ssant par un renfle- ment ganglionnaire et deux nerfs périphériques
latéraux
. (D'après G. Retzius.) 4 .k ANATOMIE DES CENTRE
d'un faisceau beau- coup mieux que le trajet des fibres col-
latérales
qui s'en dé- tachent. Chez le foetus et l'e
hez les nouveau-nés, au niveau de la partie postérieure des cordons
latéraux
de la moelle et en dehors des faisceaux pyramidau
lpel en bas et on pénètre dans les cornes frontales des ventricules
latéraux
. 2" temps. - Ce temps a pour but de sectionner
is que la pointe chemine libre- ment dans l'intérieur du ventricule
latéral
et rase la surface libre du noyau caudé. La sec
délimite une large et peu profonde gouttière neurale. - 5, limites
latérales
de la région céphalique de l'embryon. - pp, lig
glements. Les étranglements sont assez accentués sur les parois
latérales
du canal encé- phalique ; ils le sont moins s
ristique d'un marteau (fig. Il, Vo), et ses volumineux diverticules
latéraux
, repré- sentent les premiers rudiments des vé
point de fusion des parois ventrale et dorsale avec les pa- rois
latérales
droite et gauche du canal encéphalique. Cette
peu entraîné et transporté des bords de la fente, vers les parties
latérales
de la vésicule. C'est pour permettre cette migr
1n re- pli prêt il venir rccou- vrir la tête.- Vo, épanouissement
latéral
de la vésicule encéphalique antérieure (future
, du corps calleux, du trigone, du corps strié et des ventricules
latéraux
. Dareste a montré en ou- tre, que les cellule
e), se porte en haut et en arrière, et se perd sur les pa- rois
latérales
de la vésicule encéphali- que antérieure prim
t de la rétine aux centres optiques ganglionnaires primaires (crête
latérale
, fais- ceau optique direct). Au niveau du pédic
au du pédicule oculaire, la crête basilaire est séparée de la crête
latérale
par une gouttière profonde (Foc), ouverte en ba
asilaire correspond au fais- . ccau optique croi- se ; la crête
latérale
au faisceau optique 9 direct. j - i FIG.
ndubilum. - Is, isthme du cerveau. - LB, lame basilaire. - LL, lame
latérale
. Lol, lobe olfactif. pas prolongement antérieur d
e, avec la crête basilaire, et la branche postérieure avec la crête
latérale
(fig. 18). Au sur et à mesure que le pédicule ocu
cule (MoV4), et par l'existence de quatre à six plis sur ses parois
latérales
. Ces plis, dont trois siègent en avant, et un,
en connexion avec l'oreille moyenne, formée aux dépens des parties
latérales
de la première fente branchiale. Si par suite d
a voûte; elle est insignifiante au niveau du plancher et des parois
latérales
, où les deux vésicules secondaires délimitent une
M intermédiaire est un peu aplati latéralement; ses épaisses parois
latérales
donnent naissance aux couches optiques dans leur
siculc des hémi- sphères en trois par- les, une médiane et [eux
latérales
. 1 1 g B h c d o r Accroissemen
vésicule des hémisphères, et divise cette dernière en deux moitiés
latérales
, l'une droite, l'autre gauche. La dépression médi
e troisième ventricule en avant (lame sus-optique); 2° deux parties
latérales
, paires et symé- triques, d'aspect globuleux, l
ui s'ouvre en arrière dans le troisième ventricule; et deux parties
latérales
et supérieures, les cavités des vésicules hémisph
érieures, les cavités des vésicules hémisphéri- ques ou ventricules
latéraux
, qui communiquent largement au début avec le tr
is parties : une médiane et deux la- térales, les ventri- cules
latéraux
. I Fia. 22. - Encéphale d'un embryon humain d'e
l ne persistera de la cavité du cer- veau antérieur que les parties
latérales
, qui, sous le nom de ventricules latéraux, s'ou
ntérieur que les parties latérales, qui, sous le nom de ventricules
latéraux
, s'ouvrent dans le troisième ventricule par l'int
presque sur la voûte de l'arrière-cerveau (fig. 24), et les parties
latérales
du cerveau postérieur s'étirent en forme d'auri
rent en forme d'auricules, pour former les diverticules ou recessus
latéraux
du quatrième ventricule. L'ciîi ! 71e pontique
aplatie latéralement (Hg;. 2 ? ); elle est limitée par deux parois
latérales
épaisses, volumineuses, réunies par deux partie
plancher (P), l'autre à la voûte (V). Un léger sillon longitudinal
latéral
, plus rapproché de l'extré- - mité dorsale de l
la moelle que de son extrémité ventrale, divise les épaisses parois
latérales
de la moelle épinière en deux segments inégaux, l
des lobes olfactifs; en avant, elle se continue avec les ventricules
latéraux
. Les ventricules latéraux et le troisième ventr
nt, elle se continue avec les ventricules latéraux. Les ventricules
latéraux
et le troisième ventricule, forment une cavité co
te les larges trous de Monro primitifs. Les sillons longitudinaux
latéraux
de la moelle épinière peuvent être poursuivis d
e rachidien. La cavité du cerveau antérieur formera les ventricules
latéraux
; celle du cerveau intermédiaire, le troisième v
développent aux dépens de so plancher, de sa voûte et de ses parois
latérales
. Cavité de l'isthme et du cerveau moyen. Ca
E 1. MOELLE ÉPINIÈRE Au commencement du deuxième mois, les parois
latérales
de la moelle épinière se coudent légèrement, et
séquent quatre sillons, deux médians étroits et profonds, et deux
latéraux
beau- coup plus larges. Le sillon médian post
étration de la voûte dans le canal central (fig. 26). Les sillons
latéraux
divisent les épaisses parois latérales du tube
tral (fig. 26). Les sillons latéraux divisent les épaisses parois
latérales
du tube mé- dullaire en deux moitiés inégales :
A), aux cordons antérieurs (Ca), à la partie antérieure des cordons
latéraux
(Cal) et à la moitié anté- rieure de la formati
re. - Cal, cordon antéro-latéral. - Ce. ca- nal central.- CL, corno
latérale
.- Fa, formation arlplée. - Fa, faisceau ovalair
e, au pro- cessus eticulai.s et à la partie postérieure du cordon
latéral
(IIinterseitenstrang). Dans celte région appara
is en avant; leur partie postérieure, connue sous le nom de corne
latérale
(CL), envoie de nombreuses fibres dans les cord
ure. - Cal, cordon antéro-latéral. Ce, canal cen- tral. CL, corne
latérale
. - Cpl, cordon postéro-latéral. Fa, formation a
Celui-ci s'oblitère d'arrière [en avant, par apposition des parois
latérales
, puis se retire peu à peu de la surface vers l'
ure. Cal, cordon antéro-latéral. - Ce, ca- nal central. - CL, corne
latérale
. -CI', corne postérieure. - 1·G, faisceau de Go
ieure. Cal, cordon antéro-latéral. Cc, ca- nal central. - CL, corne
latérale
. - CP, corne posté- ricuro. - Cpl, cordon posté
tardivement, de même que les artères radiées, destinées aux parties
latérales
et postérieures de la moelle; elles ne se mon-
cher s'élar- DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 85 git, les parois
latérales
s'étirent au niveau des plis de flexion en forme
rième ventricule se prolonge, en formant de chaque côté le recessus
latéral
du quatrième ventricule. Le plancher est alors
ptorius, divise le plancher du quatrième ventricule en deux moitiés
latérales
; il se continue en haut avec le sillon médian a
vius, et en bas avec celui du canal de l'épendyme. Chaque moitié
latérale
du plancher du quatrième ventricule, se sub-
lon longitudinal, ir- régulier et peu profond (fig.31). Ce sillon
latéral
(si) du plan- cher du quatrième ventricule, f
(si) du plan- cher du quatrième ventricule, fait suite au sillon
latéral
du canal de l'épendyme, et se con- tinue en h
dehors. Peu profond au niveau de la partie bulbaire, le sillon
latéral
s'élargit dans la partie protubérantielle, immé
tubérantielle le noyau du nerf moteur Formation des ré - : cessus
latéraux
du quatrième ventri- cule. Division du plan
portion pro- tubérantielle. Sillon médian an- térieur. Sillon
latéral
. Lame fondamcn- 1. taie et noyaux d'ori- gi
pendymaire. - sa, sillon antérieur du 4° ventri- cule, - si, sillon
latéral
du 4° ventricule. ), raphé. - V, voûte. - V4, 4
erf pathétique. Sur le prolongement de la colonne grise de la corne
latérale
de la moelle, on voit naître dans la région bul
t spinal. Ces racines, adhérentes à la paroi inférieure du recessus
latéral
du quatrième ventricule, forment à la surface e
, sillon labial externe. - sli, sillon labial interne. - sl, sillon
latéral
du 48 ventricule. - V4 4- ventricule. - XII, hy
LF, lame fondamentale. Le. lame élnendymaire. - llCL restes du cordon
latéral
. - sa, sillon antérieur du -te ventricule. - si
don latéral. - sa, sillon antérieur du -te ventricule. - si, sillon
latéral
du .le ventricule. - sli, sillon labial interne.
olivai2,es, aux noyaux du cordon de Burdach, aux noyaux des cordons
latéraux
, aux noyaux arqués des para- mides et à la subs
D9oV4, membrane obturatrice du 4e ventricule. - RCL, restes du cordon
latéral
. si, sillon latéral du 4e ventricule. sli, sill
trice du 4e ventricule. - RCL, restes du cordon latéral. si, sillon
latéral
du 4e ventricule. sli, sillon labial interne. - S
Oi, olive inférieure ou bulbaire. - r, raphé. - RCL, restes du cordon
latéral
. - SR, substance ré- ticulée. - Vs, racine spin
rière les deux auricules de flexion, qui constituent les recessus
latéraux
du quatrième ven- tricule (fig. 36). ' 1 La p
pement considérable que prend le vermis, tan- dis que ses parties
latérales
forment deux petites valvules semi-lunaires, le
tricule. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NE 11 VEUX. 91 ment du recessus
latéral
du quatrième ventricule, la moyenne, le (lacculll
eurs sous le nom de fissure transverse cérébelleuse. Les recessus
latéraux
du quatrième ventricule, ou vélum medullare infe-
céré- belleux moyens. 92 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Recessus
latéraux
du quatrième ventri- cule. Modifications qu
laté- raux du quatrième ventricule, qui plongent dans les recessus
latéraux
. La lame inférieure est formée d'éléments nerve
sillon médian du plancher du quatrième ventricule, et deux sillons
latéraux
qui séparent la lame fondamentale de la lame al
de la lame alaire, et qui se continuent d'une part avec les sillons
latéraux
du quatrième ventricule et d'autre part avec le
de ce dernier et forme une sorte de fer à cheval, dont les branches
latérales
se portent en diver- geant en avant, et se perd
s se portent en diver- geant en avant, et se perdent sur les parois
latérales
du cerveau intermé- diaire (fig. 39, 40). La pa
r à cheval répond au tubercule quadrijumeau antérieur, les branches
latérales
forment les premiers rudiments du bras du tuber
ar. . Le tubercule quadrijumeau postérieur fournit le ruban de Reil
latéral
, ou faisceau triangulaire de l'isthme de l'encé
rieur; au quatrième mois, les lobes temporaux recouvrent ses parois
latérales
et au cinquième mois, les lobes occipitaux reco
iques s'aplatit de bonne heure dans le sens transversal; ses parois
latérales
s'épaississent considérablement, ses parois sup
éduisent par contre à l'état de minces lames membraneuses. Parois
latérales
. - Les épaisses parois latérales présentent à étu
inces lames membraneuses. Parois latérales. - Les épaisses parois
latérales
présentent à étudier une face interne ou ventri
0. Encéphale d'un embryon humain d'environ trois mois, vu par sa face
latérale
droite. (Dessiné d'après nature.) La fig. 40 mo
lation du cerveau antérieur du côté droit. Dans la lig. ,t0, la paroi
latérale
droite des cerveaux moyen et postérieur a été e
, lt, lame terminale embryonnaire. l'o, protubérance. ri VI, recessus
latéral
du 4' ventricule. 8Th, région sous-thalamique.
elle forme la future bandelette optique et se continue avec la crête
latérale
du pédicule oculaire (fig. 18). La région du co
re, jusqu'au point d'insertion des plexus choroïdes des ventricules
latéraux
. Elle ne comprend donc, que la partie de la fac
s au sillon opto-strié, concourt à former le plancher du ventricule
latéral
, et se développe aux dépens du cerveau antérieur
nro, très accusé vers cette époque, fait suite en arrière au sillon
latéral
de l'aqueduc, tandis qu'il se continue en avant
rigine ventriculaire. Dans toute la série des vertébrés, les parois
latérales
du cerveau inter- médiaire sont épaissies et al
ger sillon médian qui divise le tubercule médian en deux tubercules
latéraux
; ceux-ci se recouvrent de substance blanche, lo
élium cylin- drique, et donnent naissance il de petits diverticules
latéraux
, qui se séparent peu à peu de la paroi mère, et
rébraux et portion axiale, lame terminale embryonnaire. Ventricules
latéraux
et lobes olfactifs. Nous avons vu précédemment,
X. 10a ti Il 1 B : ) axiale du cerveau antérieur, et deux parties
latérales
beaucoup plus volumi- neuses, les hémisphères c
nt la cavité communique largement au début avec celle du ventricule
latéral
. Le sillon inférieur (piFS), se porte vers la p
le lobe olfactif en arrière. Vésicules hémisphériques, ventricules
latéraux
et lame ter- minale embryonnaire. -Les vésicule
la fosse sylvienne ou au futur lobule de l'insula. Le ventricule
latéral
suit la forme générale de la vésicule des hémi-
ce lame épithéliale qui coiffe les plexus choroïdes des ventricules
latéraux
. Ces deux plis, saillants dans la cavité ventri
le vu par la face infé- rieure. - Fig. 48. Encéphale vu par la face
latérale
gauche après ablation de la paroi externe de la
et leur cavité forme le plancher de la corne frontale du ventricule
latéral
. Au sur et à mesure que le sillon arqué antérieur
eval, l'âne, -etc., chez lesquels elle s'ouvre dans le ven- tricule
latéral
, en avant de la base de la tête du noyau caudé. L
eur s'ouvre largement au début dans la corne frontale du ventricule
latéral
; elle est peu à peu comblée grâce au développem
oyau amygdalien : il en résulte que la corne frontale du ventricule
latéral
ne communique avec la corne sphénoïdale, que pa
noïdale, que par l'intermédiaire de l'étage supérieur du ventricule
latéral
(fig. 52 à 63). Le corps strié rudimentaire don
amygdalien. Sa face libre fait une forte saillie dans le ventricule
latéral
; convexe dans le sens antéro-postérieur, elle e
rc ? devient plus étroite. pond au futur bord externe du ventricule
latéral
; le sillon interne devient le profond sillon op
suture primaire qui s'effectue dès la fin du Ftc. 'il. - Ventricule
latéral
d'un foetus humain, au commencement du troisièm
pto-striée primitive. l'H, vésicule des hémisphères. 17, ventricule
latéral
, DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 11 : 1 pre
3); elle n'appartient ni au troi- sième ventricule ni au ventricule
latéral
, et elle est recouverte par la toile choroïdien
partie externe, plus petite, fait partie du plancher du ventricule
latéral
; elle est séparée toutefois de la cavité ventri
tteint l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. A ce niveau elle se recourbe légèrement en arr
lution pariétale ascendante.PcA, plexus cho- roïdes des ventricules
latéraux
PE, paroi externe du cerveau antérieur. - 7 ? par
e ventricule. vCI, voûte du cerveau intermédiaire. - VI, ventricule
latéral
. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral.
. - VI, ventricule latéral. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. - Vsl, ventricule du septum lucidum. Fig. 52,
ipitale. - l'ch, pli choroïdien et plexus choroïdes des ventricules
latéraux
. - PE, paroi externe du cerveau antérieur. - PI,
n axiale du cerveau. Vil, vésicule des hémisphères. - l'l, ventricule
latéral
. - Foc, corne occipitale du ventricule latéral.
s. - l'l, ventricule latéral. - Foc, corne occipitale du ventricule
latéral
. - 1 ? troisième ventricule. 118 ANATOMIE DES C
aisceau pyramidal direct; le faisceau croisé se rend dans le cordon
latéral
du côté opposé de la moelle, où il forme le fai
ouche épithéliale qui recouvre les plexus choroïdes des ventricules
latéraux
(fig. 52 à 63). Au commencement du quatrième mo
son bord externe, qui porte dans la corne sphénoïdale du ventricule
latéral
le nom de corps bordant ou bordé, donne inserti
melle épithéliale qui coiffe les plexus choroïdes des ' ventricules
latéraux
(fig. 56, 57, 62, 63). Les plexus choroïdes ne so
u niveau du sillon choroïdien. Les plexus choroïdes des ventricules
latéraux
, décrivent une courbe autour de la partie supér
ne plongent pas par conséquent dans la corne frontale du ventricule
latéral
. Ils n'atteignent pas, d'autre part, l'extrémit
certains solipèdes, tels que le cheval, l'âne, etc. Le ven- tricule
latéral
, donne alors à ce niveau un petit diverticule, co
l'écorce céré- brale, et comblent peu à peu la cavité du ventricule
latéral
, qu'elles rédui- sent à une fente demi-circulai
aisseur delà paroi hémisphérique et font saillie dans le ventricule
latéral
. DÉVELOPPEMENT DU SYSTEME NERVEUX. 13a - ....
n calloso-mar- ginal. Scissure collaté- rale et éminence col-
latérale
de Meckel. j1'w. 66. '- j1'acc interne de 1 enc
gitudinales, médianes. qui forment les nerfs de Lancisi et des amas
latéraux
de substance grise qui forment les tienia tecta
atre, voire même six a huit couches strati- fiées sur les parties
latérales
du tube neural. Les noyaux des couches in- tern
e de Vertébré : une zone moyenne, la zone des noyaux, et deux zones
latérales
, claires et dépourvues de noyaux, dont l'intern
ent les fi- bres arquées et les libres postérieures des cordons
latéraux
cylindre-axe dans les régions antérieures de la
érieure,, ,. et une partie latéro- darsale, la zone de la corne
latérale
. Dans toute la hauteur de la moelle do°so-lon
fauikeb ssiff faisant à l'.l'1qtl du' cordon antériéu du cordon
latéral
, le long d'un sillon irré- gulier, le futur s
es sensitives, pour former les nerfs mixtes; les fibres de la corne
latérale
se jettent, d'après Gaskell, dans le grand symp
pinale antérieure. - lspp, artère spinale postérieure. - CL, corne-
latérale
. - p'a; formation arquée. - ro, faisceau ovalai
146 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le nerf spinal naît do la corne
latérale
. Nerfs naissant de la colonne nucléaire dan
ordres de racines sont distincts. Les racines de la zone de la corne
latérale
forment le nerf spinal ; leur émergence se fait
oelle; il leur manque en effet le contingent des fibres de la corne
latérale
qui forme le spinal. La division de la colonne
de l'hypoglosse; au groupe latéro-dorsal, continuation de la corne
latérale
, se rattachent le spinal, les racines motrices
otrices du glosso-pharyngien, qui émergent toutes le long du sillon
latéral
du bulbe, à la limite de la lame fondamentale et
craniens atteignent la surface du bulbe un peu en arrière du sillon
latéral
du bulbe. Les fibres centrales du trijumeau (ve
en a isolé et figuré de remarquables exemples provenant des parois
latérales
de la moelle foetale (fig. 89). Golgi (1886), à
d'expliquer. Les prolongements des cellules épendymaires des parois
latérales
de la moelle atteignent la périphérie de celle-
côté du plancher, c'est-à- dire à l'union des parties antérieure et
latérale
du canal central, présentent Cloison primitive
certain nombre de petites et fines branches collatérales, les col-
latérales
de Golgi, qui se détachent à angle droit du cylin
de Monro pour former la commissure molle. Au niveau des ventricules
latéraux
, la substance grise se réduit à une très mince
che, qui ne présente une certaine épaisseur qu'au niveau de l'angle
latéral
du ventricule, ainsi qu'au niveau des extrémités
es prolongements des cellules épendymaires qui tapissent les parois
latérales
du canal central; et tous les auteurs admettent e
t plus ou moins éloigné des arborisations terminales, soit des col-
latérales
, soit de la fibre nerveuse elle-même, qu'il s'agi
entrifuges, qui prennent leur origine dans les cellules de la corne
latérale
de la moelle (Gaskell), et qui se terminent par
éseau des vasa-vasorum qui entourent l'artère, soit aux veines col-
latérales
musculaires près de leur embouchure (Quénu et Lej
une innervation propre et spéciale; ils reçoivent la branche col-
latérale
d'un nerf cutané voisin, destiné à in- nerver u
, au niveau d'un étran- glement annulaire, à une branche col-
latérale
amyélini- que qui se détache à angle droit. D
nette. Il se divise et se subdivise, donne quelques rami- fications
latérales
plus ou moins nombreuses, qui se contournent de d
e en effet la paroi interne du prolongement occipital du ventricule
latéral
, pour former l'ergot de Morand, le petit hippocam
qu'elle déterminait dans le prolongement sphé- noïdal du ventricule
latéral
la saillie de corne d'Ammon ou grand lippu- cam
irconvolution du crochet. - Vsph, corne sphj- noïdale du ventricule
latéral
. - vl, vélum terminale d'.IEby. MORPHOLOGIE CÉR
ollatérale produit, dans le prolon- gement sphénoïdal du ventricule
latéral
, une saillie semblable à celle de l'ergot de Mo
alcarine et 1),-ii-i(,'Io-occl"liilcile (K -r po), et scissure col-
latérale
(ot) (lit. 151, 181, 182), -le grand lobe limbiqu
comme partie constituante du prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
, soit à propos des parties constituantes du seu
rme l'extrémité antérieure du prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
. La circonvolution du crochet (U) sert en effet
fortement la paroi interne du prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
, et produit la saillie de la corne d'Ammon. Cel
pe (h). En dehors, du côté du prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
, celte circonvolution est recouverte par le bord
té à deux tractas blancs longitudinaux, les uns médians, les autres
latéraux
; les médians portent le nom de nerfs de Lancisi
latéraux; les médians portent le nom de nerfs de Lancisi (NL), les
latéraux
celui de tccnia tecta (tec). Les toenia tecta, le
pement foetal, d'une cavité qui communique avec celle du ventricule
latéral
. 1-Iis, en se basant sur l'embryologie, divise
sur la gouttière olfactive du sphénoïde et de l'ethmoïde, ses faces
latérales
se moulent sur les circonvolutions qui bordent
e pyramide, le tubercule ou trigone olfactif (Toi), dont les angles
latéraux
donnent naissance à deux faisceaux blancs, connus
constituent les radiations olfactives externe et in/pnu' d'Edinger (
latérale
und innove médiate / ? c/t.s7 ? ? </M/t). La
férieure repose sur la gouttière olfactive du sphénoïde, ses parois
latérales
occupent le sillon olfactif (f,) : elles sont r
ire. Toi, trigone olfactif. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. - xPcs, entrecroisement du pédoncule cérébelle
ntérieure, et creusé d'une cavité qui communique avec le ventricule
latéral
, immédiatement en avant de la tête du noyau cau
ui s'ouvre par l'intermédiaire d'un canal étroit dans le ventricule
latéral
, immédiatement en avant de l'extré- mité antéri
lbaire. Po, protubérance. PTml, pédoncule du tubercule ma- millaire
latéral
situé en dedans du sillon du nerf moteur oculaire
. - 1·m,W ber- cule mamillaire mi·dian.-1'nal, tubercule mamillaire
latéral
.7'jt)<. tractus pédonculaire trans- verse de
blanche antérieure, elle est un peu . plus épaisse sur ses parties
latérales
que sur la ligne médiane, où elle est très minc
ie chez l'homme à la base du cerveau, c'est le tubercule mamillaire
latéral
(Tml, fig. 193), décrit chez les animaux par Gu
alotte le ruban de Reil; c'est le pédoncule du tubercule mamillaire
latéral
(PT ml, fig. 193). L'espace inler-pédonculair
e. Par sa base, il répond aux tubercules mamillaires, par ses bords
latéraux
aux pédoncules cérébraux dont le sépare un sill
erf moteur oculaire commun par le pédoncule du tubercule mamillaire
latéral
(PTml, fig. 184 et 193), faisceau blanc, légèreme
Trou borgne anti7- rieur. Pédoncule du tu- horculo mamillairo
latéral
. i 322 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ganglion
qua- drijunteaux. Le sillon du nerf nculo-motcnr et le sillon
latéral
de : l'isthme séparent, à la silritec dit 1)-do
ge supérieur des pédoncules. Le pédoncule du tuber- cule mamillaire
latéral
est traversé par la plus grande partie des faisce
dis, dont la base est antérieure, le sommet postérieur et les faces
latérales
obliques en arrière et en dedans. Ce triangle est
laiichàtreantéro-postéi@ieure, le pédoncule du tubercule mamillaire
latéral
de Gudden (fig. 191 et 1931. 1 . La face latéra
bercule mamillaire latéral de Gudden (fig. 191 et 1931. 1 . La face
latérale
du pédoncule présente également un sillon longitu
fond duquel on trouve un peu de substance noirâtre; c'est le sillon
latéral
de l'isthme de l'I'ncéphale (sulcus lateralis mes
rne dont les deux cornes effilées atteignent : l'externe, le sillon
latéral
de l'isthme de l'encéphale; l'interne, le sillo
en haut, interceptent un espace triangulaire, et forment les parois
latérales
et postérieures du losange opto-pédonculaire (fig
supérieur. Qp, tubercule quadrijumeau postérieur. - Bl, ruban de Reil
latéral
. Rm, ruban de Reil médian. Tpo, toenia pontis.
ntis. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Syl- vius. - si, sillon
latéral
de l'isthme. - SR, substance réticulée. - Vc, rac
édoncule. - Po, protubérance. PTml, pédoncule du tubercule mamillaire
latéral
. - P ? , pyramide. tb, trou borgne postérieur o
r cinereum. - Tm, tubercule mamillaire. - Tml, tubercule mamillaire
latéral
. - Tpl, tractus pédoncu- laire transverse. - ti
interne du pédoncule cérébral elle pédoncule du tubercule mamillaire
latéral
de Gudden (PTml, fig. 191, 193). Après sa pénét
nés, renforcés quelquefois par un faisceau qui se détache du sillon
latéral
de l'isthme de l'encéphale, contourne le pied d
ceau de substance blanche, le péclota- cule du tubercule mamillaire
latéral
de Gudden (PTmI, fig. 191, 193, 297). La face e
sma des nerfs opti- ques. - Crst, corps restiforme. - rla, faisceau
latéral
du bulbe. - fat, libres arquées antérieures. -
ostérieur. - RI, faisceau triangulaire de l'isthme ou ruban de Reil
latéral
. - Uni, ruban ,de Reil médian. - si, sillon lat
ruban de Reil latéral. - Uni, ruban ,de Reil médian. - si, sillon
latéral
du mésencéphale. - Th, couche optique. - 7·po,
nisci) (RI). Cette surface triangu- laire, comprise entre le sillon
latéral
de l'isthme d'une part (si), le tubercule quadr
n (t. II), qu'une petite portion du ruban de Reil, le ruban de Reil
latéral
ou inférieur (untere Schleife), visible à la surf
paire, ., le tubercule mamillaire médian et le tubercule mamillaire
latéral
. (Méthode de Wei- gerl.. Agrandissement -1/diam
ur ou pied du pédoncule. - l'Tml, pédoncule du tubercule mamillaire
latéral
. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur; 2, cou
du trigone. - Tm, tubercule mamillaire. -Tml, tubercule mamillaire
latéral
. - Tpl, faisceau transverse du pédoncule de Gudde
ur. - Qp, tubercule quadrijumeau pos- *, térieur. Rl, ruban de Reil
latéral
. R)iî, ruban de Reil médian. sell, sillon choroïd
culaire de la couche optique. - si, sillon opto-strié. - si, sillon
latéral
de l'isthme de l'encéphale. Th· thalamus. - tth,
l'un, postérieur, qui entre dans la constitu- tion du ruban de Reil
latéral
, l'autre antérieur, qui se porte vers le corps ge
les dits trijumeaux. Chez les oiseaux, ils occupent toute la partie
latérale
du cerveau moyen, atteignent la base du cerveau
situé au niveau du bord libre des plexus choroïdes des ventricules
latéraux
. Bull. Soc. Anat., 1886, p. 420. - Arnold. Bemer-
, qui affecte la forme d'un entonnoir aplati latéralement. Sa paroi
latérale
pré- sente un sillon curviligne à direction ant
us le nom de trou de Monro (TM). Le sillon de Monro divise la paroi
latérale
du troisième ventricule en deux régions, l'une su
vasculaire, connu sous le nom de plexus choroïdes des ventri- cules
latéraux
(Pchl). Au-dessous du trigone et de la toile ch
rié, en dehors. La face interne de la couche optique forme la paroi
latérale
du troi- FIG. 195. - Coupe sagittale inter-hemi
mer dans son segment externe une partie du plancher des ventricules
latéraux
(VI) ou premier et deuxième ventricules cérébra
x noyaux ou sillon opto-strié (si), fait saillie dans le ventricule
latéral
et contribue à rendre inégal le plancher de ce
aires et la partie antérieure de la corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. (Pièce durcie au bichromate.) Alv, alveus. - A
le. VA, ruban de Vicq d'Azyr. - VG, veine de Gabion. - VI, ventricule
latéral
. - 1 ? ventricule du septum lucidum. - Vsph, co
ventricule du septum lucidum. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. - : ;7,, zone réticulée, ou grillagée. II, ban
ux. , 2° Trigone cérébral. 3° Septum lucidlrrnz. 4° Ventricules
latéraux
. IP 5° Ventricule moyen ou troisième ventricule
alleux. La coupe de Vieussens (fig. 199) montre que par ses parties
latérales
le corps calleux envoie dans chaque hémisphère,
s de la couronne rayonnante forme la limite externe des ventricules
latéraux
. - MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 339 Tronc du corps
ité antérieure du corps strié, et fermer en avant les ventri- cules
latéraux
. Après sa réflexion, il se porte en arrière, dans
verticales du sillon parallèle. Voc, corne occipitale du ventricule
latéral
. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 343 calleux, connues
toile c7aoïclicczcae (Tch) et les plexus choroïdes des ventricules
latéraux
(Pch VI). Le bourrelet (Cc [SpI]) (fig.198) est
ne fente étroite, qui communique sur les côtés avec les ventricules
latéraux
, dont elle forme un véritable diverticule. Cette
fait abstraction des nerfs de Lancisi et des tractus longitudinaux
latéraux
qui appartiennent à la circonvolu- tion godronn
ostérieure du corps calleux. Radiations du corps calleux. Les bords
latéraux
du corps calleux pénètrent horizontalement dans
lanche des hémisphères, con- tournent l'angle externe du ventricule
latéral
, et donnent naissance à de nombreuses libres co
sur la ligne médiane au septum lucidum (SI), tandis que ses parties
latérales
forment de chaque côté le plancher du ventricule
parties latérales forment de chaque côté le plancher du ventricule
latéral
. Les plexus choroïdes sont en général renversés s
du trigone. Ses faces. FIL;. 200. Étage supérieur des ventricules
latéraux
. Corps du trigone et septum lucidum. (D'après l
de la veine du corps strié.-l'c/tl, plexus choroïdes du ventricule
latéral
. - si, sillon opto-strié. -SI, septum lucidum.
lmen). - V(dc), vermis (declivum). - vif, corne frontal du ventricule
latéral
. - l'oc, corne occipitale du ventricule latéral
ontal du ventricule latéral. - l'oc, corne occipitale du ventricule
latéral
. - VSl, ventricule du septum lucidum. 346 ANATO
érieur adhère à l'extrémité postérieure du corps calleux, les bords
latéraux
minces et tranchants, donnent insertion aux plexu
supé- rieure de la couche optique (fig. 196). En avant les bords
latéraux
sont libres, et ne donnent plus insertion aux p
, et ne donnent plus insertion aux plexus choroïdes des ventricules
latéraux
. Ils se soulèvent en arc, forment avec la couch
rou de Monro (TM), qui établit la communication entre le ventricule
latéral
(VI) et le ventricule moyen (V3). La limite supé-
uée par l'extrémité antérieure des plexus choroïdes des ventricules
latéraux
; il n'est donc pas exact de dire que les trous
artie la plus antérieure du prolongement sphénoïdal du ventri- cule
latéral
(fig. 204 et 213). A leur origine, les piliers po
lyre de David, dej).alieî,iii2)z ou de 1) ? (illoïd(,.Y. Les bords
latéraux
du psaltcriemz sont formés par les fibres longitu
. 203). En descendant dans le prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
, chaque pilier postérieur du trigone s'unit intim
as l'extrémité antérieure du prolongementsphénoï- dal du ventricule
latéral
; elle ne dépasse guère les digitations postérieu
plexus , . MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 349 choroïdes des ventricules
latéraux
et qui ferme ces ventricules en dedans. Il résu
lcs. Fic, 204. -Prolongements sphénoïdal et occipital du ventricule
latéral
. Corne d'Ammon, Ergot de Morand. Eminence colla
eur du trigone. Th, thalamus. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. Il, bandelette optique. - III, fibres radicu-
ndyme ventricu- laire, forment la paroi interne des ventricules
latéraux
(VI). Son bord supérieur, long et convexe,
eux (Cc[Spl]) (fig. 203) et le diverticule linéaire des ventricules
latéraux
, compris entre le bourrelet et le trigone, port
de la divergence des pédoncules, on rencontre du côté du ventricule
latéral
une troisième couche, l'épendyme et la couche gri
s strié au niveau des piliers antérieurs du trigone. 4° Ventricules
latéraux
. Vestiges de la cavité de la vésicule des hémis
m de canaux circll1npédonculaires. A l'état normal, les ventricules
latéraux
représentent deux canaux apla- tis, deux cavité
hydrocéphales même, cette distension est telle, que les ventricules
latéraux
occupent toute la cavité cranienne, et que le cer
réduit à l'état d'une membrane plus ou moins mince. Les ventricules
latéraux
(VI) commencent dans le lobe frontal par une ex
n arrière du pôle temporal (T). Au niveau du point où le ventricule
latéral
change de direction, il envoie vers l'ex- trémi
ieure ou frontale; étage supérieur. L'étage supérieur du ventricule
latéral
, plus large en avant (m'en arrière, appartient
loppé (cheval, chien, etc., etc.), la corne frontale du ventricule
latéral
s'étend par un canal plus ou moins large, jusqu
yau caudé. La moitié postérieure de l'étage supérieur du ventricule
latéral
, située en arrière du trou de Monro, se présent
sphénoïdale (Vsph) et correspond il la partie moyenne du ventricule
latéral
(cella média des anciens auteurs). Son bOl'd
ce supérieure du trigone (Tg) et les plexus choroïdes du ventricule
latéral
(Pchl) (fig. 208). . 1° Le tronc et la queue du
t saillante, qui occupe la partie externe du plancher du ventricule
latéral
, et fait suite à la volumineuse tête du noyau c
e la couche optique, compris entre Étac npérip,l1rllll ventricule
latéral
. Corne frontale ; ses limites. Chez le fcct
chez les ani- maux osmatiuucs, la corne frontale du ventricule
latéral
se prolonge dans le bulhe olt'aetit'. Moiti
t'aetit'. Moitié postérieure de l'étape supérieur du ventricule
latéral
. i Ses limites. Sa voûte. Son plancher.
oroïdien, entre seul dans la constitution du plancher du ventricule
latéral
. Les deux tiers internes de la couche op- tique
. 52 il gui). La partie Fie. 208. - Étage supérieur des ventricules
latéraux
. Corps du trigone et septum lucidum. (D'après l
de la veine du corps strié. - l'chl, plexus choroïdes du ventricule
latéral
. - si, sillon opto-strié. SI, septum lucidum. -
en). - V(dc), vermis (declivum). V ? corne frontale du ven- tricule
latéral
. - Voc, corne occipitale du ventricule latéral. V
tale du ven- tricule latéral. - Voc, corne occipitale du ventricule
latéral
. VSl, ventricule du septum lucidum. ' MORPHOL
upérieur et paroi supéro-externe de l'étage inférieur du ventricule
latéral
droit. Carrefour ventriculaire, noyau caudé, cour
ventriculaire. Th, thalamus. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. z peu plus en dehors,
cavité digitale ou arzcyroïde, née du point précis où le ventricule
latéral
se réfléchit en bas ou en avant, représente une
bas ou en avant, représente une sorte de diverticule du ventricule
latéral
, qui résulte de l'accroissement en arrière de l
entaire. Chez ces animaux, la partie fronto-pariétale du ventricule
latéral
se continue directement avec le prolongement sphé
de 1'1G. 21U. -Prolongements sptIènoÚlal et occipital du ventricule
latéral
. Corne d'Ammon. Ergot de Morand. Eminence colla
e du subiculum (ds) (hg. 210). Les plexus choroïdes du ventricule
latéral
(Pchl) reposent sur le sillon choroïdien de la
noïdale et la partie postérieure de l'étage supérieur du ventricule
latéral
: les cornes frontale et occipitale en sont en
le choroïdienne (Tch), au niveau de l'étage supérieur du ventricule
latéral
, et avec la pie-mère de la base du cerveau, au
Divcrticulo du lo- bule liogual. Plexus choroïdes du ventricule
latéral
. ,. Les cornes fron- tale et occipitale sont
conjonctif (Roland, Albarran). '' Tantes les parties du ventricule
latéral
sont tapissées par l'épendyme, membrane extrême
st insignifiante au niveau de la voûte et du plancher du ventricule
latéral
et de ses prolongements ; mais elle devient très
) d'une sorte de capuchon assez épais le bord externe du ventricule
latéral
(VI), l'extrémité antérieure de la corne fron- &a
u lobule lingual (dlg). L'épendyme tapisse les parois du ventricule
latéral
, et se réfléchit sur les plexus choroïdes. Lors
et la substance grise sous-épendymaire (fig. 177). Le ventricule
latéral
représente donc une cavité close 'de toutes parts
du trigone (Tg), de la toile choroïdienne (Tch) et des ventricules
latéraux
(VI), avec lesquels elle communique par les trous
211). On peut donc lui considérer une base, un sommet, deux parois
latérales
et deux bords, l'un antérieur court et presque
re postérieur plus long et oblique en bas et en avant. Les parois
latérales
sont verticales et de forme triangulaire ; un sil
à concavité supérieure, le sillon de Monro (sM), divise les parois
latérales
du troisième ventricule en deux régions : l'une s
fait suite au sillon médian Troisième vontri- cule. Ses parois
latérales
. Commissure grise. Son bord antérieur. i !
ires et la partit; antérieure de la corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. (Pièce durcie au bichromate.) Les plexus choro
- VA, faisceau de Vicq d'Azyr. VG, veine de Galien. Vl, ventricule
latéral
. - VSl, ventricule du septum lucidum. - Vsph, cor
ventricule du septum lucidum. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. - zr, zone ' réticulée, ou grillagée. - II, ba
cule. antérieur de l'aqueduc de Sylvius, et qui sépare deux cordons
latéraux
appartenant à la partie intra-ventriculaire de
roisième ventricule, elle ne fait pas partie non plus du ventricule
latéral
, mais représente la surface cxlra-ventriculaire
et tractus conjonctifs. La face inférieure repose, par ses parties
latérales
, sur la surface extra-ventriculaire de la couch
us du trou de Monro, avec les plexus choroïdes . des veIt' tricules
latéraux
. En arrière, les plexus choroïdes du troisième ve
alami. - Va, troisième ventricule. Vf, corne frontale du ventricule
latéral
. VG, veines de Galien limitées de chaque côté p
ES NERVEUX. Lafcntccet'eht'ale 0C' Bichat n'existe pas. 1ûi
latérales
sont en rapport avec la surface extra-ventriculai
a-ventriculaire de la couche optique (Sexv) (fig. 212). Les bords
latéraux
de la toile choroïdienne donnent insertion aux pl
choroïdienne donnent insertion aux plexus choroïdes des ventricules
latéraux
. Sa base se dédouble en deux feuillets, le supé
uadrijumeaux (fig. 211). Le ventricule moyen, comme les ventricules
latéraux
, constitue donc une cavité close, sans communic
de Bichat, grande fente en forme de fer il cheval, dont les parties
latérales
entoureraient les pédoncules cérébraux, et dont
t du corps cal- leux et les tubercules quadrijumeaux. Les parties
latérales
de la fente cérébrale de Bichat ne donnent nulle-
rale de Bichat ne donnent nulle- '. ment accès dans les ventricules
latéraux
, car la mince membrane épithé- liale qui coiffe
étrer, soit dans le troisième ventricule, soit dans les ventricules
latéraux
, il faut déchirer la membrane obturatrice du ve
la lame épithéliale qui coiffe les plexus éhoroïdes des ventricules
latéraux
. Les parties latérales . de la grande fente cér
i coiffe les plexus éhoroïdes des ventricules latéraux. Les parties
latérales
. de la grande fente cérébrale de Bichat n'exis
frontal; par sa face supérieure, il fait saillie dans le ventricule
latéral
; par sa face inférieure, il repose sur la subst
couche optique, à la substance grise sous-épendymaire du ventricule
latéral
, aux radiations du genou et du bec du corps cal
de l'extrémité antérieure du prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
, où il s'unit a la face inférieure du noyau len
intra-ventriculaire du corps strié, apparaît du côté du ventricule
latéral
sous l'aspect d'une émi- FiG. 214. - Représenta
é antérieure de la voûte du prolongement sphénoïdal du ventri- cule
latéral
. Il décrit, par conséquent, comme toutes les part
la profondeur de la voûte du prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
, se perd à la vue, mais peut être suivie, après g
La face libre est convexe, fait saillie dans la cavité du ventricule
latéral
, dont elle concourt à former le plancher; sa co
dedans, et plonge profondément dans la corne frontale du ventricule
latéral
qui la sépare du genou du corps calleux. Au-des
artie de la paroi supéro-externe de l'étage inférieur du ventricule
latéral
. La face adhérente répond dans toute son étendu
peu près rectiligne et correspond, à l'angle externe du ventricule
latéral
. Il est coiffé de la substance grise sous- FiG.
upérieur et paroi supéro-externe de l'étage inférieur du ventricule
latéral
droit. Carrefour ventriculaire, noyau caudé, cour
triculaire. - Th, thalamus. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. - \' ' MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 3T3 épendyma
cend dans la paroi externe du prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
, où elle est recouverte par une mince couche de s
rveau. La queue n'est visi- ble qu'en partie dans le ventricule
latéral
. Noyau lenticulaire. Il répond l'in- sula.
ace interne, verticale, plane ou légèrement convexe, forme la paroi
latérale
du troisième ventricule; elle est recouverte par
alami. V3, troisième ventricule. - Vf, corne frontale du ventricule
latéral
. -- vu, veine de Galion. - Voc, corne occipital
éral. -- vu, veine de Galion. - Voc, corne occipitale du ventricule
latéral
. VSI, ventricule du septum lucidum. MORPHOLOGIE
noyau caudé; il est embrassé par les plexus choroïdes du ventricule
latéral
et le corps bordant ou bordé. ' ' A sa partie
genouillé interne (Cgi), le plus petit, en rapport avec les parties
latérales
de l'isthme de l'encéphale, est uni au tubercule
es deux précé- dents et fait saillie par sa base dans le ventricule
latéral
, où il forme le tubercule antérieur de la couch
lanche des hémisphères, en haut avec le centre ovale et les parties
latérales
du corps calleux, en bas avec le pédoncule cérébr
u tronc du corps calleux (Ce), l'extrémité supérieure du ventricule
latéral
(VI) et le tronc du noyau caudé (NC). Écorce.
ns sa partie supérieure., il est limité en dehors parle ventricule,
latéral
(VI), mais en avant et en arrière, on le voit p
e verticale du sillon parallèle. -tec, tsenia tecta. - VI, ventricule
latéral
. 39 ? ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. mente con
i coiffe les extrémités - , antérieure et postérieure du ventricule
latéral
(VI). La substance grise sous-épendymaire (Sge,
ette coupe la plus grande partie de la paroi externe du 1'cnll'Îwle
latéral
. En dehors du noyau caudé, on trouve la couronn
coiffé par la surface de section du cingulum (Cing). Le ventricule
latéral
(VI) est assez étendu, son extrémité antérieure e
èle (NC) qui est volumineuse et qui fait saillie dans le ventricule
latéral
, et au niveau de la partie recourbée de sa queu
. - TII, thala- mils. - Vcst, veine du corps strié. l'l, ventricule
latéral
. - ZI', zone réticulée ou grillagée. 390 ANATOM
inférieure. -Pc, pli courbe. - Plch, plexus choroïdes du ventricule
latéral
. - Plehslzh, plexus choroïdes de la corne sphé-
thalamus. 7/j, circonvolution temporale profonde. - VI, ventricule
latéral
. Vsl, ventricule du septum lucidum. Zr, zone réti
la corne frontale, elle coiffe, comme précé- demment le ventricule
latéral
(VI), entourée en dehors par le faisceau occipito
3, troisième ventricule. V, ruban de Vicq d'Ary·r. - VI, ventricule
latéral
. - Voc, corne occipitale. - T'Sl, ventri- cule
[g]) et de son bourrelet (Cc[Spll). Ce dernier s'unit sur ses parties
latérales
au corps et au pilier postérieur du trigone (Tg
troisième ventricule. Vcst, veine du corps strié. - l'l, ventricule
latéral
. - Voc, corne occipitale. - Vsl, ventricule du se
troisième ventricule. - Vcst, veine du corps strié. VI, ventricule
latéral
. - porc, corne occipitale du ventricule latéral.
rié. VI, ventricule latéral. - porc, corne occipitale du ventricule
latéral
. J'sl, ventricule du' septum lucidum. 406 ANA
scissure est ici très voisine de la corne occipitale du ventricule
latéral
(Voc), dont elle n'est séparée que par une lame
en crochet, et donne insertion aux plexus choroïdes des ventricules
latéraux
(Voy. coupe précédente, fig. 324). La partie ad
xtt)t0)). Cavités ventriculaires. - L'étage supérieur du ventricule
latéral
(VI) est limité en avant et en dedans par le ge
tre eux, que par l'intermédiaire de l'étage supérieur du ventricule
latéral
. La corne frontale (Vf), aplatie latéralement,
ne est coiffé par la substance grise sous-épendymaine du ventricule
latéral
(Sge) et par le faisceau, occipi/o-fror7tal (OF
'Azyr. VA, faisccanlécjq q d'Azyr. Vf, corne frontale du ventricule
latéral
. - Vsl, ventricule du septum lit 1 -S.\ Zr, zon
r. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Vif, corne frontale du ventricule
latéral
. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 414 IL. ANA
r. - Vsph, corne sphénoïdale. - Voc, corne occipitale du ventricule
latéral
. W , 1.. 0) 'v et' Vtlll\,¥ ? r 416 11\ATO\IlD
-dessous de la couche optique et de la corne frontale du ventricule
latéral
. Elle sectionne parallèlement l'extrémité antérie
- VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphenoïdale du ventricule
latéral
. partie interne appartient aux etdeuxième circo
irection de leurs fibres. L'antérieur est constitué par les parties
latérales
de la commissure blanche nu 1(;- rieure (coa) q
que contre le pied du pédoncule cércbral (P) et présente deux faces
latérales
, interne et externe, un bord inférieur et un bord
A, faisceau de Vicq d'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. - II, bandelette optique. Ik28 ANATOMIE DES CE
ouche épilhéliale qui re- couvre les plexus choroïdes du ventricule
latéral
. Cette mince lamelle située en avant des plexus
- V, ruban de Vicq d'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. 432 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cette coup
1» ? T'.s, vallée de Sylvius. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
., 1 "ç'\\ v \ . '' ? $' 434 ANATOMIE DES CENTRE
37 à 46 (lig. 239-242) intéressent la corne frontale du ventricule
latéral
(Vf), les coupes nos 40 à 46 (lig. 240- 242) in
artie inférieure de la face in- terne du lobe frontal. Ventricule
latéral
et noyaux gris de la base. La coupe n° 30 (fi
artie antérieure du lobe frontal et n'intéresse pas le ventricule
latéral
. La coupe n° 33 (fig. 238) passe immé- diatem
duite il la couche sous- épendymaire (Sge) qui double le ventricule
latéral
(VI). Sur la coupe n° 40 {Hg. 2W), un noyau gri
ur. Le segment supérieur (Sge) double la bord externe du ventricule
latéral
et on peut le suivre dans toute la série des co
substance grise sous-épendymaire. -le, tænia tecta. J'L, ventricule
latéral
. 440 AX AT07l1lE DES CENTRES NERVEUX. nous re
jection forme la paroi externe de la corne frontale du ventri- cule
latéral
(VL) coupes nOs 37 et 40 (fig. 239 et 240). En av
(VL) coupes nOs 37 et 40 (fig. 239 et 240). En avant du ventricule
latéral
(VL), ce système est en rapport en dedans, avec l
olutions temporales.-t,, premier sillon temporal. Il £ , ventricule
latéral
. COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 4H calleux
(NC) qui s'insinue entre le système de projection et le ventricule
latéral
(VL). Sur les coupes nos 43 et 46 (fig. 241-242),
euxième sillons tem- portaux. - lec, toenia tecta. - VI, ventricule
latéral
. COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 443 corps
haut, et il double dans cette région le bord externe du ventricule
latéral
(VL), dont il est séparé par la substance grise
premier, deuxième et troisième sillons temporaux. - 17, ventricule
latéral
. \, pont de substance grise unissant la partie
illons temporaux. U, circonvolution du cro- clict. - VI, ventricule
latéral
. 448 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. la face in
mmissure antérieure (coa). " . Noyaux gris de la base et ventricule
latéral
. Coupe n° 55 (fig. 243). - Le noyau caudé (NC)
le ventricule, et forme à elle seule la paroi externe du ventricule
latéral
(VI). Sa face profonde envoie au putamen (NL3) de
(NLg) (coupes nos 60, 69 et 71, fig. 244, 247-248). . Le ventricule
latéral
(VI) affecte une forme triangulaire à sommet infé
ig. 244). - La paroi interne et la paroi supérieure du ventTi- cule
latéral
(VI) sont toujours formées par le septum lucidum
upérieure de sa paroi interne; dans l'angle inférieur du ventricule
latéral
, on trouve, en effet, une couche de substance g
tique (thalamus). - U, circonvolution du crochet. - l'l, ventricule
latéral
. - Il, bandelette optique. '450 . ANATOMIE DES
e la capsule interne (Cia). Au niveau du bord externe du ventricule
latéral
(VI), le noyau caudé (NC) est recouvert par la
onvolution du cro- chet. Vs, troisième ventricule. - Vl, ventricule
latéral
. - II, bandelette optique. 452 ANATOMIE DES CEN
moyen (V;,) ne présente rien de particulier à noter. Le ventricule
latéral
(VI) est intéressé dans son étage supérieur et
ure de la corne sphénoïdale (Vsph). L'étage supérieur du ventricule
latéral
(VI) est aplati et se réduit 11 l'état d'une fent
, son bord interne répond aux plexus choroïdes (Pchl) du ventricule
latéral
, qui s'insèrent d'une part au bord libre du trigo
olution pariétale ascendante. - Pchl, plexus choroïde du ventricule
latéral
. - PNL3, pédoncule du noyau lenticulaire. - poi
la substance grise centrale (Sge) et qui concourt à former la paroi
latérale
du troisième ventricule (V.,), une face supérieur
(Na), et que l'insertion des plexus choroïdes (Pchl) du ventricule
latéral
divise en deux parties; la partie la scissure d
oisième ventricule. - l'est, veine du corps strié. - VI, ventricule
latéral
. - Vsph, corne sphéno'idale du ventricule latéral
é. - VI, ventricule latéral. - Vsph, corne sphéno'idale du ventricule
latéral
. - Zi, zona incerta de Forel. - Zr, zone réticu
n temporale profonde. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - VI, ventricule
latéral
. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéra
. - VI, ventricule latéral. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. - Il, bandelette optique. COUPES MACROSCOPIQUE
optique. COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 457 cher du ventricule
latéral
(VI); la partie interne est extra-venlriculaire (
nia thalami (tth) il l'insertion des plexus choroïdes du ventricule
latéral
(Pchl). (Va)", Coupes vel'iico- transversales m
iques, fig. 307, 311, 313). Cavités ventriculaires. - Le ventricule
latéral
(VI) est intéressé au niveau de son étage supér
taenia thal : uui. - U, circonvolution du crochet. - VI, ventricule
latéral
. - II, bandelette optique. 460 ANATOMIE DES CEN
re fois au niveau de son tronc dans la partie moyenne du ventricule
latéral
, en dehors de la couche optique; une seconde fois
rconvolution du crochet. - V3, troisième ventricule. - VI, ventricule
latéral
. l'sph, corne sphénoïdale du ventricule latéral
e. - VI, ventricule latéral. l'sph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. - Zi, zona incerta. - Zr, zone réticulée ou gr
ien il ajouter il ce qui a été ditprécédem- ment pour le ventricule
latéral
(VI) et la corne sphénoïdale (Vsph). Quant au lro
eure de son tronc (NC) au niveau de l'étage supérieur du ventricule
latéral
(VI), et sa queue (NC') dans la corne plu;- nod
optique. Tp, circonvolution temporale pro- fonde. - VI, ventricule
latéral
. Vsph, corne sphénoïdale. - IV, zone de Wcrnickc.
ur. - Pul, pulvinar. - 11, scissure de Rolando. - RI, ruban de Rcil
latéral
. - RTh, radiations opti- ques de Gratiolet. - r
- gone. - top, circonvolution temporale profonde. - T'l, ventricule
latéral
.- Vsph, corne sphé- noïdale du ventricule latér
- T'l, ventricule latéral.- Vsph, corne sphé- noïdale du ventricule
latéral
. IV, zone dé \\'crnicl : e. - 1.1', zone réticulé
(W) pré- sente un sommet supérieur, une base inférieure; ses côtés
latéraux
correspon- dent, l'interne au corps genouillé-e
rieur. Pu pulvinar. - Il, scissure de Rolando.. - RI, ruban de Rcil
latéral
. H771, radiations optiques de Gra- tiolet. - S(
¡cnia tecta. - T'li, couche optique. - Tg, trigone. - 1'l, ventricule
latéral
. - Vsylh, corne sphénoïdale. - IV, zone de Weru
en dehors la substance réticulée (SR), bordée Dar le ruban de Ileil
latéral
(RL). Coupes nos 92, 93, 95, 97, 99. Coupe n°
ecta. - Tg,triâone.-1'p, pilier postérieur du trigone. VI, ventricule
latéral
. Vsph, corne sphénoïdale. 472 2 ANATOMIE DE
e. - t,, t2, premier et deuxième sillons temporaux. 1'l, ventricule
latéral
. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral.
x. 1'l, ventricule latéral. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. tec, ténia tecta. - Foc, cornc occipitale du v
le latéral. tec, ténia tecta. - Foc, cornc occipitale du ventricule
latéral
. COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 473 3 rieu
ec, t,enia tecta. 1'gp, pilier postérieur du trigone. l'l, ventricule
latéral
. 474 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. : ' (fig.
récédentes, une fois au niveau de l'étage supérieur du ventri- cule
latéral
(VI) immédiatement au-dessus du pulvinar (Pul), u
Les coupes 92 et 93 (fig. 25(i et 257) section- nent le ventricule
latéral
en deux endroits, comme du reste toutes les coupe
hénoïdale (Vsph). La coupe n° 93 (fig. 257) intéresse le ventricule
latéral
au niveau du point où il se recourbe pour se po
parties qui forment le plancher de l'étage supérieur du ventricule
latéral
(VI) et la voûte de l'étage inférieur ou sphéno
n avant et qui donne insertion aux plexus choroïdes des ventricules
latéraux
(Plch), est situé en effet en dehors du pulvina
gp, pilier postérieur du trigone. Voc, corne occipitale du ventricule
latéral
. 47G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. coupe n° 9
cornée (le) et étendue du plancher de l'étage supérieur du ventricule
latéral
(V1) il la voûte de la corne sphénoïdale (Vsph)
he. La situation du corps ««//eux (Ce) par rapport au verr- tricule
latéral
(VI) n'a pas varié. Sa face interne et inférieure
temporaux. <ee, tænia tecta. l'oc, corne occipitale du ventricule
latéral
. COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 477 7 fibr
. V, ruban de Vicq d' : lzyr.- l'oc, corne occipitale du ventricule
latéral
. 480 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Large su
e. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - Voc, corne occipitale du ventricule
latéral
. 482 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.; qu'occupe
ofonde, dé- prime la paroi de la corne occipitale du ventricule
latéral
(Voc) et y détermine une saillie, connue so
le. V, ruban de Vicq d'Azyr. l'oc, corne occi- pitale du ventricule
latéral
. 484 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. nzajor(Cc,
sillon du lobule paracentral. Pchl, plexus choroïdes du ventricule
latéral
. - Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur. - PiTh,
scissure de Rolando. RC, radiations de la calotte. -Rl, ruban de Reil
latéral
. - sec, sinus du corps calleux. si, sillon opto
(léçlivum)" du vermis. Ver, ventricule de Vert ? -·6'l, ventricule
latéral
. au septum lucidum (SI). Au niveau de son bourr
ue et donne insertion en avant aux plexus choroïdes des ventricules
latéraux
(Pchl). Cette coupe montre encore nettement les d
s- seur du tronc du corps calleux suivant les régions. Ventricule
latéral
(VI). Le ventricule latéral, est limité en haut p
calleux suivant les régions. Ventricule latéral (VI). Le ventricule
latéral
, est limité en haut par le corps calleux, en ba
Le trigone (Tg) et les plexus choroïdes (Pchl) séparent le ventricule
latéral
(VI) de la partie moyenne de la fente cérébrale
quadri jumeaux (Qa, Qp), ne livre donc pas accès dans le ventricule
latéral
; elle permet simple- ment la pénétration de la
iés et isthme de l'encéphale. - À la paroi inférieure du ventricule
latéral
(VI) la coupe intéresse la partie saillante de la
u corps strié et faisant encore partie du plancher du ven- utricule
latéral
, on trouve la couche optique (Th) séparée du corp
deux parties par l'in- sertion des plexus choroïdes des ventricules
latéraux
(Pchl). La partie antérieure est intra-ventricu
et concourt avec le noyau caudé a former le plancher du ventricule
latéral
; la partie postérieure est extra-ventriculaire ;
une mince couche de fibres blanches, qui répond au ruban de 1 ? (il
latéral
(RI) ou faisceau triangulaire de l'isthme. Ces
edans de la coupe, et la section passe au niveau du bord inférieur et
latéral
de la protubérance (Po). Du côté du cervelet, c
trigone (Tg). Le diverticule de Versa a dis- paru, et le ventricule
latéral
(VI) qui présente à peu près le même aspect que d
a augmenté de volume, il fait une forte saillie dans le ventricule
latéral
et donne naissance il des petits fais- ceaux de
"4, quatrième ventricule. V, ruban de Vicq V' : lr.yr. Vl, ventricule
latéral
. Vcst, veine du corps strié. - v, veinule du co
nte l'extrémité antérieure du prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
(Vsph) et le noyau amygdalien (NA), dont la face
s (Fin'). Cavités ventriculaires. - L'étage supérieur du ventricule
latéral
(VI) est intéressé dans toute sa longueur, depu
la surface extérieure de l'encéphale et en particulier aux parties
latérales
de la fente cérébrale de Bichat Noyaux opto-str
crochet. V, ruban de Vicq d'Azyr. V{, corne frontale du ventricule
latéral
. 17. ventricule latéral. Vsph, corne sphénoïdal
cq d'Azyr. V{, corne frontale du ventricule latéral. 17. ventricule
latéral
. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. Z
éral. 17. ventricule latéral. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. Zr, zone réticulée ou grillagée. ? bandelette op
267. Cette coupe passe au niveau de la paroi externe du ventricule
latéral
(PeVl) et sectionne le noyau caudé (NC) dans to
! M (VS) se continue directement en arrière avec les parties dites
latérales
de la fente cérébrale de Bichat, située entre l
lution de l'hippocampe (H) el forme la lèvre inférieure des parties
latérales
de la fente cérébrale de lïichat. Au-dessous du p
ière de la corne 6.iM ? Mf (CA). Substance blanche. - Le ventricule
latéral
est recouvert par une mince couche de substance
dont il représente le faisceau inférieur ou minor (Fm'). Ventricule
latéral
. La partie moyenne du ventricule latéral n'est re
ou minor (Fm'). Ventricule latéral. La partie moyenne du ventricule
latéral
n'est repré- sentée que par sa paroi externe (P
repré- sentée que par sa paroi externe (PeVl), au niveau de l'angle
latéral
du ventricule. Cette paroi apparaît légèrement
est limité en avant, par les plexus choroïdes (Pchl) du ventricule
latéral
et le pilier postérieur du trigone (Tgp). La corn
u de sa face extra-vcnlriculaire, elle fait saillie sur les parties
latérales
de la fente cérébrale de Bichat, et se renfle en
convolution pariétale ascendante. Pe7/, paroi externe du ventricule
latéral
. Pchl, plexus choroïdes. -po, scissure pariéto-
ne, 1 : qp, pilier postérieur du trigone. TgYI, trigone du ventricule
latéral
. Th, thala- mus (couche optique). U, circonvolu
. U, circonvolution du crochet. Voc, corne occipitale du ventricule
latéral
. V8, vallée de Sylvius. Vsph, corne sphénoïdale d
latéral. V8, vallée de Sylvius. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. W, zone de Wernickc. ;1', zone réticulée ou gr
267. Cette coupe passe en dehors de l'étage supérieur du ventricule
latéral
, au niveau du seuil de l'insula, de la bandelet
got de Jloraud (EM) (fig. 371). La partie l}'(l il tale du ventricule
latéral
a disparu, il sa place on trouve, entre les der
ce grise sous-(; (Sge) qui tapisse l'angle externe du ven- l'iCille
latéral
. (Voy. Coupes vel'lico-tl'flllS1WI'SIÛCSIIWcl'usw
ance blanche, l'alvéu.s (Alv) qui se continue au niveau des parties
latérales
de la fente céré- 1)J'ale de Bichat (B) avec le
postérieur du trigone et la lame médullaire moyenne. Le ventricule
latéral
est encore formé par deux parties complètement
e. - Tgp, pilier postérieur du trigone. TgVI, trigone du ventricule
latéral
. U, circonvolution du crochet. - Voç,...< ? J
crochet. - Voç,...< ? J : Wj,\ltJ;Í1'iÍ<I. ! C du ventricule
latéral
. - VS, vallée de Sylvius. - Vsph, corne sphén6t,\
llée de Sylvius. - Vsph, corne sphén6t,\<'t¡,\Q.lrv : c\U¡li ? u
latéral
. - zr, zone réticulée ou grillagée. Il, nerf opti
lvinar (Pul) est donc extra-ventriculaire,' et correspond aux parties
latérales
de la fente cérébrale de Bichat (B). - . Noya
Tgp, pilier postérieur du trigone. - TgVl, tri- gone du ventricule
latéral
. Th, thalamus (couche optique). v, orifices vascu
ique). v, orifices vasculaires. Voc, corne occipitale du ventricule
latéral
. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. 2
cipitale du ventricule latéral. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. 2 ? ', zone réticulée ou grillagée. - Il, band
e l'inslila (ms) et par la corne sphé- noïdale (Vsph) du ventricule
latéral
. Elle laisse par conséquent, au dedans d'elle,
latéral. Elle laisse par conséquent, au dedans d'elle, les parties
latérales
de la fente cérébrale de Bichat et toute la sur-
ne d'Arevmon (CA) fait saillie dans l'étage inférieur du ventricule
latéral
; son écorce grise forme un îlot complètement sé
dont elle est séparée par la lame médullaire moyenne. Ventricule
latéral
. Cette coupe passe en dehors du pilier postérieur
eur du trigone et de l'insertion des plexus choroïdes du ventricule
latéral
. La corne occi- pitale (Voc) communique directe
vec la corne sphénoïdale (Vsph), et l'étage inférieur du ventricule
latéral
affecte une forme très allongée et aplatie. Sa
e ? deuxième sillon temporal. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. at2 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fig. 276
des fibres de la couronne rayonnante, soit au-dessus du ventricule
latéral
, soit au niveau des cornes frontale, occipitale
ant du genou du corps calleux et de la corne frontale du ventricule
latéral
. Elle intéresse la substance grise OM ? CM<7y-
lles se réfléchissent en avant de la corne frontale du ventri- cule
latéral
, pour atteindre la paroi externe de ce même ventr
x (Ce) et l'extrémité antérieure de la corne frontale du ventricule
latéral
(Vf). Elle intéresse le lobe limbique (L,), la
dymaire. lec, tec', ténia tecta.- Vf, corne frontale du ventricule
latéral
. 526 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. contourné
men. Le noyau caudé (NC) forme toute la paroi externe du ventricule
latéral
(VI); le putamen (NL .,) repose sur la partie a
dé contourne, en bas et en crochet, l'angle inférieur du ventricule
latéral
, mais sa plus grande partie se porte en dehors po
la face inférieure du corps calleux (Ce). Au-dessous du ventricule
latéral
, le noyau caudé est séparé de la substance gris
s aigus et qui contournent en crochet l'angle externe du ventricule
latéral
. Elles se terminent Fil;. 281. - Coupe vertico-
li, 1 ? lii,c- mier et deuxième sillons temporaux. - Pl, ventricule
latéral
. 530 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. trouve l'a
e la tête du noyau caudé (NC) et de l'angle inférieur du ventricule
latéral
. Elle sépare le segment antérieur de la capsule i
s calleux (Ce). La substance grise qui coiffe externe du ventricule
latéral
est parcourue par de nombreuses fibres myéline; c
e le pilier antérieur du trigone et l'angle inférieur du ventricule
latéral
. Bu corps strié (NC, [nul,]) (noyau caudé et pu
oter; la coupe passe en avant de la corne sphénoïdale du ventricule
latéral
et n'intéresse que des faisceaux d'association
e grise sous-épendymaire qui double le bord inférieur du ventricule
latéral
(VI), on trouve la section de la partie moyenne
antérieur du trigone. U, circonvolution du crochet. VI, ventricule
latéral
. - Il, bandelette optique. : ! 34 ANATOMIE DES
ig) et l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale du ventricule
latéral
(Vsph). Le corps calleux (Ce), le faisceau occi
amus (couche optique;. U, circonvolution du cruche). VI, ventricule
latéral
. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. J
che). VI, ventricule latéral. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. J/, bandelette opt ique. 538 ANATOMIE DES CENT
(Cc) contournent comme précédemment l'angle externe du veutoi- cule
latéral
et s'entre-croisent avec les fibres du faisceau o
es fois que la section intéresse la corne sphénoïdale du ventricule
latéral
(Vsph). Le tronc du noyau, caudé (NC), recouvert
horoïdien. La partie externe de cette face appartient au ventricule
latéral
, elle est recouverte par Yépendymé ventriculaire
circonvolution du crochet. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. ZI', zone réticulée ou grillagée. - II, bandelet
es calleuses (Ce) décrivent autour de l'angle externe du ventricule
latéral
(VI) et de la suús- 1 m. 2tj : J. Loupe verlico
on du crochet. - V" troisième ven. ! 2' : Ü : ,u1 ? l't, ventricule
latéral
. Vsph, ventricule sphénoïdal. .1 : , mode de ferl
onnante (CR) et passent, au niveau de l'angle externe du ventricule
latéral
(VI), entre les fibres calleuses situées en ded
-ci donne insertion aux plexus clw- ro'idr.· ? (Plch) du ventricule
latéral
, qui s'insèrent d'autre part sur la couche optiqu
et l'on se rend nettement compte du mode de fermeture du ventricule
latéral
et du troisième ventricule, ainsi que de l'éten
ule cérébelleux supérieur. - Plch, plexus cho- roïdes du ventricule
latéral
. Plch,, plexus choroïdes du troisième ventricule.
convolution du crochet. - Il troisième ventricule. - VI, ventricule
latéral
. - Zr, zone réticulée ou grillagée. Il, bandelett
e cérébelleux supérieur. - P/c/t)A, plexus choroïde du ventri- cule
latéral
. - Pp1'h, pédoncule postérieur du thalamus. - Poa
érieur du triâonc. - T/a, thalamus (couche optique). VI, ventricule
latéral
. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral.
e). VI, ventricule latéral. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. Zr, zone réticulée ou grillagée. -I/I, fibres
alleux et les fibres de projection du lobe occipilal. Le ventricule
latéral
(VI), sectionné au niveau du carrefour ventricula
haut, étroit en bas, il contient les plexus choroïdes du ventricule
latéral
(Plch) au moment où ils se réfléchissent dans la
nche- vêtrées, se divise au niveau de l'angle externe du ventricule
latéral
en deux parties : la partie supérieure contourn
ne, comme sur les coupes précédentes, l'angle externe du ventricule
latéral
et peut être suivie, jusqu'à la substance grise
e voile gris ou indusellm griseum. A la paroi externe du ventricule
latéral
on trouve, au-dessous de la substance grise sou
thalamiques on trouve, au niveau de l'angle inférieur du ventricule
latéral
, un faisceau fortement coloré et volumineux : c'e
à mesure que l'on remonte le long de la paroi externe du ventricule
latéral
et disparait au-dessus de la région du pli coMe(P
e sillon temporal. - Tap, tapetum. - tec, Uenia tecta. VI, ventricule
latéral
. 358 . ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. et du fo
s' de Gratiolot. Tap, tapetum. Voc, corne occipitale- du ventricule
latéral
. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 5; ! 9 Aut
arinum de Sachs.-Tap,tapetuin.- Voe, corne occipitale du ventricule
latéral
. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 561 (fig.
circonvolution occipitale. - Plchl, plexus choroïdes du ventricule
latéral
. - Plchsph, plexus choroïdes de la corne sphéno
. - Plchsph, plexus choroïdes de la corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. 7tcl, pli cunéo-limbique. - /f ! 71, radiations
). tlh, tænia thalami. - V, ruban de Vicq d'A/.yr. - VI, ventricule
latéral
. - Voc, corne occipitale. - Zr, zone réticulée ou
(Th). La fimbria donne insertion aux plexus choroïdes du ventricule
latéral
(Tcli et Plchsph) ; ses fibres disposées en gros
VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Voe, corne occipitale du ventricule
latéral
. - W, zone de Wernicke. ;, couche superficielle
uronne rayonnante (CR), en avant de la corne frontale du ventricule
latéral
. Ces deux ordres de fibres se comportent ici ab
çon qu'elles se comportent le long de l'angle externe du ventricule
latéral
(Voy. Coupes verlico-transversales microscopiqu
ied du pédoncule cérébrale. - PTml, pédoncule du tubercule mamillaire
latéral
. - Rm, ruban de Reil médian. Rôle, racine olfac
ed du pédon- cule cérébral (P), le ganglion du tubercule mamillairc
latéral
(Tml). De ce ganglion partent des fibres qui co
ruban de Reil médian (Rm); c'est le pédoncule du tubercule mamillaire
latéral
(PTrnl). En dedans du noyau rouge (NR) se trouv
cinereum. - 7'nt, tubercule mamillaire. - 7'n ? tubercule mamillaire
latéral
. - Tol, tulcrcule olfactif. - U, circonvolution
circonvolution du crochet. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. j77 sagitt
.s'OM.'f-c/</ ? H6t ! )'e (Sge) qui tapisse la voûte du ventricule
latéral
au niveau de son angle externe. Lorsqu'on étudi
sent les fibres calleuses au niveau de l'angle externe du ventricule
latéral
, avant de s'entre-croiser au niveau du pied de
nante avec les fibres de pro- section. Comme la voûte du ventricule
latéral
décrit une courbe, on comprend pourquoi sur cet
se sous-épendymaire (Sge) qui tapisse l'angle externe du ventricule
latéral
(VI) est par la partie inférieure de la premièr
leux (Ce), le pied de la couronne rayonnante (pCR) et le ventricule
latéral
(VI). De l'écorce des circonvolutions de la fac
ous-épendymaire, au niveau de l'angle postéro-externe du ventricule
latéral
. - tec, toenia tecta. VI, ventricule latéral. 5
-externe du ventricule latéral. - tec, toenia tecta. VI, ventricule
latéral
. 584 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. coupes pré
s calleux (RCc). Le tronc (Ce) forme la paroi interne du ventricule
latéral
(VI), et il est recouvert à ce niveau par une m
mesure que l'on se porte vers l'extrémité postérieure du ventricule
latéral
(VI). Elles font place peu à peu aux fibres exclu
ubstance grise .MM.<-e) ! 6/))ta ? e (Sge) qui double les angles
latéraux
du ventricule et qui recouvre d'une mince couche
u à direction sagittale, qui borde l'angle externe du f'tt- tricule
latéral
(VI) et constitue un faisceau d'association relia
rc) et qui dépasse dans le sens tntéro I)o.um limites du ventricule
latéral
(VI). Coupe n° 4 (fig. 303), passant par la lig
la partie moyenne du tronc du corps calleux (Ce), par le ventricule
latéral
(VI) et l'extrémité supérieure de la couche opt
ontournent en avant la substance grise sous-épendymaire du ventricule
latéral
(Sge) et dissocient les libres du faisceau occi
e (NC'). En avant et en arrière, au niveau des angles du ventricule
latéral
(VI), la tète et la queue du noyau caudé sont rec
sous-épendymaire, au niveau de l'angle postro-caternc du ventricule
latéral
. - tec, tænia tecta. - Th(strz), thalamus re- c
trz), thalamus re- couvert par le stratum zonale. - T'l, ventricule
latéral
. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 588 ANATOMI
res calleuses, au niveau de l'angle pos- téro-externe du ventricule
latéral
(VI), et sont formées de gros fascicules de libre
a partie postérieure au tronc (Ce) qui forme la voûte du ventricule
latéral
(VI). Le corps calleux (Ce) est formé presque e
ienne. - Tg, trigone. - Th, couche optique (thalamus).W, ventricule
latéral
. - ventricule du septum lucidum. Zr, zone réticul
e ou grillagée. 590 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. du ventricule
latéral
(VI), on trouve les fibres du corps du trigone (T
insertion au niveau du trigone, aux plexus choroïdes du ventricule
latéral
(Plch) qui sur- montent le trou de Monro. L'e
les segments antérieur et posté- rieur appartiennent au ventricule
latéral
(VI), le segment moyen est extra-ven- triculair
ujours coiffée au niveau de l'angle antéro-externe du vell- tricule
latéral
(VI) par la substance grise slHl.HlpelldYl/1,flÎ1
tique (Na). Ce noyau qui fait saillie sur le plancher du ventricule
latéral
, et dont la face infé- rieure est enclavée prof
i appar- tient au heuia semi-circularis. L'épendyme du ventricule
latéral
recouvre la tête du noyau caudé, ainsi que la v
che optique, pour donner insertion aux plexus choroïdes du ventricule
latéral
(Plch) dont le point d'insertion interne s'effe
ations thalazni- ques (RTh), longent la paroi externe du ventricule
latéral
, contournent la queue du noyau caudé (NC') et l
au putamen (NL3). Lorsqu'on examine la paroi externe du ventricule
latéral
(VI), on se rend très nettement compte de la di
on antéro-postérieure au ni- veau de la paroi externe du ventricule
latéral
. Ces fibres s'infléchissent au voisi- nage de l
aisceau de Vicq d'Azyr. VCrst, veine du corps strié. VI, ventricule
latéral
. Vsph, ventricule sphénoïdal. W, zone de Wernicke
qui donne. insertion en ce point aux plexus choroïdes du ventricule
latéral
. Ces plexus, non représentés sur cette coupe, n°
ferment ainsi en dedans, le prolongement spluonoïdal du ventricule
latéral
(Vsph) (Voy. coupe n° 7, fig. 306). Le pilier p
circonvolution godronnée (Cg), en dehors par conséquent du ventricule
latéral
. Il recouvre toute la largeur de la circonvolut
ui sert d'insertionpos- térieure aux plexus choroïdes du ventricule
latéral
. La paroi interne du prolongement sphénoïdal du
latéral. La paroi interne du prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
(Vsph) est donc formée par l'alvézc.e (Alv) et
uche optique située en avant de ce ganglion fait partie de la paroi
latérale
du troisième ventricule (V,,), paroi qui se con
t, par l'intermédiaire du trou de Jlonro (TM), avec le ventri- cule
latéral
(VI). Cette coupe, ainsi que la précédente (fib.
troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. VI, ventricule
latéral
. Il ? zone de Wernicke. Zi, zona incerta de Forci
ace interne de la région sous-thalamique concourt à former la paroi
latérale
du troisième ventricule (V.,); on y trouve en ava
VA. faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph. corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. W, zone de Wernicke. - Zi, zona incerta de For
, troisième ventricule. VA. faisceau de Vicq d'Azyr. VI, ventricule
latéral
. Vsph, cornc sphénoïdale du ventricule latéral. 1
Azyr. VI, ventricule latéral. Vsph, cornc sphénoïdale du ventricule
latéral
. 1\', zone de Wernicke. Zi, zona incerta de For
te de la partie antérieure du prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
(Vsph). C'est dans cette substance grise qu'app
icule. VA, faisceau de Vicq d'A/yr. Vif, corne frontale du ventricule
latéral
. 171, ven- tricule latéral. 11, bandelette opti
'A/yr. Vif, corne frontale du ventricule latéral. 171, ven- tricule
latéral
. 11, bandelette optique. 620 ANATOMIE DES CENTR
on de sa partie moyenne, et dans presque toute l'étendue de sa partie
latérale
. On la suit en effet, de la base du noyau caudé
sous-épcndymaire (Sge), qui double la corne frontale du ventricule
latéral
(Vf) et qui sépare la tète du noyau caudé, du g
rtenant au carrefour olfactif de Broca (CB). En arrière des parties
latérales
de la commissure antérieure (coa), on trouve l'
le. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vf, corne frontale du ventri- cule
latéral
. Vsph, corne splrénoïdale du ventricule latéral.
ale du ventri- cule latéral. Vsph, corne splrénoïdale du ventricule
latéral
. ? bandelette optique. 624 ANATOMIE DES CENTRES
', queue du COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 627 cule mamillaire
latéral
(PTml), il contourne le bord interne du pédoncule
l ses fibres semblent se perdre. Le pédoncule du tubercule mamillaire
latéral
(PTml) et l'anse du noyau lenticulaire (Al) emb
). En dehors du noyau rouge et du pédoncule du tubercule mamillaire
latéral
, on trouve le locus niger (Ln) en arrière, et le
de la. couronne rayonnante. PTml, pédoncule du tubercule mamillaire
latéral
. Qp, tuber- cule quadrijumeau postérieur. Rm, r
cinereum. Tga, pilier antérieur du trigone. Tml, tubercule mamillaire
latéral
' de Gudden. - U, circonvolution dû crochet. V3
VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. Il, bandelette optique. 630 ANATOMIE DES CENTR
ites masses ganglionnaires : l'une externe, le tubercule mamillaire
latéral
de Guddcn ('l'ml), l'autre interne, le tubercul
es des Aeux coips de Luys. Quant au tubercule mamillaire externe ou
latéral
(Tml), il apparaît sous la forme d'une petite m
te masse grise donne naissance au pédoncule du tubercule mamillaire
latéral
de Gudden (PTml), lequel contourne le bord inte
-dessous de la paroi inférieure de la corne, frontale du ventricule
latéral
. Les noyaux in- terne et externe de la couche o
entre l'insertion postérieure des plexus choroïdes du ventri- cule
latéral
(VI) et le txnia thalami (tth), appartient il la
eur. - I, insula. iPchl, insertion des plexus choroïdes du ventricule
latéral
. L,, première circonvolution limbique. le, lame
'3, troisième ventricule. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. VI, ventricule
latéral
. z ? zone réticulée ou grillagée. 634 ANATOMI
de Luys). SB, noyau rouge. PTml, pédoncule du tubercule mamillaire
latéral
. Pu pulvinar. Qa, tubercule qua- drijumeau anté
érieur du tri- gone. Th, couche optique. Tznl, tubercule mamillaire
latéral
. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. V" troisième vent
eur du trigone (Tga), on trouve le ganglion du tubercule mamillaire
latéral
(Tml). Les fibres qui en naissent, formant le p
ibres qui en naissent, formant le pédoncule du tubercule mamillaire
latéral
(PTml), contournent la par- lie interne du segm
s fibres s'entre-croisent avec le pédoncule du tubercule mamillaire
latéral
(PTml). Le tubercule mamillaire (Tm) est englob
circon- volution frontale. PTml, pédoncule du tubercule mamillaire
latéral
. 7 ? pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antér
médian de Luys). Tm, tubercule mamillaire. Tml, tubercule mamillaire
latéral
. Toi, tubercule olfactif. Va, troisième ventric
isceau longitudinal postérieur. Il forme le groupe ventral du noyau
latéral
de la troisième paire. Le groupe dorsal, de ce
au niveau de la subs- tance grise de l'aqueduc. En dedans du noyau
latéral
, en arrière du noyau central ou médian, on trou
ed du pédoncule cérébral. PTml, pédoncule du tubercule ma- millaire
latéral
. Pul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antéri
, ainsi que Gudden l'a montré, au pédoncule du tubercule mamillaire
latéral
(PTml), et nous renvoyons pour la description d
par la paroi supérieure du prolongement sphénoïdal du ven- tricule
latéral
(Vsph). Le pédoncule cérébral (P) n'est plus re
circonvolution du crochet. Vsph, corne sphénoï- dale du ventricule
latéral
. W, champ de Wernicke. xM, entre-croisement de là
i inférieure et extérieure du prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
(Vsph). En dehors, le noyau amygdalien se fusio
ia (Fi) contribue à fermer le prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
(Vsph). L'insertion des plexus choroïdes (Plch) e
on des plexus choroïdes (Plch) et le mode d'occlusion du ventricule
latéral
rendent extrêmement facile sur cette série de cou
et l'extrémité antérieure du prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
(Vsph). Du côté de la base du cerveau, le putam
edans l'extrémité antérieure du prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
(Vsph). Les ilôts morcelés de 1 avant-mur appar
s-épendgmaire qui double le prolongement sphénoïdal du ventri- cule
latéral
. Ces fibres se dirigent en arrière et en dedans,
s postérieures du tubercule quadrijumeau antérieur. Sur les parties
latérales
de ce tubercule, elles sont remplacées par un 4
U, circonvolution du crochet. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. vt, vélum terminale d'. .by-. IV, champ de Werni
ule cérébral (SR) et de la protubé- rance puis dans celle du cordon
latéral
de la moelle. - Les fibres de Ventre-croisement
ec le ruban de Reil médian (Rm) et qui constituent le ruban de Reil
latéral
ou infé- rieur (Itl). Ce ruban de Reil inférieu
supérieur. Qp, tubercule quadrijumeau postérieur. ni, ruban de Reil
latéral
. lim, ruban de Reil médian. SgAq, suhstance grise
l médian. SgAq, suhstance grise de l'aqueduc de Sylvius. si, sillon
latéral
de l'isthme de l'encéphale. -SR, suhstance réticu
s pyramidales. Leur cylindre-axe, très mince, se détache d'un point
latéral
de la cellule, affecte une direction soit horiz
que dans les régions de l'écorce situées au-dessus des ventricules
latéraux
, ces cylindres-axes participent probablement à
s faisceaux radiés naissent de préférence de la crête et des parois
latérales
de la circonvolution. Mais le fond des sillons n'
n rien par leur calibre aux fibres en U de Meynert. Sur les faces
latérales
des circonvolutions ainsi qu'au niveau de leurs
aillante, constitue le taenia tecta ou strie longitudinale externe ou
latérale
. Lorsque l'écorce de la première circonvolution
, ou celle qui fait saillie dans la corne sphénoïdalc du ventricule
latéral
pour former la corne d'Ammon proprement dite.
relief conoïde situé dans le prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
(voy. fig. 210, p. 360). Elle est produite par
sc, trenia semi-circularis. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. ' . dales, le nombre et la variété de forme de
rsales ou commissurales du trigone cérébral. Cette branche col-
latérale
ne doit pas être con- fondue avec les deux ou
s destinées au stratum ra- diatum, sont hérissées d'excroissances
latérales
volumineuses, qui s'emboî- tent, ainsi que nous
, collatérales du plexus inter-granulaire inférieur. - col(s), col-
latérales
du plexus intcr-granulaire supérieur. eu, cylindr
al.) a, b, corps cellulaires. -c, c, cylindres-axes et leurs col-
latérales
descendantes.-A, couche moléculaire.. B, cou- c
ites principales des cellules mitrales, ainsi que leurs den- drites
latérales
et les dendrites des grains (Voy. plus loin). Ell
rps des cellules mitrales donne en outre naissance il des dendrites
latérales
plus ou moins obliques, qui se ramifient dans la
ente, fortement épineuse, qui entre en connexion avec les dendrites
latérales
des cellules mitrales (fig. 371). Parmi ces gra
niveau de sa base. Quant à la face du septum bordant le ventricule
latéral
, elle est constituée par une couche de fibres à
rébrale. Les fibres d'association naissent de préférence des parois
latérales
des circonvolutions, présentent un trajet curvi
n trajet curviligne, en général court, et se terminent sur la paroi
latérale
de la circonvolution voisine, en tapissant le f
dissocier, qui se recourbent en U, et se ter- minent sur les parois
latérales
des deux circonvolutions voisines. Ces lamelles
du bord externe du noyau caudé et de l'angle externe du ventricule
latéral
. Origine et terminaison des fibres de la substa
du pédon- cule cérébral. - l'Tnl, pédoncule du tubercule mamillaire
latéral
. Rm, ruban de Reil médian. Rôle, racine olfacti
ber cinereum. Tm, tubercule mamillaire. - Tml, tubercule mamillaire
latéral
. - Tol, tubercule olfactif. U, circonvolu- tion
couronne rayonnante, et con- court à former la voûte du ventricule
latéral
(fig. 379 et 380). Sachs émet l'hypothèse qu'il
onge, dans l'hémisphère normal, l'angle externe du ven- tricule
latéral
. Ce fai- sceau est situé en de- dans de la co
ne. - Top, pilier postérieur du trigone (lim- bria). VI, ventricule
latéral
. - Vsph, corne sphénoïdale. FAISCEAUX D'ASSOCIA
ombreuses fibres, ce faisceau longe - l'angle externe du ventricule
latéral
et se trouve situé au-dessus du noyau caudé, en
écrivent les fibres calleuses autour de l'angle externe du ventricule
latéral
. Sur les coupes vertico-transversalcs (Iig. 382
ion montre la paroi inférieure de l'étage supérieur du ven- tricule
latéral
et la voûte des cornes occipitale et sphénoïdale.
onne rayonnante et les fibres calleuses qui entourent le ventricule
latéral
. D'autres fibres (OF', fig. 391, p. 790) traver
ntérieur du trigone. U, circonvolution du crochet. - VI, ventricule
latéral
. - Il, bandelette optique. l'hémisphère, et ses
me sillon temporal. Tap, tapetum. - tec, ttenia tecta. VI, ventricule
latéral
. ; 768 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les crêt
ues de Gratiolet. - Tap, tapetum. Voc, corne occipitale du ventricule
latéral
. FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 7G !
circonvolution occipitale. - Plchl, plexus choroïdes du ventricule
latéral
. - Plchsph, plexus choroïdes de la corne sphénoïd
al. - Plchsph, plexus choroïdes de la corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. - ncl, pli cunéo-limbique. R1'h, radiatons opt
). tlh, toenia thalami. - V, ruban de Vicq d'Azyr. VI, ven- tricule
latéral
. - Voc, corne occipitale. Zr, zone réticulée ou g
U, circonvolution du crochet. rsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. - - FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSE MAUX.
OpPa, partie pariétale de l'opercule rolandique. - ot, sillon col-
latéral
. - ot + t,, branche commune au sillon collatéral
ncule cérébelleux supérieur. - Plch, plexus choroïdes du ventricule
latéral
. - l'lcla3, plexus choroïdes du troisième ven-
, circonvolution du crochet. troisième ventricule. - VI, ventricule
latéral
. Zr, zone réticulée ou grillagée. - Il, bandele
- VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Vif, corne frontale du ventricule
latéral
. - VV, zone de Wernicke. - Zi, zona incerta. Gn
tum. V, ruban de Vicq d'Azyr. - Fac, corne occipitale du ventricule
latéral
. 78t ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Couche des
s de la couronne rayonnante, qui contournent la voûte du ventricule
latéral
et dont les fibres sont sectionnées parallèleme
ant du genou du corps calleux et de la corne frontale du ventricule
latéral
. Méthode de f. Weigert. Agrandissement de 3/2.
e, que les fibres calleuses se réfléchissent en avant du ventricule
latéral
avant de s'irradier dans la troisième circonvol
à la façon des rayons d'une roue vers l'angle externe du ventricule
latéral
, où elles se réunissent en un faisceau compact
radié, étendu de l'écorce cérébrale à l'angle externe du ventricule
latéral
, les fibres calleuses sont connues sous le nom de
(RCc); leur faisceau compact, qui forme la voûte des ven- tricules
latéraux
, constitue le corps calleux proprement dit et com
. 387, p. 774). Arrivées au niveau de l'angle externe du ventricule
latéral
(VI), les radiations calleuses se recourbent à
é en dehors, où il entoure en crochet l'angle externe du ventricule
latéral
. < ? Son sommet correspond au faisceau occip
s convergent en rayonnant vers l'angle antéro-externe du ventricule
latéral
. Les fibres qui naissent de la troisième circon
ent en un faisceau compact, qui se réfléchit en avant du ventricule
latéral
, comme le faisceau du tronc du corps cal- leux
diations convergent en rayonnant vers l'angle externe du ventricule
latéral
, traversent les couches des libres d'associatio
trémité effilée se réfléchit autour de l'angle externe du ventricule
latéral
. Dans la description des radiations du bourrele
t l'extré- mité antérieure du prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
et s'unis- sait en arrière, au forceps, au nive
et 393. Topographie des lésions dans un cas d'hémianopsie homonyme
latérale
droite, d'origine corticale. Plaque jaune ancienn
teint, à la suite d'une attaque d'apoplexie, d'hémianopsie homonyme
latérale
droite avec rétrécissement du champ visuel à dr
o-transversale du lobe occipital dans un cas d'hémianopsie homonyme
latérale
droite (Voy. topographie de la lésion, fig. 392 e
criture d'après copie, pénible et défectueuse. Hémianopsie homonyme
latérale
droite avec hémiachromatopsie du même côté. Intég
leuses qui se réfléchissent autour de l'angle externe du ventricule
latéral
, sont souvent impliquées dans les lésions sous-co
p, tapetum. lec, ttenia tecta. T'oc, corne occipitale du ventricule
latéral
. Ce cas a trait à un homme que l'un de nous a o
m. <ec,toenia lccta. - Tg(Gg), lyre de David et trigone ventricule
latéral
. FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 803
u niveau de la face posté- rieure de sa partie moyenne. Ses parties
latérales
s'enfoncent dans la substance perforée antérieu
le. VA, faisceau de Vicq-d'A/.yr. 1"(, corne frontale du ventricule
latéral
. VI, ventricule latéral. II, bandelette optique.
-d'A/.yr. 1"(, corne frontale du ventricule latéral. VI, ventricule
latéral
. II, bandelette optique. plan passant parles co
ablement de véritables fibres commissurales ; au niveau des parties
latérales
, les fibres subissent une torsion, de telle sor
courbe à concavité interne autour de l'angle externe du ventricule
latéral
, puis s'étrangle légèrement (pied cle la couron
s décrivent tous une courbe autour de l'angle externe du ventricule
latéral
ou de ses cornes, et présentent un certain nombre
iations calleuses qui convergent vers l'angle externe du ventricule
latéral
. 1. Segment antérieur de la couronne rayonnante
te par ces segments autour do l'angle externe du ventri- cule
latéral
. Leurs rapports communs. Son origine. Sa
la capsule externe. - NL, Putamen. \'C, noyau caudé. \~l ventricule
latéral
. Sa division en deux couches sagittales. 8
ymaire. - tec, lee', taenia tecta. - Vf, corne frontale du ventricule
latéral
. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 9
cule cérébelleux supérieur. - Plcle, plexus choroïdes du ventricule
latéral
. - Plein, plexus choroïdes du troisième ventricul
volution du crochet. - li, troisième 'ventricule. - T'l, ventricule
latéral
. - Zn, zone réticulée ou grillagée. - 11, bande
circonvolution occipitale. - l'lchl, plexus choroïdes du ventricule
latéral
. - l'leh.sph, plexus choroïdes de la corne sphé
- l'leh.sph, plexus choroïdes de la corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. - ncl, pli cunéo-limbique. - RTh, radiations o
- llh, taenia llialami. - l', ruban de Vicq d'Alyr. - 17, ventricule
latéral
. Yoe, corne occipitale. - Zr, zone réticulée ou
circonvolution du crochet, - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. Fic. 12. - Le segment inférieur de la couronne
U, circonvolution du crochet. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. - vt, vélum terminal d'.lshy. - Il, champ de W
culaire. Th,, thalamus. - tllt, taenia thalami. - l'l, ventricule
latéral
. - Zr, Zone réticulée du thalamus. izcl, pli
antérieur du trigone, - U, circonvolution du crochet. l'l, ventricule
latéral
. - II, bandelette optique. ment d'une même li
(couche optique). - U, circonvolution du crochet. - l'l, ventricule
latéral
. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral.
t. - l'l, ventricule latéral. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. - Il, bandelette optique. postérieure du segme
oisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'.\zyr.- VI, ventricule
latéral
.- T'sph,,corne sphénoïdale du ventricule latéral.
zyr.- VI, ventricule latéral.- T'sph,,corne sphénoïdale du ventricule
latéral
.- TI', zone de Wernicke. - Zi, zona incerla de
ne. - Th, thalamus. - Ise, tienia semi-circularis. - VI, ventricule
latéral
. - Vsph, sa corne sphénoïdale. II, bandelette opt
- VA, faisceau de Vicq d'Azyr, - 1'(, corne frontale du ventricule
latéral
. - T'l, ventricule latéral. - 11, bandelette opti
zyr, - 1'(, corne frontale du ventricule latéral. - T'l, ventricule
latéral
. - 11, bandelette optique. FiG. 29. - Le segmen
.- l'Il, voie pédonculaire. z Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. Zr, zone réticulée. - JI, bandelette optique.
- l'l', voie pédonculaire. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. - Zrp, segment postérieur de la zone réticulée
circonvolution du crochet. - VSph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. - II, bandelette optique. compact, à surface d
ed du pédoncule cérébral. - Coupe horizontale passant par la partie
latérale
de la commissure antérieure et sectionnant le cor
. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Vf, corne frontale du ventricule
latéral
. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéra
tale du ventricule latéral. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. If, bandelette optique. FIG. 34. - Le pied du
reum. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Tml, tubercule mamillaire
latéral
de Gudden. - U, circonvolution du crochet. - V3
A, faisceau de Vicq d'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. - II, bandelette optique. tion de la voie pédo
. - Gip, ganglion interpédonculaire.- Lit. locus niger. - NI, noyau
latéral
de la calotte pédonculaire. - l'cs, pédoncule cér
s lemniscus profond. lIlII, ruban de Reil médian. RL, ruban de Reil
latéral
. - NIIl, noyau du ruban de Reil latéral. - SgAq,
l médian. RL, ruban de Reil latéral. - NIIl, noyau du ruban de Reil
latéral
. - SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylviu
. - Le, locus casruleus. A'cs, noyau central supérieur. - NI, noyau
latéral
de la calotte pédonculaire. - A'7, noyau de la tr
; xil'cs, son grand entre-croisement inférieur. - RI, ruban de Reil
latéral
. - Rm, ruban de Reil médian; les fascicules arron
e la face libre du pied du pédoncule cérébral et jusque sur la face
latérale
de l'isthme de l'encéphale où elles s'infléchisse
rébelleux supérieur. - Plch, plexus choroïdes fermant le ventricule
latéral
. - PiTh, pédoncule inféro-interne du thalamus.-
rijumeau postérieur. - Rm, ruban de Reil médian; lil, ruban de Reil
latéral
; sec, sillon du corps calleux, Sexv, surface ext
semi-circu- laris. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - T'l, ventricule
latéral
. - Zr, zone réticulée du tha- lamus. II, bandel
de Vicq d'Azyr. - 17C ? ,st, veine du corps strié. - 171, ventricule
latéral
. - Vsph, ven- tricule sphénoïdal. - Il, zone de
au de Vicq d'Azyr. - T'Csl, veine du corps strié. - l'l, ventricule
latéral
. - Zi, zona incerta du thalamus. II, bandelette
sième ventricule. - VA, faisceau de Vice¡ d'.lzyr. - Vl, ventricule
latéral
. - IV, zone de Vernicke. Zi, zona in- certa de
énérescence qui peut être suivie-dans la partie postérieure du cordon
latéral
du côté opposé de la moelle. admit, en outre, q
on entre la partie des voies pyramidales qui se rend dans le cordon
latéral
du côté opposé et la partie non croisée qui about
ordon antéro-latéral de la moelle cervicale. - flp, cordon postéro-
latéral
de la moelle cervicale. - fl (coupes G et 1), cor
stéro- latéral de la moelle cervicale. - fl (coupes G et 1), cordon
latéral
de la moelle et du bulbe. - Fp, cordon postérie
rapports avec l'olive bulbaire et sa continuation avec le faisceau
latéral
du [bulbe (coupe 5) et le cordon latéral de la
tinuation avec le faisceau latéral du [bulbe (coupe 5) et le cordon
latéral
de la moelle (coupe Cf. Lp, la partie postérieure
(coupes 3 et 4); sa continuation avec la partie postérieure du cordon
latéral
de la moelle (coupes 5, 6, 1). - Lg, lingula. -
érieur ou moteur des pyramides, puis se continuaient dans le cordon
latéral
du côté opposé de la moelle épinière (Fig. 51).
e la pyramide, atrophie qui peut être suivie (jusque dans le cordon
latéral
du côté opposé de la moelle. Carville et Duret, D
ectes ou seeou. daires. Atropines en masse de la moitié homo-
latérale
du tronc en- céphalique et de la moitié crois
ieur. - Qp, tubercule quadrijumeau postérieur. - Rl, ruban de Iteil
latéral
. - R1 ? ruban de Iteil médian atteint à droite
es, le faisceau longitudinal postérieur , le noyau du ruban de Reil
latéral
, les olives supérieure et inférieure, le corps tr
criture d'après copie, pénible et défectueuse. Hémianopsie homonyme
latérale
droite avec hémiachromatopsie du même côté. Intég
ivi sur les coupes sériées le long de l'angle externe du ventricule
latéral
. - La dégénérescence du faisceau inférieur du f
épendymaire, mais encore le faisceau curviligne qui entoure l'angle
latéral
du ventricule et qui contient à la fois des fibre
nt de la pyramide gauche hypeitrophiée : elle envoie dans le cordon
latéral
droit un volumineux faisceau pyramidal croisé (
t un volumineux faisceau pyramidal croisé (FPyc), et dans le cordon
latéral
gauche un fascicule compact de fibres pyramidal
) sur la Fig. 155 et envoie des travées névrogliques dans le cordon
latéral
gauche. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur na
rapidement, se perd (Fig. 158) dans la masse des fibres du cordon
latéral
gauche et met à nu une petite zone de sclé- r
re-croise incomplètement; une petite partie se porte dans le cordon
latéral
du côté croisé (faisceau pyramidal croisé) (xPy;
aucun vestige des faisceaux pyramidaux croisé ou direct; le cordon
latéral
croisé est simple- ment plus petit que du côté
in ou la méthode de Rosin (lng. ta9) que l'on trouve dans le cordon
latéral
croisé et dans le cordon antérieur direct une lég
iste à la partie postérieure du cordon antérieur droit et du cordon
latéral
gauche, que deux petites taches de sclérose, ve
sé (F'yc),un faisceau pyramidal direct et des fibres pour le cordon
latéral
du même côté -fibres pyramidales- homolatérales
rne antérieure du même côté (Fig. 151, 156, 162) et se rend au cordon
latéral
de la moelle du même côté, où il se place en av
. La pyramide gauche saine, mais hypertrophiée, abandonne au cordon
latéral
gauche un faisceau compact de fibres pyramidales
u compact de fibres pyramidales homo-latërales (fPyh), et au cordon
latéral
droit un volumineux faisceau pyramidal croisé (FP
t. 3/2 grandeur nature. sépare seule de la cavité du ventricule
latéral
(Fig. 1 G¡i à 167). Cette lésion a entraîné l
de la vision, se manifester cliniquement par une hémianopsie homonyme
latérale
croisée et anatomo-pathologiquement par une dég
utriche. Hémiplégie gauche avec contracture et hémianopsie homonyme
latérale
gauche datant de deux ans. Lésions capsulaires da
Hémiplégie gauche avec contracture et hémianopsie homo- nymo
latérale
gauche relevant de deux lésions dans le dom
Hémiplégie gaucho avec contracture et hémianopsie homo- nyme
latérale
gaucho relevant de deux lésions dans le dom
du tapetum et d'autie part le long de l'angle externe du ventricule
latéral
jusque dans la substance grise qui borde la cor
, et particulièrement dans le cas de Hochhans, les deux ventricules
latéraux
paraissent être complètement indépendants l'un
ieure après déchirure de la mince membrane qui limite le ventricule
latéral
. Remarquer la situation du trigone entre les ga
s le canal du pédoncule olfactif conduit dans la cavité du ventricule
latéral
. Le cervelet parait normal comme la protubéranc
long du sillon médian antérieur et à la partie postérieure du cordon
latéral
. La partie périphérique du cordon antéro-latéra
, antérieure et postérieure des hémisphères (Fig. 213). Leb parties
latérales
des hémisphères font seules défaut, et à leur pla
lobe temporal; les circonvolutions l'JI;. 21 L - Cas Richard. Face
latérale
de l'encéphale. La ligne a a indique la directi
rencéphalie (po) qui, de part en part, fait communiquer le ventricule
latéral
unique avec l'espace sous-arachnoidien. - PT, p
noidien. - PT, pôle temporal. - Vf, la corne frontale du ventricule
latéral
. Cas Richard. Por- encéphalie double avec m
se continue avec la membrane épendyinaire de la voûte du ventricule
latéral
unique et qui, en arrière, se réfléchit sur la fa
ieure par le corps du trigone et les plexus choroïdes du ventricule
latéral
(Fig. 217 et 226), et en avant, par une mince clo
lions de la base (corps opto-strié), le trigone cérébral et la face
latérale
du putamen. De chaque côté, elle communique lar
ÉBRALE. 203 et de l'angle inféro-externe (Fig. 221) du ventricule
latéral
. Ec, sections d'îlots cor- ticaux appartenant à
eau occipito-frontal autour de l'angle supéro-externe du ventricule
latéral
. - K, scissure calcarine. - Mp, membrane qui li
-frontal. - Sge, substance grise sous-épen- dymaire. VI, ventricule
latéral
. Méthode de Weigert-Pal, 2/1 grandeur nature. L
ont particulièrement denses autour de l'angle externe du ventricule
latéral
qu'elles contournent en( rochet. FiG. 220. - Ca
l'âge de 79 ans. La porencéphalie pénètre jusque dans le ventricule
latéral
et siège à droite à l'union 224 ANATOMIE DES CE
ubstance cratériforme, dont le sommet occupe la voûle du ventricule
latéral
. Agénésie partielle du faisceau pyramidal (Bicêtr
rouve échelonnés d'avant en arrière les centres pour les mouvements
latéraux
du larynx, du pharynx et de la mastication, et au
ondaires. 232 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Centro cortical hi-
latéral
pour la langue. à Zone de la tête et des
n territoire supérieur dont l'excitation est suivie d'une déviation
latérale
avec abaissement des globes oculaires, et un terr
territoire inférieur dont l'excitation provoque, avec la déviation
latérale
, une élévation des globes oculaires. D'après Ho
one sensitive corticale. pourra produire une hémianopsie homonyme
latérale
siégeant du même côté que l'hémianesthésie, et
n de la sphère visuelle chez le chien ou le singe, si elle est uni-
latérale
, a pour conséquence Y hémianopsie, c'est-à-dire l
eut s'accom- pagner d'hémtachro- matopsie. Kilo peut être In-
latérale
et se carac- térise alors par de la cdrzt.· r
etc., elles sont le plus souvent suivies d'une hémianopsie homonyme
latérale
typique. C'est ce qui est arrivé chez le malade
utions pre- mière temporale. - Th, couche optique. - VI, ventricule
latéral
. Ainsi que l'a montré l'un de nous dans différe
au visuel elle déterminera la production d'une hémianopsie homonyme
latérale
. Les cas de Bibliothèque des Internes en Méde
faisceau de Vicq d'Azyr. VCsl, veine du corps strié. - n, ventricule
latéral
. - Zr, zone réticulée du thalamus. 11, bandelet
lt, taenia thalami. VA, faisceau de Vicq d'.lzyr. l'l, ventri- cule
latéral
. - 1-Cst, veine du corps strié. - Zi, zona incert
e très épaisse de la sub- stance grise sous-épendymaire des parties
latérales
de la corne frontale et correspond assez exacte
rcularis.- voie pédonculaire. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. Zr. zone réticulée du Ihalamus. - If, bandelet
troisième, corps du trigone, occupe l'étage supérieur du ventricule
latéral
, s'étend du bourrelet du corps calleux au trou de
triculaire sur lequel s'insèrent les plexus choroïdes du ventricule
latéral
. Elle reçoit chemin faisant un certain nomhre d
l'hippocampe, où la corne d'Ammon cesse d'exister, vers les parties
latérales
du bourrelet du corps calleux où il se place à
n cerveau durci dans le formol). Les plexus choroïdes du ventricule
latéral
droit sont colorés en rose. Ce, tronc du corps
adhérente au corps du trigone, de sorte que les deux ven- tricules
latéraux
ne forment qu'une vaste cavité unique et bilobée.
e et bordée de chaque côté par les plexus choroïdes des ventricules
latéraux
. Son sommet se continue en avant avec une mince
asciola cinerca (Fc, Fig. 257) - les chercher sur des coupes plus
latérales
. Le bourrelet reçoit en outre quel- ques fibr
u trigone (11). Lorsqu'on examine des coupes sagittales des parties
latérales
du corps calleux (Fig. 2(il), on constate de no
pas en fasci- Fig. 261. - Coupe sagittale passant par les parties
latérales
du genou et du bec du corps calleux. Aspect str
ou; Ce (r), bec du corps calleux. NC, noyau caudé. - VI, ventricule
latéral
. Leur origine. 282 ANATOMIE DES CENTRES NERVE
changent de direction au voisinage de l'angle externe du ventricule
latéral
. Nous avons montré en effet, dans le Tome I ? que
me ventricule. V3(dso), son diverticule sus-optique. - VI, ventricule
latéral
. - Il, nerf optique avant son entre-croisement
r antérieur du trigone. - Tmi, noyau interne; Tml, noyau externe ou
latéral
du tubercule mamillaire. VA, fais- ceau de Vicq
eau de Vicq d'Azyr. - ? bandelette optique sectionnée sur les parties
latérales
du chiasma. Il[, nerf moteur oculaire commun.
en rapport avec un petit amas gan- glionnaire situé sur les parties
latérales
du tuber cinereum entre le pédoncule céré- br
it ce petit amas ganglionnaire sous le nom cle tubercule mamillaire
latéral
. Pour éviter sa confusion avec le noyau latéral d
ubercule mamillaire latéral. Pour éviter sa confusion avec le noyau
latéral
du tubercule ma- millaire, nous le désignerons
ceau occipito-frontal (OF) le long de l'angle externe du ventricule
latéral
. Cas, Chab Plaque jaune du pli rétro- limbi
faisceau occipito-frontal le long de l'angle externe du ventricule
latéral
consécutive à une plaque jaune du pli rétrolim-
rise sous-épendymaire (OF) qui double l'angle externe du ventricule
latéral
et les radiations que le faisceau occipito-fron
Ammon; 2° dans l'étage supérieur et la corne frontale du ventricule
latéral
, le long de la queue, du tronc et de la tête du
la tête du noyau caudal. Elles occupent l'angle externe du ventricule
latéral
et envoient dans la capsule interne un certain
de même un faisceau mixte; le long de l'angle externe du ventricule
latéral
, les libres d'association occipito-frontales se m
nt inférieur ou ventral qui occupe la corne sphénoïdale du ventricule
latéral
et ne diffère que par ses dimensions de la corn
du tronc du corps calleux. Il l'orme la paroi interne dn ventricule
latéral
et se soude sur la ligne médiane à la corne d'A
nia semicircularis dont la sépare toutefois la cavité du ventricule
latéral
. Comprise entre l'alveus intraventriculaire et
dorsal de la corne d'Ammon et forme la paroi interne du ventricule
latéral
. Il contient, comme la fimbria, Ves libres longit
et arrivent' au psalterium dorsal en longeant la voûte du ventricule
latéral
. Quant aux fibres de la lame médullaire supeifi
antérieur du trigone. - Tri, noyau interne. 1'ml, noyau externe ou
latéral
du tuber- cule mamillaire. - VA, faisceau de Vi
Vice; d'.lzyr. - Il, bandelette optique sectionnée sur les parties
latérales
du chiasma. ? nerf moteur oculaire commun. Le f
olongements périphériques des cel- lules épendymaires du ventricule
latéral
. Chez le foetus humain (Fig. 280), ces prolonge
c, -carrefour ventriculaire.- Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. 310 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fig. 282
ire. - ol, sillon collatéral. - Plch, plexus choroïde du ventricule
latéral
. - l'ut, pulvinar. - RTh, radiations thalamique
a substance grise sous-épendymaire de l'angle externe du ventricule
latéral
. Ces fibres appartiennent, en partie au moins,
rébelleux supérieur. - Plc%, plexus choroïdes fermant le ventricule
latéral
. - PiTh, pédoncule inféro-interne du thalamus.
rijumeau postérieur. - Rm, ruban de Reil médian; lil, ruban de Reil
latéral
; - sec, sillon du corps calleux. - Sexv, surface
semi- circularis. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - T'l, ventricule
latéral
. Zr, zone [réticulée du thalamus. - II, bandele
, pied du pédoncule cérébral. - Plch plexus choroïdes du ventricule
latéral
. - Pol, pédoncule olfactif. - 7 ? pulvinar. - l
a semi- circularis. - VCst, veine du corps slrié. - l'l, ventricule
latéral
. '1t "l, pli rétro-lim- bique. - II, bandelette
par l'épendyme ventriculaire, appartient au plancher du ventricule
latéral
. Sa partie inlerne, située en dedans du sillon
VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. W, zone de 1\'erniclce. - Zi, zona incerla de
ule cérébel- leux supérieur. - Plch, plexus choroïdes du ventricule
latéral
. - PLs, pes lemniscus superficiel situé à la pa
la corne sphénoidale. - tsc. toenia semi-circularis. - 17, ventricule
latéral
. - 171>, voie pédonculaire. - Vsph, corne sp
171>, voie pédonculaire. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. - 1 ? zone de 1\'er- nicke. sagittale et pro
, le corps genouillé interne est en connexion avec le ruban de Reil
latéral
(RI), faisceau auditif par excellence, qui le r
Ses connexions avec la région de la calotte et le ruhan do Reil
latéral
. Les connexions multiples do la couche opti
ruban GANGLIONS I\'IRACORTICAU : COUCHE OPTIQUE. : 3ï : ; de Reil
latéral
et aux centres auditifs primaires. Le bras du tub
ssure; les autres s'infléchissent en avant, contournent les parties
latérales
de l'aque- duc de Sylvius et entrent dans la co
elle le pied du pédoncule cérébral, atteindraient ainsi les parties
latérales
et postérieures du thalamus et parviendraient a
des tubercules mamillaires et de la corne sphénoïdale du ventricule
latéral
, par le tiers antérieur de la couche optique, e
frontales et de projection. - l'clrl, plexus choroïde du ventricule
latéral
? M'f, la surface extravenlriculaire du thalamu
volution du crochet. - Vcst, veine du corps strié. - VI, ventricule
latéral
. - T'3, troisième ventricule. - Zr, zone réticulé
, pied du pédoncule cérébral. l'cid, plexus choroïdes du ventricule
latéral
. - Pal, pédoncule du putamen. - S ! I, couches
faisceau de Vicq d'Azyr. Vcsl, veine du corps strié. t7, ventricule
latéral
. - Vsph, corne sphénoldale. - V3, troisième ventr
TROISIÈME VENTRICULE La substance grise centrale tapisse les parois
latérales
et le plan- cher du troisième ventricule, doubl
Sylvius avec la substance grise sous-épen- dymaire des ventricules
latéraux
et la substance grise centrale du cerveau moyen
s de noyau postéro-latéral du tuber cinereum (Lenhossek), éminences
latérales
hypencéphaliques (Retzius), ganglions optiques
e du troisième ventricule sépare sur la ligne médiane les éminences
latérales
du tuber cinereum, il détermine à la base du cerv
Retzius), l'homologue du sac vasculaire des poissons. Les éminences
latérales
du tuber cinereum ne doivent pas être confondue
ennent aux faisceaux avoisinants. Telles sont les fibres des parois
latérales
du troisième ventricule qui appartiennent au pé
, pied du pédoncule cérébral. Ilchl, plexus choroïdes du ventricule
latéral
. - PNL, pédoncule du putamen. - Sexv, surface e
lz, taenia thalami. - 1 est, veine du corps strié. - VI, ventricule
latéral
. - Vsph, corne sphénoïdale. - l'a, troisième vent
e. Il se porte ensuite en arrière et en dedans, le long de la paroi
latérale
du troisième ventricule, passe en dedans du pil
se porte en effet en haut et en arrière, occupe d'abord les parties
latérales
de l'infundibulum, passe en dedans du pilier anté
la rétine avec l'encé- phale sont à la fois croisées et homo-
latérales
et s'effec- tuent avec la moitié homonyme des
a bandelette optique, se manifeste cliniquement par une hémianopsie
latérale
homonyme : elle intéressera la moitié droite du
sale comme on l'admet généralement, mais une hémia- nopsie homonyme
latérale
, comme on l'observe à la suite des lésions de F
nnaires de la vision se traduisent cliniquement par une hémianopsie
latérale
homonyme, la terminaison de ces fibres semble se
de celui du cerveau. Le cervelet comprend chez l'homme deux parties
latérales
paires et symétriques, les hémisphères cérébell
e section curviligne qui correspond à l'angle externe du ventricule
latéral
et aux sillons marginaux de l'insula, ou encore s
Vs) ou face supérieure du lobe moyen du cer- velet, et deux parties
latérales
obliques en bas et en dehors el légè- rement co
rieure. La toile choroïdienne et les plexus choroïdes des ventricules
latéraux
(d'après la photographie d'une pièce durcie dan
rvelet. NC, noyau caudé. - Plch, les plexus choroïdes du ventricule
latéral
, et leur glomérule (Gll'lclz) situé dans la rég
ieure du cervelet - être question d'un lobe médian et de deux lobes
latéraux
dans le sens strict du mot. Nous verrons qu'il
om de pyramide lamineuse de Malacarne (Pyc). Les crêtes externes ou
latérales
se prolongent de chaque côté dans l'épaisseur d
au niveau de leur point le plus convexe par les ailes ou expansions
latérales
de la pyra- mide de Malacarne. Quelquefois ils
tubercule jugu- laire de l'occipital; elle commence sur les parties
latérales
de la vallée de Reil, en avant des ailes de la
exité postérieure et correspondent à la partie horizontale du sinus
latéral
. Un profond sillon, le grand sillon circonfé- F
ans le formol). Amr/, lobe tonsillaire ou amygdale. El, éminences
latérales
du tuber cinereum. Es, éminence vasculaire ou m
ieure du bulbe. - Pyc, pyramide de Malacarne. - l'Z ri, diverticule
latéral
du 41 ventricule. .;il', sillon inférieur de Vicq
nférieur. Les pédoncules cérébelleux moyens séparent le diverticule
latéral
du quatrième ventricule (PIN71) et le tlocculus
e libre et inlraventrieulaire qui concourl à limiter le diverticule
latéral
du quatrième ventricule (rlV<.) et qui se coud
leux inférieur. - pédoncule cérébelleux moyen. - 1'11'" diverticule
latéral
du il ventricule. - sef, grand sillon circonféren
lleuses qui ne passent jamais directement du vermis sur les parties
latérales
, mais se comportent dans' l'une et l'autre régi
entral (Fig. 336) et devient rapidement superficiel sur ses parties
latérales
, où il sépare les ailes du lobe central des fre
la proprement dite, découverte par Mala- carne, et deux par- ties
latérales
min- ces et effilées, les freins de la lin-
iane, le culmen, qui appartient au vermis supérieur, et deux masses
latérales
ou hémisphériques connues sous le nom de lobe qua
sile adhérente au tubercule valvulaire (Fig. 341). Fig. 342. - Face
latérale
du rhombencéphale : les lobes semi-lunaires supér
bulbe. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. - RI, ruban de Reil
latéral
. - RsTh, région sous-optique. sel, grand sillon
nodule. - l'yc, pyramide de Malacarne. - Ilye', ailes ou expansions
latérales
de la pyramide. sgr, sillon du lobc grêle. - siV,
ule valvulaire; d'autres fois elles s'implantent sur les expansions
latérales
ou ailes de la pyramide du vermis. III. LOBE IN
e semi-lunaire inférieur (Fig. 336, 344). Il reçoit sur les parties
latérales
de la pyramide l'extrémité interne du sillon infé
avité antérieure, s'étire de chaque côté pour former les expansions
latérales
ou ailes de la pyramide. La lamelle qui tapisse
de dedans en dehors, avec : 1° les plexus choroïdes du diverticule
latéral
du quatrième ventricule; 2° le Ilocculus dont l
entriculaire du pédoncule cérébelleux supérieur formant les reliefs
latéraux
du versant supérieur du 4' ventricule. - pédoncul
occupe le fond de la gouttière du bulbe rachi- dien et deux parties
latérales
légèrement concaves, obliques en haut el en deh
e blanche, irrégulièrement quatrilatère, connue sous le nom d'ailes
latérales
de la luette (ala uvulae, commissura transversa s
à 12 millimètres dans le sens transversal et s'étendent des parties
latérales
de la luette au pédicule d'insertion de l'amygdal
ns le sens transversal el dans le sens antéro-postérieur, les ailes
latérales
de la luette forment, avec les valvules de Tari
e posté- rieure du nid de pigeon ou d'hirondelle, formée par l'aile
latérale
de la luette, est adhérente au bile de l'olive
sens vertical et remar- Face s. Lobules secon- daires. Ailes
latérales
. Leur union av l'amygdale. Nid d'hirondelle
DES CENTRES NERVEUX. Base tl'lml'lulItu- Base d'implanta- tion
latérale
Faces quablcs par leur mobilité, la direction
g. 314) et la situation de leur étroite base d'implantation qui est
latérale
(Fig. 316) et non pas supérieure, comme pour le
antérieure du nodule et de la luette et le pédicule d'implantation
latérale
des amygdales. - (Méthode de Weigert-Pal.) Am
(Méthode de Weigert-Pal.) Amg, amygdales. pAmg, base d'implantation
latérale
de l'amygdale. fec, feutrage extraciliaire. - f
versales groupées en deux ou trois lobules secondaires. Des parties
latérales
du nodule (Fig. 315) se détachent deux minces v
e (No) au flocculus (Floc), se continuent en arrière avec les ailes
latérales
de la luette (Uv' et concourent à former les nids
dehors de l'amygdale, en dehors du corps restiforme, du diverticule
latéral
du 4" ventricule et du nerf auditif, en arrière
x inférieur. - Pain. pédoncule cérébelleux moyen. "ll'" diverticule
latéral
du 4" ventricule. ser, grand sillon circonférenti
forme, ainsi que nous le verrons, la face supérieure du diverticule
latéral
du 1° ventricule (rlV..). BIBLIOGRAPHIE. - Ar
u cervelet, quatre faces, une antérieure, une pos- térieure et deux
latérales
. Face antérieure. (Fig. 319). Celte face repose
rotubérantiel supérieur se jette à angle presque droit dans le sillon
latéral
de l'isthme. La protubérance est convexe dans
Menu pièce que celle des Fig. 338, 342, 318, 3S2.) Fll, faisceau
latéral
du bulbe. - Floc. Ilocculus - ploc, pédoncule d
rés. Très réduites chez les vertébrés non mammifères dont les lobes
latéraux
cérébelleux sont rudimentaires, elles atteignent
couvrent. Dans le sillon protubérantiel supérieur et dans le sillon
latéral
de l'isthme, on trouve constamment un petit fas
g du pédoncule cérébelleux .moyen, un des fascicules suit le sillon
latéral
de l'isthme, l'autre croise le ruban de Reil la
suit le sillon latéral de l'isthme, l'autre croise le ruban de Reil
latéral
et pénètre avec le pédoncule céré- belleux supé
de la pyramide d'un côté se rend après décus- sation dans le cordon
latéral
du côté opposé de la moelle et constitue le fai
la pyramide envoie encore quelques fibres directes, dans le cordon
latéral
du même côté de la moelle. Ce sont les fibres pyr
ral du même côté de la moelle. Ce sont les fibres pyramidales home-
latérales
(Muraloff, Dejerine el Thomas). La décussation
défaut et toutes les fibres pyramidales se rendent dans le cor- don
latéral
croisé de la moelle. Tantôt le faisceau pyramidal
s, recouvrent quelquefois toute la surface de 1 ic. 330. -- La face
latérale
du rhombencéphale après ablation du cervelet. -
ou ruban de Reil laté- ral. - Rm, ruban de Iteil médian. si, sillon
latéral
du mésencéphale. - Th, couche optique. - Tpo, t
on olivaire in- trn. Sillon olivâtre ¡''(terne'. ; Faisceau
latéral
du bulbe. Sillon bulbo-pro- tttbéranticl.
rouve un étroit faisceau longitudinal qui appartient déjà à la face
latérale
du bulbe, c'est le faisceau intermédiaire ou fa
face latérale du bulbe, c'est le faisceau intermédiaire ou faisceau
latéral
du bulbe (Fit). Il est limité en arrière par un
rieure du faisceau de Gowers. En bas, il se fusionne avec le cordon
latéral
de la moelle épinière; en haut, il atteint le s
livaire en avant, dans laquelle émerge la VIe paire, et la fossette
latérale
du bulbe en arrière, diverticule profond commun
ais en est séparée par un double feuillet pie-mérien. Les sillons
latéraux
de l'isthme qui logent le toenia pontis (Tpo) l
ehors par le fais- ceau triangulaire de l'isthme ou ruban de Reil
latéral
(RI), situé à cheval sur le cerveau moyen et l'
es dans leur volume et leur dispo- sition. Elles émergent du sillon
latéral
de l'isthme, croisent le pédoncule cérébelleux
re son extrémité supérieure et la sépare nettement du ruban de Reil
latéral
, fibres arciformes, supérieures de l'isthme (fa
sés ou masqués par quelques fibres- arciformes que le ruban de Reil
latéral
envoie à la surface du pédoncule cérébelleux su
ieur parait com- plètement fusionné avec la région du ruban de Reil
latéral
. Ces fibres arquées de l'isthme appartiennent e
res (voy. chap. IV); elles contiennent des fibres du petit faisceau
latéral
du bulbe et du faisceau de Gowers, et représenten
loV'), de forme triangulaire, à base supérieure, et dont les angles
latéraux
se prolongent en deux poches ou diverticules memb
longent en deux poches ou diverticules membraneux, les diverticules
latéraux
du quatrième ventricule. Cette membrane forme le
. -Crsl, corps restiforme. - et, eminenlia teres. - Fit, faisceau
latéral
du bulbe. - /) ? fossette médiane. - fsa, fst, fo
. Connexion avec le pédoncule cérébel- leux inférieur. Sillon
latéral
du bulbe. comme nous le verrons plus loin, mo
estiformia, processus resli- formes, cordons cunéiformes, pyramides
latérales
, crura cerebclli ad medullam oblongatam, pedunc
lindriques ou pyrami- daux, qui occupent les parties postérieure et
latérale
du bulbe entre la pyramide postérieure et le fa
e et latérale du bulbe entre la pyramide postérieure et le faisceau
latéral
du bulbe et qui se continuent sans ligne de dém
n haut, en avant et en dehors, et s'enfoncent sous les diverticules
latéraux
du qua- trième ventricule. Lorsqu'on examine
lbe, sur lequel la toile chroïdienne inférieure et les diverticules
latéraux
du quatrième ventricule ont élé arrachés (Fig.
iforme proprement dit du pédoncule cérébelleux inférieur. Le sillon
latéral
du bulbe ou sillon des nerfs mixtes borde le corp
e corps res- tiforme en dehors el commence en haut dans la fossette
latérale
du bulbe. Il se dirige d'abord obliquement, en
s la région cylindrique du bulbe et se continue avec le sillon col-
latéral
postérieur de la moelle ou sillon de pénétration
igament den- telé. Dans la partie inférieure, verticale du sillon
latéral
du bulbe on trouve, plus accentuée chez l'enfan
au. Chez l'enfant nouveau- né, on remarque en outre, dans le cordon
latéral
de la moelle, un faisceau myélinisé qui, au-des
essus du tubercule cendré, s'infléchit en arrière, croise le sillon
latéral
du bulbe et se jette sur le corps restiforme avec
ulbe, interrompent le sillon des nerfs mixtes, croisent le faisceau
latéral
du bulbe, l'olive et la pyramide antérieure, et
pyramides postérieures du bulbe et aux corps restiforme. ses angles
latéraux
s'étirent en une sorte de demi-gouttière qui ento
e et se renfle au-devant du flocculus en formant les diver- licules
latéraux
(rl'4) du quatrième ventricule. Cette membrane
qui recouvre la face postérieure du bulbe, entoure les diverticules
latéraux
du quatrième ven- tricule, et fait l'office d'u
ème venlri- FIG. 333. - La membrane obturatrice et les diverticules
latéraux
du le ventricule (d'après Retzius). Les lobes
formant la paroi postéro-infé- rieure ou membraneuse du diverticule
latéral
(ri VI). A droite, la partie épendymairc de la
e obturatrice a été enlevée et on aperçoil la cavité du diveiticule
latéral
(Vt) (colorée en rouge) et les toenia, ou languet
cule en dehors et en arrière (Iv) et se prolongent sur le diverticule
latéral
droit (ld. Floc, flOCClllu5, -Id, languette (
re. - -Va, membrane obluratrice du 4° ventricule. - /'1 ? diverticule
latéral
du 4' ventricule. - l'T, valvule de Tarin. - l'
, fort irrégulières suivant les individus, qui occupent les parties
latérales
de la membrane obturatrice et se prolongent sur
es de la membrane obturatrice et se prolongent sur les diverticules
latéraux
du quatrième ventricule qu'elles concourent à f
e du nodule et se pro- longent de chaque côte dans les diverticules
latéraux
du 4' ventricule. SbNo, substance blanche du no
blanche du nodule. - spe, sillon précentral. - 1"lI"" diverticules
latéraux
du 4' ventri- cule. T.II, trou de Magendie limi
postérieure et concourt à former la paroi inférieure du diverticule
latéral
du quatrième ventricule (Fig. 353 et 354 et cou
qui se continue en bas avec la 1)ic-mèrc qui re- couvre les parties
latérale
et postérieure du bulbe. Ces deux feuillets son
MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 11.9 : i Au niveau des diverticules
latéraux
du quatrième ventricule, la toile choroïdienne
ongueur, comblé en partie par les plexus choroïdes des diverticules
latéraux
. Il est limité en bas par un repli pie- mérien
se prolonge de chaque côté en dehors et se continue avec les plexus
latéraux
. Ces der- niers se dirigent transversalement en
des valvules de Tarin et à la partie mem- braneuse des diverticules
latéraux
(Fig. 3Si). Ils comblent en grande partie la ca
substance blanche du cervelet, et de chaque côté deux diverticules
latéraux
(rlV;, Fig. 348) qui entourent la base du bulbe
s lames fondamentales du cerveau moyen. Deux sillons, les sillons
latéraux
(sulci limitantes de Ilis), circonscri- vent le
rieure du corps restiforme, appartient au plancher des diverticules
latéraux
(Tub.ac, Fig. 439), reçoit une partie des fibre
ongitudinale du plancher est très accusée, les sil- lons médians et
latéraux
sont ininterrompus depuis l'aqueduc jusqu'au ca
uvrent dans ce cas toute la zone auditive, interrompent les sillons
latéraux
, voire même le sillon médian, et masquent plus ou
rgeant transversalement en dehors vers le plancher des diverticules
latéraux
(stries transversales). Une, deux, quelquefois
légère dépression médiane, sorte de raphé rudimentaire. Les bandes
latérales
, beaucoup plus saillantes, sont formées par la
ancher du qua- trième ventricule; un sillon longitudinal, le sillon
latéral
, les sépare en haut du locus ca·ruleus et de la
tie moyenne par la substance blanche du nodule, et dans ses parties
latérales
par la valvule de Tarin; 2° un segment inférieu
ité ventriculaire colorée, S 1 à S 5, Fig. 408 à 413). diverticules
latéraux
du quatrième ventricule. - Les versants supérie
eur du toit, en se réunissant avec le plancher au niveau des angles
latéraux
du quatrième ventricule, interceptent un étroit c
us et le corps restiforme et qui sert d'embouchure aux diverticules
latéraux
du quatrième ventricule (·ece.ssi latérales de
ouchure aux diverticules latéraux du quatrième ventricule (·ece.ssi
latérales
de Reichert). Ces diverticules représentent de
1879. - mess. Das Foramen Magendii und die OEffnungen an denRecessus
latérales
des vierten Vcnlrikels. Morphol. Jahrbucli, X,
ntérieure, qui comprend assez exactement les limites postérieure et
latérale
du nid d'hirondelle et qui correspond aux parti
ieure et latérale du nid d'hirondelle et qui correspond aux parties
latérales
du nodule, de la luette, aux minces lamelles impl
asse ovalaire, se détachent ra- FIG. 38. - L'aibre de vie des lobes
latéraux
du cervelet. - Coupe sagittale de l'hémi- sphèr
on- cule cérébelleux moyen. Pchl V, plexus choroïdes du diverticule
latéral
du 4° ventricule. - 1'i V" diverticule latéral
oïdes du diverticule latéral du 4° ventricule. - 1'i V" diverticule
latéral
du 4* ventricule. - sel', grand sillon circonfére
ents lobes et lobules des hémisphères qui Arbre de vie de ... lobes
latéraux
d1 constituent dans leur ensemble la figure déc
par le sillon longitudinal supérieur) avec l'arbre de vie des lobes
latéraux
du cervelet (coupe S9, Fig. z8). Dans la région d
centrale rappelle par certains caractères l'arbre de vie des lobes
latéraux
, tout en présentant encore des caractères propr
i), est situé en dedans de l'olive cérébelleuse, le long des parois
latérales
du quatrième ventricule; il entoure le noyau du
Gowers. - Flop. faisceau longitu- dinal postérieur. - FII, faisceau
latéral
du bulbe dans son trajet protubérantiel. - Fo,
à l'olive cérébelleuse (Fig. 363). Ils forment ensuite les parties
latérales
, puis le toit du 4° ven- tricule, disparaissent
2/1 Grandeur nature. , Amg, amygdale avec son pédicule d'insertion
latérale
. - Cge, corps genouillé externe. Cgi, corps gen
on piriforme, semi-lunaire ou en massue. Il est situé sur la partie
latérale
du quatrième ventricule ( ? ), en arrière du pé
par l'olive supérieure ou protubérantielle (Os) et le ruban de Reil
latéral
. Sa face inlerne ou concave est en rapport en a
e au faisceau de Gowers (FG coupe H3, Fig. 362) et au ruban de Reil
latéral
(RI, coupe H 2, Fig. 3je). Segment intra-tegm
- Gip, ganglion inter-pédonculaire. - Ln, locus niger. - NI, noyau
latéral
de la formation réticulée. - NR1, noyau du ruban
yau latéral de la formation réticulée. - NR1, noyau du ruban de Iteil
latéral
. - l'es, pédoncule cérébelleux supérieur; xiPcs
sement supérieur. - PLp, pes lemniscus profond. - RI, ruban de Reil
latéral
. - Orna, ruban de Reil médian. - SgAg, substance
rnekink (coupe P4, Fig. 369, p. 536). Très rapidement, les branches
latérales
ou postérieures du fer à cheval dispa- raissent
arge fais- ceau quadrilatère, compris entre les deux rubans de Reil
latéraux
et qui s'étend d'avant en arrière, du ruban de
diations de la calotte (Haubenstrahlung, Edinger, Flechsig), couche
latérale
du noyau rouge (latérales Mark des rothen Kerns
aubenstrahlung, Edinger, Flechsig), couche latérale du noyau rouge (
latérales
Mark des rothen Kerns, v. ulonahow). Pédoncules
ans, puis en bas, se coudant à angle droil au-dessus du diverticule
latéral
du quatrième ventricule avant de péné- trer dan
tiforme (Crst). A son origine, au voisinage immédiat du diverticule
latéral
du quatrième ventricule, le corps restiforme prés
u bulbe. Le tubercule et les stries acoustiques. - Les diverticules
latéraux
du 4° ventricule. Coupe transversale de la part
flocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fit, faisceau
latéral
du bulbe. fpl, fibres arciformes pré-tri- gémma
flocculus. raphé médian et stries acoustiques. - 1'11'" diverticule
latéral
du 4° ventricule. - SRIR, substance gélatineuse d
grand nombre de ces fibres pénètre dans le hile de l'olive contra-
latérale
; un petit nombre descend le long du raphé et abo
, le long CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 331 du bord
latéral
du quatrième ventricule, de l'olive cérébelleuse
minales. frt, fibres arciformes rétro-trigéminales. - Fil. faisceau
latéral
du bulbe. - l's, faisceau solitaire. - fsr, fibre
- Le, locus ceruleus. - ives, noyau central supérieur. - NI, noyau
latéral
, compris entre le pédoncule cérébelleux supérie
- xiPcs, son large entre-croisement inférieur. - Rl, ruban de Reil
latéral
. - Hum, ruban de Reil médian. - Sage, substance
ieur. - l'es, pédoncule cérébelleux supérieur. - lil, ruban de Reil
latéral
. - rubin de Hei) médian. Sgl'o, substance grise a
urdach CG, cordon de Goll. - Crsl, corps restiforme. - PU, faisceau
latéral
du bulbe. - fil', fibres inter-réticulées du bulb
oyau arqué. - NB, noyau de Burdach. ~NG, noyau de Goll. - Nlla, noyau
latéral
anté- rieur du bulbe. - Nllp, noyau latéral pos
de Goll. - Nlla, noyau latéral anté- rieur du bulbe. - Nllp, noyau
latéral
postérieur du bulbe. - .\'.11, noyau de v. Monako
elle. - CII, cordon de ]3urdach. - CG, cordon de Goll. - Cl, cordon
latéral
de la moelle. - Coa, corne antérieure. Col, corne
Cl, cordon latéral de la moelle. - Coa, corne antérieure. Col, corne
latérale
. - Cop, corne postérieure. - FPyc, faisceau pyr
refoulent en arrière, et forment à la partie postérieure du cordon
latéral
de la moelle le faisceau pyramidal croisé. Un p
eau pyramidal direct. Le faisceau pyramidal fournit enfin au cordon
latéral
du même côté un très petit nombre de fibres, fi
e homola- térale et descendenl dans la partie postérieure du cordon
latéral
de la moelle. Elles présentent dans leur nombre
delà de sa décussation jusque dans la partie supé- rieure du cordon
latéral
de la moelle, où les fascicules sont en outre s
pédonculaire peut être bilatérale (cas Longery et Richard) ou uni-
latérale
(cas Rivaud). Dans les cas que nous avons été à m
nglionnaires avoisinantes; d'autres enfin descendent dans le cordon
latéral
homolatéral de la moelle épinière. Dans la région
les existent, le faisceau externe du pied du pédoncule et le sillon
latéral
de l'istlime (Fig. 377 et 3 iG), se portent en ha
s (fPyhs) contournant l'olive bulbaire et descendant dans le cordon
latéral
homolatéral de la moelle. Elles sont particuliè
antéro-externe du bulbe (Fig. 387), puis descendent dans le cordon
latéral
homolatéral (Fig. 388 et 389) en avant de la co
artie externe du ruban de Reil médian au voisinage du ruban de Reil
latéral
(fascicules latéraux pontiques de Schlesinger),
an de Reil médian au voisinage du ruban de Reil latéral (fascicules
latéraux
pontiques de Schlesinger), les autres pénètrent d
nne et inférieure, la voie pédonculaire abandonne parfois au cordon
latéral
homolatéral de la moelle un petit Fibres aberra
issent au-dessous de l'olive, toutes deux descendent dans le cordon
latéral
de la moelle, soit en arrière de l'olive bulbaire
uperficielles, tout à fait comparables aux fibres pyramidales homo-
latérales
profondes qui décapitent la corne antérieure homo
le coips l1'apézoïde et se continue en partie dans le ruban de Reil
latéral
croisé. Le bulbe possède les fibres arciformes
mons. La colonne nu- cléaire médiane. La colonne nu- cléaire
latérale
. Les deux colonnes de noyaux de nerfs crâni
eux colonnes lon- gitudinales, moniliformes, l'une médiane, l'autre
latérale
. La colonne cellulaire médiane forme, dans le p
e noyau d'origine du nerf grand hypoglosse (XIIe paire). La colonne
latérale
fournit, dans le pédoncule, le noyau d'origine
nge jusque dans la moelle cervicale où il se fusionne avec la corne
latérale
. La colonne externe occupe toute la hauteur de la
e la formation réticulée et de la calotte, au niveau du diverticule
latéral
du quatrième ventricule, en avant et en dehors du
353 les noyaux du corps trapézo'ide el les noyaux du ruban de Reil
latéral
situés sur le trajet de la voie acoustique cent
r (Nr, coupe H 11, Fig. 399) et plus en dehors les noyaux du cordon
latéral
(NI ta, Nltp, coupes H 16, H17,H18,Fig. 370, 40
moelle cervicale supérieure, ils constituent les cornes antérieure et
latérale
de la moelle (coupes H 19 et H 20, Fig. l'e9 à
jumeau antérieur. - Tin : , ruban de Reil médian. RI, ruban de Reil
latéral
. - SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius.
mince et allongée, est comprise entre les rubans de Reil médian et
latéral
et le bord antéro-externe de la commissure de Wer
Reil médian et a été désignée par v. K6111ker sous le nom de noyau
latéral
de la calotte (NI, coupe P2, Fig. 393). Comme l
coupe P2, Fig. 393). Comme le noyau innominé de Bechterew, ce noyau
latéral
de la calolte n'est qu'une dépendance de la forma
pédoncule cérébelleux supérieur est facile il constater et le noyau
latéral
fait défaut en tant que noyau plus ou moins net
Gip, ganglion interpédonculaire. - Le, locus coeruleus. - NI, noyau
latéral
de la for- mation réticulée. - l'cs, pédoncule
sement supérieur. - PLp, pes lemniscus profond. - RI, ruban de Reil
latéral
. - li>a, ruban de Reil médian. - Slt, formatio
antérieur du cervelet. - Vcs, noyau central supérieur. - NI, noyau
latéral
de la formation réticulée. - Pes, pédoncule céréb
ticulée. - Pes, pédoncule cérébelleux supérieur. Ill, ruban de Reil
latéral
. - 7 ! M : , ruban de Reil médian. - SgPo, substa
aux central supérieur et circonflexe. - Les rubans de Ileil médian et
latéral
, le noyau du ruban de Reil latéral et la partie
- Les rubans de Ileil médian et latéral, le noyau du ruban de Reil
latéral
et la partie supérieure du corps trapézoïde. - La
supérieur; Ncs' son seg- ment externe. NUI, noyau du ruban de Reil
latéral
. - l'cnz, pédoncule cérébelleux moyen. -l'cs, p
périeur. - r, raphé avec ses fibres sagittales. - Rl, ruban de Reil
latéral
. - Rm, ruban de Iteil médian. SgPo, noyaux pontiq
a calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fit, faisceau
latéral
du bulbe. - fsmi, fibres semi-circulaires inter
'extrémité supérieure de l'olive bulbaire, au-dessus du diverticule
latéral
du quatrième ventricule. - Méthode de Weigert-Pal
Ilocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fit, faisceau
latéral
du 1)11]be. - FPoa, fibres transversales antéri
leux inférieurs /'Floc, pédoncule du flocculus. - rll ? diverticule
latéral
du 4° ventricule. Il»a, ruban de Reil médian. S
terne s'étire et atteint la périphérie du bulbe au niveau du sillon
latéral
, entre le corps restiforme et l'olive bulbaire.
nales. - frl, fibres arciformes rétro-trigéminales. - Fit, faisceau
latéral
du bulbe. - fpo, fibres pré-olivaires. - Fs, fa
lus ou moins bien délimités, connus sous le nom de noyaux du cordon
latéral
ou de noyaux latéraux du bulbe (N1L) (coupes H
imités, connus sous le nom de noyaux du cordon latéral ou de noyaux
latéraux
du bulbe (N1L) (coupes H 11 à H 17, Fig. 399, 4
rmation réticulée grise, on trouve, en arrière des noyaux du cordon
latéral
et dans toute la hauteur de l'émergence des ner
ro-latéral de LUI moelle. - Crst, corps restiforme. - Flt, faisceau
latéral
du bulbe. - fil', fibres interré- üculées. - Fs
de v. Monakow, ou partie externe du noyau de Burdach. - Vll, noyau
latéral
du bulbe. - Noi, noyau juxta-olivaire interne. -
g), ses fibres longitudinales se continuent avec le cordon antéro--
latéral
(CI) de la moelle, tandis que la masse arrondie d
entrale par le faisceau pyramidal croisé qui se rend dans le cordon
latéral
de la moelle et elle se présente alors sous l'a
dach. CG, cordon de Goll. - Cl, cordon antéro-latéral. - Col, corne
latérale
ou processus reticulares de [Lenhossek. - Cop,
dal croisé el porte le nom de troisième corne de Stilling, de corne
latérale
de Goll, de processus reticulares de Lenhossek (C
u locus niger ; l'externe devient superficiel, apparaît sur la face
latérale
de l'isthme de l'encéphale entre le pédoncule c
couche rubanée, Schleifecasc7viclaG, parlie antérieure du faisceau
latéral
ou intermédiaire du bulbe (Cruveilhier), vorder
de Rcl : Synonymies de la partie inférieure du ruban de Reil.
latéral
(Dejerine); latérale Schleife, lemniscus laterali
s de la partie inférieure du ruban de Reil. latéral (Dejerine);
latérale
Schleife, lemniscus lateralis (h&Ilil : er;;
ralis (h&Ilil : er;; laterale oder untere Schleife ^Bechterew);
latérale
untere Schleife (Obersteiner); latéral fillet tra
ntere Schleife ^Bechterew); latérale untere Schleife (Obersteiner);
latéral
fillet tract (Ferrier et Turner) ; faisceau aco
ls (Forel); ruban du tubercule quadrijumeau postérieur; untere oder
latérale
Schleife (Bechterew) ; latérale (untere) Schleife
uadrijumeau postérieur; untere oder latérale Schleife (Bechterew) ;
latérale
(untere) Schleife (Edinger) ;' Celle qui se ren
le Schleife, et un segment externe, originaire du noyau de Burdach (
latérale
Abtheilung der Flrcuptschleife, segment externe
du ruban principal, Bechterew) et auquel Edinger applique le nom de
latérale
Schleife. Le ruban de Reil reçoit enfin, de la
errantes protubérantielles (Dejerine) ont reçu le nom de fascicules
latéraux
pontiques, latérale pontizxecx Bltitdel (Schlesin
ielles (Dejerine) ont reçu le nom de fascicules latéraux pontiques,
latérale
pontizxecx Bltitdel (Schlesinger). La partie in
livaires, c'est-à-dire avec toutes ces fibres qui forment le faisceau
latéral
ou inter- médiaire du bulbe, et que Cruveilhier
du bulbe, ou faisceau innominé. Aujourd'hui, le terme de faisceau
latéral
du bulbe n'est guère appliqué qu'aux fibres qui
phé bulbaire à celui du côté opposé, appa- raissait sur chaque face
latérale
du bulbe, entre l'olive et le corps restiforme, e
érieure du bulbe et sa continuation en grande partie avec le cordon
latéral
croisé de la moelle, et en petite partie avec le
s le cordon postérieur de la moelle, et admettaient que le faisceau
latéral
ou intermédiaire du bulbe était consti- tué par
supérieur de l'entre-croisement pini- forme (xpin). - Fit, faisceau
latéral
du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - Nab, noyau
antérieur du vague. - Narc, noyau arqué prép3-ramidal. - A7/, noyau
latéral
du bulbe. - Noe, noyau juxta-olivaire externe. -
urdach (NB) (nucleus funiculi cznzeati, resliform nucleus (Clarke),
latérales
hinteres j7ebeiiltoî-ii (Reichert) adhère dans to
ée blanche. C13 cordon de Burdach. cn, cordon de Goll. - Cl, cordon
latéral
. - Coa, corne antérieure. fil', fibres arc[form
ntérieure. fil', fibres arc[formes interréticulées. - Fit, faisceau
latéral
du bulbe. - NB, noyau de Burdach. - NG, noyau d
ntielle et le tronc du trijumeau, qui porte le nom de ruban de Reil
latéral
(RI). Le Ruban de Reil médian (Rm) procède de l
ntal du facial. 518 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ruban do Reil
latéral
. Les libres aber- rantes de la \OIC pédoncu
ber- rantes de la \OIC pédonculaire. Noyaux du ruban de Iteil
latéral
. zoïde (Tr, coupe H5, Fig. 405) qui proviennent
(VIII° paire), et s'entre-croisent dans le raphé. Le Ruban de Reil
latéral
(RI), situé en avant et en dehors de l'olive pr
e plus, et le ruban de Reil médian (Rm) est séparé du ruban de Reil
latéral
(RI) par de petits amas irréguliers de substanc
amas irréguliers de substance grise, situés au voisinage du sillon
latéral
de l'isthme et connus sous le nom de noyaux du
atéral de l'isthme et connus sous le nom de noyaux du ruban de Reil
latéral
(NR1, coupe H2, Fig. 395); ils envoient, en eff
recouvre le pédoncule cérébelleux supérieur (l'cs), atteint la face
latérale
du tronc encéphalique et y forme cette couche d
horizontales de cette région (coupe Hl, Fig. 391), le ruban de Reil
latéral
(RI) apparaît sous forme d'un faisceau triangul
el occupe toute la largeur de la calotte, du raphé médian au sillon
latéral
. CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 57
nt des pédoncules cérébelleux supérieurs (x Pcs). Le ruban de Jteil
latéral
(RI), présente dans cette région un aspect pirifo
10 x, Fig. 392 et Tj.r, Fig. 325 a.; 327),.lorsque le ruban de Reil
latéral
s'est épuisé et que la commissure de Wernekink
ieur se fusionnant en avant avec le noyau réticulé. - Fll, faisceau
latéral
du bulbe entrant plus haut dans la constitution
al du bulbe entrant plus haut dans la constitution du ruban de Reil
latéral
. fsme, fibres semicirculaires externes du cerve
eures du corps trapézoïde (Tr) qui se rendent dans le ruban de Reil
latéral
(111). Dans les régions protubérantielles moyen
. - bru, bran- che verticale de l'arbre de vie médian. - CI, cordon
latéral
. - Cp, cordon postérieur. ' 1 cEp, crête épendy
ne» et postérieures. NCI3, noyau du cordon de Burdach. - Nit, noyau
latéral
du bulbe. - Noe, Noi, noyaux juxta-olivaires ex
e de la coupe, compris entre le cordon postérieur (Cp) et le cordon
latéral
(CI) de la moelle, appartient à la substance gé
IQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 597 FIG. 411. - L'arbre de v ie des parties
latérales
du vermis, la face externe du noyau du toit, la
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. l'olive bulbaire, représente les noyaux
latéraux
du bulbe ou les noyaux des cor- dons latéraux (
représente les noyaux latéraux du bulbe ou les noyaux des cor- dons
latéraux
(Nlt). Coupe S3 (Fig. 411). La coupe S 3 passe
éraux (Nlt). Coupe S3 (Fig. 411). La coupe S 3 passe par lesparties
latérales
du vermis, sectionne la partie externe du noyau
UPES INTÉRESSANT LA RÉGION DE TRANSITION DU CERVELET ET LES PARTIES
LATÉRALES
DU TRONC ENCÉPHALIQUE (Coupes S4 et S5, Fig. 41
'arbre de vie médian (coupe SI, Fig. 408) en arbre de vie des lobes
latéraux
du cervelet (coupe S9, Fig. 417). L'accroisseme
e cervelet, la valvule de Tarin, le nid d'hirondelle. - Les parties
latérales
du tronc encéphalique. Coupe sagittale S 4, de la
es coupes S4 et S5 passent en dehors de la pyramide par la fossette
latérale
du bulbe, de telle sorte que 1' étage antérieur
i), la partie externe de la valvule de Tarin (VT) et le diverticule
latéral
du quatrième ventricule (l'IV.). La coupe S 7 (
s lamelles du flocculus (Floc), la partie antérieure du diverticule
latéral
du quatrième ventricule (rlV4) et le noyau du n
e de la région de transition du cervelet, le pédicule d'inser- tion
latérale
de l'amygdale, le nid d'hirondelle, la valvule de
., plexus cho- roïdes du quatrième ventricule. - 1'1 V" diverticule
latéral
du quatrième ventricule. - scr, grand sillon ci
l'amygdale, le nid d'hirondelle, la valvule de Tarin, le diverticule
latéral
du quatrième ventricule. L'olive cérébelleuse,
a pyramide du vermis. cUv, crête de la luette. - 1'11'" diverticule
latéral
du quatrième ventricule. sef, grand sillon circ
t canal qui relie le diverticule angulaire ou tente, au diverticule
latéral
du 4e ventl'icule (l'IV 4). Dans la substance b
distinctes. Ainsi se trouve donc constitué l'arbre de vie du lobe
latéral
du cervelet, carac- térisé par la disposition r
ntra-diverticulaire, et sert de limite posté- rieure au diverticule
latéral
du quatrième ventricule (l'IV 4); sur la coupe S9
e confond avec le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm); le diverticule
latéral
(rlV4) forme une petite pochette close de toute
blanche centrale, riche r c. '>1 \), - L'arbre de vie des lobes
latéraux
ou de l'hémisphère cérébelleux, l'olive céré- b
ule cérébelleux moyen, le pédoncule des ilocculus et le diverticule
latéral
du quatrième ventricule. - Coupe sagittale S 8
belleuse. - Plein, pédoncule cérébelleux moyen. -1'11 ? diverticule
latéral
du quatrième ven- tricule. - sef, grand sillon
erf auditif, concourant à former la paroi antérieure du diverticule
latéral
du quatrième ventricule ÉTUDE TOPOGR'APHIQUE DU
irection sagittale et qui appar- FiG. 417. - L'arbre de vie du lobe
latéral
du cervelet, le flocculus, l'olive cérébelleuse,
cule cérébelleux moyen. - Plchl"4, plexus choroïdes du diverticule
latéral
(1'lV,) du qua- trième ventricule. - sef, grand
nnexions du cervelet avec le tronc encéphalique. Fig. 418. - Face
latérale
du tronc encéphalique avec lignes de repère indiq
gnent sur la ligne médiane un niveau plus élevé que sur les parties
latérales
, ces fibres protubérantielles ne se trouvent in
oupes P2, P3, P4, (Fig. 420, 421, zu ? ), jus- qu'au delà du sillon
latéral
de l'isthme de l'encéphale. Calotte pédonculair
l. - Gip, ganglion interpédonculaire. - Ln, locus mger. - NI, noyau
latéral
de la calotte pédonculaire. - l'es, pédoncule cér
s lemniscus profond. - Rnz, ruban de Reil médian. RI, ruban de Reil
latéral
. - noyau du ruban de Reil latéral. SgAq, substanc
de Reil médian. RI, ruban de Reil latéral. - noyau du ruban de Reil
latéral
. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius.
Gih, ganglion inter pédonculaire. - Le, locus cteruleus. NI, noyau
latéral
de la calotte protubérantielle. - l'es, pédoncu
sement supérieur. - Plu, pes lemniscus profond. - RI, ruban de Reil
latéral
. - Hm, ruban de Reil médian. SR, formation réticu
udinal postérieur en arrière (Flp), le ruban de Reil médian (Rm) et
latéral
(Rl) en dehors, et par une étroite lame de subs
Rl) en dehors, et par une étroite lame de substance grise, le noyau
latéral
(NI), qui sépare le ruban de Reil du bord con-
ui s'étend du raphé et du ganglion inter-pédonculaire (Gip) au sillon
latéral
de l'isthme de l'encéphale; il s'adosse en avan
ne en arrière avec les fascicules longitudinaux clairsemés du noyau
latéral
(NI). En dehors, le ruban de Reil médian se con
En dehors, le ruban de Reil médian se continue avec le ruban de Reil
latéral
(RI), petit faisceau à surface de section fusif
is- seur quelques amas gris appartenant aux noyaux du ruban de Reil
latéral
(NR1). Le faisceau longitudinal postérieur (Flp
ées parallè- lement à leur axe émergent en arrière du ruban de Reil
latéral
(RI). Coupes P2, P3, P4 (Fig. 420, 421, 422). L
res transversales profondes atteignent par contre presque le sillon
latéral
de l'isthme et dissocient la voie pédonculaire (V
e. - Le, locus coeruleus. Ncs, noyau central supérieur. - NI, noyau
latéral
de la calotte pédonculaire. - Nui, noyau de la tr
r; xiPcs, son grand entre-croisement inférieur. - RI, ruban de Reil
latéral
. -Iim, ruban de Reil médian; les fascicules arron
et com- missure en fer à cheval de Wernekink. - Rl, ruban de Ileil
latéral
. - Rm, ruban de Iteil médian. - Sgl'o, substanc
ntéro-externe de la calotte; un léger étranglement voisin du sillon
latéral
de l'isthme le divise en deux parties : l'une i
pédonculaire ; l'autre, postérieur et superficiel, le ruban de Reil
latéral
(RI), de l'extrémité postérieure duquel se déta
ns (VV). (Coupes P2 et P3). La partie anté- rieure du ruban de Reil
latéral
(RI) est volumineuse et ne contient que des fib
transversales profondes (Strp), on rencontre au voisinage du sillon
latéral
quelques fascicules très dissociés de la voie péd
re antérieur du cervelet. - Nes, noyau central supérieur. NI, noyau
latéral
. - 7'e;) : , pédoncule cérébelleux moyen. - Pes,
moyen. - Pes, pédoncule cérébelleux supérieur. - Rl, ruban de Iteil
latéral
. - Rm, ruban de Reil médian. - SgPo, substance
ncore à une mince mais dense couche de fibres, qui occupe la partie
latérale
de l'étage antérieur et qui est encore sans con
rofondes (Strp), elles atteignent à peine sur cette coupe le sillon
latéral
de la protubérance. Un grand nombre des fibres
(Pcs). Les fibres croisées de ces pédoncules occupent les par- ties
latérales
de la calotte et se présentent sous l'aspect d'un
de Reil médian (Rm) se continue à angle droit avec le ruban de Reil
latéral
(RI) dont les fibres sectionnées très obliquement
. Les fasci- cules foncés de fibres qui recouvrent le ruban de Reil
latéral
(RI) en dehors et occupent le sillon latéral, a
vrent le ruban de Reil latéral (RI) en dehors et occupent le sillon
latéral
, appartiennent au tænia pontis (Tpo) (Voy. trajet
culaire; le corps trapézoïde et sa continuation avec le ruban de Reil
latéral
. - Coupe H 2, perpendiculaire à l'axe longitudi
upérieur. - Ncs', sa partie externe. - NRl, noyau du ruban de Iteil
latéral
. - r, fibres sagittales du raphé. - lil, ruban
teil latéral. - r, fibres sagittales du raphé. - lil, ruban de Reil
latéral
. - Rm, ruban de Reil médian. - Pcm, pédoncule cér
tie externe du ruban de Reil et constitue le noyau du ruban de Reil
latéral
(NR1) . Sur la moitié gauche de la coupe, on vo
orps trapézoïde (Tr) se continuer directement avec le ruban de Reil
latéral
(RI). Le corps trapézoïde (Tr) représente un sy
eau du raphé et se rend dans l'olive supérieure et le ruban de Reil
latéral
du côté opposé. Dans ce trajet il décrit une co
oupe H2 (Fig. 424), on peut le suivre jusque dans le ruban de Iteil
latéral
(RI). Les coupes suivantes (coupes H3 à H7), mont
c le noyau antérieur de l'acoustique (Fig. 426). Le ruban de Reil
latéral
très réduit ne contient que des libres horizontal
usqu'au noyau du ruban de Reil laléral situé au voisinage du sillon
latéral
de la protubérance. Le ruban de Reil médian (Rm
n dedans, et n'atteint plus comme sur la coupe précédente le sillon
latéral
de l'isthme de l'encéphale. On y distingue nett
de la calotte.- FG, faisceau de Gowers; il suit la voie du faisceau
latéral
du bulbe, puis contourne le pédoncule cérébelleux
périeur. - Flp, faisceau lon- gitudinal postérieur. - Fil, faisceau
latéral
du bulbe. - Fo, faisceau oblique de la protu- b
x moyen. Rnz, ruban de Reil médian. - r, raphé. - riV" diverticules
latéraux
du quatrième ventricule. SgPo, substance grise
e, mais elle contient, en outre, des fibres appartenant au faisceau
latéral
du bulbe, en particulier au faisceau de Gowers (F
lément, nouveau, surajouté de cette coupe. Ils occupent les parties
latérales
de la calotte entre le ruban de Reil médian (Rm
e au-dessus des noyaux du trijumeau. Elle intéresse sur les parties
latérales
du 4° ventricule la petite racine motrice descend
oelle, en avant du fais- ceau cérébelleux direct, forme le faisceau
latéral
du bulbe et se place dans la protubérance en de
act d'aspect piriforme de la coupe précédente; il occupe les parois
latérales
du quatrième ventricule (V,J et son extrémité p
facial (VII3); elles peuvent être suivies en dehors jusqu'à l'angle
latéral
du 4° ventricule où elles se coudent à angle obtu
a substance gélatineuse de Rolando (SgR), émergent dans la fossette
latérale
du bulbe. Au niveau de l'angle externe du 4° ve
639 Les pédoncules cérébelleux supérieurs (Pcs) occupent les parois
latérales
du qua- trième ventricule (V,J et présentent le
calotte. - Flp, faisceau lon- gitudinal postérieur. - Fit, faisceau
latéral
du bulbe. fsmi, fibres semi-circulaires internes
du nerf vestibulaire se termine dans la substance grise de l'angle
latéral
du 4e ventricule; une petite partie enfin se coud
(fsme) forment en avant un large faisceau en con- Fie. 431. - Face
latérale
du rhombencéphale avec lignes de repérage des sér
nvexe et correspond à la substance blanche de la lingula. Les faces
latérales
sont convexes et font saillie dans la cavité ve
, ses 654 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. diverticules angulaire et
latéraux
. Coupe horizontale C 6 du rhombencéphale sec- t
- Oc, olive cérébelleuse. - l'lclz, plexus choroïde du diverticule
latéral
du quatrième ventricule. -l'1% loc, pédoncule du
ventricule. -l'1% loc, pédoncule du flocculus. - "1 V" diverticule
latéral
du quatrième ventricule. - sef, grand sillon circ
e intéresse la partie supérieure du bulbe rachidien, le diverticule
latéral
du quatrième ventricule (rlV4), le nid d'hirond
r un canal étroit et mince qui conduit en avant dans le diverticule
latéral
du quatrième ventricule (rlV;). Il résulte de c
st pas de même à gauche, où la coupe passe au-dessus du diverticule
latéral
du quatrième ventricule, et où le corps restiform
s- versales du pont et l'affleurement de la calotte sur les parties
latérales
du bulbe; 2° par la fusion de la calotte, ou ét
Coupe H 8 (Fig. 438). Cette coupe passe au-dessus des diverticules
latéraux
du quatrième ventricule et de la partie supérieur
térieures (Py) et le sillon bulbo- protubérantiel. Les extrémités
latérales
du bulbe sont encore adhérentes a ]a substance bl
trale du cervelet, la coupe passe en eflet au-dessus des diverticules
latéraux
du quatrième ventricule. Toutefois, à droite, l
bulbo-protubérantielle, immédiate- ment au-dessus des diverticules
latéraux
du quatrième ventricule. Le corps resti- TOMEM.
flocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Flt, faisceau
latéral
du bulbe. - FPoa, fibres trans- versales antéri
pédoncule cérébelleux inférieur. - ·LT ? embouchure du diverticule
latéral
du quatrième ventricule. - Rm, ruban de Reil médi
borgne inférieur ou bulbo- protubérantiel (tb), et sur les parties
latérales
le sillon bulbo-protubéranliel (bp), dans l'esp
erf vestibulaire (VIIIv) dont les fibres pénètrent dans les parties
latérales
du bulbe, passent entre le pédoncule cérébelleux
e; noyau postérieur de l'acoustique, (NVIIIV) situé sur les parties
latérales
du plancher du quatrième ventricule, en arrière
nses et nom- breuses, et constituent dans leur ensemble le faisceau
latéral
du bulbe (Flt), fais- ceau complexe et mal déli
ruban de Reil médian (Voy. coups H7, Fig. 430, p. 640). Le faisceau
latéral
du bulbe (Fit) est formé en grande partie par u
n protubérantielle, il est renforcé par des fibres du ruban de Reil
latéral
et par quelques fibres du ruban de Reil médian. D
e du flocculus (PFloc) qui le recouvrent en arrière jusqu'à l'angle
latéral
du quatrième ventricule. Le corps restiforme prés
e sensitive descendante du IJ'1j'umeau(Vsd), traversent le faisceau
latéral
du bulbe *FIL) et le faisceau central de la calot
férieur, en'dehors du nerf vestibulaire et au-dessus du diverticule
latéral
du quatrième ventricule. La moitié ÉTUDE T0P0GR
nfiniment plus petite, qui correspond à l'embouchure du diverticule
latéral
du quatrième ventricule (ri V J Ces deux parties
intéresse la partie supérieure du bulbe au niveau des diverticules
latéraux
du quatrième vezatriczcle(rIVF) ; elle sectionn
'au voisinage de la périphérie du bulbe, où ils forment le faisceau
latéral
du bulbe (Fit). La formation réticulée blanche (S
contient en outre des fibres en connexion avec les cordons antéro-
latéraux
de la moelle; que la couche inte1'J'éticlllée con
éticlllée con- tient surtout des fibres en connexion avec le cordon
latéral
de la moelle, fibres qui se terminent dans le n
FIG. 439. - La région bulbaire supérieure au niveau des diverticules
latéraux
du qua- trième ventricule.-Le corps restiforme
flocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fil, faisceau
latéral
du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - Mo, membr
ulbe s'étalant au-devant de l'olive. - r, raphé. - 1'11'" diverticule
latéral
du quatrième ventricule. - SgR, substance gélat
nerf glosso-pharyngien. motion réticulée grise (SRg) et le faisceau
latéral
du bulbe (Fit). Elles se réunissent ensuite en
fecte un tra- jet ascendant et peut être suivie jusqu'à la fossette
latérale
du quatrième ven- tricule, au voisinage du locu
uxta- restiforme. La coupe H 9 intéresse encore les dive2licitles
latéraux
du quatrième ventricule La strie acoustique (st
la cavité ventriculaire com- munique largement avec le diverticule
latéral
(rlV;). Large à son embouchure, celui-ci se réd
pe H 10 (Fig. 1110). -Cette coupe passe au-dessous des diverticules
latéraux
du quatrième ventricule et du tubercule acoustiqu
L c. 440. - La région bulbaire supérieure au-dessous des diverticules
latéraux
du qua- trième ventricule. Le corps restiforme,
ales. - frt, fibres arciformes rétrotrigé- minales. - Fit, faisceau
latéral
du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - fsr, fibres
- séminales. - fpo, fibres arciformes préolivaires. - Fit, faisceau
latéral
du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - 1\'a6, no
intéresse la partie inférieure du corps restiforme (Crst), le noyau
latéral
du bulbe (net), les troncs radiculaires des ner
à la translation d'un certain nombre de ses fibres sur les parties
latérales
du bulbe. Ces fibres se détachent de l'extrémité
e des- cendante sensitive du trijumeau, puis atteignent le faisceau
latéral
du bulbe dans lequel elles s'incorporent. Elles
qui, né des cellules de la colonne de Clarke, occupe la périphérie
latérale
de lamoelle, arrive au cervelet par la voie du co
leux direct de Flechsig. La formation réticulée grise et les noyaux
latéraux
du bulbe. - Coupe transversale H 12 du bulbe pass
age extra-olivaire. - fio, feutrage intra-olivaire. - Fit, faisceau
latéral
du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - Narc, noyau
du corps restiforme. - Nfl, noyau du funiculus teres. - Nlt, noyaux
latéraux
du bulbe. - Noe, noyaux juxta-olivaire externes
crus, se réunissent en un amas irrégulier et polymorphe, les noyaux
latéraux
du bulbe. Sur la coupe H 12, ils forment une ma
petits amas allongés et indépendants, situés en dedans du faisceau
latéral
du bulbe (Fit), et entourée par des fibres arci-
res arciformes superficielles péri pyramidales (fas) et le faisceau
latéral
du bulbe (Fit); les autres se joignent aux fibres
- térieurs de la moelle, la formation réticulée grise et les noyaux
latéraux
du bulbe. - Coupe transversale H13 passant par
iculées formant l'en- tre-croisement piniforme du bulbe. ? faisceau
latéral
du bulbe. -Ts, faisceau solitaire. Nab, noyau a
des pyramides. NCp, noyaux des cordons pos- térieurs. - Nlt, noyau
latéral
du bulbe. - Noe, Noi, noyaux juxta-olivaires exte
nerf grand hypoglosse. ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 67J
latéral
du bulbe (nid) et l'olive bulbaire (Oi), ou conto
ieurs (Cp), la racine descendante du trijumeau (Vsd) et le faisceau
latéral
du bulbe (Fit), et s'effile en avant pour se co
toxylinique; elle se continue plus bas avec la périphérie du cordon
latéral
de la moelle, com- FIG. 44 - La région bulbaire
u bulbe. Les for- mations réticulées blanche et grise et les noyaux
latéraux
du bulbe; l'olive bulbaire et le noyau.juxta-ol
rs et concourant il l'en- (re-croisement piniforme. - Fil, faisceau
latéral
du bulbe. Fs. faisceau solitaire. Narc, noyau a
noyau arqué. - 'Cp..\'cp, noyaux des cordons postérieurs. Nil, noyau
latéral
du bulbe. - non, noyau juxta-olivaire interne.
face externe de la pyramide; sur la coupe H 16, il occupe le sillon
latéral
de la pyramide; sur la coupe H 18 (Fig. 448), il
juxta-olivaire interne.-La formation réticulée grise et les noyaux
latéraux
du bulbe. - Coupe transversale H 15 passant par l
olivaires. - fil', fibres arciformes intcrréticulées. - Fit, faisceau
latéral
du bulbe - Fs, faisceau solitaire. - Varc, noya
rc, noyau arqué. - sCp, noyaux des cordons postérieurs. Alla, noyau
latéral
antérieur du bulbe. - Slip. noyau laléral postéri
ration plus grande de substance grise permet de distinguer un noyau
latéral
poslérieur (Nltp) et un noyau laléncal anlé°ieu (
au du cordon de Burdach. NG, noyau du cordon de Gull. - Alla, noyau
latéral
antérieur du bulbe. - Nltp, noyau latéral posté
on de Gull. - Alla, noyau latéral antérieur du bulbe. - Nltp, noyau
latéral
postérieur du bulbe. Noi, noyau juxta-olivaire in
le nom d'entre-croisement piniforme qui lui est donné. Des bords
latéraux
de l'entre-croisement piniforme se détachent de n
formation réticulée et sont particulièrement denses à la périphérie
latérale
du bulbe. On trouve néanmoins, toujours dans cett
délimités, et que l'on rat- tache en général aux noyaux des cordons
latéraux
(Nlt). A la périphérie latérale du bulbe, en av
e en général aux noyaux des cordons latéraux (Nlt). A la périphérie
latérale
du bulbe, en avant de la grosse racine sensitive
rs et le faisceau cérébelleux direct de Flechsig, forme le faisceau
latéral
du bulbe (Fit) et se continue avec le cordon lulé
ero-latéral de la moelle. - Crst, corps restiforme. - Fil, faisceau
latéral
du bulbe. - fil', fibres arciformes interre- ti
oyau du cordon de Burdach. - NG, noyau du cordon de Goll.-Nll,noyau
latéral
du bulbe. - NM, noyau de Monakow. Noi, noyau juxl
intensivement colorés par la laque héma- toxylinique : le faisceau
latéral
du bulbe en avant, le cordon postérieur de la m
lle. - CIS, cordon de Burdach. - CG, cordon de Goll. - - Ci, cordon
latéral
du bulbe. - Coa, corne antérieure de la moelle. -
ntre-croisement piniforme ou sensitif du bulbe (xpin). - FU, faisceau
latéral
du bulbe. - NB, noyau du cordon de I ! urdarh.
upes H19 et H20, elles traversent la partie postérieure de la corne
latérale
(Col) en avant de la base de la corne postérieu
s la partie externe de la formation réticulée, puis occuper le cordon
latéral
(Cl) de la moelle épinière. Dans ce trajet elle
t la translation du faisceau pyramidal croisé (FPyc) dans le cordon
latéral
(Cl) de la moelle, s'effectue par gros fascicules
ceau pyramidal (FPyc) n'a pas encore atteint complètement le cordon
latéral
(Cl) de la moelle, et la corne antérieure est r
lus ou moins déchiquetée, correspondant au bord externe de la corne
latérale
(Col) de la figure H20 (Fig. 4.0). La coupe H
antéro-latéral du bulbe. Coa, corne antérieure décapitée.- Col, corne
latérale
. - Col, corne postérieure. - FPyc, faisceau pyr
sont plus épaisses à droite qu'à gauche. Sur cette coupe, la corne
latérale
(processus reticulares) presque disparu, ou n'e
dinale et ne se distinguent des autres libres constitutives du cordon
latéral
de la moelle, que par les travées névrogliques
se d'insertion delà corne antérieure et la partie moyenne du cordon
latéral
(CI). Il ne faut pas, en effet, considérer comm
quel forme une lame étroite et aplatie transversalement. Les angles
latéraux
du triangle sont coiffés par les cornes pos- té
substance grise. Le faisceau pyramidal croisé en occupant le cordon
latéral
refoule en arrière la corne postérieure et son co
a corne pos- térieure augmente ainsi d'autant la surface du cordon
Latéral
(CI). Les cordons de la moelle ainsi constitués
central ou cylindre-axile qui se détache de la base ou des parties
latérales
du corps cellulaire, traverse la couche rouillé
ne crête de circonvolution.- cy, son cylindre-axe avec implantation
latérale
. - coll, ses co l- latérales récurrentes. - ce,
y, son cylindre-axe avec implantation latérale. - coll, ses co l-
latérales
récurrentes. - ce, cellule empanachée de la couch
nnée de fibres obliques ou arquées qui se réfléchissent sur la face
latérale
de la lamelle voisine, et représentent de vérit
iveau du fond du sillon interlamcllaire, pour se porter sur la face
latérale
de la lamelle voisine : elles constituent les fib
l'étroit canal qui relie le quatrième ventricule à son diverticule
latéral
(Fig. aï el 439); il se trouve intéressé sur to
à peu le feutrage intraciliaire en dehors et l'éloignent des parois
latérales
du quatrième ventricule. (Coupes C2, C3, C4, Fi
ibres dugroupe inlerne (fsmi Fig. 463), plus rapprochées des parois
latérales
du quatrième ventricule, sont situées en dedans d
mygdale, le nid d'hirondelle, la valvule de Tarin et le diverticule
latéral
du quatrième ventricule. - Méthode de Weigert-P
pyramide du vermis. - cUo, crête de la luette. - ravi, diverticule
latéral
du 4° ventricule. - sef, grand sillon circonfér
fig. i ) une dépression dirigée d'avant en arrière, et une dépression
latérale
(fig. 2) qui est comme un rudiment de la scissure
à la longueur du cerveau, la seconde est perpendiculaire. Les parties
latérales
du cervelet, celles qui correspondent au n. 2 du
ffère de celle des cerveaux précédens; elle présente un élargissement
latéral
plus considérable que chez aucun autre animal. A
divisé en trois parties. 1. Lobe médian ou ver supérieur. a. Lobe
latéral
, ici peu volumineux, plus grand chez le castor,
Cervelet.— i. Lobe médian, le plus considérable de tous. i. Lobe
latéral
, celui qui correspond à la partie la plus volumin
e large circonvolution déprimée en plusieurs endroits, puis un sillon
latéral
parallèle au premier : les autres sillons sont re
nt sur le cerveau de l'homme, de l'éléphant et du singe. Fig. 2. Face
latérale
de l'encéphale du même animal. S. Une ligne pon
calleux. 1. Partie moyenne du cervelet; ver supérieur. 2. Partie
latérale
. 3. Flocons ou partie latérale externe. Les l
cervelet; ver supérieur. 2. Partie latérale. 3. Flocons ou partie
latérale
externe. Les lettres e, 0, p, etc., désignent l
s symétriques par un sillon médian; puis le cervelet dont les parties
latérales
sont un peu plus larges que dans la famille des r
irconvolutions ondulées , et au nombre de trois seulement,sur la face
latérale
externe, au lieu de quatre qui existent chez les
par laquelle le troisième ventricule communique avec les ventricules
latéraux
. c. o. Section de la commissure molle, commissu
lobe ethmoïdal, communiquant avec la partie antérieure du ventricule
latéral
: une sorte de rainure située en arrière du ventr
Scissure de Sylvius, dirigée obliquement en arrière. si. si. Sillon
latéral
complet, séparant comme chez les herbivores ( rum
ère de la scissure de Sylvius. 1. Lobe moyen du cervelet. 2. Lobe
latéral
du même organe. Fig. 2. Encéphale du même anima
e lobe médian ( i ) du cervelet est très petit en comparaison du lobe
latéral
^) qui a un développement énorme ; le lobe externe
rne (3, Fig,3j est très peu considérable et retiré au-dessous du lobe
latéral
. Fig. 2. Face interne du lobe droit du cerveau.
vec le prolongement de la circonvolution interne. (Fig. 5). 2. Lobe
latéral
du cervelet, dont le lobe moyen se voit en partie
ous ce rapport, dans le même cas que l'enfant. BONNE ADULTE. — FACE
LATÉRALE
EXTERNE DE S/ENCÉPHALE. — CIRCONVOLUTIONS DE L'
TERNE DE S/ENCÉPHALE. — CIRCONVOLUTIONS DE L'INSULA. Fig. \. Face
latérale
droite de l'encéphale d'un homme adulte; la moiti
ue. S. P. Spinal, C. V. Cervelet. L. S. Lobes supérieurs. L. L. Lobes
latéraux
. T. Touffes. N. A, Nerfs auditifs. N. F. Nerf fac
iane du cervelet. Fig. 2. Développement de l'ensemble du ventricule
latéral
droit. fr. Extrémité frontale de l'hémisphère d
VL., VL., VL., Paroi supérieure de l'étage supérieur du ventricule
latéral
. C. A. Cavité ancyroïde ou prolongement du même
longement du même ventricule. V. S. Corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. C. A. H. Corne d'Ammon ou pied d'hippocampe.
ito sphénoïdal, est très-remarquable sur cette figure. iig. 2. Face
latérale
interne de l'hémisphère droit d'un enfant. Le c
ricule. CHARRUAS ADULTE. FACE INFÉRIEURE DU CERVEAU. — ENFANT. FACE
LATÉRALE
INTERNE DE L'UNE DES MOITIÉS DE L'ENCÉPHALE.
b. Tubercules quadrijumeaux postérieurs. c. Faisceau triangulaire
latéral
de l'isthme (Gru- veilhier), ou Ruban. (Reil.)
jutuust. g. Paroi antérieure du quatrième ventricule. h. Valvules
latérales
du quatrième ventricule très- épaisses chez l'e
. t. Tubercule cendré de Rolande y. Funicule accessoire du faisceau
latéral
de la moelle. k. Son expansion autour des corps
des corps restiformes. I. Olive. m. Pyramide antérieure. n. Sillon
latéral
postérieur. Fig. 5. Face antérieure de la même
. Sillon médian antérieur. b. Sillon médian postérieur. c. Sillon
latéral
postérieur. d. Points d'où émergent les racines
e la moelle. /. Cordons disséminés sur la tête centrale du faisceau
latéral
. g. Cornes postérieures des axes gris de la moe
. Sillon médian antérieur. b. Sillon médian postérieur. c. Sillon
latéral
postérieur. d. d. Amas gris symétriques que j'a
. Sillon médian antérieur. á. Sillon médian postérieur. c. Sillon
latéral
postérieur et racines postérieures des nerfs sp
veau du Papion (Cynoceplialus spliynx), grossi. à. Faisceau antéro «
latéral
. á. Pyramide antérieure du côté gauche. b'. P
Cordons médians postérieurs. //. Renflements mamelonnés. c. Corne
latérale
du quatrième ventricule constituant une gouttière
ule intermédiaire avec cette dilatation intermédiaire aux ventricules
latéraux
, que nous avons désignée sous le nom de vestibule
terne. r. Extrémité antérieure des cornes frontales des ventricules
latéraux
séparées Lune de l'autre par le septum lucidura,
eure du corps calleux recouvrant les cornes frontales des ventricules
latéraux
. c.c. Cornes occipitales des ventricules latéra
s des ventricules latéraux. c.c. Cornes occipitales des ventricules
latéraux
recouvertes par certaines expansions des fibres p
eur. á. Pvramide antérieure. c. Olive. d. Expansion du faisceau
latéral
qui se porte vers le corps restiforme et le rec
Tubercule quad ri jumeau antérieur gauche. /. Faisceau triangulaire
latéral
de l'isthme (Cru-veilher). Ruban, (Reil). Faiscea
b. Pyramide antérieure. c. Protubérauce. d. Expansion du faisceau
latéral
qui recouvre les corps restiformes. e. Cinqui
corps restiformes. e. Cinquième paire. /', Faisceau triangulaire
latéral
de l'isthme. g. Tubercule quadrijumeau postérieur
. Faisceaux antérieurs de la protubérance. f. Faisceau triangulaire
latéral
de l'isthme. g. Pédoncule supérieur du cervelet
atus). a. Bulbe. a'a'. Fibres delà face postérieure des faisceaux
latéraux
qui se portent en avant et en bas dans le raphé d
es corticales la membrane propre de la cavité ancyroïde du ventricule
latéral
. c.c.c. Corps calleux. d. Pilier droit de la
ieur de l'hémisphère au-dessus de la corne occipitale du ventricule
latéral
, ce'. Division delà branche descendante du corps
rieur de l'hémisphère au-dessous de la corne occipitale du ventricule
latéral
Entre cette branche et la précédente, se voit béa
ensemble de la cavité ancyroïde et de l'étage inférieur du ventricule
latéral
, cette figure permet d'apprécier l'énorme étendue
met d'apprécier l'énorme étendue de la corne occipitale du ventricule
latéral
dans les singes. c.c.c. Corps calleux, c". Sa b
us particulièrement dans la région de P étage inférieur du ventricule
latéral
. Fig. 4. Cette préparation est une modification
ace inférieure du cerveau d'un Papion. A droite l'étage du ventricule
latéral
a été ouvert, pour STRUCTURE DU CERVEAU DU PAPI
r les rapports du nerf optique avec ce ventricule. A gauche le vermis
latéral
du cervelet a été détaché pour mettre en évidence
ouillé interne. v. Lobule auriculaire. x. Repli interne du vermis
latéral
. y. Repli externe du môme vermis. z. Corps du
is latéral. y. Repli externe du môme vermis. z. Corps du cervelet
latéral
. à. Vermis latéral gauche détaché et rabattu.
i externe du môme vermis. z. Corps du cervelet latéral. à. Vermis
latéral
gauche détaché et rabattu. á. Gouttière qui log
he détaché et rabattu. á. Gouttière qui logeait la racine du vermis
latéral
, y. Plis et feuilles du lobe latéral en relation
qui logeait la racine du vermis latéral, y. Plis et feuilles du lobe
latéral
en relation avec les fibres du pont de Varole.
re, mise à découvert par la coupe qui a été pratiquée. L Ventricule
latéral
. k. Lame droite du septum avec ses deux feuille
semi-lunaire commençant la série des lo- bules du corps du cervelet
latéral
. d. Amygdales. e. Touffe. f. Section des pé
Le plan superficiel de la protubérance a été enlevé avec le cervelet
latéral
, pour montrer la relation de ses plans profonds a
ent le corps du cervelet médian. d. Appendice auriculaire du vermis
latéral
. d\ Masse du vermis latéral. e. Bulbe. Pédoncul
ian. d. Appendice auriculaire du vermis latéral. d\ Masse du vermis
latéral
. e. Bulbe. Pédoncule cérébral. Fig. 6. Même c
oyau désigné en c'. F. Terminaison du corps restiforme dans le vermis
latéral
. e. Pédoncule supérieur du cervelet. c. Fibre
Fibres de ce pédoncule embrassant l'olive du cervelet. d. Vermis
latéral
. Fig. 7. Même cervelet. Le corps restiforme a é
me dans le cervelet moven. b\ Leurs prolongements dans le ver mis
latéral
. c. Pédoncule supérieur du cervelet. c\ Fibre
bres de ce pédoncule qui enveloppent l'olive du cervelet. d. Vermis
latéral
. Fig. 8. Cervelet d'un fœtus humain d'environ d
ées, t. II, p. 239. a. Vermis médian chargé de plis. b. Cervelets
latéraux
encore absolument lisses. c. Amygdales. d. La
d. Lame qui unit à la touffe la luette du vermis médian. e. Lobes
latéraux
des plexus choroïdes du qua- trième ventricule.
a. Corps du cervelet moyen chargé de plis. b. Corps des cervelets
latéraux
, encore lisses à cette époque. .Amygdale. d.
Belzébuth. a. Cervelet médian et son vermis. b. Corps du cervelet
latéral
. c. Branche antérieure du vermis latéral. d.
is. b. Corps du cervelet latéral. c. Branche antérieure du vermis
latéral
. d. Sa branche externe portant un énorme lobule
iatusj. a. Cervelet médian. a. Son vermis. h. Corps du cervelet
latéral
. c et d. Son vermis. e. Lobule auriculaire.
Corps du cervelet médian, moins épais que son vermis. á. Cervelet
latéral
. c. Son vermis. Fig. 48. Profil du même cervele
'un Éléphant d'Afrique. a. Vermis moyen très-réduit. b. Cervelets
latéraux
énormes et chargés de plis. Fig. 20. Cervelet d
antero-supérieur. b. Lobe postero-supérieur. c. Corps du cervelet
latéral
. d et d\ Vermis latéraux. Fig. 24. Même cervele
obe postero-supérieur. c. Corps du cervelet latéral. d et d\ Vermis
latéraux
. Fig. 24. Même cervelet. Face postérieure vue d
re vue d'en bas. a. a\ Vermis médian énorme. b. Corps du cervelet
latéral
très-réduit. c. Vermis latéral. Cette planche
édian énorme. b. Corps du cervelet latéral très-réduit. c. Vermis
latéral
. Cette planche représente le développement du c
donné par M. le I)1 J. Lemaire: cerveau vu en arrière. C. C. Lobes
latéraux
du cervelet séparés par une dépression médiane et
époque, mais toutefois n'offrant aucune trace de Trapèze. C. Lobes
latéraux
du cervelet déjà assez renflés, mais complèteme
dans par une lame blanche sur laquelle apparaîtra plus tard le vermis
latéral
. P. C. Pédoncules cérébraux dans l'intervalle d
-noïdaL Fig. 5. Profil du même cerveau. B. Bulbe. C. Grand lobe
latéral
du cervelet. L. 0. Lobes optiques. C. P. Masse
. Ouverture du quatrième ventricule, déjà fort rétrécie. C. Parties
latérales
du cervelet, séparées par un sillon médian où n
ce de vermis. L, 0. Lobes optiques nettement séparés en deux masses
latérales
par un sillon médian. H. G. Hémisphères cérébraux
ides et les olives sont fort apparentes. OL. Olives. P. CH. Lobes
latéraux
des plexus choroïdes du quatrième ventricule. C
latéraux des plexus choroïdes du quatrième ventricule. C. Cervelet
latéral
, encore entièrement lisse. L. A. Vermis latéral,
ntricule. C. Cervelet latéral, encore entièrement lisse. L. A. Vermis
latéral
, rudimentaire. P. V. Pont de Varole, parfaitement
cipitale. Fig. 8. Profil du même cerveau. B. Bulbe. C. Cervelet
latéral
, parfaitement lisse. C. M. Cervelet moyen, déjà
ent lisse. C. M. Cervelet moyen, déjà couvert de plis. L. A. Vermis
latéral
. P. V. Pont de Varole. L. 0. Lobes optiques déj
(donné par M. de Lintilhiac). B. Bulbe. OL. Olive. L. A. Vermis
latéral
. C. M. Cervelet moyen déjà riche en plis. C.
latéral. C. M. Cervelet moyen déjà riche en plis. C. L. Cervelet
latéral
sur lequel apparaissent de gros plis bien disti
de Varole. P. C. Pédoncule cérébral. N. 0. Nerf optique. CL. Cervelet
latéral
. C. A. Cervelet antérieur. L. C. Lobe central. SC
re transverse. SC. S. Scissure de Sylvius. B. Bulbe. CL. Cervelet
latéral
. T. Touffe. P. V. Pont de Varole. P. C. Pédoncu
ion de la scissure parallèle. B. Bulbe. OL. Olive. CL. Cervelet
latéral
. T. Touffe. Fig. 5. Face supérieure du même c
Fig. 5. Même cerveau dans lequel la cavité vési-culaire du ventricule
latéral
a été mise à découvert par l'ablation de sa paroi
bulum. C. S. Corps strié très-grêle à cette époque. V. Ventricule
latéral
que remplissait un plexus choroïde énorme. Des pl
calleux. Fig. 7. Même cerveau dans lequel l'ensemble du ventricule
latéral
a été mis à découvert. C. Cervelet. L. OP. Lo
lie. C. S. Corps strié. -H + + Plis de la paroi grise du ventricule
latéral
. Les figures suivantes représentent quelques po
eaux offrant une large dilatation. V. Etage inférieur du ventricule
latéral
; N. OP. Nerf optique. C. Cervelet. L. 0. Lobe o
au d'un enfant à terme. B. Bulbe. OL. Olive. C. Masse du cervelet
latéral
. G'. Cervelet moyen. C". Touffe. P. V. Pont d
postérieur se prolongeant vers le cerveau. L. L. Masse du cervelet
latéral
. A. V. Arbre de vie. L. OP. Lobes optiques.
. N. OP. Nerfs optiques. L. OL. Lobes olfactifs. C. L. Cervelet
latéral
. C M. Cervelet moyen. V. M. Vermis moyen. T
ux est complet. Fig. 4. Face supérieure. C. Bulbe. C. G. Cervelet
latéral
gauche engagé entre les deux hémisphères. CD. C
elet latéral gauche engagé entre les deux hémisphères. CD. Cervelet
latéral
droit. V. Vermis. L. 0., L. 0., L. 0., Lobes oc
rveau. B. Bulbe. 0. Olive. P. V. Pont de Varole. C. G. Cervelet
latéral
gauche. SC C. Grande scissure médiane du cervea
i-quement faites dans les trois ordres de plans (1). Sur une moitié
latérale
de l'encéphale, qu'on vient d'extraire du crâne,
se con-fondent avec le réseau des petites cellules, ceux des parties
latérales
se rendent d'une cellule à une autre et forment a
ents à l'extrémité de leur grand axe, ainsi qu'à l'extrémité de l'axe
latéral
. Elles sont dis-posées verticalement sur le somme
n. Sa face supérieure, convexe, constitue le plancher des ventricules
latéraux
; elle présente en avant une saillie oblongue, déc
urface supérieure concourt à la formation du plancher des ventricules
latéraux
(Pl. XVI, 5). Cette masse grise volumineuse est
de fibres interceptent un espace désigné sous les noms de ventricules
latéraux
, de corne occipitale, as corne sphénoïdale. Le li
cervelet a la forme d'un segment d'ellipsoïde, composé de deux lobes
latéraux
réunis l'un à l'autre par un petit lobe médian et
goulot, tournée en avant, en haut et en dedans, correspond aux angles
latéraux
du quatrième ven-tricule. Cette membrane est co
celles des régions inférieures se portent en haut, celles des régions
latérales
vont vers le centre ; toutes ces fibres s'incline
férieurs, constituent un faisceau, nettement distinct sur les parties
latérales
et anté-rieures du cervelet, qui se dirige transv
nt leur situation, par la dénomination de cordons antérieurs, cordons
latéraux
, cordons postérieurs et séparés les uns des autre
cordons antérieurs s'infléchissent en arrière et en haut; les cordons
latéraux
se portent en partie en avant et en dedans. Dans
t rejetée en dehors, atteint même la région superficielle des parties
latérales
du bulbe où elle apparaît sous l'aspect d'une tac
tineuse qui fait suite au tubercule cendré de Rolando, dans la partie
latérale
externe du bulbe, entre l'olive bulbaire et les r
grise qui s'étend du noyau postérieur de l'hypoglosse sur les parties
latérales
du bulbe, en arrière du noyau juxta-olivaire exte
du noyau antéro-latéral des nerfs mixtes. A la partie antérieure et
latérale
du bulbe, trois ou quatre îlots isolés et accolés
ment une petite colonne grise, nettement circonscrite sur les parties
latérales
de l'angle inférieur du plancher du quatrième ven
tance grise qui entoure l'aqueduc de Sylvius renferme, vers ses bords
latéraux
, des cellules disséminées sur un long espace en p
ermine en avant et au-dessus par deux lamelles étalées sur les parois
latérales
du septum lucidum. Le tuber cinereum renferme d
lucidum. Le tuber cinereum renferme de chaque côté sur ses parties
latérales
, au-dessus de la bandelette optique, un noyau con
s'implante par une racine très volumineuse, à chacun de ses angles
latéraux
et pos-térieurs. Cette disposition du cerveau de
otal. § 1. Entre-croisement des cordons de la moelle. — Les cordons
latéraux
de la moelle s'entre-croisent sur la ligne médian
l'autre au niveau du collet du bulbe pour livrer passage aux cordons
latéraux
. Ils se dirigent en arrière et en haut, s'infléch
jet ascendant en arrière de l'olive bulbaire, sous le nom de faisceau
latéral
du bulbe, demeure juxtaposée au tubercule cendré
ite obliquement en haut et en dehors, et se fusionne avec les parties
latérales
internes du pédoncule cérébelleux inférieur. Burd
ige vers les éléments cellulaires qui lui sont propres. Les cordons
latéraux
de la moelle, portion motrice des pyramides, se p
et en dehors, atteint le centre médullaire et va aboutir aux régions
latérales
et postérieures du lobe frontal. Ce faisceau met
la moelle. Ils le considèrent comme un faisceau moteur. Le faisceau
latéral
du bulbe, faisceau intermédiaire, improprement dé
ibres cérébelleuses moyennes se dissocient en atteignant les parois
latérales
de la protubérance. Une partie s'étale sous forme
e. Fig. IV. — Formation du chiasma des fibres optiques. a. Fibres
latérales
, directes, se portant d'une bandelette optique da
ostérieure, séparée de sa base et déjetée latéralement. f. Faisceau
latéral
du bulbe. g. Corne antérieure séparée de sa bas
du grand noyau pyramidal de Stilling. /. Entre-croisement des cordons
latéraux
. m. Formation réticulée de Deiters, due au passag
ue côté du raphé et en arrière de la portion sensitive. p. Fossette
latérale
du bulbe, par laquelle émergent les racines des n
protubérance occipitale au pressoir d Hérophile, confluent des sinus
latéraux
et du sinus longitudinal supérieur; la faux du ce
a faux du cerveau contient par conséquent trois sinus. Ses deux faces
latérales
sont lisses, planes et en rapport avec la face in
orifice cartilagineux de la trompe d'Eustache, qui en occupe la paroi
latérale
, est situé à 7 centimètres de l'ouverture antérie
ppuie sur latente du cervelet, tendue horizontalement de la gouttière
latérale
de l'occipital aux bords supérieurs des rochers d
rochers des os temporaux ; elle loge dans son dédoublement les sinus
latéraux
et pétreux supérieurs, en avant elle entoure la p
avec la gouttière basilaire le trou ovale de Pacchioni. Les parties
latérales
de chaque hémisphère sont convexes et recouvertes
eures en arrière. 16. — Coupe du lobe médian du cervelet. Les lobes
latéraux
du cervelet occupent la cavité des fosses occipit
la protubérance annulaire et le bulbe rachidien (15). II. — Moitié
latérale
gauche de F Encéphale enlevée de la cavité crânie
llosi. Au-dessous du corps calleux apparaît la cavité des ventricules
latéraux
et la coupe du pilier posté-rieur du trigone. 5
la face supérieure de la couche optique, le plancher des ventricules
latéraux
. Sur ce noyau apparaît la section de la commissur
llosi, s'étend comme une voûte au-dessus de la cavité des ventricules
latéraux
, en embras-sant dans sa concavité les noyaux opto
s commissurantes, corps calleux, recouvrant la cavité des ventricules
latéraux
. Le bourrelet est adhérent avec le pilier postéri
ur la portion du corps calleux qui constitue la voûte des ventricules
latéraux
. Le pilier postérieur du trigone (3, Pl. VI) est
s commissurantes, corps calleux, recouvrant la cavité des ventricules
latéraux
. Cette cavité commence au-dessus du lobule orbita
té postérieure du lobe occipital. La partie anté-rieure du ventricule
latéral
est nommée corne frontale; le diverticulum postér
stance grise du corps genouillé interne (18). 19. — Section du lobe
latéral
du cervelet. Les fibres médullaires efférentes se
rantes sont mêlées aux fibres convergentes. La cavité des ventricules
latéraux
a atteint sa limite externe; la corne occipitale
adiculaires externes (15) du nerf olfactif. 16.— La section du lobe
latéral
du cervelet comprend la substance grise corticale
10, Pl. X). Le prolongement sphénoïdal de la cavité des ventricules
latéraux
contient la corne d'Ammon ou grand hippocampe. C'
paré du lobe frontal par la scissure de Sylvius. La section du lobe
latéral
du cervelet montre la disposition fibrillaire de
un dernier vestige (6). 7. — La cavité sphénoïdale des ventricules
latéraux
présente la coupe longitu-dinale de la portion an
res par les trous de l'espace perforé antérieur. La section du lobe
latéral
du cervelet montre la disposition des prolongemen
-hémisphérique. 11 recouvre comme une voûte la cavité des ventricules
latéraux
; sa longeur est de 7 centimètres, son épaisseur d
supérieure et cette sorte de voûte est appelé cavité des ventricules
latéraux
(5), quoiqu'il n'existe pas à proprement parler u
n cavitaire ou la voûte du corps calleux qui recouvre les ventricules
latéraux
et le ventricule moyen. XVI. — Coupe horizontal
s cellules nerveuses que renferme leur iuibsiiîuce grise. Les bords
latéraux
dutrigone sont en rapport avec un cordon vasculai
tre, par la fente cérébrale de Bichat, dans la cavité des ventricules
latéraux
et les plexus choroïdes. XVIII. — Coupe horizon
rt en avant avec le prolongement frontal de la cavité des ventricules
latéraux
. 6. — Groupe de faisceaux de fibres convergente
se sur leurs deux faces : celle qui est en rapport avec le ventricule
latéral
et celle qui forme la paroi de la cavité. 15. —
optiques; en avant est la corne frontale de la cavité des ventricules
latéraux
, en arrière, la corne occipitale. Les bords int
(3). En arrière, à l'entrée du prolongement occipital des ventricules
latéraux
, est Y ergot de Morand ou petit hip-pocampe (4).
caudé. En avant, dans la corne frontale de la cavité des ventricules
latéraux
, est le noyau intra-ventriculaire (11). 12. — S
lanches traversent la couche optique, atteignent ce noyau et la paroi
latérale
du ventricule moyen. Un petit nlament blanc situé
septum lucidum ; leur face en rapport avec la cavité des ventricules
latéraux
est recouverte d'une couche de substance grise. C
oïdales, où elle forme l'origine des plexus choroïdes des ventricules
latéraux
. Entre les bords internes des lobes occipitaux
s antérieurs du trigone, encore libres dans la cavité des ventricules
latéraux
. En avant est la substance grise et la cavité de
transpa-rente (21). 22. — Section de la région supérieure des lobes
latéraux
du cervelet. Les fibres médullaires traversent la
es des régions postérieures semblent se continuer avec les fais-ceaux
latéraux
ascendants. La section des fibres convergentes
es hémisphères. Sa tête plonge dans la corne frontale des ventricules
latéraux
qui l'isole du faisceau des fibres commissu-rante
trigone (corps bordant). La section du cervelet comprend les lobes
latéraux
etl'éminence médiane inférieure, vermis inferior.
corps strié. Sa face interne occupe la corne frontale des ventricules
latéraux
. 7. — Segment externe du noyau lenticulaire. Le
par transparence, dans le segment moyen du noyau jaune, les branches
latérales
de cette commissure. 21. — Section de la bandel
ique (11, Pl. XXVI). La corne frontale de la cavité des ventricules
latéraux
a disparu par la coupe précédente. La corne sphén
la portion médiane de la commissure blanche antérieure; ses branches
latérales
(10') émergent de la profondeur des lobes sphénoï
ustance grise du locus niger de Sœmmering. En arrière est le faisceau
latéral
qui fait suite à son homologue du bulbe. 13. —S
ïdal présentent le mouvement de groupement qui constitue les branches
latérales
(10', Pl. XXVIII) de la commissure blanche antéri
spinales postérieures ou étage supérieur ; en dehors est le faisceau
latéral
qui fait suite au faisceau latéral du bulbe. En d
érieur ; en dehors est le faisceau latéral qui fait suite au faisceau
latéral
du bulbe. En dedans apparaît le dernier segment d
e choroïdienne qui se porte dans les plexus choroïdes des ventricules
latéraux
. — Ce système vasculaire, par sa réunion à celui
e forme ainsi un espace libre que l'on appelle cavité des ventricules
latéraux
. La dissociation de ces deux systèmes de fibres d
prolongement sphénoïdal et de prolongement occipital des ventricules
latéraux
. Les fibres commissurantes des régions supérieu
ngement occipital, une partie de la cloison postérieure du ventricule
latéral
. L'ouverture qui en résulte permet de voir la cir
tubercules quadrijumeaux antérieurs (nates). 9. — Section des lobes
latéraux
du cervelet. La substance médullaire envoie dans
é du corps strié, situé plus en avant dans la cavité des ven-tricules
latéraux
. La coupe effleure les tubercules quadrijumeaux
pathétique. Gavoy. — Encéphale. 16 La section verticale des lobes
latéraux
du cervelet a détaché la portion du centre médull
nt au-dessous des tubercules quadrijumeaux. 12. — Section des lobes
latéraux
du cervelet. Les ramuscules et les rameaux, issus
ncules cérébelleux moyens, dont on aperçoit quelques fibres à l'angle
latéral
du quatrième ventricule, et les pédoncules cérébe
t d'un petit noyau gris au bord externe de la cavité des ventri-cules
latéraux
; il est séparé de la substance grise de la couch
— Section du noyau caudé au bord externe de la cavité des ventricules
latéraux
. 9. — Substance grise du noyau lenticulaire ape
ure des couches optiques, isolent le ventricule moyen des ventricules
latéraux
, et ceux-ci l'un de l'autre. Ces cavités ne commu
en arrière et séparés l'un de l'autre pour laisser passer les cordons
latéraux
de la moelle. 24. — Canal central du bulbe. 2
24. — Canal central du bulbe. 25. — Portion antérieure des cordons
latéraux
de la moelle continuant dans le bulbe le trajet d
le noyau du corps restiforme. 26. — Portion postérieure des cordons
latéraux
de la moelle s'inclinant en avant et en dedans.
de Sœmmering fait son apparition. En dehors se trouvent les faisceaux
latéraux
et les fibres spinales postérieures, qui descende
s. Ces faisceaux, entre-croisés plus bas, sont formés par les cordons
latéraux
de la moelle ; ils sont séparés par un noyau de s
Par conséquent, sur une section transversale, les fibres des régions
latérales
ne sont pas en continuité avec celle de la région
. — Section du noyau caudé au bord externe de la cavité du ventricule
latéral
. 11. — Centre antérieur de la couche optique. 1
entoure les corps olivaires. 27. — Portion postérieure des cordons
latéraux
de la moelle qui s'entre-croisent au raphé médian
u corps genouillé externe (8; Pl. XL); ce cordon constitue la branche
latérale
de la commissure blanche antérieure. Les fibres
audé formant le plancher du bord externe de la cavité des ventricules
latéraux
. 9. — Section du teenia semi-circularis sur le
lettes se terminent par un bord effilé dans la cavité des ventricules
latéraux
. Au-dessous est la cavité du ventricule moyen.
du noyau lenticulaire (voir 9, Pl. XLIV), qui constitue les branches
latérales
de la commissure blanche antérieure. Les fibres
se continuent, du côté opposé dans la moelle, sous le nom du cordons
latéraux
. En dessous du lieu d'entre-croisement de ces f
s fibres commissu-rantes du lobe sphénoidal, constituant les branches
latérales
de la commissure blanche antérieure. 10. — Fibr
au caudé, dans le plancher du bord externe de la cavité du ventricule
latéral
. 12. — Section des fibres du taenia semi-circul
s radiculaires externes du nerf olfactif. 8. — Section des branches
latérales
de la commissure blanche antérieure, en con-tiguï
rise du noyau caudé; occupant le plancher de la cavité du ven-tricule
latéral
. 11. — Fibres du taenia semi-circularis. 12.
e occupe presque la totalité du plancher de la cavité des ventricules
latéraux
. 10. — Centre antérieur de la couche optique.
ules mamillaires. 14. — Commissure blanche antérieure. Ses branches
latérales
sont sectionnées près de l'arcade externe du segm
escriptions topographiques en indiquant les relations de ses branches
latérales
(10') avec la substance médullaire des lobes sphé
apport en dedans avec la corne frontale de la cavité des ven-tricules
latéraux
et plus bas avec les faisceaux des fibres commiss
cavité antérieure des ventricules, qu'elles séparent en deux cavités
latérales
. Ces lamelles se continuent par leur bord infér
culaire occupe toute la cavité de la corne frontale des a^entri-cules
latéraux
; sa masse est traversée par des fibrilles : les
corps strié ; occupant la corne frontale de la cavité des ventricules
latéraux
. 8. — Coupe du tronc du nerf olfactif, montrant
eux. 2. — Extrémité antérieure de la corne frontale des ventricules
latéraux
. Les fibres commissurantes se juxtaposent sur la
o-postérieure, faite suivant l'axe médian............ 55 II. Moitié
latérale
gauche de l'Encéphale enlevée de la cavité crânie
e aussi trois points d'ossification : un médian et inférieur, et deux
latéraux
; leur union se fait à l'âge de deux mois. Les c
missaires sous-zygomatiques sont ou post-glénoïdiennes ou médianes ou
latérales
, selon qu'elles sont situées en arrière, en dedan
z la plupart d'entre eux, on aperçoit, sur l'extrémité postérieure et
latérale
de la base du crâne, une longue et solide apophys
e apophyse jugulaire ou paramastoïde. Formée au dépens de l'occipital
latéral
, elle continue en dehors la ligne demi-circulaire
e endocrânienne. Aux premiers mois de la vie embryonnaire, le sinus
latéral
déverse tout son contenu dans la veine jugulaire
nt parotidien. Après la formation de la jugulaire interne, le sinus
latéral
gagne le trou déchiré postérieur. Le sinus pétro-
ale. À. Forselles a publié quinze observations de phlébite du sinus
latéral
accompagnée de thrombose de la veine émissaire. N
eine mastoïdienne et de pyohémie otitique sans participation du sinus
latéral
. Il s'agissait d'un jeune homme âgé de 19 ans,
eur de 2 k 3 centimètres, et son volume la fait prendre pour le sinus
latéral
. Une ponction k la seringue de Pravaz donne issue
ce. En présence de ce qu'on croit être une phlébite suppurée du sinus
latéral
, on pratique la ligature de la veine jugulaire in
et on est amené k l'extérieur du crâne. Ce n'est donc point du sinus
latéral
qu'il s'agit, mais bien de la veine émissaire mas
ne. On la suit et on la découvre jusqu'à son embouchure dans le sinus
latéral
, qu'on trouve, bleu, normal, battant bien » (1).
, 70 fois sur 100. Selon ïrautmann, la procidence du coude du sinus
latéral
est d'autant plus accentuée que l'angle mastoïdie
astoïdien interne, quelquefois droit, le plus souvent obtus. Le sinus
latéral
, logé dans le sillon sigmoïde, la parcourt de hau
s recherches sur la crâniométrie appliquée à l'otologie, que le sinus
latéral
est plus procident chez les brachycéphales que ch
possède une paroi supérieure, une extrémité inférieure et deux parois
latérales
, l'une antéro-externe, l'autre postéro-interne.
apacité antrale dépasse la moyenne, elle est en rapport avec le sinus
latéral
. (1) Annales de Laryngologie. njoo. PÉREZ. -
t en haut avec la fosse cérébrale moyenne, et en dedans avec le sinus
latéral
: c'est le groupe postéro-supérieur, (i) In Bar
stoïde est dangereuse, dit-il, à cause de son voisinage avec le sinus
latéral
, mais le danger diminue au fur et à mesure qu'on
e quatre segments dont les deux postérieurs correspondraient au sinus
latéral
, l'antéro-infé-rieur à la pointe, et lantéro-supé
la pointe ; elle est en rapport avec la portion descendante du sinus
latéral
, qui se trouve très rapprochée de la corticale ex
l'ouverture possible des fosses crâniennes ou de la blessure du sinus
latéral
. On a désigné sous le qualificatif de dangereux l
bien souvent la main du chirurgien. On craignait la blessure du sinus
latéral
et l'ouverture de la fosse cérébrale moyenne, acc
oire. L'expérience a démontré surabondamment que la blessure du sinus
latéral
constitue un accident opératoire gênant, mais non
num). Celui-ci présente un segment externe qui livre passage au sinus
latéral
et un segment interne, plus petit, traversé par l
our de l'abcès, on aperçoit des hémorragies punctiformes. Ventricules
latéraux
très distendus par un liquide clair. « Coupe du
u en avant de la racine descendante du trijumeau, en arrière du noyau
latéral
; plus haut, il se trouve placé derrière l'olive s
nt après en avant et en dehors, pour émerger au niveau de la fossette
latérale
du bulbe, en avant de l'acoustique. De là, le ner
'attico-an trotomie. Dans son trajet endocrânicn, entre la fossette
latérale
du bulbe et le méat auditif interne, le nerf faci
s muscles paralysés et pratiqua l'anastomose spino-faciale par greffe
latérale
. Après avoir disséqué les deux nerfs spinal et
é sternale de la clavicule. Dans ce long trajet, il comprend le sinus
latéral
, le golfe ou bulbe de la veine jugulaire et la ve
ou bulbe de la veine jugulaire et la veine jugulaire interne. Sinus
latéral
. — Comme tous les sinus crâniens, le sinus latéra
e interne. Sinus latéral. — Comme tous les sinus crâniens, le sinus
latéral
est constitué par une tunique interne endothé-lia
eur des tractus fibreux appelés cordes de Willis (Pl. XIII). Le sinus
latéral
du côté droit présente très souvent un calibre su
on horizontale : 3° un coude ; t\ une portion descendante. Le sinus
latéral
naît dans le pressoir d'Hérophile ou torcular, ai
tubérance occipitale interne pour s'aboucher dans les sinus efférents
latéraux
et occipitaux postérieurs. Cet abouchement se fai
occipitale interne, pour se continuer avec l'un ou l'autre des sinus
latéraux
; trois fois sur quatre, c'est avec le sinus latér
'autre des sinus latéraux; trois fois sur quatre, c'est avec le sinus
latéral
droit. Le sinus droit, qui est le tronc commun de
tubérance, se dilate considérablement, puis se continue avec le sinus
latéral
de l'autre côté, c'est-à-dire, le plus souvent, a
latéral de l'autre côté, c'est-à-dire, le plus souvent, avec le sinus
latéral
gauche. Ces deux voies ne sont pas indépendantes
e sinus longitudinal se bifurque pour donner naissance aux deux sinus
latéraux
. Le sinus droit, de son côté, se termine en se di
inal supérieur ; la poche ainsi formée communique avec les deux sinus
latéraux
, et cette communication est aussi large d'un côté
dans le l\ pour cent selon Rauber. La portion horizontale du sinus
latéral
ou sinus transverse, reçue dans un dédoublement d
ervelet, comprend les deux tiers postérieurs du trajet total du sinus
latéral
. Elle répond en haut à la troisième circonvolutio
érence postérieure de la tente du cervelet, dans le point où le sinus
latéral
, d'horizontal devient vertical ; c'est dans ce la
se rendre dans le lac dérivatif antérieur » (i). Le coude du sinus
latéral
forme un angle ouvert en bas et en arrière, d'aut
u mastoïdo-cérébelleux. La portion descendante ou sigmoïde du sinus
latéral
, logée dans un dédoublement de la dure-mère pétro
pophyse jugulaire pour traverser le trou déchiré postérieur, le sinus
latéral
devient horizontal, se moule sur la fosse jugulai
: a) La veine émissaire occipitale ; b) Les veines cérébelleuses
latérales
supérieures et inférieures ; c) Les veines céré
e) Les veines diploïques occipitales. Au niveau du coude du si nus
latéral
: f) Le sinus pétreux supérieur ; g) Le sinus
ranches afférentes de la jugulaire externe. b) Veines cérébelleuses
latérales
supérieures et inférieures. — Elles rampent à la
et pour gagner la circonférence de l'organe et se jeter dans le sinus
latéral
. En s'anastomosant avec les veines cérébrales, el
eures externes, dirigées d'avant en arrière, débouchent dans le sinus
latéral
; elles s'anastomosent en avant avec les veines sy
c celle des veines cérébrales de la face externe, tributaire du sinus
latéral
, et avec la partie terminale de la plupart des ve
toutes ces veines et qui paraissent le plus souvent aborder le sinus
latéral
dans une direction antéro-postérieure. » (Hédon.)
otique postérieure qui relie le sinus longitudinal supérieur au sinus
latéral
, en décrivant une grande courbe à convexité antér
le plus souvent la grande anastomotique postérieure, partie du sinus
latéral
, se porte obliquement en avant et en haut pour ga
se jettent dans un des canaux afférents du pressoir ou dans le sinus
latéral
. f) Sinus pétreux supérieur. — Il parcourt le b
— Il parcourt le bord supérieur du rocher et relie le coude du sinus
latéral
au confluent antérieur pétro-sphénoïdal de Cruvei
(Merkel) ; les plexus veineux protubérantiels ; des veines cérébrales
latérales
et inférieures, et enfin le sinus ophthalmo-pétre
à l'état de simple ramuscule veineux, ce sinus part du coude du sinus
latéral
, traverse la gouttière pétro-squameuse transformé
ptéry-goïdien à travers le trou sphéno-épineux, tantôt dans le sinus
latéral
. Charpy déclare ce sinus identique au sinus pétro
veine antro-sigmoïdale d'Elsworth. — Très souvent, le coude du sillon
latéral
est criblé d'un grand nombre de petits orifices q
t postéro-supérieures, sinuso-cérébrales. Elle se jette dans le sinus
latéral
au niveau du coude, ou plutôt immédiatement au-de
) Sinus occipital postérieur. — Il relie les deux extrémités du sinus
latéral
et forme ainsi, selon l'expression de Gruveilhier
e quelques millimètres et plus de un centimètre. Quand les deux sinus
latéraux
sont très petits, le sang passe en grande partie
signalé une veine qui, émanant du sinus condylien, se relie au sinus
latéral
, en sorte que ce dernier possède, au moyen du sin
lle était plus grosse que la jugulaire interne du même côté. Le sinus
latéral
paraît alors réellement se diviser en deux branch
confluent condylien antérieur aux plexus intra-rachidiens et au sinus
latéral
. q) Veines pharyngiennes. — Le plexus veineux p
ine constituent le confluent interne de 1 ' œil. Anomalies du sinus
latéral
. — Ces anomalies portent sur le calibre, la situa
ne fine sonde. Le sinus occipital postérieur est dédoublé ». Le sinus
latéral
peut manquer en totalité : le sinus longitudinal
la jugulaire externe. L'exemple cité par Streit démontre que le sinus
latéral
traverse quelquefois obliquement l'étage postérie
ent, on rencontre dans l'intérieur de la portion horizontale du sinus
latéral
une cloison incomplète ou même complète. L'abou
utopsie d'un aliéné, constata que les portions horizontales des sinus
latéraux
, normalement situées, quitaient le crâne par le
le de décrire, quoique sommairement, toutes ces anastomoses des sinus
latéraux
et de leurs veines tributaires alin de pouvoir su
ns l'anse des sinus postérieurs, reliant les deux extrémités du sinus
latéral
, et l'anse pétro-caverneuse-faciale, unissant le
sinus latéral, et l'anse pétro-caverneuse-faciale, unissant le sinus
latéral
et la jugulaire interne, h travers les sinus pétr
e à un centimètre au-dessus de Limon. La portion horizontale du sinus
latéral
répond à la moitié postérieure de cette ligne. Le
éral répond à la moitié postérieure de cette ligne. Le coude du sinus
latéral
est compris entre deux plans vertico-transversaux
ec la même fréquence. On observe surtout la thrombo-phlébite du sinus
latéral
, ou plus exactement du sinus sigmoïde. Cette fréq
dans 52 cas de nécrose du rocher : La thrombose primitive du sinus
latéral
....................................... 2.3 fois
eur, en oblitérant complètement toute la portion horizontale du sinus
latéral
, envahir les sinus, longitudinal supérieur, droit
, longitudinal supérieur, droit et occipitaux, pénétrer dans le sinus
latéral
du côté opposé; elle peut enfin oblitérer tous le
céphalo-rachidien dans l'espace sous-arachnoïdien et les ventricules
latéraux
. Cliniquement, elle se traduit par tous les signe
Quincke), et, si celle-ci est insuffisante, la ponction du ventricule
latéral
. (Lecène, Mayo, Robson, Byron Bramwell.) La stati
mmédiatement en rapport avec le prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
. Lobe occipital. —Il occupe la partie postérieu
ve supérieure, s'entre-croise presque en totalité, passe par le ruban
latéral
, les tubercules quadrijumeaux postérieurs, le bra
la scissure calcarine. Leur lésion unilatérale produit l'hémianopsie
latérale
homonyme : lorsque elle est bilatérale, comme dan
Déjerine) au niveau du prolongement occipito-sphénoïdal du ventricule
latéral
. (L'existence de ce faisceau n'est plus accepté e
antérieure. Au niveau du recessus occipito-sphénoïdal du ventricule
latéral
, on trouve deux faisceaux d'association com-missu
à peu près en son milieu, parle prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
en dedans, par les sillons parallèles et deuxième
al postérieur de l'insula et le prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
, on aperçoit encore une partie rétrécie qui relie
gment supérieur, en refoulant le prologement sphénoïdal du ventricule
latéral
, les sillons et les circonvolutions. Il n'est don
mortel a cause du voisinage du prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
. Le même danger existe, quoique à un moindre degr
été observée dans quatre cas d'abcès du lobe temporal. Ilémianopsie
latérale
homonyme. — C'est là, d'après Lannois et Jaboulay
qu'il existe, comme il fallait s'y attendre, une hémianopsie homonyme
latérale
droite avec conservation du réflexe de Wernicke,
e n'est pas souvent signalée, même lorsqu'il existe de l'hémi-anopsie
latérale
homonyme. Cela s'explique par la distribution ana
pes. L'aphasie optique est presque toujours accompagnée d'hémianopsie
latérale
homonyme. On doit en conclure alors que la lésion
cervelet est constitué par un lobe médian nommé vermis et deux lobes
latéraux
, les hémisphères. Vermis. — C'est la partie ess
amide de Malacarne et le tubercule valvulaire. Hémisphères ou lobes
latéraux
. — Le grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr
rieurs, s'entre-croise et aboutit aux régions supérieure, inférieure,
latérale
de l'écorce cérébelleuse, et, en partie aussi, au
ons cérébelleuses : l'ablation du lobe moyen, l'ablation d'une moitié
latérale
et l'extirpation totale de l'organe. Il admit tro
sa topographie— car elle indique une infection concomitante du sinus
latéral
. Il s'agira alors d'un abcès externe, mastoïdo-cé
s, pour ne pas pénétrer dans le prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
. Voie squameuse. — Dans ce procédé, l'orifice d
a ainsi sûrement l'ouverture du prolongement sphénoïdal du ventricule
latéral
. Voie squamo-auriculaire. — On doit d'abord ouv
ne postérieure de l'apophyse, allant à la rencontre du coude du sinus
latéral
. On devra évider tout d'abord la partie supérieur
eerebelo. Buenos Aires. Cornet (P.), De la thrombo-phlébite du sinus
latéral
consécutive à l'otite moyenne purulente. Thèse de
. Cosïii. (A.), Contribution à l'étude des thrombo-phlébites du sinus
latéral
. Thèse de Lyon, 1902. Coudert (R.), Anatomie et p
Le sinus longitudinal supérieur s'abouche à plein canal dans le sinus
latéral
droit, qui a été ouvert sur tout son trajet. On a
e sinusal, on trouve un tractus fibreux (corde de Willis). Le sinus
latéral
droit présente un calibre notablement supérieur à
éral droit présente un calibre notablement supérieur à celui du sinus
latéral
gauche. En haut, le sinus sigmoïde est rapproché
nd. L'apophyse mastoïde est du type pneumatique. Au-dessus du sinus
latéral
, on aperçoit la dure-mère cérébrale qui tapisse l
on peut étudier la topographie du lobe temporo-occi pi ta l, du sinus
latéral
et du cervelet. Ces différents organes devront êt
émisphère droit et non le gauche, comme cela devrait être. Le sinus
latéral
a été ouvert sur tout son trajet. Le coude répond
eu près avec l'incisure préoccipitale de Meynert et le coude du sinus
latéral
; elle marque donc, sur le bord hémisphérique exte
e, la frontière occipito-temporale. La portion descendante du sinus
latéral
parcourt la zone postérieure de l'apophyse ; elle
esse : i" le troisième ventricule, la corne spbénoïdale du ventricule
latéral
, le tronc et la queue du noyau caudé, la couche o
ntéresse : i" l'étage supérieur et la corne sphénoïdale du ventricule
latéral
, la glande pinéale, l'aqueduc de Sylvius, le pulv
fibres temporo-thalamiques, le brachiumposticum, et, enfin, le ruban
latéral
(voie acoustique). • La scie a ouvert l'antre,
r d'une coupe frontale passant, à droite, au niveau du coude du sinus
latéral
, cl, à gauche, à quelques millimètres en arrière
e coude. La scie a sectionné : i° la corne occipitale du ventricule
latéral
, le corps dentelé et les sinus longitudinal supér
latéral, le corps dentelé et les sinus longitudinal supérieur, droit,
latéral
et pétreux supérieur ; 2° sur l'écorce : le lobul
, et, enfin, le faisceau longitudinal inférieur. Y droite, le sinus
latéral
s'insinue entre la troisième circonvolution tempo
fine à la fosse cérébrale moyenne, à la loge cérébelleuse et au sinus
latéral
; la seconde, postéro inférieure ou sinuso-digast
, postéro inférieure ou sinuso-digastrique, répond en dedans au sinus
latéral
et, en bas, à la rainure digastrique. Segment i
nterne et le sac endolymphatique. La scie a intéressé : i° le sinus
latéral
, le golfe de la veine jugulaire, la veine jugulai
e du noyau eau dé, les cornes sphénoïdale et occipitale du ventricule
latéral
; 2° sur l'écorce : les circonvolutions troisième
moyen du cervelet; 3° dans la substance blanche : entre le ventricule
latéral
et l'écorce du lobule fusiforme, le tapetum, la r
ub-arcuata ; le lobe supérieur-postérieur confine en arrière au sinus
latéral
; le lobe inférieur-moyen est en rapport, en avant
inférieur et, enfin, les portions horizontale et descendante du sinus
latéral
. Cette coupe a ouvert le conduit auditif extern
t et de l'isthme de l'encéphale avec la pyramide pétreuse et le sinus
latéral
. A droite (du sujet), le Jlocculas est sectionn
malades, l'affaissement de la colonne est en même temps antérieur et
latéral
. On voit ici plusieurs pièces sur lesquelles l'in
soit parfaitement exacte ; quelquefois se produisent des déplacements
latéraux
, des subluxations. Le cal, dans l'affection ver
ade ; on remarquera, dans quelques cas, une inclinaison antérieure ou
latérale
du tronc, un soin particulier d'éviter les mouvem
que analogie avec ce que nous voyons sur celte pièce. 1° Déviations
latérales
du rachis. •—Il y a deux espèces de gibbosités, d
cond, une gibbosité postéro-latérale. Qu'est-ce qui forme cette bosse
latérale
? Ce sont les côtes fortement courbées par suite d
st pas toujours aussi facile. On rencontre, d'une part, des courbures
latérales
essentielles de l'épine sans gibbosité, et, d'une
ielles de l'épine sans gibbosité, et, d'une autre part, des courbures
latérales
se voient dans le mal de Pott ; l'erreur est alor
tre, j'en ai moi-même commis au début de ma pratique. Des courbures
latérales
, sans gibbosité bien apparente, prennent naissanc
tière à erreur. Dans le mal de Pott, on observe aussi des courbures
latérales
, Dien que quelques auteurs considèrent cette disp
En voici deux exemples; l'un d'eux offre le plus beau cas de courbure
latérale
dans le mal de Pott. Ces courbures latérales dimi
plus beau cas de courbure latérale dans le mal de Pott. Ces courbures
latérales
diminuent ou disparaissent à la mort ; elles résu
t, existait un énorme abcès par congestion. De plus, dans la courbure
latérale
essentielle, on observe , en général, une deuxièm
esque jamais essentielle ; aussi n'existe-t-il pas alors de gibbosité
latérale
. Ici, la région dorso-lombaire est bien un peu bo
iminuer. Mais regardez ce thorax : voyez-vous cette double dépression
latérale
, cette série de nodosités à l'union des côtes ave
s franchit la paroi thoracique, soit en arrière, soit sur les parties
latérales
; on cite même un cas où il aurait paru à la part
le revêt des aspects divers ; tantôt la lésion réside dans les masses
latérales
de l'atlas ; il en résulte une inclinaison de la
nique ou bilatérale. Elle produit, dans le premier cas, l'inclinaison
latérale
de la tête; dans le second, son inclinaison dans
servé d'autres formes d'ankylose ; elles sont dues à des déplacements
latéraux
des os, ordinairement combinés avec un peu de rot
es à ce genre de déplacement ; si elle est détruite, le chevauchement
latéral
est plus étendu. Il peut y avoir combinaison de d
'ankylose. La déformation résulte ici de ce que l'affection est uni
latérale
, ou du moins occupe principalement un des côtés.
érale, ou du moins occupe principalement un des côtés. L'affaissement
latéral
est énorme. Le plan tangent aux deux condyles de
. Lorsque l'affection dure quelques années et produit une inclinaison
latérale
, ce qu'on observe surtout fréquemment dans la for
c'est la déformation du rachis ; celle-ci consiste dans des courbures
latérales
qui sont dans le principe le résultat d'une attit
enfant, c'est un renversement considérable de la tête ; l'inclinaison
latérale
est peu sensible. La nuque, très-affaissée, forme
e saillie des apophyses transverses du côté opposé. Les affaissements
latéraux
des vertèbres malades seront indiqués par une dim
enversement en arriére, etc. Elle peut produire aussi une inclinaison
latérale
; mais souvent alors on observe une rotation de la
exceptions à cette règle générale. On reconnaît à la vue l'écartement
latéral
du grand trochanter; en considérant la cuisse de
téralement; l'inclinaison en avant est moins prononcée. L'inclinaison
latérale
aurait pour effet de rendre oblique l'axe vertica
. Lorsque la pseudarthrose est simple, le bassin bascule dans le sens
latéral
et s'abaisse à chaque pas du côté sain ; les suje
ches qu'il poursuit avec tant de bonheur, que le muscle long péronier
latéral
, congénère des extenseurs, tend à produire dans d
ultanée des muscles droits supérieurs, droits inférieurs, des muscles
latéraux
, non pas internes, externes, mais droits et gauch
u'on regarde. Pour obtenir ce résultat, l'accord des quatre muscles
latéraux
est indispensable. Lorsque cet accord vient à man
on. Tous les muscles peuvent en être le point de départ. Le strabisme
latéral
, le seul dont nous nous occuperons, est interne o
nt, par une action analogue à celle que les inflammations des parties
latérales
du cou exercent sur les sterno-mastoïdiens; et, d
st que les rayons lumineux ne tombent directement que sur les parties
latérales
de la rétine, et frappent obliquement sa partie c
sa partie centrale. La vue, dans cet œil, peut être comparée à la vue
latérale
dans un bon œil, c'est-à-dire qu'elle est très-im
s. 4° Le dernier cas embarrassant est la paralysie d'un des muscles
latéraux
de l'œil. J'ai exposé précédemment les caractères
trop brillants ou trop petits, qu'ils ne soient exposés à une lumière
latérale
; qu'ils ne soient tristes ou ne se mettent en co
t à l'affection ; il y avait presque strabisme double. Les mouvements
latéraux
sont bien d'accord ; l'adduction est à peine dimi
vergence des yeux dans le regard vague, un accord dans les mouvements
latéraux
droit et gauche, excepté à la fin de ce dernier m
t; ce sont : le triceps sural (jumeaux et soléaire), le long péronier
latéral
, lejambier antérieur, le long extenseur des ortei
ong extenseur des orteils, le jambier postérieur et le court péronier
latéral
. Les quatre premiers muscles, quand ils agissen
omposés : le triceps sural est extenseur-adducteur ; le long péronier
latéral
, extenseur-abducteur ; lejambier antérieur, fléch
e résulte de l'action simultanée du triceps sural et du long péronier
latéral
; la flexion directe, de l'action réunie du jambie
peu extenseur quand le pied est fortement fléchi. Le court péronier
latéral
ne produit de même que l'abduction directe, quand
Mais je ne puis me dispenser de signaler une action du long péronier
latéral
, toute spéciale, méconnue de la plupart des anato
. Cette action s'exerce sur le premier métatarsien ; le long péronier
latéral
abaisse avec force l'extrémité antérieure de cet
sement musculaire, surtout de la diminution d'action du long péronier
latéral
. Je vous ai montré au commencement de cette leçon
nformation naturelle; elle vient de l'excès d'action du long péronier
latéral
. Elle a pour caractères : une augmentation de la
, le postérieur surtout, sont raccourcis et tendus; le court péronier
latéral
est particulièrement allongé et affaibli; le long
autre. Les abducteurs continuent d'agir ; il y a de légers mouvements
latéraux
, mais la flexion et l'extension sont presque abol
seul, et il s'est fait un grand développement spontané des péroniers
latéraux
, ce qui prouve qu'à la naissance il y avait contr
e dans les muscles de la jambe, car il y a encore quelques mouvements
latéraux
. Les orteils sont deux fois fléchis sur eux-mêmes
ceux qui produisent le varus. Ce sont spécialement le court péronier
latéral
et le long extenseur des orteils, puis le long pé
gèrement varus. Le triceps sural a plus d'action que le long péronier
latéral
; le b:ird externe est abaissé; les muscles antér
ls sur le jambier antérieur, et enfin la rétraction du court péronier
latéral
s'ajoulant à celle des fléchisseurs. L'articula
la talonnière passent par des fentes qui traversent ces deux plaques
latérales
. Dans l'appareil de M. Ferdinand Martin, le pie
ed. On construit, pour les cas de fortes courbures médio-tarsiennes
latérales
, des semelles brisées dans leur milieu par une ar
s semelles brisées dans leur milieu par une articulation à mouvements
latéraux
, mécanisme déjà décrit par Boyer. Dans cet appa
profond qui ordinairement appartient au pied creux du long péro-nier
latéral
, mais que nous retrouvons ici, quoique le long fl
lantaire est assez prononcé. Il y a ici rétraction des deux péroniers
latéraux
, et moins sensiblement qu'au pied droit, rétracti
is que le jarret devient bombé. A droite, la déviation est, en outre,
latérale
, et ce genou est cagneux. La rotule droite est tr
vis, qui traverse l'étrier près de la charnière, règle l'inclinaison
latérale
de ce levier, en l'écartant plus ou moins de la s
pareil, en inclinant de plus en plus le levier. Quand le redressement
latéral
est assez avancé, on commence à porter le pied da
la semelle. La résistance de ces branches met obstacle aux mouvements
latéraux
exagérés du pied. En outre, presque tous ces ap
ne saphène externe ou l'artère pé-dieuse. Les tendons des péroniers
latéraux
, rétractés dans le valgus, présentent un peu plus
à la disposition des parties qui les entourent. Pour les péroniers
latéraux
, les phénomènes sont les mêmes que pour le tendon
d'hui. M. Velpeau a bien parlé, dès 1839, de la section des ligaments
latéraux
de l'articulation tibio-tarsienne; mais il ajoute
s le talus et dans le valgus. Les fléchisseurs du pied, les péroniers
latéraux
réclament, en effet, bien moins souvent que le tr
achitisme. — Nous devons, en effet, limiter notre sujet. La déviation
latérale
du rachis peut dépendre du rachitisme, mais elle
es de deux sortes, des courbures antéro-postérieures et des courbures
latérales
. Dans ce cas, les courbures sont persistantes. Ce
écrire par leur réunion des arcs diversement dirigés. Les courbures
latérales
rachitiques sont semblables aux courbures latéral
. Les courbures latérales rachitiques sont semblables aux courbures
latérales
essentielles de l'épine, dont j'espère vous parle
e des déformations et de la torsion du rachis, comme dans la courbure
latérale
essentielle de la colonne vertébrale ; je ne vous
du rachitisme. Le véritable rachitisme du thorax est sa dépression
latérale
, indépendamment de toute déviation du rachis. C'e
gère courbure congeniale ; vous voyez au thorax une double dépression
latérale
; le chapelet est interne. Pour moi, cet enfant e
de sa guérison partielle. Au rachis, vous voyez une double déviation
latérale
en S, ce qui produit une saillie dorsale droite e
atéralement ; le rachis paraît infléchi, il y a une déviation dorsale
latérale
droite, avec saillie des côtes du même côté. Les
s deux côtés, l'arrêt de développement frappe surtout une des moitiés
latérales
. Vous en voyez un exemple sur ce bassin, qui est
causes que le rachitisme. Dans la troisième variété, les pressions
latérales
sont assez égales, mais le ramollissement du sque
ernières vertèbres lombaires. Yoici une série de dessins de courbures
latérales
du rachis, la plupart non rachitiques, dans lesqu
nt par la suspension. Au thorax, chapelet volumineux, aplatissement
latéral
. Rien aux bras; légère courbure aux avant-bras. A
. Cet enfant n'a pas encore marché. On sait que la courbure dorsale
latérale
présente ordinairement sa convexité à droite ; le
tes, dont le large évasement contraste avec la dépression des parties
latérales
du thorax. Les clavicules sont courbées à angle e
étendue d'une pièce de deux francs. Le chapelet existe, la dépression
latérale
du thorax est peu prononcée; le rachis est droit
ien était très-développé. Il reste encore des traces de la dépression
latérale
du thorax ; le ventre est volumineux ; il y a un
la figure qui l'accompagne, que c'était un cas de scoliose à courbure
latérale
triple, et non une lordose. Mon excellent collè
s pas d'exemple. Les rétractions des muscles du cou sont généralement
latérales
, et non directement postérieures. La contractur
ne même cause, d'une pression mécanique ! ARTICLE VIII. COURBURES
LATÉRALES
DU RACHIS. On réunit sous le nom de scoliose to
S DU RACHIS. On réunit sous le nom de scoliose toutes les courbures
latérales
du rachis, que leur convexité soit tournée à droi
hacune en particulier. § Ier. — Scoliose par flexion. La courbure
latérale
par flexion mérite à peine le nom de scoliose, qu
physiologiques de la colonne vertébrale, produites par ses inflexions
latérales
, est nécessaire pour l'intelligence de cet ordre
t nécessaire pour l'intelligence de cet ordre de faits. I. Flexions
latérales
physiologiques. — Les inclinaisons latérales du r
de faits. I. Flexions latérales physiologiques. — Les inclinaisons
latérales
du rachis diffèrent suivant que l'on est assis, d
stentation inférieure, ou qu'il est, en outre, soutenu par des appuis
latéraux
; suivant que la base de sustentation est horizont
s contraire. Les attitudes du tronc qui résultent de ces inflexions
latérales
de l'épine sont, les unes régulières, habituelles
erai qu'aux principales. A. La plus simple consiste dans la flexion
latérale
de la partie supérieure du tronc, à droite ou à g
es autres vertèbres ; mais, d'après ces mêmes recherches , la flexion
latérale
des dernières lombaires sur elles-mêmes et sur le
olonne vertébrale est un mouvement tout à fait distinct de sa flexion
latérale
. Dans cette attitude du tronc, la tête, le cou,
, fig. 1. (4) Pl. 2, fig. 1 et 4. (5) Pl. 2, fig. 2. La flexion
latérale
de la partie supérieure du tronc est une attitude
ve un appui; elle est moins rare dans l'attitude assise avec supports
latéraux
; mais elle est surtout très-régulière et habitue
important dans l'état pathologique. C. Ajoutez à une légère flexion
latérale
, en C vertical, un petit mouvement du bassin qui
es lombes sur une hanche, le bassin étant droit comme dans la flexion
latérale
simple du tronc, et en ramenant en sens inverse l
ombes (2) : c'est une attitude forcée et exceptionnelle. IL Flexion
latérale
pathologique. — Les développements dans lesquels
d'entrer sur les attitudes physiologiques produites par les flexions
latérales
du rachis, me permettent d'être bref en ce qui to
ions que pour la cyphose et la lordose. Ainsi je diviserai la flexion
latérale
pathologique du rachis en flexion spontanée ou es
spontanée ou essentielle et en flexion symptomatique. A. La flexion
latérale
spontanée est ordinairement un simple résultat de
ou ; l'élévation répétée ou prolongée d'une épaule, suivie de flexion
latérale
habituelle de la région dorsale; le port de farde
membres ou des organes des sens, puisse donner lieu à ces inflexions
latérales
habituelles, qui reconnaissent presque toujours u
t d'un tic purement volontaire. Le caractère commun de ces flexions
latérales
est de céder instantanément à de légers efforts d
it pour combattre, dans ce cas, leurs propres effets. B. La flexion
latérale
sympfomatique compte autant de variétés qu'il exi
es capables de la produire. J'indiquerai les suivantes : 1° Flexion
latérale
par contracture. — Commune au cou , mais accompag
de rotation; très-rare aux régions dorsale et lombaire. 2° Flexion
latérale
par paralysie. — Dans l'hémiplégie, le haut du tr
bre inférieur influe aussi, dans ce cas, sur l'attitude. S0 Flexion
latérale
par douleur. — Très-commune, elle revêt plusieurs
(1) OEuvres, recueillies par Moreau, 1805, t. V, p. 360. U° Flexion
latérale
de compensation. — Dans toutes les espèces de tor
sparition est quelquefois très-prompte ou même subite dans la flexion
latérale
par douleur, par contracture, comme on en trouve
ose vraie, la scoliose proprement dite; on l'appelle encore déviation
latérale
, courbure latérale de l'épine. Quelques-uns veule
ose proprement dite; on l'appelle encore déviation latérale, courbure
latérale
de l'épine. Quelques-uns veulent que déviation dé
ière et sur le côté, et surtout qu'elle est le produit d'une courbure
latérale
. Quoique la scoliose soit définie dans le Traité
considère comme l'état rudimentaire de la scoliose, c'est la courbure
latérale
normale permanente du rachis, qu'il faut distingu
anente du rachis, qu'il faut distinguer, vous le savez, de la flexion
latérale
fonctionnelle passagère, liée à ses mouvements ph
nelle passagère, liée à ses mouvements physiologiques. Cette courbure
latérale
normale constitue pour ainsi dire le germe de tou
scoliose ; il nous faut donc l'étudier avec quelque soin. Courbure
latérale
normale ou scoliose physiologique. — On doit à Sa
disposition anatomique : 1° la simple dépression, ou l'aplatissement
latéral
indiqué par Sabatier ; 2° la courbure proprement
ément à l'es pace dans lequel l'aorte est en contact avec la partie
latérale
du rachis ; telle est aussi la direction de la co
tif est une déformation. Qu'est-ce, en effet, que cet aplatissement
latéral
déjà mentionné par Sabatier, et constituant le pr
es courbures légères, les ligaments éprouvent seuls cet amincissement
latéral
; mais il est rare que quelque corps vertébral n'y
te pas plus symétrique que le corps des vertèbres; une de ses moitiés
latérales
présente moins de développement, surtout en haute
e peut être diversement répartie le long de la courbure. La déviation
latérale
du corps vertébral commence vers la quatrième ou
ent se présenter comme de simples variétés anatomiques, sans courbure
latérale
du rachis dans le point correspondant. La direc
à droite et à gauche. On ne reconnaît, pendant la vie, la courbure
latérale
normale du rachis que lorsqu'elle est indiquée pa
les à l'œil, et il faut quelque attention pour les saisir. La saillie
latérale
, lorsqu'elle existe seule, n'est un signe de cour
ucun autre caractère extérieur. Voici quelques exemples de courbure
latérale
normale : Ier cas. —Ce garçon, qui paraît avoir
s-légère voussure dorsale gauche, qui paraît plutôt due à une flexion
latérale
physiologique qu'à une courbure par déformation.
ble des apophyses épineuses. XIe cas. — Fille, treize ans. Voussure
latérale
dorsale droite soulevant l'épaule, très-légère dé
s. — Fille, treize ans. Ophthalmie et perte d'un œil. Légère voussure
latérale
gauche par flexion habituelle à droite. Les apoph
ion des apophyses épineuses. (1) Quelle est la cause de la courbure
latérale
physiologique? Bichat (2), Béclard (3), rejetant
ainsi, la courbure siégerait aux lombes, où la flexion physiologique
latérale
est la plus grande, et non au dos, où cette flexi
imitive des vertèbres serait un affaissement, et non un aplatissement
latéral
. Pour moi, je partage entièrement l'opinion de
au côté gauche des Vertèbres , dans le point où se forme la courbure
latérale
normale. Cette déformation des os âu contact des
alacie. 3° La scoliose consécutive, celle qui succède à une flexion
latérale
prolongée, amenant à la longue une déformation :
même description anatomique les trois premières espèces de courbures
latérales
de l'épine. A. Rachis. — Les courbures les plus
On a beaucoup disserté, à une époque, sur l'existence des courbures
latérales
simples; on les a dites impossibles, parce que la
stances, lorsque, par exemple, la scoliose est la suite d'une flexion
latérale
qui a fini par déformer le racbis dans le point o
s avez sous les yeux plusieurs pièces n'offrant qu'une seule courbure
latérale
. Ainsi cette pièce que je vous présente offre u
son début et longtemps après qu'une simple exagération des courbures
latérales
normales, se produisant et s'accroissant outre me
ombaire se voit souvent lorsque la scoliose est l'effet d'une flexion
latérale
pathologique, ou même physiologique, qui s'opère
liose, ou décrire seul, jusque dans ses vertèbres supérieures, un arc
latéral
, excepté dans les inflexions spéciales, avec rota
es déformations sont encore bien plus prononcées que dans la courbure
latérale
normale. Vous voyez sur ces vertèbres détachées,
ux flexions physiologiques. On pourrait supposer que l'affaissement
latéral
des ligaments précède l'affaissement des os. Il y
en avant, l'autre en arrière, la concavité et la convexité, toujours
latérales
par rapport aux vertèbres, ne le sont plus pour l
séparable. J'accorde cependant qu'il pourrait se former des courbures
latérales
sans rotation, mais ce doit être fort rare ; je n
giné depuis, soit par Pravaz (2), invoquant l'action des fléchisseurs
latéraux
et la direction naturelle des facettes des apophy
iste pas seulement, comme la rotation physiologique, en un glissement
latéral
des apophyses articulaires avec légère torsion de
tes d'un côté, les écarte et les soulève de l'autre, comme la flexion
latérale
physiologique; les épaules suivent, dans l'un et
une ampliation générale d'une des moitiés du thorax, comme la flexion
latérale
physiologique, et non une bosse postérieure. C'es
ières périodes de la scoliose, la courbure sigmoïde, a deux voussures
latérales
opposées correspondant à la convexité des deux co
périodes avancées de la scoliose. Un grand nombre sont des gibbosités
latérales
droites de la région dorsale. En voici une d'une
e déplacé, eu égard au plan horizontal, dans les grandes inclinaisons
latérales
des lombes qui accompagnent les courbures dorsale
lement une véritable rétraction musculaire qui concourt à l'inflexion
latérale
des vertèbres dorsales ou lombaires, si elle ne l
eur force pour produire, soit l'extension directe, soit l'inclinaison
latérale
du tronc. Les faisceaux musculaires de la concavi
ux compris dans le grand épineux du dos deviennent ainsi fléchisseurs
latéraux
dans une direction opposée au sens habituel de le
re. Plus que tout autre, elle devait subir l'influence de la courbure
latérale
de l'épine. Elle change de forme, en effet, avec
use. Les nerfs spinaux restent longtemps intacts dans la courbure
latérale
du rachis. C'est à tort que quelques auteurs ont
a courbure principale. Sa face externe se déprime par l'aplatissement
latéral
du demi-thorax droit; sa face interne est excavée
es figures où la pointe du cœur se montre très-rapprochée de la paroi
latérale
du thorax (1). C'est le poumon gauche qui est l
cavité, quand leur partie supérieure a été soumise à quelque pression
latérale
(2). Scoliose congénitale. — Les faits anatomo-
possède malheureusement peu d'observations détaillées sur la courbure
latérale
de l'épine chez le fœtus, et je serai obligé, fau
ns la scoliose rachitique ; je n'en dirai rien de plus. La courbure
latérale
de l'épine, chez les monstres, se lie, comme la c
tres, etc., Gazette médicale, 1842. (4) Loc. cit., p. 8. toujours
latérale
dans ce cas, peut produire la scoliose en détruis
Vous avez déjà compris que le fait anatomique primitif de la courbure
latérale
de l'épine est le développement irrégulier, asymé
l'épine, contractés avec force d'un seul côté, produisent sa courbure
latérale
et tous les désordres qui s'ensuivent. Morgagni
ces ligaments, suivie de leur ramollissement et de leur affaissement
latéral
. Puis est venue la doctrine de la rétraction mu
, 1827. (3) Jonrn. de méd. de Lyon, novembre 1844. des déviations
latérales
du rachis, qui dépendent, suivant cette doctrine,
us apprend sur ces divers systèmes et sur la formation de la courbure
latérale
de l'épine. D'abord, il est bien établi que la
Ce qui se voit alors, c'est ce qui se voit dans toutes les flexions
latérales
habituelles suivies de déformation du rachis. Les
rétractés. Je ne connais pas un seul fait qui prouve que la courbure
latérale
de l'épine, postérieure à la naissance, se soit j
, peut être une cause de scoliose, mais par le mécanisme des flexions
latérales
dont je parlais il n'y a qu'un instant. Mais la
s de déviations, c'est-à-dire pour le plus grand nombre des courbures
latérales
de l'épine; il faut chercher clans la colonne ver
e , serait par elle-même incapable de déformer le rachis; la pression
latérale
de l'aorte sur la tige osseuse altérée exerce san
une plus grande susceptibilité à céder à d'autres causes de courbures
latérales
. C'est, comme nous allons le voir, à une semblabl
la pression est tardif et peu prononcé : cet effet, c'est la courbure
latérale
normale. Mais, si la force plastique du rachis es
his. Le rachitisme est assurément une cause très-évidente de courbure
latérale
de l'épine; néanmoins il laisse la colonne vertéb
de la scoliose. A. Formes extérieures de la scoliose. — La courbure
latérale
de l'épine se présente, pendant la vie, sous troi
Cette période se confond par des nuances insensibles avec la courbure
latérale
normale; les apophyses épineuses sont sur une lig
sième période, accompagnées, pendant la station, de celte inclinaison
latérale
du tronc qui ajoute tant à la difformité, semblen
re. — Le mode et l'influence de l'action musculaire, dans la courbure
latérale
de l'épine, nous arrêteront quelques instants.
ise deux mots. Ludwig (1), Shaw (2), ont cru que la double courbure
latérale
du rachis commençait généralement, par la courbur
L'influence évidente de la contraction musculaire sur les courbures
latérales
de l'épine, — tant que ses articulations sont mob
formés. Je vous ai fait voir les formes diverses que les fléchisseurs
latéraux
du tronc peuvent donner à la colonne vertébrale,
ux du tronc peuvent donner à la colonne vertébrale, dans les flexions
latérales
physiologiques. Or ces formes sont tout autres ch
arquez que, tandis qu'une des courbures se redresse dans ces flexions
latérales
, l'autre augmente. L'inclinaison des lombes sur
comme dans l'état naturel, se produire en sens inverse de la flexion
latérale
du rachis, lorsque celle-ci s'opère dans le sens
ante, l'inclinaison lombaire peut être augmentée par les fléchisseurs
latéraux
des lombes, en même temps que les fléchisseurs la
fléchisseurs latéraux des lombes, en même temps que les fléchisseurs
latéraux
opposés de la région dorsale augmentent la courbu
e générale, cette prédominance de l'appareil génital dans la courbure
latérale
de l'épine. La menstruation est retardée par le
eu d'être antéro-postérieur, comme cela se voit ordinairement, il est
latéral
, ce qui lient sans doute à la déformation scoliot
sieurs de nos malades, sur les signes caractéristiques de la courbure
latérale
du rachis. Il me reste à passer en revue les diff
de direction du rachis que l'on peut rencontrer. La simple flexion
latérale
permanente ou habituelle, ou ce que j'ai appelé s
ient à s'effacer dans une vraie scoliose, les saillies et dépressions
latérales
persistent. On parvient, même dans la station,
able à la tête, aux épaules, aux membres inférieurs, quand la flexion
latérale
n'est produite que par une altitude vicieuse, en
me temps que l'attitude du malade fait décrire au rachis une courbure
latérale
permanente. c. Si une courbure par déformation
eurs caractères physiques sont semblables à ceux des simples flexions
latérales
pathologiques; on peut donc leur appliquer ce que
, si elle existe, ou s'assurer, dans le cas contraire, que la flexion
latérale
est réellement, indépendante de tout artifice. Or
règle pour une grande et belle fille se disant atteinte de déviation
latérale
de l'épine. Aujourd'hui même, malgré les études
morales, que l'on parviendra à découvrir la vérité. e. Les saillies
latérales
, seul indice certain de scoliose, quand la courbu
la région postérieure du thorax, indépendante du rachis, une voussure
latérale
dépendant de la courbure aortique normale de l'ép
iose. 2° Il n'y a d'autre différence que le degré entre la courbure
latérale
normale et. celle de la scoliose, si, en outre, o
De. la mensuration de la poitrine, 1838, p. 333, 338. avec saillie
latérale
très-sensible, est un commencement de déformation
. L'épine dorsale était droite, sans torsion, le thorax sans voussure
latérale
; les muscles étaient ramassés, contractés, durs,
'on ne distingue pas toujours avec assez de soin les simples flexions
latérales
des déformations réelles du rachis; et, vous le s
nne vertébrale, considérée spécialement au point de vue des courbures
latérales
qui peuvent en altérer la forme. Celte hygiène co
ladies longues, pendant une menstruation difficile, dans les flexions
latérales
liées à la claudication, à l'empyème, etc. Ce tra
urtout les filles, prédisposés par une cause quelconque à la courbure
latérale
de l'épine ne peuvent être sans risque soumis à l
es avantages dans les courbures anléro-postérieures, dans la courbure
latérale
par flexion, doit donc également figurer parmi le
raire amples et lâches, chez les jeunes sujets disposés à la courbure
latérale
de l'épine? Les mouvements sont certainement plus
ion. B. Traitement curatif. — Deux éléments constituent la courbure
latérale
de l'épine. L'anatomie pathologique nous a appris
indications capitales à remplir pour faire disparaître les courbures
latérales
du rachis : l'une est de rétablir la forme symétr
ion de Delpech. La scrofule n'est pas plus fréquente dans la courbure
latérale
de l'épine que dans toute autre circonstance; on
olioti-ques, et réciproquement, vous trouverez très-peu de déviations
latérales
du rachs dans nos salles d'enfants scrofuleux.
leterre, au commencement de notre siècle, dans la cure de la courbure
latérale
(1) Hannover. Annalen, Bd 4, hft 1, 1839. (2)
pothèse de la rétraction. Cette théorie place la cause de la courbure
latérale
de l'épine dans la débilitation ou la relaxation
ien , des dissections de sujets scoliotiques. Est-ce que la déviation
latérale
du rachis, telle (1) Orthomorph., t. II, p. 277
de laisser subsister toute l'action de la pesanteur sur les courbures
latérales
, et ils nuisent sous ce rapport. J'ai dû vous les
la redresse. Ce double mouvement ne permet pas toutefois une flexion
latérale
aussi étendue, et la diminution des courbures ne
res inférieurs doivent, au contraire, être interdits dans la courbure
latérale
de l'épine. Tels sont les sauts de toutes sortes,
me de tous les efforts étendus ou prolongés, qui exigent des flexions
latérales
dans le sens de la concavité des courbures, ou qu
long d'un banc, d'une planche à laquelle on peut adapter des poignées
latérales
, ou simplement à terre sur le parquet, où ils peu
on et la contre-extension du rachis; les autres agissent par pression
latérale
. 1° Extension et contre-extension. — Nous allon
e, et dix à quinze du côté du bassin. 2° Pressions. — Les pressions
latérales
, perpendiculaires à l'axe du corps, étaient emplo
lits le mécanisme adapté par Levacher à son fauteuil. Les pressions
latérales
ont à la fois pour objet de modifier la forme du
rcher, sur ces enfants, quels sont les effets immédiats des pressions
latérales
, seules ou associées aux extensions. Si, au lie
tre par les extensions, n'est pas seulement effacée par les pressions
latérales
; on va jusqu'à la retourner; après avoir changé l
ait concourir les deux genres d'efforts. Les pressions ou tractions
latérales
opposées, considérées au point de vue du redresse
réaliser cette flexion ; leurs procédés se réduisent à des pressions
latérales
. Mais il faut bien le dire, ce moyen de renverser
antéro-gauche, vous aurez une idée de ce mode d'action des pressions
latérales
. Elles placent le thorax déformé, allongé suivant
nt compte de ce fait. Il est facile de comprendre que les pressions
latérales
, pratiquées en avant et en arrière au niveau du t
. On n'a guère moins varié les appareils de pression et de traction
latérales
, pendant le décubitus, que les appareils d'extens
elle agirait très-peu sur cette courbure ; si elle était directement
latérale
, elle tendrait à augmenter la flexion des côtes e
sion des pelotes produite par le seul poids du corps. Les tractions
latérales
, opposées à la pression de la pelote pos-téro-lat
e lombaire. Dans les courbures lombaires principales, les pressions
latérales
, dans la station, produisent un redressement moin
ns dorsales principales, peut, dans certains cas, céder aux pressions
latérales
avec la même facilité dans la station et dans le
is pas de fait qui justifie cette crainte. Les appareils à pression
latérale
ont pour principal moyen d'action une ou plusieur
domen ou par un demi-corset allant d'un tuteur à l'autre. Les efforts
latéraux
en sens contraire qui concourent avec l'effort ex
tronc de droite à gauche, qu'il ne faut pas confondre avec la flexion
latérale
ou le renversement du rachis sur le côté gauche.
ports de la station, malgré les ceintures à pression ou à inclinaison
latérale
, malgré la gymnastique la plus savante ou la plus
usieurs années l'orthopédie, a proclamé l'incurabilité de la courbure
latérale
de l'épine; il avait pourtant observé et publié d
ir quels services ce seul mode d'influence rend déjà dans la courbure
latérale
du rachis. L'inclinaison la plus étendue, la pl
la suspension gymnastique, des extensions, des pressions et tractions
latérales
sur les lits, de la force d'inclinaison des ceint
inez-les pour (1) Mémoire établissant l'incurabilité de la dédation
latérale
droite de la colonne vertébrale. Paris , 1837.
ôté convexe des courbures; ce sont surtout les pressions et tractions
latérales
inverses, combinées avec les extensions dans la p
où le changement de forme des vertèbres est démontré par les saillies
latérales
alternes de la région dorso-lombaire , il reste t
re, la scoliose accidentelle, celle qui succède à de simples flexions
latérales
, résiste moins quand elle est prise à temps. Je
qui se produisent dans le rachis, lorsqu'on remédie à ses déviations
latérales
; mais il est clair que tout le tronc participe à
nitive, les moyens curatifs institués de nos jours contre la courbure
latérale
de l'épine, s'ils ne possèdent pas toute l'effica
21 Diagnostic différentiel..................... *k 1° Déviations
latérales
du rachis............... *k 2° Rachitisme......
D. Lordose congénitale.................. 357 Art. VIII. — Courbures
latérales
du rachis............. 359 § 1er. — Scoliose pa
9 § 1er. — Scoliose par flexion.................. 360 I. Flexions
latérales
physiologiques.............. ib. IL Flexion lat
I. Flexions latérales physiologiques.............. ib. IL Flexion
latérale
pathologique............... 365 1° Flexion laté
b. IL Flexion latérale pathologique............... 365 1° Flexion
latérale
par contracture............. 307 2° Flexion lat
5 1° Flexion latérale par contracture............. 307 2° Flexion
latérale
par paralysie.............. ib. 3° Flexion laté
07 2° Flexion latérale par paralysie.............. ib. 3° Flexion
latérale
par douleur.............. ib. 4° Flexion latéra
ib. 3° Flexion latérale par douleur.............. ib. 4° Flexion
latérale
de compensation............ 368 § H, — Scoliose
368 § H, — Scoliose par déformation................ 3G9 Courbure
latérale
normale ou scoliose physiologique..... 372 Idée
ce. Sclérose fasciculée systématique médiane. — Sclérose fasciculée
latérale
. — Dans l'ataxie locomotrice, la sclérose débute
es membres inférieurs. Ajoutons enfin que l'envahissement des cordons
latéraux
par l'induration grise n'avait pas échappé à ce p
ans la sclérose en plaques ou dans la sclérose symétrique des cordons
latéraux
, par exemple. La question paraît aujourd'hui défi
ogie de composition, sont tout à fait distinctes. Ainsi les faisceaux
latéraux
sont tout à fait distincts physiologiquement des
us le voyez, intimement liée à l'existence des bandelettes scléreuses
latérales
. Mais il manquait encore à la démonstration de
autant qu'au renflement cervical ; seules, les deux mêmes bandelettes
latérales
sur lesquelles nous appelons votre attention, éta
us voyez, Messieurs, qu'en somme, la lésion scléreuse des bandelettes
latérales
est le seul fait anatomique essentiel dans l'atax
rme de la sclérose postérieure. L'autre forme, la sclérose fasciculée
latérale
des cordons postérieurs, ou sclérose des bandelet
ux développe-ments pour faire ressortir que cette sclérose fasciculée
latérale
est bien, en réalité, le fait anatomique fondamen
té mis hors de doute, La vérité est que la sclérose des bandelettes
latérales
des faisceaux postérieurs est la seule lésion con
ninges, celle-ci débute, au contraire, par la région des ban-delettes
latérales
. Nous devons ajouter que, d'après nos observation
cune altération appréciable, et enfin que les bandelettes scléreu-ses
latérales
sont alors très étroites, réduites, pour ainsi di
echerches instituées dans cette direction. Les bandelettes scléreuses
latérales
, très étroites, très minces, tant que la symptoma
ion, répondre à l'envahissement de la partie postérieure des cor-dons
latéraux
. Pour ce qui est de l'extension si habituelle de
latéraux. Pour ce qui est de l'extension si habituelle de la sclérose
latérale
aux cordons médians, nous n'avons pas remarqué ju
vers les cornes postérieures de la substance grise et les fais-ceaux
latéraux
, soit en dedans vers les cordons médians. Dans le
vers la région cervicale, en conservant la disposition de bandelettes
latérales
, en même temps que le cordon médian devient habi-
ne sclérose consécutive ascendante. Les prolongements des bandelettes
latérales
par en haut peu-vent être d'ailleurs suivis jusqu
eaux médians postérieurs ; propagation de la sclérose aux bandelettes
latérales
des cordons postérieurs. Type classique de l'at
irement assignées, elle envahisse dans cer-tains cas, les bandelettes
latérales
des faisceaux postérieurs, dont la lésion, vous l
sclérose plus ou moins prononcée de la région postérieure des cordons
latéraux
. Cette sclérose latérale ascendante reste le plus
ononcée de la région postérieure des cordons latéraux. Cette sclérose
latérale
ascendante reste le plus souvent rudimentaire, et
uivie d'une contracture, est un symptôme lié à la sclérose fasciculée
latérale
occupant le renflement cervical delà moelle épini
où la sclérose consécutive occuperait, à un haut degré, les cor-dons
latéraux
dans toute la hauteur du renflement cervical de l
ans un cas, relaté par M. Viguès, il s'agit d'une lésion de la moitié
latérale
gauche de la moelle épinière déterminée par un co
fin, deux jours plus lard, apparut une escarre siégeant sur la partie
latérale
droite du sacrum et sur la fesse du même côté C
régé. Un homme est frappé d'un coup de poignard qui lèse la moi-tié
latérale
gauche de la moelle. On vit peu de jours après su
, elles intéressent les cordons postérieurs et au-dessous les cordons
latéraux
. Enfin, la lésion ne porte que sur une moitié lat
us les cordons latéraux. Enfin, la lésion ne porte que sur une moitié
latérale
de la moelle, si la com-pression est elle-même hé
étendue de la moelle en travers ou ne portent que sur une des moitiés
latérales
du cordon nerveux. Premier cas: Succession des
sations associées. Second cas : Lésions portant sur une des moitiés
latérales
du cordon nerveux. — Circonscription de la lésion
la moelle, en travers ; tantôt elle ne porte que sur une des moi-tiés
latérales
du cordon nerveux. C'est le premier cas, — de bea
urs et, dans le second cas, la partie la plus postérieure des cordons
latéraux
. Depuis quelques semaines, quelquefois depuis p
c l'interruption des cordons blancs, et plus spécialement des cordons
latéraux
, est con-forme, vous le voyez, aux données de la
es, autant de sym-ptômes qui relèvent encore de la lésion des cordons
latéraux
mais qui indiquent déjà qu'une cause d'excitation
symptômes qu'on puisse rapporter à la myélite descendante des cordons
latéraux
. C. Enfin survient la contracture permanente de
actuellement appeler votre attention sur le cas où l'une des moitiés
latérales
de ce centre est seule lésée par le fait de la co
ion de l'altération que nous avons en vue. Nous supposons la moitié
latérale
de la moelle épinière lésée dans toute son épaiss
e, comprimant vers la partie moyenne de la région dorsale, une moitié
latérale
de la moelle épinière et supposons, pour nous mie
conséquence facile à prévoir de l'interruption subie par le faisceau
latéral
correspondant, les fibres qui constituent ce fais
on transverse hémilatérale, et du même côté que celle-ci, le faisceau
latéral
soit à un moment donné atteint dans toute son éte
n dorsale, une compression à peu près exactement limitée à une moitié
latérale
de la moelle épi-nière. 1 Charcot et Gombault.
e de l'adulte; — Atrophie musculaire progressive spinale ; — Sclérose
latérale
amyotrophique, elc. Charcot. Œuvres complètes,
un premier groupe de vésicules au-dessous de l'aisselle ; un second,
latéral
aussi, au voisinage du bord inférieur du grand pe
oupe au niveau de l'angle inférieur de l'omoplate et un se-cond, plus
latéral
, presque à la même distance du précédent et de la
pareille occurrence, que les fais-ceaux blancs, les antérieurs et les
latéraux
surtout, présentent 1 Ces vues, relatives au rô
faisceaux blancs, suivant une loi bien connue, le long des faisceaux
latéraux
tandis que, dans la substance grise, ce sont les
tomiquement par une sclérose qui affecte symétriquement les faisceaux
latéraux
de la moelle épinière, dans toute la hauteur de c
ons, jusque dans le bulbe et la pro-tubérance. La sclérose fasciculée
latérale
symétrique peut se rencontrer isolément, en dehor
ômes amyotrophiques se surajoutent à ceux qui relèvent de la sclérose
latérale
. Dans tous les cas qu'embrasse cette énumératio
ux formes deutéropathiques (sclérose postérieure, sclérose symétrique
latérale
, pachyméningite). J'en dirai autant de l'anesth
n rôle intéressant comme cela se voit, entre autres, dans la sclérose
latérale
amyotrophique. B. Après cette énumération des s
ssort de la myélite chronique, de la pachyméningite ou de la sclérose
latérale
. Celles qui surviennent en conséquence d'une ca
antérieures. — Les faisceaux blancs, et en particulier les faisceaux
latéraux
, ne présentent pas la moindre trace d-altération.
DOUZIÈME LEÇON Amyotrophies spinales deutéropathiques. — Sclérose
latérale
amyotrophique. Sommaire. — Amyotrophies spinale
que. Sommaire. — Amyotrophies spinales deutéropathiques. — Sclérose
latérale
amyotrophique ; localisation de la lésion spinale
le amyotrophique ; localisation de la lésion spinale dans les cordons
latéraux
— Raisons de cette localisation fournies par l'ét
étude du développement de la moelle épinière. — Formation des cordons
latéraux
, des faisceaux de Col] et des faisceaux de Tiirck
latéraux, des faisceaux de Col] et des faisceaux de Tiirck. Sclérose
latérale
consécutive à une lésion cérébrale. Sclérose laté
iirck. Sclérose latérale consécutive à une lésion cérébrale. Sclérose
latérale
symétrique primitive. — Anatomic pathologique : C
rieure avec une sclérose symétrique et primitive des faisceaux blancs
latéraux
. 1. Envisageons, tout d'abord, le côté analom
zone radiculaire postérieure. par suite de l'apparition d'un sillon
latéral
, en deux parties, Tune antérieure, l'autre postér
i-gne d'ordinaire sous le nom de cordons postérieurs. Les faisceaux
latéraux
n'existent pas encore ; on les voit apparaître ve
n mois et demi. — a, b, c, etc., comme dans la figure 14. — /, cordon
latéral
. Fig. 14. — C. de la moelle d'un embryon hu-mai
de deux mois. — a, b, c, etc., comme dans la figure 12. — l, faisceau
latéral
. — m, développement des faisceaux de Goll. — n, d
atéraux tels qu'on les connaît chez l'adulte. B. Mais les faisceaux
latéraux
devant, seuls nous occuper au-jourd'hui, je dois
nt relati-vement moins avancé, la région qui appartient aux faisceaux
latéraux
proprement dits. Cette région se voit en arrière
enfant, à l'extérieur de la moelle une séparation entre les faisceaux
latéraux
proprement dits et les faisceaux antérieurs. Mais
ître que, même chez lui, les ré-gions qui correspondent aux faisceaux
latéraux
sont marquées encore par le diamètre relativement
s conteste, dans les premiers temps de la vie au moins, les faisceaux
latéraux
de la moelle épinière ; je dois compléter pourtan
moment de la naissance. L'individualité, l'autonomie des faisceaux
latéraux
, déjà ren-due manifeste par les considérations qu
épartements de l'encéphale, toute une moitié du système des faisceaux
latéraux
subit isolément, à la fois dans le pédoncule, la
dans la moelle le côté opposé. Cette lésion du système des faisceaux
latéraux
est, en pareil cas, absolument isolée ; elle ne s
points correspondants des deux hémisphères, le système des faisceaux
latéraux
serait naturellement lésé des deux côtés, à droit
, a trouvé sa réalisation, il s'agirait par conséquent d'une sclérose
latérale
symétrique, consécutive à une lésion cérébrale.
lésion cérébrale. Mais la sclérose symétrique totale des faisceaux
latéraux
peut survenir protopathiquement, primitivement, c
e la substance grise s'associe à la sclérose symétrique des faisceaux
latéraux
. Or, la combinaison de ces deux ordres d'altérati
sive se trouvent alors associés là à ceux qui relèvent de la sclérose
latérale
. III. Nous devons maintenant étudier de plus
successivement : 1° des lésions que présente le système des faisceaux
latéraux
dans les diverses régions de la moelle, dans le b
e en passant, paraissent appartenir au même système que les faisceaux
latéraux
. b) A la région dorsale, la lésion est plus cir
endue encore. Elle n'occupe guère que le quart postérieur des cordons
latéraux
. Il est à remarquer que, en dehors, elle touche à
ctures de très bonne heure, ce qu'explique l'existence de la sclérose
latérale
, mais leurs muscles ne sont pas ou sont relativem
fictive R, R') représentent les mêmes parties dans un cas de sclérose
latérale
amyotrophique. On voit qu'il existe à peine cinq
. Seulement, le caractère inflammatoire de la lésion dans la sclérose
latérale
amyotrophique m'a paru plus accentué. Ainsi, l'hy
tielle des muscles se produit, dans l'a-myotrophie liée à la sclérose
latérale
, tout comme dans l'amyo-trophie vraie. Le fait es
'on y observe Fig. 22. — Coupe de la langue dans un cas de sclérose
latérale
amyotrophique avec paralysie labio-glosso-laryngé
(Fig. 21 et 22.) Après cet exposé des lésions propres à la sclérose
latérale
amyotrophique, il est dans notre plan de vous fai
: les uns sont en relation avec l'altération symétrique des faisceaux
latéraux
; les autres relèvent de la lésion concomitante d
émontrer dans la prochaine séance. TREIZIÈME LEÇON De la sclérose
latérale
amyotrophique. — Symptomato-logie. Sommaire. —
mmaire. — Faits sur lesquels repose la Symptomatologie de la sclérose
latérale
amyotrophique. — Observations personnelles. — Doc
uments à l'appui. Différences qui séparent cliniquement la sclérose
latérale
amyotrophique de l'atrophie musculaire spinale pr
ion de la contractilité électrique. Symptômes propres à la sclérose
latérale
amyotrophique. — Prédominance de la paralysie mot
rès avoir décrit les altérations nécroscopiques propres à la sclérose
latérale
amyotrophique, il importe actuellement d'animer l
e tracer ensuite une ligne de démarcation tran-chée entre la sclérose
latérale
amyotrophique et les autres formes (X atrophie mu
profondes. Puisse la description que je vais présenter de la sclérose
latérale
amyotrophique éprouver le même sort ! La plupar
'sHospital Reports4 sont encore, à mon avis, des exemples de sclérose
latérale
amyotrophique. Enfin, je ferai rentrer encore dan
recueillis à la Salpêtrière, dans mon service, relatif à la sclérose
latérale
amyotrophique. Ce chapitre renferme, de plus, un
i seraient désireux de constater de visu les symptômes de la sclérose
latérale
amyotrophique, j'annoncerai qu'il existe en ce mo
cas, ont été montrées au cours pratique de la Faculté. la sclérose
latérale
amyotrophique de l'atrophie musculaire spinale pr
indispensable de faire remarquer que la plupart des faits de sclérose
latérale
amyotrophique ont été rassemblés à la Salpêtrière
à l'amyotrophie progressive vul-gaire et à l'amyotrophie par sclérose
latérale
; ce sont: a) l'a-trophie progressive, envahissan
ie de l'atrophie des masses musculaires, tandis que, dans la sclérose
latérale
, la paralysie domine certainement la situa-tion ;
s de leurs mouvements naturels, sont habituellement, dans la sclérose
latérale
, le siège d'une rigi-dité habituelle, résultant d
t de la main chez la nommée Tr., âgée de 58 ans, atteinte de sclérose
latérale
amyoUophique. Le bras est appliqué le long du c
lier de mentionner une autre particularité. Parfois, dans la sclérose
latérale
, les membres supérieurs pa-rétiques, contractures
derniers cas comme dans le pre-mier, me paraît relever de la sclérose
latérale
, trait commun entre tous les trois. Il n'est pa
r en quelques traits les caractères symplomatologiques de la sclérose
latérale
amyo-trophique, considérée dans ce qu'on pourrait
à bref délai, sont, sans con-teste, sous la dépendance de la sclérose
latérale
et symétrique. Je vous rappellerai que partout
trique. Je vous rappellerai que partout où se rencontre la sclérose
latérale
, la contracture se montre tôt ou tard plus ou moi
es par compression ou spon-tanées lorsque la dégénération descendante
latérale
en est la conséquence ; — d) enfin, dans la sclér
la conséquence ; — d) enfin, dans la sclérose primitive des faisceaux
latéraux
sans atrophie musculaire. 2° La parésie et la c
est j établi clmiquement. Il y a donc lieu d'admettre que la sclérose
latérale
, dont elles relèvent, se produit avant la lésion
ceaux la-téraux et les cornes antérieures. Le système des faisceaux
latéraux
tend à s'affecter dans son entier et cela très ra
rtrophique, etc., etc. Sommaire. — Amyotrophic liée à la sclérose
latérale
descendante consécu-tive à une lésion en foyer du
dist nguent la pachyméningite cervicale hypertrophique de la sclérose
latérale
amyotrophique. — Amyotrophic consécutive à l'atax
, en me fondant sur les données delà clinique, que, dans la sclé-rose
latérale
amyotrophique, la lésion symétrique des cordons l
la sclé-rose latérale amyotrophique, la lésion symétrique des cordons
latéraux
, d'où résultent la paralysie et la contracture, s
s scléroses dites descendantes, qui se pro-duisent dans les faisceaux
latéraux
à la suite de diverses lésions en foyer, cérébral
des lésions à la substance grise dans les cas en question de sclérose
latérale
n'est pas, tant s'en faut, tout à fait sans exemp
se, dans des considérations suf-fisantes sur le compte de la sclérose
latérale
amyotrophique et il est temps, par conséquent, de
2 J'ai eu soin de faire remarquer ailleurs que la sclérose symétrique
latérale
de la moelle peut exister sans participation des
rit lors-que nous vous avons entretenus de l'amyotrophie par sclérose
latérale
. Cependant, pour ne parler que de ce qui concerne
itude de la main dans la pachyméningite cervicale. dans la sclérose
latérale
primitive ; toutefois, en opposition à ce qui se
à la myélite transverse, s'empare tôt ou tard des fais-iceaux blancs
latéraux
, et, comme dans les cas de sclérose des-cendante
essie et du rectum enfin, phénomènes qui font défaut dans la sclérose
latérale
amyotrophique. Bien d'autres caractères distinc
— nous l'avons dit — être un des éléments néces-saires de la sclérose
latérale
amyotrophique. m. C'en est assez sur la pachy
désordres analogues à ceux que nous avons mentionnés dans la sclérose
latérale
symétrique et que nous retrouverons dans la paral
la moelle épinière fournit des résultats intéressants : Les faisceaux
latéraux
étaient sclérosés, symétriquement, dans toute leu
dans l'observation de m. Barth, — la sclérose symétrique des cordons
latéraux
se combine avec l'atrophie pro-gressive des cellu
natomique dont nous disposons aujourd'hui. Fig. 29. — A, A, cordons
latéraux
; — A', faisceaux de liirck. — B, B, zones radicul
ute leur étendue des deux côtés de la moelle, dans le cas de sclérose
latérale
symétrique et, par-tiellement, d'un seul côté de
leur pathologie se confond presque toujours avec celle des faisceaux
latéraux
; Fig. 30. — Coupe transversale de la région lo
n lente et progressive (amyotrophie spinale protopathique, — sclérose
latérale
amyotrophique, etc.), si elle évolue suivant le m
; sa justification ; — sclérose symé-trique et primitive des cordons
latéraux
. — Tabes dorsal spasmodique et tabès dorsal ataxi
forme spinale, contracture hystérique, myélite trans-verse, sclérose
latérale
amyotrophique, etc. Messieurs, Je ferai passe
te lésion porte particulièrement son action sur les faisceaux spinaux
latéraux
. 11 est possible enfin que, conformément à une re
ais, il importe de ne pas l'ou-blier, les observations où la sclérose
latérale
symétrique primitive, sans participation des corn
der" Deutschen Zeitschrift fur praltische Medicin"). 1 La sclérose
latérale
symétrique avec participation des cornes antérieu
n distincte de celle que M. Charcot a décrite sous le nom de sclérose
latérale
amyotrophique. (Voir plus haut les Leçons XII et
n appelle l'ataxie locomotrice progressive, mais aussi de la sclérose
latérale
amyotrophique, de la myélite transverse vulgaire,
condi-tion seulement qu'elles intéresseront le système des faisceaux
latéraux
dans une certaine étendue ; soit qu'il s'agisse d
artielle transverse primitive ou déterminée par compression, sclérose
latérale
amyotrophi-que, sclérose en plaques disséminées,
ue avec dégénération scléreuse descen-dante consécutive des faisceaux
latéraux
. Il me paraît inutile d'insister pour faire resso
travers, la lésion, quelle qu'elle soit, restait limitée à une moilié
latérale
du cordon nerveux, la symptomatologie s'accuserai
ic serait rendu par là plus facile encore à déterminer. La sclérose
latérale
amyotrophique a de commun, avec le tabès spasmodi
faisceaux postérieurs (région cervicale), sur d'autres les faisceaux
latéraux
'région dor-sale inférieure). Les hémisphères cér
récipitée soit en avant, soit en arrière. Les impulsions dans le sens
latéral
sont chez elle beaucoup plus rares ; absence de p
à la trémulation qui ne manque guère d'apparaître quand les faisceaux
latéraux
de la moelle sont affectés de sclérose à un certa
cuisse et se prolongent même, sans l'atteindre, jusque vers la partie
latérale
externe. Sur la partie externe de la cuisse se
a jambe et la cuisse pouvant être placées entièrement sur leur partie
latérale
externe où elles reposent sur le plan du lit. Ces
r les coupes transversales, disséminées en divers points des cor-dons
latéraux
et postérieurs, des espè-ces d'ilôts arrondis ou
ement dans l'acide chro-mique dilué, font reconnaître, dans la moitié
latérale
gauche, dans la région cervicale, un foyer sangui
e immédiat, mais encore bien au-dessous de ce foyer, dans les cordons
latéraux
(Myélite descendante consécutive), à peu près dan
sur le trajet des faisceaux postérieurs, soit sur celui des faisceaux
latéraux
. Tout porte à croire d'ailleurs que l'irritation
leurs au cou, sur les côtés de la colonne vertébrale, dans les masses
latérales
. Aujour-d'hui, ces douleurs ont disparu, mais de
res et l'absence complète de toute teinte grise au niveau des cordons
latéraux
. Muscles D'une façon générale, les muscles mala
sies. Des portions de substance blanche prise au centre des cordons
latéraux
à la région cervicale et à la région lombaire ne
ées que d'habi-tude. Dans toute l'étendue de la moelle, les cordons
latéraux
propre-ment dits, les faisceaux de Tiirck, les fa
logie normale et patholo-gique, 1875, p. 741). Deux cas de sclérose
latérale
symétrique amyotro- phique. (Voyez : Leçon XI
eut être tenu longtemps, et il s'accompagne d'un tremblement, surtout
latéral
, des mains, fort singulier. Les mouvements de fle
au des faisceaux antérieurs et sur la partie antérieure des faisceaux
latéraux
, ont conservé à peu de de chose près leur diamètr
nt, les points où pré-domine ainsi l'altération scléreuse des cordons
latéraux
se mon-trent sous forme de deux petites plaques r
ue sur les 2/3 supé-rieurs de cette région. La sclérose des faisceaux
latéraux
se mon-trait à toutes les hauteurs, au moins auss
bre. Région lombaire. L'altération scléreuse symétrique des cordons
latéraux
est encore ici très nettement accusée, mais moins
de l'état normal. Observation IL Sclérose symétrique des cordons
latéraux
de la moelle et des pyra-mides antérieures dans l
té opposé, la formation réticulée et la partie supérieure des cordons
latéraux
. Les cornes antérieures qui, à ce niveau, sont re
d'exister vers la partie inférieure de la région. Dans les cordons
latéraux
, commençant en avant au niveau de l'angle externe
ordon antérieur et diminuer pro-gressivement d'étendue dans le cordon
latéral
. Dans la région dorsale le cercle de tissu sain p
Heilkunde. Leipzig, 1871, p. 120. tats intéressants : les faisceaux
latéraux
étaient sclérosés, sy-métriquement, clans toute l
dans l'observation de M. Barth, — la sclé-rose symétrique des cordons
latéraux
se combine avec l'atro-phie progressive des cellu
éformation considérables. — h, Cylindre d'axe refoulé sur les parties
latérales
. Fig. 2. — Substance blanche de la moelle chez
rimé représenté, grossi, sur la fig. 2. — c, Région dorsale. Sclérose
latérale
et postérieure. — h, Région cervicale inférieure.
cal, id. — e, Région dorsale inférieure. Sclérose diffuse des cordons
latéraux
. — f, Région lombaire. Sclérose latérale marquée
Sclérose diffuse des cordons latéraux. — f, Région lombaire. Sclérose
latérale
marquée surtout à droite. — g, Renflement lombair
lombaire. Sclérose bien limitée à la partie posté-rieure des cordons
latéraux
. Fjg. 2. — Coupe de la moelle ëpinièrea la régi
phiée; la corne pos-térieure n'existe plus. — c, Vestiges delà partie
latérale
droite de la moelle. Fig. 3. — Coupe à la régio
ment des pyramides. a, a, Formation réticulée de Deiters et cordons
latéraux
. b, Pyramides antérieures. c, c, Cornes antér
inière à la partie supérieure du renflement cervical. a, a, Cordons
latéraux
. b, b, Cordons antérieurs. c, c, Cornes antér
elle épinière à la partie moyenne de la région dorsale, a, a, Cordons
latéraux
, c, c, Cornes antérieures. p, p, Cornes postérieu
le épinière à la partie moyenne du renflement lombaire, a, «, Cordons
latéraux
, c, c, Cornes antérieures. p,p, Cornes postérieur
seaux, les cellules nerveuses y ont complètement disparu. — L, Cordon
latéral
. — P, Cordon postérieur. — T, Faisceau de Tiirck.
ce. Sclérose fasciculée systématique médiane. — Sclérose fasciculée
latérale
. Dans l'ataxie locomotrice, la sclérose débute pa
eaux médians postérieurs : propagation de la sclérose aux bandelettes
latérales
des cor-dons postérieurs. Type classique de l'a
étendue de la moelle en travers ou ne portent que sur une des moitiés
latérales
du cordon nerveux. Premier cas : Succession des
Sensations associées Second cas : Lésions portant sur une des moitiés
latérales
du cordon ner- veux. — Circonscription de la lé
DOUZIÈME LEÇON amyotrophies spinales deutéropathiques. — sclérose
latérale
amyo- trophique. Sommaire. — Amyotrophies spi
ue. Sommaire. — Amyotrophies spinales deutéropathiques. — Sclérose,
latérale
amyotrophique ; localisation de la lésion spinale
le amyotrophique ; localisation de la lésion spinale dans les cordons
latéraux
. — Raisons de cette localisation fournies par l'é
étude du développement de la moelle épinière. — Formation des cordons
latéraux
, des faisceaux de Göll et des faisceaux de Tiirck
latéraux, des faisceaux de Göll et des faisceaux de Tiirck. Sclérose
latérale
consécutive à une lésion cérébrale. Sclérose laté
iirck. Sclérose latérale consécutive à une lésion cérébrale. Sclérose
latérale
symétrique primitive. — Anatomie pathologique : C
.............................. 234 TREIZIÈME LEÇON de la sclérose
latérale
amyotrophique. — symptomatologie. Sommaire. — F
mmaire. — Faits sur lesquels repose la Symptomatologie de la sclérose
latérale
amyotrophique. — Observations personnelles. — Doc
uments à l'appui. Différences qui séparent cliniquement la sclérose
latérale
amyotrophique de l'atrophie musculaire spinale pr
ion de la contractilité électrique. Symptômes propres à la sclérose
latérale
amyotrophique. — Prédominance de la paralysie mot
pertrophique, etc., etc. Sommaire. — Amyotrophic liée à la sclérose
latérale
descendante consécu- tive à une lésion en foyer
distinguent la pachyméningite cervicale hypertrophique de la sclérose
latérale
amyotrophique. Amyotrophie consécutive à l'atax
; sa justification ; — sclérose symé-trique et primitive des cordons
latéraux
. — Tabes dorsal spasmodique ; — tabes dorsal atax
forme spinale, contracture hystérique, myélite trans-verse, sclérose
latérale
amyotrophique, etc................ ...... 301 S
...........,........................... 425 V. Deux cas de sclérose
latérale
symétrique amyotrophique........- 439 VI. Note
, 214. — Protopathiques, 214. — Deutéropathiques, 2*14 (Voir Sclérose
latérale
). — Dans l'a-taxie locomotrice, 278. — Propa-gati
s Y hémichorée, 359 ; — dans Yhémiparaplégie, 139; — dans la sclérose
latérale
, 241 ; — dans le tabes spasmodique, 305. Cordon
sclérose latérale, 241 ; — dans le tabes spasmodique, 305. Cordons,
latéraux
(Développement des), 237, 238. Cornes antérieur
d Déformations dans l'atrophie mus-culaire, 222. — Dans la sclérose
latérale
amyotrophique, 256. (V. Paralysie infantile.) D
Griffe, 222. — Dans la pachymé- ningite, 275. — Dans la sclérose
latérale
amyotrophique, 442. H Hallucinations motrices
anent, 153, 156, — Lésions probables du bulbe, 157.— Dans la sclérose
latérale
, 426. (V. Hachis). Prolongements nerveux, 21. —
xternes, 10, 14. — Des cordons de Goll, 13, 14, 24, 32. — Des cordons
latéraux
,!, 25,182,240. —Latérale amyotropkique, 217, 241,
rdons de Goll, 13, 14, 24, 32. — Des cordons latéraux,!, 25,182,240. —
Latérale
amyotropkique, 217, 241,249. — Lé-sions des cordo
82,240. —Latérale amyotropkique, 217, 241,249. — Lé-sions des cordons
latéraux
, 24(1. — De la substance grise, 214, 451. — Des r
ssements, Trou-bles.) V Vaisseaux (Lésions des) dans la sclé-rose
latérale
, 4SI. Vertige épileptique, 34i, 412. — Gas-triq
les. — S, commissure grise ; — 0, 0, couches optiques — V, ventricule
latéral
; — V, sa corne sphé_ noïdale ; — P, P, capsule i
parties de ce lobe qui entourent la corne postérieure des ventricules
latéraux
, la substance grise n'a pas l'aspect à peu près u
t progressivement. 11 pousse dans son parcours quelques prolongements
latéraux
et se divise par-lois en forme de fourche à son e
rconvolution frontale. — I, Corps calleux; — 2, Cavité du ventri-cule
latéral
: — 3, Couche optique ; —4, Partie antérieure et
le sens antéro-postérieur. Ce sont : a) le lobule occipito-sphénoïdal
latéral
ou lobule fusi-forme; b) le lobule occipito-sphén
r-che progressive. — Il en est d'autres qui se limitent aux faisceaux
latéraux
et qui se traduisent par une parésie des membres
des bandelettes externes (Fig. 7, B, B), dans l'aire des faisceaux
latéraux
, est seule le substratum anatomiqne nécessaire de
ts, de départements, d'organes secondaires. Fi;/. 7.— A, A, cordons
latéraux
; — A' faisceaux de Tiirck : —B, B, zonesradi„ cul
ions de l'encéphale, la sclérose symétrique et primitive des cor-dons
latéraux
, la paralysie bulbaire par lésion isolée des noya
oïde aplati. De ses deux faces, la supérieure regarde le ventricule
latéral
et l'inférieure, qui est aussi interne, le ventri
-mur; — R, cir-convolution de l'insula; — V, V, coupe des ventricules
latéraux
; — P, P, piliers du trigone; — 0, substance grise
s. — S, commissure grise ; — 0, 0, couches optiques ; — V, ventricule
latéral
; — V, sa corne sphé-noïdale ; — P, P, capsule int
iasma); pas d'hémianesthésie. — A, corps calleux ; — B, B, ventricule
latéral
; — C, C, noyau caudé ; — D, D, noyau lenticulaire
ux et piliers postérieurs de la voûte. — B, B, cavité des ventricules
latéraux
. —G, G, couches optiques. — D, D, noyaux lenticul
HII, insula. — I, I, corne d'Ammon et corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. —ff, foyer hémorrhagique extra-lenticu-laire int
ence. Le cerveau étant placé sur sa base, on ouvre les ventricu-les
latéraux
, de manière à mettre à découvert la face supé (
ipital, immédiatement en dehors de la corne postérieure du ventricule
latéral
. Elles se termineraient finalement dans l'épaisse
x les plus internes de la pyramide, lesquels passent dans les cordons
latéraux
de la moelle, — elles iraient, après s'être entre
sthésie cérébrale (suite). — De l'am-blyopie croisée. — De l'hémiopie
latérale
. Sommaire. — Résumé des caractères de l'hémiari
esthésie déter-minent également l'amblyopie croisée et non l'hémiopie
latérale
. De l'hémiopie. — Hypothèse de la semi-décussat
cerveau; c'est un trouble visuel qui en diffère, à savoir : Vhémiopie
latérale
homologue ; en d'autres termes, une lésion cérébr
nesthésie déterminent également V amblyo-pie croisée et non Vhémiopie
latérale
. Je ne suis pas en mesure, remarquez-le bien, d
Je ne suis pas en mesure, remarquez-le bien, de décider quel'hémiopie
latérale
ne saurait être jamais la conséquence d'une lésio
tion montrant clairement, en dehors de ces circons-tances, l'hémiopie
latérale
développée en conséquence d'une lé-sion de la par
29. — Schéma des line à faire comprendre les phénomènes de l'hémiopie
latérale
et de l'amblyopie croisée. — T, Setni-décussation
t — K, Lésion de la bandelette optique gauche produisant l'hémiopie
latérale
droite. — LOG, Une lésion en ce point produirait
complètement toute l'étendue du champ visuel du côté droit (hémiopie
latérale
droite). L'hémiopie latérale gauche surviendrait
du champ visuel du côté droit (hémiopie latérale droite). L'hémiopie
latérale
gauche surviendrait au contraire, à la suite d'un
t, nombreux sont les exemples qui démontrent qu'en réalité l'hémiopie
latérale
est laconsé-quence d'une lésion p'ortant son acti
corps genouillés, jusqu'à sa terminaison dans le chiasma. L'hémiopie
latérale
devra se produire d'ail-leurs non-seulement par l
t, ne nous intéressent pas direc-tement, et j'en reviens à l'hémiopie
latérale
. Ce genre de trou-ble visuel, c'est là un fait qu
t à présent, une seule observation montrant inévitablement l'hémiopie
latérale
déve-loppée en conséquence d'une lésion infra-cér
ué, tandis qu'une lésion de la bandelette optique pro-duit l'hémiopie
latérale
, au contraire, une lésion située pro-fondément da
cine antérieure de la couche optique; ; — Fibres moyennes (expansions
latérales
) ; —Fibres postérieures (expansions cérébrales de
s lésions des tubercules quadrijumeaux antérieurs. Faits d'hémiopie
latérale
supposés d'origine intra-cérébrale. Messieurs,
C a, commissure anté-rieure. — inf, corne postérieure des ventricules
latéraux
. (Meynert 1 composent pour une bonne part la ma
es ; 2° d'autres sont moyennes ou laté-rales (ii, Fig. 32. Expansions
latérales
) ; 3° d'autres enfin, postérieures, sont désignée
— d, tubercule^ quadrijumeaux. — f, corne postérieure du ventricule
latéral
. — g , corne d'Ammon. —h,h, racine antérieure d
rne d'Ammon. —h,h, racine antérieure du thalamus. — i,i, radiations
latérales
— Icl{, radiations optiques de Gratiolet. (1)
e antérieure. A, corne d'Ammon. — V, corne antérieure du ventricule
latéral
. — Vp, corne postérieure. — Vm, Vm, ventricule mo
oduira, à l'exemple d'une lésion de la bandelette optique, l'hémiopie
latérale
, ou si, au contraire, elle produira l'amblyo-pie
ondeur du cerveau produisent l'hémiopie, c'est toujours de l'hémiopie
latérale
qu'il s'agit en pareille circonstance, on invoque
ourra avoir pour résultat de déterminer, en même temps que l'hémiopie
latérale
, une hémiplégie motrice, et peut-être, en outre,
il en soit, il importe de reconnaître que, parmi les faits d'hémiopie
latérale
supposés d'origine inlra-cérébrale qui ont été ra
que je viens de proposer. Tels sont ceux, entre autres, où l'hémiopie
latérale
droite se développe de concert avec l'aphasie, et
ués surtout par la coexistence du scotome scintillant, d'une hémiopie
latérale
plus ou moins prononcée, et, quelque-fois, en out
l'objet de cette observation avait présenté, en outre d'une hémiopie
latérale
droite, très caractérisée, de l'aphasie et une hé
cule cérébral, la protubérance. la pyramide antérieure et le faisceau
latéral
de la moelle. Analogies et différences entre le
latéral de la moelle. Analogies et différences entre les scléroses
latérales
consécutives de cause cérébrale et les scléroses
cause cérébrale et les scléroses fasciculées primitives des faisceaux
latéraux
. — Symptômes liés aux scléroses secondaires : imp
nente. — Atrophie musculaire produite par l'extension de la sclé-rose
latérale
aux cornes de substance grise. Sclérose descend
la moelle épinière du côté opposé au foyer, tout le long du faisceau
latéral
, jusque dans le renfle-ment lombaire. ni. Je
sphère cérébral occupent toujours une moitié du système des faisceaux
latéraux
. Elles sont plus ou moins accentuées, plus ou moi
moelle, la limitation précise, systématique, à l'aire des fais-ceaux
latéraux
. Les autres faisceaux blancs, et les cornes grise
une ma-lade atteinte de dégénération secondaire (sclérose fasciculée
latérale
consé-cutive, de cause cérébrale) à la suite d'un
e occuper dans le renflement cervical la partie cervicale du faisceau
latéral
et devenir superficielle à la région lombaire.
. région dorsale. lombaire. qu'elle occupe le système des faisceaux
latéraux
des deux côtés à la fois, et non pas d'un seul cô
tive, elle envahit le système des fibres spinales propres au faisceau
latéral
. (Comparez les Fig. 39, 40 et 41, et les Fig. 42,
ment aux différences qui exis-tent, anatomiquement, entre la sclérose
latérale
consécutive, et la slcérose la-térale primitive,
ibres de la pyramide antérieure, la lésion n'occupe, dans le faisceau
latéral
de la moelle, qu'une région relativement étroite.
tout à fait super-ficielle confine à la pie-mère. Dans la sclérose
latérale
primitive, la zone scléreusc occupe d'une façon g
eut-être sensitives, qui constituent la partie profonde des faisceaux
latéraux
. (Voir Fig. 42, 43, 44). Il faut ajouter que les
ulièrement envahie par l'altération scléreuse dans le cas de sclérose
latérale
amyotrophique, tandis que cela n'a lieu que d'une
'affecte qu'une partie des fibres nerveuses qui forment les faisceaux
latéraux
, à savoir les fibres cérébro-spinales ; tandis qu
dis que, dans la sclérose pri-mitive, il y a envahissement du système
latéral
tout entier comprenant non-seulement les fibres c
formes primitives et la forme consécutive de la sclé-rose fasciculée
latérale
. Cette assimilation peut être poursuivie sur le t
vulgaire. On peut donc dire aujourd'hui qu'entre la lésion « sclérose
latérale
» et le phénomène « contracture permanente », il
l'hystérie, peut se montrer sans accompagnement de sclérose spi-nale
latérale
; mais, lorsque cette lésion existe, la contractu
traire l'existence d'une myélite chronique, produite dans le faisceau
latéral
, en con-séquence de la lésion du cerveau, qu'il c
enre, nous avons constaté, M. Pierret et moi, en outre de la sclérose
latérale
classique, une lésion de la corne grise antérieur
extension du proces-sus irritatif, soit à toute l'étendue du faisceau
latéral
du côté correspondant, soit même au faisceau la
ue du faisceau latéral du côté correspondant, soit même au faisceau
latéral
du côté opposé, rendra compte sans doute du fait
stème cortical. En tant qu'affection spinale ou bulbaire, la sclérose
latérale
, dans ce dernier cas, ne diffère aucunement de ce
oschiloff, Sachs. Academ., etc. Leipzig, 1875. rieure des faisceaux
latéraux
, au voisinage du sillon médian une lésion netteme
sion du même genre et qui occupe la partie postérieure du faisceau
latéral
du côté opposé dans une région toujours la même e
rrespond à la surface de section transver- Fi/7.46. — A, A, cordons
latéraux
. — A, faisceaux de Tûrck. —B, C, zones ra culaire
iculaire antérieure (Pierret) et de région fondamentale des faisceaux
latéraux
(Flechsig). Ajoutons que, en ce qui concerne la
ieurs décomposés en deux faisceaux secondaires et les anciens cordons
latéraux
divisés en trois faisceaux se-condaires. d) Mai
ur cette grande étendue, ils occupent la moitié postérieure du cordon
latéral
où ils sont représentés par un faisceau compact d
es recouverts de myéline formant le faisceau pyramidal dans le cordon
latéral
de la moelle épinière. — D, D, D, Cellules des co
nce grise où s'épuisent successivement les fibres nerveuses du cordon
latéral
. - F, F, F, Racines antérieures représentées sché
ic antéro-interne. — C, sclérose du faisceau pyramidal dans le cordon
latéral
. (D'après Pitres). très importants. 11 s'agit,
n ne trouvait nulle part d'extension directe de la lésion du faisceau
latéral
à la corne antérieure correspon-dante. Cette ob
tes. Dégénérations ascendantes. — Celles-ci portent sur les faisceaux
latéraux
et sur les faisceaux postérieurs. — Faisceaux cér
terminant, à la longue, une al-tération degenerative des deux cordons
latéraux
. ¦— Ce fait constitue une ex-ception des plus rar
ettes ne sont autre chose que les cordons de Tûrck. Dans la portion
latérale
proprement dite des faisceaux antéro-latéraux, la
dégénôralions as-cendantes portent sur deux points : a) les faisceaux
latéraux
; h) les faisceaux postérieurs. a) La lésion de
hauteur de la 7e ou 8e vertèbre dorsale, la dégénération du faisceau
latéral
droit est accompagnée d'une dégénération du faisc
serait autrement assez difficile. J'ai vu parfois les deux faisceaux
latéraux
affectés par une lésion unilatérale. L'altération
e postérieure. — V, Partie postérieure du cordon antérieur (ou cordon
latéral
). — E, Portion amincie de substance nerveuse ferm
M. le professeur Charcot, sur les scléroses symé-triques des cordons
latéraux
, d'après les préparations de M. Pierret(B). Fia
demi. — a, b,c, etc., comme dans la figure précédente. — l, Cordon
latéral
. Fig. 68. — Coupe de la moelle d'un embryon hum
is. — a,b, c, etc., comme dans les figures précédentes. — l, Faisceau
latéral
. — 7n, Développement des faisceaux de Coll. — n,
des faisceaux de Goll et de la partie postéro-latérale des faisceaux
latéraux
qui correspond aux faisceaux cérébelleux directs.
mer un groupe un peuplus compact dans la région pyra-midale du cordon
latéral
, et, sur ce point, les fibres dégénè-rent dans un
nouille (et a fortiori chez les mammifères), la section des faisceaux
latéraux
à la région dorsale — les faisceaux posté-rieurs
t en partie directe et en partie croisée. Quand vous coupez la moitié
latérale
de la moelle chez un cochon d'Inde, par exemple
t isolément et complètement les faisceaux antérieurs ou les faisceaux
latéraux
, dit M. Vulpian, n'est pour ainsi dire pas réalis
g. 79). Fig. 79. Fig. 78. 5° Dans le cas de section des faisceaux
latéraux
et posté-rieurs, l'animal ne se sert que de ses m
ysé (Fig. 80). 6° Enfin, si la section est totale, un seul faisceau
latéral
étant respecté, le membre inférieur du côté secti
re. 1° Je vous rappellerai que la lésion consécutive des fais-ceaux
latéraux
représente à l'origine, pour la majorité des aute
ice cérébrale qui, dans le cas de section expérimentale des faisceaux
latéraux
, tendrait à expliquer l'exagération des propriété
peut fort bien arriver qu'il fasse défaut alors même que la sclérose
latérale
n'existe pas (1). La contracture permanente, en d
ment détacher aujourd'hui un épisode. J'ai proposé d'appeler sclérose
latérale
amyotro-phique cette maladie dans laquelle les de
de lacon-tracture est dans la substance grise et non dans le faisceau
latéral
lui-même. Il s'agit donc là d'une lésion consécut
tivement, ou en conséquence de lésions autres que celle des faisceaux
latéraux
. Le fait ne me paraît pas avoir été dé-montré, ma
ction dont il s'agit se rattache à une sclérose primitive des cordons
latéraux
. J'ai partagé et je par-tage encore l'opinion de
sentiel que je tiens à relever, c'est la lésion consécutive du cordon
latéral
, lésion descendante, et nous savons que cette lés
, prétend avoir reconnu des fibres nerveuses qui, parties du faisceau
latéral
droit, se porteraient directement à la com-missur
dans la substance grise? Passent-elles au con-traire, dans le cordon
latéral
opposé? Cela n'est pas démon-tré ; toutefois, cel
endant en partie croisée. En d'autres termes, la section d'une moitié
latérale
de la moelle épiniôre, chez un cochon d'Inde par
s'empê-cher de songer qu'à l'époque où la maladie débute le faisceau
latéral
est en pleine voie de développement et que cette
une lésion du même genre, également li-mitée au système des faisceaux
latéraux
, rendrait compte de tout l'ensemble des phénomène
s altérations dont il s'agit avaient entraîné avec elles une sclérose
latérale
. Cela montre seulement — ce qu'on savait du reste
es — et elles sont nombreuses — où il existe une lésion des faisceaux
latéraux
. Il importe toute-fois de ne pas oublier que la c
ue de la moelle épinière car il existe nombre de cas où les faisceaux
latéraux
sont affec-tés peut-être fonctionnellement, mais
élites centrales, sclérose épendymaire, sclérose en plaques, sclérose
latérale
amyotrophique. Du système neuro-musculaire en g
ltent d'une lésion des faisceaux blancs et spécialement des faisceaux
latéraux
, cas dans lesquels la nu-trition des muscles n'es
umération, je tiens surtout à appeler votre attention est la sclérose
latérale
amyotrophique. L'affection reconnaît, je vous l'a
dit, deux éléments anatomo-pathologiques : une lé-sion des faisceaux
latéraux
et une lésion des cornes antérieu-res. Et celle-c
ue des diverses régions de la substance grise. APPENDICE Sclérose
latérale
amyotrophique. — Autonomie et caractère spasmodiq
, en première ligne, l'analyse détaillée d'un cas typique de sclérose
latérale
amyotrophique. Cette affection, dont la première
cru devoir présenter un exemple, en quel-que sorte idéal, de sclérose
latérale
amyotrophique, et en discuter les points fondamen
e que M. Huchard put, immédiatement, porter le diagnostic de sclérose
latérale
amyo-trophique. Mais, ce qu'il y a de très import
ion médul-laire, caractérisée par une sclérose symétrique des cordons
latéraux
, combinée avec une altération dégénérative des co
on aurait été presque en droit d'affirmer l'existence de la sclérose
latérale
amyotrophique. D'ailleurs, peu à peu, les symptôm
et l'autre sujet, conformément à l'appellation anatomique de sclérose
latérale
amyotrophique, et il serait permis de dire d'avan
ncordance des faits déjà nombreux, qui. ont pu être taxés de sclérose
latérale
amyotrophique, l'acceptation de cette variété nos
a théorie qui confond, entre autres, dans un même groupe, la sclérose
latérale
amyotrophique et l'atrophie musculaire décrite pa
être résumés sous les quatre chefs qui suivent: Io Dans la sclérose
latérale
amyotrophique, la paralysie se-rait atonique ; il
écrite Duchenne (de Boulogne) ; 4° Enfin les lésions de la sclérose
latérale
amyotrophique n'auraient rien de spécifique : l'a
terait aussi bien sur les faisceaux an-térieurs que sur les faisceaux
latéraux
(pyramidaux). Si les faits avancés par M. Leyde
conformes à la réalité, il est certain que l'autonomie de la sclérose
latérale
amyotrophique serait compromise. Mais, pour réd
Aussi, les signes cliniques et anatomiques qui donnent à la sclérose
latérale
amyotrophique une allure si particulière, sont-il
plètes, t. iv, Localisations. 26 Mais la description de la sclérose
latérale
amyotrophique n'est pas de date si ancienne qu'on
du type décrit par M. Charcot. (1) Gombault. —Etude sur la sclérose
latérale
amyotrophique, observa-tions I, II, III, IV. (2
ps avant qu'on parvienne à la fléchir aisément. Diagnostic : Sclérose
latérale
amyotrophique au onzième mois. Cette malade a été
lades des observations III et IV sont à coup sûr affectés de sclérose
latérale
amyotrophique, au même titre que les deux malades
s dont M. Leyden s'est servi pour tenter de démontrer que la sclérose
latérale
amyotrophique n'affectait pas l'allure d'une mala
. de Leyden peut être résumée de la façon suivante : dans la sclérose
latérale
amyotrophique, décrite par M. Charcot, il ne s'ag
osso-laryngée de Duchenne, avec les accidents bulbaires delà sclérose
latérale
amyotrophique, l'insinuation de M. Ley-den est dé
ien de spécifique ; elle ne porte pas exclusivement sur les faisceaux
latéraux
(pyramidaux); les faisceaux antérieurs sont pris,
ujours d'une infime im-portance, relativement à la sclérose du cordon
latéral
(pyra-midal) ; il suffit, pour s'en convaincre, d
du cordon antérieur est très pâle, très diffuse, tandis que le cordon
latéral
est vivement teint par le carmin. Cela veut dire
ophique, à savoir la prolon-gation pédonculo-cérébrale de la sclérose
latérale
, vient d'être rempli par MM. Pick et Kahler, dans
confirmer l'autonomie clinique et anatomo-pathologique de la sclérose
latérale
amyotrophi-que ; et, à mesure que le nombre des f
ressortira avec plus d'évi-dence (1). Il en sera donc de la sclérose
latérale
amyotrophi- (i) Quelques faits nouveaux, depuis
igées, sont venus augmenter la série des cas authentiques de sclérose
latérale
amyotro- que, comme il en a été delà sclérose e
parées les nombreuses variétés de l'espèce. L'his-toire delà sclérose
latérale
amyotrophique, à l'heure actuelle, en est donc au
'hémianesthésie cérébrale. — L)e l'amblyopiè croisée. — De l'hémiopie
latérale
. Sommaire. — Résumé des caractères de l'hémiane
esthésie déter-minent également l'amblyopiè croisée et non l'hémiopie
latérale
. De l'hémiopie. — Hypothèse de la semi-décussat
cine antérieure de la couche optique) ; — Fibres moyennes (expansions
latérales
) ; —Fibres postérieures (expansions cérébrales de
des lésions des tubercules quadrijumeaúx antérieurs. Faits d'hémiopie
latérale
supposés d'origine intra-cérébrale............. 1
cule cérébral, la protubérance, la pyramide antérieure et le faisceau
latéral
de la moelle. Analogies et différences entre le
latéral de la moelle. Analogies et différences entre les scléroses
latérales
consécutives de cause cérébrale et les scléroses
cause cérébrale et les scléroses fasciculées primitives des faisceaux
latéraux
. — Symptômes liés aux scléroses secondaires : imp
nente. — Atrophie musculaire produite par l'extension de la sclé-rose
latérale
aux cornes de substance grise. Sclérose descend
s. — Dégénérations ascendantes. — Celles-ci portent sur les faisceaux
latéraux
et sur les faisceaux postérieurs. — Faisceaux cér
terminant, à la longue, une al-tération degenerative des deux cordons
latéraux
.— Ce l'ail constitue une ex-ception des plus rare
élites centrales, sclérose épendymaire, sclérose en plaques, sclérose
latérale
amyolrophique. Du système neuro-musculaire en g
culaire en général............................... 376 I. — Sclérose
latérale
amyotrophique. -- Autonomie et caractère spasmodi
5. Atrophie musculaire dans l'hémi-plégie, 246 ; — dans la sclérose
latérale
amyotrophique, 397 ; — progressive, 307, 383. A
, 365, 373 ; — Valeur séméiologique de la —, 374 : — dans la sclérose
latérale
amyotrophique, 392. Convulsions épileptiformes,
uni-latérale, 127, 129; — Formes de 1' —, 129, 130 ; — Causes de 1' —
latérale
, 148. Hémiparaplégie spinale, 257. Hémiplégie
gé-néral et leur analyse graphique, 314 et suiv. ; — dans la sclérose
latérale
amyotrophique, 353 ; — dans la paraplégie spasmod
onomie des — 162 ; — consécutives et primitives, 163, 164. Sclérose
latérale
amyotrophique, 48, 352 ; -- La — est une lésion s
croisé. U. Zone marginale externe, ou faisceau profond du cordon
latéral
. V. Zone externe de LissallC1', W. Zone inter
ieure. B. Corne postérieure. C. Faisceau antérieur. D. Faisceau
latéral
. E. Sillon postérieur. F. Sillon antérieur.
eure. B. Corne postérieure. C. Racines antérieures. D. Faisceau
latéral
. E. Sillon postérieur. F. Sillon antérieur.
érieur. F. Sillon antérieur. G. Cordon postérieur. II. Faisceau
latéral
. I. Sillon postérieur. J. Racine postérieure.
ostérieur. J. Racine postérieure. Figure 6. Portion du faisceau
latéral
de la coupe précédente, vue à un fort grossisseme
ieure. G. Sillon antérieur. 7J. Faisceau antérieur. I. Faisceau
latéral
. J. Faisceau postérieur. Figure 8. MOELLE N
érieure. B. Corne postérieure. C. Cordon antérieur. D. Faisceau
latéral
. E. Faisceau postérieur. F. Sillon postérieur
ieure. II. Sillon antérieur. /. Racine postérieure. J. Faisceau
latéral
. Figure 12. MOELLE D'AMPUTÉ. - CELLULES de la
Zone moyennement enflammée. La figure représente un point du cordon
latéral
droit de la préparation de la figure précédente
auche. Les altérations vasculaires sont remarquables dans le faisceau
latéral
gauche. A. Corne antérieure. B. Corne posté
gauche. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Faisceau
latéral
droit un peu altéré. D. Commissure antérieure
. JI, Racine postérieure. 1. Cordon antérieur sain. /. Faisceau
latéral
altéré. K. Coupe de vaisseau altéré. L'. Fais
ntérieur. E. Sillon postérieur. F. Corne postérieure. G. Cordon
latéral
. ? Racine postérieure. I. Faisceau postérieur.
Cavité pathologique de la corne antérieure droite. ,Il. Faisceau
latéral
. Figure 18. MYÉLITE CAVITAIRE. -- Région lomb
ns la zone radiculaire posté- rieure droite. Presque tout le cordon
latéral
gauche est envahi également, mais les lésions y
t moins accentuées, elles existent plus faibles encore dans le cordon
latéral
droit. A. Corne antérieure. B. Corne postér
u cordon antéro-latéral gauche. L. Plaque de sclérose du cordon
latéral
gauche. M. Plaque de sclérose de la zone radi
La figure représente un point delà région peu sclérosée, du cordon
latéral
droit de la préparation précédente colorée par
la partie indemne de la moelle est réduite à deux zones marginales
latérales
presque symétriques. On reconnaît encore, mais
rieur normal. H. Partie indemne du cordon postérieur. 1. Cordon
latéral
droit indemne. J. Zone altérée du cordon anté-
emne. J. Zone altérée du cordon anté- rieur gauche. K. Sclérose
latérale
gauche. L. Partie moins altérée de la même pl
sclérosée du faisceau postérieur. N. Zone sclérosée du faisceau
latéral
droit. Figure 24. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région
La figure représente un point de la région très sclérosée du cordon
latéral
gauche de la préparation précédente, colorée pa
rieur. fl. Racine antérieure. I. Partie saine du cordon antéro-
latéral
. J. Partie saine du cordon posté- rieur. K.
e saine du cordon posté- rieur. K. Zone saine du cordon antéro-
latéral
droit. L. Zone altérée du même cordon. il/. Z
rosée du cordon an- térieur gauche. P. Zone sclérosée du cordon
latéral
gauche. FIGURE 26. SCLÉROSE EN PLAQUES. Régio
ordon antérieur sain. II. Cordon postérieur peu altéré. I. Cordon
latéral
sain. J. Zone très altérée du cordon postérie
l sain. J. Zone très altérée du cordon postérieur. IC. Faisceau
latéral
gauche sclé- rosé. G-61. Partie sclérosée des
lérosée des cor- dons antérieurs. N. Zone sclérosée du faisceau
latéral
gauche. Les figures 23, 25 et 26 représentent d
térieur. G. Sillon antérieur. Il. Racine postérieure. 1. Cordon
latéral
. E-Z. Cordons postérieurs sclé- rosés. FIGU
es cordons postérieurs et la presque totalité des faisceaux anléro-
latéraux
. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure.
Westphal du cordon postérieur indemne. J. Partie saine du cordon
latéral
. K. Partie saine du cordon anté- rieur. L.
eure. F. Commissure postérieure. G. Sillon antérieur. H. Cordon
latéral
. 1. Cordon postérieur. FIGURE 48. PARALYSIE
central. H. Sillon postérieur. I. Sillon antérieur. J. Faisceau
latéral
. K. Faisceau postérieur. Toutes nos figures d
e. F. Commissure postérieure. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau
latéral
. - I. Zone antéro-externe de West- phal. -
érieur. G. Sillon antérieur. H. Faisceau antérieur. 1. Faisceau
latéral
. J. Zone antéro-externe de West- phal. K. F
rieure. G. Sillon antérieur. R. Faisceau antérieur. I. Faisceau
latéral
. J. Faisceau de Burdach. K. Cordon de Goll.
on postérieur. E. Canal central. F. Sillon antérieur. G. Cordon
latéral
. IL Zone de Westphal moins altérée. I. Fais
ure. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieur. IL Faisceau
latéral
. I. Zone antérieure de Westphal. J. Zone de L
diculaire sclérosée. .1. Lésion vasculaire. Figure 60. SCLÉROSE
LATÉRALE
, AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Région cervi
eaux pyramidaux sclé- rosés. PLANCHE XXXI Figure 61. SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Renflement ce
s. J-J. Faisceaux pyramidaux sclé- rosés. Figure 62. SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Faisceaux pyr
La figure représente un point de la région sclérosée des faisceaux
latéraux
colorée au picrocarmin, vue à un grossissement
D-D. Tubes nerveux indemnes. PLANCHE XXXII Figure 63. SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Région dorsal
r. J-J. Faisceaux pyramidaux sclé- rosés. FIGURE 64. SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Corne antérie
D. Cellules très atrophiées. PLANCHE XXXIII Figure 65. SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Région lombai
r. J-J. Faisceaux pyramidaux al- térés. ' Figure 66. SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Faisceau pyra
vaisseau. D. Globules rouges. Toutes ces préparations de Sclérose
latérale
amyotrophique se rapportent a la moelle épinière
plus accentuée dans les cordons postérieurs que dans les faisceaux
latéraux
où elle occupe les faisceaux pyramidaux, cérébell
. Zone de Lissauer peu altérée. K. Partie non altérée du faisceau
latéral
. L. Partie altérée du faisceau de Gowers. i
rieure. G. Faisceau postérieur. IL Partie non altérée du faisceau
latéral
. I. Cavité pathologique. J. Paroi de la cavit
ieure. G. Cordon postérieur. 11. Partie non altérée des faisceaux
latéraux
. I. Cavité pathologique. J. Paroi de la cavit
ostérieur. E. Sillon antérieur. F. Partie non altérée du faisceau
latéral
. G. Faisceau postérieur. IL Cavité pathologiq
érieur. IL Cavité pathologique. Il'. Canal central. /. Faisceau
latéral
. J. Paroi de la cavité. K. Masse gliomateuse.
ieure. C. Cordon postérieur. D. Faisceau antérieur. E. Faisceau
latéral
. F. Sillon antérieur. G. Sillon postérieur.
grandes difficultés de diagnostic pendant sa vie entre la Sclérose
latérale
amyotrophique et la Syringomyélie, ce dont rend c
térieures, celle de droite est déca- pitée par le passage du cordon
latéral
1 qui gagne la région antérieure gauche. B-B.
érieure. C. Sillon antérieur. D. Sillon postérieur. E. Faisceau
latéral
droit. F. Faisceau latéral gauche. G. Tumeur.
r. D. Sillon postérieur. E. Faisceau latéral droit. F. Faisceau
latéral
gauche. G. Tumeur. FIGURE 90. TUMEUR DE LA
stérieur. E. Sillon antérieur. F. Cordon antérieur. G. Faisceau
latéral
. Il. Faisceau postérieur. J. Tumeur. Les pi
glion qui, dans l'autre, est appelé ganglion pédieux. Les commissures
latérales
sont semblables de part et d'autre. A chaque se
n d'eux est le cordon antérieur proprement dit. L'autre est le cordon
latéral
ou intermédiaire. Un petit fascicule bien distinc
on côté postérieur. Il a reçu le nom de funicule accessoire du cordon
latéral
. Il y a donc dans chaque moelle trois cordons p
distinguent ces cordons. L'un d'eux, assez mal défini, est le sillon
latéral
antérieur auquel sont attachées les racines antér
'autre, plus profond et tracé d'une manière plus ferme, est le sillon
latéral
postérieur. Les filaments des racines postérieure
être considérés avec beaucoup d'attention. C'est en effet aux sillons
latéraux
que correspondent les racines des nerfs. Au sillo
es nerfs. Au sillon mal défini que l'on désigne sous le nom de sillon
latéral
antérieur, se rattachent les racines antérieures
rieur, se rattachent les racines antérieures de ces nerfs ; au sillon
latéral
postérieur sont attachées leurs racines postérieu
ux, saillie à la surface de la moelle, et se montre au fond du sillon
latéral
postérieur sous la forme d'une traînée grise long
s des nerfs, soit avec les faisceaux longitudinaux tant antérieurs ou
latéraux
que postérieurs, soit enfin avec le côté opposé d
eloppent en s'enrou-lant sur eux. Ces expansions sont les ventricules
latéraux
. Leurs extrémités s'appellent cornes. La corne
ons celui de corne occipitale. Les cornes frontales des ventricules
latéraux
sont si rapprochées l'une de l'autre, qu'elle arr
r du vestibule, à l'extrémité des cornes sphénoïdales des ventricules
latéraux
. Cette grande ouverture est la fente en fer à che
ées, ces deux renflements du noyau qui répondent aux deux ventricules
latéraux
. On donne à ces coiffes le nom d'hémisphères céré
e desquelles est un prolongement de l'étage supérieur des ventricules
latéraux
. Ces masses sont les lobes olfactifs. Les chose
u bulbe où ils sont toujours plus ou moins confondus avec les cordons
latéraux
. Toutefois les funicules accessoires de ces derni
ns ailleurs. Dans la plupart des animaux, les cordons antérieurs et
latéraux
du bulbe sont très-renflés et fort épais, mais le
n de la face inférieure du bulbe, comprendre la description des faces
latérales
, à cause de leur inclinaison. Ces faces sont en g
inclinaison. Ces faces sont en grande partie occupées par les cordons
latéraux
et par leurs funicules accessoires. En arrière de
il occupe un espace qui est, dans le bulbe, la continuation du sillon
latéral
postérieur de la moelle épinière. Ce tubercule es
de substance grise qui occupe dans toute la moelle le fond du silion
latéral
postérieur. Il ne s'élève point jusqu'à la prot
expansion de fibres blanches émanées du funicule accessoire du cordon
latéral
; ces fibres se portent vers les cordons postérieu
, d'où elles semblent naître, se portent avec l'expansion du funicule
latéral
, vers les faisceaux postérieurs du bulbe. Elle es
ne enveloppe serrée aux pyramides antérieures, à l'olive, au faisceau
latéral
, et ne laissent à découvert que la partie inférie
naux de l'axe, et dont les extrémités s'épanouissent dans les parties
latérales
du cervelet. Willis, Yieussens, et tous les anc
y a une grande saillie dont les versants se continuent avec les côtés
latéraux
du trapèze. Ceux-ci s'inclinent fortement en arri
x collines divergent légèrement d'arrière en avant. c) Les versants
latéraux
de ces collines, qui s'inclinent en arrière vers
l de la protubérance est en rapport avec le développement des parties
latérales
du cervelet. Elle manquait, suivant M. Cruveilher
oint de cervelet. Dans les oiseaux, où cet organe n'a point de masses
latérales
, la protubérance n'est en aucune façon distincte
istingue trois, une médiane qui répond aux cervelets médians, et deux
latérales
pour les cervelets latéraux. La paroi antérieur
ui répond aux cervelets médians, et deux latérales pour les cervelets
latéraux
. La paroi antérieure du quatrième ventricule es
bure des corps restiformes, de manière à donner l'idée de deux cornes
latérales
du quatrième ventricule. Ces cornes dont la paroi
re manque absolument, du moins dans l'adulte, logent les grands lobes
latéraux
des plexus choroïdes du quatrième ventricule. A
tres sont paires et symétriques. Les unes constituent les ventricules
latéraux
du cervelet. Les autres sont les cornes latérales
uent les ventricules latéraux du cervelet. Les autres sont les cornes
latérales
dont nous avons parlé. Les parties que recouvre
uveilher désigne ces faisceaux sous le nom de faisceaux triangulaires
latéraux
de l'isthme. Un sillon bien distinct (sillon laté
x triangulaires latéraux de l'isthme. Un sillon bien distinct (sillon
latéral
de l'isthme) les distingue du pédoncule cérébral
ison, les considérer comme une dépendance des faisceaux antérieurs ou
latéraux
du bulbe; et, comme M. Tiedemann l'a fort à propo
observé, ils commencent à se distinguer de la masse de ces faisceaux
latéraux
vers la région des olives, mais ils ne sont point
ules testes, descend obliquement et d'arrière en avant vers le sillon
latéral
de l'isthme, en formant avec lui un angle aigu. C
superficielle du faisceau olivaire. Au point où elle touche au sillon
latéral
, on la voit se terminer dans un tubercule gris fo
ieure, c'est-à-dire de la commissure des deux faisceaux triangulaires
latéraux
de l'isthme. Ses dimensions dans l'homme sont peu
e, autour des corps striés intraventriculaires. Ces deux expansions
latérales
répondent à ce que, dans le fœtus, on a appelé ce
ules des hémisphères. On les désigne aussi sous le nom de ventricules
latéraux
. Peut-être pour mettre la nomenclature des partie
tus, devrait-on les appeler ventricules antérieurs. Les ventricules
latéraux
s'enroulent, disons-nous, sur les deux corps stri
ure du corps strié, est la corne antérieure ou frontale du ventricule
latéral
. L'autre extrémité, enroulée comme le corps strié
rieure. Nous la nommons corne inférieure ou sphenoidale du ventricule
latéral
. Tel est le ventricule dans la plupart des animau
e et dans les singes, de la partie postérieure de l'arc du ventricule
latéral
se détache un prolongement un peu recourbé en ded
cercbro, cap, xi). la corne postérieure ou occipitale du ventricule
latéral
. On le désigne encore sous le nom de cavité ancij
singes, il a une grandeur énorme eu égard à l'ensemble du ventricule
latéral
dont l'arc est fort petit. Dans l'homme, la prédo
les. M. Foville a fort à propos remarqué que la forme des ventricules
latéraux
est le prototype de celle du cerveau tout entier,
t. On pourrait supposer, en considérant la grandeur des ventricules
latéraux
dans le fœtus, que cette grandeur de la cavité an
olonge de chaque côté le long des cornes sphénoïdales des ventricules
latéraux
. De là une ouverture en fer à cheval qiu divise l
mbranes vasculaires qui pénètrent dans l'intérieur des ven tricules
latéraux
sous le nom de plexus choroïdes, et que nous décr
ans l'intervalle qui sépare les cornes frontales des deux ventricules
latéraux
, s'enroulent comme le ventricule médian. Or, de m
être suivis jusqu'à l'extrémité de la corne sphenoidale du ventricule
latéral
. Au-dessus du vestibule, un plan très-serré, fo
et de Yinfundibulum, au-dessous des cornes frontales des ventricules
latéraux
, l'œil aperçoit un cordon horizontal qui passe d'
sue antérieure du corps strié, et à la corne antérieure du ventricule
latéral
; mais peu à peu les arcs s'élèvent au-devant, pu
du cerveau, se recourbe autour des cornes antérieures des ventricules
latéraux
, puis se développe d'avant en arrière, où ses der
soulèvements parallèles enveloppent l'étage supérieur des ventricules
latéraux
, à partir de leurs cornes frontales. Ces choses s
t les rapports qui existent entre la paroi supérieure des ventricules
latéraux
et les parties que nous venons de décrire. Diso
u, ce qui revient au même, que les cornes antérieures des ventricules
latéraux
, que, d'une manière générale, cet espace est dest
traventricu-laire se continuer avec la paroi inférieure du ventricule
latéral
. Ces choses se passent de chaque côté du plan m
une sorte de cloison entre les étages supérieurs des deux ventricules
latéraux
; cette cloison est le septum luci-dum, c'est-à-d
valle médian, compris entre les deux cornes frontales des ventricules
latéraux
. Aussi l'existence de ce ventricule suppose-t-ell
es piliers de la voûte, sous forme de corpora fimbriata, et les lames
latérales
du septum, soient parfaitement développés. Tell
vaste vestibule, aux deux côtés duquel s'épanouissent les ventricules
latéraux
. Ne poussons point au-delà de peur de compliquer
ment qu'il est inutile d'y insister. L'existence de ces dilatations
latérales
qui compliquent le ventricule encéphalique, n'éta
fet, une coupe transverse de la moelle, dans laquelle deux expansions
latérales
seraient surajoutées au ventricule médian. Si ces
la protubérance annulaire dont les extrémités composent le pédoncule
latéral
ou pédoncule moijen ; 3° le processus cerebelli a
a pour fond les pédoncules moyens du cervelet. On donne aux parties
latérales
du cœur le nom d'hémisphères du cervelet. Les par
e nom de touffeset delobules accessoires, seront pour nous des vermis
latéraux
. La surface entière du cervelet est divisée par
ieure du cervelet, est le vermis du cervelet médian. 2° Deux masses
latérales
. Ces masses, comprises dans les deux angles que l
médian forme à droite et à gauche avec son vermis, sont les cervelets
latéraux
. Chaque cervelet latéral a un corps et une queu
auche avec son vermis, sont les cervelets latéraux. Chaque cervelet
latéral
a un corps et une queue. Le corps est une masse p
e, dont la base répond aux deux lobes du cœur. La queue est le vermis
latéral
; elle se replie sur les côtés du cervelet, et fo
rvelet, la queue du vermis médian. B. — Le corps de chaque cervelet
latéral
comprend, à son tour, plusieurs étages ou lobes s
ales sont disposées de telle sorte à la face inférieure des cervelets
latéraux
, qu'elles embrassent le bulbe ra-chidien sur lequ
deviendra claire avec le secours des figures. Du vermis du cervelet
latéral
. Le vermis du cervelet latéral ne peut être bie
des figures. Du vermis du cervelet latéral. Le vermis du cervelet
latéral
ne peut être bien compris dans Y homme que d'aprè
t formé de deux lobules juxtaposés et appliqués au devant du cervelet
latéral
sur les côtés du pédoncule cérébelleux moyen. Ces
e d'anneaux qui semblent faire suite à la série des lames du cervelet
latéral
. Je compte douze anneaux dans un callitriche, sei
le premier lobule, je veux dire celui qui touche au corps du cervelet
latéral
, l'emporte sur le second. Cette prédominance bien
e la fossette dont nous avons parlé. Si le premier lobule du vermis
latéral
est remarquable par ce lobule accessoire, le deux
Il en résulte un voile transversal tendu horizontalement d'un vermis
latéral
à l'autre et adhérent sur le milieu du vermis inf
ne fosse profonde divisée en trois compartiments l'un médian, et deux
latéraux
. Ces compartiments sont revêtus par la membrane p
s le nom de valvule du quatrième ventricule. Dans l'homme le vermis
latéral
est singulièrement réduit. Son premier lobule, dé
les rongeurs, à une complication extraordinaire. Toutefois le vermis
latéral
manque absolument dans les Éléphants, aussi bien
s mammifères, on voit singulièrement décroître l'importance du vermis
latéral
. Telles sont les divisions principales du cerve
vermis qui sont réduits au minimum. D'ailleurs le corps des cervelets
latéraux
prédomine sur celui du cervelet médian. Dans le
, le corps du cervelet médian est fort réduit, mais celui du cervelet
latéral
est pour ainsi dire anéanti. En revanche, le verm
pour ainsi dire anéanti. En revanche, le vermis médian et les vermis
latéraux
se développent au point de former des replis d'un
lis, le vermis médian offre des ondulations marquées, mais les vermis
latéraux
, ne peuvent être comparés qu'à un ver replié plus
is, comme cela a lieu dans YHypsi-prymnus murinus, enfin, les parties
latérales
s'atrophient en masse, ou laissent prédominer les
es latérales s'atrophient en masse, ou laissent prédominer les vermis
latéraux
et, en particulier, leurs lobules auriculaires. L
volume de la moelle et du bulbe ; ¦2° Que le volume des expansions
latérales
du corps du cervelet antérieur est en rapport ave
la protubérance annulaire ; 3° Que le volume du corps des cervelets
latéraux
est en raison directe du volume des plans superfi
aves en avant. Elles sont beaucoup plus irrégulières dans le cervelet
latéral
et du bord inférieur d'un lobe se portent le plus
peut le considérer comme l'élément fondamental du corps des masses
latérales
. hesAtèles échappent à cette règle; chez ces sing
, il n'est plus possible de distinguer des autres parties du cervelet
latéral
, ce lobe exceptionnel. Reil et Malacarne ont si
sphères cérébraux en général. Le cerveau est divisé en deux moitiés
latérales
qu'on appelle hémisphères. Chacune de ces moitiés
couvre toute cette partie du noyau cérébral qui enferme le ventricule
latéral
et s'avance jusqu'à la vallée médiane du corps ca
endue, suit jusqu'à l'extrémité de la corne sphenoidale du ventricule
latéral
le bord libre de la grande ouverture en fer à che
La région de la poche qui recouvre la corne antérieure du ventricule
latéral
est la région fronto-pariétale que nous distingue
ital. Ces quatre lobes boursouflés autour de l'ensemble du ventricule
latéral
entourent une région centrale qui recouvre le noy
lons fait saillie à l'intérieur de la corne postérieure du ventricule
latéral
, et suit sous la forme d'un rouleau un peu recour
tus un ventricule qui communique avec la corne frontale du ventricule
latéral
, et dans un grand nombre d'animaux, cette communi
e externe représente l'amas qui correspond dans la moelle au faisceau
latéral
. Ces cellules du bulbe sont fort petites, eu égar
enant des faisceaux postérieurs et des fibres qui émanent du faisceau
latéral
. Cette expansion du funicule accessoire est peu a
, enveloppent de chaque côté les pyramides, les olives, les faisceaux
latéraux
et remontent avec les corps restiformes vers le c
orme, par des pressions et des tractions légères en partant du sillon
latéral
postérieur. On découvre aisément ainsi la face po
térieur. On découvre aisément ainsi la face postérieure des faisceaux
latéraux
. Cette préparation donne immédiatement la clef
formes les faisceaux moyens sont surtout en relation avec les parties
latérales
du cervelet, tandis que par les fibres émanées
ont constitués dans la moelle épinière. (c) . Le groupe du faisceau
latéral
que composent des fascicules plus petits encore,
isceau. (d). Le groupe du funicule accessoire du faisceau ou cordon
latéral
, qui forme, à la surface du groupe précédent, une
propor lionne! à celui du cervelet et en particulier de ses régions
latérales
. Les épanouissements des plans profonds et des pl
érance. Là est aussi la cause de cette vallée médiane et des collines
latérales
qui forment ses limites. Cette explication est
médian, et le même aspect des faisceaux qui correspondent aux cordons
latéraux
. Mais déjà la hauteur de la commissure qui, dans
dessous des tubercules quadrijumaux, les deux faisceaux triangulaires
latéraux
de l'isthme, c'est-à-dire les deux rubans de Reil
u'oflrent des sections obliques, pratiquées sur les lobes du cervelet
latéral
, sont beaucoup moins élégantes et donnent l'idée
rvelet médkn, dans toute l'étendue du vermis médian et dans le vermis
latéral
. Ainsi les deux vermis dépendent tous les deux du
mprennent à la fois des fibres des cordons postérieurs et des cordons
latéraux
du bulbe. Il nous reste à dire de quelle source
uelle source partent les fibres qui s'épanouissent dans les parties
latérales
du cervelet antérieur, et dans le corps du cervel
parties latérales du cervelet antérieur, et dans le corps du cervelet
latéral
. La protubérance annulaire, avons-nous dit, est
t de chaque côté vers le cervelet, et s'épanouissent dans les parties
latérales
du corps du cervelet antérieur. Il y a donc entre
antérieur. Il y a donc entre ce plan de la protubérance et les masses
latérales
du cervelet antérieur un rapport nécessaire. Qu
e, ses fibres s'épanouissent de chaque côté dans le corps du cervelet
latéral
. Les corps des deux cervelets se développent en
elle ou telle partie de la protubérance. Ainsi les masses du cervelet
latéral
sont-elles surtout en rapport avec le développeme
développement des plans superficiels du pont, tandis que les parties
latérales
du cervelet antérieur sont en relation avec le dé
Cétacés et dans les Éléphants. Or, dans tous ces animaux les parties
latérales
du cervelet l'emportent sur les parties médianes,
u cervelet l'emportent sur les parties médianes, et parmi ces parties
latérales
, le corps des cervelets latéraux sur le corps du
ties médianes, et parmi ces parties latérales, le corps des cervelets
latéraux
sur le corps du cervelet médian. Dans les singe
relativement plus de masses médianes et de vermis, et moins de masses
latérales
, car parmi celles-ci les corps des cervelets laté
oins de masses latérales, car parmi celles-ci les corps des cervelets
latéraux
s'anéantissent les premiers. Dans les autres an
arties médianes du cervelet antérieur, le vermis médian et les vermis
latéraux
, sont en rapport avec le développement du bulbe e
le dire ainsi, les cervelets de la moelle épinière. 2° Les parties
latérales
du cervelet antérieur, et les cervelets latéraux,
e. 2° Les parties latérales du cervelet antérieur, et les cervelets
latéraux
, correspondent, les premières au développement de
ance, du plan superficiel surtout, et par conséquent aussi des masses
latérales
du cervelet, et celui des hémisphères cérébraux.
atérales du cervelet, et celui des hémisphères cérébraux. Ces parties
latérales
du cervelet constituent en conséquence le cervele
u plus haut que le cerveau, proprement dit, est divisé en deux masses
latérales
appelées Hémisphères. Leur partie essentielle est
r de l'ouverture qui fait communiquer avec le vestibule le ventricule
latéral
est formé par la bandelette de la voûte qu'on voi
de la gouttière qui le contient dans l'étage inférieur du ventricule
latéral
, et n'est rien autre chose que la corne d'Ammon,
homme, revêtent le côté interne de la corne postérieure du ventricule
latéral
; si donc, nous les divisons vers le genou postér
escendante, nous mettrons à découvert l'étage inférieur du ventricule
latéral
, et la cavité de sa corne postérieure. 3° Cette
e, la paroi externe de la corne ancyroïde ou occipitale du ventricule
latéral
. Si, à l'aide d'un petit ébauchoir d'ivoire, no
de chaque côté, ses soulèvements parallèles au-dessus des ventricules
latéraux
. Cette belle préparation fait voir, d'une manière
interne ; 4° La paroi interne de la corne occipitale du ventricule
latéral
; 5° La paroi externe de cette cavité ; 6° En
be olfactif, il communique librement dans le fœtus avec le ventricule
latéral
; cette communication est constamment interrompue
ent à la moelle épinière; la racine antérieure pénètre dans le sillon
latéral
antérieur de la moelle, elle ne porte point de ga
ion, de là le nom de racine ganglionnaire; elle se rattache au sillon
latéral
postérieur de la moelle et plonge dans l'arête gr
nerf émerge des cordons moyens du bulbe, dans le voisinage du sillon
latéral
postérieur, par un certain nombre de filets radic
u quatrième ventricule. Leur implantation sur les limites du faisceau
latéral
, oblige d'ailleurs de les rattacher à la série du
euse qui occupe, dans toute l'étendue de la moelle, le fond du sillon
latéral
postérieur. Ainsi cette racine du trijumeau appar
bien appartenir à cette expansion du funicule accessoire du faisceau
latéral
, qui enveloppe le corps resti-forme et remonte av
le; enfin le cerveau antérieur est le point de départ des ventricules
latéraux
et des hémisphères futurs. Afin de ne point emb
veau antérieur où l'on voit poindre déjà les vestiges des ventricules
latéraux
, centres des hémisphères futurs. A partir du po
conséquence, le vestibule du ventricule moyen d'avec les ventricules
latéraux
. Il n'y a donc, à cet égard, aucune différence es
lons les vésicules du cerveau antérieur, c'est-à-dire les ventricules
latéraux
à une bourse, ce ne sera point l'ouverture ou le
es. Cette lame touchait aux bords de l'ouverture des deux ventricules
latéraux
et comprenait à la fois les rudiments de la commi
s membraneuses dans l'intérieur desquelles étaient contenus les lobes
latéraux
des plexus cho roïdes du ventricule. L'échancru
iques avaient un peu perdu de leur grandeur relative , et les parties
latérales
du cervelet avaient une plus grande épaisseur; ma
ctifs étaient creux et leur intérieur communiquait avec le ventricule
latéral
. Une coupe médiane de ce cerveau présentait les p
mes corticales et des plans fibreux rayonnants ; mais les ventricules
latéraux
étaient énormes et rendaient l'hémisphère semblab
faisaient une saillie bien distincte. Quant au cervelet, ses parties
latérales
prédominaient encore sur ses parties médianes, si
certainement dans le cervelet de l'homme, le développement des masses
latérales
devance celui des parties médianes. A partir de
ième semaine environ cet organe était parfaitement lisse. Ses parties
latérales
prédominaient sur les parties médianes, qui prése
e époque les choses changent rapidement. Ce développement des parties
latérales
, dont la marche avait tout devancé, se ralentit;
n ses lobules constitutifs. Quant aux lobes ou au corps des cervelets
latéraux
, ils demeurent, sous la forme d'une masse presque
pements ultérieurs. Ces lobes n'ont à aucune époque ces grands vermis
latéraux
qui distinguent le cervelet de la plupart des mam
me transversale avec la luette du vermis médian, au-dessous des lobes
latéraux
. Tout cela est bien loin, comme on le voit, de
t nécessairement lente et compliquée. La vérité est que les cervelets
latéraux
apparaissent les premiers ; et toutefois ils n'ac
ès l'achèvement du cervelet médian et de son vermis. Quant aux vermis
latéraux
, ils sont, à toutes les époques de la vie fœtale,
a est naturel, puisque ces plans superficiels répondent aux cervelets
latéraux
, dont l'apparition précède, ainsi que nous l'avon
lobules. A cette époque les parties médianes ont devancé les parties
latérales
et l'emporteront quelque temps sur elles. Le verm
parties latérales et l'emporteront quelque temps sur elles. Le vermis
latéral
n'est encore qu'un petit tubercule étroit et sans
grands lobes, tant le corps du cervelet médian que ceux des cervelets
latéraux
, et ces derniers surtout, sont beaucoup plus rédu
ulte: en revanche, les vermis, le médian et plus particulièrement les
latéraux
, ont une grandeur et une complication dont l'homm
s vraies qu'on descend davantage dans la série des singes, les vermis
latéraux
atteignant chez les Ouistitis au summum de leur g
s préexistent évidemment aux corps des lobes et surtout aux cervelets
latéraux
. Dans le fœtus humain, c'est l'inverse. Les lobes
cervelets latéraux. Dans le fœtus humain, c'est l'inverse. Les lobes
latéraux
préexistent aux vermis : à la place du vermis méd
relatif qu'il présente dans les singes adultes. De même, les vermis
latéraux
sont rudimentaires dans le cervelet du fœtus hu
singes inférieurs. L'inverse a lieu pour les grands lobes du cervelet
latéral
; ils sont au minimum dans ces singes; ces lobes c
n par leur prédominance exclusive. Celte prédominance des cervelets
latéraux
, dès le début de la vie fœtale, explique pourquoi
tiés par un sillon médian ; enfin le cervelet, partagé en deux masses
latérales
, n'offrait encore aucune trace de vermis supérieu
le cervelet, grand par ses parties médianes et réduit dans ses masses
latérales
, est sillonné de plis nombreux. Quant au corps ca
let chargé de plis est remarquable par le développement de ses vermis
latéraux
. Le fœtus humain présente à cet égard les plus
es, (1) Ex. l'Éléphant. Voy. Pl. XIII et XIV. ou plutôt des lobes
latéraux
lisses, grands et très-apparents attendent l'heur
ttendent l'heure de leurs développements ultérieurs; enfin les vermis
latéraux
sont à peine reconnaissables dans les légers rudi
e, mais elle complète sa paroi postérieure en recouvrant ses valvules
latérales
, puis elle s'insinue entre ces valvules et la lue
postérieure du voile transversal qui unit les deux lobules des vermis
latéraux
, et (1) Th. Bartholin, Anat. reformata.—Zacutoi
s le fœtus, les parties de la pie-mère qui recouvrent les dilatations
latérales
du quatrième ventricule, c'est-à-dire les deux co
es épaisses, les côtés du triangle, font saillie dans les ventricules
latéraux
et reçoivent quelques vaisseaux des parties voisi
vasculaires, connues sous le nom de plexus choroïdes des ventricules
latéraux
, sont recouvertes d'un epithelium vibratile dont
ricule de grandes saillies fort régulières, mais ceux des ventricules
latéraux
ont un si grand volume qu'ils remplissent la cavi
s postérieurs du cerveau. » Ce repli est tendu entre les gouttières
latérales
de l'occipital et le bord supérieur des deux roch
tente du cervelet loge un canal transverse qui répond aux gouttières
latérales
de l'os occipital. Les deux extrémités de ce cana
des veines jugulaires. Les deux moitiés de ce canal se nomment sinus
latéraux
. Ces différents sinus communiquent évidemment l
u sinus droit, et tous deux à la fois ils communiquent avec les sinus
latéraux
vers la protubérance occipitale interne ; ce conf
ong du bord supérieur du rocher, entre le sinus caverneux et le sinus
latéral
du même côté; 2° Le sinus pétreux inférieur étend
la suture occipito pétrée, entre le même sinus caverneux et le sinus
latéral
. Enfin, le sinus occipital transverse fait commun
es veines encéphaliques, et de l'autre ils le déversent par les sinus
latéraux
dans les veines jugulaires. Si les inventeurs du
re son origine des plexus choroïdes. Celui qui emplit les ventricules
latéraux
se déverse par les trous de Monro dans le ventric
nc et donne des rameaux nombreux aux plexus choroïdes des ventricules
latéraux
. Sur les côtés, les vertébrales et l'artère bas
rtébrales, le tronc basilaire donne les petites artères cérébelleuses
latérales
que loge le sillon horizontal du cervelet. Elles
2° Les veines cérébrales postérieures. Elles s'ouvrent dans les sinus
latéraux
près des sinus pétreux supérieurs. 3° Les veine
elleuses inférieures, qui ont pour troncs le sinus droit et les sinus
latéraux
. 7° On doit joindre à ces veines la veine ophth
a substance grise de manière à découvrir la face profonde des cordons
latéraux
, la sensibilité est perdue pour toujours, mais la
dans le côté de l'hémisection. Lorsque l'on coupe les deux moitiés
latérales
de la moelle, mais à des étages différents et à l
ble du cervelet, et « j'ai ensuite irrité séparément ses deux moitiés
latérales
. « Les irritations de la moitié droite ont cons
des pédoncules cérébelleux moyens, c'est-à-dire l'une des extrémités
latérales
de la protubérance; l'animal se mit à tourner, su
section du pédoncule a plus d'influence sur le mouvement de rotation
latérale
du corps que la lésion du cervelet lui-même ; et
mouvements automatiques dont la moelle est le principe, et les lobes
latéraux
aux mouvements que le cerveau détermine; l'analom
s en mouvement. 11 s'y joint habituellement une sensation de pression
latérale
. Ces effets sent d'ailleurs d'autant moins distin
eptibles de chatouillement, sont les environs des lèvres, les parties
latérales
du cou et du tronc, surtout chez les enfants, et
En arrière du rostrum (ROS), deux lames blanches, venues de la partie
latérale
du corps calleux (ce) et dirigées d'avant en arri
f, infundibulum; trm, trou de Monro; VF, corne frontale du ventricule
latéral
; VO, corne occipitale; VS, corne sphenoidale; CO,
ventricule moyen (Fil/); allongé d"avant en arrière, il a pour parois
latérales
une partie de la surface du limen ; en avant et e
ires et symétriques, occupant chacune un hémisphère : les ventricules
latéraux
. Le schéma 8 (B) donne une idée générale de la fo
ux. Le schéma 8 (B) donne une idée générale de la forme du ventricule
latéral
droit. En avant, le ventricule présente une dil
tance dans la région frontale : c'est la corne frontale du ventricule
latéral
. Elle se continue, en arrière, par un prolongemen
voisinage du pôle occipital : c'est la corne occipitale du ventricule
latéral
(VO). Enfin la corne occipitale elle-même communi
ïdale du ventricule (VS). La région où ces trois cornes du ventricule
latéral
se confondent a été appelée le carrefour ven-tric
le représentée ici (schéma 8, B), on peut constater que le ventricule
latéral
est creusé dans la substance blanche qui forme la
de la partie moyenne du corps calleux passent au-dessus du ventricule
latéral
; les fibres du genou passent au-devant de la cor
u trigone est un espace vide qui appartient à la cavité du ventricule
latéral
(corne frontale). Le trigone s'avance beaucoup
yen. Toutes les parties situées au-dessus appartiennent au ventricule
latéral
. — La paroi du ventricule moyen est représentée
e la cloison. C'est le septum lucidum qui sépare les deux ventricules
latéraux
au-dessus de la voûte à trois piliers. Il se conf
présente à sa partie moyenne un sillon en II (H) ; ses deux jambages
latéraux
sont antéro-postérieurs; la barre d'union est tra
frontale (F2) réfléchie sur la voûte orbitaire. En dedans du jambage
latéral
interne est la portion orbitaire réfléchie de la
r le nerf olfactif et le bulbe olfactif (OLB). En dehors du jambage
latéral
externe du sillon en H, s'étend aussi un pli anté
noncer presque toujours. La présence de la vaste cavité du ventricule
latéral
dans l'axe même de l'hémisphère rend la section t
cérébral ; Bf, fente de Bichat; VF, corne frontale (hi ventricule
latéral
; YO, corne occipitale : VS, corne sphénoï-da
icule; mais elles donnent d'excellentes indications sur le ventricule
latéral
. Par exemple une coupe sagittale passant par le m
tate que toute la paroi inférieure de la corne frontale du ventricule
latéral
est tapissée par une masse de substance grise, re
n. Schéma il. — Face inlei'ne de la corne occij)itale du ventricule
latéral
droit. successives, aussi parallèlement que pos
ma 47 représente la face interne de la corne occipitale du ventricule
latéral
droit. Le corps calleux (ce) coupé sur la ligne m
la fente de Bichat, qui fait communiquer virtuellement le ventricule
latéral
avec la cavité arachnoïdienne. Entre le fascia
our bien comprendre les rapports de la corne occipitale du ventricule
latéral
avec la fente de Bichat. TSC. Le triangle sous-
angle sous-calleux, on pénètre dans la corne occipitale du ventricule
latéral
, et le stylet va buter contre l'ergot de Morand f
ide où la fente de Bichat communique virtuellement avec le ventricule
latéral
. Tœ. Le taenia semi-circularis est la petite ba
la compensation réside dans le grand développement des deux branches
latérales
de VIL Ces deux branches latérales cependant ne s
nd développement des deux branches latérales de VIL Ces deux branches
latérales
cependant ne sont pas reliées par le trait transv
orticale. Cavité ventriculaire. La corne antérieure du ventricule
latéral
s'enfonce obliquement en avant et en dehors, beau
(NC) qui forme sa paroi externe. La corne postérieure du ventricule
latéral
est ouverte, sur cette coupe, juste au niveau du
une lame blanche d'épaisseur uniforme, la lame médullaire externe; ou
latérale
(LML). Cette lame est formée de fibres venues de
l'extrémité la plus antérieure de la corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. Là, cependant, s'arrête Fécorce proprement dite.
ire. La coupe n'entame ici que la portion sphénoïdale du ventricule
latéral
. Dans sa partie antérieure, ce ventricule présent
plissés, consiste dans le fait que la corne occipitale du ventricule
latéral
s'étend en arrière jusqu'au voisinage de l'écorce
t concave en dedans. 11 résulte, de cet accoleinent des deux parois
latérales
, que les parois supérieures et inférieures n'exis
uivant les cerveaux, c'est-à-dire suivant que la cavité du ventricule
latéral
, dans la substance blanche, s'étend plus ou moins
). Cette cavité est l'extrémité de la corne postérieure du ventricule
latéral
. Écorce. Le bord supérieur est toujours repré
ondeur de la scissure calcarine, dont l'écorce aplatit les deux faces
latérales
du ventricule l'une contre l'autre. — La cavité e
l'hémisphère, répond déjà assez exactement au plancher du ventricule
latéral
. Ce rapport est absolument invariable. Sur la f
ut remarquer que les dimensions de la corne sphénoïdale du ventricule
latéral
n'ont rien de régulier, surtout dans sa partie po
r, dirigée en dedans et en bas, au dessus de la voûte du ventricule
latéral
. Cette seconde branche est celle au-dessous de la
FOm. Le faisceau moyen du forceps major forme la voûte du ventricule
latéral
. Une partie seulement des fibres situées à sa par
tion de l'hémisphère. C'est encore une conséquence de l'aplatissement
latéral
de la corne sphénoïdale dont nous avons déjà parl
ulaire cesse donc, sur cette coupe, de s'appuyer sur les deux parties
latérales
. Elle s'avance dans la cavité échancrée à ses deu
veau de la partie postérieure du splcnium que la cavité du ventricule
latéral
présente toujours son maximum de largeur; c'est p
navant sans interruption jusqu'à l'extrémité antérieure du ventricule
latéral
, c'est-à-dire jusqu'à la terminaison de la corne
caudô et du pédoncule cérébral. Elle s'allonge également dans le sens
latéral
, obliquement en haut et en dedans. On lui reconna
re ventriculaire. Les coupes approchent de la région où le ventricule
latéral
sera divisé en deux étages : un supérieur, un inf
5 et schéma 74), ou tractus gris longitudinal de Dnverney, ou tractus
latéral
, appelé encore par les Allemands induseum grise
de la cavité ventriculaire. Ce prolongement (Dsu) est le diverticulum
latéral
du subiculum ; nous avons vu déjà qu'il divise en
érieur(QA). Th. thalamus. G, glande pinéale. Laq, le laqueus (ruban
latéral
de Reil) avant sa décussation. BQP, bras du tub
-dessous du fond de la scissure limbique. Laq. Le laqueus ou couche
latéral
du ruban de Reil (fig. 45) est un faisceau obliqu
tico-transversale 5i (Pl. 19). VO. portion occipitale du ventricule
latéral
. Iïf, l'ente de Bichat. Th, couche optique re
-optique est un faisceau en éventail venu des régions postérieures et
latérales
de l'écorce sphénoïdale et qui contribue à former
(Th) et de la fimbria (FI) : c'est la portion frontale du ventricule
latéral
(VF, fig. 56). Un prolongement inférieur se porte
ous de la couche optique : c'est la portion sphénoïdale du ventricule
latéral
(VS). Cette portion sphé-noïdale est celle qui co
nnante de la couche optique (Rth). VF, corne frontale du ventricule
latéral
; VS, corne sphénoïdale de ce ventricule. Sché
couche du ruban de Reil (Schleife des Allemands). Le faisceau clair,
latéral
, constitué par des fibres verticales, est le Laqu
es les figures de la planche. Cavité ventriculaire. Le ventricule
latéral
ne présente rien de spécial dans sa partie fronta
bres obliques en haut et en dehors; elles vont se joindre au feuillet
latéral
du ruban de Reil, ou laqueus (Laq, fig. 62, 63),
açon générale; mais, comme il reçoit des filets nombreux de la région
latérale
de la substance grise de l'aqueduc (SG), sa parti
tre. C'est là, à proprement parler, la couche deReil (Lem). La partie
latérale
ou laqueus est le ruban de Reil (Laq). La confusi
es fibres du ruban de Reil, vues de l'extérieur, partent de la région
latérale
de la protubérance, d'où elles émergent au niveau
latérale de la protubérance, d'où elles émergent au niveau du sillon
latéral
de l'isthme. Elles viennent de la moelle allongée
e l'isthme. Elles viennent de la moelle allongée. Au sortir du sillon
latéral
de l'isthme, elles se portent en haut directement
e que ces fibres antéro-postérieures (Lem) se portent vers la surface
latérale
de l'isthme, de nouvelles couches, plus profondes
e d'une lame de hache dont la convexité répond au laqueus ou faisceau
latéral
de Reil (Laq); la concavité supérieure circonscri
d'arrière en avant, dans toute la hauteur de la cavité ventriculaire
latérale
, c'est-à-dire depuis la base de la corne sphénoïd
), un grand nombre défibres horizontales venues de la lame médullaire
latérale
du thalamus (LML). Celles-ci paraissent être des
i se continue avec le faisceau sensitif interne (FSi). LML. La lame
latérale
du thalamus (fig. 66) s'étend donc depuis le tsen
xion, dans le faisceau longitudinal inférieur (FLl, fig. 62). La lame
latérale
du thalamus et le faisceau sensitif interne ne so
. pl. XXI). Cavité ventriculaire. La corne frontale du ventricule
latéral
s'aplatit de plus en plus. Elle conserve toutefoi
de pinéale n'établit pas de séparation médiane entre les deux moitiés
latérales
du ventricule moyen. Cette séparation cesse d'exi
uve réduite, ou peu s'en faut, aux fibres qui vont former le faisceau
latéral
de Reil ou laqueus (Laq). Sur une coupe encore pl
s verrons plus loin que si la couche de Reil s'épuise par l'expansion
latérale
progressive de ses fibres dans le laqueus, elle p
portaient en haut et en dedans vers la commissure antérieure, la lame
latérale
se dirige en haut et en dehors, sans subir de déc
aut et en dehors, sans subir de décussation. A l'extérieur, la lame
latérale
correspond exactement à la ligne de jonction imag
superficiel qui, un peu plus en avant (fig. 69), s'ajoutera à la lame
latérale
(Lmd). La partie la plus postérieure du pied du p
u antérieur (BQA) qui passe, avec le bras du pulvinar et avec la lame
latérale
, à la partie antérieure du corps genouillé intern
le ; nous apprendrons bientôt qu'elles vont se continuer dans la lame
latérale
externe du noyau lenticulaire, entre le globus pa
u caudé (fig. 74, 76, 77), libre dans la corne frontale du ventricule
latéral
, où il forme une proéminence régulièrement convex
centre médian (NmC, fig. 7(5) par le bras du pulvinar (RP) et la lame
latérale
du ruban de Reil (Lmd). Sitiintidn du yanylion
es par le faisceau de Tùrck-Meynert (FM), qui les sépare delà surface
latérale
du pont. TP. Parmi les fibres transversales de
en dehors, pour former le laqueus. Laq. Le laqueus, épanouissement
latéral
du lemniscus, se continue en haut et en dedans av
e la partie inférieure de la capsule interne, où il constitue la lame
latérale
externe de la couche optique (LML, fig. 76). Rt
. De là elle se porte en dehors et en bas, pour pénétrer dans la lame
latérale
de la couche optique (LML, fig. 78). RGE. La co
ian. Quant aux fibres du noyau externe (NeC), elles vont dans la lame
latérale
du thalamus en empruntant la voie du stratum zona
rieurement. Cavité ventriculaire. La corne frontale du ventricule
latéral
continue de s'aplatir et elle s'insinue, de dehor
noyau rouge (NR). Avant d'aborder ce noyau, il émet en dehors la lame
latérale
de Reil (Lmd), et en dedans les fibres marginales
ntérieure. Plus en avant on ne le retrouve plus. ..... Lmd. La lame
latérale
(fig. 79) se dirige de dedans en dehors, au-dessu
ntale, en dehors du thalamus, s'accolent à la face externe de la lame
latérale
du thalamus (LML, fig. 82). LML. La lame latéra
xterne de la lame latérale du thalamus (LML, fig. 82). LML. La lame
latérale
du thalamus (fig. 82) n'occupe plus, strictement,
nt (Lmd), qu'elle est constituée en partie par l'expansion de la lame
latérale
de Reil, c'est-à-dire par des fibres venues du mé
fibres venues du mésocéphale. On ne peut donc pas considérer la lame
latérale
du thalamus comme un faisceau lamellaire homogène
corne frontale, réduite à une fissure horizontale, n'a plus de parois
latérales
. La corne sphénoïdale s'allonge transversalemen
alamique qu'appartiennent la plupart des fibres de la lame médullaire
latérale
du thalamus (LML, pl. XXYI, fig. 95). FLP. Le f
(FLP) le sépare toujours de la surface ventriculaire. Lmd. La lame
latérale
de Reil (Lamina lateralis) (fig. 85, 86) se per
ent foncée ; elle se porte en avant, après avoir abandonné des fibres
latérales
à la couronne rayonnante ; elle est entraînée en
u pédoncule du côté gauche. T'O, portion occipitale du ventricule
latéral
; GE, corps genouillé externe ; NCC, queue du noy
e totalité du segment inférieur de la capsule interne. LML. La lame
latérale
du thalamus (fig. 88) est maintenant parfaitement
utes les autres fibres de la capsule interne (Cl). C'est à cette lame
latérale
qu'aboutissent toutes les stries blanches de la
blanches de la couche optique; ou, si l'on préiere, c'est de la lame
latérale
que partent, pour pénétrer dans la couche optique
du premier système de projection. C'est-à-dire que c'est sur la lame
latérale
que convergent les fibres de l'écorce qui ont pou
bandelette sous-optique, et même tsenia semi-circularis. Mais la lame
latérale
n'est pas seulement la région où convergent tous
s superposées, dont la partie externe se perd dans la lame médullaire
latérale
du thalamus. Ce sont ces fibres de l'étage supéri
um (TB). Cavité ventriculaire. La corne sphénoïdale du ventricule
latéral
présente seule des modifications : elle est deven
, au fur et à mesure que s'élargit la corne sphénoïdale du ventricule
latéral
(fig. 92, 93, 94). On constate aussi qu'elle four
de son cul-de-sac antérieur. Sa paroi inférieure est devenue presque
latérale
; elle est toujours soulevée par le grand sillon o
partie. Le faisceau longitudinal postérieur, grâce à ce prolongement
latéral
, enveloppe donc du haut en bas le noyau rouge de
ébello-thalamique est épuisé, un autre le remplace (NL) : le faisceau
latéral
du noyau rouge de la calotte, au-dessous duquel s
toutefois, n'est que très passager, car dès l'apparition du faisceau
latéral
du noyau rouge (NL), on voit aussi s'insinuer ent
. NL. Le faisceau rubro-thalamique représente l'ensemble des fibres
latérales
issues du noyau rouge de la calotte. Cette dési-
ue ce dernier faisceau a simplement côtoyé le noyau rouge. Les fibres
latérales
issues du noyau rouge sont-elles les mômes que re
se avec le noyau amygdalien (NA, fig. 105), ce fait que le ventricule
latéral
, dans sa région la plus antérieure, est séparé de
au capsulairc (MF). Ce faisceau est limité en liant par le faisceau
latéral
des libres de la calotte (faisceau îiibro-tha-lam
ceaux que nous avons vus émerger de la région de la calotte : la lame
latérale
(Lind); les fibres du pédoncule cérébelleux supér
hA, racine antérieure du thalamus; AR, faisceau d'Arnold ; NL, fibres
latérales
du noyau rouge de la calotte (faisceau rubro-thal
to-thalamique; Lmd, lamina lateralis. ou fibres directes de la couche
latérale
de Reil; CIA, segment antérieur de la capsule int
es horizontales et, mieux encore, la cavité sphénoïdale du ventricule
latéral
, à l'état frais, soigneusement lavée et débarrass
pe et sur VM, ventricule moyen; 17", portion frontale du ventricule
latéral
; VS, portion sphénoïdale du ventricule latéral; B
frontale du ventricule latéral; VS, portion sphénoïdale du ventricule
latéral
; Bf, fente de Bichat; YC, ventricule de la cloiso
s album sub-rotundum (NaC, fig. 109), la corne frontale du ventricule
latéral
s'étale transversalement sous le corps calleux, c
e la coupe entame des régions plus antérieures. Lorsque le ventricule
latéral
(VS) est réduit à une fissure (fig. 112, 115), il
interpédonculaire, partie du tuber cinereum; celle-ci, sur ses bords
latéraux
, s'amincit sous la forme d'une lamelle d'un quart
ient à l'accroissement transversal de la corne frontale du ventricule
latéral
; l'augmentation d'épaisseur tient à l'accroisseme
ulo-striée. Cavité ventriculaire. La corne frontale du ventricule
latéral
, après que le tubercule antérieur de la couche op
la plus antérieure du faisceau capsulairc et de la lame médullaire
latérale
delà couche optique (voy. MF et LML, pl. XXIX). C
ivantes. Mais on PV, pont de Varole ; RR; ruban de Reil et sa laine
latérale
(Lmd) ; FM, faisceau de Tùrck-Meynert; FP, faisce
la voûte vers le corps calleux (ce), et ferme en dedans le ventricule
latéral
. Lorsque la commissure antérieure apparaît (CA),
sus de l'espace perforé antérieur, de façon à décrire deux convexités
latérales
. Si la convexité antérieure est régulière, la cou
que sur un point de sa courbe. Si, au contraire, la double convexité
latérale
existe, la coupe 124 passant par le globus pallid
é interne (fig. 130), embrassant l'angle supéro-externe du ventricule
latéral
, et se terminant en pointe effilée dans l'épaisse
le bec du corps calleux s'insinue dans la profondeur, sur les parties
latérale
et supérieure de l'espace perforé, sans arriver j
facilement, c'est qu'elles forment la paroi antérieure du ventricule
latéral
(fig. 156, 157). La cavité ventviculaire, en ef
um réunis (fig. 134, 135, 156) forment la paroi interne du ventricule
latéral
, ils n'en forment pas la paroi externe : celle-ci
n centimètre environ en arrière du cul-de-sac antérieur du ventricule
latéral
. Sur la coupe 133 la capsule externe (CE), sépa
comme formant la paroi antérieure du cul-de-sac frontal du ventricule
latéral
. LFS. La capsula extrema (fig. 154) composée de
NC) est libre, par sa convexité interne, dans la cavité du ventricule
latéral
{VF). . PUT. Le putamen, même à sa partie la pl
t le faisceau le plus supérieur et le plus antérieur de la bandelette
latérale
de Reil; il cesse d'être visible sur les coupes 5
terne où il ne pénètre pas ; il contribue à former la lame médullaire
latérale
de la couche optique (LML). LML. La lame médull
llaire latérale de la couche optique (LML). LML. La lame médullaire
latérale
de la couche optique, très franchement claire au-
yau caudé (fig. 7 et 8) proémine dans la corne frontale du ventricule
latéral
{VF, fig. 7), et se confond en arrière et en deda
LMf. La lame médullaire interne du thalamus et LML la lame médullaire
latérale
n'offrent ici aucune particularité. FP. Le fais
marquera qu'elle n'appartient pas à la région temporale du ventricule
latéral
, ni même exclusivement au carrefour ventriculaire
l'hémisphère droit. Sur ce dernier, la corne occipitale du ventricule
latéral
(VO) est largement béante, tandis que sur le prem
ctiligne. Cavité ventriculaire. La corne occipitale du ventricule
latéral
est seule divisée par le plan de section. Cette c
(Pul) et la corne d'Ammon. Quant à la corne frontale du ventricule
latéral
, elle est située au-dessus de la coupe; mais on o
dans en dehors, dans le noyau lenticulaire. LML. La lame médullaire
latérale
du thalamus est en partie confondue avec le segme
acines postérieure et antérieure du thalamus, dans la lame médullaire
latérale
(LML), n'est autre que la couche grillagée de cer
e (LAT). Cavité ventriculaire VF. La corne frontale du ventricule
latéral
est divisée par la coupe tout près de son cul-de-
ce qui a été dit au sujet de la figure 1., LML. La lame médullaire
latérale
du thalamus est parfaitement distincte des fibres
les, enfin si l'on a largement ouvert la corne frontale du ventricule
latéral
, on peut trouver quelques autres points de repère
oris, saillie des fibres moyennes du corps calleux dans le ventricule
latéral
(faisceau moyen du forceps). Bf. Fente de Bicha
su. Diverticulum sub subiculo, fissure inféro-interne du ventricule
latéral
sillon du subiculum. Dis. Diverticulum transversa
calcarine. L. Scissure limbique. Laq. Laqueus, portion verticale ou
latérale
du ruban de Reil, ou ruban de Reil proprement dit
eur. Lmd. Lamina lateralis de Reil, ou fibres directes de la couche
latérale
de Reil. LML Lame médullaire interne du thalamu
ame médullaire interne du thalamus. LML. Lame médullaire externe ou
latérale
du thalamus. LMV. Lame médullaire ou substance
NG. Nudeus gracilis. NiC. Noyau interne du thalamus. NL. Fibres
latérales
du noyau rouge de la calotte, faisceau rubro-thal
la branche descendante du trijumeau. VF. Corne frontale du ventricule
latéral
. VL. Fibres du pont de Varole se croisant sur l
ilc nioyeii, troisième ventricule. VO. Corne occipitale du ventricule
latéral
. VS. Corne sphénoïdale du ventricule latéral. YV.
occipitale du ventricule latéral. VS. Corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. YV. Valvule de Yieussens. ZGE. Stratum zonale
.... xi Faisceau géniculé (FG).............. 61,299, 558 Faisceau
latéral
du noyau rouge de la calotte (NL)........ 517 F
à la couche optique (CAO)....... 297 F'ibres directes de la couche
latérale
de Reil (Lmd)........ 251 Fibres directes de la
557 Fibres inférieures du forceps (FOi).............. 102 Fibres
latérales
du noyau rouge de la calotte (NL)........ 517 F
u pont (PVT).............. 245 Fissure inféro-interne du ventricule
latéral
[Dsu)........ 187 Fissure sous-calcarine (ofj..
noyau lenticulaire (MLE).. . . 298, 550 Lame médullaire externe ou
latérale
du thalamus (LML). . . 222, 285 Lame médullaire
uban de Reil (RR).................. xxn, 200 Ruban de Reil (portion
latérale
), (Laq)............. 210 Ruban de Reil (portion
Tractus gris longitudinal de Duverney (tec)........... 174 Tractus
latéral
(tec).................... 174 Tractus opticus (
. 26 Ventricule de la cloison (FC)................ xxn Ventricule
latéral
(portion frontale), {vf)............ xvn Ventri
tricule latéral (portion frontale), {vf)............ xvn Ventricule
latéral
(portion occipitale), (FOj........., . xvn Vent
icule latéral (portion occipitale), (FOj........., . xvn Ventricule
latéral
(portion sphénoïdale), {vs)......... . xvn Vent
e nous avons déjà citées. Citons enfin un sujet atteint de sclérose
latérale
amyotrophique dont la famille est largement ent
argement entachée de nervosisme. Observation LXXII. V... Sclérose
latérale
amyotrophique . - Fille épileptique. Cousin ger
comotrice progressive; l'autre s'approprie une partie des cordons
latéraux
, celle qu'on désigne aujourd'hui sous le nom de
e le système postérieur, et sa lésion n'est autre que la sclérose
latérale
amyotrophique. Sclérose systématique des bandel
OSE SYSTÉMATIQUE DE L1 MOELLE. si 5 cordons postérieurs et sclérose
latérale
amyotrophique, telles sont, en somme, les deux
axie locomotrice) est très commune, tandis que l'autre (la sclérose
latérale
) est plus rare, se développent et évoluent isol
ltané de la sclérose sur les cordons postérieurs et sur les cordons
latéraux
. La lésion du cordon latéral ne reproduisait pa
ordons postérieurs et sur les cordons latéraux. La lésion du cordon
latéral
ne reproduisait pas, il est vrai, dans ces cas,
il est vrai, dans ces cas, l'altéra- tion classique de la sclérose
latérale
amyotrophique, en ce sens qu'elle n'était pas a
la com- binaison des lésions du tabes avec celles de la sclérose
latérale
amyotrophique proprement dite, mais de la coïnc
premières de ces altérations avec une dégénérescence du seul cordon
latéral
, sans partici- pation de la substance grise.
ie grise des nerfs optiques. -Sclérose des cordons pos- térieurs et
latéraux
. - Atrophie des tubes nerveux dans les nerfs de
é un faisceau grisâtre comprenant la moitié postérieure des cordons
latéraux
. Sur la partie moyenne, en arrière, un fais- ce
s à l'oeil nu que l'altération de la moitié postérieure des cordons
latéraux
; 3° il en est de mème sur une coupe faite à se
u niveau de l'extrémité inférieure du bulbe rachidien. b) Cordons
latéraux
. Bien qu'il soit plus conforme aux données de l
que nous procédions de la sorte. La sclérose intéresse les cordons
latéraux
dans toute la hauteur de la moelle. Nous la voy
e la moelle et du bulbe, elle intéresse toute l'épaisseur du cordon
latéral
(faisceau cérébelleux direct, et faisceau pyram
e, intéressant simultanément les cordons postérieurs et les cordons
latéraux
. Cette sclérose est surtout accusée au niveau d
rsale qui recouvre tout le segment postérieur de la moelle (cordons
latéraux
, cornes et cordons postérieurs); au-dessus elle
urs); au-dessus elle se localise aux cordons de Goll et aux cordons
latéraux
, au-dessous, à ces mêmes cordons latéraux et au
ns de Goll et aux cordons latéraux, au-dessous, à ces mêmes cordons
latéraux
et aux bandelettes de Burdach. II. Examen de
d aux cordons postérieurs que dans celle qui correspond aux cordons
latéraux
. On voit en effet (PL. III, fig. 14) que en a,
moins sur les limites de la figure (partie périphérique des cordons
latéraux
), ces gaines et ces cylindraxes font complèteme
truits. Ces cellules sont en plus grande abondance dans les cordons
latéraux
que dans les postérieurs. f) Ce qui frappe tout
la moelle, le système des cordons postérieurs et celui des cordons
latéraux
. Mais en y regardant de plus près, on se convai
l on a été amené à tenir pour synonymes les deux expressions cordon
latéral
et faisceau pyramidal. Or, rien n'est plus faux
ux de MM. Charcot, Bouchard, Flechsig nous ont appris que le cordon
latéral
est un organe complexe constitué par la juxtapo
ur au- tonomie propre. Il en résulte que lorsqu'on a dit cor- don
latéral
on n'a rien dit, du moins de suffisamment préci
tions. Or, que voyons-nous dans notre cas ? La sclérose du cordon
latéral
affecte-t-elle la même topographie que celle re
. II) par exemple, celle d'une coupe de moelle atteinte de sclérose
latérale
amyotrophique ou de dégénérescence secondaire d
semble difficile de concevoir une sclérose systémati- que du cordon
latéral
, c'est-à-dire du système pyra- midal, qui respe
vations de sclérose prétendue systématique et limitée aux cordons
latéraux
sans participation des faisceaux de Türck et de
de trouver sur les coupes les lésions constitutives de la sclérose
latérale
systé- matique. Reste une troisième observation
sur le tabès dorsal spasmodique (sclérose pri- mitive des faisceaux
latéraux
). Thèse du Paris, 1SS3. * Stofella. Wien. med.
aurait peut-être joué son rôle dans le développement de la sclérose
latérale
. Quoi qu'il en soit, si l'on veut admettre une
que ou non des lésions scléreuses intéressant à la fois les cordons
latéraux
et les postérieurs. Mais revenons à notre cas.
ent une double sclérose systématique des cordons posté- rieurs et
latéraux
, en un mot à une fausse sclérose sys- tématique
ons postérieurs, compliquée d'une sclérose symé- trique des cordons
latéraux
)', Westphal (dégénéres- cences combinées et pri
a moelle), Babesiu (dégénérescence combinée primitive des cordons
latéraux
et postérieurs) et quelques autres. 60 PATHOLOG
di- rects. Ces derniers faisceaux sont seuls lésés dans le cordon
latéral
. Dans les faits de ce genre, qui ne pa- raissen
que nous venons d'indiquer. La sclé- rose, notamment dans le cordon
latéral
, paraissait très exactement limitée au faisceau
nique qui envahit dans une étendue plus ou moins grande les cordons
latéraux
: voilà la lésion diffuse. Le cas de M. Prévost
ons postérieurs, com- pliquée d'une sclérose symétrique des cordons
latéraux
; in Arch. de phys. nornz. et patlaol., 1877, p.
de la partie la plus pé- riphérique et la plus reculée des cordons
latéraux
. Or, en examinant attentivement la topographie
moelle, entre la corne postérieure et la zone scléreuse des cordons
latéraux
, un espace plus ou moins étendu selon la hauteu
e-mère enflammée que le processus inflammatoire a gagné le cordon
latéral
. Nous aurions quelque tendance à rapprocher du
n III du 1 Haymond. Sclérose des cordons postérieurs et des cordons
latéraux
, coexistant chez le même malade. - Prédominance
ptcsque exclusive des symptômes spéciaux à la sclérose des cordons
latéraux
, in Archiv. de phys. norl1l. etpath., u° 7, ISS
rte de sclérose corticale qui in- téresse la périphérie des cordons
latéraux
et s'étend plus ou moins loin en avant. Cette s
vers la partie supérieure de la région dorsale et dans le cordon
latéral
. Ce qui frappe, au premier abord, c'est l'épaissi
e dorsale, il existe une lésion qui intéresse également les cordons
latéraux
, lésion que prouve une dégénérescence latérale
galement les cordons latéraux, lésion que prouve une dégénérescence
latérale
double complète et symétrique, déjà manifeste a
ons dorsale et lombaire. Quant aux lésions qui occupent les cordons
latéraux
et postérieurs, leur maxi- mum est situé entre
et cervicale inférieure que la sclérose des cordons postérieurs et
latéraux
était le plus accusée. A ce niveau elle intéres
èrement de chaque côté, sur les fais- ceaux de Burdach. Les cordons
latéraux
sont intéres- sés dans une grande partie de leu
s ni dans les autres de ces observations, les lésions des faisceaux
latéraux
n'affectaient, dans leur localisation, une régu
rose systématique limitée aux seules fibres centrifuges du cordon
latéral
. Ce qui nous semble militer surtout en faveur d
ne moelle atteinte de lésion scléreuse des cor- dons postérieurs et
latéraux
. Sur ces derniers, l'alté- ration, dans toute l
sumé, parmi les cas de sclérose combinée des cordons postérieurs et
latéraux
qui figurent dans la littérature médicale, nous
coupe d'un cordon FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 71 t
latéral
dégénéré consécutivement à une lésion céré- bra
néré consécutivement à une lésion céré- brale, en B celle du cordon
latéral
de la moelle de Sarrazin, aux confins des parti
térioles dilatées et comme variqueuses, aussi bien dans les cordons
latéraux
que dans les posté- rieurs. D'autre part, si
SJnahtomalologie des lé- sions combinées des cordons postérieurs et
latéraux
. - Après avoir étudié les scléroses combinées a
tomatologie qui résulte de l'association d'une sclérose des cordons
latéraux
à une sclérose des faisceaux postérieurs. On
siège de la lésion, non de sa nature. Peu importe que les cordons
latéraux
et postérieurs soient touchés par tel ou tel pr
sclérose intéressant simultanément les faisceaux postérieurs et les
latéraux
, on se trou- vera en face de symptômes qui relè
les sensitifs (hyperes- thésies et anesthésies); celles des cordons
latéraux
, du moins du faisceau pyramidal, par de la para
roses postérieures et cer- tains autres qui relèvent de la sclérose
latérale
. En effet, l'exagération des réflexes tendineux
prédominants ont été ceux qui dé- pendaient de la lésion du cordon
latéral
, à savoir : la paralysie avec contracture des q
inance presque exclusive des symptômes de la sclé- rose des cordons
latéraux
, bien que les postérieurs fussent lésés. Ains
iers, en effet, on constate, que tandis que la sclérose du cordon
latéral
s'étend dans la plus grande partie de la moelle
st des scléroses combinées, intéressant simultanément les cordons
latéraux
et postérieurs, dans lesquels, la FAUSSE SCLÉRO
nche. Mais, dans ces cas en général, la lésion propagée au cordon
latéral
est, nous l'avons vu, toute périphé- rique et d
cée que possible sur les deux ordres de cordons (posté- rieurs et
latéraux
), et, bien que la symptomatologie soit dans ce
IE NERVEUSE. qu'il existàt une dégénérescence scléreuse du cordon
latéral
dans toute l'étendue de la moelle, il yavait abol
L'antagonisme qui existe entre certains des symtômes de la sclérose
latérale
et certains de ceux de la sclérose postérieure,
sse intacte une bonne partie des cordons postérieurs, la sclérose
latérale
reconquiert tous ses droits. Cette opinion est
dit cet auteur, une affection com- binée des cordons postérieurs et
latéraux
, il ne sur- vient ni rigidité musculaire ni con
LANcnJ : (1 1 Fig 7, 8. - Coupe de la région dorsale. a, Sclérose
latérale
. b, Sclérose du faisceau de Burdach. Fig. 9.
Coupes transversales de la moelle aux parties moyennes. a, Sclérose
latérale
. b, Sclérose du cordon de Goll. PLANCHE 111 .
oelle. a, Sclérose des cordons postérieurs. G, Sclérose du cordon
latéral
. c, Corne postérieurr. Fig. 13. -Tube nerveux
oupe IoniVulinale. Tulie variqueux. Frr. 1G. - A, coupe d'un cordon
latéral
atteint de dégénérescence secondaire. Il, Cou
latéral atteint de dégénérescence secondaire. Il, Coupe du cordon
latéral
dans notre cas. a, Tube nerveux avec cylindre-a
e, ni dans celle de la mère. DU MÉRYCISME. 105 pas de dépressions
latérales
; arcades orbitaires peu marquées : circonférenc
première vue : pas d'atrophie de la corne d'Ammon. Les ventricules
latéraux
et les masses centrales n'offrent rien de parti
e disposition. Les corps striés et la couche optique, le ventricule
latéral
, etc., n'ont rien de particulier. - Nulle part
néiforme passe en partie dans le corps restiforme; 3° que le cordon
latéral
dans le cervelet se termine dans le vermis. P. K.
rillée, tout à côté, commande en outre à la nutrition des faisceaux
latéraux
du pédoncule cérébral. Ceux-ci, à la suite de s
roit. Circonvolutions entière- ment saines à la surface. Ventricule
latéral
un peu dilaté, contenant une assez grande quant
upe pédiculo-frontale, jusqu'à la limite anté- rieure du ventricule
latéral
; à cet endroit, il n'est séparé de la cavité ve
Hémisphère gauche. - Circonvolutions entièrement saines. Ventricule
latéral
rempli par du sang coagulé; ses parois sont déc
Le liquide céphalo-rachidien est abondant. La cavité du ventricule-
latéral
gauche est élargie, le corps strié gauche un pe
de sclérose dans les corps calleux, sur les parois des ventricules
latéraux
; une petite plaque de sclérose fut observée dan
, engourdissement cu- bital; plaque d'engourdissement sur la partie
latérale
droite de la face et du crâne; anesthésie plant
ris son épaisseur normale avant d'avoir atteint le milieu des faces
latérales
de cet organe » . Ce fait auquel nous pourrio
it intéressant parce qu'il montre que la dégénération des faisceaux
latéraux
de la moelle n'entraîne pas de troubles des fon
d'ailleurs corroboré par cette cir- constance que dans la sclérose
latérale
ainyol2-opltique, ces fonc- tions sont aussi in
l n'en existe point dans les dégénérations descendantes des cordons
latéraux
, ni dans la sclérose latérale amyotrophique, da
égénérations descendantes des cordons latéraux, ni dans la sclérose
latérale
amyotrophique, dans la paralysie infantile, dan
eurs rénaux. P. K. 250 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XV. Sclérose
latérale
AY01[tOP)HQUH; par MM. lflEnzEEwss1 et HLiTZKY.
a vie, elle présentait tous les symptômes classiques de la sclérose
latérale
amyotropbique, atrophie des muscles avec con- t
méthode d'I;rlitzhy), démontra les lésions classiques des faisceaux
latéraux
sur toute l'étendue de la moelle, sclérose des
me temps. En donnant la description détaillée de ce cas de sclérose
latérale
, analogue aux faits décrits par Debove et Comba
pleinement les idées de M. Charcot, sur l'existence de la sclérose
latérale
amyotro- phique comme entité nosologique à part
e sur un cas de myélite chronique ci diagnostic douteux (sclé- rose
latérale
amyotrophique ou sclérose en plaques); par L'HÉRI
ntées , de colo- ration bleue ou rouge sont percées d'une fenêtre ,
latérale
supé- rieure ou prennent la lumière directement
ladesl calmes de la dernière classe. Le second étage des deux ailes
latérales
les plus externes contient une série de chambre
poral gauche une tumeur perlée qui pénétrait dans le repli du sinus
latéral
; au delà de la tumeur, celui-ci était hermétiqu
La substance du cerveau est flasque et oedémateuse; les ventricules
latéraux
sont distendus par un liquide séreux; l'épcn- d
GORGEMENT DU SINUS FALCIFORME SUPERIEUR. 311 t tinue avec les sinus
latéraux
; sa lumière s'élargit progressive- ment d'avan
lésion occupe, au début, dans la moelle dorsale deux étroites zones
latérales
symétriques, dans lesquelles pénètrent de préfé-
limite antérieure et interne des cornes postérieures (aire antéro-
latérale
) l'intégrité demeure toujours parfaite. Constance
de ces racines et de celles des cordons postérieurs). Les cordons
latéraux
demeurent normaux dans tout leur par- cours, qu
t bien réelle, car du moment où les lésions portent sur les cordons
latéraux
(pyramides, cer- velet), ainsi que sur ceux des
infrà : foyer myélitiqne dans la partie postéro-médiane des cordons
latéraux
, tuméfaction de la névroglie des cordons postér
et celle des raideurs et contractures malgré la lésion des cordons
latéraux
. La double sensation d'une seule pointe cons- t
re malade; celte disparition porte suitout sur le groupe postérieur
latéral
et, d'une façon moins prononcée, sur les groupe
latéral et, d'une façon moins prononcée, sur les groupes médian et
latéral
antérieur. Elle est très accusée dans le grand
situé entre la pointe externe de la corne antérieure et le faisceau
latéral
est plus accentué du côté malade; ses mailles s
la lésion spinale est une dégénérescence des cordons postérieurs et
latéraux
de lamoelle. Le lien anatomo-pathologique entre
le ruban de Reil '. Le paragraphe intitulé : foyer du ruban de Reil
latéral
, montre que ce dernier est en connexion avec la
des altéra- tions les plus accentuées. Intégrité absolue des faces
latérales
et médianes des lobes frontaux, pariétaux, occi
gis médian cruciforme d'où partent à angle droit deux grandes ailes
latérales
flanquées à leur tour toujours sous un angle dr
ées à leur tour toujours sous un angle droit, de deux petites ailes
latérales
. Le corps de logis médian renferme, dans la por
, tandis que les corridors sont orientés au nord. Les grandes ailes
latérales
dirigées du nord au sud contiennent des chambre
e la première classe; viennent ensuite, dans les deux grandes ailes
latérales
les tranquilles et les convalescents des deuxiè
s pour les hommes, autant pour les femmes, jouissent de l'éclairage
latéral
: elles sont deux à deux chauffées, du corridor
énés ne manquent pas d'introduire dans les bouches. L'une des ailes
latérales
est le sejoli- du médecin-adjoint. Ces deux asi
nt, 247. Sciatique (traitement de la), par Glatz, 333. Sclérose
latérale
amyotrophique, par J\Iicrzejewski et Erlitzky,
. PLANCHE Il Fig. 7, 8. Coupe de la région dorsale. a, Sclérose
latérale
. b, Sclérose du faisceau de Burdach. Fig. 9.
oupes transversales de la moelle aux pai ties moyennes. a, Sclérose
latérale
. b, Sclérose du cordon de Goll. Archives de N
oelle. a, Sclérose des cordons postérieurs. b, Sclérose du cordon
latéral
. c, Corne postérieure. Fig. 15. Tube nerveux
coupe longitudinale. Tube variqueux. Fig. 16. A, coupe d'un cordon
latéral
atteint de dégénérescence secondaire. B, Coup
latéral atteint de dégénérescence secondaire. B, Coupe du cordon
latéral
dans notre cas. a, Tube nerveux avec cylindre-a
de la base du crâne de Michel donné par la radiographie en position
latérale
on est frappé par quelques particularités digne
. Cor- don antérieur droit. 4. Corne antérieure droite. - 5. Cordon
latéral
droit. - 6. Racine. - 7. Cordon postérieu droit
ce des faisceaux irréguliers de subs- tance blanche; dans le cordon
latéral
la moitié antérieure ne conserve presque plus d
é de la partie antérieure des cornes postérieures. Dans les cordons
latéraux
: on voit une dégénérescence notable sur la pér
s lésions, nous les considérons dans les cordons posté- térieurs et
latéraux
comme une dégénérescence secondaire en partie au
utre, dégénérescence descendante dans les deux faisceaux pyramidaux
latéraux
et antérieurs (fig. 3), mais pas de dégénéresce
la spondylite tuberculeuse. On observe quelquefois un aplatissement
latéral
des vertèbres (Schlesin- ger). Parfois les mala
elle est rarement arquée, dans le cancer, souvent). Le déplacement
latéral
des apophyses épineuses (dans la carie il ne se p
segment la tumeur commence à augmenter de volume dans la direction
latérale
et dorsale, et atteint son maxi- 'de développem
gulaire à base orientée vers la périphérie, siégeait dans le cordon
latéral
droit et présen- tait une démyélinisation (fig.
dorso-médian des cordons postérieurs et dans les voies pyramidales
latérales
. A gauche, dégénérescence notable de la zone radi
les cordons postérieurs et dans la partie pos- térieure des cordons
latéraux
.Ils sontaussi assez nombreux dans la zone nommée
rondes. 1. Racines postérieures. 4. Foyer de lésion dans le cordon
latéral
2. Dure-mère. droit. 3. Racine antérieure. 5.
orméun foyer considérable, occupant la moitié postérieure du cordon
latéral
droit, et caractérisé par une dégénérescence ac
de de Weigert,on voit des foyers de lésion surtout dans les cordons
latéraux
et dans les postérieurs. Les cordons antérieurs
e sont presque tout à fait in- tacts (fig. 6). - Dans les cordons
latéraux
il y a des raies claires qui vont radialement de
s linéaires on voit aussi des foyers arrondis au sein des cor- dons
latéraux
. Tous les foyers ci-dessns décrits n'ont pas de
lement à la périphérie et vers la commissure grise). Dans le cordon
latéral
gauche, une zone périphérique claire et un foyer
peu nettement limités, en forme de taches et de raies. Les cordons
latéraux
sont surtout lésés. Les postérieurs sont beaucoup
ncement que forment les corps vertébraux avec les côtes. Les parois
latérales
des corps vertébraux et des arcs sont remplacées
r prend place (fig. S). Ui ? s. 1. Foyer de lésion dans le cordon
latéral
gauche. 2. Foyer de lésion dans le cordon latér
on dans le cordon latéral gauche. 2. Foyer de lésion dans le cordon
latéral
droit. 3. Foyer de lésion dans le cordon postér
calisation de ces masses correspond au faisceau postérieur droit et
latéral
droit voisin du précédent.) Au-dessous de cette
place. Déjà dans le premier segment lombaire les foyers des cordons
latéraux
disparaissent presque complètement (dans les vo
l y en a de petits : 1) dans le cordon antérieur gauche, 2) dans le
latéral
gauche et encore des lésions diffuses dans les pa
es deux cordons postérieurs. Alvéoles vides isolés dans les cordons
latéraux
et postérieurs. Légère démyélinisation dans les
rs. Légère démyélinisation dans les zones périphériques des cordons
latéraux
et antéro-latéraux. La configuration interne de l
x cordons postérieurs et dans la partie postéro-médiane des cordons
latéraux
(fig.30). Ils sont ovalaires,allongés, à contou
Dans le IIIe segment lombaire il n'y a pas de foyer dans le cordon
latéral
Fig. 10. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE
de la tumeur dé- montrèrent des lésions notables. Dans les cordons
latéraux
et postérieurs il y avait des foyers plus ou mo
t immé- diat avec la moelle. Le fait que les cordons postérieurs et
latéraux
sont principalement le siège de la lésion n'est
sont très restreints, elle peut seulement faire une minime flexion
latérale
et en avant. Les mouvements pas- sifs s'accompa
qu'il droite, cette différence est surtout marquée dans les cordons
latéraux
. En approchant de la substance grise on voit les
rie vers le cordon droit antérieur. La différence entre les cordons
latéraux
droit et gauche est moins prononcée (le droit e
oration normale (excepté 1 ou 2 foyers plus clairs dans le faisceau
latéral
). Dans le cordon antéro-latéral gauche, une lég
le faisceau gauche de Burdach, dans la partie postérieure du cordon
latéral
gauche), il y a des foyers irréguliers, qui env
eurs segments médullaires. On les constate surtout dans les cordons
latéraux
et postérieurs (quelquefois dans les antérieurs).
des cas où les foyers se disposent symétriquement dans les cordons
latéraux
et' postérieurs et alors ils simulent la dégéné
ersées dans toute la coupe transver- sale (surtout dans les cordons
latéraux
pyramidaux, et dans le fais- ceau de Hoche). Da
réunies davantage dans le fascicule dorso-médian et dans le cordon
latéral
pyramidal, tandis que dans les segments lombair
remarquable. Examen radiographique de August C. Crâne (En position
latérale
). Os du crâne à contour régulier, d'une épaisse
. Elle est évidente par- ticulièrement dans sa position épiphysaire
latérale
extérieure, où il semblerait que le chapiteau h
sinn, résultats normaux. Examen radiographique : Crâne. En position
latérale
.A noter les mêmes faits que dans le cas précéde
normales. Rien d'autre qui mérite d'être signalé. Pied. Position
latérale
fibulo-tihiale. L'arcade plantaire est très pro
long de la tubérosité de cet os, au niveau des processus médians et
latéraux
, présentent comme une interruption. Pied. (En
le à 65 ans. Personne, soit chez les ascendants, soit chez les col-
latéraux
, n'a présenté de maladies ou de déformations osse
e. Les lésions nerveuses (dégénérations et léger oedème des cordons
latéraux
au niveau des lésions tuberculeuses) semblent d
constate ici des foyers de destruction à la périphérie des cordona
latéraux
et de plus petits dans les cordons postérieurs.
onstate des foyers clairs, irréguliers, à la périphérie des cordons
latéraux
. Ces foyers correspondaient (au point de vue hi
loignée du niveau du néoplasme, des foyers surtout dans les cordons
latéraux
- disposés à la périphérie, d'un aspect alvéola
ieurs (dégénérescence ascendante) et dans les faisceaux' pyramidaux
latéraux
(dégénérescence descendante). Ces lésions se so
t des cylindraxes). Ces lésions sont plus prononcées dans le cordon
latéral
droit et moins visibles dans les cordons postér
l droit et moins visibles dans les cordons postérieurs et le cordon
latéral
gauche. Les cordons antérieurs sont par contre
he et, par place, des endroits clairsemés à la périphérie du cordon
latéral
gauche. Le foyer occupant le cordon postérieur
ieure droite. 3. Dure-mère. 4. Corne antérieure gauche. S. Cordon
latéral
droit. 6. Racine antérieure gauche. 7-8. Racines
ome psammeux de la moelle épinière. 1. Racine antérieure. 2. Cordon
latéral
gauche raréfié.' - 3. Tumeur. 4. Cor- don latér
rieure. 2. Cordon latéral gauche raréfié.' - 3. Tumeur. 4. Cor- don
latéral
droit raréfié. - 5. Racine postérieure. - 6. Foye
ur gauche. -2. Racine antérieure. 3. Foyer de lésion dans le cordon
latéral
droit. - 4. Dure-mère. - 5. Foyer de lésion dan
(fig. 17) où se trouve aussi une dégénérescence accentuée du cordon
latéral
et antérieur, un peu moindre dans le cordon pos
u'une raréfaction insignifiante des fibres nerveuses dans le cordon
latéral
gauche, surtout au sein du faisceau pyrami- dal
s le cordon latéral gauche, surtout au sein du faisceau pyrami- dal
latéral
(dégénérescence secondaire). En descendant le l
inférieu rs des masses dégénérées dans le faisceau pyramidal gauche
latéral
. Tandis qu'au niveau des segments lombaires inf
r une dégénérescence secondaire peu prononcée de la voie pyramidale
latérale
gauche. En remontant on ne pouvait pas constater
, courtes; direction bizarre.Dans la partie postérieure du cor- don
latéral
se voit un groupe unique de libres à direction lo
n nombre et à l'état de dégénérescence). Les cordons anté- rieur et
latéral
sont très amincis et présentent une dégénération
ur péri- phérie (dans le cordon antérieur une raréfaction ; dans le
latéral
, une sclérose presque complète surtout en arriè
nstate une dégé- nérescence diffuse peu accentuée de tout le cordon
latéral
gauche et plus pro- fonde (scléreuse) de la zon
onde (scléreuse) de la zone périphérique bien étroite. Tout le cordon
latéral
gauche est plus mince que le droit. Les cloison
é- générescence du cordon de Goll et de la partie externe du cordon
latéral
. La moitié gauche, à côté des lésions du cordon
, présente encore une sclé- rose considérable de la voie pyramidale
latérale
et d'une zone assez large des cordons latéraux
e la voie pyramidale latérale et d'une zone assez large des cordons
latéraux
et antérieurs, tandis que la substance blanche qu
a moelle épinière 7= 1. Tumeur. - 2. Racine antérieure. - 3. Cordon
latéral
gauche dégénéré. - 4. Ra- cine postérieure. 0
gues ? ). En outre, légère dégénérescence a la périphérie du cordon
latéral
gauche. En descendant, légère dégénérescence seco
secondaire Fig. 21 · 336 Ô FLATAU t des faisceaux pyramidaux
latéraux
de deux côtés. De plus, des masses noires dans
me d'un corps allongé fusiforme à la moitié pos- térieure du cordon
latéral
gauche et au cordon postérieur. La moelle y est
li- que. La tumeur adhère principalement au cordon postérieur et au
latéral
gauche. Toute la périphérie de la moelle est on
rs sont presque normaux. Les postérieurs sont les plus touches. [Le
latéral
gauche démontre une dégénérescence évi- dente,
(surtout dans le gauche) et dans les zones périphériques du cordon
latéral
gauche. Dans la moelle cervicale la dégénérescenc
t de la jambe gauche. FiG. 27. Dégénérescence des voies pyramidales
latérales
. (Cette figure est dessinée de manière que la m
aussi de la 1 lombaire. La tumeur adhérait à la face postérieure et
latérale
gauche de la moelle épi- nière. Les méninges mo
ce localisée principalement dans les cordons postérieurs et dans le
latéral
gauche. A côté de cela on a constaté dans ce cas
érébelleux gauche. La des- cendante frappe les faisceaux pyramidaux
latéraux
(surtout du côté gauche). Au point de vue hislo
ouventà droite en dehors de la dure-mère et correspondent au cordon
latéral
et postérieur. La configuration extérieure de l
(fig. 28) démontrent deux grands foyers dans les faisceaux pyramidaux
latéraux
. Par leur large base, ils sont orientés en deho
on remarque deux petits foyers ronds nécrobiotiques dans le cordon
latéral
droit près de la subs- tance grise. On voit un
rès de la subs- tance grise. On voit un foyer pareil dans le cordon
latéral
gauche. Çà et là sont dispersées les petites ma
niques (gonflées ? ), surtout distinctes dans la région des cordons
latéraux
. Bien évidente est la dégénérescence des zones ra
A mesure qu'on monte. FIG. 28. 1. Foyer de lésion dans le cordon
latéral
gauche. - 2. Petit foyer nécrotique. 3. Continu
e la zone radiculaire gauche. 3, 6. Foyer nécrotique dans le cordon
latéral
droit. 1. Foyer dans le cordon latéral droit.
er nécrotique dans le cordon latéral droit. 1. Foyer dans le cordon
latéral
droit. 352 , ' . 1. ' FLATAU la dégénérescenc
tate une faible dégéné- rescence dans les deux faisceaux pyramidaux
latéraux
(dégénérescence des segments plus éloignés de l
la méthode de Weigert démontrent à côté des foyers dans les cordons
latéraux
d'autres situés dans les cordons postérieurs (l
e V. Gieson) sont défor- FIG. 29. 1. Foyer en coin dans le cordon
latéral
gauche. - 2. Foyer alvéolaire. 3. Foyer en coin
aire avec des masses dégénérées. 9. Foyer alvéolaire dans le cordon
latéral
droit. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA C
oyers du type alvéolaire dans la zone périphérique des deux cordons
latéraux
et d'autres petits nécrobiotiques dans le cordo
x cordons latéraux et d'autres petits nécrobiotiques dans le cordon
latéral
droit. A part cela, une faible dégénérescence d
excepté auIIIesegment; on voyait un foyer alvéolaire dans le cordon
latéral
gauche et un second dans les cordons postérieur
issure. A part ces foyers on en cons- tataitd'autres dans le cordon
latéral
gauche sous forme des coins allant de la périph
était normale. Mé- ninges et racines intactes.Dans les deux cordons
latéraux
, étaient des foyers alvéolaires qui par leurs b
dis que la lombo-sacrée en présentait dans les faisceaux pyramidaux
latéraux
(la dégénérescence des parties de la voie pyram
pliquer la paralysie par les deux foyers localisés dans les cordons
latéraux
; de même l'anesthésie et les troubles profonds
ement, on y cons- tate des enfoncements sur la périphérie du cordon
latéral
gauche et des cordons postérieurs. En outre une
elle et s'enfonce en coin dans la moelle (à la périphérie du cordon
latéral
droit). Dégénérescences peu profon- des à la pé
partant de la face interne de la dure-mère dans la région du cordon
latéral
droit. Cette gomme ne change en rien la configu
ssie sur toute la périphérie de la coupe, surtout en face du cordon
latéral
droit. La moelle est ici aplatie et on y remarq
nètrent dans la moitié droite de la moelle dans la région du cordon
latéral
(fig. 30). A un fort grossis- sement on peut vo
située du côté des cor- dons postérieurs et d'une partie du cordon
latéral
. Cette infiltration pénétrait dans la profondeu
e aussi bien du côté des cordons antérieurs que du côté des cordons
latéraux
et postérieurs. A l'exception du VIe segment do
ur altération dans le tabès et leur conser- vation dans la sclérose
latérale
amyotrophique, leur attribue un rôle spé- cial.
ral, de six cas de compression de la moelle et d'un cas de sclérose
latérale
al1lyotrophique. Dans tous ces cas j'ai constat
u'à la disparition complète de ces cellules dans le cas de sclérose
latérale
amyotrophique. Sano (6) a trouvé dans deux cas
ncié comme structure. L'étude des lésions corticales de la sclérose
latérale
amyotrophique, affection localisée presque excl
publiés par Kojewnikoff (1), Char- (1) KOJKWNIKOFF, Cas de sclérose
latérale
amyotrophique, la dégénérescence des faisceaux
paracentral et de la frontale ascendante dans deux cas de sclérose
latérale
amyotrophi- que. Depuis, d'autres observations
limiter la zone (1) CHARCOT et Marie. Deux nouveaux cas de sclérose
latérale
amyotrophique suivis d'autopsie. Arch. de Neuro
ienoso. Lo Sperimentale, 1888. (4) F. W. Mon. A case of amyotrophie
latéral
sclerosis toit degenel'atiOlt of the motor palh
1903, p. 683. (8) F. X. Dercum et W. G. SPILLER. Un cas de sclérose
latérale
amyotrophique, présentant des symptômes bulbair
mental disease, 899, no 2, p. 85. W. G. Spiller. Un cas de sclérose
latérale
amyotrophique avec la dégénérescence accusée de
ment. 1902, n 10. (14) Italo Rossi et G. Roussy. Un cas de sclérose
latérale
amyotrophique avec dégé- nération de la voie py
localisations motrices corticales à propos de trois cas de sclérose
latérale
amyotrophique. Revue Neurologique, no 15, 1907.
que, no 15, 1907. Elude anatomique d'un quatrième eas de sclérose
latérale
amyotrophique. Revue Neurologique, n 11, 1909.
clusion que la localisation des lé- sions corticales de la sclérose
latérale
amyotrophique démontre que la frontale ascendan
tatations. Ainsi Janssens (t) a publié un cas typique de sclé- rose
latérale
amyotrophique dans lequel il a vu que les lésions
ires du type 5. 1), - '1)·pes 1, 2, 3 et 5 du cas Cosma S. Sclérose
latérale
amyotrophique; persistance des grandes cellules
les qui persistent encore sont en atrophie pigmentaire. E. SCLÉROSE
latérale
amyotrophique. 1° Cosma S... Notes cliniques. 4
rale amyotrophique. 1° Cosma S... Notes cliniques. 45 ans, sclérose
latérale
amyotrophique, typique avec atrophie plus prono
pied de la première circonvolution frontale. Donc, dans la sclérose
latérale
amyotrophique les pyramides profondes de la par
a zone motrice corticale. En comparant ce cas avec ceux de sclérose
latérale
amyotrophique, nous voyons que la simple dispar
tion pour établir le substratum anatomo-pathologique de la sclérose
latérale
amyotrophique. D'ailleurs je reviendrai sur cette
ntes passent, en partie, à travers ces noyaux. , Dans la sclérose
latérale
amyotrophique les lésions des cellules de Betz
motrice. Or, dans mes cas, et en général, dans les cas de sclérose
latérale
amyotrophique avec troubles bulbaires, les memb
tal (More)). De la branche antérieure se sépare le nerf perforant
latéral
qui, au 2e nerf intercostal, se jette tout enti
s anastomoses avec celles du 4e nerf intercostal. Le nerf perforant
latéral
du 3e intercostal, émergeant au niveau de la lign
bilité à la partie postéro- interne du bras (Morel), et à la région
latérale
de la cage thora- cique, partie supérieure de l
égion mammaire où convergent également ses homonymes (rami mammarii
latérales
) des 4e, 5" et 61 intercostaux (Van Gehuchten).
du thorax, parce que, chez le 2e intercostal, la branche perforante
latérale
n'a pas de filet antérieur vers la zone antéro-ex
ent respecté. Dans le 2e naevus, au contraire,la branche perforante
latérale
du 3" in- tercostal possède son rameau antérieu
r le naevus ; et son rameau postérieur innerve la peau de la partie
latérale
de l'ais- selle, et aussi de la partie postéro-
avec une grande tache oblongue à la par- tie supérieure de la zone
latérale
, s'étend sur la largeur moyenne d'une main. Il
e côtes, devient horizontal en s'élargissant légèrement sur la face
latérale
du thorax (fig. 5), puis redevient nettement de
(Obs. III) 406 ETIENNE pendant peu de temps horizontal à la face
latérale
, de nouveau franchement des- cendant en avant,
nt successivement à la disposition des rameaux cutanés postérieurs,
latéraux
et antérieurs du 8° nerf intercostal, devenant de
ant en arrière (branches postérieures), très descendant sur la face
latérale
(rameaux latéraux), et presque horizontal vers
anches postérieures), très descendant sur la face latérale (rameaux
latéraux
), et presque horizontal vers la zone médiane an
ées, rap- prochées les unes des autres. Fait curieux : sur la ligue
latérale
, et en haut, existe la même grande tache oblong
sez sensiblement avec le point d'émergence de la branche perforante
latérale
. 2" Un deuxième groupe, petit, constitué par un
4e. De ces cas rapprochons les deux naevi des branches récurrentes
latérales
des intercostaux que nous avons antérieurement
mince, et où l'empreinte des dents est plus marquée. Les mouvements
latéraux
s'accomplissent un peu mieux de gauche à droite
ernières vertèbres cervicales et la première dorsale ; la déviation
latérale
est convexité gauche. Le thorax est aplati dans s
lle forme une courbe à convexité antérieure et n'a pas de déviation
latérale
. Vers la cinquième dorsale la colonne qui s'éta
veau du corps,de l'apo- physe odontoïde (sauf à gauche), des masses
latérales
, de la partie postérieure de l'arc et des apoph
t d'une femme de 68 ans présentant à la main droite une incurvation
latérale
interne des deuxième et troisième doigts avec pro
nt exagéré de ses bosses antérieures ; à gauche il y a une exostose
latérale
externe qui soude les tôles des quatrième et ci
* impossibles (douleurs), la rotation est conservée, les mouvements
latéraux
sont accompagnés d'une douleur dans la tempe et
millimètre entourant la moelle du côté des cordons anté- rieurs et
latéraux
. Au niveau du VIIIe segment cervical, l'aspect de
niveau du 1111, segment cervical un foyer alvéolaire dans le cordon
latéral
gauche et dans les cordons postérieurs non loin
dégénérescence descendante fut assez faible dans la voie pyramidale
latérale
gauche, 'tandis que l'ascendante n'y était pas du
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 48-7\ pyramidaux
latéraux
de la moelle, lombo-sacrée, tandis qu'elle, n'éta
ers l'hémisphère droit, de façon à mettre^à découvert les ventricules
latéraux
montre toute la substance grise et blanche des
me nature existaient au niveau des plexus choroïdiens du ventricule
latéral
. Le corps calleux était normalement conformé dans
ance corticale delà face in- terne de l'hémisphère. Les ventricules
latéraux
sont dilatés dans leur tota- lité, mais un degr
ure horizontale située au- dessous du corps calleux ; 2° une partie
latérale
descendante qui s'inter- cale entre le corps ca
e dans l'hémisphère du côté correspondant et se cantonne au segment
latéral
descendant du faisceau sous-calleux. Ce fait vi
ombreuses fibres, ce faisceau longe l'angle ex- terne du ventricule
latéral
et se trouve situé au-dessus du noyau caudé, en
- vent les fibres calleuses autour de l'angle externe du ventricule
latéral
. Sur les coupes vertico-transversales, sa surfa
générale, les sillons aussi bien de la face médiane que de la face
latérale
de cet hémisphère, affectent une disposition ra
ux entourent presque com- plètement la corne frontale du ventricule
latéral
. Au niveau de la'partie moyenne de ce ventricul
eures et vont s'étaler au-dessus de la voûte et le long de la paroi
latérale
de la corne temporo-occipitale. Ces fibres, pou
ule externe, mais le plus grand nombre concourt à former le tapétum
latéral
. Dans le lobe temporal, le tapétum reçoit des f
e cérébral et sert à relier entre eux les différents lobes. La voie
latérale
ou externe, qui est une voie d'association plus
en arrière en longeant la partie interne de la voûte du ventricule
latéral
. Lorsqu'il atteint le carrefour ventriculaire, ce
s de la voûte du ventricule, mais constitue néanmoins et le tapétum
latéral
et le tapétum médian de la corne temporo-occipita
sont développées et se sont rassemblées au voisinage du ventricule
latéral
, mais pour une raison qui nous est incon- nue,
ie en dehors et au-dessous du ventricule pour constituer le tapétum
latéral
. Les fibres fournies par ces deux feuillets entou
gitudinal contourne les cornes frontale et occipitale du ventricule
latéral
et reçoit de nombreuses fibres des circon- volu
repose que sur l'examen des pièces macroscopiques. Les ventricules
latéraux
sont extrêmement dilatés et le revêtement épen-
se avec implication de la pie-mère et de l'épendyme des ventricules
latéraux
. Il considère, avec raison,, que ce sont ces lési
x, un espace assez considé- rable, au niveau duquel les ventricules
latéraux
se trouvent à communi- quer l'un avec l'autre.
ccumulations plus ou moins enkystées de ce liquide. Les ventricules
latéraux
et l'aqueduc de Sylvius sont très dilatés et le
; la dentition pré- sente quelques anomalies ; les dents incisives
latérales
manquent complè- tement ; les petites molaires
mblent avoir été comprimés les unes sur les autres par une pression
latérale
externe, de telle façon que le diamè- tre trans
La voûte palatine est, comme chez le père, restreinte dans le sens
latéral
, et la muqueuse qui la recouvre apparaît surabo
Rien d'anormal pour les méninges. La corne occipitale du ventricule
latéral
est entourée d'un tissu anormal d'aspect grisât
la plus importante est la sclérose périventriculaire du ventricule
latéral
. Toute la corne occipitale est englobée dans un
dymite de Brünner sur les parois épendymaires, soit des ventricules
latéraux
, soit de l'aqueduc de Sylvius. Ces faits peuvent
trage, Bd. XXI, 1897, p. 308. (»20 MERLE ET PASTINE ventricules
latéraux
et qu'on pratique des coupes dans les parois quel
l'hémisphère gauche vertico-frontalement en trois. Les ventricules
latéraux
se trouvant AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEUX 633 a
edans du noyau caudé et sert à indiquer l'emplacement du ventricule
latéral
si profondément atteint à ce niveau. Sur les plan
e grise hétérotopique, encore abondamment distribuée dans la région
latérale
de l'hémisphère. La capsule externe est tota- l
moitié antérieure de la couche optique (PI. LXXIV-D), le ventricule
latéral
est de nouveau presque complètement oblitéré et s
t à leur calibre, leur coloration et leur disposition. De la partie
latérale
du trigone se détache un fascicule légèrement a
projection bien colorées. Les faisceaux d'association de la région
latérale
de l'hémisphère, le faisceau arqué de Bur- dach
r de la couche optique et au corps genouillé externe, le ventricule
latéral
redevient perméable dans sa totalité, mais ne for
horoïdien. Ainsi se trouve fermée en dedans la cavité du ventricule
latéral
. Le trigone est séparé du faisceau sagittal sur l
te et la disposition de ses libres devient plus complexe. Sa partie
latérale
est occupée par plusieurs fas- cicules arqués q
t de la capsule externe remontent le long de la paroi ventriculaire
latérale
pour se rendre dans la partie la plus supérieure
able qu'au niveau de la partie antérieure de la paroi ventriculaire
latérale
et fait complètement défaut dans la partie posté-
non avec le tapétum, au niveau de la partie antérieure de la paroi
latérale
où ces deux formations se trouvent bien dévelop
dedans du noyau caudé et représente la corne frontale du ventricule
latéral
qui est il ce niveau presque complètement obli.
lit la communication entre le troisième ventricule et le ventricule
latéral
(PI. LXXVI) le champ de fibres complexe et irré
mmédiatement au-dessus de la couche optique (fig. 5), le ventricule
latéral
se trouve exposé sur toute sa longueur et pré-
res très accusées que l'on retrouve également au niveau de la paroi
latérale
de la corne temporo-occipitale où elles atteign
ceau de la région interne de l'hémisphère, et, s'unissant au tapétum
latéral
, forme avec ce dernier un système de fibres ind
entoure de toute part le segment dorsal ou supérieur du ventricule
latéral
. En arrière,là où il aborde la corne occipitale
irectement avec les fascicules simul- tanément infléchis du tapétum
latéral
. La voûte du ventricule présente de nombreuses
eux parties inlrahémisphériques qui n'en sont que les prolongements
latéraux
. Or, dans notre cas, ces segments latéraux se r
nt que les prolongements latéraux. Or, dans notre cas, ces segments
latéraux
se retrouvent comme à l'état normal aussi bien da
au pôle occipital en côtoyant l'angle supéro-interne du ventricule
latéral
. Au niveau du carrefour venlricu- AGÉNÉSIE DU C
notablement dégénéré sur toute la hauteur de la paroi ventriculaire
latérale
. Actuellement, nous poursuivons l'élude d'un cas
culaires sont pleinement capables d'empêcher la fusion des segments
latéraux
ou hémisphériques du corps calleux, elles ne su
nes d'origine des racines postérieures des nerfs spinaux. M, faisceau
latéral
de la moelle épinière. FIGURE 3e. Cette figur
de la moelle épinière. FIGURE 3e. Cette figure représente une vue
latérale
de la moelle épinière, de la moelle allongée et d
d'un nouveau-né. Son objet principal est . de faire voir sur la face
latérale
fie la moelle épinière un petit faisceau qu'on
a été relevé pour laisser voir, en h, l'endroit où le petit faisceau
latéral
de la moelle épinière entre dans le pédoncule cér
cule cérébelleux. E , protubérance annulaire. H hf h', petit faisceau
latéral
de la moelle épinière. V, éminence olivaire. W, p
pédon-cule cérébelleux. C, coupe du corps restiforme Y'. A, faisceau
latéral
saillant à la surface du plancher du ventricule c
qui vont de l'axe aux parties excentriques de la moelle. E, faisceau
latéral
. J J, renflement brachial. J'J' , renflement lomb
côté droit de la moelle épinière. B, faisceau antérieur. B' faisceau
latéral
de cette moelle. FIGURE 6e. Cette figure repr
che, en dehors de ce raphé, une gouttière que remplissait le faisceau
latéral
ou moyen. P, bord externe de la protubérance. U,
tingue une région infé-rieure et une région supérieure; et de parties
latérales
, les hémisphères cérébelleux, dans lesquels on di
région inférieure. Les parties médianes du cervelet comme ses parties
latérales
sont formées par des replis transverses ; et tous
e la pyramide antérieure. 2, canal dans lequel s'engage le faisceau
latéral
de la moelle allongée. 3, canal dans lequel s'e
riculaire. X, pyra-mide postérieure, Y, corps restiforme. I, faisceau
latéral
de la moelle épinière. FIGURE 3. Le cervelet
ont le but principal est de faire voir la disposition des ventricules
latéraux
du cerveau. FIGURE Ire Toute l'épaisseur de l
de deuxième ordre; de cette manière on est parvenu dans le ventricule
latéral
, qui s'est trouvé ouvert dans son plus grand déve
te de la scissure de Sylvius de manière à pénétrer dans le ventricule
latéral
sur la limite externe du corps strié, et l'on a e
, toute la convexité de l'hémisphère. De cette manière le ventri-cule
latéral
est largement ouvert en dehors. Sa cavité J J à L
ont été éliminés. On voit de dehors en dedans l'orifice du ventricule
latéral
. + -f- marquent la coupe de la coque superficiell
cette cloison un croissant très-noir indique la cavité du ventricule
latéral
. C C indiquent le relief du cotylédon ventri-cula
ublure fibreuse de l'insula, séparée de la saillie centrale des faces
latérales
du noyau ; en h h h L L, la section des couches f
fibreuses qui, de la circonférence de la saillie centrale de la face
latérale
du noyau, rayonne à la face interne de l'hémisphè
nsversale J de ce corps. K O Q K' R, parties excentriques des faces
latérales
du noyau, qui se continuent dans la partie transv
ure du corps calleux répondant au cul de-sac an-térieur du ventricule
latéral
. Cette tubérosité est en regard de la bosse fro
extrémité temporale du ven-tricule. N L, saillie centrale des faces
latérales
du noyau. R', faisceau fibreux qui se porte de
u noyau cérébral, et laisse voir en raccourci une partie de ses faces
latérales
. Y X f, parties postérieures du bulbe rachidien
rête antéro-postérieure à laquelle se rend ce plan incline. C, partie
latérale
réfléchie du corps calleux. A A A' A', moignons d
couches rayonnantes de l'hémisphère. L L, saillie centrale des faces
latérales
du noyau, b, tubérosité temporale de la circonvol
olution de l'ourlet. B", son crochet. 0, saillie centrale des faces
latérales
du noyau, -+- +, fibres passant de la surface de
' en G jusqu'au niveau de la glande pinéale. Vv correspond à la paroi
latérale
du ventricule cérébelleux. Y" y ¦+- + + H- mont
ette figure montre toute l'étendue des parties externes du ventricule
latéral
. La circonvolution de l'ourlet a été enlevée dans
orps calleux et de celles qui re-vêtent la saillie centrale des faces
latérales
du noyau. Les couches fibreuses qui succèdent a
hérente du ruban fibreux de l'ourlet. L, saillie centrale des faces
latérales
du noyau. J J, parties transversales du corps c
latère perforé. g g, couche fibreuse de la saillie centrale des faces
latérales
du noyau issue de la marge du quadrilatère perfor
e en R. De chaque côté, S S désignent la saillie centrale des faces
latérales
du noyau. 1 Sur le côté droit de la même figure
dehors. A , quadrilatère centrai. A D, rayon antérieur. A B, rayon
latéral
an-térieur. A E C , rayon latéral postérieur. A I
i. A D, rayon antérieur. A B, rayon latéral an-térieur. A E C , rayon
latéral
postérieur. A I I F, rayon postérieur ouvert dans
ntérieur. I, quadrilatère central. 1-5, rayon antérieur. 1-2, rayon
latéral
anté-rieur. 4-3 , rayon latéral postérieur. 1 -f
ral. 1-5, rayon antérieur. 1-2, rayon latéral anté-rieur. 4-3 , rayon
latéral
postérieur. 1 -f -|- 4 , rayon postérieur ouvert
tie opérée, et par conséquent celle du malade; la situation des aides
latéraux
se déduit aussi facilement; enfin, le dessin lui-
se les surfacesarticulaires et le feuillet pariétal par le revêtement
latéral
des enveloppes fibreuses. La disposition est anal
s et le sternum, par l'aponévrose cervico-thoracique. Sur les parties
latérales
et postérieures, il se confond avec la naissance
rands canaux aérien et alimentaire et leurs annexes, des deux régions
latérales
antérieures. Le groupe antérieur moyen , circon
n, sont au nombre de cinq de chaque côté, sus-hyoïdiennes, moyenne et
latérale
, cératoglosse, pté-rigo-myloïdienne et céphalo-ph
loppés par l'aponévrose pharyngienne postérieure. Chacune des parties
latérales
antérieures forme un nouveau groupe ren fermant l
la cavité de la poitrine en trois compartimens : deux poches séreuses
latérales
renfermant les poumons,etuu intervalle médian qui
portion métacarpienne renferme les gaines des deux groupes de muscles
latéraux
, formant les éminences thénar et hypothénar. Au m
ou deux vaisseaux qui accompagnent les vaisseaux du front médians et
latéraux
. 6° Nerfs. Ils sont fournis par la cinquième pair
Situation, configuration, délimitation. Située sur la partie moyenne
latérale
et inférieure du crâne, de forme irrégulièrement
Situation, configuration, délimitation. Située à la région moyenne,
latérale
et supérieure du crâne, dans l'étendue de l'os pa
le pariétal. RÉGION MASTOÏDIENNE. Située à la partie inférieure,
latérale
et postérieure du crâne, derrière et au-dessous d
anes et impaires, les régions nasale, labiale et mentonnière; et cinq
latérales
ou paires, les régions orbitaire, zygomato-maxill
sale est partagée au milieu par une cloison médiane en deux cavités
latérales
, dites fosses nasales; chacunes d'elles, ouverte
yses montantes des os maxillaires. Il est complété par les cartilages
latéraux
, ceux des ailes du nez, et le médian de la sous-c
et le vomer et complétée en avant par le cartilage médian. Les parois
latérales
sont constituées par les os maxillaires supérieur
ite de chaque côté par la cavité orbitaire, à la partie supérieure et
latérale
de la face, elle se compose de l'appareil de la v
Situation, configuration, délimitation. Située à la région moyenne et
latérale
de la face, formée par la saillie de l'os malaire
Situation, configuration, délimitation. Située à la partie moyenne et
latérale
de la face, de forme quadrilatère, elle est limit
ÉTÉRINE. Situation, configuration, délimitation. Située à la partie
latérale
, postérieure et inférieure de la face, de forme q
tuation, configuration, délimitation. Située sur la partie médiane et
latérale
de la tête, à l'union du crâne et de la face, ell
ponévroses, l'une médiane ou sus-hyoïdienne, très résistante, et deux
latérales
, très minces, les aponévroses mylo-hyoï-dienne et
la trachée. Le triangle sous-hyoïdien, avec ses deux grands sillons
latéraux
, est le siège de nombre d'opérations fort importa
ion, configuration, délimitation. Située de chaque côté sur la partie
latérale
du cou, elle n'est bien circonscrite qu'en bas pa
ament cervical sur le plan moyen, et la masse apophysaire sur le plan
latéral
. Ces muscles sont, d'arrière en avant : le trapèz
ns : deux médianes, les régions sternale et diaphragmatique; et trois
latérales
, les régions mammaire, dorsale et costale. RÉGI
MMAIRE1. Situation, configuration, délimitation. Située à la partie
latérale
et antérieure de la poitrine, inscrite de haut en
ination de région costale on a coutume de décrire cette vaste étendue
latérale
du thorax située de haut en bas entre les régions
igastrique, ombilicale et hypogastrique; et quatre qui sont paires ou
latérales
, les régions hypochondrale, ilio-costale et ingui
inférieure, dont chacune renferme trois régions, une médiane et deux
latérales
. i° Zone supérieure ou thoraco-épigastrique.
rtilagineux des côtes. A l'extérieur cette région forme deux saillies
latérales
, comprises entre trois sillons verticaux, un médi
latérales, comprises entre trois sillons verticaux, un médian et deux
latéraux
; elle est excavée chez les sujets qui ont le tho
le sillon lombaire médian. A l'extérieur, les deux régions lombaires
latérales
, concaves de haut en bas, forment en travers une
le saillie, entre le sillon médian de la ligne blanche et les sillons
latéraux
indiquant les bords externes des deux muscles.
, elle se transforme en une cloison antéro-postérieurc, sur les faces
latérales
de laquelle s'insèrent les muscles pyramidaux. In
inférieurcment, sur le plan moyen, par un raphé, eu deux prolongemcns
latéraux
remplis par les testicules, (h) Couche sous-cutan
r rectal, puis le relevcur de l'anus, qui forme le plancher du sillon
latéral
. En avant, de chaque côté, sont le transverse du
elle, est située au-dessous de la clavicule à la partie antérieure et
latérale
supérieure du thorax. Dirigée obliquement du haut
s cloisons d'isolement externe et interne, fixées au fond des sillons
latéraux
, et séparant, en profondeur, la niasse antérieure
erne pour se diriger clans la coulisse de l'épi trochlée. Le sillon
latéral
externe, en raison de l'éloignement des gros vais
ou basilique et l'externe ou céphaliquc qui montent dans les sillons
latéraux
. Dans son milieu, la médiane céphaliquc est crois
bien connaître au point de vue opératoire de la saignée. Les sillons
latéraux
sont surmontés et protégés par les masses d'inser
s et de l'épi-trochléc en dedans, servant d'implantation aux ligamens
latéraux
qui maintiennent les os en rapport. Quant aux p
s nerfs ne sont que des filets spéciaux émanés des deux grands troncs
latéraux
. RÉGIONS DU POIGNET. 3 Le poignet est formé p
les ligamens radio-carpiens antérieur et postérieur, et les ligamens
latéraux
externe et interne. La région radio-carpienne a
sur les côtés sont les insertions carpiennes des deux masses charnues
latérales
; 3° sur le ligament palmaire l'artère cubitale, e
e la face antérieure du carpe complétée en ellypse par les tubercules
latéraux
et le ligament palmaire, la masse des tendons des
ar les muscles inter-osseux et les crêtes des os métacarpiens. Masses
latérales
. En dehors l'éminence thénar est constituée par l
correspondant en profondeur aux deux grandes cloisons aponévrotiques
latérales
, et renferme seulement les trois muscles fléchiss
ar les deux gouttières verticales qui séparent la rotule des saillies
latérales
déterminées par les tubérosités du fémur et du ti
ehors est le tendon de l'aponévrose fascia-lata, adhérent au ligament
latéral
externe de la rotule et auxiliaire du ligament la
nt au ligament latéral externe de la rotule et auxiliaire du ligament
latéral
articulaire. En dedans se présente le ligament la
re du ligament latéral articulaire. En dedans se présente le ligament
latéral
interne rotulien et celui de l'articulation, fort
pression médiane, dite le creux du jarret, comprise entre deux masses
latérales
formées par lecartement des muscles fléchisseurs
éronier antérieur ; enfin, tout-à-fait en dehors , les deux péroniers
latéraux
, qui se détachent du groupe précédent à la partie
e la saillie médiane du tendon d'Achille, qui sépare deux dépressions
latérales
triangulaires dont la base est au calcanéum. L'in
ne et interne, comme les malléoles elles-mêmes, situées sur les faces
latérales
de l'articulation tibio-tarsienne, les régions ma
et propre des orteils en arrière ; en plan profond sont les liga-mens
latéraux
tibio-calcanien et astragalien. 4° Les vaisseaux
a saillie du péronier antérieur et en arrière par celle des péroniers
latéraux
, elle forme une longue surface sous-cutanée trian
elle-même, fixée au calcanéum et à l'astragale par ses trois ligamens
latéraux
. La malléole externe, ou du moins l'extrémité i
s du pied avec sa région dorsale, au-dessus de la saillie des muscles
latéraux
plantaires. Sa forme générale est celle du pied l
il en longueur, et en travers le tendon sous-tarsien du long pérouier
latéral
en arrière, et en avant le transverse des orteils
lées cors, oignons et durillons. A la face plantaire et sur les faces
latérales
, la peau, très mince, sensible, d'un tissu très v
abondante causée par le rapprochement habituel des orteils. Les faces
latérales
, par leur pression commune, sont fréquemment le s
e cette situation empêche les échappées de l'instrument clans le sens
latéral
. La première position est, de toutes, celle où
mment maintenu perpendiculaire à la surface de la peau, l'inclinaison
latérale
ayant nécessairement pour effet la section des té
lan. La moindre obliquité des doigts, en donnant lieu à l'inclinaison
latérale
des deux lames, est suivie de la distension des p
s se déroulent, en refoulant par la pression les deux masses charnues
latérales
l'une à la rencontre de l'autre : on les croise a
veineuse par la compression et la ligature. La compression directe ou
latérale
suffit pour les veines superficielles, comme on l
du chirurgien de Munich. Une opération étant terminée, la compression
latérale
est maintenue sur le trajet de l'artère principal
faces dorsales, les pouces faisant opposition au-dessus sur les faces
latérales
des dernières articulations des médius fléchis. U
e la dent, on enlève de haut en bas le tartre des faces antérieure et
latérale
droite ; puis, l'instrument tenu comme une plume
ur les dents voisines avec les deux derniers doigts, on racle la face
latérale
gauche. Le nettoyage de la face postérieure est p
vénient du tirtoir tel qu'on le fabrique est d'offrir une vacillation
latérale
de la tige du crochet qui nuit à sa fixité; c'est
tives, affectées d'œdème ou d'engor-gemens chroniques; 4° les parties
latérales
supérieures et postérieures du cou, dans les angi
inuité. Dans un second temps, on opère l'affrontement des deux plaies
latérales
, en rappelant de loin les tégumens vers les lèvre
u circonscrit dans son contour excentrique, amener les deux incisions
latérales
, périphériques, à égale distance du bord adjacent
és su i vans. Procédé de M. Lisfranc. Prolonger l'une des incisions
latérales
du pédicule trois ou quatre lignes plus loin que
le. De pareilles cicatrices ne sont pas rares sur le cou , les parois
latérales
du tronc et les faces opposées des membres qu'ell
de la jambe avec la cuisse à l'état de flexion forcée ; de la partie
latérale
du cou avec l'épaule, qui maintient la tête abais
divisé le bord antérieur du trapèze ; M. Duval, les tendons péroniers
latéraux
; et sir A. Cooper , le tendon du long fléchisseur
très loin, les vaisseaux tibiaux postérieurs forment des flexuosités
latérales
et antéro-postérieures qui en rendraient la lésio
ilière et la fontanelle antérieure : M. Malgaigne a préféré la partie
latérale
de la suture fronto-pariétale, comme le point le
appliquée à plat, on fait le vide par la pompe adaptée à la tubulure
latérale
, puis, lorsque les tégumens proéminent dans la ca
e assis ou couché la tête légèrement soulevée et appuyée, par la face
latérale
opposée, sur un oreiller garni d'une alèse, on s'
érieur , et en bas sur les attaches de ce muscle et du court péronier
latéral
, on ne la lie guère qu'à la partie moyenne cle la
angle inférieur clans l'écartement des jumeaux : i° par une incision
latérale
interne sous le bord du jumeau interne et du solé
ts de son trajet, suivant deux directions de l'incision, verticale ou
latérale
. L'incision verticale peut varier de longueur dan
ère, on les écarte indifféremment en dedans ou en dehors. Incisions
latérales
. Le but de cette méthode est d'aller chercher l'a
al du jumeau interne. On y parvient par deux incisions. i° Incision
latérale
interne. (Procédé de l'auteur : planche 38, fig
isse sur cet angle d'implantation où elle se confond avec le ligament
latéral
interne, soulever et dénuder avec le doigt indica
dehors et se conduire comme il a été dit précédemment. 3° Incision
latérale
interne à la cuisse. (Procédé de M. Jobert.) L'
i. Situation des carotides. Placées de chaque côté dans les sillons
latéraux
du cou, de longueur inégale d'un côté à l'autre,
us facile alors (pie de lier le tronc ou au besoin l'une des branches
latérales
. A ce procédé se rattache la modification de M. N
ésorbent lentement, la circulation étant conservée, soit clans un sac
latéral
par le canal artériel lui-même dont l'orifice se
de l'auteur était d'aplatir peu à peu le vaisseau par une compression
latérale
temporaire, au lieu de l'étrangler immédiatement
voyons en les procédés et les résultats. Ligature avec compression
latérale
par un corps mou. Ce moyen, qui constitue un proc
est au cou, dans les plis articulaires, sur les parois antérieures et
latérales
du tronc. Ils sont plus rares mais on en rencontr
ur restait à l'état de turgescence, l'ouvrir, par une petite incision
latérale
, pour en faire vider le sang par la plaie. Compri
rtie malade, en pratiquant une incision longitudinale sur les parties
latérales
du genou, afin de faire sortir la tête de l'os et
ns les articulations g in gly moi claies on pratiquera deux incisions
latérales
, l'une interne, l'autre externe, pour éviter les
es inter-osseux ; puis ouvrir l'articulation en incisant les ligamens
latéraux
et antérieur avec précaution, pour ne pas intéres
métacarpienne, qui est plus lâche que l'autre ; inciser les ligamens
latéraux
et glénoïdien, en ménageant les tendons fléchisse
parties molles : attaquer d'abord le cubitus en divisant son ligament
latéral
interne, et renverser autant que possible la main
u cubitus. La main fortement renversée en dedans, diviser le ligament
latéral
externe cle l'articulation clu poignet et dégager
e la surface du radius et du cubitus, du milieu de chacune des plaies
latérales
vers la ligne moyenne du membre, de manière à fai
manche du bistouri la communication est établie entre les deux plaies
latérales
; et en glissant avec une pince une compresse long
relevé par un aide. Détacher ensuite avec précaution, sur les parties
latérales
et sur la face antérieure de l'humérus, les parti
en opérera l'extraction de la manière suivante. Prolonger l'incision
latérale
externe le long du radius aussi loin que le mal l
este plus qu'à extraire l'articulation en masse au travers des plaies
latérales
dont les bords sont écartés par des aides afin de
alon de l'instrument en dedans et en dehors pour diviser les ligamens
latéraux
. Lorsque l'articulation a été ouverte, le reste d
Procédé de Manne. C'est le procédé de Moreau renversé. Deux incisions
latérales
, parallèles aux fibres du deltoïde, réunies par l
vantages de tous les autres. Sous ce rapport le lambeau postérieur et
latéral
, exécuté d'après le procédé de M. Lisfranc, lui p
r et luxer la tête de l'os, et en même temps l'isoler sur les parties
latérales
avec le bistouri. Il ne reste plus alors qu'à pro
cédé de Moreau ; le lambeau disséqué, on ouvre la gaîne des péroniers
latéraux
, que l'on repousse en arrière, et le bistouri ra
Moreau à leur appliquer le même procédé de résection. Sur les parties
latérales
du genou tracer deux incisions longitudinales par
e la maladie, on prolongera d'abord inféricurement les deux incisions
latérales
; puis on en pratiquera une nouvelle partant du mi
ec un appareil de Scultet, et le tout sera maintenu par deux attelles
latérales
modérément serrées. Procédé de MM. Bégin el L.
articulation et s'étende inclusivement de l'un à l'autre des ligamens
latéraux
. Les surfaces articulaires du tibia et du fémur é
chaque extrémité de cette première plaie, faire partir les incisions
latérales
pour, ultérieurement, procéder à la dénudation et
une incision courbe à convexité supérieure qui s'étende d'un ligament
latéral
à l'autre et pénètre du premier coup dans l'artic
it être extirpé. Alors avec la pointe du couteau diviser les ligamens
latéraux
et profonds; puis, à l'aide d'incisions latérales
diviser les ligamens latéraux et profonds; puis, à l'aide d'incisions
latérales
, achever l'opération comme dans les autres procé
cisions verticales equidistantes. Il en résulte trois lambeaux : deux
latéraux
, qui sont rejetés de côté; et un contenant la rot
, il convient alors de cerner l'altération au moyen de deux incisions
latérales
et convergentes qui viennent se réunir vers l'os
s sur la ligne médiane, et déplace ainsi la cicatrice sur les parties
latérales
. 2° Résection avec désarticulation dune moitié
re sur la partie moyenne. On obtiendrait de cette façon deux lambeaux
latéraux
au lieu d'un seul lambeau supérieur. 5° Ablatio
émité cle l'os comme centre et dont les bords, simulant deux lambeaux
latéraux
, donnent lieu, par leur rapprochement, à une réun
un lambeau dorsal; si la lésion le réclamait on formerait un lambeau
latéral
ou deux lambeaux de même longueur, un dorsal et u
elative et dans les lignes articulaires qu'ils forment par leur union
latérale
. Nous devons encore noter l'isolement du premier
dissection, soit par ponction. Si c'est par dissection, les incisions
latérales
qui unissent les angles du lambeau à l'incision t
e à son axe. Cinquième métacarpien. On peut former un petit lambeau
latéral
, par ponction ou par dissection, avant ou après a
r sa face dorsale à l'angle supérieur de la plaie, contourner la face
latérale
clu métacarpien, le faire sortir par l'angle de l
hez cinq malades opérés par M. Velpeau. Si l'on ne rase pas les faces
latérales
du métacarpien, on coupe les collatérales à leur
ait désarticuler, on n'aurait plus alors qu'à prolonger les incisions
latérales
et énucléer la capsule. Procédé de Louis et de
On pourrait également user de l'incision circulaire, que deux autres
latérales
convertiraient en lambeaux, plantaire et dorsal,
face dorsale (pl. 81, fig. 3 ). MM. Sanson et Blandin font l'ovale
latéral
à l'aide de deux incisions dont l'une porte sur l
ntaire. Amputation du cinquième métatarsien. La méthode à lambeau
latéral
et 1 ovalaire conviennent, parfaitement pour cett
des tégumens qui recouvrent à-la-fois la surface osseuse et la plaie
latérale
. Il semble, au premier abord, que le procédé à la
ntimètres. —Second temps. Tailler deux lambeaux charnus sur les faces
latérales
du tibia et du péroné; les lambeaux relevés, cont
ce but que de proposer des lambeaux cutanés seulement ou des lambeaux
latéraux
, qui, d'une part, ne fournissent pas de chairs su
ur; et d'abord on n'obtient pas ce résultat par le procédé à lambeaux
latéraux
, car l'os saillit presque inévitablement à trave
es sont; en arrière, le tendon extenseur; sur les côtés, des ligamens
latéraux
très résistant; et en avant, dans des rapports di
l'articulation, diviser net par un mouvement de bascule les ligamens
latéraux
, et, en ressortant de l'articulation, couper les
au niveau de l'articulation, puis abattre la phalange. — (b) Lambeaux
latéraux
. Procédé de Ledran. Décrit nouvellement par M. Ma
semi-lunaire dorsal, entrer dans l'articulation, couper les ligamens
latéraux
, et ressortir en taillant un lambeau palmaire plu
leur gaîne, entrer en plein dans l'articulation, diviser les ligamens
latéraux
et terminer en taillant un lambeau cutané dorsal
uis, avant d'entrer dans l'articulation , diviser d'abord le ligament
latéral
à la gauche du chirurgien et abaisser l'instrumen
la capsule antérieure, entre dans l'articulation, coupe les ligamens
latéraux
; une nouvelle section divise les tégumens de la f
i qu'on pourrait au besoin pratiquer l'opération avec un seul lambeau
latéral
.Dans les cas ordinaires, où le choix est libre, l
par la section demi-circulaire de la capsule fibreuse et des ligamens
latéraux
. L'opération terminée, la plaie est moins bien re
ure interdigitale, quel'on interrompt de chaque côté par une incision
latérale
longitudinale,de manière à former deux lambeaux d
isolé des doigts voisins fortement fléchis, pratiquer deux incisions
latérales
réunies sur la face dorsale par une autre incisio
sale, relever le lambeau, inciser le tendon extenseur et les ligamens
latéraux
, ouvrir et contourner l'articulation et terminer
laie, ouvrir l'articulation par sa face dorsale, inciser les ligamens
latéraux
et ressortir parle bord palmaire. Ona conseillé,
. Luxer les têtes des phalanges, et terminer en divisant les ligamens
latéraux
et le ligament glénoïdien antérieur. Pour que l'o
eau sur les quatre articulations pour diviser les ligamens dorsaux et
latéraux
. Enfin, les articulations étant ouvertes, glisser
ntérieur au-dessous de l'apophyse de l'os crochu. Dès que le ligament
latéral
interne a été coupé, rien de plus facile que d'en
che, de manière à arriver, dans l'un ou l'autre cas, à la terminaison
latérale
du pli de flexion digito-palmaire. Étendre le doi
es points de départ: en dedans, au cinquième métacarpien, le ligament
latéral
interne débordé par le tendon du cubital postérie
ction des sinuosités du deuxième métacarpien. Les ligamens dorsaux et
latéraux
étant divisés, les articulations elles-mêmes enco
ligamens plats ou membraneux, est surtout fixée par les I iranien s
latéraux
, outre les gaines fibreuses des tendons. Méthod
'un seul temps les tendons extenseurs et fléchisseurs et les ligamens
latéraux
: l'articulation n'étant plus maintenue que par s
désemparer, par un mouvement de bascule de l'instrument, les ligamens
latéraux
, et du côté interne le tendon du cubital postérie
avant-bras. Modifications diverses. M. Rust pratique deux incisions
latérales
qu'il réunit par deux autres transversales, ce qu
gan eus membraneux antérieur et postérieur et des deux forts ligamens
latéraux
. Méthode circulaire. — Procédé de M. Velpeau. i
n et, par un mouvement de bascule, diviser les ligamens antérieurs et
latéraux
; puis, par un mouvement de traction de l'avant-b
re, et diviser, par un second coup, le tendon du triceps, le ligament
latéral
interne, puis l'externe, et entrer de suite dans
hant sur l'articulation; couper rapidement les ligamens antérieurs et
latéraux
, tailler horizontalement les chairs en arrière, f
é en dedans, reconnaît, avec le pouce et le médius, les deux saillies
latérales
de l'humérus, et, saisissant le plus de chairs qu
méro-radiale, tirer le cubitus en bas, achever de diviser le ligament
latéral
interne, s'il ne l'a pas été complètement, et, av
in, seulement les têtes sont davantage recouvertes par les tubercules
latéraux
phalangiens. Une autre considération est celle de
ulation en coupant les tendons extenseurs, la capsule et les ligamens
latéraux
, luxer la phalange et ressortir en coupant les te
rticulations; puis, par des sections partielles, diviser les ligamens
latéraux
. 4° Luxer d'un seul couples têtes osseuses, gliss
ir en contournant le tubercule et coupant le tendon du court péronicr
latéral
. Ce procédé n'est peut-être pas aussi rapide que
oute, de faire, à partir de l'angle de départ, deux petites incisions
latérales
inclinées suivant la direction des lignes articul
onvenable. 20 Le lambeau plantaire détaché, réunir les deux incisions
latérales
par une autre semi-lunaire dorsale au niveau de l
lantaire, ce qui revient au même qu'une incision circulaire avec deux
latérales
pour former des lambeaux, puis disséquer et relev
me métatarsien et l'apophyse de glissement du tendon du long péronier
latéral
sur le cuboïde, pour le côté externe, et contre l
n avant ou en arrière de l'articulation, qu'il réunit par deux autres
latérales
de même forme, à trois centimètres environ au-des
e du couteau les ligamens croisés et terminer la section des ligamens
latéraux
si elle est restée imparfaite; puis, offrant le c
la niasse des tégumens, diviser le tendon rotulien, puis les ligamens
latéraux
; écarter les surfaces osseuses en fléchissant un
i. Celui-ci, moins favorable encore, consiste à tailler deux lambeaux
latéraux
. Dans ce cas, ces lambeaux pourraient être d'auta
eau du plan articulaire, le tendon rotulien, la capsule, les ligamens
latéraux
, et en arrière les faisceaux des muscles jumeaux
la face antérieure. Quant aux procédés à deux lambeaux antérieurs ou
latéraux
, ils doivent être réservés pour les cas exception
ision circulaire de la peau avec section des muscles en deux lambeaux
latéraux
. Placé en dedans de la cuisse, le chirurgien comm
, leur ligne intermédiaire : c'est-à-dire verticale pour les lambeaux
latéraux
, et transversale pour les lambeaux antérieur et p
and on peut choisir, pour deux lambeaux de même longueur les lambeaux
latéraux
(Lisfranc) sont préférables aux lambeaux antéro-p
Figure i. Plan antérieur.—Figure 2. Plan postérieur. — Figure 3. Plan
latéral
. Les signes sont les mêmes pour les trois figures
et de l'extenseur propre du gros orteil. 3. 4. Loge des péroniers
latéraux
. Le long et le court. 5. Loge du jumeau interne
celui du long fléchisseur du gros orteil. 7. Tendon du long péronier
latéral
dans sa gaîne. 8. Gaîne du long adducteur et du
Gaîne de l'adducteur du petit orteil. 11. Tendon du court péronier
latéral
. 12. Aponévrose plantaire. a. Vaisseaux pédie
ttière que présente celle du panneton, pour éviter les vacillations
latérales
. Tirtoir de Laforgue. Son usage est peu commode.
descendre la portion inférieure de l'appareil, maintenue par deux vis
latérales
(2), de manière à éloigner ou rapprocher le plan
t en demi-cercle, par le jeu d'une détente, en pressant sur le bouton
latéral
(4). FIGURE 7. Scarificateur à main de M. Pasqu
t donnant lieu à un jet de sang par chaque piqûre, (c) est un robinet
latéral
, auquel s'adapte la pompe aspirante et foulante q
ssement du disque que l'on relève ensuite. Enfin (b) est une tubulure
latérale
, fermée par un bouton (i). Cet orifice est destin
circulation dans une partie, par la dilatation des moindres branches
latérales
, dans le cas d'oblitération du tronc principal.
4. Pince de M.Castaldini. —Elle est maintenue fermée par un curseur
latéral
glissant dans deux coulisses divergentes. 5. Pi
dicateur. A l'autre extrémité , cette tige , divisée en deux branches
latérales
, se termine par deux petits croissans dans lesque
e côté les fils, font glisser la tige mobile, dont les deux croissans
latéraux
serrent les bouts du fil à ligature. .13. Pince
tige centrale mobile, qui fait rentrer ou sortir à volonté deux tiges
latérales
articulées à leurs extrémités. Quant à son action
n saisit l'artère; et, par le mouvement de la tige, les articulations
latérales
, en sortant de leurs coulisses, forment deux plan
le appliquée sur la lame (a) de la figure 16 et maintenu par deux vis
latérales
; (c, figure 16), est la manivelle commune; (f) u
os étant préalablement isolés des chairs, au moyen de deux incisions
latérales
longitudinales. Dans cette manière d'opérer, le
jambière (b), le bistouri a divisé longitudinalement le long péronier
latéral
(c), puis le court péronier (d). Les muscles étan
les parties qui composent la plaie : (c) . Tendon du court péronier
latéral
. (d) . Portion sous-tarsienne du tendon long pé
n haut, le biseau du tranchant ; en bas, le dos de la lame et l'arête
latérale
du dos, usée pour rejoindre la pointe. Figure 1
lle montre la rangée de denticules du sommet entre celles des courbes
latérales
. Figure 14. Coupe des biseaux , par exception,
le doigt malade. L'opération est représentée lorsque , les lambeaux
latéraux
étant taillés , le bistouri pénètre en plein dans
IEME METACARPIEN. L'os étant préalablement isolé par deux incisions
latérales
en V, l'opération est représentée au moment où l'
ticale. De b en c et en d, figures 1 et 2. Étendue des deux incisions
latérales
. e. Main d'un aide qui comprime de dehors en de
section des chairs en continuant à la terminaison des deux incisions
latérales
. Figure 2. Réunion de l'opération précédente, f
obliques , antérieure et postérieure. Sur cette figure, les incisions
latérales
ont été précédées par une petite incision médiane
c) et l'indicateur(d) appliqués, chacun de son côté, sur les saillies
latérales
du cuboïde en dehors et du scaphoïde en dedans, q
rémité du moignon vue par sa face antérieure ( fig. 3) et par sa face
latérale
(fig. 4) avec le coussin, l'allonge en liège et l
l'autre, le tendon rotulien, les enveloppes fibreuses et les ligamens
latéraux
, et pénètre en plein dans l'articulation. a. Ma
co-transversales, on s'aperçoit que la corne occipitale du ventricule
latéral
n'existe plus; c'est-à-dire que ses parois extern
he corticale de la corne d'Ammon, 82. LML. Lame médullaire externe ou
latérale
du thalamus, 70. M. Gouttière de Monro, 75. MLE
oris, saillie des libres moyennes du corps calleux dans le ventricule
latéral
(faisceau moyen du for-ceps), 1-42. C. Circonvo
su. Diverticulum sub subiculo, fissure inféro-interne du ventricule
latéral
, sillon du subiculuru, 145. F. Circonvolution fro
Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 159. Dsu. Sillon
latéral
du subiculum, 158. F1. Première circonvolution
Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 170. Dsu. Sillon
latéral
du subiculum, 165. F1. Première circonvolution
du centre ovale, 192. Dsu. Diverliculum inféro-interne du ventricule
latéral
, 187. F. Circonvolution frontale ascendante. F1
entre ovale, 198, 204. Dsu. Diverliculum inféro-interne du ventricule
latéral
, 204. F. Circonvolution frontale ascendante.
a branche des-cendante du trijumeau. VF. Corne frontale du ventricule
latéral
. VS. Corne sphénoïdale du ventricule latéral, 195
e frontale du ventricule latéral. VS. Corne sphénoïdale du ventricule
latéral
, 195. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL.20 Héliog.
edialù, 218. Lmd. Lamina lateralis. LML. Lame médullaire externe ou
latérale
du thalamus, 222. NC. Noyau caudé, 207. NCC.
abénule. L. Scissure limbique. Laq. Laqueus, portion verticale ou
latérale
du ruban de Reil, 228. Lem. Lemniscus, feuillet
eil. Lmd. Lamina lateralis de Reil, ou fibres directes de la couche
latérale
de Reil, 224, 251. NC. Noyau caudé, 224. NCC. Que
d. Lmd. Lamina lateralis, 245, 251. LML. Lame médullaire externe ou
latérale
du thalamus, 255, 254, 255. LN. Locus niger. LT
52. TRO. Tractus opticus zonalis. VS. Corne sphénoïdale du ventricule
latéral
, 252. ZGE. Stratum zonale du corps genouillé exte
2, 268. Lmd. Lamina lateralis, 268. LML. Lame médullaire externe ou
latérale
du thalamus, 271. LN. Locus niger, 261, 268. LTE.
md. Lamina lateralis de lleil, 280. LML. Lame médullaire externe ou
latérale
du thalamus, 275, 278, 285. LN. Locus niger, 27
médullaire interne du thalamus, 292. LML. Lame médullaire externe ou
latérale
du thalamus, 292, 505, 506. LTE. Lamina tegment
médullaire interne du thalamus, 508. LML. Lame médullaire externe ou
latérale
du thalamus, 515, 517, 526. LTE. Lamina tegment
au caudé, 508, 521. NiC. Noyau interne du thalamus, 508. NL. Fibres
latérales
du noyau rouge de la calotte, faisceau rubro- t
nliformis, 555, 545. Dsu. Diverliculum inféro-interne du ventricule
latéral
, 528, 555. EPP. Espace perforé postérieur, 527,
ame médullaire interne du thalamus. LML. Lame médullaire externe ou
latérale
du thalamus, 552, 559, 540, 343. LTE. Lamina te
ou pilier antérieur de la voûte. DL. Discus lenliformis. Dsu. Sillon
latéral
du subiculum. F1. Première circonvolution frontal
LCf. Fibres lenticulo-caudées, 575. LML. Lame médullaire externe ou
latérale
du thalamus, 557, 567. MF. Faisceau médullaire
poro- pariétal profond (Broca). VS. Corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. ZS. Stratum zonale, 557, 568. E. BRISSAUD _ LE
587. LFS. Capsula extrerna, 587. LML. Lame médullaire externe ou
latérale
du thalamus, 588. MLE. Cloison verticale extern
TRO. Tractus opticus zonalis, 429. VF. Corne frontale du ventricule
latéral
. VO. Corne occipitale du ventricule latéral.
frontale du ventricule latéral. VO. Corne occipitale du ventricule
latéral
. ZGi. Stratum zonale du corps genouillé interne
Lmd. Lamina lateralis de Reil, 459. LML. Lame médullaire externe ou
latérale
du thalamus, 459. LTE. Lamina legmenti, 459. M. G
Racine inférieure du thalamus, 459. VF. Corne frontale du ventricule
latéral
. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL.35 Héliog. Lemer
Racine inférieure du thalamus, 443. VF. Corne frontale du ventricule
latéral
, 441. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 36 Hélio
médullaire interne du thalamus, 445. LML. Lame médullaire externe ou
latérale
du thalamus. NaC. Noyau antérieur du thalamus, 44
Pilier postérieur du trigone, 446. VF. Corne frontale du ventricule
latéral
, 446. ZS. Stratum zonale, 445. E. BRISSAUD _
édullaire interne du thalamus, 452. LML. Lame médullaire externe ou
latérale
du thalamus, 455, 455, 456. LTE. Lamina tegment
Circonvolution temporale transverse. VF. Corne frontale du ventricule
latéral
, 454. VO. Corne occipitale du ventricule latéral,
ontale du ventricule latéral, 454. VO. Corne occipitale du ventricule
latéral
, 454. ZS. Stratum zonale. E. BRISSAUD _ LE CERV
eure, 463. CE. Capsule externe, 465. CL. Claustrum. Dsu. Sillon
latéral
du subiculum. Fd. Fascia dentata. FI. Fimbria.
65. Une. Crochet, uncus, 462. VS. Corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL.41 Héliog. Lemer
Meynert. CO. Centre ovale. DL. Discus lentiformis. Dsu. Sillon
latéral
du subiculum. FCF. Faisceau compact dufornix.
-thalamique. Cin. Cingulum. DL. Discus lentiformis. Dsu. Sillon
latéral
du subiculum. EPA. Espace perforé antérieur.
on, substance réticulaire d'Arnold. LML. Lame médullaire externe ou
latérale
du thalamus. LMV. Lame médullaire ou substance
s souvent atrophiées et parfois totalement dégénérées. Dans'sa partie
latérale
et dans le bile la plupart des fibres sont dégé
olivaire des fibres du corps restiforme, qui en constitue la partie
latérale
, d'après cette observation (voyez PI. I, B). Si
ineuse de Rolando. cop, reste de la corne postérieure. cl, cordon
latéral
de la moelle épinière. Coa, reste de la corne a
. l'y, pyramide. xPy, entrecroisement des pyramides. col, corne
latérale
. Vds, racine descendante du trijumeau. .1'Rm,
ceau cérébelleux direct. i\amb, noyau ambigu. NU, noyau du cordon
latéral
. FG, faisceau de Gouers. Fee, faisceau centra
faisceau central de la calotte atro- phié. Nlld, noyau du cordon
latéral
dégénéré. (ebo. faisceaux cérébello-olivaires.
ux cérébello-vestibulaires (Tho mas). 'Fuel, tubercule acoustique
latéral
. Floc, llocculus. cR, corps restiforme. NIX
t ses fibres sont plus minces. L'amincissement siège dans la partie
latérale
du ruban mé- dian de la calotte. Cette différen
direct de droite, et de celles qui le réunissent au noyau du cordon
latéral
, tandis que le contingent des fibres olivaires
atro- phié par la compression de l'anévrysme. Le noyau du cordon
latéral
gauche n'atteint guère que la moitié de celui du
thétiques et de leurs racines (PI. II, D, et PI. III, E). La partie
latérale
du faisceau longitudinal postérieur gauche est at
otte présente uue'réductiou notable de ses fibres, dans ses parties
latérales
(PI. III, E et F). La substance médullaire qui
ce de l'amygdale gauche (voir les figures). Par contre, les parties
latérale
et ventrale de l'hémisphère -cérébelleux gauche
ullaire dorsale du noyau rouge et surtout sa substance mé- dullaire
latérale
, les radiations de la calotte, sont considérablem
ire est normale et égale des deux côtés. Il en est de même du noyau
latéral
et du tubercule antérieur de la couche optique. *
elet presque en entier, de sorte qu'il n'en restait que les parties
latérales
et le lobe quadrangulaire. Tous les pédoncules
lèche moyenne serait ainsi pla- cée dans les cellules de la portion
latérale
de sa voie sensorielle du cer- velet. Il modifi
e qui se rendent au noyau ventral (faisceaux médullaires frontal et
latéral
du noyau rouge, etc.). Par contre Edinger affir
coccyx ; douleurs dans les régions lombo-costales, sur les parties
latérales
de base du thorax; crampes dans les membres infér
escendent des aisselles jusqu'à la crête iliaque le long des parois
latérales
du thorax. Ces deux bandes sont reliées par une b
e, l'inférieur par le dos d'âne de la deuxième pliure sternale, les
latéraux
par la ligne des « tuyautages » costaux. Des mo
partie inférieure du thorax avec sa gibbosité médiane et ses ailes
latérales
renflées logeait le foie, la rate et l'estomac.
t symétriquement dans les régions sous-maxillaires. Sur les parties
latérales
de la face apparaissent des déformations simi-
que, suspubienne, enfin, dans la région dorso-lombaire, les parties
latérales
de la colonne vertébrale. Aux bras, l'hypertrop
able de la colonne vertébrale, consistant en une double in- flexion
latérale
avec double dépression latérale du thorax et proj
onsistant en une double in- flexion latérale avec double dépression
latérale
du thorax et projection du sternum en avant. C'
t d'une voussure située à la partie postéro-inférieure de la région
latérale
droite du thorax..Les doigts, promenés de haut en
qui explique l'inclinaison de la colonne dorsale. Sur les parties
latérales
, il n'y aucune modification notable ; les apophys
vertébrale. Exagération des courbures nor- males. Première courbure
latérale
à concavité droite au niveau de l'angle sacro-
nte inférieure de la deuxième lombaire : destruction des deux tiers
latéraux
gauches de cette deuxième lombaire. Apophyses a
outtière du corps verté- bral est fortement accusée sur les parties
latérales
, en avant elle offre de nom- breuses travées os
nce à changer de direction et à se porter vers la gauche. La partie
latérale
droite de la première lombaire est parfaitement s
férieure devenir plus oblique et pré- senter une légère inclinaison
latérale
, en raison d'une usure de l'extrémité droite de
rière : thorax oblique ovalaire. Trois courbures vertébrales : deux
latérales
, scoliose lombaire à concavité tournée vers la dr
égulier, ayant envahi seulement la partie antérieure et les parties
latérales
do l'articulation.Le réseau veineux superficiel
u niveau de la colonne vertébrale. Celle-ci présente deux courbures
latérales
: l'une, la plus apparente, commence vers la di
Observation 11. - Ostéo-arthropathie du genou droit vu par la face
latérale
externe. Observation IL - Les deux genoux vus p
ypertrophie de tout le membre supérieur droit et aussi de la région
latérale
et postérieure du thorax du même côté (PI. XXV)
sie vasculaire du membre supérieur droit et de la région thoracique
latérale
. Cette ectasie se traduit par un grand nombre de
ées sur le membre su- périeur droit et dans la région supérieure et
latérale
du thorax. C'est un l'ait bien connu que les an
e, lorsque la jambe normale l'est devenue - son tour, l'inclinaison
latérale
du tronc du côté de.la jambe portante ne semble
vant, il la- quelle s'ajoute progressive peu après, une inclinaison
latérale
. Lorsque l'obstacle a été vaincu et que la mala
re lorsque la jambe normale l'est devenue à son tour, l'inclinaison
latérale
du tronc du côté de la jambe portante ne semble
tel volume, que le menton venait buter contre les énormes saillies
latérales
et que la tète se trouve presque immobilisée (1
ous relevons : Cas d'hémiplégie traumatique avec hémia- il nopsie
latérale
homonyme classique. ! 220 RENÉ MARTIAL Parmi
lle a gagné la région sus-hyoïdienne et enfin elle a envahi la face
latérale
gauche du cou. Il y a un an et demi apparition
plus volumineux en avant qu'en arrière et dé- primé sur les parties
latérales
. Au niveau des régions parotidiennes elle débor
rs les premiers jours du mois d'avril 1899, il sentit sur la partie
latérale
gauche du cou, un peu au-dessous de l'oreille,
'ADÉNO-LIP0111ATOSE symétrique 249 lume du poing. Ces deux saillies
latérales
ne dépassent pas le bord supé- rieur de la clav
d'autres douleurs viscérales. Céphalalgies fréquentes. Le décubitus
latéral
gauche est douloureux. La sensibilité dans ses
plus en plus grande de la station et de la marche, avec inclinaison
latérale
. Phénomène du genou manifeste. Ataxie des deux
mbaire, rotation légère à gauche de la colonne lombaire. Sco- liose
latérale
droite dorsale. Cinquième lombaire prolabée, en
rotation légère vers la gauche. La colonne dorsale est en scoliose
latérale
droite depuis la dixième vertèbre dorsale. Le
plis cutanés symétriques, de profondeur variable. Dans le décubitus
latéral
, en cherchant à produire des mouvements passifs
naux. Colonne cervicale et dorsale supérieure rectiligne. Scoliose
latérale
gauche dorso- lombaire. Lordose dorsale inférie
u latéralement (fig. 3 et 4), on reconnaît en totalité la déviation
latérale
gauche du thorax : on voit les plis cutanés déjà
raît être porté en totalité d'arrière en avant. Dans le décubitus
latéral
on peut déplacer facilement le thorax tout entier
énzithorax droit sur la crête iliaque correspondante. Inclinaison
latérale
du bassin. Notre huitième observation n'est aut
es côtes et devient plus manifeste à ce niveau. La paroi abdominale
latérale
gauche est tendue au niveau de l'échancrure cos
postéro-inférieure. Enfin le bassin possède une énorme inclinaison
latérale
, la crête iliaque droite est remontée la hauteu
vés et même étendus, dans le sens de la flexion et de l'inclination
latérale
. L'extension seule, mais non l'extension forcée
roché de la crête iliaque et plus à droite qu'à gauche. Inclinaison
latérale
du bassin. Ligne apophysaire peu saillante. Pas
nne tous abolis, sauf légère extension lombaire, avec in- clinaison
latérale
possible dans une petite étendue. Pas de douleu
ente pour offrir à la simple inspection une très légère incurvation
latérale
; il existe en effet une scoliose à concavité d
t nullement à corriger sa bosse. Enfin les mouvements d'inclinaison
latérale
, de torsion des vertèbres sont impossibles : le t
s sont impossibles : le tronc se meut incomplè- tement dans le sens
latéral
sur le bassin ; celui-ci est même entraîné quand
ne de dégénérescence il la limite du cordon antérieur et du 'cordon
latéral
, et à la périphérie de la moelle ; celte dégénére
u noyau de Monakow et peut- être quelques fibres du noyau du cordon
latéral
du bulbe : elles occupent le cen- tre du corps
ézoïde, olives supérieures et noyaux juxta-olivaires, ruban de Reil
latéral
et son noyau - sont intacts. Les stries acousti
s postérieurs et du noyau de Monakow, les fibres du noyau du cordon
latéral
entrent toutes en rapport avec le vermis,quelqu
s rétro-olivaires etdu petit faisceau dégénéré danslecordon antéro-
latéral
de la moelle cervicale supérieure ; par sa topogr
lade deviennent plus grandes; il festonne davantage, les déviations
latérales
du tronc sont plus larges ; la coordination des m
e, la moelle ne présente aucune autre lésion manifeste, les cordons
latéraux
sont seulement un peu plus pâles à la périphérie,
si on observe des secousses choréiformes des bras, des oscillations
latérales
des doigts, des contrac- tions exagérées des mu
que la moelle est comme affaissée entre les cordons anté- rieurs et
latéraux
et les cornes antérieures, particulièrement dans
ions visuelles. On trouve d'ailleurs un grand nombre d'hémianopsies
latérales
homonymes à la suite de lésions du bord occipit
Fie. XVIf. Le trauma a transmis ses vibrations jusqu'au ventricule
latéral
, il a été à 7 centimètres au-dessus et un peu e
ux, dans la capsule interne et la portion postérieure du ventricule
latéral
(fig. XVII, coupe frontale), si l'on fait par l
a dure-mère de l'hémisphère opposé au traumatisme et paralysie col-
latérale
, ou bien il y a une hémorrhagie sous-corticale, d
érébrale, du même côté que du traumatisme, et une paralysie contra-
latérale
. Mais il ajoute que la première hypothèse est peu
quelle les parcelles du cerveau étaient propulsées vers les parties
latérales
, tandis que la paroi d'entrée demeurait intacte
u, tra- verse une partie du noyau cause, pénètre dans le ventricule
latéral
droit et s'arrête à la paroi postérieure de cel
; P, pédoncule ; NC, noyau caudé, portion postérieure du ventricule
latéral
; C, région calcarimene. 1o'1G. Y. - Face extern
cule; CC, corps calleux; 1'L, extrémité postérieure du ventricule o
latéral
. \Ivssoa t : r C"1, Editeurs. NOUV. ICONOGRAP
e optique; TM, tuber- cule mamillaire; P, pédoncule; VL, ventricule
latéral
. Fio. VI ter. Coupe verticale perpendiculaire 1
sortent en faisceau de la substance blanche, traversent^ ventricule
latéral
, les fibres commissurales et rentrent dans la s
cule mamillaire; CI, capsule interno; CC, corps calleux; ventricule
latéral
. FiG. IX. Coupe (le la face inférieure d'un cer
e optique. - TM, Tubercule mamillaire. P, Pédoncule. VL, Ventricule
latéral
. DE L'UÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE 389 crâne en per
périeure des fibres de l'épanouissement pédonculaire. Le ventricule
latéral
est respecté (cerveau droit). La coupe dessinée
imée et abcès cérébral (Vignard,1899) ; une autre paralysie contra-
latérale
due à la pénétration d'une lame de couteau, suivi
uvant se rapprocher ou s'écarter par la pression perpendiculaire ou
latérale
. ' Les mouvements de l'épaule se font très bien
n qui nous occupe de la paralysie spinale infantile, de la sclérose
latérale
amyotrophique, de la syringomyélie et même de l'a
saient par une inclinaison progressive du tronc dans le sens tantôt
latéral
, tantôt antéro-postérieur, par une tendance à tom
xécu- tent dans le plan antéro-postérieur, la dernière dans le sens
latéral
. Le plus souvent à l'une des deux premières s'a
dorso-lombaire. La production des courbures anormales dans le sens
latéral
est en effet de toutes les déviations la plus h
de rejetée latéralement. La cause en est alors soit à une inflexion
latérale
régulière de la colonne à ce niveau, soit encore
e compensation consécutives sont antéro-postérieu- res; si elle est
latérale
, les déviations secondaires s'exécuteront dans le
est latérale, les déviations secondaires s'exécuteront dans le sens
latéral
; les déviations secondaires seront d'autant plus
n primitive le sera davantage ; enfin, les déviations secon- daires
latérales
sont les plus fréquentes. La simple inspection
vient autrement la compliquer. Le sacrum est entraîné par courbure
latérale
et la continue, le bassin est alors simplement
ntes. Le thorax su- bit une deuxième inclinaison, mais dans le sens
latéral
celle fois, et le télescopage costo-iliaque s'a
t, on provoquait dans ledécubitus dorsal et mieux dans le décubitus
latéral
, un glissement de va-et-vient de la colonne lom
cellu- les des noyaux des nerfs hypoglosses, des noyaux ambigus et
latéraux
. Par places on rencontre de petits foyers de ra
escence très marquée dans la région du cordon pyramidal du faisceau
latéral
; l'endroit t de cette dégénérescence ressort t
aussi une raie noire étroite ; dans le faisceau pyramidal du cordon
latéral
gauche on remarque un léger noircissement. A l'ex
et occupe aussi l'échancrure entre la corne postérieure et la corne
latérale
. Parmi une masse de fibres dégénérées on ren- c
.Dans le faisceau cérébelleux droit et dans le faisceau py- ramidal
latéral
gauche on observe un grand nombre de blocs noirs
LXXI, D). La dégénérescence dans le fais- ceau pyramidal du cordon
latéral
droit devient visiblement disséminée. La dé- gé
ne dégénérescence disséminée assez marquée dans le cordon pyramidal
latéral
du côté droit. Les fibres dégénérées, parsemées ç
nière dans le cas donné la lé- sion du faisceau pyramidal du cordon
latéral
droit, dont nous avons parlé plus haut, apparaî
evient bien plus raréfiée ; la dégénérescence du faisceau pyramidal
latéral
dans la partie lombaire inférieure est déjà trè
eil nu on remarque une dégénérescence des deux faisceaux pyramidaux
latéraux
, des deux faisceaux de Türck et par la périphér
s grande dégénérescence a été observée dans le fais- ceau pyramidal
latéral
; mais cette dégénérescence n'est pas compacte :
on voit une dégénérescence assez marquée dans le faisceau pyramidal
latéral
gauche, par la périphérie de cordons de Goll, des
, quoique la figure de la dégénérescence dans le faisceau pyramidal
latéral
a un peu changé ; on voit aussi à l'oeil nu la
xamen microscopique la dégénérescence dans les faisceaux pyramidaux
latéraux
, dans les cordons de Türck et dans les autres rég
er la diminution de la dégénérescence dans les faisceaux pyramidaux
latéraux
. La dégénérescence dans les faisceaux de Túrck es
re une dégénéres- cence très sensible des deux faisceaux pyramidaux
latéraux
et des faisceaux de Türck ; il apparaît comme c
lombaire supérieure, où la dégénérescence des faisceaux pyramidaux
latéraux
peut être distinguée même à l'oeil nu. Ainsi qu
la dégénérescence secondaire très prononcée du faisceau pyra- midal
latéral
, en commençant de l'hémisphère gauche jusqu'à la
grandes que dans le premier cas ; ici la dégénérescence du faisceau
latéral
droit dans la moelle épinière était moins marquée
y avait aussi une dé- générescence égale dans le faisceau pyramidal
latéral
du côté opposé. Dans les deux cas on a observé
orts de l'hystérie et du goitre exophthalmique (3). La prédominance
latérale
des troubles hystériques est bien connue. Dans
de Graves-Basedow, on observe aussi quelquefois une pré- dominance
latérale
des troubles fonctionnels et des déformations. Ce
a quatrième lombaires. Le corps de la vertèbre a subi un écrasement
latéral
; il ne reste de lui qu'une moitié, souvent un
e plusieurs vertèbres lombaires ; il peut se défi- nir : écrasement
latéral
du corps vertébral. Par un procédé inverse,le pro
ente et suivant le sens sollicité, créera une lordose, une scoliose
latérale
droite ou gauche, une cyphose ou une associatio
in qui se répercutent le long de son rachis, Le décubitus dorsal ou
latéral
longtemps prolongé lui est pénible, il préfère re
tébrales, l'une antéro- postérieure, de meilleur équilibre, l'autre
latérale
, de meilleure adapta- tion au milieu. L'amaurot
emière antéro-postérieure se compliquera d'une courbure scoliotique
latérale
. Il ne faudrait pas croire cependant que la rép
é antérieure de chaque corps vertébral dans la cyphose, les parties
latérales
dans les scolioses, le bord postérieur dans la
e. Dans cette distribution, la plus large part revient aux segments
latéraux
, en raison même de la plus grande fréquence de la
craquement lombaire, il est dû à l'effondrement subit d'une partie
latérale
d'un corps vertébral. Une douleur l'accompagne,
tables colonnes. La vertèbre supérieure, entraînée par l'écrasement
latéral
de l'étage inférieur, sera ainsi arrêtée dans s
avons basé notre raisonnement en grande partie sur l'effon- drement
latéral
d'une vertèbre lombaire. Nous l'avons fait parce
ales. Mais ce serait encore une erreur de penser que l'écra- sement
latéral
est obligatoire, qu'il constitue la seule altérat
même encore l'écrasement peut s'opérer ailleurs que sur une portion
latérale
de vertèbre, il peut se faire en un point quelcon
e ou d'arrière en avant, avec conser- vation intégrale des segments
latéraux
. Bien plus la raréfaction osseuse, pour une cau
et de la tête à gauche, se trouve une étroite blessure de la partie
latérale
de 7 centimètres de longueur, commençant derriè
t se rencontre l'intérieur jusqu'à la paroi ex- terne du ventricule
latéral
. Cette paroi n'est pas transpercée, mais elle est
i reçut il y a 4 ans une lourde caisse sur la partie postérieure et
latérale
gauche du crâne. Nous n'avons eu que très peu d
MAKIKESCO soutenir qu'à part les maladies familiales et la sclérose
latérale
amyotro- phique, toutes les affections de la mo
llules kariochromes. NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 369
latéral
, se présente sous forme de zones bien délimitées
le et d'un streptocoque vi- rulent. La substance blanche antérieure
latérale
et postérieure est le siège d'une inflammation
aplégie simple, de la para- myoplégie spasmodique ou de la sclérose
latérale
amyotrophique. C'est dans les signes d'une para
outre de la lésion des cordons postérieurs, une lésion des cordons
latéraux
: c'est une sclé- rose combinée tabétique. , '
angulaire; ou bien elle prend une forme losangique avec deux angles
latéraux
, un angle antérieur et un angle postérieur. A l
t la coexistence des lésions des cordons postérieurs et des cordons
latéraux
. Ces lésions peuvent être limitées à un système
s peuvent, au -contraire, occuper dans les cor- dons postérieurs et
latéraux
des zones répondant d'une façon seulement appro
é- sions primitives du système de fibres des cordons postérieurs et
latéraux
n'ont jamais été observées. On a observé, au co
être sous la dépendance des lésions radiculaires ; dans les cordons
latéraux
le faisceau cérébelleux direct peut dégénérer s
Au niveau de la moelle sacrée, on constate la sclérose des parties
latérales
des cordons postérieurs. La partie médiane au c
ctée. On constate dès ce niveau quelques traces de sclérose du cordon
latéral
. Dans la moelle lombaire, la partie postérieure
ule la partie ventrale du cordon est respectée. Au niveau du cordon
latéral
, on constate un triangle de sclérose dont la base
cordons postérieurs est encore plus accentuée. La sclérose du cordon
latéral
occupe la région du faisceau cérébelleux direct
rdon de Goll surtout dans sa partie postérieure ; 'dans les cordons
latéraux
, la sclérose occupe une bande étroite répondant à
losangique ; son calibre est diminué ; sclérose annulaire des cordons
latéraux
. D,E,F. Sal.... Sclérose combinée tabétique. D,
moelle aplatie et atrophiée dans sa moitiée postérieure. La sclérose
latérale
est marginale et occupe SCLÉROSES COMBINÉES TAB
triangle, à sommet antérieur et à base ventrale dont les deux côtés
latéraux
s'étendent presque jusqu'aux racines postérieur
er épaississement sur toute la périphérie de la moelle. Les cordons
latéraux
sont presqne entière- ment respectés ; on const
ceau, on constate une fente vasculaire dilatée. La lésion du cordon
latéral
est un peu plus étendue, gagne davantage le bor
du cordon latéral est un peu plus étendue, gagne davantage le bord
latéral
de la moelle. La méninge est épaissie sur les côt
l de la moelle. La méninge est épaissie sur les côtés postérieur et
latéral
de la moelle ; elle l'est, à un moindre degré, au
eure et se poursuivant dans la partie postérieure du bord du cordon
latéral
. 7e cervicale. - Lésions à peu près semblables,
he en arrière de la com- missure postérieure. Au niveau des cordons
latéraux
, la sclérose est toujours marginale et occupe l
au de Goll et la substance gélatineuse de Rolando. Dans les cordons
latéraux
, la sclé- rose s'accentue, elle est toujours ma
eur et postérieur d'une part, aux extrémités externes des cor- dons
latéraux
d'autre part. Le cordon latéral a la forme d'un t
extrémités externes des cor- dons latéraux d'autre part. Le cordon
latéral
a la forme d'un triangle avec un Fig. 1, 2, 3,
e avoisinant le sillon postérieur et le cordon de Goll. La sclérose
latérale
est très légère et marginale. Fig. 2. La scléro
sclérose latérale est très légère et marginale. Fig. 2. La sclérose
latérale
occupe surtout le territoire du faisceau cérébell
t le territoire du faisceau cérébelleux direct. Fig. 3. La sclérose
latérale
occupe le faisceau cérébelleux direct et la zone
onne de Clarke apparaissent nettement à ce niveau. Dans le cor- don
latéral
la sclérose est intense, dans la partie postérieu
ce cordon, entre la zone marginale de Lissauer et l'angle du cordou
latéral
; elle a détruit complètement le faisceau céréb
rangulaire à la forme triangulaire. La partie postérieure du cordon
latéral
et le bord postérieur du cordon postérieur se p
nt le bord postérieur du triangle. Les bords antérieurs des cordons
latéraux
en constituent les bords latéraux. Les deux ang
Les bords antérieurs des cordons latéraux en constituent les bords
latéraux
. Les deux angles latéraux de ce triangle sont con
cordons latéraux en constituent les bords latéraux. Les deux angles
latéraux
de ce triangle sont constitués par l'effile- me
éraux de ce triangle sont constitués par l'effile- ment des cordons
latéraux
. Le cordon postérieur est sclérosé dans tôute sa
au cérébelleux direct et s'étend jusqu'au delà de l'angle du cordon
latéral
qu'elle contourne. La méninge est épaissie dans t
end la forme quadrangulaire. Il existe une méningite postérieure et
latérale
très marquée. La sclérose est très accentuée eu
la moelle sont un peu plus considéra- bles. Les lésions des cordons
latéraux
sont'plus étendues sur le bord du cordon. 2° lo
trouve les lésions combinées des cordons postérieurs et des cordons
latéraux
. Dans les cordons postérieurs les lésions sont
ieurs les lésions sont très marquées et marginales ; dans le cordon
latéral
la sclérose oc- cupe une zone peu étendue, d'as
atiques des cordons pos- térieurs, des lésions diffuses des cordons
latéraux
et ces altérations des faisceaux latéraux serai
ions diffuses des cordons latéraux et ces altérations des faisceaux
latéraux
seraient « la conséquence de la sclérose postérie
n certain nom- bre de cas pour expliquer la propagation aux cordons
latéraux
, mais il manque un processus intermédiaire entr
stème lymphati- que postérieur et dans ce cas, la portion du cordon
latéral
qui confine à l'apex de la corne postérieure pe
ieur avec intégrité de la zone cornu commissurale. Dans les cordons
latéraux
, la sclérose a une forme triangulaire qui s'éte
stérieur présente les mêmes altérations que précédemment. Le cordon
latéral
présente les mêmes lésions de sclérose. Il exis
siègent du côté où existent les lésions les plus marquées du cordon
latéral
. A la partie supérieure de la région dorsale, o
ieure de la région dorsale, on retrouve les mêmes lésions du cordon
latéral
, des lésions moindres du cordon postérieur ; le
don de Goll, dans les coupes situées au-dessus. Au niveau du cordon
latéral
, la sclérose est encore plus accentuée que sur le
ale, la sclérose reste limitée au cordon de Goll, et dans le cordon
latéral
, la sclérose se prolonge en avant parallèlement a
rieurs sont sclérosés dans toute la partie postérieure ; le cordon
latéral
pré-- sente un triangle de sclérose à base péri
le cordon postérieur est complètement sclérosé; au niveau du cordon
latéral
, la sclérose revêt le môme type, s'étend dans t
posté- rieur est sclérosé presque en totalité ; au niveau du cordon
latéral
, la sclérose occupe la même disposition que pré
volume normal, la sclérose est moins étendue et au niveau du cordon
latéral
, la sclérose est surtout marginale, s'étend en
le, s'étend en avant et fait une bordure à presque tout ce cor- don
latéral
. Le cordon de Goll est très nettement sclérosé da
ivement le cordon de Goll et la zone cornue-commissurale. Le cordon
latéral
est dégénéré suivant une zone triangulaire. A
zone cor- nue-commissurale est respectée ; mêmes lésions du cordon
latéral
(Voir fig. 7). Au niveau de la région dorsale,
stérieure. Ce triangle prend le cordon de Goll. Au niveau du cordon
latéral
, même forme triangulaire de la zone sclérosée qui
dégénéré seulement dans sa partie postérieure. Au niveau du cordon
latéral
, la sclérose affecte toujours la forme triangul
ramidaux croisés et du faisceau cérébelleux direct dans les cordons
latéraux
. Histologiquement, les colonnes de Clarke sont
lérose combinée tabétique (Coloration de Weigert). Dans les cordons
latéraux
, la sclérose occupe surtout la zone pyramidale et
térations scléreuses dans les cordons postérieurs, dans les cordons
latéraux
et dans l'un des deux cor- dons antérieurs. D
is- sure postérieure et les cornes postérieures. Dans les cordons
latéraux
, elle occupe la zone des faisceaux pyramidaux et
t des faisceaux cérébelleux directs. On peut sur l'un des cordons
latéraux
constater que les territoires des deux cordons
résente la même distri- bution ; on constate aussi dans les cordons
latéraux
la sclérose du faisceau py- ramidal croisé et d
al croisé et cérébelleux direct s'est accentuée dans un des cordons
latéraux
. -- 5e Cervicale. La bande de sclérose du faisc
érébelleux direct s'étale en bordure plus en avant vers les cordons
latéraux
. 6e Cervicale. Même aspect des lésions dans les
sions dans les cordons postérieurs et antérieurs ; dans les cordons
latéraux
, la sclérose occupe une zone triangulaire englo
u cérébelleux direct, mais se pro- longeant peu en avant, le cordon
latéral
est moins large à ce niveau. 7e et 8- Cervicale
rolonge en avant jusqu'à a commissure postérieure. Dans les cordons
latéraux
, la zone de sclérose u'est pas triangulaire, elle
.. Sclérose combinée tabétique (Coloration de Weigert). La sclérose
latérale
est pyramidale ou pseudo-pyramidale. Les figures
sulcomarginal droit. scléroses combinées tabétiques 65 Le cordon
latéral
est sclérosé suivant une zone triangulaire occupa
s la por- tion marginale du faisceau de Burdach. Dans les cordons
latéraux
, sclérose de forme triangulaire occupant presque
; très légère sclérose en bordure de la partie moyenne des cordons
latéraux
. Dans le cordon antérieur, sclérose empiétant à
ctées. Le cordon antérieur est indemne de toute lésion. Les cordons
latéraux
présentent la même sclérose des extrémités des
mides, on constate la sclé- rose des faisceaux pyramidaux du cordon
latéral
et de l'une des deux pyra- mides. Le cordon p
s diminuée aussi bien dans le cordon antérieur que dans les cordons
latéraux
., Enfin les lésions disparaissent au-dessous du
des modifications de la tonicité musculaire. C'est le long péronier
latéral
qui joue le principal rôle dans les change- men
dit le sujet. Cou. - Est volumineux dans sa partie postérieure et
latérale
et absolument rigide : il y a épaississement de
es jambes écartées, les genoux déjetés en dehors, avec oscillations
latérales
du tronc, mais sans difficulté, les hanches étant
unies, et on voit apparaître sur ces dendrites des appendices col-
latéraux
en quantité plus ou moins grande. A sur et à mesu
une masse moins résistante et de même coloration. Les ventricules
latéraux
sont légèrement dilatés, mais ne présentent aucun
. Autant qu'on peut en juger, il semble qu'il existe une hémanopsie
latérale
gauche. Le malade a heaucoup de peine à avaler et
missure grise par un renflement en tête de clou. Dans les faisceaux
latéraux
ou remar- que 3 noyaux de sclérose grise moins
EICH (Pic el BOl11lamour) MALADIE DE FRIEDREICH 131 cérébelleux
latéral
, des fibres arciformes, du faisceau solitaire, et
fin, on commence à voir une légère sclérose du faisceau cérébelleux
latéral
. Le fais- ceau de Gowers est intact. Le noyau d
mplète des faisceaux pyramidaux croisés, et du faisceau cérébelleux
latéral
. Enfin les cornes postérieures sont nette ment
sions des faisceaux pyramidaux croisés et des faisceaux cérébelleux
latéraux
se poursuivent, de même que l'atrophie des zone
e Burdach, plus marquée dans la moelle dorsale ; dans les faisceaux
latéraux
, la sclérose du faisceau pyramidal croisé, et d
a sclérose du faisceau pyramidal croisé, et du faisceau cérébelleux
latéral
, plus accusée dans la moelle cervicale et la pa
omplète au tact et à la piqûre, peut-être même avec une hémianopsie
latérale
gauche, aggravation' due à un ramollissement de
re que l'arc de cercle. - ' La protusion de la langue, la torsion
latérale
de la tête, la contracture des quatre membres,
e miniature de Poitiers du xve siècle (P. Richer) (1 ) ; la torsion
latérale
de la tête ne se reverra que chez l'enfant du t
174 APERT malade pas plus d'une quarantaine d'années; les parties
latérales
de la face sont très développées et se continue
A'CO\IYCL1E TRAUMATIQUE 247 matisée avec dégénérescence des cordons
latéraux
, mais la survie avait été de 10 jours. Ce qui
e date (PI. XXXIII à XXXVI). 260 HENRY MEIGE Puis, par les portes
latérales
, la foule s'écoule, se disperse, dévale les ram
ilage aryténoïde droit, suite de pé- richondrite ou d'aplatissement
latéral
(Dr Cartaz). La sensibilité de l'organe est bie
e l'équilibre, d'où il suit qu'il avance par secousses. Oscillation
latérale
des doigts, quand on lui fait étendre la main, le
on constate une raréfaction bien prononcée dans la zone radiculaire
latérale
et moyenne A mesure qu'on étudie les coupes d'une
la corne antérieure et paraît sortir de cet angle. L'élargissement
latéral
de la dégénérescence est situé un peu plus en a
dans les régions précédentes, de sorte que son sommet vise l'angle
latéral
de la corne antérieure. La partie postérieure de
ce grise par une mince bande de fibres saines. Vis-à-vis de l'angle
latéral
de la corne antérieure elle augmente rapidement
se tout à fait prononcée de la périphérie pos- térieure des cordons
latéraux
, mais qui est richement parsemée d'amas de fibr
du 4e ventricule est épaissie. Toute la pé- riphérie postérieure et
latérale
montre une sclérose, qui augmente d'arrière en
uentes, surtout quand on commande au malade de faire des mouvements
latéraux
de la tête. En proie aux moqueries de ses camar
t cas, ces lésions ne ressemblent nullement à celles de la sclérose
latérale
amyotrophique ou de la polyomyélite chronique.
hémisphère droit t occupant toute la corne occipitale du ventricule
latéral
et semblant partir de la queue du noyau lenticu
ant pris une direction presque transversale et une partie du cordon
latéral
se trouvant reportée derrière elle. A la région
t symétrique détrui- sant les deux cornes postérieures, les cordons
latéraux
et la base des cornes antérieures et traversant
A). Il serait difficile d'identifier le processus si aux extrémités
latérales
de la cavité ne se manifestait une tendance végét
à cette date : Le malade reste étendu sur le lit dans le decubitus
latéral
droit. Le côté gauche est presque complètement
espace clair. La substance blanche dans les parties postérieure et
latérale
a un volume et une coloration sensiblement norm
seulement à gauche. 4e-5e dorsale. Mêmes remarques ; aplatissement
latéral
des cornes anté- rieures, surtout de la droite
ndante du frontal ; elle consistait en une proéminence d'une moitié
latérale
du crâne, la droite chez les uns, la gauche chez
aubin, amble, pas relevé) et les défectuosités d'allures (bercement
latéral
, action de faucher, de billarder, de raser le t
qui voit déjà grâce au miracle commencé. L'aveugle occupe la partie
latérale
et inférieure droite du tableau, qui a une form
rieure, saine, forme toujours la partie antérieure du ventricule
latéral
, le plancher du canal circumpédoncutaire. Le trig
ne présentent aucune altération. La corne sphénoidale du venlricule
latéral
contientde la sérosité sanglante; la corne d'Am
is, 1869. 38 PATHOLOGIE NERVEUSE. sanguinolent dans le ventricule
latéral
. Le cervelet est sain. La moelle n'a pas été ex
mianesthésie (Charcot). Cette absence d'hérniopie ou d'am- blyopie
latérale
, en un mot l'intégrité absolue et constante de
systématisées au même titre que les myélites primitives des cordons
latéraux
ou des faisceaux de Tiirck) ; 5° Qu'une lésio
C. bit., capsule interne. Spi. r/, corne spliénoidale du ventricule
latéral
. RECUEIL DE FAITS NOTE SUR UN CAS D'INVERSION
térations myélitiques dans la région des pyramides et des cor- dons
latéraux
expliquant la paralysie et la parésie motrice des
heront de songer au type scapulo-huméral myélopathique. La sclérose
latérale
amyotrophique ne peut être confondue (paralysie
un cas d'agoraphobie (OBs. XXXVII), caractérisé par une hémianopsie
latérale
droite stationnaire; toutes les fois qu'il se m
raverse simplement ceux-ci, entre le ganglion médian et le ganglion
latéral
, sans affecter plus ample connexion avec eux, s
de Gudden pédoncule du corps mamillaire, qui appartient au ganglion
latéral
sus- énoncé, et que l'on peut suivre à la base
é) fait de même et présente son segment ven- tral entre le ganglion
latéral
de son côté et le ganglion ventral postérieur d
sent de trois faisceaux : un inférieur(postérieur) entrecroisé ; un
latéral
nonen- trecroisé; un supérieur (antérieur) entr
he, les jambes et les orteils du même côté ; à droite, mou- vements
latéraux
, quoique pénibles, de l'extrémité; les parties ju
timètres au-dessus du cône spinal, la substance blanche des cordons
latéraux
et postérieurs est parsemée de taches très nomb
es cliniques, comme l'ataxie locomotrice progressive, la sclérose
latérale
amyotrophique, la paralysie spinale aiguë de l'
tisée dans les cordons postérieurs, ne l'est pas dans les cordons
latéraux
et que, par suite, ce n'est pas là une myélite
603, gan et 687. , 160 PATHOLOGIE NERVEUSE. rieurs et des cordons
latéraux
, mais les observations de cette coïncidence son
lus probablement dans ces cas une sclérose simultanée des cordons
latéraux
et des cordons postérieurs. Cela a été observé
e), soit dans les par- ties successives d'un même système (sclérose
latérale
amyotrophique). Ils considèrent la forme de Fri
; mais il ne séparait pas de la grande majorité des ataxiques ces
latéraux
que nous étudions ici et à part. Le passage sui
blable à celle qu'on observe dans des cas de lésions des faisceaux
latéraux
de la moelle épinière. Cette tré- pidation ne p
ataxie locomo- trice avec propagation de la lésion aux faisceaux'
latéraux
. Un pareil cas jetterait, je crois, une vive' l
flexe rotulien dans un cas d'ataxie qui s'est compliqué de sclérose
latérale
? Voilà ce que je serais curieux de pouvoir exa
de Burdach; mais la plupart des cas sont uniquement spasmodiques et
latéraux
. A cet historique appartient au contraire de pl
lement brachial, et alors aux membres supérieurs la symptomatologie
latérale
domine beaucoup plus nettement : pas d'ataxie v
era) une lésion simultanée des cordons postérieurs et des cordons
latéraux
. (A suivre). 176 PATHOLOGIE NERVEUSE. CONTRIB
j'ai eu la bonne fortune d'observer un cas typique d'hémianop- sie
latérale
, qui resta stationnaire jusqu'à la mort du malade
hémiopie signifie perte de la perception visuelle dans une moi- tié
latérale
(ou verticale) de rétine, tandis qu'hémianopsie v
étine, tandis qu'hémianopsie veut dire obscurcissement d'une moitié
latérale
(ou verticale) du champ visuel. Comme les rayon
'hémianopsie temporale; b) L'hémianopsie nasale; c) L'hémianopsie
latérale
, souvent désignée sous le nom d'hémianopsie hom
s, par une lésion du chiasma, de ses bords antérieur, postérieur ou
latéraux
. La dernière variété, d'après l'état actuel de
e ce travail est d'étudier les cas suivis d'autopsie, d'hémianopsie
latérale
due à des lésions situées dans les par- ties le
fournissant à la moitié temporale de la rétine : c'est le faisceau
latéral
. Chaque rétine reçoit dans des fibres nerveuses
. Les connexions des bandelettes optiques avec les corps genouillés
latéraux
et les lobes optiques (tubercules quadri- jumea
totale d'une bandelette optique produit fata- lement l'hémianopsie
latérale
du champ visuel dans le sens opposé à la lésion
s le sens opposé à la lésion. 4. Une lésion portant sur la partie
latérale
d'une bandelette de façon à ne comprimer que qu
sur les côtés du chiasma, produira, en altérant les deux faisceaux
latéraux
, l'hémianopsie nasale dans les deux yeux. 6.
ns lesquels l'hémianopsie était due à une lésion du corps genouillé
latéral
ou de la couche optique, ou des deux ensemble.
ouble dont se plaignait le patient fut reconnu être une hémianopsie
latérale
droite avec ligne de division verti- cale. J'
ligne médiane (à S centimètres de distance). Son extrémité fronto-
latérale
est à 12 centim. 7o du tragus gauche. Son diamètr
ossier fait reconnaître à 18 pouces de I'oeil droit une hémianopsie
latérale
droite, avec une ligne verticale passant en deh
u niveau de la face moyenne du lobe occipital droit : hémia- nopsie
latérale
gauche.-Il. Coupe horizontale montrant la légère
t, légère et partielle. Goût, ouïe et odorat normaux. Hémianopsie
latérale
droite typique, la ligne verticale passant par le
sphère gauche (Ecker). Foyer de ramollisement causant l'hémianopsie
latérale
droite. Obs. 41. (Féré.) 202 PATHOLOGIE NERVEUS
objet brillant par les procédés ordinaires, révéla une hémianopsie
latérale
gauche typique avec ligne de division verti- ca
sphère droit (Ecker). Foyer de ramollissement causant l'hémianopsie
latérale
gauche. Obs. 45. (Séguin.) 206 PATHOLOGIE NERVE
de la cinquième circonvolution temporale n'ait causé l'hémianopsie
latérale
gauche constatée pendant la vie. Le ramollissem
tes optiques et le chiasma. 2. Que des lésions du corps genouillé
latéral
ou des parties postéro-latérales delà couche op
ue de Gratiolet et Wernicke, dans son trajet depuis la face postéro
latérale
delà couche optique, passant au dehors, dans la
itué en haut et sur les côtés de la corne postérieure du ventricule
latéral
et au-dessous du lobule pariétal inférieur et du
i un certain trajet dans la capsule interne, les fibres du faisceau
latéral
croisent encore la ligne médiane de façon que l
suite en principe les propositions sui- vantes : t. L'hémianopsie
latérale
indique toujours une lésion intra- 1 W. Bechter
res optiques, servant à expliquer plus spécialement l'hémia- nopsie
latérale
gauche par lésion organiques L. T. 1 ? ., demi-ch
. - T. 0. 1). , bandelette optique droite. - C. G. L., corps genou il
latéral
. - z L, 0., lobes optiques (tubercules qundrium
entres optiques, comprenant le lobe optique, le coi l)s geiiotiillê
latéral
et le pulvinar d'un coté. - F. 0. faisceau opti
opposé à la portion du champ visuel obs- curcie. . L'hémianopsie
latérale
avec immobilité pupillaire, névrite ou atrophie
le nom de « réac- tion pupillaire hémiopique ». 3. L'hémianopsie
latérale
, ou un obscurcissement analogue géométriquement
au postérieur de division de la capsule interne. 4. L'hémianopsie
latérale
, avec hémiplégie complète (deve- nant spasmodiq
au de son genou et de sa partie posté- rieure. , 5. L'hémianopsie
latérale
, avec hémiplégie typique (deve nant spasmodique
sera la cause la plus probable du ramollissement. 6. L'hémianopsie
latérale
avec légère impuissance motrice 1 Wernicke. UeG
dans son trajet en arrière vers le centre visuel. 7. L'hémianopsie
latérale
seule, sans troublesmoteurs ni sen- sitifs, est
' 22, 1881. WESTPIIAL, C. Zur Frage von der Localisation der uni-
latérale
Convulsionen und Hemianopsie. Charité-Azzzznlen,
es d'union du cervelet. a. Le corps restiforme se compose du cordon
latéral
du cervelet de Dédise, du puissant trousseau de l
rousseau de fibres qui doit être en rapport avec le noyau du cordon
latéral
(atrophie de ce noyau). Où se termine le corps
plutôt lieu d'admettre que ce noyau est en relation avec le cordon
latéral
. il est très probable que le faisceau cunéiform
t des fibres de projection du pulvinar, des portions antérieures et
latérales
du corps genouillé externe, des couches supérie
ortions la- térales des centres optiques infracorticaux ; sa partie
latérale
s'unit plutôt avec des portions médianes des ce
rieurs et postérieurs droits sont excessivement réduits ; du cordon
latéral
il ne reste qu'une petite portion entre les cor
liers, de la cloison transparente; forte dilatation des ventricules
latéraux
remplis de beaucoup de liquide. On place dans l
SOCIÉTÉS SAVANTES. 291 K. ROT)) et Friedenreicii. Sur la sclérose
latérale
anM/0< ! 'Op/t ? if. En français.) L. Adam
ême côté et du côté opposé ( ? )(ces fibres affectent une direction
latérale
et inférieure); avec le faisceau longitudinal pos
édées par une anti- chambre commune; elles jouissent de l'éclairage
latéral
, et sont, deux exceptées, pourvues de latrines;
sujets atteints d'atrophie mus- culaire protopathique, de sclérose
latérale
amyotro- phique et de névrite traumatique. Le m
ation moins complète que la précédente, dans laquelle la sclérose
latérale
domine beaucoup la scène, mais qui n'est pas ce
postérieure (tabes ataxique ordinaire), ensuite ceux de sclérose
latérale
(tabes dorsal spasmodique) ; en troisième lieu,
hénomènes qui, dans le tabes combiné, appartiennent à la sclérose
latérale
, et qui, par suite, différencient la maladie que
, le malade du n° 23 n'a eu aucun trouble se rapportant aux cordons
latéraux
; et encore nous trouvons dans le tableau, pour
III. Dans tout ce que nous venons de dire, le domaine des cordons
latéraux
et le domaine des cor- dons postérieurs étaient
erveuse entourant les deux, cornes occipitales des deux ventricules
latéraux
. Antécédents héréditaires. Père mort à rage de
ne étendue de 3 centim. les deux cornes occipitales des ventricules
latéraux
. A l'examen microscopique, on trouve des corps
amollissement entourant les cornes occipitales des deux ventricules
latéraux
. Tout le reste de la substance cérébrale, à par
- tion de cette membrane. La surdité est complète. Le décu- bitus
latéral
droit est bien supporté par la malade. Nausées
mande 412 RECUEIL DE FAITS. à ce qu'on la place dans le décubitus
latéral
gauche et meurt sans présenter de convulsions.
blanche périépendymaire du prolongement postérieur du ventri- cule
latéral
. Les centres gris paraissent normaux. Pas d'épa
bstance périépendymaire limitée à la corne occipitale du ventricule
latéral
gauche (à droite, la substance blanche qui ento
es. Autopsie : ramollissement de la corne' occipitale du ventricule
latéral
droit. Antécédents héréditaires : père mort d'u
la substance blanche limitant l'extrémité occipitale de ventricule
latéral
. Hémisphère gauche : poids; 596 gr.; sain. Pa
anche nerveuse entourant le prolonge- ment postérieur du ventricule
latéral
droit. Père mort à soixante ans d'une pneumonie
la coupe un ancien foyer de ramollissement parallèle au ventricule
latéral
, dont il occupe le côté inféro-externe. Le paro
tent plutôt à la corne d'Ammon et ses connexions et aux ventricules
latéraux
et nullement à celte région si reculée, si cent
veuse qui entourent les prolongements postérieurs des ventri- cules
latéraux
. -L'expérience démontrera plus tard s'il existe
la partie sous-épendymaire des cornes occipitales des ventri- cules
latéraux
; 2° Que dans ces cas les convulsions cloniques
avant tout, comme nous l'avons cons- taté, dans le cas de sclérose
latérale
amyotrophique. 2- La persis- tance des phénomèn
e anato- mique et clinique sur la), par Babinsky, 455. Sclérose
latérale
amyotrophique, 291. Sénile (folie), par Savag
. iiit., capsule interne. Sph. V l, corne sphënoidaie du ventricule
latéral
. 472 EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE II (
nt de cette maladie, consistant dans une déviation avec inclinaison
latérale
du tronc vers le ¡ côté sain. Peu de temps aprè
iatique restent couchés. Dans la position horizontale, la déviation
latérale
du tronc ne peut môme pas être soupçonnée. On n
te qu'à l'état d'ébauche,1 ré- sulte en grande partie d'une flexion
latérale
de la région lombaire. Il est donc possible que
m se trouve sur la limne verticale 'axillaire. C'est cet intervalle
latéral
qne M. P. Richer appelle la hauteur du flanc. I
( fig. 3). Mais c'est là une conséquence inconstante de la flexion
latérale
. En effet, comme dans les sco- lioses ou dans l
re. Elle est en tous cas bien moins caractéristique que la courbure
latérale
du rachis. - L'importance de la courbure du r
une sciatique fruste dans certaines circonstances où l'inclinaison
latérale
du tronc échappe à toute inter- prétation plaus
igure 10. En réalité, l'inclinaison qui résulte- rait d'une flexion
latérale
de la colonne vertébrale au niveau de* l'articu
t la plus importante est évidemment l'action permanente des muscles
latéraux
du tronc du côté sain. Nous avons dit que, dans
s apparaissent dans la région du jambier antérieur et des péroniers
latéraux
. Le 21 juin, une douleur semblable à celle du g
on mérite le nom de scoliose, car elle consiste dans une courbure
latérale
du rachis. Le plus souvent, la sco- liose sciat
ède à l'autopsie. Moelle. Des coupes transverses montrent au cordon
latéral
de la moitié gauche du tiers moyen de la région
jusqu'au milieu de la région dorsale et un peu au delà. Les cordons
latéraux
surtout sont décolorés.irrégulière- ment en îlo
ndante des cordons de Goll et des faisceaux cérébelleux des cordons
latéraux
. Au microscope, la pie-mère et l'arachnoïde se
ordons antérieurs, aussi bien que la plus grande partie des cordons
latéraux
, et les cordons postérieurs portent des fibres
tres. Les vaisseaux surtout des parties périphériques des cor- dons
latéraux
, aussi bien que des parties secondairement dégéné
tout aux cordons postérieurs et à la partie postérieure des cordons
latéraux
, de sorte que la coupe transversale présente un
tous les cordons postérieurs. Les parties postérieures des cordons
latéraux
participent aussi de cette altération. On y trouv
ement saillie à la coupe. Le reste de leur substance et les cordons
latéraux
montrent une myélite parenchymateuse récente.
ns épinales siègent ou au moins domi- nent au centre et aux cordons
latéraux
de la moelle, nous avons la forme centrale spin
cordons latéraux de la moelle, nous avons la forme centrale spinale
latérale
; quand c'est au centre, aux cordons latéraux et
forme centrale spinale latérale; quand c'est au centre, aux cordons
latéraux
et postérieurs que les lésions se localisent, n
unéi- forme de Burdach et segment postérieur du rejeton des cordons
latéraux
), remontent immédiatement sur une longueur de t
hors, s'enfoncent dans le segment postérieur du rejeton des cordons
latéraux
, s'infléchissent en arrière et en haut, pour alle
on du cordon 110 REVUE D'ANATOMIE ET DE PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE.
latéral
sont la continuation directe des fibres radiculai
ceaux de Burdach avec les segments postérieurs du rejeton de cordon
latéral
, constituent des voies sensibles médiates. D'où
le nom de cécité corticale partielle, une lacune du champ visuel bi
latérale
absolue mais incomplète ; - 8° la cécité psychi
ès avoir fourni une plus ou moins grande quan- tité de fins rameaux
latéraux
(exemple : les grandes pyramides de l'écorce, l
e. Enfin, lesautopsies ont permisà M. Moeli d'examiner les pa- rois
latérales
du troisième ventricule ; il semble chez les para
ux usé, elle proémine un peu en bas et en dedans dans le ventricule
latéral
. Les préparations pré- sentées à l'appui de la
es : 1° Les unes, tout en émettant quelques fibrilles secondaires
latérales
, conservent leur individualité propre ; 2° les
de la 11C catégorie, qui n'émettent qu'en petit nombre des rameaux
latéraux
avant de devenir le cylindre-axe d'une fibre à
.la section des cornes antérieures et des cordons anté- rieurs et
latéraux
de la moelle, on observe encore des contraction
ervent leur individualité, et, tout en émettant quelques ramuscules
latéraux
, vont constituer directement un tube nerveux, o
C'est au moyen de ce réseau fibrillaire que, par leurs ramuscules
latéraux
, les fibres issues des cellules du premier type
hez les végétaux, comme une règle générale, l'asymétrie des moitiés
latérales
des feuilles'. Si l'asymétrie du cerveau et des
ve centrale perma- nente, large et complètement évoluée. - Incisive
latérale
, de vo- lume ordinaire, déviée par une rotation
s'accompagner d'aucune douleur (spontanée ou provoquée). L'incisive
latérale
a subi une déviation égale et symétrique par ra
nvexité à gauche. Il existe des masses lipomateuses sur les parties
latérales
et inférieures du tronc, ainsi que dans le creu
dégénéres- cence des faisceaux pyramidaux tout le long des cordons
latéraux
, de presque tous les cordons postérieurs (les z
sont seules épargnées), et d'une partie de la substance grise (zone
latérale
intermédiaire aux cordons antérieurs et postérieu
l existe une déchéance fort accusée et un ramollissement de la face
latérale
des couches optiques. Les ban- delettes optique
aralytiques. Quand cette maladie se complique de lésion des cordons
latéraux
, on constate de l'atruphie extrême des biceps,
nt supérieur des fibres de Gra- tiolet jusqu'à la substance blanche
latérale
du pulvinar ; diminution considérable du pulvin
surtout sur la substance blanche. Dilatation extrême du ventricule
latéral
. Atrophie secondaire de la pyramide gauche, du no
lèvement du bassin du côté corres- pondant et la projection du plan
latéral
du corps. Mouvements spontanés laborieux : impo
de se portant sur le côté gauche fait des esquisses d'arc de cercle
latéral
. De plus quelques mouvements de projection du b
cendante. La zone marginale externe ou faisceau profond du cordon
latéral
(Z M, 6) qui se trouve entre le faisceau pyrami
laire à la corne postérieure. Le faisceau de Gotvers (F G, 3), zone
latérale
antérieure mixte de Flechsig, faisceau périphér
echterew, situé à la périphérie de la moitié anté- rieure du cordon
latéral
et se prolongeant en avant jusqu'à l'extrémité
la dégénérescence ascendante. La partie fonda- mentale du faisceau
latéral
(P F, 2) constituée par la partie restante du f
isceau de Turck est intact. Entre la corne postérieure et le cordon
latéral
, il existe une bande mince tout à fait saine. S
La bande saine qui existe entre la corne postérieure et le cordon
latéral
est plus mince que dans la région lombaire. Le
iangulaire fortement dégénérée partant de la péri- phérie du cordon
latéral
et pénétrant dans ce cordon à la ma- nière d'un
très atténuée à la partie moyenne de l'entre-croisement des cordons
latéraux
. Dans les cordons de Goll, la sclérose persiste
ur'totalité plus accentuée an niveau de la région lombaire. Cordons
latéraux
altérés en grande partie. Racines postérieures
e IV. (Friedreich.) Sclérose des cordons postérieurs et des cordons
latéraux
. Atrophie des racines postérieures. Dans la moi
e des cordons postérieurs et de la partie pos- térieure des cordons
latéraux
. Aplatissement antéro-potérieur de la moelle, s
ns de Goll, le cordon cunéiforme, la partie postérieure des cordons
latéraux
elles cordons antérieurs droit et gauche. Ce de
orsale et lombaire. Entre les foyers de dégénérescence des curJOJ1S
latéraux
et les DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 341, Î co
s morbide se soit propagé des régions postérieures vers les cordons
latéraux
; d'ailleurs, on trouve plus de fibres saines d
les colonnes postérieures et les parties postérieures des colonnes
latérales
. En somme, la moelle est plus petite que d'ha-
téro-externe des cordons prismatiques est intacte. Dans les cordons
latéraux
on constate aussi la dégénérescence quoique à u
Les parties limitant la corne postérieure et le reste des cordons
latéraux
sont intacts. Dans la moelle cervicale antérieu
i correspond au numéro 6 du schéma de Strum- pell. Dans le cordon
latéral
, la lésion est plus avancée que dans la région
rescence des cordons postérieurs di- minue surtout dans les parties
latérales
du tiers antérieur. Les racines postérieures so
u- tion assez considérable de libres, tandis que dans les cordons
latéraux
aussi bien que dans la substance grise on ne voit
ervé le long des cornes postérieures. La dégénérescence des cordons
latéraux
est plus prononcée dans la région cervicale. Le
ège. II. SCLÉROSE combinée des coudons postérieurs et DES cordons
latéraux
. On a reconnu dans ces derniers temps, l'existe
lorée qui n'arrive pas jus : qu'à la périphérie. Dans les cordons
latéraux
, on observe à lapartie postérieure, une région
certaine distance du bord postérieur de la moelle. Dans les cordons
latéraux
, on observe à la partie postérieure, la zone dé
en diminuant de haut en bas. Quant à la dégénérescence des cordons
latéraux
, limitée dans la partie supérieure au faisceau
rente, gris-brunàtre, occupait la moitié postérieure des faisceaux
latéraux
et formait sur les coupes un A A Manual of Dise
l. Dans le cas d'Erliky et Rybaliu' la dégénérescence des cordons
latéraux
était limitée aux faisceaux pyra- midaux : une
région dorsale, la dégénérescence gagne l'intérieur des cor- dons
latéraux
, affectant la forme d'un coin dont la base est
et très délicate et que d'ailleurs, la dégénéres- cence des cordons
latéraux
n'arrivait point partout jusqu'à la périphérie.
A/én ingo-myélite chronique pscudo-s1lstellzatigue combmée postdro-
latérale
, avec extension au bulbe el Ii la protubérance. (
cordons de Burdach et la partie tout à fait postérieure des cordons
latéraux
, aient échappé à l'inflammation. Au surplus, l'
ns postérieurs, le processus sclérosique se propagerait aux cordons
latéraux
. Mais, suivant la remarque de Westphal3, cette
e les parties malades des cordons postérieurs et celles des cordons
latéraux
, il se trouve une zone de tissu sain. Cette m
arrive que la lésion des cordons posté- rieurs et celle des cordons
latéraux
se développent d'une façon tout à fait indépend
ns postérieurs étaient sains. Au contraire, la lésion des cordons
latéraux
s'étendait à toute la longueur de la moelle.
supérieure, il nous reste à signaler la dégénérescence des cordons
latéraux
: elle porte sur une partie strictement limitée
e zone en forme de coin, occupant la partie postérieure des cordons
latéraux
. Cette zone répond à peu près au faisceau céréb
cor- respond pas au foyer que l'on rencontre dans les cor- ' dons
latéraux
au cas de dégénérescence secondaire descendante
us avancé, les .lésions se précisent. La face antérieure, les bords
latéraux
et supérieurs de l'épiphyse distale sont hériss
e déformant. La diaphyse reste intacte, cependant les radiographies
latérales
montrent que sa face antérieure finit par proli
. Oppenheim, au contraire, croit qu'il s'agit d'innervation contro-
latérale
du facial sain, ce qui nous parait d'autant plus
réciable des circonvolutions n'existe nulle part. Les ven- tricules
latéraux
sont un peu dilatés, surtout à gauche. Les corps
hô- pital de la Pitié à Prague. (1) Voir mes articles « Déviation
latérale
des doigts de la main » et « Pseudogibbus après
ans la partie moyenne du segment C , où il occupe le fond du cordon
latéral
droit et empiète sur la substance grise adjacente
rale, est criblé de vacuoles; on observe, à la périphérie du cordon
latéral
gauche, une petite zone marginale nécrosée, qui e
ro-lalérral droit, à l'exception de la partie postérieure du cordon
latéral
et de la zone marginale du cordon antérieur. 3°
déplacement des fibres qui occupent la partie marginale des cordons
latéraux
(zone des faisceaux cérébelleux) se fait d'avant
insi d'un faisceau à l'autre. Cette évolution des fibres marginales
latérales
est mise en évidence, du côté gauche, par l'étr
es cordons postérieurs, par la voie pyrami- dale et par les cordons
latéraux
. a) Terminaison bulbaire des fibres des cordons
tachent très bas, non pas des cordons postérieurs, mais des cordons
latéraux
, et qu'ils se diri- gent d'avant en arrière en
rmi le gros paquet de fibres dégénérées qui prend la voie du cordon
latéral
pour aller au bulbe, il faut isoler un petit gr
u'à présent. c) Connexions spino-hzelbaires par la voie des cordons
latéraux
. La masse commune aux faisceaux cérébelleux et
isceaux cérébelleux et au faisceau fondamental, arrivée au faisceau
latéral
du bulbe et au corps restiforme, au-dessus du p
er comme certain que ces fibres spino-bulbaires, venues par la voie
latérale
ont leur plus grand développement lorsque les f
l'existence d'uneterminaison collatérale du Gowers dans les noyaux
latéraux
du bulbe, dans le nucleus ambiuus, ou dans le n
e groupe antérieur des libres spino-bulbaires se détache de la voie
latérale
près de l'extrémité inférieure de l'olive bulba
r sur nos coupes. 74 LONG postérieurs. C'est donc bien dé la voie
latérale
(faisceau latéral du bulbe et corps restiforme)
74 LONG postérieurs. C'est donc bien dé la voie latérale (faisceau
latéral
du bulbe et corps restiforme) qu'ils se détache
Le faisceau de Gowers continue son trajet ascendant par le faisceau
latéral
du bulbe, puis dans la profondeur de la protubé
fondeur de la protubérance et, près de l'origine du ru- ban de Reil
latéral
, décrit une anse à concavité inférieure pour gagn
certain que les fibres dégénérées, détachées de la voie ascendante
latérale
se sont arrêtées pour la plus grande partie dan
éticulée, dans l'angle formé par le ruban de Reil médian et le Reil
latéral
, en avant du pédoncule cérébelleux supérieur. P
la formation réticulée (fig. 19) ; elles longent le ruban de Reil.
latéral
, en dehors du pédoncule cérébelleux supérieur q
ion réticulée et à l'olive bulbaire. 2° Fibres allant à la partie
latérale
de la formation réticulée. 3° Fibres allant à l
étant surtout médiane et postérieure, tandis que celle des cordons
latéraux
aborde le bulbe par sa face externe. L'import
eau de Gowers. Ftp, faisceau longitudinal postérieur. Fil, faisceau
latéral
du bulbe. - IX, IXd, glosso-pharyngien et sa ra
NR, noyau rouge. NRt, noyau réticulé. NsRI, noyau supérieur du Reil
latéral
. NV, noyau sensitif du triju- meau. NVII, noyau
tubercules quadrijumeaux antérieur et postérieur. RI, ruban de Reil
latéral
. Rm, ruban de Reil médian. SgAg, substance grise
dépression nette mais peu accentuée au niveau de la partie antéro -
latérale
de la moitié gauche. Les fibres du cordon antéro-
de de Weigert, plus denses et beaucoup plus noirs que les faisceaux
latéraux
. On peut noter que les zones occupées par les f
c'est à peine si l'on peut en trouver quelques-uns dans les cordons
latéraux
, généralement tout près du flanc de la corne in
ent reconnaître les vestiges cellulaires ; les cellules des groupes
latéraux
sont en état d'atrophie simple. Il existe en outr
. Dans ces cas et dans d'aulres semblables où la sclérose du cordon
latéral
n'est pas néces- sairement primitive, le spasme
rlà- rentuccessivement des espèces morbides nouvelles : la sclérose
latérale
amyotrophique. la pachyméningite cervicale hype
s qui peuvent produire ce type d'atrophie, c'est-à-dire la sclérose
latérale
amyotro- phique, la syringomyélie, la pachyméni
, ainsi que par une raréfaction très nelle du champ péri-capsulaire
latéral
. Pour Mingazinni, cette réaction atrophique du
u faisceau thalamique de Forel (Balh. ou Ih) et du champ capsulaire
latéral
du noyau rouge. Ce noyau, dont le volume était
surtout la substance médullaire centrale et la zone marginale grise
latérale
. Ici encore, il s'agissait essentiellement d'une
c'est-à-dire, en traversant les zones péri-capsulaires frontale et
latérale
du noyau rouge, et porte surtout sur le tiers ant
érieur on ventral de la couche optique, et, gagnant alors la partie
latérale
de la région sous-thalamique en passant par la
la lame médullaire exlerne, elle se rend jusque dans la zone grise
latérale
du tiers moyen du noyau rouge : Les radiations
ment lent iculo- optique de'la capsule interne, passe par la partie
latérale
de la lame médullaire externe et par le champ Il,
, de- Forel, pour entrer dans la constitution de la zone capsulaire
latérale
du noyau rouge. Les fibres operculo-rubriques p
eau de son tiers moyen, dans la substance grise réticulée des zones
latérale
et centrale. Ici encore, c'est surtout avec la
rescence très nette, laquelle s'épuisait au niveau de la zone grise
latérale
du tiers moyen du noyau rouge. t <]tt'* r,
ge que lorsqu'elles atteignent l'épendyme de la paroi ventriculaire
latérale
sur une étendue considérable, et qu'elles se tr
du noyau rouge, on ne voit plus, au niveau du champ juxta rubrique
latéral
, l'interrup- tion grossière observée sur la cou
versalement en dedans et semble pénétrer directement dans la partie
latérale
du noyau rouge. En raison de la forte coloratio
déjà assez d ! S- tinctement la dégénérescence rii ! ru1\ du noyau
latéral
et du stratum zonale de la couche optique, ains
rée peut être suivie à travers la capsule interne jusqu'à la partie
latérale
du noyau rouge. Cette dégénérescence linéaire e
cence linéaire est très visible au niveau du champ juxta-ruhri- que
latéral
dont elle forme en réalité le segment inférieur.
niveau de son tiers antérieur. La décoloration de la capsule ventro
latérale
, par contre, persiste plus, longtemps. Quant à
e la lame médullaire externe, ainsi que le stratum zonale, le noyau
latéral
et le bord su- périeur de la couche optique, et
haut, cette dégénérescence s'épuise dans la partie externe du noyau
latéral
de la couche optique ; en bas elle abandonne un
e la couche optique, on remarque outre la dé- générescence du noyau
latéral
, une dégénérescence rétrograde et une atrophie
chet que forme le corps calleux l'angle supéro-externe du ventricule
latéral
. Ce foyer est visible sur les coupes intéressan
- rale. On note une dégénérescence assez légère et diffuse du noyau
latéral
de la couche optique. Sur les coupes passant pa
e certaine raréfaction de la partie médiane du champ juxta-rubrique
latéral
, mais c'est surtout au niveau du noyau rouge lu
t décoloré, le- quel occupe toute la zone marginale sous-capsulaire
latérale
du noyau rouge. La décoloration de la zone dors
difié. La décoloration marginale im- plique surtout les zones dorso
latérale
et ventro latérale, mais tandis que la zone dor
ion marginale im- plique surtout les zones dorso latérale et ventro
latérale
, mais tandis que la zone dorso latérale renferm
es dorso latérale et ventro latérale, mais tandis que la zone dorso
latérale
renferme des libres sttiées, la zone ventro latér
la zone dorso latérale renferme des libres sttiées, la zone ventro
latérale
en est presque totalement dépourvue. Celle zone
atation très marquée de la corne frontale et du corps du ventricule
latéral
ainsi que du troisième ventricule. La réaction
me mé- dullaire externe et de la partie supérieure surtout du noyau
latéral
. Il est pas- sible, cependant, que ces altérati
de sa zone sous-capsulaire ventro-latérale. Le corps du ventricule
latéral
est passablement dilaté et le segment externe d
hamp dit des radiations de la calotte, qu'elle atteint la cap- sule
latérale
du noyau rouge et qu'elle s'épuise surtout dans l
y constate, en effet, une décoloration très considéra- ble du noyau
latéral
ainsi qu'une dégénérescence et une atrophie rétro
ique, on constate la dégénéres- cence de la majeure partie du noyau
latéral
et une décoloration particulière- ment intense
onge en haut et en dedans vers l'angle supéro-externe du ventricule
latéral
où elle sectionne la majeure partie du pied de
n note également une légère dégénérescence du bord externe du noyau
latéral
de la couche optique ainsi que de la lame médul
ramollissement destructif pénètre jusqu'à l'épen- dyme de la paroi
latérale
, et sectionne à peu [très complètement le segment
iffuse de la lame médullaire externe, du stratum zonale et du noyau
latéral
Quant au noyau rouge, on voit très bien qu'il est
tum zonale, du tubercule autérieur et de la majeure partie du noyau
latéral
. Quant au noyau rouge, on voit que la configura
toute sa hauteur, le stratum zonale, la partie supérieure du noyau
latéral
ainsi que le tubercule antérieur et les autres no
ie médiane. De ce territoire la dégénérescence s'étend à la capsule
latérale
du noyau rouge et s'épuise ensuite surtout dans l
urlout de la lame médullaire externe, du stratum zonale et du noyau
latéral
, et retentissent également sur les deux tiers p
a capsule dorsale de ce noyau et les zones marginales grises dorso-
latérale
et dorso-médiane. Au niveau du tiers moyen, la dé
dorso-lalérale; au niveau du tiers moyen, elle intéresse la capsule
latérale
et les zones marginales gri- ses dorso-latérale
ouge et entrent en relation surtout avec les zones marginales dorso
latérale
el ventro-latérale. Les fibres qui proviennent
s rapports surtout avec les zones marginales dorso médiane et dorso
latérale
. Il est possible que la lésion des connexions c
traversant celte lamina sont égalementen réduc- tion. Le segment
latéral
du globus pallidus contient un réseau de fibres à
is accessoria n'est pas reconnue. Dans la partie médiale du segment
latéral
, des fascicules radiés très compacts abordent l
e est sans altérations. Les rubans de Reil médians et les lemnisci'
latéraux
, les pédoncules cérébelleux supérieurs et les fai
nalement, les deux doigts sont sensiblemenl égaux non par déviation
latérale
, de l'un d'eux, mais par sa brièveté; on pourra
sortir la radiographie pourrait aussi bien provenir de la déviation
latérale
subie par le médius. On doit conclure à l'égali
rocéphalie ne s'est pas encore fortement prononcée, les ventricules
latéraux
peuvent toutefois être déjà tellement pleins qu'i
essentielle, car la cause réside dans la dilatation des ventricules
latéraux
qui se comportent tout simplement comme de gran
S DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE DEUX NOUVEAUX CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTRO- PH1QUE SUIVIS D'AUTOPSIE; Par J.-111
P. MARIE. La nature essentiellement systématique de la sclé- rose
latérale
amyotrophique est actuellement admise par la gr
n de nous, rentrent tout naturellement dans le cadre de la sclérose
latérale
amyo- trophique. En même temps que la scléros
KojewnikofT. Archives de Neurologie, t883, VI, 356. CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 3 non seulement la sclérose laté
CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 3 non seulement la sclérose
latérale
amyotrophique est étroitement localisée à un sy
ts d'opposition du pouce sont lents, difficiles, de CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 5 même le premier métacarpien te
emier métacarpien, qui est sur le même plan que les CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPIUQUE. 9 autres métacarpiens. Les tendo
e teinte grisâtre sié- geant par plaques soit au niveau des cordons
latéraux
, soit au niveau des cordons postérieurs, d'une
ératiou, notamment pour les nerfs et les muscles. CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 15 Circonvolution pariétale asce
l'espace occupé par les cellules du locus niger non CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 17 plus que dans les autres régi
st diminué d'une façon très notable; (déjà, dans un cas de sclérose
latérale
amyotrophique, Kahler avait pu constater cette
une façon nette les lésions atrophiques ordinaires de la sclérose
latérale
amyotrophique. Le nerf hypoglosse est nettement
seur Charcot, par M. le Dr Brissaud, avec le diagnostic de sclérose
latérale
amyotro- phique. Tous les renseignements qui
auche, les yeux blancs ; la malade était alors sans CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 21 connaissance, mais elle revin
n fait lever la malade, elle ne peut faire quelques CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 23 pas qu'en se tenant aux lits
lleurs en rien de ce qu'on observe ordinairement dans la sclé- rose
latérale
amyotrophique. 24 PATHOLOGIE NERVEUSE. sourd
pariétale ascendantes, ne contenaient pas de corps CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 25 granuleux, non plus que les c
blanche : sclérose des faisceaux de Türclc, sclérose des faisceaux
latéraux
, occupant non seulement le territoire des faisc
tion n'a d'ailleurs vraisemblablement rien à faire avec la sclérose
latérale
amyo- trophique. 28 PATHOLOGIE NERVEUSE. Di
iamètres; de plus, on en trouve dans les autres parties du faisceau
latéral
jusqu'à une ligne frontale passant par la face
faisceaux pyramidaux et du noyau de l'hypoglosse. CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 31 On peut ainsi non senlement v
eurs (p. 577), et la disparition des cellules nerveuses du groupe
latéral
de la corne antérieure (voir p. 582). Aaenfel
couche optique, immédiatement en dehors de la zone où le ventricule
latéral
émet son prolongement inférieur, par conséquent
cervical; on la trouvait généralement à la péri- phérie des cordons
latéraux
. Cette tuméfaction ne porte d'or- dinaire que s
- taire (maladie de Friedreich). Enfin, l'étude des lésions hémi-
latérales
de la moelle (paralysie spinale de Brown-Séquard)
ion et l'atrophie musculaire progressive, ainsi qu'avec la sclérose
latérale
amyotrophique, constituent-ils index bibliograp
e progressive) ! spinalen Amyotrophien, Yra ? 1884. cas de sclérose
latérale
AMYOTROPIIIQUE. 171 que chose d'analogue et dit
corps granu- leux dans les cordons antérieurs et dans les cordons
latéraux
sur toute la hauteur de la moelle dorsale. Quoi
c certains- auteurs la regarder, comme une preuve, que la sclérose,
latérale
amyotrophique n'est pas une affection systémati
e la moelle, cette extension de la sclérose aux faisceaux antéro-
latéraux
est infiniment moins marquée qu'à la région dor
tion au Congrès internationa de Copenhague, 1884. CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
.1\I101'ROl'kIItUli. 173 3 Une autre remarque e
faisceaux. D'autre part en comparant aux préparations de sclérose
latérale
, amyotrophique des coupes prove- nant, d'un cas
est vraisemblablement pas la même que celle des lésions des cordons
latéraux
, car dans aucune de nos préparations nous n'avo
tandis qu'ils étaient en très grande abondance dans les faisceaux
latéraux
. D'autre part cependant, un certain nombre de f
a sclérose seule étant il notre avis insuffisant. CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 177 î nouvel ordre les autopsies
ATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 177 î nouvel ordre les autopsies de sclérose
latérale
amyo- trophique dans lesquelles la lésion du fa
est pas considérée par son auteur comme appartenant à la sclérose
latérale
amyotrophique, nous croyons et nous partageons
lument dans la règle, c'est pour ainsi dire un cas type de sclérose
latérale
amyo- trophique. La seconde observation, au c
dans la paralysie générale ou dans la sclérose en CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 179 plaques; quoiqu'il en soit,
tard seulement et peu à peu que les autres signes de la sclérose
latérale
amyotrophique sont apparus et ont atteint un de
levait une tendance singu- lière à exclure des cadres delà sclérose
latérale
amyo- trophique des cas dont le tableau cliniqu
et avec ses caractères les plus ordinaires, l'aspect de la sclérose
latérale
amyotro- phique, il ne faut pas oublier que l'e
à voir quelques auteurs se refuser à considérer comme sclé- rose
latérale
amyotrophique des cas où le début s'est fait pa
idaux), se refuse à admettre que ce soient là des cas de sclérose
latérale
amyotrophique « parce que, dit-il, cette affec-
de vouloir restreindre aussi étroitement le domaine de la sclérose
latérale
amyotrophique ; les deux observations de M. Déj
losso- larngée.(Arcla. de physiol., 1883, 11° 6.) CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 181 t ment des cas de sclérose l
DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 181 t ment des cas de sclérose
latérale
amyotrophique dont le début s'est fait par le b
re spasmodique de l'affection et de faire le diagnostic de sclérose
latérale
amyotro- phique. Nous relevons la même erreur
symptoma- tique que celui présenté par le tableau de la sclérose
latérale
amyotrophique, d'après Charcot. Mais à un exame
de notables différences avec la description de Charcot. La sclérose
latérale
amyotrophique est, d'après Charcot, une maladie
me dans le type clinique décrit par Charcot sous le nom de sclérose
latérale
amyotrophique », arrive-t-il à conclure que l'i
cher amyolrophischer Bulbdr paralyse complicirt mil amyolrophischer
Latéral
sclérose. Inann. dis- srt ? Durl>at, 188 ? ,
a- tion de H. Blumenthal ; elle n'est autre chose qu'une sclérose
latérale
amyotrophique parfaitement carac- térisée, à dé
en présence d'une affection spéciale, distincte de la sclé- rose
latérale
amyotrophique. Aujourd'hui encore, comme cela a
nous devons insister sur le caractère spasmodique de la sclérose
latérale
amyotrophique, : car c'est là la clef du diagnost
'état d'esquisse. Aussi voit-on peu à peu le cadre de la sclérose
latérale
amyotrophique s'élargir de plus en plus ; l'asp
, mais leurs modalités sont diverses; tantôt a tté- CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 183 nués, tantôt exagérés, ils p
. ' Charcot. Leçons sur les maladies du système nerveux. - Sclérose
latérale
amotophiq7ze, a édit., p. ? S0. 184 PATHOLOGIE
aisceau géziculé. Ceci étant donné, si l'on admet que la sclérose
latérale
amyotrophique ait son point de départ dans une
e OBSERVATION Il, en effet, l'évolution n'a pas de- CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 183 mandé moins de deux ans, et
le bulbe n'indique pas fatalement une marche rapide. La sclérose
latérale
a donc franchi une nouvelle étape; comme l'atax
ête et celle de son frère. Le front est aussi effacé sur les parois
latérales
, mais la dépression sus-sourcilière est moins p
ence R contil le ,long ? « ? ,... l .,J ? 1 , ],l ? tPl,l| tricules
latéraux
,' dont les parois ressemblent^ (v une épaisse cou
ature des cas de maladies systématiques compliquées des cor- dons
latéraux
et postérieurs et ont conclu qu'une seule, entr
remarqua une nuance grisâtre dans la partie postérieure des cordons
latéraux
de la partie inférieure de la moelle. De la d
antérieurs n'offrent pas de changements visibles. Dans les cordons
latéraux
, il y a légère prolifération du tissu conjoncti
ie inférieure de la portion en question la sclérose des fais- ceaux
latéraux
s'agrandit peu à peu et forme une bandelette 1
if des cordons postérieurs et du bord antéro-postérieur des cordons
latéraux
. Fig. 6. Coupe transversale 3 la limite des por
u conjonctif des cordons postérieurs et du bord externe des cordons
latéraux
. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 3
rieures, puis s'étend sans interruption à la périphérie des cordons
latéraux
, où elle s'étend graduellement à une région plu
marque surtout la sclérose dans les parties postérieures de cordons
latéraux
, où elle atteint la substance grise. La localisa-
e de la portion dorsale de la moelle épinière. Sclérose des cordons
latéraux
et postérieurs et du bord externe des cordons a
s la partie inférieure de la portion dorsale.- Sclérose des cordons
latéraux
et antérieurs. 312 PATHOLOGIE NERVEUSE. tion
ent à mesure que la proliféra- tion du tissu conjonctif des cordons
latéraux
augmente, les faisceaux de Goll sont atteints d
les cordons antérieurs et dans les parties antérieures des cordons
latéraux
la prolifération du tissu con- jonctif est beau
les cordons antérieurs et dans les parties antérieures des cordons
latéraux
; dans les parties postérieures on la remarque a
ures. Fig. 9.- Coupe dans la portion lombaire. Sclérose des cordons
latéraux
. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉIMNIÈKE. 3
faisceaux descendants (pyrami- daux) dans les cordons antérieurs et
latéraux
presque dans toute leur longueur; les faisceaux
i les limites anatomiques des faisceaux et surtout dans les cordons
latéraux
, il prenait le caractère net de la sclérose dif
la région lombaire. Le malade mourut de la thrombose 1 Idiopalhic
latéral
sclerosis. (I3rilisli médical Journal. Janv. 1881
e, on remarqua la sclérose dans la partie posté- rieure des cordons
latéraux
où la dégénérescence vers l'intérieur atteint l
ême localisation. Dans la portion lombaire les faisceaux pyramidaux
latéraux
étaient sclérosés. Il ressort de cette descript
ique em- brassant à peu près la région des faisceaux pyrami- daux
latéraux
, atteignit pourtant « die grauenzliche Schieht
ut être, eut aussi une signification à l'origine de la sclé- rose
latérale
, me parait très vraisemblable. Quoi qu'il : 11
t que la sclérose s'avança jusqu'à la moitié antérieure des cordons
latéraux
. Dans beaucoup d'eux les cor- dons latéraux et
ntérieure des cordons latéraux. Dans beaucoup d'eux les cor- dons
latéraux
et postérieurs ne furent pas épargnés, même la
cas on trouva la dégénérescence secon- daire des cordons pyramidaux
latéraux
; Dans deux cas, sclérose en plaques; Dans deu
n'y truuvrent has de changements caractéristiques pour la sclérose
latérale
systématique. 11 est il regretter que les auteurs
loppés au coude, au poignet, au genou, au coup-de-pied. Tremblement
latéral
delà tête peu accentué, pas de déviation de la
générescence descendante des faisceaux pyramidaux, dans les cordons
latéraux
. Il s'agit d'un lipôme pur ayant pris naissance
de tubercules que sur la convexité du cerveau; mais les ventricules
latéraux
étaient remplis d'uu liquide séreux louche et l
ancée des cordons postérieurs (avec lésion simultanée des cor- dons
latéraux
), un seul ne présentant aucune altération de la
simultanée sur les deux hémisphères, tandis que la pression uni-
latérale
n'a qu'une action réflexe unilatérale croisée, su
nière causées par l'élongation du), par Tarnowski, 35. ' Sclérose
latérale
amlotrophique (doux nouveaux cas de - avec au
1. « Devant votre oeil droit une lumière brille ! » contracture bi-
latérale
. 2. « Du côté de votre tempe droite il y a une
. « Devant votre oeil gauche, une lumière brille », contracture bi-
latérale
. 5. « Du côté de votre tempe gauche il y a de l
nu dans le plan sagittal médian qui divise le corps en deux parties
latérales
que l'on considère de poids égal. Reste à tro
ant la station hanchée amène des différences entre les deux parties
latérales
du corps. Ici, pas deux régions homologues qui
déplacé latéralement du côté de la jambe portante. Ce dé- placement
latéral
est nécessité par le transport de la ligne de gra
upérieur du grand fessier. Le tronc tout entier sous peine de chute
latérale
ne saurait suivre l'o- bliquité du bassin. Il e
sus de la base de sustentation. La colonne subit donc une inflexion
latérale
dont la convexité est tournée du côté où le bas
ement. Il en résulte que malgré leur rotation réciproque, les plans
latéraux
qui les renferment ne se croisent point. Ils sont
de par- ler, et il contribue avec celui-ci a limiter l'inclinaison
latérale
du bassin. Des deux hanches, l'une est saillant
n-fessier de la jambe portante est contracté pour empêcher la chute
latérale
du bassin. En outre, si le membre est porté en
de balancier dont l'effet est encore augmenté par les inclinaisons
latérales
du torse alternativement de sens contraire. Ce
i en éventail, au-dessous de l'écorce des régions postérieu- res et
latérales
de la région sphénoïdale, et dont les fibres se p
aleur et au froid est abolie dans tout le membre et sur la moi- tié
latérale
et inférieure du tronc du même côté, jusqu'à la f
nt sur le côté gauche au niveau des points d'émergence des branches
latérales
des nerfs correspondants. Il y a quelques jou
de la base de sustentation analogue à celle qui a lieu dans le sens
latéral
par suite de l'écarlement des pieds et sur laquel
est au moment de la verticale que correspond le maximum d'amplitude
latérale
de l'oscillation : ces oscillations sont doubles
signaler un mou- vement du torse, c'est un mouvement d'inclinaison
latérale
qui se produit à chaque pas du côté de la jambe
hent le tronc raide et immobile, les autres exagèrent l'inclinaison
latérale
jus- qu'au dandinement, etc. Je n'insiste pas.
i unilatéral. La raison en saute aux yeux. Elle s'oppose à la chute
latérale
du bassin entraîné par le poids du membre oscil
he en canard tient à deux causes principales : 1° une incli- naison
latérale
du bassin exagérée à chaque pas du côté de la jam
à chaque pas du côté de la jamhe oscil- lante ; 2° une inclinaison
latérale
du tronc dans son entier qui se trouve en même
n fessier atrophié, c'est celui de droite (Voy. l'1.1'II). La chute
latérale
du bassin ne se produira donc que pendant l'app
urs très saillantes l'une et l'autre, limitées par une dé- pression
latérale
et une autre inférieure, de telle sorte qu'a ce n
ncore souffler une bougie. On peut provoquer chez elle le nystagmus
latéral
dans le regard il droite ou z gauche, mais non
GRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE flexion de la tête en avant ou de flexion
latérale
sont faibles aussi, de même que le mouvement de
se dissimule cette atrophie des fessiers et retombe sur les parties
latérales
et supérieures des cuisses. Au MYOPATHIE PRIMIT
deux sterno-mastoïdiens sont très atrophiées et dans les positions
latérales
de la tête se dessinent peine. Les omo-hyoïdiens
hia muscularis progressiva, Leipzig, 1891. F.J. SnnTa.- Amyotrophie
latéral
sclerosis. Pseudo-hypertrophie paralysis. Ilunt.
e, Brit. méd. Journ., 1892, 20 fébr., p. 384. CHARCOT. - Sclérose
latérale
amyotrophique ou. amyotrophie hystérique ? Diffi-
ons sont identiques. L'épaule n'a plus son relief arrondi ; sa face
latérale
est aplatie. Les extrémités, externes de t'acro
ophiées, les craquements nombreux, l'indolence absolue, la mobilité
latérale
très nette, tout épanchement absent. Dans les
f). Le fait intéressant à relever nous paraît être la tendance uni-
latérale
de l'affection. Nous l'opposerons a)a tendance du
et 7 adultes, dont 2 .hommes. II Jadelot « enlevait une moitié
latérale
du rachis, de façon à conserver les émi- nenc
ans, écrasement du petit doigt droit, sorties d'esquilles, mobilité
latérale
anormale de la 3e phalange. A 43 ans, piqûre du m
u dos et les masses lombaires paraissent normaux ; les mouve- ments
latéraux
du tronc s'exécutent bien : le malade peut soulev
ut exagérer, et redresser la courbure dorsale ; dans les mouvements
latéraux
du tronc le malade déploie une force suffisante
nsibilité excluent l'atrophie musculaire progressive et la sclérose
latérale
amyotrophique. L'absence de douleurs, de rigidi
llous- say (10) établissent l'homodynamie des ganglions de la ligne
latérale
et (1) His, Zur Entwicklungsgeschichte des acus
of verteb., id. 1888. (3) ALLIS, The Anatomy and Developm. of the
latéral
Line system in Amia Calva, J. blorphol., 1890.
qui est im- pair et médian, le neural (intermédiaire de Dis), et le
latéral
(IIoussay), qui sont pairs, se développent simu
ion du ganglion spinal dans le gan- glion de Scarpa=Corti. Le ruban
latéral
se fragmente aussi, mais très iné- galement. Da
nt. Dans la région céphalique ou branchiale, il forme les ganglions
latéraux
, qui sonl les ganglions crâniens ; au delà il res
ndivis et continue à s'appeler nerf lalérrtl (Houssay). Sur ce nerf
latéral
se montrent cependant, chez beaucoup de vertébr
s inférieurs et d'embryons, les traces très nettes d'une neurotomie
latérale
, restée virtuelle comme celle de la Significati
e virtuelle comme celle de la Signification m5tamnrique des organes
latéraux
, Arch. de Zool. exp., 1891. Voir égale- ment. N
, et qui n'est manifestée que par l'apparition d'organes sensoriels
latéraux
et de branches vasculaires répétant le type de la
- quement l'oreille du vertébré est un organe sensoriel de la ligne
latérale
; de plus, Houssay a signalé chez l'axolotl l'e
chiale entoclermique qui avorte sous l'expansion rapide du ganglion
latéral
auriculaire. Celui-ci s'interpose entre l'invagin
d'une l'ente branchiale avortée, comme tous les organes de la ligne
latérale
. Si l'on se reporte à ce que cet auteur a décri
lopper d'une façon extraordinaire les fonctions simples des organes
latéraux
dans un plan qui n'a aucunement dévié de la des
ectodermique homologue Il tous les organites sensoriels de la ligne
latérale
. C'esl, non une hranchie avortée, mais une vési
entés, même virtuellement, le ganglion spinal du tronc, le ganglion
latéral
crânien, les rameaux supra, pra) et posthranchiau
ercule acoustique d'abord, et aussi, par l'olive supérieure, l'anse
latérale
, le noyau du ruban de Reil, le tubercule quadri
e esquille formée non seulement par la lame mais aussi par la masse
latérale
de la vertèbre et la partie Fig. 94 et 93. - Di
umeau du ganglion facial, qui, lui, semble bien naître de la chaîne
latérale
,' il affirme néanmoins de plus en plus par la sui
Clarke, le noyau médian des racines antérieures de Krause, le noyau
latéral
de Stieda et Schwalbe, la partie externe du noy
be, la partie externe du noyau supérieur de IIenle, le noyau dorsal
latéral
, le noyau à grosses cellules, etc. Celles-ci peuv
VIII a) d'IIu;uenin et Meynert, l'accessoire de Sclnvalbe, le noyau
latéral
des racines antérieures de Krause, l'inférieur
t superfi- ciellement, se trouve le tubercule acoustique, tubercule
latéral
, ganglion acoustique superficiel, formé de peti
de petits éléments, de 10 f. Ce noyau (TA) n'est qu'un prolongement
latéral
du noyau antérieur. Tels sont les cinq noyaux p
ent des parties profondes de la moelle et gagnent avec elles l'anse
latérale
qu'elles contribuent à former et aboutissent à
parlie d'arrière en avant et remontaient du côté opposé dans l'anse
latérale
jusqu'aux lobes temporaux. Bechterew et les auteu
ure, remontent du côté opposé dans la portion interne de la colonne
latérale
, traversent la partie externe de la formation r
s le raphé, le par- courent et remontent du côlé opposé dans l'anse
latérale
et aboutissent les unes à l'écorce temporale di
commissure postérieure,. rejoint dans le faisceau interne de l'anse
latérale
les fibres médullaires dont nous avons parlé plus
u se dirige en arrière et en dedans, et gagne, d'après Held, l'anse
latérale
du même côté, et probablement la temporale corres
se en arrière de l'olive supérieure opposée, et remonte dans l'anse
latérale
vers l'écorce temporale. Ce faisceau qui unit t
espondant (lfeld) ; un autre traverse le raphé et monte dans l'anse
latérale
vers le lobe temporal (Ileld). Un autre, parti de
tébrés, en passantpar l'organe central du Cténopbore et les organes
latéraux
des Vertébrés inférieurs, tous ont sans exception
gauche reprennent toute leur activité. Manifestement, les péroniers
latéraux
sont les derniers muscles il redevenir normaux.
ent à la parésie légère des extenseurs des orteils et des péroniers
latéraux
. Rapidement, cette gêne disparut, les béquilles
s par la station debout en même temps qu'augmentait l'inclinai- son
latérale
de la tête, leur situation du côté opposé à cette
ullaires, telles que l'atrophie musculaire progressive, la sclérose
latérale
amyotrophique, l'ophtalmoplégie et parfois le t
c les services géné- raux par une galerie centrale, ou des galeries
latérales
. M. LtÉCAUT. Il me semble que la construction d
0,07c/m. de diagonale antéro-postérieure et 0,075m/m. de diagonale
latérale
. L'angle antérieur est aigu et se continue par
és et d'un tissu plus spongieux que le reste du crâne. Dans l'angle
latéral
droit, un peu en avant de son sommet, se trouve
ette de chaque côté sur un trajet de 0,02c/m. ; à partir des angles
latéraux
de la fontanelle, elle est synostosée complètem
tie supérieure de l'occipital, au niveau de bregma et sur la partie
latérale
du frontal droit. ORS. V. Idiotie symptomatique
en plus faibles. * ? 1891. Accès de colère et de cris. Balancement
latéral
de la tête et antéro-postérieur du tronc; grima
cellules siégeant dans la cavité du 4° ventricule et sur la partie
latérale
du bulbe et du cervelet. Hydrocéphalie : dilata
e des dentelures, est libre dans toute son étendue. Sur les parties
latérales
de chaque côté, on peut insinuer un crin de bro
pique. - Dure-mère peu épaisse, pâle ; sang fluide dans les sinus
latéraux
. Les différentes cavités de la base sont symétriq
u tiers inférieur de la circonvolution du corps calleux. Ventricule
latéral
un peu dilaté. Couche optique et corps, striés
et enfin sur quelques points de Il mais pas de sclérose. Ventricule
latéral
un peu dilaté. - Couche optique, corps strié, c
ncée sur les mêmes régions qu'à gauche. Corne d'Ammon, ventricule
latéral
, masses centrales, rien de particulier. Cou.
s. Thymus (35 gr.) s'étendant depuis la partie inférieure des lobes
latéraux
du corps thyroïde jusqu'à la moitié inférieure
r le lobe carré, moins nombreuses sur le lobe oceipital. Ventricule
latéral
non dilaté. Couche optique et corps strié sains
pour la face convexe et deux tiers pour la face interne. Ventricule
latéral
, cou- che optique et corps strié rien. Même asp
6 Épilepsie. coloration blanchâtre qui contraste avec les parties
latérales
dont la coloration est rouge intense. Des incis
est sorti en jet. En séparant les deux hémisphères, les ventricules
latéraux
appa- raissent remplis de liquide céphalo-rachi
et les vaisseaux de la base du crâne sont normaux. Les ventricules
latéraux
, dilatés, forment de véritables poches surtout
plus coloré et plus spongieux que le reste du crâne. Dans l'angle
latéral
droit, un peu en avant de son sommet, se trouve c
on apparente de. la circonvolution de l'hippocampe. - Le ventricule
latéral
gauche est très notablement dilaté ; il a envir
ription . des hémisphères cérébraux. - Dilatation des ventricules
latéraux
, du fim° ventricule et de l'aqueduc de Sylvius.
es contigues, premières molaires profondément cariées. Inci- sive
latérale
droite absente (non sortie ou arrachée). La can
duite à une sorte de lacis vasculaire. - Les parois des ventricules
latéraux
sont très dilatées, surtout au niveau do leurs
ie a révélé une particularité : outre la dilatation des ventricules
latéraux
ordinaire chez les hydrocéphales, on constate l
Le maxillaire supérieur offre une atrophie de l'os intermaxillaire
latéral
droit et la réduction des diamètres transversal
es permanentes offrent un type très marqué de géantisme, l'incisive
latérale
permanente gauche seule existe, la latérale dro
e géantisme, l'incisive latérale permanente gauche seule existe, la
latérale
droite manque, la canine également : à la place
grosses molaires perma- nentes. Au maxillaire inférieur, l'incisive
latérale
gauche que le sujet possédait, manque. Les troi
, un air de famille. L'hy drocépha- lie occupe soit les ventricules
latéraux
seuls, soit en même temps la cavité arachnoïdie
stérieure a la forme d'un triangle isocèle Fig. 54. V L, ventricule
latéral
. - C L. cloison transpasente. C R, cir- convolu
en haut et s'élève à 5 centimètres au des- sus du plan des parties
latérales
. La faux du cervelet n'est pas appréciable. U
la surface de l'hémisphère cérébral gauche et aboutissant au sinus
latéral
du même côté est oblitérée par une throm- bose
. L'autopsie nous montre une dilatation plus grande du ventricule
latéral
gauche et une légère dilatation du quatrième ve
ire, à peine du volume d'un petit oeuf de pigeon. Les ventricules
latéraux
sont considérablement dilatés et contiennent 57
t représenté que par le vermis, légère- ment renflé sur ses parties
latérales
. Le bulbe et la pro- tubérance sont normaux.
lutions étaient étalées, les sillons peu profonds, les ventricules
latéraux
très dilatés, comme dans tous les cas d'hydrocé
des carac- tères propres : L'un (Gren...) a surtout le ventricule
latéral
gauche distendu, tandis que chez Lob... c'est s
27B Hydrocéphalie. sentait Une dilatation plus grande du ventricule
latéral
gauche et une dilatation de l'aqueduc de Sylviu
- Examen du crâne. Congestion méningée. - Dilatation du ventricule
latéral
gauche. Absence de lésions macroscopiques expli
ation autres que les plaques congestives si- gnalées. Le ventricule
latéral
gauche est notablement dilaté, surtout au nivea
a de fréquents accès de colère ; présente comme tic un balancement
latéral
de la tête continuel. Il ne mâche pas, a été pr
es sont assez accusées. Front haut et bombé étroit avec dépressions
latérales
et au-dessus des sourcils. Arcades sour- cilliè
erveuse paraît lavée par le séjour dans ce liquide. Les ventricules
latéraux
, tant à droite qu'à gauche, sont dilatés et il
cellules siégeant dans la cavité du 4e ventricule et sur la partie
latérale
du bulbe et du cervelet. Hydrocéphalie : dilata
araissant faire hernie en dehors du 4- ventricule par les orrifices
latéraux
de ce ventricule correspondant aux points de péné
omplètement la ca- vité ventriculaire et présente des prolongements
latéraux
, P, P, qui la relient aux tumeurs extra-ventric
cule. Après section du corps calleux, il s'écoule des ventricules
latéraux
une quantité considérable de liquide limpide (600
quantité considérable de liquide limpide (600 gr.) Les ventricules
latéraux
sont uniformément dilatés, sans que leur forme
at normal. Il en est de même des plexus choroïdiens des ventricules
latéraux
. Le 3mi ventricule est également dilaté, mais d
dans une proportion beaucoup moins considérable que les ventricules
latéraux
. L'aqueduc de Sylvius a son diamètre normal. Le
du 3me ventricule et une dilatation considérable des ventricules
latéraux
, en un mot une hydrocéphalie symptomati- que. L
symptomatique entraînant fatalement une dilatation des ventricules
latéraux
et du troisième ventricule. A cet égard les obs
marche est lourde, traînante, compliquée d'une sorte de balancement
latéral
. Le corps est souvent penché en avant et l'enfa
ne a 2 incisives inférieures et 4 supé- rieures, les deux incisives
latérales
inférieures commencent à pointer. Solution Coir
onnaissance pendant 3 jours. - Diminution de lapar oie. Tremblement
latéral
de la tête. Torticolis à gauche. Accès de colèr
n qui, au début, avait été accompagnée d'un tremblement ner- veux
latéral
de la tête. L'enfant parlait moins bien qu'à troi
incisives inférieu- res, les deux médianes sont absentes, les deux
latérales
sont obliques, se rapprochant en haut au niveau
s au niveau des deux trochanters, escharres fessières, médiane et
latérales
. La rigidité cadavérique a complètement disparu.
calleux, couche optique, corps strié, corne d'Am- mon, ventricules
latéraux
, rien de particulier. Les digitations de l'insu
slila sont au nombre de quatre. Les masses centrales, le ventricule
latéral
, la corne d' : lmtnot2, etc. sont normaux. Ce
es dents. Depuis ' ses premières années, il présente un balancement
latéral
dis- continu. On avait remarqué qu'il traînait
ellules siégeant dans la cavité du 4rac ventricule et sur la partie
latérale
du bulbe et du cervelet. Hydrocéphalie : dilata
Daraissant faire hernie en dehors du 4° ventricule par les orifices
latéraux
de ce ventricule correspondant aux points de péné
seur. Après section du corps calleux, il s'écoule des ventricules
latéraux
une quantité considérable de liquide limpide (600
normal. Il en est de môme des plexus ohoroïdiens des ventricules
latéraux
. Le 3° v,eltricul est également dilaté mais dans
ns une proportion beaucoup moins considérable que les ventricules
latéraux
. L'aqueduc des Sylvius a son diamètre normal. L
du cerveau dans l'alcool. Les plexus choroï- diens des ventricules
latéraux
sont normaux et n'offrent pas de nodules néopla
omplètement la ca- vité ventriculaire et présente des prolongements
latéraux
, P, P, qui la relient aux tumeurs extra-ventric
un très léger degré d'épaississement de la pie- mère dans la région
latérale
et postérieure et au niveau de la partie inféri
ure de la moelle cervicale. Il n'existe pas de sclérose des cordons
latéraux
ou des cordons postérieurs, pas de lésion des c
troisième ventricule et une dilatation considérable des ventricules
latéraux
, en un mot une véritable hydrocéphalie sg Diplo
t sur le même plan avec la région pariétale formant ainsi la face
latérale
du prisme crânien. La voûte, du crâne est aplatie
l'une de l'autre. Les canines et prémolaires de lait, les incisives
latérales
sont tombées lais- sant un espace vide. La 1 ?
para- lysie oculaire en rapport avec les lésions cérébrales uni-
latérales
ou bilatérales. Nous savons au contraire que da
tre, parait également atrophié : la couche optique, le ventricule
latéral
, etc, n'ont rien de particulier. Hémisphère gau
e l'épaisseur des commissures. Dans la substance blanche, le cordon
latéral
est en partie dégénéré sans participation du fa
nstate du premier coup d'oeil la dégénérescence avancée des cordons
latéraux
; mais cette dégénérescence est beaucoup plus ma
e parallélisme entre l'atrophie de la corne antérieure et du cordon
latéral
du même côté. Réflexions. I. Cette observation
ensibilité au froid plus vive à gauche qu'à droite. Zone thoracique
latérale
gauche, sur la ligne axillaire au niveau du 5e
° une première en vertu de laquelle la face supérieure devient face
latérale
gauche; une deuxième dans le sens antéro-postér
ait que les pertes de substance qui pénétraient jusqu'au ventricule
latéral
. Nous pensons qu'on doit revenir à cette concep
ent, et il y avait un orifice de commu- nication avec le ventricule
latéral
, dans lequel plon- geaient les circonvolutions,
esporus, POItl;1 C LPHALII; . 169 communiquent avec le ventricule
latéral
de chaque côté. L'enfant était un idiot complet
nt la poche, qui siège à gauche, ne commu- nique avec le ventricule
latéral
. Enfin dans notre dernier cas, qui paraît calqu
us forme d'un pseudo-kyste ne com- muniquant pas avec le ventricule
latéral
, et occupant comme le précédent presque tout le
nation. Léger' ballonnement du ventre. Selles normales. Balancement
latéral
de la tète. Pas de chantonnement, pas de cris.
ppocampe, unie, se termine un peu en forme de massue. Le ventricule
latéral
n'est nulle- ment dilaté ; il est plutôt étroit
de largeur. Cette cavité répond à la corne temporale du ventricule
latéral
. La 1,,e frontale, volumineuse, est composée de
cavité qui parait faire partie de la corne occipitale du ventricule
latéral
. Face interne. La 1 ? frontale se compose d'abo
le assez régulière. La cloison cache en grande partie le ventricule
latéral
. 11 faut l'enlever pour voir ce ventricule, le
de. ration qui répond en avant à la corne temporale du ventricule
latéral
. ' Il est très difficile, en se basant sur les
d à la convexité et dont le fond s'avance un peu dans le ventricule
latéral
. La base de l'entonnoir mesure 53 millimètres d
moitié supérieure. Elle forme uncsorte de voile dans le ventricule
latéral
, laissant en avant un orifice semi- lunaire de
rait formée par la cavité largement ouverte au centre du ventricule
latéral
. Les parties blanches qui existent à ce niveau
ne de la queue du corps strié, sur la paroi externe du ventricule
latéral
. Face interne. On trouve d'abord une masse quad
rié et la couche optique paraissent sains, normaux. - Le ventricule
latéral
n'est pas dilaté. - OBS. III. PSRUDO-POR1;\GI;P
ès superficiels. Le corps opta-strié paraît normal. - Le ventricule
latéral
n'est pas dilaté. Hémisphère droit. -11'0 front
opto-strié normal ainsi que la corne LL ? 1a72)t20at. - Fentricule
latéral
non dilaté. OIIS. IV. PSEUDO-YOItENCPH : ILIE U
ne mince couche de la substance blanche qui la sépare du ventricule
latéral
et des noyaux gris. Il n'existé aucun orifice d
e, non sclérosée. Corps opto-strié, rien de particulier. Ventricule
latéral
non dilaté. Hémisphère droit. Face convexe. Lob
rëchts, rien de particulier. Corps opta-strié normal. Ventricule
latéral
non dilaté (t). Ces deux groupes, comprenant ch
sidérations générales. 205 tion de la dépression avec le ventricule
latéral
. Dans la pseuclo-porencéphalie cette communicat
étruire com- plètement la substance cérébrale jusqu'au ventricule
latéral
et établir ainsi une large communication avec l
gue à du suif. La colonne vertébrale présentait une double courbure
latérale
très forte. Un morceau de la substance du front
vert : la dure-mère a été détachée au niveau des fosses antérieure et
latérale
de la base du crâne : dans certains points, elle
he /j. Les tumeurs crâniennes occupaient et la voûte et les régions
latérales
du crâne. La fig. 1 représente la voûte du crân
médian PR, plus grêle, représente les deux péronés confondus,et deux
latéraux
sont formés par les tibias T, T'. Les deux pieds,
ette note, plusieurs côtes étaient réunies. Le développement des arcs
latéraux
des vertèbres lombaires m'a paru moins avancé que
embres inférieurs autour de leur axe, et leur fusion par une pression
latérale
, peuvent être l'effet d'une seule et même cause,
ent être l'effet d'une seule et même cause, savoir, d'une compression
latérale
qui, en agissant sur le bassinet sur les grands t
froy Saint-Hilaire, d'après M. Serres, tous les organes sont pairs et
latéraux
, parce que ceux qui, par la suite, doivent deveni
suit-elle pas ensuite la même marche ? Pourquoi chaque organe pair et
latéral
ne se réunit-il pas à son congénère si parfaiteme
parfaitement semblable à lui-même? C'est que : les organes pairs et
latéraux
étant séparés l'un de l'autre par un intervalle p
lement toutes les phases de leur développement; les parties paires et
latérales
seraient des parties arrêtées dans leur développe
peut très bien s'expliquer par une cause mécanique, par une pression
latérale
exercée sur le bassin et sur les membres inférieu
ercée sur le bassin et sur les membres inférieurs; que cette pression
latérale
survenant à une des premières époques de la vie e
le passage du germe fécondé à travers la trompe), que cette pression
latérale
, dis-je, détermine la fusion des membres ; que, s
ue présente la partie sous-ombilicale de son corps ; a° sur la partie
latérale
gauche de la colonne lombaire, une ouverture par
iane ET représente les deux grands trochanters confondus, et les deux
latérales
représentent les deux têtes du fémur TD, chacune
éminences secondaires F, F'qui répondaient aux deux rotules, et deux
latérales
. L'éminence moyenne est formée par deux condyles
L'éminence moyenne est formée par deux condyles réunis; les éminences
latérales
, chacune par un condyle. lia jambe est représen
'éminence du fémur, qui résulte de la réunion des deux condyles; deux
latérales
, numérotées 2 et 3, qui s'articulent avec les émi
eux latérales, numérotées 2 et 3, qui s'articulent avec les éminences
latérales
de l'extrémité inférieure du fémur. Il est facile
mur, vu du côté externe: son extrémité inférieure présente une poulie
latérale
parfaitement distincte, qui se réunissait en avan
térale parfaitement distincte, qui se réunissait en avant à la poulie
latérale
du côté interne. Cette extrémité inférieure résul
te extrémité inférieure résultait donc de ladossement de deux poulies
latérales
. Le corps du fémur offrait une sorte de croisemen
bipède, les membres supérieurs ne peuvent s'appliquer sur les parties
latérales
du tronc, sans effort,sans traction considérable
: il n'existe de l'occipital que la portion basilaire et les parties
latérales
. Il y a absence des (i) Consultez , pour les dé
; il y a fissure médiane de l'épine avec écartement des deux moitiés
latérales
. La moelle, ou ce qui en tient lieu, est immédiat
phie des parties situées sur la ligne médiane avec fusion des parties
latérales
, il me semble qu'une pression latérale, à laquell
diane avec fusion des parties latérales, il me semble qu'une pression
latérale
, à laquelle le fœtus aura été soumis dans les pre
entripète, c'est-à-dire la tendance à la réunion des organes pairs et
latéraux
, et l'affinité de soi pour soi. L'étude des vices
onformation qu'on rencontre quelquefois en même temps que les fusions
latérales
du crâne, vient à l'appui de cette manière de voi
, le peintre a mieux rendu que sur les figures 1 et 2 une inclinaison
latérale
des membres inférieurs, en vertu de laquelle les
e sont confondus: il n'en est pas de même des longs et courts péronés
latéraux
droit et gauche, LPL,CPL,qui sont distincts posté
ie, savoir que ce vice de conformation est le résultat d'une pression
latérale
, qui, à une époque très peu avancée de la vie emb
st on ne peut plus facile à expliquer, parle seul fait de la pression
latérale
, vu l'obliquité d'avant en arrière et de dedans e
ent atrophiés les muscles thyro-aryténoïdien TA et crico-aryténoïdien
latéral
CAL. Cette même figure présente le contraste fort
l ne naît pas du centre de la tumeur, mais de la partie inférieure et
latérale
gauche. 3° La poche, malgré sa transparence, est
abdomen, « fermée alors antérieurement aussi bien que sur ses parties
latérales
, et ne communiquant « plus avec l'intérieur que p
sée en zone, d'où la distinction qu'on peut établir entre les ulcères
latéraux
et les ulcères circonférentiels ou en zone. Les
retrouver vestige, le canal .cholédoque communiquait avec une cavité
latérale
, à parois escharifiées. Serait-ce une poche formé
ourront servir à jeter quelque jour sur cepoint i mportant : Goitre
latéral
énorme, formé aux dépens de la moitié gauche du c
anchâtre. Cette tumeur existait depuis un temps indéterminé. Goitre
latéral
osseux et celluleux.—Sur unefemme âgée,morte d'un
it extrêmement épaisse et formée de lamelles superposées. Le goitre
latéral
est souvent constitué par un kyste développé dans
s parois de ce kyste. Chez une vieille femme, qui portait un goitre
latéral
droit très considérable, j'ai trouvé que la tumeu
roïde, l'autre se développant en dehors de cette capsule. Le goitre
latéral
peut quelquefois donner lieu à des erreurs remarq
erreurs remarquables de diagnostic. On sait combien souvent un goitre
latéral
, que soulevait l'artère carotide primitive, a été
évrisme de cette artère. Dans le cas suivant, je crus non à un goitre
latéral
, mais à une de ces tumeurs adipeuses et fibreuses
une de ces tumeurs adipeuses et fibreuses, si fréquentes à la partie
latérale
du col. Il est vrai que le goitre occupait le pro
à laquelle elle succomba, le 17 mai. Cette femme portait à la partie
latérale
droite du col une tumeur étendue depuis l'extrémi
juin 1819, dans le service de M. Richerand. On remarqua sur la partie
latérale
gauche et inférieure de la poitrine une tumeur ar
origine au sommet du poumon, et son orifice de sortie sur la partie
latérale
gauche du larynx. La pièce représentée fig. 2 m
tuleux très large TF,conduisait directement de ce foyer sur la partie
latérale
gauche du col où il s'ouvrait par un orifice OE a
trajet fistuleux était antérieur aux vaisseaux et nerfs de la région
latérale
du cou. Réflexions. Les seuls renseignemens que
rapporterai une observation de fistule pulmonaire, occupant la partie
latérale
droite du sternum , et survenue à la suite d'un c
e gangrené, avec carie 'du sternum. — Orifice de sortie à la partie
latérale
droite du sternum. Marie Poteau , 55 ans, entra
très dur. Dans les derniers jours de septembre, on voit à nu le bord
latéral
droit du sternum carié et noir, et le cartilage d
e des caillots sanguins qui remplissent les petites poches ou cavités
latérales
que présentent les veines variqueuses sur leur tr
rtie supérieure de la veine saphène présente une dilatation ou varice
latérale
très considérable. Cette varice a été ouverte pou
rte la partie supérieure de la veine saphène. On y voit que la varice
latérale
n'occupait qu'un des points de la circonférence d
ielles lorsqu'elles occupent toute la circonférence du vaisseau et en
latérales
lorsqu'elles n'occupent qu'un des points de cette
s, dans l'aorte en particulier, on rencontre quelquefois une artérite
latérale
, je veux dire une artérite qui n'occupe qu'une pa
te occupe en général toute la circonférence du vaisseau. L'artérite
latérale
de l'aorte ne paraît avoir eu aucune part à la ga
te en outre des bosselures que nous verrons répondre à des anévrysmes
latéraux
de cette artère. Les sinus aortiques sont très
s tel autre cas, elles produisent un anévrysme. Dans les anévrysmes
latéraux
ou bosselures représentés planches 1, 2 et 3, xxv
en bas des deux côtés; matité complète en arrière et sur les parties
latérales
. 20 A la palpation, sensation de battement cons
e part et la violence de l'impulsion d'une autre part. A la douleur
latérale
gauche, que le malade accusait les premiers jours
che, que le malade accusait les premiers jours, a succédé une douleur
latérale
droite en bas, au-dessous de la mamelle. Depuis c
tous les points de sa longueur, je reconnus à la partie supérieure et
latérale
gauche de la région dorsale, une tumeur fluctuant
on. â Le 21 juillet, pleurésie gauche, caractérisée par une douleur
latérale
très vive, une matité complète de tout le côté ga
rtique ; cette poche était, en quelque sorte, implantée sur la partie
latérale
gauche des quatre premières vertèbres dorsales, e
nière. ( PLANCHE III , XLe LIVRAISON. ) Fig. 2 et 2'. — Anévrysme
latéral
de l'artère carotide primitive. La figure 2 rep
aucun renseignement sur le sujet auquel avait appartenu cet anévrysme
latéral
de la carotide primitive. J'ignore si la maladie
la tumeur, ont commis une grave erreur, au moins quant à l'anévrysme
latéral
ou par emporte-pièce. Le véritable caractère de
me , n. 17, service de M. Breschet (1). Cet homme portait à la région
latérale
gauche du cou une tumeur ovoïde du volume d'un œu
J'entendis d'abord de la crépitation sèche à la partie postérieure et
latérale
gauche du thorax , puis de la crépitation humide.
el dont le mécanisme est tout-à-fait semblable à celui de l'anévrysme
latéral
des artères. Anévrysme faux partiel du cœur con
icule par un orifice très étroit: il serait possible que l'ané-vrisme
latéral
ou partiel du cœur commençât dans quelques cas pa
urs inutile pour lui. La seule position tolérable, c'est le décubitus
latéral
droit, la tête étant extrêmement élevée. Les jo
la région du cœur; plusieurs vésicatoires sont promenés sur la région
latérale
gauche du thorax/Purgatifs répétés, boissons diur
velet, une tumeur dure, mamelonnée qui comprimait fortement la moitié
latérale
gauche de la protubérance, le bulbe rachidien, le
e paire crânienne; car la protubérance était comprimée dans sa moitié
latérale
gauche et aucun phénomène de myotilité ni de sens
rveau était la paroi inférieure de la portion réfléchie du ventricule
latéral
, et le ramollissement s'étendait jusqu'au ventric
oitié de l'espace compris entre les fosses occipitales inférieures et
latérales
du cervelet ; elle adhérait par un pédicule extrê
ré. Protubérance un peu déformée ; ligne médiane saillante; parties
latérales
déprimées. Petit foyer celluleux dans l'épaisseur
fiées, le sacrum et les tubérosités de l'ischion dénudés. Les parties
latérales
du (t) Observation recueillie par M. Olivieri,
res îles gris rougeâtre T'R', T'R', T'R', sur les faces antérieure et
latérale
de la moelle. Fig. i'. D'autres îles rougeâtre
rmes, dont on sait que la couche blanche est formée par les faisceaux
latéraux
de la moelle. Cette transformation gris jaunâtre
se prolonge et cesse au niveau du cervelet. Les cordons antérieurs et
latéraux
sont parfaitement sains. La coupe de la moelle ét
ieure, l'altération avait commencé à envahir la portion des faisceaux
latéraux
, qui avoisine les cordons médians postérieurs. Le
s l'état le plus parfait d'intégrité. Réflexions. Ici les faisceaux
latéraux
avaient commencé à subir la transformation à la p
bres juxtà-posées. Les autres faisceaux de la moelle, antérieurs et
latéraux
, étaient parfaitement sains; la substance grise p
tion médiane avait été seule appréciable pendant la vie. Les portions
latérales
ne faisaient pas à l'extérieur de saillie notable
le est comprimée et que la compression porte seulement sur une moitié
latérale
de cette moelle. Tel est le cas que j'ai rappor
qu'une partie des fibres de ces cordons. Les colonnes postérieures et
latérales
de la moelle sont intéressées dans une bien plus
égénération , qui a envahi les faisceaux postérieurs et les faisceaux
latéraux
, n'est point du tout superficielle, mais pénètre
sé que le mouvement (i) ; or, l'altération des cordons postérieurs et
latéraux
de la moelle était beaucoup plus étendue et plus
là , il y avait déplacement considérable d'une vertèbre, déplacement
latéral
et antéro-postérieur. L'arachnoïde spinale prés
du sang noir à sa surface, présente une teinte violacée. A sa partie
latérale
droite, est une petite déchirure qui fait communi
qui sont remplis de caillots de sang, tandis que les deux ventricules
latéraux
contiennent une sérosité sanguinolente. Thorax.
ntricule. Les tubercules quadrijumeaux étaient sains. Les ventricules
latéraux
contenaient une grande quantité de sérosité lie-d
ctorale. Cet anévrysme avait trois pouces de long, occupait la partie
latérale
droite du vaisseau : sa surface, était bosselée,
probablement de date récente entre le deuxième abcès et le ventricule
latéral
correspondant, se concilient difficilement avec l
elle seule autant de longueur que la partie supérieure du ventricule
latéral
. Peut-on guérir de tubercules développés à la s
ons s'étend à toute l'épaisseur de la portion réfléchie du ventricule
latéral
. La substance grise de plusieurs circonvolutions
rieure de ce corps en offrait quelques-unes; les parois du ventricule
latéral
présentaient des plaques d'ecchymose qui occupaie
ilieu desquels on trouvait une matière purulente lie-de-vin. Le sinus
latéral
droit était également le siège d'une phlébite,ce
t saine. Les veines de la base du cerveau, qui aboutissaient au sinus
latéral
droit étaient également enflammées. Le sinus laté
ssaient au sinus latéral droit étaient également enflammées. Le sinus
latéral
gauche, de même que tous les sinus de la base du
e du sinus longitudinal supérieur et de la partie attenante des sinus
latéraux
. Cette phlébite est caractérisée: ici par du sang
a la consistance d'une fausse membrane récente. La phlébite des sinus
latéraux
ne s'étend qu'à un pouce du confluent ou pressoir
lles qui répondent à la portion réfléchie ou inférieure du ventricule
latéral
, ont subi l'apoplexie capillaire dans la nuance l
es et les corps striés avaient leur volume naturel. Les ventricules
latéraux
étaient tapissés par une membrane très dense, qui
stait à l'autopsie, ne put découvrir ni corps calleux, ni ventricules
latéraux
, ni couches optiques, ni corps striés, ni tubercu
de la face supérieure du corps du sphénoïde, la profondeur des fosses
latérales
et moyennes et la petitesse des fosses latérales
rofondeur des fosses latérales et moyennes et la petitesse des fosses
latérales
postérieures ou cérébelleuses. Comme le col du su
et grumeleux dont j'ai parlé, provenait de l'intérieur du ventricule
latéral
droit et n'avait aucune communication avec le kys
veau de sa grande circonférence, et par conséquent au niveau du sinus
latéral
gauche, dans l'intérieur duquel elle semblait pre
a convexité du lobe antérieur: elle naissait en même temps de la face
latérale
droite de la faux dans toute sa hauteur. Les os d
tion détaillée de la tumeur de la dure-mère: la tumeur née de la face
latérale
droite de la faux et delà portion de dure-mère,
est d'ailleurs parfaitement sain. J'ai constaté dans les ventricules
latéraux
une disposition assez curieuse : la cavité digita
paisseur de la paroi inférieure de la portion réfléchie du ventricule
latéral
. Une membrane celluleuse dense établit la barrièr
, qui forme la paroi inférieure de la portion réfléchie du ventricule
latéral
, a exercé sur les facultés intellectuelles une pl
s appris autrefois, mais sur toute l'étendue des parois inférieure et
latérale
de la portion prostatique de l'urèthre(i). J'ajou
baire, au dessous de la dernière côte, et par la région antérieure et
latérale
moyenne de l'abdomen. La fluctuation y était on n
che du scalpel, s'effile sous la forme de vermicelle par une pression
latérale
, ou est emportée à l'aide d'un filet d'eau; et al
eux ganglions situés l'un à droite, l'autre à gauche, sur les parties
latérales
du bassin, au niveau de la partie la plus élevée
ophie du rein correspondant. Les rapports de l'uretère avec la partie
latérale
et supérieure du vagin et avec le bas-fond de la
gastrique ; mais quelle fut ma surprise, lorsque je vis que la moitié
latérale
gauche du bassin était remplie par une masse indu
ait aucune dissection. La symphyse ayant été cernée par deux coupes
latérales
, j'ai fait enlever cette symphyse avec toutes les
um, de l'anus, des aines, de l'hypogastre, des régions antérieures et
latérales
, des régions postérieures des cuisses? Mais si ce
sion dorsale, monstres par adhésion antérieure, monstres par adhésion
latérale
. Les monstres par adhésion dorsale comprennent
oraciques, les adhésions céphalo-thoraco-abdominales. Les adhésions
latérales
comprennent, i° l'adhésion pelvienne qui est touj
bite par apoplexie pulmonaire. 40e liv., pl. n, ni, p. 4. — Anévrysme
latéral
de l'artère carotide primitive. 40e liv., pl. m,
spontanée de la couche optique avec communication dans le ventricule
latéral
. Hémiplégie complète, délire et mouvemens convuls
bite par apoplexie pulmonaire. 40e liv., pl. n, ni, p. 4. — Anévrysme
latéral
de l'artère carotide primitive. 40e liv., pl. ni,
correspondans à la surface interne enflammée du vaisseau; l'artérite
latérale
ne troublant pas sensiblement la circulation n'en
mmaire gangrené, avec carie du sternum. Orifice de sortie à la partie
latérale
droite du sternum. 32e liv., pl. v, p. 3. — Il es
absolue; absence du lobe moyen gauche et communication du ventricule
latéral
avec la cavité de l'arachnoïde extérieure. Déform
spontanée de la couche optique avec communication dans le ventricule
latéral
. Hémiplégie complète, délire et mouvemens convuls
ntérieurs du cerveau et atrophie de son hémisphère droit. Ventricules
latéraux
ouverts antérieurement. Ventricule droit ouvert e
es. Guérison.= Choléra moyen très in- tense; crampes abdominales et
latérales
du tronc ; vomisse-mens ; hoquet. Guérison rapide
t d'origine au sommet du poumon, et son orifice de sortie sut* partie
latérale
gauche du larynx. == Fistule pulmonaire, suitt, d
mmaire gangrené, avec carie du sternum. Orifice de sortie à la partie
latérale
droite du sternum. 32e liv., pl. v, p. 3. — Fistu
es hydatides placentaires. lre liv., pl.i, 11, p. 3. GOITRE. Goitre
latéral
énorme, formé aux dépens de la moitié gauche du c
norme, formé aux dépens de la moitié gauche du corps thyroïde. Goitre
latéral
osseux et celluleux. 5eliv.', pl. iv, p. 1. —Cons
eux. 5eliv.', pl. iv, p. 1. —Considérations générales sur les goitres
latéraux
; erreurs du diagnostic auxquelles le goitre laté
sur les goitres latéraux ; erreurs du diagnostic auxquelles le goitre
latéral
peut donner lieu ; altérations que peuvent subir
absolue. Absence du lobe moyen gauche* et communication du ventricule
latéral
avec la cavité de l'arachnoïde extérieure. Déform
ntérieurs du cerveau et atrophie de son hémisphère droit. Ventricules
latéraux
ouverts antérieurement; ventricule droit, ouvert
chutes. Guérison.= Choléra moyen très intense; crampes abdominales el
latérales
du tronc ; vomissemens; hoquet. Guérison rapide.
d'origine au sommet du poumon et sou orifice de sortie sur la partie
latérale
gauche du larynx. = Fistule pulmonaire, suite de
ammaire gangrené avec carie du sternum. Orifice de sortie à la partie
latérale
droite du sternum. 32e liv., pl. v, p. 3. — Réfle
lieu la pression exercée par le corps thyroïde sur la trachée. Goitre
latéral
énorme, formé aux dépens de la moitié gauche du c
norme, formé aux dépens de la moitié gauche du corps thyroïde. Goitre
latéral
osseux et celluleux. 35e liv., pl. iv,p. /. —Des
itre latéral osseux et celluleux. 35e liv., pl. iv,p. /. —Des goitres
latéraux
. Erreurs de diagnostic auxquelles le goitre latér
/. —Des goitres latéraux. Erreurs de diagnostic auxquelles le goitre
latéral
peut donner lieu; altérations que peuvent subir l
varices à cellules ou ampullaires subdivisées en circonférentielles,
latérales
et mul-liloculaires.35e liv., pl. v,p. /. VATER
e que sont placés les cinq ganglions : deux à la partie supérieure et
latérale
de l'anneau, ce sont les ganglions céphaliques; d
u nombre des cirrhes de l'animal ; supposez réunis tous les ganglions
latéraux
, en une seule masse ganglionaire centrale, et vou
^ comme médullaire, qui offre quelque analogie avec celui des cordons
latéraux
.La disposition des cordons dorsal et abdominal, l
u granulé très fin, qui offre quelque analogie avec celui des cordons
latéraux
. » A de semblables caractères on ne saurait recon
e par M. Jules Cloquet qui leur trouve de l'analogie avec les cordons
latéraux
, cordons bien évidemment vasculaires, explique su
nerveux est au-dessous du tube digestif. J'ai parlé de deux cordons
latéraux
qui se rencontrent sur les côtés de l'ascaride lo
e a deux chaînes gan-glionaires. Dans le phyllosome, ces deux moitiés
latérales
tendent à se réunir sur la ligne médiane à l'extr
lement les ganglions sont devenus impairs par l'union des deux noyaux
latéraux
, mais les cordons inter-ganglionaires eux-mêmes p
a ligne médiane. Enfin dans le palémon celte réunion des deux moitiés
latérales
du système nerveux est portée à un plus haut degr
seul qui s'observe dans les crustacés. En même temps que les parties
latérales
du système nerveux se rapprochent de la ligne méd
canaliculées qui s'infléchissent et se courbent pour former les nerfs
latéraux
de la moelle ou chaîne ganglionaire. J'aurais v
Réunis trois à trois, comme je l'ai dit, ils constituent les cordons
latéraux
de la moelle, cordons qui, dans certains endroits
uche. 2. Les fibres longitudinales sont disposées en deux faisceaux
latéraux
distincts l'un de l'autre, et ordinairement sépar
seiche, le nautile, lepoulpe, les nerfs auditifs naissent des parties
latérales
de l'anneau; si le quatrième ventricule des verté
res sur la face spinale. Elle se trouve comme divisée en deux moitiés
latérales
par un sillon médian fulcral et un autre sillon m
e long de la moelle, et divisent ainsi cet organe en quatre faisceaux
latéraux
. Le défaut de profondeur de ces sillons est à rem
et ceux des autres animaux vurléb'és. il, voûte, des ventricules
latéraux
et moyens, un infundibulum t des commissures, un
l'un à droite et l'autre à gauche, appartenant à chacun des faisceaux
latéraux
de la moelle. Le diamètre de ces tubes est à celu
ms ce rapport mieux pourvus que les poissons, car au niveau des nerfs
latéraux
du cordon ganglio-naire, on voit, outre les fibre
maux une fois enlevé avec précaution , je le séparais en deux moitiés
latérales
, et je plaçais une de ces moitiés sur le compress
bouclée , une dépression cruciale et en arrière quelques dépressions
latérales
que l'on retrouve aussi chez le squale rochier et
ère de l'endroit où se croisent les nerfs optiques. C'est des parties
latérales
du noyau dont il s'agit, que naît la commissure i
ur, ce sont, le sillon fulcral, le sillon spinal, et les deux sillons
latéraux
. Le sillon fulcral, de même que chez les poissons
et inférieures ou fulcrales, ces dernières s'enfoncent dans le sillon
latéral
dont j'ai parlé tout-à-l'heure, les autres s'étal
ant au niveau des tubercules optiques ou s'étendant jusqu'aux parties
latérales
de ces tubercules. Les reptiles les mieux partagé
tes. La ruse et la cruauté ont été placées par Gall sur les parties
latérales
du cerveau : si nous comparons le cerveau dm croc
es phrénologistes, d'une différence dans le développement des parties
latérales
des lobes cérébraux, ou bien du volume variable d
tés propres aux reptiles qui ont le cerveau développé sur les parties
latérales
. 5. Le développement latéral du cerveau ne tien
le cerveau développé sur les parties latérales. 5. Le développement
latéral
du cerveau ne tient pas à une différence dans l'é
circulaire, de tubercules quadrijumeaux, de glande pinéale, de masses
latérales
du cervelet, d'éminences mamillaires, de corps ol
rconvolutions ou lamelles transversales, et de deux petits appendices
latéraux
dont nous avons déjà vu un exemple chez le squale
ux n'ont que la partie centrale ou ver du cervelet, et des appendices
latéraux
; ils manquent des masses latérales. Le ver, chez
ver du cervelet, et des appendices latéraux; ils manquent des masses
latérales
. Le ver, chez les oiseaux, se continue à la face
d'une longueur qui n'est pas toujours en rapport avec ses dimensions
latérales
. M. Car us qui a pesé la moelle épinière d'un pig
e vient presque jusqu'à l'extérieur de la moelle par le sillon spinal
latéral
, celui que traversent les racines spinales des ne
ème ventricule, ils se rendent au cervelet. Une portion des faisceaux
latéraux
se rend également au cervelet, tandis que le rest
La buse et le perroquet sont aux deux extrêmes pour le développement
latéral
du cerveau, ils sont également aux deux extrêmes
t intellectuel. Ne faudrait-il pas conclure de là que l'élargissement
latéral
du cerveau est un signe de stupidité, tandis que
Gall assure qu'il existe une grande différence entre le développement
latéral
du cerveau chez les oiseaux timides et chez les o
nu, il le fait au moins pressentir ; car il attribue un développement
latéral
de la tête plus considérable chez les oiseaux fru
dépressions très faibles; le porc-épic en a trois, l'une à la partie
latérale
du cerveau, c'est l'indice de la scissure de Sylv
J'explique ma pensée par des exemples. Voyez (pl. iv, fig. 2) la face
latérale
externe du lobe cérébral droit du renard. En S se
présentent une disposition parfaitement analogue. V. pl. 10 , la face
latérale
du cochon tonquin. 1, 11 indiquent la première et
uivant la longueur du cerveau. J'ai déjà parlé de la circonvolution
latérale
externe du cochon , et je l'ai décrite chez le co
ansversale à la partie inférieure du cerveau, est oblique à la partie
latérale
de cet organe, et se dirige d'avant en arriéré. L
ou moins dans la substance même du lobe cérébral; c'est le ventricule
latéral
. Les lobes cérébraux sont réunis entre eux par
la bandelette demi circulaire. Les parois des ventricules moyens el
latéraux
représentent la surface interne des lobes cérébra
lève, on pénètre, par la grande fente de Bichat, dans les ventricules
latéraux
sans faire subir aucune déchirure à la substance
s faire subir aucune déchirure à la substance cérébrale. Ventricule
latéral
. Ce ventricule, formé par une sorte d'épanouissem
qui, reployé sur ce pédoncule, en recouvre les parties supérieure et
latérale
, a une disposition différente suivant qu'on l'obs
ge dans la substance postérieure du cerveau- Chacun des ventricules
latéraux
a été considéré, par les anciens, comme résultant
ue l'on a décrit la couche optique comme faisant partie du ventricule
latéral
; elle est en arrière et en dedans de ce ventricul
tœnia semi-circularir; la mel en dehors de la cavité du ventricule
latéral
. Le sillon dans lequel est logé le limbus posteri
interne. La lace inférieure forme la paroi supérieure des ventricules
latéraux
; entre ces ventricules, elle adhère à la cloison
re à la cloison transparente et à la voûte à trois piliers. Ses bords
latéraux
se réunissent à la substance blanche du centre ov
édian). Tarin admet que ce ventricule communique avec les ventricules
latéraux
, par une petite fenle qui s'ouvrirait entre les p
chez les animaux. Quant à la voûte, elle est formée de deux piliers
latéraux
longs et flexueux qui s'étendent depuis la couche
ompagnent dans toute son étendue jusqu'au bec inférieur du ventricule
latéral
, sous la forme d'une bande désignée sous le nom d
à toute communication entre le troisième ventricule et le ventricule
latéral
; l'intervalle que le pilier laisse en cet endroit
eur, par un faisceau que M. Cruveilhier appelle faisceau triangulaire
latéral
de l'isthme; et le corps genouillé externe, sit
aux dont il s'agit. Les tubercules quadrijumeaux et les ventricules
latéraux
présentent seuls des différences importantes. Si
eurs anatomistes l'avaient déjà fait remarquer. Quant aux ventricules
latéraux
, ce ils arrivent, dit M. Carus (1), à un point de
s'avance dans le quatrième ventricule, a été appelée luette; un lobe
latéral
(2 même planche) moins saillant que le premier et
nger parmi les lamelles du ver ou lobe moyen, ou parmi celles du lobe
latéral
. Cependant, ces difficultés toutes grandes qu'ell
178 Le nombre comparé des lamelles du ver ou lobe moyen et du lobe
latéral
du cervelet, est très différent, suivant que ces
, les lamelles du lobe moyen sont moins nombreuses que celles du lobe
latéral
; c'est le contraire qui a lieu dans le phoque, le
mamil-laires, creusées d'un ventricule qui s'ouvre dans le ventricule
latéral
, en avant de la grosse extrémité du corps strié.
andis que le degré de largeur dépend surtout du développement du lobe
latéral
. Diamètre du cervelet. Rapport, haut. larg.
a partie moyenne est ordinairement en raison inverse de celui du lobe
latéral
. Ce dernier lobe est en effet très large chez le
ement d'une troisième cavité ou cavité ancyroïde dans les ventricules
latéraux
, le petit volume des tubercules quadrijumeaux, la
pont de varole correspondant à l'étendue très considérable des lobes
latéraux
du cervelet. Le cerveau des makis est formé d'a
xistence de la cavité ancyroïde ou cavité postérieure des ventricules
latéraux
, dont la présence coïncide chez l'homme et chez l
r ou lobe moyen du cervelet en est très rétréci, tandis que les lobes
latéraux
ont un grand développement. Le pont de varole, do
nombreuses sous-divisions ainsi que le troisième lobe; quant au lobe
latéral
, d est plus élargi que chez la plupart des mammif
otalité chez quelques-uns. 20. Le cervelet des mammifères a un lobe
latéral
qui n'existe pas chez les oiseaux et qui est très
complet que celui de l'homme, chez lous les mammifères dont les lobes
latéraux
du cerveau sont très développés ; chez les autres
tinct carnassier et la ruse, ont chacun leur organe situé à la partie
latérale
externe du lobe cérébral; plus ils sont développé
y en a jusqu'à cent soixante-dix-huit; chez la chauve-souris le lobe
latéral
n'existe pas, chez le cheval il est petit, tandis
types d'atrophie musculaire pro- gressive myopathique, la sclérose
latérale
amyotrophique, la sclérose en plaques, la myéli
t pas avec lui. Les cordons antérieurs étaient intacts; les cordons
latéraux
étaient sclérosés depuis l'émergence de la 2e p
la substance blanche des cordons pos- térieurs el même des cordons
latéraux
participe dans une certaine mesure au processus
rtaine mesure au processus gliomateux. La participation des cordons
latéraux
nous ren- drait compte de cette paralysie motri
t leurs pro- portions normales, quoique déformés par la compression
latérale
; mais à gauche, ils ont été détruits presque en
dal croisé est presque complètement détruit ; il ne reste du cordon
latéral
qu'une zone fatciforme périphérique, qui corres
téro-latérale droite de la moelle lombaire. 3° Wagner, 1863 : Gomme
latérale
gauche bulbaire. 4° Rosenthal, 1865 : Gomme de
isement des pyramides, un changement de coloration dans le faisceau
latéral
gauche, immédiatement dans l'angle qui sépare l
ur d'un grain de millet, occupant la moitié de la surface du cordon
latéral
droit et empiétant [sur les racines posté- rieu
l'opinion émise par Gardié sur le non-développement des cor- z dons
latéraux
restant purement hypothétique. Mais il est des
décrites. Mâchoire M)' ! M<)'e.Asymétrique, Il manque l'incisive
latérale
droite et la LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOEL
de la dent qui tend à revêtir le type dit d'Hut- chinson. Incisive
latérale
gauche très atrophiée, moitié du volume normal ;
èbre en particulier. Les omoplates sont situées aux deux extrémités
latérales
du dôme ainsi formé et sont légèrement saillantes
et sont légèrement saillantes. Il existe un léger degré de courbure
latérale
de la colonne vertébrale de telle sorte que le
gauche, l'incisive 138 . NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
latérale
droite, la première molaire droite qui sont atrop
e d'Hutchinson. Incisive médiane droite, mêmes caractères. Incisive
latérale
gauche, microdontisme et sillons. Toutes les autr
aines. 2°~Mâchoire inférieure. Microdontisme et usure de l'incisive
latérale
et des deux incisives médianes qui sont, de plu
r bord libre est barbelé, abrasé. - - Microdontisme de l'incisive
latérale
droite. Canine droite striée, affectant la form
ence de lésions dentaires très spéciales. Les incisives médianes et
latérales
, supérieures et inférieures, sont striées, défo
Th. 1896. 1 - - IX ' 14 LA TERMINAISON CORTICALE DU FAISCEAU
LATÉRAL
PÉDONCULAIRE . .. {FAISCEAU DE TU1CI). . ..
urs une attaque d'épilepsie. LA TERMINAISON CORTICALE DU FAISCEAU
LATÉRAL
PÉDONCULAIRE 207 L'autopsie n'ayant pas été fai
parce que le tissu nerveux est détruit plus ou moins sur ses bords
latéraux
et inférieurs. Le passage de la circonvolution
hère droit. Hémisphère gauche. LA TERMINAISON CORTICALE DU FAISCEAU
LATÉRAL
PÉDONCULAIRE 209 l'encéphale faites à la même h
cérébral gauche, qui s'est ré- LA TERMINAISON CORTICALE DU FAISCEAU
LATÉRAL
PÉDONCULAIRE 211 pandue également sur toutes le
s parties ; nous attirons l'attention sur ce fait que les faisceaux
latéraux
ne sont pas plus atrophiés que les médians ou l
ement divisée en trois par- ties : les faisceaux médian, central et
latéral
. , Le faisceau central, dénommé faisceau pyrami
eh, Thèse inaug. Utrecht. 1889 LA TERMINAISON CORTICALE DU FAISCEAU
LATÉRAL
PÉDONCULAIRE '213 Cependant Zacher (1) prétend
eta (7) avec la moitié proximale de la protubérance'. Le faisceau
latéral
auquel selon Flechsig (8) Aleynerl donnait à tort
observateurs. 1 - La terminaison proximale et distale du faisceau
latéral
est encore l'ob- jet de beaucoup de controverse
3eclrlere7c, Jelgersma, Kreuser,) admettent un contact du fascicule
latéral
avec l'écorce occipito-temporale, ce qu'ad- met
es. , Kam donne le nom de « fascicule or(il » à la cinquième partie
latérale
de ces fibres longitudinales et le fait chemine
ales et le fait cheminer vers le lobe temporal. Les filets les plus
latéraux
du fascicule oval sont en rapport avec le pôle et
s fait plonger aussi dans le lobe temporal, c'est-à-dire les libres
latérales
dans les circonvolutions temporales supérieures e
- pital n'était pas suivie de dégénération des fibres pédonculaires
latérales
,et sur une trouvaille de lt'ilakler où sur un l
r un lobe occipital normal fut trouvé une dégénération du fascicule
latéral
entier, prétend que le lobe occi- pital n'entre
u lobe temporal, sans aucune anomalie secondaire dans le fais- ceau
latéral
, sauf l'atrophie insignifiante, qui fait partie d
hrifl fiii, Psychiatrie, 1889. LA TERMINAISON CORTICALE DU FAISCEAU
LATÉRAL
PÉDONCULAIRE 2l t que les fibres du piedpédoncu
qui puisse être considéré comme région de contact pour le faisceau
latéral
. Cette interprétation est d'autant plus séduisant
parties des circonvolutions centrales sans dégénération du faisceau
latéral
. II. La deuxième observation du même auteur sem
cente, sans qu'il survienne de dégénération secondaire du fascicule
latéral
. Peut-être la durée de la lésion (plus d'une an
de la surface cérébrale était suivie d'une dégénération du faisceau
latéral
. II. Winkler (1886). Comme ci-dessus. III. 'J
lanches du lobe pariétal avec dégé- nération partielle du fascicule
latéral
. V. Alonako1V (obs. II). Les circonvolutions fr
estées en connexion avec la capsule interne, néanmoins' le faisceau
latéral
est détruit t (1). (1) Il me reste encore le de
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE den à tailler la pierre par l'appareil
latéral
. Et, en 1743, il venait de pu- blier un Recueil
les parties antérieures des cuisses et des jambes, sur les parties
latérales
du voisinage, sur les bras et les avant-bras, on
des doigts, droits antérieurs, jambiers antérieurs, longs péroniers
latéraux
). Pour une même excitation- la contraction est
Fléchisseur commun des doigts gauche KFS = 3,5 mA. Long péronier
latéral
gauche KFS = 6 mA. Jambier antérieur gauche KFS
pisement des pyramides un changement dans la coloration du faisceau
latéral
gauche, immédiatement dans l'angle qui sépare l
lé ; la néoplasie intéresse environ la moitié du territoire du cordon
latéral
droit. l. ' « Gomme du rein gauche. Périhépat
'étendue de la moelle, le siège du maximum des lésions. Les cordons
latéraux
sont surtout affectés au niveau de la partie mo
t dans les cordons postérieurs et la moitié postérieure des cordons
latéraux
. A part les exceptions que nous citerons plus t
oedé- mateux. En de nombreux endroits des cordons postérieurs et
latéraux
, l'infiltration nucléaire devient si forte que
la substance grise centrale ; d'autres encore pénètrent les cordons
latéraux
. A une différence de hauteur de 1 cm. 1/2, les
les plus altérées sont les cordons postérieurs, et dans les cordons
latéraux
les zones périphériques et celles qui avoisinen
ence décrite plus haut. C'est surtout le groupe antérieur médian et
latéral
qui est affecté par le processus pathologique. Da
postérieure s'étend en demi-cercle jusqu'à la rencontre des veines
latérales
énormes, dans la moelle même dont tous les vaisse
be, jambier antérieur, exten- seur propre du gros orteil, péroniers
latéraux
, ainsi qu'aux fléchisseurs des orteils, au vast
es, les cordons postérieurs sont normaux et sains, mais les cordons
latéraux
sont absolument détruits, la tête de la corne ant
phale sont extraordinairement gorgés de sang et distendus. Le sinus
latéral
, le sinus longitudinal supérieur atteignent les d
creusées dans la pie-mère. Les vaisseaux des groupes postérieurs et
latéraux
, sont moins atteints bien que leurs parois soie
sparaître entièrement sa lumière absolument obstruée. Les vaisseaux
latéraux
sont impossible it voir, ils ont disparu dans l
complètement disparue sous l'envahissement nucléaire. Les vaisseaux
latéraux
ont des parois très épaisses et dans les racines
. ' Les vaisseaux spinaux antérieurs sont sains, mais les vaisseaux
latéraux
sont entourés d'une prolifération embryonnaire
rginaux se soient épais- sis jusqu'à devenir des faces. Ces faces
latérales
, d'aspect et de coloration cornés, tendent à s'in
la face dorsale des 4 derniers doigts droits et gauches, aux faces
latérales
du médius et de l'auriculaire droits, du médius,
ues dans l'art} par PAUL Rrcrrux et Henry .11EIGE, 99. Faisceau
latéral
pédonculaire (faisceau de 1'zzrelc,sa terminais
nnorrhagie, 27. BRERO (VAN). La terminaison corticale du faisceau
latéral
pédonculaire (faisceau de Turck), 206. Charco
le clonographe, 4, 5,6,7, 8,9. Terminaison corticale du faisceau
latéral
pédonculaire (coupes), 22, 23, 24, 25, 26, 27
, et longent la partie antérieure du bord externe du ven- tricule
latéral
. Je les appelle extra-nucléaires. On n'est donc
ortion du centre ovale comprise entre le bord externe du ventricule
latéral
en dedans, la troisième circonvolution frontale
entre la ligne fornicato-sylvienne et le bord externe du ventricule
latéral
. Notons que, de toutes les fibres du centre ova
sions du centre médullaire adjacentes au bord externe du ventricule
latéral
dans ce district de- vront donner lieu à un plu
zones qui, conte- nant, sur le trajet du bord externe du ventricule
latéral
, les agents de transport de la parole, correspo
1° Lésions situées sur le trajet du bord externe du ventri- cule
latéral
. Ces sortes de lésions peuvent être directes ou
n reparler. 2° Lésions situées loin du bord externe du ventricule
latéral
. A côté de l'observation d'Elie Gintrac, je pla
nant les trois centimètres antérieurs du bord externe du ventricule
latéral
, en avant, en ar- rière, vers le haut, vers le
e la substance médullaire confinant au bord externe du ventricule
latéral
n'aura pas été soumise à un examen approfondi.
ant aux trente millimètres antérieurs du bord externe du ventricule
latéral
. 2. Section transversale de ce faisceau. 3, N
s ou circonvolution du corps calleux. v, Bord externe du ventricule
latéral
. s, Partie supérieure de la scissure. i, Insu
ntale de la capsule interne confinant au bord externe du ventricule
latéral
. 2, Coude supérieur de la capsule interne. 3,
conclusionstiréesparl'expérimentalionsontlessuivanle : Les cordons
latéraux
de la moelle participent à la formation du stru
80 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. dont ils occupent d'abord le champ
latéral
puis, suprà, le champ moyen, continuent avec le
corce du vermis supérieur du même côté. Une petite partie du cordon
latéral
constitue un faisceau compact qui, affectant to
n haut la protubérance; il paraît entrer en rapport avec les fibres
latérales
du ruban de Reil. Le corps resti- forme reçoit
es du faisceau cunéi- forme ; une couche moyenne formée des cordons
latéraux
céré- belleux ; une zone externe presque entièr
gyrus fornicatus des deux côtés, la corne antérieure du ventricule
latéral
gauche, la cloison transparente. A droite, la t
VI, p. 12S.) REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 10) rieure, muni d'une fente
latérale
destinée à l'introduction des électrodes. L'une
constitue un quadrilatère allongé auquel se relie une construction
latérale
affectée à l'habitation de l'intendant, à la cu
xiguïté. Dix cellules très basses sont éclairées par des ouvertures
latérales
grillées; elles ont leurs latrines. Partout ail
les assez spacieuses, à parois cimentées, prennent jour de fenêtres
latérales
élevées, munies de volets. La section spéciale
l 1.9 * P, , ' lf)fl , t 89, ë.lMU la paroi externe du, ventricule
latéral
, 1 ependvme est ? Mî 7 fr ! o s"i71H.< 2llli :
a confiné plus ou moins immédiatement au'bord externe du ventricule
latéral
. Dans ce district, comme dans les deux premiers
ne bien plus la partie antérieure du bord externe du ven- tricule
latéral
que dans le premier. Pour terminer ce qui, dans
laire confinée à la partie antérieure du bord externe du ventricule
latéral
? Dans ce district, l'écorce occupe un véritabl
ifil nu ? 1 ? Lésions silcy'ée, s ? tr le .bord externe du ventricule
latéral
. . Jrltll IG 11 fJJ ? 1 .lJdu`t ? 1. , 1 - -
Ul Itj j c, tijtuNtJ-t.n ? ? ? ) ? j. - once dans chaque ventricule
latéral
, un peu moins dans, les .n ? fT.;n) ? r.rt'c)nt
.2° Lésions situées loin du bord externe du ventricule îo") . ' '
latéral
. Sf- 931 Au fait de Dieulafoy (p. 13) nous n'
e la substance médullaire adjacente au bord externe du ventricule
latéral
. On notera, d'ailleurs, que les rejetons de la
laire externe (Gratiolet)." 1 ? s ' Synonymie : Pars superior sive'
latéral
/s' fissuroepqriélS-occi- ;)tM/<s' (Eeker) ;
(j'f ,Ccs noms s'appliquent assomme à l'extrémité supérieure et f
latérale
de la-scissurepaiéto-occipitale qui, complète à l
-occipital, et d'appliquer à la portion médiane, comme à la portion
latérale
, les dénominations respectives de Gratiolet. La
ntal, pariétal, occipital, temporal. Etudions-en la face con- vexe,
latérale
et inférieure, au point de vue de la synonymie.
CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES. 185 rejoindre ceux de la face convexe
latérale
, mais très souvent, ' dans la partie de substan
de passage externe (Gratiolet) ; Circonvolution pariéto-occipilale
latérale
(Ecker) ; Ziveite minière Hinterlappenwindung (
érale par rapport au renflement delà corne inférieure du ventricule
latéral
(éminence 'de MeckelJ. - Parallèle dans sa moit
couche optique et, en partie, de la corne descendante du ventricule
latéral
, par de la substance cérébrale. L'examen micros
esseur français, prend son origine dans le faisceau intermé- diaire
latéral
; il fournit des libres au pneumogastrique, au glo
u de distance du canal central et se trouve enfermé dans les cornes
latérales
; plus haut,, il est rejeté un peu en dehors et
ouge) occupe la paroi externe de la corne postérieure du ventricule
latéral
droit, sans avoir ni pénétré dans le ventricule
dernières classes. Ceux-ci habitent encore en partie dans les ailes
latérales
plus petites qui divergent à angle droit, et co
s : cet édi- fice forme un autre angle droit, par rapport aux ailes
latérales
, dont le sépare un étroit corridor. Chaque sect
er, eu temps opportun, à la nou- velle construction, quelques ailes
latérales
pour la première classe. La population présente
s assujettis au sol et une latrine ; elles jouissent de l'éclairage
latéral
par l'intermédiaire d'une ouverture étroite et
le plus petit, constitue l'habitation du médecin en chef; les deux
latéraux
sont destinés chacun à quinze patients de la prem
gt-sept cellules spacieuses, dont dix-sept jouissent de l'éclairage
latéral
par une ouverture étroite et élevée, les autres
élevée, les autres prenant le jour et l'air par une grande fenêtre
latérale
. Leur habitus n'offre pas de dillé- rence avec
ités. Cinq chambres d'isolement dans chaque section. Aux deux ailes
latérales
est annexé un quartier cellulaire circu- laire,
eux pieds de haut ; ce sont, dans les secondes, de grandes fenêtres
latérales
. Des doubles portes assurent l'isolement ; sur
dans cer- tains cas par la phase épileptoïde avec convulsionsuni-
latérales
, sans grands mouvements, souvent même sans hall
gts ; l'avant-bras se fléchit sur le bras et se porte sur la partie
latérale
et postérieure du tronc. Le membre inférieur es
icaliun de l'hémisphère gauche se fait avec facilité. Le ventricule
latéral
, la corne d'Ammon, les masses grises centrales,
énérescence descendante atteint, bien que fai- hlement, les cordons
latéraux
et les faisceaux radiculaires des cordons antéu
Elle semble épargner les départements les plus internes des cordons
latéraux
et la substance blanche con- ligué des cornes a
lanche con- ligué des cornes antérieures, ainsi que toute la couche
latérale
limitrophe. La dégénérescence ascendante des co
ouche latérale limitrophe. La dégénérescence ascendante des cordons
latéraux
dans le cervelet s'étend plus en avant que Dech
ifération interstitielle modérée) du faisceau pyramidal des cordons
latéraux
depuis la portion lombaire jusqu'à la décussa-
double de chaque main. P. K. XLVII. Un cas d'hémianopsie hétéronyme
latérale
; par GNAUCK. (Nezvrol. Ceiiti-albl., 4883.)
d'une petite poire. Une coupe transversale montre que le ventricule
latéral
gauche est énormément dilaté. La dépression sig
ant de vernir, on fera passer à travers l'insula et les ventricules
latéraux
deux grandes aiguilles à tricoter dont les extr
chromique, elle offrait une coloration jaune des cordons postéro-
latéraux
et non des cordons postérieurs. On en fera plus t
Dégénérescence combinée des cor- nes antérieures et des cordons
latéraux
, par Yierordt, 331. Délire aigu, 104. Délire
linique avec manie, 212. Haschisch, 374. Hémianopsie hétéronyme
latérale
, 343. Hémiathétose aiguë du côté gauche san
ant aux trente millimètres antérieurs du bord externe du ventricule
latéral
. 2, Section transversale de ce faisceau. 3, N
s ou circonvolution du corps calleux. v, Bord externe du ventricule
latéral
. s, Partie supérieure de la scissure. i, Insu
ntale de la capsule 'nterne confinant au bord externe du ventricule
latéral
. 2, Coude supérieur de la capsule interne. 3,
ytiques généraux, et dans les cordons 40 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. .
latéraux
dans les dégénérescences secondaires à des foyers
ièrement les cordons postérieurs dans le voisinage,de la commissure
latérale
avec épaississement de la.pie-mère et des vaiss
progressive, de l'atrophie musculaire Duchenne-Aran, de la sclérose
latérale
amyotrophique, de la poliomyélite antérieure ai
jamais d'ataxie. L'autopsie révèle : une dégénérescence du faisceau
latéral
gauche et du faisceau anté- rieur droit dans le
moelle dorsale, elle n'atteint ni les zones médianes, ni les zones
latérales
, confinant au bord médian des cordons postérieu
ne se rend que difficilement compte qu'une hallucination est uni-
latérale
, et notre malade ne sait pas en réalité*si ses ha
des observations présentées comme exemples d'hallucinations uni-
latérales
par lésion cérébrale, dont plusieurs doivent être
. Il faut rapprocher de ces cas les faits d'aura sensorielle uni-
latérale
accompagnant les convulsions épileptiformes ; sou
cation du tissu conjonctif (surtout dans les cordons postérieurs et
latéraux
de la moelle épinière). En examinant les cas
postérieures, une multi- plication du tissu conjonctif des cordons
latéraux
et la leptoméningite spinale. Sharkey observa
rées sont aussi disséminées çà etlàdans les cor- dons antérieurs et
latéraux
. Les racines postérieures ont assez souifertes
tres cordons de la moelle, c'est-à-dire les cor- dons antérieurs et
latéraux
, il faut remarquer que la région dor- sale cont
tout on voit la multiplication des fibres altérées dans les cordons
latéraux
en général, bien que la lésion de ces derniers es
antérieures, a soull'erte le plus. Dans les cor, dons antérieurs et
latéraux
les fibres dégénérées ne sont pas très nombreus
res dégénérées est plus grande que dans les faisceaux antérieurs et
latéraux
. A la périphérie de la moelle épinière, plus pr
ière jusqu'à environ 1/8 de pouce du bord antérieur du ventri- cule
latéral
de la cavité duquel il était séparé à la fois par
s inférieurs. La dégénérescence primitive ou secondaire des cordons
latéraux
s'accompagne ordinairement d'une exagération du
emble des cordons antérieurs, de la partie anté- rieure des cordons
latéraux
et d'une partie des cornes antérieures. La sect
'il se produise de l'analgésie, il faut sectionner les deux cordons
latéraux
ou la moitié postérieure de la moelle, et, enco
destruction de la partie postérieure de la moelle ou des cordons
latéraux
est peu profonde, il n'y a pas de perte complète
rection antéro- postérieure, longeant la ligne médiane. Les parties
latérales
, y compris les tubercules quadrijumeaux, sont a
es deux côtés de la ligne médiane, et ceux qui occupent les parties
latérales
el postérieures c'est-à-dire les tubercules qua
meaux. Il n'y a pas de vaisseaux unissant les vaisseaux des parties
latérales
et médianes de la région des pédoncules cérébra
non plus d'union vasculaire entre la partie médiane et la partie
latérale
d'une part, ni entre la partie médiane et la part
fermant à clef. Lits en bois, de trois grandeurs, avec balustrades
latérales
mobiles. On se plaint des dimensions exagérées
un instituteur couchent dans chacun d'eux. Lits en fer, avec parois
latérales
mobiles, en bois et tablette mobile pour les vê
re actuelle, paraissent acquises à la science : 1° les lésions uni-
latérales
du cervelet déterminent des symptômes dans le côt
affecter les deux côtés du corps, tandis que les lésions des lobes
latéraux
ou des pédoncules n'affectent que le côté corre
s, le lobe droit dans 32 cas, le lobe moyen dans 17, les deux lobes
latéraux
ensemble dans 6, le lobe droit et le lobe moyen
veine de Galien, et parla déterminer la dilatation des ventricules
latéraux
et du troi- sième ventricule. Ces symptômes son
uit la lésion. P. IvEnAV.aL. LXIII. Syndrome APPELANT la sclérose
latérale
amyotropiiique, chez un syphilitique ; par les
par Charcot, (variété hémiplégique, variété tabetique, et variété
latérale
amyotrophique) il y aurait donc lieu d'ajouter un
au- coup d'animaux et y est désignée souvent comme scissure ecto-
latérale
par les auteurs. Benedikt ajoute encore pour co
forme spasmodique, elle se présente sous la forme d'un ratatinemenl
latéral
, tandis que dans la forme tabétique, elle prend
e chronologique, à des symptômes indiquant une sclérose des cordons
latéraux
. Il estime en outre que les altérations révélées
t de sa branche antérieure. L'abcès communique avec les ventricules
latéraux
. Ependymite aiguë gagnant le noyau caudé. Myoca
mois. A l'autopsie, tuberculose méningée de la moelle sur la face
latérale
. A. M. LXXIV. Mélancolie aiguë consécutive UN t
illé interne, du faisceau cortical auditif direct, du ruban de Reil
latéral
, occupe surtout les circonvolutions transversal
yélogènes se rassemblent dans le cordon antérieur et dans le cordon
latéral
de la moelle dor- sale, en une couche ininterro
tance grise (zone interne), plus large dans la partie antérieure et
latérale
, allant en se rétrécissant en arrière; 2° il es
gues fibres (faisceau de Gowers, faisceau intermé- diaire du cordon
latéral
de Loewenthal, faisceau sulcomarginal ascendant
crosse masse gagne l'entre-croisement; elle fournit : a) au cordon
latéral
du côté opposé ; b) pour une petite partie au c
cordon latéral du côté opposé ; b) pour une petite partie au cordon
latéral
du même côté ; c) quelques fibres, restant du m
'une seule et même pyramide envoie des fibres dans les deux cordons
latéraux
(Pitres). L'expérimentation montre le même fait
s. Voici d'abord le tapetum ou couche de fibres occupant la paroi
latérale
des cornes inférieure et postérieure, entre l'épe
mun se trouve au-dessus de la région latéro-dorsale du ventri- cule
latéral
, point où les fibres dorsales s'entrelacent avec
ournit des fibres au trigoue; mais celui-ci reçoit aussi des fibres
latérales
du corps calleux pro- prement dit et des fibres
es médianes qui quittent le corps calleux à angle droit. Les fibres
latérales
sont des fibres de la circonvolution du corps c
orps calleux de l'homme. A l'arc d'inflexion formé par la branche
latérale
delacorne d'Ammon qui, dans sa partie médiane, co
ngentielles médianes. Ce trajet n'est suivi que par les fibres plus
latérales
. Celles-ci suivent le dos du corps calleux et s
et descendante des faisceaux marginaux etintermédiaires du cordon
latéral
(Loewenthall, qu'il se produit en outre le sixièm
ous du renflement lom- baire et des segments antérieurs des cordons
latéraux
dans la région dorsale. Diminution du nombre de
précédées par des modifications particulières dans les bourgeons
latéraux
que présentent normalement les dendrites; en effe
urs que nous montre chaque jour la clinique, celui de la sclérose
latérale
amyotrophique. On aura réunis et combinés les man
et la maladie va emprunter quelque chose des signes de la sclérose
latérale
amyotrophique; l'hémiplégie avec contracture va
faradique. La contractilité est diminuée dans les muscles péroniers
latéraux
. Exploration galvanique.- Dans les muscles où l
érieure de cette calotte et en dedans du ruban de Reil inférieur et
latéral
descen- dent en arrière du ruban de Reil propre
t et supérieur des faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs et
latéraux
de la moelle; il y a par conséquent relations a
ie à l'olive supérieure et au corps trapézoïde par le ruban de Reil
latéral
, et, par là, au nerf de la huitième paire. De p
par cette voie, au moyen du corps trapézoïde et du ruban de Reil
latéral
, union entre le tubercule quadrijumeau postérieur
cences secondaires du cor- don antérieur des pyramides et du cordon
latéral
des pyramides dans un cas de ramollissement aya
se mélangent point dans le tronc du cerveau, avec celles du cordon
latéral
. Si elles sont conglomérées en un seul cordon,
utes atteintes par un même processus pathologique, celles du cordon
latéral
étaient plus atteintes que celles, voisines, du
lésion ait exactement et toujours plus atteint les fibres du cordon
latéral
que celles du cordon antérieur. Ayant procédé à
le bulbe, tout près de l'entre-croisement des pyra- mides, l'angle
latéral
du faisceau pyramidal, et, dans cet angle, cont
ur. Les fibres antérieures se placent dans l'ordre que voici : plus
latéraux
sont les plans qu'elles occu- pent dans le fais
e- croisement, et inversement, jusqu'à ce que finalement les plus
latérales
ne s'entre-croisant plus, restant au contraire du
e sont pas nettement séparés l'un de l'autre ; au niveau de la face
latérale
du lobe optique qu'ils embras- sent à la façon
in paraissent prendre naissance dans la substance grise de la paroi
latérale
du cerveau intermédiaire (couches optiques) qui
- ment étagées du bulbe, sous le nom de vestige du cordon antéro-
latéral
. Or, s'il y a là un surcroît de fibres dégénérées
ps restiforme. Un second système est formé par le vestige du cordon
latéral
; les fibres arciformes externes y apportent de
sti- forme. Peut-être même celui-ci donne-t-il au noyau du cordon
latéral
? Il est impossible de se prononcer encore sur ce
t pro- bablement et ne vont pas, après l'avoir traversée, au cordon
latéral
de la moelle, car il n'y a de dégénérescence qu
latéral de la moelle, car il n'y a de dégénérescence que du cordon
latéral
du côté vivisecté. Par conséquent, la grosse
s. Le corps restiforme joint, dans le bulbe, le ves- tige du cordon
latéral
; de là partent des fibres centrifuges qui vont
let partent aussi des fibres centrifuges qui, traversant la portion
latérale
du corps res- tiforme, se rendent à la région d
le du corps res- tiforme, se rendent à la région du noyau du cordon
latéral
. Et la section du corps restiforme entraine une
orps restiforme entraine une dégénérescence descen- dante du cordon
latéral
qui n'a aucun rapport avec la pyramide, Le cord
du cordon latéral qui n'a aucun rapport avec la pyramide, Le cordon
latéral
des pyramides n'appartient donc pas exclusive-
ue vis-à-vis des nerfs crâniens, le rôle que joue le cordon artéro-
latéral
pour les nerfs spinaux. P. KERAVAL. LXXXIII. DE
ieu par suite de la lésion du faisceau cérébelleux dans les cordons
latéraux
de la moelle. L'excitation de ce faisceau dans
e l'épaule correspondante. Donc le faisceau cérébelleux des cordons
latéraux
est un système de fibres qui joue un rôle impor
yse de la thèse du Dr Guibert sur la sclérose primitive des cordons
latéraux
de la moelle; une observation d'ataxie locomotr
tème nerveux central, par Jacob- sohn, 180. Syndrome rappelant la
latérale
amyotrophique chez un syphilitique, par Olivier
'enfant, avec ses ligaments, représenté dans l'attitude de la flexion
latérale
physiologique. — Page 362. La figure h fait voi
la figure 5 la montre du côté des apophyses épineuses. L'inclinaison
latérale
des vertèbres est directe ; le rachis n'offre pas
de la troisième courbure qui s'ajoute presque toujours à la déviation
latérale
en S. Le corps des troisième ét quatrième vertèbr
ombaire, se voient à la fois une concavité antérieure et une courbure
latérale
à convexité droite. La douzième dorsale et la pre
ne peut donner une idée, est encore plus prononcée que les courbures
latérales
; sa flèche est de 12 à 15 millimètres. Les deu
atérales ; sa flèche est de 12 à 15 millimètres. Les deux courbures
latérales
sont sensiblement égales; leur flèche est de 8 mi
uséum offre, comme la région dorsale de notre pièce, un amincissement
latéral
médiocre, mais réparti sur un certain nombre de v
ASPECTS DIVERS DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC DANS LES FLEXIONS
LATÉRALES
PHYSIOLOGIQUES DU RACHIS. (Pages 360 et suiv.)
PHYSIOLOGIQUES DU RACHIS. (Pages 360 et suiv.) Fig. 1. — Flexion
latérale
générale, le bassin étant horizontal. — Pages 361
362. Fig. 3. — Attitude du hancher. — Page 363. Fig. h. — Flexion
latérale
semblable à celle de la figure 1, mais moins géné
, mais moins générale et moins étendue. — Page 361. Fig. 5. — Flexion
latérale
en S, le bassin restant horizontal.— Page 364. Fi
— Pièce de ma collection. — Pages 388, 399, 402. La double courbure
latérale
de l'épine est encore plus prononcée. La courbure
avec le corps de la cinquième dorsale. 3 I—i Fig. 7. — Courbure
latérale
triple ou en sujet adulte. — Pièce de ma collecti
scoliose s'explique naturellement par le siège spécial de la llcxion
latérale
physiologique qui l'a déterminée. Il est moins fa
al vertébral; mais on ne voit pas dans cette affection l'affaissement
latéral
, la torsion, qui caractérisent la scoliose et qu'
L'excès de saillie de la hanche gauche avait disparu. Les deux faces
latérales
du tronc étaient presque symétriques. Les muscles
nt, dans les derniers temps, par une ceinture orthopédique à pression
latérale
. Sous l'influence de ce traitement, la santé se
e du tronc de bas en haut et de droite à gauche ; asymétrie des faces
latérales
du tronc, la droite, bombée au-dessous de l'aisse
ait que de très légères traces de l'extrême dissemblance de ses faces
latérales
. La croissance totale ne fut, dans ce cas, que
ion des épaules ; même disposition des hanches; même aspect des faces
latérales
du tronc. Le traitement fut continué pendant de
ic dans l'autre cas ; il reste des traces de l'irrégularité des faces
latérales
du tronc. Le dessin, sous ce rapport, est un peu
ituel, des traitements orthorachidiques dans cette forme de déviation
latérale
de l'épine.
la contracture permanente est le symptôme de la lésion des cordons
latéraux
». Que sont donc ces faits qui infirmeraient ce
y a eu des contractures permanentes malgré l'intégrité des cordons
latéraux
. , - 00 ' " Or, le principe que Raymond rappe
ntrac- ture permanente est le symptôme de la lésion des cor- dons
latéraux
» . 1 Art. Tabès s}J/lsl11odique in Dict. encyc
t) par irritation des cellules motrices antérieures que la lésion
latérale
entraîne la contracture. Ceci est une autre aff
e la lésion médullaire, c'est que aux contractures répond la lésion
latérale
, comme à l'ataxie répond la lésion postérieure
postérieurs, ceux du second font supposer une lésion des cordons
latéraux
. 11 est donc probable, d'après la seule analyse
ies, la lésion intéres- sait les cordons postérieurs et les cordons
latéraux
. Jusque-là, du reste, aucune difficulté; tout l
mais aussi les faisceaux cérébelleux, qui, quoique dans les cordons
latéraux
, fout partie du système cen- tripète ; le trois
s se diffuse ensuite (par l'intermédiaire des méninges) aux cordons
latéraux
; le quatrième, des faits.inverses dans lesquels
Allemands est la non-systématisation de la lésion dans les cordons
latéraux
: cela est très juste : la sclé- rose, systémat
systématisée aux cordons postérieurs, est diffusée dans les cordons
latéraux
. Mais cela n'empêche nullement son unité. Il su
sociation dune sclérose .postérieure systématisée avec une sclérose
latérale
diffuse (myélite mixte). Donc, le tabès combi
stant. Cette sclérose occupe les cordons postérieurs et les cordons
latéraux
. On ne peut considérer cette lésion ni comme en
stématisée dans les cordons postérieurs et diffuse dans les cordons
latéraux
. Cette association constitue donc une myélite m
bstance grise de la moelle. Dégéné- rescence secondaire des cordons
latéraux
et postérieurs. Observations 111. Cysticerques
dans l'écorce du cerveau ; un cysticerque libre dans le ventricule
latéral
et l'espace dure- mèrien ; cysticerques dans le
R. M. C. XVI. Sur quelques CaS DE paralysie générale avec sclérose
latérale
de la MOELL1 : épinière ; par G.-H. Savage.' (T
ale s'accompagnant chez de jeunes su- jets, de sclérose des cordons
latéraux
. A l'autopsie, on trouvait chez ces sujets plus
eur. Il serait très intéressant de savoir si l'atrophie des cordons
latéraux
est primitive ou secondaire, ascendante ou descen
e primitivement médullaire, tandis que dans d'autres, la sclérose
latérale
est consécutive à une atrophie ou à une dégénéres
e thrombose veineuse résultant d'une obstruction partielle du sinus
latéral
et de l'extension d'un caillot organisé et ancien
e, avec sclérose sous ÉPENDYMAIR6 : dans LE domaine DES ventricules
latéraux
, dans la paralysie générale (Contribution à l'é
z le chat REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 103 dans le segment
latéral
du corps genouillé interne. Quand ce der- nier
l'étage supérieur; un troisième enfin (faisceau aberrant du cordon
latéral
) se dirige dans les par- ties marginales du cor
u cordon latéral) se dirige dans les par- ties marginales du cordon
latéral
du même côté, contiguës à la corne postérieure,
ute du tubercule bijumeau inférieur. 3° Les fibres du ruban de Reil
latéral
(partie constituante principale du ruban de Rei
terne. Dans la zone externe, on rencontre : 1° les noyaux du cordon
latéral
du bulbe ; 2° les olives supérieures ; 3° unnoyau
faisceau radiculaire du cordon antérieur et ce qui reste du cordon
latéral
qui passe immédiatement dans la formation rétic
issues de la partie postérieure du faisceau radiculaire' du cordon
latéral
), au noyau central de Roller (fibres du reste du
entral de Roller (fibres du reste du faisceau radiculaire du cordon
latéral
et du faisceau radiculaire du cordon antérieur)
érieur (faisceau radiculaire du cordon anté- rolatéral). Le système
latéral
des débris du cordon latéral se rendent à son n
du cordon anté- rolatéral). Le système latéral des débris du cordon
latéral
se rendent à son noyau. Quantau système dorsola
térale de substance grise spinale et peut-être également du système
latéral
des restes du cordon antérieur, les autres de l
(trijumeau) glosso-pliaryngien, pneumo-gastrique ? noyau du cordon
latéral
? ), qui gagnent, avec l'épanouissement radié d
réticulaire qui renferme des fibres émanées des débris des cordons
latéraux
et se rendant au cerveau moyen et au cerveau an
re se termine sur- tout dans la substance grise qui occupe la paroi
latérale
du quatrième ventricule (au-dessus du noyau de
s al- térations descendantes du faisceau pyramidal dans le cordon
latéral
au niveau du segment supérieur de la moelle. La s
e de M. Westphal M. WESTPHAL présente un malade atteint de sclérose
latérale
amyotrophique avec paralysie bulbaire. - Homme
. Observation I. Aspect crétinoïde. - Gonflements sur les parties
latérales
du cou et en avant des aisselles. - Persistance d
ur de la moelle. Intégrité des faisceaux cérébelleux et des cordons
latéraux
limitant le faisceau pyramidal. Absence complèt
parti du trou stylo-mastoïdien du même côté, descend dans la région
latérale
du cou. le long des vertèbres cervicales et dor-
rs le sternum. Le thorax, excessivement amaigri, révèle une saillie
latérale
exagérée des rebords costaux; l'abdomen parait
descendant dans la capsule interne; le faisceau pyramidal du cordon
latéral
droit présente la dégénérescence secondaire cla
oelle cervicale, juste à l'entrecroisement des pyramides, le cordon
latéral
gauche est dégénéré. Cette lésion, qui ne se ra
égénéré. Cette lésion, qui ne se rattache en rien à celle du cordon
latéral
droit, qui n'a rien à faire avec l'hémisphère c
r de l'or- gane ; intégrité des faisceaux blancs, quoique le cordon
latéral
droit paraisse atrophié au niveau de la partie
ssant se REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 21q diriger vers le cordon
latéral
, mais bientôt, s'infléchissant vertica- lement,
te de la corne postérieure, entre le cordon postérieur et le cordon
latéral
: ils montent ainsi et pénètrent dans la substa
bres fines sous forme d'une petite plaque intermédiaire aux cordons
latéraux
et postérieurs, qu'il s'agit d'une ataxie préco
toutes les lésions combinées, dit Déjerine, l'atteinte des cordons
latéraux
a lieu par la propagation d'un processus in- fl
oug de laméninge, se développe et frappe secondairement les cordons
latéraux
. Telle est l'interprétation de M. Westphal sur
tatation successive de ce symptôme, puis d'une hémianopsie homonyme
latérale
du même côté, d'hémiparésie droite puis de para
formant une houpette ; entre cette houpette médiane et les parties
latérales
il existe une calvitie presque complète. Le cui
ière; le front était petit et saillant, dans chaque région frontale
latérale
et aussi au-devant de la fontanelle antérieure.
ie desquamme partout, (excepté sur la face), et surtout aux parties
latérales
du tronc. Le corps paraît atteint d'anasarque g
n sur les sinus qu'au-dessus des circonvolutions. Les ventricules
latéraux
sont peu dilatés. La substance cérébrale est légè
nsverse des cordons postérieurs et de la moitié dorsale des cordons
latéraux
surtout des faisceaux latéraux qui se rendent a
et de la moitié dorsale des cordons latéraux surtout des faisceaux
latéraux
qui se rendent au cervelet ; les cordons latéra
out des faisceaux latéraux qui se rendent au cervelet ; les cordons
latéraux
et la substance grise étaient de- meurés normau
), parKoch, 84. Hémianesthésie et hémichorée, 58. Hémianopsie
latérale
gauche 234. Hémichorée, .59 : - Iposlhémi- pl
jecliollssous-cutanées d'éther, 101 ; -(bulbaire avec sclérose
latérale
), 112 ; - (cas de spi- nale ascendante aiguë de
ale (troubles de la faculté de lire dans la), 67 ; - (et sclérose
latérale
), 71 ; - (et pachyméningile), 73; - (et syphi
mort du), 416. Ruban de Reil (anatomie du), 102, 110. Sclérose (
latérale
et paralysie générale), par Savage, 71 ; (lat
0. Sclérose (latérale et paralysie générale), par Savage, 71 ; (
latérale
avec paralysie bul- baire, 112; (systématique
e avec paralysie bul- baire, 112; (systématique combinée), 209 ; (
latérale
amyotrophique), 226 ; - (com- binée), 233 ; (
du fond de l'oeil, il est possible de déceler, par la radiographie
latérale
du crâne, des altérationsévidentes du corps cen
ogiques de la base il faut toujours avoir recours à la radiographie
latérale
du crâne. Le profil normal du crâne, étudié ave
le du crâne. Le profil normal du crâne, étudié avec la radiographie
latérale
, présente un cachet particulier qui mérite d'êt
exemple dans la PI. IV le profil d'un crâne normal dans la position
latérale
gauche. Antérieurement dans le point d'union du f
té dirigée en avant et correspond, sur la projection radiographique
latérale
du crâne, au profil de la lamelle carrée du sph
i on trouve le sinus : sphénoïdal qui apparaît dans la radiographie
latérale
du crâne sous la forme d'une petite cavité oval
es systématiques du squelette. Si nous comparons la radiographie (
latérale
gauche) d'un crâne nor- mal à celle d'un crâne
e, la fosse cérébrale postérieure reste située dans la radiographie
latérale
sur un plan inférieur, dans le crâne oxycéphale
ichés radiographiques, c'est l'empreinte des sinus cérébraux (sinus
latéral
et sinus pélreux), fait que je n'ai jamais vu à
s et ont laissé une empreinte très prononcée sur les clichés (sinus
latéral
et sinus pétreux). Ce fait, je l'ai constaté du
périeur droit, avec lequel il a l'air de se frotter le côté antéro-
latéral
du thorax. Après quelques instants le membre infé
élancements douloureux très vifs. Il reste couché dans le décubitus
latéral
de préférence sur le côté droit. A l'examen, on
se trouve dans un état d'inconscience complète, dans le dé- cubitus
latéral
gauche, la tête rejetée en arrière, en extension
fundibulum proéminant et ayant l'aspect d'un kyste. Les ventricules
latéraux
sont très dilatés, on n'y voit pas macroscopi-
cadémie des Sciences, 1854. (2) I·INDLAY, The choroïd plexus of the
latéral
ventricles ol the brain ; their hi.stology norm
ans les cellules de revêtement des plexus choroïdes des ventricules
latéraux
consécutifs à l'administration de U muscarine el
chez un enfant de trois ans, disent que le plancher des ventricules
latéraux
était normal, mais qu'à la place des plexus cho
, tuberculeuse. Le maximum des lésions était au niveau des récessus
latéraux
du quatrième (1) ANTON, In Handbuch der pathol.
200 centimètres cubes de liquide céphalo-rachidien. Les ventricules
latéraux
sont très distendus el les plexus choroïdes, au
s réflexes est inconnu ; mais le fait que, sur les coupes, les "col
Latéral
es" réflexes ont disparu, suggère évidemment l'id
d'un' sujet atteint de sclérose combinée des cordons postérieurs et
latéraux
; ils ont montré l'intégrité des ganglions et de
là balle l'intérieur du cerveau, il semble prouvé que le ventricule
latéral
n'a pas été ouvert ; pour la discussion plus ap
un tabès jusqu'alors ignoré. Un sujet présentait une abolition bi-
latérale
dépendant d'une névrite scarlatineuse ignorée. De
59 cas constatés, l'absence a été2) fois bilatérale et 38 fois uni-
latérale
: dans 64 0/0 des cas l'absence monosymptomatique
ccroissement notable qu'après 40 ans ; elle est le plus souvent bi-
latérale
(les deux tiers des cas) ; lorsqu'elle est unilat
de nuances par des phénomènes de réflexion produits par l'éclairage
latéral
. Nous n'avons pas constaté le même polychromism
ertain arrangement invisible à la lumière directe età à l'éclairage
latéral
que les réactifs indiqués mettent en évidence. Je
eur d'Abbé et nous avons comparé aussi les résultats de l'éclairage
latéral
avec ceux donnés par l'éclairage direct. Les ce
On voit aussi une scoliose de la partie dorso-lombaire, à concavité
latérale
gauche. Dans l'ensemble, la colonne vertébral
idu à cou normal, ce chiffre est près de trois fois supérieur. Sens
latéral
. Les mouvements sont encore plus réduits ; leur a
au sacrum ; le reste nous ayant paru normal. Les courbures. Faces
latérales
: Vue par ses faces latérales, la colonne verté
t paru normal. Les courbures. Faces latérales : Vue par ses faces
latérales
, la colonne vertébrale a une concavité dorsale
bres lombaires. Face antérieure : On note une scoliose à concavité
latérale
droite, répondant au tiers supérieur de la colo
l'on sentait facilement le bulbe et le cervelet. Vue par ses faces
latérales
, cette masse supérieure présente, en plus des 4
voit une autre portion très réduite, qui possède sur ses par- ties
latérales
un canal transversale où devait se loger l'artère
seuse d'une hauteur de huit centimètres, présentant sur ses parties
latérales
4 paires de côtes. Cette masse comprend donc 4
ieure. La moitié droite du front (de la ligne médiane à l'insertion
latérale
des cheveux) est plus petite (75 mm.) que la ga
oire supérieure, onobserve du côté droit une incisive (probablement
latérale
) qui est très mobile. En ar- rière de celle-ci
ière). Du côté gauche on observe la moitié supérieure de l'incisive
latérale
ainsi qu'une molaire symétrique à celle du côté
os mixte provenant d'un noyau central conjonctif et de deux nodules
latéraux
car- tilagineux. Les recherches de Külliker che
'hypoglosse ; diminution des fibres dans les cordons postérieurs et
latéraux
; dans les nerfs périphériques, mélange de fibres
eurs dimi- nuant de bas en haut ; diminution des fibres des cordons
latéraux
; diminution des fibres et des cellules dans le
l'on observe dans la poliomyélite antérieure chronique, la sclérose
latérale
amyotrophique, où la dégénérescence secondaire, d
rappelant celles que l'on voit dans les formes rapides de sclérose
latérale
all1,)'otrophique, Ce symptôme, très accusé che
c. a. sont complètement détruites, les cordons antérieur c.o. a. et
latéraux
c. o. 1. sont en partie dégénérés. les cordons po
qu'à une distance d'environ deux doigts du sternum. Les mouvements
latéraux
vers la droite et vers la gauche ne se font pas c
décrire à son corps un arc de cercle très marqué. Les mouvements
latéraux
du tronc sont aussi très difficiles et incom- p
e cervicale, avec Charcot et Joffro,y, enfin et surtout la sclérose
latérale
s'approprièrent les cas les plus typiques de l'at
antérieures et postérieures est détruite par la lésion. Les cornes
latérales
sont comprimées et refoulées, ou bien anéanties
aîné des déformations considérables dans les cordons postérieurs et
latéraux
, des déviations des sillons antérieurs et posté
on cervicale, elles tendent à déborder latéralement sur les cordons
latéraux
, ce qui explique la dégénéra lion des faisceaux
fente transversale, qui à droite se pour- suit à travers le cordon
latéral
jusqu'à la pie-mère. Elle est à peu près transv
ccupe toujours le centre de la moelle, elle envoie des diverticules
latéraux
ou postéro-latér3ux, qui segmentent la substanc
gmentent la substance grise, les cornes postérieures ou les cordons
latéraux
; les uns se terminent en culs-de-sac, d'autres
ordons postérieurs. Elles sont plus indécises au niveau des cordons
latéraux
, où la ligne de démarcation entre le gliome et
cellules en palissade ne forment la bordure que sur un prolongement
latéral
ou postérieur de la fente (Du). En Dxn, la traî
ux, surtout aux extrémités des fentes, à la limite des diverticules
latéraux
. Nul doute qu'à un moment donné il y a eu néo-
se rencontrent encore assez loin du gliome jusque dans les cordons
latéraux
. Dans plusieurs régions, les petits vaisseaux,
s s'infiltrent ainsi dans les racines, il la périphérie des cordons
latéraux
. Au milieu des infil- trations conjonctives qui
culièrement net : 1° dans les sillons des cordons posté ? rieurs et
latéraux
, vis-à-vis des culs-de-sac cavilaires (Dvll et Dv
TDfil ? THO\fA5 ET QUERCY branes conjonctives, entre les extrémités
latérales
de la cavité et la pie- mère, dans les fissures
s par places, par des traînées conjonctives ; au-delà sur le cordon
latéral
ou le cordon postérieur de l'autre côté, la pie-m
surtout au niveau de la paroi antérieure. En outre dans les cordons
latéraux
on voit des membranes conjonctives se détacher
ère a frappé presque exclusivement la face postérieure et les faces
latérales
de la moelle. Le maximum de son développement s
le sens laté- ral ; la corne droite antérieure et surtout la corne
latérale
s'écartent encore davantage vers la droite, se
avoir la partie postérieure de la ceinture circulaire du fais- ceau
latéral
et la zone antérieure de la périphérie du faiscea
oindre, la par- tie postérieure de la zone périphérique du faisceau
latéral
. Sur la dure-mère hypertrophiée à l'endroit pré
côté de la partie postérieure de la zone péri- phérique du faisceau
latéral
gauche. L'examen microscopique constate déjà à
et dans la moitié postérieure de la zone périphérique des faisceaux
latéraux
. Dans les racines antérieures on constate des sym
-postérieure ; grossissement et irrégularité de contour des apophyses
latérales
ou articulaires. Les corps des vertèbres et les
arque un grossissement et une irrégularité de contour des apophyses
latérales
ou articulaires, surtout de la IIIe à la VIe ve
es et des disques intervertébraux semblent normaux. b) Projection
latérale
(PI. LVII). On remarque seulement quelque irrégu-
uche, on voit des néoformations osseuses qui partent de l'extrémité
latérale
du bord infé- rieur des corps vertébraux (I, II
e type, mais beaucoup moins développées, qui partent de l'extrémité
latérale
du bord supérieur ou inférieur des corps vertéb
eure nous mon- tre que l'hyperossification est bornée aux apophyses
latérales
ou articu- laires, comme ça été déjà dit, et qu
inclinaison de 2 à 3 centimètres dans le sens antéro-postérieur ou
latéral
; de la 5e vertèbre cervicale au sacrum, la lordo
s mouvements propres du rachis, flexion et exten- sion, inclination
latérale
, rotation, sont abolis. Les cuisses, en demi-fl
urs mouvements. La malade a seulement un décubitus pour dormir : le
latéral
de l'un ou de l'au- tre côté; elle est forcémen
face antérieure entre C 8 et D 1, un aplatissement il prédominance
latérale
gauche. Elle est déprimée à ce. niveau sur une
l'angle supéro-interne du cordon antérieur. Cordons postérieurs et
latéraux
sensiblement indemnes. Dans ce cas la moelle co
lésions cellulaires de la poliomyélite chronique et de la sclérose
latérale
amyotrophique. Quelle est la raison de cette si
PAIIIION), XXXII à XXXIV. Dystrophie musculaire progressive hémi-
latérale
(J¡NGAZZINI ? XLV il XLVII. Epilepsie tardive e
n mois, six se-» maines, que l'extrémité d'une infinité de ramuscules
latéraux
présente un renflement subit, » arrondi ou ovalai
é de nerf. Fig. i. Au-devant de la colonne cervicale, sur la partie
latérale
gauche, il existe une série de tumeurs occupant l
RC, en partie cachée par le colon descendant CD, qui occupe sa partie
latérale
gauche, et en partie par la fin du duodénum et le
es dures, situées sur la ligne médiane, se développent par des points
latéraux
qui viendraient ensuite se réunir sur un raphé mo
é plus haut tenait uniquement à la laxité, à la longueur des ligamens
latéraux
de l'articulation. Les os du pied droit sont évid
1), l'extenseur commun des orteils (2), le long et le court péroniers
latéraux
(3), le soléaire (4), le jumeau externe (5) : les
mens superficiels de l'articulation. MI malléole interne, LI ligament
latéral
interne, ME malléole externe, TC tubérosité antér
s enfans pieds-bots qu'ils ont reçus. C'est encore à la compression
latérale
exercée sur le bassin que nous devons attribuer l
ës s'articulaient entre elles au moyen d'un ligament. L'aplatissement
latéral
du bassin a entraîné l'effacement des cavités cot
des pieds, des jambes et des cuisses, a pu déterminer la compression
latérale
du bassin. Cette présomption est devenue pour moi
e ceux de l'adulte. Ligamens. Les ligamens antérieur, postérieur et
latéraux
externes de l'articulation tibio-tarsienne ne pré
extrêmement relâchés et allongés. Il n'en est pas de même du ligament
latéral
interne ; il existait i° une couche superficielle
malléole interne à l'astragale et au calcanéum ; c'était le ligament
latéral
interne ordinaire qui n'était nullement raccourci
mation (si ce ligament existe quelquefois), ce serait sur le ligament
latéral
interne raccourci, s'il était vrai qu'il fût cons
rapide, trop forte, trop brusque, la traction exercée sur le ligament
latéral
interne produirait des effets funestes, les effet
la protubérance et le bulbe. LM est le lobe médian, CC les deux lobes
latéraux
du cervelet. Il y a probablement quelque inexacti
en qui doive nous étonner. Elle est le résultat de la double pression
latérale
à laquelle il a été soumis par le développement d
ces franges étaient comme couronnées de matière crétacée. Le ligament
latéral
interne de même que l'externe CL en étaient pénét
mouvemens ; cette matière recouvrait aussi les facettes articulaires
latérales
qui répondent aux malléoles externe et interne. L
latérales qui répondent aux malléoles externe et interne. La facette
latérale
externe FE a pu seule être montrée sur cette figu
tacée. Le tissu cellulaire adipeux qui revêt les faces plantaire et
latérales
du calcanéum était pénétré de matière plâtreuse d
ar des concrétions sanguines de médiocre consistance. Dans les veines
latérales
de l'utérus VLU, on ne rencontrait que très-peu d
, dans les veines des ligamens larges, comme dans les veineà utérines
latérales
, on voyait cette progression, qui m'a paru consta
rieure de cet organe, celle qui tapisse les deux gouttières profondes
latérales
de cette région postérieure, la partie voisine du
si la fluxion s'étend aux deux replis muqueux qui, comme deux lèvres
latérales
, bordent l'ouverture supérieure du larynx, alors
ages aryténoïdiens « étaient confondus avec les muscles indiqués soit
latéraux
, soit postérieurs. Ces muscles, ainsi que le « ti
terminer à quelques-uns des points des parois du kyste. Le ventricule
latéral
du même côté est extrêmement dilaté (fig. 3) et c
l. 5. MALADIES DU CERVEAU. (Idiotie.) mulée clans les ventricules
latéraux
. Les corps striés et les couches optiques sont en
e, et par conséquent à l'absence de la moitié réfléchie du ventricule
latéral
et à une large communication entre ce ventricule
absolue; absence du lobe moyen gauche et communication du ventricule
latéral
avec la cavité de Varachnoïde extérieure. — Défor
6°. Le cerveau ouvert, nous avons vu, dans l'intérieur du ventricule
latéral
(figure 2), une bandelette de substance médullair
Il y avait absence de la partie inférieure ou réfléchie du ventricule
latéral
. Par conséquent point de corne d'Ammon, point de
ls sont les effets de l'absence de la moitié inférieure du ventricule
latéral
, et par conséquent de la corne d'Ammon et de la p
ite. Probablement communication du foyer avec la cavité du ventricule
latéral
correspondant. Pronostic. Le cas sera prochaine
che CO. Un sang concret et noir remplissait ce foyer. Les ventricules
latéraux
contenaient de la sérosité sanguinolente, et néan
était à elle seule plus considérable que tout le reste du ventricule
latéral
. Il est bon de rappeler que la malade était toujo
spontanée de la couche optique avec communication dans le ventricule
latéral
. Hémiplégie complète, délire et mouvemens convuls
êt le cervelet, et caillots sanguins considérables dans le ventricule
latéral
droit et dans le ventricule moyen. Large communic
énitude de son intelligence. Ouverture, du cadavre. Les ventricules
latéraux
sont énormément dilatés et remplis par une sérosi
l'état naturel ; les deux ouvertures de communication des ventricules
latéraux
avec le ventricule moyen dilatés. Le plancher du
latéraux avec le ventricule moyen dilatés. Le plancher du ventricule
latéral
gauche nous a présenté le foyer apoplectique FA (
vre. Les vaisseaux de la pie-mère sont très-injectés. Les ventricules
latéraux
ouverts par leur partie antérieure donnent issue
-neuvième jour de la maladie. Ouverture du cadavre. Les ventricules
latéraux
ouverts par leur extrémité antérieure ont donné u
et les anfractuosités moins profondes que de coutume. Les ventricules
latéraux
VO, VO étaient extrêmement dilatés, leurs parois
u niveau de la tumeur, la moelle épinière est divisée en deux cordons
latéraux
parfaitement distincts ; chaque cordon donne nais
ar l'absence complète de substance grise \ en sorte que chaque cordon
latéral
était converti en un canal médullaire, dispositio
nt encore que les vertèbres se développent en général par deux points
latéraux
d'ossification, ainsi que M. Serres l'a parfaitem
sans douleur. La pression abdominale, soit antéro-posté-rieure, soit
latérale
, ne me paraît que d'une valeur très-secondaire, e
ésente la tumeur d'apparence fibreuse, sphéroïde, TC , née de la face
latérale
droite de la faux du cerveau FC, près de son bord
résente la tumeur d'apparence fibreuse, sphéroïde, TC, née de la face
latérale
droite de la faux du cerveau FC, près de son bord
r l'absorption de la matière colorante : si Hooper a trouvé les sinus
latéraux
pleins de pus, cela tient à ce que, contradictoir
ation des sinus (***). (*) Dans la figure de Hooper, les deux sinus
latéraux
sont représentés ouverts et pleins de pus-, la me
rouge vermeil, est tapissée par une fausse membrane. L'abcès du sinus
latéral
gauche s'était vidé à l'extérieur par le conduit
t-il que le malade a vécu avec l'oblitération complète des deux sinus
latéraux
. (**) Bibliothèque médicale, loc. citât. 1826.
laire. Dans l'un de ces cas le sinus longitudinal supérieur, le sinus
latéral
gauche, et les veines cérébrales supérieures, éta
Hérophyle PH (fig. 3), la moitié postérieure ou horizontale des sinus
latéraux
, sont également distendus par du sang coagulé et
semblable à du petit-lait trouble. La surface interne des ventricules
latéraux
est tachetée d'ecchymoses de dimensions variables
uche du cerveau. La figure 3 représente le plancher des ventricules
latéraux
, la voûte de ces ventricules ayant été enle- (*
nt séreux ou purulent. 3°. La sérosité qui distendait le ventricule
latéral
de l'hémisphère correspondant, celle qui rempliss
ntérieurs du cerveau et atrophie de son hémisphère droit. Ventricules
latéraux
ouverts antérieurement; ventricule latéral droit
sphère droit. Ventricules latéraux ouverts antérieurement; ventricule
latéral
droit ouvert en outre de côté et en arrière (*).
rte de substance OP qui établit une communication entre le ventricule
latéral
de ce côté et la cavité de l'arachnoïde. On voit
erte de substance OA, O'A' fait communiquer la cavité des ventricules
latéraux
avec la cavité de l'arachnoïde. (*} Observation
s dimensions des ouvertures de communication OA, O'A' des ventricules
latéraux
3 avec la cavité de l'arachnoïde extérieure. L'ex
le cerveau vu de côté et à droite. L'ouverture postérieure ou plutôt
latérale
OP de l'hémisphère droit HD, le petit nombre de c
érale OP de l'hémisphère droit HD, le petit nombre de circonvolutions
latérales
, le profil des ouvertures antérieures OA, O'A', s
'absence du lobe moyen, avec communication de la cavité du ventricule
latéral
et de la cavité de l'arachnoïde extérieure : il y
nne et l'articulation radio-carpienne : car on sait que les luxations
latérales
de la première articulation sont excessivement ra
'aponévrose si épaisse qui le revêt. Peut-être les débris du ligament
latéral
externe de l'articulation et du ligament annulair
lvien, autour des vaisseaux hypogastriques et iliaques, et de la face
latérale
droite de la vessie. On ne put découvrir le moind
u'on exprime les sucs qui la pénètrent, à l'aide d'une douce pression
latérale
, on voit sortir d'une multitude de points, de pet
orts de toutes les parties représentées sur cette figure. La partie
latérale
droite de la face postérieure de l'utérus présent
de l'ambulance. Choléra moyen très intense; crampes abdominales et
latérales
du tronc; vomissements ; hoquet. Guérison rapid
s et cernés ; lèvres violettes ; refroidissement plus grand ; crampes
latérales
du tronc qui le font renverser de coté. Prescri
'arrière-bouche; toux sèche ; cris voilés (4 sangsues sur les parties
latérales
du col) ; le 15, même état ; mort le 16\ Ouvertur
a formation des commissures est subordonnée à l'existence des parties
latérales
; mais autre chose est ce qui se passe avant l'évo
cloison médiane qui divisait incomplètement la tumeur en deux moitiés
latérales
, ni de ces filets nerveux qui, partant des envel
neuse bien distincte de la varice proprement dite ou de la dilatation
latérale
. L'hypertrophie des veines s'observe dans tous
igeait d'abord obliquement en haut et en dehors pour gagner la partie
latérale
de l'abdomen, puis verticalement sur la partie la
ner la partie latérale de l'abdomen, puis verticalement sur la partie
latérale
du thorax pour aller se jeter dans la veine axiil
l'hémisphère gauche H G vu par sa face interne. On voit le ventricule
latéral
VL, la face interne de la couche optique CO, le c
et l'un des lobes, l'autre lobe étant intact, 5° enfin les deux lobes
latéraux
, la portion moyenne conservant son volume naturel
cune ligne de démarcation ne sépare cette portion moyenne des parties
latérales
, la dénomination de lobe moyen, admise par Home,
ce n'est pas la partie moyenne de la prostate, mais bien les parties
latérales
ou lobes latéraux qui proéminent dans l'intérieur
rtie moyenne de la prostate, mais bien les parties latérales ou lobes
latéraux
qui proéminent dans l'intérieur de la vessie; je
ie moyenne était proportionnellement plus volumineuse que les parties
latérales
. Cette prostate entourait de toutes parts le ca
anum. Il vit la route qu'il avait faite dans l'épaisseur de la partie
latérale
gauche de la tumeur. sonde à demeure malgré l'é
; de petite concrétions ossiformes (phlébolites) occupent les parties
latérales
. Everard Home avait noté le développement des vei
peine de couleur rosée. La toux provoque des douleurs dans la partie
latérale
droite du thorax. Dépérissement, malaise, fréquen
oif assez vive. Il y a de l'appétit ; ventre saillant sur les parties
latérales
: sa paroi antérieure molle , flasque , ridée. Pr
arcourue par des vaisseaux et analogue au blanc-manger. Sur la partie
latérale
gauche de l'hémisphère, au niveau de la région te
n delà grossesse extra-utérine. (Avril 1825.) XVIIIe LIVRAISON. 1
latéral
n° 5 ; les fosses de la base du crâue , les corne
la couche optique. Ce dernier fo\^er communiquait avec le ventricule
latéral
correspondant. 2e Orservation. Cancer mélanique
tèbres dorsales. Le corps de ces vertèbres est divisé en deux moitiés
latérales
. On reconnaît très bien, de chaque côté des trous
e chaque côté des trous, la moitié des corps des vertèbres , les arcs
latéraux
et les trous de conjonction par lesquels passent
le rocher se voit un os OL, qui lui est parallèle; c'est l'occipital
latéral
, facile à reconnaître au trou condylien antérieur
omme vestige un petit fragment osseux O B? situé derrière l'occipital
latéral
droit OL et rejeté en arrière. Je ferai remarqu
G sont soudées. On reconnaît aisément les roches R R, les occipitaux
latéraux
OL, OL, les arcs latéraux des vertèbres cervicale
aît aisément les roches R R, les occipitaux latéraux OL, OL, les arcs
latéraux
des vertèbres cervicales, lesquels représentent d
r. A la même époque, parurent plusieurs tumeurs, deux sur les parties
latérales
et supérieures du crâne ; une troisième à la part
celluleuse. La paroi inférieure de la portion réfléchie du ventricule
latéral
était en grande partie remplacée par cette toile
seulement dans quelques points, et adhérent à leurs parois. Les sinus
latéraux
contiennent aussi du sang couenneux et adhérent.
C Hvr- Dans Fun de ces cas, le sinus longitudinal supérieur, le sinus
latéral
gauche et les veines cérébrales supérieures étaie
s l'épaisseur de la substance blanche jusqu'à la voiite du ventricule
latéral
, et, qui d'une autre part, avait deux pouces dans
iltrait un liquide séreux. Une dépression sensible dans le ventricule
latéral
répondait à ce foyer. xxe livraison. 3 Hémisp
st difïluente. L'altération s'étend jusqu'à la membrane du ventricule
latéral
correspondant. Un très grand nombre de circonvo
nté : i° une cicatrice jaune-serin à la surface interne du ventricule
latéral
droit, au moment où ce ventricule se réfléchit po
rme des circonvolutions. Cette altération s'étend jusqu'au ventricule
latéral
, et occupe toutes les circonvolutions qui réponde
actement limitée à la moitié de la voûte correspondante au ventricule
latéral
gauche. L'autre moitié est parfaitement intacte.
urs. Sclmltze avait en effet, remarqué la participation des cordons
latéraux
et des cornes posté- rieures au processus de dé
es dépendant du système des faisceaux cérébelleux direct et antéro-
latéral
de Gowers et reliant ceux-ci. Mais des cas de F
cordons postérieurs, les racines postérieures et les cordons antéru
latéraux
. A remarquer la dégénérescence très nette du l.us
nnable, émotive, sujette à un tremblement oscillatoire, rhythmique,
latéral
de la tête à propos d'une fatigue, d'une émotio
de la chaise, le corps posé sur les ischions, les oscillations sont
latérales
. J'ai fait remarquer que D... entend très bien,
e.- Tt,T2,T2, 1re, 2e, 3 circonvolutions temporales.- V, Ventricule
latéral
.- Voc, corne occipitale du ventricule latéral.
porales.- V, Ventricule latéral.- Voc, corne occipitale du ventricule
latéral
. APHASIE AMNÉSIQUE (Halipl'é) . Nouvelle Ic
perte de substance approchant de la corne occipitale du ventricule
latéral
, mais sans l'at- teindre tout à fait. Sur la co
ans la substance blanche jusqu'à la corne postérieure du ventricule
latéral
. Rappelons aussi l'observation publiée par Tren
LE DES MUSCLES SPINAUX DANS LA MARCHE NORMALE CHEZ L'UOMME SI seurs
latéraux
des vertèbres lombaires et dorsales inférieures ;
des muscles spinaux sur la colonne vertébrale, extension et flexion
latérale
(Duchenne),laquelle est mise en jeu ici. Nous a
peu marqué d'extension du tronc directement en arrière, la flexion
latérale
l'empor- tant de beaucoup. On n'aperçoit d'aill
serait perdu. C'est à ce rôle d'équilibration du corps dans le sens
latéral
pendant la marche que je crois la masse sacro-l
n avant. 5° Son rôle, dans la marche, est d'assurer l'équilibration
latérale
du tronc; elle s'oppose à l'inflexion latérale
urer l'équilibration latérale du tronc; elle s'oppose à l'inflexion
latérale
de la colonne vertébrale du côté où porte le po
et plus retroussé d'un côté que de l'autre. Il y a un aplatissement
latéral
très marqué du thorax, lié à l'amoindrisse- men
ant une surface plane, un véritable méplat occu- pant toute la face
latérale
du thorax : il est limité en avant par une ligne
ression en verre de montre qui termine en avant le méplat des faces
latérales
du thorax ; ses dimensions sont en moyenne cell
idérable de la hauteur du flanc se traduit par la formation de plis
latéraux
et postérieurs plus nombreux et moins marqués q
omme. Nous avons plusieurs fois observé l'aplatisse- ment des faces
latérales
du thorax et la dépression en verre de montre.
al limitée à sa partie inférieure. Le peu d'aplatissement des faces
latérales
du thorax, le léger degré de déjettement du rebor
. Une fois seulement chez l'homme, nous avons observé une déviation
latérale
du rachis qui était en totalité incliné en haut
courbure à convexité postérieure, exceptionnellement une déviation
latérale
, la région lombaire est rectiligne. «.... Le
get du syndrome. Rappelons en effet qu'en dehors de l'aplatissement
latéral
commun aux deux affections, l'on trouve chez nos
sses côtes, la dépression lenticulaire sus-jacente, l'aplatissement
latéral
du thorax. Là s'arrête d'ailleurs toute la ress
frustes, cérébrale, spinale, bulbaire ou cérébelleuse. La sclérose
latérale
amyotrophique en tant que début est tantôt spinal
alement. Dans la région frontale par exemple c'estsurtout la partie
latérale
supérieure de la Nouvelle Iconographie DE la Sa
Là la dilatation ventriculaire est le plus prononcée dans les parties
latérales
et inféro-latérales. Nous émettons donc l'opi
décoloration nette du jambage interne de l'U, moins forte du jambage
latéral
ascendant. Le microscope démontre que : 1°
ôt et avant que la démence seule pût les justifier. Les ventricules
latéraux
étaient dilatés et cela naturellement aux dépen
Examen du cerveau coupé en série (Dr. Papadaki). Les ventricules
latéraux
sont dilatés (fig. 10 et 41), à gauche un peu plu
e circonvol. frontale. S, sclérose péri-vasculaire. V, ventricule
latéral
. FIG. 12. Espace péri-capillaire. ALTÉRATIONS
de la tendance à se dévier à gauche ou à droite dans les directions
latérales
(PI. XXVI, B). Par un contraste remarquable, le
al de l'anat., 1880. (2) Bruche, A cas of double paralysis of the
latéral
conjugate deviation of tlae eyes. Heu. of. Neur
l'intoxication et à l'accumulation de liquide dans les ventricules
latéraux
. Cette même explication est donnée par Rickards (
un caillot qui interrompait la communication entre les ventricules
latéraux
et le canal de l'épendyme. En étudiant l'évolut
pituitaire (3). Sur les coupes des plexus choroïdes des ventricules
latéraux
, colorées à l'hé- matoxyline-éosine, après fixa
roïde mesure 15 millimètres de haut sur la ligne médiane; ses faces
latérales
ont 26 milli- mètres de haut sur 33 millimètres
sur la fréquence des scléroses combinées des cordons postérieurs et
latéraux
, mais les divergences commencent quand il s'agi
nérescence grise). « La sclérose combinée envahit surtout le cordon
latéral
, sans rester strictement limitée à l'aire du fa
bitraire, se répartir en 3 groupes. Dans le 1 er sont 4 scléroses
latérales
; dans le 2e, 3 scléroses postérieu- res ; dans
res ; dans le 3e, 5 scléroses combinées. 1 or Groupe : Scléroses
latérales
. Les 4 cas suivants n'ont de lésions médullaire
ction des fibres à myéline dans la moitié postérieure des faisceaux
latéraux
. Drap... Emile, 66 ans, entre à l'asile de Vauc
dans les deux tiers externes de la partie pos- térieure du faisceau
latéral
. SCLÉROSES COMBINÉES médullaires DES paralytiqu
térieure de la moelle dans l'aire du faisceau fondamental du cordon
latéral
des deux faisceaux pyramidaux croisés et à la l
ltrées. Pas d'autres altérations. En résumé, ces quatre]scléroses
latérales
, pour avoir même topographie générale, sont trè
érieurs ; elle déborde dans la partie postéro-externe des cor- dons
latéraux
. Weigert-Pal. Le faisceau de Burdach est complè
on certaine avec sclérose de la partie postérieure d'un des cordons
latéraux
. Aussi ce dernier cas peut servir de transition
ns toute la moitié posté- rieure de la moelle en arrière des cornes
latérales
. Dans les mômes régions, PLANCHE XXXIV. 1. Ob
e gauche, inégalité pupillaire, signe d'Arg,yl-Hoberlson, nystagmus
latéral
, tremblement de la langue, hésitations de la pa
calcarine et s'étendant en profondeur jusqu'à la cavité du ventricule
latéral
. La pie-mère était tellement adhérente qu'elle
tourées de ces mêmes cellules. A la région dorsale dans le faisceau
latéral
se trouve un foyer de méningo- myélite surajout
a pie-mère qui est très adhérente, de la dilatation des ventricules
latéraux
avec granula- tions de l'épendyme ; les circonv
lissement avec pigment sanguin. Alors que les cellules des cor- nes
latérales
sont nombreuses, bien colorées quoiqu'en état de
e consistant en décoloration des faisceaux fondamentaux des cordons
latéraux
, de la partie médiane du bord interne des cordo
e des cordons postérieurs et les faisceaux fondamentaux des cordons
latéraux
, ceux-ci sur une surface moins étendue que dans l
postérieurs est identique, il n'en est pas de même pour les cordons
latéraux
. : Dans le 1er cas, ces lésions sont diffuses,
escence de voisinage des fibres nerveuses périphériques des cordons
latéraux
. ' Dans l'autre, au contraire, la prédominance
isation nette de la sclérose dans le faisceau fondamental du cordon
latéral
, et d'autre part dans les zones de Lissauer, le
sans doute. Soukha- noff l'a décrite. Nous avons vu des scléroses
latérales
répondant à la description de Westphal. Mais le
avec méningite et inflammation de la par- tie postérieure du cordon
latéral
, comme dans les cas de P. Marie, Guil- lain et
processus entraîner la sclérose du fais- ceau fondamental du cordon
latéral
par poliomyélite, comme dans certains cas de Kl
ux. D'ailleurs les fontanelles vont bientôt se rétrécir,d'abord les
latérales
,puis les antérieu- res (Poirier) (1). Après a
e exclusi- vement localisée 'aux os de membrane; c'est la déviation
latérale
des lames vertébrales, dans les cas où la modif
onstamment. Mais, chez les individus dits Nosencéphales, les masses
latérales
conservent leurs connexions habituelles, la masse
ce est alors circonscrit par un cercle osseux complet. A ces masses
latérales
s'ajoute le cartilage basilaire de l'écaillé et p
éphales, les dispositions sont tout à fait différentes : les masses
latérales
, loin de se rejoindre sur la ligne médiane, son
E DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'A ? ErqCÉPHALIE 359 avec les masses
latérales
dont chacune est un os parfaitement distinct. Ces
u occipital n'est pas circonscrit par un cercle osseux : les masses
latérales
sont déjetées en dehors, l'écaille, fixée perpend
F. Frontal. - P. Pariétal. - E. o. Ecaille occipitale. M. 1. Masses
latérales
. - A."b. Apophyse basilaire. /'<'10. 5. |(jr
t-Hilaire, celui-ci est largement ouvert : les relations des masses
latérales
et de l'écaillé entre elles et relativement à l
Chaque moi- tié forme un triangle dont la base repose sur la masse
latérale
correspondante, dont le sommet va s'articuler a
t ainsi en divergeant à par- tir du sommet et, au niveau des masses
latérales
, ils se trouvent séparés par une distance de qu
tale. Dans quelques cas, la courbure est compliquée d'une déviation
latérale
, quej'ai trouvée à gauche chez l'un de mes sujets
'Erb-Charcot avec sa sclérose systématisée et primitive des cordons
latéraux
se présente à l'esprit ; M. Raymond a montré que
ais parmi ces cas, dans le premier il s'agit sans doute de sclérose
latérale
amyotrophique au début, car un certain nombre de
ll (1880) et de Bischoff, l'examen de la moelle montra une sclérose
latérale
combinée à une sclérose des cordons de Goll dans
présentent dans la région occipitale un aplatissement de la moitié
latérale
du crâne; c'est un fait analogue à la déformation
des douleurs dans la colonne vertébrale dorsale et dans les parties
latérales
du côté des reins ; ces douleurs devenant toujo
peu endolorie. Mais alors cette articulation répond sur les masses
latérales
à un point bien précis, très douloureux à la pr
ucun point douloureux sur la ligne des apophyses, ni sur les flancs
latéraux
de la colonne vertébrale ; la saillie formée par
ôté que de l'autre et impres- sionne en conséquence une des moitiés
latérales
du bassin plus que l'autre. Le diamètre antéro-
t de la racine du nez, la grosseur de la tête ainsi que l'inclination
latérale
du tronc, avec inclinaison compensatrice de la
es phalanges. Je n'ai pas pu pratiquer de nouvelles ra- diographies
latérales
qui auraient pu, peut-être, nous donner des rense
dernière est aplatie et présente un trou médian. Une radiographie
latérale
nous aurait éclairé un peu ; malheureusement elle
rement et latéralement au fémur ; 6° Péroné long, avec une courbure
latérale
qui rend plus voisines les épiphyses. Luxation
l, les autres parties du squelette sont appliquées comme des rayons
latéraux
. Le 1er rayon serait constitué par le tibia et pa
nerf, le malade s'étant endormi avec le bras appuyé sur la planche
latérale
du lit. 29. - Le malade délire et il répond à p
phère gauche du cervelet séparé par une coupe passant par le sillon
latéral
pèse 40 grammes. Un cervelet normal coupé de la
tra-ciliaire et sous-lobaire postéro-inférieur. Sur des coupes plus
latérales
la lésion est moins étendue et épargne aussi les
et les axes des différents lobes et lobules (arbre de vie des lobes
latéraux
du cervelet) présentent par ci par là des petit
peu nombreuses ; la racine des- cendante du trijumeau, le faisceau
latéral
du bulbe, les fibres radiculaires des XI- et XI
supé- rieure on retrouve les mêmes faits. Le lemniscus médial et le
latéral
sont toujours très pâles, sauf quelques points.
nes cervicales on remarque : raréfaction très accentuée des cordons
latéraux
surtout au niveau des faisceaux pyrami- daux et
u type Aran-Duchenne, accompa- gnée ou non de symptômes de sclérose
latérale
,de sclérose postérieure ou de symptômes de méni
embrement de l'amyotrophie spinale qui a com- mencé par la sclérose
latérale
amyotrophique, qui s'est continuée par la pachy
qu'elle fuse dans tous les sens, envahissant d'abord les par- ties
latérales
et inférieures des méninges crâniennes, ensuite l
re les parties cartilagineuses, et tout particulièrement les masses
latérales
de l'oc- cipital, des attaches qui les maintena
ns cette situa- tion que nous les observons. L'étalement des masses
latérales
et des autres parties de la voûte du cràne s'ef
'autre. Chez un certain, nombre d'individus, l'étalement des masses
latérales
de l'occipital fait défaut,le trou occipital ex
i la propagation est suffisamment lente, non seule- ment les masses
latérales
de l'occipital résistent à la traction, mais enco
ure de la dia- physe osseuse, il s'est formé, entre les deux masses
latérales
, une véritable gouttière qui se trouve située s
que relativement peu avancée de la vie, se pro- duit une végétation
latérale
insolite ; cette végétation d'abord cartilagi-
ences d'intensité que nous allons étudier maintenant. Ventricules
latéraux
et 3e ventricule. Au niveau du pôle frontal les c
elle s'est établie ensuite de façon plus intense dans le ventricule
latéral
gauche que dans le droit. C'est ainsi que nous
eu près totale du front qui plissé horizontalement dans ses parties
latérales
, est lisse à la région médiane. Les mouvements
gan- glions spinaux sont attachés à sa face inférieure ; ses bords
latéraux
se rejoi- gnent tardivement limitant une très l
l'hospice présentait le phénomène de l'hémianopsie gauche homonyme
latérale
. Il n'avait ni paralysie, ni aphasie sensoriell
tre de la cavité. La face profonde du kyste confine au ven- tricule
latéral
et n'en est séparée en haut que par 3 millimètres
; à la loupe, on distingue à l'extrémité libre convexe des saillies
latérales
un peu bombées (ventouses); au-dessous de cette e
s de kystes sont appendues aux plexus choroïdes des ventri- t cules
latéraux
. - ' L'encéphale, après décortication pesait :
trécie. Ces lésions se retrouvent même dans les parties des cordons
latéraux
qui ne sont pas atteintes par les dégéné- resce
u contraire presque entièrement dégénéré (fig. 7). Dans les cordons
latéraux
c'est à gauche qu'on trouve le maximum de lésions
IFIDA 119 séparées des hémisphères cérébraux ; dans les ventricules
latéraux
se trouvait une accumulation de liquide peu con
ayant l'aspect de deux pâles bandes assez larges. Dans les cordons
latéraux
plus près en arrière existe une fissure s'en- f
ES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA 1SIFIDA 121
latéral
). Les cordons postérieurs sont bien développés. L
n'a pas une direction droite en avant et se dirige dans les parties
latérales
, entourant en avant les cordons latéraux. Les cor
e dirige dans les parties latérales, entourant en avant les cordons
latéraux
. Les cordons posté- rieurs diminuent dans la di
elle allon- gée. Dans la moelle épinière les parties antérieures et
latérales
sont restées sans changements, les cordons post
gélatineuse de Ro- lando ; maintenant elle ne va pas jusqu'au bord
latéral
de la moelle allongée et finit bientôt après so
es myéliniques, qu'on voit partir du faisceau cérébelleux du cordon
latéral
de la moelle épinière et se 124 SOLOVTZOFF di
veuses qui traversent horizontalement la substance blanche du cordon
latéral
de la moelle épinière sous forme d'un arc conto
à la périphérie par les fibres myéliniques qui, quittant le cordon
latéral
, se diri- gent en arrière et en dehors et vont
présente de grandes modifica- tions dans sa structure. Les cordons
latéraux
ont diminué de volume. Les fibres du faisceau f
avant et disposées plus en dedans du faisceau fondamental du cordon
latéral
. Le canal central de la moelle épinière est réuni
moelle épinière a perdu tout à fait sa configuration. Les cordons
latéraux
ont presque disparu et en conséquence l'isthme, s
s blanches, sont placées devant le fais- ceau fondamental du cordon
latéral
, n'allant pas jusqu'à la fissure médiane longit
cordon antérieur et au- devant des faisceaux fondamentaux du cordon
latéral
; de cette manière elles avaient ou bien la for
e droit. Les autres changements consistent en ceci, que les cordons
latéraux
de la moelle épinière disparaissent complètemen
eure, apparaît l'olive accessoire interne et à la place de la corne
latérale
et du faisceau fondamental du cordon latéral, l
la place de la corne latérale et du faisceau fondamental du cordon
latéral
, l'olive inférieure. Planche XIV PIIOT. 17. A
le ; avec eux viennent les libres du faisceau fondamental du cordon
latéral
, grâce à quoi la moelle épinière diminue dans le
n condyle, ni par une trochlée, mais par une sorte de juxtaposition
latérale
des deux os. L'extrémité inférieure de l'humérus
la main sur l'avant-bras sont aussi très limités, plus dans le sens
latéral
que dans le sens de la flexion et de l'extension.
eux doigts du côté droit, soit dans l'angle formé par l'inclinaison
latérale
du pouce droit. Souvent aussi il prend les objets
ériphérie,du côté opposé ils sont colorés uniformément. Les cordons
latéraux
ont une couche de fibres myéliniques seulement au
ndo. Encore plus en avant se trouve le faisceau pyramidal du cordon
latéral
, limité en dehors et en dedans par les fibres p
par une lame pâle, correspondant au faisceau pyramidal. Les cordons
latéraux
sont couverts sur le bord d'une couche très fin
seur en arrière ; en dedans existe le faisceau pyramidal du cordon
latéral
, privé de myéline. La pie-mère, à la place où e
iminué subitement dans la direction d'avant en arrière. Les cordons
latéraux
ont diminué. Le canal central est considérablem
ure antérieure et le canal central est agrandi. Dans les fis- sures
latérales
, séparant la moelle épinière de l'allongée, se so
racines postérieures, avec cela il faut remarquer que les fissures
latérales
ont beaucoup diminué. Phot. 27. - La fusion d
nes antérieures. La quan- tité de fibres myéliniques dans le cordon
latéral
a diminué. Sur les côtés, à la xiv ' 18 254 S
sent les fibres radiculaires de l'hypoglosse. A la place des cornes
latérales
se montrent les olives et entre elles est disposé
rdons antérieurs se placent plus en arrière, suivis par les cordons
latéraux
(Phot. 27) ; en arrière, entre les cordons anté
téraux (Phot. 27) ; en arrière, entre les cordons antérieurs et les
latéraux
se forme la coupe du ruban de Reil, et en avant
core cou- verts de myéline en forme d'une étroite lame. Les cordons
latéraux
sont visi- blement plus larges d'un côté que de
rofondeur. En avant du faisceau cérébelleux, du côté où les cordons
latéraux
sont plus larges, on remarque à la périphérie, un
l développés, pressés un peu sur uu côté, celui où dans les cordons
latéraux
sont placées les pyramides ; dans leur par- tie
u fondamental du cordon antérieur, le faisceau de Gowers, le cordon
latéral
, élargi outre mesure d'un côté parce que s'y sont
des et où la partie abaissée du bulbe est suspendue sur les cordons
latéraux
, passent dans la moelle allongée, par des libres
s'éloigne en arrière et passe directement par le fond de la fissure
latérale
, séparant la moelle allongée de l'épinière. Dans
ngée est suspendue au-dessus de la moelle épinière, entre la partie
latérale
de la moelle épinière et de l'allongée, une fis-
rieurs, lesquels ont en grande partie passé en arrière. Les cordons
latéraux
sont amincis. Comme dans les coupes précédentes
d du niveau de la coupe. Ainsi à la place de la corne antérieure et
latérale
apparaissent les olives. Les cordons latéraux d
a corne antérieure et latérale apparaissent les olives. Les cordons
latéraux
disparaissent et à leur place apparaît la substan
enant aux fibres de la voie pyramidale. La fissure dans les parties
latérales
a presque dis- paru. Les racines postérieures s
parce que les pyramides sont placées seulement dans un des cordons
latéraux
. Cas IV (PI. XXX). Contrairement il ce qu'on
ant le commence- ment du bulbe rachidien. Les cordons antérieurs et
latéraux
sont bien déve- loppés. Le canal central est él
rieurs sont déplacés en arrière, et en raison de ce que les cordons
latéraux
avancent latéralement des Nouvelle Iconographie
NS LE SPINA BIFIDA 261 deux côtés, par suite en arrière des cordons
latéraux
, il s'est formé des fis- sures, dans lesquelles
ettre S dont le bord antérieur limite la partie dorsale des cordons
latéraux
. Ainsi, comme dans les cas précédents, la moell
tiés : 1° antérieure, où nous retrouvons les cordons antérieurs et
latéraux
avec les cornes antérieures et postérieures, et
qui sont assez nettement séparées l'une de l'autre par une fissure
latérale
, où sont placées les racines postérieures. La m
Ro- lando, placée dans les coupes précédentes au fond des fissures
latérales
, est ici reculée en arrière et se trouve seulem
aisceaux fondamentaux marchent les racines antérieures, les cordons
latéraux
sont diminués de volume et à leur place est sit
tuée la substance réticulaire. A cause de la diminution des cordons
latéraux
, les fissures, placées sur les côtés de la moelle
omme le spina bifida est accompagné de l'hydropisie des ventricules
latéraux
, cela naturellement explique que la même rai- s
° ven- tricule existait également l'hydropisie dans les ventricules
latéraux
, dans le 3° ventricule, dans l'aqueduc de Sylvi
avant, est creusé en gouttière et ses bords font une légère saillie
latérale
. L'angle chondro-costal est très proémi- nent m
nt. Réflexe plantaire affaibli à droite, nul à gauche. Oscillations
latérales
des doigts ; oscillations légères des membres s
es noyaux des cordons de Goll, de Burdach et des noyaux des cordons
latéraux
, atrophie du faisceau cérébelleux, des nerfs hy
ait des altérations desnoyaux de sfaisceaux de Burdach, des cordons
latéraux
, celle des noyaux des nerfs glossopharyngiens et
bien conservé situé latéralement. Des fi- bres partent de la partie
latérale
et viennent s'entrecroiser au niveau de la partie
sidérés comme à peu près normale- ment développés, mais les cordons
latéraux
sont réduits à une mince bande- lette qui dimin
ieur sem- ble à peu près normalement développé. Quant au faisceau
latéral
à part une mince bande qui présente à son inté-
ns antérieurs sont à peu près normalement dévelop- pés, les cordons
latéraux
sont plus développés et mieux conservés qu'au n
n nombre de fibres ne sont pas myélinisées à ce niveau. Le cordon
latéral
est réduit à une courte bandelette qui présente b
sur la face dorsale puisqu'arrivées au niveau de la région supéro-
latérale
, ces formations semblent se diriger en haut et so
là quelques gaines étouffées par la sclérose sur le bord du cordon
latéral
et dans le cordon postérieur. A la région lomba
ieuse de la substance gélatineuse la corne postérieure et le cordon
latéral
. Cette raréfaction se prolonge légère- ment dan
se prolonge légère- ment dans l'angle postéro-interne de ce cordon
latéral
. Au carmin, on peut constater une sclérose plus
sie à colonne, à parois très épaissies, de l'hypertrophie des lobes
latéraux
de la prostate ». Dans Gilles de la Tourette et
lisation des lésions vasculaires. Prédominent-elles sur les cordons
latéraux
, les réflexes seront exagérés, sur les cordons
ant la vie, la lordose seule avait été notée, et que les déviations
latérales
, multiples et se contrebalançant, avaient échappé
paire ou moteur oculaire externe. Plus en dehors, dans la fossette
latérale
du bulbe, sont les nerfs facial et auditif, en
uditif, en arrière desquels on voit successivement sortir du sillon
latéral
du bulbe les filets neneux qui constituent les 9e
ade de 46 ans, buveur, avait comme unique symptôme l'abolition uni-
latérale
du réflexe rotulien : La zone de Westphal était a
à l'ossification du ligament cervical et des muscles postérieurs et
latéraux
du cou ; le dos, par l'ossification des rhomboïde
s, et les rides du front ne présentent pas non plus des différences
latérales
notables. C'est l'oeil, comme on peut s'en assure
a vision avec les tableaux de Parinaud ne montre pas de différences
latérales
. Il n'y a pas de rétrécisse- ment du champ visu
La zone de Lissauer est altérée. (PI. XXII, E.) Dans les cordons
latéraux
existe une légère sclérose au niveau de la région
eure et moyenne) il y a un semis de fibres saines. Dans les cordons
latéraux
il existe une sclérose du faisceau pyramidal cr
auer est relativement peu atteinte. (PI. XXII, C.) Dans les cordons
latéraux
, la lésion est plus diffuse ; elle occupe le terr
nt relati- vement, sinon complètement respectés. Dans les cordons
latéraux
, la sclérose s'étend de la région sacrée la régio
nt des faisceaux antéro-latéraux et aussi de la grande cérébelleuse
latérale
. En ce qui concerne l'examen de nos cas, nous n
ent (Fig. 2) et comme les fibres qui d'ordinaire viennent du cordon
latéral
, à travers la corne antérieure manquent, le canal
uer les anomalies en question, à savoir la fissure dans les cordons
latéraux
de la moelle épinière et plus haut dans le tronc
ne commun. Ce point d'origine correspond, de chaque côté, à l'angle
latéral
du quatrième ventricule. Rappelez-vous, d'aut
le noyau dit accessoire de l'acouslique, et le tubercule acoustique
latéral
; Une racine interne, appelée encore antérieure
s vertical, par suite de la pression énorme exercée sur ses parties
latérales
. Les pédoncules cérébelleux, moyen, supérieur o
riginelle. On les rencontre soit sur le front, soit sur les parties
latérales
et pos- térieures du crâne. I. Le plus souven
en (front « ventru » des Anglais) (Pl. XXIX). 2° Front à bosselures
latérales
, présentant de chaque côté de la ligne médiane
ui suit le trajet de la suture médio-frontale. IL Sur les parties
latérales
et postéro-latérales du crâne, on ob- serve des
he- velure qui les masque, et qui consistent : Soit en bosselures
latérales
, bosselures constituées surtout par l'exagé- ra
ntéro- postérieur par une rigole intermédiaire aux deux renflements
latéraux
. Pour continuer la comparaison, cette rigole re
ole représente le pli interfessier par rapport aux deux tubérosités
latérales
figurant les fesses (Pl. XXX,À). I. Asymétrie c
ue sur les vaisseaux : ainsi, dans les fosses occipitales, le sinus
latéral
gauche offre des dimensions moitié moindres que c
téral gauche offre des dimensions moitié moindres que celles du sinus
latéral
droit. Fig. 1. - Asymétrie crânienne et facia
nie aux- quels il succombe. A l'autopsie, on trouve les ventricules
latéraux
très dilatés et une abondante hydrocéphalie int
très limités. Le malade ne peut pas se redresser. Peu de mouvements
latéraux
et de rotation dans la colonne dorsale. La colo
9° côte, il se réunit à d'autres formations osseuses ; sur la paroi
latérale
gauche du thorax, on voit une tubé- rosité qui
he s'ou- vre de 3 centimètres seulement. Les muscles de la nuque et
latéraux
du cou, particulièrement les sterno-mastoïdiens
e ses paupières en contractant ses muscles frontaux. Pour la vision
latérale
étendue, le corps tourne tout d'une pièce pour
gré de scoliose. La co- lonne lombaire montre une première courbure
latérale
il concavité gauche ; Fig. 1. - A droite, courb
e montrent des tubérosités osseuses très saillantes sur les parties
latérales
des corps vertébraux et qui se continuent d'une v
ssification du grand surtout ligamenteux antérieur. Sur les parties
latérales
les lames vertébrales sont réunies entre elles (n
ont sou- dées aux apophyses transverses par leur col et aux parties
latérales
des corps vertébraux par leurs tètes. » « Les
; à 3 mois, la première dent poussait à droite : c'était l'incisive
latérale
, et avant qu'il n'y eût une seule dent à,gauche
ur de 25 millimètres ; a gauche, de 15 millimètres, sur les parties
latérales
, et une hauteur de 25 millimètres à droite et d
èvre supérieure qui se continue sans dénivellement avec les parties
latérales
du nez, particularité qui explique la disparition
. Il n'y a, en fait, d'autre mal- formation, qu'une légère courbure
latérale
dorso-lombaire de la colonne ver- tébrale. «
f de pigeon. Dans la fesse crânienne antérieure et dans les parties
latérales
de la fosse médiane il n'y avait que des os re-
phalie interne, voici ce qu'on observe (Fig. '1). Les ventricules
latéraux
sont très étendus, et par suite le seplum lucidum
vers le haut, de sorte que l'on peut facilement passer d'un tricule
latéral
dans l'autre.Une accumulation aussi considérable
le noyau lenticulaire y font saillie librement dans les ventricules
latéraux
élargis. Si l'accumulation du liquide est de pl
ns un cas d'hydro- céphalie congénitale. Dilatation des ventricules
latéraux
, atrophie de l'écorce du corps calleux et du se
s os crâniens. Ainsi, dans ce cas, on voit que dans les ventricules
latéraux
, il y a une telle accumulation de liquide, que
sous l'influence de l'accumulation du liquide dans les ventricules
latéraux
. Cependant on peut encore y distinguer les lobes
nce d'une accumulation considérable de liquide dans les ventricules
latéraux
, se produit la disparition totale des hémisphèr
, manquait complètement. A la place du faisceau pyramidal du cordon
latéral
, nous trouvons de deux côtés une grande fissure
ur et limitée exté- rieurementpar le faisceau cérébelleux du cordon
latéral
. Nous reviendrons plus tard sur la cause de la
ons antérieurs et de l'apparition de cette fissure dans les cordons
latéraux
. Si l'on examine la moelle allongée au niveau d
ach, la racine spinale du trijumeau, la voie cérébelleuse du cordon
latéral
, le nerf hypo5losse,leruhandeReil; les pyramide
- Cas ? Coupe de la moelle ; région cervicale ; atrophie des cordons
latéraux
des deux côtés. P. - Cas II. Coupe de la moelle
CENTRAL 377 Goll, celui de Burdach, la voie cérébelleuse du cordon
latéral
, la racine spinale du trijumeau, le nerf hypogl
il, manquait aussi totalement (l'1.1LIV,T) ; quant au ruban de Reil
latéral
il était bien développé. Nous avons la même chose
sant la couche optique en deux noyaux : le noyau médian et le noyau
latéral
; dans le premier se trouve le ganglion de l'Irab
il et de ses faisceaux acces- soires (le ruban de Reil principal et
latéral
chez l'enfant âgé de ans était bien développé,
s I). 380 NICOLAS SOLOVTZOFF pés; quant aux cordons antérieurs et
latéraux
, ils n'avaient de myéline que sur leurs bords ;
nt de myéline que sur leurs bords ; le faisceau pyramidal du cordon
latéral
n'était pas développé. Dans la région cervicale
ceaux de Goll et le faisceau de Bur- dach. Les faisceaux pyramidaux
latéraux
et antérieurs manquent, ainsi que la voie céréb
ijumeau, le faisceau fon- damental du cordon antérieur et du cordon
latéral
, qui entourent la moelle épinière par la périph
précédent, les cordons postérieurs; quant aux cordons antérieurs et
latéraux
, ils étaient, il la périphérie, enveloppés d'un
-olivaire, le nerf trijumeau, les voies cérébel- leuses des cordons
latéraux
. Le faisceau de Burdach et le faisceau fonda- m
raux. Le faisceau de Burdach et le faisceau fonda- mental du cordon
latéral
et antérieur persistent ainsi que les libres arci
e. Saillie des sterno-mastoïdiens sl4ns noyaux osseux ; les muscles
latéraux
de la nuque sont exempts d'ossifications. Le
ite ; membres supérieurs recourbés ; les coudes séparés des parties
latérales
du tronc. Tumeur osseuse à la partie moyenne de
dérable de la moitié droite du thorax et une altération de la ligne
latérale
du thorax. Cette ligne, au lieu d'être oblique,
cique disparaît dans la partie inférieure de la paroi. - La ligne
latérale
du thorax en S allongée est aussi accentuée que p
thorax est plus large et plus bombée que la moitié gauche. La ligne
latérale
décrit une courbe identique il celle que l'on voi
formations, de la paroi antérieure du thorax, on voit, sur la paroi
latérale
proprement dite,une difformité très frappante : l
s du prolongement de la ligne bi-mamelonnaire se voit, sur la paroi
latérale
thoracique, une voussure considérable, convexe en
scapulum alatll1n simulant une gibbosité cervico- dorsale. La paroi
latérale
du thorax, dans sa moitié inférieure fait voussur
t que dans l'élévation en dehors ; 2° La modification de la ligne
latérale
du thorax; 3° La voussure de la paroi latérale,
fication de la ligne latérale du thorax; 3° La voussure de la paroi
latérale
, au-dessous du prolongement de la lèvre bimamel
apulum alatmn rend compte, en grande partie de l'aspect de la ligne
latérale
du thorax. D'autre pari, la paraly- sie atrophi
es digitations du grand dentelé et l'aspect plat et uni de la paroi
latérale
à ce niveau. La paroi latérale du thorax, ainsi
et l'aspect plat et uni de la paroi latérale à ce niveau. La paroi
latérale
du thorax, ainsi privée de son enveloppe muscul
ant, il s'ap- plique à la façon d'un arc de cercle, contre la paroi
latérale
du thorax qu'il bride étroitement et dont il gê
sthésie généralisée s'étendant aux sens spéciaux, sans prédominance
latérale
mar- quée ; mais du côté gauche, la peau de la
eu la scarlatine. La maladie a très peu progressé. Les deux cordons
latéraux
ont disparu. Les masses osseuses paraissent plu
te, de con- sistance cartilagineuse, immobile; seules, les portions
latérales
, en avant et en bas, qui correspondent au grand
inent que le gauche. Le sternum est légèrement déprimé. Les parties
latérales
du thorax sont en partie aplaties, en partie sa
que celle de droite. L'os- sification est marquée dans les muscles
latéraux
du thorax, surtout le grand dorsal. Les ligamen
cuisses, deux autres écartent les grandes lèvres au moyen des leviers
latéraux
. Premier temps. — Attirer le col utérin vers la
es érignes n'empêche pas de bien distinguer l'insertion antérieure et
latérale
du vagin au col de l'utérus; les érignes étant so
oitrine; les cuisses sont rabattues du côté .du ventre et des parties
latérales
du thorax; les jambes sont fléchies sur les cuiss
imer la paroi antérieure au-devant de la fistule, et même des leviers
latéraux
pour écarter les parois latérales. Les avantages
t de la fistule, et même des leviers latéraux pour écarter les parois
latérales
. Les avantages de cette réunion d'instruments son
quer ce temps de l'opération, on introduit le spéculum et les leviers
latéraux
, on saisit les fils avec de longues pinces à croc
appro-chés. La position adoptée par M. Marion Sims est le décuhitus
latéral
gauche. La malade est couchée sur le côté gauche,
er les fils on applique le spéculum, petit modèle, dans le déciibitus
latéral
; la suture paraît enfoncée dans les chairs ; avec
u de grandes pertes de substance qui obligent à mobiliser les parties
latérales
du vagin. On aura remarqué qu'après l'opération,
à la fois deux lam-beaux pour le milieu de la fistule et des parties
latérales
ren-dues saignantes. La réunion des parties ainsi
vres de la fistule. Enfin la fistule peut être placée sur les parties
latérales
du vagin, dans le cul-de-sac vagino-utérin ; on c
ire-ment si l'on place la malade sur les genoux ou dans le décubi-tus
latéral
gauche ; cependant quand la cystocèle pend entre
hernie si l'on opère la malade couchée sur le dos ; dans le décubitus
latéral
on a généralement beaucoup moins à s'en préoccupe
érus, on le dissèque pour le décoller ; en outre, quel-ques incisions
latérales
faites de haut en bas aident au relâ-chement et a
ous les fils sur la ligne médiane. Troisième temps. — Des incisions
latérales
sont pratiquées de chaque côté, elles sont plus l
est en avant, et dont le fond est celui de la déchirure ; les parois
latérales
de cet entonnoir sont les surfaces cicatricielles
ces deux conduits, il ne reste plus alors qu'à rap-procher les parois
latérales
de l'entonnoir; c'est ce qu'on fait avec trois fd
circulaire de la cavité utérine, mais on peut voir aussi les parties
latérales
en retirant une pièce du spéculum à l'aide de la
t faire tourner le spéculum sur son axe et explo-rer ainsi les parois
latérales
des cavités de l'utérus. Un petit cautère fait ex
-tion, dit M. Sims, le vagin étant largement ouvert par le décu-bitus
latéral
, l'air se précipite dans l'utérus et il peut en r
oduc-tion de la métropéritonite ; l'existence de deux petites tumeurs
latérales
formées par la distension des trompes. Cependant
e pres-que toujours l'extrémité inférieure des uretères sur les faces
latérales
et postérieures de cette partie de la vessie, cir
-sement change de direction vers l'extrémité supérieure ; il de-vient
latéral
dans l'étendue de 2 centimètres, afin de favorise
l'étendue de 2 centimètres, afin de favoriser le percement d'un trou
latéral
qui forme le chas des aiguilles. En outre l'aigui
puis l'orifice supérieur du col jusqu'aux trompes il y a deux sillons
latéraux
ou deux rainures, et il y a aussi une troisième r
: la section abdominale et la division des adhérences antérieures et
latérales
; la ponction et l'évacuation du kyste; la rupture
de particulier qu'elle est élargie transversalement et que les bords
latéraux
sont courbes ; ces dispositions se prêtent à la c
ux instruments. L Spéculum univalve. 2. Levier coudé. 3. Levier
latéral
. 3. Pinces recourbées en crochets. 6. Bistour
sur des fils passés à travers les lèvres du col utérin; deux leviers
latéraux
la complètent. Une sonde passée dans l'urèthre se
l'opération; l'aide maintient toujours le col abaissé, et les parois
latérales
restent écartées par les leviers. Les fils sont p
. MARION SIMS. — NOUVEL INSTRUMENT UNISSANT). Figure i. Deciibitiis
latéral
gauche, position des mains. Figure ii. Spéculum
llée en bec de flûte à l'extrémité libre, percée de très-petits trous
latéraux
à l'extrémité vésicale. l'^iGUiii: XV. Instrume
érieure, comme le fait M. Simon. Un spéculum univalve et deux leviers
latéraux
mettent la fistule bien à jour comme dans le proc
es. BBB trajet des fils dans la suture dite serpentine. CC, incisions
latérales
. Sou-vent Jobert les faisait descendre plus au de
bien faire voir les trois fils destinés à rapprocher les deux parois
latérales
et superficielles avivées. Figure v. Troisième
figure xix. Figure xx. Tubes en laminaria digitata percés d'un trou
latéral
pour le passage du fil qui sert à les retirer. Il
re-nœuds réunis dans un même ins-trument de Charrière. Les deux tiges
latérales
, dans l'extrémité su-périeure desquelles on voit
hique de la portion sus-vaginale du col, d'après M. Huguier. La paroi
latérale
droite du vagin renversé a été enlevée. A mont
après une dis-section faite par M. Huguier; demi-grandeur. La portion
latérale
droite de la vulve et du vagin a été enlevée. A
ssie. P moitié droite du pubis. X clitoris. Y méat urinaire. C moitié
latérale
gauche du vagin. On voit la situation des culs-de
r qui étreint ce pédicule au-devant de la tige d'acier. Les anneaux
latéraux
du constricteur empêchent qu'il ne soit entraîné
ue la cystocèle vaginale ne serait pas empêchée par les resserrements
latéraux
, elle ne pourrait sortir par l'orifice du vagin e
que doivent se trouver les deux lignes internes formées par les anses
latérales
, qui sont ainsi distantes de 8 millimètres ; le r
on ajoute un perforateur A 0, taillé en fer de lance et muni de coins
latéraux
qui font éclater le calcul. Un levier transversal
n. 12. Bougie dilatatrice filiforme en baleine, avec trois saillies
latérales
graduées. M. Guillon. 13. Autre bougie dilatatr
ane, ce qui donne à la plaie cuta-née la figure triangulaire, à bords
latéraux
formés de deux lignes courbes , qu'on voit ici. a
verte par la taille médiane sous-bulbeuse. V. Vessie dont la moitié
latérale
droite a été enlevée. P. Prostate. S. Symphys
montre l'aspect des parties après la guérison. a. Lambeau inguinal
latéral
renversé. b. Lambeau inguinal latéral superposé
érison. a. Lambeau inguinal latéral renversé. b. Lambeau inguinal
latéral
superposé au premier. C. Lambeau ombilical renv
, immédiatement après l'exécution du second temps. A et B. Lambeaux
latéraux
inguinaux qui doivent recouvrir le tout. C. Lam
, et l'air traverse le larynx; il inspire alors par les deux orifices
latéraux
. Figure xxiii. Canule de Luër. La plaque b et l
urbes, à pointes variées, plates ou pyramidales, avec ou sans crochet
latéral
(voy. pl. 2), propres, suivant leurs auteurs, à a
haut de l'ouverture pupillaire. Arrivé à ce point, par deux mouvemens
latéraux
et demi-circulaires de la pointe, le tranchant to
aire accepter seulement comme une méthode exceptionnelle. Kératomie
latérale
(pl. 10, fig. 3, |). Kératomie- kyslotritie, de
imètres, communiquant de la caisse du tympan à la partie supéreure et
latérale
du pharynx, suivant une direction oblique en bas,
inférieure du nez, qui est plus évasée, se compose de deux cartilages
latéraux
séparés par un troisième qui forme la cloison nas
convient, à l'exemple de M. Dieffenbach, de pratiquer sur ses parties
latérales
deux inci-sions verticales pénétrant jusqu'aux os
sa torsion de gauche à droite plus facile, faire remonter l'incision
latérale
du côté gauche un peu plus haut que celle du côté
e M. Rigal, qui consiste à cerner la partie malade par deux incisions
latérales
, réunies en avant mais écartées en arrière et en
g. 4)- Son instrument se compose de trois lames d'acier dont les deux
latérales
sont mo-biles par un pas de vis sur la portion mé
semble accuser un excès de nutrition dans la suture des deux moitiés
latérales
; susceptible néanmoins de se développer accidente
ture de cet orifice buccal artificiel avec écartement des deux plaies
latérales
, dont l'intervalle est fermé toutefois par la mem
ncisifs et parcon-séquent dans le squelette une fente médiane et deux
latérales
. C'est ce mode de division persistant après la na
dian quand il est un peu large, parce que ordinairement les scissures
latérales
remontent jusque vers les narines. Mais elle estp
arines. Mais elle estpresque toujours nécessaire pour les demi-lèvres
latérales
que la bride trop courte, formée par le pli muque
avoir après l'opération devant influer sur la section des demi-lèvres
latérales
qui doivent s'y adapter. Si ce tubercule est asse
le tubercule médian était très large à sa base, et les scissures très
latérales
, les deux lignes de réunion ou convergent en haut
cher osseux d'avant en arrière, et forme une seule lente d'écartement
latérale
ou médiane; ou bien le tubercule incisif, isolé d
palatine est simple, circon-stance qui se rencontre avec la scissure
latérale
, on se contente de pratiquer l'opération sur les
u tubercule cutané, opérer avec les ciseaux la rescision des fragmens
latéraux
, les réunir par des sutures ; enfin retourner le
t détacher avec le bistouri, sur la mâchoire inférieure, fes lambeaux
latéraux
qui en résultent, afin de leur donner de la mobil
incisions géniennes que l'on rapproche en remontant les lani- beaux
latéraux
, et que l'on fixe de chaque côté par un nouveau p
maladie précédente, mais moins étendue en bas et avec un prolongement
latéral
. Le tracé des incisions étant préalable-ment effe
correspondante; les deux lambeaux quadrilatère médian et triangulaire
latéral
étant affrontés au contact, restent trois lignes
e diviser verticalement le lambeau inférieur pour le partager en deux
latéraux
, de dissé-quer un peu sur la mâchoire les deux la
raire, forme toujours, en arrière, un prolongement courbe, mé-dian ou
latéral
, nous conseillons, tout en employant le bistouri,
le cancer était médian (fig. 3), ou au moins irrégulière, s'il était
latéral
. (b) Excision avec les ciseaux (Procédé de Bqye
de de la langue avec l'airigne ou les doigts, par une seconde section
latérale
en arrière du mal, rejoindre augulairement la pre
e jour. 1" Cancer de la partie postérieure de la langue, (a) Cancer
latéral
. Dans un cas où un ulcère cancéreux partiel était
ui-ci se compose uni-quement de la ligature. Pour détruire une moitié
latérale
de la langue , M. Cloquet pratiqua une petite inc
euse terminée à une extrémité par deux ailerons creusés de gouttières
latérales
pour faire glisser les fils, et offrant à l'autre
xtrémité pour le volume d'air qui doit y passer, et dont les orifices
latéraux
, encore plus étroits, peuvent en outre se trouver
ns gêner la respiration , et fixée dans cette posi-tion par des aides
latéraux
qui contiennent en outre les mouve-mens des épaul
ent sur l'instrument. Pour le fixer, des rubans passés dans les anses
latérales
vont se nouer sur la nuque. La canule étant placé
nal, en évi-tant à-la-fois soit de labourer les parois postérieure et
latérales
, ai qui pourraient être lésées on mémo traver
e mandrin cannelé, se détachant en une saillie convexe, de la fenêtre
latérale
de la sonde, écarte en dehors, vers l'opérateur,
u dia-phragme. Il sert d'appui verticalement sur chacune de ses faces
latérales
, aux vaisseaux diaphragmatiques supérieurs; des a
soin ni de la sonde ailée de Méry, ni de toute autre munie de plaques
latérales
et plus ou moins compliquée. Pour agir avec le
le, le moment favorable pour prati-quer l'anaplastie ou les incisions
latérales
, afin d'obliger les lèvres de la plaie à se tenir
dans du bord externe de la masse com-mune et s'étend jusqu'à la ligne
latérale
moyenne du corps à quatre ou cinq travers de doig
arois du rectum, la postérieure, l'an-térieure ou bien une des parois
latérales
; tantôt enfin elle affecte tout son pourtour.
n étui, et enveloppa les tes-ticules et les cordons dans les lambeaux
latéraux
; le tout fut ar-rêté et maintenu par un nombre su
re, six ou plus, sui-vant, le besoin, et sont situées sur les parties
latérales
et dorsales. Procédé de M. Malapert. C'est une
on l'incise d'abord d'avant en arrière, puis on excise ses lam-beaux
latéraux
. Appréciation. De ces trois procédés, les deux
ian a plus de 6 millimètres de largeur, on laissera les deux lambeaux
latéraux
se cicatriser isolément. Lorsque la cicatrisation
face muqueuse, ou sera libre si l'on n'a pas réuni les deux lam-beaux
latéraux
par la suture. Dans ce dernier cas, le malade ser
monta-num s'épanouit et forme non plus un tubercule, mais deux replis
latéraux
concaves en avant et qui offrent l'apparence de d
par erreur former une dilatation , est au contraire un rétrécissement
latéral
ou une fente verticale longue de 8 mil-limètres,
ent, par celle de la tige de cire. Ainsi lorsqu'elle est cen-trale ou
latérale
, l'orifice du rétrécissement est aussi central ou
n-trale ou latérale, l'orifice du rétrécissement est aussi central ou
latéral
, droit ou gauche, supérieur ou inférieur. Si le r
nagée. Si l'ouverture du rétrécissement, au lieu d'être centrale, est
latérale
, il faudra substituer à la douille cylindrique u
ment courbe à son extrémité, et portant une douille dont les rainures
latérales
se terminaient en pointe, dans un sillon circulai
ue beaucoup la durée du traitement; 3° dans les cas de rétrécissemens
latéraux
, en plaçant la pointe de l'écrou du mandrin du c
rminée. Mais comme l'urine commence à sortir aussitôt que l'ouverture
latérale
de la sonde, qui est la plus voi-sine de son bec,
rocédé de M. Ségalas. Il s'agissait d'une absence complète des parois
latérale
et inférieure de l'urètre à partir du gland jusqu
rsale, et intéressant la partieantérieuredu scrotum; les deux autres,
latérales
et semi-elliptiques, s'étendant jusqu'au gland et
ble; aussi, serait-il convenable de creuser une gouttière à la partie
latérale
du cylindre d'épongé, afin de favoriser l'écou-le
éférence de faire l'incision extérieure oblique, comme dans la taille
latérale
, pour tomber en dehors de la prostate. Lapeyronie
s de Beaulieu (1697) la taille latéralisée ; Foubert (1731) la taille
latérale
. Dans le cours du xviuc siècle des pro-cédés nomb
he, avec douceur, de manière à glisser sur ses parois posté-rieure et
latérales
, la retirer un peu, et en abaisser le pavillon, d
de demi-réplétion qui, en augmentant l'espace, empêche toute pression
latérale
sur la pierre; (c) par l'introduction, dans le re
ont été rencontrés par les auteurs : (a) le pincement par une vacuole
latérale
au bas-fond (Dupuy tren) ou par l'extrémité de l'
st le plus usité, se compose d'une boule de fer aplatie sur ses faces
latérales
et divisée en deux moitiés égales, présentant à l
terminer les sail-lies que font les fragmens pierreux sur les parties
latérales
de l'instrument; puis il a fait creuser en goutti
a glande acquière le volume du poing. Il peut en affecter les parties
latérales
, le lobe moyen, ou la to-talité. Dans tous les ca
ut, tantôt sur le côté, suivant que c'est le lobe moyen, ou les lobes
latéraux
qui sont hypertrophiés. D'autres fois l'extrémité
oint des sujets ; elle est beaucoup plus considérable sur les parties
latérales
que sur la ligne médiane; 3° Lfaponévrose superfi
ssez grave, afin de l'éviter, on a posé en principe, dans les tailles
latérales
, de ne pas commencer l'inci-sion à plus de 27 mil
des qui por-tent les noms de petit appareil, grand appareil, appareil
latéral
, appareil latéralisé, tailles bilatérale et quadr
'est pour cette raison qu'il rattache le petit appareil à la mé-thode
latérale
, sous le nom de cystotomie proprement dite. Te
e, sous certains rap-ports, elle est moins dangereuse que les tailles
latérales
, car elle n'expose à couper aucuns vaisseaux qui
ussi grande que dans les cas où l'on fait à cette glande une incision
latérale
. Cette dernière objection n'est pourtant pas inso
éralisée. TAILLE LATÉRALISÉE. Long-temps confondue avec la taille
latérale
dont nous parle-rons plus tard, la taille oblique
la prostate suivant ses rayons obliques ; tandis que, dans la taille
latérale
, l'incision ne porte que sur la par-tie gauche de
et de dedans en dehors dans le sens de ses rayons obliques. TAILLE
LATÉRALE
. Bien que cette espèce de taille n'ait pour ain
euse dans l'histoire de la lithotoinie. On a donné le nom de taille
latérale
à une méthode dans la-quelle les parties extérieu
ère. Procédé de Foubert. C'est à ce chirurgien qu'est due la taille
latérale
; Foubert pensant que Raw ouvrait le corps de la
ire molle, et découvrit qu'il correspondait à la partie inférieure et
latérale
du périnée; puis il ponctionna, avec un tro-cart,
posé, Thomas enfonçait horizontalement son in-strument dans la partie
latérale
gauche du périnée, à un travers de doigt au-desso
férieure du périnée, et pour éviter la lésion du rectum. La méthode
latérale
, par elle-même, est vicieuse, aussi est-elle comp
t abandonnée des chirurgiens. Comme nous l'avons dit, c'est la taille
latérale
que pratiquait Frère Jacques, avant d'avoir canne
isse en faire usage, en supposant même qu'on voulût adopter la taille
latérale
. Dans ce cas, il vaudrait beaucoup mieux commen-c
s des tailles périnéales, le petit et le grand appareils, les tailles
latérale
, bilatérale et qua-drilatérale, suivant leurs div
ar du tissu cellulaire qui l'unit à la ligne blanche et à ses parties
latérales
. C'est par là qu'on doit arriver sur la face anté
tonné, avec lequel on prolongera l'incision vers le pubis. Incision
latérale
a la ligne blanche. Elle comprend seule-ment le p
deux mots, la lésion probable de l'artère épigastrique et l'incision
latérale
de la vessie, font que cette modification n'est m
ordinaire. Il consiste à faire une incision à la partie inférieure et
latérale
gauche de l'urètre et du col de la vessie. Pour y
la face inférieure de la vessie en trois parties, une moyenne et deux
latérales
; la moyenne qui est celle sur laquelle on doit ag
la taille urétrale par laquelle on divise l'urètre sur ses deux faces
latérales
, permettrait sans doute d'extraire des calculs pl
inte n'est peut-être pas bien fondée; il se pourrait que deux sutures
latérales
favorisassent la réunion par première intention ,
pour les tumeurs concrètes. Celles qui se développent sur les parties
latérales
du vagin sont plus faciles à enlever que les autr
ôtés par un angle arrondi, qui prend un point d'appui sur les parties
latérales
du vagin, un peu au-dessus des grandes lèvres. Il
cuvette. Dans d'autres circonstances, on devra faire des échancrures
latérales
, parce que le vagin, venant se loger de-dans, con
la vulve, je conseille de les diviser incomplètement en deux moitiés
latérales
, au lieu de les enlever par tranches trans-versal
résis-tance à l'aponévrose pelvienne, et principalement à ses parties
latérales
et un peu postérieures; au reste, quelle qu'en so
e liquide par le vagin. Chez une autre, la tumeur s'ouvrit à la paroi
latérale
gauche du vagin , tout le liquide s'écoula par
use dufoie. » Tous les procédés dans lesquels on employait l'incision
latérale
sont décrits sous le nom de procédés anciens. i
e , découvrir la partie supérieure du vagin , l'inciser sur la partie
latérale
, introduire le doigt dans le col utérin par cette
eure, 23, 24;ké-ratomieoblique, kératomie supérieure, 2 5 ; kératomie
latérale
, méthode mixte, 26. — Pupille artificielle. Génér
Cô-me, 264; Boyer, 265 ; Guérin, Savigny, Hawkins, 266, 267.— Taille
latérale
. Pro-cédés de Foubert, Thomas, 267, 268. — Taille
des sections diverses : du petit oblique (M. Bonnet), des deux droits
latéraux
(M. J. Guérin), ou même du seul droit externe (Du
x, ou bien il s'en dé-tache un petit faisceau supérieur, inférieur ou
latéral
, séparé de l'autre par un espace et qui s'insère
obile, on doit s'attendre à couper avec ]e muscle principal, les deux
latéraux
. 3° Si l'œil est très enfoncé et fixe dans sa dév
J. Guérin a essayé également de guérir par section des muscles droits
latéraux
, la myopie compliquant le strabisme. Enfin, au mo
couper les deux muscles droits lorsqu'il y a mouvement d'os-cillation
latérale
, et le grand oblique lorsque l'oscillation a 1 ie
périeure de la callosité pour l'attirer à soi, par une double section
latérale
nous faisons cesser la déli-gation de la langue,
er un peu fortement avec la pince. Le sang jaillit des deux blessures
latérales
comme s'il fût sorti d'un gros tronc d'artère, et
n avant dans l'épaisseur de la langue, et ferma aussi les deux points
latéraux
par lesquels le bistouri avait pénétré. 3° Sect
d'éviter les veines et les artères qui se présentent sur les parties
latérales
des deux muscles Nous n'avons aucune observation
à son insertion aux apophyses géni ; 1" la section de son aponévrose
latérale
et le dé-collement du tissu sous-muqueux à son in
Fabrice de Hilden auraient obtenu de la section du frein, des parties
latérales
de la muqueuse et de quelques fibres charnues des
r; le valgus, de la rétraction du péronier antérieur et des péroniers
latéraux
; le talus, de la rétraction du jambier antérieur
s les muscles jambier postérieur, adducteur du gros orteil, péroniers
latéraux
et pédieux, etc. « 4° Les conséquences thérapeu
ied, le jambier postérieur ; contre l'abduction forcée, les péroniers
latéraux
; et la section simul-tanée des tendons de ces mus
donc être : i° une semelle simple ou bri-sée; 20 une ou deux attelles
latérales
. Ces pièces sont articidées à charnière, de maniè
l faut convenir cpie, avec la position du nerf médian et la situation
latérale
des vaisseaux et des nerfs cubitaux et radiaux, c
, elle s'ouvre au-dessus de la canule, qu'elle accroche par ses bords
latéraux
. 19. Autre mandrin à crochet de M. J. Cloquet.
ressort. 58. Autre du même en fer de lance, où la tige montante est
latérale
. 59. Aiguille à fer de lance et à crochet de M.
, le pédicule vasculaire se trouvant compris entre les deux incisions
latérales
. Nous avons taillé ce lambeau presque à angle dro
) Section du cartilage tarse (Guthrie).— Figure 4. Les deux incisions
latérales
de l'épaisseur de la paupière sont pratiquées et
ntent les bords; deux autres anses rapprochent les bords des sections
latérales
. Tous les chefs des fils sont relevés vers le s
upière. Toutefois la portion médiane, inter-médiaire aux deuxsections
latérales
, étant retrécie par la perte de sub-stance , la s
4) dont les mors seraient ceux du kystotri-leur. Figure 3. Section
latérale
de la cornée. L'instrument étant tenu connue le c
les fils, par une goupille à l'ex-trémité qui porte l'anse: un anneau
latéral
au pavillon sert à attacher-les fils à l'autre ex
u du front taillée pour le lambeau. Elle forme trois triangles : deux
latéraux
pour les ailes du nez, et un supérieur médian pou
a situation naturelle. Figures 4, 5 et 6. Restauration de la moitié
latérale
droite du nez, vue de profil (Jîg.i), et de face
e bistouri. Figure2. Pansement après l'opération. Les deux lambeaux
latéraux
sont réunis par des sutures, l'un avec l'autre, s
t leur face linguale en avant. Le grand écartement des deux scissures
latérales
donne une largeur considérable à toute l'extrémit
(b); une vis sans fin (c) sert à écarter ou rapprocher deux branches
latérales
(d) qui augmentent la largeur de l'instrument. Fi
atoire. Sur une tête de profil est mise à découvert toute la région
latérale
de la face pour montrer les glandes parotide et s
me l'indique Louis, la maladie est circonscrite entre deux inci-sions
latérales
en V dont la première est pratiquée et dont la se
au point (k). Le chirurgien est occupé à passer une seconde ligature
latérale
qui sera posée en arrière, l'aiguille ressortant
té desquelles le fil est fixé dans un trou formé par deux échancrures
latérales
. Figure 13. Aiguille creuse de M. Guyot. Le fil
lusion dune ouverture anormale de la voûte palatine par deux lambeaux
latéraux
disséqués en dessous. Figure 3. Excision d'une
es à gauche. e. Section médiane du cartilage thyroïde. f. Section
latérale
et postérieure de la moitié gauche du même cart
de la cavité du larynx, dont les cordes vo-cales tapissent les parois
latérales
. Une pince introduite dans le larynx saisit le co
aryngo-trachéale. c. Muscle sterno-thyroïdien recouvrant la saillie
latérale
du corps thyroïde. d. Muscle scapulo-hyoïdien
ectum ayant été isolée et dé-tachée circulairement par deux incisions
latérales
semi-elliptiques , le doigt indicateur gauche fix
e de l'auteur (a). Cette canule est perforée au milieu par un orifice
latéral
. Elle est introduite sur une tige à dard (b) que
frein de la verge. Figure 2. Procédé de M. Malapert. Deux sections
latérales
et une postérieure. Figure 3. Procédé de M. Lis
intestinal (pl. 52). (h, pl. 51 ) Section du péritoine sur la face
latérale
de la vessie. ( i, pl. 51 ) Réflexion du périto
. Rétrécissement de la portion prostatique par hypertrophie des lobes
latéraux
de la prostate, principalement le gauche. Au mili
e 6. Oblitération de l'urètre par le développement fongueux des lobes
latéraux
de la prostate. Une portion en avait été déjà mâc
Développement du lobe moyen de la prostate qui, pressé par les lobes
latéraux
, fait hernie dans la vessie par l'orifice de son
. A canule d'argent.— Le nitrate d'argent est logé dans une gouttière
latérale
. — 3!. De M. Leroy. — 32. De M. Lallemand. Un cur
ouvement continu. 17. Le même modifié par M. Amussat. Deux branches
latérales
articulées. 18. Le même avec un petit râteau
E. E. Vessie figurée dans son volume à l'état de réplélion. La paroi
latérale
gauche est enlevée pour laisser voir dans sa cavi
hre.—B. Orifice de l'anus.—C. Vaisseaux honteux internes. — D Section
latérale
gauche de la prostate avec le lithotome, oblique
s muscles du côté opposé. — D. Prostate. — E, E. Vessie dont la paroi
latérale
est enlevée pour laisser voir dans sa cavité. — F
e profil. La lame (a) étant recouverte à l'état de repos par une joue
latérale
(b), s'en dégage, pour armer le bistouri, par le
Pour faciliter le rapprochement des bords de la plaie, deux incisions
latérales
ont été pratiquées à la peau, suivant le procédé
utures à points séparés. Deux sutures semblables réunissent les bords
latéraux
du lambeau dans le vagin. Figure 3. Suture d'un
endante sur la figure 2 01 l'utérus est renversé en arrière. Sa paroi
latérale
est enlevée sur la figure pour laisser voir, dans
qu dirige la pointe du trocart. G. Rectum. Sur la figure 2 sa paroi
latérale
est enlevée pour démasque le doigt indicateur du
tête du fœtus et l'amène au dehors. FIGURE 2. OPÉRATION CÉSARIENNE
LATÉRALE
. ascendantes de la circonflexe iliaque. En bas,
RE 3. SYMPHYSEOTOMIE. La section des chairs, pour cette figure, est
latérale
du côté droit et cor-respond au cas d'inclinaison
me. On dislingue sur ce pied la saillie (aj des tendons des péroniers
latéraux
et du péronier antérieur. FIGURE 2. Tiers natur
ection décrite par M. le professeur Charcot sous le nom de sclérose
latérale
amyotrophique, c'est-à-dire qui présentait à l'
ui n'offre point d'intérêt dans le cas particulier. - Le faisceau
latéral
ou moteur était sclérosé, non ' Sappey et DllV,
76). 2 Debove et Gomballlt. - Contribution ù l'étude de la sclérose
latérale
amyotrophique. {Archives de physiologie, 1879.)
et qu'elle est continuée par une portion mince. Dans la sclérose
latérale
amyotrophique, nous avons constaté l'existence
e 1 Voy. Debove et Gombault- Conl1'i6ution à l'étude de In sclérose
latérale
amyol1'opltique. (drch. de Physiolog., 1879, p.
niveau d'une racine antérieure cervi- cale dans un cas de sclérose
latérale
amyotrophique. (Macération prolon- gée dans l'a
circonvolutions cérébrales. Dilatation considérable des ventricules
latéraux
. - Etat de la dure-mère. - Absence des hémisphère
du volume d'un petit oeuf de pigeon. - 1 - , 4 - Les ventricules
latéraux
sont considérablement dilatés et con- tiennent
est représenté que,par le vermis, légèrement renflé sur ses parties
latérales
. Le bulbe et la protubérance sont normaux. Ic
lutions étaient étalées, les sillons peu profonds, les ventricules
latéraux
très dilatés, comme dans tous les cas d'hydrocé
entaire supérieure : médianes sont larges, crénelées; les incisives
latérales
man- quent. - Arcade dentaire inférieure : elle
offrent de nombreux foyers d'induration. La cavité du ventricule
latéral
est normale. La couche optique est saine ; mais
e gauche. L p, lobe paracentral. L q, lobe carré. L, ventricule
latéral
. C s, corps strié. N, N, N, foyers de scléros
s fibres d'arrêt descendaient, selon cet auteur, dans les cor- dons
latéraux
de la moelle. Le travail de MM. Ott et Smith a
alors découverte et l'on pratique l'hémisection d'un des faisceaux
latéraux
à la réunion -des régions dorsale et lombaire. On
à son extrémité inférieure passent en se croisant dans le cordon
latéral
du côté opposé d'où elles descendent au centre an
a pu être transformée en hyperesthésie par une section de la moitié
latérale
gauche du bulbe ou de la moelle, tandis que des
tionne la moelle de manière à ne laisser intacts que le faisceau
latéral
gauche et le cordon antérieur gauche, tandis que
atéral gauche et le cordon antérieur gauche, tandis que la moi- tié
latérale
droite, le cordon postérieur gauche et toute la s
tre pour aucune part; et l'auteur en conclut que chacun des cordons
latéraux
renferme des fibres sensitives et motrices pour
ou quantitative des fibres desti- nées au côté opposé : « Un cordon
latéral
, dit-il, renferme des conducteurs de la volonté
rs. Sur un autre jeune chien, M. Weiss sectionne encore le cordon
latéral
droit, les deux cordons postérieurs, la plus gran
it, les deux cordons postérieurs, la plus grande par- tie du cordon
latéral
gauche. Le lendemain, il constate l'aboli- tion
ieurs; 2° section du cordon laté- ral gauche ; 3° section du cordon
latéral
droit. Cette section des deux cordons latéraux
3° section du cordon latéral droit. Cette section des deux cordons
latéraux
n'est t que pl'esque complète. Le lendemain, le
e. Ces faits semblent donc démontrer que la section des cor- dons
latéraux
suffit à produire l'abolition de la sensibilité e
e la section avait laissé intacte une très faible portion du cordon
latéral
.-E. BRISSAUD. , V. Analyse qualitative DE la
miné. En tous cas, les cordons pyramidaux extérieurs et les cordons
latéraux
qui, d'après Flechsig, vont sans interruption d
pas davantage d'altération. - Les cornes frontntes..des ventricules
latéraux
sont dilatées. - Des coupes multipliées ne font
. - Rien sur le lobe pariétal ni sur le lobe occipital. Ventricules
latéraux
très dilatés des deux côtés, principale- ment à
occipitale interne, on mesure la distance qui le sépare des parois
latérales
du crâne, on trouve à droite 80 mill.; à gauche
déré comme nerf dilatateur-type de la langue, des muqueuses nasales
latérales
, supérieures et li- férieures, gingivales et gé
e trouve une plaque de sclérose dans la portion cervicale du cordon
latéral
. Sa plus grande largeur est au niveau de la tro
us petit que le gauche; immédiatement contiguë à la base et au bord
latéral
de la corne postérieure, existe une partie fort
armin. En avant, elle n'atteint pas tout à fait le milieu du cordon
latéral
. La moitié antérieure de celui-ci est complètem
plaque de sclérose dans la portion cer- vicale supérieure du cordon
latéral
gauche, chez un enfant de vingt mois qui avait
mble due à un vice congénital ou à une dén'éné- ration des .cordons
latéraux
delà moelle.* 3.) ¡'())'l'vJI''2aB IV X .' J "
on, au travers duquel le regard pénétrait jusque dans le ventricule
latéral
, grâce à un orifice large et béant. Le corps st
e d'un pouce carré, qui la fai- sait communiquer avec le ventricule
latéral
gauche. Cette cavité et le ventricule latéral g
er avec le ventricule latéral gauche. Cette cavité et le ventricule
latéral
gauche contenaient, tout ensemble, trois onces
e regard pénétrait jusque dans la corne posté- rieure du ventricule
latéral
, que recouvrait une mince lame de pie-mère. L
chez elle, la surface du cerveau communiquait avec le ventricule
latéral
droit par une large ouverture ; cet orifice per-
é très heureusement porencéphalie cette communication du ventricule
latéral
avec la sur- face libre du cerveau. Après avoir
ticulier : elle se caractérise par la communica- tion du ventricule
latéral
avec l'espace sous-arachnoï- dien. 2° La pore
n canal, du calibre d'un doigt, qui communiquait avec le ventricule
latéral
gauche, et vers l'orifice duquel rayonnaient le
'in- sula, on trouvait un orifice, qui conduisait au ventri- cule
latéral
. Pas d'opercule. Pour les circonvolutions, on c
ait épaissi, surtout vers ses piliers antérieurs. Le ventri- cule
latéral
était dilaté : déprimés sur ses parois, on dist
uvrait aucune communication entre la convexité et le ven- tricule
latéral
: toutefois, l'insula se montrait un peu atroph
tions frontales et centrales, jusque dans l'intérieur du ventricule
latéral
. De cet entonnoir partent, en rayonnant : vers
e. Les incisives médianes supé- rieures sont larges, crénelées, les
latérales
triangulaires ; les canines assez grosses. L'un
e corps calleux, le,, ventricule moyen sont sains. -Les ventricules
latéraux
ne sont pas distendus. Leur paroi externe offre
le premier nerf intercostal peut émettre un petit rameau perforant
latéral
qui se termine dans la peau REVUE d'anatomie. 4
est un peu accru de consistance; on y rencontre en outre le cordon
latéral
gauche jaunâtre, ferme et atrophié postérieure-
admettent qu'il s'agit vraisemblablement d'une sclérose des cordons
latéraux
. M. Russell ne croit pas que cette opinion puis
ux malades qui présentaient le type clinique complet de la sclérose
latérale
primitive, et à l'autopsie desquels la moelle f
pper à deux reprises différentes le syndrome complet de la sclérose
latérale
. La guérison qui suivit chaque atteinte rend as
suite' de l'extension de la lésion aux cornes antérieures (sclérose
latérale
amyotrophique de M. Charcot). Les auteurs sont
rs (L1led. Times and Gaz., vol. II, 1879.) L'altération des cordons
latéraux
pourrait aussi se produire secondairement, ou c
ne tête d'épingle à celle d'une petite cerise. Tout le ventricule
latéral
gauche était occupé par une grosse tumeur mélaniq
a dureté du cartilage. En outre, la corne postérieure du ventricule
latéral
droit du cerveau, au niveau de l'ergot de Moran
musculaire consécutive à la propagation de l'inflammation du cordon
latéral
aux grandes cellules des cornes antérieures ; l
antérieures ; la lésion est alors identique à celle de la sclérose
latérale
bibliographie. 499 amyotrophique. Cette atrop
éërit;préseilte la' particularité* suivante' : des <ventriculeS'
latéraux
n"ontipqint, d'orifice complet, par lequel .ils
t, viendront s'infléchir ndansyune lnvolution-uversplesyeiitricule,
latéral
,v,Les iLanomalies ? dansllar : distributioné de
uteur, surtout à l'atrophie musculaire progressive et à la sclérose
latérale
amyotrophique. On constate en' même temps les l
ES D'UNE NATURE HISTOLOGIQUE SPÉ- CIALE siégeant dans LE VENTRICULE
latéral
(gliomes 1 ganglio-cellulaires) chez UN NOUVEAU
répartition de la substance grise ou blanche : telle cette sclérose
latérale
amyotrophique accompagnée d'affection bulbaire
nt justiciables des granulations rencontrées dans les ventri- cules
latéraux
et de l'excitation temporaire du pont de Varole
de tendance à envahirla substance grise de la moelle ou les cordons
latéraux
, mais elles se propageraient promp- tement à to
On y lira avec intérêt de nouvelles observations : I. De sclérose
latérale
amyotrophique (affection combinée des faisceaux
èmes de fibres des cordons postérieurs, faible atteinte des cordons
latéraux
dans le cervelet intégrité des cornes antérieur
férieure et lombaire, accompagnée de lésions identiques des cordons
latéraux
dans le cervelet, des cordons de Goll, et du ch
e des cordons et des racines postérieurs, de l'ensemble des cordons
latéraux
dans le cervelet et des faisceaux pyramidaux (m
t se met à angle droit'surle bras et se porte d'abord sur la partie
latérale
- l Dans nombre de cas, nous avons les accès di
niveau\d'une racine antérieure celui- cale dans un cas de sclérose
latérale
amyotrophique. (Macération prolon- gée dans l'a
e gauche. L p, lobe paracentral. L q, lobe carré. L, ventricule
latéral
. C s, corps strié. N, N, N, foyers de scléros
calleux. G, quelques circonvolutions, pénétrant dans le ventricule
latéral
. C S, surface du noyau caudé. P C, pmciiiieii
onvolution temporale. T 4, circonvolution, ou pli temporo-occipital
latéral
. T , circonvolution, ou pli temporo-occipital m
elle de tissu, qui sépare, de la surface cérébrale, le ven- tricule
latéral
. B, Coupe transversale du lobe frontal de l'hém
ntérieure, ou fron- tale ascendante, qui pénètre dans le ventricule
latéral
. s, mince lamelle, qui sépare le ventricule lat
s le ventricule latéral. s, mince lamelle, qui sépare le ventricule
latéral
de la surface cérébrale. F a, substance grise d
grise des circonvolutions frontales, qui pénètre dans le ventricule
latéral
, et arrive directement sur le noyau caudé. la,
térieure, ou pa- riétale ascendante, qui pénètre dans le ventricule
latéral
, et va y for- mer la paroi supéro-exlerne. C
grise de la portion saillante de l'insula. U, Cavité du ventricule
latéral
gauche. T o, couche optique (thalamus opticus).
artie gauche des deux-champs visuels.' C'est l'hémianopsie Ir.onzo-
latérale
gauche. La lésion des voies optiques de gauche,
Migraine ophtalmique. C'est un scotome objectif binoculaire homo-
latéral
Moebius). Le malade voit noir et n'a pas perdu to
cas, les troubles moteurs oculaires associés amènent une déviation
latérale
des yeux dans le même sens et au même degré, pour
dans 1`2 pour 100 des cas, il ne se montre que dans les mouvements
latéraux
des yeux; dans 16 pour 100 des scléroses, les o
au cocideaire s'isole a nouveau et pénètre au niveau de la fossette
latérale
pour gagner le noyau ventral et le tuber- cule
la fossette latérale pour gagner le noyau ventral et le tuber- cule
latéral
. De ces noyaux les libres suivent un trajet assez
en constituant le corps trapézoïde; celles qui partent du tubercule
latéral
, après avoir constitué les stries acoustiques du
live supérieure forment le faisceau acoustique qui occupe la partie
latérale
du ruban de Reil (lemniscus latéral) et gagne l
coustique qui occupe la partie latérale du ruban de Reil (lemniscus
latéral
) et gagne les tubercules quadrijumeaux, soit en t
capillaires, osseux et les veinules qui se déversent dans le sinus
latéral
. Le plus souvent cependant, il y a de l'ostéite
de l'inflammation du sinus laté- ral, la thrombo-phlébite du sinus
latéral
. On peut dire, d'une manière très générale, que
de la paroi postérieure de l'antre déterminent la thrombo-phlébite
latérale
, les abcès extra- duraux de la fosse cérébrale
ement au-dessus des ressources chirurgicales. La Illrolnhu-phléhilc
latérale
était considérée, il y a vingt ans, connue toujou
o girans, vertigo tituhans ou antéro- postérieur, vertigo vacillans
latéral
ou vertical, etc. Le vertige débute le plus sou
l se produit d'abord une sensation de vertige, puis une inclination
latérale
de la tète avec ou sans phosphènes, bour- donne
sation soit matériellement impossible il suivre. Dans la sclérose
latérale
amyolrophique, l'anarlhie dépend des para- lysi
habituelles ; on les observe tout particulièrement dans la sclérose
latérale
ann/o/rop/ïK/Me. La langue est atteinte la prem
ypique, complet, intense, révèle ;1 peu près à coup sur la sclérose
latérale
amyotrophiquc, facile à reconnaître par l'atrop
externe au cortex de l'insula, l'interne à l'épcndyme du ventricule
latéral
, se trouvent l'in- sula, les capsules externe e
nés la méthode anatoinique appliquée il l'élude des cas de sclérose
latérale
amyotroptiiquc (Rossi et, Roussy). Elle tend de
es hémiplégiques, qu'on donne le nom d' hém ianopsie ou d' hémiopie
latérale
homonyme; elle consiste, comme son nom l'indique,
on siège dans l'hémisphère gauche), ou enfin d'hémianopsie homonyme
latérale
(perte de la moitié [ROUSSY.] ] : 'il () SENS
ensation angoissante, avec irradiation douloureuse vers les parties
latérales
du cou, le mediastin et la base de la langue. C
clnc, des douleurs au niveau de la paupière inférieure, des parties
latérales
du nez, de la région malaire, de la région tempor
rant les paroxysmes, les douleurs irradient fréquemment aux parties
latérales
du cou, à la région mastoï- dienne, à la fosse
postérieur vertébral situé à côté des apophyses épineuses, un point
latéral
correspondant il l'origine du rameau perforant mo
ci- palement dans les régions sus-orbitaires ou la région crânienne
latérale
. La lumière, le bruit semblent augmenter les do
nes brillantes en zig-zag; elle s'accompagne parfois d'héinianopsie
latérale
homonyme transitoire, parfois aussi de troubles
par des sensations d'engourdissement ou de compression des régions
latérales
et frontale de la tête (sensation de casque). L
tique la technique suivante. Le malade est couché dans le décubitus
latéral
, la cuisse à demi repliée sur le bassin présentan
ogie, 12 octobre 1901 et Congrès de Rennes, 1905. RÉFLEXES. 431 1
latéral
des adducteurs se rapproche de celle du réflexe r
tion à une participation plus marquée qu'il l'ordinaire des cordons
latéraux
au processus morbide ? Pour moi, c'est la premi
s des membres supérieurs est souvent caractéristique de la sclérose
latérale
amyolropliique, mais dans ce cas il y a déjà eu
mbres infé- rieurs forme un ensemble caractéristique de la sclérose
latérale
amyo- trophique. L'exagération des réflexes t
er au cours des affections (fejàuten- tiolnées ci-dessus : sclérose
latérale
amyolropliique, sclérose en pla- ques, tumeur c
u'elle peut permettre d'affirmer l'existence dune forme de sclérose
latérale
ou spasmodique : il y a alors raideur spasmodiq
sclérose des cordons postérieurs et par une sclérose des cor- dons
latéraux
. (C'est cette dernière lésion qui crée le signe d
lésions de sclérose combinée des cordons postérieurs et des cordons
latéraux
: c'est là un des éléments de la triade symptomat
écessitent l'aide de cannes. Le malade marche avec des oscillations
latérales
du tronc [démarche dite de gallinacé) ; plus ta
péciales il l'axe cérébro-spinal, la sclérose en plaques, la sclérose
latérale
amyotrophique, les troubles d'origine vasculair
ntrant dans ce cadre est assez facile. Nous y rangerons la sclérose
latérale
amyo- trophique et les paraplégies spastiques a
stiques avec atrophie secondaire. PARAPLEGIE. '. 49;¡ La sclérose
latérale
amyotrophique est une affection systématisée du
longue, atteint des années, dépasse infiniment celle de la sclérose
latérale
amyotrophique. 11 finit par exister une contractu
toutes il présenter la totalité des symptômes ennmeres. La sclérose
latérale
amyoirophique, la sclérose en plaiptes, la syring
la sclérose en plaques ; elle ne s observe jamais dans la sclérose
latérale
ainyolrophique. Enfin, la description de tontes
eps s'insère sur la face postérieure de l'olécrane et sur ses bords
latéraux
. Innervation. Nerf radial. 11 y a un nerf spéci
xistence d'un fléchisseur-adducteur, les mouve- ments d'inclinaison
latérale
de la main atteignant leur minimum d'am- plitud
forte aponévrose située sur sa face postérieure, sur le liga- ment
latéral
externe de l'articulation du coude, sur une clois
ulaire de l'articulation radio-cubitale supérieure, sur le ligament
latéral
externe de l'articulation du coude; parfois des
t interosseux et se divise en trois languettes, une médiane et deux
latérales
. La languette médiane s'insère sur l'extrémité
'extrémité postérieure de la deuxième phalange, les deux languettes
latérales
, après s'être fusionnées, s'insèrent sur l'extr
u et s'insèrent, par un tendon commun, sur la base et sur les bords
latéraux
de la rotule qui est reliée, elle-même, par le li
ui le séparent du jambier anté- rieur en dedans et du long péronier
latéral
en arrière. En bas existent quatre tendons pour
correspondante se divise en trois languettes, l'une médiane et deux
latérales
. La languette médiane s'insère sur l'extrémité
'extrémité postérieure de la deuxième phalange, les deux languettes
latérales
se fusionnent ensemble et viennent se ter- mine
ucteur, rotateur en dehors du pied. Région externe. Long péronier
latéral
. Insertions. Le long péronicr laté- ral s'insèr
ect du sciatique poplité externe. Physiologie. - Le long péronier
latéral
est extenseur du pied sur la jambe, il produit
nt sur le sol, la marche ne serait pas possible si le long péronier
latéral
qui est abaisseur de l'avant-pied ne venait sup
, la voûte plantaire est le rôle le plus important du long péronier
latéral
, l'impotence fonc- tionnelle.de ce muscle a pou
plantaire et l'apparition d'un pied plat. Quand le long péronier
latéral
est paralysé, on constate le renversement du pi
ière phalange du 1> "l'OS or ! eil (()uchenne). Court péronier
latéral
. Insertions. Le court péronier latéral s'insère
()uchenne). Court péronier latéral. Insertions. Le court péronier
latéral
s'insère en haut sur le tiers moyen, et parfois s
Innervation. Nerf inuscido-cutané. Physiologie. Le court péronier
latéral
élève le bord externe du pied et amène la plant
osseux, sur la cloison fibreuse qui le sépare des muscles pérdniers
latéraux
. Le tendon du muscle se termine sur l'extrémité
des 5'' et 4" métatarsiens, sur la gaine fibreuse du long péronier
latéral
; le faisceau transverse (abducteur transverse), s
court fléchisseur s'insère en arrière sur la gaine du long péronier
latéral
en avant du cuboïde, sur l'extrémité postérieur
rieure de la plante du pied. , 111. - MUSCLES DU COU W l Région
latérale
. Sterno-cléïdo-mastoïdien. Insertions. Le muscl
t utile dans l'acte de porter sur la tète un lourd fardeau. Droit
latéral
de la tête. Insertions. Le droit latéral de la
un lourd fardeau. Droit latéral de la tête. Insertions. Le droit
latéral
de la tète s'insère d'une part sur l'apophyse t
nche anté- rieure du premier nerf cervical. Physiologie. Le droit
latéral
de la tête incline la tête de son côté. Région
u trou occipital, et d'autre part sur la face antérieure des masses
latérales
de l'atlas et sur la portion voisine de l'apoph
en avant que dans son élévation en dehors; modification de la ligne
latérale
qui prend la forme d'une Sa boucles très allong
ostérieure; dilatation générale de la cage thoracique avec voussure
latérale
convexe en dehors; élévation modérée de la cage
ernum situé en arrière de cet os s'insère en dedans sur les parties
latérales
de l'appendice xyphoïde et du corps du sternum, i
qui s'insèrent sur la base de l'appendice y-phoïcle. Les faisceaux
latéraux
ou costaux naissent sur les côtés de la foliole
és de la foliole moyenne et sur la plus grande partie de la foliole
latérale
, s'insè- rent sur la face interne et le bord su
sertions. La portion psoas du muscle s'in- sère en haut sur la face
latérale
du corps de la douzième vertèbre dorsale et des
verse la tète en arrière, et lui imprime un mouvement d'inclinaison
latérale
. Transversaire du cou. Insertions. Le transvers
ser- tions. Le grand oblique de la tête s'insère en bas sur la face
latérale
de l'apophyse épineuse de l'axis, il se porte e
ractent d'un seul côté ils déter- minent un mouvement d'inclinaison
latérale
et un mouvement de rota- tion variant suivant l
ne part (insertion fixe) par son bord supérieur convexe à la partie
latérale
de l'aponévrose épicru- nienne, eiie-mone peu m
égion intersourcilière. Il naît en bas en partie sur les cartilages
latéraux
du nez, en partie sur le bord inférieur et le b
s identiques. Rossi et Roussy, étudiant plusieurs cas de sclé- rose
latérale
amyotrophique avec la méthode deMarchi, ont suivi
Brown-Séquard. Une lésion localisée au faisceau pyramidal du cordon
latéral
se traduit par une hémiplégie spinale. Les trou
guë de l'enfance, dans, la poliomyélite chronique, dans la sclérose
latérale
amyotrophique, l'examen méthodique 'des malades
les .névrites, les altérations nucléaires (syringomyélie, sclérose
latérale
amyotrophique); la paralysie du, spinal observée
antérieur, du long exten- seur commun des orteils, du long péronier
latéral
et du court péronier latéral (voir pages )4(i,
r commun des orteils, du long péronier latéral et du court péronier
latéral
(voir pages )4(i, 547, 548, 54 ! )). Ilirschfel
indiquent comme siège du centre phonatoire la partie inférieure et
latérale
de la cir- convolution précruciale. Semonet Hor
le glosso-pharyngien, la traversent avec le bout terminal du sinus
latéral
, croisent le sinus pétreux inférieur et arrivent
'y voir qu'un syndrome et d'en dissocier successivement la sclérose
latérale
amyotrophique (Charcot. 1872), la pachyméningite
ophies de l'adulte : Myélopathiques : type Duchenne-Aran : sclérose
latérale
amyotrophique : syringo- myélie; pachvméningite
nt signalé des exemples dans la poliomyélite chronique, la sclérose
latérale
amyotrophique, la syringomyélie (Schlesinger, D
state fréquemment chez les myopathiques l'existence d'une déviation
latérale
, d'une scoliose. La scoliose peut être parfois
e cer- vicale, forme de chaque côté du cou très aplati des saillies
latérales
rappelant les bandelettes qui sur les statues d
ux sus-claviculaire; la ligne légèrement concave qui joint la l'ace
latérale
du cou au moignon de l'épaule se trouve interro
s médullaires avec amyotrophie semblable (syrin- gomyélie, sclérose
latérale
amyotrophique, etc.); la conservation des muscl
parties de la moelle et de ses enveloppes sont, atteintes (cordons
latéraux
, cordons postérieurs, méninges, etc.) : l'amyot
que pure, rare et douteuse, dans la syringomyélie, dans la sclérose
latérale
amyotrophique, dans certains cas de meningo-myé
dans la pachy- méningite cervicale hypertrophique, dans la sclérose
latérale
amyotro- pbique, dans la forme spasmodique de l
s quelques mb11ngo-myélites syphilitiques avec sclérose des cordons
latéraux
, ils sont exagérés, soit précocement, soit tard
die provocatrice; elle est particulièrement rapide dans la sclérose
latérale
amyotrophique (2 ans à 4 ou 5 ans au plus), parti
n-Duchenne l'ait partie du tableau clinique habituel de la sclérose
latérale
amyotrophique, de la syringomyélie, de la pachy-
i- culaires des cornes antérieures de la moelle. Dans la sclérose
latérale
amyotrophiques, la pachyméningite cervicale hyp
é- flexes sont normaux ou généralement diminués. Dans la sclérose
latérale
amyotrophique, au syndrome de l'atrophie progre
e le syndrome spasmodique de la sclérose des fais- ceaux pyramidaux
latéraux
: exagération précoce des réflexes tendineux, e
e avec atteinte progressive des cornes antérieures et des faisceaux
latéraux
. La paralysie iabio-gtosso-taryngée est la term
et l'e.xtension des orteils, signes de la dégénération du cor- don
latéral
; enfin il pourra peut-être être établi avec cert
es sont ou peuvent être progressivement altérées, comme la sclérose
latérale
amyotrophique, la syringomyélie, la méningo- my
du syndrome de Duchenne- Aran quand il ne relève pas d'une sclérose
latérale
amyotrophique, d'une syringomyélie, d'une pachy
s rarement : pieds, jambes, cuisses; évolution lente (sauf sclérose
latérale
amyotrophique); pas ou peu de troubles trophiques
ntiels : a) Spasmodiques : réflexes tendineux exagérés : Sclérose
latérale
amyotrophique : paralysie spasmodique des mem-
amidal, un signe de la sclérose combinée des cordons postérieurs et
latéraux
, comme le sont les paraplégies plus durables (P
hyrisme. paraissent frapper surtout dans la moelle soit les cordons
latéraux
soit, dans les cordons postérieurs, les faiscea
es voies sensitives postérieures, une altération des voies motrices
latérales
, elles produisent soit un pseudo-tabes pur, soit
e prennent part il la fois les cor- dons postérieurs et les cordons
latéraux
, et. notamment dans ceux-ci les faisceaux céréb
à à porter tout le poids du corps sur une jambe par une inclinaison
latérale
du tronc, en même temps que le pied opposé se s
ite son tronc en provoquant les inclinaisons antéro-postérieurcs ou
latérales
, en diminuant plus ou moins l'importance du sou
t caractéristique de la dernière période évolutive de la sclé- rose
latérale
amyolrophique. Dans ces différents cas, et plus s
On rencontre tantôt un syndrome bulbo-spinal comme dans la sclérose
latérale
amyotrophique, tantôt un syndrome hulbo-protubéra
ent ce phénomène. C'est surtout il la période ultime de la sclérose
latérale
amyol1y¡pltique, chez uns ? /r ! ? t</(Wi ?
ction de certains mouvements anormalement déformants (incurvation
latérale
du nez, fossette irrégulière du menton) ou pa
niveau du sacrum, qu'elle soit médiane (affections médullaires) ou
latérale
(affec- Fig. 7. - Escarre sacrée particulière-
empreinte des dents marque de ses crénelures la pointe et les faces
latérales
. Cet étalement relève souvent d'insuffi- sance
s violentes, s'observe encore à la période terminale de la sclérose
latérale
amyotrophique. Le syndrome bulbaire survient ici
o-labio-laryngés, qu'ils soient liés au tabès (rare), à la sclérose
latérale
amyotrophique ou aux polioencéphalites inférieure
ou provoquées par la pression des cornes de l'hyoïde ou des parois
latérales
du cou. Le pharynx peut présenter des spasmes s
avec soin les deux autres points névralgiques : le vertébral et le
latéral
. SYNDROMES ASSOCIÉS * Les symptômes nerveux
e dans la poliomyélite antérieure chronique (') et dans la sclérose
latérale
amyotrophique : dans la première, les réflexes
xtension des orteils; le tableau clinique simule alors une sclérose
latérale
amyotrophique à évolution lente (Raymond, A. Léri
vctlrps (fig. 5). Le petit orteil peut présenter la même déviation
latérale
vers l'axe du pied. D'autres fois le gros ortei
nnelongue » de la syphilis osseuse, mais elle est fréquemment aussi
latérale
ou irrégulière, symétrique ou asymétrique aux d
eurs du pied sur la jambe sont le triceps sural et le long péronier
latéral
. Le triceps sural étend surtout l'arnerc- pied
uction et en rotation externe, en valgus. De plus, le long péronier
latéral
ATTITUDES VICIEUSES. )05 ! exagère la concavi
même temps, il y a un talus pied creux valgus. Si le long péronier
latéral
est seul paralysé, il y a un pied plat varus qu
s rotateurs du pied sont le jambier postérieur et le court péronier
latéral
. Le jambier postérieur porte le pied en adducti
e poplité externe, muscles antéro-externes de la jambe, péroniers
latéraux
et pédieux. Le jambier antérieur peut être seul
ningo-myélile syphili- tique amyotrophique, syringomyélie, sclérose
latérale
amyotrophique), on constate rarement et tardive
ul (talus pied-creux direct), ou du triceps et du long péro- nier
latéral
(talus pied-creux varus), ou du triceps et du f
paralytiques : nous rappellerons que la paralysie du long péronier
latéral
détermine un pied-plat varus, qui devient valgus
minent une contracture des muscles voisins, notamment des péroniers
latéraux
et des extenseurs du pied. Il est d'ordinaire b
st saillante, mais les bosses frontales sont nulles, et les parties
latérales
de l'os sont fuyantes. D. frontal minimum. On p
ui constitue un front olympien ; ce peut être le front à bosselures
latérales
, chaque bosselure étant située de chaque côte d
ale augmente, traduisant, dit-on, un agran- dissement du ventricule
latéral
par l'accumulation du liquide céphalo- rachidie
Attitude du malade. Le malade sera placé, soit dans le décu- bitus
latéral
, soit dans la position assise. Le décubitus lat
e décu- bitus latéral, soit dans la position assise. Le décubitus
latéral
s'impose dans les cas de méningite, chez les co
aire. Le malade est placé en position génupectorale ou en décubitus
latéral
. On prend comme points de repère les deux tuber
ire diffère sensiblement du svn- drome hémorragique des ventricules
latéraux
et du 4'' ventricule. Dans l'ingravescent apupi
droits et gauches. Enfin, l'hypertension de l'un des ven- tricules
latéraux
peut, on devine aisément pourquoi, n'être pas déc
ous venons d'étudier. C'est ainsi qu'en se localisant au ventricule
latéral
gauche (Verdun etiversenc), les cysticerques on
, pyocyanique). introduits directement dans la cavité du ventricule
latéral
, franchissent l'épithétium, passent dans les ga
] 1 1 72 RADIOLOGIE. Les déviations de la colonne vertébrale sont
latérales
(scolioses) ou antéro-postérieures (cyphoses et
ier antérieur; 2 Extenseur commun des'orteils ; - 3. Court péronier
latéral
; 4. Long extenseur du gros orteil; 5. Interosse
er (sciatique poplité externe); 7. Jumeau externe, 8. Long péronier
latéral
; 9. Soléaire; 10. Long fléchisseur du gros ortei
omyé- lites antérieures subaiguës ou chroniques et dans la sclérose
latérale
amyotrophique, lorsque les altérations ne sont
ns les affections nerveuses à marche progressive, comme la sclérose
latérale
ainyolrophique, certaines myélites ou méningo-
érieures, soit directement, poliomyélite antérieure aiguë, sclérose
latérale
amyotrophique, poliomyélite antérieure chronique,
it par suite de lésions nucléaires concomitantes). Dans la sclérose
latérale
amyotrophique, la DR n'apparaît souvent qu'un c
out. En même temps on observe souvent du côté des yeux du nystagmus
latéral
. Généralement les sensations subjectives de ver
es intervalles de repos plus ou moins prolongés. Dans la sclérose
latérale
ccoroln'opl.ilze le processus morbide suit en g
gée se montre souvent comme expression symptomatique de la sclérose
latérale
arnyotroplrique, soit il la fin, soit au début.
disa- lion pratiquée avec le pinceau sur les parties antérieures et
latérales
du cou, ou la galvanisation continue des pneumo
on porte la faradisation sur le cou, principalement sur les parties
latérales
, en suivant le trajet des cordons nerveux profond
petit orteil plantaire. Inner- vation, physiologie, 554. péronier
latéral
. Innervation, physiologie, 549. supinatc1lI" In
hémiplégiques, 571. Droit interne. Innervation, physiologie, 544.
latéral
de la tète. Innervation, physiologie, 559. Du
- - propre du pouce. Innerva- tion, physiologie, 529. - péronier
latéral
. Innervation, physiologie, 548. supinaleur. Inn
gastriques, 993. - Cytodiagnostic, 1137. - Radiothérapie, 1187. -
latérale
amyotrophique, atrophie musculaire type Duche
nt fonctionner normalement. Les mouvements de flexion antérieure ou
latérale
, et d'extension du rachis sont difficiles et do
» La contracture musculaire, la douleur à la pression sur la partie
latérale
gauche de la 3e vertèbre cervicale permettent l
espace épidural : épaississement des faces antérieures et, surtout,
latérales
de la dure-mère. Dans le Mémoire de Long et Mac
er au corps de la VIIe, et carie superficielle de la partie antéro-
latérale
des Ive, Ve et Vlle cervicales. Début d'abcès par
par le palper abdominal profond. Au cou, on peut, palper les masses
latérales
, et, par le toucher pharyngien, arriver sur la fa
adipeux s'est développé de préférence dans la partie antérieure et
latérale
de l'abdomen : lombes,fesses,mamelles, régions
dent au pulvinar, aux corps genouillés externe et interne, au noyau
latéral
(partie supérieure) de la couche optique et aux c
aient destinées au pulvinar, au corps genouillé externe et au noyau
latéral
de la couche optique ; la partie supérieure renfe
AUX LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRALE 109 couche sagittale
latérale
une fonction déterminée, elle représenterait la v
origine plus étendue, non seulement dans la couche optique (noyaux
latéral
et posté- rieur), mais aussi dans le corps geno
artie dégénéré ; cette dégénérescence tient à la destruction du noyau
latéral
de la couche optique dont les fibres passent au
ibres mésencéphaliques ou pédonculaires proviendraient de la partie
latérale
du ruban de Reil médian (lemniscus) et seraient'd
rimaires tirent leur origine du'corps genouillé externe et du noyau
latéral
de la couche optique,' se dirigent irrégulièremen
vation précédente, j'ai noté : le défaut d'étendue des mouve- ments
latéraux
des globes oculaires, de l'élévation de l'aile du
re les clavicules (1) Chez un malade du service atteint de sclérose
latérale
amyetrophique, le malade quoique paralysé et at
n prolon- gement remonte le long de la paroi du corps du ventricule
latéral
et en décolle a parti e inférieure des circonvo
ertain degré de pâleur de la substance profonde des circonvolutions
latérales
. L'examen des régions antérieures ne révèle rie
Wer- nicke ; il existe une décoloration notable des circonvolutions
latérales
et qui est surtout accusée immédiatement en deh
ne légère décoloration de la substance profonde des circonvolutions
latérales
. Nous venons de faire la description nécessaire
emporal ; quel que soit le siège du ramollissement (circonvolutions
latérales
,médianes ou inférieures), qu'il s'agisse de lés
ONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISSEAU OPTIQUE CENTRAL 199 externe ou
latéral
. La première temporale envoie, en outre, un ]son
l existe au niveau de l'angle supéro-externe du corps du ventricule
latéral
, au-dessus du noyau caudé et en dedans du pied de
réunir au-dessous et en dehors delà corne sphènoïdale du ventricule
latéral
, nous ne reviendrons pas sur ces détails ; mais n
es à la scissure calcarine. Par contre vers les parties moyennes et
latérales
, les faisceaux de Vialet et de Sachs ne contien
c son segment inférieur. En effet, les lésions limi- tées à la face
latérale
retentissent sur le cingulum. (fig. 2 et 7). La
t fixe son origine dans le corps genouillé externe et dans le noyau
latéral
de la couche optique. Pour nous, le faisceau op
d'elles aux circonvolutions de la face médiane et aussi de la face
latérale
de l'hémisphère et vice versa. Les -deux segmen
ffire à lui seul pour expliquer la présence de la régénération col-
latérale
à l'état normal, c'est l'existence constante d'un
sarcome. . Examen des coupes sériées. A. Cerveau. Les ventricules
latéraux
sont fortement dilatés ; mesurant leur pourtour
une fois de plus l'existence d'un courant pas- sant des ventricules
latéraux
au 3e ventricule et de là par l'aqueduc au 4e v
émorrhagie. 5. L'aplatissement des cornes frontales des ventricules
latéraux
fait entrevoir que l'évacuation de liquide céph
nt prononcée et l'aspect de la malade caractéristique. En décubitus
latéral
, les cuisses complètement fléchies sur le bassin,
e la longueur de la trachée cervicale où n'apparaît aucun ori- fice
latéral
. Donc pas de trachéocèle dans toute cette région
ents grisâtres, atrophiés, qui s'inséraient d'un côté sur le sillon
latéral
de la moelle, et de l'autre sur la face profond
pour la plupart leur origine dans les petites cellules de la corne
latérale
. Nous pouvons ajouter aux faits que l'on vient
prégnation au chromate d'argent, des fibres qui sortaient de la corne
latérale
, s'engageaient dans les racines postérieures et
Koelichen, Bielschowsky. Dejerine décrit un cas à forme de sclérose
latérale
amyotrophique, et ayant trouvé des lésions asse
t le faisceau central de Bechterew. Une partie aussi du lem- niscus
latéral
est conservée. A droite, la destruction est limit
est limitée au coude formé par le ruban de Reil médian et sa partie
latérale
, à une partie du faisceau cen- tral de la calot
perficiale. Les cellules des noyaux centraux supérieurs, des noyaux
latéraux
et de la substance grise du pont sont presque c
ielle du corps restiforme et le tubercule acoustique. Les faisceaux
latéraux
du bulbe sont plus clairs que d'ordinaire. Les
yau rétropyramidal, la racine descendante du trijumeau, le faisceau
latéral
du bulbe, le corps restiforme et le faisceau soli
ur un bulbe normal. On peut dire la même chose à l'égard des noyaux
latéraux
antérieurs et postérieurs du bulbe et des noyau
. 350 GIUNIO CATOLA Au niveau de la lié racine dorsale, le cordon
latéral
gauche est presque complètement normal ainsi qu
aux. A gauche est bien conservée aussi une partie du cordon antéro-
latéral
, tandis qu'à droite il n'en reste pas de trace (f
moelle. Quelques plaques de sclérose sous l'épendyme des ventricules
latéraux
. (UVELLElCOKOGRAPHIEDELASALPÊTKIÈXE. T. XIX.
faction périphérique, persistant (fig. 2). A la 5° racine le cordon
latéral
droit est remplacé par une zone de sclérose dan
ure grise,le cordon de Goll, la zone cornu-commissurale et la corne
latérale
droite (fig. 3). Au niveau de la, 6° racine dor
est augmenté de volume dans le sens an- térieur avec aplatissement
latéral
, projection en avant de la partie anté- térieur
aines, la formation de fibres fines à myéline provenant des cordons
latéraux
et antérieurs. Ces fibres s'infiltrent entre le
es se ren- contrent aussi bien à l'extrémité des fibres du faiscean
latéral
qu'au niveau des cordons postérieurs, leur dire
ne espèce de plexus irrégulier (Fig. 3). ,Dans la substance blanche
latérale
, on constate un grand nombre de boules terminales
cavités kystiques. On rencontre également dans la substance blanche
latérale
un certain nombre de fibres nouvelles provenant
ans les fentes du tissu conjonctif et donnent parfois des divisions
latérales
sur leur trajet. Un bon nombre de fibres nerveu
in degré de développement. Il n'existe dans ces cas ni oscillations
latérales
des mains comme dans la maladie de Friedreich,
elles prédominent, d'ordinaire, dans la région centrale des cordons
latéraux
et postérieurs. A leur niveau, la névroglie app
épaississement de la névroglie, dans la partie profonde des cordons
latéraux
et postérieurs, avec début de nécrose,et 2 ou 3 p
se discrète, sans pigmentation. Dans la partie centrale des cordons
latéraux
et postérieurs, grosse dilatation de nombreuses
ssement de la névroglie. Ces lésions sont au maximum dans le cordon
latéral
gauche, où elles s'accompagnent de phénomènes n
foyers de myélomalacie, limités à la substance blan- che du cordon
latéral
. Les vaisseaux sanguins largement perméables, p
e complètement; les réflexes sont forts, avec signe de Babinski bi-
latéral
; à droite,hypoesthésie de toute la partie du cor
é gauche, présente un début de myé- lomalacie dans les deux cordons
latéraux
et dans la zone de Lissauer droite, immédiateme
antérieure des cordons antérieurs et postérieurs. Dans les cordons
latéraux
, un certain nombre de gaînes myéliniques très dil
s centres nerveux, t. il, f. 1, p. 588. IIÉMIASYNERGIE DROITE 543
latéral
du cervelet, l'olive cérébelleuse, les feutrages
xterne. La région épitrochléenne est aplanie dans sa partie la plus
latérale
et la plus externe t (Pl. LXXXI, A, A', B). P
nfoncent dans la substance médullaire. Les faisceaux postérieurs et
latéraux
sont sclérosés avec diminution évidente des fib
iété d'amyotrophie : dans la plupart des cas il s'agit de scléroses
latérales
ou combinées et de scléroses latérales amyotrop
s cas il s'agit de scléroses latérales ou combinées et de scléroses
latérales
amyotrophiques. Cette dernière forme a dans tou
faisceau longitudinal) qui tapissent la paroi inférieure et inféro-
latérale
de la corne occipitale et du carrefour ventricula
t des couches sagittales qui longe la moitié inférieure de la paroi
latérale
et coiffe l'angle in- féro-externe du ventricul
courte étendue (l'une de la pyramide bulbaire, l'autre du lemniscus
latéral
), nous sommes loin d'en nier l'existence. Il conv
PI. XXVIII, 1-2 ; Pl. XXX, 7-8 ; raie blanche en dehors du segment
latéral
de la couche externe) ; nous espérons en faire
e niveau et le noyau amygdalien, les fibres qui occupent le segment
latéral
ou perpen- diculaire de la couche sagittale, de
riculaire par l'épais tapétum au niveau du 'carrefour du ventricule
latéral
. Au-dessous de la paroi inférieure, les fibres
ies réflexes. Il en est de même pour la voie auditive, le lemniscus
latéral
, mais à un degré moindre. Le man- teau cérébral
re calcarine, mais des circonvolutions de la face inféro-externe et
latérale
du lobe occipital. L'analogie est grande et fai
midale.Un seul changement, c'est que le faisceau optique'direct est
latéral
et le faisceau pyramidal direct est, au contraire
c d'autres des voies du tronc encéphalique : le lemniscus médian ou
latéral
. Nous avons voulu démontrer qu'il possède absol
es géniculo-calcariniennes occupent la moitié inférieure du segment
latéral
(externe) et la moitié externe du segment sous-
a lieu. La décussation ne se fait que lorsque les fibres du segment
latéral
ont contourné la corne ventricu- laire et vienn
les côtés par une ligne verticale séparant les parties externes et
latérales
des cuisses et de l'abdomen des parties antérieur
droite d'arrière en avant, et en donnant au scalpel une direc- tion
latérale
, je coupais rapidement toute la moitié de la mo
autre côté, elles se localisent dans la périphérie du cordon gauche
latéral
, en forme d'une bande semi-lunaire allant de la
outes les fibres ont disparu; dans la partie exté- rieure du cordon
latéral
, qu'on appelle faisceau direct du cerve- let, l
vers la direction extérieure. Quant aux altérations dans le cordon
latéral
, je dois remarquer que je n'ai pu jamais aperce
e d'un petit îlot triangulaire dans la région postérieure du cordon
latéral
du côté gauche et présente une perte insignifia
vécut après l'opération juste deux mois. L'opération du côté gauche
latéral
fut suivie d'une paralysie et de l'hyperesthési
squ'au bulbe rachidien, et des- cendante dans le faisceau pyramidal
latéral
. Dans cette opération, ainsi que dans toutes le
. Weiss 1 d'hémisectioii de la moelle et en gardant aussi un cordon
latéral
chez les chiens, donnèrent des résultats contra
pour les mouvements régénérés se concentrent dans le même cordun
latéral
, qui contient les voies de motilité de l'extrémit
ntations les plus importantes sont celles où il y a une hémisection
latérale
complète de la moelle épinière. Le lecteur se r
ant partie du plancher supérieur de ce prolongement des ventricules
latéraux
et qui sont placés à la partie externe des couc
dé. Un peu plus en arrière, au niveau de l'hiatus du ven- tricule
latéral
, ces fascicules sont réunis par des fibres arci
ures du cerveau ne provoque pas de convulsions. Seule, la déviation
latérale
des yeux persiste encore dans ce cas lorsqu'on
nche et atteignaient la paroi supé- rieure et externe du ventricule
latéral
droit. La consistance du cer- veau était très f
e pédoncule cérébral, dans la pyra- mide bulbaire et dans le cordon
latéral
gauche de la moelle épinière. Les ganglions opt
sensibilité et de ses modes. En outre des phénomènes de la sclérose
latérale
amyotrophique, on constatait une anesthésie com
ntérieures de la moelle cervi- cale sont détruites, que les cordons
latéraux
sont scléreux, qu'il y a syringomyélie. Le mémo
ons DE la substance GRISE DE la MOELLE dans LES lésions DES cordons
latéraux
; par FUEIiSTNEB. (Neurol. Cen- tralbl., 1889.)
ralbl., 1889.) Quand les faisceaux pyramidaux sont dans les cordons
latéraux
plus ou moins altérés, quelle qu'ait été la for
indépendamment de la pro- pagation du processus primitif), la corne
latérale
correspondant au côté malade s'atrophier, dimin
plique de phénomènes tenant à l'interruption des fibres des cordons
latéraux
qui ne sont pas reliées aux ascendantes (exempl
et à la corne postérieure droite; la tumeur est accolée à la partie
latérale
de cette dernière. Elle n'a pas plus de deux mi
paralytique général affecté de dégénérescence mar- quée des cordons
latéraux
, moindre des cordons postérieurs, la moelle cer
otamment le vermis supé- rieur) sont reliées aux noyaux des cordons
latéraux
qui reçoivent d'en bas une paitie des fibres de
s latéraux qui reçoivent d'en bas une paitie des fibres des cordons
latéraux
. Il. Il existe des systèmes de faisceaux descen
s symétriques séparés. Ces foyers occupent souvent dans les cordons
latéraux
une très petite éten- due le long de la moelle
la syringomyélie; ils, indiquent que la lésion atteint les cordons
latéraux
. Il s'agirait dans - le cas présent d'une altér
jusqu'à la deuxième dorsale. Désinsertion des muscles sur la partie
latérale
droite des vertèbres jusqu'à dénudation des lam
réunion des deux pariétaux et de l'occipital, au-dessus des sinus
latéraux
et du pressoir d'Ilérophyle, on remarque une dépr
mbreuses, et la dure-mère plus imprégnée de sang. Les ventricules
latéraux
sont remplis de pus dans leur partie pos- térie
marquer une hyperplasie du tissu conjonctif dans la masse du cordon
latéral
du même côté. Par des grossissements plus forts
y remarque le développement dans cette substance et dans le cordon
latéral
voisin des bandes de tissu conjonctif. En rés
e épinière est tout à fait annulée, dans la moitié droite le cordon
latéral
est le mieux conservé. Dans les régions supérie
descendante s'était développée dans le bout postérieur du cordon
latéral
du même côté. En ce qui concerne le caractère et
r la moi- tié intacte de la moelle, lorsque après une hémisection
latérale
s'opère au bout d'un certain temps un réta- bli
ue chez le cobaye bien portant jusqu'alors, d'un côté l'hémisection
latérale
gauche de la moelle épinière au niveau de la si
le rétablissement des mouve- ments volontaires après l'hémisection
latérale
de la moelle chez le cobaye ne se produit grâce
e la paralysie de lirown-béquard en faisant la section d'une moitié
latérale
de la moelle épinière (voir l'ob- serv. 28, opé
es mouvements rétablis de l'extrémité paralysée par une hémisection
latérale
de la moelle épinière doivent se trouver, depui
trouver, depuis le bout supérieur de cette dernière, dans la moitié
latérale
opposée à l'hémisection. Nous devons maintenant
res de l'ol- factif et certaines parties des parois du ventricule
latéral
» il ajoute : « Il (le nerf olfactif) communique
l'origine de ce même cercle fibreux de l'orifice du ven- tricule
latéral
. » Seulement, comme on le voit, Foville qui ava
Légère hydro- céphafe avec lésion combinée des cordons postérieurs
latéraux
et antérieurs de la moelle, mais de faible inte
le intensité. La lésion des fais- ceaux pyramidaux dans les cordons
latéraux
se continue à travers l'entrecroisement des pyr
upe le bulbe ; c'est le noyau antérieur de l'auditif etle tubercule
latéral
(lapin et chat) ; le noyau acoustique externe e
disséminent irrégulière- ment. Elles atteignent d'abord les parties
latérales
du noyau d'ori- gine à trois branches. A partir
e une dégénérescence secondaire de la couche optique et du faisceau
latéral
du pédoncule cérébral. Le mémoire sera publié e
est dans l'extension; le malade est pris de mouvements convulsifs
latéraux
, la bouche est déviée à droite. Puis il y a une p
ions cloniques qui durent une demi- miuule environ. Arc de cercle
latéral
. Secousses dans les membres. Résolution d'envir
hallucinations, attitude du crucifiement, arcs de cercle ventral et
latéral
, actes propulsifs et automatiques, tentatives p
origine. Son faisceau vient non des derniers ves- tiges des cordons
latéraux
, mais de ceux des cordons postérieurs. Il fait
distant des premiers d'une étendue d'un diamètre égal au sien, est
latéral
par rapport à celui-ci, et occupe une situation
A. Des faisceaux de fibres blanches fines allant au ruban de Reil
latéral
. - il. De grosses libres myéténiques allant au ve
e la ligne médiane, et se dirigent en dehors; dans le ruban de Reil
latéral
, elles descendent et vont aborder, en dehors, l
e supérieure de ce dernier organe et passent ensuite dans le cordon
latéral
. , , P. K. XXXIX. UN cerveau lourd; par OBERSTE
res) du corps restiforme du côté gauche. De là : atrophie du cordon
latéral
du même côté et du noyau d'origine de ce cordon
e l'autre côté. Par conséquent, le corps restiforme joint le cordon
latéral
et le noyau d'origine du cordon latéral du même c
restiforme joint le cordon latéral et le noyau d'origine du cordon
latéral
du même côté; il est en connexion avec les noya
ésions de la substance grise de la - dans les lésions des cordons
latéraux
, par Fuerstner, 128 ; - altérations remarquable
niveau de plusieurs de ces plaques, notamment de celle de la partie
latérale
gauche de l'abdomen et du dos, la peau est non
fig. 7). Ils siègent dans les cordons antérieurs, dans les cordons
latéraux
au niveau de l'extrémité antérieure des cornes
s d'une couche de myéline. Au voisinage des deux foyers des cordons
latéraux
, vers la périphérie et en arrière au niveau du
renflement lombaire, on constate encore, surtout dans les cordons
latéraux
, quelques cylindres-axes luméfiés : Certains es
nu, on remarque que la substance blanche, surtout celle des cordons
latéraux
et plus d'un côté que de l'autre, est pour ains
cordons postérieurs, dans les cordons antérieurs, dans les cordons
latéraux
, affectant, par conséquent, à peu près toute la s
action DU TENDON DU masséter, en CE QUI CONCERNE UN CAS DE SCLÉROSE
latérale
amyotrophique avec CLONUS DU maxillaire INFÉRIE
ents convulsif s'ensuit. Cette réaction existerait dans la sclérose
latérale
amyotrophique (Beevoor), dans le spasme hystéri
nts, la gaieté et la loquacité sont excessives. Il y a une courbure
latérale
du rachis, avec convexité à gauche, sans aucun
côté opposé d'où elle descend dans le faisceau pyramidal du cordon
latéral
de la moelle : cet entre-croisement est caracté
ubercules quadrijumeaux est, par l'inter- médiaire du ruban de Reil
latéral
, en rapport avec les olives supé- rieures et le
faisceau pyramidal qui, après s'être entre-croisé, gague le cordon
latéral
; le faisceau pyramidal non entre-croisé est de
cale motrice, au moins des deux régions sus- énoncées, et le cordon
latéral
homonyme. Il est probable qu'il n'en existe pas
partir de la seconde jusqu'à la quatrième paire cervicale, le bord
latéral
de la corne antérieure (territoire d'origine mo
rieure (territoire d'origine moyen). Au moment où se forme la corne
latérale
, c'est-à-dire un peu au-dessus de la quatrième pa
en décrivant une inflexion presque anguleuse, à travers le cordon
latéral
(ou à travers la substance de la corne postérieur
sceau antéru-latéral ascendant est en entier contenu dans le cordon
latéral
en avant du faisceau pyramidal. Il forme un lon
trémité de l'écorce cérébrale (gjrus forni- catus) et le ventricule
latéral
. A côté de cela, le tapetum du corps calleux et
ral. A côté de cela, le tapetum du corps calleux et le prolongement
latéral
de son forceps ont subsisté, ce qui prouve qu'i
justement représenté en arrière par le tapetum et le prolongement
latéral
du forceps du corps calleux ; tel est, à nu, le f
ibres pyramidales, gagnant le faisceau de Turck gauche et le cordon
latéral
droit. L'intérêt principal de l'observation con
e l'ecorce cérébrale et de la moelle. Sclérose médullaire primitive
latérale
et postérieure. L'auteur l'ait remarquer que pa
istance aux mouvements' passifs annonçait une affection des cordons
latéraux
, landis que d'autre part, l'abolition du réflex
nait au delà du diagnostic de sclérose des cordons posté- rieurs et
latéraux
; les symptômes ne manquaient pas pour révéler l
ommun de ces malades est la démence. Après avoir coloré les parties
latérales
des hémisphères cérébelleux par la méthode de W
algésie et les troubles sudoraux ou vaso moteurs . (Substance grise
latérale
postérieure) ; par le professeur .1. Cras- set,
ieurs, postérieurs et médians; les extrinsèques en leucomyélitiques
latéraux
et postérieurs. Les symptômes polymyélitiques a
ire, rétraction du globe oculaire. Les symptômes leucomyélitiques
latéraux
se traduisent par la paralysie du genre spasmod
Le mouvement d'extension est absolument impossible. Les péroniers
latéraux
, au contraire, conservent, sinon la totalité, du
le siège d'une réaction de dégénérescence complète. Les péroniers
latéraux
au contraire réagissent normalement aux deux cour
tenseur commun des orteils et extenseur du gros orteil. Péroniers
latéraux
normaux avec légère diminution de l'excitabilité.
isceau du deuxième) extenseur propre du gros orteil, court péronier
latéral
, pédieux. Le long péronier latéral répond au ma
e du gros orteil, court péronier latéral, pédieux. Le long péronier
latéral
répond au maximum des deux courants, avec prédo
t chez laquelle on trouva, à l'au- topsie, une sclérose des cordons
latéraux
. Vous entrevoyez de la sorte les difficultés de
LVI. UN cas grave d'épilepsie réflexe : contracture EN flexion UNI-
latérale
du GROS ORTEIL ET du PIED ouvrant la scène, et AL
antes, c'est-à-dire la portion médiane de la frontale ascendante et
latérale
de la pariétale ascendante, gagne la con- vexit
mplacé par un porus énorme dont le fond est formé par le ventricule
latéral
et les corps opto-striés. Le cerveau pesait 675
st congénitale, le porus communique généralement avec le ventricule
latéral
, les circonvolutions défor- mées et atrophiées
des pyramides, il semble continuer les derniers éléments du cordon
latéral
; on le suit dans la région de l'entrecroisement s
t d'union anormal entre le cervelet, le corps restiforme, le cordon
latéral
. M. EDEL (de Charlottembourg). De la thérapeuti
t central et qu'il s'agit par conséquent plutôt d'un rétrécissement
latéral
du champ visuel que d'une hémiopie véritable, m
« Le centre des muscles du cou (fig. 35, a) est situé sur la partie
latérale
de la circonvolution préfrontale au point où la s
convolution postfrontale contient au voisinage de la terminaison
latérale
de la scissure frontale (fig. 38 +) le centre pou
artiels des membres opposés, mais aussi par une attaque épileptique
latérale
. C'est la démonstration expérimentale des « dis
rendus hyperexcitables par des excitations préalables. La diffusion
latérale
dn courant qui arrive toujours plus ou moins est
e Toulouse, 1886.) " G. DENG. XLVI. NOTE SUR un cas d'hémianopsie
latérale
DUE A la COMPRESSION D'UNE bandelette optique;
dans la région pariétale gauche, de troubles de la vue (hémianopsie
latérale
droite), de crises, de vomissement, puis d'une
de l'insula. La zone de dégénérescence porte surtout sur la partie
latérale
du pied du pédoncule cérébral; on la voit se po
ns la moelle cervicale et en descendant dans le faisceau postérieur
latéral
du côté opposé. Obs. de Jelgersma. Gros abcès a
phie des circonvolutions correspondantes. Intégrité du ventricule
latéral
. Dégénérescence du tiers médian et latéral du pie
Intégrité du ventricule latéral. Dégénérescence du tiers médian et
latéral
du pied des deux pédoncules. Intégrité des pyra
ssion exercée sur la peau, M. Hitzig a faitinstallersur les parties
latérales
et postérieures d'un bas de laine une poche qui
e par leur intermédiaire au pied du pédoncule cérébral. Les parties
latérales
de ce dernier renferment deux systèmes : un sys
ures aux ascendantes; ces deux systèmes avant d'arriver aux parties
latérales
du pédoncule fusionnent dans un triangle de sub
même intacte. Jamais, en tous cas, l'on n'observe de rétrécissement
latéral
du champ visuel isolé (sens de l'espace) parce
uiaires postérieures de la-, par ltossolimo, 83; - cordon antéro-
latéral
de la -, par Gowers, 89 ; hétérotopies de subst
fig. 1 et ' : 2). Toutefois, la moitié gauche postérieure et un peu
latérale
de la tête et de la nuque est le siège d'une se
urations toujours relevées dans l'étude de la marche : l'écartement
latéral
et l'angle d'ouverture du pied par rapport ;1 l
orales; la tête est alors agitée de petits mouvements d'oscillation
latérale
. Ces mouvements sont encore plus marqués lorsqu
t persiste, mais les bras et les mains sont agités d'oscil- lations
latérales
. Elle ne peut porter un verre à sa bouche sans re
ment s'accomplit avec assez de précision, après quelques hésitations
latérales
toutefois; mais, lorsque les yeux sont fermés,
n saisit la jambe par le milieu et qu'on lui imprime des mouvements
latéraux
ou antéro-postérieurs on voit le pied s'a- gite
et frappe fortement le sol du talon; le pas est petit, l'écartement
latéral
de la ligne d'axe ou base de sustentation forte
constances, à la dépression se joint un autre symptôme, la mobilité
latérale
excessive de l'articulation du genou. Or, le pl
x; le huitième jour, trois vésicatoires au tiers moyen de la partie
latérale
externe de la jambe, repos au lit pendant vingt
ils, l'extenseur propre du gros orteil, le pédièux et les péroniers
latéraux
sont paralysés. Les autres muscles sont absolumen
un des orteils, extenseur propre du gros orteil, pédieux, péroniers
latéraux
; excitabilité galvanique conservée (sans exagér
cture par traumatisme direct. Quant au mode de fracture par flexion
latérale
forcée de l'articulation du genou, nous croyons
mmun des orteils. - P.A. Péronier antérieur. - L.P.L. Long péronier
latéral
. -C.P.L. Court péronier latéral. Pc Pédieux. 82
r antérieur. - L.P.L. Long péronier latéral. -C.P.L. Court péronier
latéral
. Pc Pédieux. 82 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
zontalement le col de cet os, passe entre ce col elle long péronier
latéral
et se subdivise en deux branches, le musculo-cuta
es muscles innervés parle tibial antérieur, c'est que ces péroniers
latéraux
sont les muscles les plus sensibles de la jambe
paralysie complète des muscles extenseurs du pied et des péroniers
latéraux
. ' Chez le malade.de Perrin, la paralysie, au b
able par sa localisation à la corne occipitale des deux ventricules
latéraux
et par sa coexistence avec un certain nombre de
sphères. Il résultait de cette disposition que les deux ventricules
latéraux
s'ouvraient directement à la face interne de ch
occupent la partie moyenne du lambda et les plus petits les parties
latérales
. Les os de la base du crâne ne présentent rien
DE LA SALPETRIERE. aux dépens de la corne occipitale du ventricule
latéral
; elle mesure 0m,10 de longueur et O'n,07 de lar
(d'après Iluguenin). - a, a. Fente donnant accès dans le ventricule
latéral
. - b. Scissure courbe d'Arnold. c. Scissure occip
{ HUBERT ABSENCE DE CORPS CALLEUX. < ? DILATATION DU VENTRICULE
LATÉRAL
4 DLAHAYh. & LECROSNIER ÉDITEURS NOTE S
trouvé, comme chez V ? une dilatation considérable des ventricules
latéraux
, une absence complète du corps calleux, un trig
ir ad- mettre que la poche formée par la dilatation des ventricules
latéraux
était remplie de sérosité. Son malade était don
e por- tant sur le côté gauche, l'ail des esquisses d'arc de cercle
latéral
. De plus, quelques mouvements de projection du
ntraîne, par le fait t même de sa lésion, du côté de son écartement
latéral
et de son angle d'ouverture; l'axe du pied, che
euxième orteil. Celle artliropalhie se traduit par des déviations
latérales
des pha- langes; de plus, la première phalange
fait faire au malade un effort inspiratoire énergique. Les parties
latérales
en sont aplaties, de sorte qu'il se termine comme
plus haut (fig. 80). Peut-être existe-t-il une très légère courbure
latérale
du rachis à conca- vité vers la droite, mais ce
si concluantes de Rütimeyer. Il paraît bien probable que le cordon
latéral
est touché dans cette maladie, à peu près constam
nt signalée à cet état d'isolement. C'est une courbure, à convexité
latérale
et postérieure, d'origine hystérique et neuro-m
leur côté ». On pourrait peut-être penser à attribuer l'incurvation
latérale
à l'action des muscles de la masse sacro-lombai
hé de la crête iliaque. C'est plutôt d'une inclinaison avec flexion
latérale
et torsion du tronc dont il s'agit. Tout autre
la colonne dorsale se redressait; il n'exis- tait aucune déviation
latérale
; les fesses et le bassin étaient très sail- 1 a
t maintenant disparues. La coxalgie détermine aussi une inclinaison
latérale
; mais elle n'est nullement comparable à celle d
nt flasques et amaigris; ou obtient très facilement le ballottement
latéral
du pied. Nous terminerons le diagnostic par ces
r, peu accentué, mais néanmoins très net. Il n'y a pas de déviation
latérale
. Celle lésion paraît pou- voir être rapportée à
exister surtout sur la face dorsale plus encore que sur les parties
latérales
; elles sont relativement peu marquées sur la f
et assez aplatis. La colonne vertébrale a subi une légère courbure
latérale
il concavité gauche surtout au niveau de la rég
oute l'importance : 1 "tantôt lalésion con- la section d'une moitié
latérale
de la moelle épinière au dos. Les affections de l
cupe exclusivement soit les faisceaux postérieurs, soif les faisceaux
latéraux
, ou, simultanément, ces deux ordres de fais-ceaux
utent quelquefois aux symptômes classiques de la sclérose des cordons
latéraux
, etc. Tout récemment encore, nous avons observé p
meau artériel spinal (3), issu, sans doute, d'une des artères sacrées
latérales
, fut trouvé, à l'autopsie, obstrué par un caillot
lexus sacré, une artériole 'rameau spinal, branche de l'artère sacrée
latérale
;, distendue par un caillot sanguin. L'artère obli
rième ventricule, l'aqueduc de Sylvius et jusque dans les ventricules
latéraux
. Dans tous ces points, la substance cérébrale est
ans le centre ovale de Vieussens, jusqu'au voisinage des ventri-cules
latéraux
, qu'il n'atteint pas toutefois même ù gauche où l
'un seul côté soit affecté, dans le cas, par exemple, où une moitié
latérale
de la moelle est seule intéressée, et alors c'est
iparaplégie, consécutive à des bles-sures n'intéressant qu'une moitié
latérale
de la moelle épinière, peut fournir des renseigne
qui, à en juger d'après les symptômes, lésa principalement la moitié
latérale
gauche de la moelle épinière. Il seproduisit immé
ètre. Deux jours après, on aperçut une eschare siégeant sur la partie
latérale
droite du sacrum et sur la fesse du même côté.
, on voit à la suite d'une lésion traumatique por-tant sur une moitié
latérale
de la moelle épinière à la région dorsale, la par
le démontra plus tard l'autopsie, avait divisé complètement la moitié
latérale
gauche de la moelle épinière à 2 millimètres au-d
, par propagation des-cendante soit par la voie indirecte des cordons
latéraux
. Cette lésion de la corne antérieure, nous l'invo
de l'hémiparaplégie résultant de la lésion trau-matique d'une moitié
latérale
de la moelle. En somme, le fait dominant, toujour
et l'on trouve un caillot sanguin volumineux dans un des ventri-cules
latéraux
. L'auteur cherche à expliquer, ainsi qu'il suit
ramollis-sement cérébral, la sclérose descendante de l'un des cordons
latéraux
de la moelle pourrait être considérée comme le po
onsécutive à la présence d'un foyer hémorrhagique occupant une moitié
latérale
delà moelle épinière, vous trou-verez, dans l'ouv
tendance à s'incliner en môme temps sur la droite. Cette inclinaison
latérale
existe aussi chez une autre malade du service de
le de la moelle, dans la sclérose primitive ou consécutive des corons
latéraux
, etc. Ce n'est pas, nous le verrons, un symptôme
côté droit, etc. : — plaques de sclérose à la surface des ventricules
latéraux
, dans l'intérieur du centre ovale et à la face an
Il y avait des plaques de scléros* dans toute la hauteur des cordons
latéraux
. Quant aux cordons postérieurs, ils sont pris un
r étendue 'Fig 15, c), mais sur-tout à la partie moyenne. Les cordons
latéraux
sont relativement moins lésés. II. — Bez... Pau
occupe, en première ligne, les cordons postérieurs, puis les cor-dons
latéraux
, enfin les cordons antérieurs (B.), 2. Il est,
épinière : amas de corps granuleux;, assez abondants dan;, le cordon
latéral
gauche, rares dans le cordon antérieur. Cas II.
agglomération de noyaux dans la partie la plus postérieure du cordon
latéral
. Cas IV. — Anne B..., femme âgée, morte le 22 f
accumulation de corps granuleux dans la partie postérieure du cordon
latéral
droit. En résumé, les foyers siègeaienL à la pé
ystériques. — Exemples. — Lésions anatomiques. — Sclérose des cordons
latéraux
. — Variétés que présente la 'contracture. — Pied
iée à une lésion organique spinale, lorsque, par exemple, les cordons
latéraux
sont sclérosés ; mais je l'ai observée également
ée l\i\)led se montre dans les circonstances variées, oùles faisceaux
latéraux
de la moelle épinière sont devenus, dans une cert
, soit généralisée, s'observe dans la sclérosesy-métrique des cordons
latéraux
, dans la sclérose enplaques, toutes les fois que
laques, toutes les fois que les foyers spinaux occupent les faisceaux
latéraux
dans une étendue de plusieurs cen-timètres en lon
à la myélite transverse aiguë ou subaiguë, ou encore dans Vàsclérose
latérale
con-sécutive à certaines lésions du cerveau, tell
ours à l'existence d'une lésion matérielle appréciable des fais-ceaux
latéraux
. (Dubois, loc. cit. — Charcot et Joffroy. Arch. d
tômes ne s'observentpas dans la progression delà sclérose des cordons
latéraux
... III. Ainsi, Messieurs, rien déplus simple,
s'est produit, aune certaine époque, une lésion scléreuse des cordons
latéraux
, lésion que lanécros-copie permettrait actuelleme
uement, et à peu près dans toute la hauteur de la moelle, les cordons
latéraux
. A diverses reprises, cette femme avait vu la con
érique. D'après les considérations que nous avons émises, les cordons
latéraux
, ou tout au moins la par-tie postérieure— celle q
si la sclérose a définitivement ou non élu domicile dans les cordons
latéraux
? Je ne crois pas, Messieurs, que l'on puisse, da
ilité faradique, devrait faire supposer non seulement que les cordons
latéraux
sont profondément lésés, mais que, en outre, les
er de rien. Il importe, d'ailleurs, de ne pas oublier que la sclérose
latérale
, alors même qu'elle est parfaitement établie, n'e
lus en avant, et, en outre, il s'est produit une sorte d'in-clinaison
latérale
qui fait que la moitié droite du corps précède, d
de la tête se compose de secousses antéro-pos-térieures, quelquefois
latérales
, d une amplitude très circonscrite. Ainsi que cel
sans ordre: elles occupent, j^ici, le cordon antérieur, là le cordon
latéral
; ailleurs, le cordon de Goll ; en d'autres endro
it découvrir aucune lésion. Cerveau. — Les surfaces des ventricules
latéraux
sont parsemées de grandes plaques grises, dures,
scléreuses gagnant les parties antérieures des bords des ventri-cules
latéraux
(plaques ventriculaires). c, Extension des îlot
nce et bulbe ; face antérieure. Fig. 2. — Protubérance et bulbe: face
latérale
gauche. Fig. 3. — Protubérance et bulbe ; face la
t bulbe: face latérale gauche. Fig. 3. — Protubérance et bulbe ; face
latérale
droite. Fig. 4 et 5. — Coupes de la protubérance.
ystériques. — Exemples. — Lésions anatomiques. — Sclérose des cordons
latéraux
. — Variétés que présente la contracture. —Pied bo
lérose en plaques dis-séminées, 62 , 244 ; de la sclérose des cordons
latéraux
, 61 ; — de la sclérose des cordons posté-rieurs,
Sclérodermie, 25. Sclérose fasciculée, 60 ; — descen-dante, 251 : —
latérale
dans l'hys-térie, 362 ; — postérieure, ccmpli-qua
voquée" du pied dans l'hystérie, 350 ; — dans la sclérose des cordons
latéraux
, la sclérose en plaques, la sclérose descendante,
ent par des troubles moteurs généralisés et, en règle générale, bi-
latéraux
. Nous n'avons jamais observe de cas d'hémiplégie
et sa pointe est déviée vers la droite. Les mouvements dans le sens
latéral
ont lieu aussi d'une façon très incomplète, les
crochet que forment, au niveau de l'angle antéro-externedu ventricule
latéral
, les radiations convergentes du corps calleux.
omie (Dr L. Krause) avec narcose au chloroforme, position du malade
latérale
. Ablation des apophyses épineuses des vertèbres d
isage glabre. Seins un peu hyper- tropliiés : céphalée. Hémianopsie
latérale
droite. Pâleur de la papille droite. Atrophie d
ivov. - Marseille médical,11" ! décembre 1909. NOTE SUR LA DÉMARCHE
LATÉRALE
DANS L'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE PAR R ALOYSIO D
e membre inférieur paralysé, les courbes qu'il décrit, l'écartement
latéral
des pieds, les mouvements du tronc et du bassin,
bution dans ce sens, est arrivé à croire que l'épreuve de la marche
latérale
pou- vait rendre des services jusqu'à dénoncer
d'abduction, jus- qu'à ce qu'à la fin de celte phase d'oscillation
latérale
il touche le sol du pied. Le tronc se penche al
ire. Cet auteur a publié une très intéressante étudesur la démarche
latérale
dans l'hémiplégie (2) et a démontré graphiqueme
ns un troisième groupe de cas (type Cacciapuoti) la grandeur du pas
latéral
est égale, dans n'importe quel sens de la march
ont paru dignes d'être signalés. Chez les malades dont la démarche
latérale
obéit au type Sclnller, nous (t) Grs.sscr, Les
res nerveux. Paris, 1905, p. 120. (2) G. B. CACCIAPUOTI, Il cammino
latérale
nelle emiplegie. Annali di nevrologia, 1909, p.
OUVELLE Iconographie DE la SALPLTRIÈRE. T. XXVI. Pl. XVI DÉMARCHE
LATÉRALE
DANS L'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE (Aloysio de Castro)
oysio de Castro) Masson & C1C, Editeurs. NOTE SUR LA DÉMARCHE
LATÉRALE
DANS L'HHMirLEGH ! ORGANIQUE 83 avons observé q
sentée à la figure 2 et Fie. 1. Empreintes des pas dans la démarche
latérale
vers le côté paralysé. FiG. 2. Empreintes des p
vers le côté paralysé. FiG. 2. Empreintes des pas dans la démarche
latérale
vers le coté sain. 84 ALOYSIO DE CASTRO sur l
u change- ment du sens de la marche. N'oublions pas que la marche
latérale
a été d'autre part proposée comme moyen diagnos
dans l'hémiplégie organique. En conclusion, l'étude de la marche
latérale
dans l'hémiplégie devient très utile pour recon
lque temps, nous avons l'habitude d'employer l'épreuve de la marche
latérale
parmi les exer- cices indiqués pour dépister l'
es inférieurs les secousses produisent des mouvements de projection
latérale
, de surposition des jambes, de flexion des orte
embres inférieurs font des mouvements les plus divers de projection
latérale
de flexion totale ou partielle, d'adduction et
autres normaux. Il n'y a pas de nystagmus, mais dans les positions
latérales
extrêmes on voit parfois de petits mouvements,
'est développée que sur le bord de la région mentonnière. La région
latérale
de la face est par contre complètement glabre.
axillaire supérieur on constate l'absence (par carie) de l'incisive
latérale
de la prémolaire droite. Du côté gauche les deux
ètres. Le corps thyroïde impalpable sur la ligne médiane. Les lobes
latéraux
semblent perceptibles. Le membre supérieur est
2 PARHON et ATH. SCHUNDA 1er une dilatation modérée des ventricules
latéraux
. Le corps thyroïde sur lobe : 10 grammes, l'ist
cent. 7. Sur un crâne normal on trouve 2 cent. 5. Le sillon du sinus
latéral
, le trou déchiré postérieur ainsi que le trou o
ligne âpre est rugueuse et présente nn sillon médian et deux crêtes
latérales
. Son extrémité supé- rieure forme une véritable
e : le tragus est presque manquant. Le nez est camus. Les incisives
latérales
supérieures manquent, les inférieures sont il pei
lle. L'expression du visage ne trahit aucune morbidité. Les parties
latérales
du cou sont quelque peu asymétriques, ce qui do
bstances blanche et grise sont hyperémiées. Le faisceau pyra- midal
latéral
est d'une coloration pâle. Des moditications asse
re degré, est aussi noté dans les racines postérieures. Les parties
latérales
et dorsales de la préparation sont assez faibleme
s les faisceaux, ils abondent surtout dans les faisceaux pyramidaux
latéraux
. Les. cellules ne présentent rien d'a- normal.
me cas ils ont trouvé la dégénérescence des faisceaux antérieurs et
latéraux
, et dans les régions isolées aussi la dégé- res
enoux. \ La palpation du corps thyroïde montre d'ailleurs des lobes
latéraux
absolu- ment normaux, et on sent bien l'isthme
r le plan de la surface cutanée du poignet en produisant deux creux
latéraux
; la photographie des mains que nous donnons ic
ter en ces derniers points (PI. XLIV). Ces radiogrammes en position
latérale
ont été exécutés à l'époque de notre premier ex
ettre en évidence aucune opacité aux rayons X. Avant-bras (position
latérale
côté cubital).-Au niveau de la région dorsale d
os ne présentent aucune anomalie^ 298 BÉHTOLOTTI Genoux (position
latérale
). -Au niveau de la région prérotulienne l'on re-
u tendon rotulien (PI. XLV). Articulation libio-tarsienne (position
latérale
). - Dans la radiographie de cette région l'on v
s osseuses s'arrêtent au niveau des métatarsiens. Crâne (position
latérale
). La radiographie de cette région nous a montré
na. nOS 12-14, 1902. 16. Bruce. - Sur la segmentation de la colonne
latérale
de la moelle. Tractas inter- médiolaléral, Revi
t anastomosée soit par reploiemenL et application du bout à la face
latérale
avivée ou fendue du tronc, soit par reploiement e
nc par le bout sectionné pour implanter ce dernier sur l'autre face
latérale
. ' S'il va deux nerfs, Bardenheuer conseille d'
, gaucher,ambidextre); les autres d'ordre anatomique : lésions uni-
latérales
ou bilatérales, degré de leur étendue en surface
e) ; 2° sur le bord externe de la corne sphénoïdale du ven- tricule
latéral
par un très petit foyer qui a coupé, sur une cert
a deuxième temporale. En dedans la cavité est séparée du ventricule
latéral
par un mince pont de subs- tance nerveuse, dans
sur quelques coupes la cavité paratt communiquer avec le ventricule
latéral
, mais la brèche est très étroite, et peut-être
les circonvolutions se reconstituent progressivement. Le ventricule
latéral
est extrêmement dilaté sur toute son étendue. D
ès brusquement aux noyaux gris centraux et à la paroi du ventricule
latéral
, qui en forment le fond ; elle ne paraît pas av
nt le fond ; elle ne paraît pas avoir communiqué avec le ventricule
latéral
. Les fissures que l'on voit sur les coupes para
stance blanche s'étendant le long de la paroi interne du ventricule
latéral
et joignant le lobe frontal au lobe occipital.
l existe une déviation de la cloison avec convexité dirigée du côté
latéral
gauche. Le cavum et le pharynx sont tapissés pa
s de 8 mètres. La cloison est déviée avec convexité dirigée du côté
latéral
droit. Il existe du côté gauche un tubercule de
la membrana terminalis des coupes de tuyaux, ce sont les bourgeons
latéraux
. En passant en revue les tableaux de tissu conj
s l'ensemble d'ailleurs, toutes les parties saillantes des portions
latérales
de la hase se trouvent dépri- mées, les petites
gissement transversal de la cavité crânienne. Par cet élargissement
latéral
et par cette incurvation antéro-postérieure, la
élargissement considérable du corps de l'occipital et de ses masses
latérales
. L'épai.,siQsempnt du rebord alvéolaire et le r
rmation du pied chez une tabélique, par et BOUTTIER, 4Î3 Démarche
latérale
aans l'hémiplégie organi- que, par ALOYSIO DE C
face), l'dl' Rauzier et Roger, 28. Hémiplégie organique (Démarche
latérale
dans l'-), par ALOYSIO DE C.ISTRO, SI. Hém.,
lysies faciales pé- riphériques O1lCiennes,simulant les tics uni-
latéraux
et le -), par Pnucs et ABADIE, 365. Suggestio
73. CASINO (AlOygiO de) (de Rin-de-Janeiro). Note sur la démarche
latérale
dans l'hé- miplégie organique. 81. Acromégali
XIV. Crâne dans la maladie de Paget (LÉRI), LXV à LXX. Démarche
latérale
dans l'hémiplégie orga- nique (DE CrISTRO), XVI
phie linguale (RAUZIER et Roger), X, Hémiplégie organique, démarche
latérale
(de CASTRO), X \ 1. Hémispasmes syncinétiques
ntièrement conservés dans toute l'étendue des cordons antérieurs et
latéraux
. Les fibres y sont ser- rées, leur myéline bien
atisation, avec parti- cipation des méninges, d'une pseudo-sclérose
latérale
amyotro- phique relevant d'une artério-sclésose
R. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 4'5 VU. Un cas DE sclérose
latérale
A31TOTROPHIQUE A DÉBUT BULBAIRE CHEZ UNE FILLET
ection se sont ajoutés des manifestations relevant de la sclé- rose
latérale
amyotophique (contracture musculaire des membres
Dans le segment postérieur de la moelle, elle intéresse le cordon
latéral
et le cordon postérieur à des' degrés divers, s
sion de l'un et de l'autre une disproportion très grande. Le cordon
latéral
présentera, par exemple, des lésions peu accusé
pour le cordon pos- térieur, mais encore et surtout pour le cordon
latéral
. Rare- ment nous avons pu suivre jusqu'au bulbe
r quelle raison la sclérose névroglique se limiterait aux faisceaux
latéraux
et postérieurs, encore moins pourquoi elle resp
une dégénération systématisée, combinée et pri- mitive des cordons
latéraux
et postérieurs. La lésion du fais- ceau pyramid
s on les voit quelquefois s'étendre 'dans le territoire du faisceau
latéral
, leur topographie rappelant alors celle des lés
squ'ils pré- sentent toujours des lésions des cordons postérieur et
latéral
, que l'un est le conducteur de la sensibilité,
ntôt aboli, sans doute selon la prédominance de la lésion du cordon
latéral
ou du cordon postérieur. En étudiant les lésion
he. (Neurolog. Cent1'albl" XVI, 1897.) Etude d'un cas de sclérose
latérale
amyotrophique combinée à une paralysie bulbaire
itudinal postérieur et des courtes fibres des cordons antérieurs et
latéraux
; altérations des fibres radicu- laires des nerf
externe de la temporale. On détermine une diminution de la pression
latérale
suivie d'hyperpression, en excitant la partie e
resque point d'éléments nerveux. Dans la moitié gauche, les cordons
latéral
et antérieur ainsi que la corne antérieure semb
s; la substance blanche n'est que comprimée, la myéline des cordons
latéraux
et antérieurs se colorant très bien ; on ne peu
us marquées, enfin les parties centrales des cordons postérieurs et
latéraux
ne se teintent pas suffisamment, vu la destruct
lIe racine cervicale la tumeur méningée prédo- mine sur les parties
latérales
de la moelle sans pénétrer dans sa 174 CLINIQ
La tumeur méningée n'est guère prononcée que sur la périphé- rie
latérale
de la moelle ; dans la zone radiculaire postérieu
urait une corrélation constante entre la dégénérescence des cordons
latéraux
de la moelle et la paralysie avec contracture p
le type si longtemps cherché de la sclérose pri- mitive des cordons
latéraux
sans atrophie musculaire. Je l'ai décrite dès 1
t la parenté entre cette forme de paralysie générale et la sclérose
latérale
amyotrophique. Pendant longtemps, celte dernière
dubitables des cellules motrices de l'écorce. Dès lors, la sclérose
latérale
amyo- trophique devenait une maladie systématiq
à peu les cellules des cornes antérieures et réaliser une sclérose
latérale
amyotrophique chez un paralytique général. Tout
ux spasmodiques), des deux neurones moteurs simultanément (sclérose
latérale
amyotrophique), on ne voit pas que les lésions
ologie, 1898, n° 5.) On sait que pour quelques auteurs, la sclérose
latérale
amyotro- 'phique, au lieu de constituer une vér
e muscu- .laire progressive. NI S'appuyant sur un cas de sclérose
latérale
amyotrophique dont ils donnent la relation, de
s grande de l'évolution caractérisent assez nette- ment la sclérose
latérale
amyotrophique pour lui faire une place - à part
l et vertical de l'orbite ; 3° mesure de la mandibule de la saillie
latérale
du menton à l'angle de la mâ- choire... desquel
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ties du corps éloignées occupent le cordon
latéral
beaucoup plus en arrière et à la périphérie. Ce
urdach. Lésions récentes, insignifiantes, des cordons antérieurs et
latéraux
s'accroîs- sant de bas en haut. Atrophie très m
. Quand l'hydrocéphalie est fortement développée, les ven- tricules
latéraux
sont tellement dilatés qu'ils occupent toute la
ostérieurs et les faisceaux fondamen- taux des cordons antérieur et
latéral
. Dans le cas où l'hydrocéphalie atteint le cana
les nerveuses, les faisceaux fondâmes taux des cordons antérieur et
latéral
, et les racines antérieures. Dans tous les cas
'épendyme du quatrième et du troisième ventricules, des ventricules
latéraux
et de l'aqueduc de Sylvius, à côté d'une épendy
viennent de ces noyaux.. Dans le bulbe il occupe, sur sa périphérie
latérale
, un territoire triangulaire dont le sommet est to
ormé du côté ventral par les faisceaux du corps trapézoïde, du côté
latéral
par la racine du nerf facial. Dans son parcours
en temps, mais rarement, quelques fibres dans la direction du noyau
latéral
du tegmentum, tandis qu'il se déplace lui-même
çon moins abrupte, c'est-à-dire qu'il reste toujours à côté du bout
latéral
du ruban médian, à mesure que celui-ci s'aplati
médian, à mesure que celui-ci s'aplatit, mais au niveau du noyau
latéral
du tegmentum, il fléchit brusquement dans la dire
et continue son trajet, occupant toujours le sommet dorsal du ruban
latéral
. Dans la région des pédoncules cérébraux, au ni
médian du bras antérieur du corps quadri- jumeau, contourne le bord
latéral
de la substance niger et rentre dans le fascicu
si elle suffit pour interrompre la conductibilité dans les cordons
latéraux
, elle ne suffit pas pour entraîner la dégénéres
où l'agent compressif, liquide ou solide, détermine la dégénération
latérale
descendante pyramidale, la contracture apparait
appartenant nettement à une entité morbide spéciale : la sclérose
latérale
amyotrophiquer Depuis lors, ce travail de désag
, au moins une partie des faits publiés sous le titre de sclé- rose
latérale
amyolrophique, semblent relever d'une lésion asce
rew. (1 ! 'eierolog. Cenl1'alúl., XVI, 1897.) La partie des cordons
latéraux
blancs contigué à la substance grise, ou couche
-dans son segment postérieur existe le - trousseau médian du cordon
latéral
décrit par moi en 189 et en 1896. Ainsi s'expri
A. Bruce (Revue neurologique, 189G, n° 23), relative à une sclérose
latérale
amyotrophique, indi- que, entre autres dégénére
trousseau spécial est précisément mon trousseau médian des cordons
latéraux
. » P. K. LVIII. UNE NOUVELLE méthode DE colorat
dégénérescence légère de la capsule externe (Schukowski). La pallie
latérale
de la sub- stance noire témoigne aussi de dégén
ut le canal vertébral sur la ligne médiane et épargnent les régions
latérales
; dans l'observation en question, en outre, il y a
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 808 faisceau du cordon
latéral
dans la pyramide du même côté que la lésion cér
n )réllaisyhène cérébral est en communication avec les deux cordons
latéraux
et avec les deux cordons anléiieurs. L'intégrité
eurs croisés n'ont pas d'autre origine. La dégénérescence du cordon
latéral
dépasse le territoire ordinaire du faisceau lat
cence du cordon latéral dépasse le territoire ordinaire du faisceau
latéral
dé la pyramide, qui normalement demeure en deçà
limitée par une ligne tirée de dehors en avant au droit des cornes
latérales
; or, au niveau de l'entrecroisement, quelques l
mièi es ; puis ce sont les faisceaux directs cérébelleux et antéro-
latéraux
des cordons latéraux; enfin ce sont les faisceaux
t les faisceaux directs cérébelleux et antéro- latéraux des cordons
latéraux
; enfin ce sont les faisceaux latéraux des pyram
antéro- latéraux des cordons latéraux; enfin ce sont les faisceaux
latéraux
des pyramides; 2° Le processus de dégénérescenc
ns les faisceaux directs cérébelleux et autéro-latëraux des cordons
latéraux
son maximum dans le cours de la troisième semai
période d'acmé à la fin de la quatrième semaine dans les faisceaux
latéraux
des pyramides; 4° Par la méthode de Weigert les d
es des faisceaux directs cérébelleux et antéro-lateraux des cordons
latéraux
; 16° La dégé- nérescence traumatique, au sens
42. SCu'RODJ : : R111E lardacée, par Spill- mann, f01. Sclérose
latérale
amyotrophique il début hnthaire, par Bonardi, 4
à cet accident. On a vu une compression du chiasma, sur son angle
latéral
, par une dilatation de la carotide interne. Dans
le centre médian, elle ne gagne que la partie postérieure du noyau
latéral
; quelques fibres s'épanouissent directement en
an de Reil (notamment les fibres à genèse tardives des trous- seaux
latéraux
du ruban de Reil principal) va, par la couche o
n appartenant au type moteur ont dégénéré, ainsi que les cellules
latérales
placées dans le faisceau longitudinal postérieur.
me côté ; à cette zone appartiennent encore une partie des cellules
latérales
. 4° Droit interne. les fibres qui s'y rendent p
faisceau longitudinal postérieur. Ce sont : la plupart des cellules
latérales
; nombre de cellules situées entre le segment rec
omme le premier, dans la paralysie spinale spasmodique, la sclérose
latérale
amyotro- phique, la sclérose en plaques, les af
r, toutes les fois qu'il y a dégénérescence descendante des cordons
latéraux
. Mais il y a des cas où le clonus podalique exist
c certitude distinguer un territoire antérieur destiné il la région
latérale
de l'oeil et un territoire postérieur dont la lés
détache du sol, en même temps que le talon est animé d'oscillations
latérales
en dedans et en dehors. Ces mouvements, peu mar
de Clarke, après être sorties de la substance grise par les cordons
latéraux
et antérieurs de la moelle, sont parallèles à l'a
la lésion, parésie des membres du côté opposé à l'abcès, nystagmus
latéral
.. Pour le diagnostic différentiel de l'abcès du
autoxication cancéreuses auxquelles a succombé la malade. Le cordon
latéral
est peu atrophié. Ces lésions sont sans aucun
es, tenu dans une situation élevée ; il' est pourvu sur ses parties
latérales
ou antérieures de trois appareils secondaires.
, qui s'étendait jusqu'au fond de la corne occipitale du ventricule
latéral
et envahissait sa paroi interne. Un foyer de mo
on de sa plaie commençait à se tarir. Mais il avait une hémianopsie
latérale
droite homonyme, de l'aohasie sensorielle (céci
nne (atrophie musculaire progressive) ou celle de Charcot (sclérose
latérale
amyotrophique). On constate dans la première fo
le en un foyer de dégénérescence de la partie postérieure du cordon
latéral
gauche. Dans le second cas, la substance gris
céphalie et sa configuration est à peu près détruite. Le ventricule
latéral
a l'as- pect d'une simple poche. Les corps oplo
e lama ? ture des collatérales : 1° On peut considérer les branches
latérales
du prolongement nerveux des cellules motrices d
Ajoutez que, chez les vertébrés, les dendrites et les « fibrilles
latérales
», c'est-à-dire les fibrilles qu'émet à son origi
nous faut dire quelques mots a propos du rôle fonctionnel des col-
latérales
, d'une hypothèse de von Lenhossék touchant les fo
une hypothèse de von Lenhossék touchant les fonctions des fibrilles
latérales
des prolongements nerveux ou cylindraxiles. La
ainsi leurs courants nerveux celluli- fuges. Quant aux fibrilles
latérales
du prolongement nerveux, c'est-à- dire des ramu
phénomènes réflexes, joue- 1 aient un rôle important. Les fibrilles
latérales
des fibres motrices seraient donc de nature réc
esquelles sont de vrais paraxones. Mais, en dehors de ces fibrilles
latérales
des prolongements ner- veux axiles, les princip
ombreux des cellules de la moelle épinière, alors que les fibrilles
latérales
du prolongement nerveux, ainsi que nons croyons
gauche, une hémi- anesthésie complète du même côté, une hémianopsie
latérale
gauche, et une abolition de l'ouïe du même côté
lt;/, avril 1897). E. B. LXV111. D'UN faisceau spécial de la zone
latérale
DE la moelle épinière; par le D1' Alexandre BRU
le DE la moelle épinière; par le D1' Alexandre BRUCE. Les cordons
latéraux
de la moelle se divisent en faisceau fonda- men
téraux de la moelle se divisent en faisceau fonda- mental du cordon
latéral
, faisceau de Gowers, faisceau pyramidal croisé,
ceau cérébelleux direct, zone externe de Lissauer et zone limitante
latérale
, aussi appelée zone marginale ou faisceau profo
atérale, aussi appelée zone marginale ou faisceau profond du cordon
latéral
. Dans un cas de sclérose latérale amyotrophique
le ou faisceau profond du cordon latéral. Dans un cas de sclérose
latérale
amyotrophique, l'auteur a pu constater que ce n
érieure, les racines antérieures la plus grande. partie des cordons
latéraux
, à l'excep- tion des faisceaux ascendants, nota
e mais que cette dernière affecte aussi en partie la zone limitante
latérale
, dont la partie antérieure montre une dégénéres
ce aussi avancée que celle des faisceaux fondamentaux antérieurs et
latéraux
, tandis que la partie postérieure de la zone fo
ieure de la corne postérieure. Il parait donc que la zone limitante
latérale
doit être dès lors considérée comme se composan
n et oculo-moteur externe, il faut concevoir (pour les mouvements
latéraux
) deux nerfs hémioculo-moteurs : l'hémi-oculo- mot
ntérieure de la moelle, c'est-à-dire dans les cornes antérieures et
latérales
et les faisceaux fondamen- taux des cordons ant
latérales et les faisceaux fondamen- taux des cordons antérieurs et
latéraux
; les lésions diminuent vers la périphérie. Les
iminuent vers la périphérie. Les cellules des cornes antérieures et
latérales
montrent une dégénération intense; les vaisseau
prolongements des faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs et
latéraux
jusqu'aux couches optiques, les faisceaux de Go
ve dégénérés les fais- ceaux fondamentaux des cordons antérieurs et
latéraux
, les fibres situées entre les olives et les pyr
ituées entre les olives et les pyramides du bulbe, dans les parties
latérales
du ruban interne (médiate Schleife) de la protubé
a prolongation des faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs et
latéraux
passe dans le bulbe entre les olives et la pyra
n ascendante des faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs et
latéraux
, décrite par M. Werziloff dans son cas, s'observe
ie. Autopsie. Macroscopiquemenl. Tumeur s' étendant sur la partie
latérale
gauche de la moelle; en hauteur, depuis .la sixiè
roid humide. Mécanisme : méningite spinale avec excitation deswdons
latéraux
. 8 août. La paraplégie est devenue complète et
postérieure de la moelle, elle est tout entière située sur la face
latérale
gauche, soulève bien les racines posté- 440 ANA
n trouve une petite masse insérée par un mince pédicule sur la face
latérale
de la moelle, et présentant un aspect polypeux.
primitives de la paraplégie spasmodique familiale et de la sclérose
latérale
amyotrophique, soit secondaires à des causes cé
n une vive ^piqûre, part du bassin et envahit la face antérieure et
latérale
de la même cuisse jusqu'au genou, pour se conti
e extrême et sensation de piqûre sur toute la face antérieure et ^
latérale
de la cuisse droite; depuis le bassin jusqu'au bo
nent pas au-dessus du quatrième segment cer- vical. - Les cordons
latéraux
donnent naissance à quatre longs trous- seaux d
correspond à leur segment éloigné, les fibres dégénérées du cordon
latéral
, triangulaire, sur une coupe trans- verse, se d
fibres arciformes externes, se dirige dans la profondeur du sillon
latéral
antérieur. Ce dernier trousseau, à la hauteur de
al et la formation protubérantielle. Cou- servant cette orientation
latérale
par rapport à l'olive supérieure, les fibres dé
montent vers le cerveau dans la même situa- tion vis-à-vis du noyau
latéral
du ruban de Iteil. Le ruban de ltell latéral, d
ion vis-à-vis du noyau latéral du ruban de Iteil. Le ruban de ltell
latéral
, dès qu'il es ! formé, se place en dedans du fa
ibres dégénérées pénètrent parmi les fibres saines du ruban de Reil
latéral
et y demeurent. Au moment où les pédoncules cér
nt, pour la plupart, le segment le plus postérieur du ruban de Reil
latéral
des auteurs ; cet appoint, mé- langé de quelque
e des fibres dégénérées demeurent disséminées dans le ruban de Reil
latéral
et se placent en avant de la partie la plus élo
tubercule quadrijumeau, à peu près à l'endroit où le ruban de Reil
latéral
se divise en deux trousseaux qui embrassent le
au mémoire lui-même. L'auteur croit qu'une partie du ruban do Reil
latéral
sert de voie de communication directe entre les
e de communication directe entre les parties marginales du cordon
latéral
de la moelle cervicale et probablement la couche
ors, aux fibres précédemment décrites qui viennent du ruban de Reil
latéral
. P. Keraval. XCVHL UN cas POUR SER\ IR A l'ét
secondaire avec dégénérescence ascendante dans le cordon antéro-
latéral
, par Lnlce, 218. - aiaue par Richault, 345. Rap
mitantes des colonnes de Clarke et de certaines parties des cordons
latéraux
. Il croit que ces combinaisons sont, dans l'esp
pyramidaux portant en même temps mais faiblement sur les faisceaux
latéraux
qui vont au cervelet, et les cordons de Goll, d
des extrémités inférieures. C'est à la dégénérescence des faisceaux
latéraux
des pyramides qu'il faut attribuer l'exagératio
és, la lésion portant en même temps sur les cor- dons antérieurs et
latéraux
des pyramides, mais atteignant plus facile- men
téraux des pyramides, mais atteignant plus facile- ment les cordons
latéraux
qui relèvent du cervelet. Dans les cas qui comm
descendantes; celles qui suivent la lésion primitive des faisceaux
latéraux
cérébelleux et des cordons de Goll sont ascendant
e spas- modico-tabétique (lésions tabétiques et lésions des cordons
latéraux
des pyramides). P. K. XIII. Myélite aiguë dis
térieurs dans les parties supé- rieures de la moelle et des cordons
latéraux
, dans les parties inférieures du même organe. L
rtout détruit des portions des deux corps striés; les deux colonnes
latérales
étaient atteintes, mais surtout la protubérance
e forme arrondie, dans REVUE DE pathologie mentale. 78 la colonne
latérale
gauche; un tractus analogue, mais cunéi- forme
ne du côté droit, ainsi que du noyau caudé : sclérose de la colonne
latérale
gauche de la moelle. OBs. VIII. Lésions ayant
né- rescence descendante consécutive n'intéressait qu'une colonne
latérale
; dans l'observation IV, elle intéressait les deux
iginalité. Ces formes spinales sont : a). La forme centrale spinale
latérale
; b). La forme centrale spinale postéro-latéral
t de beaucoup la plus fréquente, à savoir la forme centrale spinale
latérale
. A. FORME CENTRALE SPINALE LATÉRALE. Observat
des lignes de l'histoire clinique de notre forme spinale centrale
latérale
. , On peut facilement constater si l'on jette u
r, alors celui-ci fait plusieurs DU VERTIGE MARIN. 223 mouvements
latéraux
; avant de pouvoir se mettre en équilibre, un n
t normaux. Cervelet, bulbe et protubérance, 150 gr. Les ventricules
latéraux
contiennent une certaine quantité de liquide et
ilatés. La moitié gauche de la moelle paraît atrophiée et le cordon
latéral
de ce côté est un peu grisâtre sur toute sa lon
en est de même du corps calleux. La corne antérieure du ventricule
latéral
est dilatée. Le lobule quadrilatère est atrophi
olive droite qui est atrophiée, mais la gauche. Les ventre- cules
latéraux
sont dilatés (Hydrocéphalie consécutive). La mo
amidal que nous retrouverons, entrant dans la formation des cordons
latéraux
de la moelle (PI,. II, fig. 2, bleu 1); 2° dans
nce du cordon antérieur et de portion croisée, dépendance du cordon
latéral
; la portion directe d'un côté s'unit à la porti
fascicule correspondant du côté opposé, ou il passe dans le cordon
latéral
de la moelle (faisceau pyra- midal croisé); un
262 "2 REVUE CRITIQUE. occupent le fascicule postérieur ou cordon
latéral
delà moelle. Ils répondent en dedans aux cornes
une étroite portion de la région périphérique postérieure du cordon
latéral
et s'étend du pédoncule cérébelleux inférieure
s les membres inférieurs dans la suite, que, dans le cordon antéro-
latéral
de la moelle, le tractus moteur cortico-brachial
escence se portent en arrière et en dehors vers la partie du cordon
latéral
de la moelle contiguë à la corne postérieure. O
ë de l'adulte. 4° Amyotrophies spinales deutéropathiques (scléroses
latérales
amyo- trophiques). 5° Type scapulo-huméral de
le engendre alors une amyotrophie spinale deuteropathique (sclérose
latérale
amyotrophique) . Faisceau DE l'hémianesthésie6
siologistes, et les pathologistes, contrairementau cordon antéro-
latéral
où l'on peut voir une large zone presque latente,
set.- N ? clu syst, nerv., 1886, p. 551. 8 Gombault. De la sclérose
latérale
amyotrophique. Th. Paris, 1877. Florand, Th. Pa
ue nous avons trouvé à la par- tie externe et postérieure du cordon
latéral
, paraissent se réu- nir en anatomie pathologiqu
matologie mal déterminée; 2o la sclérose fasciculée systénaa- tique
latérale
des cordons postérieurs ou sclérose des bandelett
taxie-locomo- trice progressive la lésion scléreuse des bandelettes
latérales
est le seul fait anatomique essentiel et primit
aisceau pyramidal qui représente dans la protu- bérance les cordons
latéraux
de la moelle, en arrière de la portion du faisc
Tracé schématique du nzésocéplrale et de la moelle cervicale (face
latérale
) pour montrer la terminaison des faisceaux cortic
t postérieure du bulbe. - 9; olive. 11, 12, 13; cordons antérieurs,
latéraux
et postérieurs. 14, 15 ;sillons collatéraux antér
nt des cordons ant3rieurs.=1S; lieu d'entre- croisement des cordons
latéraux
et des cordons postérieurs. REVUE DE MEDECINE L
ologique. Le tissu cérébral est anémié; les cavités des ventricules
latéraux
con- tiennent une quantité modérée d'un liquide
que dans le domaine des cornes postérieures et des cor- dons blancs
latéraux
, on observe des foyers hémorrhagiques de grande
lité les libres du trousseau non entre-croisé occupent la .. région
latérale
du tronc du nerf optique; la plupart d'entre elle
-- 56. Catsaras, Tableau I. TABLEAU DE LA FORME CENTRALE SPINALE
LATÉRALE
Vol. XVI. Novembre 1888. Nu 48. ARCHIVES DE N
le malade boite d'un seul côté, la démarche spasmodique est uni-
latérale
: ainsi le malade de l'OBSGRVATION IV était obl
nce des réflexes font absolument défaut à la forme centrale spinale
latérale
de la patho- logie dés plongeurs à scaphandre.
Voilà l'aboutissant par excellence de la forme centrale spi- nale
latérale
, de beaucoup la plus fréquente. Donc, début pol
ssive, ces caractères, dis-je, donnent notre forme centrale spinale
latérale
un cachet clinique tout à fait spécial qui ne s
sous les mêmes allures cliniques que dans la forme centrale spinale
latérale
. En effet, les symptômes divers et multiples, q
ou par voie d'hyper- lllasie néoplastique, les parties des cordons
latéraux
adjacents à la substance grise. Toutes ces alté
. D'autres phénomènes tenant à la lésion des cordons postérieurs et
latéraux
de la moelle épinière, de la moelle allongée, e
el Erb avait diagnostiqué durant sa vie la sclérose amyotrophique
latérale
. Je n'ai pas l'intention de toucher ici ces cas,
érébelleux droit, l'adhérence de la corne postérieure du ventricule
latéral
droit à l'ergot de Morand et une certaine indurat
misphère cérébelleux gauche et la corne posté- rieure du ventricule
latéral
gauche ne présentaient aucune ano- malie. La sc
ve que la répéti- tion, chez l'homme, des mouvements d'entraînement
latéral
, des mouvements de rotation, des impulsions pro
e partie de la racine ascendante du trijumeau, le noyau des cordons
latéraux
, dans le domaine de l'acous- tique, une partie
. Tracé schématique du nzésocéphale et de la moelle cervicale (face
latérale
) pour montrer la terminaison des faisceaux cortic
postérieure du bulbe. - 9 ; olive. 11, 12, 13 ; cordons antérieurs,
latéraux
et postérieurs. - 11, 15 ; sillons collatéraux an
ent des cordons antéreurs.-1S; lieu d'entre- croisement des cordons
latéraux
et des cordons postérieurs. Etieui. Ch. lial,is
ération dégénérative sur les faisceaux de Gowers. Les ventricules
latéraux
et le quatrième ventricule étaient recouverts d
ce comprise entre le putamen et la paroi anté- rieure du ventricule
latéral
. L'une des racines, correspondrait à l'arrière
culaire, se dirigeant t du côté de sa queue ; l'autre, parallèle et
latérale
au corps calleux à la hauteur duquel elle serai
mbre de fibres issues des circonvolutions orbilaires, surtout de la
latérale
4° les faisceaux d'association antéropostérieurs
éger clonus 60 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ou à une oscillation
latérale
il droite ou à gauche, surtout à droite. Origin
istinctes : 1° les unes, tout en émettant des fibrilles secondaires
latérales
, conservent leur individualité propre; 2° les a
première catégorie, qui n'émettent qu'un petit t nombre de rameaux
latéraux
avant de devenir le cylindraxe d'une fibre à my
rects des cellules nerveuses, mais par les ramifications ultimes et
latérales
de leurs cylindraxes. Les cellules et les fibre
ervent leur individualité, ou, tout en émettant quelques ramuscules
latéraux
, vont constituer directe- ment un tube nerveux,
3° par la transmission des excitations jusqu'aux fins ramuscules
latéraux
des tubes nerveux centrifuges. « Il suit que l'in
itue certainement, dit Golgi, « une limitation dans la transmission
latérale
des courants nerveux. » Si, en anatomie comme e
qu'on peut diviser en ante. a, anter. b. et an tel'. c. ; 2° groupe
latéral
, subdivisé en luter, a. et laie ? ,. b. ; 3° gr
me autonomes et les désigne sous les noms de couche dorsale, couche
latérale
, couche inférieure et couche antérieure du noyau
ntractures ; il craint de voir s'éta- blir un processus de sclérose
latérale
ou un état d'aliénation men- tale, inquiet de l
e courant descendant; il peut aussi y avoir courant par les rameaux
latéraux
des fibres et réflexion de l'activité sur d'aut
que, elles entrent en contact avec les segments inférieurs du noyau
latéral
, c'est-à-dire avec le tubercule squamiforme; qu
trans- versalement étendue. Ce sont les trousseaux protubérantiels
latéraux
du ruban de Reil occupant d'abord la face antér
d'abord la face antérieure du ruban de Reil médian, ils deviennent
latéraux
par rapport à lui, à mesure qu'on s'élève. Puis
le cérébral. 2° Un peu au- dessus de ces trousseaux protubérantiels
latéraux
, apparaît, dans le territoire du ruban de Reil,
ui renforce ce système de fibres. 3° Les trousseaux pl'otubémntiels
latéraux
du ruban de Reil médian apparaissent au' niveau
-dessous de l'endroit lésé, dans les portions postérieures les plus
latérales
des cordons cunéiformes, puis, elles gagnent la p
érie du cordon postérieur, et lui est même contiguë à son extrémité
latérale
. La zone radiculaire postérieure apparaît donc
uis ia 8° paire dorsale, aspect normal sauf une affection du cordon
latéral
typique, manifeste à toutes les hauteurs. Cette
é détermine une dégénérescence très marquée des faisceaux du cordon
latéral
dans les pyramides du côté opposé à la lésion,
à la figure, à l'étendue, au mécanisme de la dégénérescence homo-
latérale
. M. Rothmann s'est proposé de chercher : 1° si,
d'un côté, il se produit réelle- ment une dégénérescence du cordon
latéral
dans les pyramides des deux côtés ; - 2° combie
es des mem- bres entraîne une dégénérescence bilatérale des cordons
latéraux
dans les pyramides. 2° Celle-ci a lieu dans tou
es au moins après l'opération, bien que la dégénérescence du cordon
latéral
des pyramides du même côté ne soit souvent qu'i
côté ne soit souvent qu'indiquée. - 3° La dégénérescence du cordon
latéral
dans les pyramides du même côté que la lésion c
le quatrième mois qui suit l'opération, la dégénérescence du cordon
latéral
dans les pyra- mides du même côté rétrograde et
ère droit qui parait bien conformé. Pas d'adhérences. Le ventricule
latéral
est très dilaté. - Le pédon- 200 RECUEIL DE FAI
irconvolution du corps calleux est tout à fait lisse. Le ventricule
latéral
est un peu dilaté, la couche optique et le corps
mières dorsales. En même temps, il existe une légère incurvation
latérale
à convexité dirigée à gauche répondant également
éfère, même dans REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 213 ces cas, la ponction
latérale
. Chloroforme facultatif ou suivant le cas. L'au
nerveux constituent les fibres des faisceaux ou cordons antérieur,
latéral
et postérieur du même côté. Les cel- lules des
eures envoient leurs cylindraxes presque entièrement dans le cordon
latéral
. L'existence d'une voie sensitive centrale, pro
s, qui se ter- minent par de libres arborisations ; b, des branches
latérales
sorties à angle droit de la tige ascendante ; c
traciens, au bouquet terminal de la zone moléculaire, sans branches
latérales
de la tige ni expansions basilaires; chez les r
au-dessous des fibres d'association, et recouvrant les ventricules
latéraux
sont : 1° des cylindraxes provenant directement
velet, etc.), ainsi que l'exubérance des expansions protoplasmiques
latérales
et basilaires de ces cellules, sont sans doute
iéné, une de paralysie bilatérale des muscles crico-aryténoi- diens
latéraux
due à l'hystérie, enfin une d'aphonie hystérique.
rée se trouvent quelque part dans la substance blanche des colonnes
latérales
et en dehors des tractus pyramidaux. ' Il. de M
oche aussi des cas décrits par SeeligmÜlIer sous le nom de sclérose
latérale
amyotrophique des enfants. Ces faits montrent l
clérose systéma- tique combinée : lésions prédominantes des cordons
latéraux
et postérieurs). Entre ces deux formes prennent
u choléra- La lésion intéressait surtout les cordons postérieurs et
latéraux
; sa répartition variait quelque peu suivant la
rolongements cylin- draxiles, qui sont aussi munis de prolongements
latéraux
ou collatéraux. Si nous suivons le cours du cyl
abuleux. Une cellule se ratta- che à l'aide de filets cylindraxiles
latéraux
, qui naissentde la fibre principale, à une gran
er, naissant d'une cellule, peut se transmettre à l'aide de voies
latérales
à une multitude de neurones proches et éloignés.
tres sections du système nerveux, ou transmettre à l'aide des liens
latéraux
d'une grande cellule pyramidale, à d'autres cel
a main sur l'avant-bras est impossible de même que les mouve- ments
latéraux
. Les mouvements de supination sont conservés. L
utrement dit du faisceau marginal antérieur et de l'intermé- diaire
latéral
; 3° Vers le sixième jour commencent 2 dégénérer
jour apparaît la dégénération descendante des faisceaux pyramidaux
latéraux
; 5° Le maximum de développement du processus dé
e quatorzième ou seizième jour, et enfin dans les voies pyramidales
latérales
vers le vingtième ou trentième jour. (Revue neu
e plagiocéphale ou oblique ovalaire. En effet la région postérieure
latérale
droite qui comprend une partie du temporal, du
L'auteur a publié, il y a trois ans, un cas de thrombose du sinus
latéral
dans lequel l'intervention chirurgicale n'avait p
de cas malheureux pour conseiller une exploration précoce du sinus
latéral
dès qu'on avait des raisons de le supposer mala
occupant à peu près toute l'épaisseur du pédon- cule. Les portions
latérales
n'étaient pas envahies. Toutefois, la lésion s'
ion de dégénérescence est complèle. La paraly- sie dans la sclérose
latérale
amyotrophique indique l'envahisse- ment des cor
rieurs interceptant le cours des arcs re- flexes ; dans la sclérose
latérale
amyotrophique, la démarche spasmodique résulte
ions : polyomyélite, myélite transvere, myélite diffuse, sclé- rose
latérale
amyotrophique, tabès, tabès spasmodique, syringo-
rayonnante, qui pénètre dans le 486 SOCIÉTÉS savantes. ventricule
latéral
; petit abcès dans l'écorce cérébrale de la circon
rdon postérieur, une place variable suivant la hauteur considérée ;
latéral
pour la moelle cervicale et dorsale, il forme l
x anomalies de la sphère -, par Hoche. 395. Sinus. Thrombose du -
latéral
, par Adams, 460. Empyème du-t'ron- tal gauche
ion scusitivo-mo- trice, gagnant la région basilaire. Le ventricule
latéral
gauche est notablement plus dilaté que le droit
auche : os du crâne plus épais de ce côté, dilatation du ventricule
latéral
, corres- pondant, artère communicante postérieu
on constate un élargissement de la base du cou avec légère saillie
latérale
droite détruisantia symétrie des formesnor- mal
nté- rieure et la corne postérieure, à côté du groupe intermedio-
latéral
, représenterait le centre du sphincter de l'anus.
tout en n'ayant qu'un bien faihle développement. Les ventricules
latéraux
ont sulli une modification analogue à celle des
qui nous occupent, seraient de même ordre que. certaines eschares
latérales
; auraient-elles aussi une action sur la marche c
us tard se réaccolent aux libres pyramidales entrées dans le cordon
latéral
. Ces fibres dispersées sont-elles totalement mé-
nt peu à peu ; en la traver- sant elles viennent toutes au faisceau
latéral
des pyramides au- quel elles appartiennent, si
aversant des deux côtés la corne postérieure, entrer dans le cordon
latéral
des py- ramides. " 1'. -KERAVAI.. 1.- Des mou
de l'écorce envoient dans celle de l'autre hémisphère des branches
latérales
qui composent le corps calleux (Cajal). D'où, qua
etites que celles du côté droit. La portion postérieure des cordons
latéraux
, l'aire du cordon latéral des pyramides particu
roit. La portion postérieure des cordons latéraux, l'aire du cordon
latéral
des pyramides particulièrement affectée contien
est autochtone et semble en rapport avec l'hypopla- sie des cordons
latéraux
des pyramides. L'ensemble du processus a dû se
en question se groupent en longs trousseau prés du bord des cordons
latéraux
: la partie postérieure, la plus étroite et la
é démontré. La dégénérescence descendante des cordons antérieurs et
latéraux
des pyramides était particulièrement nette en l
es des cordons postérieurs asso- cilies ou non à celles des cordons
latéraux
. Syndrome 21seudo-bltlbairc d'origine nèvritiqu
ons sont plus étendues au niveau du 6e segment; intégrité du groupe
latéral
ou intermédiaire qui, d'après Marinesco command
eu- rologique, août 1905.) E. B. \\\I \. -Dix-huitcas de sclérose
latérale
amyotrophique avec autopsie ; par F. 1LAYJ10ND
et Cestan ont fait de 1896 à 1903, dix-huit au- lopsies de sclérose
latérale
amyotrophique, après avoir suivi i l'évolution
le cordon antéro-latéral, épargnant, d'une part, une zone marginale
latérale
correspondant aux faisceaux cérébelleux, devena
ris dans ses deux positions sur le même cli- ché. Ici l'incurvation
latérale
a lieu tantôt du côté sain, tantôt du côté mala
r la fréquence des scléroses combi- nées des cordons postérieurs et
latéraux
dans la paralysie géné- rale, mais nullement su
r : drome oculo- moteur consistant en une paralysie de l'oculogyrie
latérale
des deux côtés avec conservation des mouvements
ponc- tion lombaire avait accusé une forte polynucléose. Sclérose
latérale
amyotrophique. MM. Rossi et Roussy ont, chez le
le du micro-organisme lui-même. 424 SOCIÉTÉS SAVANTES. Sclérose
latérale
amyotrophique anormale. MM. Lejonne et LuRRMiTT
DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Troubles mentaux dans la sclérose
latérale
# amyotrophique ; . Par le Dl A. CULLERRE D
onnels. Dansun mémoire récent concernant dix-huit cas de sclérose
latérale
amyotrophique appartenant aux formes cliniques
bulbaires» (1). (1 IhYlo1J eL It. Cestan. Diw-Inrit cas de sclérose
latérale
amyotrophique avec autopsie. (Revue ncurolobiqu
seul consacre un paragraphe aux troubles mentaux de la sclé- rose
latérale
amyotrophique. Dans le traité de médecine menta
génératives ne se bornent pas à l'axe bulbo-spinal dans la sclérose
latérale
amyotrophique, mais s'étendent sou- vent aux fi
nnées. Ces observations tendent à démontrer que, dans la sclérose
latérale
amyctrophique, les troubles mentaux peuvent exi
ificat (le 24 heures : « Est atteint de démence organique (sclérose
latérale
(1) Gilbert 13nLLr - Traité [de pathologie ment
13nLLr - Traité [de pathologie mentale. Paris, 1903. LA SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 435 amyotrophique) avec hallucin
res supérieurs, mais il faut le faire manger comme un LA SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 437 enfant. De plus en plus capr
la paralysie spasmodique et les phénomènes bulbaires de la sclérose
latérale
amyotro- phique, ce malade présente un ensemble
ipation précoce du cortex aux lésions qui relè- vent de la sclérose
latérale
amyotrophique ; de l'autre les symptômes psychi
objets qu'elle tenait à la main. Peu à peu son humeur LA SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 430 s'altéra, elle devint d'une
inférieurs. » Certificat de quinzaine : « Est atteint de sclé- rose
latérale
amyotrophique compliquée de démence avec hypo-
s réponses sont peu près incompréhensibles. L'articu- LA SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 4H lation de la plupart des lett
norrhagie parmi les anam- nestiques deR ? L'étiologie delà sclérose
latérale
amyo- trophique est trop peu connue pour qu'il
binet, en mai 1905, un malade qui m'a paru être atteint de sclérose
latérale
amyotrophique et sur lequel j'ai conservé quelq
symptômes aberrants d'al- lure tabétique, au diagnostic de sclérose
latérale
amyo- trophique que nous donnons sous réserves,
Est atteint d'une affection organique des centres nerveux (sclérose
latérale
amyotrophique) compliquée de troubles mentaux d
ilement aux autres doigts, avec beaucoup d'efforts et LA SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 445 de maladresse. 11 y a tendan
nsi que j'en ai observé tout récemment un cas remarquable. Sclérose
latérale
et myopathie primitives ne sont-elles pas deux
ndifférence si peu dans les habitudes des victi- mes de la sclérose
latérale
, et de cette jovialité d'humeur qui en fait com
quer que la gêne de la pa- role est beaucoup plus celle du scléreux
latéral
que du paralytique. D'un autre côté, cet indivi
as cons- tater en même temps que, dans l'association, la sclérose
latérale
amyotrophique, au point de vue somatique,tient
ante. En résumé, il résulte de nos observations que la sclé- rose
latérale
amyotrophique peut être accompagnée de troubles
l faut voir, dans les complications démentielles de la sclé- rose
latérale
amyotrophique une conséquence de la lé- sion or
tion. On sait,en effet, d'une part, que la dégénération des cordons
latéraux
, dans la Archives, 2. série, 1906, t. XXI. 31
on devrait interpréter la marche rapide de certains cas de sclérose
latérale
amyotrophique et la durée relativement longue d
s chez l'adulte en rapport avec la durée plus courte de la sclérose
latérale
amyotruphi- que » [Revue neurologique, juillet
, par Marie et M. Pelletier, 112. Malformation congénitale uni-
latérale
de la face chez un idiot épileptique, par Ilame
dans la en plaques, par Claude et Egger, 225. - Dix. huit cas de
latérale
amyotro- phi([ue avec autopsie, par Htiv- mon
alytiques généraux, par Vi- gourous et Lnigne-Luvasline, 333. - -
latérale
amyolrophi- que, par Rossi et Roussy, 423. -
333. - - latérale amyolrophi- que, par Rossi et Roussy, 423. -
latérale
amyotrophique anor- male, par Lejonne et 1-herm
latérale amyotrophique anor- male, par Lejonne et 1-hermitte, - -
latérale
. Voir Trou- 1)les mentaux. Scoliose alternant
s écoliers belges, par Romna, 425. - - mentaux dans la sclérose
latérale
amyotrophique, par Cul- lerre, 433. - - vaso-mo
vants qui sont du reste très inté- ressants : intégrité des cordons
latéraux
et antérieurs, lésion des cordons postérieurs e
ns l'atrophie musculaire progressive, la syringomyélie, la sclérose
latérale
, il y a peu de chose à attendre de l'électricité.
ond. (Semaine médicale, 1897, n° 1.) II. SUR deux cas DE sclérose
latérale
amyotrophique A début bulbaire; par M. le profe
rdée par des voies bien différentes puisqu'il s'agit de la sclérose
latérale
amyotrophique d'une part et de la maladie de Li
ire des hémiplégiques sous la dépendance de la sclérose des cordons
latéraux
, sclérose deutéropathique consécutive à une lés
eau pyramidal croisé, invoquée d'abord par Charcot pour la sclérose
latérale
amyotrophique, puis pour le tabes spas- modique
la possibilité de la sclérose primitive et symétrique des faisceaux
latéraux
de la moelle épinière et demandait le contrôle
smodique, de paralysie spinale spastique et la sclérose des cordons
latéraux
, puisqu'on peut le rencontrer indépendamment de
seur Raymond par la discussion du problème compliqué de la sclérose
latérale
amyotrophique que soulèvent les deux cas suivan
faire de doute, il s'agit de la maladie de Charcot, de la sclérose
latérale
amyotrophique. Le second malade est un homme de
ibilité est normale. Cet homme est atteint lui aussi d'une sclérose
latérale
amyo- trophique, à début bulbaire. Mais ce n'es
usculaire progressive spinale du type Aran- Duchenne et la sclérose
latérale
amyotrophique soulèvent un des problèmes les pl
résentée par l'atrophie flasque, Charcot ajouta bientôt la sclérose
latérale
amyotrophique avec l'élément spasmodique d'impo
t cette association habituelle obligatoire dans les cas de sclérose
latérale
amyotrophique peut faire défaut dans les cas d'
l'atrophie musculaire type Aran-Duchenne au profit de la sclérose
latérale
d'abord, puis de la pachyméningite cervicale, des
es antérieures de la moelle sans participation des faisceaux blancs
latéraux
ou des fais- ceaux pyramidaux, M. le professeur
aller contre l'évidence des faits. Mais l'existence de la sclérose
latérale
amyotrophique n'a pas moins été discutée. Leyde
s mais les manifestations d'ordre spasmodique propres à la sclérose
latérale
étaient imputables justement à la sclérose des
ose latérale étaient imputables justement à la sclérose des cordons
latéraux
qui donnait son nom à la maladie ; or Leyden a
amené à expliquer les manifestations spasmodiques dans la sclérose
latérale
, et qui consiste à dire : dans les cas de contr
e à dire : dans les cas de contracture posthémiplégique le faisceau
latéral
du côté contracturé est en état de dégénération,
pasmodiques peuvent exister sans trace d'altération des fais- ceaux
latéraux
, et réciproquement que la dégénération de ces fai
présenté de manifestations spasmodiques. C'était aussi la sclérose
latérale
amyotrophique et il en est de même, le cas de Ley
arcot; il n'y avait pas la moindre trace de sclérose de ses cordons
latéraux
. Nous savons du reste que normalement cette scl
'est pas responsable des manifestations spasmodiques de la sclérose
latérale
amyotrophique. Mais la sclé- rose latérale amyo
smodiques de la sclérose latérale amyotrophique. Mais la sclé- rose
latérale
amyotrophique n'en doit pas moins être séparée de
dégénération des cellules de la corne antérieure, ni la sclé- rose
latérale
n'expliquent les phénomènes spasmodiques, ceux-ci
du cerveau n'a pas pu être fait. Mais la séparation de la sclérose
latérale
et de l'atrophie musculaire doit être faite sur-
sentés au début de cette leçon d'affirmer le diagnostic de sclérose
latérale
amyotro- phique, diagnostic clinique n'impliqua
e » (l'homme mort) présente une telle attitude, lorsque les parties
latérales
du mur abdominal antérieur SOCIÉTÉS SAVANTES. 7
cisesencequiconcerne lescausesdelaparalysiebulbaire. » - Sclérose
latérale
amyot1'ophique, p. 350 : « Il est assez diffi-
gnore entièrement, les renseignements sur les causes de la sclérose
latérale
amyotrophique font absolument défaut. D - Syrin
« La cause même de la syringomyélie est encore inconnue. » Sclérose
latérale
amyotrophique, p. 647 : « Les causes sont des p
logie MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 101 est fort obscure. Sclérose
latérale
amyotrophique p. z0 : « On ne sait rien sur les
n des réflexes tendineux nous fait porter le diagnostic de sclérose
latérale
amyotrophique. Voilà une maladie du système ner
bleau symptomatique, en laissant pour le moment de côté la sclérose
latérale
amyotrophique, et vous avez le tableau symptoma
ie de la sclérose multiple disséminée. Reste maintenant la sclérose
latérale
amyotrophique. Qu'est-ce ? Son siège est dans l
e maladie à part, distincte des autres ? 1 Pourquoi dire : sclérose
latérale
amyotrophique et sclérose multiple disséminée c
foyers multiples dont un médullaire est la lésion de la sclérose
latérale
amyotrophique. A côté de cette théorie de la co
s l'intermédiaire obligé entre les causes morbigènes et la sclérose
latérale
amyotrophique. - Nous reviendrons sur tout ce
bs- curs au point de vue étiologique et nosologique : la sclérose
latérale
amyotrophique. . Voici maintenant un deuxième c
espèce d'atrophie musculaire progressive. Au lieu de la sclé- rose
latérale
amyotrophique, c'est la forme Aran-Duchenne de
ie musculaire progressive 11 ran-Du- chenue peut, comme la sclérose
latérale
amyotrophique, être considérée comme une locali
énérale. Vous avez encore l'association du tabes avec la sclérose
latérale
; le tabes combiné je l'ai étudié en 1886 et en a
ogiques. Le tabes, l'atrophie musculaire progressive, la sclérose
latérale
, amyotrophique, les polynévrites... sont des syn-
Il s'agit d'une moelle empruntée à un malade atteint de sclèro'e
latérale
amyotrophique typique, préparée avec les soins ha
dit-il, par Biedl, d'après lequel le faisceau pyramidal des cordons
latéraux
n'appartient pas exclu- sivement au grand traje
; les triangles postérieurs (a'"). B, zone de Lissauer ; D, cordons
latéraux
; E, région périépen- dymaire. Les champs end
itié postérieure est seule représentée. Les régions noires (cordons
latéraux
) sont saines ; les- régions décolorées sont mal
édé de Weigert-Pal). Il faut remarquer, toutefois, 'que les cordons
latéraux
, dessines eu masse, apparaissent plus noirs que l
grêle) ; C, corne postérieure et son réseau plexiforme ; D, cordons
latéraux
: E, commissure grise ; F, colonnes de Claire.
nes du noyau de l'oculomoteur commun et les trousseaux radiculaires
latéraux
: dans les mêmes conditions se trouve la nutritio
6° Il en est de même pour les fibres radicu- laires ; les faisceaux
latéraux
sont destinés au droit supérieur et à l'oblique
er- veuse blanche ou grise (sclérose amyotropbiqne ou des cordons
latéraux
, tabès ou sclérose des cordons postérieurs, etc.)
accidents, doivent faire écarter l'idée d'une sclérose des cordons
latéraux
et permettent de considérer ce malade comme att
n haut et en bas de la tumeur, mais dans les parties extérieures (
latérales
) de la substance réticulaire grise se trouvent de
die aiguë du ccrveau lorsqu'elle n'avait que dix mois. Hémiplégie i
latérale
gauche avec atrophie musculaire et avec développe
la moitié droite de la moelle épinière, principalement les cordons
latéraux
en étaient surtout atteints. Les plaques sont t
on a trouvé une dégénérescence secon- daire des cordons pyramidaux
latéraux
et de ceux de Furk. Ayant cité, en abrégé, enco
s donné, que je sache, l'image de la sclérose .en plaques, sclérose
latérale
amyotro- phique qui frappe à l'âge viril, de la
terne de la colonne de Clarke. L'irruption du sang dans les cordons
latéraux
doit être considérée comme un phénomène excepti
. Il était logique dès lors de conclure à une ophtalmoplégie uni-
latérale
, causée par lésion du lobe frontal opposé. Encore
la langue dans la paralysie géné- rale, par Mouratoff, 80. Cordon
latéral
. Fibres intermé- diaires du dans les pyramides,
du chez les épileptiques, par Charon et Rri- che. 465. Sclérose
latérale
amyotrophique il 'début bulbaire, par Raymond,
eurs à ceux obtenus dans les paralysies spasmodiques et la sclérose
latérale
amyotrophique. L'explication n'est pas difficile
ence fâcheuse sur les phéno- mènes spasmodiques. Dans la sclérose
latérale
amyotrophique où on trouve des paralysies spas-
r par son sommet, traverse chez notre sujet les fossettes lombaires
latérales
inférieures qui correspondent aux tubéro- sités
ébrales comparées d'un côté à l'autre. Les mouvements d'inclinaison
latérale
du rachis paraissent s'exécuter avec une force
se (1) ». La lordose ou la cyphose indépendantes de toute déviation
latérale
sont exceptionnelles. Pathogénie. Soca (thèse
: gau- che, 97.0 centimètres. Le malade étant assis, la déviation
latérale
devient encore plus évidente. On peut., en soul
raît être porté en totalité d'arrière cu avant. Dans le décubitus
latéral
, on peut déplacer le thorax entier de gauche à dr
rps bien cons- titué. très légèrement émacié... Incurvation spinale
latérale
gauche à convexité antérieure depuis la 7e vert
ois exception. Notons l'absence de toute déviation dans la sclérose
latérale
amyolrophi- que ; nous avons pu nous-même const
prédilection particulière pour les muscles pu- rement fléchisseurs
latéraux
de la colonne lombaire, c'est-à-dire le carré des
es. Ces muscles déterminent, d'a- près Duchenne, une simple flexion
latérale
de la colonne vertébrale, tan- dis que les musc
cture dans le sommeil ebloroformique (Duret). Outre cette déviation
latérale
, il peut se produire une déviation antéro- posl
participent à la lésion, il se produit une seule et longue courbure
latérale
lombo-dorsale. La courbure qui se produit ainsi
ut à l'heure, ces derniers sont purement et simplement fléchisseurs
latéraux
. Les spi- naux font en outre tourner les vertèb
'élevèrent de divers côtés, mais il faut avouer que si la déviation
latérale
du tronc causée par la sciatique avait élé sign
à la longue très voisine de la contracture; les muscles fléchisseurs
latéraux
de la colonne lombaire entrent dans une sorte d
nt. Peut être faut-il faire intervenir aussi l'atrophie des muscles
latéraux
du rachis lombaire du côté de la sciatique, car
ques et dans les divers cas de contracture des muscles fléchisseurs
latéraux
du rachis lombaire, elle peut néanmoins permett
ntient dans la verticale, il en résulte naturellement une inflexion
latérale
du rachis lombaire, avec concavité regardant le c
e paraissaitfaire défaut ; tout semblait se borner à des inflexions
latérales
. Quelle interprétation pathogénique convient-il
lade ? On peut invoquer une certaine participation des fléchisseurs
latéraux
lom- baires à la contracture consécutive aux hé
'est pas la contracture, mais la paralysie des muscles fléchisseurs
latéraux
lombaires, qui engendrerait l'attitude décrite,
his lombaire. Voici la théorie que nous proposons. Les fléchisseurs
latéraux
sont paralysés du côté droit (ou, pour mieux di
aît digne surtout de remarque, c'est le faible degré des déviations
latérales
du rachis clans l'hémiplégie infantile. Cette a
ques que nous avons parcourues, il n'est pas question de déviations
latérales
du rachis. Chez deux malades de ce genre, attei
des extenseurs lombaires. Le rachis dorsal présente deux courbures
latérales
. L'épine de la 3e vertè- bre dorsale est très n
men attentif on n'eût pu découvrir chez quelques-unes des courbures
latérales
légères ; mais encore une fois, c'étaient assur
agne pas de rotation verté- brale ; elle produit une simple flexion
latérale
du rachis lombaire, avec convexité tournée vers
en tous cas à une contraction musculaire prolongée des fléchisseurs
latéraux
lombaires. d) Scolioses des hémiplégiques. El
l'action musculaire, puisque la déviation s'est faite dans le sens
latéral
. S'agit-il d'une faiblesse relative des muscles
orsale, or c'est le rachis lombaire qui est pourvu des fléchisseurs
latéraux
les plus puissants ; c'est à ce niveau que d'or
s. Si nous avons trouvé chez quelques myopathiques des incurvations
latérales
, celles-ci étaient tout à fait insignifiantes. Et
r qu'on n'a pas encore signalé l'hérédité similaire directe ou col-
latérale
, allant du père au fils, de l'oncle au neveu. H
t des mouvements rapides d'oscillation autour d'un axe antérieur et
latéral
. Ces mouvements, combinés et contrariés, produi
a- çant les fils de la pile dans les bornes situées sur les parties
latérales
ainsi que l'indique la figure 36. La mise en ma
sz. Pas de contraction appréciable de l'extenseur commun. Péroniers
latéraux
et triceps sural normaux. L'état général du m
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Ni sur les bulbes, ni sur les ventricules
latéraux
, on ne trouve trace ni sur la moelle, de scléro
l'hémichorée du côté droit le forçant à garder le décubitus dorsal ou
latéral
droit. Les crises convulsives ne se sont pas
e de repos. Dans l'attitude de repos qui est le décubitus dorsal ou
latéral
droit, le malade fixe son bras droit derrière l
ur l'avant-bras. Les doigts, immobilisés par le décubitus dorsal ou
latéral
, sont fixés tantôt dans l'ex- tension, tantôt r
apporte il l'examen du malade au lit, dans le dé- cubitus dorsal ou
latéral
droit. Si on le transporte sur un siège pour l'y
rait en se resserrant comme un rideau ; ou bien ce sont les parties
latérales
de l'iris qui deviennent plus minces, etc. De l
usculaire très considérable nullement expli- cables par la sclérose
latérale
qui est une dégénéralion. Il est par exemple so
elle épinière, par l'intermédiaire des fibres transverses du cordon
latéral
; cependant, dès que ces fibres sont sclé- rosé
t encore plus efficace que dans la myélite. La sclérose des cordons
latéraux
qui, comme on le suppose, constitue anatomiquem
ur une draperie, un coussin ou une peau de fauve, dans le décubitus
latéral
droit, la jambe ' gauche demi fléchie, la tête
de la hanche est presque effacé en arrière, où la fossette lombaire
latérale
et inférieure se détache seule comme chez la femm
DANT AVEC DES ORGANES GÉNITAUX MALES (HERMAPHRODISME ANTIQUE) VUE
latérale
LOUIS BATAILLE & CI" ÉDITEURS TABLE DES
le générale, LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 79 avec les mouvements
latéraux
, on obtient des mouvements en haut quand le seg
ge inférieure de la surface convexe. Il obtient un simple mouvement
latéral
des yeux en excitant le reste de la convexité d
u cerveau d'un chien. 1, Le membre posé ou wuacé. -.t, 3. Mouvement
latéral
ou agitation de la queue. - 4, Rétraction avec
evée comprenait l'ex- trémité de la corne postérieure du ventricule
latéral
qui se trou- vait ainsi ouvert . Aucune fâcheus
manière que chaque région occipitale est en rapport avec la moitié
latérale
correspondante de chaque rétine et qu'une partie
ut le centre visuel d'un hémisphère est en rap- port avec la moitié
latérale
correspondante des deux rétines; 2° la zone du
du centre \isuel est en rapport avec la partie moyenne de la moitié
latérale
correspondante des deux rétines (loc. cIl., p.
supérieures de la rétine étaient moins sensibles que les portions
latérales
et inférieures, il me semblait donc que les sympt
a moitié postérieure, de la rétine opposée. Il considère la portion
latérale
comme le centre pour le quart externe de l'oeml
ap ès un certain temps. elle réapparaît dans les portions extrêmes
latérales
ou externes de la rétine. On dit généralement q
e le toit du cerveau moyen; ses SOCIÉTÉS SAVANTES. 137 " branches
latérales
descendent dans la base de cet organe. En dedan
es fibres arci- formesqui entament l'aqueduc du Sylvius. Les fibres
latérales
se di- rigent en arrière pour descendre sous la
arrière pour descendre sous la forme de ruban de Reil dans le bulbe
latéral
. Dans le point où elles se détournent existe un
Reil. Une seconde partie de fibres, lui-même divisé en un segment
latéral
et en un segment médian, passe de l'autre côté; c
lation avec le lobe ^temporal; il n'est pas démontré que ce secteur
latéral
contienne des fibres pariétales. Plus en dedans
st comportée par rapport à celle de l'hippocampe dans le ventricule
latéral
. Sa lame réticulée, ou plutôt son ruban réticul
03 l'origine de ce même cercle fibreux de l'origine du ventricule
latéral
. » Prolongement antérieur de la circonvolution
i ventriculaire, qui ferme l'appendice sphé- noïdal des ventricules
latéraux
, et il ne m'a pas été possible de la suivre plu
ue la subs- tance grise a été séparée, quand toutefois les colonnes
latérales
de la moelle restent intactes. Ils ont trouvé q
la moelle restent intactes. Ils ont trouvé que lorsque la colonne
latérale
restait, les mouvements des bras et de la partie
corps, ils ont trouvé qu'il fallait que cette portion de la colonne
latérale
restât intacte, qui est située dans cette zone
ifférencier les tractus sensitifs des tractus moteurs de la colonne
latérale
, et concluent que les deux sont plus ou moins m
venir des cellules de la colonne de Clarke. Il monte jusqu'au noyau
latéral
qui est en haut la continuation de la corne lat
jusqu'au noyau latéral qui est en haut la continuation de la corne
latérale
de la moelle cervicale, aussi appelée corne vis
chez lequel j'ai divisé la moitié convexe ou externe de la colonne
latérale
vers le milieu de la région dorsale (fig. 24).
érieur), une partie du cordon antérieur, et celte portion du cordon
latéral
situé dans l'angle formé par les deux cornes anté
é- riences sont donc opposées à l'hypothèse que le cordon antéro-
latéral
est la voie de la sensibilité tactile et douloure
ien séduisante. P. K. XXV. Examen anatomique d'un cas DE sclérose
latérale
AIIYOTRO- PULQUE; parO. UORNBLUETH. (Neurol. Ce
rmation réticulaire, entie l'olive et le noyau originaire du cordon
latéral
, innerve les muscles du larynx. - 6° Le faisceau
tre-croisement des pyramides, se sépare de ce qui reste des cordons
latéraux
, pour se perdre, au niveau de l'extrémité supér
ratoire de Krause, établit une connexion anormale entre le cordon
latéral
et le corps restiforme, peut-être aussi avec le c
ent une communication entre le nerf optique et le réseau de la zone
latérale
du corps genouillé externe ; ce ré- seau abouti
ement des cylindres-axes dans les trousseaux pyramidaux des cordons
latéraux
. Conclusion. Atrophie névrotique constituant un
Le ruban de Reil du tubercule quadrijumeau inférieur (ruban de Reil
latéral
) affecte une double connexion avec le nerf coch
eau né un trousseau, qui représente les derniers vestiges du cordon
latéral
, passer dans le ruban de Reil inférieur; ce fai
ondition. Cette accommodation a heu par l'expansion des ventricules
latéraux
et l'hyperformation de circonvolutions d'ailleu
se en plaques. Les foyers scléreux siègent surtout dans les cordons
latéraux
et postérieurs; il en existe aussi dans d'antre
oyée déjà par MM. Kojevnikoff dans un cas de sclérose amyotrophique
latérale
', on a pu trouver une quan- tité considérable
mptôme commun avec le cas précédent, c'est-à-dire 1 Cas de sclérose
latérale
amyotrophique. (Archives de Neurologie, 1883, n
as et en avant suivant le trajet de corne descendante du ventricule
latéral
. De cette manière j'ai réussi primitivement et
simplement une proéminence, dans la corne descendante du ventricule
latéral
, correspondant aux éminences collatérales de Me
e dissection que j'ai faite de la corne des- cendante du ventricule
latéral
d'un cerveau de marsouiu. Cette corne se contin
se continue avec l'extrémité postérieure des corps du ventri- cule
latéral
et se dirige en arrière et en bas dans ce lobe de
de trouver de la dégénérescence descendante dans les deux colonnes
latérales
, comme résultat de lésions corticales unilatéra
tale, indiquent que cette partie est en rapport avec les mouvements
latéraux
de la tète et des yeux. L'irritation produit, c
rsista et il ne pouvait les tourner vers la droite, mais la torsion
latérale
de la tête n'était pas si prononcée. L'inclinai
s faite auparavant. C'est une raison pour croire que les mouvements
latéraux
de la tête et des yeux ne peuvent être paralysé
postérieurs; dans un tiers des cas, une lésion probable des cordons
latéraux
. Sur 104 de ces malades, sur lesquels on a eu d
ymptômes tabétiques; 25 p. 100 présentaient des lésions des cordons
latéraux
; 9 p. 100 étaient indemnes de lésions médullair
cordons postérieurs, 70 p. 100; lésions concomi- tantes des cordons
latéraux
, 20 p. 100; les paralytiques généraux à scléros
ébut de la paralysie générale; les paralytiques généraux à sclérose
latérale
avaient été atteints à l'âge de trente ans, il s'
lis sûrement; 50 p. 100 des para- lytiques avec lésions des cordons
latéraux
ou à moelle saine étaient des syphilitiques cer
ait que des symptômes témoignant de la dégénéres- cence des cordons
latéraux
. L'asile est indispensable lorsqu'il y a tabes
267; -troubles oculaires de la -eu plaques, par Ulillioff, 269; -
latérale
amyotrophlque, par Dornblueth, 273. Sens de l
ale, organe médian, présente une scoliose dorsale, sans incurvation
latérale
. La photographie et les radiographies ci-jointe
imètres du bord supérieur de la rotule. Il n'y a pas de déviation
latérale
de la colonne vertébrale. Les apophyses épineus
Dans celui-ci la guérison fut complète à la suite de l'hémicerclage
latéral
; dans le premier le cerclage fut suivi d'insuc
larynx, c'est-à-dire des muscles arythénoïdes et crico-arytlénoïdes
latéraux
. En conclusion les troubles laryngiens chez not
lle e). Insuffisance des musclés arythénoïdes et crico-arythénoïdes
latéraux
. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE 45 gêné so
omène de Cheyne-StokeSt Fic. 3. Schéma décalqué sur la radiographie
latérale
gauche de la région cervicale. 1. apophyse coro
te à relever la tête. Les mouvements de rotation et d'inclinaison
latérale
à droite et à gauche se font encore assez bien.
ctrique, nous reproduisons ici un de nos clichés de la radiographie
latérale
gauche de la région cervicale. 48 BERTOLOTTI
sept. 1908) j'ai communiqué une étude comparée sur la radiographie
latérale
de la colonne cervicale à l'état normal et à l'ét
tre la polyomyélite antérieure subaiguë ou chronique et la sclérose
latérale
amyotrophiqae. Chez notre malade nous nous trou
paralysie iabio-giosso-iaryngée appartient en propre à la sclérose
latérale
amyotl'ophique. Selon Dejerine on peut poser en
lésé, on aurait eu peut-être un argument pour admettre la sclérose
latérale
plutôt que la polyomyélite, bien que dans le ca
nd en bas jusque au cin- quième nerf cervical, fait part des cornes
latérales
et est parfaitement analogue à la substance gri
mi les formes de la polyomyélite anté- rieure et non de la sclérose
latérale
. On comprend tout de suite l'importance cliniqu
Dejerine, il faudrait pencher plutôt pour le diagnostic de sclérose
latérale
amyotrupltique. A part ce fait sur lequel nous n'
du larynx localisée aux muscles arytliénoïdes et crico-arythénoïdes
latéraux
, tandis que les muscles du larynx préposés à la
s, l'os apparait formé d'une bande médiane claire et de deux bandes
latérales
sombres très étroites qui lui donnent l'aspect
vant. Projection antérieure du plastron sterno-costal ; in- flexion
latérale
très prononcée vers la droite et que caractérisen
r on voit que les mouvements d'extension, de flexion, d'inclinaison
latérale
, quoique un peu pénibles, s'effectuent bien. La
articulaire est déformée. Le processus d'ostéophytose des apophyses
latérales
donnaut lieu aux nodules d'Héberden est très év
d'Eulenbourg où chez une pianiste se développa une contracture bi-
latérale
de Dupuytren avec concomitance de douleurs. En dé
blanc, dur, indolore, à répartition segmentaire, unilatéral ou bi-
latéral
, frappant notamment les membres inférieurs, isolé
ques, développé au niveau du chiasma et envahissant les ventricules
latéraux
qui sont comblés par de gros noyaux néoplasiques.
nt comblés par de gros noyaux néoplasiques. Les parois inférieures,
latérales
et supérieures de ces cavités ventriculaires sont
rtie postérieure et externe du prolongement occipital du ventricule
latéral
de l'hémisphère cérébral droit. La base de cett
seur. , La paroi supérieure du prolongement occipital du ventricule
latéral
, le forceps major dans sa portion correspondant
s optiques, le pé- doncule cérébral gauche et le tiers supérieur et
latéral
gauche de la pro- tubérance, le pédoncule céréb
le corps piluitaire resté intact, envahissant les deux ventricules
latéraux
et leurs parois, la substance cérébrale de l'hé
z volumineux et douloureux s'est développé au ni- veau de la région
latérale
gauche du thorax, et partir de cette époque la
la tachycardie a cessé. La malade présente en outre un nystagmus
latéral
incessant, des mouve- ments brusques et étendus
et étendus, rythmiques et continus de nutation et d'oscilla- tions
latérales
de la tête ; enfin, le membre supérieur gauche es
ocu- laires, plus prononcé à gauche et s'accompagnant de mouvements
latéraux
et de nutation de la tête avec mouvements rythm
xistant avec un mouvement brusque,rythmi- que, connexe de mouvement
latéral
de la tête à gauche. Ces mouvements du membre s
oppée dans la ré- gion opto-striée, proéminant dans les ventricules
latéraux
et à la base du cerveau, surplombant le corps p
upé par l'artère communicante posté- rieure gauche. Ce prolongement
latéral
gauche fait une saillie de deux centi- mètres e
il a une largeur de 2 centimètres ; il est en rapport avec la face
latérale
gauche de la protubérance et son extrémité inféri
ntimètre et demi, plus prononcée encore au niveau du pro- longement
latéral
gauche. La partie inférieure de cette tumeur (s
éral gauche. La partie inférieure de cette tumeur (son prolongement
latéral
gauche compris) mesure 10 centimètres dans son
surtout les couches optiques, se propageant à la partie inférieure
latérale
et supérieure des deux vantri- cules latéraux e
la partie inférieure latérale et supérieure des deux vantri- cules
latéraux
et comprimant la partie correspondante du corps c
ace épendymaire, elle est plus considérable à gauche. Le ventricule
latéral
gauche est comblé par de volumi- neux noyaux né
ahissant les corps opto-striés, se prolongeant dans les ventricules
latéraux
et leurs parois comprime donc : les deux pédonc
leurs parois comprime donc : les deux pédoncules cérébraux, la face
latérale
gauche de la protubérance jusqu'au niveau de l'
té gauche. Le néo- plasme atteint également la partie supérieure et
latérale
du prolongement frontal des ventricules latérau
rtie supérieure et latérale du prolongement frontal des ventricules
latéraux
surtout à gauche, sur une étendue de 7 centimèt
. 348 BOINET ? Portion de la tumeur faisant saillie dans ventricule
latéral
gauche. La prolifération névroglique est diffus
au niveau des cellules formant les colonnes centrales et postério-
latérales
des cornes antérieures. Nous verrons plus loin
té du septum mé- dian postérieur. La moitié postérieure des cordons
latéraux
montre des lésions analogues, qui, bien qu'occu
ies de la moelle, par exemple aux colonnes de Clarke, aux faisceaux
latéraux
et aux méninges. On sait aussi que la maladie e
te en avant, il éprouve des douleurs dans la nuque ; les mouvements
latéraux
et la rotation du cou s'effectuent librement. Il
rt, nous n'obte- nons que de faibles contractions. Dans les régions
latérales
du tronc entre la crête iliaque et le bord du t
stance appréciable. Toutefois, assise, elle peut faire des flexions
latérales
du tronc, mais si l'on oppose de la résistance qu
puis s'entrecroisent sur la ligne médiane, passent dans les cordons
latéraux
et montent dans la région des faisceaux de Gowe
es voies des sensibilités douloureuses et thermiques, par le cordon
latéral
croisé, et l'autre est celle du cordon postérieur
la moelle), il faudrait admettre une lésion symétrique des cordons
latéraux
, en même temps que les cordons postérieurs rest
r de tout le dos et l'enfant se trouve tou- jours dans le décubitus
latéral
. Le signe de Kernig-Lasègue est présent (la fle
la malade se trouve (comme auparavant) toujours dans le dé- cubitus
latéral
et ne veut pas se mettre dans la décubitus dorsal
cune raideur de la nuque si l'on en fait l'examen dans le décubitus
latéral
; mais, au contraire, si l'on essaie de fléchir
possible ou du moins ne se fait qu'avec difficulté.Dans le décubitus
latéral
, au contraire, les autres parties de la colonne
jamais on ne voit, comme dans les conditions normales, de mouvement
latéral
de l'ombilic (néanmoins le grand oblique droit ét
res vertèbres dor- sales et s'accompagnant d'une légère incurvation
latérale
. , La gibbosité donne au sujet vu de profil un
que. D'autres naevi, en bandes,descendent obliquement sur les faces
latérales
du thorax, localisés à un seul côté, croisant c
substance blanche, mais surtout au niveau des faisceaux pyramidaux
latéraux
(un peu plus à gauche). Les racines ne renferment
ei- gert une certaine raréfaction de fibres à myéline des faisceaux
latéraux
pyra- midaux et dans la région ventrale des fai
les dont la fusion est due réellement à l'ossification des portions
latérales
des disques interver- tébraux : quant aux vertè
rps des vertèbres restent intacts, la périostite atteint les masses
latérales
des vertèbres, les apophyses transverses, puis
vertébrale. Exagération des cour- bures normales. Première courbure
latérale
à concavité droite au niveau u de l'angle sacro
nte inférieure de la deuxième lombaire : destruction des deux tiers
latéraux
gauches de celte deuxième lombaire. « Apophys
u deux vertèbres : le corps s'écrase d'abord sur une de ses parties
latérales
et la vertèbre affecte la forme d'un cône : les
vertical qui correspondent aux apophyses épineuses et quelque ombre
latérale
à droite qui correspondrait aux apophyses trans
isseur est de 2 à centimètres en moyenne, la créte mé- diane et les
latérales
du sacrum sont aussi très marquées. Le coccyx lui
as visible ; il se loca- lise bien à la palpation dans le décubitus
latéral
gauche, dans le Ve espace intercostal sur la li
e Bechterew ne présentent aucune altération appréciable. Le noyau
latéral
du bulbe, le faisceau latéral du bulbe sont norma
cune altération appréciable. Le noyau latéral du bulbe, le faisceau
latéral
du bulbe sont normaux. Pédoncules cérébelleux m
rophie est généralisée et frappe avec une égale intensité les lobes
latéraux
et le lobe médian, le flocculus, l'amygdale, et
ernig. Du côté des yeux on observe une difficulté dans le mouvement
latéral
interne de l'oeil gauche, ce mouvement se fait
, ce mouvement se fait avec lenteur et incomplètement. Le mouvement
latéral
externe des yeux se fait également avec une certa
les mem- bres même en employant la force. Il présente un nystagmus
latéral
et irrégulier. le malade ne parle plus et ne ma
mes horizontales se produisent dans les mouvements extrêmes surtout
latéraux
. En fermant les yeux il a de légers tremblement
nulle ; celle de flexion est modique; la force pour les mouvements
latéraux
est très petite, excepté pour l'abduction du droi
et la paralysie n'a pas précédé l'atro- phie. Contre la sclérose
latérale
am y o trophique parlent l'abolition des réflexes
une parésie complète des orteils et des pieds. Dans le décubi- tus
latéral
, il peut faire l'extension et la flexion des geno
bord la substance grise des cornes antérieures et aussi les faisceaux
latéraux
, car il existe une paralysie avec atrophie ; les
artie interne du genou, au niveau de l'attache supérieure du ligament
latéral
. Elle est spontanée et très fortement réveillée p
xterne *ïerf musculo-cutané. Nerf tibial antérieur. Long péronier
latéral
. Court péronier latéral. Muscle tibial antérieur.
ané. Nerf tibial antérieur. Long péronier latéral. Court péronier
latéral
. Muscle tibial antérieur. Extens. commun dos orte
ls. Le mouvement d'extension est absolument impossible. Les péroniers
latéraux
, au contraire, conservent, sinon la totalité, du
ont le siège d'une réaction de dégénérescence complète. Les péroniers
latéraux
au contraire réagissent normalement aux deux cour
, extenseur commun des orteils et extenseur du gros orteil. Péroniers
latéraux
normaux avec légère diminution de l'excitabilité.
aisceau du deuxième), extenseur propre du gros orteil, court péronier
latéral
, pédieux. Le long péronier latéral répond au maxi
pre du gros orteil, court péronier latéral, pédieux. Le long péronier
latéral
répond au maximum des deux courants, avec prédomi
ar-tement. — Jambier antérieur = 0.— Extenseur commun — 0.— Péroniers
latéraux
= 0.— Extenseur propre du gros orteil — 0. Exam
vec le maximum). Kathode = Contraction. — Anode = 0. — Court péronier
latéral
(avec 20 milliampères). Kathode et Anode = 0.—Péd
de l'excitabilité faradique et galvanique pour les muscles péroniers
latéraux
et triceps sural. A droite, la réaction de dégéné
educ de Sylvius, le fond, comme on l'appelle, et aussi sur ses parois
latérales
, que siègent l'amas, ou mieux les amas de cellule
osition de ces noyaux le long de l'aqueduc. Il existe : a) des noyaux
latéraux
qui sont, d'avant en arrière ou de haut en bas, c
phie musculaire progressive du type Duchenne-Aran ou dans la sclérose
latérale
amyotrophique. C'est aussi de cette façon que s
ralysie labio-glosso-laryngée appartient nécessairement à la sclérose
latérale
amyotrophique. C'est une erreur. Outre 5 ou 6 aut
paralysie glosso-labio-laryngée dégagée de toute lésion des faisceaux
latéraux
, il faut ajouter aujourd'hui deux nouveaux cas de
ttache la paralysie labio-glosso-laryngée non accompagnée de sclérose
latérale
. Ainsi comprise, l'affection subaiguë ou chroni
(polyomyélite antérieure chronique, sans participation des faisceaux
latéraux
et par conséquent sans exagération des réflexes).
tains cas d'amyotrophies spinales (type Duchenne-Aran) et de sclérose
latérale
amyotrophique. Aussi, Messieurs, malgré toutes
uvements sont intéressés, mais d'une façon incomplète. Les mouvements
latéraux
vers la droite s'exécutent mieux. Le malade n'a j
ments de la tête et du cou, flexion, extension, rotation, inclinaison
latérale
, s'exécutent avec leur force normale. Réflexes.
était un instant permise. Il n'en est pas de même dans la sclérose
latérale
amyotrophique, considérée dans son entier dévelop
pas encore pour nous guider un autre symptôme capital de la sclérose
latérale
amyotrophique, l'exagération des réflexes tendine
nous avons relaté plus haut. On ne la connaît point dans la sclérose
latérale
amyotrophique, caractérisée, d'autre part, par l'
on sait cependant qu'elle peut manquer quelquefois. Dans la sclérose
latérale
amyotrophique en particulier, il y a presque touj
ar propagation histo-logique, soit par compression. Enfin les cordons
latéraux
et postérieurs, ensemble ou séparément, ne tarden
leucomyéliques, selon qu'ils représentent l'altération des faisceaux
latéraux
ou postérieurs, ils se rattachent, ceux-là au typ
ans la syringomyélie; ils indiquent que la lésion atteint les cordons
latéraux
. Il s'agirait dans le cas présent d'une altératio
e jusqu'à la deuxième dorsale. Désinsertion des muscles sur la partie
latérale
droite des vertèbres jusqu'à dénudation des lames
s par intervention de phénomènes insolites : hémiplégique, tabétique,
latérale
amyotrophique. Présentation d'un exemple de for
ivant du malade, nous nous étions rattachés au diagnostic de sclérose
latérale
amyotrophique. Ces résultats imprévus nous mire
une atrophie pa-pillaire à bords diffus et nuageux. 3° La variété «
latérale
amyotrophique ». — Voici certes une combinaison d
e. Or, c'est là précisément un des signes fondamentaux de la sclérose
latérale
. D'autre part, certaines manifestations bulbaires
i un exemple frappant. Ne sont-ce pas là aussi des signes de sclérose
latérale
? Enfin les cellules des cornes antérieures, comm
révenu de ce fait que la sclérose en plaques peut simuler la sclérose
latérale
. Prévenus de cette simulation possible, vous invo
isfaction. Ecoutez cette parole lente et saccadée, voyez ce nystagmus
latéral
. Nous arrivons donc, rien que par cette simple co
même centre que le droit externe de l'œil droit pour les déplacements
latéraux
(noyau de la 6e paire), est le siège d'un excès d
s par intervention de phénomènes insolites : hémiplégique, tabétique,
latérale
amyo-trophique. Présentation d'un exemple de fo
e faciale hystérique ) Faciès d'Hutchinson, 190; — dans la sclérose
latérale
amyotro-phique, 234; — myopathique, 236. Fractu
e hémiplégique de la , 411; Variété tabétiforme de la —, 411; Variété
latérale
amyo-trophique de la —, 412; Gué-rison dans la —,
entation ; la rotation externe entraîne le repos du pied sur son bord
latéral
externe, et le contact des deux pieds malgré l'
ROGRESSIVE DES membres SUPÉRIEURS 57 nique, syringomyélie, sclérose
latérale
amyotrophique). Seules les formes où les nerfs
e douleurs, trouve à l'examen histologique.une sclérose des cordons
latéraux
et postérieurs, une atrophie des cornes antérieur
Les noyaux arqués sont très gros, et riches en cellules ; le noyau
latéral
du bulbe est nettement apparent. Rien à noter
sauer et les fibres collatérales, très abondantes. Dans les cordons
latéraux
, surtout vers la périphérie de la moelle, il exis
elle lombo-sacrée ; dans la moelle dorsale et cervicale les cordons
latéraux
ont un aspect tout à fait normal. Au niveau d
eloppé qu'à l'état normal. Dans les cordons postérieurs et dans les
latéraux
il existe une grande abon- dance de corps amylo
on, encore plus légère, à peine perceptible, des fibres des cordons
latéraux
et enfin, dans une abondance anormale des fibre
ement se demander si la raréfaction à peine perceptible des cordons
latéraux
suffit à expliquer la légère spasmodicité dans le
Richer (Pion, édit.). iI.is.S0N et Cio, Éditeurs. Fin. i. - PLAN
LATÉRAL
externe. N : OUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
re, mais nullement à l'accommodation : signe d'Argyll Robertson bi-
latéral
. xi 8 118 s LAMY Dans la moitié inférieure
inférieure,qui n'est en général qu'une localisation de la sclérose
latérale
amyotrophique, les noyaux oculo-moteurs ne sont
le milieu semble élevé et former une saillie entre les deux méplats
latéraux
^ Les dents sont d'aspect normal. Les organes gé
genou ont complètement disparu. La moitié antérieure du ventricule
latéral
est considérablement dilatée. Des coupes macros
l gauche est, comme nous l'avons dit, fortement atrophié; le cordon
latéral
présente eu outre une légère décoloration, une
és, ne présentent ni dégénération ni sclérose. L'atrophie du cordon
latéral
gauche, nette dans la moelle sacro-lombaire, est
ement interprétée. Pour les uns il serait dû à l'invasion du cordon
latéral
par le processus poliomyéliti- que,pour d'autre
de Babinski puisse relèver de la très légère raréfaction du cordon
latéral
observée au niveau du foyer poliomyélitique. Mais
la face externe de la jambe, ceux de l'avant-bras, ceux des parties
latérales
du torse, etc... Les muscles du dos donnent cette
che du champ visuel au campimètre montre une hémianopsie ho- monyme
latérale
droite des plus nettes, avec sa forme habituelle
l tend à diminuer d'étendue et détruit à ce niveau le ruban de Reil
latéral
, le ruban de Reil médian (moins sa portion la plu
vient en arrière s'arrêter à la partie antérieure du ruban de Reil
latéral
dont quelques fibres sont encore sec- tionnées.
lec- tion la région externe de celle-ci et détruit le ruban de Reil
latéral
en partie, le ruban de Reil médian (moins sa po
plus en plus et ne sectionne plus que la partie antérieure du Reil
latéral
, la partie externe du Reil médian et effleure l
une atrophie moins intense mais évidente cependant du ruban de Reil
latéral
et une dégénération nette des fibres de la portio
Fig. li. SYNDROME DE WEUEH AVEC HÉMIANOPSIE DATANT DE 28 ANS 195
latéral
droit, prédominant au niveau du cordon latéral (f
DATANT DE 28 ANS 195 latéral droit, prédominant au niveau du cordon
latéral
(fig. 13, 14, 15, 16); une dégénération presque
presque complète de la 111° paire gauche et d'hémianopsie homonyme
latérale
droite. Dans les mois suivants amélioration légèr
consensuel qui est conservé à droite) ; 3° une hémianopsie homonyme
latérale
droite, avec légère en- coche centrale de 10 de
tubercules quadrijumeaux antérieur et postérieur, le ruban de Reil
latéral
en partie, le ruban de Reil médian en presque t
rminales, mais s'anastomo- sent richement, surtout dans les parties
latérales
de la calotte, avec des collatérales issues soi
égion occupée par les fibres du ruban de Reil médian et les parties
latérales
de la formation réticulée grise soient complète
te va- leur anatomo-clinique à la lésion constatée du ruban de Reil
latéral
et du corps genouillé interne, formations qui s
. En effet, il existait chez notre malade, une hémianopsie homonyme
latérale
droite des plus nette, avec les caractères des
au antérieur. Qp. postérieur. Rm. Ruban de Reil médian. ni. - -
latéral
. RTh. Radiations optiques. SgR. Substance gél
est, en première ligne, les cordons postérieurs et puis les cordons
latéraux
. Il paraît que les artères nourricières (Van Ge-
es membres supérieurs innervés par la 6e et la 7e. Dans les cordons
latéraux
la nécrose est nettement circonscrite ; elle at
au de Gowers, elde la plus grande partie des cordons fondamen- taux
latéraux
. Dans la partie antérieure des cordons fondamenta
atéraux. Dans la partie antérieure des cordons fondamentaux antéro-
latéraux
,'on voit d'un côté une nécrose cunéiforme à base
issures et d'une petite bandelette des cordons fondamentaux antéro-
latéraux
qui sont respectés. Vers la périphérie des cordon
les cordons et les cornes posteriez res aussi bien que les cordons
latéraux
(cérébelleux, pyramidaux, un pe les fondamentau
ne bandelette de substance blanche des cordons fondamentaux antéro-
latéraux
autour des cornes antérieures est seulement respe
ce vési- cale). J'ai trouvé ces plaques scléreuses dans les cordons
latéraux
(surtout LÉSIONS ANA'l'OMO-PATliOLOGIQUES DE LA
a- lade il y a bien à la mâchoire supérieure absence d'une incisive
latérale
, mais à la mâchoire inférieure il y a 6 dents q
t diver- ticule est soudée, puis se rouvre, mais tout le ventricule
latéral
est de beau- coup en dessous de la contenance n
n dessous de la contenance normale (fig. 3 et 3 bis). Le ventricule
latéral
gauche est tout à fait analogue dans la région oc
ise déjà j'ai montré que dans certaines conditions, le ven- tricule
latéral
, opposé à la tumeur, est dilaté. Il est intéressa
ées qui se ren- contrent jusqu'à l'extrémité frontale du ventricule
latéral
sont la consé- quence d'une inflammation ? Po
le, un palais ogival et une disposition vicieuse des deux incisives
latérales
supé- rieures qui sont sensiblement en arrière
uis elle devient filiforme au moment où elle a gagné la Fig. 5. Vue
latérale
externe, a, Nerf radial ; b, Humérus ; c, Bicep
e inférieure des tibias. Rotules cartilagi- neuses. Les ligaments
latéraux
externes des genoux se fixent à la partie postéri
perdre sur les parties molles qui tapissent la partie antérieure et
latérale
de la poitrine, les deux suivantes se portent v
entre elles par des capsules articulaires épaissies sur les parties
latérales
; elles se terminent d'ailleurs par des surface
n condyle, ni par une trochlée, mais par une sorte de juxtaposition
latérale
des deux os. L'extrémité inférieure de i'humérus
ts de la main sur l'avant-bras sont très limités, plus dans le sens
latéral
que dans le sens de la flexion et de l'extensio
puis quelques années, la malade s'est aperçue que dans le écubit1ts
latéral
gauche elle a spontanément et sans efforts une ré
es sujets qui ne travaillent pas manuellement ; parfois les parties
latérales
des doigts sont atteintes et, engainé par cette
CA.S DE SYRINGOMYÉLIE AVEC CIIEIROMÉGALIE 379 faisceau fondamental
latéral
sont intéressés, les lésions des cordons postérie
s régions sus-jacentes. La dégénération des faisceaux antérieurs et
latéraux
augmente de haut en bas, et à la région dorsale
n bas, et à la région dorsale, il ne persiste au niveau des cordons
latéraux
que quelques fibres périphériques colorées suiv
ité allongée, communiquant sur toute sa longueur avec le ventricule
latéral
, se prolongeant jusqu'à l'extrémité postérieure
qui trouva une cavité en entonnoir communiquant avec le ventricule
latéral
chez une jeune fille qui avait fait dans son enfa
antile, la maladie de Lillle, la maladie de Friedreich, la sclérose
latérale
amyotrophique familiale, l'a- thétose et la cho
radiculaire. Cette constatation pourrait se faire dans la sclérose
latérale
amyotrophique où l'on observe, soit un typesca-
scoliose ; l'inclinaison soit an- térieure, soit postérieure, soit
latérale
du tronc est possible, mais limitée. La flexion
ébrale, mais une rigidité dans les mouvements antéro-postérieurs et
latéraux
; point de ven- tre de batracien, mais un ventr
e musculaire, quelle qu'en soit la variété, Aran-Duchenne, sclérose
latérale
amyotrophique, Charcot-Marie, myopathie, etc..
phies secondaires au tabes, d'amyotro- phie cérébrale, de scléroses
latérales
amyotrophiques, qui ne sont certai- nement pas
ipent aux mouvements de la tête en avant, en arrière aux mouvements
latéraux
et ceux de rotation, manifestent au début, une
Giotto. A Vérone, église Saint-Giorgio in Bmida, dans une chapelle
latérale
à gauche, un Possédé guéri parles apôtres, de D
rtreuse de Pavie, sur un bas-relief en marbre d'une des cha- pelles
latérales
se trouve un Possédé dont le bras est fortement c
volutions. De plus, ils sont presque entièrement sous le ventricule
latéral
ét en dehors de lui. La connaissance de cette
ectif, la région de la veine du corps strié et la paroi du ventricule
latéral
le long de laquelle ils se disposent en une sér
incters. Pour Erb et Charcot, la lésion siégeait t dans les cordons
latéraux
de la moelle frappés de sclérose. SYNDROME DE L
on passe à des for- mations plus primitives, telles que les organes
latéraux
des Amphibiens et des Poissons, les organes cen
yélite aiguë et chronique,, syringomyélie, hé- matomyélie, sclérose
latérale
amyotrophique, - la topographie était tou- jour
semble, ce n'est pas une véritable tente, mais 2 replis falciformes
latéraux
. En arrière, à la partie médiane pos- Fig. 1.
an- téro-externe de la circonférence adhérente du voile cérébelleux
latéral
gauche. La faux du cerveau est donc sur la gauc
t terminal antérieur de la faux du cerveau prend naissance le sinus
latéral
qui, continuant la courbe de la faux du cer- ve
s déjà la lèvre supérieure n'est représentée que par deux bourgeons
latéraux
, avec au-dessous d'eux les commissures labiales
u maxillaire supérieur; incomplètement recouvert par les bourrelets
latéraux
, l'écartement entre eux est de près de 5 centim
t la luette. à droite et à gauche part de chacun des deux bourgeons
latéraux
(immédiate- ment au-dessus d'eux, ou mieux de l
ieur médio-laté- ral d'une largeur de 15 millimètres et le bourgeon
latéral
est une dépression, MONSTRUOSITÉ HAllE DE LA FA
i-ci par le frein. L'os incisif lui-même adhère au bourgeon profond
latéral
droit. En somme du côté droit, il y a fusion des
t un sillon dans les parties molles, véritable bec-de-lièvre simple
latéral
droit. Immédiatement au-dessus, du même côté, l
e de la narine droite. Quant au côté gauche, la partie supérieure
latérale
, partie ascendante de la vaste cavité, est l'or
partie antérieure de l'hémisphère droit de l'encéphalocèle. La face
latérale
gauche se termine en avant par lui. En arrière no
r comme un rudiment d'encéphalocèle cérébelleux ? Des deux angles
latéraux
de la pseudo-circonférence cérébelleuse, l'angle
les homologuer que d'une façon artificielle et hasardée, les lobes
latéraux
n'étant pas symétriques, surtout à la face inféri
erte à droite en arrière et en dehors, pour se terminer sur la face
latérale
droite à une dis- tance antéro-postérieure de 9
ne scissure de Sylvius soit morphologiquement très proba- ble (face
latérale
gauche) (pl. XXVIII, fig. G et fig. D), nous eu s
cbement du ventricule moyen se faisait primitivement au ventricule
latéral
droit et après ce défaut sur la droite avec le
e latéral droit et après ce défaut sur la droite avec le ventricule
latéral
gauche. Il n'y a pas trois formations, communiq
ollissement. En dehors du foyer, la corne postérieure du ventricule
latéral
se prolonge sous l'aspect d'une fente linéaire ju
générative du splenium limite de toutes parts l'orifice du ventricule
latéral
. Les fibres dégénérées sont donc toutes celles
iquées en dehors des précédentes. La corne occipitale du ventricule
latéral
a été largement ouverte par le couteau. Cette cav
jetée directement en arrière, en extension forcée, sans inclinaison
latérale
. Le tronc est, lui aussi, penché en arrière, da
de telle sorte que la colonne vertébrale décrit une double courbure
latérale
, concave à droite, au niveau de sa portion dors
n maladroite, rate plusieurs fois l'encrier ; des petits mouvements
latéraux
détournent tout le temps la main de sa directio
istent en oscillations ordinairement antéro-posté- rieures, parfois
latérales
, qui ne se produisent pas généralement quand le
ndulations assez lentes, et lui impriment de petites oscilla- tions
latérales
; elles s'exagèrent si l'on charge la main d'un p
'homme dans l'a- trophie musculaire protopathique, dans la sclérose
latérale
amyotroplii- que, dans la névrite traumatique;
lors observer la dégénération seg- mentaire, comme dans la sclérose
latérale
amyotrophique ; comme nous l'avons déjà indiqué
hésie strictement unilatérale. Au contraire, cette disposition uni-
latérale
se conçoit très bien, dans l'hypothèse d'une lési
ril 1902, un travail sur un syndrome lié à une lésion bulbaire uni-
latérale
, dont les traits cliniques essentiels sont des ve
u côté de l'oeil, on note un peu de nystagmus, surtout dans le sens
latéral
, mais parfois aussi dans le sens vertical. Les pu
ière, paraît lui avoir échappé ; les noyaux situés dans le faisceau
latéral
du bulbe sont naturellement englo- bés. Toutes
enne à la partie supérieure des oli- ves ; il siège sur les parties
latérales
du ruban de Reil, plus ou moins en arrière, sui
fibres du ruban de Reil ; 4° une interruption des voies ascendantes
latérales
de la moelle (faisceau de Gowers) avec conser-
ans les deux voies sensitives bulbaires, la voie médiane et la voie
latérale
, cadre bien avec ce fait clinique que la sensib
té et que la lésion siégeait exclusivement sur les voies sensitives
latérales
du bulbe; les autres symptômes cadraient bien a
conservation du tact : il existait une vaste lésion sur les parties
latérales
du bulbe avec conservation du ruban de Reil. Da
mpressions tactiles, tandis que les fibres ascendantes de la région
latérale
transmet- traient les sensations de douleurs et
u, nous avons constaté les mêmes phénomènes après une simple piqûre
latérale
du bulbe ou de la moelle cervicale supé- rieure
T MYOSIS BULBAIRES 511 512 BABINSKI ET NAGEOTTE RL. Ruban de Reil
latéral
. RM. Ruban de Reil médian. T. Pilier antérieu
les émotions et les mouvements volon- taires. Il a des oscillations
latérales
de grande amplitude et, lorsqu'il veut pren- dr
dans une chaise et au moindre mouve- ment présente les oscillations
latérales
décrites plus haut en même temps que s'exagèren
vement des contours réguliers, sont très pauvres en appendices col-
latéraux
; on parvient à suivre bien des dentrites sur une
8 onces au-dessous du poids moyen chez la femme. Les ventricules
latéraux
apparurent quelque peu dilatés, le sommet de la
édiane des cordons de Goll et de la partie inférieure des cordons
latéraux
. Nerfs périphériques. Sur les coupes du sciat
à en juger d'après les dernières recherches de Charcot, des parties
latérales
de ces cordons, région des ban- delettes extern
'apercevait point pourquoi, en outre de la voie motrice des cordons
latéraux
des pyramides, allant des centres de coordinati
volume et en poids : le gauche pèse 390 gram- mes ; son ventricule
latéral
est dilaté, rempli de liquide; l'atrophie porte
t-cuve capitonné, avec revêtement extérieur en bois. Une des parois
latérales
, mobile sur une charnière peut s'abaisser ; l'aut
arie, 1895, no 21. LES-CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 43 et horizontal
latéral
, à droite et à gauche 1. M. Sommer est arrivé a
aux lésions de la colonne postérieure et, souvent, de la colonne
latérale
. L'étiologie, le cours et la pathologie de cette
la maladie de Friedreich et du tabès avec altération des cor- dons
latéraux
) sont au moins très souvent dues originairement à
d'abord et surtout le faisceau posté- rieur ; ensuite, le faisceau
latéral
et plus spécialement le faisceau pyramidal. L
les. Contribution ci l'étude des lésions médullaires de la sclérose
latérale
tii21yoli-ophiqzie par Cl. PntuppE et Georges G
De l'étude des faits et de cette considération que dans la sclérose
latérale
amyotrophique les racines s'atrophient sans réact
faisceau pyramidal, mais sans l'intensité observée dans la sclérose
latérale
amyotrophique ; la lésion prin- cipale consiste
, ne diffèrent que par leur évolution. Des relations de la sclérose
latérale
amyotrophique avec l'atrophie musculaire pi,ogt
a quantité de tissu musculaire atrophiée et une affection (sclérose
latérale
amyotro- phique) où l'association d'un élément
oneurone moteur ou spino-musculaire. Au contraire, dans la sclérose
latérale
amyotrophique, le proces- sus intéresse au moin
me les voies cérébelleuses. D'autre part, l'histoire de la sclérose
latérale
amyotrophique aussi bien que celle du tabès spa
e musculaire progressive, dans un cas où, à l'autopsie, les cordons
latéraux
ont été trouvés en état de parfaite intégrité.
SOCIÉTÉS SAVANTES. De ce que la nécessité de disjoindre la sclérose
latérale
amyo- trophique de l'atrophie musculaire progre
t cité trois faits de ce genre ; il s'agit de trois cas de sclérose
latérale
amyotrophique, où les manifestations spasmodiqu
t dit, contrairement à ce qui a lieu assez souvent pour la sclérose
latérale
amyotrophique qui, du reste, affecte au moins d
ues des cordons postérieurs et d'altérations scléreuses des cordons
latéraux
me parait beaucoup plus commune qu'on ne le cro
dans ces derniers temps pour diagnostiquer une lésion des cor- dons
latéraux
, font généralement défaut quand cette lésion se
ans laquelle se trouvaient compiis le cordon antérieure ! le cordon
latéral
. Un plus petit foyer existait à la même hauteur
e sans exception complètement indemnes ? Pourquoi, dans les cordons
latéraux
de la moelle, la dégénération n'affecte-t-elle
, les lésions des cordons posté- rieurs seuls ; 17 fois les cordons
latéraux
seuls étaient lésés; 73 fois les cordons latéra
fois les cordons latéraux seuls étaient lésés; 73 fois les cordons
latéraux
et postérieurs=; il en résulte que la lésion pu
tner lui-même, le pro- cessus pathologique commence par les cordons
latéraux
; un côté est plus gravement atteint que l'autr
éraux ; un côté est plus gravement atteint que l'autre. Les cordons
latéraux
des pyramides sont plus atteints dans les cas d
t cependant encore quelque travail pour arrêter l'excès d'inflexion
latérale
du tronc; il le peut, en effet, car la sciatiqu
oliose compensatrice qui fournit des éléments contraires à l'action
latérale
de la pesanteur. P. KEl\AYAL. De la sensibilité
le du corps de la cellule augmente ; il se hérisse de prolongements
latéraux
ayant la foi me d'épines puissantes qui devienn
gement supérieur bieu développé mais n'ont pas du tout de dendrites
latérales
ou ba- 150 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE P
aisceaux pyramidaux, surtout dans les faisceaux croisés : le cordon
latéral
dans le reste de son étendue, le faisceau céréb
AVANTES. 171 Lésions des Noyaux du Pneumogastrique dans la Sclérose
latérale
Amyolrophique de la Paralysie Spinale anlé1'ieu
s'exerce sur les centres réflexes inférieurs, c'est-à-duele tractus
latéral
; en ou- tre, comme l'a établi Brown Séquard, l
e qui. reste de la première frontale et on tombe dans le ventricule
latéral
gauche. On pratique les mêmes incisions sur la
temporal et la plus grande partie du lobe occipital, le ventricule
latéral
, le corps opto-strié tout entier, ainsi que le
mpossible de- distinguer à I'oeil nu aucun vestige. Le ventricule
latéral
, dont la cavité se confond avec la grande cavit
qué des membranes du kyste),' l'examen du grand kyste du ventricule
latéral
, du plexus choroïde et de l'épendyme ventricula
int une épaisseur d'un centimètre environ de la paroi du ventricule
latéral
à la méninge ; les circonvolutions très atrophi
ignalé intéresse toute la profondeur ( ? 10 et 11). Les ventricules
latéraux
sont remplis et distendus par le liquide encé-
de la prostate. En étu- diant un cas type de sclérose amyotrophique
latérale
, l'auteur et le Dr Dercum ont rencontré des élé
teur pense que les corps qu'il a trouvés dans son cas de sclé- rose
latérale
amyolrophique à symptômes bulbaires ont avec les
ologie normale et pathologique des plexus choroïdes des ventricules
latéraux
du cerveau ; par John Waniman Fmcer. (The Journ
- contrent pareillement dans les plexus choroïdes des ventricules
latéraux
. R. de Musgrave-Clay. XL1. Sur l'histologie nor
faction des cellules des cornes anté- rieures affectant les groupes
latéral
et postéro-externe. 2° Homme, hémiplégie droite
ans un même bâti- ment composé d'une partie centrale, de deux ailes
latérales
aux- quelles sont annexées deux ailes postérieu
machines (gaz, dynamo, ventilation). La partie médiane et les ailes
latérales
ont un rez-de-chaussée et deux étages. Les aile
antérieures, notamment en leurs portions externes, et dans la corne
latérale
. Le cerveau du nou- veau-né devant peser 300 gr
de tumeurs symétriques, intéressant surtout les régions cervicales
latérales
, les régions sous-menton- nière et vertébrale,
it kyste. La cavité était presque entièrement séparée du ventricule
latéral
gauche par une membrane translucide, d'environ
est diminuée. L'examen microscopique de toute une série de muscles
latéraux
de la colonne vertébrale (des deux côtés) montr
la tête exécute un mouvement dans le sens contraire. Les mouvements
latéraux
s'exécutent mieux que ceux de la convergence. O
ibles,- mais bien limités. Enfin l'amplitude normale des mouvements
latéraux
peut être atteinte par une rotation simultanée
ction suffi- sante des muscles dioits internes, lors des mouvements
latéraux
, la convergence est impossible. Dans ce cas les
e, 344. Atrophie musculaire progressive. Relations de la sclérose
latérale
amjoiroplnque et de l'- par liajmondet liecli
phie musculaire progressive, par de Bitch et de Mopr, 145. uni-
latérale
à type sensitif, par Touche 183. Déviation de l
iliques (atrophie musculaire progressive de Duchenne-Aran, sclérose
latérale
amyotrophique). Il n'y a là qu'une anomalie bonne
'un centimètre environ. Mouvements des lèvres impossibles. Méplat
latéral
en arrière des lèvres très prononcé. Rire en tr
ois ou quatre. Ces fils d'affronte- ment empêchent les déplacements
latéraux
(Fig. 2). La plaie est suturée au crin de Flore
rement augmenté d'é- paisseur. Ceci se voit surtout sur les parties
latérales
; quelques cellules rondes disséminées pénètren
comme de vérita- bles nodules embryonnaires. Dans tout le cordon
latéral
, et spécialement dans sa partie postérieure, le t
sont limitées à des groupes de tubes isolés dans les deux cor- dons
latéraux
(surtout le droit) et dans le cordon postérieur :
. Les uns sont situés sous la pie-mère; les autres, en plein cordon
latéral
, sont généralement allongés dans le sens des tr
ou existait imparfaitement avant la maladie (3) ». L'amaurose uni-
latérale
est donc relativement fréquente, quoique les hyst
résence de ganglions indurés, symétriquement disposés sur les faces
latérales
, et qui auraient disparu dans un bref délai. En
de 5 à G racines, et d'autre part la substance blanche des cordons
latéraux
sur une étendue un peu moindre. La substance
it cependant pénétré légèrement dans la partie profonde des tordons
latéraux
, mais en diffusant et sans y former de cavités
ion et à leur carac- tère tout à fait initial. Limitées aux cordons
latéraux
, et plus spécialement à la partie postérieure d
teur des 4 ou 5 premières racines dorsales surtout clans le cordon
latéral
droit; mais en examinant une série de coupes su
abondantes qu'on se rapproche plus de la périphérie. Dans le cordon
latéral
tous ont un calibre extrêmement réduit par suit
es tubes ner- veux. Restent à expliquer les altérations du cordon
latéral
et de la substance grise, en apparence indépend
fait en harmonie avec la distri- bu l ion vasculaire dans le cordon
latéral
. L'existence deces petits foyers nous paraît s'
st-il pas tout naturel d'admettre qu'un faisceau de tubes du cordon
latéral
ainsi détruit sur un point dégénère au-dessous ou
membrane interne et l'endothélium : il en résulte un bourgeonnement
latéral
qui fait saillie dans la lumière du vaisseau. L
t de la jambe dans leur ensemble sont amaigries : le groupe antéro-
latéral
est manifestement atrophié aux deux jambes ; il e
n mé- dian a disparu. b) Petit foyer de sclérose occupant le cordon
latéral
gauche. c) Région des cordons antérieurs restée
r en tourbillons, comme nous l'avons vu plus haut. Dans les cordons
latéraux
et antérieurs, ce sont encore des lésions sclér
véritable petit foyer gommeux, microscopique situé en plein faisceau
latéral
gauche (Fig. 18). Ce foyer, qui présente il l
partie périphéri- que du petit foyer gommeux qui occupe le cordon
latéral
gauche dans la moelle dorsale supérieure. .17
e. Au- dessous, dans la même région, c'est-à- dire dans le cordon
latéral
gauche, la moelle offre une cavité en forme de
gré de sclérose marginale, qui intéresse principalement les cordons
latéraux
. Les méninges sont saines, les vaisseaux import
us la forme d'un foyer gommeux- microscopique, situé dans le cordon
latéral
gauche. Ajoutons que ici, comme dans le cas pré
ie mon- tra une induration de la moelle dorsale au niveau du cordon
latéral
gau- che. Au microscope, on constate que l'arac
à ce niveau, englobant les racines nerveuses atrophiées. Le cordon
latéral
correspondant était le siège d'une sclérose trè
. 1/6 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. le; dans le cordon
latéral
du côté opposé, l'épaississement névroglique a f-
i descendent de l'angle interne de l'oeil en passant par la surface
latérale
du nez et sur la joue. Tels sont les indices de l
point. La lésion va eu s'atténuant sur les olives. Sur les parties
latérales
du bulbe, les enveloppes sont seulement épaissies
'être adhérente à la face an- térieure, mais reste soudée aux faces
latérales
et postérieures de la moelle. La forme de celle
les cor- nes postérieures et la partie la plus reculée des cordons
latéraux
. Cette dégé- nération non systématisée, s'étend
des cordons postérieurs et de la partie la plus reculée des cordons
latéraux
. (Moelle cervicale). 210 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
sont soudées entre elles et fort épaissies il la surface du cordon
latéral
droit ; mais le tissu médullaire sous-jacent n'
ticulier au noyau de l'hypoglosse, au noyau moteur central (antéro-
latéral
, accessoire de l'hypoglosse, noyau inférieur du f
région cervicale est douloureuse. Il en est de même sur les parties
latérales
des vertèbres cervicales : mais c'est surtout d
normales. Le malade accuse une diplopie légère dans les directions
latérales
externes du regard. Il n'y a cepen- dant aucun
plan sont simplement esquissés. Cependant si on compare les groupes
latéraux
du fond avec ceux de la gravure du Louvre on re
elle non différenciées, il sort la sclérose en plaques, la sclérose
latérale
amyolrophique (maladie de Charcot), les arthropat
ieurs, les cornes postérieures et la moitié postérieure des cordons
latéraux
. L'auteur a eu le mérite incontestable de bien
bres supérieurs. Ces réflexes sont aussi forts que dans la sclérose
latérale
amyotrophiquola mieux confirmée. Il n'existe pa
soit vers la cavité, (V) du diverticule sphénoïdal du ventricule
latéral
, et nous reconnaissons, dans cette cavité, comm
res qui pénètrent par en bas dans la corne inférieure du ventricule
latéral
». (Hu- guenin, op. citât., p. 296). On voit do
avec la corne d'Ammon et le corps bordant, saillie dans la cavité
latérale
du ventricule. » Cette descrip- tion est accomp
lieu d'occuper seulement le diverti- culum sphénoïdal du ventricule
latéral
, se prolonge en haut dans ce ventricule lui-mêm
i- cule cérébrale moyenne, de sorte que la cavité des ventricules
latéraux
(I, 1,) communique avec la cavité du futur troi
ne partie perméable de cette fente)'. Tandis que la paroi antéro-
latérale
du ventricule latéral (ou ventricule des hémis-
e cette fente)'. Tandis que la paroi antéro- latérale du ventricule
latéral
(ou ventricule des hémis- phères) est déjà épai
a perforant; et cela est ainsi non seulement pour les ventricules
latéraux
, mais encore pour la toile choroï- dienne et le
r ce qui est en particulier des plexus choroïdes et des ventricules
latéraux
, nous ne pensons pas que 1 Voyez Mare Sée. z la
s genouillés ; V, ca- vité du diverticule spliénoidal du ventricule
latéral
; H, saillie blanche intra-ventriculaire de la c
re racines, et pour chacune d'elles, un noyau d'origine. Le noyau
latéral
des racines postérieures se trouve, d'après cet
dans la partie interne du corps restiforme, et finalement, le noyau
latéral
des racines antérieures se localise dans la pro
use, la portion intermédiaire de Wrisberg. C'est ainsi que le noyau
latéral
des racines postérieures, et le noyau latéral d
st ainsi que le noyau latéral des racines postérieures, et le noyau
latéral
des racines antérieures de Krause, corresponden
r de Henle correspond à ce que Krause désigne sous le nom de noyaux
latéraux
des 1 '\NI. Krause. Allgemeine und nzicnoscopis
térieures et antérieures le noyau anté- rieur de Huguenin. Le noyau
latéral
de Henle équivaut, en partie, au noyau médian d
ond au noyau médian des racines postérieures de Krause; son noyau
latéral
au noyau médian des racines anté- rieures de Kr
es racines anté- rieures de Krause; son noyau accessoire au noyau
latéral
des racines antérieures de Krause. Schwalbe aff
qu'aux noyaux connus du nerf intermédiaire de Wrisberg, le noyau
latéral
des'racines antérieures du nerf auditif (Braule
s perte de connais- sance, il y a uu mois. Etal actuel. Décubitus
latéral
gauche, rotation de la tête à gauche, avec dévi
u est également volumineux par l'expan- sion maxima des ventricules
latéraux
d'où sourd un liquide clair; l'atrophie des gan
ies, surtout dans leurs parties 104 REVUE DE pathologie NERVEUSE.
latérales
. Les altérations microscopiques les plus intenses
norme de la substance grise, surtout dans les parties centrales^et.
latérales
, et notamment, dans le processus réticulaire. D
on. Points hyslérogènes. il sur la 12° côte gauche, sur la partie
latérale
du tronc ; 2° sur la 7" gauche sous le sein ; 3
les deux tiers de son volume et déformée. La paroi du ventri- cule
latéral
est amincie ; et sur le plancher de cette cavité,
e la sclérose fasci- 186 RECUEIL DE faits. culée dans les cordons
latéraux
, elle était rendue évidente, pen- dant la vie,
n peut suivre les fibres de cette dernière jusqu'au corps genouillé
latéral
, au corps genouillé médian, aux tubercules quad
pa dorsigera) ce nerf naît de deux racines, l'une centrale, l'autre
latérale
, toutes deux originaires du lobe olfactif, qui
oute l'épais- seur transversale d'une petite portion d'une moitié
latérale
de la moelle épinière : « Du côté correspondant
achromatopsie, soit rétrécisse- ment concentrique ou rétrécissement
latéral
'. Certaines hystériques, au lieu d'offrir une
aliénés (Brewster) '. M. Despine a a pu constater, par la pression
latérale
1 C'té par Despine. ' ' P. Despine. Etude sci
vec la substance 320 RECUEIL DE faits. corticale. Les ventricules
latéraux
sont très dilatés et remplis de liquide séreux.
sur la crête iliaque, sur le sacrum. D... affectionne le décubitus
latéral
gauche, les genoux presque collés au menton. Ri
essin des circonvo- lutions dépouillées. (PI. VII.) Le ventricule
latéral
est un peu dilaté, la corcte d'Elmmon est indur
e du côté opposé. La corne d'Ammon est aussi indurée, le ventricule
latéral
paraît normal. Le corps calleux et les corps oh
.) 3t6 revue d'anatomie. très seraient contenues dans les cordons
latéraux
de la moelle. D'après ces notions, c'est à la s
émité inférieure, subissent la décussation pour rejoindre le cordon
latéral
du côté opposé, dans lequel elles continuent le
solé ou combiné à eux, sous ses diverses formes. C'est un scotome
latéral
limité par un bord étincelant. Le malade ne le di
s genouiIIGs; - V, ca- N lié du rliverUcule sphénoidal du vennicule
latéral
H, saillie blanche mtra-ventriculaue de la corn
re- mier lieu il est rare de voir une tumeur,occupant la par- tie
latérale
du bulbe, ne donner lieu à aucun autre symp- tô
ntent un grand nombre de petits sillons superficiels. Le ventricule
latéral
, la couche optique, le corps strié et la corne
atrophie des circonvolutions à gauche, de la dilation du ventricule
latéral
gauche (le v. I,. droit est normal), et de ses
idien (' ? ), bien qu'il y eût une notable dilatation du ventricule
latéral
, ainsi que cela arrive souvent dans les cas ana
'agit de ramilicalions de nouvelle formation des fibres des cordons
latéraux
des pyramides séparées de la station terminale
périphérie de la substance grise là où celle-ci confine aux cordons
latéraux
ou à leurs vestiges : il est rai qu'on ne peut
après 31. Fickler, en faveur de l'idée que la substance des cordons
latéraux
a projeté des libres dans la substance grise so
ession de la moelle chez le chat, et il a conslalé dans les cordons
latéraux
des gaines de myéline néoformées autour de cyli
substance grise sous-épcndy- maire qui forme le toit du ventricule
latéral
, dans le corps cal- leux, dans les circonvoluti
vent être suivies de l'autre côté et çà et là émettent des rameaux
latéraux
qui se perdent dans la substance grise du canal e
VII. Nouvelle contribution â l'anatomie-pathologique de la sclérose
latérale
amyotrophique ; parA. -\ . S\Rt;0. (Nel/- jj-ol
Il existe une dégénérescence des colonnes de Clarke et du faisceau
latéral
du cervelet ; celle- ci tient peut-être ce que
eur rappelle qu'il a décrit un faisceau qui se détache de la partie
latérale
la plus externe du faisceau ly ramiclal, un peu a
sacrée, il est aussi marqué par quelques débris isolés. Le cordon
latéral
des pyramides du même côté est atteint jus- que
rescence est «les plus accusées dans la moelle dorsale. Le cordon
latéral
entrecroisé conserve, dans la région de l'en- t
isceaux jusqu'à la périphérie, envahissant ainsi le champ du cordon
latéral
du cervelet. Dans le renflement cervical la dég
Dans le renflement cervical la dégénérescence de l'aire du cor- don
latéral
des pyramides pousse une pointe ininterrompue en
nde partie. Les zones limites externes et la zone mixte des cordons
latéraux
sont envahies par des trous- seaux dispersés, d
sont envahies par des trous- seaux dispersés, de sorte que la corne
latérale
est entourée de débris de dégénérescence ; ici
est entourée de débris de dégénérescence ; ici le domaine du cordon
latéral
du cervelet est en une zone étroite assez purem
res et dépasse en avant la corne laté- rale, de sorte que la limiLe
latérale
n'en est pas du tout distincte. La dégénérescen
e une dégénérescence descendante des pyramides, surtout des cordons
latéraux
, moindre des faisceaux de Gowers et des faiscea
sacrée, l'altération, insuliforme, empiète sur les groupes médians,
latéraux
, centraux des cellules. Dégénérescence excessiv
Intégrité des noyaux rouyes. Altération de la portion médiane et ?
latérale
du pied du pédoncule, et de la capsule externe.
G, )), \'1.- Un moyen épilepto-frénateur héroïque : le décubitus
latéral
gauche ; par ,1. CROCQ. (l3ull. de la Soc. de méd
je n'en suis pas moins persuadé que nous possédons dansledécubilus
latéral
gauche un moyen héroïque 64 REVUE DE PATHOLOGIE
bles moteurs périphériques de la pointe de la langue, des parties
latérales
de cet organe, des amygdales, du voile palatin, d
s de Fli. Puis la dégénérescence se localise plutôt dans le jambage
latéral
de l'U dont elle occupe maintenant non plus le
ut dire ainsi) que réapparaissent des fibres, tandis que le jambage
latéral
mon- tre un défect net situé, sous forme d'une
s genouillé externe par sa partie supérieure ; la substance blanche
latérale
inférieure de Fig. 10. 184 ANATOMIE PATHOLOGI
os coupes. On y peut constater égale- ment que la substance blanche
latérale
et inférieure de ' c. g. c. est intacte et n'a
cence descendante des faisceaux py- ramidaux, tant dans les cordons
latéraux
que dans les cordons antérieurs. En outre, au
dans les fibres des cordons antérieurs que dans celles des cordons
latéraux
; leur quantité demeure constante sur- foules le
LOGIE PATHOLOGIQUES. 295 cordon antérieur et d'une partie du cordon
latéral
de la moelle cervicale. Ce territoire correspon
paré par un certain intervalle, et se lixe à la- pointe de la corne
latérale
. P. KERAVAL. ' LXVll. Du réflexe acromial ; par
s, on trouve dans cer- tains cas des lésions porLantsur les cordons
latéraux
, les cordons de Goll, les faisceaux cérébelleux
le. P. KERAVAL. BEVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE LXXI. - Le décubitus
latéral
gauche comme moyen d'arrêt de la crise épilepti
lades, le moyen él)ileliLo-fi,éiiateiii- héroïque, le (léctli)iltis
latéral
gaucho, prcco- nisé har \I. (;roq au Congrès de
e modifier la crise et d'en diminuer l'intensité. Dans le décubitus
latéral
, la circulation en retour est très gênée, dans
- gle qui comprime plusou moins la jugulaire interne. La position
latérale
gauche agit mieux que la droite parce que lajug
majorité des cas les deux yeux sont anormaux ; l'anormalité uni-
latérale
non seulement est rare mais encore, plus de deu
ma, puis se termina par une abondante décharge urinaire. Sclérose
latérale
amyolrophique. .'1.\1. Baymond et (I : ST\N, d'
née. La fermeté de la substance blanche, l'atrésie des ventricules
latéraux
, l'absence de liquide dans les ventricules et les
iculaire ou musculaire, par - Brissaud et Grenet, 311. Décciiitus
latéral
gauche. Voir Moyen epilepto-frénateur. Le - l
Décciiitus latéral gauche. Voir Moyen epilepto-frénateur. Le -
latéral
gauche comme mo- yen d'arrêt de la crise épilep
sans du crâne, par SL.Orlowski, 54. bulbo-protubérantielle uni-
latérale
, par Souques, 452. LIPOMATOSE symétrique doulou
6. Moyen LI11,EP'rO-I--llNA,rEUrt. Un héroïque : le décubitus \
latéral
gauche, par Crocq, 63." Muscles. Voir Ecorce cé
rtels, 45. Nou- velle contribution àl'anatomie pathologique de la
latérale
amyotrophique, par Sarbo, 50. en plaques juvé
tomie pathologique des combinées tabétiques, par Crouzon, 302.
latérale
amyotrophique, par Raymond et Cestan, 451. en
olution du corps calleux; 3° à la base du lobe carré, Le ventricule
latéral
n'est pas dilaté; sur le corps strié, on trouve
e gyrusfornica- tus ; 3° îlot volumineux sur le coin. Le ventricule
latéral
^'est pas dilaté; sur le corps strié, on trouve
ésions du corps strié; 3° l'absence de dilatation des ventri- cules
latéraux
; 4° l'absence de lésions de l'isthme et du cerv
remière frontale. SCLÉROSE TUBÉREUSE DU CERVEAU. 15 Le ventricule
latéral
n'est pas dilaté. Il existe 8 ou 10 îlots sur l
e lobule para- central et un sur le lobule lingual. Le ventricule
latéral
n'est pas dilaté; on aperçoit cinq ou six noyau
sur la crête iliaque,surle sacrum. Dub...affectionne le dé- cubitus
latéral
gauche, les genoux presque collés au men- ton.
épressions le dessin des circonvolutions dépouillées. Le ventricule
latéral
est un peu dilaté, la corne d'Ammon est indurée
du côté opposé. La corne d'A mmon est aussi indurée; le ventricule
latéral
parait normal. Le corps calleux et les corps op
cérébral gauche. Lapie-mère s'enlève très facilement; le ventricule
latéral
est petit dans toutes ses cavités ; rien à la c
(Planche IV). Hémisphère droit. Décortication facile, ventricule
latéral
très petit; même disposition que du côté opposé,
i est parallèle de ce côté et se continue jusqu'au sillon occipital
latéral
, sur la limite du lobe occipital, sans être int
astomose qui sépare le deuxième sillon temporal du sillon occipital
latéral
. D'ailleurs , à gauche, il n'y a aucun des sill
lobule sus-occipital est limité à gauche par un sillon occi- pital
latéral
non continu en avant avec le deuxième sillon te
vient se terminer sur la face externe. «Entre le sillon occipital
latéral
et la scissure calcarine s'étend le lobule sous
ection ne permet pas d'isoler, ni même de reconnaître les ligaments
latéraux
. L'ouverture de la cap- sule laisse écouler un
z 0, Couche optique. LÉSIONS CONSÉCUTIVES. 83 paroi du ventricule
latéral
est très amincie ; et, sur le plan- cher de cet
qui est de l'existence de la sclérose fasciculée dans les cor- dons
latéraux
, elle était rendue évidente, pendant la vie, par
2° Bassin. Lorsqu'on examine le bassin par sa surface externe et
latérale
, on est frappé de la forme du sacrum qui est te
let : 125 gr. Les hémisphères cérébraux sont égaux; les ventricules
latéraux
sont un peu dilatés de chaque côté; cependant,
s. Sur la mâchoire inférieure, les incisives sont sorties, sauf les
latérales
de droite. La voûte palatine, très plate et trè
au du lobe occipi- tal. La corne d'Ammon est indurée, le ventricule
latéral
est dilaté clans toutes ses parties. Au niveau
volutions sont atrophiées au niveau de cette traînée. Le ventricule
latéral
est uniformément dilaté, la corne d'Ammon indur
raux et cérébelleux sont égaux en poids; les ventricules moyen et
latéraux
n'ont rien d'anormal. Hémisphère droit. Les cir
cipales sont : une sclérose irrégulièrement disposée des cordons
latéraux
et l'atrophie des cellules des cornes antérieures
roite. . Dans les deux épaules les lésions sont identiques. La face
latérale
de l'épaule est aplatie, l'extrémité claviculai
lanche avec dégénérescence des faisceaux postérieurs, antérieurs et
latéraux
de la moelle par altération des faisceaux antér
formations atavique»; exemples : quatre circon- volutions frontales
latérales
comme dans les cerveaux de carnas- siers, anoma
. C'était dans la moelle, surtout dans les cordons postérieurs et
latéraux
, une sclérose périvasculaire, moins prononcée dan
la plupart du temps le plus gra- vement atteintes; dans les cordons
latéraux
, les altérations ont leur maximum de netteté da
mum de netteté dans la zone qui correspond à peu près aux faisceaux
latéraux
des pyramides. Suivant la hauteur de la moelle,
réticulaire, du pédon- cule cérébelleux supérieur, du ruban de Reil
latéral
et médian, légère dégénérescence' du ruban de R
eur de ce faisceau se trouve entre le cordon antérieur et le cordon
latéral
, au point d'émergence des racines antérieures.
ncore plus grandes, on est en présence d'une hémianopsie homo- nyme
latérale
qui siège du même côté que la moitié trop petite
tout le temps de l'appui unilatéral. Elle s'oppose ainsi à la chute
latérale
du bassin entraîné par le poids du membre oscil
rme vulgaire mais très juste. Cela tient à une inclinaison exagérée
latérale
du bassin du côté de la jambe oscillante, et en
'a qu'un seul moyen fessier atrophié, celui du côté droit. La chute
latérale
du bassin ne'se produit que dans l'appui latéra
é droit. La chute latérale du bassin ne'se produit que dans l'appui
latéral
de la jambe droite, c'est-à- dire qu'il se prod
u noyau du moteur oculaire commun. Le groupe de cellules postéro-
latéral
de la corne antérieure de la moelle est le moins
de de Müller. Sur la coupe, à l'oeil nu, on trouve dans les cordons
latéraux
de toute l'étendue de la moelle dorsale et de l
ndonèvre est parsemé de noyaux et de leucocytes. Dans les faisceaux
latéraux
on distingue une pro- lifération de la névrogli
Ainsi, elle est visible dans le cordon postérieur et dans le cordon
latéral
. La commissure postérieure devient plus large.
le tubercule a été posé sur la paroi d'un vaisseau. Dans le cordon
latéral
, on voit six agglomérations de leucocytes d'ass
s celte partie de la moelle que l'on voit à la périphérie du cordon
latéral
, dans le voisinage des racines pos- térieures,
lifération de la névroglie s'accentue encore surtout dans le cordon
latéral
droil. Nous apercevons sur quelques coupes la s
l. Nous apercevons sur quelques coupes la surface entière du cordon
latéral
droit parsemée de petites 188 CLINIQUE NERVEUSE
tte partie même de fines hémorragies capil- laires dans les cordons
latéraux
. Dans les faisceaux de Goll et dans ceux de Bur
composé de leucocytes. Les infiltrations trouvées dans les cordons
latéraux
, forment des agglomérations nodulaires et devie
surtout le cordon laléral et le cordon antérieur. Dans les cordons
latéraux
, on trouve de nouveau des infiltrations plus ou m
ement infiltrées et le canal central est oblitéré. Dans les cordons
latéraux
la dégénérescence corticale des tubes nerveux e
lle est tachetée. Dans la partie lombaire, les faisceaux pyramidaux
latéraux
sont plus pâles que les autres. Les glandes més
ve de lésion qui puisse expliquer l'ictus terminal. Les ventricules
latéraux
sont peu dilatés; leur épendyme est gra- nuleux
dants ÉTUDE SUR LA lIiÉNINGO-iYÉLITE. 277 surtout sur les parties
latérales
, au niveau de l'insertion du ligament dentelé;
OUPE DE la région dorsale SUPÉRIEURE, méninge au niveau du faisceau
latéral
. Lésion d'une veine, dégénérescence des élément
t pas plus altérée que le reste; c'est même au niveau des faisceaux
latéraux
que la mé- ninge offre la plus grande épaisseur
ingo-myélite diffuse; plaque de myélite vasculaire dans le faisceau
latéral
. - H... J., trente-sept ans, maître d'hôtel, en
t. Le point le plus remarquable est la présence, dans le faisceau
latéral
gauche, à la hauteur de la quatrième paire dorsal
ce des cor- dons postérieurs ; plaque de myélite dansile faiscean
latéral
. - Procédé cl'doulrr. Fig. 14. Observation
eure du quatrième segment dorsal où il avait envahi aussi le cordon
latéral
gauche presque tout entier et le cordon latéral d
ahi aussi le cordon latéral gauche presque tout entier et le cordon
latéral
droit. (Revue neurologique, février 1895.) E. B
io. Journ. of insanity, oct. 1894.) E. BLIN. XXXIX. Cas DE SCLÉROSE
latérale
AMYOTROPHIQOE AVEC dégénérescence DU faisceau p
sée à celle de Charcot, sur le rapport qui existe entre la sclérose
latérale
amyo- trophique et l'atrophie musculaire progre
mains et des poignets, suivant la flexion, l'ex- tension et le sens
latéral
, le tout sans rythme appréciable. . Déformation
ieds, mouvements de flexion et d'extension des doigts et mouvements
latéraux
tibio-tarsiens. Toutes ces convul- sions cessen
omaine se trouve cependant diminué par la découverte de la sclérose
latérale
amyotrophique. <" ' ' ) » Mais si la maladie
e Duchenne-Aran de la noso- graphie et l'identifie avec la sclérose
latérale
amyotrophique; Hamond (1894) se range à son opi
outes les fois qu'il y a polyomyélite antérieure : dans la sclérose
latérale
amyotrophique, la paralysie infantile, la syringo
ressemblent nullement aux lésions patho- gnomoniques de la sclérose
latérale
amyotrophique. » On voit par cet exposé rapide
ette entité, même contre ceux qui voulaient en enrichir la sclérose
latérale
amyotrophique qu'il avait le premier décrite. S
de transmis- sion motrices, des faisceaux pyramidaux ou des cordons
latéraux
. En d'autres termes, fonds de syphilis hérédita
rieur, du pédoncule cérébelleux supérieur gauche, 'du ruban de Reil
latéral
de ce côté en rapport avec ces tubercules quadr
l'Inspection générale, avec cette variante que le lit a ses parois
latérales
constituées par des barres de fer légères qui s
ège des processus intéressant le vermis inferior sont l'incurvation
latérale
de la colonne vertébrale, l'allaiblissement pro
a région frontale gau- che par Galavielle et Villard, 1. Sclérose
latérale
amyotrophique avec de générescence d faisceau
du champ visuel est obnubilée, obscure. Il s'agit là d'une hémiopie
latérale
droite. La limite du défaut passe-t-elle exacte
vire avec sa bosse centrale saillante, limitée par deux dépressions
latérales
. Jamais de plaies ni d'écorchures sur le tégume
t suivant : Incisive médiane supérieure gauche, deux larges cupules
latérales
; incisive médiane supérieure droite, 2 cupules
t ; l'une d'elles a favorisé une large brisure de la dent. Incisive
latérale
supérieure droite détruite ; il ne reste que troi
ite détruite ; il ne reste que trois cuspides acu- minées. Incisive
latérale
gauche supérieure, il ne reste que deux cuspides
atation nécroscopique d'une dégénération des cordons postérieurs et
latéraux
de la moelle. Plus tard, en 1841, Parchappe obs
rale, entre autres la dégénération grise des cordons postérieurs et
latéraux
, et les rattache, non à une maladie spinale ind
cervelet est très congestionné, surtout à la base. Les ventricules
latéraux
sont trilatés, mais leur surface ne présente au
ance grise, mais on ne note pas de dégénérescence grise des cordons
latéraux
ou postérieurs, si ce n'est un peu pour ces der
37 Le faisceau pyramidal croisé, surtout du côté droit, le faisceau
latéral
profond, le faisceau de Gowers et même un peu l
issement des gros vaisseaux est très peu marqué. Dans les cordons
latéraux
on trouve au contraire l'épaississement et la t
e postérieure, la bande scléreuse s'étale davantage sur les parties
latérales
, laissant le long du septum médian un espace li
nsérer son extrémité antérieure. Le faisceau pyramidal, le faisceau
latéral
profond, le faisceau de Gowers ainsi que le fai
corps la sensibilité dou- loureuse est moindre que dans les parties
latérales
. Cela est surtout pro- noncé sur le nez, dont l
une forte nappe graisseuse qui remonte sur les faces postérieure et
latérale
du tronc. Cette couche graisseuse fait disparaî
DE LA SALPÊTRIÈRE les cornes postérieures et une partie des cordons
latéraux
étaient désor- ganisés. 3° Enfin la moelle, y
ulaire fut, à la sonde cannelée et à la rugine, décollée de la face
latérale
des apophyses et des lames jusqu'au niveau des ap
ou pos- térieure et des déviations qu'elle peut subir dans le sens
latéral
. On sait d'ailleurs qu'on a décrit une courbure
ans le sens latéral. On sait d'ailleurs qu'on a décrit une courbure
latérale
dorsale à convexité droite, dite scoliose physi
c'est-à-dire chez 38 sur 40, elle est le siège d'une incur- vatioll
latérale
dorso-lombaire, dont la convexité est tournée sur
et du bassin en particulier. , Le torse n'a subi aucune déviation
latérale
que dans la moitié 'des cas environ, sur 19 suj
nue des artistes et ca- ractérisée essentiellement par une courbure
latérale
doMo-tombaire s'ac- companant d'une saillie cos
re duc à des 'oyers d'endarlérile chronique déformante. Le cordon
latéral
droit semble par contre être plus mince que le co
MIPLÉGIE ALTERNE 185 ment reconnaître à l'oeil nu du côté du cordon
latéral
droit et du faisceau de Turk du côté gauche, un
ce bilan- che de la moelle, il l'exception de la partie du faisceau
latéral
droit qui déjà il l'oeil nu se distinguait par
olives, donne le trajet des hypoglosses depuis leur noyau au sillon
latéral
. L'esamenmi- croscopique démontre dans chacune
piquement, on trouve également dans la partie postérieure du cordon
latéral
, une diminution des libres il myéline qui se trad
us foncés. Le 20 mai toutes les plaques des régions postérieures et
latérale
sont disparu, et il est impossible de distingue
ntéressante que rare. La peau cle la verge est soudée par ses bords
latéraux
avec celle des bourses, en sorle qu'on ne voit
i- sait également bien, tandis que .l'élévation' et les 'mouvements
latéraux
restaient 'très incomplets ? Il existait en out
érieur, - n. a. m, noyau antérieur médian, n. a. 1, noyau antérieur
latéral
. 270 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÉTRIÈRE
tronc ba- silaire el que ses artères se divisent en médianes et en
latérales
(Fig. 5G). Or les artères protubérantielles méd
SALPÊTRIÈRE et oculo-moteurs communs. Les artères protubérantielles
latérales
(Fig. 57) se perdent, à droite et à gauche, dan
l'épaisseur du pont. Une lésion por- tant à la fois sur les artères
latérales
gauches et sur les artères médianes donnera lie
muscles de la partie postérieure que sur ceux de la région antéro-
latérale
, cependant la flexion du pied sur la jambe est im
tins forment une saillie médiane au niveau de l'éventration et deux
latérales
au niveau de l'aponévrose qui les sépare des gr
servé et qu'il appelle : asymé- trie acquise entre les deux moitiés
latérales
du corps humain. Il constate : . 1" L'abaisse
dépression posté- rieure à gauche. M. Clozier place l'incurvation
latérale
convexité gauche « il la région moyenne du dos
almique et aphasie, 3. J. B. CIIARCOT et Souques. Paralysie bi-
latérale
du deltoide, 53. Chipault (A.). Névralgie de la
Jamais elle ne s'élève au delà du front, ou ne s'étend aux régions
latérales
ou postérieures de la tête. L'exploration du cr
au niveau de l'entrecroise- ment des pyramides, dans.le. renflement
latéral
de la corne postérieure (caput cornu posterions
, et'.va constituer un-large faisceau, 'qui se porte dans le cordon
latéral
; =rrJrlnu·- J9 ' : Im ! )f1\.iu[ 4 ? Au,cordpn,
b) directement en avant.aux racines,antérieures ;,c);dans le^cordon
latéral
;tid) dansée cordon postérieur; e),à,travers la
.1paralytiquésgénéràr'dans,'la^M -"an t'é ! I rïéür ! é dû cordon''
latéral
.1 Aa'r1tléonstàté ? elllbüÛ,jles'lésions') cs's
rofondes de la protubérance. Dégénérescence des feuillets médian et
latéral
du ruban de Reil, à l'exception du faisceau qui
? J,... ? t, de Burdach, ou du moins commençait par les bandelettes
latérales
. t'11;) ri pi ,1.1 r rn'.T4rt l , , f )' ;' ' '
par pression mtracerebrale).0n trouve, à ,1 autopsie, un ventricule
latéral
: droit ' trè`sedilüté; J' 1'Q) : ¡'éE' d 'n111
téraux as la région dorsale inférieure et sur la limite,,des zones,
latérales
des, cordons postérieurs, à lairégion; dorsale
t chétif, amai- gri, pâle. Il est toujours couché dans le décubitus
latéral
droit ou gauche, sa gibbosité l'empêchant absol
laints de la partie occi- pitale de la tête et rarement des régions
latérales
. La plupart indiquaient une place nettement lim
le foyer décrit plus haut. 244 . RECUEIL DE FAITS. Le ventricule
latéral
offre une dilatation uniforme; mais une couche
ocessus, dépassant les cordons postérieurs, empiète sur les cordons
latéraux
. Trois éven- tualités sont donc admissibles; 1°
ême genèse vasculaire; 2° celle du passage de la lésion aux cordons
latéraux
; 30 celle d'une affection encéphalique de nature
-moteur commun, de la dégénérescence des pyramides dans les cordons
latéraux
(préparations il l'appui). L'ora- teur fait rem
e prématurée de l'oculo-moleur commun ;3° la sclérose des cor- dons(
latéraux
dans ses rapports arec les contractures; 4 ? la n
tude sur tabes dorsal spasmodique, sclérose primitive des faisceaux
latéraux
; par Jabineau. Thèse de Paris, 1883. De la poly
halluci- nation du toucher ? D'ailleurs, les hallucinations uni-
latérales
ne sont pas rares et sur quatre cas d'halluci-
es résul- tats de la clinique. RECUEIL DE FAITS CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
A11YOTROPIIIQUE, LA DÉGELÉ-' RESCENCE DES FAISC
is ce pied était pris d'une extension involontaire. CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 357 Au printemps de 1879, un dér
ricture, dont l'exploration a démontré l'existence. CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
ASIY0TR0FHIQUE. 359 Le malade est resté à la cl
muscles provoque de brusques et amples mouvements. CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 361 Mennschof vécut encore trois
les coupes transversales, on voyait clairement que les fais- ceaux
latéraux
avaient une teinte grisâtre qui les distinguait d
étaient visiblement atrophiés, pâles et flasques. CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPIIIQUE. 1 CI ri Examen MICROSCOPIQUE. -
démontre que ces derniers ne se trouvaient que dans les fais- ceaux
latéraux
; dans les autres parties de la moelle-fais- cea
tance grise - il n'y en avait pas du tout ; mais dans les faisceaux
latéraux
, ces corps granuleux étaient en très grand nomb
s'assura que la myéline, dans les fibres nerveuses des fais- ceaux
latéraux
, avait diminué. Ces corps granuleux étaient dis-
diminué. Ces corps granuleux étaient dis- posés dans les faisceaux
latéraux
des deux côtés d'une manière tout à fait symétr
ue nous avions à faire à une dégénérescence symétrique des colonnes
latérales
de la moelle épinière, ce qui fut en tout point
caractéris- tique, c'est-à-dire la partie postérieure des colonnes
latérales
; l'espace occupé par la dégénérescence diminua
ent pas bien dessinées. En un mot, la dégénéres- cence des colonnes
latérales
occupait dans notre cas la place qui a été si s
re cas la place qui a été si souvent notée dans les cas de sclérose
latérale
amyo- trophique. Tout le reste de la substance
RECUEIL DE FAITS. professeur Charcot décrit sous le nom de sclérose
latérale
amyotl'ophique '. Seulement, le cas présentait
serait-ce un cas isolé ou bien un phénomène inhérent à la sclérose
latérale
amyotrophique ? C'est ce que les obser- vations
la cli- nique, nous avons pu diagnostiquer la sclérose des colonnes
latérales
de la moelle épinière. Un seul point était indé
oppée ou un cas de tabès spasmodique avec altéra- tion des colonnes
latérales
seules. Pendant le second séjour de Mennschof i
les étudiants que nous avions il nous occuper d'un cas de sclérose
latérale
amyotropliique. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTR
per d'un cas de sclérose latérale amyotropliique. CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 371 1 servateurs admette la poss
11que. il savoir la prolongation pédonculo-cérébrale de la sclérose
latérale
, \ient d'être rempli pal' nI. Piek pt K 1111er, d
misphères, la substance grise qui constitue le fond et les pa- rois
latérales
du sillon de Rolando. D'autres fibres, montant
Anatomie und Eiitwiekelangsyesliichle, 1 88 1 .) CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 373 représente un éventail ou pl
S. Scissure de Sylvius. lits., Insula de Ileil. V. 1., Ventricule
latéral
. N. c.. Noyau caudé. N. I., Noyau lenticulair
plus haut que la précédente. L. f., Lobe frontal. CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 375 L. oc., Lobe occipital. Se
ur, soit continue, soit par accès de plusieurs heures, souvent uni-
latérale
, qui affecte tantôt le même côté, tantôt des côté
onctionnelles des nerfs, spécialement l'hystérie ; - 8. La sclérose
latérale
aIIIyo- trophique ou paralysie bulbaire progres
S. Scissure de SUvius. Ins., lusula de Ileil. ' V. l., Ventricule
latéral
. N. c., Noyau caudé. N. t., Noyau lenticulair
a première tra- vée servirait de passage au centre, et, les parties
latérales
, de cabinets de débarras ; la deuxième travée s
e ; aplatissement de la partie médiane de l'occipital, avec saillie
latérale
: apla- tissement de la partie moyenne et posté
pas d'anomalie des circonvo- lutions, corps opto-strié, ventricule
latéral
, corne d'Ammon, normaux. Hémisphère cérébral
u corps calleux est altérée dans sa partie moyenne. - Le ventricule
latéral
est normal ainsi que ses parois constituantes :
olant avec la pie-mère cérébrale, de la paroi externe du ventricule
latéral
. Une incision de cette dou- ble membrane nous m
de cette dou- ble membrane nous mène, en effet, dans le ventricule
latéral
. En conséquence, la cavité de la face externe e
onséquence, la cavité de la face externe et la cavité du ventricule
latéral
sont adjacentes, séparées par deux feuil- lets,
le lobe occipital, ce der- nier cependant atrophié. -Le ventricule
latéral
ne présente rien d'anormal. Face inférieure.
e à l'extrémité postérieure de la corne frontale dans le ventricule
latéral
correspondant. Il s'agit là d'une lésion bien d
de particulier. - Sur cette face enfin nous trouvons la ventricule
latéral
, qui présente des dimensions manifeste- ment pl
cschl, voulait dire, pour cet auteur, communication du ventricule
latéral
avec la surface libre du cerveau. Or, une quest
e côté du sillon médian, et à la périphérie môme dans les cordons
latéraux
. Dans toute la hauteur de la moelle, les méning
uche optique n'offrent rien de particulier, ainsi que le ventricule
latéral
. Hémisphère gauche. Môme état des ciconvolution
mmon, le corps strié, la couche optique sont normaux. Le ventricule
latéral
est 'notablement dilaté dans sa corne occi- pit
ement, adhérences des méninges ; dilatation partielle du ventricule
latéral
gauche, enfin, augmentation de poids et infiltr
ez volumineuse, ainsi que la quatrième temporale. Le ven- tricule
latéral
, la couche optique (CO) et le corps strié n'ont
ement profonds, les plis de passages rares ou nuls. - Le ventricule
latéral
, la couche optique (CO) et le corps strié n'off
on du liquide céphalo-rachi- dien et de la dilatation du ventricule
latéral
gauche, signalés dans le cas d'atrophie de tout
phalie et sa configuration est à peu près détruite. Le ventricule
latéral
très dilaté a l'aspect d'une simple poche. - Les
l'hippocampe, le corps calleux et sa circonvolution, le ventricule
latéral
, le trigone, les corps opto-striés, les pédoncu
ébraux et des hémisphères cérébelleux. - Dilatation du ventricule
latéral
gauche. Thrombose des veines méningées. Pid...
ntimètres de circonfé- rence. On sent assez distinctement les lobes
latéraux
du corps thyroïde. Thorax et abdomen, rien de
e cérébral. CO, couche optique. NC, noyau coudé. VL, ventricule
latéral
. 196 EXPLICATION DES PLANCHES. Planche VI.
avec dé- génération scléreuse descendante consécutive des faisceaux
latéraux
? L'enchaînement et l'apparition progressive de
ps calleux, qui forme la voûte de la corne antérieure du ventricule
latéral
. Un peu plus en arrière et séparée de la premiè
e grise bien délimitées sur l'hémisphère gauche; dans le ventricule
latéral
on trouve, immé- diatement en arrière de la vir
e, le milieu de la plaque passant par le bord externe du ventricule
latéral
. Un peu plus en arrière, nous trouvons une séri
ntion. Leurs branches se dirigent en dehors, couvrent les faisceaux
latéraux
de leurs ramifications et four- nissent une bra
postérieures et circulent sur la partie la plus reculée des cordons
latéraux
: elles sont fournies par les branches ascendan
des spinales postérieures et peuvent porter le nom d'ana- loî7zoses
latérales
ou mieux, selon nous, de grandes anastomoses po
veines principales : 1° la veine médiane anté- rieure ; 2" la veine
latérale
antérieure droite ; 3° la veine latérale antéri
anté- rieure ; 2" la veine latérale antérieure droite ; 3° la veine
latérale
antérieure gauche. La veine médiane antérieure
s deux. On la dénomme veine grande spinale antérieure. Les veines
latérales
antérieures sont plus petites que la veine médi
veine médiane. Elles cheminent sur la face antérieure des cordons
latéraux
au milieu des faisceaux des racines, tantôt forma
ôt elles se vident directement dans les veines spinales. Ces veines
latérales
antérieures n'existent en réalité la région cer
e la moelle existent trois veines longitudinales, une médiane, deux
latérales
, plus régulièrement disposées que les veines an
es de la déglutition) eussent pu appeler l'opinion d'une sclérose
latérale
amyotrophiqne ; mais la prolongation de l'affecti
n corps avait son tissu mou, villeux, comme ébarbé, sur ses parties
latérales
et à ses extrémités. P. K. IL Contribution A
(opinion opposée de Forel) peut-être bien constitué par la couche
latérale
du noyau externe de la couche optique, l'indé-
rdons postérieurs dans la ré- gion lombaires (intégrité des cordons
latéraux
). Il appelle l'at- tention : sur la non-persist
neumonie. -L'autopsie décèle une dé- générescence grise des cordons
latéraux
de la moelle cervicale ; de la pachyméuingitc p
vec empiétement irrégulicr sur les cordons de Burdach ; les cordons
latéraux
sont pris, depuis la moelle lombaire jus- qu'au
ment la coïncidence des lésions dans les faisceaux posté- rieurs et
latéraux
(Westphal) et en même temps la proliféra- tion
ubstance grise des cornes antérieures à l'envahissement des cordons
latéraux
et du faisceau pyramidal, l'une étant pour lui
autopsie, les lésions intéressaient sur- tout la partie des cordons
latéraux
qui aoisine les cornes posté- rieures de la moe
a été dans l'observation clinique. En 1858, la paralysie conjuguée
latérale
a été bien décrite par M. Foville fils qui, rem
ents oculaires. Les faits de paralysie des mouvements conjugués
latéraux
commencent d'ailleurs à se multiplier depuis qu
ements parallèles horizontaux. Observation I. - Paralysie conjuguée
latérale
gauche. Parésie du côté droit du corps intéress
ection. Observation III. Sclérose en plaques. Paralysie conjuguée
latérale
droite. Nystagmus. Paralysie de l'hypoglosse avec
avec la paralysie de ces mouvements. Lorsque la paralysie conjuguée
latérale
est peu prononcée, son diagnostic est quelquefo
ntôt homonyme suivant les positions de la bougie, mais l'écartcment
latéral
est très peu prononcé. Le caractère dominant es
onsul- tant d'anciennes observations. Dans la paralysie conjuguée
latérale
, double et incom- plète, comme la produit parfo
e, il hésite et fait répéter. Pharynx. Très congestionné, gros plis
latéraux
perpen- diculaires, rouge vif, qui remplissent
ême le noyau caudé dont le tiers moyen présente sur le ven- tricule
latéral
une dépression profonde, jaunâtre et ramollie.
s'infléchissent en bas. La dégé- nérescence ascendante des cordons
latéraux
occupe généralement non pas seulement les faisc
ordons latéraux occupe généralement non pas seulement les faisceaux
latéraux
cérébelleux de Fleclisig, mais encore une zone
ne zone sensible, car on la trouve aussi dégénérée dans la sclérose
latérale
amyotro- phique. Il y, existe en tout cas des f
t cas des faisceaux mixtes. Quelques fibres disséminées des cordons
latéraux
dégénèrent aussi en bas en dehors des faisceaux
rd (transfert d'une anesthésie' cutanée, consécutive à la section
latérale
du pont de Varole, obtenu par hémisection dé la m
de ces faits, l'atteinte'des'faisceaux'pyramidaux" dans les cordons
latéraux
, en même temps que les cordons posté- rieurs pa
les deux cordons de Türclc, le faisceau pyramidal dans les cordons
latéraux
, la portion interne des faisceaux cunéiformes à
microscopique de la moelle ail décelé d'altération dans les cordons
latéraux
. Intégrité du faisceau pyramidal jusque dans le
large sillon, tandis que le segment frontal a subi, l'aplatissement
latéral
y. compris la. portion, orbitaire' : car sêul(l
ns^ postérieur.^ et ,des, faisceaux- pyramidaux dans les.cor-' dons
latéraux
, ainsi que d'une myélite de fraîche date par- 3
erveau. Myélite éhrônique"dû faisçëâu, pyra- midal dans les cordons
latéraux
(cellules granuleuses) ? ? Ainsi, malgré toutes
f uJ 1 G'·l '.JW 1. J -'Ji' ''<YJ ? 3jl J nération des, cortlons
latéraux
exagère, elle, le;Jréflezclroltülien (faiscea.y
. Observation I. Aspect crétinoïde. - Gonflements sur les parties
latérales
du cou et en avant des aisselles. - Persistance d
en formant unehoupette; entre cette houpette médiane et les parties
latérales
il existe une calvitie presque complète. Le cui
ière; le front était petit et saillant, dans chaque région frontale
latérale
et aussi au-devant de la fontanelle antérieure.
me desquamme partout, (excepté sur la face), et surtout aux parties
latérales
du tronc. - Le corps parait atteint d'anasarque
n sur les sinus qu'au-dessus des circonvolutions. Les ventricules
latéraux
sont peu dilatés. La substance cérébrale est légè
érieure de la première scissure temporo-occipitale. Le ventricule
latéral
, les masses centrales, la corne d'Ammon ne prés
r partie la plus antérieure par un sillon transverse. Le ventricule
latéral
, la couche optique, le corps strié, la corne d'
ce blanche, on remarque une lésion descendante des divers cordons
latéraux
, les faisceaux cérébelleux étant respectés. Cet
mmon ainsi que les lo- bes orbitaires sont normaux. Les ventricules
latéraux
sont légèrement dilatés. De cette description
ombreuses adhérences au sommet, surtout en avant et sur les parties
latérales
. Le gauche est également adhérent au sommet, ma
yenne- ment élevé ; bosses frontales assez saillantes, dépression
latérale
sur les tempes ; arcades sourcillières déprimées.
est régulière, mais non plissée. - La corne d'Ammon, le ventricule
latéral
, le corps calleux, la couche optique, le corps
et un peu sur le bord du coin. La corne d'Azzzmon, le ventricule
latéral
, la couche optique, le corps calleux sont norma
lui le balancement est non seulement antéro-postérieur, mais encore
latéral
. (1) Contrairement au renseignement donné par l
, la couche optique, n'offrent rien de particulier. Le ventricule
latéral
, normal en avant, communique en arriére large-
s strié paraît normal, ainsi que la couche optique. Le ventricule
latéral
ne paraît pas en connexion avec le kyste. L'hém
gion lombaire et aux fesses; l'enfant est couché dans lo décubitus
latéral
gauche. Les réflexes cutanés sont exa- gérés. L
use, non plissée. La circonvolution du corps calleux, le ventricule
latéral
, la couche optique, n'offrent rien de particuli
vec la pie-mère. Ces adhérences sont surtout marquées sur les faces
latérales
des deux côtés, on en trouve aussi sur les lobe
partie antérieure de la circonvolution frontale. - Le ven- tricule
latéral
, la couche optique, le corps strié et la conie
. - La circon- volution de l'hippocampe est courte. Le ventricule
latéral
, la corne d'Ammon, les corps opto-striés n'offren
cavité. Si l'on suit cette paroi, ainsi constituée sur les parties
latérales
, on voit que les couches se perdent successivem
. Cette tumeur a envahi toute la partie gaucho du bassin, les faces
latérale
et posté- rieure de la cuisse gauche. Elle est
symétriques. Les hémisphères cérébraux sont égaux. Les ventricules
latéraux
et. la corne d'Ammoo n'offrent rien de particul
corps calleux, le corps strié, la couche optique et le ventri- cule
latéral
ne présentent rien de particulier. Hémisphère d
orps calleux, du corps strié, de la couche optique et du ventricule
latéral
. BOURNEVILLE, 1886. 15 218 ÉPILEPSIE ; rémiss
corps calleux, le corps strié et la couche optique, le ven- tricule
latéral
, la corne d'Ammon (des deux côtés), le bulbe, l
er dans les paralysies sensorielles pour un moment, l'hé- mianopsie
latérale
homonyme. Je sais que c'est presque une gageure
rtèbre située au-dessous, et que Trolard appelle ligament vertébral
latéral
. Tous ces vaisseaux vont aux veines extra-rachi
qui sont de beaucoup les plus fréquentes porteut sur les cor- dons
latéraux
et postérieurs - puis, viennent celles des cordon
seuls- enfin la troisième catégorie a trait aux lésions des cordons
latéraux
seuls. Il est imposible d'établir si, chez les
yramidaux. Tous les groupes des cellules de la corne antérieure (et
latérale
) ont la signification d'éléments mo- teurs;- ce
ollatérales des faisceaux pyramidaux : tandis que le groupe postéro
latéral
est en rapport non seulement avec les mêmes fib
légèrement tordu sur lui-même. Il existe une assez notable scoliose
latérale
gauche. Les mouvements d'excursion des côtes se
que, la syringomyélie, la myélite transverse cervicale, la sclérose
latérale
amyotrophique, le tabes spasmo- dique,etc. Je n
aclcyméningite cervicale hypertrophique. Compression antérieure et
latérale
de la moelle; myélite transvez se consécutive a
des cornes antérieures. Dégénérescence descendante des faisceaux
latéraux
. Je ne me dissimulai pas que l'ensemble des signe
ment isolé, de tissu néopla- sique diffus. A ce niveau, le faisceau
latéral
profond est envahi, à gauche, par l'infiltratio
isceaux pyramidaux directs sont parfaitement intacts. Les faisceaux
latéraux
profonds sont naturellement lésés de la même fa
eau grêle, du faisceau cunéiforme, dans sa totalité, et du faisceau
latéral
du bulbe (faisceau cérébelleux direct et faisce
n avant de la racine ascendante du trijumeau : c'est là le faisceau
latéral
du bulbe. En remontant dans le bulbe, on retrou
la pariétale inférieure, et du pli courbe jusqu'auprès de la paroi
latérale
du prolongement postérieur du ventricule latéral.
uprès de la paroi latérale du prolongement postérieur du ventricule
latéral
. "" -" 3° LocalisCttiOli"dè' la' surdité verbal
\ colloïde',^ jaune paillé ! ' Sérum jaunâtre 'dans' le1 ventricule
latéral
droit : Ramollissement jaunâtre des circonvolut
roite d'os du côté du 'crâne, faisant des os os crâniens deux ailes
latérales
qui pourraient "se développer par l'extension m
est de beaucoup. le, meil- 'leur ici, puisqu'il signifie -.incision
latérale
sur le crâne. ,~,n ,.)-) ? L'opération faite à
roubles- partiels de la sensibilité. Huit''jours" après, hén11opie)
latérale
1 gauchelavec', diminution, très ^accusée de l'
(en collaboration avec Féré), 1883 ; Deux nouveaux cas de sclérosé
latérale
amyotrophique suivis d'autopsie (en collaborati
collabora- tion avec Magnan), 188 ? - Deux nouveaux cas de sclérose
latérale
amyotrophique suivis d'autopsie (en collaborati
laboration avec Magnan), 1892; La foi qui guérit, 1893; - Sclérose
latérale
amyot1'ophique ou amyotrophie hystérique ? diffi-
'Association des étudiants et beaucoup de dames. Dans les chapelles
latérales
étaient massés le personnel et tous les pen- si
orte un air de famille, l'hydrocéphalie occupe soit les ventricules
latéraux
seuls, soit en même temps la cavité arachnoïdie
Quelquefois l'hydrocéphalie n'in- téresse que l'un des ventricules
latéraux
, tel est le cas de Fau... (hémi-hydrocéphalie).
du pied des frontales l'aspect de la substance grise sur les faces
latérales
des circonvolutions est rede- venu presque norm
elles de la deuxième couche ont complètement disparu. Sur les faces
latérales
, les première et deuxième couches sont encore F
à la face su- périeure des circonvolutions tan- dis que les faces
latérales
sont presque normales; cette lésion, plus fai
sparais- sent, on est autorisé à admettre que la lésion des cordons
latéraux
s'est compliquée d'une altération des cordons p
ématique combinée dans les cas de lésion des cordons postérieurs et
latéraux
, à la condition qu'on n'attribue pas un sens tr
C'est ainsi en outre qu'il existe-'des lésions communes auxicordons
latéraux
et posté- rieurs, sans paralysie générale, et q
paralysie générale, et que maints cas d'affection pure des cordons
latéraux
sont au -point de vue anatomique dûs à des lési
qu'il y a par exemple affection combinée des cordons postérieurs et
latéraux
, faut-il le passer sous silence ? S'il existe u
lly vient de dire que Westphal admettait l'existence d'une sclérose
latérale
purement primitive, indépendamment de la démenc
possible de juger le tabes d'après cet étalon, et quand aux cordons
latéraux
dans les pyramides, que dire de leur dégéné- re
une dégénérescence secondaire ou d'une lésion autonome. La sclérose
latérale
amyotrophique n'est point une affection systéma-
rke droite. Dans le renflement cervical il y a atrophie de la corne
latérale
droite surtout au niveau du groupe latéral. Atr
a atrophie de la corne latérale droite surtout au niveau du groupe
latéral
. Atrophie des racines postérieures dans toute leu
servation concerne l'amputation du bras gauche, Atrophie à la corne
latérale
gauche dans le renflement cervical, elle s'éten
vercle de sa montre, se tiraille le nez et présente un mouvement
latéral
coordonné des yeux qu'il détourne assez souvent e
petum. Ces irradiations optiques arrivent dans la substance blanche
latérale
du pulvinar et du corps genouillé externe. Au-d
ôté, savoir : les muscles ptérygoïdes qui produisent des mouvements
latéraux
du maxillaire inférieur. Les masticateurs propr
ices, car je crois avoir montré que les cellules du groupe postéro-
latéral
des cornes antérieures sont de nature motrice. L'
- tour et prend. la formé d'un ova)e'dont']e'grand'axe est'médio-
latéral
;, c'est ce qui(se voit dans les plans inférieurs
lobe olfactif et de la corne d'Ammon parles bandelettes olfactives [
latérales
(trousseaux- tangentiels) et par un..tractus bl
ctus'» de la même commissure réunissent, entre. eux les territoires
latéraux
du lobe temporal ;.les lobes limhiquessont égal
substance blanche de la région (Olfactive, celle notamment du champ
latéral
de,cette région, -est* rattachée au cerveau inter
avec de fortes nervures correspondant aux sillons du cerveau. Sinus
latéral
et pétreux infé- rieur très profonds dans l'os
l n'existe pas à gauche. Ce bourrelet asymétrique correspond au sinus
latéral
, dont la gouttière est beaucoup plus profonde d
petites dimensions du cerveau ; il en est de même des .ventricules
latéraux
, dont la dilatation est égale des deux côtés, le
é- raux et médian; elle est très marquée dans l'angle du ventricule
latéral
au- dessus du noyau caudé, et surtout sur le pl
impressions cor- respondantes sont peu marquées, sauf sur la paroi
latérale
des fosses Fi¡ 4 24 FLOURNOY · moyennes, à
que le nerf est diminué de volume. La profondeur exagérée des sinus
latéral
et pétreux inférieur du côté droit pourrait aus
n une flexion du tronc en avant, combinées ou non à une inclinaison
latérale
. Au mois de février 1915, M. Souques présente à
ocormie pure, chez le quatrième elle est combinée à une inclinaison
latérale
(PI. XI). Leur attitude présente une analogie
ut à l'extérieur de la selle turcique. Elle présentait deux lobules
latéraux
: celui du côté gauche était arrondi, mou, de s
é des doigts devient bombée, légèrement hip- pocratique ; les bords
latéraux
de l'ongle ont tendance à déborder leur rainure
l'ongle et laissent des cicatrices rétractiles, mais aussi le côté
latéral
interne de la main, le côté radial de l'index.
Les doigts sont immobiles, à l'exception d'un très léger mouvement
latéral
des 4* et 5° doigts. La contracture s'oppose à
me il arrive souvent, doubles ou bilobées; elles sont plus ou moins
latérales
ou médianes. ' Les index sont indemnes, à l'e
tion et le contrôle radiographique permettent de reconnaître un cal
latéral
du quatrième métacarpien (Pl. XXXIV, XXXV). L'h
ne grandeur ordinaire. Dans les parties antérieures des ventricules
latéraux
, il y a en quelques points une épendymite granule
- quemment étendue à' quelque portion des cordons blancs, cordons
latéraux
ou cordons postérieurs ; elle s'étend parfois aus
pure dans son expression clinique, simule d'autres fois la sclérose
latérale
amyotrophique ou bien s'associe au tabes ou à la
veau des cornes antérieures qu'au niveau des cordons postérieurs ou
latéraux
, la syphilis ne limite ses effets aux étages su
érante quand elles portent, dans les mêmes régions, sur les cordons
latéraux
ou postérieurs (paraplégie spasmodique syphili-
qu'il s'agisse de myélite syphilitique amyotrophi- que, de sclérose
latérale
amyotrophique, de syringomyélie, de polyomé- ni
ette saillie anormale paraît due surtout à l'atrophie des péroniers
latéraux
et à une sorte de subluxation du pied en dedans.
uscles de la loge antéro-externe, mieux conservés que les péroniers
latéraux
. La malléole péronière est moins saillante qu'à
es mus- cles des mollets, tout à fait nulle au niveau des péroniers
latéraux
, légère au niveau des extenseurs communs des or
is aussi plus ou moins sur les autres parties de la moelle, cordons
latéraux
notamment (Sainton). Le traitement s'impose aus
telle sorte que les clavicules se trouvent perpendiculaires aux bords
latéraux
du sternum. Postérieurement, une autre déformat
nstate que les clavicules du malade sont perpendiculaires aux bords
latéraux
du sternum, leur extrémité antérieure étant dép
nt. Au maxillaire inférieur on trouve entre la canine et l'incisive
latérale
une distance de 8 millimètres du côté droit. Po
t. Le trigone olfactif et les circonvolutions olfactives médiale et
latérale
sont recouvertes par la masse coagulée sèche. A
tement coloré de sang, mais nulle part coagulé, et dans le ventricule
latéral
droit ou a observé daus la paroi latérale, et p
ulé, et dans le ventricule latéral droit ou a observé daus la paroi
latérale
, et près du noyau strié, une déchirure de t'épe
un prudent lavage afin d'enlever les masses de sang des ventricules
latéraux
, on découvert dans la paroi latérale du côté gauc
masses de sang des ventricules latéraux, on découvert dans la paroi
latérale
du côté gauche, un peu en avant du milieu du co
le, rouge, sombre et. humide, qui s'étend jusque dans le ventricule
latéral
à travers l'épendyme déchirée. Du reste, le c
t la pie-mère en partie épaissies. Puis, il se révèle dans la paroi
latérale
du ventricule gauche une cicatrice de forme kys
centre dilatateur dans le bulbe, elles descendent, dans la colonne
latérale
de la moelle, jusqu'au centre cilio- spinal dan
région cervicale et la radiographie en montre au niveau de la face
latérale
gauche des vertèbres et en avant d'elles. 368 C
lessé le 19 mars 1919 à S... Plaie par éclat de grenade à la région
latérale
droite du cou. Troubles de la respiration avec
région scapulaire postérieure droite, plaie pénétrante de la région
latérale
du cou, volumineux hématome, syndrome d'hémipar
iose à convexité droite dans la région dorsale, due à l'inclinaison
latérale
droite du tronc. A deux travers de doigt au-des
que quelques minu- tes, et ne tardait pas à reprendre le décubitus
latéral
. Plus tard, quand il a commencé à marcher, il é
e et descend jusqu'à la nuque ou jusqu'aux parties infé- rieures et
latérales
du cou, où elle s'arrêLe généralement. Les élance
rieure (portion dorso-lombaire) est tournée à droite. A la courbure
latérale
supérieure se rattache une proéminence très acc
ion scapulaire droite, et à la déviation inférieure une inclinaison
latérale
du bassin qui explique l'inégalité des membres
creux poplité. Au-dessous du tendon rotulien, il forme deux reliefs
latéraux
, très importants à connaître pour la morphologi
es cornes antérieures au niveau du renflement lombaire. Les cordons
latéraux
depuis le renflement cervical jusque dans la ré
es cornes anté- rieures est altéré, ainsi que les tubes des cordons
latéraux
; on y re- marque lafragmentation de la myéline,
tro- sternale. Il n'existe pas de déviation antéro-postérieure ni
latérale
de la colonne dorsale et lombaire. D'une façon
ée ;1 s'appliquer sur le. maxillaire Infé- lieur et sur les parties
latérales
lie la bouche. - C, Bouton collé sur la mcmbr.mc
antérieur, plus petit, comprend deux noyaux médians et deux noyaux
latéraux
(Darkschewitsch); l'autre postérieur, beaucoup pl
lysie labio-glosso-laryngée appartient nécessairement à la sclérose
latérale
amyotrophique : c'est une erreur. Outre cinq ou s
ralysie glosso-labio-laryngée dégagée de toute lésion des faisceaux
latéraux
, il faut ajouter aujourd'hui deux nouveaux cas de
issement : a, cornes antérieures; b, cornes postérieures; c, cordon
latéral
; d, cordon postérieur. Fig. 2. - Coupe de la mo
ique : quelques contractions dans les faisceaux supérieurs. Muscles
latéraux
: contractilité conservée. 21 février. - Amélio
iveau. La tête est dans la rectitude physiologique. L'inclinaison
latérale
du tronc du côté sain s'est complètement effacé
uvé leur ampli- tude et leur étendue physiologiques : l'inclinaison
latérale
à droite et à gauche s'exécute dans les limites
s non toujours) en vertu d'une contraction muscu- laire des muscles
latéraux
du tronc. Plus tard, sous l'influence de l'ha-
a été lésée était accélérée par l'absence physiologique des cordons
latéraux
chez les animaux nou- veau-nés, et par leur des
aumatiques n'est dans une certaine dépendance de l'état des cordons
latéraux
, que parce que ceux-ci desservent les communica
LITES ET POLYNÉVRITES. 279 accélératrice que la section des cordons
latéraux
exerce sur la marche de l'atrophie d'origine ar
dans la zone radiculaire postérieure droite. Presque tout le cordon
latéral
gauche est envahi également, mais les lésions y
ns accentuées : elles existent, plus faibles encore, dans le cordon
latéral
droit. La planche XLV montre une partie de ce der
ales et une partie de la substance fondamentale des cordons antéro-
latéraux
sont respectées par la lésion, qui présente de pl
iculaire aux sil- lons antéro-postérieurs de la moelle; les cordons
latéraux
présentent un léger degré de dégénérescence.
rale de la coupe de l'axe spinal est-elle respectée : la sclé- rose
latérale
descendante s'y remarque également. Il s'agit d
rieure altérée ; c, Foyer vasculaire ; d, Cordon antérieur; e, Cordon
latéral
; f, Cordon postérieur. Planche 1 LIV. - Sclér
n plaques. Région pou altérée ; a, Cordon antérieur sain; b, Cordon
latéral
peu lésé; c, Cordon latéral assez sclérosé; d, Pl
e ; a, Cordon antérieur sain; b, Cordon latéral peu lésé; c, Cordon
latéral
assez sclérosé; d, Plaque très altérée de la zono
, Partie saine; b, Zone mar- ginale peu sclérosée; c, c', Faisceaux
latéraux
très altérés; d, Région du faisceau de Turck sc
sud du bâtiment des bains, dessert tous les services. Des galeries
latérales
aboutissant il la buanderie et il la cuisine, o
tiques paraissent un peu rétrécies. RÉFLEXIONS. 9 Les ventricules
latéraux
sont manifestement dilatés, sur- tout le droit.
us en plus faibles. 1891. Accès de colère et de cris. - Balancement
latéral
de la tête et antéro-postérieur du tronc; grima
nc et l'abdomen. Quelques poils noirs, assez longs, sur les parties
latérales
de la verge. - Le pénis est long de 5 centimètr
spect normal. Le trigone, les noyaux gris centraux et le ventricule
latéral
semblent sains. Çe1'oeletetbulbe : rien de part
59 centimètres. La colonne vertébrale ne présente pas de déviation
latérale
. L'incurvation antéro-postérieure n'est pas ang
u niveau des lombes. L'enfant porte sur les parties postérieures et
latérales
du thorax une dizaine de cicatrices de forme ob
voir le 3" ventricule qui commu- nique largement avec le ventricule
latéral
du même côté, dont le porus n'est que la contin
le l'OHENCEPHALIE vraie. et on tombe directement dans le ventricule
latéral
. Le plan- cher du troisième ventricule n'est pa
te un balancement unléro-poslérieur du tronc, ou un balao- cement
latéral
; d'autres fois on observe un mouvement t de rot
tion entre la surface de l'hémisphère atteint et le vejîr'v tricule
latéral
. Les bords du pontes ne sont pas creuse^ à pic;
millimètres et le droit, 3o millimètres ; chez Viv ? le ventricule
latéral
droit est ouvert dans toute son étendue, jusque
hydrocéphale, et cela rapproché de l'énorme étalement du ventricule
latéral
du côté droit de l'hémisphère, on ne serait pas
arquable. Hémisphère droit.- La se fait facilement. Le ventricule
latéral
, la corne d'Ammon, les masses grises, n'offrent t
de la face inférieure sont lisses. - Les noyaux gris, le ventricule
latéral
n'offrent rien à signaler. Autopsie : tubercu
. La face interne est d'apparence absolument saine. - Le ventricule
latéral
est un peu dilaté. - Les noyaux gris centraux e
n très accusée du corps calleux sur toute son étendue. - Ventricule
latéral
dilaté. - Corps strié et couche optique peu vol
- noïdal. - Le corps calleux, sa circonvolution (t 1(i ventricule
latéral
n'ont rien d'anormal. - Le corps strié, la couche
e des dentelures, est libre dans toute son étendue. Sur les parties
latérales
de chaque côté, on peut insinuer un crin de bro
nsula est très volumineux. Rien de particulier dans le ventricule
latéral
, la corne d'Ammon, la couche optique, le corps
un plan plus reculé que la bosse pariétale droite. Bosses frontales
latérales
très peu marquées. Légère bosse frontale moyenn
ps calleux est blanche et considérablement atrophiée. Le ventricule
latéral
est notablement dilaté, la couche optique, le c
des lésions scléreuses et des nodosités atrophiques..Le ventricule
latéral
ne parait pas dilaté. La couche optique, le cor
ntraux, des tubercules quadrijumeaux et du pédoncule. Le ventricule
latéral
est un peu dilaté. Hémisphère cérébral gauche.
tique. Cet état est dû à la dilatation très prononcée du ventricule
latéral
, que nous constaterons à la face interne. Cette
ymptomatique entrainant fata- lement une dilatation des ventricules
latéraux
et du troisième ventricule. A cet égard, les ob
lules siégeant dans la cavité , dû.4 ueütricule . et sur la, partie
latérale
du bulbe -et du .cervelet ? Hydrocejjlialie : d
ssiné sur les deux pariétaux. Le crâne est asymétrique et la région
latérale
gauche est aplatie. La bosse frontale de ce côté
italique très allongé ; elle devient un peu sinueuse à ses parties
latérales
. La suture sagittale, d'abord rectiligne et lég
de dentelures. La bosse frontale est transparente dans ses parties
latérales
. Les autres sutures montrent des dentelures trè
ute la jambe.Le même phénomène peut être provoqué dans le décubitus
latéral
, les jambes étant au repos et demi-fléchies. Ce
lissement jaune-gris ; il occupe la partie antérieure du ventricule
latéral
et englobe la plus grande portion du noyau lent
e au niveau des renflements. Atrophie et dégénérescence des cordons
latéraux
. C'est, pour M. Bechterevv, à l'anesthésie du s
ramification extrêmement riche de den- drites hérissées de pointes
latérales
. La variété d'aspects de ces cellules suivant l
e compliquée et possèdent-elles quantité de dendrites et de pointes
latérales
, tandis que les autres sont pourvues de prolong
s autres sont pourvues de prolongements peu rami- fiés sans pointes
latérales
? ' ? 46 REVUE d'anatomie ET DE .physiologie pa
a cellule qu'à ceux du cylindraxe (Shinkischi-Ilataï) ; les pointes
latérales
elles- mêmes, propres aux dendrites, ont été ob
du protoplasme dans les fines masses des dendrites. Et les pointes
latérales
? Koelliker, \Ieyer et autres, tendent à les re
en, Cajal, Duval, Bechterevv, Ileger, Cure- vvitsch.) Ces pointes
latérales
seraient destinées au contact des neurones, (va
ellules corbelliformes. SoukIIanow a fait remarquer que les pointes
latérales
sont principalement l'apanage des cellu- les à
s dendrites. Le corps de la cellule, les dendrites et les pointes
latérales
, re- présentant un protoplasma disposé d'une ce
é delà r°an21/icrt- tion des dendrites et leur abondance en pointes
latérales
amplifient le périmètre et la surface de l'élém
ation de leurs dendrites,ainsi que par la quantité de leurs pointes
latérales
. Ces éléments sont les cellules les plus import
rieure des cellules, plus elles sont riches en dendrites et pointes
latérales
. · On trouve aussi suivant les particularités f
nts proloplasmiques ; la richesse de cer- tains éléments en pointes
latérales
peu abondantes sur d'autres; la complexité grad
. le Prof. l3alssAUU. Cécité verbale pure avec hémianopsie homonyme
latérale
droite. Persistance de la sensation de lumière
la périphérie, des noyaux qu'il ne faut pas confondre avec le noyau
latéral
. Ils appartiennent aux noyaux arciformes à rais
la moelle, dans l'hemaiomyelie centrale et l'apo- pleaie du cordon
latéral
de la moelle, dans le tabès, dans la pachyménin
la substance grise, cordon anLéro-laLral et finalement péri- phérie
latérale
de ce cordon, suivant toute probabilité le faisce
segment de la moelle lésé correspondant. 9. Toute lésion du cordon
latéral
y compris sa périphérie latérale où le faisceau
spondant. 9. Toute lésion du cordon latéral y compris sa périphérie
latérale
où le faisceau de Gowers en- gendre constamment
oisée, produite par une lésion de la substance blanche ou du cordon
latéral
y compris le faisceau de 126 REVUE D'ANATOMIE E
-analgésie totale croisée, produite par une lésion de la périphérie
latérale
du cordon latéral ou du faisceau de Go- wers es
roisée, produite par une lésion de la périphérie latérale du cordon
latéral
ou du faisceau de Go- wers est environ à six' o
iplégie ou d'une hémiparaplégie possibles, affirmer que le faisceau
latéral
des pyramides n'a pas été sectionné, que la par
eils. )1\I. IOUTIhR et Robert Grasset montrent un cas de sclérose
latérale
amyotropliique évoluant depuis six ans et dont la
de meurt en janvier 1905. Al'autopsie : Dilatationdes ventricules
latéraux
, pasd'athé- rome des artères cérébrales, plaque
niveau des cordons anté- rieurs et delà région ventrale des cordons
latéraux
, c'est- à-dire, en somme, dans le faisceau fond
si que les artères vertébrales (1). Des deux côtés, les ventricules
latéraux
, les cornus d'Ammon, les couches optiques, les
lixiqVe mentale, donnent une idée exacte (déviation antérieure et
latérale
du tronc, inclinaison de la tète, bouche, héant
lésion exacteiiieiilloci- lisée aux groupes cellulaires centraux et
latéraux
des 3° el -'m mjclolomcs cervicaux. L'intéres
s fibres saines sont rares, cependant certaines régions des cordon»
latéraux
en contiennent une grande majorité. Il y a para
la marche en avant. Son rôle esl d'a ? sul'l'l'l'('l(uilihl'alinl1
latérale
du tronc si elle <Ol'IHN' à l'inflexion laté
l(uilihl'alinl1 latérale du tronc si elle <Ol'IHN' à l'inflexion
latérale
de la ('(donne venlubralc rln rôle où porte le
, .'1. Lannui, pense que le pus s'était collecté au-dessus du sinus
latéral
eL awitsuivi, ]iour faire issue au dehors, une
alade est celui d'une holwmyélitu cltrunitluo et non d'une sclérose
latérale
all1)'oll'ophique, L'h olulion assez rapide de
llatérale supplémentaire par les vaisseaux sanguins et lymphatiques
latéraux
et postérieurs de la moelle, et cela jusqu'au m
iste encore un éclaircissement dans la moitié postérieure du cordon
latéral
. ... La dégénération dans le faisceau de Turk e
SUR LA PATHOGÉNIE DES ALTÉRATIONS MEDULLAIRES. 140 dans les cordons
latéraux
) A un fort grossissement,ce qui frappe surtout
oelle sont cependant plus abondants ¡'¡ la partie externe du cordon
latéral
, dans la moitié postérieure des cordons postérieu
ure des cordons pos- térieure el dans la partie interne des cordons
latéraux
où la perte en libres nerveuses est au maximum,
rve des grains noirs peu nombreux existant seulement dans le cordon
latéral
et. dans ceiui-ci, seulementdans le cltamlt Ilu
Myélites aiguës. Paralysie infantile. Sclérose en plaques. Sclérose
latérale
amy-otrol7hique. Syringomyélie. Tabès ; Scléros
De la genèse du pied plat valgus par la paralysie du long péronier
latéral
, et du pied creux valgus par contracture du long
ier latéral, et du pied creux valgus par contracture du long péronier
latéral
. Mémoire adressé à la Société de chirurgie en 186
ant sur une articulation ginglymoïdale n'y déterminera des mouvements
latéraux
; il sera fléchisseur ou extenseur, suivant qu'il
A droite, contraction électrique moyenne du sourcilier, avec regard
latéral
; expression attention douloureuse. A gauche, co
uche, contraction volontaire et légère du frontal, avec regard un peu
latéral
: attention, regard attentif. Fig. 27. — Même e
rgique du transverse du nez chez deux sujets dont la peau des parties
latérales
du nez se plisse ou se ride facilement. On voit q
la narine en arrière est plus accentué; enfin que la peau des parties
latérales
du nez s'est plissée parallèlement à la direction
ixe de ce muscle. Tout le monde comprend pourquoi la peau des parties
latérales
du nez, refoulée en haut et en avant, s'est couve
ans laquelle il se termine, supérieurement, à la partie inférieure et
latérale
de la joue, et infé-rieuremeut, au niveau de la p
. 69. — Même tête, dont les lignes frontales et le modelé des parties
latérales
du front sont mis en harmonie avec l'obliquité et
sourcil par la contraction du sourcilier; mais le modelé des parties
latérales
du front est impossible. Fig. 71. — Même tête,
rales du front est impossible. Fig. 71. — Même tête, dont la partie
latérale
du front est modelée comme dans la nature, et com
ssent limités à la partie médiane du front, sans que, sur les parties
latérales
de ce dernier, il se formât des méplats semblable
ister que sur la partie moyenne du front, tandis que, sur les parties
latérales
de cette région, la peau est nécessairement tendu
our la plupart, applicables au Laocoon de Rome. Le modelé des parties
latérales
de son front est une fanlaisie de l'artiste Àgésa
rts naturels des lignes médianes du front et du méplat de ses parties
latérales
avec l'obliquité et la sinuosité du sourcil, comb
peu léger des commissures labiales de la jeune tille et l'inclinaison
latérale
de sa tète ajoutent un peu d'abattement et de déc
e moyenne, et être modelée d'une manière particulière sur ses parties
latérales
, ainsi que je l'ai montré dans toutes les expérie
istence et plus difficile dans sa théorie que le chapitre du cordon
latéral
et de ses rapports avec les contractures. Tout
: 1" contracture tardive permanente des hémiplégiques ; 2° sclérose
latérale
amyotrophique; 3° tabès spasmodique; 4° tabès c
e ascendant) sont des cellules petites, il dendrites descendants ou
latéraux
courts, dont un ou plusieurs prolongements mont
xcitation du tiers supérieur de cette zone produirait une déviation
latérale
, et un abais- sement des globes ; l'excitation
is- sement des globes ; l'excitation du tiers moyen, la déviation
latérale
simple; l'excitation du tiers inférieur, la dévia
on latérale simple; l'excitation du tiers inférieur, la déviation
latérale
avec élévation. Fritsch et Hitzig, Ferrier, Bee
éviation conjuguée de la tête et des yeux associée il l'hémianopsie
latérale
. Cette forme n'est pas décrite iso- lément dans
traités classiques : cependant on peut dire que dans l'hémianopsie
latérale
homonyme, elle ne manque à peu près jamais. Seu
attention sur un léger degré de paralysie faciale, sur la déviation
latérale
des yeux presque constante, avec par- fois dévi
n 14, même état de résolution; paupières'abaissées, léger nystagmus
latéral
; la déviation de la tête et des yeux a disparu
de la pulpe de rate, très abondant. Le sang s'écoule du ventricule
latéral
de l'hémisphère droit ; ce dernier étant vidé,
une consistance à peu près nor- male. On trouve dans le ventricule
latéral
quelques caillots venant de l'hémisphère droit.
u côté opposé à la lésion. En effet, le sang venant des ventricules
latéraux
, passe à travers le plancher du quatrième ventr
empêché par la compression du foyer hémorragique. Les ventricules
latéraux
sont tantôt à l'état de vacuité, tantôt remplis
oadbent fait remarquer que lorsque le sang a envahi les ventricules
latéraux
, la corne descendante du côté lésé est toujours
e la scissure de Sylvius et de la corne descen- dante du ventricule
latéral
. Le coma donc ne deviendra pro- fond que lorsqu
ses de la cyclopie dépendent d'une soudure précoce des deux parties
latérales
du tube cérébro-médullaire qui se rejoignent à
rose périphérique généralisée à la région dorsale dans les colonnes
latérales
surtout, plaques de sclérose irrégu- lières, pl
z des chiens soumis à la destruction du lobe mé- dian, d'une moitié
latérale
et à la destruction complète du cerve- let : 1°
interne; 7° Les trous pénètrent fréquemment dans les ventri- cules
latéraux
parceque le corps calleux vers lequel se dirige l
equel se dirige la membrane du ti ou est le couvercle du ventricule
latéral
; - 8° Le mécanisme de la formation de lacunes
avers la partie externe du corps restiforme vers lé noyau du cordon
latéral
du même côté et en partie à travers les fibres
du nerf acoustiquedu même côté (par l'intermédiaire de la racine
latérale
du nerf acoustique), et celui du côté opposé (par
trêmement pénible ; il est impossible de placer la face en position
latérale
gauche. Miction et défécation involontaires. De
centres encé- phaliques de perception, probablement par le faisceau
latéral
mixte. Mais la perception ne se faisant pas, no
ans doute à l'endroit de l'entrecroisement des fibres du faisceau
latéral
mixte ; là, par des fibres commissurales dont l'e
viron de diamètre. La peau recouvre la face supérieure et les faces
latérales
de la verge, mais la face inférieure est à nu ;
sorte de pont, et va ensuite se confondre avec celle des régions
latérales
. La verge ainsi recouverte d'un prépuce incomplet
e externe de ramifications vasculaires irriguant surtout la corne
latérale
et le groupe postéro-externe de la substance gris
s des cellules nerveuses, loca- lisées principalement dans la corne
latérale
, étaient plus ou moins prononcées ; elles allai
s incisives médianes supérieures larges en fer de bêche; l'incisive
latérale
droite s'imbrique sur l'incisive voisine, la ca
escendantes. Résumé. - I. Faisceaux qui à la suite de l'hémisection
latérale
de la moelle dégénèrent dans la moelle en haut
insi se forment un cordon postérieur médian et un cordon postérieur
latéral
; 2° le faisceau cérébelleux des cordons latéra
cordon postérieur latéral ; 2° le faisceau cérébelleux des cordons
latéraux
dégénère toujours dans toute son étendue en hau
ivi jusque dans le bulbe. II. Faisceaux qui après l'Ieémisectiott
latérale
de la moelle dégénè- rent dans le cervelet. - D
probablement au segment antérieur du faisceau cérébelleux du cordon
latéral
(lî-(icizis cérébellospinul antérieur). Le seco
le pédoncule cérébelleux inférieur, dans le bulbe et dans le cordon
latéral
. Ce long faisceau correspond au tractus céré6el
res antérieures et posté- rieures du faisceau cérébelleux du cordon
latéral
. Les libres posté- rieures de celui-ci occupent
cavités centrales de l'isthme, s'incorpore au faisceau longitudinal
latéral
, et se dirige en bas ; parvenu à la hauteur du
sur l'extrémité inférieure de la frontale ascendante. Le ventricule
latéral
renlerme quelques granu- lations épendymaires.
uent facilement sur toute la surface de l'hémisphère. Le ventricule
latéral
ren- ferme quelques granulations épendymaires.
n'atteint que les éléments sous-jacents au plancher du ventricule
latéral
; il existe un ramollissement dont le pourtour seu
moelle lombaire où il existe encore un petit foyer dans le coi- don
latéral
. Il est certain que la région moyenne de la moell
amolli les parties cé- rébrales adjacentes, et a produit des masses
latérales
, par infil- tration de la capsule enveloppante.
musculaire progressive mopatlique ou myélopathique, ni la sclérose
latérale
amyotrophique ne présentent des localisations a
nchements san- guins, profondément situés, occupent toute la région
latérale
du cou. - Le malade n'a pas présenté un état de
eure mesure environ 12 cent., la base inférieure 8 cent., les bords
latéraux
9 cent. La matité cardiaque . par sa partie sup
lité. En outre de la Lige de fer, l'appareil comprend : deux pièces
latérales
pour les aisselles, une pièce médiane subdivisa
il sentira qu'il quitte le sol, de façon à éviter les déplacements
latéraux
, les mouvements de torsion. Le malade a quitté
'acné. La colonne vertébrale est déviée, il y a une légère courbure
latérale
à concavité gauche, courbure portant surtout su
nous avons pu en suivre le trajet. L'urètre occupe d'abord la face
latérale
gauche de la verge dans loute sa moitié antérie
centre ovale fut trouvé pâle et con- sistant. Dans les ventricules
latéraux
et dans le troisième ventricule il y avait envi
osés sur les parties 944 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
latérales
de la selle turcique, dans les fosses médiane et
ÊTRIÈRE. latérales de la selle turcique, dans les fosses médiane et
latérale
de la hase du crâne. , La glande pituitaire p
es, occupant le dos du poignet et s'étendant un peu sur les parties
latérales
de celui-ci. En haut, cette plaque se confond i
es du système pileux à ce niveau. Au niveau du cou, sur les parties
latérales
, on voit avec un peu d'attention un tacheté pig
jetée directement en arrière, en extension forcée, sans inclinaison
latérale
. Le tronc est, lui aussi, penché en arrière, da
de telle sorte que la colonne vertébrale décrit une double courbure
latérale
, concave à droite, au niveau de sa portion dors
on développement est égal des deux côtés. « Mais, sur les parties
latérales
de la face, la même asymétrie déjà signalée sur
orte à droite deu facettes articulaires, l'une située sur la partie
latérale
du corps, l'autre sur l'apophyse transverse cor
grêle; à gauche il n'y a pas de facette articulaire sur les parties
latérales
du corps, mais seulement sur la petite lame qui
grosse, arrondie avec rehaussement des lignes obliques ; la parlie
latérale
est aussi plane que d'habitude, mais beaucoup p
e allongée avec partie frontale étroite, se montre dans ses parties
latérales
notablement mince dans la fosse tem- porale ; s
e est mince, en lout cas elle n'est pas épaissie. Les ven- tricules
latéraux
, un peu élargis; contiennent un sérum clair. Le
volume, elle se juxtapose comme une large lame jaunâtre à la partie
latérale
droite de la tumeur. La tumeur de l'hypophyse
ion n'offrait de particu- lier que sa localisation, sur les parties
latérales
du tronc et- sur les bras. Au point de vue obje
on pouvait porter dans la circons- tance, le diagnostic de sclérose
latérale
amyotrophique, étant donné l'atrophie des membr
res ne sont pas soudés sur la ' ligne médiane, leur suture palatine
latérale
est très nette sur une longueur de 1 centimètre
ètre transversal, 22 mill.; antéro-postéreur 15 mill.). Les parties
latérales
se relèvent assez peu, mais en avant est une lame
t finement rugueuse (longueur 30 mill.; largeur 28 mill.). Le sinus
latéral
droit est seul marqué sur l'oc- cipital; sur la
es; 11 mill. pour la partie droite de la 5). Outre l'affaissement
latéral
, il existe une torsion des vertèbres dorsales s
. du sommet de la co- ronoïde. Elle est unie à chacun de ses angles
latéraux
par deux fortes crêtes en V. Crête saillante un
petit nombre, on peut suivre jusque dans la moelle jusqu'au cordon
latéral
du côté opposé. La lésion isolée du centre cort
cessivement à une atrophie musculaire progressive et à une sclérose
latérale
amyotrophique. A l'autopsie, au lieu de gros fo
introduit perpendiculairement la canule jusque dans les ventricules
latéraux
dilatés ; on aspire le contenu des ventricules,
e des olives et du ruban de Reil avec conservation du ruban de Reil
latéral
et du corps trapézoïde. Il existe une forte dégén
amides qui ne s'entrecroisent pas et occupent d'ordinaire le cordon
latéral
, et que dans la moelle des mammifères où il n'e
toutes les fibres, entrecroisées ou non, peuvent occuper le cordon
latéral
, chez l'homme, les fibres, qui ne s'entrecroisent
n au cordon REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 153
latéral
croisé des pyramides, mais au cordon latéral des
GIE PATHOLOGIQUES. 153 latéral croisé des pyramides, mais au cordon
latéral
des pyramides du même côté. D'après la descri
e cérébra ira, dans la moelle produire une dégénérescence du cordon
latéral
du côté opposé ainsi qu'une dégénérescence du c
cordon latéral du côté opposé ainsi qu'une dégénérescence du cordon
latéral
du même côté notablement plus considérable qu'e
sule interne. On constate une dégénérescence considérable du cordon
latéral
du côte opposé ; dans le cordon antérieur du mê
sent un cordon antérieur des pyramides réduit au minimum, le cordon
latéral
du même côté contient simple- ment, dans la par
ur des pyramides ne se substi- tue pas du tout aux fibres du cordon
latéral
des pyramides qui ne s'entrecroisent pas, il co
tigu au côté externe du ruban de Reil médian. A la hauteur du noyau
latéral
de l'étage supérieur des pédoncules cérébraux,
rit une courbe brusque pour pénétrer en plein dans le ruban de Reil
latéral
, mais, sans s'y éparpiller, il longe le territo
osé de fibres des deux côtés, occupe le territoire du ruban de Reil
latéral
, fournit un trousseau au tubercule quadrijumau
présentant, depuis quatre ans, comme seul symptôme, une hémianopsie
latérale
droite survenue avec plusieurs ictus. On trouve
réalité de l'épaississement osseux, l'ossifica- tion des ligaments
latéraux
interne et externe du genou. Depuis, les épanch
our les mouvements d'en haut et d'en bas, tandis que les mouvements
latéraux
des yeux s'effectuent bien mais, avec un léger
re autre, que les premières sont couvertes d'une masse d'appendices
latéraux
particuliers, portant divers noms ; Ramon y Caj
tation quantitatif par rapport aux cellules (Flechsig). La partie
latérale
du ruban de Reil principal fournit-elle les pri
e des olives, qui ne contient que peu de fibres du noyau de Burdach
latéral
, va jusqu'au corps trapézoïde (de la pro- tubér
rps trapézoïde, et la partie qui continue donne des fibres au noyau
latéral
supérieur 324 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
tion des trousseaux de la formation réticulaire ou restes du cordon
latéral
. A la partie la plus inférieure du pédoncule cé
médian de la couche optique et dans les parties mitoyennes du noyau
latéral
où il se termine. Notons que, le pulvinar n'éta
u de fibres à myéline puissant, allant du ruban de Reil principal
latéral
aux deux segments internes du noyau lenticulaire
s évidents dans le pied du pédoncule. C'est entre les prolongements
latéraux
du pédoncule qu'on constate d'abord quelques fi
t plus épais ; ses fibres sont, en bas, entourées des prolongements
latéraux
du corps de Luys, en haut circonvenues par tous
érieure une déformation du lobe droit. Une hémorragie du ventricule
latéral
droit du cerveau a déterminé de ce côté une pre
nir l'élément ner- veux qui dépérit, je prescris : 1° Les douches
latérales
de Charcot. Sur le dos sous la pression de 2 à
d'un cercle (section tranverse), à égale distance du raphé, du bord
latéral
et antérieur de l'isthme, du bord antérieur de
au moyen, se dirige sur la partie anléromédiane du champ postéro-
latéral
de la paroi de l'infundibulum; il occupe, à la ha
En bas, la lésion étant limitée à la moelle cervicale, les parties
latérales
droites du faisceau de Burdach ne tardent pas à
h ne tardent pas à apparaitre saines dans la région des contingents
latéraux
du cordon postérieur. Il demeure en revanche un
ssède trois digitations bifurquées. Des deux côtés, les ventricules
latéraux
et les masses centrales n'ont rien à signaler.
ren- céphalie vraie, de communication du foyer avec le ventricule
latéral
et il existe, entre le foyer et le ventricule une
lles, en effet, se servant surtout de la lame médullaire médiane et
latérale
ainsi que la couche blanche inter- médiaire au
Ce système entre en rapport avec la couche optique par des rameaux
latéraux
. Il est surtout formé des fibres longues du noy
située autour du sillon de Rolando que part le système du cordon
latéral
des pyramides, autrement dit une partie des faisc
de la rétine, l'hémianopsie du quadrant en question étant toujours
latérale
. Cette hémianopsie étant demeurée permanente pe
postérieures et médianes. Plus tard et à moindre degré, les cordons
latéraux
sont atteints surtout au niveau des faisceaux p
che de la moelle. L'auteur développe un parallèle entre la sclérose
latérale
et l'hystérie, particulièrement en ce qui conce
veine Galienetsurles hémisphères qui étaient pâles, les ventricules
latéraux
contenaient beaucoup de liquide. La pie-mère pà
convolutions sont arrêtées dans leur développement. Le ventricule
latéral
n'est pas dilaté. Le long du sillon opto-strié,
pour mémoire, les traînées de nodosités scléreuses des ventricules
latéraux
et les petits néoplasmes des reins, lésions qui
dales sont.volumineuses, cryptiques; quelques végétations adénoïdes
latérales
; l'amygdale de Luchka recouvre le tiers supérie
supérieure. Sclérose de la périphérie de la moelle dans les cordons
latéraux
dans toute la région dorsale. Sclérose des cordon
ions à l'appui, que ce phénomène est rarement binasal, plus souvent
latéral
et très sou- vent localisé à gauche. L'hémianop
nts associés des yeux. Cette partie occupe la portion antérieure et
latérale
de l'extrémité antérieure de la deuxième circon
a substance grise sous-épendymaire, qui forme le toit du ventricule
latéral
, dans le corps calleux, dans les circonvolution
le corps de Luys, dans le champ H de Foret et enfin dans la partie
latérale
du pied du pédoncule cérébral. On voit presque
rtie antérieure de la commissure postérieure il atteint les limites
latérales
de la calotte. Sa situation plus bas peut être
amide et dans le ruban de Reil médian et même dans le ruban de Reil
latéral
du côté correspondant et enfin une dégénérescence
ent de vastes laboratoires de chimie, de physiologie. Les pavillons
latéraux
ont, au premier étage, les logements des médeci
vient du pavillon central s'est élevé à 137.500 francs. Pavillons
latéraux
. De nombreux problèmes se sont posés à propos d
s, aux aliénés paisibles et aux « ner- veux J'. Les deux bâtiments'
latéraux
servent au logement des malades de deuxième et
érébraux. Malformation des lobes occipitaux dans lesquels les sinus
latéraux
se sont creusés des sillons profonds ; le D'
génitale. Ils sont creusés d'un sillon profond pour loger les sinus
latéraux
. Le sinus longi- tudinal, qui leur donne naissa
(./ou)' ? : . de Neurologie, 19CO, n° 8.) XXXII. Un cas de sclérose
latérale
amyotrophique avec phéno- mènes bulbaires; par
musculaire progressive, ni d'une syringomyélie, mais d'une sclérose
latérale
amyotrophique. G. D. XXXIII. Un cas d'épileps
e aux scléroses, Tùrck décrivait une sclérose primitive des cordons
latéraux
; on a prétendu en faire le substratum du tabes
au pyramidal croisé. Charcot nous fit ensuite connaître la sclérose
latérale
amyolro- phique, qui établissait comme un trait
e, et elle a pour substratum fondamental une sclé- rose des cordons
latéraux
, associée à une atrophie des cellules tropho-mo
Hughlings-Jackson avait reconnu les rapports de l'épilepsie uni-
latérale
avec des lésions de l'écorce grise, cantonnées da
e, petites, atrophiées, compactes et minces, et que les ventricules
latéraux
sont de faible capacité. Du bref résumé histori
ve dans l'hydrocéphalie congénitale une extension des ventri- cules
latéraux
dans leur long diamètre; alors que dans les cas
lie du petit doigt, qui est anormalement court, avec un déplacement
latéral
de la phalange terminale donnant une apparence
aissant la lame orbitale nue et découvrant une partie du ventricule
latéral
(Affections mentales des enfants, p. 51. Planche
es parties affectées étaient le troisième ventricule, le ventricule
latéral
droit, le lobe occipital droit, la face convexe
en, plus large que les deux autres, est immobile; les deux segments
latéraux
, au contraire, sont mobiles autour d'un axe ver
épaisses, et la partie médiane peut être fermée à clef, les parties
latérales
restant mobiles sur leur axe vertical. Au greni
des cordons postérieurs ; Deuxième type. Paralysie avec sclérose
latérale
de la moelle : les réflexes sont exagérés; Tr
et la voie rubro-spinale. Ces deux voies descendent dans le cordon
latéral
de la moelle épinière où elles sont formées tou
passent en avant de l'olive bulbaire et descendent dans la partie
latérale
du bulbe, soit en arrière de l'olive, soit en ava
homolatét'ales profondes qui décapitent la corne antérieure homo-
latérale
et descendent dans la partie postérieure et moyen
érale et descendent dans la partie postérieure et moyenne du cordon
latéral
homolatéral de la moelle, c'est-à-dire dans la ré
lésions pariétales s'étendaient en profon- deur jusqu'au ventricule
latéral
. Les douze lésions centrales (six hémorragies d
trophie musculaire, qui peut être sous la dépendance de la sclérose
latérale
amyotrophique, de la syringomyélie, de la lèvre
iste une lésion organique ou une atteinte fonctionnelle des cordons
latéraux
, les orteils s'étendent mais il est impossible de
elte extension un signe i Ltliognomoniclue d'altération des cordons
latéraux
. M. Schuler a trouvé la flexion réflexe des ort
énorme de cellules pyramidales étaient privés de leurs appendices
latéraux
pyriformes ; ils étaient devenus tout à fait liss
ramidales n'étaient pourvus que d'un très petit nombre d'appendices
latéraux
pyriformes situés à des distances très considér
uns des autres ; les cellules, débarrassées de leurs prolongements
latéraux
pyriformes, avaient encore quelques prolongemen
vaient : de nombreuses cellules abondamment pourvues d'appen- dices
latéraux
; et d'assez nombreuses cellules moins richement
ongements protoplasmiques isolés manquent totale- ment d'appendices
latéraux
pyriformes. P. Keraval. XXIX. Sur le retour du
r Babinski, i, 167. - en plaques avec fou rire, par Crocq, 221. -
latérale
amyo- trophique par Crocq, 221. Sciatique. Né
ses extrémités digitales demi-fléchies, heurte simplement la partie
latérale
du front. Ces contractions s'accomplissent pres
s, les parties découvertes du visage, le milieu du front, la partie
latérale
du nez, présentent une teinte légèrement vio- l
20 0 , PATHOLOGIE NERVEUSE. l'acte de porter la main' sur la partie
latérale
du nez s'accomplit avec une lenteur relative. C
es, du lobe occipital droit. Dégénérescence secondaire de la moitié
latérale
du segment le plus postérieur de la capsule int
enouillé externe on voit un fais- ceau anormal qui gagne le segment
latéral
du pied du pédoncule cérébral et un autre faisc
l'écorce de l'Insula ; en bas, elle ne se sépare pas de l'atrophie
latérale
, et on la retrouve à l'état de fascicule sclére
phie encore plus avancée du corps genouillé interne et des segments
latéraux
de la couche optique, qui est probablement cons
rconvolution temporale supé- rieure). La dégénérescence du faisceau
latéral
du pied du pédon- cule cérébral se rattache à l
ptiques les éléments qui établissent une relation avec le trousseau
latéral
du pied du pédoncule céré- bral. P. K. XIII.
fibies émanent de la substance gélatineuse, ou plutôt de la partie
latérale
de celle-ci, jusqu'au niveau de la deuxième pai
, de constater une dégénérescence secondaire bilatérale des cordons
latéraux
; la dégénérescence unilatérale apparente du cor-
té. Chez le chien auquel on enlève le gyrussigmoïde, seul le cordon
latéral
du côté opposé dégénère, tandis que tous les se
e typique. On constate dans le premier cas une lésion des cordons
latéraux
, dans le second, une altération des cordons posté
-hyper- trophique, maladie de Thomsen, etc. Ainsi, dans la sclérose
latérale
amyotrophique, par exemple, les auteurs nous mo
SE. CLINIQUE DES maladies DU système NERVEUX. M. CHARCOT SCLÉROSE
LATÉRALE
.1\II'OTROPIIIQUE OU AMYOTROPHIE HYSTÉRIQUE ? D
par conséquent, simuler plus ou moins parfaitement soit la sclérose
latérale
amyotrophique, soit la paralysie du type Duchen
s dans notre dernière réunion et qui répondent l'un à la sclérose
latérale
amyotrophique, l'autre à l'atrophie du type Duc
aît être consécutive ou tout au moins associée à une leucomyélite
latérale
. Mais, ainsi que je vous l'ai fait sentir l'autre
rement sur les faisceaux blancs, et en particulier sur les cordons
latéraux
. Lorsque cette éventualité se réalise dans le r
prenez, soit à l'atrophie du type Aran-Duchenne, soit à la sclérose
latérale
, si elle s'accompagne d'un état spasmodique suf
D'UN MEMBRE INFÉRIEUR. 165 l'avant-pied. Serait-ce donc la sclérose
latérale
amyo- trophique avec son pronostic fatal à brèv
ces symptômes n'appa- raissent jamais dans le cours de la sclérose
latérale
. Ils appartiennent à l'histoire de la syringomy
n des réflexes ten- dineux, c'est précisément le cas de la sclérose
latérale
amyotrophique, envisageons cette hypothèse et p
en sommes pas moins conduits à accepter le diagnostic de sclérose
latérale
amyotrophique de date récente, anormale sans do
rendre dans un cas sem- blable à celui-ci. OB.3ERV,TION. Sclérose
latérale
<tm ! /o<)'op/tt(/M6 ou Amyotrophie hysté
dos des mains présente des durillons arrondis limités par des bords
latéraux
très saillants, dus à des morsures répétées qu'
ide dans le segment antérieur de ce noyau, tandis que son segment
latéral
préside à la fonction des muscles élévateurs du g
un noyau dorsal (supérieur), - des groupes de cellules médianes et
latérales
(le premier de ces groupes continue jusque dans
'auteur tendrait à admettre comme type l'existence d'une sclé- rose
latérale
(paralysie 'spinale spasmodique), presque toujour
Chez les foetus de 28 centimètres de long, les segmeuts·postéro-
latéraux
du cordon postérieur de la moelle lombaire sont é
ffort considérable; son tronc décrit en même temps des oscillations
latérales
, et reste porté en arrière. Il a donc, comme to
osition que précédemment, mais les mains repo- sent sur les parties
latérales
du tronc ou bien sont appliquées l'une sur l'au
massétérin aurait été seulement constaté jusqu'ici dans la sclérose
latérale
amyotrophique, dans un cas de lésion organique bu
à ce dernier ordre de causes. L'hypothèse d'une lésion des cordons
latéraux
doit être écartée d'emblée, car on n'a cons- ta
trouver dans la partie ventrale du lobe temporal, ni sur la surface
latérale
ou ventrale du lobe occipital; procédantsur- to
par Cramer, 291. Saturnine, psychose, 1)al' \Iayer, 91. Sclérose
latérale
amyotrophique ou amyotrophie hystérique ? par
niveau du faisceau pyramidal direct mais surtout dans le cor- don
latéral
au niveau du faisceau pyramidal croisé. Il y a
arence de con- servation des fibres dans la zone bordante du cordon
latéral
ni dans le faisceau cérébelleux. Poids des or
mpte 2 incisives médianes, centrales, définitives ; pas d'incisives
latérales
, 2 canines temporaires, des débris de molaires
ns qu'il soit possible de sentir le corps thyroïde. Sur les parties
latérales
du cou, on trouve une infiltration graisseuse f
deux côtés, la corne d'Ammon, les masses centrales, les ventricules
latéraux
n'ont rien de particulier. Thorax. - Quelques a
d le long des carotides, se fusionnant avec les traînées purulentes
latérales
signalées plus haut. Nous examinons d'abord ave
la pie-mère à l'hémisphère droit. - Pas de dilatation du ventricule
latéral
. Décortication de la pie-mère difficile sur l'h
iétal inférieur et le pli courbe. - Pas de dilatation du ventricule
latéral
. Hémisphère gauche. Décortication difficile sur
l'oesophage et fait issue par un orifice à bords nets, sur la paroi
latérale
gauche de l'oesophage, à 3 cent. 1/2 au-des- su
ce qui reste de la première frontale et on tombe dans le ventricule
latéral
gauche. - On pratique les mêmes incisions sur l
temporal et la plus grande partie du lobe occipital, le ventricule
latéral
, le corps opto-strié tout entier, ainsi que le
impossible de distinguer à l'oeil nu aucun vestige. Le ventricule
latéral
, dont la cavité se confond avec la grande cavit
rqué des membranes du kyste), l'examen du grand kyste du ventricule
latéral
, du plexus choroïde et de l'épendyme ventricula
int une épaisseur d'un centimètre environ de la paroi du ventricule
latéral
à la méninge ; les circonvolutions très atrophi
tanelle antérieure per- siste. Elle est quadrangulaire : les angles
latéraux
sonl; aigus,, l'angle postérieur est arrondi, l
sives centrales sont sorties et les bords libres des deux incisives
latérales
apparaissent à la gencive, les dents sorties so
ière. Les apophyses clinoïdes sont tout à fait effacées. - Le sinus
latéral
gauche renferme un caillot volumineux qui se pr
se fait facilement malgré la minceur de la pie-mère. Le ventricule
latéral
, la couche optique, le corps strié, la corne d'
a substance cérébrale réduite à une mince couche, les ventricules
latéraux
très dilatés et les masses grises centrales atro-
ts durables des parois du cin- quième infundibulum, des ventricules
latéraux
et du troisième ventri- cule du cerveau, enfin
tants et caractéristiques chez les hémorragies dans les ventricules
latéraux
. Sur les maladies con- cernant : rhypophysis ce
a formaline mélangée d'encre de Chine, dans la cavité du ventricule
latéral
sous le corpus callosum à des lapins. 16 (j T
é le crâne environ près de la partie antérieure du corpus du côté
latéral
, chez des lapins et près de l'extrémité transvers
par du chloralliydrate introduit dans l'estomac, à gauche, du côté
latéral
de la ligne méridienne, un peu en arrière de l'
de la commissura anterior, de ses apophyses droites postérieures et
latérales
. Non loin du bord extérieur de la szcbstaztia p
t complètement t intacts et que par contre les crura postérieurs et
latéraux
et taeniae fornicis furent constatés lésés du c
tres nerfs. Si on détruit d'un côté ensuite les voies postérieures,
latérales
et infé- rieures, qui unissent le fornix avec l
dans la sclérose en plaques, dans le tabès combiné,dans la sclérose
latérale
amyo- trophique, dans toutes ces maladies qui s
anent des muscles, par l'exci- tation du tissu conjonctif du cordon
latéral
sur les cornes antérieures de la moelle. Ce qui
ut fort bien arriver qu'il fasse défaut, alors même que la sclérose
latérale
existe, qu'il se manifeste quand la sclérose n'
ment ou comme conséquence des lésions autres que celles des cordons
latéraux
. Il en résulte que la cause fondamentale de la
mbique G1) puis par le corps calleux Gc, par la voûte du ventricule
latéral
Ve et, en dehors de la substance grise épendymair
ement ou la rétraction mar- qué des parties inférieures de la paroi
latérale
du crâne, que j'ai trouvé dans tous les cas. Su
geur de l'occipital (mesuré à la limite de l'écaillé et des parties
latérales
) ou la largeur bizygomatique postérieure (prise a
servé quelquefois, au niveau de cette courbure, de petites fissures
latérales
, que je regarde comme les restes d'une synchondro
este surtout par une rétraction des parties inférieures de la paroi
latérale
du crâne, et par la forme rétrécie que prend le t
la ligne mé- diane, et parla fermeture irrégulière des fontanelles
latérales
. , 2° Formation et persistance de très nombreux
rysme rompu, ouvert soit sous l'arachnoïde, soit dans le ventricule
latéral
. J'ai eu récemment l'occasion d'observer un exe
ur et une partie de la capsule externe sont détruits. Le ventricule
latéral
est comprimé, aplati, non dilaté. Dans l'hémisphè
rimé, aplati, non dilaté. Dans l'hémisphère op- posé. le ventricule
latéral
n'est pas davantage dilaté. L'intérêt de cette
et C. - V° et VI" segments dorsaux. E. Substance blanche du cordon
latéral
de la moelle au point comprimé. SOCIÉTÉ DE NEUR
s faisceaux postérieurs droit et gauche et dans le faisceau antéro-
latéral
gauche (PI. XXIII). La dégénérescence massive d
'aire de granulations noires dans la moitié postérieure du faisceau
latéral
gauche représente la dégénération descendante du
les cor- dons postérienrs et ensuite dans les faisceaux pyramidaux
latéraux
et dans le faisceau de Flechsig. Ils considérèr
; mais d'ordinaire chaque « attaque aiguë » a été strictement uni-
latérale
. La malade dit d'elle-même qu'elles se produise
que les mouvements de rotation à droite et à gauche et d'inclinaison
latérale
. Par contre, la flexion est plus difficile. La
core un segment de cercle presque parfait. 3° De légères cour bures
latérales
: scoliose ébauchée. De haut en bas la co- lonn
ns sa région anté- rieure et présentant des aspérités sur ses faces
latérales
. L'éclatement de cette surface osseuse laisse v
. A la région dorsale, la soudure des lames est limitée aux parties
latérales
qui sont séparées par un espace libre au niveau
ux l'espace laissé libre entre les lames formées par l'ossification
latérale
des ligaments jaunes. Ligaments costo-vertébrau
perles pour les couronnes funéraires a une flexion avec inclinaison
latérale
de la tète, immobilisée dans cette position qui
est cause du strabisme dont j'ai parlé plus haut. Dans les attitudes
latérales
extrêmes des yeux on observe quelques rares sec
roite de la tumeur ventriculaire. Par l'angle externe du ventricule
latéral
, traversant la substance grise sous- épend., la
occupe la place de N. C. et de N. L , jusqu'à l'angle du ventricule
latéral
, laissant entre lui et l'écorce une zone de 2-3 m
triangulaire ; sommet à la hauteur de l'angle externe du ventricule
latéral
; base : celle du cerveau, depuis la ligne médi
refoulée en arrière sans être détruite. Ventricules. Le ventricule
latéral
est peu dilaté à droite, c'est-à-dire du côté o
ubitus et sont en rapport non plus avec l'extrémité mais avec la face
latérale
de l'extrémité inférieure de cet os. Cubitus.
phoïde fait défaut. Comme à gauche, le carpe est luxé sur la partie
latérale
du cubitus ce qui explique que la main soit à a
e de l'auriculaire d'un sujet normal, ne présente pas d'incurvation
latérale
; les mouvements de flexion et d'extension des
ie infantile, au tabes, à la maladie de Frie- dreich, à la sclérose
latérale
amylrophirur., à la paralysie agitante, au mal
ppel. Les réflexes con- trolatéraux. Le réflexe plantaire contro-
latéral
homogène et hétérogène, 210. RAYMOND et ALQUIER
ments sont intéressés, mais d'une façon; incomplète. Les mouvements
latéraux
vers la droite s'exécutent mieux; Le malade n'a
ire sur l'occipital, entre la suture occipito-pariétale et le sinus
latéral
. La craniectomie linéaire est aussi le procédé à
t je me sers ensuite de pinces coupantes de divers modèles dont une
latérale
et une autre, dite décolutrice, parce qu'elle e
iqué une craniectomie occipitale immé- diatement au-dessus du sinus
latéral
, j'ai eu l'idée, après avoir ouvert la dure-mèr
ève brusquement, que tout l'effort se fait surtout dans les parties
latérales
, au niveau des grands obliques. Cependant une foi
contracture que dans les droits antérieurs, tandis que les parties
latérales
de l'abdomen sont souples. En présence de ces
langue est le siège de nombreuses secousses antéro-postérieures et
latérales
, en dehors ou dans la bouche. Elle participe d'ai
erficielles à la face, sur les tempes, sur les joues et les parties
latérales
du cou. La lésion la plus remarquable est une a
uble menton, dans la région sus-hyoïdienne médiane. Sur les parties
latérales
de cette région', au niveau des glandes sous-ma
artie inférieure, aux fesses et à la région sacrée. Sur les parties
latérales
l'aspect ridé est assez marqué. Au niveau des m
188 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. sion ou d'inclinaison
latérale
. En un mot, à ce tremblement qui existait pri-
trique très peu différent du bregma proprement dit. Sur les parties
latérales
: a. Le point sus-auriculaire situé au-devant e
et passant par le point maximum de l'occipital. c. La demi-courbe
latérale
droite allant de l'ophryon au point occi- pital
de l'insertion supérieure de l'oreille droite. d. La demi-courbe
latérale
gauche prise d'une façon identique du côté gauc
mpas. On fait mouvoir les deux branches du compas sur les par- ties
latérales
du crâne; on recherche les points les plus sailla
ent plus grand de la moitié antérieure du crâne. Les demi-courbes
latérales
dénotent l'asymétrie des deux moitiés du crâne.
était un instant permise. Il n'en est pas de même dans la sclérose
latérale
arnyotrophique, considérée dans son entier déve
as encore pour nous guider un autre symptôme capital de la sclérose
latérale
amyotrophique, l'exagération des réflexes tendi
ous avons relaté plus haut. On ne la connaît point dans la sclérose
latérale
amyotro- phique, caractérisée, d'autre part, pa
n sait cependant qu'elle peut manquer quelquefois. Dans la sclérose
latérale
amyotro- phique en particulier, il y a presque
i donne lieu à la paralysie labio-glosso- laryngée et à la sclérose
latérale
amyotrophique. La localisation de ces lésions a
optiques ainsi qu'au plancher du quatrième ventricule et aux parois
latérales
du troisième (GayeL'). Eugène Perrot, vingt-hui
langino- phalangettiennc a perdu, en partie du moins, ses ligaments
latéraux
, et le bout du doigt joue assez largement dans
d'implantation des deux incisives supérieures. , Sur les parties
latérales
, e. Le point zygomatique au niveau de la partie
viation de la pointe en haut, la division congénitale, la déviation
latérale
con- génitale ; pour les narines, la déviation
s que l'absence d'une ou plusieurs dents, générale- ment l'incisive
latérale
ou la dent de sagesse en haut, ou la dent de sa
dmet définitivement l'existence d'une myélite à frigore des cordons
latéraux
. Il ne soulève nullement l'hypothèse d'hystérie
Je cher- chai a établir un diagnostic et je conclus a une sclérose'
latérale
symétrique primitive ou 'tabès dorsal spasmodiq
25 millimètres. On constate également chez celte malade une saillie
latérale
et symétrique du thorax à sa partie inférieure.
u sommet de l'entonnoir, 140. Diamètre antéro-postérieur thoracique
latéral
au niveau du mamelon, 175. Crâne : globuleux à
chapelet rachitique, rétrécissement du thorax avec double gouttière
latérale
), l'abdomen (forme globuleuse) et les membres (
cave, le sternum forme alors une sorte de gouttière dont les parois
latérales
sont limitées par les cartilages costaux (Ray-
impossible de constater l'absence ou l'existence " d'une déviation
latérale
de cet organe, pas plus du reste que l'état du vo
les distances. L'écartement augmente un peu dans les déplace- ments
latéraux
, mais pas d'une manière bien sensible. Cette dipl
Van- delinc. Cette maladeeutun jour une paralysie du, long péronier
latéral
qui s'accompagna d'atrophie avec réaction de dé
le cas actuel, l'engour- dissement et l'exagération de la faiblesse
latérale
ont disparu en quatre ou cinq jours. L..., qu
s. On remarque une éruption siégeant symétriquement sur les parties
latérales
du thorax, sur la face interne des bras, dans les
ent améliorée pour permettre au malade de marcher. Dans la sclérose
latérale
, les résultats sont généralement négatifs; quan
enu, le liquide céphalo-rachidien, exerce sur le fond et les parois
latérales
une pression qui est en raison directe de sa haut
gymnastique, qui embrasse le bassin du patient et de deux coulisses
latérales
, se terminant l'une par une boucle et l'autre p
inue et rebelle, avec aboulie profonde avec seulement une déviation
latérale
gauche de la langue. On crut à de l'hystérie, m
on trouva une très volumineuse tumeur occupant tout le ventri- cule
latéral
gauche et ayant détruit les corps optostriés, et
laie produite par un instrument tranchant à la partie supérieure et
latérale
gauche du cou. Les signes étant allés s'atténuant
aire dans la - portion la plus postérieure, périphérique, du cordon
latéral
: elle commence au niveau de la partie la plus
upérieure, à gauche, jusqu'à la moelle cervicale moyenne. Le cordon
latéral
136 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
au latéro-cérébelleux, et que, si une partie considérable du cordon
latéral
sacro-lombaire cesse, en apparence, à la substa
rgule, du cordon postérieur ; 2° une forte dégénérescence du cordon
latéral
des pyramides, qui diminue d'étendue et d'inten
t. B. Au-dessus du foyer : 1° uné dégénérescence évidente du cordon
latéral
du cer- velet; 2° une dégénérescence du cordon
E PATHOLOGIQUES. 137 baire, la dégénérescence descendante du cordon
latéral
des pyra- mides est à peine visible; elle gagne
sionomie laisse supposer l'ascension de la dégénérescence du cordon
latéral
des pyramides, et la descente de la dégénéresce
une myélite ayant à peine duré un mois, la dégénérescence du cordon
latéral
des pyramides est-elle plus nette en descendant
ues et plus épaisses. C'est ce qui a lieu pour les fibres du cordon
latéral
des pyramides au niveau du segment le plus infé
s que celles de l'artère centrale. On en voit aussi sur une branche
latérale
de celle-ci. Le jeu et la continuité du process
ie et d'examen histologique. leur cas : hémianopsie gauche homonyme
latérale
causée par un ramollissement en foyer de la sci
ns la com- missure antérieure, se rendent aux cordons antérieurs et
latéraux
. pour monter au cerveau. Ces fibres ne sauraien
urnissent des argu- ments en faveur de l'existence dans les cordons
latéraux
de fibres sensorielles croisées. La preuve anat
lèlement à la périphérie du cordon antéro-latéral (faisceau antéro-
latéral
descendant crucial), et qui, dans la région du fa
- latéral descendant crucial), et qui, dans la région du faisceau
latéral
des pyramides, s'unit aux libres provenant de la
es provenant de la formation réticulaire et constituant un faisceau
latéral
endogène descendant (faisceau spino-spinal laté
uant un faisceau latéral endogène descendant (faisceau spino-spinal
latéral
descendant). Il y a donc lieu de désigner sous
nt). Il y a donc lieu de désigner sous le nom de faisceau antéro-
latéral
ascendant, toute la masse des libres ascendantes
dantes du cordon antéro-latéral qui n'appartiennent pas au faisceau
latéral
du cer- velet postérieur, ni au système intérie
latéral du cer- velet postérieur, ni au système intérieur du cordon
latéral
de Ziehen : ce dernier monte dans la couche lim
tions sont très rapides, près de 100 à la minute. Léger tremblement
latéral
du membre supérieur droit. De temps à autre, qu
rophie musculaire progressive du type Oran. Duchenne et la sclérose
latérale
amyotrophique autrefois traitées comme des affec-
ines antérieures et postérieures, dans les cor- dons postérieurs et
latéraux
; par leur aspect ces amas diffèrent de ceux qu'
ude faite sur les moelles de deux hémiplégiques. Un cas de sclérose
latérale
amyotrophique avec dégénération des couches cel
grise qui provenaient, non pas du cordon postérieur, mais du cordon
latéral
exclusivement. P. Keraval. XXXII. Contribution
trou de roculomotcur occupe la paroi médiane du pli pélroclinoïdien
latéral
; celui du pathétique est à 3 millimètres en arr
.), M. Liebmann insiste sur le sigmatisme simple, le parasigmatisme
latéral
, le zézaiement imputables au prognathisme du ma
on du faisceau pyramidal. Dans les ventricules cérébraux (4°. 3° et
latéraux
), on constate une épendymite prononcée avec hyp
plupart des cellules, on trouve de la chromatolysc avec déplacement
latéral
du noyau; dans quelques-unes, le protoplasma es
nettement les premiers stades de la réaction (grattage, incurvation
latérale
, fermeture des yeux, etc.), mais, l'attaque parfa
que, à la période exsudative, d'affecter spéciale- ment les parties
latérales
et antérieures^ de la moelle, comme on l'observ
par M. Koenig, a démontré l'existence d'une gémi- anopsie homonyme
latérale
droite (Itg. 23), avec conservation de la visio
sorganise la bande- lette optique gauche engendrera une hémianopsie
latérale
droite. En effet, elle interrompt les communica
tournée en dedans, qu'il décrit ce niveau, contourne le ventricule
latéral
. Il est séparé de ce ventricule par le tapetum,
d'une légère hémiparésie droite, d'une aphasie et d'une hémianopsie
latérale
homonyme droite. La seule modification survenue
men péri-optométrique va nous déceler l'existence d'une hémianopsie
latérale
homonyme droite, avec con- servation de la visi
ts ilôts de tissu scléreux. Même état, quoique moindre, des cordons
latéraux
. Substance grise très peu , altérée. Pie-mère é
la peau dirigés transversalement et correspondant à l'inclinaison
latérale
du tronc et le rebord costal droit est très rappr
lit, la déviation du tronc ne disparaît pas non plus; l'inclinaison
latérale
du tronc persiste quand le malade est couché su
de la crête iliaque. La colonne vertébrale présente deux courbures
latérales
, l'une inférieure, à concavité droite, l'autre
st penchée un peu en avant, mais ce qui domine, c'est l'inclinaison
latérale
; le tronc est fortement incliné à gauche sur le
talon gauche. La colonne vertébrale présente une double courbure
latérale
, l'une inférieure à concavité gauche, l'autre sup
e la crête iliaque. La colonne vertébrale pré- sente deux courbures
latérales
, l'une inférieure à concavité droite, l'autre s
est un peu penchée en avant, mais ce qui domine c'est l'inclinaison
latérale
; le tronc est Il) li 111*1'1101OGIL m : Kw.usL.
du côté opposé. La colonne vertébrale présente une double courbe
latérale
, l'une inférieure à concavité gauche, l'autre s
liaque. On observe aussi sur les deux des- sins une double courbure
latérale
, l'une inférieure à concavité droite, l'autre s
st aussi toujours la même; on note constamment une double déviation
latérale
, l'une inférieure correspondant à la région lom
bord des paupières est un peu rouge. Elle repose dans le décubitus
latéral
droit ou gauche, elle paraît éviter d'être tout
ni. Peu à peu l'éphidrose s'est étendue et a envahi sur la partie
latérale
droite de la face, la joue, l'oreille, puis la mo
; quelquefois, le matin en se levant, il a vu la tempe et la partie
latérale
droite du front couvertes de gouttelettes de su
long du visage et du cou. Cette sueur occupe la partie mé- diane et
latérale
droite du front, la tempe, la partie correspon-
de gêne, parfois des élancements au niveau de la partie moyenne et
latérale
du thorax du côté droit, mais il n'y a aucun si
phale. 0. Berger rapporte le cas d'un homme atteint d'é- phidrose
latérale
gauche de la face et du cou. La peau n'était pa
à la ligne médiane, envahit la tempe, la racine du nez à sa partie
latérale
droite, la région malaire et s'étend jusqu'au c
rapporte également une observation intéres- sante où une éphidrose
latérale
de la face succéda à l'ingestion d'une boisson
or- deaux l'observation d'une femme nerveuse atteinte d'éphidrose
latérale
droite de la face, suivant le tra- jet des deux
ale avec dégénérescence des faisceaux pyrami- daux dans les cordons
latéraux
depuis la moelle lombairejusqu'à la décussation
montre que l'altération des fais- ceaux pyramidaux dans les cordons
latéraux
a été la première en date; d'où une première pé
uisqu'on ne constate pas de lésions inflammatoires dans les cordons
latéraux
, la substance grise, les fibres nerveuses. P. K
squels la lésion atteint avec les faisceaux pyramidaux, les tractus
latéraux
cérébelleux, en laissant absolument indemnes, l
aques des faisceaux pyramidaux. Sixième groupe : lésion des tractus
latéraux
cérébelleux, des faisceaux pyramidaux, des cord
la mâ- choire inférieure en abaissement forcé, avec un mouvement
latéral
qui la;porte fortement à gauche, puis à droite...
oelle (cordons et cornes), mais qu'il existe aussi dans les cordons
latéraux
et dans les cornes antérieures. 2° Racines rach
uête a été négative en ce qui concerne les ascendants et les col-
latéraux
, les accidents nerveux dont ont été frappés les
e lésions macroscopiques des hémisphères cérébraux. Les ventricules
latéraux
et les cornes d'Ammon n'offrent rien de particu
sparu. Une autre plaque lèse les fibres sciatiques dans les cordons
latéraux
(clonus podalique). M. SIEMERLING. D'une call
trait à l'existence de cette substance daus la paroi du ventricule
latéral
, chez une paralytique générale de trente-huit ans
che de cette région pour joindre la corne postérieure du ventricule
latéral
. On trouve au microscope, en divers points du l
érieurs, latéralement par les os malaires, en haut par les portions
latérales
du frontal. Les portions antérieures du frontal
st pris de convulsions nyslagmiformes quand il arrive à l'extrémité
latérale
de sa course, intégrité de la pupille et du fon
hasie sen- sorielle), par Rosenthal, 111; (compliquée de sclérose
latérale
amyotrophique), pal' Zachrr, 1 JO. Psfxdo-tab
dépens de toute la périphérie du vaisseau ; d'autres fois, elles sont
latérales
et n'interrompent pas complètement le calibre de
'interrompent pas complètement le calibre de l'artère. Ces expansions
latérales
peuvent être pédiciiiées.U ne artériole ne porte
ang a fait irruption dans les cavités ventriculaires. Les ventricules
latéraux
et le ventricule moyen sont remplis de caillots.
rième ventricule,puis dans le troisième, et un peu dans le ventricule
latéral
gauche. Pas de lésions anciennes de l'encéphale ;
gie récente du centre ovale droit avec perforation dans le ventricule
latéral
. Symétriquement, foyer creux, dans l'hémisphère g
misphère droit. Le sang, par une déchirure, a fusé dans le ventricule
latéral
droit, et jusque dans le troisième ventricule. Pa
che optique, ce qui a permis au sang de s'épancher dans ie ventricule
latéral
droit et jusque dans le ventricule moyen. Dans un
couche optique du côté droit ayant fait irruption dans le ventricule
latéral
du môme côté, on trouve au voisinage de ce foyer,
t qui a dilacéré le centre ovale et fait irruption dans le ventricule
latéral
d'une part, et d'autre part sous la pie-mère, au
oncule cérébral gauche, de la pyramide antérieure gauche et du cordon
latéral
droit de la moelle. On découvre sur une circonvol
dégénération secondaire très manifeste qui se produit dans le cordon
latéral
droit de la moelle. Symétriquement à ce grand foy
doncule cérébral droit, de la pyramide antérieure droite et du cordon
latéral
gauche de la moelle. Les artères de la base du ce
he optique de l'hémisphère droit. Ce foyer s'ouvre dans le ventricule
latéral
: l'orifice de communication est obturé par un ca
nne atteignant la paroi externe de la corne postérieure du ventricule
latéral
du même côté. On trouve une quantité innombrable
ce ocreuse d'hémorrhagie ancienne dans la paroi externe du ventricule
latéral
droit, en arrière et en dehors de la couche optiq
t qui avait disséqué le corps strié, puis pénétré clans le ventricule
latéral
. On découvre plusieurs anévrysmes miliaires dans
des ectasies capillaires sur les vaisseaux des parois des ventricules
latéraux
et une hérnorrhagie du corps strié droit. Les gro
ssement rouge superficiel du lobe occipital droit. Thrombose du sinus
latéral
correspondant. Début apoplectique. — Hémiplégie
ventricules ne sont pas altérées ; il y a dans chacun des ventricules
latéraux
une petite cuillerée de sérosité légèrement louch
ure avait dû intéresser la totalité du cordon postérieur et du cordon
latéral
de la moelle du côté gauche et la presque tota-
n de l'œil, chez divers animaux, à la suite delà section d'une moitié
latérale
de la moelle épinière au dos,, lies affections de
bus formés au niveau d'anneaux athéromateux. En ouvrant le ventricule
latéral
droit, on constate que la tête du corps strié est
stance blanche sous-jacente. La partie la plus antérieure du cordon
latéral
droit de la moelle présente, sur une coupe faite
rphe, qui se colorent par le carmin et des corps amyloïdes. Le cordon
latéral
du côté opposé ne présente aucune altération appr
ues. Vous savez que l'on dit caractéristiques des myélites partielles
latérales
de la moelle, de ces myélites qui intéressent sur
e également ces trois phénomènes classiques delà lésion des faisceaux
latéraux
de la moelle. Il faut donc chercher ailleurs le d
nt dans une extension forcée. En tous cas, ils subissent un mouvement
latéral
assez prononcé en vertu duquel ils s'écartent l'u
z est attirée obliquement en haut et en avant, et la peau des parties
latérales
du nez se marque de plis parallèles à la directio
la portion écailleuse du temporal. Front assez élevé ; dépressions
latérales
assez prononcées ; bosses frontales peu marquée
re : Les incisives médianes ont com- plètement disparu ; l'incisive
latérale
gauche ébranlée présente depuis le collet, jusq
grosse molaire de lait, avec cinq tubercules. A droite, l'incisive
latérale
manque, la canine est conoidc et excessivement
e et on demi-rotation externe sur son axe. - A gauche, une incisive
latérale
, une canine et deux molaires de lait complèteme
étruites par une carie du troisième degré. - A droite, une incisive
latérale
, une canine, une pré- molaire réduite à la cour
convolution de la corne d'Ammon et de l'hippocampe. - Le ventricule
latéral
n'est pas dilaté, sa surface est lisse; les noy
et la corne d'Ammon n'offrent rien de spécial. - Le ventri- cule
latéral
, le corps strié et la couche optique semblent nor
ée et moitié moins épaisse qu'à gauche. Cervelet.- Les deux lobes
latéraux
sont symétriques, le lobe moyen paraît petit; l
is au milieu de la frontale ascendante droite et sur l'un des lobes
latéraux
du cervelet, les coupes montrent un développe-
nomonique-. Leur démarche est pesante, accompagnée d'un balancement
latéral
, d'une sorte de dandinement; ils ont la plus gr
'e, '188\1. y 130 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. plète des deux groupes
latéraux
de la corne antérieure. Le groupe antérieur de
sont conservés. Cette lésion est symélriquc. La partie du faisceau
latéral
comprise dans la concavité des cornes est légèrem
cordons anléro-latéraux comprise dans les concavités antérieure et
latérale
de la moelle grise. Dans celle-ci, les îlots ce
cavité. Si l'on suit cette paroi, ainsi constituée sur les parties
latérales
, on voit que les couches se perdent successive-
ve centrale perma- nente, large et complètement évoluée. - Incisive
latérale
, de vo- lume ordinaire, déviée par une rotation
s'accompagner d'aucune douleur (spontanée ou provoquée). L'incisive
latérale
a subi une déviation égale et symétrique par ra
nvexité à gauche. Il existe des masses lipomateuses sur les parties
latérales
et inférieures du tronc, ainsi que dans le creu
en effet, les piqûres pratiquées sous la peau des parties moyennes et
latérales
de l'abdomen ne se sont accompagnées d'aucun symp
du pied, tandis que ses deux extrémités étaient portées sur les faces
latérales
du membre. Le tout fut fixé au moyen d'une bande
à son aise toute la région du genou. L'application de deux attelles
latérales
renforcées par une attelle antérieure remplissait
enlever sans que l'im- mobilisation fût moins complète(les attelles
latérales
restent enplace). Aussi l'exploration du genou fu
M. Voisin sur une méningo-myélite surai-guë avec sclérose des cordons
latéraux
; — 4° des communications nombreuses et intéressa
re avait dû intéresser la tota-lité du cordon postérieur et du cordon
latéral
de la moelle du côté gauche, et la presque totali
olutions, principalement à droite. De ce côté, la paroi du ventricule
latéral
est très-ramollie ; le corps strié est séparé de
ovoquée. Le 1er avril, on pratique l'examen au moyen de l'éclairage
latéral
. Il est évident qu'il y a une augmentation légère
a pré-sence d'une tuméfaction dans la région abdominale, surla partie
latérale
droite du muscle grand droit, a dû faire naître l
et, bien qu'on eût pratiqué une incision sur la partie inférieure et
latérale
droite de la vulve, la tête n'a pu sortir qu'en b
contracture, liée à une lésion organique spinale, lorsque les cordons
latéraux
sont sclérosés; mais je l'ai observée également d
mes ne s'observent pas dans la progression de la sclérose des cordons
latéraux
.... § II. Ainsi, Messieurs, rien de plus simp
'est produit, à une certaine époque, une lésion scléreuse des cordons
latéraux
, lésion que la nécroscopie permettrait actuelleme
uement, et à peu près dans toute la hauteur de la moelle, les cordons
latéraux
. A diverses reprises, cette femme avait, vu la co
rique. D'après les considérations que nous avons émi-ses, les cordons
latéraux
, ou tout au moins leur partie postérieure — celle
si la sclérose a défini-tivement ou non élu domicile dans les cordons
latéraux
? Je ne crois pas, Messieurs, que l'on puisse, dan
té faradique devraient faire supposer que, non-seule-ment les cordons
latéraux
sont profondément lésés, mais que, en outre, les
er de rien. Il importe, d'ailleurs, de ne pas oublier que la sclérose
latérale
, alors même qu'elle est parfaitement établie, n'e
es paroxysmes per-sistent environ durant une demi-heure. Le décubitus
latéral
gauche est la position la mieux supportable. Le m
n nombre, si bien qu'elles occupèrent bientôt presque toute la partie
latérale
droite du cou ; la déglutition fut entravée, mais
les hyperopes sont sou-vent atteints d'un pareil trouble des muscles
latéraux
; si, sur de pareils sujets, on place au-devant d
deux images situées l'une au-dessus de l'autre avec un écarternent
latéral
considérable. Toutes ces res-sources variées se c
e de sérosité dans la cavité péritonéale. — Leme'sentère, les parties
latérales
du péritoine, quoique à un moindre degré, sont en
. La première travée servirait de passage au centre, et les parties
latérales
, de cabinet de débarras; - la deuxième travée s
ection; peu de diploë, ; transparente surtout au niveau des régions
latérales
des pariétaux. Emmenées mamillaires faibles à l
imé. Le noyau caudé du corps strié semble normal. - Le ventricule
latéral
, fortement distendu, est recouvert d'une membra
nvolution de l'hippocampe offrent au aspect normal. - Le ventricule
latéral
est très dilaté mais nota- blement moins qu'il
s de balancement de la tête, mais seulement un léger tour- noiement
latéral
de la tète. Pet ? prend bien les aliments et ma
), saines (l'L. lII), Face inférieure du lobe frontal, ventricule
latéral
, couche optique, corps strié, rien de particuli
d'Ammon est large, assez saillante. Des deux cotés les ventricules
latéraux
et les masses cen- trales n'offrent pas de lési
més et atrophiés par l'épanchement ventricu- laire. Le ventricule
latéral
est très dilaté, surtout dans sa par- tie infér
férence ; quelques ganglions roulant-sous- le doigt sur les parties
latérales
du cou. Thorax régulièrement conformé : auscult
tres ; à la palpation quelques petits ganglions le long des parties
latérales
. Membres supérieurs et inférieurs, rien de part
es plaques transparentes. Distension considé- rable des ventricules
latéraux
, - Six perforations intes- finales, - Collectio
Dilatation considérable et uniforme des trois cornes du ventricule
latéral
. - Le corps strié paraît avoir son volume norma
- Hémisphère gauche (560 gr.). - Même distension du 1;en- tricule
latéral
; la pie-mère est peu épaisse,. la décortication
ée, entre autres, par une distension considérable des ventricules
latéraux
, un aplatissement d'un certain nombre de circon
regard est dur, presque méchant. - Balancement . Etat actuel. 1S7
latéral
do la tête. - Cheveux blonds, abondants au sommet
- braux. (PL. XIII). Des deux cotés, il existe dans le ventricule
latéral
, le long du sillon qui sépare la couche optique
e. môme dans la région voisine de la corne occipitale du ventricule
latéral
; toujours, nous l'avons vu se cons- tituer d'u
leux. 00, corps calleux. C 0 S, corps strié . ' . V, ventricule
latéral
. - P, pédoncule. .. ' C B, carrefour olfactif
proéminent, sans saillies des bosses frontales; pas de dépressions
latérales
; arcades orbitaires peu marquées : circonférenc
mière vue. Pas d'induration de la corne d'Ammon. Les ventricules
latéraux
et les masses centrales n'offrent rien de particu
e disposition. Les corps striés et la couche optique, le ventricule
latéral
, etc., n'ont rien de particulier. Nulle part il
arré, qui limite en dedans le foyer décrit plus haut. Le ventricule
latéral
offre une dilatation uniforme; mais une couche
est moins grande et limitée par la réunion des os. Sur les parties
latérales
de la tête, petite fontanelle de 2 cen- timètre
en haut et s'élève à 5 centi- mètres au-dessus du plan des parties
latérales
. La faux du cervelet n'est pas appréciable. U
a surface de l'hémisphère cérébral gauche et aboutis- sant au sinus
latéral
du même côté est oblitérée par une thrombose ai
d'une vaste poche formée par la dilatation extrême des ventricules
latéraux
, et largement ouverte en haut sur la ligne médi
; le ventricule moyen un peu dilaté s'ou- vre dans les ventricules
latéraux
et semble ne former avec eux qu'une seule cavit
rieur du cerveau, s'incline en bas et va se jeter dans le si- nus
latéral
gauche ainsi que nous l'avons vu à la descrip-
ssez sinueuses, mais très élargies et les Fig. 3. - V L, ventricule
latéral
. - C L, cloison. transparente. - C R, cir- conv
s encore par rapport aux diverses régions de chacun des ventricules
latéraux
. Nous avons vu, en effet, que la poche kystique
beau- coup plus grande à droite qu'à gauche et que le ventricule
latéral
droit était, lui aussi, notablement plus large qu
ment plus large que le gauche. Enfin, la dilatation des ventricules
latéraux
consi- dérée en elle-même était inégale puisqu'
La circonvolution du corps calleux, le corps calleux, le ventricule
latéral
, la corne d'Ammon sont normaux. La couche optiq
s du corps calleux, corps calleux, rien de particulier ; ventricule
latéral
normal; masses centrales bien dévelop- pées.
isphère cérébral gauche. La s'enlève très facilement; le ventricule
latéral
est petit dans toutes ses parties; rien à la corn
ne régulières. Hémisphère droit. Décortication facile, ventricule
latéral
très petit; même disposition que du côté opposé
qui atteint là ses plus grandes dimensions, y est situé à la partie
latérale
externe du prolongement occipital du ventricule
le sternum comme précédemment, nous l'avons porté vers les parties
latérales
et placé sous l'aisselle. Le pôle négatif était
mes efforcé de démontrer le mode de production par choc ou pression
latérale
agissant obliquement de bas en haut et de dehor
ltération que la surface supérieure du tibia présente deux saillies
latérales
simulant à peu près la forme des condyles du fé
; l'externe avait 6 centimètres de long, l'interne 4. Les ligaments
latéraux
étaient également très allongés et déviés dans
Westphvl procède à la communication annoncée sur un cas de sclérose
latérale
primitive à issue insolite, avec pièces à l'appui
insolite, avec pièces à l'appui. Il s'agit d'une lésion des cordons
latéraux
(faisceau latéral dans les pyramides et le cerv
es à l'appui. Il s'agit d'une lésion des cordons latéraux (faisceau
latéral
dans les pyramides et le cervelet) ayant déterm
se, forme une bourse dont la cavité communique avec le ven- tricule
latéral
dilaté et n'est, par places, fermée que par la pi
ouffert de cette réduction. De la substance blanche c'est le cordon
latéral
qui avait le plus souffert. 11 paraissait rédui
s fibres et surtout celles qui composaient ce qui restait du cordon
latéral
considérablement diminué, étaient deve- nues ét
ieur, l'extenseur commun des orteils, le long et le court péroniers
latéraux
, le vaste interne, sont inexci- fables faradiqu
l z·ada'cum î)osieî,io2,u)2z, d'arlez·i commun postica OS ? 0/'MM !
latérales
, nos artères radiculaires postérieures : 3o il
rlerioe commun posleriorum posticae, arterioe cornuum posteî,ia2,um
latérales
. Sa description est semblable à la nôtre; il a
la sensation tactile, parce que là partie posté- rieure des cordons
latéraux
a été sans doute seule atteinte, tan- dis que l
i, l'inflammation du conduit audi- tif externe s'étendrait au sinus
latéral
et au cervelet ; l'inflam- mation de la caisse,
loi trop absolue de Toynbee ; d'après lui, le cervelet et le sinus
latéral
souffrent des lésions de l'apophyse mastoïde, t
nne, a une grande valeur dans le diagnostic de la phlébite du sinus
latéral
. C. T. XXVI. L'ATAXIE locomotrice différenciée
dons postérieurs, les cordons antérieurs, une partie des cordons
latéraux
et les cornes antérieures entre le point d'émerge
ale). Foyer circonscrit gagnant de la périphérie à l'un des cordons
latéraux
à la hauteur de la troisième paire cervicale. A
rieurs, (expériences de Brown-Séquard), à une portion des cordons
latéraux
et des cornes antérieures, est plus que nécessair
és, il existait une dégénération secondaire, symétrique des cordons
latéraux
. Dans quelques cas d'abolition complète, il y a
emps une contracture marquée, qui ne dépendait pas de la sclérose
latérale
, mais d'une sclérose périphérique due à une ménin
. Sarcome de la moelle épinière, par Adamkiewicz, 323. Sclérose
latérale
primitive a issue insolite, par Westphal, 247.
é également une asymé- tre du corps du sphénoïde. Les deux versants
latéraux
qui se continuent avec la face supérieure des g
e localisation, selon quela tumeur occupe le lobe médian, les lobes
latéraux
, les pédoncules cérébelleux moyens, ou qu'elle
mpte des faits suivants : les effets des lésions cérébelleuses uni-
latérales
sont directs et non croisés, comme pour celles de
a plus caractéristique des tumeurs du lobe occipital, Y hémianopsie
latérale
homonyme. Ce phénomène se présente rarement à l
es deux cas on a constaté une dilatation considérable du ventricule
latéral
gauche avec atro- phie très marquée de la subst
bide s'était exprimé. préférenciellement dans la région de l'artère
latérale
antérieure. Dans beaucoup d'endroits de la moel
mbryologique, comme le corps du thymus et les thyroïdes médianes et
latérales
, les parathyroïdes sont des dérivés branchiaux.
représen- tent les prolongements des faisceaux essentiels du cordon
latéral
de la moelle. Aussi peut-on le nommer noyau cen
ral de la moelle. Aussi peut-on le nommer noyau centrai supérieur
latéral
, ou tout court, noyau central supérieur, média),
cervical. Exagéré dans la paralysie spasmodique et dans la sclérose
latérale
amyotrophique, il disparaît dans certains cas d
pes à fonctions différentes, la flexion serait localisée aux noyaux
latéraux
, l'extension aux noyaux centraux. Dans une se
ima dans Du', sont comprises entre Uvti et Cvti. Dans D'I, la corne
latérale
gauche ne fait plus de saillie; elle ne con- ti
plus que trois cellules en voie de destruction, tandis que la corne
latérale
droite contient douze cellules normales. Dans Dv,
ales. Dans Dv, on compte pour dix cellules normales dans GLU (corne
latérale
droite), seulement cinq cellules altérées dans
sympathique thoracique ont leurs cen- tres trophiques dans la corne
latérale
de la moelle dorsale et dans un noyau latéro-ex
s et des cépha- lées, on aurait pu porter le diagnostic de sclérose
latérale
amyotro- puisque avec troubles bulbaires. Le ma
sé, et ainsi de suite; , 2° Leur rôle est d'assurer l'équilibration
latérale
du tronc, de s'opposer à l'inflexion latérale d
surer l'équilibration latérale du tronc, de s'opposer à l'inflexion
latérale
du rachis vers le côté portant et de maintenir
ation globale de la jambe et du pied. Dans le groupement postéro-
latéral
et post-postéro-latéral on distingue facilement d
la rencontre de la montre. Il existait en l'espèce une hémianopsie
latérale
homo- nyme qui n'a rien à voir avec le trouble
e presque régulière qui appartiennent à l'effectif du ruban de Reil
latéral
ou inférieur, et sont eu dehors du ruban de Rei
al pour les deux côtés, et forment graduelle- ment le ruban de Reil
latéral
, aussi volumineux de chaque côté. Les fibres de
: les fibres dégénérées se limitent au territoire du ruban de Reil
latéral
ou inférieur, ainsi qu'aux noyaux des tubercule
binsky témoi- gnent de la participation de la substance des cordons
latéraux
des pyramides, et, par conséquent de l'atteinte
e, se rappro- chent, où les fibres diminuent fortement. Le faisceau
latéral
du cervelet du côté gauche et le noyau gauche d
des muscles isolés que sur des groupes de muscles : d'abord uni-
latérales
, elles ne devinrent que tardivement bilatérales.
prolonge dans l'intérieur du lobe frontal au-dessous du ventricule
latéral
. Cette partie a la forme d'un fuseau qui s'ar-
FONCTIONS DE LA COUCHE OPTIQUE. 389 communiquant avec le ventricule
latéral
droit. Dans la couche optique gauche, tumeur de
nouillé externe ; il circonscrit la corne postérieure du ventricule
latéral
en laissant entre lui et le ventricule la place
rale. G. D. XXVIII. Considérations sur l'ampliation des ventricules
latéraux
dans les maladies mentales ; par le Dr Marchand
quantité de liquide céphalo-rachidien contenu dans lès ventricules
latéraux
de 125 cerveaux d'aliénés, l'auteur a constaté
diminution de poids du cerveau, cette ampliation des ventri- cules
latéraux
constitue un des meilleurs signes des démences.
causes se surajoutent pour augmenter la capa- cité des ventricules
latéraux
: l'atrophie cérébrale, et la pression exagérée
la pression du liquide est normale et l'ampliation des ventricules
latéraux
est la conséquence de l'atrophie cérébrale. G.
syetérna- tisées ; elles sont plutôt un peu diffuses dans le cordon
latéral
et même dans les faisceaux postérieurs. Ces lés
ntricules du cerveau. Ces ventricules sont au nombre de cinq : deux
latéraux
, un moyen, un inférieur ou quatrième et un antéro
que) vient diviser le cerveau antérieur en deux moitiés distinctes et
latérales
[hémisphères cérébraux), en même temps que la cav
se trouve également divisée en deux portions distinctes (ventricules
latéraux
) : cette scission n'étant pas complète (trou de M
e. La partie en pointillé de la figure 2 représente les ventricules
latéraux
; afin de ne pas surcharger trop notre figure, no
op notre figure, nous avons inscrit la corne inférieure du ventricule
latéral
plus bas qu'elle ne se trouve normalement. Pour
éveloppements. 1, Trou de Monro faisant communiquer les ventricules
latéraux
avec le troisième ventricule ou ventricule moyen.
res forment les gros nerfs qui vont se distribuer au cou, aux parties
latérales
et antérieures du tronc et aux membres. Comme l
rvant les muscles intercostaux et donnant des branches antérieures et
latérales
pour la surface du thorax. Les petites fibres é
lie, et sont absolument comme dans l'état normal. Les ventricules
latéraux
ne sont pas plus développés qu'à l'or- dinaire
écompose en : Io partie du vermis; elle contient : a, les cor- dons
latéraux
qui se rendent au cervelet; b, des fibres émanées
du nerf, et le noyau antérieur de l'acous- tique de Meynert (noyau
latéral
de la racine antérieure de Krause, acoustique l
eynert (noyau latéral de la racine antérieure de Krause, acoustique
latéral
et inférieur de Henle, segment infé- rieur et s
e non directement, mais en partie par l'intermédiaire de la portion
latérale
du pédoncule cérébral ; le noyau latéral de la
termédiaire de la portion latérale du pédoncule cérébral ; le noyau
latéral
de la couche optique est en connexion avec l'av
rdon central ; et se compose de fibres issues de la substance grise
latérale
du quatrième ventricule s'arquant à la hauteur
us interne, et la partie postérieure du groupe externe. Les cordons
latéraux
envoient de puissants trousseaux de fibres aux
l'anatomie pathologique sem- blent indiquer qu'elle occupe la face
latérale
convexe de l'hé- misphère, c'est-à-dire les tro
itales pro- prement dites; c'est sur la paroi externe du ventricule
latéral
que se dirigent les fibres qui vont se terminer
ut le pédoncule du côtédroit. Chez le lapin, la partie médiane et
latérale
de ce pédoncule sont contiguës; chez les mammifèr
n rapport, au moins de préférence, avec le lobe frontal; le système
latéral
, avec le lobe pariéto-occipitat. 4° J'ai, moi a
Les candidats ont eu à traiter les questions suivantes : Ventricule
latéral
; Diagnostic diffé- rentiel de la paralysie gén
tés des veines du fond de l'oeil, tendance à affecter une situation
latérale
du côté gauche ; la marche et la station debout
dorsale. En même temps, la partie la plus anté- rieure des cordons
latéraux
est, sur une hauteur de 1 c. 5 dans la moelle c
corne postérieure gauche, dans les faisceaux pyramidaux des cordons
latéraux
et dans les faisceaux cunéiformes externes; tum
ent l'atteinte des tractus moteurs qui vont de l'écorce aux cordons
latéraux
; l'hyperesthésie, rapprochée d'un certain degré
uperait la face externe et dorsale de celui-ci, gagnerait la partie
latérale
du thorax, la moitié droite de la face, enfin la
st légitime- ment due. RECUEIL DE FAITS OBSERVATION DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE SANS LÉSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL
e pas, a éprouvé de fortes sueurs la nuit. Pas d'hé- DE LA SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPHIQUE. 389 moptysies, a eu pendant bien
alysies bulbaires; cependant, quand le malade rit on DE LA SCLÉROSE
LATÉRALE
AMYOTROPIIIQUE. 391 i voit celles-ci se produir
n trouve dans la moelle les lésions caractéristiques de la sclérose
latérale
amyotrophique; malheureusement une partie des p
r la nécessité pour résoudre la question de savoir si la sclérose
latérale
amyotropique a toujours son point de départ dans
erne qui contient des fibres de projec- tion appartenant au segment
latéral
du pédoncule cérébral et du bras du tubercule q
atrophie extrême- ment faible à son début, de la substance blanche
latérale
du pulvinar et du corps genouillé externe : la
genouillé externe, il semble que ce soient les centres cellulaires
latéraux
et infé- rieurs (celle de grand et de petit cal
rvicaleet la moelle dorsale. Faible dégénérescence dans les parties
latérales
des cordons postérieurs, au niveau de l'ex- tré
postérieure); un segment de cette dernière monte le long du cordon
latéral
; un autre se perd en partie dans la substance g
érieurs de la région lombaire, qui dégénèrent, alors que les fibres
latérales
et les cel- lules nerveuses demeurent intactes;
sonde retirée laisse voir à son extrémité, au niveau de son orifice
latéral
, quelques gouttes d'un mucus blanchâtre, inodore,
L'examen microscopique a révélé des lésions symétriques des cordons
latéraux
dans quatre cas de paralysie générale. Dans au-
urcis- sement : 1° Région cervicale. -Légère sclérose des cordons
latéraux
(faisceau pyramidal croisé). La coupe, examinée
partie jaune, granu- leuse. 2° Région dorsale. Sclérose du cordon
latéral
, présentant les mêmes caractères que dans la ré
voie de disparition. 3° Région lombaire. Légère sclérose du cordon
latéral
; les cellules nerveuses grosses, nombreuses, s
constatées sont les suivantes : lo Sclérose commençante du faisceau
latéral
; 2° Dégénération granuleuse des cellules motric
on de la pupille et de la fente palpébrale, et par un mou\ émeut de
latéral
! té des globes oculaires. Une action prolongée e
ilité. Il combat les idées de Schneller. Une observation d'hémiopie
latérale
droite, avec , trouble de la sensibilité, termi
3, protuh(rmcu;-3, pjramide gauche dégénérée; 4, olive; 3, faisceau
latéral
. 25 ! 6 ' RECUEIL DE FAITS, Les deux fiers po
sphère visuelle, le faisceau non entrecroisé se rendant à la moitié
latérale
de la même région. La zone corticale dont l'atr
vie de quelques remarques relatives à la lésion primitive du cordon
latéral
des pyramides; par C. WESTPHAL. (Arch. f. Psych
en réservant la possibilité d'une dégénérescence isolée des cordons
latéraux
ou des faisceaux pyramidaux ; plus tard : passa
Au microscope, la moelle présente une dégénérescence des cordons
latéraux
pyramidaux et cérébelleux; affection commençante
aralysie spinale spasmodique, en rapport avec la lésion des cordons
latéraux
; t'atteinte concomitante des cordons postérieur
, de fait relatif à une dégénérescence isolée primitive des cordons
latéraux
; pareille altération est, d'ordinaire, le prélu
le prélude d'une amyotrophie. On trouve cependant une localisation
latérale
primitive dans la para- lysie générale des alié
niques qui émanent de la lésion combinée des cordons postérieurs et
latéraux
diffèrent chez le paralytique général et chez l
mptomatique repose d'une part sur l'at- teinte continue des cordons
latéraux
de haut en bas et en même temps sur l'intégrité
s du genou, parce que, jamais, dans l'espèce, la lésion des cordons
latéraux
n'atteint le même degré que chez les sujets dont
° des paralysies générales avec sclérose funiforme des deux cordons
latéraux
(nécropsies); 3° des paralysies générales avec
ralysies générales avec sclérose également systématique des cordons
latéraux
et des cordons postérieurs (nécropsies) ; 4" de
tomalolo;ie différente, avaient tous deux delà sclérose des cordons
latéraux
. V. Dans la revue d'ensemble terminale, nous de
nfundibuliforme entre l'espace sous-arach- nddien et le. ventricule
latéral
gauche. Ce trou porte sur la partie moyenne des
ule cérébral qu'il contourne, et la corne tempo- rale du ventricule
latéral
. En arrière du pédoncule, le pseudo-kyste remon
nières traces des circonvolutions. On voit encore que le ventricule
latéral
communique largement avec la poche kystique (la
le ; anémie de tout l'encéphale; forte dilatation des ven- tricules
latéraux
dont l'épendyme estépaissi et granuleux, surtout
ue sur 1'), par Orchansky, 137. Faciale (un cas d'atrophie uni-
latérale
), par Bernhardt, 65. Familles nerveuses, par Mo
ule pariétal inférieur. - L Q, coupe du lube carré. 17L, ventricule
latéral
. C S, corne sphénoïdale. TA, TA, tissu aréolair
convolution du corps calleux. - C C, corps calleux. V L, ventricule
latéral
. -N V, noyau intra-ventriculaire du corps strié.
lobule de l'insula. CS, coupe delà corne sphénoïdale du ventricule
latéral
. F, , première circonvo- lution frontale. FA, f
volution temporale. FiG. 5. L Q, lobe quadrilatère. F L, ventricule
latéral
. C S, corps strié. P,, lobule pariétal supérieu
atrième ventricule est épaissi et granuleux ; celui des ventricules
latéraux
et du troisième ventricule l'est éga- lement, m
la veine représentée par la si ? précédente. foi@ine ici un nodule
latéral
, une gomme qui comprime la veine; légère hémorr
cette sphérùle hyaline qui parfois affecte une position légèrement
latérale
se disposent en séries concen- triques des fibr
melles adventives qui se laissent alors dis- tendre par la pression
latérale
de la lymphe. Le concentrisme qui s'observe par
ligne qui passe'par la commissure (faisceaux céréheiteux direct et
latéral
passe par la t .n.t.......' ' t direct et latér
heiteux direct et latéral passe par la t .n.t.......' ' t direct et
latéral
aseéüdant ? nrt f.p ·.v., r, r ? 1' '' " , . ,
lement. Il, existe un, léger dépoli de l'épeu- dyme des ventricules
latéraux
et surtout^ du. quatrième ventricule. Les vaiss
ns les cordons postérieurs et la partie posté- rieure des faisceaux
latéraux
. { » > .'^-. 1, il - 1' 'UoJu.r o f'. I ci,.
es. "'--»-. Des dégénérescences des faisceaux cérébelleux direct et
latéral
** ascendant il n'y a rien à dire ; elles se fu
cendant il n'y a rien à dire ; elles se fusionnent dans le faisceau
latéral
du bulbe où une partie des fibres dégénérées para
circonvolution frotitaielasceiidaiit absolument intacte. Ses bords
latéraux
correspondent à peu près aux scis- sures qui sé
is.'lIntiltaâtiôüt'8lffüs'ë'dù '-tissu connectif dans' les cordons'
latéraux
comprenant' lès faisceaux pyra- "/inidâ'ux"'nià
Sctérose''interstitiëHe 'diffûse' ënvâhssànt surtout `lës'éordon's
latéraux
. Congestion des cornes antérieures et de^ia commi
ent atteints lès cornes^ntérièurVs^la^^ommissâfe1 et' les cordons !
latéraux
' : 'plus ' tàrd'dégénérati6n''cèuu ! aire lëptbm
parésiesjspasmodiques., Parfois. elle, revêt; la forme de sclérose
latérale
amyotrophique, ence casle diagnostic se fait à
es sont le centre cortical non seulement des cordons, antérieurs et
latéraux
[(fais- ceau pyramidal de, Flechsig) mais encor
et'cervicale),' lésiôns alternes dans les cordons pos- térieurs et
latéraux
ainsi' que dans les racines ? 1 lésions vasculair
e externe, de; l'extrémité antérieurejtdur gyrus occipito- temporal
latéral
. L'intérêt de ce cas réside' presque tout entier
en deux, trousseaux : un'trousseauantéro-postérieur et un trousseau
latéral
qui convergent vers le centre du corps cupuli-
du corps cupuli- forme de Flechsig d'où ils repartent. Le trousseau
latéral
repart le premier; puis c'est le trousseau anté
symptômes* s'y joignent qui appartiennent à la' lésion des cordons
latéraux
: ,L'auiopsie explique ces ' particularités ? E
! En, revanche,, de petits^ foyers parenchymateux dans les cordons
latéraux
ou antérieurs expliquent les quelques convulsio
OMIE1 ET DE PHYSIOLOGIE'PATHOLOGIQUES. 'postérieurs' du' èordorl, :
latéral
,4 parfois même de la région' de la -zone i marg
li existe aussi des fibres radiculaires postérieurs dont'iajportion
latérale
traversant la 9cornepostérieure;'rva'au'lsegmen
9cornepostérieure;'rva'au'lsegmenttle plus postérieur du' cordon
latéral
.' Leur-portionl'moyènnèsse rend'dans la corne 'an
mentinrrles'c8tésdu°èordon antérieur et se termine * dans le cordon
latéral
. M'ns fiq -ti711rtugei,m <-.t>-.p- Keraval
il y a lésion de' la zone' radiculaire po'stéro-médiane, du système
latéral
de la zone radiculaire moyenne et des faisceaux
coton hydrophile, t Il En'mettant à découvert les deux ventricules
latéraux
, on trouve des produits néoplasiques, mollasses
ductions se rencontrent aussi sur la face interne des ventri- cules
latéraux
, le long des piliers antérieurs du trigone. En ar
ouCLINI<5UE<MENTALE--a fl &*& wa atra - Le ventricule
latéral
] renferme, desj ? '6 ! HM/c[<tOHS}('peH ? Ha !
sur les deux hémisphères. Granutations épen- dymaiires (ventricule
latéral
et moyen). -Absence de lésions en foyer dansles
une lésion de système, ^'comparable à la dégénérescence des,cordons
latéraux
^et, des : dons postérieurs de la moelle. ^ j-, ?
dont témoignent les cas de scléroses combinées, ceux de scié- rose
latérale
avec atrophie -musculaire, de sclérose, multilocu
ccupant les régions antérieures du cerveau,'l'activité, les régions
latérales
, les instincts,' les régions ! postérieures. '
ue, sclérose en plaques, . paraplégie spinale spasmodique, sclérose
latérale
amyotropluque, atrophie musculaire progressive,
nts : mou- vements verticaux des bras en deux temps; mouve- ments
latéraux
des bras en deux temps. Les enfants au lieu de
ou améliorés, les temps d'inspiration sont accompagnés d'écartement
latéral
des bras et de projection alternative des membr
vation des bras au-dessus de la tête, de la projection simultanée
latérale
des hras et alternative des jambes. Education D
les petites lèvres. L'hynien, circulaire, offre trois franges, deux
latérales
épaisses, assez longues, et une inférieure qui
porté dans son évolu- tion dentaire. Il possède encore une incisive
latérale
droite temporaire sur le point d'ailleurs d'êtr
ineux; 35 centimètres de circonférence. Il présente sur les parties
latérales
de grosses masses adipeu- ses. Ganglions cervic
maxillaires concordent exactement. Ils présentent un rétrécissement
latéral
assez prononcé. Les dents de lait ne sont pas e
ire inférieur, de la canine de lait droite et de la petite incisive
latérale
de lait gauche. 1903. Juin, - L'enfant a pass
ent un grand nombre de petits sillons superficiels. - Le ventricule
latéral
, la couche optique, le Sclérose atrophique ; mé
atrophie des circonvolutions à gauche, de la dilation du ventricule
latéral
gauche (le v. L. droit est normal), et de ses c
hidien ( ? ), bien qu'il y eût une notahle dilatation du ventricule
latéral
, ainsi que cela arrive souvent dans les cas ana
également une asymé- trie du corps du sphénoïde. Les deux versants
latéraux
qui se continuent avec la face supérieure des g
volution du corps calleux, CCC, étroite, déformée, et le ventricule
latéral
, VL, et per- met de constater l'absence du corp
e ils sont notable- ment atrophiés et irréguliers . - Le ventricule
latéral
gauche est de dimensions normales (PL.VIII et I
chair de saumon, lésion fréquente dans l'état de mal. Le ventricule
latéral
, la couche optique., le corps strié, la corne d
lobe frontal relativement un peu grêles. Corps calleux, ventricule
latéral
, couche optique, corps strié bien développés.
. tout dans les 2/3 postérieurs. Il parait affaissé le ventricule
latéral
de ce côté ayant été vidé du liquide qu'il conten
corps calleux est fort amincie, le coin assez grêle. Le ventricule
latéral
est très dilaté surtout en avant, la mem- brane
onvolutions du corps calleux. C C, corps calleux. V L, ventricule
latéral
. C C, couche optique. C A, corne d'Ammon. C
rigone Tg, ont été renversés en bas afin de découvrir le ventricule
latéral
et montrer qu'au-dessous de la circonvolution,
fications crâniennes con- sécutives aux atrophies cérébrales uni-
latérales
, hémiplégie infantile; par '''' ' G. PAUL Borrc
dernière passe par le bord externe du noyau caudé ou du ventricule
latéral
. Or, comme ce bord est distant de deux centimèt
ar les couches du centre ovale les plus rapprochées du ventricule
latéral
, forment la partie la plus élevée du segment su
antéro-postérieures et sur le trajet du bord externe du ventricule
latéral
. D'après leur situation et leurdirection, les f
n ganglio-insulaire, c'est-à-dire par le bord externe du ventricule
latéral
. Ce que nous voyons ici vient corroborer ce que
ant, qu'ils constituent sur le trajet du bord externe du ventricule
latéral
un en- semble de fibres tranchant par leur dire
à la cavité digitale, par conséquent au bord externe du ventricule
latéral
, de même que les faisceaux précédents. Cette; l
rémité antérieure 12 --), ANATOMIE. du bord externe du ventricule
latéral
et la partie la plus reculée de la queue du noy
dans une extension forcée. En tous cas, ils subissent un mouvement
latéral
assez prononcé, en vertu duquel 1,'ig. 9. - Gri
du cerveau, c'est-à-dire en procédant par ouverture des ventricules
latéraux
en allant du haut en bas, puis, par ouverture,
et le corps bordant for- ment la limite externe de la fente (partie
latérale
de la grande fente de Bichat) par laquelle la p
om de plexus choroïdes, dans la corne sphénoïdale des ventricules
latéraux
. 2° En lisant les descriptions données par les
s dans une sorte de repli mésentérique et ferme les ventri- cules
latéraux
. LA CORNE D'AMMON. 165 2° Les plexus choroïde
est attirée obliquement en haut et en avant, et la peau des parties
latérales
du nez se marquer de plis parallèles à- la dire
nvaincu que la' dégénérescence symétrique primitive des cor- dons''
latéraux
ne saurait élucider co'nstam'ment"los''obscurités
lement, d'une localisation primitive ou secondaire sur. les cordons
latéraux
des pyramides. La pathogénie ^serait bien,plus
déterminer avec précision : « Quelles sont les parties des cordons
latéraux
qui doivent être affectées pour produire l'ense
symptôme, mais dont la rela- tion avec les altérations des( cordons
latéraux
est indéniable. Dans certaines cas, un simple t
du crâne, une tumeur de la grosseur d'un haricot près de la partie
latérale
gauche de la protubérance, au niveau d'émergenc
aux pleurs. .m J z n a >. d. : H. D 0. ' XXI. UN CAS DE SCLÉROSE
LATÉRALE
AIYOTROPHIQUE; par C. MOELI (Archiv. ficr Psych
sso-pharyngée (,paralysie il, d'origine cérébrale à,foyer uni- -*
latéral
), par Kerchoff, 256. Localisation du centre vis
dans les fractures de la tête ri du péroné, 306. ? 1 l , Sclérose
latérale
^ amyotrophique, 9" par Moëli,· 260. y · ii -m
de leur couleur violette, les doigts portaient sur leurs par- ties
latérales
et dorsale, un oedème pur très peu accusé. Le mal
désarticulation métacarpo- phalangienne, en taillant;jdeux lambeaux
latéraux
; le doigt tombé, je dénudai la tête du métacarp
he de cellules épithéliales,bien que discontinue,marque les limites
latérales
de cette ca- vité (Pl. XV, D). La moelle gauche
méningo-myélite intéressant les cordons postérieurs et les cordons
latéraux
. Ce foyer a déterminé les dégénéralions secondair
les et l'écorce cérébrale sont intimement confondues. Le ventricule
latéral
est très dilaté dans toutes ses parties. Les 2/3
téressées. L'encoche forme une saillie prononcée dans le ventricule
latéral
dilaté. , A l'origine de la scissure de Sylvius
e aussi quelques-unes de ces lésions superficielles, son ventricule
latéral
est un peu dilaté. Un enduit grisâtre, d'appare
qui l'entoura complètement, particulièrement épaissie sur les faces
latérales
el postérieures, fendillée, peu résistante à la
les s'infiltrent en les dissociant, et dans les cordons antérieurs et
latéral
, où, sur les coupes de même niveau, mais d'une
Autour de la moelle se dispose le large anneau, épais sur les faces
latérales
et en arrière, constitué par l'infiltration de
ures, aux- quelles elles forment une courte auréole. Dans le cordon
latéral
, les fibres colorées se groupent encore contre
que présente la paroi interne de la corne occipitale du ventricule
latéral
. Cette paroi mesure en moyenne deux millimètres.
- taux apparaît dans toute sa netteté. A ce niveau, les ventricules
latéraux
forment une vaste dilatation. Leur paroi intern
xamen a porté sur les parois de la corne occipitale des ventricules
latéraux
, les deux putamens. les corps genouillés extern
Delalield. La paroi interne des cornes occipitales des ventricules
latéraux
, réduite à une milice couche de quelques millim
précunéus. La paroi externe de la corne occipitale des ventricules
latéraux
est également le siège d'une sclérose avancée.
ordant le pied droit par sa partie externe, sectionne les péroniers
latéraux
et le tendon d'Achille, puis ouvre l'articulati
rquée. La palpation montre rapidement les causes de l'aplatissement
latéral
: on n'arrive pas à sentir le péroné ; quant au
res : à gauche, comme à droite, il y a antécourbureet aplatissement
latéral
rendus peut-être plus nets encore par l'atrophi
. Au genou, il y a un peu de laxité, permettant quelques mouvements
latéraux
; dans la flexion de la jambe sur la cuisse, la
rps du sphé- noïde, les rochers, la base de l'occipital, ses masses
latérales
concourent à la formation de ce massif osseux.
dans la partie droite de la moelle, la corne antérieure et la corne
latérale
paraissent confondues dans une autre masse plus
liques très épaisse. Les fibres nerveuses des cordons antérieurs et
latéraux
sont presque toutes dégénérées ; les cordons po
thélioma du corps pituitaire, avec prolongement dans le ventricule
latéral
1 droit. Hypertrophie du corps thyroïde (250 gr
rolongement de la tumeur hypophysairc : 1 l'intérieur du ventricule
latéral
droit dilaté. (Par un artifice de dessin, on a
XXIX, B), on retrouve la tumeur qui remplit la cavité du ventricule
latéral
correspondant, très dilatée. Elle forme à ce ni
par la basse osseuse du crâne, s'était développée dans le ventricule
latéral
droit, en pleine substance blanche, remarquable
branches centrales, nous trouvons deux autres sillons longitudinaux
latéraux
(c, d), de la même lon- gueur, nature et profon
'ifo1'1ne ou langue géographique. Les deux sillons moyens, les deux
latéraux
, les trois transverses et les dix marginaux con
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