ŒUVRES COMPLÈTES DE J. M. CHARCOT
LEÇONS
sur les MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX RECUEIL
AIRES-ÉDITEURS Place de l'Ecole-de-Médecine. PREMIÈRE LEGON S
Leçon
d'ouverture. Sommaire. — Création de la chaire
idèle aux habitudes consacrées, nous devons nous appliquer dans cette
leçon
d'inauguration, à faire connaître aux nouveaux ve
médecine de Paris à laquelle j'ai l'honneur d'appartenir. DEUXIÈME
LEÇON
«» Sur l'atrophie musculaire qui succède à ce
in, De l'atrophie musculaire rhumatismale. Thèse de 1873. — J. Paget,
Leçons
de clinique chirurgicale. Trad. Petit, 1877. —
très bien sous l'étincelle électrique. Ce fait déjà signalé dans une
leçon
de M. Charcot sur l'électricité statique (Revue d
que de cette réaction. Venons-en au traitement du malade. Depuis la
leçon
,, il a été électrisé statiquement (ou mieux frank
s viennent confirmer le jugement porté par M. Charcot, au cours de la
leçon
, qu'il ne s'agit que d'une atrophie simple. Pou
tion n'est pas si simple que cela. En somme, le malade, sujet de la
leçon
de M. Charcot, nous a donné amplement l'occasion
quelques-uns sont rapportés dans l'appendice du premier volume de mes
leçons
faites à la Salpêtrière. Dans un cas, à la suite
'aurai l'occasion de vous la représenter de nouveau l. 1. Depuis la
leçon
, Mlle A. a été isolée de sa famille. Elle est ent
ttaques se sont reproduites encore plusieurs fois. Ch. F. QUATRIÈME
LEÇON
Sur l'atrophie musculaire consécutive au rhumat
traîneraient trop loin aujourd'hui et que je remettrai à la prochaine
leçon
. Il ne sera pas sans intérêt, d'ailleurs, de fa
rdres de faits, en apparence si éloignés l'un de l'autre. CINQUIÈME
LEÇON
I. Amyotrophie et contracture réflexes d'origin
finir avec ce sujet, il me reste à vous montrer que, 1. Dubrueil. —
Leçons
de clinique chirurgicale, Montpellier, 1880, p. 5
e, dont je vous ai présenté un exemple récemment *. 1. Depuis cette
leçon
, M. Charcot a reçu de M. Dreschfeld, professeur d
ie grave ; il ne faut pas s'y laisser prendre \ 1. Depuis que cette
leçon
a été faite et publiée dans le Progrès médical, M
du même genre (Archives de Neurologie, T. V, p. 57). Ch. F. SIXIÈME
LEÇON
De l'hystérie chez les jeunes garçons. Sommai
rtance de l'isolement dans le traitement. Je me propose, dans cette
leçon
, de vous entretenir d'un jeune garçon qui fréquen
s au niveau du bregma, d'un côté ou de l'autre. 1. Depuis que cette
leçon
a été faite, M. Gaube a publié d'intéressantes re
que ; mais je crois devoir me bornera vous renvoyer à mes précédentes
leçon
. Tels sont les phénomènes qui se rencontrent tr
restait plus en tout que des traces de l'amblyopie. Ch. F. SEPTIÈME
LEÇON
o Deux cas de contracture hystérique d'origin
jeu de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire. \ Messieurs, Bans la
leçon
d'aujourd'hui qui inaugure le cours de la nouvell
jà avancée, nous remettrons la suite de cette étude à notre prochaine
leçon
. HUITIÈME LEÇON Deux cas de contracture hysté
emettrons la suite de cette étude à notre prochaine leçon. HUITIÈME
LEÇON
Deux cas de contracture hystérique d'origine tr
umatique. Messieurs, Vous n'avez pas oublié que, dans la dernière
leçon
, je m'étais proposé de mettre en parallèle deux c
ils l'histoire de la jeune malade qui nous a occupés dans la dernière
leçon
. Vous n'ignorez pas, Messieurs, que lorsqu'il s
ue les phénomènes que nous avons étudiés ensemble, dans la précédente
leçon
, sont des phénomènes pathologiques parfaitement l
répétée de l'aimant et la contracture a lini par disparaître; dans sa
leçon
du 12 janvier 1883, M. Charcot a pu montrer la ma
muscles primitivement atteints. En montrant le malade guéri, dans la
leçon
du 12 janvier 1882, M. Charcot a fait remarquer q
rticulier de l'index, qui semble **ffilé en fuseau. Ch. F. NEUVIÈME
LEÇON
«h Exemple d'une affection spinale consécutiv
eurs, Le malade qui va vous être présenté et qui fera l'objet de la
leçon
d'aujourd'hui offre, à mon avis, un exemple fort
encore locale, est incontestablement des plus remarquables. DIXIÈME
LEÇON
A I. Sciatique double chez une cancéreuse. —
essieurs, I. La première malade qui va vous être présentée, dans la
leçon
d'aujourd'hui, nous ramènera un instant vers l'hi
a sciatique symptomatique, qui nous a occupés dans les deux dernières
leçons
. C'est là un sujet dont l'intérêt pratique ne sau
e désormais, mettrait obstacle à la station et à la marche. ONZIÈME
LEÇON
Sur un cas de /6ecité verbale. ^) / Sommair
la lecture mentale. Messieurs, Je me propose, dans plusieurs des
leçons
qui vont suivre, d'entreprendre avec vous quelque
est à peine nécessaire de le relever, aux fonctions les plus 1. Les
leçons
auxquelles il est fait allusion ici ont été déliv
thèse de M. le Dr Bernard (Paris, 1885) en contient la substance. Ces
leçons
seront reprises et publiées ultérieurement. éle
siologique. L'exposé clinique de l'un de ces cas fera l'objet de la
leçon
d'aujourd'hui ; les développements dont cette étu
nt cette étude devra fournir la substance seront renvoyés à une autre
leçon
. Le cas dont il s'agit offre, si je ne me tromp
anière de contraste, j'appellerai votre attention, dans une prochaine
leçon
, sur un autre homme aphasique que je vous présent
e, à la vérité, absolument dégagées de toute complication. DOUZIÈME
LEÇON
S De la cécité verbale (Suite). Sommaire. —
Tous n'avez pas oublié l'exposé que je vous ai fait, dans la dernière
leçon
, d'un trouble partiel de la faculté d'expression
laquelle j'aurai à vous exposer quelques détails, dans une prochaine
leçon
, et qu'il a appelée du nom d'aphasie sensorielle,
pratique, p. 43', T. I, 1838. 4. Peter. — De l'aphasie a'après les
leçons
cliniques du professeur Trousseau (In. Arch. gén.
Charcot. Œuvres complètes, t. iii, Système nerveux. 12 TREIZIÈME
LEÇON
o Sur un cas de suppression brusque et isolée
omme le corps, des tempéraments qui résultent de la prédominance 1.
Leçon
recueillie par M. Bernard. 2. Les maladies de l
étails, irrégularités et ratures de leur rédaction. Récitait-il une
leçon
alors qu'il était au collège? Un morceau d'un aut
herchait plus attentivement. Vous savez comment, dans mes dernières
leçons
sur Y aphasie1, me fondant sur l'analyse clinique
homme, par les procédés de la méthode anatomo-clinique. QUATORZIÈME
LEÇON
Revision nosographique des amyotrophies 1. So
trée dans une phase critique. L'histoire nosographique des 1. Cette
leçon
a été recueillie par MM. Marie et Guinon. 2. Ce
là une tâche que j'espère pouvoir remplir ultérieurement. QUINZIÈME
LEÇON
Tremblements et mouvements choréiformes. Ghorée
as de sclérose en plaques que je vous ai montrés dans les précédentes
leçons
, des divers tremblements, des mouvements involont
l'occasion des mouvements intentionnels d'une certaine jétendue 1.
Leçon
recueillie par M. Guinon, interne des hôpitaux.
le service depuis plus de six mois et j'en ai déjà fait l'objet d'une
leçon
, l'an passé. C'est dire qu'il s'agit là d'une aff
les temps anciens, celui de la « Possédée de Louviers 2 », dont 1.
Leçon
recueillie par M. Gilles de la Toukette. 2. Pro
l'esprit des enfants est toujours si largement ouvert. DIX-SEPTIÈME
LEÇON
De l'isolement dans le traitement de l'hystérie
me ; vous en trouverez tous les détails consignés dans une précédente
leçon
. 11 me faut seulement relever quelques particular
jourd'hui les modifications qui se sont produites chez eux, sous 1.
Leçon
recueillie par M. Gilles de la Tourette (Progrès
; j'en parle chaque année, depuis tantôt quinze ans, et plusieurs des
leçons
que je lui ai consacrées ont été publiées. La mét
e, et pendant une visite des parents à la Salpêtrière. DIX-HUITIÈME
LEÇON
A propos de six cas d'hystérie chez l'homme 1.
, l'identité de la grande névrose dans les deux sexes. Car, dans 1.
Leçon
recueillie par M. Georges Guinon, interne du serv
rêter là ces préliminaires pour en venir à l'objet principal de notre
leçon
d'aujourd'hui. Nous allons procéder par démonstra
ni avec l'hystérie de l'homme. Nous la retrouverons dans la prochaine
leçon
, tout aussi caractérisée que dans les cas précéde
, chez trois autres malades du service de la clinique. DIX-NEUVIÈME
LEÇON
A propos de six cas d'hystérie chez l'homme (Su
erminer aujourd'hui l'étude que nous avons commencée dans la dernière
leçon
. Je procéderai, d'ailleurs, comme je l'ai fait l'
ce sens qu'il s'agit d'un adolescent et non pas d'un homme fait. 1.
Leçon
recueillie par M. Georges Guinon, interne du serv
vre d'une médication appropriée 1. Deux jours après que la présente
leçon
a été délivrée, M. le professeur Charcot a admis
s caractéristiques. Messieurs, en étudiant avec vous, dans ces deux
leçons
, les six cas d'ailleurs très significatifs, que l
ophiques, modification des réactions électriques 2. Messieurs, La
leçon
d'aujourd'hui sera consacrée à l'étude clinique d
xagère pas à plaidr, et pour vous bien montrer qu'elles existent 1.
Leçon
recueillie par M. P. Marie, chef de la clinique,
P. Marie, chef de la clinique, et G. Guinon, interne du service. 2.
Leçon
faite le 1er mai 1885. A la Société médicale des
er a de nouveau présenté le malade Porcz... qui fait l'objet de cette
leçon
(voir la Gazette hebdomadaire, n° 31, 1885). Dans
n service, le nommé Pin..., dont il a été question dans la précédente
leçon
et sur lequel nous reviendrons dans la prochaine.
ions. Messieurs, Vous n'avez pas oublié comment, dans la dernière
leçon
, étudiant avec vous un cas remarquable de monoplé
mes fondé, entre autres, dans notre démonstration, sur l'étendue 1.
Leçon
recueillie par MM. Marie, chef de la clinique, et
ouchée plusieurs fois, chemin faisant, dans le cours de la précédente
leçon
. Une lésion destruclive étroitement localisée dan
eints, et au bout de 1. Voir, à la page 23 de ce volume, la seconde
leçon
, Sur l'atrophie musculaire qui succède à certaine
dbui.h der Pathol., etc. II. Auflage. — Erlangen, 1869. 3. Charcot,
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. I, lre éd
aladies du système nerveux, t. I, lre édit.., 4e édit., p. 351. — 12e
leçon
. « Remarquez, en premier lieu, l'absence de paral
nt, celui d'un autre hystérique mâle que je vous ai présenté dans une
leçon
précédente, et dont, à l'époque, je vous ai entre
œil. Le cas du nommé Gil... en particulier, cité dans une précédente
leçon
(page 264 et suivantes) est un bel exemple de ce
tteints de monoplégie brachiale, qui ont fait l'objet des précédentes
leçons
, la paralysie survenue à la suite d'un traumatism
-elle assimilable à celle que nous avons observée, dans nos dernières
leçons
, chez nos deux hommes hystériques, Porcz... 1.
nt et la sensibilité sont conservés dans les doigts. VINGT-DEUXIÈME
LEÇON
o Sur deux cas de monoplégie brachiale hystér
quelque sorte, plus avant encore dans l'intimité des phénomènes. 1.
Leçon
recueillie par M. Marie, chef de clinique, et G.
ut principal que nous nous proposons d'atteindre, dans cette série de
leçons
, je reviendrai dans un instant sur les résultats
ne » « Railway Brain » et dont il a été question, dans une précédente
leçon
(p. 2S0 et 251), au moment où j'attirais l'attent
que ces faits dont, pour mon compte, j'ai été témoin plus d'une fois [
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. I, 3e édi
aine de jours, un mois peut-être, nous serons fort avancés déjà. La
leçon
qu'on vient de lire a été délivrée le 29 mai 1885
rcot. Œuvivs complètes, t. iii, Système nerveux. 24 VINGT-TROISIÈME
LEÇON
Sur tin cas de coxalgie hystérique de cause tra
cessité de l'examen pendant Faction du chloroforme. Messieurs, La
leçon
d'aujourd'hui sera consacrée à vous démontrer que
u que d'autres auditeurs, ceux qui m'ont fait l'honneur de suivre mes
leçons
du dernier semestre, se montreront plus réservés;
. II. Various forms of local hysterical Affections, p. 35 et seq. Les
leçons
de Brodie, sur les affections nerveuses locales,
Hysteric affection of Joints, 3e lecture. London, 1867. — Sir Paget,
Leçons
de clinique chirurgicale. Trad, du Dr L.-II. Peti
Paget, Leçons de clinique chirurgicale. Trad, du Dr L.-II. Petit. 3e
leçon
, affections neuromimétiques des articulations, p.
tée, exige de longs développements. Nous y consacrerons une prochaine
leçon
. Ctt.UîCOT. (lit!M'uS Complètes, t. iu, *yl m:
. (lit!M'uS Complètes, t. iu, *yl m: urrcC'iX. 25 VINGT-QUATRIÈME
LEÇON
Sur un cas de coxalgie hystérique de cause trau
r sous vos yeux le malade que je vous ai présenté dans notre dernière
leçon
, comme offrant un exemple remarquable de l'affect
e malade doit être interprétée suivant la théorie appliquée, dans nos
leçons
du dernier semestre, aux cas de monoplégie hystér
hiques produites par ce que nous appelions, dans une de nos dernières
leçons
, la suggestion traumatique, de même aussi il y a
: la maladie ne s'était pas sensiblement modifiée. VINGT-CINQUIÈME
LEÇON
Sur un cas de contracture spasmodique d'un memb
du tissu fibreux. Messieurs, Le malade qui va être l'objet de la
leçon
d'aujourd'hui est, comme vous le voyez, un homme
trop multiplier les faits, dans ce domaine encore insuffisamment 1.
Leçon
recueillie par M. le Dr Babinski. exploré et qu
es à ceux que nous avons minutieusement étudiés, dans les précédentes
leçons
, chez nos sujets masculins atteints de mono-plégi
es membres soumis à une contusion, n'appartiennent pas, 1. Voir les
Leçons
XX, XXI, XXII. 2. Voir surtout la Leçon XXII.
iennent pas, 1. Voir les Leçons XX, XXI, XXII. 2. Voir surtout la
Leçon
XXII. tant s'en faut, en propre aux sujets hyst
ns essayé de vous faire reconnaître le mécanisme dans nos précédentes
leçons
*. Il ne faut pas confondre ce choc local", rel
ocale que décrivait récemment le professeur Verneuil, dans une de ses
leçons
cliniques. Ici, à la suite d'une contusion toujou
t privé de tout mouvement volontaire. Il a donc existé chez lui, 1.
Leçons
XX, XXI, XXII. 2. Voir YUnion inédicale, 1880.
bre. Tous savez, d'après les détails que je vous ai présentés dans la
leçon
que j'ai consacrée, cette année, à l'étude de la
i di Bologna. (Gaz. degli Ospitali, n° 73, p. 581, 1884.) Voir cet le
leçon
dans le t. V, des Œuvres complètes, p. 587.) 1.
re que, ainsi que nous l'avons fait pressentir, dès le début de cette
leçon
, la contracture en question est de nature hystéri
e l'exposé qui précède, vous n'aurez sans 1. Voir en particulier la
Leçon
XX, p. 313. 2. Voir surtout les Leçons XX, XXI
s 1. Voir en particulier la Leçon XX, p. 313. 2. Voir surtout les
Leçons
XX, XXI et XXII. doute pas manqué, pour la plup
es hystéro- traumaliques que nous avons étudiées dans nos précédentes
leçons
; pourquoi, dis-je, cette paralysie molle du débu
raumatiques sur le développement des phénomènes d'hystérie locale, in
Leçons
sur les Maladies du système nerveux, t. I, p. 449
nerveux, t. I, p. 449. Appendice, et, dans ce volume les 3s, 7" et 89
leçons
. — Ch. Richet et Brissaud. Progrès médical, 8 mai
ale et approfondie. Le troisième ou le quatrième jour qui suivit la
leçon
qu'on vient de lire, entraîné par un de ces capri
nt que par l'emploi du chloroforme2. 1. Charcot, Œuvres complètes :
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. III, 1er
s là de contraction musculaire spasmodique. (J.M. G.) VINGT-SIXIÈME
LEÇON
Gas de mutisme hystérique chez l'homme1. Somm
e organique, indélébile, à marche progressivement fatale, tandis 1.
Leçon
recueillie par M. Gilles de la Tourette. — M. le
es de la Tourette. — M. le Dr Melotti a, de son côté, recueilli cette
leçon
qu'il a publiée dans la Gazetta degli Os-pedali,
ord du premier malade, celui qui doit être l'objet principal de cette
leçon
, le second n'ayant élé placé près de lui qu'à tit
ur les examens Jaryngoscopiques, a fait connaître la substance de mes
leçons
d'alors, en y ajoutant quelques traits personnels
me eût été suffisamment isolée jusqu'au jour où ont été délivrées les
leçons
auxquelles je faisais allusion tout à l'heure. Au
e, il possède encore, ainsi que je le disais au commencement de cette
leçon
, la possibilité de se faire comprendre par la mim
cher une grande importance à la notion exacte 1. Voir la précédente
leçon
. de chacun de ces syndromes pris en particulier
contraire, un mécanisme tout à fait différent. Je terminerai celte
leçon
par une démonstration expérimentale, en vous prés
jet qui nous a occupé maintes fois, dans plusieurs de nos précédentes
leçons
, auxquelles je renverrai ceux d'entre vous qui vo
ions 2. 1. Le malade hystérique qui avait assistée une partie de la
leçon
paraît avoir été vivement impressionné par tout c
ux cas de paralysie hystéro-traumatique chez l'homme, fragments d'une
leçon
de M. Cuarcot (1886), recueillis par MM. Babinski
M. Cuarcot (1886), recueillis par MM. Babinski et Berbèz. (Voir les
Leçons
XX, XXI et XXII.) 1° cas de paralysie rystéro-t
on est, du 1. Ainsi qu'on l'a vu pour le membre supérieur (Voir la
Leçon
XXI, pages ¦ 328, 340, 341 et la Leçon XXII, pass
r le membre supérieur (Voir la Leçon XXI, pages ¦ 328, 340, 341 et la
Leçon
XXII, passim), on peut, chez les sujets hémianest
r peu qu'elle soit d'une intensité notable, produira néces- 1. Voir
Leçons
XXI, XXII, XX1JI. 2. Grœrangeri, Fischer, Billr
ns XXI, XXII, XX1JI. 2. Grœrangeri, Fischer, Billroth, etc. Voir la
Leçon
XXVI. sairement, soit uniquement sur la partie
recueillie par M. Babinski, chef de clinique de la Faculté. 2. Voir
Leçon
XXV, p. 414 et Seq. était très gênée; illui sem
é de l'observation de Mouill... figure dans ce travail. 1. Voir les
Leçons
XX, XXI, XXII. 2. Voir J. Babinski De l'atrophi
Les notions du sens musculaire et le mouvement volontaire. (Voir la
Leçon
XXII, p. 361.) J'ai été conduit à admettre, ave
ts avec une certaine précision vers son nez, sa bouche, son 1. Voir
Leçon
XIX, p. 280 et Leçon XX, p. 323, 3M, etc. oreil
précision vers son nez, sa bouche, son 1. Voir Leçon XIX, p. 280 et
Leçon
XX, p. 323, 3M, etc. oreille, ou encore vers un
. III. Guérison soudaine d'une hémiplégie hystérique1. (Voir la
Leçon
XXII). Messieurs, Il y a quatre jours, à notr
e ni d'évacuations involontaires pendant les atta- 1. Extrait d'une
leçon
de M. Ciiarcot, recueillie par M. le Dr Marie.
e l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques *. (Voir la
Leçon
XXV). Parmi les divers caractères de l'hystérie
e l'hystérie. Tous ces malades ont été présentés par M. Charcot à ses
leçons
cliniques. Un travail ultérieur comprendra l'expo
yons qu'il ne sera pas sans intérêt, vu la nouveauté 1. D'après les
leçons
de M. Charcot, par M. Babinski. Voir Progrès médi
pareille assertion peut pourtant paraître étrange; car, 1. Voir la
Leçon
XX. est-il possible de comparer l'atrophie dont
Hemianesthesie, Halle, 1ï84.) V. Du mutisme hystérique (Voir la
Leçon
XXVI.) Parmi les manifestations si variées de l
'est le mutisme. M. le professeur Charcot a traité ce sujet, dans ses
leçons
2, à propos de quelques malades dont il a bien vo
uverait à coup sûr un plus grand nombre de faits qui 1. D'après les
leçons
de M. Charcot, par M. CARTAz.x^Voir Progrès médic
. Charcot, par M. CARTAz.x^Voir Progrès médical, 1886). —•"-*""— 2.
Leçons
de décembre 1885. (Voir la Gaz. des hôpitaux du 1
ignement de M. le professeur Charcot. Par Pierre Marie1. Dans une
leçon
faite en décembre 1887, à la Salpêtrière, M. le p
âce à la double série de preuves qu'apporta M. le professeur Charcot (
Leçons
de 1883, publiées par Rummo *). En effet, tandis
nli forme d'afasia, Lezioni redatte del Dr Rummo. Milano, 1884. — Ces
leçons
ont été délivrées pendant l'été de 1883 et publié
etc. Paris, 1886) en contiennent la substance. — Voir aussi Charcot:
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. III, p. 1
orme d'aphasie parfaitement autonome. TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE
LEÇON
. leçon d'ouverture. Sommaire. — Création de l
hasie parfaitement autonome. TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE LEÇON.
leçon
d'ouverture. Sommaire. — Création de la chaire
Simulation.............................................. t DEUXIÈME
LEÇON
. sur l'atrophie musculaire qui succède a certai
...................................................... 23 TROISIÈME
LEÇON
. 1. contractures d'origine traumatique. — 2. ti
une hystérique. — Simulation.......................... 37 QUATRIÈME
LEÇON
. sur l'atrophie musculaire consécutive au rhuma
ire................................................... ül CINQUIÈME
LEÇON
. I. amyotrophie et contracture réflexes d'origi
psie................................................... (il SIXIÈME
LEÇON
. de l'hystérie chez les jeunes garçons. Somma
itement............................................... 8(3 SEPTIÈME
LEÇON
. deux cas de contracture hystérique d'origine t
hyperexcitabilité neuro-musculaire..................... 91 HUITIÈME
LEÇON
. deux cas de contracture hystérique d'origine t
ontractures d'origine traumatique..................... 108 NEUVIÈME
LEÇON
. exemple d'une affection spinale consécutive a
fessiers du côté droit................................. 124 DIXIÈME
LEÇON
. I. sciatique double chez une cancéreuse. — II.
....................................................... 140 ONZIÈME
LEÇON
. des différentes formes de l'aphasie, — de i.a
les mouvements, dans la lecture mentale.............. 154 DOUZIÈME
LEÇON
. de la cécité verbale (Suite). Sommaire- — Hi
ésion................................................ 166 TREIZIÈME
LEÇON
. sur un cas de suppression brusque et isolée de
................................................... 178 QUATORZIÈME
LEÇON
. révision nosographique des amyotropiues. Som
.................................................... 19:! QUINZIÈME
LEÇON
. tremblements et mouvements choréiformes. choré
ie. — Pronostic variable suivant les cas.............. 215 SEIZIÈME
LEÇON
. spiritisme et hystérie. Sommaire. — Influenc
.................................................. 229 DIX-SEPTIÈME
LEÇON
. de l'isolement dans le traitement de l'hystéri
n inventé en Allemagne et en Angleterre........... 238 DIX-HUITIÈME
LEÇON
. a propos de six cas d'hystérie chez l'homme.
ants observés chez la femme....................... 253 DIX-NEUVIÈME
LEÇON
. a propos de six cas d'hystérie chez [/'homme (
Difficultés du diagnostic dans ce cas................ 280 VINGTIÈME
LEÇON
. sur deux cas de monoplégie brachiale hystériqu
fication des réactions électriques............. 299 VINGT ET UNIÈME
LEÇON
. sur deux cas de monoplégie brachiale hystériqu
suggestions..................................... 315 VINGT-DEUXIÈME
LEÇON
. sur deux cas de monoplégie brachiale hystériqu
l'action du chloroforme....................... 370 VINGT-QUATRIÈME
LEÇON
. sur un cas de coxalgie hystérique de cause tra
............................................... 386 VINGT-CINQUIÈME
LEÇON
. sur un cas de contracture spasmodique d'un mem
a production du tissu fibreux.................... 399 VINGT-SIXIÈME
LEÇON
. cas de mutisme hystérique chez l'homme. Somm
aux cas de paralysie hystéro-traumatique chez l'homme; fragment d'une
leçon
de M. Charcot, recueillie par MM. Babinski et B
III. — Guérison soudaine d'une hémiplégie hystérique. Extrait d'une
leçon
de M. Charcot, par M. P. Marie...................
De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques, d'après les
leçons
de M. Charcot, par M. Babinski...................
ki..................... 478 V. — Du mutisme hystérique, d'après les
leçons
de M. Charcot, par M. Cartaz...................
PUBLICATIONS DU PROGRÈS MÉDICAL
LEÇONS
DU MARDI À LÀ SALPETRIEM Professeur CHARCOT P
di 23 Octobre 1888 COURS DE M. CHARCOT ANNÉE IS88-18S9 PREMIÈRE
LEÇON
. OBJET : 1° et 2° Bâillement hystérique (bâi
eurs, vous savez par l'expérience de l'année passée ce qu'ont été nos
leçons
du mardi. Essentiellement cliniques, elles ne cha
lles ne changeront pas de caractère cette année. Il s'agira tantôt de
leçons
presque improvisées sur des malades qui me sont e
improvisées sur des malades qui me sont encore peu connus, tantôt de
leçons
improvisées dans l'acception rigoureuse du mot, c
externe et que, par conséquent nous ne connaissons pas du tout. Ces
leçons
ont surtout pour but de vous mettre vraiment en r
t l'an passé, et je le répète actuellement avec insistance : dans les
leçons
très préparées à l'avance le professeur conduit s
s'est présentée une malade dont je vous ai déjà entretenu l'an passé (
Leçons
du Mardi, 10° leçon, 7 février 1888, p. 193). Il
alade dont je vous ai déjà entretenu l'an passé (Leçons du Mardi, 10°
leçon
, 7 février 1888, p. 193). Il y a un peu moins d'u
ve étude de pathologie comparative. J'ai insisté autrefois, dans la
Leçon
à laquelle je vous prie de vous reporter, sur les
ffre notre malade. Policlinique du Mardi 30 Octobre 1888 DEUXIÈME
LEÇON
1er Malade. — Sur un même sujet : sciatique ave
n des fois l'occasion de justifier clinique-ment dans le cours de ces
leçons
. Mais, Messieurs, la neurasthénie n'est pas, ta
t ordonnées : 1. Voir sur la polyopie monoculaire des hystériques :
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. III p. 32
. Voir Charcot : Hémianesthésie hystérique et hémianesthésie toxique,
leçon
faite à la Salpêtrière. (Bulletin médical, Numéro
consultation le 22 novembre, c'eat-à-dire vingt-trois jours après la
leçon
du 30 octobre. La paralysie des jambes a disparu
ralysie, suivant la méthode dont je vous ai donné les règles dans une
leçon
de l'an passé. En dehors de cela l'hydrothérapie,
hen Bückenmarke. Leipzig. 1871. T. I, flg. 1 et 2. ?. Voir Charcot,
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. I, p. 103
Première. Paris. Policlinique du Mardi 13 Novembre 1888 QUATRIÈME
LEÇON
1° Attaque de sommeil hystérique ; 2° Amyotro
diteurs de cette malade, plus particulièrement en décembre 1883 ; les
leçons
que j'ai faites alors à son sujet ont été publiée
ines encore. J'ai fait allusion, une fois de plus, à ce cas, dans une
leçon
publiée par le Bulletin médical, le 2 décembre 18
remier abord. Sur ce sujet vous consulterez peut-être avec intérêtune
leçon
sur Y Etat de mal hystérique épilepti-forme que j
nommé Ch...ffat, dont l'histoire est rapportée dans le 3e volume des
Leçons
sur les maladies du système nerveux. — Voir l'App
s que j'ai traité dans maintes circonstances, en particulier dans les
Leçons
sur les maladies du système nerveux (t. III, 1887
erveux (t. III, 1887, p. 27 et suivantes), et plus récemment dans les
Leçons
du mardi de la précédente année scolaire (p. 331)
s du mardi de la précédente année scolaire (p. 331). Je renvoie à ces
leçons
ceux qui vou draient approfondir la matière et
veuses •des cornes antérieures : d'où l'amyotrophie consécutive (Voir
Leçons
du Mardi, 1887-1888, p.335). Pour avoir soutenu c
er le cas d'un employé de télégraphe qui a fait l'objet d'une -de mes
leçons
cliniques (T. III, 2e leçon). Chez ce malade qui.
égraphe qui a fait l'objet d'une -de mes leçons cliniques (T. III, 2e
leçon
). Chez ce malade qui.lui aussi, avait •été frappé
igore » (Union médicale, 15 novembre et 1" décembre 1888). Voir aussi
Leçons
du mardi 1887-88. La table. 12 ~ Voilà donc u
Première, l'an». Policlinique du Mardi 20 Novembre 1888 CINQUIÈME
LEÇON
1er Malade. — Cas complexe : paralysie spinale
la démarche du steppeur, ainsi que j'ai proposé de la dénommer (Voir
Leçons
du mardi, leçon du 27 mars 1888); vous savez ce q
teppeur, ainsi que j'ai proposé de la dénommer (Voir Leçons du mardi,
leçon
du 27 mars 1888); vous savez ce qu'on entend par
dans une description en règle, je vous prierai de vous reporter à la
leçon
que j'ai donnée sur ce sujet, l'an passé (6 mars
, sur ce sujet, dans de longs développements, je vous renverrai à une
leçon
que j'ai faite il y a deux ans et que vous trouve
ans que nous vous avons présenté déjà le mardi 18 juin dernier (Voir
Leçons
du mardi, 1887-88, p. 463) comme un exemple de pa
terminais les considérations présentées à propos de ce malade dans la
leçon
du 18 juin 1888 : « Chez notre malade, les douleu
oi'remière. l'an». Policlinique du Mardi 27 Novembre 1888 SIXIÈME
LEÇON
1° Chorée aiguë grave chez un jeune homme de 18
s'agit, comme vous le voyez, d'un homme de 28 ans assez 4.*Voir la
leçon
sur Yhëmianeslhésie hystérique et les hémianesthé
e-première, paris. Policlinique du Mardi 4 Décembre 1888 SEPTIÈME
LEÇON
1° Relation de Fautopsie du sujet atteint de ch
n de Fautopsie du sujet atteint de chorée présenté dans la dernière
leçon
. 2° Cas de chorée vulgaire chez une jeune fille â
c'est-à-dire dans la nuit même du jour où il avait été présenté à la
leçon
. — Voici comment les choses se sont passées. La
ais la stupeur, ainsi que je vous l'ai fait remarquer au moment de la
leçon
,était portée à un haut degré ; la langue était sè
e diable dont j'ai raconté l'histoire dans le troisième volume de mes
Leçons
sur les maladies du système nerveux. (Appendice,
u'il m'a communiqué et que j'ai présenté à la clinique de l'an passé (
leçons
du mardi ; Policlinique 1887-1888,sixième leçon,p
nique de l'an passé (leçons du mardi ; Policlinique 1887-1888,sixième
leçon
,p. 62) comment la combinaison hystéro-neurasthéni
re. En réalité, ainsi que je l'ai fait remarquer, il y a longtemps (
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. II, p. 16
ps (Leçons sur les maladies du système nerveux, t. II, p. 163,— oette
leçon
date de juillet 1870), la paralysie infantile peu
Le cas auquel est relative la figure 5 empruntée au 2e volume de nos
Leçons
sur les maladies du système nerveux (t. II, fig.
rmité indélébile. Policlinique du Mardi 11 Décembre 1888 HUITIÈME
LEÇON
s lre Malade. — Cas complexe. — Ataxie locomo
Je compte d'ailleurs, messieurs, m'attacher désormais dans 22 nos
leçons
à l'étude de ces cas complexes espérant y trouver
t à l'année 1872. (Maladies du système nerveux, t. II, 1° 2° 3e et 4e
leçons
.) Mais nous allons rencontrer maintenant, dans l'
récoce et également fort caractérisque que j'ai décrit dans ces mêmes
leçons
, auxquelles je viens de faire allusion et que j'a
vous ; je vous l'ai signalée plusieurs fois déjà l'an passé dans nos
Leçons
du mardi ( Voir leçon du 12 juin 1888). Vulpian l
gnalée plusieurs fois déjà l'an passé dans nos Leçons du mardi ( Voir
leçon
du 12 juin 1888). Vulpian l'avait relevée d'aille
88). Vulpian l'avait relevée d'ailleurs d'une façon expresse dans ses
Leçons
de 1879. « L'hystérie, dit-il, (p. 246) me paraît
oduire, vous le savez, — car c'est un point sur lequel j'ai, dans mes
leçons
, l'habitude d'insister, — ils peuvent se produire
roite, à 20 à gauche DV =0 par faiblesse. Réflexes intacts. 2. Voir
Leçons
du mardi 1888-89. Leçon d.u 11 décembre 1888, p
0 par faiblesse. Réflexes intacts. 2. Voir Leçons du mardi 1888-89.
Leçon
d.u 11 décembre 1888, première, tantôt la secon
ge place à côté de l'arthritisme. 1, Voir Policlinique 1888-81», 2e
leçon
, p. 47. 1m1 . NOIZETTE. 8. RUE CAMPAGNE-PREMIÈR
-PREMIÈRE, TAIUS. Policlinique du Mardi 18 Décembre 1888 NEUVIÈME
LEÇON
1er Malade. — Femme de 47 ans. Autrefois parapl
ps, presque chaque année une fois, l'occasion de présenter B...otà la
leçon
clinique comme un exemple de paraplégie par mal d
, un sujet sur lequel j'ai plusieurs fois appelé l'attention dans mes
Leçons
sur les localisations dans les maladies du cervea
urbure exagérée, souvent anguleuse que présente le 1. Voir Charcot.
Leçons
sur les malades du système nerveux. T. II p. 93.
le constitue forme un anneau complet, de 1, Tuberculose vertébrale.
Leçons
faites à la Faculté de médecine. Paris, 1888, p.
forme de ceinture ; ces douleurs augmentent par la flexion de la t.
Leçons
sur les maladies du système nerveux. T. II, p. 10
.e-Première. Pari». Policlinique du Mardi 15 Janvier 1889 DIXIÈME
LEÇON
Du traitement de l'ataxie locomotrice par la
s, multiplier à l'avenir et varier les essais. APPENDICE Après la
leçon
qu'on vient de lire, un grand nombre de malades s
mars, réunir tous les anciens malades présentés comme améliorés à la
leçon
du 15 janvier, etreconnaitre à cette occasion que
urtout favorablement influencés dans les conditions indiquées dans la
leçon
du 15 janvier. Au cours des nombreuses suspensi
n cas antérieur (sujet atteint de sclérose en plaques signalé dans la
leçon
du 15 janvier), la suspension a été parfaitemen
NE-PREMIÈRE, PARIS. Policlinique du Mardi 22 Janvier 1889 ONZIÈME
LEÇON
o 1er Cas. — Goutte articulaire, puis otite g
'ai présenté en effet.une fois déjà, cette année même, à la clinique (
Leçon
du mardi 13 novembre 1888) ; mais alors, nous nou
s encore, la profession non pas de forgeron, comme on l'a dit dans la
leçon
citée plus haut,mais bien de maréchal ferrant, ce
ous a été présenté pour la première fois, vous constaterez qu'il 1.
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. II, p. 34
res (2). 1. Société médicale des hôpitaux, mars et avril 1887. 2.
Leçons
du mardi, 1887-88, p. 378. Ces traits cliniques
oïde, une diarrhée d'un caractère spécial que vous connaissez par nos
leçons
de l'an passé, le tremblement, la thermophobie, l
terminés par la mort, dont je vous ai entretenus dans une précédente
leçon
(1). Mais écartons les sombres pronostics, ils
ses hystériques ont cessé de paraître. La tachycardie a été très 1.
Leçons
du mardi, 1883, 1889, 6e leçon, 27 novembre 1888.
aître. La tachycardie a été très 1. Leçons du mardi, 1883, 1889, 6e
leçon
, 27 novembre 1888. 2. Le traitement électrique
anvier n'a jamais dépassé 38«.— Le pouls varie entre 100 et 110. 3.
Leçons
du mardi 1887, 1888, p. 321. 33 accentuée; am
typiques à propos desquelles, pour les détails, je vous renvoie à la
leçon
du 10 avril 1888. Sous l'influence du traitemen
-Frontière. Vans. Policlinique du Mardi 29 Janvier 1889 DOUZIÈME
LEÇON
S 1er Cas. Accidents hystériques graves surve
t aujourd'hui ; les deux autres, faute de temps, seront renvoyés à la
leçon
prochaine. L'un de nos sujets représentera la mal
de revenir sur les cas qui viennent d'être exposés, dans la prochaine
leçon
. ¦M . À IZET'K. 8, RUE C'AMPAGKK-rRKMl. I.K, l'
KMl. I.K, l'.W.lS. Policlinique du Mardi 5 Février 1889 TREIZIÈME
LEÇON
1er Malade. *— Encore une dormeuse. — Réveil pr
asthénie chaz l'homme faisant suite aux cas 3e et 4e de la précédente
leçon
. — A ce propos considérations générales sur l'hys
du cours sur un brancard, Messieurs, Je vous ai présenté dans la
leçon
du 13 novembre dernier, vous ne l'avez peut-être
. De Y hypèresthésie de l'ovaire dans certaines formes de l'hystérie.
Leçons
faites à la Salpêtrière en 1872. — Mouvement médi
ère en 1872. — Mouvement médical 1872 n° 3 et 4 et the Lancet 1872. —
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. I p. 320
t dont nous nous sommes occupés dans la seconde partie de la dernière
leçon
: il s'agissait, vous ne l'avez pas oublié, de la
insi que je l'ai annoncé, ajouter aujourd'hui 1. Le lendemain de la
leçon
, à la suite de la mise enjeu du « Transfert » sui
e dans les deux cas d'hystéro-neurasthénie étudiés dans la précédente
leçon
et que nous retrouverons encore dans celui qui su
train (Railway spine), dont je vous montrais un bel exemple, dans la
leçon
du 4 décembre dernier. Avec toute la bonne volont
ut des accidents nerveux T Laf...cque, plombier, 48 ans. V. 12e
leçon
III.., p. 265. Inconnus. Coliques de plomb.
à gauche. Il y a deux mois. II Gre..fe, boulanger, 31 ans, 12e
leçon
. II., p. 261. Très chargés. 0 Chute dans Ve
érie se montrent simultanément. III Trem.-.ay, 32 ans, maçon, 13e
leçon
, p. 285, sq. Très chargés. Rhumatisme articul
trois mois après. IV Const..s..menuisier en bâtiment, 53 ans, 13e
leçon
, p. 292, sq. Très chargés. 0 Saisissement e
ussitôt après l'accident. Les symptômes hystériques un an après. 1.
Leçons
sur les maladies du système nerveux. 4e édition,
Âøì1Ï*?*üÊ*ã1â. Policlinique du Mardi 21 Février 1889 QUATORZIÈME
LEÇON
Cas d'automatisme comitial ambulatoire. Messi
nous a rien appris qui mérite d'être signalé. D'ailleurs sa 1. Voir
Leçons
du mardi 18b7, 1888. — Leçjon du 31 janvier, p. 1
contenter de vous renvoyer à ce qui en a été dit dans le recueil des
leçons
du mardi de l'an passé (p. 155),mais je crois ind
1. "Voir pour plus de détails, relativement aux premières crises, la
Leçon
du 31 janvier 1888, p-156 et suivantes. 42 du
trouve que Mmc T... n'est pas de bonne humeur et n'insiste pas. t.
Leçons
du mardi, 1888-89 p. 134. 2. Annales médico- ps
e légère syncope (?) Revenu à lui, il remonte à cheval et continue sa
leçon
d'équitation pendant trois quarts d'heure avec un
d'un maître de musique qui, pris de vertige comitial au milieu de sa
leçon
, s'est mis à se déshabiller comme s'il allait se
ui me concerne, en dehors du cas auquel j'ai fait allusion dans la 9e
leçon
du mardi de l'an passé (2), je ne crois, pas qu'i
e-Première. Hans. Policlinique du Mardi 19 Février 1889 QUINZIÈME
LEÇON
1er Cas. — Crises gastriques tabétiques avec vo
a été formulée, je le crois du moins, pour la première fois, dans les
leçons
que j'ai faites à la Salpêtrière, en 1872, et qui
z lui que quelques mois plus tard. Tout cet ensemble de 1. Voir les
Leçons
sur les anomalies de Vataxie locomotrice, publiée
26 octobre ; 1 et 30 nov. ; 14 déc. et 8 janv. 1873). Voir aussi les
Leçons
sur les maladies du système nerveux faites à la S
nerveux faites à la Salpêtrière, t. II,'1" partie. 2. A. Fournier,
Leçons
sur la période préataxique du Tabès, 1885. symp
tout à l'heure et le retour à l'état normal il n'y a, en quelque 1.
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. ]I, 2e éc
s'agissait,dans ce cas dont j'emprunte les détails aux intéressantes
leçons
de M. Buzzard (4), d'un gentleman âgé de 23 ans,—
nt à la cécité absolue. Messieurs, je vous ai dit au début de cette
leçon
que, suivant moi, on eût pu chez notre patient, m
rveux du domaine 1. Voir sur les accidents laryngés tabetiques, les
Leçons
du mardi 1887-1888, p. 85, 269, 277 et, sur Yictu
s toute son étendue, épaules, bras, avant-bras, main frappée 1. 13«
Leçon
du mardi, 1887, 1888, 1889, passim. d'anesthési
-i-ri.KMi.'.KK, PARIS. Policlinique du Mardi 5 Mars 1889 SEIZIÈME
LEÇON
Un cas d'abasie trépidante survenue à la suite
ntendu, vous en avez été témoins. Eh bien, depuis hier, à la suite de
leçons
ad hoc qui lui ont été données par un des élèves
et que vous trouverez exposée et discutée dans le compte rendu de mes
leçons
cliniques de cette année-là, publiées en langue i
médical, sur un cas d'hystérie mâle avec astasie-abasie, une série de
leçons
qui exciteront certainement un vif intérêt (2).
ines paraplégies spasmodiques. Le cas qui fait l'objet de la présente
leçon
, ainsi que celui qui vient d'être publié par M. l
evenir maintenant à l'étude du cas particulier qui fait l'objet de la
leçon
d'aujourd'hui. Nous avons décrit le syndrome à pr
que cette heureuse solutionne se manifestât trop rapidement, avant la
leçon
, de telle sorte que j'aurais été ainsi privé du p
-Premiere. 1'àïÿ. Policlinique du Mardi 12 Mars 1889 DIX-SEPTIÈME
LEÇON
O 1er Malade. — Nouvel examen du malade attei
men du malade atteint d'abasie trépidante présenté dans la dernière
leçon
. 2e Malade. — Chez une femme : paraplégie alcooli
ouveau le sujet atteint d'abasie trépidante, qui a fait l'objet de la
leçon
de mardi dernier. Cet homme guérira, vous disais-
nt a pu être obtenu ? Je vous rappellerai qu'en terminant la dernière
leçon
j'ins-sistais sur ce fait que, du moment où l'aba
ous les jours une douche froide. Mercredi dernier, le lendemain de la
leçon
, on l'a soumis à une tentative d'hyp-notisation p
à fort influencé sans doute par ce qu'il avait entendu dire durant la
leçon
. Vous savez que tout ce que nous y avons dit étai
archer lui-même. Cette rééducation s'est faite, en effet, en quelques
leçons
; déjà le jeudi, lamarche était devenue plus déli
et plus correcte, la trépidation plus rare. De nouveaux progrès, les
leçons
de marche continuant toujours, se sont effectués
ces rétractions dans la clinique des paralysies alcooliques, dans une
leçon
que le Bulletin médical a publiée il y a environ
ais je tiens à relever tout spécialement le rôle que, dans cette même
leçon
, j'attribuais à la rétraction fibro-tendineuse da
,nonpas impassible, je vous 1. Voir sur la paralysie alcoolique, la
Leçon
du mardi G mars 1688. prie de le croire,àl'évol
mpagne-premiere, paris. Policlinique du 19 Mars 1889 DIX-HUITIÈME
LEÇON
S 1° Amyotrophie spinale progressive survenue
te pseudo-hypertrophique, laquelle peut évoluer, on le sait bien t.
Leçons
sur les maladies du système nerveux etc. t. II. V
. Leçons sur les maladies du système nerveux etc. t. II. Voir onzième
leçon
, p. 213 et quatorzième leçon p. 283. « Je ne pu
système nerveux etc. t. II. Voir onzième leçon, p. 213 et quatorzième
leçon
p. 283. « Je ne puis me dispenser de vous entre
qui ne se confondent pas. Ils vivent là, sé- 1. Cette partie de la
leçon
a été recueillie par M. Dutil, interne dans le se
ion à peu près exacte de ma description dans le premier volume de mes
leçons
, qui date de 1872. La première phase, disent ce
ne-Première. Pana. Policlinique du Mardi 28 Mai 1889 DIX-NEUVIÈME
LEÇON
Accidents nerveux provoqués par la foudre. Me
ecule. Entre nous, il me paraît avoir grand besoin de quelques bonnes
leçons
de déontologie médicale. Toujours est-il que son
GNE -PREMIÈRE, PARIS. Policlinique du Mardi 4 Juin 1889 VINGTIÈME
LEÇON
o 1er et 2e Malades. — Deux malades, étudiées
forme chez un vieillard de 75 ans. Messieurs, Dans notre première
leçon
du mardi de la présente année scolaire (1), j'app
exes et bizarres qu'ils puissent paraître, ne sont pas toujours, 1.
Leçon
du mardi 23 octobre 1888. 63 comme on est por
voyez, » disais-je après l'exposé de ces caractères, dans cette même
leçon
à laquelle je vous renvoie, « jusqu'à quel point
éel des facultés intellectuelles. Les marques 1 Voir à ce sujet,les
leçons
du mardi, 1887-1888 — 17 et 24 juillet; etJ.Huet;
dont le pronostic est si différent. 3e, 4e et 5e Malades. Dans la
leçon
du mardi 5 mars de cette année (p. 364), en vous
tiques, distincts les uns des autres. Je suis entré dans cette même
leçon
dans quelques détails à propos du groupe de l'a
après ce que j'ai vu, qu'à cet âge l'astasie paralytique ait une 1.
Leçon
du mardi 5 mars 1889. 16e leçon, | . 36). tenda
ge l'astasie paralytique ait une 1. Leçon du mardi 5 mars 1889. 16e
leçon
, | . 36). tendance habituelle à se terminer rap
ette impuissance motrice relative à la marche, rappe 1. Voir la 16e
leçon
, p. 367 lant vous le voyez, la symptomatologie
on. Cette fois, comme dans l'exemple qui a fait le sujet de notre 16°
leçon
de la présente année c'est, dans les deux cas, de
ous avons minutieusement décrite, à propos du cas de Ro...el, dans la
leçon
du mardis mars, à laquelle je vous renvoie pour l
basie ? Il n'est guère douteux, ainsi que je vous le disais dans la
leçon
du 5 mars à laquelle je vous ai renvoyés déjà (2)
c sensitive et sensorielle par lésion de la capsule interne, voir les
Leçons
de mardi 1887-1888. pp. 288-296 et l'appendice, p
trépidante relevés avec soin, à propos de l'observation de Ro... ^16
leçon
) que nous considérons comme un type parfait dans
remière. Pan». Policlinique du Mardi 28 Juin 1889 VINGT ET UNIÈME
LEÇON
1er et 2e Malades. — Cas de syringomyélie gliom
forme de tuyau, et [aueXoî moelle. 2. Dans la première édition des
leçons
sur les maladies du système nerveux de M. Gharcot
me articulaire aigu, la 1. Voir dans le « Montpellier médical » les
leçons
du Pr Grasset sur le Syndrome bulbo-médullaire, e
ment qui, ainsi que nous l'avons affirmé dès le commencement de cette
leçon
, doit être établi, au point de vue du diagnostic,
, sous le nom de thermo-anesthésie hystérique, dans ses intéressantes
leçons
sur les anesthésies hystériques, publiées en 1887
je ne me trompe, compléter la démonstration. Ici se termineront les
leçons
de cette année. Je les finis, messieurs, vous l'a
. A partir du 28 juin 1889, époque où le malade a été présenté à la
leçon
, les accidents hystériques les plus significatifs
' APPENDICE APPENDICE ¹ 1 Hystérie et névrose traumatique. Voir
leçons
7 (2e Malade, p. 131); 12 ( 2% 3° et 4e Malades,
s traumatisés n'est pas celui des hystériques.Ces derniers sont, 1.
Leçons
sur les maladies du système nerv., t. III, p. 252
contracture spasmodique hystérique. (Pied bot hystérique (3). Voir la
Leçon
17 (2° Malade, pp. 381, 384). « Considéré en so
ment qu'un intérêt purement rétrospectif. La malade dont 1. Voir la
leçon
13, p. 292, et le tableau p. 298. 2. Extrait d'
alpê-trière. dans la GazelteMédicale du samedi 23 novembre 1889. 3.
Leçon
de M. Charcot recueillie par M. Babinski, chef de
médical ; mars 1887, p. 109. Le sujet dont il est traité dans cette
leçon
a été développé avec un imposant concours d'argum
nterprétation d'un deuxième cas qui doit être l'objet principal de la
leçon
d'aujourd'hui. Je tiens à vous prévenir tout d'ab
nant au cas que j'ai eu pour objectif pendant toute la durée de cette
leçon
. Il s'agit, je vous l'ai annoncé déjà en commen
Hystérie provoquée chez l'homme par la peur de la foudre (2). Voir la
Leçon
19, pp. 435, 461. L'observation qu'on va lire o
ion a été en effet pratiquée par M. Terrillon quelques jours après la
leçon
. La malade est sortie de l'hôpital deux mois aprè
e par la foudre (Sensibilité).. . 546 TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE
LEÇON
Pages 1° et 2°. Bâillement hystérique (bâille
lie ; troubles psychiques concomittants.............. 13 DEUXIÈME
LEÇON
1er malade. —Sur un même sujet: sciatique avec dé
s ; hérédité arthritique et névropathique. ......... 37 TROISIÈME
LEÇON
1er malade. — Intoxication par le sulfure de ca
a moelle épinière dans sa moitié latérale............. 53 QUATRIÈME
LEÇON
Pages. 1°. Attaque de sommeil hystérique.....
nique et vertige par accès.......................... 80 CINQUIÈME
LEÇON
1ermalade. —Cas complexe : paralysie spinale in
3e et 4e malades. — Paralysie faciale périphérique ... 100 SIXIÈME
LEÇON
1°. Chorée aiguë grave chez un jeune homme de 1
3°. Hystérie chez un saturnin Agé de 28 ans........ 12! SEPTIÈME
LEÇON
Pages. 1°. Relationale l'autopsie du sujet at
ale l'autopsie du sujet atteint de chorée présenté dans la dernière
leçon
................ 127 2°. Cas de chorée vulgaire
ale présentant quelques anomalies..................... 140 HUITIÈME
LEÇON
1er malade. —Cas complexe. Ataxie locomotrice e
ant de 12 ans. Hérédité nerveuse...................... 171 NEUVIÈME
LEÇON
l01'malade. — Femme de 47 ans. Autrefois parapl
de Pott chez un garçon âgé de 24 ans................. 189 DIXIÈME
LEÇON
Pages. Du traitement de l'ataxie locomotrice
kowsky....... 199 Appendice................ ......... 218 ONZIÈME
LEÇON
lor cas. — Goutte articulaire, puis otite goutt
ec l'hystérie, l'ataxie locomotrice progressive......: 231 DOUZIÈME
LEÇON
lor cas .— Accidents hystériques graves survenu
asd'hys- téro-neurasthénie chez l'homme............ 256 TREIZIÈME
LEÇON
Pages. 1er malade.— Encore une dormeuse. Réve
sthénie chez l'homme, faisant suite aux cas 3e et 4e de la précédente
leçon
. A ce propos, considérations générales sur l'hyst
dus de la classe ouvrière........... .............. 283 QUATORZIÈME
LEÇON
Cas d'automatisme comitial ambulatoire.........•
ON Cas d'automatisme comitial ambulatoire.........• . 303 QUINZIÈME
LEÇON
1er cas. — Crises gastriques tabétiques avec vo
xication par la vapeur de charbon............ 355 75 DIX-SEPTIÈME
LEÇON
Pages. DIX-HUITIÈME LEÇON 1°. Amyotrophic s
bon............ 355 75 DIX-SEPTIÈME LEÇON Pages. DIX-HUITIÈME
LEÇON
1°. Amyotrophic spinale progressive survenue à
re et morphinomanie combinées . . .............. 419 DIX-NEUVIÈME
LEÇON
Accidents nerveux provoqués par la foudre........
Accidents nerveux provoqués par la foudre........ . . 435 VINGTIÈME
LEÇON
1er et 2e malades. — Deux malades étudiées comp
xamen du malade atteint d'abasie trépidante présenté dans la dernière
leçon
......... 379 2° malade. — Chez une femme : para
ades. — Hystérie et dégénérescence chez l'homme 392 VINGT ET UNIÈME
LEÇON
Pages. 1er et 2e malades. —Casde syringomyélie
ŒUVRES COMPLÈTES DE J. M. CHARCOT
LEÇONS
sur les MALADIES DU FOIE ET DES REINS RECUE
s réservés. AVIS DE L'ÉDITEUR Nous avons réuni dans ce volume les
leçons
de M. Charcot sur les Maladies du foie, recueilli
s de M. Charcot sur les Maladies du foie, recueillies par nous et ses
leçons
sur les Maladies des reins, résumées par Sevestre
que. La première édition date de 1877 ; la seconde, complétée par les
leçons
sur les Conditions patlìogéniques de Valbuminurie
REMIÈRE PARTIE Lie foie. — Maladies des voies biliaires. PREMIÈRE
LEÇON
Notions d'anatomie normale concernant le foie.
exposer la méthode que je m'atta-cherai à suivre dans le cours de mes
leçons
. Cette méthode ou, si vous l'aimez mieux, cette
e ré-sultat. C'est pourquoi je m'attacherai plus que jamais, dans les
leçons
du mercredi, à mettre sous vos yeux des pièces an
microscope aux études d'anatomie normale et pathologique. DEUXIÈME
LEÇON
De la Structure lobulaire du foie. Sommaire.
— B, B, capillaires biliaires. (Figure demi-schématique.) TROISIÈME
LEÇON
De la cellule hépatique. Sommaire. — Découver
I. Messieurs, Nous vous avons fait connaître, dans les premières
leçons
, quelques-unes des parties constituantes du lobul
spèces anatomo-pathologiques que nous étudierons dans la suite de ces
leçons
. QUATRIÈME LEÇON Des capillaires biliaires.
logiques que nous étudierons dans la suite de ces leçons. QUATRIÈME
LEÇON
Des capillaires biliaires. Sommaire. — Descri
émontrée chez l'homme, à la vérité par d'autres procédés. CINQUIÈME
LEÇON
Des capillaires biliaires (suite). — Tissu conj
s à leur sujet, en manière de conclusion. S'il s'agissait, dans ces
leçons
, d'anatomie normale, faite pour elle-même, connai
p. 166. (2) Bartholomew's Hospital Reports, t. ix, 1873. SIXIÈME
LEÇON
Espaces interlobulaires. — Localisations anatom
ravaux de M. Flint fils. Messieurs, Je me propose de consacrer la
leçon
d'aujourd'hui, pour la majeure partie du moins, e
qui va suivre. III. Nous commencerons cette seconde partie de nos
leçons
par l'examen de la bile et de la sécrétion biliai
priétés de la bilirubine. Messieurs, J'ai exposé dans la dernière
leçon
quelques documents re-latifs à l'un des éléments
me. (1) Journal de Vanatomie et de la physiologie, 1874. HUITIÈME
LEÇON
Sels biliaires. — Altérations de la bile: La bi
. (4) Atlas d'anal, pathologique, 29e livraison, pl. iv. NEUVIÈME
LEÇON
Des altérations de labile (suite). — Fonctions
ution du taux de l'urée. 1. Messieurs, En terminant la dernière
leçon
, je vous parlais d'un second groupe à'altérations
s bas. (1) Citée dans le mémoire de Meissner (Loc. cit.). DIXIÈME
LEÇON
Fonction désassimilatrice du foie. — Relations
'observation clinique et l'anatomie pathologique combinées. ONZIÈME
LEÇON
Influence des altérations hépatiques sur là for
cerne Y acide urique. Je vous montrais, Messieurs, dans la précédente
leçon
, com-ment, à en juger d'après l'ensemble des fait
e liver » (toc. cit., p. lï), par M. Murchison dans ses intéressantes
leçons
sur les lésions fonctionnelles du foie, il faudra
r, Untersuch, zur pathologie. Heidelberg, 1843, § 1, p. 17. — Rrodie,
Leçons
sur les maladies des organes urinaires, traduites
de Paris, 1875. (2) Gazette médicale, n° 11, mars 1876. DOUZIÈME
LEÇON
De la lithiase biliaire. Sommaire. — Fréquenc
(Atlas, Pl. XIV, fig. 14) sont des exemples de ce genre. TREIZIÈME
LEÇON
De la lithiase biliaire (suite). Sommaire. —
essieurs, Je me propose d'indiquer dans la première partie de cette
leçon
les faits qu'il nous est indispensable de connaît
r la physiologie pathologique de la coli-que hépatique. QUATORZIÈME
LEÇON
De la lithiase biliaire (suite). — Anatomie et
2e Bd., p. 226. 2) Prag. Viertelj., 1851, t. m, p. 650. QUINZIÈME
LEÇON
De l'éliminaion des calculs cystiques par les v
u encore s'y subs-titue. C'est par là que je commencerai la prochaine
leçon
. SEIZIÈME LEÇON De la lithiase biliaire (suit
titue. C'est par là que je commencerai la prochaine leçon. SEIZIÈME
LEÇON
De la lithiase biliaire (suite). — De l'occlusi
I. Messieurs, Je vous faisais remarquer en terminant la dernière
leçon
, que la colique hépatique peut être accompagnée,
abscheidungen. — ( Virchow's Archiv, t. vin, p. 355.) DIX-SEPTIÈME
LEÇON
Oblitération du canal cholédoque. — Lésions et
, des circons-tances dont il faut savoir tenir compte. DIX-HUITIÈME
LEÇON
De la fièvre hépatique symptomatique. — Compa-r
l'urine et de celles de la bile. Messieurs, Je vais commencer la
leçon
de ce jour en vous donnant des renseignements com
ancer du col de l'utérus avec dilatation des uretères. DIX-NEUVIÈME
LEÇON
Des fistules biliaires. Sommaire. — Éliminati
ctère catarrhal (1). (1) L'École de médecine, loc. cit. VINGTIÈME
LEÇON
Du cancer primitif des voies biliaires. — Consi
t. Je dois vous déclarer que je suis grand partisan de ces vues (1)
Leçons
sut' les maladies du rein. — Voir la seconde part
., d'après M. Sappey. Je chercherai à vous donner dans la prochaine
leçon
, l'in-terprétation des lésions que je viens de dé
rophique avec ictère, celle de l cirrhose vulgaire. VINGT-ET-UNIÈME
LEÇON
De la cirrhose hypertrophique avec ictère. So
tout à fait exceptionnel dans la cirrhose vul-gaire. VINGT-DEUXIÈME
LEÇON
De la cirrhose vulgaire. Sommaire. — De la ci
t bien fait connaître les caractères histologiques. VINGT-TROISIÈME
LEÇON
De la cirrhose vulgaire (suite). Sommaire. —
ous ferons au commen-cement de la prochaine séance. VINGT-QUATRIÈME
LEÇON
De la cirrhose vulgaire. Sommaire. — Importan
bile est sécrétée d'une manière très imparfaite. J'achèverai cette
leçon
en vous donnant quelques rensei- gnements sur l
quée. DEUXIÈME PARTIE Le Rein. — La Maladie de Bright. PREMIÈRE
LEÇON
Anatomie normale du Rein. Sommaire. — Remarqu
ectement appliqué sur le tissu conjonctif {Fig. 25 et 26). DEUXIÈME
LEÇON
Anatomie normale du rein (suite). — Considérati
dans lequel nous devons mainte-nant entrer de plein pied. TROISIÈME
LEÇON
Infarctus tubulaires du rein. — Cylindres urina
assinets. (1) Mém. de la Soc. de Biologie, 1863, Pl. iv, fig. 3, et
Leçons
su)' les ma-ladies des vieillards, Pl. m, fig. 3.
ont été soutenues dans plusieurs écrits parus depuis l'époque où ces
leçons
ont été faites : Lécorché, Lancereaux, Cornil et
ions concomi-tantes et particulièrement de la diarrhée. ; QUATRIÈME
LEÇON
Le Rein contracté (Néphrite interstitielle).
e, pour lui, le nom de maladie de Bright. Enfin, M. Bartels, dans une
leçon
publiée dans le recueil de M. Volkmann, s'est déc
/ht's Diseases of the Kidneys, 2° édition, Edinburgh, 1871. (2) Ces
leçons
sur la maladie de Bright ont été faites pendant l
bres musculaires ; mais ce détail n'a point été confirmé. CINQUIÈME
LEÇON
Le Rein contracté (Néphrite insterstilielle).
e déterminer la rai-son physiologique de son développement. SIXIÈME
LEÇON
Gros rein blanc (Néphrite parenchymateusë). S
usqu'à dix ans, d'après quelques unes de mes observations. SEPTIÈME
LEÇON
Néphrite scarlatineuse. — Rein amyloïde. Somm
ns extrinsè-ques. Messieurs, J'espère en avoir dit assez dans les
leçons
précédentes pour établir la proposition que je fo
e sous le rapport anatomo-pathologi-que. Je terminerai cette série de
leçons
en vous présentant quelques aperçus relatifs à la
rie Charcot. Œuvres complètes, t. vi, Maladies des reins PREMIÈRE
LEÇON
Conditions anatomiques et physiologiques delà f
ysiologiques delà fonc-tion normale du rein. Sommaire. - But de ces
leçons
. — Préambule d'anatomie normale. — Réseau veineux
èces l'acide hippurique qui ne préexiste pas dans le sang. DEUXIÈME
LEÇON
Sécrétion de l'eau urinaire. — Des différentes
nes dans la grande circulation serait facile à constater. TROISIÈME
LEÇON
Conditions pathogéniques de l'albuminurie. — Hé
i doit seule nous occuper spécialement. (1) 3 mai 1880. QUATRIÈME
LEÇON
Des conditions pathogéniques de l'albuminurie.
nes cardiaques. Messieurs, Ainsi que je l'ai dit dans la dernière
leçon
, les conditions pathologiques invoquées par les a
t pas être confondue avec l'albuminurie; nous avons, dans la dernière
leçon
, fait ressortir quelques-uns des caractères qui d
ines sont rares en même temps qu'elles sont albumineuses. CINQUIÈME
LEÇON
Des conditions pathogéniques de l'albuminurie.
ltre rénal dans les con-ditions pathologiques. I. Je terminais la
leçon
dernière en vous faisant pressentir l'influence d
pareille circonstance, sui-vant la théorie proposée dans la dernière
leçon
à propos des troubles de la circulation locale du
bosténose que nous avons considéré plus spécialement dans la dernière
leçon
. En effet, quand la veine rénale est liée ou seul
use aiguë ou chronique. La plupart des figures qui accompagnent ces
leçons
ont été dessinées par notre ami M. E. Br.issa.ud,
e tissu conjonctif par le tissu scléreux. CHARCOT OEuvres complètes
Leçons
sur le foie Pl. II Charcot Gombault del G.
es accessoires de M. Sappey. 4 [ 5 ] Charcot. Œuvres complètes.
Leçons
sur le foie. PL. V. PLANCHE VI. Gros rein b
r le rem PL. VII. TABLE DES MATIERES PREMIERE PARTIE PREMIÈRE
LEÇON
. notions d'anatomie normale concernant le foie.
du t'oie.......................................... ..... 1 DEUXIÈME
LEÇON
. structure lobulaire du foie. Sommaire. — Con
Hering................................................ 13 TROISIÈME
LEÇON
. de la cellule hepatique. Sommaire. — Découve
ire.............................................. ____ 20 QUATRIÈME
LEÇON
. des capillaires biliaires. Sommaire. — Descr
ation catarrhale des capillaires biliaires............ 31 CINQUIÈME
LEÇON
. des capillaires biliaires (suite). — tissu con
cule — syphilome miliaire, — mélanémie, — lymphome.......43 SIXIÈME
LEÇON
. espaces interlobulaires. - localisations an at
....................................................... 56 SEPTIÈME
LEÇON
DE la bile (suite). — DU pigment biliaire. So
e cette opinion. — Rôle et propriétés de la bilirubine. 70 HUITIÈME
LEÇON
sels biliaires. — altérations de la bile : la b
aire. — Hydropisie des voies biliaires.................. 7 NEUVIÈME
LEÇON
des altérations de la bile (suite). —fonctiqn d
arcot. Œuvres complètes, t. ai. Mal. du foie et du rein. 30 DIXIÈME
LEÇON
fonction dé8assimilatrice du foie. — relations
rprétation de ces faits. — Recherches de M. Meissner____ 98 ONZIÈME
LEÇON
influence des altérations hépatiques sur la for
...................................................... 110 DOUZIÈME
LEÇON
de la lithiase biliaire. Sommaire. - Fréquenc
structure rayonnée ou striée des calculs............. 125 TREIZIÈME
LEÇON
de la lithiase biliaire {silUe). Sommaire. —
ormation des calculs de la vésicule biliaire....... 135 QUATORZIÈME
LEÇON
de la lithiase vulgaire [suite). — anatomie et
que............................................. .... 148 QUINZIÈME
LEÇON
de l'élimination des calculs cysttques paii les
.................. ................................... 159 SEIZIÈME
LEÇON
de la ltthiase biliaire (suite). — de l'occlusi
e de ce canal. — Atrophie consécutive du foie..... 171 DIX-SEPTIÈME
LEÇON
oblitération du canal cholédoque. — lésions et
e. — Troubles digestifs. — Stéatorrhée............ 182 DIX-HUITIÈME
LEÇON
de la fièvre hépatique symptomatique. — compara
des voies biliaires dans l'ictère catarrhal.......... 203 VINGTIÈME
LEÇON
du cancer, primitif des voies biliaires. — cons
................................................ 230 VINGT-DEUXIÈME
LEÇON
de la cirrhose vulgaire. Sommaire. — De la ci
macroscopiques de la cirrhose vulgaire........ 240 VINGT-TROISIÈME
LEÇON
de la cirrhose vulgaire (Suite). Sommaire. —
ons pathologiques.............................. 254 VINGT-QUATRIÈME
LEÇON
de la cirrhose vulgaire (Fin). Sommaire. — Im
. 266 DEUXIÈME PARTIE Le Rein. — La maladie de Bright. PREMIÈRE
LEÇON
anatomie normale du rein. Sommaire. — Remarqu
ulaire du rein........................................ 283 DEUXIÈME
LEÇON
anatomte normale du rein {Suite). — considérati
— Recherches de M. Ileidenhain....................... 296 TROISIÈME
LEÇON
infarctus TUBULAirtES du rein. — cylindres urin
contracté ; — Rein amyloïde.......................... 309 QUATRIÈME
LEÇON
le rein contracté (Néphrite interstitielle). So
glomérules ; — altérations des artères.............. 325 CINQUIÈME
LEÇON
lé rein contracté (Néphrite interstitielle).
la rétine............................................. 313 SIXIÈME
LEÇON
gros rein blanc [Néphrite parenchymateuse). Som
et durée.............................................. 356 SEPTIÈME
LEÇON
néphrite scarlatine. — rein amyloide. Sommair
ME PARTIE Des conditions pathogéniques de l'albuminurie. PREMIÈRE
LEÇON
conditions anat0m1ques et physiologiques de la
ysiologiques de la fonction normale du rein. Sommaire. - But de ces
leçons
. — Préambule d'anatomie normale. — Réseau veineux
cune des parties de l'appareil rénal..... ............ 387 DEUXIÈME
LEÇON
sécrétion de l'eau urinaire. — des différentes
..................................................... 408 QUATRIÈME
LEÇON
des conditions path0cénique3 del*albuminurie. t
cardiaques.......................................... 433 CINQUIÈME
LEÇON
des conditions pathogéniques de l'albuminurie.
OUVRES COMPLETES DE J. M. CHARCOT
LEÇONS
sur les LOCALISATIONS DANS LES MALADIES DU CE
ALCAN éditeur 108, boulevard Saint-Germain, 108 1893 PREMIÈRE
LEÇON
De la localisation dans les maladies cérébrales
ts généraux, dont nous trouverons à chaque pas l'application dans nos
leçons
ultérieures. Comme je ne crois guère à l'effica
teur y a accumulées. Il ne saurait s'agir, cela va de soi, dans ces
leçons
pré-liminaires que d'une esquisse faite à grands
ux. Charcot. Œuvres complètes, t. iv, Localisations. 2 DEUXIÈME
LEÇON
Structure de l'écorce grise du cerveau. Somma
uelque jour sur l'his-toire des localisations cérébrales. TROISIÈME
LEÇON
Considérations sur la structure normale de l'éc
Messieurs, Avant de serrer de plus près la question qui, dans ces
leçons
préliminaires, nous sert d'objectif — il s'agit,
considéra-tions que j'ai été amené à vous présenter dans la dernière
leçon
relativement à la structure normale de l'écorce g
s au-teurs, ont été confirmés récemment par M. J. Balty Tuke dans des
leçons
professées à Edimbourg (2). J'ai pu, à mon tour,
la corne d'Ammon (C A). Nous aurons assurément dans le cours de ces
leçons
l'oc-casion d'utiliser les données topographiques
ue j'aurai ultérieurement à relever avec plus de détails. QUATRIÈME
LEÇON
arallèle entre les lésions spinales et les lési
'espère avoir été assez heureux pour vous faire bien saisir, dans les
leçons
précédentes que, sans l'acquisition préalable de
est là une illusion, ainsi que nous le démontrerons dans la prochaine
leçon
. CINQUIÈME ET SIXIÈME LEÇONS Circulation arté
nous le démontrerons dans la prochaine leçon. CINQUIÈME ET SIXIÈME
LEÇONS
Circulation artérielle du cerveau. Sommaire.
le lingual, au coin et au lobule "ipital proprement dit. SEPTIÈME
LEÇON
Circulation des masses centrales (noyaux gris e
a aux dispositions que nous venons d'étu-dier. HUITIÈME ET NEUVIÈME
LEÇONS
Artères centrales. — Lésions isolées des noyaux
braux proprement dits, nerfs optiques (1) L. Tûrck, voir Charcot. —
Leçons
sur les maladies du système nerveux. T- I. 2e édi
nt de diverger vers les parties superfi-cielles du cerveau. DIXIÈME
LEÇON
De l'hémianesthésie cérébrale (suite). — De l'a
2). Je ne vois rien à ajouter à ce qui a été dit sur (1) Charcot. —
Leçons
sur les maladies du système nerveux, lre éd., 187
e vue. En consé-quence, le terme: amblyopie croisée, employé dans ces
leçons
, ne saurait être pris, absolument, au pied de la
s faits assez complexes révélés par l'observation clinique. ONZIÈME
LEÇON
Origine des parties cérébrales des nerfs optiqu
tes pédonculaires directes dont nous avons déjà donné la description (
Leçons
VIII et IX, Fig. 26), et (1) Les bras conjoncti
rès aplati. Je ferai remarquer que les vues exposées dans la présente
leçon
trouvent dans ce fait leur confirmation, puisque
e rattachée à la compression subie par le tractus optique. DOUZIÈME
LEÇON
Des dégénérations secondaires. Sommaire. — Ré
démontre, ainsi que je l'ai fait remarquer déjà dans le cours de ces
leçons
(Leçons VIII et IX, p. 92-93), que l'hémiplégie
e, ainsi que je l'ai fait remarquer déjà dans le cours de ces leçons (
Leçons
VIII et IX, p. 92-93), que l'hémiplégie motrice
sujet Longet. — Traité de physiologie, t. HT, p. 431, et Vul-pian. —
Leçons
sur la physiologie générale, etc., p. G76. (2)
inales, (Anatomie et physiologie du faisceau pyramidal). PREMIÈRE
LEÇON
Introduction. — Topographie delà moelle épinièr
s musculaires. Enfin, il y a quatre ans, j'essayais dans une série de
leçons
, de faire connaître la mé-thode anatomo-clinique
tous les problèmes pathologiques qui sont de son ressort. DEUXIÈME
LEÇON
Du faisceau pyramidal. — Développement de ce fa
les rappor-ter dans certains cas à un état pathologique. TROISIÈME
LEÇON
Du faisceau pyramidal dans les pédoncules céré-
es qui se dévelop-pent les premières. Messieurs, Dans la dernière
leçon
, me fondant principalement sur les recherches de
es de M. le professeur Parrot, auxquelles je faisais allusion dans la
leçon
précédente. Ces recherches, communi-quées tout ré
ui les rendent dignes de toute l'at-tention des médecins. QUATRIÈME
LEÇON
Dégénérations secondaires. — Degeneration du fa
nc, suivant toute vraisemblance, en dedans U) Yoy. Première Partie,
Leçon
VlII, p. 103. du faisceau des fibres pyramidale
rouve terminée la première partie de notre démonstration. CINQUIÈME
LEÇON
Dégénérations secondaires [mite). — Délimitatio
que des dégénérations secondaires (1) Voir pour plus de détails les
Leçons
sur les localisations dans les malo,' dies du cer
les Leçons sur les localisations dans les malo,' dies du cerveau (3e
leçon
). de cause cérébrale. 11 n'en est rien cependan
-due de la moelle épinière. (1) Deutsch. Arch. 3D3, 1874. SIXIÈME
LEÇON
Dégénérations secondaires de cause cérébrale (f
. M. Hallopeau, dans le service de M. Vulpian, a observé (1) Voy.
Leçons
sur les maladies du syst. nerveux, 1.1, p. 62et t
nous venons d'entrer dans des détails qui vous (1) Depuis que cette
leçon
a été faite (21 avril 1879), de nouveaux cas d'à
siologique des amyotrophies relevant d'une cause spi-nale. SEPTIÈME
LEÇON
Dégénérations secondaires de cause spinale. — D
pas un fait nécessaire. Les tumeurs intra-spinales, gliô- (1) Voy.
Leçons
sur les maladies du système nerveux faites à la S
mais aussi le faisceau pyramidal gauche. (1) Voy. Œuvres complètes.
Leçons
sur les maladies du système nerveux, T. II, p, 12
ion unilatérale spinale ou de lésions cérébrales en foyer. HUITIÈME
LEÇON
Degenerations ascendantes de cause spinale; fai
ici, par comparaison, les figures demi-schématiques publiées dans les
leçons
de M. le professeur Charcot, sur les scléroses sy
de Goll. L'avenir apprendra s'il en est réellement ainsi. NEUVIÈME
LEÇON
Des dégénérations secondaires spinales ou céré-
ccasion d'yrevenir prochainement. D'ailleurs, vous trouverez dans les
leçons
de Cl. Bernard sur la Phyiologie du système nerve
ue sur les fibres centifruges qui le composent. (1) Cl. Bernard. --
Leçons
sur la pl ysiologie et la pathologie du système n
order avec fruit la clinique des dégônérations secondaires, ONZIÈME
LEÇON
Séméiologie générale des degenerations secondai
dre expérimental que je vous ai brièvement exposées dans la der-nière
leçon
, nous tenterons de parvenir à l'interprétation ph
eux. Ghàbgot. Œuvres complètes, t. iv, Localisations. 20 DOUZIÈME
LEÇON
De la contracture tardive des hémiplégiques et
légique. I. Messieurs, Je vous disais, en terminant la dernière
leçon
, que dans l'hémiplégie permanente de cause cérébr
; ainsi, dans cette statistique de M. Berger que j'invo-quais dans la
leçon
précédente (1), le réflexe rotulien n'a manqué qu
ai l'occasion de revenir très prochainement sur ce point. TREIZIÈME
LEÇON
De la contracture tardive des hémiplégiques et
ers). — Tonus musculaire. Messieurs, Je relevais, en terminant la
leçon
dernière, diverses influ-ences qui, dans l'hémipl
entes de cause spinale où le même phénomène se produit. QUATORZIÈME
LEÇON
Hémiplégie spasmodique de l'enfance. — Mouve me
dante. L Messieurs, En vous présentant, à la fin de la dernière
leçon
une des-cription abrégée des diverses attitudes q
c-tion des éléments ganglionnaires de la substance grise. QUINZIÈME
LEÇON
Rôle physiologique du faisceau pyramidal dans l
jet la thèse de M. Bétous, Etude sur le tabès spasmodiquei SEIZIÈME
LEÇON
Myélites transverses et tabès dorsal spasmodiqu
tte voie en 1875. Je l'y ai bientôt suivi, ainsi qu'en témoignent mes
leçons
de 1876. M. Erb a désigné cette affection prétend
ver là, je voudrais, me conformant à ce que je vous annonçais dans la
leçon
dernière, vous dire quel-ques mots d'une maladie
uvent allusion, est un exemple des plus démonstratifs. DIX-SEPTIÈME
LEÇON
Des amyotrophies spinales et des localisations
au moins dans sa première période, que M. Charcot, en inaugurant ses
leçons
cliniques de cette année, a cru devoir présenter
par exemple, des deux malades présentés par M. Charcot au début de sa
leçon
. Et voici encore, en abrégé, deux faits bien conf
s den Gbarité Annaleïn. V. Jahrgg.) Note additionnelle à la dixième
leçon
(page 114) sur l'hémianesthésie cérébrale et l'am
114) sur l'hémianesthésie cérébrale et l'amblyopie croisée Dans une
leçon
toute récente (mai 1887), M. Charcot, re-venant s
LE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Localisations cérébrales PREMIÈRE
LEÇON
. De la localisation dans les maladies cérébrale
........................................................ 1 DEUXIÈME
LEÇON
. Structure de l'écorce crise du cerveau. Somm
Travaux de Betz.................................... 1e.» TROISIÈME
LEÇON
. Consideration sur la structure normale de l'ec
grise des régions postérieures de l'encéphale........ o'I QUATRIÈME
LEÇON
. Parallèle entre les lésions spinales et les lési
. — Aperçu extérieur des artères cérébrales. M CINQUIÈME ET SIXIÈME
LEÇONS
, Circulation artérielle du cerveau. Sommaire.
eure : leurs branches.................................. 5~ SEPTIÈME
LEÇON
. Circulation des masses centrales (noyaux gris
indirects ; faisceaux rayonnants).......... 78 HUITIÈME ET NEUVIÈME
LEÇONS
. Artères centrales. — Lésions isolées des noyau
imentation.............................................. 92 DIXIÈME
LEÇON
. De l'hémianesthésie cérébrale. — L)e l'amblyop
— Variétés de l'hémiopie............................... 118 ONZIÈME
LEÇON
. f Origine des parties cérébrales des nerfs o
térale supposés d'origine intra-cérébrale............. 133 DOUZIÈME
LEÇON
. ¦ Des degenerations secondaires. Sommaire.
............. 150 DEUXIÈME PARTIE Localisations spinales PREMIÈRE
LEÇON
. Introduction. — Topographie de la moelle tïpin
entaires. — Localisations bulbaires et médullaires____ 177 DEUXIÈME
LEÇON
. Du faisceau pyramidal. — développement de ce f
nterprétation des faits pathologiques................ 191 TROISIÈME
LEÇON
, Du faisceau pyramidal dans les pédoncules céré
res............,........,.......,...........,........ 203 QUATRIÈME
LEÇON
. Degenerations secondaires. — Dégénération du f
nsitives de Meynert) ne dégénère jamais.............. 216 CINQUIÈME
LEÇON
. dégénérations secondaires (suite). — délimitat
vale qu'à l'occasion des destructions corticales....... 231 SIXIÈME
LEÇON
. Dégénérations secondaires de cause cérébrale {
.............'........................................ 241 SEPTIÈME
LEÇON
Dégénérations secondaires de cause spinale. — D
du faisceau pyramidal................................ 250 HUITIÈME
LEÇON
. Dégénérations ascendantes de cause spinale. —
ations. —Théorie probable de ces dégénérations........ 260 NEUVIÈME
LEÇON
. Des dégénérations secondaires spinales ou géné
....................................................... 270 DIXIÈME
LEÇON
. Détermination du trajet des faisceaux blancs d
....................................................... 280 ONZIÈME
LEÇON
. séméiologie générale des générations secondaires
omène de la main. — Réflexes tendineux................ 294 DOUZIÈME
LEÇON
. DE la contracture tardive des hémiplégiques et
rminaisons diverses de la contracture hémiplégique... 306 TREIZIÈME
LEÇON
. De la contracture tardive des hémiplégiques et
...*............................................... 320 QUATORZIÈME
LEÇON
. Hémiplégie spasmodique de l'enfance. -- Mouvem
symptômes spasmodiques de la sclérose descendante.... 335 QUINZIÈME
LEÇON
. RÔLE physiologique du faisceau pyramidal dans
. —Paraplégie spasmodique. — Tabès dorsal spasmodique. 348 SEIZIÈME
LEÇON
. Myélites transverses et tabès dorsal spasmodiq
ons contradictoires.. ¡.. i....................... 360 DIX-SEPTIÈME
LEÇON
. Des amyotrophies et des localisations dans la
ÈRE CLINIQUE DES maladies i min mm M. le Professeur CHARCOT
Leçons
du Professeur, Mémoires, Notes et Observations
1889-90 et 1890-91, le soin de réunir dans ce recueil les principales
leçons
que j'ai faites et les travaux les plus intéressa
avaux qui sont publiés sous ma direction à droite et à gauche. De ces
leçons
, travaux divers, notes, observations, j'ai pensé
ourd'hui. J.-M. CHARGOT. Mars 1892. De la Maladie de Morvan. (
Leçon
du 6 décembre 1889). Sommaire. — Étude des dive
ailleurs opportun de vous parler de cette maladie, après nos récentes
leçons
sur la syringomyélie, car les deux affections ont
te dernière affection. Vous savez, Messieurs, d'après nos dernières
leçons
, en quoi consiste cette dissociation syringomyéli
x trois quarts élucidée par ce que je vous ai dit au début de cette
leçon
. Vous ne confondrez pas la maladie de Morvan avec
s enfin à une maladie dont je vous ai entretenus dans mes précédentes
leçons
et qui présente, avec la maladie de Morvan, des a
ement étudiées, il y a une chose (1) Depuis la publication de cette
leçon
, les idées se sont modifiées à ce sujet, grâce au
achiale hystérique développée à la suite d'une fracture du radius. (
Leçon
du 28 janvier 1890). Sommaire. — Importance de
(1). Mais, Messieurs, et c'est surtout pour en (1) J.-M. Charcot. —
Leçons
du Mardi, 1888-89. venir à ceci que j'ai fait c
dent local, (25 mars 1890). III. Des tremblements hystériques. (
Leçon
du 13 novembre 1889). Sommaire. — Date récente
du moins, (1) Briquet. — Traité de l'hystérie, p. 478. (2) Voyez
Leçons
sur les Maladies du Système nerveux, t- III, p. 2
Voyez Leçons sur les Maladies du Système nerveux, t- III, p. 213, et
Leçons
du Mardi, t. I, p. 398. avec M. P. Marie, mon c
M. Pitres (de Bordeaux) publiait dans le Progrès Médical une série de
leçons
sur le tremblement hystérique (2). Bien qu'il n'a
rique distincts les uns des autres. Un peu avant la publication des
leçons
de M. Pitres, M. Dutil, mon interne, composait un
Rendu. — Soc. méd. des hôp. Séance du 19 avril 1889. (2) Pitres. —
Leçons
sur le tremblement hystérique. (Progr. Méd., sept
e tremblement mercuriel que nous avons décrit, il y a 2 ans, dans les
Leçons
du Mardi (1). Et le rapprochement paraîtra d'auta
rapprochement paraîtra d'autant plus légitime que, dans un cas (l;
Leçons
du Mardi. T. I. Mai I8S3. comme dans l'autre, o
ntribuait pas peu à lui rendre son travail difficile. (1) Oharcot* —
Leçons
du Mardi, tome II, 4 décembre 1888. Ce sont là
endre ? C'est ce que je ne saurais préciser. Quelque temps après la
leçon
qui précède, M. le professeur Charcot montrait, d
ndant l'attaque. Ainsi que le faisait remarquer M. Charcot, dans la
leçon
où il a présenté cet homme, il s'agit là d'un tre
ntentionnel qui peut être justement rapproché du premier malade de la
leçon
précédente. L'analogie avec la sclérose en plaque
migraine ophthalmoplégique. [Paralysie oculo-motrice périodique).
Leçon
du 16 mai 1890). Sommaire. — Synonymie : paraly
e traitement bromure sera continué. L'œdème bleu des hystériques (
Leçon
du 6 mai 1890). Sommaire. — L'œdème considéré c
s la thérapeutique des accidents d'hystérie locale. Messieurs, La
leçon
d'aujourd'hui aura trait à un phénomène de l'hyst
distinguée à il) Damascbino. — Troubles trophiques dans l'hystérie.
Leçon
recueillie par Revillout. — Gaz. des Hôp., 1880,
était parvenu. La circonférence du cou-de*pied droit (1) Çharcot, —
Leçons
du Mardi.'T. II, 1889, (côté sain) mesurait 21
iagnostic. J'ai d'ailleurs déjà présenté ce cas l'an dernier dans mes
Leçons
du Mardi (1), en insistant sur les difficultés qu
de l'anesthésie, qui paraît être un des carac- (1) J.-M. Charcot. —
Leçons
du Mardi, T. II, 1889. (2) Remak. - Berl. klin.
de plus longs détails, attendu que son observation se trouve dans mes
Leçons
duMa,rdi(\) et,en ce qui concerne l'état actuel,
ant plusieurs jours. Je vous l'ai d'ailleurs souvent montrée dans mes
leçons
lorsqu'elle était en butte à quelques-uns de ces
iques. Quelque temps après que M. le professeur Charcot eut fait la
leçon
qui précède sur l'œdème bleu, je commençai à essa
af... qui fait le sujet de la première observation relatée dans cette
leçon
. Dès les premières séances, je réussis à provoque
s atteintes ont été faites par M. le Professeur Charcot, dans une des
leçons
cliniques de cette année). Notre jeune fille comp
uivants, que M. le Pr Charcot avait présentés antérieurement dans ses
leçons
cliniques (le 24 février 1890). Le premier est
et et de la main, absolument identique au cas de la jeune fille de la
leçon
précédente, sauf qu'il s'est développé sous l'inf
des dont nous rapportons plus loin l'histoire ont fait le sujet d'une
leçon
clinique de M. le Pr Char-cot (2). A la suite de
et d'une leçon clinique de M. le Pr Char-cot (2). A la suite de cette
leçon
, où il était question pour la première fois de ce
M. le professent Charcot lorsqu'il présenta ce malade dans une de ses
leçons
cliniques. Du groupement de tous ces faits que
autant plus que l'examen de cette malade ayant été le sujet d'une des
Leçons
du Mardi (2) de M. le Pr Charcot, nous pourrons a
hez les sujets atteints de sciatique grave et en particulier dans les
Leçons
du Mardi (tome II, leçon du 30 octobre) et égalem
sciatique grave et en particulier dans les Leçons du Mardi (tome II,
leçon
du 30 octobre) et également dans le mémoire cité
en avons la preuve dans l'histoire de la sciatique dont je vous (1)
Leçon
du mois de décembre 1890. — Recueillie par M. Par
et subaigus. Messieurs, Je me propose d'étudier avec vous dans la
leçon
d'aujourd'hui et de mettre en valeur deux cas cli
un peu différents cependant qu'elle affecte dans ces deux cas, (1)
Leçon
du 20 juin 1890, recueillie par M. Blocq. me se
elques-unes sont mentionnées avec plus ou moins de détails dans cette
leçon
. (G. G.). réalité cette immobilité symétrique n
complètes et détaillées des malades qui ont été présentés dans cette
leçon
. (G. G). affection connexe, la syringomyélie av
xquels M. le Pr Charcot faisait allusion ou qu'il a présentés dans la
leçon
précédente (¹ X). (G. G.). début ophtlialmoplég
mémoire cité plus haut. C'est à elle qu'il est fait allusion dans la
leçon
précédente. (V. p. 99). (G.G.)j table, car tous
contraire tout simplement d'une seule et même affection. Dans ce 1)
Leçon
du mois de mars 1891, recueillie par M. Blocq.
exemple de ce genre. Il établit (1) Voir à ce sujet (¹ I, p. 17) la
leçon
sur la Maladie de Morvan, délivrée le 6 décembre
livrée le 6 décembre 1889, c'est-à-dire quinze mois avant la présente
leçon
et antérieurement aux travaux de M. Joffroy, dans
respecté, envahissant ensuite de préférence les cornes (i)4Voir les
Leçons
du Mardi, t. II. postérieures, tantôt des deux
mmé H..., âgé de 26 ans, dont l'histoire détaillée se trouve dans une
leçon
fort importante publiée par M. le D1' Le Fort (1)
et glycosurie ; rareté relative du second syndrome. Messieurs, La
leçon
d'aujourd'hui sera consacrée à l'étude d'un cas f
sur lequel Marchai (de Calvi) a le premier attiré l'attention au 1
Leçon
du 13 décembre 1889. Sur un cas de paraplégie d
axie locomotrice. Il y a longtemps que j'ai parlé de ce fait dans mes
leçons
. On en trouve des exemples dans le travail de MM.
ainsi que l'a, le premier, montré M. le professeur Bouchard dans ses
leçons
de 1881 et dans une intéressante communication au
l'avenir, viendront me donner raison1 . XIII bis. APPENDICE A LA
LEÇON
PRÉCÉDENTE Sur la Paraplégie diabétique1. Mes
né de résultats appréciables. L'antipyrine adminis- 1 Extrait de la
leçon
du 18 mars 1890. trée à l'intérieur, le bromure
e arsenicale, etc. Le phénomène n'a guère changé depuis la précédente
leçon
. Mais cela tient sans doute à ce que la paralysie
nement, a pris une place importante dans la clinique des hôpitaux 1
Leçon
du mois de mai 1891. de Paris, où l'on a appris
j'ai vu récemment un neuro-pathologisle des plus distingués, dans une
leçon
d'ailleurs très intéressante sur la névrose traum
ur cela je dois prendre les choses d'un peu loin. En 1856, dans une
leçon
sur la paralysie hystérique ïodd écrivait les lig
'ai embrassé la même cause et adopté la même formule. Ainsi, dans une
leçon
publiée dans la Semaine médicale, le 2 février 18
es qui l'accompagnent, etc., etc. Tout récemment, en 1888, dans mes
Leçons
dumardt (t. I, p. 299), j'écrivais : « Tant qu'on
en vérité pour égarer le diagnostic d'un observateur non prévenu. 4
Leçon
du 24 février 1891, recueillie par 31. Souques, i
logues à ceux que je vous faisais constater dans une de nos dernières
leçons
. En réalité, qu'il s'agisse de paralysie pédon-cu
nostic. Voici les détails de l'observation qui a seimrde thème à la
leçon
de M. le professeur Gharcot : Observation. — I.
parfaites, les formes frustes de la maladie, et l'histoire de ces 1
Leçon
du 5 mai 1891, recueillie par M. Hallion, interne
ous rencontrons, mais la dysesthésie, symptôme qui est 1 Charcot. —
Leçons
sur les Mal. du syst. nerveux, t. II, p.. 116 et
aillible, (1) Electrisation localisée, 1872, p. 493. (2) Charcot,
Leçons
du Mardi, 1889, p. 501. puisque l'hystérie souv
souvent seule à faire le diagnostic étiologique do l'affection. (I)
Leçon
recueillie par le docteur Parmentier, interne (mé
vais vous lire un passage d'un livre trop oublié de Todd, intitulé :
Leçons
cliniques sur la paralysie et sur certaines malad
. Oui, c'est bien la syphilis qui est en jeu dans ce cas • oui, (1)
Leçon
recueillie par M. A. Souques, interne (médaille d
ogies frappantes. Vous en trouverez Lin exemple bien typique dans mes
Leçons
du Mardi (voir plus haut, page 366). Mais, en som
malade de cette sec onde catégorie. Messieurs, Dans la précédente
leçon
, nous avons étudié ensemble un cas de syphilis cé
ganique de l'écorce cérébrale de ces régions. En pareil cas, on (1)
Leçon
recueillie par M. A. Souques, interne (médaille d
i en avait tracé la première description fondamentale, (1) Charcot.
Leçons
sur les mal. du syst. nerv., t. II, p. 293. (2)
cette voie et j'y suis revenu moi-même à plusieurs reprises dans mes
leçons
. En Allemagne, dans ces dernières années, cette q
ans sa thèse inaugurale et dont je vous montrerai, dans une prochaine
leçon
, un exemple démonstratif. 2° La variété « tabét
.=-f. M. le Pr Charcot, qui a présenté cette malade dans une de ses
leçons
cliniques, a insisté sur ces déviations particuli
que c'est le diagnostic qui a été porté par M. le Pr Charcot dans la
leçon
clinique qu'il a consacrée à l'examen de cette ma
récente, car nous ne connaissons aucun travail sur ce sujet avant la
Leçon
du mardi, 23 octobre 1888, dans laquelle M. le pr
ui rapporter cinq observations, y compris celle qui sert de base à la
leçon
de M. Charcot. Trois d'entre elles ont été recuei
ographie de la Salpêtrière, 1890, n° 3. (G. G.). (2) J.-M. Charcot.
Leçons
du Mardi a la Salpêtrière, 1885-1889, p. 1 et sui
imple émotion, par exemple le fait d'entrer dans~l'amphithéâtre des
leçons
à la Salpêtrière, pour y être présentée par M. le
Tome Premier. TABLE DES MATIÈRES i. De la Maladie de Morvan. (
Leçon
). Sommaire. — Etude des divers troubles trophiq
achiale hystérique développée à la suite d'une fracture du radius. (
Leçon
). Sommaire. — Importance de la connaissance de
ement des accidents. ... 29 III. Des tremblements hystériques. (
Leçon
). Sommaire. — Date récente des premières études
migraine ophthalmoplégique (Paralysie oeulo-motrice périodique). ¦ (
Leçon
). Sommaire. — Synonymie : paralysie oculo-motri
isyphilitique............10 V. L'œdème bleu des hystériques. ) (
Leçon
). SOMMAIRE. — L'œdème considéré comme trouble t
dette; coxalgie hystérique chez l'aînée. (Observations tirées d'une
leçon
),........ . 117 VII. Sur une complication peu
érative des muscles dans le domaine du poplilé externe et interne. (
Leçon
). SOMMAIRE. — Sciatique simple et sciatique dou
....179 X. Ophthalmoplégie externe et amyotrophie généralisée. (
Leçon
). Sommaire. — Faciès dans l'ophthalmoplégie ext
n cas lc syringomyélie avec panaris analgésiques. (Type Morvan). (
Leçon
). Sommaire. — Syringomyélie" et maladie de Morv
type Morvan. 243 XIII. Sur »in cas de Paralysie diabétique. 1 (
Leçon
). Sommaire. —Accidents nerveux secondaires dans
elative du second syndrome.............257 XIII bis. Appendice à la
leçon
précédente. Sur la Paraplégie diabétique.......
acteurs étiologiques : Traumatisme, Alcoolisme, Hérédité nerveuse. (
Leçon
). Sommaire. — Progrès réalisés dans la connaiss
85 XV. Sur un cas d'hystérie simulatrice du syndrome de YVeber.
Leçon
). Sommaire. — Syndrome de Weber : paralysie de
e de la moelle, d'origine trauma-tique, simulant la syringomyélie. (
Leçon
). Sommaire. — Cas frustes de syringomyélie, dif
issaud)......350 XVIII. De la démarche chez les hémiplégiques. (
Leçon
). Sommaire. — L'hémiplégique organique vulgaire
nd. 363 XIX. Un cas de syphilis cérébrale héréditaire tardive. (
Leçon
). Sommaire. — Rôle de la syphilis dans l'étiolo
................370 XX. Encore deux cas de syphilis cérébrale. (
Leçon
). Sommaire. — Variétés de la syphilis cérébrale
orie. . 385 XXI. Des formes trustes de la sclérose en plaques. (
Leçon
). Sommaire. — Formes classiques, spinale, céréb
ŒUVRES COMPLÈTES DE J.M. GH ARGOT
LEÇONS
sur les MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX RECUEIL
ression pour donner quelques renseignements bibliographi-ques sur ces
leçons
. Après avoir paru dans différents journaux de méd
Manuel Flores y Pla (Madrid, 1882). Les éditions successives de ces
leçons
, les nombreuses tra-ductions qui en ont été faite
sécutifs aux maladies du cerveau et de la moelle épinière. PREMIÈRE
LEÇON
Troubles trophiques consécutifs aux lésions des
ts sont, en ce moment, tout à l'ait favorables à nos vues. 1. Cette
leçon
a été faite en mai 1870. Déjà, une décision que
esure ce préambule. Il est temps d'arriver à l'objet "spé-cial de ces
leçons
. Je me propose de vous entretenir surtout, cette
, quant à la forme, tantôt du zona et tantôt du pemphigus. — Dans une
leçon
faite à Dublin (1), M. Brown-Séquard avait déjà s
des lésions irritatives des nerfs pé-riphériques. Dans les prochaines
leçons
, nous y reviendrons en-core, mais nous insisteron
d. Chir. Review. 1854, April, p. 496» cité par M. Virchow. DEUXIÈME
LEÇON
Troubles trophiques consécutifs aux lésions des
chez les mammifères. » Nous avons également reconnu, d'il M. Vulpian (
Leçons
su?- la physiologie du système nerveux, 1866, p.
. p. 44). 1. Nous nous réservons de revenir, dans le courant de nos
leçons
, sur ce point délicat. Pour le moment, il nous su
aintenue dans les termes rigoureux où elle a été présentée dans cette
leçon
. (Note de la 2e édition.) troubles trophiques c
Zurich, 1870. 4. Voir à ce sujet ce qui a été dit dans la présente
leçon
, p. 41. Charcot. Œuvres complètes, t. i. 5 Le s
e toutes les amyolrophies de cause spinale, ont été exposées dans une
leçon
qu e M. Charcot a faite à la Salpêtriêre, en juin
uivant lemode subaigu ou chronique, une tendance à la 1. Charcot. —
Leçons
faites à la Salpêtrîère en 1870. — Voir à ce suje
s que ma tâche pourrait être menée à bonne fin dans l'es-pace de deux
leçons
. Mais, à mesure que j'avance dans cette expositio
regretter le temps que nous devrons encore lui consacrer. TROISIÈME
LEÇON
Troubles trophiques consécutifs aux lésions de
de physiologie, n() 1, 1872, p. 95. Obs. \.) faits exposés dans la
leçon
précédente, de rapporter l'atrophie rapide et gén
organique. Voici comment s'exprime, à ce propos, cet auteur dans une
leçon
publiée dans le journal The Lancet (Lecture on th
. — Voir aussi Benedikt. —Eleklrothérapie, t. II, p. 384. QUATRIÈME
LEÇON
Troubles trophiques consécutifs aux lésions de
ale sulsystémo nervoso encefalio, pages 287,297,373. Fircnze. 1866. —
Leçons
sur la physiologie de la digestion, t. II. p. 433
élite aiguë spontanée, à début brusque, 1. Cas de W. Muller. Voir :
Leçon
111% p. 105. 2. Journal de physiologie, t. VI,
con-tiennent un renseignement dont l'importance ne saurait vous 1.
Leçon
IIP, p. 108. —2. Id., p. 108. —3. Id., p. 108.
d., p. 108. 4. Berliner Klin. Wochenschrift, t. I, n° 1, 1864. 5.
Leçon
IIP, p. 109. —6. Ollivioi' (d'Angers), loc. cit.,
535. Paris, 1858. — Med. Times and Gazette, p. 79, t. II, 1861. 2.
Leçon
IIIe, p. 98. —3. Leçox IIP, p. 105. des parties
. v. ak. Math. CL, 1857. B. d. XXV, p. 584. 2. Voir à ce propos une
leçon
de M. Vulpian, publiée dans la Revue des cours sc
hors de toute in-tervention du système nerveux. Je les emprunte à une
leçon
professée au Muséum par M. Vulpian, sur la théori
p. 70. — Central Nervous System, p. 148, 172, 174. 3. M. Schiff. —
Leçons
sur la digestion, t. I. 256. d'opérer directeme
Paralysie agitante et sclérose en plaques disséminées. CINQUIÈME
LEÇON
De la paralysie agitante. Sommaire. — Du trem
ant, et M. Guéneau de Mussy l'a fait remarquer avec justesse dans une
leçon
clinique publiée récemment par la Gazette des H
fondues avec la danse de Saint-Guy, En 1859, M. Trousseau, dans ses
Leçons
sur la chorée, réu-nit dans un tableau succinct l
domicile dans les ouvrages classiques. Dans la seconde édition de ses
Leçons
, Trousseau y consacre d'assez longs développement
signalées, on ne sait trop pourquoi, dans la version adoptée, dans sa
leçon
clinique, par Trousseau. Les considérations qui
tôt, je pense, j'aurai l'occasion de vous faire 1. Depuis que cette
leçon
a été laite (1868), M. Charcot a eu l'occasion de
e dans des cas moins avancés. (B.) (Note de la 2e édition.) SIXIÈME
LEÇON
De la sclérose en plaques disséminées. — Anatom
issant que dans certaines conditions, que nous allons consacrer cette
leçon
etles suivantes. Anatomiquement,la sclérose en pl
mpte des travaux ayant trait à l'anatomiepathologique,nous 1. Cette
leçon
a été faite en 1868. 2. Cases of Paraplegia, in
d'interpréter certaines lésions (i). 1. Depuis le moment oîi celte
leçon
a été faite, de nombreux travaux ont été publiés
Kollikcr. — Gewebelehre, 5e édil ^867, t. IV, p. 258- —~- Vulpian. —
Leçons
sur la physiologie, etc., p. 316. eonjonclif fi
ovalaire irrégulier,soit celle d'une massue, 1. Voyez : Vulpian. —
Leçons
sur laphysioloyie dusyst. nerv., p. 237, 298; — R
mètre des faisceaux librillaires. (Note de la 2' édition.) SEPTIÈME
LEÇON
De la sclérose en plaques disséminées. Sypmtoma
ie-spinale. xWessieurs, Nous avons décrit minutieusement, dans la
leçon
précédente, les lésionsanafomiques delà sclérosem
tions de la moelle épinière où ils peu-vent se manifester. HUITIÈME
LEÇON
Des attaques appoplectiformes dans la sclérose
7. Paris, 1870. 2. Voir ce que M. Charcot a dit à ce sujet dans ses
leçons
faites à la Salpê-trière en 1868 (Dubois. — Étude
de l'ataxie locomotrice. Paris, 1868. Des crises gastriques, p. 56. —
Leçons
sur les maladies du sys-tème nerveux, t, II, 1873
s, p. 56. — Leçons sur les maladies du sys-tème nerveux, t, II, 1873,
Leçon
II, p. 36,) plus longuement sur ce sujet que je
t ainsi qu'unL succombé la nommée Vaulh..., qui a l'ait l'objet de la
leçon
précédente et la nommée Bezot, qui a été couchée
fève de Galabar. —Depuis la publication de la première édition de ces
leçons
, il a paru un certain nombre de travaux ou d'obse
e. — Hystéro-Epilepsie. Charcot. Œuvres complètes, t. i. NEUVIÈME
LEÇON
De l'ischurie hystérique. Sommaire. — Préambu
éveloppe-ment pourraient être demain complètement effacés. 1. Voy :
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. II, l''e
uivie d'une contracture du membre supérieur gauche; et, lors de mes
leçons
, en 1870, je vous ai présenté cette malade comme
plusieurs fois par jour, s'aperçut que parfois la quantité 1. Cette
leçon
, que l'on trouvera plus loin, a été d'abord publi
mme cela avait eu lieu dans les périodes dont il est question dans la
leçon
(Voir, à ce propos, une communication que nous av
pouvons que laisser la question en suspens (1). 1. Depuis que cette
leçon
a été faite par M. Charcot (juin 1872), M. Ch. Fe
rique. — L'observation de la malade qui fait l'objet de la précédente
leçon
a été publiée in-extenso dans nos Recherches clin
thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie, p. 151 ^B.). DIXIÈME
LEÇON
De l'hémianasthésie hystérique. Sommaire. — H
l'hystérie, sur lesquels je veux insister particulièrement dans cette
leçon
et dans la sui-vante. Ce sont, d'une part, l'hémi
çaise que vous trouverez exposée d'une manière très complète dans les
Leçons
de M. Vulpian. D'après celle-ci, le centre où les
entionà cet égard (1). 1. Nous ne connaissions, à l'époque où cette
leçon
a été faite, les observations de L. Tiirck, que p
Voyez, dans le Progrès médical des 23 janvier et G février 1875, une
leçon
de M. Charcot sur VUémichorée post-hémiplégique.
ot sur VUémichorée post-hémiplégique. (Notede la 2" édition.) — Cette
leçon
a été insérée dans le tome II des Leçons sur les
otede la 2" édition.) — Cette leçon a été insérée dans le tome II des
Leçons
sur les maladies du sys-tème nerveux, p. 358. (No
yer des hémis-phères cérébraux (1). 1. Les vues exposées dans cette
leçon
, relativement à l'hémianesthésie d'ori-gine encép
ns cliniques intéressantes.) (Note de la 2e édition.) (B.). ONZIÈME
LEÇON
De l'hyperesthésie ovarienne. Sommaire. — Hys
t fait le continuateur de Brodie, dans une série très intéressante de
leçon
s sur les formes locales chirurgicales del'hystér
certain local nervous Affections, 1837. Nous avons fait traduire ces
leçons
en français par notre ami le Dr Aigre, alors inte
l hystéro-épileptique sur lequel nous reviendrons clans une prochaine
leçon
(1). Cas 111. -^JLegr... Geneviève)cst née à Lo
lade ; il s'agit d Et-chev..) qui nous a fourni les éléments de notre
leçon
sur l'is-churie hystérique (2). Nous relevons enc
thérapeut. sur l'épilepsie et l'hystérie, p. 116-150. (B.) 2. Voir
Leçon
IX, p. 275. 3. Outre le compresseur de l'ovaire
(Progrès médical, 1881, p. 941) et celui de M. G. Ballet. DOUZIÈME
LEÇON
De la contracture hystérique. Sommaire. — For
ve avec tous les caractères qu'elle offrait à l'époque où la présente
leçon
a élé faite, c'est-à-dire en juin 1870. — \Toir l
iagnostic anatomique, une valeur absolue (1). 1. Dès 1868, dans mes
leçons
de la Salpêlrière, j'ai appelé l'attention sur le
cot et Joffroy. Arch. de Physiologie 1867. p. 632 et suiv. — Charcot.
Leçons
sur les Maladies du Système nerveux, 1« édition,
11 n'en est rien ; ce caractère se trouve déjà mis en relief dans les
Leçons
sur le sys-tème nerveux de R.-13. Todd. Voir la
ief dans les Leçons sur le sys-tème nerveux de R.-13. Todd. Voir la
Leçon
X, sur VHémianesthésie. hystériques. La maladie
s para-lysés. \ i. Il a déjà été question de eettc malade dans la
Leçon
IX, p. 275. — On trouvera son histoire complète d
emps, chez cette malade, dont il a été question à diverses re-prises (
Leçon
IX, p. 275, Leçon XI, p, 320), on n'avait découve
alade, dont il a été question à diverses re-prises (Leçon IX, p. 275,
Leçon
XI, p, 320), on n'avait découvert sur le fond de
holomew's liospital. 1866, 3' édit. London, 1870, p. 102. TREIZIÈME
LEÇON
De l'Hystéro-épilepsie. Sommaire. — Hystéro-é
prolongé. 1. Il s'agit là encore; de la malade dont il est question
Leçon
IX, p. 275. d) A cette première phase sur laque
équent, jamais, — c'est là un fait reconnu par les auteurs, 1. Voy.
Leçon
XI, p. 320. jamais, dis-je, l'obnubilation de l
preuve à l'appui des opinions émises par M. Charcot dans la présente
leçon
. 1873. —9 février. Depuis une semaine environ C
it à neuf heures, il y a eu un 1. Westphal, loc, cit. 2. Voyez la
LeçoN
VIII, p. 249. Lemps de repos, puis les attaques
, t. V, p. 210.) Charcot. OEuvres complètes, t. i. 25 QUATORZIÈME
LEÇON
De la chorée rythmique hystérique. Sommaire.
t aujouf=-' d'hui agités des mouvements choréiformes rythmiques. 1.
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. I, p. 330
Ainsi que nous nous en sommes assuré ces jours-ci, par des expé- i.
Leçons
sur les maladies du système nerveux, l. I, p. 320
ville. — Progrès médical, 1876, p. 145. 2. Depuis l'époque où cette
leçon
a été faite, nous avons continué à consigne avec
rche ultérieure des accidents chez la malade qui a fait l'objet de la
leçon
qui précède. 12 novembre. — Inhalation iïéther.
mblent beaucoup à ceux de sa compagne AV... dont il est parlé dans la
leçon
. 18 novembre. — Les mouvements choréiques irrég
dans la station verticale, est celle qu'a décrite M. Charcot dans fa
Leçon
V (p. 169) et que représente si fidèfement fa Pla
itude très circonscrite. Ainsi que cela a été dit dans le cours de la
Leçon
, ces oscillations sont communiquées à la tète par
(Paralysie agitante). M. Charcot a consacré une bonne partie de sa
leçon
du 19 novembre 1876 à la paralysie agitante en in
eu« tout enrespectantcependantlatête(l) ». Aun autre endroit de ses
Leçons
, M. Charcot répète que, dans la règle, la tête et
cun des assistants a pu constater chez plusieurs sujets atteints 1.
Leçons
sur les maladies du système nerveux. lie édition,
même fait complètement défaut. Déjà dans la première édition de ses
Leçons
, M. Charcot a parlé de cette forme fruste. Il a r
stants. (B) Des troubles de la vision chez les hystériques. (Voir
Leçon
X). Dans une de ses dernières conférences à la
it M. Charcot, considérer comme une règle absolue que 1. Landolt. —
Leçons
sur le diagnostic des maladies des yeux, p. 155 e
érieures de la capsule interne, sur le point qu'il a désigné dans ses
leçons
sous le nom de carrefour sensitif (2) : même dimi
-nent donc, on le voit, à l'hémianesthésie cérébrale en général, 1.
Leçons
sur les Localisations dans les maladies du cervea
çons sur les Localisations dans les maladies du cerveau, p. 119. 2.
Leçons
sur les Localisations, etc., p. 100 et 104. et
(1876-1880). Description de la grande attaque hystérique 1. (Voir
Leçon
XIIIy. I. Les auteurs reconnaissent deux espèce
souvent mal compris, mal interprétés ; on les prend 1. Résumé d'une
leçon
faite à la Salpétrière en décembre 1877. 2. Leç
1. Résumé d'une leçon faite à la Salpétrière en décembre 1877. 2.
Leçons
sur les maladies des vieillards, p. 125, 227. •
. 2. Leçons sur les maladies des vieillards, p. 125, 227. •3. Ces
leçons
ont été traduites pur notre ami le Dr Douglas Aig
t cle deux ans, spontanément. » M. Charcot a fait allusion, dans sa
leçon
à un certain nombre decasqu'il arecueillis dans
t devint plus tard permanent, et s'étendit enfin aux autres membres. (
Leçons
sur les maladies du système nerveux, 1.1. p. 185.
urée pen-dant la période d'ischurie hystérique observée chez Etch... (
Leçon
IX, p. 293, note), qui s'est écoulée de mars à ju
ndolt del. Imp. Lemercier Cie Paris TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE
LEÇON
troubles trophiques consécutifs aux lésions des
ériné-vrite lépreuse, lepra mutilans.....................1 DEUXIÈME
LEÇON
troubles trophiques consécutifs aux lésions des
rprétation de ces faits................................33 TROISIÈME
LEÇON
troubles trophiques consécutifs aux lésions de
d'atrophie musculaire progressive.................... 75 QUATRIÈME
LEÇON
troubles trophiques consécutifs aux lésions de
posé ; critiques. —Conclusions....................... 125 CINQUIÈME
LEÇON
dé la paralysie agitante. Sommaire. — Du trem
dité* — Influence de la race......................... 155 SIXIÈME
LEÇON
de la sclérose en plaques disséminées. — anatom
ccession des lésions.................................. 189 SEPTIÈME
LEÇON
de la sclérose en plaques disséminées. — sympto
— Epilepsie spinale.................................. 221 HUITIÈME
LEÇON
des attaques apoplectiformes dans la sclérose e
ales. Pronostic. — Traitement......................... 249 NEUVIÈME
LEÇON
DE L'iSCHURIÈ HYSTÉRIQUE. Sommaire. —Préambul
onnaissances à cet égard................................275 DIXIÈME
LEÇON
DE L'HÉMIANESTHÉSIE HYSTÉRIQUE. Sommaire. — H
tions des sens "spéciaux. . . ..........................300 ONZIÈME
LEÇON
de l'hyperesthésie ovarienne. Sommaire. — Hys
int de vue thérapeutique.— Observations cliniques. . . 320 DOUZIÈME
LEÇON
de la contracture hystérique. Sommaire. — For
sente la contracture. —Pied bot hystérique............347 TREIZIÈME
LEÇON
de l'hystéro-épilepsie. Sommaire. — Hystéro-é
stéro-épilepsie. — Observation de Wunderlich. . . . 367 QUATORZIÈME
LEÇON
de la chorée rythmique hystérique. Sommaire.
e comprend : 1° le traitement du gâtisme, exposé précédemment; 2° les
leçons
de toi-lette qui consistent à apprendre aux enfan
s'habiller, se déshabiller, brosser, ranger leurs vêtements ; 3° les
leçons
de table qui consistent à leur enseigner à manger
pha-bet du dessin de Mme Bru, comme préparation à l'écriture ; 6° les
leçons
de choses, soit à l'école, soit dans les jardins
volonté et de courage. Aujourd'hui, il reste bien plus attentif aux
leçons
. Au mois île mars dernier, il a été présenté à l'
est courante, l'écriture est régulière. L'enfant l'ait des résumés de
leçons
de choses et unit d'apprendre la multiplication.
s de géographie et répond par écrit aux questions posées après chaque
leçon
. L'intelligence est développée grâce à une at-ten
action des unités. Au début ce malade apportait peu d'attention aux
leçons
; d'un caractère gai et enjoué il aurait passé tou
ë... s'exprime facilement, le raisonnement est bon. Il prend goût aux
leçons
de choses et répond généralement bien aux questio
s de choses et répond généralement bien aux questions posées dans ces
leçons
. — Apprenti tail-leur médiocre. Imbécillité, cé
caractère s'améliore, devient moins répondeur, Sim.., prend goût aux
leçons
de choses ; est heureux de répondre aux questions
s et de l'école d'infirmières. 3° — Surveillance et préparation des
leçons
avec projec-tions, recherche des gravures à photo
rojec-tions, recherche des gravures à photographier ou à acheter pour
leçons
complètes. 4° — Caisse d'épargne scolaire posta
rnets de paie des divers moniteurs. 8° — Promenades aux jardins. ?—
Leçons
de choses. 9° — Tenue d'un carnet des faits int
s. 11° — Musée. — Recherche et apport des objets devant ser-vir aux
leçons
de choses en classes. 12° — Promenades ordinair
e Bonnet comprise, et un nombre égal de la grande école ont suivi les
leçons
de chant. En maintes circons-tances et les samedi
uinze de la petite école et neuf de l'école Bon-net ont pris part aux
leçons
de solfège et sur ce nombre, quinze enfants saven
scolaire. — Ce musée continue à servir aux séances de projection, aux
leçons
de choses et de salle de lecture. Il s'est enrich
tranger. * ¥ ¥ Aux exercices pédagogiques proprement dits, avec
leçons
de choses faites dans les classes, dans les pro-m
quoi les instituteurs et les institutrices ne multiplient-ils pas les
leçons
de choses ? Pourquoi, ainsi que nous l'avons prop
ous avons dit que les jardins, de la section sont organisés en vue de
leçons
de choses. Voici un exemple des leçons de choses
ction sont organisés en vue de leçons de choses. Voici un exemple des
leçons
de choses qui sont faites (Pl. I.) Il s'agit du f
e fillettes y assistent. L'un des maître, M. Mesnard, se sert pour sa
leçon
du tableau roulant dont nous avons parlé souvent.
ortent aucun intérêt aux enfants, il y aurait là encore matière à des
leçons
de choses. En tout cas, ces courses sont une dist
promenades, les instituteurs et les insti-tutrices doivent donner des
leçons
de choses et exer-cer les enfants aux différents
, enseigner aux élèves des écoles adonner des douches. En faisant ces
leçons
de douches, aux doucheurs, aux infirmiers et infi
stique, de danse, et parfois le maître d'es-crime, dont les heures de
leçon
ne coïncident pas avec l'heure do notre visite. E
voué de l'enseignement professionnel des infirmières en donnant des
leçons
de rasement et de coupe do cheveux. 4° Service
. André Van Kerberghen et de la surveillante Mm0 Athénaïs Bohain. Les
leçons
de M. Van Kerberghen ont lieu une fois par semain
de la population, il serait nécessaire que le professeur donnât deux
leçons
par semaine. L'Administration départementale et l
l'Assistance publique, dont nous attendons toujours la réponse. Les
leçons
de choses, multipliées le plus possible, ont lieu
mme ces jeunes élèves montrent un véritable empressement à suivre les
leçons
de dessin, nous ne doutons pas delesvoir arriver
aris. Le nombre des enfants qui prennent part à ces prome-nades, avec
leçons
de choses, varie de 80 à 90. Distractions. Coéd
s douches afin de nous assurer que l'on continue à se conformer à nos
leçons
. Quant aux autres moyens de traitement, ils ont é
té les mêmes que dans notre section de Bicêtre. Signalons surtout les
leçons
de choses, soit en classe, soit dans les jardins
de la langue, gonflement des joues, gargarisation, etc. Fonction :
leçons
d'articulatiou ; sons simples (a, e, etc.) ; sons
on rappelle et fait surgir pour exercer la mémoire et la réflex-tion.
Leçons
de choses constantes qui permettent de se rendre
s aliments, l'habitation, etc. Montrer à chaque instant l'objet de la
leçon
son image, son nom, (une chaise, une grande chais
s à nombre de plusieurs chiffres. Insister sur le système métrique,
leçons
d'activité (achat, monnaies, balances, mesures di
infirmières de Bicêtre, comme dans les autres écoles, il est fait mie
leçon
sur les signes de la mort, le nettoyage du cadavr
1895. — Compte jusqu'à 100, connaît tout le contenu des boîtes aux
leçons
de choses (légumes frais ou secs, graisses, sucre
péter les syllabes, car le plus souvent, il rit aux éclats pendant la
leçon
, il lui arrive malgré tout d'en répéter quelques-
re est lisible et chaque jour il copie et écrit ensuite de mémoire sa
leçon
de lecture, sait écrire les nombres jusqu'à ioo
ographe des mots, chaque jour il copie et écrit ensuite de mémoire sa
leçon
de lecture, il sait lire et écrire les nombres ju
tabilité mentale a diminué sensiblement, il écoute avec attention les
leçons
orales mais la mémoire est toujours très fugitive
e. questions qui lui sont posées. li a de la mémoire et retient les
leçons
orales. 1902. — Ch... lit et comprend ce qu'il
ion avec retenues et la soustraction simple, assiste avec plaisir aux
leçons
de choses {Fig. ij). Fin. 18. — Clinrrn... à 15
ès 4 ans de trai¬tement, qu'il a commencé à prendre goût, d'abord aux
leçons
orales, puis à l'écriture et au calcul et surtout
s, l'écriture s'améliore de plus en plus; il assiste avec plaisir aux
leçons
orales et en profite. 1899. — Progrès lents nia
ncipales parties de son corps, presque tout le contenu des boîtes aux
leçons
de choses. ?— En 1898, il reconnaît et nomme les
o-lément. L'écriture ayant marché de front, il copie chaque jour la
leçon
de lecture et écrit de mémoire un certain nombre
l'on a l'habitude de faire une leçcn orale de gram-maire, on fait une
leçon
de choses, il est fâche, ne veut rien écouter,
rs mois; toutefois, cet enfant commence seulement à pouvoir copier la
leçon
de lecture. A l'inverse de la majorité de nos élè
ent, notre malade fait des progrès notables pour l'orthographe et les
leçons
orales qu'il écoute avec beaucoup d'attention. To
but, est maintenant assez soutenue pour lui permettre de profiter des
leçons
orales. L'onanisme qui était fréquent n'est plus
de même pour son caractère qui est toujours égal, il écoute bien les
leçons
orales et a acquis quelques notions d'histoire et
que les chiffres, les cou-leurs et les surfaces. Il s'intéresse aux
leçons
de choses et distingue un certain nombres d'objet
t com-mence à faire de petites dictées. Elle s'intéresse beaucoup aux
leçons
de choses. Elle aime à se rendre utile. Elle va à
alimentaires, en un mot fout ce qui est con-tenu dans les tiroirs des
leçons
de choses. L'enfant n'urine plus au lit. La phy
de-muette, l'école est très difficile; elle s'intéresse cependant aux
leçons
de choses, place les lettres et les chiffres sans
s, sait nommer à peu près tout ce qui est contenu dans les boîtes aux
leçons
de t/ios-es, nomme les différentes parties de son
mbler. Pour ce travail, elle manque de bonne volonté. Par contre, les
leçons
de choses l'intéressent vivement, c'est un plaisi
usuelles et les lieux, avait beaucoup de difficulté pour retenir les
leçons
les plus élémentaires, elle semblait n'avoir au
r de toutes ses compagnes. La mémoire paraissait très faible pour les
leçons
classiques, l'enfant disait elle-même qu'elle éta
as la moindre observation. Elle avait une certaine mémoire pour les
leçons
scolaires, mais n'y mettait aucune bonne volonté.
ît l'addition, la soustraction et la multipli-cation, s'intéresse aux
leçons
de choses, apprend les premiers éléments de la gr
ît les trois pre-mières opérations de l'arithmétique, s'intéresse aux
leçons
de choses, elle est attentive en classe. Ses accè
ntaire, connaît l'addition, la soustraction et la multiplication; les
leçons
de choses attirent particulièrement son attention
capitulation sur les quatre règles. Elle fait bien une rédaction, les
leçons
de choses l'intéressent vivement. Il y a chez ell
ses voisines. Elle connaît les légumes contenus dans les tiroirs des
leçons
de choses, ainsi que les principales céréales; co
leur nom, elle reconnaît tout ce qui est contenu dans les boîtes aux
leçons
de choses, distingue très bien les couleurs, elle
ithmétique, suit une dictée du cours moyen, s'in-téresse beaucoup aux
leçons
de choses, fait des devoirs variés de grammaire e
toutes ces connaissances et apporte à tout beau-coup d'attention, les
leçons
de choses l'intéressent également. Ses progrès en
, apprend la grammaire, récite des fables et s'intéresse beaucoup aux
leçons
de choses. Quant au calcul, elle a plus de diff
calcul, commence à faire la multiplication, s'intéresse beaucoup aux
leçons
de choses. Encore une malade qui peut actuellem
ées, connaît l'addition et la soustrac-tion, s'intéresse beaucoup aux
leçons
de choses et à tout ce qui est enseigné. — Le car
crement occupé. Il n'a pas veillé à ce qu'il suive régulièrement lesi
leçons
de chant et de des-sin. P... a continué à bien fa
ŒUVRES COMPLETES D E J.-M. CHARCOT
LEÇONS
sur les MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX RECUEIL
rine PREMIÈRE PARTIE Anomalies de l'ataxie locomotrice PREMIÈRE
LEÇON
Prodrome anatomique. Sommaire. — La tâche du
sécutive. I. Messieurs, Je me propose, dans la série des quatre
leçons
qui vont suivre, d'étudier avec vous quelques poi
t la méthode que j'ai voulu recommander à votre attention. DEUXIÈME
LEÇON
Des actions rétrogrades dans les maladies spina
par M. Delamare auteur d'une thèse qui date de 1866 En 1868, dans mes
leçons
, je me suis efforcé de faire ressortir l'importan
u moins manifestes d'ataxie. J'ai insisté sur ce point déjà, dans mes
leçons
de 1868 ; mes observations ultérieures me permett
forment l'exception à la règle que je si-gnalais en commençant cette
leçon
, à propos de la description des douleurs tabétiqu
aits particuliers sur lesquels j'ai insisté aujour-d'hui. QUATRIÈME
LEÇON
De quelques troubles viscéraux dans l'ataxie lo
ade de l'Hôtel-Dieu qui a été, de la part de M. Bail', le sujet d'une
leçon
clinique intéressante, fait exception à la règle.
préciable, il s'est produit 1 Voyez pour plus de détails, Charcot :
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. I, p. 100
chain, à l'heure habituelle de no-réunions, il développerait dans une
leçon
, en mon lieu et place, et bien autrement que je n
s qui résultent de la compression lente de la moelle épinière. i La
leçon
de M. Onimus a été publiée dans la Revue photogra
e la moelle épinière. Chap.cot. Œuvres complètes, ò. è. CINQUIÈME
LEÇON
De la compression lente de la moelle épinière.
vité rachidienne par un chemin plus large, sinon plus court, 1 Voir
Leçon
XTV. enveloppes hypertrophiées qui, elles, subi
mune ; mais ce n'est pas celle-là qui doit nous intéresser dans cette
leçon
. D'autres fois, le corps des vertèbres, infiltr
lequel je me propose de revenir dans unp (autre occasion. SEPTIÈME
LEÇON
De la Compression lente de la moelle épinière.
dernier cas, du côté opposé à l'anesthésie tan- 1 Voyez Charcot. —
Leçons
sur les maladies du système nerveux, tome I, p. 2
avons plusieurs fois déjà appelé votre attention dans le cours de ces
leçons
2. Les convulsions toniques ou cloniques sont, da
. I, p, 84, 186s); Ollivier, d'Angers (t. II, p. 319.) 2 Gharcot. —
Leçons
sur les maladies du système nerveux, tome L, p. 2
otrophique, elc. Charcot. Œuvres complètes, t. ii. I 1 NEUVIÈME
LEÇON
5 Paralysie infantile Sommaire. — Myopathie
et plus ou moins profonde, est un trait commun à toutes les 1 Cette
leçon
, faite à la Salpêtrjère en juillet 1870, a été pu
bles à celui que nous empruntons à M. Duchenne, le dévelop- 1 Voyez
Leçon
IX, p. 153 pement du sujet étant parfait à l'ép
et dts amyotrophies spinales progressives, ont été exposées dans une
leçon
que M. Gharcot a faite a la Salpêtrière, en juin
e , c'est là un fait capital que j'ai fait pressentir déjà dans mes
leçons
de 1868 et que toutes les observations, aujourd'h
ayem. — Des hémorragies mtraruchidiennes, 1872, p. 138. '* Gbarcot. -
Leçons
de la Salpêtrière, 1870. qu'une petite étendue
t de l'atrophie aiguë des cellules nerveuses motrices. 1 Charcot. —
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. I, p. 63,
s sur les maladies du système nerveux, t. I, p. 63, note 1. ONZIÈME
LEÇON
Des amyotrophies spinales chroniques. — Atrophi
us-culaires, leur nature. I. Messieurs, Je me propose, dans les
leçons
qui vont suivre, de consa-crer quelques développe
3° Divers types de myélite centrale, spontanée ou trauma- i Voir
Leçon
I, p. 13. tique, à marche chronique, doivent en
e, comme vous venez de l'entendre, que nous allons étudier dans cette
leçon
. Lorsque ce type, comparati-vement simple, vous s
cueillies à la Salpêtrière, dans mon service 4 et, enfin, un 1 Voir
Leçon
IX, p. 163 et Leçon X, p. 188. 2 Malheureusemen
trière, dans mon service 4 et, enfin, un 1 Voir Leçon IX, p. 163 et
Leçon
X, p. 188. 2 Malheureusement, dans les cas de M
hies symptomatiques qui, maintenant, doivent nous occuper. DOUZIÈME
LEÇON
Amyotrophies spinales deutéropathiques. — Sclér
ses applications à la pathologie. J'en ai touché un mot déjà dans la
leçon
qui a inauguré ce cours, mais je pense qu'il y
ce que j'essaierai de démontrer dans la prochaine séance. TREIZIÈME
LEÇON
De la sclérose latérale amyotrophique. — Sympto
ée, 3« édit., 1872, p. 469. * Le malade a succombé depuis que cette
leçon
a été faite, à la suite de symptômes bulbaires. L
à en donner, pour le moment une ex-plication plausible. QUATORZIÈME
LEÇON
Amyotrophies deutéropathiques de cause spinale
faits relatifs à ce sujet et qui n'ont pas trouvé leur place dans les
leçons
qui précèdent. Cette tâche accomplie, j'aborderai
ion de quelques autres formes ^atrophie musculaire spinale deuté- 1
Leçons
sur les maladies du système nerveux, 1.1, p. 61,
ues, chez les lapins, a pour conséquence une déchirure 1 Gharcot. —
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. Il, p. 16
tibles cependant, comme celles qui nous ont occupé dans nos dernières
leçons
, de se généraliser et d'affec-ter une marche prog
pe morbide, sur lequel j'ai appelé l'attention dan les deux dernières
leçons
(pp. :13 à 242) et dans lequel, — ainsi que cela
iémiplégiquc. Epilepsie partielle d'origine syphilitique. QUINZIÈME
LEÇON
Du tabes dorsal spasmodique. Sommaire. — Déno
e sous le nom de sclérose latérale amyotrophique. (Voir plus haut les
Leçons
XII et XIII). un peu effacés, et qui demandent
peine fléchies, et que les pieds n'arrivent pas à toucher le sol. 2
Leçons
sur les maladies du système nerveux, 2e édit., t.
trépida-tion, dont il est fréquemment question dans le cours de cette
leçon
, a été, pour la première fois, remarqué et décrit
is attiré l'attention des élèves sur ce phénomène singulier (Charcot,
Leçons
sur les maladies du système nerveux, lle édition.
1 Sur le diagnostic de la contracture hystérique voir : Charcot. —
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. I, pp. 3*
com-pression lente delà moelle épinière ». J'ajouterai, pour com- i
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. II, p. ll
t en a recueilli quelques autres depuis lors. — Voyez à ce propos ses
Leçons
sur les maladies du système nerveux, 2e édit., t.
, 2e édit., t. I, p. 264. 2 L'une des malades présentées dans cette
leçon
, comme offrant un exemple de tabès dorsal spasmod
on-troverses. Le débat a été vif, passionné parfois de part 1 Cette
leçon
, faite en juin 1870, a paru dans l'ancien Mouveme
tion ne saurait être méconnue. Nous avons essayé, en inaugurant les
leçons
de cette année2, de montrer que les lésions du sy
its, émis l'opinion que l'inflammation des nerfs 1 Depuis que celte
leçon
a été faite (juillet 1870), des résultats du même
ologie, 18 3, pl. 111 bis, p. S04.) 2 11 est l'ait allusion ici aux
Leçons
sur les troubles trophiques consécutifs aux lésio
t Marie Curie - UPMC - Cote : WZ 7 CHA DIX-SEPTIÈME ET DIX-HUITIÈME
LEÇONS
il Du vertige de Meniere. (Vertigo ab aure
x cas chroniques réputés incurables — deux exemples de gué- 1 Cette
leçon
a été faite en janvier 1874, et a paru pour la pr
ur la première fois dans ie Progrès médical (nos 4 et 5 de 1874). 2
Leçon
faite en novembre 1875, et publiée dans le n 50 d
si dire permanent 1 1874, nos 4 et 5. M. Charcot fait allusion à la
leçon
précédente. et rendue par là à peu près incapab
ent1. Ceux d'entre vous qui, dans ces dernières années, ont suivi mes
leçons
, reconnaîtront facilement cet état morbide dont j
ea. In The American Journal of the med. Sciences, oct. 1874, 342. 2
Leçons
cliniques sur les maladies du système nerveux, t.
Suivant la ligne de conduite que je me suis tracée en repre-nant ces
leçons
cliniques — que je voudrais comparer en quel-que
ces leçons cliniques — que je voudrais comparer en quel-que sorte aux
leçons
de choses (objects lessons), si usitées dans les
n certain jour assis comme 1 De l'épilepsie syphilitique tertiaire,
leçon
professée par A. Fournier (Clini-que de Lourcine)
dont il a été plusieurs fois question dans le courant de la présente
leçon
. Un nouvel accès de monoplégie brachiale gauche
es à la suite des lésions de la zone motrice corticale, voir Charcot,
Leçons
sur les localisations dans les maladies du cervea
femme atteinte d'ataxie locomotrice ; par J.-M. Charcot. (Voyez :
Leçon
IV, p. 62.) L'observation dont je vais faire co
ogique, 1874, p. 166). recueil, t. II, p. 121 et t. III, p. 306 ; —
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. II, p. 62
s crises le malade se mordait souvent la langue. 2 Voir: Charcot. —
Leçons
sur les maladies du sijstème nerveux, tome II. p.
surtout : P. Bert. Physiologie comparée de la respiration, 25 et 26e
leçons
. Paris, 1870. Sur la tuméfaction des cellules n
nerveux dans certains cas de myélite ; par J.-M. Crarcot. (Voyez :
Leçon
X, p. 188.) Dans le cas de myélo-méningite suba
otopathique ( type Duchenne-Aran ) ; par J.-M. Charcot \ (Voyez :
Leçon
XI, p. 212). On retrouvera les principaux carac
eux cas de sclérose latérale symétrique amyotro- phique. (Voyez :
Leçon
XII, p. 234). Nous reproduisons ici deux observ
rment de tout point les descriptions tracées par M. Charcot, dans ses
leçons
sur Vamyotrophie deutéropathique. Elles ont été p
lysie glosso-laryngée suivi d'au-topsie ; par J.-M. Gharcot. (Voyez
Leçon
XIII, p. 239). Par l'ensemble des symptômes, l'
as de paralysie pseudo-hypertrophi-que; par J.-M. Charcot. (Voyez :
Leçon
XIV, p. 267.) I. Il y a quelques mois, mon am
trompe, au type morbide, sur lequel j'ai appelé l'attention dans mes
Leçons
, et dans lequel, — ainsi que cela avait lieu dans
que, 1871-1872, p. 228). De l'Athétose. Dans une de ses dernières
leçons
à la Salpêtrière \ M. Char-cot a exposé les carac
lle maintient la main gauche avec la droite. Maintes fois, dans des
leçons
antérieures à celles que nous résumons, M. Charco
es des femurs. imp becçue ã paris . TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE
LEÇON
prodrome anatomique. Sommaire. — La tâche du
térieures de substance grise : amyotrophic consécutive.. 1 DEUXIÈME
LEÇON
des actions rétrogrades dans les maladies spina
céraux : douleurs vesicales, uréthrales ; ténesme rectal. TROISIÈME
LEÇON
de l'amaurose tabétique. Sommaire. — Symptôme
nes fournis par l'ophtalmoscopi....................... 42 QUATRIÈME
LEÇON
de quelques troubles viscéraux dans l'ataxie lo
.............................•........................ 59 CINQUIÈME
LEÇON
de la compression lente de la moelle épinière.
raplégie douloureuse des cancéreux...................... 83 SIXIÈME
LEÇON
de la compression lente de la moelle épinière.
ertrophique, irritation spinale, etc................... 98 SEPTIÈME
LEÇON
de la compression lente de la moelle épinière.
oisée; ses caractères.— Hémiplégie spinale........ ... 121 HUITIÈME
LEÇON
de la compression lente de la moelle épin1ère.
cheval................................................ 141 NEUVIÈME
LEÇON
paralysie infantile. Sommaire. — Myopathies s
cellules nerveuses.................................... h63 DIXIÈME
LEÇON
paralysie spinale de l'adulte. — nouvelles conc
ons déterminent l'atrophie rapide des muscles.......... 188 ONZIÈME
LEÇON
des amyotrophies spinales chroniques. — atrophi
r nature.............................................. 212 DOUZIÈME
LEÇON
amyotrophies spinales deutéropathiques. — sclér
..................................................... 234 TREIZIÈME
LEÇON
de la sclérose latérale amyotrophique. — sympto
s symptômes. — Pronostic. — Physiologie pathologique. 249 QUATORZIÈME
LEÇON
amyotrophies deutéropathiques de cause spinale
e épinière........................................... 267 QUINZIÈME
LEÇON
du tabes dorsal spasm0d1que. Sommaire. — Déno
ose latérale amyotrophique, etc................ ...... 301 SEIZIÈME
LEÇON
des paraplégies urinaires. Sommaire. — Préamb
in et de l'utérus................. 322 DIX-SEPTIÈME ET DIX-HUITIÈME
LEÇONS
DU vertige de mén1ère. (Vertigo ab aure lœsa)
uinine............................................ 339 DIX-NEUVIÈME
LEÇON
DE l'hÉMICHORÉE POST-HÉMIPLÉGIQUE. Sommaire.
on des planches...................................... 495 VINGTIÈME
LEÇON
de l'épilepsie partielle d'origine syphilitique
41, 445, 454. — Dans la paralysie labio-glosso-la-ryngée, 466, 467.
Leçons
de choses, 359. Lipomatose généralisée, 287,488
aître sur les maladies des vieillards. Ce vo-lume se compose : 1° Des
Leçons
cliniques sur les mala-dies des vieillards et les
s chroniques, faites en 1866, et recueillies par M. B. Bail; — 2° des
Leçons
sur la thermométrie clinique dans les maladies de
llards. BOURNEVÏLLE. Février 1889. PRÉFACE DE L'AUTEUR1 Les «
Leçons
sur les Maladies des vieillards et les Ma-ladies
il bienveillant. Paris, 1er octobre 1881. J. M. CHARCOT. 1. Les
Leçons
sur les maladies du système nerveux ». INTRODUC
eillesse. Nous nous astreindrons autant que possible à donner à nos
leçons
les allures méthodiques qui conviennent à tout en
velopper cette thèse que nous nous attacherons dans le cours de cette
leçon
; mais il nous faut tout d'abord indiquer en quel
sposition locale, et éclairer aussi le mécanisme de la 1. G. Sée. —
Leçons
de pathologie expérimentale, p. 11. Paris, 1866.
Graves, la raison a étendu son empire de l'ancien au nou- 1. Cette
leçon
a été professée en 1867. 2. Allusion au discour
mais l'intelligence collective de l'espèce ne s'endort jamais » 1.
Leçons
de clinique médicale, traduction du Dr Jaccoud, 1
1863. + * * PREMIÈRE PARTIE Maladies des vieillards. PREMIÈRE
LEÇON
Caractères généraux de la pathologie sénile.
dans cet asile et qui devront fixer votre attention plus tard. Les
leçons
cliniques faites à la Salpétrière par Rostan, ver
rs plus d'une occasion de mentionner ces travaux dans le cours de nos
leçons
. Nous terminerons ce court exposé historique en s
r allgemeinen und sp. Chirurgie, t. I, p. 309. — Erlangen. 1865. 2.
Leçons
de physiologie générale et comparée du système ne
. Charcot. Œuv. compi, t. vu. Malad, des Vieillards. 2 DEUXIÈME
LEÇON
De l'état fébrile chez les vieillards. Sommai
a Société de biol., 1866.) (Note de la première édition.) TROISIÈME
LEÇON
Du rhumatisme noueux et de la goutte. — Hématol
le coïncider, au contraire, avec un défaut d'élimination. QUATRIÈME
LEÇON
Anatomie pathologique de la goutte. Sommaire.
t presque toujours la formation de ces dépôts extérieurs. CINQUIÈME
LEÇON
Anatomie pathologique de la goutte viscérale.
ercherons à discuter la théorie physiologique de la goutte. SIXIÈME
LEÇON
Séméiologie de la Goutte. — Diathèse urique. -G
Nous aborderons cette étude dans la prochaine conférence. SEPTIÈME
LEÇON
Symptomatologie de la goutte viscérale. Somma
ns qui offrent un certain degré de parenté avec la goutte. HUITIÈME
LEÇON
Affections concomitantes de la goutte. Sommai
n et Murchi- 1. Ce passage a souvent élô ci Lé dans le cours de nos
leçons
. Nous allons le rapporter textuellement : « Il
On peut consulter, à cet égard, la thèse de M. A. Contour (4), et les
leçons
de M. Cl. Bernard. L'éminent physiologiste a cons
loe. cit., p. 233. 4. Contour. — Thèses de Paris, 1844, p. 49. 5.
Leçons
de physiologie expérimentale, etc., 1855, p. 436.
mêlent avec ceux de la goutte. Il peut y avoir émission de sable 1.
Leçons
sur les Maladies des organes urinaires, trad. de
le rhumatisme, aussi réserverons-nous cette discussion pour une autre
leçon
. 1. Garrod. — On goiil, p. 578. 2. Budd. — Th
Edimburg, 1858.p. 916. 2. Voir I'appendice inséré à la fin de cette
leçon
. 3. Tweedie. — Library of Médecine. Vol. V, art
ine séance à l'étude de la théorie de la goutte. APPENDICE A LA IXe
LEÇON
. des bières anglaises. 11 est si souvent ques
LEÇON. des bières anglaises. 11 est si souvent question, dans ces
leçons
, de l'influence exercée par Vale et le porter, su
sujet, sans nous arrêter à l'étude minutieuse des détails. DIXIÈME
LEÇON
Pathologie de la Goutte. Sommaire. — Théorie
arrod, en 1848. Cet ob-servateur si souvent cité dans le cours de nos
leçons
a démon-tré : 1° que dans la goutte aiguë ou chro
s éléments d'un parallèle non moins instructif que curieux. ONZIÈME
LEÇON
Du rhumatisme articulaire chronique et de ses l
isme articulaire chronique, qui va maintenant devenir le sujet de nos
leçons
. Nous aurons sous ce rapport un grand avantage.
orme chronique du rhumatisme articulaire à la forme aiguë. DOUZIÈME
LEÇON
Parallèle entre le rhumatisme articulaire chron
lésions viscérales que nous allons aborder maintenant. QUATORZIÈME
LEÇON
Des affections viscérales dans le rhumatisme ar
oint, les faits se sont mul-tipliés. Il y a quelques années, dans une
leçon
clinique, Beau faisait ressortir, chez une jeune
M. le Dr Malherbe. Paris, 1866, p. 55. 2. Depuis l'époque où cette
leçon
a été rédigée, j'ai eu l'occasion d'observer plus
s aborderons la Symptoma-tologie du rhumatisme chronique. QUINZIÈME
LEÇON
Symptomatologie du rhumatisme articulaire, chro
e ces trois types du rhu-matisme chronique. Nous consacrerons cette
leçon
à l'étude du rhumatisme articulaire chronique pro
vraie. 1. Klinik der Greisenkrankheiten. Erlangen, 1860. SEIZIÈME
LEÇON
Symptomatologie du rhumatisme chronique partiel
dosités avaient précédé la goutte de plusieurs années. DIX-SEPTIÈME
LEÇON
Étiologie du rhumatisme articulaire Sommaire.
t arthritique d'où l'une et l'autre tire leur origine. DIX-HUITIÈME
LEÇON
Traitement de la goutte et du rhumatisme articu
e cours. Nous avons rejeté le traitement de la goutte à la fin de ces
leçons
, afin de pouvoir le mettre en parallèle avec celu
us venons d'entrer nous forcent d'abréger la dernière partie de cette
leçon
: d'ailleurs, on peut dire que le traitement du r
l'état fébrile. J'ai, en effet, le projet de consacrer cette première
leçon
à mettre en relief, par quelques exemples frappan
ainsi que je l'ai démontré dans le temps (Gaz. des Hôpitaux, 1866, ai
Leçons
sur les mala-dies des vieillards. 1867.)1 des typ
s affections qui, chez le vieillard, produisent la fièvre. DEUXIÈME
LEÇON
De l'importance de la thermométrie dans la clin
digne de fixer l'attention, et dont je me propose de traiter dans la
leçon
prochaine. La principale affection de ce groupe
ssi bas que dans la défervescence de bon augure. Nous verrons dans la
leçon
prochaine à quels carac-tères on peut distinguer,
con- 1. Lu thèse récente du Dr Magnin renferme la substance de ces
leçons
. (De quelques accidents de la lithiase biliaire.
et Quincke) un assez grand nombre d'observations analogues. Dans une
leçon
faite en Angleterre il y a quelques années, M. Br
pourraient être utilement rapprochés des faits cliniques. TROISIÈME
LEÇON
De l'importance de la thermométrie dans la clin
ain. Sur 74 cas, recueillis par ce der- 1. Depuis l'époque où cette
leçon
a été faite, nous avons publié plusieurs mémoires
tré par des expériences dont M. Cl. Ber-nard a donné le confirmation (
Leçons
, etc., 1, p. 267) que toute irritation vive des n
en général et dans celle des vieil-lards en particulier (1). 1. Ces
leçons
, recueillies par M. le Dr A. Jokkroy, ont paru da
Essai sur le rhumatisme ; thèse soutenue en 1813. — Chomel et Requin.
Leçons
de clinique médicale, t. II, 1837. — Bouillaud. N
nt nous rapportons nous-mêmes un exemple. Le docteur Todd, dans ses
Leçons
sur quelques mala-dies des organes urinaires (1),
eur Barlow. Enfin, parmi les observations que renferme le recueil des
leçons
faites par le docteur Todd, en 1843, au Collège d
umatisme génital, voici en quelques mots ce que j'ai exposé, dans mes
leçons
à la Salpêtrière, en m'appuyant sur vos observati
la goutte et des maladies goutteuses. Paris, 1820, p. 110. — Gendrin,
Leçons
cli-niques sur la goutte,dans Revue de thérapeuti
, Unter-such, zur Pathologie. Heidelberg, 1843, § I, p. 17. — Brodie,
Leçons
sur les maladies des organes urinaires, traduites
docteur Barlow. — Parmi les observations que renferme le recueil des
leçons
faites par le docteur Todd, en 1813, au col-lège
ée chez un individu atteint de paralysie saturnine se trouve dans les
leçons
cliniques du même auteur, sur les maladies du sys
e autres, un fait inté-ressant rapporté par le docteur Todd, dans ses
Leçons
cliniques sur les maladies des voies urinaires (l
point de diagnostic a été discuté avec soin par M. Brinton, dans ses
Leçons
sur les maladies de Vestomac (The diseases of the
es cas a été reproduit avec quelques détails complémentaires dans les
leçons
cliniques du docteur Todd {Clinical lectures on
re aigu. Un fait du même genre avait été mentionné par Todd, dans ses
leçons
sur la goutte et le rhu-matisme (London, 1843, p.
d'une affection organique du cœur. — Il y a quelques années, dans une
leçon
clinique (Gazette des hôpitaux, 19 juillet 1864),
res, à cet égard, la thèse de M. Contour (Paris, 1844, p. 49), et les
leçons
de M. Claude Ber-nard pour 1855. « Nous devons sa
s savoir reconnaître », dit l'émi-nent physiologiste, dans une de ses
leçons
, « ce qu'on pourrait appeler des diabètes alterna
ocl in volatilibus actu lilo instructo post anum profonde ex 1. Ces
leçons
forment la première partie de ce volume. » una
us le tremblement est prononcé, plus nombreux sont les crochets. 2.
Leçon
résumée par Bourneville et publiée dans le Progrè
lards. Après avoir décrit la chorée rhythmigue hystérique, dans une
leçon
que nous avons rapportée tout au long (1), M.Char
moins, en rien d'essentiel. Tout ce qu'il est possible de 1. Cette
leçon
fait partie du premier volume des Œuvres complète
qu'il y a entre la chorée vulgaire et le tremblement sénile (1). 1.
Leçon
résumée par Bourneville et publiée dans le Progrè
s et les modernes......................................... PREMIÈRE
LEÇON
caractères généraux de la pathologie senile.
culier qu'elle imprime à la plupart des maladies........ 1 DEUXIÈME
LEÇON
de l'état fébrile chez les vieillards. Défaut
-baisse au lieu de s'élever........................... 19 TROISIÈME
LEÇON
. du rhumatisme noueux et de la goutte. — hémat
accès : dans la goutte chronique...................... oi QUATRIÈME
LEÇON
axatomie pathologique de la goutte. Altératio
s principaux où des tophus peuvent se former.......... 54 CINQUIÈME
LEÇON
anatomie pathologique de la goutte viscérale.
ences de la ligature des uretères chez les animaux...... 64 SIXIÈME
LEÇON
sémèiologie de la goutte. — diathèse urique. —
m-blée. — Evolution des tophus.........•............... 73 SEPTIÈME
LEÇON
symptomatologie de la goutte viscérale. Prédi
ires qui se rattachent à la goutte..................... 87 HUITIÈME
LEÇON
AFFECTIONS CONCOMITANTES DE LA GOUTTE. Accide
a goutte pf le rhumatisme............................. 110 NEUVIÈME
LEÇON
ÉTIOLOGIE DE LA GOUTTE. Etude des conditions
— Des bières anglaises.............................. 12? DIXIÈME
LEÇON
pathologie de la goutte. Théorie rationnelle
actuelles sous ce rapport.............................. 152 ONZIÈME
LEÇON
du rhumatisme articulaire chronique et de ses l
plus souvent polyarticulaire.......... 180 anatomiques. DOUZIÈME
LEÇON
TREIZIÈME LEÇON du rhumatisme articulaire aig
articulaire.......... 180 anatomiques. DOUZIÈME LEÇON TREIZIÈME
LEÇON
du rhumatisme articulaire aigu, considéré spéci
ologique du rhumatisme articulaire aigu et subaigu. 194 QUATORZIÈME
LEÇON
des affections viscérales dans le rhumatisme ar
prurigo, lichen, etc., etc..........• ............... 208 QUINZIÈME
LEÇON
symptomatologie du rhumatisme articulaire chron
omatologie du rhumatisme articulaire chronique progressif. SEIZIÈME
LEÇON
symptomatologie du rhumatisme chronique partiel
a goutte. . . ,..................,.................248 DIX-SEPTIÈME
LEÇON
étiologie du rhumatisme articulaire. Causes p
tain degré de parenté............................. 257 DIX-HUITIÈME
LEÇON
traitement de la goutte et du rhumatisme articu
Thermométrie clinique dans les maladies des vieillards. PREMIÈRE
LEÇON
de L'IMPORTANCE DE LA THERMOMÉTRIE chez LES VIE
issement de la température.............. . ............293 DEUXIÈME
LEÇON
DE l'IMPORTANCE DE la THERMOMÉTRIE dans LA CLIN
IQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX M. le Professeur CHARCOT
Leçons
du Professeur, Mémoires, Notes et Observations
presque entièrement libres d'accidents nerveux, à part une lé- (1)
Leçon
du 12 mai 1891. —Recueillie par MM. Souques et J.
our mon propre compte et j'en ai autrefois rapporté deux cas dans mes
leçons
(8). Quand on considère la tuberculose de l'enc
Bulletins de la Société anatomique, 1890, p. 339. , (8) Charcot. —
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. II, p. 37
r une fort belle observation publiée par M. Rendu dans son recueil de
leçons
cliniques (1). Deux monoplégies crurales, vous
ux côtés, et c'est avec une grande satisfaction que l'on peut lire la
leçon
dans laquelle M. Rendu, avee une bonne foi et une
la lésion encéphalique qui a déterminé l'issue fatale. (I) Rendu. —
Leçons
de clinique médicale. — Tome II,p.4Q0, Paris, 189
tre maître a bien souvent, depuis plusieurs années, montrées dans ses
leçons
cliniques au point de vue des phénomènes du grand
la suite survinrent des maux de tête et des douleurs (1) Charcot. —
Leçons
du Mardi, t. II, p. 3*26. (2) Ségal. — Des hall
être. Déjà, avant nos recherches, M. le professeur Charcot dans une
leçon
clinique avait montré qu'en s'adressant au sens d
ificiellement. Aussi, M. le Pr Charcot vient-il, dans une remarquable
leçon
, dont nous nous inspirerons ici, de tenter la cla
if que nous allons nous placer. (1) Revue par M. Blocq, d'après les
leçons
de M. Charcot. Extrait de la Gazette hebd. de méd
à terreur, sautait par (1) Il est question do cotto malade dans les
Leçons
du Mardi, 1887-1888, p. 167,1" édition. la fenê
ieux exemples, et auxquels M. Charcot (3) a consacré plusieurs de ses
leçons
. Leur diagnostic est souvent des plus embarrass
t. — Les maladies de la mémoire, p. 54, Paris, 1886. (3) Charcot. —
Leçons
du Mardi, 1887-1888, p. 165; 1888-1889, p. 303.
e son état, se rappelle avoir fait la troisième de ses courses^ (1)
Leçons
du Mardi, 1887-1888, p. 155; 1888-1889, p. 303.
n'est pas là une simple vue de l'esprit, car, au cours de cette même
leçon
, dont nous reproduisons l'expression, M. Charcot
uinon. — Travail publié dans le Progrès médical, 1891. (2) Charcot.—
Leçons
sur lesmaladies du système nerveux, 1S80, t. I, p
eurs plus loin sur ce point. (3) Charcot. — Tribune médicale, 1885,
leçon
publiée par Bl. Edwards, — Marie et Souza-Leite.
s et en particulier sur la forme délirante de l'attaque (1). Dans ses
leçons
cliniques, M. Charcot avait fait remarquer mainte
s doivent être, dans ce groupe, considérées comme des pro- (1) Voir
Leçons
du Mardi, t. I et II, et plus haut, n° XXVII. t
ux, tenir une place prépondérante dans l'attaque d'hystérie. Dans une
leçon
publiée en 1884 (1), il rapportait l'histoire d'u
ait les portes. L'autre se levait, fuyait, criant au voleur. Dans les
Leçons
du Mardi, M. Oharcot cite encore d'autres cas de
s. Il grimpait après le bras de son médecin, le pre- (1) Charcot. —
Leçons
sur les maladies du système nerveux. t. III, p. 2
maladies du système nerveux. t. III, p. 232 et suiv. (2) Charcot. —
Leçons
du Mardi, t. I, p. 199. ¦ nant pour une corde à
e les exemples que nous en donnerons plus loin, on en trouve dans les
leçons
de M. le Pr Gharcot un cas absolument typique. Le
grenues et folles peut (1) Charcot. — Des tremblements hystériques,
leçon
recueillie par Georges Guinon (Progrès Médical, 1
hypnogènes ; des attaques de sommeil. Bordeaux 1885. |3) Charcot. —
Leçons
du Mardi, t. II, p 326. Nous avons publié dans
e 1890. Ses idées sur ce sujet furent exposées par lui dans plusieurs
leçons
cliniques de cette même année. C'est en nous insp
leçons cliniques de cette même année. C'est en nous inspirant de ces
leçons
et de tout l'enseignement de notre maître éminent
meil dure des mois entiers. M. Charcot en a montré plusieurs dans ses
leçons
; M. Gilles de la Tourette en a rapporté des exem
., 1888, t. XV, p. 93 et 266). (2) Charcot. — (Tribune méd., 4885).
Leçon
publiée par Edwards. — Marie et Souza-Leite. (Pro
ans sa façon de réagir tant en paroles qu'en actions à (1) Pitres. —
Leçons
cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme, 1891, I
nnalité (2). Messieurs, \ La malade qui va faire l'objet de notre
leçon
d'aujourd'hui vit à la Salpêtriere depuis dix ans
n effet, dans quels termes j'en parle dans le troisième volume de mes
leçons
(3) : « Il est des sujets, et peut être sont-il
e » appliqué à des cas où le sujet semble parfaitement éveillé. p2)
Leçon
ilù t décembre 1890, recueillie par M. Blocq. Voi
question est traitée dans tous ses détails. (G. G.). (3) Charcot.—
Leçons
sur les Maladies du système nerveux, t. III, p. 3
a suggestiblité ainsi développée chez vous, vous faire entendre cette
leçon
, qui, en conséquence, serait acceptée sans réserv
servations nouvelles, des idées exposées par M. le Pr Charcot dans la
leçon
précédente (n° XXIX). (G. G.). (2) Georges Guin
alades ont été présentées à diverses reprises par M. Oharcot dans ses
leçons
cliniques (1) et c'est d'après son enseignement e
né, est mort à l'asile de Vaucluse. (1) Voir plus haut (n° XXIX) la
leçon
de Charcot : Du vigi-lambulisme hystérique (dédou
ussi (n° XXVII) : Des somnambulismes. Revue par M. Blocq, d'après les
leçons
de M. le Professeur Charcot. Je ne dis rien ici
our) à une (1) L'observation de cette malade a été publiée dans une
leçon
de M. Charcot sur l'œdème bleu hystérique. V. t.
nd cas de vigi-lambulisme. Son observation se trouve résumée dans une
leçon
de M. Oharcot publiée antérieurement (1). B est,
époque et qui ont été décrits plusieurs fois par M. Charcot dans ses
leçons
cliniques (1) et ont fait l'objet d'un travail de
s le service. A cette époque (1885), M. Charcot, après ses mémorables
leçons
sur l'hystérie mâle et le rôle du traumatisme dan
s un état anormal que M. Charcot caractérisait en ces termes dans les
leçons
délivrées sur ce sujet (3) : Il est des gens qu
, les attaques (1) Charcot. — Etat de mal hystérique épileptiforme.
Leçon
recueillie par B Edwards (Trib. méd., 1885) etLez
rie et Souza-Leite. — Progr. mèd., 16 décembre 1884. (3) Charcot. —
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. III, p. 3
eu sa présence dans la salle des cours, un jour qu'il assistait à une
leçon
de M. Charcot relative à Marie H... A la Salpêt
tracture somnambulique, suggestibilité. Le passage plus haut cité des
leçons
de M. Charcot montre l'existence déjà ancienne de
attendu qui se produisit un jour dans la salle des cours, pendant une
leçon
à laquelle assistait M. le Pr Proust. Marie II.
se prend pas non plus pour un autre individu ignorant (1) Pitres. —
Leçons
cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme. Paris,
s caractéristiques de cette névrose. * M. le Pr Charcot, dans ses
leçons
, a émis l'idée que cet état vigilambulique chez d
sieurs, L'étude clinique à laquelle nous allons nous livrer dans la
leçon
d'aujourd'hui pourrait être intitulée : Sur un ca
t la tranquillité. Entourée de son mari et de ses deux enfants, (1)
Leçon
du 22 décembre 1891, recueillie par M. A. Souques
térograde (31 août-22 décembre)....... E _J_22 décembre (jour de la
leçon
). elle vivait en bonne mère de famille, simplem
n d'amnésie rétro-antérograde que je vous proposais au début de cette
leçon
. Si j'ai ajouté: vraisemblablement d'origine et d
z son médecin, à C..., sur ce tableau de Brouilhet qui représente Une
leçon
à Isl Salpêtrière, et elle l'a vu très souvent. A
cette courte note, destinée à montrer les progrès réalisés depuis la
leçon
précédente, lesquels sont bien en rapport avec le
pas sur ce sujet que M. Janet a traité d'une façon spéciale dans une
leçon
faite à la Salpétrière, avec quelques mots en par
reste les appuyer sur une série d'observations cliniques. Dans une
leçon
récente \ notre maître, M. le professeur Charcot,
1) Voyez t. I, p. 257, n° XIII, Sur un cas de paraplégie diabétique. (
Leçon
de M. le professeur Charcot publiée antérieuremen
ancolie. (1) Ce tableau est celui du malade qui fait le sujet de la
leçon
déjà citée de M. Charcot sur la paraplégie diabét
pique, permet de faire le diagnostic à distance. M. Charcot, dans une
leçon
déjà citée sur un cas de paraplégie diabétique, e
ejerine, avec pseudo-hypertrophie de certains muscles (1). Dans une
leçon
publiée en mars 1885, M. le P1 Charcot, par l'étu
cot. — Revision nosographique des atrophies musculaires progressives (
Leçon
recueillie par Pierre Marie et Georges Guinon. —P
lie par Pierre Marie et Georges Guinon. —Progr. méd., 7 mars 1885) et
Leçons
sur les Maladies du système nerveux, tome IIL (
qui ont été fournis en faveur de cette idée, renvoyant pour cela à la
leçon
de M. Charcot et à notre travail précédemment cit
Voir à ce sujet : Charcot. Clinique des maladies du système nerveux;
leçons
du professeur, mémoires, notes et être très gra
r lequel nous avons entendu plusieurs fois M. le Pr Charcot, dans ses
leçons
cliniques, attirer l'attention. C'est la sensatio
us récemment encore, M. le Pr Charcot a plusieurs fois parlé dans ses
leçons
, à propos des auras épileptiques qu'il appelle ab
nt la plupart du temps les malades intéressants qui font le sujet des
leçons
cliniques de M. Charcot, une fois qu'il les a adm
ce sujet la préface de M. Babinski, qui précède le premier volume des
Leçons
du Mardi de M. le Pr Charcot. breux éléments de
in nombre de malades qui lui fourniront une partie des éléments de sa
leçon
du jour. Une fois la leçon finie, vient le tour d
i fourniront une partie des éléments de sa leçon du jour. Une fois la
leçon
finie, vient le tour du chef de clinique, qui, ai
ice. M. le Pr Charcot insiste souvent sur ces considérations dans ses
leçons
cliniques (1) et je suis heureux de pouvoir appor
vantes. par plusieurs auteurs et M. Charcot y fait allusion dans la
leçon
publiée au début de ce volume (n° XXIV). Parmi
ire que les muscles d'expiration et (1) Cet appendice comprend deux
leçons
, délivrées en 1886, qui ont été omises par erreur
. L'autre a été publiée dans le Bulletin médical (25 mai 1887). (2)
Leçon
du 22 mars 1886. d'inspiration entrent égalemen
rnisme et l'alcoolisme, — je dirai même qu'elles s'y présentent (I)
Leçon
recueillie par le D1' J. Babinski. assez fréque
. . 36 XXVII. Des somnambulismes. (Revue de M. Blocq, d'après les
leçons
de M. le PrCharcot). 56 xxviii. Documents pou
ambulisme hystérique (dédoublement hystérique de la personnalité). (
Leçon
)..................- • 168 xxx. Documents pour
cas d'amnésie rétro-antérograde probablement d'origine hystérique. (
Leçon
). Sommaire. — Présentation de la malade : shock
les tiqueurs et dans quelques autres maladies des centres nerveux. (
Leçon
). . . . . ,............. 443 II. Hémianesthés
443 II. Hémianesthésie hystérique et hémianesthésies toxiques. (
Leçon
)................*.% 460 TABLE ANALYTIQUE A
GIE RÉSECTION DE l/ÉPAULE, PAR LE PROFESSEUR RICIIET (Extrait d'une
leçon
clinique sténographiée) Voici l'histoire du mal
e les tumeurs assez volu¬mineuses. F.a Rédaction. BIBLIOGRAPHIE
Leçons
cliniques sur les maladies des vieillards et les
e remarquables publications ont justement acquise à M. Charcot. Les
Leçons
de 1866 ont été recueillies par M. B. Bail. Elles
l était son but en instituant son cours, M. Charcot, dans sa première
leçon
, a rappelé l'organisation de la Salpêtrière, énum
e nos organes. Relever tous les détails originaux qui donnent à cette
leçon
un puissant intérêt nous est impossible. Nous cit
qu'on peut tirer de la thermométrie dans la clinique des vieillards (
leçon
II, p. 23). Onze tracés de température observés
scérales, etc.). Les propositions suivantes ré¬sument, en partie, les
leçons
, dont nous venons d'indiquer l'objet : Io l'incru
rocédés rigoureux d'exposition et de critique dans les huit dernières
leçons
, consacrées aux diverses 1 En revanche, la gout
urer dans nos ouvrages classiques. Pour donner une idée exacte de ces
leçons
, ce n'est pas quelques pages qu'il faudrait, mais
ladie, l'étiologie du rhumatisme; enfin, il expose, dans une dernière
leçon
, le traite¬ment de la goutte, et celui du rhumati
parfaitement examinée. Ajoutons en terminant que la ré¬daction de ces
leçons
est claire, précise, telle enfin que l'on était e
IE RÉSECTION DE L'ÉPAULE, PAR LE PROFESSEUR RICHET (Extrait d'une
Leçon
clinique sténographiée) — suite - Quand on es
nombre de résections de l'épaule, suivant le procédé dé¬crit dans la
leçon
sténographiée que nous venons de reproduire. Les
de tout point comparables aux anévrysmes miliaires. BIBLIOGRAPHIE
Leçons
cliniques sur les maladies du cœur, par M. Bucquo
ur, M. Buc¬quoy l'a rempli consciencieusement ; ce n'est pas dans ces
Leçons
qu'il faut chercher des aperçus nouveaux, des thé
ntention n'est point de nous étendre longuement sur le contenu de ces
leçons
. Dans ces cas, en effet, une analyse ne peut être
cipaux et de faire ressortir l'idée qui a présidé à l'œuvre. Dans ces
leçons
, l'auteur a élucidé les principales maladies du c
nte et avec un caractère évident de chronicité. Après avoir présenté (
Leçon
Ire) quelques considérations préliminaires aussi
s considérations préliminaires aussi courtes que possible, il aborde (
Leçon
II) le rétrécissement et l'insuffisance de l'orif
ions nécessaires, comme des lésions compensatrices. Dans la troisième
Leçon
, M. Bucquoy expose l'histoire du rétrécissement e
ent, dans les dernières, l'hypertrophie compensatrice. La quatrième
Leçon
comprend l'insuffisance de l'orifice auriculo-ven
à y relever, et nous préférons insister sur la cinquième et dernière
Leçon
, celle où l'auteur établit un parallèle entre les
us dirons que l'auteur a toujours été très-clair dans le cours de ses
Leçons
et qu'il a épuisé, à propos de chaque maladie, la
pus qui s'écoula par 1 Nous publions en même temps un extrait d'une
leçon
clinique laite par 1, Tillaux sur ce malade. un
ÉFORMATIONS CONSÉCUTIVES PAR BOURNEVILLE Plusieurs fois, dans ses
leçons
cliniques à l'hôpital Saint-Louis, M. Hardy a mon
neurs de quatre éditions successives. Ce traité forme trente et une
leçons
qui résument l'enseignement otologique fait à l'u
t surtout mis en relief avec un soin particulier. Avec la quatrième
leçon
, commence l'étude des maladies de l'o¬reille exte
e qui ne devient facile qu'après un long et patient exercice. » Les
leçons
consacrées aux sécrétions du conduit auditif, aux
es de nouvelles tentatives avec la curette1. » Signalons encore les
leçons
huitième, neuvième et dixième consa¬crées à l'oti
sommes forcés de la passer sous silence pour nous occuper surtout des
leçons
qui ont trait à la clinique, et à la thérapeutiqu
clinique, et à la thérapeutique. Le cathétérisme de la trompe (14'ue
leçon
) doit être connu parfaitement; seul, en effet, à
astique deToynbee, appelé otoscope ; c'est encore l'emploi du ma- 1
Leçons
sur les maladies chirurgicales des enfants, recue
u, catar¬rhe chronique, catarrhe purulent) n'occupe pas moins de huit
leçons
; c'est dire que rien de ce qui concerne cette aff
hée, ni à une affection quelconque du conduit auditif externe. Deux
leçons
sur les suppurations de l'oreille (25me el 26me l
xterne. Deux leçons sur les suppurations de l'oreille (25me el 26me
leçons
), une sur les polypes (27ше leçon), trois sur la
rations de l'oreille (25me el 26me leçons), une sur les polypes (27ше
leçon
), trois sur la surdité nerveuse et la surdi-mutit
dité nerveuse et la surdi-mutité (28me, 29mfi, et50llie),et enfin une
leçon
sur l'examen des malades et l'examen de l'oreille
e¬ment du tétanos. — La fin au prochain numéro. — BIBLIOGRAPHIE
Leçons
sur le traitement des maladies chroniques en géné
une époque déjà ancienne, M. Bazin fait, à l'hôpital Saint-Louis, des
leçons
suivies par un auditoire choisi. Ces leçons ont é
'hôpital Saint-Louis, des leçons suivies par un auditoire choisi. Ces
leçons
ont été réunies en volumes et publiées par ses in
, des richesses cliniques d'un grand prix, des aperçus originaux. Les
leçons
sur les affections génériques delà peau (1862, 18
beur assidu, deux ans sont à peine écoulés depuis l'apparition de ses
leçons
sur les affections cutanées de nature arthritique
, que M. Bazin, désireux de com¬pléter son œuvre, livre au public ses
Leçons
sur le traitement des affections de la peau par l
s, de l'hy¬drothérapie, etc. C'est en quelque sorte la conclusion des
leçons
précédentes. Comme les premiers ouvrages de l'aut
, interne et collaborateur distingué de M. Bazin. Dans la troisième
leçon
, le savant dermalologiste traite des bains de mer
névroses : par¬tage égal entre l'hydrothérapie et l'hydrologie. Les
leçons
suivantes ont pour but de démontrer la spécificit
estion dans tout cela des eaux sulfureuses. C'est que précisément les
leçons
sur le traitement des affections de la peau ont p
essaire pour amener des résultats vraiment satisfaisants... » Dans la
leçon
sur l'herpc-tis, après avoir rappelé tout l'avant
E LA MOELLE ET DU CERVEAU, par bourneville. Dans ses remarquables
Leçons
cliniques faites l'année dernière à l'hospice de
membranes, etc. Enfin, ainsi que M. Giraldès le fit remarquer dans sa
leçon
clinique, les enfants n'ont pas la coquetterie de
ques dans l'ataxie loco¬motrice progressive, thèses, 1866; — Charcot,
Leçons
cliniques (1868 et 1870); — P. Dubois, Étude sur
Bec-de-lièvre bilatéral compliqué, par Duplay, 169. Bibliographie.
Leçons
cliniques sur les maladies des vieillards, etc.,
iques sur les maladies des vieillards, etc., par J.-M. Charcot, 20. —
Leçons
cliniques sur les maladies du cœur, par Buc¬quoy
nes aiguës ou chroniques, etc., par Moura (anal. G. Peltier), 1(37. —
Leçons
sur le traitement des mala¬dies chroniques en gén
formité con¬sidérable, par Sueur, 98. Richet, 1, 27. Scapulalgie (
Leçon
du professeur Richet sur la), 1, 27. Sclérose d
comprend : 1° le traitement du gâtisme, exposé précédemment ; 2° les
leçons
de toi-lette qui consistent à apprendre aux enfan
s'habiller, se déshabiller, brosser, ranger leurs vêtements ; 3° les
leçons
de table qui consistent à leur enseigner à manger
lphabet du dessin de MmB Bru, comme préparation à l'écriture ; 6° les
leçons
de choses, soit à l'école, soit dans les jardins
ont nous nous servons (1). Aussitôt que possible, dès les premières
leçons
, nous recou-rons aux exemples (papa, ami, etc.) ;
qu'on était en droit de l'espérer. Belth... écoute attentivement les
leçons
qui sont faites, demande des explications quand i
'une façon satisfaisante aux petits questionnaires qui suivent chaque
leçon
de géographie. Bon caractère : enfant poli et doc
une phrase. Il apprend bien les résumés d'histoire qui suivent chaque
leçon
et répond d'une façon suffisante aux petites ques
ication .dans les devoirs écrits. Il apprend souvent quelques petites
leçons
. Enfant docile et attentif. — Amélio-ration notab
dans les devoirs qui sont toujours bien faits. Apprend et récite des
leçons
et des petites fables. Docile et attentif en clas
e Bonnet comprise, et un nombre égal de la grande école ont suivi les
leçons
de chant. En maintes circonstances et les samedis
e musicale. — Vingt-cinq enfants de la petite école ont pris part aux
leçons
do solfège etsur ce nom- 10 enfants savent à pe
de musique aux enfants, Voici quelques noms d'enfants ayant suivi les
leçons
de solfège. Rob... Lecture très bonne, fait par
fants montrent un goût réel et un véritable empressement à suivre les
leçons
de dessin, nous ne doutons pas de les voir arrive
colaire. — Ce musée continue à servir aux séa?ices de projection, aux
leçons
de choses et de salle (1) Un massage des membre
de salle (1) Un massage des membres paralysés est exécuté avant la
leçon
de gymnastique. Bourneville, Bicèire, 1904 ***
quoi les instituteurs et les institutrices ne multiplient-ils pas les
leçons
de choses ? Pourquoi, ainsi que nous l'avons prop
ueux, ne portent aucun intérêt aux enfants, il y aurait matière à des
leçons
de choses. En tout cas, ces courses sont une dist
menades, les instituteurs et les insti- tutrices doivent donner des
leçons
de choses et exer-cer les enfants aux différents
enseigner aux élèves des écoles à donner les douches. En faisant ces
leçons
de douches, aux doucheurs, aux infirmiers et infi
idiennement et en nous aidant avec beaucoup de bonne volonté pour les
leçons
de douches. Au nombre des améliorations citons
astique, de danse et parfois le maître d'es-crime, dont les heures de
leçon
ne coïncident pas avec l'heure de notre visite. E
tre service, et, en présence d'une partie de notre personnel, fit une
leçon
sur la dépilalion- (2) A la fin do l'année l'enfa
te, soit sous noire surveillance, soit sous celle de nos internes aux
leçons
d'cpilation, du cuir chevelu; — 1 pour insolati
, apprend la grammaire, récite des fables et s'intéresse beaucoup aux
leçons
de choses. Quant au calcul, elle a plus de diffic
de récapitulation sur les 4 règles. Elle fait bien une rédaction, les
leçons
de choses l'intéressent vivement. Il y a chez ell
André Van Kerberghen et de la surveillante M'"° Athénaïs Bohain. Les
leçons
de M. Van Kerberghen ont lieu une fois par semain
n delà population, il serait nécessaire que le professeur donnât deux
leçons
par semaine. L'Administration départementale et l
l'Assistance publique, dont nous attendons toujours la réponse. Les
leçons
de choses, multipliées le plus possible, ont lieu
mme ces jeunes élèves montrent un véritable empressement h suivre les
leçons
de dessin nous ne cloutons pas de les voir arrive
aris. Le nombre dos enfants qui prennent part à ces prome-nades, avec
leçons
de choses, varie de 60 à 80. Distractions. Coéd
s douches afin do nous assurer que l'on continue à se conformer à nos
leçons
. Quant aux autres moyens de traitement, ils ont é
les mêmes que dans notre section de Bicêtre. Signalons surtout les
leçons
de choses, soit en classe, soit clans les jardins
de tous genres, des mouvements surtout, danse, chant, promenades avec
leçons
de choses. Il conviendra à la Commission de les p
douches; les jardins et le musée scolaire avec tout leur matériel de
leçons
de choses, le musée pathologique, avec sa merveil
able et aimée de l'infirmière, de la surveillante, de la maîtresse de
leçons
de choses, a une valeur qu'il serait puéril de vo
élevés au milieu de camarades comme eux, recevant des plus avancés la
leçon
inconsciente de l'exemple sont plus favorisés que
l'amusant aux mystères de la lecture et, de la numération écrite. Les
leçons
de choses dans les classes, (I) L'ouverture de
ions pratiques lorsqu'ils devront pourvoir à leurs besoins. Aussi les
leçons
de choses sont elles partie importante du program
de la méthode médico-pédagogique, nous donne toute satisfaction. Les
leçons
prises par nos infirmières et par nos surveillant
re de petits travaux de dames. Elles viennent à Cler-mont prendre des
leçons
de repassage. Chez les garçons, que les infirmier
e, l'enseigne-ment comprend, en ce moment, lecture, écriture, calcul,
leçons
de choses, petite gymnastique des membres, danse.
de la méthode médico-pédagogique, nous donne toute satisfaction. Les
leçons
prises par nos infirmières et par nos surveillant
ions pratiques lorsqu'ils devront pourvoir à leurs besoins. Aussi les
leçons
de choses sont elles partie importante du program
ues de gymnastique médicale pour développer leur état physique et des
leçons
susceptibles de développer dans la limite du poss
En ce moment, Bar.. est un peu mieux. Il répond assez bien ; à chaque
leçon
de lecture il syllabe avec les autres, mais très
la mesure du possible, des exercices de gymnastique, du massage, des
leçons
de toilette, d'habillement, des exercices de la p
enfants sont ramenés à la consultation ou sur rendez-vous spécial, la
leçon
est refaite à la mère et à l'enfant. Cette démons
l'atten-tion du public. Rappelons les visites du samedi, véritables
leçons
cliniques dans lesquelles M. Bourncville, après a
ourir la même voie. EXEMPLES DE PHOBIES PROFESSIONNELLES Dans ses
leçons
, M. le professeur Grasset montre que les phobies
rave, elle était en même temps doucement suggestive. C'est dans ses
leçons
cliniques que Falret a développé ses idées sur la
aujourd'hui a conquis principalement sa fortune scientifique par les
leçons
cliniques qu'il a faites à la Salpé-trière sur le
travailleur ayant le feu sacré. 11 a consacre une bonne partie de ses
leçons
à la description de la folie à double forme ; il
le nom de mélancolie avec stupeur qu'il donnait à cet état, dans ses
leçons
, lui est resté. Les leçons de Baillarger étaien
upeur qu'il donnait à cet état, dans ses leçons, lui est resté. Les
leçons
de Baillarger étaient très intéressantes par la v
y assister et sont exercés à la pratique de la psychothérapie. Les
leçons
pratiques reprendront à partir du 1er octobre.
Pouchet, décédé. Le programme de notre confrère comprend une série de
leçons
sur la psychologie et l'hypnotisme. Congrès des
anthropologie criminelle de Bruxelles. Dans ses communications et ses
leçons
sur le cerveau, il s'était montré psychologue de
à y assiter et sont exercés à la pratique de la psychothérapie. Les
leçons
pratiques sont reprises à partir du 1er octobre.
10 h. i/2, à sa clinique, 49, rue Saint-André-des-Arts, une série de
leçons
sur les applications de l'hypnotisme à la neuropa
nt le semestre d'hiver, un cours clinique de pathologie nerveuse. Les
leçons
ont lieu, le dimanche, à 10 heures (M. G. Ballet,
ration des accidents hystériques, par M. le professeur A. Pitres.
Leçon
du 9 juillet 1894, recueillie par M. E. Vénot, in
F. Lawtok. COURS ET CONFÉRENCES L'œuvre du professeur Charcot.
Leçon
d'ouverture de m. le professeur Raymond, à la Sal
devant un auditoire aussi brillant que nombreux, avide d'entendre la
leçon
d'ouverture du nouveau professeur. Le savant ti
la voie de l'enseignement. Cet enseignement comprenait d'abord des
leçons
de choses, c'est-à-dire la figuration vivante des
thologie sénile ; c'est seulement un peu plus tard qu'il commença ses
leçons
sur le système nerveux. L'enseignement inauguré
consacrer un temps relativement considérable à la préparation de ses
leçons
, alors même qu'il avait à exposer des sujets dont
sujets dont il était imbu; parfois il se donnait la peine d'écrire sa
leçon
en entier de sa propre main. La leçon, une fois é
se donnait la peine d'écrire sa leçon en entier de sa propre main. La
leçon
, une fois écrite, Charcot se gardait bien de la l
pénétrant. Son enseignement ne s'adressait pas qu'aux oreilles. Ses
leçons
didactiques étaient surtout des leçons de choses.
ssait pas qu'aux oreilles. Ses leçons didactiques étaient surtout des
leçons
de choses. Voulait-il, lors de la description d'u
s publics d'aliénés, fait, tous les jeudis à dix heures et demie, des
leçons
sur les applications cliniques et pédagogiques de
t, à l'abri de leur titre de professeur rétribué par l'Etat, moins de
leçons
que de clientèle. A quoi bon s'échauffer dans une
le temps nécessaire pour suivre, tant en France qu'à l'étranger, les
leçons
des maîtres les plus éminents. Si nous restons
xemple de Charcot est des plus caractéristiques, car, dans sa récente
leçon
d'inauguration, M. le professeur Raymond ne pouva
les actes de nos administra teura. (I) Parmi les médecins dont les
leçons
ont fait le plus grand honneur & l'enseigneme
ations répétées d'un millier d'étudiants et de médecins accourus à sa
leçon
d'inauguration pour le soutenir de leurs applaudi
ie, l'un par ses recherches sur les somnambulismes, l'autre par ses
leçons
sur Phypnotisme. Pendant longtemps renseignemen
rraient-ils se livrer à des recherches personnelles et préparer leurs
leçons
? La situation des agrégés est encore plus pénible
de l'exposition parlée : cette épreuve peut et doit consister en une
leçon
publique sur un sujet choisi par le candidat lui-
conservation de l'énergie créatrice comme conclusion dernière de ses
leçons
de physique. Or, une série de phénomènes peut êtr
s publics d'aliénés, fait, tous les jeudis à dix heures et demie, des
leçons
sur les applications cliniques et pédagogiques de
éjerine, professeur agrégé, médecin de la Salpétrière, a commencé ses
leçons
cliniques sur les maladies nerveuses le jeudi 24
aller prendre l'orange. Il est vrai qu'il la fait suivre d'une petite
leçon
de morale. Mais comment le sujet a-t-il interprét
petite leçon de morale. Mais comment le sujet a-t-il interprété cette
leçon
? N'y a-t-il pas vu, comme nous, des phrases en l
ui, dans des accès de somnambulisme, apprennent en peu de temps leurs
leçons
et font admirablement leurs devoirs? J'ai racon
le trait d'un somnambule sur qui j'expérimentais pendant l'une de mes
leçons
. Voici le récit : « L'expérience que je vais ra
y a une distance incalculable. Que le somnambule puisse répéter une
leçon
apprise, c'est ce qui ressort d'une autre histoir
s publics d'aliénés, fait, tous les jeudis à dix heures et demie, des
leçons
sur les applications cliniques et pédagogiques de
oxique des alcools », avec le Dr Audigé en 1889. Et en 1878-1883, des
leçons
de clinique thérapeutique. Tous ces travaux lui
arer de l'humanité. COURS ET CONFÉRENCES Le professeur Charcot (
Leçon
d'ouverture du cours de pathologie interne, par l
sa famille étaient limités, qu'il avait dû, étant interne, donner des
leçons
et qu'il était fils de ses œuvres. Les obstacle
ur : loin de là, il avait une grande difficulté de parole. Il fit des
leçons
d'agrégation qui parurent médiocres, et cependant
maladies nerveuses à la Salpé- trière. Malgré le haut mérite de ses
leçons
sur les maladies du foie, du rein, du poumon, etc
ses leçons sur les maladies du foie, du rein, du poumon, etc..., ses
leçons
sur les maladies nerveuses ont surtout contribué
parlait sans aucune note. Cependant il n'improvisait pas, toutes ses
leçons
étaient écrites à l'avance, mais souvent il négli
op grande facilité et qu'il ait toujours été obligé de travailler ses
leçons
, elles sont restées dignes de lui jusqu'à la fin
ées ne sont en rien inférieures à celles qui les ont précédées. Ces
leçons
n'étaient pas seulement des exposés fidèles de l'
s de l'état des malades mêlés à des vues géniales, .elles étaient des
leçons
démonstratives. Les malades étaient présentés aux
mais s'il n'eût fait œuvre d'artiste en les écrivant, beaucoup de ses
leçons
perdraient de leur saveur. Ne négligez donc pas,
re de voir la jurisprudence, placée en présence des nécessités et des
leçons
de l'expérience et de la pratique, donner à une l
s publics d'aliénés, fait, tous les jeudis à dix heures et demie, des
leçons
sur les applications cliniques et pédagogiques de
séance suivante, je suggérai à l'enfant que, lorsqu'il étudierait sa
leçon
, chaque mot se graverait si profondément dans sa
s publics d'aliénés, fait, tous les jeudis à dix heures et demie, des
leçons
sur les applications cliniques et pédagogiques de
et les cotisations à M. Albert Colas, trésorier, 1, place Jussieu.
Leçon
d'ouverture du Dr Bérillon à l'Ecole pratique.
specteur-adjoint des asiles publics d'aliénés, a commencé la première
leçon
de son cours le 29 avril, en présence d'un audito
cent douze à la séance d'ouverture, était resté le même à la sixième
leçon
. Les dernières leçons seront consacrées à l'étu
d'ouverture, était resté le même à la sixième leçon. Les dernières
leçons
seront consacrées à l'étude de l'hypnotisme dans
e que bientôt la France suivra l'exemple de l'Etranger. Ensuite, la
leçon
d'inauguration a été faite par M. le Dr Bérillon.
te par M. le Dr Bérillon. Le professeur avait choisi pour sujet de la
leçon
l'éducation des enfants arriérés. Après avoir fai
aliénés, fera, à partir du 6 juin, tous les jeudis à cinq heures, des
leçons
pratiques sur les applications cliniques et pédag
e. Il le continuera les lundis et les vendredis, à cinq heures. Les
leçons
du vendredi 31 mai et du vendredi 7 juin seront c
son père, qui avait occupé une chaire à l'Université, et assista aux
leçons
du célèbre physiologiste Valentin. Ayant pris ses
ux de Charcot sur Us accidents traumatiques des hystériques. Dans ses
leçons
de 1884-1885, il fit une analyse restée justement
r Berliner klinische Wochenschrift, 1892, n° 34. (3) J. Grasset.— «
Leçons
sur rhystero-traumatisme », 1889. (4) Bastian.—
cas de vertige chez des hystériques, et Charcot avait conclu dans sa
leçon
que le vertige fréquent dans la neurasthénie est
son cours à l'Ecole pratique tous les jeudis à cinq heures, par des
leçons
pratiques sur les applications cliniques et pédag
imanche 9 juin, à 10 heures du matin (section Hambuteau). — Plusieurs
leçons
sont consacrées aux applications de l'hypnotisme
252. Introduction à la psychologie expérimentale, par Binet, 30.
Leçon
d'ouverture du Dr Bérillon à l'école pratique,
LEÇONS
CLINIQUES SUR LES MALADIES CHRONIQUES DE
. AVERTISSEMENT. Je réunis dans ce volume les trois années de mes
Leçons
cliniques, recueillies en 1855 par M. le docteur
médecins de leur collaboration active et éclairée. La suite de ces
Leçons
forme aujourd'hui une sorte de Traité pratique su
herches spéciales. J'ai puisé en grande partie les matériaux de ces
Leçons
clans un Mémoire très-étendu, encore inédit, que
1, au lieu de : « comme on l'a vu » , lisez : « comme on l'a cru ».
LEÇONS
CLINIQUES SUR LES MALADIES CHRONIQUES de L'
e, le muscle agit sur l'os, l'os est mis en mouvement. (1) Première
leçon
, 18 mai 1855. bouvier. 4 Ainsi, toute affecti
jet de nos réunions, je ne ferais plus de la clinique : ce serait une
leçon
de pathologie. Ce sont les faits particuliers qui
y a-t-il pas le plus souvent reproduction de l'os lui- (1) Deuxième
leçon
, 25 mai 1855. même? C'est que les tissus fibreu
aissent le plus ordinairement le début de l'affection (1) Troisième
leçon
, lpr juin 1855. vertébrale. Voici un enfant qui
arvenir jusque dans le scrotum et simuler une hernie. (1) Quatrième
leçon
, 8 juin 1855. On a vu le pus pénétrer dans le p
ériel, que ces reptiles; il n'y a pas, chez eux, sec- (1) Cinquième
leçon
, 15 juin 1855. tion de la moelle, mais une inte
urgien normand. Un traitement banal, disait Auguste Bérard dans une
leçon
clinique sur le mal vertébral, un traitement bana
t voir, en outre, que la guérison des cas où la maladie (1) Sixième
leçon
, 22 juin 1855. ne se complique pas de ces deux
Depuis, un cas analogue observé par Dupuytren a été consigné dans ses
leçons
orales : trois ans après la disparition du foyer
l des sujets, dans la douleur vive que cause le foyer. (1) Septième
leçon
, 29 juin 1855. D'un autre côté, il y a aussi i
uentes à gauche qu'à droite ; mais les faits présentés (1) Huitième
leçon
, 6 juillet 1855. par Rust ne sont pas encore as
ous-occipitale; mais il n'est pas toujours praticable. (1) Neuvième
leçon
, 13 juillet 1855. 6. IV. lésions nerveuses. —
cette méthode de Pott dont j'ai longuement parlé dans les précédentes
leçons
. J'ai encore à exprimer ici la même opinion contr
érieur, je vous ai parlé des luxations et des ankyloses (1) Dixième
leçon
, 20 juillet 1855. qui succèdent à ces lésions;
mation ; des faits de ce genre, très-curieux, sont consignés dans les
leçons
orales de Dupuytren. MM. Parise et Malgaigne nien
'ai nommée une syndesmose ; nous en trouvons un exemple (1) Onzième
leçon
, 27 juillet 1855. dans l'anatomie normale; l'os
ion de M. Malgaigne? Sur un seul fait que voici : Dupuytren, dans ses
leçons
, a décrit un cas de pseudarthrose coxo-fémorale d
et les membres abdominaux, et l'on compare la distance (1) Douzième
leçon
, 3 août 1855. 8. qui les sépare. Si le sujet
dont il avait examiné les articulations des hanches. (1) Treizième
leçon
, 10 août 1855. Diagnostic différentiel des luxa
ndi? L'enfant, malheureusement, n'habite pas Paris. (2) Quatorzième
leçon
, 17 août 1855. suites graves, je ne puis admett
l sera bon de fermer l'œil sain, afin de s'assurer de (1) Quinzième
leçon
, 24 août 1855. l'étal des contractions musculai
courbure des membres , et en particulier le pied bot. (I) Première
leçon
, 23 mai 1856. Pour nous, nous conserverons le v
du long péronier latéral. Je vous ai montré au commencement de cette
leçon
l'action qu'il fallait attribuer à ce muscle, qui
r caractères : une augmentation de la concavité du mi- (1) Deuxième
leçon
, 30 mai 1856. 12. lieu de la plante du pied,
qui n'empêcha point la marche jusqu'à l'âge de trente (1) Troisième
leçon
, 6 juin 1856. ans. Mais, depuis ce moment, les
pression l'atrophie de celte épiphyse cartilagineuse. (t) Quatrième
leçon
, 13 juin 1856. Quant au scaphoïde, je ne noiera
e muscles affectés; el'où la division des pieds bots, (1) Cinquième
leçon
, 20 juin 1856 proposée par RI. Bonnet (1), en p
is que la flexion est plus étendue que dans l'état nor- (1) Sixième
leçon
, 27 juin 1856. (2) W. J. Little, On the, etc.,
(1) Chirurgie clinique de Montpellier, t. Ier, 1823. (2) Septième
leçon
, 4 juillet 1856. et médio-tarsienne. Mais il f
Examinons, d'après ces données générales, les effets qu'on peut (1)
Leçons
orales de clinique chirurgicale, 1839, t. II, p.
; on la trouve en dehors, sous forme d'un petit tuber- (1) Huitième
leçon
, 11 juillet 1856. cule osseux. Celle du côté ga
hose bien désirable ; c'est ce qu'a fait la ténotomie. (I) Neuvième
leçon
, 18 juillet 1856. Il suffisait de savoir que le
de dix ans et demi, que je vous ai déjà présenté dans la cinquième
leçon
; il est atteint d'un pied équin creux, avec un lé
vé si elle avait été formée de fibres restées intactes. (2) Dixième
leçon
, 25 juillet 1856. tendons du pied, sauf quelque
oujours consécutive à une lésion du système musculaire. (1) Onzième
leçon
, 1er août 1856. L'autre est une lésion dynamiqu
l'a supposé. M. le professeur Trousseau, dans une de ces brillantes
leçons
que vous connaissez (1), a rappelé le vieux mot f
tachant, on enlève avec lui une lame fibroïde superfi- (1) Douzième
leçon
, 8 août 1856. (2) Mémoires de l'Académie des sc
ière variété, la ceinture osseuse tend à se resserrer (1) Treizième
leçon
, 16 août 1856. de haut en bas, ou clans le sens
produit le rachitisme dans le tissu osseux et dans (1) Quatorzième
leçon
, 22 août 1856. toutes les parties du squelette;
rturbation des fonctions respiratoires, diges* tives. (1) Quinzième
leçon
, 29 août 1856. (2) Loc. cit., cap. 21, p. 272;
IS (1). — Le pied bot et le rachitisme, qui ont fait l'objet de mes
leçons
de 1856, me conduisent assez naturellement à vous
sultant de la forme particulière des pièces du rachis. (1) Première
leçon
, 22 mai 1857. Dès le temps d'Hippocrate, on a d
'ai parlé de ces courbures, et j'en ai montré des exemples dans mes
leçons
sur le rachitisme (1). Déjà, en 1855 (2), j'avais
es observations, qu'il en soit ainsi. Comme je l'ai montré dans mes
leçons
de 1856 (3), la cyphose rachitique n'est d'abord
'immobilité des articulations. Gazette médicale, 1841. (3) Deuxième
leçon
, 29 mai 1857. convexité naturelle en avant, don
cervicale, produite par le mal sous-occipital. J'en ai parlé dans mes
leçons
de 1855. Je ne ferai également qu'indiquer la l
r une observation. C'est le nommé E. Goizet, dont j'ai parlé dans mes
leçons
de 1855 (1), et dans un mémoire sur l'absorption
connaissez, avec le renversement du bassin en avant, (1) Troisième
leçon
, 5 juin 1857. nécessaire à la conservation de l
e présentait dans la station (2). J'ai dit un mot de ce fait dans mes
leçons
de 1855 (3). Cette lordose ne diffère en rien d
ection distincte, le torticolis. J'en ai indiqué les espèces dans mes
leçons
de 1855 (1), et j'espère y revenir plus tard. J
un haut degré, qui constitue le plus (1) Planche 2. (2) Quatrième
leçon
, 12 juin 1857. BouviEn. 24 grand nombre des d
ns cette supposition, une scoliose par flexion précé- (1) Cinquième
leçon
, 19 juin 1857. (2) Anatom. descrip., 1846, t. I
jusqu'à la disparition complète du ligament interverté- (1) Sixième
leçon
, 26 juin 1857. (2) Voy. pl. 8. bral. Vous en
d'air, située entre les côtes et les corps vertébraux, (1) Huitième
leçon
, 10 juillet 1857. (2) Voy. les planches 10 et 1
coliose résulte (1) Du Rakitis. Paris, 1772, p. 178. (2) Neuvième
leçon
, 17 juillet 1857. d'une mollesse plus grande à
rbures de la scoliose varient en raison du mouvement de (1) Dixième
leçon
, 24 juillet 1857. ces articulations. C'est ce q
te courbure dorsale à convexité gauche. Ses viscères et (l) Onzième
leçon
, 31 juillet 1857. leurs fonctions nous offriron
mple, lorsque l'hérédité la rend inégale à droite et à (J) Douzième
leçon
, 7 août 1857. gauche dans une région de la colo
a proportionné à l'âge des sujets : trop gros, ils ne (1) Treizième
leçon
, 14 août 1857. (2) Medicin. Polizei. Manheim, 1
es heures de lever et d'exercice pour entretenir le (i) Quatorzième
leçon
, 21 août 1857. bon état des forces et de la nut
unes sur les autres. Un morceau de cuir semblable est (1) Quinzième
leçon
, 28 août 1857. quelquefois placé sur le côté, e
comprend : 1° le traitement du gâtisme, exposé précédemment; 2° les
leçons
de toi- lette qui consistent -CI apprendre aux
abiller, se déshabiller, ` brosser, ranger leurs vêlements ; 3° les
leçons
de table qui consistent à leur enseigner à mang
dessin de }\111l" l3ru, ensuite du Syllabaire Regimbeau ; 6° les
leçons
de choses, soit à l'école, soit dans les jardins
et se tient plus propre. Progrès à noter aussi sous le rapport des
leçons
de choses. Hou... (Charles), 8 ans. 7f ! toh'e,
quelques exercices de grammaire. Ecoulant avec intérêt toules les
leçons
orales, il est toujours le premier à répon- dre
(pie l'année dernière qu'il a commencé a prendre goût, d'abord aux
leçons
orales, puis à l'écriture et au calcul et surto
mine pendant le trajet. Si le jour où j'ai l'habitude de faire la
leçon
orale de grammaire, je fais une leçon de choses,
ù j'ai l'habitude de faire la leçon orale de grammaire, je fais une
leçon
de choses, il est fâché, ne veut rien écouter,
passive était très clillicile a fixer, aussi pro- fitait-il peu des
leçons
orales, il était d'ailleurs mal doué sous le ra
à l'édu- cation de la parole, apte à profiter de plus en plus des
leçons
de choses, qu'on ne saurait trop multiplier, pu
colier sur lequel il a copié lui-même les dif- férents exercices et
leçons
; après cette opération cha- que enfant, à son t
e procéder pour la voix sert aux instrumentistes de la Fanfare. Ces
leçons
forment un ensemble d'exercices de gymnastique
t enseignement est fait par M. Du.mont depuis le 15 avril 1901. Les
leçons
ont lieu deux fois par semaine, le mercredi et
fournies par M. Dumonl sur son cours : - « 130 élèves suivent les
leçons
de dessin ; presque tous les enfants, sauf les
scolaire. Ce musée continue à servir aux séances de projection, aux
leçons
de choses et de salle de lecture : Il s'est cet
ligence sont bien développées. Il apprend facilement ses résumés de
leçon
et oublie peu. Pourra passer en lu, classe. ? «
s. La mémoire est assez bonne; il étudie et récite la plu- part des
leçons
et quelques petites fables. Il y a amélioration
s ; il profite des explications données. Très souvent il récite des
leçons
et apprend par coeur quel- ques petites failles
s, eux, restent. Aux exercices pédagogiques proprement dits, avec
leçons
de choses faites dans les classes, dans les pro-
oi les instituteurs et les institutrices ne multiplient-ils pas les
leçons
de choses ? Pourquoi, ainsi que nous l'avons pr
omenades, les instituteurs et' les institutrices doivent donner des
leçons
de choses xxxvi Promenades et distractions. e
eigner aux élèves des écoles à donner des douches. En faisant ces
leçons
de douches, nous pensons avoir été très utile a
ue, de danse et parfois les maîtres d'es- crime, dont les heures de
leçon
ne coïncident pas avec l'heure de notre visite
s la direction de M. Goy et de la surveillante "\[c1lu Langlet. Ces
leçons
ont lieu une fois par semaine, le jeudi. Mais,
eçons ont lieu une fois par semaine, le jeudi. Mais, en raison do
Leçons
DE choses; HYGIÈNE SEXUELLE. LXXXV l'augmentati
e la population, il serait nécessaire que le professeur donnât deux
leçons
par semaine. L'Administration départementale et
ne aux jeunes filles, au nombre de 30, divisées en deux séries, une
leçon
tous les jeudis de 8 à 9 heures du matin. Voici
Le nombre des enfants qui prennent part à ces prome- nades, avec
leçons
de choses, varie de 60 à 80. Distractions. Comm
hes afin de nous assurer que l'on continue il se conformer il nos
leçons
. Quant aux autres moyens (le traitement, ils ont
les mêmes que dans notre section de Bicêtre. Signalons surtout les
leçons
de choses, soit en classe, soit clans les jardi
par semaine, des mères de famille avec leurs enfants auxquels des
leçons
étaient faites pour que les mères elles-mêmes a
Fourn... iGélston) est venu également, chaque semaine, prendre une
leçon
il la petite école de DI ? Bonnet. Sa mère, int
école de DI ? Bonnet. Sa mère, intelligente, très attentive; aux
leçons
, s'occupe sérieusement de son enfant.. Aussi av
né par un e muet. Progrès pour tous les exercices, surtout pour les
leçons
de choses. Fig. 2o. - Lem..., (Georges) en octo
mine pendant le trajet. Si le jour où l'on a l'habitude de faire la
leçon
orale de grammaire, on fait une leçon de choses
l'on a l'habitude de faire la leçon orale de grammaire, on fait une
leçon
de choses, il est fâché, ne veut rien écouter,
les mots de ce genre surgissaient à chaque instant. Faisait-on une
leçon
sur le système métrique, les mesures cu- biques
antonne assez juste et adore entendre chanter. Mené deux fois il la
leçon
de chant, il y est resté absolument en extase,
ns. Il connait et nomme tout ce qui est contenu dans la boite aux
leçons
de choses; écoute bien les leçons orales et répon
qui est contenu dans la boite aux leçons de choses; écoute bien les
leçons
orales et répond avec à propos aux questions. A
écoute avec beaucoup d'attention et profite plus que tout autre des
leçons
orales. Caractère toujours affectueux mais jalo
. ' Il est très attentif et retient bien ce que l'on explique aux
leçons
.orales, il est toujours le premier à répondre au
les trois enfants dont l'histoire est rapportée dans une des récentes
leçons
de M. le professeur Charcot. Il est vrai que c'ét
t; en ne faisant mention que pour mémoire des études de Ch. West, des
Leçons
cliniques d'Henoch sur les maladies de l'enfance,
eçons cliniques d'Henoch sur les maladies de l'enfance, ainsi que des
leçons
professées au Val-de-Grâce sur les maladies simul
es groupes. Qui n'a ses jours de paresse? En un de ces jours-là, la
leçon
à apprendre semble à l'écolier plus que jamais fa
il n'appartient pas aux tribunaux de décider si le (1) James pajet,
Leçons
de clinique chirurgicale. — Traduction de L. H. P
clinique des maladies du système nerveux : M. le professeur Charcot.
Leçons
le mardi et le vendredi, à 9 heures. Cours libr
ap. sur les maladies des enfants. T. I, p. i85. Paris. (i) Cm. Wih,
Leçons
sur les maladies des enfants. — Traduction d'A;¦
fique. J'ai même fait sur ce sujet, à la fin de l'année dernière, une
leçon
que j'ai eu le tort de ne pas faire publier, mais
venir par son adroit hypnotiseur, le sujet répétait ponctuellement la
leçon
qui lui avait été faite pendant son sommeil. Nous
pnotisme aux savants, aux médecins dans leurs cliniques et dans leurs
leçons
. C'est a ce point de vue que récemment encore l
esoin de tromper (i) [¦..-..:. loco citato, p. 133. (a) Ci ... ..
Leçons
sur les maladies du système nerveux. T. III. p. a
mnéaie dans la veille et le somnambulisme. Dans une de ses récentes
leçons
cliniques de l'hôpital Necker, M. le LV Gilbert B
, en présence d'un nombreux auditoire d'étudiants et de médecins, ses
leçons
cliniques sur les maladies du système nerveux.
formément à sa méthode d'enseignement ai claire et si saisissante, sa
leçon
porte toujours sur des malades dont l'examen est
'observation suivante vient confirmer cette théorie. En prenant une
leçon
d'armes. A..., caporal, est atteint ¿1 la région
aut, l'émïnent professeur de la Faculté de Paris. M. Chircot, dans sa
leçon
sur l'hypnotisme en thérapeutique, signale l'espè
de la Commission, sera un avertissement solennel et une retentissante
leçon
. Le magnétisme animal a passé par cette phase d
actuel. du professeur d'electricité qui consacrerait presque tout* sa
leçon
à exciter rhflarité de son auditoire en provoquan
e en Allemagne, en Angleterre et en Amérique. M. Giard a terminé sa
leçon
par ces réflexions : « Si, dans le cours de ces
a terminé sa leçon par ces réflexions : « Si, dans le cours de ces
leçons
, il m arrivait de formuler quelque proposition ou
reux auditoire de collègues et d'éléves. — Il a commencé une série de
leçons
sur la folie de la persé-cution, sujet qui emprun
amme du cours : Les vrais persécutés [sujet traite dans la première
leçon
); les persécutés ambitieux; les persécutés persec
tte fois ne rentre plus. cours et conférences /attaque de sommeil
Leçon
clinique de M. Ic professeur Ciuscot Recueillie p
villc et Regnard, en 1875. Moi-même j'ai fait sur elle une première
leçon
, en i883; cette leçon, inédite en France, a été t
875. Moi-même j'ai fait sur elle une première leçon, en i883; cette
leçon
, inédite en France, a été traduite en italien par
été traduite en italien par Millotti; enfin, j'ai fait-" une deuxième
leçon
, qui a été publiée dans le Bulletin médical du 3
s les colletés, dans les pensions. M. Charcot a consacré l'une de ses
leçons
à l'exposition d'accidents de cet ordre qui sévis
rer les cheveux. Dans la plupart des monastères, on ne reculait, à la
leçon
de chant, ni ocrant le fouet, ni devant le souffl
cours de chaque semestre, aussi bien qu'aux travaux pratiques et aux
leçons
cliniques. A la fin de chaque semestre, l'étudian
ue des maladies nerveuses, 55, rue Saint-Andrc-des-Arts, une série de
leçons
cliniques sur les applications de l'hypnotisme a
leur maladie; puis, lorsqu'ils ne sont plus d'aucune utilité pour les
leçons
. les démonstrations et les recherches de la clini
omme exemple. M. le professeur Mierjiewsky fait, par semaine, trois
leçons
sur les maladies mentales et nerveuses, avec prés
ériences physiologiques, s'il y a lieu; la durée officielle de chaque
leçon
est de deux heures. Comme complément de l'ensei
s aides du professeur, complètent son enseignement et tont chacun une
leçon
de deux heures par semaine. Ce sont actuellement
des maladies nerveuses, rue Saint-André-des-Arts, 5?. la série de ses
leçons
cliniques sur les applications thérapeutiques de
sme. Un grand nombre de médecins et d'étudiants assistaient à cette
leçon
et ont adresse au D' Bérillon toutes leurs félici
re d'hypocondrie et un troisième d'hystérie convul-sive. La seconde
leçon
, jeudi »8 février, avait attiré un auditoire enco
iré un auditoire encore pîus considérable que la première. Dan» cette
leçon
. le D' Bérillon a étudié quel-ques applications d
étudié quel-ques applications de la suggestion à la pédiatrie. Les
leçons
cliniques ont lieu tous tes jeudis, à dix heures;
uscs. — m. le professeur Charcot fait les mardis, a 9 heures 1/2, une
leçon
clinique sur les maladies du système nerveux. Les
ales. — m. le professeur Balen fait, les dimanches et les jeudis, des
leçons
cliniques sur les maladies mentales. Hôpital de
-Arts.— M. le D' Bérillon fait tous les jeudis, à. 10 heures 1/2, une
leçon
clinique sur les applications de l'hypnotisme et
e dimanche 10 mars, en présence d'un nombreux auditoire, une série de
leçons
cliniques sur les maladies mentales et nerveuses.
cliniques sur les maladies mentales et nerveuses. Dans la première
leçon
, le professeur a fait l'étude des symptômes de ht
ypnotisme. Paralysies hystéro-traumatiques. Dans une des récentes
leçons
cliniques faites avec tant d'autorité, à la Salpc
. — M. le professeur Charcot fait les vendredis, à 9. heures 1/2, une
leçon
clinique sur les maladies du système nerveux. A
ales. — M. le professeur Balen fait, les dimanches et les jeudis, des
leçons
cliniques sur les maladies mentales. Hopital de
s-Arts.— M. le Dr Berillon fait tous les jeudis, a 10 heures 1/2. une
leçon
clinique sur les applications de 1 hypnotisme et
PEUTIQUE CLINIQUE MÉDICALE DE L'HOPITAL SÀ1ST-ELOI DE MONTPELLIER
LEÇONS
SUR LE GRAND ET LE PETIT HYPNOTISME Par le rrof
sse l'observation (i). L'an dernier, jai également consacré plusieurs
leçons
à l'hypnotisme thérapeutique (2) et porté à votre
ssimulerai pas, Messieurs, que le sujet dont j'ai lait choix pour ces
leçons
n'a jamais cessé de m'intéresser ; qu'aujourd'hui
ypnotisme. (Arch. de Seurologie, iSSS. t. XIV.) La substance de ces
leçons
a fait l'objet d'une communication sur l'Hypnotis
tte querelle ? C'est ce que je vais essayer de faire dans les trois
leçons
qui nous séparent des vacances de Pâques. 11 es
entiment dans une formule synthétique, et tâcherai, dans la prochaine
leçon
, d'étayer mon opinion sur des arguments qui, je l
t suffisamment démonstratifs. II Je vous ai dit, dans ma dernière
leçon
, que la lutte entre les partisans exclusifs du gr
ifférents s'observant chez des sujets différents. Dans ma prochaine
leçon
, je compléterai cette étude et apporterai des con
nnées. CLINIQUE MÉDICALE DE L'HOPITAL SAtNT-ÉLOI DE MONTPELLIER
LEÇONS
SUR LE GRAND ET LE PETIT HYPNOTISME Par le prof
ux {Suite et fin) III J'ai résumé devant vous, dans ma dernière
leçon
, les caractères du grand et du petit hypnotisme d
e, que j'énonce formellement, ressort avec une netteté parlaite (1)
Leçon
clinique sur un cas d'hystérie mâle avec astasie-
rticle du Dictionnaire (i), et vous ai rappelé cette opinion dans mes
leçons
de l'année dernière sur l'hystéro-trauma-tisme (2
Je n'insiste pas sur tous ces fans, dont je vous ai parlé dans mes
leçons
sur l'hypnotisme thérapeutique, et qui, depuis ce
sa pensée, et se traduit par le balbutiement. Dans les cas plus (1)
Leçons
faites à l'Ecole de psychologie. (2) Voir Revue
imidateur et de l'intimidé. Xous y reviendrons dans le cours de ces
leçons
. (A suivre.) —-f- PSYCHOTHÉRAPIE ET HYPNOTISME
ce qui perfectionne ou exalte le caractère et la volonté ! Dans ses
leçons
, dans ses conférences, dans ses entretiens psycho
tière à l'hérédité. Je crois même que dans l'une de ses plus belles
leçons
: La Psychologie du courage et l'éducation du car
pprentissage pédagogique spécial, former des éducateurs, puis par des
leçons
de choses, en dehors du lycée, amener l'enfant à
e. A la Pitié, élève attentif de Lasègue, j'ai entendu ses éloquentes
leçons
sur le braidisme, la catalepsie, le sommeil. Aucu
de notre existence. Quelle fête c'était d'assister à ses admirables
leçons
sur le Progrès en médecine par l'expérimention, o
nous initiait à la pratique de la méthode expérimentale ; et après la
leçon
, quelles affectueuses causeries longtemps prolong
nné à la Faculté, M. Brouardel me conseilla de borner mon cours à des
leçons
théoriques et de m'abstenir, dans l'enceinte de l
compenses. (Applaudissements.) Il y a deux ans, le soin de faire la
leçon
d'ouverture des cours de l'Ecole de psychologie m
nt tirer un grand sentiment de fierté. Il a accepté de présider cette
leçon
. La séance avait été fixée au 10 janvier 1905. Le
a mort dans cette catastrophe. Mes amis me disaient : « L'éclat de ta
leçon
d'ouverture va se trouver singulièrement atténué.
-je ; je n'ai pas douté un seul instant de sa présence. Le jour de ma
leçon
, il arriva un des premiers. L'allocution qu'il pr
venu-.Martin, sénateur, ancien ministre de l'Instruction publique. La
leçon
d'ouverture sera faite par M. le Dr Binet-Sanglé,
é. Placés de bonne heure dans un asile, on leur donnera à la fois des
leçons
de choses et des notions scolaires, on leur appre
d'enfants; et des travaux manuels devront toujours alterner avec les
leçons
scolaires ; la durée de chaque exercice sera très
nvenu-Martin, sénateur, ancien ministre de l'Instruction publique. La
leçon
d'ouverture sera faite par M. le Dr Binet-Sanglé,
enu-Martin, sénateur, ancien ministre de l'Instruction publique. La
leçon
d'ouverture sera faite par notre collègue, M. le
ement. A. ce qui précède, nous devons ajouter que la médiocrité des
leçons
faites à ce concours dépasse tout ce qu'on pourra
s ou sommeillent paisiblement. Quand un candidat a fini de débiter sa
leçon
d'écolier, ses camarades disséminés dans la salle
tre mon esprit, par exemple, sur la préparation d'un article ou d'une
leçon
. Je fais en un mot de la dérivation psychologique
ole, si l'élève demande une explication sur un point quelconque de la
leçon
, l'instituteur se croit blessé dans son amour-pro
t anoimal, morbide, ainsi que l'a très judicieusement établi dans ses
leçons
magistrales, mon maître, le Dr Bérillon. Toutef
un cours sur les maladies nerveuses et mentales. Un certain nombre de
leçons
seront consacrées à l'étude et au traitement des
le Dr Binet-Sanglé, qui a bien voulu cette année accepter de faire la
leçon
d'ouverture, s'est préparé à son enseignement par
répandues, ni devant les théories régnantes ou les systèmes. La belle
leçon
que vous venez d'entendre en est un exemple. No
issent dans l'esprit que des impressions passagères et fugitives, les
leçons
données par un initiateur pervers laissent des im
un cours sur les maladies nerveuses et mentales. Un certain nombre de
leçons
seront consacrées à l'étude et au traitement des
latitude nécessaire pour suivre, tant en France qu'à l'étranger, les
leçons
des spécialistes les plus éminents. Au contraire,
que l'exemple de Charcot est des plus caractéristiques, car, dans la
leçon
d'inauguration de son cours à la Faculté, M. le p
ment au point de vue scolaire. Cette étude m'a été inspirée par les
leçons
de mon frère, le Dr BérilloD, sur la psychologie
. (1) D' Bérillon : Psychologie de l'intimidation et-des hérédités.
Leçon
faite a l'Ecole de psychologie. {Revue de l'Hypno
i l'élève demande au maître une explication sur un point obscur de la
leçon
, on lui répond : a Taisez-vous, c'est comme cela
courant de l'hypnotisme et de la psychothérapie, ayant même suivi les
leçons
du Dr Luys, à la Charité. Il m'a d'ailleurs expre
rant de la langue. Le jeune M... a la volonté d'apprendre; pendant la
leçon
, il répond facilement en français aux questions p
le de répondre à aucune question. M0 B... continue à lui donner des
leçons
pendant une semaine, sans le moindre succès. Alor
ent et peut répéter sans hésitation même plusieurs jours après chaque
leçon
. A la rentrée des classes, le jeune M... est ad
rruption. La forme concise sous laquelle sont présentées les diverses
leçons
relatives aux appareils respiratoire, digestif, c
vement attrayante. Mais ce qui nous a vivement intéressé, ce sont les
leçons
consacrées au système nerveux. Nous y avons retro
it si bien compte de son peu de compétence que, lorsqu'il commença la
leçon
d'inauguration de son cours, il crut devoir se co
, brillait, à Paris, d'un vif éclat. Lesétudiants trouvaient dans les
leçons
des Barthez, des Henri Roger, des Cadet de Gassic
terminer leurs études sans avoir assisté à un accouchement. Sans les
leçons
de quelques professeurs libres, ils auraient abor
oIe de médecine de la ville où ils résident. Cependant, c'est à leur3
leçons
que les étudiants vont s'instruire dans la pratiq
tions répétées d'un millier d'étudiants et de médecins accourus à ses
leçons
pour le soutenir de leurs applaudissements, sa ca
re de ta rue du Four que Bichat et Broussais ont fait les immortelles
leçons
qui ont révolutionné la science médicale. Véritab
us ravie d'entendre le professeur improvisé expliquer parfaitement la
leçon
à sa petite camarade moins avancée. * Ah ! vous s
'étaient jamais intimidées quand elles possédaient parfaitement leurs
leçons
, mais qu'elles le devenaient si elles avaient con
le de notre tâche, disons-nous que nul effort n'est perdu, et que nos
leçons
porteront leurs fruits dans l'avenir. Si des exem
des adolescents. — Application de l'hypnotisme à la pédagogie. Les
leçons
seront complétées par des présentations de malade
is longtemps ne connaissent plus les foules avides de s'instruire aux
leçons
du savoir et de l'éloquence. Par contre, assez
ours d'agrégation, offerts en pâture à la compétition des amateurs de
leçons
débitées à l'heure, on n'ait pas songé à intercal
ogie, l'un par ses recherches sur les somnambulismes, l'autre par ses
leçons
sur l'hypnotisme. Elève de ces deux cliniciens,
nné à la Faculté, M. Brouardel me conseilla de borner mon cours à des
leçons
théoriques et de m*abstenir, dans l'enceinte de V
ce de nature, mais une différence de degré. Kraepelin (2), dans ses
leçons
cliniques, s'exprime de la façon suivante : « Il
vé; il comportera des démonstrations pratiques et sera complet en dix
leçons
; il se fera à l'Ecole de Psychologie, 49, rue Sai
correspondance. Le droit d'inscription est fixé à 50 francs. Les
leçons
auront lieu aux dates suivantes : M. le D'Béril
rraient-ils se livrer à des recherches personnelles et préparer leurs
leçons
? La situation des agrégés est encore plus pénibl
droits réservé/.VV 5? AVIS DE L'EDITEUR Ce volume comprend les
leçons
, les mémoires et les ob-servations de M. Charcot
es maladies des poumons, nous avons été amené à intercaler, entre les
leçons
, des mémoires relatifs au sujet traité dans ces l
ler, entre les leçons, des mémoires relatifs au sujet traité dans ces
leçons
. Pour cette partie du volume, nous avons été aidé
concours. BOURNEVILLE. PREMIERE PARTIE Maladies des Poumons.
LEÇONS
o DU COURS D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE Les In
née : "'est vous dire que nous allons entreprendre une série d'é- 1
Leçons
publiées par Bourneville dans le Projrès médical,
complètes, t. v., Poumons. 1 (FACULTÉ DE MÉDECINE, 1877) PREMIÈRE
LEÇON
tudes qui intéressent au plus haut degré la méd
s le lobule lui-même. C'est par là que nous commencerons la prochaine
leçon
. Nous serons entraînés, à ce sujet, dans des déta
notions que nous essaierons de vous remettre en mé-moire. DEUXIÈME
LEÇON
ù La structure lobulaire du poumon (Suite).
s, Après l'aperçu sommaire que je vous ai présenté dans la première
leçon
, relativement à la texture lobulaire du poumon, t
vons apporter tout notre soin à étudier les matériaux qui en- Cette
leçon
a été faite après la rentrée des vacances de Pâqu
alvéolaires, des infundibules et aussi de chaque alvéole. QUATRIÈME
LEÇON
De l'épithélium pulmonaire. Sommaire. — Impor
um pul-monaire sous l'influence des causes pathologiques. CINQUIÈME
LEÇON
Pathologie générale de l'épithélium pulmonaire.
o-péritonéale. — GG, corps de Wolff. — M, feuillet moyen. — (Ranvier,
Leçons
d'anato-mie générale, fig. 1.) même, se compose
tiplication des cellules épithéliales qui a lieu en pareil cas l. 4
Leçons
sur les maladies du foie, 1877, p. 164, 169, 229.
justifier l'une des proposi-sitions que j'émettais au début de cette
leçon
, à savoir que les altérations de l'épithélium pul
iens de formuler. C'est ce que j'essaierai de faire dans la prochaine
leçon
. SEPTIÈME LEÇON Des cirrhoses viscérales épit
C'est ce que j'essaierai de faire dans la prochaine leçon. SEPTIÈME
LEÇON
Des cirrhoses viscérales épithéliales en généra
-rhose broncho-pneumonique. Messieurs, J'ai relevé, en faisant la
leçon
précédente, un caractère anatomo-palhologique com
s détails d'embryologie élémentaire, que je vous ai retracés dans une
leçon
précédente. Remettez-vous en mémoire les premiers
tre forme d'affection rénale, appartenant, elle aussi, à 1 Voir les
Leçons
sur les maladies du foie, des voies biliaires et
ro-pé-ritonéale. — G G, corps de Wolff.— M, feuillet moyen. (Ranvier,
Leçons
d'anatomie gé-nérale, fig. 1. Jn Progrès Médical)
l'état fœtal. Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons. HUITIÈME
LEÇON
Des cirrhoses viscérales épithéliales en généra
ouve dans la récente publication de M. Farabeuf. (Cours d'histologie,
leçon
xiu, p. 2. Paris, 1877.) 1 Voir les Leçons sur
euf. (Cours d'histologie, leçon xiu, p. 2. Paris, 1877.) 1 Voir les
Leçons
sur les maladies du foie, p. 42, 43. Fig. 27. —
chez le nouveau-né, la pneumonie lobaire n'existe pas. i Résumé des
leçons
sur la broncho-pneumonie, fait par M. le Dr Ralze
ux, emphysémateux. Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 12
LEÇONS
in: COURS D'ÂNÀÏOMIE PATHOLOGIQUE Des pneum
umonie qui accompagne l'évolution de la tuberculose pulmonaire. Ces
leçons
ont eu pour but principal de séparer nettement, e
ent, en fixant leurs caractères distinctifs, plusieurs espèces de 1
Leçons
résumées par M. le Dr Balzer. (FACULTÉ DE MÉDEC
Dr Balzer. (FACULTÉ DE MÉDECINE, 1877-1878) (2° Partie) ONZIÈME
LEÇON
pneumonies comprises el. confondues par les aut
e la bron-cho-pneumonie, 1878), faite avec l'aide des conseils et des
leçons
de M. Charcot, deux observations de broncho-pneum
ies respiratoires pendant l'acte de l'inspiration. L'étude de ces 1
Leçons
résumées par M. le Dr Gombault. 2 Zenker, Deuts
expérience de M. Cl. Bernard dont les détails sont consignés dans ses
Leçons
sur les substances toxiques (1857, p. 64), expéri
69, p. 51. — Flax dresses lungs. 3 Merkel, /--c. cit. QUATORZIÈME
LEÇON
Anatomie pathologique de la phtisie pulmonaire
Cruveilhier, Ilérard et Cornil ; — de M. Charcot. Dans une série de
leçons
professées en 1877, à la Faculté de médecine, M.
onie caséeuse n'est en réalité qu'une agglomération tuberculeuse. Ces
leçons
, ré-digées par le docteur Oulmont, seront reprodu
digées par le docteur Oulmont, seront reproduites plus loin. Dans les
leçons
que je vais résumer, M. Charcot expose les partic
gaire. La lésion fondamentale est encore le nodule tuberculeux 1.
Leçons
résumées par M. le Dr V. Hanot. péribronchique
édecine it de chirurgie, 1879, t. III, p 900. QUINZIÈME ET SEIZIÈME
LEÇONS
Tuberculose du poumon et pneumonie caséeuse l.
men-taires on follicules tuberculeux. On peut étudier anatomique- 1
Leçons
résumées par M. Oulmont, interne des hôpitaux.
à contre-cœur, et l'opinion qu'il cherche à faire préva-loir dans ses
leçons
peut se résumer dans les propositions suivantes :
« Quoi qu'il en soit, dit M. Charcot, en terminant cette » série de
leçons
, rien ne me paraît mieux établi que l'exis-» tenc
et sur lequel nous ap-pelons l'attention des observateurs. VIII.
Leçon
sur la claudication intermittente par oblitératio
rs, J'ai fait placer sous vos yeux un malade qui fera l'objet de la
leçon
d'aujourd'hui. C'est un homme âgé de 38 ans, qui
nous a présenté pendant une longue période de trois mois. Je con- 1
Leçon
du 31 mai 1886, recueillie par le Dr J. Babinski,
f de clinique à la Salpêtrière. — Une version italienne de cette même
leçon
a été publiée par le Dr Giulio Melotti, de Bologn
principale d'un membre. (Pour plus de détails voir : J.-M. Charcot. —
Leçons
sur Les maladies du système ner-veux, 1887, t. II
ions nécessaires. » J'ai eu plusieurs fois encore, depuis que cette
leçon
a été faite, l'occa-sion de voir en consultation
TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Maladies des Poumons PREMIÈRE
LEÇON
les instituts pathologiques et la clinique. — l
paraison entre le foie et le poumon..................... 1 DEUXIÈME
LEÇON
la structure lobulaire du poumon (suite). Som
spaces interinfundibulaires et interalvéolaires...... !(? TROISIÈME
LEÇON
structure des bronches et des cavités respirato
ructure, suivant les dimensions des canaux aériens---- 27 QUATRIÈME
LEÇON
de l'épithélium pulmonaire. Sommaire. — Impor
— chez le fœtus humain................................ 39 CINQUIÈME
LEÇON
pathologie générale de l'épithélium pulmonaire.
........................................................ 34 SIXIÈME
LEÇON
anatomie pathologique générale de l'épithélium
re de la broncho-pneumonie ; caractères de ces lésions. 62 SEPTIÈME
LEÇON
des cirrhoses viscérales épithéliales en généra
ncho-pneumonique....................................... 72 HUITIÈME
LEÇON
des cirrhoses viscérales épithéliales en généra
ate. — Arguments à l'appui............................. 82 NEUVIÈME
LEÇON
séparation de la pneumonie lobulaire et de la b
s : résolution; passage à l'état subaigu et chronique... 98 DIXIÈME
LEÇON
broncho-pneumonies expérimentales. — état foeta
Cas de pneumonie chronique ulcéreuse.................. 176 ONZIÈME
LEÇON
des pneumonies chroniques (cirrhoses du poumon)
pulmonaire............................................ 178 DOUZIÈME
LEÇON
des pneumonokonioses. Sommaire. — Le terme pn
gment d'origine sanguine............................. 208 TREIZIÈME
LEÇON
des pneumonokonioses (suite). Sommaire. — L'a
neurs de lin (Greenhow)............................ 219 QUATORZIÈME
LEÇON
anatomie pathologique de la phtisie pulmonaire.
nil ; — de M. Charcot.................... 233 QUINZIÈME ET SEIZIÈME
LEÇONS
tuberculose du poumon et pneumonie caséeuse.
complète de l'une des artères iliaques primitives....... 572 VIII.
Leçon
sur la claudication intermittente................
omprend : 1° le traitement du gâtisme, exposé précédemment ; 2° les
leçons
de toi- lette qui consistent à apprendre aux en
'habiller, se déshabiller, brosser, ranger leurs vêtements ; 3° les
leçons
de table qui consistent à leur enseigner à mang
ignement de la lecture, de l'Alphabet du dessin de Mme Bru ; 6° les
leçons
de choses, soit à l'école, soit dans les jardin
t aujourd'hui le nom de tout ce qui est contenu dans les boites aux
leçons
de choses. Idiotie complète. - PRov... (Edmond)
lissant une relation entre le chiffre et la quantité, il écoute les
leçons
orales et en profite. Il est moins indiscipliné
aré à l'éducation de la parole, apte à profiter de plus en plus des
leçons
de choses, qu'on ne sau- rait trop multiplier,
) Nous renvoyons pour tous les autres exercices, les détails sur la
leçon
de toilette, la gymnastique des échelles, des res
procéder pour la voix sert aux instrumentistes de la Fanfare. Ces
leçons
forment un ensemble d'exercices de gym- nastiqu
tique ; escrime ; danse. et un véritable empressement il suivre les
leçons
de dessin, nous ne doutons pas de les voir arri
laire. - Ce musée continue à servir aux séances cle projection, aux
leçons
de choses et de salle de lecture. Il s'est enri
lui. En classe, il travaille également mieux, s'intéresse plus aux
leçons
faites, apporte plus de courage, plus de patien
ernière. Il travaille bien en classe et au jardinage. Il écoute les
leçons
qui lui sont faites et en tire profit. Bon cara
raires, fait m uns do fautes dans ses dic- tées et apprend bien ses
leçons
d'histoire et de géographie. Le caractère s'est
es participes. La mémoire se développe, l'enfant apprend bien ses
leçons
. Son caractère s'améliore, il est maintenant asse
classe lui répugnait. N'obtenant pas de résultats, il assistait aux
leçons
avec une ni )rite indifférence qui ne se changeai
tique variée, danse, escrime, jeux divers. XLVI Jardins publics :
leçons
DE choses. Cet ensemble de procédés constitue n
oi les instituteurs et les institutrices ne multiplient-ils pas les
leçons
de choses ? Pourquoi, ainsi que nous l'avons pr
infirmières répondaient iL nos désirs, il y aurait matière à des
leçons
de choses. En tout cas, c'est une distraction p
taires ou autres plus graves. L'importance que nous attachons aux
leçons
de choses, acceptée par le personnel féminin de
st pratiqué partout, devra donc être nécessairement remplacé par la
leçon
de choses qui ne cloue pas les enfants sur des
menades, les instituteurs et les insti- tutrices doivent donner des
leçons
de choses et exer- cer les enfants aux différen
seigner aux élèves des écoles il donner les douches. En faisant ces
leçons
de douches, nous pensons avoir été très utile a
ue, de danse et parfois les maîtres d'es- crime, dont les heures de
leçon
ne coïncident pas avec l'heure de notre visite
as la moindre observation. Elle avait une certaine mémoire pour les
leçons
scolaires, mais n'y mettait aucune bonne volont
irection de M. Goy et de la surveillante Nui ? Athénaïs 13oI3m. Les
leçons
de M. GOY ont lieu une fois par semaine, le jeu
n, il serait nécessaire Puberté. MX que le professeur donnât doux
leçons
par semaine. L'Administration départementale et
Assistance publique, dont nous attendons toujours la réponse. Les
leçons
de choses, multipliées le plus possible, ont li
ne aux jeunes filles, au nombre de 30, divisées en deux séries, une
leçon
tous les jeudis de 8 1/2 à 9 heures 1/2 du mati
Le nombre des enfants qui prennent part à ces prome- nades, avec
leçons
cle choses, varie de 60 à 80. Distractions. Com
uches afin de nous assurer que l'on continue Ù se conformer à nos
leçons
. Quant aux autres moyens de traitement, ils ont
les mêmes que dans notre section de Bicêtre. Signalons surtout les
leçons
de choses, soit en classe, soit dans les jardin
d'articulation qui- nous avons établi on remarquera qu'après chaque
leçon
nous avons placé une sorte d'exercice pratique
ve des noms uniquement composés des sons qui ont fait l'objet de la
leçon
. Si l'on a le soin de montrer it l'en- fant l'o
Je crois enfin qu'il serait utilo de les faire assister il quatre
leçons
aux sourds-muets et autant à l'école Braille ou a
fois par semaine, rassembler les enfants valides et leur faire une
leçon
de gymnastique élé- mentaire suivant la formule
on de gymnastique élé- mentaire suivant la formule de Bicêtre ; ces
leçons
pour- raient être au moins provisoirement donné
ères seraient nécessaires. En plus de l'instruction primaire et des
leçons
de couture, broderie, etc., données par Mmc Cha
cela* se fait à Bicêtre, apprendre à ces enfants le repassage. Ces
leçon
: de repassage pourraient avoir lieu soit ta Cl
vice de repassage pourrait être installé près de la buanderie. Des
leçons
de coupe pourraient être aussi données par une
ières soit à Clermont soit dans le quartier même des enfants. - Les
leçons
de chant et de petite gymnastique des membres s
enfants en deux séries, elle leur a fait l'école, leur donnant des
leçons
de lecture, d'écri- ture, calcul, couture. Il e
ire. Go Pour les filles, en plus de l'instruction primaire et des
leçons
de couture, broderie, etc., on pourrait, comme ce
ue tous (cette année 9 sur 10) du certificat d'études ont suivi les
leçons
d'anatomie et de physiologie de l'Ecole des inf
gymnastique, ainsi qu'.en classe, où elle retient difficilement les
leçons
même les plus élémentaires; elle est très lente d
s le service de M. le professeur Charcot et ont fait l'objet de ses
leçons
cliniques. Le premier d'entre eux est un exemple
enseignement, faisait ressortir il y a peu de temps dans une de ses
Leçons
du mardi. « Je ne saurais trop vous engager, me
'avons pas à faire ici l'analyse de cet ouvrage, qui va paraître 1.
Leçons
du mardi, 30 uet. 1888. 2e année, 2L DU ROLE DE
e répètent environ 160 fois par minute. » M. Germain Sée3, dans une
leçon
sur la chorée électrique, a rapporté également
complètement muets à cet égard. On peut lire cependant, dans les
Leçons
deM. le professeur Charcot,, plusieurs passages
hystérique et de quelques-uns de ses cacactères. Dans une de ses
leçons
sur l'hystérie de l'homme, M. Charcot décrit en c
fait cesser le tremblement pour un instant. » Et ailleurs, dans la
leçon
qui a pour titre : Tremblements et mouvements c
Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, p. 478. 2. Charcot.
Leçons
sur les maladies du système nerveux, 1887, t. 111
que celles que nous avons mentionnées dans ce chapitre. Dans une
leçon
antérieure à la note de M. Rendu, mais qui ne fut
liclinique de la Salpêtrière, par M. le professeur Charcot, dans la
leçon
du décembre 1888. Notre malade, lui, n'éprouva,
ans ses oeuvres, particulièrement dans le troi- sième volume de ses
Leçons
sur les maladies du système nerveux, et dans ce
x, et dans ces archives cliniques incomparables qui s'appellent les
Leçons
du mardi à la Salpêtrière. Nous ferons remarque
uire mieux que par des raisonnements, par des exemples empruntés au
leçons
de M. le professeur Charcot. Ces exemples sont
la que, dans tous ces cas, l'isolement est le souverain baume de 1.
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. III, p. 4
Leçons sur les maladies du système nerveux, t. III, p. 4 il. I. 2.
Leçons
du mardi à la Salpêtrière, 1888-1889, p. 6 1 3.
e font pas. L'hystérique, nous l'avons démontrée mange et désas- 1.
Leçons
du mardi (loc. cit.), 1888-1889, p. 392. « Hystér
séparer de leur enfant. Celle-ci continue à dépérir et va mourir 1.
Leçons
sur les mal. du sus. nerveux, (luu. cil.), t. III
t ;f fait ordinaire1. A part cela bons sujets, quand la 1. Charcot.
Leçons
du mardi, (lue. ril.), 1888-1889, p. 191. 68 NO
Guinou : les Agents provocateurs de l'hystérie, 1889. z. Charcot.
Leçons
du mardi 1888-1889 (loc. cil.) p. 293. z3. La p
3. z3. La planche IX se rapporte à Tremblay, étudié par M. Charcot.
Leçons
du mardi, 1888- 1889, p. 285. NOUVELLE ICONOG
nt il une classe plus 1. Charcot. Progrès médical, n. 3, 1878. 2.
Leçons
du mardi, 1888-1889, p. 281. 70 NOUVELLE ICONOG
même entièrement superposable à celui des traumatisés de chemins 1.
Leçons
du mardi (/or. cil.), 1887-1888, p. 410. 'CONSI
mp visuel, sur la température dans l'hystérie. M. Charcot, dans ses
leçons
, a souvent présenté à la fois 5 ou G hommes hysté
les récents travaux de l'École de la Salpêtrière, d'être consi- 1.
Leçons
du mardi (loc. ci ? ), 1888-1889, p. 9.1, et ibid
fait pas d'angle saillant bien accentué, mais est comme 1. Charroi.
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. t. 74 N
ompte de ce fait. M. le professeur Charcot a fait voir clans ses.
leçons
cliniques une colonne lombaire cancéreuse dont
écente, car nous ne connaissons aucun travail sur ce sujet avant la
Leçon
du mardi, 23 octo- bre 1888, dans laquelle M. l
rapporter cinq observations, y compris celle qui sert de base à la
leçon
de M. Charcot. Trois d'entre elles ont été recuei
eur distingué parle également du bâillement chez 1. J ? I. Clarcot,
Leçons
du mardi à la Salpêtrière; lSS ? lSS\J, p. 1 et s
imple émotion, par exemple le fait d'entrer dans l'amphithéâtre des
leçons
à la Salpêlrière; pour-y être présentée par M.
considérable, comprend les 1. Progrès médical, 19 janvier 1881). -
Leçons
du Mardi ri la Salpélrière, 1888-1880, 10° leço
janvier 1881). - Leçons du Mardi ri la Salpélrière, 1888-1880, 10°
leçon
. 2. Progrès médical, 22 juin 1889 el 3G août 18
nt principalement, comme l'avait déjà montré M. Charcot dans sa 10°
Leçon
du Mardi, sur l'amélioration de l'état général,
nous n'avons rien à ajouter aux considérations exposées dans la 10.
Leçon
du Mardi, mais, tablant sur une statistique plu
ixe l'âge ordinaire du début entre vingt et vingt-six ans; dans une
leçon
plus récente (Bulletin médical, 5 déco 1889), i
TIQUE DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalomyélite) Dans sa dernière
leçon
du semestre d'été, M. le professeur Charcot pré
et du muscle ciliaire à la paralysie labio-glosso-laryngée. Dans sa
leçon
sur le sujet qui nous occupe, M. Charcot insist
le diagnostic qui a été porté par M. le professeur Charcot dans la
leçon
clinique qu'il a consacrée à l'examen de cette ma
res observations, M. le professeur Charcot a maintes fois, dans ses
Leçons
du mardi, montré à ses auditeurs, avec une comp
s exemples frappants de cette déformation. Il a même consacré une
leçon
entière ! à l'examen d'un malade qui présentait l
n d'un [correctif. En effet, le malade qui faisait l'objet de cette
leçon
avait le talon, du côté de la sciatique, élevé de
ètes sur l'évolution de cette déformation, et en parti- 1. Chariot,
Leçons
du mardi ri la Srtlprilrière, 30 octobre 1888, p.
ii liasis (les 11-(1 bes (j(iiii bes), Gui lotit, 1S73. 2. Kaposi,
Leçons
sur les maladies de la peau (Tr.id. et annotées p
En 1866, je fis à l'Hôtel-Dieu, sur ce point de pathologie, plusieurs
leçons
cliniques, qui ont été recueillies par^un de mes
sister à une confrontation, nous nous sommes permis de juxtaposer les
leçons
de M. Bazin sur les Affections génériques de la p
cond par M. Baudot devenu maître lui-même. Entre autres parties des
leçons
de M. Bazin littéralement reproduites dans le tra
un jugement sur la valeur de l'ouvrage qui reproduit mot pour mot les
leçons
de M. Bazin; mais au point de vue économique, nou
e, nous ne pouvons nous empêcher de conseiller aux possesseurs de ces
leçons
d'éviter l'acquisition d'un double et à ceux qui
elin, professeur de clinique chirurgicale à la Faculté de Paris. (
Leçon
recueillie par M. C. Monod, interne des hôpitaux.
Clinique syphiliographique de M. A. Fournier, professeur agrégé.
leçon
d'ouverture. Après avoir rapidement exposé le p
eçon d'ouverture. Après avoir rapidement exposé le programme de ses
leçons
, M. Fournier aborde son sujet par l'étude du débu
raire assez commun. Nous ne pouvons terminer ce rapide exposé de la
leçon
de M. Fournier sans féliciter le professeur dont
s avant les muscles, alors qu'on fait justement le contraire dans les
leçons
à l'amphithéâtre? Toujours la question de routi
u, en effet, de gangrène à la suite des phlyctènes. BIBLIOGRAPHIE
Leçons
cliniques sur les maladies chirurgicales des enfa
ogie externe, nous ne possédions plus rien : ni traité didactique, ni
leçons
cliniques. Il y avait là une lacune incontestab
sition à l'hôpital des Enfants-Malades où il a fait régulièrement des
leçons
( 1862-1869) suivies par un assez grand nombre d'
1869) suivies par un assez grand nombre d'auditeurs. Recueillir ces
leçons
, les grouper autant que possible en se basant sur
tre apprécié et utilisé par tout le monde. L'ouvrage, comprenant 72
leçons
, a paru en [cinq fascicules qui répondent, pour a
orbides distincts. Dans le premier se trouvent réunies la plupart des
leçons
de M. Giraldès sur les malformations ou les ^mala
mblent tout à fait plausibles. Le second fascicule commence par des
leçons
sur la trachéotomie, opération d'urgence que l'on
, a publié des recherches intéressantes. Vient ensuite une série de
leçons
sur les tumeurs (tumeurs érectiles, adénomes lymp
, les polypes de la vessie et de l'urètre (4e fascicule). iToutes ces
leçons
renferment des détails cliniques importants, une
ires employés soit en France, soit à l'étranger. Outre les nombreuses
leçons
que nous avons déjà indiquées, le troisième fasci
ion intra-oculaire et des divers modes d'exploration de l'œil. De ces
leçons
/les plus remarquables, à notre avis, sont celles
i-tique, de la blépharite granulaire et de Yophthalmie purulente. Ces
leçons
qui, au point de vue anatomique, sont parfaitemen
nt de précieux renseignements thérapeutiques. Il en est de même d'une
leçon
sur les cicatrices vicieuses et les moyens d'y re
ermine cette partie. Dans le quatrième fascicule, nous trouvons des
leçons
: i° Sur les maladies des organes génito-urinaire
forment la plus grande partie du dernier fascicule. Citons encore des
leçons
sur la chute du rectum, le tétanos, les kystes hy
nou, la périostite phlegmoneuse diffuse et le tétanos. En résumé, les
Leçons
cliniques sur les maladies chirurgicales des enfa
espérons que M. Giraldès achèvera son œuvre en nous donnant quelques
leçons
sur des sujets assez rares, d'ailleurs, qu'il n'a
'une manière satisfaisante de la physiologie de l'œil : en dehors des
leçons
du professeur Gavarret, nous ne croyons pas avoir
78 Endocardite puerpérale typhoïde....................»...... 180
Leçons
cliniques sur les maladies chirurgicales des enfa
« mieux dirc, qu'il noua faudra savoir démasquer. à J.-11. Charcot,
Leçons
du mardi (28 juin 1880, p. 522 . I INTRODUCTI
ignes de démarcation entre l'hystérie et les affections 1. Charcot,
Leçons
sur les maladies du syst. nerv., t. III, p. 1G.
après, lf. le professeur Pitres2 publiait une série d'intéressantes
leçons
sur le même sujet. Et, au cours de la même anné
0, M. le professeur Charcot consacrait à ces mêmes tremblements une
leçon
magistrale qui vient d'être tout récem- 1. Rend
1L1'ETHIEIiI : . Elle a été résumée, avec tracés à l'appui, dans la
leçon
que M. Charcot vient de publier au mois de sept
os ainsi que le montre un tracé pris par M. Dutil et publié dans la
leçon
de M. le professeur Charcot. Mais si ce tremble
. méd. ItBp., 1889, p. 1S ? , in. Gazette des hôp., n° 56, 1890, in
Leçons
de clin. méd., 1800, p. 495). Syndrome hystériq
u cette année même, le 15 juillet 1890. M. le D, Brissaud, dans une
leçon
qu'il fit à la Salpêtrière, nous l'a montré ave
érie de cause traumatique, telle que nous la connaissons depuis les
leçons
de M. Charcot ? » Obs. XVII (Leuch, in Correspo
ment expliqués par la seule névrose hystérique. OBS. XIX (Rendu, in
Leçons
de clinique médicale, 1890, t. II, p. 500). - U
s. Nous connaissons cependant des observations et Vulpian, dans ses
Leçons
, p. 67'1 \ en rapporte un exemple très remar- q
arcot sur cette question qu'il a encore récemment traitée dans deux
leçons
fon- damentales 2. La thèse d'Athanassio 3 ne n
raphie, n° 6, t. II, 1889). 9. 'o ! 6 ! eme bleu des hystériques. -
Leçon
recueillie, par ·Georges Guinon (Progrès médica
e période préconvulsive de l'hystérie qu'il n'existe une période 1.
Leçon
du mardis juin 188 ! J. - Observation in extenso
e maitre a bien souvent, depuis plusieurs années, montrées dans ses
leçons
cli- 78 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
mémoire de M. Letulle (Archives de phy- siologie , 1887), dans les
leçons
de notre maître lll.le professeur Charcot, dans
ure dans la thèse de Maréchal, et qui plus tard a été l'objet d'une
leçon
de M. Charcot. -On pourrait citer aussi toutes
emblements mercuriels appartiennent à la grande névrose. Dans une
leçon
sur les tremblements hystériques, M. Charcot* a f
e. Les deux observations qui vontsuivre sont empruntées, l'une à la
leçon
déjà citée de notre maître M. le professeur Pitre
myélopathie ressortira du tableau synoptique suivant emprunté aux
Leçons
de M. Charcot (18SS185'J, p. 103). Tableau syno
de ce diagnostic ont été étudiés avec soin par M. Charcot dans ses
Leçons
sur la compression lente de la moelle, et dans le
me nerveux. Trad. par Labadic-Lagrave, 1879, p. 8118, 5. Charcot,
Leçons
sur les maladies du système nerneux, t. III, et L
5. Charcot, Leçons sur les maladies du système nerneux, t. III, et
Leçons
du mardi, passim. ' i\. 10 138 NOUVELLE ICO
DE LA SALPÊTRIÈRE. l'étude des paralysies hystériques de nombreuses
leçons
, il semblerait au premier abord que les erreurs
nternes de la clinique des maladies du système nerveux. 1. Charcot,
Leçons
cliniques sur les maladies des vieillards, 2' édi
'une façon d'autant plus minutieuse que nous avons moins de (1) Ces
leçons
sont extraites d'un cours clinique élémentaire su
vre du professeur ll'Iorselli qui, dans une série de remar- quables
leçons
, a étudié en détail toute la séméiologie générale
les raisons anatomiques et physiologiques de ces différen- ces. » (
Leçon
de M. le professeur Charcot.) Nous reviendrons d'
alade qu'il a présenté à ses audi- teurs, le 17 mars 4891, dans une
leçon
qui vient d'être récemment publiée '. « La quer
s de cette observation. La plupart d'entre eux sont empruntés à une
leçon
magistrale de M. le professeur Le Fort dans le
cette observation si pleine d'ac- tualité, nous l'emprunterons à la
leçon
de notre maître, M. le professeur Charcot. « No
e) (Due il l'extrême obligeance de notre maître M. le (1) Fournier,
Leçons
sur la syphilis. Paris, 187.i, p. 816. 30S NOUV
rique. M. le professeur Charcot en a rapporté des exemples dans ses
Leçons
du mardi. M. Audryi en a cité deux cas remarqua
r la diathèse de contracture, in Progr. méd ? 188G, p. 835. Pitres,
Leçons
cliniques sur l'hystérie, 1891, t. 1", p. 377.
le professeur Charcot en mon- trait un exemple remarquable dans ses
Leçons
du -mardi. L'observation de cette malade a été
IMULATEURS ». 371-) l'observation rapportée par M. Charcot dans ses
Leçons
du, mardi, 1888-'1889, p. 175. Il s'agit d'une
fesseur Pitres* vient ces jours derniers de publier une remarquable
leçon
sur le même sujet. Notre mémoire, qui devait êt
15 octobre en vue d'un concours, était déjà ter- miné lorsque cette
leçon
a paru. Nous voulons aujourd'hui réparer cet ou
sur lequel M. le professeur Charcot est fréquemment revenu dans ses
Leçons
du mardi et auquel M. Grasset a a consacré une
çons du mardi et auquel M. Grasset a a consacré une longue série de
leçons
. M. Weir-MitcheIJ 10 a décrit aussi sous le nom
s of the nervous sgstent... Philadelphie, 1885, p. 39. 11. Charcot,
Leçons
du mardi à la Salpêtrière, 1888-1889, p. 33C. É
, in Archiv dc Neunol., mai 1888, p. 337). Tout récemment, dans une
leçon
que nous avons déjà citée (Gaz. méd. de Paris,
é3 une série d'exemples convaincants. Il fait précéder l'une de ses
leçons
de considérations nosographiques que nous voulons
resein (Allgem. Zeilsclir. sur Psych., Bd XLII, p. 96). 2. Vulpian,
Leçons
sur les maladies du système nerveux, p. 216. 3.
an, Leçons sur les maladies du système nerveux, p. 216. 3. Charcot,
Leçons
du mardi, 1887-1888, p. 423; 1888-1889, p. 151 et
tamorphose ? » Ocs. LXVI (Charcot, Cas complexe, Tabès et hystérie.
Leçons
du mardi, p. 152). Esther M..., cinquante-huit
gratuites et préma- turées. Le cas rapporté par M. Charcot dans ses
leçons
de l'année scolaire 1887-1888, p. '130, en est
per au détriment de la première en quelque sorte, gran- 1. Charcot,
Leçons
du mardi, ISSi-1SSR, p. 133, 1. Georges Guinon,
re ici le tableau synoptique suivant dû à M. le professeur Charcot (
Leçons
du mardi). TABLEAU SYNOPTIQUE DES SYMPTOMES OCU
mars). , .i13 ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Dans ses
leçons
cliniques du premier semestre de l'année 1889-1 8
onnelle. M. le professeur Charcot en cite cependant un cas dans ses
Leçons
sur les maladies du système ner- veux, t. Il, p
analogue étudié l'an dernier par M. le professeur Charcot dans ses
Leçons
du mardi 1. Mais en outre cette observai ion pr
nfantile; paraplégie alcoolique. Attaques ? s<cro-61- leptiques (
Leçons
du mardi, 20 nov. 1888, y. 83). 43R NOUVELLE IC
le pro- fesseur Charcot consacrant à la gliomatose médullaire trois
leçons
magistrales, attira le premier l'attention sur
s, Des anesthésies hystériques, Rordcatix, 1887, p. 12. 2. Charcot,
Leçons
du mardi, 28 juin 1889. .i·0 NOUVELLE ICONOGRAP
8 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Ons. L1ÎIII (Clarcot, in
Leçons
du mardi, 1888-1889, p.518). Syn- drome hystéri
ne vient-il pas de publier, dans le Progrès médical une magistrale
leçon
sur la maladie de Morvan associée à l'hystérie
de gliomatose où des symptômes 1. Clj,,Licot, Pi-og ? niée., 1890 (
Leçon
recticillie par il. C,. Ciiiiioii). Ciiiiioil (,t
ar il. C,. Ciiiiioii). Ciiiiioil (,t 1. Charcot, Progr. méd., 1890 (
Leçon
recueillie par M. 1890). G. Guinon et Dutil, De
s (Xeumlnflisches Ce111l'alblatl, n" IG, 15 août 1890). 3. Charcot,
Leçons
du mardi à la Salpêtrière, 1888-1889, p. 131. 1.
cours de cette année il est revenu sur ce sujet et, dans une de ses
leçons
, en a présenté trois cas remarquables : deux dé
ficiellement par suggestion chez une hystérique hypnotisable. Cette
leçon
vient d'être tout dernièrement publiée Enfin, un
r-1111Lclrell, The am. Jonrn. of med. se, lS8U, p. 94.. 3. Charcot,
Leçons
du mardi il la Salpêtrière, 28 juin 1889. 1. Ch
arcot, l'llsdème bleu des hystériques (proyr, mcW., 11 octobre 1890).
Leçon
re- cueillie par G. Guinun, chef de clinique.
comprend : 1° le traitement du gâtisme, exposé précédemment, 2° les
leçons
de toi- lette qui consistent à apprendre aux en
exercices élémentaires relatifs à l'enseignement primaire ; 6° les
leçons
de choses, soit à l'école, soit dans les jardin
ue les chiffres, les couleurs et les surfaces. Il s'intéresse aux
leçons
de choses et distingue un certain nombre d'obje
crire leur nom, leur âge, les jours de la semaine, les mots de la
leçon
de lecture de chaque jour. La lecture au Syllabai
ux questions qui lui sont posées. Il a de la mémoire et retient les
leçons
orales. 13° iIILL.. (Emile), 10 ans. - Idiotie
é à l'éducation de la parole, apte à profiter de plus en plus des
leçons
de choses, puis à aborder l'instruction primair
(1) Nous renvoyons pour tous les autres exercices, les détails sur la
leçon
de toilette, la gymnastique des échelles, des r
re par les enfants des ateliers de menuiserie et de serrurie. Les
leçons
ont lieu deux fois par semaine, le mercredi et
scolaire. Ce musée continue à servir aux séances de projection, aux
leçons
de choses et de- salle de lecture. Il s'est not
t la multiplication. Fait verbalement le résumé de quelques petites
leçons
de choses sur les objets les plus usuels. 13° C
courant et sait faire verbalement quelques petits résumés sur les
leçons
de choses faites dans les jardins. 15° Franco..
sont confiés. Aux exercices pédagogiques proprement dits, avec
leçons
de choses faites clans les classes, dans les pro-
oi les instituteurs et les institutrices no multiplient-ils pas les
leçons
de choses ? Pourquoi, ainsi que nous l'avons pr
s infirmières répondaient à nos désirs, il y aurait matière à des
leçons
de choses. En tout cas, c'est une distraction p
romenades, les instituteurs et les institutrices doivent donner des
leçons
de choses et exercer les enfants aux différents
ique, de danse et parfois les maîtres d'escrime, dont les heures de
leçon
ne coïncident pas avec l'heure de notre visite.
APPENDICE. I. Enseignement populaire des sciences naturelles :
Leçons
de choses. Nous avons réclamé un grand nombre
e nos squares et jardins publics en vue de l'ensei- gnement par les
leçons
de choses, comme nous l'avons organisé dans not
n- seil a voté un crédit pour permettre aux élèves les plus méri-
LEÇONS
DE CHOSES. LXXVI tants de nos écoles primaires,
de toutes ses compagnes. La mémoire paraissait très faible pour les
leçons
classiques, l'enfant disait elle-même qu'elle é
suelles et les lieux, avait beaucoup de difficulté pour retenir les
leçons
les plus élémentaires, elle semblait n'avoir au
ous la direction de M. Goy et de la surveillante Melia LANGLET. Ces
leçons
ont lieu une fois par semaine, le jeudi. Mais,
e la population, il serait nécessaire quo le professeur donnât doux
leçons
par semaine. L'Administration départementale et
Assistance publique, dont nous attendons toujours la réponse. Les
leçons
de choses, multipliées le plus possible, ont li
ir si elles éprouvaient des douleurs dans les reins ou le Fig. 4.
Leçon
d'habillement (mannequin). LEÇONS DE CHOSES, DE
urs dans les reins ou le Fig. 4. Leçon d'habillement (mannequin).
LEÇONS
DE CHOSES, DESSIN, chant, ETC. LYXXVII bas-vent
n poste le 6 avril. Il donne aux jeunes filles, au nombre de 25 une
leçon
tous les jeudis de 8 à 9 .heures du matin. L'an
es mêmes que dans notre sec- tion de Bicêtre. Signalons surtout les
leçons
de choses, xciv Bains, hydrothérapie, glande th
ail in- tellectuelle plus difficile soit exécuté le matin; que la
leçon
ne dure pas plus de 30 minutes; que la leçon soit
écuté le matin; que la leçon ne dure pas plus de 30 minutes; que la
leçon
soit précédée de quelques minutes d'exercice ph
iL 15 minutes de repos. Les chants, les exercices en plein air, les
leçons
de choses, les tra- vaux manuels, les leçons de
ices en plein air, les leçons de choses, les tra- vaux manuels, les
leçons
de prononciation et de diction occupent une lar
firmières de Bicêtre, comme dans les autres écoles, il est fait une
leçon
sur les signes de la mort, le nettoyage du cada
nsion où il est, il va trouver son professeur pour lui demander des
leçons
particulières, à l'insu de ses parents, et en p
ents de s'en- tendre avec le professeur de musique pour prendre des
leçons
par- ticulières. Cette idée lui était venue san
ne fait rien, s'endort. 15 mars. Nous faisons assister II... à la
leçon
de chant. On lui donne le livre ; elle suit tou
III Appendice : Enseignement populaire des scien- ces naturelles.
Leçons
de choses....... LXXV Arrêté relatif à la nomin
organe de l'Ecole de psychologie, a déjà publié un certain nombre de
leçons
; elle en publiera le plus grand nombre. Ainsi,
ques semaines, à l'Ecole de Psychologie, j'étudiais dans une série de
leçons
la Psychologie du sommeil naturel. Après avoir mi
des rêves prophétiques, et je le fis dans une longue, une très longue
leçon
, qui dépassa même de beaucoup le temps réglementa
d'un pays, à l'art de gouverner les hommes, puissent prendre ici des
leçons
. A l'heure où toutes les sciences se préoccupen
ses maîtres Thomas Fyenus, Gérard de Villers et Stornius de faire des
leçons
de chirurgie au Collège des Médecins de Louvain.
eur Joffroy l'a récemment montré à nouveau dans une très intéressante
leçon
sur les myopsychoses. Cette agitation, chez les p
1/2 du soir, et continuera les vendredis suivants à la même heure.
Leçons
cliniques d'hypnotisme et depsychothérapie.— M, l
l-lon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, commence une série de
leçons
cliniques, le jeudi 27 novembre 1902, à l'Institu
tions disparues : je veux rechercher, le plus brièvement possible, la
leçon
de chose que sur ce point nous devons tirer de ce
pophages des forêts néo-calédoniennes qui ne puissent nous donner une
leçon
de suggestion : les anthropologistes considèrent
ir de porter à la connaissance du public médical. C'est à la fois une
leçon
pour ceux, qui refusent à la thérapeutique sugges
l est négatif et, d'autre part, nous avons du rétrécissement du (l)
Leçons
de la clinique des maladies nerveuses à la Salpét
e. Le programme des conférences paraîtra dans le numéro de janvier.
Leçons
cliniques d'hypnotisme et de psychothérapie.— M.
lon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, a commencé une série de
leçons
cliniques, le jeudi 27 novembre 1902, à l'Institu
rd, membre de l'Académie des Sciences, professeur à la Sorbonne. La
leçon
d'inauguration sera faite par notre collègue M. C
rd, membre de l'Académie des sciences, professeur à la Sorbonne. La
leçon
d'ouverture ???? faite par M. CaustiEr, professeu
professeur Giard, dans ses laboratoires. En effet, M. Giard, dans ses
leçons
, après avoir conclu que les individus ont seuls u
nement moral de l'humanité. La méthode en psychologie zoologique,
Leçon
d'ouverture par M. E. Caustier, professeur au Lyc
ue les professeurs de l'Ecole de psychologie ea me chargeant de cette
leçon
d'ouverture, ont voulu rendre hommage au maître é
collègues et pour gagner la vôtre, il me suffira de conserver à cette
leçon
le caractère de simplicité et de sincérité que do
o-physiologique. Vous n'avez que faire en effet des conseils ou des
leçons
d'un biologiste qui, à son grand regret, n'a pu c
inférieur; polygone cortical) à l'étal physiologique et pathologique.
Leçons
de Clinique médicale,t. III, 1898, p. 122. D'
P. grandiflora (1) En dehors des travaux de Pierre Janet et de mes
leçons
de 1896, voir, sur ce sujet : Revue de Ihypnotism
; t. IX, 1895. p. 320, 367; t. XVI, 1902, p. 240, 318. (2) Voir mes
leçons
sur le Spiritisme devant la science Lec. de clin,
animaux qui lui étaient confiés. Bientôt on put lui faire donner des
leçons
par un professeur (alors qu'il n'avait pas regard
utile et je suis arrivé ainsi à lui faire réciter beaucoup mieux ses
leçons
et à l'exciter au travail. Je terminerai enfin
Salpétrière, fait, tous les jeudis à 10 heures, dans son service, des
leçons
cliniques sur les maladies nerveuses et mentales.
adies nerveuses et mentales. Ouvrages repus à la Revue Grasset. —
Leçons
de chirurgie médicale. 4e Série, in-8, 755. Coule
(2) Babinski, Arch. de neurol-, janvier et mars 1889. (3) Voir mes
leçons
sur le grand et petit hypnotisme rec. et publiées
ubliées par Rauzier dans la Revue de rHypnotisme, mai et juin 1889 et
Leçons
de clin. médic.,t.I,p.261. la profondeur du s
e langage. Et, comme dit Janet, « on voit décrire sous le même nom la
leçon
d'un professeur à ses élèves et les . hallucinati
e quelconque. L'enfant qui obéit à ses parents, l'élève qui récite sa
leçon
, l'ami qui suit un conseil, se laissent suggérer.
me. Il continuera ce cours les lundis et vendredis à cinq heures.
Leçons
pratiques d'hypnologie et de psychothérapie. —MM.
que d'hypnologie et de psychothérapie. Ce cours sera complet en douze
leçons
. Il sera privé et ne comprendra qu'un nombre limi
. In-12, 534 pages. Doin, éditeur, Paris 1903. 4 francs. Grasset. —
Leçons
de clinique médicale. 4e Série, in-8, 755. Coulet
matique dans cette branche de nos connaissances. Pour continuer nos
leçons
, je veux examiner cette année avec vous, la vie d
ogique sur le rêve musical, par M. Pierre Gillet. Au cours de ses
leçons
, M. le Dr Bérillon a souvent appelé noire attenti
de Tartini on remarque combien elle fut agitée. Il reçoit d'abord des
leçons
de musique à Pirano et à Capo-d'Istria, mais il r
49, rue Saint-André-des-Arts. Le programme en sera donné pendant les
leçons
. Leçons pratiques d'hypnologie et de psychothér
aint-André-des-Arts. Le programme en sera donné pendant les leçons.
Leçons
pratiques d'hypnologie et de psychothérapie. —MM.
que d'hypnologie et de psychothérapie. Ce cours sera complet en douze
leçons
. Il sera privé et ne comprendra qu'un nombre limi
le constitue un ennui grave, mais ne peut être considérée comme (l)
Leçon
faite a l'Ecole de Psychologie, une névrose.
docteur Bériilon, secrétaire général, 14, rue Taitbout. NOUVELLES
Leçons
pratiques d'hypnologie et de psychothérapie. —MM.
que d'hypnologie et de psychothérapie. Ce cours sera complet en douze
leçons
. Il sera privé et ne comprendra qu'un nombre limi
ue de Paris, p. 159. Krafft-Ebing à Vienne (Le jubilé de), p. 15.
Leçons
cliniques d'hypnotisme et de psychothérapie, p.
Leçons cliniques d'hypnotisme et de psychothérapie, p. 160, 192.
Leçons
pratiques d'hypnologie et de psychothérapie, p.
plusieurs de nos précédents COi\IP- TES rendus (Fig. 21); - 2° les
leçons
de toilette (Fig. 22) qui consistent à apprendr
nts à se laver la figure et les mains, à s'habiller, etc ; - 3° les
leçons
de table où l'on enseigne aux enfants à se serv
es pour l'éducation de la main, des sens et de la parole ; 5° les
leçons
de petite gymnastique ; - 6° les exer- cices él
Traitement du gâtisme. PETITE-ÉCOLE. XIX née en année ; - '7° les
leçons
de choses, soit à-l'école, soit dans les jardin
. ' .. , Quelques-unes des parties de cet enseignement Fig. 22. -
Leçon
de toilette. xx Traitement MEDlCO-PÉt)AGOG1QU.
, en classe, les animaux qui lui sont familiers, Fig. 40. xxxvi 1
LEÇONS
DE CHOSES. les personnes qui vivent auprès de l
. les personnes qui vivent auprès de lui. Nous arrivons ainsi aux
leçons
de choses en général, soit dans les classes, so
es verbes, pour fournir au maître l'occasion de faire la pre- mière
leçon
de grammaire. Cette méthode tire toute sa valeu
hode tire toute sa valeur de ce qu'elle a été faite pour ainsi dire
leçon
par leçon, et que nous n'avons pris pour guide
toute sa valeur de ce qu'elle a été faite pour ainsi dire leçon par
leçon
, et que nous n'avons pris pour guide que notre
t à la lecture proprement dite; nous les employons aussi pour les
Leçons
de choses, l'enseignement des cou- leurs, etc
s avons signalé l'année dernière ses progrès pour la parole. Chaque
leçon
de lecture était pour lui une leçon d'articulat
progrès pour la parole. Chaque leçon de lecture était pour lui une
leçon
d'articulation ; la parole ayant ainsi marché d
mois ; toutefois, cet enfant commence seulement à pouvoir copier la
leçon
de lecture. A l'inverse de la majorité de nos é
Cordonnier emploient tous les procédés que nous avons énumérés. Les
leçons
de choses y sont même un peu plus multipliées e
corps, le dortoir, le lavabo, la classe et faisons en un mot les
leçons
de choses. Puis nous parlons à nos élèves de le
Clément, ne fut nommé titulaire de l'emploi que le 12 décembre. Les
leçons
d'escrime furent ainsi suspendues pendant plus
scolaire. Ce musée continue à servir aux séances de projection, aux
leçons
de choses, aux lectures récréatives. Il s'est n
promenades les instituteurs et les institutrices doivent donner des
leçons
de choses et exercer les enfants aux jeux de ba
le professeur de chant et celui de gymnastique, dont les heures de
leçons
ne coïncident pas avec l'heure de notre visite.
2 casses d'imprimerie, 2 armoires, 1 meuble il un corps pour les
leçons
de choses, 8 bancs, 3 tables, 2 tableaux pour les
eur nom, elle reconnaît tout ce qui est contenu dans les boites aux
leçons
de choses, distingue très-bien les couleurs, el
sait nommer à peu près tout ce qui est contenu dans les boîtes aux
leçons
de choses, nomme les différentes parties de son
le, sait lacer et boutonner, mais noue encore imparfaitement. Les
leçons
de choses l'intéressent beaucoup, elle prend Id
la population il serait nécessaire qu'il donnât mainte- nant deux
leçons
par semaine. L'Administration dé- partementale
'ont signa- lée it l'Administration de {'Assistance publique. Les
leçons
de choses sont multipliées le plus pos- sible e
briel à la Antécédents. 85 moindre contrariété, au moindre ennui (
leçon
non suc, devoir non fait) a des attaques de dur
d'une véritable paresse intellectuelle, on doit revoir avec lui les
leçons
élémentaire de la grammaire; il arrive à compren-
e vers. Les connaissances usuelles s'augmentent, il s'intéresse aux
leçons
de choses, et retient assez facilement les peti
en plaques disséminées. semestre d, l'aînée. B... est attentif aux
leçons
orales, sa tenue est plus correcte. Il prend go
la physionomie l'aspect signalé par M. Charcot dans ses admirables
leçons
sur la sclérose en plaques : Le 136 Physionomie
1z; * Z, ci f 282 1 Explication DES planches. Planche XI.
LEÇONS
DE CHOSES : LES LIGNES ET LEURS APPLICATIONS. (
),I ? IJ ? I\E tir. 2M i Explication DES planches. Planche XII.
leçons
DE choses : LES LIGNES et LEURS combinaisons ;
mmis par négligence. Le caractère des hystériques Dans une de ses
leçons
i la faculté, M. le professeur Brouardel vient de
la clinique de» maladie» nerveuse». 55. rue Seint-André-de*-Art*, une
leçon
pratique sur le» applications clinique» et medieo
ur le» applications clinique» et medieo-leg.les de l'bypaoti»»-*. Ce»
leçon
» sont exclusivement destincet aux médecin» et aui
tervention psychique de la suggestion. Hier encore, dans une de ses
leçons
cliniques, M. Bernheim ne démontrait-il pas victo
Aujourd'hui, continuant l'étude de ces monomanics. comme on les (1)
Leçon
faite à la clinique des maladies neveuse ,rue Sai
nt efficaces. Dr Edg. Bérillox. VARIETÉS Deontologie médicale
Leçon
de M. le professeur Eugène hubert (de Louvain}.
erai sans salaire ni engagement. » Je ferai part des préceptes, des
leçons
orales et du reste de l'ensei-gnement à mes fils,
erine, prolesseur asrégè, a terminé 11 juillet dernier les 1 savantes
leçons
sur les maladies du système nerveux qu'il a laite
osait. Mais le cûté réellement nouveau et inédit de cette brillante
leçon
a été la suegestion de différentes maladies convu
rvices de santé aux ministères de la guerre et de la marine r Cette
leçon
a clôturé dignement renseignement pour cette anné
é la sympathie et la reconnaissance de ses auditeurs habituels. Cette
leçon
n'avait en effet pas été particulièrmcnt annoncée
es, Ce chiffre n'est qu'un minimum, puisqu'il ne tient pas compte des
leçons
particulières et des études facultatives. Dans
ion irrésistible domine tout. L'alcool crée la tendance dipsoma- 1.
Leçon
faite à la clinique des maladies, nerveuses, rue
M. Féré sur « Les épilepsies et les épileptiques. » Dr Levillain
LEÇONS
SUR DEUX CAS D'HYSTÉRIE PROVOQUÉS PAR UNE MALADIE
s désordres qui ressorlissent à l'hystérie. Cette année, une série de
leçons
faites â la clinique de Montpellier par le profes
ts provocateurs de l'hystérie. Th. inaug. 1887 Paris. 2 J. Grasset.:
Leçons
sur deux cas d'hustérie provoquée pari une maladi
ICIDE DES HYSTERIQUES Par M. le professeur A. PITRES '(de Bordeaux)
Leçon
recueillie par M. Dr Emile Bilot, chef de cliniqu
Elle était entrée il y a quelques mois dans notre service. 1 Cette
leçon
fait partie d'un ouvrage sur les maladies du syst
ur Bérillion commencera le samedi 25 octobre à 16 h. 1/2 une série de
leçon
» cliniques sur applications de 'l'hypnotisme et
chirurgie vétérinaire, au moins chez les petites espèces animales.
Leçons
sur l'Hypnotisme a Gènes M. le professeur Henri
nombreux élèves, a fait, pendant les mois de mai et juin une serie de
leçons
sur l'hypnotisme et la suggestion. Ce cours éta
compte-rendu détaillé du cours de M. Morselli avec les sujets de ses
leçons
: 1re Leçon. — Aperçus historiques sur le magné
étaillé du cours de M. Morselli avec les sujets de ses leçons : 1re
Leçon
. — Aperçus historiques sur le magnétisme animal e
ravaux scientifiques de Biraid à Richet, de Charcot à Bernheim. 11e
Leçon
. — Les -eux écoles de la Salpètriére et de Nancy.
les procèdes hypnotiques. Présentation de sujets. Expériences. IVe
Leçon
. — Elude des phénomènes hypnotiques, tous démontr
rés reduisibles aux lois physio-psychologiques de la suggestion. 1e
Leçon
. — Les suggestions criminelles. Leur rôle, leur i
ur importance pour le Droit et pour la sociologie. Expériences. VIe
Leçon
. — Les prétendues merveilles de l'hypnotisme. La
ements inconscients. Histoire de la question, de Chevreul à Preyer.
Leçon
. — Sur les dangers de j'hypnotisatioa répétée sur
antages et ses limites. Espérances et illusions. On voit que chaque
leçon
était divisée en deux parties : une partie thérap
est '..i première fois qu'on a fait dans une université italienne une
leçon
sur la lecture de la pensée et sur la divination,
sent, les uns à la prédestination et les autres au déterminisme (l)
Leçons
professées à la clinique des maladies nerveuses,
pas rigoureusement à la réalité. Dernièrement encore, dans une de ses
leçons
cliniques de la Salpêtrière. M. Charot avait l'oc
ujours conclure à l'irresponsabilité légale de l'accusé ». Dans des
leçons
récentes, M. Bernheim, reproduisant devant ses au
déclarer qu'il est compétent dans cette science « pour avoir reçu des
leçons
de M. Charcot ». Je crains que la matière ne su
e, suggestion, psychothérapie, in-8° 1801, passim et particulièrement
Leçon
IX. (2) M. Bitot, chef de clinique de M. le pro
aussi parfois des excitations instinctives qui livrent l'homme, (1)
Leçons
professées a la Clinique des maladies nerveuses,
sistés, dans le service de clinique de M. le professeur Grancher, une
leçon
sor les applications pratiques de l'hypnotisme et
re catégorie que nous voulons étudier. M. Magnan a insisté dans ses
leçons
cliniques sur les troubles fonctionnels relevant
s : « L'hypnotisé ne sait-il pas qu'on lui demande de jouer une (1)
Leçon
» professée* à la Clinique de» maladies nerveascs,
gique et pathologique. — Applications cliniques de l'hypnotisme. La
leçon
du mardi 19 mai sera consacrée à l'étude de l'hyp
e Voisin commencera, le dimanche 24 mai, à 9 heures 1/2, une série de
leçons
clinique* sur les Maladies mentales. — 11 continu
praticiens sont venus, de tous les points du monde, s'instruire à ses
leçons
données avec tant de bienveillance et de désintér
ggestion, du professeur de clinique médicale de Nancy; ses savantes :
Leçon
* cliniques sur ta psychothérapie, ont vulgarisé l
purement intellectuel, culte idéal, exagéré, où n'entre (1) Maosax.
Leçon
* clinique* sur le délire chronique à étolulion sy
j1 '. M. Auguste Voisin a consacre La seconde partie de sa première
leçon
clinique à l'étudo expérimentale des suggestions
même sujel, dans le courant du mois de février, de revenir à la (1)
Leçon
faite à la Salpélrière, le 31 mai 1891. Salpêtr
n a commencé le dimanche 31 mai, à neuf heures et demie, une série de
leçons
cliniques sur les Maladies mentales. — Il continu
Hypnotisme à la Faculté de Médecine (l'). 60. Hypnotisme à Gênes (
leçons
sur), 158. Hypnotisme à la Cour d'assises (l'), p
tion, par Déjé-rine, 225. Hystérie provoquée par une maladie aiguë [
leçons
sur deux cas d'), par J. Grasset, 82. Hystérie,
. Ivresse au Congrès pénitentiaire de Saint-Pétersbourg (l'), 26.
Leçons
sur l'hypnotisme, à Gênes, 158. Législation de
t étudier en Europe pendant plusieurs années. A Berlin, il suivit les
leçons
de Wirchow et, à Paris, il fut un des Le Docteu
emps, elle échappe ; ou bien il y a surmenage, par exemple, quand les
leçons
sont trop longues, ou lorsque plusieurs cours ard
tendue qu'elle comporte dans une prochaine étude. Il faut que les
leçons
soient courtes, coupées par des repos bien ménagé
s qui se montrent trop sévères dans l'appréciation des devoirs et des
leçons
découragent les élèves. IV. Le surmenage scolai
les jeunes maîtres, manquant d'expérience ou trop zélés, donnent des
leçons
difficiles ou très longues. Ils voudraient enseig
t enseigner tout ce qu'ils viennent d'apprendre. Qu'arrive-t-il ? Les
leçons
ne sont pas sues, ou certaines matières se trouve
faire des lectures personnelles, il s'applique à ce qui se voit, aux
leçons
de mémoire, et néglige le reste. La faute en est
s'aperçoit de la supercherie. La maman trouva le moyen de donner une
leçon
très efficace à la fillette en la laissant au lit
e à la suite d'une semblable menace parce qu'il n'avait pas appris sa
leçon
. Il a fait le récit de ses angoisses dans ses sou
e l'école normale de la Seine, qui exposa d'une façon remarquable une
leçon
type de morale, comme on les fait dons les écoles
ocke, Mill et Spencer. L'Angleterre elle-même, ajouta-t-il, donne une
leçon
vivante d'éducation morale, car outre ses belles
estion de la morale directe, c'est-à-dire enseignée dans une suite de
leçons
régulières, et de la morale indirecte, enseignée
ide dans l'histérie (aim. méd, psycli. t. XVII (1877). (3) Pitres :
Leçons
sur l'hystérie et l'hypnotisme (t. ?, p. 282).
faisaient d'abord qu'une partie des exercices écrits, apprenaient des
leçons
plus courtes, et arrivaient peu à peu à rattraper
int-André-des-Arts, le jeudi 12 novembre, à 11 heures du matin, leurs
leçons
de Clinique psychothérapique, avec présentation d
Hospice de la Salpetriebe : Clinique des maladies nerveuses. — Les
leçons
du professeur Baymond ont lieu les mardis et vend
nt lieu les mardis et vendredis a 10 h. Service du Dr Jules Voisin. —
Leçons
cliniques le jeudi k 10 heures. Ouvrages reçus
s la présidence de M. Doumer,député de l'Aisne, ancien ministre. La
leçon
d'ouverture sera faite par M. Scié-Ton-Fa, mandar
ctualité, avait mis ù l'ordre du jour de la séance de réouverture une
leçon
de M. le profes-eenr TJbeyd-Onllah, de Constantin
ion pacifique dont la Turquie vient de donner un si bel exemple. La
leçon
de M. Scié-Ton-Fa témoigne du souci de l'Ecole de
ns pas dans plus de détails relatifs fi sa biographie. Dans cette
leçon
d'inauguration, M. Gley se proposa de définir In
orcer, par l'artifice, la note naturelle, car on sait, à la suite des
leçons
de Claude Bernard, que les symptômes de la cliniq
ance publique l'ont été avec le plus entier désintéressement. Ses
leçons
cliniques sur l'aliénation mentale, sur les malad
éloquente allocution que M. le professeur Brissaud, s'inspirant de la
leçon
du professeur LTbeyd-Oullah, adressa k ceux qui r
e leur pureté les doctrines fondamentales que nous ont transmises les
leçons
des Braid, des Durand de Cros, des Charcot, des D
s députés, de l'honneur qu'il nous a fait en acceptant de présider la
leçon
de M. Scié-Ton-Fa. Nul n'était mieux qualifié q
notre esprit guerrier, comme je le rappellerai dans le cours de cette
leçon
, mais jamais la disposition à jouer un rôle milit
49, rue Saint-André-des-Arts, les jeudis à 11 heures du matin, leurs
leçons
de Clinique psycho-thérapiqne, avec présentation
Hospice de la Salpétbtere : Clinique des maladies nerveuses. — Les
leçons
du professeur Raymond ont lieu les mardis et vend
lieu les mardis et vendredis à 10 h. Service du Dr Jules Voisin. —
Leçons
cliniques le jeudi à 10 heures. OUVRAGES REÇUS
utre peuple sur le terrain de l'honneur national ! * * * Après la
leçon
de M. Scié-Ton-Fa, M. Donmer a prononcé une éloqu
vis poux ainsi dire inséparables l'un de l'autre. Dans une série de
leçons
à l'Ecole de Psychologie, j'ai étudié l'action de
s ouvrages même les plus récents de psychothérapie. Au cours de mes
leçons
j'ai défini la psychothérapie « l'ensemble des mo
cordent une large part à l'enseignement. La presse, en publiant vos
leçons
et vos travaux, mon cher maître, se réjouit de l'
ette brillante réunion. Le Dr Jules Voisin, par ses écrits, par ses
leçons
, par sa pratique médicale privée et hospitalière,
ommes au génie bienfaisant tels que le Dr Jules Voisin, qui par leurs
leçons
, leur exemple se sont faits les initiateurs, les
Revue de VHypnotisme, septembre et suir.. 23• aimée. (2( Cari Vogt :
Leçons
sur l'homme P. 112. 1878 ni délicate ©t dont
es l'introduction a l'éducation, mais sans émousser l'intérêt par des
leçons
de choses prématurées ou mal comprises. C'est par
e jusqu'à ce jour il* tendent k confirmer notre hypothèse. Dans une
leçon
des plu» remarquables sur le sommeil dan* lee tum
de l'Influence la plus.active. Le fait avait déjà frappé ? Dans une
leçon
, faite en 1881 et rédigée par M. Marfau. il en té
l'Hypnotisme, wept. 1904. Paul Fabkz. — Les sommeils pathologiques,
leçon
d'ouverture A l'Ecole de psychologie, le 15 Janvi
l'aphonie disparut comme par enchantement. Hohenlohe n'oublia pas la
leçon
qu'il avait ainsi inopinément reçue de son premie
ssive aux beautés de notre littérature. Nous trouvons le type de la
leçon
attrayante dans le livre de M. Bezard : « La clas
si voua ne la faites pas aimer ». Il faut done le moins possible de
leçons
en forme, mais des causeries familières et des le
ustrées, innombrables. On peut de temps en temps au lieu de faire une
leçon
en forme, imaginer un voyage dans quelque pays in
si on employait trop tût l'abstraction. Nous trouvons le type de la
leçon
concrète, attrayante ponr les tout petits dans la
rs ne donuenl anr écoliers que du plaisir, les maîtres apprennent les
leçons
, les élèves les font réciter et les punitions son
e manquer le but. Mais ne la rendons pas de parti pris ennuyeuse. Une
leçon
concrète peut être dépourvue d'attrait, si le pro
ionnels extrêmement variés, joue cependant le rôle prédominant. (1)
Leçon
faite à l'Ecole de psychologie. Ce sont les a
s reflété dans les traités classiques et surtout dans les recueils de
leçons
cliniques. Lorsque l'auteur y consacre un grand n
JJIJftINIJ AVEC PSEUDO-HYPERTROPI3fE DE CERTAINS MUSCLES Dans une
leçon
publiée en mars 1885, M. le professeur Charcot, p
i ont été fournis en faveur de celte idée, renvoyant pour cela à la
leçon
de M. Char- cot, et à notre travail précédemmen
rcot. Révision nosog·aplcique des a'op/tt'M musculaires progressives (
leçon
re- cueillie par Pierre Marie et Georges Guinon
llie par Pierre Marie et Georges Guinon, Progr. méd., 1 mars 1885) et
Leçons
sur les maladies du système nerveux, tome III.
Voir à ce sujet : Charcot, Clinique des maladies du système nerveux ;
leçons
du pro- fesseur, mémoires, notes et observation
ar elle L'hypothèse de l'hysléro-traumatisme vaut bien (1) Charcot,
Leçons
sur les malad. du syst. Hère., t. II, p. 335. 2
e à une tumeur cérébrale dans un cas d'Itstéro- épilepsie. Charcot (
Leçons
sur les mal. du syst. nerv. T. III, p. 90). Obs
es faisant pen- ser à une lésion organique de l'encéphale. Charcot (
Leçons
sur les mal. du syst. nerf. T. III, p. 62). N
n se trouve en présence de convulsions par- tielles. (1) Charcot.
Leçons
du mardi, 1888, p. 203. maladies organiques DE
eur Charcot a adopté pleinement sa manière de voir, dans une de ses
leçons
(7). Ainsi, il est bien démontré que l'hystérie
une attaque d'hystérie. Lorsque ces contractures sont (1) Charcot,
Leçons
sur les mal. du syst. 7zei,v., t. 11, p. 252. (
ieu des autres manifestations de la névrose; c'est surtout dans les
leçons
de Brodie (1) qu'on les trouvera réunis en plus
ette division peut n'être pas absolue; elle n'en rend pas moins (1)
Leçons
sur les rr ? nerv. locales par Brodie, traduites
bres qui émanent de ces divers noyaux (1). Nous renvoyons à la même
leçon
du savant professeur pour la discus- sion du ca
ntusion du thorax et surtout une en- torse du poignet gauche. (1)
Leçons
du 20 juin 1892 et du 10 janvier 1893 recueillies
névrite cicatricielle. II Ceux d'entre vous qui assistaient à ma
leçon
du 20 juin de l'année 1892, il y a six mois, se
) Gilbert el Lion, Archives gén. de médecine, 1889. (8) Lancereaux,
Leçons
cliniques, 1892. 88 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
stériques et choréiques ayant simulé la méningite aiguë. (CIIARCOT.
Leçons
du mardi, n° 14, 1888). Observation XXI Syndr
ie. Revue de médecine, 1891. (6) Chauffard. Loc. cit. (7) Pitres.
Leçons
sur les anesthésies hystérique, Bordeaux 1887. Le
. (7) Pitres. Leçons sur les anesthésies hystérique, Bordeaux 1887.
Leçons
cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme 1891.
887. Leçons cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme 1891. Charcot.
Leçons
du mardi. (8) Babinski, Soc. méd. des lc6p., sé
UE DES DEUX HANCHES M. le professeur Charcot a rapporté, dans une
leçon
qui a été recueillie et publiée par A. Dulil da
(2), enfin celle de M. Raymond (3). Comme le dit M. Charcot dans la
leçon
à laquelle nous faisions allusion : « Il y a ai
Char- cot disait de Piq... dont il a rapporté l'observation dans sa
leçon
: « Le bassin est donc descendu dans son ensemb
Salpêtrière, 1892. Canon des proportions du corps humain et note in
leçon
déjà citée de M. Charcot. SUR UN CAS D'ARTHROPA
bservation I nous paraissent de nature à donner une (1) LANCEREAUX,
Leçons
de clinique médicale (Paris, 1892). DE LA MÉNIN
e. Quel intérêt pouvait-il avoir pour eux ? ' Or, dans une de ses
leçons
du mardi à la Salpêtrière (1), M. le Profes- se
isère et la maladie les oilt accompagnés partout. Ils (1,) Charcot,
Leçons
du Hardi, 19 fév. 1889, p. 347 et ses. 192 NOUV
itique. C'est ainsi que chez le ma- lade W... qui fit l'objet de la
leçon
de M. le professeur Charcot(ohserv.V), la rachi
uniquée par le M. le prof. Charcot ; le malade a fait l'objet d'une
leçon
clinique il la Salpêtrière). . Syphilis certain
pelaient ses erreurs. Mais lui, pour toute ré- ponse, multiplia ses
leçons
, ses communications, convia ses détracteurs à s
plus de trente ans à la Salpêtrière, la mort interrompit seule ses
leçons
qu'il professa jusqu'au dernier jour de l'année s
t que tout fût prêt pour ses cours. Le mardi matin, jour de grande
leçon
(le vendredi il en faisait une autre de cliniqu
fois suivante, personne ne manquait à l'appel. Jamais il ne fil une
leçon
sans que celle-ci fût pré- parée de longue main
La rédaction n'était pas difficile, il n'y avait rien à changer; la
leçon
était écrite tout entière de sa main, dans ce s
M. Marie signale expressément cette particularité dans une récente
leçon
, parue dans la Semaine médicale (1893). Notre m
t le cas de la malade de Julliard (1). M. Lancereaux (), dans ses
Leçons
cliniques, a récemment appelé l'atten- tion sur
autres formes (1) Julliard (loc. cil., page 50). (2) LANCEREAUX.
Leçons
de clinique médicale, Paris, 1892, p. 213. 270
'attendaient dans ce voyage (1) Voir numéro 4, 1893. (2) Charcot,
Leçons
du mardi, 1889, p. 348. 278 NOUVELLE ICONOGRAPH
professeur Benedicld qui l'examina soigneuse- ment et fit même une
leçon
sur lui, portant le diagnostic de paralysie par f
que sous les yeux. Aussi dut-il renoncer aux concerts et donner des
leçons
de violon. Cela dura jusqu'en 1889. Le 12 aoû
la recherche de leur royaume et de leurs adorateurs. (1) Charcot,
Leçons
du mardi, 1887-88, p. 16S et Leçon du 21 février
eurs adorateurs. (1) Charcot, Leçons du mardi, 1887-88, p. 16S et
Leçon
du 21 février 1889, p. 304. LE JUIF-ERRANT A LA
neurasthéniques ou hysléro-neurasthéniquesl Dans une de ses belles
leçons
du mardi sur l'hystéro-neurasthénie, M. Charcot
s, selon la méthode de Pestallozzi et de Froebel ; une boîte pour
leçons
de choses; des tableaux représentant des animau
'instruction de Mes- demoiselles Agnus qui, aussitôt, donnèrent des
leçons
aux enfants divisés en séries. Elles commencère
lpê- triére, t. III. (2) M. Charcot a parlé maintes fois dans ses
leçons
des zones hys- térôgènes. L'un de nous, utilisa
ique chez la femme (1). Il nous faut (1) Consulter sur ce point les
leçons
de M. Charcot, (t. i, 4° édition). 40 III'STl's
pages. - Prix : 50 cent. - Pour nos abonnés. 35 cent. BROD1E (B).
Leçons
sur les affections nerveuses locales, traduites d
cent. .j le progrès médical, 6, RUE des écoles. CHARCOT (J.-M.).
Leçons
sur les maladies du système nerveux, faites h l
-lithographie, 13 fr. - Pour nos abonnés... 10 fr. CHARCOT (J.-M.).
Leçons
sur les maladies du système nerveux, faites a l
graphie. Prix : 14 fr, - Pour nos abonnés 10 fr. CHARCOT (J.-M.).
Leçons
sur les localisations dans les maladies de la m
exte. - Prix : 6 fr. - Pour nos abon- nées 4 fr. CHARCOT (J.-M.).
Leçons
sur les localisations dans les maladies du cerv
texte. Prix : il f fr. - Pour nos abonnés 8 fr. CHARCOT (J.-M.).
Leçons
sur les maladies du foie, des voies biliaires e
phiques.- Prix : 10 fr. Pour nos abonnés ' 7 fr. CHARCOT (J.-M.).
Leçons
cliniques sur les maladies des vieillards et le
IER. (A.) De la pseudo-paralysie générale d'origine syphiliti- que.
Leçons
recueillies par E. Brissaud. Paris, 1878. In-8 de
pages. - Prix : 0 fr. 60. - Pour nos abonnés 40 cent. HAREM (G.).
Leçons
cliniques sur les manifestations cardiaques de
e. In-8 - Prix : 0 fr. 50. Pour nos abonnés 35 cent. LANDOLT (F,.).
Leçons
sur le diagnostic des maladies des yeux, fai- t
Brissaud.) ONIMUS, Des applications chirurgicales de l'électricité.
Leçons
re- cueillies par Bonnefoy. In-8 de 16 pages av
. Pour nos abonnés 2 fr PARROT. Clinique des maladies de l'enfance.
Leçon
inaugurale. Bro- chure de 20 pages. - Prix 0 fr
nos abonnés... 50 cent. * PARROT. Cours d'histoire de la médecine.
Leçon
d'ouverture du 2t novembre 1876. Paris, 1877, i
e 91 pages. - Prix : 1 fr. - Pour nos abonnés 70 cent. RANVIER (L.)
Leçons
d'anatomie générale sur le système musculaire r
- Prix : 12 fr. - Pour nos abonnés ........... 8 fr. RANVIER (L.).
Leçon
d'ouverture du cours d'anatomie générale au Col
- Pour nos abonnés ................. 40 cent. VIDAL. Du pityriasis,
leçon
recueillie et rédigée par de BEURhinNN. in-8 de
s de la nature. Il Ardigo. - La science expérimentale de la pensée.
Leçon
faite dans l'aida de l'Uni- versité de Padoue (
le travail chimique, XII, 83. Cf. La physio- logie et la médecine.
Leçon
d'ouverture du cours de physiologie, Paris, 188
he 3. » L'année suivante M. Charcot revient dans plu- sieurs de ses
leçons
sur le même sujet, à propos d'une malade de son
Du syndrome astasie-abasie. J. Grasset lui consacra ensuite trois
leçons
« D'un cas d'hystérie mâle avec astasie-abasie**
abasie, Paris, 1888. Archives de Neurologie, n° 43-44. 1 Charcot. -
Leçons
du Mardi, 24 janvier 1888. 3 Souza Leite. - Réf
on. - Normandie médicale, 1889. - SUR l'astasie-abasie. 61 de ses
leçons
en 1884 à un cas < d'Abasie forme trépidante à
ur. L'occlusion des yeux ne provoque pas de chutes. Elle 1 Charcot.
Leçons
du Mardi à la Salpétrière, 1888-1889, 5 mars. '
mais à propos du malade présenté par lui, l'année passée dans sa
Leçon
à la Salpêtrière 1, M. Charcot dit : « Les troubl
« Les troubles neu- 1 Loco citato. , ' Loco citato. ' Charcot.
Leçons
du Mardi, 89, 5 mars. sur l'astasie-abasie. 05
e que son premier malade des- ' Loco citato, p. 201. * Charcot. -
Leçons
du Mardi à la Salpêtrière, 1889, 5 mars. * Lofa
ce '. » > . Op. cit., p. 19 LES LOCALISATIONS CEREBRALES. 89
LEÇON
III. Messieurs, De nouvelles recherches de Sc
alGlatt., 1887, p. 213. , Op. cit. ' Depuis la rédaction de cette
leçon
, un cas a été publié par Dulepine (Tians. Patle
er n'a jamais eu la BIBLIOGRAPHIE. " 149 prétention de donner des
leçons
aux artistes. Il sait parfaitement, et pour cau
haute autorité M. le professeur Charcot dans une de ses lumineuses
leçons
de la Salpêtrière, vous engager à examiner les
qui l'a dicté. Gilles DE la TOULtETTE. BIBLIOGRAPHIE.. 151 III.
Leçons
de clinique médicale faites à l'hôpital de la Pit
Pitié; par LANCERE\ux. Paris, Lecrosnier et Babé, édit. 1890. Les
leçons
rassemblées dans ce volume ont été faites à l'hôp
-Anne) M. Magnan a repris dans l'Am- phithéâtre de l'admission, ses
leçons
cliniques, les dimanches et mercredis, à la mêm
sont consacrées il. l'étude pratique du diagnostic delà folie. Les
leçons
ont pour objet cette année, l'étude de l'alcool
° de 392 pages. Prix : 8 fr. Pour nos abonnés 6 fr. Grasset (J.).
Leçons
de clinique médicale faites a l'hôpital Saint-Elo
neux, cutanés, etc., et de troubles vaso-moteurs ou sécrétoires. '
Leçon
du 8 août 1890. Archives, t. XXI. 11 '162 CLI
insuffisante à nous démontrer. Vous avez tous lu, je suppose, les
leçons
de M. Charcot sur les atrophies musculaires des
uvements cadencés (forme chorée rythmée). M. Charcot adopte dans sa
leçon
de '1889 la division sui- vante 3 : SUR l'ast
ôue. - Anesthésie et ataxie hystériques, t. II, p. 25. ' Charcot. -
Leçons
du mardi, 1889, p. 359. · SUR l'astasie-abasie
ns plus haut, où il existe des contractions des muscles, 1 Charcot.
Leçons
du mardi, 89, 5 mars, p. 367. * L'autopsie d'un
' Russe) Reynolcio. - Brit. med. jours., nov. 1869. * Charcot. -
Leçons
du mardi, 1889, p. 376. 3 Moebius. Séparât ,4bd
és, Queen-Square Traduites par ROBERT SOREL, interne des hôpitaux
Leçon
IV. LE CENTRE DE l'audition Monsieur le préside
, 1883, vol. I, p. 995.) 0 Archiv. f. Klin. med., 1877, p. 208. '
Leçons
de Clin, méd ? 1867, p. 45. REVUE DE PATHOLOGIE
ésultats dans l'urémie et dans la fièvre typhoïde. Paul BLOCQ. X.
Leçons
de clinique médicale; par H. Rendu. Paris, 1890.
. Rendu. Paris, 1890. 0. Doin, édit. Bien que le tome premier des
leçons
de M. Rendu soit extrê- mement intéressant à pl
est particulièrement remarquable. Nous citerons aussi la série de
leçons
consacrées aux paralysies, diphtériqueset alcooli
qu'il l'observe, comporte un enseignement précieux. Les der- nières
leçons
comportent des notions éminemment originales, au
but, à leur marche, et aux symptômes concomitants. En résumé, les
leçons
cliniques de M. Rendu tiennent amplement les pr
OT SUR UN CAS D'HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER1; I, (
Leçon
recueillie par a. souques, interne, médaille d'or
linique. Vous vous souvenez sans doute que cette jeune fille se '
Leçon
du 24 février 1891. Archives, t. XXI. 2l 322
es à ceux que je vous faisais constater dans une de nos dernières
leçons
. Eu réalité, qu'il s'agisse de paralysie pédon-
tic. Voici les détails de l'observation qui a servi de thème à la
leçon
de M. le professeur Charcot : OBSERVATION, - 1
hypnogènes; des attaques de sommeil. Bordeaux, 1885. ' Charcot,. -
Leçons
du mardi, t. II, p. 326. ' Ségal. - Des halluci
tre. Déjà avant nos recherches, M. le professeur Charcot dans une
leçon
clinique avait montré qu'en s'adressant au sens
nt de fane tout récemment, à sa clinique de l'hôpital St-André, une
leçon
sur le mustisme et le bégayement hystérique 1.
, Qucen-Sql1are. Traduites par ROBERT SOREL, interne des hôpitaux
Leçon
V. Monsieur LE Président, Messieurs, Les re
aussi une diminution dans l'énergie des mouvements des membres ' *
Leçons
sur les fonctions motrices du cerveau. 1887. '
la marche coordonnée et qui, comme nous l'avons vu dans la première
leçon
, peuvent per- sister chez quelques animaux même
urs travaux de psychiatrie, publie 470 bibliographie. en quatorze
leçons
un résumé de psychologie physiologique. Il faut
arger dans la descrip- tion des hallucinations hypnagogiques. Ces
leçons
s'éloignent des doctrines de Wundt, dominantes en
et les continue les mardis, mercredis et vendredis, à 3 heures. Les
leçons
de notre distingué collaborateur sont fort suiv
-- Bordeaux, 1891. Imprimerie G. Gounouilhou. Charcot (.T. -M.). -
Leçons
sur les maladies des vieillards ; goutte et rhu
ar Baillarger, 142; - Anatomie artistique, par Paul Richer, 148 ;
Leçons
de eli- nique médicale de l'hôpital de la Pit
iszenskI, 301 ; - Lavage de l'organisme humain, par Sahli, 302; -
Leçons
de clinique médi- cale par Rendu 302 ; -Hypnoti
DES ATAXIQUES (Signe DE ROllBEIIG); Par le Professeur J. GRASSET.
LEÇONS
CLINIQUES RECUEILLIES ET PUBLIÉES Par le D' J.
premier abord, qu'elle ne mérite pas que j'en fasse l'objet de ces
leçons
. Mais en l'étudiant avec plus de soin il est faci
e ' Du vertige cnrclio-vasculaire, ou vertige des arlério-scléreux.
Leçons
de Clinique médicale, 1891, p. 522. ' Loc. ci
'exagération de cette doctrine qui voudrait faire de la 1 Fournier.
Leçons
recueillies par Dreyfous dans les Annales de der-
système nerveux central, th. d'agrégation, 1880. 3 Pierre Marie.
Leçons
sur les maladies de la moelle, 1892. ' 6 CLINIQ
s en avez un bel exemple; j'y reviendrai plus longuement dans des
leçons
ultérieures'. En ce moment, qu'il me suffise de
ce point de départ clinique que nous étudierons, dans la prochaine
leçon
, le signe de Romberg en détail, dans sa nature,
ion se produit à intervalles très irréguliers. Ainsi ' A. Pitres. -
Leçons
cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme, t. I,
brusquement à la suite d'une de ces crises, sont des 1 V. Charcot.
Leçons
sur le spasme glosso-labié. (Sem. médic, 1887.)
s avoir donné une gifle à l'un de ses enfants '. Dans ' Y. Charcot.
Leçons
du Mardi, 1887-1888, p. 111. 64 PATHOLOGIE NERV
uement par les laïques que par les religieuses. (B.) ' G. Ballet.
Leçon
à l'hôpital Saint-Antoine. (Semaine médicale, 1
ROPIIIQUE OU AMYOTROPHIE HYSTÉRIQUE ? DIFFICULTÉS DE DIAGNOSTIC. (
Leçon
recueillie par M. le D' DUTIL.) Messieurs, Je
r M. le D' DUTIL.) Messieurs, Je me suis attaché dans la dernière
leçon
à vous faire reconnaître sur deux sujets approp
DES ATAXIQUES (Signe de ROMBEnG)' J Par le Professeur J. GRASSET.
LEÇONS
CLINIQUES RECUEILLIES ET PUBLIEES P,Ir le D' J.
air, loc. cil., p. 180. 3 Axenfeld, loc. cil., p. 67. 3 Fournier.
Leçons
sur la période pré-alaxiquc du tabès d'origine
le verra, l'examen post-morlem a confirmé le dia- 1 Voir : Charcot.
Leçons
sur les maladies du système nerveux, Paris, 188
courant de l'année, survenues pour la plupart en classe pendant les
leçons
. Guérison par suggestion aidée de l'électricité
isons organiques et chimiques, et l'action de la vérole. La seconde
leçon
a trait aux symptômes nerveux attribuables à la s
Vernis (700 fr.). Mentions honorables à M. Yillahd (de Marseille) :
Leçons
sur l'alcoolisme. M. Albin Rousselet : Les secour
decine et chirurgie). Mention honorable à M. Pitres (de Bordeaux) :
Leçons
cliniques sur l'hystérie et l'hypno- tisme. P
kapels Ilandlingar, fev. 1893.) , Magnan (V.) ? yVach'M mentales.
Leçons
faites à l'asile clinique (Sainte- Anne), recue
e mars de cette année, M. le professeur Charcot a présenté dans ses
leçons
du mardi quel- ques cas de monoplégie hystériqu
mme. (Progrès méd., n° 3F, 37, 39, 40. 1885.) GEuvrescon : plètes :
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. III,' p
9. - Cette observation a été de la part de M. Charcot l'objet d'une
leçon
publiée dans la Semaine médicale du 8 juin 1892
e mouvoir, de sorte que M. Charcot a pu montrer le malade, dans une
leçon
, en état complet de pa- ralysie, et dans la leç
malade, dans une leçon, en état complet de pa- ralysie, et dans la
leçon
suivante en état d'amélioration très considérab
monoplégie flasque sans contracture. ' Charcot. OEuvres complètes :
Leçons
sur la maladie du système nerveux, t. III, p. 3
l'amnésie 1'éll'o-allté- rograde. (Rev. de méd.) . 1 ' Charcot. -
Leçons
du mardi, t. II, juin 1889. (Progrès Médical, 189
per des accès quotidiens de migraine ophthalmique qui ' Charcot,. -
Leçons
du mardi, 26 juin 1886. (Bulletin médical, 1888,
e une ébauche du syn- drome lui-même. M. Charcot, en 1888, dans ses
Leçons
du mardi et M. Babinski' ont montré que la migr
mangeait peu, mais travaillait encore régulièrement. 1 Charcot. -
Leçons
du mardi. 1887-1888. Policlinique du 10 jan- vi
tômes appartenant à chacune d'elles (M. Char- cot) ' . Charcot. -
Leçons
du mardi, policlinique, Il décembre 1888. 340 C
l'homme. (Progr. méd., nos 34, 39, 40, 1885.) - OEuu7-es complètes.
Leçons
sur les maladies du sys- tème nerveux, t. III,
t. Ce fut seulement le 16 novembre 1879 que M. Ball fit sa première
leçon
', c'est-à-dire plus de deux ans et demi après
Voici la liste des principaux travaux de M. le professeur Ball :
Leçons
sur les maladies mentales, 1883; 2e édition en 18
sme, Délire des persécu- tions (en collaboration avec M. CHAMBARD);
Leçons
professées à la Clinique des maladies mentales;
recueil intitulé {'Encéphale, etc. Il a également fait paraître les
Leçons
de M. Charcot sur les maladies des vieillards (
cot sur les maladies des vieillards (1866). B. BIBLIOGRAPHIE X.
Leçons
cliniques sur les maladies mentales; par le Dr Ma
X. Leçons cliniques sur les maladies mentales; par le Dr Magnan Les
leçons
cliniques sur l'épilepsie, sur la dipsomanie, sur
l'éliologie et le traitement de la sclérose en plaques a propos des
leçons
sur les maladies de la moelle. Brochure in-8° d
sUJ' les lzypnotiqlles2 . Tout récemment M. Pitres, au début de ses
leçons
, montrait les défauts des diverses définitions
stérique. (Archives de Neurologie, 1891. Extrait p. 8.) 3 Pitres.
Leçons
cliniques sur l'hystérie, 1891, t. I, p. 4. 4 G
cune lésion grossière et déterminée des centres nerveux. Dans ses
leçons
de 18811-1885, il a expliqué comment on pouvait p
. I, p. 417. Paul Richer, La grande hystérie, 1885, p. 301. Pitres,
Leçons
cliniques sur l'hystérie, 1891, t. 11, p. 235.
kt. Nous regrettons de ne pas connaître ce travail. ' A. Pitres.-
Leçons
cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme, t. I, p
i chez les aliénés qui ne sont point chauves. M. Magnan dans de ses
leçons
exposé des études très remar- quables sur les a
l'étiologie et le traitement de la sclérose en plaques à propos des
leçons
sur les maladies de la moelle par P. Marie. Par
es, par Blocq, 306; syphilis du système nerveux, par Gowers, 308;
leçons
cliniques sur les maladies mentales, par Iagn
le suicide im- pulsif conscient. Th. Bordeaux 1899. (2) CHARCOT.-
Leçons
du mardi T. 1(1887-88) p. 112; T. H (1888-89) p
ns du mardi T. 1(1887-88) p. 112; T. H (1888-89) p. 303. PITRES,-
Leçons
clinicl. sur l'hyst. et l'hypnol. 1891. T. Il p.
çons clinicl. sur l'hyst. et l'hypnol. 1891. T. Il p. 268. RAYMOxn.
Leçons
sur les maladies du système nerveux. 1" série 1
894-95. « Les délires ambulatoires et les fugues » p. 592. Grasset,
Leçons
de clinique médicale, ? série (1895-98) p. 137.
cation sensible, les idées françaises telles que les ont fixées les
leçons
de Charcot. (1). La question des fugues des ali
moplégie double; par lcHa&n. (Bullelcn médical, n° 28, 1906.)
Leçon
clinique de l'hôpital Tenon. Un sujet présente de
son Lectures n IV). (The Journal of Mental Science, avril 1905.)
Leçon
intéressante qui se termine par les considération
que des impres- sions le plus souvent passagères et fugitives, les
leçons
données par un instituteur laissent des impress
ulture des arts. Le principe de l'enseignement scienti- liqueest la
leçon
de chose» ; le jugement et l'observation sont s
mps fera peut-être' exaucer leurs \ ceux. Bernard P. » ? *" IV, -
Leçons
cliniques sur les maladies nerveuses et mentales,
uestions de la patho- logie nerveuse et mentale. Dans la première
leçon
, l'auteur analyse un cas de paralysie spinale p
et avec une différen- ciation nette des autres psychopathies. La
leçon
suivante analyse les classifications des maladies
choisitladernièreen y effectuant quelques changements. Dans la 6e
leçon
, l'auteur en exposant un cas jHdiciaire-ps¡¡- c
l'expertise psychiatrique ne doit présenter « rien d'autre qu'une
leçon
clinique bien exposée dans les termes les plus si
osée dans les termes les plus simples et les plus clairs ». La "e
leçon
roule sur un cas de psi/chose mixte dégénératif,
ant pour élément principal l'état d'exclusivisme pathologi- que. La
leçon
sert d'exemple évident de l'utilité de la connais
tion purement scientifi- que des phénomènes cliniques.. Les trois
leçons
suivantes sont consacrées à l'hystérie ; ce son
, suivantl'idée erronée qui existait.chez le médecin. Dans la 12°
leçon
, l'auteur expose un cas d'inversion sexuelle ch
tive, leurs particularités spé- ciales, etc. . VARIA. 91 La 13e
leçon
« de la maladie de Friedreich et du faisceau céré
dreich. » Il est bien difficile de bien exposer le contenu de cette
leçon
dans une courte analyse et elle mériterait d'êt
te analyse et elle mériterait d'être citée en entier. Dans la 14e
leçon
, l'auteur traite la question de la polynévrite
tives des nerfs périphériques, due à l'infec- tion générale. La 15e
leçon
contient la description d'un cas d'hy- pe1'trop
trophie de la face combinée avec la sclérodermie. Enfin dans la 16e
leçon
, l'auteur analyse 4 cas d'atrophie mus- culaire
OEuvres complètes de J.-M. Charcot, y compris les d'eux volumes des
LEÇONS
DU MARDI, et les deux volumes de CLINIQUES des
ion. Rappelons, en terminant, que M. Giaute fait tous les ans des
leçons
sur les maladies mentales et sur la médecine léga
Gazelle Médicale de .1'ai2Ges publie quel- ques-unes de ces bonnes
leçons
, fout à fait pratiques. B. VARIA Dix-septième
). ). Multiplex personnality·. Ibid.,1887, p. 499. RABIER (Elie).
Leçons
de philosophie; I Psychologie, 6e édi- tion. Pa
rs a pu fonctionner régulièrement sur les bases suivan- tes : Les
leçons
ont lieu deux fois par semaine aux jours et heure
e à la salle du parloir uti- lisé primitivement. La durée de chaque
leçon
varie de 3/4 d'heure à 1 heure. Afin de restrei
uvent assister régulièrement aux séances, le commencement de chaque
leçon
est consacré à une récapitulation de la leçon pré
ommencement de chaque leçon est consacré à une récapitulation de la
leçon
précé- dente. L'ensemble du cours comprend à la
e la leçon précé- dente. L'ensemble du cours comprend à la fois des
leçons
théori- ques et des exercices pratiques. Enfin
ainsi réparti : 508 correspondance. Anatomie et physiologie : 12
leçons
; . Anatomie et hygiène : 12 leçons ; Soins m
Anatomie et physiologie : 12 leçons ; . Anatomie et hygiène : 12
leçons
; Soins médicaux et chirurgicaux : 24 leçons ;
atomie et hygiène : 12 leçons ; Soins médicaux et chirurgicaux : 24
leçons
; Soins aux aliénés : 20 leçons ; Administrat
Soins médicaux et chirurgicaux : 24 leçons ; Soins aux aliénés : 20
leçons
; Administration : 6 leçons. Total : 80 leçon
: 24 leçons ; Soins aux aliénés : 20 leçons ; Administration : 6
leçons
. Total : 80 leçons,. C'est là, comme on le vo
s aux aliénés : 20 leçons ; Administration : 6 leçons. Total : 80
leçons
,. C'est là, comme on le voit, un programme comp
je me suis arrêté : Programme du cours. I. Soins hygiéniques : 2
leçons
: A) Hygiène de la salle de malades : a) Causes
malade : soins de propreté généraux. IL-Soins médicaux généraux : 2
leçons
: 1° Renouvellement de l'air dans une chambre d
sation des divers agents thérapeutiques : 1) Agents phy- siques : 8
leçons
; 1° Ventouses ; 2° Thermocautère ; 3° Saignées e
rtificielle ; B) Agents médicamenteux ; a) Pour l'usage externe : 3
leçons
; 1° Teinture d'iode ; 2° Vésicatoires ; 3° Sin
ires et gargarismes ; 10° La- vements ; b) Pour l'usage interne : 3
leçons
: Leur forme : liquide (potions, sirops, huiles
° Variole; b) Maladies parasitaires : écoles d'infirmières. 509 3
leçons
; 1° Ver solitaire ; 2° Gale ;'3° Teigne ; 4° Pel
ins chirurgicaux spéciaux, : a) Plaies, pansements et bandages : 15
leçons
; b) Fractures appareils plâtrés et massage : 3
andages : 15 leçons ; b) Fractures appareils plâtrés et massage : 3
leçons
; c) Hémorrhagies et hémostase : 1 leçon, Total :
ls plâtrés et massage : 3 leçons ; c) Hémorrhagies et hémostase : 1
leçon
, Total : 50 leçons. Jusqu'ici il a été fait 42
age : 3 leçons ; c) Hémorrhagies et hémostase : 1 leçon, Total : 50
leçons
. Jusqu'ici il a été fait 42 leçons, la majeure
hémostase : 1 leçon, Total : 50 leçons. Jusqu'ici il a été fait 42
leçons
, la majeure partie de notre pro- gramme a donc
a donc été déjà traitée, nous espérons l'achever en une dizaine de
leçons
. Qu'il nous soit permis de résumer les traits es-
hygiène du lit, soins de propreté pour les malades. Au lieu de 12
leçons
généralement prévues pour cette partie,nous n'en
anatomie et la physiologie qui comptent dans les programmes pour 12
leçons
ont été complètement laissés de côté. Pour y sup-
nsements, bandages et appareils plâtrés ont pris un grand nombre de
leçons
. Une grande importance a été donnée aux exercic
(Bulletin médical, n° 58, 1906.) C'est la première d'une série de
leçons
faites par l'auteur sur ce sujet à l'ordre du j
Tote, p. 65. Langage. De la confusion du : par Kéraval, p. 148.
Leçons
cliniques sur les maladies nerveuses et mentale
e deux symptômes hystériques, les hallucinations et l'Extase. Cette
leçon
sera pour vous, lecteurs, le « Sésame-ouvre-toi »
vant elle. La première avait été fortement effrayée (1) a. Pitres :
Leçons
cliniques sur Vhvstivicet riiypnotisme. Doin, Par
) Voyez Revue de l'Hypnotisme, n* de juillet 1906. t'2) D' Pitres :
Leçons
cliniques sur F hystérie et Vhyfnoliime, p. 0, to
ompara les deux apparitions : on fît sur elle de la suggestion. Ces
leçons
entrèrent profondément dans le cerveau de Bernade
. Un peu plus tard l'homme-momie servit de prétexte aune intéressante
leçon
du professeur Grasset à l'hôpital Saint-Eloi, de
ème année de son existence, continuera à publier un certain nombre de
leçons
et de conférences. La Bibliothèque de l'Ecole de
r à, l'Ecole de psychologie, le mercredi 10 janvier, à 5 heures. La
leçon
d'ouverture sera faite par M. le Dr Paul Magnln.
t d'autant plus difficile à dépister que les simulateurs trouvent des
leçons
non seulement dans les livres de médecine, mais m
décembre, un cours sur les maladies mentales et nerveuses. Plusieurs
leçons
y seront consacrées aux applications cliniques de
tendre toute œuvre véritablement animée de l'esprit scientifique. La
leçon
d'ouverture avait été faite par le Dr Bérillon, m
en grande partie de médecins, fut vivement Intéressé par ces savantes
leçons
. Plusieurs des auditeurs confirmèrent, par des ob
Ribera s'est complu à nous donner dans cette couvre une excellente
leçon
de psychologie. Un autre se fût borné à nous tran
rons ce qui se passe chez les jeunes élèves, quand ils apprennent une
leçon
de mémoire. L'un est silencieux et immobile ; s
nt des images visuelles qu'il grave dans son esprit. L'autre lit sa
leçon
tout haut ou se la fait lire à haute voix ; atten
oreille, il s'assimile des images auditives. Un autre lit aussi sa
leçon
à haute voix ; mais, accoudé sur la table, il se
otrices d'articulation. Un autre, enfin, écrit de sa propre main sa
leçon
tout entière ; il confie à sa mémoire des images
urs pédagogiques très regrettables. ¦Ainsi, dans les internats, les
leçons
doivent être apprises dans le plus profond silenc
ossibilité de rien retenir. D'autre part, pendant les études dites de
leçon
, il est défendu, d'ordinaire, de tenir une plume
pour impressionner sa mémoire. Pour ce qui est de la récitation des
leçons
en classe, elle a lieu à haute voix; or les visue
ls ou graphiques. En somme, on exige que les élèvesapprennent leurs
leçons
comme s'ils étaient tous des visuels et qu'ils le
e dans un lycée de Paris. Bien intentionné, courageux, il apprend ses
leçons
très consciencieusement; il les écrit même en ent
J. Voisin, médecin de la Salpètrière. M. le Dr Paul Magnin fera la
leçon
d'ouverture sur : La psychothérapie et l'hypnotis
10 heures, un cours sur les maladies mentales et nerveuses. Plusieurs
leçons
y seront consacrées aux applications cliniques de
eaucoup de nos compatriotes sont venus à Paris pour y suivre d'utiles
leçons
qu'ils n'auraient pu trouver ailleurs. Je suis
ticiens étaient venus, de tous les points du monde, s'instruire à ses
leçons
données avec tant de bienveillance et de désintér
ua âommeô vu contzaint de zepoztec au pzocltain numéro la âuite de la
Leçon
d'ouveztuze de M. leD' Magnin: Psychothérapie ei
ré-des-Arts, les mardis et les vendredis à cinq heures. La première
leçon
aura lieu le mardi 8 mai à cinq heures, sous la p
eignement. Nous voudrions pouvoir citer de nombreux passages de cette
leçon
tout à fait remarquable dans lesquels le professe
harcot expose en ces termes : En premier lieu, dit-il dans une de ses
leçons
, on agit autant que possible sur l'esprit des mal
istent encore chez les deux malades (présentés aux auditeurs de cette
leçon
] à la vérité à un degré très faible et nous cherc
quelle, l'année dernière, M. Bérillon a si longuement insisté dans sa
leçon
sur l'éducation du caractère. Or notre rôle est p
ujet familier à la plupart d'entre vous. M- Bérillon vous a, dans ses
leçons
, exposé tout au long, sa méthode. En vous présent
thérapeutique et à la pédagogie des enfants vicieux ou anormaux. La
leçon
d'ouverture aura lieu sous la présidence de M. le
cation du caractère. Il la formulait ainsi, en 18SS, dans sa première
leçon
à l'école pratique de la faculté de médecine : «
cond l'hypnose a été réalisée involontairement et fortuitement. (1)
Leçons
faites à l'Ecole de Psychologie. L'élude atte
pour désigner les mêmes choses ? Et quand on se rappelle que dans une
leçon
précédente M. Dubois a protesté contre l'emploi d
le continuera le samedi de chaque semaine, à la même heure. Dans sa
leçon
d'ouverture, M. le Dr Paul Farez a, devant un trè
sont pas, le moins du monde, hystériques. H abordera, dans sa seconde
leçon
, la Psychopathologie du tube digestif et traitera
se trouvent les sujets à faire acte d'initiative. C'est exacle- (1)
Leçons
faites i l'Ecole de psychologie. (3) Voir Revue
te qu'elle est malade depuis longtemps et qu'elle a été l'objet d'une
leçon
faite par Lasègue, à la Pitié, il y a trente-six
ALE GROUPE DES MYOPATHIES DE CAUSE SPINALE. - PARALYSIE INFANTILE
Leçon
faite par M. CHARCOT, à la Salpêtrière (juillet 1
ois. Un mois après, le 18 juin, la guérison était achevée. Dans une
leçon
sur le traitement de la Chorée (the Lancet, i 849
LE IGROUPE DES MYOPATHIES DE CAUSE SPINALE. - PARALYSIE INFANTILE
Leçon
faite par M. CHRCOT, à la Salpêtrière (juillet 18
QUE DES HOPITAUX DE PARIS CLINIQUE CHIRURGICALE DU TORTICOLIS
Leçons
cliniques faites par M. le professeur BROCA, à l'
avaux impor-tants : le livre de physiologie comparée de M. Colin, les
leçons
du semestre d'hiver de M. Cl. Bernard, sur la phy
ticiable et même indiquée si cette femme eût été mariée. — Dans une
leçon
clinique publiée récemment dans ['Union mé-dicale
ES HOPITAUX DE PARIS CLINIQUE MÉDICALE DE L'ISCHURIE HYSTÉRIQUE
Leçon
faite le 21 mai à la Salpêtrière par M. Gharcot.
pris dans cet hospice ont mis en lumière. 1 Voyez Revue, page 1, la
leçon
de M. Cuaucot sur la Paralysie infantile. 4e AX
suivie d'une contracture du mem-bre supérieur gauche; et, lors de mes
leçons
, en 1870, je vous ai présenté cette malade comme
NTS ÉLECTRIQUES SUR L'ORGANISME CONSIDÉRÉ COMME CONDUCTEUR PHYSIQUE
Leçon
faite le 22 juin à la Salpêtrière par m. onimus M
istinctement à tous ceux qui travaillent. Je me propose, dans cette
leçon
, de vous indiquer les lois prin-cipales et les pr
encore un intérêt de plus par les emprunts faits par M. Villard à des
leçons
inédites de M. Charcot sur différents points de l
éré (page 209) un exemple très-intéressant de molluscum. 1 Pans les
Leçons
cliniques sur les maladies chirurgicales des enfa
NTS ÉLECTRIQUES SUR L'ORGANISME CONSIDÉRÉ COMME CONDUCTEUR PHYSIQUE
Leçon
faite le 22 juin à la Salpêtrière par m. onimus
es faits en 1868 avec M. Ch. Lcgros, et depuis cette époque, dans une
leçon
faite à Ileidelberg en 1870, M. Ilelmholtz relate
re augmentée par un courant ascendant. — Nous pouvons résumer cette
leçon
en disant que les courants induits diffèrent des
osée d'après les idées émises par M. Mauriac dans ses annotations des
Leçons
de West sur les maladies des femmes. « En résumé,
DES HOPITAUX DE PARIS CLINIQUE MÉDICALE DE L'HYSTÉRO-ÉPILEPSIE
Leçon
faite à la Salpètrière, en juin 1872, par M. CHAR
ande la permission d'entrer dans quelques développements. • Voy. la
leçon
sur l'Hyper est hésie ovarienne in Mouvement médi
e, porte prin- 1 II s'agit là de la malade qui a fait l'objet de la
leçon
sur VIschurie hysté-rique. (Voy. Revue phot. des
1 Yoy. dans le Mouvement médical (nouvelle série, n°3 3, 4 et 5) la
leçon
sur VHyperesthéste ovarienne. dont nous avons e
ociété de biologie, par M. Hanot, un interne de cet hospice. 1 Voy.
Leçons
sur ce sujet dans le Monv. méd., 1771, p. 124.
ÉLECTROTHÉRAPIE DE L'ACTION THÉRAPEUTIQUE DES COURANTS CONTINUS
Leçon
faite le 13 juillet à la Salpètrière par m. onimu
13 juillet à la Salpètrière par m. onimus. Messieurs, Dans cette
leçon
, nous chercherons surtout à vous indiquer les fai
et nous nous trouvons justement devant un de ces cas dont la dernière
leçon
de M. Charcot1 peut nous aider à déterminer facil
qui eût guéri plus lentement et moins incomplètement. (A suivre.) 1
Leçon
sur les Affections du bulbe, 1872. REVUE PHOTOG
icules a été trouvée la même. Les expériences rapportées dans cette
leçon
« étabiissenf'claire-ment que la température des
lecteurs qui désirent avoir de plus amples détails ; la rédaction des
leçons
du savant physiologiste ne laisse rien à désirer.
ÉLEGTROTHÉRAPIE DE L'ACTION THÉRAPEUTIQUE DES COURANTS CONTINUS
Leçon
faite le 15 juillet à la Salpètrière par M. ONIMU
uer, rien n'empêcherait d'avoir recours aux anciennes méthodes. XI.
Leçons
de clinique obstétkicale , professées par M. Depa
1 1 vol. 1er fascicule, chez Air. Delahayc, éditeur. Paris, 1872.
leçons
qu'il a faites à l'hôpital des Cliniques en prése
a grossesse gémellaire sont longuement étudiées. Un certain nombre de
leçons
ont été aussi consacrées au palper abdominal, au
veau l'action physiologique de la di-gitale, qu'il décrit d'après les
leçons
du professeur Sée ; il range ce médicament dans l
, j'ai souvent eu recours aux notes précieuses que j'avais prises aux
leçons
orales que M. le professeur G. Sée nous fit sur l
ale de la jam-be, etc., par Poulain. 253. Uystého-épilepsie (De F),
leçon
de M. Charcot recueillie par Bourneville , 273. —
I Infection purulente, 521, 555. Isciiurié hystérique (De 1'),
leçon
de M. Charcot, l'ecueillie par Bourne-ville, 161.
cas de), par Parrot, 25. Myopathies (Groupe des) de cause spi-nale,
leçon
de M. Charcot, recueillie par Bourneville, I, 56.
), par P. Rudin, 192, 568 (voy. Tumeur molluscoïde, Coups libreux). —
Leçons
de clinique obstétricale , par Dcpaul. (An.-P. Bu
rpille (Appareil électrique de laV, parMarey, 118. .Torticolis(Du),
leçons
de M. Broca, re-cueillies par G. Richelot, 65.
it bien d'hystériques, c'est que les sujets de Nancy présentent (I)
Leçon
faite à la Saipéuierc le vendredi 19 juin 1891.
iques. Elle a agi comme un agent révélateur de l'hystérie. Après la
leçon
de M. Babinski, M. Charcot, prenant la parole, a
de l'École de Nancy au point de vue médico-légal. Il a consacré deux
leçons
à celle intéressante élude. L'éminent agrégé, t
le l'intervention d'en chirurgien aurait pu devenir nécessaire. (1)
Leçons
faites à la Salpetrière le mardi 23 et le vendred
Dr Auguste Voisin continue le dimanche, à neuf heures et demie, ses
leçons
cliniques sur les Maladies mentales. M. Voisin
'hypnotisme. OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Ball (Le professeur B-). —
Leçons
sur les maladies mintales, deuxième édition, in-8
(Dr A.), professeur et doyen de la Faculté de médecine de Bordeaux. —
Leçons
cliniques sur l'Hystérie et l'Hypnotisme faites ù
e puis donc en donner l'explication suivante : Nous savons, par les
leçons
de Dubois-Reymond, que les exercices de notre cor
inion, et comme j'ai eu l'occasion de l'exposer dernièrement dans une
leçon
que mon maître, M. le professeur Charcot. a bien
e exemple à de mauvais drôles, à des chenapans, on « leur donne des
leçons
dont ils tireront profit; on leur indique les pro
s-Arts. — Le samedi 10 octobre, à dix heures, commencera une série de
leçons
pratiques sur les applications cliniques de l'hyp
otisme et sur les travaux récents de psychologie-physiologique. Les
leçons
continueroat tous les samedis, à dix heures. RE
tisme (Arehires de Neurologìe. Janvier et mars, 1889). (5) Grasset.
Leçons
sur le grand et le pelil Hypnotisme {Reçue de l'H
p. 33. (2) Moll. Hypnotisme. Lipsia, 1889, p. 53. (3> Gbassct.
Leçons
mr te grand et û petit hypnotisme. L. c. if) Babi
i) Ciarcot et Miuotti. — Loc. cit. Pages |ï et 18. (5) Ouvrage dté. —
Leçons
de Charcot. nerfs (contracture léthargique), Fi
les Drs Bérillon et Lajoie y font tons les samedis, à 10 heures, des
leçons
pratiques sur les applications cliniques de l'hyp
Voorhont). — M. IeDr a. de Joug fait pendant le semestre d'hiver des
leçons
cliniques sur 1 "hypnotisme. Clinique de psycho
nthousiasme. Même le Dr Pitres, dans son dernier ouvrage si complet :
Leçons
cliniques sur l'Hystérie et l'Hypnotisme, tombe d
les Drs Bêrillon et Lajoie y font, tous les samedis, à 10 heures, des
leçons
pratiques sur les applications cliniques de l'hyp
e-Anne. — M. Magnan a repris, dans l'amphithéâtre de l'admission, ses
leçons
cliniques, les dimanches et mercredis, à 10 heure
edi sont consacrées à l'étude pratique du diagnostic de la folie. Les
leçons
auront pour objet, cette année, la folie des héré
harcot. — « Sur un cas d'hystérie simulatrice du syndrome de Weber». (
Leçon
recueillie par Soucques.) (Archives de neurologie
s.) (Archives de neurologie, n° 63, mai 1891.) Charcot (J.-M.). — «
Leçon
sur un cas d'hystérie masculine (Arch. de neurol.
rations devant d'autres spectateurs que les élèves admis à suivre ses
leçons
. D'autres personnes que des médecins se sont occu
les 1)" Bérillon et Lajoie y font, tons les samedis, à 10 heures, des
leçons
pratiques sur les applications cliniques de (hypn
maladies du système nerveux. — M. le professeur Charcot a repris ses
leçons
du mardi depuis le 27 octobre et elles se continu
et elles se continueront tous les mardis suivants. De 10 à 11 heures,
leçons
sur un malade; de 11 à 12 heures, examen des mala
ère— MM. les Dn Joffroy et Jules Voisin font, à la Salpétrière, des
leçons
sur les maladies mentales et nerveuses, le jeudi
dies de la peau. Trad. de G. et E. Darin, I880, p. 162. (6) Bazin :
Leçons
théoriques et cliniques sur les affections généri
provoqué chez les hystériques (1). » H y a quelques mois, dans une
leçon
faite à la Salpétrière sous les auspices de M. Ch
ne abstinence presque complète. Il y avait plusieurs mois (1) Pnus.
Leçons
clinique* sur ChytUric et thypnotiiou. Paria, t.
ment inscrits sont admis à y assister. «amedl, à dix heures et demie,
leçon
clinique. cocas libre. — M. le D' Bérillon, lic
avmond. professeur agrégé, fait, tous les samedis, à neuf heures, ane
leçon
sur les maladies nerveuses. M. Charles Henry, m
A. Storck, a Lyon.) Grasset (ProP). — Un cas de maladie de morvan.
Leçons
recueillies par le D' 11. Gui-bor:, (Une brochure
ritiquer la brièveté de la relation qui en avait été donnée, dans une
leçon
que je faisais à la Salpètrière sur les suggestio
RS ET CONFÉRENCES Sur un cas d'amnésie rétrograde et antérograde. —
Leçon
de M. le professeur Chakcot (clinique de la Salpê
pêtrière). M. le professeur Charcot a consacré récemment une de sas
leçons
à l'étude d'an cas des plus rares, mais aussi de»
qu'elle a va depuis quatre mois environ (du 2i août au jour de cette
leçon
, 22 décembre) a été oublié immédiatement. Elle se
t inscrits sont admis à y assister. Le samedi, à dix heures et demie,
leçon
clinique. Le Dr Bérillon fera, à partir do same
nique. Le Dr Bérillon fera, à partir do samedi 14 mai, une série de
leçons
sur la Psychologie de l'enfant et les application
Le cours aura lieu quatre fois par semaine et sera complet en vingt
leçons
. Les é'èves, dont le nombre sera limité, seront e
t inscrits sont admis à y assister. Le samedi, à dix heures et demie,
leçon
clinique, Salpbtrièrb. — M. le Dr Auguste Voisi
la salle des Cours, section Bambuteau, à la Salpétrière, une série de
leçons
sur les maladies mentales et nerveuses. Plusieu
e série de leçons sur les maladies mentales et nerveuses. Plusieurs
leçons
seront consacrées aux applications cliniques de l
er les effets d'après les règles d'une posologie très précise.| (1)
Leçon
faite à l'Ecole de psychologie. — Y. le n° précéd
sions faire de oet enseignement dont nous avons si souvent publié des
leçons
dans la Reaue de l'Hypnotisme. Dans la même pro
nstruire, demeurent légers, inconséquents, incapables de profiter des
leçons
de l'expérience. Ce sont ces jeunes gens irréfl
isonner juste par des exercices spéciaux, des épreuves pratiques, des
leçons
de choses, des enseignements tirés des faits de l
sa famille et de ses collègues. Bené Pamart s'était inspiré dans ses
leçons
des travaux de notre éminent maître, M. le profes
mmes de devoir et d'étude qui ont suivi pendant tant d'années les
leçons
du maître et qui s'éparpillent aujourd'hui aux qu
cours de l'Ecole de psychologie dans laquelle 31. Guilhermet fera la
leçon
de réouverture le 10 janvier 1910 sur les causes
, la suggestion n'est rien d'autre que la gron-derie d'une mère ou la
leçon
d'un professeur ; bien mieux, on renonce au mot h
ré-des-Arts, le jeudi 25 novembre à 10 heures et demie du matin leurs
leçons
de Clinique psychothérapique, avec présentation d
Hospice de la salpêtrière : Clinique des maladies nerveuses. — Les
leçons
du professeur Bay mond ont lieu tous les mardis e
tous les mardis et vendredis à 10 h. Service du Dr Jules Voisin. —
Leçons
cliniques les jeudi à 10 heures. Consultations
ETIN Dixième réouverture des cours de l'Ecole de psychologie. — Une
leçon
sur la psychothérapie il la Faculté de médecine.
eures, sous la présidence de M. Cruppt. député, ancien ministre. La
leçon
d'ouverture sera faite par M. Guilhermet. avocat
eignements sur la psychologie comparée. M. Louis Favre consacrera ses
leçons
a l'emploi de la méthode expérimentale en psychol
sont publics. Nos lecteurs sont conviés à assister. L'annonce d'une
leçon
do professeur Gilbert sur lit psychothérapie avai
étais également rendu dans son amphithéâtre. A ma grande surprise, la
leçon
n'était pas faite par le professeur lui-même, mai
isait fort excellement le docteur Paul Magnin» dans la si remarquable
leçon
de réouverture des cours k l'Ecole de psychologie
de Dieu ou du diable Les uns et les autres pourraient profiter des
leçons
du passé. Les gens de suffisance, comme certains
Déjerine fera pendant les moisde janvier et de février un cours en 10
leçons
sur les psycho-névroses, leurs manifestations fon
â la même heure. Clisiqce des maladies nerveuses. Salpêtrière : Les
leçons
de M. le professeur Raymond ont lien les mardis e
é longtemps désirée, M. le professeur Brissaud était venu présider la
leçon
de réouverture des cours faite par un savant musu
cours. Nul n'était mieux qualifié que M. Cruppi, pour présider à la
leçon
de notre collègue il. Guilhermet sur les Causes p
il me reste à vous exposer quelques-unes des impressions que la belle
leçon
de mon jeune ami et collègue du barreau de Paris,
nt d'auto-hypnotisation spontanée. U l'a exposé dans plusieurs de ses
leçons
: mais dans aucun cas il ne la démontré d'une faç
fonctionnelle des hémisphères cérébraux. Paris 18*1. (2) Ciiabcot :
Leçons
sur les maladies du système nerveux. T. iii. p. 3
oquée dans le stade somnambu-lique les yeux ouverts ». (1) Pitres :
Leçons
cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme. (2) P
t enseignement auquel nous empruntons les passages suivants : • Les
leçons
que le professeur Déjerlne vient de consacrer aux
ques qu'on observe si fréquemment chez les médiums. Charcot, dans ses
leçons
sur les maladies du système nerveux, a consacré u
la psychothérapie. « Je tiens cependant, écrit—il, a mentionner une
leçon
qui m'a particulièrement Intéressé, leçon dans la
écrit—il, a mentionner une leçon qui m'a particulièrement Intéressé,
leçon
dans laquelle le P* Albert Robin a voulu accentue
ce. « Fidèle a ces principes, il » soumis les malades visés dans sa
leçon
a une cure psychotéruphique rationnellement conçu
de juin par un cours de psychothérapie pratique et d'hypnologie en 12
leçons
. Le droit d'inscription est fixé à 50 francs. On
es, la montre est approchée du porte-voix. La contrac- (1) PiTBts :
Leçons
cliniques snr l'hystérie et l'hypnotisme 1891. T.
ces de la veille. C'est ce que Charcot a si justement observé dans sa
leçon
sur le viliganbulisme. C'est également ce qu'en d
ement exposé les impressions qno lni avalent lnsplreos do magistrales
leçons
de MAI. les professeurs Dien-lafoy, Albert Bobin
n savait d'avance que son substitut d'un jour ferait une intéressante
leçon
. Cette attente n'a pas été déçue. « Le Dr Béril
Rénon vient, à l'hôpital Necker, d'exposer dans nne très remarquable
leçon
l'esprit de la cliniqne moderne. La clinique mo
'être guidés, coordonnés et utilisés. C'est pour cela qu'on donne des
leçons
de gymnastique raisonnée et que ces leçons ont ét
pour cela qu'on donne des leçons de gymnastique raisonnée et que ces
leçons
ont été préconisées depuis les temps les plus rec
çons ont été préconisées depuis les temps les plus reculés ; mais ces
leçons
de gymnastique pour être efficaces doivent elles-
lir les mouvements et de bien les coordonner, on donne à l'enfant des
leçons
de choses. Par le jardin de l'enfant, on lui appr
elque façon que ce fut, l'état cataleptoïde cessait immé- 1 : Rail.
Leçons
sur les maladies mentales, 1880-1883. 74 NOUV
faisants pour que nous' ayons cru devoir en. 1 l'aire l'objet d'une
leçon
. L'idée de ce traitement appartient alllD"'Mot-.
aire de faire, toutes les quinze ou vingt secondes, 1. Résumé de la
leçon
du 15 janvier 1889, par M. Gilles de la Tourette,
é tout à fait remarquable. Trois d'entre eux ont été présentés à la
leçon
du 15 janvier. Nous allons succinctement analys
malade qui avait subi trente séances a été également présentée à la
leçon
. Sa mère qui l'accompagnait a qualifié « d'extr
ffensifl. J.-M. CIIARCOT - (de l'Institut). 1. Depuis que cette
leçon
a été publiée, M. le professeur Charcot a eu l'oc
ésenté à nouveau les ataxiques qui ont servi de thème à sa première
leçon
; l'amélioration non seulement se maintenait chez
e D' Motchoukowsky, d'Odessa. Le résumé, que nous avons donné de la
leçon
de notre maître, con- tenait en effet peu de dé
jusqu'à présent obtenus à la Clinique, résultats consignés dans la
leçon
que nous avons analysée dans le Progrès médical
rimentale nouvelle inaugurée par M. le professeur Charcot. Dans ses
leçons
des deux dernières années sur les paralysies el
1..1.-itl. Charcot, Spasme glosso-labié unilatéral des hystériques.
Leçon
clinique in Semaine médicale, 2 février 1887.
une fluxion de poitrine, il était alcoolique. Une tante morte il 1.
Leçons
du mardi. Policlinique, 1887-1888, p. 43'J. 2.
bservation rapportée par M. Charcot dans le troisième volume de ses
Leçons
sur les maladies du, système nerveux (p. 441) (
rcot a présente cette malade à sa Policlinique du 2G juin 1888. 1`n ?
Leçons
du Mardi, ù la Salpètrière, p. 182 et seq. 1888
algie hystero-traumatique du genou gauche qui a fait le sujet d'une
leçon
de M.Charcot, le23 décembre 18871. Nous ne rapp
écemment appelé de nouveau l'attention dans une de ses remarquables
Leçons
du 18G NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETiMËRE.
s du Mardi ù la Salpètrière, 1888, p. 288, et appendice, p ? 8G. 2.
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. III, p. 2
si fréquente 1. Spasme ¡(losso-lauié unilatéral des hystériques. -
Leçon
clinique in Semaine médi- cale, 2 février 1887.
1. L-t ! . Charcot. Spasme -Iosso-lahié unilatéral des hystériques.
Leçon
clinique in Semaine médicale, 2 lévrier 1887. B
stériques. Archives de neurologie, n°' : 31 et 35, 1886. - Charcot.
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. III, p. 1
e qui regarde à proprement parler l'atrophie musculaire. Dans ses
Leçons
cliniques du premier semestre de l'année 1. G'a
ntion est de publier les observations des malades qui ont servi aux
leçons
de notre éminent maître, en les faisant suivre de
décrire. Le 28 juin 1889, M. le professeur Charcot, dans une de ses
Leçons
du mardi4 aétudié« l'oedème bleu des hystérique
f mental sciences, vol. LXXXVIII, Philadelphie, 1881, p. 91.). 4.
Leçons
du mardi à la Salpêtrière, 1888-1889, 21° lcç., p
alade (Saint-Denis, 15 ans 1/2) a été présentée par M. Charcot à sa
Leçon
du Mardi, 5 février 1889. A cette époque elle é
e a été de 37° 4, C. Nous empruntons la suite de l'observation à la
Leçon
du Mardi, 5 février, que notre maître, M. le pr
présentés par la malade dont le sommeil est entrecoupé pendant la
leçon
même par des salutations. « Vous reconnaîtrez - d
appui en montrant que, en ce qui concerne la perte du poids du 1.
Leçons
du mardi, 1888-1889, 4° lcç., p. 69 298 NOUVELL
utres états, courbe qui mérite, comme l'a montré M. Charcot dans sa
Leçon
du 5 février, d'occuper un rang de première imp
res pendant la période fébrile nous avaient frappés. On pouvait, 1.
Leçons
du mardi ( ! la Salpêtrière, 1888-89, 11, leçon,
és. On pouvait, 1. Leçons du mardi ( ! la Salpêtrière, 1888-89, 11,
leçon
, p. 235. 2. ]tact. De la chorée chronique. Th.
rvation a été présenté par M. le professeur Charcot dans une de ses
Leçons
cliniques du mois de novembre 1889. M. Charco
rs 1889. Ce cas a été analysé par M. le professeur Charcot dans ses
Leçons
du mardi à la Salpêtrière, 18° Lcç. 1889, pu15.
Couvât. Essai sur l'urémie délirante, Thèse de Lyon 1883. Joffroy.
Leçons
delà &t<p<'7;'t'e, 11 décembre 1890.
s laboratoires. Chacun d'eux est de service à tour de rôle pour les
leçons
cliniques. La Clinique disposant de 80 à 100 li
giéniste. Nous ne parlerons que du cours de psychiatrie, fait en 12
leçons
par le professeur Sommer. M. Sommer, après une
mples, interrogatoire des auditeurs. Le cours s'est terminé par une
leçon
sur les applications pratiques de la psychatrie
né par un e muet. Progrès pour tous les exercices, surtout pour les
leçons
de choses. Archives, 2» série, t. XVI. i l'ig
mine pendant le trajet. Si le jour où l'on a l'habitude de faire la
leçon
orale de grammaire, on fait une leçon de choses
l'on a l'habitude de faire la leçon orale de grammaire, on fait une
leçon
de choses, il est fâché, ne veut rien écouter,
23. place de l'Ecole-de-blédecine. Prix : 6 francs. Raymond (F.)
Leçons
sur les maladies du système nerveux (1900- 1901
lbaire, mais aussi spinale. Chez le malade faisant l'objet de cette
leçon
clinique, on retrouve bien les traits fondament
e de la mémoire intellectuelle. (A suivre.) BIBLIOGRAPHIE. XII.
Leçons
sur les maladies du système nerveux; par F. LWYMO
rière, le professeur Raymond faisait paraître une première série de
leçons
didactiques délivrées au cours de la première a
, il s'était imposé comme règle, de préparer consciencieusement ses
leçons
magistrales et de s'entourer de tous les docume
avec plus de défaits sur le programme qu'il s'était imposé pour ses
leçons
du vendredi et qu'il comptait suivre jusqu'au bou
s six volumes de clinique parus depuis l'année 1896. Les deux cents
leçons
réparties entre ces six volumes touchent aux qu
de pareilles études d'ensemble. Dans le dernier volume paru, quinze
leçons
, sur trente-neuf, sont consacrées à l'histoire
de Duchenne. Et toute cette vaste étude se déroule à travers quinze
leçons
substantielles sous les yeux du lecteur captivé
cés de montrer que leur type était facio-scapulo-humérul. Les trois
leçons
qui suivent ne sont pour ainsi dire, qu'un pro-
r en revue, dans le détail, les sujets traités dans les onze autres
leçons
. Nous ne 188 BIBLIOGRAPHIE. pouvons toutefois
nous dispenser d'attirer l'attention de nos lec- teurs sur les deux
leçons
consacrées à l'héîîziaizoîgsie. Aussi bien ils
n devoir de placer une remarque qui a son intérêt ; sans doute, les
leçons
de clinique du professeur Raymond s'adressent e
ce siècle. Ecrites sous une forme animée, souvent attrayante, ces
leçons
font une très large place à l'étude du diagnostic
laires pro- gressives. Aussi n'hésitons-nous pas à déclarer que les
leçons
de clinique du professeur Raymond s'imposent à
les mots de ce genre surgissaient à chaque instant. Faisait-on une
leçon
sur le système métrique, les mesures cu- biques
le. Il fait l'addition et la soustraction avec retenues, écoute les
leçons
orales et en profite. , 1903. Notre malade, dev
1901. L'attention s'éveille, il écoute avec beaucoup d'intérêt les
leçons
orales, aimearendte service dans le ménage. 190
nne, il fait l'addition et la soustraction; écoute avec intérêt les
leçons
de choses et répond bien aux questions qu'on lui
t l'addition avec retenues et la soustraction simple. II écoute les
leçons
orales et répond aux questions qui lui sont pos
, courses, marches, rondes, etc.) avec les exercices intellectuels (
leçons
de choses, projections, etc.), faire chaque jou
arades. Souvent les plus favorisés cherchent à répéter à cew-cr les
leçons
de choses. Il y a aussi avantage à pla- cer un
ibrairie C. iVaud, 3, rue Racine. Prix : 3 lr. 50. Raymond. (F.).
Leçons
sur les maladies du système nerveux (1900- 1901
sui- vants : lecture, écriture, arithmétique, chant, récitation,
leçons
de choses, dessin, travaux à l'aiguille pour les
e compé- tence et une clarté incomparables par Pouchet, c'est à ses
leçons
qu'il renvoie. -Il s'est donc borné à prendre t
ire nombreux composé de médecins et d'étudiants en médecine, et des
leçons
cliniques sur la psychothérapie avec présentati
ce qui rend son rôle particulièrement difficile. Ses écrits et ses
leçons
ont fait connaître en Suède le traitement hypnoti
crime même; ti) le travail manuel; 2° le traitement du gâtisme, les
leçons
de marche, d'habillement, de toilette, de ménag
ercices de la respiration avec les barres d'entraî- nement ; 4° les
leçons
de choses, non seulement en classe, mais partou
les leçons de choses, non seulement en classe, mais partout 2 - les
leçons
avec projections, depuis celles qui ont pour bu
re de même dans tous les squares et paies, qui devraient servir aux
leçons
de choses et où les enfants des écoles devraien
s bassins de cuivre remplis de liquide sanslant. Nous avons vu « la
Leçon
d'Anatomie » à La Haye, avant les su- jets anal
- jets analogues du musée d'Amsterdam. Nous connaissions trop la «
Leçon
d'Anatomie» pour être étonnés au premier moment,
l'on sent que depuis long- temps déjà la vie s'en est allée. Les
Leçons
d'Anatomie du musée d'Amsterdam, à part celle de
rcot, et qui remplit si brillamment la tâche ardue de continuer les
leçons
du maître. Je lui offre ici les temerciementspt
reliefs nous montrent, sur la première colonne, Charcot faisant une
leçon
clinique à la Salpèlrière ; sur la seconde un a
ture automatique. Notre maître M. Séglas en a rap- porté dans ses «
Leçons
cliniques » un bel exemple : « Inconsciente. ll
s compréhensibles. Il est rare d'avoir un monologue suivi. Dans une
leçon
du Dr Seglas, on en trouve un bel exemple : «
in-chef (qui est aussi professeur de Psychiatrie clinique) fait des
leçons
ré- gulirres, et qui, depuis plusieurs années s
à samedi dernier. Vendredi, vous avez pu le voir, assisfant à ma
leçon
, avec son entrainetsonxetecoutumiers.Lesoircnco
r la Paralysie générale ; il écrivait les examens histologiques des
Leçons
clini- ques du professeur Raymond et des Compte
eine, 383. Lucisvtion de la Maison nationale de Charenton, 383.
Leçons
. Voir Maladie nerveuse. LETHARGIE. D'une sorte
euse et la maladie de Friedreich. par Leno- hle el Aulrineau, 08.
Leçons
sur les - du système nerveux, par Ra\mond, 18
mme le fait remarquer M. le professeur Bouchard, dans ses magistrales
leçons
sur les auto-intoxications, l'homme assiégé palle
conque. Les enfants jse rongent souvent les ongles en apprenant leurs
leçons
. Tel col légien ressent pendant quelque temps, so
pposer l'existence de tumeurs adénoïdes du pharynx nasal. Dans ses [
leçons
cliniques. M. le professeur Charcot insiste sur l
epuis le commencement du Irailemenl pédagogique, l'enfanl apprend ses
leçons
, s'applique à l'aire ses devoirs. Le résultai obl
le placer â un rang hors de pair parmi les médecins de ce siècle. Les
leçons
sur l'hypnotisme ont rendu son nom célèbre dans l
sie, la folie, l'hystérie. etc. Ce sont, ou le sait, les admirables
leçons
du maître sur cette dernière affection. celles su
t'avait rendue incapable de chanter. Elle donna donc â la malade des
leçons
sur la manière de respirer et de conduire sa voix
ions cliniques de la suggestion et de l'hypnotisme, etc. Une série de
leçons
commencera le 5 octobre. Ou s'inscrit à la Cliniq
ons cliniques de Ut suggestion et île Chypnotîsinc, etc. Une série de
leçons
commencera le 19 octobre-On s'inscrit à la Cliniq
n. éditeur.) Cette étude sur l'Idiotie a été l'objet d'une série de
leçons
faites à la Salpétrière au commencement de l'anné
t sur letpiel M. le professeur Charcot a fréquemment insisté dans ses
leçons
, et les statistiques qu'il a dressées ii la Salpe
question d'ordre médico-légal posée autrefois par M. Chareot dans ses
leçons
: Les vagabonds ne sont-ils pas tous des neurasthé
d'être, pendant six mois, l'élève assidu de votre clinique et de vos
leçons
, je n'ai pas perdu mon temps. Les difficultés c
était trop bon observateur pour ne pas en tirer parti. Aussi dans ses
leçons
cliniques il ne négligeait pas de payer lui-même
tenue complètement parle procédé suivant : on lui faisait réciter des
leçons
étant endormie et elle s'en acquittait bien. Au b
logie du neurasthénique. M. le professeur Kournier, dans une de ses
leçons
à Saint-Louis, vient d'enrichir la psychologie du
iété absolument insupportable ». le malheureux enfant a pour première
leçon
d'appreudre à se dominer soi-même et à effacer sa
oivent être plus courtes, et les intervalles entre les devoirs et les
leçons
, plus longs. — A l'exemple de tous les autres enf
ications cliniques de la suggestion et de riiypnolisme, etc. Série de
leçons
commencera le 25 novembre. On s'inscrit à la Clin
ANNE . — M. Magnan a repris, dans l'Amphi-théâtre de l'admission, ses
leçons
cliniques, et les continuera les lundis et samedi
seront consacrées îi l'étude pratique du diagnostic de la folie. Les
leçons
auront pour objet, cette année,« les délires syst
ychoses ». Hôpital Saint-Antoine. — M. Gilbert Ballet reprendra ses
leçons
cliniques sur la pathologie mentale et nerveuse,
tat» analogues: qu'avant l'œuvre de Bernhcim (de Nancy ; qu'avant les
leçon
» de notre regretté collègue et ami, le professeur
ications cliniques de la suggestion et de l'hypnotisme, etc. Série de
leçons
commencera le 25 novembre. On s'inscrit à la Clin
mphithéâtre de l'Admission, les mardis et vendredis, â lu heures. Les
leçon
» porteront plus particulièrement, cette année, su
ainte-Anne, les mercredis et samedis, à 9 heures -'t i. Les samedis :
leçons
à l'Amphithéâtre. Les mercredis : interrogatoire
toire des malades. Un cours élémentaire de médecine mentale en quinze
leçons
sera fait par M. le Dr I'actet, chef de clinique.
e. — Pathologie mentale et nerveuse. — M. Gilbert Ballet a repris ses
leçons
cliniques sur la pathologie mentale et nerveuse,
ications cliniques de la suggestion et de l'hypnotisme, etc. Série de
leçons
commencera le 25 novembre. On s'inscrit à la Clin
ait notre appétit, et que nous (l) Charcot a fait une tres curieuse
leçon
sur celle transmission contagieuse du baillement.
cide, qu'elle emane d'un individu, d'une lecture, d'un exemple, d'une
leçon
de chose», comme ou dit aujourd'hui, pénétrant ch
e satisfaction. ¦ Tact médical - M. Brouardel a consacré quelques
leçons
de son cours de médecine légale au secret médical
Depuis l'année 1877 jusqu'en 1894, Brown-Séquard fit chaque année des
leçons
qui restèrent célèbres et qui devaient ouvrir la
fesseur avait entreprises sur le système nerveux et se rattachait aux
leçons
déjà anciennes qu'il avait publiées sur les paral
à mesure que le traitement avançait. II prenait aussi chaque jour une
leçon
de français et une autre de violon. Comparez ce
s, le banquet annuel aura lieu à 7 heures, après la réunion, quelques
leçons
seront consacrées aux applications psychothérapiq
94, à 10 h du matin, e. le- jeudi, suivants .Ma même heure quelques
leçons
seront consacrées aux applications cliniques a l'
était le prof. d'accouchement, il avait au plus trois élèves à ses
leçons
: « Si vous êtes appelé dans une famille, leur
s un certain nombre de types cliniques, de cerveaux, etc ; quelques
leçons
du cours de notre ami, le D.1. Voi- sin, à la S
1895. Compte jusqu'à ioo, connaît tout le contenu des boîtes aux
leçons
de choses (légumes frais ou secs, graisses, suc
ter les syllabes, car le plus souvent, il rit aux éclats pendant la
leçon
, il lui arrive malgré tout d'en répéter quelque
est lisible et chaque jour -il copie et écrit ensuite de mémoire sa
leçon
de lecture, sait écrire les nombre.% jusqu'à
raphe des mots, chaque jour il copie et écrit ensuite de mémoire sa
leçon
de lecture, il sait lire et écrire les nombres
bilité mentale a diminué sensiblement, il écoute avec attention les
leçons
orales mais la mémoire est toujours très fugiti
questions qui lui sont posées. Il a de la mémoire et retient les
leçons
orales. 1902. - Ch ? lit et comprend ce qu'il é
avec retenues et la soustraction simple, assiste avec plaisir aux
leçons
de choses(Fi ? 2 5). 272 THERAPEUTIQUE PEDAGO
4 ans de trai- tement, qu'il a commencé à prendre goût, d'abord aux
leçons
orales, puis à l'écriture et au calcul et surto
l'écriture s'améliore de plus en plus; il assiste avec plaisir aux
leçons
orales et en profite. 1899. - Progrès lents mai
ipales parties de son corps, presque tout le contenu des boîtes aux
leçons
de choses. - En 1898, il reconnaît et nomme les
lément. L'écriture ayant marché de front, il copie chaque jour la
leçon
de lecture et écrit de mémoire un certain nombre
ine pendant le trajet. Si le jour cù l'on a l'habitude de faire une
leçon
orale de gram- maire, on fait une leçon de chos
n a l'habitude de faire une leçon orale de gram- maire, on fait une
leçon
de choses, il est fâché, ne veut rien 27G THÉ
mois; toutefois, cet enfant commence seulement à pouvoir copier la
leçon
de lecture. A l'inverse de la majorité de nos é
t, notre malade fait des progrès notables pour l'orthographe et les
leçons
orales qu'il écoute avec beaucoup d'attention.
t, est maintenant assez soutenue pour lui permettre de profiter des
leçons
orales. L'onanisme qui était fréquent n'est plu
e même pour son caractère qui est toujours égal, il écoute bien les
leçons
orales et a acquis quelques notions d'histoire
les chiffres, les cou- leurs et les surfaces. Il s'intéresse aux
leçons
de choses et distingue un certain nombres d'obj
- mence à faire de petites dictées. Elle s'intéresse beaucoup aux
leçons
de choses. Elle aime à se rendre utile. Elle va à
mentaires, en un mot tout ce qui est con- tenu dans les tiroirs des
leçons
de choses. L'enfant n'urine plus au lit. La phy
uette, l'école - est très difficile; elle s'intéresse cependant aux
leçons
de choses, place les lettres et les chiffres sa
thérapeutique, à la pédagogie des enfants vicieux ou anor- maux. La
leçon
d'ouverture aura lieu sous la présidence de M.
opérer l'extension de fait. « Nous voyons tous les jours, dit-il (
Leçons
cliniques de l'IIôtel-Dieu, 1903), des gens, do
sait nommer à peu près tout ce qui est contenu dans les boîtes aux
leçons
de choses, nomme les différentes parties de son
ler. Pour ce travail, elle manque de bonne volonté. Par contre, les
leçons
de choses l'intéressent vivement, c'est un plai
suelles et les lieux, avait beaucoup de difficulté pour retenir les
leçons
les plus élémentaires, ell.e semblait n'avoir
de toutes ses compagnes. La mémoire paraissait très faible pour les
leçons
classiques, l'enfant disait elle-même qu'elle é
la moindre observation. Elle avait une certaine mémoire pour les
leçons
scolaires, mais n'y mettait aucune bonhe volont
lié- nées de Lailleul (Nord). FAITS DIVERS Hôpital de la Pitié.
Leçons
cliniques sur les maladies du système nerveux.
dans la maladie de Charcot n'est pas admise sans conteste. Dans ses
leçons
sur les maladies de la moelle (1892), M. P. Mar
l'addition, la soustraction et la multipli- cation, s'intéresse aux
leçons
de choses, apprend les premiers éléments de la
les trois pre- mières opérations de l'arithmétique, s'intéresse aux
leçons
de choses, elle est attentive en classe. Ses ac
aire, connaît l'addition, la soustraction et la multiplication; les
leçons
de choses attirent particulièrement son attenti
pitulation sur les quatre règles. Elle fait bien une rédaction, les
leçons
de choses l'intéressent vivement. Il y a chez e
es voisines. Elle connaît les légumes contenus dans les tiroirs des
leçons
de choses, ainsi que les principales céréales;
eur nom, elle reconnaît tout ce qui est contenu dans les boîtes aux
leçons
de choses, distingue très bien les couleurs, el
métique, suit une dictée du cours moyen, s'in- téresse beaucoup aux
leçons
de choses, fait des devoirs variés de grammaire
tes ces connaissances et apporte à tout beau- coup d'attention, les
leçons
de choses l'intéressent également. Ses progrès
apprend la grammaire, récite des fables et s'intéresse beaucoup aux
leçons
478 THÉRAPEUTIQUE PEDAGOGIQUE. de choses. Q
alcul, commence à faire la multiplication, s'intéresse beaucoup aux
leçons
de choses. Encore une malade qui peut actuellem
, connaît l'addition et la soustrac- tion, s'intéresse beaucoup aux
leçons
de choses et à tout ce qui est enseigné. - Le c
ement occupé. Il n'a pas veillé à ce qu'il suive régulièrement lesi
leçons
de chant et de des- sin. P ? a continué à bien
t dire définitive, au moins quant à leurs traits généraux, dans les
leçons
de notre maître et les publi- cations de ses él
r. 1 Voir notamment : Cartaz. - Du mutisme hystérique d'après les
leçons
de M. Charcot, in Prog. médical, 1886. DU BÉGAI
lements hystériques. (Voir sur ce dernier point les articles et les
leçons
de : \1.\1. l'îtres, ltemlu, Clutrcot. z6 patho
'il y a des aphasiques hystériques, qui sont bien connus depuis les
leçons
de M. Charcot, de même il y a des bègues hystér
ire de la parole, qui 1 Cartaz. - Du mutisme hystérique d'après les
leçons
de M. Charcot. Loc. cit. maladie DES TICS ET
résie, déviation spasmodique, tremblement). ' CLINIQUE NERVEUSE
LEÇONS
SUR UN CAS DE MALADIE DES TICS ET UN CAS DE TRE
n. Je commencerai par celle-ci, parce qu'elle a été la première 1
Leçons
faites du 3 au lt mars 1890. 28 CLINIQUE nerveu
Se- cousses singulières, souvent symétriques, ordinairement non '
Leçons
sur un cas d'hyslerie mâle avec astasie-abasie, i
s. Les travaux sur le paramyoclonus se sont multipliés depuis nos
leçons
sur l'astasie-abasie, mais les grands caractères
Salpêtrière, a consacré au diagnostic des tics avec l'hystérie, une
leçon
clinique dans la Semaine médicale de 1886 (n° 3
eçon clinique dans la Semaine médicale de 1886 (n° 37) et plusieurs
leçons
du mardi 1. Guinon définit le tic (p. 555) : *
Catron, soutenue à Paris le 6 mars 1890, c'est-à-dire après que ces
Leçons
ont été faites, et qui contient le résumé de 45
sch. f. Psy- chiatrie, XLVI, 5.) P. IiGnAV.aL. BIBLIOGRAPHIE 1.
Leçons
sur le syndrome 6zal6n-nzéclzcllaire constitué pa
aux, imprimerie du Midi. 1889. Ce travail est le résumé de quelques
leçons
cliniques faites par' l'auteur sur la chorée mo
, devant un public non médical (service de M. le Dr Dumontpallier :
leçon
de M. le Pr Bernheim (de Nancy), devant t A. Du
s dont nous rapportons plus loin l'histoire ont fait le sujet d'une
leçon
clinique de M. le professeur Charcot'. A la sui
ne leçon clinique de M. le professeur Charcot'. A la suite de cette
leçon
, où il était question pour la première fois de
le professeur Charcot lorsqu'il présenta ce malade dans une de ses
leçons
cliniques. ' Du groupement de tous ces faits qu
te avec atrophie dé- générative des muscles.. CLINIQUE NERVEUSE
LEÇONS
SUR UN CAS DE MALADIE DES TICS ET UN CAS DE TRE
nière, par Pitres (de Bordeaux), qui lui a consacré d'impor- tantes
leçons
, en même temps que Rendu faisait sur 'le même s
apporterait davantage au cas de . la malade qui fait l'objet de ces
leçons
. , « Les' tremblements' de cette espèce sont co
MBLEMENT. 203 dernièrement ï11 ? 1e, professeur Castan a publié une
leçon
sur un cas de pseudo-sclérose en plaques, consé
pathologistes contemporains, Charcot et Buzzard, qui, l'un dans ses
Leçons
du mardi, l'autre dans The Lancet, ont naguère
observations plus détaillées viennent établir d'une 1 Charcot. -
Leçon
clin., in Bullet. Médical, 10 avril 1880. ' Bou
ur et de spasmes musculaires. Marcel BRIAND. BIBLIOGRAPHIE. XV.
Leçons
du mardi à la Salpêtrière ; par M. CHARCOT. Polic
volumes ont une saveur particulière. Ils ne ressemblent en rien aux
leçons
magistrales de M. Charcot sur les maladies du s
laire ou vertige des artério-scléreux ; par le professeur Grasset ;
leçons
recueillies par G. RANziER. Mont- pellier, C. C
ivement, du 1 Voir Spasme glosso-labié uni-latéral des hystériques.
Leçon
de M. Charcot (Semaine Médicale, an 1887, p. 37
à la Salpêtrière. - 1 Voir Archives de Neurologie, ne 54. * Voir
Leçons
de mardi, 1887, 1888, p. 101. 3 Un résumé de ce
ssive primitive. Son observation à cet égard a été publiée dans les
leçons
de M. Charcot (t. III, p. 202) et dans un mémoire
de paralysie motrice. Leurs observations sont consignées dans les
leçons
de M. Charcot et dans plusieurs thèses sorties
a physiologie du cerveau, vient de publier une série de nou- velles
leçons
dans lesquelles il expose l'état actuel de la que
raduction; nous l'en remercions, car nous sommes convaincus que ces
leçons
intéresseront tous nos lecteurs. Nous devons ég
a eu la gracieuseté de nous communiquer les clichés. B. première
leçon
: introduction M. le Président et Messieurs,
Tout commentaire est inutile, mais ne perdons pas l'avantage de la
leçon
que ce terrible malheur nous donne. De combien d'
Hospice de la Salpètrière. M. le professeur Charcot a repris ses
leçons
du mardi le mardi 28 octobre 1890. Les leçons du
Charcot a repris ses leçons du mardi le mardi 28 octobre 1890. Les
leçons
du ven- dredi reprendront ultérieurement. t.
r Bru, 12S ; Syringomyéhe, 468 TABLE DES MATIERES pai'Bruhl, 129 -
Leçons
du mardi à la Salpêtrière, par Charcot, 293 ;
es publics d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique par des
leçons
pratiques sur les applications cliniques et pédag
lètent l'enseignement donné à l'Institut psycho-physiologique par des
leçons
sur les diverses branches de la psychologie physi
jeudi 13 juin, à 10 heures du matin (section Rambuteau). — Plusieurs
leçons
sont consacrées aux applications de l'hypnotisme,
es publics d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique par des
leçons
pratiques sur les applications cliniques cl pédag
plètent renseignement donné à l'Institut psycho-physiologique par des
leçons
sur les diverses branches de la psychologie physi
u'il « fallait leur apprendre ». Et l'un deux leur donna aussitôt une
leçon
. Celle-ci consista à éparpiller des grains de riz
es publics d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique par des
leçons
pratiques sur les applications cliniques et pédag
lètent l'enseignement donné à l'Institut psycho-physiologique par des
leçons
sur les diverses branches de la psychologie physi
r titres et concours sur épreuves. Le Progrès médical extrait d'une
leçon
de M. le professeur H. de Lacaze-Duthiers, ancien
es publics d'aliénés, y complète son cours à l'Ecole pratique par des
leçons
pratiques sur les applications cliniques et pédag
ux. — M. Raymond. Les mardis et vendredis à 10 heures. M. Dejerine.
Leçon
clinique sur les maladies nerveuses tous les jeud
à partir du 5 décembre. Hôpital Saint-Antoine. — M. Gilbert Ballet.
Leçon
clinique sur les maladies nerveuses, le dimanche
ux. — M. Raymond. Les mardis et vendredis à 10 heures. M. Dejerine.
Leçon
clinique sur les maladies nerveuses tous les jeud
e la consultation externe) à partir du 5 décembre. M. Jules Voisin.
Leçons
sur les maladies mentales, les jeudis, à dix heur
à dix heures du matin. Hôpital Saint-Antoine. — M. Gilbert Ballet.
Leçon
clinique sur les maladies nerveuses, le dimanche,
ues, lui recommandant de travailler, d'être attentif, d'apprendre ses
leçons
et de s'appliquer à ses compositions. En fin de c
sant les paroles prononcées par M. le Professeur Albert Robin dans la
leçon
d'ouverture à l'Hôpital de la Pitié. Après avoir
veux. M. Raymond. Les mardis et vendredis à 10 heures. M. Dejerine.
Leçon
clinique sur les maladies nerveuses tous les jeud
la consultation externe} à partir du 5 décembre. M.Jules Voisin.
Leçons
sur les maladies mentales, les Jeudis, à dix heur
Jeudis, à dix heures du matin. Hôpital de la Pitié. — M. Babinski.
Leçons
sur les maladies nerveuses, les samedis à 10 heur
s plus ou moins douloureux, et c'est pourquoi je voudrais, dans cette
leçon
, étudier avec vous les grandes lignes de la médic
s. Or, quel est le siège physiologique de tous ces phénomènes (1)
Leçon
recueillie par A. Grcnet, interne de service.
forme, de nature, comme je vous ai montré dans une de mes précédentes
leçons
. Si nous avons affaire à une insomnie de cause
ans urinait au lit généralement les jours où il avait été prendre une
leçon
de gymnastique; aussi a-t-il fallu la lui défendr
en deux épreuves : Ie Un.exposé des titres scientifiques. 2° Une
leçon
orale faite par le candidat sur un sujet de son c
uvcilhier, en présence d'un auditoire très nombreux. Dans la première
leçon
, le professeur, après avoir rappelé la part qui r
Dollinger, etc., etc., étaient venus se joindre aux étudiants. Les
leçons
suivantes auront lieu les samedis et mardis à 5 h
utres Universités des Etals-Unis, à aller donner un certain nombre de
leçons
sur l'hypnotisme et la psychothérapie. M. le Df d
partira pour New-York au mois de septembre prochain. Plusiours de ses
leçons
seront consacrées à l'étude psychologique do la f
conférences, fait, les vendredis à dix heures et demie du matin, des
leçons
sur la pfiysiologie des sensations. M. Jules So
érences, fait, les lundis et vendredis, à quatre heures et demie, des
leçons
sur la psychologie physiologique. Conférences
Asthénie psychique et obsession. — Traitement par la suggestion.
Leçon
clinique par M. le Prof* Raymosd médecin de la Sa
ou (photographies). Hospice de la Salpètrière. — M. Auguste Voisin.
Leçons
cliniques tous les jeudis, à 10 heures (section R
n. Leçons cliniques tous les jeudis, à 10 heures (section Rambuleau),
leçons
sur les malades mentales et nerveuses. — Plusieur
uleau), leçons sur les malades mentales et nerveuses. — Plusieurs des
leçons
sont consacrées à l'application thérapeutique de
ous avons décrits dans un de nos Compte-rendus précédents; 2" les
leçons
de toilette qui consistent à apprendre aux enfa
rcices pour l'éducation de lamain, des sens et de la parole; 4° les
leçons
de petite gymnastique ; 5° les leçons de choses
sens et de la parole; 4° les leçons de petite gymnastique ; 5° les
leçons
de choses; 6° les exercices élémentaires relati
térialiser l'enseignement. Nous nous efforçons de multiplier les
leçons
de choses et les séances de, pro- jections à la
colaire. Ce musée continue à servir aux séances de projections, aux
leçons
de choses et aux lectures récréatives. La Commi
trouvé en 1879 dans le service un administré de Bicêtre donnant des
leçons
d'escrime à quelques-uns des enfants. Bien que
eurs d'escrime du fort do Bicêtre est venu régulièrement donner des
leçons
aux enfants. Danse. Les exercices de .danse q
ces promenades les instituteurs et les insti- tutrices donnent des
leçons
de choses et exercent les enfants aux jeux de b
mes qu'à la section de Bicêtre. Tout le matériel est identique. Les
leçons
de choses sont multipliées autant que possible
sujet. C'est pour cela que, plus que pour tout autre enfant, les
leçons
en plein air présentent de sérieux avantages.
nici- pales, s'est proposée pour donner deux fois par semaine une
leçon
de dessin aux élèves les plus avancées de la Fo
xprime ainsi : o L'éveil précoce du sens génésique, sans parler des
leçons
funestes, porte les jeunes sujets à l'onanisme
citation que vient de faire M. Deville. La voici : o A la fin de sa
leçon
, M. le docteur Roger revient sur l'im- portance
docteur Bourneville fait faire au per- sonnel, par un interne, des
leçons
sur la puberté (I) avec ter- mes extrêmement pr
et pour poursuivre. (Bruit.) (1) Cela est absolument exact et ces
leçons
qui ont été faites afin de per- mettre au perso
, dans son traité de l'idiotie paru il y a deux ans, à la cinquième
leçon
consacrée à la symptomalogie de l'idiotie, indi
peut-être inutile. Tous les jours, en effet, vous conformant aux
leçons
cle nos maîtres, anciens ou contemporaines, vous
de jour à procéder au nettoyage des enfants : c'est la pre- mière
leçon
qui doit commencer la journée, car il s'agit d'
ur. Le professeur Raymond fait paraître la troisième série de ses
leçons
cliniques, professées pendant l'année scolaire 18
t l'année scolaire 1897-1898. Les BIBLIOGRAPHIE. 77 f premières
leçons
sont consacrées à l'étude des tumeurs de l'ancé-
sion. Ce chapitre diagnostic constitue une véritable synthèse des
leçons
précédentes. Le siège de la tumeur, l'âge du mala
l penser du labes héréditaire ? A ces questions sont consacrées les
leçons
suivantes. Un père est atteint de tabes dorsal
rs quatre cas, et présenter une cinquième observation. Suivent deux
leçons
sur la maladie de Little, et deux leçons consac
observation. Suivent deux leçons sur la maladie de Little, et deux
leçons
consacrées à la sclérose latérale amyotrophique à
ées à la sclérose latérale amyotrophique à début bulbaire. Ces deux
leçons
ont déjà été analysées dans ces Archives (1897,
éliorer progressivement jusqu'à disparaître dans bien des cas. La
leçon
suivante est consacrée à l'étude d'un malade qui,
ne trau- matique. Cette analyse rapide montre 1 importance de ces
leçons
qui touchent les points les plus divers de la n
van- cières et dignes de l'Ecole de la Salpêtrière. Miraillé. II.
Leçons
de clinique thérapeutique sur les maladies du sys
nerveux; par Gilles DE la Tourette. Pion et Nourrit, éditeurs. Ces
leçons
de clinique thérapeutique portent comme tous les
les plus personnelles, suivre l'inspira- tion et la méthode. Les
leçons
actuelles présentent un intérêt tout particulier,
opinions, résultats d'obser- vations toute personnelles. Première
leçon
. Diagnostic et pronostic de Vhémorrhagie cérébral
e, besogne toujours longue, minutieuse et souvent ingrate. Deuxième
leçon
. Les états neurasthéniques et leur traitement.
chéance et faire partie des déclassés des grandes villes. Troisième
leçon
. Diagnostic et traitement de l'épilepsie. - Les
antes de borate de soude et vice versa alternativement. Quatrième
leçon
. Traitement de l'hystérie. Dans cette leçon rem
ernativement. Quatrième leçon. Traitement de l'hystérie. Dans cette
leçon
remarquable, qui est d'une importance capitale,
qu'il n'est pas énergiquement soigné à temps, l'anorexie. Cinquième
leçon
. Diagnostic el traitement du tic douloureux de la
il faut mettre en oeuvre la médication spécifique. Dans cette même
leçon
l'anteur différencie les migraines simples des
ées et n'autoriser que de l'eau très légère- ment rougie. Sixième
leçon
. La morphinomanie et son traitement. Après un e
facilement le malade de sa nouvelle habi- tude d'opium. Septième
leçon
. Le vertige de illenière et son traitement. L'au-
et réfute tous les arguments qui lui ont été opposés. 1 Huitième
leçon
. Pathogénie et traitement des pieds bols. L'au-
cas, le traitement doit être guidé par la pathogénie et, dans cette
leçon
particulièrement importante parce qu'elle est u
séreuses et des synoviales de l'avant-pied et du talon. Neuvième
leçon
. Formes cliniques et traitement des myélites syph
Formes cliniques et traitement des myélites syphi- litiques. Cette
leçon
est peut-être la plus importante du livre et ce
88 BIBLIOGRAPHIE.' qu'un résumé rapide et insuffisant de cette
leçon
qui contient une description clinique détaillée
agnostic et traitement de l'ataxie locomotrice. Dans cette dernière
leçon
, l'auteur passe en revue, après quelques consid
) et Janet (P.). Névroses et idées fixes. Tome II : Frag- ments des
leçons
cliniques sur les névroses, les maladies produite
: 14 francs. Paris, librairie F. Alcan. Raymond (le professeur F.).
Leçons
sur les maladies du système nerveux faites à la
sur laquelle M. le professeur Jotiroy a si souvent insisté dans ses
leçons
et travaux. C'est par cette prédisposition qu'o
noïa primitive; il en étudie les variétés religieuses7. ' Magnan.
Leçons
cliniques. (l'ro. Dléd., 1887, p. 182.) 5 Gries
ger Russe, 1884. ' Greidenberg. Messager Russe, 1885. 3 Guislain.
Leçons
orales sur les névropalhies. Gand, 1852. ' Magn
Enfin Soeur Jeanne des Anges, supérieure des Ursulines à ' Magnan.
Leçons
cliniques sur l'épilepsie, 1883, p. 44. ' Krafï
use grave, ne se souvient plus 1 K. Régis. La Psychose éclamptique,
leçon
recueillie 1ar le D' Gi- bert (Revue mensuelle
tombe, aussitôt abandonné à lui-même, dans son rêve. ' A. Pitres.
Leçons
sur l'Aphasie amnésique (Progrès médical, 1898).
ale. de voir. Nous l'avons exposée tout à fait en détail dans nos
leçons
cliniques de 1893-1896 sur les délires toxiques e
1 Schùle. 7Hi') : Me/i.rc/;M ! < ? e. Leipzig, 1886. * Magna.n.
Leçons
cliniques sur les maladies mentales. Paris, 1897.
' Magnan. L'étal mental des dégénérés. {Revue Neurologique, 4891.)
Leçons
cliniques sur les maladies mentales, 1893, 1897.
adies mentales, 1893, 1897. 2 Magnan. De l'alcoolisme. Paris, 1871.
Leçons
sur les maladies men taies. Paris, 1893, 1897.
fesseur RAYMOND. (Nouv. Iconogr. delà Scclpcstoière, n° 1, 1899.)
Leçon
clinique fort intéressante tendant à répandre cet
aperçut même que Charcot avait entrevu cette psychose, car dans ses
leçons
il faisait observer l'existence de troubles amn
. Art. Psychoses in Traité de médecine Charcol- l3ouclarcl. Séglas.
Leçons
cliniques sur les maladies mentales et nerveuse
maurose hystérique. M. Ballet a pré- senté en 189-1, à l'une de ses
leçons
de l'hôpital St-Antoine, un jeune garçon hystér
Système nerveux. Clinique des ma- ladies du -, par Raymond, 16
Leçons
de clinique thérapeutique sur les maladies du -
à la Salpêtrière (1). . MESSIEURS, Je vais consacrer ma première
leçon
du Vendredi de la présente année scolaire, l'ét
ion. Les premières expériences de ce genre remontent à un passé (t)
Leçon
du 20 novembre 1896, recueillie et publiée par le
r une lésion traumatique. Il y a deux ans, j'ai consacré une de mes
leçons
à J'étude d'un cas où le syndrome de Brown-Séqu
isseur de l'organe. Je me réserve (t examine)', a la lin de cette
leçon
, jusqu quel point des faits de cette nature peu
e à la jambe droite qu'à la jambe gauche (2). Charcot (3), dans ses
leçons
du mardi, a raconté en termes très pitto- resqu
âgées d'aujourd'hui de trente-six ans, présentent cette infir- (1)
Leçons
orales de clinique chirurgicale, faites à l'Hôtel
uelque sé- duisante qu'elle paraisse à première vue. (1) JACCOUD,
Leçons
de Clinique médicale faites à l'hôpital de la Ckc
Roumanie médicale, nos 3 et 5, p. 88 et 139, 1893. (3) BIIISSAUO.
Leçons
sur les maladies nerveuses, Paris, 1895, p. 201.
mble d'une série de neurones moteurs et sensitifs qui (1) Brissaud.
Leçons
sur les maladies nerveuses. Paris, 1895, p. 22;i.
r les maladies nerveuses. Paris, 1895, p. 22;i. (2) Gilbert Ballet.
Leçons
de clinique médicale. Paris, 1897, p. 404. MAIN
de prédicateur, Charcot avait 1 déjà fait une sage réserve dans ses
Leçons
publiées en 1880 (Tome II), car voici ce qu'il
ullaire excessivement inté- (1) J. M. CIIAIiCOT. OEuvres complètes.
Leçons
sur les maladies du système nerveux, 1889, p. 1
RTEUR (SPASME polygonal POST-PROFESSIONNEL) PAR Le Pr GRASSET
Leçons
cliniques recueillies et publiées (1) PAR LE
Jacques, élève du service, vous a élé lue ces jours derniers. (1)
Leçons
faites en avril 1891. x 16 218 GRASSET Nous
de cela : il n'est pas atteint de para-myoclonus mul- tiplex. (1)
Leçons
de Cliaiq, méd,ic., 1 série, 1891, p. 138 et 471.
S91, p. 466. Voir aussi notre Traité, t. II, p. 584. (4) Raymond.
Leçon
citée sur les myoclonies, p. 559. - TIC DU COLP
90. (2) Guinon. Art. cité du Dict. encycl., p. 555. (3) CUAIICOT.
Leçons
du mardi, 1888-89, p. 14. (4) Brissaud. Tics et
89, p. 14. (4) Brissaud. Tics et spasmes cloniques de la langue, in
Leçons
sur les malad. nerv., Paris, 1895, p. 503. TI
ions classiques. » Et c'est avec raison qu'il commen- çait ainsi sa
leçon
sur les tics et les spasmes cloniques de la face
de fait sur la physiologie pathologique des spasmes du cou avant la
leçon
de Brissaud qui parut le 25 janvier 1894 dans le
es actes qui ont tous ces caractères : parole volontaire, écri- (1)
Leçons
de clinique médit, 3e série, 1er rase., 1896. Des
os du tic de notre sujet. Brissaud veut en faire un tic mental, (1)
Leçons
de cliniq. médit, 1" série, 1891 : l'hystéJ'o-tl'
quée par une maladie aiguë (fièvre typhoïde et grippe), p. 436. (2)
Leçons
de cliniq. médit, 2° série, 1896 : Etiologie infe
, 2° série, 1896 : Etiologie infectieuse de l'hystérie, p. 563. (3)
Leçons
de cliniq. »tédic., 3 série, terfaseic, 1896 : L'
assera hotre sujet et c'est pour cela que nous avons intitulé cette
leçon
: tic du colporteur, spasme poly- gonal post-pr
i caractérise toujours les travaux de Brissaud, j'ai eu, dans cette
leçon
, le déplaisir de me séparer de lui sur certaine
onstances. On peut cependant rester enfant totalement, corps et (1)
Leçon
clinique faite à l'Hôpital Saint-Antoine. DE L'
de BLUni (3), d'ARNOZAN (4), et surtout de TA.LA.MON (5), dans les
leçons
de CIIARCOT (6), dans le livre de WEIR lfIITCHELL
avaux d'ensemble les plus récents que nous avons consultés sont les
leçons
de M. BRISSAUD (8), les articles de M. QuENU (9
ons des nerfs et leurs conséquences, traduit par D.\STaE, 1874. (8)
Leçons
sur les maladies nerveuses recueillies et publiée
s nerveuses recueillies et publiées par H. MEME, 1893 ; XIVe et xve
leçons
. (9) Il'ailé de chirurgie de Duplay et Reclus,
mais ce fait, qui a pu attiré l'attention des auteurs, n'a rien (1)
Leçons
sur les maladies nerveuses, tS9o, p. 313. (2) T
lement inconnu, se trouvait rapidement détruit. (2) RAYMOND, Voir
Leçons
cliniques, ire série. - BUZZARD, Clinical lecture
lie que notre maître, M. le Professeur Raymond, a présenté dans une
leçon
du Mardi. L... Octave est âgé de 24 ans. Son pè
r, le nom de tic du colpor- teur. A propos du fait commenté dans sa
leçon
, M. Grasset remarque d'abord qu'il présente tou
de est ce prêtre grec donc M. Brissaud a donné le portrait dans ses
leçons
de la Salpêtrière. Il a perdu l'habitude de ram
Bibliographie. E. Brissaud, Tics et Spasmes cloniques de la Face.
Leçon
faite le 8 décembre 1893 à la Salpêtrière. Jour
de médecine et chirurgie pratiques, 25 janvier 1894. E. Brissaud,
Leçons
sur les maladies nerveuses recueillies et publiée
. le professeur Grasset a publié dans ce recueil une intéres- sante
leçon
. Quelque séduisant que puisse être ce diagnosti
fet, et depuis, nous avons plusieurs fois vu M. Charcot, dans ses
leçons
cliniques, annoncer à distance chez les malades
organiques spinales et dans la contracture spasmodique hystérique».
Leçon
de M Charcot recueillie par M. Babinski. DE L
DE l'astasie ET DE l'abasie. 25 5 diverses reprises le sujet de ses
leçons
cliniques. Ce sont, du reste, ces leçons mêmes,
s reprises le sujet de ses leçons cliniques. Ce sont, du reste, ces
leçons
mêmes, jointes aux notes inédites et aux docume
faits qu'on puisse. rapprocher de ceux que nous décrivons et les-
leçons
de M. Charcot constituent presque à elles seule
En 1884, M. Charcot revient sur ce sujet dans plu- sieurs de ses
Leçons
, publiées par le Dr lliliotti, à propos de la m
rtain nombre d'observations cli- niques très intéressantes dans ses
Leçons
sur les ma- ladies nerveuses des femmes (1885).
effet, de tous points conforme à la description contenue dans les
leçons
de cet auteur. Cette observation n'est publiée
érentiel '. Nous aurons terminé cette rapide revue en citant deux
Leçons
de l'an dernier faites à la Salpêtrière par M.
u sujet de cette même malade Gom..., dont a été parlé déjà dans les
Leçons
recueillies par M. Miliotti. M. Charcot y établ
ction en même temps qu'il en esquisse la théorie. Nous ferons à ces
Leçons
, restées inédites, de si larges emprunts, qu'il
enlra à la Salpêtrière en février 48SIr, où elle fut l'objet d'une
leçon
de M. Charcot. La station et la marche présentaie
, nous devons immédiatement mentionner comme fondamentaux plusieurs
leçons
de M. Char- cot sur les attaques de sommeil, re
ade Go..., dont le cas si typique a été l'occasion de plusieurs des
leçons
de M. Charcot. La marche a lieu avec les mêmes
et c'est un point sur lequel M. Charcot a beaucoup insisté dans ses
leçons
1, que cette sorte de paralysie émotive peut da
me du même ordre dans le cas même où l'influence émotive paraît 1
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. 111, p. 4
binet; Gowers3, cite un professeur de musique qui, en donnant une
leçon
à une demoiselle, eût un accident épileptique si
el'/llOmell'iqltes sur les maladies du système nerveux, p. 117. '
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. I, 3e et)
'existence. C'est du reste l'opinion admise par M. Charcot dans ses
Leçons
sur les attaques de sommeil'. Nous venons de vo
aris, 187G. 2 llémiancsthésie hystérique et hémianesthésie toxique.
Leçon
recueillie par 111. llabinsl.i. (Bulletin médic
lie du doute. Les mêmes idées se trouvent encore exprimées dans une
leçon
de M. Magnan, publiée dans la Revue de Médecine
ns épileptiques de caractère varié. M. Ma- gnan, lui-même, dans ses
leçons
cliniques sur l'épilepsie résu- mées par M. Bri
états de dégénérescence, à ce que prétendent M. Magnan, dans des
leçons
récentes et MAI. Garnier et Briand dans leurs com
18S. Aux bureaux de la Revue de l'hypnotisme. Charcot (J.-11.). -
Leçons
sur les maladies du système 7te''t) ? M, pro- f
nées déjà, été mis en relief par M. le professeur Charcot, dans ses
leçons
de la Salpêtrière. DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE'
esp. blatt. f. Psych., 1863, p. 3j7 et 1861, p. 322. ' Guislain. --
Leçons
orales sur les P/t)'e' ! Mpa</t : 'M, 1852.
lepsie à l'état de veille chez les hystériques. M. Charcot dans ses
leçons
sur les para- lysies hystéro-traumatiques, a pa
sie et ataxie hystérique. Ibid., t. Il, p. 85 et suiv. 5 Charcot. -
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. III, p. 3
ptoméningite chronique, atrophie de l'écorce, hydrocé- 1 Charcot. -
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. I, p. 220
1111. Garnier et Briand dans leur communication et par moi dans mes
leçons
, et, d'un autre côté, par quelques autres de me
eu l'occasion, l'année dernière, de m'expliquer à ce sujet dans une
leçon
publiée dane le Journal des Connaissances médic
s loin 11. Séâlas me fait dire d'après un compte-rendu d'une de mes
leçons
, auquel je ne puis souscrire, « que le délire chr
émise par M. Legrain que le délire chronique peut se mon- ' Magnan.
Leçons
cliniques sur l'épilepsie recueillies et publiées
le service même de M. Falret. ' Magnan, Du délire des persécutions.
Leçons
faites' l'asile Sainte- Anne. (Gaz.11u ! d, Oct
détail '. P. Keraval. ' V. Revues allalli4ues. BIBLIOGRAPHIE V.
Leçons
sur les fonctions motrices du cerveau et sur l'ép
tave Doin, éditeur. Paris, 1887. M. Fr. Franck vient de publier les
leçons
qu'il a faites ces trois dernières années au Co
tions cérébrales. Les matériaux qui ont servi à la rédaction de ces
leçons
proviennent presque tous de travaux poursuivis
es avantages de cette combi- naison sont manifestes, dans certaines
leçons
où il s'agit de l'étude des lésions destructive
t se livrer à des recherches analogues, a été placé à la fin de ces
leçons
. On y trouvera décrite la technique des princip
l y a le langage mimique qui consiste il exprimer la pen- (1) Cette
leçon
inédite est publiée intégralement d'après le text
sous forme d'accès. Il n'en est rien en effet, nous savons par nos
leçons
de l'an passé, que certaines lésions locali- sé
RAYMOND Professeur de Clinique des Maladies du Système Nerveux. 1
Leçon
faite à la Salpêtrière, le 23 novembre 1894, recu
ant de l'année 1893, j'ai eu l'occasion d'aborder ce sujet dans les
leçons
que j'ai faites sur la paralysie générale et j'ai
formes spinales de la paralysie générale. En particulier dans cette
leçon
j'ai fait allusion au malade dont je vais rappo
dont je me suis servi pendant la dernière année dans mes examens et
leçons
cli- niques. Le dessin représente ici l'appar
tout ce qui concerne la discussion générale et la pathogénie, à la
leçon
de notre maître, publiée ici même. Joseph Gr...
AS DE PARALYSIE BILATÉRALE DU MUSCLE DELTOIDE 55 schéma annexé à la
leçon
de M. Raymond). Le malade sent, dans cette zone^
. RAYMOND Professeur de Clinique des Maladies du Système Nerveux.
Leçons
faites à la Salpêtrière, les 14 et 21 décembre 18
u service. Messieurs, / La malade, qui va faire le sujet de cette
leçon
et de celle qui suivra, est atteinte, selon tou
sur la piste du diagnostic que je vous ai indiqué au début de cette
leçon
. » SUII LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CUEVAL 69
n d'adresser à Charcot un malade dont l'observation figure dans les
leçons
du mardi (1888-1889). C'était un homme de 24 an
sacré. C'est ce que j'essayerai de vous démontrer dans ma prochaine
leçon
. ' II C" LEÇON DU 21 DÉCEMBRE 1894 Messieur
ue j'essayerai de vous démontrer dans ma prochaine leçon. ' II C"
LEÇON
DU 21 DÉCEMBRE 1894 Messieurs, 1 La conclusio
, 1 La conclusion à laquelle j'étais arrivé à la fin de ma dernière
leçon
était celle-ci : l'affection de la malade qui e
itre de pathologie qui n'existe, je vous l'ai (lit dans ma dernière
leçon
, qu'à l'état tout à fait embryonnaire dans quel-
et méningite. J'ai fait faire par mon ami Ricklin, en vue de celte
leçon
, le relevé des principaux cas d'affections de l
observation de Charcot, qui a fait l'objet d'une très intéressante
leçon
clinique, et où, selon toute vraisemblance, un
heureuse et fera disparaître toute douleur, mais cette (1) Brodie,
Leçons
sur les affections nerveuses louches, trad. franc
F.RAYMOND Professeur de Clinique des Maladies du Système Nerveux.
Leçon
faite à la Salpêtrière, le 24 mai 1895, recueilli
cueillie par A. Souques Chef de Clinique. Messieurs, Dans mes
leçons
du semestre dernier, j'ai abordé devant vous l'él
de. Il vous souvient sans doute que j'avais, dans mes pré- cédentes
leçons
sur ce sujet, dressé une sorte d'échelle symptoma
sions spinales ou nucléaires. .J'ai insisté, dans mes précédentes
leçons
, sur un autre signe différentiel. Je vous disai
de parfaite, comme l'a démontré M. le professeur llevilliod dans sa
leçon
du S février 1894. Il supposa et dessina la lésio
on- formation corporelle. Plus récemment, Brissaud a consacré une
leçon
(8) à l'étude de l'infan- tilisme et a montré l
els accessoires. Rev. de médecine, 10 juillet 1893. (8) BRISSAUD.
Leçons
sur les maladies nerveuses (Salpêtrière, 1893-94)
alpêtrière, 1893-94), recueillies et publiées par Henry Meige, XXV-
leçon
. (9) lierrnv MEME. Deux cas d'hermaphrodisme an
formation sexuelle qui aurait dû la rendre femme. (1) BIIISSAUIJ,
Leçons
sur les maladies nerveuses, Salpêtrière (1893-94)
IE DROITE, CONSÉCUTIVES A LA ROUGEOLE par M. le Pr F. RAYMOND
Leçon
faite à la Salpêtrière le 14 Juin 1895 et recueil
eneris, mais comme un simple syn- drome. » Déjà en 1881, dans une
leçon
faite à l'Hôtel-Dieu, le même auteur (3) étudia
t sur cette question et publie, dans le Bulletin médi- cal (4), une
leçon
dans laquelle, à propos d'un nouveau cas, il étud
ujourd'hui rapporter l'histoire clinique in extenso, renvoyant à la
leçon
précitée de notre maître et surtout à soir Traité
le mémoire de Parkinson (Essa on the Shaking palsy., 1817). i (1)
Leçons
du mardi, 1881-88, p. 436 302 NOUVELLE ICONOGRA
GRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE M. Charcot a insisté fréquemment dans ses
leçons
sur l'habitus extérieur des Parkinsoniens. L'
et juste expression de la réalité. «... Je désire dit-il, dans ses
Leçons
\ appeler particulièrement votre attention sur
t c'est ce que notre maître a bien fait res- sortir dans une de ses
leçons
cliniques % que l'on peut rencontrer ces rétrac
xposer les faits. Outre les observations qui ont fait l'objet de la
leçon
précitée et que nous reproduirons, nous citeron
établie. Voici cette observation : Observation II. (Extrait d'une
leçon
de M. Charcot, recueillie par le docteur Babins
n cinquième malade qui fut, de la part de M. Charcot, l'objet d'une
leçon
sur la maladie de Friedreich publiée par M. Ber
le professeur Charcot avait fait, le 15 février 1884, une première
leçon
sur un malade atteint de cette affection. Cette
une première leçon sur un malade atteint de cette affection. Cette
leçon
avait été briève- ment analysée dans le numéro
, Société médicale des hôpitaux, ISSu, p. 345 et il(;. . - , , 2.
Leçons
du mardi lit Salpêtrière, 13 mars 1888. Fin. 2-
la contracture spasmodique . (Suile et fin'). Observation IV. - (
Leçons
de M. Charcot, Résumé.) Pachyménk- - gite cervi
t de pachyméningite cervicale hypertrophique. M. Char- cot, dans la
leçon
qu'il fit à celle occasion, avait du reste rappro
rurgicale. Le professeur faisait du reste remarquer, au cours de sa
leçon
, que cette complication ne se voit pas dans tou
e, 1. Ce malade a fait l'objet, le 20 décembre 1887, d'une première
leçon
de M. Charcot. Leçons du mardi et la Salpêtrièr
t l'objet, le 20 décembre 1887, d'une première leçon de M. Charcot.
Leçons
du mardi et la Salpêtrière, policlinique 1887-188
; notes de cours de MM. Blin, Charcot, Coliu, élèves du service, v°
leçon
, p. 71. Progrès médical, Delahaye et Lecros- ni
Charcot le présentait de nouveau à ses audi- teurs du mardi. - Voy.
Leçons
du mardi à la Salpêtrière, loc. cit., p. 197. Leç
du mardi. - Voy. Leçons du mardi à la Salpêtrière, loc. cit., p. 197.
Leçon
du 21 fé- vrier 1888. (N. D. L. R.) . LE MASC
même côté est tirée par en haut. Il comprend également la partie
leçon
de M. Charcot : Spasme glosso-labié unilatéral de
nUI]1... est rapportée pour la première fois dans le 3" volume des
Leçons
sur les maladies du système nerveux de M. Charcot
me des Leçons sur les maladies du système nerveux de M. Charcot, 2;)"
leçon
, p. 100- DE L'INTERVENTION CHIRURGICALE. 9J t
façon très précise et très complète l'état de la question. Dans ses
leçons
(inédites) de '1SSG, sur l'ataxie, M. le professe
SSG, sur l'ataxie, M. le professeur Damaschino a consacré toute une
leçon
it l'étude des arthropathies tabétiques du pied
cles. M. Charcot a particulièrement insisté sur ces signes, dans la
leçon
que j'ai signalée plus haut. Enfin, on peut avo
servation fut publiée par moi en )884', el qui fit le sujet de deux
leçons
de M. le professeur Charcot 2. Je rappellerai r
e encore sur les gros 1. Observation déjà signalée par Il. Charcot.
Leçon
, l3ull. mM" 23 mai IS7, p. 102. 2. Voir Nouvell
onnet, quarante-six ans 1. Ces deux malades ont fait le sujet d'une
leçon
de M. le professeur Charcot qui compare les lés
e l'articulation. M. le professeur Damaschino a fait voir, dans ses
leçons
professées à la Faculté de médecine en 1887, qu
l'a remarqué l'amnésie hystérique. 31 depuis longtemps; dans les
Leçons
du'Mardi, en 1887, il disait, à propos d'un mal
très surprise et vient tout inquiète me demander ce que 'Charcot. -
Leçons
du Mardi il la Salpêtrière, 1887, p. 297. 1 Gil
NS capillaires dans l'hydrocéphalie. Notre maître Giraldès dans une
leçon
très intéressante qu'il a consacrée à l'hydrocé
cas, après la ponction on a eu recours au drainage. - 1 Giraldès.
Leçons
cliniques sur les maladies chirurgicales des en-
édico-légales relatives aux maladies mentales. 1 J. Séglas.. III.
Leçons
du mardi à la Salpétrière, par M. le professeur C
de la première édition. Ce sont cette fois les.vingt-six premières
leçons
qui paraissent en seconde édition. Comment anal
uel du profes- seur aux prises avec l'imprévu ? Les dix volumes des
leçons
ex cathedra de M. Charcot, réunies jusqu'ici pa
leaux, etschémas en grand nombre animent ce cadre vécu. C'est de la
leçon
de choses parlée. Telle une peinture reflétant
éflexions qui nous venaient à la lecture de cette nouvelle série de
leçons
cliniques. Elles se présenteront sans nul doute
ell' antica casa Éditrici Dott'. if. Vallardi. CHARCOT (J.-M.). -
Leçons
dumardi à la Salpêtrière. Notes de cours de MM.
-M.). - Clinique des maladies du système nerveux de la Salpêtrière.
Leçons
du professeur, mémoires, notes et observations de
by G.-H. Buchanan and C°. GRASSET. - Un cas de maladie de Morvan.
Leçons
recueillies par GuiBERT (IL). Brochure in-8° de
. Chanon. Grasset. Quelques cas d'hystérie mâle et de neurasthénie.
Leçons
recueillies par JEANNEL (S.). - Brochure in-8°
York, 1891. - Journal of Ne,'vous and Mental disease. Marie (P.).
Leçons
sur les maladies de la moelle. Volume in-8° de
oissons, avait le privilège d'être sur le champ répété. 1 Magnan.
Leçons
cliniques sur les maladies mentales. Paris, 1891,
l'hystérie date de 1888. A cette époque, M. Charcot présenta à ses
Leçons
du Mardi un malade, qui avec d'autres observati
of speech. Indian med. Rec., Calcutta, 1892, III, p. 80, : Charcot. -
Leçons
sur les localisations 1876-80, p. 69. 3 Bournev
sportant dans le public des journaux des observations, des faits de
leçons
cliniques destinées au seul public médical. M.
notamment par MM. Cornil, Bouillaud, Charcot qui, souvent, dans ses
Leçons
, a cité Laënnec comme un grand observateur, et
losophes qu'aux médecins. , Paul BLOC(j. bibliographie. 359 XI.
Leçons
sur les maladies de la moelle ; par le Dl' Pierre
te, au premier abord, par son originalité, et, après la lecture des
leçons
de M. Marie, par l'in- génieuse logique des arg
ires de la moelle, d'autre part à celle du tabès dorsal. Les autres
leçons
traitent du tabes dorsal spasmodique, de la par
l'alaxie locomotrice progressive, qui n'occupe pas moins de seize
leçons
sur trente-huit dont se compose le livre. C'est d
int de vue, qu'à celui de la méthode anatomo-clinique employée, les
leçons
de M. Pierre Marie, offrent-elles un air de par
igures. Prix : 5 fr. pour nos abonnés, 3 fr. 50. CHARCOT (J.-M.).
Leçons
du mardi à la Salpétrière. Notes de cours de MM
J.-M.). Clinique des maladies du système nerveux de la Salpêtrière.
Leçons
du professeur, mémoires, notes et observations de
être que la repro- duction de ce que M. Charcot a consigné dans ses
leçons
clas- siques ou la compilation des différents é
tin de la Société des médecins de Jussyr 1887.) ' 3 Voir dans les
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. III, p.
ÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU . 409 et le Dr Parinaud (
Leçons
du Mardi, 1889, p. 422) ont dé- montré, en se b
nstance me rappelle un fait fort intéressant relaté par M. Charcot (
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. III, p. 8
provoqués par l'éclat de la foudre. Le professeur Charcot, dans ses
Leçons
du mardi1, en rapporte un cas très beau, en l'i
répondrai par les exemples cités par le professeur Charcot dans la
leçon
dont il s'agit. Le premier appartient au profes
istel'ica-allolise in Riforma medica, 1891, n° 177. * Charcot. -
Leçons
cliniques sur les maladies du système nerveux,
ent pendant les accès, devenir le siège d'un trouble de nutrition
Leçons
sur les maladies du système nerveux, tome III.
vision par lésions cérébrales. (Th. de Paris, 1882.) 27. Charcot. -
Leçons
sur les maladies du système nerveux. (Paris, 18
aité des maladies des yeux. (Paris, 1888, p. 562.) 39. Charcot. -
Leçons
du ntqi-di la Salpétrière, ;1881-88. (Policli-
ris, 1891.) 53. Charcot. Sclérose en plaque et paralysie générale. (
Leçons
à la Salpêtrière, Semaine médicale, 27 janvier
uns, ce n'est pas une raison pour les confondre. Pré- tendre que la
leçon
d'un maître est identique à la suggestion faite
'hystérie qui se rencontrent dans ce service, après avoir suivi les
leçons
de M. Charcot, je n'hésite plus. ' Marcelle éta
s également suggestibles dans les différents sommeils hypnotiques. (
Leçons
sur l'hys- térie, 1891, II, 166.) * Voir une
analyser, classer et chercher le déterminisme des phénomènes. Notre
leçon
eut été plus facile et plus claire, si nous avi
de 16 pages. - Paris, 1892. Asselin et Houzeau. CHARCOT (J.-M.).
Leçons
du mardi à la Salpêtrière. Notes de cours de MM
-M.). - Clinique des maladies du système nerveux de la Salpêtrière.
Leçons
du professeur, mémoires, notes et observations de
arcot, 136; - Epi- tome des maladies mentales, par J. Shaw, 137 ;
Leçons
du mardi, par Charcot, 138; -Clinique des mal
Guermonprez, 357; - 'Troubles de la mémoire, par Sollier, 357; -
Leçons
sur les maladies de la moelle, par P. Ma- rie
comprend: 1° le traitement du gâtisme, expo-sé précédemment ; 2° les
leçons
de toilette qui consis-tent à apprendre aux enfan
habiller, à se déshabiller, brosser, ran-ger leurs vêtements ; 3° les
leçons
de table qui consis-tent à leur enseigner à mange
ru, composé sur nos conseils, comme préparation à l'écriture ; 6° les
leçons
de choses, soit à l'école, soit clans les jardins
chansons entendues une seule fois et auront de la peine à retenir la
leçon
la plus élémentaire de grammaire, d'histoire ou d
é-matiques il faut que l'attention soit soutenue et entiè-rement à la
leçon
; habituellement l'attention est fugitive, elles r
ligées de le répéter vingt fois dans nos classes, résumer souvent des
leçons
précédentes car la mé-moire estfaible et ingrate.
l'existence. Ce sont les, comptes d'une ménagère par exemple. Ici les
leçons
de choses nous sont d'une très grande utilité, no
ge, quelques-unes obtiennent le certificat d.'éludes primaires. Les
leçons
de choses, multipliées le plus possible, ont li
mme ces jeunes élèves montrent un véritable empressement à suivre les
leçons
de dessin, nous ne doutons pas delesvoir arriver
nt y pren-nent part, une centaine d'enfants environ ont participé anx
leçons
de chant. En maintes circonstances et les samedis
André Van Kerbergilen et do la surveillante M"10 Athénaïs Bohain. Les
leçons
de M. Van Kerberghen ont lieu une fois par semain
lly. Le nombre des enfants cpui prennent part à ces prome-nades, avec
leçons
de choses, varie de 60 à 80. Distractions. — No
s douches afin de nous assurer que l'on continue à se conformer à nos
leçons
. Toutes les personnes attachées au service appren
is à s'habiller et à se débarbouiller elle-même. Elle s'intéresse aux
leçons
de choses et à tout ce qui se passe autour d'elle
Personne n'a oublié ce légitime retentissement qu'ont eu, en 878, les
leçons
cliniques de la Salpêtrière sur l'hypnotisme chez
x, l'écriture ; car, si l'aphasie motrice c silencieuse » règne (1)
Leçon
recueillie par MM. Blin, Charcot, Colin, élevés d
euses. — M. le projeteur Charcot fait les mardis, à 9 heures 1/2. une
leçon
clinique sur les maladies du système nerveux ; le
tales. — M. le professeur Ball fait, les dimanches et les jeudi», des
leçons
cliniques sur les maladies mentales. Hospital.
-Arts.— M. le Dr Bérillon fait tous les samedis, a 10 heure» 1/2, une
leçon
clinique sur les applications de 1' hypnotisme et
des fourneaux ardents et en désignant l'endroit du bras où l'on (1)
Leçon
faites à la Clinique des maladies nerveuses (55,
clinique et thérapeutique de l'hystérie. Paris, 1859. (4) Bernutz.
Leçons
cliniques sur l'hystérie (Gazette des Hôpitaux, 1
74);- — Art. Hystérie, du Dictionnaire Encyclopédique. (5) Charcot,
Leçons
sur Us maladies du système nerveux. Paris, 1878,
e grands chagrins; (1) Charcot, Hystérie et syphilis. Analyse d'une
leçon
faite à la Salpetriére le 1er novembre. — Progres
Arts. — M. le Dr Bérillon fait tous les samedis, à 10 heures 1/3, une
leçon
clinique sur les applications de 1 hypnotisme et
soit le plomb, le mercure, l'alcool ou bien le virus (l) Fournier,
Leçons
sur syphilis p.816 — 1873. — Paris. — année, Gaze
née. 3° L'éducation de misérables qui trouvent dans ces séances des
leçons
leur apprenant a se servir de l'hypnotisme pour l
— M. le docteur Bérillon fait tout les samedis, à 10 heures 1/2, une
leçon
clinique par les applications de l'hypnotisme et
Accidents nerveux provoqués par la foudre Dans une de ses dernières
leçons
, M. Charcot ayant pu étudier une série de trouble
— m. le docteur Berillon fait tous les samedis. a 10 heures 1/2, une
leçon
clinique sur les applications de l'hypnotisme et
frapper, par l'audace de l'exécution l'esprit de leurs auditeurs. Les
leçons
dans l'art de voler et de se servir habilement du
. Les fous en liberté M. le professeur Ball a repris dimanche ses
leçons
cliniques à. l'asile Sainte-Anne, au milieu de l'
e l'affluence accoutumée. Le professeur traitait, dans cette première
leçon
, des fous en liberté, à propos d'un fait assez re
ommencera le samedi, 14 décembre, A dix heures du matin, une série de
leçons
cliniques sur les applications de l'hypnotisme à
rveuses. Il étudiera spécialement les procédés d'hypnotisation. Les
leçons
auront lieu tous les samedis, A dix heures. L'a
faite ainsi qu'on s'en rendra compte en relisant la très instructive
leçon
de M. Charcot, intitulée « Spiritisme et htstérie
de direction pour rester le maître et le fléau de l'Inde. Dans les
Leçons
sur les Maladies Mentales du docteur Ball, nous t
ts. M. le docteur Bérillon fait tous les samedis, a 10 heure« 1/2 une
leçon
clinique sur les applications de l'hypnotisme et
i a fait prendre. Dr Edg. Bérillox. LES SUGGESTIONS CRIMINELLES
Leçons
professées a la Faculté de Nancy, par M. le profe
uleurs, l'accoucher à son insu, et je comptais vous faire ensuite une
leçon
sur cet enfant, conçu et mis au monde par une mèr
que confirmer des faits déjà connus. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE
Leçon
clinique de M. Dumontpallier à l'Hotel-Dieu de Pa
u, à fait devant un nombreux auditoire de médecins et d'étudiants une
leçon
clinique sur les applications thérapeutiques de l
ypnotisme. Parmi les auditeurs de marque, venus pour assister à cette
leçon
si instructive à tous égards, nous pouvons citer:
us les auditeurs entassés jusque dans les escaliers. Au cours de sa
leçon
. M. Dumontpallier a présenté une jeune malade du
ous aurons le plaisir de donner in-extenso le texte de l'intéressante
leçon
de M. Dumontpallier. Suicide chez le vieillard.
érieur. Nous arrivons maintenant au traitement. (1) Extrait d'une
leçon
faite par M. le docteur Dumontpallier, sur l'invi
bre malade sa force et ses fonctions. LES SUGGESTIONS CRIMINELLES
Leçons
professées d la Faculté de Nancy, par M. le profe
urer M, le Dr Dumontpallier peuvent vous rassurer complètement, et la
leçon
que M. le professeur Bernheim a bien voulu faire
Magie pratique : 275 pages in. 16. Kolb. Paris grasset et rauzier. —
Leçons
sur la grippe de l'hiver 1889-1890 98 pages.in. 8
1889-1890 98 pages.in. 8° Masson. Paris 1890. Grasset et Rauzier. —
Leçons
sur deux cas d'hystérie provoqués par une mala-di
ient est singulièrement éclair-cie par cette étude. M. Ribot. dans la
leçon
d'ouverture de son cours sur l'Inconscient (1). d
ibilité n'est pas un (1) Berlin. Klin. Woch n° 26 1887. (2) Luys.
Leçon
cliniques sur les principaux phénomènes de l'hypn
la clinique des maladies nerveuses, 55 rue Saint-André des Arts, une
leçon
pratique sur les applications de l'hypnotisme. Ce
es Arts, une leçon pratique sur les applications de l'hypnotisme. Ces
leçons
sont exclusivement destinées aux médecins et aux
orts avec la), par Liègeois, 158. Laura Bridgman (le cas de), 27.
Leçon
clinique à l'Hôtel-Dieu, par M. Du- montpallier
nd : 1° le traitement du gâtisme dont nous venons de parler, 2° les
leçons
de toilette qui consistent à apprendre aux enfa
ices élé1 ? 1Cntai- res relatifs à l'enseignement primaire ; 6° les
leçons
de choses, soit à l'école, soit dans les jardin
ir écrire assez lisiblement, a fait quelques progrès concernant les
leçons
de choses et la gymnastique. 9 Pnovo.. (Edmon
les parties de son corps, presque tout le con- tenu de la boîte aux
leçons
de choses. En 1898, il reconnaît et nomme les l
ément. L'écriture, ayant marché de front, il copie chaque jour la
leçon
de lecture et écrit de mémoire un certain nombre
olaire. Ce musée continue à servir aux - séances de projection, aux
leçons
de choses. Il s'est notablement enrichi tant au
omenades les ins- tituteurs et les institutrices doivent donner des
leçons
Visites ET congés. XX1 : de choses et exercer
le professeur de chant et celui de gymnastique, dont les heures de
leçons
ne coïncident pas avec l'heure de notre visite.
la po- pulation il serait nécesaire qu'il donnât maintenant deux
leçons
par semaine. L'Administration départe- mentale
velée plu- sieurs fois, et l'ont signalée à l'Administration de 1
Leçons
de choses, DESSIN, chant, ETC. LXI l'Assistance
'Assistance publique dont nous attendons toujours la réponse. Les
leçons
de choses multipliées le plus possible, ont lie
les mêmes que dans notre section de Bicêtre. Signalons surtout les
leçons
de choses, soit en classe, soit dans les jardin
le « champ éduca- tif » qui est cultivé par les élèves, servant aux
leçons
de choses, il l'enseignement de l'horticulture
la plus grande partie, du petit peuple. En leur faisant suivre les
leçons
d'une école primaire ordinaire pendant un ou de
uis, un élève n'appartient pas constamment à une classe fixe ; à la
leçon
de lecture, par exemple, quelques élèves se réu
e, quelques élèves se réunissent à une classe pour recevoir cette
leçon
de lecture, mais il est très possible que ces m
ible que ces mêmes élèves ne soient pas de la même classe pour la
leçon
de calcul. Du reste, l'enseignement classique est
versation développante, les « réalio » ( ? ). Après chaque heure de
leçon
, il y a cinq minutes de repos. A 11 heures les
ue, les exercices physiques, l'hydro- thérapie, les promenades avec
leçons
de choses, doivent occuper une large place ; ce
me, est relevé physiquement et moralement et est tout prêt pour les
leçons
de choses, pour l'enseignement de la parole, le
BIBLIOGRAPHIE MOTSCHOUTKOVSKY. Wratsch, p. 258, 1883. - Charcot.
Leçons
du mardi. Janvier, mars, traduc. de M. le Dr Bl
Charcot et dont nous trouvons la description entre autres dans ses
Leçons
du mardi à la Salpètrière, Policlinique 1887-1888
rois que dans des cas analogues d'anurie hys- (4) d. 1\1. Charcot-,
Leçons
sur les maladiesdu système nerveux, p. 275, 398,
887 XV, pages 561-566). (3) Ollivier. Chorée el alhélose double. (
Leçons
cliniques sur les maladies des enfants, 1889, p
(3). 111. le -professeur Charcot (4) y a de nouveau insisté dans sa
leçon
sur le malade qui a été l'objet de nos recherch
R C ARTHROPATHIES COXO-FÉMORALES Au début du l'abcs ataxique. (
Leçon
recueillie par A. Dutil, chef de clinique ). Me
analogue. Vous en trouverez l'observation dans le 1er volume de mes
Leçons
du mardi. Il s'agissait d'un homme âgé de 35 ans,
le sujet précédent. L'un et l'autre malade ont fait l'objet d'une
leçon
clinique de M. Char- cot dans le courant de cet
inique de la Salpètrière, qui a été l'objet d'un cours de M. Charcot (
Leçons
du mardi, 1888-89, p. 84 et suivantes) et sur u
se pose point. Il suffira de regarder en arrière dans (1) Charcot,
Leçons
sur les mal. du syst. nerv., t. III. 254 NOUVEL
du 27 août 1892, nous avons publié sur la mé- decine vibratoire une
leçon
de M. le professeur Charcot (1). Nous ne pouvons
con- tinues au traitement de quelques maladies du système nerveux.
Leçon
recueillie par Gilles de la Tourette. (2) Pro
s avantages que l'on peut retirer de la médecine vibratoire. » La
leçon
de M. Charcot suscita, avons-nous dit, la publica
re au comte d'Argentai (sept, 1744), puis il tomba dans l'oubli. La
leçon
de M. Charcot donne à cet appareil un regain d'ac
pas sur les résultats obtenus, que M. Charcot a si- gnalés dans sa
leçon
et sur lesquels M. Chouppe a insisté en apportant
la syringomyélie. Les deux autopsies de MM. Joffroy et Achard et la
leçon
de notre maître M. le professeur Charcot ont ét
asthénique primitive (Thèse de Paris, 1853). Progrès médical, 1878.
Leçons
sur les maladies du, système nerveux, t. II. - Le
édical, 1878. Leçons sur les maladies du, système nerveux, t. II. -
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. III. Se
Jac. v. Heine. Spinale Kinderloehmung Monographie, 1865. Henoch.
Leçons
cliniques sur les maladies des enfants. C. H. Hug
m. Lond., 1878). Ollivier, prof. agrégé. Chorée et athétose double (
Leçons
cliniques sur les maladies des enfants, 1889).
rude enveloppe qu'on a dû la démasquer ». Et il ajoute dans la même
leçon
. « Pas n'est besoin pour l'affirmer de trouver
nalyser ou même signaler ici. Nous devons pourtant citer, après les
leçons
magistra- les de M. le professeur Charcot, les
alle- mands : IIenoclt y échappe à peine; c'est néanmoins dans les
leçons
du célèbre professeur de Berlin qu'on trouve, a
quelquefois bien curieuses (1) ». M. le professeur Pitres, dans ses
Leçons
cliniques, consacre une courte étude à ce qu'il
fendues en (1) Id. Bulletin médical, 30 juillet 1890. (2) Pitres.
Leçons
cliniques sur l'hystérie, 1891, t. I, p. 37. 33
e infantile de plusieurs de nos observations. Quand on (1) Charcot,
Leçons
du mardi, 1888, p. 199. (2) Gilles de la Touret
physio- logiquement. » (1) Charcot, Gazelle hebdoniad. (1865) et
Leçons
sur les malad. du syst. nerveux, t. I, p. 361.
eçons sur les malad. du syst. nerveux, t. I, p. 361. (2) Grasset,
Leçons
sur les malad. du syst. nerf" 1879, livre Il, p.
yanie disease of the nel'vous System, London (1891). (6) Charcot,
Leçons
sur les malad. du syst. nerveux, t. III, p. in.
n de prouver ex- (1) Fabre, Marseille médical, 1883. (2) Charcot,
Leçons
du mardi, 1888, p. ` ? 0,3. (3) Dufestcl, Malad
s n'oserions rien ajouter après cet illustre maitre. (1) Charcot,
Leçons
sur les maladies du syst. nerv., t. III, p. 20.
(1) Rendu, 1889, loco citato. (8) Pitres, Progrès médical, 1889, et
Leçons
cliniques sur l'hystérie, 1891. (9) Charcot, Cl
le professeur Charcot en commentant ces expériences dans une de ses
leçons
, il est permis de se demander, si l'état mental o
s môme mes inscriptions d’élève en médecine. Je fréquentai un peu les
leçons
du Collège de France, et je feuilletai tous les l
moi, mais bien moins scrupuleux et attentif. Je reçus de lui quelques
leçons
, et lui payai un léger tribut. Sa maison était le
c jamais départi. On a bien voulu me donner à ce sujet, 11011 pas une
leçon
assurément, mais des conseils. Je ne demande pas
avais déjà émises sur le magnétisme, et je préparai mon Cours en sept
leçons
. Ma ténacité venait, non de mon orgueil, je m’app
, et, en 1833, je publiai mon Cours, par cahiers contenant chacun une
leçon
. Cet Ouvrage eut quelque succès, et je dus en fai
é de médecine, M. Malgaine, a parlé longuement du magnétisme, dans sa
leçon
du 3o décembre dernier, à propos de l’anesthésie.
le je golfe Saronique. Nous nous permettons de donner n_ cette petite
leçon
de géographie à M. Solon-Davis. Il rj, est encore
l’efficacité des médications ainsi obtenues, bien que contraires aux
leçons
de l’école, pourquoi ne pourrait-il continuer de
trospection, de passer ci revue, Verbatim, tous les manuscrits de ses
leçons
pré cédenies. Cette faculté remarquable mérite
ce qui n’est pas moins remarquable, c'est que les propositions de ses
leçons
ont une coïncidence frappante (1) Bush, Mesmer
fesseur Gregory a fait dernièrement à l’Université d’Édimbourg deux
leçons
sur le magnétisme. Nous en publierons le compte-r
expérimentale, développé avec un rare savoir, il arriva enfin à la
leçon
du magnétisme, qu’il divisa en deux parties : le
Et la femme n’eut plus de maladie..... Quelle simple, quelle sublime
leçon
de posologie magnétique! Vous y réfléchirez, M. J
physiologie à l’üniversité d’Edim-. bourg, a donné dernièrement deux
leçons
publiques sur les phénomènes de la suggestion à l
ni comment elle est affectée. C’est ce que M. Bennett a fait dans ses
leçons
; et, tant qu’il ne s’agit que des phénomènes de s
excepté quelques-unes de suggestion directe à l’état de veiile. Les
leçons
de M. Bennett n’ont pointa! tiré de monde; mais l
ire, mais il s’est oublié. Je viens donc de donner, de mon côté, deux
leçons
qui ont été suivies par plus de cinq cents person
elles de la réalité des faits de vision sans le secours des yeux. Ces
leçons
, quoique strictement logiques, ont été parfaiteme
r trahi la gloire de l’Uni-versité et de la médecine. Mais, quant aux
leçons
, c’est mon adversaire qui a commencé la lutte; et
rvés avec soin , il faudra bien qu’ils avalent non seulement les deux
leçons
, mais aussi mon livre, qui va éclater comme une b
lus distingué, autrefois professeur de physiologie, qui a entendu mes
leçons
, vient de m’écrire qu’il a été tout à fait conten
il y a un rapport très-court, et imparfait à la vérité, de ma seconde
leçon
, ainsi qu’un autre paragraphe sur les deux leçons
érité, de ma seconde leçon, ainsi qu’un autre paragraphe sur les deux
leçons
. En jugeant mon livre, il ne faut pas oublier q
de trois à quatre cents, à 10 dolars chacun. Ses cours duraient trois
leçons
d’abord, mais aujourd’hui il les fait en une seul
CES PUBLIQUES. —M. Fiskeouvrira ce soir, à l’Armory Hall, sa série de
leçons
sur VElectro-biologie , science récemment découve
ro-biologie , science récemment découverte. — Le sujet de sa première
leçon
sera la puissante influence des impressions moral
-Une série d’expériences surprenantes et amusantes aura lieu après la
leçon
. LEÇONS DU PROFESSEUR FISKE.— Ce moderne magici
e d’expériences surprenantes et amusantes aura lieu après la leçon.
LEÇONS
DU PROFESSEUR FISKE.— Ce moderne magicien a fait
SKE. — M. Fisko donnera cette après-midi, à Armory Hall, une nouvelle
leçon
particulière sur l'Eleetro-Biolo-gie. Tous ceux q
asion, en se présentant à l’heure indiquée. H comprimera en une seule
leçon
toute l'instruction nécessaire pour mettre les as
la manière d'en faire hq> plication à la guérison des maladies.
LEÇON
DU PROFESSEUR SIIAW. — M. Sliaw donnera ce soir,
N DU PROFESSEUR SIIAW. — M. Sliaw donnera ce soir, à Ai moryHall, une
leçon
d’Électro-Biologie Humaine, et fora remarquer en
ous les mesméristes éclairés à qui j’ai eu le privilège de donner des
leçons
, ont avoué franchement, et sans hésitation, qu’il
Cincinnati chronicle.) M. FISKE SUR L’ACQUISIVITÉ. — Le sujet de la
leçon
d’aujourd’hui, à Armory Hall, sera le développeme
mory Hall, sera le développement excessif du penchant à acquérir. Ses
leçons
et ses expériences ont atliré beaucoup de monde t
n. XIiECTHO-FST CHOEOGIE. Le Dr Williams donne tous les soirs des
leçons
de cette science extraordinaire, dont il est le f
ersonnes avaient formé une classe pour l’engager à venir y donner des
leçons
: il se rendit à leurs désirs, et quelques indivi
e vue de la vérité. M. le professeur Léon Simon vous l’a dit dans ses
leçons
: « Ce que vous ne concevez pas existe; voyez, et
DELI.IER-DELANOUE. Chronique. — M. Flourens, dans une des dernières
leçons
du cours qu’il fait au Jardin-des-Plantes, a parl
âmes comment elle devait s’y prendre. Dès le lendemain elle mit notre
leçon
en pratique, et le malade devint somnambule en di
de Turin. Cir-culaire et programme d’expériences, do M. Guidi, 247. —
Leçon
publique de magnétisme, donnée au Collège de Perp
érapeutique dethystèrie, seconde partie, I, p. 29S. (2; A. Prnizs :
Leçons
cliniques sur i'hyste'rie et l'hypnotisme, t II,
observateurs de l'Ecole de (1) J. Babinski: Hypnotisme et hystérie,
leçon
faite à la SalpC-trlûre, le 23 Juin 1891. Gazette
e dire que l'élève doit avoir confiance en son maître, pour tirer des
leçons
qu'il reçoit tout le profit possible. Cette confi
la ponctuation comme il l'indiquait, et représenter les cahiers à la
leçon
suivante. Les interrogatoires équivalaient, ou pe
du cahier amenaient de sévères punitions. On allait en tremblant à la
leçon
de ce terrible homme. Ses dictées cependant étaie
on se portera sur le sujet, avec une bien autre intensité que sur une
leçon
qu'il faudrait apprendre par cœur pour la réciter
r; dans le second, les médecins pensent à la syringomyëlie. Depuis la
leçon
de Charcot en 1889, l'œdème hystérique est entré
eu des hystériquesalongtemps clé méconnu. C'est Charcot qui, dans ses
leçons
à la Salpëtrièrc, sut très bien le mettre en évid
rations devant d'autres spectateurs que les élèves admis à suivre ses
leçons
. » (1) Encore une fois, je n'ai pas à faire la
este exemple à de mauvais drôles, à des chenapans ; on leur donne des
leçons
dont ils tireront profit ; on leur indique les pr
et nous verrons que, (1) Vies III, 243. (2) Ibid. IU, 233. (3)
Leçons
professées à l'Ecole de psychologie, 1901. (4)
ticulier d'hypnologie et de psychothérapie. Le cours comportera douze
leçons
. On s'inscrit à l'Institut psycho-physiologique,
ir : Hypnotisme et Hystérie. Du rôlede l'hypnotismo en thérapeutique.
Leçon
faite 6 la Salpétricre, par J. Babikski, et publi
el de l'hémiplégie organiquo et de l'hémiplégie hystérique, par J. !:
Leçon
publiée dans la Galette des hôpitaux, 5 et 8 mat
Dumontpallier, Luys et Mesnet. En 1896, à la Pitié, dans une de ses
leçons
intitulée le Nouveau vita-lisme, le professeur Al
olkowska, docteur en philosophie, a été chargée de faire une série de
leçons
sur la Psychologie des sensations et la Psychomét
, fait chaque année à Lille, dans un cours annexe de notre Ecole, des
leçons
très suivies sur l'Hypnotisme et la Psychothérapi
ose pourraient être multipliée pour ainsi dire à l'infini. Dans ses
leçons
cliniques sur l'hystérie, le professeur Pitres ne
sympathie, et des médecins de la ville, qui sont toujours assidus aux
leçons
si pratiques du professeur de l'hôpital Necker.
d a traité de la thérapeutique générale et développé le programme des
leçons
qui vont suivre. Par des exemples bien choisis, i
hérapeutique logique et sérieusement utile. Après cette remarquable
leçon
, M. Albert Robin, qui était présent, a fait, dans
cun de vos auditeurs, en disant, nous avons écouté — votre magnifique
leçon
. Voilà de la vraie pratique, voilà de la vraie mé
— à étendre la liste sèche et aride des crimes, et à décréter, (1)
Leçon
faite à l'Université de Lausanne. pour ces cr
e la Sociologie Criminelle que nous parlerons aujourd'hui et dans les
leçons
suivantes. Je vous ai dit que la sociologie cri
nt tel que, chaque matin, les étudiants puissent entendre une ou deux
leçons
faites sur une branche spéciale de la pathologie.
liniques, les soins donnés dans les divers cas, en même temps que les
leçons
théoriques. Maladies du système nerveux M. Ba
ts. Dermatologie M. Darrier. Samedi, k9h. ijk. — Amphithéâtre —
Leçons
cliniques et théoriques sur les maladies de la pe
rmatologiques. Gynécologie médicale M. Paul Dalchê commencera ses
leçons
de gynécologie médicale, le lundi 21 avril à 10 h
générale. Maladies de la nutrition M. Albert Robin reprendra ses
leçons
de clinique thérapeutique, le mercredi 16 avril,
ême cessent, tout à fait quand (1) Cette malade a été l'objet d'une
leçon
à mon cours à la Salpétrière le 30 janvier 1902.
e faite à l'Institut psychophysiologique, en janvier 1900 et dans les
leçons
que j'ai faites à l'Ecole de psychologie pendant
que l'arrivant y exerce tous ses muscles. Tous les jours il prend une
leçon
de natation dans une piscine d'eau tiède et est s
hypnotisme. Après avoir consacré le semestre d'hiver à d'instructives
leçons
sur les psychasthénies et sur l'hystérie, M. Raym
'un animal dont il lira le nom, tirera l'élève de la somnolence. La
leçon
de lecture sera courte, mais répétée à différente
ît pas Sénèque, il a sur eux une supériorité, c'est qu'il profite des
leçons
de l'expérience. Le croc en jambe donné par le dr
emarquables et que, seuls, nient les adversaires de parti pris. (1)
Leçon
laite à la Salpêtrière. Dans les cas d'hystér
que le jeudi 17 octobre à dix heures du matin. Le cours comprendra 12
leçons
. Le droit d'inscription est fixé à cinquante fran
d, professeur à la Faculté de médecine, médecin de l'Hotel-Dieu. La
leçon
d'ouverture sera faite par le professeur Ubeyd Ou
ses par les élèves, soit pour écrire, soit simplement pour écouter la
leçon
, défauts qui sont encore augmentés par la fatigue
e des dégénérescences mentales et des psychoses chez les enfants. Les
leçons
, toujours complétées par des présentations de mal
s faire état de ce cas et le présenter comme authentique dans les
leçons
que je faisais alors, à l'Ecole de psychologie, s
brillantes qualités professorales, qui avez suivi avec assiduité ses
leçons
si vivantes, vous regretterez avec nous notre che
haude sympathie et qui nous accordez si largement, dès cette première
leçon
, tout le crédit que méritent des hommes laborieux
ndre son tour, ce qui occasionne des pertes de temps. L'ordre de la
leçon
elle-même, dans la gymnastique suédoise n'est pas
s par le professeur, suivant le degré d'entraînement des élèves. La
leçon
se composera donc d'exercices préparatoires ; pui
ergie sont les sauts, que l'on place habituellement vers la fin de la
leçon
, quand les muscles sont bien assouplis. Enfin,
a fin de la leçon, quand les muscles sont bien assouplis. Enfin, la
leçon
se termine par quelques exercices lents destinés
à calmer la respiration. Vous voyez quel est le plan général de la
leçon
et, en même temps, l'importance attribuée à la ré
spectral Il m'est arrivé à plusieurs reprises de présenter dans mes
leçons
cliniques des jeunes filles ou dt*s femmes présen
lieu à l'Asile Clinique dans l'amphithéâtre où le Dr Magnan fait ses
leçons
depuis quarante ans. Ses amis et ses élèves, pour
précieux enseignements que la physiologie pathologique puise dans les
leçons
de la clinique. M. Magnan a remercié ensuite to
l'hystérie n'est légitime. Par M. le D' Paul Maonin. Extrait d'une
leçon
faite k l'Ecole de Psychologie, le 30 janvier 190
de soi. Les conditions dans lesquelles se faisaient la visite et les
leçons
du Maître à cette époque, "l'influence grande de
re la dégénérescence. — Les établissements médico-pédagogiques. Les
leçons
seront complétées par des présentations de malade
é ; il comportera des démonstrations pratiques et sera complet en dix
leçons
; il se fera à l'Ecole de Psychologie, 49, rue Sa
correspondance. Le droit d'inscription est fixé à 50 francs. Les
leçons
auront lieu aux dates suivantes : - M. le Dr Bé
'hystérie n'est légitime. Par M. le D' Paul Maonin. Extrait d'une
leçon
faite à l'Ecole de Psychologie, le 30 janvier 190
é ; il comportera des démonstrations pratiques et sera complet en dix
leçons
; il se fera à l'Ecole de Psychologie, 49, rue Sa
correspondance. Le droit d'inscription est fixé à 50 francs. Les
leçons
auront lieu aux dates suivantes : M. le Dr Béri
l'hystérie n'est légitime. Par M. le D' Paul MaGNIn. Extrait d'une
leçon
faite â l'Ecole de Psychologie, le 30 janvier 190
guérison par suggestion pourra servir de pierre de touche. Dans ses
leçons
sur les Névroses et Psychonévroses, M. le Profess
able et exécré. L'étude de cette évolution constitue une excellente
leçon
de psychologie. Elle enseigne qu'il n'est pas pru
vé ; il comportera des démonstrations pratiques et sera complet en 10
leçons
; il se fera à l'Ecole de Psychologie. 49, rue Sa
correspondance. Le droit d'inscription est fixe à 50 francs. Les
leçons
auront lieu aux dates suivantes : M. le Dr Beri
de l'oeil); paralysie faciale, hémiplégie ' · plus fréquente. Ces
leçons
constituent un exposé bien fait, attrayant mais d
à un des élèves qui s'honore, d'avoir recueilli du maître la haute
leçon
et l'exemple d'indépendance civique qui fut un
e 46 pages. - Berlin, 1893. - Verlag von Fischer's. Séguin (E.-C.).
Leçons
sur le traitement des névroses. Volume in-8° de
ri j1"'lI (n ? f1 Í- ,(l'I(I') f . ri r I., CRANIECTOMIE LI"\IIl ?
leçon
clinique faite , à , l'hôpital du ,.conilà d'Ar
e. » E. B. Nous aurions voulu placer à la suite l'un de l'autre, la
leçon
sur la craniotomie faite par le ' D Clyton Park
ns des hystériques pour ne pas les suggérer à son insu. P. S. IV.
Leçons
sur le traitement des névroses; par le Dr E. C. S
rappeler que, durant son inter- nat et son clinicat, il donnait des
leçons
particulières afin d'atténuer les sacrifices qu
des communications à la Société de biologie (avec Cornil), dans ses
leçons
de 1SCG, dans les nombreuses notes jointes à la
donc déjà très honorablement connu lorsqu'il inaugura, en 1866, ses
leçons
, à la Salpê- trière, non pas dans le bel amphit
l'hémorrlzagie et au ramollissement du cerveau, après une première
leçon
de haute philosophie médicale intitulée : Paral
quin, l'art. Anévrysmes de l'aorte du Dict. encyclop., etc. ' Ces
leçons
ont été publiées par M. Benjamin Bail. ' Nous a
çons ont été publiées par M. Benjamin Bail. ' Nous avons publié ces
leçons
dans la Gazette des Hôpitaux (1868). J.-M. CHAR
ement du cerveau. Mal- heureusement, une partie seule de ses belles
leçons
a été recueillie. On doit d'autant plus le regr
vue de la pathogénie, du diagnostic et du pronostic *. Outre les
leçons
dont nous venons de parler, men- tionnons encor
cicules, publiés par Bouchard. Nous devons dire, toutefois, que ces
leçons
ont été utilisées dans plusieurs thèses de doct
is été aussi grand. C'est à cette époque qu'il fit ses remarquables
leçons
sur les Troubles tro- phiques consécutifs aux m
ment. Il nous avait confié la publication du premier volume de ses
Leçons
sur les maladies du système ner- veux. Plusieur
lume de ses Leçons sur les maladies du système ner- veux. Plusieurs
leçons
, dès 1868, avaient paru dans la Gazette des Hôp
rs leçons, dès 1868, avaient paru dans la Gazette des Hôpitaux; les
leçons
sur les troubles trophiques venaient de paraîtr
du maître pour ses propres travaux. Il reprit la composition des
leçons
sur les troubles trophiques parue dans ce der-
ue nous désespérions de pouvoir jamais parvenir au but. Après les
leçons
sur les troubles trophiques, venaient les leçon
u but. Après les leçons sur les troubles trophiques, venaient les
leçons
sur la paralysie agitante et la sclérose en pla
us n'avions été soutenu par Mme Charcot, que nous eûmes enfin les
leçons
sur l'hystérie et l'laystéro-épi- lepsie qui te
cessante- de Mme Charcot, sans ses encouragements, la plupart des
leçons
de cette période auraient eu le même sort que c
t-il été ainsi ! Nous aurions, à l'avantage de tous, une foule de
leçons
qui sont demeurées enfouies dans ses car- tons.
- rant de la science. C'est durant cette période qu'il publia ses
Leçons
sur les anomalies de l'ataxie locomotrice, sur
de son service un véritable Institut neuro-patlaoln- gique. Dans sa
leçon
d'ouverture, après avoir exprimé sa gratitude e
d'une oeuvre à laquelle ils ont parti- cipé 1. D Dans cette même
leçon
, il déclarait une fois de plus que « l'interven
l'hystérie chez l'honcnze, etc. Citons encore les deux volumes des
Leçons
du Mardi données dans les années scolaires 1887
cquisitions scienti- fiques ». Ajoutons enfin que la plupart de ses
leçons
de clinique se terminent par un exposé du trait
heleazkam. 1893 : La danse macabre du Bar. - En 1892, il publia une
leçon
sur les Arthropathies coæo-fémomles au début du
1890, il publia : Sur la para- lysie faciale d'origine auriculaire (
leçon
recueillie par Blocq); De la paraplégie du mal
ion pa1'acentl'ale : - 1892 : Paralysie générale chez l'adolescent (
leçon
recueillie par Blocq) ; - Existe-t-il un trembl
spontané considéré au point de vue nosographique et médico- légal (
leçon
recueillie par Dutil). Semaine médicale : Hysté
ne et de chirurgie pratiques, ont publié de nombreuses analyses des
leçons
de M. Charcot. TITRES HONORIFIQUES DE M. CHARCO
es : ordinairement isolés ou au nombre de deux ou trois, 1 Charcot.
Leçons
sur les maladies du syst. nerveux, t. I, p. 267.
S. déclare que, étant enfant, même après de sincères efforts, ses
leçons
étaient toujours mal sues. Comme son frère aîné,
e des cours. Puis M. le docteur Encausse (Papus) a fait sa première
leçon
de physiologie ( ? ). -Grâce à cette école, tou
Hypnotisme et Hystérie. Du rôle de l'hypnotisme en thérapeu- tique.
Leçon
faite à la Salpêtrière, par J. Babinski. (Gazette
de beaucoup plus marqués. Des figures illustrent cette intéressante
leçon
. P. S. XIII. A propos d'un cas de maladie des t
iège social. Charcot. - : Clinique-des maladies du système nerveux (
leçons
du professeur, mémoires, notes et observations)
dans la^-, traumatique ,4 I)LIV"1GolclsÙliei(ler' 136,et J 339 ; /
leçons
sur le, traitement ] des z '.par C.-E. Séuid;nl
vole sa mère à qui elle rend !a vie insupportable ; elle délaisse ses
leçons
de musique et mène ouvertement une vie irrégulièr
penser à son jeune homme, de sc remettre au travail, de reprendre ses
leçons
, d’être gentille pour sa mère, d’être content
ers avec la pratique de la psychothérapie. A l’une de ses dernières
leçons
du mardi, le professeur Raymond présentait un hom
ade, au réveil, ne s'est pas reconnue; elle n'aurait rien su de (1)
Leçon
clinique û la Salpétriêre. ce qui s’était pas
a forme trépidante de l’as-tasie-abasie. Charcot, en 1884, dans ses
leçons
du mardi, a montré que, dans l'as-lasie-abasie, l
son service, un cours sur les maladies mentales et nerveuses. De ses
leçons
fort appréciées, il est déjà sorti deux gros ouvr
agrégé on 1880. A l'hôpital Lariboisière et à la Faculté, il fit des
leçons
remarquables sur la pathologie interne et, sur le
ront jamais assez dire tout le profit qu'ils en retirent. Quant à ses
leçons
très savantes et plutôt théoriques du vendredi, e
S88, un cours libre d’Hypnotisme et de Psychologie physiologique. Ces
leçons
t héoriques sont complétées par des recherches et
le successeur de Charcot. C’est un maître de premier ordre, dont les
leçons
du vendredi à la Salpétriôre, sont citées comme d
que. COURS ET CONFÉRENCES Le sommeil devant la médecine légale.
Leçon
faite à la Faculté de médecine par M. le professe
otisme et de psychothérapie M. le Dr Bérillon commence une série de
leçons
pratiques d’hypno-logie et de psychothérapie, le
otisme expérimental et thérapeutique, et a voué chaque année quelques
leçons
théoriques et pratiques à ees doctrines. Cependan
ses. COURS ET CONFÉRENCES Le sommeil devant la médecine légale.
Leçon
faite à la Faculté de médecine par M. le professe
r; elle ne pouvait toucher certains objets, en particulier des (1 j
Leçon
clinique faite à la Salpfitrière. couteaux. L
isme et de psychothérapie M. le Dr Bérillon a commencé une série de
leçons
pratiques d’hypnologie et de psychothérapie, le j
nexe de l'institut psycho-physiologique. Ce cours comprend vingt-cinq
leçons
et comprendra toutes les questions relatives à l'
res petites rétardées, ou même aux idiotes et aux démentes, d’habiles
leçons
de choses. Et elles comprennent... quelquefois; p
accomplies dans le domaine scientifique. Tous ceux qui ont suivi les
leçons
que M. Jules Soury professe depuis déjà de longue
. Il fit dans ce local, devant un auditoire nombreux, de remarquables
leçons
. La dernière de ses conférences eut lieu le 20 ja
entre l’orateur et ses auditeurs. La fatigue que je ressens après une
leçon
ou un discours est d’autant plus intense que le n
logie sociologique. Comme je m’en voudrais de retarder le début des
leçons
qui figurent à l’ordre du jour, je borne à ces qu
r de vifs applaudissements. La fin de la séance est occupée par une
leçon
de M le Dr Paul Magnin. Après avoir fait un expos
rapports de l’hystérie et de l’hypnotisme, le professeur a terminé sa
leçon
en représentant avec l’aide de projections à la l
liniques de Bordeaux, 1899. n# 9 et 10). — La psychose éclamptique,
leçon
clinique. (Revue mensuelle de Gynécologie, d'obst
coui's dureront jusqu'au milieu du mois de mars. Un certain nombre de
leçons
seront publiées dans la Revue de VHypnotisme. P
ypnotisme. Parmi les auditeurs qui assistaient à l’inauguration des
leçons
, nous avons reconnu MM. les Dri Jules Voisin, méd
aître; mais l'extrémité était trop grosse. Alors, il tira parti de la
leçon
jusqu’au bout et il rendit l’extrémité pointue au
, dans l’un des derniers numéros de la Revue de VHyp-notisme (‘j, une
leçon
fort intéressante faite à la Salué tri ère par no
chambre, se remit aux travaux de dentelle et de tapisserie, prit des
leçons
de peinture sur émail, etc. De plus, afin de lu
rophylaxie du vaginisme, si bien mise en lumière par Gallard dans ses
leçons
magistrales. Autrefois, les mères de familles a
AS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. 9 M. Brissaud' dans une de ses
leçons
de la Salpêtrière et dont voici le résumé : Sur
issaud. Syndrome cérébelleux. (Progrès médical, 20 janvier 189r, et
Leçons
sur les maladies nerveuses.) 2 Blin. Bulletins
, 1862-63, p. 709. 2 ,JofII'OY. Archives de Neurologie, 1896, n° 2.
Leçon
sur les hallu- cinations unilatérales. LA THÉ
l a poussé Louis. Demain je dessinerai. En ce moment j'apprends une
leçon
'. 5° Puis, quand l'enseignement du langage qui
a pris des habitudes de propreté, son maintien s'est redressé. Les
leçons
spéciales de gymnastique auxquelles il a partic
jet sur lequel M. le professeur F. Raymond aime à revenir. Dans les
leçons
que nous allons résumer la question est abordée
t pas indifférent chez les deux malades présentés au début de cette
leçon
d'affirmer le diagnostic de sclérose latérale amy
t de progrès à l'étranger. Certes nous sommes loin de dédaigner les
leçons
que nous pou- vons puiser chez nos voisins d'Ou
il s'est imposée, le professeur Raymond livre au public médical les
leçons
si remarquables qu'il a faites pen- dant l'anné
uvrage est consacrée à l'analyse de faits cliniques isolés. La XIX"
leçon
est consacrée à une paralysie radi- culaire mot
r il existe du myosis et les troubles sensitifs manquent. Dans la
leçon
suivante, le professeur Raymond revient en détail
st très important à établir puisqu'il règle le pronostic. La XXI0
leçon
apporte une nouvelle observation de polyomyélite
que l'anamnèse permet de rattacher à une syringomyélie; puis deux
leçons
sont consacrées à la discussion d'une malade dont
plaques. ' L'évolution générale du tabes fait le sujet de la 1XVI1°
leçon
. Faisant oeuvre de clinicien, le professeur Ray
é que des résultats passagers et très minimes. Les deux dernières
leçons
sont consacrées à l'étude de troubles psychique
UX ET SCLÉROSE MULTIPLE DISSÉMINÉE ; Par le professeur GRASSET.
LEÇONS
cliniques' recueillies ET publiées Par le Dr VE
e de cette grande époque de réno- ' Faites du 7 au 24 mai 1897. -
Leçons
de clin, nécl., 3e série, p. 247, 1897. 3 On tr
exposé de l'histoire de la neuropathologie con- temporaine dans les
leçons
que Raymond a consacrées à l'oeuvre d'un homme
séminée. Ainsi chez un arthritique, un alcoolique ou un paludéen,
Leçons
de clin, méd., 3° série, 1897, p. 301. MALADIES
diminuée et il fera du tabes ou telle autre sclérose médullaire. 1
Leçons
de clin, méd., 2c série, 1890. p. 671. 118 8 CL
père vous l'avoir démontré ailleurs. ' Voir la Ire édition de mes
Leçons
sur les maladies du système raer- veux. , MAL
objection que Huchard vient de formuler en rendant compte de nos
Leçons
du trimestre dernier. « Sous ce nom nouveau (sc
ien pré- ciser le débat. Tous les auteurs que j'ai cités dans mes
leçons
sur la sclé- rose multiple disséminée connaisse
Aussi, après lui et d'après lui, disions-nous' que l'artérios- 1
Leçons
de clin, Ire série, p. 522 et 535. 122 CLINIQUE
ent encore, dans un livre que nous avons déjà cité, paru depuis ces
leçons
, Brault étudie, dans une série de chapitres, la
ielle. Voilà les deux points que je n'avais pas développés dans mes
leçons
du trimestre dernier, qui justifient celles-ci
cours suivant de démonstration et d'exemple. - je Insister sur les
leçons
de choses. Répéter les leçons précé- dentes en
n et d'exemple. - je Insister sur les leçons de choses. Répéter les
leçons
précé- dentes en commençant la leçon sous forme
leçons de choses. Répéter les leçons précé- dentes en commençant la
leçon
sous forme d'interrogation. 8° A la fin du cour
rai recon- naissant de tout ce qu'ils pourront faire pour que leurs
leçons
et leurs conseils soient suivis de résultats :
Journal, février 189 i.) Ce cas fournit à l'auteur l'objet d'une
leçon
clinique où abon- dent d'intéressants points de
e. - Elle est tout entière résumée dans le nom de Charcot. Dans ses
leçons
cliniques de la Salpêtrière il en est une, cell
l'hémoptysie hystériques chez l'enfant, et touchent dans plusieurs
leçons
à l'hystérie infantile. C'est sous l'inspiratio
omme l'affirmait récemment M. le professeur Joffroy dans une de ses
leçons
cliniques il Sainte-Anne, nous affir- mons par
ieurs thèses dont quelques-unes très remarquées2, malgré les belles
leçons
de Jules Simon, Charcot et les travaux de Bourn
liniques sur les maladies des enfants, 1889; 17, 18, 19, 20, 21, 23
leçons
. Greffier. De l'hystérie précoce. (Archives géné-
Thèse Helsingfors, 1888. Coutdrie. Thèse Paris, 1896. 3 Charcot.
Leçons
cliniques sur les maladies du système nerveux, t.
eçons cliniques sur les maladies du système nerveux, t. I, II, III.
Leçons
du mardi, 1887-1888 et 1888-1889. Cliniques des m
1887-1888 et 1888-1889. Cliniques des maladies du système nerveux,
leçons
publiées par Guinon, t. I, 1892. Boume- ville.
atrices. Charcot a insisté à chaque instant dans ses remarquables
leçons
sur l'importance de l'isolement dans le traitemen
seconde reproduit l'ensemble symptomatique si bien décrit dans les
leçons
cliniques de M. Raymond. Ce qu'il y a de nouvea
inique. J'estime que les erreurs de diagnostic proviennent bien (1)
Leçon
faite à l'Hôpital de la Pitié. Un certain nombr
(1) Leçon faite à l'Hôpital de la Pitié. Un certain nombre de mes
leçons
ont été publiées dans divers journaux sans mon as
soit établi qu'à l'avenir je ne devrai être rendu responsable que des
leçons
qui porteront la mention qu'elles ont été rédig
ains problèmes qui sont d'une grande importance sociale. Dans les
leçons
suivantes je chercherai à vous décrire d'une mani
sur laquelle je ne puis m'étendre ici, que j'étudierai dans une des
leçons
suivantes et qui se manifeste par divers 8 LA M
bassin, le signe du peaucier, la griffe spéciale de la main (voir :
Leçon
sur le diagnostic différentiel de l'hémiplégie
s caractères qui leur appartiennent, ainsi que je le ferai dans les
leçons
ultérieures, on parvient toujours, lorsqu'on a ac
endrer. Comme je vous l'ai annoncé, je ferai, mes efforts, dans les
leçons
sui- vantes, pour vous enseigner les caractères
écela l'existence d'une tumeur cérébelleuse. J'avais ainsi reçu une
leçon
dont j'ai tiré profit. On peut dire que la céph
z qu'à consulter les anciens Traités de Médecine, les Revues et les
Leçons
consacrées à l'étude des maladies nerveuses, le
Semaine Médicale, 27 juillet ¡8g8. E vous entretiendrai dans cette
leçon
d'un phénomène que j'ai fait j connaître il y a
ui, sans ce signe, aurait pu être méconnu. Au commencement de cette
leçon
je vous ai dit que je ne m'occuperai que du réf
père faire partager mon opinion à ceux qui voudront bien suivre ces
leçons
avec quelque attention. Je dois dire cependan
s recherches personnelles éparses en diverses communications. (')
Leçons
laites à l'hôpital de la Pitié. 4o SÉMIOLOGIE
dans leurs rapports avec les réflexes tendineux, seul objet de ces
leçons
. Mais avant d'entre- prendre l'étude de ces rel
sera porté généralement, même chez un sujet jeune atteint d'hé- (')
Leçon
clinique faite à l'hôpital de la Pitié. 92 SÉMI
sent propres à différencier les deux espèces d'hémiplégie que cette
leçon
sera consacrée. On peut déjà entrevoir théoriqu
uvement réflexe et j'en ai donné une description détaillée dans une
leçon
publiée par la Semaine médicale à laquelle je vou
inion. (') Voir à ce sujet : Rétlexes tendineux et réflexes osseux.
Leçons
faites à l'hôpital de la Pitié (I3ul. letin méd
dans certains cas de paraplégie, s'est exprimé à ce sujet, dans une
leçon
sur la compres- sion lente de la moelle, de la
étaient encore plus marqués dans ce cas que dans les autres. (')
Leçons
sur les maladies du système nerveux, 1886, t. II,
u'à présent ce symptôme. Il est donc tout naturel de voir, dans ses
Leçons
sur les maladies de la moelle, M. P. Marie cons
val-Piquechef. Des pseudo-tabes (Thèse de Paris, r885-r886). Marie.
Leçons
sur les maladies de la moelle. Paris, 18g2. Pan
on plus qu'une lésion du système nerveux siégeant au- (') Brissaud,
Leçons
sur les maladies nerveuses, r8g5, p. 200. 442 A
un point de vue que M. Charcot n'a pas manqué de signaler dans ses
leçons
. Or, s'il en est ainsi, il paraît vraisemblable
r : Hypnotisme et Hystérie. Du rôle de l'hypnotisme en thérapeutique.
Leçon
faite à la Salpêtrière, par J. Babinski, et pub
hémiplégie organique et de l'hémiplégie hystérique, parJ. Babinski.
Leçon
publiée dans la Gazelle des Hôpitaux, 5 et 8 mai
r : Hypnotisme cl hystérie. Du rôle de l'hypnotisme en thérapeutique.
Leçon
faite à la Salpêtrière, par J. Babinski et publ
fférentiel de l'hémiplégie organique et de l'hémiplégie hystérique.
Leçon
clinique faite par J. Babinski à la Pitié (Gazett
ors M. Bernheim (') Voir : Hypnotisme et hystérie, par J. Babinski.
Leçon
faite à la Salpêtrière, le 23 juin 1891 , in 48
médecine et de chirurgie, juillet 1801. Voici la conclusion de cette
leçon
: « Je me crois autorisé à conclure de toute ce
rtance, de sa ténacité, je ne puis mieux faire que d'extraire d'une
leçon
de Charcot (OEuvres complètes, vol. III, p. 5,5.
ttaque de la Salpêtrière, à phases distinctes et ordonnées. Dans la
leçon
de Charcot, dont j'ai extrait un passage relatif
elatif aux stigmates hystériques, il est dit qu'à l'époque où cette
leçon
avait été rédigée il y avait, rassemblées dans
e cliniciens, entre autres par le professeur Chauffard qui, dans sa
leçon
inaugurale ayant pour sujet : « Stabilité et co
ntenant aussi des documents précieux d'ordre expérimental. Dans les
leçons
de Vulpian et celles de Charcot, on trouve enfi
linique et expérimentale), Thèse, Paris, 1872. (1) J.-M. Charcot,
Leçons
sur les maladies du système nerveux, faites à la
système nerveux. Voici ce que A. Pitres écrivait en 1891, dans ses
Leçons
cliniques sur l'hystérie à propos d'un malade a
re état des troubles vaso-moteurs et thermiques. Dès 1904, dans une
leçon
consacrée aux symptômes objectifs que la volonté
l s'agisse de paralysie flasque avec amyotrophie (') J.-M. Charcot,
Leçons
sur les maladies du système nerueu.c, faites à la
uillet 188g). 26. Anatomie pathologique des névrites périphériques (
Leçon
faite à la Salpêtrière le 3o mai 1890. Gazette
30. Hypnotisme et hystérie. Du rôle de l'hypnotisme en thérapeutique (
Leçon
faite à la Salpêtrière le. 23 juin 18gi. Gazett
1897)- 48. Du phénomène des orteils et de sa valeur sémiologique (
Leçon
faite à la Pitié Semaine médicale, 27 juillet 1
fférentiel entre l'hémiplégie organique et l'hémiplégie hystérique (
Leçon
faite à la Pitié. Gazette des Hôpitaux, numéros d
est incapable de reproduire. De leur importance en médecine légale (
Leçon
faite à la Pitié. Gazette des Hôpitaux, t octobre
). t5o. Traitement du vertige de Ménière pour la ponction lombaire (
Leçon
faite à la Pitié. Journal de médecine el de chi
Utilité de la craniectomie décompressive dans les tumeurs cérébrales (
Leçon
faite à la Pitié. Jouanal de Médecine el de Chi
DEX BIBLIOGRAPHIQUE 629 197. Réflexes tendineux et réflexes osseux (
Leçons
faites à la Pitié. Bulletin médical, numéros de
équence dans les paraplégies spasmodiques par compression. Dans une
leçon
sur un mal de Pott dorso-lombaire où la-paralys
ésie et perte du sens musculaire et ostéoarticulaire. ' Brissaud.
Leçons
sur les maladies nerveuses, 1895, p. 137. e Bri
ssaud. Leçons sur les maladies nerveuses, 1895, p. 137. e Brissaud.
Leçons
sur les maladies nerveuses, 1899, p. 181. 3 Rev
mpression Myelili.s (12-eh. f. I'sclz. Bd. 30, Ueft 2). - Brissaud.
Leçons
sur les maladies nerveuses, 1899. p. 199. r. Ha
ication physiologique (Semaine médicale, 1899, p. 513). 2 Brissaud.
Leçons
sur les maladies nerveuses, 1893, p. 1 47. Arch
ncore, il se prononça sur l'action de la suspension dans une de ses
leçons
du vendredi, dans les ter- »I Professeur Charco
ne de ses leçons du vendredi, dans les ter- »I Professeur Charcot :
Leçons
du mardi à la Salpêtrière. Polyclinique 1888-18
19 janvier 1889, le grand neurologiste français fit sa pre- mière
leçon
sur l'application de la suspension dans le.trai-
Charcot publia 114 cas tabétiques, N 1 M. Gilles de la Tourette.
Leçons
sur les maladies du système nerveux, 1898. 2
vénients, qui forcèrent la plupart de neuro- ' O. lotcloutlcowslci.
Leçons
sur le labes dorsalis. (11'ralch, n 28, 1S98 )
et tout récemment par notre maître M. le professeur Raymond dans sa
leçon
sur la mé- thode de Frenkel. Dans ce cas la fle
onnus. M. Pitres, qui s'en est occupé à plusieurs reprises dans ses
leçons
, les désigne sous le nom de monoplégies brachia
M ! M) ? M'iener 1lfedic. Blciller. 1881. z z Professeur Charcot.
Leçons
du mardi à la Salpêtrière, 1888-1889. 3 Gilles
çons du mardi à la Salpêtrière, 1888-1889. 3 Gilles de la Tourette.
Leçons
svr les maladies nerveuses, 1898. 112 THÉRAPEUT
UTIQUE. TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES. 119 gurantes. Dans ses
leçons
du vendredi, le professeur Ray- mond disait de
ion motrice ». Le professeur Motchoutkowski donne dans ses récentes
leçons
sur le tabes dorsalis une classification des ef
lioration du spasme de déglutition : IIammond. ' 0. Motchoutkowski.
Leçons
sur le tabès dorsalis (Vra<c/t, nos 22, 23,
par conséquent tardive. Charcot a fait ressortir dans sa mémorable
leçon
sur la sus- pension l'effet produit par celle-c
rs des tabétiques. Des 14 premières observations publiées dans la
leçon
de Charcot, « chez tous l'amélioration a commencé
avo- rablement sur l'incoordination. M.Pierre Marie dit, dans ses
leçons
sur les maladies de la moelle : «Qu'il me suffise
aymond. Clinique des maladies du système nerveux, 1897. 8 P. Marie.
Leçons
sur les maladies de la moelle, p. 330. P. Marie
ncé du reste dans des travaux précédents, en particulier dans : une
leçon
sur « les phobies à deux », publiée dans la Sem
e son esprit, et lui don- ner un entraînement manuel plutôt que des
leçons
pendant ses premières années et jusqu'à son ado
. Paris. Carré et Naud, 18J9,-t. If, p. 1333 et suiv. - ' Séglas.
Leçons
cliniques sur les maladies mentales. Paris, 1895,
plus vif, à me laisser m'occuper de ceci ou de cela. Je pris des
leçons
de danse, mais cela fit moins que rien. - J'éta
sposé, tellement j'étais pâle et semblais misérable. . Pendant la
leçon
de danse, une jeune lille m'avait plu, et une a
ien appris, j'apprenais ensuite en quelques minutes. Mais une telle
leçon
était pour sauver les apparences, pour le maîtr
et tout effort était sans fruit. Naturellement je n'écoutais pas la
leçon
et je ne faisais aucun progrès; je passais mon
sseoir le plus loin possible et prit attentivement des notes sur la
leçon
; mais même s'il laissait reposer sa plume, son
nsion où il est, il va trouver son professeur pour lui demander des
leçons
particulières, à l'insu de ses parents, et en p
ents de s'en- tendre avec le professeur de musique pour prendre des
leçons
par- ticulières. Cette idée lui était venue san
de M. Fournier, qui s'est nettement prononcé, à cet égard, dans une
leçon
toute récente. Je suis, au contraire, parmi ceu
al, f80). Voir sm l'hystéro-épilepsie à crises distinctes : Cliarcot.
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. 1, t3,
s : Cliarcot. Leçons sur les maladies du système nerveux, t. 1, t3,
leçon
, et Leçons du Mardi à la Salpêtrière, t. I, 22'
ot. Leçons sur les maladies du système nerveux, t. 1, t3, leçon, et
Leçons
du Mardi à la Salpêtrière, t. I, 22' leçon, et
ux, t. 1, t3, leçon, et Leçons du Mardi à la Salpêtrière, t. I, 22'
leçon
, et t. II, IS' leçon. 362 CLINIQUE NERVEUSE.
et Leçons du Mardi à la Salpêtrière, t. I, 22' leçon, et t. II, IS'
leçon
. 362 CLINIQUE NERVEUSE. constater alors une o
,) lorsqu'il est accompagné de convulsions toniques. (Cf. Cliarcot.
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. I, 136
Cf. Cliarcot. Leçons sur les maladies du système nerveux, t. I, 136
leçon
.) - 1 La principale objection qui a été élevée
obscurités. Les cas pathologiques, qui vont servir de thème à cette
leçon
et à la suivante, me fourniront l'oc- casion de
tives, mis tout d'abord en saillie par Guislain dans ses remarquables
leçons
sur les Phréno-. pathies, a jusqu'à présent, en d
sont des phénomènes d'amnésie qui dominent ainsi; ils oublient leurs
leçons
, au milieu d'une récitation ils ne peuvent plus c
ologie et pathologie fonctionnelle de la vision binoculaire, 1861 ; —
Leçons
sur le urabisme et la diplopie, pathologie et thé
Docteur DUJARDIN-BEAUMETZ médecin de l'hôpital cochin Dans cette
leçon
, je désire m'entretenir avec vous du massage, de
estomac, on l'a vu donner d'excellents résultats. Dans la prochaine
leçon
, nous étudierons un moyen puissant mis tn pratiqu
Salpétrière les mardis et les vendredis, à neuf heures et demie, une
leçon
clinique sur les maladies du système nerveux. —
Sainte-Anne. les jeudis et les dimanches, à dix heures du matin, une
leçon
clinique sur les maladies mentales. HOpital de
ntent au plus haut degré les sujets mis en état d'hypnotisme. — Les
leçons
cliniques de M. le docteur Luys ont lieu à la Cha
X BIBLIOGRAPHIQUE INTERNATIONAL HYPNOTISME (depuis 1880) Davezac:
Leçons
sur l'hystérie et l'hypnotisme. (Journal de médec
urs pour mettre les sujets dans l'état d'hypnotisme est celle que les
leçons
de MM. les docteurs Liébeault et Bernheim nous on
endue sur le magnétisme animal, s'est rendu à Nancy pour profiter des
leçons
cliniques de MM. Bemheim et Liébeault. De retour
. Nous publierons dans notre prochain numéro une de ces intéressantes
leçons
, recueillie pour la Revue par M. le Dr Aronssohn,
dont M. le professeur Brouardel s'occupait dans une de ses dernières
leçons
. Déjà Hippocrate avait répondu affirmativement,
e quelques-uns, mais frappants: En mars 1885, Charcot consacrait deux
leçons
de sa clinique à l'étude de six cas d'hys- té
, au commencement de l'année 1887, ont été pour Charcot l'objet d'une
leçon
pleine d'intérêt, viennent à l'appur. Dans le
re avis lorsque nous dirons qu'il ne suffit pas d'avoir reçu quelques
leçons
du fascinateur Donato pour prétendre avoir acquis
uguste Nicot. REVUE DE LA PRESSE L'attaque de sommeil hystérique.
Leçon
de M. le professeur Charcot - (recueillie par P.
somnambulique du grand hypnotisme, l'éminent professeur a terminé sa
leçon
par les conclusions suivantes : Supposons, par
. » Novembre 1878. — M. le professeur Chareot, dans de remarquantes
leçons
cliniques auxquelles se pressent les médecins et
pêtrière. — Clinique des maladies nerveuses: M. Charlot reprendra ses
leçons
mardi prochain, 28 février, et les continuera les
s curieux d'hystérie; sensibilité des téguments au contact de l'or, —
leçon
de M. le professeur Peter (Gazette des Hôpitaux d
et dans les applications à la pédiatrie. Ce cours comprendra douze
leçons
. Les effets du surmenage professionnel chez u
(A suivre.) COURS ET CONFÉRENCES LA PSYCHOLOGIE CONTEMPORAINE
Leçon
d'ouverture du cours de Psychologie expérimentale
ntation qui ait été employé : c'est l'hypnotisme. Dans une précédente
leçon
d'ouverture, j'ai montré son importance et les ré
trière. — clinique des maladies nerveuses : M. Charcot a reprit ses
leçons
et les continuera les vendredis et mardis. Asil
otisme et le somnambulisme. Ce qui est vrai, c'est qu'une seule des
leçons
de M. Charcot a plus fait pour intéresser le mond
tient l'attention, non par ordre, mais par le charme et l'intérêt des
leçons
; voilà ce dont il faut bien se persuader. Par la
exercices du corps avec ceux de l'esprit, proportionnez la durée des
leçons
à l'âge des enfants, et vous aurez diminué de bea
Clinique des maladies du système nerveux : M. le profeseeur Charcot.
Leçons
le mardi et le vendredi, à 9 heures. Asile Sain
ainte-Anne. — Clinique des maladies mentales ; M. la professeur Ball,
leçons
le dimanche, à 9 heures 1/2. Hôpital de la Char
pital de la Charité. — M. Luys fait tous les jeudis, à 10 heures, des
leçons
sur les affections du système nerveux. Hoipice
tives, mis tout d'abord en saillie par Guislain dans ses remarquables
leçons
sur les Phréno-. pathies, a jusqu'à présent, en d
sont des phénomènes d'amnésie qui dominent ainsi; ils oublient leurs
leçons
, au milieu d'une récitation ils ne peuvent plus c
ologie et pathologie fonctionnelle de la vision binoculaire, 1861 ; —
Leçons
sur le urabisme et la diplopie, pathologie et thé
Docteur DUJARDIN-BEAUMETZ médecin de l'hôpital cochin Dans cette
leçon
, je désire m'entretenir avec vous du massage, de
estomac, on l'a vu donner d'excellents résultats. Dans la prochaine
leçon
, nous étudierons un moyen puissant mis tn pratiqu
Salpétrière les mardis et les vendredis, à neuf heures et demie, une
leçon
clinique sur les maladies du système nerveux. —
Sainte-Anne. les jeudis et les dimanches, à dix heures du matin, une
leçon
clinique sur les maladies mentales. HOpital de
ntent au plus haut degré les sujets mis en état d'hypnotisme. — Les
leçons
cliniques de M. le docteur Luys ont lieu à la Cha
X BIBLIOGRAPHIQUE INTERNATIONAL HYPNOTISME (depuis 1880) Davezac:
Leçons
sur l'hystérie et l'hypnotisme. (Journal de médec
urs pour mettre les sujets dans l'état d'hypnotisme est celle que les
leçons
de MM. les docteurs Liébeault et Bernheim nous on
endue sur le magnétisme animal, s'est rendu à Nancy pour profiter des
leçons
cliniques de MM. Bemheim et Liébeault. De retour
. Nous publierons dans notre prochain numéro une de ces intéressantes
leçons
, recueillie pour la Revue par M. le Dr Aronssohn,
dont M. le professeur Brouardel s'occupait dans une de ses dernières
leçons
. Déjà Hippocrate avait répondu affirmativement,
e quelques-uns, mais frappants: En mars 1885, Charcot consacrait deux
leçons
de sa clinique à l'étude de six cas d'hys- té
, au commencement de l'année 1887, ont été pour Charcot l'objet d'une
leçon
pleine d'intérêt, viennent à l'appur. Dans le
re avis lorsque nous dirons qu'il ne suffit pas d'avoir reçu quelques
leçons
du fascinateur Donato pour prétendre avoir acquis
uguste Nicot. REVUE DE LA PRESSE L'attaque de sommeil hystérique.
Leçon
de M. le professeur Charcot - (recueillie par P.
somnambulique du grand hypnotisme, l'éminent professeur a terminé sa
leçon
par les conclusions suivantes : Supposons, par
. » Novembre 1878. — M. le professeur Chareot, dans de remarquantes
leçons
cliniques auxquelles se pressent les médecins et
pêtrière. — Clinique des maladies nerveuses: M. Charlot reprendra ses
leçons
mardi prochain, 28 février, et les continuera les
s curieux d'hystérie; sensibilité des téguments au contact de l'or, —
leçon
de M. le professeur Peter (Gazette des Hôpitaux d
et dans les applications à la pédiatrie. Ce cours comprendra douze
leçons
. Les effets du surmenage professionnel chez u
(A suivre.) COURS ET CONFÉRENCES LA PSYCHOLOGIE CONTEMPORAINE
Leçon
d'ouverture du cours de Psychologie expérimentale
ntation qui ait été employé : c'est l'hypnotisme. Dans une précédente
leçon
d'ouverture, j'ai montré son importance et les ré
trière. — clinique des maladies nerveuses : M. Charcot a reprit ses
leçons
et les continuera les vendredis et mardis. Asil
otisme et le somnambulisme. Ce qui est vrai, c'est qu'une seule des
leçons
de M. Charcot a plus fait pour intéresser le mond
tient l'attention, non par ordre, mais par le charme et l'intérêt des
leçons
; voilà ce dont il faut bien se persuader. Par la
exercices du corps avec ceux de l'esprit, proportionnez la durée des
leçons
à l'âge des enfants, et vous aurez diminué de bea
Clinique des maladies du système nerveux : M. le profeseeur Charcot.
Leçons
le mardi et le vendredi, à 9 heures. Asile Sain
ainte-Anne. — Clinique des maladies mentales ; M. la professeur Ball,
leçons
le dimanche, à 9 heures 1/2. Hôpital de la Char
pital de la Charité. — M. Luys fait tous les jeudis, à 10 heures, des
leçons
sur les affections du système nerveux. Hoipice
s décrits dans l'un de nos compte-rendus précédents (1), - 2° les
leçons
de toilette qui consistent à appren- dre aux en
cices pour l'éducation de la main, des sens, de la parole; - 4° les
leçons
de la petite gymnastique; - 6° les leçons de ch
s, de la parole; - 4° les leçons de la petite gymnastique; - 6° les
leçons
de choses avec les boites contenant les légumes
nir un son le plus longtemps possible. Il écoute avec attention les
leçons
orales et répond avec à propos aux questions qu
notion classique. Aujourd'hui il lit cou- ramment, répond bien aux
leçons
orales. Comprend et fait de petits exercices de
scolaire. Ce musée continue à servir aux séances de projection, aux
leçons
de choses, aux lectu- res récréatives. Il s'est
promenades les instituteurs et les institutrices doivent donner des
leçons
de choses et exercer les enfants aux jeux de ba
seur de gymnastique et le pro- fesseur de chant, dont les heures de
leçons
ne coïn- cident pas avec l'heure de notre visit
la population, il serait néces- saire qu'il donnât maintenant deux
leçons
par semaine. Les leçons de choses sont multipli
néces- saire qu'il donnât maintenant deux leçons par semaine. Les
leçons
de choses sont multipliées le plus possible et
les jantes avoisinants, organisés en vue de l'enseignement par les
leçons
de choses. On revient il la salle de gymnastiqu
rivait à peu près lisiblement quelques mois après. Les progrès en
leçons
de choses furent aussi marqués. De même en gymnas
'à 50 et à nommer la plupart des objets contenus dans les boîtes de
leçons
de choses. Il coin- IDIOTIE complète : améliora
174 li Traitement nll : bICO-PrDAGOG1QU. fant profite surtout des
leçons
de choses, auxquelles il s'in- téresse beaucoup
ices scolaires) ; - à acquérir toutes les con- naissances usuelles (
leçons
de choses) ; - enfin à apprendre d'une façon tr
ire de janvier 1898. 222 Explication DES planches. Planche XIX.
Leçons
de choses : les lignes et leurs applications. .
ONS A'IL ? Í ? 51\E 22 'i Explication des planches. Planche XX.
Leçons
de choses : les lignes et LEURS combinaisons ;
la salle des Cours, section Bambuteau. à la Salpétrière, une série de
leçons
sur les maladies mentales et nerveuses. Dans la
e de leçons sur les maladies mentales et nerveuses. Dans la seconde
leçon
. M- Auguste Voisin a présenté un malade traité av
eur faisiez accepter le traitement nécessaire. Que d'exemples, jue de
leçons
dont nous nous efforcions de faire notre profit.
vous avons été, vous sommes et serons loujouis reconnaissants de vos
leçons
excellentes ; que tous, sommes fiers de nous dire
qu'elle se trouvait plus fatiguée et avait les joues en feu après ses
leçons
de français. J'y vis une indication à ne pas cont
ique de la psychothérapie. Pendant le semestre d'hivor 1892-93. de«
leçons
théoriques et pratiques seront faites le samedi,
rnheim. consacre chaque année, pendant le semestre d'hiver, plusieurs
leçons
cliniques à l'étude de la suggestion et do l'hypn
ique de la psychothérapie. Pendant le semestre d'hiver 1892-93, des
leçons
théoriques et pratiques sont laites le jeudi, à d
veux. — M. le professeur Charcot, le mardi et vendredi, à dix heures.
Leçon
clinique, à la Salpétrière. Bloomington, Illino
L'enfant parait distraite; elle ne peut ou ne veut plus apprendre ses
leçons
; elle ne peut rester en place ; elle touche à tou
espectueuse pour votre grand'- mère; vous apprendrez facilement vos
leçons
; vous pourrez écrire vos devoirs, vous pourrez t
t vif, intelligent; l'enfant était reconnaissante, elle apprenait ses
leçons
avec grande facilité, s'occupait utilement toute
« Vous êtes » plus curieuse qu'un carabin .. Le Dr Bérillon, dans ses
leçons
si rationnelles, d'une tendance si pratique en mê
ique de la psychothérapie. Pendant le semestre d'hiver 1892-93, des
leçons
théoriques et pratiques sont faites le samedi, à
ique de la psychothérapie. Pendant le semestre d'hiver 1892-93, des
leçons
théoriques et pratiques sont faites le samedi, à
e santé très bon. Comme la malade n'a pas encore fait l'objet d'une
leçon
, et comme on voit que les suggestions auront bien
e partie de ceux-là, de celle façon, le but cherché fut obtenu. (1)
Leçons
cliniques sur l'hysterie, 1891, t. II, p. 166.
— 1893.) Laborde. — Traité élémentaire de physiologie, d'après les
leçons
pratiques de démonstration, précédé d'une introdu
orme auquel Sergiu attribue une grande importance (4) dans une de ses
leçons
. Il ne faut cependant pas oublier qu'au début, on
du pied. (1) Gazette médicale de Strasbourg. 1870. (2) Charcot :
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. 3, p. 477
recommande de répondre évasivement. M. Saint-Germain, dans une de ses
leçons
, recommande de faire allonger le malade dans tous
ogie physiologique. — M. Jules Soury, maître de conférences, fait des
leçons
sur les doctrines contemporaine* de la psychologi
ls ont passé. Nous avons entendu Luys développer ces idées dans ses
leçons
cliniques à la Charité : il y montrait deux beaux
et automatisme cérébral, correspondent à des types bien (1) Luys :
Leçons
orales à la Charité', 1892. (2) Richet : Étude
t : Étude clinique sur la grande hystérie, Paris 1885. (3) Pitres :
Leçons
cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme. tranc
la que, contrairement à mes habitudes, je n'ai fait, dans la dernière
leçon
, aucune démonstration objective. - « En revanche,
Salpetrière, — Clinique des maladies nerveuses. M. le D' Charcot :
leçons
le mardi à 9 h. 1/2 Maladies nerveuses et menta
Salpêtriêre. — Clinique des maladies nerveuses. M. le Dr Charcot :
leçons
le mardi, à 9 h. 1/2. Maladies nerveuses et men
E L'ÉDITEUR Enfin dans la troisième partie nous avons reproduit une
leçon
de M. Charcot sur Y électricité statique, qui se
ts de la pathogénie des hémorrhagies cérébrales,Paris, 1886.—Charcot,
Leçons
sur les maladies des vieillards et sur les maladi
1. Celte observation, ainsi que la suivante a été l'occasion d'une
leçon
clinique reproduite par la Gazette des Hôpitaux,
umatisme articulaire chronique, partiel (1). Mais je n'ai 1. Voir :
Leçons
sur les maladies des vieillards et les maladies c
se organique. Voici comment s'exprime à ce propos cet auteur dans une
leçon
remarquable sur la pathogénie des affections du c
it ici ; ces lésions sur lesquelles j'ai appelé l'attention ailleurs (
Leçons
sur les maladies des vieillards, etc. Paris, 1890
paralysées. (Gaz. hebdom. 5 avril 1867, p. 210.) 2. Cl. Bernard. —
Leçons
sur la physiologie et la pathologie du système ne
itudes métalliques individuelles. (Premier rapport, 1877 et Charcot-,
Leçon
faite à la Salpêtrière, le 31 décembre 1877, repr
sseau entre autres s'y était intéressé ; il fit même sur ce point une
leçon
clinique dont une des conclusions est que les app
èves les phénomènes hystériques sur lesquels j'avais insisté dans mes
leçons
. J'avais l'habitude de lui traverser le bras sans
ations faciles du parti pris et des entraîne- 1. Compte rendu d'une
leçon
de Al. Cuahcùt par P. lücni.ii. interne des hôpit
s troubles sont les accidents permanents de l'hystérie, les plus 1.
Leçon
du 10 novembre 1878, résumée par la Gazette des H
artificielle. —Catalepsie artificielle. — Je vous ai montré, dans la
leçon
précédente, comment le simple voisinage d'un aima
religieuse de la Creuse dont je vous ai entretenus dans la précédente
leçon
(page 271). A la suite d'une attaque plus ou moin
l'Exposé des litres scientifiques de M. Charcot. Voir J.-M. Charcot.
Leçons
faites à la Salpêtrière, Progrès médical, n° 57,
nomène sur lequel M. Charcot a le premier appelé l'attention dans ses
leçons
de 1878, et dont, en collaboration avec M. le Dr
a aujourd'hui. La malade qui sera l'objectif principal de la présente
leçon
a été, comme celle qui nous a occupés samedi dern
pas oublier cependant le cas dont nous avions parlé dans la dernière
leçon
et où, après guérison de la contracture spasmodiq
éressant que j'aurai l'occasion de relever vraisemblablement dans une
leçon
prochaine. XVII. Des dangers des représentati
n (1). Mon cher Melotti, A propos do la publication prochaine des
leçons
que vous ave/ bien voulu recueillir, et où il est
de s'abstenir. 1. Celle lettre-préface est empruntée au volume des
Leçons
ûè M. Charcot, publiées en Italie par M. le Dr Me
e à Turin, à Milan et dans nombre de villes encore ? El si, après mes
leçons
, il était besoin de démontrer la fréquence de cet
montre éminemment contagieuse ; entre mille exemples du genre, notre
leçon
consacrée à montrer le développement d'une petite
is faire passer devant vos yeux, avant de terminer cette partie de la
leçon
quelques projections de gravures empruntées à div
, et laissant en A, émerger du sein même des masses de 1 Ranvier.
Leçons
sur l'histologie du système nerveux. T. I, p. 268
e l'ataxie était due à l'absence ou à la diminution du 1 Vulpian. -
Leçons
sur les maladies du système nerveux. Paris, 1879,
quelle bien souvent nous avons entendu insister M. Charcot dans ses
leçons
de la Salpêtrière. Ici encore, le sujet étend f
e et que j'ai déjà eu plusieurs fois l'occasion de montrer dans mes
leçons
. Une analyse attentive de cette synthèse cliniq
ation grise. La comparaison entre la Planche in et les planches des
Leçons
sur le système nerveux de 1\1. chariot mettront
chez un homme de cet âge. H. de B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I.
Leçon
D'OUVERTURE DU COURS DE CLINIQUE DES maladies m
mentales ; par M. le professeur BALL. En ouvrant la série de ses
leçons
cliniques M. Ball a voulu faire connaître d'abo
e guideraient dans sa marche. C'était là le programme naturel d'une
leçon
inaugu- rale ; on ne saurait dire qu'il ait été
seule affirmation catégorique que nous puissions découvrir dans la
leçon
inaugurale de M. Ball, c'est celle-ci : « Soyon
. il.) - Des localisations dans les maladies de la moelle épinière,
leçons
faites à la faculté de médecine de Paris, receuil
e 1879, on note un état stationnaire : l'enfant ne profite plus des
leçons
; bientôt, la mémoire s'af- faiblit, le'raisonn
Société de biologie, etc., octobre 1877 et août 1878; Cuencor. -
Leçon
sur la Métalloscopie (Gazette des hôpitaux, 1878)
. ) ft . ri"n ' -<L t- 1 (,it' >.»>)'-> i j , a I XXXV.
Leçon
sur QUELQUES MaLADIESD1;,L1MOELLE F;PI1VI);nE;·pa
-8" de 48 pages. - Fratelli Rechiedel, editori Milano. Bnoute (B.).
Leçons
sur les affections nerveuses locales, traduites d
é opposé, devenus hyperexcitables. M. Charcot a fait voir, dans ses
leçons
cliniques de la Salpêtrière, plusieurs femmes h
us indiqués. L'année suivante, parurent (Progrès médical, 1876) les
leçons
de M. Charcot sur le tabes dorsal spasmodique.
M. Charcot a de nou- veau appelé l'attention sur ces faits dans ses
leçons
de la Salpêtrière (Progrès médical, 1879, n° 17
s la catégorie des folies avec conscience ». H. D'O. XXXVIII. UNE
LEÇON
CLINIQUE SUR la paralysie générale; par A.-E. M
LD. (The médical Record, 7 février 1880.) L'auteur donne dans cette
leçon
une description clinique complète de la paralys
sset a, dans cette nouvelle édition, abandonné la dispo- sition par
Leçons
et a divisé son traité en six parties; les mala
généralités sur le système nerveux qui constituaient ses premières
leçons
dans l'édition précédente ; nous avons déjà dit
sprit scientifique qui lui est commun avec celui de ce journal. Les
leçons
de M. Charcot et les recherches de ses élèves,
ous ceux qui se sont occupés du sujet en ont formulé les bases. Les
leçons
de choses, dont les théoriciens se préoccupent
te, aux modifications récentes de la pédagogie, qui préconise les
leçons
de choses, son application dans les écoles primai
g0'I1 tl9ti191131JfJlj 9Vt.tqtjjS9b 9lf0O)B0SJ .309d c'CharcoM 22 h
Leçons
S sûr les (localisations^ darasZles93naladies2dti
bv^ Il 9pirqi;ropin ! T(Ilj * Vutpian. Maladies du système nerveux,
leçons
professées- à la Fa- cutte'de mé'decineflPàns,f
re excellent confrère )I. Dumont- pallier le passage suivant de ses
leçons
sur la métallothérapie : « Alors M. Vigoureux..
rgane) : telles sont les réflexions de M. Stenger. P. K. LXXVIII.
Leçons
CLINIQUES SUR LES tumeurs INTR.1-CRANIENNES par
phies et 36 fig. dans le texte; 1876-1880. Frappés du succès des «
leçons
de choses » professées à la Salpêtrière par M.
avait con- senti, avec sa bonne ,grâce habituelle,, faire quelques
leçons
aux élèves de l'Ecole des infirmières de'cet ho
enfant idiot, 1839; Théorie el pratique de l'éducation des idiots (
leçons
aux jeunes idiots ' de l'hospice des' Incurables)
te : M. nIOTTE1'; -fréso7'ier : M. J. RoDYNS. Asile Sainte-Anne ;
leçons
cliniques M. Magnan a recommencé ses leçons cli
. Asile Sainte-Anne ; leçons cliniques M. Magnan a recommencé ses
leçons
cliniques sur les maladies mentales et nerveuses
et mercredis suivants, à la même heure. Hospice de la Salpélrié7'e;
leçons
cliniques.-1\L A. VOISIN a commencé le dimanche
Jaborandi (traitement de l'éclamp- sie par le), par Hunt, 620.
Leçons
cliniques de Bail, 1 ? de .tagnon, Voisin, 617.
fibres d'arrêt de la), par Ott et Smith, 130. Moelle épinière (
Leçons
sur les ma- ladies de la), par Tommassi, 313.
intracrâniennes du pont de Varole (syphilis), par Stenger, 588 ; (
leçons
cliniques sur les), par B. Bramwell, SS9. Urs
Dans mon cours à l'Ecole de Psychologie j'ai fait, en 1902, toute une
leçon
sur les hallucinations hypnagogiques qui survienn
hypnagogiques qui surviennent en pleine santé et, eu 1903, une autre
leçon
sur les hallucinations hypaagegiques d'origine pa
sur les hallucinations hypaagegiques d'origine pathologique. Ces deux
leçons
seront publiées ultérieurement. apparitions q
aliénlstes et neui . .·;>:· - de Bruxelles. Août 1903. et des
leçons
cliniques sur la psychothérapie avec présentation
s, ce qui rend son rôle particulièrement difficile. Ses écrits et ses
leçons
ont fait connaître en Suède le traitement hypnoti
, l'un et l'autre, au rang des hommes qui ont eu l'influence la Une
leçon
de Charcot. — Tableau de Brouille! plus profond
sujet. L'année dernière, à l'Ecole de psychologie, je fis plusieurs
leçons
sur l'hypnotisme chez les animaux. L'un de mes au
er le soir jusqu'à dix heures pour faire les devoirs et apprendre les
leçons
dont il est accablé. Le premier congrès de l'hy
de l'Académie de médecine, professeur à la Faculté de Médecine. La
leçon
d'ouverture sera faite par notre collègue M. le D
urs de l'Ecole de psychologie. * ^ /Les sommeils pathologiques.
Leçon
d'ouverture par M. le Dr Paul Farez.^^,/^ Mesda
tre le Dr Jules Voisin, et au sujet de laquelle Charcot fit plusieurs
leçons
magistrales ; c'est la dormeuse de Rochefort, qui
poser ici-même, dans les cours des années précédentes. Si, dans cette
leçon
d'ouverture, j'ai sacrifié à l'actualité, je n'ab
les suggestions qui doivent amener la suggestion pourraient servir de
leçon
à plus d'un praticien. On comprend que la mise en
Pitres au nombre de ses premiers collaborateurs. Le savant auteur des
Leçons
cliniques sur l'Hystérie et l'Hypnotisme, n'appar
édecins éminents du monde entier sont venus à Nancy s'inspirer de ses
leçons
. Aucun ouvrage scientifique sur la suggestion ne
rue Saint-André-des-Arts. — Ce cours sera privé ; il comprendra douze
leçons
et commencera le jeudi 26 mai à 10 heures.— Le dr
e Kakouda et de K&outsou; mais au moment de prendre leur première
leçon
, ils font le serment solennel de ne jamais dévoil
a course de durée, d'avoir montré qu'on pouvait apprendre en quelques
leçons
une allure que les coureurs de fond ne réalisent
but, quand le malade ignore encore ce mode de progression, donner des
leçons
de dix minutes un quart d'heure au plus. Puis qua
aucun bénéfice de l'entrainement. Aussi faut-il donner, au début, des
leçons
très courtes : 8 à 10 minutes, un quart d'heure a
, ce qui est déjà, comme me le disait le Dr Burlureaux. une véritable
leçon
d'énergie. Mais la meilleure cure psychique est
; il comportera des démonstrations pratiques et sera complet en douze
leçons
; il se fera à l'Ecole de Psychologie, 49, rue Sa
ar correspondance. Le droit d'inscription est fixé à 60 francs, Les
leçons
auront lieu aux dates suivantes : M. le Dr Bébi
ki, médecin de la Pitié, a repris, le samedi 3 mai, à dix heures, ses
leçons
cliniques sur les maladies du système nerveux. Il
, par Li-pinska, p. 74. FIGURES Charcot (Médaillon), p. 97. Une
leçon
de Charcot (Tableau de Brouillet), p. 99. M. le
herche, ils méritent toute l'attention des clini- ciens. Dans une
leçon
sur les réflexes osso-tendineux (197), je me suis
sur ce sujet. J'ai perfectionné les méthodes d'exploration. Dans la
leçon
que je viens de rappeler, la technique à employ
au Congrès de Neurologie de Bruxelles en 1897, et ensuite dans une
leçon
publiée en 1898 par la Semaine Médi- Fig. 3. -
, sans ce signe, aurait pu être méconnu. « Au commencement de cette
leçon
je vous ai dit que je m'occupe- rai seulement d
asme facial, mon opi- nion diffère de celle de Brissaud. Dans ses
Leçons
sur les maladies nerveuses (1895, p. 206), cet
plus efficace que celle suivie jusqu'à présent. » Renon, dans une
leçon
clinique (Archives générales de médecine, 4 avril
entiel de l'hystérie et delà simulation est impossible. » Dans sa
leçon
inaugurale, ayant pour sujet : « Stabilité et con
llet 1889). , 26. Anatomie pathologique des névrites périphériques (
Leçon
faite à la Salpé- trière le 3o mai 18go. Gazett
3o. Hypnotisme et hystérie. Du rôle de l'hypnotisme en thérapeutique (
Leçon
faite à la Salpétrière le 23 juin 18gi. Gazelle
n 1897). 48. Du phénomène des orteils et de sa valeur sémiologique (
Leçon
faite à la Pitié. Semaine médicale, 27 juillet
érentiel entre l'hémiplégie organique et l'hémiplégie hysté- rique (
Leçon
faite à la Pitié. Gazette des Hôpitaux, numéros d
est incapable de reproduire. De leur importance en médecine légale (
Leçon
faite à la Pitié. Gazette des Hôpitaux, 1 1 octob
15o. Traitement du vertige de 1\Iénière pour la ponction lombaire (
Leçon
faite à la Pitié. Journal de médecine et de chi
Utilité de la craniectomie décompressive dans les tumeurs cérébrales (
Leçon
faite à la Pitié. Journal de Médecine et de Chi
juillet I CJ I 2). 197, Réflexes tendineux : et réflexes osseux (
Leçons
faites à la Pitié. Bulletin médical, numéros de
antreuil. Traité d'accouchements, t. 1, 285 et suiv. 1882. Charcot.
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. Il, lec.
d'après l'observation d'agraphie puredont il est.question dans les
leçons
deM. Charcot(l883) pu- bliées par Rummo en ital
ar l'écri- ture, ou plus simplement l'aphasie de la main. (Charcot.
Leçons
, t. 111.) = Exner. Untersuch, ! <&€)'
ezioniredalle del D' Rummo, Milano, t88t - P. Marie, Analyse de ces
Leçons
, in liev. de Aled., t. 111, 1883, p. 693. - Ber
arcot, in Ler., t. lit, p. 166, 1887.) P. Marie. Voir l'analyse des
Leçons
sur la cécité et la surdité verbales; in Rev. d
pratique, t. I, p. 432, 1838. 8 Peter. De l'aphasie, d'après les
leçons
cliniques du Prof. Trousseau, in Arch. géit. dc
re. (Gaz. hebd. de med. et de chir., p. 280. 1881.) · 8 Charcot.-
Leçons
, t. III, 1887, p. 170. ° Vernicke. Der aphasisc
Artic. Encéphale (Physiologie) du Dict. Deelt. 18. François Franck.
Leçons
sur les fonctions motrices du cerveau (Réaction
s que nous allons maintenant déter- miner. (A suivre.) ' Charcot.
Leçons
, t. III, 1882, p. 173. 2 NothnageL Maladies de
st de l'hystérie, l'auteur se contente de rappeler les remarquables
leçons
de M. le professeur Cliarcot sur l'hysléro- tra
avec ligures. Paris, 1888. Librairie 0. Doin. CIIARCOT (J ? 11.).
Leçons
sur les maladies du système nerveux, pro- fessé
. Voir le dessin du Dr E. Brissaud, fait d'après le texte de la 28e
leçon
. En examinant cette ligure, on peut se rendre c
groupe musculaire2. » 1 Fr.rFranck. Fonctions motrices du cerveau.
Leçons
XXVII etXXVIII. In loc. cit. ' Fr.-Franck et
)3. ' Fr.-Franck. Fonctions motrices, 1887. Première partie de la
leçon
XVIII. : Voir pour l'étude détaillée de la questi
nloeli, Arch. f. psch. M. Nerv. Krank, Bd. XIV, H. 1. 180. Charcot,
Leçons
sur le faisceau pyramidal. (Prog. znéd., n° 14,
1887. (Pour l'historique de la question : la deuxième partie de la
leçon
YXV1LL) 1 Brissaud (v. thèse citée) dans sa thè
culaire antérieure (partie fondamentale de Flechsig). Le ' Charcot.
Leçons
, t. II, 1883. Leçon IX. Grasset. Traité pratique
artie fondamentale de Flechsig). Le ' Charcot. Leçons, t. II, 1883.
Leçon
IX. Grasset. Traité pratique des maladies du sy
maladies de l'enfance. Paris, 1884, p. 365. s Charcot. Leç., t. II.
Leçon
X. Grasset. Mal. dit syst. nerv. 1886, p. 441.
Grasset. Mal. dit syst. nerv. 1886, p. 441. Cliai-cot. Lef., t. II,
Leçon
XI, et Progr. méd. 1885. Grasset. Mal. du syst.
Paris, 1877. Florand, Th. Paris, 1886. Charcot. Leç., t. II, 1885.
Leçons
XII et XIII. Grasset. Mal. du syst. ncrv., 1886
I et XIII. Grasset. Mal. du syst. ncrv., 1886, p. 418. ° Charcot.
Leçons
, t. I, 1880. Leçons VIII. Veyssière. Recherches
. Mal. du syst. ncrv., 1886, p. 418. ° Charcot. Leçons, t. I, 1880.
Leçons
VIII. Veyssière. Recherches cliniques et expéri
sions se traduisant entre 1 M. le prof. Charcot (Geç., t. II, 1885.
Leçon
I) établit dans la sclé- rose postérieure «deux
' Virenque. De l'hémianesthésie. Th. Paris, 1874, n° 93. Charcot.
Leçons
, t. I, 1883. 272 REVUE CRITIQUE. secondaires
tres symptômes en rapport avec la maladie encéphalique. » (Jaccoud.
Leçons
de clinique médicale de Lariboisière, Paris, 18
nés des Archiva de Neurologie, prix : 10 francs. Ciiarcot (J.-11.).
Leçons
sur les maladies du système nerveux, pro- fessé
ix : fr ? Paris, 1888- Librairie J.-B. Baillière et fils. GmssËT.
Leçons
sur l'hysléro-traumatisme. Recueillies et publiée
as l'assurer. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. Athétose double.
Leçon
clinique de M. le professeur SPEHL, recueillie
NT (de Bruxelles). (Journal de neurolog., 1895, n° 5.) Dans cette
leçon
de médecine opératoire, l'auteur estime que, se
RAYMOND, profes- seur de clinique des maladies du système nerveux.
Leçon
faite il la Salpêtrière, le 24 mai 1895, recuei
MIPLÉGIE DROITE, CON- SECUTIVE A la rougeole; par M. le Dr Raymond.
Leçon
faite à la Salpêtrière le 14 juin 1895 et recue
's .ll'chio" LXIII. Archiv. {il 1 , Psychiatrie. 1880. J Marie. -
Leçons
sur les maladies de la moelle, 1892. Semaine médi
arie. Gazette des hôpitaux, 1894. Semaine médicale, 189. 30. Marie.
Leçons
sur les maladies de la moelle, 1892. 31. Viarin
n soldat modèle, « le meilleur cavalier du régiment, il a donné des
leçons
d'équitation à la fille d'un général », allégat
ertain villageois d'un hameau vôi·iu au neveu duquel il donnait des
leçons
d'orgue, le jeune M... Lui et M... étaient deux
96, 0. Doin, éditeur.) M. le professeur Raymond publie la série des
leçons
qu'il a pro- fessées à l'hospice de la Salpêtri
mond rassemble en un volume des plus instructifs les sujets de ses
leçons
, résumant une année d'enseignement à la Salpêtriè
une année d'enseignement à la Salpêtrière. Cette première série de
leçons
est divisée en deux parties dis- tinctes. La pr
es dis- tinctes. La première partie est surtout historique. Dans sa
leçon
d'ouverture, M. le professeur Raymond, rendant
, et les paralysies radiculaires du plexus brachial. La treizième
leçon
est consacrée à la paralysie radiculaire sen- s
étude des lésions de la queue de cheval comprend deux intéressantes
leçons
. Deux exemples cliniques servent de point de dé
é vient se ranger tout naturellement, éclairant et complé- tant les
leçons
suivantes, l'analyse d'un cas d'hémorragie du côn
ne gauche. La maladie de Charcot fait l'objet de deux intéressantes
leçons
. M. le professeur Raymond refait l'histoire et
morbide, la myoclonie, produits de l'état de dégénérescence. Deux
leçons
sur les délires et fugues ambulatoires chez les é
t le volume. Celte analyse rapide montre l'importance du recueil de
leçons
de M. le professeur Raymond. Nous aurions voulu
joue dans leur genèse l'hérédité patholo- gique. Il traça dans ses
leçons
cliniques et dans son admirable ouvrage sur les
ion pour le trai- tement des malades. 23. Fait-on à l'hôpital des
leçons
cliniques sur les maladies men- tales à des étu
cuse, etc.). Quelque- fois, d'autres professeurs viennent faire des
leçons
cliniques à l'hôpital. 1. 25. Quelques médeci
nerveux. (Nouvelle iconographie de la Salpêtrière, 4899 n 2.) Ces
leçons
recueillies par M. Lévi, interne du service, cons
de la Salpêtrière. (Nouv. iconogr. de la Salpêtrière, 1896, n° 1). (
Leçon
recueillie par M. le Dr J.-B. CHARCOT, chef de
arkinson; par le professeur DE RENzI, de l'Univer- sité de Naples. (
Leçon
clinique faite à l'Université de Naples.) Obser
5, Il' 1.) Camuset. .\L. l'ACHY)IÍNINGITE CERMCALK hypertrophique :
Leçon
clinique du professeur de Renzi. Observation.
radiaux ; par ' le professeur DE RENZI, de l'Université de Naples (
Leçon
clinique du professeur DE Renzi.) Observation
cérébrale ; parle professeur DE l3EVZr, de l'Université de Naples. (
Leçon
clinique du professeur DE RENZI.) Observation.
se voient appelés à réformer une religion universelle, à donner des
leçons
de civilisation 1 Samt. - Die Xalurwissens f. M
les deux hémisphères. (Revue neurologique, juin 1896.) E. B. LX.
Leçon
sur les réflexes; par le Dr HDGHES. L'auteur ad
e ? 81 Clinique des maladies du système nerveux (2 volumes). 9° Les
leçons
du mardi à la Salpêtrière (2 volumes). Prix bro
tlUlll1elle des - clans les muscles, par Polmanti. 485. Réflexes.
Leçons
sur les -, par lIufihes, 4601 1181'0SABILI il
e jour en train de Samt-Peterhbourg à PéleL'hof pOl ! l' donner des
leçons
; il me fallait retourner par tramway delà gare
pinal, parL. )lERzBAcHER. (eurO/O. CextoalbL., XXIII, 1 ! 10L) La
leçon
faite en français par M. DEVAUX à lactinique des
autant plus difficile à dé- pister que les simulateurs trouvent des
leçons
dans les livres de médecine, dans les cours des
que des impres- sions le plus souvent passagères et fugitives, les
leçons
données par un initiateur laissent des impressi
traitement psychologique de la pusillanimité. M. Félix 1EG.WiEY. La
leçon
psychologique et morale du Ja- pon. - BIBLIOG
ulièrement. Deux fois par semaine, les élèves valides reçoivent une
leçon
de gymnastique d'un professeur spé- cial, etces
reçoivent une leçon de gymnastique d'un professeur spé- cial, etces
leçons
de gymnastique contribuent au développement phy
le, renseignement de la musique et du dessin, la multiplication des
leçons
de choses, s'unissent au traitement mo- ral pou
estif a été développé pour la pre- mière fois par moi-même dans mes
leçons
z7-1888, par mon élève Rieaux (2) dans sa thèse
ieaux (2) dans sa thèse inaugurale, et de nouveau par moi clans une
leçon
publiée à Lyon en 1891, c'est-à-dire douze et n
une vingtaine d'années dans notre servi- ce. Après avoir borné nos
leçons
à notre personnel, nous les avons étendues aux
ses de la Salpêtrière, de la Pitié, et de Lariboisièrc, chargés des
leçons
de douches et de bains aux élèves de ces établi
grand nombre d'élèves libres sont venues par séries assister à nos
leçons
et, devant nous, admi- nistrer elles-mêmes les
aideràv aincre les résistances de leurs clients et aux malades. Ces
leçons
, qui ont été si sottement critiquées il y a deux
n outre de celles données au personnel de Bilèire, une trentaine de
leçons
; 152 élèves libres ; 54 infirmières de la Salp
é et de la Satpë- lrière ; baigneur de Larinoisière. (2) Après la
leçon
de douches, les élèves assistaient il une leçon
sière. (2) Après la leçon de douches, les élèves assistaient il une
leçon
tlevaccination, la pratiquant elles-mêmes, puis
il une leçon tlevaccination, la pratiquant elles-mêmes, puis il une
leçon
de cou- pe de cheveux et de e "asel1lellt. (Rap
es sur les maladies cérébrales et mentales, p. 388. ' (2) SÉGLAS.
Leçons
clin. sur les maladies mentales et nerveuses, 6
ur les infirmiers des asiles, par un enseignement spécial ; 12 à 15
leçons
sont suffisantes, car il ne s'agit pas de leur ap
ce mOl1l3nt, Bar.. est un peu mieux. Il répond asse bien; il chaque
leçon
de lecture il syllabe avec les autres, mais très,
nt il la suggestion hypnotique.' * REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1.
Leçon
sur la paralysie générale ; par le Prof. Raymond.
, n° J4 p. 80, 1905.) Dans la première partie de cette intéressante
leçon
, M. le pro- fesseur Raymond expose l'histoire d
dégénérés ». L'auteur résume ensuite, dans la seconde partie de sa
leçon
, l'état actuel de nos connaissance sur la natur
ite dans le mal verté- bral. Thèse deParis 18;1. (5) (at.RCO'r. -
Leçons
sur les maladies dit système nerreux, 18 ? I. I
M. le P'' Jofrcoy s'estattaclié à mettre en lumière dans plusieurs
leçons
-- que les troubles de BIBLIOGRAPHIE. 493 l'é
a- près-midi, à la Salpêtrière, salle d'examen delà clinique. Les
leçons
auront un caractère essentiellement pratique : la
. Examen des oreilles. Examen des yeux. Les dates exactes de chaque
leçon
se- ront fixées ultérieurement. - Des certifica
il lalin du cours aux personnes qui en réclameront. Trois séries de
leçons
du même genre sont faites tous les ans : la pre
ions D'fIEHMOrHÊXYL. <V. . It7t1 lIlS. · H ii/ " t Japon. La
leçon
psychologique et morale du -, par Kéca- mcy,
, par Rose, p. 314. générale et syphilis, par Mar- chand, p. 331.
Leçon
sur la riénér.vle, p : 7r Raymond, p. 380. Es
te science de l'in- telligence. Tout Edinger. qu'il s'agisse de ses
Leçons
sur la Structure des organes du système nerveux
à leur existence (table, logement, etc.). Elles doivent suivre les
leçons
faites par l'un des ordonnateurs de la section.
sera le couronnement du tout. L'enseignement sera d'abord intuitif (
leçons
de choses, images, descriptions); pour devenir
assification suivante, déjà admise en substance depuis la classique
leçon
de Charcot dont nous aurons à reparler plus loi
e ' Malgaigne. Gaz. met., 1825. Ferrus. Gaz. méd., 1836. Charcot.
Leçons
du mardi, 1888-1889. (Leçon XVI.) Ilarduie. ll'es
825. Ferrus. Gaz. méd., 1836. Charcot. Leçons du mardi, 1888-1889. (
Leçon
XVI.) Ilarduie. ll'eslnicl. sur Psychiatrie, 1S
guë; et notamment chez le malade qui a fait le sujet de sa seizième
leçon
(1888-'1889); il considère les phénomènes d'aba
us reste plus guère qu'à nous lancer dans la spéculation. Séglas.
Leçons
. - Truelle. Sur deux cas d'amnésie continue. (C
anivelle d'un orgue. Nous appelons, par la pensée, à notre aide les
leçons
de notre main droite : les images des mouvements
n 1826, il commence des cours publics, donne pour gagner sa vie des
leçons
de mathématiques ; mais sa vie intellec- tuelle
dans sa moitié anesthésique soit dans l'autre moitié. Si on pro- '
Leçons
cliniques sur l'hystérie, t. I, p. 111-12. 190
. 173-74. 2 Cité par Pansier. Th. de Montpellier, '1892, p. 80. 3
Leçons
du mardi. 1889, p. 517. ' Leçons clin, sur l'hy
de Montpellier, '1892, p. 80. 3 Leçons du mardi. 1889, p. 517. '
Leçons
clin, sur l'hyst., p. 140. HYSTÉRIE JUVÉNILE CH
h. sur Psych. iiiicl i\-craeral ? 1884. 3 Loc. cil., t. I, 8c et 9*
leçons
. 4 Th. de Bordeaux, lSJî. Recherches clin, sur
hystérique unilatérale. (Presse médicale, 1897, t. II, p. 309-313.
Leçon
faite à l'hôpital Saint-Antoine le 14 mars 1897
écrire assez lisiblement, -a fait quelques progrès concernant les
leçons
de choses et la gymnastique. Provo..^ (Edmond),
pales parties de son corps, presque tout le contenu de la boite aux
leçons
de choses. - En 1898, il reconnaît et nomme les
olément. L'écriture, ayant marché de front, il copie chaque jour la
leçon
de lecture et écrit de mémoire un certain nombr
tais qu'il convientll'abor- der l'instruction, eu commençantpar les
leçons
de choses, l'enseigne- ment des notions usuelle
rayés du Registre. (Voir page 429, 3°.) M. RAYNEAU propose que des
leçons
. pour les infirmiers et infir- mières soient or
coles 'que l'en- seignement professionnel doit être fait et que les
leçons
sur les soins à donner aux aliénés pourraient ê
qui devraient leur donner des conseils pra- tiques, complétant les
leçons
théoriques. M. Ballet met aux voix le voeu de M
'est Guislain 1, qui le premier a décrit des cas semblables dans sa
leçon
sur la « folie », sans toutefois leur donner le
ol2, Tardieu3, Morel 1, Griesinger 5. Dans le traité de ' Guislain.
Leçons
orales sur les phi-énopathies. Ilelbelinclc, Gand
n ouvrage fameux sur la « Cata- - tonie ». Enfin Binder'1, dans une
leçon
, donne une étude spéciale des stéréotypies, par
Gei- teskrazlken mit beso2clerer Beriicksichtigung de), Katatonie.
Leçon
du 19 février 1886. Archiv. sur Psycliiatiie un
vient la ruine mentale du sujet, les stéréotypies ' ' J. P. Falret.
Leçons
cliniques de médecine mentale (faites à l'hospice
le 12 septembre 1900. ' Knecht, cité par Binder. 1 E. Brissaud.
Leçons
sur les maladies nerveuses, faites à la Salpê-
sur les maladies nerveuses, faites à la Salpê- trière, 1893-94. 21'
leçon
. 0. Doin, Paris, 1895. Archives, 2' série, t. X
lnéraires. A peine a-t-elle cessé de boire qu'elle parle. 1 Pitres.
Leçons
cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme, t. I.
avons décrits dans l'un de nos précédents Compte-rendus ; 2° les
leçons
de toilette qui consistent à apprendre (1) Quet
ces pour l'éducation de la main, des sens et de la parole ; -4° les
leçons
de petite gymnastique ; -5° les exercices éléme
s si souvent parlé dans nos Compte-rendus de 1880 à 1897 ; 6° les
leçons
de choses, soit à l'école, soit dans les jardin
scolaire. Ce musée continue à servir aux séances de projection, aux
leçons
de choses, aux lec- lit)-es récréatives. Il s'e
promenades les instituteurs et les institutrices doivent donner des
leçons
de choses et exercer les enfants aux jeux de ba
le professeur de chant et celui de gymnastique, dont les heures de
leçons
ne coïncident pas avec l'heure de notre visite.
la population, il serait néces- saire qu'il donnât maintenant deux
leçons
par semaine. Les ferons de choses sont multipli
les mêmes que dans notre section de Bicêtre. Signalons surtout les
leçons
de choses soit en classe, soit dans les jardins
le pri- maire, en donnant la preuve qu'il ne pouvait y suivre les
leçons
), soit directement par une mesure administrative
aniste ; une institutrice spéciale, donnant chaque semaine quelques
leçons
d'ob- servation aux plus petits de nos élèves.
eur faisant faire des exercices de gymnastique, en leur donnant des
leçons
de choses, en les promenant, printemps et été,
été, dans les jardins qui devraient être organisés tous, en vue des
leçons
de choses. Dans ce but, fleurs, arbustes et arb
couleurs, les figures géométriques, tous les objets des boî- tes de
leçons
de choses. Il exécute la plupart des exercices
t expressément dit en 13î4. De môme, tout récemment, dans plusieurs
leçons
cliniques, M. le l" Raymond a insisté sur l'imp
quelque chose de sensé. Est le premier à demander un devoir ou une
leçon
, ne reste jamais inoccupé, prend goûta la musiq
ée, en l'appuyant de nombreux exemples. C'est en s'inspirant de ses
leçons
qu'Azam a publié en 1881 son intéressant mémoir
es centres psychomoteurs de l'écorce, au point de vue clinique, les
Leçons
de Charcot sur les localisations dans les malad
que celui de Giovanardi, professeur de l'Université de 'Charcot. -
Leçons
sur les localisations dans les maladies du cervea
sait allu- sion 3 dans un mémoire. Mais c'est seulement depuis la
leçon
de M. le Pr Charcot à la Salpêtrière 1, que s'e
lief of pain 1888. 4 Voir Progrès médical 23 janv. et 23 fév. 1889;
leçon
résumée par M. Gilles de Tcurette et Leçons du
3 janv. et 23 fév. 1889; leçon résumée par M. Gilles de Tcurette et
Leçons
du Mardi, n° X, 1889. Archives, t. iVllI. 9 -
Voici tel qu'il a été décrit par M. le ..professeur Charcot dans sa
leçon
du 'le janvier : La suspension se fait à l'aide
le retour des fonctions sexuelles. M. le Pl' Charcot a cité dans sa
leçon
cinq observations. Chez le premier malade dont
n se fait de même dans les deux dernières observations. Depuis sa
leçon
du 18 janvier, M. Charcot a donné la statis- ti
confiée à un médecin, ou à un aide expérimenté. M. Charcot, dans sa
leçon
, signalait déjà un certain nombre de malades, q
aves peuvent s'observer 4. M. Charcot en a publié plusieurs dans sa
leçon
: z10 un oedème des membres inférieurs sans lés
ures que l'on croirait calquées sur celles qui se trouvent dans les
leçons
de M. le Professeur Charcot publiées en 1885 da
a sclérodermie. A une époque antérieure, le Dr de Ranse2 publia une
leçon
du professeur Charcot dans laquelle le célèbre
la règle dans cet asile et s'exercent presque au grand jour. Les
leçons
DE POLICLINIQUE.-M. Byrom Bronswell vient de com-
s in clinical Médecine » et dont le plan est calqué sur celui des «
Leçons
du Mardi » de M. le professeur Charcot. L'auteu
t. L'auteur dit d'ailleurs dans sa préface que c'est la lecture des
Leçons
du mardi qui lui a inspiré l'idée de cette publ
s qui lui sont propres, satisfait évidemment à cette condition. '
Leçons
du mardi à la Salpêtrière, 1887-1888. - Vf° Leçon
ait que dans l'oeil droit; mais il est probable qu'il 1 M. Charcot.
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. 1ï1, p. 7
nnaire des sciences médicales de Dechambre, 2" série, XII, 577. Cf.
Leçons
sur les fonctions motrices du cerveau, 299. 1
e sur le mouvement, malgré leur séparation du reste de l'écorce ». (
Leçons
sur les fondions motrices du cerveau, p. 371.) To
hysiologie. Dictionn. des sciences médicales de Dechambre, p. 592 ;
Leçons
sur les fonctions motrices du cerveau, p. 387.
livre du même auteur, hémiplégie, Naples, 1886. Il répète, dans ces
Leçons
, que, dans les monoplégies corticales, la paralys
âles, et que ce cha- pitre de pathologie soit bien connu depuis les
leçons
de notre maître, M. Charcot, nous croyons utile
ue la gerbe motrice après l'ablation de l'écorce correspondante. » (
Leçons
sur les fonctions motrices du cerveau, XXVIII'
spondante. » (Leçons sur les fonctions motrices du cerveau, XXVIII'
leçon
.) DE L'HYSTéRO-ÉPILEPSIE. 1'1 velles observat
PAR A. JOFFROY Professeur de la Clinique des Maladies Mentales.
Leçon
recueillie par MM. Roonmomrcu et DuFoun en Janvie
'empêchera pas de répéter, à cette occasion, et pour terminer cette
leçon
ce que vous m'avez souvent entendu dire, que da
moins, à litre d'essai, à la médication iodo-hydrargirique. Cette
leçon
a été faite il y a 14 mois, en décembre 1896. D
ce que l'on observe « 99 fois sur 100 » (1). Mais les (t) Bmssaon,
Leçons
sur les maladies nerveuses, p. 545. 26 MAGALHAÈ
les observations qui constatent des altérations cir- (1) Brissaud,
Leçons
sur les maladies nerveuses, p. 5.i2, (2) Nothna
au de la Cour. (2) Brissaud, Myxoedème, crélinisme et infantilisme.
Leçons
sur les maladies ner- veuses. Salpêtrière (1893
a été rapportée tout au long par M. le Pr Ray- mond dans une de ses
leçons
cliniques de la Salpêtrière (1). Nous la ré- su
morphée, une thèse récente de Drouin (1), et une très intéressante
leçon
de M. le Professeur Raymond (2). Nous avons en
ons a une origine métamériquc. 146 LOUIS SPILLMANN Enfin dans une
leçon
récente sur la sclérodermie, M. le Professeur Ray
des Maladies du Système Nerveux. Messieurs, Je vais consacrer la
leçon
de ce jour au cas d'une jeune m soulève une int
. Le cas en question va me servir de point de départ d'une série de
leçons
que je compte faire dans le courant de cette an
deux ou trois de ses enfants sont morts d'une méningite. (1) [Celte
leçon
, faite il la Salpêtrière le 4 décembre 189G,doit
à M. Doin qui nous a obli- geamment communiqué les figures de cette
leçon
.] (X. D. L. IL) xi 1J 214 F. RAYMOND X... e
: des effets purement palliatifs; la guérison radicale. Dans une
leçon
de l'année dernière (1), relative à un cas de tum
on des ventricules. Chez le malade dont le cas a fait l'objet d'une
leçon
, l'année dernière, je m'étais décidé pour une p
temps n'est pas encore très éloigné, de nous où Trousseau, dans ses
Leçons
sur la syphilis des nouveau-nés, parlait de l'hyd
j'ai vu (1) « C'est le malade dont j'ai raconté 1 histoire dans une
leçon
clinique (Des ostéites tMMO-c;'att : 6 ? : Ke d
syphilitique. Thèse de Paris, 1896. V. Obs. V, X, XVII, etc. (2)
Leçon
clinique de l'Hôpital Saint-Louis. ATROPHIE DES
rophiques consécutifs. Arch. de pUys , 1895, p. lk61. (3) l3mssAUn,
Leçons
sur les maladies nerveuses, p. 315. (1) A la th
on, l'histoire d'un ma- lade déjà présenté par M. Brissaud dans une
leçon
faite à l'Hôpital St-An- toitie (mars 1898); M.
précision. Il ne livrait rien au hasard; avant d'être parlée chaque
leçon
était faite dans le recueillement du cabinet. C
besoin de savoir n'était-il pas plus vivement excité encore par les
leçons
de Charcot, qui touchaient aux questions les plus
rnies par les observations et autopsies de la Salpêtrière. Dans ses
leçons
, il restait toujours et avant tout clinicien, c'e
es signes et la marche des maladies. Conçues dans cet esprit, les
leçons
que Charcot a publiées sur le foie, le rein et
de sa thèse d'agrégation ont été étudiées il nouveau par lui dans ses
leçons
ainsi que la topographie des tubercules pulmona
rver dans notre clinique de La Caridad et qui a fait le sujet d'une
leçon
résumée ci-après. Observation. Pétrone B... e
qll'llii 1l1OYCli de traduire sa pensée. De même qu'au cours de ses
leçons
cliniques on le voyait parfois remplacer la par
ignorance de ceux qui ont lancée. Cbarcot faisait comparaître à ses
leçons
cliniques toits les malades qui en étaient l'ob
truire par des lectures préalables. Et de même qu'il n'abordait une
leçon
clinique qu'après une longue docu- mentation, d
cn excellait, avec, des modèles vulgaires, il donner aux hommes des
leçons
de la plus haute moralité. El, en vérité, bie
uestion était reportée à sa vraie place par M. Giraldès, qui dans une
Leçon
publiée par Bournevilie (Gazette des hôpitaux, 18
l ne reste guère à y ajouter. L'étude clinique est complète. Dans ses
Leçons
ultérieures1, M. Giraldès n'a eu qu'à répéter ce
rose aiguë, suivie de pyo-hémie. 1 Voy. Mouvement médical, 1885, et
Leçons
cliniques sur les maladies chirur-gicales des enf
t, de VImportance de la thermometrie dans la clinique des vieillards,
leçon
recueillie par M. Joffroy. (Gaz. hebd., 1869, p.
." arthropa-thies; 2° à'atrophie musculaire progressive. 1 Charcot,
Leçons
cliniques faites à la Salpètrière en 1870. (Mouve
M. Kien, ni M. Hirtz qui a fait, à propos de cette observa^ tion,une
leçon
sur l'urémie (loc. cit., p. 15) n'ont relevé l'ab
uels est faite sa description, et dont une observation est rapportée (
Leçons
sur les affect. eut. de nat. arthritique et dartr
rions trop en recommander l'emploi à nos lecteurs. 2 Voy. Giraldès,
Leçons
cliniques sur les maladies chirurgicales des enfa
IS CLINIQUE MÉDICALE DE LA CONTRACTURE HYSTÉRIQUE Extrait d'une
leçon
faite par M. GHARCOT, à la Salpêtrière (juin 1870
Il n'en est rien; ce caractère se trouve déjà mis en relief dans les
Leçons
sur le système nerveux, de R. B. Todd. tifs. La
ictions avec l'alcool puis avec l'es-sence de térébenthine. Dans sa
leçon
du 24 juillet, M. Hardy a émis, à propos de ce ma
t sur le parcours du nerf atteint de névral- 1 M. Charcot, dans ses
Leçons
, cite encore le fait suivant: «Un individu, âgé d
0 à 12 grains par jour, sans en être particulièrement incommodés. 1
Leçons
théoriq. et cliniq. sur les affections cutanées a
TAUX DE PARIS CLINIQUE MÉDICALE DE L'ARTHROPATHIE DES ATAXIQUES
Leçon
laite à l'Hôlel-Dieu par M. BAix, professeur agré
Il me reste à vous signaler un dernier point, avant de terminer cette
leçon
. Chez plusieurs des ataxiques frappés d'arthropal
du métacarpe (Ext. inf.). 19«,3 20%2 « 18,8 N. B. Depuis que cette
leçon
a été faite, un nouveau phénomène s'est produit :
de la myélite primitive, 70 ; — des hémi-plégiques, 72, 120, 243 ; —
leçon
par Rail, 289. Ataxie locomotrice (Observations
illard,000. Conjonctive (Eschare de la), 101. Contracture hystérique:
leçon
de Char- cot recueillie par Bourneville, 193. C
avons décrits dans l'un de nos Compte rendus précédents ; 2° les
leçons
de toilette qui consistent à apprendre aux enfa
ices pour l'éducation de la main, des sens et de la parole ; 4° les
leçons
de petite gymnastique ; - 5° les leçons de chos
ns et de la parole ; 4° les leçons de petite gymnastique ; - 5° les
leçons
de choses; - 6° les exercices élémentaires rela
es surfaces et reconnaît en grande partie le contenu de la boîte de
leçons
de choses. 6° Thierro.. (P.) est un sourd-mue
fait des dictées, additionne, écoute avec beaucoup d'attention les
leçons
orales et répond parfaitement aux ques- tions q
ttres en janvier 1895, lit couramment, apprend tous les jours des
leçons
, profite bien de toutes les leçons orales, mais s
ment, apprend tous les jours des leçons, profite bien de toutes les
leçons
orales, mais sa para- lysie l'empêche d'écrire.
aux enfants à faire la différence entre le volume des bou- les.
Leçons
de choses : tableau roulant. - On se sou- vient
sont des- Fig. 5. - Tableau roulant. xiv Grande école. nés aux
leçons
de choses. Durant toute la belle saison les enf
leurs maîtres ou de leurs maîtresses. Dans le but de faciliter les
leçons
nous avons fait fabriquer deux tableaux roulant
ire. - Ce musée continue à servir aux séances de projections et aux
leçons
de choses. Caisse d'épargne. - Elle est confiée
promenades les instituteurs et les institutrices doivent donner des
leçons
de choses et exercer les enfants aux jeux de ba
eillance de M. Goy, qui vient tous les jeudis à la Fondation. Les
leçons
de choses sont multipliées le plus l'LVI DESSIN
Cône à chevillle.......................... xn Boîte à trous xn
Leçons
de choses : tableau roulant........ xn Enfants
-abasie. Le malade, qui fut présenté par M. Charcot dans une de ses
leçons
cliniques \ n'offrait aucun trouble de la sensi
, p. 24 et n° 4, p. 187). 1 Charoot. -Abasie forme trépidante, etc.
Leçons
du Mardi, 1888-80. Leçon du 5 mars 1889. UN c
1 Charoot. -Abasie forme trépidante, etc. Leçons du Mardi, 1888-80.
Leçon
du 5 mars 1889. UN cas d'abasie-astasie. 41 c
l, des efforts surhumains pour me relever . Voir en particulier les
Leçons
sur un cas d'hystérie niale avec astasie- abasi
III, p. 118), nous en avons rapporté de nombreux exemples. Dans ses
leçons
, M. Charcot est revenu plus d'une fois sur cett
0 figures. - New-York, 1889. - New-York médical journal. Grasset. -
Leçons
sur un cas d'hystérie mâle avec astasie et abasie
es de Meynert. Les éléments nerveux des centres de ' CI. Bernard.
Leçons
sur les phénomènes de lu vie commune aux ani- m
Imprécations de Camille d'une façon tout à fait supérieure, avec la
Leçon
de Grammaire spirituellement récitée, elle nous
ce qu'un peuple aussi éclairé que le peuple allemand leur fasse la
leçon
, et, pour employer les paroles mêmes de Schille
dans un asile d'aliénés. Peu de temps aurapavant, il fai- sait ses
leçons
sur la morphinomanie. 11 est mort le 27 janvier 1
8 fr. - Paris, 1889. Librairie J.-B. Baillière et fils. Grasset.
Leçons
sur un cas d'hystérie mâle avec astasie et abasie
s abonnés : 2 fr. 75. - Bureaux du Progrès Médical. Grasset (J.).
Leçons
sur la grippe de l'hiver 1889-90. Recueillis par
Volume in-8 de 98 pages. Paris, 1890. - G. Masson. Grasset (J.). -
Leçons
sur deux cas d'hilsiérie provoquée par une mala
ALPÊTRIÈRE,. - M. CHARCOT SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE' 1 (
Leçon
recueillie par Georges GUINON, chef de clinique).
recueillie par Georges GUINON, chef de clinique). Messieurs , La
leçon
d'aujourd'hui sera consacrée à l'étude d'un cas
hologie et à la clinique les données du laboratoire. C'était en 1
Leçon
du 13 décembre 1889. Archives, t. s1. 20 306
ie locomotrice. 11 y a longtemps que j'ai parlé de ce fait dans mes
leçons
. On en trouve des exemples dans le travail de M
insi que l'a le premier montré M. le professeur Bouchard dans ses
leçons
de 1881 et dans une intéressante communica- tio
ce sens dans l'avenir, viendront me donner raison. APPENDICE A LA
LEÇON
SUR LA PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. (Extrait de la
APPENDICE A LA LEÇON SUR LA PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. (Extrait de la
leçon
du 18 mars 1890.) IL Messieurs, 3 Vous vous r
- nicale, etc. Le phénomène n'a guère changé depuis la précédente
leçon
. Mais cela tient sans doute à ce que la paralys
7, et qui fournit ultérieurement à M. Charcot le sujet d'une de ses
leçons
cliniques. Les pièces provenant de ce malade qu
ole sa mère à qui elle rend la vie insupportable; elle délaisse ses
leçons
de musique et mène ouvertement une vie irréguli
Alcan, édit., Paris, 1900. Ce volume reproduit un certain nombre de
leçons
faites par l'auteur pendant le semestre d'hiver
x que les parents ne peuvent surveiller, en les intéressant par les
leçons
de choses. Telle est la première partie. La s
rits en détail dans mon travail intitulé « Exercices ». (Recueil de
leçons
de clinique, de R. Volkmann, 1897.) Ce sont des
inière ; par BENOIT. (Union mé- dicale du Canada, n° 11, 1899.) .
Leçon
d'ouverture d'un cours sur les maladies du systèm
planches en couleurs. (Libr. 0. Doin, 1900.) La quatrième série des
Leçons
cliniques du professeur Raymond contient des le
rième série des Leçons cliniques du professeur Raymond contient des
leçons
faites à l'hospice de la Salpêtrière, pendant l
la Salpêtrière, pendant l'année scolaire 1897-98. Les trente et une
leçons
que renferme ce volume touchent à tous les suje
et font le plus grand honneur à la science française. La première
leçon
est consacrée à l'étude de deux cas de tu- meur
ic entre une méningite tuberculeuse et la sclérose en plaques. La
leçon
suivante permet au professeur d'établir l'état ac
e interne et d'atrophie musculaire progressive Aran Duchenne. Ces
leçons
permettent au professeur d'établir les diverses m
faciles à récidiver : celles-ci sont d'origine péri- phérique. La
leçon
suivante (IX) est consacrée à l'étude de la paral
ne étude de l'hystéro-traumatisme à forme paraplé- gique, vient une
leçon
fort intéressante et magistralement exposée sur
si difficile le plus souvent à reconnaître, fait l'objet des deux
leçons
suivantes, et dans le cas présent, elle semble av
on- sécutive à une méningite gommeuse syphilitique. Les dernières
leçons
sont consacrées à l'étude du myxoedème sous ses d
Du' Bourneville. ' Le rapporteur a fait à la Section une véritable
leçon
de choses. Pour chaque forme pathologique il a
traitement externe chez les hémiplégiques ». Dans ses intéressantes
leçons
de vendredi' le professeur Raymond insista à ma
tique de A. Hobin. F. XIV, p. 209, 1S98. = Cilles de la Tourette.
Leçons
sur les maladies nerveuses, 1898. \'on Leyden e
raire- ment à ce que dit M. Courtade 3, nous massons l'hémiplé- 1
Leçons
sur les maladies nerveuses, 1898. 5 Professeur
l'université de Leipzig professeur de psychiatrie. Il continua ses
leçons
jusqu'en 1843. La clinique universitaire actuel
deux assistants, un médecin volontaire. -Le professeur fait deux
leçons
par semaine, à 2 h. 30 et à 4 heures. En 1896, le
ne, deux conférences cliniques à l'asile (de 4 à 6 heures), et deux
leçons
théoriques à l'université (de 5 à 6 heures). 1
ques à l'université (de 5 à 6 heures). 1 Nous avons assisté à une
leçon
clinique. Une centaine d'étu- diants sont réuni
fants dont le cerveau est dans de moins mauvaises conditions. Cette
leçon
de choses a été très bien accueillie par l'Asse
aliénés instruits, d'aider le professeur, en donnant eux-mêmes des
leçons
aux ignorants ; de cette façon, le maître et l'
régulier. Ludwig Meyer, Weslphal, firent ensuite également quelques
leçons
de psychiatrie. C'est seulement en 1SG3 que ren
ecins volontaires. Le professeur Jolly donne, chaque semaine, trois
leçons
de psy- chiatrie clinique (lundi, mardi, vendre
ndi, mercredi, ven- dredi, de il heures à 1 heure). En dehors des
leçons
magistrales, l'enseignement des maladies nerveu
ppenheim, Mendel et Kuppen; LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 475 les
leçons
(gratuites) sur la pathologie de la sensibilité e
par le trigone chez l'homme. Comme nous suivions à cette époque les
leçons
où Broca exposait ses idées sur le lobe limbiqu
nous lui fîmes remarquer, pièces en mains, à la suite d'une de ses
leçons
, que chez les ani- maux, on trouvait sous le co
amais avec quelle bienveillance ce maître éminent, au début de la
leçon
suivante, indiqua que certainement, d'après les
bibliographie du myxoedème, nous devons aussi mentionner la savante
leçon
cli- nique de M. le professeur Charcot que M. d
ii , irt ,u({,i>iTiT» 9li , j..JO, 01' 11, n fI1 111,9. 'Il I.
Leçons
orales sur les phrénopalhics ou traité théorique
l 1 n oq lulll." ( ...jij., tl, ' Lorsque la première édition, des "
Leçons
sur- les^ phrénopa- thies parut en 1852, l'accu
Guislain rassemblait des notes destinées à une seconde -édition des
Leçons
sur les phrénopalhies, dont les exemples commen
es, il y a lieu de méditer ces quelques lignes placées au seuil des
Leçons
sur les 112 BIBLIOGRAPHIE. ? 6MOp< : </Me
ine de la raison et de la folie, forment la substance des premières
leçons
. L'aliénation mentale est définie par Guislain
aissance de la nature et du siège des maladies mentales. Dans les
leçons
consacrées au traitement, sans se déclarer l'ad
)'K)id7 ! M<;/tettN : a)7M- Krankheiten. Deuxième fascicule des
Leçons
professées il la Faculté du médecine de Paris,
s entiè- rement les idées émises par notre savant maître dans une
leçon
clinique faite à l'occasion de notre malade. 31
; il 1 Duponchel. De la folie hystérique. Thèse de Paris, 1874. «
Leçons
sur les maladies du système nerveux. T. 1, p. 128
le rapport de la constitution, les avis ont toujours été 1 West. =
Leçons
sur les maladies des enfants. Trad. par Archambau
erini, Bologna. Bichet (Cn ). Physiologie des muscles et des nerfs.
Leçons
professées à la Faculté de médecine en 1881. Un
précis, ne pouvaient guère être mis en usage chez ces 1 Charcot. -
Leçons
sur les maladies du système nerveux, 4e édition
ormale et pathologique, t. Il, 1869. Voyez également à ce sujet les
Leçons
sur les maladies du système nerveux de 5 ! . Ch
les Leçons sur les maladies du système nerveux de 5 ! . Charcot (7e
leçon
) et le remarquable article de M. Vulpian sur la
omptes rendus de la Société de biologie, 1860, p. 151-154. CHARCOT.
Leçons
sur les localisations dans les maladies cérébrale
s exl)é- riences sur le), par Grutzuet, 91. 1. Maladies mentales (
leçons
de Guis- laiu sur les), 110. Maladies mentale
avons décrits dans l'un do nos Compte-rendus précédents (3), les
leçons
de toilette qui consistent il apprendre aux enf
es pour l'éducation de la main, des sens et de la parole ; - 4° les
leçons
de petite gymnastique; - G" les exercices éléme
r beaucoup gagné. Il fait la dictée avec ses camarades, apprend des
leçons
, fait des rédactions, des problèmes. L'articula
quantités représentées par les chiffres, écoute avec attention les
leçons
orales et répond bien aux questions. 5- Jes..
olaire. Ce musée continue il servir aux séances de projections, aux
leçons
de choses, aux lec- tures récréatives. Il s'est
tible de servir à donner des explications très claires aux enfants (
Leçons
de choses). Société des jeux. - Les recettes (l
promenades les instituteurs et les institutrices doivent donner des
leçons
de choses et exercer les enfants aux jeux de ba
11" .Langlet. ]\1. Goy vient tous les jeudis à la Fondation. Les
leçons
de choses sont multipliées le- plus possi- ble
deux maladies distinctes. M. Charcot a formulé son opinion dans une
leçon
faite en 1890, à la Salpêtrière, et a conclu en
pportun de vous parler de la maladie de Morvan, après nos dernières
leçons
sur la syringomyélie, car les deux affections o
r quelques auteurs. » Récemment, M. le professeur Grasset, dans une
leçon
très intéressante, a discuté minutieusement cet
sente un épaississement de la peau, des crevasses, une 1 Grasset. -
Leçons
cle clinique médicale, 116 série, Montpellier et
nvoyons le lecteur à la thèse si consciencieuse de M. Bruhl et à la
leçon
toute récente de M. le pro- fesseur J. Grasset.
hose alcoolique du foie. Tout récemment, M. Marfan a fait une bonne
leçon
clinique sur un Cas de cirrhose alcoolique chez
sies de l'enfance, nous rappellerons cependant à nos lec- teurs les
leçons
publiées pai notre ami le professeur 1 ? . Raymon
oncernent des malades que j'ai étudiés cliniquement au cours de mes
leçons
. Cette circon- stance me met fort à l'aise pour
it, à la vérité, le premier formulée avec netteté en même temps (1)
Leçons
sur les maladies du système ne)-veux, t. II, p. 6
es sur le développement de la pathologie des centres nerveux. (1)
Leçons
sur les localisations dans les maladies du cervea
nent d'une malade, la nommée Guil..., dont il a été question dans les
leçons
cliniques de M. le Pr Charcot PLANCHE XI Fi
liome. Il a été question du sujet dont cette pièce provient dans la
leçon
de M. Charcot consacrée à la Syringomyélie (Leç
provient dans la leçon de M. Charcot consacrée à la Syringomyélie (
Leçons
du mardi, 1889, 21c Leçon, p. 491). L'observation
M. Charcot consacrée à la Syringomyélie (Leçons du mardi, 1889, 21c
Leçon
, p. 491). L'observation du malade a été communi
alon de 1887, une toile qui fit sensation, el représentant- : « Une
leçon
du DI' Charcot Il la Salpêtrière ». Sans vouloi
. photo ? Monatssch1'i{t, janvier 18UI, Mi'mchen. (2) V. Ciiaiicot,
Leçons
du mardi, 30 oct. 1888, p. 21. NoUVELLEtCOHOGTt
es. (1) Ciiaucot. Révision nosographique des atrophies musculaires (
leçons
recueillies par P. i\lariect G. Guinon. 1'1'0[/
ariect G. Guinon. 1'1'0[/1'. méd., 1 mars 1885). Voy. aussi : Ibid.
Leçons
sur les mal. du syst. zzerv" t. III. (2) Pierre
1° Paralysie pseudo-hypertrophique, de Duchenne (3). (1) CuAncor.
Leçons
sur les Mal. du Syst. Nerv., T. II, ISS5, p. 234.
i). Ce malade a été présenté plusieurs fois par l. Charcot dans ses
leçons
comme type de facies myopathique. La photograph
ir. Vous en trouverez une description parfaite dans les excellentes
leçons
de mon collègue et ami, P. Marie, sur les malad
'étude des ar- thropaltiies d'origine nerveuse. (N. D. L. R.) (2)
Leçon
de JI, le Dr Brissaud faite à la Salpêtrière le i
la verrez figurée sous une forme schématique dans la dix-neu- vième
leçon
de Pierre Marie (1) (Fig. 59). Il s'agit dans noi
me pour produire une pareille hypertrophie. Je vous ai dit tout (1)
Leçons
sur les maladies de la moee (page ni). Fig. 59.
lité sont tou- jours les premiers en date. Nous examinerons dans la
leçon
suivante les arguments physiologiques qui confi
'une tante du côté mater- (1) Cette malade avait fait l'objet d'une
leçon
de M. Charcot. TROIS CAS Il'ARTn110PATUlB TABÉT
tout, récents. En France, il n'y a comme travail de ce genre que la
leçon
de J. M. Charcot. Tout récemment J. B. Charcot vi
a donné aussi le nom de sensi- bilité commune ou profonde H. (1)
Leçon
faite à la Salpêtrière le 11 mai 1894, et recueil
M. Brissaud émettait dernière- ment la même opinion dans nne de ses
leçons
à la Salpêtrière (2). Nous renvoyons le lecteur
ses leçons à la Salpêtrière (2). Nous renvoyons le lecteur à cette
leçon
très suggestive. Diagnostic. On peut avoir à fa
atique du trijumeau et du facial. Arch. de physiologie, 1893. (2)
Leçons
du 4 et du 11 mai 1894, recueillies par M. II. Me
APIIIE DE LA SALPÊTRIÈRE a) « D'ordinaire, dit M. Brissaud dans une
leçon
récente, la part qui dans l'arthropathie revien
Chef de clinique des maladies du système nerveux. (1) Charcot,
Leçons
sur les mal. du syst. nerv., t. III. (2) P. Eta
lus tard, en rapporta un fait absolument analogue. Du reste, dans les
leçons
de Charcot, on peut retrouver les indicationsd'
eige. (1) CIIAIICOT, Leç. du mardi, 1887-88, p. 222. (2) Charcot,
Leçon
publiée par J.-B. Charcot et Dutil, Progrès médic
migraine opht ! wl- mique. (Thèse de Paris, 1883.) - Guislain. -
Leçons
orales sur les phrénopathies ou traité théorique
3. 1 llaudsley. -- Pathologie de l'esprit, p. 2\6. 2 Bouvier. --
Leçons
cliniques sur les maladies chroniques de l'appare
s, à tout bien considérer, ces attaques épileptiformes 1 Charcot. -
Leçons
sur les maladies du système nerveux, 4° édit., t.
de goutte articulaire$. M. Fouqué, dans sa thèse % rap- 1 Charcot.
Leçons
cliniques sur les maladies des vieillards, 2e édi
ssement 1 Pour les renseignements bibliographiques, voir : Charcot.
Leçons
sur lre maladies du système nerveux, t Il, p. 2
aut, ou même les deux membres inférieurs. M. Charcot dit dans ses
leçons
avoir vu plusieurs fois une paraplégie survenir
iquent en au- cune façon que la lésion de la moelle ait dépassé 1
Leçons
publies par 31. le docteur Rummu (de Naples), dan
ysies transitoires. Je n'en citerai qu'un seul exemple emprunté aux
leçons
de M. Vulpian, sur les maladies du système nerv
actérisées par la diminution de tous les principes ' AI. Charcot. -
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. I, 'i°
ies'se rencontrent assez souvent chez de jeunes sujets 1 Charcot. -
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. II, 3e éd
de son état mental et des convulsions générales, dont 1 F. Guyon. -
Leçons
cliniques sur les maladies des voies urinaires, 1
st là un fait que M. Charcot a bien des fois mis en relief dans ses
leçons
, et qui ne saurait être sérieusement contesté.
même temps que les fibres intellectuelles, des fibres 1 Charcot. -
Leçons
sur la localisation dans les maladies du cerveau
ssent aucun renseignement à cet égard. Le professeur Bail, dans ses
leçons
, fait remarquer combien il serait utile pour ce
es écoles supérieures de Fribourg et Koenigsberg ont institué des
leçons
de clinique psychiatrique. Seules, les université
vertige mental, des vertiges, le mal de tête, de la spermatorrlcée,
leçons
sur la paralysie générale, de l'épilepsie par m
er les matériaux dont il dispose pour un enseignement clinique. Les
leçons
ont lieu le dimanche. Malheureusement on ne peu
examen; le jury déterminera le temps accordé pour la rédaction). 3°
Leçon
clinique de 20 minutes sur deux malades aliénés (
nt d'une maladie ordinaire (10 minutes d'examen; 20 minutes pour la
leçon
orale), 20 points. 3" Epreuve clinique sur les
un sujet de pathologie (20 minutes de réflexion; 20 minutes pour la
leçon
), 20 points. 30 Consultation écrite sur un mala
Prix delà reliure : 5 fr. Gouguenueim (A.) Des névroses du larynx.
Leçons
professées à l'hôpital de Lourcine en 1S82, rec
mobiles sur les figures en creux. vannicrs, 4; tailleurs, 17). Les
leçons
de choses, les promenades avec interrogations,
dans le service, doux vieillards étaient chargés de don- ner des
leçons
de danse et des leçons d'escrime. Sans avoir un
x vieillards étaient chargés de don- ner des leçons de danse et des
leçons
d'escrime. Sans avoir un grand enthousiasme pou
r et d'un maître jardinier. L'enseignement a toujours pour base les
leçons
de choses, soit à la classe même, soit dans les
n profitant d'ailleurs de cette circonstance pour leur donner des
leçons
de choses. Une autre installation a été opérée,
la petite école comprenant la salle du traitement du gâtisme et des
leçons
de toilette, la petite gymnastique, la salle de
isme et des leçons de toilette, la petite gymnastique, la salle des
leçons
de choses, la salle de lec- ture, etc. ; la gra
ins où il a tout organisé au point de vue de l'enseignement par les
leçons
de choses. « Après cette visite, dit le Gil B
suiviez toujours nos conseils, que vous écoutiez attentivement les
leçons
de vos maîtres et de vos maîtresses, à l'a- tel
u'il suit : Mes enfants, « C'est avec plaisir que je vois que les
leçons
qu'on vous donne ici ne sont pas perdues. Le me
son père de cette affection. « J'ai fait allusion, dit-il, dans une
leçon
cli- nique, à cette espèce d'épilepsie propulsi
binet; Gowers', cite un professeur de musique qui, en donnant une
leçon
à une demoiselle, eut un accident épileptique si
es symptômes on rapport avec la maladie encéphalique. » (Jaccoud. -
Leçons
de clinique médicale de Lariboisière, Paris, 18
l'occasion de revenir sur ce sujet encore peu connu 2. 1 Charcot.
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. I, p. 220
notre éminent maître M. Chariot est revenu maintes fois dans ses
leçons
. Afin de donner une première satisfaction à not
l'avoir jamais frappé, tandis que son père était exigeant pour ses
leçons
et très ambitieux pour lui, disant qu'il ne vou
s fait de maladies sérieuses. De bonne heure on lui fit prendre des
leçons
de gymnastique à laquelle il ne tarda 'pas à s'
E. 4 t M"°X... est fort intelligente; elle apprend facilement les
leçons
que lui donne son institutrice; elle joue bien du
e d ! <<f : )tCM<o.rtMM e< n;e- 1 Claucie Bei-tiar(l. -
Leçons
sur les effets des substances toxiques et naé-
des substances toxiques et naé- dicamenteuses; Paris, IS57, ive-26"
leçon
(7 mai-13 juin 1856), p. 239-393. 2 Vulpian. -
IS57, ive-26" leçon (7 mai-13 juin 1856), p. 239-393. 2 Vulpian. -
Leçons
sur l'action physiologique des stibsta21ces toxiq
xiques et médicamenteuses ; t. ler, 1er fascic., Paris, 1881, 4°-8e
leçon
, p. 193-423. 4 4 THÉRAPEUTIQUE. général des a
ndre, l'auteur organisa rapidement, tant bien que mal, une série de
leçons
. Le nombre decesleçons fut de dix-huit ; 70 REV
r obtenu soixante- cinq points au moins et avoir assisté à quatorze
leçons
pour ob- tenir un certificat de première classe
remière classe ; trente-cinq points au moins et la présence à douze
leçons
étaient nécessaires pour obtenir un certificat
e personnel féminin. Enfin l'auteur put s'assurer que plusieurs des
leçons
avaient été trop élevées pour la moyenne des él
été trop élevées pour la moyenne des élèves. La seconde série de
leçons
faite d'une façon plus utilitaire fut assidûmen
établirent entre les élèves ; ils discutèrent et com- mentèrent les
leçons
ajoutant ainsi l'enseignement mutuel à l'en- se
onner un enseignement spé- cial, non obligatoire, consistant en des
leçons
pendant l'hiver et en enseignement au lit du ma
r, les phénomènes cutanés sont les derniers points traités dans ces
leçons
. A. Fabre considère l'opium à haute dose comme
bre, à neuf heures et demie du matin. Ordre des cours : les lundis,
leçon
au fit de : malades; les mardis, examen des mal
is, examen des malades de la consultation externe; les vendredis,
leçon
à l'amphithéâtre. Asile SA'TE-A\'\E. Clinique d
égalementrepris à l'asile Sainte-Anne, le dimanche 16 novembre, ses
leçons
cli- niques sur les maladies mentales et nerveu
inue tous les dimanches et mercredis, à neuf heures et demie. Les
leçons
porteront plus particulièrement, cette année, sur
clare spontanément qu'il a maintenant plus de peine à apprendre ses
leçons
qu'autrefois. Le regard n'est pas encore dur, l
le plus grand soin le cours d'hygiène; il a exposé dans différentes
leçons
les notions les plus importantes; et les plus p
n la bonne idée de faire autographier le résumé de chacune de ses
leçons
de manière à permettre aux élèves de fixer facile
hologique ont porté sur trois groupes de maladies fonc- ' ' Magnan.
Leçons
cliniques sur l'alcoolisme. (Gazette des hôpitaux
détacher l'enfant du père. Ce premier résultat obtenu, elle fit la
leçon
à la petite Juliette qui, au mois de février de
, 1895. American Médical .'ioc;'a/;o< ! 7'<'M. SÉGLAS (J.).
Leçons
cliniques sur les maladies mentales et nerveuses
INTE-ANNE . PROFESSEUR JOFFROY. LES HALLUCINATIONS UNILATÉRALES ;
LEÇON
recueillie par EDOUARD TOULOUSE, Chef de cliniq
re l'hallucination. En résumé, et pour en revenir au sujet de cette
leçon
, il y a des hallucinations unilatérales d'origi
ionnellement, et pour ne pas compliquer la question, que dans cette
leçon
nous n'avons pas parlé des hallucinations psychiq
me la guérison des troubles vésaniques. Quelques mois après cette
leçon
Mère... mourut. On trouva à l'autopsie les lési
et les institutrices. Ils troublent les classes, sans profiter des
leçons
. Ils sont l'objet de la risée, des moqueries de
. Paris, 1896. Société d'édi- tions scientifiques. Grasset (.1.).
Leçons
de clinique médicale faites t't l'hôpital Sainl-
, à rendre plus claires les notions de 1 Ce mémoire est l'exposé de
leçons
que nous avons faites en février 1896, à la Cli
5. De plus le professeur JoITroy a fait sur le même sujet plusieurs
leçons
cliniques (1891, 1893 et 1896) à l'Asile clinique
cordon postérieur de la moelle. 1 A l'époque où nous avons fait les
leçons
(février 1896), dont ce mé- moire est le résumé
des commissures et de l'association. Ils ont des collatérales qui
Leçons
inédites. ' LES NEURONES.. 1 439 se terminent
deux maladies distinctes. M. Charcot a formulé son opinion dans une
leçon
faite en 1890, à la Salpêtrière, et a conclu en
2. Archives, 2° série, t. I. 30 466 RECUEIL DE FAITS. dernières
leçons
sur la syringomyélie, car les deux affections o
r quelques auteurs. » Récemment, M. le professeur Grasset, dans une
leçon
très intéressante, a discuté minutieusement cet
ns notre service et ils ont confirmé notre diagnostic. 1 Grasset, -
Leçons
de clinique médicale, 11° s6ne, MontpeUier et Par
nvoyons le lecteur à la thèse si consciencieuse de M. Bruhl et à la
leçon
toute récente de M. Grasset. PARESO-ANALGÉSIE D
Psychiatrie, t. LII, fasc. 3.) P. SÉRIEUX. BIBLIOGRAPHIE. XII.
Leçons
de clinique médicale; par le professeur J. Grasse
Le professeur Grasset a eu l'heureuse inspiration de publier les
leçons
cliniques qu'il a faites à l'hôpital Saint-Eloi,
ital Saint-Eloi, de novembre 1890 à juillet 1895. La plupart de ces
leçons
ont trait aux maladies nerveuses, nous allons f
observations, M. le professeur Grasset expose en une succession de
leçons
le tableau clinique de l'hystérie chez l'homme
es, suivi de l'autopsie du malade fait ici le sujet d'intéressantes
leçons
. La névrose vient là singulièrement compliquer
ge des alaxiques. Sous ce titre M. Grasset réunit d'in- téressantes
leçons
sur le signe de Romberg, publiées en 1893 par s
ogie infectieuse de l'hystérie. M. Grasset défend dans une série de
leçons
une théorie générale qui, dit-il, lui est chère;
t une grande place dans son étiologie. Outre les très intéressantes
leçons
que nous venons de trop brièvement analyser, si
isin et Charpentier, 80. unilatérales, par le professeur Joffroy,
leçon
recueillie par Tou- louse, 07. Hématome. Path
cours d’hygiène. M. Trousseau même, 11'a-t-il pas donné deux ou trois
leçons
sur le magnétisme thérapeutique en mars 1845 ? il
de ses maîtres l’endroit où ils en étaient restés lors de la dernière
leçon
. Nous devons, toutefois, signaler une circonstanc
reproduit ce passage dans son Cours complet de Magnétisme animal (9e
leçon
) : « Les signes qui se montrent dans le sommeil
e les psychologues, pourraient puiser dans ses travaux de très-utiles
leçons
; mais M. de Reichenbach a le tort de vouloir s’i
i portai quelques heures après ma visite ; 011 peut voir que ces cinq
leçons
qu il me fut permis de faire n’étaient que des tè
r initier un public d’élite à la science magnétique : Programme de»
leçon
» que je me propose de faire sur le magnétisme ani
eçon» que je me propose de faire sur le magnétisme animal« PREMIÈRE
LEÇON
. 1° Ce qu'on entend par magnétisme. C'est une f
vation. La valeur du magnétisme comme agent thérapeutique. DEUXIÈME
LEÇON
. Du somnambulisme magnétique. Ses propriétés, s
ique. Ses propriétés, ses avantages et ses inconvénients. TROISIÈME
LEÇON
. Procédés d'expérimentation. QUATRIÈME LEÇON.
énients. TROISIÈME LEÇON. Procédés d'expérimentation. QUATRIÈME
LEÇON
. Vue générale et d'ensemble. Acquisition par la
tence, la production est due à la même cause. CINQUIÈME ET DERNIÈRE
LEÇON
. Application des procédés magnétiques sur quelq
tort d’en conclure qu’il était nécessairement d’ordre surnaturel. La
leçon
profita aux partisans éclairés du magnétisme qui
tion de faire parade de connaissances grammaticales, ni de donner des
leçons
à bien plus savant que moi, mais enfin si nous pr
ts dont elle entendait déjà les grondements lointains. Et rebelle aux
leçons
de M. Babinet, le souvenir de la comète qui illum
u’à l’heure à laquelle j interrogeais la malade, ma fille prenait une
leçon
de piano. Cette expérience bouleversa toutes mes
de, les autres sur le spiritualisme ; quelques-uns môme prenaient des
leçons
pour devenir médiums. Ce n’est qu’à deux heures d
e , son, art ne périra pas avec lui, et la postérité profitera de ses
leçons
. Il semble que pour un tel bienfaiteur de l’hum
redire à cette manière de vivre : j’y renonce et me mets à donner des
leçons
en ville. Ici je puis affirmer que, si j'ai perdu
er des leçons en ville. Ici je puis affirmer que, si j'ai perdu vingt
leçons
pour cause d’absence ou. d'indisposition de mes é
ressentiment me disait : « Monsieur ou Mademoiselle ne prendra pas sa
leçon
, pour telle cause. » Et cependant je n’occupais p
e cause. » Et cependant je n’occupais pas mon esprit à l’avance de la
leçon
que j’allais donner : c’était comme entre parenth
le bonnet, et mon mal se passe. 6. — J’ai donné ici encore quelques
leçons
: ün problème d’arithmétique le plus simple, le
éjugés 1 Le Daity-News enregistre le cas suivant, qui doit être une
leçon
de plus contre les inhumations précipitées : «
fluence de ses occupations quotidiennes, il récitait des fragments de
leçons
, répondait aux questions qui lui étaient faites,
révaloir, renferme un enseignement salutaire, et nous espérons que la
leçon
ne sera pas perdue. A. S. Mobiw. Nous lisons
rir son enfant étant restés infructueux, elle eut, après une première
leçon
donnée par un voisin, recours au magnétisme. Lund
un Esprit. ■ Eh bien, leur dis-je, n’y a-t-il pas là une bonne petite
leçon
? Si le petit Auguste n'eût pas jugé à propos de
Salpêtrière ont amené, en effet, mon maitre M. Charcot, à faire des
leçons
sur ce su- jet et à établir ce point. - Nous co
ions, dont la plupart ont été ana- lysées par M. - Charcot dans ses
leçons
cliniques, et nous chercherons à démontrer que
monoplégie brachiale hystérique de cause traumatique chez l'homme,
Leçons
de M. Charcot, recueillies par 11111. lltarie e
SUITE D'OPERA- TIONS CHEZ LES tuberculeux; service de M. VERNEUIL;
leçon
re- cueillie par M. PAUL Berthod. (Gaz. m(M. de
ES localisations cérébrales DE L HERPÉTISÜE par le Dr LAN- CEREAUX,
leçon
clinique recueillie par M. OEïTiNGER. (Union mé
recueillie par M. OEïTiNGER. (Union méd., 1885, t. XXXIX.) Cette
leçon
est consacrée à la description deo symptômes, de
issance, est retiré 1 Voy. pour l'explication des termes : Charcot,
Leçons
sur les maladies du système nerveux, III, f. I,
de Paris, 1885.) Dans ce travail, l'auteur, qui s'est inspiré d'une
leçon
de M. Joffroy, montre que les arguments qu'on a
ements de l'association interdisant les classes mixtes. Le taux des
leçons
fut fixé à 2 schellings pour les hommes, et 1 s
on, pour la pra- tique journalière de l'hospice. Je crois que ces
leçons
judicieusement faites, loin de dé- tourner les
et d'exécuter habilement leurs instructions, nécessai- rement. Des
leçons
, telles que celles données à Saint-John, ne peu
18a6, chez l'auteur, 37, Broad- way. DUVAL (M.). - Le Darwinisme,
leçons
professées à l'école d'anthropo- logie. Volume
s, à Londres. L'observation de R... est, en effet, relatée dans les
leçons
publiées par ce médecin', et voici les particul
: wtcx (\Vielle ! ' Klinik, cali. Vlll et IX, août, sept. 1884).
Leçons
du professeur de Cracovie, résumant ses communica
Maladies de l'encéphale, p. 115. = Voy. pour ces symboles, Charcot,
Leçons
sur les Maladies du système nerveux, 111, 1, p.
pupilles, par des accidents fébriles. Conclusions. 1 Voir Charcot.
Leçons
du Progrès médical, t835. A propos de six cas d
t)91 pages. Prix : li fr. Pour nos abonnés, 2 fr. 75. LELOIIt (H.)
Leçons
sur la srlphilis. Professées à i'liôpital Saint-
ués par M. le professeur Charcot, l'année passée, dans une de ses
leçons
sur l'hystérie des hommes. Je n'ai pu ob- serve
'hôpital et de directrice de l'école, elle donne tous les jours des
leçons
au lit du malade et fait des cours. (The med. Rec
n. · VULPIAIQ (A). - Maladies du système nerveux (moelle épinière).
Leçons
professées à ls Faculté de Médecine. Tome secon
ologique des masses centrales du cerveau, le professeur consacre sa
leçon
à l'exposé anatomo-clinique d'un cas tendant à
rg. JOFFROY (A.). Nature et traitement du goitre exophtalmique. -
Leçons
faites en décembre 1891. Brochure in-8° de 62 pag
vices de la Salpêtrière, et ne tarda pas à son tour à inaugurer ses
leçons
, à la fois dogmatiques et cliniques, qui eurent p
onté. Il apportait dans cet enseignement une verve, qui rendait ses
leçons
agréables, en même temps qu'instructives, » Mai
I se rappelle beaucoup mieux les souvenirs anciens, notamment les
leçons
d'école et l'écriture sténographique apprise autr
DES DÉLIRES SYSTÉMATISÉS DANS LES DIVERSES PSYCHOSES. PREMIÈRE
LEÇON
. SÉMÉIOLOGIE GÉNÉRALE'. Sommaire. De la métho
la folie. L'une fragmente le grand complexus symptomatique par '
Leçon
faite à la Clinique, recueillie par le D Pécharma
dans le service, et que je vous présenterai dans une des prochaines
leçons
. Au moment de son arrivée à l'asile, au-dessus
s maladies générales. Enfin, comme appendices, deux très récentes
leçons
de M. Grasset sur les vieux dogmes cliniques deva
de 23 pages. Priv : 1 fr. Pour nos abonnés, 0 fr. 70. Magnan (V.).
Leçons
cliniques sur les maladies mentales faites « l'
de la psychologie expérimentale, des exercices de laboratoire, des
leçons
sur la construction et- l'entretien des apparei
gérer les laboratoires de cette espèce. Ce sont évidem- ment là des
leçons
destinées aux futurs professeurs et aux fu- tur
le Collège (Academical Department) 1, M. Scripture fait aussi des
leçons
destinées aux futurs gradués; mais il s'agit excl
° Cours du Department of Philosop3a. a) Psychologie expérimentale :
Leçons
et exercices de laboratoire (trois heures par s
aboratoire (trois heures par semaine); b) Esthétique psychologique.
Leçons
, démons- trations et expériences (deux heures p
hypnotisme, psychologie anormale; d) Psycho- logie expérimentale :
leçons
et recherches au laboratoire. Le professeur, po
le programme des cours pour 1892-1893 com- prenait trois séries de
leçons
professées par M. George H.Mead, instructeur en
Librairie Bergmann. , Grasset. Etiologie infectieuse de l'hystérie.
Leçons
recueillies et publiées par Galavielle. Brochur
DES DÉLIRES SYSTÉMATISÉS DANS LES DIVERSES PSYCHOSES '. DEUXIÈME
LEÇON
. LE DÉLIRE CHRONIQUE A ÉVOLUTION SYSTÉMATIQUE*.
ination de l'ouïe : mono- 1 Voir Archives de Neurologie, n° 92. 5
Leçon
recueillie par M. le D' Pecharman. Archives, t.
Quatrième période : Démence, Durée. Messieurs, Dans la précédente
leçon
, nous avons posé la question des délires systém
dans le 1 Tamburini. Revue scientifique, janvier 1881. - lllaânan.
Leçons
cli- niques, p. 241. DÉLIRES SYSTÉMATISÉS DAN
de nos jours font place aux empereurs, aux présidents de ' Magnan.
Leçons
cliniques, 278. 448 8 CLINIQUE MENTALE. Répub
Lancereaux. De la Polyurie (diabète insipide). Th. d'Agrég., 1869.
Leçons
de clinique médicale. Paris, 1892, p. 467. ZD 4
e connue, comme origine de l'hyperurination. Dans ses der- nières
leçons
, il publie quatre nouveaux cas de polyurie alcoo-
x bureaux du Progrès médicale.) M. le professeur Joffroy dans des
leçons
soutient la théorie déjà exprimée par Moebius,
Prenons pour exemple un trouble hystérique quelconque, une immoti)
Leçon
faite A la Pitié. plégie, une paraplégie, une
ique remarquable. Pourvu de ces rares qualités, Duclaux faisait des
leçons
dont beaucoup étaient de véritables chefs-d'œuvre
ateurs du sujet que j'ai à traiter. » Après ce préambule, il Ht une
leçon
dont tous les passages seraient à citer,et dont l
es élèves une femme à barbe, au sujet de laquelle il fit une série de
leçons
des plus intéressantes. {*} La jeune femme étai
t enfant, il était timide. Il se troublait en classe pour réciter ses
leçons
. La moindre émotion provoquait de violentes palpi
tuel de l'Académie des sciences, membre de l'Académie française. La
leçon
d'ouverture sera faite par notre collègue, M. le
française. L'enseignement de l'Ecole de psychologie est public. La
leçon
d'ouverture sera faite par M. le D' Bérillon, méd
re. — M. le d* Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, reprendra ses
leçons
cliniques sur les maladies mentales et nerveuses,
uera les jeudis suivants. Hôpital de la Pitié. — M. le d' Babinski,
leçons
cliniques sur les maladies nerveuses, les mercred
sychologie. 2° La psychologie du courage et l'éducation du caractère,
leçon
d'ouverture par M. le D' Bbrillo.v, médecin-ins
voie physiologique, s a Jusqu'à présent, disait-il, dans une de ses
leçons
du mardi, on s'est habitué à mettre la psychologi
e, chacun La psychologie du courage et l'éducation du caractèro
Leçon
d'ouverture par le docteur Bérillox Dans les ci
ède. Telle est l'idée qui m'a guidé dans le choix du sujet de cette
leçon
d'ouverture destinée à servir d'introduction h un
ce et nous n'aurions pas l'occasion de fortifier notre raison par les
leçons
de l'expérience. On pourrait dire également que s
compter sur la rencontre inopinée d'un grand homme pour recevoir une
leçon
de caractère, les occasions se présenteraient tro
; il comportera des démonstrations pratiques et ser* complet en douze
leçons
; Il se fera à l'Ecole de psychologie, 49, rue Sai
correspondance. Le droit d'inscription est fixé à 60 francs. Les
leçons
auront lieu aux dates suivantes : M. le D' Béri
; il comportera des démonstrations pratiques et sera complet en douze
leçons
; il se fera à l'Ecole de psychologie, 49, rue Sai
correspondance. Le droit d'inscription est fixé à 60 francs. Les
leçons
auront lieu aux dates suivantes : M. le D' Béri
; il comportera des démonstrations pratiques et sera complet en douze
leçons
; il se fera à l'Ecole de psychologie, 49, rue Sai
correspondance. Le droit d'inscription est fixé à 60 francs. Les
leçons
auront lieu aux dates suivantes : M. le D' Béri
traitement psychologique de la pusillanimité. M. Félix Regauey : La
leçon
psychologique et morale du Japon. Après la séance
t que la face ne reprenne sa coloration habituelle. S...., inter-
Leçons
sur les maladies du système nerveux, t. II, p. 13
es applications sont faites au moment opportun. En second lieu, les
leçons
de M. Charcot nous ont appris depuis longtemps
st surtout depuis les descriptions faites par M. Char- cot dans ses
leçons
, aujourd'hui classiques, que l'on con- nait bie
symptômes . Parmi les malades qui ont fourni les éléments de ces
leçons
, il en est deux dont l'observation peut être cons
ades de ce genre. On se rappelle sans doute que M. Charcot, dans sa
leçon
sur l'ischurie hysté- rique, a cité des exemple
. Aux attaques sont bientôt venues s'ajouter des hé- (1) Charcot. -
Leçons
sur les maladies du système nerveux; t. 1, 2 édi-
omptement son embonpoint antérieur. M. Charcot a in- sisté, dans la
leçon
qu'il fit sur l'ischurie hystérique, alors que
c et l'intestin. (Bernard et Bareswill.) > En se reportant aux
Leçons
sur les maladies du systè- me nerveux de M. le
ite ces jours-là. (Voir les Plan- CHES V, VI et VII, du tome I, des
Leçons
de M. Charcot, 2° édition.) » On remarquera q
de nos souvenirs, nous pré- férons nous reporter au texte même des
leçons
imprimées. Cinq ans avant la guérison d'Etch...
s sur les maladies du système nerveux, t. I, 1872-73, p. 312. Cette
leçon
a été publiée pour la première fois dans la Revue
donniers, 6 ; rempailleurs, 3 ; 1 vanniers, 6 ; tailleurs, 20). Les
leçons
de toilette (lavage de la figure, desmains, pro
vage de la figure, desmains, propreté de la chevelure, etc.), les
leçons
de choses, les promenades avec interroga- os, l
ui- rait, si l'enfant plus intelligent qu'eux ne repoussait leurs
leçons
empoisonnées ? Lui, incapable de prononcer la plu
vant au grade de suppléant. L'enseignement a toujours pour base les
leçons
de choses, soit à la classe même, soit dans les
îtres et les maîtresses profitent do ces promenades pour donner des
leçons
de choses aux enfants. Jamais ces promenades, m
on ne lui a pas dit, que la base de l'enseignement reposait sur les
leçons
de choses et les leçons d'action ; que les enfa
a base de l'enseignement reposait sur les leçons de choses et les
leçons
d'action ; que les enfants reçoivent régulière-
s leçons d'action ; que les enfants reçoivent régulière- ment des
leçons
de gymnastique, de danse, d'escrime ; que tous
r semaine, il est interrompu de 8 heures à 9 heures du matin par la
leçon
de gymnas- tique. Les enfants sont divisés en d
THÉSIE TOTALE PAR Le P F. RAYMOND, Médecin de la Salpêtrière.
Leçon
recueillie parle Dur J.-B. CHARCOT Chef de Clin
e Clinique. , Messieurs. La malade, qui va faire l'objet de cette
leçon
et que je vous présenterai dans un instant, réa
t à son expression clinique. J'ai insisté là-dessus dans une de mes
leçons
de l'année dernière, et à cette occasion, je n'ai
spécifique (1). (1) La malade a succomhé quelques jours après cette
leçon
. Voici le résultat de l'examen, à l'oeil nu, de
r agrégé à la Faculté de médecine, Médecin des hôpitaux. Dans ses
Leçons
sur la Syphilis héréditaire tardive publiées en 1
Depuis le conte charmant de microbe- gas, c'est la plus saisissante
leçon
de relativisme qui ait été donnée à l'hu- manit
e leçon de relativisme qui ait été donnée à l'hu- manité ; et cette
leçon
a bien son prix, d'autant plus qu'elle conduit à
eur d'lsoline, il l'épousa et eut d'elle un enfant. (1) E. l3na.ou,
Leçons
sur les maladies nerveuses, XXX6 leçon, p. 606.
un enfant. (1) E. l3na.ou, Leçons sur les maladies nerveuses, XXX6
leçon
, p. 606. (2) Ili-, ,ç i ,\11 : w);, L'Infantili
ettait généralement fin à cette rétentipn passagère. (1) Cn,\l\col.
Leçons
sur les mal. du sysl. nerf., t. 1, p. 2 il. (2)
e atrophique de la peau, des muscles, des os), par LE Pr GRASSET.
Leçon
clinique faite le 16 novembre 1890, recueillie et
blable occasion. Ceux d'en- tre vous qui ont assisté à mes récentes
leçons
sur l'anatomie pathologique des polynévrites, d
uite qu'en fait de troubles moteurs qui traduisent le retentis- (1)
Leçon
du mardi 30 juin 1896, recueillie et publiée par
cune. Voilà qui vous fera comprendre pourquoi, après les nombreuses
leçons
que j'ai consacrées à l'étude de la polynévrite
nale ? Ainsi que je vous le rappelais tout à l'heure, dans les deux
leçons
que je vous ai faites sur l'anatomie pathologiq
- rante. La-dessus je me suis longuement expliqué dans mes récentes
leçons
sur J'anatomie pathologique des polynévrites. J
pelle un fait bizarre, que je vous ai déjà cité dans une précédente
leçon
. Il s'agit du cas de cette jeune femme de vingt
ésions matérielles appréciables. Liège, 1852. (3) Pendant que cette
leçon
était en cours d'impression, M. Lancereaux, dans
Maladie de P. Marie, Thèse de Paris, 1890, p. 49. - (2) P. Marie,
Leçons
de clinique médicale (Hôtel-Dieu, 1S91-1S95), Par
s, les fruits, les substances les plus usuelles, etc., destinés aux
leçons
de choses ; des armoires pour les jouets (passe
s avions aussi demandé que le maître de gymnastique vînt donner une
leçon
tous les matins au lieu de trois par semaine :
omme les années précédentes, l'enseignement a surtout pour base les
Leçons
de choses. Des lectures à la fois instructives
tres en bois, des solides, des tableaux divers, des boites pour les
leçons
de choses, etc. RÉSULTATS DE CET ENSEIGNEMENT X
ucation cle la main et du système musculaire) ; 3° de la classe des
leçons
de choses ; ;- 4° de la classe pour les notions
tion, est organisé en vue de l'instruction des enfants à l'aide des
leçons
de choses. Pour la réalisation de notre idée, n
uvements, les couleurs, tous les objets contenus dans les boîtes de
leçons
de choses, et tous ceux qui l'entourent. Il com
1, p. 254. = t\Inrie. -- 1'Itèu de Paris, 1883 . 3 fiiiislain. -
Leçons
orales sur les plti'Cltop"tlties, 1 Saltur. - O
rches sur Y épilepsie partielle (1). Nous devons rappeler enfin les
leçons
de notre maître, M. Charcot, concernant Y épileps
pouvoir le faire, un jour, dans le Progrès médical. (2) Charcot. —
Leçons
sur les maladies du système nerveux, recueillies
iseases of the nervous System, 1871, p. 654. (2) Charcot (J.-M.). —
Leçons
surles Maladies du système nerveux, t. II, p; 455
mouvements que nous avons décrits. Le nitrite d'ample (l) Charcot.
Leçon
sur la chorée hystérique rhythmique. (Progrès méd
.. a toujours une hémianes-thésie du côté droit, etc 24 nov. — A sa
leçon
, M. Charcot a provoqué une con- tracture artifi
là, d'ailleurs, un cas isolé ; M. Charcot en a cité d'autres dans ses
leçons
et nous-même avons eu L'occasion d'en observer un
ur ladite mu- (1) La Piété affligée, etc., p. 242. 2) Charcot.—
Leçons
sur les maladies du système nerveux, 3e éd., p. 3
la chorée rhythmique hystérique, à laquelle M. Charcota consacré une
leçon
tout entière : nous ne saurions mieux faire que d
rreur. Bien des fois, notre maître, M. Gharcot, en signalant dans ses
leçons
, les recherches de B. Brodie, a fait ressortir le
t à la succession des périodes, aux attaques des malades dont (l)
Leçons
de novembre et décembre 1878. nous avons parlé
u'on y retrouve tous les caractères que M. Charcot a décrits dans les
leçons
(1) qu'il vient de faire à la Salpêtrière. Cela e
rents degrés et les divers aspects cliniques. L'histoire de ces (1)
Leçon
faite à la Salpêtrière le 5 juin 1903, recueillie
sans fatigue, différents métiers fort (1) Quinze jours après cette
leçon
, l'escharre se produisait; la fièvre se déclara,
niens qui viennent à la clinique, et que je vous ai présentés à mes
leçons
du mardi, des exemples de l'une et l'autre form
génération de ces zones ne soit, comme le dit Pierre Marie dans ses
Leçons
sur les ma- ladies de la moelle, une des altéra
ractère familial avait manqué. Charcot (4), la même année, dans ses
leçons
cliniques du mardi, présente deux malades atteint
(3) PIIILIPPS et OBERTIIUR, Revue neurologique, 1901. (4) CIIARCOT,
Leçons
du mardi, 1887-1888. (5) Raymond, Maladies du s
infantiles... sont le plus souvent de petite taille, (1) BRISSAUD,
Leçons
sur les maladies nerveuses, t. I, p. 605, 1893-18
gle, non seulement le calibre des capillaires et l'ac- (1) Vulpian,
Leçons
sur l'appareil vaso-1/1olell1'; Cnoss.vT, Thèse d
hez une jeune fille qui a fait plusieurs années après l'objet d'une
leçon
clinique du Professeur Debove. Prothon, Rapin,
im- mobiles, pour que les paupières récupérassent leur mobilité ».
Leçons
sur les maladies du système nerveux, 1901. 5. s
ales. Messieurs, Il y a plus de dix ans, je consacrais une de mes
leçons
aux troubles de l'écriture chez les paralytique
nies les unes aux autres. Tout ce travail intellectuel est tra- (1)
Leçons
recueillies par le Dr t8liPLIiC, médecin adjoint
r ensemble. 4J4 JOFFROY Parole. Nous avons, dans notre dernière
leçon
divisé les troubles de la parole en deux catégo
cente. Vous avez entendu parler cet homme au cours de la der- nière
leçon
, et je vous ai fait remarquer que, chez lui, les
nt les par- ticularités que je mettais en évidence dans ma dernière
leçon
; ils repré- sentent, en quelque sorte, la monn
e chez les nombreux malades que nous avons examinés au cours de ces
leçons
. C'est là un des caractères de la paralysie génér
ie con6nitale de la ma- ladie de Thomsen. J'ai, cet hiver. dans une
leçon
clinique, montré à la fois aux élèves le malade
e du côté de l'axe cérébro-spinal ». Plus récemment enfin, dans une
leçon
faite à l'hôpital Laënnec, M. Hirtz (4) range p
, Traité des dégénérescences de l'espèce humaine, f 857 ; - Magnan,
Leçons
cliniques, sur les maladies mentales, 1882-1891 ;
. Séglas, De l'examen morphologique chez les aliénés et les idiots »i
Leçons
cliniques sur les maladies mentales et nerveuse
t., p. 15. (2) Féré et Séglas, Rev. Antliropol. ,4586.- J. Sscnc.s,
Leçons
mentales et nerveuses, XXII" leçon, p. 110, et
Antliropol. ,4586.- J. Sscnc.s, Leçons mentales et nerveuses, XXII"
leçon
, p. 110, et in G. Ballet, p. 87. (3) Schwalbe,
t, p. 87. (3) Schwalbe, Arch. de Neurologie, 1890, p. b6 in Séglas,
Leçons
mentales et ner- veuses, p. 713. (4) ALDEIIT
égulièrement les classes, il n'avait pas de peine pour préparer ses
leçons
: il avait une mémoire assez développée. Depu
té du milieu sensoriel anatomique distribué. » Il y a cependant une
leçon
pratique à tirer des confusions où nous en- tra
aux renforcenl, chaque jour l'union de tous les types (1) Brissaud,
Leçons
cliniques, t. I. (2) RAYMOND, Leçons cliniques.
tous les types (1) Brissaud, Leçons cliniques, t. I. (2) RAYMOND,
Leçons
cliniques. MYOPATHIE ATROP111QUE PROGRESSIVE 10
: un des malades 116 LANNOIS ET POROT cités par Brissaud dans ses
Leçons
cliniques avait des douleurs vives, atro- ces,
anesthésie et atrophie musculaire, quand dans une (1) E. Brissaud.
Leçons
sur les maladies nerveuses. Paris, 189.'i. 160
(1). Il eut à (1) Rendu, qui l'étudia à Necker, concluait dans une
leçon
du 14 juin 1900 (ses notes nous ont été obligea
il a une mémoire excellente qui lui a permis de rédiger le soir des
leçons
auxquelles il avait assisté dans l'après-midi san
apparents. (1) BnissAul>, Tics et spasmes cloniques de la face,
leçon
publiée par II. Meige et Il. VIVIER, in Journ.
ouge et couperosé, une apathie physique invincible et (1) BRiSSAUD,
Leçons
sur les maladies nerveuses, t. I, 30° leçon et t.
cible et (1) BRiSSAUD, Leçons sur les maladies nerveuses, t. I, 30°
leçon
et t. II, 22°-25e le- çons. (2) D'ailleurs, l
tude des arts d'agrément, puis finit par se faire accompagner à ses
leçons
de chant par un protecteur qui admire moins sa
la section des nerfs (Arch. ital. de . Biol., 1898). Marie (P.).
Leçons
sur les maladies de la moelle. Paris, 1892. Neu
des buveurs ou paranoïa alcoolique ». A.-F. Erlitzky (3) dans ses «
Leçons
cliniques sur les maladies mentales », sans exa
thologie légale, 1900, t.II, Moscou (en russe). (3) A.-F. ERLITZKY,
Leçons
cliniques sur les maladies mentales, Saint-Péters
auteurs anglais, il faut indiquer Clouston (2), parlant dans ses «
Leçons
Cliniques » de la possibilité pour le delirium tr
tage de ces malades (1) Magnan, L'alcoolisme, 1874. (2) CLOUSTON,
Leçons
cliniques sur les maladies mentales, Traduction r
rès détaillé pour la justifier. Pour les peintures consacrées aux
Leçons
d'anatomie, qui sont connues des médecins, même
gne-sur-Mer, 1899. 422 L'OEUVRE TfÉDICO-ARTISTIQUE de Tours : Les
Leçons
d'Anatomie et les Peintres Hollandais, paru en 18
ues égyptiennes (Revue de l'Ecole d'Anthropologie, février 1903).
Leçon
d'ouverture du Cours d'anatomie à l'Ecole des Bea
E. Lecrosnier. 176 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. CiiAncoT (J.-11.). -
Leçons
sur les maladies du système nerveux, pro- fessé
es contemporaines. Les fonctions du cerveau (Doctrines de F. GOLTZ.
Leçons
professées' à l'Ecole pratique des Hautes Etude
notre éminent maître M. Charcot y est revenu maintes fois dans ses
leçons
. Afin de donner une première satisfaction à not
cine de Lyon une seconde obser- vation. M. Charcot (188'a) fait une
leçon
sur l'ataxie hérédi- taire et la sclérose en pl
et Hervé. , 1 1 . l, z . Le livre de M. Letourneau comprend vingt
leçons
professées à l'école d'anthropologie pendant l'
s de Vaucluse, Ville-Evrard et Villejuif. 304 BIBLIOGRAPHIE. XIV.
Leçons
sur les maladies du système nerveux faites ci la
dée, les ouvrages qu'il a publiés, les deux premiers volumes de ses
Leçons
qui constituent des chefs-d'oeuvre du genre son
ches et de ses doctrines, l'éminent maître a imposée (voy. Première
Leçon
). Notre rôle se bornera à indiquer les titres d
y. Première Leçon). Notre rôle se bornera à indiquer les titres des
leçons
contenues dans le présent volume : Leçon II. At
indiquer les titres des leçons contenues dans le présent volume :
Leçon
II. Atrophie ! musculaire qui succède à certaines
. Cas de mutisme hystérique chez l'homme. Un appendice complète ces
Leçons
soit par des observations, soit par des notes c
ine d'une hémiplégie hystérique, etc. Les deux premiers volumes des
Leçons
de M. Charcot sont arrivés à quatre et cinq édi
de la responsabilité et de la capacité. Ce cours comprendra douze
leçons
. [Annales médico-psychologiques). 318 FAITS DIV
ent multipliées pendant ces deux dernières années. A la suite d'une
leçon
sur ce sujet faite à la Salpêtrière par M. Char
ite d'une leçon sur ce sujet faite à la Salpêtrière par M. Charcot,
leçon
dont notre éminent maître voulut bien nous conf
s, le même auteur est revenu sur ce sujet et l'a développé dans ses
leçons
cliniques ou dans les discussions sur la folie
(délire des négations). (Arckia. de nei41,olog., 1884.) ' Magnan.
Leçons
sur la folie héréditaire, 1882-1883; Les délirant
de son délire entrevues déjà par Morel, Snell, etc. (pé- 1 Magnan,
Leçons
sur la dipsomanie. Progrès médical, 1884. De l'
le il reproduit les idées de Magnan sur le délire chronique; et une
leçon
de M. Bail 2 (1885) sur une forme particulière
e je viens de dire, messieurs, c'est le résumé très impar- fait des
leçons
de l'expérience. Il n'y a pas de traitement de
▲