. Je vois des
lettres
, mais * ne puis pas lire. L’objet vient d’outre-m
connais pas, mais je pourrais le deviner. » C’était un Nishan ; ces
lettres
qu’Alexis ne pouvait pas lire, c'était la signatu
A. Maquet, A. Esquiros, Barryc, etc. (Presse.) Les faits dont cette
lettre
est le récit ne sont pas rares; toiis les magnéti
la fermeture des conférences. Rennes. — M. Mag. D***. Reçu les deux
lettres
et comrauniq. à la S. du M. qui vous écrira. — Co
ile. Messieurs, Je suis chargé de vous accuser réception de votre
lettre
du 9 du mois dernier, parvenue avec le rapport, l
tre d’instituteurs du genre humain. Déjà plusieurs l’ont senti, et la
lettre
suivante est adressée dans ce but à la Société pa
preuve de cette vérité est dans le fait de reproduction entière de la
lettre
de M. Alexandre Dumas dans l’Union monarchique du
ent, on vous écrira lesquels, etc., etc. Nantes. — R1. G..vé. — Une
lettre
pari pour vous. Pau. — M. L***. — Nous attendon
e; JS. INSTITUTIONS MAGNETIQUES SOCIÉTÉ DU MESMÉRISME DE PARIS.
Lettre
de M. l’abbé Almignana. (Suite.) Mais si, d’a
madra9, me remit les bras dans mon lit, puis elle lira de son sac une
lettre
de mon père, qu’elle décacheta et tint devant mes
de ma fin pour qu’on eûleru devoir avertir ma famille. Je demandai la
lettre
de mon père... Il n’v avait point de lettre. Al
famille. Je demandai la lettre de mon père... Il n’v avait point de
lettre
. Alors je leur racontai ma vision, ils en rirent
Ils riaient encore, lorsque ma bonne entra réellement et me donna une
lettre
de mon père, qui sans autre raison qu’une inquiét
raison qu’une inquiétude vague, voulait avoir de mes nouvelles. — La
lettre
était mol pour mot celle que j’avais cru lire et
uis plus capable de rien. » Emile DESCHAMPS. Hallucinations. — La
lettre
suivante nous a été adressée dans un but confiden
que nous en avons nous-mêmes observé plusieurs analogues. Voici cette
lettre
: Je viens d'étre témoin el cause sans le voulo
otre conversation, lorsque hier soir un commissionnaire m’apporte une
lettre
qu'on lui a recommandé, dit-il, de ne remettre qu
vue de» Journaux. — La Presse du dimanche 26 septembre a reproduit la
lettre
deM. Alexandre Dumas, sur le Magnétisme, publiée
a douleur. Dans son numéro du 17, le même journal publie une nouvelle
lettre
de M. Alexandre Dumas qui annonce avoir lui-même
Nous agirons suivant indication. Romilty 8. S. — M. V.....n. — Une
lettre
vous parviendra d’ici deux jours. Pari*. — Av
nt-Cloud. — Imprimerie de Belin-Mandar; INSTITUTIONS MAGNETIQUES.
Lettre
de M. l'abbé Almigmna. (Suiteel fin.) D’abord
omme de bon sens. Qu’il me soil permis, avant de finir celle longue
lettre
, de faire encore une et dernière réflexion. Il
vent ôtre la devise de l’honnôte homme. Si quelqu’un, en lisant cette
lettre
, trouve que je me suis trompé dans mes assertions
vive voix et par écrit, de tout ce que je viens d’avancer dans cette
lettre
, et, avec la même franchise que j’écris en faveur
m’écrire au bureau du Journal du Muynélime. A la récep- lion de la
lettre
, nous conviendrons sur les moyens à prendre pour
Paris, en échange de la confiance qu’elle a daigné m’accorder par sa
lettre
, si Ilalteusepour moi, du 17 août dernier, pour q
N° 92, 2 nivôse an n (22 décembre 1793). Paris, le \” nivôse. Les
lettres
de Vienne en Autriche confirment la nou- velle
nt de mander l’abbé Paramelle, pour explorer le sol de Paris. — Lue
lettre
de Sainte-Hélène nous apprend que M. La-caussade,
’adresse. — Le Courrier de Marseille du 28 octobre met en regard la
lettre
de M. Alexandre Dumas et le factum du National, m
venu la douleur. Le même journal publie , dans son dernier numéro, la
lettre
suivante, qui relate cette seconde opération non
e j qu’elle avait dit en sommeil, et nous l’engageâmes à écrire » une
lettre
sous notre dictée. » Nous nous plaçâmes derrièr
ute. Mais lorsque le jour sera venu où une main mystérieuse écrira en
lettres
de feu sur les murailles de ce temple le mot : Ma
ce temps, Mendelsohn erra comme une ombre parmi les vivants. Dans une
lettre
adressée à sa femme, il dit : « Notre âme commune
le que fâcheux. — La Gazette de France du 21 novembre, contient une
lettre
où les différentes phases de l’histoire du magnét
quelle, en un mot, la magnificence de la création serait demeurée une
lettre
morte, une énigme sans mot, le néant revêtu d’une
il donnera. 170 Jenny Lind, son duo avec une somnambule anglaise. 209
Lettre
de M. de Brossard sur sa guérison. 324 Lettre du
omnambule anglaise. 209 Lettre de M. de Brossard sur sa guérison. 324
Lettre
du Dr Aubry sur Mesmer. 80 Lettre de M. Joseph Ba
M. de Brossard sur sa guérison. 324 Lettre du Dr Aubry sur Mesmer. 80
Lettre
de M. Joseph Barthet sur l'enseignement et l'exer
M. Joseph Barthet sur l'enseignement et l'exercice du magnétisme. 103
Lettre
de M. Léon Lerolle sur sa maladie et sa cure. 161
nétisme. 103 Lettre de M. Léon Lerolle sur sa maladie et sa cure. 161
Lettre
de M. Mermoud de Po-liez, sur la persévérance dan
s le traitement magnétique des maladies, 321 ; exemple à l’appui. 325
Lettres
de l’abbé Almignana à la société du Me-mérisme su
s magnétiques; preuves tirées des textes sacrés. 41, 174, 225, 257, 3
Lettre
de l’Athénée magnétique ad Itérant au projet d’un
l’Athénée magnétique ad Itérant au projet d’une société centrale. 169
Lettres
d'Alexandre Dumas, sur le somnambule Alexis. 146
dal, ou cérébral, to. Tubercule optique, c. Cervelet. Rouget. Les
lettres
te, to, c, expriment les mêmes parties que chez
e cérébral. to.Tubercule optique, c. Cervelet. Squale-renard, Les
lettres
te, te, etc., comme chez les précédons. e. Nerf
rf labyrinthique. t\ Nerf vague ou branchial. Grenouille. Mêmes
lettres
désignant lés mêmes objets que chez l'anguille.
e. p. a. Pyramide antérieure. c. r. Corps restiforme. Les mêmes
lettres
servant à désigner les mêmes objets dans toutes l
l'encéphale du même animal. S. Une ligne ponctuée partant de cette
lettre
,descend jusqu'à un sillon oblique de haut en bas
2. Partie latérale. 3. Flocons ou partie latérale externe. Les
lettres
e, 0, p, etc., désignent les nerfs, comme dans la
es deux premières paires cervicales et une portion du nerf spinal. La
lettre
S indique le lieu correspondant à la scissure de
fférentes parties que présente cette section, désignées par les mêmes
lettres
que pour la fig. 3 du renard (pl. IV). Pour bie
u'ici. Fig. ire face supérieure. Fig. 2. Face inférieure: les mêmes
lettres
expriment les mêmes objets que pour les figures d
Fig. 2. Face inférieure de l'encéphale du même animal. Les mêmes
lettres
désignent les mêmes objets que dans les planches
ici quels sont les rapports de l'encéphale avec les os du crâne. Les
lettres
API indiquent les circonvolutions antérieure, pos
ression n'est pas nécessaire, elle est toute faite par la nature. Les
lettres
P. P. P.P., fig. 3, indicjnent qu'il y a quatre c
extérieure du cerveau, c'est-à-dire autant que chez le renard, et les
lettres
A.A.A. indiquent qu'il y en a trois seulement en
. Cheval. Fig. ire. Face interne du lobe droit du cheval. Les mêmes
lettres
indiquent les mêmes parties que dans la figure pr
acés sur le cervelet, indiquent les trois lobes de cet organe, et les
lettres
italiques désignent les nerfs de l'encéphale. S
cissure de Sylvius, en avant de la ligne ponctuée qui réunit ces deux
lettres
, sont les circonvolutions antérieures, en arrière
hmoïdal, indique le point de communication dont il s'agit. Les autres
lettres
indiquent les mêmes objets que dans les figures p
a circonvolution antérieure située près de la scissure médiane. Les
lettres
P. A. de la même figure, sont placées l'une en av
avant, est un sillon transverse, c'est le sillon crucial. Les mêmes
lettres
indiquent les mêmes objets que dans les autres pl
Base de l'encéphale du phoque. Toutes les parties désignées par des
lettres
ou par des chiffres étant déjà connues, il est in
ide antérieure. 01. Eminence olivaire. c r. Corps restiforme. Les
lettres
italiques indiquent l'origine des nerfs de l'encé
a plus allongée de ces subdivisions ( celle qui est indiquée près des
lettres
P) n'est autre que le lobe d'hippocampe. Fig. 4
ions supérieures à la circonvolution interne. Lobe droit. Les mêmes
lettres
indiquent les mêmes parties. La seconde circonvol
Varole(l). Fig. 2. Enfant blanc. Recourir, pour l'explication des
lettres
, à celle qu'on a donnée des détails de la Figure
n cerveau d'un troglodyte Chimpanzé. (Extrait du même ouvrage.) Les
lettres
ont la même signification dans la figure 5. Le
rabattu avec la branche descendante du corps calleux. e. \ F Ces
lettres
ont la même signification . i que dans les figure
y*. Ses expansions dans le bord supérieur de l'hémisphère. * Cette
lettre
a été par erreur remplacée dans la figure par la
re. * Cette lettre a été par erreur remplacée dans la figure par la
lettre
q. hh\ Fibres qui se portent directement du noy
let latéral. c. Son vermis. Fig. 48. Profil du même cervelet. Les
lettres
ont la même signification que dans la figure préc
leine de reconnaissance, pour M. Bally, que je ne réfuterai pas votre
lettre
en ce qui concerne cet honorable académicien ; le
a-t-il pas saisi, remué? ne m’avez-vous pas écrit dans votre première
lettre
que ce sont des faits merveilleux? et dans votre
orieusement combattue. « G. Goossess. » [La suite à une prochaine
lettre
.) Un témoin oculaire transmet au journal la Meu
actes peuvent être commis sous rinlluence d’un rêve. J’ai reçu une
lettre
d’une dame qui se dit somnambule ; suivant elle,
rique. Louis XVI dicta à M. de Sartines, dans cette circonstance, une
lettre
, des plus flatteuses pour la mémoire de cet offic
s de votre dévoué serviteur. Le D' F. Roux (de Cette), RÉPONSE A LA
LETTRE
DE M. LE Dr ROUX. Dans l’article auquel répond
ment importante. C’était ma conclusion dans l'article qui motive la
lettre
de M. Roux. C’est la sienne aussi. Nous sommes do
. Nous exlrayans du Scapel, journal de médecine et de pharmacie, la
lettre
suivante qui lui a été adressée en réponse à uu a
êta, remit la corde au ton, puis reprit son exécution. II écrivit une
lettre
à son frère, et non-seulement sa composition étai
aire paraître un volume intiluléSWwic« de Chomme : il y reproduit une
lettre
qu’il avait adressée à SI. Duveyrier, sur l’immor
auteur M. Lemoine, ancien professeur de philosophie à la faculté des
lettres
de Bordeaux, est néanmoins, il faut s’empresser d
voulu garder l’anonyme. Madame la duchesse d’Orléans raconte dans une
lettre
les effets inattendus qu’elle ressentit lorsque,
ui venait de recevoir le corps du duc d’Orléans. « La date de cette
lettre
(14 juillet 1843) vous dira assez ce que mon
que rien ne devrait plus troubler. » Beaucoup ne remarqueront cette
lettre
que comme un modèle de beau style, comme l’ex
ouvrier pauvre, mais homme estimable et digne de foi. Je joints à ma
lettre
son certificat, le seul moyen en son pouvoir de m
connaissances dans cette scieuce, m’encouragent à vous adresser cette
lettre
qui sera suivie de plusieurs autres : je me propo
n mot emprunté au grec ou un mot pris du latin, peu importe.) Dans sa
lettre
, l’honorable critique avait déclaré que ces mots
ant l’invitation que j’adressais aux magnétiseurs , dans nia première
lettre
, de vouloir bien expérimenter les doses infinités
dans la marine marchande , me dit un jour : Je viens de recevoir une
lettre
d Henri, et je serais curieux de savoir si Eugéni
nter l’épreuve et ne voulus pas prendre connaissance du contenu de la
lettre
. J'endormis mon sujet et lui remis la lettre entr
issance du contenu de la lettre. J'endormis mon sujet et lui remis la
lettre
entre les mains. Après l’avoir appliquée au creux
’estomac, puis sur le front (sans la déplier) , elle dit : Tiens, une
lettre
de M. Henri ! — (Elle pouvait savoir qu’on l’avai
... Voilà M. Henri qui est avec son capitaine... On lui remet trois
lettres
... La première est de M. l’abbé Courtin... voilà
moment même où nous étions, elle répondit : Je le vois bien écrire la
lettre
que je tiens, mais je ne peux plus le voir après.
ltat de la séance. Après avoir éveillé le sujet, j’ai lu tout haut la
lettre
devant elle ; elle en suivait la lecture avec aut
, comme je n’avais pas voulu prendre connaissance d’un seul mot de la
lettre
, il ne pouvait y avoir transmission ou soustract
comme les clairvoyants, elle voit quelquefois les yeux fermés, bt une
lettre
cachetée, aperçoitee qui se passe à distance, ent
Mais voici un trait dont je fus surtout frappé. Je lui présentai une
lettre
que je venais de recevoir et qui n’était pas enco
té énergiquement contre mes contradictions en accusant l’auteur de la
lettre
. » M. Houdin a rendu hommage à la vérité en sig
dire , ce n’est pas en français. — Eh bien , lui dis-je , nommez les
lettres
les unes après les autres, et elle lut : Windsor
lheureux livre tant incriminé; il déplore l’obstination des hommes de
lettres
et des journalistes que n’a pu séduire son éloque
, je reviens enfin à la question qui fait le sujet principal de cette
lettre
, et je demande si le portefeuille qui vient de jo
Le Spiritual Telegrap/i contient, dans son. n° du 5 mars, une longue
lettre
signée de M. Dun-bar Moodie , qui donne de nombre
racles et Us Somnambules compares, par madame UoxgrubLi précédé d'une
lettre
de M. Edouard Fourbie». (Brochure in 8, chez Dejî
an alphabet : un des spectateurs parcourait successivement toutes les
lettres
avec la pointe d’un crayon, en s’arrêtant un inst
lettres avec la pointe d’un crayon, en s’arrêtant un instant à chaque
lettre
; quand un coup se faisait entendre, la lettre su
nt un instant à chaque lettre ; quand un coup se faisait entendre, la
lettre
sur laquelle se trouvait alors le crayon, était r
ors le crayon, était réputée choisie, et il en était pris note. Les
lettres
ainsi désignées formaient par leur ensemble des d
équence, il l'ut convenu que le carton sur lequel étaient tracées les
lettres
de l’alphabet serait tenu de manière à ne pas êtr
ses regards pardessus et voiries mouvements du doigt qui pointait les
lettres
. II fallait donc procéder d’une manière plus rigo
itrine, de manière que les mouvements de son doigt qui parcourait les
lettres
, ne pouvaient être vus que de cette personne et d
t de précaution , la personne, au lieu de suivre l’ordre habituel des
lettres
A, B, C, D, etc., allait au hasard ou dans un ord
tenait l’alphabet notait, comme précédemment, mais en silence, chaque
lettre
qui se trouvait sous la pointe du doigt ou du cra
e le coup était plus faible que d’ordinaire. On demandait alors si la
lettre
qui venait d’être écrite, et qu’on se gardait bie
coups de suite voulaient dire non). 11 fallait recommencer. Plusieurs
lettres
ne furent adoptées ainsi qu’après de nombreux tât
ttres ne furent adoptées ainsi qu’après de nombreux tâtonnements. Les
lettres
n'arrivaient donc que lentement etdifficilement.
ses deux voisins, fit connaître alors le résultat obtenu au moyen des
lettres
ainsi triées. C’était un assemblage de consonnes
édium, aucune réponse n’était obtenue, et qu’alors la désignation des
lettres
par les coups ne formait qu’un assemblage confus
t elle a été le berceau de la civilisation moderne, le foyer d’où les
lettres
et les arts ont rayonné sur tout l’Occident, mais
t de parler du fait qui doit être et sera le principal sujet de cette
lettre
, j’en citerai deux qui, quoique secondaires, ne s
Monsieur, me répondit-elle en soupirant, tout ce qu’il a dit est à la
lettre
. « — Eh bien, Madame, s’il a été aussi heureux
de Aligné, ou que l’apparition d’une autre croix mentionnée dans une
lettre
de Al. l’abbé du Alage, rapportée par M. Piérart,
sultations à 30 centimes et s’annoncait au moyeu d’une inscription en
lettres
gigantesques, comme élève de M. Mesmer. Dans les
pesanteur et de la gravitation universelle, inscrites au firmament en
lettres
de feu, ont dû attendre Galilée et Newton pour êt
et elle brille aujourd’hui sur le front d’un grand nombre d’hommes de
lettres
, de philosophes et de véritables savants. C’est p
able. » « A une question posée de la même manière, l'oiseau sort la
lettre
N et déclare ensuite ne pouvoir continuer. Pendan
champ, sans ordre et au hasard, six ou sept cents cartes portant des
lettres
de l’aphabet, des chiffres, des noms propres d’ho
diminutif russe du premier, et complète sa réponse en v ajoutant les
lettres
n et •, et en retranchant la lettre a. On me pr
ète sa réponse en v ajoutant les lettres n et •, et en retranchant la
lettre
a. On me prie de prendre une pièce de monnaie,
. — Voulez-vous y répondre? — Oui. — Répondez. L’oiseau forme
lettre
par lettre le mot Dieu. On ouvre le papier, il
z-vous y répondre? — Oui. — Répondez. L’oiseau forme lettre par
lettre
le mot Dieu. On ouvre le papier, il contenait c
l ciel es-tu né? Le verdier repondit « Amérique. » On apporte une
lettre
à M. Tréfeu. Un passage complètement illisible in
Monsieur le baron, , « Le sujet que nous allons aborder dans cette
lettre
, mais en ne faisant que l'effleurer toutefois, ét
e se reconnaître individuelle. « Nous ne voulons pas terminer cette
lettre
, tout en restant dans notre opinion, sans revenir
mbat, pleurs, injustices, illusion déçue, surtout dans le domaine des
lettres
; n’allez pas à Paris. — Où aller dans ce cas ?
titions de sa pièce, M. Louis d’As-sas recevait, me raconte-t-on, une
lettre
ainsi conçue, ou à peu près : « Ne restez pas à
les- dites paroles, de sorte qu’il n’y demeuroit un seul trait de
lettre
: et jettoit la terre qu’il avoit raclée dans un
nvisible world; London 1836, p. 184.) Tilson raconte ce fait dans une
lettre
du 6 juillet 1691 à un théologien très-connu, nom
z moi, et m’ayant été communiqué au moment où j’allais cacheter cette
lettre
, je ne peux m'empêcher de le consigner ici afin d
r parle frappement de coups au fur et à mesure que vous pointerez les
lettres
sur un alphabet qui ne sera pas vu du médium, vou
poser tout simplement la main sur la feuille de papier, tracerait des
lettres
au moyen de cette bague, même — apparemment — lor
des lettres au moyen de cette bague, même — apparemment — lorsque ces
lettres
se trouveraient ensuite à l’intérieur de la feuil
d'elles. — C’est que notre magnétiseur, qui (Lins ce moment écrit une
lettre
, non duns son cabinet, mais dans la salle à mange
la nuit. Mais, par une précaution fort raisonnable, le lendemain une
lettre
partait pour la France, demandant instamment des
de la société, par des grands seigneurs, des savants et des hommes de
lettres
; qu’il a eu auprès d’eux un très-grand crédit et
, 16, 37-43; Jeao, XX, 14, 13; XXI, 4, 7. et publia, en 17S7, une
lettre
au peuple français, qui l'ut répandue à profusion
e... (L’auteur annonce) le règne prochain d'uu prince qui abolira les
lettres
de cachet, convoquera les Etats généraux et rétab
it un comptoir. Le vaisseau était prêt; son maître, ayant à faire des
lettres
et d’autres préparatifs nécessaires, ne put le pr
tudiant à Londres, avait été assommé quinze jours avant la date de la
lettre
clans une batterie avec un tisonnier, et était mo
nier, et était mopt bien- tôt après de sa blessure. Morton lut la
lettre
une heure après son arrivée à Londres : il connai
ce temps-là, et il était admis dans le sanctuaire où étaientécrits en
lettres
d’or ces vers de Virgile, qui était un des patria
égulière, avec des angles rentrants et sortants; on y voit en tète la
lettre
hébraïque lamed S, puis un flambeau renversé, une
te sur votre obligeance, monsieur le baron, pour l’insertion de cette
lettre
dans votre plus prochain numéro et suis avec une
t elle serait lieuieuse de proclamer un succès. « A.-S. Morin. » La
lettre
de M. Éliphas Lévi et la note de M. Morin semblen
lire ma phrase avec une certaine peine, mais si j’écrivais en grosses
lettres
, elle lisait couramment sans épeler. Si j’employa
osses lettres, elle lisait couramment sans épeler. Si j’employais des
lettres
majuscules bien espacées, ou le titre d’un livre
t, indispensable pour la production des faits qu’il relate ? Voici sa
lettre
: 17 octobre 1859. « Monsieur le baron du Pot
t, en dévorant l’espace avec mon coursier de feu. « Faites de cette
lettre
ce que bon vous semblera. « Recevez, etc. ***•
lations étrangères où l’on voit des mouvements sans contact; dans une
lettre
de M. Tallmadge (des Etats-Unis), tout le monde s
ais d’un numéro du Spectateur, Revue encyclopédique des sciences, des
lettres
et des arts, 11“ 2, p. ¿30, 20 février 185â. Je l
s. Atten...dez..., je ne puis pas le prononcer..., je vais nommer les
lettres
... «On l’entoure, on écoute avec anxiété..., et
avec anxiété..., et sa bourbe laisse tomber, l’une après l’autre, les
lettres
suivantes : « C, H, E, S, T, E, R... Chester!
circonspection en présence du merveilleux. Elle était précédée de la
lettre
d’envoi ci-après : « Monsieur le rédacteur, «
es Fox, inséra dans le Aew-York duily Tribune du 26 janvier 1851, une
lettre
sur le môme sujet ; elle est reproduite dans la b
En 1851, le Journal du Magnétisme publiait au mois de septembre une
lettre
du célèbre docteur Williams Gregory d’Edimbourg à
analogues à celles dont on a donné communication à l’Académie. Cette
lettre
, en outre, était suivie d’une analyse des procédé
n nom, celui d’une autre personne, d’un objet quelconque, ou diverses
lettres
de l’alphabet, etc. La vue n’échappe point à ce
s, l'autre la parfaite bienveillance de sa manière d'agir. Les deui
lettres
que viennent de m'adresser M. Mathieu et il11* Hu
ut. Au lieu de cela, il vient de faire insérer dans votre journal une
lettre
où, désertant les faits en question, il accumule
ope, décrit par M. le Dr Léger, 11. Magnétisme (Le) et la médecine.
Lettres
du Dr Frappart, au sujet des préventions du c
s, 310. — Même opinion exprimée par les Drs Flint et Lec, 455, 637. —
Lettre
de M. Jos. Barthet à propos de M. Flint. 656. —
455, 637. — Lettre de M. Jos. Barthet à propos de M. Flint. 656. —
Lettre
de M. Piérart à M. le baron du Potet, 659. — Réfl
avec l’esprit à l’aide de l’alphabet; il pointait successivement les
lettres
écrites sur un papier, les coups indiquaient le c
les lettres écrites sur un papier, les coups indiquaient le choix des
lettres
, et la réunion des lettres ainsi déterminées form
papier, les coups indiquaient le choix des lettres, et la réunion des
lettres
ainsi déterminées formait des mots. Il obtint ain
ence de l’Angleterre n'est pas niée parce qu’on reçoit de ce pays des
lettres
qui ne sont pas à la hauteur de l’idée qu’ou avai
ux d’un absent et demandait de ses nouvelles, un autre présentait une
lettre
close dont il fallait donner le contenu ; celui-c
ue tous les grands poètes, Shakespeare , Milton, Dryden, l’auteur des
lettres
de Junius, Byron , ne fussent pas tous des initié
leur corps des aiguilles, des épingles, etc. De Saint-André, dans ses
Lettres
sur la Magie, parle d’une jeune fille de son temp
moins que les blessés ne fussent assistés d’un officier de santé. Une
lettre
anonyme ayant dénoncé ces faits à l’autorité, une
moitié détruites par les esculapes officiels, des dénonciations , de6
lettres
anonymes pleuvront contre vous au part-quet, et v
is la santé des leurs, les tribunaux vous condamneront en vertu de la
lettre
d’une loi surannée. En Angleterre et aux Etats-Un
dant j’ai recommencé plusieurs fois. « Un mois après, je reçois une
lettre
de M. T.... Sa femme est très-bien, elle ne souff
s abondent de toutes parts, et nous sont mentionnés dans une foule de
lettres
. Ces lettres, nous ne pouvons, faute d’espace, le
toutes parts, et nous sont mentionnés dans une foule de lettres. Ces
lettres
, nous ne pouvons, faute d’espace, les reproduire
s mots qui vous sont familiers, de même vous formerez ce nom avec des
lettres
que vous connaissez, et aussitôt la main écri
ait copié, ayant par mé-garde commis quelque erreur d’un mot ou d'une
lettre
. « Pendant environ trois mois , les réunions gé
st fixée en Pologne depuis la fin du siècle dernier, nous adresse une
lettre
sur les expériences auxquelles il s’est livré dan
é dans le pays qu’il habite. Nous nous empressons de reproduire cette
lettre
qui, outre qu’elle renferme plusieurs faits curie
vre immense Qui nous confond par sa sublimité, L'homme n’est pas la
lettre
qui commence, Kl moins cncor le point de sommit
euille et me dit : « Faites-moi le plaisir de me cher- « cher les
lettres
de nia femme. » Je les lui remis; il les prit et
s articles , intitulés Mémoires d'une planchette, sont précédés d’une
lettre
de l’auteur au rédacteur du journal pour le félic
oir osé s'occuper des médiums. Nous commencerons par reproduire cette
lettre
, et nous la ferons suivre de la première partie d
ts par le crayon, et le résultat de ces mouvements se trouve être des
lettres
, des mots, des phrases. Ce n’est pas plus diffici
pied indiquerait la réponse non, et que le troisième indiquerait les
lettres
en frappant un nombre de coups égal au rang occup
r exercé l’état de menuisier et y avoir laissé plusieurs enfants. Une
lettre
fut écrite au maire d«cette villo. afin de savoir
nes, parmi lesquelles des magistrats , des professeurs, des hommes de
lettres
, diraient comme moi combien ces conversations ava
its carrés de carton mince, portant chacun le caractère imprimé d’une
lettre
de l’alphabet, ou bien d’un de ces chiffres : 0,
on le touchât, il allait , de son bec inspiré, tirer du casier chaque
lettre
ou chaque chiffre nécessaire, jusqu’à la terminai
cle. L'oiseau s’élance sur l'alphabet et tire du bout de son bec, les
lettres
: D, U, P, R, E... Ici les applaudissements l’inte
en l'air le nom de Joséphine, elles en destinèrent admirablement les
lettres
, qui papillonnaient loutes vivantes par la trace
rs du papier. Madame O..., quand il était possible qu’elle formât des
lettres
, écrivait des phrases dans (1) Plusieurs fois,
s convenus, qu’il veut parler. — Eh bien 1 qu'est-ce encore? — La
lettre
que je souhaite ! — Ah! tant mieux. Allez voir
... : elle était pâle et froide. Je la réveillai. Le lendemain, une
lettre
du jeune homme apporta de bonnes nouvelles. 2»
des élimentisalions, lisez : nos paroles et nos actes sont ies...
LETTRES
D’UN VOYAGEUR SUR LE SPIRITUALISME AMÉRICAIN.
ègue est enfin de retour en France et doit nous remettre une série de
lettres
dans lesquelles seront consignés les faits nombre
quelles seront consignés les faits nombreux dont il a été témoin. Ces
lettres
nous en commençons aujourd’hui la publication. To
se porter garants de sa bonne foi. Du reste l'auteur anonyme de cette
lettre
n’est pas tout à fait étranger aux lecteurs d
x de la confiance qui nous est inspirée par son caractère. PREMIÈRE
LETTRE
. A Monsieur le baron du Polel, directeur du Jou
satlantiques. A. S. MORIN. La Luce magnctica annonce, d’après une
lettre
du docteur Oppert, que le roi de Prusse vient de
e table « qui a tout écrit au moyen de coups frappés pour chacune des
lettres
« dont elle avait besoin, nous étions cinq hommes
atômes, et, par suite , augmenter leur affinité et leur médicalilé.» (
Lettre
de M. l’oumu, professeur de physique à l'école d'
ue jour nous recevions d’un grand nombre d’entre eux des notes ou des
lettres
dans lesquelles nous étaient attestés les faits l
lome étaient affaire de pure curiosité. Nous recevons d’un abonné une
lettre
intéressante. Si le fait qu’il nous raconte était
son récit qui nous parait un peu bien fort. Nous ne supprimons de sa
lettre
que ce qui est étranger au fait lui-même : Mons
IIa- (1) Tel est le nom véritable de l'illustre médium, d'après les
lettres
mêmes qu'il a adressées à la mère de l'enfant qu’
s un sens allégorique des récits évidemment faits pour Être pris à la
lettre
. Un livre inspiré ne peut comporter une telle lib
de vivre au milieu de l’insulte et du sarcasme. Baron Du Potet.
LETTRES
D'UN VOYAGEUR SUR LE SPIRITUALISME AMÉRICAIN
LETTRES D'UN VOYAGEUR SUR LE SPIRITUALISME AMÉRICAIN DEUXIÈME
LETTRE
. A M. le baron Du Potet. Mon cher Maître, D
ié de mes observations personnelles. Tel sera l’objet de ma prochaine
lettre
. Pour'répondre à un regret que vous avez sans d
e son erreur. Nous allons résumer ici un court passage de sa première
lettre
au Spiritual Telegraph, de New-York ; nous l’avon
e fait étrange : c’est M. W. M. Lanning, de Baltimore, qui a écrit la
lettre
suivante au Dr H. F. Gardner, d«Boston, et le
ue les domestiques eurent à ramasser. » M. Laning a écrit une autre
lettre
concernant une seconde séance non moins frappante
uis , de là on le porta sur un bateau à vapeur avec beaucoup d’autres
lettres
ou paquets ; il y en avait un sac plein. Je monta
euillez agréer, Monsieur le Baron, etc. L. Lamothk. CLINIQUE.
Lettre
à M. le baron nr Potkt, sur lu guérison de divers
igne comme cause d’hystérie la magnétisation. C’est écrit en toutes
lettres
dans le numér«de C Union médicale d’aujourd’hui m
donne l’adresse, et qui est connu sous le nom de Médium , écrivain de
lettres
. Le consultant enferma dans la poche de son habit
vain de lettres. Le consultant enferma dans la poche de son habit une
lettre
cachetée avec soin, dans laquelle il demandait de
s renseignements sur l'enfant perdu, et il demanda la réponse à cette
lettre
. Le médium, sans ouvrir la lettre, écrivit la rép
u, et il demanda la réponse à cette lettre. Le médium, sans ouvrir la
lettre
, écrivit la réponse suivante : « Celui que vous c
e à travers des mu- railles, j’écrivis à M. le docteur Burdin une
lettre
ainsi conçue : a Monsieur, « Vous avez offert
es salutations. « MAKCILLET. » « N’ayant reçu aucune réponse à ma
lettre
, je la fis publier dans plusieurs journaux, afin
compte sur votre justice, monsieur le rédacteur, pour donner à cette
lettre
une publicité qui certainement ne la fera pas bri
sa proposition et on n’en entendit plus parler, comme en fait foi la
lettre
de M. Marcillet reproduite ci-dessus. Ah! messi
mardi, dans l’après-midi, un facteur de la poste remit à M. B... une
lettre
du tuteur de la jeune fille, qui apprenait à cett
saire pour qu’il se trouvât dans la direction du navire naufragé. Une
lettre
de New-York fait les réflexions suivantes au suje
savoir quelque’ chose à un ami éloigné auquel ne peuvent parvenir vos
lettres
, prenez un plateau circulaire sur les bords duque
, prenez un plateau circulaire sur les bords duquel vous tracerez les
lettres
de l’alphabet dans l’ordre où on les fait apprend
aiguille aimantée disposée de façon à pouvoir en tournant toucher la
lettre
que vous voudrez. Fabriquez encore un autre disqu
nez votre appareil, et avec la main dirigez l’aiguille mobile sur les
lettres
dont vous avez besoin pour former vos m ots, de l
antôt là ; il sait tout ; étudie la marche de l’aimant, recueille les
lettres
, les rassemble en mots, devine ce que vous lui vo
our le progrès de la santé; le troisième sera consacré à l’examen des
lettres
odiques-magné-, tiques du baron de Reichenbach, s
er signe de vie. En effet, le spirituel négateur du fluide, dans la
lettre
(voir le n° 10) par laquelle il fait sa rentrée,
’y trompa-t-il pas, puisque dans les réflexions dont il fit suivre ma
lettre
, cet honorable ami déclare, avec la franchise qui
m’approuve , mais il va même jusqu’à résumer le principal point de ma
lettre
à M. du Potet pour en faire sa propre opinion. Au
déverser le ridicule. Mais, comme dit fort bien le docteur Frappart (
Lettres
, page 37): « Le ridicule ne tue que la petitesse
e le savant docteur ait pris le change sur quelques passages de notre
lettre
, et qu’il ait cru devoir récriminer sur celle opp
préfère puiser encore ces conclusions chez M. Charpignon, et dans les
lettres
qu’il cite et accepte de son célèbre et regretté
. «(Page 10(5 de l’ouvrage de M. de Charpignon, et 224 du Recueil des
Lettres
du docteur Frappart.) u A cela qu’ajouter ? C’e
AISSENT TUER. » (Page 133 de Physiologie, etc., et 246 du Recueil des
Lettres
.) De ces conclusions, pleines de vérité et de l
e . à vrai dire, elle n«porte que sur un des points secondaires de ma
lettre
à M. du Potet du 21 juin 185(5 ; c’est celle de l
uffisamment en règle pour prouver l’authenticité. Avant de clore ma
lettre
, permettez-moi, moucher maître, de vous témoigner
raitement îles plus laborieux. Je pense que vous avez dû recevoir une
lettre
à ce sujet. Veuillez agréer, mon cber maître, a
qu’elle devait avoir à cette époque. Voici où commence le but de ma
lettre
. Où le dévouement s’arrête, la calomnie commenc
lution dans le magnétisme. Baron dd POTET, propriétaire-gérant.
LETTRES
D’UN VOYAGEUR SUR LE SPIRITUALISME AMÉRICAIN
ES D’UN VOYAGEUR SUR LE SPIRITUALISME AMÉRICAIN "> TROISIÈME
LETTRE
. A Monsieur le baron du Potet. Mon cher maîtr
-.nant l'alphabet dans sa main gauche , indique successivement chaque
lettre
du bout du doigt. Avec quelque précaution, cette
nt à l'abri de tout regard étranger. Quand l’indicateur arrive sur la
lettre
que les esprits veulent désigner, un rap se fait
ttre que les esprits veulent désigner, un rap se fait entendre, et la
lettre
est enregistrée. Des mots, des phrases et enfin d
occultes. Une de ces intelligences, qui se donnait un nom où entre la
lettre
ç, témoigna par un roulement de coups semblable à
sique du monde des esprits, puisque tel est le sujet spécial de cetle
lettre
. La nature de ces sons, que j'ai eu l’occasion
les bornes raisonnables d’une épître. Arrêtons-nous. A une prochaine
lettre
la continuation du récit que j’ai à vous faire su
« Ce que je vais avoir l’honneur de vous dire, je le signe en toutes
lettres
, en ajoutant à mon nom mes faibles titres et
éponses plus longues que par oui et par non , on récite tout haut les
lettres
de l’alphabet, et le coup se fait entendre sur la
ut haut les lettres de l’alphabet, et le coup se fait entendre sur la
lettre
qui doit entrer dans la composition du mot; avec
détourne, et voit sur la table une main qui trace rapidement quelques
lettres
sur le papier et disparaît. Il s’approche et lit
376, 492, 567, 593, 618 à 630. Créations matérielles des esprits :
lettres
, tableaux, etc., 234. Dictées attribuées à des
4 , 610, 623, 630;— qui écrivent, 202, 234, 361 ; — qui apportent des
lettres
, des tableaux, etc., 234;— qui guérissent des mal
astique. Il apporte cependant une certaine lenteur pour apprendre les
lettres
et les chiffres. Il a appris à se laver seul et s
que. — Est plus fort sur ses jambes. Reconnaît aujourd'hui toutes les
lettres
, les surfaces, les couleurs. Sa tenue est satisfa
d bien pour faire tous les exercices, noue, lace, boutonne, place les
lettres
, les chiffres et les couleurs sans dificulté. Est
es couleurs et les surfaces, montre des images, les explique, lit les
lettres
et les chiffres. Nous éprouvons de la difficulté
fficulté pour l'écriture, c'est avec grand peine qu'il forme quelques
lettres
,, telles que i, t et o. Cet enfant est très heu
aisir en classe, est en bonne voie pour la lectu-re, trace toutes les
lettres
et les chiffres et ébauche même l'addition. Not
ivées à le faire s'habiller, lacer, boutonner, nouer: il nomme toutes
lettres
et les chiffres, commence à syllaber distingue le
e les couleurs, les surfaces, les animaux. Il trace des bâtons et les
lettres
qui s'en rapprochent. La parole est pres-que norm
t lacer, nouer, boutonner, distingue les couleurs, reconnaît quelques
lettres
et quelques chiffres. Idiotie microcéphalie. —
ces ménagers. Il a moins de goût pour la classe ; il trace toutes les
lettres
(1) Voir le Comyla-rendu de 1003, p. XVII. et
et la gauche très maladroite; il trace plus ou moins bien toutes les
lettres
. L'instabilité mentale quoique amoin-drie existe
est très mal doué. Avec difîi-culé il est parvenu à tracer toutes les
lettres
et les chiffres, établit une relation entre eux e
débuter, le signe o au signe i, pré-sentés sous la forme concrète de
lettres
en bois. Nous nous garderons bien de présenter i
nous obtenons ces figures de façon reconnaissablo, nous passons à la
lettre
proprement dite, en suivant le même ordre que pou
2 ans. Suit la dictée aujourd'hui et écrit lui-même maintenant les
lettres
à ses parents. Fait les 4 opérations et de petits
'assez bons résultats au point de vue primaire. Ne connaissant aucune
lettre
de l'alphabet, il sait maintenant lire de petites
lorées sur fond noir, images blanches sur fond noir), à apprendre les
lettres
(grandes lettres noires sur fond blanc, puis lett
oir, images blanches sur fond noir), à apprendre les lettres (grandes
lettres
noires sur fond blanc, puis lettres beaucoup plus
à apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond blanc, puis
lettres
beaucoup plus petites); pour l'éducation de la pa
une poutre avec support, barre fixe, sautoir, 4 tableaux, 5 séries de
lettres
et chiffres, 10 marteaux ; 8 rangs, 2 pieds de ma
. — Ordres du jour des Commissions. — Affiches diverses. — Entêtes de
lettres
. — — Divers imprimés pour les Ecoles d'infirmière
oir sa nouvelle adresse. Nous avons essayé aussi de les convoquer par
lettre
. La plupart n'ayant pas besoin de nous, ne se ren
es ; à la fin de l'année, ces chiffres n'avaient pas varié. Par une
lettre
de M. Mesureur, en date du 5 février, et d'accord
pour venir en classe le moins possi-ble : elle n'aimait pas l'école.
Lettres
, chiffres, écriture, tout lui était inconnu; sa f
marche et dans ses mouve-ments. En classe, ellencconnaissa.it aucune
lettre
et paraissait insouciante de s'instruire. Mise
aieté. Elle prit goût à l'étude, l'enfant qui connaissait à peine ses
lettres
, est parvenue à lire couramment, elle écrit très
ge avec impudence. Elle était nulle pour la classe, no connaissait ni
lettres
, ni chiffres, ne traçait pas une lettre; on avait
la classe, no connaissait ni lettres, ni chiffres, ne traçait pas une
lettre
; on avait toute la peine du monde à la maintenir
ttention sur ce qui lui était enseigné. Elle a appris à connaître ses
lettres
, à syllaber et maintenant lit presque couramment.
e et y met toute son attention ; elle écrit lisiblement, assemble les
lettres
, commence à compter et récite quelques fables. A
n qui paraissait nulle s'éveilla et elle ne tarda pas à connaître ses
lettres
, puis à syllaber et parvint à lire couramment à l
o nous nous sommes servi d'un harmonium, plus ou moins défectueux. La
lettre
suivante du professeur de chant est instructive à
ement, rapport au Congrès de Lyon (1893), communications aux Congrès,
Lettre
à M, Dupuy, président du Conseil des ministres, L
s aux Congrès, Lettre à M, Dupuy, président du Conseil des ministres,
Lettre
à M. Cariot. sans compter les communications annu
drôle do bonne mine, mangeant tout seul, commençant à .distinguer ses
lettres
, répondant à l'affection et propre et que deux an
le-ment il est propre, se lave lui-même,, mange seul et reconnaît ses
lettres
, de grosses lettres en bois découpé. 2° Une fil
e, se lave lui-même,, mange seul et reconnaît ses lettres, de grosses
lettres
en bois découpé. 2° Une fillette de dix-huit mo
a appris à parler, il va entrer dans la classe où des chiffres et des
lettres
en bois découpés l'initieront en l'amusant aux my
grande école, où l'enfant peut être transféré dès qu'ils connaît ses
lettres
et ses chiffres, il trouve renseignement primaire
'organiser ces visites. [Monsieur le Docteur, En conformité de la
lettre
de M. Collignon, directeur de l'Institution natio
d'abord ; nous pourrions citer tel de nos élèves sachant à peine ses
lettres
il y a quelques mois et lisant aujourd'hui à peu
d'abord ; nous pourrions citer tel de nos élè-ves sachant à-peine ses
lettres
il y a quelque mois et lisant aujourd'hui à peu p
riérés de la province. Nous rece-vons presque toutes les semaines des
lettres
des départements réclamant l'admission de ces enf
.................. 52 — décorateurs....................... 5 — en
lettres
......................... 1 — en voitures.......
de de l'opérer. « Elle a été opérée, nous dit M. le Dr Monod dans une
lettre
, sans diagnostic précis, et pour essayer d'obteni
e progrès. La classe l'amuse, elle place et replace machinalement les
lettres
, lace et boutonne de même avec indifférence et sa
es barres et les o sur le cahier et il connaît presque toutes les
lettres
de l'alphabet. Quelques progrès sont également
'abord des exercices pré- paratoires : tels que la superposition de
lettres
ou chiffres en bois, sur leur reproduction impr
leaux qui servent à ces sortes d'exercices sont les suivants : a)
lettres
majuscules de 0,12 en noir; b) alphabet complet
alphabet complet avec voyelles en rouge et consonnes en noir ; c)
lettres
minuscules de 0,08 en noir ; d) alphabet comple
; c) lettres minuscules de 0,08 en noir ; d) alphabet complet de
lettres
minuscules avec voyelles en rouges et consonnes
'esprit de l'enfant une confusion longue iL dis- paraître entre les
lettres
qui se ressemblent par leur forme comme m et 11
i- valents, les altérations diverses, les syllabes présentant des
lettres
ne se prononçant pas et enfin les exceptions de t
t pas et enfin les exceptions de tout ordre. Nous terminons par les
lettres
majuscules d'importance tonte relative et d'acq
à une idée que notre enfant peut saisir sans effort. A propos des
lettres
qui ne se prononcent pas, nous avons mis à part
ÉCRITURE. IX. - Equivalents complexes : lion, liai, sci, etc. X. -
LETTRES
ne se prononçant pas : rue, lits, vingt, etc XI
de la lecture et alors que l'enfant sait seulement reconnaître les
lettres
soit imprimées, soit en bois, les placer et les
ne l'eussent fait s'il se fût agi d'en apprendre séparément chaque
lettre
, chaque syllabe. Que de temps ne nous cîit-il
xer l'attention (images blanches sur fond noir ! , il apprendre les
lettres
(grandes lettres noires sur fond blanc), pour l
images blanches sur fond noir ! , il apprendre les lettres (grandes
lettres
noires sur fond blanc), pour l'éducation de la
en chef de la maison de Santé de Gand; 1\l'lIe Defrancc, femme de
lettres
; Du David Frank (de Moscou) ; D1' Goerké, méde
on (de Paris); D'' Gaustad (de Christiana); Mille Gaveu, femme de
lettres
; D" Hoennicke, médecin assistant à l'Asile d'al
arrondissement; M. Motz, Juriste à Kristiania; M. Meynet, homme de
lettres
, à Alfortville (Seine); M. Naudy, Inspecteur de
. Stojanovitch, étudiant en médecine à Paris; M. Sabatier, homme de
lettres
; D1' Toulouse, médecin de l'Asile de Villejuif;
- Ordres du jour des Commissions. - Affiches diverses. - Entêtes de
lettres
, registres et tableaux divers pour la Direction
(3 ans. Enfant très arriérée et très bornée, ne connaissait, ni les
lettres
, ni les chiffres, ne savait tenir un porte-plum
Au point de vue de la lecture, l'enfant ne reconnaît pas encore ses
lettres
, elle les nomme mais au hasard. Pour l'écriture
recteur de l'Administration générale de l'Assistance publique, la
lettre
suivante : Monsieur le Directeur, Il existe à
s par l'intermédiaire de M. le Directeur de Bicêtre une copie de la
lettre
que vous avez adres- sée à cette Administration
de la lettre que vous avez adres- sée à cette Administration. Cette
lettre
est ainsi connue : Le Président du Conseil à
à M. Léon Bourgeois, alors ministre de l'instruction publique, une
lettre
ouverte sur l'or- ganisation de classes spécial
iver à une solution pratique, le 12 septembre il nous adressait une
lettre
dans laquelle il nous annonçait sa volonté de «
seignant toute incertitude. o C'est ce que nous avons fait dans une
lettre
en date {'U 5 novembre 1896. M. Carriot, peu ap
ce publique) du Conseil général, nous avons remis à ses membres une
Lettre
(1) renfermant : 1° la Note iL la Commission de
1) renfermant : 1° la Note iL la Commission de surveillance ; 2° la
Lettre
de M. Carriot et notre réponse. Cette seconde L
llance ; 2° la Lettre de M. Carriot et notre réponse. Cette seconde
Lettre
se terminait ainsi : « Nous espérons, Messieurs
les enfants arriérés en Suisse, en Angleterre et en Belgique. (1)
Lettre
aux membres de la t- Commission fil( Conseil géné
isons que nous avons invoquées dans nos rapports, communications et
lettres
anté- rieurs, pour justifier la création de cla
urveillance a renouvelé son voeu, le jour même. La copie de votre
lettre
, M. le président du Con- seil, m'est parvenue a
- CL Assistance et éducation DES IDIOTS. naire nous a adressé une
lettre
(le remerciements, pour les explications que no
faire face aux demandes des familles, M. le (le la Seine, clans la
lettre
suivante, adressée il 1. le Secours A domicile.
que par le passé. Et il s'agit d'enfants ! Ceci dit, revenons il la
lettre
de M. lo Pré- fel. Pour remédier il l'insuffi
ésident de vouloir bien ordonner l'insertion au procès-verbal de la
lettre
envoyée à l'Assistance publique à ce sujet et q
la proposition faite par M. Pelletier d'insérer au procès-verbal la
lettre
envoyée par l'administration préfectorale il l'
? 2 février 1897. Monsieur le Directeur, Yous m'avez transmis une
lettre
et un rapport de M. le D1' Chorpentier, médecin
, myopie assez prononcée, à la distance d'un mètre ne peut lire des
lettres
de 3 centimètres de long ; l'oeil gauche; est p
que Gabriel a toujours pris des douches. Même attestation dans une
lettre
de sa grand'mèrc du 7 octobre. Réflexions. I. L
sse est régulier et plus prolongé, l'orthographe est meilleure, les
lettres
qu'il .écrit de lui-même à sa famille manifeste
en a plus. La misère est chez lui. Il dépeint ses malheurs dans une
lettre
qu'il nous a adressée : « A bout de ressources,
enne à son aide. 20 )t0).'e)))b7'e. - Sa situation, dit-il dans une
lettre
, est plus triste encore. Sa femme qui n'a pas e
us a rendu des visites si fréquentes et nous a écrit si souvent des
lettres
, dont le récit qui précède ne donne qu'un aperç
Face externe au convexe de l'hémisphère gauche. (Page 176.) Les
lettres
ont la même signification que celles de la Plan-
fhémisphè/'e gauche. (Page 176.) F.O., foyer ocreux. Les autres
lettres
ont la même signification quR celles (le 11. PL
Face externe ou convexe de l'hémisphère droit. (Page 189.) Les
lettres
ont la même signification que celles de la Plan
lanche VI. Face interne cle l'hémisphère droit. (Page 189.) Les
lettres
ont la même signification que celle de la Planc
4, 5, etc. indiquent les îlots de sclérose tubéreuse. Les autres
lettres
ont la même signification que celles de la Plan
nche VIII. Face interne de l'hémisphère gauche. (Page 190.) Les
lettres
ont la même signification que celles de la Plan
Face externe ou convexe de l'hémisphère gauche. (Page 209.) . Les
lettres
ont la même signification que ceux de la Planch
Planche X. Face interne de l'hémisphère gauche. (Page 209.) Les
lettres
ont la même signification que ceux de la Planch
minicales. Le droit d'y assister étant personnel, restait presque une
lettre
morte pour nos abonnés des départements et de l’é
ervé depuis chez plusieurs peuplades sauvages. Nous trouvons dans une
lettre
de M. le comte Le Peletier d’Aunay (/|), des part
ar la Faculté. Les curieux détails de ce fait sont consignés dans une
lettre
des plus intéressantes adressée par une spirituel
s inouïes, à tant d’idées téméraires qui, avant même d’avoir reçu des
lettres
de naturalisation , allcctent des allures dominat
r dans le Mesmeric infirmary. D’un autre côté, nous lisons dans une
lettre
particulière du Dr Elliotson à M. Shaw, ce passag
re dont ils ont envisagé cette science. Le second, rédigé en forme de
lettres
, n’est qu’un volumineux extrait de tous les ouvra
de la Madeleine, 10. Recherches, prévisions, de 11 à 1 heure, et par
lettres
franco à l’Oracle. Ce n’est là qu’un échantillo
nos idées, le Corsaire, a publié dans son feuilleton du 6 janvier la
lettre
suivante, dont la reproduction intégrale ne peut
qui devaient être renvoyées à Paris, des ordonnances de médecin, des
lettres
de M. Cornet, pharmacien à Paris, et diverses let
de médecin, des lettres de M. Cornet, pharmacien à Paris, et diverses
lettres
adressées à Mmc Rose. Le lendemain, on saisit en
mc Rose. Le lendemain, on saisit en outre, au bureau de la poste, une
lettre
que Mme Rose adressait à M. Cornet. Après une l
passaient les consultations; on m’en rapportait le résultat dans des
lettres
, c’est ce qui a eu lieu jusqu’au décès de mon mar
elle ne répondait qu’endormie; on lui donnait alors connaissance des
lettres
de Mme Aubert, et l’on écrivait les réponses sous
lus policées et qui ont le plus concouru au progrès des sciences, des
lettres
et des arts ? C’est li le parti que prit le scept
ou de la main gauche, qui défierait toute critique. On vous a lu une
lettre
dont on attendait un grand effet. A cet égard, je
e contre Mmc Rose la correspondance de M. Cornet qui, dans uue de ses
lettres
, annonce l’envoi du prospectus de la Marmelade Za
z, à l’exemple des pharisiens, vous prosterner aveuglément devant une
lettre
inanimée. L’esprit français, qui brille surtout p
e quelques guérisons remarquables : plusieurs sont attestées dans les
lettres
que je dépose sur le bureau, elles sont écrites s
uvée, car elle est parfaitement guérie, comme elle le déclare dans la
lettre
que je dépose sur le bureau. Riez donc encore des
itionnées, devaient être renvoyées à Paris, ainsi qu’il résulte de la
lettre
saisie à la poste. M“' Rose invitait toujours ses
Lassaigne, qui devait nécessairement y tomber avec son sujet. Vingt
lettres
furent écrites de part et d’autre, pour s’entendr
u’un mot, que ce mot est court, qu’il n’est composé que de cinq à six
lettres
; mais elle ne peut le déchiffrer, à la grande joi
s. On ouvre la boîte : c’était, en effet un mot composé de quelques
lettres
: Calypso. L’énonciation d’un mot au lieu d’une
en état de veille. L’envoi de cette annonce était accompagné d’une
lettre
ayant trait au même objet ; nous en donnons égale
éral et du mode d’expression. » Donc, le critique doit prendre à la
lettre
les mets employés par Davis, leur orthographe seu
wedenborg révèle que les anges ont une écriture composée en partie de
lettres
arabes et de lettres hébraïques. {)) Swedenb. L
les anges ont une écriture composée en partie de lettres arabes et de
lettres
hébraïques. {)) Swedenb. Le Ciel et l’Enfer, 23
s hébraïques. {)) Swedenb. Le Ciel et l’Enfer, 239. Or, comme los
lettres
«les alphabets arabe et hébreu sont des signes ph
fend aussi le transport des dépêches, et cependant on fait porter des
lettres
à des pigeons. (Rires.) C’est une comparaison : j
POLICE DE LIMOGES. Audience du 19 août 1850. Voici le texte d’une
lettre
qui nous fut adressée à l’occasion de ce procès :
s-étonnée. Elle déclara, en outre, ne plus éprouver aucun mal. » La
lettre
suivante nous a été dernièrement adressée; nous l
ON, horloger. Bergerac, 27 avril!851. Voici l’extrait d’une autre
lettre
, relatif à une guérison obtenue dans des circons
PIER, cultivateur il Sainte-Amélie (Algérie). A M. MIALLE, homme de
lettres
à Paris. • —j A M. le haron VON REICIIENBACN, h
nnu surtout dans le monde magnétique par divers travaux, mais par une
Lettre
adressée à Deleuze, Mémoire contenant les aperçus
vivre, non parce qu’il fut membre d’Acadé-mies, mais seulement par sa
Lettre
à Deleuze. Une vieille branche de l’arbre magné
aurait tracer; car l’infini ne saurait se renfermer dans vingt-quatre
lettres
. Eh bien ! tout cela, parce que c’était vous qui
avoir : l’hérédité de sensibilité magnétique. Voici une bien longue
lettre
, mon cher maître; si vous vous en plaignez, je vo
nt défenseur du magnétisme pratique ! » Le Corsaire du 28 publie la
lettre
suivante. C’est, sous forme de raillerie, l’expre
tes les prédictions qu’a faites Louise, et qui se sont vérifiées à la
lettre
; tous ces prodiges sont l’accessoire ordinaire de
mot. DU rOTET. Persécutions. — Nous avons reçu de M. Laforgue les
lettres
et la pétition suivantes : Mon bien-aimé frère,
du droit de cité que les Académies refusent au mesmérisme. Voici la
lettre
qui nous a apporté cette bonne nouvelle : Monsi
ion suivante : M. le D1' Taxil traite un peu du magnétisme dans une
lettre
publiée dans l’Orléanais d’hier. Nous aimons à li
ge à son érudition, de même qu’à son courage et à sa loyauté; mais sa
lettre
, el les citations qu’il y a introduites, nous ont
acteur de l'Orléanais, Le retard que nous avons mis à répondre à la
lettre
de M. Thienetle, publiée dans votre fouille du xr
ique dernière de M. J. B., insérée dans votre numéro du 20, à notre
lettre
du 19 mars iS5i, il est bien avéré qu’on déserte
dent tous nos vœux. Espérons ! TAXIL. L'Orléanais du 25 inséra la
lettre
suivante Monsieur le rédacteur, Ilahnemann est
! TAXIL, d m. Enfin un nouvel adversaire entre en lice; voici sa
lettre
, publiée par VOrléanais du 28 : Monsieur le réd
montrer qu’elle a pour base la vérité. Le D'Taxil, dans sa dernière
lettre
, a dit qu’il avait été choisi comme accoucheur d’
ans le même journal : Nous lisons dans l'Orléanais d’hier matin une
lettre
d’un M. R..., qui n’est ni médecin ni magnétiseur
bien ne la prendre qu’au point de vue de sa relativité. Quant à la
lettre
de M. II..., nous sommes complètement de l’avis d
r le rédacteur de l’Orie'anats. Monsieur, M. le Dr Taxil, dans sa
lettre
insérée dans votre journal du 26 mars dernier, pa
s été témoin le 5i mars dernier, et que nous avions promis, clans une
lettre
du 26 expiré, de publier in extenso. On voudra bi
des qualités qui commandent le succès, et nous ne doutons pas que ces
Lettres
exercent une influence bienfaisante sur le scepti
regory lui-même dans sa correspondance avec M. du Potet. Voici deux
lettres
où se trouve énoncé succinctement , et d’une mani
sse d’Elgin. J’avais voulu utiliser ces ouvrages en écrivant quelques
lettres
sur le magnétisme, que j’avais l’intention de pub
’intention de publier; mais ils sont arrivés trop tard pour cela; mes
lettres
étaient déjà en grande partie imprimées, et elles
ée au mois de mai dernier, laquelle a été fort bien reçue. Dans les
Lettres
que je vais publier, j'entre dans les détails du
tudions les faits avec soin, la théorie viendra plus tard. Dans mes
Lettres
, que je m’empresserai de vous envoyer aussitôt qu
as du sommeil. J'ai décrit leurs procédés en détail, dans ma neuvième
Lettre
. M. Lewis, déplus, est clairvoyant à l’état de ve
prends la plume pour vous dire que l’ouvrage annoncé dans ma dernière
lettre
vient de paraître, et que j’ai dit aux éditeurs,
uméros du Journal, ot que je n’avais pas encore lu quand j’écrivis la
lettre
dans laquelle j’osais vous demander de plus ample
n nom, celui d’une autre personne, d’un objet quelconque, ou diverses
lettres
de l’alphabet, etc. La vue n’échappe point à ce
avers, disant que la lumière en rend les parois transparentes, et les
lettres
visibles. Une passe suffit souvent; quand il en
tion seront les non-voyants. Telle est, en résumé, la substance des
Lettres
du professeur Gregory; s’il fallait en relever to
ttable. D' L*** ÉPILEPSIE, CONTUSIONS. — L’extrait suivant, d’une
lettre
d’un de nos abonnés de la Ilaute-Loire, est trop
. IURTHET. Yoici quelques-uns des documents excentriques dont celte
lettre
fait mention ; nous les reproduisons imitativemen
étaient tout à fait froides. J’ai reçu, il y a un jour ou deux, une
lettre
du Dr B.-H. Davis, médecin en renom à Providence,
s. » Ceci n’a pas besoin de commentaires de ma part. L’auteur de la
lettre
est un ecclésiastique, aussi bien que médecin pra
RTHET. Yoici la traduction des documents complémentaires dont cette
lettre
fait mention. XIiECTHO-FST CHOEOGIE. Le Dr Wi
TATION DE M. FISKE. — On lit dans le Daily Delta du 26 juin 1851 , la
lettre
suivante, qui annonce le dénouement de cette affa
ts. J. B. La réplique ne se fit pas attendre; dès le lendemain la
lettre
suivante était publiée. A Monsieur le rédacteur
s en accuse depuis longtemps et sérieusement; et nous closons cette
lettre
en disant, par imitation de notre savant ami, M.
al qui prête sa publicité â l’adversaire de M. Barthet, donnait cette
lettre
le 9 mai : A Monsieur le rédacteur de l'Orléana
j’avais amené, j’en comptais là plusieurs autres, artistes et gens de
lettres
, et gens du monde, attirés comme moi par le beau
lut acquitter une dette de re- connaissance, et lui envoya dans une
lettre
une bank-note de 25,ooo fr. Cet envoi resta sans
ulter Alexis. «Le jeune somnambule n'hésita pas : «Je vois vo tre «
lettre
, dit-il à Chopin. Elle est dans le tiroir du mi-«
c’est-à-dire sacrée; ils traçaient dans ces livres des caractères ou
lettres
sacrées. Macrobe, Marcelin et les autres historio
portait des courtines du temple certains livres dis-« tingués par des
lettres
inconnues , qui suggéraient « des mots en abrégé
Loblinière. M. Joly rend lui-même compte de son système dans les deux
lettres
suivantes qui sont apostillées, comme on le verra
Québec, te 5 juillet 1851. Voilà deux mois que vous avez publié une
lettre
dans laquelle je donnais des détails sur le nouve
ler. C’est ce que je désire. Je confirme, ce que je disais, dans ma
lettre
du 5 mai, sur les maladies qui sont susceptibles
r le champ de cette nouvelle science que, dans une de mes précédentes
lettres
, je me suis permis d’appeler éleclro-iama (faute
édacteur du Canadien.) On nous communique le fragment suivant d’une
lettre
que le D' Charpignon écrivait naguère à un de ses
e, qui devait amener la guérison, selon toute probabilité. Si cette
lettre
n’était déjà bien longue, je vous parlerais des c
CIIARPIGNON. M. le Dr Ordinaire nous adresse des bains de Saxon la
lettre
suivante : Mon cher maître , C’est un revenan
sans inquiétude, répondit-elle , vos parents vont bien, seulement la
lettre
que vous attendez vainement s’est égarée; vous en
cevrez une seconde dans deux jours. » En effet doux jours après, la
lettre
annoncée arriva en même temps que la première qui
en reconnaissance des dons qu’ils ont faits à l’institution. Dans la
lettre
d’envoi de sa souscription, le prélat émet le vœu
es devineresses, médicatrices, po-limorphes et omnibus, onl pris à la
lettre
le verset de la Genèse, elles se multiplient et n
egory, D.M. Exposé de cet ouvrage, par l’auteur lui-même, dans deux
lettres
adressées à M. du Potet. Analyse de quelques part
Je vous demande pardon, Monsieur le baron, de la longueur de cette
lettre
, mais vous reconnaîtrez avec moi que le sujet qu'
. Paris. — Imprimerie de Pommi&bt et Morbao, 42. rue Yaviu.
LETTRES
D’UN VOYAGEUR SUR LE SPIRITUALISME AMÉRICAIN
TRES D’UN VOYAGEUR SUR LE SPIRITUALISME AMÉRICAIN (1) QUATRIÈME
LETTRE
. A M. le baron du Potet. Mon cher maître, J
érable docteur Hare, de Philadelphie, renouvelle, dans le cours d’une
lettre
adressée au New-England spiritualist, du 18 juill
tant en contact avec ladite table. » Plus loin, le docteur cite une
lettre
qui lui a été adressée par M. Yeadon, rédacteur d
ue je n’ai jamais eu l'occasion de constater. L’extrait suivant d’une
lettre
insérée dans le N. E. Spiritua/ist du 26 septembr
du fait suivant. Après quelques minutes, il apparut sur son bras des
lettres
presque aussi grosses qu’un tuyau de pipe. Ces le
r son bras des lettres presque aussi grosses qu’un tuyau de pipe. Ces
lettres
étaient légèrement en relief et d’une couleur rou
rougeâtre que la blancheur du bras contribuait à faire ressortir. Ces
lettres
étaient Dr. M. Les autres lettres du nom étaient
contribuait à faire ressortir. Ces lettres étaient Dr. M. Les autres
lettres
du nom étaient trop peu distinctes pour être déch
té découverts de nouveau, nous trouvâmes, tracés sur le bras droit en
lettres
d’environ un pouce de long, ces mots : I)' MayhcW
oit en lettres d’environ un pouce de long, ces mots : I)' MayhcW. Les
lettres
étaient rouges comme du sang, et si fortement en
«JimqqB H .•¡ssuauu >ü;*i îrj» .jiuwiu ut,i ui> ÎUmtA. — 111*
Lettre
, page 6Î0, ï* afinis, au lieu de onvie, 'tiw iron
its. Dans le Spiritual Telegraph du 14 novembre dernier, on lit une
lettre
signée C. Nerwood et datée de Pontiac (Mij chigie
ortent au sujet que nous étudions. En voici quelques-uns : Dans une
lettre
qui semble avoir été écrite vers 1663, et qui est
parut. Le lendemain, son domestique entrant dans la chambre vit une
lettre
cachetée, placée en évidence sur la table de trav
immense, s’il existait réellement. (i 11 mit donc un papier blanc à
lettres
et un crayon taillé dans une petite boite fermée
irmation. 5” L’Ami des Sciences du 29 novembre dernier contient une
lettre
de M. Matthieu, ancien pharmacien des armées, qui
M. Jourdan, sur le livre intitulé Clef de lu Vie, que deux hommes de
lettres
ont offert au public comme ayant été dicté par de
eur disant : « Prenez et lisez ; si vous avez la foi, vous verrez des
lettres
de feu qui vous révéleront des choses extraordina
mportance. » Dans le prochain numéro je donnerai ma réponse à cette
lettre
. Baron Du Potet. BULLETIN DU SPIRITUALISME.
ions leir influence da nous posséder. t.. bertoi»tto. Extrait d'une
lettre
que m'adresse un de mes correspondants. Dü POTET.
Robert Houdin. Les pins incrédules de la société lui présentent des
lettres
. Il décrit les personnes qui les ont écrites, don
J. HAMIIOSSON. (Gazette dt France du 24 mars. ) POLÉMIQUE.
Lettre
du Dr Charpignon à M. le baron du Potet sur les r
CONTROVERSE. i HUOf 11 ('pou se à la premier e pur tic de la
lettre
de M. H F)' Charpi-gnon, insérée dans le dernier
ôtel de l’impératrice-mère de Russie. Deux certificats et une autre
lettre
des plus flatteuses constatent, en outre, cette c
1" mars 185«. « S. N. VlCKERY. » CORRESPONDANCE. Suite de la
lettre
du !)• Char pignon à M. le baron du l'olet, sur l
inaisons et les modifications séculaires produisent les sciences, les
lettres
et les arts. Là, sont les sources vives de la pol
Ne nous emprisonnons pas, ne nous désolons pas dans le sommaire de sa
lettre
, qui divise et met en guerre ses sectes dissident
prier, si vous le trouvez bon. de donner connaissance de la présente
lettre
à la réunion que vous allez présider. Mesmer, d
réponses d'Alexis et de son admirable lucidité, nous communiquer les
lettres
de Copenhague qui confirmaient tous les détails d
SME DEVANT LA SORBONNE. M. Ch. Lévêque, professeur à la Faculté des
lettres
de Paris, a fait paraître dans la Revue des Deux-
ugement calme et raisonné. Mais quand même elle devrait être prise la
lettre
, il ne s’ensuivrait pas qu'on ne doive tenir aucu
d’un esprit très-distingué, et qui était profondément, versé dans les
lettres
grecques et latines. Un jour que je causais avec
merveilleux, que je vous rapporterais si je ne craignais de rendre ma
lettre
trop longue et vous fatiguer. J’ai guéri des épil
; je ne finirais pas de sitôt, si je ne voulais mettre un terme à ma
lettre
. J’ai éprouvé moi-même un commencement d’obsessio
e je veux vous on faire. Si vous ne redoutez pas la longueur de mes
lettres
, si ce que je vous raconte excite quelque peu vot
le papier tout couvert de marques au crayon, mais pas la forme d'une
lettre
, rien d’intelligible; elle a voulu par là me mont
ts haut placés dans les sphères et dont je parlerai à la fin de cette
lettre
). Nous devions passer devant ma maison avant d’ar
s. Pouvez-vous expliquer ce phénomène? Je ne puis pas finir cette
lettre
sans vous donner un abrégé des quelques discours
et nullement amusante. Il nous donne ensuite la seconde édition des
lettres
échangées à propos du magnétisme et insérées dans
que, par exemple, une personne lise l’écrit entier, l’exception d’une
lettre
, il faudra décider si elle a droit au prix. Au l
une lettre , il faudra décider si elle a droit au prix. Au lieu d’une
lettre
omise, il peut y en avoir deux, trois..., un plus
jouissaient certaines personnes à l’état de crise, de déchiffrer une
lettre
à distance, avec le pied, avec la nuque, avec l’e
icale, — M. le docteur Bonnet, professeur à l'école de Lyon,—dans une
lettre
adressée à l'auleur, le 8 septembro 1857 : « Vo
Baron do POTET, propriétaire-gérant. POLÉMIQUE. RÉPONSE A LA
LETTRE
DE M. LE DOCTEUR CHARPIGNOK (1). L’abondance de
’abondance des matériaux ne nous a pas permis de répondre plutôt à la
lettre
de M. le l)r Cliarpiguon. On a vu que M. Charpign
sition sociale, et qui sait joindre à de grandes manières le goût des
lettres
et des arts : c’est AL le baron de Mortemart-Bois
somnambule, il lui demanda d’écrire, dans son sommeil magnétique, une
lettre
dont lui penserait le sens et le but. Elle le fit
lui dut sa conversion au spiritualisme, etc. ; en p lysique, dans les
lettres
, par u i grand nombre d hommes et d'ouvrages rema
elui d’Alphonse, et à minuit vous partirez sans rien dire, avec cette
lettre
, pour le couvent de Reus. » Sauveur courut à l’ég
se brouiller avec un saint puissant, prit le parti de lui écrire une
lettre
qu'il fit déposer sur son tombeau ; il demandait
demandait au saint s’il permettait d’enlever le duc de son asile. La
lettre
resta pendant trois jours et trois nuits sur le t
int fit connaître ses intentions par l’écriture. On grand nombre de
lettres
autographes de Jésus-Christ et de la Vierge Marie
) Paroles de son Eminence le cardinal de Casibacaki, en réponse à une
lettre
de Mgr Gousset. exposer brièvement lesdeux op
gnorantes de toutes les choses occultes, elles ne s’attachent qu’à la
lettre
et à la matière, à ce qui est grossier, et de là
ment, parlé de scs occupations, elle m’annonça que j’aurai une de ses
lettres
et son portrait dans huit jours, et, huit jours a
emière imposition des mains par le médium. Si j’avais destiné cette
lettre
aux hommes de ma profession, j’aurais décrit minu
écouvrir. » L. Lamothe. Nous extrayons la relation suivante d’une
lettre
que nous écrit M. Bégué, médecin à Toulouse: «
ations pour donner plus de poids à la théorie mentionnée, il finit sa
lettre
en témoignant vivement la reconnaissance dont il
n épais brouillard était interposé, et ne peuvent distinguer même une
lettre
; c’est ce 'qu’ont éprouvé plusieurs des personne
ons. BIBLIOGRAPHIE. SPIRITUALISME, failt curieux précédés d'une
lettre
à M. Mabru, par Paul Auguez. Broch. in-8; chez Dc
’il est toujours possible, en arrangeant les mots, en intercalant des
lettres
et des syllabes , non-seulement de trouvér un sen
, et l’on conçut de graves inquiétudes. M. Auguez m’écrivit alors une
lettre
cachetée que je ne devais ouvrir qu’après un cert
nça la mort de M. X..., qui était arrivée un mois.après l’envoi de la
lettre
. Nous avons toute confiance dans le témoignage
resse et dont M. Mabru est le type, ne manquera pas d’objecter que la
lettre
cachetée n’a été adressée qu’à une époque où la m
nts, au fur et à mesure qu'ils ont lieu. Enfin, M. Mabru insère une
lettre
de M. Tiedemann sur deux séances du fameux Home :
plus clairs, plus accessibles au commun des intelligences. Après la
lettre
à M. Mabru vient l’extrait du compte-rendu du ban
s cures magnétiques. Le Spiritual Telegrah, du 28 août, contient la
lettre
suivante, datée d’Ontario (Indiana), du 6 août de
pures; il vous recherchera en mariage ; je le vois vous remettre une
lettre
; par cette lettre, adressée à votre mère, il dem
herchera en mariage ; je le vois vous remettre une lettre ; par cette
lettre
, adressée à votre mère, il demande votre main. Un
urprise de ce magnétiseur, lorsque, le 14 septembre 1857, il reçut la
lettre
suivante que j’ai sous les yeux en ce moment :
belle fortune... C’est une chose incompréhensible. a En recevant mà
lettre
, vous serez sans cloute bien surpris, même je cro
du 13.) Ce n’est pas la première fois qu’un journaliste reçoit des
lettres
anonymes au sujet du magnétisme. Il est remarquab
me rappelle que M. et madame de Girardin reçurent une quarantaine de
lettres
anonymes pour avoir, dans un autre temps, publié
t dansantes. Le maître de la maison écrirait volontiers au bas de ses
lettres
d'invitation : on dormira. » On n’a pas besoin
tant de cris et de colères. « Je cherche, dit encore Mesmer dans sa
lettre
à Marie-Antoinette , un gouvernement qui aperçoiv
incrédulité une superstition , comme disait le comte d’Orsay dans une
lettre
qu’on me permettra de reproduire ici : i' Oui,
aient, comme moi, la franchise de l’avouer. » Si M. Mabru lit cette
lettre
, il dira : « Que m’importe ! c’est un homme du mo
jouiraient certaines personnes, à l’état de crise, de déchiffrer une
lettre
, à distance, avec le pied, avec la nuque, avec l’
aron du Potet ; le jour d’ouverture en sera fixé incessamment, et une
lettre
d’avis sera envoyée aux souscripteurs. Baron du
s en est encore à cet alphabet, elle balbutie, estropie les premières
lettres
; heureusement pour elle, elle s’essaye chaque jo
M. de Reichenbach a publié vers 1851, si nous ne faisons erreur, les
lettres
odiques qui ont été traduites en français, et don
je ne sache pas qu’aucun magnétiseur, depuis quelque sept ans que les
lettres
odiques ont été publiées et traduites en français
e M. de lteichenbach, et d’autantplus inexcusables, — que l’auteurdes
Lettres
odiques n’a pas fait là une simple affirmation en
de l’auteur, c’est d’avoir des sujets sensitifs, nous avons, lors des
lettres
odiques, essayé d’un moyen facile qu’indiquait al
la sens bien. Diderot est aussi naïf et aussi judicieux dans celte
lettre
adressée à M"* Volainl, le 23 septembre 17G2 : «
i demandait même l’interprétation de scs rêves (3). Il résulte de ses
lettres
qu’il prenait le plus vif intérêt à ces hautes sp
ents qui l’animaient. Gustave Goossens. (La suite à une prochaine
lettre
.) DES ANESTHÉSIQUES. CHLOBOFORM& — MAGNÉT
en, par M. Morin, 304. Spiritualisme. Faits curieux, précédés d une
lettre
à M. Mabru, par M. Paul Auguez. Examen critique,
pondant et ami Jos. Barthet, sur cette singulière affection. Voici la
lettre
qu’il a adressée aux éditeurs de l'Abeille. Mes
du somnambulisme, ils se seraient (1) M. de Ilumholdl adressait la
lettre
suivante à (’Académie des Sciences , au mois d’av
C’est par dérogation à ce principe, que nous publions aujourd’hui la
lettre
qu’on va lire ci-après. Il est si rare de trouver
expliquer. N’apercevant point d’issue à ce débat, nous écrivîmes la
lettre
qui suit à M. Émile de Girardin : Monsieur, L
nsidération distinguée, DU POTET. Paris, 21 janvier 1850. Cette
lettre
est restée sans réponse. Peut-être avons-nous à n
rveilleux de la magie magnétique avant de 9e prononcer. Dü POTEf.
Lettre
de Mesmer. — Les hommes intéressés à l’échec du m
it le mobjle dç ses actions. En vain, ses partisans opposaient-ils sa
lettre
à la reine, dans laquelle il déclare si explicite
h délicatesse et le désintéressement contestés de notre maitre. Cette
lettre
n’est point écrite de la main de Mesmer, il l’a s
émocratie pacifique. — La Foix du peuple, du 27 janvier, publie une
lettre
du nommé Gilly, attestant qu’il a été guéri, par
chrét., n° 24*) que les anges ont une écriture en partie composée de
lettres
arabes et hébraïques I que du contradictions! q#e
caractère de la vérité. DU rOTET. Propagande. — Le contenu de la
lettre
qu’on va lire, mérite d’être pris en sérieuse con
ert (de Garnay). Monsieur, Vous me demandiez, dans votre dernière
lettre
, quelques renseignements sur l’état du magnétisme
sses de prudence sont un consentement écrit des parents , ou bien une
lettre
do demande (cela servirait au moins de pièco à l’
ulape n’aurait dû sortir que confus, humilié. Fête de Mesmer. — Des
lettres
d’iuvitation au banquet mesmérien vont être adres
si publics, Sont vrais, ce qui était si facile, ott m’à adressé deux
lettres
anonymes, qui font bien peu d’hénneur â leurs aut
ipe'nq tliobâff .-nupnma -nicl / >n • Magie, r** Oh lit dans «ne
lettre
publiée par la Preuè, en date de Haïti, 8 février
Le seul trait remarquable de cet enseignement a été la lecture d’une
lettre
inédite d’Alexandre Dumas, sur l’immortalité de l
« disait une personne de la société, â faire lire à votre « élève une
lettre
cachetée, sans que vous-même « ayez pris connaiss
etée, sans que vous-même « ayez pris connaissance du contenu de cette
lettre
? « — Non, monsieur, répondis-je ; je ne crois
rs séries de ces objets. Il était guidée comme mai, par l’ordre des
lettres
alphabétiques. Voici la série que je fis dire dan
commençai. On va voir que le tour n’était pas difficile, l’ordre des
lettres
de l’alphabet étant suivi pour mieux guider la mé
n ‘ést Wtft mécanique, puisqu’il repdsé sur une simple permutation de
lettres
. Concluons. L’analogie des résultats est si f
iation du jugement. (Gazette des tribunaux.) Fête de Mesmer. — La
lettre
suivante vient d'être adressée aux convive s des
h. COSSON. IIÉBEKT (de Camay.) Clairvoyance. — Nous extrayons d’une
lettre
de notre correspondant de la Nouvelle-Orléans le
ile. Sa Seigneurie fut. un jour, très-surprise par le contenu d’une
lettre
officielle sur le mesmérisme, que lui adressaient
quelle il l’a tracé. « Après m’être procuré du papier pour écrire une
lettre
, dit-il, j’eus le désir de descendre jusqu’à la r
lle sphère votre esprit s’est manifesté. » Maintenant, examinons la
lettre
de Davis à Busch, et le document dicté, dit-on, p
hkeepsie, était d’écrire, sous la dictée d’un pouvoir surnaturel, une
lettre
destinée au professeur Bush, ainsi que l’indique
qui est conforme, du reste, avec l’opinion de noire auteur. I ne
lettre
adressée à Swedenborg ! Voilà, certes , une bien
certes , une bien singulière correspondance. Comme on n’écrit pas une
lettre
à quelqu’un pour qu’elle ne lui parvienne pas, on
s embarrassé, ici, parce que nous ne voudrions pas supposer que cette
lettre
, destinée à Swedenborg, dût seulement rester entr
sition. D’un autre côté, quel intérêt pouvait olfrir à Swedenborg une
lettre
entièrement composée de phrases, de sentences pri
drait supposer un but. A quoi lui aurait servi de se faire écrire une
lettre
qu’il aurait dictée lui-même et qu’il aurait lue
je fis la vérification de tous les passages cilés qui composaient sa
lettre
, et je remarquai qu’ils étaient tous parfaitement
andant sous l’influence régénératrice des rayons de la vérité, non la
lettre
, mais l'esprit des sublimes maximes de l’évangil
1850. Mon cher Président, Comme je vous l'ai dit dans ma dernière
lettre
, le magnétisme a fait à Rennes de considérables p
t dans nos rangs par les événements politiques est comblé. Bien des
lettres
d’adhésion ont été adressées à la commission d’or
ict d’acquittement. A l’issue de ce procès, M. de Rovère publia une
lettre
explicative de ses opinions et de sa conduite, do
’est par le souvenir des œuvres utiles que le bien se perpétue. Leurs
lettres
sont toutes empreintes du même sentiment. La pe
e chacun. Une seule marque d’improbation s’est produite : c’était une
lettre
anonyme; et l’auteur supposé, mis en demeure de s
t el Notré. \oy. Journal du Magnétisme, I. V , paga 5t. (2) Voy. sa
Lettre
à Delevze, faisant suite à l’Instruction pratique
e disent pas que les somnambules sont infaillibles; et l’auteur de la
lettre
citée a bien eu soin de dire : « Si le renseigne-
ion, a reçu cette année sa pleine consécration. Voici l’extrait de la
lettre
par laquelle le président nous informe de cet heu
ssez d’éloquence pour triompher ! J. M. RIEDER. En outre de cette
lettre
, M. Riéder nous a envoyé un extrait des minutes d
ur grouper autour d’elles la force et la considération, il écrivit la
lettre
suivante: A Monsieur le baron du Polet de Scnne
sentiments sincèrement dévoués. MONGRUEL. Le signataire de cette
lettre
n’étant guère connu de son destinataire que par d
enir, songes, mariages, héritages, etc. Consultation verbale ou par
lettre
. Cette annonce eut un grand succès, el attira c
mandèrent des talismans. La réponse suivante, conservée aux copies de
lettres
de la Sibylle , en lait foi. En passant, remarquo
ontinuellement des annonces dans les journaux. On a saisi quantité de
lettres
de clients habitant des départements éloignés, «e
t de la santé ébranlée de sa femme, a donné son désistement, dans une
lettre
qu’il lermine en disant qu’il est bien à désirer
e contre les dupes mêmes qui se laissent abuser; car il a traduit ces
lettres
par les mots : O temporal ô mores! ce qui indique
de l’existence du magnétisme, mais cela dépasserait les limites d’une
lettre
, que vous trouverez peut-être déjà trop longue. J
té que nous défendons tous, je prends la liberté de vous écrire cette
lettre
pour vous faire connaître ce qui m’est arrivé dan
nous ne pouvons mieux faire que de citer le dernier paragraphe de sa
lettre
: « J’aime, dit-il, à quitter cette terre de ma
agnétiseur «le la Pylhonui*. magnétiseur de la Voyante, Nota. Celle
lettre
devra être représente en entrant (I). « C’était
ers midi, avant la rédaction de la circulaire ci-devant rapportée, la
lettre
suivante, dans laquelle l'assemblée a trouvé une
rouvé une preuve réelle de son abnégation individuelle (2). « Cette
lettre
, remise entre les mains propres du destinataire,
teution de se faire abriter par de« réputations intactes. (2) Cette
lettre
était adressée à M. du Potet; elle se trouve dans
langues et des mots restés incompris jusqu’à ce jour. « Enfin , la
lettre
morte va se vivifier pour faire luire une vérité
cusation et aux dires du réquisitoire. Cette inexactitude a motivé la
lettre
suivante, qui leur a été adressée en redressement
sges, 20. BEI.LOT, ministre, rue de Rivoli, 34. BEAUDOT, homme de
lettres
, à Bar-le-Duc. BERGUE (de), filaleurà Lizieuv B
vit au journal précité, et à ceux qui avaient reproduit l’article, la
lettre
suivante, qui fut insérée sans commentaires. Mo
BELI.OT, ISAAC, MARCILLET, LE MAIRE. Paris, le 1850. N. B. — Les
lettres
d’adhésion doivent être adressées franco à M. Mon
voquée chez M. Mongruel, dans les derniers jours d'août. On y lut une
lettre
d’adhésion du vénérable Laforgue, en faisant ress
urs 10 fr. . D. N’étes-vous pas allée la consulter une fois sur une
lettre
que vous avez reçue ? — R. Oui ; il s’agissait d’
ui ; il s’agissait d’une allaire très-grave : elle me dit que cette
lettre
était d'une daine; ce n’était pas cela du tout, e
la séance du 9 Mai est lu et adopté. La correspondance comprend des
lettres
de M. le Dr Auard Diaz, de M. de Jolly, de M. Cam
dividualité de l'écriture se manifeste dans la forme, la grandeur des
lettres
, etc. » Cette individualité doit forcément corres
t perdu le langage, l'avait petit a petit recouvré, à l'exception des
lettres
f, l, r, qu'il ne pouvait pas davantage écrire ;
préférence, et dans celui de gauche pour l'ordonnance de la forme des
lettres
. Quand ce centre est détruit ou oblitéré, il es
e résistance plus ou moins forte, elle produira une forme variable de
lettres
. Ainsi le cerveau n'est pas toujours dans un ét
nnant un même mouvement à la main, le résultat sera une môme forme de
lettre
, et cette forme sera donc bien la représentation
ntale et directeur du laboratoire psycho-physiologique. Faculté des
lettres
de Montpellier- — M. Lionel Dauriat a commencé à
ttres de Montpellier- — M. Lionel Dauriat a commencé à la Faculté des
Lettres
de Montpellier, un cours do psychologie physiolog
émoignages de sympathie. M. le secrétaire général donne lecture des
lettres
et télégrammes d'excuses de MM. les Drs Baréty, d
osophie au lycée Condorcet. M. le secrétaire général donne lecture de
lettres
de MM. les Drs Ernould. de Liège, et Auard Diaa.
iété de leur admission, il. le secrétaire général donne lecture d'une
lettre
de M. le Dr Lioyd-Tuckey. qui fait part à la Soci
al de la séance du !3 juin 1892 est lu et adopté, après lecture d'une
lettre
de M. le Dr Schrenk Notzing. de Munich. Notre col
Au dessert, M. le secrétaire général donne lecture des télégrammes et
lettres
d'excuses du MM. le Dr Apostoli, Gautier, Oscar J
blesse do sa vue, qui ne lui permettait pas de distinguer les grosses
lettres
à une faible distance, la suggestion lui fut fait
on lui fut faite immédiatement de voir de loin et de pouvoir lire le»
lettres
les plus unes. Cette suggestion fut renouvelée
s moi toute la série de chiffres depuis 1 Jusqu'à 30; puis toutes les
lettres
de l'alphabet. Au fur et à mesure que j'avançais
redisanl qu'il mourra vieux, et qu'il aura une belle pierre avec des
lettres
d'or sur sa tombe. Ce sceptique s'amuse même des
cien élève de l'École normale supérieure, professeur a la Faculté des
Lettres
de Lille. Dans l'opinion courante, l'orateur es
gcan, membre de la Société. La correspondance imprimée comprend des
lettres
de MM. les Dr Burot. David, Bonamaison, Martinet,
surprise la nuit lisant des feuilletons dans son lit ou écrivant des
lettres
anonymes aux habitants du pays, à son patron, à s
, M. Rollinat a trouvé dans sa paillasse de la chandelle, du papier à
lettre
et des brouillons de lettres. Elle était paresseu
sa paillasse de la chandelle, du papier à lettre et des brouillons de
lettres
. Elle était paresseuse et menteuse. CONCLUSIONS
la Faculté de Bruxelle. « Henri Nizet. • Docteur en philosophie et
lettre
. docteur en droit des Facultés de Bruxelle. » N
orée était un peu spéciale et ne portait que sur la voix chantée. Les
lettres
, la vois parlée, les notes de musique n'éveillaie
er la partie malade. J'extrais les renseignements qui suivent de la
lettre
qne le mari a bien voulu m'écrire a ma demande, a
élioration de son état psychique, c'est ce qui résulte du reste do la
lettre
qu'on vient de lire et que son mari m'écrit le 9
d'autographes est une des plus curieuses du Musée, entre autres trois
lettres
de Napoléon III député, président, empereur. Puis
autre vert. A travers ces lunettes le sujet lit sur un cadre noir six
lettres
recouvertes de carrés de verre alternativement ro
t rouges et verts. En regardant les deux yeux ouverts, on lit les six
lettres
; en regardant avec un seul œil. l'autre étant fe
bernheim. verre de lunette correspondant à l'œil qui regarde : les
lettres
rouges si c'est l'œil à verre rouge qui regarde ;
e : les lettres rouges si c'est l'œil à verre rouge qui regarde ; les
lettres
vertes si c'est.l'œil à verre vert. Ceci résulte
os amblyopiques par suggestion regardent à travers la lunette les six
lettres
, les lisent seuls sans hésiter, donc ils voient d
l amblyopique Si on leur ferme cet œil. alors ils ne voient que trois
lettres
. J'ai établi que l'achromatopsie, comme l'amaur
ts étant armés de la paire de lunettes rouge et verte, il lit les six
lettres
et reconnaît leurs couleurs, tandis que l'œil dro
l'œil gau- che armé du verre rouge étant fermé, il ne voit que les
lettres
vertes correspondant I l'œil droit. Ce résultat m
couleurs, mais, d'autre part, distingue les objets, puisqu'il lit les
lettres
: et cela sans qu'il y ait vision binoculaire, pu
uisque l'œil droit, d'après la théorie de l'appareil, ne voit pas les
lettres
vues et reconnues par l'œil gauche seul. On pou
fermé, l'œil gauche armé du verre rouge étant seul ouvert, il lit les
lettres
rouges ; l'œil gauche armé du verre vert lit les
, il lit les lettres rouges ; l'œil gauche armé du verre vert lit les
lettres
vertes, sans reconnaître, il est vrai, la couleur
res expériences, les deux yeux ouverts sans lunettes, il voit les six
lettres
et les six couleurs, avec l'œil droit seul, il le
ait très bien les cinq dernières lignes; il distingue nettement les
lettres
noires sur un fond blanc. Mais plus près, il ne p
e cinq pas ; plus loin la vraie couleur apparaît. Les couleurs et les
lettres
de l'appareil Snellen. avec l'œil gauche seulemen
s tard, jamais depuis, autrement que verbalement, sans hypnose ou par
Lettre
. Les quinze jours qui suivirent nous pûmes avoi
firmée en termes plus formels encore par M. le Dr Chevandier dan» une
lettre
par lui adressée, le 18 juin 1892. au comte de Co
partements se préoccupe beaucoup plus, dans des cas semblables, de la
lettre
que de l'esprit de la nouvelle loi sur l'exercice
vient-elle s'asseoir dans cet hémicycle universitaire avec ses sœurs,
lettres
, sciences, droit, qui donnent un enseignement pur
La pensée humaine qui émane du cerveau, souvent vague et confuse, les
lettres
la recueillent et la dégagent nette et précise à
celle parole aussi éclaire et agrandisse la pensée de l'homme. Les
lettres
étudient l'humanité collective, fouillant les arc
; la psychologie est un domaine sur lequel se rencontrent l'homme de
lettres
et le médecin. Les sciences explorent la nature
faciens miracula, atque lucrans mirabililer ! Il faudrait méditer La
lettre
qu'écrivait de Jérusalem a sa mère ce grand espri
s tans attention soutenue. Là encore j'aperçois une femme déposer une
lettre
sous le socle d'une statue de la Vierge! Les conf
ade doit s'endormir après avoir entendu réciter l'alphabet jusqu'à la
lettre
P. Dans cette séance, l'état de somnambulisme est
ortie de l'hôpital. 17 décembre 1892. — Mlle 8... nous répond à une
lettre
que nous lui écrivons : » Je ne puis vous donner
par le Dr Olinto del Torto. La correspondance imprimée comprend des
lettres
de plusieurs membres s'ex-cusant de ne pouvoir as
893. — Présidence de M. Aeoêm Voisin la correspondance comprend une
lettre
de M. Dumowpallier, président, qui s'excuse de ne
prendras le vase et lu feras. » Cette suggestion fut accomplie à la
lettre
, l'enfant s'éveilla, alla les yeux ouverts au vas
pouvait être portée que sur le terrain de la libre discussion. Les
lettres
des témoins ont été publiées dans le Progrès médi
it ses vêlements de prisonnier, on trouva dans ceux qu'il quittait la
lettre
suivante, adressée à sa femme : « Baraques, neu
toi. « Adieu, adieu, mou bébé, Fifine » E... reconnaît bien, cette
lettre
, quand noua ta lui montrons, pour être de son écr
il nous révèle Immédiatement les circonstances dans lesquelles cette
lettre
a été écrite; c'est lorsque, conduit à la caserne
osition de ses camarades confirme le fait matériel de récriture de la
lettre
à ce moment; tous ont remarqué que E... avait l'a
cédente est lu et adopté. La correspondance manuscrite comprend des
lettres
de MM. Plista. Bourdon, rie Méru; Petersenv de Bo
te séance est lu et adopté. La correspondance imprimée comprend des
lettres
de MM Persae, Dr Jean Crocq, Bourdon (de Méra).
ait dû l'eue. Il n'en a pas été ainsi, et c'est ce qui nous a valu la
lettre
suivante que nous adresse un de nos collaborateur
ant un verre muge et un verre vert, et lui fait lire sur un cadre six
lettres
imprimées sur des verres alternativement verts et
seul (le gauche-étant fermé} avec le verre rouge, ne voyaient que les
lettres
sur un verre rouge et non les vertes : mais, si o
laissait les deux yeux ouverts, elles lisaient couramment toutes les
lettres
sur verre rouge et sur verre vert ; elles lisaien
ace de la fenêtre, et lui dis de suivre avec un crayon le contour des
lettres
qu'elle y voit tracées. L'hallucination suggérée
ée s'est produite, elle lit le mot Marie el trace avec son crayon les
lettres
marie. Toute celle première partie de l'expérienc
re exactement avec le crayon les traits qu'elle aperçoit et voici les
lettres
qu'elle trace : eiram. Elle a donc bien tracé au
ait vu réellement par transparence, elle aurait aussi renversé chaque
lettre
, ce qu'elle n'a pas fait. Donc, elle a bien vu qu
ui aussi, renversé ; aussi elle l'écrit en commençant par la dernière
lettre
; toutefois, l'itallucination n'est pas assez prof
l'itallucination n'est pas assez profonde pour que la main trace les
lettres
à l'envers. Nous savons tous qu'il y a une certai
qu'il y a une certaine difficulté, un effort à faire, pour tracer des
lettres
conttairemenl à l'habitude acquise, l'hallucinati
séance précédente est lu et adopté. La correspondance comprend des
lettres
de M. le D' Bechterew, président de la Société de
tants après, je la réveille. Sur mon invitation, elle écrit une bonne
lettre
à sa protectrice. « Ensuite, pour preuve irrécu
femme, il s’écria : « Voyez-vous Dimitri « là-bas au piano. » « La
lettre
décrit ensuite mon costume, dans lequel se remarq
ut comme un agent essentiellement thérapeutique. Depuis ma dernière
lettre
, je suis retourné deux fois à M.Hall (1). La prem
r opérer une guérison radicale. J’ai reçu, il y a quelques jours, une
lettre
dans laquelle celte dame me dit : « Je n’ai eu au
s peu et disait à son époux ces quatre mots : (I) Voir une première
lettre
du docteur Charpignon, n° 103, pa^es 191 et suiva
ie avec la suivante, qui était déjà gravée lorsque nous avons reçu sa
lettre
, et comme elle est plus complète nous la donnons
et les phénomènes se produisent admirablement. ; I ) Vuir, pour les
lettres
précédentes, le n° 83, p. 339etsuiv,; le n"86, p.
le il» 100, p. 8ü et suiv. ; le n" 101, p. 203 et suiv. ; et pour les
lettres
du docteur Charpignun, le n» 93, p. îîtil et suiv
storique de votre démarche. Le matin du 20 mai, j’eus de vous cette
lettre
: « Orléans, le 28 mai. c Très-cher Confrère,
eur Gatti, Directeur de l’institut Homœopathique de Gènes. Voici sa
lettre
: Paris, li! S juin 1861. « Mon cher Confrère
s, le 11 juin. « Mon cher Confrère. « M. Piérart m'a fait lire la
lettre
par laquelle vous expliquiez votre absence à la r
me cette expérience a du retentissement dans nos journaux, et que vos
lettres
en ont parlé, j’ai écrit à M. du Potet les impres
la plus mauvaise opinion. En effet, sans le secours de votre dernière
lettre
, je n’eusse pas trop compris l’ambiguïté de ces p
et je vous en remercie, en passant, des conseils que me donnai1 votre
lettre
privée ) ; mais, — pardonnez à ma vieille franchi
simplement en touchant cette eau ; on en trouve des exemples dans la
lettre
d’un médecin étranger h M. Deleuze (I). Mais ils
accomplie. Cependant, vers la fin de mon séjour au château de R., une
lettre
annonça que la comtesse AV. venait de mettre au m
enait de mettre au monde un fils; et deux jours plus tard une seconde
lettre
annonçait que sa santé donnait de graves inquiétu
es de sa sœur. Quelques jours après mon arrivée à Paris, je reçus une
lettre
qui m’apprenait sa mort. La comtesse M. vint avec
ces Messieurs, car les matériaux qui composent le livre, tels que les
lettres
du I)r Frappart, relatives à madame Cornet, un ex
étreinte. Mais je m’arrête, le journal devant donner d’ailleurs la
lettre
que le doyen des médecins français a écrite à M.
bien que M. Comet ne s’en tiendra pas là. E. A. M. Paris. Voici la
lettre
dont nous avons parlé plus haut : VU DOCTEUR CO
ité, » vera (I) Voir len° 105, page23) et suivantes. ¡2) Voir les
Lettres
au Dr Charpignon, n*‘ 85, page 339 et suivantes;
111; 106, p. 280. Voir en outre, dans la collection du Journal, les
Lettres
à M. le baron du Potet, sous le titre : Confessio
r d’exceller partout avec une semblable dialectique. » J. S. Queshé. (
Lettres
sur le Psychisme, Sédition, Paris, 1818.) SIMPL
acception intime ? Je ne le pense pas, et le Christ a dit : C’est la
lettre
qui tue et l’esprit qui vivifie ; (le mot « espri
pris ici sans métaphore). — Je ne sais si je me serais gardé de cette
lettre
en lisant l’intéressant rapport que vous avez adr
tives doit marcher de pair la logique art de raisonner.) Dans votre
lettre
vous avez raisonné individuellement sans faire us
able, malgré les paroles même du Christ qui, je le répète, a dit : La
lettre
tue cl l’esprit vivifie, je ne désespère pas, dis
agnétisé. J’adhère complètement aux deux dernières phrases de votre
lettre
, où vous dites aux membres de la Société de magné
les remèdes lesplus simples et les plus efficaces. » (Extrait d’une
lettre
de l’évéque de Lauxane et de Genève à la Sacrée P
nseignements d'un ami à qui ils ont été récemment communiqués par une
lettre
de M. le docteur A. P. Pope... a D'après Lelian
es les plus ténus, dans un corps vivant cl organisé. » J.-S. Qceskè. (
Lettres
lur le Psychisme.) a Les idées ainsi revêtues d
e les molécules organiques, et les met en mouvement. » J.-S. Quebré. (
Lettres
sur le Psychisme, page 35.) Dr Clever de Maldig
inée. » Em.Saisset, professeur Agrégé de philosophie à la Faculté des
lettres
de Paris, maître de conférences à l'Ecolenormalc
e produit de la même action sur la sensibilité interne. * A.Pezzahi. (
Lettres
à il. Lelut, sur le sommeil, le s omnambulisme, e
s’enTlormit-elle? — Plus d’une (1) Elle fa il partie de ma première
lettre
au I)1 Charpignon; lettre ayant nn motif préalabl
’une (1) Elle fa il partie de ma première lettre au I)1 Charpignon;
lettre
ayant nn motif préalable et clairement énoncé, ce
’était la première fois qu’il passait dans cette ville. Il écrivit la
lettre
suivante au docteur Macario, qui s’était enquis p
ue va penser de cela le citateur de la « boutade » ? Va-t-il, par une
lettre
particulière, du genre de celle que j’ai reçue, t
pas de réponse.— Certificats donnés à Mesmer par ses malades. III.
Lettre
de Mesmer & M......— Réfutation de la Faculté
s au nom de Sa Majesté. — Quelles elles sont. — Refusées par Mesmer. —
Lettre
do remerclments à Maric-Antoinette, et départ pou
: les phrases s’interrompent ou se construisent défectueusement; les
lettres
se succèdent sans ordre; ce sont des mots dépourv
(1) Voir les n"* 112, 113, 111, llü, 110 el 117. (2) Lire aussi les
Lettres
d'un voyageur sur le Spiritualisme américain. par
entrepris non plus les choses singulières, mentionnées par ma seconde
lettre
au docteur Charpignon ? C’est que « les principau
mais votre âme (lisez votre corporéité fluidéide), peut, par la (1)
Lettre
particulière. (2) Voir page 238. (3) Voir pag
sse de sa réparation (1). (1 ) Le journal do Genève, en relatant la
lettre
du docteur Castle, ignore Du moins, M. Albert L
lité recommandait de mettre en lumière. J'ai lu l'autographe de cette
lettre
adressée au directeur de la Revue Spiritualiste,
s Esprits, ce seront les démons et les damnés, c’est-à-dire, selon la
lettre
pastorale de l’évèque de Viviers, des êtres dégra
j’ai indiqué et qui, ainsi que je l’ai déjà dit, est contenu dans la
lettre
cTun médecin étranger à M. Deleuse. u Avant de
p. 39. Tome XX. ts.-N" 119. — 2* Série. —10 décembre 186«. cette
lettre
resta sans réponse, malgré les efforts de M. Le R
titre ; Il MÉDECINE. ii En donnant la plus prompte publicité à la
lettre
de (1) N-232 du I‘J août. p. 987 et 988 « M.
s, d’où ils devaient partir pour aller à Gréteil, on leur « remit une
lettre
de M. Le Roux dans laquelle il leur expo-« sait q
e ;...... « . . . .et que M. Mesmer l’avait chargé d’écrire cette «
lettre
aux commissaires, en leur offrant ses excuses.
ités à n Créteil. Ce fut donc une grande surprise qu’Elle reçût une «
lettre
du 11 mai 1778, dans laquelle M. Mesmer désavouai
11 Mémoire sur la découverte du Magnélhme an. ln-12 de 88 p. (2i
Lettre
à M. d'Eslon du 30 mars 1770. 3, Prccts histori
r du Régent, el de celle de Louis XVI : (1) Correspondance secréle.
Lettre
du 22 octobre 178u. « Il y avait au milieu d’un
favorable à la découverte, » le gouvernement après avoir reconnu par
lettre
ministérielle que M. Mesmer a fait une découverte
il partit le 31 mars 1781 pour les eaux de Spa, après avoir dans une
lettre
respectueuse du 29 mars remercié la reine « d’avo
négal dans la profondeur de ses lignes, un serpent enlacé. Les quatre
lettres
D, S, L, F, encadrent la figure diabolique. A la
que Clément d’Alexandrie nomme parmi les mots qui portaient le nom de
lettres
milésiennes, et dont les magiciens se servaient d
le fromage; le lait, Aptinj- était une sorte de juron. Ainsi ces
lettres
milésiennes avaient laissé des souvenirs jusque d
e l’on retrouverait également dans les livres de magie les traces des
lettres
éphésiennes, plus célèbres encore que les milésie
mmes, de fantômes, etc., 387 , 406. Lucidité (de la) somnambulique.
Lettre
de M. le Dr Gama à M. le Dr Comet, 360. Magie (
, par le Dr Comet. Mention, 271. — Compte rendu, par M. Paris, 355. —
Lettre
de M. le Dr Gama, adressée à l'auteur. 360. LIS
, sénateur ; M. Lionel Dauriac. professeur honoraire à la Faculté des
lettres
de Montpellier ; M. Muteau, député ; M. le Dr Ber
5 septembre 1908, je reçois d'un médecin de la Seine-Infé-rieure une
lettre
me disant en substance : « Je désire vous envoyer
redi, à S heures, j'attends en vain la malade annoncée. Le lendemain,
lettre
explicative de mon confrère : cette personne est
la société dont le progrès est toujours croissant. H donne lecture de
lettres
d'excuses de Mil. les docteurs Witry, de Trèves-s
t pour le bonheur humain que tels héros dont les noms s'inscrivent en
lettres
de sang sur les pages de l'histoire. Méthodes p
re mentalement des calculs, il trace un schéma, le corrige, place des
lettres
. Il s'arrête, regarde avec attention ce qu'il
me Jules César d'ailleurs, pouvait dicter à ses secrétaires plusieurs
lettres
à la fols. Acceptée telle quelle, cette légende s
matiques. Plus nombreux qu'on ne le croit sont ceux qui prennent à la
lettre
une prescription médicale, surtout dans la partie
est un régime plus sobre et une existence plus active. ” Prenant à la
lettre
cette prescription qui correspondait d'ailleurs à
s amis et des fanatiques, demandons à l'histoire, aux beaux-arts, aux
lettres
, enfin et surtout à l'agiographie et au martyrolo
st la seule chose que je vous demande. » (Vie de Ste Thérèse, Ollier,
Lettres
. I. 390). (1) H. Lemesle. Le Martyre de Robert
squ'à la fin a voulu « que rien ne se fasse sans beaucoup souffrir. »
Lettres
I. 83. Si maintenant, quittant les « siècles de
douté que le centre du christianisme ne fut « dans la souffrance ». (
Lettres
I. 276). (A suivre.) PÉDAGOGIE La pédagogie
stallée l'année précédente. Cette fois. Liégeois accepta et, dans une
lettre
des plus élogienses. le ministre lui exprima sa s
s'étendait bien au-delà. Auditeur assidu aux cours de la Faculté des
lettres
, on y tenait à son jugement comme ù celui d'un ma
elqu'un que deux plus deux font quatre. En effet, si on la prend à la
lettre
, l'enseignement, la lecture, la conversation, les
ux qui savent voir sont unanimes à le proclamer. Mgr Mignol, dans une
Lettre
sur VApologétique contemporaine, écrivait : « A l
plus qu'aux croyances surnaturelles. » Cité par F. Bkl-netièbe : Cinq
lettres
sur Ernest Renan. Paris, 1904, ln-l2, p. 84. Voir
« exception, même les plus mélancoliques et les plus tristes ». (VI0
lettre
à la princesse Elisabeth). La. Fontatse n'a-t-i
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de MM. les Docteurs Lingbeck (de la Haye), Berthe
tres symptômes observés, vous pouvez vous en rendre compte d'après la
lettre
suivante que je viens de recevoir de la malade :
ecrétaire-Général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
des Docteurs Macartney (de Montevideo). Smir- . n
après sur le même bras gauche, un pen plus en dedans est appliquée la
lettre
;t C " (une lettre de galoche) en enivre et plate
ras gauche, un pen plus en dedans est appliquée la lettre ;t C " (une
lettre
de galoche) en enivre et plate;je dis à l'expérim
put distinguer une rougeur, non à l'endroit où avait été appliquée la
lettre
, mais autour de la brûlnre précédente. Elle rappe
urplombant la surface de la peau, de forme irrégulière, rappelant une
lettre
" C " déformée, de moitié plus petite que la lett
re, rappelant une lettre " C " déformée, de moitié plus petite que la
lettre
appliquée (longueur 11 m.m., largeur 6 m.m.). Aut
ue ce contre-temps les ait privées du plaisir d'y assister. Parmi les
lettres
d'excuses qui nous sont parvenues, nous devons me
au front, pour ses contemporains, d'un signe aussi indélébile que les
lettres
de feu imprimées jadis sur l'épaule des forçats.
précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des
lettres
de MM. Crispulo Diaz (de Porto Rico) ; Douglas Br
e dès à présent que je possède, dans ma collection d'autographes, des
lettres
de cet artiste incomparable pour lequel j'ai une
sont parvenues pendant la durée de sa pénible prostration. Toutes ces
lettres
offrent, dans leurs transcriptions, des traits pa
ue je le vis pour la première fois. Il m'adressait souvent de longues
lettres
toutes imprégnées d'une grande tristesse a traver
ses tristes épreuves, et, il ma été facile, en lisant les nombreuses
lettres
qu'il m'a écrites dans les diverses phases de son
les ambitieux, dénote que sa pensée obéit à un souffle intérieur. Les
lettres
sont inégales, tantôt dextrogyres, tantôt sînistr
s les règles connues et se trouvent placées sans raison en dehors des
lettres
auxquelles elles doivent être rivées. Ce défaut e
sistante et parfois lourde ou empâtée ; les mots sont mal formés, les
lettres
offrent un lamentable aspect de débilité. Les bar
une descente très rapide. Peu de ponctuation, peu de liens entre les
lettres
et les mots, des taches inexplicables, une accent
précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des
lettres
de MSI. Jutes Voisin. Paul Magnin, Moret. Demonch
mesure d'expliquer l'apparition brusque de la plupart des mots ou des
lettres
qui figurent dans certaines lignes bizarrement co
ffrent ?ne épaisseur* souvent exagérée par de nombreuses taches ; les
lettres
sont parfois illisibles et à peine esquissées ; l
et sa pureté à la suite d'une malencontreuse chasse au marais. Les
lettres
qu'elle m'adressa, avant de se soumettre à mes so
hisme de ma malade. Je suivis ce conseil et m'empressai de relire les
lettres
qu'elle m'avait adressées. L'examen de son écritu
ouvent interrompues par des sursauts extraordinaires; les mots et les
lettres
présentent un tracé presque difforme. Ce désordre
par ses plaintes et ses récriminations. Il écrit toujours de longues
lettres
pour raconter ses souffrances. En les lisant avec
ns quelques archives espagnoles, à Barcelone notamment, de nombreuses
lettres
d'elle dans lesquelles certains graphologues, an
n chemin, il pourrait dis-je, emmagasiner des pièces importantes, les
lettres
de ses malades, par exemple, dont la lecture sera
t s'est familiarisé avec la graphologie, il pourra, en parcourant des
lettres
intentionnellement soustraites à l'oubli, ranimer
ecrétaire Général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de MM. les D1* Poulalion, Marcel Thiry (de Jumay,
e homme n'eut pas d'idées de suicide et il ne m'en parla dans une
lettre
qu'un an après, au jour de l'anniversaire de la v
l donne lecture de la correspondance qui comprend eu particulier, dee
lettres
de MM. Moret, DrPoulalion. Dr Luigi Cesari (de Bo
'on aurait pu se dispenser de le faire proclamer par ces gigantesques
lettres
lumineuses plaquées à la façade. Ticket d'entrée
ècles de haute culture arabe, seront reprises avec la renaissance des
lettres
et le seront peut-être dans des limites plus éten
al donne lecture de la correspondance qui comprend en particulier des
lettres
de SIM. Moret, Dr Poulalion et Dp Luigi Cesari de
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de SIM. les D" Luigi Cesari, de Rome ; Pernigky (
e avait été faite, le rédacteur d'un journal de Lille m'apportait une
lettre
de F., l'assassin présumé, et me demandait de fai
pouvais me le représenter lorsque le samedi soir M. V. m'apporta une
lettre
écrite par F., me demandant d'analyser son écritu
faible et jouisseur. c Nous avons reçu, il y a environ un mois, une
lettre
dans laquelle P. nous demandait d'annoncer qu'une
ettant d'alimenter quand même sa clientèle. Nous avons retrouvé cette
lettre
dans nos archives et nous l'avons soumise à M. le
ents ; et, inversement, en constatant, par le tracé des lignes et des
lettres
, les mouvements qui dominent dans l'écriture, nou
rincipalement dans les 4«, 5e. 6e, 7®, 8e et 9® lignes du texte de la
lettre
. Ce caractère graphologique est un indice de fi
a ramener la main vers la gauche pour fermer d'une double boucle les
lettres
arron- dies. II est important de remarquer qu
final des mots, pour la plupart du moins, mais dans la formation des
lettres
. Ce point a pour nous une grande importance. Tel
Voyez ces traits bizares, dans son écriture, ces lignes jetées d'une
lettre
à l'autre, puis ces interruptions brusques, ces i
bien moi que vous cherchez, arrêtez-moi ! » Puis, il écrit une longue
lettre
au juge d'instruction, dans laquelle il avoue sa
musculaire. Il en est de même pour la lecture. L'enfant apprend ses
lettres
à l'aide d'un pantin articulé. Ce pantin, mis dan
ntin articulé. Ce pantin, mis dans telle ou telle position, forme des
lettres
, et pour bien retenir le nom des lettres, une pet
ou telle position, forme des lettres, et pour bien retenir le nom des
lettres
, une petite phrase chantée indique les mouvements
que les mouvements que l'on exécute avec chaque membre pour former la
lettre
indiquée. L'exécution des mouvements de ce pantin
un certain degré d'attention. Le résultat obtenn étant l'image d'une
lettre
de l'alphabet, l'enfant exprime de la joie en pro
lettre de l'alphabet, l'enfant exprime de la joie en prononçant cette
lettre
et ne demande qu'à recommencer ce petit exercice
de Vlllejulf; CRCISR (de Uublio); I- DAUItlAC, prof, a la Faculté des
lettre
» de Montpellier OUIMBEAD; W. DEKHTSREPPfdeSeioC-P
séancp est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lecture de
lettres
d'excuseslc MM.-Ré> gismanset, lïoirae. M. l
naissances ne le reconnaissaient plus. Sa femme m'a envoyé un jour la
lettre
suivante : • Paris, lo 2*2 avril 1809. « Mons
in, je devais prendre le train de bon matin pour rentrer à Paris. Une
lettre
m'apprit le plein succès de mes suggestions. La m
ales, avait contre lui les Jésuites, et avec les Jésuites le roi. Une
lettre
frondeuse du cardinal de Retz, ami de Port-Royal,
and je me souviens des bonnes dispositions qui sont marquées dans vos
lettres
; et comme je ne souhaite aucun bien ni aucun avan
do trente-six ans. Le lendemain, Singlin écrivait à Port-Royal une
lettre
où l'on lit : * Elle avait.., beaucoup de confian
oute solide, accompagnée de la plus austère pénitence ? et termine sa
lettre
ainsi : ß II y a tant de marques de bénédiction d
Vice-Présiden te. MM. Dauriac (Lionel), professeur à la Faculté des
lettres
de Montpellier, charge de cours à Paris, le D' Gr
, médecin de la Salpêtrière. Dauriag (Lionel), prof, à la Faculté des
Lettres
de Montpellier, le Dr Deny, médecin de la Salpêtr
récédente séance est lu et approuve. La correspondance comprend des
lettres
d'e\cuscs de MM. Iîoirac,/page> page n="46"&
la Cour de cassation ; M. Lionel Dauriac, professeur â la Faculté des
lettres
de Montpellier; M. le Dr Paul Magnin, vice-présid
uimbeau, Wolf. M. le Secrétaire général donne lecture de nombreuses
lettres
d'excuses parmi lesquelles celles de MM.le profes
ns nouvelle. Cependant, un beau jour, j'ai le plaisir de recevoir une
lettre
par laquelle on m'apprend que, depuis trois mois,
des, qui nous paraissent aujourd'hui ridicules, sont donnés en toutes
lettres
dans les ouvrages médicaux d'il y a cent ans. Le
our l'existence (poly-zoisme). Tous ces travaux restèrent longtemps
lettre
morte. En ces dernières années, d'autres savants
avait écrit, à une époque indéterminée les ouvrages dévots suivants :
Lettres
touchant la possibilité d'accomplir les commandem
eune fille continuait d'entretenir avec Port-Royal lui avait valu une
lettre
de cachet, lui intimant l'ordre de se retirer en
son oreille avec une grande intensité; elle est plus marquée pour les
lettres
nasales. Ces sensations paradoxales dépendent d
eux noms. Messieurs, doivent, en effet, être inscrits tout d'abord en
lettres
d'or comme sur le solennel Portique qui donne acc
mme, thèse, 1882. — La guerre des millions, drame, 1882, — Recueil de
lettres
parisiennes, 1884. — Paradoxes, 1885.— Les maladi
illiers de milles de distance je guéris des malades, je réponds à des
lettres
et conclus des affaires par ma fille (qui est mon
ue j'avais nommés. — Quand je suis absent, elle m'envoie rarement les
lettres
qui me sont adressées, me les communique télépath
e eminent collaborateur M. Lionel Dauriac, professeur à la Faculté de
lettres
de Montpellier, vice président de la sociéié d'hy
pour que j'insiste; mais je me dois de leur apprendre qu'un homme de
lettres
y a trouvé une voie pour une littérature nouvelle
rate de N&undorff avec Louis XVII. J'ai moi-même, à propos de
lettres
inédites du prétendant, ébauché sa psychologie in
en désordre, en raison de sa mort subite. Particulièrement certaines
lettres
oubliées au fond d'un petit meuble, dans sa chamb
i naif de me déranger. » Mal lui en prit. Avant un mois, il reçut une
lettre
éplorée des parents de George Pelham. Us avaient
ne lettre éplorée des parents de George Pelham. Us avaient trouvé les
lettres
en question dans la cachette indiquée par le médi
Séance précédente est lu et adopté. La correspondance comprend des
lettres
de M. Boirac vîce-président( s'excusant de ne pou
a les brebis » pas plus qu'un peintre anatomistc, n'accepterait à la
lettre
cette définition du visage de l'animal. Si le r
nt : MM. l-louch, uégo-*lant, et Jullian, professeur a !c Faculté des
Lettres
, suivis d'unefoule nom--breuse en tète do laquell
eil de l'Université ; Froment, président do l'Académie d.^s Sciences,
Lettres
et Arts de 2'jrd3-i>'.x ; Lande, président de
es. Il appartenait par ess dons variés à l'Académie des Sciences, des
Lettres
et des Arts. ïl lui appartenait aussi par celte u
es et demie, M. LionelDauriuc, professeur honoraire do la Faeu'.té de
lettres
de Montpellier, chargé du eours d'Esthétique musi
ra une conférence sur : Le race à É'étai de veille chez les hommes de
lettres
. Jeuci Î5 Février, à huit heures et demis, M. E
. (1) Voir la Revue de l'Hypnotisme de décembre 1S&Q. (2)
Lettre
du 5 novembre i6*8./page> page n="228">
rage. Comme exemples de suggestion par le manuscrit, je citerai les
lettres
édifiantes de Jeanne Arnauld à Jacqueline Pascal,
citerai les lettres édifiantes de Jeanne Arnauld à Jacqueline Pascal,
lettres
qui eurent tant d'influence sur l'entrée en relig
ra une conférence sur : Le rêce ît Vêtat de veille chez les hommes de
lettres
. Jeudi 15 Fstmrr, à huit heures et demie, M. Eu
orsqu'il suggestionna Charlotte de Hoannez et écrivit la première des
Lettres
à un provincial, 33 ans lorsqu'il commença à écri
plasticité, l'instabilité moléculaire du tissu nerveux. S'il en (1)
Lettre
du 3 octobre 1656. (2) Nicrologc de Port-Royal.
ourir au monde par amour envers Dieu »; et, parlant de Dieu, dans une
lettre
du 1'" avril 1648 : « Il n'y a pas de crime qui s
ouverainement les créatures, quoiqu'elles le représentent ». Dans une
lettre
de juillet 1653, adressée à Florin Périer, au suj
urs d'autre naît. (2) Nécrologe de !\-R. (3) Jacqueline Pascal. —
Lettre
du 19 juin 1648./page> page n="276"> so
e comme en une espèce de mort, séparé du monde. » Et encore, dans une
lettre
à Charlotte de Roannez : « Malheur à ceux qui ont
sion irrésistible et que c'est seulement ainsi qu'il voit l'image des
lettres
. M. Marinesco rappelle qu'il a retrouvé l'écrit
ont l'hyper-suggestibilité est un des symptômes, qu'un symptôme (1)
Lettre
le juillet 1C53./page> page n="293"> co
il y avoit des dévotions parliculières » (')· C'est que l'auleur des
Lettres
à un provincial et du Discours sur les passions d
M. Aars, de Christiania. La correspondance manuscrite comprend des
lettres
de M. Binet, directeur du laboratoire de psycholo
te séance est lu et adopté. La correspondance imprimée comprend une
lettre
de M. le professeur Tarde, remerciant la Société
le cinquième jour, il sait so décider à jeter au vent une adresse de
lettre
et d'autres objets analogues. II peut recommencer
vie. Ce double but a été pleinement rempli, ainsi qu'en font foi les
lettres
du malade. Celui-ci s'est adonné à ses alfaires a
ident*. MM. Dauriac (Lionel), professeur honoraire à la Faculté des
lettres
de Montpellier, professeur de philosophie au lycé
juris le fonctionnement cérébral du corpus humanum. Suggestion par
lettre
. Par M. Jules Voisin, médecin de la Salpêtrlère
Nancy). — Jo suis à même de rapporter un cas analogue de guérison par
lettre
. Il s'agit d'une Brésilienne, qui, â Rio-dc*/page
atin, vous vous mettrez dans un fauteuil, vous lirez attentivement ma
lettre
, vous m'entendrez dire : « Dormez! » etvous vous
jours, et au bout de ce temps, vous m'écrirez. Je reçois en effet une
lettre
dithyrambique; pendant ces séances de dix minutes
se passent sans encombre. Au bout de ce temps, je reçois une nouvelle
lettre
: cette personne n'a plus de crises ; mais, depui
n'ose s'en approcher de peur de se précipiter dehors. Je renvoie une
lettre
analogue à celle qui avait si bien réussi une pre
ance. Mais, trois mois après, l'incontinence reparait. Il m'écrit une
lettre
cploréc. Alors je lui envoie ma carte de visite s
e devait être considéré comme exact. Le 5 mars, après lecture d'une
lettre
du médecin traitant, insérée dans un journal, nou
vraie), par Jules Bois, p. 185. Sorbonne, p. 256. Suggestion par
lettre
, par Jules Voisin, p. 367. Suggestion suggérée
yer, dans ce cas, une décoction prodigieusement concentrée ! » — La
lettre
suivante, que le Dr Charpignon nous adresse, mont
ectifiait les erreurs commises; mais, par je ne sais quelle cause, ma
lettre
n’a point été insérée, circonstance qui laisse to
ectifications que le Constitutionnel n’a point acceptées. Voici cette
lettre
: A M. le Rédacteur du Constitutionnel. Bans
Bans un de vos derniers numéros, vous avez inséré une assez longue
lettre
sur l’élher et le chloroforme. Dans cet article r
dans son pays, et une cure qu’il a faite. Yoici des extraits de sa
lettre
: «...........En attendant, j’ai l’honneur de
e vais tâcher de répondre aux questions que vous me posiez dans votre
lettre
au sujet de ces fièvres ; « i° Oui ; les fièvre
les Arcanes. Acquittons-nous d’une dette envers lui par l’envoi de la
lettre
suivante : Monsieur, Vous avez daigné m’offri
er. — L’organisation du banquet mesmérien se poursuit activement ; la
lettre
suivante vient d’ôtre envoyée aux personnes qui o
avez quelque magnétiste à présenter, veuillez bien vous procurer une
lettre
d’invitation sans laquelle nul ne sera admis à la
te nouvelle liste. VARIÉTÉS. Du Magnétisme en Italie. — Voici une
lettre
dont le contenu intéressera vivement ceux de nos
je ne veux pas dépasser les bornes que je me suis imposées dans cette
lettre
, ni abuser de votre patience. Je vous dirai seule
en connaître. » — Les Côtes du Nord, du 16 février, reproduisent la
lettre
de l’abbé Leray. Le magnétisme doit beaucoup gagn
maintenant marcher sans gène. Du jo. Aujourd’hui il m’a adressé une
lettre
en bengali, dans laquelle il me dit que, étant pa
té dn magnétisme de la Nonvclle-Orléaus. Voici quelques extraits de
lettres
du président de la Société, qui marquent les trav
combien d’autres, sans doute, qui passent inaperçus! » Sa dernière
lettre
contient les lignes suivantes : « Je ne vous di
e personne dont il est mention dans notre numéro précédent. C’est une
lettre
d’homme compétent; nous l’extrayons du National d
les cures qui s’opèrent à Pau. Voici quelques passages extraits de sa
lettre
: « Le4 du courant, le sieur*** et la nommée Ma
ts, médecins, curieux. L’état d’Anne Chaigneau est constaté dans la
lettre
du Dr Priou. L’autre malade est Marie Rivierrc,
Elle a été officiellement annoncée à l’Académie des Sciences par une
lettre
de M. de liumboldt, dont voici un extrait: i II
ces, et cesse dès qu’à volonté on ne tend plus les muscles. » Cette
lettre
a donné lieu à une discussion qui sera résumée da
usion n’en est pas favorable : c’est de fondation. BIBLIOGRAPHIE.
LETTRES
SUIt LE MAGNÉTISME ANIMAL, etc.; par le D' DE la
e faire connaître autant qu’il le méritait. Cet ouvrage formé de sept
lettres
adressées à un ami de l’auteur, médecin comme lui
Le président nous écrit, sur les travaux de la Société, une longue
lettre
dont voici quelques extraits : Mon cher monsieu
ne bonne occasion qui m’est offerte pour vous faire tenir sûrement ma
lettre
. Laissez-moi donc vous raconter, le plus simpleme
tte remarque aura été faite partout. M. et Mme S***, porteurs de ma
lettre
, vous diront sans doute par quel moyen je les ai
ès de deux mois, et n’a plus que le souvenir de sa maladie. Dans sa
lettre
du 3i mars 1848, M. Jobard vous disait : « qu’il
cependant il semblait devoir vous faire connaître daus une prochaine
lettre
. J’ai aussi une manière de ne faire que de bons
olennité du 23 mai. Cette fête a été en quelque sorte improvisée; les
lettres
d’invitation n’ont même pas, par une infidélité d
orte par quelles mains. Vous m’obligerez, Monsieur, d’accueillir ma
lettre
avec bienveillance, et de l’insérer le plus tôt p
ire? — C’est— un tel, journaliste; il est à son bureau; il reçoit une
lettre
anonyme : c'est une dénonciation calomnieusey etc
ctitude de ses résultats. L’affaire en était là lorsqu’une nouvelle
lettre
de M. de Humboldt (2) vint reprocher le peu d’éga
s’occupent là-bas de combattre le fléau par le magnétisme. Yoici une
lettre
pleine de judicieuses réflexions, publiée par VAb
J. fi., initiales bien connues de nos lecteurs. Au Rédacteur. La
lettre
de M. le Dr Andraud au président de l’Académie de
. VI, p. 117. (3) Yoy. dans la brochure de Mirabeau, déjà citée, la
Lettre
de M. le diacre Lavater au médecin de la cour de
ns les circonstances que je viens d’indiquer. Ils sont extraits d’une
lettre
de condoléance qu’elle adressait à une de ses par
3 août, des faits dont il a été témoin , avec une sincérité rare. Sa
lettre
est une véritable profession de foi au magnétisme
et le fait suivant en fournirait au besoin la preuve. On reçoit une
lettre
anonyme; elle ne contient pas de choses très-grav
rocédé fort désobligeant, et on en recherche l’auteur. Je place cette
lettre
entre les mains d’un somnambule, et lui témoigne
peine, dit-il, c’est un enfantillage. 11 ajoute que l’auteur de cette
lettre
est la dernière personne qu’on soupçonnait. Il ne
e le nom de l’individu, tel qu’il le signe, apparaît à ses yeux : les
lettres
se tracent et s’effacent successivement. Cette vi
de se pendre. Bien des moyens furent tentés pour les arracher à (1)
Lettres
, p. 115. ce funeste entraînement au suicide. Al
—Traité du Magnét. animal, par le D' Bertrand, p. 351 et suiv. (2)
Lettres
pastorales, l*r octobre 1688. — Bertrand, ouvrage
on maitre contre ce maheureux prêtre, soupçonné d’être l’auteur d’une
lettre
satirique contre le cardinal. Après avoir obtenu
ptement. Alors la curiosité fit oublier la défense, et l’on ouvrit la
lettre
cabalistique, qui contenait ces paroles : « Que l
es, inspecteur de police attaché au tribunal de Southwark, a reçu une
lettre
fort curieuse qui se rattache au procès de Mannin
t curieuse qui se rattache au procès de Manning et de sa femme. Cette
lettre
est datée de Boston, dans le comté de Lancastre,
rons, sans aucune espèce de commentaire, et dans toute sa naïveté, la
lettre
suivante, qui nous est adressée par un bon villag
a maladie. Ces moyens, comme ceux que j’ai détaillés dans ma première
lettre
, n’ont produit aucun résultat. Quand, le 9 déce
m’adressai à la science du divin Mesmer, dont le nom sera transmis en
lettres
d’or à la postérité, jetais vraiment dans un état
our bien comprendre cel eiposd , il faut se reporter h une précédente
lettre
insérée clam en Jnnrnal, lome Y, page 76. 1ü“ E
sel de nitre, etc. Résultats. — Nul autre que celui énoncé dans la
lettre
indiquée ci-devant an note. (1) Cesl évidemment
e, qui envoya des cheveux à une somnam- bide do Paris, et je lus la
lettre
, qui ne donnait assurément aucun indice sur la ma
évélateur avec les vérités éternelles du mesmérisme, que l’on doit la
lettre
des membres de la Société exégétique. Nous ignoro
Correspondance. — Notre savant correspondant de Bruxelles adresse la
lettre
suivante à M. du Potet. Mon cher maître, Je s
e emphase qui paraît commandée. — Le Temps du 8 octobre, publie une
lettre
signée Muncorps, relatant une affection de poitri
par le somnambulisme. — Lo Constitutionnel du a5 octobre public une
lettre
de Rome, dont un passage est relatif au magnétism
e social. Le jour et l’heure de la réunion seront indiqués dans les
lettres
de convocation individuelles. Le Gérant : IIKBE
tin, avant de partir, il achète une feuille de papier pour écrire une
lettre
— car cette lettre était l’unique motif de ce voy
r, il achète une feuille de papier pour écrire une lettre — car cette
lettre
était l’unique motif de ce voyage, la cause de ce
l’esprit général. Voici comment il commençait : « Dans ma première
lettre
sur le magnétisme naturel , il y a deux ans, j’ai
e social. Le jour et l’heure de la réunion seront indiqués dans les
lettres
de convocation individuelles. Le Gérant .- HÉBE
iété du Magnétisme de la Nouvelle-Orléans. Composition de son bureau.
Lettre
de M. Joseph Barthet, président, sur la propagati
t, président, sur la propagation du magnétisme aux États-Unis. 145. —
Lettre
du même, sur diverses cures, 289. Société du Ma
onde, par M. Hébert (de Garnay),74. Magnétisme (Etat du) en Italie.
Lettre
du comte Gérard Freschi, de Venise, rappelant les
la Nouvelle-ürléans, 75, 574. Magnétisme (Etat du) à Porto-Ricco.
Lettre
du Dr Cruxent, 127. Malades abandonnés de la mé
magnétisme, 582. Voleurs découverts par Mlle. Virginie, somnambule.
Lettre
de M. Jobard, de Bruxelles, 150. BIBLIOGRAPHIE.
es, par le Dr Georgii. — Reflexions par M. Hébert (de Garnay), 415.
Lettres
sur le Magnétisme animal , par le Dr de La Salzèd
e l'opérer. a Elle a été opérée, nous dit .Il. le 1) Monod dans une
lettre
, sans diagnostic précis, et pour essayer d'obte
même rudimentaire, ne sait lire ni écrire et ne connait aucune des
lettres
de l'alphabet. Elle s'habille seule, mais sans
e ouverte, fixe et raide. Mai 1901 à 20 juillet 1901. S : Ecrit une
lettre
dans laquelle il dit que si on ne l'avait pas f
ailler. Il ne veut même plus écrire et la lecture reste limitée aux
lettres
a, e. i, 0, u. 1904. - L'état de l'enfant Bea
nfant commence à nouer, à lacer et à boutonner ; il peut placer les
lettres
, les chiffres et les couleurs sur le tableau, e
. Les progrès sont satisfaisants. Il commence à reproduire quelques
lettres
sur l'ardoise et connaît toutes les lettres de
à reproduire quelques lettres sur l'ardoise et connaît toutes les
lettres
de l'alphabet, ainsi que quelques surfaces, telle
r et moins méchant. Il travaille bien à la classe, connaît quelques
lettres
0, I, U, A, et commence à faire les barres et l
t vient à la petite école, a appris à con- naître les couleurs, les
lettres
et les surfaces. Il exécute bien tous les mouve
me les parties de son corps, les couleurs, les chiffres et quelques
lettres
. XV. LE Bin ? (Cyrille), idiotie profonde; surd
cer, nouer, boutonner, distingue les couleurs et reconnaît quelques
lettres
et quelques chiffres. 1905. - Le Biha ? est ren
vailler avec plaisir. Assez rapidement, il a appris à connaître les
lettres
, les chiffres et à les reproduire; actuellement,
très mal doué. Avec difficulté il est parvenu à tracer tou- tes les
lettres
et les chiffres, établit une relation entre eux
t la gauche très maladroite; il trace plus ou moins bien toutes les
lettres
. L'instabilité mentale, quoique amoin- drie, ex
é de 7 ans 1/2. Cet enfant, à son arrivée, ne connais- sait que les
lettres
et les chiffres; d'une instabilité et d'une ina
ner et nouer. Il connaît et nomme les couleurs, les sur- faces, les
lettres
et les chiffres qu'il arrive à reproduire sur l
sur l'ardoise. Il commence même à former et à assembler quelques
lettres
au crayon sur le cahier. Les colères assez fréque
l'en- fant a voulu représenter, enfin il forme presque toutes les
lettres
et commence à les assembler. Cet enfant qui, ay
tention est encore très grande. 19o5 ? Pard ? connaît toutes les
lettres
, les chiffres, com- mence à tracer quelques bât
fait ingrate, notions classiques presque nulles, ne connaît que ses
lettres
et un peu les chiffres; c'est ainsi qu'il confo
s boîtes aux leçons de choses. - En 1898, il reconnaît et nomme les
lettres
, chiffres, sur- faces : place bien les bâtonnet
sait s'habiller, lacer, nouer, boutonner, connaît ses chiffres, ses
lettres
, il commence à lire; nous espérons qu'il passer
ant a été rendu propre, a appris à s'habiller, reconnaît toutes les
lettres
et les chiffres. ,895. - L'amélioration conti
s phrases. - En 1894, il s'habille et se déshabille seul, place les
lettres
, les surfaces, les cou- leurs. Il commence à fo
ettres, les surfaces, les cou- leurs. Il commence à former quelques
lettres
et chiffres en 1895. Toujours en mouvement, Fél
ns sensées. Il a pris goût à la classe, connaît et nomme toutes les
lettres
de l'alphabet ainsi que les chiffres, les cou-
isir en classe, est en bonne voie pour la lecture, trace toutes les
lettres
et les chiffres et ébauche même l'addi- tion. z
nt d'affectivité. - Au point de vue classique, elle connaissait ses
lettres
et ne faisait que commencer à syllaber. Elle ne
manuel. Aucune aptitude pour l'étude; ne connaissait pas une seule
lettre
et ne savait même pas tenir un porte-plume. La
étant très défectueuse, il lui est très difficile d'articuler les
lettres
franchement et d'émettre les sons. Sa voix est na
lle manquerait de goût pour l'étude. Enfin, elle connaît toutes les
lettres
, commence à écrire. Elle distingue bien toutes le
mpagnes de sa division. Elle qui, au début, ne connais- sait aucune
lettre
alphabétique, sait aujourd'hui syllaber, tout p
croire que sa lecture sera courante d'ici peu; elle forme bien les
lettres
, elle copie très lisiblement, connaît tous les
tine a pris goût à l'étude, elle qui ne connaissait pas la première
lettre
de l'alphabet sait aujourdhui syllaber par- fai
qu'elle était tout à fait nulle en classe, connaissait à peine les
lettres
et les chiffres. 1905. L'enfant mise en traitem
fficile; elle s'intéresse cependant aux leçons de choses, place les
lettres
et les chiffres sans trop les connaître. Elle c
- Cette enfant était nulle en instruction, connaissait à peine ses
lettres
, ne savait pas écrire. Elle était incapable de
né à quelques petites copies, à faire les chiffres et assembler ses
lettres
. Il faut ajouter qu'Augus- tine est toujours tr
e. En classe, elle commence à écrire, forme à peu près toutes les
lettres
, les distingue les unes des autres, ainsi que les
Au point de vue de la lecture, l'enfant ne reconnaît pas encore ses
lettres
, elle les nomme mais au hasard. Pour l'écriture
re quelques mots, ne fait que de petites copies, elle con- naît ses
lettres
et commence à les assembler. Pour ce travail, e
, son orthographe est encore défectueuse mais elle peut rédiger une
lettre
; connaît les trois premières opérations de l'ar
pas, mais elle était nulle en instruction, connaissait à peine les
lettres
. Le caractère était méchant, querelleur; elle s
s de l'arithmétique, commen- çait la division et savait rédiger une
lettre
; en un mot l'enfant pouvait se tirer de peine.
le sens des mots; elle commence également à copier, forme bien les
lettres
et les chiffres. La atole est plus facile, le d
cia- tion. était mauvaise, elle zézayait beaucoup, prononçait les
lettres
j et g comme z; elle disait zuze pour juge, touzo
galement très en retard au point de vue scolaire, ne connaissait ni
lettres
, ni chiffres, ne savait pas écrire; vu son âge
le. Quand elle est arrivée parmi nous, elle connaissait à peine les
lettres
, les nommait avec peu d'assurance, l'écriture é
li 432 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. avait laissé à ses parents une
lettre
d'adieu. C'est ainsi qu'on a pu vérifier que sa
LA SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 4H lation de la plupart des
lettres
est impossible ; la prononciation du p ressembl
he est fortement dévié en dedans ce qui l'empêche de distinguer les
lettres
à première vue. Malgré tous ces inconvénients,
ère vue. Malgré tous ces inconvénients, elle a appris à écrire, les
lettres
et les chif- fres sont bien formés, elle commen
chif- fres sont bien formés, elle commence à copier, assemble les
lettres
. Tout porte à croire que l'enfant lira couramment
igence. Elle parlait, mais avait un défaut de prononciation pour la
lettre
r; ainsi pour dire travaille, elle prononçait t
he très bien. En classe les progrès sont notables, elle connaît ses
lettres
, com- mence à compter, aime la gymnastique et l
nvers les personnes qui l'entourent. Elle commence à rassembler ses
lettres
, connaît également les chiffres, sait les place
indiquait l'intelligence. Elle ne savait pas lire, mais formait les
lettres
et les chiffres; elle ne savait pas compter, ne
naît les trois premières opérations de l'arithmétique, rédige une
lettre
, son écriture est lisible et bien formée; en un m
pour venir en classe le moins possible : elle n'aimait pas l'école.
Lettres
, chiffres, écriture, tout lui était inconnu; sa
esse princi- palement à la classe, elle connaît les chiffres et les
lettres
et commence à les assembler. Elle marche et par
avec impudence. Elle était nulle pour la classe, ne connaissait ni
lettres
, ni chiffres, ne traçait pas une lettre; on ava
classe, ne connaissait ni lettres, ni chiffres, ne traçait pas une
lettre
; on avait toute la peine du monde à la mainteni
ontinus. En classe elle a appris à faire des dictées, à rédiger une
lettre
pour sa famille et enfin la multiplication qu'e
et y met toute -son attention; elle écrit lisiblement, assemble les
lettres
, commence à compter et récite quelques fables.
ons de choses, ainsi que les principales céréales; connaît quelques
lettres
et quelques chiffres. Elle 472 THÉRAPEUTIQUE
mais surtout au point de vue classique. Elle écrit lisiblement, ses
lettres
sont bien formées; elle suit une dictée du cour
arche et dans ses mouvements. En classe, elle ne connaissait aucune
lettre
et paraissait insou- ciante de s'instruire. M
té. Elle prit goût à l'étude. L'enfant qui ne connaissait pas ses
lettres
est parvenue à lire couramment, elle écrit très l
i paraissait nulle, s'éveilla, et elle ne tarda pas à connaître ses
lettres
, puis à syllaber et parvint à lire couramment à
est en bonne voie d'amé- lioration. Elle aime l'école, connaît les
lettres
, les chiffres et commence à "écrire. Ses progrè
com- mence à faire des rédactions, écrit et rédige elle-même ses
lettres
. Le caractère est brusque mais non méchant. 4
ention sur ce qui lui était enseigné. Elle a appris à connaître ses
lettres
, à syllaber et maintenant lit presque courammen
onne. Il commence à s'habiller, à se déshabiller, à reconnaître les
lettres
, à écrire. Sait monter les escaliers, sauter.
escaliers, sauter. 1898. - Assemble les syllabes, forme bien les
lettres
et les chiffres, s'habille seul et convenableme
. Concernant les exercices classiques, il est arrivé à placer les
lettres
, les chiffres, les couleurs sur les tableaux, et
vailler avec plaisir Assez rapidement, il a appris à connaître les
lettres
, les chiffres et à les reproduire ; actuellement,
onner, nouer. Il connaît et nomme les couleurs, les sur- faces, les
lettres
et les chiffres qu'il arrive à reproduire sur l
r l'ardoise. Il commence même à former et il assembler quel- ques
lettres
au crayon sur le cahier. Les colères assez fré-
parle pas ou ne possède que quelques mots, ne con- naisse pas les
lettres
, ne syllabe pas, nous l'exerçons à reconnaître
fants même ne sachant pas syllaber, ne connaissant pas toutes leurs
lettres
, reconnaissent l'image du mot, comme ils reconn
e l'Assistance publique a adressé à M. le Directeur de Bicêtre deux
lettres
de félicitations pour le succès remporté par la
ées sur fond noir, images blanches sur fond noir), il apprendre les
lettres
(grandes lettres noires sur fond blanc, puis le
images blanches sur fond noir), il apprendre les lettres (grandes
lettres
noires sur fond blanc, puis lettres beaucoup pl
apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond blanc, puis
lettres
beaucoup plus petites); pour l'éducation de la
à lire couramment, fait la dictée et rédige lui-même maintenant les
lettres
il ses parents d'une layon il peu près compréhe
- Ordres du jour des Commissions. - Affiches diverses. - Entêtes de
lettres
. -- - Divers imprimés pour les Ecoles d'infirmi
ence. Elle parlait, mais avait un défaut de prononciation pour la
lettre
r; ainsi pour dire travaille, elle prononçait tav
le. Quand elle est arrivée parmi nous, elle connaissait à peine les
lettres
, les nommait avec peu d'assurance, l'écriture é
ent, ne se rendait nullement compte de l'utilité de la classe ; les
lettres
, les chiffres, l'écriture, la gymnastique, tout
e. En classe, elle commence à écrire, forme à peu près toutes les
lettres
, les distingue les unes des autres, ainsi que les
he est fortement dévié en dedans ce qui l'empêche de distinguer les
lettres
à première vue. Malgré tous ces inconvénients,
e vue. Malgré tous ces inconvénients, elle a a appris à écrire, les
lettres
et les chiffres sont bien formés, elle commence
es chiffres sont bien formés, elle commence il copier, assemble les
lettres
. Tout porte a croire que l'enfant lira couram-
galement très en retard au point de vue scolaire, ne connaissait ni
lettres
, ni chiffres, ne savait pas écrire; vu son âge
'on pourra ohtenir par entraînement. ¡Il serait naïf de suivre à la
lettre
une mé- thode quelconque, ce qu'il faut avant t
ue. Dans l'affirmative, il nous prévenait que nous rece- vrions une
lettre
officielle du Directeur. Naturellement nous nou
s à son entière disposition. Quelques jours après nous recevions la
lettre
suivante : 24 décembre 1902. Monsieur le Méde
été déçu. Quelques jours après, nous recevions communication de la
lettre
ci-après. Paris le 10 février 1903. Le Direct
rvice du matin au soir de vos agents. Je vous envoie la copie de sa
lettre
. La question de nourriture et de logement est t
ts bien dévoués. BOURNEVILLE. P. S.-t1u moment où je finissais ma
lettre
, je reçois la vôtre. Je vous recevrai avec plai
medi 21 février, tous les deux. - D'ici la vous aurez réfléchi à ma
lettre
. M. Lesvier à M. Bourneville. Clermont (Oise)
se), le 9 mars 1903, Monsieur le Médecin en chef, J'ai reçu votre
lettre
du trois courant ; je vous suis très reconnaiss
r l'école proprement dite, objets servant à l'éducation des sens,
lettres
à caractères spéciaux, etc., que pour les soinsde
à une prati- que qui existe dans les asiles d'idiots en Angleterre (
Lettre
de M. Bourneville du 3 mars). Il n'y a pas lieu
nourri- turc fixée il 1 fr. 70 par jour et par personne, suivant la
lettre
de 11 : . le Directeur de l'Administration géné
s. Enfin le Directeur donne communication à la Commission de deux
lettres
de M. le D1' Bourneville en date des 1G février
s désirons appeler l'attention sur plusieurs points visés par cette
lettre
et fournir en même temps à nos lec- teurs quelq
çons, la Salpêtrière et la Fon- dation Vallée pour les filles. La
lettre
suivante que nous reproduisons, non pas seu- le
eux- ci exposés iL des actes mauvais de la part du malade ; cette
lettre
, enfin, nous four 'il l'occasion de renseigner
x des inscriptions et au sur et à mesure des vacances. D'après la
lettre
de notre correspondant, la famille a rempli les
ès que depuis l'année 1899. Ce n'est qu'en 1901 qu'il con- naît ses
lettres
sans savoir syllaber. Il sait compter jusqu'à 3
econnaît les couleurs. Paresseux. 1902. Sait syllaber et écrire ses
lettres
. Compte jusqu'à 50. Ne sait rien faire à l'atel
is n'y apprit rien; elle ne retient rien et ne connait même pas ses
lettres
. On la mit ensuite à l'école communale où elle
le ; son attention est assez facile à fixer ; elle connait quelques
lettres
. L'enfant porte des cicatrices de vaccin, 3 il
nt. En classe, elle est attentive, connait maintenant très-bien ses
lettres
, et commence à faire des bâtons sur l'ardoise.
se à l'école qu'à G ans et a eu beaucoup de peine à apprendre ses
lettres
. Elle n'a pas d'aptitudes particulières. Elle r
une erreur typographique : à la page 27, il faut inter- vertir les
lettres
G et D. Bourneville. 236 Anatomie pathologiqu
............... 45 5 - décorateurs ....................... 5 - en
lettres
......................... 1 - en voitures.......
vrier. - Adonis vP1'nalis. En classe, il trace d'a- près modèle les
lettres
à dessin simple, comme n et m ; lit couramment,
exe de l'hémisphère cérébral droit de Tard. (Même signification des
lettres
que pour la PL. VI). Planche IX. Face interne
ne de l'hémisphère cérébral droit de Tard.. (Même signification des
lettres
que pour la Pal. VIL) Planche X. Base de l'en
corps calleux, CCC, il n'y a pas de corps calleux (p. 261). - Les
lettres
ont la même signification que sur la PL. XII. P
gramme pour la construction de l'asile d'aliénés de Totilotise, des
lettres
sur l'hys- 2éuèe, et un travuil sur l'llimeztta
même l'écri- ture, qui devine des rébus, qui écrit des notes et des
lettres
très sensées et qui, ne peut lire ce qu'elle vi
ut lire ce qu'elle vient d'écrire elle- même, parce que le. nom des
lettres
, la signification des mots qu'elles forment en
nom, soit imprimé, soit écrit, sans pouvoir distinguer au- cune des
lettres
qui le composent. Il se produit chez eux quel-
jet qu'ils connaissent,, une maison par exemple, et en mettant en
lettres
au-dessous du dessin le nom,de cet objet « maison
avec les mots ; l'alphabet seul m'était resté, mais la jonction des
lettres
pour la formation des mots était une étude à fa
oplexie, fut dans l'impossibilité de lire et même de distinguer une
lettre
d'une autre; mais, si un nom ou une phrase étai
'" 2)8- ? '' 'REVUE CRITIQUE. ' "' pàblé de reconnaître une seule
lettre
soit imprimée, soit écrite par elle-même. « Ell
lle' voyait l'écriture, mais elle était inca- pable de traduire les
lettres
en mots et en idées. » Cependant, elle reconnaî
ourtant écrire correctement sous la dictée,' composer et écrire les
lettres
lorsqu'on l'y aidait un peu. Impossibilité de s
lui-même qu'au moyen d'un artifice. Il traçait avec son doigt ,les
lettres
des mots qu'il venait d'écrire et lisait ces dern
ue ce malade, homme intelligent, pouvait transformer les images des
lettres
écrites en images tonales et combiner ces derni
ssion tac- tileque 'ce malade réveillait dans son esprit le nom des
lettres
qu'il traçait avec son, doigt. ' , , Dans, la
quelques, cas cités par Trousseau. Ces malades, tout en' voyant les
lettres
. et les mots, n'en comprenaient pas bien le se
s, écrivait correctement sous la dictée et pouvait bien rédiger les
lettres
d'affairés, mais il lui était impossible dé lir
irés, mais il lui était impossible dé lire. Il voyait nettement les
lettres
, mais il en avait oublié la signification. Il p
montre absolument incapable. Le malade ne reconnaissait jamais une
lettre
quelle qu'en soit la dimension. Il n'était pas
n je ne puis » ; quelques jours après il ne distin- gue plus aucune
lettre
. Il sait compter jusqu'à cent, mais il écrit ma
re un seul. Il voit tous les objets qu'on lui présente, il voit les
lettres
, mais ne comprend pas leur signification. Voi
nsi que des lettrés; mais il ne sait pas rapporter le vrai nom à la
lettre
qu'il voit.- Si c'est dans les fibres conductri
le conseil de M. Magnan, à réveiller chez elle la signification des
lettres
par l'intermédiaire des impressions tactiles; e
iles; en d'autres termes, cette malade, qui ne connaissait plus les
lettres
à la vue, a appris à les distinguer de nouveau
tres à la vue, a appris à les distinguer de nouveau par le toucher (
lettres
en relief). A notre connaissance, les recherche
ence (écriture décrite par Erlenmeyer) elle écrit son nom, quelques
lettres
, comme A, 0, E, J, L, M, et les chiffres 5, 3, 7,
omme un dessin. Quant à la lecture, la malade ne reconnaît au- cune
lettre
sans toutefois avoir oublié le nom des lettres en
ne reconnaît au- cune lettre sans toutefois avoir oublié le nom des
lettres
en géné- ral, car elle peut nommer quelquefois
en géné- ral, car elle peut nommer quelquefois au hasard plusieurs
lettres
. Elle reconnaît son nom manuscrit, mais non lor
rit, mais non lorsqu'il est imprimé, sans pouvoir distinguer aucune
lettre
dans ce mot. Quelque temps après son entrée à l
caractères mobiles en relief ; elle ne peut reconnaître une seule
lettre
, ni son nom fait avec ces caractères. Ce n'est qu
r ces caractères. Puis, elle parvient à recon- naître au toucher la
lettre
0. Si le nom de la lettre se faisait attendre,
le parvient à recon- naître au toucher la lettre 0. Si le nom de la
lettre
se faisait attendre, elle la nommait parfois «
» Après plusieurs mois d'exercice, elle ne se trompait plus pour la
lettre
0. La seconde lettre qu'elle apprit à connaître
d'exercice, elle ne se trompait plus pour la lettre 0. La seconde
lettre
qu'elle apprit à connaître fut la lettre C ; lors
ur la lettre 0. La seconde lettre qu'elle apprit à connaître fut la
lettre
C ; lorsqu'elle ne pouvait se rappeler le nom,
la touchant : « C'est mon nom, c'est moi, c'est Ch. » La troisième
lettre
fut I. C'est un 1 (chiffre un) ou « un point su
« un point sur » disait-elle en cas d'oubli momentané du nom de la
lettre
. Ensuite, elle put reconnaître les lettres L, F
momentané du nom de la lettre. Ensuite, elle put reconnaître les
lettres
L, F, N, H, etc., mais elle se trompait assez sou
vent. En gé- néral, elle apprenait très difficilement les nouvelles
lettres
, mais elle réunissait facilement en syllabes et
es lettres, mais elle réunissait facilement en syllabes et mots les
lettres
qu'elle con- naissait déjà. En cherchant quelqu
s qu'elle con- naissait déjà. En cherchant quelquefois le nom d'une
lettre
déjà connue, elle nommait au hasard plusieurs l
s le nom d'une lettre déjà connue, elle nommait au hasard plusieurs
lettres
et même quelques lettres qu'elle ne distinguait
connue, elle nommait au hasard plusieurs lettres et même quelques
lettres
qu'elle ne distinguait pas encore au loucher et d
. 225 5 qu'il devait exprimer. Parfois, la malade reconnaissait les
lettres
en les traçant avec son doigt. Nous pouvons rap
M. Westphal, dont le malade ne pouvait lire qu'en traçant ainsi les
lettres
avec son doigt. Pour expliquer le cas de notre
ans la voir. Ceci explique pourquoi M-0 Ch. pouvait réapprendre les
lettres
à l'aide du toucher. C'est l'image tactile qui
i remplaçait chez elle l'image visuelle pour réveiller le nom de la
lettre
. La connaissance de la cécité des mots, intéres
" ' 1, 1". ' J'ajouterai en terminant que je viens de recevoir une
lettre
d'un confrère, le docteur Bonnet, de Châlons, q
: « Si vous voulez véritablement nous guérir, suivez et exécutez à la
lettre
ce que nous nous ordonnons, en oubliant pour nous
s premières. Baron uu Potüt. J’ai promis de donner le texte d’une
lettre
que j’ai fait parvenir à S. M. l’Empereur des Fra
smérisme de Paris, auquel M. le docteur Léger vient de communiquer la
lettre
qu'il vous adresse, permeltez-moi de vous exprime
sueurs, évacuations utérines, vomissements, etc. On trouve dans une
lettre
adressée à Robert Boyle par GWatrakes la relation
kes de l’impuMtion de magie. Cest à l'époquede la publication de sa
lettre
à R. Boyle que Greatrakes se rendit à Londres, La
, par des motifs que j’aurai l’honneur de vous exposer dans une antre
lettre
. La science a constató que, dans riiypnotiame,
démie des sciences, un petit mémoire dont la copie est jointe k cette
lettre
et que TOUS trouverez d’ailleurs dans les cartons
ARIÉTÉS. MANIFESTATION DES ESPRrrS. La Vigie de Dieppe publie une
lettre
qui lui est adressée de la localité des Grandes-V
RBEUBS DANS LE SOMNAMBULISME. Monsieur le baron, Dans ma première
lettre
, j’ai cherché à exposer une des causes qui peuven
ltait au début de ma carrière. J'ai pensé que la communication de ces
lettres
offrirait de l’intérêt, et je les exhume de mes p
l ne se souvenait de rien. Enfin hier à trois heures, il reçoit une
lettre
d nn individu qui le traite fort mal, relativemen
ièrement oublié le prétendu prédicateur de Halle, lorsqu’on reçut une
lettre
qui confondit les anti-spiritualistes (1). Cett
n reçut une lettre qui confondit les anti-spiritualistes (1). Cette
lettre
était adressée par celui-là même dont les recherc
e se figurer ta sensation que produisit, dans une certaine sphère, la
lettre
qui relatùt ce fait étonnant, fait que je donne c
derne. Baron oü Potbt Paris, le 24 avril 1840. Nous recevons la
lettre
suivante s Mon cher maître, Qoelques an}is i— d
ière communication, je prends la liberté de vous adresser une secoade
lettre
. (I) Voir poor la pfcmiéro lettre le N» Sti, 25
erté de vous adresser une secoade lettre. (I) Voir poor la pfcmiéro
lettre
le N» Sti, 25 avril 1860, pages t05 «t «uivtnt«.
nies; on pouvait y compter dix ou douze médecins, plusieurs hommes de
lettres
, des artistes, d’anciens el honorables militaires
tre genre... Mais nous abordons là un sujet que les bornes de cette
lettre
ne nous permettent point de traiter convenablemen
ccouché et se trouve dans te meilleur état. Je reçois à l’instant une
lettre
par laquelle j'apprends qu'elles ont donné deux c
lonne, d’Igualada je fisTé-preüve suivante : j’avais à répondre à une
lettre
qu’il m'avait écrite, l'idée me vint de magnétise
près ce qu'il m'en écrivit lui-même : B Aussitôt qu’on m’eut remis la
lettre
, je perrfis tout le monde de vue, je fus pris d’u
demandé ai j'avais quelque nouvelle, je répondis que non, et rais la
lettre
i la poche ne pouvant la lire. Devenu plus calme,
t ce qid ^1) Le leeteurcoiiipreodm s»ni dotrto que le con4ael de 1«
lettre
avait Wt taulier «n mjot dim« JVü»t a»agnilli^il&
e» termes m«la|,borique( riu'un aurait lort dt! prendre au pied de la
lettre
. £1 Je recotnmaaJe de cir-CoDicrirc le champ du m
iques ; les tribunaux en retentissent. Bref, le magnétisme a reçu ses
lettres
de naturalisation du xix* siècle. Que diriez-vo
de vous serrer la main au banquet du 23 mai dernier m’a rappelé votre
lettre
d’autrefois, à laquelle plusieurs circoDstances d
nts après, je la réveille. Sur mon invitation, elle écrit une bonne
lettre
à sa pro-tecti-ice. Ensuite, pour preuve irrécu
ui, il voulut bien me donner de ses nouvelles. Voici le passage de sa
lettre
qui a rapport à son état, traduit littéralement :
ire. Baron du Potet. Ad docteur CHARPIGNON, d'Orléans. DEUXIÈME
LETTRE
(1). Versailles, ielOjuillet 1660. La vérité.
de. Au risque donc de tMmbler le ridicule sur l'outrecuidance de ma
lettre
, je m’empresse d’attester encore qu'un autre effl
Ctre capables de bien voir, médecins, physiciens, chimistes, gens de
lettres
, artistes et amateurs distingués et surtout écl
que le maréchal de Mon-« trevel, qui està Alais, vient de donner des
lettres
contre B nous il un courrier qui va les pQi ter à
erait convaincu ; si l’on cherchait dans sa manche, on trouverait une
lettre
de l’ennemi.....On trouva en eiîet dans la manc
ennemi.....On trouva en eiîet dans la manche de son justaucorps une
lettre
du maréchal Lalande qui lui faisait des reproches
tre personne ;.....reconnaît sous le manteau du docteur Petétin une
lettre
, en désigne la position sur la poitrine du docteu
ant à sa belle-sœur que ce qu’elle avait de plus précieux c était une
lettre
. C’était la vérité, et cette dame en fut d'autant
ette dame en fut d'autant plus surprise qu’elle venait de recevoir la
lettre
en question par le courrier du soir, et n’en avai
anté altérée du père de M. B..., et finit par temeltre à celui-ci une
lettre
qu5 lui annsnçait la foialé ftouvéllU. Il parlli
lèle entre le son et la lumière est si parfait, dit Euler dans sa 2â*
lettre
à une princesse d’Allemagne, qu'il se soutient mê
donainee. Le SO Juillet «860. ERRATUM ESSENTIEL. L’auteui- des
lettres
au D' Charpignon n’ayant pas revu lul-tnôine les
. Roti. Ncras coatlnueWFDs nltérieuremeot la publication déS autres
lettres
dti D* Clever de Maldigny. AVIS. L’abondance
■ CFnifunTiHf. 4mi>»i Liioii 5/uVrMlt39.| Mes deux premières
lettres
ont rapporté des faits, non des faits bruts, mais
ouvrier, les malades, lescirconslances et paMois tous ensemble). Ma
lettre
prochaine mettra mieux en relief le mobile de ma
... C illusion ; Quelques citations afférentes à la donnée de cette
lettre
; 3“ l’aperçu statistlcpie actuel de la propaga
tralgie, anorexie, fmacintion Eugène Cognary, cité dans ma première
lettre
, est cocher dans ccKe maison. Au printemps de l
se dirigea du côté de ma porte, frappa, et remit à mon domestique une
lettre
. Elle était de M. Baron, et voici la traduction d
ence que j’allais faire. Le lentlemain matin je recevais une nouvelle
lettre
, plus pressante encore, s’il se peut. « Ne tardez
nouvelle théorie du magnétisme animal, par M. Warlomont, ainsi que la
lettre
qui accompagne ce travail. Vous avea cm devoir
llement d'accord, mais j'ai bâte d’en venir au bot principal de cette
lettre
, c'est-à-dire de démontrer, par des faits matérie
ET, pTopriétaire-gcrani. Le numéro prochain contiendra la quatrième
lettre
au docteur Charpignon. De cette manière, tou.? le
viens vous prier encore d’excuser le griffonnage et le décousu de ma
lettre
. Prochainement je vous adresserai : 1* Un nouve
DOCTEUR CHARPIGNON, d’orlèans. Versailles, 13 août 1860. quathième
lettre
:t). « Eil Detiâ in agUanU eafeseiimu Ulo.» [
viens avec calme sur le terrain le plus ardent du double sujet de mes
lettres
. Maintenant, cher confrère, il faut que je récu
r.'gner dans les intelligences faites pour les vérités suprêmes. Ses
lettres
de crédit Si>nt dans sa légitimité naturelle e
doclrvr en médecine et du maçnéliste, cependant, auquel s'adresse ma
lettre
, lui qui, je suis tenté de n en pas douter, résou
aborde la synihcM. Si M. d'Arliaud avait eu connaissance de la 32*
lettre
d'Euler (édition Charpentier, 18i3, p. lOt), il s
et m'adresser, par l’intermédiaire du Joumd du Magnétisme, vos quatre
lettres
. Je vous en écrirai deux, une pour l'homœopathie,
). Donc, quand is et triturations successives vouis ayez anéanti 4*
lettre
, vous semblez tenir pour rielie cette palingé* .
CRIPTUM, Cher confrère. Je viens de prendre connaissance de votre
lettre
en réponse i mes communications sur l’homceopat
ravail intellectuel quelconque au somnambule, par exemple, écrire une
lettre
ou une narration sur un sujet donné, résoudre un
et je suis alors convaincu, malgré la différencede la première de ces
lettres
, placée surtout comme elle m'apparaît et comme eU
rchant à me Confondre, me disait : « Puisque vous avez si bien vu une
lettre
et un chiffre, pourquoi n’arez-vous pas Vu la tâc
u baron du Potet, est incomplet à cet égard. Que dit encore dans sa
lettre
à Deleiisc le docteur Koreil, ce médecin si expér
étiseur, nous «’avons point eu l’idée de prendre ce mot au pied de la
lettre
, c’eût été une profonde erreur de notre part; nou
ferts sous ce rapport. Nous renvoyons donc encoi'e M. Lafontaine à la
lettre
du docteur Koreff à Deleiise, et il y verra que c
, 13, nous prions nos abonnés de vouloir bien se le rappeler, car les
lettres
que nous recevons encore maintenant ne nous parvi
EUVIÈME, INSTITUTIONS. Chaire d’enseignement pour le ma gnétisme.
Lettre
de M. le baron du Potet, en date du 30 mars 1857,
des fluidesilmpondérables; théorie par M. Jobard, 327. Homœopathie.
Lettres
de M. le Dr Clever de Maldigny à M. le Dr Charpig
ues mots y ralatifs, par M. la Dr Liégey, 266; par M. Berjaud, 610. —
Lettre
sur le même sujet, adressée à M. Maury, de l'Inst
(petit) de magnétisme, par M. du Potet, 637. Chaire de magnétisme.
Lettre
de M. du Potet à l'Empereur des Français pour dem
nambulisme« d'extase. etc., 224, 265, 305. Situation du magnétisme,
Lettre
de M. Petit d'Ormoy, montrant comme prochain le t
thémateuse de plusieurs centimètres de hauteur et sur cette bande les
lettres
se sont dessinées en relief, ayant environ deux m
iron deux millimètres de largeur; peu à peu l'érythème a disparu, les
lettres
persistant. (Troubles vaso-moteurs). 28 août. —
à midi. Elle n'a pas eu d'attaques depuis ce moment. — Ce matin, les
lettres
sont réduites à un trait semblable à une égratign
e bande érythémateuse assez large se développe promptement; puis, les
lettres
se dessinent en relief; ces phénomènes apparaisse
ur la poitrine, est encore apparent, mais très pâle; les jambages des
lettres
sont linéaires. — Celui d'hier, inférieur, a pres
30, elle reconnaît, sur une pièce de dix centimes, la tête, 9 les
lettres
, etc. ; elle voit le rouge, le bleu, le noir et l
aupières closes.) Durant cet exercice, les mains tremblent; aussi les
lettres
sont-elles un peu irrégulières. Catalepsie. — O
ent ; elles existent des deux côtés. Phénomènes vaso-moteurs. — Les
lettres
tracées avec une épingle sur la partie antérieure
érieure de la poitrine produisent une bande érythémateuse ; puis, les
lettres
se dessinent en relief d'un millimètre et demi de
ouvent par les médecins à l'insu les uns des autres. 29 août. — Les
lettres
ne sont plus représentées que par des égratignure
anesthésie qui existe d'habitude à gauche disparait. 30 août. — Les
lettres
ressemblent à des lignes tracées sur de la cire.
rée est très pénible. — Lait glacé, bain, etc. 1er septembre. — Les
lettres
sont moins visibles. — Mêmes symptômes. On rempla
inuer progressivement la quantité du médicament. 2 septembre. — Les
lettres
sont très pâles, jaunâtres, et s'effacent par pla
ioration notable, — On ne distingue plus que quelques fragments des
lettres
tracées sur la poitrine et sur le ventre : on v
ivement. A midi et à G heures du soir : T. R. 38°. 28 août. — Les
lettres
tracées avec la pointe d'une épingle sur le devan
nt une bande érythé-mateuse moins large que celle de W... et M... Les
lettres
se dessinent sans former de relief. Des raies tra
érythémateuse ; 3 ou 4 minutes plus tard, la rougeur disparaît et les
lettres
se dessinent légèrement en relief. 30 août. — D
t réveillée à midi, et depuis lors, est dans son état habituel. — Les
lettres
tracées la première fois sont encore apparentes ;
tes ; en certains points, elles commencent à s'effacer. Les dernières
lettres
écrites sont un peu plus nettes. 1er Septembre.
ières lettres écrites sont un peu plus nettes. 1er Septembre. — Les
lettres
sont à peu près les mêmes qu'hier. — La sensibili
qu'hier. — La sensibilité est normale des deux côtés. 2 sept. — Les
lettres
s'effacent, mais sont encore distinctes. 3 sept
s s'effacent, mais sont encore distinctes. 3 sept. — Une partie des
lettres
du mot tracé le premier ont disparu. Les lettres
pt. — Une partie des lettres du mot tracé le premier ont disparu. Les
lettres
du mot tracé en second lieu ressemblent à des égr
sous le coup de leurs attaques, cousent leur chemise. 4 sept. — Les
lettres
sont de moins en moins apparentes ; elles ressemb
on plus à des égra-tignures. 6 sept. — Les traits correspondant aux
lettres
se distinguent à peine de la peau. Hier soir, D..
... va bien. — Des mots tracés précédemment, on ne voit plus que deux
lettres
*. 24 sept. — Sommeil à partir de 6 heures du s
mot Alphon-sine sur la poitrine, avec une épingle ; à mesure, que les
lettres
sont écrites , il apparaît une bande érythémateus
s , il apparaît une bande érythémateuse sur laquelle se dessinent les
lettres
en relief. Elles sont blanches, peu accusées. 5
ugeur érythé-mateuse égale des deux côtés ; 40 secondes plus tard les
lettres
se dessinent en relief d'un millimètre et demi. A
demi. A la cinquième minute, la rougeur disparaît ; à la sixième, les
lettres
sont très bien dessinées, ont une largeur de deux
millimètres. 31 août. — On ne voit plus distinctement que les deux
lettres
du milieu (sur cinq), 1er septembre. — Il ne re
inq), 1er septembre. — Il ne reste que des fragments de la dernière
lettre
qui disparaissent eux-mêmes le lendemain. 2 sep
udront bien me prêter appui ou m’honorer de leur sympathie ; voici la
lettre
d'un homme qui est toujours prêt quand il y a des
Suite— Voyez tomo XIII, page 715). 4° M. Th.-C. HARTSHORN, homme de
lettres
, demeurant à Providence (États-Unis). Le savoir
iance à ses lecteurs. On y trouve, entre autres pièces curieuses, une
lettre
du fameux général Lafayette au libérateur Washing
rticle qu’on vient de lire, a publié dans son numéro du 5 janvier, la
lettre
suivante : A M. le Rédacteur en chef de la Gaze
t eut le bonheur de voir la prédiction du somnambule se réaliser à la
lettre
. » On le voit, dans tout ceci, il n’est pas que
é guérie si j’étais resté plus longtemps à Paris. Elle tn’a écrit une
lettre
de remerciements, dont voici la copie : « Monsi
2 est une femme qui avait la goutte aux mains. Voici l’extrait d’une
lettre
qu’elle a écrite à une de ses amies : « M. Cape
Tribunaux. — Mmc Roger a adressé au journal Y Union de ta Sarthe, la
lettre
suivante, qui a été insérée dans son numéro du h
craignait une autre cause de maladie. Elle m’envoyait donc, dans une
lettre
, une mèche de ses cheveux, et une de ceux de sa f
çait et envoyé immédiatement à Paris, par la poste, dans une série de
lettres
que j’ai conservées sous forme de journal. Quin
tant étonné, je voulus en tenter une autre, que je retrouve dans une
lettre
du 30 décembre 1841. Ma fille suivait alors les
rbé par une incessante pratique, je n’ai pu répondre de suite à votre
lettre
flatteuse et vous remercier de la bonne nouvelle
ient à distinguer, à apercevoir, tantôt un gros objet, puis enfin les
lettres
en titre d’un journal, puis un jour les plus peti
si cet ouvrage a été traduit en français. Tout le contenu de cette
lettre
, à l’exception de ce qui concerne mes affaires pe
e résultat de vos dernières découvertes, Je finis cette trop longue
lettre
en réclamant votre indulgence pour mon bavardage,
de Turin. A M. Hébert (de Garnay.) Monsieur, Dans nia dernière
lettre
, je vous ai signalé en passant les progrès que fa
nte, je ne refuse pas l’emploi bienfaisant du magnétisme. Depuis ma
lettre
de l’année dernière, j’ai pu constater, sur trois
rsonnes présentes ne sût cette langue et ne connût même la valeur des
lettres
hébraïques ; un hébraïsant érudit, auquel on prés
re preuve, que nous devons considérer comme un pas immense, c’est une
lettre
qui m’a été remise à mon arrivée, et que m’adress
somnambule peut entendre les objets renfermés dans une cassette, les
lettres
renfermées dans un portefeuille, les pages d’un l
CLAIRVOYANCE. — ENFANT RETROUVÉ. Nous extrayons du Magnctofilo la
lettre
suivante, adressée au directeur de ce journal et
ins, l’un partisan déclaré, l’autre adversaire acharné du magnétisme.
Lettres
, réponses, défis, récriminations , rien n’y manqu
umière. Nous extrairons toutefois des pièces de ce grand débat, une
lettre
du sieur Costanzo Bernardi, membre du collège de
ieurs magnétistes ont eu l’irrévérence de critiquer les mandements et
lettres
pastorales de divers prélats , qui interdisent le
ge auprès de l’exposition universelle, nous a adressé le lendemain la
lettre
suivante, avec les jolis vers ci-après transcrits
ondeur que tout le monde ne pénètre pas. Or, en prenant au pied de la
lettre
et dans son sens purement grammatical le mot prés
yer les eaux plus énergiques de Bourbon-l’Archambault et me donna une
lettre
de recommandation pour M. Faye, son ami, et médec
le Toulouse. A Monsieur le baron du Polct. Mon clier maître, La
lettre
que vous avez eu la bonté de m’écrire m’a procuré
à celui fait à l’Académie par le Dr Husson en 1831, ce sont également
lettre
morte pour M. Segond, auquel nous ne pouvons nous
our I Mais laissons-le répondre pour nous à M. Segond. Voici deux
lettres
qu’il écrivait à M. le comte de Mirville, après a
dans lesquelles celui-ci avait joué avec lui aux cartes, avait lu une
lettre
cachetée ainsi que des papiers renfermés dans un
'agent mystérieux que vous venez de me montrer» » Voici la première
lettre
sous forme de déclaration : « Quoique je sois b
phes, qui a eu lieu dernièrement, à Paris, un de nos amis a trouvé la
lettre
suivante, qui est inédite et fait connaître l’opi
es hommes sur lesquels ils la doivent indistinctement exercer. « La
lettre
que la société a cru devoir écrire en réponse à u
été de vues secrètes et de desseins cachés. J’approuve beaucoup cette
lettre
, à la qu’elle j’ai vu mon nom apposé, ce qui perm
e ¡ï signer toutes les délibérations. Mais il est, à l’égard de cette
lettre
, une reflexion que je ne puis me défendre de vous
question du magnétisme devant les lecteurs de cette leuille. Voici la
lettre
qu’à ce propos il a adressée aux rédacteurs : «
ut d’un temps moins long que ne pouvait le faire supposer la première
lettre
, on en reçut une autre fixant le jour où la neuva
ssurer la population, publier, clans les journaux de la localité, une
lettre
dans laquelle il soutient qu’il n’est pas donné à
A propos de l’histoire de l’éclair en boule, M. de Mirville cite, en
lettres
capitales, ces paroles de l’illustre Arago : (»
sciences occultes. Nous trouvons dans le numéro du 15 mars dernier la
lettre
suivante, qui nous a paru digne d’intérêt : « J
Cette mort, à laquelle 011 ne croyait pas, se vérifia tristement. Une
lettre
du pays apporta la confirmation de ce qu’avait di
demeurant posées sur la table. Quand il la retira, il s’y trouva une
lettre
. Le papier en était très-doux et bizarrement colo
rès-doux et bizarrement colorié ; l’écriture en était griffonnée ; la
lettre
était datée de Londres, Cravan Street, adressée à
assa du reste comme la première fois. Il reçut dans la main une autre
lettre
. L’écriture en était tracée en caractères de tout
rande élégance. Pour un mortel, ç’aurait été un travail énorme. Cette
lettre
, qui est fort longue, porte la signature de Ben J
main sous la table, à l’instar des deux autres. Elle reçut aussi une
lettre
, mais ce ne fut pas sans une lutte violente avec
les autres personnes avaient les mains appliquées sur la table. Cette
lettre
portait la signature de presque toutes les person
ts. Une quatrième personne ayant fait la même expérience, reçut une
lettre
qui était le fae simile de la précédente , si ce
pidité. Une dame ayant aussi placé sa main sous la table, reçut une
lettre
qui était la cinquième ; elle ne put l’amener à e
it pas souvenir d’avoir jamais rien écrit de semblable. Ensuite une
lettre
tomba du plafond sur la table. Elle était écrite
unération, ne savait auquel entendre. De toutes parts il recevait des
lettres
par lesquelles des malades éloignés et qui ne pou
a dent d'or. B. J. (Indépendance belge.) BIBLIOGRAPHIE. SECONDE
LETTRE
DE GROS-JEAN A SON ÉVÊQUE, au sujet des tables pa
in-8°; Ledoyen, éditeur. 1855. Nous ne connaissons pas la première
lettre
à laquelle fait suite l’opuscule que nous annonço
t de leurs recherches et de leurs méditations. L’auteur anonyme des
Lettres
de Gros-Jean a réuni dans une même série, comme é
mis à distance au moyen de corps intermédiaires ; je l’instruisis par
lettre
pour qu’elle se magnétisât elle-même pendant son
es; né à Mersebourg (en Souabe) en 173/i ; il y est mort en 1815. «
Lettre
autographe signée, à madame veuve Cardon, à Versa
ommunication suivante : u 11 y a pour vous, au bureau de poste, une
lettre
de Washington. L’autour désire acheter votre cr
du docteur Mash, réclamer ses dépêches. 11 y trouva effectivement une
lettre
de .MM. W. G. S. et C', de Washington, qui lui of
eviennent les tarots, phanisphères et autres hiéroglyphes hérissés de
lettres
hébraïques, etc.? Ces énigmes valent-elles le mal
revit plus, et, lendemain, la nouvelle mariée reçut, par la poste, la
lettre
suivante : « Ma bonne fille, je vais changer ta
our devenir membre correspondant, 170. Société magnétique de Turin.
Lettre
de M. Allix, son président, sur la propagande qu’
; — au point de vue philosophique, par M. A. S. Morin, 464. Seconde
lettre
de gros-Jean à son évêque, au sujet des tables pa
des corps d’une durée passagère, 579, 582, 621 ; — qui apportent des
lettres
et autres objets, 580, 582 ; — qui contrefont l’é
servent à enseigner aux enfants à tirer, à pousser, etc. ; 6° de
lettres
en bois de 7 centimètres 5 qui s'appliquent sur
6° de lettres en bois de 7 centimètres 5 qui s'appliquent sur des
lettres
imprimées de même dimension, collées sur des ca
es instructions it ce sujet. » Le lendemain nous allâmes montrer la
lettre
do M. Quentin il M. le Directeur qui nous affir
iron 2 mètres do sud au nord, il fau- drait, pour se conformer à la
lettre
du décret, construire des bâtiments en pente, c
ocuré des renseignements de divers côtés et, grâce aux notices, aux
lettres
et aux plans que nous avons reçus ; - grâce aus
ment et pour la création d'un hos- pice de petits incurables. Une
lettre
de M. le Directeur nous apprend que « le chiffre
n conséquence, le 24 mars, nous avons adressé à lI. Ch. Quentin une
lettre
e dans laquelle nous le priions d'appliquer les
quelle était la dépense qu'entraînerait l'ameublement, et que notre
lettre
eut au moins l'avantage de lui faire donner l'o
position des lits dans l'un des bâtiments de la nou- velle section (
lettres
du 30 avril, du 5 mai et du 5 juin 1884). L'e
Directeur de l'Assistance publiqua n'a pas encore répondu il cette
lettre
, très récente du reste (5 juin). « M. le Secrét
mporte sur toute autre considération, envoyait à la Préfecture la
lettre
suivante : « Par dépêche du 5 juin, M. le Préfe
de bâtiment dont il s'agit ; je lui adresse, AUJOURD'HUI même, une
lettre
de rappel, pour l'in- viter à me transmettre ce
ffaires dé- partementales, soumettait à M. le Préfet une nouvelle
lettre
au Directeur de l'Assistance publique, se plaigna
re. M. le Préfet n'avait plus de raison de retarder l'envoi de sa
lettre
impérative. Elle atteignit le but. Le 19 juillet,
t quatre mois sans le moindre effet. Il s'agissait d'une 1 Dans une
lettre
que nous a adressée M. Benedikt, en 1883, celui-c
hute du rectum facilement réductible. 6 mai. - Lecture : sait ses
lettres
; écriture : fait des bâtons; calcul : connaît
rches anatomiques sur le siège et les causes des mala- dies, ! ils"
lettre
, p. 398, T. VII. Edition française de 18n ; et da
ion progressive. - Entraves administratives à la sortie du malade :
lettre
et arrêté du Préfet de police. - Sortie définit
. Bientôt il s'évada. Voici, au sujet de son séjour à 'illepreu, la
lettre
que nous avons reçue de M. Guillaume, l'habile
RE DE POLICE A LA SORTIE. 159 17 avril. Nous recevons par erreur la
lettre
suivante qui était destinée à M. le Dr Blachez,
ur le Préfet de Police, Le chef de la 1 re division. X... Cette
lettre
ayant été renvoyée à M. Bradiez, celui-ci a rép
Cette lettre ayant été renvoyée à M. Bradiez, celui-ci a répondu la
lettre
qui suit au directeur de Bicêtre. 23 avril. M
e qui suit au directeur de Bicêtre. 23 avril. Monsieur, Par une
lettre
du 19 avril, vous voulez bien me donner avis de
e de la Préfecture de (1) Voir ce certificat à la page 154. 160 o
LETTRE
DU PRÉFET DE POLICE. police, on renouvelle le c
e second certificat, l'un de nous a adressé au Préfet de police une
lettre
lui signalant l'absence de réponse aux deux cer
e lui signalant l'absence de réponse aux deux certificats ; à cette
lettre
M. le Direc- teur de Bicêtre a reçu la réponse
ur de Bicêtre a reçu la réponse qu'on va lire : Monsieur, Par votre
lettre
du 28 avril dernier, vous m'avez prié de régula
Recevez, etc. Le Préfet de Police, Signé : CAMescassE. Dans cette
lettre
que M. le Préfet a certainement signée, sans en
es bureaux avaient commis une erreur en adressant à l'un de nous la
lettre
destinée à M. Blachez. 3° Enfin, nous ajouton
3° Enfin, nous ajoutons qu'en faisant parvenir à M. Bla- chez la
lettre
dont nous venons de parler,nous le prévenions q
e Paris; il fut pour cela condamné à 6 jours do prison. D'après une
lettre
qu'il écrivit à M. Macé dans les premiers temps
été faites avec les plus grandes précau- tions). 4 novembre. Deux
lettres
anonymes de ses compagnons l'accusent d'être un
n'a pu être réparée, de l'imprimeur litho- graphe, il faut lire les
lettres
à rebours. Fl , F2, F3 , Première, seconde. et
ecrétaire Général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de M. Lépinay et de M. Hermann Swoboda [de Vienne
de vivre. L'auteur du rapport, M. Gololoboff, cite comme exemple la
lettre
d'un père dont le fils est devenu alcoolique. Nou
dont le fils est devenu alcoolique. Nous pouvons voir, d'après celte
lettre
, combien est pitoyable la position de ceux qui on
elque membre de leur famille atteint de cet affreux vice. Voici cette
lettre
: « J'ai lu dans les journaux le compte-rendu d
de pleurer. Quelques jours après, je recevais de la jeune fille une
lettre
dont j'extrais le passage concernant son voyage :
ne, mais qu'elle avait de nouveau perdu le sommeil. Je lui donnai par
lettre
le conseil suivant : ¦ Chaque soir, une foiscou-
urs après, elle me répondait : « Merci, mon bon docteur, de - votre
lettre
qui m'a fait beaucoup de bien. Je suis bien mieux
Je lui avais dit qu'il n'en serait plus de même à l'avenir. Dans sa
lettre
, se trouve aussi ce passage : • J'ai eu l'autre j
e do VUloJuif; CRUISE (de Dubllnj; L, DAUR1A0, prof, à la Faculté des
lettres
de Montpellier; GU1MBËAU; \V. DKKHTKKKPP (de Sl-P
ini de Biols, que nous remercions ici de sa collaboration. Dans une
lettre
d'Aspasic à Périclès, on voit que le sommeil étai
a pas le temps de rentrer chez lui. Cette suggestion s'accomplît à la
lettre
; en effet après l'avoir réveillé voulant connaîtr
ecrétaire Oénéral donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
par lesquelles MM. les D" Paul Farez, Demonchy et
mais n'admet pas d'aliénés. Pourlfls renseignement», s'adresser par
lettre
ou téléphone au Médecin-Directeur M. le D' RAFFEG
de Vîllejuif; CRUISE (do Dublin); I* DAURIAC, prof, i la Faculté des
lettres
de Montpellier GU IMBEAU ; W. DEKHTEKKFF[de ; Van
éral donne lecture de la correspondance qui comprend entre autres des
lettres
de MM. Guenon, Lemaire et Liégeois. M. Liégeois
ndant de l'Académie des Sciences morales et politiques, communique la
lettre
qu'il a adressée récemment au maire de Nancy et à
al donne lecture de la correspondance qui comprend, entre autres, des
lettres
de MM. Podiapolski et Viazemsky (de Saratow). II
ent sans que j'aie aucune nouvelle. Un jour, cependant, je reçois une
lettre
dans laquelle 11 me remercie de mes soins, et m'a
mais s'admet pas d'aliénés. Pourles r*n»eicnemenls. s'adresser par
lettre
ou téléphone au Mi'rtecin-DT-elear M. le d* SAFFE
i-ci ; les deux autres se tinrent à l'écart. Voici un extrait d'une
lettre
qui est datée de Vichy, le 19 août, et dont on m'
mais n'admet pas d'aliéné». Pour les renseignements, s'adrossor par
lettre
on téléphone au Médedu-Di ree leur ?. le D' RAFFE
de Villejuif; CRUI8E (do Dublin); L. DAURIAO. prof, à la Faculté des
lettres
de Montpellier. 0U1MBEAU; W. DEKHTEREPP (de St-Pé
la Société, puis donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
d'excuses de M. le Dr Jules Voisin, président, re
mata n'admet pas d'aliénés. Pour les renseignement*, s'adresser par
lettre
on téléphone an M'drri ? •Directeur M. le D' BA
de Villejuif; CRU1SB (de Dublin); L. DAL'RIAO, prof, a la Faculté des
lettres
de Montpellier; OUIMBEAV . W. DEKHTEltEPP(de St-P
tituent pour nous la plus haute des récompenses, nous avait écrit une
lettre
dans laquelle il nous laissait espérer qu'il prés
mais n'admet pas d'aliénés. Pou ries renseignements, s'adresser par
lettre
ou téléphone au Médecin-Directeur M. le D' HAPF
mais n'admet pas d'aliénés. Pour les renseignements, s'adresser par
lettre
ou téléphone au Médeetn-DIreetenr M. le d' RAFFEG
do Viltoinlf; CRUISE (de Dublin); L. DADR1AC, prof. a la Faculté des
lettres
de Montpellier. OUIMBEAU; W.DEKHTRREPF(do8t-P*ter
Babinski à tenter de l'hystérie une définition dont l'esprit sinon la
lettre
est le suivant : L'hystérie est une maladie qui
re de vin pour les deux principaux repas. Au début de 1900, dans sa
lettre
de nouvel an, la femme de ce malade se déclare to
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de MM. les D" Emirzé (de Constantinoplc), Salager
Anne, où il fait des cours suivis principalement par les étudiants de
lettres
. Que les temps sont changés! Ses recherches porte
mais n'admet pas d'aliénés. Pourles renseignements, s'adresser par
lettre
on téléphone au Médecln-Direcleor M. la D- BAFFEG
o VilleJ .¦': CROISE (de Dublin); !.. DAORIAC, prof, à la Faculté des
lettres
de Montpellier; GU1MBBAU: W.DBKHTERËPP(dcSt-Piter
e mange plus ; il a des crises de désespoir et assaille sa famille de
lettres
éplorées. Cinq jours avant le Concours, il écri
rétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend : des
lettres
d'excuses de MM. Paul Magnin, Félix Regnault, Lép
gnin, Félix Regnault, Lépinay, Lemesle et Paul Joire, — ainsi que des
lettres
de MM. les docteurs Emirzé (de Oonstantlnople), P
ecrétaire Général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de MM. les D" Lemesle (de Loches),Paul Joire (de
ail n'admet pu d'aliénés. Pour les rense i Enemente, s'adresser par
lettre
ou téléphone au Médecin-Directeur M. le D" RAFFFG
do Villejulf; CRUISE (do Dublin); L. DAURlAC, prof, à la Pnculté dos
lettres
de Montpellier, GUIMBEAU ; W. DEKIlTEREFF(deSt-Pô
ecrétaire Général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de MM. les docteurs Emirzé (de Constantinople), E
mais n'admet pas d'aliénés. Pour les renseignements, s'adresser par
lettre
ou téléphone au Médecin-Directeur M. le D- RAFFEG
do Villcjuif; GRUISB (do Dublin); L. DAUR1AO, prof. A la Faculté des
lettres
de Montpellier GUIMBEAU; W. DEKHTEREFF (de St-Pét
plus à la théorie de Stricker, d'après qui on ne saurait pensera une
lettre
ou ù un chiffre, sans que l'habitus extérieur du
ion des Impulsions affectives. 11 y a quelques mois, je recevais la
lettre
suivante : « MoNSiEun le Docteur, « Je viens
dai pas à recevoir la visite du jeune homme qui m'avait adressé cette
lettre
. Au premier aspect il mapparut comme un sujet trè
ais il me prouva la réalité de cette influence en me communiquant une
lettre
qu'il avait reçue la veille de son impérieuse aut
mpérieuse autant que peu scrupuleuse fiancée. Voici le texte de cette
lettre
dont nous respectons la disposition des phrases :
la sugçcstionneuse) voudrait ou veut. « J'attends ton livre et une
lettre
vendredi. Mille baisers tendres. « B...X... «
lle baisers tendres. « B...X... « P.-S. — Quand tu recevras cette
lettre
tu respireras la poudre qu'elle contient et tu oo
l'obligeait constamment a penser à Mlle B... X... A la lecture de la
lettre
que nous publions ci-dessus, il fut extrêmement t
ariage. Il allait se mettre en route, lorsqu'il reçut ma réponse à la
lettre
qu'il m'avait adressée. Je lui affirmais qu'une c
e tout ce qui rappellera cette personne à mon souvenir, de brûler ses
lettres
, etc. Je ne veux pas offenser mon père en épousan
de Villejuif; CRCISE (do Dublin); L. DAUR1AC. pror. à la Faculté des
lettres
de Montpellier: GU1MBEAU; W. DEKHTEREFF (de St-Pé
re général donne lecture de la correspondance qui corn* prend: 1° Une
lettre
par laquelle M. le Dr Henry Lcmeslc s'excuse de n
riture était impossible, caria malade ne pouvait parvenir à faire ses
lettres
. Son nom était illisible tant le tremblement étai
erveau intervient; il fournit des pensées que la main exprime par des
lettres
et des mots variés. Maïs ces pensées elles-mê
ocard, avocat à la Cour d'appel, MM. Séghers et Jules Bois, hommes de
lettres
, M. Lépinay, médecin vétérinaire, M. le Dr Moirou
is, etc., etc. M. le Secrétaire général donne lecture de nombreuses
lettres
d'excuses parmi lesquelles, celles de M. le profe
'Académie de Grenoble : Muteau, dépulé de la Côte-d'Or, etc... et une
lettre
de M. le D'Lc Fo uriner, remerciant la Société de
de Guise. En 1589 (51 ans), il publia deux ouvrages intitulés, l'un :
Lettre
de l'évêque du Mans avec la réponse faite par un
nscience, et s'il est louable ou non; l'autre. Avis de Rome tirés des
lettres
de l'évêque du Mans à Henri de Valois. Enfin, en
rofonde impression sur la petite pensionnaire. On lit dans une de ses
lettres
: « Je me souviens... d'une parole de la Mère Angé
t paisiblement et même qu'il ronfle. Sans le toucher, j'applique à la
lettre
la technique que M. Farez m'a enseignée pendant m
s'opposer à ce qu'elle y fit profession, et écrivit dans ce sens des
lettres
à Port-Royal. « Elle devint pâle comme la mort dè
et telle chose. Et le roi de Syrie dit : pars, va, et j'enverrai une
lettre
au roi d'Israël-Et il partit. Lorsque le roi d'
tre au roi d'Israël-Et il partit. Lorsque le roi d'Israël eut lu la
lettre
, il déchira ses vêtements et déclara qu'il n'avai
ce est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne connaissance de
lettres
adressées par MM. les.D" Wateau, Aragon, Jaguarib
deux est le médecin ordinaire de Port-Royal de Paris ». D'une autre
lettre
de Gui Patin, en date du 2 juin 1657, et par cons
, employait ses loisirs à tricoter, et, entre temps, son- (1) Cotte
lettre
est adressée à M. C. S. C. M. D. B. Les trois der
Cotte lettre est adressée à M. C. S. C. M. D. B. Les trois dernières
lettres
sont probablement les initiales des trois mots :
rement honorifique et qui s'obtenait assez aisément. t2) Guy Patin.
Lettres
choisies, 1725. naît les cloches du couvent à
es et demie, M. Lionel Dauriac, professeur honoraire à la Faculté des
lettres
de Montpellier, fera une conférence sur : L'imagi
Facultés. Au début de la séance, M. le Dr Bérillon donne lecture de
lettres
par lesquelles MM. les Dr* Iluchard et Lucas-Cham
r noter la différence qui existe entre Philostrate, le latin homme de
lettres
fin et sceptique qui les a écrits, et les évangél
ticité indiscutable l'établissent formellement. Ce sont d'abord les
lettres
de Geoffroy, abbé de Vendôme, qui, contemporain d
ait, touchant sa conduite et des inconvénients de cette conduite. Ces
lettres
ont été publiées en 1610 par le Père Sirmond, d'a
rd. Fontebraldensis (T. i, Dissert 1, p. 38), reproduit également les
lettres
de Geoffroy de Vendôme : « Pemina-« rum quasdam,
ierre de S&umur, moine de Saint-Florent, avait écrit à Robert une
lettre
dans le même sens que celle de Geoffroy de Vendôm
une lettre dans le même sens que celle de Geoffroy de Vendôme. Cette
lettre
que posséda le P. Viguier de l'Oratoire, fut détr
« Année — n» 9. Mars 1902. BULLETIN Enquête sur l'occultisme. Une
lettre
du Dr Liébeault. Un écrivain qui peut passer po
sé à M. leD'Liébeault de Nancy ; il a reçu de notre éminent maître la
lettre
que nous reproduisons ci-dessous, encadrée de com
'elle avait inspirés à Jules Bois. Nos lecteurs trouverons dans cette
lettre
du D'Liébeault la marque de. la puissance d'espri
r monsieur, Ce n'est pas sans un certain charme que je réponds à la
lettre
que vous venez de m'écrlre à propos du mysticisme
derniers il y aurait même eu l'apparition d'une partie d'S, première
lettre
de deux mots suggérés Sancta crucis. La croix par
e M. le Df Liebeault avait déjà signalé les inconvénients. Dans une
lettre
qu'il nous écrivait à ce sujet, M. Liebeault disa
'hypnotisme. En 1889, il soutient devant la très libérale Faculté des
Lettres
de Paris une thèse de doctorat qui fait époque ;
ectum. Comme cette malade s'endort très facilement et réalise, à la
lettre
, toutes les suggestions qu'on lui fait pendant so
rs, il a donc une liaison en ville ! Notre homme sort, va mettre sa
lettre
à la poste, revient chez lui et dit à sa lemme :
oire demeure obstinément fermée toutes les fois qu'on lui parle de sa
lettre
à Jeanne et de sa tentative de suicide ; il les'n
ourette, un certificat du duc de La Rochefoucauld-Doudeauvillc et une
lettre
du comte d'Hédouvillc. Tous semblent inspirés par
rd, professeur à la Sorbonne, une très flatteuse et très intéressante
lettre
de laquelle nous détachons le passage suivant :
'hétéro-suggestion. .Comme dans celle-ci, paroles pro- noncées ou
lettres
écrites pénètrent par les oreilles ou les yeux po
étoffes couvraient ses yeux. Si on lui demande de lire, elle voit les
lettres
, mais les lettres dansent devant elle... En s
ses yeux. Si on lui demande de lire, elle voit les lettres, mais les
lettres
dansent devant elle... En somme, et malgré to
que sa lecture fixât sérieusement son attention ; elle regardait les
lettres
sans les voir, elle les voyait s'allonger, danser
et l'autre lui ont écrit et lui ont fait ainsi de la -suggestion par
lettre
: elle est, dans une certaine mesure, retombée sou
e fit introduire dans son cabinet après avoir pris connaissance d'une
lettre
de recommandation qui m'avait été remise pour lui
tions d'une voyante de Boulleret (Cher). Ce bulletin a pour titre : «
Lettre
aux membres de la pieuse et dévote association du
e, liseur de muscles et sensibilité tactile, p. 318. Liebeault (Une
lettre
du Dr), p. 257. Magnétiseurs (Exercice illégal
de Villejulf; CRUISE (do Dublin); L. DAURIAC, prof, à la Facullé des
lettres
de Montpellier; DAMOGLOU (du Caire); GUIMBEAU ; G
ne, ilais elle se découragea et ne revint pas. Ce soir, je reçois une
lettre
dans laquelle elle m'annonce qu'elle a été voir S
directeur de l'Ecole normale, M. Chabot, professeur à la faculté des
lettres
, Dr Beauvisage, professeur à la faculté de médeci
n ; M. Allender, pharmacien ; M. Polak, de la Société des gens de
lettres
; M. Prestat. président du Conseil d'administrat
s insignes de la Légion d'honneur. 11 donne ensuite lecture de la
lettre
suivante, qu'il vient de recevoir de M. le profes
n'a pas voulu poursuivre le traitement. En ce moment je reçois une
lettre
d'une malade écrite à un de mes confrères qui me
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
des Drs Orlitzky (de Moscou), Hœberlin (de Wyk, î
e également des plus satisfaisantes. M. le Président donne lecture de
lettres
d'excuses de M. le professeur Beauvisage, de Ly
la bonne voie, et son patron envoyait, il y a quelques semaines, une
lettre
de quatre pages d'éloges sur son compte. 4° L.
été rapide- ment guéri, et les parents nous ont confirmé par une
lettre
toute récente le maintien de cette guérison. Je
courante. Sa guérison a été complète, et dernièrement je recevais une
lettre
de sa mère, me disant que son garçon était devenu
enante, pour me faciliter l'entrée des laboratoires, il m'offrit sept
lettres
de recommandation. Les trois années passées au
sont de l'édition du Sommeil Lucide de 1906, et sont indiquées par la
lettre
S. L. Le mot « Fariisme » fut proposé par von Lié
, que le plus grand effort soit nécessaire du côté des yeux (1) Les
lettres
publiées avaient pour litre Animal Ma/jnelism (nM
cateurs et les hétéro-accusateurs qui, semant la calomnie au moyen de
lettres
anonymes, ou intervenant directement auprès de la
ourriture, boisson : ce qu'on veut. Revenir dans dix-neuf jours. La
lettre
est signée du père de la voyante et du médecin.
animité. ) La technique de la suggestion hypnotique à distance (par
lettre
), par m. le Dr Paul Joire (de Lille). On se tro
suggestions qu'il vient de lire, et cherchant à percevoir l'image des
lettres
et des mots écrits dans la transparence du crista
e pouvais lui indiquer un traitement de la peur. Je transcris de sa
lettre
la description qu'il me fait de sa phobie. « Da
pnose. A cela j'avais ajouté, sur une feuille de papier séparée de la
lettre
et bien disposées pour frapper le regard, trois s
ies de trois suggestions. Je transcris les parties importantes delà
lettre
reçue quelques semaines après, me rendant compte
rier donc je me suis mis à l'œuvre ; j'ai pratiqué exactement et à la
lettre
vos prescriptions... A la fin de la première sema
ns déjà en moi beaucoup plus de courage... etc.». Le début de cette
lettre
indique bien que le malade ne croyait pas à l'eff
ue bien que le malade ne croyait pas à l'efficacité du traitement, ma
lettre
ne l'avait pas persuadé qu'il allait se guérir.
n, est-elle une idée absurde. Une chose absurde ne se réalise pas. La
lettre
suivante nous renseigne à ce sujet. Un mois apr
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
des D" Lemcsle (de Loches), Jaguaribe (de Sao Pau
ins par l'exemple. Tout sentiment de devoir et de dignité humaine est
lettre
morte pour ces pauvres êtres. L'enfant devient vi
er l'instrument que jouait chacun d'eux; et je les désignerai par une
lettre
arbitraire, sans même préciser s'il s'agit d'un h
Lionel-Dauriac, professeur honoraire de philosophie à la Faculté des
lettres
de Montpellier, ancien collaborateur de Renouvier
ecrétaire génér.d donne lecture de la correspondance qui comprend une
lettre
d'excuses du Dr Bony, un article du D' Lloyd Tuck
n'avait pas vomi, mais avait souffert du mal de tôte et du dos. Une
lettre
de Batavia, écrite le \'i novembre suivant, me ra
la précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des
lettres
de M. le Dr Hahn et de M. le Dr Bony. La corres
médecin principal, M. Gallia, professeur, M. Xavier Privas, homme de
lettres
; Dr de Torres (de LuchonJ, Dr Hotlenier, Dr Pope
ieurs, nous la connaissons. Nous savons d'où elle émane. L'auteur des
Lettres
à un Provincial nous en a fait connaître l'origin
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de MM. les docteurs Egrot (d'Alger) et Bony, ains
précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des
lettres
d'excuses des D" Paul Magnin, Haluz, Henry Lemesl
maine, sans le moindre succès. Alors il lui fait écrire chaque mot en
lettres
grecques, d'abord dix fois, puis cent fois, même
séance est lu et adopté. La correspondance manuscrite comprend des
lettres
de M. le 1 » Frantz Glénard et de M. Quinque, dir
ns que Ton peut reproduire en pro-nonçantà haute voix l'assemblage de
lettres
suivant : T.r.r.r .a. T.r.r.r.a. T.r.r.r.a. « C
réflexe de la suggestibilité. Jules Bois a. la Société des Gens de
lettres
Dans sa dernière séance, le Comité de la Sociét
ettres Dans sa dernière séance, le Comité de la Société des Gens de
lettres
a attribué le Grand Prix de 3.000 francs à notre
e les inventeurs et que les hommes d'initiative. Si l'on prend à la
lettre
la définition de M. Lépine, le D' Liébeault a été
és de l'Ecole, et c'est tout. Dans toutes les autres Facultés (droit,
lettres
, sciences) les cours libres autorisés par le Cons
la dernière séance est lu et adopté. La correspondance comprend des
lettres
du D' Dezwarte, médecin en chef de l'école de Lim
de MM. Barthe, médecin vétérinaire en premier, et A. Vogel, homme de
lettres
. Ces candidatures sont adoptées à l'unanimité.
sseur), par Bérillon, p. 289. Bois (Jules) à la Société des gens de
lettres
, p. 286. Causes morales des psychonévroses, p.
veau, p. 128. Technique de la suggestion hypnotique à distance (par
lettre
), par Joire p. 154. Tics chez les animaux, par
e Villejuif ; CRUISE (de Dublin) ; L. DAURIAC, prof. à la Faculté des
lettres
de Montpellier ; DAMOGLOU (du Caire) ; GUIMBEAU ;
ire général donne lecture de la correspondance qui com- prend des
lettres
de M. Jules Moret ainsi que des Drs Lucien Graux,
annes, ne s'était empressé de se rendre à son appel. Dans sa dernière
lettre
, il m'exposait toute la délicatesse des soins
plus suivis. Le Dr Bérillon, secrétaire général, donne lecture des
lettres
d'excuses de M. le professeur Giard, membre de l'
, correspondre avec leurs parents, leurs inspecteurs. L'arrivée d'une
lettre
, je l'ai remarqué, les réjouit, les réconforte et
s pour l'enseignement de la lecture. Sur ces cubes sont imprimées les
lettres
simples et celles dont l'association forme un son
es y sont aussi indiqués. On attire les regards de l'enfant sur ces
lettres
, on les lui assemble, on forme des mots, des syll
par les meilleurs procédés de prononciation. L'enfanta d'abord vu les
lettres
sous forme d'objets concrets, il les voit avec un
i doit former la base de l'éducation physique des enfants. Dans une
lettre
adressée au comité d'organisation de la Ligue nat
seuls et qu'ils soient propres. Quelques-uns apprennent à lire des
lettres
isolées et à connaître les chiffres, sans savoir
l'opération, à ce point que ces enfants qui connaissaient à peine les
lettres
et les chiffres isolés apprenaient au bout de que
t, M. le Dr Bérillon, secrétaire général, donne lecture de nombreuses
lettres
d'excuses et souhaite la bienvenue à nos collègue
carré qui fournit toutes les lignes nécessaires à la formation de nos
lettres
en est le principe général. Dans mon alphabet q
inutile, partant nuisible, La maman qui est arrivée à apprendre les
lettres
de l'alphabet à son bébé est fière, et il n'est p
us dire : Mon enfant sait lire, ou saura bientôt lire, il connaît ses
lettres
. Erreur, il s'écoulera encore des mois, peut-être
s de vingt ans que nous l'appliquons aux arriérés : Donner à chaque
lettre
de l'alphabet le son propre qui lui convient, car
point aux consonnes une valeur réelle. Reprenons le mot : Papa. La
lettre
que vous prononcez Pé ou Peu, selon l'une ou l'au
ut de suite Pa et en deux émissions Papa. Ce que nous faisons pour la
lettre
P, nous le renouvellerons pour les autres consonn
imons aussi toute toute épellalion et syllabation et donnons à chaque
lettre
le son qui lui est propre. Un certain nombre de
âter la gué-rison et, qu'à cet effet, je lui conseille de suivre à la
lettre
tous mes préceptes. Si je prévois que des pério
tenir au texte même de l'article 64. Alors, pour vous conformer à la
lettre
stricte de la loi, allez-vous répondre, catégo-,
el à cette demande : X... est-il ou n'est-il pas dément ? La voilà la
lettre
de la loi ! Vous ne trouverez pas d'experts (et c
vous ajoutez de votre crû quelque chose au texte de la loi ; entre la
lettre
primitive de l'article 64 et l'interprétation que
mpte vous avez été obligé d'admettre pleinement. Est-il conforme à la
lettre
stricte votre « quart d'obnubilation » ? Dans v
tares de l'inculpé. Louable souci, mais qui dépasse singulièrement la
lettre
stricte de l'article 64. Vous ne pouvez donc ex
lsumans, font apprendre aux enfants, comme par le passé, seulement la
lettre
du Coran en arabe, sans les initier à son esprit.
énéral donne lecture de la correspondance manuscrite qui comprend des
lettres
de MM. les docteurs Hue, Hurtrel, Mabille, Mayoux
ec, au verso, le résumé de l'observation écrit en allemand. Dans la
lettre
qui accompagnait l'envoi, enjanvier 1904, Wetters
lui dessinait sur le bras, à l'aide d'un papier roulé en pointe, une
lettre
quelconque et si on lui suggérait, pendant le som
lui suggérait, pendant le sommeil hypnotique, de faire saigner cette
lettre
ainsi dessinée, on voyait, au bout de quelque tem
tte lettre ainsi dessinée, on voyait, au bout de quelque temps, cette
lettre
apparaître très rouge et recouverte de petites bu
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de MM. les D" Coste de Lagrave etWiazemsky (de Sa
une entente cordiale universelle. Abd-uI-Médjid avait le cuke des
lettres
et des sciences autant que celui de la justice. I
telles imputations, M. le Ij- Curie père vient d'adresser au Matin la
lettre
suivante : i Dans vos propos du 21 février, vou
; nous verrons alors si on doit lui infliger le dernier supplice. Ta
lettre
nous a appris que cet individu était d'un rang et
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de MM. les docteurs Jourdan (de Marseille), Lemes
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de MM. les docteurs Cauvy, Raffegeau, Mignon, Cos
lève de l'Ecole des hautes études orientales ; M. Toussaint, homme de
lettres
, etc. Parmi les premiers adhérents qui s'étaien
re de la mission Brazza ; M. Christmann ; M. Jules Bois, homme de
lettres
; M. le Dr Bahaddin-Chakir bey, de Constanti-nopl
ecrétaire général donne lecture de.la correspondance qui comprend des
lettres
de MM. les docteurs Witry (de Trêves), Anastay (d
est levée à 6 h. 45. Hypnotisme et suggestion « armée » 'portrait,
lettre
). par M. le Dr Witry (de Trêves) Je vais vous
ed, dont l'éducation fut soignée et qui excellait dans la culture des
lettres
, des sciences et des arts, se montra, au contrair
l composa quelques bonnes poésies, et fut le protecteur des hommes de
lettres
. Ses lettres, en arabe et en persan, montrent tan
lques bonnes poésies, et fut le protecteur des hommes de lettres. Ses
lettres
, en arabe et en persan, montrent tant d'éloquence
ésirs. Suivant Ibn Batuta, son irritation avait été provoquée par des
lettres
anonymes, jetées la nuit dans la salle d'audience
871. Il étudia depuis la philosophie et accepta après son doctorat ès
lettres
, la position de professeur de Philologie à la Col
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de MM. Bahaddin Chakir Bey, Scié-ton-fa, Louis Ma
int d'imbécillité prononcée. A son entrée, il ne connaissait aucune
lettre
, ne pouvait, sur le cahier, reproduire que des
lents ; il a peu de mémoire, cependant il est parvenu il placer les
lettres
et les chiffres et il reconnaître les légumes.
: IQL'E : résultats. IX déshabille et se nettoie seul. Il place les
lettres
et les recon- naît. Parle assez à propos et pro
sons, triangle, carré, cercle, etc., et, enfin, il la formation des
lettres
. Cette manière de procéder nous a donné des rés
: résultats. faisants. Laure... forme maintenant toutes les petites
lettres
et quelques grandes dérivées de o felles que d,
r la lec- ture au syllabaire et cependant cet enfant, it l'aide des
lettres
mobiles, place les consonnes devant une voyelle
que l'enfant a voulu représenter, enfin il forme presque toutes les
lettres
et commence à les assembler. Cet enfant qui, ay
pour la lecture au syllabairc. Nous obtenons davantage à l'aide des
lettres
mobiles. La parole, chez cet enfant, continue à
nd compte des quantités qu'ils représentent, forme bien les petites
lettres
, commence iL les assembler. 7° 'l'1ER... (I'ier
e la boîte aux leçons de choses. En 1898, il reconnaît et nomme les
lettres
, chiffres, surfaces ; place bien les bâ- tonnet
phrases. - En 189't, il s'habille et se déshabille seul, place les
lettres
, les surfaces, les couleurs. Il commence à form
lettres, les surfaces, les couleurs. Il commence à former quelques
lettres
et chiffres en 1895. Toujours en mouvement, Fél
on (images hlanches ou colorées sur fond noir), à ap- prendre les
lettres
(grandes lettres noires sur fond blanc), pour l
ches ou colorées sur fond noir), à ap- prendre les lettres (grandes
lettres
noires sur fond blanc), pour l'éducation de la
. Ordres du jour des Commissions. - All'iclies diverses. Entêtes de
lettres
, registres et tableaux divers pour la Direction
is surtout au point de vue classique. Elle écrit lisiblement, ses
lettres
sont bien formées; elle suit une dictée du cours
se de rcvenir aujourd'hui il la mesure appliquée en 1883-83, par la
lettre
suivante adressée à M. le Président de la Commi
, au même degré que par le passé. Ce regret exprimé, revenons il la
lettre
de M. le Préfet. « Pour remédier il l'insuffisa
ces de la classe, où il a fait de réels progrès; il sait placer les
lettres
, reconnaît les chiffres, les couleurs, les surf
intellectuel et paraît content de travailler. Il con- naît bien les
lettres
, les chiffres et les couleurs. - Août, - Pubert
commence à bien tracer les bâtons sur l'ardoise, et nomme quelques
lettres
. Il apporte une grande attention à ce qu'on lui
ntelligible ; il trace des hâtons ssr une ardoise et nomme quelques
lettres
. - Enfin' il la fin de l'année 1900, il parle d
née 1900, il parle de façon il peu près correcte, il écrit quelques
lettres
et commence il savoir lire, seul son caractère
plus soutenue, a permis de lui apprendre à écrire les chiffres, les
lettres
. Il a fait des progrès pour la tt Microcéphalie
t des progrès pour la tt Microcéphalie. 189 lecture, au moyen des
lettres
en bois. La parole, presque nulle à l'entrée a
asse plus ses ongles. Il écrit sur l'ardoise, commence à lire les
lettres
. La photographie collective n" 7 représente l'e
que quelques fragments de circonvolutions à peu près saines. Les
lettres
ont la même signification'que celles de laPLAN-
misphère droit, IUningo-enc,éplialite à peu près généralisée. Les
lettres
ont la même signification que celles de la Plan-
à 51 de ce Compte-rendu Petite ÉCOLE. JX commence à assembler les
lettres
, et à tracer les o, a et u sur le cahier. Les p
d exactement quand on lui parle. Il a appris a con- naître quelques
lettres
et, sur le cahier, il peut reproduire des barre
ns sensées. Il a pris goût à la classe, connaît et nomme toutes les
lettres
de l'alphabet ainsi que les chiffres, les coule
, boutonner, nouer mais sans rosettes. Il place par comparaison les
lettres
et les chiffres sur les cartons correspondants
plaisir en classe, l'écriture a beaucoup gagné. Ils assemblent les
lettres
, savent écrire leur nom, leur âge, les jours de
parle pas ou ne possède que quelques mots, ne con- naisse pas les
lettres
, ne syllabe pas, nous l'exerçons à reconnaître
on (images blanches ou colorées sur fond noir), à appren- dre les
lettres
(grandes lettres noires sur fond blanc), pour l
ches ou colorées sur fond noir), à appren- dre les lettres (grandes
lettres
noires sur fond blanc), pour l'éducation de la
, par suite de son hémiplégie droite, a une écriture régulière, à
lettres
bien formées, penchées dans le même sens, ce qui
Recueil de chants (1 ? partie). -- Affiches diverses. - Entêtes de
lettres
, registres et tableaux divers pour la Direction
est en bonne voie d'amé- lioration. Elle aime l'école, connait les
lettres
, les chiffres et commence à écrire. Ses progrès
pas, mais elle était nulle en instruction, connaissait à peine les
lettres
. Le caractère était méchant, querelleur ; elle
ui concerne l'enseignement. Elle ne connaissait qu'une partie des
lettres
et des chiffres, commençait à peine à écrire et
diquait l'intelli- gence. Elle ne savait pas lire, mais formait les
lettres
et les chiffres; elle ne savaitpas compter, ne
son orthographe est encore défectueuse mais elle peut rédi- ger une
lettre
; connait les trois premières opérations de l'a
n il la Commission d'assistance du Conseil général comprenant une
Lettre
de JI. C : l1'1'iot au sujet de la statistique de
e, la Belgique, et vous avez renouvelé votre voeu. Le 16 mai 1899 :
Lettre
il M. Ch. Dupuy, président du Conseil, ministre
ez-vous, tout d'abord, m'excuser de répondre si tardivement à votre
lettre
du -2[ mars ? Je suis rentré hier soir d'un voy
ries qu'on y reçoit sont celles que nous avons indiquées dans notre
Lettre
à M. CaJTiot. 2° Tous les enfants considérés co
art,aucun accident nerveux. 990t.- Le 23 janvier, nous recevons une
lettre
d'un M. X... nous demandant un rendez-vous afin
usqu'au 28 novembre, elle a eu deux crises en juillet et 5 en août (
lettre
de M. J. Voisin). Les parents la reprennent alo
entrale. 11 écrit même à son frère à cette intention, nous donne sa
lettre
qui part au domicile des parents. Quelques jour
s après, visite de ses grands parents, qui ne comprennent rien à la
lettre
et nous affirment qu'il n'y a rien de vrai dans l
ssus le mur, non sans avoir deposé en vue sur un banc du jardin une
lettre
il l'adresse d'un de ses maîtres, où il annonce
ps ». IDIOTIE morale. il Son absence est remarquée aussitôt et la
lettre
trouvée de suite. Nous envoyons au barrage un i
un infirmier, tandis qu'un autre va au domicile des parents avec la
lettre
en question. La famille nous répond : « Il n'y
, sur notre avis, sortir quelques jours, et il rentre seul avec une
lettre
de son grand-père manifestant l'agréable impres
l'autre 3 francs. Une autre fois, on l'envoie à la poste avec six
lettres
non affranchies et 2 francs ; elle garde l'argent
on affranchies et 2 francs ; elle garde l'argent et fait partir les
lettres
; comme les destinataires se plaignent dans la
onstater une fois de plus, le danger qu'il y a d'accepter trop à la
lettre
un témoignage d'enfant ? Car enfin que serait-i
novembre. Le certificat de transfert est établi. 19 nouembre. - Une
lettre
du médecin en chef de l'Asile de Dury-lès-Amien
misphère cérébral gauche. 1 ? première circonvolution frontale. (La
lettre
F1, placée en arrière, ne répond pas il la prem
a protubérance. Dans cette figure et dans celle des n° 2, 3, 4, 5, la
lettre
p indique toujours le sillon postérieur. La lettr
n° 2, 3, 4, 5, la lettre p indique toujours le sillon postérieur. La
lettre
a, le sillon antérieur. R, le corps restiforme.
fs spinaux, r indique le lieu d'origine des racines postérieures. Les
lettres
ap continuent à désigner le sillon an-térieur et
lle montre en dehors la séparation du faisceau moyen, indiqué par les
lettres
A A A, d'avec le faisceau postérieur, dont les le
ndiqué par les lettres A A A, d'avec le faisceau postérieur, dont les
lettres
YYSD marquent différentes régions, cette figure f
région fasciculée du pédoncule cérébelleux UU'. La signification des
lettres
D, Y, Y, V, W, P, ut supra. Cette planche conti
re les tubercules quadrijumeaux en dehors du précédent. Le n° 4 et la
lettre
B indiquent une membrane nerveuse très-délicate q
ent les prolongements intra-cérébelleux du corps restiforme. Sous les
lettres
0' 0' 0' 0", on voit le relief de ce prolongement
indiquent le relief du cotylédon ventri-culaire du corps strié. La
lettre
F montre la coupe de la couche fibreuse qui sépar
laquelle on voit en Q la région externe du pédoncule céré-belleux. La
lettre
H/ montre la petite portion du trijumeau naissant
O et jusque dans les parties fibreuses de l'éminence vermiforme h. La
lettre
E marque le nerf auditif. Plusieurs ra-cines de c
te branche de l'ourlet ramifiée dans le sommet du loba temporal E. La
lettre
Y indique le crochet de la tubérosité temporale.
té enlevé. On voit en C le moignon de son arbre fibreux. Les autres
lettres
de cette figure désignent des parties précédemmen
cotylédons. V, cercle fibreux de l'orifice ven-triculaire. Les autres
lettres
se rapportent à des parties antérieurement expliq
Heryng et M. Siemiradzki, envoyèrent au « Courrier de Varsovie » des
lettres
élucidant des divers points en litige ; M. Gawale
ier, et Watraszewski ; MM. Glowacki, Kraus-kar, Gawalewicz, hommes de
lettres
; M. Szadkowski, avocat. 2, qui, tout en faisan
de quelqu'un des assistants. » (Szadkowski). M. Siemiradzki, dans une
lettre
envoyée de Rome au Courrier de Varsovie (N° 62),
la précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des
lettres
de M. le professeur Bernheim, de MM. les Drs Ph.
r et de manger comme d'habitude. Tous ces ordres furent exécutés à la
lettre
. Ce qui nous fut prouvé par l'examen ultérieur de
dium, je n'ai jamais constaté ce phénomène. » M. Siemiradzki, dans sa
lettre
mentionnée ci-dessus(4), rapporte sur une pareill
eux pieds se trouvent sous la table. » Le Dr Heryng affirme dans sa
lettre
(Courrier de Varsovie, N° 17), avoir constaté les
apia. (2) Je crois devoir remarquer que souvent je ne cite pas à la
lettre
, car je dois résumer ; mais je reste toujours abs
s de Wetterstrand chez les morphinomanes, le Dr Landgreen. « dans une
lettre
ouverte, insiste sur ce fait que dans le traiteme
amment, à haute voix, l'écriture imprimée et manuscrite aussi bien en
lettres
allemandes qu'en lettres latines. Ce petit prodig
criture imprimée et manuscrite aussi bien en lettres allemandes qu'en
lettres
latines. Ce petit prodige a commencé vers la fin
ble de chacun de ces mots. Il a ainsi appris à connaître les diverses
lettres
de l'alphabet qu'il a su recohnaitre ensuite, let
re les diverses lettres de l'alphabet qu'il a su recohnaitre ensuite,
lettre
par lettre, dans d'autres mots à lui inconnus et
rses lettres de l'alphabet qu'il a su recohnaitre ensuite, lettre par
lettre
, dans d'autres mots à lui inconnus et qu'il a pu
Athènes d'après de récentes découvertes. Th. doct. de l;i Faculté des
lettres
de Paris. 1881. Salomon Reinach. — La seconde s
environs de Radom ;Polognerusse), que je connais personnellement, une
lettre
où il me demande de mentionner les expériences mé
s de l'Ecole., et c'est tout. Dans toutes les autres facultés (droit,
lettres
, sciences) les cours libres, autorisés par le Con
ut lire, elle se lève, affirme sa guérison et court écrire une longue
lettre
à son mari. Cette guérison a été contrôlée par le
Instruction publique : MM. Barbaud, médecin de la Société des gens de
lettres
; Blondel, directeur de la Revue thérapeutique ;
uillet 1894 est lu et adopté. La correspondance écrite comprend des
lettres
de MM. les D" Hamilton Os good, de Boston, et Cru
e gloire de cette Faculté, il fut nommé agrégé. S'en fût-on tenu à la
lettre
du concours, nous aurions pu être privés de Charc
ement, je ne dirai pas à vos moments de repos, de cultiver un peu les
lettres
. Depuis Cicéron, tous les professeurs de littérat
éron, tous les professeurs de littérature ont fait l'éloge des belles
lettres
et montré qu'elles étaient le plus noble plaisi
'on sait; vous ne pourrez pas le faire si vous n'avez pas cultivé les
lettres
. Certes, l'œuvre scientifique de Charcot estconsi
ons perdraient de leur saveur. Ne négligez donc pas, en cultivant les
lettres
, un puissant moyen d'action, un précieux ëlément-
Présidence de m. Dumontpaluer La correspondance écrite comprend des
lettres
de MM. Bourdon, de Méru, Hamilton Osgood, de Bost
de Bruxelles; A. Bertrand, professeur de philosophie à la faculté des
lettres
de Lyon ; Casimir de Krauz, professeur; Castan, a
n lui demanderait d'épeler un mot, il en verrait distinctement chaque
lettre
. Peu après, sa mère me ditque son fils avait fa
ésidence de M. Duwontpallier. La correspondance écrite comprend une
lettre
de M. Auguste Voisin, qui. membre du jury de l'in
int-Winifred), dans plusieurs des journaux illustrés, et le nombre de
lettres
que j'ai reçues depuis quelques semaines, de di
malade, jusqu'au mois de février 1895, où, après avoir reçu plusieurs
lettres
se rapportant à sa « cure merveilleuse » à Holywe
ntéressant au point de vue de la pathologie nerveuse. Il s'agit d'une
lettre
du R. P. Castets, missionnaire à Madagascar, dist
du R. P. Castets, missionnaire à Madagascar, district d'Arivoni-mamo,
lettre
dans laquelle il décrit une affection qui sévit p
ossible d'indiquer exactement le sens et l'étymologie de ce nom. A la
lettre
, il signifie rougegrand ; c'est peut-être une all
ous qu'il ne soit pas amené à donner, et c'est le cas de le dire à la
lettre
, le coup de pouce pour faire réussir l'expérience
idence do M. Dumoutpallier. La correspondance imprimée comprend une
lettre
de M. le Dr Le Menant de Chesnais. La correspon
uement les choses changèrent : je reçus vers le milieu de janvier une
lettre
du frère de madame D..., dans laquelle il m'annon
s verres, et s'enivra les jours suivants. C'est alors que je reçus la
lettre
du frère et qu'on l'amena chez moi. Je l'hypnot
les deux ans. (2) Depuis longtemps, les professeurs de facultés dos
lettres
et des sciences ont abandonné ces costumes surann
la Société ont lieu le 15 juillet. Adresser les communications et les
lettres
de candidature à M. le Dr Bérillon, secrétaire gé
il trouvait un livre caché, et dans ce livre, la page, la ligne et la
lettre
demandées, qu'il marquait à l'aide d'une épingle.
séance est lu et adopté. La correspondance-manuscrite comprend une
lettre
de M. le Dr Paul Joire. La correspondance imprimé
la Société ont lieu le 15 juillet. Adresser les communications et les
lettres
de candidature à M. le Df liérillon, secrétaire g
se à l'école qu'à 6 ans et a eu beaucoup de peine à apprendre ses
lettres
. Elle n'a pas d'aptitudes particulières. Elle r
plus la théorie de Stricker, d'après qui on ne saurait pensera une
lettre
ou à un chiffre, sans que lïlHhiln extérieur du
le portant invariablement la même adresse. Voici d'autre part une
lettre
que nous empruntons au dossier de Mme \..... -
arte, Médecin adjoint de l'Asile de la Roche-Gandon (Mayenne). La
lettre
très intéressante de M. le Dl' Deswarte vient c
est loin d'être rassurant ..l'en ai la preuve dansée passage d'une
lettre
qui émane de ilttclyu'un tlunl le de- voir est
'abord ; nous pourrions citer tel de nos élèves sachant à peine ses
lettres
il y a quelques mois et lisant aujourd'hui à pe
bord ; nous pourrions citer tel de nos élè- ves sachant à peine ses
lettres
il y a quelque mois et lisant aujourd'hui à peu
uche étant fermé, que l'enfant ne dislingue toul d'abord aucune des
lettres
de l'échelle de Snellen, même les plus grandes
hiffrer les quatre ou cinq pre- mières lignes de l'échelle; maisces
lettres
sont plus petites que si elle le 1 i les deux v
ntre 5,1-)o à droite, et encore le sujet ne peut distinguer (pie la
lettre
E qui lui parait de grandeur plus petite qu'avec
0 cm. du sujet et écris une phrase à la craie rose, avec de grandes
lettres
ma- juscules : je place le carton comme dans l'
lire en fermant l'oeil gauche : elle distingue après hésitation les
lettres
de la fin de la phrase, placées à droite du car
ettres de la fin de la phrase, placées à droite du carton, mais ces
lettres
sont vues rouge très foncé et de dimension plus
ouvre le gauche, elle lit la première moitié de la phrase dont les
lettres
se détachent en rose et avec leur grandeur réelle
. si les deux yeux sont ou verts, elle lit la phrase entière, elles
lettres
, tout à l'heure rouge foncé, apparaissent maint
en jaune, les réponses sont identiques, avec la différence que les
lettres
jaunes sont ^vues blanches et à peine distincte
re en verre noir sur le mi- lieu duquel se détachent, en clair, des
lettres
alternativement vertes et rouges. On place alor
ont un verre est rouge et l'autre vert, puis on lui fait L lire les
lettres
du tableau transparent. Si le sujetala ,ne norm
au verrerougclcsleL- tres rouges, et avec l'oeil au verre vert les
lettres
vertes : il lit ainsi AMBLYOPIE HYSTÉRIQUE MONO
AMBLYOPIE HYSTÉRIQUE MONOCULAIRE ; SA DISPARITION. 340 toutes les
lettres
. S'il est au contraire amaurotiquc dut ! oeil, il
s. S'il est au contraire amaurotiquc dut ! oeil, il ne lira que les
lettres
dont la couleur correspond à celle du verre pla
erre vert à droite et un verre rouge à gauche, elle ne lira que les
lettres
rouges du ta-' bleau : or elle lit aussi les le
e lira que les lettres rouges du ta-' bleau : or elle lit aussi les
lettres
vertes. Inversement,le verre rou- ge étant mis
mis à droite et le vere vert àgauche, elle ne devrait voir que les
lettres
vertes ; or elle lit les lettres rouges ; donc el
uche, elle ne devrait voir que les lettres vertes ; or elle lit les
lettres
rouges ; donc elle voit avec l'oeil droit dans
l'oeil gauche, par exemple un verre rouge. Valentinene lit que les
lettres
rouges ; j'enlève alors le verre opaque de l'oeil
; j'enlève alors le verre opaque de l'oeil amblyope et elle lit les
lettres
rouges et vertes ; si je mets un verre verL à;;
à;;auclle et replace le verre opaque à droite, elle ne lit que les
lettres
vertes, mais dès que j'ôte de nouveau le verre op
, mais dès que j'ôte de nouveau le verre opaque, elle lit aussi les
lettres
rouges. Elle voit donc de l'oeil droit au momen
instrument avec l'oeil gauche seul ou l'oeil droit seul on verra la
lettre
F ou la lettre L; mais si on regarde avec les d
l'oeil gauche seul ou l'oeil droit seul on verra la lettre F ou la
lettre
L; mais si on regarde avec les deux yeux, les l
lettre F ou la lettre L; mais si on regarde avec les deux yeux, les
lettres
F et L se fusionnent en une seule et unique let
deux yeux, les lettres F et L se fusionnent en une seule et unique
lettre
qui est un E. Si Va)en- tine ferme l'oeil droit
ui est un E. Si Va)en- tine ferme l'oeil droit, elle ne voit que la
lettre
F; si elle ferme 350 CLINIQUE NERVEUSE. l'oei
roit ; elle paraît donc amaurotique et ne devrait distinguer que la
lettre
F en rapport avec l'oeil sain ; or, elle lit E
raît dans la vision binoculaire. - Expérience 20. En se servant de
lettres
rouges, les résultats sont identiques ; avec ce
cette différence que, dans la vision droite seule, l'enfant lit la
lettre
L, mais une lettre L réduite dans ses dimension
ue, dans la vision droite seule, l'enfant lit la lettre L, mais une
lettre
L réduite dans ses dimensions et de couleur rou
cropsie disparaissent complètement dans la vision binoculaire où la
lettre
E estperçue nettement. 1. Expérience 21. Les tr
ert, ce qui donne noir, la vision droite peut encore distinguer les
lettres
rouges, mais ces lettres sont diminuées de moit
a vision droite peut encore distinguer les lettres rouges, mais ces
lettres
sont diminuées de moitié comme grandeur et d'un
ne et un verre rouge devant son oeil amblyope, ullclitnettement les
lettres
rou- ges;sionchaugeclwerre rouge parmi vert, el
tres rou- ges;sionchaugeclwerre rouge parmi vert, elle lit bien les
lettres
vertes. Donc l'amblyopie a disparu. Expérienc
plus insuffisant, en gé- néral, que dans les Asiles de la Seine. La
lettre
de notre collègue M. le D' Dubuisson, que nous
du service médical dans l'action pour le bien des malades. Dans sa
lettre
au Préfet de la Gironde, le D1' Anglade, précis
s n'ont plus rien à apprendre de leurs aînés. Pardonnez-moi cette
lettre
bien longue et qui, d'ailleurs, vient trop lard
et veuillez croire à mes sentiments dévoués. ,. . NGL.1DE. Votre
lettre
est trop intéressante, mon cher collègue, pour
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations
pillenpriiiung und pupillenrcaklionen In n 8° de 20 pages. Dumas.
Lettres
i un jeune h mlmc qui veut étudier la médecine.
32 4U8 TABLE DES MATIERES. dans un 3G3. (Per- sonnel médical).
Lettre
de M. Anglade,4SS ? Mouvements de février et
l allait bégayer, qu'il allait perdre entièrement la notion d'une des
lettres
de l'alphabet, qu'il allait oublier son nom, etc.
s pour ainsi dire à nu par une expérience décrite et discutée dans ma
lettre
au Dr Liébeault sur les Suggestions criminelles (
édente séance. Il est adopté. La correspondance écrite comprend une
lettre
de M. Albert Coulaud, s'excusant de ne pouvoir as
les Verdin, etc. M. le secrétaire général donne lecture de nombreuses
lettres
d'ex- Les homicides en Italie. Dans une con
nt au-devant de nos interrogations, M. Dorobetz a pris soin, dans une
lettre
adressée à la Gazette de Moscou et reproduite dan
nt des signes bizarres dits cabalistiques, ce sont des ABRACADABRA ou
lettres
écrites disposées dans un certain ordre, et, enfi
minutes, et exemptes, semble-t-il, de toute exaltation religieuse. La
lettre
de M. Dorobetz à la Gazelle de Moscou est à consu
les impossibilités matérielles, les engagements antérieurs. Parmi les
lettres
d'excuses, il nous faut citer celles de MM. Marey
othèque de la Société. La correspondance écrite comprend : 1° Une
lettre
d'excuses de M. Boirac, vice-président, qui ne pe
t faire une fête et manger des gâteaux pour l'enterrer. D'après une
lettre
de la supérieure, elle aurait dit à ses compagnes
Le Merveilleux scientifique. La correspondance écrite comprend une
lettre
de M. P. Regnault qui s'excuse de ne pouvoir assi
r M. Valentïn secrétaire, et adopté. La correspondance comprend des
lettres
d'excuses de MM. les professeurs Raymond, Charles
ociété. Cette motion est adoptée. M. le président donne lecture des
lettres
de candidatures qui seront soumises à l'élection
iversité, il se lit recevoir successivement docteur en Philosophie et
Lettres
et docteur ès Sciences Physiques et Mathématiques
psychologie et l'intelligence des animaux ; 2° 19 septembre 1886 :
Lettre
sur les caractères de divisibilité des nombres ;
ettons la malade, une jeune campagnarde, à l'épreuve du prisme et des
lettres
colorées. Ces deux épreuves donnent un résultat p
un résultat positif; la malade accuse de la diplopie et distingue les
lettres
des deux couleurs, bien qu'un verre rouge soit ap
oduire des guéri-sons miraculeuses. » A ce sujet nous avons reçu la
lettre
ci-jointe du Dr Fiessinger: « Monsieur le Direc
ge publia : L'hypnotisme et la liberté des représentations publiques,
lettres
à M. le professeur Thiriar, membre de la Chambre
Chambre des Députés, qui avait demandé des mesures de répression. Ces
lettres
ont paru d'abord dans le Journal de Liège et ont
récent du Dr Bernheim, intitulé Hypnotisme, suggestion, etc., 218. 9°
Lettre
relative à l'affaire des guérisseurs de Braine-le
Mystères de Constantinople. La correspondance manuscrite comprend une
lettre
de M. Bertillon, directeur de la Statistique Muni
l'ivresse publique, affichée dans un coin du cabaret, honteuse, reste
lettre
morte. Sans doute, l'excès du mal provoque déjà
par Dumas. Son malade aphasique traçait avec le doigt la forme des
lettres
sur ses draps. Son notaire et sa femme savaient q
vue de sciences psychiques. Ce fut un événement. De toutes parts, les
lettres
affluèrent, lettres de savants, d'abonnés, donnan
hiques. Ce fut un événement. De toutes parts, les lettres affluèrent,
lettres
de savants, d'abonnés, donnant leur avis, apporta
la double situation de fonctionnaire dans un ministère et d'homme de
lettres
, comme cela se présente assez fréquemment, avait
ent auront à faire la preuve de son « incapacité » par des faits, des
lettres
, etc..... M. Julliot. — Les morphinomanes ne pr
es ordres que je donnai aux centres psycho-moteurs s'exécutèrent à la
lettre
: ainsi, pour le pansement, je suggérai au malade
demeure, M. Boirac s'est empressé d'adresser au rédacteur du Temps la
lettre
suivante : « Monsieur, « Je savais bien que S
erveux. Broch, in-8, 29 p. Cusset, 1895. Juan Enrique Lagarrigue. —
Lettre
à Mgr Ireland. Broch, in-8, 35 p Santiago du Chil
isme fut intitulé : Pouvoir sâtanique et Mesmérisme, analysé dans une
lettre
au Rev. H. Me. Neile. A.- M., de Liverpool, en ré
ettaient les points sur les i, suivaient l'alignement, effaçaient une
lettre
mal employée pour la remettre à la place exacte,
res préposés à l'enseignement de la psychologie dans les Facultés des
lettres
, il faut, non seulement des aptitudes spéciales,
ussi répandue que la morphinomanie. C'est surtout chez les femmes de.
lettres
qu'elle exerce ses ravages. On cherche d'abord l'
erveux. Broch, in-8, 29 p. Cusset, 1895. Juan Enrique LaGarrigue. —
Lettre
a Mgr Ireland. Broch, in-8,35 p. Santiago du Chil
. La correspondance comprend, en dehors des journaux habituels, une
lettre
d'excuses de M. le Df H. Lemesle, qui ne peut ass
essées par M. le Dr Zéligson, de Cleveland, Ohio (U. S. A.). 4° Des
lettres
de candidature au litre de membre de la Société,
est montré tout à fait rebelle ; il ne peut pas arriver à copier une
lettre
quelconque; il n'y éprouve aucun intérêt. De même
cette atteinte portée au libre arbitre, et j'ai en ma possession une
lettre
inédite de Braid, concernant les prétendus danger
Artistes........ 6 0,9 Étudiants en droit ... 11 1,6 Hommes de
lettres
. . 5 0,7 Avocats........ 7 1,07 Paysans.....
mer. Le Propriétaire-Gérant, HÉBERT. JOURNAL DU MAGNÉTISME.
LETTRE
DE MESMER AL CITOYEN SEGRETIER A Bissy, près
n moins de cinq minutes, avec une vélocité incroyable, sur des dos de
lettres
, sur des billets de garde, sur les premiers morce
, pubtished by hisfamiljr, se trouve, à l’adresse de Washington , une
lettre
où on remarque un passage qui a trait au magnétis
, professeur à l’école de pharmacie; les autres étaient des hommes de
lettres
, des savants, des artistes. 11 y avait là par con
., etc. Paris, 12 mai 1845. Un de nos abonnés nous communique une
lettre
qu’il vient de recevoir de Londres, et où se trou
diront les sceptiques? — Nous recevons, de l’un do nos abonnés, la
lettre
sui-vanie : a Monsieur, « Le premier des fait
magnétisme RÉPONSE IIE M. LU MINISTRE DE LISTRIM P11BLI0CB A LA
LETTRE
DE M. LE BARON DU POTET, DU 20 MARS 1815. Monsi
BARON DU POTET, DU 20 MARS 1815. Monsieur le Baron, J’ai reçu la
lettre
par laquelle vous m’avez exprimé le vœu qu’une ch
arc assez étendue cl très-profonde, appelée la Gironde, on trouva une
lettre
de voiture dont le fils B... était porteur; celte
ps n’y est pas... » On avait, en effet, irouvé près de celle mare une
lettre
de voilure dont était porteur Balicle, et‘l’on av
us lui écriviez aujourd’hui, il 11c recevrait pas immédiatement votre
lettre
: il est à Mauheuge. » Curieux de vérifier ces
Curieux de vérifier ces faits, je consulte l’Annuaire et j'adresse ma
lettre
à M. Ilusson, colonel du 42' de ligne, en garniso
(l’ai-lillci ic ( n retraite. » Le même jour, je communiquai cette
lettre
à Alexis. «Courage! me dit-il, nous sommes sur
mière, et, me sentant saisi d’une conviction inexplicable, j ouvre la
lettre
en m’écriant : plus de doute, c est lui ! Par c
ouvre la lettre en m’écriant : plus de doute, c est lui ! Par cette
lettre
, signée Bonfilli, un officier Irançais faisait à
officier Irançais faisait à lord Wellington la demande d’envoyer ses
lettres
aux avant-postes.... 11 n’y avait là rien qui s
t-Garonne). Le 23 avril 1844, j’adresse au commandant Hon-lilli une
lettre
dans laquelle je Ini fais part de mes recherches
r mai 184-1. «Monsieur le colonel Gimvood, «J’ai reçu de vous une
lettre
datée du 23 avril, dans laquelle j’ai lu avec le
ion il’Honneiir. » Enfin ! je recevais le prix de mes démarches! La
lettre
de ce brave commandant me rendit si heureux que j
e je fus tiré de ce rêve par un violent coup de sonnette. C’était une
lettre
qu’on m’apportait, et dans laquelle on m’annonçai
isme, el qui vient de doter son pays d'un livre sur celle science, la
lettre
suivante : Monsif.uk, « Dans le sixième numér
voit au loin quand on appelle son attention sur unêire souffrant. Une
lettre
, une mèche de cheveux, un vêtement quelconque que
ES DU SOMNAMBULISME MAGNÉTIQUE. (Suite.) § III. — FANTOMES.
Lettre
de Pline à Sara (l). « Le loisir dont nous joui
es malades dont la société leur a confié le traitement. Lecture d’une
lettre
adressée de l’île Bourbon, contenant la relation
n en loin les esprits supérieurs dont les noms sont restés burinés en
lettres
d’airain dans les annales de l'humanité et qui le
e, ainsi que nous l’avons vu nous-mème le faire, épeler les premières
lettres
d’un mol;... pourquoi, vous objecteront-ils , ne
n’y a rien d’étrange à ce qu’il n’ait pu déc|iilïrer les dernières
lettres
; mais qu’il ail pu lire les premières, vuilàcequi
pas môme de nous justifier el de les troubler dans leur triomphe. La
lettre
de ce digne ecclésiastique, désintéressé dans la
jouta : Ce mol commence par un P, mais il y a encore plusieurs autres
lettres
dont je ne puis désigner la forme; elles m’appara
Après quelques discussions réglementaires, il est donné lecture de la
lettre
suivante : « Messieurs, « Disciple, comme vou
ne puis écrire qu’à vous; mais vous voudrez bien leur communiquer ma
lettre
. Les actions comme celle donl nous venons d'ôtre
adressé à la Société par M. Picard, médecin à Saint-Quenlin. Dans une
lettre
accompagnant son mémoire l'auteur déclare que la
dans ses papiers, auxquels il n’aimait pas qu’on louchât, trouva une
lettre
qui avait élé jetée dans 1111 coin. Quelle ne fut
ce que c'était, elle répondit: » Je nu sais pas; quelles drôles de
lettres
! » Poussant plus loin l'expérience, le docteur tr
était nombreuse et de tous gens, gens de cour, gens de robe, gens de
lettres
, académiciens, etc. On avait fait grande chère, c
de l’amputation faite à Cherbourg sur mademoiselle D’Albanel, et une
lettre
de félicitations aux hommes qui ont enrichi la sc
quatre membres stagiaires. M. Ilippeau, professeur à la Faculté des
Lettres
de Strasbourg, est nommé membre honoraire; il a é
erveau. 79 Idiotisme. 50C Irritation de la moelle épinière. 118
Lettre
de M. Du Polet à ses élèves. 17 — — à M. le Min
ns récemment exposé, se trouvent complètement exprimées par ces trois
lettres
: K, S, Z. Il y a donc une simple diminution d'ex
Différentes phases du scotome scintillant, d'après Hubert Airy. (Les
lettres
indiquent les diverses colorations : rouge, bleu,
me son magasin, il parle beaucoup, et écrit chaque jour de nombreuses
lettres
(12 ou 15 par jour). Il occupait souvent ses lois
plume et écrivit; croyant avoir oublié quelque chose, il redemande sa
lettre
pour la compléter, veut la relire et c'est alors
l'accident ; voici un spécimen qui date de la dernière époque. Cette
lettre
, datée du 1er novembre et adressée à sa mère, est
et adressée à sa mère, est très intéressanle à comparer à une autre
lettre
datée du 22 novembre 1880, c'est-à-dire de trois
diffère de la seconde que par un léger changement de l'écriture, les
lettres
étant plus verticales et d'une forme plus enfanti
des mots, et dans l'oubli d'un mot (chez). Nous voyons que, dans les
lettres
écrites, 4, 5 et 6 mois après, ces fautes ont dis
sitation son nom et son adresse, une longue phrase et même une longue
lettre
, sans fautes notables d'orthographe, sans passer
avec le bout de son index de la main droite, il retrace une à une les
lettres
qui constituent le mot et arrive, après beaucoup
r », l'adresse de son ami, il trace avec le doigt, dans l'espace, les
lettres
qui composent le mot et, après quelques instants,
rce que pour l'écriture, il m'est facile de reproduire mentalement la
lettre
avec ma main droite, tandis que c'est beaucoup pl
r avec la main des caractères imprimés, comme le ferait un peintre de
lettres
. On lui fait lire une ligne en caractères imprimé
inutes à la déchiffrer et 3 minutes seulement à lire la même ligne en
lettres
cursives. On remarque que toujours, en lisant, le
s derrière le dos et on lui dit de lire ; on le voit alors tracer les
lettres
avec l'index sur l'ongle du pouce. Pour lire l'im
soit son habitude, dans l'état de santé. Il se contente d'écrire les
lettres
qu'il connaît mal par la vision, ou de les tracer
ou de les tracer avec son doigt dans l'espace. 11 connaît toutes les
lettres
de l'alphabet, excepté q. r, s, t, et surtout x,
s, t, et surtout x, y, z ; et, chose remarquable, ces trois dernières
lettres
qu'il ne reconnaît pas, qu'il ne déchiffre pas qu
érie de mouvements qui concourent à la représentation graphique d'une
lettre
, d'un mot, éveille seule chez lui le souvenir pré
une lettre, d'un mot, éveille seule chez lui le souvenir précis de la
lettre
, ou du mot. On pourrait dire d'un seul trait, qu'
souvenir du mouvement des doigts nécessaire pour tracer les mots ; la
lettre
une fois tracée, le malade n'est plus capable de
ts pour lire, soit un écrit, soit un imprimé, écrit effectivement les
lettres
et les mots ou encore se contente de les tracer d
xpédient : la malade apprit à reconnaître, par le toucher, de grosses
lettres
en relief ; et, lorsqu'elle fut suffisamment inst
se et faite en plusieurs langues, il les retrouvait aussitôt dans les
lettres
elles-mêmes qui lui apparaissaient dans leur tene
lectures avaient fixé dans sa mémoire la page avec ses lignes et ses
lettres
et il récitait en lisant mentalement le passage v
ui M. X... doit, comme à peu près tout le monde, ouvrir ses copies de
lettres
pour y trouver les renseignements qu'il désire, e
ire les alphabets grec et allemand, il a omis dans la série plusieurs
lettres
, ainsi en grec, O^s.Ccp,^. Ces lettres sont tracé
a omis dans la série plusieurs lettres, ainsi en grec, O^s.Ccp,^. Ces
lettres
sont tracées devant lui, il ne les reconnaît qu'a
entre elles. Des mots grecs dans la composition desquels entrent les
lettres
en question lui sont dictés ; les comprenant, il
la perte de la vision mentale. « Je m'empresse de répondre à votre
lettre
et je vous prie de vouloir bien excuser ma connai
e voulais apprendre et en fermant les yeux je revoyais clairement les
lettres
dans leurs plus grands détails; il en était ainsi
te. Elle présente également un certain trouble de la parole, quelques
lettres
sont particulièrement mal prononcées, et elle par
s la situation chez la petite malade d'Angoulême lorsque je reçus une
lettre
du père me dépeignant cet état lamentable et me p
avez quitté la capitale, prévenez-moi et je me charge du reste. » Ma
lettre
resta sans réponse. Six semaines plus tard, je
a moindre occupation, lorsqu'il veut lire, par exemple, ou écrire une
lettre
. Les attaques dont nous avons été bien des fois
'on lui disait. Celte surdi-mutité serait survenue à la lecture d'une
lettre
dans laquelle son père lui reprochait sa conduite
lle de l'orthographe des mots ; mais « l'idée (motrice graphique) des
lettres
ne lui revenait pas; » elle ne se rappelait plus
S. Charcot. Œuvres complètes, il m, Système nerveux. 33 donner aux
lettres
. On a pu s'assurer, d'ailleurs, qu'auparavant ell
faste ». En écrivant, il se disait : « Il faut que j'épaississe cette
lettre
, sans cela il m'arrivera quelque chose d'horrible
edi. ] il lui était interdit de porter une cravate de couleur; chaque
lettre
V j et W qu'il écrivait devait être épaissie ; il
les jours une certaine gazette depuis la première jusqu'à la dernière
lettre
. Il parait que des excès vénériens ont fait emp
mieux, une « séance à distance » lui serait utile. Je lui envoyai la
lettre
suivante : « Kingston, 12 août 1890. « Mon ch
s l'intervalle qu'il continuait à aller a merveille. Il me renvoya la
lettre
suivante : « B..... ville, Ontario, 15 mars 189
cteur Ncilson, « J'ai été on ne peut plus heureux de recevoir votre
lettre
du 10 et de • savoir que M. le capitaine R... v
meilleure santé possible. Je me « suis gardé de faire usage de votre
lettre
avant aujourd'hui dimanche, « car je voulais en p
rès-midi dans ma chambre à coucher, et j'ai exécuté vos ordres « à la
lettre
: j'ai joui d'un repos parfait. Je ne puis oublie
in à M. le professeur Delbceuf. Monsieur le Directeur, Quoique la
lettre
de M. Delbœuf, insérée dans la livraison de mars
geois, que celui-ci (p. 627 et passim, et notamment dans une « longue
lettre
à M. Semai p. 722-72'.), dont pas uu mot chez M.
cadémie de Médecine le 25 février 1888 ; comment y tenir compte d'une
lettre
écrite par M. Liégeois le 14 juin suivant? Ici do
888; or à cette date, le livre si intéressant de M. Liégeois, avec la
lettre
en question, n'était pas encore livré au commerce
ai, avait communiqué à l'Académie de Médecine une grande partie de la
lettre
qui lui avait été adressée par l'honorable profes
œuf. Mais faut-il s'étonner de choses semblables ? Qu'on lise les
lettres
publiées dans un journal quotidien par M. Delbœuf
les gens fous. C'est ce qu'ont dû se dire foi lecteurs qui ont lu ta
lettre
épileplique de M. Masoin, parue dans la livraison
vu refuser l'insertion dans le Bulletin. S'ils veulent bien relire ma
lettre
du mois de mars, qui en est le prétexte, ils n'y
s bien instructives. En attendant, veuillez publier en réponse à la
lettre
de mon redoutable adversaire, la critique vraimen
'avais joué, bien malgré moi, dans le procès, je crus devoir, par une
lettre
insérée dans le numéro de mars, rétablir l'exacti
érée dans le numéro de mars, rétablir l'exactitude des fait*. Cette
lettre
me valat, en séance publique de l'Académie de Méd
de l'art de guérir, mais pour escroquerie. Devant la Cour, dans sa
lettre
à la Rerue de Chypnotismc, dans le procès-verbil
plus, rien de moins. Est-ce le passage souligné, reproduit dans ma
lettre
à la Révue de l'hypnotisme, qui a fâché M. Masoin
st plus possible. (A suivre.J DISCUSSIONS ET POLÉMIQUE Deuxième
lettre
à M. le Dr Bérillon, rédacteur en chef de la i Re
répondu aux faits généraux et particuliers articulés dans ma première
Lettre
; je liens à le constater. Il se borne à produire
r il est des choses plus graves à relever avant de clore cette longue
lettre
. Affectant un air d'innocence, M. Delbœuf se po
de discuter, mais vous ne deviez pas outrager. Or, dans une première
lettre
, insérée ici même, vous aviez insinué que M. le d
administratives, la presse quotidienne intervint, cl nomma, en toutes
lettres
, les futurs titulaires des trois circonscriptions
ofesseur à l'Université d'Amsterdam. La correspondance comprend des
lettres
de MM. le Dr Lloyd Tuckey, de Londres; de M- le p
à la réunion de la Société. La correspondance comprend en outre des
lettres
de M. le professeur Bas-naert, membre de l'Académ
rticipation de la volonté. (A suivre., DISCUSSIONS ET POLÉMIQUE
Lettre
de M. le Dr David, de Sigean, à M. le Br Auguste
ce n'est pas ici le lieu de donner de plus amples explications. Cette
lettre
n'avait qu'un but, c'était de démontrer qu'en méd
position, remettre l'objet trouvé à une autre personne, découvrir une
lettre
ou tout un mot sur un certaine page d'un livre, é
roya au bord de la mer. Après y être resté quinze jours, il reçut une
lettre
portant des nouvelles pénibles, et, profondément
éreuse. Ces remerciments sont votés. La correspondance comprend des
lettres
de MM. Tarde, juge d'instruction à Sarlat; Azam,
m'écrire dans un mois pour me donner de ses nouvelles. Je reçois une
lettre
datée du 23 mai, dans laquelle il me remercie de
mais qui tous l'étaient déjà avant lui ? Dans ce mot, d'ailleurs, une
lettre
seule est nouvelle, car je trouve déjà le mot név
nze jours plus tard, docile à la suggestion, le malade m'écrivait une
lettre
de remerclments; la guérison est restée parfaite.
t différent du terme neurasthénie de Béard, bien qu'il n'y ail qu'une
lettre
de changée. Le médecin américain avait d'ailleurs
s plusieurs dessins, soit, pour fixer les idées, les quatre premières
lettres
de l'alphabet, tantôt sur la même épaule, tantô
ms plus singuliers que les autres. , La correspondance comprend des
lettres
de M. le Dr Ladame, de Genève; de MM- les docteur
teur. 108, boulevard Saint-Germain, Paris, 1892.) Masoin (Dr E.). —
Lettre
ouverte adressée A la « Revue de Belgique et répo
camarade lui faisait encore mauvaise impression. Des extraits d'une
lettre
reçue quelques semaines après celle consultation
séance du 11 mars est lu et adopté. La, correspondance comprend des
lettres
de M. le Dr Emile Laurent, de M. 1* D Bourdon, de
qu'il va être dit tout S l'heure, période qu'on peut indiquer par les
lettres
CD. (Test le 28 août qu'est survenu l'événement
du lundi 11 avril est lu el adopté. La correspondance comprend des
lettre
» de MM. A. Voisin, Magnin, de Régla, qui s'excuse
le), 34. Lecture des pensées(la), par J. Tascha-noff, 65, 101, 135.
Lettre
de M. Masoin, 79. Lit à deux et la force nerveu
ons criminelles (des), par Bé-rillon, 118. Suggestions criminelles (
lettre
de M. David à propos des), 108. Suggestio-théra
ndaitnotre demande. Quelques jours après, nous lui avons adressé la
lettre
suivante. Paris, 14 juillet 1887. Monsieur le
ts et épileptiques des deux sexes (1) - A propos d'un passage d'une
lettre
qui nous a été adressé le 30 mars 1887, par M.
malheureux déshérités. Nous allons reproduire ici le passage de la
lettre
de M. Des- près (1), relatif au service des enf
t encore plus grave qu'on no l'avait pensé et, en présence (1) La
lettre
de M. Després a été publiée in extenso dans le
rnant un malade atteint de phéno- 1 Le professeur Semmola, dans une
lettre
qu'il nous adressa ce sujet le 28 mai 1882, par
ment aratoire'. Huit mois après cette évasion, le 17 juin 1886, une
lettre
de Grandid... à son grand-père, administré de l
avons écrit au directeur de cette prison qui nous a appris, par une
lettre
en date du 30 juin 188G, que notre malade avait
rie de Gaillon après avoir été reconnu atteint d'épilepsie. - Une
lettre
de .AI. le Dr Boularan, médecin du quartier spé
août 1886 l'un de nous adressait à M. Gragnon, préfet de police, la
lettre
suivante, relatant ce qui avait déjà été tenté
de nous envoya à M. Demôle, ministre de la justice, la copie de la
lettre
ci- dessus, en insistant sur la nécessité d'ann
Le 4 octobre suivant, c'est-à-dire plus d'un mois après la première
lettre
à M. Demôle, et huit jours après une nouvelle l
la première lettre à M. Demôle, et huit jours après une nouvelle
lettre
au même ministre, en l'absence de toute réponse,
Gran- did..., vieillard hospitalisé à Bicêtre, me communiquait une
lettre
de son petit-fils apprenant qu'il était à la pr
gré à Bicêtre. N'entendant parler de rien, le 28 août j'écrivis une
lettre
à M. le Préfet de police, qui me répondit le le
s'étant écoulé sans réponse, mois de vacances il est vrai, par une
lettre
en date du 29 septembre, je rappelai à M. le Mi
septembre, je rappelai à M. le Ministre de la justice ma précédente
lettre
; voilà bientôt huit jours de cela et ma second
précédente lettre ; voilà bientôt huit jours de cela et ma seconde
lettre
n'a pas été plus heureuse que la première. C'es
ffaire et promettait s'en occuper d'urgence. 18 octobre. - Nouvelle
lettre
au Préfet de police dont nous extrayons le pass
li- gence ne s'est jamais développée, il n'a pu apprendre que ses
lettres
, ne savait pas compter spontanément ; il répondai
allé en classe et n'a jamais rien appris; il connaît seulement ces
lettres
, La, be, bi, etc. Quand il y avait un répit apr
s marquée, nous nous sommes servis, dans nos ta- bleaux, de petites
lettres
ou de majuscules. Quant aux degrés d'atrophie q
rononcée, la malade se met à une distance de 16 cent. pour lire des
lettres
d'un 112 cent., et à 1 m. 37 pour pouvoir lire
lettres d'un 112 cent., et à 1 m. 37 pour pouvoir lire les grandes
lettres
d'un journal ayant 3 cent. et quart de hauteur.
que pour se faire raconter l'incorporation. Le 26 juin il écrit la
lettre
suivante : A Monsieur le Procureur de la Républ
de Bicêtre, Bicêtre (Seine). Le même jour, 26 juin, il adresse la
lettre
suivante : A Monsieur le Préfet de Police. Mo
pital de Bicêtre, Bicêtre (Seine). On voit par la première de ces
lettres
que notre malade était sujet à toutes sortes d'
cas probablement, en outre, à de fausses interprétations. Les deux
lettres
prouvent aussi en quelle aversion il avait pris
nations du goût. Pas d'idées de persécution. 2G juillet. Dans une
lettre
à ses parents datée de la veille, il écrit : a
à ce sujet, il répond qu'il n'a pas mal iL la tête. Voici les deux
lettres
qu'il adresse à ses parents les 25 et 26 juille
dimanche. Je voudrais bien vous parler. Le même jour il adresse la
lettre
impérative suivante au commissaire de police :
sse à peine, et paraît peu touché de sa venue. Il n'a plus écrit de
lettres
depuis le 26 juillet. Il est assez obéissant à
sommes îles h v brides médico-littéraires, auxquels Apollon, dieu des
lettres
et des sciences, enjoint de soigner notre style,
recevons de notre éminent collaborateur. M. le professeur Delbœuf, la
lettre
suivante que nous nous empressons d'insérer. Li
'hypnotisme ( Visile à la Salpètriïre. Vìsite à l'Ecole de Naney.
lettres
à M. Thiriar. les Fêtes de Montpellier. l'Hypno-t
à M. le Dr Darxier, directeur des Annales des sciences psychiaues. la
lettre
suivante : Et M. (ieorges Pouchet, accompagné d
majuscules, un mot ou un ensemble de mots compris entre dix et quinze
lettres
, connu île lui. Si le mut ou l'ensemble est lu. M
loules les investigations antérieures. » Ces lignes sont tirées d'une
lettre
que j'ai demandes» a M. Von Winiwarter. pour ne |
séance du 19 juin est lu et adopté. La correspondance comprend des
lettres
de MM. les Drs Pinel. Apos-toli. O. Jennings, Gri
si qu elle le dit elle—meute, par une force invincible, û écrire deux
lettres
dans lesquelles le désordre intellectuel te manif
tiné à donner aux intéressé une satifaction platonique, devait rester
lettre
morte. Il n'en a pas été ainsi et le ministère a
l n'était plus question ni de mort, ni de divorce, elle m'écrivait la
lettre
suivante : « Monsieur le Docteur, « Permettez
retrouve dans toutes ses apparitions. » DISCUSSIONS ET POLÉMIQUE
Lettre
de Belgique. Monsieur le Directeur. Permettez
ière d'hypnotisme. « A la présente je crois devoir joindre. « Une
lettre
de M. le Dr Frtipont, de Pepinsker. appréciant ma
édês Sciences, i chargé MM. Dwclshauvers, docteur en philosophie et
lettres
, et P. Stroobant, docteur ès sciences, de la dire
médecine légale de New-York. La correspondance écrite comprend une
lettre
du Dr Prosper van Velsen de Bruxelles, faisan
st impossible «le prononcer une phrase ou un mot qui commence par les
lettres
C, G, K. Q. II. sans hésiter longtemps et même sa
s hésiter longtemps et même sans répéter plusieurs fois les premières
lettres
de la phrase, il ne peut par exemple dire les mot
ant une autre phrase ou un autre mot qui ne commence pas par lesdites
lettres
. A lahle pour demander ce qu'il désire, il bégaie
e lignes il hésite dix fois el il répète plusieurs fois le» premières
lettres
d'un mot avant de pouvoir prononcer le mol lout e
. La croix pour le docteur Lièbeuult. L'Est républicain publie la
lettre
suivante : a Le monde médical, avec une unanimi
mon courrier; moi qui écrirais, sans m'en apercevoir, quinze à vingt
lettres
dans mon après-midi, je suis à bout maintenant qu
ce, nie tourmente, me met se:is dessus dessous. Sî l'on m'apporte une
lettre
, si je rencontre quelq :':;n dans la rue, je me s
e signalée et, chose étrange, au bout de quelques jours, ou recul une
lettre
de ce fils qu'on croyait perdu pour toujours. Cel
us f ai pensé, plus je me suis déséquilibré (1). - On a invoqué des
lettres
et un télégramme adressés, de Cons-lantinc à Pari
repas. Puis, elle commença d'écrire à une de ses parentes une longue
lettre
, pleine d'aisance, de naturel, de simplicité, d'e
e conception douloureuse, de toute résolution désespérée (2). Cette
lettre
est demeurée inachevée. Mme G... envoie ensuite l
mment, sans un mot, sons une caresse, sans un baiser suprêmes ! celle
lettre
commencée, qu'elle écrit à une parente et où il e
té reçoit habituellement. La correspondance manuscrite comprend une
lettre
de M. le Dr Gross-mann, directeur du Zeitschrift
. le Dr Gross-mann, directeur du Zeitschrift für hypnotismus. Cette
lettre
relate les mesures administratives prises par le
a séance précédente est lu et adopté : La correspondance comprend des
lettres
de MM. les Bouffé. Julien Pioger, de M. Valentino
aucoup et je suis gai. » L'auteur du livre Sur la Santé des gens de
lettres
, proclame que « rien au monde ne contribue autant
ceux qui n'ont pas pu assister à cette fête. On peut la demander par
lettre
en envoyant 1 fr. en timbres-poste. M. le trésori
eu une seule crise depuis la première séance, et me l'a conlirmé par
lettre
. Qu'ai-je fait de plus que ce qui avait été fai
sain, au moven d"un contact soit immédiat. soit médiat ». Prise à la
lettre
, nous pourrions presque adopter cette définition
précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des
lettres
de MM. Hélis et Julliot remerciant la Société de
son ancien état neurolylique, jadis quand il persistait à écrire, ses
lettres
chevauchaient les unes sur les autres, quelques-u
y glissaient, puis des traits confus, des barres se substituaient aux
lettres
, aujourd'hui, il n'en est plus ainsi, me dit-il.
aire en raison des jugements sévères qu'il contient sur des hommes de
lettres
et des artistes célèbres, pour la plupart Françai
ychologie expérimentale et comparée, par Andre GoDfErnauX. Docteur ès
lettres
(1 vol. in 8° de la Bibliothèque de Phi-losophie
avec de vives préoccupations morales, ne peut se résoudre àjeter une
lettre
à la poste, il la retourne et souvent la décachet
ysiologique à Bruxelles (un), 155. Lecture des pensées (la), 252.
Lettres
de Belgique, 150. Loi sur l'hypnotisme devant l
de Villejuif; CRL'ISE (de Dublin); L. DACR1AC, prof, à la Faculté des
lettres
de Montpellier, GUIMBEAU; W. DEKHTEUEPP(de Sl-Pét
ne me donna pas le temps d'y lire. C'était un vieux bouquin écrit en
lettres
gothiques, que Mme Daligny, toute tremblante, m'a
out ce qu'elle faisait dans la journée, l'endroit où elle cachait ses
lettres
, etc. En somme, cette femme s'est trouvée dans la
s place : MM. Lionel Dau riac, professeur honoraire de la Faculté des
Lettres
de Montpellier et le D' Paul Magnin. vice-préside
n et le surlendemain, je reçus de quelques très fidèles auditeurs des
lettres
fort intéressantes. On me demandait si, non conte
is donne lecture de la correspondance qui comprend, entre autres, des
lettres
par lesquelles s'excusent de ne pouvoir assister
sions automatiques, réflexes, dont nous désignerons l'ensemble par la
lettre
A. Dans le fonctionnement normal, la première cat
èse et dans sa structure. Signe des temps : on voit des Facultés de
Lettres
elles-mêmes laisser, pour un moment, les longues
la toux une association tenace. Le 10 novembre, j'apprends par une
lettre
de la malade qu'elle tousse à nouveau depuis qu'e
ersonne ne s'aperçoit qu'elle est malade; elle écrit à sa famille des
lettres
pleines de raison et de bons sentiments; une pers
le de la Ville s'était fait à l'insu de M. d'Argenson, et bientôt des
lettres
anonymes parvinrent au lieutenant de police qui s
l'amour et des sentiments affectifs était le cœur ; elle prenait à la
lettre
les phrases des romances et des cantiques, où l'o
est de la valeur de deux cents francs. Les thèses des Facultés des
Lettres
, des Sciences et de Droit sont admises à concouri
al donne lecture de la correspondance qui comprend, entre autres, des
lettres
par lesquelles MM. les Dr de Bourgade et Bourdon
après avoir soigneusement examiné le malade, s'exprime ainsi dans une
lettre
qu'il adresse à son confrère. Cette lettre porte
, s'exprime ainsi dans une lettre qu'il adresse à son confrère. Cette
lettre
porte la date du 25 janvier 1900. « La douleur si
malade reste là une vingtaine de jours et il revient chez lui avec la
lettre
suivante du docteur de l'établissement. « Mon c
hauds également. Ces multiples prescriptions ont été exécutées à la
lettre
pendant un certain temps; mais, loin d'y trouver
s connaissances bornées ou nulles de l'époque, écrivit à ce sujet une
lettre
plus édifiante que savante, dans laquelle le mira
de Marie Alacoquo Imprimée en 1729 par Languet(in-4°) avec plusieurs
lettres
et opuscules. — C'est parmi ces lettres qu'on tro
Languet(in-4°) avec plusieurs lettres et opuscules. — C'est parmi ces
lettres
qu'on trouvera celle de l'archevêque d'Arras qui
ystériques furent la cause d'un nouveau culte. On peut donc graver en
lettres
d'or au-dessus de la porte de la nouvelle basiliq
te que quelqu'un, à qui on avait suggéré de ne plus pouvoir écrire la
lettre
e, la supprima dans tous les mots où elle devait
ecrétaire-Général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de MM.Jaguaribe (de San-Paulo, Brésil), Damoglou
expliqua les admirables significations qui étaient enfermées dans les
lettres
; il l'assura que ce serait comme un cachet pour e
ppris à connaître les bêtes parla pratique et qui fut dans ses belles
Lettres
sur les animaux, l'adversaire le plus décidé de l
animaux, l'adversaire le plus décidé de la théorie cartésienne. Ces
lettres
, qui furent publiées, de 1762 à 1781, sous le pse
lle et à démêler leurs intentions dans leurs actes. Dès sa première
lettre
, il montre que la psychologie animale est une sci
eignement secondaire au Ministère de l'Instruction publique, dans une
lettre
adressée à M le sénateur Couteaux, qui, dans le j
l donne lecture de la correspondance, qui comprend en particulier une
lettre
de M. le Dr Jourdan (de Marseille) et une autre d
luences les plus superficielles : consonances de mots, similitudes de
lettres
, comme chez les enfants ou les aliénés. Cette ana
al donne lecture de la correspondance qui comprend, entre autres, une
lettre
de M. le Dr Gabriel Dromard. interne des Asiles d
re de cette église lui avoient accordée pour elle et sa postérité par
lettres
du 14 juin 1443 » (1), « moyennant la moitié par
e sentent nullement incommodés. Bien sots seraient-ils de suivre à la
lettre
les ordonnances du médecin. Même insouciance, mêm
t (Vie et Œuvres, t. I, p. 257); elle-même semble l'insinuer dans une
lettre
au P. Croiset qui est du 15 septembre 1689. Mais
d, l'ont complètement guéri de son anxiété. Il nous a écrit plusieurs
lettres
à des intervalles éloignés pour nous confirmer sa
a Rau, l'Alpha-Betha-Gamma, etc., etc.. Leurs insignes sont ces mêmes
lettres
portées à la boutonnière ou épinglées sur le gile
de Paray-le-Mo-nial : c'est la vie de Marie Alacoque, avec plusieurs
lettres
et opuscules. Cet ouvrage est fort rare ; il n'ex
en qu'il nous semble qu'on doive s'attacher plutôt à l'esprit qu'à la
lettre
en ces matières. On nous fait un reproche d'avo
ecrétaire. Il est adopté. La correspondance manuscrite comprend des
lettres
d'excuses d'un certain nombre de membres de la So
e Martinet, do Fontenay, Dumestc, etc. Elle comprend, en outre, une
lettre
de M. Von Korsakoff, vice-président de la section
vent être mis en état d'hypnose à distance, c'est-à-dire que, par une
lettre
qui leur est adressée, ils peuvent, après l'avoir
stionner à eux-mêmes toutes les suggestions qui leur sont données par
lettres
. On peut encore leur recommander de s'endormir
et 8, ainsi que la plus grande partie de ses articles et deux longues
lettres
adressées à M. Highficld, esq,, chirurgien, datée
gien, datées respectivement du 23 octobre et du 16 novembre 1842. Ces
lettres
contiennent un intéressant résumé des opinions de
lors formée pour examiner le sujet, et Braid adressa à l'Académie uno
lettre
dans laquelle il exprimait, avec toute sa satisfa
l de médecine, les honneurs d'un rapport officiel, a acquis ainsi ses
lettres
de grande naturalisation dans la science médicale
nt déjà. PÉDAGOGIE PSYCHOLOGIQUE A propos d'un enfant prodige. (
Lettre
de M. le Professeur Stuwpf, de Berlin.) Nous re
ur Stuwpf, de Berlin.) Nous recevons de M. le professeur Stumpf, la
lettre
suivante, que nous nous empressons de publier. Ce
tumpf, la lettre suivante, que nous nous empressons de publier. Cette
lettre
confirme les observations que nous avions exprimé
aussi, un onychophage, du moins s'il faut en croire ce passage d'une
lettre
de M. Sardou : « Dans ce milieu reconstitué à l
e petite chambre, 30us ce plafond bas et ce crâne étroit... » Cette
lettre
a été publiée par le Gaulois en 1896. D' Bernar
t à la Faculté de médecine, quelques-uns aux Facultés de droit et des
lettres
. M. C..., étudiant en médecine, se présente pou
. « Je ne m'occupe pas de votre beau-frère. Vous pouvez faire votre «
lettre
vous-même, Mme Rémy. On pique son fard facilement
entôt cela s'aggrave et le gène beaucoup; par exemple, pour tracer la
lettre
F, initiale de son nom, il est obligé de s'y repr
'elle tremble, les mouvements qui correspondent au tracé de certaines
lettres
; puis on abandonne le malade à lui-même et on lui
t à fait clos, d'écrire avec une vraie plume sur du vrai papier : les
lettres
sont remarquables de netteté et de correction.
ecrétaire. Il est adopté. La correspondance manuscrite comprend une
lettre
de M. Boirac, vice-président, empêché d'assister
ecrétaire. Il est adopté. La correspondance manuscrite comprend une
lettre
de M. le Dr Iîianchi, adressant le montant de ses
e de M. le Dr Iîianchi, adressant le montant de ses cotisations ; des
lettres
de MM. les D" Cotte et Bourdon (de Méru), s'excus
et Bourdon (de Méru), s'excusant de ne pas assister à la séance ; une
lettre
de candidature de M. Stembo (de Vilna). Cette can
yé, des faux-cols, des cravales. Enfin il a encore dérobé du papier à
lettres
, de vieux livres dépareillés, et, ce qui dénote é
a est le nom du propriétaire des vêtements dérobés. Il est en toutes
lettres
sur le carnet (2) Liébeault, /oc, cit. p. 335.
didature du Dr Vogt (de Berlin) Par M. le Dr Paul Faret., licencié ès
lettres
(philosophie) Messieurs, Vous m'avez fait l'h
phases en négligeant la troisième. Traduisons ces qualités par des
lettres
. Nous dirons que la lro phase de l'individu peut
de caractères différents avec les combinaisons possibles de ces six
lettres
. Nous aurons ace ou b d f ou a d f ou b c e ou a
octrine, et (1) Pensées. (2) Préface du Traité du vide. (3) rS'
lettre
à un Provincial, (i) Pensées. (5) De l'Art de p
phénomène est remarquable dans certaines foules. (1) Pensées. (2)
Lettre
du 5 novembre 1648. (3) L'Hypnotisme et Vorthop
Réellement, je ne ressentais aucun amour pour lui. Il a m'accabla de
lettres
, me tourmenta et, pendant les traitements suite v
'hypnotisme et l'orthopédie mentale. La correspondance comprend une
lettre
de M. le D'Francisco Laraya, remerciant la Socïét
envoyant le montant de sa cotisation et du droit d'admission, et des
lettres
de candidature de MM. le Dr Yturriaga, de Mexico
s telle ville. Trois jours après, il recevait, timbrée de Genève, une
lettre
qui, parlant d'une impulsion « aussi irrésistible
fforts, je fus édifié sur les causes delà maladie de l'enfant par une
lettre
anonyme dont voici les principaux termes : (1)
lise est une aristocratie sous la conduite des évéques. C'étaient les
Lettres
chrétiennes et spirituelles, où, en exaltant la f
séance est lu et adopté. La correspondance manuscrite comprend une
lettre
de M. le D' Ytur-riaga (de Mexico) qui envoie le
ette traduction de l'ouvrage de Wetterstrand, on pourra lire quelques
lettres
adressées, il y a quelques années, à divers journ
rves chez MM. Aug. Voisin, Berheim, Forel, von Krafft-lihing ; de ces
lettres
, l'une des plus intéressantes est celle qui a tra
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de MM. les docteurs Henry 1-emesle, Coste de Lagr
nce est lu et adopté. M. le D' Bèrillon, secrétaire, donne lecture de
lettres
d'excuses de M. le professeur Raymond, retenu a L
ilosophie et docteur es-Lettres, M. Dauriac a illustré la Faculté des
lettres
de Montpellier où il professa la philosophie pend
é. Par exemple, si on étudie ?p• de Sévigné, chaque élève choisit une
lettre
, etc. Ce procédé a plusieurs avantages. Il les
re, le Dr Courjon, directeur de l'établissement médical de Meyzieu la
lettre
suivante dans laquelle il nous signale un fai
dant que ses élèves font une page d'écriture, il se met à rédiger une
lettre
contre son inspecteur. Avant d'avoir achevé cette
rédiger une lettre contre son inspecteur. Avant d'avoir achevé cette
lettre
,il se rappelle qu'il a oublié de faire une recomm
, que voit-il Son inspecteur, assis à son bureau, en train de lire la
lettre
de dénonciation. Boulversé d'êtreainsi gravement
ur le plancher. Un homme de 51 ans reçoit d'un notaire de Paris une
lettre
le priant de passer à son étude, pour « affaire l
ulté de médecine de Lyon ; M. Julien Ray, professeur à la faculté des
lettres
de Lyon ; M. le colonel Clergerie, directeur du g
Jules Liégeois, quelques heures après, allait en pleine nuit, par une
lettre
Jetée à la dérobée, prévenir les frères Buvignier
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend une
lettre
par laquelle M. Liégeois, juge au tribunal d'Epin
ce annuelle de la Société. La correspondance comprend également des
lettres
de if. le Dr Poula-lion ; "Witry, de Trêves ; pro
commencer la suppression des distinctions par en haut, supprimer les
lettres
de félicitations, les mentions honorables, les di
recourbés, de jambes artillcleusement croches. > (3) (1) Cf. la
lettre
publiée par le « Journal de la grotte de Lourdes.
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
d'excuses de M. Ch: Julliot, Dr Damoylou, du Cair
tronne s'inquiète peu de l'élégance des jambages qui entrent dans les
lettres
. Ce qui est dit pour la crampe des écrivains s'
. le professeur Lionel Daurlac, professeur honoraire à la Faculté des
Lettres
de Montpellier, collaborateur pendant de longues
persuggestïonnable, je continuerai a le diriger psychologiquement par
lettre
: et, lors d'un nouveau voyage à Paris, dans quel
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de MM. les Docteurs Paul .Toire (de Lille) ; Eodo
us perdons an des principaux auditeurs de nos cours, me disait-on aux
Lettres
, ou l'on tennit a son jugement comme a celui d'un
Congrès de 1908 à Clermont-Ferrand. Paul Simon : Science et morale.
Lettre
à M. F. Brunetière. In-8°. Paris. 32 pages. Dr
on turque, il semblerait que ses sages conseils aient été suivis à la
lettre
. En mettant à l'ordre du jour la question posée p
étaient des insignes de noblesse. « L'Art de la Guerre et l'Art des
Lettres
tels étaient les deux principes fondamentaux de n
entaux de notre peuple. Les mots OU pour la Guerre, et W'ENN pour les
Lettres
, ont joué en Chine un rôle prépondérant et ont ét
T'ai Tsoung. Ce fut un de nos plus glorieux souverains, grand ami des
Lettres
, il ne négligea pas les armes. Ce fut peut-être l
ecrétaire-général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de MM. les Docteurs Mercier, Bilhant, R. Pamart,
: l'entraînement à l'action et au travail, l'amour des sciences, des
lettres
et des beaux-arts : la culture de la force morale
e que Diderot exprime d'une façon saisissante lorsqu'il écrit dans la
Lettre
sur tes aveugles : « que la morale des aveugles e
ecrétaire Général donne lecture de la Correspondance qui comprend des
lettres
de MM. les D1* Fiessinger, Guimbeau et iVidmer.
tion attrayante (1) par Mlle Luele bèrillon, professeur agrégée des
Lettres
au lycée Molière. La question de l'éducation at
à vous. Rittj. De son côté M. le professeur Baymond, recevait la
lettre
suivante de M. de Saint-Yves Ménard, membre de l'
les organisateurs ne peuvent que donner une rapide communication des
lettres
et télégrammes par lesquelles un grand nombre de
gie comparée Mesdames. Messieurs, Au dernier moment j'ai reçu une
lettre
de notre président M. le Dr Huchard. nous priant
ire Général donne lecture de la correspondance qui com- prend des
lettres
de MM. les D™ Pron (d'Alger) et Witty (de Trèves-
ion attrayante par Mlle Lucie Bérili.os. f professeur agrégée des
Lettres
«u Lycée Molière- {Suite) L'éducation attayan
oles se sont rappelés à moi à l'occasion de cette fête et d'après les
lettres
des absents, d'après vos charmantes paroles, mon
autre stratagème. A ceux qui réclamaient son aide, il communiqua par
lettre
le jour et l'heure, où il prierait avec eux par c
ues Doyle, évéque de Kildare et Leigh Un communiqua à ses fidèles par
lettre
episcopate. Vere 18*22, Hohenlohe s'était install
oux devant le grand suggestionneur et lui demanda sa bénédiction. Les
lettres
continuèrent à affluer par milliers de tous les c
à l'Age de 85 ans en 1875. On trouva dans ses papiers des milliers de
lettres
, de tous pays, de gens de toutes positions et con
ducation attrayante par Mlle Lucie Bêkillox. professeur agrégée des
Lettres
au Lycée Molière- [Fin) La littérature est un
ire général donne lecture de la correspondance qui com- prend des
lettres
des D1** Douglas Bryan (de Leicester). Poulalion.
« néglige le bien, et compte toujours avoir assez du (i) Livre VII,
lettre
x«l. « peu qu'il se voit surlc point de quitter
Je-vois un mot... attendez, ana... (Il cherche encore, puis il épelle
lettre
par lettre), ina...go...gie... Oui, c’est cela...
mot... attendez, ana... (Il cherche encore, puis il épelle lettre par
lettre
), ina...go...gie... Oui, c’est cela... anagogie.
in. Tissera li dot Drouhard. James de Montry. Bouvier, homme de
lettres
. Mairot, négociant. Hering. I.anglois, avocat
et consacrée par le temps, pour désigner le fuit qui fait l’objet des
lettres
suivantes. Vicux-Cellesoie, 28 janvltr 1856.
Monsieur, Hier au soir, à ma rentrée à la maison , on m’a remis une
lettre
de vous, en réponse à celle que j’ai eu l’honneur
ue à présenter les phénomènes que je vous ai relatés dans ma première
lettre
, et qui, au besoin, pourraient être attestés par
à Paris pour elle; on va è!re satisfait dlavoir oommunication de la
lettre
que je viens d’y envoyer par le commissionnaire,
comprendre encore. Dans notre dernier numéro nous avons publié les
lettres
qui nous furent adressées par des personnes honor
très-sensible. « Voilà ce que j’ai vu. » On a pu voir déjà, par les
lettres
que nous avons publiées page 80, que, si d’un côt
it, reprenons notre récit, les réflexions viendront après. Les deux
lettres
de M. le docteur Verger nous ont fait connaître c
Ce dernier, ayant déjà vu avec « moi les faits relatés dans mes deux
lettres
à M. Iié- • bert(do Camay), en attesta la réali
de la trame du gant, comme nous l’avons déjà dit. Le lendemain, une
lettre
d’un des observateurs m’apprit que, le vulgaire s
Buste de Mesmer. — Nous recevons de la commission de souscription la
lettre
suivante : Monsieur, J’ai l’honneur de vous p
octeur m’aura donné le certificat qu’il m’a promis.» Dans une autre
lettre
du 28 février 1846, il dit à ce sujet : « La pe
t l’Algérien lui traça dans la main un carré entremêle bizarrement de
lettres
et de chiffres, versa au milieu une encre épaisse
le Journal du Magnétisme, nous reproduisons la première partie d’une
lettre
qu’un de nos abonnés, homme honorable et rempliss
is sans restriction. Nous nous bornons donc à publier la partie de la
lettre
relative à une jeune fille électrique jouissant d
de papier, il traça, dessus les signes à dessiner dans la main et les
lettres
qui y ont rapport; puis, après un moment d’hésita
son triomphe. Des médecins, des officiers (supérieurs, des hommes de
lettres
, des artistes distingués, beaucoup de commerçants
cteur Regambert, d’Escatalens,publie dans la Gazelle du Languedoc une
lettre
dans laquelle il dit avoir beaucoup étudié le mag
en manifesta son mécontentement, et c’est là ce qui motiva une de ses
lettres
, dans laquelle il lui dit, pour se justifier de c
e l’assurance de prolonger « mon séjour jusqu’au 18 septembre. (Cette
lettre
est «du 31 mars 1781.) Je supplie instamment Votr
achever ton exil. Voici ta destinée : regarde de ce côté... Mais ces
lettres
de feu, je ne puis les déchiffrer; aide-moi, ma m
raison do cotte volte-face. L'Estafette du 26 mai public une longue
lettre
de Mortagne, dans laquelle il est dit que les pro
jours pendante. Le 17 juin, M. Thilorier adressa en son nom seul la
lettre
suivante sur le même sujet, l’aimantation animale
ettre suivante sur le même sujet, l’aimantation animale : « Dans la
lettre
que j'ai adressée en commun avec M. Lafontaine, e
ais étrangère. «Je vous promettais, Monsieur, dit le début de cette
lettre
, de montrer l’action névro-galvanique humaine non
ement et qu’il ne revit plus. Avant de mourir, il reçoit une dernière
lettre
de madame Desmoulins, «/e me sut«-prenais à regar
de madame Desmoulins, «/e me sut«-prenais à regarder le porteur de ta
lettre
., répondit Camille, comme s'il fût resté sur ses
un débat. « — On trouve tous les jours, dit madame Dunoyer dans ses
Lettres
, des personnes noyées dans la Tamise avec leurs p
dépose que la Bueaille étant dans une de scs extases, il lui mit une
lettre
dans la main, au sujet de la femme d’un de ses am
n de ses amis, qui était malade, et qu’aussitôt, sans avoir ouvert la
lettre
ni entendu ce qu’on lui voulait, elle se mit à of
cs rapports avec le barnabite Laeombe, trois fois la lit enfermer par
lettre
de cachet, n’est pas moins intéressante au point
oignent celui de la difficulté vaincue; car la réunion de la première
lettre
de chaque vers forme un acrostiche : l'homme qu
langue et l’écriture de convention consistent dans les paroles et les
lettres
. Il faut laisser à l’enfant la liberté de culti
e cinq mais!... Mais c’est assez de reproches, ami ; d’ailleurs votre
lettre
d’aujourd'hui est si aimable, si doucereuse, si c
, d’autres guérisons se préparaient. L’Union du 23 août contenait une
lettre
de M. Baucher, huissier, déclarant que sa femme,
M. Ch. Renard nous écrit de Rambouillet, à la date du 25 novembre, la
lettre
suivante, dont le contenu intéressera vivement ce
èrement de son empreinte céleste. » La Jlevuc magnétique publie une
lettre
de M. le ministre do l’instruction publique qui p
complète, mais généralisée, il c-t arrivé à tracer d'abord quelques
lettres
puis il les assembler, il reproduire tous les c
ne parle pas ou ne possède que quelques mots, ne connaisse pas les
lettres
, ne syllabe pas, nous l'exer- çons à reconnaîtr
es sur fond noir, images blanches sur fond noir'), il apprendre les
lettres
(grandes lettres noires sur fond blanc, puis le
mages blanches sur fond noir'), il apprendre les lettres (grandes
lettres
noires sur fond blanc, puis lettres beaucoup pl
apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond blanc, puis
lettres
beaucoup plus petites); pour l'éducation de la
l y a un an, en entrant dans le service il connaissait il peine les
lettres
de l'alphabet et ne pouvait syllaber. En calcul
ée. - Ordres du jour des Commissions. Affiches diverses. Entâtes de
lettres
. - Divers imprimés pour les Ecoles d'infirmière
he très bien. En classe les progrès sont notables, elle connaît ses
lettres
, com- mence à compter, aime la gymnastique et l
nvers lee personnes qui l'entourent. Elle commence à rassembler ses
lettres
, connaît également les chiffres, sait les place
rononciation était mauvaise, elle zézayait beaucoup, prononçait les
lettres
j et g comme z; elle disait zuze pour juge, tou
ale. Elle était nulle, en instruction primaire, ne connaissait ni
lettres
, ni chiffres, ne savait môme pas tracer des bason
is à quelques-unes des délégations de Paris. Voici, comme suite, la
lettre
qui nous a été transmise. Monsieur le Docteur
et étudier notre méthode de traitement médico-pédago- gique, une
lettre
très intéressante sur les classes spé- ciales d
1 : E. Veuillez, Monsieur le Docteur, excuser le retard de cette
lettre
et le mettre sur le compte de belles vacances m
ilbert Petit, médecin en chef de l'asile d'aliénés du Mans, par une
lettre
en date du 12 avril dernier, nous communique le
itive. Marcelle n'a jamais pu rien apprendre; elle ne sait aucune
lettre
, et ne peut pas tenir un crayon; ne connaît aucun
mètre et du litre. Fait son lit. Décembre. Connaît deux nouvelles
lettres
l et 1, lit leurs combinaisons en syllabes simp
de la plupart des objets qui l'environnent. Il ne connaît aucune
lettre
; fait sur l'ardoise des n, des o, des u et des c
le D" Arnaucl (de Saint-Gilles,) qui avait assisté à la séance, une
lettre
dans laquelle il soumettait à notre appréciatio
ivus. Ow, os wormiens. - Il, plan du rocher. La ligne indiquée sans
lettre
, entre le plan orbitaire (H, H) et le plan du r
de balbutier quelques paroles : «attends, va voir. » Place quelques
lettres
et quelques chiffres, mais ne les dis- tingue p
mais avec difficulté. Articulation très défectueuse. 11 connaît les
lettres
, les chiffres, les couleurs. Exécute bien tous
mbrasse bien fort. Suzanne. Nous avons reproduit textuellement sa
lettre
avec ses fautes et son absence de ponctuation.
extase, les yeux fixes et la bouche entr'ouverte. Il ne connaît ni
lettres
, ni couleurs, ne sait ni nouer, ni lacer, ni bo
ais ne peut ni nouer ni boutonner. Ler..., a appris à connaitre les
lettres
de l'alphabet, les chiffres, à distinguer sa dr
à cette volonté persistante, il est enfin arrivé à tracer quelques
lettres
, puis à les assembler et former des mots dans l
livus. Os, os wormiens. - R, plan du rocher. La ligne indiquée sans
lettre
, entre le plan orbi- taire (l'I, II) et le plan
e moment sont ceux d'un autre. » Voici littéralement transcrite une
lettre
qu'il écrit à cette époque. « Mon cher docteur,
ppelait le D'' Marie te reçut de la femme et te retenait toutes tes
lettres
cependant je t'écrivais tous les cinq jours et
ire encore de bonnes affaires. Entends. « Suz. de C. » Dans cette
lettre
, malgré l'incohérence, on s'aperçoit que le 10
ce n'est plus lui qui parle : ils sont deux. Il écrit encore deux
lettres
ou les mêmes préoccupations sont traduites. L'a
doublement de la per- sonnalité, mais sans cohérence. - Voici les
lettres
qu'il a écrites et où il traduit son état par deu
REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. L'affaire Waldstein à Prague : deux
lettres
adressées aux membres de l'Association médico-p
(The Journal of Mental Science, janvier 1899.) La première de ces
lettres
est une critique des psychologistes qui ont jou
l'ba¡.t; par M. Mauxion, professeur de philosophie à la Faculté des
Lettres
de Poitiers. Vol. in-18 de 188 pages. Paris, 1901
'était coupé la gorge avec un rasoir. Sur sa table, on a trouvé une
lettre
dans laquelle il déclare « qu'il ne saurait sur
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations
é le retour de la saison ouvrable, tout fut décidé. IL. adressa une
lettre
à ses enfants de Bruxelles, leur expliquant sa
énements qui ont immédiatement précédé la déter- mination prise, la
lettre
écrite, les préparatifs d'asphyxie, tout cela e
prise, la lettre écrite, les préparatifs d'asphyxie, tout cela est
lettre
morte pour lui. « Non, je n'ai jamais cherché à m
e, de même que les images optiques de toutes les configurations des
lettres
, sont soli- dement imprimés dans leur souvenir
goureusement les mouvements de sa main gauche, chaque trait, chaque
lettre
. C'est pourquoi les adultes et les gens sachant
t en position agissante leur main droite, et lui font effectuer les
lettres
nécessaires : alors seulement ils commencent à
tagère des étiquettes rouge foncé, avec « illium » écrit en grosses
lettres
, collées sur plusieurs bouteilles ; elle se leva
fet, qu'elle voit de mieux en mieux et peut dis- tinguer une grosse
lettre
d'une échelle d'acuité type Snellen, cor- respo
ée la diminue considérablement : Marthe distingue difficilement les
lettres
des optotypes, les unes après les autres, et ne p
ire ensuite l'échelle de Stilling, elle distingue exclusivement les
lettres
rouges, c'est-à-dire qu'elle ne voit que de l'o
e et le vert devant l'oeil droit, elle ne distingue d'abord que les
lettres
vertes grandes et petites, puis ensuite les gra
que les lettres vertes grandes et petites, puis ensuite les grandes
lettres
rouges, ce qui indique qu'elle voit à la faveur
es images visuelles, il ne faut pouvoir ne pas copier le mot ou les
lettres
. Il fait remarquer en outre, que lorsqu'on écri
ier au centre de Broca, que ceux du centre des images visuelles des
lettres
et des mots (pli courbe), qui vont au centre mo
'imbécillité pronom- noncée. A son entrée, il ne connaissait aucune
lettre
, ne pouvait, sur le cahier, reproduire que des
lents; il a peu de mémoire, cependant il est parvenu a placer les
lettres
et les chiffres et à reconuaitre les légumes. Pou
propre, s'habille, se désha- bille et se nettoie seul. Il place les
lettres
et les reconnaît. Parle assez à propos et prono
isons : triangle, carré, cercle, etc., et enfin, à la formation des
lettres
. - Cette manière de procéder nous a donné des r
assez satisfaisants. Latter... forme maintenant toutes les petites
lettres
et quelques grandes dérivées de o telles que d,
ur la lecture au Syllabaire et cepen- dant cet enfant, à l'aide des
lettres
mobiles, place les consonnes devant une voyelle
que l'enfant a voulu représenter, enfin il forme presque toutes les
lettres
et commence à les assembler, Cet enfant qui,
pour la lecture au syllabaire. Nous obtenons davantage à l'aide des
lettres
mobiles. La parole, chez cetenfant, continue à s'
nd compte des quantités qu'ils représentent, forme bien les petites
lettres
, com- mence à les assembler. Tier... (Pierre)
la boite aux leçons de choses. - En 1898, il reconnaît et nomme les
lettres
, chiffres, surfaces; place bien les bâtonnets d
tes phrases. En 1894, il s'habille et se déshabille seul, place les
lettres
, les surfaces, les couleurs. 11 commence à form
lettres, les surfaces, les couleurs. 11 commence à former quelques
lettres
et chiffres en 1895. Toujours en mouvement, Fél
lui pendant qu'il dort, je lui suggère l'analgésie, en suivant à la
lettre
la technique décrite par M. Farez. Au réveil, l'a
e néphrite méconnue et dans certains cas le délire aigu n'est, à la
lettre
, qu'une folie urémique sur aiguë. Cette opinion
is des années, en effet, il envoie régulièrement chaque semaine des
lettres
volumineuses. L'enveloppe, qu'il timbre toujour
il timbre toujours, porte invariable- ment l'adresse suivante : '
Lettre
, Papiers d'Affaires. A Messieurs les Professeur
et à qui de droit), \ Chambre des députés, . Paris (Seine). Ces
lettres
, qui comprennent au moins une vingtaine de pages,
à tout roi et sujet (ici quelques mots illisibles sur toutes les
lettres
) de avant 1300 ou de 1800 et de naissance dans le
roit (armées, polices, cultes, religions de l'univers entier) » Ces
lettres
commencent toujours par « Je fais connaitre que h
ommencent toujours par « Je fais connaitre que hier... » Dans cette
lettre
, il y a toujours des lignes en blanc recouvertes
uit par ce rêve avait suffi pour\ lui rendre la parole ? Dans une
lettre
adressée à l'Académie des sciences*, M. le comt
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations
de Villejuif; CRUISE (do Dublin); L. DAURIAG, prof, à la Faculté des
lettres
de Montpellier; GUIMBEAU ; W. DEKHTEREFF (do Sain
idents. MM. Dauriac (Lionel), professeur honoraire à la Faculté des
lettres
. le docteur Grasset, professeur à la Faculté de
médecin de la Salpétrière. Dauriac (Lionel), prof, à la Faculté des
Lettres
de Montpellier, le l)r Deny, médecin de la Salpét
s hommes et quelques femmes qui se sont fait un nom dans le monde des
lettres
. Talleyrand a dit que l’Angleterre était le pay
yllabes ou, tout simplement, à l’impossibilité de prononcer certaines
lettres
ou certaines syllabes... Les muscles se contracte
en sortiraient avec leurs soies brillantes. Nous avons reçu plusieurs
lettres
qui confirment le fait. M. Th. Parkes, de Kerrnsk
Dkjerine, médecin de la Salpêtrière. M. Desbeaux (Emile), homme de
lettres
, Paris. M. le Dr Deschamps, à Rennes. MDr Del
sidents : MM. Daüriac (Lionel), professeur honoraire à la Faculté des
Lettres
de Montpellier, professeur de philosophie au lycé
ace au bureau. M. le Secrétaire général donne lecture de nombreuses
lettres
d'excuses. Il fait différentes communications rel
de Médecine, de l’Ecole d’Alfort et de la Faculté des Sciences et des
Lettres
. Avec l’appui et le concours de tels hommes, l’
r à la chaire de Neurologie et de Psychiatrie d’Amsterdam. Dans une
lettre
(datée du 30 Juin dernier) que m’adressa mon ami
palier de l’escalier d'honneur sous la grande fenêtre. Elle porte en
lettres
or-bronze cette dédicace : Ambrosio Augusto Lié
e de l’attentat pour lequel il avait été condamné. Celui-ci, dans une
lettre
que, malheureusement, le Président égara après en
e les touches portent en relief les signes Braille, correspondant aux
lettres
. Le professeur Lombroso, qui a étudié la comp
excités, F, F1, F2, F3,F4, F5, les nerfs moteurs excités. Les autres
lettres
comme dans la fig.1. tion) ou semblable, mais p
faisaient point de la philosophie leur occupation exclusive. Dans une
lettre
qu’il me fit l’honneur de m'écrire, il y a quelqu
cale. Par M. Lionel Dauriac Professeur honoraire à la Facultó des
Lettres
do Montpellier chargé du cours d’Esthétique music
oit romain testis unus, lestis nullus fut toujours pris au pied de la
lettre
. Le champ de nos ignorances s'en trouverait démes
s visions se sont évanouies; il écrit à M"* Leroy er de Chantepic, la
lettre
suivante: a Vous me demandez comment je me suis g
es et demie. M. Lionel Dauriac, professeur honoraire de la Faculté de
lettres
de Montpellier, chargé du cours d’Esthétique musi
e musicale M. Lionel Dauriac, professeur honoraire à la Faculté des
Lettres
de Montpellier, commencera son cours d'Esthétique
renciers furent Lionel Dauriac, professeur honoraire à la Faculté des
lettres
de Montpellier ; Jules Soury, professeur d’anatom
uggestion peutautographiersursa peau les mots auxquels il pense : les
lettres
s'inscrivent en un large ruban rose. Ce (1) Rev
es et demie. M. Lionel Dauriac, professeur honoraire de la Faculté de
lettres
de Montpellier, chargé du cours d'Esthétique musi
est revenu, elle n’a plus de faiblesses, elle nous a écrit une petite
lettre
dans laquelle elle disait: « Mille remerciement
es et demie. M. Lionel Dauriac, professeur honoraire de la Faculté de
lettres
de Montpellier, chargé du cours d’Esthétique musi
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de MM. Branly, Aragon et Seghers. Il communique à
e. Un rien lui cause des angoisses. Par exemple, avant d’ouvrir une
lettre
, elle souffre « terriblement », car elle sent, di
car elle sent, dit-elle, qu’il va lui arriver quelque malheur! Si une
lettre
de son fils est en retard d’un ou de deux courrie
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
du Dr Bourdon (de Mérti), du Dr Le Menant des Che
us les auteurs ont montré l’importance du traitement moral chez (t)
Lettre
adressée par M. le D' Binet-San^lé et lue en séan
at ne s’est pas démenti. Dernièrement, je recevais de !a malade une
lettre
dityrambique et débordant de reconnaissance. II
plus usitée est la suivante. Il inscrit sur un morceau de papier des
lettres
turques illisibles. Il prescrit de plonger le mor
e plonger le morceau de papier dans un verre d’eau jusqu’à ce que les
lettres
en soient effacées. On boit ensuite l’eau, ce qui
est de la valeur de deux cents francs. Les thèses des Facultés des
Lettres
, des Sciences et de Droit sont admises à concouri
l'hôpital des incurables à Naples; M. Bloch (Maurice), agrégé des
lettres
, directeur de l'Ecole Bischofssheim; Dr Alb. Bj
ée. Ordres du jour des Commissions. Affiches diverses. - Entêtes de
lettres
, registres et tableaux divers pour Direction et
s plus ou moins long dans son pays et nous a adressé, sous forme de
lettre
, les résultats très remarquables de cette enquê
ence et aux questions philanthropiques, do sa belle et intéressante
lettre
. L'exposé si complet qu'il Classes spéciales. L
ons que nous avons invoquées dans nos rapports, communications et
lettres
antérieurs pour justifier la création de classe
noeuvre athétosique sur le papier et trace d'un seul trait quelques
lettres
pour perdre tout aussitôt lo contact du papier
. Envoyé en classe, il est assez attentif, est parvenu à placer les
lettres
sur les cartons, mais ne les con- naît pas enco
à imiter les exercices que l'on exécute devant lui ; place bien les
lettres
, mais ne sait pas les nommer; reconnaît les cou
âge au point de vue scolaire. L'écriture est très irrégulière, les
lettres
ne sont pas liées entre elles, les traits sont
s au premier déjeuner, veut écrire à son père il qui il adresse une
lettre
incohérente et pleine de menaces : « Je te donn
es camarades. 21. - Crise it la suite d'une invitation à écrire une
lettre
à ses parents. René se couche par terre, fait s
trois ans, il n'y a rien fait; it cinq ans sa mère lui a appris les
lettres
, mais n'a jamais pu le faire syllabor : il est
e. - G.... parle, mais très mal : il prononce à peu près toutes les
lettres
de l'alphabet, sauf j-r-x. Usait endosser ses v
turbulent, incapable d'attention. Il connaît, avons- nous dit, les
lettres
, mais ne sait pas les arranger pour en faire de
ne fait aucun progrès en écriture, ne peut même suivre le tracé des
lettres
; il n'y met du reste aucune bonne volonté, son
cible et mendiant. Il arrive à placer à peu près convenablement les
lettres
, mais est incapable de toute attention. - Hydro
aboratoire municipal de bactériologie et a reçu le 29 septembre une
lettre
de M. le Dr Miqucl d'où nous extrayons le passa
le est tourmentée et irrégulière dans les périodes d'excitation, la
lettre
qu'il a écrite de Belfort à ses parents est trè
calcul et la comptabilité en particulier; préfère les sciences aux
lettres
, n'aime pas la musique. d) Etal instinctif et
(c'est par erreur que la frontale ascendante a été indiquée par les
lettres
PA au lieu de FA. Pl, pli pariétal supérieur.
ncusr : (V. 1. 1 ! )2) , Face externe de l'hémisphère gauche. Les
lettres
ont la même signification que celles de la Plan
tubéreuse (V. p. 193). - Face interne de l'hémisphère gauche. Les
lettres
ont la même signification que celles cul Planch
FÉRIEURES DE L'ACTIVITÉ NORMALE ' Par M. Pierre JANET DOCTEUR DES
lettres
, agrége DE L'université Si les phénomènes d'aut
thèse de doctorat soutenue le vendredi 21 juin, devant la Faculté des
lettres
de Paris. (F. Alcan, éditeur.) pour se manifest
t de faire une entrée triomphale dans le sanctuaire de la Faculté des
lettres
. Vendredi dernier. M. Pierre Janet. ancien élèv
Un ??s d'hypnotisme appliqué à la politique. Le Standard publie une
lettre
de Belgrade, qui affirme que le roi Milan était h
que l'action d'écrire, et don', à l'âge où l'on s'exerce à former les
lettres
. les jeunes enfants—la petite ; le surtout, en ra
de la Société d'ophtalmologie de Paris. M. JANET Pierre, docteur ès
lettres
, professeur agrégé de philosophie. Mme JUGLAR,d
le Dr MAESTRATI, médecin a Paris. M. MÉRIC l'abbé Elle), docteur ès
lettres
, professeur a la Sorbonnc. M. le Dr MAGNIN Paul
ommunications sur l'organisation du congrès. Il donne lecture d'une
lettre
de M. Fallières, ministre de l'Instruction publiq
prouve une sensation visuelle de couleur chaque fois que le Sun d'une
lettre
frappe son oreille. Dans le cas précité, le mal
récité, le malade avait une sensation tranchée de couleur pour chaque
lettre
, voyelle ou consonne, De plus selon qu'il avait o
selon qu'il avait ou une image auditive ou une image graphique de la
lettre
, il voyait une couleur différente. Les diphtonque
goût, de sens musculaire, lorsqu'il évoque les images graphiques des
lettres
. Ces sensations sont constantes pour chaque lettr
es graphiques des lettres. Ces sensations sont constantes pour chaque
lettre
. Ainsi par exemple, l'O est noir pour la vue, don
envoyé au journal « Archivii italiani di laryngologia» sous forme de
lettre
ouverte à son rédacteur, une amusante et philosop
d'un somnambule Le rédacteur en chef de l'Union médicale a reçu la
lettre
suivante qu'il s'empresse de publier pour l'édi
ta de son innocence. D'ailleurs, sa femme repentante lui écrivait des
lettres
qui sembleraient lui donner raison. Elle avoue qu
anière de se procurer facilement de l'argent. Secondement, suivant la
lettre
, ils procédèrent comme il suit : A minuit, un a
1829, PP.410,411 LA FOLIE DE MOHAMMED TOCIU.AK teur des hommes de
lettres
(i). Ses lettres, en arabe et en persan, montrent
LA FOLIE DE MOHAMMED TOCIU.AK teur des hommes de lettres (i). Ses
lettres
, en arabe et en persan, montrent tant d'éloquence
issement de ses désirs. Suivant Ibn Batuta, il était provoqué par des
lettres
anonymes jetées la nuit dans la salle d'audience,
ul Abbas d'Egypte, avança à pied à la rencontre de l'envoyé et mit la
lettre
du calife sur sa tête. Il ordonna de faire de gra
égligé, et la vie sédentaire ou de cabinet, si famillière aux gens de
lettres
. Les maux qui résultent de là, quoique assez grav
in d'octobre par M. Voisin, se maintient. Nous avons reçu d'elle deux
lettres
, l'une du ta novembre 89, l'autre du 39 décembre.
n rêve et que je rentre dans la vie « de tout le monde » La seconde
lettre
qu'elle a écrite sous l'impression de l'état mala
mon pére n'était « pas malade, je serais très heureuse. » Ces deux
lettres
se passent de commentaires et montrent que la gué
de me remercier des soins que je lui avais donnés et de faire dans sa
lettre
une allusion toujours un peu attristée aux actes
» Je vous prie, monsieur le directeur, dé vouloir bien insérer cette
lettre
dans votre journal, afin d'éclairer les sectaires
r Lloyd Tuckey médecin aussi compétent que distingué, nous adresse la
lettre
suivante sur laquelle nous appelons l'attention d
pnotisme. Beaucoup de savants français avaient été sollicités par une
lettre
circulaire, d'accepter le titre de membres honora
r, la mésaventure de cette négresse, racontée par elle-même, dans une
lettre
au Procureur de la République. Cette négresse cro
pauvre femme écrivait à je ne sais quelle personne de sa famille une
lettre
calme et sereine, elle y parlait de son intérieur
de rien. Ainsi le matin du crime, quand la pauvre victime écrivait sa
lettre
, elle ne savait pas ce qui allait se passer ; son
modèle des précédentes. Il s'accuse de mauvaises actions, déchire les
lettres
qu'il reçoit, parce qu'il n'a plus le droit de fa
....; 2° Puis, profitant de ce que je n'ai pas reproduit, en toutes
lettres
, les citations de son livre sur le Magnétisme ani
périences, d après mes directions. J'ai retrouve dans mes papiers une
lettre
qui me paraît de nature a mettre M. Strohl enti
çus de lui à la date du 16 juin 1881. Il m'a autorisé a publier cette
lettre
, qui se terminait ainsi : « M. Jules Sandoz (mo
use constitue le premier temps du phénomène. Deux minutes après. la
lettre
ou l'inscription commence à paraître sous forme d
éâtrale. Si nous nous reportons a l'incident visé par M. Després, une
lettre
de M. le professeur Bernheim publiée par le journ
de Baugency, les enthousiasmes et les déceptions de l'abbé Faria, les
lettres
du général Noizet, les nouvelles discussions de l
leur faire du mal; il a des incertitudes fréquentes lorsqu il met une
lettre
a la poste, lorsqu'il ferme une porte, lorsqu'il
riture pendant que Lucie bavarde, et Léonie 2 écrivant à M. Janet des
lettres
qu'elle cache à Léonie I. Laissons-la ces railler
la voix que de l'articulation défectueuse. Monotonie complète. Les
lettres
0 K G 1 J Q T Z sont à peu près impossibles à p
de la parole, sauf une certaine difficulté pour prononcer quelques
lettres
, inappétence, nausées presque incessantes, suivie
mbre, la patiente a observé tout d'un coup qu'elle pouvait lire des
lettres
écrites sur les murs, qu'elle ne pou- vait dist
par exemple, on devine le nom de Pierre d'après les deux premières
lettres
pi, si l'on sait d'avance qu'il s'agit d'un nom
ne figure convenue est un' problème analogue à celui de deviner des
lettres
et des chiffres. Il s'agit de tracer différente
de tracer différentes lignes courbes comme dans les chiffres et les
lettres
. Une des conditions de l'expérience veut que le
était 0. Le succès justifia mes suppositions. Alors je passai aux
lettres
N et 0. Je devine la première d'après l'existence
s régulières, comme par exemple : au cercle, au carre, etc. ; - les
lettres
et les chiffres sont diffi- ciles pour commence
ut l'exercice m'a pris quelques jours. Il est facile de deviner les
lettres
en suivant la voie indiquée pour deviner les ch
de députés, de fonc- tionnaires ; les noms de ville, etc. Dans une
lettre
qu'il nous écrivait à cette époque, il dit lui-
e, en même temps, de sa poche un cahier où se trouvent indiqués par
lettre
alphabétique les noms et les adresses des perso
er, se trouvaient des noms français et des noms flamands rangés par
lettre
alpha- DE L'oNOIA'C(1f.111E. 167 Détique. Il
amélioré depuis son entrée. A ce moment, il ne savait lire que les
lettres
, n'écrivait que mal et en gros caractères, ne s
é.'1 r1ü'mom'eilt''de"sonadmission, il ne savait guère lire que les
lettres
et syllabait avec'peine en bégayant beaucoup;ti
que Schuele,' ouvre le congrès par des 'fit 1.... 11 communique une
lettre
d,t'nbtireati de la paroles de bienvenue ? Il c
lettre d,t'nbtireati de la paroles de bienvenue ? Il communique une
lettre
du bureau delà Société des aliénistes allemand»
effet elle connalt un travail manuel facile; peut-écrire certaines
lettres
soit ? ? ri¡Í1trs'o(t s'oui; ta'dictée, et imprim
clié de Gade. 2 Id" . VII, p. 359, 262 L) SOCIÉTÉS SAVANTES. et
lettres
de salutations de 11111. Pèlman et Flamm. -= Souv
e' huit heures et demie : Lebûreàu annonce qu'hier il a adressé une
lettre
de félicitations à Richartz d'Ende- nich qui' a
ait tout appris, tout approfondi ; il cultivait même avec amour les
lettres
et la philo- sophie, et avait pour la lecture d
sinistre, un propriétaire de la localité trouvait dans sa cour une
lettre
de menaces d'incendie signé du nom de Claudius
s experts constataient entre l'écriture du prévenu et celle de la
lettre
les analogies les plus sérieuses, bien que, ont-i
enir et d'accroître les soupçons qu'avait fait naître contre lui la
lettre
trouvée, lettre qui intriguait de plus en plus
e les soupçons qu'avait fait naître contre lui la lettre trouvée,
lettre
qui intriguait de plus en plus la commune, à mesu
r celui-là que pour les cinq précédents, quand, le 22 novembre, une
lettre
anonyme de- nonça Claude Saron. Pris en flagran
ttant le feu j'étais en ribotte. Je ne connais pas l'écriture de la
lettre
de menaces d'incendies signée du nom de mon cou
gendarmes qu'un aveu seul pouvait lui rendre la liberté. Quant à la
lettre
qui l'avait dénoncé, il l'attribuait à une veng
sista à nier. Il fut, cette fois, très affirmatif relativement à la
lettre
anonyme qui le dénonçait. Il l'attribua à son c
, quand tous s'interrogent et recherchent le coupable, il écrit une
lettre
compro- mettante qu'il signe du nom abhorré, pu
inement ramassée. Le village s'émeut; une enquête s'ouvre sur cette
lettre
qui fait soupçonner un innocent;. lui, profitan
ée dans le service, on constate que cet enfant ne sait que quelques
lettres
, qu'il ne sait pas écrire, qu'il prononce bien
it compter jusqu'à cinquante, avec des jetons; il connais- sait les
lettres
de l'alphabet, mais sans savoir les assembler; il
choses, et tous ceux qui l'entourent. Il commence à faire quelques
lettres
et aies assembler; il n'a que très peu de notio
e quelques mots, bail la numération, compte 2 par 2, trace quelques
lettres
. Il est complaisant et fait de petites corvées da
. parle très peu, prononce quelques mots (maman...), ne lit.pas ses
lettres
; il est d'ailleurs presque impos- sible de fixe
- Présidence de M. DAGONET. Le président donne lecture de plusieurs
lettres
de différents membres de la société qui s'excus
ssister à la séance d'inauguration de la statue de Pinel. Parmi ces
lettres
, il s'en trouve une de M. Henri Bonnet, auquel
sonnel, enfantin. Il ne sait lire ni écrire; il épèle seulement les
lettres
capitales. Son occupa- tion ordinaireest à l'at
ut ce qui lui est soi-disant arrivé chez lui, pourtant il écrit des
lettres
affectueuses à sa femme, en la priant de lui en
sente plus rien d'anormal. Il écrit à sa femme et à ses parents des
lettres
affectueuses en les priant de venir le prendre, c
e et correctement, mais vers la fin il s'embrouille toujours, il la
lettre
S ou T, et il est dans l'impossibilité de continu
et il est dans l'impossibilité de continuer même si on lui dit les
lettres
qui suivent immédiatement. Si on lui demande les
d'un air niais « gus » ce qui constitue en suédois un assemblage de
lettres
sans signification. Cependant, lorsqu'à une occa-
cles et des triangles. La facilité avec laquelle B... reconnait les
lettres
de l'alphabet est des plus inégale : il lui arr
bet est des plus inégale : il lui arrive de nommer correctement une
lettre
déterminée que l'instant d'après il est incapab
rsqu'il n'est pas sûr d'avoir immédiatement réussi à identifier une
lettre
, il se met d'ordinaire à réciter à part lui l'a
trouve, grâce à cet expédient, la 11li JOHANSSON ET FROEDERSTROM
lettre
cherchée ; seulement, comme il n'arrive pas plus
t presque toujours infructueuse lorsqu'il s'agit des huit dernières
lettres
de l'alphabet suédois. En d'autres occasions, il
ro- nonce à part lui une série de noms propres tout en regardant la
lettre
, et par cette voie aussi, il lui est quelquefoi
est quelquefois arrivé d'atteindre son but : ainsi, il identifie la
lettre
L en prononçant le nom Lilly, le nom d'une jeun
nom Lilly, le nom d'une jeune fille avec laquelle il a échangé des
lettres
; plus tard, il est arrivé il écrire ce motsauf
fig. 3, n° 8). De rares foisB... a réussi à indi- quer le nom d'une
lettre
en suivant avec un crayon le tracé de la lettre,
- quer le nom d'une lettre en suivant avec un crayon le tracé de la
lettre
, mais le plus souvent ce procédé ne donne pas d
tire d'affaire relativement mieux avec des mots entiers qu'avec des
lettres
isolées, et ses succès il cet égard sont absolume
et les prépositions etc. ainsi que les combinaisons arbitraires de
lettres
constituent pour lui des diffi- cultés insurmon
les écrit en caractères capitales d'imprimerie, ou si on place les
lettres
en ligne verticale : B.. parait donc reconnaître
qu'images totales sans être en étal de distinguer les diffé- rentes
lettres
qui les composent. L. Plusieurs fois B .. recon
m ». L'instant d'après, il était incapable de nommer la plupart des
lettres
du tableau en question et aussi de nommer les let
a plupart des lettres du tableau en question et aussi de nommer les
lettres
compo- sant les mots lus auparavant. Lorsqu'au
tré complet il peut reconnaître et nommer certaines combinaisons de
lettres
qui ont été gravées dans sa mémoire op- tique,
ossibilité du contrôlesecondaire des détails, l'image des différentes
lettres
ayant en grande partie été effacée de sa mémoir
paraît se rendre partiel- lement compte de la forme des différentes
lettres
, sans pourtant arriver à lire ce qu'il vient d'
t sa signature et par là à se créer une « griffe ». Pour signer ses
lettres
et autres pièces, il s'est surtout servi de son p
adresse de son père de la même manière qu'il l'écl'i.. rait sur une
lettre
(HerrF. A. Blomkvist, Hullaryd, Sonamayd) tandis
ctuosités dans la faculté de B. de se représenter les dif- férentes
lettres
. Lorsqu'on lui demanda d'écrire le nom David (n
réciter l'alphabet comme il le fait à la lecture afin de trouvcr la
lettre
suivante ; n'arrivant jamais aussi loin que le
pas à xxv S 122 JOHANSSON ET FBOEDlm;;TIW1 une dizaine, et les
lettres
isolées que B. sait lire et écrire ne sont pasplu
où B. a pu, grâce à des mouvements d'écriture, trouver le nom d'une
lettre
ne méritent pas qu'on y attache d'importance, d
équivalent verbal et cela bien qu'il. lit, en recopia nt, formé les
lettres
d'une façon normale. La zone motrice n'exerce d
ulté de lire. Par contre, B. arrive presque toujours à recopier les
lettres
qu'il a su déchif- frer immédiatement avant ; s
tement avant ; souvent il lui est arrivé de ne pouvoir lire la même
lettre
quelques instants après, et alors ses tentatives
instants après, et alors ses tentatives consécutives pour écrire la
lettre
ont, sans exception, échoué. L'agrapbie de B. dép
urds-muets, afin d'exercer ainsi son sens graphi- que à l'égard des
lettres
et des mots. A condition qu'il ne se présente p
n3 saurions mieux faire que de lui emprunter son langage. Une des
lettres
qu'il écrivait à ses parents naguère, est particu
-même aux (1) Il avait un grand-père et un bisaïeul médecins. (2)
Lettre
à Pollet, Ornai 4639. OEuvres, édition et TA1OEER
ujours des anatomistes de profession, comme en témoigne la curieuse
lettre
suivante où il signale les difficultés que l'on r
uer un rôle prépondérant dans la physiologie du système nerveux (i)
Lettre
CLXXXVI il 111ersenne [t avril 164 OEuvres, édili
nies, sinon ensuite de ce qu'elles le sont en cette glande. » (2)
Lettre
CLXXXVI à Mersenne [l^° avril 1640]. (Muvres, éd.
des passages pour l'exécution desquels il les doit ainsi disposer » (
Lettre
CLXXXVI à Mersenne [1" avril : l6;iOj, Desca1't
hs. IV. Névrite interstitielle, coloration : Marchi-sllfranine, mêmes
lettres
que dans la figure précédente. Lésion dimidiée
on institution à l'Etat ou, à son défaut, au département. Par une
lettre
en date du 13 juin 1886, adressée à M. le pré-
déposés au rang des minutes de 1\t. Renard, notaire à Paris ; vu la
lettre
de M. le Minis- tre de l'intérieur, en date du
n a sou profit d'une partie des legs faits au dépar- tement : vn la
lettre
de M" Dnlornu·, notaire à Paris, ea date du 7 déc
eur de l'Institution des enfants arriérés deGentilly (Seine), vu la
lettre
en date du 30 juin 1886, par laquelle le Ministre
ées par des religieuses. Les bâtiments désignés sur le plan par les
lettres
G, E, II, J, K, L, M, ont été élevés par M. 13a
n n° 1). IV. Le dossier qui nous a été adressé renferme, outre la
lettre
d'envoi, une note de la Direction des affaires
get de la Fondation. Je vous prie de m'accuser réception de cette
lettre
. Recevez monsieur le Directeur, l'assurance de
s sui- vant : z LXXXVin Fondation Vallée. ' Le Conseil, - Vu la
lettre
par laquelle M. le Préfet de la Seine fait savo
il marchait facilement. Sa mère essaya en vain de lui apprendre ses
lettres
. A sept ans, il fut mis à l'école, où il resta
ent, il leur en était reconnaissant. Il est parvenu à apprendre ses
lettres
, et à les écrire, mais il faut les lui montrer
sion. A son arri- vée en septembre 1885, il connaissait à peine ses
lettres
, et commençait à les écrire, ainsi que les chif
tait en voie de progrès. » Il était arrivé à reconnaître quelques
lettres
de l'alphabet, les chiffres et les couleurs. Il a
oré. En une année on était parvenu à lui faire reconnaitre quelques
lettres
de l'alphabet, les chiffres et les couleurs. Il
il tombait et se relevait aussitôt. En septembre 1885, il reçut sa
lettre
d'admission à Bicêtre et vint à l'hospice. - 10
se vêtir; commence à se servir d'une fourchette, connait toutesles
lettres
, parle assez bien. lia pris le ICI' décembre sa
des objets usuels. Ne sait encore que faire des bâtons, ou quelques
lettres
imparfaites. Caractère affec- tueux. Pas de tic
les chiffres, les nombres, les figures géométriques. Il trace de
lettres
en gros caractères, commence àsyllaher; il ne sai
que, il travaille passablement. Quelques pro- grès en écriture. Les
lettres
sont moins grosses et un peu mieux formées. (PL
école. Février. Jan. copie d'après les caractères manuscrits; ses
lettres
sont mieux formées. La lecture ne progresse pas i
moins batailleur. Novembres Arn.... commence <1 reconnaître les
lettres
, les chiffres, les couleurs. Il fait des « s »
ote quelques progrès en écri- lit ? -e; Arn... reconnaît toutes les
lettres
mais seulement quand on les lui présente dans l
rsque l'orthographe en est difficile, il attend qu'on lui dicte les
lettres
. Mar... sait lire. On s'en est aperçu non à ce
ie et issue de l'air par le nez, altération de la prononciation des
lettres
. Les labiales sont prononcées distinctement.
parole chez nos élèves est souvent défec-tueuse, on leur apprend les
lettres
, puis les chiffres avant même qu'elles sachent sy
âtonnets qu'il y a d'unités clans le nombre inscrit en chiffres et en
lettres
sur chaque casier. Au-dessus cle ce casier se tro
orées sur fond noir, images blanches sur fond noir) à apprendre les
lettres
, grandes lettres noires sur fond blanc, puis lett
noir, images blanches sur fond noir) à apprendre les lettres, grandes
lettres
noires sur fond blanc, puis lettres plus petites
à apprendre les lettres, grandes lettres noires sur fond blanc, puis
lettres
plus petites (attention et début de la connais-sa
puis lettres plus petites (attention et début de la connais-sance des
lettres
) ; 2° pour Véducation de laparole, syl-labes simp
elles sachent à peine syllaber, d'au-tres même ne connaissent pas les
lettres
. Maladies infectieuses : 9 dont 2 coqueluches s
le parle bien. Elle prend goût à la classe, elle sait assembler les
lettres
et lit quelques syllabes; elle commence à écrir
fréquenté l'école primaire mais sans profit, connaissait à peine les
lettres
et traçait quelques bâtons sur l'ardoise. Elle ét
se, son attention s'est éveillée, elle n'a pas tardé à con-naître les
lettres
et les chiffres, elle est parvenue à lire pres-qu
04, son savoir était nul pour la classe, elle connaissait à peine ses
lettres
, ne faisait que des bâtons. Le caractère était ma
icu, pour Mon-sieur ; elle a beaucoup de difficulté pour prononcer la
lettre
r ainsi, par exemple, elle dit : bonjou pour bonj
e céruse Peintres en bâtiments.... 54 — décorateurs..... 5 — en
lettres
....... 1 — en voitures..... 3 — en wagon.....
la figure, pour les détails de laquelle ont été employées les mêmes
lettres
de renvoi, suffira LA CORNE D'AMMON. - 15 à l
e de la corne d'Ammon d'un singe cynocé- phale (Grossiss. 12 fois).
Lettres
comme pour la figure 2. Fig. 4. Idem chez un si
la figure 2. Fig. 4. Idem chez un singe cébien (Grossiss. 6 fois).
Lettres
LA CORNE D'AMMON. 35 comme précédemment; de p
. planche fll, Fig.7. - Rat; coupe horizontale; grossiss. 8 fois;
lettres
comme ci- dessus. Fig. 8. Rat; coupe vertical
corps bordant. Fig. 10. Taupe; coupe horizontale, grossiss. 7 fois.
Lettres
comme ci-dessus. Fig. 1t.-Chauve-souris; coup
sus. Fig. 1t.-Chauve-souris; coupe horizontale. Grossiss., 16 fois.
Lettres
comme ci-dessus. planche ZV. Développement
exus choroïdes. Fig. 13. Même coupe, mouton long de 21 millimètres.
Lettres
comme ci-dessus, de plus F, fente de Monro. 1
tale de l'encéphale d'un embryon de lapin, long de 17 millimètres ;
lettres
comme ci-dessus; A", lieu de la forma- tion de
Ammon. Fig. 16. Lapin presque à terme, et Figure 17, lapin à terme.
Lettres
comme dans les figures de la Planche 111. (Comp
u d'intelligence de la malade, qui ne sait pas reconnaître même les
lettres
, il est difficile d'ap- 164 CLINIQUE NERVEUSE.
s, des querelles, des brouilles, à créer des embarras, à écrire des
lettres
anonymes pour semer la dis- corde, à simuler de
s familles qui cessent de se fréquenter parce qu'elles ont reçu des
lettres
anonymes. C'est que dans ce pays, il y a souven
t des histoires de tout le monde et qui est entrée dans la voie des
lettres
anonymes, éprouvant un certain plaisiràsemer pa
et jésuite dispa- raissent. Ne recevant pas de réponse, elle écrit
lettres
sur lettres, donne son adresse, on fait des rec
spa- raissent. Ne recevant pas de réponse, elle écrit lettres sur
lettres
, donne son adresse, on fait des recherches en Fra
ent pas. E. ClIAPENTIER. 358 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XIII.
LETTRE
médicale sur GHEEL ET LE patronage familial , a
terminaisons heureuses sera de 83 p. 100. L'auteur termine ainsi sa
lettre
: « Notre colonie peut mon- trer les bienfaits
ui se soldent chaque année par un boni considérable. » E. C. XIV.
LETTRE
médicale SUR GHEEL ET LE patronage familial, ad
and;par le DIJ.-A. PFETERS, médecin inspecteur à Gheel. La première
lettre
insérée dans le numéro des Bulletins, année 188
nolcy), qui vient de mourir. Le docteurPeeters, dans cette deuxième
lettre
, insiste ' revue de pathologie mentale. 359 s
Gcullal (iwersion du sens), par Chiircot et Magnan, 53. "Gheel (
lettres
sur), 358. Hallucinations (et terreurs noc- t
lutue,, 376. l'.u.uny'olclunu, multillu; v3S, Patronage familial (
lettres
sur le), 358. Pédoncule cérébral (structure d
e la corne d'Ammon d'un singe cynocé- pltale (Grossiss. 12 fois). -
Lettres
comme pour la figure 2. Fig. 4. Idem chez un si
1 PLANCHE III Fey.7. - Rat; coupe lioricontale; roc51se. 8 fois;
lettres
comme ci- dessus. Fig. S. Rat; coupe vertical
, coips bordant. Fig. 10. Taupe; cmpe horizontale, rssiss.7 7 fois.
Lettres
comme ci-dessus. 11 1 1 . Cliaiive-souiis; co
ci-dessus. 11 1 1 . Cliaiive-souiis; coupe horizontale. 16 fois.
Lettres
comme ci-dessus. 392 EXPLICATION DES PLANCHES
xus choioides. Fig 13. - Même coupe, mouton long de SI millimètres.
Lettres
comme ci-dessus, de plus F, fente de Monro. I
utale de l'encéphale d'un emlnyon de lapin, long du 17 millimètres;
lettres
comme ci-dessus, A', licti de la forma- tion de
non. Fig. 16. - Lapin presque à terme, et figure 17, lapin a terme.
Lettres
comme dans les figures de la Plaxuic 111. (Comp
de Villejuif; CRUISE (de Dublin); L. DAURIAC, prof, à la Faculté des
lettres
de Montpellier; GUIMBEAU; W. DEKHTEREFF (de St-Pé
pour titre : les femmes à barbe dans la religion. (4) Champollion :
Lettres
écrites d'Egypte, 2- édition, p. 293-298. (5) R
r Hœ-berlin, de l'Ile de Fuhr (Allemagne). Il fait part de nombreuses
lettres
d'excuses venues de toutes parts t*t dont les aut
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de MM. les D" Van Renterghem (d'Amsterdam;, Raffe
festent. Les uns vont tracer sur le papier des jambages informes, des
lettres
, des mots. Puis sur l'injonction qu'il faut avoir
t et les séances sont de plus en plus suivies. II donne lecture des
lettres
d'excuses de M. le D' Huchard, membre de l'Académ
Lionel Dauriac, vice-président, professeur honoraire à la Faculté des
lettres
de Montpellier, prononce dans un éloquent discour
os correspondants de nous en faire une description détaillée dans une
lettre
particulière. Nous désirons connaître le prénom
a psychologie au congrès belge de neurologie et de psychiatrie. — Une
lettre
ouverte du Dr Huchard aux membres du Parlement. —
par XI. Glorieux, président du congrès. M. le Dr Huchard. dans une
lettre
ouverte aux membres du parlement et publiée par l
d'Erloy les dîmes qu'ils tenaient de son fief d'Attichy, approuva par
lettres
de 1231 et 1233 les legs que son père avait faits
aire d'Alto: - . Lionel Dauriac, professeur honoraire des facultés de
lettres
, Pierre Dubois, docteur en droit. L'enseignemen
politiques, par l'éclat de sa civilisation, par le développement des
lettres
, des sciences et des arts peut être considérée co
haute voix, tel texte latin ou grec du programme de l'Agrégation des
Lettres
. Il le prépare à l'avance ; il en possède le sens
musical, par M. Lionel Dauriac, professeur honoraire des Facultés des
lettres
. Vendredi 2 février, sous la présidence de M. l
ers, il a accepté d'être membre de notre comité de patronage. Dans la
lettre
qu'il m'adresse pour expliquer son absence, M. le
des maîtres capables d'enseigner la crainte de Dieu comme les belles
Lettres
¦¦(¦). un petit séminaire dont il recrutait lui-m
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
d'excuses de M. le Dr Jules Voisin, président; de
M. le Dr Paul Magnin, vice-président; de M. le Dr Lux, ainsi que des
lettres
de MM. les DM Herm. Thorsen (de Trôndhjem, Norwèg
aux, M. Paul Mounet, de la Comédie française, M. Jules Bois, homme de
lettres
, M- le Dp Le Menant des Chesnais, secrétaire géné
Dès l'ouverture de la séance, M. le Secrétaire donne lecture de la
lettre
suivante qu'il vient de recevoir de M. le pro
re personne. Agréez, etc. Marcelin Berthelot. La lecture de cette
lettre
fut accueillie par de très vifs applaudissements.
ire du comité communique ensuite à l'assemblée les télégrammes et les
lettres
d'excuses arrivés au comité, de tous les points d
. L'espace dont nous disposons ne nous permet que de mentionner les
lettres
d'excuses adressées par M. le professeur Raymond,
laz, sous-chef de son cabinet. Vous venez d'entendre la lecture de la
lettre
de M. Berthelot. Les termes élevés par lesquels c
er en psychothérapie, il reprit sa vaillante plume et nous adressa la
lettre
suivante que l'on peut considérer comme l'express
e les inventeurs et que les hommes d'initiative. Si l'on prend à la
lettre
la définition de M. Lépine, le Dr Liébeault a été
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
de Mil. les D" Barbier (de Paris), Orlitzky (de M
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend les
lettres
de MM. les D" Jules Voisin, Habn (de Paris), Wïtr
donne lecture de la correspondance qui comprend, en particulier, une
lettre
de M. le D' de Torrès (de Luchon). Les communic
La psychologie des jeux de), par Hermann Laurent, p. 22. Huchard (
Lettre
ouverte aux membres du Parlement), p. 132. Hype
: Date : Heure : I. Alphabet : a, v, g, 1, f, n, z. II. Série de
lettres
: a-s-p-c-t-r. 111. Série de chiffres : 7-3-9-5
de balbutier quelques paroles : «attends, va voir. » Place quelques
lettres
et quelques chiffres, mais ne les dis- tingue p
mais avec difficulté. Articulation très défectueuse. Il connaît les
lettres
, les chiffres, les couleurs. Exécute bien tous
toute erreur, nous prions également nos abonnés dejoiiîdi,c à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations
livns. Ow, os wormiens. - l, plan du rocher. La ligne indiquée sans
lettre
, entre le plan orbitaire (H, H) et le plan du r
role ; il assemble quelques mots, distingue les couleurs, place les
lettres
et les chiffres. 1896. Cet enfant est parvenu à
ne fréquemment la nuit dans son lit. Il distingue les couleurs, les
lettres
et les chif- fres qu'il place dans les tableaux
scolaires sensibles ; commence à syllaber et à for- mer toutes les
lettres
et les chiffres, à établir une relation entre le
ha- bille seul, mais ne sait pas encore nouer. 1900. Il place les
lettres
, les chiffres et les couleurs, commence à trace
l s'intéresse à la lecture de nos mots imprimés, connaît toutes les
lettres
et les chiffres; établit une relation entre le
u turbulente, on constate de réels progrès ; elle assemble bien les
lettres
. Elle écrit, son écriture est lisible et assez
grammaire, peut même suivre une petite dictée, écrit elle-même une
lettre
et connaît les deux premières opérations de l'ari
lui semble drôle, il rit aux éclats. En classe, il place bien les
lettres
et les chiffres, reconnaît quel- ques lettres :
se, il place bien les lettres et les chiffres, reconnaît quel- ques
lettres
: exemple : a, e, i, o, u ; pour l'écriture, il e
: a, e, i, o, u ; pour l'écriture, il est parvenu à former quelques
lettres
. A la gymnastique des échelles et des ressorts,
semble que ce garçon ait la pré- tention constante de remplacer les
lettres
usuelles par des carac- tères graphiques étrang
énie à découvrir des modifications tou- lours nouvelles ; de là les
lettres
et les paraphes abracadabrants. Mais il n'y réu
iode congestive qui précède l'écoulement, impossibilité défaire une
lettre
, un calcul, attention impossible à fixer, sensa
écrit ains naturalistes, ils méritent d'être dénommés cliniciens es
lettres
. XXLEfude critique sur letic convulsif et son t
devons à la vérité de constater que dans ses récits comme dans les
lettres
qu'elle écrit aux magistrats et aux experts, el
été victimes d'une mystification. En même temps il écrit au duc des
lettres
injurieuses et le menace d'incendier son hôtel.
tale, après avoir causé un scandale avec des détenus et adressé des
lettres
injurieuses au Directeur des Services pénitentiai
son innocence malgré l'évidence des faits. Tandis que sa mère écrit
lettres
sur lettres au juge d'Instruction pour déclarer
e malgré l'évidence des faits. Tandis que sa mère écrit lettres sur
lettres
au juge d'Instruction pour déclarer qu'il ne jo
? neveu d'un ancien minis- tre de la Justice. Il termine une de ses
lettres
par cette phrase : « Pitié pour un malade, la p
n malade, la paralysie me monte de jour en jour au cerveau et cette
lettre
sera peut-être la dernière que vous rece- vrez.
rsécuteur. Plus on l'éconduit, moins il se rebute et il adresse des
lettres
diffama- toires au Ministre de l'Intérieur, au
famatoires (décembre 1900). A la fin de janvier 1901 il s'offre par
lettre
à donner au Parquet de Chartres des renseigneme
aîner sa colère. Quelques jours après il adresse au commissaire une
lettre
ouverte contenant un pli dans lequel il le trai
u Commissariat central. Au cours de ses explications, il montra une
lettre
signée : Trarieux, dans la- quelle ce sénateur
onnaî- tre qu'il n'avait jamais occupé ces différents postes, et la
lettre
fut saisie parle Commissaire central. Il n'en f
1902, à un mois de prison. Il fait opposition à ce jugement par une
lettre
in- cohérente adressée de Blois à M. le procure
gence. Enfin, depuis sa détention, il ne cesse de m'adresser des
lettres
dans lesquelles il se propose de me dicter les
formules enfantines; l'écriture, transformée, re- produit dans ses
lettres
gauches et inexpérimentées, dans des des- sins
une grande confiance en M. W. les malades suivent ses conseils à la
lettre
. Au bout de deux ou trois semaines, les malades
belges de leur accueil tout à fait confraternel 1. BOUIt\E1'ILLE.
Lettre
d'Anvers. Monsieur le Rédacteur en chef, L'ex
commencement du mois, de semi-lucidité, peut écrire à son père une
lettre
affectueuse, assez raisonnable, dans laquelle on
cela d'une façon saccadée. Les facultés sont bien conservées : une
lettre
d'elle à la surveil- lante en chef le prouve. L
rais vous demander un petit service. Pre- nez-moi donc cette petite
lettre
, je suis satisfait de vous voir... » , * 493 CL
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations
rte de des processus de cicatrisation chez une hystérique, 370.
Lettre
d'Anveis, de Laignel-Lavas- une, 381. Lipome.
la verge de l'homme. Elle s'empare d'un mot, d'une syllabe ou d'une
lettre
d'un mot, pour composer un des mots qui lui son
ainsi le nombre cinq lui est fort désagréable parce que la première
lettre
C la pousse, dit-elle, à former le mot cul et l
la première lettre C la pousse, dit-elle, à former le mot cul et la
lettre
Q, le mot queue. Aussi lorsqu'elle voit devant
inte au Grand-Orient, puis il a DE l'onomatomanie. 13 adressé dos
lettres
au Préfet de police, au Procureur de la Répu- b
e facilement. » Ainsi la lecture seule d'un passage triste dans une
lettre
ou dans un journal le fait pleurer, et cela bie
avoir lu correctement quelques mots, il continue à reconnaître les
lettres
composantes, mais sans pouvoir les associer en
avec le nerf optique, qui comprend : a, un centre de perception des
lettres
; b, un centre de perception des images des mot
des images des mots écrits. B. D'un second centre d'association des
lettres
en rapport avec Aa, Ab. C. D'un centre total
a capacité de lire les mots avec impossibilité de recon- naître les
lettres
implique l'existence d'un second centre Aa dans
tres Aa, A6, est auto- nome, indépendante. De même, reconnaître les
lettres
et les associer en un mot, sont deux fonctions
indique les espèces morbides suivantes : 1° Perte de la valeur des
lettres
non reconnues quoique vues (sorte de cécité psy
partielle quand A6 est supprimé. 2° Impossibilité d'associer les
lettres
, d'ailleurs reconnues, en un mot; c'est la dysl
; mais si BDE + DC sont conservées la lecture est possible. 4° Les
lettres
sont reconnues, le syllabage est possible, mais l
l y a lieu de placer le centre A des images écrites des mots et des
lettres
dans le lobe occipital, le centre B d'association
t des lettres dans le lobe occipital, le centre B d'association des
lettres
quelque part dans le centre de la parole ; la tum
risation au Par- quet. Le Procureur de la République, dont j'ai une
lettre
serait aussi très heureux d'avoir l'avis de la
nd à lire en unis- sant à des mots déjà connus, représentés par des
lettres
, des lettres que l'on vient d'apprendre. La par
is- sant à des mots déjà connus, représentés par des lettres, des
lettres
que l'on vient d'apprendre. La parole écrite (le
tres que l'on vient d'apprendre. La parole écrite (le langage ' des
lettres
) dépend de l'intégrité des trois éléments qui con
la peine, par exemple le travail de la composition des mots par des
lettres
, i sont le plus tôt altérées. De là, par exempl
t, à son réveil, de demander à l'infirmière une feuille de papier à
lettre
. Elle dort réellement une heure et, quelque tem
, quelque temps après son réveil, « ne pourrais-je pas écrire une
lettre
», dit-elle. On lui demande pourquoi elle parle a
générale annuelle est annoncée huit jours au moins à l'avance. Les
lettres
de convocation, indiquant le jour, l'heure et l
depuis la veille de son ouverture jusqu'à sa clôture. Jusque-là les
lettres
et tous autres documents devront être adressés
n nombre d'an- ciennes malades de se perdre dans le monde. Dans une
lettre
à un contemporain, M. Charles Ford appelle l'at
on de Faust. Un autre malade ne pouvait pas voir une carte ou une
lettre
bordées de noir; la vue d'un enterrement le bou
lée devant une baraque de saltim- banques une inscription engrosses
lettres
« les crimes célèbres ». Elle sait bien, dit-el
end un mot compro- mettant, ou s'il aperçoit un enterrement, ou une
lettre
, une carte bordées de noir, il se débarrasse ra
TALE. rage l'exactitude de l'adresse qu'elle vient d'écrire sur une
lettre
, dès qu'elle l'a jetée à la boite, elle se reto
à certains mots une influence mauvaise; elle recommence souvent ses
lettres
par crainte de por- ter malheur, surtout si ell
e sens de l'écriture ou des symboles représentés, ou même à lire la
lettre
DES LOCALISATIONS CEREBRALES. 245 dans laquel
et clair, tandis qu'il comprendra très bien la portée de cette même
lettre
dont il entendra la lecture. Chez d'autres mala
Faut-il faire par- venir indistinctement à leur adresse toutes les
lettres
écrites par les malades ? Cela peut avoir des i
e qui concerne la correspondance des malades, on doit envoyer les
lettres
, à moins qu'elles ne soient insignifiantes, aux p
nv. 1892, p. 49.) Au commencement du mois d'août 1888, je reçus une
lettre
d'une dame demeurant dans la Californie, me dis
crocéphale imbécile, chez lequel la partie enlevée ressemblait à la
lettre
H, a eu de meilleurs résultats. L'en- fant vit,
vements saccadés des mains ne sont plus si bien marqués. Dans une
lettre
reçue récemment la mère écrit : « L'enfant s'est
iée de Laënnec comme professeur de clinique. L'auteur y publie deux
lettres
du savant médecin où il prouve combien il appré
t dans le vrai lorsqu'il affirme que les symptômes sont comme les
lettres
de l'alphabet; en les considérant isolément elles
fort jolies choses; qu'elle fasse un costume ou qu'elle écrive une
lettre
, elle déploie un réel talent, mais tout cela es
r scientifique digne de fixer l'attention. N° 2. — Prix des gens de
lettres
. — Un prix de mille francs, dont une médaille d'o
question suivante : « Des effets du tabac sur la santé des gens de
lettres
. De son Influence sur l'a-» venir de la littératu
pareil problème. Albert Colas. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Une
lettre
rectificative de M. le Dr Pozzi. C'est avec sur
riat. Sa main tremble tellement, en effet, qu'elle ne peut tracer des
lettres
. Le sommeil léthargique est obtenu en peu d'ins
messe et qu'après l'office de dimanche » prochain, elle m'écrira une
lettre
dans laquelle elle me remerciera des soins » que
... a écrit le lendemain de ma dernière visite le certificat dont les
lettres
et les mots sont parfaitement écrits et non tremb
avant ces derniers temps. Mme X... l'a écrit rapidement. Voici la
lettre
qu'elle m'a adressée dans la journée d'hier diman
oici la lettre qu'elle m'a adressée dans la journée d'hier dimanche :
lettre
dont les caractères ne sont nullement tremblés.
cipalement à sa mémoire et à son imagination que, dans les classes de
lettres
, on fait appel ; et vous savez combien, dans cert
ile. M. Forel fut très étonné de recevoir une semaine plus tard une
lettre
de sa femme, qui écrivait : « J'ai été bien effra
ts e; des fleurs ; on peut ajouter que les sciences y sont, comme les
lettres
et les arts, l'objet d'un culte assidu. Aussi bie
président désigné de la section pour l'année l887, s'etant excuse par
lettre
de ne pouvoir assister au Congrès, la section pro
le devant lui ; mais il trouve dans la poche de l'homme assassiné une
lettre
par laquelle Berthe lavait attiré chez elle, sous
exte d'une grande infortune à soulager. La jeune fille avoue que la
lettre
est bien de son écriture, sur son papier, marqué
nnaître et avoir caché ce portefeuille, comme elle nie avoir écrit la
lettre
. Mais les apparences parlent plus haut que ses dé
nt laissé surprendre, elle ne peut faire autrement ; mais elle nie la
lettre
et le vol qui établissent la préméditation et le
taque le mari répond en produisant, quelque jours après, un paquet de
lettres
écrites par sa femme, de billets de rendez-vous,
dicté à sa femme, pendant le sommeil hypnotique provoqué par lui, les
lettres
grâce auxquelles il prétend faire prononcer le di
l'hôtel où sa femme demeurait. La visite chez le comédien, comme les
lettres
infâmes, tout était dû aux suggestions hypnotique
eurtre à Berthe Mauclair, qui lui a dicté, tandis qu'elle dormait, la
lettre
par laquelle elle avait attiré la victime. Commen
ue : de l'endormir comme il a endormi Mme Chassin ; de lui dicter une
lettre
de rendez-vous à laquelle Louis Chassin se laisse
c'est la commisération générale. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Une
lettre
de M. le professeur Bourru au président de la Soc
t empressé d'adresser au président de la Société de thérapeutique une
lettre
dans laquelle il rectifie les faits inexactement
e fort de se tromper grossièrement. Je lisais l'autre jour dans une
lettre
de Darwin que ce qui. dans son opinion, faisait s
euses. M. Magnus, professeur à l'Université de Stockholm, d'après une
lettre
, ajoute Briquet, qu'il m'a écrite, dit que l'hyst
s hauts fonctionnaires, les jurisconsultes, les orateurs, les gens de
lettres
, sont particulièrement exposés à des troubles spa
la classe des femmes. On ne doit donc pas attribuer à la culture des
lettres
et des arts les effets des passions accessoires à
ion de l'hypnotisme n'avait pas encore été traitée jusqu'ici dans une
lettre
pastorale. C'est Mgr Sancha Hervas, évêque de Mad
Depuis, la cour de Rome elle-même, après avoir combattu dans diverses
lettres
encycliques les abus du magnétisme, a déclaré, da
ement scientifique général pour qu'il nous semble nécessaire, par des
lettres
pastorales, de l'encourager à persister dans sa t
7 fr. 50) L'Hypnotisme et la liberté des représentations publiques.
Lettres
à M. le professeur Thiriar, suivies de l'examen d
udence la suggestion dans ses rapports avec la), par Liégeois, 356.
Lettre
de M. Bourru au président de la Société de thérap
r scientifique digne de fixer l'attention. N° 2. — Prix des gens de
lettres
. — Un prix de mille francs, dont une médaille d'o
question suivante : « Des effets du tabac sur la santé des gens de
lettres
. De son Influence sur l'a-» venir de la littératu
pareil problème. Albert Colas. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Une
lettre
rectificative de M. le Dr Pozzi. C'est avec sur
riat. Sa main tremble tellement, en effet, qu'elle ne peut tracer des
lettres
. Le sommeil léthargique est obtenu en peu d'ins
messe et qu'après l'office de dimanche » prochain, elle m'écrira une
lettre
dans laquelle elle me remerciera des soins » que
... a écrit le lendemain de ma dernière visite le certificat dont les
lettres
et les mots sont parfaitement écrits et non tremb
avant ces derniers temps. Mme X... l'a écrit rapidement. Voici la
lettre
qu'elle m'a adressée dans la journée d'hier diman
oici la lettre qu'elle m'a adressée dans la journée d'hier dimanche :
lettre
dont les caractères ne sont nullement tremblés.
cipalement à sa mémoire et à son imagination que, dans les classes de
lettres
, on fait appel ; et vous savez combien, dans cert
ile. M. Forel fut très étonné de recevoir une semaine plus tard une
lettre
de sa femme, qui écrivait : « J'ai été bien effra
ts e; des fleurs ; on peut ajouter que les sciences y sont, comme les
lettres
et les arts, l'objet d'un culte assidu. Aussi bie
président désigné de la section pour l'année l887, s'etant excuse par
lettre
de ne pouvoir assister au Congrès, la section pro
le devant lui ; mais il trouve dans la poche de l'homme assassiné une
lettre
par laquelle Berthe lavait attiré chez elle, sous
exte d'une grande infortune à soulager. La jeune fille avoue que la
lettre
est bien de son écriture, sur son papier, marqué
nnaître et avoir caché ce portefeuille, comme elle nie avoir écrit la
lettre
. Mais les apparences parlent plus haut que ses dé
nt laissé surprendre, elle ne peut faire autrement ; mais elle nie la
lettre
et le vol qui établissent la préméditation et le
taque le mari répond en produisant, quelque jours après, un paquet de
lettres
écrites par sa femme, de billets de rendez-vous,
dicté à sa femme, pendant le sommeil hypnotique provoqué par lui, les
lettres
grâce auxquelles il prétend faire prononcer le di
l'hôtel où sa femme demeurait. La visite chez le comédien, comme les
lettres
infâmes, tout était dû aux suggestions hypnotique
eurtre à Berthe Mauclair, qui lui a dicté, tandis qu'elle dormait, la
lettre
par laquelle elle avait attiré la victime. Commen
ue : de l'endormir comme il a endormi Mme Chassin ; de lui dicter une
lettre
de rendez-vous à laquelle Louis Chassin se laisse
c'est la commisération générale. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Une
lettre
de M. le professeur Bourru au président de la Soc
t empressé d'adresser au président de la Société de thérapeutique une
lettre
dans laquelle il rectifie les faits inexactement
e fort de se tromper grossièrement. Je lisais l'autre jour dans une
lettre
de Darwin que ce qui. dans son opinion, faisait s
euses. M. Magnus, professeur à l'Université de Stockholm, d'après une
lettre
, ajoute Briquet, qu'il m'a écrite, dit que l'hyst
s hauts fonctionnaires, les jurisconsultes, les orateurs, les gens de
lettres
, sont particulièrement exposés à des troubles spa
la classe des femmes. On ne doit donc pas attribuer à la culture des
lettres
et des arts les effets des passions accessoires à
ion de l'hypnotisme n'avait pas encore été traitée jusqu'ici dans une
lettre
pastorale. C'est Mgr Sancha Hervas, évêque de Mad
Depuis, la cour de Rome elle-même, après avoir combattu dans diverses
lettres
encycliques les abus du magnétisme, a déclaré, da
ement scientifique général pour qu'il nous semble nécessaire, par des
lettres
pastorales, de l'encourager à persister dans sa t
7 fr. 50) L'Hypnotisme et la liberté des représentations publiques.
Lettres
à M. le professeur Thiriar, suivies de l'examen d
udence la suggestion dans ses rapports avec la), par Liégeois, 356.
Lettre
de M. Bourru au président de la Société de thérap
pour l'instant, que deux facultés : celle des sciences et celle des
lettres
., En réalité, elle comprend- aujourd'hui,cinq,d
papiers, des morceaux de par- chemin, des canevas où il y avait des
lettres
écrites, des cailloux, des noisettes, et que so
s trouvées dans les poches d'une des religieuses ; que les fameuses
lettres
écrites et trouvées dans les coquilles, étaient
er et de'retourner à Auxonne. Il demeuré d'ac- cord d'avoir reçu la
lettre
. Il dit qu'il préféroit la délivrance de cette
aire. Mais il est facile de juger qu'il prétendoit se servir de ces
lettres
pour faire croire qu'il avoit continué son voya
ignalons entre autres un exposé du Dl' Robertson d'Edimbourg et une
lettre
de 111m Alice Bennett, médecin-direc- trice de
avons reçu, de M. le Pr Mierziéjewshy, de Saint-Péters- bourg, une
lettre
dont nous extrayons les passages suivants : Mon
vants : Monsieur, Nous avons l'honneur de vous envoyer dans cette
lettre
229 rou- bles qui ont été souscrits par la Soci
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations
exorcistes choisis par le Parlement, en sorte qu'ils obtinrent des
lettres
de cachet adressées à l'évêque de Cha- lon-sur-
etta par la bouche un taffetas plié, dans lequel paroist escript en
lettre
rouge le nom de Marie, et quatre autre capitale
Elle peut enfin dire assez nettement quels dessins élémentaires, de
lettres
ou d'autres objets, on trace sur sa peau avec u
76 CLINIQUE NERVEUSE La malade peut me citer sans erreur toutes les
lettres
de l'al- phabet ; de même elle les reconnaît fa
er à former. Or si je lui dicte des mots qui contiennent une de ces
lettres
; comme : gira/e, jardin, lendemain, aujour- d«h
n, aujour- d«hui, eeL...,-elle les écrit sans tâtonner. Lorsque les
lettres
en question commencent un mut, elle hésite dava
de grammaire sont appliquées, mais on constate que des mots et des
lettres
sont oubliés ; ainsi elle écrira jtli ? z pour
souvenirs visuels. Lorsque je lui fais écrire les yeux fermés, des
lettres
ou des mots, elle éprouve une difficulté extrêm
mes ou incomplets; en outre elle est rarement capable de me dire la
lettre
qu'elle est en train de tracer au moment où je
nse majo- rité l'acceptait comme démontrée. Nous trouvons dans la
lettre
d'un Religieux Chartreux au Général de son Ordre,
dans la lettre d'un Religieux Chartreux au Général de son Ordre,
lettre
imprimée et portant la date du 12 juillet 1662, n
ainsi tout le poids du corps, en laquelle posture l'énergumènc 1
Lettre
d'un religieux chartreux au R. P. Général de son
nommés d'ofice, il . seroit procédé à la recognoissance de quelques
lettres
capi- tales en rouge sur un petit billet de pap
ue les prescriptions légales qu'elles ont provoquées ne restent pas
lettre
morte. Les seuls pays qui aient fait des lois s
ociétés de tempérance sans lesquelles les meilleures lois demeurent
lettre
morte. Ces sociétés n'agissent pas seulement co
peut y retourner actuellement, c'est vouloir stéri- liser avant la
lettre
l'oeuvre de progrès que doivent réaliser les as
es sur l'avis de deux docteurs, et signées d'eux. En même temps une
lettre
de - cachet était envoyée à l'Archevêque de Bes
rciser et d'appeler ceux qu'ils jugeraient nécessaires. Une seconde
lettre
était envoyée tant à l'hôtel de ville d'Auxonne
et écrivait, le 15 juin 1662, au chancelier en son hôtel à Paris la
lettre
probante à cet égard que voici ' : r « Monseign
oirs de l'intendant royal avec ceux du Parlement, obtint enfin, par
lettres
patentes du 3 août 1663, que M. Claude Bouchu f
a connivence et l'accord intime de M. Legoux et de soeur Buvée, par
lettres
patentes, du 16 octobre suivant, il intervint u
on des arrest ont toujours estes citées par les Parlements et les
lettres
expédiées aux grandes chancelleries leur en ont e
re de la partie de l'Université qui cor- respond à nos facultés des
lettres
et délivre les diplômes de docteur en philosoph
ec l'espacement des visites. L'espoir d'une prochaine visite et les
lettres
que les malades reçoivent de chez eux agissent-il
th, 15 septembre 1894. ci Mon cher rédacteur en chef, « Après les
lettres
documentées de M. le Dol Régnier au Progrès méd
l est impossible de dire qu'il existe un centre de coordination des
lettres
et une lésion de ce centre; la dyslexie n'est p
dyslexie n'est pas due à la lésion d'un centre de coordination des
lettres
. Deux observations dans lesquelles l'auteur voi
les dyslexiques; 6° la périodicité de l'intelligence des mots, des
lettres
et des nombres est a noter dans les espèces de
ituation faite aux assistants, situation qui ressort d'une série de
lettres
intéressantes émanant de médecins signant sous
n d'éviter toute erreur, nous prions également nos abonnés z « leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations
s avec des prostituées. Cette circonstance de même que les nombreuses
lettres
de mon amant me demandant toujours de renouer ave
n état antérieur, qui. du reste, ne me gênent plus guère. Je finis ma
lettre
en vous assurant que je suis devenu intérieuremen
chique qui me laisait défaut. » Pour juger la question, la dernière
lettre
du malade, contenant des détails sur son voyage d
cienne idole: elles font des dénonciations a la justice, écrivent des
lettres
anonymes, et finissent parfois par brouiller tout
ne cessait de porter du bleu pour Pennuyer et qu'on lui refusait une;
lettre
d'admission pout la maison de santé. Voilà bien
taire de la Société pour la recherches psycholoqiques nous adresse la
lettre
suivante que nous nous empressons d'insérer: Mo
lus agréable. Schylock médecin Un de nos lecteurs nous adresse la
lettre
suivante : Monsieur LE RÉDACTEUR, Dans un ent
ement que possible les fentes des portes et des fenêtres, écrivit une
lettre
dans laquelle elle reprochait à ses parents d'avo
rir un hommage en quelque sorte international, et nous envoyons cette
lettre
â tous ceux de nos confrères qui ont suivi la cli
x ajouter encore que le * lévrier 1890 un parent du malade me lut une
lettre
de sa mère qui confirme sa guérison absolue et co
La façon dont le sang circule. » On peut appliquer cette maxime a la
lettre
aux morphinomanes. H semble que sous l'influenc
gnant le tort que ses craintes, si elles eussent été prises trop à la
lettre
, eussent pu faire aux applications thérapeutiques
s procédés des hypnotisent s. A l'appui de cette opinion, il cite une
lettre
de M. Bernhciui. M. Batcman croit que le langage
à présent, on ne connaît, en France, qu'une très médiocre version des
Lettres
odigues-magnétiques, du même auteur, publiées en
avant d'accomplir ce suicide présumé. Elle avait eu soin d'écrire une
lettre
dans laquelle elle annonçait qu'elle allait se do
ieuses (consignées en partie dans mes ouvrages récents, notamment mes
lettres
à M. Thiriar) et je me suis rallié à la thèse de
entant les inculpés, les lésions du squelette de Gouffé et une longue
lettre
de Gabrielle Bompard. véritable régal pour les gr
à la Faculté de Médecine par M. Bertrand, professeur à la Faculté des
Lettres
. Elle avait pour sujet: « Un précurseur lyonnais
tin à leur incertitude, le rédacteur adressa au savant vieillard ont
lettre
dus laquelle il le priait de lui donner quelques
sée de la ville de Vienne. Mme Kyrtl vient d'écrire au rédacteur la
lettre
suivante, datée de Pcrchlolsdorf, où le savant de
en (V.). — L'Hypnotisme et la Conscience, (Bulletin Je la Faculté des
lettres
de Poitiers, juin 1890) ??rkworth (T.). — Perso
osophie pétiole. Dr ÉiiiLE Laurent. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE
Lettre
de M. Delbceuf au sujet de l'affaire des guérisse
beault. Nancy, le 17 Juin 1890 (signé) : Liégeois. » Voici enfin la
lettre
que M. Beraheim m'écrivait en date du 21 juin sui
moi un certificat.....C'est pourquoi je vous écris aujourd'hui celte
lettre
dont vous pouvez faire usage au besoin. » Ainsi
attaques de nerfs. Le général eut voulu étouffer l'affaire, mais les
lettres
anonymes, les menaces ne cessaient pas de pleuvoi
pnose, car M. Von Wini varier crut devoir rectifier mon récit dans la
lettre
suivante : - Liège, le 19 avril 1890. ¦ Cher
ns télépalhiques; 3a Sens musculaire. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE
Lettre
de M. le professeur Masoin au sujet des guérisseu
c éionnement dans la Revue de [Hypnotisme (livraison de mars 1891) la
lettre
dont M. Delbœuf vous a demandé l'insertion. Cet
s 1891) la lettre dont M. Delbœuf vous a demandé l'insertion. Cette
lettre
, rendue publique, renferme à mon avis, à coté d'i
ulté des Sciences, va continuer la série en ouvrant ft la Faculté des
Lettres
un cours de psycho-physiologie. Institut pstchi
des, son éducation, son caractère. M. Brouardel, si l'on prenait à la
lettre
ses déclarations, en arriverait donc à nier l'aut
Au milieu du banquet, après avoir communiqué les télégrammes et les
lettres
par lesquelles MM. les docteurs Cruise, de Dublin
a maison d'habitation. Les habitants de La maison, prévenus par une
lettre
de M. Voisin, assistèrent à la réalisation de cet
es. revue de l'hypnotisme SUGGESTIONS HYPNOTIQUES CRIMINELLES
Lettre
au docteur Liébeault Cher confrère et ami, Je
es lignes du même vieux livre pour montrer qu'en exposant, dans cette
lettre
, mon opinion sur l'imposante question débattue en
séance est lu et adopté. La correspondance manuscrite comprend une
lettre
de M. le Dr Paul Joirc, annonçant l'ouverture, à
de 300,000 francs faitaux époux Jouve. En somme, si l'on prend à la
lettre
le dernier considérant du jugement rendu par la 3
n individu. Il est aussi absolument utile d'avoir en mains soit les
lettres
du malade, soit ce qu'il écrit en dehors de ses l
ains soit les lettres du malade, soit ce qu'il écrit en dehors de ses
lettres
, quand ce dernier cas se présente. On ne saurait
., etc. M. le secrétaire général donne lecture d'un grand nombre de
lettres
d'excuses parmi lesquelles celles de MM. Persac,
minutes. J'apprends alors que cet énervement a été provoqué par deux
lettres
de son mari dont elle vivait séparée et qui l'obs
précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des
lettres
de MM. les Drs Schrenk-Notzing, de Munich; Rosenb
eux élèves de l'Ecole normale, et sur 17 candidats à l'agrégation des
lettres
, 5 élèves de l'Ecole normale. Congrès de la pro
bondage somnambulique. Ce papier tombé de ma poche, dit-il, est une
lettre
de recommandation pour le directeur d'un asile qu
arquant son allure bizarre et touchée de son infortune, lui donna une
lettre
de recommandation pour un de ses parents, directe
as celle qu'il avait dite à son hôtesse lorsque celle-ci lui remit la
lettre
qui l'a rendu à sa personnalité première sans l'i
religieux, d'être un athée, etc. Le professeur Kogevnikoff, dans une
lettre
publiée dans les Moscovskia Viede-mosti, déclare,
ptique (1) Par M. le Dr J. Mourly-Vold, Professeur à la Faculté des
lettres
de Christiania (Norvège) Mes études sur les rêv
ntacte ; il avait simplement perdu la mémoire visuelle. II voyait les
lettres
imprimées très nettement, mais il ne pouvait plus
Il y a six mois, il a recommencé à apprendre à lire, tout d'abord les
lettres
, et ensuite il s'est mis à épeler dans un petit l
availleurs... Vous serez bien reçu. » Et voilà comment, précédé d'une
lettre
d'introduction, je me présentai au domicile du Dr
la charge ; on s'adressa à de mes amis ; le père me lit parvenir des
lettres
de recommandation. De guerre lasse, je finis par
ur plus marqués. C'est le 3 novembre 1891 qu'il s'adressa à moi par
lettre
, se recommandant de M. l'avocat Bonjean de Vervie
une nouvelle jusqu'au 10 juillet de la même année, où il m'écrivit la
lettre
suivante : « J'aurais déjà dû vous écrire depuis
ier pu marcher en mettant seulement un doigt sur le bâton. » Dans une
lettre
du 10 mai 1892, il m'écrivait déjà la même chose:
sens des objets, il ne les exprime par des figures conventionnelles (
lettres
, motsj que bien plus tard. D'où trois centres :
Je connais l'image des objets qu'on me montre, mais ne puis lire les
lettres
. » Si 3 était intact et que le conducteur de 3 ve
ertain pour établir mon diagnostic, c'était sa correspondance. Or ces
lettres
, tant par la suite des idées que je pouvais y tro
précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend les
lettres
d'excuses de M. Boirac, vice-président, et de M.
précédente séance est lu ét adopté. La correspondance comprend des
lettres
de M. le D' Millée et de M. Coutaud, remerciant d
désirais soumettre à la Société. Elle appréciera. M. Bérillon. — La
lettre
que notre éminent confrère adresse â la Société d
séance de Décembre est lu et adopté. La correspondance comprend des
lettres
de M. Boirac, vice-président, et de M. le Df Heli
arrêtée par des phénomènes semblables : pendant quelques lignes les
lettres
étaient tracées avec régularité, puis des fourm
pation. Notre ma- lade n'avait de crampe que lorsqu'il écrivait des
lettres
, non des figures, au tableau noir ; ou lorsqu'i
ant le pouce et l'index. Lorsqu'on lui demandait de tracer quelques
lettres
, commençait correctement, mais au bout de quelque
aractères graphiques avaient un aspect'3 tout particulier : certaines
lettres
étaient informes ou réduites il de simples poin
ment les caractères appris, il cherchait à modifier constamment ses
lettres
de façon nouvelle; ne réussissant pas tou- jour
nt d'in- tensité ; la main devenait bientôt mal habile à tracer les
lettres
, se raidissait sur le porte-plume,puis les doig
nts synoviaux s'accusent dès que les doigts remuent pour tracer les
lettres
, et le malade localise la gène fonctionnelle au n
plume, les doigts se crispaient et la plume ne pouvaient tracer les
lettres
. Ainsi le trouble se localisait sur une fonction
agitée d'un léger tremble- ment se met à tracer irrégulièrement les
lettres
qui deviennent illisibles ; enfin le malade est
ent sont assez bien articulées ; mais dès que l'on fait répéter les
lettres
, l'articulation s'altère, la voix s'éteint, la pa
ait un acte de volonté ou seulement de l'attention pour écrire chaque
lettre
, épeler chaque mot, associer le geste à la paro
e ; 200 MACÉ DE LÉPINAY souvent les lignes sont irrégulières, les
lettres
petites, illisibles : le pa- pier est parsemé d
tout entier formant un bâton rigide, le malade trace avec peine des
lettres
irrégulières, de plus en plus mal formées, souv
recon- naître la succession des troubles; on voit d'abord quelques
lettres
bien tracées, puis, la main s'engourdissant, le
etissent et deviennent irréguliers; enfin, le spasme survenant, les
lettres
se défor- ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLE
crampe reparaît avec les mêmes caractères que jadis. Les premières
lettres
sont correctement tracées, puis la main devient
plume qui fait exécuter à la plume des échappées irrégulières ; les
lettres
se déforment de plus en plus, et le ma- lade es
'est un tremblement tout spécial de la main au moment de tracer les
lettres
; ce tremblement est oscillatoire, et « consiste
te réellement que lorsque M. A... prend la plume et veut tracer des
lettres
; alors la plume est agitée de mouvements alterna
t de tout le membre supérieur, et le malade peut à peine tracer une
lettre
ou deux. Mais, au bout de quelques minutes, M. R.
e même, ou du moins fort analogue à la machine à écrire, ou par des
lettres
tracées à la plume ; aussi l'on conçoit sans pe
s touches ; il en résultait une maladresse qui faisait imprimer une
lettre
pour une autre on pourrait dire : faire des fauss
de jouer de la ma- chine à écrire. Dans le télégraphe Morse, les
lettres
sont représentées par une réunion de points et
ble, lorsqu'en 1860 il s'aperçut qu'il avait de la peine à faire la
lettre
S qui se compose de 3 points ; même difficulté
ite pour l'I (2 points), l'U (2 points, 1 trait) ; cette der- nière
lettre
renversée (1 trait, 2 points) qui forme le D se f
cipitation, et comme dans un mouvement d'élan. Peu à peu les autres
lettres
subirent successivement le même sort. Il essaya
ripotages de Bourse, opérations commerciales, nouvelles politiques,
lettres
chilllées, langues an- glaise, française, itali
e, se déplace devant un cadran immobile sur lequel sont tracées les
lettres
de l'alpha- bet ; et la transmission consiste à
ssion consiste à mettre successivement ce levier en contact avec la
lettre
que l'on veut écrire ; la main n'exécute donc poi
e flexion qu'elle doit effectuer dans l'ap- pareil Morse, et chaque
lettre
ne nécessite qu'un mouvement de la main, au lie
voulait se mettre au tra- vail. Kodym (183) a vu un polisseur de
lettres
, qui uniquement pour l'exercice de-sa professio
cre ;... un bâton,... l'encre ;... etc. » Puis vient l'écriture des
lettres
, qui sera décomposée en plusieurs temps. Par ex
l'écriture. Lorsqu'on juge qu'il est arrivé à tracer facilement les
lettres
de la façon qui vient d'être dile, on diminue l
, et l'on fait exécuter, toujours sans commandement, d'abord chaque
lettre
en entier avant d'aller chercher de l'encre, pu
haque lettre en entier avant d'aller chercher de l'encre, puis deux
lettres
consécutive- ment, ensuite trois lettres, un mo
cher de l'encre, puis deux lettres consécutive- ment, ensuite trois
lettres
, un mot, deux mots et ainsi de suite. Le patien
ui faudra s'astreindre à une extrême lenteur, et « décomposer » les
lettres
qu'il ne peut plus former régu- lièrement. Il
Thomas (251) recommande à ses malades de s'exer- cer à calquer les
lettres
de l'alphabet : on passe ensuite à la copie des
ttres de l'alphabet : on passe ensuite à la copie des bàtons et des
lettres
sur un cahier d'écolier ; enfin les lettres sont
copie des bàtons et des lettres sur un cahier d'écolier ; enfin les
lettres
sont tra- cées lentement une à une, puis les mo
caractères, sera encore en état de tracer de grands cercles ou des
lettres
de grandes dimensions. Nous pouvons remarquer u
me dans l'écri4ure ordinaire, en ayant soin toutefois de tracer les
lettres
avec une certaine lenteur ; pendant ce temps la
atteint de crampe des écrivains doit avoir une écriture ronde. Ses
lettres
seront arrondies, sans angles, sans pointes aiguë
ue jour avec régularité, avec patience, avec méthode; peu à peu les
lettres
pourront être tracées plus vite, plus petites,
écrire, les caractères qu'il trace sont irréguliers, incertains ; des
lettres
ne sont pas achevées ; d'autres sont compliquée
, de la palhol. de Requin, Paris, 18G3. 4. Bautt. - Ein Beitrag zur
Lettre
vom Schreibkrampf. Zeit. f. ort. chier., Stutt-
indifférent pour sa famille il ne la fréquentait presque plus. Les
lettres
qu'il lui adressait étaient rédigées en quelque
E... Ce garçon est bachelier; il se prépare, dit-il, à la licence ès
lettres
et se destine à l'enseignement. Sa conduite est
iles dé- ployées porte un écusson dans lequel se trouve inscrite la
lettre
N. Le dessin est encadré de deux branches de la
r la région del- toïdienne gauche, un oiseau tient dans son bec une
lettre
cachetée. Au-dessous de l'ombilic, on lit : Rob
ive. - C'est Leroy. Le mot Pipe. - C'est Leroy. On lui montre les
lettres
de l'alphabet sur des cubes de bois. Qu'est-ce qu
ce pas des dains ? 40 HALIPRÉ Sont-ce des chiffres ? - Non. Des
lettres
? - Oui. Ou lui présente un Z. Ne peut le nomme
. écrivez-le. - Elle répète 67 ans, puis elle cherche à l'écrire en
lettres
. Ecrivez 1, 4, 12, 60. - Elle écrit correctemen
bien voir le mot mais, ne pou- vait le dire. On lui fait lire les
lettres
séparément en cachant les autres lettres. N ? -
dire. On lui fait lire les lettres séparément en cachant les autres
lettres
. N ? - C'est un C. 0 ? C'est ou. Le même mo
primés ou l'écriture cursive. Cependant elle reconnaissait quelques
lettres
et même quelques syllabes isolées (Cécité verba
re malade, assurément très 46 HALIPRÉ peu instruite, oubliait les
lettres
à mesure qu'elle les traçait et comme elle ne p
le les traçait et comme elle ne pouvait les reconnaître en tant que
lettres
, puisqu'elle était atteinte de cécité verbale,
t atteinte de cécité verbale, elle ne parvenait à écrire que 2 ou 3
lettres
de suite. Il faut toutefois faire une exception
e médecine. Tous ces documents étaient ignorés de hialgaigne. - Les
lettres
ornées, les figures et les planches ici reprodu
OVE la fistule, fut annobli par Louis XIV, il est spécifié dans ses
lettres
pa- tentes qu'il pourra continuer à être chirur
ques de la Vierge, de l'enfant et de l'adora- (1) LAMNEL-LAVAsTtNE,
Lettre
d'Anvers. Arch. de Neurologie, 1903, no 94. 118
on ne serait disposé à l'admettre au premier abord.Ecrit encore des
lettres
sensées bien que très simples. Joue mal aux car
est ainsi qu'en décembre 1898 K... écrivit encore à ses parents une
lettre
très enfantine c'est vrai, mais correcte et sensé
e professionnelle pendant qu'elles écrivent des chiffres et non des
lettres
, pendant qu'elles écrivent en présence d'une au
main, il se sent bien portant. Mais il lui suffit d'écrire quelques
lettres
et même quelques mots pour qu'il sente que ses
désordonnés, en traçant des véritables hiéroglyphes à la place des
lettres
. xvm 15 218 KOUINDJY Inquiet, le malheureux
inaire les flé- chisseurs contribuent beaucoup pour l'exécution des
lettres
, dans l'écriture avec la main renversée les ext
ividu atteint de la crampe professionnelle a son esprit éloigné des
lettres
qu'il écrit, son cerveau est ailleurs. Enfin, il
Un, l'encre, etc. Le bâton s'écrit, par conséquent en un temps. La
lettre
0 s'écrit en deux temps : (, l'encre- ).La lett
t en un temps. La lettre 0 s'écrit en deux temps : (, l'encre- ).La
lettre
p s'écrit en deux temps 1 l'encre o ; la lettre
: (, l'encre- ).La lettre p s'écrit en deux temps 1 l'encre o ; la
lettre
k s'écrit en trois temps : - l'encre l'encre ;
cre o ; la lettre k s'écrit en trois temps : - l'encre l'encre ; la
lettre
S s'écrit en deux temps : c l'encre o ; la lettre
ncre l'encre ; la lettre S s'écrit en deux temps : c l'encre o ; la
lettre
a s'écrit en deux temps : o l'encre -i ; la let
c l'encre o ; la lettre a s'écrit en deux temps : o l'encre -i ; la
lettre
R en trois temps - l'en- cre o l'encre f ; la l
'encre -i ; la lettre R en trois temps - l'en- cre o l'encre f ; la
lettre
A s'écrit en trois temps : 1 l'encre l'encre, (
tient arrive à exécuter facilement les diffé- 228 KOUINDJY rentes
lettres
de l'écriture, nous abrégeons les pauses et nous
uses et nous lui permettons d'écrire toujours sous commandement les
lettres
en entier, de ne chercher de l'encre qu'après a
ttres en entier, de ne chercher de l'encre qu'après avoir écrit une
lettre
, deux lettres, trois lettres, un mot, deux mots
er, de ne chercher de l'encre qu'après avoir écrit une lettre, deux
lettres
, trois lettres, un mot, deux mots et ainsi de s
her de l'encre qu'après avoir écrit une lettre, deux lettres, trois
lettres
, un mot, deux mots et ainsi de suite. Cette faç
encore très faible, on lui permet de se lever, elle veut écrire une
lettre
, et dès le commencement de cette lettre la main s
lever, elle veut écrire une lettre, et dès le commencement de cette
lettre
la main se met à trembler ; elle ne parvient à
ive le 1er janvier 1902. Soeur M. L.. reçoit plus d'une centaine de
lettres
auxquelles elle doit répondre. Elle est très pr
dans cette circonstance et dès lors se met à répondre à toutes ces
lettres
sans le moindre accident (elle écrit plus de qu
même succession des phénomènes qu'en janvier 1902 : grand nombre de
lettres
, désespoir de la ma- lade de ne pouvoir y répon
travagants, elle commence. Le plus souvent, c'est dès les premières
lettres
que les accidents apparaissent. L'on voit la mala
malade se remet à écrire. Cela se produit surtout pour l' certaines
lettres
, r. v. et pour les majuscules, surtout pour S. et
tout pour S. et 1. initiales de son nom, et toujours à la fin d'une
lettre
quand il s'agit de faire la liaison avec la sui
avec la suivante; d'autres fois elle ne peut pas faire terminer une
lettre
sur la même ligne que les précédentes. Elle en
r M. I... a vu sa main n trembler presque dès le commencement de la
lettre
qu'elle écrivait dans les circonstances que nou
e invocation à la Vierge ? Obligée de répondre à de très nombreuses
lettres
du nouvel an (plus d'une centaine), elle lui de-
sse de la main, cela pendant trois ou quatre semaines, et sitôt les
lettres
terminées, les secousses reparaissent immédiateme
ire. /'<'10. 5. |(jrane il de is. lieoUroy-a¡nl-lIUa¡re. Mêmes
lettres
que la figure*. PATHOGÉNIE DE LA PSEUDENCÉPHALI
nasonnée. L'articulation n'existe presque pas ; mais séparément les
lettres
sont bien prononcées. La parole est accompagn
al le 3 juin complètement guérie. En septembre, le père a écrit une
lettre
de remerciements. En décembre, nous avons vérifié
mptômes qu'avait présentés sa fille. Le diable avait dorénavant ses
lettres
d'introduction. Ce que devint l'épidémie, comme
raison des inimitiés qu'il s'était attirées dans le précédent. Une
lettre
le devança à Morzine; elle émanait du brigadier
'est une succession de miracles retentissants. Le saint remédie (1)
Lettre
de M. Martin Feuerstein, (2) Les Petits Bolland
ans ses bras, de le couvrir de son corps, ou bien de le prévenir, par
lettre
, que des soupçons s'élèvent contre lui, qu'il doi
a été bien établie par M. le professeur Lombroso, de Turin, dans une
lettre
adressée à M. le docteur Gilles de la Tourette. C
COPIN I La condamnation de l'hypnotisme contenue dans la récente
lettre
pastorale de l'évêque de Madrid-Alcala appelle na
otisme, M. le D* Guermonprez a reçu de M. le professeur A. Pitres, la
lettre
suivante qui vient corroborer d'une façon très pr
ait chercher. » C'est pourquoi je me permets de prier les hommes de
lettres
, les directeur» de grandes bibliothèques et les a
t supérieur de Montpellier, les membres de l'Académie des sciences et
lettres
, viennent de décider que dans l'hiver 1880-1890 o
nière, — j'étais en vacances et à la campagne. — on me consultait par
lettre
sur le cas dune dame, âgée de 57 ans, qui avait t
mi-crise; nous la retrouvons indiquée avec plus de précision dans une
lettre
que le docteur Fiiz Gibbon, médecin royal et agré
les questions mises au concours par l'Institut des sciences, arts et
lettres
du Milan, concours auquel les médecins italiens e
r plus amples renseignements à l'Institut royal lombard des sciences,
lettres
et arts à Milan. Nous constatons, à ce sujet, q
dogme de la trinité, par M. Courdaveaux, professeur à la Faculté des
lettres
de Douai. — Broch. in-8° 1888. El hipnotismo y
d'une façon aussi légère. Ne fût-ce que pour faire cesser la pluie de
lettres
qui s'est abattue depuis lors sur l'hôpital de Ro
de toutes les autres, car elle en est bien nettement séparée. LA
LETTRE
PASTORALE DE M6R L'ÉVÊQUE DE MADRID SUR L'HYPNOTI
initiés cependant aux mystère» de la physiologie. Dans celte belle
Lettre
où la clarté d'esprit et la charité 'évange-lique
és. Le document religieux le plus important du débat, c'est-à-dire la
lettre
encyclique adressée à tous les évêques par la Con
vêques par la Congrégation du Saint-Olrlce, en i856, est intitulé : «
Lettre
encyclique contre les abus du magnétisme », et, d
étisme est condamné. J'ai eu de la peine à concilier, dans la belle
lettre
de réminent évèque de Madrid, deux passages qui s
ce temps. Il me parait intéressant de joindre à mon observation une
lettre
que m'écrivait, le 1; juillet dernier, un élève d
ts de cette science pour tous les siècles. 11 i:« répondait pas à une
lettre
de sir Humphry Davy sur la physique et la chimie,
conscience de cette sensation perçue; il ne la conçoit pas; elle est
lettre
morte pour lui. Voilà ce qui constitue l'hallucin
ernes sur la matière. Dans ce premier cours, il a donné lecture d'une
lettre
que venait de lui écrire son éminent collègue de
t particulièrement logique (comme l'était celui que je désigne par la
lettre
B dans mes articles delà Revue Philosophique tire
uvement graphique à la main insensible, le sujet voit sur l'écran les
lettres
tracées. RECUEIL DE FAITS TROUBLES HYSTERIQ
, chaque Université complète comprend quatre Facultés: I* Faculté des
lettres
; 2' Faculté des sciences physico-mathématiques 'm
utre* toajt», M. .Nicot. le pharmacien-poète, bien connu des ami» des
lettre
», a la ua sonnet finement ciselé en l'honneur de
us les renseignements qu'il a recueillis avec le plus grand soin. Ces
lettres
sont empreintes de la plus vive sympathie pour no
remarquer, Messieurs, qu'il serait dangereux de prendre au pied de la
lettre
les termes de cette note ; en dépasserait certain
aborateur, M. le docteur Ladame, a été amené ù écrire à la Tribune la
lettre
suivante, qui résume si bien le débat : Genève,
ne sont connues en France que par une très mauvaise traduction de ses
Lettres
odiques. Devenus très rares, ses livres ont été
e psychologie physiologique, 286. Légende du soldat somnambule. 97.
Lettre
pastorale de Mgr l'évéque de Madrid sur l'hypnoti
de Villejuif; CRUISE (de Dublin); L. DAUR1AC, prof, à la Faculté des
lettres
de Montpellier; GUI M BE AU ; W. DEKHTEREFF (de S
t àleurs collègues de Paris. Leurs télégrammes et les termes de leurs
lettres
d'excuses témoignent de l'intérêt avec lequel ils
ppelé, à propos de la neuropathologie, qu'avec les mêmes vingt-quatre
lettres
on fait un nombre infini de mots différents. Et l
r Grasset (de Montpellier) sur l'Hypnotisme et la Suggestion ; 3° des
lettres
de MM. les D" Lemcsle et Yv'alcau qui s'excuscnl
et Yv'alcau qui s'excuscnl de ne pouvoir assister à la séance; 4° une
lettre
par laquelle M. le D' Ledrain, de Loué fSarthe),
sotte et mesquine, ce que Stéphane Mallarmé, dans une des admirables
lettres
qu'il m'a écrites, appelait : ? La vie! ou ce qu'
conséquent votre suggestion ne peut les atteindre, elle est pour eux
lettre
morte. » Je réponds brièvement. Il est faux que
énéral donne lecture de la correspondance manuscrite qui comprend des
lettres
d'excuses de MM. les D'« Lloyd Tuckey (de Londres
e confiance en M. Wetterstrand, les malades suivent ses conseils à la
lettre
. Au bout de deux ou trois semaines les malades
ne lecture de la correspondance; celle-ci comprend, entre autres, des
lettres
d'excuses de MM. les Professeurs Raymond et Déjcr
te catholique. Après quoi, il déposa sur le bureau de l'Assemblée ses
lettres
de prêtrise, son anneau et sa croix. Mais si Gobe
intres de valeur, des historiens, des poètes, de véritables hommes de
lettres
, enfin et — pourquoi non? — jusqu'à deux docteurs
qu'un des a sionnistes » est malade, il doit adresser au prophète une
lettre
demandant qu'on prie pour sa guérison. Dowie pren
ète une lettre demandant qu'on prie pour sa guérison. Dowie prend ces
lettres
et, avec des gestes rituels plus ou moins impress
al donne lecture de la correspondance qui comprend, entre autres, une
lettre
d'excuses de M. le Dr Doyen et une autre lettre d
nd, entre autres, une lettre d'excuses de M. le Dr Doyen et une autre
lettre
dans laquelle M. le Dr Swoboda (de Vienne) fait p
à la Société un livre de M. Victor Henry, professeur à la Faculté des
Lettres
de Paris : La M&gie dans l'Inde. Les commun
e constitue pour nous la plus haute des récompenses, nous a écrit une
lettre
dans laquelle il laisse espérer qu'il présidera l
lit; se met-il à rédiger une ordonnance, au bout de quelques mots les
lettres
chevauchent les unes sur les autres, des jambages
éance est lu et adopté. M. le Président communique à la Société une
lettre
par laquelle M. Jules Voisin s'excuse de ne pouvo
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des
lettres
d'excuses de MM. Fiessinger et Baguer, puis une l
comprend des lettres d'excuses de MM. Fiessinger et Baguer, puis une
lettre
dans laquelle M. le D' Bernard (de Cannes) relate
rétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend : une
lettre
par laquelle M. le Dr Le Menant des Chesnais s'ex
aliénés réputés criminels. M. Bêrillon communique à la Société une
lettre
autographe de James Braid écrite à son fils, étud
à son fils, étudiant à Edimbourg et datée du 12 mai 1844. Dans cette
lettre
, Braid interprète avec un remarquable esprit crit
Liébeault est profondément gravé sur le livre d'or de la science — en
lettres
Indélébiles. {Est républicain). Le lendemain,
composés, servent à l'incarnation de nos idées : Les chiffres — les
lettres
— les figures ou images. Les chiffres et les let
chiffres — les lettres— les figures ou images. Les chiffres et les
lettres
, dans les opérations intellectuelles, ont essenti
que nous l'avons rappelée maintes fois soit verbalement soit par
lettres
. Sachant, par une expérience pénible, combien p
colonie de Vaucluse, pour l'enseignement de leurs ca- marades, des
lettres
en bois, des solides, des tableaux divers, des
end aux enfants à se tenir debout, à marcher, et, à l'occasion, les
lettres
et les chiffres ; 2° à gauche et à droite, des
otes à la Salpêtrière. D'autres fois, et c'est ce qui ressort d'une
lettre
écrite par l'un des principaux fonctionnaires d
te par l'un des principaux fonctionnaires de l'Assistance publique,
lettre
LVIII CONDITIONS D'ADMISSION DES ENFANTS. que
amélioré depuis son entrée. A ce moment, il ne savait lire que les
lettres
, DES FAMILLES D'IDIOTS. 13 n'écrivait que mal
ucable. Au moment de son admission, il ne savait guère lire que les
lettres
et syllabait avec peine en bégayant beaucoup; i
ée dans le service, on constate que cet enfant ne sait que quelques
lettres
, qu'il ne sait pas écrire, qu'il prononce bien
it compter jusqu'à cinquante, avec des jetons; il connais- sait les
lettres
de l'alphabet, mais sans savoir les assembler; il
choses, et tous ceux qui l'entourent. Il commence à faire quelques
lettres
et à les assembler; il n'a que très peu de noti
e quelques mots, sait la numération, compte 2 par 2, trace quelques
lettres
. Il est complaisant et fait de petites corvées da
. parle très peu, prononce quelques mots (maman...), ne lit pas ses
lettres
; il est d'ailleurs presque impos- sible de fixe
Plus tard, le doute pathologique s'accrut; quand X... écrivait une
lettre
, il ne cessait de la relire de peur d'avoir commi
t pas laissé tomber; il se de- mandait s'il avait bien affranchi sa
lettre
; cela le préoccupait outre mesure; chaque fois
r toute erreur, nous prions également nos abonnés dejoind1'e à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations,
mains sont gourdes et tremblottantes, l'écriture malaisée avec des
lettres
et des mots oubliés. S... est considéré comme un
it pu commettre de tels actes. Il avait cependant écrit plu- sieurs
lettres
quelque temps avant la catastrophe, dans l'une il
réels et de divagations. Un élément précieux de diagnostic est une
lettre
qu'il écrivit du manicome. On y lit qu'il se se
ris à lire et à écrire, un à lire, un à épeler, 1 à reconnaître ses
lettres
. Les deux autres, qui avaient déjà des notions
mple chez les employés des postes, qui en soupesant sur la main les
lettres
peuvent distinguer des différences de poids, im
tites prome- nades dehors d'une durée d'une demi-heure. D'après les
lettres
que nous recevons de ce malade, qui habite la p
se qui parvient à sa fin après une série d'interruptions. Parmi les
lettres
, aucune n'a paru avoir d'action perturbatrice s
mais de répétition et de prononciation défectueuse des mots, et les
lettres
qui sont pour le bègue ordinaire l'objet d'une
n et maison de fous. Une société policée et barbare y enfermait sur
lettres
de cachet, par les ordres d'un prince ou la vol
bras à sa femme et en s'ap- puyant sur une canne. Dans sa dernière
lettre
(septembre 1895), sa femme nous écrit de Dieppe
nt une sorte de sifflement, d'où son surnom de le Siffleur. Par ses
lettres
on reconnait qu'il était crédule à l'excès, dép
, bégaiement de l'écriture (transposi- tion et oubli continuels des
lettres
en écrivant). 3° G..., vingt ans. Père alcooliq
, les prononçait aussitôt en présence d'un cartouche renfermant les
lettres
R. F. Le malade atteint de cécité verbale ne pe
es formes intenses que le malade perd la faculté de reconnaître les
lettres
. * La parole parlée est altérée, mais d'une faç
le; mais bien que le malade ne puisse spontanément écrire une seule
lettre
, il tracera le plus sou- vent son nom. Le senso
sous la dictée, et s'il copie il cherche péniblement à retracer les
lettres
comme s'il copiait un dessin. L'hémiopie homo
Mirallié a fait des expériences au moyen de cubes sur lesquels des
lettres
étaient dessinées. S'il existait un centre d'agra
permettant de coordonner les mouvements nécessaires pour tracer des
lettres
, les malades atteints d'agraphie pourraient forme
ormer des mots avec ces cubes, les mouvements destinés à tracer les
lettres
n'étant plus nécessaires. Or, chez tous les mal
E bienfaisance. Assistance DES enfants IDIOTS. Nous avons reçu la
lettre
suivante qui mérite d'attirer l'at- tention des
eûné au bas mot trente jours sur qua- rante. Elle nous écrivait des
lettres
où, comme dans les Faux- Bonshommes, il n'était
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations,
ne; le corps goûte aussi quelquefois des saveurs tièb douces 1. '
Lettres
spirituelles sur l'oraison. DES PSYCHOSES RELIG
ingénieur sur les mémoires qui lui en seront présentés et enfin une
lettre
de l'Administration municipale de Blois du 7 dudi
cats de la commune et une enquête. J'en trouve un cependant sur une
lettre
du Directeur du Jury de l'ar- rondissement de B
a preuve dans une délibé- ration prise après la communication d'une
lettre
de M. le préfet lui proposant d'établir la mais
u ~de bienfaisance le plan du nouvel hospice et en même temps une
lettre
d'avis avec l'affiche de l'adjudication des trava
ars, ils écrivent au préfet pour lui recommander la lecture de leur
lettre
du 14 avril 1825 contenant l'énumération des co
de pareilles conditions. « Le ministre de l'intérieur connaît votre
lettre
du 18 avril 1825, disait-il, ainsi que la délib
même, car à la date du 15 septembre ·1S ? G, nous avons trouvé une
lettre
du préfet informant le maire de Blois, qu'il y
toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre et leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations,
e, il est pris d'une raideur des doigts qui l'empêche de former les
lettres
. Plus particulièrement difficiles à tracer sont
i sont formées commc des u ; enfin les traits de liaison entre deux
lettres
, de sorte qu'il existe souvent plusieurs interr
au bout de quinze jours de traitement déjà, le malade m'écrivait la
lettre
sui- vante, qui permet d'apprécier l'améliorati
s plus de nouvelles, quand deux mois plus tard.je reçus une seconde
lettre
m'annonçant la guéri- Fig. 2. son presque com
nts ont été retrouvés les yeux bandés. La femme Faron a laissé deux
lettres
, pour sa mère et son mal i demandant pardon, di
lle qu'il est contraint de s'arrêter dans un café. Il écrit là deux
lettres
, mais avec peine, ému qu'il est par tout ce qui
écrivons chez lui et il répond à notre questionnaire par une longue
lettre
, datée de fin mai 190 ? . 11 n'a point quitté s
r- Médecin. (l)Nous les accordons depuis 1878. Nous publierons la
lettre
de M. Camescasse, préfet de police qui a consen
. gardien à l'asile d aliénés de Quatre-Mares (Seine-Inférieure).
Lettres
de félicitât ion. HtZEL\tRE, surveillant à l'asil
re et il l'épelle lentement, mettant quelques secondes entre chaque
lettre
, qu'il prononce d'une façon explosive; ensuite
le composent, puis l'image visuelle lui apparaît, il en compte les
lettres
, nous le lui faisons alors prononcer en l'in- v
st toujours difficile, le mot manus- crit maison est lu en 10 "; la
lettre
l est toujours pour lui un obstacle difficileme
e mot ancien dans un journal. Il met près d'une minute pour lire la
lettre
t, lit très vite u, moins vite s (10 "), é (20
vite s (10 "), é (20 "). Il met 45 " à chercher dans le journal la
lettre
a. Lç nombre manuscrit 3.450 est lu en 10 " le
avril. Il se plaint de lire moins bien qu'hier, il recon- naît les
lettres
, les épelle,et ne peut arriver à lire le mot. Il
mot imprimé citoyenne. Il prend le mot imprimé congrès, épelle les
lettres
, au bout de trois minutes, déchiffre la premièr
Vous pouvez fumer une cigarette, nécessite 65 " d'efforts, il a lu
lettre
par lettre, puis a cherché les syllabes. Il a c
z fumer une cigarette, nécessite 65 " d'efforts, il a lu lettre par
lettre
, puis a cherché les syllabes. Il a compris le s
si est-il fier des progrès qu'il a faits. Il devait au début lire
lettre
par lettre, puis syllabepar syllabe, depuis huit
fier des progrès qu'il a faits. Il devait au début lire lettre par
lettre
, puis syllabepar syllabe, depuis huit jours, il
ENTALE, secondes il savait bien nous dit-il, qu'il devait écrire la
lettre
mais il ne se souvenait plus de sa forme. Il éc
écrit sous notre dictée : Nous sommes aujourd'hui lundi. chaque
lettre
étant épelée, il a mis 8 minutes pour le faire;
lade a surtout beaucoup de peine à retrouver la manière d'écrire la
lettre
f. 12 avril. D ? met plus d'une minute pour écr
ent pour lui à retrouver les mouvements nécessaires pour former les
lettres
. 70 " lui sont nécessaires pour écrire sous dic
'ai cherché à le voir quelque part inscrit pour trouver la première
lettre
, je l'ai vu devant les yeux j'ai écrit Du puis
rit Du puis j'ai dû- fixer pour voir le b et regarder les dernières
lettres
. Pour son nom au contraire, il nous fait remarq
promu à la classe exceptionnelle du cadre. Distinction honorifique.
Lettre
de félicitations pour acte de courage et de dév
tituerait en même temps une violation certaine de l'esprit et de la
lettre
de la loi du 14 juil- let 1905 sur l'assistance
promu à la classe exceptionnelle du cadre. Distinction honorifique.
Lettre
de félicitations pour acte de courage et de dév
er toute erreur, nous prions également nos abonnésde joindre à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations
ni images phonétiques, ni conceptions représen- tatives imagées des
lettres
, il n'a cependant pas de la paragraphie. Par co
, le nom correspondant, la conception représentative des images des
lettres
, et les sensations des mouvements propres à l'é
Cenlratbl., XIII, 1894.) L'oeil de la malade reconnaît sûrement les
lettres
et les images des objets, sans pouvoir les nomm
paraphasie légère. Celle-ci ne porte généralement que sur quelques
lettres
ou syllabes, rarement sur des mots entiers. Elle
ns, tels que le toucher et. l'odorat. La malade reconnaît aussi les
lettres
imprimées mais n'en trouve pas le son; il en es
s imprimées mais n'en trouve pas le son; il en est de même pour les
lettres
et les mots écrits; elle ne les reconnaît pas d
toute erreur, nous prions également nos abonnés dejoiiîdi-e à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations,
essentirait un vif intérêt pour leur « soin ultérieur ». Dans une
lettre
du D'' Hack Tuke, écrite en mai 1879, se trouvent
Dans une communication reçue de lui, se trouvent les mots : « Votre
lettre
intitulée Soin ultérieur, m'a profondément inté
e célébra encore dans la rue Wimpole, le Dr Tuke était-présent. Une
lettre
antérieure émanant de lui, avait trait à un « p
travaux. Une question plus avancée se trouve dans une des dernières
lettres
du président. « Le temps n'est-il pas arrivé po
ler. B. Paris, le 21 juin 1810. Monsieur le Ministre, Par votre
lettre
du... ? vous m'avez ordonné de visiter rétablis-
avec leur représentation, et enfin avec leur nom. Il a discerné des
lettres
et il a connu son alphabet dans sa double expre
rnier, les cours de M. Séguin, elle n'avait jamais pu apprendre une
lettre
; en moins de trois mois elle a su l'alphabet el
varia. 269 depuis longtemps, mais n'osaient pas parler. C'est une
lettre
ano- nyme qui les signalés à la justice. Les
9, à l'Association française, M. ARNAUD DE la JASSE lui adressa une
lettre
dans laquelle il conseillait l'ingestion de la gl
n individu. Il est aussi absolument utile d'avoir en mains soit les
lettres
du malade, soit ce qu'il écrit en dehors de ses l
ns soit les lettres du malade, soit ce qu'il écrit en dehors de ses
lettres
, quand ce dernier cas se présente. On ne saurai
ente en outre une cécité verbale très accusée, sans cécité pour les
lettres
ni pour les objets et sans hémianopsie. Le cham
es propriétés du Var. Il adressait de là aux pères de la Grotte des
lettres
édifiantes : « Je n'ai plus qu'une chose en vue
et du goitre exophtalmique, il déclare s'en être bien trouvé (une
lettre
ultérieure de H.-W. Mackenzie combat d'ailleurs s
ambe du côté droit. Au bout d'un mois elle quitte l'hôpital, et une
lettre
de sa mère datée de six mois après l'accident l
s apprises à la pension. Ses parents prétendent qu'elle connaît ses
lettres
, mais nous constatons bientôt qu'elle n'en conn
s (système Pichery) et de l'échelle convexe; distingue toutes les
lettres
, lit sans épeler (d'après la méthode Regimbaud) l
ogrès continuent en lecture et en écriture; écrit a ses parents des
lettres
qu'elle sait lire; les spasmes persistent. Oc
s progrès réels : fait sur son canevas, d'après modèles, toutes les
lettres
de l'alphabet. Progrès en lecture et en écritur
lettres de l'alphabet. Progrès en lecture et en écriture, fait les
lettres
majuscules, compte sans se tromper jusqu'à cinq
l'écriture est meilleure, l'enfant lit couramment, fait seule des
lettres
à sa famille, l'orthographe est meilleure, elle f
érie et se décident à ramener chez eux (10 juillet). Octobre, - Une
lettre
à nous adressée par les parents de Marie- Louis
d'apprendre et de connaître l'orthographe, de rédiger elle-même des
lettres
pour ses parents. Marie-Louise devient, en un m
re souvent comme un équivalent de l'acte empêché dans l'envoi d'une
lettre
intempestive, sans but, sinon incohérente. , L'
'accord avec vous sur les moyens à employer; déjà en 1887, dans une
lettre
qu'il écrivait à Mgr Irelan, évêque de Saint-Pa
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations,
. Cet enfant qui n'avait aucune notion classique, ne connaissait ni
lettres
, ni chiffres, ne savait môme pas tenir un crayo
e pas tenir un crayon, commence à écrire, même à assembler quelques
lettres
, a et à compter. La mémoire et l'attention, qui
LE, Bicêtre, 1896. ? LXXXII ASSISTANCE DES ENFANTS IDIOTS. IL w
Lettre
DE 1\1. Carriot au sujet de la statistique DES
esser aux directeurs et aux directrices, il nous a demandé, par une
lettre
en date du 12 septembre, quelques renseignement
u 12 septembre, quelques renseignements com- plémentaires. Voici sa
Lettre
et notre Réponse. A M. le Dr l3oanw : wu.i.r, m
fectoral du 3 mars 187 ! ) l'assimila- tion doit être complète. Une
lettre
de M. Michel Moring, adressée à M. Bourneville
re. Paris, le 6 juillet 1888. Monsieur le Docteur, J'ai reçu la
lettre
que \1\f. les médecins du service des aliénés n
édecins du service des aliénés me rappellent, à celle occasion, une
lettre
adressée il M. le 1)'" Hourne- ville par l'un d
e suivante, les médecins aliénistes ont adressé à M. P¡';Y1\ON la
lettre
cle rappel suivante : Paris, le 25 mai 1889.
journée à traîner sur les bancs dans la cour. Il ne connaît pas ses
lettres
, ni ses chiffres, n'a rien appris en gymnastiqu
89 Entré à l'école le 20 octobre 1879, D.... ne connaît pas les
lettres
ni tracer aucun caractère d'écriture. Il addition
nfant. 21 septembre. - Le maître obtient de lui faire répéter les
lettres
et d'en tracer pendant S à 10 minutes. - D... est
e attention ; elle ne sait pas lire et peut à peine épeler quelques
lettres
. Elle sait former ses lettres, connaît ses chif
lire et peut à peine épeler quelques lettres. Elle sait former ses
lettres
, connaît ses chiffres et peut compter jnsqu'à 1
illicile. Il bave fréquemment. On était parvenu à lui apprendre ses
lettres
, il les a oubliés. La mémoire diminue. Hydrothé
18UIi) , 230 Imbécillité ET paraplégie spasmodique. apprendre ses
lettres
, ni à compter. Il sait bien s'habiller et se dé
est assez propre dans sa tenue. Il ne connaît pas encore toutes ses
lettres
, ne trace que des bâ- tons, place bien les cart
gie spasmodique. Aucun progrès pour l'écriture, la connaissance des
lettres
, des chiffres. Il sait le nom du jour et non du
ées pour les projections. Le matériel s'est augmenté de tableaux de
lettres
majuscules et minuscules placées les unes au-de
e adulte à la division des épileptiques; impressions de feuilles de
lettres
, chiffres arabes, chiffres romains (les impairs
Vallée, d'un pavillon destiné à recevoir cent enfants et, ajoute la
lettre
de M. Le Roux, directeur des affaires départeme
is le 13 mars 1879 (14 ans). A l'entrée (août 1886). Il connaît ses
lettres
; trace des lettres et des chiffres, mais d'une
(14 ans). A l'entrée (août 1886). Il connaît ses lettres; trace des
lettres
et des chiffres, mais d'une façon très irréguli
ans). Entré en 1879. , 1882. Amélioration de la parole. Connaît ses
lettres
, sait compter jusqu'à 10, aide à nettoyer et à
es diverses parties du corps, les animaux et les couleurs, fait des
lettres
, des chiffres, écrit des mots, etc. Envoyé à l'
9 (13 ans 1/2). A l'entrée (octobre 1884) : il ne connaît pas les
lettres
, ne sait pas écrire, compte jusqu'à 10, commenc
e personnel, casse les carreaux, s'évade, etc. Il ne connaît aucune
lettre
, commence à tracer des bâtons compte jusqu'à 20
e, ne se sert que de . la cuillère pour manger ; ne connaît pas ses
lettres
, ne sait . pas compter. v ' Perri... (Joseph)
, appris les exercices de la petite gymnastique; connait toutes ses
lettres
, amélioration de la parole, zézaie- ,ment', sai
llère, de la fourchette et même du couteau. - 11 connaît toutes ses
lettres
et commence à syllaber. Il devient plus attenti
e. Il écrit plus vite que lors- qu'il est entré, et forme mieux ses
lettres
. - Il sait faire les additions. Il n'a aucune m
et le violet. Intelligence : Loo. parle librement ; il connaît ses
lettres
, écrit lisiblement : sait tracer les chiffres,
e graisse qu'elle lui fait manger au parloir. Dans les nombreuses
lettres
qu'elle nous a écrites, elle revient constamment
la fourchette, ne se montre pas trop gourmand. Il connaît quelques
lettres
, est toujours gâteux. Pas d'onanisme. Il est af
jours de même et a les mômes tendanccs de gau- cher. Il connaît les
lettres
et les couleurs... Son attention est toujours n
erge devant une fem- me. Mis en cellule, il envoie, le 11 juin, une
lettre
au méde- cin lui demandant de le pardonner. Dan
, une lettre au méde- cin lui demandant de le pardonner. Dans cette
lettre
, le repen- tir paraît nettement tenir à ce qu'i
environ au bout d'une heure : les images men- tales des mots et des
lettres
reviennent. Pour s'en assurer, M. H... prononce
ai 1899). Signalons que le Temps met les noms des malades en toutes
lettres
. 78 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. CONTRE L.1LCOOL
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations
ndre la vérité, 'pour lui dire que son fils lui est rendu. Voici la
lettre
qui édifiera amplement le lecteur sur l'état me
me. « J'ose espérer, ma très chère mère que vous accepterez celle
lettre
de bon accueille, et que vous voudrez recevoir le
Rouher où est-il ? Il n'est pas à Paris. Ne fait pas attention à la
lettre
, je fais écrire par un enfant, car je suis très
inutile d'insister sur le tissu d'inconséquences que contient cette
lettre
, ni sur l'absurdité des subterfuges employés par
identité. Le 1er décem- bre 1885, n'ayant pas reçu de réponse à sa
lettre
, il se rend à la Préfecture de police, et se pr
« Monsieur, je suis le prince impérial et je voudrais savoir si ma
lettre
, adressée par moi à l'impératrice Eugénie, ma m
u-de-pied. Il pensait, dit-il, être plus tôt réuni à Dieu. Dans une
lettre
, il avait annoncé sa résolution d'en finir avec
oupable, ainsi qu'il l'indique dans le passage suivant d'une de ses
lettres
: « Je ne puis que maintenir ce que je vous ai
i envoya sa photographie, son adresse, des cadeaux, lui écrivit des
lettres
. Tout revenait sans avoir été décacheté, et dans
r que par ton traitement ? » Nouvelles tentatives de rapprochement,
lettres
, etc., dont le résultat fut une annonce peu pol
Malgré l'affront reçu, elle répondit avec la même amabilité par des
lettres
et écrivait entre autres : « Ma chambre est très
dée fixe. 93 l'aire sortir d'ici, et vous ai même donné copie d'une
lettre
que j'envoyai à S. M. le roi des Belges, dans l
souffrances. Il raconte tout ce qu'il endure, dans de nombreuses
lettres
, où il se plaint amèrement des tortures qu'on lui
e la bande de crapules qui me torturent ne se torchent pas avec mes
lettres
. a Pierre D... Coucou. 'J C'est Lien un délir
es de myotonie se retrouvent chez un troisième frère, interrogé par
lettre
. On a soumis à un examen médical deux autres fr
tente douloureuse. M. Brissaud rapporte l'observation d'un homme de
lettres
, russe, âgé de soixante ans, goutteux, migraine
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations
P. SOLL1EI. (Cenlralbl. f. 11'rvenheilii., XXI, N. F. IX, 1898.)
Lettres
de l'auteur à Erlenmeyer; corrigées et traduites
icipal de Paris et de leurs journaux. (B.J. - Voir aux annonces :
Lettre
f'f .ll. Cit. nl/lJ1l ? sur la création de classe
écillité et qui, le jour du mariage de son frère, sur le reçu d'une
lettre
anonyme injurieuse pour sa mère et sa soeur, tu
xemples de phobie : phobie chirogra- phidue ou crainte d'écrire des
lettres
; phobie contagieuse avec tremblement; phobie de
, myopie assez prononcée, à la distance d'un mètre ne peut lire des
lettres
de 3 centimètres de long ; l'oeil gauche est pl
RECUEIL DE FAITS. ment. Lui-même nous a écrit en mai dernier, et sa
lettre
est celle d'un enfant raisonnable et reconnaiss
que Gabriel a toujours pris des douches. Même attes- tation par une
lettre
de sa grand'mère du 7 octobre. TABLEAU DES ACCI
plus astucieuse, plus voluptueuse. » (A suivre.) ZABOROWSKI. XII.
Lettre
à 31. Ch. Dupuy sur la création de classes spécia
r un mètier. L'opuscule de M. Bourneville, présenté sous forme de
lettre
au ministre de l'intérieur, et comme réponse à
ent les mouvements de la main de loin, déchiffre quel- ques grosses
lettres
, compte les doigts à 50 centimètres de dis- tan
s deux enfants, après avoir écrit au procureur de la République une
lettre
dans 526 VARIA. laquelle elle lui faisait con
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations
tions de la -, par Couvelaire et Crouzon, 480. Classes spéciales.
Lettre
ct \I. C. Du- puy sur la création de- pour les
, etc. Citons encore de grands cartons alphabétiques, composés de
lettres
de 12 centimètres de hauteur, les voyelles en r
voyé le 1e mars un instituteur adjoint, M. Boyer, ba- chelier ès
lettres
, et auparavant maître répétiteur au lycée Saint
it possible. 19 et 26 janvier : Nou- velles réclamations. 18 mars :
lettre
à M. Alphand pour lui demander de faire examine
ion de l'Assistance publique. 23 avril : vote favorable du Conseil.
Lettres
à M. le Préfet de la Seine pour le prier de fai
it (21 décembre 1885). Nous avons adressé, sur le même objet, trois
lettres
à M. Peyron (5, 23, 26 janvier 1886) ; -P - une
l'asile, elle apprit l'alphabet, put épeler quelques mots de trois
lettres
et écrire deux lettres sous la dictée; elle add
'alphabet, put épeler quelques mots de trois lettres et écrire deux
lettres
sous la dictée; elle additionnait jusqu'à 5, co
à l'asile de six à huit ans, Victor n'y arien appris, pas même ses
lettres
; il n'aimait pas à jouer avec les autres enfants,
oppée, mais présente une sorte de bégaye- ment. Il connaît bien les
lettres
et les chiffres, commence à faire des bâtons, s
on- volutions frontales sont aussi sinueuses qu'à gauche. (1) Les
lettres
ont la même signification que sur les Planches
riéto-limbique postérieur. C. A., Corne d'Ammon. N. B. - Les deux
lettres
O. C. placées en avant du bourrelet du corps ca
avant du bourrelet du corps calleux doivent être remplacées par les
lettres
C. C. PI.. I Pr.. II EXPLICATION DES PLANCH
ation bien nette du lobe occipital des parties environnantes. Les
lettres
Sc. p. p. doivent être remplacées par les lettres
nvironnantes. Les lettres Sc. p. p. doivent être remplacées par les
lettres
Se. p. e. et reportées à un centimètre en avant
planches. PLANCHE III. Face interne de l'hémisphère droit. Les
lettres
ont la même signification que celles de la planch
e interne allant se jeter dans la fissure calcarine. 1 ? 13 ? Les
lettres
Se. c. m. placées à la partie antérieure de L.
PLANCHE IV. Face externe ou convexe de l'hémisphère droit. Les
lettres
on ! . la même signification que celles de la pla
reliant inférieurement FA à F3 au lieu de S il faut lire Se. S. Les
lettres
placées sur le bord supérieur de Tl doivent êtr
pas d'une façon absolue le maintien dans un asile » dont parlait la
lettre
ministérielle du mai 18(12 ; ce sont des aliéné
dernière, atteinte d'hémiplégie droite, trace de la main gauche les
lettres
de l'alphabet. Sans parler de la crainte qu'en
un, que j'indiquais de mémoire, m'avait particulièrement frappé. La
lettre
mise à la poste, et en attendant la réponse, je
nt nettement in- signifiantes ». En vérité que nous apprend cette
lettre
? Rien que nous ne sussions déjà : les argument
ntanément ou sous dictée, pouvait seulement copier pénible ment une
lettre
ou un dessin, mais cependant avait conservé intac
e est de supprimer toute épellation ou syllabation et d'appeler les
lettres
, même les consonnes par le son qui leur est propr
usieurs heures, sortit, fit plusieurs visites en ville, écrivit une
lettre
il la soeur pour s'excuser de no pas pouvoir l'
s'épancher la plume a la main. Nous avons recueilli beaucoup de ses
lettres
; et un phénomène extrême- ment intéressant s'y
oque, vous qui n'aimez que l'argent, ça vous touchera.). h Dans une
lettre
qu'elle m'adressait en août 1892, après m'avoir
se lassera, cette soeUI ? )) » Le 28 juin 1893, elle m'adresse une
lettre
dont voici quelques extraits : « Malgré le gran
lle que je ne pouvais de- « meurer éternellement aux aliénés...» La
lettre
se poursuit pen- dant trois pages sur ce ton ra
; c'est arbitrairement qu'on a pris l'habitude, contrairement à la
lettre
et à l'esprit de la loi, d'introduire cette que
sion de responsabilité atténuée. L'usage abusif et contraire à la
lettre
du Code qu'on fait aujourd'hui des mois : respo
enir compte pour l'application de la peine. Si l'on s'en tient à la
lettre
des mots, je conviens que des conclusions de ce
. Il n'est pas pos- sible de dépeindre mieux que dans ses dernières
lettres
et dans ses « Rêveries » le début de la décaden
absents de Paris ou empêchés peuvent demander leur inscription par
lettre
re- commandée. Toute demande d'insciiption fait
, mais cette déclara- tion me semble rester le plus souvent souvent
lettre
morte, car après avoir adopté une formule psych
, instituant l'obligation de l'instruc- tion, ne doivent pas rester
lettre
morte à leur égard. Malheureusement, la législa
convoquée lorsque la demande en aura été adressée au président, par
lettre
recommandée signée de 10 membres dé l'associati
tie de l'association. L'envoi de ce document était accompagné d'une
lettre
d'appel qui se terminait ainsi : Nous venons
1905, plainte au Commissaire de Police de son quar- tier. Quatrième
lettre
au Procureur, et départ soudain pour Dun- kerqu
médecin ' SUR UN CAS DE DÉLIRE A DEUX 329 9 de l'armée. En mars,
lettre
au ministre de la justice, visite à un grand av
égagent Nelly Dor, et Il", Granet, sortant de sa poche une nouvelle
lettre
au Procureur,la lit aux passants rassemblés don
Vlll reconnut l'existence des démons incubes et succu- bes dans une
lettre
apostolique ; des religieuses, comme Ger- (rude
citée par Jean Wier, couchaient avec Satan et lui écri- vaient des
lettres
enflammées. En 1485, 41 femmes furent brû- lées
n : Elle usa des bûchers contre les démonia- ques, et il existe une
lettre
du pape Grégoire IX, remplie d'inep- ties, aux
potassium à l'intérieur. Après huit jours, j'ai reçu du malade une
lettre
dans laquelle il me dit que son état s'est aggr
l'écriture du malade avait un caractère Mtnxique si prononcé que sa
lettre
était très difficile il lire) ; les 401 i clini
à Varsovie malgré mes conseils très fermes ; il est parti. Par ses
lettres
, j'appris que la maladie continuait à faire des
amimie. L'auteur rappro- che même de ces troubles les inversions de
lettres
et de syllabes à l'intérieur des mots ; mais un
absents de Paris ou empêchés peuvent demander leur inscription par
lettre
recom- mandée. Toute demande d'inscription fait
e la distribution des prix de l'école primaire de Garennes (Eure) ;
Lettre
à AIJI. les pairs, à l'occasion de la condamnat
lissements de bienfaisance et de l'enseignement, 1843; Agrégation :
Lettre
à M. le Directeur de la Revue Médicale, 1844 ; ,
actère des phénomènes psychiques, 1877 ; De l'enseignement médical,
lettre
à M. J. Duval, 1868; D'une forme mal décrite de
ogiques) ; Examen des critiques adressées à la phrénologie, 1843; -
Lettres
sur le suicide (L'observation) ; - De la mélanc
es de M. Delasiauve : D'une forme grave de delirium tremens, 485; -
Lettres
sur le suicide ; Des pseudo-monomanies ou folie
l y a des médecins d'asile qui écrivent chaque jour vingt ou trente
lettres
qu'un scribe de leur bureau écrirait aussi bien
ations avec les deux sous-officiers et ceux-ci reçurent un jour une
lettre
par laquelle il leur annonçait qu'il était en R
: Souvent' en/ écrivant , (notamment' en*copiant) il. passe, des -
lettres
,, des syllabes, des mots et remplace même certain
, des - lettres,, des syllabes, des mots et remplace même certaines
lettres
. par d'autres qui ne conviennent pas. Bégaieme
consiste avant tout dans l'acte de, copier les images optiques des)
lettres
et des mots.- Que celles-ci disparaissent. par de
lirantes subordonnées variant à l'infini, et, dans une seul et même
lettre
, sous la plume'mêmé de l'aliéné : ? Observa tio
de parler. Un an après, son mutisme était toujours absolu, mais une
lettre
écrite' par lui à sa femme indique qu'il est so
des cas, les circonvolu- tions sont pleines-et arrondies. Dans une
lettre
particulière qu'il m'écrit, il me dit : « Il es
titution le British médical Journal du 1°1' avril 1893 a publié une
lettre
du Dr Hack-Tuke qui flétrit cette mesure en ter
s, ses amis. La veille au soir il écrivait encore à Mme Charcot une
lettre
pleine de gaîté dans laquelle il se félicitait
compte que l'homme qui a écrit ces pages n'était pas fini comme des
lettres
infâmes et lâches, dont i ! s'affectait trop, h
niversité de Dublin (1891) ; Membre de l'Académie des sciences, des
lettres
et des arts de Padoue (1891) ; Membre de la S
it question du Congrès des aliénistes, on ajoutait souvent avant la
lettre
- et des neuro- logistes. La décision du Congrè
en outre en divers endroits de l'établissement placé des boites aux
lettres
dans lesquelles les malades jettent leurs récla
ry et installée chez un de ses oncles, à Chaville, l'accabla de ses
lettres
enflammées. Il se garda d'y répondre. Vendredi so
ant encore un revolver dans sa main crispée. Mm° Delagrange, en une
lettre
déchi- rante, expliquait que, ne pouvant vivre
pour Quatre-Mares et 58 pour Saint-Yon. » Le rapport est adopté.
Lettre
de M. le Préfet aux Directeurs-Médecins de Quatre
rie de Grashey-Wernicke, suivant laquelle la lecture s'effectue une
lettre
après l'autre, a présenté les résultats de ses
écran percé d'une étroite fente ne permettant de voir qu'une seule
lettre
à la fois. Le cylindre étant en mouvement, le rap
teur n'est parvenu à déchiffrer les mots inscrits que lorsque les
lettres
passaient devant ses yeux avec une vitesse de 0,1
te, tandis que Grashey suppose que nous percevons la fi- gure d'une
lettre
avec une vitesse de 0,03". En ce qui concerne la
conde; il a réussi de la sorte à lire des mots for- més de quatorze
lettres
et appartenant à une langue connue. Le rapporte
moyen de deux processus différents : un processus conscient, chaque
lettre
étant perçue séparément, et un processus incons
st perçu comme une image visuelle d'objets connus et non par chaque
lettre
séparément. Il considère de ses expériences réf
LLIeR. VARIA. HOMMAGE A 111. J.-M. CHARCOT Nous extrayons d'une
lettre
de Santiago le passage suivant : « La presse de
u de notre savant collaborateur, M. le profes- seur Kojevnikoff, la
lettre
suivante : · Moscou, le 28 septembre, 10 octobr
ACES DE MÉDECINS-ADJOINTS DES ASILES D'ALIÉNÉS Nous avons reçu la
lettre
suivante au sujet de cette question si intéress
n mot, commence à exprimer ses besoins, à nommer ses camarades, les
lettres
, les chiffres, les couleurs; - 3° Guimi... parl
es, des problèmes. 3°1\Iami.. Emile (18 ans) ne connaissant que les
lettres
en janvier 1895, lit couramment, apprend tous l
i demande, imite bien ce qu'il voit faire. Il ne sait pas faire les
lettres
; il trace des bâtons. Aucune notion des couleu
point de vue de la parole. 11 place les chiffres, les couleurs, les
lettres
. et les surfaces. Il aime et accomplit bien les
Décembre. - C... fait quelques progrès commence à con- naître ses
lettres
, et à écrire; elle travaille assez bien il l'ou-
à distinguer les couleurs, les chiffres, les étoffes, à placer les
lettres
et les chiffres, à boutonner et nouer. Il lace
. le D'' Arnaud (de St.-Gilles), qui avait assisté à la séance, une
lettre
dans laquelle il soumettait à notre appréciatio
apprises à la pension. Ses parents prétendent qu'elle connaît ses
lettres
, mais nous constatons bientôt qu'elle n'en conn
jumelles (système et de l'échelle convexe ; dis- tingue toutes les
lettres
, lit sans épeler (d'après la méthode nègimb1ud)
ontinuent en lecture et en écriture ; elle écrit iL ses parents des
lettres
qu'elle sait lire ; les spasmes persistent. O
es progrès réels ; fait sur son canevas, d'après modèle, toutes les
lettres
de l'alphabet. Progrès en lecture et en écrit
ettres de l'alphabet. Progrès en lecture et en écriture, fait les
lettres
majuscu- les, compte sans se tromper jusqu'à ci
e l'écriture est meilleure, l'enfant lit couramment, fait seule des
lettres
à sa famille, l'orthographe est meilleure, elle
et se décident à l'emmener chez eux (10 juillet). Octobre. - Une
lettre
qui nous est adressée par les parents de Marie-
apprendre et de connaître l'ortho- graphe, de rédiger elle-même des
lettres
pour ses parents. Marie-Louise devient, en un m
valer une macération de vieux sous. Elle écrit pendant son délire des
lettres
fort correctes pour annoncer à sa famille son int
de Boulanger, et une nuit il écrivit sur un carreau de carrelage une
lettre
à M. Constans dans laquelle lui, garçon charcutie
» Nous possédons le carreau, qui nous a été donné par son patron. La
lettre
est écrite à l'encre, parfaitement correcte et d'
ts perdus, faire des pronostics pour les courses de chevaux, lire des
lettres
à travers l'enveloppe, dire l'heure le dos tourné
se à une hypothèse de simulation. En ce qui concerne la lecture des
lettres
à travers leur enveloppe, que l'on citait comme e
une inscription la tête penchée en avant, comme s'il distinguait les
lettres
avec difficulté: « Jeune homme, vous en avez en
e la journée... pour qui ?... Ah ! oui, là-bas, près des Archives, en
lettres
dorées : fleurs artificielles.., Mais c'est de la
s'occuper de ce qui arrive, sur la feuille suivante le jambage de la
lettre
qu'il était en train de tracer et continue sa tâc
t aigu ou grave, marqués sur celle-ci, correspondent exactement à une
lettre
non accentuée, à un t non barré sur l'une ou l'au
Il a été bien élevé, a reçu une bonne instruction et est bachelier ès
lettres
. Ses parents étaient rentiers et lui ont laissé u
rt. Hystérie du Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques.
lettres
. 11 n'a reçu qu'une instruction professionnelle e
reproduire ici en entier. Il contient des compositions diverses, des
lettres
à des amis ou à des confrères, des pièces de vers
, en ce qui concerne la prose, il a souvent écrit devant nos yeux des
lettres
ou des pièces plus ou moins longues sans trop d'h
paralysie s'est développée. Il lit à peine (t est obligé d'épeler ses
lettres
pour y arriver. Toutes les rutres périodes de la
ait à son amie Marguerite F..., qui était encore dans le service, une
lettre
bien intéressante que celle-ci nous communiqua. C
ice, une lettre bien intéressante que celle-ci nous communiqua. Cette
lettre
nous montre qu'elle est toujours dans l'état B, d
Quoi qu'il en soit, voici les passages les plus intéressants de cette
lettre
, où elle montre, en outre, par des souvenirs adre
suis... etc.. » On croirait entendre parler Félida en lisant cette
lettre
, mais Félida en état prime, puisque sa mémoire ét
e s'est présentée pour la première fois à la Salpêtrière, munie d'une
lettre
de M. le Dr J... (de C...), relative à la maladie
; enfin, c'est une aliénée qui la poursuit pendant plusieurs mois de
lettres
anonymes et de menaces. Telle est, en résumé, la
fisants pour l'empêcher de comprendre ce qu'elle lit, ou d'écrire une
lettre
. Il persiste encore beaucoup de phénomènes d'ab
ns la parole. Le malade ne peut former la circonférence labiale de la
lettre
O, ni avancer et contracter les lèvres pour la pr
re O, ni avancer et contracter les lèvres pour la prononciation de la
lettre
U. Il ne peut ni souffler ni siffler. La langue
sme prononcés. Ainsi un catatonique, qu'on fait écrire, compile une
lettre
très sensée dans laquelle il dit « qu'il veut sor
ués par M. Berteaux, le distingué chargé du cours de la Faculté des
lettres
de Lyon, et nous tenons tout d'abord à le remerci
ent ornés que de figures très pauvres, et principalement de grandes
lettres
dont les détails avaient tout à fait le caractère
aravant, nous avons vu apparaître assez nettement quelques-unes des
lettres
(lignes blanches entourées d'un nuage congestif
ent la torture mo- rale des jeux de mots sur l'alphabet et même les
lettres
. Question. En quoi consistent ces jeux de mots
t pas boire au gobelet, mais à la cuillère-. Voici un extrait de sa
lettre
où il n'y a guère que de la verbigération. «
ensée et dont la seule particularité consistera en ce que certaines
lettres
et certains mots sont plusieurs fois contournés
dominante ; elle oublie le des- sin peu compliqué commencé et trace
lettre
à lettre lisiblement et distinctement la phrase
; elle oublie le des- sin peu compliqué commencé et trace lettre à
lettre
lisiblement et distinctement la phrase suivante
dans l'écriture par un peu d'irrégularité dans le tracé de quelques
lettres
. La langue est tirée difficilement hors de la b
'utiles indications sur son état men- tal. D'une part, la forme des
lettres
, l'agencement des mots et des lignes impriment
physiques : lenteur, bredouillement, achoppement, transposition de
lettres
, redoublement ou suppression des syllabes, etc.
pli sa tâche. Vous pouvez noter d'autre part que, non seulement les
lettres
sont séparées, mais qu'encore certaines d'entre
reux arrêts. La lenteur et les arrêts, les coupures des mots et des
lettres
elles-mêmes constituent en effet des caractères d
moins vite qu'il deviendra plus dément. Par suite les jambages des
lettres
sont hésitants, tremblés, mal assurés. Remarquez
és, mal assurés. Remarquez aussi les sinuosités de l'écriture ; les
lettres
ne sont pas sur la même ligne, les unes sont au
essus, les autres au-dessous de la ligne horizontale. En outre, les
lettres
sont de dimensions différentes ; certaines minusc
t, quelquefois tellement prononcé qu'il est incapable de tracer une
lettre
; il lance alors sa plume sur le papier et obti
es effets inattendus, recouvrant d'une tache ou d'un trait haché la
lettre
ou jambage qu'il vient de tracer auparavant : je
lors excité et avait des idées absurdes de grandeur. Dans une autre
lettre
il commande une riche voilure et les accessoire
raît dans la forme apparaît aussi dans le fond ; car dans une autre
lettre
le malade reproche au marchand de voitures sa len
nous notons une écriture plus posée, mais avec des mots passés, des
lettres
oubliées. Chez ce paralytique l'écriture copi
mée ; peut-être trahit-il l'excitation initiale par la grandeur des
lettres
, les paraphes finissant les mots, les négligenc
pon- tanée. Examinez par exemple ce malade, âgé de 54 ans, homme de
lettres
, vieux paralytique général dont l'affection a é
enfantin présente celle particularité intéres- sante que certaines
lettres
sont de forme bizarre et contournées. Vous re-
re assez correc- tement quant aux idées et quant à la forme : cette
lettre
, dans laquelle il se plaint du bruit que font l
nt, écrit, tout el ! mar- mottant des syllabes inintelligibles, les
lettres
suivantes : z T . 1 . ' l .. .. LU IJv1 Lv
ans la démence pré- coce nous publierons ici, sans commentaires, la
lettre
suivante d'un dé- ment précoce dont l'état est
âge au point de vue scolaire. L'écriture est très irrégulière, les
lettres
ne sont pas liées entre elles, les traits sont du
as au premier déjeuner, veut écrire à son père à qui il adresse une
lettre
incohérente et pleine de menaces : «Je te donne
c ses camarades. 24. Crise à la suite d'une invitation à écrire une
lettre
à ses parents. René se couche par terre, fait s
endue au baldaquin de son lit, hier soir, vers dix heures. Dans une
lettre
laissée en évidence, Mme D... disait qu'elle se
Paris, 1898. Institut de bibliographie scientifique. DoïE\. Sur (
Lettre
ouverte ti M. Tutf·ier.) Bro- chure iu-8°, avec
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations
çaise se borne, en effet, à déclarer que l'on ne pourra retenir les
lettres
adressées à l'autorité judiciaire ou administrati
puissent librement écrire à leurs parents, à leurs amis, et si ces
lettres
ne partent pas toutes, cela tient à des questio
ler à M. C... Mis en présence de celui-ci, ils lui présentèrent une
lettre
de son père réclamant son internement et un cer
périmètre du Dr Ascher. 111. L. Minor. Courte notice à propos delà
lettre
du professeur Pick sur les troubles de la sensi
tions de la part de van Gehuchten, Brissaud, Bruns et Pick. Dans sa
lettre
, publiée dans le Neurol. 250 SOCIÉTÉS SAVANTE
ves. Insuffisance DE renseignements EN France. Nous avons reçu la
lettre
suivante : , Copenhague. Danemark, le 7 janvier
ur le réflexe viril. » Il joint, du reste, au présent travail, deux
lettres
de Brown-Sequard, relatives à cette question d'
es mots, il pouvait indiquer par gestes le nombre de syllabes ou de
lettres
qu'il était incapable d'articuler distinctement
ie, qui du reste ,a été repoussée par son illustre créateur dans la
lettre
publiée peu de temps avant sa mort et recueilli
e los ceizli-os ner- villsos, p. 13 et suivantes. * G. Marinesco.
Lettres
d'Angleterre {Semaine Médicale, 1896). L'OE,1
loire et en souvenirs historiques, où les arts, les sciences et les
lettres
sont cultivés avec un soin jaloux. le n'en veux
moire, d'une idéation étendue; ils s'occupent, lisent, écrivent des
lettres
; nous en avons même vu faire de la musique et c
oit très volontiers les visites de parents, et écrit à sa femme des
lettres
très correctes où il ne parle pas même de ses i
ditive), ou bien la lecture, c'est-à-dire l'action de percevoir les
lettres
(mémoire optique). Les mémoires senso- rielles
sion de la scissure interne (flissura calcarina). Le sujet voit des
lettres
, mais sans les reconnaitre, ni pouvoir les nommer
cas de lésions du pli courbe (g. supraangularis). Le malade lit les
lettres
et les mots. mais sans y rattacher la significa
impossibilité de lire les mots quoiqu'il soit possible de lire les
lettres
, ce dernier processus étant moins compliqué que
it pas spontanément; il faut qu'il soit provoqué par les images des
lettres
ou des mouvements'. Enfin, il existe des formes
r du balbutiement la prononciation vi- cieuse d'une ou de plusieurs
lettres
, la parole restant absolu- ment compréhensible.
émoire. HYSTÉRIE MALE. 67 Le 8 septembre, P... nous a écrit une
lettre
dans laquelle il nous disait que depuis sa sort
er toute erreur, nous prions également nos abonnés deyotHdre à leur
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au- nois et Paviot, 402. Sensibilité. Comte notice propos de la
lettre
du professeur Pick sur les troubles de la dans
non seu- lement en France mais à l'étranger, il avait, à l'aide de
lettres
. de dépêches, de visites provoquées, fait croir
jourd'hui, il a quinze ans. C'est son père lui-même qui, dans une
lettre
au juge d'instruc- tion, dresse ces états de se
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leu1's, réclamation
re oui, papa, soupe, ou autres mots très simples, il assemblait des
lettres
qui n'avaient aucun sens, le plus souvent « mes
uit jeudi au quartier de la Solbonne. La victime est une agrégée ès
lettres
, Mlle Amélie M..., âgée de trente-quatre ans, pro
ces figures et les suivantes ; chacune d'elles a été indiquée par une
lettre
: A, racines postérieures adjacentes, sur le po
rs d'un tabès avancé (deuxième étape anatomique de la maladie). Les
lettres
ont la même signification que dans les figures
gie NERVEUSE. 231 geichgùltig au lieu de gleichgûltig ; il omet des
lettres
ou des frag- ments de lettres et de syllabes, d
au lieu de gleichgûltig ; il omet des lettres ou des frag- ments de
lettres
et de syllabes, des signes diacritiques, comprend
nt et peut corriger. 2° Peut-il écrire ce qu'il voit, notamment les
lettres
? peut-il copier ? Y Il fait aussi des omission
qu'il a écrit. De l'alphabet il écrira correctement les 5 premières
lettres
et mal les suivantes, mettra 7 minutes an lieu
l les suivantes, mettra 7 minutes an lieu de 7 secondes à écrire 16
lettres
qu'il énoncera assez bien. Ecrira bien les nomb
ique, l'omission, principalement dans l'écriture sous la dictée, de
lettres
qui ne sont pas toujours les mêmes, avec pleine c
conscience de cet état par le patient et parfaite intelligence des
lettres
omises, parfaite compréhension du mot écrit et
TION : - Paralysie générale. Après la lecture par M. Ritti, de deux
lettres
d'excuses d'adhé- rents qui n'ont pu se rendre
d'excuses d'adhé- rents qui n'ont pu se rendre au Congrès, et d'une
lettre
de M. Mo- nod, annonçant que M. le Ministre l'I
teur, s'appelle, je crois, un faux en écriture. ' - Le secret des
lettres
des familles aux malades n'est pas mieux observ
e, ainsi, tout ce que cette mesure a de pénible, d'indélicat. Toute
lettre
ouverte est une lettre' déflorée et je m'expliq
ent et que certaines familles hésitent à épancher leur âme dans une
lettre
rendue publique avant d'arriver à son adresse.
arriver à son adresse. Je reconnais, cependant, qu'il est certaines
lettres
296 asiles d'aliénés. qui ne peuvent être rem
eu de tact et d'habitude, on peut arriver à remettre cachetées neuf
lettres
sur dix. Il sera toujours facile de s'assurer q
odèle; il copie faux, parce qu'il ne peut lire ou qu'il lit mal les
lettres
, notamment celles qui sont associées en mots, l
bale. L'écriture est tremblée, ataxique ; le malade affectionne les
lettres
longues il branches descendantes; il est paragr
csseau, le pasteur du Désert, nous trouvons l'extrait suivant d'une
lettre
de M. deMaurepas, en date du 13 novembre 1741 :
M. Bourne- ville a eu l'heureuse idée de publier divers documents (
lettre
au Conseil général, rapport il la Commission de
ettre au Conseil général, rapport il la Commission de surveillance,
lettre
à M. Carriot, etc.) relatifs à la création de c
s la présidence de M. Henri Joly, doyen honoraire de la Faculté des
lettres
de Dijon. M. le président de Rossi souhaite la
Le Dr de Forest Willard (de Philadelphie) nous demande; dans une
lettre
circulaire, notre opinion sur les points sui- v
toute erreur, nous prions également nos abonnés dejoi21di-e à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations
lquefois, un peu de difficulté dans la prononciation de la première
lettre
ou de la première syllabe d'un mot. Ces désordr
rs, ont réapparu quelques troubles dans l'articulation de certaines
lettres
(1). L'hémi atrophie ET L'lIE41t1' : 1HI.SIE li
ale. Vaillant condamné à mort, il réclama sa grâce à Carnot par une
lettre
, disant qu'il avait jeté sa bombe sur un Parlem
ie ; la seconde malade écrit avec une facilité relative et dans ses
lettres
personne ne peut décou- vrir la maladie dont el
pagne, et renouvela chaque jour les mêmes em- brassements (). Une
lettre
datée de 1507 du roi Ferdinand au D' Puebla nous
cris, mais il ne réussit pas à dire une seule syllahp, ou une seule
lettre
, même avec une voix aphonique. Il comprend toutes
rection des traits, une remarquable irrégularité des dimensions des
lettres
différentes et aussi, dans les parties différen
ttres différentes et aussi, dans les parties différentes d'une même
lettre
, des traits supplémentaires résultant des écart
e son écriture il ce moment (fig. 2). On remarquera que plusieurs
lettres
sont absolument méconnaissables, certains mots
e sais que ce n'est pas cela, mais je ne peux pas dire. Lecture des
lettres
. - Elle lit bien la plupart des lettres ; pour L,
peux pas dire. Lecture des lettres. - Elle lit bien la plupart des
lettres
; pour L, elle dit d'abord N, puis L. Pour K, e
e, parce qu'elle ne se rappelle pas le son formé par l'assemblage des
lettres
. Souvent elle épelle bien un mot et ne peut arr
cartées il n'est pas lu non plus ; il n'est lu qu'horizontalement les
lettres
accolées. Il y a donc des troubles latents de l
he à la corriger, sans toutefois y parvenir toujours. Lecture des
lettres
. - Conservée. Lecture des chiffres. - Bonne, ce
père. Lecture mentale. - Elle lit bien les mots suivants écrits les
lettres
les unes au-dessous des autres et à une certain
omposée que de deux ou trois mots usuels. Les mots usuels, écrits par
lettres
séparées, ne sont pas compris. Elle comprend bi
et rien de plus. Sous dictée. - Nulle (elle ne peut écrire que des
lettres
). Copie. Conservée ; la malade copie très exact
e 22 avril 1896, l'un de nous cn commence à lui faire ré- péter les
lettres
en lui montrant les mouvements des lèvres et de l
èvres dans la position convenable pour la pro- nonciation de chaque
lettre
, ou bien en lui faisant répéter des mouvements,
mouvements, imitant de près ou de loin la prononciation de quelques
lettres
(par exemple l'action de souffler une bougie po
s, sans les prononcer, la plupart des mots écrits en syllabes ou en
lettres
séparées. Evocation des images auditives. - Amé
, le nom de son mari. et écrit : Bran, Brenadus. Sous dictée. - Les
lettres
sont très correctement écrites. L'écriture des
Elle comprend la lecture mais en perd rapidement le souvenir. Les
lettres
sont toutes reconnues et immédiatement dénommées
er des ordres manuscrits, elle ne les fait que si on écrit avec des
lettres
ma- juscules, et encore non sans hésitation. Il
ts de la lecture mentale. Les mots PARIS et RUE sont lus écrits les
lettres
placées les unes au-dessous des autres, mais les
ari), RICHE, IVRY ne peuvent être lus qu'écrits horizontalement les
lettres
juxtaposées. La lecture des chiffres est bonne;
A et ne peut aller plus loin. Elle ne peut écrire son nom, ni les
lettres
de l'alphabet, ni la série des chif-. fres. Tou
furent le commandement par la parole, par l'écriture/ sous forme de
lettres
écrites spontané- ment ou sous dictée à son méd
n médecin habituel, la lecture à haute voix, la malade relisant les
lettres
qu'elle écrivait. Pour l'écriture, dans une des
ordre elle écrivit. La malade récite plutôt de mémoire les courtes
lettres
que nous lui faisons lire : c Monsieur le docte
avait été isolée. Mais elle recevait des visites, elle recevait des
lettres
de son mari qui étaient toujours cause de FORME
longer contre son gré, elle lui écrivit, en janvier 1893 une longue
lettre
; elle manifeste un vif regret de tous les repro
s'éloigne des autres malades et se tient seule à l'écart; dans ses
lettres
à son mari, elle ne le tutoie plus, ne l'appell
d'aveux plus com- plets, quand, au mois d'octobre, nous tendant une
lettre
adressée au Président : « Voici, dit-elle, j'ai
lettre adressée au Président : « Voici, dit-elle, j'ai mis dans ma
lettre
mes deux adresses, afin que M. Carnot se souvie
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
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90 p. 100, M. Smith possède SOCIÉTÉS SAVANTES. 229 près de 1,500
lettres
de médecins, relatives à l'internement des alco
. M. LE PRÉSIDENT. - J'ai reçu relativement à cette question deux
lettres
que j'ai l'honneur de communiquer à la commission
ce voeu à la connaissance de M. le Ministre de l'Intérieur. Par une
lettre
ci-jointe en date du 2* ? fé- vrier 1894, M. le
sident, de vous prier de vouloir bien donner communication de cette
lettre
à la Commission de surveillance lors de sa séan
t qu'elle ne savait plus lire. Elle pouvait voir et reconnaître les
lettres
; mais elle lisait des mots qui n'étaient pas écr
t ans de phtisie pulmonaire ; il ne connais- sait que les premières
lettres
de l'alphabet et les opérations arylll- métique
hystérique se sont rangés à cette opinion, comme on le voit par la
lettre
de Rosenthal à Charcot publiée dans la thèse de
gne, "droite je mets une petite,(croix et, à chaque^ extrémité .une
lettre
^, B. Si la malade regarde fixement la croix cen
t la croix centrale, d'un seul oeil, de, l'oeil gauche elle voit la
lettre
A gauche simple et la lettre B à droite, double
oeil, de, l'oeil gauche elle voit la lettre A gauche simple et la
lettre
B à droite, double. Sur le périmètre on^peut;, dé
ds efforts des souve- nirs confus. Enfin, ils forment lentement une
lettre
quelconque d'une main hésitante et à traits tre
parle lente- ment et difficilement quand on l'interroge; certaines
lettres
ne peuvent être prononcées et son langage resse
lade écrit. Ainsi, tandis que dans un premier mot (maçon) l'une des
lettres
est omise, que le deuxième (papa) est correctem
oint des idées déli- rantes ; ainsi qu'il ressort cependant de deux
lettres
écrites par lui à Feldmann, il aurait une grand
e Flechsig a été tronqué. C'est pourquoi M. Fleclisig m'a envoyé la
lettre
rectificative que je vais lire. D'après cette let
m'a envoyé la lettre rectificative que je vais lire. D'après cette
lettre
, Feldmann avait des idées délirantes permanente
logical Society, avec mission de la transmettre à M. Brouardel, une
lettre
contenant une lisle de souscription faite parmi
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
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de réabonnement et à toutes leurs réclamations
iâtre qu'elle avait sa logique. Le père faisait écrire dans une autre
lettre
: « L'état de médecin procure plus d'argent que c
es. Cet ami c'était M. Géruzez, frère du professeur de la Faculté des
lettres
d'aujourd'hui. Ayant su, par une confidence du va
que le pauvre étudiant était souvent dans l'impossibilité d'avoir ses
lettres
, parce qu'il n'en pouvait payer le port, Géruzez
r les exprimer. Le meilleur historien des abeilles, Huber, dans une
lettre
qu'il écrivait à Charles Bonnet (1), a laissé éch
ures, un cerveau de dindon et un cerveau de perdrix ; j'ai suivi à la
lettre
les recommandations de M. Bauer, et je n'ai rien
ons l'occupait tout entière, elle ne songeait pas à la liberté. (i)
Lettres
philosophiques surt l'intelligence et la perfecti
e 3, au-dessus du corps calleux c. c. A (fig. 3) correspond à la même
lettre
placée sur la quatrième circonvolution de la figu
z grand nombre de points , pour n'en faire qu'une seule. En avant, la
lettre
0 montre la répétition de la circonvolution orbit
à la dislance de 12 et de 20 millimètres (pl. vm, fig. 2), sont deux
lettres
PP placées sur deux circonvolutions postérieures,
PP placées sur deux circonvolutions postérieures, et en avant de" ces
lettres
PP, un signe -f- placé à l'endroit où les deux ci
issent. De l'autre côté de la ligne S, se trouvent un signe + et deux
lettres
ÀA; les lettres A A sont placées sur les circonvo
re côté de la ligne S, se trouvent un signe + et deux lettres ÀA; les
lettres
A A sont placées sur les circonvolutions antérieu
spondant à la scissure de Sylvius chez le bœuf et chez le mouton. Les
lettres
P P sont placées sur le commen -cernent des deux
circonvolutions postérieures, le signe + indique leur réunion, et les
lettres
A A leur division antérieure. Coupez d'avant en a
e de Sylvius, dans laquelle elle se termine ( V. pl. ix, fig. 1 et 2,
lettre
I ). Cette dernière disposition est doublement im
ais, le mot inscrit sous le numéro 19 : Fido alla chercher de grosses
lettres
mobiles, jetées sur le plancher ; il les rangea l
n lui avait demandé. Son maître ne lui disait rien; en arrangeant ses
lettres
, le chien ne pouvait le voir, et, s'il existait q
e son maître : Quel est le roi des animaux? Le chien alla chercher la
lettre
o; je le crus en défaut, et mes yeux se fixaient
uelque signe pour le tirer d'embarras ; mais je ne vis rien. Après la
lettre
o, il alla chercher la lettre n, puis la lettre d
mbarras ; mais je ne vis rien. Après la lettre o, il alla chercher la
lettre
n, puis la lettre d. Va-t-il mettre Ondatra'/ me
ne vis rien. Après la lettre o, il alla chercher la lettre n, puis la
lettre
d. Va-t-il mettre Ondatra'/ me disais-je, c'est a
o, très pétulant, très vif et même étourdi, alla chercher aussitôt la
lettre
/qu'il porta sur le mot Ion, et se sauva bien vit
aira, la connaissance de ces chiens, en ce qui concerne la valeur des
lettres
, des mots, des chiffres et des cartes ; supposons
maître a pu leur faire dans le but de leur indiquer à chaque fois la
lettre
, ou le chiffre, ou la carte, ou l'objet qu'ils de
(fig. z1 ). En règle générale, on emploie le premier lig. ·1. - Les
lettres
P F D, bien que de grandeur différente, vont fair
phique », est un carton blanc sur lequel sont imprimées en noir des
lettres
de différentes grandeurs (fig. 2). Partant de c
igne on a placé un chiffre qui indique la distance à laquelle les
lettres
de cette ligne devraient être lues par un oeil
mière. Le malade lit l'échelle en commençant par les plus grosses
lettres
. Quand il s'arrête, la mesure de son acuité vis
Jalalle peut, être incapable, il 7 mètres, de lire les plus grosses
lettres
de l'échelle. C'est que son acuité est . 51 '
on réduction. Entre les lignes, la distance D il laquelle les .
lettres
devraient être lues par un oeil d'acuilé visuel
érimétrique de la périphérie au centre et sur lesquels seraient des
lettres
de différentes grandeurs. Mais la faculté disso
n point de son étendue, elle ne permet de dis- tinguer la forme des
lettres
. Pour remédier à cet inconvénient, on s'est ser
'arc périmé- trique un index blanc sur lequel sont gravées quelques
lettres
d'impri- merie, en ligne horizontale pour explo
diens verticaux ou voisins de la verticale. L'oeil observé suit ces
lettres
et les lit. A un moment, il cesse de les lire e
mières à disparaître sont les plus excentriques. La disparition des
lettres
signifie que l'oeil ne les fixe plus avec sa ma
'aide de verres concaves, on pourrait le faire en plaçant un objet (
lettres
très fines), il des distances de plus en plus r
ropie s'il n'est pas emmétrope. Ou note la distance il laquelle les
lettres
fines commencent à se troubler. A ce moment l'o
rc on promène de bas en haut un index sur lequel sont imprimées des
lettres
. L'oeil suit les lettres et les lit jusqu'au mo
aut un index sur lequel sont imprimées des lettres. L'oeil suit les
lettres
et les lit jusqu'au moment où la pupille en asc
degré du ptosis. Normalement, l'oeil peut suivre l'objet et lit les
lettres
jusqu'à 45° (fig. ? ). ' On peut aussi, comme p
dysarthriques. Il y a tremble profond de la formation littérale des
lettres
et des sons. Les voyelles sont peu distinctes;
les gutturales surtout, ne peuvent être prononcées. Les différentes
lettres
sont émises avec un timbre nasonné. Le malade b
voix soufflée, souvent bitonale ; mais tous les mots et toutes les
lettres
sont reconnaissables, 'distincts, cor- rectemen
end de façon banale, sous le terme de bégaiement, la répétition des
lettres
, des syllabes ou des mots, répé- tition précédé
ographiques. A) Troubles calligraphiques élémentaires. Le (racé des
lettres
la forme et, la direction des figues sont seuls
e s'appliquer et, d'aller très lentement. D'un autre côté, plus les
lettres
seront petites, plus il aura de chances, tout e
par de brusques crochets. Ces crochets sont très irréguliers ; les
lettres
prennent un contour anguleux. On voit également
sque le malade parvient malgré tout à former quelques jambages, les
lettres
empâtées et sales, chevauchent les unes sur les
e ordinaire ou spasmodique, à peine le malade a-t-il tracé quelques
lettres
, parfois même à peine a-t-il saisi le. porte-plum
ir, se contracter en flexion son index, en extension son pouce. Les
lettres
ébauchées, chevauchent les unes sur les, autres;
te-plume avec difficulté, trace des bâtons plutôt que de véritables
lettres
, ne peut, arrondir les boucles. Le graphisme est
tres, ne peut, arrondir les boucles. Le graphisme est anguleux, les
lettres
sont souvent de grosse dimension : l'ensemble est
que le malade peut écrire, le tracé, irrégulier et sale, montre des
lettres
indistinctes, embrouillées le plus souvent. Cer
e des lettres indistinctes, embrouillées le plus souvent. Certaines
lettres
, des mots ou des fragments de phrase sont [MOUT
même de la crise, l'épilcptiquc est parfois capable de tracer une'
lettre
seulement, lettre qu'il répétera machinalement de
l'épilcptiquc est parfois capable de tracer une' lettre seulement,
lettre
qu'il répétera machinalement des centaines de f
ents dessinés dans la marge, les traits hardis, assurés, épais, les
lettres
ornées, enjolivées de boucles ou de; fioritures
sible souvent. De graves oublis interviennent : le malade écrit une
lettre
, mais oublie l'adresse, la date, la signature. 11
ur une enveloppe. Faire le geste de jouer du violon. Cache- ter une
lettre
avec de la cire et un cachet, etc.... Si le mal
ussi. lorsque le malade savait lire. lui demander combien il y a de
lettres
dans tel ou tel mot, mais c'est là une expérience
ou trois tons différons. 111. Examen de la lecture. a) Lecture des
lettres
. Pré- senter à l'envers au malade le papier sur
ordre, peut-il, du moins, lire un mot isolé ? Connaît-il encore les
lettres
? caractères imprimés ordinaires capitales écri
sive ? Faire lire des mots constitués par l'assemblage vertical des
lettres
qui les composent (Thomas et Doux), ou des mots
qui les composent (Thomas et Doux), ou des mots constitués par des
lettres
capitales qu'on a coupées horizontalement par m
qu'on n'a plus sous les yeux, pour ainsi dire, que les vestiges des
lettres
qui le constituent. Ces tests ne peuvent être e
ayant n'eu une certaine instruction. Faire lire en ne montrant les
lettres
qu'une il une. Faire lire en permettant au mala
n permettant au malade de suivre avec ses doigts les con- tours des
lettres
. ' b) Lecture des chiffres. Lecture de chiffres
pointe mousse (allumette. crayon) on écrit sur la paume de la main,
lettre
par lettre, le mot que le malade doit reconnaît
se (allumette. crayon) on écrit sur la paume de la main, lettre par
lettre
, le mot que le malade doit reconnaître. -De mêm
, l'aphasique de Wernicke trace seulement des traits* informes, des
lettres
isolées ou plus rarement quelques mots. 11 copie
ant le transcrire correc- tement en manuscrit ou traduire certaines
lettres
et en dessiner certaines autres. Il existe en
exes : bourrer une pipe et l'allumer, fumer un cigare, cacheter une
lettre
, mettre ses bas, verser de l'eau, se brosser les
es écrits de l'aspect du papier, de la forme et de la dimension des
lettres
, de la signature (troubles calligraphiques de l
niaque, sans s'installer, prend une plume ou un crayon et forme les
lettres
avec rapidité, que le mélancolique fait des eff
ls 'qu'ils soient, devra s'efforcer de les interpréter non pas à la
lettre
, mais avec une certaine largeur d'esprit. Les par
e (50 janvier 1004). mono- graphie qui a été suivie d'un échange de
lettres
avec Van Gehuchten (Société de Neurologie, mai
nalomy and Physiology, 1889, p. 551.) Pour chaque nerf rachidien la
lettre
h indique le niveau le plus élevé de l'émer- ge
e plus élevé de l'émer- gence des fibres les plus supérieures et la
lettre
b le niveau le plus inférieur de l'émer- gence
s de (roubles fonctionnels importants. . Le plus habituellement les
lettres
/, s, k. rJ, l'II, 1', sont difficiles à pronon
'écrivain. L'c'cntwpdevient rapidement irré- gulièrc, hachée, les
lettres
sont an- guleuses, inégales, séparées, placées
est empâtée (nous verrons qu'il peut y avoir anarthrie totale). Les
lettres
i, r, 1, s, g, k, q, ch, d, t, ne peuvent être fo
plutôt essaient de prononcer, de former tous les mots, toutes les
lettres
; mais cette formation est in- complète, et lè
) qui sont caracté- risées par un tremblement dans les jambages des
lettres
et par l'irrégu- larité et la confusion quand i
fardeau sur l'épaule (tic du colporteur, Grasset), pour prendre des
lettres
dans un casier (tic du typographe, Baylac), pou
nt une rechute après chaque entretien familial ou même après chaque
lettre
. Cet isole- ment sera combiné au repos absolu :
des paralysies, 1508. Lecture, examen dans l'aphasie. Lecture des
lettres
, 212. des chiffres, de l'heure, de la musique,
taire, ce qui était encore faux. Deux jours après, il reconnut par
lettre
l'exactitude de son casier judiciaire et finit pa
ouvant que le juge d'instruction ne semblait faire aucun cas de ses
lettres
, ce prévenu avait adressé ensuite une plainte a
t parce qu'il ne voulait pas les satisfaire, en un mot d'écrire des
lettres
insensées, de se dévêtir nu comme un ver, mais
amenais tout doucement à la captivité et à leur faire passer des
lettres
aux autorités supérieures. J'avais fait un passe-
n passe-partout avec une clef à sardine, j'allais voler du papier à
lettre
au chef de quartier, que je cachais dans la ter
la terre. « Puis je demandais au Directeur une feuille de papier à
lettre
et j'écrivais trois lettres ou quatre. Je lui r
ais au Directeur une feuille de papier à lettre et j'écrivais trois
lettres
ou quatre. Je lui remettais celle qui m'avait é
ou bien me faisant des reproches, c'était une réponse d'une de mes
lettres
. « Il me faisait surveiller, fallait que j'arri
UANT SIMULATEUR. 15 tant que le directeur-médecin me gardait toutes
lettres
adressées aux autorités et que j'étais forcé d'
e apparence de fondement, puisqu'il résultait effecti- vement d'une
lettre
de son oncle, en date du 22 novem- bre 1892, qu
ment celui des gâteux, m'avait d'autant plus préoccupé que dans une
lettre
adressée à M. le Préfet, lI. le directeur de l'
ezla femme que chez l'homme, etil consiste le plus ordinairement en
lettres
et signes simples tels que coeur, anneaux, sur le
cié à un peu de rouge. Un seul cas concerne un tatouage rouge (deux
lettres
en rouge) au milieu de la poitrine. P. KERAVAL.
calme et bien portante. La suggestion s'est toujours réalisée à la
lettre
, et cela depuis dix ans. Dernièrement cette per
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations
centres corticaux. B... Pierre, soixante-cinq ans, professeur de
lettres
. Entré à l'Infirmerie du Dépôt le 6 juin à neuf
erme générique des agnoscies portant sur tous les sym- boles, mots,
lettres
, chiffres, signes, notes de musique, formules,
ents et ses interprétations de certains faits. Dans beaucoup de ses
lettres
, un médecin psychologue reconnaîtra sans peine
ut voir un homme saigner du nez. Il a des doutes : quand il met une
lettre
à la poste, il retourne plusieurs fois de suite
s : Procédé de Llepmann. « Je vois, dit-il, une croix, il y a des
lettres
dessus, P. A. P., une statue de femme..., un enfa
ce du 10 avril 1900. - Présidence DE M. Jules Voisin Suggestion par
lettre
. M. Jules Voisin rapporte le cas d'une jeune fi
assez vite de phobies et d'obsessions en lisant régulièrement une
lettre
qu'il lui avait remise dans ce but. M. BERNIIED
t,. désespérée : elle vit ses crises disparaître après avoir lu une
lettre
dans laquelle je lui affirmais qu'elle était gu
'elle était guérie. Une autre fois encore, la même sug- gestion par
lettre
débarrassa cette femme d'obsessions et d'impul-
nce. Mais trois mois après, 1 incontinence reparait. Il m'écrit une
lettre
éplorée. Alors je lui envoie ma carte de visite
PLANCHE VI. Face externe au convexe de l'hémisphère gauche. Les
lettres
ont la même signification que celles de la Planch
ace interne de l'hémisphère gauche. F. 0., foyer ocreux. Les autres
lettres
ont la même signification que celles de la Plan
azès, 521. Le bleu de méthylène moyen de - , par Voisin, 450. par
lettre
, par Voisin, Beriitieim, Béril ! on, 529. S
élivré de son obsession par la sugges- tion. Un troisième, dans une
lettre
à l'un de nous, s'exprime ainsi : Ne pourrait-o
n IV.-R... M... vingt-un ans, intelligent, instruit, ba- chelier es
lettres
est atteint d'ereuthophobie. Il a rédigé lui-même
libre (dédoublement objectif), hallucinations de la vue, visions de
lettres
grecques lumi- neuses, apparition de saint Mich
j'ai pu le faire, ce qui m'arrive souvent. x Le passage suivant des
Lettres
spirituelles sur l'Oraison mon- trera que l'aut
de leur attribuer leur signification usuelle : la percep- tion des
lettres
, des sylllabes et des mots est parfaitement con-
toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre il leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations,
demandons en matière de visites au règlement de 1857 qui, pris à la
lettre
, n'autorise à visiter hors des quartiers que le
carmin, éclair- cies dans l'huile d'oeillet (Stricker,Ha ? ! d6. d.
Lettre
von den Geiveben, 1870); il vit les prolongemen
u moins pour écrire à la plume, hésitations légères pour former les
lettres
, maladresse pour diriger les lignes; 2° l'écrit
es articulant. L'articulation résulte un peu gutturale, et quelques
lettres
sont constamment substituées par d'autres. Les
des Invisibles. Ce sont des questions relatives à des chiffres, des
lettres
ou des mots (ques- tions qu'elle prétend lui êt
à évolution, car la malade a suivi toutes les étapes elle a vu des
lettres
de feu, des apparitions consolantes et pré- sen
lui font ainsi . répondre par des jeux de mots, des chiffres et des
lettres
. Lorsqu'elle a trouvé ses réponses, elle est so
nge, car dans les plis pourraient se trouver des hosties ; point de
lettres
fermées avec des pains à cacheter ; pas de prom
journée à traîner sur les bancs dans la cour. Il ne connaît pas ses
lettres
, ni ses chiffres, n'a rien appris en gymnastique,
alme i. Entré à l'école le 20 octobre 1879, D... ne connait pas les
lettres
ni tracer aucun caractère d'écriture. 11 additi
1880. 21 septembre. - Le maître obtient de lui faire répéter les
lettres
et d'en tracer pendant huit à dix minutes. - D...
es. Après un court séjour à l'asile la malade écrit à son frère une
lettre
, signée aussi du père, dans laquelle elle l'exh
apon, prix : 4 francs; pour nos abonnés, 2 francs. , BouRKEvn.LE.
Lettre
aux membres de la 3° commission du Conseil géné
es « cellules psychiques ». Chez les poissons, qui, « au pied de la
lettre
, ne manifestent aucune intelligence » (ce que je
te liaison, et alors Olmstead (le malade porte ce nom) l'accable de
lettres
, et le suit partout, lui rendant la vie intolér
ui rendant la vie intolérable. Enfin Clifford remet à ses chefs les
lettres
de son persécuteur et celui-ci est révoqué. C'e
ment -atteint de mélancolie hystérique. Il écrit au D'' Talbot une
lettre
où il se juge plus que sévèrement, s'indigne lui-
lejuif, la 3° Commission du Conseil général, dit M. Le Roux dans sa
lettre
introductive du projet à la Commis- sion de sur
dont faisaient partie Le Roux et Pelletier, avait donné son ' La
lettre
adressée à M. le Président de la Commission est d
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations
t diffi- ciLesà L"'0J10nCI'I', el,en général, tous les mois avec la
lettre
« r ». Comme témoignage jusqu'à quel point la v
par exemple : il voit les lignes, mais ne peul pas distinguer les
lettres
même les plus grandes. L'examen objectif n'a mo
Elle s'adressa à moi el, me demandant conseil, elle me présenta une
lettre
dans laquelle je lus ce qui suit : « Je me suis
A propos de la sphère sexuelle la malade continue dans une autre
lettre
: « Quand je me suis adressée pour la première
de la phobie du regard d'autrui ; j'extrais cette description d'une
lettre
qui me fut adressée par une personne de Hongrie
ssion impure de son visage ; dans le 4' cas le malade parle dans sa
lettre
d'un clignotement très fort des paupières, En o
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
de réabonnement et ci toutes leurs réclamations
e l'Isère et du Morbihan, cette circu- laire est restée à l'état de
lettre
morte. Tout cela et bien d'autres choses dans l
antonnier ou d'un facteur ! ! ! Vous voudrez bien excuser ma longue
lettre
. )lais la sollici- tude constante que vous n'av
ements que j'avais promis de vous envoyer dans une de mes dernières
lettres
au sujet du personnel de sur- veillance de l'as
quelques années et adopté en principe, été ajourné sine (1) Voir la
lettre
de M. le D' Dubuisson dans le Il' 113. 154 CORR
, transférer au besoin un aliéné dans un autre quartier, porter des
lettres
de malades à la direction, prendre des livres à
r les grands sacrifices qu'elle a déjà faits pour les sciences, les
lettres
elles arts, et pour ceux qu'elle est toute prêt
. Nous le ferons suivre du texte du Projet qui l'a math ée et d'une
lettre
de M. le'])'' Lauriffe. 1) Dide. Récemment, la
isait allusion mon distingué collègue le doc- teur Masselon dans sa
lettre
au Progrès médical du 29 juillet 1905 : Le pl'o
uraient de nouvelles observations pour ou contre]» projet. (Voir la
lettre
de 51. le DI' Meilhon sur le même sujet, dans l
lLe étiquette est trompeuse et ne doit pas être prise au pied de la
lettre
. Dans une statistique de 41 cas, des blessures
notoirement insuffisant l'asile Saint-Robert. AI. H. Monod, dans sa
lettre
introductive au Conseil avait déjà in- voqué le
pas grand'cho- se», pour « une lille publique ? Elles ont écrit une
lettre
pour la dénoncer comme folle. Ces idées de pe
absents de Paris ou empêchés pourront demander leur inscription par
lettre
chargée. Toute demande d'inscription faite aprè
t la forme des lignes, la direction, la forme et l'a- gencement des
lettres
, etc. Viennent ensuite les altérations des imag
duction par des mouvements appropriés de l'image v isuelle d'une
lettre
(image littérale), ou d'un mot (image verbale), a
ion. Dans le premier cas, le malade est incapable d'écrire soit les
lettres
, soit les mots (agraphie littérale ou verbale)
ittérale ou verbale) ; dans le second, ce sont également tantôt les
lettres
, tantôt les mots qui sont employés hors de propos
ogie, chargé du cours de psychologie expérimentale à la Faculté des
lettres
, dirigera les exercices pratiques de psycholo-
toute erreur, nous prions également nos abo1Z1zés de joindre à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations
es a sur le champ à sa disposition que si on lui en dit la première
lettre
ou les premières lettres, ou si on les lui écri
isposition que si on lui en dit la première lettre ou les premières
lettres
, ou si on les lui écrit. Quand on lui a nommé l
ce mot lui revient instantanément dès qu'on lui en dit la première
lettre
, ou qu'on lui en présente l'image écrite. Lec
lui en présente l'image écrite. Lecture ; écriture. Il ne peut lire
lettres
, mots, nombres, imprimés ou écrits. Mais il lit
ut lire lettres, mots, nombres, imprimés ou écrits. Mais il lit les
lettres
et les nombres, dès qu'on les a tracés sous ses
; il lit les mots en les épelant dès qu'on lui en a dit la première
lettre
, il les écrit dès qu'on lui en a tracé la premi
première lettre, il les écrit dès qu'on lui en a tracé la première
lettre
, et immédiatement après, il est encore capable
de l'écrire sans qu'on soit obligé de tracer devant lui la première
lettre
: ,Si on le distrait par une digression, il dev
istrait par une digression, il devient incapable de reconnaître les
lettres
et les nombres qu'on avait écrits devant lui. S
st défectueuse, le patient appuyant sur la ressemblance de quelques
lettres
avec d'autres. Il reconnaît lentement les des-
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
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très bien la sensation de position de ses membres et reconnaît les
lettres
que l'on trace dans sa main à l'aide d'une épin
etzche à montrer, par l'analyse de sa vie, de ses oeuvres et de ses
lettres
, qu'il ne passa REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 23
e ce fait que je ne me plaisais pas dans ma nouvelle résidence. Les
lettres
de ma soeur étaient tout ce qu'il y avait de pl
pêchait d'aller, .le me plaignais et gémissais sans cesse, dans mes
lettres
; je voulais quitter cet établissement et je me
t ne sortais jamais vainqueur de ce que j'avais à faire -une simple
lettre
à écrire m'occupant pendant plusieurs heures. D
entrale. Il écrit même à son frère à cette intention, nous donne sa
lettre
qui part au domicile des parents. Quelques jour
s après, visite de ses grands parents, qui ne comprennent rien à la
lettre
et nous affirment qu'il n'y a rien de vrai dans l
ssus le mur, non sans avoir deposé en vue sur un banc du jardin une
lettre
à l'adresse d'un de ses maîtres, où il annonce
rechercher mon corps ». Son absence est remarquée aussitôt et la
lettre
trouvée de suite. Nous envoyons au barrage un i
, sur notre avis, sortir quelques jours, et il rentre seul avec une
lettre
de son grand-père manifestant l'agréable impres
onnaître son nom dans un autre qui est composé à peu près des mêmes
lettres
et qui en diffère cependant d'une façon très ne
Le malade reconnaît les chiffres. Il reconnaît un petit nombre de
lettres
de l'alphabet, non sans être obligé de faire un
mblée, empreinte de mala- dresse. Il peut également tracer quelques
lettres
, a, o,- et tous les chiffres, mais il ne peut é
Je vais le faire écrire avec des cubes de bois, représentant des
lettres
. Il reconnaît bien quelques voyelles, mais il lui
gaz d'éclairage, et écrit d'une écriture grossièrement tremblée une
lettre
à un collègue qu'il appelle à l'aide. Il avait
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
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rent tantôt directes, tantôt croisées. Lombroso déclarait, dans une
lettre
ouverte du 8 avril 1886, que les résultats ains
biol., 14 janvier 1882. · ' V. Lo Sperimentale de nov. 1885; et la
lettre
de Lombroso, datée de Livourne. le 8 avril 188,
le D'' Arnaud (de Saint-Gilles), qui avait assisté à la séance, une
lettre
dans laquelle il soumet à notre appréciation un
affecté de la diminution en question de la sensibilité, traçait des
lettres
plus grosses et paraphait plus grand quand on l
re et d'intelligence. Le surlen- demain, il écrit à ses parents une
lettre
pleine de sens, dans laquelle il raconte qu'il
mémoire, dit qu'il est d'Essen, que son père y habite et écrit une
lettre
chez lui dans laquelle il raconte qu'on l'a tra
ce à se mon- trer. Remarquons qu'il a cependant écrit de nombreuses
lettres
témoignant de cette incertitude typique dans le
ernement, sur lequel il fournit des explications sans liens : « Ses
lettres
, dit-il, ne sont qu'un passe-temps; mais il n'a p
garde, il l'envoya le lendemain chez un officier général, avec une
lettre
qui contenait l'ordre suivant : « Le porteur a
en, auraient du reste été prompte- ment dissipés à la lecture d'une
lettre
que l'enfant, voyant son hésitation, lui remit.
d'une lettre que l'enfant, voyant son hésitation, lui remit. Cette
lettre
, signée du même nom, portait en substance que l
. 312 CLINIQUE NERVEUSE. Il ne faudrait pas prendre au pied de la
lettre
le caractère symétrique de ces névralgies, car
e et à écrire, mais son écriture se ressent de son tremblement, les
lettres
sont assez régulières, mais les lignes qui les
l'analyse n'entre pas dans le cadre de cette étude (la grandeur des
lettres
, la façon de les écrire, le nombre de lettres,
de (la grandeur des lettres, la façon de les écrire, le nombre de
lettres
, l'état mental du sujet, etc.). L'expérience a
e ne pouvoir déterminer, au moment même de l'expérience, aucune des
lettres
composant le mot; mais de trouver ce mot tout e
rassemblant d'abord dans la mémoire les parties isolées d'une seule
lettre
, en combinant ces parties, et, petit à petit en
ettre, en combinant ces parties, et, petit à petit en formant les
lettres
, puis le mot tout entier. Nous pouvons formuler
si simple et aussi peu coûteuse que possible, c'est-ci-dire par une
lettre
ordinaire adressée directement au président du
où en est le devoir. On leur demandera, par exemple, de compter des
lettres
, d'apprendre par coeur des groupes de nombres o
aucun accident t nerveux. ,1901. - Le 23 janvier, nous recevons une
lettre
d'un M. Z.. nous demandant un rendez-vous afin
usqu'au 38 novembre, elle a eu deux crises en juillet et 5 en août (
lettre
de AI. J. Voisin). Les parents la reprennent al
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations
la favorisait, elle continua de lui écrire de longues et fréquentes
lettres
, qui, très goûtées, furent imprimées plus tard.
ont les quatre premiers parurent de son vivant, il faut ajouter ses
lettres
(Las Cartas) qui furent re- cueillies après sa
; c'est alors trop le docteur en théologie et pas assez la femme de
lettres
qui tient la plume. Au xme siècle déjà, il y av
rétion chez les aliénés. R. de Musgrave CLAY. VIII. Le Juif aliéné,
lettre
ouverte au D1' C.-F. Beadles, par le professeur
'attribue à ce fait que le malade exerçant la profession d'homme de
lettres
, l'appareil musculaire innervé par ce nerf réal
liers et plus nets : par exemple, dans une page d'im- pression, des
lettres
dont on distingue bien la forme et le caractère;
malade fait continuellement allusion, dans ses discours et dans ses
lettres
, aux voix qu'il entend; il suf- fit de l'examin
ville, qui s'honore d'avoir en tous temps aimé les sciences, les
lettres
et les arts, a donné à la science médicale des no
et dans sa structure. Signe des temps : on voit des Facultés des
Lettres
elles-mêmes laisser, pour un moment, les longues
malade trace une série de signes incompréhensibles dont la première
lettre
le G est seule reconnaissable. -Le 14 février, au
es dans les dernières journées. 2° Si, en écrivant, il oublie des
lettres
ou des syllabes, ou fait des fautes d'orthograp
cours à son ardeur épistolaire en envoyant chaque jour plusieurs
lettres
à M. J..., qui déclarait : « C'est étonnant. on c
l'autre 3 francs. Une autre fois, on l'envoie à la poste avec six
lettres
non affranchies et 2 francs ; elle garde l'argent
on affranchies et 2 francs ; elle garde l'argent et fait partir les
lettres
; comme les destinataires se plaignent dans la s
onstater une fois de plus, le danger qu'il y a d'accepter trop à la
lettre
un témoignage d'enfant ? Car enfin que serait-i
ers et ses amis, et sa correspondance privée contient de nombreuses
lettres
où l'on voit toute l'affection et toute l'estim
euse complication du problème. Beau- coup de ces enfants sont, à la
lettre
, « nés fatigués » et leur fatigue cérébrale, co
temps ce malade redevient lucide pendant quelques heures, écrit des
lettres
raisonnables, se conduit correctement pour retomb
ar des périodes de transition D, et ce passage fut long. Dans des
lettres
à sa soeur et à son beau-frère, il se montre so
pièces par ses ennemis, errait sur les bords du Pô, et signait ses
lettres
Dio- nysos : une de celles-ci étant parvenue à
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur
lettre
de réabonnement et à toutes leurs réclamations
gantisme. Insuffisance hépatique. Voir Délire. Juif aliéné, Le -,
lettre
ouverte au 1)' Beadles, par Benedik, 154. Kor
impossibilité absolue de prononcer certaines syllabes ou certaines
lettres
de l'alphabet. C'est ce qui a lieu par exemple
ines lettres de l'alphabet. C'est ce qui a lieu par exemple pour la
lettre
x. Si l'on invite le malade à dénommer cette le
exemple pour la lettre x. Si l'on invite le malade à dénommer cette
lettre
, il articule gi, ! il, fait des efforts incroya
suivante : Un Queun, Deux- Gueen, J'J'vi, Quoi; 3° enfin certaines
lettres
ou certains mots peuvent être prononcés d'une f
mpter, il dit : mun - deux trois quate, etc., Il prononce ainsi les
lettres
de i'aiphabet a = ma ; b=bé; c = ce ; d = dé ;
irant : u = mu =hu ; a = ma = ah. Il appuie davantage sur certaines
lettres
, exemple : bas = baas. La langue est toujours f
mbé ma-malade et que-ej'ai été-éforcé de ve-enir à-l'hôpital. Les
lettres
sur lesquelles il hésite sont presque toujours le
ances. Les troubles de la prononciation portent à la fois sur les
lettres
prises individuellement, sur les différentes sy
depuis qu'il est à l'asile, il n'a pas voulu le croire, malgré les
lettres
annonçant la perte qu'il venait de faire. C'est p
trer son écriture et son style; j'ai déjà reçu d'elle deux ou trois
lettres
, bien tournées mais un peu longues, dont je vou
r seconde. ,L'écriture, quandlamain est atteinte, est tremblée, les
lettres
sont bien formées ou. à peu près qnand le tremb
éparées à l'avance et ne manquant pas d'une certaine recherche. Les
lettres
dont elle nous accable sont écrites dans un sty
t comme durée. M. Faucher (de la Nièvre) envoie une proposition par
lettre
sur la retraite des médecins d'asile. Le Cong
sans douleur, par M. Hewetson. On l'endormit par la lecture de la
lettre
suivante : a Cher M. Turner, je vous envoie une m
omme dormait la nuit par l'ordre que le Dr Bramwel lui envoyait par
lettre
ou par télé- gramme. -L'assemblée a été levée a
faut encore distinguer la forme de cette ombre, il faut lire les
lettres
. Les exigences sont ainsi bien plus grandes, l'
'est plus discernable; enfin la lisibilité plus ou moins grande des
lettres
y joue aussi un certain rôle. Au cours de nos
nt sous la dictée ou de copier sans répéter, omettre, confondre des
lettres
et des syllabes; notons que la malade lit bien
st incapable de lire de longs mots parce qu'elle oublie la première
lettre
quand elle ar- rive à la dernière. Dessins à l'
n effet de M. Giraud, médecin-directeur de l'asile de Saint-Yon une
lettre
dans laquelle il nous demande de lui procurer d
estion en Angleterre, ainsi que l'indique l'ex- trait suivant d'une
lettre
adressée au l3r·itsila Médical Journal, par not
i, vers le milieu du mois de- janvier 1602, lui fit-il remettre des
lettres
l'informant sommairement des faits habi- tuels
avec sa bonté habituelle quelles mesures il fallait prendre. Ces
lettres
furent lues au Sénat. Il fut décidé d'envoyer u
ntôt en résulter. Notre premier soin fut de demander au Sénat des
lettres
pour le gouverneur de l'île Saint-Jean. On lui de
soient. De plus, tioics insérerons dans la mesure du possible, les
lettres
com- mentant ou critiquant cette discussion qu'
première. C'est par cette dernière mémoire que nous saisissons les
lettres
et les mots que l'on nous fait tracer passiveme
lus fréquentes. 11 ne faut du reste peut-être pas prendre trop à la
lettre
l'assurance de J... qu'il n'a pas fait abus de
ls soient. De plus, nous insérerons dans la mesure du possible, les
lettres
com- mentant ou critiquant cette discussion qu'
ment aratoire'. Huit mois après cette évasion, le 17 juin 1886, une
lettre
de Grandid... à son grand-père, administré de l
avons écrit au directeur de cette prison qui nous a appris, par une
lettre
en date du 30 juin 1886, que notre malade avait
merie de Gaillon après avoir été reconnu atteint d'épilepsie. Une
lettre
de il. le Dr Boularan, médecin du quartier spéc
août 1886 l'un de nous adressait à M. Gragnon, préfet de police, la
lettre
suivante, relatant ce qui avait déjà été tenté
de nous envoya à M. Demôle, ministre de la justice, la copie de la
lettre
ci- dessus, en insistant sur la nécessité d'ann
Le 4 octobre suivant, c'est-à-dire plus d'un mois après la première
lettre
à M. Demôle, et huit jours après une nouvelle l
la première lettre à M. Demôle, et huit jours après une nouvelle
lettre
au même ministre, en l'absence de toute réponse,
Gran- did..., vieillard liospitalisé à Bicêtre, me communiquait une
lettre
de son petit-fils apprenant qu'il était à la pr
gré à Bicêtre. N'entendant parler de rien, le 28 août j'écrivis une
lettre
à M. le Préfet de Police qui me répondit le len
s'étant écoulé sans réponse, mois de vacances il est vrai, par une
lettre
en date du 29 septembre, je rappelai aM.ieMinis
du 29 septembre, je rappelai aM.ieMinistredefaJusticema précédente
lettre
; voilà bientôt huit jours de cela et ma seconde
a précédente lettre; voilà bientôt huit jours de cela et ma seconde
lettre
n'a pas été plus heureuse que la première. C'es
affaire et promettait s'en occuper d'urgence. 18 octobre. Nouvelle
lettre
au préfet de police dont nous extrayons le pass
e l'on puisse remarquer une difficulté spéciale pour telle ou telle
lettre
(toutes les syllabes ont été essayées). Le ton
ls soient. De plus, nous insérerons dans la mesure du possible, les
lettres
com- mentant ou critiquant cette discussion qu'
au milieu desquelles on reconnaît à peine çà et là l'ébauche d'une
lettre
(agraphie cérébelleuse par ataxie ou incoordinati
es de stratagèmes pour ne pas man- ger ainsi qu'on le verra dans la
lettre
qu'elle m'écrit alors; son état empire de telle
ui de 80 livres passées. , Je veux ajouter à cette observation la
lettre
que j'ai reçue de cette jeune fille lorsqu'elle
es vulgaires, par l'isolemenl, mais l'état mental que va révéler la
lettre
suivante ne doit-il pas compter comme un essent
ne doit-il pas compter comme un essentiel stigmate ? Voici cette
lettre
dans ses parlies principales : Monsieur le doct
que les fumeurs avaient le cerveau et le crâne tout noirs. Dans une
lettre
à Bartholin, Borrichins rapporte qu' « une pers
Manquat et Grasset, le malade n'ayant plus de jugement écrivait des
lettres
insolentes à ses supérieurs, mais suffisamment
t un homme, instruit aupa- ravant qui maintenant ne peut écrire une
lettre
qu'avec de nombreuses fautes et qui écrivant sp
t aussi moins adroits ; l'écriture était moins nette, tremblée, les
lettres
moins bien formées. Son ca- ractère a changé pe
endre compte de l'altération de l'é- criture qui est tremblée ; les
lettres
sont irrégulières, inégalement distantes, quelq
un moment d'irritabilité morbide, avait écrit à un de ses chefs une
lettre
qui entraîne pour lui des désagréments considérab
osent à de tels ridicules par une passion si funeste. Il cite une
lettre
de Lipsius à un de ses amis dans laquelle il lui
ainsi contre toute nécessité, qui remplit son nez de tabac perd ses
lettres
de recommandation : la beauté et la prudence. V
posi- tion de notre auteur. Nous avons dit que, très versé dans les
lettres
grec- ques et latines, Cohausen imite à chaque
e d'un de ces accès, il écrivit en décembre, à un de ses chefs, une
lettre
violente dont il oublia pres- que aussitôt le f
c sa main gauche. Il éprouve de grandes difficultés pour écrire une
lettre
et fait toujours des fautes ; en écrivant sous la
t parler très lentement, cependant il ne prononce qu'avec peine les
lettres
h. m. n. v. x. Il y a un léger rétrécissement d
1). Il faut faire une exception cepen- dant pour le brouillon d'une
lettre
qu'il adressa à Ludovic le More, alors régent d
nt du duché de Milan pour le compte de Jean Galéas son neveu. Cette
lettre
dans laquelle il offrait ses services et faisait,
Comme le pense M. Séailles (6), il est probable que ce brouillon de
lettre
fut dicté par Léonard, mais qu'il ne fut pas écri
oli ». Mais dans l'écriture en miroir ce n'est pas seulement chaque
lettre
qui est renversée, c'est le mot dans son entier e
ui-même la clef qui permet de déchiffrer son écriture. En effet les
lettres
, facilement reconnaissables bien que renversées,
ée elle reproduisit en miroir de la main gauche les chiffres et les
lettres
qu'elle copiait. Rose a continué à apprendre à
et, malgré toute l'attention prêtée, on trouvera toujours quelques
lettres
renversées. » Il est aisé de concevoir que l'éc
n de M. Du- rand. La représentation mentale de l'image visuelle des
lettres
telle qu'elle . se manifeste à notre esprit, c'
la main droite, nous nous exerçons à copier une image visuelle (de
lettres
) dont on nous a d'ordinaire déjà appris la signif
en d'au- tre termes nous lisons d'abord et nous copions ensuite les
lettres
ou les mots lus. Mais on voit immédiatement que
se douter de ce qu'il fait, il trace des formes, c'est- à-dire des
lettres
, auxquelles son oeil n'est pas habitué, si bien q
ses : on peut admettre d'abord que le sujet renverse mentalement la
lettre
qu'il va écrire et copie ainsi une image retour
rche à écrire en miroir, je commence souvent par me représenter les
lettres
renversées et je ne les écris qu'ensuite. Mais
ique de ces mouvements, constitués par les parties élémentaires des
lettres
. On conçoit dès lors très bien d'une part qu'ex
bulisme et prononce les paroles suivantes : « V..., il y a quatre
lettres
à votre nom ; cinq minutes après votre réveil,
ientôt vont apparaître des gouttelettes de sang, formant les quatre
lettres
de son nom (lettres de un centimètre et demi de
re des gouttelettes de sang, formant les quatre lettres de son nom (
lettres
de un centimètre et demi de hauteur). Quelques
is du gon- flement ; et enfin des gouttelettes de sang dessinent la
lettre
A, sur la partie médiane du front, un peu à gau
me précédemment et tient le langage suivant : « V..., il y a.quatre
lettres
à votre,nom. Un quart d'heure après votre révei
. Son écriture, les substi- tutions de mots qu'on remarque dans une
lettre
à sa mère étaient d'un aphasique. « Il semble q
'il est parvenu à en trouver la première syllabe ou les pre- mières
lettres
, à attendre que le reste lui vienne. La lecture e
e d'observations le démontrent. » Si on prend cette conclusion à la
lettre
. on sera de l'avis de l'auteur M. S...; souvent
l'asile, elle apprit l'alphabet, put épeler quelques mots de trois
lettres
et écrire deux lettres sous la dictée ; elle ad
'alphabet, put épeler quelques mots de trois lettres et écrire deux
lettres
sous la dictée ; elle additionnait jusqu'à 5, c
acrée); llarnl. BERNHARDT. Contribution A L4 maladie DE 'II011SEN :
Lettre
DE Thomsen A M. Bernhardt. (Cen- li-aibl. f. Ne
(surdinrutilé, lésions du nerf optique, etc.). M. Thomsen écrit une
lettre
spéciale pour confirmer à nouveau la non-consan-
sont bien tendues; cependant il lui est impossible de prononcer la
lettre
A. L'en- trée du pharynx est peu sensible. Le b
à l'asile de six à huit ans, Victor n'y a rien appris, pas même ses
lettres
; il n'aimait pas à jouer avec les autres enfants,
i- tution, de moeurs sobres et morales; ils doivent présenter des
lettres
certifiant leurs moeurs et leurs qualités de deux
us. Les diplômes de l'école d'infirmières sont reçus à la place des
lettres
. Pour l'instruction des femmes, les directeurs
PLANCHES. PLANCHE IV. - Face interne de l'hémisphère droit. Les
lettres
ont la même signification que celles de la planch
NCHE V. ' , " Face externe ou convexe de l'hémisphère droit . Les
lettres
ont la même signification que celles de la planch
’intérieur de votre corps?— Parfaitement. » Le ier janvier iS5a, la
lettre
suivante est écrite par la malade au général et à
pour vous votre protégée. t Eugénie MOREL. » L'écriture de celte
lettre
est un peu tremblée, mais parfaitement lisible.
ntion d’ajouter quelques mots à ces savantes considérations, mais une
lettre
de M. Ordinaire est venue nous en distraire. Il a
S. ln petit journal de la Nouvelle-Orléans, la Semaine, a publié la
lettre
suivante, dans ses numéros des 12 et 10 octobre d
de naissance, il est revenu dans sa patrie, d’où il nous a envoyé la
lettre
et la relation qui suivent : A Monsieur le baro
la Société du magnétisme de la Nouvelle-Orléans, lequel me remit une
lettre
pour M. le commandant Laforgue, de Pau, une autre
erf olfactif droit a sa paroi ouverte pour en montrer le canal. Les
lettres
groupées ont le même sens que dans lang. i™ de
agne le commencement de l'oesophage. On oublié sur cette figure les
lettres
du grand sympathique qui se termine comme à l'ord
cervelet. Les chiffres romains ont la signification ordinaire; et les
lettres
italiques celle des deux figures précédentes.
r sa- tiné. 56 fr. Le même ouvrage, papier vélin, fig. avant la
lettre
. 72 fr. Le même, grand raisin, figures tirées s
Prix, broché : Papier satiné 18 fr. Papier vélin, figure avant la
lettre
5u fr. Papier grand raisin, épreuve sur papier
du côté gauche. Observation V. M. X..., trente-deux ans, homme de
lettres
, nous est adressé le 3 juin 1883.- Antécédents de
rnant un malade atteint de phéno- 1 Le professeur Semmola, dans une
lettre
qu'il nous adressa il ce sujet le 28 mai 1882,
vous n'oseriez pas imposer l'obligation et qui, ou bien resteraient
lettre
morte si, comme cela m'a semblé ressortir des d
. Nous' com- mençons donc par mettre en première ligne la savante
lettre
écrite sur cette même jeune fille par Jean Langiu
li- gence ne s'est jamais développée, il n'a pu apprendre que ses
lettres
, ne savait pas compter spontanément ; il répondai
allé en classe et n'a jamais rien appris; il connaît seulement ces
lettres
, ba, be, bi, etc. Quand il y avait un répitaprè
rant que, sous la dictée, les débiles ou les imbéciles omettent des
lettres
, dans l'espèce, l'r et l'l. Ces deux linguales
e mon frère, parce qu'ils me tourmenteraient davantage. u Plusieurs
lettres
que le malade m'a remises sont remplies de conc
re à agir, ce fut à la fois l'agitation croissante du malade et une
lettre
de son conseil judiciaire qui, ému de l'état de
e, et ornée de cartouches aux initiales R. F. Elle porte, gravée en
lettres
d'or, l'inscription suivante : . Le 3 août 18
tige. Là, tous les jours, j'ai été dans l'impossibilité de lire une
lettre
et même deux ou troislignes des psaumes. Au bou
vanouis; ces trois derniers jours, je n'ai même pas pu regarder une
lettre
. J'ai eu une autre visite du diable. Ma maladie
(à l'aide de son photomètre) par l'éclairage nécessaire pour qu'une
lettre
donnée soit à peine per- ceptible à une distanc
nts degrés d'éclairage et de différence relative entre l'objet (une
lettre
) et le fond. Wolfssberg * a fait également des
érence et la valeur optométrique de la différence relative entre la
lettre
et le fond); ce parallélisme présente toutefois
e intensité ne sont plus perçus qu'à l'état de silhouette, mais les
lettres
ne sont plus reconnaissables. Le seuil du car
erreur provenant de la lisibilité plus ou moins grande de certaines
lettres
. On pourra, si l'on veut, pour la confection de
prendre une épingle sur la table. L'é- criture n'est pas ferme, les
lettres
sont inégales. Le muscle opposant du pouce est
tez-moi, messieurs, de vous donner, à cette occasion, lecture de la
lettre
ci-après que M. le Ministre de l'Intérieur ter
ection. Mon attention a été appelée de nouveau sur ce point par une
lettre
de mon collègue des hôpitaux, M. DU11lontpallie
Bertillon de faire des recherches sur ce point parti- culier. De sa
lettre
en date du 25 avril, il résulte qu'il n'y a pas
s, je vous demande la permission de reproduire ici un passage de la
lettre
que j'écrivais à ce sujet à l'Administration, l
le de donner une suite favorable au voeu de la Commission. «Cette
lettre
dont, après avoir donné lecture, je me borne aujo
'y parvient pas. On fait sentir au malade un morceau d'enveloppe de
lettre
. On lui demande s'il sent, et il ré- pond « oui
ien et je voudrais bien coucher avec toi. D Elle ne connait pas ses
lettres
, ne sait pas écrire, compte jusqu'à 10, disting
légumes. Au point de vue de la parole, et de la connaissance des
lettres
, nul progrès sensible. Antécédents. 121 Mars.
rchette et du couteau. - 1883. Janvier. - Gem... connaît toutes les
lettres
; toute- fois la prononciation reste défectueuse
oides. 1887. -L'enfant prononce toujours très mal, il connaît ses
lettres
, les chiffres, les objets usuels, mais en résumé
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