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1 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
t insupportable. 1902. — L'enfant commence à écrire des barres, des lettres , des chiffres. Il connaît les couleurs, les surfa
u de solution, que cette année, la veille de notre départ. Voici la lettre de M. G. Mesureur, fixant les attri-butions de M.
r, Comme suite aux propositions que vous m'avez transmise par votre lettre flu 10 février courant et relative aux fonctions
l'écriture en apprenant la géométrie, et en s'exerçant à dessiner des lettres et des chiffres en se basant sur le tracé de la c
lorées sur fond noir, images blanches sur fond noir), à apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond ? blanc, puis le
oir, images blanches sur fond noir), à apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond ? blanc, puis lettres beaucoup pl
apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond ? blanc, puis lettres beaucoup plus petites); pour l'éducation de la pa
Legraux, de Paris(l); Mlle Emilie Mac Lean, M. Eugène Morel, homme de lettres ; M. Alexandre Malarevsky, M. le Dr S. Maupaté, di
Menuiserie. 2 coffres, 10 châssis pour le jardinier, 6 séries de lettres et chiffres pour les classes, 1 casse à bâtonnets
. — Ordres du jour des Commissions. — Affiches diverses. — Entêtes de lettres . — — Divers imprimés pour les Ecoles d'infirmière
oir sa nouvelle adresse. Nous avons essayé aussi de les convoquer par lettre . La plupart, n'ayant pas besoin de nous, ne se re
.................... 53 — décorateurs..................... 5 — en lettres ......................... 1 — en voitures.......
availler. Il ne veut même plus écrire et la lecture reste limitée aux lettres a, e. i, 0, u. 1904. — L'état de l'enfant Beau.
'enfant commence à nouer, à lacer et à boutonner ; il peut placer les lettres , les chiffres et les couleurs sur le tableau, et
commence à Fig. 10. — Maz., à 15 ans (1899). reproduire quelques lettres sur l'ardoise et connaît toutes les lettres de l'
9). reproduire quelques lettres sur l'ardoise et connaît toutes les lettres de l'alphabet, ainsi que quelques surfaces, telle
eur et moins méchant. 11 travaille bien à la fiasse, connaît quelques lettres O, I, U, A, et commence à faire les barres et les
fant vient à la petite école, a appris à con-naître les couleurs, les lettres et les surfaces. Il exécute bien tous les mouveme
omme les parties de son corps, les couleurs, les chiffres et quelques lettres . XV. Le bih... (Cyrille), idiotie profonde; sur
lacer, nouer, boutonner, distingue les couleurs et reconnaît quelques lettres et quelques chiffres. 1905. ?— Le Biha... est r
a-vailler avec plaisir. Assez rapidement, il a appris à connaître les lettres , les chiffres et à les reproduire; actuellement,
st très mal doué. Avec difficulté il es* parvenu à tracer tou-tes les lettres et les chiffres, établit une relation entre eux e
et la gauche très maladroite; il trace plus ou moins bien toutes les lettres . L'instabilité mentale, quoique amoin-drie, exist
âgé de 7 ans 1/2. Cet enfant, à son arrivée, ne connais-sait que les lettres et les chiffres; d'une instabilité et d'une inatt
tonner et nouer. Il connaît et nomme les couleurs, les sur-faces, les lettres et les chiffres qu'il arrive à reproduire sur l'a
uire sur l'ardoise. Il commence même à former et à assembler quelques lettres au crayon sur le cahier. Les colères assez fréque
que l'en-fant a voulu représenter, enfin il forme presque toutes les lettres et commence à les assembler. Cet enfant qui, ay
pour la lecture au syllabaire. Nous obtenons davan-tage à l'aide des lettres mobiles. La parole, chez cet enfant, continue à s
-tention est encore très grande. 1905. — Pard... connaît toutes les lettres , les chiffres, com-mence à tracer quelques bâtons
à fait ingrate, notions classiques presque nulles, ne connaît que ses lettres et un peu les chiffres; c'est ainsi qu'il confond
es boîtes aux leçons de choses. ?— En 1898, il reconnaît et nomme les lettres , chiffres, sur-faces : place bien les bâtonnets d
l sait s'habiller, lacer, nouer, boutonner, connaît ses chiffres, ses lettres , il commence à lire; nous espérons qu'il passera
nfant a été rendu propre, a appris à s'habiller, reconnaît toutes les lettres et les chiffres. 1895. — L'amélioration continu
tes phrases. — En 1894, il s'habille et se déshabille seul, place les lettres , les surfaces, les cou-leurs. Il commence à forme
s lettres, les surfaces, les cou-leurs. Il commence à former quelques lettres et chiffres en 1895. Toujours en mouvement, Fél..
ions sensées. Il a pris goût à la classe, connaît et nomme toutes les lettres de l'alphabet ainsi que les chiffres, les cou-leu
laisir en classe, est en bonne voie pour la lecture, trace toutes les lettres et les chiffres et ébauche même l'addi-tion, No
ment d'affectivité. — Au point de vue classique, elle connaissait ses lettres et ne faisait que commencer à syllaber. Elle ne s
il manuel. Aucune aptitude pour l'étude; ne connaissait pas une seule lettre et ne savait même pas tenir un porte-plume. La ph
ole étant très défectueuse, il lui est très difficile d'articuler les lettres franchement et d'émettre les sons. Sa voix est na
elle manquerait de goût pour l'étude. Enfin, elle connaît toutes les lettres , commence à écrire. Elle distingue bien toutes le
compagnes de sa division. Elle qui, au début, ne connais-sait aucune lettre alphabétique, sait aujourd'hui .syllaber, tout po
à croire que sa lecture sera courante d'ici peu; elle forme bien les lettres , elle copie très lisiblement, connaît tous les ch
ustine a pris goût à l'étude, elle qui ne connaissait pas la première lettre de l'alphabet sait aujou.rdhui syllaber par-faite
ut qu'elle était tout à fait nulle en classe, connaissait à peine les lettres et les chiffres. I0O5- — L'enfant mise en trait
difficile; elle s'intéresse cependant aux leçons de choses, place les lettres et les chiffres sans trop les connaître. Elle com
. —r Cette enfant était nulle en instruction, connaissait à peine ses lettres , ne savait pas écrire. Elle était incapable de se
orné à quelques petites copies, à faire les chiffres et assembler ses lettres . Il faut ajouter qu'Augus-tine est toujours très
ive. En classe, elle commence à écrire, forme à peu près toutes les lettres , les distingue les unes des autres, ainsi que les
. Au point de vue de la lecture, l'enfant ne reconnaît pas encore ses lettres , elle les nomme mais au hasard. Pour l'écriture,
crire quelques mots, ne fait que de petites copies, elle con-naît ses lettres et commence à les assembler. Pour ce travail, ell
en, son orthographe est encore défectueuse mais elle peut rédiger une lettre ; connaît les trois premières opérations de l'arit
it pas, mais elle était nulle en instruction, connaissait à peine les lettres . Le caractère était méchant, querelleur; elle se
gles de l'arithmétique, commen-çait la division et savait rédiger une lettre ; en un mot l'enfant pouvait se tirer de peine. El
re le sens des mots; elle commence également à copier, forme bien les lettres et les chiffres. La -parole est plus facile, le
prononcia-tion était mauvaise, elle zézayait beaucoup, prononçait les lettres ; et g comme z; elle disait zuze pour juge, touzo
également très en retard au point de vue scolaire, ne connaissait ni lettres , ni chiffres, ne savait pas écrire; vu son âge av
cole. Quand elle est arrivée parmi nous, elle connaissait à peine les lettres , les nommait avec peu d'assurance, l'écriture éta
uche est fortement dévié en dedans ce qui l'empêche de distinguer les lettres à première vue. Malgré tous ces inconvénients, el
mière vue. Malgré tous ces inconvénients, elle a appris à écrire, les lettres et les chif-fres sont bien formés, elle commence
les chif-fres sont bien formés, elle commence à copier, assemble les lettres . Tout porte à croire que l'enfant lira couramment
lligence. Elle parlait, mais avait un défaut de prononciation pour la lettre r; ainsi pour dire travaille, elle prononçait tav
rche très bien. En classe les progrès sont notables, elle connaît ses lettres , com-mence à compter, aime la gymnastique et le c
envers les personnes qui l'entourent. Elle commence à rassembler ses lettres , connaît également les chiffres, sait les placer
n'indiquait l'intelligence. Elle ne savait pas lire, mais formait les lettres et les chiffres; elle ne savait pas compter, ne p
connaît les trois premières opérations de l'arithmétique, rédige une lettre , son écriture est lisible et bien formée; en un m
re pour venir en classe le moins possible: elle n'aimait pas l'école. Lettres , chiffres, écriture, tout lui était inconnu; sa f
téresse princi-palement à la classe, elle connaît les chiffres et les lettres et commence à les assembler. Elle marche et parle
ge avec impudence. Elle était nulle pour la classe, ne connaissait ni lettres , ni chiffres, ne traçait pas une lettre; on avait
la classe, ne connaissait ni lettres, ni chiffres, ne traçait pas une lettre ; on avait toute la peine du monde à la maintenir
continus. En classe elle a appris à faire des dictées, à rédiger une lettre pour sa famille et enfin la multiplication qu'ell
se et y met toute son attention; elle écrit lisiblement, assemble les lettres , commence à compter et récite quelques fables. A
eçons de choses, ainsi que les principales céréales; connaît quelques lettres et quelques chiffres. Elle aime beaucoup la gym
, mais surtout au point de vue classique. Elle écrit lisiblement, ses lettres sont bien formées; elle suit une dictée du cours
marche et dans ses mouvements. En classe, elle ne connaissait aucune lettre et paraissait insou-ciante de s'instruire. Mise
qui paraissait nulle, s'éveilla, et elle ne tarda pas à connaître ses lettres , puis à syllaber et parvint à lire couramment à l
lle est en bonne voie d'amé-lioration. Elle aime l'école, connaît les lettres , les chiffres et commence à écrire. Ses progrès n
Elle com-mence à faire des rédactions, écrit et rédige elle-même ses lettres . — Le caractère est brusque mais non méchant. —
ttention sur ce qui lui était enseigné. Elle a appris à connaître ses lettres , à syllaber et maintenant lit presque couramment.
bonne. Il commence à s'habiller, à se déshabiller, à reconnaître les lettres , à écrire. Sait monter les escaliers, sauter. 1
es escaliers, sauter. 1898. — Assemble les syllabes, forme bien les lettres et les chiffres, s'habille seul et convenablement
2 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
rs 1840, l’estomac et la jambe gauche se paralysent, et (1, Voir la lettre du D' P. Vidart, directeur de l'établissement hyd
it dans son sommeil. Deux jours après, nous recevons de son mari la lettre suivante : i Mon cher Monsieur, « Comme nous
public. Nous avons déjà fait connaître (tome XI, page iüî>), la lettre par laquelle M. Carpentier faisait hommage à la S
es jetées à sa mémoire. Nous sommes heureux de citer le passage d'une lettre à la reine, oit se révèle dans toute sa grandeur
u, si le vice inspire un tel langage? Les sentiments exprimés dans la lettre qui précède n’étonneront aucun de ¡ceux qui ont l
ENNE. Nous empruntons au Nouvelliste de Marseille, du 7 février, la lettre suivante, dontil a reçu communication, et que plu
uses à faire à Votre Grandeur, pour n’avoir pas répondu plus tôt à la lettre dont vous m’avez honoré le 21 juillet; mais elle
ix en-Savoie, te 10 août 1841. Monseigneur, En vous confirmant ma lettre du 1" de ce mois, qui répondait à celle dont Votr
distingués. « Le vicomte DE LAPASSE. » « P. S. En relisant cette lettre , écrite fort à la hâte, je ne voudrais pas que vo
d’agir sur la matière par des agents en dehors de la matière. » La lettre et le passage qui précèdent montrent un homme imp
a manière de voir à ce sujet se trouve tout entière contenue dans les lettres que j’ai eu l’honneur de vous écrire en 1841. Vot
aves discussions... Mais les discussions ne sont pas l’objet de cette lettre . Vous me signalez dans la vôtre, Monseigneur, l
Aussi, Monseigneur, ce n’est pas sans regret que j’ai vu dans votre lettre du 20 novembre dernier, que vous aviez donné à MM
homme de science et de haute capacité. Je joins encore à mon pli la lettre de M. de Résimont, qui accompagnait l’envoi de so
de M. de Résimont, qui accompagnait l’envoi de son ouvrage, plus une lettre de M. Ternoux, ingénieur des ponts et chaussées d
s observations sur Marie Froment et M"1" Schmitz. Enfin une troisième lettre , venant d’un médecin fort instruit de Lodève , M.
Messieurs m’ont écrit, ils ne se doutaient guère, je pense, que leurs lettres arriveraient jusqu’à vous, Monseigneur, car ils n
ous et moi une correspondance polémique sur le magnétisme animal. Ces lettres feront comprendre à Votre Grandeur que le magnéti
). FAITS ET EXPÉRIENCES, 1° MAGNÉTISATION d’üN SINGE. Voici une lettre qui me fut écrite il y a plus de quatre ans, mais
(!es Plantes, se rappellera sans peine le nom du signataire de cette lettre ; car sur la cage de beaucoup d’animaux 011 lit :
encé mon pli lorsque,, successivement, je me suis vu arriver diverses lettres de médecins, de malades, d’expérimentateurs instr
ire en copiant moi-même, pour pièces à l’appui, tout ou partie de ces lettres qui, écrites de ma main, auront un caractère d’au
me pardonner le long retard que j’ai mis à répondre à votre dernière lettre , n° 1450, retard dont vous connaissez maintenant
issez maintenant les motifs; veuillez m’excuser si, dans la copie des lettres que j’ai l’honneur de vous envoyer à l’appui de m
amitié. 11 a fallu des circonstances aussi graves que celles de votre lettre du 20 novembre, pour m’engager à leur donner une
mais porté un jugement favorable. •le joins au mémoire la copie des lettres que vous m’avez envoyée en même temps. Je n ai
s et politiques de Paris, et la Société d'encouragement des sciences, lettres et arts de Milan, ont proposé des sujets de prix
naux : et, de plus, il importe que ces documents restent joints à mes lettres , puisque ce sont là les preuves de ma doctrine, p
u 1)' de llésimont, dont j’ai eu l'honneur de vous entretenir dans ma lettre du -> décembre dernier. Je le croyais depuis l
eigneur, et je n’y reviendrai pas, m’en étant assez expliqué dans mes lettres des 26 décembre et 11 janvier dernier. Quant au f
MAGIE. A Monsieur le baron du Potet. Monsieur le baron, Dans la lettre qui accompagnait l’envoi que vous me fîtes de vot
ute, de cette expérience annoncée par le Dr André, de Brème, dans une lettre qu’il adressait à la Gazette d’Augsbourg, et que
icité animale. Voici le fait, tel que le rapporte le signataire de la lettre en question, liomuie honorablement connu, du rest
supplémentaire, quasi-humaine et immortelle. Mais la longueur de ma lettre m’avertit de, couper court à cette relation des m
serai enchantée de profiter. J’ajouterai seulement, en terminant ma lettre déjà beaucoup trop longue, que les Coups paraisse
naissance. Ce premier avis marque seulement notre sollicitude ; des lettres devant être envoyées aux habitués du banquet qui
gnétique. Nos lecteurs ont eu déjà un aperçu de ce phénomène par la lettre de M. Gathy, insérée dans notre dernier numéro. N
es organes de la science, l'Union médicale du 30 avril, qui publie la lettre suivante adressée à M. Amédée Latour : Strasbou
gasconnade, et si vous ac- cordez la publicité de vos colonnes à ma lettre , je passerai probablement pendant un certain temp
ls se trouvaient tous réunis à Châtillon. J’avais publié la veille la lettre de notre honorable confrère M. Eissen, de Strasbo
bliés par les journaux m’avaient laissé indifférent, tandis que cette lettre m’avait profondément impressionné. L’occasion éta
sembla devoir admirablement compléter les conditions indiquées par la lettre de M. Eissen. Première expérience. Un vase de
art on lit dans le Siècle du 1" mai, le récit suivant, emprunté à une lettre écrite de Bordeaux : « Nous sommes ici, mon che
ndu parler de l’efTet du magnétisme animal sur une table; d’après une lettre d’Allemagne que je venais de lire, j’ai voulu en
s surnaturel sur la terre. L H. Un autre journal belge publie une lettre , datée de Heidel-berg 25 avril, qui est ainsi con
ous extrayons d’une feuille piémontaise, intitulée les Etincelles, la lettre qui suit : Monsieur le rédacteur, En réplique
uvre, si nous ne savions que les quelques instants qu’il consacre aux lettres sont dérobés au soulagement de ses semblables. L’
La crise qu’elle avait alors étant survenue après la réception d'une lettre , donnait à penser qu’elle avait mis son projet à
ître un lien de parenté, une même origine. Hélas ! l’esprit a fui, la lettre seule est restée; simulacre vain, la consécration
urrice. (Dis.) Le même journal a publié, clans son numéro du 28, la lettre ci-après, adressée à son rédacteur : « Paris, l
, etc. « Le secrétaire-général, « DOMICILE. » En insérant cette lettre , nous ne prétendons pas garantir la solidité de s
EUX. Un de nos abonnés nous communique la traduction suivante d’une lettre du célèbre socialiste anglais, Robert Owen : Lo
t Owen : Londres, 20 mai 18D3. Mon cher ami, En réponse à votre lettre du 12, réponse que j’ai différée pour vous satisf
vif intérêt, dans le Journal du Magnétisme du 25 avril dernier, votre lettre à M. Hébert, dans laquelle vous rendez compte des
vélés, vous vous appuierez sur les exemples que vous citez dans votre lettre : sur l’incrédulité vaincue, l’immortalité triomp
des personnes recomxnandables pour la plupart, dites-vous dans votre lettre , qui se mettent en rapport avec les esprits, et s
source ! J’en ai trop dit de Saint-Martin, pour ne pas finir cette lettre par quelques passages de cet auteur. Ils vous ser
inistre; beaucoup de médecins, des avocats, des avoués, des hommes de lettres , etc. Tous les commissaires portaient la médaille
« Alex, de SAINT-CHÉRON. » Ce compte-rendu a motivé l’envoi de la lettre suivante au directeur du journal : « Monsieur l
signé de coups correspondant aux mots oui et non, et aux vingt-quatre lettres de l'alphabet. Les réponses ont lieu, la conversa
èrement, à chaque question. Si, par exemple, vous êtes convenu que la lettre A serait représentée par 1 coup, Il par 2 coups,
v face du faits et analogui n'a pas nous pu des récii coniraen Un m lettre de a Diin primes p ronde en miniatun au prix «D
1° Rotation. Un médecin bien connude Paris a adressé au Siècle une lettre dont voici quelques extraits : « Dimanche derni
ion et répulsion. Le Courrier de lu Drôme et de CArdèche publie une lettre qui lui est adressée par M. Gauthier, dans laquel
ups et élévation. M. de Gasparin a adressé au Journal de Genève une lettre fort curieuse sur les tables tournantes. Nous cro
les tables tournantes. Nous croyons devoir donner un extrait de cette lettre , faisant connaître des expériences dont l’exactit
ements. Un médecin de La Châtre écrit au rédacteur de la Patrie une lettre dont voici les passages principaux : « Monsieur
Bonjean, membre de l’Académie royale de Savoie, écrit à la Patrie une lettre , datée de Chambéry, 18 mai, b. laquelle nous empr
’il a été trouvé dans les papiers de M. Despine, qui, dans une de ses lettres à Mgr Alexis, dit l’avoir reçu de Rome même. Ce d
La confirmation de ce fait se trouve dans les passages suivants d’une lettre adressée à la Patrie du 18 niai : « J’ai fait,
xpériences publiques. « Samedi dernier, M. François Guidi, homme de lettres et professeur de magnétisme, avait réuni dans ses
espace, expérience dont il a rendu compte dans nos colonnes. Voici sa lettre : Toulouse, 24 mai 1853. « Quelques journaux
ler comme lui ; mais je le comprends tout de même. — Epelez-moi les lettres de son titre. — An ! je veux bien : C e 1 s e.
tour, substitut du procureur impérial ; le comte de Serizay, homme de lettres ; Jouas Leba-ron, chimiste, etc., etc. J’ai l’ho
rs après, on lisait dans le même journal : « La Pairie a publié une lettre datée d’llençon et portant la signature du Dr Pré
e lettre datée d’llençon et portant la signature du Dr Prévost. Cette lettre nous est signalée comme un faux matériel. Aussi n
ost, en déposant au parquet du procureur impérial l’original de cette lettre , pour qu’il soit possible d’en rechercher et fair
ême n’est-elle point un songe? Baron DU POTET. Nous avons reçu la lettre suivante : ci Monsieur le rédacteur, « J’espè
é tous les objets qui se lient à cette matière, dit M. Lordat dans sa lettre à M. Cazaintre au sujet de l'observation rapporté
Elles constituent l’objet immédiat de la vision ou de la sensation.» ( Lettres à une princesse d‘ Allemagne, lettre xxxiv.) «
la vision ou de la sensation.» (Lettres à une princesse d‘ Allemagne, lettre xxxiv.) « Nous savons, dit M. Prévost, de Genèv
r sa mémoire, M. Philips lui a fait oublier son nom, puis la première lettre de l’alphabet. «C’est étonnant!» disait tout haut
ètes, ce point excepté. On lui a demandé s’il se rappelait la seconde lettre , il a répondu B, mais il n’a pu se rappeler A, et
pu se rappeler A, et pourtant, pour aider sa mémoire , il a tracé la lettre dans l’espace, avec son doigt, mais sans pouvoir
sbourg, l’Abeille du Nord, cité par la Patrie du 3 juin, contient une lettre de M. Tschere-panoff, qui relate des faits extrêm
nche en arrière; deux battements indiquent oui, un veut dire non; les lettres de l’alphabet sont représentées respectivement pa
laient seules devoir leur rendre à la fin de l’année, a VARIÉTÉS. Lettre «le M. iinstnn. — Les détracteurs du magnétisme a
le nom de Jésus, le signe de la (1) Voir sur ce sujet les savanles lettres de M. l’abbé Almignana. TomcjV, pages 41.174 et s
. TABLES MOUVANTES. Le Journal des Débats lu 30 août contient une lettre fort importante, dont voici la teneur : Yallevr
er, et je croirais vous faire injure en sollicitant l’insertion de ma lettre . Votre impartialité m’en est garant. « Le compt
s ; mais aujourd’hui elle a perdu tout intérêt d’actualité. — D’une lettre publiée par YAssa/iblâc nationale du 8 mai, il ré
ment peut être bon à consulter. — La Patrie du \h mai contenait une lettre de M. Louis Sœhnée, de laquelle il semble résulte
« Vous avez lu ce matin, dans le Journal des Débats, l’extrait d’une lettre de M. le professeur Chevreul à M. Ampère et son i
ère de voir doivent être multipliées au delà des limites d’une simple lettre , et seront mieux placées dans un travail spécial;
u ne peuvent être rapportées à aucune loi fixe? i ,Te termine cette lettre , car elle est déjà bien longue ; et je 11e saurai
rivoisé. «Dr PIÉGU. » Le rédacteur de 1 ’Union, en publiant cette lettre , a fait ses réserves dans une note ainsi conçue :
’une inconséquence. — Le Messager du Midi, du 20 juin, contient une lettre pleine de réflexions fort judicieuses, écrite par
1 Indépendance, belge parlait, dans un de ses derniers numéros, d'une lettre adressée à l’Empereur par un ancien membre de la
numéro du 10 de ce mois, qu’un montagnard exilé venait d’adresser une lettre îil’Em-pereur, à propos de tables tournantes. i
ni volontaire. « J’attends de vous, Monsieur, l’insertion do celte lettre dans \’ Indépendance belge, et je vous prie d'agr
l-Loire. » Voici, d’après le Journal des Débuts du 17 septembre, la lettre à laquelle XIndépendance avait fait allusion. «
trairement à tous les usages sans doute, la permission de finir cette lettre par mon nom seul. » (Suit la signature). On v
dversaire du magnétisme, répondant, dans le Journal des D/bats, à une lettre de M. de Gasparin, a déclaré ne pouvoir accepter
uelconque, qu’elle doit être infinie ou qu’elle n’existe pas. Si la lettre de M. Foucault est le dernier mot des corps savan
récierez, je n’en doute pas, monsieur, les motifs honorables de cette lettre , vous trouverez juste d’en faire part à vos lecte
s Pyrénées-Orientalcs, feuille qui se publie à Perpignan, contient la lettre suivante, dans son numéro du 21 juin dernier :
Un de nos abonnés nous écrit au sujet de la relation qui précède, une lettre que voici tout entière : « Monsieur le Rédacteu
ÉRIENCES, 1° 7.oo-Magnétoscope. Un de nos abonnés nous adresse la lettre suivante : Paris, 9 mars 1853. « Monsieur le
u magnétisme vital. A cette fin on coupe une petite bande de papier à lettre de la largeuv de deux millimètres , et longue de
enant une affirmation contradictoire. La. Patrie du 22 contient une lettre d’un de nos abonnés de Fécamp, qui est ainsi conç
RT. » 2° OBJET MAGNÉTISÉ. Nous extrayons les faits suivants d’une lettre qu’un de nos abonnés nous adresse de Suisse : «
CONTROVERSES. On lit clans le Courrier de l’Eure du 26 juillet la lettre suivante : Vorneuil, 10 juillet 1853. a Monsi
quelques savants fascinés par l’amour du merveilleux. « D’après la lettre par laquelle vous me faites l’honneur de me deman
m LOÜYET. Un de nos abonnés nous communique l’extrait suivant d’une lettre qu’il a reçue d’un magnétiste italien qui habite
OLUTION DE GLANDES. n Mon cher monsieur Rey, «Dans votre dernière lettre ,, vous me priez de vous faire part des phénomènes
et ne s’est trouvé en défaut. J’avais laissé sur mon secrétaire une lettre inachevée, et, vu l’éloignement de mon domicile,
j’avais écrit à la personne à laquelle j’adressais précisément cette lettre , elle me répondit que j’avais écrit le matin, mai
ette lettre, elle me répondit que j’avais écrit le matin, mais que ma lettre n’avait point été finie; sur ma demande, elle en
emande, elle en a lu le contenu. J’envoyai deux personnes chercher ma lettre , les paroles de la somnambule l’avaient fidèlemen
reçu des nouvelles de sa mère ; elle me dit qu’en bas il y avait une lettre que le facteur venait d’apporter, mais que le por
Une personne présente descendit à la hâte ; elle trouva en effet une lettre arrivée depuis un quart d’heure environ. Je priai
Tables ! fables ! s’est d’abord écriée la science. A le prendre à la lettre , il est vrai, de l’un à l’autre la différence n’e
que vous voudrez bien accueillir avec bienveillance cette trop longue lettre , qui ne contient cependant qu’une très-faible par
e se propage dans ce pays. Nous extrayons les passages suivants de sa lettre : « ....Quoique depuis un an vous n’ayez reçu d
'ils le répandent au dehors. « Presque chaque semaine je reçois des lettres de gens qui me sont complètement Inconnus, me tém
plaire du Manuel de lEtudiant nuif/nt'/ispur, écrit à M. du Potet une lettre de laquelle nous donnons plus bas quelques passag
une lettre de laquelle nous donnons plus bas quelques passages. Cette lettre , touchante de naïveté et de bon sens, dénote chez
uction. Nous copions presque littéralement, afin de laisser à cette lettre son cachet d’originalité : « ... Je vous dirai,
yeux, ce n’est qu’un accord qu’ils ont ensemble : «les mots et. des lettres , qu'il devine les choses qu’on lui demande. A la
s abonnés dans un voyage qu’il fit à llouen. Voici un extrait de la lettre qu'il nous a adressée : Le 13 juillet dernier,
sonnes par le procédé que M. J. Gautier a fait connaître. Voici une lettre écrite à M. Hébert sur ce sujet : Quo les jeune
. Chevalier ; mais encore des hommes remarquables et honorés dans les lettres , les arts, le haut commerce, l’armée, voire même
y. (Moniteur judiciaire de Lyon.) Chronique. — Je publie les deux lettres suivantes, comme documents pouvant servir ii l'hi
Revue de« Journaux. — Le Constitutionnel du 22 novembre contient une lettre relative aux tables tournantes. L’auteur, qui se
nnes qui, pendant le sommeil magnétique, parvenaient à déchillrer des lettres écrites en anglais, quoique cette langue leur fût
ussi M. du Potet a-t-il cru devoir adresser au journal en question la lettre suivante : A Monsieur le Réducteur en chef du P
e esprit de justice, j’espère que vous voudrez bien donner place à ma lettre dans un de vos prochains numéros. Agréez, etc.
extrême et intérieur de cette soucoupe sont gravées les vingt-quatre lettres de l’alphabet, placées à distances égales, les in
lle, par des intervalles distincts, s’arrêtant en sautant à certaines lettres , formait ainsi en réponse aux interrogations des
n sautillant touché les deux syllabes Théo, avec addition d’une autre lettre . Alors un des assistants s’écria que c’était Théo
aits qui contribueront à élucider cette question. Premier cas. La lettre suivante, adressée à M. du Potet, président du Ba
alhoun avait l’habitude d’écrire l'm pour I’inn, et qu’il a plusieurs lettres de lui 0(1 se trouve cette abréviation. Mmc Macou
la même chose. Son mari, le feu général Macoumb, lui avait montré une lettre de Calhoun où cette abréviation particulière à Ca
spondance. Avis divers, 56, 123, 143, 224, 552, 648. Philanthropie. Lettre de M. du Potet offrant à M. le Préfet de police d
339. Sauvons le genre humain, ouvrage inédit, par Victor Hennequin. Lettres de l'auteur au sujet de ce livre, qu'il annonce a
3 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
s’y baigna. Dans cet état, elle avait aussi l’habitude d’écrire des lettres , et à des personnes assez influentes, car voici à
qui était alors M. Carlier, et on lui demanda ce que signifiaient les lettres qu’elle avait écrites ; elle ré- pondit, comme
s recherches les plus curieuses. Je prouverai qu’il a été produit des lettres d’une, deux et trois pages, d’une belle écriture
us n’obtenons pas en Europe ; il y a des mains qui vous touchent, des lettres qui vous sont remises entre les doigts. — L’as-tu
les plus nébuleuses, de corriger nos vers boiteux, de nous dicter des lettres d’affaires les plus prudentes et de nous composer
veau de l’homme, vous aurez la clef des arcanes qui ont été jusqu’ici lettres closes. Notre pensée, qui se transporte aussi v
te. Ce n’est qu’à sept heures du matin que nous avons appris, par une lettre de Paris, la mort de Marie arrivée la veille à si
n papier plié à l'intérieur duquel était écrit un mot formé de quatre lettres ; et, prenant la main de la dame, h l'effet de s'a
: les phrases s’interrompent ou se construisent défectueusement; les lettres se succèdent sans ordre; ce sont des mots dépourv
électrique. Le récepteur tourne sans aucune impulsion directe, énonce lettre à lettre, ou signe à signe, des dépêches, des dis
e. Le récepteur tourne sans aucune impulsion directe, énonce lettre à lettre , ou signe à signe, des dépêches, des discours ent
es a publié, dans ses numéros des 24 février, 2 et 9 mars , plusieurs lettres de M. Mabru qui propose à tous les partisans du m
manqué de joûteurs pour relever le gant. Le même journal a inséré les lettres de MM. de Rovère, Matthieu, Lecoq, Gentil, Derrie
on s’occupe de la science de l’homme. Les conclusions (citées dans la lettre deM. Derrien) sont extrêmement favorables au magn
audrait à un aveu de stupide ignorance ou de mensonge impudent. De la lettre de M. Mabru, il n’y a donc qu’une conséquence pos
dre qu’à y gagner. Lorsque le magnétisme a demandé à l’Académie ses lettres de naturalisation, il ne s’était pas encore répan
s, dos architectes, dos jurisconsultes, des négociants, des hommes de lettres seraient-ils moins compétents, lorsqu'il s'agit d
oir auprès de sa table à ouvrage. Elle prit du papier, et écrivit une lettre à son mari. Elle lui annonçait qu’elle avait fo
’elle espérait trouver bientôt le moyen d’en finir avec la vie. Cette lettre était affectueuse ; elle se sentait coupable, dis
e papier fût complé- tement dans l’obscurité, M"* *** continuait sa lettre ; si on interposait un écran entre l’œil et le pa
t plus occulte, mai, parfaitement visilu et d un aspect lumineux. Les lettres od.ques du chevalier de Reichentoch ont dissipé t
ble qu’elle soit en sa proportion du degré potentiel-moléculaire. Les lettres de Reichenbach nous l'enseignent péremptoirement,
t que l’on ne décrit pas. J’ai mentionné cette scène dans ma première lettre . — Avant d'être réveillée, Anna me prédit: « Du
uvrage cité. (S) Ce savant nomme vie spiritualisée ce que , dans ma lettre précédente, j ai spécialisé sous la simple désign
es, est insérée en notre organisme, la phrénologie nous l’apprend. La lettre de cette bible divine demeure muette au fond de b
ano, savant cl rigoureux investigateur, s’est fait coa-naître par ses lettres si remarquables sur le magnétisme, qu'il appelle
Hippone, il fautait contre la réalité, lorsque n’in-terprélant que la lettre de la légende adamique, il déniait des antipodes
pelle par I.icbig, ùan.' m:» NouutUi Ltttrti iur ta chimie, 1852. 37* lettre , p. 304. ou, comme nous dirions actuellement, l
mémo. o Un fait Identique paraît se produire en ce moment. « I.es lettres de Calcutta, reçues cette semaine, mandent quo l'
Springfield, médium, fut dernièrement informée par les esprits qu’une lettre lui avait été récemment écrite de Boston, et ne l
n, avec la date, l’adresse, etc. Il n’a pas encore été vérifié si une lettre pareille lui a été réellement écrite de Boston :
parcourt; il y lit le caractère des livres qu’il a devant lui, de la lettre qu’il écrit. C’est un miroir interne où viennent
e me suis occupé de votre « fils aussitôt après la réception de votre lettre ; il fut sou-« lagé ii l’instant, hier 20 décembre
nous qualifions aussi réciproquement tous les deux, « votre dernière lettre m’oblige à «vous écrire immédiatement pour vous r
heneau , qui me disait «Je n’ai pas eu « le temps de répondre à votre lettre du 14 du mois der-o nier, mais je crois devoir vo
e de M. Chencau, qui m’informait qu’aussitôt après la réception de ma lettre , il s’était occupé de M. Pierre 11...... et il
e une fois pour moi. » Voici maintenant ce qu’il me disait dans une lettre du 0 janvier 185/i : « Ne m’oubliez pas surtout a
atants, et le Mesmerista les enregistre avec soin. Nous lui devons la lettre du docteur Vandoni que nous croyons être agréable
ons-nous?.... JOS. BARTHÉ. Nouvelle-Orléans, 26 septembre 185*. Lettre de M. le docteur Carlo Vandoni à M. Alix, préside
de questions pour la circon stance et en outre la suscription d’une lettre écrite par son gendre. « Parti d’Ajaccio le 7 f
M"' de C*** la relation détaillée de cette séance magnétique. « Ma lettre , qui fut un événement singulier et inattendu,, li
ais que dégager ma parole. « Il paraît que — comme les livres — les lettres et les médailles aussi ont leurs destinées. M. de
annonce ces jours-ci qu’il vient de recevoir enfin sa médaille et les lettres que le consul général d’Autriche, il y a six mois
grès là-bas doit joliment marcher. M. de Reichenbach, au départ de la lettre qu’il m’adresse, allait répondre à celle de M. le
la société, ces remercîments qu’il lui adresse. Je ne connais pas les lettres odiques, telles que les a publiées Caha-gnet ; ma
t une lutte des plus opiniâtres : le crayon, traçant par saccades des lettres aussitôt interrompues que commencées, semblait se
sitôt que j’en aurai le loisir. « Mais excusez, je vous prie, cette lettre interminable, à la-quelle, après l’avoir commencé
des phénomènes somnambuliques et ami du merveilleux, en recevant une lettre m’invitant à me rendre sur cette terre mystique.
t une lettre m’invitant à me rendre sur cette terre mystique. Cette lettre , je vous l’envoie en vous priant de l’insérer éga
. « Constant Lhéract. o 125 , Grande-Rue. » La lecture de cette lettre me jeta dans un assez grand embarras. Je croyais
ravers sa douteuse clarté le portrait de ¡’Empereur et la dédicace en lettres rouges. En cet instant solennel, ce fut un enth
sent en se jouant de la crédulité publique. J'allais terminer cette lettre déjà trop longue, monsieur le rédacteur, lorsque
. Je crois donc, de toute justice, devoir rapporter en entier cette lettre , afin de faire connaître , tant la loyauté que l
quiste a avoué sa supercherie. » Ce qui m’a valu l’honneur de cette lettre , monsieur le rédacteur, c’est le regret qu’a épro
, la suggestion qui peut être faite quand on indique par le doigt les lettres d’un alphabet écrit- La table se lève d’un côté e
ite. Mais j’ai remarqué une chose, c’est que souvent, après plusieurs lettres , on croit savoir le mot, et l’on attend la procha
lusieurs lettres, on croit savoir le mot, et l’on attend la prochaine lettre avec confiance ; mais bien souvent on s’est tromp
ais bien souvent on s’est trompé, et la table ne s’arrête pas à cette lettre attendue partout le cercle , mais à uue autre, pa
enfant était bien sérieusement malade. Peu de jours après, arriva une lettre , dans laquelle on lui manda qu’il avait été malad
li. Elle me dit que bien sûr il avait été beaucoup plus malade que la lettre ne disait, mais que, tout allant bien, on n’avait
, mais que ce n’était rien de grave. Elle écrivit cependant, et cette lettre croisa en route une autre de son mari, dans laque
le corbillard. Tout cela fut écrit à son mari; mais le jour où cette lettre fut mise à la poste, une lettre de son mari l’inf
rit à son mari; mais le jour où cette lettre fut mise à la poste, une lettre de son mari l’informa de la mort d’une cousine à
ec le temps la guérira entièrement. Pour en finir avec cette longue lettre , une demoiselle bien connue comme écrivain, miss
de la seconde vue, des corps, des tables, etc., dans le sens de cette lettre , et j’ai tout lieu de croire que mon discours a r
à partir au premier avis. Peu de temps après, je reçus en effet une lettre de faire part, mais encadrée d’une sinistre bande
t assez clairement indiquées par le fait même. Rappelé au but de ma lettre dont je me suis écarté un instant, toujours cette
nt il gagner à la venue de cette croyance. Le but de ma trop longue lettre n’ost donc pas la négation des esprit», mais de r
il gagner li la venue île cette croyance. Le but de ma trop longue lettre n'est donc pas la négation des esprit», mais de r
ans notre dernier numéro et qui altôront complé-ZZiïJSSL Phrase de la lettre du savant professeur Grégory ^ÎÏÏSüug- * *9- **
.-F. Gardner, de Boston, a reçu de M. N. M. Laning , de Baltimore, la lettre suivante, datée du 22 avril dernier, que je tradu
preuves. — Sous ce titre, le Spiritual Telegraph vient de publier la lettre que voici, datée de Nevv-York le 23 avril dernier
ot suivant que nous nous îaisons un devoir d’ajouter à la suite de la lettre précédente, c^me son complément nécessaire : «
phénomènes magnétiques de perception extranormale , donnez place à ma lettre dans les colonnes de votre journal. Agréez, etc
alisme, a adressé au journal le Christian spiritualist de New-York la lettre suivante, qui a été reproduite par plusieurs autr
saurais le faire, et j’abuserais de vos moments en prolongeant cette lettre . «Peut-être un jour vous communiquerai-je, pour
ro de juin dernier : Pour psychométrer un individu, vous prenez une lettre écrite par lui. Vous fermez les yeux, afin de vou
bstraction , de concentration et de passivité. Vous placez ensuite la lettre au centre de votre front, l’expérience ayant cons
ions ; les traits les plus prononcés du caractère de l’auteur de la lettre s’offrent à vous les premiers ; vous ressentez un
la fermeté , et si cet organe est très-développé chez l’auteur de la lettre , la sensation, qui commencera par être sem-biabe
n écrit, et le pnyc/iomélreur décrivit exactement, non l’auteur de la lettre , mais la personne qui avait présenté l’écrit. Une
e et se mit à écrire. Il sembla d’abord qu’elle traçait au hasard des lettres dont la réunion ne signifiait rien ; mais, avec u
ignifiait rien ; mais, avec un peu d’attention, on reconnut que ces lettres étaient écrites à rebours, à la manière orientale
donnait une valeur conventionnelle, que le chiffre 1 représentait la lettre a, le chiffre 2 la lettre b, et ainsi de suite ;
tionnelle, que le chiffre 1 représentait la lettre a, le chiffre 2 la lettre b, et ainsi de suite ; réciproquement, pour expri
b, et ainsi de suite ; réciproquement, pour exprimer des nombres, la lettre a tenait lieu du chiffre 1, la lettre 6 du chiffr
, pour exprimer des nombres, la lettre a tenait lieu du chiffre 1, la lettre 6 du chiffre 2, et ainsi de suite, et l’astérisqu
à lui faire comprendre quelques mots d’italien qu’en en appelant les lettres une à une et en se servant des dénominations grec
Vuillermedunant, secrétaire adjoint de la Société du Mesmérisme, une lettre dans laquelle se trouvent rapportés certains fait
il n’aurait consulté personne............ « Baron DTJ POTET. » La lettre que nous insérons n’offrira point aux lecteurs ha
r sont depuis longtemps d’une notoriété positive pour eux. Mais cette lettre montre que, sur des points différents et sans s'ê
nce des Indes Anglaises à Calcutta, nous envoie une brochure avec une lettre . La lettre est sous forme de circulaire adressé
Anglaises à Calcutta, nous envoie une brochure avec une lettre. La lettre est sous forme de circulaire adressée à la presse
témoignages individuels et de pièces officielles. Tout d’abord une lettre du 22 juin 1856, signée par 11 des h0 membres du
elles ne contiennent aucune substance nui-« sible. 11 garantit qu’une lettre contenant des susdites « poudres, dans les mains
k, où devront « être adressées toutes les demandes. « Le prix , par lettre , contenant 8 paquets de poudres, « nombre suffisa
extrême satisfaction, dans le Mesmerisla du mois de mai dernier, une lettre de M. le docteur Vandoni, de Milan, dans laquelle
x fleurs désignées à. la mort ! Robert D'AULNE. CORRESPONDANCE. Lettre ii M. le baron du Pot et, directeur du Journal du
ième siècle jusqu'à nos jours. « Monsieur le directeur, n Dans la lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire fin d’
sur la table, à la vue de tout le monde), et, de cette manière, cinq lettres furent successive ent reçues par ces mains : tout
aient enfermées dans des enveloppes et adressées au cercle. Une autre lettre tomba du plafond, au-dessus de nos tètes, sur la
, au-dessus de nos tètes, sur la table devant nous. On reçut donc six lettres dans cette soirée ; elles furent toutes lues, exc
qu'aucune des personnes présentes ne connaissait suffisamment. Ces lettres semblaient avoir été écrites pendant la séance, e
ent également parfaites, ainsi que chacun le reconnut. L une de ces lettres était écrite avec des encres de différentes coule
uvait préciser où une couleur finissait et une autre commençait. La lettre qui tomba du plafond, je la vis au moment de son
s quelque chose qui frappait mes doigts, et je suppose que c’était la lettre que je reçus ensuite dans la main. Je sentis égal
rte : c'était froid et pâteux. Je sentis distinctement des doigts. La lettre était tenue par cette main qui, plusieurs fois, l
enveloppe, cachetée et adressée au cercle qui en prit lecture. Ces lettres traitaient de divers sujets, quelques-unes étaien
ls ne les auraient pas exprimées s'ils avaient été les auteurs de ces lettres . Les esprits secouèrent rigoureusement les tabl
t pour ses affaires et rencontra en route le facteur qui lui remit la lettre écrite la veille par ma gardienne, et après en av
il pria le facteur de poursuivre jusque chez lui et de remettre cette lettre à ma mère. Voyant arriver le facteur, ma mère dit
lettre à ma mère. Voyant arriver le facteur, ma mère dit: c C’est une lettre de Paris, n’est-ce pas ? » Et la voyant décache
» Elle ne fut point détrompée de sa pré-vivion en apprenant par celte lettre l’état mauvais de ma santé, car, depuis son rêve,
ue des allégories morales et non des réci's faits pour être pris à la lettre . En s’en tenant même aux textes sacrés, on ne voi
recommandation de guérir par l’imposition des mains n’est plus qu’une lettre morte ou comme le souvenir de merveilles exceptio
e pièce se trouve dans un 'grand nombre d'ouvrages. Voyei notamment : Lettres sur le Magnétisme, par Ricard, lettre II; Diction
d'ouvrages. Voyei notamment : Lettres sur le Magnétisme, par Ricard, lettre II; Dictionnaire de Théologie, de Borgier, nouvel
accepta avec reconnaissance le titre de membre du jury ; et, dans sa lettre de remercîments, il exprima combien il appréciait
l’archevêque de Caracas (Venezuela). Ce prélat venait de dresser une lettre pastorale qu’il se disposait à distribuer à ses d
eu. Le Spiritual Telegrapk du 1" novembre dernier renferme une longue lettre de M. Ch. W. Cathcart, ancien membre du congrès,
s’éloigne de plusieurs pas. Les mains du médium agitent un instant la lettre , puis la droite saisit un crayon et écrit ces mot
un meuble de la chambre où était son cadavre, on a trouvé une longue lettre adressée à un de ses amis, et dans laquelle il ex
ette science deux excellents ouvrages qui ont le plus grand succès. LETTRE ENCYCLIQUE De la sainte inquisition romaine et
s exceptions près, les savants, les hommes instruits et les hommes de lettres nous prennent en pitié ! Les savants veulent bien
es, et ils passent leur chemin. Les hommes instruits et les hommes de lettres ne sont guère plus traitables. Dans leurs convers
savants ! pau~ — flùâ — vres tommes instr»!*»1 pauvres hommes de lettres ! Vous n’avez pas vu, vous n’avez pas expérimenté
« Nous le voyons revenir à Amsterdam ; d’ici là, il nous écrira une lettre des Indes ; il sera content de ce j’ai déclaré.
r la réalité du magnétisme, 106. Inquisition (l') et le magnétisme. Lettre encyclique de la sainte inquisition romaine et un
isme , suivie de réflexions par M. du Potet. 613. — Critique de cette lettre , au double point de vue de la science et de la lo
mes, 375, 617 ; — de l'image d'une personne vivante, 277. Apport de lettres par les esprits, 570. Ascension humaine. Person
— qui se livrent à de longues conversations, 450; — qui apportent des lettres , 570; — qui se mettent en contact avec des person
tique. Expériences, 468, 495, 505. Magnétisme (le) dans l'histoire. Lettre de M. Piérart sur certains faits d'exorcisme, de
s , 43, 156 , 475, 591, 617. Observation sympathico-homœopa-thique. Lettre de M. Petit d'Or-moy, 422. Obsession. Fait, 96.
4 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
èrement contractée. V. — Un somnambule lucide peut, en louchant une lettre , indiquer le caractère, le sexe, l'âge, la consti
titution de lu personne qui l’a écrite et le sens du contenu de cette lettre ; même en lire les mots, bien quelle soit cachetée
z sept pièces d’argenterie, cuillères et fourchettes, marquées à îles lettres différentes, recouvertes d'un oxyde jaunâtre et e
fluide galvanique par l’aimantation à distance, soit en indiquant des lettres sur un cadran comme le télégraphe électrique, soi
à une personne de la séance, M. P..., négociant, qu’il recevrait une lettre le lendemain à quatre heures un quart, ce qui est
possibilité d’une équivoque, d’un contre-sens, d’une substitution de lettre , etc. ? Aux expériences de l’auteur nous opposons
nédites encore. n La plus singulière est celle que nous fournit une lettre à'Aspasic à Pêriclês, supposée sans doute, mais t
ce que dit Aspasie sur le rire sceptique dont Périclès accueillera sa lettre . A cette époque si florissante du somnambulisme s
s plus sérieuses que celles qui viennent de nous être fournies par la lettre d’Aspasie et par Aristophane. Strabon, par exempl
ute voix à mesure qu’elle les reproduisait sur le papier. C’était une lettre adressée à son père, et dans laquelle elle lui de
dité, l’endroit où elle était déposée. « Lorsqu'elle eut terminé sa lettre , elle la ferma, y mit l'adresse de son père, et l
ntes m’ont été suggérées par la lecture des commentaires faits sur la lettre que j'ai écrite au rédacteur du Journal des Pyrén
i, journal de Montpellier, publie, dans son numéro du 25 décembre, la lettre qui suit, écrite par M. le I)r Roux, un des médec
abet, après avoir enjoint à la table de frapper du pied à la première lettre du mot, puis à la seconde, et ainsi de suite. Alo
ine ce mouvement de la table, lors de l’appellation de telle ou telle lettre , et peu à peu il devient facile de prévoir quel s
des expérimentateurs sont confuses ou divergentes, et dans ce cas les lettres successives ne forment qu’un assemblage informe d
0. Cet écrit est anonyme, mais l’auteur s’est fait connaître par la lettre suivante, adressée au rédacteur de la Presse, et
n existence est connue des plus studieux magnétistes. Le sens de la lettre ci-dessus est assez difficile à pénétrer, mais l’
phie spirituelle : « 1° L’esprit frappant tant de coups pour chaque lettre ; « 2° L’esprit guidant et fixant la main du med
ettre; « 2° L’esprit guidant et fixant la main du medium sur chaque lettre ; « 3° L’esprit entraînant la main de ce medium
e, comme dit M. d’Ourches, de la magic? M XIFFRE. Voici une autre lettre sur le même sujet, adressée également à M. du Pot
homme qui vit au milieu de nous, il dit en terminant : « Voici une lettre adressée à M. Babinet par M. le comte d’Ourches,
pas l’autorité, le savoir et l'expérience acquis". Nous laissons à sa lettre sa lorme originale et légère. •* Monsieur, «
ris le coût du présent arrêt. » Chronique. _ Nous trouvons dans une lettre de remer-ciments adressée par M. Capern, de Londr
blic, surtout en magnétisme? » l.a Société tlu Mesmérisme a reçu la lettre suivante, qui sc qualifie d’elle-même : « Les d
» 41 janvier 1851. » — Voici un témoignage semblable, extrait d’une lettre d" M. Jos. Barthet, président de la Société du Ma
une intelligence lorsque, employant l’alphabet, on la vit désigner lettre par lettre, jusqu'à ce que des mots fussent compo
igence lorsque, employant l’alphabet, on la vit désigner lettre par lettre , jusqu'à ce que des mots fussent composés. « Te
par la reine douairière, sœur du roi de Prusse, sur le contenu d’une lettre qu’elle venait d’écrire à son frère, il réclama q
e concentration intellectuelle, et lui rapporta la substance de cette lettre . Une autre fois, il fit retrouver à la comtesse d
emplit do son essence, do sa présence et de sa puissance. » (Falconi, Lettre à une fille spirit.) sensitives de l’àme, savoi
ation avec les esprits. Voici la première el la plus importante des lettres pastorales qui ont. annoncé cette décision au cle
ien , nous avons jugé à propos de vous adresser ces réflexions. Notre lettre n’est pas destinée à être lue du haut de la chair
imprudents pour s'y livrer. A ceux-là vous pourrez communiquer notre lettre , dont nous enverrons plusieurs exemplaires dans l
e conscience, qu’il adoptait pour son diocèse les prescriptions de la lettre de M. l’é- vèque de Viviers sur le danger des e
génieuses et pleines d’intérêt que fait à ce sujet M. Léger, dans une lettre qu’il m’a écrite, et que voici : Cher collègue,
SPRITS. — ÉVOCATIONS. Mgr Dnpanloup, évêque d’Orléans, a adressé la lettre suiv ante à son clergé : Orléans, 15 décembre 1
bler une bonne fois l’enfer. 1 Au. KAUR. » M. d'Ourches, dans une lettre insérée dans l'avant-dernier numéro de cc Journal
ureau du Journal du Magnétisme. Sécrologic- — M. du Potet a reçu la lettre suivante : Toulouse, 20 février 1851. Monsieu
publié à Sens, a reçu d’un de ses abonnés, qui est aussi le nôtre, la lettre suivante, qui est insérée dans son numéro du 20 j
érer aujourd’hui. 2° ENLÈVEMENT DES PERSONNES. J'ai dit, dans une lettre insérée au n* 174 du Journal du Magnétisme, que l
A. BROYAS. FAITS ET EXPÉRIENCES, 1° TABLES PARLANTES. Voici une lettre sur l’évocation des esprits adressée k l'Univers
frappant des coups : un pour oui, deux pour non; et, pour former des lettres , des coups correspondant à l’ordre numérique des
r former des lettres, des coups correspondant à l’ordre numérique des lettres dans l'alphabet. Une demi-heure se passe encore s
ous, selon les signes convenus, lui dit la même personne, la première lettre du nom de baptême de M. l’abbé Gay ? » La table
ans délai la table frappa quatre coups ; c’était un D. « La seconde lettre . » Cinq coups ; c’était un E. Chacun pouvait de
cette publication ; des conseils graves nous y ont décidé. Dût cette lettre ne servir qu’au plus petit bien d’une seule âme,
détruire les effets magnétiques. Voici comment il s’exprime dans une lettre adressée au rédacteur de la Patrie, et insérée da
osée par les exigences du principe. Nous reconnaissons qu’un homme de lettres ne peut s’assujétir à la rigoureuse exactitude du
Pote/. Monsieur, Je ne sais si vous avez gardé le souvenir de ma lettre du 1" février. Le doute où je suis à cet égard m’
oir, au début de celle-ci, de vous en rappeler le sujet, car ces deux lettres sont sœurs. 11 s’agit de mon jeune commis, Augu
a Patrie du 16 mai dernier contenait la note suivante, extraite d’une lettre adressée de Saint-Etienne au Salut publie : « C
. MORIN. (1) Journal du Magnétisme, n» ISO, page CO de ce volume. LETTRES SUR L’ÉVOCATION DES ESPRITS, par H.Camon. Dmlu, é
mancipaient de Cambrai, avait publié un travail littéraire intitulé : Lettres sur l'évocation des esprits. Un exemplaire de cet
ge a élé envoyé par l’auteur à Mgr l’archevêque, qui lui a adressé la lettre suivante : « Monsieur, u J’ai reçu l’exemplai
la lettre suivante : « Monsieur, u J’ai reçu l’exemplaire de vos Lettres sur révocation des « esprits, que vous aVez bien
même que la question fût terminée, la corbeille écrit le mot Dieu, en lettres fort lisibles et plus grandes que les autres. «
es progrès chaque jour croissants du magnétisme, la publication de ma lettre puisse être de quelque utilité, je vous autorise
eligieux et politique. Elle a eu ses beaux jours dans les arts et les lettres ; le tour de la science est venu pour ce noble et
as mieux trouvé. Aux quatre angles du recto de la couverture sont les lettres D, I, E, U, dont l'ensemble forme le mot Dieu. C’
vons reçu le prospectus du journal : II Magnéto,fi/o, annoncé dans la lettre de M. Allix comme organe de la So-ciclà magnetica
soit, non pas seulement en germe, mais explicitement exprimé dans la lettre de la Société exé-gétique de Stockholm à celle de
m à celle des Amis réunis de Strasbourg, ou les commentaires de cette lettre , publiés depuis dans les Annules du magnétisme. C
ftl. le secrétaire, reprenant ensuite la parole, a donné lecture des lettres suivantes, reçues de personnes à [qui des médaill
ais comment vous exprimer le bonheur que j’ai éprouvé en lisant votre lettre du 19 courant, par 1 annonce mie vous me faites d
mentais sur le fluide magnétique , et j’écrivais à Frappart la petite lettre que vous avez citée en partie dans votre Manuel.
eux et tout dévoué frère, j. GRAVÉ. Nantes, le IG août 185t. La lettre suivante étant en italien, et nos lecteurs ne con
ami, Vous avez bien voulu insérer dans le Journal du Magnétisme une lettre que je vous écrivais, au mois d’août 1853, sur l’
et efl'et ne sont pas encore très-précises; mais pour (1) Voyez .ça lettre , tome XII, page 608. peu que l’on ait été témoi
encore temps; plus tard, je l’espère, j’y entrerai. En terminant ma lettre , j’ajouterai, contrairement à l’opinion de certai
allemands. Finalement, le Petit Catéchisme de M. Hébert, grâce aux lettres de naturalisation que les différentes traductions
. des décorations. En Angleterre, quand un nom est suivi de ces trois lettres F. R. S. (membre de la Société Royale), celui qui
trouve, dans le numéro 180, du 25 janvier dernier, à la page 55, une lettre de M. le D' Roux, publiée par le Messager du Midi
x, publiée par le Messager du Midi, journal de Montpellier. Dans sa lettre sur les tables tournantes, M. Roux réfute l’opini
it quelconque. Pardonnez, monsieur le rédacteur, la prolixité de ma lettre , et agréez, etc. AYMERICH. Marseille, le 9 fé
, et agréez, etc. AYMERICH. Marseille, le 9 février 1854. Cette lettre s’éloigne assez du cercle embrassé par les ex-
mières de sa vaste expérience pour éclairer ce débat. Voici l'autre lettre : Monsieur le rédacteur, Vous avez inséré, da
de votre excellent Journal, un article de M. Clément, au sujet de la lettre que j avais eu l’honneur de vous adresser au mois
heureux, Monsieur, que les réflexions que renferme cette trop longue lettre et l’importance des questions qu’elle soulève, en
sions sans être touché (1). » N’est-ce pas la confirmation en toute lettre du rayonne -ment mesmérique qui frappe plusieurs
cole du Potet ; car, éblouis par le somnambulisme, Puvségur et (1 ) Lettre à Bailly sur le rapport do 1784, Deleuze oubliè
e la page ouverte. Je n’ai jamais obtenu de réponse, ou seulement des lettres ne formant aucun sens, c’est-à-dire que l’esprit
s longues années, des assemblées électives. Je lui adressai, dans une lettre , des fieurs magnétisées destinées à être remises
l’engagement, dans la bonne foi qui m’animait, de leur communiquer la lettre qui m’annoncerait le résultat de cette magnétisat
oncerait le résultat de cette magnétisation à distance. Voici cette lettre de M. de R..., arrivée ici le 8 juillet 1853. i
let 1853. ii Mon cher conseiller, « Nous avons reçu votre aimable lettre avec grand plaisir ; nous commencions à croire qu
nous avez pris de bien court pour suivre vos instructions, car votre lettre nous est parvenue avant-hier, à dix heures du soi
e et charmante adepte du mesmérisme, est la Iiiledc 1’aulcur de cette lettre . ( Elle désignait mon cabinet, à côté du salon.
ir que vous en aviez exprimé, s’est mise en rapport et lui a remis la lettre que vous m’avez écrite et en vertu de laquelle no
en vertu de laquelle nous agissons. « Interrogée sur l’auteur de la lettre , Mme B... a parcouru beaucoup de chemin, a passé
onsultations sur les cheveux. Elle voit encore que c’est à moi que la lettre est adressée, et elle me désigne du doigt directe
ne du doigt directement pour l'indiquer. Elle résume bien toute votre lettre . « Son mari lui recommande d’être exacte, parce
enne lucidité ne l'a pas abandonnée. M. de Lagrange ayant sur lui une lettre de son beau-père, M. Roger, de l’Opéra, qui est e
rt avec la somnambule et lui demande ce que fait celui qui a écrit la lettre . _ « Mmc B... se transporte fort loin par terre
e transporte fort loin par terre, à plus de cent cinquante lieues. La lettre , dit-elle, est d’un parent de M. de Lagrange. Mmc
, sans présenter aucun objet venant d'elle. M-' W... dicta une longue lettre , contenant les détails les plus circon- stancié
. Napier eût écrit la vie de Montrose. Quand M. Napier lui montra des lettres de cet homme célè- lire, elle ne fut pas mise s
lisme, un domestique frappa à la porte et entra, tenant à la main une lettre adressée au I)r Gaddock , qui se trouvait avec mo
trouvait avec moi. Celui-ci jeta un coup d’œil sur l'extérieur de la lettre , me la remit cachetée, et me dit en sortant : « V
préféré les exercices non préparés , je remis à la somnambule Emma la lettre cachetée, sans l’avoir ouverte, et sans avoir la
ant qu'il s’agissait probablement de quelque malade. Elle saisit la lettre sans tourner vers elle ses yeux fermés, La plaça
Dr Gaddock avec le père de l’enfant perdu, le même qui avait écrit la lettre et qui était dans une grande inquiétude. Je dis à
une grande inquiétude. Je dis à M. Gaddock que, sans avoir ouvert la lettre , j’en connaissais le contenu, et que l’enfant per
le contenu, et que l’enfant perdu était sauf. Ayant ensuite ouvert la lettre sur la demande de M. Gaddock, je trouvai qu’Emma
le renfermait. Comme Emma ne sait pas lire, il faut que le sens de la lettre lui soit par-v enu par quelque mystérieuse sympat
hie, sans le secours de l’écriture. Comme elle nommait l’auteur de la lettre , je pus croire un instant qu’elle le connaissait
t vers M. Gaddock ; il était arrivé au moment où celui-ci recevait sa lettre . M. Gaddock et la demoiselle m’assurèrent que per
’avait entendu parler de cette aventure jusqu’à la réception de cette lettre , et qu’Emma avait été endormie dans la salle à ma
ait reçu une réponse affirmative. Emma lui dit que la petite fdle (la lettre parlait seulement d’un enfant, et néanmoins la lu
Emma ait lu, non les mots écrits, mais les pensées exprimées dans la lettre . 11 est possible qu’elle ait été mise par l’écrit
qu’elle s’est exprimée comme si la connaissance lui était venue de la lettre elle-même. « J’ajouterai que l’enfant, quand el
act avec cette personne ; tel qu’une mèche de cheveux, un anneau, une lettre , etc. « Cet état est voisin de la clairvoyance
istal, n Tels sont, en résumé, les traits les plus saillants de ces Lettres ; la publicité qu’elles ont reçue dans l'Edinburg
Monsieur le rédacteur, Votre numéro du 25 juin dernier contient une lettre de M. Aymerich (deMarseille), lequel m’invite à l
musculaire considérée comme cause de la rotation. Pour revenir à la lettre de M. Aymerich, sans admettre que ses expériences
osé à une table tournante la question suivante : « Quelles sont les lettres formant la ligne initiale de la page du second li
ar des coups marquant la place qu’elles occupent dans l’alphabet, les lettres composant la ligne demandée, et, vérification fai
faite, ces désignations ont été trouvées exactes, sauf deux ou trois lettres . Et n’oubliez pas qu’aucun des expérimentateurs n
s un état magnétique plus ou moins avancé, n’aient eu l’intuition des lettres demandées et n’aient ainsi influencé le meuble en
de l’après-midi, et que ce serait le dernier, ce qui est arrivé à la lettre , quoiqu’elle ignorât éveillée ce qu’elle avait di
éros que nous avons reçus : On lit dans le numéro du 15 juillet une lettre de M. H.-S. Olcott, écrite de New-York : d J’eu
tour des attaques de Satan. Quelques semaines après, ils reçurent des lettres de Cuba qui leur annoncèrent que leur fils était
e. Mode extraordinaire d’écriture. — M. Cory éci il de Wau-kegan la lettre suivante : « Parmi les faits nombreux qui prouv
e est illisible pendant quelques minutes, mais bientôt elle paraît en lettres fort nettes, qui peuvent être tout la fois vues e
n connue dans toute la contrée. « 11 m’arriva un jour d’appeler les lettres de l’alphabet. Une voix me dit : « Sors, et revie
, de tenir des réunions dans le même but, etc. Nous lui empruntons la lettre suivante : « Voyageant dans l’État de l’Ohio, j
du magnétiseur ; mais surtout cette autre assertion contenue dans la lettre d’un médecin étranger à 11. Deleuze, savoir : que
a confirmé dernièrement les assertions du jeune somnambule , dans une lettre qu’il écrivit à M. Hedde quelque temps avant sa m
les Joiii-uanx. — Nous trouvons clans le Nouvelliste de Marseille une lettre très-curieuse que lui écrit, de Cadix, un Marseil
mouvement. De l’un des manuscrits sortit le chiffre 8, de l’autre la lettre arabe alcph, d’un troisième le delta grec, et ain
le delta grec, et ainsi de suite. A la fin, la chambre fut remplie de lettres et de chiffres animés qui se courbaient, s’étenda
ue seule, soit directe, soit par l'intermédiaire de l’eau, etc. Les lettres N. S. {no slecp, sans sommeil) accompagnent -très
désintéressement, et l’on ne bannit pas les philan hropes. » — line lettre de Bucharest, publiée par la Gazelle de Cologne d
, mue par un moteur invisible, se porte successivement sur toutes les lettres de l'alphabet dont la combinaison donne une série
ersonnes qui 111’auront donné leur adhésion. Voici, en attendant, une lettre que m’a déjà adressée M. Charpignon. Orléans, 8
main de la fille de M. Laurie a été mise en mouvement et a écrit les lettres M. B. Personne ne sut quel était le personnage
on portefeuille et me dit : « Faites-moi le plaisir de chercher « les lettres de ma femme. » Je les lui remis. Il les prit et l
de l’ordre physique. M. L*** a donné à cet opuscule la forme d’une lettre . Le début rappelle que tout ce qui n’est pas ha
dans le cœur et les souvenirs de M"* d’Oberkircli, et des nombreuses lettres qu’en renferme son livre. On a beaucoup écrit s
ivait un peu plus loin. La lune était claire, « on aurait pu lire une lettre , aussi les ombres, par opposi- * tion, étaient
perdu sans cela. « Vous avez écrit à cette femme. « — Oui. « — La lettre est dans un petit sac brodé qu’elle porte à « sa
, 81, 161, 356. Clergé (le) et les sciences occultes, mandements et lettres pastorales de divers prétats, contre les expérien
liam Gre-gory, D. M. Citations et analyse, par M. A. S. Morin, 503. Lettres sur l'évocation des esprits, par H Carion.— Réfut
5 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
igence du gérant ou des membres de la commission de surveillance, par lettres adressées aux actionnaires et par avis inséré aux
Censeurs, MM. Letur et IIurul. Nous publierons prochainement une lettre remarquable d’un membre correspondant, M. Clapier
ne l’avons pas encore lu, mais voici, en en attendant l’analyse, une lettre à l’auteur et sa réponse, qui donneront un avant
Cher cl honorable Monsieur, J'ai clé très-sensible à l'obligeante lettre que vous avez daigné m'adresser ; je suis loin de
INSTITUTIONS MAGNÉTIQUES. JURY MAGNÉTIQUE. Nous espérons que la lettre suivante sera lue avec intérêt par les magnétiste
se magnétiques De plus, j’ai reçu le 13 de ce mois, de Mantoue, une lettre de mon ami et confrère, Louis Coddé, fameux par s
nt auxiliaire de la médecine homœopathique. Avant de terminer cette lettre , je veux vous mettre au fait d’une magnétisation
vait être survenue sans maléfice. Les abeilles et le choléra. — Des lettres de St-Pétcrsbourg donnent les détails suivants su
st à cette scène qu'il est fait allusion dans l’extrait suivant d’une lettre que nous adresse M. Laforgue : « Je vous remerc
a Caatîlle. — M. Cl....r — reçu en son temps l’abon. — Transmis votre lettre la S. phil. qui doit y répondre prochainement. —
par l'intermédiaire deFr...ge. Lyon. —M. Gu....d. —VuM. F...e.— Une lettre part à votre adresse Edimburg. — M11"' Cr..a. —
..e.— Une lettre part à votre adresse Edimburg. — M11"' Cr..a. —Une lettre explicative vous parviendra d'ici quelques jours.
Nantes. — M. Gr..é. — Transmis à la S. magnétol. le passage de votre lettre qui la concerne. Lille. — M. D....s. — Martial
dée de m’adresser à la somnambule. J’enfermai • dans une enveloppe de lettre quelques plumes du fugitif; je présentai cette en
enveloppe à la femme Cheyroux et je lui demandai : Qui a écrit cette lettre ? elle me répondit : Ce n’est pas une personne ;
mnambule.avec une dame; quand elle fut endormie, nous lui remîmes une lettre . Elle nous déclara que cette lettre était d’une p
ut endormie, nous lui remîmes une lettre. Elle nous déclara que cette lettre était d’une personne qui se trouvait aux colonies
sa maladie. » Plus tard, je lui remis une enveloppe contenant trois lettres ; elle dit que ces trois lettres émanaient de troi
i remis une enveloppe contenant trois lettres; elle dit que ces trois lettres émanaient de trois personnes différentes; qu'une
me Cheyroux ne pouvait avoir connaissance des faits contenus dans ces lettres . » Marguerite Meynieux, veuve Rougerie. — J’ava
es yeux.) » Le témoin Corally ajoute à sa déposition. — J'avais une lettre qu’un de mes parents, habitant l’Angleterre, m’av
la guérit gratis. » M. Lassimone, professeur de dessin.— Jémis une lettre dans les mains de la somnambule; elle me dit qu’e
tes sur le travail de M. Jobard ( tome v, page 337), nous ont valu la lettre suivante : A M. le baron du Potet. Monsieur l
aux; mais j’avais à m’excuser près de vous, tout en répondant à votre lettre spirituelle et amicale pour moi. Tout à vous.
e qu'ils ont eue jusqu’ici. » Le même journal, du 3 mars, publie la lettre suivante, qui est un monument aussi sagement conç
e de J. B. Porta, de Y Histoire de l'inquisition de Lorenti, et des Lettres sur la démomlogie de sir Walter Scolt, pour const
gagent à faire un chapitre spécial de variétés où nous insérerons les lettres les plus importantes qui nous seront adressées, e
avec «lu collyre, sur le front des femmes et surtout des enfants, la lettre clif, la première de leur alphabet. Aussi en Orie
lanthropie se manifeste en toute occasion, nous adresse à ce sujet la lettre qui suit. Très-cher Monsieur du Potet, Je doi
a grande lutte. Les quelques lignes dont vous avez fait précéder la lettre du prêtre Almignana (1) nous ont surpris en nous
ef de ces mystères, nous publions à titre de renseignement curieux la lettre suivante : A MM. les rédacteurs du Journal du M
seur de philosophie à Rennes, a publié, dans XAuxiliaire Breton, une. lettre à la date du 15 janvier, reproduite par le Courri
égatifs de ceux dont M. Dumas s’est fait l'éditeur responsable. Cette lettre accablante et malveillante est restée sans répons
NÉTIQUE. A M. le baron du Pot et de Sennevoy. Cher Monsieur, Ma lettre de janvier dernier (1) vous faisait part de diver
qu’ils m’approchent. En voici assez pour le moment; dans une autre lettre je vous communiquerai des expériences d’une natur
; je reçois peu d’étrangers, un ou deux à peine par année; mais votre lettre m’a plu, et j’ai désiré connaître une personne qu
del-P*lils-Champl, n” 18-ÏO. N.-Orléans. — M. Jos. II.— Remis votre lettre à A. G. — Sous n'enverrons plus par V. Hébert. —
Poitiers. — M.V....e. — L'impression du n* 66 était faite quand sotie lettre est parvenue. — Une lettre vous dira pour les u"‘
mpression du n* 66 était faite quand sotie lettre est parvenue. — Une lettre vous dira pour les u"‘ relatifs au disque. Pau.
velles cures magnétiques, dont quelques-unes sont mentionnées dans la lettre suivante adressée à M. Laporte. Monsieur, Je
ence et les propriétés. Elle écrit à M. Durieux de Cambrai une longue lettre sur ce sujet; nous en extrayons le passage suivan
i se passa. Je me rendis à la séance du 2 février dernier, muni des lettres de MM. Picard et Dugnani, insérées dans ce journa
cette opération à lecole de médecine: « Avec l’espoir, dit-il dans sa lettre d’envoi, que ce magnifique témoignage de la prati
e suis chargé par l’école médicale de vous accuser réception de votre lettre n° 44, et de son contenu, relatant un cas d’opéra
x de Desion, son premier élève; c’est à ce titre que nous publions la lettre suivante, dont M. Alexandre-Martin, qui la possèd
c moi, il n’en est cependant pas plus heureux. Il cite, page 9, une lettre de M. Chaussier, du 24 septembre 1784, où il. est
miner *on état, et m’informer de son parfait rétablissement par une lettre du 22 décembre 1782, dans laquelle il paroit surt
sauroit être suspect à la Société royale. Peut-être a-t-elle porté ma lettre sur son cœur, parce qu’ayant soulagé les maux de
el est le titre que M. Jobard donne au phénomène qu’il décrit dans la lettre suivante adressée à M.du Potet. Mon cher maitre
dication de la personne qui a fait le réabonnement. — Point reçu la lettre annoncée. — Oui, les Arcanes sont parues. Reims
a bibliothèque de tous les magnétiseurs studieux, par l’extrait d’une lettre qui concerne la magnétisation des animaux. L’aute
donné les prénotions du magnétisme lui écrivit l’automne dernier une lettre dans laquelle se trouve le passage suivant qui s’
ique. Ce mauvais esprit ne s’exerce pas seulement dans le domaine des lettres . Les sciences aussi, partout où elles sont le pro
ces différents arguments. Pour preuve, nous ne voudrions citer que sa lettre sur le sommeil et les songes, dont les théories,
, J étais pressé lorsque j’eus l’honneur de vous écrire ma dernière lettre , et je ne pus vous adresser aucune note des résul
er. Nous y avons lu, avec beaucoup de satisfaction, les intéressantes lettres de M. l’abbé Almignana, et nous lui en faisons no
uire à la science dont ils ont à cœur de propager l’étude. Les deux lettres de M. Alexandre Dumas ont été republiées ici, et
a brochure promise. Bruxelles. — M. J....J. — Un ami vous porte une lettre . Lyon. — M. M.....y. — Expédié par M. Bor...l.
édié par M. Bor...l. Londres. — M. M...e. — Il y a eu croisement de lettres par mal entendu. -Rien de fâcheux. — Envoyé deux
s quelques détails sur l’état du magnétisme dans différents pays : la lettre qui suit ouvre cette série de renseignements. A
à probablement, il n’avait encore montrée qu’à sa mère. Ceci est à la lettre , et, quelque invraisemblable que doive paraître m
ation du mesmérisme. Le premier numéro contient un fragment d’une des lettres de M. Jobard, «pie nous avons publiées. — Le ma
analyse des Arcanes. — Point encore reçu l'annoncé par votre dernière lettre . Londres. — M. M...C — Envoie du n“ 32. — Grand
nne, 24, 91; — suédoise, 58; — belge, 59; — française, 60, 53, 115. Lettre de Desion à Thouret, sur l'examen du mesmérisme :
é à M. de S. V. Lacourade. — M. D......u — awz-vcus reçu ma seconde lettre ? Ooul-House. — M. D.....s — j'attendrai îotre a
estion si controversée, nous transcrivons les passages suivants d’une lettre à nous adressée par l’un de nos abonnés, M. Thiry
eule vous a laissé mourir. ljiUre de Deieuze. — Nous publions cette lettre comme souvenir d'un homme bien regrettable;puis p
s, 156. Paris, 19 octobre 1827. Je vous remercie, Monsieur, de la lettre que vous m’avez fait l’amitié dem’écrire: je l'ai
uriez jamais atteint par les remèdes de la médecine. Votre dernière lettre est du H», si vous voulez m’en écrire une demain
affaires qui l’intéressent; 3° de déchiffrer des livres fermés ou des lettres cachetées, au moyen du seul contact. On fait d’au
thématiques ; j’ai beau savoir que sans retirer de leur enveloppe des lettres que je lui présentais, il m’en indiquait les aute
arrière, et m’en disait les noms qui n’étaient pas consignés dans ces lettres ; ces faits n’ont pas pour moi la portée que je s
et d’erreurs. En effet, cesomnambulesi lucide, qui a su lire tant de lettres les yeux fermés, n’a su déchiffrer devant moi qu’
. D ailleurs vous trouverez bientôt dans ce Journal, une analyse, des lettres peut-être, sur celte nouvelle doctrine, qui a plu
conquises. Du POTBT. PETITE CORRESPONDANCE. Londres.——Reçu *05 lettre » et les galettes.—Merci de Uni de sollicitude. —
nous ne savons de la science antique que les deux ou trois premières lettres de son alphabet. I)u Potet. Coi’P D'ceiL SUR
éjà donné à cette promesse un commencement d’exécution en publiant la lettre de M. Boméa; nous continuons. — Le lendemain de
40, il n’a point progressé. Qu’on en juge par l’extrait suivant d’une lettre de M. Thiry, déjà cité à propos de l’anti-magnéti
er les partisans, et, pour preuve, nous croyons devoir reproduire une lettre fort spirituelle adressée au baron du Potet par u
aron du Potet par un des savants les plus connus de Bruxelles. » La lettre en question est celle où M. Jobard traite du Magn
et m’obligèrent de faire insérer dans les journaux du département des lettres de mes chefs qui devaient faire tomber la calomni
rance, jeta par la bouche un taffetas plié dans lequel parut écrit en lettres rouges le nom de MARIE et les quatre lettres init
ns lequel parut écrit en lettres rouges le nom de MARIE et les quatre lettres initiales de saint Hubert et de saint François de
er la note qui accompagne le titre Théories. Cet oubli nous a valu la lettre suivante, dont la publication est un devoir pour
ues, nous lisons : « Us ont même leurs magnétiseurs, que l’auteur des Lettres chinoises compare aux convulsionnaires de saint M
vrier de Merthyr,nomme Longfcl-low, écrivit, la semaine dernière, une lettre à sa femme, qui’se trouvait alors à Newport, pour
souvent demandés sur cette recherche. iNous croyons devoir publier la lettre suivante pour répondre a toutes ces demandes. M
nc). Ii' :tl juilli-l I84G. Monsieur Lapone, Conformément à votre lettre du 11 juillet courant, par laquelle vous inc dite
ure et à la minute qu’elles avaient indiquées. Maupertuis ( Œuvres, lettre 18 ) regarde la prévision comme posgible pendant
rt, si ce n’est que je ne suis pas un philosophe de votre espèce. » ( Lettres sur le Magnét., p. 8S,) « Vous renverseriez tou
odiguent avec profusion. « Les médecins me tuent, disait d’Alembert ( Lettre du P. Uervier, p. 46) ; je voudrais faire appeler
ar on est bientôt las de jouer la.comédie quand on n’y gagne rien.» ( Lettres sur le Magnèt., p. 149- ^ Cette prévision n’a p
idée, qui se rapproche un peu de celle que vous avez émise dans votre lettre , que celte obsession pourrait bien être le fait d
ogie entre elles. «Donnez à un somnambule, dit le docteur Ho-re(F ( Lettre à Dcliuse ), dix personnes affectées de la même m
ry nous écrit de Meta : « Vous savez que, dans une de mes dernières lettres , et d’après votre demande, je vous faisais l’énu-
baron de Guillemain. 11 était toujours présent à la rédaction de mes lettres , car c’est de pair que nous vous écrivions, et, p
p. IX. — Procédés pratiques du magnétisme. Ciiap. X. — Conclusions; lettre sur le magnétisme. Deuxième Volume. — Paroles d
re sur le magnétisme. Deuxième Volume. — Paroles d'un Somnambule. Lettre des membres de laSocieté magnêlique de Toulouse,
. — Vous m'avez envoyé 1 fr. de trop. Metz. — M. T.....— Une longue lettre va vous partir. Barcelone. — M. P .... y G ....
il lui a dit telle et telle chose. Quelque temps après, on reçoit une lettre de C, disant qu’il a vu A à telle époque, et que
ELATIVES AU MAGNÉTISME. Deuxième observation. (Suite.) Dans une lettre postérieure à la dernière publiée, M. M"* dit :
re à la dernière publiée, M. M"* dit : « J’aurais bien une dernière lettre à écrire à M. du Potet au sujet de notre obsédé;
être appliqués ici à l’obsédé anglais. J’ai lu confidentiellement les lettres que ce malheureux a écrites, et, si la personne q
e l’enchantement de ses persécuteurs. » Quatrième observation. La lettre suivante nous a été adressée par notre correspond
en entretenir, en font foi. J’ai l’honneur, etc. JOllARD. — La lettre de M. Jobard est si féconde cri observations judi
sait. Il n’en était absolument rien. Cependant elle écrivit plusieurs lettres incohérentes dans lesquelles elle reprochait au m
. Le jour, l'heure el le lieu de la réunion, seront indiqués dans les lettres de convocation. Aux Abonnés. — Les personnes do
cevront pas le prochain numéro. N.-Orléans, — M. J. B.....I. — Reçu lettres el journaux, par Havre et Bordeaux. — Toul ce q
6 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
NS MAGNÉTIQUES. § Il. — Lyon. (5e article.) Dans nia précédente lettre , mes chers élèves, après vous avoir signalé des t
mais je n'ai qu’un instant pour émettre mes pensées. Dans ma dernière lettre , je vous parlerai sans voile et sans allégories.
sur Mn° C***, somnambule. Lui ayant donné, durant son sommeil, une lettre écrite par une malade sur laquelle je voulais la
r la France. C’est à lui qu’il s’adressa pour faire rendre une de ses lettres à M. Des-eartes, et pour l’engager ii lui répondr
a pas dix vers grecs tout semblables à ceux qu’il a mis au bas de sa lettre . « M. Descartes, qui était d’une civilité sans
urait pas mieux tiré le plan «Je Stockholm qu’il l’avait fait dans sa lettre ; que le palais et la bibliothèque y étaient parf
a personne. « Cette histoire est publique, et il y a peu de gens de lettres qui l'aient ignorée. » Cinquième observation ((
es. Nous ne pouvons nous empêcher de citer un fragment de la dernière lettre qu’il nous écrit ; il donnera lui-môme une idée d
r une planche. Après deux ou trois jours, elle connaissait toutes les lettres . « Un de ces jours je fus visité par un Indien,
un cadavre. « Trois semaines après, la mère de.M"' Fulvia reçut une lettre d’Afrique, lui annonçant la triste nouvelle que s
ienne, bien convaincu que sa fille est déshonorée, en a fait dans une lettre l’aveu à son gendre fn-tur ; celui-ci prend la ch
rnal, n* 88 de cette année, que vous donnez un extrait de ma dernière lettre . J’y ai rencontré une erreur que je désire releve
charlatanisme d'un industriel; mes deux articles m’ont aussi valu des lettres anonymes, et d’autres par lesquelles le magnétism
étisme et ses prôneurs étaient habillés de main de maître. Reproches, lettres anonymes et lettres signées ne firent que m’encou
rs étaient habillés de main de maître. Reproches, lettres anonymes et lettres signées ne firent que m’encourager â continuer me
suite prochainement.) CLINIQUE MAGNÉTIQUE- — Nous extrayons d’une lettre d'un de nos abonnés de Lyon le passage suivant :
ble, une des plus belles portions de l’histoire; la poésie, reine des lettres ; la philosophie, la médecine, la magie, la physiq
cette force humaine à travers l’espace. Du reste, qui prendrait à la lettre ce que je viens de dire n’entrerait pas du tout d
kilogrammes, le slone anglais équivalant à 6,349 grammes. Dans une lettre publiée par le Zoist, M. Esdaile écrit à son frèr
endu domine. — Le Mauricien, journal de l’île de France, publie une lettre de Calcutta qui donne le détail de l’opération qu
relatons page 199. La Démocratie pacifique du 28 mars, qui résume la lettre du Mauricien, confond comme loi le nom du patient
es formant un contraste frappant : « J’ai décrit dans ma précédente lettre au docteur ËllioUon l’extraction d’une amygdale p
’astrologie de Bulda et la science d’Hermès; et saint Jérôme, dans sa lettre à Paulin, indique parfaitement leur manière d’étu
vives du banquet présidé par vous, en leur communiquant l’objet de ma lettre , que je les prie, dans cette réunion solennelle,
L. Durand. Cherbourg:, 6 mai 1847. VARIÉTÉS. Révélation.—Une lettre d’Odessa, 24 octobre 1842, adressée à la Gaieite
en. Au moment de mettre sous presse, nous recevons de M. Laporte la lettre suivante : Monsieur le directeur, Si j’avais
n assemblée générale, à Paris, dans le local qui sera indiqué par les lettres de convocation. Art. 23. —Cette assemblée sera
. Le magnétisme à Rome. — L'Echo de la Nièvre du 21 avril publie la lettre suivante, adressée de Rome, 17 mars, k un curé du
us doivent savoir que monseigneur Gousset, ci-dessus nommé, reçut une lettre du cardinal Cas-tracane, grand pénitencier, qui f
nous être employés en faveur de l’humanité. Avant de terminer cette lettre , je crois devoir vous faire part d’une surprenant
ager des doctrines qui tendent au matérialisme et à l'hérésie.» Une lettre de la Corogne, publiée dans le Constitution? nel
e. MM. les membres de la commission nous ont adressé ij.ee sujet la lettre suivante : Monsieur le directeur du Journal du
possible. A.-R. Guinaud. Ljon, 22 mai 1847. Epilepsie.—Dans une lettre de remerciements adressée à M. AViart, président
du phlegme nerveux qui occasionnait les accès. o M"" Piron, par sa lettre du 28 décembre 1845, m’annonçait que le mal du no
uellement je ne le magnétise plus que tous les douze jours. » Cette lettre est du 19mars 184 G. Depuis, on a cessé de magnét
; Un trésorier, M. Liénaru. Nous voyons, par l’examen de quelques lettres et procès-verbaux, que de nombreuses guérisons on
rie d'A. Rb.nû elComp., ru« de Seiue, 33. CLINIQUE MAGNÉTIQUE Des lettres de l'île Bourbon, où le magnétisme est très-ancie
de Port-Louis (île Maurice). On nous adresse fréquemment de longues lettres sur les cures prodigieuses qu’obtient M. Laforgue
s de ce digne ami de l’humanité s’affaiblissent. II nous dit dans une lettre du 5 juin dernier : «J’obtiens chaque jour des
ité est attestée par plusieurs analogues contenus dans les nombreuses lettres qui nous parviennent journellement : «Il y a en
ociété vient de recevoir d’un vénérable prêtre, Espagnol réfugié, une lettre pleine d’onction, destinée à lever le doute, fair
azette de France.) Vue à distance. — Le Sud de Marseille publie une lettre de Saint-Dénis (île Bourbon), datée du 10 mars, e
e dont voici la nouvelle. « Je vais te raconter, dit l’auteur de la lettre , une chose bien extraordinaire, à laquelle tu n’a
» — Le Commerce du 12 et le Courrier français du 13 reproduisent la lettre publiée par le Sud concernant la recherche de la
uveau qui a, comme les autres, un commencement d’exécution. C’est une lettre ; les termes peuvent n’en être pas parfaitement ch
c la déclaration que le malade ou ses parents font au verso de ladite lettre . De cette manière l’on a, non plus de simples a
s. ElûoTheux. — M. T‘". La visite qui v. a été ann. par ma dernière lettre ne pourra avoir lieu. Beinu. — M. D"\ Informez-
lez accueillir en frère notre ami Lap. iiacourade__M. D‘*\ Reçu vos lettres . —Envoyé par Meisageries gén. h M. l'r. le ball
Secrétaire. L’envoi du document qui précède était accompagné de la lettre suivante : A M. le baron du Volet de Senncvoy.
agnétiques, qui facilitent leurs larcins. On lit à cet égard dans les Lettres de Victor Jacquemont: « Ils tourmentent le somm
ient observer ce phénomène. On ne lui accusa pas même réception de sa lettre . Ce procédé dédaigneux, si semblable à ceux des A
ème observation. Voulez-vous me permettre de vous écrire une longue lettre sur ce qui s’est passé chez moi aujourd’hui? Cett
une longue lettre sur ce qui s’est passé chez moi aujourd’hui? Cette lettre ne sera peut-être pas sans un certain intérêt de
en des gens, je puis le dire sans vanité, ayant reçu une vingtaine de lettres anonymes, dont les unes me disent que si je ne cr
travers deux portes et une muraille. « Pourriez-vous lire l’une des lettres qui se trouvent dans la poche de l’un ou de l’aut
Je peux tout dans ce moment-ci, je vois très-bien. — Messieurs, uno lettre . » , M. Delaage tire une lettre de sa poche et
vois très-bien. — Messieurs, uno lettre. » , M. Delaage tire une lettre de sa poche et la remit à Alexis. ll l'appuya c
tion, Alexis lut «J’aireçii, mon U'ès-chsr aipi,;. » On ouvrit la lettre , elle était de M. de Lamennais, et la première li
je l'apportai à Alexis. « Ah! c’est singulier, dit-il. Je vois des lettres , mais * ne puis pas lire. L’objet vient d’outre-m
connais pas, mais je pourrais le deviner. » C’était un Nishan ; ces lettres qu’Alexis ne pouvait pas lire, c'était la signatu
A. Maquet, A. Esquiros, Barryc, etc. (Presse.) Les faits dont cette lettre est le récit ne sont pas rares; toiis les magnéti
la fermeture des conférences. Rennes. — M. Mag. D***. Reçu les deux lettres et comrauniq. à la S. du M. qui vous écrira. — Co
ile. Messieurs, Je suis chargé de vous accuser réception de votre lettre du 9 du mois dernier, parvenue avec le rapport, l
tre d’instituteurs du genre humain. Déjà plusieurs l’ont senti, et la lettre suivante est adressée dans ce but à la Société pa
preuve de cette vérité est dans le fait de reproduction entière de la lettre de M. Alexandre Dumas dans l’Union monarchique du
ent, on vous écrira lesquels, etc., etc. Nantes. — R1. G..vé. — Une lettre pari pour vous. Pau. — M. L***. — Nous attendon
e; JS. INSTITUTIONS MAGNETIQUES SOCIÉTÉ DU MESMÉRISME DE PARIS. Lettre de M. l’abbé Almignana. (Suite.) Mais si, d’a
madra9, me remit les bras dans mon lit, puis elle lira de son sac une lettre de mon père, qu’elle décacheta et tint devant mes
de ma fin pour qu’on eûleru devoir avertir ma famille. Je demandai la lettre de mon père... Il n’v avait point de lettre. Al
famille. Je demandai la lettre de mon père... Il n’v avait point de lettre . Alors je leur racontai ma vision, ils en rirent
Ils riaient encore, lorsque ma bonne entra réellement et me donna une lettre de mon père, qui sans autre raison qu’une inquiét
raison qu’une inquiétude vague, voulait avoir de mes nouvelles. — La lettre était mol pour mot celle que j’avais cru lire et
uis plus capable de rien. » Emile DESCHAMPS. Hallucinations. — La lettre suivante nous a été adressée dans un but confiden
que nous en avons nous-mêmes observé plusieurs analogues. Voici cette lettre : Je viens d'étre témoin el cause sans le voulo
otre conversation, lorsque hier soir un commissionnaire m’apporte une lettre qu'on lui a recommandé, dit-il, de ne remettre qu
vue de» Journaux. — La Presse du dimanche 26 septembre a reproduit la lettre deM. Alexandre Dumas, sur le Magnétisme, publiée
a douleur. Dans son numéro du 17, le même journal publie une nouvelle lettre de M. Alexandre Dumas qui annonce avoir lui-même
Nous agirons suivant indication. Romilty 8. S. — M. V.....n. — Une lettre vous parviendra d’ici deux jours. Pari*. — Av
nt-Cloud. — Imprimerie de Belin-Mandar; INSTITUTIONS MAGNETIQUES. Lettre de M. l'abbé Almigmna. (Suiteel fin.) D’abord
omme de bon sens. Qu’il me soil permis, avant de finir celle longue lettre , de faire encore une et dernière réflexion. Il
vent ôtre la devise de l’honnôte homme. Si quelqu’un, en lisant cette lettre , trouve que je me suis trompé dans mes assertions
vive voix et par écrit, de tout ce que je viens d’avancer dans cette lettre , et, avec la même franchise que j’écris en faveur
m’écrire au bureau du Journal du Muynélime. A la récep- lion de la lettre , nous conviendrons sur les moyens à prendre pour
Paris, en échange de la confiance qu’elle a daigné m’accorder par sa lettre , si Ilalteusepour moi, du 17 août dernier, pour q
N° 92, 2 nivôse an n (22 décembre 1793). Paris, le \” nivôse. Les lettres de Vienne en Autriche confirment la nou- velle
nt de mander l’abbé Paramelle, pour explorer le sol de Paris. — Lue lettre de Sainte-Hélène nous apprend que M. La-caussade,
’adresse. — Le Courrier de Marseille du 28 octobre met en regard la lettre de M. Alexandre Dumas et le factum du National, m
venu la douleur. Le même journal publie , dans son dernier numéro, la lettre suivante, qui relate cette seconde opération non
e j qu’elle avait dit en sommeil, et nous l’engageâmes à écrire » une lettre sous notre dictée. » Nous nous plaçâmes derrièr
ute. Mais lorsque le jour sera venu où une main mystérieuse écrira en lettres de feu sur les murailles de ce temple le mot : Ma
ce temps, Mendelsohn erra comme une ombre parmi les vivants. Dans une lettre adressée à sa femme, il dit : « Notre âme commune
le que fâcheux. — La Gazette de France du 21 novembre, contient une lettre où les différentes phases de l’histoire du magnét
quelle, en un mot, la magnificence de la création serait demeurée une lettre morte, une énigme sans mot, le néant revêtu d’une
il donnera. 170 Jenny Lind, son duo avec une somnambule anglaise. 209 Lettre de M. de Brossard sur sa guérison. 324 Lettre du
omnambule anglaise. 209 Lettre de M. de Brossard sur sa guérison. 324 Lettre du Dr Aubry sur Mesmer. 80 Lettre de M. Joseph Ba
M. de Brossard sur sa guérison. 324 Lettre du Dr Aubry sur Mesmer. 80 Lettre de M. Joseph Barthet sur l'enseignement et l'exer
M. Joseph Barthet sur l'enseignement et l'exercice du magnétisme. 103 Lettre de M. Léon Lerolle sur sa maladie et sa cure. 161
nétisme. 103 Lettre de M. Léon Lerolle sur sa maladie et sa cure. 161 Lettre de M. Mermoud de Po-liez, sur la persévérance dan
s le traitement magnétique des maladies, 321 ; exemple à l’appui. 325 Lettres de l’abbé Almignana à la société du Me-mérisme su
s magnétiques; preuves tirées des textes sacrés. 41, 174, 225, 257, 3 Lettre de l’Athénée magnétique ad Itérant au projet d’un
l’Athénée magnétique ad Itérant au projet d’une société centrale. 169 Lettres d'Alexandre Dumas, sur le somnambule Alexis. 146
7 (1857) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Atlas
dal, ou cérébral, to. Tubercule optique, c. Cervelet. Rouget. Les lettres te, to, c, expriment les mêmes parties que chez
e cérébral. to.Tubercule optique, c. Cervelet. Squale-renard, Les lettres te, te, etc., comme chez les précédons. e. Nerf
rf labyrinthique. t\ Nerf vague ou branchial. Grenouille. Mêmes lettres désignant lés mêmes objets que chez l'anguille.
e. p. a. Pyramide antérieure. c. r. Corps restiforme. Les mêmes lettres servant à désigner les mêmes objets dans toutes l
l'encéphale du même animal. S. Une ligne ponctuée partant de cette lettre ,descend jusqu'à un sillon oblique de haut en bas
2. Partie latérale. 3. Flocons ou partie latérale externe. Les lettres e, 0, p, etc., désignent les nerfs, comme dans la
es deux premières paires cervicales et une portion du nerf spinal. La lettre S indique le lieu correspondant à la scissure de
fférentes parties que présente cette section, désignées par les mêmes lettres que pour la fig. 3 du renard (pl. IV). Pour bie
u'ici. Fig. ire face supérieure. Fig. 2. Face inférieure: les mêmes lettres expriment les mêmes objets que pour les figures d
Fig. 2. Face inférieure de l'encéphale du même animal. Les mêmes lettres désignent les mêmes objets que dans les planches
ici quels sont les rapports de l'encéphale avec les os du crâne. Les lettres API indiquent les circonvolutions antérieure, pos
ression n'est pas nécessaire, elle est toute faite par la nature. Les lettres P. P. P.P., fig. 3, indicjnent qu'il y a quatre c
extérieure du cerveau, c'est-à-dire autant que chez le renard, et les lettres A.A.A. indiquent qu'il y en a trois seulement en
. Cheval. Fig. ire. Face interne du lobe droit du cheval. Les mêmes lettres indiquent les mêmes parties que dans la figure pr
acés sur le cervelet, indiquent les trois lobes de cet organe, et les lettres italiques désignent les nerfs de l'encéphale. S
cissure de Sylvius, en avant de la ligne ponctuée qui réunit ces deux lettres , sont les circonvolutions antérieures, en arrière
hmoïdal, indique le point de communication dont il s'agit. Les autres lettres indiquent les mêmes objets que dans les figures p
a circonvolution antérieure située près de la scissure médiane. Les lettres P. A. de la même figure, sont placées l'une en av
avant, est un sillon transverse, c'est le sillon crucial. Les mêmes lettres indiquent les mêmes objets que dans les autres pl
Base de l'encéphale du phoque. Toutes les parties désignées par des lettres ou par des chiffres étant déjà connues, il est in
ide antérieure. 01. Eminence olivaire. c r. Corps restiforme. Les lettres italiques indiquent l'origine des nerfs de l'encé
a plus allongée de ces subdivisions ( celle qui est indiquée près des lettres P) n'est autre que le lobe d'hippocampe. Fig. 4
ions supérieures à la circonvolution interne. Lobe droit. Les mêmes lettres indiquent les mêmes parties. La seconde circonvol
Varole(l). Fig. 2. Enfant blanc. Recourir, pour l'explication des lettres , à celle qu'on a donnée des détails de la Figure
n cerveau d'un troglodyte Chimpanzé. (Extrait du même ouvrage.) Les lettres ont la même signification dans la figure 5. Le
rabattu avec la branche descendante du corps calleux. e. \ F Ces lettres ont la même signification . i que dans les figure
y*. Ses expansions dans le bord supérieur de l'hémisphère. * Cette lettre a été par erreur remplacée dans la figure par la
re. * Cette lettre a été par erreur remplacée dans la figure par la lettre q. hh\ Fibres qui se portent directement du noy
let latéral. c. Son vermis. Fig. 48. Profil du même cervelet. Les lettres ont la même signification que dans la figure préc
8 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
leine de reconnaissance, pour M. Bally, que je ne réfuterai pas votre lettre en ce qui concerne cet honorable académicien ; le
a-t-il pas saisi, remué? ne m’avez-vous pas écrit dans votre première lettre que ce sont des faits merveilleux? et dans votre
orieusement combattue. « G. Goossess. » [La suite à une prochaine lettre .) Un témoin oculaire transmet au journal la Meu
actes peuvent être commis sous rinlluence d’un rêve. J’ai reçu une lettre d’une dame qui se dit somnambule ; suivant elle,
rique. Louis XVI dicta à M. de Sartines, dans cette circonstance, une lettre , des plus flatteuses pour la mémoire de cet offic
s de votre dévoué serviteur. Le D' F. Roux (de Cette), RÉPONSE A LA LETTRE DE M. LE Dr ROUX. Dans l’article auquel répond
ment importante. C’était ma conclusion dans l'article qui motive la lettre de M. Roux. C’est la sienne aussi. Nous sommes do
. Nous exlrayans du Scapel, journal de médecine et de pharmacie, la lettre suivante qui lui a été adressée en réponse à uu a
êta, remit la corde au ton, puis reprit son exécution. II écrivit une lettre à son frère, et non-seulement sa composition étai
aire paraître un volume intiluléSWwic« de Chomme : il y reproduit une lettre qu’il avait adressée à SI. Duveyrier, sur l’immor
auteur M. Lemoine, ancien professeur de philosophie à la faculté des lettres de Bordeaux, est néanmoins, il faut s’empresser d
voulu garder l’anonyme. Madame la duchesse d’Orléans raconte dans une lettre les effets inattendus qu’elle ressentit lorsque,
ui venait de recevoir le corps du duc d’Orléans. « La date de cette lettre (14 juillet 1843) vous dira assez ce que mon
que rien ne devrait plus troubler. » Beaucoup ne remarqueront cette lettre que comme un modèle de beau style, comme l’ex
ouvrier pauvre, mais homme estimable et digne de foi. Je joints à ma lettre son certificat, le seul moyen en son pouvoir de m
connaissances dans cette scieuce, m’encouragent à vous adresser cette lettre qui sera suivie de plusieurs autres : je me propo
n mot emprunté au grec ou un mot pris du latin, peu importe.) Dans sa lettre , l’honorable critique avait déclaré que ces mots
ant l’invitation que j’adressais aux magnétiseurs , dans nia première lettre , de vouloir bien expérimenter les doses infinités
dans la marine marchande , me dit un jour : Je viens de recevoir une lettre d Henri, et je serais curieux de savoir si Eugéni
nter l’épreuve et ne voulus pas prendre connaissance du contenu de la lettre . J'endormis mon sujet et lui remis la lettre entr
issance du contenu de la lettre. J'endormis mon sujet et lui remis la lettre entre les mains. Après l’avoir appliquée au creux
’estomac, puis sur le front (sans la déplier) , elle dit : Tiens, une lettre de M. Henri ! — (Elle pouvait savoir qu’on l’avai
... Voilà M. Henri qui est avec son capitaine... On lui remet trois lettres ... La première est de M. l’abbé Courtin... voilà
moment même où nous étions, elle répondit : Je le vois bien écrire la lettre que je tiens, mais je ne peux plus le voir après.
ltat de la séance. Après avoir éveillé le sujet, j’ai lu tout haut la lettre devant elle ; elle en suivait la lecture avec aut
, comme je n’avais pas voulu prendre connaissance d’un seul mot de la lettre , il ne pouvait y avoir transmission ou soustract
comme les clairvoyants, elle voit quelquefois les yeux fermés, bt une lettre cachetée, aperçoitee qui se passe à distance, ent
Mais voici un trait dont je fus surtout frappé. Je lui présentai une lettre que je venais de recevoir et qui n’était pas enco
té énergiquement contre mes contradictions en accusant l’auteur de la lettre . » M. Houdin a rendu hommage à la vérité en sig
dire , ce n’est pas en français. — Eh bien , lui dis-je , nommez les lettres les unes après les autres, et elle lut : Windsor
lheureux livre tant incriminé; il déplore l’obstination des hommes de lettres et des journalistes que n’a pu séduire son éloque
, je reviens enfin à la question qui fait le sujet principal de cette lettre , et je demande si le portefeuille qui vient de jo
Le Spiritual Telegrap/i contient, dans son. n° du 5 mars, une longue lettre signée de M. Dun-bar Moodie , qui donne de nombre
racles et Us Somnambules compares, par madame UoxgrubLi précédé d'une lettre de M. Edouard Fourbie». (Brochure in 8, chez Dejî
an alphabet : un des spectateurs parcourait successivement toutes les lettres avec la pointe d’un crayon, en s’arrêtant un inst
lettres avec la pointe d’un crayon, en s’arrêtant un instant à chaque lettre ; quand un coup se faisait entendre, la lettre su
nt un instant à chaque lettre ; quand un coup se faisait entendre, la lettre sur laquelle se trouvait alors le crayon, était r
ors le crayon, était réputée choisie, et il en était pris note. Les lettres ainsi désignées formaient par leur ensemble des d
équence, il l'ut convenu que le carton sur lequel étaient tracées les lettres de l’alphabet serait tenu de manière à ne pas êtr
ses regards pardessus et voiries mouvements du doigt qui pointait les lettres . II fallait donc procéder d’une manière plus rigo
itrine, de manière que les mouvements de son doigt qui parcourait les lettres , ne pouvaient être vus que de cette personne et d
t de précaution , la personne, au lieu de suivre l’ordre habituel des lettres A, B, C, D, etc., allait au hasard ou dans un ord
tenait l’alphabet notait, comme précédemment, mais en silence, chaque lettre qui se trouvait sous la pointe du doigt ou du cra
e le coup était plus faible que d’ordinaire. On demandait alors si la lettre qui venait d’être écrite, et qu’on se gardait bie
coups de suite voulaient dire non). 11 fallait recommencer. Plusieurs lettres ne furent adoptées ainsi qu’après de nombreux tât
ttres ne furent adoptées ainsi qu’après de nombreux tâtonnements. Les lettres n'arrivaient donc que lentement etdifficilement.
ses deux voisins, fit connaître alors le résultat obtenu au moyen des lettres ainsi triées. C’était un assemblage de consonnes
édium, aucune réponse n’était obtenue, et qu’alors la désignation des lettres par les coups ne formait qu’un assemblage confus
t elle a été le berceau de la civilisation moderne, le foyer d’où les lettres et les arts ont rayonné sur tout l’Occident, mais
t de parler du fait qui doit être et sera le principal sujet de cette lettre , j’en citerai deux qui, quoique secondaires, ne s
Monsieur, me répondit-elle en soupirant, tout ce qu’il a dit est à la lettre . « — Eh bien, Madame, s’il a été aussi heureux
de Aligné, ou que l’apparition d’une autre croix mentionnée dans une lettre de Al. l’abbé du Alage, rapportée par M. Piérart,
sultations à 30 centimes et s’annoncait au moyeu d’une inscription en lettres gigantesques, comme élève de M. Mesmer. Dans les
pesanteur et de la gravitation universelle, inscrites au firmament en lettres de feu, ont dû attendre Galilée et Newton pour êt
et elle brille aujourd’hui sur le front d’un grand nombre d’hommes de lettres , de philosophes et de véritables savants. C’est p
able. » « A une question posée de la même manière, l'oiseau sort la lettre N et déclare ensuite ne pouvoir continuer. Pendan
champ, sans ordre et au hasard, six ou sept cents cartes portant des lettres de l’aphabet, des chiffres, des noms propres d’ho
diminutif russe du premier, et complète sa réponse en v ajoutant les lettres n et •, et en retranchant la lettre a. On me pr
ète sa réponse en v ajoutant les lettres n et •, et en retranchant la lettre a. On me prie de prendre une pièce de monnaie,
. — Voulez-vous y répondre? — Oui. — Répondez. L’oiseau forme lettre par lettre le mot Dieu. On ouvre le papier, il
z-vous y répondre? — Oui. — Répondez. L’oiseau forme lettre par lettre le mot Dieu. On ouvre le papier, il contenait c
l ciel es-tu né? Le verdier repondit « Amérique. » On apporte une lettre à M. Tréfeu. Un passage complètement illisible in
Monsieur le baron, , « Le sujet que nous allons aborder dans cette lettre , mais en ne faisant que l'effleurer toutefois, ét
e se reconnaître individuelle. « Nous ne voulons pas terminer cette lettre , tout en restant dans notre opinion, sans revenir
mbat, pleurs, injustices, illusion déçue, surtout dans le domaine des lettres ; n’allez pas à Paris. — Où aller dans ce cas ?
titions de sa pièce, M. Louis d’As-sas recevait, me raconte-t-on, une lettre ainsi conçue, ou à peu près : « Ne restez pas à
les- dites paroles, de sorte qu’il n’y demeuroit un seul trait de lettre : et jettoit la terre qu’il avoit raclée dans un
nvisible world; London 1836, p. 184.) Tilson raconte ce fait dans une lettre du 6 juillet 1691 à un théologien très-connu, nom
z moi, et m’ayant été communiqué au moment où j’allais cacheter cette lettre , je ne peux m'empêcher de le consigner ici afin d
r parle frappement de coups au fur et à mesure que vous pointerez les lettres sur un alphabet qui ne sera pas vu du médium, vou
poser tout simplement la main sur la feuille de papier, tracerait des lettres au moyen de cette bague, même — apparemment — lor
des lettres au moyen de cette bague, même — apparemment — lorsque ces lettres se trouveraient ensuite à l’intérieur de la feuil
d'elles. — C’est que notre magnétiseur, qui (Lins ce moment écrit une lettre , non duns son cabinet, mais dans la salle à mange
la nuit. Mais, par une précaution fort raisonnable, le lendemain une lettre partait pour la France, demandant instamment des
de la société, par des grands seigneurs, des savants et des hommes de lettres ; qu’il a eu auprès d’eux un très-grand crédit et
, 16, 37-43; Jeao, XX, 14, 13; XXI, 4, 7. et publia, en 17S7, une lettre au peuple français, qui l'ut répandue à profusion
e... (L’auteur annonce) le règne prochain d'uu prince qui abolira les lettres de cachet, convoquera les Etats généraux et rétab
it un comptoir. Le vaisseau était prêt; son maître, ayant à faire des lettres et d’autres préparatifs nécessaires, ne put le pr
tudiant à Londres, avait été assommé quinze jours avant la date de la lettre clans une batterie avec un tisonnier, et était mo
nier, et était mopt bien- tôt après de sa blessure. Morton lut la lettre une heure après son arrivée à Londres : il connai
ce temps-là, et il était admis dans le sanctuaire où étaientécrits en lettres d’or ces vers de Virgile, qui était un des patria
égulière, avec des angles rentrants et sortants; on y voit en tète la lettre hébraïque lamed S, puis un flambeau renversé, une
te sur votre obligeance, monsieur le baron, pour l’insertion de cette lettre dans votre plus prochain numéro et suis avec une
t elle serait lieuieuse de proclamer un succès. « A.-S. Morin. » La lettre de M. Éliphas Lévi et la note de M. Morin semblen
lire ma phrase avec une certaine peine, mais si j’écrivais en grosses lettres , elle lisait couramment sans épeler. Si j’employa
osses lettres, elle lisait couramment sans épeler. Si j’employais des lettres majuscules bien espacées, ou le titre d’un livre
t, indispensable pour la production des faits qu’il relate ? Voici sa lettre : 17 octobre 1859. « Monsieur le baron du Pot
t, en dévorant l’espace avec mon coursier de feu. « Faites de cette lettre ce que bon vous semblera. « Recevez, etc. ***•
lations étrangères où l’on voit des mouvements sans contact; dans une lettre de M. Tallmadge (des Etats-Unis), tout le monde s
ais d’un numéro du Spectateur, Revue encyclopédique des sciences, des lettres et des arts, 11“ 2, p. ¿30, 20 février 185â. Je l
s. Atten...dez..., je ne puis pas le prononcer..., je vais nommer les lettres ... «On l’entoure, on écoute avec anxiété..., et
avec anxiété..., et sa bourbe laisse tomber, l’une après l’autre, les lettres suivantes : « C, H, E, S, T, E, R... Chester!
circonspection en présence du merveilleux. Elle était précédée de la lettre d’envoi ci-après : « Monsieur le rédacteur, «
es Fox, inséra dans le Aew-York duily Tribune du 26 janvier 1851, une lettre sur le môme sujet ; elle est reproduite dans la b
En 1851, le Journal du Magnétisme publiait au mois de septembre une lettre du célèbre docteur Williams Gregory d’Edimbourg à
analogues à celles dont on a donné communication à l’Académie. Cette lettre , en outre, était suivie d’une analyse des procédé
n nom, celui d’une autre personne, d’un objet quelconque, ou diverses lettres de l’alphabet, etc. La vue n’échappe point à ce
s, l'autre la parfaite bienveillance de sa manière d'agir. Les deui lettres que viennent de m'adresser M. Mathieu et il11* Hu
ut. Au lieu de cela, il vient de faire insérer dans votre journal une lettre où, désertant les faits en question, il accumule
ope, décrit par M. le Dr Léger, 11. Magnétisme (Le) et la médecine. Lettres du Dr Frappart, au sujet des préventions du c
s, 310. — Même opinion exprimée par les Drs Flint et Lec, 455, 637. — Lettre de M. Jos. Barthet à propos de M. Flint. 656. —
455, 637. — Lettre de M. Jos. Barthet à propos de M. Flint. 656. — Lettre de M. Piérart à M. le baron du Potet, 659. — Réfl
9 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
avec l’esprit à l’aide de l’alphabet; il pointait successivement les lettres écrites sur un papier, les coups indiquaient le c
les lettres écrites sur un papier, les coups indiquaient le choix des lettres , et la réunion des lettres ainsi déterminées form
papier, les coups indiquaient le choix des lettres, et la réunion des lettres ainsi déterminées formait des mots. Il obtint ain
ence de l’Angleterre n'est pas niée parce qu’on reçoit de ce pays des lettres qui ne sont pas à la hauteur de l’idée qu’ou avai
ux d’un absent et demandait de ses nouvelles, un autre présentait une lettre close dont il fallait donner le contenu ; celui-c
ue tous les grands poètes, Shakespeare , Milton, Dryden, l’auteur des lettres de Junius, Byron , ne fussent pas tous des initié
leur corps des aiguilles, des épingles, etc. De Saint-André, dans ses Lettres sur la Magie, parle d’une jeune fille de son temp
moins que les blessés ne fussent assistés d’un officier de santé. Une lettre anonyme ayant dénoncé ces faits à l’autorité, une
moitié détruites par les esculapes officiels, des dénonciations , de6 lettres anonymes pleuvront contre vous au part-quet, et v
is la santé des leurs, les tribunaux vous condamneront en vertu de la lettre d’une loi surannée. En Angleterre et aux Etats-Un
dant j’ai recommencé plusieurs fois. « Un mois après, je reçois une lettre de M. T.... Sa femme est très-bien, elle ne souff
s abondent de toutes parts, et nous sont mentionnés dans une foule de lettres . Ces lettres, nous ne pouvons, faute d’espace, le
toutes parts, et nous sont mentionnés dans une foule de lettres. Ces lettres , nous ne pouvons, faute d’espace, les reproduire
s mots qui vous sont familiers, de même vous formerez ce nom avec des lettres que vous connaissez, et aussitôt la main écri
ait copié, ayant par mé-garde commis quelque erreur d’un mot ou d'une lettre . « Pendant environ trois mois , les réunions gé
st fixée en Pologne depuis la fin du siècle dernier, nous adresse une lettre sur les expériences auxquelles il s’est livré dan
é dans le pays qu’il habite. Nous nous empressons de reproduire cette lettre qui, outre qu’elle renferme plusieurs faits curie
vre immense Qui nous confond par sa sublimité, L'homme n’est pas la lettre qui commence, Kl moins cncor le point de sommit
euille et me dit : « Faites-moi le plaisir de me cher- « cher les lettres de nia femme. » Je les lui remis; il les prit et
s articles , intitulés Mémoires d'une planchette, sont précédés d’une lettre de l’auteur au rédacteur du journal pour le félic
oir osé s'occuper des médiums. Nous commencerons par reproduire cette lettre , et nous la ferons suivre de la première partie d
ts par le crayon, et le résultat de ces mouvements se trouve être des lettres , des mots, des phrases. Ce n’est pas plus diffici
pied indiquerait la réponse non, et que le troisième indiquerait les lettres en frappant un nombre de coups égal au rang occup
r exercé l’état de menuisier et y avoir laissé plusieurs enfants. Une lettre fut écrite au maire d«cette villo. afin de savoir
nes, parmi lesquelles des magistrats , des professeurs, des hommes de lettres , diraient comme moi combien ces conversations ava
its carrés de carton mince, portant chacun le caractère imprimé d’une lettre de l’alphabet, ou bien d’un de ces chiffres : 0,
on le touchât, il allait , de son bec inspiré, tirer du casier chaque lettre ou chaque chiffre nécessaire, jusqu’à la terminai
cle. L'oiseau s’élance sur l'alphabet et tire du bout de son bec, les lettres : D, U, P, R, E... Ici les applaudissements l’inte
en l'air le nom de Joséphine, elles en destinèrent admirablement les lettres , qui papillonnaient loutes vivantes par la trace
rs du papier. Madame O..., quand il était possible qu’elle formât des lettres , écrivait des phrases dans (1) Plusieurs fois,
s convenus, qu’il veut parler. — Eh bien 1 qu'est-ce encore? — La lettre que je souhaite ! — Ah! tant mieux. Allez voir
... : elle était pâle et froide. Je la réveillai. Le lendemain, une lettre du jeune homme apporta de bonnes nouvelles. 2»
des élimentisalions, lisez : nos paroles et nos actes sont ies... LETTRES D’UN VOYAGEUR SUR LE SPIRITUALISME AMÉRICAIN.
ègue est enfin de retour en France et doit nous remettre une série de lettres dans lesquelles seront consignés les faits nombre
quelles seront consignés les faits nombreux dont il a été témoin. Ces lettres nous en commençons aujourd’hui la publication. To
se porter garants de sa bonne foi. Du reste l'auteur anonyme de cette lettre n’est pas tout à fait étranger aux lecteurs d
x de la confiance qui nous est inspirée par son caractère. PREMIÈRE LETTRE . A Monsieur le baron du Polel, directeur du Jou
satlantiques. A. S. MORIN. La Luce magnctica annonce, d’après une lettre du docteur Oppert, que le roi de Prusse vient de
e table « qui a tout écrit au moyen de coups frappés pour chacune des lettres « dont elle avait besoin, nous étions cinq hommes
atômes, et, par suite , augmenter leur affinité et leur médicalilé.» ( Lettre de M. l’oumu, professeur de physique à l'école d'
ue jour nous recevions d’un grand nombre d’entre eux des notes ou des lettres dans lesquelles nous étaient attestés les faits l
lome étaient affaire de pure curiosité. Nous recevons d’un abonné une lettre intéressante. Si le fait qu’il nous raconte était
son récit qui nous parait un peu bien fort. Nous ne supprimons de sa lettre que ce qui est étranger au fait lui-même : Mons
IIa- (1) Tel est le nom véritable de l'illustre médium, d'après les lettres mêmes qu'il a adressées à la mère de l'enfant qu’
s un sens allégorique des récits évidemment faits pour Être pris à la lettre . Un livre inspiré ne peut comporter une telle lib
de vivre au milieu de l’insulte et du sarcasme. Baron Du Potet. LETTRES D'UN VOYAGEUR SUR LE SPIRITUALISME AMÉRICAIN
LETTRES D'UN VOYAGEUR SUR LE SPIRITUALISME AMÉRICAIN DEUXIÈME LETTRE . A M. le baron Du Potet. Mon cher Maître, D
ié de mes observations personnelles. Tel sera l’objet de ma prochaine lettre . Pour'répondre à un regret que vous avez sans d
e son erreur. Nous allons résumer ici un court passage de sa première lettre au Spiritual Telegraph, de New-York ; nous l’avon
e fait étrange : c’est M. W. M. Lanning, de Baltimore, qui a écrit la lettre suivante au Dr H. F. Gardner, d«Boston, et le
ue les domestiques eurent à ramasser. » M. Laning a écrit une autre lettre concernant une seconde séance non moins frappante
uis , de là on le porta sur un bateau à vapeur avec beaucoup d’autres lettres ou paquets ; il y en avait un sac plein. Je monta
euillez agréer, Monsieur le Baron, etc. L. Lamothk. CLINIQUE. Lettre à M. le baron nr Potkt, sur lu guérison de divers
igne comme cause d’hystérie la magnétisation. C’est écrit en toutes lettres dans le numér«de C Union médicale d’aujourd’hui m
donne l’adresse, et qui est connu sous le nom de Médium , écrivain de lettres . Le consultant enferma dans la poche de son habit
vain de lettres. Le consultant enferma dans la poche de son habit une lettre cachetée avec soin, dans laquelle il demandait de
s renseignements sur l'enfant perdu, et il demanda la réponse à cette lettre . Le médium, sans ouvrir la lettre, écrivit la rép
u, et il demanda la réponse à cette lettre. Le médium, sans ouvrir la lettre , écrivit la réponse suivante : « Celui que vous c
e à travers des mu- railles, j’écrivis à M. le docteur Burdin une lettre ainsi conçue : a Monsieur, « Vous avez offert
es salutations. « MAKCILLET. » « N’ayant reçu aucune réponse à ma lettre , je la fis publier dans plusieurs journaux, afin
compte sur votre justice, monsieur le rédacteur, pour donner à cette lettre une publicité qui certainement ne la fera pas bri
sa proposition et on n’en entendit plus parler, comme en fait foi la lettre de M. Marcillet reproduite ci-dessus. Ah! messi
mardi, dans l’après-midi, un facteur de la poste remit à M. B... une lettre du tuteur de la jeune fille, qui apprenait à cett
saire pour qu’il se trouvât dans la direction du navire naufragé. Une lettre de New-York fait les réflexions suivantes au suje
savoir quelque’ chose à un ami éloigné auquel ne peuvent parvenir vos lettres , prenez un plateau circulaire sur les bords duque
, prenez un plateau circulaire sur les bords duquel vous tracerez les lettres de l’alphabet dans l’ordre où on les fait apprend
aiguille aimantée disposée de façon à pouvoir en tournant toucher la lettre que vous voudrez. Fabriquez encore un autre disqu
nez votre appareil, et avec la main dirigez l’aiguille mobile sur les lettres dont vous avez besoin pour former vos m ots, de l
antôt là ; il sait tout ; étudie la marche de l’aimant, recueille les lettres , les rassemble en mots, devine ce que vous lui vo
our le progrès de la santé; le troisième sera consacré à l’examen des lettres odiques-magné-, tiques du baron de Reichenbach, s
er signe de vie. En effet, le spirituel négateur du fluide, dans la lettre (voir le n° 10) par laquelle il fait sa rentrée,
’y trompa-t-il pas, puisque dans les réflexions dont il fit suivre ma lettre , cet honorable ami déclare, avec la franchise qui
m’approuve , mais il va même jusqu’à résumer le principal point de ma lettre à M. du Potet pour en faire sa propre opinion. Au
déverser le ridicule. Mais, comme dit fort bien le docteur Frappart ( Lettres , page 37): « Le ridicule ne tue que la petitesse
e le savant docteur ait pris le change sur quelques passages de notre lettre , et qu’il ait cru devoir récriminer sur celle opp
préfère puiser encore ces conclusions chez M. Charpignon, et dans les lettres qu’il cite et accepte de son célèbre et regretté
. «(Page 10(5 de l’ouvrage de M. de Charpignon, et 224 du Recueil des Lettres du docteur Frappart.) u A cela qu’ajouter ? C’e
AISSENT TUER. » (Page 133 de Physiologie, etc., et 246 du Recueil des Lettres .) De ces conclusions, pleines de vérité et de l
e . à vrai dire, elle n«porte que sur un des points secondaires de ma lettre à M. du Potet du 21 juin 185(5 ; c’est celle de l
uffisamment en règle pour prouver l’authenticité. Avant de clore ma lettre , permettez-moi, moucher maître, de vous témoigner
raitement îles plus laborieux. Je pense que vous avez dû recevoir une lettre à ce sujet. Veuillez agréer, mon cber maître, a
qu’elle devait avoir à cette époque. Voici où commence le but de ma lettre . Où le dévouement s’arrête, la calomnie commenc
lution dans le magnétisme. Baron dd POTET, propriétaire-gérant. LETTRES D’UN VOYAGEUR SUR LE SPIRITUALISME AMÉRICAIN
ES D’UN VOYAGEUR SUR LE SPIRITUALISME AMÉRICAIN "> TROISIÈME LETTRE . A Monsieur le baron du Potet. Mon cher maîtr
-.nant l'alphabet dans sa main gauche , indique successivement chaque lettre du bout du doigt. Avec quelque précaution, cette
nt à l'abri de tout regard étranger. Quand l’indicateur arrive sur la lettre que les esprits veulent désigner, un rap se fait
ttre que les esprits veulent désigner, un rap se fait entendre, et la lettre est enregistrée. Des mots, des phrases et enfin d
occultes. Une de ces intelligences, qui se donnait un nom où entre la lettre ç, témoigna par un roulement de coups semblable à
sique du monde des esprits, puisque tel est le sujet spécial de cetle lettre . La nature de ces sons, que j'ai eu l’occasion
les bornes raisonnables d’une épître. Arrêtons-nous. A une prochaine lettre la continuation du récit que j’ai à vous faire su
« Ce que je vais avoir l’honneur de vous dire, je le signe en toutes lettres , en ajoutant à mon nom mes faibles titres et
éponses plus longues que par oui et par non , on récite tout haut les lettres de l’alphabet, et le coup se fait entendre sur la
ut haut les lettres de l’alphabet, et le coup se fait entendre sur la lettre qui doit entrer dans la composition du mot; avec
détourne, et voit sur la table une main qui trace rapidement quelques lettres sur le papier et disparaît. Il s’approche et lit
376, 492, 567, 593, 618 à 630. Créations matérielles des esprits : lettres , tableaux, etc., 234. Dictées attribuées à des
4 , 610, 623, 630;— qui écrivent, 202, 234, 361 ; — qui apportent des lettres , des tableaux, etc., 234;— qui guérissent des mal
10 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
astique. Il apporte cependant une certaine lenteur pour apprendre les lettres et les chiffres. Il a appris à se laver seul et s
que. — Est plus fort sur ses jambes. Reconnaît aujourd'hui toutes les lettres , les surfaces, les couleurs. Sa tenue est satisfa
d bien pour faire tous les exercices, noue, lace, boutonne, place les lettres , les chiffres et les couleurs sans dificulté. Est
es couleurs et les surfaces, montre des images, les explique, lit les lettres et les chiffres. Nous éprouvons de la difficulté
fficulté pour l'écriture, c'est avec grand peine qu'il forme quelques lettres ,, telles que i, t et o. Cet enfant est très heu
aisir en classe, est en bonne voie pour la lectu-re, trace toutes les lettres et les chiffres et ébauche même l'addition. Not
ivées à le faire s'habiller, lacer, boutonner, nouer: il nomme toutes lettres et les chiffres, commence à syllaber distingue le
e les couleurs, les surfaces, les animaux. Il trace des bâtons et les lettres qui s'en rapprochent. La parole est pres-que norm
t lacer, nouer, boutonner, distingue les couleurs, reconnaît quelques lettres et quelques chiffres. Idiotie microcéphalie. —
ces ménagers. Il a moins de goût pour la classe ; il trace toutes les lettres (1) Voir le Comyla-rendu de 1003, p. XVII. et
et la gauche très maladroite; il trace plus ou moins bien toutes les lettres . L'instabilité mentale quoique amoin-drie existe
est très mal doué. Avec difîi-culé il est parvenu à tracer toutes les lettres et les chiffres, établit une relation entre eux e
débuter, le signe o au signe i, pré-sentés sous la forme concrète de lettres en bois. Nous nous garderons bien de présenter i
nous obtenons ces figures de façon reconnaissablo, nous passons à la lettre proprement dite, en suivant le même ordre que pou
2 ans. Suit la dictée aujourd'hui et écrit lui-même maintenant les lettres à ses parents. Fait les 4 opérations et de petits
'assez bons résultats au point de vue primaire. Ne connaissant aucune lettre de l'alphabet, il sait maintenant lire de petites
lorées sur fond noir, images blanches sur fond noir), à apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond blanc, puis lett
oir, images blanches sur fond noir), à apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond blanc, puis lettres beaucoup plus
à apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond blanc, puis lettres beaucoup plus petites); pour l'éducation de la pa
une poutre avec support, barre fixe, sautoir, 4 tableaux, 5 séries de lettres et chiffres, 10 marteaux ; 8 rangs, 2 pieds de ma
. — Ordres du jour des Commissions. — Affiches diverses. — Entêtes de lettres . — — Divers imprimés pour les Ecoles d'infirmière
oir sa nouvelle adresse. Nous avons essayé aussi de les convoquer par lettre . La plupart n'ayant pas besoin de nous, ne se ren
es ; à la fin de l'année, ces chiffres n'avaient pas varié. Par une lettre de M. Mesureur, en date du 5 février, et d'accord
pour venir en classe le moins possi-ble : elle n'aimait pas l'école. Lettres , chiffres, écriture, tout lui était inconnu; sa f
marche et dans ses mouve-ments. En classe, ellencconnaissa.it aucune lettre et paraissait insouciante de s'instruire. Mise
aieté. Elle prit goût à l'étude, l'enfant qui connaissait à peine ses lettres , est parvenue à lire couramment, elle écrit très
ge avec impudence. Elle était nulle pour la classe, no connaissait ni lettres , ni chiffres, ne traçait pas une lettre; on avait
la classe, no connaissait ni lettres, ni chiffres, ne traçait pas une lettre ; on avait toute la peine du monde à la maintenir
ttention sur ce qui lui était enseigné. Elle a appris à connaître ses lettres , à syllaber et maintenant lit presque couramment.
e et y met toute son attention ; elle écrit lisiblement, assemble les lettres , commence à compter et récite quelques fables. A
n qui paraissait nulle s'éveilla et elle ne tarda pas à connaître ses lettres , puis à syllaber et parvint à lire couramment à l
o nous nous sommes servi d'un harmonium, plus ou moins défectueux. La lettre suivante du professeur de chant est instructive à
ement, rapport au Congrès de Lyon (1893), communications aux Congrès, Lettre à M, Dupuy, président du Conseil des ministres, L
s aux Congrès, Lettre à M, Dupuy, président du Conseil des ministres, Lettre à M. Cariot. sans compter les communications annu
drôle do bonne mine, mangeant tout seul, commençant à .distinguer ses lettres , répondant à l'affection et propre et que deux an
le-ment il est propre, se lave lui-même,, mange seul et reconnaît ses lettres , de grosses lettres en bois découpé. 2° Une fil
e, se lave lui-même,, mange seul et reconnaît ses lettres, de grosses lettres en bois découpé. 2° Une fillette de dix-huit mo
a appris à parler, il va entrer dans la classe où des chiffres et des lettres en bois découpés l'initieront en l'amusant aux my
grande école, où l'enfant peut être transféré dès qu'ils connaît ses lettres et ses chiffres, il trouve renseignement primaire
'organiser ces visites. [Monsieur le Docteur, En conformité de la lettre de M. Collignon, directeur de l'Institution natio
d'abord ; nous pourrions citer tel de nos élèves sachant à peine ses lettres il y a quelques mois et lisant aujourd'hui à peu
d'abord ; nous pourrions citer tel de nos élè-ves sachant à-peine ses lettres il y a quelque mois et lisant aujourd'hui à peu p
riérés de la province. Nous rece-vons presque toutes les semaines des lettres des départements réclamant l'admission de ces enf
.................. 52 — décorateurs....................... 5 — en lettres ......................... 1 — en voitures.......
de de l'opérer. « Elle a été opérée, nous dit M. le Dr Monod dans une lettre , sans diagnostic précis, et pour essayer d'obteni
e progrès. La classe l'amuse, elle place et replace machinalement les lettres , lace et boutonne de même avec indifférence et sa
11 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
es barres et les o sur le cahier et il connaît presque toutes les lettres de l'alphabet. Quelques progrès sont également
'abord des exercices pré- paratoires : tels que la superposition de lettres ou chiffres en bois, sur leur reproduction impr
leaux qui servent à ces sortes d'exercices sont les suivants : a) lettres majuscules de 0,12 en noir; b) alphabet complet
alphabet complet avec voyelles en rouge et consonnes en noir ; c) lettres minuscules de 0,08 en noir ; d) alphabet comple
; c) lettres minuscules de 0,08 en noir ; d) alphabet complet de lettres minuscules avec voyelles en rouges et consonnes
'esprit de l'enfant une confusion longue iL dis- paraître entre les lettres qui se ressemblent par leur forme comme m et 11
i- valents, les altérations diverses, les syllabes présentant des lettres ne se prononçant pas et enfin les exceptions de t
t pas et enfin les exceptions de tout ordre. Nous terminons par les lettres majuscules d'importance tonte relative et d'acq
à une idée que notre enfant peut saisir sans effort. A propos des lettres qui ne se prononcent pas, nous avons mis à part
ÉCRITURE. IX. - Equivalents complexes : lion, liai, sci, etc. X. - LETTRES ne se prononçant pas : rue, lits, vingt, etc XI
de la lecture et alors que l'enfant sait seulement reconnaître les lettres soit imprimées, soit en bois, les placer et les
ne l'eussent fait s'il se fût agi d'en apprendre séparément chaque lettre , chaque syllabe. Que de temps ne nous cîit-il
xer l'attention (images blanches sur fond noir ! , il apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond blanc), pour l
images blanches sur fond noir ! , il apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond blanc), pour l'éducation de la
en chef de la maison de Santé de Gand; 1\l'lIe Defrancc, femme de lettres ; Du David Frank (de Moscou) ; D1' Goerké, méde
on (de Paris); D'' Gaustad (de Christiana); Mille Gaveu, femme de lettres ; D" Hoennicke, médecin assistant à l'Asile d'al
arrondissement; M. Motz, Juriste à Kristiania; M. Meynet, homme de lettres , à Alfortville (Seine); M. Naudy, Inspecteur de
. Stojanovitch, étudiant en médecine à Paris; M. Sabatier, homme de lettres ; D1' Toulouse, médecin de l'Asile de Villejuif;
- Ordres du jour des Commissions. - Affiches diverses. - Entêtes de lettres , registres et tableaux divers pour la Direction
(3 ans. Enfant très arriérée et très bornée, ne connaissait, ni les lettres , ni les chiffres, ne savait tenir un porte-plum
Au point de vue de la lecture, l'enfant ne reconnaît pas encore ses lettres , elle les nomme mais au hasard. Pour l'écriture
recteur de l'Administration générale de l'Assistance publique, la lettre suivante : Monsieur le Directeur, Il existe à
s par l'intermédiaire de M. le Directeur de Bicêtre une copie de la lettre que vous avez adres- sée à cette Administration
de la lettre que vous avez adres- sée à cette Administration. Cette lettre est ainsi connue : Le Président du Conseil à
à M. Léon Bourgeois, alors ministre de l'instruction publique, une lettre ouverte sur l'or- ganisation de classes spécial
iver à une solution pratique, le 12 septembre il nous adressait une lettre dans laquelle il nous annonçait sa volonté de «
seignant toute incertitude. o C'est ce que nous avons fait dans une lettre en date {'U 5 novembre 1896. M. Carriot, peu ap
ce publique) du Conseil général, nous avons remis à ses membres une Lettre (1) renfermant : 1° la Note iL la Commission de
1) renfermant : 1° la Note iL la Commission de surveillance ; 2° la Lettre de M. Carriot et notre réponse. Cette seconde L
llance ; 2° la Lettre de M. Carriot et notre réponse. Cette seconde Lettre se terminait ainsi : « Nous espérons, Messieurs
les enfants arriérés en Suisse, en Angleterre et en Belgique. (1) Lettre aux membres de la t- Commission fil( Conseil géné
isons que nous avons invoquées dans nos rapports, communications et lettres anté- rieurs, pour justifier la création de cla
urveillance a renouvelé son voeu, le jour même. La copie de votre lettre , M. le président du Con- seil, m'est parvenue a
- CL Assistance et éducation DES IDIOTS. naire nous a adressé une lettre (le remerciements, pour les explications que no
faire face aux demandes des familles, M. le (le la Seine, clans la lettre suivante, adressée il 1. le Secours A domicile.
que par le passé. Et il s'agit d'enfants ! Ceci dit, revenons il la lettre de M. lo Pré- fel. Pour remédier il l'insuffi
ésident de vouloir bien ordonner l'insertion au procès-verbal de la lettre envoyée à l'Assistance publique à ce sujet et q
la proposition faite par M. Pelletier d'insérer au procès-verbal la lettre envoyée par l'administration préfectorale il l'
? 2 février 1897. Monsieur le Directeur, Yous m'avez transmis une lettre et un rapport de M. le D1' Chorpentier, médecin
, myopie assez prononcée, à la distance d'un mètre ne peut lire des lettres de 3 centimètres de long ; l'oeil gauche; est p
que Gabriel a toujours pris des douches. Même attestation dans une lettre de sa grand'mèrc du 7 octobre. Réflexions. I. L
sse est régulier et plus prolongé, l'orthographe est meilleure, les lettres qu'il .écrit de lui-même à sa famille manifeste
en a plus. La misère est chez lui. Il dépeint ses malheurs dans une lettre qu'il nous a adressée : « A bout de ressources,
enne à son aide. 20 )t0).'e)))b7'e. - Sa situation, dit-il dans une lettre , est plus triste encore. Sa femme qui n'a pas e
us a rendu des visites si fréquentes et nous a écrit si souvent des lettres , dont le récit qui précède ne donne qu'un aperç
Face externe au convexe de l'hémisphère gauche. (Page 176.) Les lettres ont la même signification que celles de la Plan-
fhémisphè/'e gauche. (Page 176.) F.O., foyer ocreux. Les autres lettres ont la même signification quR celles (le 11. PL
Face externe ou convexe de l'hémisphère droit. (Page 189.) Les lettres ont la même signification que celles de la Plan
lanche VI. Face interne cle l'hémisphère droit. (Page 189.) Les lettres ont la même signification que celle de la Planc
4, 5, etc. indiquent les îlots de sclérose tubéreuse. Les autres lettres ont la même signification que celles de la Plan
nche VIII. Face interne de l'hémisphère gauche. (Page 190.) Les lettres ont la même signification que celles de la Plan
Face externe ou convexe de l'hémisphère gauche. (Page 209.) . Les lettres ont la même signification que ceux de la Planch
Planche X. Face interne de l'hémisphère gauche. (Page 209.) Les lettres ont la même signification que ceux de la Planch
12 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
minicales. Le droit d'y assister étant personnel, restait presque une lettre morte pour nos abonnés des départements et de l’é
ervé depuis chez plusieurs peuplades sauvages. Nous trouvons dans une lettre de M. le comte Le Peletier d’Aunay (/|), des part
ar la Faculté. Les curieux détails de ce fait sont consignés dans une lettre des plus intéressantes adressée par une spirituel
s inouïes, à tant d’idées téméraires qui, avant même d’avoir reçu des lettres de naturalisation , allcctent des allures dominat
r dans le Mesmeric infirmary. D’un autre côté, nous lisons dans une lettre particulière du Dr Elliotson à M. Shaw, ce passag
re dont ils ont envisagé cette science. Le second, rédigé en forme de lettres , n’est qu’un volumineux extrait de tous les ouvra
de la Madeleine, 10. Recherches, prévisions, de 11 à 1 heure, et par lettres franco à l’Oracle. Ce n’est là qu’un échantillo
nos idées, le Corsaire, a publié dans son feuilleton du 6 janvier la lettre suivante, dont la reproduction intégrale ne peut
qui devaient être renvoyées à Paris, des ordonnances de médecin, des lettres de M. Cornet, pharmacien à Paris, et diverses let
de médecin, des lettres de M. Cornet, pharmacien à Paris, et diverses lettres adressées à Mmc Rose. Le lendemain, on saisit en
mc Rose. Le lendemain, on saisit en outre, au bureau de la poste, une lettre que Mme Rose adressait à M. Cornet. Après une l
passaient les consultations; on m’en rapportait le résultat dans des lettres , c’est ce qui a eu lieu jusqu’au décès de mon mar
elle ne répondait qu’endormie; on lui donnait alors connaissance des lettres de Mme Aubert, et l’on écrivait les réponses sous
lus policées et qui ont le plus concouru au progrès des sciences, des lettres et des arts ? C’est li le parti que prit le scept
ou de la main gauche, qui défierait toute critique. On vous a lu une lettre dont on attendait un grand effet. A cet égard, je
e contre Mmc Rose la correspondance de M. Cornet qui, dans uue de ses lettres , annonce l’envoi du prospectus de la Marmelade Za
z, à l’exemple des pharisiens, vous prosterner aveuglément devant une lettre inanimée. L’esprit français, qui brille surtout p
e quelques guérisons remarquables : plusieurs sont attestées dans les lettres que je dépose sur le bureau, elles sont écrites s
uvée, car elle est parfaitement guérie, comme elle le déclare dans la lettre que je dépose sur le bureau. Riez donc encore des
itionnées, devaient être renvoyées à Paris, ainsi qu’il résulte de la lettre saisie à la poste. M“' Rose invitait toujours ses
Lassaigne, qui devait nécessairement y tomber avec son sujet. Vingt lettres furent écrites de part et d’autre, pour s’entendr
u’un mot, que ce mot est court, qu’il n’est composé que de cinq à six lettres ; mais elle ne peut le déchiffrer, à la grande joi
s. On ouvre la boîte : c’était, en effet un mot composé de quelques lettres : Calypso. L’énonciation d’un mot au lieu d’une
en état de veille. L’envoi de cette annonce était accompagné d’une lettre ayant trait au même objet ; nous en donnons égale
éral et du mode d’expression. » Donc, le critique doit prendre à la lettre les mets employés par Davis, leur orthographe seu
wedenborg révèle que les anges ont une écriture composée en partie de lettres arabes et de lettres hébraïques. {)) Swedenb. L
les anges ont une écriture composée en partie de lettres arabes et de lettres hébraïques. {)) Swedenb. Le Ciel et l’Enfer, 23
s hébraïques. {)) Swedenb. Le Ciel et l’Enfer, 239. Or, comme los lettres «les alphabets arabe et hébreu sont des signes ph
fend aussi le transport des dépêches, et cependant on fait porter des lettres à des pigeons. (Rires.) C’est une comparaison : j
POLICE DE LIMOGES. Audience du 19 août 1850. Voici le texte d’une lettre qui nous fut adressée à l’occasion de ce procès :
s-étonnée. Elle déclara, en outre, ne plus éprouver aucun mal. » La lettre suivante nous a été dernièrement adressée; nous l
ON, horloger. Bergerac, 27 avril!851. Voici l’extrait d’une autre lettre , relatif à une guérison obtenue dans des circons
PIER, cultivateur il Sainte-Amélie (Algérie). A M. MIALLE, homme de lettres à Paris. • —j A M. le haron VON REICIIENBACN, h
nnu surtout dans le monde magnétique par divers travaux, mais par une Lettre adressée à Deleuze, Mémoire contenant les aperçus
vivre, non parce qu’il fut membre d’Acadé-mies, mais seulement par sa Lettre à Deleuze. Une vieille branche de l’arbre magné
aurait tracer; car l’infini ne saurait se renfermer dans vingt-quatre lettres . Eh bien ! tout cela, parce que c’était vous qui
avoir : l’hérédité de sensibilité magnétique. Voici une bien longue lettre , mon cher maître; si vous vous en plaignez, je vo
nt défenseur du magnétisme pratique ! » Le Corsaire du 28 publie la lettre suivante. C’est, sous forme de raillerie, l’expre
tes les prédictions qu’a faites Louise, et qui se sont vérifiées à la lettre ; tous ces prodiges sont l’accessoire ordinaire de
mot. DU rOTET. Persécutions. — Nous avons reçu de M. Laforgue les lettres et la pétition suivantes : Mon bien-aimé frère,
du droit de cité que les Académies refusent au mesmérisme. Voici la lettre qui nous a apporté cette bonne nouvelle : Monsi
ion suivante : M. le D1' Taxil traite un peu du magnétisme dans une lettre publiée dans l’Orléanais d’hier. Nous aimons à li
ge à son érudition, de même qu’à son courage et à sa loyauté; mais sa lettre , el les citations qu’il y a introduites, nous ont
acteur de l'Orléanais, Le retard que nous avons mis à répondre à la lettre de M. Thienetle, publiée dans votre fouille du xr
ique dernière de M. J. B., insérée dans votre numéro du 20, à notre lettre du 19 mars iS5i, il est bien avéré qu’on déserte
dent tous nos vœux. Espérons ! TAXIL. L'Orléanais du 25 inséra la lettre suivante Monsieur le rédacteur, Ilahnemann est
! TAXIL, d m. Enfin un nouvel adversaire entre en lice; voici sa lettre , publiée par VOrléanais du 28 : Monsieur le réd
montrer qu’elle a pour base la vérité. Le D'Taxil, dans sa dernière lettre , a dit qu’il avait été choisi comme accoucheur d’
ans le même journal : Nous lisons dans l'Orléanais d’hier matin une lettre d’un M. R..., qui n’est ni médecin ni magnétiseur
bien ne la prendre qu’au point de vue de sa relativité. Quant à la lettre de M. II..., nous sommes complètement de l’avis d
r le rédacteur de l’Orie'anats. Monsieur, M. le Dr Taxil, dans sa lettre insérée dans votre journal du 26 mars dernier, pa
s été témoin le 5i mars dernier, et que nous avions promis, clans une lettre du 26 expiré, de publier in extenso. On voudra bi
des qualités qui commandent le succès, et nous ne doutons pas que ces Lettres exercent une influence bienfaisante sur le scepti
regory lui-même dans sa correspondance avec M. du Potet. Voici deux lettres où se trouve énoncé succinctement , et d’une mani
sse d’Elgin. J’avais voulu utiliser ces ouvrages en écrivant quelques lettres sur le magnétisme, que j’avais l’intention de pub
’intention de publier; mais ils sont arrivés trop tard pour cela; mes lettres étaient déjà en grande partie imprimées, et elles
ée au mois de mai dernier, laquelle a été fort bien reçue. Dans les Lettres que je vais publier, j'entre dans les détails du
tudions les faits avec soin, la théorie viendra plus tard. Dans mes Lettres , que je m’empresserai de vous envoyer aussitôt qu
as du sommeil. J'ai décrit leurs procédés en détail, dans ma neuvième Lettre . M. Lewis, déplus, est clairvoyant à l’état de ve
prends la plume pour vous dire que l’ouvrage annoncé dans ma dernière lettre vient de paraître, et que j’ai dit aux éditeurs,
uméros du Journal, ot que je n’avais pas encore lu quand j’écrivis la lettre dans laquelle j’osais vous demander de plus ample
n nom, celui d’une autre personne, d’un objet quelconque, ou diverses lettres de l’alphabet, etc. La vue n’échappe point à ce
avers, disant que la lumière en rend les parois transparentes, et les lettres visibles. Une passe suffit souvent; quand il en
tion seront les non-voyants. Telle est, en résumé, la substance des Lettres du professeur Gregory; s’il fallait en relever to
ttable. D' L*** ÉPILEPSIE, CONTUSIONS. — L’extrait suivant, d’une lettre d’un de nos abonnés de la Ilaute-Loire, est trop
. IURTHET. Yoici quelques-uns des documents excentriques dont celte lettre fait mention ; nous les reproduisons imitativemen
étaient tout à fait froides. J’ai reçu, il y a un jour ou deux, une lettre du Dr B.-H. Davis, médecin en renom à Providence,
s. » Ceci n’a pas besoin de commentaires de ma part. L’auteur de la lettre est un ecclésiastique, aussi bien que médecin pra
RTHET. Yoici la traduction des documents complémentaires dont cette lettre fait mention. XIiECTHO-FST CHOEOGIE. Le Dr Wi
TATION DE M. FISKE. — On lit dans le Daily Delta du 26 juin 1851 , la lettre suivante, qui annonce le dénouement de cette affa
ts. J. B. La réplique ne se fit pas attendre; dès le lendemain la lettre suivante était publiée. A Monsieur le rédacteur
s en accuse depuis longtemps et sérieusement; et nous closons cette lettre en disant, par imitation de notre savant ami, M.
al qui prête sa publicité â l’adversaire de M. Barthet, donnait cette lettre le 9 mai : A Monsieur le rédacteur de l'Orléana
j’avais amené, j’en comptais là plusieurs autres, artistes et gens de lettres , et gens du monde, attirés comme moi par le beau
lut acquitter une dette de re- connaissance, et lui envoya dans une lettre une bank-note de 25,ooo fr. Cet envoi resta sans
ulter Alexis. «Le jeune somnambule n'hésita pas : «Je vois vo tre « lettre , dit-il à Chopin. Elle est dans le tiroir du mi-«
c’est-à-dire sacrée; ils traçaient dans ces livres des caractères ou lettres sacrées. Macrobe, Marcelin et les autres historio
portait des courtines du temple certains livres dis-« tingués par des lettres inconnues , qui suggéraient « des mots en abrégé
Loblinière. M. Joly rend lui-même compte de son système dans les deux lettres suivantes qui sont apostillées, comme on le verra
Québec, te 5 juillet 1851. Voilà deux mois que vous avez publié une lettre dans laquelle je donnais des détails sur le nouve
ler. C’est ce que je désire. Je confirme, ce que je disais, dans ma lettre du 5 mai, sur les maladies qui sont susceptibles
r le champ de cette nouvelle science que, dans une de mes précédentes lettres , je me suis permis d’appeler éleclro-iama (faute
édacteur du Canadien.) On nous communique le fragment suivant d’une lettre que le D' Charpignon écrivait naguère à un de ses
e, qui devait amener la guérison, selon toute probabilité. Si cette lettre n’était déjà bien longue, je vous parlerais des c
CIIARPIGNON. M. le Dr Ordinaire nous adresse des bains de Saxon la lettre suivante : Mon cher maître , C’est un revenan
sans inquiétude, répondit-elle , vos parents vont bien, seulement la lettre que vous attendez vainement s’est égarée; vous en
cevrez une seconde dans deux jours. » En effet doux jours après, la lettre annoncée arriva en même temps que la première qui
en reconnaissance des dons qu’ils ont faits à l’institution. Dans la lettre d’envoi de sa souscription, le prélat émet le vœu
es devineresses, médicatrices, po-limorphes et omnibus, onl pris à la lettre le verset de la Genèse, elles se multiplient et n
egory, D.M. Exposé de cet ouvrage, par l’auteur lui-même, dans deux lettres adressées à M. du Potet. Analyse de quelques part
13 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
Je vous demande pardon, Monsieur le baron, de la longueur de cette lettre , mais vous reconnaîtrez avec moi que le sujet qu'
. Paris. — Imprimerie de Pommi&bt et Morbao, 42. rue Yaviu. LETTRES D’UN VOYAGEUR SUR LE SPIRITUALISME AMÉRICAIN
TRES D’UN VOYAGEUR SUR LE SPIRITUALISME AMÉRICAIN (1) QUATRIÈME LETTRE . A M. le baron du Potet. Mon cher maître, J
érable docteur Hare, de Philadelphie, renouvelle, dans le cours d’une lettre adressée au New-England spiritualist, du 18 juill
tant en contact avec ladite table. » Plus loin, le docteur cite une lettre qui lui a été adressée par M. Yeadon, rédacteur d
ue je n’ai jamais eu l'occasion de constater. L’extrait suivant d’une lettre insérée dans le N. E. Spiritua/ist du 26 septembr
du fait suivant. Après quelques minutes, il apparut sur son bras des lettres presque aussi grosses qu’un tuyau de pipe. Ces le
r son bras des lettres presque aussi grosses qu’un tuyau de pipe. Ces lettres étaient légèrement en relief et d’une couleur rou
rougeâtre que la blancheur du bras contribuait à faire ressortir. Ces lettres étaient Dr. M. Les autres lettres du nom étaient
contribuait à faire ressortir. Ces lettres étaient Dr. M. Les autres lettres du nom étaient trop peu distinctes pour être déch
té découverts de nouveau, nous trouvâmes, tracés sur le bras droit en lettres d’environ un pouce de long, ces mots : I)' MayhcW
oit en lettres d’environ un pouce de long, ces mots : I)' MayhcW. Les lettres étaient rouges comme du sang, et si fortement en
«JimqqB H .•¡ssuauu >ü;*i îrj» .jiuwiu ut,i ui> ÎUmtA. — 111* Lettre , page 6Î0, ï* afinis, au lieu de onvie, 'tiw iron
its. Dans le Spiritual Telegraph du 14 novembre dernier, on lit une lettre signée C. Nerwood et datée de Pontiac (Mij chigie
ortent au sujet que nous étudions. En voici quelques-uns : Dans une lettre qui semble avoir été écrite vers 1663, et qui est
parut. Le lendemain, son domestique entrant dans la chambre vit une lettre cachetée, placée en évidence sur la table de trav
immense, s’il existait réellement. (i 11 mit donc un papier blanc à lettres et un crayon taillé dans une petite boite fermée
irmation. 5” L’Ami des Sciences du 29 novembre dernier contient une lettre de M. Matthieu, ancien pharmacien des armées, qui
M. Jourdan, sur le livre intitulé Clef de lu Vie, que deux hommes de lettres ont offert au public comme ayant été dicté par de
eur disant : « Prenez et lisez ; si vous avez la foi, vous verrez des lettres de feu qui vous révéleront des choses extraordina
mportance. » Dans le prochain numéro je donnerai ma réponse à cette lettre . Baron Du Potet. BULLETIN DU SPIRITUALISME.
ions leir influence da nous posséder. t.. bertoi»tto. Extrait d'une lettre que m'adresse un de mes correspondants. Dü POTET.
Robert Houdin. Les pins incrédules de la société lui présentent des lettres . Il décrit les personnes qui les ont écrites, don
J. HAMIIOSSON. (Gazette dt France du 24 mars. ) POLÉMIQUE. Lettre du Dr Charpignon à M. le baron du Potet sur les r
CONTROVERSE. i HUOf 11 ('pou se à la premier e pur tic de la lettre de M. H F)' Charpi-gnon, insérée dans le dernier
ôtel de l’impératrice-mère de Russie. Deux certificats et une autre lettre des plus flatteuses constatent, en outre, cette c
1" mars 185«. « S. N. VlCKERY. » CORRESPONDANCE. Suite de la lettre du !)• Char pignon à M. le baron du l'olet, sur l
inaisons et les modifications séculaires produisent les sciences, les lettres et les arts. Là, sont les sources vives de la pol
Ne nous emprisonnons pas, ne nous désolons pas dans le sommaire de sa lettre , qui divise et met en guerre ses sectes dissident
prier, si vous le trouvez bon. de donner connaissance de la présente lettre à la réunion que vous allez présider. Mesmer, d
réponses d'Alexis et de son admirable lucidité, nous communiquer les lettres de Copenhague qui confirmaient tous les détails d
SME DEVANT LA SORBONNE. M. Ch. Lévêque, professeur à la Faculté des lettres de Paris, a fait paraître dans la Revue des Deux-
ugement calme et raisonné. Mais quand même elle devrait être prise la lettre , il ne s’ensuivrait pas qu'on ne doive tenir aucu
d’un esprit très-distingué, et qui était profondément, versé dans les lettres grecques et latines. Un jour que je causais avec
merveilleux, que je vous rapporterais si je ne craignais de rendre ma lettre trop longue et vous fatiguer. J’ai guéri des épil
; je ne finirais pas de sitôt, si je ne voulais mettre un terme à ma lettre . J’ai éprouvé moi-même un commencement d’obsessio
e je veux vous on faire. Si vous ne redoutez pas la longueur de mes lettres , si ce que je vous raconte excite quelque peu vot
le papier tout couvert de marques au crayon, mais pas la forme d'une lettre , rien d’intelligible; elle a voulu par là me mont
ts haut placés dans les sphères et dont je parlerai à la fin de cette lettre ). Nous devions passer devant ma maison avant d’ar
s. Pouvez-vous expliquer ce phénomène? Je ne puis pas finir cette lettre sans vous donner un abrégé des quelques discours
et nullement amusante. Il nous donne ensuite la seconde édition des lettres échangées à propos du magnétisme et insérées dans
que, par exemple, une personne lise l’écrit entier, l’exception d’une lettre , il faudra décider si elle a droit au prix. Au l
une lettre , il faudra décider si elle a droit au prix. Au lieu d’une lettre omise, il peut y en avoir deux, trois..., un plus
jouissaient certaines personnes à l’état de crise, de déchiffrer une lettre à distance, avec le pied, avec la nuque, avec l’e
icale, — M. le docteur Bonnet, professeur à l'école de Lyon,—dans une lettre adressée à l'auleur, le 8 septembro 1857 : « Vo
Baron do POTET, propriétaire-gérant. POLÉMIQUE. RÉPONSE A LA LETTRE DE M. LE DOCTEUR CHARPIGNOK (1). L’abondance de
’abondance des matériaux ne nous a pas permis de répondre plutôt à la lettre de M. le l)r Cliarpiguon. On a vu que M. Charpign
sition sociale, et qui sait joindre à de grandes manières le goût des lettres et des arts : c’est AL le baron de Mortemart-Bois
somnambule, il lui demanda d’écrire, dans son sommeil magnétique, une lettre dont lui penserait le sens et le but. Elle le fit
lui dut sa conversion au spiritualisme, etc. ; en p lysique, dans les lettres , par u i grand nombre d hommes et d'ouvrages rema
elui d’Alphonse, et à minuit vous partirez sans rien dire, avec cette lettre , pour le couvent de Reus. » Sauveur courut à l’ég
se brouiller avec un saint puissant, prit le parti de lui écrire une lettre qu'il fit déposer sur son tombeau ; il demandait
demandait au saint s’il permettait d’enlever le duc de son asile. La lettre resta pendant trois jours et trois nuits sur le t
int fit connaître ses intentions par l’écriture. On grand nombre de lettres autographes de Jésus-Christ et de la Vierge Marie
) Paroles de son Eminence le cardinal de Casibacaki, en réponse à une lettre de Mgr Gousset. exposer brièvement lesdeux op
gnorantes de toutes les choses occultes, elles ne s’attachent qu’à la lettre et à la matière, à ce qui est grossier, et de là
ment, parlé de scs occupations, elle m’annonça que j’aurai une de ses lettres et son portrait dans huit jours, et, huit jours a
emière imposition des mains par le médium. Si j’avais destiné cette lettre aux hommes de ma profession, j’aurais décrit minu
écouvrir. » L. Lamothe. Nous extrayons la relation suivante d’une lettre que nous écrit M. Bégué, médecin à Toulouse: «
ations pour donner plus de poids à la théorie mentionnée, il finit sa lettre en témoignant vivement la reconnaissance dont il
n épais brouillard était interposé, et ne peuvent distinguer même une lettre ; c’est ce 'qu’ont éprouvé plusieurs des personne
ons. BIBLIOGRAPHIE. SPIRITUALISME, failt curieux précédés d'une lettre à M. Mabru, par Paul Auguez. Broch. in-8; chez Dc
’il est toujours possible, en arrangeant les mots, en intercalant des lettres et des syllabes , non-seulement de trouvér un sen
, et l’on conçut de graves inquiétudes. M. Auguez m’écrivit alors une lettre cachetée que je ne devais ouvrir qu’après un cert
nça la mort de M. X..., qui était arrivée un mois.après l’envoi de la lettre . Nous avons toute confiance dans le témoignage
resse et dont M. Mabru est le type, ne manquera pas d’objecter que la lettre cachetée n’a été adressée qu’à une époque où la m
nts, au fur et à mesure qu'ils ont lieu. Enfin, M. Mabru insère une lettre de M. Tiedemann sur deux séances du fameux Home :
plus clairs, plus accessibles au commun des intelligences. Après la lettre à M. Mabru vient l’extrait du compte-rendu du ban
s cures magnétiques. Le Spiritual Telegrah, du 28 août, contient la lettre suivante, datée d’Ontario (Indiana), du 6 août de
pures; il vous recherchera en mariage ; je le vois vous remettre une lettre ; par cette lettre, adressée à votre mère, il dem
herchera en mariage ; je le vois vous remettre une lettre ; par cette lettre , adressée à votre mère, il demande votre main. Un
urprise de ce magnétiseur, lorsque, le 14 septembre 1857, il reçut la lettre suivante que j’ai sous les yeux en ce moment :
belle fortune... C’est une chose incompréhensible. a En recevant mà lettre , vous serez sans cloute bien surpris, même je cro
du 13.) Ce n’est pas la première fois qu’un journaliste reçoit des lettres anonymes au sujet du magnétisme. Il est remarquab
me rappelle que M. et madame de Girardin reçurent une quarantaine de lettres anonymes pour avoir, dans un autre temps, publié
t dansantes. Le maître de la maison écrirait volontiers au bas de ses lettres d'invitation : on dormira. » On n’a pas besoin
tant de cris et de colères. « Je cherche, dit encore Mesmer dans sa lettre à Marie-Antoinette , un gouvernement qui aperçoiv
incrédulité une superstition , comme disait le comte d’Orsay dans une lettre qu’on me permettra de reproduire ici : i' Oui,
aient, comme moi, la franchise de l’avouer. » Si M. Mabru lit cette lettre , il dira : « Que m’importe ! c’est un homme du mo
jouiraient certaines personnes, à l’état de crise, de déchiffrer une lettre , à distance, avec le pied, avec la nuque, avec l’
aron du Potet ; le jour d’ouverture en sera fixé incessamment, et une lettre d’avis sera envoyée aux souscripteurs. Baron du
s en est encore à cet alphabet, elle balbutie, estropie les premières lettres ; heureusement pour elle, elle s’essaye chaque jo
M. de Reichenbach a publié vers 1851, si nous ne faisons erreur, les lettres odiques qui ont été traduites en français, et don
je ne sache pas qu’aucun magnétiseur, depuis quelque sept ans que les lettres odiques ont été publiées et traduites en français
e M. de lteichenbach, et d’autantplus inexcusables, — que l’auteurdes Lettres odiques n’a pas fait là une simple affirmation en
de l’auteur, c’est d’avoir des sujets sensitifs, nous avons, lors des lettres odiques, essayé d’un moyen facile qu’indiquait al
la sens bien. Diderot est aussi naïf et aussi judicieux dans celte lettre adressée à M"* Volainl, le 23 septembre 17G2 : «
i demandait même l’interprétation de scs rêves (3). Il résulte de ses lettres qu’il prenait le plus vif intérêt à ces hautes sp
ents qui l’animaient. Gustave Goossens. (La suite à une prochaine lettre .) DES ANESTHÉSIQUES. CHLOBOFORM& — MAGNÉT
en, par M. Morin, 304. Spiritualisme. Faits curieux, précédés d une lettre à M. Mabru, par M. Paul Auguez. Examen critique,
14 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
pondant et ami Jos. Barthet, sur cette singulière affection. Voici la lettre qu’il a adressée aux éditeurs de l'Abeille. Mes
du somnambulisme, ils se seraient (1) M. de Ilumholdl adressait la lettre suivante à (’Académie des Sciences , au mois d’av
C’est par dérogation à ce principe, que nous publions aujourd’hui la lettre qu’on va lire ci-après. Il est si rare de trouver
expliquer. N’apercevant point d’issue à ce débat, nous écrivîmes la lettre qui suit à M. Émile de Girardin : Monsieur, L
nsidération distinguée, DU POTET. Paris, 21 janvier 1850. Cette lettre est restée sans réponse. Peut-être avons-nous à n
rveilleux de la magie magnétique avant de 9e prononcer. Dü POTEf. Lettre de Mesmer. — Les hommes intéressés à l’échec du m
it le mobjle dç ses actions. En vain, ses partisans opposaient-ils sa lettre à la reine, dans laquelle il déclare si explicite
h délicatesse et le désintéressement contestés de notre maitre. Cette lettre n’est point écrite de la main de Mesmer, il l’a s
émocratie pacifique. — La Foix du peuple, du 27 janvier, publie une lettre du nommé Gilly, attestant qu’il a été guéri, par
chrét., n° 24*) que les anges ont une écriture en partie composée de lettres arabes et hébraïques I que du contradictions! q#e
caractère de la vérité. DU rOTET. Propagande. — Le contenu de la lettre qu’on va lire, mérite d’être pris en sérieuse con
ert (de Garnay). Monsieur, Vous me demandiez, dans votre dernière lettre , quelques renseignements sur l’état du magnétisme
sses de prudence sont un consentement écrit des parents , ou bien une lettre do demande (cela servirait au moins de pièco à l’
ulape n’aurait dû sortir que confus, humilié. Fête de Mesmer. — Des lettres d’iuvitation au banquet mesmérien vont être adres
si publics, Sont vrais, ce qui était si facile, ott m’à adressé deux lettres anonymes, qui font bien peu d’hénneur â leurs aut
ipe'nq tliobâff .-nupnma -nicl / >n • Magie, r** Oh lit dans «ne lettre publiée par la Preuè, en date de Haïti, 8 février
Le seul trait remarquable de cet enseignement a été la lecture d’une lettre inédite d’Alexandre Dumas, sur l’immortalité de l
« disait une personne de la société, â faire lire à votre « élève une lettre cachetée, sans que vous-même « ayez pris connaiss
etée, sans que vous-même « ayez pris connaissance du contenu de cette lettre ? « — Non, monsieur, répondis-je ; je ne crois
rs séries de ces objets. Il était guidée comme mai, par l’ordre des lettres alphabétiques. Voici la série que je fis dire dan
commençai. On va voir que le tour n’était pas difficile, l’ordre des lettres de l’alphabet étant suivi pour mieux guider la mé
n ‘ést Wtft mécanique, puisqu’il repdsé sur une simple permutation de lettres . Concluons. L’analogie des résultats est si f
iation du jugement. (Gazette des tribunaux.) Fête de Mesmer. — La lettre suivante vient d'être adressée aux convive s des
h. COSSON. IIÉBEKT (de Camay.) Clairvoyance. — Nous extrayons d’une lettre de notre correspondant de la Nouvelle-Orléans le
ile. Sa Seigneurie fut. un jour, très-surprise par le contenu d’une lettre officielle sur le mesmérisme, que lui adressaient
quelle il l’a tracé. « Après m’être procuré du papier pour écrire une lettre , dit-il, j’eus le désir de descendre jusqu’à la r
lle sphère votre esprit s’est manifesté. » Maintenant, examinons la lettre de Davis à Busch, et le document dicté, dit-on, p
hkeepsie, était d’écrire, sous la dictée d’un pouvoir surnaturel, une lettre destinée au professeur Bush, ainsi que l’indique
qui est conforme, du reste, avec l’opinion de noire auteur. I ne lettre adressée à Swedenborg ! Voilà, certes , une bien
certes , une bien singulière correspondance. Comme on n’écrit pas une lettre à quelqu’un pour qu’elle ne lui parvienne pas, on
s embarrassé, ici, parce que nous ne voudrions pas supposer que cette lettre , destinée à Swedenborg, dût seulement rester entr
sition. D’un autre côté, quel intérêt pouvait olfrir à Swedenborg une lettre entièrement composée de phrases, de sentences pri
drait supposer un but. A quoi lui aurait servi de se faire écrire une lettre qu’il aurait dictée lui-même et qu’il aurait lue
je fis la vérification de tous les passages cilés qui composaient sa lettre , et je remarquai qu’ils étaient tous parfaitement
andant sous l’influence régénératrice des rayons de la vérité, non la lettre , mais l'esprit des sublimes maximes de l’évangil
1850. Mon cher Président, Comme je vous l'ai dit dans ma dernière lettre , le magnétisme a fait à Rennes de considérables p
t dans nos rangs par les événements politiques est comblé. Bien des lettres d’adhésion ont été adressées à la commission d’or
ict d’acquittement. A l’issue de ce procès, M. de Rovère publia une lettre explicative de ses opinions et de sa conduite, do
’est par le souvenir des œuvres utiles que le bien se perpétue. Leurs lettres sont toutes empreintes du même sentiment. La pe
e chacun. Une seule marque d’improbation s’est produite : c’était une lettre anonyme; et l’auteur supposé, mis en demeure de s
t el Notré. \oy. Journal du Magnétisme, I. V , paga 5t. (2) Voy. sa Lettre à Delevze, faisant suite à l’Instruction pratique
e disent pas que les somnambules sont infaillibles; et l’auteur de la lettre citée a bien eu soin de dire : « Si le renseigne-
ion, a reçu cette année sa pleine consécration. Voici l’extrait de la lettre par laquelle le président nous informe de cet heu
ssez d’éloquence pour triompher ! J. M. RIEDER. En outre de cette lettre , M. Riéder nous a envoyé un extrait des minutes d
ur grouper autour d’elles la force et la considération, il écrivit la lettre suivante: A Monsieur le baron du Polet de Scnne
sentiments sincèrement dévoués. MONGRUEL. Le signataire de cette lettre n’étant guère connu de son destinataire que par d
enir, songes, mariages, héritages, etc. Consultation verbale ou par lettre . Cette annonce eut un grand succès, el attira c
mandèrent des talismans. La réponse suivante, conservée aux copies de lettres de la Sibylle , en lait foi. En passant, remarquo
ontinuellement des annonces dans les journaux. On a saisi quantité de lettres de clients habitant des départements éloignés, «e
t de la santé ébranlée de sa femme, a donné son désistement, dans une lettre qu’il lermine en disant qu’il est bien à désirer
e contre les dupes mêmes qui se laissent abuser; car il a traduit ces lettres par les mots : O temporal ô mores! ce qui indique
de l’existence du magnétisme, mais cela dépasserait les limites d’une lettre , que vous trouverez peut-être déjà trop longue. J
té que nous défendons tous, je prends la liberté de vous écrire cette lettre pour vous faire connaître ce qui m’est arrivé dan
nous ne pouvons mieux faire que de citer le dernier paragraphe de sa lettre : « J’aime, dit-il, à quitter cette terre de ma
agnétiseur «le la Pylhonui*. magnétiseur de la Voyante, Nota. Celle lettre devra être représente en entrant (I). « C’était
ers midi, avant la rédaction de la circulaire ci-devant rapportée, la lettre suivante, dans laquelle l'assemblée a trouvé une
rouvé une preuve réelle de son abnégation individuelle (2). « Cette lettre , remise entre les mains propres du destinataire,
teution de se faire abriter par de« réputations intactes. (2) Cette lettre était adressée à M. du Potet; elle se trouve dans
langues et des mots restés incompris jusqu’à ce jour. « Enfin , la lettre morte va se vivifier pour faire luire une vérité
cusation et aux dires du réquisitoire. Cette inexactitude a motivé la lettre suivante, qui leur a été adressée en redressement
sges, 20. BEI.LOT, ministre, rue de Rivoli, 34. BEAUDOT, homme de lettres , à Bar-le-Duc. BERGUE (de), filaleurà Lizieuv B
vit au journal précité, et à ceux qui avaient reproduit l’article, la lettre suivante, qui fut insérée sans commentaires. Mo
BELI.OT, ISAAC, MARCILLET, LE MAIRE. Paris, le 1850. N. B. — Les lettres d’adhésion doivent être adressées franco à M. Mon
voquée chez M. Mongruel, dans les derniers jours d'août. On y lut une lettre d’adhésion du vénérable Laforgue, en faisant ress
urs 10 fr. . D. N’étes-vous pas allée la consulter une fois sur une lettre que vous avez reçue ? — R. Oui ; il s’agissait d’
ui ; il s’agissait d’une allaire très-grave : elle me dit que cette lettre était d'une daine; ce n’était pas cela du tout, e
15 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
la séance du 9 Mai est lu et adopté. La correspondance comprend des lettres de M. le Dr Auard Diaz, de M. de Jolly, de M. Cam
dividualité de l'écriture se manifeste dans la forme, la grandeur des lettres , etc. » Cette individualité doit forcément corres
t perdu le langage, l'avait petit a petit recouvré, à l'exception des lettres f, l, r, qu'il ne pouvait pas davantage écrire ;
préférence, et dans celui de gauche pour l'ordonnance de la forme des lettres . Quand ce centre est détruit ou oblitéré, il es
e résistance plus ou moins forte, elle produira une forme variable de lettres . Ainsi le cerveau n'est pas toujours dans un ét
nnant un même mouvement à la main, le résultat sera une môme forme de lettre , et cette forme sera donc bien la représentation
ntale et directeur du laboratoire psycho-physiologique. Faculté des lettres de Montpellier- — M. Lionel Dauriat a commencé à
ttres de Montpellier- — M. Lionel Dauriat a commencé à la Faculté des Lettres de Montpellier, un cours do psychologie physiolog
émoignages de sympathie. M. le secrétaire général donne lecture des lettres et télégrammes d'excuses de MM. les Drs Baréty, d
osophie au lycée Condorcet. M. le secrétaire général donne lecture de lettres de MM. les Drs Ernould. de Liège, et Auard Diaa.
iété de leur admission, il. le secrétaire général donne lecture d'une lettre de M. le Dr Lioyd-Tuckey. qui fait part à la Soci
al de la séance du !3 juin 1892 est lu et adopté, après lecture d'une lettre de M. le Dr Schrenk Notzing. de Munich. Notre col
Au dessert, M. le secrétaire général donne lecture des télégrammes et lettres d'excuses du MM. le Dr Apostoli, Gautier, Oscar J
blesse do sa vue, qui ne lui permettait pas de distinguer les grosses lettres à une faible distance, la suggestion lui fut fait
on lui fut faite immédiatement de voir de loin et de pouvoir lire le» lettres les plus unes. Cette suggestion fut renouvelée
s moi toute la série de chiffres depuis 1 Jusqu'à 30; puis toutes les lettres de l'alphabet. Au fur et à mesure que j'avançais
redisanl qu'il mourra vieux, et qu'il aura une belle pierre avec des lettres d'or sur sa tombe. Ce sceptique s'amuse même des
cien élève de l'École normale supérieure, professeur a la Faculté des Lettres de Lille. Dans l'opinion courante, l'orateur es
gcan, membre de la Société. La correspondance imprimée comprend des lettres de MM. les Dr Burot. David, Bonamaison, Martinet,
surprise la nuit lisant des feuilletons dans son lit ou écrivant des lettres anonymes aux habitants du pays, à son patron, à s
, M. Rollinat a trouvé dans sa paillasse de la chandelle, du papier à lettre et des brouillons de lettres. Elle était paresseu
sa paillasse de la chandelle, du papier à lettre et des brouillons de lettres . Elle était paresseuse et menteuse. CONCLUSIONS
la Faculté de Bruxelle. « Henri Nizet. • Docteur en philosophie et lettre . docteur en droit des Facultés de Bruxelle. » N
orée était un peu spéciale et ne portait que sur la voix chantée. Les lettres , la vois parlée, les notes de musique n'éveillaie
er la partie malade. J'extrais les renseignements qui suivent de la lettre qne le mari a bien voulu m'écrire a ma demande, a
élioration de son état psychique, c'est ce qui résulte du reste do la lettre qu'on vient de lire et que son mari m'écrit le 9
d'autographes est une des plus curieuses du Musée, entre autres trois lettres de Napoléon III député, président, empereur. Puis
autre vert. A travers ces lunettes le sujet lit sur un cadre noir six lettres recouvertes de carrés de verre alternativement ro
t rouges et verts. En regardant les deux yeux ouverts, on lit les six lettres ; en regardant avec un seul œil. l'autre étant fe
bernheim. verre de lunette correspondant à l'œil qui regarde : les lettres rouges si c'est l'œil à verre rouge qui regarde ;
e : les lettres rouges si c'est l'œil à verre rouge qui regarde ; les lettres vertes si c'est.l'œil à verre vert. Ceci résulte
os amblyopiques par suggestion regardent à travers la lunette les six lettres , les lisent seuls sans hésiter, donc ils voient d
l amblyopique Si on leur ferme cet œil. alors ils ne voient que trois lettres . J'ai établi que l'achromatopsie, comme l'amaur
ts étant armés de la paire de lunettes rouge et verte, il lit les six lettres et reconnaît leurs couleurs, tandis que l'œil dro
l'œil gau- che armé du verre rouge étant fermé, il ne voit que les lettres vertes correspondant I l'œil droit. Ce résultat m
couleurs, mais, d'autre part, distingue les objets, puisqu'il lit les lettres : et cela sans qu'il y ait vision binoculaire, pu
uisque l'œil droit, d'après la théorie de l'appareil, ne voit pas les lettres vues et reconnues par l'œil gauche seul. On pou
fermé, l'œil gauche armé du verre rouge étant seul ouvert, il lit les lettres rouges ; l'œil gauche armé du verre vert lit les
, il lit les lettres rouges ; l'œil gauche armé du verre vert lit les lettres vertes, sans reconnaître, il est vrai, la couleur
res expériences, les deux yeux ouverts sans lunettes, il voit les six lettres et les six couleurs, avec l'œil droit seul, il le
ait très bien les cinq dernières lignes; il distingue nettement les lettres noires sur un fond blanc. Mais plus près, il ne p
e cinq pas ; plus loin la vraie couleur apparaît. Les couleurs et les lettres de l'appareil Snellen. avec l'œil gauche seulemen
s tard, jamais depuis, autrement que verbalement, sans hypnose ou par Lettre . Les quinze jours qui suivirent nous pûmes avoi
firmée en termes plus formels encore par M. le Dr Chevandier dan» une lettre par lui adressée, le 18 juin 1892. au comte de Co
partements se préoccupe beaucoup plus, dans des cas semblables, de la lettre que de l'esprit de la nouvelle loi sur l'exercice
vient-elle s'asseoir dans cet hémicycle universitaire avec ses sœurs, lettres , sciences, droit, qui donnent un enseignement pur
La pensée humaine qui émane du cerveau, souvent vague et confuse, les lettres la recueillent et la dégagent nette et précise à
celle parole aussi éclaire et agrandisse la pensée de l'homme. Les lettres étudient l'humanité collective, fouillant les arc
; la psychologie est un domaine sur lequel se rencontrent l'homme de lettres et le médecin. Les sciences explorent la nature
faciens miracula, atque lucrans mirabililer ! Il faudrait méditer La lettre qu'écrivait de Jérusalem a sa mère ce grand espri
s tans attention soutenue. Là encore j'aperçois une femme déposer une lettre sous le socle d'une statue de la Vierge! Les conf
ade doit s'endormir après avoir entendu réciter l'alphabet jusqu'à la lettre P. Dans cette séance, l'état de somnambulisme est
ortie de l'hôpital. 17 décembre 1892. — Mlle 8... nous répond à une lettre que nous lui écrivons : » Je ne puis vous donner
par le Dr Olinto del Torto. La correspondance imprimée comprend des lettres de plusieurs membres s'ex-cusant de ne pouvoir as
893. — Présidence de M. Aeoêm Voisin la correspondance comprend une lettre de M. Dumowpallier, président, qui s'excuse de ne
prendras le vase et lu feras. » Cette suggestion fut accomplie à la lettre , l'enfant s'éveilla, alla les yeux ouverts au vas
pouvait être portée que sur le terrain de la libre discussion. Les lettres des témoins ont été publiées dans le Progrès médi
it ses vêlements de prisonnier, on trouva dans ceux qu'il quittait la lettre suivante, adressée à sa femme : « Baraques, neu
toi. « Adieu, adieu, mou bébé, Fifine » E... reconnaît bien, cette lettre , quand noua ta lui montrons, pour être de son écr
il nous révèle Immédiatement les circonstances dans lesquelles cette lettre a été écrite; c'est lorsque, conduit à la caserne
osition de ses camarades confirme le fait matériel de récriture de la lettre à ce moment; tous ont remarqué que E... avait l'a
cédente est lu et adopté. La correspondance manuscrite comprend des lettres de MM. Plista. Bourdon, rie Méru; Petersenv de Bo
te séance est lu et adopté. La correspondance imprimée comprend des lettres de MM Persae, Dr Jean Crocq, Bourdon (de Méra).
ait dû l'eue. Il n'en a pas été ainsi, et c'est ce qui nous a valu la lettre suivante que nous adresse un de nos collaborateur
ant un verre muge et un verre vert, et lui fait lire sur un cadre six lettres imprimées sur des verres alternativement verts et
seul (le gauche-étant fermé} avec le verre rouge, ne voyaient que les lettres sur un verre rouge et non les vertes : mais, si o
laissait les deux yeux ouverts, elles lisaient couramment toutes les lettres sur verre rouge et sur verre vert ; elles lisaien
ace de la fenêtre, et lui dis de suivre avec un crayon le contour des lettres qu'elle y voit tracées. L'hallucination suggérée
ée s'est produite, elle lit le mot Marie el trace avec son crayon les lettres marie. Toute celle première partie de l'expérienc
re exactement avec le crayon les traits qu'elle aperçoit et voici les lettres qu'elle trace : eiram. Elle a donc bien tracé au
ait vu réellement par transparence, elle aurait aussi renversé chaque lettre , ce qu'elle n'a pas fait. Donc, elle a bien vu qu
ui aussi, renversé ; aussi elle l'écrit en commençant par la dernière lettre ; toutefois, l'itallucination n'est pas assez prof
l'itallucination n'est pas assez profonde pour que la main trace les lettres à l'envers. Nous savons tous qu'il y a une certai
qu'il y a une certaine difficulté, un effort à faire, pour tracer des lettres conttairemenl à l'habitude acquise, l'hallucinati
séance précédente est lu et adopté. La correspondance comprend des lettres de M. le D' Bechterew, président de la Société de
16 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
tants après, je la réveille. Sur mon invitation, elle écrit une bonne lettre à sa protectrice. « Ensuite, pour preuve irrécu
femme, il s’écria : « Voyez-vous Dimitri « là-bas au piano. » « La lettre décrit ensuite mon costume, dans lequel se remarq
ut comme un agent essentiellement thérapeutique. Depuis ma dernière lettre , je suis retourné deux fois à M.Hall (1). La prem
r opérer une guérison radicale. J’ai reçu, il y a quelques jours, une lettre dans laquelle celte dame me dit : « Je n’ai eu au
s peu et disait à son époux ces quatre mots : (I) Voir une première lettre du docteur Charpignon, n° 103, pa^es 191 et suiva
ie avec la suivante, qui était déjà gravée lorsque nous avons reçu sa lettre , et comme elle est plus complète nous la donnons
et les phénomènes se produisent admirablement. ; I ) Vuir, pour les lettres précédentes, le n° 83, p. 339etsuiv,; le n"86, p.
le il» 100, p. 8ü et suiv. ; le n" 101, p. 203 et suiv. ; et pour les lettres du docteur Charpignun, le n» 93, p. îîtil et suiv
storique de votre démarche. Le matin du 20 mai, j’eus de vous cette lettre : « Orléans, le 28 mai. c Très-cher Confrère,
eur Gatti, Directeur de l’institut Homœopathique de Gènes. Voici sa lettre : Paris, li! S juin 1861. « Mon cher Confrère
s, le 11 juin. « Mon cher Confrère. « M. Piérart m'a fait lire la lettre par laquelle vous expliquiez votre absence à la r
me cette expérience a du retentissement dans nos journaux, et que vos lettres en ont parlé, j’ai écrit à M. du Potet les impres
la plus mauvaise opinion. En effet, sans le secours de votre dernière lettre , je n’eusse pas trop compris l’ambiguïté de ces p
et je vous en remercie, en passant, des conseils que me donnai1 votre lettre privée ) ; mais, — pardonnez à ma vieille franchi
simplement en touchant cette eau ; on en trouve des exemples dans la lettre d’un médecin étranger h M. Deleuze (I). Mais ils
accomplie. Cependant, vers la fin de mon séjour au château de R., une lettre annonça que la comtesse AV. venait de mettre au m
enait de mettre au monde un fils; et deux jours plus tard une seconde lettre annonçait que sa santé donnait de graves inquiétu
es de sa sœur. Quelques jours après mon arrivée à Paris, je reçus une lettre qui m’apprenait sa mort. La comtesse M. vint avec
ces Messieurs, car les matériaux qui composent le livre, tels que les lettres du I)r Frappart, relatives à madame Cornet, un ex
étreinte. Mais je m’arrête, le journal devant donner d’ailleurs la lettre que le doyen des médecins français a écrite à M.
bien que M. Comet ne s’en tiendra pas là. E. A. M. Paris. Voici la lettre dont nous avons parlé plus haut : VU DOCTEUR CO
ité, » vera (I) Voir len° 105, page23) et suivantes. ¡2) Voir les Lettres au Dr Charpignon, n*‘ 85, page 339 et suivantes;
111; 106, p. 280. Voir en outre, dans la collection du Journal, les Lettres à M. le baron du Potet, sous le titre : Confessio
r d’exceller partout avec une semblable dialectique. » J. S. Queshé. ( Lettres sur le Psychisme, Sédition, Paris, 1818.) SIMPL
acception intime ? Je ne le pense pas, et le Christ a dit : C’est la lettre qui tue et l’esprit qui vivifie ; (le mot « espri
pris ici sans métaphore). — Je ne sais si je me serais gardé de cette lettre en lisant l’intéressant rapport que vous avez adr
tives doit marcher de pair la logique art de raisonner.) Dans votre lettre vous avez raisonné individuellement sans faire us
able, malgré les paroles même du Christ qui, je le répète, a dit : La lettre tue cl l’esprit vivifie, je ne désespère pas, dis
agnétisé. J’adhère complètement aux deux dernières phrases de votre lettre , où vous dites aux membres de la Société de magné
les remèdes lesplus simples et les plus efficaces. » (Extrait d’une lettre de l’évéque de Lauxane et de Genève à la Sacrée P
nseignements d'un ami à qui ils ont été récemment communiqués par une lettre de M. le docteur A. P. Pope... a D'après Lelian
es les plus ténus, dans un corps vivant cl organisé. » J.-S. Qceskè. ( Lettres lur le Psychisme.) a Les idées ainsi revêtues d
e les molécules organiques, et les met en mouvement. » J.-S. Quebré. ( Lettres sur le Psychisme, page 35.) Dr Clever de Maldig
inée. » Em.Saisset, professeur Agrégé de philosophie à la Faculté des lettres de Paris, maître de conférences à l'Ecolenormalc
e produit de la même action sur la sensibilité interne. * A.Pezzahi. ( Lettres à il. Lelut, sur le sommeil, le s omnambulisme, e
s’enTlormit-elle? — Plus d’une (1) Elle fa il partie de ma première lettre au I)1 Charpignon; lettre ayant nn motif préalabl
’une (1) Elle fa il partie de ma première lettre au I)1 Charpignon; lettre ayant nn motif préalable et clairement énoncé, ce
’était la première fois qu’il passait dans cette ville. Il écrivit la lettre suivante au docteur Macario, qui s’était enquis p
ue va penser de cela le citateur de la « boutade » ? Va-t-il, par une lettre particulière, du genre de celle que j’ai reçue, t
pas de réponse.— Certificats donnés à Mesmer par ses malades. III. Lettre de Mesmer & M......— Réfutation de la Faculté
s au nom de Sa Majesté. — Quelles elles sont. — Refusées par Mesmer. — Lettre do remerclments à Maric-Antoinette, et départ pou
: les phrases s’interrompent ou se construisent défectueusement; les lettres se succèdent sans ordre; ce sont des mots dépourv
(1) Voir les n"* 112, 113, 111, llü, 110 el 117. (2) Lire aussi les Lettres d'un voyageur sur le Spiritualisme américain. par
entrepris non plus les choses singulières, mentionnées par ma seconde lettre au docteur Charpignon ? C’est que « les principau
mais votre âme (lisez votre corporéité fluidéide), peut, par la (1) Lettre particulière. (2) Voir page 238. (3) Voir pag
sse de sa réparation (1). (1 ) Le journal do Genève, en relatant la lettre du docteur Castle, ignore Du moins, M. Albert L
lité recommandait de mettre en lumière. J'ai lu l'autographe de cette lettre adressée au directeur de la Revue Spiritualiste,
s Esprits, ce seront les démons et les damnés, c’est-à-dire, selon la lettre pastorale de l’évèque de Viviers, des êtres dégra
j’ai indiqué et qui, ainsi que je l’ai déjà dit, est contenu dans la lettre cTun médecin étranger à M. Deleuse. u Avant de
p. 39. Tome XX. ts.-N" 119. — 2* Série. —10 décembre 186«. cette lettre resta sans réponse, malgré les efforts de M. Le R
titre ; Il MÉDECINE. ii En donnant la plus prompte publicité à la lettre de (1) N-232 du I‘J août. p. 987 et 988 « M.
s, d’où ils devaient partir pour aller à Gréteil, on leur « remit une lettre de M. Le Roux dans laquelle il leur expo-« sait q
e ;...... « . . . .et que M. Mesmer l’avait chargé d’écrire cette « lettre aux commissaires, en leur offrant ses excuses.
ités à n Créteil. Ce fut donc une grande surprise qu’Elle reçût une « lettre du 11 mai 1778, dans laquelle M. Mesmer désavouai
11 Mémoire sur la découverte du Magnélhme an. ln-12 de 88 p. (2i Lettre à M. d'Eslon du 30 mars 1770. 3, Prccts histori
r du Régent, el de celle de Louis XVI : (1) Correspondance secréle. Lettre du 22 octobre 178u. « Il y avait au milieu d’un
favorable à la découverte, » le gouvernement après avoir reconnu par lettre ministérielle que M. Mesmer a fait une découverte
il partit le 31 mars 1781 pour les eaux de Spa, après avoir dans une lettre respectueuse du 29 mars remercié la reine « d’avo
négal dans la profondeur de ses lignes, un serpent enlacé. Les quatre lettres D, S, L, F, encadrent la figure diabolique. A la
que Clément d’Alexandrie nomme parmi les mots qui portaient le nom de lettres milésiennes, et dont les magiciens se servaient d
le fromage; le lait, Aptinj- était une sorte de juron. Ainsi ces lettres milésiennes avaient laissé des souvenirs jusque d
e l’on retrouverait également dans les livres de magie les traces des lettres éphésiennes, plus célèbres encore que les milésie
mmes, de fantômes, etc., 387 , 406. Lucidité (de la) somnambulique. Lettre de M. le Dr Gama à M. le Dr Comet, 360. Magie (
, par le Dr Comet. Mention, 271. — Compte rendu, par M. Paris, 355. — Lettre de M. le Dr Gama, adressée à l'auteur. 360. LIS
17 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
, sénateur ; M. Lionel Dauriac. professeur honoraire à la Faculté des lettres de Montpellier ; M. Muteau, député ; M. le Dr Ber
5 septembre 1908, je reçois d'un médecin de la Seine-Infé-rieure une lettre me disant en substance : « Je désire vous envoyer
redi, à S heures, j'attends en vain la malade annoncée. Le lendemain, lettre explicative de mon confrère : cette personne est
la société dont le progrès est toujours croissant. H donne lecture de lettres d'excuses de Mil. les docteurs Witry, de Trèves-s
t pour le bonheur humain que tels héros dont les noms s'inscrivent en lettres de sang sur les pages de l'histoire. Méthodes p
re mentalement des calculs, il trace un schéma, le corrige, place des lettres . Il s'arrête, regarde avec attention ce qu'il
me Jules César d'ailleurs, pouvait dicter à ses secrétaires plusieurs lettres à la fols. Acceptée telle quelle, cette légende s
matiques. Plus nombreux qu'on ne le croit sont ceux qui prennent à la lettre une prescription médicale, surtout dans la partie
est un régime plus sobre et une existence plus active. ” Prenant à la lettre cette prescription qui correspondait d'ailleurs à
s amis et des fanatiques, demandons à l'histoire, aux beaux-arts, aux lettres , enfin et surtout à l'agiographie et au martyrolo
st la seule chose que je vous demande. » (Vie de Ste Thérèse, Ollier, Lettres . I. 390). (1) H. Lemesle. Le Martyre de Robert
squ'à la fin a voulu « que rien ne se fasse sans beaucoup souffrir. » Lettres I. 83. Si maintenant, quittant les « siècles de
douté que le centre du christianisme ne fut « dans la souffrance ». ( Lettres I. 276). (A suivre.) PÉDAGOGIE La pédagogie
stallée l'année précédente. Cette fois. Liégeois accepta et, dans une lettre des plus élogienses. le ministre lui exprima sa s
s'étendait bien au-delà. Auditeur assidu aux cours de la Faculté des lettres , on y tenait à son jugement comme ù celui d'un ma
elqu'un que deux plus deux font quatre. En effet, si on la prend à la lettre , l'enseignement, la lecture, la conversation, les
ux qui savent voir sont unanimes à le proclamer. Mgr Mignol, dans une Lettre sur VApologétique contemporaine, écrivait : « A l
plus qu'aux croyances surnaturelles. » Cité par F. Bkl-netièbe : Cinq lettres sur Ernest Renan. Paris, 1904, ln-l2, p. 84. Voir
« exception, même les plus mélancoliques et les plus tristes ». (VI0 lettre à la princesse Elisabeth). La. Fontatse n'a-t-i
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de MM. les Docteurs Lingbeck (de la Haye), Berthe
tres symptômes observés, vous pouvez vous en rendre compte d'après la lettre suivante que je viens de recevoir de la malade :
ecrétaire-Général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres des Docteurs Macartney (de Montevideo). Smir- . n
après sur le même bras gauche, un pen plus en dedans est appliquée la lettre ;t C " (une lettre de galoche) en enivre et plate
ras gauche, un pen plus en dedans est appliquée la lettre ;t C " (une lettre de galoche) en enivre et plate;je dis à l'expérim
put distinguer une rougeur, non à l'endroit où avait été appliquée la lettre , mais autour de la brûlnre précédente. Elle rappe
urplombant la surface de la peau, de forme irrégulière, rappelant une lettre " C " déformée, de moitié plus petite que la lett
re, rappelant une lettre " C " déformée, de moitié plus petite que la lettre appliquée (longueur 11 m.m., largeur 6 m.m.). Aut
ue ce contre-temps les ait privées du plaisir d'y assister. Parmi les lettres d'excuses qui nous sont parvenues, nous devons me
au front, pour ses contemporains, d'un signe aussi indélébile que les lettres de feu imprimées jadis sur l'épaule des forçats.
précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des lettres de MM. Crispulo Diaz (de Porto Rico) ; Douglas Br
e dès à présent que je possède, dans ma collection d'autographes, des lettres de cet artiste incomparable pour lequel j'ai une
sont parvenues pendant la durée de sa pénible prostration. Toutes ces lettres offrent, dans leurs transcriptions, des traits pa
ue je le vis pour la première fois. Il m'adressait souvent de longues lettres toutes imprégnées d'une grande tristesse a traver
ses tristes épreuves, et, il ma été facile, en lisant les nombreuses lettres qu'il m'a écrites dans les diverses phases de son
les ambitieux, dénote que sa pensée obéit à un souffle intérieur. Les lettres sont inégales, tantôt dextrogyres, tantôt sînistr
s les règles connues et se trouvent placées sans raison en dehors des lettres auxquelles elles doivent être rivées. Ce défaut e
sistante et parfois lourde ou empâtée ; les mots sont mal formés, les lettres offrent un lamentable aspect de débilité. Les bar
une descente très rapide. Peu de ponctuation, peu de liens entre les lettres et les mots, des taches inexplicables, une accent
précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des lettres de MSI. Jutes Voisin. Paul Magnin, Moret. Demonch
mesure d'expliquer l'apparition brusque de la plupart des mots ou des lettres qui figurent dans certaines lignes bizarrement co
ffrent ?ne épaisseur* souvent exagérée par de nombreuses taches ; les lettres sont parfois illisibles et à peine esquissées ; l
et sa pureté à la suite d'une malencontreuse chasse au marais. Les lettres qu'elle m'adressa, avant de se soumettre à mes so
hisme de ma malade. Je suivis ce conseil et m'empressai de relire les lettres qu'elle m'avait adressées. L'examen de son écritu
ouvent interrompues par des sursauts extraordinaires; les mots et les lettres présentent un tracé presque difforme. Ce désordre
par ses plaintes et ses récriminations. Il écrit toujours de longues lettres pour raconter ses souffrances. En les lisant avec
ns quelques archives espagnoles, à Barcelone notamment, de nombreuses lettres d'elle dans lesquelles certains graphologues, an
n chemin, il pourrait dis-je, emmagasiner des pièces importantes, les lettres de ses malades, par exemple, dont la lecture sera
t s'est familiarisé avec la graphologie, il pourra, en parcourant des lettres intentionnellement soustraites à l'oubli, ranimer
ecrétaire Général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de MM. les D1* Poulalion, Marcel Thiry (de Jumay,
e homme n'eut pas d'idées de suicide et il ne m'en parla dans une lettre qu'un an après, au jour de l'anniversaire de la v
l donne lecture de la correspondance qui comprend eu particulier, dee lettres de MM. Moret, DrPoulalion. Dr Luigi Cesari (de Bo
'on aurait pu se dispenser de le faire proclamer par ces gigantesques lettres lumineuses plaquées à la façade. Ticket d'entrée
ècles de haute culture arabe, seront reprises avec la renaissance des lettres et le seront peut-être dans des limites plus éten
al donne lecture de la correspondance qui comprend en particulier des lettres de SIM. Moret, Dr Poulalion et Dp Luigi Cesari de
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de SIM. les D" Luigi Cesari, de Rome ; Pernigky (
e avait été faite, le rédacteur d'un journal de Lille m'apportait une lettre de F., l'assassin présumé, et me demandait de fai
pouvais me le représenter lorsque le samedi soir M. V. m'apporta une lettre écrite par F., me demandant d'analyser son écritu
faible et jouisseur. c Nous avons reçu, il y a environ un mois, une lettre dans laquelle P. nous demandait d'annoncer qu'une
ettant d'alimenter quand même sa clientèle. Nous avons retrouvé cette lettre dans nos archives et nous l'avons soumise à M. le
ents ; et, inversement, en constatant, par le tracé des lignes et des lettres , les mouvements qui dominent dans l'écriture, nou
rincipalement dans les 4«, 5e. 6e, 7®, 8e et 9® lignes du texte de la lettre . Ce caractère graphologique est un indice de fi
a ramener la main vers la gauche pour fermer d'une double boucle les lettres arron- dies. II est important de remarquer qu
final des mots, pour la plupart du moins, mais dans la formation des lettres . Ce point a pour nous une grande importance. Tel
Voyez ces traits bizares, dans son écriture, ces lignes jetées d'une lettre à l'autre, puis ces interruptions brusques, ces i
bien moi que vous cherchez, arrêtez-moi ! » Puis, il écrit une longue lettre au juge d'instruction, dans laquelle il avoue sa
musculaire. Il en est de même pour la lecture. L'enfant apprend ses lettres à l'aide d'un pantin articulé. Ce pantin, mis dan
ntin articulé. Ce pantin, mis dans telle ou telle position, forme des lettres , et pour bien retenir le nom des lettres, une pet
ou telle position, forme des lettres, et pour bien retenir le nom des lettres , une petite phrase chantée indique les mouvements
que les mouvements que l'on exécute avec chaque membre pour former la lettre indiquée. L'exécution des mouvements de ce pantin
un certain degré d'attention. Le résultat obtenn étant l'image d'une lettre de l'alphabet, l'enfant exprime de la joie en pro
lettre de l'alphabet, l'enfant exprime de la joie en prononçant cette lettre et ne demande qu'à recommencer ce petit exercice
18 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
de Vlllejulf; CRCISR (de Uublio); I- DAUItlAC, prof, a la Faculté des lettre » de Montpellier OUIMBEAD; W. DEKHTSREPPfdeSeioC-P
séancp est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne lecture de lettres d'excuseslc MM.-Ré> gismanset, lïoirae. M. l
naissances ne le reconnaissaient plus. Sa femme m'a envoyé un jour la lettre suivante : • Paris, lo 2*2 avril 1809. « Mons
in, je devais prendre le train de bon matin pour rentrer à Paris. Une lettre m'apprit le plein succès de mes suggestions. La m
ales, avait contre lui les Jésuites, et avec les Jésuites le roi. Une lettre frondeuse du cardinal de Retz, ami de Port-Royal,
and je me souviens des bonnes dispositions qui sont marquées dans vos lettres ; et comme je ne souhaite aucun bien ni aucun avan
do trente-six ans. Le lendemain, Singlin écrivait à Port-Royal une lettre où l'on lit : * Elle avait.., beaucoup de confian
oute solide, accompagnée de la plus austère pénitence ? et termine sa lettre ainsi : ß II y a tant de marques de bénédiction d
Vice-Présiden te. MM. Dauriac (Lionel), professeur à la Faculté des lettres de Montpellier, charge de cours à Paris, le D' Gr
, médecin de la Salpêtrière. Dauriag (Lionel), prof, à la Faculté des Lettres de Montpellier, le Dr Deny, médecin de la Salpêtr
récédente séance est lu et approuve. La correspondance comprend des lettres d'e\cuscs de MM. Iîoirac,/page> page n="46"&
la Cour de cassation ; M. Lionel Dauriac, professeur â la Faculté des lettres de Montpellier; M. le Dr Paul Magnin, vice-présid
uimbeau, Wolf. M. le Secrétaire général donne lecture de nombreuses lettres d'excuses parmi lesquelles celles de MM.le profes
ns nouvelle. Cependant, un beau jour, j'ai le plaisir de recevoir une lettre par laquelle on m'apprend que, depuis trois mois,
des, qui nous paraissent aujourd'hui ridicules, sont donnés en toutes lettres dans les ouvrages médicaux d'il y a cent ans. Le
our l'existence (poly-zoisme). Tous ces travaux restèrent longtemps lettre morte. En ces dernières années, d'autres savants
avait écrit, à une époque indéterminée les ouvrages dévots suivants : Lettres touchant la possibilité d'accomplir les commandem
eune fille continuait d'entretenir avec Port-Royal lui avait valu une lettre de cachet, lui intimant l'ordre de se retirer en
son oreille avec une grande intensité; elle est plus marquée pour les lettres nasales. Ces sensations paradoxales dépendent d
eux noms. Messieurs, doivent, en effet, être inscrits tout d'abord en lettres d'or comme sur le solennel Portique qui donne acc
mme, thèse, 1882. — La guerre des millions, drame, 1882, — Recueil de lettres parisiennes, 1884. — Paradoxes, 1885.— Les maladi
illiers de milles de distance je guéris des malades, je réponds à des lettres et conclus des affaires par ma fille (qui est mon
ue j'avais nommés. — Quand je suis absent, elle m'envoie rarement les lettres qui me sont adressées, me les communique télépath
e eminent collaborateur M. Lionel Dauriac, professeur à la Faculté de lettres de Montpellier, vice président de la sociéié d'hy
pour que j'insiste; mais je me dois de leur apprendre qu'un homme de lettres y a trouvé une voie pour une littérature nouvelle
rate de N&undorff avec Louis XVII. J'ai moi-même, à propos de lettres inédites du prétendant, ébauché sa psychologie in
en désordre, en raison de sa mort subite. Particulièrement certaines lettres oubliées au fond d'un petit meuble, dans sa chamb
i naif de me déranger. » Mal lui en prit. Avant un mois, il reçut une lettre éplorée des parents de George Pelham. Us avaient
ne lettre éplorée des parents de George Pelham. Us avaient trouvé les lettres en question dans la cachette indiquée par le médi
Séance précédente est lu et adopté. La correspondance comprend des lettres de M. Boirac vîce-président( s'excusant de ne pou
a les brebis » pas plus qu'un peintre anatomistc, n'accepterait à la lettre cette définition du visage de l'animal. Si le r
nt : MM. l-louch, uégo-*lant, et Jullian, professeur a !c Faculté des Lettres , suivis d'unefoule nom--breuse en tète do laquell
eil de l'Université ; Froment, président do l'Académie d.^s Sciences, Lettres et Arts de 2'jrd3-i>'.x ; Lande, président de
es. Il appartenait par ess dons variés à l'Académie des Sciences, des Lettres et des Arts. ïl lui appartenait aussi par celte u
es et demie, M. LionelDauriuc, professeur honoraire do la Faeu'.té de lettres de Montpellier, chargé du eours d'Esthétique musi
ra une conférence sur : Le race à É'étai de veille chez les hommes de lettres . Jeuci Î5 Février, à huit heures et demis, M. E
. (1) Voir la Revue de l'Hypnotisme de décembre 1S&Q. (2) Lettre du 5 novembre i6*8./page> page n="228">
rage. Comme exemples de suggestion par le manuscrit, je citerai les lettres édifiantes de Jeanne Arnauld à Jacqueline Pascal,
citerai les lettres édifiantes de Jeanne Arnauld à Jacqueline Pascal, lettres qui eurent tant d'influence sur l'entrée en relig
ra une conférence sur : Le rêce ît Vêtat de veille chez les hommes de lettres . Jeudi 15 Fstmrr, à huit heures et demie, M. Eu
orsqu'il suggestionna Charlotte de Hoannez et écrivit la première des Lettres à un provincial, 33 ans lorsqu'il commença à écri
plasticité, l'instabilité moléculaire du tissu nerveux. S'il en (1) Lettre du 3 octobre 1656. (2) Nicrologc de Port-Royal.
ourir au monde par amour envers Dieu »; et, parlant de Dieu, dans une lettre du 1'" avril 1648 : « Il n'y a pas de crime qui s
ouverainement les créatures, quoiqu'elles le représentent ». Dans une lettre de juillet 1653, adressée à Florin Périer, au suj
urs d'autre naît. (2) Nécrologe de !\-R. (3) Jacqueline Pascal. — Lettre du 19 juin 1648./page> page n="276"> so
e comme en une espèce de mort, séparé du monde. » Et encore, dans une lettre à Charlotte de Roannez : « Malheur à ceux qui ont
sion irrésistible et que c'est seulement ainsi qu'il voit l'image des lettres . M. Marinesco rappelle qu'il a retrouvé l'écrit
ont l'hyper-suggestibilité est un des symptômes, qu'un symptôme (1) Lettre le juillet 1C53./page> page n="293"> co
il y avoit des dévotions parliculières » (')· C'est que l'auleur des Lettres à un provincial et du Discours sur les passions d
M. Aars, de Christiania. La correspondance manuscrite comprend des lettres de M. Binet, directeur du laboratoire de psycholo
te séance est lu et adopté. La correspondance imprimée comprend une lettre de M. le professeur Tarde, remerciant la Société
le cinquième jour, il sait so décider à jeter au vent une adresse de lettre et d'autres objets analogues. II peut recommencer
vie. Ce double but a été pleinement rempli, ainsi qu'en font foi les lettres du malade. Celui-ci s'est adonné à ses alfaires a
ident*. MM. Dauriac (Lionel), professeur honoraire à la Faculté des lettres de Montpellier, professeur de philosophie au lycé
juris le fonctionnement cérébral du corpus humanum. Suggestion par lettre . Par M. Jules Voisin, médecin de la Salpêtrlère
Nancy). — Jo suis à même de rapporter un cas analogue de guérison par lettre . Il s'agit d'une Brésilienne, qui, â Rio-dc*/page
atin, vous vous mettrez dans un fauteuil, vous lirez attentivement ma lettre , vous m'entendrez dire : « Dormez! » etvous vous
jours, et au bout de ce temps, vous m'écrirez. Je reçois en effet une lettre dithyrambique; pendant ces séances de dix minutes
se passent sans encombre. Au bout de ce temps, je reçois une nouvelle lettre : cette personne n'a plus de crises ; mais, depui
n'ose s'en approcher de peur de se précipiter dehors. Je renvoie une lettre analogue à celle qui avait si bien réussi une pre
ance. Mais, trois mois après, l'incontinence reparait. Il m'écrit une lettre cploréc. Alors je lui envoie ma carte de visite s
e devait être considéré comme exact. Le 5 mars, après lecture d'une lettre du médecin traitant, insérée dans un journal, nou
vraie), par Jules Bois, p. 185. Sorbonne, p. 256. Suggestion par lettre , par Jules Voisin, p. 367. Suggestion suggérée
19 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
yer, dans ce cas, une décoction prodigieusement concentrée ! » — La lettre suivante, que le Dr Charpignon nous adresse, mont
ectifiait les erreurs commises; mais, par je ne sais quelle cause, ma lettre n’a point été insérée, circonstance qui laisse to
ectifications que le Constitutionnel n’a point acceptées. Voici cette lettre : A M. le Rédacteur du Constitutionnel. Bans
Bans un de vos derniers numéros, vous avez inséré une assez longue lettre sur l’élher et le chloroforme. Dans cet article r
dans son pays, et une cure qu’il a faite. Yoici des extraits de sa lettre : «...........En attendant, j’ai l’honneur de
e vais tâcher de répondre aux questions que vous me posiez dans votre lettre au sujet de ces fièvres ; « i° Oui ; les fièvre
les Arcanes. Acquittons-nous d’une dette envers lui par l’envoi de la lettre suivante : Monsieur, Vous avez daigné m’offri
er. — L’organisation du banquet mesmérien se poursuit activement ; la lettre suivante vient d’ôtre envoyée aux personnes qui o
avez quelque magnétiste à présenter, veuillez bien vous procurer une lettre d’invitation sans laquelle nul ne sera admis à la
te nouvelle liste. VARIÉTÉS. Du Magnétisme en Italie. — Voici une lettre dont le contenu intéressera vivement ceux de nos
je ne veux pas dépasser les bornes que je me suis imposées dans cette lettre , ni abuser de votre patience. Je vous dirai seule
en connaître. » — Les Côtes du Nord, du 16 février, reproduisent la lettre de l’abbé Leray. Le magnétisme doit beaucoup gagn
maintenant marcher sans gène. Du jo. Aujourd’hui il m’a adressé une lettre en bengali, dans laquelle il me dit que, étant pa
té dn magnétisme de la Nonvclle-Orléaus. Voici quelques extraits de lettres du président de la Société, qui marquent les trav
combien d’autres, sans doute, qui passent inaperçus! » Sa dernière lettre contient les lignes suivantes : « Je ne vous di
e personne dont il est mention dans notre numéro précédent. C’est une lettre d’homme compétent; nous l’extrayons du National d
les cures qui s’opèrent à Pau. Voici quelques passages extraits de sa lettre : « Le4 du courant, le sieur*** et la nommée Ma
ts, médecins, curieux. L’état d’Anne Chaigneau est constaté dans la lettre du Dr Priou. L’autre malade est Marie Rivierrc,
Elle a été officiellement annoncée à l’Académie des Sciences par une lettre de M. de liumboldt, dont voici un extrait: i II
ces, et cesse dès qu’à volonté on ne tend plus les muscles. » Cette lettre a donné lieu à une discussion qui sera résumée da
usion n’en est pas favorable : c’est de fondation. BIBLIOGRAPHIE. LETTRES SUIt LE MAGNÉTISME ANIMAL, etc.; par le D' DE la
e faire connaître autant qu’il le méritait. Cet ouvrage formé de sept lettres adressées à un ami de l’auteur, médecin comme lui
Le président nous écrit, sur les travaux de la Société, une longue lettre dont voici quelques extraits : Mon cher monsieu
ne bonne occasion qui m’est offerte pour vous faire tenir sûrement ma lettre . Laissez-moi donc vous raconter, le plus simpleme
tte remarque aura été faite partout. M. et Mme S***, porteurs de ma lettre , vous diront sans doute par quel moyen je les ai
ès de deux mois, et n’a plus que le souvenir de sa maladie. Dans sa lettre du 3i mars 1848, M. Jobard vous disait : « qu’il
cependant il semblait devoir vous faire connaître daus une prochaine lettre . J’ai aussi une manière de ne faire que de bons
olennité du 23 mai. Cette fête a été en quelque sorte improvisée; les lettres d’invitation n’ont même pas, par une infidélité d
orte par quelles mains. Vous m’obligerez, Monsieur, d’accueillir ma lettre avec bienveillance, et de l’insérer le plus tôt p
ire? — C’est— un tel, journaliste; il est à son bureau; il reçoit une lettre anonyme : c'est une dénonciation calomnieusey etc
ctitude de ses résultats. L’affaire en était là lorsqu’une nouvelle lettre de M. de Humboldt (2) vint reprocher le peu d’éga
s’occupent là-bas de combattre le fléau par le magnétisme. Yoici une lettre pleine de judicieuses réflexions, publiée par VAb
J. fi., initiales bien connues de nos lecteurs. Au Rédacteur. La lettre de M. le Dr Andraud au président de l’Académie de
. VI, p. 117. (3) Yoy. dans la brochure de Mirabeau, déjà citée, la Lettre de M. le diacre Lavater au médecin de la cour de
ns les circonstances que je viens d’indiquer. Ils sont extraits d’une lettre de condoléance qu’elle adressait à une de ses par
3 août, des faits dont il a été témoin , avec une sincérité rare. Sa lettre est une véritable profession de foi au magnétisme
et le fait suivant en fournirait au besoin la preuve. On reçoit une lettre anonyme; elle ne contient pas de choses très-grav
rocédé fort désobligeant, et on en recherche l’auteur. Je place cette lettre entre les mains d’un somnambule, et lui témoigne
peine, dit-il, c’est un enfantillage. 11 ajoute que l’auteur de cette lettre est la dernière personne qu’on soupçonnait. Il ne
e le nom de l’individu, tel qu’il le signe, apparaît à ses yeux : les lettres se tracent et s’effacent successivement. Cette vi
de se pendre. Bien des moyens furent tentés pour les arracher à (1) Lettres , p. 115. ce funeste entraînement au suicide. Al
—Traité du Magnét. animal, par le D' Bertrand, p. 351 et suiv. (2) Lettres pastorales, l*r octobre 1688. — Bertrand, ouvrage
on maitre contre ce maheureux prêtre, soupçonné d’être l’auteur d’une lettre satirique contre le cardinal. Après avoir obtenu
ptement. Alors la curiosité fit oublier la défense, et l’on ouvrit la lettre cabalistique, qui contenait ces paroles : « Que l
es, inspecteur de police attaché au tribunal de Southwark, a reçu une lettre fort curieuse qui se rattache au procès de Mannin
t curieuse qui se rattache au procès de Manning et de sa femme. Cette lettre est datée de Boston, dans le comté de Lancastre,
rons, sans aucune espèce de commentaire, et dans toute sa naïveté, la lettre suivante, qui nous est adressée par un bon villag
a maladie. Ces moyens, comme ceux que j’ai détaillés dans ma première lettre , n’ont produit aucun résultat. Quand, le 9 déce
m’adressai à la science du divin Mesmer, dont le nom sera transmis en lettres d’or à la postérité, jetais vraiment dans un état
our bien comprendre cel eiposd , il faut se reporter h une précédente lettre insérée clam en Jnnrnal, lome Y, page 76. 1ü“ E
sel de nitre, etc. Résultats. — Nul autre que celui énoncé dans la lettre indiquée ci-devant an note. (1) Cesl évidemment
e, qui envoya des cheveux à une somnam- bide do Paris, et je lus la lettre , qui ne donnait assurément aucun indice sur la ma
évélateur avec les vérités éternelles du mesmérisme, que l’on doit la lettre des membres de la Société exégétique. Nous ignoro
Correspondance. — Notre savant correspondant de Bruxelles adresse la lettre suivante à M. du Potet. Mon cher maître, Je s
e emphase qui paraît commandée. — Le Temps du 8 octobre, publie une lettre signée Muncorps, relatant une affection de poitri
par le somnambulisme. — Lo Constitutionnel du a5 octobre public une lettre de Rome, dont un passage est relatif au magnétism
e social. Le jour et l’heure de la réunion seront indiqués dans les lettres de convocation individuelles. Le Gérant : IIKBE
tin, avant de partir, il achète une feuille de papier pour écrire une lettre — car cette lettre était l’unique motif de ce voy
r, il achète une feuille de papier pour écrire une lettre — car cette lettre était l’unique motif de ce voyage, la cause de ce
l’esprit général. Voici comment il commençait : « Dans ma première lettre sur le magnétisme naturel , il y a deux ans, j’ai
e social. Le jour et l’heure de la réunion seront indiqués dans les lettres de convocation individuelles. Le Gérant .- HÉBE
iété du Magnétisme de la Nouvelle-Orléans. Composition de son bureau. Lettre de M. Joseph Barthet, président, sur la propagati
t, président, sur la propagation du magnétisme aux États-Unis. 145. — Lettre du même, sur diverses cures, 289. Société du Ma
onde, par M. Hébert (de Garnay),74. Magnétisme (Etat du) en Italie. Lettre du comte Gérard Freschi, de Venise, rappelant les
la Nouvelle-ürléans, 75, 574. Magnétisme (Etat du) à Porto-Ricco. Lettre du Dr Cruxent, 127. Malades abandonnés de la mé
magnétisme, 582. Voleurs découverts par Mlle. Virginie, somnambule. Lettre de M. Jobard, de Bruxelles, 150. BIBLIOGRAPHIE.
es, par le Dr Georgii. — Reflexions par M. Hébert (de Garnay), 415. Lettres sur le Magnétisme animal , par le Dr de La Salzèd
20 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e l'opérer. a Elle a été opérée, nous dit .Il. le 1) Monod dans une lettre , sans diagnostic précis, et pour essayer d'obte
même rudimentaire, ne sait lire ni écrire et ne connait aucune des lettres de l'alphabet. Elle s'habille seule, mais sans
e ouverte, fixe et raide. Mai 1901 à 20 juillet 1901. S : Ecrit une lettre dans laquelle il dit que si on ne l'avait pas f
ailler. Il ne veut même plus écrire et la lecture reste limitée aux lettres a, e. i, 0, u. 1904. - L'état de l'enfant Bea
nfant commence à nouer, à lacer et à boutonner ; il peut placer les lettres , les chiffres et les couleurs sur le tableau, e
. Les progrès sont satisfaisants. Il commence à reproduire quelques lettres sur l'ardoise et connaît toutes les lettres de
à reproduire quelques lettres sur l'ardoise et connaît toutes les lettres de l'alphabet, ainsi que quelques surfaces, telle
r et moins méchant. Il travaille bien à la classe, connaît quelques lettres 0, I, U, A, et commence à faire les barres et l
t vient à la petite école, a appris à con- naître les couleurs, les lettres et les surfaces. Il exécute bien tous les mouve
me les parties de son corps, les couleurs, les chiffres et quelques lettres . XV. LE Bin ? (Cyrille), idiotie profonde; surd
cer, nouer, boutonner, distingue les couleurs et reconnaît quelques lettres et quelques chiffres. 1905. - Le Biha ? est ren
vailler avec plaisir. Assez rapidement, il a appris à connaître les lettres , les chiffres et à les reproduire; actuellement,
très mal doué. Avec difficulté il est parvenu à tracer tou- tes les lettres et les chiffres, établit une relation entre eux
t la gauche très maladroite; il trace plus ou moins bien toutes les lettres . L'instabilité mentale, quoique amoin- drie, ex
é de 7 ans 1/2. Cet enfant, à son arrivée, ne connais- sait que les lettres et les chiffres; d'une instabilité et d'une ina
ner et nouer. Il connaît et nomme les couleurs, les sur- faces, les lettres et les chiffres qu'il arrive à reproduire sur l
sur l'ardoise. Il commence même à former et à assembler quelques lettres au crayon sur le cahier. Les colères assez fréque
l'en- fant a voulu représenter, enfin il forme presque toutes les lettres et commence à les assembler. Cet enfant qui, ay
tention est encore très grande. 19o5 ? Pard ? connaît toutes les lettres , les chiffres, com- mence à tracer quelques bât
fait ingrate, notions classiques presque nulles, ne connaît que ses lettres et un peu les chiffres; c'est ainsi qu'il confo
s boîtes aux leçons de choses. - En 1898, il reconnaît et nomme les lettres , chiffres, sur- faces : place bien les bâtonnet
sait s'habiller, lacer, nouer, boutonner, connaît ses chiffres, ses lettres , il commence à lire; nous espérons qu'il passer
ant a été rendu propre, a appris à s'habiller, reconnaît toutes les lettres et les chiffres. ,895. - L'amélioration conti
s phrases. - En 1894, il s'habille et se déshabille seul, place les lettres , les surfaces, les cou- leurs. Il commence à fo
ettres, les surfaces, les cou- leurs. Il commence à former quelques lettres et chiffres en 1895. Toujours en mouvement, Fél
ns sensées. Il a pris goût à la classe, connaît et nomme toutes les lettres de l'alphabet ainsi que les chiffres, les cou-
isir en classe, est en bonne voie pour la lecture, trace toutes les lettres et les chiffres et ébauche même l'addi- tion. z
nt d'affectivité. - Au point de vue classique, elle connaissait ses lettres et ne faisait que commencer à syllaber. Elle ne
manuel. Aucune aptitude pour l'étude; ne connaissait pas une seule lettre et ne savait même pas tenir un porte-plume. La
étant très défectueuse, il lui est très difficile d'articuler les lettres franchement et d'émettre les sons. Sa voix est na
lle manquerait de goût pour l'étude. Enfin, elle connaît toutes les lettres , commence à écrire. Elle distingue bien toutes le
mpagnes de sa division. Elle qui, au début, ne connais- sait aucune lettre alphabétique, sait aujourd'hui syllaber, tout p
croire que sa lecture sera courante d'ici peu; elle forme bien les lettres , elle copie très lisiblement, connaît tous les
tine a pris goût à l'étude, elle qui ne connaissait pas la première lettre de l'alphabet sait aujourdhui syllaber par- fai
qu'elle était tout à fait nulle en classe, connaissait à peine les lettres et les chiffres. 1905. L'enfant mise en traitem
fficile; elle s'intéresse cependant aux leçons de choses, place les lettres et les chiffres sans trop les connaître. Elle c
- Cette enfant était nulle en instruction, connaissait à peine ses lettres , ne savait pas écrire. Elle était incapable de
né à quelques petites copies, à faire les chiffres et assembler ses lettres . Il faut ajouter qu'Augus- tine est toujours tr
e. En classe, elle commence à écrire, forme à peu près toutes les lettres , les distingue les unes des autres, ainsi que les
Au point de vue de la lecture, l'enfant ne reconnaît pas encore ses lettres , elle les nomme mais au hasard. Pour l'écriture
re quelques mots, ne fait que de petites copies, elle con- naît ses lettres et commence à les assembler. Pour ce travail, e
, son orthographe est encore défectueuse mais elle peut rédiger une lettre ; connaît les trois premières opérations de l'ar
pas, mais elle était nulle en instruction, connaissait à peine les lettres . Le caractère était méchant, querelleur; elle s
s de l'arithmétique, commen- çait la division et savait rédiger une lettre ; en un mot l'enfant pouvait se tirer de peine.
le sens des mots; elle commence également à copier, forme bien les lettres et les chiffres. La atole est plus facile, le d
cia- tion. était mauvaise, elle zézayait beaucoup, prononçait les lettres j et g comme z; elle disait zuze pour juge, touzo
galement très en retard au point de vue scolaire, ne connaissait ni lettres , ni chiffres, ne savait pas écrire; vu son âge
le. Quand elle est arrivée parmi nous, elle connaissait à peine les lettres , les nommait avec peu d'assurance, l'écriture é
li 432 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. avait laissé à ses parents une lettre d'adieu. C'est ainsi qu'on a pu vérifier que sa
LA SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 4H lation de la plupart des lettres est impossible ; la prononciation du p ressembl
he est fortement dévié en dedans ce qui l'empêche de distinguer les lettres à première vue. Malgré tous ces inconvénients,
ère vue. Malgré tous ces inconvénients, elle a appris à écrire, les lettres et les chif- fres sont bien formés, elle commen
chif- fres sont bien formés, elle commence à copier, assemble les lettres . Tout porte à croire que l'enfant lira couramment
igence. Elle parlait, mais avait un défaut de prononciation pour la lettre r; ainsi pour dire travaille, elle prononçait t
he très bien. En classe les progrès sont notables, elle connaît ses lettres , com- mence à compter, aime la gymnastique et l
nvers les personnes qui l'entourent. Elle commence à rassembler ses lettres , connaît également les chiffres, sait les place
indiquait l'intelligence. Elle ne savait pas lire, mais formait les lettres et les chiffres; elle ne savait pas compter, ne
naît les trois premières opérations de l'arithmétique, rédige une lettre , son écriture est lisible et bien formée; en un m
pour venir en classe le moins possible : elle n'aimait pas l'école. Lettres , chiffres, écriture, tout lui était inconnu; sa
esse princi- palement à la classe, elle connaît les chiffres et les lettres et commence à les assembler. Elle marche et par
avec impudence. Elle était nulle pour la classe, ne connaissait ni lettres , ni chiffres, ne traçait pas une lettre; on ava
classe, ne connaissait ni lettres, ni chiffres, ne traçait pas une lettre ; on avait toute la peine du monde à la mainteni
ontinus. En classe elle a appris à faire des dictées, à rédiger une lettre pour sa famille et enfin la multiplication qu'e
et y met toute -son attention; elle écrit lisiblement, assemble les lettres , commence à compter et récite quelques fables.
ons de choses, ainsi que les principales céréales; connaît quelques lettres et quelques chiffres. Elle 472 THÉRAPEUTIQUE
mais surtout au point de vue classique. Elle écrit lisiblement, ses lettres sont bien formées; elle suit une dictée du cour
arche et dans ses mouvements. En classe, elle ne connaissait aucune lettre et paraissait insou- ciante de s'instruire. M
té. Elle prit goût à l'étude. L'enfant qui ne connaissait pas ses lettres est parvenue à lire couramment, elle écrit très l
i paraissait nulle, s'éveilla, et elle ne tarda pas à connaître ses lettres , puis à syllaber et parvint à lire couramment à
est en bonne voie d'amé- lioration. Elle aime l'école, connaît les lettres , les chiffres et commence à "écrire. Ses progrè
com- mence à faire des rédactions, écrit et rédige elle-même ses lettres . Le caractère est brusque mais non méchant. 4
ention sur ce qui lui était enseigné. Elle a appris à connaître ses lettres , à syllaber et maintenant lit presque courammen
onne. Il commence à s'habiller, à se déshabiller, à reconnaître les lettres , à écrire. Sait monter les escaliers, sauter.
escaliers, sauter. 1898. - Assemble les syllabes, forme bien les lettres et les chiffres, s'habille seul et convenableme
21 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
. Concernant les exercices classiques, il est arrivé à placer les lettres , les chiffres, les couleurs sur les tableaux, et
vailler avec plaisir Assez rapidement, il a appris à connaître les lettres , les chiffres et à les reproduire ; actuellement,
onner, nouer. Il connaît et nomme les couleurs, les sur- faces, les lettres et les chiffres qu'il arrive à reproduire sur l
r l'ardoise. Il commence même à former et il assembler quel- ques lettres au crayon sur le cahier. Les colères assez fré-
parle pas ou ne possède que quelques mots, ne con- naisse pas les lettres , ne syllabe pas, nous l'exerçons à reconnaître
fants même ne sachant pas syllaber, ne connaissant pas toutes leurs lettres , reconnaissent l'image du mot, comme ils reconn
e l'Assistance publique a adressé à M. le Directeur de Bicêtre deux lettres de félicitations pour le succès remporté par la
ées sur fond noir, images blanches sur fond noir), il apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond blanc, puis le
images blanches sur fond noir), il apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond blanc, puis lettres beaucoup pl
apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond blanc, puis lettres beaucoup plus petites); pour l'éducation de la
à lire couramment, fait la dictée et rédige lui-même maintenant les lettres il ses parents d'une layon il peu près compréhe
- Ordres du jour des Commissions. - Affiches diverses. - Entêtes de lettres . -- - Divers imprimés pour les Ecoles d'infirmi
ence. Elle parlait, mais avait un défaut de prononciation pour la lettre r; ainsi pour dire travaille, elle prononçait tav
le. Quand elle est arrivée parmi nous, elle connaissait à peine les lettres , les nommait avec peu d'assurance, l'écriture é
ent, ne se rendait nullement compte de l'utilité de la classe ; les lettres , les chiffres, l'écriture, la gymnastique, tout
e. En classe, elle commence à écrire, forme à peu près toutes les lettres , les distingue les unes des autres, ainsi que les
he est fortement dévié en dedans ce qui l'empêche de distinguer les lettres à première vue. Malgré tous ces inconvénients,
e vue. Malgré tous ces inconvénients, elle a a appris à écrire, les lettres et les chiffres sont bien formés, elle commence
es chiffres sont bien formés, elle commence il copier, assemble les lettres . Tout porte a croire que l'enfant lira couram-
galement très en retard au point de vue scolaire, ne connaissait ni lettres , ni chiffres, ne savait pas écrire; vu son âge
'on pourra ohtenir par entraînement. ¡Il serait naïf de suivre à la lettre une mé- thode quelconque, ce qu'il faut avant t
ue. Dans l'affirmative, il nous prévenait que nous rece- vrions une lettre officielle du Directeur. Naturellement nous nou
s à son entière disposition. Quelques jours après nous recevions la lettre suivante : 24 décembre 1902. Monsieur le Méde
été déçu. Quelques jours après, nous recevions communication de la lettre ci-après. Paris le 10 février 1903. Le Direct
rvice du matin au soir de vos agents. Je vous envoie la copie de sa lettre . La question de nourriture et de logement est t
ts bien dévoués. BOURNEVILLE. P. S.-t1u moment où je finissais ma lettre , je reçois la vôtre. Je vous recevrai avec plai
medi 21 février, tous les deux. - D'ici la vous aurez réfléchi à ma lettre . M. Lesvier à M. Bourneville. Clermont (Oise)
se), le 9 mars 1903, Monsieur le Médecin en chef, J'ai reçu votre lettre du trois courant ; je vous suis très reconnaiss
r l'école proprement dite, objets servant à l'éducation des sens, lettres à caractères spéciaux, etc., que pour les soinsde
à une prati- que qui existe dans les asiles d'idiots en Angleterre ( Lettre de M. Bourneville du 3 mars). Il n'y a pas lieu
nourri- turc fixée il 1 fr. 70 par jour et par personne, suivant la lettre de 11 : . le Directeur de l'Administration géné
s. Enfin le Directeur donne communication à la Commission de deux lettres de M. le D1' Bourneville en date des 1G février
s désirons appeler l'attention sur plusieurs points visés par cette lettre et fournir en même temps à nos lec- teurs quelq
çons, la Salpêtrière et la Fon- dation Vallée pour les filles. La lettre suivante que nous reproduisons, non pas seu- le
eux- ci exposés iL des actes mauvais de la part du malade ; cette lettre , enfin, nous four 'il l'occasion de renseigner
x des inscriptions et au sur et à mesure des vacances. D'après la lettre de notre correspondant, la famille a rempli les
ès que depuis l'année 1899. Ce n'est qu'en 1901 qu'il con- naît ses lettres sans savoir syllaber. Il sait compter jusqu'à 3
econnaît les couleurs. Paresseux. 1902. Sait syllaber et écrire ses lettres . Compte jusqu'à 50. Ne sait rien faire à l'atel
is n'y apprit rien; elle ne retient rien et ne connait même pas ses lettres . On la mit ensuite à l'école communale où elle
le ; son attention est assez facile à fixer ; elle connait quelques lettres . L'enfant porte des cicatrices de vaccin, 3 il
nt. En classe, elle est attentive, connait maintenant très-bien ses lettres , et commence à faire des bâtons sur l'ardoise.
se à l'école qu'à G ans et a eu beaucoup de peine à apprendre ses lettres . Elle n'a pas d'aptitudes particulières. Elle r
une erreur typographique : à la page 27, il faut inter- vertir les lettres G et D. Bourneville. 236 Anatomie pathologiqu
............... 45 5 - décorateurs ....................... 5 - en lettres ......................... 1 - en voitures.......
vrier. - Adonis vP1'nalis. En classe, il trace d'a- près modèle les lettres à dessin simple, comme n et m ; lit couramment,
exe de l'hémisphère cérébral droit de Tard. (Même signification des lettres que pour la PL. VI). Planche IX. Face interne
ne de l'hémisphère cérébral droit de Tard.. (Même signification des lettres que pour la Pal. VIL) Planche X. Base de l'en
corps calleux, CCC, il n'y a pas de corps calleux (p. 261). - Les lettres ont la même signification que sur la PL. XII. P
22 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
gramme pour la construction de l'asile d'aliénés de Totilotise, des lettres sur l'hys- 2éuèe, et un travuil sur l'llimeztta
même l'écri- ture, qui devine des rébus, qui écrit des notes et des lettres très sensées et qui, ne peut lire ce qu'elle vi
ut lire ce qu'elle vient d'écrire elle- même, parce que le. nom des lettres , la signification des mots qu'elles forment en
nom, soit imprimé, soit écrit, sans pouvoir distinguer au- cune des lettres qui le composent. Il se produit chez eux quel-
jet qu'ils connaissent,, une maison par exemple, et en mettant en lettres au-dessous du dessin le nom,de cet objet « maison
avec les mots ; l'alphabet seul m'était resté, mais la jonction des lettres pour la formation des mots était une étude à fa
oplexie, fut dans l'impossibilité de lire et même de distinguer une lettre d'une autre; mais, si un nom ou une phrase étai
'" 2)8- ? '' 'REVUE CRITIQUE. ' "' pàblé de reconnaître une seule lettre soit imprimée, soit écrite par elle-même. « Ell
lle' voyait l'écriture, mais elle était inca- pable de traduire les lettres en mots et en idées. » Cependant, elle reconnaî
ourtant écrire correctement sous la dictée,' composer et écrire les lettres lorsqu'on l'y aidait un peu. Impossibilité de s
lui-même qu'au moyen d'un artifice. Il traçait avec son doigt ,les lettres des mots qu'il venait d'écrire et lisait ces dern
ue ce malade, homme intelligent, pouvait transformer les images des lettres écrites en images tonales et combiner ces derni
ssion tac- tileque 'ce malade réveillait dans son esprit le nom des lettres qu'il traçait avec son, doigt. ' , , Dans, la
quelques, cas cités par Trousseau. Ces malades, tout en' voyant les lettres . et les mots, n'en comprenaient pas bien le se
s, écrivait correctement sous la dictée et pouvait bien rédiger les lettres d'affairés, mais il lui était impossible dé lir
irés, mais il lui était impossible dé lire. Il voyait nettement les lettres , mais il en avait oublié la signification. Il p
montre absolument incapable. Le malade ne reconnaissait jamais une lettre quelle qu'en soit la dimension. Il n'était pas
n je ne puis » ; quelques jours après il ne distin- gue plus aucune lettre . Il sait compter jusqu'à cent, mais il écrit ma
re un seul. Il voit tous les objets qu'on lui présente, il voit les lettres , mais ne comprend pas leur signification. Voi
nsi que des lettrés; mais il ne sait pas rapporter le vrai nom à la lettre qu'il voit.- Si c'est dans les fibres conductri
le conseil de M. Magnan, à réveiller chez elle la signification des lettres par l'intermédiaire des impressions tactiles; e
iles; en d'autres termes, cette malade, qui ne connaissait plus les lettres à la vue, a appris à les distinguer de nouveau
tres à la vue, a appris à les distinguer de nouveau par le toucher ( lettres en relief). A notre connaissance, les recherche
ence (écriture décrite par Erlenmeyer) elle écrit son nom, quelques lettres , comme A, 0, E, J, L, M, et les chiffres 5, 3, 7,
omme un dessin. Quant à la lecture, la malade ne reconnaît au- cune lettre sans toutefois avoir oublié le nom des lettres en
ne reconnaît au- cune lettre sans toutefois avoir oublié le nom des lettres en géné- ral, car elle peut nommer quelquefois
en géné- ral, car elle peut nommer quelquefois au hasard plusieurs lettres . Elle reconnaît son nom manuscrit, mais non lor
rit, mais non lorsqu'il est imprimé, sans pouvoir distinguer aucune lettre dans ce mot. Quelque temps après son entrée à l
caractères mobiles en relief ; elle ne peut reconnaître une seule lettre , ni son nom fait avec ces caractères. Ce n'est qu
r ces caractères. Puis, elle parvient à recon- naître au toucher la lettre 0. Si le nom de la lettre se faisait attendre,
le parvient à recon- naître au toucher la lettre 0. Si le nom de la lettre se faisait attendre, elle la nommait parfois «
» Après plusieurs mois d'exercice, elle ne se trompait plus pour la lettre 0. La seconde lettre qu'elle apprit à connaître
d'exercice, elle ne se trompait plus pour la lettre 0. La seconde lettre qu'elle apprit à connaître fut la lettre C ; lors
ur la lettre 0. La seconde lettre qu'elle apprit à connaître fut la lettre C ; lorsqu'elle ne pouvait se rappeler le nom,
la touchant : « C'est mon nom, c'est moi, c'est Ch. » La troisième lettre fut I. C'est un 1 (chiffre un) ou « un point su
« un point sur » disait-elle en cas d'oubli momentané du nom de la lettre . Ensuite, elle put reconnaître les lettres L, F
momentané du nom de la lettre. Ensuite, elle put reconnaître les lettres L, F, N, H, etc., mais elle se trompait assez sou
vent. En gé- néral, elle apprenait très difficilement les nouvelles lettres , mais elle réunissait facilement en syllabes et
es lettres, mais elle réunissait facilement en syllabes et mots les lettres qu'elle con- naissait déjà. En cherchant quelqu
s qu'elle con- naissait déjà. En cherchant quelquefois le nom d'une lettre déjà connue, elle nommait au hasard plusieurs l
s le nom d'une lettre déjà connue, elle nommait au hasard plusieurs lettres et même quelques lettres qu'elle ne distinguait
connue, elle nommait au hasard plusieurs lettres et même quelques lettres qu'elle ne distinguait pas encore au loucher et d
. 225 5 qu'il devait exprimer. Parfois, la malade reconnaissait les lettres en les traçant avec son doigt. Nous pouvons rap
M. Westphal, dont le malade ne pouvait lire qu'en traçant ainsi les lettres avec son doigt. Pour expliquer le cas de notre
ans la voir. Ceci explique pourquoi M-0 Ch. pouvait réapprendre les lettres à l'aide du toucher. C'est l'image tactile qui
i remplaçait chez elle l'image visuelle pour réveiller le nom de la lettre . La connaissance de la cécité des mots, intéres
" ' 1, 1". ' J'ajouterai en terminant que je viens de recevoir une lettre d'un confrère, le docteur Bonnet, de Châlons, q
23 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
: « Si vous voulez véritablement nous guérir, suivez et exécutez à la lettre ce que nous nous ordonnons, en oubliant pour nous
s premières. Baron uu Potüt. J’ai promis de donner le texte d’une lettre que j’ai fait parvenir à S. M. l’Empereur des Fra
smérisme de Paris, auquel M. le docteur Léger vient de communiquer la lettre qu'il vous adresse, permeltez-moi de vous exprime
sueurs, évacuations utérines, vomissements, etc. On trouve dans une lettre adressée à Robert Boyle par GWatrakes la relation
kes de l’impuMtion de magie. Cest à l'époquede la publication de sa lettre à R. Boyle que Greatrakes se rendit à Londres, La
, par des motifs que j’aurai l’honneur de vous exposer dans une antre lettre . La science a constató que, dans riiypnotiame,
démie des sciences, un petit mémoire dont la copie est jointe k cette lettre et que TOUS trouverez d’ailleurs dans les cartons
ARIÉTÉS. MANIFESTATION DES ESPRrrS. La Vigie de Dieppe publie une lettre qui lui est adressée de la localité des Grandes-V
RBEUBS DANS LE SOMNAMBULISME. Monsieur le baron, Dans ma première lettre , j’ai cherché à exposer une des causes qui peuven
ltait au début de ma carrière. J'ai pensé que la communication de ces lettres offrirait de l’intérêt, et je les exhume de mes p
l ne se souvenait de rien. Enfin hier à trois heures, il reçoit une lettre d nn individu qui le traite fort mal, relativemen
ièrement oublié le prétendu prédicateur de Halle, lorsqu’on reçut une lettre qui confondit les anti-spiritualistes (1). Cett
n reçut une lettre qui confondit les anti-spiritualistes (1). Cette lettre était adressée par celui-là même dont les recherc
e se figurer ta sensation que produisit, dans une certaine sphère, la lettre qui relatùt ce fait étonnant, fait que je donne c
derne. Baron oü Potbt Paris, le 24 avril 1840. Nous recevons la lettre suivante s Mon cher maître, Qoelques an}is i— d
ière communication, je prends la liberté de vous adresser une secoade lettre . (I) Voir poor la pfcmiéro lettre le N» Sti, 25
erté de vous adresser une secoade lettre. (I) Voir poor la pfcmiéro lettre le N» Sti, 25 avril 1860, pages t05 «t «uivtnt«.
nies; on pouvait y compter dix ou douze médecins, plusieurs hommes de lettres , des artistes, d’anciens el honorables militaires
tre genre... Mais nous abordons là un sujet que les bornes de cette lettre ne nous permettent point de traiter convenablemen
ccouché et se trouve dans te meilleur état. Je reçois à l’instant une lettre par laquelle j'apprends qu'elles ont donné deux c
lonne, d’Igualada je fisTé-preüve suivante : j’avais à répondre à une lettre qu’il m'avait écrite, l'idée me vint de magnétise
près ce qu'il m'en écrivit lui-même : B Aussitôt qu’on m’eut remis la lettre , je perrfis tout le monde de vue, je fus pris d’u
demandé ai j'avais quelque nouvelle, je répondis que non, et rais la lettre i la poche ne pouvant la lire. Devenu plus calme,
t ce qid ^1) Le leeteurcoiiipreodm s»ni dotrto que le con4ael de 1« lettre avait Wt taulier «n mjot dim« JVü»t a»agnilli^il&
e» termes m«la|,borique( riu'un aurait lort dt! prendre au pied de la lettre . £1 Je recotnmaaJe de cir-CoDicrirc le champ du m
iques ; les tribunaux en retentissent. Bref, le magnétisme a reçu ses lettres de naturalisation du xix* siècle. Que diriez-vo
de vous serrer la main au banquet du 23 mai dernier m’a rappelé votre lettre d’autrefois, à laquelle plusieurs circoDstances d
nts après, je la réveille. Sur mon invitation, elle écrit une bonne lettre à sa pro-tecti-ice. Ensuite, pour preuve irrécu
ui, il voulut bien me donner de ses nouvelles. Voici le passage de sa lettre qui a rapport à son état, traduit littéralement :
ire. Baron du Potet. Ad docteur CHARPIGNON, d'Orléans. DEUXIÈME LETTRE (1). Versailles, ielOjuillet 1660. La vérité.
de. Au risque donc de tMmbler le ridicule sur l'outrecuidance de ma lettre , je m’empresse d’attester encore qu'un autre effl
Ctre capables de bien voir, médecins, physiciens, chimistes, gens de lettres , artistes et amateurs distingués et surtout écl
que le maréchal de Mon-« trevel, qui està Alais, vient de donner des lettres contre B nous il un courrier qui va les pQi ter à
erait convaincu ; si l’on cherchait dans sa manche, on trouverait une lettre de l’ennemi.....On trouva en eiîet dans la manc
ennemi.....On trouva en eiîet dans la manche de son justaucorps une lettre du maréchal Lalande qui lui faisait des reproches
tre personne ;.....reconnaît sous le manteau du docteur Petétin une lettre , en désigne la position sur la poitrine du docteu
ant à sa belle-sœur que ce qu’elle avait de plus précieux c était une lettre . C’était la vérité, et cette dame en fut d'autant
ette dame en fut d'autant plus surprise qu’elle venait de recevoir la lettre en question par le courrier du soir, et n’en avai
anté altérée du père de M. B..., et finit par temeltre à celui-ci une lettre qu5 lui annsnçait la foialé ftouvéllU. Il parlli
lèle entre le son et la lumière est si parfait, dit Euler dans sa 2â* lettre à une princesse d’Allemagne, qu'il se soutient mê
donainee. Le SO Juillet «860. ERRATUM ESSENTIEL. L’auteui- des lettres au D' Charpignon n’ayant pas revu lul-tnôine les
. Roti. Ncras coatlnueWFDs nltérieuremeot la publication déS autres lettres dti D* Clever de Maldigny. AVIS. L’abondance
■ CFnifunTiHf. 4mi>»i Liioii 5/uVrMlt39.| Mes deux premières lettres ont rapporté des faits, non des faits bruts, mais
ouvrier, les malades, lescirconslances et paMois tous ensemble). Ma lettre prochaine mettra mieux en relief le mobile de ma
... C illusion ; Quelques citations afférentes à la donnée de cette lettre ; 3“ l’aperçu statistlcpie actuel de la propaga
tralgie, anorexie, fmacintion Eugène Cognary, cité dans ma première lettre , est cocher dans ccKe maison. Au printemps de l
se dirigea du côté de ma porte, frappa, et remit à mon domestique une lettre . Elle était de M. Baron, et voici la traduction d
ence que j’allais faire. Le lentlemain matin je recevais une nouvelle lettre , plus pressante encore, s’il se peut. « Ne tardez
nouvelle théorie du magnétisme animal, par M. Warlomont, ainsi que la lettre qui accompagne ce travail. Vous avea cm devoir
llement d'accord, mais j'ai bâte d’en venir au bot principal de cette lettre , c'est-à-dire de démontrer, par des faits matérie
ET, pTopriétaire-gcrani. Le numéro prochain contiendra la quatrième lettre au docteur Charpignon. De cette manière, tou.? le
viens vous prier encore d’excuser le griffonnage et le décousu de ma lettre . Prochainement je vous adresserai : 1* Un nouve
DOCTEUR CHARPIGNON, d’orlèans. Versailles, 13 août 1860. quathième lettre :t). « Eil Detiâ in agUanU eafeseiimu Ulo.» [
viens avec calme sur le terrain le plus ardent du double sujet de mes lettres . Maintenant, cher confrère, il faut que je récu
r.'gner dans les intelligences faites pour les vérités suprêmes. Ses lettres de crédit Si>nt dans sa légitimité naturelle e
doclrvr en médecine et du maçnéliste, cependant, auquel s'adresse ma lettre , lui qui, je suis tenté de n en pas douter, résou
aborde la synihcM. Si M. d'Arliaud avait eu connaissance de la 32* lettre d'Euler (édition Charpentier, 18i3, p. lOt), il s
et m'adresser, par l’intermédiaire du Joumd du Magnétisme, vos quatre lettres . Je vous en écrirai deux, une pour l'homœopathie,
). Donc, quand is et triturations successives vouis ayez anéanti 4* lettre , vous semblez tenir pour rielie cette palingé* .
CRIPTUM, Cher confrère. Je viens de prendre connaissance de votre lettre en réponse i mes communications sur l’homceopat
ravail intellectuel quelconque au somnambule, par exemple, écrire une lettre ou une narration sur un sujet donné, résoudre un
et je suis alors convaincu, malgré la différencede la première de ces lettres , placée surtout comme elle m'apparaît et comme eU
rchant à me Confondre, me disait : « Puisque vous avez si bien vu une lettre et un chiffre, pourquoi n’arez-vous pas Vu la tâc
u baron du Potet, est incomplet à cet égard. Que dit encore dans sa lettre à Deleiisc le docteur Koreil, ce médecin si expér
étiseur, nous «’avons point eu l’idée de prendre ce mot au pied de la lettre , c’eût été une profonde erreur de notre part; nou
ferts sous ce rapport. Nous renvoyons donc encoi'e M. Lafontaine à la lettre du docteur Koreff à Deleiise, et il y verra que c
, 13, nous prions nos abonnés de vouloir bien se le rappeler, car les lettres que nous recevons encore maintenant ne nous parvi
EUVIÈME, INSTITUTIONS. Chaire d’enseignement pour le ma gnétisme. Lettre de M. le baron du Potet, en date du 30 mars 1857,
des fluidesilmpondérables; théorie par M. Jobard, 327. Homœopathie. Lettres de M. le Dr Clever de Maldigny à M. le Dr Charpig
ues mots y ralatifs, par M. la Dr Liégey, 266; par M. Berjaud, 610. — Lettre sur le même sujet, adressée à M. Maury, de l'Inst
(petit) de magnétisme, par M. du Potet, 637. Chaire de magnétisme. Lettre de M. du Potet à l'Empereur des Français pour dem
nambulisme« d'extase. etc., 224, 265, 305. Situation du magnétisme, Lettre de M. Petit d'Ormoy, montrant comme prochain le t
24 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
thémateuse de plusieurs centimètres de hauteur et sur cette bande les lettres se sont dessinées en relief, ayant environ deux m
iron deux millimètres de largeur; peu à peu l'érythème a disparu, les lettres persistant. (Troubles vaso-moteurs). 28 août. —
à midi. Elle n'a pas eu d'attaques depuis ce moment. — Ce matin, les lettres sont réduites à un trait semblable à une égratign
e bande érythémateuse assez large se développe promptement; puis, les lettres se dessinent en relief; ces phénomènes apparaisse
ur la poitrine, est encore apparent, mais très pâle; les jambages des lettres sont linéaires. — Celui d'hier, inférieur, a pres
30, elle reconnaît, sur une pièce de dix centimes, la tête, 9 les lettres , etc. ; elle voit le rouge, le bleu, le noir et l
aupières closes.) Durant cet exercice, les mains tremblent; aussi les lettres sont-elles un peu irrégulières. Catalepsie. — O
ent ; elles existent des deux côtés. Phénomènes vaso-moteurs. — Les lettres tracées avec une épingle sur la partie antérieure
érieure de la poitrine produisent une bande érythémateuse ; puis, les lettres se dessinent en relief d'un millimètre et demi de
ouvent par les médecins à l'insu les uns des autres. 29 août. — Les lettres ne sont plus représentées que par des égratignure
anesthésie qui existe d'habitude à gauche disparait. 30 août. — Les lettres ressemblent à des lignes tracées sur de la cire.
rée est très pénible. — Lait glacé, bain, etc. 1er septembre. — Les lettres sont moins visibles. — Mêmes symptômes. On rempla
inuer progressivement la quantité du médicament. 2 septembre. — Les lettres sont très pâles, jaunâtres, et s'effacent par pla
ioration notable, — On ne distingue plus que quelques fragments des lettres tracées sur la poitrine et sur le ventre : on v
ivement. A midi et à G heures du soir : T. R. 38°. 28 août. — Les lettres tracées avec la pointe d'une épingle sur le devan
nt une bande érythé-mateuse moins large que celle de W... et M... Les lettres se dessinent sans former de relief. Des raies tra
érythémateuse ; 3 ou 4 minutes plus tard, la rougeur disparaît et les lettres se dessinent légèrement en relief. 30 août. — D
t réveillée à midi, et depuis lors, est dans son état habituel. — Les lettres tracées la première fois sont encore apparentes ;
tes ; en certains points, elles commencent à s'effacer. Les dernières lettres écrites sont un peu plus nettes. 1er Septembre.
ières lettres écrites sont un peu plus nettes. 1er Septembre. — Les lettres sont à peu près les mêmes qu'hier. — La sensibili
qu'hier. — La sensibilité est normale des deux côtés. 2 sept. — Les lettres s'effacent, mais sont encore distinctes. 3 sept
s s'effacent, mais sont encore distinctes. 3 sept. — Une partie des lettres du mot tracé le premier ont disparu. Les lettres
pt. — Une partie des lettres du mot tracé le premier ont disparu. Les lettres du mot tracé en second lieu ressemblent à des égr
sous le coup de leurs attaques, cousent leur chemise. 4 sept. — Les lettres sont de moins en moins apparentes ; elles ressemb
on plus à des égra-tignures. 6 sept. — Les traits correspondant aux lettres se distinguent à peine de la peau. Hier soir, D..
... va bien. — Des mots tracés précédemment, on ne voit plus que deux lettres *. 24 sept. — Sommeil à partir de 6 heures du s
mot Alphon-sine sur la poitrine, avec une épingle ; à mesure, que les lettres sont écrites , il apparaît une bande érythémateus
s , il apparaît une bande érythémateuse sur laquelle se dessinent les lettres en relief. Elles sont blanches, peu accusées. 5
ugeur érythé-mateuse égale des deux côtés ; 40 secondes plus tard les lettres se dessinent en relief d'un millimètre et demi. A
demi. A la cinquième minute, la rougeur disparaît ; à la sixième, les lettres sont très bien dessinées, ont une largeur de deux
millimètres. 31 août. — On ne voit plus distinctement que les deux lettres du milieu (sur cinq), 1er septembre. — Il ne re
inq), 1er septembre. — Il ne reste que des fragments de la dernière lettre qui disparaissent eux-mêmes le lendemain. 2 sep
25 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
udront bien me prêter appui ou m’honorer de leur sympathie ; voici la lettre d'un homme qui est toujours prêt quand il y a des
Suite— Voyez tomo XIII, page 715). 4° M. Th.-C. HARTSHORN, homme de lettres , demeurant à Providence (États-Unis). Le savoir
iance à ses lecteurs. On y trouve, entre autres pièces curieuses, une lettre du fameux général Lafayette au libérateur Washing
rticle qu’on vient de lire, a publié dans son numéro du 5 janvier, la lettre suivante : A M. le Rédacteur en chef de la Gaze
t eut le bonheur de voir la prédiction du somnambule se réaliser à la lettre . » On le voit, dans tout ceci, il n’est pas que
é guérie si j’étais resté plus longtemps à Paris. Elle tn’a écrit une lettre de remerciements, dont voici la copie : « Monsi
2 est une femme qui avait la goutte aux mains. Voici l’extrait d’une lettre qu’elle a écrite à une de ses amies : « M. Cape
Tribunaux. — Mmc Roger a adressé au journal Y Union de ta Sarthe, la lettre suivante, qui a été insérée dans son numéro du h
craignait une autre cause de maladie. Elle m’envoyait donc, dans une lettre , une mèche de ses cheveux, et une de ceux de sa f
çait et envoyé immédiatement à Paris, par la poste, dans une série de lettres que j’ai conservées sous forme de journal. Quin
tant étonné, je voulus en tenter une autre, que je retrouve dans une lettre du 30 décembre 1841. Ma fille suivait alors les
rbé par une incessante pratique, je n’ai pu répondre de suite à votre lettre flatteuse et vous remercier de la bonne nouvelle
ient à distinguer, à apercevoir, tantôt un gros objet, puis enfin les lettres en titre d’un journal, puis un jour les plus peti
si cet ouvrage a été traduit en français. Tout le contenu de cette lettre , à l’exception de ce qui concerne mes affaires pe
e résultat de vos dernières découvertes, Je finis cette trop longue lettre en réclamant votre indulgence pour mon bavardage,
de Turin. A M. Hébert (de Garnay.) Monsieur, Dans nia dernière lettre , je vous ai signalé en passant les progrès que fa
nte, je ne refuse pas l’emploi bienfaisant du magnétisme. Depuis ma lettre de l’année dernière, j’ai pu constater, sur trois
rsonnes présentes ne sût cette langue et ne connût même la valeur des lettres hébraïques ; un hébraïsant érudit, auquel on prés
re preuve, que nous devons considérer comme un pas immense, c’est une lettre qui m’a été remise à mon arrivée, et que m’adress
somnambule peut entendre les objets renfermés dans une cassette, les lettres renfermées dans un portefeuille, les pages d’un l
CLAIRVOYANCE. — ENFANT RETROUVÉ. Nous extrayons du Magnctofilo la lettre suivante, adressée au directeur de ce journal et
ins, l’un partisan déclaré, l’autre adversaire acharné du magnétisme. Lettres , réponses, défis, récriminations , rien n’y manqu
umière. Nous extrairons toutefois des pièces de ce grand débat, une lettre du sieur Costanzo Bernardi, membre du collège de
ieurs magnétistes ont eu l’irrévérence de critiquer les mandements et lettres pastorales de divers prélats , qui interdisent le
ge auprès de l’exposition universelle, nous a adressé le lendemain la lettre suivante, avec les jolis vers ci-après transcrits
ondeur que tout le monde ne pénètre pas. Or, en prenant au pied de la lettre et dans son sens purement grammatical le mot prés
yer les eaux plus énergiques de Bourbon-l’Archambault et me donna une lettre de recommandation pour M. Faye, son ami, et médec
le Toulouse. A Monsieur le baron du Polct. Mon clier maître, La lettre que vous avez eu la bonté de m’écrire m’a procuré
à celui fait à l’Académie par le Dr Husson en 1831, ce sont également lettre morte pour M. Segond, auquel nous ne pouvons nous
our I Mais laissons-le répondre pour nous à M. Segond. Voici deux lettres qu’il écrivait à M. le comte de Mirville, après a
dans lesquelles celui-ci avait joué avec lui aux cartes, avait lu une lettre cachetée ainsi que des papiers renfermés dans un
'agent mystérieux que vous venez de me montrer» » Voici la première lettre sous forme de déclaration : « Quoique je sois b
phes, qui a eu lieu dernièrement, à Paris, un de nos amis a trouvé la lettre suivante, qui est inédite et fait connaître l’opi
es hommes sur lesquels ils la doivent indistinctement exercer. « La lettre que la société a cru devoir écrire en réponse à u
été de vues secrètes et de desseins cachés. J’approuve beaucoup cette lettre , à la qu’elle j’ai vu mon nom apposé, ce qui perm
e ¡ï signer toutes les délibérations. Mais il est, à l’égard de cette lettre , une reflexion que je ne puis me défendre de vous
question du magnétisme devant les lecteurs de cette leuille. Voici la lettre qu’à ce propos il a adressée aux rédacteurs : «
ut d’un temps moins long que ne pouvait le faire supposer la première lettre , on en reçut une autre fixant le jour où la neuva
ssurer la population, publier, clans les journaux de la localité, une lettre dans laquelle il soutient qu’il n’est pas donné à
A propos de l’histoire de l’éclair en boule, M. de Mirville cite, en lettres capitales, ces paroles de l’illustre Arago : (»
sciences occultes. Nous trouvons dans le numéro du 15 mars dernier la lettre suivante, qui nous a paru digne d’intérêt : « J
Cette mort, à laquelle 011 ne croyait pas, se vérifia tristement. Une lettre du pays apporta la confirmation de ce qu’avait di
demeurant posées sur la table. Quand il la retira, il s’y trouva une lettre . Le papier en était très-doux et bizarrement colo
rès-doux et bizarrement colorié ; l’écriture en était griffonnée ; la lettre était datée de Londres, Cravan Street, adressée à
assa du reste comme la première fois. Il reçut dans la main une autre lettre . L’écriture en était tracée en caractères de tout
rande élégance. Pour un mortel, ç’aurait été un travail énorme. Cette lettre , qui est fort longue, porte la signature de Ben J
main sous la table, à l’instar des deux autres. Elle reçut aussi une lettre , mais ce ne fut pas sans une lutte violente avec
les autres personnes avaient les mains appliquées sur la table. Cette lettre portait la signature de presque toutes les person
ts. Une quatrième personne ayant fait la même expérience, reçut une lettre qui était le fae simile de la précédente , si ce
pidité. Une dame ayant aussi placé sa main sous la table, reçut une lettre qui était la cinquième ; elle ne put l’amener à e
it pas souvenir d’avoir jamais rien écrit de semblable. Ensuite une lettre tomba du plafond sur la table. Elle était écrite
unération, ne savait auquel entendre. De toutes parts il recevait des lettres par lesquelles des malades éloignés et qui ne pou
a dent d'or. B. J. (Indépendance belge.) BIBLIOGRAPHIE. SECONDE LETTRE DE GROS-JEAN A SON ÉVÊQUE, au sujet des tables pa
in-8°; Ledoyen, éditeur. 1855. Nous ne connaissons pas la première lettre à laquelle fait suite l’opuscule que nous annonço
t de leurs recherches et de leurs méditations. L’auteur anonyme des Lettres de Gros-Jean a réuni dans une même série, comme é
mis à distance au moyen de corps intermédiaires ; je l’instruisis par lettre pour qu’elle se magnétisât elle-même pendant son
es; né à Mersebourg (en Souabe) en 173/i ; il y est mort en 1815. « Lettre autographe signée, à madame veuve Cardon, à Versa
ommunication suivante : u 11 y a pour vous, au bureau de poste, une lettre de Washington. L’autour désire acheter votre cr
du docteur Mash, réclamer ses dépêches. 11 y trouva effectivement une lettre de .MM. W. G. S. et C', de Washington, qui lui of
eviennent les tarots, phanisphères et autres hiéroglyphes hérissés de lettres hébraïques, etc.? Ces énigmes valent-elles le mal
revit plus, et, lendemain, la nouvelle mariée reçut, par la poste, la lettre suivante : « Ma bonne fille, je vais changer ta
our devenir membre correspondant, 170. Société magnétique de Turin. Lettre de M. Allix, son président, sur la propagande qu’
; — au point de vue philosophique, par M. A. S. Morin, 464. Seconde lettre de gros-Jean à son évêque, au sujet des tables pa
des corps d’une durée passagère, 579, 582, 621 ; — qui apportent des lettres et autres objets, 580, 582 ; — qui contrefont l’é
26 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
servent à enseigner aux enfants à tirer, à pousser, etc. ; 6° de lettres en bois de 7 centimètres 5 qui s'appliquent sur
6° de lettres en bois de 7 centimètres 5 qui s'appliquent sur des lettres imprimées de même dimension, collées sur des ca
es instructions it ce sujet. » Le lendemain nous allâmes montrer la lettre do M. Quentin il M. le Directeur qui nous affir
iron 2 mètres do sud au nord, il fau- drait, pour se conformer à la lettre du décret, construire des bâtiments en pente, c
ocuré des renseignements de divers côtés et, grâce aux notices, aux lettres et aux plans que nous avons reçus ; - grâce aus
ment et pour la création d'un hos- pice de petits incurables. Une lettre de M. le Directeur nous apprend que « le chiffre
n conséquence, le 24 mars, nous avons adressé à lI. Ch. Quentin une lettre e dans laquelle nous le priions d'appliquer les
quelle était la dépense qu'entraînerait l'ameublement, et que notre lettre eut au moins l'avantage de lui faire donner l'o
position des lits dans l'un des bâtiments de la nou- velle section ( lettres du 30 avril, du 5 mai et du 5 juin 1884). L'e
Directeur de l'Assistance publiqua n'a pas encore répondu il cette lettre , très récente du reste (5 juin). « M. le Secrét
mporte sur toute autre considération, envoyait à la Préfecture la lettre suivante : « Par dépêche du 5 juin, M. le Préfe
de bâtiment dont il s'agit ; je lui adresse, AUJOURD'HUI même, une lettre de rappel, pour l'in- viter à me transmettre ce
ffaires dé- partementales, soumettait à M. le Préfet une nouvelle lettre au Directeur de l'Assistance publique, se plaigna
re. M. le Préfet n'avait plus de raison de retarder l'envoi de sa lettre impérative. Elle atteignit le but. Le 19 juillet,
t quatre mois sans le moindre effet. Il s'agissait d'une 1 Dans une lettre que nous a adressée M. Benedikt, en 1883, celui-c
hute du rectum facilement réductible. 6 mai. - Lecture : sait ses lettres ; écriture : fait des bâtons; calcul : connaît
rches anatomiques sur le siège et les causes des mala- dies, ! ils" lettre , p. 398, T. VII. Edition française de 18n ; et da
ion progressive. - Entraves administratives à la sortie du malade : lettre et arrêté du Préfet de police. - Sortie définit
. Bientôt il s'évada. Voici, au sujet de son séjour à 'illepreu, la lettre que nous avons reçue de M. Guillaume, l'habile
RE DE POLICE A LA SORTIE. 159 17 avril. Nous recevons par erreur la lettre suivante qui était destinée à M. le Dr Blachez,
ur le Préfet de Police, Le chef de la 1 re division. X... Cette lettre ayant été renvoyée à M. Bradiez, celui-ci a rép
Cette lettre ayant été renvoyée à M. Bradiez, celui-ci a répondu la lettre qui suit au directeur de Bicêtre. 23 avril. M
e qui suit au directeur de Bicêtre. 23 avril. Monsieur, Par une lettre du 19 avril, vous voulez bien me donner avis de
e de la Préfecture de (1) Voir ce certificat à la page 154. 160 o LETTRE DU PRÉFET DE POLICE. police, on renouvelle le c
e second certificat, l'un de nous a adressé au Préfet de police une lettre lui signalant l'absence de réponse aux deux cer
e lui signalant l'absence de réponse aux deux certificats ; à cette lettre M. le Direc- teur de Bicêtre a reçu la réponse
ur de Bicêtre a reçu la réponse qu'on va lire : Monsieur, Par votre lettre du 28 avril dernier, vous m'avez prié de régula
Recevez, etc. Le Préfet de Police, Signé : CAMescassE. Dans cette lettre que M. le Préfet a certainement signée, sans en
es bureaux avaient commis une erreur en adressant à l'un de nous la lettre destinée à M. Blachez. 3° Enfin, nous ajouton
3° Enfin, nous ajoutons qu'en faisant parvenir à M. Bla- chez la lettre dont nous venons de parler,nous le prévenions q
e Paris; il fut pour cela condamné à 6 jours do prison. D'après une lettre qu'il écrivit à M. Macé dans les premiers temps
été faites avec les plus grandes précau- tions). 4 novembre. Deux lettres anonymes de ses compagnons l'accusent d'être un
n'a pu être réparée, de l'imprimeur litho- graphe, il faut lire les lettres à rebours. Fl , F2, F3 , Première, seconde. et
27 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
ecrétaire Général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de M. Lépinay et de M. Hermann Swoboda [de Vienne
de vivre. L'auteur du rapport, M. Gololoboff, cite comme exemple la lettre d'un père dont le fils est devenu alcoolique. Nou
dont le fils est devenu alcoolique. Nous pouvons voir, d'après celte lettre , combien est pitoyable la position de ceux qui on
elque membre de leur famille atteint de cet affreux vice. Voici cette lettre : « J'ai lu dans les journaux le compte-rendu d
de pleurer. Quelques jours après, je recevais de la jeune fille une lettre dont j'extrais le passage concernant son voyage :
ne, mais qu'elle avait de nouveau perdu le sommeil. Je lui donnai par lettre le conseil suivant : ¦ Chaque soir, une foiscou-
urs après, elle me répondait : « Merci, mon bon docteur, de - votre lettre qui m'a fait beaucoup de bien. Je suis bien mieux
Je lui avais dit qu'il n'en serait plus de même à l'avenir. Dans sa lettre , se trouve aussi ce passage : • J'ai eu l'autre j
e do VUloJuif; CRUISE (de Dubllnj; L, DAUR1A0, prof, à la Faculté des lettres de Montpellier; GU1MBËAU; \V. DKKHTKKKPP (de Sl-P
ini de Biols, que nous remercions ici de sa collaboration. Dans une lettre d'Aspasic à Périclès, on voit que le sommeil étai
a pas le temps de rentrer chez lui. Cette suggestion s'accomplît à la lettre ; en effet après l'avoir réveillé voulant connaîtr
ecrétaire Oénéral donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres par lesquelles MM. les D" Paul Farez, Demonchy et
mais n'admet pas d'aliénés. Pourlfls renseignement», s'adresser par lettre ou téléphone au Médecin-Directeur M. le D' RAFFEG
de Vîllejuif; CRUISE (do Dublin); I* DAURIAC, prof, i la Faculté des lettres de Montpellier GU IMBEAU ; W. DEKHTEKKFF[de ; Van
éral donne lecture de la correspondance qui comprend entre autres des lettres de MM. Guenon, Lemaire et Liégeois. M. Liégeois
ndant de l'Académie des Sciences morales et politiques, communique la lettre qu'il a adressée récemment au maire de Nancy et à
al donne lecture de la correspondance qui comprend, entre autres, des lettres de MM. Podiapolski et Viazemsky (de Saratow). II
ent sans que j'aie aucune nouvelle. Un jour, cependant, je reçois une lettre dans laquelle 11 me remercie de mes soins, et m'a
mais s'admet pas d'aliénés. Pourles r*n»eicnemenls. s'adresser par lettre ou téléphone au Mi'rtecin-DT-elear M. le d* SAFFE
i-ci ; les deux autres se tinrent à l'écart. Voici un extrait d'une lettre qui est datée de Vichy, le 19 août, et dont on m'
mais n'admet pas d'aliéné». Pour les renseignements, s'adrossor par lettre on téléphone au Médedu-Di ree leur ?. le D' RAFFE
de Villejuif; CRUI8E (do Dublin); L. DAURIAO. prof, à la Faculté des lettres de Montpellier. 0U1MBEAU; W. DEKHTEREPP (de St-Pé
la Société, puis donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres d'excuses de M. le Dr Jules Voisin, président, re
mata n'admet pas d'aliénés. Pour les renseignement*, s'adresser par lettre on téléphone an M'drri ? •Directeur M. le D' BA
de Villejuif; CRU1SB (de Dublin); L. DAL'RIAO, prof, a la Faculté des lettres de Montpellier; OUIMBEAV . W. DEKHTEltEPP(de St-P
tituent pour nous la plus haute des récompenses, nous avait écrit une lettre dans laquelle il nous laissait espérer qu'il prés
mais n'admet pas d'aliénés. Pou ries renseignements, s'adresser par lettre ou téléphone au Médecin-Directeur M. le D' HAPF
mais n'admet pas d'aliénés. Pour les renseignements, s'adresser par lettre ou téléphone au Médeetn-DIreetenr M. le d' RAFFEG
do Viltoinlf; CRUISE (de Dublin); L. DADR1AC, prof. a la Faculté des lettres de Montpellier. OUIMBEAU; W.DEKHTRREPF(do8t-P*ter
Babinski à tenter de l'hystérie une définition dont l'esprit sinon la lettre est le suivant : L'hystérie est une maladie qui
re de vin pour les deux principaux repas. Au début de 1900, dans sa lettre de nouvel an, la femme de ce malade se déclare to
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de MM. les D" Emirzé (de Constantinoplc), Salager
Anne, où il fait des cours suivis principalement par les étudiants de lettres . Que les temps sont changés! Ses recherches porte
mais n'admet pas d'aliénés. Pourles renseignements, s'adresser par lettre on téléphone au Médecln-Direcleor M. la D- BAFFEG
o VilleJ .¦': CROISE (de Dublin); !.. DAORIAC, prof, à la Faculté des lettres de Montpellier; GU1MBBAU: W.DBKHTERËPP(dcSt-Piter
e mange plus ; il a des crises de désespoir et assaille sa famille de lettres éplorées. Cinq jours avant le Concours, il écri
rétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend : des lettres d'excuses de MM. Paul Magnin, Félix Regnault, Lép
gnin, Félix Regnault, Lépinay, Lemesle et Paul Joire, — ainsi que des lettres de MM. les docteurs Emirzé (de Oonstantlnople), P
ecrétaire Général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de MM. les D" Lemesle (de Loches),Paul Joire (de
ail n'admet pu d'aliénés. Pour les rense i Enemente, s'adresser par lettre ou téléphone au Médecin-Directeur M. le D" RAFFFG
do Villejulf; CRUISE (do Dublin); L. DAURlAC, prof, à la Pnculté dos lettres de Montpellier, GUIMBEAU ; W. DEKIlTEREFF(deSt-Pô
ecrétaire Général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de MM. les docteurs Emirzé (de Constantinople), E
mais n'admet pas d'aliénés. Pour les renseignements, s'adresser par lettre ou téléphone au Médecin-Directeur M. le D- RAFFEG
do Villcjuif; GRUISB (do Dublin); L. DAUR1AO, prof. A la Faculté des lettres de Montpellier GUIMBEAU; W. DEKHTEREFF (de St-Pét
plus à la théorie de Stricker, d'après qui on ne saurait pensera une lettre ou ù un chiffre, sans que l'habitus extérieur du
ion des Impulsions affectives. 11 y a quelques mois, je recevais la lettre suivante : « MoNSiEun le Docteur, « Je viens
dai pas à recevoir la visite du jeune homme qui m'avait adressé cette lettre . Au premier aspect il mapparut comme un sujet trè
ais il me prouva la réalité de cette influence en me communiquant une lettre qu'il avait reçue la veille de son impérieuse aut
mpérieuse autant que peu scrupuleuse fiancée. Voici le texte de cette lettre dont nous respectons la disposition des phrases :
la sugçcstionneuse) voudrait ou veut. « J'attends ton livre et une lettre vendredi. Mille baisers tendres. « B...X... «
lle baisers tendres. « B...X... « P.-S. — Quand tu recevras cette lettre tu respireras la poudre qu'elle contient et tu oo
l'obligeait constamment a penser à Mlle B... X... A la lecture de la lettre que nous publions ci-dessus, il fut extrêmement t
ariage. Il allait se mettre en route, lorsqu'il reçut ma réponse à la lettre qu'il m'avait adressée. Je lui affirmais qu'une c
e tout ce qui rappellera cette personne à mon souvenir, de brûler ses lettres , etc. Je ne veux pas offenser mon père en épousan
28 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
de Villejuif; CRCISE (do Dublin); L. DAUR1AC. pror. à la Faculté des lettres de Montpellier: GU1MBEAU; W. DEKHTEREFF (de St-Pé
re général donne lecture de la correspondance qui corn* prend: 1° Une lettre par laquelle M. le Dr Henry Lcmeslc s'excuse de n
riture était impossible, caria malade ne pouvait parvenir à faire ses lettres . Son nom était illisible tant le tremblement étai
erveau intervient; il fournit des pensées que la main exprime par des lettres et des mots variés. Maïs ces pensées elles-mê
ocard, avocat à la Cour d'appel, MM. Séghers et Jules Bois, hommes de lettres , M. Lépinay, médecin vétérinaire, M. le Dr Moirou
is, etc., etc. M. le Secrétaire général donne lecture de nombreuses lettres d'excuses parmi lesquelles, celles de M. le profe
'Académie de Grenoble : Muteau, dépulé de la Côte-d'Or, etc... et une lettre de M. le D'Lc Fo uriner, remerciant la Société de
de Guise. En 1589 (51 ans), il publia deux ouvrages intitulés, l'un : Lettre de l'évêque du Mans avec la réponse faite par un
nscience, et s'il est louable ou non; l'autre. Avis de Rome tirés des lettres de l'évêque du Mans à Henri de Valois. Enfin, en
rofonde impression sur la petite pensionnaire. On lit dans une de ses lettres : « Je me souviens... d'une parole de la Mère Angé
t paisiblement et même qu'il ronfle. Sans le toucher, j'applique à la lettre la technique que M. Farez m'a enseignée pendant m
s'opposer à ce qu'elle y fit profession, et écrivit dans ce sens des lettres à Port-Royal. « Elle devint pâle comme la mort dè
et telle chose. Et le roi de Syrie dit : pars, va, et j'enverrai une lettre au roi d'Israël-Et il partit. Lorsque le roi d'
tre au roi d'Israël-Et il partit. Lorsque le roi d'Israël eut lu la lettre , il déchira ses vêtements et déclara qu'il n'avai
ce est lu et adopté. M. le Secrétaire général donne connaissance de lettres adressées par MM. les.D" Wateau, Aragon, Jaguarib
deux est le médecin ordinaire de Port-Royal de Paris ». D'une autre lettre de Gui Patin, en date du 2 juin 1657, et par cons
, employait ses loisirs à tricoter, et, entre temps, son- (1) Cotte lettre est adressée à M. C. S. C. M. D. B. Les trois der
Cotte lettre est adressée à M. C. S. C. M. D. B. Les trois dernières lettres sont probablement les initiales des trois mots :
rement honorifique et qui s'obtenait assez aisément. t2) Guy Patin. Lettres choisies, 1725. naît les cloches du couvent à
es et demie, M. Lionel Dauriac, professeur honoraire à la Faculté des lettres de Montpellier, fera une conférence sur : L'imagi
Facultés. Au début de la séance, M. le Dr Bérillon donne lecture de lettres par lesquelles MM. les Dr* Iluchard et Lucas-Cham
r noter la différence qui existe entre Philostrate, le latin homme de lettres fin et sceptique qui les a écrits, et les évangél
ticité indiscutable l'établissent formellement. Ce sont d'abord les lettres de Geoffroy, abbé de Vendôme, qui, contemporain d
ait, touchant sa conduite et des inconvénients de cette conduite. Ces lettres ont été publiées en 1610 par le Père Sirmond, d'a
rd. Fontebraldensis (T. i, Dissert 1, p. 38), reproduit également les lettres de Geoffroy de Vendôme : « Pemina-« rum quasdam,
ierre de S&umur, moine de Saint-Florent, avait écrit à Robert une lettre dans le même sens que celle de Geoffroy de Vendôm
une lettre dans le même sens que celle de Geoffroy de Vendôme. Cette lettre que posséda le P. Viguier de l'Oratoire, fut détr
« Année — n» 9. Mars 1902. BULLETIN Enquête sur l'occultisme. Une lettre du Dr Liébeault. Un écrivain qui peut passer po
sé à M. leD'Liébeault de Nancy ; il a reçu de notre éminent maître la lettre que nous reproduisons ci-dessous, encadrée de com
'elle avait inspirés à Jules Bois. Nos lecteurs trouverons dans cette lettre du D'Liébeault la marque de. la puissance d'espri
r monsieur, Ce n'est pas sans un certain charme que je réponds à la lettre que vous venez de m'écrlre à propos du mysticisme
derniers il y aurait même eu l'apparition d'une partie d'S, première lettre de deux mots suggérés Sancta crucis. La croix par
e M. le Df Liebeault avait déjà signalé les inconvénients. Dans une lettre qu'il nous écrivait à ce sujet, M. Liebeault disa
'hypnotisme. En 1889, il soutient devant la très libérale Faculté des Lettres de Paris une thèse de doctorat qui fait époque ;
ectum. Comme cette malade s'endort très facilement et réalise, à la lettre , toutes les suggestions qu'on lui fait pendant so
rs, il a donc une liaison en ville ! Notre homme sort, va mettre sa lettre à la poste, revient chez lui et dit à sa lemme :
oire demeure obstinément fermée toutes les fois qu'on lui parle de sa lettre à Jeanne et de sa tentative de suicide ; il les'n
ourette, un certificat du duc de La Rochefoucauld-Doudeauvillc et une lettre du comte d'Hédouvillc. Tous semblent inspirés par
rd, professeur à la Sorbonne, une très flatteuse et très intéressante lettre de laquelle nous détachons le passage suivant :
'hétéro-suggestion. .Comme dans celle-ci, paroles pro- noncées ou lettres écrites pénètrent par les oreilles ou les yeux po
étoffes couvraient ses yeux. Si on lui demande de lire, elle voit les lettres , mais les lettres dansent devant elle... En s
ses yeux. Si on lui demande de lire, elle voit les lettres, mais les lettres dansent devant elle... En somme, et malgré to
que sa lecture fixât sérieusement son attention ; elle regardait les lettres sans les voir, elle les voyait s'allonger, danser
et l'autre lui ont écrit et lui ont fait ainsi de la -suggestion par lettre : elle est, dans une certaine mesure, retombée sou
e fit introduire dans son cabinet après avoir pris connaissance d'une lettre de recommandation qui m'avait été remise pour lui
tions d'une voyante de Boulleret (Cher). Ce bulletin a pour titre : « Lettre aux membres de la pieuse et dévote association du
e, liseur de muscles et sensibilité tactile, p. 318. Liebeault (Une lettre du Dr), p. 257. Magnétiseurs (Exercice illégal
29 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
de Villejulf; CRUISE (do Dublin); L. DAURIAC, prof, à la Facullé des lettres de Montpellier; DAMOGLOU (du Caire); GUIMBEAU ; G
ne, ilais elle se découragea et ne revint pas. Ce soir, je reçois une lettre dans laquelle elle m'annonce qu'elle a été voir S
directeur de l'Ecole normale, M. Chabot, professeur à la faculté des lettres , Dr Beauvisage, professeur à la faculté de médeci
n ; M. Allender, pharmacien ; M. Polak, de la Société des gens de lettres ; M. Prestat. président du Conseil d'administrat
s insignes de la Légion d'honneur. 11 donne ensuite lecture de la lettre suivante, qu'il vient de recevoir de M. le profes
n'a pas voulu poursuivre le traitement. En ce moment je reçois une lettre d'une malade écrite à un de mes confrères qui me
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres des Drs Orlitzky (de Moscou), Hœberlin (de Wyk, î
e également des plus satisfaisantes. M. le Président donne lecture de lettres d'excuses de M. le professeur Beauvisage, de Ly
la bonne voie, et son patron envoyait, il y a quelques semaines, une lettre de quatre pages d'éloges sur son compte. 4° L.
été rapide- ment guéri, et les parents nous ont confirmé par une lettre toute récente le maintien de cette guérison. Je
courante. Sa guérison a été complète, et dernièrement je recevais une lettre de sa mère, me disant que son garçon était devenu
enante, pour me faciliter l'entrée des laboratoires, il m'offrit sept lettres de recommandation. Les trois années passées au
sont de l'édition du Sommeil Lucide de 1906, et sont indiquées par la lettre S. L. Le mot « Fariisme » fut proposé par von Lié
, que le plus grand effort soit nécessaire du côté des yeux (1) Les lettres publiées avaient pour litre Animal Ma/jnelism (nM
cateurs et les hétéro-accusateurs qui, semant la calomnie au moyen de lettres anonymes, ou intervenant directement auprès de la
ourriture, boisson : ce qu'on veut. Revenir dans dix-neuf jours. La lettre est signée du père de la voyante et du médecin.
animité. ) La technique de la suggestion hypnotique à distance (par lettre ), par m. le Dr Paul Joire (de Lille). On se tro
suggestions qu'il vient de lire, et cherchant à percevoir l'image des lettres et des mots écrits dans la transparence du crista
e pouvais lui indiquer un traitement de la peur. Je transcris de sa lettre la description qu'il me fait de sa phobie. « Da
pnose. A cela j'avais ajouté, sur une feuille de papier séparée de la lettre et bien disposées pour frapper le regard, trois s
ies de trois suggestions. Je transcris les parties importantes delà lettre reçue quelques semaines après, me rendant compte
rier donc je me suis mis à l'œuvre ; j'ai pratiqué exactement et à la lettre vos prescriptions... A la fin de la première sema
ns déjà en moi beaucoup plus de courage... etc.». Le début de cette lettre indique bien que le malade ne croyait pas à l'eff
ue bien que le malade ne croyait pas à l'efficacité du traitement, ma lettre ne l'avait pas persuadé qu'il allait se guérir.
n, est-elle une idée absurde. Une chose absurde ne se réalise pas. La lettre suivante nous renseigne à ce sujet. Un mois apr
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres des D" Lemcsle (de Loches), Jaguaribe (de Sao Pau
ins par l'exemple. Tout sentiment de devoir et de dignité humaine est lettre morte pour ces pauvres êtres. L'enfant devient vi
er l'instrument que jouait chacun d'eux; et je les désignerai par une lettre arbitraire, sans même préciser s'il s'agit d'un h
Lionel-Dauriac, professeur honoraire de philosophie à la Faculté des lettres de Montpellier, ancien collaborateur de Renouvier
ecrétaire génér.d donne lecture de la correspondance qui comprend une lettre d'excuses du Dr Bony, un article du D' Lloyd Tuck
n'avait pas vomi, mais avait souffert du mal de tôte et du dos. Une lettre de Batavia, écrite le \'i novembre suivant, me ra
la précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des lettres de M. le Dr Hahn et de M. le Dr Bony. La corres
médecin principal, M. Gallia, professeur, M. Xavier Privas, homme de lettres ; Dr de Torres (de LuchonJ, Dr Hotlenier, Dr Pope
ieurs, nous la connaissons. Nous savons d'où elle émane. L'auteur des Lettres à un Provincial nous en a fait connaître l'origin
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de MM. les docteurs Egrot (d'Alger) et Bony, ains
précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des lettres d'excuses des D" Paul Magnin, Haluz, Henry Lemesl
maine, sans le moindre succès. Alors il lui fait écrire chaque mot en lettres grecques, d'abord dix fois, puis cent fois, même
séance est lu et adopté. La correspondance manuscrite comprend des lettres de M. le 1 » Frantz Glénard et de M. Quinque, dir
ns que Ton peut reproduire en pro-nonçantà haute voix l'assemblage de lettres suivant : T.r.r.r .a. T.r.r.r.a. T.r.r.r.a. « C
réflexe de la suggestibilité. Jules Bois a. la Société des Gens de lettres Dans sa dernière séance, le Comité de la Sociét
ettres Dans sa dernière séance, le Comité de la Société des Gens de lettres a attribué le Grand Prix de 3.000 francs à notre
e les inventeurs et que les hommes d'initiative. Si l'on prend à la lettre la définition de M. Lépine, le D' Liébeault a été
és de l'Ecole, et c'est tout. Dans toutes les autres Facultés (droit, lettres , sciences) les cours libres autorisés par le Cons
la dernière séance est lu et adopté. La correspondance comprend des lettres du D' Dezwarte, médecin en chef de l'école de Lim
de MM. Barthe, médecin vétérinaire en premier, et A. Vogel, homme de lettres . Ces candidatures sont adoptées à l'unanimité.
sseur), par Bérillon, p. 289. Bois (Jules) à la Société des gens de lettres , p. 286. Causes morales des psychonévroses, p.
veau, p. 128. Technique de la suggestion hypnotique à distance (par lettre ), par Joire p. 154. Tics chez les animaux, par
30 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
e Villejuif ; CRUISE (de Dublin) ; L. DAURIAC, prof. à la Faculté des lettres de Montpellier ; DAMOGLOU (du Caire) ; GUIMBEAU ;
ire général donne lecture de la correspondance qui com- prend des lettres de M. Jules Moret ainsi que des Drs Lucien Graux,
annes, ne s'était empressé de se rendre à son appel. Dans sa dernière lettre , il m'exposait toute la délicatesse des soins
plus suivis. Le Dr Bérillon, secrétaire général, donne lecture des lettres d'excuses de M. le professeur Giard, membre de l'
, correspondre avec leurs parents, leurs inspecteurs. L'arrivée d'une lettre , je l'ai remarqué, les réjouit, les réconforte et
s pour l'enseignement de la lecture. Sur ces cubes sont imprimées les lettres simples et celles dont l'association forme un son
es y sont aussi indiqués. On attire les regards de l'enfant sur ces lettres , on les lui assemble, on forme des mots, des syll
par les meilleurs procédés de prononciation. L'enfanta d'abord vu les lettres sous forme d'objets concrets, il les voit avec un
i doit former la base de l'éducation physique des enfants. Dans une lettre adressée au comité d'organisation de la Ligue nat
seuls et qu'ils soient propres. Quelques-uns apprennent à lire des lettres isolées et à connaître les chiffres, sans savoir
l'opération, à ce point que ces enfants qui connaissaient à peine les lettres et les chiffres isolés apprenaient au bout de que
t, M. le Dr Bérillon, secrétaire général, donne lecture de nombreuses lettres d'excuses et souhaite la bienvenue à nos collègue
carré qui fournit toutes les lignes nécessaires à la formation de nos lettres en est le principe général. Dans mon alphabet q
inutile, partant nuisible, La maman qui est arrivée à apprendre les lettres de l'alphabet à son bébé est fière, et il n'est p
us dire : Mon enfant sait lire, ou saura bientôt lire, il connaît ses lettres . Erreur, il s'écoulera encore des mois, peut-être
s de vingt ans que nous l'appliquons aux arriérés : Donner à chaque lettre de l'alphabet le son propre qui lui convient, car
point aux consonnes une valeur réelle. Reprenons le mot : Papa. La lettre que vous prononcez Pé ou Peu, selon l'une ou l'au
ut de suite Pa et en deux émissions Papa. Ce que nous faisons pour la lettre P, nous le renouvellerons pour les autres consonn
imons aussi toute toute épellalion et syllabation et donnons à chaque lettre le son qui lui est propre. Un certain nombre de
âter la gué-rison et, qu'à cet effet, je lui conseille de suivre à la lettre tous mes préceptes. Si je prévois que des pério
tenir au texte même de l'article 64. Alors, pour vous conformer à la lettre stricte de la loi, allez-vous répondre, catégo-,
el à cette demande : X... est-il ou n'est-il pas dément ? La voilà la lettre de la loi ! Vous ne trouverez pas d'experts (et c
vous ajoutez de votre crû quelque chose au texte de la loi ; entre la lettre primitive de l'article 64 et l'interprétation que
mpte vous avez été obligé d'admettre pleinement. Est-il conforme à la lettre stricte votre « quart d'obnubilation » ? Dans v
tares de l'inculpé. Louable souci, mais qui dépasse singulièrement la lettre stricte de l'article 64. Vous ne pouvez donc ex
lsumans, font apprendre aux enfants, comme par le passé, seulement la lettre du Coran en arabe, sans les initier à son esprit.
énéral donne lecture de la correspondance manuscrite qui comprend des lettres de MM. les docteurs Hue, Hurtrel, Mabille, Mayoux
ec, au verso, le résumé de l'observation écrit en allemand. Dans la lettre qui accompagnait l'envoi, enjanvier 1904, Wetters
lui dessinait sur le bras, à l'aide d'un papier roulé en pointe, une lettre quelconque et si on lui suggérait, pendant le som
lui suggérait, pendant le sommeil hypnotique, de faire saigner cette lettre ainsi dessinée, on voyait, au bout de quelque tem
tte lettre ainsi dessinée, on voyait, au bout de quelque temps, cette lettre apparaître très rouge et recouverte de petites bu
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de MM. les D" Coste de Lagrave etWiazemsky (de Sa
une entente cordiale universelle. Abd-uI-Médjid avait le cuke des lettres et des sciences autant que celui de la justice. I
telles imputations, M. le Ij- Curie père vient d'adresser au Matin la lettre suivante : i Dans vos propos du 21 février, vou
; nous verrons alors si on doit lui infliger le dernier supplice. Ta lettre nous a appris que cet individu était d'un rang et
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de MM. les docteurs Jourdan (de Marseille), Lemes
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de MM. les docteurs Cauvy, Raffegeau, Mignon, Cos
lève de l'Ecole des hautes études orientales ; M. Toussaint, homme de lettres , etc. Parmi les premiers adhérents qui s'étaien
re de la mission Brazza ; M. Christmann ; M. Jules Bois, homme de lettres ; M. le Dr Bahaddin-Chakir bey, de Constanti-nopl
ecrétaire général donne lecture de.la correspondance qui comprend des lettres de MM. les docteurs Witry (de Trêves), Anastay (d
est levée à 6 h. 45. Hypnotisme et suggestion « armée » 'portrait, lettre ). par M. le Dr Witry (de Trêves) Je vais vous
ed, dont l'éducation fut soignée et qui excellait dans la culture des lettres , des sciences et des arts, se montra, au contrair
l composa quelques bonnes poésies, et fut le protecteur des hommes de lettres . Ses lettres, en arabe et en persan, montrent tan
lques bonnes poésies, et fut le protecteur des hommes de lettres. Ses lettres , en arabe et en persan, montrent tant d'éloquence
ésirs. Suivant Ibn Batuta, son irritation avait été provoquée par des lettres anonymes, jetées la nuit dans la salle d'audience
871. Il étudia depuis la philosophie et accepta après son doctorat ès lettres , la position de professeur de Philologie à la Col
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de MM. Bahaddin Chakir Bey, Scié-ton-fa, Louis Ma
31 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
int d'imbécillité prononcée. A son entrée, il ne connaissait aucune lettre , ne pouvait, sur le cahier, reproduire que des
lents ; il a peu de mémoire, cependant il est parvenu il placer les lettres et les chiffres et il reconnaître les légumes.
: IQL'E : résultats. IX déshabille et se nettoie seul. Il place les lettres et les recon- naît. Parle assez à propos et pro
sons, triangle, carré, cercle, etc., et, enfin, il la formation des lettres . Cette manière de procéder nous a donné des rés
: résultats. faisants. Laure... forme maintenant toutes les petites lettres et quelques grandes dérivées de o felles que d,
r la lec- ture au syllabaire et cependant cet enfant, it l'aide des lettres mobiles, place les consonnes devant une voyelle
que l'enfant a voulu représenter, enfin il forme presque toutes les lettres et commence à les assembler. Cet enfant qui, ay
pour la lecture au syllabairc. Nous obtenons davantage à l'aide des lettres mobiles. La parole, chez cet enfant, continue à
nd compte des quantités qu'ils représentent, forme bien les petites lettres , commence iL les assembler. 7° 'l'1ER... (I'ier
e la boîte aux leçons de choses. En 1898, il reconnaît et nomme les lettres , chiffres, surfaces ; place bien les bâ- tonnet
phrases. - En 189't, il s'habille et se déshabille seul, place les lettres , les surfaces, les couleurs. Il commence à form
lettres, les surfaces, les couleurs. Il commence à former quelques lettres et chiffres en 1895. Toujours en mouvement, Fél
on (images hlanches ou colorées sur fond noir), à ap- prendre les lettres (grandes lettres noires sur fond blanc), pour l
ches ou colorées sur fond noir), à ap- prendre les lettres (grandes lettres noires sur fond blanc), pour l'éducation de la
. Ordres du jour des Commissions. - All'iclies diverses. Entêtes de lettres , registres et tableaux divers pour la Direction
is surtout au point de vue classique. Elle écrit lisiblement, ses lettres sont bien formées; elle suit une dictée du cours
se de rcvenir aujourd'hui il la mesure appliquée en 1883-83, par la lettre suivante adressée à M. le Président de la Commi
, au même degré que par le passé. Ce regret exprimé, revenons il la lettre de M. le Préfet. « Pour remédier il l'insuffisa
ces de la classe, où il a fait de réels progrès; il sait placer les lettres , reconnaît les chiffres, les couleurs, les surf
intellectuel et paraît content de travailler. Il con- naît bien les lettres , les chiffres et les couleurs. - Août, - Pubert
commence à bien tracer les bâtons sur l'ardoise, et nomme quelques lettres . Il apporte une grande attention à ce qu'on lui
ntelligible ; il trace des hâtons ssr une ardoise et nomme quelques lettres . - Enfin' il la fin de l'année 1900, il parle d
née 1900, il parle de façon il peu près correcte, il écrit quelques lettres et commence il savoir lire, seul son caractère
plus soutenue, a permis de lui apprendre à écrire les chiffres, les lettres . Il a fait des progrès pour la tt Microcéphalie
t des progrès pour la tt Microcéphalie. 189 lecture, au moyen des lettres en bois. La parole, presque nulle à l'entrée a
asse plus ses ongles. Il écrit sur l'ardoise, commence à lire les lettres . La photographie collective n" 7 représente l'e
que quelques fragments de circonvolutions à peu près saines. Les lettres ont la même signification'que celles de laPLAN-
misphère droit, IUningo-enc,éplialite à peu près généralisée. Les lettres ont la même signification que celles de la Plan-
32 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
à 51 de ce Compte-rendu Petite ÉCOLE. JX commence à assembler les lettres , et à tracer les o, a et u sur le cahier. Les p
d exactement quand on lui parle. Il a appris a con- naître quelques lettres et, sur le cahier, il peut reproduire des barre
ns sensées. Il a pris goût à la classe, connaît et nomme toutes les lettres de l'alphabet ainsi que les chiffres, les coule
, boutonner, nouer mais sans rosettes. Il place par comparaison les lettres et les chiffres sur les cartons correspondants
plaisir en classe, l'écriture a beaucoup gagné. Ils assemblent les lettres , savent écrire leur nom, leur âge, les jours de
parle pas ou ne possède que quelques mots, ne con- naisse pas les lettres , ne syllabe pas, nous l'exerçons à reconnaître
on (images blanches ou colorées sur fond noir), à appren- dre les lettres (grandes lettres noires sur fond blanc), pour l
ches ou colorées sur fond noir), à appren- dre les lettres (grandes lettres noires sur fond blanc), pour l'éducation de la
, par suite de son hémiplégie droite, a une écriture régulière, à lettres bien formées, penchées dans le même sens, ce qui
Recueil de chants (1 ? partie). -- Affiches diverses. - Entêtes de lettres , registres et tableaux divers pour la Direction
est en bonne voie d'amé- lioration. Elle aime l'école, connait les lettres , les chiffres et commence à écrire. Ses progrès
pas, mais elle était nulle en instruction, connaissait à peine les lettres . Le caractère était méchant, querelleur ; elle
ui concerne l'enseignement. Elle ne connaissait qu'une partie des lettres et des chiffres, commençait à peine à écrire et
diquait l'intelli- gence. Elle ne savait pas lire, mais formait les lettres et les chiffres; elle ne savaitpas compter, ne
son orthographe est encore défectueuse mais elle peut rédi- ger une lettre ; connait les trois premières opérations de l'a
n il la Commission d'assistance du Conseil général comprenant une Lettre de JI. C : l1'1'iot au sujet de la statistique de
e, la Belgique, et vous avez renouvelé votre voeu. Le 16 mai 1899 : Lettre il M. Ch. Dupuy, président du Conseil, ministre
ez-vous, tout d'abord, m'excuser de répondre si tardivement à votre lettre du -2[ mars ? Je suis rentré hier soir d'un voy
ries qu'on y reçoit sont celles que nous avons indiquées dans notre Lettre à M. CaJTiot. 2° Tous les enfants considérés co
art,aucun accident nerveux. 990t.- Le 23 janvier, nous recevons une lettre d'un M. X... nous demandant un rendez-vous afin
usqu'au 28 novembre, elle a eu deux crises en juillet et 5 en août ( lettre de M. J. Voisin). Les parents la reprennent alo
entrale. 11 écrit même à son frère à cette intention, nous donne sa lettre qui part au domicile des parents. Quelques jour
s après, visite de ses grands parents, qui ne comprennent rien à la lettre et nous affirment qu'il n'y a rien de vrai dans l
ssus le mur, non sans avoir deposé en vue sur un banc du jardin une lettre il l'adresse d'un de ses maîtres, où il annonce
ps ». IDIOTIE morale. il Son absence est remarquée aussitôt et la lettre trouvée de suite. Nous envoyons au barrage un i
un infirmier, tandis qu'un autre va au domicile des parents avec la lettre en question. La famille nous répond : « Il n'y
, sur notre avis, sortir quelques jours, et il rentre seul avec une lettre de son grand-père manifestant l'agréable impres
l'autre 3 francs. Une autre fois, on l'envoie à la poste avec six lettres non affranchies et 2 francs ; elle garde l'argent
on affranchies et 2 francs ; elle garde l'argent et fait partir les lettres ; comme les destinataires se plaignent dans la
onstater une fois de plus, le danger qu'il y a d'accepter trop à la lettre un témoignage d'enfant ? Car enfin que serait-i
novembre. Le certificat de transfert est établi. 19 nouembre. - Une lettre du médecin en chef de l'Asile de Dury-lès-Amien
misphère cérébral gauche. 1 ? première circonvolution frontale. (La lettre F1, placée en arrière, ne répond pas il la prem
33 (1844) Traité complet de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système nerveux cérébro-spinal. Première partie. Anatomie
a protubérance. Dans cette figure et dans celle des n° 2, 3, 4, 5, la lettre p indique toujours le sillon postérieur. La lettr
n° 2, 3, 4, 5, la lettre p indique toujours le sillon postérieur. La lettre a, le sillon antérieur. R, le corps restiforme.
fs spinaux, r indique le lieu d'origine des racines postérieures. Les lettres ap continuent à désigner le sillon an-térieur et
lle montre en dehors la séparation du faisceau moyen, indiqué par les lettres A A A, d'avec le faisceau postérieur, dont les le
ndiqué par les lettres A A A, d'avec le faisceau postérieur, dont les lettres YYSD marquent différentes régions, cette figure f
région fasciculée du pédoncule cérébelleux UU'. La signification des lettres D, Y, Y, V, W, P, ut supra. Cette planche conti
re les tubercules quadrijumeaux en dehors du précédent. Le n° 4 et la lettre B indiquent une membrane nerveuse très-délicate q
ent les prolongements intra-cérébelleux du corps restiforme. Sous les lettres 0' 0' 0' 0", on voit le relief de ce prolongement
indiquent le relief du cotylédon ventri-culaire du corps strié. La lettre F montre la coupe de la couche fibreuse qui sépar
laquelle on voit en Q la région externe du pédoncule céré-belleux. La lettre H/ montre la petite portion du trijumeau naissant
O et jusque dans les parties fibreuses de l'éminence vermiforme h. La lettre E marque le nerf auditif. Plusieurs ra-cines de c
te branche de l'ourlet ramifiée dans le sommet du loba temporal E. La lettre Y indique le crochet de la tubérosité temporale.
té enlevé. On voit en C le moignon de son arbre fibreux. Les autres lettres de cette figure désignent des parties précédemmen
cotylédons. V, cercle fibreux de l'orifice ven-triculaire. Les autres lettres se rapportent à des parties antérieurement expliq
34 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
Heryng et M. Siemiradzki, envoyèrent au « Courrier de Varsovie » des lettres élucidant des divers points en litige ; M. Gawale
ier, et Watraszewski ; MM. Glowacki, Kraus-kar, Gawalewicz, hommes de lettres ; M. Szadkowski, avocat. 2, qui, tout en faisan
de quelqu'un des assistants. » (Szadkowski). M. Siemiradzki, dans une lettre envoyée de Rome au Courrier de Varsovie (N° 62),
la précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des lettres de M. le professeur Bernheim, de MM. les Drs Ph.
r et de manger comme d'habitude. Tous ces ordres furent exécutés à la lettre . Ce qui nous fut prouvé par l'examen ultérieur de
dium, je n'ai jamais constaté ce phénomène. » M. Siemiradzki, dans sa lettre mentionnée ci-dessus(4), rapporte sur une pareill
eux pieds se trouvent sous la table. » Le Dr Heryng affirme dans sa lettre (Courrier de Varsovie, N° 17), avoir constaté les
apia. (2) Je crois devoir remarquer que souvent je ne cite pas à la lettre , car je dois résumer ; mais je reste toujours abs
s de Wetterstrand chez les morphinomanes, le Dr Landgreen. « dans une lettre ouverte, insiste sur ce fait que dans le traiteme
amment, à haute voix, l'écriture imprimée et manuscrite aussi bien en lettres allemandes qu'en lettres latines. Ce petit prodig
criture imprimée et manuscrite aussi bien en lettres allemandes qu'en lettres latines. Ce petit prodige a commencé vers la fin
ble de chacun de ces mots. Il a ainsi appris à connaître les diverses lettres de l'alphabet qu'il a su recohnaitre ensuite, let
re les diverses lettres de l'alphabet qu'il a su recohnaitre ensuite, lettre par lettre, dans d'autres mots à lui inconnus et
rses lettres de l'alphabet qu'il a su recohnaitre ensuite, lettre par lettre , dans d'autres mots à lui inconnus et qu'il a pu
Athènes d'après de récentes découvertes. Th. doct. de l;i Faculté des lettres de Paris. 1881. Salomon Reinach. — La seconde s
environs de Radom ;Polognerusse), que je connais personnellement, une lettre où il me demande de mentionner les expériences mé
s de l'Ecole., et c'est tout. Dans toutes les autres facultés (droit, lettres , sciences) les cours libres, autorisés par le Con
ut lire, elle se lève, affirme sa guérison et court écrire une longue lettre à son mari. Cette guérison a été contrôlée par le
Instruction publique : MM. Barbaud, médecin de la Société des gens de lettres ; Blondel, directeur de la Revue thérapeutique ;
uillet 1894 est lu et adopté. La correspondance écrite comprend des lettres de MM. les D" Hamilton Os good, de Boston, et Cru
e gloire de cette Faculté, il fut nommé agrégé. S'en fût-on tenu à la lettre du concours, nous aurions pu être privés de Charc
ement, je ne dirai pas à vos moments de repos, de cultiver un peu les lettres . Depuis Cicéron, tous les professeurs de littérat
éron, tous les professeurs de littérature ont fait l'éloge des belles lettres et montré qu'elles étaient le plus noble plaisi
'on sait; vous ne pourrez pas le faire si vous n'avez pas cultivé les lettres . Certes, l'œuvre scientifique de Charcot estconsi
ons perdraient de leur saveur. Ne négligez donc pas, en cultivant les lettres , un puissant moyen d'action, un précieux ëlément-
Présidence de m. Dumontpaluer La correspondance écrite comprend des lettres de MM. Bourdon, de Méru, Hamilton Osgood, de Bost
de Bruxelles; A. Bertrand, professeur de philosophie à la faculté des lettres de Lyon ; Casimir de Krauz, professeur; Castan, a
n lui demanderait d'épeler un mot, il en verrait distinctement chaque lettre . Peu après, sa mère me ditque son fils avait fa
ésidence de M. Duwontpallier. La correspondance écrite comprend une lettre de M. Auguste Voisin, qui. membre du jury de l'in
int-Winifred), dans plusieurs des journaux illustrés, et le nombre de lettres que j'ai reçues depuis quelques semaines, de di
malade, jusqu'au mois de février 1895, où, après avoir reçu plusieurs lettres se rapportant à sa « cure merveilleuse » à Holywe
ntéressant au point de vue de la pathologie nerveuse. Il s'agit d'une lettre du R. P. Castets, missionnaire à Madagascar, dist
du R. P. Castets, missionnaire à Madagascar, district d'Arivoni-mamo, lettre dans laquelle il décrit une affection qui sévit p
ossible d'indiquer exactement le sens et l'étymologie de ce nom. A la lettre , il signifie rougegrand ; c'est peut-être une all
ous qu'il ne soit pas amené à donner, et c'est le cas de le dire à la lettre , le coup de pouce pour faire réussir l'expérience
idence do M. Dumoutpallier. La correspondance imprimée comprend une lettre de M. le Dr Le Menant de Chesnais. La correspon
uement les choses changèrent : je reçus vers le milieu de janvier une lettre du frère de madame D..., dans laquelle il m'annon
s verres, et s'enivra les jours suivants. C'est alors que je reçus la lettre du frère et qu'on l'amena chez moi. Je l'hypnot
les deux ans. (2) Depuis longtemps, les professeurs de facultés dos lettres et des sciences ont abandonné ces costumes surann
la Société ont lieu le 15 juillet. Adresser les communications et les lettres de candidature à M. le Dr Bérillon, secrétaire gé
il trouvait un livre caché, et dans ce livre, la page, la ligne et la lettre demandées, qu'il marquait à l'aide d'une épingle.
séance est lu et adopté. La correspondance-manuscrite comprend une lettre de M. le Dr Paul Joire. La correspondance imprimé
la Société ont lieu le 15 juillet. Adresser les communications et les lettres de candidature à M. le Df liérillon, secrétaire g
35 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
se à l'école qu'à 6 ans et a eu beaucoup de peine à apprendre ses lettres . Elle n'a pas d'aptitudes particulières. Elle r
plus la théorie de Stricker, d'après qui on ne saurait pensera une lettre ou à un chiffre, sans que lïlHhiln extérieur du
le portant invariablement la même adresse. Voici d'autre part une lettre que nous empruntons au dossier de Mme \..... -
arte, Médecin adjoint de l'Asile de la Roche-Gandon (Mayenne). La lettre très intéressante de M. le Dl' Deswarte vient c
est loin d'être rassurant ..l'en ai la preuve dansée passage d'une lettre qui émane de ilttclyu'un tlunl le de- voir est
'abord ; nous pourrions citer tel de nos élèves sachant à peine ses lettres il y a quelques mois et lisant aujourd'hui à pe
bord ; nous pourrions citer tel de nos élè- ves sachant à peine ses lettres il y a quelque mois et lisant aujourd'hui à peu
uche étant fermé, que l'enfant ne dislingue toul d'abord aucune des lettres de l'échelle de Snellen, même les plus grandes
hiffrer les quatre ou cinq pre- mières lignes de l'échelle; maisces lettres sont plus petites que si elle le 1 i les deux v
ntre 5,1-)o à droite, et encore le sujet ne peut distinguer (pie la lettre E qui lui parait de grandeur plus petite qu'avec
0 cm. du sujet et écris une phrase à la craie rose, avec de grandes lettres ma- juscules : je place le carton comme dans l'
lire en fermant l'oeil gauche : elle distingue après hésitation les lettres de la fin de la phrase, placées à droite du car
ettres de la fin de la phrase, placées à droite du carton, mais ces lettres sont vues rouge très foncé et de dimension plus
ouvre le gauche, elle lit la première moitié de la phrase dont les lettres se détachent en rose et avec leur grandeur réelle
. si les deux yeux sont ou verts, elle lit la phrase entière, elles lettres , tout à l'heure rouge foncé, apparaissent maint
en jaune, les réponses sont identiques, avec la différence que les lettres jaunes sont ^vues blanches et à peine distincte
re en verre noir sur le mi- lieu duquel se détachent, en clair, des lettres alternativement vertes et rouges. On place alor
ont un verre est rouge et l'autre vert, puis on lui fait L lire les lettres du tableau transparent. Si le sujetala ,ne norm
au verrerougclcsleL- tres rouges, et avec l'oeil au verre vert les lettres vertes : il lit ainsi AMBLYOPIE HYSTÉRIQUE MONO
AMBLYOPIE HYSTÉRIQUE MONOCULAIRE ; SA DISPARITION. 340 toutes les lettres . S'il est au contraire amaurotiquc dut ! oeil, il
s. S'il est au contraire amaurotiquc dut ! oeil, il ne lira que les lettres dont la couleur correspond à celle du verre pla
erre vert à droite et un verre rouge à gauche, elle ne lira que les lettres rouges du ta-' bleau : or elle lit aussi les le
e lira que les lettres rouges du ta-' bleau : or elle lit aussi les lettres vertes. Inversement,le verre rou- ge étant mis
mis à droite et le vere vert àgauche, elle ne devrait voir que les lettres vertes ; or elle lit les lettres rouges ; donc el
uche, elle ne devrait voir que les lettres vertes ; or elle lit les lettres rouges ; donc elle voit avec l'oeil droit dans
l'oeil gauche, par exemple un verre rouge. Valentinene lit que les lettres rouges ; j'enlève alors le verre opaque de l'oeil
; j'enlève alors le verre opaque de l'oeil amblyope et elle lit les lettres rouges et vertes ; si je mets un verre verL à;;
à;;auclle et replace le verre opaque à droite, elle ne lit que les lettres vertes, mais dès que j'ôte de nouveau le verre op
, mais dès que j'ôte de nouveau le verre opaque, elle lit aussi les lettres rouges. Elle voit donc de l'oeil droit au momen
instrument avec l'oeil gauche seul ou l'oeil droit seul on verra la lettre F ou la lettre L; mais si on regarde avec les d
l'oeil gauche seul ou l'oeil droit seul on verra la lettre F ou la lettre L; mais si on regarde avec les deux yeux, les l
lettre F ou la lettre L; mais si on regarde avec les deux yeux, les lettres F et L se fusionnent en une seule et unique let
deux yeux, les lettres F et L se fusionnent en une seule et unique lettre qui est un E. Si Va)en- tine ferme l'oeil droit
ui est un E. Si Va)en- tine ferme l'oeil droit, elle ne voit que la lettre F; si elle ferme 350 CLINIQUE NERVEUSE. l'oei
roit ; elle paraît donc amaurotique et ne devrait distinguer que la lettre F en rapport avec l'oeil sain ; or, elle lit E
raît dans la vision binoculaire. - Expérience 20. En se servant de lettres rouges, les résultats sont identiques ; avec ce
cette différence que, dans la vision droite seule, l'enfant lit la lettre L, mais une lettre L réduite dans ses dimension
ue, dans la vision droite seule, l'enfant lit la lettre L, mais une lettre L réduite dans ses dimensions et de couleur rou
cropsie disparaissent complètement dans la vision binoculaire où la lettre E estperçue nettement. 1. Expérience 21. Les tr
ert, ce qui donne noir, la vision droite peut encore distinguer les lettres rouges, mais ces lettres sont diminuées de moit
a vision droite peut encore distinguer les lettres rouges, mais ces lettres sont diminuées de moitié comme grandeur et d'un
ne et un verre rouge devant son oeil amblyope, ullclitnettement les lettres rou- ges;sionchaugeclwerre rouge parmi vert, el
tres rou- ges;sionchaugeclwerre rouge parmi vert, elle lit bien les lettres vertes. Donc l'amblyopie a disparu. Expérienc
plus insuffisant, en gé- néral, que dans les Asiles de la Seine. La lettre de notre collègue M. le D' Dubuisson, que nous
du service médical dans l'action pour le bien des malades. Dans sa lettre au Préfet de la Gironde, le D1' Anglade, précis
s n'ont plus rien à apprendre de leurs aînés. Pardonnez-moi cette lettre bien longue et qui, d'ailleurs, vient trop lard
et veuillez croire à mes sentiments dévoués. ,. . NGL.1DE. Votre lettre est trop intéressante, mon cher collègue, pour
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
pillenpriiiung und pupillenrcaklionen In n 8° de 20 pages. Dumas. Lettres i un jeune h mlmc qui veut étudier la médecine.
32 4U8 TABLE DES MATIERES. dans un 3G3. (Per- sonnel médical). Lettre de M. Anglade,4SS ? Mouvements de février et
36 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
l allait bégayer, qu'il allait perdre entièrement la notion d'une des lettres de l'alphabet, qu'il allait oublier son nom, etc.
s pour ainsi dire à nu par une expérience décrite et discutée dans ma lettre au Dr Liébeault sur les Suggestions criminelles (
édente séance. Il est adopté. La correspondance écrite comprend une lettre de M. Albert Coulaud, s'excusant de ne pouvoir as
les Verdin, etc. M. le secrétaire général donne lecture de nombreuses lettres d'ex- Les homicides en Italie. Dans une con
nt au-devant de nos interrogations, M. Dorobetz a pris soin, dans une lettre adressée à la Gazette de Moscou et reproduite dan
nt des signes bizarres dits cabalistiques, ce sont des ABRACADABRA ou lettres écrites disposées dans un certain ordre, et, enfi
minutes, et exemptes, semble-t-il, de toute exaltation religieuse. La lettre de M. Dorobetz à la Gazelle de Moscou est à consu
les impossibilités matérielles, les engagements antérieurs. Parmi les lettres d'excuses, il nous faut citer celles de MM. Marey
othèque de la Société. La correspondance écrite comprend : 1° Une lettre d'excuses de M. Boirac, vice-président, qui ne pe
t faire une fête et manger des gâteaux pour l'enterrer. D'après une lettre de la supérieure, elle aurait dit à ses compagnes
Le Merveilleux scientifique. La correspondance écrite comprend une lettre de M. P. Regnault qui s'excuse de ne pouvoir assi
r M. Valentïn secrétaire, et adopté. La correspondance comprend des lettres d'excuses de MM. les professeurs Raymond, Charles
ociété. Cette motion est adoptée. M. le président donne lecture des lettres de candidatures qui seront soumises à l'élection
iversité, il se lit recevoir successivement docteur en Philosophie et Lettres et docteur ès Sciences Physiques et Mathématiques
psychologie et l'intelligence des animaux ; 2° 19 septembre 1886 : Lettre sur les caractères de divisibilité des nombres ;
ettons la malade, une jeune campagnarde, à l'épreuve du prisme et des lettres colorées. Ces deux épreuves donnent un résultat p
un résultat positif; la malade accuse de la diplopie et distingue les lettres des deux couleurs, bien qu'un verre rouge soit ap
oduire des guéri-sons miraculeuses. » A ce sujet nous avons reçu la lettre ci-jointe du Dr Fiessinger: « Monsieur le Direc
ge publia : L'hypnotisme et la liberté des représentations publiques, lettres à M. le professeur Thiriar, membre de la Chambre
Chambre des Députés, qui avait demandé des mesures de répression. Ces lettres ont paru d'abord dans le Journal de Liège et ont
récent du Dr Bernheim, intitulé Hypnotisme, suggestion, etc., 218. 9° Lettre relative à l'affaire des guérisseurs de Braine-le
Mystères de Constantinople. La correspondance manuscrite comprend une lettre de M. Bertillon, directeur de la Statistique Muni
l'ivresse publique, affichée dans un coin du cabaret, honteuse, reste lettre morte. Sans doute, l'excès du mal provoque déjà
par Dumas. Son malade aphasique traçait avec le doigt la forme des lettres sur ses draps. Son notaire et sa femme savaient q
vue de sciences psychiques. Ce fut un événement. De toutes parts, les lettres affluèrent, lettres de savants, d'abonnés, donnan
hiques. Ce fut un événement. De toutes parts, les lettres affluèrent, lettres de savants, d'abonnés, donnant leur avis, apporta
la double situation de fonctionnaire dans un ministère et d'homme de lettres , comme cela se présente assez fréquemment, avait
ent auront à faire la preuve de son « incapacité » par des faits, des lettres , etc..... M. Julliot. — Les morphinomanes ne pr
es ordres que je donnai aux centres psycho-moteurs s'exécutèrent à la lettre : ainsi, pour le pansement, je suggérai au malade
demeure, M. Boirac s'est empressé d'adresser au rédacteur du Temps la lettre suivante : « Monsieur, « Je savais bien que S
erveux. Broch, in-8, 29 p. Cusset, 1895. Juan Enrique Lagarrigue. — Lettre à Mgr Ireland. Broch, in-8, 35 p Santiago du Chil
isme fut intitulé : Pouvoir sâtanique et Mesmérisme, analysé dans une lettre au Rev. H. Me. Neile. A.- M., de Liverpool, en ré
ettaient les points sur les i, suivaient l'alignement, effaçaient une lettre mal employée pour la remettre à la place exacte,
res préposés à l'enseignement de la psychologie dans les Facultés des lettres , il faut, non seulement des aptitudes spéciales,
ussi répandue que la morphinomanie. C'est surtout chez les femmes de. lettres qu'elle exerce ses ravages. On cherche d'abord l'
erveux. Broch, in-8, 29 p. Cusset, 1895. Juan Enrique LaGarrigue. — Lettre a Mgr Ireland. Broch, in-8,35 p. Santiago du Chil
. La correspondance comprend, en dehors des journaux habituels, une lettre d'excuses de M. le Df H. Lemesle, qui ne peut ass
essées par M. le Dr Zéligson, de Cleveland, Ohio (U. S. A.). 4° Des lettres de candidature au litre de membre de la Société,
est montré tout à fait rebelle ; il ne peut pas arriver à copier une lettre quelconque; il n'y éprouve aucun intérêt. De même
cette atteinte portée au libre arbitre, et j'ai en ma possession une lettre inédite de Braid, concernant les prétendus danger
Artistes........ 6 0,9 Étudiants en droit ... 11 1,6 Hommes de lettres . . 5 0,7 Avocats........ 7 1,07 Paysans.....
37 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
mer. Le Propriétaire-Gérant, HÉBERT. JOURNAL DU MAGNÉTISME. LETTRE DE MESMER AL CITOYEN SEGRETIER A Bissy, près
n moins de cinq minutes, avec une vélocité incroyable, sur des dos de lettres , sur des billets de garde, sur les premiers morce
, pubtished by hisfamiljr, se trouve, à l’adresse de Washington , une lettre où on remarque un passage qui a trait au magnétis
, professeur à l’école de pharmacie; les autres étaient des hommes de lettres , des savants, des artistes. 11 y avait là par con
., etc. Paris, 12 mai 1845. Un de nos abonnés nous communique une lettre qu’il vient de recevoir de Londres, et où se trou
diront les sceptiques? — Nous recevons, de l’un do nos abonnés, la lettre sui-vanie : a Monsieur, « Le premier des fait
magnétisme RÉPONSE IIE M. LU MINISTRE DE LISTRIM P11BLI0CB A LA LETTRE DE M. LE BARON DU POTET, DU 20 MARS 1815. Monsi
BARON DU POTET, DU 20 MARS 1815. Monsieur le Baron, J’ai reçu la lettre par laquelle vous m’avez exprimé le vœu qu’une ch
arc assez étendue cl très-profonde, appelée la Gironde, on trouva une lettre de voiture dont le fils B... était porteur; celte
ps n’y est pas... » On avait, en effet, irouvé près de celle mare une lettre de voilure dont était porteur Balicle, et‘l’on av
us lui écriviez aujourd’hui, il 11c recevrait pas immédiatement votre lettre : il est à Mauheuge. » Curieux de vérifier ces
Curieux de vérifier ces faits, je consulte l’Annuaire et j'adresse ma lettre à M. Ilusson, colonel du 42' de ligne, en garniso
(l’ai-lillci ic ( n retraite. » Le même jour, je communiquai cette lettre à Alexis. «Courage! me dit-il, nous sommes sur
mière, et, me sentant saisi d’une conviction inexplicable, j ouvre la lettre en m’écriant : plus de doute, c est lui ! Par c
ouvre la lettre en m’écriant : plus de doute, c est lui ! Par cette lettre , signée Bonfilli, un officier Irançais faisait à
officier Irançais faisait à lord Wellington la demande d’envoyer ses lettres aux avant-postes.... 11 n’y avait là rien qui s
t-Garonne). Le 23 avril 1844, j’adresse au commandant Hon-lilli une lettre dans laquelle je Ini fais part de mes recherches
r mai 184-1. «Monsieur le colonel Gimvood, «J’ai reçu de vous une lettre datée du 23 avril, dans laquelle j’ai lu avec le
ion il’Honneiir. » Enfin ! je recevais le prix de mes démarches! La lettre de ce brave commandant me rendit si heureux que j
e je fus tiré de ce rêve par un violent coup de sonnette. C’était une lettre qu’on m’apportait, et dans laquelle on m’annonçai
isme, el qui vient de doter son pays d'un livre sur celle science, la lettre suivante : Monsif.uk, « Dans le sixième numér
voit au loin quand on appelle son attention sur unêire souffrant. Une lettre , une mèche de cheveux, un vêtement quelconque que
ES DU SOMNAMBULISME MAGNÉTIQUE. (Suite.) § III. — FANTOMES. Lettre de Pline à Sara (l). « Le loisir dont nous joui
es malades dont la société leur a confié le traitement. Lecture d’une lettre adressée de l’île Bourbon, contenant la relation
n en loin les esprits supérieurs dont les noms sont restés burinés en lettres d’airain dans les annales de l'humanité et qui le
e, ainsi que nous l’avons vu nous-mème le faire, épeler les premières lettres d’un mol;... pourquoi, vous objecteront-ils , ne
n’y a rien d’étrange à ce qu’il n’ait pu déc|iilïrer les dernières lettres ; mais qu’il ail pu lire les premières, vuilàcequi
pas môme de nous justifier el de les troubler dans leur triomphe. La lettre de ce digne ecclésiastique, désintéressé dans la
jouta : Ce mol commence par un P, mais il y a encore plusieurs autres lettres dont je ne puis désigner la forme; elles m’appara
Après quelques discussions réglementaires, il est donné lecture de la lettre suivante : « Messieurs, « Disciple, comme vou
ne puis écrire qu’à vous; mais vous voudrez bien leur communiquer ma lettre . Les actions comme celle donl nous venons d'ôtre
adressé à la Société par M. Picard, médecin à Saint-Quenlin. Dans une lettre accompagnant son mémoire l'auteur déclare que la
dans ses papiers, auxquels il n’aimait pas qu’on louchât, trouva une lettre qui avait élé jetée dans 1111 coin. Quelle ne fut
ce que c'était, elle répondit: » Je nu sais pas; quelles drôles de lettres ! » Poussant plus loin l'expérience, le docteur tr
était nombreuse et de tous gens, gens de cour, gens de robe, gens de lettres , académiciens, etc. On avait fait grande chère, c
de l’amputation faite à Cherbourg sur mademoiselle D’Albanel, et une lettre de félicitations aux hommes qui ont enrichi la sc
quatre membres stagiaires. M. Ilippeau, professeur à la Faculté des Lettres de Strasbourg, est nommé membre honoraire; il a é
erveau. 79 Idiotisme. 50C Irritation de la moelle épinière. 118 Lettre de M. Du Polet à ses élèves. 17 — — à M. le Min
38 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
ns récemment exposé, se trouvent complètement exprimées par ces trois lettres : K, S, Z. Il y a donc une simple diminution d'ex
Différentes phases du scotome scintillant, d'après Hubert Airy. (Les lettres indiquent les diverses colorations : rouge, bleu,
me son magasin, il parle beaucoup, et écrit chaque jour de nombreuses lettres (12 ou 15 par jour). Il occupait souvent ses lois
plume et écrivit; croyant avoir oublié quelque chose, il redemande sa lettre pour la compléter, veut la relire et c'est alors
l'accident ; voici un spécimen qui date de la dernière époque. Cette lettre , datée du 1er novembre et adressée à sa mère, est
et adressée à sa mère, est très intéressanle à comparer à une autre lettre datée du 22 novembre 1880, c'est-à-dire de trois
diffère de la seconde que par un léger changement de l'écriture, les lettres étant plus verticales et d'une forme plus enfanti
des mots, et dans l'oubli d'un mot (chez). Nous voyons que, dans les lettres écrites, 4, 5 et 6 mois après, ces fautes ont dis
sitation son nom et son adresse, une longue phrase et même une longue lettre , sans fautes notables d'orthographe, sans passer
avec le bout de son index de la main droite, il retrace une à une les lettres qui constituent le mot et arrive, après beaucoup
r », l'adresse de son ami, il trace avec le doigt, dans l'espace, les lettres qui composent le mot et, après quelques instants,
rce que pour l'écriture, il m'est facile de reproduire mentalement la lettre avec ma main droite, tandis que c'est beaucoup pl
r avec la main des caractères imprimés, comme le ferait un peintre de lettres . On lui fait lire une ligne en caractères imprimé
inutes à la déchiffrer et 3 minutes seulement à lire la même ligne en lettres cursives. On remarque que toujours, en lisant, le
s derrière le dos et on lui dit de lire ; on le voit alors tracer les lettres avec l'index sur l'ongle du pouce. Pour lire l'im
soit son habitude, dans l'état de santé. Il se contente d'écrire les lettres qu'il connaît mal par la vision, ou de les tracer
ou de les tracer avec son doigt dans l'espace. 11 connaît toutes les lettres de l'alphabet, excepté q. r, s, t, et surtout x,
s, t, et surtout x, y, z ; et, chose remarquable, ces trois dernières lettres qu'il ne reconnaît pas, qu'il ne déchiffre pas qu
érie de mouvements qui concourent à la représentation graphique d'une lettre , d'un mot, éveille seule chez lui le souvenir pré
une lettre, d'un mot, éveille seule chez lui le souvenir précis de la lettre , ou du mot. On pourrait dire d'un seul trait, qu'
souvenir du mouvement des doigts nécessaire pour tracer les mots ; la lettre une fois tracée, le malade n'est plus capable de
ts pour lire, soit un écrit, soit un imprimé, écrit effectivement les lettres et les mots ou encore se contente de les tracer d
xpédient : la malade apprit à reconnaître, par le toucher, de grosses lettres en relief ; et, lorsqu'elle fut suffisamment inst
se et faite en plusieurs langues, il les retrouvait aussitôt dans les lettres elles-mêmes qui lui apparaissaient dans leur tene
lectures avaient fixé dans sa mémoire la page avec ses lignes et ses lettres et il récitait en lisant mentalement le passage v
ui M. X... doit, comme à peu près tout le monde, ouvrir ses copies de lettres pour y trouver les renseignements qu'il désire, e
ire les alphabets grec et allemand, il a omis dans la série plusieurs lettres , ainsi en grec, O^s.Ccp,^. Ces lettres sont tracé
a omis dans la série plusieurs lettres, ainsi en grec, O^s.Ccp,^. Ces lettres sont tracées devant lui, il ne les reconnaît qu'a
entre elles. Des mots grecs dans la composition desquels entrent les lettres en question lui sont dictés ; les comprenant, il
la perte de la vision mentale. « Je m'empresse de répondre à votre lettre et je vous prie de vouloir bien excuser ma connai
e voulais apprendre et en fermant les yeux je revoyais clairement les lettres dans leurs plus grands détails; il en était ainsi
te. Elle présente également un certain trouble de la parole, quelques lettres sont particulièrement mal prononcées, et elle par
s la situation chez la petite malade d'Angoulême lorsque je reçus une lettre du père me dépeignant cet état lamentable et me p
avez quitté la capitale, prévenez-moi et je me charge du reste. » Ma lettre resta sans réponse. Six semaines plus tard, je
a moindre occupation, lorsqu'il veut lire, par exemple, ou écrire une lettre . Les attaques dont nous avons été bien des fois
'on lui disait. Celte surdi-mutité serait survenue à la lecture d'une lettre dans laquelle son père lui reprochait sa conduite
lle de l'orthographe des mots ; mais « l'idée (motrice graphique) des lettres ne lui revenait pas; » elle ne se rappelait plus
S. Charcot. Œuvres complètes, il m, Système nerveux. 33 donner aux lettres . On a pu s'assurer, d'ailleurs, qu'auparavant ell
39 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
faste ». En écrivant, il se disait : « Il faut que j'épaississe cette lettre , sans cela il m'arrivera quelque chose d'horrible
edi. ] il lui était interdit de porter une cravate de couleur; chaque lettre V j et W qu'il écrivait devait être épaissie ; il
les jours une certaine gazette depuis la première jusqu'à la dernière lettre . Il parait que des excès vénériens ont fait emp
mieux, une « séance à distance » lui serait utile. Je lui envoyai la lettre suivante : « Kingston, 12 août 1890. « Mon ch
s l'intervalle qu'il continuait à aller a merveille. Il me renvoya la lettre suivante : « B..... ville, Ontario, 15 mars 189
cteur Ncilson, « J'ai été on ne peut plus heureux de recevoir votre lettre du 10 et de • savoir que M. le capitaine R... v
meilleure santé possible. Je me « suis gardé de faire usage de votre lettre avant aujourd'hui dimanche, « car je voulais en p
rès-midi dans ma chambre à coucher, et j'ai exécuté vos ordres « à la lettre : j'ai joui d'un repos parfait. Je ne puis oublie
in à M. le professeur Delbceuf. Monsieur le Directeur, Quoique la lettre de M. Delbœuf, insérée dans la livraison de mars
geois, que celui-ci (p. 627 et passim, et notamment dans une « longue lettre à M. Semai p. 722-72'.), dont pas uu mot chez M.
cadémie de Médecine le 25 février 1888 ; comment y tenir compte d'une lettre écrite par M. Liégeois le 14 juin suivant? Ici do
888; or à cette date, le livre si intéressant de M. Liégeois, avec la lettre en question, n'était pas encore livré au commerce
ai, avait communiqué à l'Académie de Médecine une grande partie de la lettre qui lui avait été adressée par l'honorable profes
œuf. Mais faut-il s'étonner de choses semblables ? Qu'on lise les lettres publiées dans un journal quotidien par M. Delbœuf
les gens fous. C'est ce qu'ont dû se dire foi lecteurs qui ont lu ta lettre épileplique de M. Masoin, parue dans la livraison
vu refuser l'insertion dans le Bulletin. S'ils veulent bien relire ma lettre du mois de mars, qui en est le prétexte, ils n'y
s bien instructives. En attendant, veuillez publier en réponse à la lettre de mon redoutable adversaire, la critique vraimen
'avais joué, bien malgré moi, dans le procès, je crus devoir, par une lettre insérée dans le numéro de mars, rétablir l'exacti
érée dans le numéro de mars, rétablir l'exactitude des fait*. Cette lettre me valat, en séance publique de l'Académie de Méd
de l'art de guérir, mais pour escroquerie. Devant la Cour, dans sa lettre à la Rerue de Chypnotismc, dans le procès-verbil
plus, rien de moins. Est-ce le passage souligné, reproduit dans ma lettre à la Révue de l'hypnotisme, qui a fâché M. Masoin
st plus possible. (A suivre.J DISCUSSIONS ET POLÉMIQUE Deuxième lettre à M. le Dr Bérillon, rédacteur en chef de la i Re
répondu aux faits généraux et particuliers articulés dans ma première Lettre ; je liens à le constater. Il se borne à produire
r il est des choses plus graves à relever avant de clore cette longue lettre . Affectant un air d'innocence, M. Delbœuf se po
de discuter, mais vous ne deviez pas outrager. Or, dans une première lettre , insérée ici même, vous aviez insinué que M. le d
administratives, la presse quotidienne intervint, cl nomma, en toutes lettres , les futurs titulaires des trois circonscriptions
ofesseur à l'Université d'Amsterdam. La correspondance comprend des lettres de MM. le Dr Lloyd Tuckey, de Londres; de M- le p
à la réunion de la Société. La correspondance comprend en outre des lettres de M. le professeur Bas-naert, membre de l'Académ
rticipation de la volonté. (A suivre., DISCUSSIONS ET POLÉMIQUE Lettre de M. le Dr David, de Sigean, à M. le Br Auguste
ce n'est pas ici le lieu de donner de plus amples explications. Cette lettre n'avait qu'un but, c'était de démontrer qu'en méd
position, remettre l'objet trouvé à une autre personne, découvrir une lettre ou tout un mot sur un certaine page d'un livre, é
roya au bord de la mer. Après y être resté quinze jours, il reçut une lettre portant des nouvelles pénibles, et, profondément
éreuse. Ces remerciments sont votés. La correspondance comprend des lettres de MM. Tarde, juge d'instruction à Sarlat; Azam,
m'écrire dans un mois pour me donner de ses nouvelles. Je reçois une lettre datée du 23 mai, dans laquelle il me remercie de
mais qui tous l'étaient déjà avant lui ? Dans ce mot, d'ailleurs, une lettre seule est nouvelle, car je trouve déjà le mot név
nze jours plus tard, docile à la suggestion, le malade m'écrivait une lettre de remerclments; la guérison est restée parfaite.
t différent du terme neurasthénie de Béard, bien qu'il n'y ail qu'une lettre de changée. Le médecin américain avait d'ailleurs
s plusieurs dessins, soit, pour fixer les idées, les quatre premières lettres de l'alphabet, tantôt sur la même épaule, tantô
ms plus singuliers que les autres. , La correspondance comprend des lettres de M. le Dr Ladame, de Genève; de MM- les docteur
teur. 108, boulevard Saint-Germain, Paris, 1892.) Masoin (Dr E.). — Lettre ouverte adressée A la « Revue de Belgique et répo
camarade lui faisait encore mauvaise impression. Des extraits d'une lettre reçue quelques semaines après celle consultation
séance du 11 mars est lu et adopté. La, correspondance comprend des lettres de M. le Dr Emile Laurent, de M. 1* D Bourdon, de
qu'il va être dit tout S l'heure, période qu'on peut indiquer par les lettres CD. (Test le 28 août qu'est survenu l'événement
du lundi 11 avril est lu el adopté. La correspondance comprend des lettre » de MM. A. Voisin, Magnin, de Régla, qui s'excuse
le), 34. Lecture des pensées(la), par J. Tascha-noff, 65, 101, 135. Lettre de M. Masoin, 79. Lit à deux et la force nerveu
ons criminelles (des), par Bé-rillon, 118. Suggestions criminelles ( lettre de M. David à propos des), 108. Suggestio-théra
40 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
ndaitnotre demande. Quelques jours après, nous lui avons adressé la lettre suivante. Paris, 14 juillet 1887. Monsieur le
ts et épileptiques des deux sexes (1) - A propos d'un passage d'une lettre qui nous a été adressé le 30 mars 1887, par M.
malheureux déshérités. Nous allons reproduire ici le passage de la lettre de M. Des- près (1), relatif au service des enf
t encore plus grave qu'on no l'avait pensé et, en présence (1) La lettre de M. Després a été publiée in extenso dans le
rnant un malade atteint de phéno- 1 Le professeur Semmola, dans une lettre qu'il nous adressa ce sujet le 28 mai 1882, par
ment aratoire'. Huit mois après cette évasion, le 17 juin 1886, une lettre de Grandid... à son grand-père, administré de l
avons écrit au directeur de cette prison qui nous a appris, par une lettre en date du 30 juin 188G, que notre malade avait
rie de Gaillon après avoir été reconnu atteint d'épilepsie. - Une lettre de .AI. le Dr Boularan, médecin du quartier spé
août 1886 l'un de nous adressait à M. Gragnon, préfet de police, la lettre suivante, relatant ce qui avait déjà été tenté
de nous envoya à M. Demôle, ministre de la justice, la copie de la lettre ci- dessus, en insistant sur la nécessité d'ann
Le 4 octobre suivant, c'est-à-dire plus d'un mois après la première lettre à M. Demôle, et huit jours après une nouvelle l
la première lettre à M. Demôle, et huit jours après une nouvelle lettre au même ministre, en l'absence de toute réponse,
Gran- did..., vieillard hospitalisé à Bicêtre, me communiquait une lettre de son petit-fils apprenant qu'il était à la pr
gré à Bicêtre. N'entendant parler de rien, le 28 août j'écrivis une lettre à M. le Préfet de police, qui me répondit le le
s'étant écoulé sans réponse, mois de vacances il est vrai, par une lettre en date du 29 septembre, je rappelai à M. le Mi
septembre, je rappelai à M. le Ministre de la justice ma précédente lettre ; voilà bientôt huit jours de cela et ma second
précédente lettre ; voilà bientôt huit jours de cela et ma seconde lettre n'a pas été plus heureuse que la première. C'es
ffaire et promettait s'en occuper d'urgence. 18 octobre. - Nouvelle lettre au Préfet de police dont nous extrayons le pass
li- gence ne s'est jamais développée, il n'a pu apprendre que ses lettres , ne savait pas compter spontanément ; il répondai
allé en classe et n'a jamais rien appris; il connaît seulement ces lettres , La, be, bi, etc. Quand il y avait un répit apr
s marquée, nous nous sommes servis, dans nos ta- bleaux, de petites lettres ou de majuscules. Quant aux degrés d'atrophie q
rononcée, la malade se met à une distance de 16 cent. pour lire des lettres d'un 112 cent., et à 1 m. 37 pour pouvoir lire
lettres d'un 112 cent., et à 1 m. 37 pour pouvoir lire les grandes lettres d'un journal ayant 3 cent. et quart de hauteur.
que pour se faire raconter l'incorporation. Le 26 juin il écrit la lettre suivante : A Monsieur le Procureur de la Républ
de Bicêtre, Bicêtre (Seine). Le même jour, 26 juin, il adresse la lettre suivante : A Monsieur le Préfet de Police. Mo
pital de Bicêtre, Bicêtre (Seine). On voit par la première de ces lettres que notre malade était sujet à toutes sortes d'
cas probablement, en outre, à de fausses interprétations. Les deux lettres prouvent aussi en quelle aversion il avait pris
nations du goût. Pas d'idées de persécution. 2G juillet. Dans une lettre à ses parents datée de la veille, il écrit : a
à ce sujet, il répond qu'il n'a pas mal iL la tête. Voici les deux lettres qu'il adresse à ses parents les 25 et 26 juille
dimanche. Je voudrais bien vous parler. Le même jour il adresse la lettre impérative suivante au commissaire de police :
sse à peine, et paraît peu touché de sa venue. Il n'a plus écrit de lettres depuis le 26 juillet. Il est assez obéissant à
41 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
sommes îles h v brides médico-littéraires, auxquels Apollon, dieu des lettres et des sciences, enjoint de soigner notre style,
recevons de notre éminent collaborateur. M. le professeur Delbœuf, la lettre suivante que nous nous empressons d'insérer. Li
'hypnotisme ( Visile à la Salpètriïre. Vìsite à l'Ecole de Naney. lettres à M. Thiriar. les Fêtes de Montpellier. l'Hypno-t
à M. le Dr Darxier, directeur des Annales des sciences psychiaues. la lettre suivante : Et M. (ieorges Pouchet, accompagné d
majuscules, un mot ou un ensemble de mots compris entre dix et quinze lettres , connu île lui. Si le mut ou l'ensemble est lu. M
loules les investigations antérieures. » Ces lignes sont tirées d'une lettre que j'ai demandes» a M. Von Winiwarter. pour ne |
séance du 19 juin est lu et adopté. La correspondance comprend des lettres de MM. les Drs Pinel. Apos-toli. O. Jennings, Gri
si qu elle le dit elle—meute, par une force invincible, û écrire deux lettres dans lesquelles le désordre intellectuel te manif
tiné à donner aux intéressé une satifaction platonique, devait rester lettre morte. Il n'en a pas été ainsi et le ministère a
l n'était plus question ni de mort, ni de divorce, elle m'écrivait la lettre suivante : « Monsieur le Docteur, « Permettez
retrouve dans toutes ses apparitions. » DISCUSSIONS ET POLÉMIQUE Lettre de Belgique. Monsieur le Directeur. Permettez
ière d'hypnotisme. « A la présente je crois devoir joindre. « Une lettre de M. le Dr Frtipont, de Pepinsker. appréciant ma
édês Sciences, i chargé MM. Dwclshauvers, docteur en philosophie et lettres , et P. Stroobant, docteur ès sciences, de la dire
médecine légale de New-York. La correspondance écrite comprend une lettre du Dr Prosper van Velsen de Bruxelles, faisan
st impossible «le prononcer une phrase ou un mot qui commence par les lettres C, G, K. Q. II. sans hésiter longtemps et même sa
s hésiter longtemps et même sans répéter plusieurs fois les premières lettres de la phrase, il ne peut par exemple dire les mot
ant une autre phrase ou un autre mot qui ne commence pas par lesdites lettres . A lahle pour demander ce qu'il désire, il bégaie
e lignes il hésite dix fois el il répète plusieurs fois le» premières lettres d'un mot avant de pouvoir prononcer le mol lout e
. La croix pour le docteur Lièbeuult. L'Est républicain publie la lettre suivante : a Le monde médical, avec une unanimi
mon courrier; moi qui écrirais, sans m'en apercevoir, quinze à vingt lettres dans mon après-midi, je suis à bout maintenant qu
ce, nie tourmente, me met se:is dessus dessous. Sî l'on m'apporte une lettre , si je rencontre quelq :':;n dans la rue, je me s
e signalée et, chose étrange, au bout de quelques jours, ou recul une lettre de ce fils qu'on croyait perdu pour toujours. Cel
us f ai pensé, plus je me suis déséquilibré (1). - On a invoqué des lettres et un télégramme adressés, de Cons-lantinc à Pari
repas. Puis, elle commença d'écrire à une de ses parentes une longue lettre , pleine d'aisance, de naturel, de simplicité, d'e
e conception douloureuse, de toute résolution désespérée (2). Cette lettre est demeurée inachevée. Mme G... envoie ensuite l
mment, sans un mot, sons une caresse, sans un baiser suprêmes ! celle lettre commencée, qu'elle écrit à une parente et où il e
té reçoit habituellement. La correspondance manuscrite comprend une lettre de M. le Dr Gross-mann, directeur du Zeitschrift
. le Dr Gross-mann, directeur du Zeitschrift für hypnotismus. Cette lettre relate les mesures administratives prises par le
a séance précédente est lu et adopté : La correspondance comprend des lettres de MM. les Bouffé. Julien Pioger, de M. Valentino
aucoup et je suis gai. » L'auteur du livre Sur la Santé des gens de lettres , proclame que « rien au monde ne contribue autant
ceux qui n'ont pas pu assister à cette fête. On peut la demander par lettre en envoyant 1 fr. en timbres-poste. M. le trésori
eu une seule crise depuis la première séance, et me l'a conlirmé par lettre . Qu'ai-je fait de plus que ce qui avait été fai
sain, au moven d"un contact soit immédiat. soit médiat ». Prise à la lettre , nous pourrions presque adopter cette définition
précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des lettres de MM. Hélis et Julliot remerciant la Société de
son ancien état neurolylique, jadis quand il persistait à écrire, ses lettres chevauchaient les unes sur les autres, quelques-u
y glissaient, puis des traits confus, des barres se substituaient aux lettres , aujourd'hui, il n'en est plus ainsi, me dit-il.
aire en raison des jugements sévères qu'il contient sur des hommes de lettres et des artistes célèbres, pour la plupart Françai
ychologie expérimentale et comparée, par Andre GoDfErnauX. Docteur ès lettres (1 vol. in 8° de la Bibliothèque de Phi-losophie
avec de vives préoccupations morales, ne peut se résoudre àjeter une lettre à la poste, il la retourne et souvent la décachet
ysiologique à Bruxelles (un), 155. Lecture des pensées (la), 252. Lettres de Belgique, 150. Loi sur l'hypnotisme devant l
42 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
de Villejuif; CRL'ISE (de Dublin); L. DACR1AC, prof, à la Faculté des lettres de Montpellier, GUIMBEAU; W. DEKHTEUEPP(de Sl-Pét
ne me donna pas le temps d'y lire. C'était un vieux bouquin écrit en lettres gothiques, que Mme Daligny, toute tremblante, m'a
out ce qu'elle faisait dans la journée, l'endroit où elle cachait ses lettres , etc. En somme, cette femme s'est trouvée dans la
s place : MM. Lionel Dau riac, professeur honoraire de la Faculté des Lettres de Montpellier et le D' Paul Magnin. vice-préside
n et le surlendemain, je reçus de quelques très fidèles auditeurs des lettres fort intéressantes. On me demandait si, non conte
is donne lecture de la correspondance qui comprend, entre autres, des lettres par lesquelles s'excusent de ne pouvoir assister
sions automatiques, réflexes, dont nous désignerons l'ensemble par la lettre A. Dans le fonctionnement normal, la première cat
èse et dans sa structure. Signe des temps : on voit des Facultés de Lettres elles-mêmes laisser, pour un moment, les longues
la toux une association tenace. Le 10 novembre, j'apprends par une lettre de la malade qu'elle tousse à nouveau depuis qu'e
ersonne ne s'aperçoit qu'elle est malade; elle écrit à sa famille des lettres pleines de raison et de bons sentiments; une pers
le de la Ville s'était fait à l'insu de M. d'Argenson, et bientôt des lettres anonymes parvinrent au lieutenant de police qui s
l'amour et des sentiments affectifs était le cœur ; elle prenait à la lettre les phrases des romances et des cantiques, où l'o
est de la valeur de deux cents francs. Les thèses des Facultés des Lettres , des Sciences et de Droit sont admises à concouri
al donne lecture de la correspondance qui comprend, entre autres, des lettres par lesquelles MM. les Dr de Bourgade et Bourdon
après avoir soigneusement examiné le malade, s'exprime ainsi dans une lettre qu'il adresse à son confrère. Cette lettre porte
, s'exprime ainsi dans une lettre qu'il adresse à son confrère. Cette lettre porte la date du 25 janvier 1900. « La douleur si
malade reste là une vingtaine de jours et il revient chez lui avec la lettre suivante du docteur de l'établissement. « Mon c
hauds également. Ces multiples prescriptions ont été exécutées à la lettre pendant un certain temps; mais, loin d'y trouver
s connaissances bornées ou nulles de l'époque, écrivit à ce sujet une lettre plus édifiante que savante, dans laquelle le mira
de Marie Alacoquo Imprimée en 1729 par Languet(in-4°) avec plusieurs lettres et opuscules. — C'est parmi ces lettres qu'on tro
Languet(in-4°) avec plusieurs lettres et opuscules. — C'est parmi ces lettres qu'on trouvera celle de l'archevêque d'Arras qui
ystériques furent la cause d'un nouveau culte. On peut donc graver en lettres d'or au-dessus de la porte de la nouvelle basiliq
te que quelqu'un, à qui on avait suggéré de ne plus pouvoir écrire la lettre e, la supprima dans tous les mots où elle devait
ecrétaire-Général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de MM.Jaguaribe (de San-Paulo, Brésil), Damoglou
expliqua les admirables significations qui étaient enfermées dans les lettres ; il l'assura que ce serait comme un cachet pour e
ppris à connaître les bêtes parla pratique et qui fut dans ses belles Lettres sur les animaux, l'adversaire le plus décidé de l
animaux, l'adversaire le plus décidé de la théorie cartésienne. Ces lettres , qui furent publiées, de 1762 à 1781, sous le pse
lle et à démêler leurs intentions dans leurs actes. Dès sa première lettre , il montre que la psychologie animale est une sci
eignement secondaire au Ministère de l'Instruction publique, dans une lettre adressée à M le sénateur Couteaux, qui, dans le j
l donne lecture de la correspondance, qui comprend en particulier une lettre de M. le Dr Jourdan (de Marseille) et une autre d
luences les plus superficielles : consonances de mots, similitudes de lettres , comme chez les enfants ou les aliénés. Cette ana
al donne lecture de la correspondance qui comprend, entre autres, une lettre de M. le Dr Gabriel Dromard. interne des Asiles d
re de cette église lui avoient accordée pour elle et sa postérité par lettres du 14 juin 1443 » (1), « moyennant la moitié par
e sentent nullement incommodés. Bien sots seraient-ils de suivre à la lettre les ordonnances du médecin. Même insouciance, mêm
t (Vie et Œuvres, t. I, p. 257); elle-même semble l'insinuer dans une lettre au P. Croiset qui est du 15 septembre 1689. Mais
d, l'ont complètement guéri de son anxiété. Il nous a écrit plusieurs lettres à des intervalles éloignés pour nous confirmer sa
a Rau, l'Alpha-Betha-Gamma, etc., etc.. Leurs insignes sont ces mêmes lettres portées à la boutonnière ou épinglées sur le gile
de Paray-le-Mo-nial : c'est la vie de Marie Alacoque, avec plusieurs lettres et opuscules. Cet ouvrage est fort rare ; il n'ex
en qu'il nous semble qu'on doive s'attacher plutôt à l'esprit qu'à la lettre en ces matières. On nous fait un reproche d'avo
43 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
ecrétaire. Il est adopté. La correspondance manuscrite comprend des lettres d'excuses d'un certain nombre de membres de la So
e Martinet, do Fontenay, Dumestc, etc. Elle comprend, en outre, une lettre de M. Von Korsakoff, vice-président de la section
vent être mis en état d'hypnose à distance, c'est-à-dire que, par une lettre qui leur est adressée, ils peuvent, après l'avoir
stionner à eux-mêmes toutes les suggestions qui leur sont données par lettres . On peut encore leur recommander de s'endormir
et 8, ainsi que la plus grande partie de ses articles et deux longues lettres adressées à M. Highficld, esq,, chirurgien, datée
gien, datées respectivement du 23 octobre et du 16 novembre 1842. Ces lettres contiennent un intéressant résumé des opinions de
lors formée pour examiner le sujet, et Braid adressa à l'Académie uno lettre dans laquelle il exprimait, avec toute sa satisfa
l de médecine, les honneurs d'un rapport officiel, a acquis ainsi ses lettres de grande naturalisation dans la science médicale
nt déjà. PÉDAGOGIE PSYCHOLOGIQUE A propos d'un enfant prodige. ( Lettre de M. le Professeur Stuwpf, de Berlin.) Nous re
ur Stuwpf, de Berlin.) Nous recevons de M. le professeur Stumpf, la lettre suivante, que nous nous empressons de publier. Ce
tumpf, la lettre suivante, que nous nous empressons de publier. Cette lettre confirme les observations que nous avions exprimé
aussi, un onychophage, du moins s'il faut en croire ce passage d'une lettre de M. Sardou : « Dans ce milieu reconstitué à l
e petite chambre, 30us ce plafond bas et ce crâne étroit... » Cette lettre a été publiée par le Gaulois en 1896. D' Bernar
t à la Faculté de médecine, quelques-uns aux Facultés de droit et des lettres . M. C..., étudiant en médecine, se présente pou
. « Je ne m'occupe pas de votre beau-frère. Vous pouvez faire votre « lettre vous-même, Mme Rémy. On pique son fard facilement
entôt cela s'aggrave et le gène beaucoup; par exemple, pour tracer la lettre F, initiale de son nom, il est obligé de s'y repr
'elle tremble, les mouvements qui correspondent au tracé de certaines lettres ; puis on abandonne le malade à lui-même et on lui
t à fait clos, d'écrire avec une vraie plume sur du vrai papier : les lettres sont remarquables de netteté et de correction.
ecrétaire. Il est adopté. La correspondance manuscrite comprend une lettre de M. Boirac, vice-président, empêché d'assister
ecrétaire. Il est adopté. La correspondance manuscrite comprend une lettre de M. le Dr Iîianchi, adressant le montant de ses
e de M. le Dr Iîianchi, adressant le montant de ses cotisations ; des lettres de MM. les D" Cotte et Bourdon (de Méru), s'excus
et Bourdon (de Méru), s'excusant de ne pas assister à la séance ; une lettre de candidature de M. Stembo (de Vilna). Cette can
yé, des faux-cols, des cravales. Enfin il a encore dérobé du papier à lettres , de vieux livres dépareillés, et, ce qui dénote é
a est le nom du propriétaire des vêtements dérobés. Il est en toutes lettres sur le carnet (2) Liébeault, /oc, cit. p. 335.
didature du Dr Vogt (de Berlin) Par M. le Dr Paul Faret., licencié ès lettres (philosophie) Messieurs, Vous m'avez fait l'h
phases en négligeant la troisième. Traduisons ces qualités par des lettres . Nous dirons que la lro phase de l'individu peut
de caractères différents avec les combinaisons possibles de ces six lettres . Nous aurons ace ou b d f ou a d f ou b c e ou a
octrine, et (1) Pensées. (2) Préface du Traité du vide. (3) rS' lettre à un Provincial, (i) Pensées. (5) De l'Art de p
phénomène est remarquable dans certaines foules. (1) Pensées. (2) Lettre du 5 novembre 1648. (3) L'Hypnotisme et Vorthop
Réellement, je ne ressentais aucun amour pour lui. Il a m'accabla de lettres , me tourmenta et, pendant les traitements suite v
'hypnotisme et l'orthopédie mentale. La correspondance comprend une lettre de M. le D'Francisco Laraya, remerciant la Socïét
envoyant le montant de sa cotisation et du droit d'admission, et des lettres de candidature de MM. le Dr Yturriaga, de Mexico
s telle ville. Trois jours après, il recevait, timbrée de Genève, une lettre qui, parlant d'une impulsion « aussi irrésistible
fforts, je fus édifié sur les causes delà maladie de l'enfant par une lettre anonyme dont voici les principaux termes : (1)
lise est une aristocratie sous la conduite des évéques. C'étaient les Lettres chrétiennes et spirituelles, où, en exaltant la f
séance est lu et adopté. La correspondance manuscrite comprend une lettre de M. le D' Ytur-riaga (de Mexico) qui envoie le
ette traduction de l'ouvrage de Wetterstrand, on pourra lire quelques lettres adressées, il y a quelques années, à divers journ
rves chez MM. Aug. Voisin, Berheim, Forel, von Krafft-lihing ; de ces lettres , l'une des plus intéressantes est celle qui a tra
44 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de MM. les docteurs Henry 1-emesle, Coste de Lagr
nce est lu et adopté. M. le D' Bèrillon, secrétaire, donne lecture de lettres d'excuses de M. le professeur Raymond, retenu a L
ilosophie et docteur es-Lettres, M. Dauriac a illustré la Faculté des lettres de Montpellier où il professa la philosophie pend
é. Par exemple, si on étudie ?p• de Sévigné, chaque élève choisit une lettre , etc. Ce procédé a plusieurs avantages. Il les
re, le Dr Courjon, directeur de l'établissement médical de Meyzieu la lettre suivante dans laquelle il nous signale un fai
dant que ses élèves font une page d'écriture, il se met à rédiger une lettre contre son inspecteur. Avant d'avoir achevé cette
rédiger une lettre contre son inspecteur. Avant d'avoir achevé cette lettre ,il se rappelle qu'il a oublié de faire une recomm
, que voit-il Son inspecteur, assis à son bureau, en train de lire la lettre de dénonciation. Boulversé d'êtreainsi gravement
ur le plancher. Un homme de 51 ans reçoit d'un notaire de Paris une lettre le priant de passer à son étude, pour « affaire l
ulté de médecine de Lyon ; M. Julien Ray, professeur à la faculté des lettres de Lyon ; M. le colonel Clergerie, directeur du g
Jules Liégeois, quelques heures après, allait en pleine nuit, par une lettre Jetée à la dérobée, prévenir les frères Buvignier
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend une lettre par laquelle M. Liégeois, juge au tribunal d'Epin
ce annuelle de la Société. La correspondance comprend également des lettres de if. le Dr Poula-lion ; "Witry, de Trêves ; pro
commencer la suppression des distinctions par en haut, supprimer les lettres de félicitations, les mentions honorables, les di
recourbés, de jambes artillcleusement croches. > (3) (1) Cf. la lettre publiée par le « Journal de la grotte de Lourdes.
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres d'excuses de M. Ch: Julliot, Dr Damoylou, du Cair
tronne s'inquiète peu de l'élégance des jambages qui entrent dans les lettres . Ce qui est dit pour la crampe des écrivains s'
. le professeur Lionel Daurlac, professeur honoraire à la Faculté des Lettres de Montpellier, collaborateur pendant de longues
persuggestïonnable, je continuerai a le diriger psychologiquement par lettre : et, lors d'un nouveau voyage à Paris, dans quel
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de MM. les Docteurs Paul .Toire (de Lille) ; Eodo
us perdons an des principaux auditeurs de nos cours, me disait-on aux Lettres , ou l'on tennit a son jugement comme a celui d'un
Congrès de 1908 à Clermont-Ferrand. Paul Simon : Science et morale. Lettre à M. F. Brunetière. In-8°. Paris. 32 pages. Dr
on turque, il semblerait que ses sages conseils aient été suivis à la lettre . En mettant à l'ordre du jour la question posée p
étaient des insignes de noblesse. « L'Art de la Guerre et l'Art des Lettres tels étaient les deux principes fondamentaux de n
entaux de notre peuple. Les mots OU pour la Guerre, et W'ENN pour les Lettres , ont joué en Chine un rôle prépondérant et ont ét
T'ai Tsoung. Ce fut un de nos plus glorieux souverains, grand ami des Lettres , il ne négligea pas les armes. Ce fut peut-être l
ecrétaire-général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de MM. les Docteurs Mercier, Bilhant, R. Pamart,
: l'entraînement à l'action et au travail, l'amour des sciences, des lettres et des beaux-arts : la culture de la force morale
e que Diderot exprime d'une façon saisissante lorsqu'il écrit dans la Lettre sur tes aveugles : « que la morale des aveugles e
ecrétaire Général donne lecture de la Correspondance qui comprend des lettres de MM. les D1* Fiessinger, Guimbeau et iVidmer.
tion attrayante (1) par Mlle Luele bèrillon, professeur agrégée des Lettres au lycée Molière. La question de l'éducation at
à vous. Rittj. De son côté M. le professeur Baymond, recevait la lettre suivante de M. de Saint-Yves Ménard, membre de l'
les organisateurs ne peuvent que donner une rapide communication des lettres et télégrammes par lesquelles un grand nombre de
gie comparée Mesdames. Messieurs, Au dernier moment j'ai reçu une lettre de notre président M. le Dr Huchard. nous priant
ire Général donne lecture de la correspondance qui com- prend des lettres de MM. les D™ Pron (d'Alger) et Witty (de Trèves-
ion attrayante par Mlle Lucie Bérili.os. f professeur agrégée des Lettres «u Lycée Molière- {Suite) L'éducation attayan
oles se sont rappelés à moi à l'occasion de cette fête et d'après les lettres des absents, d'après vos charmantes paroles, mon
autre stratagème. A ceux qui réclamaient son aide, il communiqua par lettre le jour et l'heure, où il prierait avec eux par c
ues Doyle, évéque de Kildare et Leigh Un communiqua à ses fidèles par lettre episcopate. Vere 18*22, Hohenlohe s'était install
oux devant le grand suggestionneur et lui demanda sa bénédiction. Les lettres continuèrent à affluer par milliers de tous les c
à l'Age de 85 ans en 1875. On trouva dans ses papiers des milliers de lettres , de tous pays, de gens de toutes positions et con
ducation attrayante par Mlle Lucie Bêkillox. professeur agrégée des Lettres au Lycée Molière- [Fin) La littérature est un
ire général donne lecture de la correspondance qui com- prend des lettres des D1** Douglas Bryan (de Leicester). Poulalion.
45 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
« néglige le bien, et compte toujours avoir assez du (i) Livre VII, lettre x«l. « peu qu'il se voit surlc point de quitter
Je-vois un mot... attendez, ana... (Il cherche encore, puis il épelle lettre par lettre), ina...go...gie... Oui, c’est cela...
mot... attendez, ana... (Il cherche encore, puis il épelle lettre par lettre ), ina...go...gie... Oui, c’est cela... anagogie.
in. Tissera li dot Drouhard. James de Montry. Bouvier, homme de lettres . Mairot, négociant. Hering. I.anglois, avocat
et consacrée par le temps, pour désigner le fuit qui fait l’objet des lettres suivantes. Vicux-Cellesoie, 28 janvltr 1856.
Monsieur, Hier au soir, à ma rentrée à la maison , on m’a remis une lettre de vous, en réponse à celle que j’ai eu l’honneur
ue à présenter les phénomènes que je vous ai relatés dans ma première lettre , et qui, au besoin, pourraient être attestés par
à Paris pour elle; on va è!re satisfait dlavoir oommunication de la lettre que je viens d’y envoyer par le commissionnaire,
comprendre encore. Dans notre dernier numéro nous avons publié les lettres qui nous furent adressées par des personnes honor
très-sensible. « Voilà ce que j’ai vu. » On a pu voir déjà, par les lettres que nous avons publiées page 80, que, si d’un côt
it, reprenons notre récit, les réflexions viendront après. Les deux lettres de M. le docteur Verger nous ont fait connaître c
Ce dernier, ayant déjà vu avec « moi les faits relatés dans mes deux lettres à M. Iié- • bert(do Camay), en attesta la réali
de la trame du gant, comme nous l’avons déjà dit. Le lendemain, une lettre d’un des observateurs m’apprit que, le vulgaire s
Buste de Mesmer. — Nous recevons de la commission de souscription la lettre suivante : Monsieur, J’ai l’honneur de vous p
octeur m’aura donné le certificat qu’il m’a promis.» Dans une autre lettre du 28 février 1846, il dit à ce sujet : « La pe
t l’Algérien lui traça dans la main un carré entremêle bizarrement de lettres et de chiffres, versa au milieu une encre épaisse
le Journal du Magnétisme, nous reproduisons la première partie d’une lettre qu’un de nos abonnés, homme honorable et rempliss
is sans restriction. Nous nous bornons donc à publier la partie de la lettre relative à une jeune fille électrique jouissant d
de papier, il traça, dessus les signes à dessiner dans la main et les lettres qui y ont rapport; puis, après un moment d’hésita
son triomphe. Des médecins, des officiers (supérieurs, des hommes de lettres , des artistes distingués, beaucoup de commerçants
cteur Regambert, d’Escatalens,publie dans la Gazelle du Languedoc une lettre dans laquelle il dit avoir beaucoup étudié le mag
en manifesta son mécontentement, et c’est là ce qui motiva une de ses lettres , dans laquelle il lui dit, pour se justifier de c
e l’assurance de prolonger « mon séjour jusqu’au 18 septembre. (Cette lettre est «du 31 mars 1781.) Je supplie instamment Votr
achever ton exil. Voici ta destinée : regarde de ce côté... Mais ces lettres de feu, je ne puis les déchiffrer; aide-moi, ma m
raison do cotte volte-face. L'Estafette du 26 mai public une longue lettre de Mortagne, dans laquelle il est dit que les pro
jours pendante. Le 17 juin, M. Thilorier adressa en son nom seul la lettre suivante sur le même sujet, l’aimantation animale
ettre suivante sur le même sujet, l’aimantation animale : « Dans la lettre que j'ai adressée en commun avec M. Lafontaine, e
ais étrangère. «Je vous promettais, Monsieur, dit le début de cette lettre , de montrer l’action névro-galvanique humaine non
ement et qu’il ne revit plus. Avant de mourir, il reçoit une dernière lettre de madame Desmoulins, «/e me sut«-prenais à regar
de madame Desmoulins, «/e me sut«-prenais à regarder le porteur de ta lettre ., répondit Camille, comme s'il fût resté sur ses
un débat. « — On trouve tous les jours, dit madame Dunoyer dans ses Lettres , des personnes noyées dans la Tamise avec leurs p
dépose que la Bueaille étant dans une de scs extases, il lui mit une lettre dans la main, au sujet de la femme d’un de ses am
n de ses amis, qui était malade, et qu’aussitôt, sans avoir ouvert la lettre ni entendu ce qu’on lui voulait, elle se mit à of
cs rapports avec le barnabite Laeombe, trois fois la lit enfermer par lettre de cachet, n’est pas moins intéressante au point
oignent celui de la difficulté vaincue; car la réunion de la première lettre de chaque vers forme un acrostiche : l'homme qu
langue et l’écriture de convention consistent dans les paroles et les lettres . Il faut laisser à l’enfant la liberté de culti
e cinq mais!... Mais c’est assez de reproches, ami ; d’ailleurs votre lettre d’aujourd'hui est si aimable, si doucereuse, si c
, d’autres guérisons se préparaient. L’Union du 23 août contenait une lettre de M. Baucher, huissier, déclarant que sa femme,
M. Ch. Renard nous écrit de Rambouillet, à la date du 25 novembre, la lettre suivante, dont le contenu intéressera vivement ce
èrement de son empreinte céleste. » La Jlevuc magnétique publie une lettre de M. le ministre do l’instruction publique qui p
46 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
complète, mais généralisée, il c-t arrivé à tracer d'abord quelques lettres puis il les assembler, il reproduire tous les c
ne parle pas ou ne possède que quelques mots, ne connaisse pas les lettres , ne syllabe pas, nous l'exer- çons à reconnaîtr
es sur fond noir, images blanches sur fond noir'), il apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond blanc, puis le
mages blanches sur fond noir'), il apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond blanc, puis lettres beaucoup pl
apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond blanc, puis lettres beaucoup plus petites); pour l'éducation de la
l y a un an, en entrant dans le service il connaissait il peine les lettres de l'alphabet et ne pouvait syllaber. En calcul
ée. - Ordres du jour des Commissions. Affiches diverses. Entâtes de lettres . - Divers imprimés pour les Ecoles d'infirmière
he très bien. En classe les progrès sont notables, elle connaît ses lettres , com- mence à compter, aime la gymnastique et l
nvers lee personnes qui l'entourent. Elle commence à rassembler ses lettres , connaît également les chiffres, sait les place
rononciation était mauvaise, elle zézayait beaucoup, prononçait les lettres j et g comme z; elle disait zuze pour juge, tou
ale. Elle était nulle, en instruction primaire, ne connaissait ni lettres , ni chiffres, ne savait môme pas tracer des bason
is à quelques-unes des délégations de Paris. Voici, comme suite, la lettre qui nous a été transmise. Monsieur le Docteur
et étudier notre méthode de traitement médico-pédago- gique, une lettre très intéressante sur les classes spé- ciales d
1 : E. Veuillez, Monsieur le Docteur, excuser le retard de cette lettre et le mettre sur le compte de belles vacances m
ilbert Petit, médecin en chef de l'asile d'aliénés du Mans, par une lettre en date du 12 avril dernier, nous communique le
itive. Marcelle n'a jamais pu rien apprendre; elle ne sait aucune lettre , et ne peut pas tenir un crayon; ne connaît aucun
mètre et du litre. Fait son lit. Décembre. Connaît deux nouvelles lettres l et 1, lit leurs combinaisons en syllabes simp
de la plupart des objets qui l'environnent. Il ne connaît aucune lettre ; fait sur l'ardoise des n, des o, des u et des c
le D" Arnaucl (de Saint-Gilles,) qui avait assisté à la séance, une lettre dans laquelle il soumettait à notre appréciatio
ivus. Ow, os wormiens. - Il, plan du rocher. La ligne indiquée sans lettre , entre le plan orbitaire (H, H) et le plan du r
de balbutier quelques paroles : «attends, va voir. » Place quelques lettres et quelques chiffres, mais ne les dis- tingue p
mais avec difficulté. Articulation très défectueuse. 11 connaît les lettres , les chiffres, les couleurs. Exécute bien tous
mbrasse bien fort. Suzanne. Nous avons reproduit textuellement sa lettre avec ses fautes et son absence de ponctuation.
extase, les yeux fixes et la bouche entr'ouverte. Il ne connaît ni lettres , ni couleurs, ne sait ni nouer, ni lacer, ni bo
ais ne peut ni nouer ni boutonner. Ler..., a appris à connaitre les lettres de l'alphabet, les chiffres, à distinguer sa dr
à cette volonté persistante, il est enfin arrivé à tracer quelques lettres , puis à les assembler et former des mots dans l
livus. Os, os wormiens. - R, plan du rocher. La ligne indiquée sans lettre , entre le plan orbi- taire (l'I, II) et le plan
47 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e moment sont ceux d'un autre. » Voici littéralement transcrite une lettre qu'il écrit à cette époque. « Mon cher docteur,
ppelait le D'' Marie te reçut de la femme et te retenait toutes tes lettres cependant je t'écrivais tous les cinq jours et
ire encore de bonnes affaires. Entends. « Suz. de C. » Dans cette lettre , malgré l'incohérence, on s'aperçoit que le 10
ce n'est plus lui qui parle : ils sont deux. Il écrit encore deux lettres ou les mêmes préoccupations sont traduites. L'a
doublement de la per- sonnalité, mais sans cohérence. - Voici les lettres qu'il a écrites et où il traduit son état par deu
REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. L'affaire Waldstein à Prague : deux lettres adressées aux membres de l'Association médico-p
(The Journal of Mental Science, janvier 1899.) La première de ces lettres est une critique des psychologistes qui ont jou
l'ba¡.t; par M. Mauxion, professeur de philosophie à la Faculté des Lettres de Poitiers. Vol. in-18 de 188 pages. Paris, 1901
'était coupé la gorge avec un rasoir. Sur sa table, on a trouvé une lettre dans laquelle il déclare « qu'il ne saurait sur
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
é le retour de la saison ouvrable, tout fut décidé. IL. adressa une lettre à ses enfants de Bruxelles, leur expliquant sa
énements qui ont immédiatement précédé la déter- mination prise, la lettre écrite, les préparatifs d'asphyxie, tout cela e
prise, la lettre écrite, les préparatifs d'asphyxie, tout cela est lettre morte pour lui. « Non, je n'ai jamais cherché à m
e, de même que les images optiques de toutes les configurations des lettres , sont soli- dement imprimés dans leur souvenir
goureusement les mouvements de sa main gauche, chaque trait, chaque lettre . C'est pourquoi les adultes et les gens sachant
t en position agissante leur main droite, et lui font effectuer les lettres nécessaires : alors seulement ils commencent à
tagère des étiquettes rouge foncé, avec « illium » écrit en grosses lettres , collées sur plusieurs bouteilles ; elle se leva
fet, qu'elle voit de mieux en mieux et peut dis- tinguer une grosse lettre d'une échelle d'acuité type Snellen, cor- respo
ée la diminue considérablement : Marthe distingue difficilement les lettres des optotypes, les unes après les autres, et ne p
ire ensuite l'échelle de Stilling, elle distingue exclusivement les lettres rouges, c'est-à-dire qu'elle ne voit que de l'o
e et le vert devant l'oeil droit, elle ne distingue d'abord que les lettres vertes grandes et petites, puis ensuite les gra
que les lettres vertes grandes et petites, puis ensuite les grandes lettres rouges, ce qui indique qu'elle voit à la faveur
es images visuelles, il ne faut pouvoir ne pas copier le mot ou les lettres . Il fait remarquer en outre, que lorsqu'on écri
ier au centre de Broca, que ceux du centre des images visuelles des lettres et des mots (pli courbe), qui vont au centre mo
'imbécillité pronom- noncée. A son entrée, il ne connaissait aucune lettre , ne pouvait, sur le cahier, reproduire que des
lents; il a peu de mémoire, cependant il est parvenu a placer les lettres et les chiffres et à reconuaitre les légumes. Pou
propre, s'habille, se désha- bille et se nettoie seul. Il place les lettres et les reconnaît. Parle assez à propos et prono
isons : triangle, carré, cercle, etc., et enfin, à la formation des lettres . - Cette manière de procéder nous a donné des r
assez satisfaisants. Latter... forme maintenant toutes les petites lettres et quelques grandes dérivées de o telles que d,
ur la lecture au Syllabaire et cepen- dant cet enfant, à l'aide des lettres mobiles, place les consonnes devant une voyelle
que l'enfant a voulu représenter, enfin il forme presque toutes les lettres et commence à les assembler, Cet enfant qui,
pour la lecture au syllabaire. Nous obtenons davantage à l'aide des lettres mobiles. La parole, chez cetenfant, continue à s'
nd compte des quantités qu'ils représentent, forme bien les petites lettres , com- mence à les assembler. Tier... (Pierre)
la boite aux leçons de choses. - En 1898, il reconnaît et nomme les lettres , chiffres, surfaces; place bien les bâtonnets d
tes phrases. En 1894, il s'habille et se déshabille seul, place les lettres , les surfaces, les couleurs. 11 commence à form
lettres, les surfaces, les couleurs. 11 commence à former quelques lettres et chiffres en 1895. Toujours en mouvement, Fél
lui pendant qu'il dort, je lui suggère l'analgésie, en suivant à la lettre la technique décrite par M. Farez. Au réveil, l'a
e néphrite méconnue et dans certains cas le délire aigu n'est, à la lettre , qu'une folie urémique sur aiguë. Cette opinion
is des années, en effet, il envoie régulièrement chaque semaine des lettres volumineuses. L'enveloppe, qu'il timbre toujour
il timbre toujours, porte invariable- ment l'adresse suivante : ' Lettre , Papiers d'Affaires. A Messieurs les Professeur
et à qui de droit), \ Chambre des députés, . Paris (Seine). Ces lettres , qui comprennent au moins une vingtaine de pages,
à tout roi et sujet (ici quelques mots illisibles sur toutes les lettres ) de avant 1300 ou de 1800 et de naissance dans le
roit (armées, polices, cultes, religions de l'univers entier) » Ces lettres commencent toujours par « Je fais connaitre que h
ommencent toujours par « Je fais connaitre que hier... » Dans cette lettre , il y a toujours des lignes en blanc recouvertes
uit par ce rêve avait suffi pour\ lui rendre la parole ? Dans une lettre adressée à l'Académie des sciences*, M. le comt
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
48 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
de Villejuif; CRUISE (do Dublin); L. DAURIAG, prof, à la Faculté des lettres de Montpellier; GUIMBEAU ; W. DEKHTEREFF (do Sain
idents. MM. Dauriac (Lionel), professeur honoraire à la Faculté des lettres . le docteur Grasset, professeur à la Faculté de
médecin de la Salpétrière. Dauriac (Lionel), prof, à la Faculté des Lettres de Montpellier, le l)r Deny, médecin de la Salpét
s hommes et quelques femmes qui se sont fait un nom dans le monde des lettres . Talleyrand a dit que l’Angleterre était le pay
yllabes ou, tout simplement, à l’impossibilité de prononcer certaines lettres ou certaines syllabes... Les muscles se contracte
en sortiraient avec leurs soies brillantes. Nous avons reçu plusieurs lettres qui confirment le fait. M. Th. Parkes, de Kerrnsk
Dkjerine, médecin de la Salpêtrière. M. Desbeaux (Emile), homme de lettres , Paris. M. le Dr Deschamps, à Rennes. MDr Del
sidents : MM. Daüriac (Lionel), professeur honoraire à la Faculté des Lettres de Montpellier, professeur de philosophie au lycé
ace au bureau. M. le Secrétaire général donne lecture de nombreuses lettres d'excuses. Il fait différentes communications rel
de Médecine, de l’Ecole d’Alfort et de la Faculté des Sciences et des Lettres . Avec l’appui et le concours de tels hommes, l’
r à la chaire de Neurologie et de Psychiatrie d’Amsterdam. Dans une lettre (datée du 30 Juin dernier) que m’adressa mon ami
palier de l’escalier d'honneur sous la grande fenêtre. Elle porte en lettres or-bronze cette dédicace : Ambrosio Augusto Lié
e de l’attentat pour lequel il avait été condamné. Celui-ci, dans une lettre que, malheureusement, le Président égara après en
e les touches portent en relief les signes Braille, correspondant aux lettres . Le professeur Lombroso, qui a étudié la comp
excités, F, F1, F2, F3,F4, F5, les nerfs moteurs excités. Les autres lettres comme dans la fig.1. tion) ou semblable, mais p
faisaient point de la philosophie leur occupation exclusive. Dans une lettre qu’il me fit l’honneur de m'écrire, il y a quelqu
cale. Par M. Lionel Dauriac Professeur honoraire à la Facultó des Lettres do Montpellier chargé du cours d’Esthétique music
oit romain testis unus, lestis nullus fut toujours pris au pied de la lettre . Le champ de nos ignorances s'en trouverait démes
s visions se sont évanouies; il écrit à M"* Leroy er de Chantepic, la lettre suivante: a Vous me demandez comment je me suis g
es et demie. M. Lionel Dauriac, professeur honoraire de la Faculté de lettres de Montpellier, chargé du cours d’Esthétique musi
e musicale M. Lionel Dauriac, professeur honoraire à la Faculté des Lettres de Montpellier, commencera son cours d'Esthétique
renciers furent Lionel Dauriac, professeur honoraire à la Faculté des lettres de Montpellier ; Jules Soury, professeur d’anatom
uggestion peutautographiersursa peau les mots auxquels il pense : les lettres s'inscrivent en un large ruban rose. Ce (1) Rev
es et demie. M. Lionel Dauriac, professeur honoraire de la Faculté de lettres de Montpellier, chargé du cours d'Esthétique musi
est revenu, elle n’a plus de faiblesses, elle nous a écrit une petite lettre dans laquelle elle disait: « Mille remerciement
es et demie. M. Lionel Dauriac, professeur honoraire de la Faculté de lettres de Montpellier, chargé du cours d’Esthétique musi
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de MM. Branly, Aragon et Seghers. Il communique à
e. Un rien lui cause des angoisses. Par exemple, avant d’ouvrir une lettre , elle souffre « terriblement », car elle sent, di
car elle sent, dit-elle, qu’il va lui arriver quelque malheur! Si une lettre de son fils est en retard d’un ou de deux courrie
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres du Dr Bourdon (de Mérti), du Dr Le Menant des Che
us les auteurs ont montré l’importance du traitement moral chez (t) Lettre adressée par M. le D' Binet-San^lé et lue en séan
at ne s’est pas démenti. Dernièrement, je recevais de !a malade une lettre dityrambique et débordant de reconnaissance. II
plus usitée est la suivante. Il inscrit sur un morceau de papier des lettres turques illisibles. Il prescrit de plonger le mor
e plonger le morceau de papier dans un verre d’eau jusqu’à ce que les lettres en soient effacées. On boit ensuite l’eau, ce qui
est de la valeur de deux cents francs. Les thèses des Facultés des Lettres , des Sciences et de Droit sont admises à concouri
49 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
l'hôpital des incurables à Naples; M. Bloch (Maurice), agrégé des lettres , directeur de l'Ecole Bischofssheim; Dr Alb. Bj
ée. Ordres du jour des Commissions. Affiches diverses. - Entêtes de lettres , registres et tableaux divers pour Direction et
s plus ou moins long dans son pays et nous a adressé, sous forme de lettre , les résultats très remarquables de cette enquê
ence et aux questions philanthropiques, do sa belle et intéressante lettre . L'exposé si complet qu'il Classes spéciales. L
ons que nous avons invoquées dans nos rapports, communications et lettres antérieurs pour justifier la création de classe
noeuvre athétosique sur le papier et trace d'un seul trait quelques lettres pour perdre tout aussitôt lo contact du papier
. Envoyé en classe, il est assez attentif, est parvenu à placer les lettres sur les cartons, mais ne les con- naît pas enco
à imiter les exercices que l'on exécute devant lui ; place bien les lettres , mais ne sait pas les nommer; reconnaît les cou
âge au point de vue scolaire. L'écriture est très irrégulière, les lettres ne sont pas liées entre elles, les traits sont
s au premier déjeuner, veut écrire à son père il qui il adresse une lettre incohérente et pleine de menaces : « Je te donn
es camarades. 21. - Crise it la suite d'une invitation à écrire une lettre à ses parents. René se couche par terre, fait s
trois ans, il n'y a rien fait; it cinq ans sa mère lui a appris les lettres , mais n'a jamais pu le faire syllabor : il est
e. - G.... parle, mais très mal : il prononce à peu près toutes les lettres de l'alphabet, sauf j-r-x. Usait endosser ses v
turbulent, incapable d'attention. Il connaît, avons- nous dit, les lettres , mais ne sait pas les arranger pour en faire de
ne fait aucun progrès en écriture, ne peut même suivre le tracé des lettres ; il n'y met du reste aucune bonne volonté, son
cible et mendiant. Il arrive à placer à peu près convenablement les lettres , mais est incapable de toute attention. - Hydro
aboratoire municipal de bactériologie et a reçu le 29 septembre une lettre de M. le Dr Miqucl d'où nous extrayons le passa
le est tourmentée et irrégulière dans les périodes d'excitation, la lettre qu'il a écrite de Belfort à ses parents est trè
calcul et la comptabilité en particulier; préfère les sciences aux lettres , n'aime pas la musique. d) Etal instinctif et
(c'est par erreur que la frontale ascendante a été indiquée par les lettres PA au lieu de FA. Pl, pli pariétal supérieur.
ncusr : (V. 1. 1 ! )2) , Face externe de l'hémisphère gauche. Les lettres ont la même signification que celles de la Plan
tubéreuse (V. p. 193). - Face interne de l'hémisphère gauche. Les lettres ont la même signification que celles cul Planch
50 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
FÉRIEURES DE L'ACTIVITÉ NORMALE ' Par M. Pierre JANET DOCTEUR DES lettres , agrége DE L'université Si les phénomènes d'aut
thèse de doctorat soutenue le vendredi 21 juin, devant la Faculté des lettres de Paris. (F. Alcan, éditeur.) pour se manifest
t de faire une entrée triomphale dans le sanctuaire de la Faculté des lettres . Vendredi dernier. M. Pierre Janet. ancien élèv
Un ??s d'hypnotisme appliqué à la politique. Le Standard publie une lettre de Belgrade, qui affirme que le roi Milan était h
que l'action d'écrire, et don', à l'âge où l'on s'exerce à former les lettres . les jeunes enfants—la petite ; le surtout, en ra
de la Société d'ophtalmologie de Paris. M. JANET Pierre, docteur ès lettres , professeur agrégé de philosophie. Mme JUGLAR,d
le Dr MAESTRATI, médecin a Paris. M. MÉRIC l'abbé Elle), docteur ès lettres , professeur a la Sorbonnc. M. le Dr MAGNIN Paul
ommunications sur l'organisation du congrès. Il donne lecture d'une lettre de M. Fallières, ministre de l'Instruction publiq
prouve une sensation visuelle de couleur chaque fois que le Sun d'une lettre frappe son oreille. Dans le cas précité, le mal
récité, le malade avait une sensation tranchée de couleur pour chaque lettre , voyelle ou consonne, De plus selon qu'il avait o
selon qu'il avait ou une image auditive ou une image graphique de la lettre , il voyait une couleur différente. Les diphtonque
goût, de sens musculaire, lorsqu'il évoque les images graphiques des lettres . Ces sensations sont constantes pour chaque lettr
es graphiques des lettres. Ces sensations sont constantes pour chaque lettre . Ainsi par exemple, l'O est noir pour la vue, don
envoyé au journal « Archivii italiani di laryngologia» sous forme de lettre ouverte à son rédacteur, une amusante et philosop
d'un somnambule Le rédacteur en chef de l'Union médicale a reçu la lettre suivante qu'il s'empresse de publier pour l'édi
ta de son innocence. D'ailleurs, sa femme repentante lui écrivait des lettres qui sembleraient lui donner raison. Elle avoue qu
anière de se procurer facilement de l'argent. Secondement, suivant la lettre , ils procédèrent comme il suit : A minuit, un a
1829, PP.410,411 LA FOLIE DE MOHAMMED TOCIU.AK teur des hommes de lettres (i). Ses lettres, en arabe et en persan, montrent
LA FOLIE DE MOHAMMED TOCIU.AK teur des hommes de lettres (i). Ses lettres , en arabe et en persan, montrent tant d'éloquence
issement de ses désirs. Suivant Ibn Batuta, il était provoqué par des lettres anonymes jetées la nuit dans la salle d'audience,
ul Abbas d'Egypte, avança à pied à la rencontre de l'envoyé et mit la lettre du calife sur sa tête. Il ordonna de faire de gra
égligé, et la vie sédentaire ou de cabinet, si famillière aux gens de lettres . Les maux qui résultent de là, quoique assez grav
in d'octobre par M. Voisin, se maintient. Nous avons reçu d'elle deux lettres , l'une du ta novembre 89, l'autre du 39 décembre.
n rêve et que je rentre dans la vie « de tout le monde » La seconde lettre qu'elle a écrite sous l'impression de l'état mala
mon pére n'était « pas malade, je serais très heureuse. » Ces deux lettres se passent de commentaires et montrent que la gué
de me remercier des soins que je lui avais donnés et de faire dans sa lettre une allusion toujours un peu attristée aux actes
» Je vous prie, monsieur le directeur, dé vouloir bien insérer cette lettre dans votre journal, afin d'éclairer les sectaires
r Lloyd Tuckey médecin aussi compétent que distingué, nous adresse la lettre suivante sur laquelle nous appelons l'attention d
pnotisme. Beaucoup de savants français avaient été sollicités par une lettre circulaire, d'accepter le titre de membres honora
r, la mésaventure de cette négresse, racontée par elle-même, dans une lettre au Procureur de la République. Cette négresse cro
pauvre femme écrivait à je ne sais quelle personne de sa famille une lettre calme et sereine, elle y parlait de son intérieur
de rien. Ainsi le matin du crime, quand la pauvre victime écrivait sa lettre , elle ne savait pas ce qui allait se passer ; son
modèle des précédentes. Il s'accuse de mauvaises actions, déchire les lettres qu'il reçoit, parce qu'il n'a plus le droit de fa
....; 2° Puis, profitant de ce que je n'ai pas reproduit, en toutes lettres , les citations de son livre sur le Magnétisme ani
périences, d après mes directions. J'ai retrouve dans mes papiers une lettre qui me paraît de nature a mettre M. Strohl enti
çus de lui à la date du 16 juin 1881. Il m'a autorisé a publier cette lettre , qui se terminait ainsi : « M. Jules Sandoz (mo
use constitue le premier temps du phénomène. Deux minutes après. la lettre ou l'inscription commence à paraître sous forme d
éâtrale. Si nous nous reportons a l'incident visé par M. Després, une lettre de M. le professeur Bernheim publiée par le journ
de Baugency, les enthousiasmes et les déceptions de l'abbé Faria, les lettres du général Noizet, les nouvelles discussions de l
leur faire du mal; il a des incertitudes fréquentes lorsqu il met une lettre a la poste, lorsqu'il ferme une porte, lorsqu'il
riture pendant que Lucie bavarde, et Léonie 2 écrivant à M. Janet des lettres qu'elle cache à Léonie I. Laissons-la ces railler
51 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
la voix que de l'articulation défectueuse. Monotonie complète. Les lettres 0 K G 1 J Q T Z sont à peu près impossibles à p
de la parole, sauf une certaine difficulté pour prononcer quelques lettres , inappétence, nausées presque incessantes, suivie
mbre, la patiente a observé tout d'un coup qu'elle pouvait lire des lettres écrites sur les murs, qu'elle ne pou- vait dist
par exemple, on devine le nom de Pierre d'après les deux premières lettres pi, si l'on sait d'avance qu'il s'agit d'un nom
ne figure convenue est un' problème analogue à celui de deviner des lettres et des chiffres. Il s'agit de tracer différente
de tracer différentes lignes courbes comme dans les chiffres et les lettres . Une des conditions de l'expérience veut que le
était 0. Le succès justifia mes suppositions. Alors je passai aux lettres N et 0. Je devine la première d'après l'existence
s régulières, comme par exemple : au cercle, au carre, etc. ; - les lettres et les chiffres sont diffi- ciles pour commence
ut l'exercice m'a pris quelques jours. Il est facile de deviner les lettres en suivant la voie indiquée pour deviner les ch
de députés, de fonc- tionnaires ; les noms de ville, etc. Dans une lettre qu'il nous écrivait à cette époque, il dit lui-
e, en même temps, de sa poche un cahier où se trouvent indiqués par lettre alphabétique les noms et les adresses des perso
er, se trouvaient des noms français et des noms flamands rangés par lettre alpha- DE L'oNOIA'C(1f.111E. 167 Détique. Il
amélioré depuis son entrée. A ce moment, il ne savait lire que les lettres , n'écrivait que mal et en gros caractères, ne s
é.'1 r1ü'mom'eilt''de"sonadmission, il ne savait guère lire que les lettres et syllabait avec'peine en bégayant beaucoup;ti
que Schuele,' ouvre le congrès par des 'fit 1.... 11 communique une lettre d,t'nbtireati de la paroles de bienvenue ? Il c
lettre d,t'nbtireati de la paroles de bienvenue ? Il communique une lettre du bureau delà Société des aliénistes allemand»
effet elle connalt un travail manuel facile; peut-écrire certaines lettres soit ? ? ri¡Í1trs'o(t s'oui; ta'dictée, et imprim
clié de Gade. 2 Id" . VII, p. 359, 262 L) SOCIÉTÉS SAVANTES. et lettres de salutations de 11111. Pèlman et Flamm. -= Souv
e' huit heures et demie : Lebûreàu annonce qu'hier il a adressé une lettre de félicitations à Richartz d'Ende- nich qui' a
ait tout appris, tout approfondi ; il cultivait même avec amour les lettres et la philo- sophie, et avait pour la lecture d
sinistre, un propriétaire de la localité trouvait dans sa cour une lettre de menaces d'incendie signé du nom de Claudius
s experts constataient entre l'écriture du prévenu et celle de la lettre les analogies les plus sérieuses, bien que, ont-i
enir et d'accroître les soupçons qu'avait fait naître contre lui la lettre trouvée, lettre qui intriguait de plus en plus
e les soupçons qu'avait fait naître contre lui la lettre trouvée, lettre qui intriguait de plus en plus la commune, à mesu
r celui-là que pour les cinq précédents, quand, le 22 novembre, une lettre anonyme de- nonça Claude Saron. Pris en flagran
ttant le feu j'étais en ribotte. Je ne connais pas l'écriture de la lettre de menaces d'incendies signée du nom de mon cou
gendarmes qu'un aveu seul pouvait lui rendre la liberté. Quant à la lettre qui l'avait dénoncé, il l'attribuait à une veng
sista à nier. Il fut, cette fois, très affirmatif relativement à la lettre anonyme qui le dénonçait. Il l'attribua à son c
, quand tous s'interrogent et recherchent le coupable, il écrit une lettre compro- mettante qu'il signe du nom abhorré, pu
inement ramassée. Le village s'émeut; une enquête s'ouvre sur cette lettre qui fait soupçonner un innocent;. lui, profitan
ée dans le service, on constate que cet enfant ne sait que quelques lettres , qu'il ne sait pas écrire, qu'il prononce bien
it compter jusqu'à cinquante, avec des jetons; il connais- sait les lettres de l'alphabet, mais sans savoir les assembler; il
choses, et tous ceux qui l'entourent. Il commence à faire quelques lettres et aies assembler; il n'a que très peu de notio
e quelques mots, bail la numération, compte 2 par 2, trace quelques lettres . Il est complaisant et fait de petites corvées da
. parle très peu, prononce quelques mots (maman...), ne lit.pas ses lettres ; il est d'ailleurs presque impos- sible de fixe
- Présidence de M. DAGONET. Le président donne lecture de plusieurs lettres de différents membres de la société qui s'excus
ssister à la séance d'inauguration de la statue de Pinel. Parmi ces lettres , il s'en trouve une de M. Henri Bonnet, auquel
sonnel, enfantin. Il ne sait lire ni écrire; il épèle seulement les lettres capitales. Son occupa- tion ordinaireest à l'at
52 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
ut ce qui lui est soi-disant arrivé chez lui, pourtant il écrit des lettres affectueuses à sa femme, en la priant de lui en
sente plus rien d'anormal. Il écrit à sa femme et à ses parents des lettres affectueuses en les priant de venir le prendre, c
e et correctement, mais vers la fin il s'embrouille toujours, il la lettre S ou T, et il est dans l'impossibilité de continu
et il est dans l'impossibilité de continuer même si on lui dit les lettres qui suivent immédiatement. Si on lui demande les
d'un air niais « gus » ce qui constitue en suédois un assemblage de lettres sans signification. Cependant, lorsqu'à une occa-
cles et des triangles. La facilité avec laquelle B... reconnait les lettres de l'alphabet est des plus inégale : il lui arr
bet est des plus inégale : il lui arrive de nommer correctement une lettre déterminée que l'instant d'après il est incapab
rsqu'il n'est pas sûr d'avoir immédiatement réussi à identifier une lettre , il se met d'ordinaire à réciter à part lui l'a
trouve, grâce à cet expédient, la 11li JOHANSSON ET FROEDERSTROM lettre cherchée ; seulement, comme il n'arrive pas plus
t presque toujours infructueuse lorsqu'il s'agit des huit dernières lettres de l'alphabet suédois. En d'autres occasions, il
ro- nonce à part lui une série de noms propres tout en regardant la lettre , et par cette voie aussi, il lui est quelquefoi
est quelquefois arrivé d'atteindre son but : ainsi, il identifie la lettre L en prononçant le nom Lilly, le nom d'une jeun
nom Lilly, le nom d'une jeune fille avec laquelle il a échangé des lettres ; plus tard, il est arrivé il écrire ce motsauf
fig. 3, n° 8). De rares foisB... a réussi à indi- quer le nom d'une lettre en suivant avec un crayon le tracé de la lettre,
- quer le nom d'une lettre en suivant avec un crayon le tracé de la lettre , mais le plus souvent ce procédé ne donne pas d
tire d'affaire relativement mieux avec des mots entiers qu'avec des lettres isolées, et ses succès il cet égard sont absolume
et les prépositions etc. ainsi que les combinaisons arbitraires de lettres constituent pour lui des diffi- cultés insurmon
les écrit en caractères capitales d'imprimerie, ou si on place les lettres en ligne verticale : B.. parait donc reconnaître
qu'images totales sans être en étal de distinguer les diffé- rentes lettres qui les composent. L. Plusieurs fois B .. recon
m ». L'instant d'après, il était incapable de nommer la plupart des lettres du tableau en question et aussi de nommer les let
a plupart des lettres du tableau en question et aussi de nommer les lettres compo- sant les mots lus auparavant. Lorsqu'au
tré complet il peut reconnaître et nommer certaines combinaisons de lettres qui ont été gravées dans sa mémoire op- tique,
ossibilité du contrôlesecondaire des détails, l'image des différentes lettres ayant en grande partie été effacée de sa mémoir
paraît se rendre partiel- lement compte de la forme des différentes lettres , sans pourtant arriver à lire ce qu'il vient d'
t sa signature et par là à se créer une « griffe ». Pour signer ses lettres et autres pièces, il s'est surtout servi de son p
adresse de son père de la même manière qu'il l'écl'i.. rait sur une lettre (HerrF. A. Blomkvist, Hullaryd, Sonamayd) tandis
ctuosités dans la faculté de B. de se représenter les dif- férentes lettres . Lorsqu'on lui demanda d'écrire le nom David (n
réciter l'alphabet comme il le fait à la lecture afin de trouvcr la lettre suivante ; n'arrivant jamais aussi loin que le
pas à xxv S 122 JOHANSSON ET FBOEDlm;;TIW1 une dizaine, et les lettres isolées que B. sait lire et écrire ne sont pasplu
où B. a pu, grâce à des mouvements d'écriture, trouver le nom d'une lettre ne méritent pas qu'on y attache d'importance, d
équivalent verbal et cela bien qu'il. lit, en recopia nt, formé les lettres d'une façon normale. La zone motrice n'exerce d
ulté de lire. Par contre, B. arrive presque toujours à recopier les lettres qu'il a su déchif- frer immédiatement avant ; s
tement avant ; souvent il lui est arrivé de ne pouvoir lire la même lettre quelques instants après, et alors ses tentatives
instants après, et alors ses tentatives consécutives pour écrire la lettre ont, sans exception, échoué. L'agrapbie de B. dép
urds-muets, afin d'exercer ainsi son sens graphi- que à l'égard des lettres et des mots. A condition qu'il ne se présente p
n3 saurions mieux faire que de lui emprunter son langage. Une des lettres qu'il écrivait à ses parents naguère, est particu
-même aux (1) Il avait un grand-père et un bisaïeul médecins. (2) Lettre à Pollet, Ornai 4639. OEuvres, édition et TA1OEER
ujours des anatomistes de profession, comme en témoigne la curieuse lettre suivante où il signale les difficultés que l'on r
uer un rôle prépondérant dans la physiologie du système nerveux (i) Lettre CLXXXVI il 111ersenne [t avril 164 OEuvres, édili
nies, sinon ensuite de ce qu'elles le sont en cette glande. » (2) Lettre CLXXXVI à Mersenne [l^° avril 1640]. (Muvres, éd.
des passages pour l'exécution desquels il les doit ainsi disposer » ( Lettre CLXXXVI à Mersenne [1" avril : l6;iOj, Desca1't
hs. IV. Névrite interstitielle, coloration : Marchi-sllfranine, mêmes lettres que dans la figure précédente. Lésion dimidiée
53 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
on institution à l'Etat ou, à son défaut, au département. Par une lettre en date du 13 juin 1886, adressée à M. le pré-
déposés au rang des minutes de 1\t. Renard, notaire à Paris ; vu la lettre de M. le Minis- tre de l'intérieur, en date du
n a sou profit d'une partie des legs faits au dépar- tement : vn la lettre de M" Dnlornu·, notaire à Paris, ea date du 7 déc
eur de l'Institution des enfants arriérés deGentilly (Seine), vu la lettre en date du 30 juin 1886, par laquelle le Ministre
ées par des religieuses. Les bâtiments désignés sur le plan par les lettres G, E, II, J, K, L, M, ont été élevés par M. 13a
n n° 1). IV. Le dossier qui nous a été adressé renferme, outre la lettre d'envoi, une note de la Direction des affaires
get de la Fondation. Je vous prie de m'accuser réception de cette lettre . Recevez monsieur le Directeur, l'assurance de
s sui- vant : z LXXXVin Fondation Vallée. ' Le Conseil, - Vu la lettre par laquelle M. le Préfet de la Seine fait savo
il marchait facilement. Sa mère essaya en vain de lui apprendre ses lettres . A sept ans, il fut mis à l'école, où il resta
ent, il leur en était reconnaissant. Il est parvenu à apprendre ses lettres , et à les écrire, mais il faut les lui montrer
sion. A son arri- vée en septembre 1885, il connaissait à peine ses lettres , et commençait à les écrire, ainsi que les chif
tait en voie de progrès. » Il était arrivé à reconnaître quelques lettres de l'alphabet, les chiffres et les couleurs. Il a
oré. En une année on était parvenu à lui faire reconnaitre quelques lettres de l'alphabet, les chiffres et les couleurs. Il
il tombait et se relevait aussitôt. En septembre 1885, il reçut sa lettre d'admission à Bicêtre et vint à l'hospice. - 10
se vêtir; commence à se servir d'une fourchette, connait toutesles lettres , parle assez bien. lia pris le ICI' décembre sa
des objets usuels. Ne sait encore que faire des bâtons, ou quelques lettres imparfaites. Caractère affec- tueux. Pas de tic
les chiffres, les nombres, les figures géométriques. Il trace de lettres en gros caractères, commence àsyllaher; il ne sai
que, il travaille passablement. Quelques pro- grès en écriture. Les lettres sont moins grosses et un peu mieux formées. (PL
école. Février. Jan. copie d'après les caractères manuscrits; ses lettres sont mieux formées. La lecture ne progresse pas i
moins batailleur. Novembres Arn.... commence <1 reconnaître les lettres , les chiffres, les couleurs. Il fait des « s »
ote quelques progrès en écri- lit ? -e; Arn... reconnaît toutes les lettres mais seulement quand on les lui présente dans l
rsque l'orthographe en est difficile, il attend qu'on lui dicte les lettres . Mar... sait lire. On s'en est aperçu non à ce
ie et issue de l'air par le nez, altération de la prononciation des lettres . Les labiales sont prononcées distinctement.
54 (1907) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1906
parole chez nos élèves est souvent défec-tueuse, on leur apprend les lettres , puis les chiffres avant même qu'elles sachent sy
âtonnets qu'il y a d'unités clans le nombre inscrit en chiffres et en lettres sur chaque casier. Au-dessus cle ce casier se tro
orées sur fond noir, images blanches sur fond noir) à apprendre les lettres , grandes lettres noires sur fond blanc, puis lett
noir, images blanches sur fond noir) à apprendre les lettres, grandes lettres noires sur fond blanc, puis lettres plus petites
à apprendre les lettres, grandes lettres noires sur fond blanc, puis lettres plus petites (attention et début de la connais-sa
puis lettres plus petites (attention et début de la connais-sance des lettres ) ; 2° pour Véducation de laparole, syl-labes simp
elles sachent à peine syllaber, d'au-tres même ne connaissent pas les lettres . Maladies infectieuses : 9 dont 2 coqueluches s
le parle bien. Elle prend goût à la classe, elle sait assembler les lettres et lit quelques syllabes; elle commence à écrir
fréquenté l'école primaire mais sans profit, connaissait à peine les lettres et traçait quelques bâtons sur l'ardoise. Elle ét
se, son attention s'est éveillée, elle n'a pas tardé à con-naître les lettres et les chiffres, elle est parvenue à lire pres-qu
04, son savoir était nul pour la classe, elle connaissait à peine ses lettres , ne faisait que des bâtons. Le caractère était ma
icu, pour Mon-sieur ; elle a beaucoup de difficulté pour prononcer la lettre r ainsi, par exemple, elle dit : bonjou pour bonj
e céruse Peintres en bâtiments.... 54 — décorateurs..... 5 — en lettres ....... 1 — en voitures..... 3 — en wagon.....
55 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la figure, pour les détails de laquelle ont été employées les mêmes lettres de renvoi, suffira LA CORNE D'AMMON. - 15 à l
e de la corne d'Ammon d'un singe cynocé- phale (Grossiss. 12 fois). Lettres comme pour la figure 2. Fig. 4. Idem chez un si
la figure 2. Fig. 4. Idem chez un singe cébien (Grossiss. 6 fois). Lettres LA CORNE D'AMMON. 35 comme précédemment; de p
. planche fll, Fig.7. - Rat; coupe horizontale; grossiss. 8 fois; lettres comme ci- dessus. Fig. 8. Rat; coupe vertical
corps bordant. Fig. 10. Taupe; coupe horizontale, grossiss. 7 fois. Lettres comme ci-dessus. Fig. 1t.-Chauve-souris; coup
sus. Fig. 1t.-Chauve-souris; coupe horizontale. Grossiss., 16 fois. Lettres comme ci-dessus. planche ZV. Développement
exus choroïdes. Fig. 13. Même coupe, mouton long de 21 millimètres. Lettres comme ci-dessus, de plus F, fente de Monro. 1
tale de l'encéphale d'un embryon de lapin, long de 17 millimètres ; lettres comme ci-dessus; A", lieu de la forma- tion de
Ammon. Fig. 16. Lapin presque à terme, et Figure 17, lapin à terme. Lettres comme dans les figures de la Planche 111. (Comp
u d'intelligence de la malade, qui ne sait pas reconnaître même les lettres , il est difficile d'ap- 164 CLINIQUE NERVEUSE.
s, des querelles, des brouilles, à créer des embarras, à écrire des lettres anonymes pour semer la dis- corde, à simuler de
s familles qui cessent de se fréquenter parce qu'elles ont reçu des lettres anonymes. C'est que dans ce pays, il y a souven
t des histoires de tout le monde et qui est entrée dans la voie des lettres anonymes, éprouvant un certain plaisiràsemer pa
et jésuite dispa- raissent. Ne recevant pas de réponse, elle écrit lettres sur lettres, donne son adresse, on fait des rec
spa- raissent. Ne recevant pas de réponse, elle écrit lettres sur lettres , donne son adresse, on fait des recherches en Fra
ent pas. E. ClIAPENTIER. 358 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XIII. LETTRE médicale sur GHEEL ET LE patronage familial , a
terminaisons heureuses sera de 83 p. 100. L'auteur termine ainsi sa lettre : « Notre colonie peut mon- trer les bienfaits
ui se soldent chaque année par un boni considérable. » E. C. XIV. LETTRE médicale SUR GHEEL ET LE patronage familial, ad
and;par le DIJ.-A. PFETERS, médecin inspecteur à Gheel. La première lettre insérée dans le numéro des Bulletins, année 188
nolcy), qui vient de mourir. Le docteurPeeters, dans cette deuxième lettre , insiste ' revue de pathologie mentale. 359 s
Gcullal (iwersion du sens), par Chiircot et Magnan, 53. "Gheel ( lettres sur), 358. Hallucinations (et terreurs noc- t
lutue,, 376. l'.u.uny'olclunu, multillu; v3S, Patronage familial ( lettres sur le), 358. Pédoncule cérébral (structure d
e la corne d'Ammon d'un singe cynocé- pltale (Grossiss. 12 fois). - Lettres comme pour la figure 2. Fig. 4. Idem chez un si
1 PLANCHE III Fey.7. - Rat; coupe lioricontale; roc51se. 8 fois; lettres comme ci- dessus. Fig. S. Rat; coupe vertical
, coips bordant. Fig. 10. Taupe; cmpe horizontale, rssiss.7 7 fois. Lettres comme ci-dessus. 11 1 1 . Cliaiive-souiis; co
ci-dessus. 11 1 1 . Cliaiive-souiis; coupe horizontale. 16 fois. Lettres comme ci-dessus. 392 EXPLICATION DES PLANCHES
xus choioides. Fig 13. - Même coupe, mouton long de SI millimètres. Lettres comme ci-dessus, de plus F, fente de Monro. I
utale de l'encéphale d'un emlnyon de lapin, long du 17 millimètres; lettres comme ci-dessus, A', licti de la forma- tion de
non. Fig. 16. - Lapin presque à terme, et figure 17, lapin a terme. Lettres comme dans les figures de la Plaxuic 111. (Comp
56 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
de Villejuif; CRUISE (de Dublin); L. DAURIAC, prof, à la Faculté des lettres de Montpellier; GUIMBEAU; W. DEKHTEREFF (de St-Pé
pour titre : les femmes à barbe dans la religion. (4) Champollion : Lettres écrites d'Egypte, 2- édition, p. 293-298. (5) R
r Hœ-berlin, de l'Ile de Fuhr (Allemagne). Il fait part de nombreuses lettres d'excuses venues de toutes parts t*t dont les aut
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de MM. les D" Van Renterghem (d'Amsterdam;, Raffe
festent. Les uns vont tracer sur le papier des jambages informes, des lettres , des mots. Puis sur l'injonction qu'il faut avoir
t et les séances sont de plus en plus suivies. II donne lecture des lettres d'excuses de M. le D' Huchard, membre de l'Académ
Lionel Dauriac, vice-président, professeur honoraire à la Faculté des lettres de Montpellier, prononce dans un éloquent discour
os correspondants de nous en faire une description détaillée dans une lettre particulière. Nous désirons connaître le prénom
a psychologie au congrès belge de neurologie et de psychiatrie. — Une lettre ouverte du Dr Huchard aux membres du Parlement. —
par XI. Glorieux, président du congrès. M. le Dr Huchard. dans une lettre ouverte aux membres du parlement et publiée par l
d'Erloy les dîmes qu'ils tenaient de son fief d'Attichy, approuva par lettres de 1231 et 1233 les legs que son père avait faits
aire d'Alto: - . Lionel Dauriac, professeur honoraire des facultés de lettres , Pierre Dubois, docteur en droit. L'enseignemen
politiques, par l'éclat de sa civilisation, par le développement des lettres , des sciences et des arts peut être considérée co
haute voix, tel texte latin ou grec du programme de l'Agrégation des Lettres . Il le prépare à l'avance ; il en possède le sens
musical, par M. Lionel Dauriac, professeur honoraire des Facultés des lettres . Vendredi 2 février, sous la présidence de M. l
ers, il a accepté d'être membre de notre comité de patronage. Dans la lettre qu'il m'adresse pour expliquer son absence, M. le
des maîtres capables d'enseigner la crainte de Dieu comme les belles Lettres ¦¦(¦). un petit séminaire dont il recrutait lui-m
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres d'excuses de M. le Dr Jules Voisin, président; de
M. le Dr Paul Magnin, vice-président; de M. le Dr Lux, ainsi que des lettres de MM. les DM Herm. Thorsen (de Trôndhjem, Norwèg
aux, M. Paul Mounet, de la Comédie française, M. Jules Bois, homme de lettres , M- le Dp Le Menant des Chesnais, secrétaire géné
Dès l'ouverture de la séance, M. le Secrétaire donne lecture de la lettre suivante qu'il vient de recevoir de M. le pro
re personne. Agréez, etc. Marcelin Berthelot. La lecture de cette lettre fut accueillie par de très vifs applaudissements.
ire du comité communique ensuite à l'assemblée les télégrammes et les lettres d'excuses arrivés au comité, de tous les points d
. L'espace dont nous disposons ne nous permet que de mentionner les lettres d'excuses adressées par M. le professeur Raymond,
laz, sous-chef de son cabinet. Vous venez d'entendre la lecture de la lettre de M. Berthelot. Les termes élevés par lesquels c
er en psychothérapie, il reprit sa vaillante plume et nous adressa la lettre suivante que l'on peut considérer comme l'express
e les inventeurs et que les hommes d'initiative. Si l'on prend à la lettre la définition de M. Lépine, le Dr Liébeault a été
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres de Mil. les D" Barbier (de Paris), Orlitzky (de M
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend les lettres de MM. les D" Jules Voisin, Habn (de Paris), Wïtr
donne lecture de la correspondance qui comprend, en particulier, une lettre de M. le D' de Torrès (de Luchon). Les communic
La psychologie des jeux de), par Hermann Laurent, p. 22. Huchard ( Lettre ouverte aux membres du Parlement), p. 132. Hype
57 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
: Date : Heure : I. Alphabet : a, v, g, 1, f, n, z. II. Série de lettres : a-s-p-c-t-r. 111. Série de chiffres : 7-3-9-5
de balbutier quelques paroles : «attends, va voir. » Place quelques lettres et quelques chiffres, mais ne les dis- tingue p
mais avec difficulté. Articulation très défectueuse. Il connaît les lettres , les chiffres, les couleurs. Exécute bien tous
toute erreur, nous prions également nos abonnés dejoiiîdi,c à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
livns. Ow, os wormiens. - l, plan du rocher. La ligne indiquée sans lettre , entre le plan orbitaire (H, H) et le plan du r
role ; il assemble quelques mots, distingue les couleurs, place les lettres et les chiffres. 1896. Cet enfant est parvenu à
ne fréquemment la nuit dans son lit. Il distingue les couleurs, les lettres et les chif- fres qu'il place dans les tableaux
scolaires sensibles ; commence à syllaber et à for- mer toutes les lettres et les chiffres, à établir une relation entre le
ha- bille seul, mais ne sait pas encore nouer. 1900. Il place les lettres , les chiffres et les couleurs, commence à trace
l s'intéresse à la lecture de nos mots imprimés, connaît toutes les lettres et les chiffres; établit une relation entre le
u turbulente, on constate de réels progrès ; elle assemble bien les lettres . Elle écrit, son écriture est lisible et assez
grammaire, peut même suivre une petite dictée, écrit elle-même une lettre et connaît les deux premières opérations de l'ari
lui semble drôle, il rit aux éclats. En classe, il place bien les lettres et les chiffres, reconnaît quel- ques lettres :
se, il place bien les lettres et les chiffres, reconnaît quel- ques lettres : exemple : a, e, i, o, u ; pour l'écriture, il e
: a, e, i, o, u ; pour l'écriture, il est parvenu à former quelques lettres . A la gymnastique des échelles et des ressorts,
semble que ce garçon ait la pré- tention constante de remplacer les lettres usuelles par des carac- tères graphiques étrang
énie à découvrir des modifications tou- lours nouvelles ; de là les lettres et les paraphes abracadabrants. Mais il n'y réu
iode congestive qui précède l'écoulement, impossibilité défaire une lettre , un calcul, attention impossible à fixer, sensa
écrit ains naturalistes, ils méritent d'être dénommés cliniciens es lettres . XXLEfude critique sur letic convulsif et son t
devons à la vérité de constater que dans ses récits comme dans les lettres qu'elle écrit aux magistrats et aux experts, el
été victimes d'une mystification. En même temps il écrit au duc des lettres injurieuses et le menace d'incendier son hôtel.
tale, après avoir causé un scandale avec des détenus et adressé des lettres injurieuses au Directeur des Services pénitentiai
son innocence malgré l'évidence des faits. Tandis que sa mère écrit lettres sur lettres au juge d'Instruction pour déclarer
e malgré l'évidence des faits. Tandis que sa mère écrit lettres sur lettres au juge d'Instruction pour déclarer qu'il ne jo
? neveu d'un ancien minis- tre de la Justice. Il termine une de ses lettres par cette phrase : « Pitié pour un malade, la p
n malade, la paralysie me monte de jour en jour au cerveau et cette lettre sera peut-être la dernière que vous rece- vrez.
rsécuteur. Plus on l'éconduit, moins il se rebute et il adresse des lettres diffama- toires au Ministre de l'Intérieur, au
famatoires (décembre 1900). A la fin de janvier 1901 il s'offre par lettre à donner au Parquet de Chartres des renseigneme
aîner sa colère. Quelques jours après il adresse au commissaire une lettre ouverte contenant un pli dans lequel il le trai
u Commissariat central. Au cours de ses explications, il montra une lettre signée : Trarieux, dans la- quelle ce sénateur
onnaî- tre qu'il n'avait jamais occupé ces différents postes, et la lettre fut saisie parle Commissaire central. Il n'en f
1902, à un mois de prison. Il fait opposition à ce jugement par une lettre in- cohérente adressée de Blois à M. le procure
gence. Enfin, depuis sa détention, il ne cesse de m'adresser des lettres dans lesquelles il se propose de me dicter les
formules enfantines; l'écriture, transformée, re- produit dans ses lettres gauches et inexpérimentées, dans des des- sins
une grande confiance en M. W. les malades suivent ses conseils à la lettre . Au bout de deux ou trois semaines, les malades
belges de leur accueil tout à fait confraternel 1. BOUIt\E1'ILLE. Lettre d'Anvers. Monsieur le Rédacteur en chef, L'ex
commencement du mois, de semi-lucidité, peut écrire à son père une lettre affectueuse, assez raisonnable, dans laquelle on
cela d'une façon saccadée. Les facultés sont bien conservées : une lettre d'elle à la surveil- lante en chef le prouve. L
rais vous demander un petit service. Pre- nez-moi donc cette petite lettre , je suis satisfait de vous voir... » , * 493 CL
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
rte de des processus de cicatrisation chez une hystérique, 370. Lettre d'Anveis, de Laignel-Lavas- une, 381. Lipome.
58 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la verge de l'homme. Elle s'empare d'un mot, d'une syllabe ou d'une lettre d'un mot, pour composer un des mots qui lui son
ainsi le nombre cinq lui est fort désagréable parce que la première lettre C la pousse, dit-elle, à former le mot cul et l
la première lettre C la pousse, dit-elle, à former le mot cul et la lettre Q, le mot queue. Aussi lorsqu'elle voit devant
inte au Grand-Orient, puis il a DE l'onomatomanie. 13 adressé dos lettres au Préfet de police, au Procureur de la Répu- b
e facilement. » Ainsi la lecture seule d'un passage triste dans une lettre ou dans un journal le fait pleurer, et cela bie
avoir lu correctement quelques mots, il continue à reconnaître les lettres composantes, mais sans pouvoir les associer en
avec le nerf optique, qui comprend : a, un centre de perception des lettres ; b, un centre de perception des images des mot
des images des mots écrits. B. D'un second centre d'association des lettres en rapport avec Aa, Ab. C. D'un centre total
a capacité de lire les mots avec impossibilité de recon- naître les lettres implique l'existence d'un second centre Aa dans
tres Aa, A6, est auto- nome, indépendante. De même, reconnaître les lettres et les associer en un mot, sont deux fonctions
indique les espèces morbides suivantes : 1° Perte de la valeur des lettres non reconnues quoique vues (sorte de cécité psy
partielle quand A6 est supprimé. 2° Impossibilité d'associer les lettres , d'ailleurs reconnues, en un mot; c'est la dysl
; mais si BDE + DC sont conservées la lecture est possible. 4° Les lettres sont reconnues, le syllabage est possible, mais l
l y a lieu de placer le centre A des images écrites des mots et des lettres dans le lobe occipital, le centre B d'association
t des lettres dans le lobe occipital, le centre B d'association des lettres quelque part dans le centre de la parole ; la tum
risation au Par- quet. Le Procureur de la République, dont j'ai une lettre serait aussi très heureux d'avoir l'avis de la
nd à lire en unis- sant à des mots déjà connus, représentés par des lettres , des lettres que l'on vient d'apprendre. La par
is- sant à des mots déjà connus, représentés par des lettres, des lettres que l'on vient d'apprendre. La parole écrite (le
tres que l'on vient d'apprendre. La parole écrite (le langage ' des lettres ) dépend de l'intégrité des trois éléments qui con
la peine, par exemple le travail de la composition des mots par des lettres , i sont le plus tôt altérées. De là, par exempl
t, à son réveil, de demander à l'infirmière une feuille de papier à lettre . Elle dort réellement une heure et, quelque tem
, quelque temps après son réveil, « ne pourrais-je pas écrire une lettre », dit-elle. On lui demande pourquoi elle parle a
générale annuelle est annoncée huit jours au moins à l'avance. Les lettres de convocation, indiquant le jour, l'heure et l
depuis la veille de son ouverture jusqu'à sa clôture. Jusque-là les lettres et tous autres documents devront être adressés
n nombre d'an- ciennes malades de se perdre dans le monde. Dans une lettre à un contemporain, M. Charles Ford appelle l'at
on de Faust. Un autre malade ne pouvait pas voir une carte ou une lettre bordées de noir; la vue d'un enterrement le bou
lée devant une baraque de saltim- banques une inscription engrosses lettres « les crimes célèbres ». Elle sait bien, dit-el
end un mot compro- mettant, ou s'il aperçoit un enterrement, ou une lettre , une carte bordées de noir, il se débarrasse ra
TALE. rage l'exactitude de l'adresse qu'elle vient d'écrire sur une lettre , dès qu'elle l'a jetée à la boite, elle se reto
à certains mots une influence mauvaise; elle recommence souvent ses lettres par crainte de por- ter malheur, surtout si ell
e sens de l'écriture ou des symboles représentés, ou même à lire la lettre DES LOCALISATIONS CEREBRALES. 245 dans laquel
et clair, tandis qu'il comprendra très bien la portée de cette même lettre dont il entendra la lecture. Chez d'autres mala
Faut-il faire par- venir indistinctement à leur adresse toutes les lettres écrites par les malades ? Cela peut avoir des i
e qui concerne la correspondance des malades, on doit envoyer les lettres , à moins qu'elles ne soient insignifiantes, aux p
nv. 1892, p. 49.) Au commencement du mois d'août 1888, je reçus une lettre d'une dame demeurant dans la Californie, me dis
crocéphale imbécile, chez lequel la partie enlevée ressemblait à la lettre H, a eu de meilleurs résultats. L'en- fant vit,
vements saccadés des mains ne sont plus si bien marqués. Dans une lettre reçue récemment la mère écrit : « L'enfant s'est
iée de Laënnec comme professeur de clinique. L'auteur y publie deux lettres du savant médecin où il prouve combien il appré
t dans le vrai lorsqu'il affirme que les symptômes sont comme les lettres de l'alphabet; en les considérant isolément elles
fort jolies choses; qu'elle fasse un costume ou qu'elle écrive une lettre , elle déploie un réel talent, mais tout cela es
59 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
r scientifique digne de fixer l'attention. N° 2. — Prix des gens de lettres . — Un prix de mille francs, dont une médaille d'o
question suivante : « Des effets du tabac sur la santé des gens de lettres . De son Influence sur l'a-» venir de la littératu
pareil problème. Albert Colas. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Une lettre rectificative de M. le Dr Pozzi. C'est avec sur
riat. Sa main tremble tellement, en effet, qu'elle ne peut tracer des lettres . Le sommeil léthargique est obtenu en peu d'ins
messe et qu'après l'office de dimanche » prochain, elle m'écrira une lettre dans laquelle elle me remerciera des soins » que
... a écrit le lendemain de ma dernière visite le certificat dont les lettres et les mots sont parfaitement écrits et non tremb
avant ces derniers temps. Mme X... l'a écrit rapidement. Voici la lettre qu'elle m'a adressée dans la journée d'hier diman
oici la lettre qu'elle m'a adressée dans la journée d'hier dimanche : lettre dont les caractères ne sont nullement tremblés.
cipalement à sa mémoire et à son imagination que, dans les classes de lettres , on fait appel ; et vous savez combien, dans cert
ile. M. Forel fut très étonné de recevoir une semaine plus tard une lettre de sa femme, qui écrivait : « J'ai été bien effra
ts e; des fleurs ; on peut ajouter que les sciences y sont, comme les lettres et les arts, l'objet d'un culte assidu. Aussi bie
président désigné de la section pour l'année l887, s'etant excuse par lettre de ne pouvoir assister au Congrès, la section pro
le devant lui ; mais il trouve dans la poche de l'homme assassiné une lettre par laquelle Berthe lavait attiré chez elle, sous
exte d'une grande infortune à soulager. La jeune fille avoue que la lettre est bien de son écriture, sur son papier, marqué
nnaître et avoir caché ce portefeuille, comme elle nie avoir écrit la lettre . Mais les apparences parlent plus haut que ses dé
nt laissé surprendre, elle ne peut faire autrement ; mais elle nie la lettre et le vol qui établissent la préméditation et le
taque le mari répond en produisant, quelque jours après, un paquet de lettres écrites par sa femme, de billets de rendez-vous,
dicté à sa femme, pendant le sommeil hypnotique provoqué par lui, les lettres grâce auxquelles il prétend faire prononcer le di
l'hôtel où sa femme demeurait. La visite chez le comédien, comme les lettres infâmes, tout était dû aux suggestions hypnotique
eurtre à Berthe Mauclair, qui lui a dicté, tandis qu'elle dormait, la lettre par laquelle elle avait attiré la victime. Commen
ue : de l'endormir comme il a endormi Mme Chassin ; de lui dicter une lettre de rendez-vous à laquelle Louis Chassin se laisse
c'est la commisération générale. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Une lettre de M. le professeur Bourru au président de la Soc
t empressé d'adresser au président de la Société de thérapeutique une lettre dans laquelle il rectifie les faits inexactement
e fort de se tromper grossièrement. Je lisais l'autre jour dans une lettre de Darwin que ce qui. dans son opinion, faisait s
euses. M. Magnus, professeur à l'Université de Stockholm, d'après une lettre , ajoute Briquet, qu'il m'a écrite, dit que l'hyst
s hauts fonctionnaires, les jurisconsultes, les orateurs, les gens de lettres , sont particulièrement exposés à des troubles spa
la classe des femmes. On ne doit donc pas attribuer à la culture des lettres et des arts les effets des passions accessoires à
ion de l'hypnotisme n'avait pas encore été traitée jusqu'ici dans une lettre pastorale. C'est Mgr Sancha Hervas, évêque de Mad
Depuis, la cour de Rome elle-même, après avoir combattu dans diverses lettres encycliques les abus du magnétisme, a déclaré, da
ement scientifique général pour qu'il nous semble nécessaire, par des lettres pastorales, de l'encourager à persister dans sa t
7 fr. 50) L'Hypnotisme et la liberté des représentations publiques. Lettres à M. le professeur Thiriar, suivies de l'examen d
udence la suggestion dans ses rapports avec la), par Liégeois, 356. Lettre de M. Bourru au président de la Société de thérap
60 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
r scientifique digne de fixer l'attention. N° 2. — Prix des gens de lettres . — Un prix de mille francs, dont une médaille d'o
question suivante : « Des effets du tabac sur la santé des gens de lettres . De son Influence sur l'a-» venir de la littératu
pareil problème. Albert Colas. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Une lettre rectificative de M. le Dr Pozzi. C'est avec sur
riat. Sa main tremble tellement, en effet, qu'elle ne peut tracer des lettres . Le sommeil léthargique est obtenu en peu d'ins
messe et qu'après l'office de dimanche » prochain, elle m'écrira une lettre dans laquelle elle me remerciera des soins » que
... a écrit le lendemain de ma dernière visite le certificat dont les lettres et les mots sont parfaitement écrits et non tremb
avant ces derniers temps. Mme X... l'a écrit rapidement. Voici la lettre qu'elle m'a adressée dans la journée d'hier diman
oici la lettre qu'elle m'a adressée dans la journée d'hier dimanche : lettre dont les caractères ne sont nullement tremblés.
cipalement à sa mémoire et à son imagination que, dans les classes de lettres , on fait appel ; et vous savez combien, dans cert
ile. M. Forel fut très étonné de recevoir une semaine plus tard une lettre de sa femme, qui écrivait : « J'ai été bien effra
ts e; des fleurs ; on peut ajouter que les sciences y sont, comme les lettres et les arts, l'objet d'un culte assidu. Aussi bie
président désigné de la section pour l'année l887, s'etant excuse par lettre de ne pouvoir assister au Congrès, la section pro
le devant lui ; mais il trouve dans la poche de l'homme assassiné une lettre par laquelle Berthe lavait attiré chez elle, sous
exte d'une grande infortune à soulager. La jeune fille avoue que la lettre est bien de son écriture, sur son papier, marqué
nnaître et avoir caché ce portefeuille, comme elle nie avoir écrit la lettre . Mais les apparences parlent plus haut que ses dé
nt laissé surprendre, elle ne peut faire autrement ; mais elle nie la lettre et le vol qui établissent la préméditation et le
taque le mari répond en produisant, quelque jours après, un paquet de lettres écrites par sa femme, de billets de rendez-vous,
dicté à sa femme, pendant le sommeil hypnotique provoqué par lui, les lettres grâce auxquelles il prétend faire prononcer le di
l'hôtel où sa femme demeurait. La visite chez le comédien, comme les lettres infâmes, tout était dû aux suggestions hypnotique
eurtre à Berthe Mauclair, qui lui a dicté, tandis qu'elle dormait, la lettre par laquelle elle avait attiré la victime. Commen
ue : de l'endormir comme il a endormi Mme Chassin ; de lui dicter une lettre de rendez-vous à laquelle Louis Chassin se laisse
c'est la commisération générale. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Une lettre de M. le professeur Bourru au président de la Soc
t empressé d'adresser au président de la Société de thérapeutique une lettre dans laquelle il rectifie les faits inexactement
e fort de se tromper grossièrement. Je lisais l'autre jour dans une lettre de Darwin que ce qui. dans son opinion, faisait s
euses. M. Magnus, professeur à l'Université de Stockholm, d'après une lettre , ajoute Briquet, qu'il m'a écrite, dit que l'hyst
s hauts fonctionnaires, les jurisconsultes, les orateurs, les gens de lettres , sont particulièrement exposés à des troubles spa
la classe des femmes. On ne doit donc pas attribuer à la culture des lettres et des arts les effets des passions accessoires à
ion de l'hypnotisme n'avait pas encore été traitée jusqu'ici dans une lettre pastorale. C'est Mgr Sancha Hervas, évêque de Mad
Depuis, la cour de Rome elle-même, après avoir combattu dans diverses lettres encycliques les abus du magnétisme, a déclaré, da
ement scientifique général pour qu'il nous semble nécessaire, par des lettres pastorales, de l'encourager à persister dans sa t
7 fr. 50) L'Hypnotisme et la liberté des représentations publiques. Lettres à M. le professeur Thiriar, suivies de l'examen d
udence la suggestion dans ses rapports avec la), par Liégeois, 356. Lettre de M. Bourru au président de la Société de thérap
61 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pour l'instant, que deux facultés : celle des sciences et celle des lettres ., En réalité, elle comprend- aujourd'hui,cinq,d
papiers, des morceaux de par- chemin, des canevas où il y avait des lettres écrites, des cailloux, des noisettes, et que so
s trouvées dans les poches d'une des religieuses ; que les fameuses lettres écrites et trouvées dans les coquilles, étaient
er et de'retourner à Auxonne. Il demeuré d'ac- cord d'avoir reçu la lettre . Il dit qu'il préféroit la délivrance de cette
aire. Mais il est facile de juger qu'il prétendoit se servir de ces lettres pour faire croire qu'il avoit continué son voya
ignalons entre autres un exposé du Dl' Robertson d'Edimbourg et une lettre de 111m Alice Bennett, médecin-direc- trice de
avons reçu, de M. le Pr Mierziéjewshy, de Saint-Péters- bourg, une lettre dont nous extrayons les passages suivants : Mon
vants : Monsieur, Nous avons l'honneur de vous envoyer dans cette lettre 229 rou- bles qui ont été souscrits par la Soci
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
exorcistes choisis par le Parlement, en sorte qu'ils obtinrent des lettres de cachet adressées à l'évêque de Cha- lon-sur-
etta par la bouche un taffetas plié, dans lequel paroist escript en lettre rouge le nom de Marie, et quatre autre capitale
Elle peut enfin dire assez nettement quels dessins élémentaires, de lettres ou d'autres objets, on trace sur sa peau avec u
76 CLINIQUE NERVEUSE La malade peut me citer sans erreur toutes les lettres de l'al- phabet ; de même elle les reconnaît fa
er à former. Or si je lui dicte des mots qui contiennent une de ces lettres ; comme : gira/e, jardin, lendemain, aujour- d«h
n, aujour- d«hui, eeL...,-elle les écrit sans tâtonner. Lorsque les lettres en question commencent un mut, elle hésite dava
de grammaire sont appliquées, mais on constate que des mots et des lettres sont oubliés ; ainsi elle écrira jtli ? z pour
souvenirs visuels. Lorsque je lui fais écrire les yeux fermés, des lettres ou des mots, elle éprouve une difficulté extrêm
mes ou incomplets; en outre elle est rarement capable de me dire la lettre qu'elle est en train de tracer au moment où je
nse majo- rité l'acceptait comme démontrée. Nous trouvons dans la lettre d'un Religieux Chartreux au Général de son Ordre,
dans la lettre d'un Religieux Chartreux au Général de son Ordre, lettre imprimée et portant la date du 12 juillet 1662, n
ainsi tout le poids du corps, en laquelle posture l'énergumènc 1 Lettre d'un religieux chartreux au R. P. Général de son
nommés d'ofice, il . seroit procédé à la recognoissance de quelques lettres capi- tales en rouge sur un petit billet de pap
ue les prescriptions légales qu'elles ont provoquées ne restent pas lettre morte. Les seuls pays qui aient fait des lois s
ociétés de tempérance sans lesquelles les meilleures lois demeurent lettre morte. Ces sociétés n'agissent pas seulement co
peut y retourner actuellement, c'est vouloir stéri- liser avant la lettre l'oeuvre de progrès que doivent réaliser les as
es sur l'avis de deux docteurs, et signées d'eux. En même temps une lettre de - cachet était envoyée à l'Archevêque de Bes
rciser et d'appeler ceux qu'ils jugeraient nécessaires. Une seconde lettre était envoyée tant à l'hôtel de ville d'Auxonne
et écrivait, le 15 juin 1662, au chancelier en son hôtel à Paris la lettre probante à cet égard que voici ' : r « Monseign
oirs de l'intendant royal avec ceux du Parlement, obtint enfin, par lettres patentes du 3 août 1663, que M. Claude Bouchu f
a connivence et l'accord intime de M. Legoux et de soeur Buvée, par lettres patentes, du 16 octobre suivant, il intervint u
on des arrest ont toujours estes citées par les Parlements et les lettres expédiées aux grandes chancelleries leur en ont e
re de la partie de l'Université qui cor- respond à nos facultés des lettres et délivre les diplômes de docteur en philosoph
ec l'espacement des visites. L'espoir d'une prochaine visite et les lettres que les malades reçoivent de chez eux agissent-il
th, 15 septembre 1894. ci Mon cher rédacteur en chef, « Après les lettres documentées de M. le Dol Régnier au Progrès méd
l est impossible de dire qu'il existe un centre de coordination des lettres et une lésion de ce centre; la dyslexie n'est p
dyslexie n'est pas due à la lésion d'un centre de coordination des lettres . Deux observations dans lesquelles l'auteur voi
les dyslexiques; 6° la périodicité de l'intelligence des mots, des lettres et des nombres est a noter dans les espèces de
ituation faite aux assistants, situation qui ressort d'une série de lettres intéressantes émanant de médecins signant sous
n d'éviter toute erreur, nous prions également nos abonnés z « leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
62 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
s avec des prostituées. Cette circonstance de même que les nombreuses lettres de mon amant me demandant toujours de renouer ave
n état antérieur, qui. du reste, ne me gênent plus guère. Je finis ma lettre en vous assurant que je suis devenu intérieuremen
chique qui me laisait défaut. » Pour juger la question, la dernière lettre du malade, contenant des détails sur son voyage d
cienne idole: elles font des dénonciations a la justice, écrivent des lettres anonymes, et finissent parfois par brouiller tout
ne cessait de porter du bleu pour Pennuyer et qu'on lui refusait une; lettre d'admission pout la maison de santé. Voilà bien
taire de la Société pour la recherches psycholoqiques nous adresse la lettre suivante que nous nous empressons d'insérer: Mo
lus agréable. Schylock médecin Un de nos lecteurs nous adresse la lettre suivante : Monsieur LE RÉDACTEUR, Dans un ent
ement que possible les fentes des portes et des fenêtres, écrivit une lettre dans laquelle elle reprochait à ses parents d'avo
rir un hommage en quelque sorte international, et nous envoyons cette lettre â tous ceux de nos confrères qui ont suivi la cli
x ajouter encore que le * lévrier 1890 un parent du malade me lut une lettre de sa mère qui confirme sa guérison absolue et co
La façon dont le sang circule. » On peut appliquer cette maxime a la lettre aux morphinomanes. H semble que sous l'influenc
gnant le tort que ses craintes, si elles eussent été prises trop à la lettre , eussent pu faire aux applications thérapeutiques
s procédés des hypnotisent s. A l'appui de cette opinion, il cite une lettre de M. Bernhciui. M. Batcman croit que le langage
à présent, on ne connaît, en France, qu'une très médiocre version des Lettres odigues-magnétiques, du même auteur, publiées en
avant d'accomplir ce suicide présumé. Elle avait eu soin d'écrire une lettre dans laquelle elle annonçait qu'elle allait se do
ieuses (consignées en partie dans mes ouvrages récents, notamment mes lettres à M. Thiriar) et je me suis rallié à la thèse de
entant les inculpés, les lésions du squelette de Gouffé et une longue lettre de Gabrielle Bompard. véritable régal pour les gr
à la Faculté de Médecine par M. Bertrand, professeur à la Faculté des Lettres . Elle avait pour sujet: « Un précurseur lyonnais
tin à leur incertitude, le rédacteur adressa au savant vieillard ont lettre dus laquelle il le priait de lui donner quelques
sée de la ville de Vienne. Mme Kyrtl vient d'écrire au rédacteur la lettre suivante, datée de Pcrchlolsdorf, où le savant de
en (V.). — L'Hypnotisme et la Conscience, (Bulletin Je la Faculté des lettres de Poitiers, juin 1890) ??rkworth (T.). — Perso
osophie pétiole. Dr ÉiiiLE Laurent. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Lettre de M. Delbceuf au sujet de l'affaire des guérisse
beault. Nancy, le 17 Juin 1890 (signé) : Liégeois. » Voici enfin la lettre que M. Beraheim m'écrivait en date du 21 juin sui
moi un certificat.....C'est pourquoi je vous écris aujourd'hui celte lettre dont vous pouvez faire usage au besoin. » Ainsi
attaques de nerfs. Le général eut voulu étouffer l'affaire, mais les lettres anonymes, les menaces ne cessaient pas de pleuvoi
pnose, car M. Von Wini varier crut devoir rectifier mon récit dans la lettre suivante : - Liège, le 19 avril 1890. ¦ Cher
ns télépalhiques; 3a Sens musculaire. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Lettre de M. le professeur Masoin au sujet des guérisseu
c éionnement dans la Revue de [Hypnotisme (livraison de mars 1891) la lettre dont M. Delbœuf vous a demandé l'insertion. Cet
s 1891) la lettre dont M. Delbœuf vous a demandé l'insertion. Cette lettre , rendue publique, renferme à mon avis, à coté d'i
ulté des Sciences, va continuer la série en ouvrant ft la Faculté des Lettres un cours de psycho-physiologie. Institut pstchi
des, son éducation, son caractère. M. Brouardel, si l'on prenait à la lettre ses déclarations, en arriverait donc à nier l'aut
Au milieu du banquet, après avoir communiqué les télégrammes et les lettres par lesquelles MM. les docteurs Cruise, de Dublin
a maison d'habitation. Les habitants de La maison, prévenus par une lettre de M. Voisin, assistèrent à la réalisation de cet
63 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
es. revue de l'hypnotisme SUGGESTIONS HYPNOTIQUES CRIMINELLES Lettre au docteur Liébeault Cher confrère et ami, Je
es lignes du même vieux livre pour montrer qu'en exposant, dans cette lettre , mon opinion sur l'imposante question débattue en
séance est lu et adopté. La correspondance manuscrite comprend une lettre de M. le Dr Paul Joirc, annonçant l'ouverture, à
de 300,000 francs faitaux époux Jouve. En somme, si l'on prend à la lettre le dernier considérant du jugement rendu par la 3
n individu. Il est aussi absolument utile d'avoir en mains soit les lettres du malade, soit ce qu'il écrit en dehors de ses l
ains soit les lettres du malade, soit ce qu'il écrit en dehors de ses lettres , quand ce dernier cas se présente. On ne saurait
., etc. M. le secrétaire général donne lecture d'un grand nombre de lettres d'excuses parmi lesquelles celles de MM. Persac,
minutes. J'apprends alors que cet énervement a été provoqué par deux lettres de son mari dont elle vivait séparée et qui l'obs
précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend des lettres de MM. les Drs Schrenk-Notzing, de Munich; Rosenb
eux élèves de l'Ecole normale, et sur 17 candidats à l'agrégation des lettres , 5 élèves de l'Ecole normale. Congrès de la pro
bondage somnambulique. Ce papier tombé de ma poche, dit-il, est une lettre de recommandation pour le directeur d'un asile qu
arquant son allure bizarre et touchée de son infortune, lui donna une lettre de recommandation pour un de ses parents, directe
as celle qu'il avait dite à son hôtesse lorsque celle-ci lui remit la lettre qui l'a rendu à sa personnalité première sans l'i
religieux, d'être un athée, etc. Le professeur Kogevnikoff, dans une lettre publiée dans les Moscovskia Viede-mosti, déclare,
ptique (1) Par M. le Dr J. Mourly-Vold, Professeur à la Faculté des lettres de Christiania (Norvège) Mes études sur les rêv
ntacte ; il avait simplement perdu la mémoire visuelle. II voyait les lettres imprimées très nettement, mais il ne pouvait plus
Il y a six mois, il a recommencé à apprendre à lire, tout d'abord les lettres , et ensuite il s'est mis à épeler dans un petit l
availleurs... Vous serez bien reçu. » Et voilà comment, précédé d'une lettre d'introduction, je me présentai au domicile du Dr
la charge ; on s'adressa à de mes amis ; le père me lit parvenir des lettres de recommandation. De guerre lasse, je finis par
ur plus marqués. C'est le 3 novembre 1891 qu'il s'adressa à moi par lettre , se recommandant de M. l'avocat Bonjean de Vervie
une nouvelle jusqu'au 10 juillet de la même année, où il m'écrivit la lettre suivante : « J'aurais déjà dû vous écrire depuis
ier pu marcher en mettant seulement un doigt sur le bâton. » Dans une lettre du 10 mai 1892, il m'écrivait déjà la même chose:
sens des objets, il ne les exprime par des figures conventionnelles ( lettres , motsj que bien plus tard. D'où trois centres :
Je connais l'image des objets qu'on me montre, mais ne puis lire les lettres . » Si 3 était intact et que le conducteur de 3 ve
ertain pour établir mon diagnostic, c'était sa correspondance. Or ces lettres , tant par la suite des idées que je pouvais y tro
précédente séance est lu et adopté. La correspondance comprend les lettres d'excuses de M. Boirac, vice-président, et de M.
précédente séance est lu ét adopté. La correspondance comprend des lettres de M. le D' Millée et de M. Coutaud, remerciant d
désirais soumettre à la Société. Elle appréciera. M. Bérillon. — La lettre que notre éminent confrère adresse â la Société d
séance de Décembre est lu et adopté. La correspondance comprend des lettres de M. Boirac, vice-président, et de M. le Df Heli
64 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
arrêtée par des phénomènes semblables : pendant quelques lignes les lettres étaient tracées avec régularité, puis des fourm
pation. Notre ma- lade n'avait de crampe que lorsqu'il écrivait des lettres , non des figures, au tableau noir ; ou lorsqu'i
ant le pouce et l'index. Lorsqu'on lui demandait de tracer quelques lettres , commençait correctement, mais au bout de quelque
aractères graphiques avaient un aspect'3 tout particulier : certaines lettres étaient informes ou réduites il de simples poin
ment les caractères appris, il cherchait à modifier constamment ses lettres de façon nouvelle; ne réussissant pas tou- jour
nt d'in- tensité ; la main devenait bientôt mal habile à tracer les lettres , se raidissait sur le porte-plume,puis les doig
nts synoviaux s'accusent dès que les doigts remuent pour tracer les lettres , et le malade localise la gène fonctionnelle au n
plume, les doigts se crispaient et la plume ne pouvaient tracer les lettres . Ainsi le trouble se localisait sur une fonction
agitée d'un léger tremble- ment se met à tracer irrégulièrement les lettres qui deviennent illisibles ; enfin le malade est
ent sont assez bien articulées ; mais dès que l'on fait répéter les lettres , l'articulation s'altère, la voix s'éteint, la pa
ait un acte de volonté ou seulement de l'attention pour écrire chaque lettre , épeler chaque mot, associer le geste à la paro
e ; 200 MACÉ DE LÉPINAY souvent les lignes sont irrégulières, les lettres petites, illisibles : le pa- pier est parsemé d
tout entier formant un bâton rigide, le malade trace avec peine des lettres irrégulières, de plus en plus mal formées, souv
recon- naître la succession des troubles; on voit d'abord quelques lettres bien tracées, puis, la main s'engourdissant, le
etissent et deviennent irréguliers; enfin, le spasme survenant, les lettres se défor- ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLE
crampe reparaît avec les mêmes caractères que jadis. Les premières lettres sont correctement tracées, puis la main devient
plume qui fait exécuter à la plume des échappées irrégulières ; les lettres se déforment de plus en plus, et le ma- lade es
'est un tremblement tout spécial de la main au moment de tracer les lettres ; ce tremblement est oscillatoire, et « consiste
te réellement que lorsque M. A... prend la plume et veut tracer des lettres ; alors la plume est agitée de mouvements alterna
t de tout le membre supérieur, et le malade peut à peine tracer une lettre ou deux. Mais, au bout de quelques minutes, M. R.
e même, ou du moins fort analogue à la machine à écrire, ou par des lettres tracées à la plume ; aussi l'on conçoit sans pe
s touches ; il en résultait une maladresse qui faisait imprimer une lettre pour une autre on pourrait dire : faire des fauss
de jouer de la ma- chine à écrire. Dans le télégraphe Morse, les lettres sont représentées par une réunion de points et
ble, lorsqu'en 1860 il s'aperçut qu'il avait de la peine à faire la lettre S qui se compose de 3 points ; même difficulté
ite pour l'I (2 points), l'U (2 points, 1 trait) ; cette der- nière lettre renversée (1 trait, 2 points) qui forme le D se f
cipitation, et comme dans un mouvement d'élan. Peu à peu les autres lettres subirent successivement le même sort. Il essaya
ripotages de Bourse, opérations commerciales, nouvelles politiques, lettres chilllées, langues an- glaise, française, itali
e, se déplace devant un cadran immobile sur lequel sont tracées les lettres de l'alpha- bet ; et la transmission consiste à
ssion consiste à mettre successivement ce levier en contact avec la lettre que l'on veut écrire ; la main n'exécute donc poi
e flexion qu'elle doit effectuer dans l'ap- pareil Morse, et chaque lettre ne nécessite qu'un mouvement de la main, au lie
voulait se mettre au tra- vail. Kodym (183) a vu un polisseur de lettres , qui uniquement pour l'exercice de-sa professio
cre ;... un bâton,... l'encre ;... etc. » Puis vient l'écriture des lettres , qui sera décomposée en plusieurs temps. Par ex
l'écriture. Lorsqu'on juge qu'il est arrivé à tracer facilement les lettres de la façon qui vient d'être dile, on diminue l
, et l'on fait exécuter, toujours sans commandement, d'abord chaque lettre en entier avant d'aller chercher de l'encre, pu
haque lettre en entier avant d'aller chercher de l'encre, puis deux lettres consécutive- ment, ensuite trois lettres, un mo
cher de l'encre, puis deux lettres consécutive- ment, ensuite trois lettres , un mot, deux mots et ainsi de suite. Le patien
ui faudra s'astreindre à une extrême lenteur, et « décomposer » les lettres qu'il ne peut plus former régu- lièrement. Il
Thomas (251) recommande à ses malades de s'exer- cer à calquer les lettres de l'alphabet : on passe ensuite à la copie des
ttres de l'alphabet : on passe ensuite à la copie des bàtons et des lettres sur un cahier d'écolier ; enfin les lettres sont
copie des bàtons et des lettres sur un cahier d'écolier ; enfin les lettres sont tra- cées lentement une à une, puis les mo
caractères, sera encore en état de tracer de grands cercles ou des lettres de grandes dimensions. Nous pouvons remarquer u
me dans l'écri4ure ordinaire, en ayant soin toutefois de tracer les lettres avec une certaine lenteur ; pendant ce temps la
atteint de crampe des écrivains doit avoir une écriture ronde. Ses lettres seront arrondies, sans angles, sans pointes aiguë
ue jour avec régularité, avec patience, avec méthode; peu à peu les lettres pourront être tracées plus vite, plus petites,
écrire, les caractères qu'il trace sont irréguliers, incertains ; des lettres ne sont pas achevées ; d'autres sont compliquée
, de la palhol. de Requin, Paris, 18G3. 4. Bautt. - Ein Beitrag zur Lettre vom Schreibkrampf. Zeit. f. ort. chier., Stutt-
indifférent pour sa famille il ne la fréquentait presque plus. Les lettres qu'il lui adressait étaient rédigées en quelque
E... Ce garçon est bachelier; il se prépare, dit-il, à la licence ès lettres et se destine à l'enseignement. Sa conduite est
iles dé- ployées porte un écusson dans lequel se trouve inscrite la lettre N. Le dessin est encadré de deux branches de la
r la région del- toïdienne gauche, un oiseau tient dans son bec une lettre cachetée. Au-dessous de l'ombilic, on lit : Rob
65 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
ive. - C'est Leroy. Le mot Pipe. - C'est Leroy. On lui montre les lettres de l'alphabet sur des cubes de bois. Qu'est-ce qu
ce pas des dains ? 40 HALIPRÉ Sont-ce des chiffres ? - Non. Des lettres ? - Oui. Ou lui présente un Z. Ne peut le nomme
. écrivez-le. - Elle répète 67 ans, puis elle cherche à l'écrire en lettres . Ecrivez 1, 4, 12, 60. - Elle écrit correctemen
bien voir le mot mais, ne pou- vait le dire. On lui fait lire les lettres séparément en cachant les autres lettres. N ? -
dire. On lui fait lire les lettres séparément en cachant les autres lettres . N ? - C'est un C. 0 ? C'est ou. Le même mo
primés ou l'écriture cursive. Cependant elle reconnaissait quelques lettres et même quelques syllabes isolées (Cécité verba
re malade, assurément très 46 HALIPRÉ peu instruite, oubliait les lettres à mesure qu'elle les traçait et comme elle ne p
le les traçait et comme elle ne pouvait les reconnaître en tant que lettres , puisqu'elle était atteinte de cécité verbale,
t atteinte de cécité verbale, elle ne parvenait à écrire que 2 ou 3 lettres de suite. Il faut toutefois faire une exception
e médecine. Tous ces documents étaient ignorés de hialgaigne. - Les lettres ornées, les figures et les planches ici reprodu
OVE la fistule, fut annobli par Louis XIV, il est spécifié dans ses lettres pa- tentes qu'il pourra continuer à être chirur
ques de la Vierge, de l'enfant et de l'adora- (1) LAMNEL-LAVAsTtNE, Lettre d'Anvers. Arch. de Neurologie, 1903, no 94. 118
on ne serait disposé à l'admettre au premier abord.Ecrit encore des lettres sensées bien que très simples. Joue mal aux car
est ainsi qu'en décembre 1898 K... écrivit encore à ses parents une lettre très enfantine c'est vrai, mais correcte et sensé
e professionnelle pendant qu'elles écrivent des chiffres et non des lettres , pendant qu'elles écrivent en présence d'une au
main, il se sent bien portant. Mais il lui suffit d'écrire quelques lettres et même quelques mots pour qu'il sente que ses
désordonnés, en traçant des véritables hiéroglyphes à la place des lettres . xvm 15 218 KOUINDJY Inquiet, le malheureux
inaire les flé- chisseurs contribuent beaucoup pour l'exécution des lettres , dans l'écriture avec la main renversée les ext
ividu atteint de la crampe professionnelle a son esprit éloigné des lettres qu'il écrit, son cerveau est ailleurs. Enfin, il
Un, l'encre, etc. Le bâton s'écrit, par conséquent en un temps. La lettre 0 s'écrit en deux temps : (, l'encre- ).La lett
t en un temps. La lettre 0 s'écrit en deux temps : (, l'encre- ).La lettre p s'écrit en deux temps 1 l'encre o ; la lettre
: (, l'encre- ).La lettre p s'écrit en deux temps 1 l'encre o ; la lettre k s'écrit en trois temps : - l'encre l'encre ;
cre o ; la lettre k s'écrit en trois temps : - l'encre l'encre ; la lettre S s'écrit en deux temps : c l'encre o ; la lettre
ncre l'encre ; la lettre S s'écrit en deux temps : c l'encre o ; la lettre a s'écrit en deux temps : o l'encre -i ; la let
c l'encre o ; la lettre a s'écrit en deux temps : o l'encre -i ; la lettre R en trois temps - l'en- cre o l'encre f ; la l
'encre -i ; la lettre R en trois temps - l'en- cre o l'encre f ; la lettre A s'écrit en trois temps : 1 l'encre l'encre, (
tient arrive à exécuter facilement les diffé- 228 KOUINDJY rentes lettres de l'écriture, nous abrégeons les pauses et nous
uses et nous lui permettons d'écrire toujours sous commandement les lettres en entier, de ne chercher de l'encre qu'après a
ttres en entier, de ne chercher de l'encre qu'après avoir écrit une lettre , deux lettres, trois lettres, un mot, deux mots
er, de ne chercher de l'encre qu'après avoir écrit une lettre, deux lettres , trois lettres, un mot, deux mots et ainsi de s
her de l'encre qu'après avoir écrit une lettre, deux lettres, trois lettres , un mot, deux mots et ainsi de suite. Cette faç
encore très faible, on lui permet de se lever, elle veut écrire une lettre , et dès le commencement de cette lettre la main s
lever, elle veut écrire une lettre, et dès le commencement de cette lettre la main se met à trembler ; elle ne parvient à
ive le 1er janvier 1902. Soeur M. L.. reçoit plus d'une centaine de lettres auxquelles elle doit répondre. Elle est très pr
dans cette circonstance et dès lors se met à répondre à toutes ces lettres sans le moindre accident (elle écrit plus de qu
même succession des phénomènes qu'en janvier 1902 : grand nombre de lettres , désespoir de la ma- lade de ne pouvoir y répon
travagants, elle commence. Le plus souvent, c'est dès les premières lettres que les accidents apparaissent. L'on voit la mala
malade se remet à écrire. Cela se produit surtout pour l' certaines lettres , r. v. et pour les majuscules, surtout pour S. et
tout pour S. et 1. initiales de son nom, et toujours à la fin d'une lettre quand il s'agit de faire la liaison avec la sui
avec la suivante; d'autres fois elle ne peut pas faire terminer une lettre sur la même ligne que les précédentes. Elle en
r M. I... a vu sa main n trembler presque dès le commencement de la lettre qu'elle écrivait dans les circonstances que nou
e invocation à la Vierge ? Obligée de répondre à de très nombreuses lettres du nouvel an (plus d'une centaine), elle lui de-
sse de la main, cela pendant trois ou quatre semaines, et sitôt les lettres terminées, les secousses reparaissent immédiateme
ire. /'<'10. 5. |(jrane il de is. lieoUroy-a¡nl-lIUa¡re. Mêmes lettres que la figure*. PATHOGÉNIE DE LA PSEUDENCÉPHALI
nasonnée. L'articulation n'existe presque pas ; mais séparément les lettres sont bien prononcées. La parole est accompagn
al le 3 juin complètement guérie. En septembre, le père a écrit une lettre de remerciements. En décembre, nous avons vérifié
mptômes qu'avait présentés sa fille. Le diable avait dorénavant ses lettres d'introduction. Ce que devint l'épidémie, comme
raison des inimitiés qu'il s'était attirées dans le précédent. Une lettre le devança à Morzine; elle émanait du brigadier
'est une succession de miracles retentissants. Le saint remédie (1) Lettre de M. Martin Feuerstein, (2) Les Petits Bolland
66 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
ans ses bras, de le couvrir de son corps, ou bien de le prévenir, par lettre , que des soupçons s'élèvent contre lui, qu'il doi
a été bien établie par M. le professeur Lombroso, de Turin, dans une lettre adressée à M. le docteur Gilles de la Tourette. C
COPIN I La condamnation de l'hypnotisme contenue dans la récente lettre pastorale de l'évêque de Madrid-Alcala appelle na
otisme, M. le D* Guermonprez a reçu de M. le professeur A. Pitres, la lettre suivante qui vient corroborer d'une façon très pr
ait chercher. » C'est pourquoi je me permets de prier les hommes de lettres , les directeur» de grandes bibliothèques et les a
t supérieur de Montpellier, les membres de l'Académie des sciences et lettres , viennent de décider que dans l'hiver 1880-1890 o
nière, — j'étais en vacances et à la campagne. — on me consultait par lettre sur le cas dune dame, âgée de 57 ans, qui avait t
mi-crise; nous la retrouvons indiquée avec plus de précision dans une lettre que le docteur Fiiz Gibbon, médecin royal et agré
les questions mises au concours par l'Institut des sciences, arts et lettres du Milan, concours auquel les médecins italiens e
r plus amples renseignements à l'Institut royal lombard des sciences, lettres et arts à Milan. Nous constatons, à ce sujet, q
dogme de la trinité, par M. Courdaveaux, professeur à la Faculté des lettres de Douai. — Broch. in-8° 1888. El hipnotismo y
d'une façon aussi légère. Ne fût-ce que pour faire cesser la pluie de lettres qui s'est abattue depuis lors sur l'hôpital de Ro
de toutes les autres, car elle en est bien nettement séparée. LA LETTRE PASTORALE DE M6R L'ÉVÊQUE DE MADRID SUR L'HYPNOTI
initiés cependant aux mystère» de la physiologie. Dans celte belle Lettre où la clarté d'esprit et la charité 'évange-lique
és. Le document religieux le plus important du débat, c'est-à-dire la lettre encyclique adressée à tous les évêques par la Con
vêques par la Congrégation du Saint-Olrlce, en i856, est intitulé : « Lettre encyclique contre les abus du magnétisme », et, d
étisme est condamné. J'ai eu de la peine à concilier, dans la belle lettre de réminent évèque de Madrid, deux passages qui s
ce temps. Il me parait intéressant de joindre à mon observation une lettre que m'écrivait, le 1; juillet dernier, un élève d
ts de cette science pour tous les siècles. 11 i:« répondait pas à une lettre de sir Humphry Davy sur la physique et la chimie,
conscience de cette sensation perçue; il ne la conçoit pas; elle est lettre morte pour lui. Voilà ce qui constitue l'hallucin
ernes sur la matière. Dans ce premier cours, il a donné lecture d'une lettre que venait de lui écrire son éminent collègue de
t particulièrement logique (comme l'était celui que je désigne par la lettre B dans mes articles delà Revue Philosophique tire
uvement graphique à la main insensible, le sujet voit sur l'écran les lettres tracées. RECUEIL DE FAITS TROUBLES HYSTERIQ
, chaque Université complète comprend quatre Facultés: I* Faculté des lettres ; 2' Faculté des sciences physico-mathématiques 'm
utre* toajt», M. .Nicot. le pharmacien-poète, bien connu des ami» des lettre », a la ua sonnet finement ciselé en l'honneur de
us les renseignements qu'il a recueillis avec le plus grand soin. Ces lettres sont empreintes de la plus vive sympathie pour no
remarquer, Messieurs, qu'il serait dangereux de prendre au pied de la lettre les termes de cette note ; en dépasserait certain
aborateur, M. le docteur Ladame, a été amené ù écrire à la Tribune la lettre suivante, qui résume si bien le débat : Genève,
ne sont connues en France que par une très mauvaise traduction de ses Lettres odiques. Devenus très rares, ses livres ont été
e psychologie physiologique, 286. Légende du soldat somnambule. 97. Lettre pastorale de Mgr l'évéque de Madrid sur l'hypnoti
67 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
de Villejuif; CRUISE (de Dublin); L. DAUR1AC, prof, à la Faculté des lettres de Montpellier; GUI M BE AU ; W. DEKHTEREFF (de S
t àleurs collègues de Paris. Leurs télégrammes et les termes de leurs lettres d'excuses témoignent de l'intérêt avec lequel ils
ppelé, à propos de la neuropathologie, qu'avec les mêmes vingt-quatre lettres on fait un nombre infini de mots différents. Et l
r Grasset (de Montpellier) sur l'Hypnotisme et la Suggestion ; 3° des lettres de MM. les D" Lemcsle et Yv'alcau qui s'excuscnl
et Yv'alcau qui s'excuscnl de ne pouvoir assister à la séance; 4° une lettre par laquelle M. le D' Ledrain, de Loué fSarthe),
sotte et mesquine, ce que Stéphane Mallarmé, dans une des admirables lettres qu'il m'a écrites, appelait : ? La vie! ou ce qu'
conséquent votre suggestion ne peut les atteindre, elle est pour eux lettre morte. » Je réponds brièvement. Il est faux que
énéral donne lecture de la correspondance manuscrite qui comprend des lettres d'excuses de MM. les D'« Lloyd Tuckey (de Londres
e confiance en M. Wetterstrand, les malades suivent ses conseils à la lettre . Au bout de deux ou trois semaines les malades
ne lecture de la correspondance; celle-ci comprend, entre autres, des lettres d'excuses de MM. les Professeurs Raymond et Déjcr
te catholique. Après quoi, il déposa sur le bureau de l'Assemblée ses lettres de prêtrise, son anneau et sa croix. Mais si Gobe
intres de valeur, des historiens, des poètes, de véritables hommes de lettres , enfin et — pourquoi non? — jusqu'à deux docteurs
qu'un des a sionnistes » est malade, il doit adresser au prophète une lettre demandant qu'on prie pour sa guérison. Dowie pren
ète une lettre demandant qu'on prie pour sa guérison. Dowie prend ces lettres et, avec des gestes rituels plus ou moins impress
al donne lecture de la correspondance qui comprend, entre autres, une lettre d'excuses de M. le Dr Doyen et une autre lettre d
nd, entre autres, une lettre d'excuses de M. le Dr Doyen et une autre lettre dans laquelle M. le Dr Swoboda (de Vienne) fait p
à la Société un livre de M. Victor Henry, professeur à la Faculté des Lettres de Paris : La M&gie dans l'Inde. Les commun
e constitue pour nous la plus haute des récompenses, nous a écrit une lettre dans laquelle il laisse espérer qu'il présidera l
lit; se met-il à rédiger une ordonnance, au bout de quelques mots les lettres chevauchent les unes sur les autres, des jambages
éance est lu et adopté. M. le Président communique à la Société une lettre par laquelle M. Jules Voisin s'excuse de ne pouvo
ecrétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend des lettres d'excuses de MM. Fiessinger et Baguer, puis une l
comprend des lettres d'excuses de MM. Fiessinger et Baguer, puis une lettre dans laquelle M. le D' Bernard (de Cannes) relate
rétaire général donne lecture de la correspondance qui comprend : une lettre par laquelle M. le Dr Le Menant des Chesnais s'ex
aliénés réputés criminels. M. Bêrillon communique à la Société une lettre autographe de James Braid écrite à son fils, étud
à son fils, étudiant à Edimbourg et datée du 12 mai 1844. Dans cette lettre , Braid interprète avec un remarquable esprit crit
Liébeault est profondément gravé sur le livre d'or de la science — en lettres Indélébiles. {Est républicain). Le lendemain,
composés, servent à l'incarnation de nos idées : Les chiffres — les lettres — les figures ou images. Les chiffres et les let
chiffres — les lettres— les figures ou images. Les chiffres et les lettres , dans les opérations intellectuelles, ont essenti
68 (1886) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1885
que nous l'avons rappelée maintes fois soit verbalement soit par lettres . Sachant, par une expérience pénible, combien p
colonie de Vaucluse, pour l'enseignement de leurs ca- marades, des lettres en bois, des solides, des tableaux divers, des
end aux enfants à se tenir debout, à marcher, et, à l'occasion, les lettres et les chiffres ; 2° à gauche et à droite, des
otes à la Salpêtrière. D'autres fois, et c'est ce qui ressort d'une lettre écrite par l'un des principaux fonctionnaires d
te par l'un des principaux fonctionnaires de l'Assistance publique, lettre LVIII CONDITIONS D'ADMISSION DES ENFANTS. que
amélioré depuis son entrée. A ce moment, il ne savait lire que les lettres , DES FAMILLES D'IDIOTS. 13 n'écrivait que mal
ucable. Au moment de son admission, il ne savait guère lire que les lettres et syllabait avec peine en bégayant beaucoup; i
ée dans le service, on constate que cet enfant ne sait que quelques lettres , qu'il ne sait pas écrire, qu'il prononce bien
it compter jusqu'à cinquante, avec des jetons; il connais- sait les lettres de l'alphabet, mais sans savoir les assembler; il
choses, et tous ceux qui l'entourent. Il commence à faire quelques lettres et à les assembler; il n'a que très peu de noti
e quelques mots, sait la numération, compte 2 par 2, trace quelques lettres . Il est complaisant et fait de petites corvées da
. parle très peu, prononce quelques mots (maman...), ne lit pas ses lettres ; il est d'ailleurs presque impos- sible de fixe
69 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Plus tard, le doute pathologique s'accrut; quand X... écrivait une lettre , il ne cessait de la relire de peur d'avoir commi
t pas laissé tomber; il se de- mandait s'il avait bien affranchi sa lettre ; cela le préoccupait outre mesure; chaque fois
r toute erreur, nous prions également nos abonnés dejoind1'e à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations,
mains sont gourdes et tremblottantes, l'écriture malaisée avec des lettres et des mots oubliés. S... est considéré comme un
it pu commettre de tels actes. Il avait cependant écrit plu- sieurs lettres quelque temps avant la catastrophe, dans l'une il
réels et de divagations. Un élément précieux de diagnostic est une lettre qu'il écrivit du manicome. On y lit qu'il se se
ris à lire et à écrire, un à lire, un à épeler, 1 à reconnaître ses lettres . Les deux autres, qui avaient déjà des notions
mple chez les employés des postes, qui en soupesant sur la main les lettres peuvent distinguer des différences de poids, im
tites prome- nades dehors d'une durée d'une demi-heure. D'après les lettres que nous recevons de ce malade, qui habite la p
se qui parvient à sa fin après une série d'interruptions. Parmi les lettres , aucune n'a paru avoir d'action perturbatrice s
mais de répétition et de prononciation défectueuse des mots, et les lettres qui sont pour le bègue ordinaire l'objet d'une
n et maison de fous. Une société policée et barbare y enfermait sur lettres de cachet, par les ordres d'un prince ou la vol
bras à sa femme et en s'ap- puyant sur une canne. Dans sa dernière lettre (septembre 1895), sa femme nous écrit de Dieppe
nt une sorte de sifflement, d'où son surnom de le Siffleur. Par ses lettres on reconnait qu'il était crédule à l'excès, dép
, bégaiement de l'écriture (transposi- tion et oubli continuels des lettres en écrivant). 3° G..., vingt ans. Père alcooliq
, les prononçait aussitôt en présence d'un cartouche renfermant les lettres R. F. Le malade atteint de cécité verbale ne pe
es formes intenses que le malade perd la faculté de reconnaître les lettres . * La parole parlée est altérée, mais d'une faç
le; mais bien que le malade ne puisse spontanément écrire une seule lettre , il tracera le plus sou- vent son nom. Le senso
sous la dictée, et s'il copie il cherche péniblement à retracer les lettres comme s'il copiait un dessin. L'hémiopie homo
Mirallié a fait des expériences au moyen de cubes sur lesquels des lettres étaient dessinées. S'il existait un centre d'agra
permettant de coordonner les mouvements nécessaires pour tracer des lettres , les malades atteints d'agraphie pourraient forme
ormer des mots avec ces cubes, les mouvements destinés à tracer les lettres n'étant plus nécessaires. Or, chez tous les mal
E bienfaisance. Assistance DES enfants IDIOTS. Nous avons reçu la lettre suivante qui mérite d'attirer l'at- tention des
eûné au bas mot trente jours sur qua- rante. Elle nous écrivait des lettres où, comme dans les Faux- Bonshommes, il n'était
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations,
ne; le corps goûte aussi quelquefois des saveurs tièb douces 1. ' Lettres spirituelles sur l'oraison. DES PSYCHOSES RELIG
ingénieur sur les mémoires qui lui en seront présentés et enfin une lettre de l'Administration municipale de Blois du 7 dudi
cats de la commune et une enquête. J'en trouve un cependant sur une lettre du Directeur du Jury de l'ar- rondissement de B
a preuve dans une délibé- ration prise après la communication d'une lettre de M. le préfet lui proposant d'établir la mais
u ~de bienfaisance le plan du nouvel hospice et en même temps une lettre d'avis avec l'affiche de l'adjudication des trava
ars, ils écrivent au préfet pour lui recommander la lecture de leur lettre du 14 avril 1825 contenant l'énumération des co
de pareilles conditions. « Le ministre de l'intérieur connaît votre lettre du 18 avril 1825, disait-il, ainsi que la délib
même, car à la date du 15 septembre ·1S ? G, nous avons trouvé une lettre du préfet informant le maire de Blois, qu'il y
toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre et leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations,
70 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e, il est pris d'une raideur des doigts qui l'empêche de former les lettres . Plus particulièrement difficiles à tracer sont
i sont formées commc des u ; enfin les traits de liaison entre deux lettres , de sorte qu'il existe souvent plusieurs interr
au bout de quinze jours de traitement déjà, le malade m'écrivait la lettre sui- vante, qui permet d'apprécier l'améliorati
s plus de nouvelles, quand deux mois plus tard.je reçus une seconde lettre m'annonçant la guéri- Fig. 2. son presque com
nts ont été retrouvés les yeux bandés. La femme Faron a laissé deux lettres , pour sa mère et son mal i demandant pardon, di
lle qu'il est contraint de s'arrêter dans un café. Il écrit là deux lettres , mais avec peine, ému qu'il est par tout ce qui
écrivons chez lui et il répond à notre questionnaire par une longue lettre , datée de fin mai 190 ? . 11 n'a point quitté s
r- Médecin. (l)Nous les accordons depuis 1878. Nous publierons la lettre de M. Camescasse, préfet de police qui a consen
. gardien à l'asile d aliénés de Quatre-Mares (Seine-Inférieure). Lettres de félicitât ion. HtZEL\tRE, surveillant à l'asil
re et il l'épelle lentement, mettant quelques secondes entre chaque lettre , qu'il prononce d'une façon explosive; ensuite
le composent, puis l'image visuelle lui apparaît, il en compte les lettres , nous le lui faisons alors prononcer en l'in- v
st toujours difficile, le mot manus- crit maison est lu en 10 "; la lettre l est toujours pour lui un obstacle difficileme
e mot ancien dans un journal. Il met près d'une minute pour lire la lettre t, lit très vite u, moins vite s (10 "), é (20
vite s (10 "), é (20 "). Il met 45 " à chercher dans le journal la lettre a. Lç nombre manuscrit 3.450 est lu en 10 " le
avril. Il se plaint de lire moins bien qu'hier, il recon- naît les lettres , les épelle,et ne peut arriver à lire le mot. Il
mot imprimé citoyenne. Il prend le mot imprimé congrès, épelle les lettres , au bout de trois minutes, déchiffre la premièr
Vous pouvez fumer une cigarette, nécessite 65 " d'efforts, il a lu lettre par lettre, puis a cherché les syllabes. Il a c
z fumer une cigarette, nécessite 65 " d'efforts, il a lu lettre par lettre , puis a cherché les syllabes. Il a compris le s
si est-il fier des progrès qu'il a faits. Il devait au début lire lettre par lettre, puis syllabepar syllabe, depuis huit
fier des progrès qu'il a faits. Il devait au début lire lettre par lettre , puis syllabepar syllabe, depuis huit jours, il
ENTALE, secondes il savait bien nous dit-il, qu'il devait écrire la lettre mais il ne se souvenait plus de sa forme. Il éc
écrit sous notre dictée : Nous sommes aujourd'hui lundi. chaque lettre étant épelée, il a mis 8 minutes pour le faire;
lade a surtout beaucoup de peine à retrouver la manière d'écrire la lettre f. 12 avril. D ? met plus d'une minute pour écr
ent pour lui à retrouver les mouvements nécessaires pour former les lettres . 70 " lui sont nécessaires pour écrire sous dic
'ai cherché à le voir quelque part inscrit pour trouver la première lettre , je l'ai vu devant les yeux j'ai écrit Du puis
rit Du puis j'ai dû- fixer pour voir le b et regarder les dernières lettres . Pour son nom au contraire, il nous fait remarq
promu à la classe exceptionnelle du cadre. Distinction honorifique. Lettre de félicitations pour acte de courage et de dév
tituerait en même temps une violation certaine de l'esprit et de la lettre de la loi du 14 juil- let 1905 sur l'assistance
promu à la classe exceptionnelle du cadre. Distinction honorifique. Lettre de félicitations pour acte de courage et de dév
er toute erreur, nous prions également nos abonnésde joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
71 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ni images phonétiques, ni conceptions représen- tatives imagées des lettres , il n'a cependant pas de la paragraphie. Par co
, le nom correspondant, la conception représentative des images des lettres , et les sensations des mouvements propres à l'é
Cenlratbl., XIII, 1894.) L'oeil de la malade reconnaît sûrement les lettres et les images des objets, sans pouvoir les nomm
paraphasie légère. Celle-ci ne porte généralement que sur quelques lettres ou syllabes, rarement sur des mots entiers. Elle
ns, tels que le toucher et. l'odorat. La malade reconnaît aussi les lettres imprimées mais n'en trouve pas le son; il en es
s imprimées mais n'en trouve pas le son; il en est de même pour les lettres et les mots écrits; elle ne les reconnaît pas d
toute erreur, nous prions également nos abonnés dejoiiîdi-e à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations,
essentirait un vif intérêt pour leur « soin ultérieur ». Dans une lettre du D'' Hack Tuke, écrite en mai 1879, se trouvent
Dans une communication reçue de lui, se trouvent les mots : « Votre lettre intitulée Soin ultérieur, m'a profondément inté
e célébra encore dans la rue Wimpole, le Dr Tuke était-présent. Une lettre antérieure émanant de lui, avait trait à un « p
travaux. Une question plus avancée se trouve dans une des dernières lettres du président. « Le temps n'est-il pas arrivé po
ler. B. Paris, le 21 juin 1810. Monsieur le Ministre, Par votre lettre du... ? vous m'avez ordonné de visiter rétablis-
avec leur représentation, et enfin avec leur nom. Il a discerné des lettres et il a connu son alphabet dans sa double expre
rnier, les cours de M. Séguin, elle n'avait jamais pu apprendre une lettre ; en moins de trois mois elle a su l'alphabet el
varia. 269 depuis longtemps, mais n'osaient pas parler. C'est une lettre ano- nyme qui les signalés à la justice. Les
9, à l'Association française, M. ARNAUD DE la JASSE lui adressa une lettre dans laquelle il conseillait l'ingestion de la gl
n individu. Il est aussi absolument utile d'avoir en mains soit les lettres du malade, soit ce qu'il écrit en dehors de ses l
ns soit les lettres du malade, soit ce qu'il écrit en dehors de ses lettres , quand ce dernier cas se présente. On ne saurai
ente en outre une cécité verbale très accusée, sans cécité pour les lettres ni pour les objets et sans hémianopsie. Le cham
es propriétés du Var. Il adressait de là aux pères de la Grotte des lettres édifiantes : « Je n'ai plus qu'une chose en vue
et du goitre exophtalmique, il déclare s'en être bien trouvé (une lettre ultérieure de H.-W. Mackenzie combat d'ailleurs s
ambe du côté droit. Au bout d'un mois elle quitte l'hôpital, et une lettre de sa mère datée de six mois après l'accident l
s apprises à la pension. Ses parents prétendent qu'elle connaît ses lettres , mais nous constatons bientôt qu'elle n'en conn
s (système Pichery) et de l'échelle convexe; distingue toutes les lettres , lit sans épeler (d'après la méthode Regimbaud) l
ogrès continuent en lecture et en écriture; écrit a ses parents des lettres qu'elle sait lire; les spasmes persistent. Oc
s progrès réels : fait sur son canevas, d'après modèles, toutes les lettres de l'alphabet. Progrès en lecture et en écritur
lettres de l'alphabet. Progrès en lecture et en écriture, fait les lettres majuscules, compte sans se tromper jusqu'à cinq
l'écriture est meilleure, l'enfant lit couramment, fait seule des lettres à sa famille, l'orthographe est meilleure, elle f
érie et se décident à ramener chez eux (10 juillet). Octobre, - Une lettre à nous adressée par les parents de Marie- Louis
d'apprendre et de connaître l'orthographe, de rédiger elle-même des lettres pour ses parents. Marie-Louise devient, en un m
re souvent comme un équivalent de l'acte empêché dans l'envoi d'une lettre intempestive, sans but, sinon incohérente. , L'
'accord avec vous sur les moyens à employer; déjà en 1887, dans une lettre qu'il écrivait à Mgr Irelan, évêque de Saint-Pa
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations,
72 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
. Cet enfant qui n'avait aucune notion classique, ne connaissait ni lettres , ni chiffres, ne savait môme pas tenir un crayo
e pas tenir un crayon, commence à écrire, même à assembler quelques lettres , a et à compter. La mémoire et l'attention, qui
LE, Bicêtre, 1896. ? LXXXII ASSISTANCE DES ENFANTS IDIOTS. IL w Lettre DE 1\1. Carriot au sujet de la statistique DES
esser aux directeurs et aux directrices, il nous a demandé, par une lettre en date du 12 septembre, quelques renseignement
u 12 septembre, quelques renseignements com- plémentaires. Voici sa Lettre et notre Réponse. A M. le Dr l3oanw : wu.i.r, m
fectoral du 3 mars 187 ! ) l'assimila- tion doit être complète. Une lettre de M. Michel Moring, adressée à M. Bourneville
re. Paris, le 6 juillet 1888. Monsieur le Docteur, J'ai reçu la lettre que \1\f. les médecins du service des aliénés n
édecins du service des aliénés me rappellent, à celle occasion, une lettre adressée il M. le 1)'" Hourne- ville par l'un d
e suivante, les médecins aliénistes ont adressé à M. P¡';Y1\ON la lettre cle rappel suivante : Paris, le 25 mai 1889.
journée à traîner sur les bancs dans la cour. Il ne connaît pas ses lettres , ni ses chiffres, n'a rien appris en gymnastiqu
89 Entré à l'école le 20 octobre 1879, D.... ne connaît pas les lettres ni tracer aucun caractère d'écriture. Il addition
nfant. 21 septembre. - Le maître obtient de lui faire répéter les lettres et d'en tracer pendant S à 10 minutes. - D... est
e attention ; elle ne sait pas lire et peut à peine épeler quelques lettres . Elle sait former ses lettres, connaît ses chif
lire et peut à peine épeler quelques lettres. Elle sait former ses lettres , connaît ses chiffres et peut compter jnsqu'à 1
illicile. Il bave fréquemment. On était parvenu à lui apprendre ses lettres , il les a oubliés. La mémoire diminue. Hydrothé
18UIi) , 230 Imbécillité ET paraplégie spasmodique. apprendre ses lettres , ni à compter. Il sait bien s'habiller et se dé
est assez propre dans sa tenue. Il ne connaît pas encore toutes ses lettres , ne trace que des bâ- tons, place bien les cart
gie spasmodique. Aucun progrès pour l'écriture, la connaissance des lettres , des chiffres. Il sait le nom du jour et non du
73 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
ées pour les projections. Le matériel s'est augmenté de tableaux de lettres majuscules et minuscules placées les unes au-de
e adulte à la division des épileptiques; impressions de feuilles de lettres , chiffres arabes, chiffres romains (les impairs
Vallée, d'un pavillon destiné à recevoir cent enfants et, ajoute la lettre de M. Le Roux, directeur des affaires départeme
is le 13 mars 1879 (14 ans). A l'entrée (août 1886). Il connaît ses lettres ; trace des lettres et des chiffres, mais d'une
(14 ans). A l'entrée (août 1886). Il connaît ses lettres; trace des lettres et des chiffres, mais d'une façon très irréguli
ans). Entré en 1879. , 1882. Amélioration de la parole. Connaît ses lettres , sait compter jusqu'à 10, aide à nettoyer et à
es diverses parties du corps, les animaux et les couleurs, fait des lettres , des chiffres, écrit des mots, etc. Envoyé à l'
9 (13 ans 1/2). A l'entrée (octobre 1884) : il ne connaît pas les lettres , ne sait pas écrire, compte jusqu'à 10, commenc
e personnel, casse les carreaux, s'évade, etc. Il ne connaît aucune lettre , commence à tracer des bâtons compte jusqu'à 20
e, ne se sert que de . la cuillère pour manger ; ne connaît pas ses lettres , ne sait . pas compter. v ' Perri... (Joseph)
, appris les exercices de la petite gymnastique; connait toutes ses lettres , amélioration de la parole, zézaie- ,ment', sai
llère, de la fourchette et même du couteau. - 11 connaît toutes ses lettres et commence à syllaber. Il devient plus attenti
e. Il écrit plus vite que lors- qu'il est entré, et forme mieux ses lettres . - Il sait faire les additions. Il n'a aucune m
et le violet. Intelligence : Loo. parle librement ; il connaît ses lettres , écrit lisiblement : sait tracer les chiffres,
e graisse qu'elle lui fait manger au parloir. Dans les nombreuses lettres qu'elle nous a écrites, elle revient constamment
la fourchette, ne se montre pas trop gourmand. Il connaît quelques lettres , est toujours gâteux. Pas d'onanisme. Il est af
jours de même et a les mômes tendanccs de gau- cher. Il connaît les lettres et les couleurs... Son attention est toujours n
erge devant une fem- me. Mis en cellule, il envoie, le 11 juin, une lettre au méde- cin lui demandant de le pardonner. Dan
, une lettre au méde- cin lui demandant de le pardonner. Dans cette lettre , le repen- tir paraît nettement tenir à ce qu'i
74 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
environ au bout d'une heure : les images men- tales des mots et des lettres reviennent. Pour s'en assurer, M. H... prononce
ai 1899). Signalons que le Temps met les noms des malades en toutes lettres . 78 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. CONTRE L.1LCOOL
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
ndre la vérité, 'pour lui dire que son fils lui est rendu. Voici la lettre qui édifiera amplement le lecteur sur l'état me
me. « J'ose espérer, ma très chère mère que vous accepterez celle lettre de bon accueille, et que vous voudrez recevoir le
Rouher où est-il ? Il n'est pas à Paris. Ne fait pas attention à la lettre , je fais écrire par un enfant, car je suis très
inutile d'insister sur le tissu d'inconséquences que contient cette lettre , ni sur l'absurdité des subterfuges employés par
identité. Le 1er décem- bre 1885, n'ayant pas reçu de réponse à sa lettre , il se rend à la Préfecture de police, et se pr
« Monsieur, je suis le prince impérial et je voudrais savoir si ma lettre , adressée par moi à l'impératrice Eugénie, ma m
u-de-pied. Il pensait, dit-il, être plus tôt réuni à Dieu. Dans une lettre , il avait annoncé sa résolution d'en finir avec
oupable, ainsi qu'il l'indique dans le passage suivant d'une de ses lettres : « Je ne puis que maintenir ce que je vous ai
i envoya sa photographie, son adresse, des cadeaux, lui écrivit des lettres . Tout revenait sans avoir été décacheté, et dans
r que par ton traitement ? » Nouvelles tentatives de rapprochement, lettres , etc., dont le résultat fut une annonce peu pol
Malgré l'affront reçu, elle répondit avec la même amabilité par des lettres et écrivait entre autres : « Ma chambre est très
dée fixe. 93 l'aire sortir d'ici, et vous ai même donné copie d'une lettre que j'envoyai à S. M. le roi des Belges, dans l
souffrances. Il raconte tout ce qu'il endure, dans de nombreuses lettres , où il se plaint amèrement des tortures qu'on lui
e la bande de crapules qui me torturent ne se torchent pas avec mes lettres . a Pierre D... Coucou. 'J C'est Lien un délir
es de myotonie se retrouvent chez un troisième frère, interrogé par lettre . On a soumis à un examen médical deux autres fr
tente douloureuse. M. Brissaud rapporte l'observation d'un homme de lettres , russe, âgé de soixante ans, goutteux, migraine
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
P. SOLL1EI. (Cenlralbl. f. 11'rvenheilii., XXI, N. F. IX, 1898.) Lettres de l'auteur à Erlenmeyer; corrigées et traduites
icipal de Paris et de leurs journaux. (B.J. - Voir aux annonces : Lettre f'f .ll. Cit. nl/lJ1l ? sur la création de classe
écillité et qui, le jour du mariage de son frère, sur le reçu d'une lettre anonyme injurieuse pour sa mère et sa soeur, tu
xemples de phobie : phobie chirogra- phidue ou crainte d'écrire des lettres ; phobie contagieuse avec tremblement; phobie de
, myopie assez prononcée, à la distance d'un mètre ne peut lire des lettres de 3 centimètres de long ; l'oeil gauche est pl
RECUEIL DE FAITS. ment. Lui-même nous a écrit en mai dernier, et sa lettre est celle d'un enfant raisonnable et reconnaiss
que Gabriel a toujours pris des douches. Même attes- tation par une lettre de sa grand'mère du 7 octobre. TABLEAU DES ACCI
plus astucieuse, plus voluptueuse. » (A suivre.) ZABOROWSKI. XII. Lettre à 31. Ch. Dupuy sur la création de classes spécia
r un mètier. L'opuscule de M. Bourneville, présenté sous forme de lettre au ministre de l'intérieur, et comme réponse à
ent les mouvements de la main de loin, déchiffre quel- ques grosses lettres , compte les doigts à 50 centimètres de dis- tan
s deux enfants, après avoir écrit au procureur de la République une lettre dans 526 VARIA. laquelle elle lui faisait con
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
tions de la -, par Couvelaire et Crouzon, 480. Classes spéciales. Lettre ct \I. C. Du- puy sur la création de- pour les
75 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
, etc. Citons encore de grands cartons alphabétiques, composés de lettres de 12 centimètres de hauteur, les voyelles en r
voyé le 1e mars un instituteur adjoint, M. Boyer, ba- chelier ès lettres , et auparavant maître répétiteur au lycée Saint
it possible. 19 et 26 janvier : Nou- velles réclamations. 18 mars : lettre à M. Alphand pour lui demander de faire examine
ion de l'Assistance publique. 23 avril : vote favorable du Conseil. Lettres à M. le Préfet de la Seine pour le prier de fai
it (21 décembre 1885). Nous avons adressé, sur le même objet, trois lettres à M. Peyron (5, 23, 26 janvier 1886) ; -P - une
l'asile, elle apprit l'alphabet, put épeler quelques mots de trois lettres et écrire deux lettres sous la dictée; elle add
'alphabet, put épeler quelques mots de trois lettres et écrire deux lettres sous la dictée; elle additionnait jusqu'à 5, co
à l'asile de six à huit ans, Victor n'y arien appris, pas même ses lettres ; il n'aimait pas à jouer avec les autres enfants,
oppée, mais présente une sorte de bégaye- ment. Il connaît bien les lettres et les chiffres, commence à faire des bâtons, s
on- volutions frontales sont aussi sinueuses qu'à gauche. (1) Les lettres ont la même signification que sur les Planches
riéto-limbique postérieur. C. A., Corne d'Ammon. N. B. - Les deux lettres O. C. placées en avant du bourrelet du corps ca
avant du bourrelet du corps calleux doivent être remplacées par les lettres C. C. PI.. I Pr.. II EXPLICATION DES PLANCH
ation bien nette du lobe occipital des parties environnantes. Les lettres Sc. p. p. doivent être remplacées par les lettres
nvironnantes. Les lettres Sc. p. p. doivent être remplacées par les lettres Se. p. e. et reportées à un centimètre en avant
planches. PLANCHE III. Face interne de l'hémisphère droit. Les lettres ont la même signification que celles de la planch
e interne allant se jeter dans la fissure calcarine. 1 ? 13 ? Les lettres Se. c. m. placées à la partie antérieure de L.
PLANCHE IV. Face externe ou convexe de l'hémisphère droit. Les lettres on ! . la même signification que celles de la pla
reliant inférieurement FA à F3 au lieu de S il faut lire Se. S. Les lettres placées sur le bord supérieur de Tl doivent êtr
76 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pas d'une façon absolue le maintien dans un asile » dont parlait la lettre ministérielle du mai 18(12 ; ce sont des aliéné
dernière, atteinte d'hémiplégie droite, trace de la main gauche les lettres de l'alphabet. Sans parler de la crainte qu'en
un, que j'indiquais de mémoire, m'avait particulièrement frappé. La lettre mise à la poste, et en attendant la réponse, je
nt nettement in- signifiantes ». En vérité que nous apprend cette lettre ? Rien que nous ne sussions déjà : les argument
ntanément ou sous dictée, pouvait seulement copier pénible ment une lettre ou un dessin, mais cependant avait conservé intac
e est de supprimer toute épellation ou syllabation et d'appeler les lettres , même les consonnes par le son qui leur est propr
usieurs heures, sortit, fit plusieurs visites en ville, écrivit une lettre il la soeur pour s'excuser de no pas pouvoir l'
s'épancher la plume a la main. Nous avons recueilli beaucoup de ses lettres ; et un phénomène extrême- ment intéressant s'y
oque, vous qui n'aimez que l'argent, ça vous touchera.). h Dans une lettre qu'elle m'adressait en août 1892, après m'avoir
se lassera, cette soeUI ? )) » Le 28 juin 1893, elle m'adresse une lettre dont voici quelques extraits : « Malgré le gran
lle que je ne pouvais de- « meurer éternellement aux aliénés...» La lettre se poursuit pen- dant trois pages sur ce ton ra
; c'est arbitrairement qu'on a pris l'habitude, contrairement à la lettre et à l'esprit de la loi, d'introduire cette que
sion de responsabilité atténuée. L'usage abusif et contraire à la lettre du Code qu'on fait aujourd'hui des mois : respo
enir compte pour l'application de la peine. Si l'on s'en tient à la lettre des mots, je conviens que des conclusions de ce
. Il n'est pas pos- sible de dépeindre mieux que dans ses dernières lettres et dans ses « Rêveries » le début de la décaden
absents de Paris ou empêchés peuvent demander leur inscription par lettre re- commandée. Toute demande d'insciiption fait
, mais cette déclara- tion me semble rester le plus souvent souvent lettre morte, car après avoir adopté une formule psych
, instituant l'obligation de l'instruc- tion, ne doivent pas rester lettre morte à leur égard. Malheureusement, la législa
convoquée lorsque la demande en aura été adressée au président, par lettre recommandée signée de 10 membres dé l'associati
tie de l'association. L'envoi de ce document était accompagné d'une lettre d'appel qui se terminait ainsi : Nous venons
1905, plainte au Commissaire de Police de son quar- tier. Quatrième lettre au Procureur, et départ soudain pour Dun- kerqu
médecin ' SUR UN CAS DE DÉLIRE A DEUX 329 9 de l'armée. En mars, lettre au ministre de la justice, visite à un grand av
égagent Nelly Dor, et Il", Granet, sortant de sa poche une nouvelle lettre au Procureur,la lit aux passants rassemblés don
Vlll reconnut l'existence des démons incubes et succu- bes dans une lettre apostolique ; des religieuses, comme Ger- (rude
citée par Jean Wier, couchaient avec Satan et lui écri- vaient des lettres enflammées. En 1485, 41 femmes furent brû- lées
n : Elle usa des bûchers contre les démonia- ques, et il existe une lettre du pape Grégoire IX, remplie d'inep- ties, aux
potassium à l'intérieur. Après huit jours, j'ai reçu du malade une lettre dans laquelle il me dit que son état s'est aggr
l'écriture du malade avait un caractère Mtnxique si prononcé que sa lettre était très difficile il lire) ; les 401 i clini
à Varsovie malgré mes conseils très fermes ; il est parti. Par ses lettres , j'appris que la maladie continuait à faire des
amimie. L'auteur rappro- che même de ces troubles les inversions de lettres et de syllabes à l'intérieur des mots ; mais un
absents de Paris ou empêchés peuvent demander leur inscription par lettre recom- mandée. Toute demande d'inscription fait
77 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
e la distribution des prix de l'école primaire de Garennes (Eure) ; Lettre à AIJI. les pairs, à l'occasion de la condamnat
lissements de bienfaisance et de l'enseignement, 1843; Agrégation : Lettre à M. le Directeur de la Revue Médicale, 1844 ; ,
actère des phénomènes psychiques, 1877 ; De l'enseignement médical, lettre à M. J. Duval, 1868; D'une forme mal décrite de
ogiques) ; Examen des critiques adressées à la phrénologie, 1843; - Lettres sur le suicide (L'observation) ; - De la mélanc
es de M. Delasiauve : D'une forme grave de delirium tremens, 485; - Lettres sur le suicide ; Des pseudo-monomanies ou folie
l y a des médecins d'asile qui écrivent chaque jour vingt ou trente lettres qu'un scribe de leur bureau écrirait aussi bien
ations avec les deux sous-officiers et ceux-ci reçurent un jour une lettre par laquelle il leur annonçait qu'il était en R
: Souvent' en/ écrivant , (notamment' en*copiant) il. passe, des - lettres ,, des syllabes, des mots et remplace même certain
, des - lettres,, des syllabes, des mots et remplace même certaines lettres . par d'autres qui ne conviennent pas. Bégaieme
consiste avant tout dans l'acte de, copier les images optiques des) lettres et des mots.- Que celles-ci disparaissent. par de
lirantes subordonnées variant à l'infini, et, dans une seul et même lettre , sous la plume'mêmé de l'aliéné : ? Observa tio
de parler. Un an après, son mutisme était toujours absolu, mais une lettre écrite' par lui à sa femme indique qu'il est so
des cas, les circonvolu- tions sont pleines-et arrondies. Dans une lettre particulière qu'il m'écrit, il me dit : « Il es
titution le British médical Journal du 1°1' avril 1893 a publié une lettre du Dr Hack-Tuke qui flétrit cette mesure en ter
s, ses amis. La veille au soir il écrivait encore à Mme Charcot une lettre pleine de gaîté dans laquelle il se félicitait
compte que l'homme qui a écrit ces pages n'était pas fini comme des lettres infâmes et lâches, dont i ! s'affectait trop, h
niversité de Dublin (1891) ; Membre de l'Académie des sciences, des lettres et des arts de Padoue (1891) ; Membre de la S
it question du Congrès des aliénistes, on ajoutait souvent avant la lettre - et des neuro- logistes. La décision du Congrè
en outre en divers endroits de l'établissement placé des boites aux lettres dans lesquelles les malades jettent leurs récla
ry et installée chez un de ses oncles, à Chaville, l'accabla de ses lettres enflammées. Il se garda d'y répondre. Vendredi so
ant encore un revolver dans sa main crispée. Mm° Delagrange, en une lettre déchi- rante, expliquait que, ne pouvant vivre
pour Quatre-Mares et 58 pour Saint-Yon. » Le rapport est adopté. Lettre de M. le Préfet aux Directeurs-Médecins de Quatre
rie de Grashey-Wernicke, suivant laquelle la lecture s'effectue une lettre après l'autre, a présenté les résultats de ses
écran percé d'une étroite fente ne permettant de voir qu'une seule lettre à la fois. Le cylindre étant en mouvement, le rap
teur n'est parvenu à déchiffrer les mots inscrits que lorsque les lettres passaient devant ses yeux avec une vitesse de 0,1
te, tandis que Grashey suppose que nous percevons la fi- gure d'une lettre avec une vitesse de 0,03". En ce qui concerne la
conde; il a réussi de la sorte à lire des mots for- més de quatorze lettres et appartenant à une langue connue. Le rapporte
moyen de deux processus différents : un processus conscient, chaque lettre étant perçue séparément, et un processus incons
st perçu comme une image visuelle d'objets connus et non par chaque lettre séparément. Il considère de ses expériences réf
LLIeR. VARIA. HOMMAGE A 111. J.-M. CHARCOT Nous extrayons d'une lettre de Santiago le passage suivant : « La presse de
u de notre savant collaborateur, M. le profes- seur Kojevnikoff, la lettre suivante : · Moscou, le 28 septembre, 10 octobr
ACES DE MÉDECINS-ADJOINTS DES ASILES D'ALIÉNÉS Nous avons reçu la lettre suivante au sujet de cette question si intéress
78 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
n mot, commence à exprimer ses besoins, à nommer ses camarades, les lettres , les chiffres, les couleurs; - 3° Guimi... parl
es, des problèmes. 3°1\Iami.. Emile (18 ans) ne connaissant que les lettres en janvier 1895, lit couramment, apprend tous l
i demande, imite bien ce qu'il voit faire. Il ne sait pas faire les lettres ; il trace des bâtons. Aucune notion des couleu
point de vue de la parole. 11 place les chiffres, les couleurs, les lettres . et les surfaces. Il aime et accomplit bien les
Décembre. - C... fait quelques progrès commence à con- naître ses lettres , et à écrire; elle travaille assez bien il l'ou-
à distinguer les couleurs, les chiffres, les étoffes, à placer les lettres et les chiffres, à boutonner et nouer. Il lace
. le D'' Arnaud (de St.-Gilles), qui avait assisté à la séance, une lettre dans laquelle il soumettait à notre appréciatio
apprises à la pension. Ses parents prétendent qu'elle connaît ses lettres , mais nous constatons bientôt qu'elle n'en conn
jumelles (système et de l'échelle convexe ; dis- tingue toutes les lettres , lit sans épeler (d'après la méthode nègimb1ud)
ontinuent en lecture et en écriture ; elle écrit iL ses parents des lettres qu'elle sait lire ; les spasmes persistent. O
es progrès réels ; fait sur son canevas, d'après modèle, toutes les lettres de l'alphabet. Progrès en lecture et en écrit
ettres de l'alphabet. Progrès en lecture et en écriture, fait les lettres majuscu- les, compte sans se tromper jusqu'à ci
e l'écriture est meilleure, l'enfant lit couramment, fait seule des lettres à sa famille, l'orthographe est meilleure, elle
et se décident à l'emmener chez eux (10 juillet). Octobre. - Une lettre qui nous est adressée par les parents de Marie-
apprendre et de connaître l'ortho- graphe, de rédiger elle-même des lettres pour ses parents. Marie-Louise devient, en un m
79 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
valer une macération de vieux sous. Elle écrit pendant son délire des lettres fort correctes pour annoncer à sa famille son int
de Boulanger, et une nuit il écrivit sur un carreau de carrelage une lettre à M. Constans dans laquelle lui, garçon charcutie
» Nous possédons le carreau, qui nous a été donné par son patron. La lettre est écrite à l'encre, parfaitement correcte et d'
ts perdus, faire des pronostics pour les courses de chevaux, lire des lettres à travers l'enveloppe, dire l'heure le dos tourné
se à une hypothèse de simulation. En ce qui concerne la lecture des lettres à travers leur enveloppe, que l'on citait comme e
une inscription la tête penchée en avant, comme s'il distinguait les lettres avec difficulté: « Jeune homme, vous en avez en
e la journée... pour qui ?... Ah ! oui, là-bas, près des Archives, en lettres dorées : fleurs artificielles.., Mais c'est de la
s'occuper de ce qui arrive, sur la feuille suivante le jambage de la lettre qu'il était en train de tracer et continue sa tâc
t aigu ou grave, marqués sur celle-ci, correspondent exactement à une lettre non accentuée, à un t non barré sur l'une ou l'au
Il a été bien élevé, a reçu une bonne instruction et est bachelier ès lettres . Ses parents étaient rentiers et lui ont laissé u
rt. Hystérie du Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques. lettres . 11 n'a reçu qu'une instruction professionnelle e
reproduire ici en entier. Il contient des compositions diverses, des lettres à des amis ou à des confrères, des pièces de vers
, en ce qui concerne la prose, il a souvent écrit devant nos yeux des lettres ou des pièces plus ou moins longues sans trop d'h
paralysie s'est développée. Il lit à peine (t est obligé d'épeler ses lettres pour y arriver. Toutes les rutres périodes de la
ait à son amie Marguerite F..., qui était encore dans le service, une lettre bien intéressante que celle-ci nous communiqua. C
ice, une lettre bien intéressante que celle-ci nous communiqua. Cette lettre nous montre qu'elle est toujours dans l'état B, d
Quoi qu'il en soit, voici les passages les plus intéressants de cette lettre , où elle montre, en outre, par des souvenirs adre
suis... etc.. » On croirait entendre parler Félida en lisant cette lettre , mais Félida en état prime, puisque sa mémoire ét
e s'est présentée pour la première fois à la Salpêtrière, munie d'une lettre de M. le Dr J... (de C...), relative à la maladie
; enfin, c'est une aliénée qui la poursuit pendant plusieurs mois de lettres anonymes et de menaces. Telle est, en résumé, la
fisants pour l'empêcher de comprendre ce qu'elle lit, ou d'écrire une lettre . Il persiste encore beaucoup de phénomènes d'ab
ns la parole. Le malade ne peut former la circonférence labiale de la lettre O, ni avancer et contracter les lèvres pour la pr
re O, ni avancer et contracter les lèvres pour la prononciation de la lettre U. Il ne peut ni souffler ni siffler. La langue
80 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
sme prononcés. Ainsi un catatonique, qu'on fait écrire, compile une lettre très sensée dans laquelle il dit « qu'il veut sor
ués par M. Berteaux, le distingué chargé du cours de la Faculté des lettres de Lyon, et nous tenons tout d'abord à le remerci
ent ornés que de figures très pauvres, et principalement de grandes lettres dont les détails avaient tout à fait le caractère
aravant, nous avons vu apparaître assez nettement quelques-unes des lettres (lignes blanches entourées d'un nuage congestif
ent la torture mo- rale des jeux de mots sur l'alphabet et même les lettres . Question. En quoi consistent ces jeux de mots
t pas boire au gobelet, mais à la cuillère-. Voici un extrait de sa lettre où il n'y a guère que de la verbigération. «
ensée et dont la seule particularité consistera en ce que certaines lettres et certains mots sont plusieurs fois contournés
dominante ; elle oublie le des- sin peu compliqué commencé et trace lettre à lettre lisiblement et distinctement la phrase
; elle oublie le des- sin peu compliqué commencé et trace lettre à lettre lisiblement et distinctement la phrase suivante
dans l'écriture par un peu d'irrégularité dans le tracé de quelques lettres . La langue est tirée difficilement hors de la b
'utiles indications sur son état men- tal. D'une part, la forme des lettres , l'agencement des mots et des lignes impriment
physiques : lenteur, bredouillement, achoppement, transposition de lettres , redoublement ou suppression des syllabes, etc.
pli sa tâche. Vous pouvez noter d'autre part que, non seulement les lettres sont séparées, mais qu'encore certaines d'entre
reux arrêts. La lenteur et les arrêts, les coupures des mots et des lettres elles-mêmes constituent en effet des caractères d
moins vite qu'il deviendra plus dément. Par suite les jambages des lettres sont hésitants, tremblés, mal assurés. Remarquez
és, mal assurés. Remarquez aussi les sinuosités de l'écriture ; les lettres ne sont pas sur la même ligne, les unes sont au
essus, les autres au-dessous de la ligne horizontale. En outre, les lettres sont de dimensions différentes ; certaines minusc
t, quelquefois tellement prononcé qu'il est incapable de tracer une lettre ; il lance alors sa plume sur le papier et obti
es effets inattendus, recouvrant d'une tache ou d'un trait haché la lettre ou jambage qu'il vient de tracer auparavant : je
lors excité et avait des idées absurdes de grandeur. Dans une autre lettre il commande une riche voilure et les accessoire
raît dans la forme apparaît aussi dans le fond ; car dans une autre lettre le malade reproche au marchand de voitures sa len
nous notons une écriture plus posée, mais avec des mots passés, des lettres oubliées. Chez ce paralytique l'écriture copi
mée ; peut-être trahit-il l'excitation initiale par la grandeur des lettres , les paraphes finissant les mots, les négligenc
pon- tanée. Examinez par exemple ce malade, âgé de 54 ans, homme de lettres , vieux paralytique général dont l'affection a é
enfantin présente celle particularité intéres- sante que certaines lettres sont de forme bizarre et contournées. Vous re-
re assez correc- tement quant aux idées et quant à la forme : cette lettre , dans laquelle il se plaint du bruit que font l
nt, écrit, tout el ! mar- mottant des syllabes inintelligibles, les lettres suivantes : z T . 1 . ' l .. .. LU IJv1 Lv
ans la démence pré- coce nous publierons ici, sans commentaires, la lettre suivante d'un dé- ment précoce dont l'état est
81 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
âge au point de vue scolaire. L'écriture est très irrégulière, les lettres ne sont pas liées entre elles, les traits sont du
as au premier déjeuner, veut écrire à son père à qui il adresse une lettre incohérente et pleine de menaces : «Je te donne
c ses camarades. 24. Crise à la suite d'une invitation à écrire une lettre à ses parents. René se couche par terre, fait s
endue au baldaquin de son lit, hier soir, vers dix heures. Dans une lettre laissée en évidence, Mme D... disait qu'elle se
Paris, 1898. Institut de bibliographie scientifique. DoïE\. Sur ( Lettre ouverte ti M. Tutf·ier.) Bro- chure iu-8°, avec
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
çaise se borne, en effet, à déclarer que l'on ne pourra retenir les lettres adressées à l'autorité judiciaire ou administrati
puissent librement écrire à leurs parents, à leurs amis, et si ces lettres ne partent pas toutes, cela tient à des questio
ler à M. C... Mis en présence de celui-ci, ils lui présentèrent une lettre de son père réclamant son internement et un cer
périmètre du Dr Ascher. 111. L. Minor. Courte notice à propos delà lettre du professeur Pick sur les troubles de la sensi
tions de la part de van Gehuchten, Brissaud, Bruns et Pick. Dans sa lettre , publiée dans le Neurol. 250 SOCIÉTÉS SAVANTE
ves. Insuffisance DE renseignements EN France. Nous avons reçu la lettre suivante : , Copenhague. Danemark, le 7 janvier
ur le réflexe viril. » Il joint, du reste, au présent travail, deux lettres de Brown-Sequard, relatives à cette question d'
es mots, il pouvait indiquer par gestes le nombre de syllabes ou de lettres qu'il était incapable d'articuler distinctement
ie, qui du reste ,a été repoussée par son illustre créateur dans la lettre publiée peu de temps avant sa mort et recueilli
e los ceizli-os ner- villsos, p. 13 et suivantes. * G. Marinesco. Lettres d'Angleterre {Semaine Médicale, 1896). L'OE,1
loire et en souvenirs historiques, où les arts, les sciences et les lettres sont cultivés avec un soin jaloux. le n'en veux
moire, d'une idéation étendue; ils s'occupent, lisent, écrivent des lettres ; nous en avons même vu faire de la musique et c
oit très volontiers les visites de parents, et écrit à sa femme des lettres très correctes où il ne parle pas même de ses i
ditive), ou bien la lecture, c'est-à-dire l'action de percevoir les lettres (mémoire optique). Les mémoires senso- rielles
sion de la scissure interne (flissura calcarina). Le sujet voit des lettres , mais sans les reconnaitre, ni pouvoir les nommer
cas de lésions du pli courbe (g. supraangularis). Le malade lit les lettres et les mots. mais sans y rattacher la significa
impossibilité de lire les mots quoiqu'il soit possible de lire les lettres , ce dernier processus étant moins compliqué que
it pas spontanément; il faut qu'il soit provoqué par les images des lettres ou des mouvements'. Enfin, il existe des formes
r du balbutiement la prononciation vi- cieuse d'une ou de plusieurs lettres , la parole restant absolu- ment compréhensible.
émoire. HYSTÉRIE MALE. 67 Le 8 septembre, P... nous a écrit une lettre dans laquelle il nous disait que depuis sa sort
er toute erreur, nous prions également nos abonnés deyotHdre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
au- nois et Paviot, 402. Sensibilité. Comte notice propos de la lettre du professeur Pick sur les troubles de la dans
82 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
non seu- lement en France mais à l'étranger, il avait, à l'aide de lettres . de dépêches, de visites provoquées, fait croir
jourd'hui, il a quinze ans. C'est son père lui-même qui, dans une lettre au juge d'instruc- tion, dresse ces états de se
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leu1's, réclamation
re oui, papa, soupe, ou autres mots très simples, il assemblait des lettres qui n'avaient aucun sens, le plus souvent « mes
uit jeudi au quartier de la Solbonne. La victime est une agrégée ès lettres , Mlle Amélie M..., âgée de trente-quatre ans, pro
ces figures et les suivantes ; chacune d'elles a été indiquée par une lettre : A, racines postérieures adjacentes, sur le po
rs d'un tabès avancé (deuxième étape anatomique de la maladie). Les lettres ont la même signification que dans les figures
gie NERVEUSE. 231 geichgùltig au lieu de gleichgûltig ; il omet des lettres ou des frag- ments de lettres et de syllabes, d
au lieu de gleichgûltig ; il omet des lettres ou des frag- ments de lettres et de syllabes, des signes diacritiques, comprend
nt et peut corriger. 2° Peut-il écrire ce qu'il voit, notamment les lettres ? peut-il copier ? Y Il fait aussi des omission
qu'il a écrit. De l'alphabet il écrira correctement les 5 premières lettres et mal les suivantes, mettra 7 minutes an lieu
l les suivantes, mettra 7 minutes an lieu de 7 secondes à écrire 16 lettres qu'il énoncera assez bien. Ecrira bien les nomb
ique, l'omission, principalement dans l'écriture sous la dictée, de lettres qui ne sont pas toujours les mêmes, avec pleine c
conscience de cet état par le patient et parfaite intelligence des lettres omises, parfaite compréhension du mot écrit et
TION : - Paralysie générale. Après la lecture par M. Ritti, de deux lettres d'excuses d'adhé- rents qui n'ont pu se rendre
d'excuses d'adhé- rents qui n'ont pu se rendre au Congrès, et d'une lettre de M. Mo- nod, annonçant que M. le Ministre l'I
teur, s'appelle, je crois, un faux en écriture. ' - Le secret des lettres des familles aux malades n'est pas mieux observ
e, ainsi, tout ce que cette mesure a de pénible, d'indélicat. Toute lettre ouverte est une lettre' déflorée et je m'expliq
ent et que certaines familles hésitent à épancher leur âme dans une lettre rendue publique avant d'arriver à son adresse.
arriver à son adresse. Je reconnais, cependant, qu'il est certaines lettres 296 asiles d'aliénés. qui ne peuvent être rem
eu de tact et d'habitude, on peut arriver à remettre cachetées neuf lettres sur dix. Il sera toujours facile de s'assurer q
odèle; il copie faux, parce qu'il ne peut lire ou qu'il lit mal les lettres , notamment celles qui sont associées en mots, l
bale. L'écriture est tremblée, ataxique ; le malade affectionne les lettres longues il branches descendantes; il est paragr
csseau, le pasteur du Désert, nous trouvons l'extrait suivant d'une lettre de M. deMaurepas, en date du 13 novembre 1741 :
M. Bourne- ville a eu l'heureuse idée de publier divers documents ( lettre au Conseil général, rapport il la Commission de
ettre au Conseil général, rapport il la Commission de surveillance, lettre à M. Carriot, etc.) relatifs à la création de c
s la présidence de M. Henri Joly, doyen honoraire de la Faculté des lettres de Dijon. M. le président de Rossi souhaite la
Le Dr de Forest Willard (de Philadelphie) nous demande; dans une lettre circulaire, notre opinion sur les points sui- v
toute erreur, nous prions également nos abonnés dejoi21di-e à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
83 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
lquefois, un peu de difficulté dans la prononciation de la première lettre ou de la première syllabe d'un mot. Ces désordr
rs, ont réapparu quelques troubles dans l'articulation de certaines lettres (1). L'hémi atrophie ET L'lIE41t1' : 1HI.SIE li
ale. Vaillant condamné à mort, il réclama sa grâce à Carnot par une lettre , disant qu'il avait jeté sa bombe sur un Parlem
ie ; la seconde malade écrit avec une facilité relative et dans ses lettres personne ne peut décou- vrir la maladie dont el
pagne, et renouvela chaque jour les mêmes em- brassements (). Une lettre datée de 1507 du roi Ferdinand au D' Puebla nous
cris, mais il ne réussit pas à dire une seule syllahp, ou une seule lettre , même avec une voix aphonique. Il comprend toutes
rection des traits, une remarquable irrégularité des dimensions des lettres différentes et aussi, dans les parties différen
ttres différentes et aussi, dans les parties différentes d'une même lettre , des traits supplémentaires résultant des écart
e son écriture il ce moment (fig. 2). On remarquera que plusieurs lettres sont absolument méconnaissables, certains mots
e sais que ce n'est pas cela, mais je ne peux pas dire. Lecture des lettres . - Elle lit bien la plupart des lettres ; pour L,
peux pas dire. Lecture des lettres. - Elle lit bien la plupart des lettres ; pour L, elle dit d'abord N, puis L. Pour K, e
e, parce qu'elle ne se rappelle pas le son formé par l'assemblage des lettres . Souvent elle épelle bien un mot et ne peut arr
cartées il n'est pas lu non plus ; il n'est lu qu'horizontalement les lettres accolées. Il y a donc des troubles latents de l
he à la corriger, sans toutefois y parvenir toujours. Lecture des lettres . - Conservée. Lecture des chiffres. - Bonne, ce
père. Lecture mentale. - Elle lit bien les mots suivants écrits les lettres les unes au-dessous des autres et à une certain
omposée que de deux ou trois mots usuels. Les mots usuels, écrits par lettres séparées, ne sont pas compris. Elle comprend bi
et rien de plus. Sous dictée. - Nulle (elle ne peut écrire que des lettres ). Copie. Conservée ; la malade copie très exact
e 22 avril 1896, l'un de nous cn commence à lui faire ré- péter les lettres en lui montrant les mouvements des lèvres et de l
èvres dans la position convenable pour la pro- nonciation de chaque lettre , ou bien en lui faisant répéter des mouvements,
mouvements, imitant de près ou de loin la prononciation de quelques lettres (par exemple l'action de souffler une bougie po
s, sans les prononcer, la plupart des mots écrits en syllabes ou en lettres séparées. Evocation des images auditives. - Amé
, le nom de son mari. et écrit : Bran, Brenadus. Sous dictée. - Les lettres sont très correctement écrites. L'écriture des
Elle comprend la lecture mais en perd rapidement le souvenir. Les lettres sont toutes reconnues et immédiatement dénommées
er des ordres manuscrits, elle ne les fait que si on écrit avec des lettres ma- juscules, et encore non sans hésitation. Il
ts de la lecture mentale. Les mots PARIS et RUE sont lus écrits les lettres placées les unes au-dessous des autres, mais les
ari), RICHE, IVRY ne peuvent être lus qu'écrits horizontalement les lettres juxtaposées. La lecture des chiffres est bonne;
A et ne peut aller plus loin. Elle ne peut écrire son nom, ni les lettres de l'alphabet, ni la série des chif-. fres. Tou
84 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
furent le commandement par la parole, par l'écriture/ sous forme de lettres écrites spontané- ment ou sous dictée à son méd
n médecin habituel, la lecture à haute voix, la malade relisant les lettres qu'elle écrivait. Pour l'écriture, dans une des
ordre elle écrivit. La malade récite plutôt de mémoire les courtes lettres que nous lui faisons lire : c Monsieur le docte
avait été isolée. Mais elle recevait des visites, elle recevait des lettres de son mari qui étaient toujours cause de FORME
longer contre son gré, elle lui écrivit, en janvier 1893 une longue lettre ; elle manifeste un vif regret de tous les repro
s'éloigne des autres malades et se tient seule à l'écart; dans ses lettres à son mari, elle ne le tutoie plus, ne l'appell
d'aveux plus com- plets, quand, au mois d'octobre, nous tendant une lettre adressée au Président : « Voici, dit-elle, j'ai
lettre adressée au Président : « Voici, dit-elle, j'ai mis dans ma lettre mes deux adresses, afin que M. Carnot se souvie
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
90 p. 100, M. Smith possède SOCIÉTÉS SAVANTES. 229 près de 1,500 lettres de médecins, relatives à l'internement des alco
. M. LE PRÉSIDENT. - J'ai reçu relativement à cette question deux lettres que j'ai l'honneur de communiquer à la commission
ce voeu à la connaissance de M. le Ministre de l'Intérieur. Par une lettre ci-jointe en date du 2* ? fé- vrier 1894, M. le
sident, de vous prier de vouloir bien donner communication de cette lettre à la Commission de surveillance lors de sa séan
t qu'elle ne savait plus lire. Elle pouvait voir et reconnaître les lettres ; mais elle lisait des mots qui n'étaient pas écr
t ans de phtisie pulmonaire ; il ne connais- sait que les premières lettres de l'alphabet et les opérations arylll- métique
hystérique se sont rangés à cette opinion, comme on le voit par la lettre de Rosenthal à Charcot publiée dans la thèse de
gne, "droite je mets une petite,(croix et, à chaque^ extrémité .une lettre ^, B. Si la malade regarde fixement la croix cen
t la croix centrale, d'un seul oeil, de, l'oeil gauche elle voit la lettre A gauche simple et la lettre B à droite, double
oeil, de, l'oeil gauche elle voit la lettre A gauche simple et la lettre B à droite, double. Sur le périmètre on^peut;, dé
ds efforts des souve- nirs confus. Enfin, ils forment lentement une lettre quelconque d'une main hésitante et à traits tre
parle lente- ment et difficilement quand on l'interroge; certaines lettres ne peuvent être prononcées et son langage resse
lade écrit. Ainsi, tandis que dans un premier mot (maçon) l'une des lettres est omise, que le deuxième (papa) est correctem
oint des idées déli- rantes ; ainsi qu'il ressort cependant de deux lettres écrites par lui à Feldmann, il aurait une grand
e Flechsig a été tronqué. C'est pourquoi M. Fleclisig m'a envoyé la lettre rectificative que je vais lire. D'après cette let
m'a envoyé la lettre rectificative que je vais lire. D'après cette lettre , Feldmann avait des idées délirantes permanente
logical Society, avec mission de la transmettre à M. Brouardel, une lettre contenant une lisle de souscription faite parmi
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
85 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
iâtre qu'elle avait sa logique. Le père faisait écrire dans une autre lettre : « L'état de médecin procure plus d'argent que c
es. Cet ami c'était M. Géruzez, frère du professeur de la Faculté des lettres d'aujourd'hui. Ayant su, par une confidence du va
que le pauvre étudiant était souvent dans l'impossibilité d'avoir ses lettres , parce qu'il n'en pouvait payer le port, Géruzez
r les exprimer. Le meilleur historien des abeilles, Huber, dans une lettre qu'il écrivait à Charles Bonnet (1), a laissé éch
ures, un cerveau de dindon et un cerveau de perdrix ; j'ai suivi à la lettre les recommandations de M. Bauer, et je n'ai rien
ons l'occupait tout entière, elle ne songeait pas à la liberté. (i) Lettres philosophiques surt l'intelligence et la perfecti
e 3, au-dessus du corps calleux c. c. A (fig. 3) correspond à la même lettre placée sur la quatrième circonvolution de la figu
z grand nombre de points , pour n'en faire qu'une seule. En avant, la lettre 0 montre la répétition de la circonvolution orbit
à la dislance de 12 et de 20 millimètres (pl. vm, fig. 2), sont deux lettres PP placées sur deux circonvolutions postérieures,
PP placées sur deux circonvolutions postérieures, et en avant de" ces lettres PP, un signe -f- placé à l'endroit où les deux ci
issent. De l'autre côté de la ligne S, se trouvent un signe + et deux lettres ÀA; les lettres A A sont placées sur les circonvo
re côté de la ligne S, se trouvent un signe + et deux lettres ÀA; les lettres A A sont placées sur les circonvolutions antérieu
spondant à la scissure de Sylvius chez le bœuf et chez le mouton. Les lettres P P sont placées sur le commen -cernent des deux
circonvolutions postérieures, le signe + indique leur réunion, et les lettres A A leur division antérieure. Coupez d'avant en a
e de Sylvius, dans laquelle elle se termine ( V. pl. ix, fig. 1 et 2, lettre I ). Cette dernière disposition est doublement im
ais, le mot inscrit sous le numéro 19 : Fido alla chercher de grosses lettres mobiles, jetées sur le plancher ; il les rangea l
n lui avait demandé. Son maître ne lui disait rien; en arrangeant ses lettres , le chien ne pouvait le voir, et, s'il existait q
e son maître : Quel est le roi des animaux? Le chien alla chercher la lettre o; je le crus en défaut, et mes yeux se fixaient
uelque signe pour le tirer d'embarras ; mais je ne vis rien. Après la lettre o, il alla chercher la lettre n, puis la lettre d
mbarras ; mais je ne vis rien. Après la lettre o, il alla chercher la lettre n, puis la lettre d. Va-t-il mettre Ondatra'/ me
ne vis rien. Après la lettre o, il alla chercher la lettre n, puis la lettre d. Va-t-il mettre Ondatra'/ me disais-je, c'est a
o, très pétulant, très vif et même étourdi, alla chercher aussitôt la lettre /qu'il porta sur le mot Ion, et se sauva bien vit
aira, la connaissance de ces chiens, en ce qui concerne la valeur des lettres , des mots, des chiffres et des cartes ; supposons
maître a pu leur faire dans le but de leur indiquer à chaque fois la lettre , ou le chiffre, ou la carte, ou l'objet qu'ils de
86 (1911) La pratique neurologique
(fig. z1 ). En règle générale, on emploie le premier lig. ·1. - Les lettres P F D, bien que de grandeur différente, vont fair
phique », est un carton blanc sur lequel sont imprimées en noir des lettres de différentes grandeurs (fig. 2). Partant de c
igne on a placé un chiffre qui indique la distance à laquelle les lettres de cette ligne devraient être lues par un oeil
mière. Le malade lit l'échelle en commençant par les plus grosses lettres . Quand il s'arrête, la mesure de son acuité vis
Jalalle peut, être incapable, il 7 mètres, de lire les plus grosses lettres de l'échelle. C'est que son acuité est . 51 '
on réduction. Entre les lignes, la distance D il laquelle les . lettres devraient être lues par un oeil d'acuilé visuel
érimétrique de la périphérie au centre et sur lesquels seraient des lettres de différentes grandeurs. Mais la faculté disso
n point de son étendue, elle ne permet de dis- tinguer la forme des lettres . Pour remédier à cet inconvénient, on s'est ser
'arc périmé- trique un index blanc sur lequel sont gravées quelques lettres d'impri- merie, en ligne horizontale pour explo
diens verticaux ou voisins de la verticale. L'oeil observé suit ces lettres et les lit. A un moment, il cesse de les lire e
mières à disparaître sont les plus excentriques. La disparition des lettres signifie que l'oeil ne les fixe plus avec sa ma
'aide de verres concaves, on pourrait le faire en plaçant un objet ( lettres très fines), il des distances de plus en plus r
ropie s'il n'est pas emmétrope. Ou note la distance il laquelle les lettres fines commencent à se troubler. A ce moment l'o
rc on promène de bas en haut un index sur lequel sont imprimées des lettres . L'oeil suit les lettres et les lit jusqu'au mo
aut un index sur lequel sont imprimées des lettres. L'oeil suit les lettres et les lit jusqu'au moment où la pupille en asc
degré du ptosis. Normalement, l'oeil peut suivre l'objet et lit les lettres jusqu'à 45° (fig. ? ). ' On peut aussi, comme p
dysarthriques. Il y a tremble profond de la formation littérale des lettres et des sons. Les voyelles sont peu distinctes;
les gutturales surtout, ne peuvent être prononcées. Les différentes lettres sont émises avec un timbre nasonné. Le malade b
voix soufflée, souvent bitonale ; mais tous les mots et toutes les lettres sont reconnaissables, 'distincts, cor- rectemen
end de façon banale, sous le terme de bégaiement, la répétition des lettres , des syllabes ou des mots, répé- tition précédé
ographiques. A) Troubles calligraphiques élémentaires. Le (racé des lettres la forme et, la direction des figues sont seuls
e s'appliquer et, d'aller très lentement. D'un autre côté, plus les lettres seront petites, plus il aura de chances, tout e
par de brusques crochets. Ces crochets sont très irréguliers ; les lettres prennent un contour anguleux. On voit également
sque le malade parvient malgré tout à former quelques jambages, les lettres empâtées et sales, chevauchent les unes sur les
e ordinaire ou spasmodique, à peine le malade a-t-il tracé quelques lettres , parfois même à peine a-t-il saisi le. porte-plum
ir, se contracter en flexion son index, en extension son pouce. Les lettres ébauchées, chevauchent les unes sur les, autres;
te-plume avec difficulté, trace des bâtons plutôt que de véritables lettres , ne peut, arrondir les boucles. Le graphisme est
tres, ne peut, arrondir les boucles. Le graphisme est anguleux, les lettres sont souvent de grosse dimension : l'ensemble est
que le malade peut écrire, le tracé, irrégulier et sale, montre des lettres indistinctes, embrouillées le plus souvent. Cer
e des lettres indistinctes, embrouillées le plus souvent. Certaines lettres , des mots ou des fragments de phrase sont [MOUT
même de la crise, l'épilcptiquc est parfois capable de tracer une' lettre seulement, lettre qu'il répétera machinalement de
l'épilcptiquc est parfois capable de tracer une' lettre seulement, lettre qu'il répétera machinalement des centaines de f
ents dessinés dans la marge, les traits hardis, assurés, épais, les lettres ornées, enjolivées de boucles ou de; fioritures
sible souvent. De graves oublis interviennent : le malade écrit une lettre , mais oublie l'adresse, la date, la signature. 11
ur une enveloppe. Faire le geste de jouer du violon. Cache- ter une lettre avec de la cire et un cachet, etc.... Si le mal
ussi. lorsque le malade savait lire. lui demander combien il y a de lettres dans tel ou tel mot, mais c'est là une expérience
ou trois tons différons. 111. Examen de la lecture. a) Lecture des lettres . Pré- senter à l'envers au malade le papier sur
ordre, peut-il, du moins, lire un mot isolé ? Connaît-il encore les lettres ? caractères imprimés ordinaires capitales écri
sive ? Faire lire des mots constitués par l'assemblage vertical des lettres qui les composent (Thomas et Doux), ou des mots
qui les composent (Thomas et Doux), ou des mots constitués par des lettres capitales qu'on a coupées horizontalement par m
qu'on n'a plus sous les yeux, pour ainsi dire, que les vestiges des lettres qui le constituent. Ces tests ne peuvent être e
ayant n'eu une certaine instruction. Faire lire en ne montrant les lettres qu'une il une. Faire lire en permettant au mala
n permettant au malade de suivre avec ses doigts les con- tours des lettres . ' b) Lecture des chiffres. Lecture de chiffres
pointe mousse (allumette. crayon) on écrit sur la paume de la main, lettre par lettre, le mot que le malade doit reconnaît
se (allumette. crayon) on écrit sur la paume de la main, lettre par lettre , le mot que le malade doit reconnaître. -De mêm
, l'aphasique de Wernicke trace seulement des traits* informes, des lettres isolées ou plus rarement quelques mots. 11 copie
ant le transcrire correc- tement en manuscrit ou traduire certaines lettres et en dessiner certaines autres. Il existe en
exes : bourrer une pipe et l'allumer, fumer un cigare, cacheter une lettre , mettre ses bas, verser de l'eau, se brosser les
es écrits de l'aspect du papier, de la forme et de la dimension des lettres , de la signature (troubles calligraphiques de l
niaque, sans s'installer, prend une plume ou un crayon et forme les lettres avec rapidité, que le mélancolique fait des eff
ls 'qu'ils soient, devra s'efforcer de les interpréter non pas à la lettre , mais avec une certaine largeur d'esprit. Les par
e (50 janvier 1004). mono- graphie qui a été suivie d'un échange de lettres avec Van Gehuchten (Société de Neurologie, mai
nalomy and Physiology, 1889, p. 551.) Pour chaque nerf rachidien la lettre h indique le niveau le plus élevé de l'émer- ge
e plus élevé de l'émer- gence des fibres les plus supérieures et la lettre b le niveau le plus inférieur de l'émer- gence
s de (roubles fonctionnels importants. . Le plus habituellement les lettres /, s, k. rJ, l'II, 1', sont difficiles à pronon
'écrivain. L'c'cntwpdevient rapidement irré- gulièrc, hachée, les lettres sont an- guleuses, inégales, séparées, placées
est empâtée (nous verrons qu'il peut y avoir anarthrie totale). Les lettres i, r, 1, s, g, k, q, ch, d, t, ne peuvent être fo
plutôt essaient de prononcer, de former tous les mots, toutes les lettres ; mais cette formation est in- complète, et lè
) qui sont caracté- risées par un tremblement dans les jambages des lettres et par l'irrégu- larité et la confusion quand i
fardeau sur l'épaule (tic du colporteur, Grasset), pour prendre des lettres dans un casier (tic du typographe, Baylac), pou
nt une rechute après chaque entretien familial ou même après chaque lettre . Cet isole- ment sera combiné au repos absolu :
des paralysies, 1508. Lecture, examen dans l'aphasie. Lecture des lettres , 212. des chiffres, de l'heure, de la musique,
87 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
taire, ce qui était encore faux. Deux jours après, il reconnut par lettre l'exactitude de son casier judiciaire et finit pa
ouvant que le juge d'instruction ne semblait faire aucun cas de ses lettres , ce prévenu avait adressé ensuite une plainte a
t parce qu'il ne voulait pas les satisfaire, en un mot d'écrire des lettres insensées, de se dévêtir nu comme un ver, mais
amenais tout doucement à la captivité et à leur faire passer des lettres aux autorités supérieures. J'avais fait un passe-
n passe-partout avec une clef à sardine, j'allais voler du papier à lettre au chef de quartier, que je cachais dans la ter
la terre. « Puis je demandais au Directeur une feuille de papier à lettre et j'écrivais trois lettres ou quatre. Je lui r
ais au Directeur une feuille de papier à lettre et j'écrivais trois lettres ou quatre. Je lui remettais celle qui m'avait é
ou bien me faisant des reproches, c'était une réponse d'une de mes lettres . « Il me faisait surveiller, fallait que j'arri
UANT SIMULATEUR. 15 tant que le directeur-médecin me gardait toutes lettres adressées aux autorités et que j'étais forcé d'
e apparence de fondement, puisqu'il résultait effecti- vement d'une lettre de son oncle, en date du 22 novem- bre 1892, qu
ment celui des gâteux, m'avait d'autant plus préoccupé que dans une lettre adressée à M. le Préfet, lI. le directeur de l'
ezla femme que chez l'homme, etil consiste le plus ordinairement en lettres et signes simples tels que coeur, anneaux, sur le
cié à un peu de rouge. Un seul cas concerne un tatouage rouge (deux lettres en rouge) au milieu de la poitrine. P. KERAVAL.
calme et bien portante. La suggestion s'est toujours réalisée à la lettre , et cela depuis dix ans. Dernièrement cette per
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
centres corticaux. B... Pierre, soixante-cinq ans, professeur de lettres . Entré à l'Infirmerie du Dépôt le 6 juin à neuf
erme générique des agnoscies portant sur tous les sym- boles, mots, lettres , chiffres, signes, notes de musique, formules,
ents et ses interprétations de certains faits. Dans beaucoup de ses lettres , un médecin psychologue reconnaîtra sans peine
ut voir un homme saigner du nez. Il a des doutes : quand il met une lettre à la poste, il retourne plusieurs fois de suite
s : Procédé de Llepmann. « Je vois, dit-il, une croix, il y a des lettres dessus, P. A. P., une statue de femme..., un enfa
ce du 10 avril 1900. - Présidence DE M. Jules Voisin Suggestion par lettre . M. Jules Voisin rapporte le cas d'une jeune fi
assez vite de phobies et d'obsessions en lisant régulièrement une lettre qu'il lui avait remise dans ce but. M. BERNIIED
t,. désespérée : elle vit ses crises disparaître après avoir lu une lettre dans laquelle je lui affirmais qu'elle était gu
'elle était guérie. Une autre fois encore, la même sug- gestion par lettre débarrassa cette femme d'obsessions et d'impul-
nce. Mais trois mois après, 1 incontinence reparait. Il m'écrit une lettre éplorée. Alors je lui envoie ma carte de visite
PLANCHE VI. Face externe au convexe de l'hémisphère gauche. Les lettres ont la même signification que celles de la Planch
ace interne de l'hémisphère gauche. F. 0., foyer ocreux. Les autres lettres ont la même signification que celles de la Plan
azès, 521. Le bleu de méthylène moyen de - , par Voisin, 450. par lettre , par Voisin, Beriitieim, Béril ! on, 529. S
88 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
élivré de son obsession par la sugges- tion. Un troisième, dans une lettre à l'un de nous, s'exprime ainsi : Ne pourrait-o
n IV.-R... M... vingt-un ans, intelligent, instruit, ba- chelier es lettres est atteint d'ereuthophobie. Il a rédigé lui-même
libre (dédoublement objectif), hallucinations de la vue, visions de lettres grecques lumi- neuses, apparition de saint Mich
j'ai pu le faire, ce qui m'arrive souvent. x Le passage suivant des Lettres spirituelles sur l'Oraison mon- trera que l'aut
de leur attribuer leur signification usuelle : la percep- tion des lettres , des sylllabes et des mots est parfaitement con-
toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre il leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations,
demandons en matière de visites au règlement de 1857 qui, pris à la lettre , n'autorise à visiter hors des quartiers que le
carmin, éclair- cies dans l'huile d'oeillet (Stricker,Ha ? ! d6. d. Lettre von den Geiveben, 1870); il vit les prolongemen
u moins pour écrire à la plume, hésitations légères pour former les lettres , maladresse pour diriger les lignes; 2° l'écrit
es articulant. L'articulation résulte un peu gutturale, et quelques lettres sont constamment substituées par d'autres. Les
des Invisibles. Ce sont des questions relatives à des chiffres, des lettres ou des mots (ques- tions qu'elle prétend lui êt
à évolution, car la malade a suivi toutes les étapes elle a vu des lettres de feu, des apparitions consolantes et pré- sen
lui font ainsi . répondre par des jeux de mots, des chiffres et des lettres . Lorsqu'elle a trouvé ses réponses, elle est so
nge, car dans les plis pourraient se trouver des hosties ; point de lettres fermées avec des pains à cacheter ; pas de prom
journée à traîner sur les bancs dans la cour. Il ne connaît pas ses lettres , ni ses chiffres, n'a rien appris en gymnastique,
alme i. Entré à l'école le 20 octobre 1879, D... ne connait pas les lettres ni tracer aucun caractère d'écriture. 11 additi
1880. 21 septembre. - Le maître obtient de lui faire répéter les lettres et d'en tracer pendant huit à dix minutes. - D...
es. Après un court séjour à l'asile la malade écrit à son frère une lettre , signée aussi du père, dans laquelle elle l'exh
apon, prix : 4 francs; pour nos abonnés, 2 francs. , BouRKEvn.LE. Lettre aux membres de la 3° commission du Conseil géné
es « cellules psychiques ». Chez les poissons, qui, « au pied de la lettre , ne manifestent aucune intelligence » (ce que je
te liaison, et alors Olmstead (le malade porte ce nom) l'accable de lettres , et le suit partout, lui rendant la vie intolér
ui rendant la vie intolérable. Enfin Clifford remet à ses chefs les lettres de son persécuteur et celui-ci est révoqué. C'e
ment -atteint de mélancolie hystérique. Il écrit au D'' Talbot une lettre où il se juge plus que sévèrement, s'indigne lui-
lejuif, la 3° Commission du Conseil général, dit M. Le Roux dans sa lettre introductive du projet à la Commis- sion de sur
dont faisaient partie Le Roux et Pelletier, avait donné son ' La lettre adressée à M. le Président de la Commission est d
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
89 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t diffi- ciLesà L"'0J10nCI'I', el,en général, tous les mois avec la lettre « r ». Comme témoignage jusqu'à quel point la v
par exemple : il voit les lignes, mais ne peul pas distinguer les lettres même les plus grandes. L'examen objectif n'a mo
Elle s'adressa à moi el, me demandant conseil, elle me présenta une lettre dans laquelle je lus ce qui suit : « Je me suis
A propos de la sphère sexuelle la malade continue dans une autre lettre : « Quand je me suis adressée pour la première
de la phobie du regard d'autrui ; j'extrais cette description d'une lettre qui me fut adressée par une personne de Hongrie
ssion impure de son visage ; dans le 4' cas le malade parle dans sa lettre d'un clignotement très fort des paupières, En o
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et ci toutes leurs réclamations
e l'Isère et du Morbihan, cette circu- laire est restée à l'état de lettre morte. Tout cela et bien d'autres choses dans l
antonnier ou d'un facteur ! ! ! Vous voudrez bien excuser ma longue lettre . )lais la sollici- tude constante que vous n'av
ements que j'avais promis de vous envoyer dans une de mes dernières lettres au sujet du personnel de sur- veillance de l'as
quelques années et adopté en principe, été ajourné sine (1) Voir la lettre de M. le D' Dubuisson dans le Il' 113. 154 CORR
, transférer au besoin un aliéné dans un autre quartier, porter des lettres de malades à la direction, prendre des livres à
r les grands sacrifices qu'elle a déjà faits pour les sciences, les lettres elles arts, et pour ceux qu'elle est toute prêt
. Nous le ferons suivre du texte du Projet qui l'a math ée et d'une lettre de M. le'])'' Lauriffe. 1) Dide. Récemment, la
isait allusion mon distingué collègue le doc- teur Masselon dans sa lettre au Progrès médical du 29 juillet 1905 : Le pl'o
uraient de nouvelles observations pour ou contre]» projet. (Voir la lettre de 51. le DI' Meilhon sur le même sujet, dans l
lLe étiquette est trompeuse et ne doit pas être prise au pied de la lettre . Dans une statistique de 41 cas, des blessures
notoirement insuffisant l'asile Saint-Robert. AI. H. Monod, dans sa lettre introductive au Conseil avait déjà in- voqué le
pas grand'cho- se», pour « une lille publique ? Elles ont écrit une lettre pour la dénoncer comme folle. Ces idées de pe
absents de Paris ou empêchés pourront demander leur inscription par lettre chargée. Toute demande d'inscription faite aprè
t la forme des lignes, la direction, la forme et l'a- gencement des lettres , etc. Viennent ensuite les altérations des imag
duction par des mouvements appropriés de l'image v isuelle d'une lettre (image littérale), ou d'un mot (image verbale), a
ion. Dans le premier cas, le malade est incapable d'écrire soit les lettres , soit les mots (agraphie littérale ou verbale)
ittérale ou verbale) ; dans le second, ce sont également tantôt les lettres , tantôt les mots qui sont employés hors de propos
ogie, chargé du cours de psychologie expérimentale à la Faculté des lettres , dirigera les exercices pratiques de psycholo-
toute erreur, nous prions également nos abo1Z1zés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
90 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es a sur le champ à sa disposition que si on lui en dit la première lettre ou les premières lettres, ou si on les lui écri
isposition que si on lui en dit la première lettre ou les premières lettres , ou si on les lui écrit. Quand on lui a nommé l
ce mot lui revient instantanément dès qu'on lui en dit la première lettre , ou qu'on lui en présente l'image écrite. Lec
lui en présente l'image écrite. Lecture ; écriture. Il ne peut lire lettres , mots, nombres, imprimés ou écrits. Mais il lit
ut lire lettres, mots, nombres, imprimés ou écrits. Mais il lit les lettres et les nombres, dès qu'on les a tracés sous ses
; il lit les mots en les épelant dès qu'on lui en a dit la première lettre , il les écrit dès qu'on lui en a tracé la premi
première lettre, il les écrit dès qu'on lui en a tracé la première lettre , et immédiatement après, il est encore capable
de l'écrire sans qu'on soit obligé de tracer devant lui la première lettre : ,Si on le distrait par une digression, il dev
istrait par une digression, il devient incapable de reconnaître les lettres et les nombres qu'on avait écrits devant lui. S
st défectueuse, le patient appuyant sur la ressemblance de quelques lettres avec d'autres. Il reconnaît lentement les des-
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
très bien la sensation de position de ses membres et reconnaît les lettres que l'on trace dans sa main à l'aide d'une épin
etzche à montrer, par l'analyse de sa vie, de ses oeuvres et de ses lettres , qu'il ne passa REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 23
e ce fait que je ne me plaisais pas dans ma nouvelle résidence. Les lettres de ma soeur étaient tout ce qu'il y avait de pl
pêchait d'aller, .le me plaignais et gémissais sans cesse, dans mes lettres ; je voulais quitter cet établissement et je me
t ne sortais jamais vainqueur de ce que j'avais à faire -une simple lettre à écrire m'occupant pendant plusieurs heures. D
entrale. Il écrit même à son frère à cette intention, nous donne sa lettre qui part au domicile des parents. Quelques jour
s après, visite de ses grands parents, qui ne comprennent rien à la lettre et nous affirment qu'il n'y a rien de vrai dans l
ssus le mur, non sans avoir deposé en vue sur un banc du jardin une lettre à l'adresse d'un de ses maîtres, où il annonce
rechercher mon corps ». Son absence est remarquée aussitôt et la lettre trouvée de suite. Nous envoyons au barrage un i
, sur notre avis, sortir quelques jours, et il rentre seul avec une lettre de son grand-père manifestant l'agréable impres
onnaître son nom dans un autre qui est composé à peu près des mêmes lettres et qui en diffère cependant d'une façon très ne
Le malade reconnaît les chiffres. Il reconnaît un petit nombre de lettres de l'alphabet, non sans être obligé de faire un
mblée, empreinte de mala- dresse. Il peut également tracer quelques lettres , a, o,- et tous les chiffres, mais il ne peut é
Je vais le faire écrire avec des cubes de bois, représentant des lettres . Il reconnaît bien quelques voyelles, mais il lui
gaz d'éclairage, et écrit d'une écriture grossièrement tremblée une lettre à un collègue qu'il appelle à l'aide. Il avait
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
91 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
rent tantôt directes, tantôt croisées. Lombroso déclarait, dans une lettre ouverte du 8 avril 1886, que les résultats ains
biol., 14 janvier 1882. · ' V. Lo Sperimentale de nov. 1885; et la lettre de Lombroso, datée de Livourne. le 8 avril 188,
le D'' Arnaud (de Saint-Gilles), qui avait assisté à la séance, une lettre dans laquelle il soumet à notre appréciation un
affecté de la diminution en question de la sensibilité, traçait des lettres plus grosses et paraphait plus grand quand on l
re et d'intelligence. Le surlen- demain, il écrit à ses parents une lettre pleine de sens, dans laquelle il raconte qu'il
mémoire, dit qu'il est d'Essen, que son père y habite et écrit une lettre chez lui dans laquelle il raconte qu'on l'a tra
ce à se mon- trer. Remarquons qu'il a cependant écrit de nombreuses lettres témoignant de cette incertitude typique dans le
ernement, sur lequel il fournit des explications sans liens : « Ses lettres , dit-il, ne sont qu'un passe-temps; mais il n'a p
garde, il l'envoya le lendemain chez un officier général, avec une lettre qui contenait l'ordre suivant : « Le porteur a
en, auraient du reste été prompte- ment dissipés à la lecture d'une lettre que l'enfant, voyant son hésitation, lui remit.
d'une lettre que l'enfant, voyant son hésitation, lui remit. Cette lettre , signée du même nom, portait en substance que l
. 312 CLINIQUE NERVEUSE. Il ne faudrait pas prendre au pied de la lettre le caractère symétrique de ces névralgies, car
e et à écrire, mais son écriture se ressent de son tremblement, les lettres sont assez régulières, mais les lignes qui les
l'analyse n'entre pas dans le cadre de cette étude (la grandeur des lettres , la façon de les écrire, le nombre de lettres,
de (la grandeur des lettres, la façon de les écrire, le nombre de lettres , l'état mental du sujet, etc.). L'expérience a
e ne pouvoir déterminer, au moment même de l'expérience, aucune des lettres composant le mot; mais de trouver ce mot tout e
rassemblant d'abord dans la mémoire les parties isolées d'une seule lettre , en combinant ces parties, et, petit à petit en
ettre, en combinant ces parties, et, petit à petit en formant les lettres , puis le mot tout entier. Nous pouvons formuler
si simple et aussi peu coûteuse que possible, c'est-ci-dire par une lettre ordinaire adressée directement au président du
où en est le devoir. On leur demandera, par exemple, de compter des lettres , d'apprendre par coeur des groupes de nombres o
92 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aucun accident t nerveux. ,1901. - Le 23 janvier, nous recevons une lettre d'un M. Z.. nous demandant un rendez-vous afin
usqu'au 38 novembre, elle a eu deux crises en juillet et 5 en août ( lettre de AI. J. Voisin). Les parents la reprennent al
r toute erreur, nous prions également nos abonnés de joindre à leur lettre de réabonnement et à toutes leurs réclamations
la favorisait, elle continua de lui écrire de longues et fréquentes lettres , qui, très goûtées, furent imprimées plus tard.
ont les quatre premiers parurent de son vivant, il faut ajouter ses lettres (Las Cartas) qui furent re- cueillies après sa
; c'est alors trop le docteur en théologie et pas assez la femme de lettres qui tient la plume. Au xme siècle déjà, il y av
rétion chez les aliénés. R. de Musgrave CLAY. VIII. Le Juif aliéné, lettre ouverte au D1' C.-F. Beadles, par le professeur
'attribue à ce fait que le malade exerçant la profession d'homme de lettres , l'appareil musculaire innervé par ce nerf réal
liers et plus nets : par exemple, dans une page d'im- pression, des lettres dont on distingue bien la forme et le caractère;
malade fait continuellement allusion, dans ses discours et dans ses lettres , aux voix qu'il entend; il suf- fit de l'examin
ville, qui s'honore d'avoir en tous temps aimé les sciences, les lettres et les arts, a donné à la science médicale des no
et dans sa structure. Signe des temps : on voit des Facultés des Lettres elles-mêmes laisser, pour un moment, les longues
malade trace une série de signes incompréhensibles dont la première lettre le G est seule reconnaissable. -Le 14 février, au
es dans les dernières journées. 2° Si, en écrivant, il oublie des lettres ou des syllabes, ou fait des fautes d'orthograp
cours à son ardeur épistolaire en envoyant chaque jour plusieurs lettres à M. J..., qui déclarait : « C'est étonnant. on c
l'autre 3 francs. Une autre fois, on l'envoie à la poste avec six lettres non affranchies et 2 francs ; elle garde l'argent
on affranchies et 2 francs ; elle garde l'argent et fait partir les lettres ; comme les destinataires se plaignent dans la s
onstater une fois de plus, le danger qu'il y a d'accepter trop à la lettre un témoignage d'enfant ? Car enfin que serait-i
ers et ses amis, et sa correspondance privée contient de nombreuses lettres où l'on voit toute l'affection et toute l'estim
euse complication du problème. Beau- coup de ces enfants sont, à la lettre , « nés fatigués » et leur fatigue cérébrale, co
temps ce malade redevient lucide pendant quelques heures, écrit des lettres raisonnables, se conduit correctement pour retomb
ar des périodes de transition D, et ce passage fut long. Dans des lettres à sa soeur et à son beau-frère, il se montre so
pièces par ses ennemis, errait sur les bords du Pô, et signait ses lettres Dio- nysos : une de celles-ci étant parvenue à
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gantisme. Insuffisance hépatique. Voir Délire. Juif aliéné, Le -, lettre ouverte au 1)' Beadles, par Benedik, 154. Kor
93 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
impossibilité absolue de prononcer certaines syllabes ou certaines lettres de l'alphabet. C'est ce qui a lieu par exemple
ines lettres de l'alphabet. C'est ce qui a lieu par exemple pour la lettre x. Si l'on invite le malade à dénommer cette le
exemple pour la lettre x. Si l'on invite le malade à dénommer cette lettre , il articule gi, ! il, fait des efforts incroya
suivante : Un Queun, Deux- Gueen, J'J'vi, Quoi; 3° enfin certaines lettres ou certains mots peuvent être prononcés d'une f
mpter, il dit : mun - deux trois quate, etc., Il prononce ainsi les lettres de i'aiphabet a = ma ; b=bé; c = ce ; d = dé ;
irant : u = mu =hu ; a = ma = ah. Il appuie davantage sur certaines lettres , exemple : bas = baas. La langue est toujours f
mbé ma-malade et que-ej'ai été-éforcé de ve-enir à-l'hôpital. Les lettres sur lesquelles il hésite sont presque toujours le
ances. Les troubles de la prononciation portent à la fois sur les lettres prises individuellement, sur les différentes sy
depuis qu'il est à l'asile, il n'a pas voulu le croire, malgré les lettres annonçant la perte qu'il venait de faire. C'est p
trer son écriture et son style; j'ai déjà reçu d'elle deux ou trois lettres , bien tournées mais un peu longues, dont je vou
r seconde. ,L'écriture, quandlamain est atteinte, est tremblée, les lettres sont bien formées ou. à peu près qnand le tremb
éparées à l'avance et ne manquant pas d'une certaine recherche. Les lettres dont elle nous accable sont écrites dans un sty
t comme durée. M. Faucher (de la Nièvre) envoie une proposition par lettre sur la retraite des médecins d'asile. Le Cong
sans douleur, par M. Hewetson. On l'endormit par la lecture de la lettre suivante : a Cher M. Turner, je vous envoie une m
omme dormait la nuit par l'ordre que le Dr Bramwel lui envoyait par lettre ou par télé- gramme. -L'assemblée a été levée a
faut encore distinguer la forme de cette ombre, il faut lire les lettres . Les exigences sont ainsi bien plus grandes, l'
'est plus discernable; enfin la lisibilité plus ou moins grande des lettres y joue aussi un certain rôle. Au cours de nos
nt sous la dictée ou de copier sans répéter, omettre, confondre des lettres et des syllabes; notons que la malade lit bien
st incapable de lire de longs mots parce qu'elle oublie la première lettre quand elle ar- rive à la dernière. Dessins à l'
n effet de M. Giraud, médecin-directeur de l'asile de Saint-Yon une lettre dans laquelle il nous demande de lui procurer d
estion en Angleterre, ainsi que l'indique l'ex- trait suivant d'une lettre adressée au l3r·itsila Médical Journal, par not
94 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
i, vers le milieu du mois de- janvier 1602, lui fit-il remettre des lettres l'informant sommairement des faits habi- tuels
avec sa bonté habituelle quelles mesures il fallait prendre. Ces lettres furent lues au Sénat. Il fut décidé d'envoyer u
ntôt en résulter. Notre premier soin fut de demander au Sénat des lettres pour le gouverneur de l'île Saint-Jean. On lui de
soient. De plus, tioics insérerons dans la mesure du possible, les lettres com- mentant ou critiquant cette discussion qu'
première. C'est par cette dernière mémoire que nous saisissons les lettres et les mots que l'on nous fait tracer passiveme
lus fréquentes. 11 ne faut du reste peut-être pas prendre trop à la lettre l'assurance de J... qu'il n'a pas fait abus de
ls soient. De plus, nous insérerons dans la mesure du possible, les lettres com- mentant ou critiquant cette discussion qu'
ment aratoire'. Huit mois après cette évasion, le 17 juin 1886, une lettre de Grandid... à son grand-père, administré de l
avons écrit au directeur de cette prison qui nous a appris, par une lettre en date du 30 juin 1886, que notre malade avait
merie de Gaillon après avoir été reconnu atteint d'épilepsie. Une lettre de il. le Dr Boularan, médecin du quartier spéc
août 1886 l'un de nous adressait à M. Gragnon, préfet de police, la lettre suivante, relatant ce qui avait déjà été tenté
de nous envoya à M. Demôle, ministre de la justice, la copie de la lettre ci- dessus, en insistant sur la nécessité d'ann
Le 4 octobre suivant, c'est-à-dire plus d'un mois après la première lettre à M. Demôle, et huit jours après une nouvelle l
la première lettre à M. Demôle, et huit jours après une nouvelle lettre au même ministre, en l'absence de toute réponse,
Gran- did..., vieillard liospitalisé à Bicêtre, me communiquait une lettre de son petit-fils apprenant qu'il était à la pr
gré à Bicêtre. N'entendant parler de rien, le 28 août j'écrivis une lettre à M. le Préfet de Police qui me répondit le len
s'étant écoulé sans réponse, mois de vacances il est vrai, par une lettre en date du 29 septembre, je rappelai aM.ieMinis
du 29 septembre, je rappelai aM.ieMinistredefaJusticema précédente lettre ; voilà bientôt huit jours de cela et ma seconde
a précédente lettre; voilà bientôt huit jours de cela et ma seconde lettre n'a pas été plus heureuse que la première. C'es
affaire et promettait s'en occuper d'urgence. 18 octobre. Nouvelle lettre au préfet de police dont nous extrayons le pass
e l'on puisse remarquer une difficulté spéciale pour telle ou telle lettre (toutes les syllabes ont été essayées). Le ton
ls soient. De plus, nous insérerons dans la mesure du possible, les lettres com- mentant ou critiquant cette discussion qu'
95 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
au milieu desquelles on reconnaît à peine çà et là l'ébauche d'une lettre (agraphie cérébelleuse par ataxie ou incoordinati
es de stratagèmes pour ne pas man- ger ainsi qu'on le verra dans la lettre qu'elle m'écrit alors; son état empire de telle
ui de 80 livres passées. , Je veux ajouter à cette observation la lettre que j'ai reçue de cette jeune fille lorsqu'elle
es vulgaires, par l'isolemenl, mais l'état mental que va révéler la lettre suivante ne doit-il pas compter comme un essent
ne doit-il pas compter comme un essentiel stigmate ? Voici cette lettre dans ses parlies principales : Monsieur le doct
que les fumeurs avaient le cerveau et le crâne tout noirs. Dans une lettre à Bartholin, Borrichins rapporte qu' « une pers
Manquat et Grasset, le malade n'ayant plus de jugement écrivait des lettres insolentes à ses supérieurs, mais suffisamment
t un homme, instruit aupa- ravant qui maintenant ne peut écrire une lettre qu'avec de nombreuses fautes et qui écrivant sp
t aussi moins adroits ; l'écriture était moins nette, tremblée, les lettres moins bien formées. Son ca- ractère a changé pe
endre compte de l'altération de l'é- criture qui est tremblée ; les lettres sont irrégulières, inégalement distantes, quelq
un moment d'irritabilité morbide, avait écrit à un de ses chefs une lettre qui entraîne pour lui des désagréments considérab
osent à de tels ridicules par une passion si funeste. Il cite une lettre de Lipsius à un de ses amis dans laquelle il lui
ainsi contre toute nécessité, qui remplit son nez de tabac perd ses lettres de recommandation : la beauté et la prudence. V
posi- tion de notre auteur. Nous avons dit que, très versé dans les lettres grec- ques et latines, Cohausen imite à chaque
e d'un de ces accès, il écrivit en décembre, à un de ses chefs, une lettre violente dont il oublia pres- que aussitôt le f
c sa main gauche. Il éprouve de grandes difficultés pour écrire une lettre et fait toujours des fautes ; en écrivant sous la
t parler très lentement, cependant il ne prononce qu'avec peine les lettres h. m. n. v. x. Il y a un léger rétrécissement d
1). Il faut faire une exception cepen- dant pour le brouillon d'une lettre qu'il adressa à Ludovic le More, alors régent d
nt du duché de Milan pour le compte de Jean Galéas son neveu. Cette lettre dans laquelle il offrait ses services et faisait,
Comme le pense M. Séailles (6), il est probable que ce brouillon de lettre fut dicté par Léonard, mais qu'il ne fut pas écri
oli ». Mais dans l'écriture en miroir ce n'est pas seulement chaque lettre qui est renversée, c'est le mot dans son entier e
ui-même la clef qui permet de déchiffrer son écriture. En effet les lettres , facilement reconnaissables bien que renversées,
ée elle reproduisit en miroir de la main gauche les chiffres et les lettres qu'elle copiait. Rose a continué à apprendre à
et, malgré toute l'attention prêtée, on trouvera toujours quelques lettres renversées. » Il est aisé de concevoir que l'éc
n de M. Du- rand. La représentation mentale de l'image visuelle des lettres telle qu'elle . se manifeste à notre esprit, c'
la main droite, nous nous exerçons à copier une image visuelle (de lettres ) dont on nous a d'ordinaire déjà appris la signif
en d'au- tre termes nous lisons d'abord et nous copions ensuite les lettres ou les mots lus. Mais on voit immédiatement que
se douter de ce qu'il fait, il trace des formes, c'est- à-dire des lettres , auxquelles son oeil n'est pas habitué, si bien q
ses : on peut admettre d'abord que le sujet renverse mentalement la lettre qu'il va écrire et copie ainsi une image retour
rche à écrire en miroir, je commence souvent par me représenter les lettres renversées et je ne les écris qu'ensuite. Mais
ique de ces mouvements, constitués par les parties élémentaires des lettres . On conçoit dès lors très bien d'une part qu'ex
96 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
bulisme et prononce les paroles suivantes : « V..., il y a quatre lettres à votre nom ; cinq minutes après votre réveil,
ientôt vont apparaître des gouttelettes de sang, formant les quatre lettres de son nom (lettres de un centimètre et demi de
re des gouttelettes de sang, formant les quatre lettres de son nom ( lettres de un centimètre et demi de hauteur). Quelques
is du gon- flement ; et enfin des gouttelettes de sang dessinent la lettre A, sur la partie médiane du front, un peu à gau
me précédemment et tient le langage suivant : « V..., il y a.quatre lettres à votre,nom. Un quart d'heure après votre révei
. Son écriture, les substi- tutions de mots qu'on remarque dans une lettre à sa mère étaient d'un aphasique. « Il semble q
'il est parvenu à en trouver la première syllabe ou les pre- mières lettres , à attendre que le reste lui vienne. La lecture e
e d'observations le démontrent. » Si on prend cette conclusion à la lettre . on sera de l'avis de l'auteur M. S...; souvent
l'asile, elle apprit l'alphabet, put épeler quelques mots de trois lettres et écrire deux lettres sous la dictée ; elle ad
'alphabet, put épeler quelques mots de trois lettres et écrire deux lettres sous la dictée ; elle additionnait jusqu'à 5, c
acrée); llarnl. BERNHARDT. Contribution A L4 maladie DE 'II011SEN : Lettre DE Thomsen A M. Bernhardt. (Cen- li-aibl. f. Ne
(surdinrutilé, lésions du nerf optique, etc.). M. Thomsen écrit une lettre spéciale pour confirmer à nouveau la non-consan-
sont bien tendues; cependant il lui est impossible de prononcer la lettre A. L'en- trée du pharynx est peu sensible. Le b
à l'asile de six à huit ans, Victor n'y a rien appris, pas même ses lettres ; il n'aimait pas à jouer avec les autres enfants,
i- tution, de moeurs sobres et morales; ils doivent présenter des lettres certifiant leurs moeurs et leurs qualités de deux
us. Les diplômes de l'école d'infirmières sont reçus à la place des lettres . Pour l'instruction des femmes, les directeurs
PLANCHES. PLANCHE IV. - Face interne de l'hémisphère droit. Les lettres ont la même signification que celles de la planch
NCHE V. ' , " Face externe ou convexe de l'hémisphère droit . Les lettres ont la même signification que celles de la planch
97 (1852) Journal du magnétisme [Tome XI]
’intérieur de votre corps?— Parfaitement. » Le ier janvier iS5a, la lettre suivante est écrite par la malade au général et à
pour vous votre protégée. t Eugénie MOREL. » L'écriture de celte lettre est un peu tremblée, mais parfaitement lisible.
ntion d’ajouter quelques mots à ces savantes considérations, mais une lettre de M. Ordinaire est venue nous en distraire. Il a
S. ln petit journal de la Nouvelle-Orléans, la Semaine, a publié la lettre suivante, dans ses numéros des 12 et 10 octobre d
de naissance, il est revenu dans sa patrie, d’où il nous a envoyé la lettre et la relation qui suivent : A Monsieur le baro
la Société du magnétisme de la Nouvelle-Orléans, lequel me remit une lettre pour M. le commandant Laforgue, de Pau, une autre
98 (1825) Anatomie des systèmes nerveux des animaux à vertèbres, appliquée à la physiologie et à la zoologie : Atlas
erf olfactif droit a sa paroi ouverte pour en montrer le canal. Les lettres groupées ont le même sens que dans lang. i™ de
agne le commencement de l'oesophage. On oublié sur cette figure les lettres du grand sympathique qui se termine comme à l'ord
cervelet. Les chiffres romains ont la signification ordinaire; et les lettres italiques celle des deux figures précédentes.
r sa- tiné. 56 fr. Le même ouvrage, papier vélin, fig. avant la lettre . 72 fr. Le même, grand raisin, figures tirées s
Prix, broché : Papier satiné 18 fr. Papier vélin, figure avant la lettre 5u fr. Papier grand raisin, épreuve sur papier
99 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
du côté gauche. Observation V. M. X..., trente-deux ans, homme de lettres , nous est adressé le 3 juin 1883.- Antécédents de
rnant un malade atteint de phéno- 1 Le professeur Semmola, dans une lettre qu'il nous adressa il ce sujet le 28 mai 1882,
vous n'oseriez pas imposer l'obligation et qui, ou bien resteraient lettre morte si, comme cela m'a semblé ressortir des d
. Nous' com- mençons donc par mettre en première ligne la savante lettre écrite sur cette même jeune fille par Jean Langiu
li- gence ne s'est jamais développée, il n'a pu apprendre que ses lettres , ne savait pas compter spontanément ; il répondai
allé en classe et n'a jamais rien appris; il connaît seulement ces lettres , ba, be, bi, etc. Quand il y avait un répitaprè
rant que, sous la dictée, les débiles ou les imbéciles omettent des lettres , dans l'espèce, l'r et l'l. Ces deux linguales
e mon frère, parce qu'ils me tourmenteraient davantage. u Plusieurs lettres que le malade m'a remises sont remplies de conc
re à agir, ce fut à la fois l'agitation croissante du malade et une lettre de son conseil judiciaire qui, ému de l'état de
e, et ornée de cartouches aux initiales R. F. Elle porte, gravée en lettres d'or, l'inscription suivante : . Le 3 août 18
tige. Là, tous les jours, j'ai été dans l'impossibilité de lire une lettre et même deux ou troislignes des psaumes. Au bou
vanouis; ces trois derniers jours, je n'ai même pas pu regarder une lettre . J'ai eu une autre visite du diable. Ma maladie
(à l'aide de son photomètre) par l'éclairage nécessaire pour qu'une lettre donnée soit à peine per- ceptible à une distanc
nts degrés d'éclairage et de différence relative entre l'objet (une lettre ) et le fond. Wolfssberg * a fait également des
érence et la valeur optométrique de la différence relative entre la lettre et le fond); ce parallélisme présente toutefois
e intensité ne sont plus perçus qu'à l'état de silhouette, mais les lettres ne sont plus reconnaissables. Le seuil du car
erreur provenant de la lisibilité plus ou moins grande de certaines lettres . On pourra, si l'on veut, pour la confection de
prendre une épingle sur la table. L'é- criture n'est pas ferme, les lettres sont inégales. Le muscle opposant du pouce est
100 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
tez-moi, messieurs, de vous donner, à cette occasion, lecture de la lettre ci-après que M. le Ministre de l'Intérieur ter
ection. Mon attention a été appelée de nouveau sur ce point par une lettre de mon collègue des hôpitaux, M. DU11lontpallie
Bertillon de faire des recherches sur ce point parti- culier. De sa lettre en date du 25 avril, il résulte qu'il n'y a pas
s, je vous demande la permission de reproduire ici un passage de la lettre que j'écrivais à ce sujet à l'Administration, l
le de donner une suite favorable au voeu de la Commission. «Cette lettre dont, après avoir donné lecture, je me borne aujo
'y parvient pas. On fait sentir au malade un morceau d'enveloppe de lettre . On lui demande s'il sent, et il ré- pond « oui
ien et je voudrais bien coucher avec toi. D Elle ne connait pas ses lettres , ne sait pas écrire, compte jusqu'à 10, disting
légumes. Au point de vue de la parole, et de la connaissance des lettres , nul progrès sensible. Antécédents. 121 Mars.
rchette et du couteau. - 1883. Janvier. - Gem... connaît toutes les lettres ; toute- fois la prononciation reste défectueuse
oides. 1887. -L'enfant prononce toujours très mal, il connaît ses lettres , les chiffres, les objets usuels, mais en résumé
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