y avait de dépression oedéma- teuse (pitting) ni la ni ailleurs. La
langue
était grosse et plutôt pâle. La peau n'était pa
ume. La parole n'est pas lente, mais très nettement gutturale. - La
langue
est large, probablement hypertrophiée. Nous a
n un peu paresseuse; les mouvements des yeux se font aisément. . La
langue
est grosse et massive, la muqueuse des joues et d
e que les dents ne pouvaient plus s'appliquer l'une sur l'autre. La
langue
devint plus épaisse, la voix prit un timbre plu
SALPÊTRIÈRE. Largeur du nez à l'entrée des narines, 5 centimètres.
Langue
très volumi- neuse, faisant saillir le plancher
centimètres près de la pointe, 7 centimètres 11 la partie moyenne, la
langue
étant tirée. ' Le palais et la luette paraiss
arole, puis de perte de connaissance et de chute avec morsure de la
langue
. Il a aussi des crises dans lesquelles il marche
ans Médical Press and CirculaI', 18 avril 1888. L'ACROMÉGALIE. U7
langue
était très épaisse et large; vision bonne; touche
mmeil généralement bon. Appétit peu vif. Un peu de constipation. La
langue
ne présente rien d'a- normal. La déformation
et de la sensibilité. Pas d'écume à la bouche, pas de morsure de la
langue
, pas de miction. L'accès dure ainsi une ou deux m
é dans la main fermée, pas de mouvement, ni écume, ni morsure de la
langue
; l'urine s'écoule au dehors pendant l'accès. Ap
es yeux se ferment, la figure devient rouge, les dents claquent, la
langue
est mordue quelque- fois, les bras sont agités
ar pression de la main droite et jusqu'au z0 par la main gauche. La
langue
est animée d'un léger tremblement, cependant la p
iatement elles sont prises d'un frémissement des plus marqués. La
langue
n'est pas déviée, elle est agitée d'un tremblemen
manière carac- téristique ; la malade s'exprime difficilement. La
langue
est tremblotante. Les mains sont prises d'un lé
illie par M. Ch. Simon) 2. Paralysie générale, hémia- trophie de la
langue
. Le nommé B., 39 ans, maraîcher, se présente le
sie gé- nérale (Gazette médicale, Paris, 1884). 2. Cli. Simon, La
langue
névropalhique, Thèse 1889, p. 48. 1 1. 1 , FA
ne répond que par un grognement inintelligible. L'inspection de la
langue
montre une atrophie con- sidérable limitée au c
La muqueuse est plissée et chagrinée de ce côté. Cette moitié de la
langue
n'a guère que 1 centimètre 1/2 de large tandis
beaucoup moins à la base. Malgré cette atrophie, la déviation de la
langue
est nulle. Les mouvements de déglutition se font
s sa visite. , - Il n'est pas sans exemple de voir l'atrophie de la
langue
se développer en conséquence de lésions cérébra
s ce ltecueil'. Chez lui le spasme glosso-labié est très marqué; la
langue
est forte- ment déviée du côté droit. Comme il
. XIV, 1688. SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. 171 la
langue
, nous voyions bientôt, par généralisation, la con
aire, du côté anesthésique. Toutefois, l'inspecta attentive de la
langue
nous montrait que celle-ci était pour ainsi dir
che étaient parfaitement sensibles à gauche, la partie gauche de la
langue
sur toutes ses faces était comme la partie droi
précipitées, dont la commissure labiale de ce côté est le siège. La
langue
tirée hors de la bouche n'est pas déviée. » Dep
déviée. » Depuis, l'hémispasme s'est complété et intéresse aussi la
langue
qui est fortement déviée à gauche*. Il était
La sensibilité cornéenne et conjonctivale paraissent normales ; la
langue
est insensible dans sa totalité, alors que l'anes
t au moment des efforts faits par le malade pour tirer au dehors la
langue
contracturée. Or, en exami- nant la figure 56,
rme à moitié, spasdomiquement, dans les efforts faits pour tirer la
langue
au dehors; pour les autres, la constatation est
si obtenu. Le spasme reparaît aussitôt que cesse la compression. La
langue
ne participe pas au spasme. Il existe un sen- t
e et du cou, est restée sensible de même que la moitié gauche de la
langue
. La cornée et la conjonctive sont insensibles.
naître sous nos yeux, se localiser d'abord à la partie droite de la
langue
, puis envahir la partie gauche, et enfin réalis
3 heures, nombre sensiblement égal d'at- taques de même nature, la
langue
n'est pas mordue; on sonde la malade toutes les
hésique est redevenu sensible. Nous constatons en même temps que la
langue
est fortement déviée il SUPERPOSITION DES TROUB
DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. 179 droite; la moitié droite de la
langue
est diminuée de volume, dure au tou- cher, reve
de la sensibilité montre que la partie droite contractl1l'ée de la
langue
est insensible, la moitié gauche restant sensible
s jours qui suivent, on note, qu'a son tour, la moitié gauche de la
langue
durcit; d'aplatie, de mobile, elle prend un aspec
sa Policlinique 1 : « Nous allons ordonner à la malade de tirer la
langue
. Vous la voyez ouvrir la bouche démesurément, f
Vous la voyez ouvrir la bouche démesurément, faire effort, mais la
langue
ne sort point. Vous voyez cet organe ramassé ve
ement, mais le spasme lingual persiste avec anesthésie tolale de la
langue
. Le 31 juillet, attaque hystéro-épileptique qui
inant en bas transversalement un peu au-dessous de la clavicule. La
langue
est toujours contracturée dans la même situation.
circonscrite qui l'ac- compagnait. Le spasme et l'anesthésie de la
langue
persistent; la suggestion plusieurs fois répété
toujours en fin de compte se fixer il gauche. La contracture de la
langue
est permanente. 1. M. Charcot a présente cette
: au sortir de celle-ci, la malade est toute étonnée de mouvoir sa
langue
qui était contracturée et anesthésique en total
talité depuis le 18 juin. Nous l'examinons le 21 et constatons que la
langue
est redevenue souple; la moitié droite est déso
e réalise le type du spasme facio-peaucier sans participation de la
langue
et avec super- position de l'anesthésie au spas
même temps que des douleurs névralgiques de ce côté de la face. La
langue
n'est pas déviée. L'oeil droit est amaurotique.
e sensitivo-sensoriellc d'origine hystérique, un spasme total de la
langue
coïncidant avec une anesthésie totale de l'orga
n'avaient pas leur vigueur ordinaire. Quelques jours plus tard, la
langue
« devenait raide »; il éprouvait de la difficulté
mmissure gauche est très nettement tirée en haut et en dehors. La
langue
est très légèrement déviée à gauche, mais le mala
ssant seulement de quelques centimètres les arcades dentaires. « Ma
langue
est raide, répète-t-il, je ne puis la mouvoir com
mal parler. » Pourtant la parole semble normale- ment exprimée. La
langue
présente encore cette particularité que les bords
le donc envahir toute sa musculature, à droite comme à gauche. La
langue
est insensible dans sa totalité, alors que le mal
ute la portion droite de la muqueuse buccale qui ne recouvre pas la
langue
a conservé sa sensibilité, qu'elle a perdue à g
s'en étonner, ce sont peut-être les troubles de sen- sibilité de la
langue
qui permettront parfois d'éviter l'erreur la plus
nt de repère pour le diagnostic si l'on constate par exemple que la
langue
déviée parfois comme dans l'hémiplégie organiqu
'ACROMÉGALIE (Suite 1). Passons maintenant à la description de la
langue
. Comme je l'ai dit, cet organe chez Ghirlenzoni
s premiers anneaux de la trachée. Posée sur la table d'autopsie, la
langue
était longue, large, massive; toutes les papill
troduire un gros pois. Voici les trois principales dimensions de la
langue
: ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L'ACROMÉGALIE. 189
énitale ni à la macroglossile acquise. Un léger allongement de la
langue
souvent lié à un égal allongement de la mâchoir
chez les crétins, il n'est pas rare d'observer l'hypertrophie de la
langue
avec procidence de l'organe. C'est principalement
rincipalement sur ces faits qu'est fondée l'ancienne opinion qu'une
langue
épaisse et large annonce un faible degré d'inte
les progrès de la maladie amenaient l'augmentation de volume de la
langue
, ils ne produisaient pas aussi un affaiblissement
arrive dans les actes de la déglutition. En conséquence de cela, la
langue
ne pouvait faire moins que de se trouver gênée
i-ci les plus étroits rapports. Les incessants efforts faits par la
langue
pour vaincre la résistance des maxillaires, con
sans rival et ne pouvait plus reconnaître que des égaux dans cette
langue
qu'il a fixée... « Mais ce qui, dans le génie d
LA SALPÊTRIÈRE DES CONTRACTURES SPONTANÉES '" ET PROVOQUÉES DE LA
LANGUE
1 CHEZ LES IIYSTÉItO-ÉPILEPTIQUES On saitdepu
rie sur le spasme losso-labiédes hystériques, quechezces malades la
langue
est assez souvent le siège de contractures sponta
tisme pour les déterminer expérimentalement. Les contractures de la
langue
chez les hystériques peuvent être provoquées de
as rare, d'abord, d'observer l'apparition de la contrac- ture de la
langue
, lorsque, par l'excitation, on détermine la contr
torticolis ou d'un blépharospasme, il est assez fréquent de voir la
langue
se contracturer lorsqu'on ordonne simul- tanéme
es, je fus surpris, en ordonnant à l'une de mes malades de tirer la
langue
au dehors, de voir celle-ci se contracturer san
RAPHIE. T. 11, PL. XXXIII. Phototype Berthoud CONTRACTURE DE LA
LANGUE
PROVOQUEE A L'ETAT DE VEILLI CHEZ UNE HYSTERIQU
TEUR» NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. TI. PL. XXXIV. CONTRACTURE DE LA
LANGUE
PROVOQUEE A L'ETAT DE V CHEZ UNE HYSTÉRIQUE L
GRAPHIE. T. II. PL. XXXV. Phototypie Berthaud CONTRACTURE DE LA
LANGUE
PROVOQUEE A L'ÉTAT DE VEILLE CHEZ UNE HYSTÉRIQU
devant l'oreille droite un diapason vibrant sois, (pl. XXXIII), la
langue
normalement tirée hors de la bouche se dévie vers
ndant la contracture, la malade ne peut pas spontanément rentrer la
langue
dans la cavité buccale. Un examen plus attentif
icipent eux aussi à la contracture. En effet, concurremment avec la
langue
, les yeux se sont déviés vers la droite, et, au m
sont déviés vers la droite, et, au moment où la con- tracture de la
langue
cesse, les globes oculaires reprennent leur situa
tés. - Si l'on tient le diapason vibrant devantl'oreille gauche, la
langue
se dévie à gauche. Bien plus, il n'est pas néce
nt l'oreille. Si, en effet, on tient le diapason sous le menton, la
langue
s'élargit, sort droite hors de la bouche et bie
tient le dia- pason au-dessus de la tête ou au niveau du front, la
langue
se replie sur elle-même et la pointe se porte e
que portée sur le nerf glosso-pharyngien et les nerfs moteurs de la
langue
. Quelle que puisse être d'ailleurs l'interpréta
yé avec succès de produire chez la même malade la contracture de la
langue
par excitation directe. Par la simple pression
le pression d'une baguette j'ai pu, en touchant le bord droit de la
langue
, faire dévier celle-ci du même côté, en contractu
façon le bord gauche, la face inférieure, la face supérieure de la
langue
, j'ai obtenu des contractures dans ces différen
isable. Chez cette malade on peut déterminer des contractures de la
langue
absolument analogues à celles que l'on provoque
du cou, de telle façon que la tête prenait la même attitude que la
langue
, elle se penchait vers la droite, vers la gauch
t une expérience avec le diapason-, produire des contractures de la
langue
telles qu'il ne m'a pas été donné d'en observer
ui faisant subir un mouvement de rotation, j'ai pu faire subir à la
langue
tirée hors de la bouche un même mouvement de ro
ue tirée hors de la bouche un même mouvement de rotation tel que la
langue
se plaça de champ dans une situation de contrac
ntracturer en le plaçant dans diverses positions. En même temps, la
langue
se contracture et se dévie vers le bras contrac
e dévie vers le bras contracture; les contractures du bras et de la
langue
s'associent donc chez cette malade. Me réserv
peut chez les hystériques produire des contractures typiques de la
langue
, soit à l'état de veille, soit pendant l'état hyp
central. NOUVELLE ICONOGRAPHIE T II. PL. XXXVI CONTRACTURE DE LA
LANGUE
PROVOQUEE A L'ETAT DE VEILLE CHEZ UNE HYSTERIQU
APHIE. T. II. PL. XXXVII. Phototypie Berthaud CONTRACTURE DE LA
LANGUE
PROVOQUEE A L'ETAT DE VEILLE CHEZ UNE HYSTERIQU
ssi par voie périphérique, par excitation directe des muscles de la
langue
. c) Les contractures de la langue peuvent s'ass
itation directe des muscles de la langue. c) Les contractures de la
langue
peuvent s'associer avec les contrac- tures des
cou, du tronc ou des membres. d) Les contractures provoquées de la
langue
ne diffèrent pas de celles que l'on observe ' s
PATHOLOGIQUE DE L'ACROMÉGALIE (Suite ! ). - L'hypertrophie de la
langue
une fois survenue, ses effets devaient se faire
rvé dans les cas de macroglossite, je veux dire la procidence de la
langue
; mais, par suite de la maladie dont les os étaien
'oeuvre de quelques jours; avant que le prognathisme se prononçât, la
langue
qui se trouvait ramassée dans la bouche et la p
stomac, les intestins sont sains, les reins volumineux, sains. La
langue
est hypertrophiée, les papilles gustatives sont t
on épaisseur est d'environ 1 cent. Le larynx, le corps thyroïde, la
langue
sont tous trois régulièrement aug- mentés de vo
és de volume, mais sans altérations. Les glandes de la racine de la
langue
un peu luméfiées. lutte notablement augmentée d
le 19 décembre de la même année 1730, sa maîtresse s'aperçoitque sa
langue
est encore beaucoup plus engagée qu'à l'ordinai
cher de se briser en tombant sur les degrés de marche en marche. Sa
langue
est presque aussi percluse que tout le côté gau
rt, sur la cuisse, la jambe et le pied gauche, et incomplète sur la
langue
, sur le bras et sur le reste de ce côté. Aussi
mment elle a pu faire en si peu de temps un si long trajet... Cette
langue
quinepouvoit que bégayer s'énonce parfaitement
à ne pas s'en appercevoir quand on y enfonçoit des épingles ». Là
langue
est prise ; la malade n'est pas muette au vrai se
. C'est un voile inerte que soulèvent les efforts respiratoires; la
langue
; elle aussi, est paralysée dans une de ses moit
mmissures peut s'exagérer lorsque le malade s'efforce de mouvoir sa
langue
à demi paralysée, mais la grimace est peu accen
déviations au maximum de tout le côté du visage siège du spasme, la
langue
ne se meut, n'est tirée au dehors qu'au prix des
s même, sous l'influence du spasme, la malade se mord légèrement la
langue
et les lèvres du côté droit. État actuel (^8 oc
malade devient rouge, \iolac6a; il n'écume pas et ne se mord pas la
langue
. Grands mouvements. - Puis il jette sa tète à l
nctive et la cornée. De plus, anesthésie complète du pharynx, de la
langue
des deux côtés ; plaques d'anesthésie complète
état gastrique marqué : inappétence, constipation, soif assez vive,
langue
saburrale jusqu'au 21 janvier, époque à laquell
ions fécales ou uri- naires, ni pertes séminales, ni morsures de la
langue
. Dans la seconde période, que Charcot caractéri
l -), i i, .15. llystéro-épileptique (contracture provoquée de li
langue
chez une -), 33, 31, 35, 3G, 37. Mélancolie c
t;en)-eep<tUM (des contractures spon- tanées et provoquées de la
langue
chez les -), par Laufenaucr, 203. Malades (le
sur le tendon d'Achille gauche. Rien au coeur, ni dans les poumons.
Langue
bonne, appétit bon ; foie et rate normaux ; pas
. Appétit assez bon, l'enfant mange de tousles aliments, soif vive;
langue
humide, légèrement saburrale; selles quoti- die
L'enfant pousse un petit cri, ouvre largement la bouche, allonge la
langue
en forme de gouttière; en même temps il contrac
conditions, le goût étant aboli sur les deux tiers antérieurs de la
langue
(zone des fibres de la corde du tym- pan), le n
convulsent, surtout à droite, la bouche est largement ouverte et la
langue
sort quelquefois de la bouche, sans jamais être
battements des paupières ; la bouche était largement ouverte et la
langue
était quelquefois fortement portée en dehors, c
i conçues : Nerfs du larynx (anatomie et physiologie) ; Nerfs de la
langue
(anatomie et physiologie). - Les questions oral
ouverture de la bouche avec extension au-dehors et rétraction de la
langue
. L'action de ces centres oro-linguaux serait, d
ossoplé- gie corticale, mais de troubles divers de motilité de la
langue
par lésion des circonvolutions. Ces faits sont
l'aile du nez et de la paupière, ainsi que dans les muscles de la
langue
, du côté gauche : abcès de la couche corticale
vu un enfoncement des os du crâne donner lieu à des spasmes de la
langue
et de la mâchoire; la contusion occupait la sci
revolver; paralysie faciale à gauche et difficulté pour sortir la
langue
: lésion portant spécialement sur la partie infé-
émité inférieure de la frontale ascendante; mais, les muscles de la
langue
n'étant pas spécialement désignés, nous n'avons
phie du coeur; il est frappé, après une attaque, de paralysie de la
langue
. La langue avait conservé son aspect normal, ma
; il est frappé, après une attaque, de paralysie de la langue. La
langue
avait conservé son aspect normal, mais elle res
gênées. Cependant, une bouchée d'aliments portée sur le bout de la
langue
pouvait alors être déglutie facile- ment. Aucun
e de la dégénérescence graisseuse dans les fibres musculaires de la
langue
. Les tubes nerveux dans le nerf hypoglosse étai
paralysie de tous les mouvements volontaires de la bouche et de la
langue
. La déglutition réflexe subsistait. Pas de trou
les muscles arti- culateurs. Dans l'observation de Rosenthal, la
langue
était complètement paralysée, et restait inerte
ascendante, se trouve le centre des mouvements des muscles de la
langue
, et, par suite, l'origine corticale de l'hypoglos
en du côté des yeux. Ouïe et odorat un peu affaiblis à gauche. La
langue
peut être un peu tirée hors de la bouché, elle
, qui se répand facilement à travers les lèvres entr'ou- vertes. La
langue
, de volume normal, est appliquée sur le planche
est perdu; la malade cherche à s'aider de ses doigts pour tirer sa
langue
au dehors. Le voile du palais a son aspect norm
tait traînante; mais aucun mot ne lui faisait défaut; seulement, la
langue
lui parais- sait lourde. La salive coulait sur
volontaires d'une seule moitié de la bouche sont peu intenses ; la
langue
peut à peine être projetée à un centimètre hors
a bouche. Elle ne peut souf- fler ni siffler. Elle ne peut tirer la
langue
hors la bouche. La langue est aplatie, mince, p
fler ni siffler. Elle ne peut tirer la langue hors la bouche. La
langue
est aplatie, mince, parcourue par des plis serpen
ien conservés, mais difficilement énoncés par suite de l'état de la
langue
qui était lourde, comme paralysée. Aussi, le ma
autres muscles de la face sous l'influence du courant faradique. La
langue
, large et étalée, est comme fixée sur le plancher
salles, nous n'avons constaté que cette paralysie des lèvres, de la
langue
et du voile du palais. Le 20 juin, mort par bro
la paralysie buib'aire' progressive, a savoir : la paralysie de la
langue
, des lèvres et du voite du palais. Mais, outre
ie gauche, une para- lysie de certains muscles du côté gauche de la
langue
, une paralysie du facial inférieur, une difficu
enthal également cité plus haut : pen- dant la vie, paralysie de la
langue
, parole et dégluti- tion très difficiles, etc.;
rieure double, parole à peu près indistincte; mais mouvements de la
langue
conservés et déglutition intacte. - A l'autopsi
ciale, faiblesse des lèvres, impossibilité de siffler, de tirer la'
langue
, de l'appliquer contre le palais, de la creuser
flexes. Paralvsie faciale inférieure droite. Pas de déviation de la
langue
. Pas d'aphasie, mais pa- role difficile, épaiss
sion convulsive de certaines syllabes. Les mouvements vicieux de la
langue
, des lèvres et des muscles respiratoires s'acco
e à des crises convulsives, surtout noc- turnes, avec morsure de la
langue
. M. Charcot la traita par le bromure, et les at
s produisant un balbutiement continuel. Pris de trem- blement de la
langue
, tremblement des mains, surtout delà droite ; é
1878, p. 45.) 188 pathologie générale. lent des névralgies de la
langue
, du palais, de la mamelle. Parmi les névralgi
ciproquement. CLINIQUE NERVEUSE DE L'11G111.1'l'ltOl'Illh : DE LA
LANGUE
DANS LE TABES DORSAL ATAX1QUE; Par le Der GIL
iagnostic difficile. Nous faisons allusion à l'anaJotoh7aie de la
langue
, ou plutôt à l'hémialrophie. M. Charcot a vu pl
même d'observer à la Salpêtrière plusieurs cas d'hémiatrophie de la
langue
chez des ataxiques, et nous avons, sur les cons
ous avons, sur les conseils de notre DE L'III3)11.-11'ROL'HIE DE LA
LANGUE
. 193 maître, saisi l'occasion que ces faits nou
connue du tabes dorsal. . C'est qu'en effet l'hémiatrophie de la
langue
n'occupe pas, dans les descriptions classiques
rophie de certains muscles..., notamment de ceux d'une moitié de la
langue
. » En 1875, M. Cuffer a communiqué à la Société
Lariboisière, atteint de paralysie bulbaire avec hémialrophie de la
langue
, dans le cours d'une ataxie locomotrice. « La s
ès, le malade a éprouvé de l'embarras de la parole. En examinant la
langue
, on voit qu'elle est manifestement atrophiée du
ente la forme de circonvolutions bien décrite dans l'atrophie de la
langue
. On la voit aussi agitée de contractions fibril
ée de contractions fibrillaires très accusées. Les mouvements de la
langue
auxquels préside le grand hypoglosse sont aboli
e la face sont conservés. Pas de troubles de la sensibilité de la
langue
ni de la face. Pas de troubles circulatoires ni
ciété de biologie un nouvel ataxique atteint d'hémia- trophie de la
langue
. L'observation ne fut pas publiée; mais M. Vida
dicale des hôpitaux, le 9 juillet 1875. DE L'HEM1A'rlWPHII, : DE LA
LANGUE
. 195 Observation I. Atrophie musculaire de la m
tion I. Atrophie musculaire de la moitié gauche de la face el de la
langue
et de quelques-uns des muscles du membre supéri
l gauche, par paralysie du moteur oculaire externe. La pointe de la
langue
s'est déviée à gauche. Le malade dit qu'il épro
s gauches est plus large que celle formée par les piliers droits.
Langue
. La moitié gauche de la langue est atrophiée. Sur
celle formée par les piliers droits. Langue. La moitié gauche de la
langue
est atrophiée. Sur la face dorsale de cet organ
les sous-jacents ont dimi- nué de volume. Lorsque le malade tire la
langue
, la pointe est déviée à gauche. Lorsqu'on comma
t point se replier, comme la moi- tié droite. Enfin les bords de la
langue
peuvent se relever vers la face dorsale, afin d
nt disparu. Par suite de l'atrophie des DE 1.'HFRI1TILOP111G de 1.1
langue
. 197 muscles de l'épaule, le mouvement d'élévat
jet, d'un rhumatisme chronique et d'une DE 1,'H k,li ATROPHIE DE LA
LANGUE
. 199 ataxie. Des coïncidences analogues, qui av
me de celui de M. Cuffer, c'est l'existence de l'hémiatrophie de la
langue
au cours d'un tabes à forme fruste. Il en ser
tion de notre maître, nous autorisent à penser que l'atrophie de la
langue
, sans 1 Bulletin de la Société anatomique, févr
. Thèse d'agrégation ; Paris, 1875. F ? 3. - IlémiatropUm Vc lu
langue
. DE L'H13\fIA1'ROPHIE DE LA LANGUE. 201 t et
F ? 3. - IlémiatropUm Vc lu langue. DE L'H13\fIA1'ROPHIE DE LA
LANGUE
. 201 t et de l'épaule droits. La même année on
sentait, entre autres symptômes, une remarquable hémialrophie de la
langue
du côté gauche, dont il existe, dans la collect
éditaires. Atrophies musculaires multiples. - Hémia- atrophie de la
langue
. M. Grossor..., trente-cinq ans, habitant Paris
le amaigrissement que d'une atrophie vraie. 2° Hémiatrophie de la
langue
( ! %i. 5.) - Le symptôme le plus intéressant à
s intéressant à relever, c'est l'existence d'une hémiatrophie de la
langue
. Lorsque le malade tire la langue, la pointe se
xistence d'une hémiatrophie de la langue. Lorsque le malade tire la
langue
, la pointe se dévie vers la droite et la moitié
or- gane. Il existe sur toute l'étendue de la moitié droite de la
langue
, de nombreuses rides et de profonds sillons. Lors
nombreuses rides et de profonds sillons. Lorsque le malade tire la
langue
, la pointe est animée d'un léger trem- blement
inte tremble des deux côtés, il n'en est pas de même du corps de la
langue
, au niveau duquel le tremblement porte seulemen
emblement porte seulement sur la partie atrophiée. L'atrophie de la
langue
semble gêner fort peu la mastication ou la dégl
car nous ne la remarquons pas. Fig. 5. - J]('ll11atrophie ,le la
langue
. DE LHC11.1'l'ltUl'lllis DE LA LANGUE. 205 L'
alade était alors affectéd'une atro- phie de la moitié droite de la
langue
et, quelques mois auparavant, il avait présenté
otassium) fut institué et ne donna aucun résultat. L'atrophie de la
langue
, loin de rétrocéder, continua à progresser. En
s du frère cadet, notre maître se demanda si l'hémiatrophie de la
langue
observée chez ce dernier n'était pas tout simpl
qui remonte à 1873, un auteur an- DE I,Hh : \llrlfltUl'HI1'; DE LA
LANGUE
. 07 glais, W. Fairlie-Clarke' a fait un relevé
qui ressortont de la lecture de son travail. L'hémiatrophie de la
langue
peut s'observer à la suite des affections céréb
bulbe, elles s'accompagnent aussi quelquefois d'hémiatrophie de la
langue
, mais (l'ataxie exceptée) le fait est rare. Cla
pporte à un malade qui était affecté à la fois d'hémiatrophie de la
langue
et de la face et de phénomènes choréiques. Il s
longue London, 1873. 208 CLINIQUE ? LR%EUS1 ? unilatérale de la
langue
, et Clarke rapporte à cet égard plusieurs obser
109 Le fait du développement possible d'une hémiatro- phie de' la
langue
au cours du tabes nous semble prêter à quelques
d'ataxie des mouvements, » D'autre part, DE L'H\ILaTR01'HIf : DE LA
LANGUE
. 213 la description minutieuse des lésions macr
de la luette (Pierret, Vidal), des ptérygoïdiens, des muscles de la
langue
(Trousseau), sans parler de celles 21 lé CLINIQ
elles intéressent les muscles des membres ou ceux innervés par la
langue
, comme dans les cas d'hémiatrophie lin- guale q
. Le fait est vrai pour les muscles des membres, il l'est pour la
langue
, il est très vraisemblable qu'il l'est aussi pour
ÉJfIATROPHIE DE LA LANGUE. 215 occupent, muscles des membres, de la
langue
ou des yeux, reconnaître une pathogénie univoqu
u bulbe. Ainsi s'expliquent, à notre sens, etl'hémia- trophie de la
langue
et les impotences fonctionnelles permanentes de
que nous possédons, la coïncidence de l'atrophie des muscles de la
langue
(Cas. personnelle; OBs. de MM. Vidal et Cuffer)
de faits relatifs à des cas d'ataxie bulbaire avec lésions de la
langue
ou des muscles des yeux, on ne trouve relaté au
aduisant par des troubles moteurs ou tro- DE L'HG\IIaTROPIIIr nE LA
LANGUE
. 1217 phiques bulbaires (atrophie delà langue,
'HG\IIaTROPIIIr nE LA LANGUE. 1217 phiques bulbaires (atrophie delà
langue
, paralysie des muscles oculaires, etc.), on se
'à la ligne 'médiane,' ét'de toute la moitié correspon- dante de la
langue
. Là sensibilité générale et spéciale est pourtant
ls troubles aussi du côté de la vessie ou du rectum. Atrophie de la
langue
avec parésie qui s'est associée pendant les der
deDuval et Raymond sur l'existence de deux centres séparés, pour la
langue
sont confirmés par les recherches des auteurs.
des membres), faisceau géniculé (faisceau moteur de la face, de la
langue
, du voile du palais), faisceau intellectuel.
ns aucune -manifestation paralytique aux membres, au visage ou à la
langue
; tandis que les dégénérations du faisceau inter
contreraient dans les cas d'aphasie, de paralysie des muscles de la
langue
, de la face, du voile du palais. Pour Brissaud,
s. La parole est lente, embarrassée, parfois incompréhensible. La
langue
se meut difficilement et ne peut être tirée hors
n des mots très difficile; parole par instants incompréhensible. La
langue
se meut très difficilement (surtout dans les mo
Dans ces trois observations se trouve signalée une paralysie de la
langue
, avec troubles dans l'articulation des mots; da
rax peu développé, musculature moyenne, pannicule graisseux faible.
Langue
nette. Organes thoraciques et foie normaux. Pa-
ysie de l'oculo-moteur ex terne gauche et de la moitié droite de la
langue
et du voile du palais. Gliôme dans la pointe an
it et de la branche buccale du facial du même côté. Déviation de la
langue
du côté droit, dila- tation passagère de la pup
ris, comme le démontre la paralysie des muscles de la bouche, de la
langue
, du voile du palais, l'atrophie commençante du
es, par dorisseu, 333. Athétose, 3.15. Ataxie (hémiatrophie de la
langue
dans l'), 191; - (troubles uri- naires dans l
par l'hydrothé- rapie, par Bourneville et Bon- naire, 86 ? 352.
Langue
(de l'hémiatrophie de la- dans le tabes dorsal
etit couteau à double tranchant très aigu , analogue à une lancette à
langue
de serpent, pénétrer dans la cornée comme pour l'
n quatre sous-divisions : les appareils labio-génien et salivaire, la
langue
et le voile du palais. APPAREIL LABIO-GÉNIEN.
êne ou une imperfection dans les mouvemens du pharynx* larynx etde la
langue
: mais surtout nous avons vu (pie l'accident le pl
crite entre les vaisseaux faciaux à son bord supérieur, et ceux de la
langue
à son bord inférieur, cette glande, en cas de dé-
a grenouillettc ou ranule est une tumeur située latérale-ment sous la
langue
, entre cet organe,qu'elle soulève, l'os maxil-lai
ns gêne par son volume ; elle embarrasse ou empêehcles mouvemensde la
langue
, et dans certains cas elle peut aller jusqu'à gên
n est des plus simples ; la bouche largement ouverte, la pointe de la
langue
écartée en haut et du côté opposé, le chirurgien
Bérard , entre les gencives et la joue , et entre les gencives et la
langue
; MM. Latour et Ricord, clans l'épaisseur même de
'extirpation ou la cautérisation auraient produit le même résultat.
LANGUE
. section du filet. Le frein de la langue, rep
duit le même résultat. LANGUE. section du filet. Le frein de la
langue
, repli fibro-muqueux, qui termine en avant la sai
uche, n'est pas fortement serré contre le pa-lais par la pointe de la
langue
rétractée en bas, et qu'en saisissant avec les do
e alors qu'il se prolonge quelquefois jusqu'auprès de la pointe de la
langue
sous forme d'un mince repli muqueux que l'on peut
re avec un instrument qui réunit une petite fourche, pour soulever la
langue
, et des ciseaux pour couper le filet. C'est la mê
narines pour le forcer à ouvrir la bouche, le chirurgien sou-lève la
langue
entre le pouce et l'indicateur de la main gauche
in tournée en haut : et alors, si l'enfant est docile, le frein de la
langue
se trouvant bien tendu, avec la main droite armée
ter des veines ranines. Si au contraire, les mouvemens im-primés à la
langue
empêchent qu'elle ne puisse être bien fixée entre
peuvent survenir après la section du filet : i° le renversement de la
langue
vers le pharynx qui a été vu trois fois par J.-L.
t. Sur deux de ses malades, il réussit à ramener avec l'indicateur la
langue
en avant dans sa position ; le troisième en-fant
le troisième en-fant mourut de suffocation, et le renversement de la
langue
, bouchant l'isthme du gosier, fut vérifié par l'a
employa après la cautérisation , un petit appareil, propre à fixer la
langue
, qui se composait d'une tige fourchue, garnie de
ant de la symphyse du menton vers la plaie, de manière à maintenir la
langue
appliquée contre le palais ; le tout fixé par une
âchoire, vers le synciput. Il suffisait pour empêcher, à coup sûr, la
langue
de se mouvoir, de remplir l'espace sublingual de
s précautions, pour ne couper ni trop ni trop peu. adhérences de la
langue
. A la langue, comme dans les divers points des
pour ne couper ni trop ni trop peu. adhérences de la langue. A la
langue
, comme dans les divers points des cavités muqueu-
nde étendue. Leur siège le plus ordinaire est le long des bords de la
langue
qu'elles unissent avec la paroi gingivale ou cell
ur, d'une spatule ou de tout autre instrument, la portion libre de la
langue
, du point de la bouche où elle adhère, et avec un
s , vers la gencive ou la joue, pour éviter de blesser le tissu de la
langue
. A mesure que l'on avance dans l'opération, on su
ive peu-à-peu à détruire toutes les adhérences, et on s'assure que la
langue
est libre en en parcourant le contour avec le doi
des gargarismes ; on recommande aux malades de mouvoir fréquemment la
langue
et de glisser le doigt entre les surfaces divisée
as à demeure dans la bouche, un petit linge enveloppant le bord de la
langue
, et dont l'interposition rendrait toute nouvelle
ition rendrait toute nouvelle adhé-rence impossible. ablation de la
langue
. (Pl. ai.) Diverses maladies, jugées incurables
s étendue ou même, dans les cas les plus graves, de la totalité de la
langue
. D'autres altérations, situées dans l'épais-seur
re voir dès la plus haute antiquité, la possibilité de la perte de la
langue
sans entraîner la mort, néanmoins ce n'est que to
d'individus qui en sont privés accidentellement. Les maladies de la
langue
sè présentent sous diverses formes, qui modifient
i la maladie est une tumeur enkystée, comprise dans l'épaisseur de la
langue
, mais sans faire corps avec son tissu, il suffit
, si elle s'en isole, (c) Enfin si le mal, situé à la surface de la
langue
, forme une traînée en longueur sans profondeur, o
de lièvre, mais qu'il conviendrait, pour un organe aussi épais que la
langue
, de faire fabriquer encore plus longs et plus sol
procédé commun. i° Cancer de la pointe ou de. l'un des bords de la
langue
, (a) Excision avec le bistouri. L'extrémité malad
saisie entre les doigts, ou mieux avec une airigne de Museux , et la
langue
attirée au-dehors de la bouche, Louis pratiquait
"V (fig. 2), de manière à obtenir, pour la réunion, une extrémité de
langue
régulière, si le cancer était médian (fig. 3), ou
sion avec les ciseaux (Procédé de Bqyef) (fig. 1). Le côté sain de la
langue
étant saisi entre le pouce et l'indicateur de la
le pouce et l'indicateur de la main gauche, le poignet abaissé, si la
langue
est tenue par son bord droit; mais, au contraire,
droite : par une première section nette, diviser longitudinalement la
langue
jus-qu'au-delà de la tumeur, autant que possible,
sser un peu cracher le malade; puis, tendant la portion ma-lade de la
langue
avec l'airigne ou les doigts, par une seconde sec
u sixième au dixième jour. 1" Cancer de la partie postérieure de la
langue
, (a) Cancer latéral. Dans un cas où un ulcère can
as où un ulcère cancéreux partiel était situé sur le côté droit de la
langue
et envahissait le pilier antérieur du voile du pa
du voile du palais, M. Lis franc, après avoir fait tirer fortement la
langue
au-dehors, saisit la partie malade avec les pince
sit la partie malade avec les pinces de Mu-seux, entama le bord de la
langue
, avec de forts ciseaux droits , et parvint à cern
nt de l'opération , se réduisit extrêmement après la rétraction de la
langue
; le même phénomène supprima l'hémorrhagie fournie
ie guérit d'elle-même. (b) Cancer médian. L'ablation complète de la
langue
n'a pas encore été effectuée. Pour un cancer qui
r qui occuperait la por-tion moyenne et presque toute l'étendue de la
langue
, l'opéra-tion, si on croyait devoir la pratiquer
r un cas sem-blable, une première incision pratiquée en dessous de la
langue
, au travers des génio-glosses, aurait pour objet
au travers des génio-glosses, aurait pour objet d'isoler l'organe. La
langue
fortement attirée en avant serait traversée, au p
phie par ligature. La ligature pour isoler une portion malade de la
langue
a été pratiquée dans deux intentions qui correspo
la pratiquer. Procédé de M. Major. Il n'est que l'application à la
langue
du procédé général de ligature que nous avons déj
langue du procédé général de ligature que nous avons déjà décrit. La
langue
amenée au-dehors à l'aide d'une airigne, d'un cou
frein vers la racine de l'organe, M. Mayor divisa préalablement la
langue
par une incision longi-tudinale en deux moitiés,
e uni-quement de la ligature. Pour détruire une moitié latérale de la
langue
, M. Cloquet pratiqua une petite incision au-dess
ent, dirigé convenablement, vint ressortir au milieu de la base de la
langue
; deux fds furent passés dans le chas, et l'aiguil
ens; puis, avec une pince garnie d'agaric, faisant tirer fortement la
langue
hors de la bou-che , introduire au travers delà p
de aiguille courbe, garnie d'un fil qui vient traverser la base de la
langue
sur la ligne médiane, faire sortir l'aiguille par
t s'en servir pour pointer en arrière du mal sur l'un des bords de la
langue
, et res-sortir par la plaie sous-hyoïdienne , où
auteur d'obtenir l'atrophie sans sphacèle d'une portion malade de la
langue
, la portion étreinte continuant de vivre par les
a moitié saine. Mais, dans un cas où toute la partie antérieure de la
langue
était malade et nécessitait une ablation , il a p
Appréciation. En résumé, de deux choses l'une : ou la mala-die de la
langue
peut se guérir par l'atrophie, et alors on doit p
mieux celui de M. Maingault, s'il est praticable; ou la maladie de la
langue
, r. vn. absolument incurable, nécessite une abl
s, même pour avaler sa salive, qu'il doit seulement con-duire avec la
langue
pour la recevoir sur un linge entre les dents. Du
sous-muqueux avec le périoste, et de la pression continuelle de la
langue
contre la voûte palatine, les abcès s'ouvrent ord
le procédé d'extir-pation très facile. La bouche étant ouverte et la
langue
déprimée avec un abaisseur ou une spatule, la tum
Char-rière(n° 25), celui de M. Saint-Yves (n° 26), l'abaisseur de la
langue
de M. Colombat (n° 27), etc., imités d'une foule
us anciens du même genre. Ces instrumens sont utiles pour déprimer la
langue
ou maintenir écartées les mâchoires chez les suje
t d'essentiel qu'un petit nombre : un spéculum et un abaissent- de la
langue
, auxquels on supplée très bien par un morceau de
cautères préparés pour le casd'bémorrhagie, le chirurgien abaisse la
langue
avec un instrument quelconque, qu'il confie à un
ne comme d'un conducteur, fait glisser dessus, entre cette tige et la
langue
, la lame, le dos en bas, jusque sous la face post
moyens mécaniques et aux précautions en usage pour ne pas blesser la
langue
et les parois de la bouche. Reste le cas malheure
pour éviter plus sûrement la lésion, ou du voile membraneux ou de la
langue
, incisait par tiers, d'abord de haut en bas, puis
t par la bouche, applique le bec de l'instrument contre la base de la
langue
, pour le faire entrer dans l'ouverture de la glot
'ouverture de la glotte. La bouche largement ouverte et la base de la
langue
étant déprimée avec l'indicateur gauche qui dirig
elques incisions lon-gitudinales profondes, sur la face dorsale de la
langue
, suffisent également pour en obtenir l'affaisseme
ue possible, jusqu'à l'épiglotte, le chirurgien déprime modérément la
langue
jusqu'à sa base ; puis, se servant de ce doigt co
existe des trocarts plats de Wilson et André, des trocarts brisés, à
langues
de serpent, etc. Toutes ces innovations sont à pe
t à se former. C'est le même procédé que l'auteur a mis en usage à la
langue
, après la section pour le bégaiement. Avec cette
ce hybrides, sem-blent prouver la fusion des deux peuples et des deux
langues
: Ammonius, le plus ancien, Mégès et Sostrates. L
ons délayantes, régime doux, purgatifs légers, bains, etc. Lorsque la
langue
est blanche et la bouche pâteuse et amère , un vo
r ; extirpation, ex- «9 cision, 62. — Kystes de la bouche, 6:î. =
Langue
. Section du filet, 62. — Adhérences de la langue,
de la bouche, 6:î. = Langue. Section du filet, 62. — Adhérences de la
langue
, 63. — Ablation de la tangue: 1° par l'instrument
lables à celles qui précèdent les sanglots; leur visage se crispe, la
langue
se raidit ou se remue en tout sens dans la bouche
s plus pénibles entre les organes delà respiration, les muscles de la
langue
et du voile du palais; la tète, le cou, la traché
espiration et la parole redeviennent faciles. Etat anatomique de la
langue
. Depuis que les observations se sont multipliée
connu. M. Amussat, en outre, a fréquemment observé la déviation de la
langue
à droite ou à gauche. M. Bégin a démontré par une
logique , provenant d'un soldat qui avait été bègue, qu'un côté de la
langue
était beaucoup plus bombé que l'autre. M. Phillip
gues ne pré-sentent aucune particularité, aucune modification dans la
langue
et dans sa musculature. Les bègues sont souvent d
s bègues sont souvent dans l'impossi-bilité de porter la pointe de la
langue
à l'extérieur, soit en haut vers la cloison sous-
t la bouche entrouverte toujours au même degré; ils avancent alors la
langue
entre les dents, et souvent en mordent la pointe
dit-on, un arrêt de développement dans les ligamens inférieurs de la
langue
, ainsi que de tout temps on l'a observé chez les
observé chez les enfans, arrêt qui, parla difficulté où se trouve la
langue
de se mouvoir, suivant le degré , gêne ou même re
ns appelle filet sous-muqueux, et sans doute à d'autres muscles de la
langue
, comme paraissent lé prouver des observations réc
, par les modifi-cations qu'elles apportent dans la musculature de la
langue
, sont la cause la plus fréquente du bégaiement. A
t la pensée de guérir le bé-gaiement par la section des muscles de la
langue
. M. Sainti-Sillani [Gazette médicale, 18 décembre
érin, une jeune fille, offrir à-la-fois la rétraction des yeux, de la
langue
, des jambes et de la vulve. On pourrait citer un
mun que les rétractions multiples sur un même sujet, que celles de la
langue
s'y trouvent ou non associées. Enfin, vu l'indura
ssociées. Enfin, vu l'induration qui en résulte, les cicatrices de la
langue
à la suite de diverses maladies, figurent parmi l
e convulsif des organes chargés de la phonation et spécialement de la
langue
, à chaque effort que fait le bègue pour exprimer
les mots, tient souvent à la maladresse dans l'emploi mécanique de la
langue
. 11 suffit, dans ces cas, pour faire cesser le bé
intes de cette infirmité éprouvent un trouble complet qui paralyse la
langue
, et met en état de convulsion les muscles de la f
ies les plus essentielles à la vie d'un organe aussi important que la
langue
, et, dans le but de guérir une simple infirmité,
tes et des médecins pensent en effet que la section des muscles de la
langue
ne saurait dé-truire une maladie qu'ils regardent
dont la prétention est de guérir, par les différentes sections de la
langue
, presque toutes les variétés de bégaiement et not
t il bégayait horriblement. Quant aux conditions anatomicpies de la
langue
, le degré de longueur, de largeur ou d'épaisseur
termes, dont la cause est transportée de l'appareil musculaire de la
langue
dans celui des muscles de la respiration, excluen
, à n'opérer que les malades qui répètent les mêmes syllabes, dont la
langue
a de la tendance à se porter entre les dents et d
AIEMENT (Pl. F, G). anatomte operatoire (Pl. F, fig. i et 2 ). La
langue
est formée de muscles intrinsèques et extrinsèque
de muscles intrinsèques et extrinsèques. Les premiers constituent la
langue
proprement dite, et se compo-sent de plusieurs fa
organe. Muscles extrinsèques. Stylo-glosses. Comme élévateurs de la
langue
, ces muscles devraient être respectés; comme rétr
us les aspects, quant à l'étiologie, les conditions anatomiques de la
langue
, l'opération qu'elle réclame, les accidens qui en
stion qui nous occupe; il connaît les modifications anatomiques de la
langue
, épaisseur, induration, raccourcisse-ment, qui fo
t de naissance, les autres par (1) De »7x11X0;, courbé, et •yXôxjaa
langue
. (2) iETIus tetrabihliu, Sermo quarlits, cap. x
ls, par le fait de la nature, les membranes inférieures qui fixent la
langue
sont dures et contractées. L'ancylose et l'incur-
a langue sont dures et contractées. L'ancylose et l'incur-vation delà
langue
par suite de maladie, sont le résultat d'une ul-c
r y parvenir, il faut faire asseoir le malade et lui faire relever la
langue
vers le palais, et si, en effet, les membranes se
sont différens. Suit la traduction. « La stricture (ligatio) de la
langue
que les Grecs appellent an-cyloglosse, tantôt sur
, l'endurcissement et la contracture des membra-nes qui retiennent la
langue
; tantôt provient d'une cicatrice indu-rée succéda
efforts pour commencer à parler, en même temps que la tension sous la
langue
devient plus apparente; toutefois une ulcération
sous la langue devient plus apparente; toutefois une ulcération de la
langue
n'ayant point précédé. Ceux au contraire qui ont
nculum Iransversa plaga Le malade étant assis sur une chaise, et la
langue
relevée vers le palais, on divise le lien membran
une double section latérale nous faisons cesser la déli-gation de la
langue
, avec le soin toutefois de ne point inciser les p
ence, comme il a été le metteur en œuvre de tous les élémens de notre
langue
(i). En extrayant, dans son récit, le sérieux d
tre opéré. Souvent en effet, une cause toute autre qu'un lien sous la
langue
empêche les enfans de pro- incidetur. Quôd si e
irurgien qui luy ooupparent vng ancyliglolte que elle auoyt souliz la
langue
. La parolle rei'ouuerte, elle parla tant cl lantq
mediein pour remède de la faire taire, etc. noncer ou do parler; la
langue
alors n'est, retenue par aucun ligament. C'est po
l'opération du filet; mais ne lui trouvant aucun lien fibreux sous la
langue
, je refusai de l'opérer. Un mois après, l'enfant
ut amené à un empirique ambulant. Celui-ci persuada aux parens que la
langue
était retenue par un ligament fibreux (nerveum) t
cé sur les genoux d'une matrone. Alors notre charlatan fit dégager la
langue
par une incision pro-fonde qui, de la partie anté
chaque jour je pratiquais avec bonheur la section des ligamens de la
langue
, il me vint à l'idée, de retour à la maison pater
il me vint à l'idée, de retour à la maison paternelle, d'observer la
langue
de mon frère. Je trouvai alors le ligament moyen
uvai alors le ligament moyen si épais et si contracté, qu' à peine la
langue
pouvait atteindre les dents antérieures. « Tum me
; il faut surtout avoir soin de ne pas in-ciser trop profondément. La
langue
étant relevée, avec la pointe des ciseaux je coup
un doigt enduit de miel rosat ou commun , et de relever doucement la
langue
, afin de s'opposer à l'agglutination et à la réun
firmité peut provenir de deux organes très différens, l'oreille et la
langue
. En d'autres termes, si, parmi les muets de naiss
i, dont le mutisme a pour cause un vice de conformation exagéré de la
langue
qui ne permet à ces malheureux de s'exprimer que
souvent des enfans qui bégayent à l'âge de 4 ou 5 ans, parce que leur
langue
n'a pas la facilité de se remuer pour articuler e
pouvoir pronon-cer facilement parce que les membranes situées sous la
langue
sont trop courtes ou trop contractées, l'opératio
pratique. » Il faut de la main gauche, soulever un peu le bout de la
langue
, la prenant avec un linge, de peur qu'elle ne gli
temps les conduits salivaires, les veines ranines ou les nerfs de la
langue
; car quand ils sont offensés, il en arrive des su
n, a trouvé le moyen de guérir le bégaiement par une incision dans la
langue
: l'opération qu'il a faite a complètement réussi
effenbach, le bégaiement provient d'une impossibi-lité d'appliquer la
langue
au palais. Son procédé consiste à faire cesser ce
es, il convient de leur faire répéter les sons élémentaires de leur
langue
maternelle, ainsi que des mots plus ou moins diff
ts plus ou moins difficiles à prononcer, en étudiant la position delà
langue
dans l'articula-tion des sons. Les phénomènes r
mènes respiratoires méritent une attention spéciale. On fera tirer la
langue
pour reconnaître ses degrés de longueur , de mobi
tique. Ainsi, pour nous, il suffit d'une pince ou deux pour saisir la
langue
ou bien de deux érignes ; plus une paire de cisea
inces, servent à écarter les commissures des lèvres ou à maintenir la
langue
relevée. Un autre aide, situé à la droite du chir
tent pour le bégaiement : i° La section des muscles intrinsèques delà
langue
(méthode allemande) ; 1° la section sous-muqueuse
nnes, qui résidait surtout dans la glotte et qui se communiquait à la
langue
, aux muscles du visage et même du cou, je devais
te raison que, la section transversale de toute la mus-culature de la
langue
me parut une entreprise digne d'être tentée et au
s a formulées. i° Section horizontale transverse de la racine de la
langue
. 2° Section sous-cutanée transversale de la rac
la langue. 2° Section sous-cutanée transversale de la racine de la
langue
avec conservation de la muqueuse. 3° Section ho
servation de la muqueuse. 3° Section horizontale de la racine de la
langue
avec incision d'une pièce triangulaire dans toute
érance de succès, comme ayant pour résultat le raccourcissement de la
langue
et la facilité d'en relever à volonté la pointe c
u'on cherche surtout à développer dans les leçons gymnasti-ques de la
langue
qui ont pour but de corriger du bégaiement. App
conduire ces dernières. 1 ° Excision d'une pièce triangulaire de la
langue
( 1 ). La pre-mière opération de M. Dieffenbach f
, la tète appuyée contre la poitrine d'un assistant ; je fis tirer la
langue
autant que possible, puis la saisis dans la parti
rassent dans les bords : en serrant les branches de l'instru-ment, la
langue
fut ainsi comprimée latéralement, et son vo-lume
bles à l'exécution de l'opération. Pendant qu'un des aides amenait la
langue
autant que possible en dehors et un peu de côté,
je saisis avec le pouce et l'index de la main gauche la racine de la
langue
, et la relevai en la com-primant latéralement. Ce
illant était dirigé en haut, dans la partie gauche de la racine de la
langue
, et après avoir fait pénétrer mon in-strument, ju
t ainsi comprimé latéralement, j'enlevai dans toute l'épaisseur de la
langue
, de (i) flanche F, iig. S, liant en bas, un m
ième jour de l'opération. » Section sous-cutanée de la racine de la
langue
. Elle fut faite pour examiner l'importance de cet
'exécution. Herman Kirscbberg, âgé d e 17 ans , en est le sujet. « La
langue
saisie avec une pince de Muzeux, le chirurgien la
n bistouri à fistule falciforme, et fit l'incision de la racine de la
langue
dans toute son épaisseur, laissant intacte la muq
l'instrument, ce qui provenait de l'extensibilité de la muqueuse. La
langue
était si complètement coupée sous la peau dans to
ssures latérales comme s'il fût sorti d'un gros tronc d'artère, et la
langue
se tuméfia bientôt par la masse du sang qui s'acc
ce il fit une forte, suture d'arrière en avant dans l'épaisseur de la
langue
, et ferma aussi les deux points latéraux par lesq
els le bistouri avait pénétré. 3° Section simple et horizontale. La
langue
fixée, le chirurgien l'incise transversalement à
mier procédé objet de prédilection du chirurgien, si, aussitôt que la
langue
est coupée en deux parties, on n'a le soin d'accr
grave opé-ration, les dangers qui peuvent en résulter, la perte de la
langue
par la gangrène ou par une trop forte suppuration
sont opérés et guéris par l'ablation d'une pièce trian-gulaire de la
langue
! Après l'excision, dit le. chirurgien de Berlin,
plètement libres ; l'opéré a le sentiment d'un raccourcissement de la
langue
et d'un relèvement de la pointe de cet organe con
èvement de la pointe de cet organe contre le palais. La section de la
langue
n'a eu aucune influence sur le sens du goût, qui
e. L'objet de l'auteur est, dit-il, de modifier l'innervation de la
langue
: nous avons décalqué la section représentée sur
et obtenu peut-il être appelé une modification de l'innervation de la
langue
? On voit pourtant que nous faisons encore beau je
sont que des réminiscences des moyens employés pour les cancers de la
langue
. Nousnefaisonsquerappeler ces tentatives qui appa
rois manières : i" l'extirpation d'un lambeau en V de la pointe de la
langue
, déjà condamnée par M. Dieffenbach; 20 la ligatur
nonciation plus facile chez les bègues où l'on avait pu croire que la
langue
était trop longue ; mais il ne paraît pas que cet
cesser la rétraction spasmodique de ces muscles et de permettre à la
langue
de se porter dans tous les sens, surtout à la voû
ouverte, l'opé-rateur saisit le frein à son angle de réflexion sur la
langue
même; l'instrument qui sert à exécuter cette manœ
u'au manche; il ramasse sur cet instrument toute la musculature de la
langue
, et, faisant décrire à ce crochet un demi-cercle
emi-cercle étendu, il coupe en un in-stant toute la musculature de la
langue
. L'hémorrhagie qui suit cette opération est très
tout cela n'est réel. M. Phillips ne coupe pas tous les muscles de la
langue
, mais il en coupe encore beaucoup trop ; et comme
it pas seulement de blâmer ce jeune chirurgien d'avoir déchiqueté des
langues
, mais de les avoir en partie paralysées, si même
t plus cruelle que celle faite pour guérir le bégaiement. En outre la
langue
est. brusque-ment abandonnée à elle-même, sans ap
ie. Procédé de M. Lucas (1). « Après avoir divisé la muqueuse de la
langue
qui couvre les muscles génio-hyo-glosses dans l'é
la base correspond à la muqueuse; puis il fait élever la pointe de la
langue
vers le palais, et, si elle ne peut y arriver fac
dissipée. » Après l'opération quelques malades ont cru sentir leur
langue
plus libre, et plusieurs prononçaient sans hésite
auquel il s'est arrêté maintenant, est le sui-vant : La pointe de la
langue
étant saisie avec une pince, tenue de la main gau
gauche et présentée presque parallèlement à la face inférieure de la
langue
, le chirurgien en saisit et tend le frein; puis d
date du i5 février 18/11. « Le procédé que j'ai employé consiste, la
langue
étant renver-sée en arrière et en haut, la bouche
n écarte les bords delà mu-queuse divisée. Alors, en faisant tirer la
langue
en avant et en haut, hors de la bouche, les muscl
tit bourrelet muqueux d'un contact incommode dans les mouvemens de la
langue
, comme il arrive quand on saisit le frein lui-mêm
n-traire, l'opérateur croit devoir continuer, il saisit de nouveau la
langue
avec la pince dans le même point, et il divise à
bord concave de la mâchoire infé-rieure où il reste à demeure sous la
langue
. Telle est cependant l'extrême tendance des lèvre
est besoin détruit les nouvelles adhérences formées, en soulevant la
langue
et en écartant les lèvres de la plaie avec le doi
ltat de ce procédé est d'augmenter beaucoup l'angle d'ouverture de la
langue
à sa face inférieure, et par conséquent de lui do
sans aucune hésitation. La menace de suffocation par rétraction de la
langue
en arrière, s'est présentée dans quelques cas, ma
e muqueuse se détache de la mâchoire pour aller former le filet de la
langue
. « Lorsque le ténotome a pénétré assez profondé
en juger, avant d'enlever le ténotome, on invite le malade à tirer la
langue
hors de la bouche ; s'il ne peut lui faire dépass
u muscle génio-glosse est complètement détruite. Si le malade tire la
langue
hors de la bouche , on coupe l'aponé-vrose du gén
i, on refoule le muscle en arrière. Alors de nouveau on fait tirer la
langue
. « Dans le cas où sa pointe peut encore dépasser
ue le décolle-ment jusqu'à ce que le malade cesse de pouvoir tirer la
langue
. » Quelquefois, chez les personnes âgées, toute
onnes âgées, toutes ces sections sont insuffisantes pour enlever à la
langue
la possibilité de sortir de la bouche. Dans ces c
cluante, le malade doit être dans l'im-possibilité de faire sortir la
langue
de la bouche; alors on peut retirer sans crainte
ent sanguin au-dessous de la membrane muqueuse de la bou-che entre la
langue
et la mâchoire, par suite de la lésion des ar-tèr
ain. Enfin l'épanche-ment peut entraîner le soulèvement complet de la
langue
avec menace de suffocation, mais ces faits sont e
les cas extrêmes, le chirurgien accroche avec un fil la pointe de la
langue
qu'il traverse sur la ligne moyenne, à % centimèt
cinq ou six heures de suite : ce temps passé, si le soulèvement de la
langue
n'a pas lieu, on peut être tranquille, cet accide
ène est le résultat de l'infiltration sanguine dans l'épaisseur de la
langue
et des parties environ-nantes ; il a surtout lieu
ats de l'opération. En général, immédiatement après l'opération, la
langue
acquiert la liberté de se mouvoir, la prononciati
de 2 5 ans, cités plus haut, tous avaient de la tendance à porter la
langue
entre les dents, soit pendant l'articulation des
a constaté sur la plupart de ces malades que les faux mouvemens delà
langue
avaient disparu , et qu'instinctive-ment ils port
ns, même plusieurs mois après l'opéra-tion, tandis qu'auparavant leur
langue
tendait toujours avenir entre les dents. L'infl
ns les bé-gaiemens causés par une difficulté dans les mouvemens de la
langue
, lui a paru très marquée passé 3o ans. Les bègues
. Différences et particularités des bégaiemens; état anatomique de la
langue
, xxv. — Causes du bégaiement: con-geniales, acqui
atomie opératoire, historique de l'opération xxvn-xxx. — Examen de la
langue
et de la nature du bégaiement, xxx. —Appareil ins
la lèvre supérieure ; i, l'épiglotte ; k, la lèvre inférieure; 1, la
langue
avec son muscle génio-glosse. Plan des cavités.
tine et l'inclinaison ascendante du bord alvéolaire du côté droit. La
langue
est vue librement dans l'écartement des deux segm
un anneau dans lequel on passe le doigt. Figure 27. Abaisseur de la
langue
de M. Colombat de l'Isère. Figure 28 à 34. Airi
que protectrice que M. H. Larrey adapte aux airignes pour protéger la
langue
.—Fig. 33. Airigne double à coulisse.— Fig. 34. Pi
LANGEE. GRANDEUR NATURELLE. Figure 1. Ablation d'une moitié de la
langue
(procédé de Boyer). La langue étant saisie, c
gure 1. Ablation d'une moitié de la langue (procédé de Boyer). La
langue
étant saisie, comme il a été dit plus haut, par u
a été faite avec des ciseaux jusqu'au delà de la partie malade de la
langue
; au moment choisi de l'opération, une seconde sec
des deux sections. Figure 2. Ablation de la partie antérieure de la
langue
(modi-fication du procédé de Louis). L'extrémit
angue (modi-fication du procédé de Louis). L'extrémité malade de la
langue
saisie et amenée au dehors par une érigne de Muse
ble, permet une réunion qui rétablit artificiellement un som-met à la
langue
raccourcie. Figure 3. Réunion de l'opération pr
ion déterminée par les styloglosses. Figures 4 et 5. Ligature de la
langue
. Figure 4. Passage de l'aiguille. Suivant la pr
on est figu-rée la ligature pratiquée par la bouche, de la base de la
langue
à sa face dorsale. La tête est renversée en arriè
en place; l'aiguille courbe, munie de son fil, a été insinuée sous la
langue
de manière à ressortir sur sa face dorsale au poi
Mayor. Entre les deux se trouve circonscrite la portion malade de la
langue
, dont on peut obtenir à volonté, suivant le degré
à maintenir par un morceau de liège l'écartement des mâchoires, et la
langue
doit être abaissée de sa base à sa pointe. On peu
enlevé sur le cadavre toute la moitié gauche de la cavité buccale, la
langue
, la mâchoire inférieure et les muscles sus-hyoïdi
-ties qui la revêtent. a. Plan de section de la moitié droite de la
langue
et de la mâ- choire inférieure. b. Section ve
N ATURELLE.) PLANCHE F. FIGURES I et 2, AnATOMIE OPÉRATOIRE DE LA
LANGUE
. La figure i montre la langue disséquée sur son
RES I et 2, AnATOMIE OPÉRATOIRE DE LA LANGUE. La figure i montre la
langue
disséquée sur son profil, la mâchoire infé-rieure
rties intéressées dans les diverses sections que l'on pratique sur la
langue
. Sur les trois grands muscles extrinsèques, le st
et nerfs linguaux sont coupés en tra-vers des deux côtés ; mais si la
langue
était abaissée comme dans le procédé opératoire o
'in-tention de l'auteur, et, avec eux, les vaisseaux inférieurs de la
langue
. De b en b, section de M. Phillips (figure 6),
M. Phillips (figure 6), étendue non pas à toute la musculature de la
langue
, comme le dit l'auteur, ce qui serait heureu-seme
ur du génio-glosse, de manière à augmenter beaucoup la mobilité de la
langue
, sans rien couper d'important. d. Section de M.
écartées avec des crochets tenus par un aide; un autre aide attire la
langue
en dehors avec une érigne et le chirurgien, saisi
fistule tenu de la main droite e. FIGURES 4 et 5. Cicatrices de la
langue
après l'opération, copiées sur les figures de M.
es figures de M. Dieffenbach. FIGURE 6. Procédé de m. phillips : la
langue
étant soulevée par une érigne coudée a, le chirur
a profon-deur vers la surface. FIGURE 7. Procédé de m. velpeau : la
langue
est soulevée avec une pince a par un aide; avec u
un aide; avec une autre pince b, le chirurgien saisit le frein de la
langue
et divise au-dessous avec des ciseaux c. PLANCH
e vue anatomique sur le profil. Dans l'une et l'autre, le frein de la
langue
étant soulevé avec une éri-gue a tenue de la main
crochets au par un aide; un autre aide attire en haut la pointe de la
langue
avec une pince de Museux b. Le chirurgien après a
ciseaux b du bord antérieur des muscles génio-glosses, le filet de la
langue
étant saisi avec une pince a.—Figure 9 : décolle-
atrice comme l'opère M. Amussat à mesure qu'elle tend à se former. La
langue
étant soulevée avec le doigt indicateur gauche a,
s-nel. Les narines sont pulvérulentes; les lèvres, les gencives, la
langue
sont sèches. Il y a eu deux gar- de-robes. To
l; physionomie exprimant l'égarement et l'épourante ; morsure de la
langue
, écume, etc. Elle se blesse quelquefois. Hébétu
es accès, n'é- cumait pas ; à 16 ans, elle éwunait et se mordait la
langue
. - 3° Au début, si un accès la prenait quand el
e. V... en a de plus violents avec écume à la bouche, morsure de la
langue
, évacuations involontaires, etc. 1874. 12 fév
es, égales des deux côtés. H... écume ; elle se mord quelquefois la
langue
et la face interne des joues. . Après l'accès
'aura aboutit à un accès, celui-ci éclate sans cri; B... se mord la
langue
à gauche (autrefuis la morsure portait sur le b
e et se roidit. Les pupilles se dilatent modérément. Les lèvres, la
langue
, la volte palatine deviennent successivement pâ
mérite qu'on s'y arrête : La peau de ces régions, les lèvres, la
langue
, la muqueuse palpébrale, sous l'influence de la c
tête est dans l'extension. Mâchonnement. T. R. 38°, 6. 4 le. 15.
Langue
violette, s'allongeant et rentrant à chaque mouve
qui était demeuré tranquille durant quelques instants, se débat, la
langue
et le nez ont une couleur violette. La langue est
nstants, se débat, la langue et le nez ont une couleur violette. La
langue
est agitée des mêmes mouvements que tout à l'he
chaque mouvement respiratoire. 4 lz. 26. Le palais est violacé, la
langue
bleuâtre. Respiration précipitée, haletante. T.
T. R. 30°, 6. La décoloration, la cyanose du voile du palais, de la
langue
, etc., a été aussi prononcée que possible. Les
ouvrait encore davantage à chaque respiration, en même temps que la
langue
toute violette, disposée en-gouttière, rentrait
daient des convulsions des deux côtés du corps, avec morsures de la
langue
et des joues. Ayant employé en vain les bromure
Les mâchoires, un peu contracturées empêchent l'allonge- ment de la
langue
. La face est d'une pâleur plombée. - H... se pl
es, les genci- ves sont tout-à-fait bleues. Il en est de même de la
langue
que j la malade allonge et applique contre la c
tdécotorés. - Salivation. - Les lor- \tiilements et la cyanose delà
langue
persistent pendant 3 à 4 minutes; alors que les
bleues et rouges. Elle se souvient qu'elle remuait les yeux et la
langue
et dit qu'elle ne pouvait s'opposer a ses mouveme
ttaque. Nitrite d'amyle. Cyanose très- marquée ; grimaces hideuses,
langue
tortillée, bouche contor- sionnée. M... prétend
renouvelons l'inhalation : Peu après, la cyanose des lèvres, de la
langue
, de-la conjonc- tive, arrive à un degré extrême
bres du côté droit, contracture des muscles des mâchoires, de la
langue
et du voile du palais, nécessitant l'alimentation
es membres du côté droit, des muscles de la face à droite, et de la
langue
. Contracture des membres (Forme hémiplégique) .
ssible. Le masséter droit est dur, contracturé. Contracture de la
langue
. - Ler... comprend parfaitement tout ce qu'on d
mais il lui est impossible de parler autre- ment que par signes. La
langue
est contracturée, dure au toucher, et collée au
- sante à lui imprimer le moindre mouvement. La sensibilité de la
langue
, à la douleur, est abolie à droite, très-émoussée
t pas rendu un compte très-net de sa situation, s'aperçoit que sa
langue
est paralysée, qu'elle ne peut plus parler qu'ave
'état de la malade est le même. En raison de la con- tracture de la
langue
, on ne saisit qu'imparfaitement ce qu'elle a be
ndues, difficiles à comprendre, par suite de la con- tracture de la
langue
. La température rectale, prise au mo- ment du s
peau a conservé sa sensibilité. La contracture de la face et de la
langue
, l'embarras de la parole, n'ont pas changé. L'odo
des soubresauts des tendons. Les membres du côté droit, la face, la
langue
, etc., sont dans le même état. ZD Soir. - Les
4 heures, série d'attaques pendant lesquelles on a. remarqué que la
langue
tantôt cessait d'être contracturée et permettai
s du côté de la face; la bouche est lé- gèrement entre-ouverte ; la
langue
se tortille, se met en S, sa pointe se fixant c
; bouche tirée à droite ; sillon naso-labial droit très-accusé. La
langue
sort de la bou- che bien que sa pointe demeure
le ventre. « Entends, dit-elle, comme ils sonnent. » Elle gratte sa
langue
sur laquelle on a mis du plomb. « Tout le batac
les 16 dernières années. 148 UYSTL ? 0-lPlLEPSIL. transpercer la
langue
ou un large pli de la peau du bras, du ventre o
ment ou simultanément les muscles des mâchoires (tris- mas), de la
langue
, du voile du palais, du pharynx (cl"ys- phagie,
t le corps de la prieure dans une effroyable convulsion, tirant une
langue
horrible, difforme, noirâtre et boutonnée ou gr
ciale.. ...' . Goût. Il est aboli sur toute la moitié gaucho de la
langue
, à la base aussi bien qu'à la pointe, à la face
arait bien plus considéra- ble quand on excite le côté gauche de la
langue
. , Ouïe. Elle est obtuse à gauche. Appareil d
role ; contracture des mâchoires qui s'oppose à l'allongement de la
langue
. 2 mars. Les membres du côté droit sont libres.
(j(j It1'S'l't7RO-ÉPILLPSIP : . impossible à la malade de tirer la
langue
soit directement, soit à droite; elle sort touj
missure labiale est fortement tirée en haut, la bouche s'ouvre, la
langue
sort; la face, congestionnée, se tourne à gauche,
oments, l'embarras de la parole est dû à une espèce d'inertie de la
langue
qui ne fonctionne plus. La dé- glutition, elle
1 avril. Embarras de la parole, gène notable des mouve- ments de la
langue
, qui sort seulement par la commissure labiale g
mâchoires ne peuvent être écartées de plus d'un Centimètre. - La
langue
n'est pas contracturée, elle est molle et exécute
ure. - La contraction est la même. La malade fait comprendre que sa
langue
est arc-boutée à la voûte palatine , qu'elle so
t, transfixion, froid, cha- touillement, etc.). - Relativement à la
langue
, on constate qu'elle n'est pas dure. Ketch ? ré
es mâchoires dont il est impossible de vaincre la contracture. La
langue
, que l'on aperçoit par des intervalles des dents,
que temps ; mais, dans l'après-midi, elle a eu des douleurs dans la
langue
, comparables Ù celles des pi- qûres d'épingle,
rt à la droite. Le goût est encore obtus sur les deux moitiés de la
langue
, principalement à gauche. - La sensibilité au
re. '29 mai. Au dynamomètre, 70 à droite, 45 à gauche.-Parfois la
langue
est lourde et il y a, alors, un léger embarras de
r par terre; alors, elle perdit connaissance. Elle se serait mordu la
langue
. Depuis ce temps, les accès sont revenus à des in
née. La commissure labiale droite est un peu effacée (Pl anche I). La
langue
est légèrement tirée à gauche. La voûte et le voi
e II. La narine droite est moins dilatée que l'autre. La bouche et la
langue
n'offrent aucune modification. Le goût, Yodorat,
droite. — La coloquinte est également perçue sur les deux côtés de la
langue
et de la bouche, mais la malade déclare que, en m
, mais, de temps en temps, elle avait des mouvements convulsifs et sa
langue
se paralysait. — Les accès ont reparu à 9 ans, sa
erd connaissance. Elle urine parfois sous elle, écume peu, se mord la
langue
, mais rarement. — La durée de l'aura serait envir
le corps devenait roide. Pas de cri, pas d'écume ni de morsure de la
langue
, ni de miction involontaire. Après l'accès, elle
rue et de se blesser à la figure ou à la tête; jamais de morsure delà
langue
; deux fois seulement on aurait observé de l'écume
; les dents sont régulièrement disposées; une seule fait défaut. — La
langue
est déviée à gauche. — La voûte, le voile et les
se produit un peu d'écume ; mais on n'observe jamais de morsure de la
langue
ou d'évacuations involontaires. Ces accès d'épi
— Le 14, secousses, tiraillements,sueurs. — Le 15, grimace, tire la
langue
; attitudes singulières, changeant à chaque instan
rler. Elle a l'air renfrogné, mécontent. Elle ne veut pas allonger la
langue
, serre les dents. — Pas de contracture des membre
amisole. La parole est lente ; il n'y a pas de tremblement ni de la
langue
, ni des lèvres. La conception des idées est lente
our soigner des enfants et leur apprendre les premières notions de la
langue
française et partit pour l'Angleterre. Au bout de
n ne voit pas d'habitude dans ses attaques; coloration bleuâtre de la
langue
, de la muqueuse de la bouche et des paupières. Lo
quefois tout lecontenu du verre le long de son cou, sur sa figure. La
langue
se croche, se retourne. La parole est gênée, et p
inférieurs. — Rétention d'urine. — Contracture des mâchoires et de la
langue
. — Influence de la comp, ession ovarienne sur la
tié droite du corps (conduit auditif, paupières, œil, narine, bouche,
langue
, palais, vulve). Elle s'arrête très-nettement : e
es secousses étaient accompagnées de rires et d'une protraction de la
langue
dont la pointe venait loucher le menton. De 6 à
premières attaques, le bras droit s'est placé en travers du dos et la
langue
s'est contracturée : elle était dure,recourbée, l
a partie postérieure du palais. Dans les intervalles des attaques, la
langue
restait contracturée et la malade ne pouvait pas
attaques qui se sont succédé sans interruption, la contracture de la
langue
a disparu et le bras droit s'est contracture dans
me que les orteils, sont agités de mouvements. L... se plaint de sa
langue
qu'elle ne sent pas remuer, qui est embarrass
la malade ayant sa connaissance : contracture de la mâchoire et de la
langue
. On ne peut déplacer la mâchoire ; sous l'influen
eurant abaissée ; la bouche étant ainsi largement ouverte, on voit la
langue
au fond de la bouche, tout-à-fait recourbée en de
ercle, la pointe est invisible ; on dirait que la malade va avaler sa
langue
. Bientôt, la compression étant toujours continuée
valer sa langue. Bientôt, la compression étant toujours continuée, la
langue
se détend, s'allonge brusquement et sort très-lon
avec une grande vitesse. Enfin, cette folie finit, la mâchoire et la
langue
reviennent à leur état naturel. L... parle avec u
r état naturel. L... parle avec un certain embarras ; elle dit que sa
langue
écorchait son palais et qu'elle avait une sensati
e attaque qui laisse une nouvelle contracture de la mâchoire et de la
langue
. — La compression ovarienne suffit à la guérir (I
rapidité des mouvements. b) L... ouvre largement la bouche, tire la
langue
, se porte rapidement du bord du lit au milieu en
e folie de la jambe, semblable à celle que nous avons décrite pour la
langue
. 9 juillet.— L... a été tranquille hier et cett
e mère... Retire-toi ou je te fourre une giffle... Repos ; allonge la
langue
, grince des dents, est en colère ; la figure se c
epos; regarde à gauche, sourit, fait de singuliers mouvements avec sa
langue
. « Tu as un serpent dans ta culotte. .. Ote-ça.
s, elle est tombée. Elle sent « quelque chose qui tire les doigts, la
langue
, etc. » La parole est embarrassée, les mots sont
etée en arrière, la bouche s'ouvre parfois largement, la pointe de la
langue
se relève ; les bras sont allongés, contournés, r
tombe violemment sur le lit; la bouche, grand'ouverte, laisse voir la
langue
recourbée en arriérera pointe esttremblot-tante.
ngée et rigide; la gauche simplement roide. X... essaie d'allonger la
langue
qui sort et rentre très-vite, à plusieurs reprise
toute sa connaissance ; elle se rappelle qu'on a essayé d'allonger sa
langue
, de fléchir ses jambes, etc. 7novembre. — Depui
ou, plusieurs mouvements bruyants de déglutition, la protrusion de la
langue
, et les membres du côté droit sont envahis par un
rieur droit, dans l'extension, une contracture des mâchoires et de la
langue
. La compression ovarienne droite fait cesser la c
des mâchoires et de la jambe, mais le bras droit se contracture et la
langue
reste con-tracturée, recourbée, la pointe reporté
particularités suivantes : X... ouvre largement la bouche, allonge la
langue
et pousse un cri rauque. — Surviennent alors les
e pousse un cri étouffé ; la bouche est largement ouverte ; tantôt la
langue
conserve sa position naturelle (Pl. XV), tantôt,
le, descend à côté d'elle, remonte, etc.) X... s'assied, allonge la
langue
, agite le pied gauche, place ses deux coudes l'un
Charcot a provoqué une con- tracture artificielle des muscles de la
langue
et du larynx (hyperexcitabilité musculaire durant
musculaire durant la sommation). On fait cesser la contracture de la
langue
, mais on ne parvient pas à détruire celles des mu
n'a d'au- tre effet que de la rendre sourde et de contracturer la
langue
; — 2° de Y électricité ; — 3° de Yhypnotisme ; —
eurs fois des quarts, et des demye d) L'allongement exagéré de la
langue
hors de la bouche, sa congestion extrême l'extens
it le corps de la Prieure dans » une éfroiable convulsion, tirant une
langue
horrible-» ment difforme , noirâtre et boutonnée
e cathé-térisme était difficile et douloureux. La contracture de la
langue
, elle aussi, est précédée d'une anesthésie, d'une
, 72, 196. Constipation, 102, etc. Contracture hystérique : de la
langue
, 149, 159, 165; — du larynx, 165; — des mâchoires
dermiques ^atropine, 103; — Accidents, 105; — de morphine, 141. L
Langue
(Contracture de la), 138, 142, 159, 165. — Protra
adhérent, dents saines. Voûte palatine bien conformée. Volume de la
langue
normal, en somme, dans la tête, aucune des modifi
de râles. L'appétit est normal. Ni diarrhée, ni constipation. La
langue
est blanchâtre, humide. Son volume est absolument
te des dents. Il existe dans notre cas une hémiatrophie frappant la
langue
et le voile du palais. La moitié gauche de la
frappant la langue et le voile du palais. La moitié gauche de la
langue
est considérablement diminuée de volume. Cette
. Cette bénnatrophie porte à la fois sur la partie antérieure de la
langue
et sur sa partie postérieure située en arrière
alement le larynx et les fosses nasales de notre malade. Mais cette
langue
hémiatrophiée peut être aisément portée il droite
euse et est bien le fait de l'atrophie des masses musculaires de la
langue
. La sensibilité de la langue au contact, à la d
trophie des masses musculaires de la langue. La sensibilité de la
langue
au contact, à la douleur et sa sensibilité gusta-
, puisqu'il a acquis droit de cité, et qu'il existe dans toutes les
langues
, pour désigner l'ensemble des modalités percept
on est employée dans tous les traités classiques et dans toutes les
langues
. L'ouvrage qui contient les expériences les plus
peaucier du même côté inclinaient la tête sur l'épaule gauche. La
langue
était légèrement diminuée de volume-du côté gauch
issance, chute, convulsions toniques, puis cloniques, morsure de la
langue
, amnésie consécutive. Parfois, les accès sont p
anglion des nerfs précédents, puis s'en sépare et se distribue à la
langue
sans anomalie. La dissociation de ces différent
axillaire inférieur; forte saillie de la protubérance occipitale; -
langue
volumineuse et très étalée. Au tronc : Développ
A 5 heures du soir, le malade est dans le coma ; il s'est mordu la
langue
, une écume sanguinolente sort de ses lèvres, le
ÉS DE LA PROVINCE DE FERRARE (Italie), Dirigé par le D' Tamrhoni.
LANGUE
CÉRÉBRIFORME CHEZ UN ALIÉNÉ ÉPILEPTIQUE OBSERVA
PTIQUE OBSERVATION SUR UN CAS DE TÉRATOMORPHISME CONGÉNITAL DE LA
LANGUE
PAR le D Marco LEVI BIANCHINI, assistant. L
connaissons l'existence de certaines lésions pa- thologiques de la
langue
, très rares et comparables jusqu'à un certain poi
ohérente aux personnes qui l'entouraient et deveuait dan- gereux.
LANGUE
CÉRÉBRIFORME CHEZ UN ALIÉNÉ ÉPILEPTIQUE 253 Il
nt régulière. Squelette et organes internes et externes normaux. La
langue
seulement présente des caractères morphologiques
logie de la surface et des couches musculaires superficielles de la
langue
de notre pa- tient, je crois utile de résumer l
a- tient, je crois utile de résumer les caractères extérieurs de la
langue
à l'état normal. ' La langue normale présente
umer les caractères extérieurs de la langue à l'état normal. ' La
langue
normale présente, sur la muqueuse dorsale, un trè
l'os hyoïde, marque, dans la région inférieure et postérieure de la
langue
, une division très nette entre les genioglossus
e) qui constitue la partie essentielle de la masse musculaire de la
langue
, et il arrive enfin et finit dans les couches inf
atteindre. Le sillon moyen superficiel de la muqueuse dorsale de la
langue
présente une profondeur tout au plus de cinq di
de cinq dixièmes de millimètre : tout le reste de la surface de la
langue
présente un aspect aplati, uniforme, avec des trè
uscles stylo- glossits et hyoglossus. , La partie corticale de la
langue
, au-dessous de la muqueuse est constituée par l
s superficialis se trouvent les fibres muscu- laris tmnsversæ de la
langue
. Celles-ci en constituent la portion plus consi-
les sin- gulières rayures et les enfoncements dans la surface de la
langue
qui ont crû et augmenté en même temps que le dé
elle qu'il allait souvent examiner la singulière conformation de sa
langue
et grimacer devant un miroir. Ces courts anam
en donner une description aussi claire et simple que possible. La
langue
tirée l'extérieur présente un sillon moyen (a) ex
éométrique de la surface, mais en- core justement ù la pointe de la
langue
d'où il naît pour se diviser bientôt en deux br
èrement NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XVI. PI. LI
LANGUE
CÉRÉBRIFORME CHEZ UN ALIENE ÉPILEPTIQUE (Marco
CÉRÉBRIFORME CHEZ UN ALIENE ÉPILEPTIQUE (Marco Levi Bianchiiii).
LANGUE
CÉRÉBRIFORME CIIEZ UN ALIÉNÉ ÉPILEPTIQUE 955 la
des enfoncements trausverses courts et irréguliers. Aux bords de la
langue
, où les papille fongiformes et conicse marquent
s papille fongiformes et conicse marquent par leur rayure, dans une
langue
'normale, la direction des fibres obliquo- tran
ctères que le sillon moyen et les autres décrits. Les bords de la
langue
présentent encore,en presque toute leur profondeu
llons que nous avons décrits, nous trouvons encore sur'le dos de la
langue
, une quantité considérable de raies, de traits, d
x en toutes directions. Il en résulte que l'aspect général" de la
langue
nous donne l'impression d'une écorce cérébrale
u'il ne nous paraît pas trop inexact de lui donner l'appellation de
langue
cé1'éb¡'ifo1'1ne ou langue géographique. Les de
p inexact de lui donner l'appellation de langue cé1'éb¡'ifo1'1ne ou
langue
géographique. Les deux sillons moyens, les deux
3, 4, même (j millimètres ; ainsi à première vue, lorsqu'on voit la
langue
, on dirait qu'elle a été tout 11 fait coupée et
nquent ici totalement. Le patient ne souffre d'aucune douleur, la
langue
est sensible à toutes les réactions de l'examen
eurs pas le seul vocable d'origine germanique qui se trouve dans la
langue
italienne : citons mitza, rate (die Alilz), sliva
elon la règle un hystérique, avait des crises tapageuses, tirait la
langue
, grinçait des dents, tordait ses membres, pouss
re largement la bouche et grimace un peu ; mais elle ne tire pas la
langue
, ses yeux ne sont pas convulsés, et le renverse
decin-Major Vétérinaire en le'. La multiplicité des fonctions de la
langue
explique, chez le cheval comme chez l'homme, le
part. M. Cadéac (1) décrit, chez les équidés, des tics actifs de la
langue
(animal qui double la langue en dessous, la repli
hez les équidés, des tics actifs de la langue (animal qui double la
langue
en dessous, la replie au-dessus du mors, tic de
double la langue en dessous, la replie au-dessus du mors, tic de la
langue
serpentine), le tic d'agiter la lèvre inférieure
ne), le tic d'agiter la lèvre inférieure et de passer rapidement la
langue
sur les lèvres (2), le tic passif de la langue
passer rapidement la langue sur les lèvres (2), le tic passif de la
langue
pendante, enfin le tic digestif de lécher les p
s de leurs voisins, mais aussi et surtout les sujets qui passent la
langue
sur tous les objets qui les en- tourent. t. I
l'homme, dans la cheilophagie ou auto-lé- chage des lèvres avec la
langue
(M. Henry Meioe, XIII0 Congrès des Aliénistes et
val atteint d'une habitude vicieuse de léchage passe fréquemment la
langue
sur les objets qui l'entourent ; il lèche de pr
emment t haute ou basse, le sujet sort et rentre alternativement la
langue
dans un mouvement régulier, presque rythmé ; il
lèvres se ferment pour l'acte de déglutition. Les mouvements de la
langue
sont rapides ; leur fréquence est variée ; ils
objets variésd'une écurie de cantonnement, recueil- '- lant sur la
langue
des toiles d'araignée dont il forme boule et fait
mportant confirme cette parenté morbide. On sait que les tics de la
langue
sont rarement isolés chez l'homme ; ils apparti
LES TROPHIQUES ET VASO-MOTEURS. Cette étude comporte l'examen de la
langue
, des lèvres, des dents, des barres, de la barbe
ertrophie de la muqueuse du côté droit ; cicatrices multiples de la
langue
et des gencives ; muqueuse buccale gaufrée; molai
squ'on ne remarque pas de contractions musculaires excessives de la
langue
. Chez les chevaux lécheurs les caractères de ce
téréotypie. De plus, comment expliquer que des gourmands passent la
langue
, non seulement sur des sujets sapides, sucrés o
ur lui-même. Nous estimons, en effet, que des lésions banales de la
langue
, des barres, des lèvres et commissures, des tro
t le siège de vives douleurs et le sujet évitait tout contact de la
langue
à cet endroit parti- culièrement sensible. L'in
EL l'eux, C'est alors que F. prit peu à peu l'habitude de passer sa
langue
d'abord sur là dent qui se détachait par fragme
gonflement doulourenx. F. raconte qu'à cette époque, il passait la
langue
sur cette-région endolorie pour calmer l'irrita
gonflement ayant disparu, F. continua à faire le même mouvement de
langue
. Le léchage inten- tionnel, volontaire et logiq
ancienne ; dépression assez marquée dans laquelle le sujet loge la
langue
. La première prémolaire ne présente plus que ses
rag- ments séparés par la carie et détachés par les pressions de la
langue
. Examinons maintenant en détail l'acte moteur h
a langue. Examinons maintenant en détail l'acte moteur habituel. La
langue
, cons- tamment en mouvement dans la bouche au d
anine gauche inférieure et la deuxième prémolaire ; la pointe de la
langue
se loge dans la dépression signalée entre l'arc
ser. Le geste s'accompagne également d'un bruit de claquement de la
langue
comparable à celui que prodnit une aspiration de
rs F... signale lui-même cette particula- rité ; le mouvement de la
langue
est différent ; a F... enfonce cet organe tant
TYPIES DE LÉCHAGE 387 Les mouvements, produits exclusivement par la
langue
, sont très fréquents, quotidiens ; le geste se
té droit. - Réflexes normaux. Sensibilité normale, sauf celle de la
langue
; on note en effet une anesthésie appréciable d
du goût est intact, seule la sensibilité générale et le tact de la
langue
sont sinon abolis, du m'oins considérable- ment
après une intervention chirurgicale, prend l'habitude de passer la
langue
sur le siège de ses an- ciennes douleurs et sur
tic de chiqueur, rapporté par MM. Meige et Feindel « dans lequel la
langue
est promenée entre les arcades dentaires et la
et FEINDEL, p. 103. (2) Il. Meioe et Feindel, loc. cil., Tic de la
langue
. Tic du léchage, p. 2 15. 390 RUDLER ET CHOMEL
our avoir autant d'enfants que cela. » Et l'homme me conta, dans sa
langue
pittoresque et zézayante; comment, à l'aide de
e femme était une possédée, que le peintre a représentée, tirant la
langue
, les yeux convulsés en bas, la main droite éten
On peut voir aussi un beau type de possédé, les yeux convulsés, la
langue
tirée, les poings crispés, renversant fortement
Jordaens (note sur trois dessins de) (1 pl.), par J. Heitz, 71.
Langue
cérébriforme chez un aliéné épi- leptique (1 pl
ie congénitale d'une main (2 photocoll.), 193. BIA/WIIl"1 (Levi).
Langue
cérébriforme chez un aliéné épileptique (1 plan
ge et Fein- DEL.),L. Jordaens (trois dessins de) (HEITZ), XIII.
Langue
cérébriforme chez un aliéné épi- leptique (Lbvi
e de Ménière. Le goût est absolument nul sur la moitié gauche de la
langue
, certainement très émoussé à droite. L'odorat
nstate : 1° une atrophie très pro- noncée de la moitié droite de la
langue
. i La partie atrophiée est le siège de mouvemen
enses, mais prédo- minant à gauche. En général il ne se mord pas la
langue
, n'écume pas, n'urine pas dans ses vêtements. I
ont placées sur deux rangs irréguliers. A un examen superficiel, la
langue
ne présente aucune déviation, aucune asymétrie, e
rammes; à un contact sur le bout du nez le malade ne réagit avec sa
langue
qu'en 51 centièmes de seconde (l'état normal ét
r. oc. de 1. Cli. Féré, Note sur l'exploration des mouvements de la
langue
, (C. r. Soc. de biologie, 13 avril 1889). L'éne
s se raidissait et la face était violacée ; pas de mor- sures de la
langue
, pas de mictions involontaires. A huit ans, elle
ns gustatives est notablement moins vive sur la moitié droite de la
langue
que sur l'autre moitié. Il existeun rétrécissem
nger de position dans le lit. Intégrité des muscles des yeux, de la
langue
, du pharynx et de la face. Aucun trouble de la
nuque furent pris, puis après les muscles masticateurs, bien que la
langue
et les lèvres restassent indemnes. 11 survint en
édecine, mai 1889. 150 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTMËRE. La
langue
est grosse, large, mais n'atteint pas le degré d'
s oreilles ne sont pas très grandes, mais notablement épaissies. La
langue
est de volume considérable, épaisse et large, plu
l'articulation peuvent exister sans altération de la motilité de la
langue
doit être absolument rejetée; elle ne peut s'ap
lle. Si en effet, dans bon nombre de troubles de l'articulation, la
langue
paraît capable d'exécuter normalement tous les
vements, ce n'est qu'une apparence. L'examen des mouve- ments de la
langue
ne peut donner des résultats positifs que s'il co
constater que- même en l'absence de toute déviation apparente de la
langue
, cet organe présente ordinairement un affaiblis
sant dynamique des hystériques. Lors- qu'il existe de l'aphasie, la
langue
montre un affaiblissement considé- rable prédom
chez laquelle, malgré une intégrité apparente des mouvements de la
langue
, l'affaiblissement était tel qu'elle était inca
(Charcot, I. Cli. fur, Note sur l'exploration des mouvements de la
langue
(C. r. Soc. biologie, 188J, p. 1278 - L'énergie
utre trouble d'articulation qui s'accompagne aussi de parésie de la
langue
, le bégtyemeiii. L'étude de l'hémiplégie brachi
ur se trouve associée à la même faiblesse dans les impotences de la
langue
, que ces impotences soient dues à des lésions a
ctionnels d'origine indéterminée. La faiblesse des mouvements de la
langue
et leur lenteur se retrouvent aussi bien dans l
es faiblesses, et que Itard ait distingué l'affaiblis- sement de la
langue
dans ce vice d'articulation, les troubles grossie
ce vice d'articulation, les troubles grossiers de la motilité de la
langue
chez les bègues et chez les sourds-muets n'ont
complexes. Le sourd- muet ou le bègue n'ont pas une faiblesse de la
langue
limitée aux Eig. 16. - Clossoprnphc. vu du prof
Plaque d'appui, C, Tambour sur le boulon duquel vient s'appujer la
langue
. li> \(1U1'I : LLP II : U\UGIS.\Pllll's I)l
le coïncident avec une faiblesse très évidente des mouvements de la
langue
qui, cependant, est capable de remplir ses fonc
devant la bouche (fil ? j6 et 47) et muni d'un pivot sur lequel la
langue
vient buter dans son mouvement de propulsion, p
ise ou le tremblement. Chez les sujets normaux, la propulsion de la
langue
s'inscrit par une ligne d'ascension brusque (fi
OUBLES D'ARTICULATION. 173 Fie. 48. - Courbe de la propulsion de la
langue
chez un sujet normal. I 1 4D. - Courbe de la pr
angue chez un sujet normal. I 1 4D. - Courbe de la propulsion de la
langue
chez un épileptique dans l'intervalle des paroxys
ns l'intervalle des paroxysmes. Fie, 50. Courbedelapropulsion de la
langue
chez le mêmc épileptiquc une heurr après un accès
ès un accès convulsif. f. Fisc. 51. - Courbe de la projection de la
langue
chez un paralytique général. ... ? ....... ? -
? - ? 1 " ^^^^^^ ^ . , ,r ? fin. 5 ? Tourbe de la proportion de la
langue
chez un paralytique général. 174 NOUVELLE ICONO
gure 50. 'Il est il remarquer que ces troubles de la motilité de la
langue
ne 'sont pas les seuls qui peuvent gêner l'exer
. Cette intégrité relative de-la puissance motrice se retrouve à la
langue
. Sur huit des paralytiques généraux qui ont été
ût arrivé à la période de démence que la force de ;projection de la
langue
était tombée au-dessous de 700 grammes. 'Chez t
es ou spasmodiques. Les graphiques fournis 'par la projection de la
langue
(Gb. 51, .52) ne montrent pas la même forme d'a
quelques observations relatives à l'énergie de la propulsion de la
langue
et à la rapidité de celle propul- sion réagissa
comparer entre eux. L'ÉNERGIE ET LA VITESSE DES MOUVEMENTS DE L\
LANGUE
. LE NARGHILÉ ET SES FUMEURS EN ORIENT De to
la tête pour fixer un objet placé de côté; pas de diplopie. Bouche,
langue
, pharynx dans un état normal, pas de modificati
bres, plus marquée à gauche. Face très amaigrie. Rien du côté de la
langue
, ni des yeux. Membres supérieurs. - M01wements.
tion et voix normales; pas d'altération du côté du pharynx et de la
langue
. L'intelligence reste 1"16. ai. - (Dessin commu
ortement relevée et tirée à gauche. L'aile du nez est affaissée. La
langue
est déviée, mais non en crochet, du côté paraly
ne lésion nucléaire qu'il convient d'attri- buer la déviation de la
langue
dont parle Benedikt et la difficulté à ava- ler
innervés par l'oculo-moteur droit, avec intégrité du muscle irien.
Langue
quelque peu déviée d gauche. Environ deux mois
u une paralysie faciale gauche avec déviation de la bouche et de la
langue
. On porta le diagnostic de paralysie faciale a
nes bulbaires. Lorsque Blanc examina son malade, il constata que la
langue
était tirée difficilement hors de la bouche, que
oi des verres colorés. L'hypoglosse est certainement paré tique, la
langue
est difficilement tirée hors de la bouche et la
is; le 30 avril, difficulté de la parole, gêne des mouvements de la
langue
. Elle est reçue à la clinique le G mai. Ptosi
du palais, la difficulté de la parole, la gêne des mouvements de la
langue
. La phase intercalaire peut même faire complète
ne gêne à peine appréciable dans les mouvements des lèvres et de la
langue
. Mais ce phénomène était passager, et il ne fut
tion; voix nasonnée, un peu de parésie de certains mouvements de la
langue
. » 19 février 1890. Nouvelle consultation. État
ies « comme paralysées » et ne peut plus siffler. Il tire bien sa
langue
, qui a l'aspect normal, mais il ne peut en releve
On ne constate aucune secousse fibrillaire dans les lèvres ni dans la
langue
. Pas de troubles de la sensibilité, ni sur la f
ible ; la force expiratrice très affaiblie ; les mouve- ments de la
langue
très difficiles, sans être complètement abolis. I
istait déjà : la parole était moins embarrassée, les mouvements de la
langue
beaucoup plus faciles, la chute de la paupière
ntractilité du voile du palais, la demi-paralysie des lèvres, de la
langue
, surtout à la pointe, l'émis- sion fréquente de
uche, au-dessous du men- ton, comme pour soulever le plancher et la
langue
, qui sont flasques et tombent. Nasonnement très
ments de plissement du front et de rapprochement des sourcils. La
langue
ne peut pas être tirée au dehors, ni mise en goul
ement dite, dont les attaques surviennent la nuit, avec morsure de la
langue
, émission involontaire d'urine, etc. Autrefois, c
parole qui est presque inintelligible, tremblement fibrillaire de la
langue
, tremblement spécial des mains, ensemble de phéno
oubles moteurs, embarras de la parole, tremblement des mains et de la
langue
qui est animée de mouvements fibrillaires, incert
C'est, par exemple, un engourdissement de la main ou d'un côté de la
langue
, une aphasie, ou un embarras de la parole tempora
voyez s'avancer avec une démarche titubante ; ses mains tremblent, sa
langue
tremble aussi ; sa parole est à peu près inintell
monitoires, la perte de connaissance fut complète, avec morsure de la
langue
, etc. ; elles n'eurent aucune influence sur la ri
prédominantes à gauche ; il perd connaissance, mais ne se mord pas la
langue
. Après quoi son corps se place en arc de cercle à
on ici ont été délivrées pendant l'été de 1883 et ont été publiées en
langue
italienne par le D'-ltummo (Différente forme d'af
as le nom de sa femme. Il est impossible de savoir si la bouche et la
langue
ont été déviées, ni s'il y a eu des troubles de l
moment de l'entrée. Il n'existe aucune déviation de la face ou de la
langue
, aucune trace de paralysie des membres supérieurs
que notre malade ne présente aucun trouble dans les mouvements de la
langue
et des lèvres, dans l'articulation des mots; aucu
it assez le grec moderne pour correspondre commercialement dans cette
langue
, Virgile et Horace lui étaient très familiers.
rgile et Horace lui étaient très familiers. Son père, professeur de
langues
orientales à L..., possède, lui aussi, une mémoir
iffre relaté dans sa correspondance volumineuse et faite en plusieurs
langues
, il les retrouvait aussitôt dans les lettres elle
anmoins qu'il ne peut plus penser en français et qu'il ne parle celte
langue
qu'en traduisant sa pensée de l'espagnol ou de l'
en traduisant sa pensée de l'espagnol ou de l'allemand, les premières
langues
qu'il ait apprises dans son enfance. Un détail
s lui reste, et celles-ci appartiennent à peu près exclusivement à la
langue
espagnole. En outre, de la perte de la faculté
uelle des mots dont il est affecté à un certain degré, pour certaines
langues
. Cependant, les notions appartenant à la catégo
je vous prie de vouloir bien excuser ma connaissance imparfaite de la
langue
française, imperfection qui rend un peu difficile
ique ; la première, développée par la répétition des mouvements de la
langue
et des lèvres nécessaires pour prononcer le mot;
e la main. Remarquons en passant que, dans ces cas, les muscles de la
langue
, ceux qui servent à la déglutition, sont intacts
dant un moment, la malade reste sans parler et sans pouvoir remuer sa
langue
. Ici l'origine hystérique de l'affection est en
x sont affectés : le goût est totalement aboli, l'insensibilité de la
langue
est complète, le réflexe pharyngien n'existe plus
s que la sensibilité en fût influencée. La sensibililé générale de la
langue
, de même que le goût, étaient complètement abolis
ût, étaient complètement abolis : on pouvait impunément mettre sur la
langue
du sujet du sulfate de quinine ou de l'aloès, san
fus très agréablement surpris en voyant le petit bonhomme retirer la
langue
, en faisant une grimace épouvanta ble; cela m'i
normal. Jamais, pendant le cours de ces crises, il ne s'est mordu la
langue
, jamais il n'a uriné dans son lit. Depuis près
Nous avons dit que dans quelques unes de ses attaques, G. se mord la
langue
et urine sous lui. Le fait a été par nous parfait
est pendant le cours de ces attaques-là que quelquefois il se mord la
langue
et que quelquefois il urine sous lui. Mais la mor
la langue et que quelquefois il urine sous lui. Mais la morsure de la
langue
et l'émission involontaire des urines ne sont pas
it failli être victime . de plus, il souffrait de picotements dans la
langue
, ne mangeait plus, se sentait faible et travailla
illes. Au moment où l'attaque commença, nous dit-il, il sentit que sa
langue
était attirée dans sa bouche vers la gauche, par
ans ce moment même, et avant que le malade ait perdu connaissance, la
langue
, raidie, est attirée dans la bouche vers le côté
étails, les divers incidents de la phase épileptoïde, débutant par la
langue
et la face, tels qu'ils viennent d'être décrits,
ctuel d'une nature quelconque, aucune déviation de la bouche ou de la
langue
, aucun degré de paralysie dans le membre inférieu
ondant, soit des muscles innervés par le facial inférieur, soit de la
langue
, soit du membre inférieur, survenant à la suite d
qu'à aucune époque de l'affection, même au début,' ni la face, ni la
langue
, ni le membre inférieur n'ont présenté le moindre
en premier lieu, l'absence de paralysie faciale et de déviation de la
langue
, lorsque celle-ci est tirée hors delà bouche. Vou
sie motrice. — Conservation des mouvements généraux des lèvres, de la
langue
, etc. — L'intelligence n'est pas affectée, les ma
ade ait conservé l'exécution intégrale des mouvements vulgaires de la
langue
et des lèvres, qu'il puisse mouvoir ces organes a
pas ; ce n'est pas parce qu'il a perdu les mouvements vulgaires de la
langue
et des lèvres — vous avez pu voir que notre malad
bien qu'existe la paralysie des mouvements généraux des lèvres, de la
langue
, du larynx, l'exécution de la voix et l'articulat
pu rapidement constater qu'il était possible au malade de tirer la
langue
, souffler et siffler comme dans les conditions no
possible de le désirer, bien qu'il écrivit en français et non dans sa
langue
maternelle. Mon diagnostic était fixé, et depui
pour nous dire que là est son mal. Pourtant, il meut parfaitement sa
langue
et ses lèvres dans tous les sens. De même il peut
malade crie encore, tout au moins. Il y a paralysie et atrophie de la
langue
; sa bouche est élargie, ses lèvres pendent et do
anarlhrie, conséquence de la paralysie des mouvements généraux de la
langue
et des lèvres. J'ajouterai que le malade laisse
arole, ni même chuchoter ; et pourtant, les mouvements généraux de la
langue
et des lèvres sont indemnes de cette perturbation
ines germaines a été atteinte d'épi-lepsie (chute, cri, morsure de la
langue
, etc.), une de ses sœurs, morte dernièrement de f
précipitées, dont la commissure labiale de ce côté est le siège. — La
langue
, tirée hors de la bouche, n'est pas déviée. Le
tion sur ces parties est même, par moments, extrêmement abondante. La
langue
est naturelle, la température centrale normale. L
talement perdu, un* pincée de sulfate de quinine est appliquée sur la
langue
, sans que le malade puisse dire de quoi il s'agit
-gastrique et besoin de pleurer ; jamais il n'y a eu de morsure de la
langue
ni d'évacuations involontaires pendant les atta-
e les lèvres, mais il ne se produit aucun son. Les mouvements de la
langue
sont très libres ; il n'existe aucun trouble de l
s attaques d'hémiplégie, il n'a eu de déviation de la bouche ou de la
langue
. Au réveil, il lui semblait seulement qu'il avait
ttaque. Ces attaques sont assez subites, mais il ne se mord jamais la
langue
et il n'urine pas sous lui. L'œil est vif, intell
la langue et il n'urine pas sous lui. L'œil est vif, intelligent, la
langue
peut se mouvoir aisément dans toutes les directio
est un peu relevée au repos et surtout quand on la fait sourire : la
langue
semble un peu déviée à droite. La malade peut cep
hystérie, en raison des phénomènes de déviation de la bouche et de la
langue
. Aussi ne publions-nous le fait que sous réserve,
de paralysie, pas de troubles de la sensibilité. Les mouvements de la
langue
et des lèyres se font sans difficulté. L'intellig
au maximum, époques pendant lesquelles la malade ne pouvait tirer la
langue
, ni même ouvrir la bouche. La perte et le retou
multanée des vibrations du larynx, des mouvements des lèvres et de la
langue
, l'absolue indépendance du premier organe dans la
n'observera pas, chez l'hystérique, de déviation de la bouche, de la
langue
, de paralysie faciale. C'est la présence, très pa
cette hémiplégie siégeait à droite et s'accompagna de paralysie de la
langue
. Au bout de quelque temps, la parole redevint nor
. — Ces leçons ont été délivrées pendant l'été de 1883 et publiées en
langue
italienne. Une analyse en a été donnée par le Dr
on verbale, CLA, est en connexion étroite avec le centre commun de la
langue
et des /êtres; pour ne pas compliquer le schéma,
hasie motrice. Conservation des mouvements généraux des lèvres, de la
langue
, etc. — L'intelligence n'est pas affectée, les ma
mme nous l'avons expérimenté maintes fois, ne manque pas de délier la
langue
aux hystériques les plus obstinées qui avaient ré
out le corps, dans la situation qu'il occupe, quand elle survient. La
langue
est contracturée, la pointe se fixe derrière les
racture généralisée qui les a envahis. En même temps elle sent que sa
langue
se fixe, la pointe derrière les incisives inférie
éclate. Gl..., peu d'instants avant l'attaque, sent la pointe de sa
langue
qui se retourne en haut et se colle au palais. Se
, en même temps que les signes de l'aura se produisent, Gl... sent sa
langue
s'immobiliser et se contour-ner la pointe en haut
plus là que sur le reste du corps. La bouche s'ouvre démesurément, la
langue
sort quel-quefois et se meut d'une commissure à l
ompagne constamment la convul- Fig 14. Phase tonique. Saillie de la
langue
. sion épileptoïde de l'hystérie est un phénomèn
ment abaissés, il y a de l'écume. Tantôt la bouche est ouverte, et la
langue
, sortie, se tord de diverses façons. Les bras con
ière supérieure. Les sourcils sont contractés, la bouche béante et la
langue
sortie. Les traits, tirés en divers sens, rendent
nsition (fig. 41 et 42). La ligure grimace horriblement, elle tire la
langue
. La fixité de son regard fait qu'on se demande si
t peu à peu. Elle fait la nique à un être imaginaire 1 en tirant la
langue
(fig. 63). Puis elle prête l'oreille, elle écou
actés, les yeux convul- ses en haut, la bouche grande ouverte et la
langue
sortie. La respiration un moment suspendue repren
le ventre. « Entends, dit-elle, comme ils sonnent. » Elle gratte sa
langue
sur laquelle °n a mis du plomb. « Tout le batacla
e. Elle atteint un bras, une jambe, ou bien une partie de la face, la
langue
..., etc. Elle peut porter sur les viscères : la
fermé et fixé dans le dos entre les deux omoplates. En même temps la
langue
se contracture, la pointe en l'air, appuyée contr
urine nécessitant le cathétérisme, et, le 22, d'une contracture de la
langue
exigeant l'alimentation par la sonde œsophagienne
re de la langue exigeant l'alimentation par la sonde œsophagienne. La
langue
est dure, comme tassée, rétrécie dans sa largeur,
La première courbure de l'S comprend les deux tiers postérieurs de la
langue
, qui fait gros dos. Lespiliers antérieurs du voil
le du palais sont contractures, insensibles au contact. La base de la
langue
obture à peu près absolument l'isthme du voile pa
s violentes à la suite desquelles disparaissent la con-tracture de la
langue
et celle du col vésical. A la rétention d'urine s
« Je te dis qu'il est là-dessous... » Elle fait des grimaces, tire la
langue
.,. « Monstre!... Je vais aller aux courses, je va
e la troisième période. Expression d'anxiété. La malade se tient la
langue
, qu'elle tourne en divers sens dans la bouche. La
et leur présente l'index recourbé. Elle se débat de nouveau, tire la
langue
, fait des grimaces : « J'ai pas peur de toi, sale
rrible de son délire lui représente un boucher qui veut lui couper la
langue
, lui arracher les dents, la tuer. Dans les attaqu
aques. Attitudes passionnelles. Elle fait des pieds de nez, tire la
langue
en fai-sant des grimaces. Mais la terreur gagne,
ation musculaire géné-ralisée avec contracture des quatre membres. La
langue
est dans un état de protrusion et de déviation fo
ne laissent voir que la sclérotique, les sourcils sont contractés, la
langue
est projetée en dehors de la bouche et retirée al
es; les yeux sont en strabisme interne. Il n'y a pas protrusion de la
langue
. Légère salive à la bouche. Phase tonique. Bien
s. Enfin la mémoire revient complètement, la malade reparle les trois
langues
et reprend son état habi-tuel. DIX-SEPTIÈME OBS
ls froncés, la bouche légèrement ou-verte laisse voir la pointe de la
langue
; il n'y a pas d'écume. C'est plutôt la contorsion
rhémiée; la bouche est béante et laisse échapper une légère écume, la
langue
est sortie, et toute cette figure grimace en même
s'écartent, sont tiraillées en sens divers et laissent apparaître une
langue
pendante et tuméfiée. L'effroi domine-t-il, alo
umeuse; la suffocation est imminente; la stran-gulation fait tirer la
langue
: la peau est rouge et pâle alternativement; les
ns, cela paraît avoir été de l'épilepsie pure (chutes, morsures de la
langue
) ; à cet âge ont paru de longues attaques avec cr
strabisme divergent. Bientôt, après qu'elle a tiré plusieurs fois la
langue
, ses bras se raidissent et se portent énergique-m
l'écume à la bouche et une émission involontaire ou des morsures à la
langue
, quoique ces phé-nomènes, surtout le dernier, soi
inerte, ainsi que cela se voit dans la paralysie hystérique. Ni la
langue
, ni la face n'étaient déviées... Enfin, la mala
r avec les précautions usuelles chez les hystériques. Elle mordait sa
langue
, écumait, et l'opisthotonos était très prononcé.
pas elles-mêmes, elles se font par-fois d'assez fortes blessures à la
langue
, aux mains, etc. » Quelques hystériques sont, a
dents avec tant de force, qu'on les a vues se briser, ou déchirer la
langue
et les lèvres, ou faire aux per-sonnes qui les en
resque tonique. La tête est renversée, la face rouge et tuméfiée ; la
langue
souvent dépasse les dents, et bientôt l'écume s'é
oir parler, et ne peut, malgré tous les efforts, parvenir à délier sa
langue
. (Ibid., p. 77.) » I. Cette opinion s'appuie no
dehors, s'appliquent sur les arcades dentaires un peu écartées, et la
langue
, légèrement incurvée et la pointe dirigée en haut
et à mesure qu'il s'accomplit, le tétanisme augmente d'intensité, la
langue
fait saillie davan-tage, jusqu'à ce que la détent
é droit, les yeux se ferment, la res[»iration devient stertoreuso. La
langue
, large et flasque, ne rentre pas complètement dan
ait que nous venons de rapporter est remarquable par la saillie de la
langue
. La prolusión de la langue existe égale-ment au m
orter est remarquable par la saillie de la langue. La prolusión de la
langue
existe égale-ment au milieu des contorsions de la
es; en même temps, elle é[)rouve un tiraillement dans les yeux, et sa
langue
se retourne, la pointe en haut, l^a parole est co
t fermés, et les lèvres rapprochées laissent passer l'extrémité de la
langue
épaisse et élargie. Il est impossible d'écarter l
ière syllabe du nom de la surveillante du service. faire rentrer la
langue
dans la bouche. Les bras sont contractures, le ga
nt. Les commissures des lèvres sont tirées en dehors, la pointe de la
langue
s'effde et se relève, en même temps que l'inspira
stance, je parviens cependant à l'endormir. La con-tracture cesse, la
langue
rentre dans la bouche et tous les membres tombent
sent voir que le blanc de la sclérotique; la bouche est ouverte et la
langue
sortie. Le tétanisme survient dans les atti-tudes
ent ouverts, la boui^he tiraillée en divers sens ou bien ou-verte, la
langue
pendante. Les grands mouvements s'exécutent ave
es membres et des muscles du cou, de la bouche, des yeux, enfin de la
langue
(qui tantôt se retirait, tantôt s'allongeait, ou
très doux. Depuis deux ans qu'elle est en France, elle parle bien la
langue
française, et elle est devenue assez forte en mus
s la moindre trace d'écume aux lèvres, ni la plus légère morsure à la
langue
. La circulation et la respiration demeuraient nor
t des assistants, elle débitait un sermon très éloquent, tant dans sa
langue
maternelle que dans les autres langues qui aupara
mon très éloquent, tant dans sa langue maternelle que dans les autres
langues
qui auparavant lui étaient inconnues, telles que
s autres langues qui auparavant lui étaient inconnues, telles que les
langues
hébraïque, grecque, latine et française, et ces l
elles que les langues hébraïque, grecque, latine et française, et ces
langues
, elle ne les savait plus après le paroxysme. Ob
n ma pensée, étant admis qu'il ne s'applique qu'à une apparence. la
langue
, frapper des mains, frapper des pieds, s'abaisser
ue aux oreilles, des paroles qui ont un autre sens, la même phrase en
langue
étrangère n'ont, en aucune façon, la vertu de dét
, le savon. Elle tourne et retourne le savon dans ses mains, passe la
langue
dessus, sans arriver à découvrir ce que c'est. Av
peut les forcer à se lever, à chanter, à se tenir debout, à tirer la
langue
, à joindre les mains, etc. Mon ami R..., lorsqu'i
ons : piqûres, respiration d'atnmoniaque, poudre de coloquinte sur la
langue
. Cependant elle se retire quand on présente l'amm
l-ques instants après l'application de la poudre de coloquinte sur la
langue
, elle se met à crachoter. Réveillée par la comp
ie, la face entre les mains, poussant des gémissements et lançant, en
langue
italienne, des malédictions contre ceux qui l'ont
droite. La poudre de coloquinte est sentie sur la moitié droite de la
langue
. En lui parlant fortement à l'oreille gauche, Mat
e à l'autre elle étendait ses bras en forme de croix, et s'écriait en
langue
vulgaire : Jean, Jean, ouvre-moi les portes du pa
poussé dans son oreille et d'une façon soudaine, sel ammoniac sur la
langue
, cha-touillement de la cornée avec barbe d'une pl
re donne 38" 2, le pouls est large et dépressible (80 pulsations), la
langue
est humide. » Tremblement marqué des mains, un
la face devient grimaçante ; de l'écume se montre à la boucfie, et la
langue
est mordue; Après quelques minutes. Cl..., revien
erte de connaissance, convulsions, écume à la bouche, et morsure à la
langue
. La chute détermine plusieurs contusions sur diff
uvert de sueur, les yeux brillants, les pupilles dilatées, égales; la
langue
blanche, profondément déchirée des deux côtés sur
tremblement considérable des bras et des jambes, des lèvres et de la
langue
, surtout quand celle-ci est tirée hors de la bouc
rd connaissance dans la boutique, tombe à terre, se débat, se mord la
langue
, écume, urine dans le pantalon. Le soir, les fray
'ac-commodation ; — h) les muscles de la mâchoire (trismus) ; — c) la
langue
et quelquefois en outre le voile du palais et l'œ
savons que les inhalations d'ammoniaque, la colo-quinte placée sur la
langue
, l'occlusion des yeux ne troublent pas plus que l
mme elle eût voulu, attentivement poursuivre son propos ni mouvoir sa
langue
. Mais s'il advenait qu'elle murmurât sans y pense
x qui étaient autour d'elles, encore qu'à cause des convulsions de la
langue
et des parties servant à la respiration, elles ne
rge tellement qu'elle ne pouvait avaler..... Et lui tenait aussi la
langue
parfois en telle sorte qu'ill'empêchait de parl
6.) servir de la pittoresque expression de Michelet, couramment les
langues
de Sodome. « Madame de Sazilly, parente de Rich
bras tournés et les mains aussi, et les doigts demi-fermés, tirait la
langue
hors de la bouche, avait les joues fort enflées,
ssayée comme au jour précédent de rejeter la sainte hostie, a tiré la
langue
sur laquelle elle était, 1. C'est bien là l'éta
u : Aqua. Avons requis le dit Barré que le démon dit le mot d'aqua en
langue
écossaise, afin que nous et les assistants puissi
son visage devint tout à fait méconnaissable, son regard furieux, sa
langue
pro-ï digieusement grosse, longue et pendante en
angea de forme et de couleur, paraissant livide et fort enflée, et la
langue
» sortarU toute hors de la bouche, fort chargée,
mit le corps de la prieure dans une effroyable convulsion, tirant une
langue
horriblement difforme, noirâtre et boutonnée, ou
rant toutes ces agitadons, son visage fut fort difforme et hideux; sa
langue
grosse, livide et pen- 1. Histoire des Diables,
uisit son corps jusques au bout de la chapelle, où il lira une grosse
langue
bien noire, et lécha le pavé avec des trémousseme
orreur étrange du saint sacrement, lui font la grimace, lui tirent la
langue
, crachent contre lui, et le blasphèment avec une
iaiseries de ces petits hommes », et rouillant les yeux et tirant une
langue
noire comme de l'encre, s'adressa à moi, et me di
ec deux doigts par la ceinture, d se débattait étrangement, tirant la
langue
; et se renversant sur le dos, disait : « Voici u
cours bon et raisonnable, et après avoir vu leur visage, les yeux, la
langue
, l'habitude, touché le pouls et pris garde soigne
nue les médecins l'ayant considérée, touché le pouls et fait tirer la
langue
, ce qu'elle permit en raillant, et parlant d'autr
a plante des pieds, la bouche venait baiser la terre et for-mer de la
langue
un signe de croix sur le pavé : que quelques-unes
ons pathétiques, la prétention d'opérer des miracles et de parler des
langues
inusitées, les impulsions aux actes extravagants,
s de ces attaques, son visage devenait violet, sa gorge s'enflait, sa
langue
s'épaississait, sa boiiclie tournait, ses lèvres
sueur froide luicouvritle visage, sa gorge enfla prodigieusement, sa
langue
sortit de sa bouche de quatre pouces de long tout
fus la violence des mouvements recommença, cependant l'usage de ma
langue
me fut rendu..... Une personne voulut qu'on me re
nonce avec rapidité sont inintelli-gibles et n'appartiennent à aucune
langue
connue. On tente de lui faire prendre quelques
se soutenir, tondje sur sa poitrin!\ et j'en ai même vu une, dont la
langue
s'était si fort retirée dans le gosier, qu'on :;'
s beaux discours et leurs principales prédictions, qu'ils parlent des
langues
étrangères, c{u'ils découvrent les secrets des co
de leurs extases, que plusieurs convulsionnaires font ces discours en
langue
inconnue ou étrangère. Je dois ajouter qu'ils n'e
par toute la terre. 11 n'a fallu, pour découvrir que ces discours en
langue
inconnue étaient la plupart des prophéties de ces
convulsionnaire du premier rang tient de très beaux discours dans une
langue
inconnue ; en même temps elle est placée dans une
d'un bout â l'autre avec une sorte de dignité; c'est toujours dans sa
langue
inconnue; mais comment se fait la cérémonie? La p
Poncet a vu une convulsionnaire qui faisait ses prières en tirant la
langue
comme une possédée, et dont le visage était décom
petites maisons; tantôt en se faisant serrer le cou jusqu'à tirer la
langue
bien longue; en se faisant pendre à un clou à cro
aire pour admonester les assis-tants. D'autres se faisaient percer la
langue
et larder les chairs avec des épées... Ces tablea
i sortaient de cet amas confus de créatures humaines? Aucun mot de la
langue
ne saurait les rendre : hoquets hystériques, sang
ments pénibles et plaintifs ; une rougeur sombre couvre les joues; la
langue
épaissie semble être collée au palais desséché, l
le revient tous les jours, passe dans le bras gauche et enfin dans la
langue
. Il ne peut plus alors ni remuer les bras, ni par
termittente, laquelle affecte un ou deux bras, une ou deux jambes, la
langue
, soit simultanément soit isolément. Mais la paral
l, il a une brusque paralysie des deux bras, des deux jambes et de la
langue
; complètement immobile et inerte, il est incapab
t impuissants à leur donner quelque appétit. Le matin, ils se lèvent,
langue
pâteuse, bouche mauvaise, tête lourde, aussi fati
beaucoup de facilité. Cependant, il lui était impossible de tirer la
langue
hors de la bouche ; c'est à peine si elle atteign
a bouche ; c'est à peine si elle atteignait le bord des lèvres. Cette
langue
paraissait plus courte et comme aplatie transvers
s enfants sont présentés à une commère pour l'excision du filet de la
langue
. Ce filet est examiné et n'est coupé qu'à quelque
(3) Croyances, p. 14. Pour le suns ce mot désigne le frein de la
langue
: ils font couper le fil à leurs enfants. Pour les
a donné les renseignements linguistiques suivants: a Le frein de la
langue
, lorsqu'il est à l'état normal ou un peu prolongé
s de Villefranche (Haute-Garonne), a En cas de soudure complète de la
langue
au plancher de la bouche le filet prolongé se nom
st que cette opération facilite plus tard le bon fonctionnement de la
langue
, aussi dit-on d'un bavard: Lian coupât le sabalen
ient pas. Il ne servait à rien moins qu'à déchirer le filet de la
langue
chez les nouveau-né. Que des accidents graves fis
s qu'un enfant vient au monde, les matrones ont soin d'examiner si la
langue
est bien constituée, tant au point de vue de la s
Macédoine^, si l'enfant pleure trop, la matrone examine avant tout sa
langue
, et si elle pense que le frein est trop long, ell
s'abstient alors même qu'il serait kaSSOIEzitchno, c'est-à-dire à la
langue
courte, ou podwardzano, c'est-à-dire à la langue
o, c'est-à-dire à la langue courte, ou podwardzano, c'est-à-dire à la
langue
liée. Mais en grandissant, s'il parle avec diffic
rs fois. (t) Chez les Bulgares de Prllep(Macédoineï.le frein sur la
langue
s'appelle diviéjik langue sauvage, tandis que tou
lgares de Prllep(Macédoineï.le frein sur la langue s'appelle diviéjik
langue
sauvage, tandis que tous les autres Bulgares l'ap
s vieilles femmes, spécialistes dans l'art de couper les freins de la
langue
, qui s'en chargent (Gavrovo, Bulgarie centrale ;
st sectionné a l'aide de l'aiguille préalablement introduite entre la
langue
et le frein. •Après l'opération, la plaie est q
ui a bien voulu répondre à mon questionnaire, on coupe le frein de la
langue
aux enfants qui ne peuvent téter, qui le font ave
age-femme ou un barbier, qui est ordinairement un juif. On soulève la
langue
avec une petite cuiller et on coupe le frein avec
olkov m'a dit que, dans sa jeunesse, l'usage de couper le frein de la
langue
était très fréquent dans la petite Russie, mais s
bourg, dit que les Lettes ne pratiquent pas la section du frein de la
langue
. * • a M Thomaz-Pires d'Elva, Portugal, m'a
es renseignements suivants : « L'opération de couper le frein de la
langue
se fait rarement dans nos environs, c'est le chir
oulu donner à l'enfant une marque de sa bonté, en lui plaçant sous la
langue
une tarentule, parce que le peuple voit dans les
donne en Sicile le nom de saint Paul à un homme éloquent; et celui de
langue
de saint Paul à un homme de paroles médisantes D'
u point de vue général, M. Pitre ma dit que la section du frein de la
langue
s'appelle sgargix et se fait ordinairement par la
sage qui nous intéresse particulièrement. La seciton du frein de la
langue
en Sicile ('1). « Beaucoup de sages-femmes ont
ude de sgargiari, c'est-à-dire de rompre avec le doigt le frein de la
langue
du nouveau-né. Pour cela, elles laissent croître
l on met du julep ou du miel employé lors de la taille du frein de la
langue
(*). « Ce petit vase, muni d'un couvercle, repo
écessaire. « On croit généralement qu'on doit couper le frein de la
langue
au nouveau-né pour que celui-ci, plus âgé, puisse
ans un peu de julep recueilli dans le sgàrgiu et coupe le frein de la
langue
. « Beaucoup de femmes demanderont compte plus t
nt compte plus tard de cette opération, si leurs enfants n'ont pas la
langue
libre ou s'ils bégayent, « ¦ ? * M. F. Cora
écrit : ? Chez nous aussi on a l'habitude de couper le frein de la
langue
, spécialement dans les classes populaires, et cet
faites par les sages-femmes, s'exprime ainsi : Couper le filet de la
langue
... (Va-janeide, II, 5}. « Ce passage est indiqu
droit pour s'en servir comme d'un couteau pour couper le frein de la
langue
, sans penser aux dangers graves qui peuvent résul
ns de la nouvelle accouchée, se trouve celle de couper le filet de la
langue
afin d'éviter le bégaiement chez le nouveau-né. »
bégaiement chez le nouveau-né. » Nous venons de citer des cas où la
langue
est considérée comme trop courte à cause du frein
vations absolument opposées, des cas d'hypertrophie en longueur de la
langue
. Ces cas de macroglossie. lingua propendu la, etc
ux du 3 mars 1900. Il s'agit d'une malade de la Sal-pétrière, dont la
langue
bien étalée dépassait les arcades dentaires de 7
gressivement et parallèlement avec l'augmentation de croissance de la
langue
. expressions proverbiales Nous retrouvons à p
é le filet. Nào tem freio na lingua . — Il n'a pas de filet dans la
langue
. (M. Thomas Pires, d'Elva, Portugal.) Belgiqu
va, Portugal.) Belgique.— (Brabant-Wallon). — El cien qui a pindu s'
langue
a bi gangné ses cin sous. (M. Georges Williame,
urologistes Le treizième Congrès des aliénistes et neurologîstes de
langue
française vient de tenir ses assises à Bruxelles.
e au Congrès des aliénistes et neurologîstes de France et des pays de
langue
française, xiiie session, Bruxelles, août 1903.
avons parlé plus haut. La suggestion se fait de préférence dans la
langue
maternelle .du malade, mais ce qui importe surtou
a recouvré à peu près la liberté de ses mouvements; elle tire bien la
langue
et peut marcher; les réflexes tendineux sont norm
épaule droite, le côté droit de la nuque, la moitié de la face, de la
langue
et menaçait d'affecter aussi le côté gauche. Il l
dus à la vie commune. COURS ET CONFÉRENCES Algies du nez et de la
langue
sur un terrain psychasthénique (1), par M. le Pro
ées, l'une de 38, l'autre de 22 ans. L'une a mal au nez, l'autre à la
langue
. On a fait à leur sujet de grosses erreurs de dia
et de l'angoisse. La seconde, qui est institutrice, accuse dans la
langue
des sensations de brûlure qui ont débuté par l'es
stomac, puis sont montées le long de l'œsophage. Il lui semble que sa
langue
est en bois, qu'elle va lui refuser tout service,
, l'affection est identique chez toutes deux : le nez, d'une part, la
langue
, de l'autre, sont complètement sains ; en outre,
rique avec brûlures qui remontent le long de l'œsophage et gagnent la
langue
: elle se croit atteinte d'une grave maladie qui
ue, d'une obsession, à savoir d'une algie du nez et d'une algie de la
langue
sur un terrain psychasthénique. Les affections
terrain psychasthénique. Les affections psychiques rapportées à la
langue
ne sont pas tout à fait rares. Fournier, à l'Acad
un chirurgien avait proposé à notre seconde malade de lui enlever la
langue
, elle y aurait consenti. On ne compte plus les se
t avec la peau, une irritation électrique à peine perceptible à notre
langue
, parfois même un souffle suffisent pour provoquer
is et retournée vers les ailes du nez. L'intérieur de la bouche et la
langue
présentaient les mêmes modifications que la peau.
complet ou incomplet), de l'enflure de la face, du tremblement de la
langue
, des mains et des membres, de la tuméfaction gang
c., etc. Les œuvres du Dc Liébeault ont été traduites dans toutes les
langues
. Elles lui ont acquis une réputation justement mé
œuvres du docteur Liébeault ont été traduites dans presque toutes les
langues
. Chose étrange ce grand savant, que relativement
réel mérite, ils ont été d'ailleurs traduits dans presque toutes les
langues
et c'est peut-être en France qu'ils sont le moins
ns qu'on lui donne, mais l'expérience visible à quiconque comprend la
langue
du poète de la pensée qui a inspiré l'artiste. Vo
demeure; enfin, les neuf jours écoulés, il jouit du plein usage de sa
langue
,.et il a recouvré son ancienne santé. « L'autre
ue). Congrès des aliénistes et neurologîstes de France et des pays de
langue
française, 13* session, Bruxelles, août 1903. — C
e ressent une légère douleur au niveau des vertèbres dorsales. La
langue
est chargée, les bruits du cœur sont nets, le pou
e chronique, 22; incontinence d'urine, 22; mutisme et paralysie de la
langue
. 3; surdité, 12; trophœdème des jambes, 2; ulcère
geois au Conseil municipal de Nancy, p. 351. Algies du nez et de la
langue
sur un terrain psycbastbénique, par Raymond.
ilité extrême; infiltration des membres inférieurs; dévoiement; soif;
langue
lisse et pâle; aucune douleur. En explorant l'abd
octeur Jacquemin; elle était dans l'état suivant : Face très-colorée;
langue
rouge, lisse, sans enduit; pouls médiocrement fré
clusivement caractérisé par le stade de sueur : mais la rongeur de la
langue
me paraît une contre-indication au tâtonnement mé
u les jours précédens, reparaît; l'abdomen est souple et indolent; la
langue
est très - rouge ; le pouls est peu fréquent, et
; la face est foncée en couleur et exprime la douleur, l'angoisse; la
langue
toujours rouge; la respiration courte, quoique la
pçons sur l'existence d'une hépatite ; mais point de signe local. L a
langue
, très-rouge, humide jusque - là, se dessèche. Vés
èvres et les dents, desséchées, se couvrent d'une croûte noirâtre. La
langue
est lisse, rouge et sèche. La respiration devient
apeutique. Étant donnés les symptômes suivans '.face très-colorée ;
langue
rouge; pouls médiocrement fréquent; sueurs très-a
oit parfaitement libre : brisement des membres ; pouls vif, fréquent;
langue
rouge; soif; vives inquiétudes sur son état. L'ab
laise très-grand : agitation. Le pouls est fréquent, plein et dur; la
langue
rouge et sans enduit. La malade, pour me rendre c
me des mains, où la malade tient habituellement des boules de marbre.
Langue
très-rouge au pourtour et un peu sèche. Douze san
ministré à temps et à dose convenables ; que dans beaucoup de cas une
langue
sèche, rouge et noire n'était pas une contre-indi
e rémittente avec prostration des forces, sécheresse et rougeur de la
langue
: elle était au troisième jour de la maladie qui
29 au 3o; coliques; douleurs dans tous les membres. Le 3o, soif vive,
langue
sèche, douleurs de coliques; les extrémités infér
iâtre : l'appétit est assez bien conservé, de même que le sommeil. La
langue
est humide, rosée. Le malade est dans une sécurit
es traits s'effilèrent, l'appétit disparut et le sommeil avec lui; la
langue
devint rouge et sèche : le 17, dans la nuit, le m
e, intégrité parfaite de toutes les fonctions : la face est bonne, la
langue
naturelle ; maigreur sans marasme ; teinte nature
intérieur que ne justifie aucun symptôme local : soif très-vive ; la
langue
est sale; le pouls fréquent; le ventre souple et
aintive ; il se lamente, redoute la mort qu'il dit être prochaine. La
langue
, d'humide qu'elle était la veille, devient brune
de son état et se croit guéri ; il demande à manger. Soif très-vive ;
langue
presque naturelle : les vésicatoires sont gangren
ble : je dois également noter une ulcération sur le bord gauche de la
langue
, qui, en quelques jours, est devenue très-profond
prostration de forces ; pouls petit et fréquent; extrémités froides ;
langue
sèche; soif vive. Les yeux sont agités convulsive
cette région postérieure, la partie voisine du pharynx, la base de la
langue
, la face antérieure et le bord supérieur de l'épi
des piliers jusqu'aux amygdales et à gauche jusque sur la base de la
langue
. Le larynx ouvert permet de voir l'épaississement
t et du mouvement des extrémités supérieure et inférieure droites. La
langue
s'incline du côté paralysé : le malade, immobile
ger délire gai; la malade répond parfaitement à toutes les questions;
langue
sèche; pouls dur, fréquent. En palpant l'abdomen,
dresse. Immobilité*, urines involontaires. Si on lui dit de sortir la
langue
, il fait effort, et la langue se replie derrière
volontaires. Si on lui dit de sortir la langue, il fait effort, et la
langue
se replie derrière les dents en s'inclinant forte
du mouvement ; sensibilité intacte ; intelligence pleine et entière :
langue
fuligineuse ; respiration fréquente. Pour commémo
e poëlettes. — Le 26, supination, stupeur, immobilité; nulle douleur;
langue
naturelle ; abdomen souple : point de vomissemens
sement avec prostration de forces excessive. Point de céphalalgie. La
langue
devient sèche et noire. La maladie est qualifiée
sibilité de répondre à mes questions ; je ne puis lui faire sortir la
langue
. Il est probable cependant qu'elle voit et qu'ell
t les symptômes généraux : ballonnement du ventre, diarrhée verdâtre;
langue
rouge et sèche ; vomissemens muqueux; chaleur à l
d'où le nom de fièvre adynamique (Pinel); les lèvres, les dents et la
langue
desséchées deviennent fuligineuses : le malade ne
pouls large, plein, presque naturel pour la fréquence; vociférations;
langue
naturelle; salive peu abondante et écumeuse. L'ab
r d'alimens à des malades dont les dents sont encore fuligineuses, la
langue
desséchée et qui sont encore sous l'influence d'u
r des questions rapides et fermes. Tremblottement des lèvres et de la
langue
qui est sèche {tosta) et crevassée. Le pouls est
lles sont dilatées ; tremblottement plus prononcé des lèvres et de la
langue
; tremblottement des membres. Ventre souple et in
, dans l'état suivant : État typhoïde; enduit fuligineux très-épais ;
langue
comme rôtie et ne pouvant être portée au dehors m
cation de sangsues. Le quatrième jour, rêves; enduit fuligineux de la
langue
et des lèvres; une saignée au bras; sinapismes ;
e; il répond très-bien aux diverses questions qui lui sont adressées.
Langue
un peu sèche et sans enduit; pouls fréquent et pe
lant sur ses occupations habituelles. Réponses justes et précises. La
langue
est large et sèche; le pouls très-fréquent et trè
ur naturelle : ventre un peu ballonné et insensible à la pression. La
langue
est large et moins sèche que les jours précédons,
. Sentiment de faiblesse générale : abdomen météorisé, mais indolent.
Langue
un peu sale, mais humide. A peine fréquence dans
oubresauts dans les tendons; abdomen ballonné; urines involontaires ;
langue
sèche et noire; soif ; pouls fréquent et grêle; l
à l'Hôtel-Dieu dans l'état suivant : prostration musculaire; stupeur;
langue
rouge, un pen sèche; aucune douleur abdominale pa
nde des alimens, l'abdomen est très-volumineux, météorisé, sonore; la
langue
sèche, fuligineuse. Le pouls est faible et peu fr
diminution du météorisme; cessation du dévoiement; apyrexie complète;
langue
bonne ; faim dévorante. Le ier mai, la convalesce
ai peu d'attention; mais le lendemain sa face était très-altérée ; la
langue
desséchée ; l'oppression extrême ; le pouls très-
être, et le sourire a quelque chose de forcé, de convuisif; du reste,
langue
naturelle; aucune douleur. Cet état se maintient
smes aux pieds, vésicatoires aux jambes.) Le 19, même état. Le 20, la
langue
est sèche; l'abdomen météorisé, mais indolent; le
abondante, le malade paraît mieux; le pouls est à peine fréquent; la
langue
humide; le mieux apparent persiste le 22 et le 23
vulsifs n'ont point reparu; mais la malade s'affaiblit par degrés; la
langue
se dessèche, devient fuligineuse ; le pouls augme
3o, dans l'état suivant : pupilles dilatées ; plaintes, gémissemens ;
langue
blanche ; matité du thorax en haut, en arrière et
e malade peut à peine soutenir la tête (même prescription). Le 19, la
langue
est repoussée hors de la bouche par une tumeur do
pilles immobiles (un grain tartre stibié ). Le 21, calme profond ; la
langue
est rentrée dans la bouche. Mort le 22. Ouvertu
ndant la nuit; pouls plein, peu fréquent; oppression; stupeur légère;
langue
sale que le malade oublie de retirer. (Saignée au
est à peu près naturel. Il répond à toutes les questions ; il sort la
langue
hors de la bouche, mais il oublie toujours de la
cent cinquante-huit pulsations par minute; la soif était ardente, la
langue
très-rouge; plusieurs applications de sangsues su
et indépendamment de la pression ; vomissemens rares ; constipation ;
langue
blanche ; dégoût pour toute espèce d'alimens ; mo
face et de toute la surface du corps, les lèvres, les gencives et la
langue
sont décolorées comme dans la chlorose; sentiment
e faiblesse dans les membres; peu d'appétit, mais point de dégoût, la
langue
est sans enduit; les alimens pèsent peu surl'esto
Observé le 31, il présente des traits affaissés, de l'abattement; la
langue
est rouge et sèche. L'abdomen est légèrement tumé
rsiste : elle mange et vomit; la diète est impatiemment supportée; la
langue
ne dit rien; point de dévoiement; l'exploration l
ression ; le pouls est à 140°, mais toujours dépressible; face rouge;
langue
rouge à son limbe, blanche à sa face supérieure :
isson, voilà les moyens qui m'ont le mieux réussi. Chez plusieurs, la
langue
qui était d'un rouge vif sur les bords et couvert
Le dévoiement résiste quelques jours, puis cède. Etat typhoïde, avec
langue
sèche et rouge, sans fréquence marquée dans le po
à l'ambulance le 27 avril 1832, dans l'état suivant: Faciès naturel
langue
sèche et rouge à la pointe ; soif vive dirigée ve
ux synapismes en bottines autour des pieds et des jambes. Le 29, la
langue
devient sèche et rouge; stupeur; la malade se pla
lade me paraît dans un état désespéré : face très altérée, typhoïde :
langue
sèche et noire; selles involontaires; attitude dé
e, administrée par cuillerées. Le 10 mai, un peu d'amélioration; la
langue
s'humecte; la soif est moindre et dirigée vers le
aise général ; douleur à l'épigastre qui augmentait par la pression ;
langue
rouge; soif; anorexie ; point d'évacuations ; les
ausées ; vomissements de bile verte, précédés de beaucoup d'efforts ;
langue
blanche , visqueuse ; crampes rares, bornées aux
que les jours précédents, mais hoquet ; quelques évacuations alvines;
langue
sèche et rouge ; sensibilité à l'épigastre; senti
on, voix très altérée, cris plaintifs continuels, pouls peu sensible,
langue
toujours sèche. Potion avec 12 grains de sulfate
emaines, jointe à la sécheresse et à l'aspect brunâtre insolite de la
langue
, me font craindre une ulcération chronique du gro
crampes avaient cessé. Réaction ; face d'un rouge foncé et altérée ;
langue
jaunâtre, à peine humectée ; voix affaiblie ; pou
, de promener un liquide frais dans cette cavité pour se soulager. La
langue
présente un fond extrêmement rouge, voilé par un
e vers les boissons froides, et qui se concilie avec lliumidité de la
langue
, tourmente incessamment le malade; une angoisse i
ion ou de la lenteur; l'air expiré est froid, la cavité buccale et la
langue
, en particulier, sont très froides. Les urines so
ent excavés ; point d'urine ; point de selles; point de vomissements;
langue
froide et humide; intelligence parfaite, mais rép
ommémoratifs. Il y a quinze jours, forte céphalalgie; paralysie de la
langue
; fièvre; saignée. Il y a trois jours , diarrhée.
res après midi, il présente l'état suivant : Froid algide; cyanose;
langue
violette et froide; les yeux profondément enfoncé
les membres; douleurs vives à l'épigastre ; oppression; soif intense;
langue
rouge et sèche; suppression d'urine. Prescripti
; soif ardente; hoquet; vomissements après l'ingestion des boissons ;
langue
sèche et brunâtre; respiration lente; étouffement
traits; connaissance incomplète; enduit fuligineux des dents et de la
langue
; déglutition difficile. Mort à 2 heures du soir.
t un peu douloureuse; la respiration suspirieuse; pouls de 90 à 100°;
langue
sèche et rouge ; grande soif. Quinze sangsues sur
ter du bouillon du dehors ; la fréquence dans le pouls a augmenté; la
langue
est devenue sèche et rouge; les vomissements ont
tur. D'autres, plus méthodiques en apparence, consultent l'état de la
langue
, et restreignent l'emploi du vomitif aux cas où i
hes pourprées sur toute la surface du corps et ijUr la muqueuse de la
langue
; il mourut au bout de douze heures. Infiltrati
ème jour, deuxième saignée; le quatrième, état typhoïde, prostration;
langue
sèche, pouls peu fréquent; le cinquième, diminuti
ictère; pouls faible; supination; renversement de la tête en arrière;
langue
et dents sèches. Facultés intellectuelles dans le
soulagement, l'amaigrissement croissant, la sécheresse extrême de la
langue
avec tendance à la fuliginosité, la fièvre contin
croyait mieux. Le soir, état très grave. Supination; face décomposée;
langue
noire; à peine put - il me reconnaître et articul
domen est volumineux, mais indolent : la face est un peu altérée ; la
langue
très sèche ; quelques selles involontaires. Le
pille droite est très dilatée : la gauche au contraire contractée. La
langue
est large , humide , sans déviation ou lésion de
u nez, de la bouche : point de cerveau, de cervelet, ni de moelle; la
langue
pouvait être reconnue. Point de vestige de cavité
aspect d'une fente transversale circonscrite en bas par la base de la
Langue
L, en haut par le bord adhérent du voile du palai
trécis des fosses nasales. Le cœur C, le poumon droit P, l'aorte A la
langue
LG, et le larynx L, ont été renversés à gauche. L
olliculeuse commençante avec dévoie-ment, rougeur et sécheresse de la
langue
; réponses brèves et tardives ( sangsues à l'anus
at toujours comateux. La malade essaie, sans le pouvoir, de porter la
langue
hors de la bouche. Les pupilles sont moins dilaté
83o, pag. 52. XXe LIVRAISON. 2 Invasion subite de paralysie de la
langue
et de rigidité du bras. — Marche progressive des
de 76 ans, est prise subitement, le 23 août i833, de paralysie de la
langue
: en même temps la bouche paraît déviée à gauch
illeurs aucun affaiblissement. Le pouls était plein et fréquent, la
langue
saburrale, l'appétit nul : céphalalgie; intellige
mouvement fébrile et surtout la dureté du pouls, la sécheresse de la
langue
ont disparu. Le 26 décembre, les mouvemens sont
connaissance , elle ne répond à aucune question;, elle ne sort pas la
langue
; les yeux sont fermés; la face pâle; la respirati
revient un peu à elle et paraît entendre les questions; elle porte la
langue
hors delà bouche. Je la vis le 17 janvier dans
à une rupture de l'utérus. Cataplasmes laudanisés, toniques. Soir.
Langue
large, légèrement rouge, avec enduitblanchâtre; s
e teinte sub-ictérique. La face, la peau, en général, sont jaunâtres.
Langue
sèche, rouge au centre, saburrale sur les bords;
gauche. La narine droite et moins dilatée que l'autre. La bouche, la
langue
n'offrent aucune modification. Le goût, l'odorat,
es narines des flots de liquide blanchâtre, mousseux, assez épais. La
langue
présente des écorchures. La malade a uriné sous e
encives présentent des croûtes brunes, sèches (sang et mucosités). La
langue
est gonflée, turgescente, et offre à sa face infé
s'est faites durant ses crises convulsives. En raison de l'état de la
langue
, la déglutition est. difficile. Une selle très-ab
128 ; R. 28 ; T. V. 40°. Les lèvres, les gencives sont nettoyées; la
langue
présente toujours des dépôts d'aspect gangreneux.
tion jaunâtre. Physionomie calme. La malade parle bien. Peau fraîche.
Langue
moins grosse; les ulcérations se nettoient. Seins
iveau du tiers moyen et au dessous de l'ais-selle. Pas de frisson. La
langue
est humide; les dépôts gangreneux ont disparu, la
—Soir ; P. 100;T.V. 37°,8. 7 janvier. P. 80; T. Y. 37",2.—Appétit;
langue
humide ; les ulcérations se ferment. Aucun accide
ées, égales. La lèvre inférieure est couverte de salive desséchée. La
langue
offre plusieurs morsures qui ont déterminé un gon
elle aucune parole, mais elle a fait quelques efforts pour montrer la
langue
. De 6 à 10 heures, trois attaques. Même aspect gé
inutes plus tard, convul-sions cloniques générales avec morsure de la
langue
, écume sangui-nolente. Une demi-heure après la de
; le soir du septième jour de la suppression de l'urine, alors que la
langue
était sèche et la soif vive, la température était
miction depuis 50 heures. Anorexie ; soif incommode ; la pointe de la
langue
tend à devenir sèche. Région lombaire droite sens
n apparence meilleur. Ni nausées, ni vomissements ; soif moins vive ;
langue
sèche à la pointe. Intelligence d'une netteté par
peu abattue : céphalalgie légère; répugnance à parler. Peu d'appétit;
langue
moite, saburrale; ni nausées, ni vomissements; se
agitée. Somnolence interrompue par des soubresauts. — La pointe de la
langue
incline vers la sécheresse. M. 1... s'est levé et
; T. ax. 36°,33. Aggravation. Agitation plus grande. Sécheresse de la
langue
et de la voûte palatine; soif inquiétante ; inapp
ensions. — On n'observe aucune déviation soit de la bouche soit de la
langue
. Membre supérieur droit (paralysé). Au repos, l
T. V. 59°,7. 6 avril. P. 112-116; T. V. 41°. La peau est chaude, la
langue
sèche; ni coliques, ni gârde-robes. — Les sems, v
e de ricin, 50 grammes. 7 avril. P. 92, compté deux fois; T. V. 40.
Langue
humide, à peine saburrale ; appétit. —L'examen de
ré-tion est blanche. Les lochies sont assez abondantes et colorées. —
Langue
humide; ventre indolore; constipation. —Soir: P.
tent d'ailleurs une mobilité fort remarquable dans certains cas. La
langue
reste tantôt rouge, pointue, petite, plus souvent
ait très-pénible, sauf aux gouttières verte* braies, au crâne et à la
langue
. Le malade ne pouvait serrer la main, ce serre-me
e. Pouls à 82, respiration un peu plus fréquente qu'à l'état sain. La
langue
et les dents sont couvertes d'un enduit sec et br
es, visibles surtout à la loupe, et qui lui donnent l'apparence d'une
langue
de chat. La paume de la main offre des callosités
es, mais surtout l'oreille gauche. 26 avril. — Sommeil passable. La
langue
est humide, la soif moins vive; une selle cette n
e la pointe de la fesse gauche. —Soir : P. 80 ; T. V. 58°,7. Appétit;
langue
nette, humide ; une selle quotidienne après lavem
depuis quelques jours. Son faciès est typhique, sa figure stupide, sa
langue
rouge, pointue, ou sèche, dure, ses dents fuligin
lieu, Messieurs, l'absence de paralysie faciale et de déviation de la
langue
, tirée hors de la bouche. Vous savez que ces phén
sence delà paralysie faciale et de la déviation de la bouche et de la
langue
, dans l'hémiplégie hystérique. Il n'en est rien;
HIE Diagnostic des manifestations secondaires de la syphilis sur la
langue
, par le docteur C. Saison, ancien interne des h
rs, qui ont parlé des syphilides, ont décrit la plaque muqueuse de la
langue
, mais le plus souvent, sous celte dénomination va
t compris presque toutes les lésions qui peuvent se manifester sur la
langue
, à cette période de la maladie. Certaines autres
ili-des entre elles et avec les autres affections syphilitiques de la
langue
; enfin il montre comment on peut reconnaître les
eut reconnaître les syphilides des affections non syphilitiques de la
langue
(aphthes, hydroa, zona, mu-guet, plaques des fume
riode secondaire de la syphilis ne se manifeste pas seu-lement sur la
langue
par les plaques muqueuses ; — 2° Outre la syphili
es ; — 3° Dans la plupart des cas, le diagnostic des syphilides de la
langue
peut être fait à l'aide des signes objectifs seul
r dans un même cadre, sous le nom de manifestations dartreuses sur la
langue
, le pityriasis, le lichen et le psoriasis ; — enf
se produise rien d'extraordinaire jusqu'au 25 décembre. Ce jour, la
langue
est mauvaise, les garde-robes sont difficiles, le
réagissent que très-imparfaitement, même sous une vive lumière. La
langue
, couverte d'un enduit jaune épais, est sèche, san
s périodes quelque peu ger-maniques, lorsqu'on songe à tout ce que la
langue
allemande ré-serve de difficultés à un traducteur
t être M. Villemain lui-même. Les membres étaient froids ainsi que la
langue
, la cyanose complète, le pouls petit et très-faib
s douloureuses : pouls à peine sen-sible ; face altérée et cyanosêe ;
langue
pâle et froide ; voix éteinte ; anurie complète.
Le 28 mai, P. 78 ; R. 21; T. R. 57°,7. — Douches en pluie. M juin.
Langue
saburrale; inappétence; aigreurs; selles régu-liè
P. 60; T. R. 58°,5. 5 novembre. Insomnie. Vomissement alimentaire.
Langue
blan-châtre, humide; soif assez vive, mais moindr
Soir : P. 112; T. R. 39°,4. 4 novembre. Sommeil médiocre. Nausées ;
langue
humide, nette. Le ventre augmente de volume (lm,0
8. — Diagnostic des manifestations se-condaires de la syphilis sur la
langue
, par C. Saison (anal. Bourneville), 224. — Traité
arésie des abaisseurs de la mâchoire s'observe souvent; celle de la
langue
, des lèvres et des joues, celle du pharynx et d
es aux jambes. Dans les intoxications, les tractions rythmées de la
langue
peu- vent être d'un grand secours. Mais encore
épendre de malformation* congénitales ou acquises des lèvres, de la
langue
, du voile du palais, du larynx. Des paralysies
(larynx), soit, sur l'articulation (voile du palais, joues, lèvres,
langue
). Il peut donc exister de la dyspnemnie, de la dy
comitants, images 1,'Ilyilo,oscopicluies, déviation du voile, de la
langue
, des commissures labiales, ni sur les symptômes
lièrement intense et la trémùlation des plus vives. Au niveau de la
langue
notamment, l'atrophie devient caractéristique :
tout particulièrement dans la sclérose latérale ann/o/rop/ïK/Me. La
langue
est atteinte la première, puis se prennent les
es 'selon que progressent les troubles parétiques des lèvres, de la
langue
et leur trémulation caractéristique. Le langage s
d'abord avec facilité et netteté : au bout d'un temps variable, sa
langue
s'embarrasse, ses lèvres tremblent; la phrase, au
s, il moins qu'à l'atrophie des lèvres ne s'ajoute l'atrophie de la
langue
, exceptionnelle à vrai dire. 2° Dysarthries d
. [MOUTIER.] 202 LES TROUBLES DE LA PAROLE. ou sans claquement de
langue
et retournement de la tête. La convulsion de la
le [tins souvent d'une fausse manoeuvre ou de l'inexpérience de la
langue
dans la prononciation de la consonne. Il arrive
er des ordres simples : Fermez les yeux. Ouvrez la bouche. Tirez la
langue
. Donnez la main gauche. Levez la main droite. F
ie, s'il lui arrive de prononcer des paroles n'appartenant a aucune
langue
, Jargonaphasie, si sa prononciation des mots (exa
tion (Intoxication par un mot) ? Émet-il des jurons ? Savait-il des
langues
étrangères ? Comment les parle-t-il actuellemen
ns dans son temple, adorer l'Eternel. » Faire répéter des mots dune
langue
étrangère, des assemblages de syllabes vides de
es membres seulement ou aussi de la l'ace ? Ilnel. est l'état de la
langue
? des lèvres ? du voile du palais ? du larynx ?
), ne savent pas cor- rectement ouvrir la bouche, siffler, tirer la
langue
. On pourrait les prendre pour des psellrlo-bulb
endent à s'opposer aux mouvements d'articulation, comme de tenir la
langue
serrée entre les dents, de suspendre leur respira
Pie- rocuini), ils disent alors qu'ils ne sont plus maîtres de leur
langue
, que leurs idées leur échappent, qu'on parle pa
ulenburg, le front, les lèvres, les joues, les tempes et le dos de la
langue
distinguent des différences de 11/40-1/50. La f
se vers les parties latérales du cou, le mediastin et la base de la
langue
. Cette sensation pénible disparaît chez un tiers
x mains le plus souvent, plus rarement les pieds ou la pointe de la
langue
. Cette affection se rencontre surtout chez les
érieure du pavillon de l'oreille, du conduit auditif externe, de la
langue
, des dents inférieures, de la muqueuse de la jo
nt une ligne qui se dirige de la dernière molaire à la pointe de la
langue
, hypersécrétion salivaire) ; névralgie du nerf bu
isolément la paupière du côté hémiplégique (signe de Hevitliod). La
langue
éprouve parfois, mais non constamment, une déviat
n constamment, une déviation; cette déviation amène la pointe de la
langue
, lorsque celle-ci est projetée hors de la bouch
ndant, c'est du côté opposé. La déviation des lèvres et celle de la
langue
peuvent s'observer indépendamment l'un de l'aut
s de la paralysie sur tel ou tel segment de membre, sur la face, la
langue
, etc.; Ions les traités contien- nentdes schéma
oportionnelle a celle de l'hémi- plégie, des troubles du coté de la
langue
et des lèvres, pourrait être un précieux indice
rvé de plus la parti- cipation des muscles de la respiration, de la
langue
et du pharynx, d'où production de difficulté de
eur. Physiologie. Le mylo-lyo'iclicnt élève t'os hyoïde, soulève la
langue
, I applique contre la voûte palatine et joue ai
es mouvements du pavillon de l'oreille sont impossibles. Lorsque la
langue
est tirée, elle parait déviée vers le côté paraly
e la commissure paralysée étant attirée par la commissure saine, la
langue
ne se trouve plus à égale distance des deux com
goût est diminué ou aboli au niveau des deux tiers antérieurs de la
langue
du côté paralysé; ces troubles du goût existent d
n des substances amères se fait dans les parties postérieures de la
langue
. L'hyperacousie douloureuse est fréquente, elle
s souvent, créée par les lésions bulbaires. Quand le malade tire la
langue
, la pointe est déviée du côté de la para- lysie
euré sain. Bahinski a attiré l'attention sur ce fait que lorsque la
langue
est hors de la bouche elle est déviée du côté a
t hors de la bouche elle est déviée du côté atrophié, et lorsque la
langue
est, maintenue dans la cavité buccale elle prés
inski a constaté aussi que, dans certains cas, Itemiatrojrnie de la
langue
n'ame- nait pas de (roubles fonctionnels import
ades dentaires, la salive s'écoule des lèvres. L bemiatrophie de la
langue
dans les cas de lésion unilatérale est très net
uer à la muqueuse du larynx, y compris l'cpiblotte et la base de la
langue
, pour lui donner sa sensibilité. Le nerf larviu
r oculaire externe, du sympathique, associées ou non il celle de la
langue
. Ces syndromes sont bien connus depuis le mémoi
est caractérisé par l'adjonction de la paralysie de la moitié de la
langue
. On dit qu'il est complet lorsqu'il s'associe a
a. C'est l'association de la paralysie d'une corde avec celle de la
langue
, le voile du palais n'étant pas touché. La lési
e quelques mou- vements épileptiformes mais jamais de morsure de la
langue
ni d'incon- tinence d'urine. L'étal syncopa) su
rtrophiés et forment des bandes saillantes en arrière des joues. La
langue
présente une pseudo- hypertrophie assez fréquen
que la 7e paire : muscles mo- teurs de l'oeil, mastica- teurs,
langue
,- voile du palais, pharynx. Pourtant le ptosi
t, présentait en outre une atrophie très notable des muscles- de la
langue
, celui de Reinhold une atrophie légère de la la
muscles- de la langue, celui de Reinhold une atrophie légère de la
langue
, surtout à droite, des troubles de la déglutiti
deux jumeaux myopa- thiques présentant tous deux une atrophie de la
langue
et une forte pa- résie du voile ; l'un d'eux se
ussi on trouve des atrophies diversement localisées, atrophie de la
langue
, des muscles innervés par la branche externe du
a totalité des 4 membres, mais encore aux muscles de la face, de la
langue
, des yeux, etc., avait aussi des signes manifes
.), parfois au niveau des muscles mastica- teurs, des muscles de la
langue
, des muscles oculo-moteurs, etc. ; on ne e les
lade de Bruch, atteint d'hypertro- phie musculaire étendue (lombes,
langue
, extrémités), était un idiot qui fut opéré M mo
vrai, surtout marquées dans les posi- tions extrêmes du regard. La
langue
est animée de tremblements fihril- laires inéga
ents associés. Les yeux sont animés de secousses nystigmiformes, La
langue
est agitée de secousses irrégulières. La parole
U BULBE. et, du côté de celle-ci, se décèle une hémiparalysie de la
langue
, accompagnée d'hémiall'ophie en général prononc
glosso-laryngée. Le malade a la bouche entr'ouverte et pendante. La
langue
flasque, droite ou deviée, demeure collée au pl
es lettres i, r, 1, s, g, k, q, ch, d, t, ne peuvent être formées. La
langue
ne peut faire progresser le bol alimentaire, et
la motilité linguale, de la dysartbric, de l'atrophie marquée de la
langue
. Les lèvres, le men- ton sont atteints. Le faci
alysie glosso-labio-palato-pharyng('.e avec hémia trophiedroitcdela
langue
, une atrophie du faisceau supérieur du trapèze
t saccadé, haché. Il existe une paralysie notable des lèvres, de la
langue
et du voile du palais. Ces paralysies et la trè
notera l'intégrité des mouvements automatiques des lèvres et de la
langue
, sans affaiblissement notoire des muscles. Hémipl
sont atteints les muscles de la face, les extenseurs de la tête, la
langue
, les masticateurs, le larynx, le pharynx, les mus
ne longue conversa- tion sa voix se fatigue, se casse. Parfois la
langue
refuse tout service. En d'autres cas, le début
nt de celles de l'adulte que par l'absence d'aura, de morsure de la
langue
. Un enfant (de 1 à 2 ans par exemple) pâlit sub
lte. Il faudra s'enquérir de ces commémoratifs, de la morsure de la
langue
, de la miction involontaire, et ceci avec le pl
iffèrent que par l'absence de cri initial, d'aura, de morsure de la
langue
, de flexion forcée du pouce, mais encore dans l
acte de se gratter le front, de cligner des yeux ou de se passer la
langue
sur les lèvres, les mouvements coordonnés. Des
insen- sibles il la lumière, le visage est grimaçant et surtout la
langue
est mordue profondément. Les membres raides son
en strabisme, entraînant la pupille en haut. Les dents grincent, la
langue
est déchirée et chaque effort expiratoire proje
nutieusement la scène et n'oubliera pas de constater lui-même si la
langue
a été mordue, si les urines ont été rejetées et s
que limitée à une partie du corps, le cri initial, la morsure de la
langue
, les évacua- tions manqueront quelquefois. Dans
n recherchera s'il n'y a pas eu évacuation d'urine ou morsure de la
langue
pendant la nuit, s'il n'y a pas une ecchymose a
'emblée, avec. quelquefois miction invo- lontaire et morsure de. la
langue
, bientôt suivie d'une phase clonique et de réso
tif apparent, s'accompagne d'incontinence d'urine, de morsure de la
langue
, est suivie d'une longue période, de stertor. Mai
de, de stertor. Mais quelques-uns de ces caractères, morsure' de la
langue
, évacuation invo- lontaire d'urine, peuvent se
u serment, aux doigts dans la maladresse des mouvements, enfin à la
langue
et aux lèvres dès que le malade commence il vou
ZON-1 . '.840 .. - TREMBLEMENTS. on demande au malade de tirer la
langue
on peut voir apparaître un même .tremblement d'
paraître un même .tremblement d'intensité variable : quelquefois la
langue
se déploie avec intensité dans sa totalité d'ar
par Magnan sous le nom de mouvements de trombone; quelquefois la
langue
présente des secousses irrégulières, d'autres foi
: c'est plutôt une agitation au niveau des bras, des jambes, de la
langue
, dans tout le corps, sauf à la tête. Au niveau
e ne participe pas au tremblement. Damaschino fait remarquer que la
langue
, lorsqu'elle reste enfermée dans la cavité hucc
le est tirée hors de la bouche ; mais le malade ne peut projeter sa
langue
hors de sa bouche, si on lui ordonne de la tirer,
donne de la tirer, il entr'ouvre lentement les lèvres et ne sort sa
langue
que par petites secousses successives, il sembl
l'ensemble de ces tremblements de la mâchoire, des lèvres et de la
langue
ne constitue pas un tremblement de la tête prop
et a signalé d'autres cas où le tremblement inté- resse la face, la
langue
cl le maxillaire et en résumé il range en 4 group
mplitude plus grande rendant la marche et l'écriture difficiles, la
langue
est atteinte de trémulations; si l'on demande a
ionnels, il peut occuper les membres, les paupières, les lèvres, la
langue
, il a pour siège de pré- dilection les membres
de Basedow, il est peu marqué au repos; enfin il se reconnaît à la
langue
, aux muscles, à la face où il apparaît surtout
prend une-expression de tristesse et une expression de sourire, la
langue
subit des oscillations continuelles,) ; s rjt
ie, complications digestives, noma à la suite d'ulcé- rations de la
langue
, ou des lèvres, etc. Formes. La chorée peut se
x doigts, c'est-à-dire aux extrémités des membres, aux coudes, à la
langue
et à la face ; elle, siège quelquefois d'un côt
ulés par les mouvements athétosiques des mains, de la bouche, de la
langue
, mais le nystagmus et la démarche cérébelleuse ou
très modifiée, le malade avance les lèvres ouvre la bouche, tire la
langue
, raidit le front et quelquefois brusquement il
ole est très modifiée par le fait des mouvements athétosiques de la
langue
, des lèvres et du pharynx, la parole est lente et
des tics du voile du palais (muscles périslaphylins). Tics de la
langue
, rarement isolés : tic de projection en avant ou
endant la parole ou le silence, (le de léchage, tic du chiqueur (la
langue
fait bomber la joue) : ce sont des tics par irrit
QUES. mastication, de déglutition, de phonation, de respiration. La
langue
par- ticipe aux tics phonatoires et respiratoir
r large- ment la bouche pour exécuter certains mouvements, tirer la
langue
, montrer la gorge, ou simplement pour chanter (
paule, parfois du bras, du tronc, plus rarement de la face et de la
langue
. Le tic est clo- nique ou Ionique, soit que les
s de 1'(iccoîîiî ? 'Io- dation; ... Crampes professionnelles delà
langue
chez des joueurs d'instrument à vent (Strümpell
incies; la peau est flasque, hypotonique; la moitié du cou et de la
langue
participent à la réduction de volume. Enfin, on
leurs lombaires plus marquées d'un côté, inappétence, soif intense,
langue
sèche, tout le cortège, en un lll01, de l'intox
s accès né- vralgiques sont généralisés aux piliers, au voile, à la
langue
, aux gen- cives, etc.. ils amènent en se répéta
a seule muqueuse génienne ou gingivale, mais intéresse également la
langue
. Les principaux facteurs olo ? (ILies sont l'hy
ont fréquentes, ainsi que la stase alimentaire dans le vestibule.
Langue
. La langue joue un rôle exceptionnel dans la sémi
tes, ainsi que la stase alimentaire dans le vestibule. Langue. La
langue
joue un rôle exceptionnel dans la sémiologie ne
u'elle peut présenter. Aspect. Le simple examen de la surface de la
langue
est impor- tant. Les accidents syphilitiques, r
on générale chez les surmenés, les débilités, les convalescents, la
langue
est souvent saburrale, aplatie, et l'empreinte
cer l'alimentation est fréquem- ment la seule façon de nettoyer une
langue
de la saburre accumulée. Chez le mélancolique,
ttoyer une langue de la saburre accumulée. Chez le mélancolique, la
langue
est extrêmement chargée, et cet état est d'auta
sion est elle-même pins profonde. Chez les excités au contraire, la
langue
est normale. Troubles de la sensibilité. Les un
la sensibilité géné- raie, les autres la sensibilité spéciale de la
langue
. L'anesthésie est généralement une béntianestbé
réparer le traumatisme. Quand un malade se plaint de souffrir de la
langue
, ou bien l'on con- state quelque carie dentaire
uleur est paroxystique. Pendant l'accès, le malade ne peut tirer la
langue
; la parole et la mastication sont également imp
tout se borne à une gêne, il une pesanteur tiraillant la base de la
langue
, et Il' malade affolé se croit atteint d'une ul
largyngé supérieur, et le glosso-pharyngien innervent la base de la
langue
, siège plus particulier des sensations d'amertu
ues, etc. Le tremblement est rarement localisé à un seul côté de la
langue
. On observe en ce cas des secousses fibrillaire
ement d'ensemble, mais se laissent apprécier seu- lement lorsque la
langue
est tirée hors de la bouche (paralysie générale,
BLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. Dans la paralysie générale, la
langue
exécute des mouvements désor- donnés, propulsio
sions et retours violents (mouvements de trombone). Au contraire la
langue
dans la sclérose en plaques ne montre que de faib
blement sénile l'aspect est tout à fait caractéristique : lèvres et
langue
sont animés de mouvements d'ensemble, le malade m
emble, le malade mar- motte sans cesse. Enfin, le tremblement de la
langue
peut, chez un épi- leptique, marquer le début d
ccès, comme il peut se produire il sa suite. Les paralysies de la
langue
sont uni- ou bilatérales. Ces paralysies généra
ues et s'accompagner ou non d'atrophie. La paralysie totale de la
langue
sans atrophie se voit chaque fois que la lésion
yngée; les malades qui en sont atteints, les yjse/o-MaM'es, ont une
langue
parésiée. quelquefois immobile, collée au planc
Ü l'autre. D'autres accidents bulbaires évoluent plus lentement. La
langue
est flasque, aplatie sur le plancher buccal; la
actéristique de la paralysie bulbaire progressive de Duchesne. La
langue
bulbaire atrophiée, vallonnée, agitée de secousse
exagération des réflexes tendineux. Dans la maladie de Charcot, la
langue
peut être pendant quelque temps librement propuls
ment immobile. Signalons que l'on a attribué il de la parésie de la
langue
les troubles constants de la paralysie générale
quelquefois de la para- lysie avec atrophie. Les paralysies de la
langue
n'atteignant qu'un côté de l'organe peuvent dép
tous ces cas une atrophie peu marquée se décèle en saisissant la
langue
entre les doigts. On sent le côté atteint se durc
rissement, dans les lésions corticales et protub(;1'(l/Ilielles. La
langue
est flasque, au début du moins, sans contractions
nce diffici- lement les mots il syllabes nombreuses, exigeant de la
langue
une asso- ciation de mouvements complexes. Cett
out lors d'une conversation rapide, d'une émotion. En même temps la
langue
paraît au malade, lourde et pesante, et présente
paralysie générale et la syphilis des rentres. Dans Ions ces cas la
langue
est déviée ou mieux poussée du l'été paralysé p
82 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. l'atrophie est lent, la
langue
prend l'aspect d'un croissant dont le petit côt
ire s'accompagne, quand elle est périuhe- rique, de déviation de la
langue
du côté sain par prédominance du stylo- glosse
tant les commissures labiales, l'erreur liée à l'entraînement de la
langue
par la commissure paralysée, car cette déviatio
cette déviation réelle due au stylo-glosse n'est pas constante. La
langue
peut être déviée du côté malade : on est en droit
uzième paire. Dans le syndrome protubérantiel de Milhird-Gubler, la
langue
peut, selon les cas, être déviée du côté de la
gie linguale peut être modifiée encore par des cOl/fl'w'- tures. La
langue
est toujours déviée du côté où agit le spasme. Ce
rement observé chez les tabétiques (Brissaud et Pierre Marie). La
langue
peut encore éprouver des secousses non plus toniq
de la bouche et fréquemment mordue (épilepsie), la convulsion de la
langue
pouvant être un symptôme isolé, tantôt elle exé
ée plus haut en même temps que les paralysies. L'hypertrophie de la
langue
peut porter sur une de ses moitiés ou sur sa to
re des dents éversées par sa pression constante s'appuie une énorme
langue
cylin- droïde. On a signalé encore l'accroiss
e langue cylin- droïde. On a signalé encore l'accroissement de la
langue
dans la paralysie pseudo-hype1'/rophique. Cet a
fréquemment des troubles du fond de l'oeil. Enfin, lorsqu'avec une
langue
violacée, saillante, on constatera des trou- bl
du patient, on aperçoit un voile immobile, flasque, (rainant sur la
langue
. La titillation continue de la luette provoque
en, les deux palato-staphylins sont pris, et la luette tombe sur la
langue
. . - : le voile du palais est abaissé en masse
s inférieures de diverses causes. (Voir plus haut : Paralysie de la
langue
.) La paralysie du voile d'origine bulbaire peut
une sensation de strangulation subjective. Le voile du palais et la
langue
peuvent, en cas de contracture pharyngienne, pré-
ge et de vomissements alimentaires. Il n'y a pas d'incontinence, la
langue
est bonne; mais le malade se plaint d'une cépha
limenterait jamais plus, car il a perdu la sensation de la faim. La
langue
reste bonne; on peut se demander s'il ne s'agit
r des digestions, un degré de ptôse ou de dilatation variables, une
langue
extrêmement saburrale. Ces neurasthéniques sont
L'excès de développement de la tète (faciès acromégalique), de la
langue
, des pieds, la céphalée, l'aménorrhée, la cyphose
s de la syringomyélie, l'absence d'hypertrophie de la face et de la
langue
, distinguent en tout cas la chiromégalie de l'acr
ataires sont proéminents, le liez est gros, les lèvres épaisses, la
langue
énorme, et le menton de galoche accuse par son
remar- rluallle par sa persistance indéfinie. Le. nez est camus, la
langue
énorme, Les lèvres sont, grosses, les dents mau
ales : tubercules, saillies papillaires (M"le Cornclia de Lauze).
Langue
asymétrique, énorme, petite. bifide, fissurée, de
rique, énorme, petite. bifide, fissurée, de motilité anor- male. La
langue
peut parfois se loger presque complètement dans l
'inégales dimensions d'un blanc laiteux occupant la muqueuse de. la
langue
, la muqueuse delà face interne des joues au niv
l'avantage de donner des formules uniformes, malgré la diversité des
langues
. Malheureusement, cette proposition n'a pas pré
de rythmer les excitations dans ce dernier cas. Paralysies de la
langue
. A ces paralysies on peut appliquer la même dir
égion sus-hyoï- dienne. Les applications portées directement sur la
langue
sont égale- ment possibles. Affections à proc
indiquée pour les paralysies du voile du palais, du larynx et de la
langue
. On ne peut guère compter sur son efficacité, pas
, 687. Landry (Syndrome de ). 505. Langage oral. Yoy, Parole.
Langue
. Examen, on. - Troubles de la sensibilité, 978.
eslives supérieures. Examen de la bouche, des dents, 97î(i. - de la
langue
, 977. - du voile du palais, 985. du pharynx,
du Congrès des Aliénistes et Neurologistes de France et des Pays de
langue
française. ABONNEMENT ANNUEL : Paris et Dépar
Bouche d'habitude légère- ment entr'ouverte, lèvres assez épaisses.
Langue
, amygdales, palais, rien à noter. Luette courte
deux jumeaux. DESCRIPTION DE la malade. 35 étaient retournés, la
langue
relevée contre le palais. La ma- lade criait au
ont comme pour en chasser quelque chose. - Elle tétait souvent sa
langue
. - Grincements de dents à partir de leur appariti
viation. - Les dents sont assez bien plantées ; pas de stries. - La
langue
est normale. Les amygdales sont un peu grosses.
gOlll1ées)lipomateuses ; lèvres volumineuses; bouche entr'ouverte ;
langue
hypertrophiée dans tous lés sens, faisant Idiot
fle intense au premier temps à la base; cyanose des lèvres, de la
langue
, des mains, des pieds. - Respiration toujours gên
euse du reste du corps et le gonflement pachydermique a diminué. La
langue
, qui pendait en avant des arcades den- taires,
ment, plaintes, pleurs, déglutition difficile, bouche close ; la
langue
ne sort plus; la face est moins bouffie, la color
froide. Plaques d'alopécie. - Fontanelle antérieure non oblitérée.
Langue
énorme. Nez très aplati et camard. - Impossibil
-même. Modifications du côté de la peau, diminution du volume de la
langue
. - Développement rapide du système dentaire. -A
es crises de nerfs qui reviennent toujours la nuit. Elle se mord la
langue
. (Ce n'est pas du tout le genre de mes crises,
ant les deux incisives supérieures sont un peu ap- parentes. La
langue
est épaisse et large, et cela depuis la nais-
l'ouverture buccale cons- tamment ouverte pour laisser passer la
langue
. La dentition est incom- plète. En haut, quat
- Le maxillaire infé- rieur reste en arrière du su- périeur. La
langue
, énorme, sort au- dehors entre les arcades den-
s dimensions (Fig. 11). Sa pointe est arron- die. Le volume de la
langue
ne permet pas de voir le fond de la gorge ; m
hose et sourit : la bouche est tou- jours ouverte laissant voir une
langue
épaisse que l'enfant commence il. allonger quan
mômes changements et paraissent également moins oedéma- teux. La
langue
ne tend plus à pendre en avant des arcades dent
les la respiration est interrompue, par suite de cette bascule delà
langue
. Enfin l'en- fant parait fort agitée durant la
, la coloration rougeâtre de ses mains a tout-il-fait disparu. La
langue
est rentrée dans la bouche qui parait maintenant
ts balancements antéro-postérieurs, il avait l'habitude de têter sa
langue
et de baver. Malgré cela, prétend-on, il compre
cs. Bouche moyenne. Rien de par- ticulier à la voûte palatine, à la
langue
, ni à la muqueuse buc- cale. Menton petit et ro
es et prédo. minaient à droite ; pas d'écume, pas cle morsure de la
langue
, pas d'évacuations involontaires. A la fin, ste
ée que la gauches On ne peut obtenir de 1)... qu'il fasse sortir la
langue
et c'est à peine si on peut lui arracher quelqu
imen- sion moyenne. Le palais est normal, le voile régulier. - La
langue
est épaisse et peu large. Les amygdales sont nor-
gauche. - La face est pâle et le regard égaré. Quand I'... tire la
langue
celle-ci tremble beaucoup. Aucune réaction fébr
onne, répond par monosyllabes aux questions qu'on lui pose, tire la
langue
, rit, déchire tout ce qu'elle a sous la main.
blemont, les pupilles se dilatent, la droite plus que la gauche, la
langue
tremble ; on note des périodes d'excitation ; l
ue, cet enfant n'avait que deux ou trois dents. Il avait une grosse
langue
et sa physionomie offrait l'aspect hébété qui c
que la grand'mère se serait aperçue de quelques différences : la
langue
s'est épaissie et sortait de la bouche, paraît-il
ée. La bouche me- sure 4 cent. 1/2 et est toujours entr'ouverte. La
langue
est épaisse et fait une saillie prononcée au [¡
atine affaissée, ne présentant pas l'excavation centrale nor- male.
Langue
très volumineuse, remplissant toute la cavité b
l'absence actuelle d'autres dents laté- rales. La disposition de la
langue
et son volume semblent devoir amener un rejet e
fermée. Bave presque nulle. Lorsque B... dort elle est calme et la
langue
est complètement rentrée dans la bouche qui dem
nt souvent fixes. Le cuir chevelu est réenvahi par les croûtes ; la
langue
s'est épaissie, est vio- lacée et tend à sortir
s diarrhéiques. La phy- sionomie s'est modifiée avantageusement. La
langue
est moins volumineuse. L'infiltration graisseus
l'i. ;1.- IL., en décembre 1891;. MÉDICATION THYROÏDIENNE. -159
langue
, des lèvres, des paupières ; - disparition de l
tandis qu'ac- tuellement le palais a pris sa voussure normale. La
langue
qui, d'un volume énorme, pendait constamment ho
ct naturel, plutôt grosse; la peau n'était ni jaune ni bouffie ; la
langue
n'était pas épaissie. Au bout de quatre jours,
habituelle- ment eHt)''OMue)'te ! aissant apercevoir la pointe delà
langue
. Les joues sont grosses, épaisses, lipomateuses
- La voûte palatine n'est pas profonde ; elle est large, ogivale. -
Langue
hyper- trophiée (Fig. 32.) Cou très court : l
ses camarades, ni crié, ni remué, ni écumé. Il n'avait pas mordu sa
langue
, il n'avait pas uriné sous lui. Quand il a repr
gaux et normaux des deux côtés. Lorsqu'on dit au malade de tirer la
langue
, il ne peut la sortir de sa bouche : elle tremb
caractère des paralysies hystériques : la face est res- pectée ; la
langue
déviée à gauche et contracturée en crochet relève
aut mal ». Il n'avait . pas uriné sous lui, ne s'était pas mordu la
langue
, mais ses vêtements, sa chemise étaient déchiré
ser quelque chose. La parole n'est pas embarrassée actuellement. La
langue
est large, étalée, sans tremblement. Elle était
affecté dès le début le type hystérique : absence de morsures de la
langue
et de miction involontaire, mais par contre conto
; plusieurs fois il a uriné sous lui, mais ne s'est jamais mordu la
langue
ni les lèvres ; il reste ensuite courbaturé. La p
tion d'amplitude que l'on rencontre dans la sclérose en plaques. La
langue
est tremblante; elle paraît au malade raidie, c
ns doute mais qui fait dévier les jambes de la direction voulue. La
langue
est tremblante. 2° L'hémiplégie est très nette
ises s'accompa- gnaient de perte de connaissance, de morsures de la
langue
et de miction . involontaire. L'accès passé, el
ition. C'est un tremblement général de tout le membre supérieur. La
langue
est agitée d'un tremblement continuel qui s'acc
rps, ni aucun trouble des sens spéciaux. Les muscles de l'oeil, de la
langue
, de la bouche, sont normaux; les organes thorac
u une mise en action des muscles, l'émotivité, la trémulation de la
langue
; et, dans les commémoratifs, la céphalalgie, les
x jambes. Depuis peu de temps, on s'est aperçu, en faisant tirer la
langue
, qu'elle était agitée d'une trémulation légère.
est pris subitement, sans cause appréciable, d'une paralysie de la
langue
, puis d'un état léthargique, durant lequel il ent
paupières sont ani- mées de battements fréquents. Quand il tire la
langue
hors de la bouche, elle tremble et se dévie for
ques de la sclérose en plaques : facies spécial, mémoire affaiblie,
langue
tremblante, parole lente et traînante, tremblem
'hôpital ne conservant qu'un léger tremble- ment des mains et de la
langue
. L'évolution seule juge la nature de la maladie
t dans son pantalon. Il ne se rappelle ' pas s'être jamais mordu la
langue
. Les crises étaient accompagnées d'une perte ab
s'exécutent parfaitement bien. Il n'y a pas de trace d'atrophie de la
langue
, qui se meut bien en avant, en bas et latéralem
ut pas du tout en relever la pointe, ni la creuser en gouttière. La
langue
reste immobile quand' elle est au dehors, sans
ntacts. Rien à noter du côté du front, des joues, des lèvres, de la
langue
, au point de vue musculaire. Signalons seulement.
é dans l'articulation des mots. Pas de secousses fibrillaires de la
langue
. Réflexe massétcrin conservé. Voici le résultat
z : z Anesthésie du voile et du pharynx, ainsi que de la base de la
langue
. Réflexes très peu prononcés. Sensibilité du la
Anesthésie pharyngée absolue. Anesthésie de la moitié droite de la
langue
, de la narine et de la conjontive droites. Diminu
ensibilités spéciales. Goût aboli dans toute la moitié droite de la
langue
, aussi. loin qu'on porte les substances sapides;
ue, et dans ce cas communiquant entre nous tout bas, à l'aide de la
langue
allemande, inconnue à nos trois ma- lades. Le
re. En ce qui concerne le goût, du sirop de groseilles placé sur la
langue
provoque un sourire, puis le geste d'envoyer un
es donnent des résultats non moins intéres- r sarits.'On humecte la
langue
avec quelques gouttes de sirop de gro- - seille
rendus très difficiles et souvent même impossibles (fig. 26). La
langue
tremble aussi quelquefois. Il en était ainsi chez
la tête oscille dans le sens antéro- postérieur ou transversal, la
langue
participe ou non au tremblement, ce tremblement
é gauche est plus profond, plus accusé que celui du côté opposé. La
langue
est tirée droite et se meut librement dans tous l
un bel exemple de tremblement rémittent-intentionnel portant sur la
langue
et les quatre membres. OBs. V (Cette observatio
itus horizontal.) 124 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. La
langue
est le siège de nombreuses secousses antéro-posté
nt étaient prononcées les secousses musculaires de la bouche, de la
langue
et des mâchoires. Le malade craignant beaucoup qu
trouble de la déglutition, pas de nasonnement, pas d'atrophie de la
langue
. La tête est légèrement penchée en avant, à cau
nce. Elle n'avait pas uriné sous elle; elle ne s'était pas mordu la
langue
. Depuis cet incident, il lui arrive fréquemment
réguliers. Il n'y a aucune apparence de spasme ni de paralysie. La
langue
est tirée droite et se meut dans tous les sens
it. Le goût est complètement aboli sur toute la moitié droite de la
langue
. Pas de troubles oculaires. Zone hystérogène.
visuel de l'oeil droit; 3° le goût est aboli sur le côté droit de la
langue
; l'odo- rat est affaibli de ce côté. La malade
e ignora si elle a eu des convulsions. Elle ne s'était pas mordu la
langue
, elle n'avait pas uriné dans son lit. Elle se t
. Le membre supérieur gauche, les membres infé- rieurs, la face, la
langue
ne présentent aucun trouble de la motililé. Il
e-même; il s'agit des mouvements passifs, communiqués. Les yeux, la
langue
, la face, ne tremblent pas non plus. Le trembleme
tendineux sont normaux. Face. La motilité des yeux est intacte. La
langue
est tirée droite. Les plis du front, les paupiè
infé- rieure qui s'était développée ensuite : atrophie légère de la
langue
, paralysie des muscles du voile du palais et du
roupes des membres supérieurs et inférieurs. Pas de paralysie dc la
langue
. Pas d'atrophie. Pas de troubles de la sensibilit
rofonds. Il existait une atrophie notable de la moitié gauche de la
langue
, un embarras de la parole, de la parésie du voi
lomoteur et du trochléaire. Mouvements alaxiques de la pointe de la
langue
, tremblement des extrémités supérieures, absenc
olonne vertébrale donne le même résultat. Tous les mouvements de la
langue
sont possibles. On ne remarque rien d'anormal dan
tre l'existence du pro- gnathisme artificiel dû à la pression de la
langue
sur les incisives (Hamy); ce fait est très fréq
e de l'oeil. Nez. Bouche : lèvres, voûte palatine, voile du palais,
langue
, système dentaire. C. Organes des sens. Messieu
xamen des lèvres, de la voûte palatine et du voile du palais, de la
langue
, des mâchoires, des dents. Pour les lèvres, v
MEN MORPHOLOGIQUE CHEZ LES ALIÉNÉS ET LES IDIOTS. 289 Du côté de la
langue
, outre les déviations paralytiques, le tremble-
étés, elle a des attaques de nerfs, dans lesquelles elle se mord la
langue
, écume, s'agite, crie et s'arrache les cheveux.
elle perdait connaissance, se tordait et écumait, sans se mordre la
langue
ni uriner sous elle. Depuis l'âge de quinze ans,
e débattrait pas, mais pousserait des cris ; elle ne se mord pas la
langue
, elle aurait quelquefois uriné sous elle. Ces cri
is avec de profondes lacunes morales. Il parle couramment plusieurs
langues
, a publié en Angle- terre un volume de poésies,
, inocclusion de la paupière, etc. (Pl. XXXVII). ' D'autre part, la
langue
, lorsqu'on dit au petit malade de la sortir, ne p
ie, puisque autrefois, raconte la mère, l'enfant pouvait mouvoir sa
langue
comme tous les enfants, mastiquer et avaler d'u
tion et de la déglutition ainsi que par l'impossibilité de tirer la
langue
hors de la bouche. Du reste, cette paralysie n'
ssibilité d'articuler les mots, ainsi que par la peine à mouvoir la
langue
; dans la pluralité des cas, les observations ne p
E DE LA SALPÊTRIÈRE. prévenue. Dans cette crise elle s'est mordu la
langue
et a uriné sous elle; le matin, au réveil, elle
pleurs. Celte attaque dura vingt minutes ; elle ne se mordit point la
langue
; elle n'urina pas sous elle. Jamais, dit-elle,
'épilepsie analogues à ceux du début (absence d'aura, morsure de la
langue
, incontinence d'urine, stertor et courbature). Ve
se est finie. Elle ne perd pas connaissance, elle ne se mord pas la
langue
, elle n'urine pas sous elle. Le lendemain elle es
mais en vain à cause de la raideur. Pas de cris, pas de morsure de
langue
ni de miction involontaire. Dans la journée, elle
e du même côté droit (cette asymétrie se retrouve sur le tronc). La
langue
est un peu tirée à droite, la commissure droite
chute, il ne s'est pas fait de trauma- tisme, ne s'est pas mordu la
langue
, et les spectateurs lui on dit qu'il n'avait pa
la face (frontaux, orbiculaircs des paupières, masticateurs); ni la
langue
, ni le voile du palais ne présentent d'atrophie
s durant deux ou trois minutes, dans lesquels il faisait claquer sa
langue
et ses lèvres, fermait et ouvrait alternativement
f que l'hélix est peu accentué. Iris droit plus brun que le gauche.
Langue
plus mince dans la moitié droite. Le système pi
r lui-même, qui était d'origine étrangère et très peu versé dans la
langue
française. Peut-être éuanc-t-il d'Antoine, le v
cas d'hémiplégie où les muscles inférieurs de la face et ceux de la
langue
sont fortement lésés. Parfois cette parésie peu
commissures buccales sont placées sur le même plan horizontal : la
langue
est déviée à droite; le malade peut siffler. La
r. La joue gauche est flasque, la commissure gauche abaissée ; la
langue
n'est pas déviée, le malade ne peut pas siffler.
che. Le malade est d'ailleurs dans l'im- possibilité de siffler. La
langue
n'est pas déviée. Les rides du front sont sembl
missure gauche est plus tirée que la droite. Pas de déviation de la
langue
. Donc très légère atteinte du facial inférieur.
viation ne se décou- vre que quand la malade parle. La pointe de la
langue
se dévie légèrement à droite. Le facial supérie
ssure gauche est abaissée, le sillon naso-génien moins accentué, la
langue
se dévie à gauche. Les rides du front sont égal
gie gauche, état subcomateux. Le facial inférieur est paralysé ; la
langue
est déviée à gauche; le pli naso-génien gauche
d la malade parle, la joue droite est soulevée par l'air expiré; la
langue
est déviée vers le côté droit. Les deux sourcils
irée à droite, le pli naso-génien est plus marqué du côté droit; la
langue
est déviée à gauche. Pas de troubles de la dégl
ccale droite est abaissée; le pli naso-génien est moins profond; la
langue
est déviée à droite ; la malade a d'ailleurs de
re buccale gauche est abaissée ; le pli naso-génien est effacé ; la
langue
est déviée à gauche. Le facial supérieur est ég
malade est dans l'impossibilité de siffler. Légère déviation de la
langue
à droite. Le facial supérieur est pris. Les rides
le gauche est abaissée ; la joue gauche est tombante et flasque; la
langue
est déviée à gauche; le malade ne peut siffler.
les commis- sures buccales sont sensiblement à la même hauteur ; la
langue
est très légèrement déviée à gauche. Les rides
gauche est plus tombante que la droite et sur un plan inférieur. La
langue
est très légèrement déviée à gauche. Le malade
ue et tombante. Le pli naso-génien gauche est abaissé et etiacé. La
langue
est déviée à gauche; le malade peut siffler. Les
is abaissé; la commissure buccale droite est légèrement déviée ; la
langue
est déviée à droite. Le malade ne peut siffler.
le pli naso-génien est abaissé, mais plus profond qu'à droite ; la
langue
est déviée à droite, le malade ne peut siffler.
et très peu marqué ; la commissure buccale gauche est abaissée; la
langue
est déviée à gauche. Le malade ne peut siffler;
t abaissé et effacé ; la commissure buccale droite est abaissée; la
langue
est légalement déviée à droite ; le malade ne p
e la partie inférieure de la face semble attirée vers la droite. La
langue
est déviée du côté gauche. Le voile du palais e
rétro- cédé ; mais le facial inférieur était nettement paralysé, la
langue
était déviée. La motilité des muscles des sourc
epsie avec hyperchlorhydrie ; un enduit sa- bural épais recouvre la
langue
; il existe de la flatulence, de la constipatio
isseurs aux membres supé- rieurs normaux. Pas de tremblements de la
langue
. La parole est normale. La sensibilité cutané
xe pharyngien est diminué. On observe des légers tremblements de la
langue
. La parole, quoique traînante et paresseuse, n'
de la tête, nous observons de même des mouvements continuels de la
langue
, comme s'il était à goûter quelque chose. La se
ère et à l'accommodation. La malade distingue bien les couleurs. La
langue
offre des légers tremblements. La parole est cl
dilua- tées, réagissent bien à la lumière et à l'accommodation. La
langue
n'offre pas de tremblements. La sensibilité gén
tées, égales, réagissent bien à la lumière et à l'accommodation. La
langue
offre des légers tremble- ments. La parole norm
existe pas de troubles moteurs dans les muscles de la face et de la
langue
. 44 if PATHOLOGIE MENTALE. La parole est bo
n est diminué. Il n'existe pas de trem- blements fibrillaires de la
langue
et des lèvres. La parole est nor- male. Il n'y
e réflexe rotulien sont normaux; elle n'a pas de tremblements de la
langue
ou des lèvres, mais elle présente de légers tre
efuse les aliments. Le sommeil est bon. Pas de tremble- ments de la
langue
, des lèvres et des doigts. Examen psychique. La
flexe pharyngien, ni si la malade présente des tremble- ments de la
langue
et des doigts, la malade s'opposant à cet exame
berg, signe de Biernacki, etc., absents). Légers tremblements de la
langue
et des doigts. La parole courante et normale. La
itation avec incohérence ; extension de la chorée à la face et à la
langue
s'exagérant pendant les mouvements et cessant pen
che uu peu dilatée; elles réa- gissent bien. Des tremblements de la
langue
. Les réflexes des fléchisseurs et extenseurs de
s du bleu. L'odorat et le goût sont normaux. Des tremblements de la
langue
, laquelle garde les impressions dentaires. Des
pupilles égales réagissent bien. Il n'y a pas de tremblements de la
langue
, des lèvres ni des doigts. Le réflexe pharyngien
des extenseurs un peu augmentés. Il n'y a pas de tremblements de la
langue
, des lèvres ni des doigts. Il y a tendance aux
verses nuances des couleurs. L'odorat et le goût sont conservés. La
langue
offre de légers tremblements et garde les impre
irectement et par asso- ciation. Il n'y a pas de tremblements de la
langue
ni des lèvres. Le réflexe pharyngien conservé.
du pour certaines odeurs, excepté l'élher. Des tremblements de la
langue
, qui'garde les impressions den- taires, elle es
ormale pour la température. Elle n'offre pas des tremblements de la
langue
, des lèvres ni des doigts. Le goût est perverti
. Le réflexe pharyngien est conservé. Il y a des tremblements de la
langue
, moins des lèvres. La contraction idéo-musculai
Le goût et l'odorat sont conservés mais notablement affaiblis. La
langue
présente de légers tremblements et garde les impr
l, le réflexe plantaire diminué. Il n'y a pas de tremblements de la
langue
ni des doigts. La sensibilité gé- nérale est di
ormal. Le goût paraît un peu diminué. Il y a des tremblements de la
langue
et des doigts. Le réflexe pharyngien est conser
reconnaît les couleurs et leurs nuances. Peu de tremblements de la
langue
, mais plus manifestes aux doigts. Le goût et l'
e goût et l'olfac- tion normaux. Quelques légers tremblements de la
langue
et des doigts. Le signe de Biernacki existe à d
convulsives. La partie inférieure de la face était touchée et la
langue
déviée sur la droite. Pupilles égales, névrite op
près les injections de pilocarpine, déviation de la luette et de la
langue
, déviation du globe oculaire en haut et en deho
quant du côté des mains et de l'écriture, du côté des lèvres, de la
langue
et de la. parole, des phénomènes ataxiformes qu
e degré de la parésie du voile du palais et l'affaiblissement de la
langue
. Léger rétrécissement concentrique du champ vis
eurs, sauf un léger affaiblissement des muscles masticateurs, de la
langue
et une légère parésie du voile du palais. Exagé
un abcès, etc., survenu dans le jeune âge (de deux à douze ans). La
langue
est toujours intacte. R. C. LVI. Énorme noevu
s : lève les jambes en l'air, montre le poing, crache, rit, tira la
langue
, grimace, secoue la tête dans tous les sens, se r
llucinations pénibles. La peau est chaude, le visage vultueux, la
langue
blanche mais humide, les lèvres sèches, fendill
6 mai, est tombée à la normale, s'y maintient; le pouls est bon, la
langue
humide et rosée, le faciès plus reposé ; il n'y
ns de délire, a pu, entre autres choses, apprendre et retenir une
langue
étrangère. En ce qui concerne le délire des nég
sl-ïl-dire dans les cordes vocales, les muscles des lèvres et de la
langue
. Ces contractions peuvent atteindre les organes
que donne les résultats suivants : les mouve- ments vulgaires de la
langue
et des lèvres sont conservés; P... peut diriger
res de la langue et des lèvres sont conservés; P... peut diriger la
langue
dans tous les sens, la porter à droite, à gauch
de à ramener les aliments sous les arcades dentaires au moyen de la
langue
, bien que les mouvements de cet organe ne fusse
e. Le malade ne pouvait pas parler, ce qui lui a fait croire que sa
langue
était paralysée; à cette idée s'est associée in
tôt subconsciemment, l'idée qu'il ne pouvait pas non plus remuer la
langue
pour ramener les aliments sous les arcades dent
urtout par cet autre fait que la déglutition, acte dans lequel la
langue
joue un rôle aussi important que dans la masticat
t de la paralysie pseudo-bulbaire de Rrissaud, avec paralysie de la
langue
, parésie du voile du palais, troubles de la respi
s, présente une abolition totale des mouvements phonétiques de la
langue
et divers troubles trophiques. La troisième pré
ente rapidement en surface et en profondeur ; les os sont mis à nu;
langue
dépouillée, rouge vif; vomissements fréquents,
départements, qui n'y aient envoyé des malades; la di- versité des
langues
qu'on y entend parler prouve en outre que tous
abouche ne présente qu'une légère déviation vers la gauche, mais la
langue
est tournée vers la' droite à un tel degré que la
le et le vendredi, Il janvier, il peut parler correctement, mais la
langue
est encore très épaisse; il présente en outre u
et la jambe droits sont raides, comme dans la première attaque; la
langue
déviée à droite au même degré est projetée hors
roite est contracturée dans l'extension, le pied tourné en dedans; la
langue
aussi déviée à droite que dans les attaques pré
lus contrac- tuable que le côté gauche. Lorsqu'on lui fait tirer la
langue
, on remarque que celle-ci est toujours et const
nante, scandée et un peu nasonnée,. Tremblement très prononcé de la
langue
lorsque celle-ci est tirée hors de la bouche. D
ré ; on dut, pour ainsi dire, lui apprendre de nouveau à parler. La
langue
n'était pas paralysée. C'est de cette époque que
un verre à sa bouche sans renverser une partie de son contenu. La
langue
tirée au dehors est agitée par de légers mouvemen
accadée, les phrases sont hachées ; pourtant les mou- vements de la
langue
s'effectuent normalement. Toutefois, lorsqu'on la
n saccadée peut être rapprochée du tremblement des membres et de la
langue
, que quelques-uns présentent d'une façon consta
i que le menton se trouvent violemment tirés sur le côté. Enfin, la
langue
sortie de la bouche est déviée, la pointe dirig
Gorgone des Grecs et du dieu Bès des Égyptiens. La saillie de la
langue
vient compléter la ressemblance, mais alors, co
i qu'on voit un des diables des tours Notre-Dame de Paris tirer une
langue
droite et pointue (fig. 38). Un des diables fan
l'éternelle chaudière, laisse pendre hors de sa bouche une grosse
langue
. Des monstres de chapitaux romains figurés dans l
ans l'Abécédaire d'archéologie de A. de Caumont tirent également la
langue
toute droite. C'est aussi ce qu'on peut voir su
n chapiteau à Semur (fig. 40). Au moyen âge, cette protrusion de la
langue
devient un signe de moquerie, ou bien, comme on
e) de l'église de Saint-Mullion en Cornouailles tire tout droit une
langue
effilée dont la pointe se relève en haut. Elle
a, en effet, qu'en outre de cette manière bien spéciale de tirer la
langue
, la face est complètement tournée de côté, comm
Nous connaissons bien peu de figures grotesques dans lesquelles la
langue
est tirée de côté. On peut en trouver cependant u
résente une déformation analogue des traits, moins la saillie de la
langue
. Cette figure provient de la collection Campana
chez le Mascaron grotesque, parce que l'absence de la saillie de la
langue
enlève un signe d'une importance décisive , le
l de tête qui dure le reste de la journée. Il ne s'est pas mordu la
langue
, n'a pas uriné; il ne se souvient de rien. Il
olu, ces mouvements font absolument défaut. Si on lui fait tirer la
langue
, on voit que ces « petites secousses » se répèt
intensité d'autant plus grande qu'on fait tirer plus violemment la
langue
. Celle-ci s'allonge, se raccourcit; des échan-
êlent et se répètent d'une façon quasi inextricable. Par contre, la
langue
ne présente pas, ou présente à peine de vrais mou
ues crampes cependant, dont j'ai été témoin. Les mouvements de la
langue
sont possibles dans tous les sens, et cet organ
RE. la parole. Nous avons déjà parlé des mouvements spontanés de la
langue
. La parole est modifiée manifestement, et cette
à droite au moment de la chute, et a pâli. Il ne s'est pas mordu la
langue
, n'a pas uriné. Sitôt après l'accès, on le ' BA
pour la main droite, 25 pour la gauche. Il ne se rappelle rien. Sa
langue
est encore plus embarrassée que dans l'état nor
nts était telle qu'il ne pouvait plus couper le crin avec elles. La
langue
est très augmentée de volume ; largeur maxima, 65
E. le repas,,de pyrosis, d'éructations. L'appétit est excellent, la
langue
saine. Ballonnement notable de l'abdomen, dilat
renvoyer d'une maison où il était alors employé. Il ne mord pas sa
langue
. Souvent, il lui passe comme un brouillard deva
il est beaucoup moins développé que d'ordinaire chez la femme. La
langue
est élargie; sa largeur atteint 45 millimètres; e
emporaux font aussi une saillie notable sur la surface du crâne. La
langue
est élargie, craquelée, mais pas sèche. Les mou
is, avec altération et nausées; sa bouche est devenue mauvaise ; sa
langue
s'est chargée d'une croûte jaunâtre, et beaucoup
très volumineuses, un peu plus l'in- férieure que la supérieure, la
langue
n'est pas beaucoup plus grosse que normalement
s parler couramment par suite du volume excessif qu'avait acquis la
langue
qui, par suite de cette augmentation de vo- lum
un coup de hache donné des deux côlés on avait enlevé les joues. La
langue
grosse, large, charnue, demeurait interposée entr
gt; elle est renversée en bas, et laisse la bouche entr'ouverte; la
langue
ayant au moins le double de son volume normal e
r les courants faradique et galvanique. Malgré l'hypertrophie de la
langue
la prononciation est bonne, la parole peut-être
. GALIPPE Chapitre premier. - Des ulcérations imaginaires de . la
langue
considérées comme des phénomènes d'ordre 1lellr
s années sur les phénomènes psycho-patholo-' giques observés sur la
langue
et dont l'origine parait devoir être principale
Albert, cité par Bernhardt, parle d'une névrose particulière de la
langue
, dans la première édition de la Eulenburgsche R
ns les cas observés par lui, avait noté l'existence à la base de la
langue
d'une sorte de condylome. Nous faisons cette ci
ades présentant ce qu'il a appelé des ulcérations imaginaires de la
langue
. Pour cet auteur, ce symptôme serait déterminé
rédisposition morbide, ayant déterminé l'affection imaginaire de la
langue
. 4 PATHOLOGIE NERVEUSE. Comme M. Verneuil, M.
e à la diathèse arthritique dans la production des névralgies de la
langue
; mais un de ces malades serait devenu tabétiqu
M. Hardy a surtout constaté ces manifestations dou- loureuses de la
langue
sans lésion chez des névropathes. M. Luys a obs
, sous le nom de préoccupations hypocondriaques loca- lisées à la
langue
a communiqué l'observation d'une dame, évidemme
n (2 juin 1890), une communication sur une névrose peu connue de la
langue
et de la cavité buccale 1. Sur les quatre obser
le, sensation de brûlure, ayant son siège de pré- dilection dans la
langue
, se montrant soit par accès isolés, soit d'une
ent parfois à la pointe et le plus souvent sur le bord gauche de la
langue
, en se rapprochant de la base; dans deux cas ce
ans deux cas ces sensations n'étaient pas seulement localisées à la
langue
, mais s'étendaient au reste de la muqueuse bucc
action, ni épaississement. Dans un cas seulement, la muqueuse de la
langue
offrait un aspect plus plissé, c'était surtout
nerveuses. Chez une de celles-ci, les sensations douloureuses de la
langue
s'étaient surtout accentuées après qn'elle eut
ntuées après qn'elle eut vu son frère succomber à un cancer de la
langue
. J'ai été persécuté pendant plusieurs années pa
ION DENTAIRE. 7 amies sur le point de succomber à un cancer de la
langue
, elle était arrivée après la mort de celle-ci et
rêtée de se faire opérer d'un cancer 8 PATHOLOGIE NERVEUSE. de la
langue
dont elle se croyait atteinte. ,Toutefois, avan
situation. Elle se plaignait d'un gonflement considé- rable de la
langue
, de douleurs très vives et d'une sensation désa
quelques troubles dans sa santé. Je l'exami- nai attentivement : la
langue
n'était pas gonflée, n'é- tait le siège d'aucun
d'aucune ulcération, les papilles étaient normales. A la base de la
langue
il y avait une dila- tation assez considérable
ait de l'embarras gastrique habituel et de la constipation, et la
langue
était saburrale. Atteinte de pyorrhée al- véola
x pour persuader à cette dame qu'elle n'avait pas de cancer de la
langue
. Je lui prescrivis des lavages an- tiseptiques
cem- ment un vieil ami de sa famille a succombé à un cancer de la
langue
. Cette dame a été très frappée par les souffran
avait qu'un pas. Elle avait remarqué alors que le côté droit de la
langue
était plus rouge, plus sensible que le côté gau
plus, cette jeune femme éprouve ou croit éprouver, de ce côté de la
langue
, un sentiment anormal de chaleur et de picoteme
thologique des malades est la même; que ces idées se portent sur la
langue
, sur les dents, sur les appareils prothétiques,
s des cas, les mains participent au tremblement de la face et de la
langue
. La méthode graphique dé- montre que les stimul
c'est-à-dire par des sensations de très légers mouve- ments de la
langue
, et cela alors même que la malade exécute en pa
e la malade exécute en parlant des mouvements volontaires avec sa
langue
, ou que celle-ci est fortement immobilisée hors d
owerture de la bouche, avec protrusion (9) et retraction (10) delà
langue
. - il, re- traction de l'angle de la bouche. -
l'excitation produit des mouvements de la face, de la bouche, de la
langue
. Dans la partie supérieure de cette région, on
partie inférieure a produit ! des mouvements de la bouche et de la
langue
, la propulsion de la langue étant géné- ralemen
! des mouvements de la bouche et de la langue, la propulsion de la
langue
étant géné- ralement produite par l'excitation
ll toes, petits orteils ; 1'ait, queue ; Thumb, pouce ; Tongue (a),
langue
; Wrest, poignet. "' ? (a) A la page 423, du t.
opposé de la bouche. 9. Omcrture de la bouche et mot1\ements de la
langue
. - 1 1, Retrac- tion de l'angle de la bouche, -
t de l'nrctlle. - 9, QU\Clturc de la bouche et lIIou\clIH'nl tic la
langue
- 13, les veux tournés du côté opposé. - 1 1, pic
de l'mil opposé. - 9. ouverture de la bouche, aiec mouvements de la
langue
. - iJ, mouvement en avant de l'oeil opposé, pwf
éagissant bien àla lumière; hlépharoptose droite. Tremblement de la
langue
déviée à droite. Démence avec agitation. Il meu
ff, Erb, Gowers, Dana, Vulpian, sur l'innervation sensorielle de la
langue
ne seraient pas exactes. L'auteur ajoute qu'il
ait à croire que les fibres destinées à la moitié postérieure de la
langue
, contenues d'abord dans la neuvième paire, passen
ils en furent tous surpris. 64. A l'instant sa bouche s'ouvrit, sa
langue
fut déliée, et il parlait en bénissant Dieu (
es journées entières. Puis, lorsque sa mémoire oublie le mot que sa
langue
a si souvent prononcé, D... s'arrête brusquemen
vez, par la paralysie du facial inférieur et par la déviation de la
langue
du \ même côté que l'hémiplégie des membres. Aj
aune petite fente ». La commissure labiale n'est pas déviée et la
langue
est tirée droite.- La paupière gauche n'est pas p
se recouche. Sa figure exprime la frayeur. Puis il pleure, tire sa
langue
; la face est animée de petits mouvements. Le
- cation du diapason à droite. Le sulfate de quinine placé sur la
langue
a provoqué une grimace qu'explique son dégoût p
rticulation coincide avec un trouble manifeste de la motilité de la
langue
. En effet, lorsque le malade cherche à tirer ce
r lebord libre. Au reste, la difficulté que C. éprouve à mouvoir la
langue
se ' Séance du 11 octobre 1889 (malade n° 3).-\
t une inspiration quasi convulsive. D'autre part, les muscles de la
langue
, du pharynx et probablement du larynx sont affe
nts organes et les tics convulsifs dont sont atteints le larynx, la
langue
et le pharynx. Dans l'observation n° 1, non s
e. Le zézaiement est dû simple- ment à une manoeuvre vicieuse de la
langue
dans la production des consonnes soufflées z, s
tion et des tentatives comiques qour enlever de ses lèvres et de sa
langue
la substance désagréable. Un aulre animal, qu'on
t être moins sensible aux amers (digita- line) du côté opposé de la
langue
. (Ceci a été décrit incorrectement dans « Brain
at était perdu dans la narine gauche et le goût du côté droit de la
langue
.) - Il y a peu de cas cliniques et pathologique
ment partiellement atteints; ceux de la commissure buccale et de la
langue
étant presque entiè- rement épargnés. Le résult
ont été détruits ne peut se nourrir lui-même, les mouvements de la
langue
sont gravement atteints, quoique la langue dans
, les mouvements de la langue sont gravement atteints, quoique la
langue
dans le cas d'extirpation unilatérale se meuve no
e côté sont détruits, le chien peut manger et boire et mouvoir sa
langue
, marcher et courir à peu près bien et se servir d
que si l'aliéné voyage en pays étranger, tant qu'il ne sait pas la
langue
du pays où il se trouve, il n'est plus persécuté.
s ne sont jamais rejetées par les fosses nasales. J'ajoute que la
langue
est normale; vous voyez que la malade la tire cor
es lois découvertes, sonnent creux quand elles sont traduites en la
langue
de la pratique scientifique. Voilà ce que dit M
VUE DE pathologie NERVEUSE. voici que le patient discerne en quelle
langue
on lui parle. Après cela, le sujet arrive gradu
xation du crâne en ar- rière. Paralysie atrophique bilatérale de la
langue
par com- pression probable des deux hypoglosses
incliné fait disparaître ces troubles moteurs, mais à ce moment la
langue
qui jusque-là, était restée intacte, devient de
itreux, aux membres courts, au ventre gros, au facies lunaire, à la
langue
pendante. Le culte du dieu BES s'est répandu da
ote sur la paî-laysie générale conjugale {Congres des aliénisles de
langue
française, Rouen, 1890. REVUE CRITIQUE Derniè
saveurs acides et astringentes, et pas seulement avec le dos de la
langue
, comme il arrive ordinairement dans les hallucina
entué de la parole, de l'inégalité pupillaire, du tremblement de la
langue
et de l'exagération des réflexes. Des renseigne
flasque accompagnée de rétention d'urine et de constipation. . La
langue
est atrophiée d'un côté; il y a de l'agitation et
ntes. Accrocs nombreux de la parole Tremblements (ibrillaires de la
langue
et de la face. Cette malade n'est pas gâteuse.
musculaire accentuée ; tremblements des mains, des lèvres, de la
langue
. Dilatation pupillaire avec inégalité considérabl
violentes.- Signes physiques : léger tremblement fibrillaire de la
langue
et des lèvres. Troubles de la parole. Pupilles
s : parole empâtée et bredouil- lante ; secousses nbrillaires de la
langue
. Pupilles égales mais complètement immobiles. G
tion maniaque. - Signes physiques très marqués, tremblement de la
langue
: parole très hésitante, un peu explosive. Pupill
ès bien avoir commis quelques actes extravagants. Tremblement de la
langue
, troubles' très légers de la parole ; aucun tro
1903.- Aucun trouble de la parole; tremblements fibrillaires de la
langue
. Pupilles moyennement dila- tées, légèrement in
. Les pieds sont également hypertrophiés, le gros orteil sur- tout.
Langue
volumineuse. ' .A l'ophthalmoscope, les papille
és, trouble léger de la parole : tremblement menu et rapide de la
langue
; inégalité pupillaire ; pupilles étroites à réact
e activement dans le quartier. Signes physiques : tremblement de la
langue
et de la mâchoire inférieure, pupilles inégales
à l'accommodation la pupille gauche pas du tout. Tremblement de la
langue
. Pas de troubles bien nets de la parole. La mal
de troubles de la parole; pas de tremble- ment dés mains, ni de la
langue
, mais mouvements fibrillairesrapi- des des lèvr
oubles de la parole très ac- centués : mouvements de trombone de la
langue
en même temps un peu déviée à gauche. Pupilles
tion de la pa- role, une écriture tremblée. Aucun tremblement de la
langue
; ce sont les muscles des lèvres et des joues qu
un achoppement syllabique intermittent et léger. Tremblement de la
langue
. Pupille droite moyennement dilatée, déformée d
s, mais par intervalles seulement, notam- ment le tremblement de la
langue
, très passager. Inégalité pupil- laire très mar
umière, très mal à l'accommodation. Tremblements fibrillaires de la
langue
. Achoppements syllabiques. A l'ophthalmoscope, pa
mutisme. Troubles physiques intenses; tremblement des lèvres, de la
langue
, des mains. Pupilles très dilatées, immobiles.
elles ne réagissent plus à l'accommodation. Tremblement léger de la
langue
, tremblement des muscles de la face. Diminution
de vilaines choses. Signes physiques assez nets : tremblement de la
langue
; pupilles contractées et iné- gales, ne réagis
a, dit-elle, une bête à la place du foie. Pas de tremblements de la
langue
. Accrocs de la parole rares; la malade avoue ce
épression avec angoisse. Signes physiques. Pas de tremblement de la
langue
ni des lèvres. Quelques achoppements syllabique
en de temps elle est à l'asile. ' , Tremblement ribrillaire de la
langue
; inégalité pupillaire très nette; à gauche, la
s; parole extrêmement embarrassée ; tremblements très forts de la
langue
et des lèvres; les pupilles égales réagissent trè
eurnicheries enfantins. Signes physiques : em- barras de la parole;
langue
trémulante; pupilles égales ne réagis- sent plu
l très prononcé. Signes physiques très marqués : tremblêment-de l'a
langue
et des lèvres; parole fort embarrassée. Pas d'i
rès marqué. Signes physiques très nets : tremblement accentué de la
langue
; · parole lente : pupilles fort inégales; pupil
nce absolue. Signes physiques peu marqués; pas de tremblement de la
langue
; la malade ne paraît pas avoir d'hésitation de
ts ; troubles de la parole très prononcés. Pas de tremblement de la
langue
. Dilatation pupillaire bilatérale plus marquée
bilatérale avec absence de réaction à la lumière. Tremblement de la
langue
. Pas de troubles de la parole. A l'ophthalmosco
jusqu'à mi-cuisse et jusqu'au coude. Anesthésie de la face et de la
langue
du côté paralysé. Ces troubles étaient accompag
la lumière, mais bien à l'accommodation. Pas de tremblement de la
langue
. Troubles de la parole très intenses; bredouillem
réaction normale à l'accommodation. Tremblements fibrillaires de la
langue
. Parois très lente et très embarrassée ; achopp
de troubles de la parole ni de la lecture ; aucun tremblement de la
langue
. Tremblement très marqué des doigts de la main,
t. . Signes physiques très marqués : mouvements de trombone de la
langue
; parole très embarrassée; pupilles égales, celle
semble réagir encore mais faiblement. Mouvements de trombone de la
langue
. Tremblement des membres affectant la forme d'u
e l'ouïe. ° Signes physiques peu marqués. Léger tremblement de la
langue
; pas d'accrocs de la parole. L'ophthalmoscope d
peu nets. Parole embarrassée et empâtée. Pas de tremblements de la
langue
. Pupilles égales mais réagissant mal. Marche di
res contractions des muscles et des tremblements fibrillaires de la
langue
. Puis bientôt se produisent des spasmes tétanique
olent, avec craquement des mâchoires et morsures fré- quentes de la
langue
, écoulement de salive, contraction de tous les
rs prolongements, qu'on lés excite par les tractions rythmées de la
langue
, par la respiration artificielle, par l'électrisa
ce et de l'orbite, du lingual, de l'hypoglosse dans le cancer de la
langue
, etc., etc. Un seul nerf émané du crâne est fré
DES 11ÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES DE FRANCE ET DES PAYS DE
LANGUE
FRANÇAISE. (Pau leur-7 7 Août 1904.) Le XIVe
s des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pays de
langue
française se tiendra cette année à Pau, du 2e a
.-B. Les discussions et communications ne peuvent être faites qu'en
langue
française. , Excursions. La proximité de l'Espa
troubles de la pro- nonciation et du tremblement fibrillaire de la
langue
et des lèvres qui peuvent manquer jusqu'à une'
s des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pays de
langue
française se tiendra cette année à Pau du 1er au
u muscle orbiculaire des paupières, léger ptosis, tremblement de la
langue
, des muscles de la face, du muscle orbiculaire
s moteurs on note de l'ophtalmoplégie interne, du tremblement de la
langue
, des mus- cles de la face, un léger embarras de
des lèvres, un léger achoppement des syllabes, du tremblement de la
langue
et des mains. Du côté psychique ce qui frappe
eur. Symptômes physiques principaux, tremblement des mains et de la
langue
pouvant se généraliser, troubles de la sensibil
citée, mais bien orientée. Présente un tremble- ment prononcé de la
langue
et des mains, brusquerie dans ses mouvements, l
précédé sa tentative de suicide. Le tremblement des mains et de la
langue
est toujours accusé. 23 janvier. Désorientée ;
ommuns à diverses maladies (perte de l'appétit, état saburral de la
langue
et constipation, nausées et quelquefois vomisse
ras; laparole devint inintelligible lasuite des tiraillements de la
langue
.'Bientôt après cela subitement, sans aura, surv
nt les contractions menues très varia= oies dans la joue droite, la
langue
et la main droite ; ces contrac- tions se renfo
S DES Médecins ALIÉNISTES et NEUROLO.ISTES DE France et DES pays DE
langue
française (Pau lei'-7 août 1904-). Le XIVG Cong
des médecins aliénistes et neurologistes de France et des. pays de
langue
française se tiendra cette année à Pau du 1er au
médecins alié- nistes et neurologie tes de Fiance et des pays de
langue
française, 349, 527. 70' - de la Br lIslt-lé-
xation du crâne en arrière. Paralysie atrophique bilatéiale de la
langue
par compression probable ries deux hypoglosses,
tient au défaut de proportions et à l'absence de rapports entre la
langue
et le palais, comme ce dernier n'est susceptibl
antérieure est immobile ; comme la voûte palatine concourt avec la
langue
à former un grand nombre d'articulations, et co
ations, et comme, en définitive, le palais ne peut venir trouver la
langue
, il faut bien que celle-ci soit arti- ficiellem
e la gymnastique suivante est de rigueur : on montrera à mouvoir la
langue
hors de la bouche en avant, en haut et en bas ;
u de bois ou d'une cuiller d'ivoire qui dirige et soutient mieux la
langue
. Quand le timbre de la voix est altéré, mais il
uisse parler comme nous, croyez-vous qu'il trouverait dans toute la
langue
des mots qui représentent vraiment ses idées et
dants; le nez est camus; les lèvres sont très épaisses ainsi que la
langue
qui sort souvent de la bouche. La dentition est
angée de dents comme chez le Pacha (1° dentition et 2° incomplète).
Langue
très épaisse. Bajoues volumineuses et CACHEXIE
ssion, aux lèvres épaisses, cyano- sées et renversées en dehors, la
langue
très grosse faisant ordi- nairement saillie, au
te. Les lèvres sont épaisses, bleuâtres, renversées en dehors. La
langue
est énorme et reste presque toujours, en partie,
est alors absolument impassible, sa bouche entr'ouverte, son énorme
langue
à moitié tirée. Si on lui offre un bonbon, elle
six mois, la figure de l'enfant commença à manquer d'expression, la
langue
devint volumineuse et sortait souvent de la bou
a lèvre inférieure est retroussée vers le menton ; 14 IDIOTIE. la
langue
énorme sort constamment de la bouche d'où s'écoul
ques des paupières qui sont gonflées ; nez camus ; lèvres épaisses,
langue
volumineuse; dents cariées, irrégulières de for
n'avait pas d'écume, n'a- vait pas uriné, mais il s'était mordu la
langue
. Le lendemain, au réveil, il était triste, et n
malade cherche à mordre quand on approche la main de son visage.
Langue
blanche ; sécrétion muco-purulente des conjonctiv
Pupilles dilatées, égales, contractiles. Pas de tremblement delà
langue
ni des lèvres. Parole très lente. Conceptions len
ôtés, qui paraissent égale- ment faibles : pas de tremblement de la
langue
. La parole est très libre, mais on a beaucoup d
palatine profonde, ogivale, symétrique. Luette, piliers, amygdales,
langue
nor- maux. Fonctions digestives normales. Rien
la gorge, niais à peine marquée. Déglu- tition un peu douloureuse.
Langue
saburrale. Rien à l'auscultation INSTABILITÉ ME
a face interne de la joue gauche entre les deux arcades dentaires ;
langue
gonflée ; ulcération superficielle du pilier an
, 7. Soir : T. R. 38°, 5. 3. T. R. 37°, 7. Soir : T. R. 41°. 4.
Langue
sale, nausées. Rate grosse. Rien à l'auscultation
. 5. - T. R. 3J°, 3. -Soir : 38°, 4. 6. T. R. 37°, 3. Soir : 37".
Langue
toujours sale; pas de selle depuis la purgation
u niveau de la saphène externe, surtout vers la malléole externe;
langue
sale, anorexie, nausées. Pouls rapide. Traitement
de le distraire, de le faire rire, mais pas de succès, Peu à peu sa
langue
se délia; ce ne fut d'abord qu'un oui, un non b
r les mouvements du visage : ouvrir et fermer la bou- che, tirer la
langue
, rapprocher et éloigner les commissu- res des l
- logique, paralysie, atrophie de tel ou tel élément d'organe. La
langue
, trop épaisse, emprisonnée dans une mâchoire tr
ine le son t ou d. D'autres enfants, comme Henri R... possèdent une
langue
toujours en retrait dans la bouche, ne savent é
identiques à celles qu'il ressentait quand nous par- lions. Si la
langue
est paresseuse, c'est d'elle que nous occu- per
de l'articulation, on sait que pour produire ce son « la base de la
langue
se relève, entre en conctact avec le voile du p
nctact avec le voile du palais ; celui-ci se trouve pressé entre la
langue
et la paroi pharyngienne et tout passage de sou
oi pharyngienne et tout passage de souffle est interrompu ; puis la
langue
se détache vivement et une explosion se produit
ur /; ; le maitre, alors avec son doigt, repoussera la pointe de la
langue
le plus possible, afin de lui faire occuper la
te position, ha. Puis on habituera l'enfant à maintenir lui-même la
langue
avec son propre doigt, et peu il peu la langue
aintenir lui-même la langue avec son propre doigt, et peu il peu la
langue
s'habituant il cet exercice finira par ne blus
gonfler les joues et retenir l'air avec les lèvres. Exercices de la
langue
. a) Faire tirer la langue hors de la bouche, la
l'air avec les lèvres. Exercices de la langue. a) Faire tirer la
langue
hors de la bouche, la diriger à' droite, à gauc
roite, à gauche, en haut et en bas. b) Faire porter la pointe de la
langue
en arrière des dents. c) Repousser la langue au
porter la pointe de la langue en arrière des dents. c) Repousser la
langue
au fond de la gorge. d; Faire toucher de la poi
la langue au fond de la gorge. d; Faire toucher de la pointe de la
langue
le haut de la voûte palatine. e) Mettre la la
la pointe de la langue le haut de la voûte palatine. e) Mettre la
langue
en gouttière. Exercices de la gorge. a) Faire
la mastication qui a besoin d'être surveillée, même apprise ; - la
langue
(hypertrophie, atrophie, fis- sures, brièveté d
l- quefois des matières pendant ces crises. Bave et morsure de la
langue
. Il a eu, jusqu'ici, 16 crises se produisant tous
ue la droite. Voûte du palais ogivale ; amygdales et luette saines.
Langue
normale. f;t11ÎI L... ne distingue pas les save
buc- cale assez spacieuse. Voûte et voile du palais non ogivaux.
Langue
normale. Arcade dentaire : léger prognathisme sup
. - Voûte palatine ogivale ; voile du palais, amyg- dales,luette et
langue
normaux. Goût : très peu développé : l'enfant n
se que la droite. Pharynx, pas de tu- meurs adénoïdes. Goût normal.
Langue
, rien de particulier. Fente buccale petite, hor
ce qu'elle tenait dans les mains, tombait en avant, saignait de la
langue
et des lèvres. Elle ne perdait pas complètement
cloniques généralisées. Cyanose de la face ; bave et morsure de la
langue
. Miction involontaire. Phase de stertor avec re
ées dans leurs alvéoles. Quelques molaires paraissent se carier. La
langue
est longue, large et étalée. La voûte et le voi
'un côté ; ni relâchement des sphincters, ni bave, ni morsure de la
langue
. Jamais de para- lysie après les convulsions.
supérieur. Le menton est fuyant, en retrait, possède une fossette.
Langue
large, à bords déprimés au niveau des dents. Lé
gitée de mouve- ments brusques, saute, se frappe les mains, tire la
langue
. Fonctions digestives normales. Mastication rég
de volume moyen. Voûte et voile du palais, rien de particu- lier.
Langue
de volume normal. Amygdale dr. un peu grosse. R
g- dales, absente à gauche, du volume d'une petite noix à droite.
Langue
: épaisse, large, étalée. - Pas de tremblement de
ne pas exister ( ? ). La bouche est petite. Lèvres assez grosses.
Langue
grosse, mobile. Pas de malformations de la voûte
trabisme, blépharite chronique dès la naissance, nez aplati, grosse
langue
, rétrécissement transversal des maxillaires, or
on lui tenait la main gauche, elle touchait la même région avec la
langue
, l'as de modification de l'intelligence, depuis
res sont peu saillantes, petites en longueur comme en épaisseur. La
langue
est de forme et de motilité normales. La voûte
A la déchéance ; TUBERCULOSE. 207 elle n'a pas de tremblement de la
langue
ni des mains. Elle parle toujours très lentemen
res, légèrement rosées. Bouche assez grande, horizontale. Lèvres et
langue
peu épaisses. Goût normal. Voûte pa- latine pro
ières]que dans les accès précédents, sans non plus de morsure de la
langue
, ni de bave, ni mousse ; mais cette fois un for
Jamais il ne s'est grièvement blessé. Jamais il ne s'est mordu la
langue
. Après sa crise il ronfle, et l'écume s'échappe d
tinue et s'aggrave dans le courant de mai. Pas de tremblement de la
langue
ni des mains, pas d'inégalité pupillaire, parle
ure qui porte une ulcération à son milieu. Le palais est ogival, la
langue
petite n'a pas de tremblement. Les amyg- dales
les verbes et les pronoms.- L'articulation est nette, seulement la
langue
semble se mouvoir avec effort, la parole est le
des joues et du men- ton. Oreilles petites, à caractères spéciaux.
Langue
fètcdillée, hachurée. - 1895. Diarrhée verte.
ulier (janvier-mars). Brun-' chite tuberculeuse . Ulcérations de la
langue
. Chute du rectum. Cachexie progressive. - Mort.
uatowr, dentiste de Bicétre). Palais légèrement ogival en avant. La
langue
présente une feule à la partie moyenne, au mili
es pulmonaires. Appétit tris faible, vomissements, chute du rectum.
Langue
rouge, dou- loureuse, fissurée à sa partie moye
ent. l'as d'expectoration. La tem- pérature est toujours élevée. La
langue
va mieux; il n'y a plus d'inllamll1af,lon; le b
culier, coloration des joues et du menton,*voix un peu masculine,
langue
fenclilliée, présentant des crevasses en tous s
phyxie à la naissance. Prise du sein difficile, protrtc- sion de la
langue
à la naissance. Allaitement de 15 jours par la
avait des ongles. Prise du sein très difficile : prolru- sion de la
langue
. Allaitée par sa mère pendant 15 jours, puis co
sont closes, la bouche dessine un croissant à branches retombantes.
Langue
épaisse, large, longue, paresseuse, se mouvant
centimètres, s'étendant presque jusqu'aux bords, non douloureuses (
Langue
mongolienne). - Dents mauvai- ses ; mâchoire su
ète de connaissance, pas d'émission d'urine, pas de mor- sure de la
langue
. Stertor consécutif à l'accès. Le môme jour, de
t épaisses et sensuelles.-Le voile du palais, la voûte palatine, la
langue
, les amygdales sont normaux. Le men- ton, rond,
aféine, la respiration artificielle et les tractions rythmées de la
langue
: tout fut inutile, il mourut quatre à cinq min
autres. Les 20 dents de lait sont parties. - Menton, en retrait.
Langue
normale. Amygdales, Luette, Pharynx : rien à si
grimace beaucoup depuis ses premières convul- sions, bave, tette sa
langue
, crie par moments, se jette de côté, se ferait
lèvres minces, l'inférieure plus volumi- neuse, mais non éversée. -
Langue
grosse, palais et voile nor- maux. Amygdales no
.latéralement, en levant alternativement les pieds et roulant la
langue
dans la bouche. 1894. 16 juin.-Même état des or
pliments et aux repro- ches (Fig. 23). Il a la manie de promener sa
langue
dans sa bouche et de la mordiller toutes les fo
nt consisté en grimaces de la face, projection en tous sens de la
langue
hors de la bouche. Cette agitation et. ces tics,
ses tics qui consiste Description DE la malade. 155 à projeter sa
langue
sur la joue et à essuyer ensuite de la main l'h
r la joue et à essuyer ensuite de la main l'humidité laissée par la
langue
. Le tronc et les membres sont réguliers et n'of
la bouche s'allonge trans- versalement ou s'ouvre démesurément; la
langue
sort violemment de la cavité buccale, se mettan
joue ou sur la lèvre supérieure, ou sur le menton ; aussitôt que la
langue
a passé sur la joue ou les lèvres, V..., d'un rev
èvres. Elle renifle fortement, tousse très souvent, fait claquer sa
langue
contre le palais. Elle produit, en aspirant et
» et ceci dit avec une volubilité extraordinaire, tout en tirant la
langue
et ouvrant démesurément la bouche. A l'ouvroi
précipi- tamment, les fesses nues, sur son banc, tout en tirant la
langue
et en haussant les épaules. Ces faits se reprod
quents. A relever ceci : elle ouvre démesurément la bouche, tire la
langue
en tous sens ou bien contracte la bouche, fait
ent brusques, rapides, impulsifs, involontaires. Le lavage par la
langue
des joues et des lèvres, puis l'essuyage un peu b
. 165 accès; pas de miction, ni défécation, pas de morsures de la
langue
, pas d'écume. Il parait tout à fait normal après
supérieure proémine un peu. Palais très ogival. Pharynx, amygdales,
langue
bien conformés. Menton ovale. Oreilles régulièr
r avec les musiciens. - Sa mauvaise haleine persiste et elle a la
langue
très-sale. T. It. 37 ? i 4 et 31l,3. Purgatif, su
eu proéminente. Palais, nor- mal. Amygdales, un peu hypertrophiées.
Langue
, peu épaisse, à mouvements ditliciles ; pas de
215 employant les verbes. L'articulation est nette, seulement la
langue
semble se mouvoir toujours avec peine, la parole
te une certaine analogie avec celle d'un vieillard. Exercices de la
langue
. Cet enfant a beaucoup d'amour-propre, il trava
bouche. Les mouvements de ses mains sont assez sûrs. Ne tire la
langue
que lors de ses se- cousses. Bave, grince des
des mains, de la face et des orteils, qui se cris- pent. Tire la
langue
souvent. Bave, grince des dents. Se cogne la
t de travers. Sa bouche se tourne dans tous les sens et grimace, sa
langue
remue, mais il ne ' peut parler. Son corps est
s deux côtés. Pas de tremblement des mains, des paupières, ni de la
langue
. Réflexes testiculaires très faibles (sensibili
sa poitrine; grâce à ses inspirations, elle a maintenant le don des
langues
et fait des incantations bizarres sur tout ce q
Il travaille d'ailleurs à refondre la religion ; des néologismes (
langue
mystérieuse des esprits) émaillent son récit. U
ux théomane visionnaire récite constamment à demi- voix et dans une
langue
de son invention, une prière qu'une voix partan
stéréotypés, dont il donnait à volonté la traduction invariable en
langue
ordinaire. Un illuminé de Cazanwielh 2 après un
es, c'est à lui que j'abandonne entière- ment le gouvernement de ma
langue
... n'occupant mon es- prit qu'à me rendre atten
. » « Il plut à Dieu, dit un autre prophète cévenol, de délier ma
langue
et de mettre sa parole en ma bouche; sa volonté f
(théomanie des jansé- nistes), parlent comme si leurs lèvres, leurs
langues
, tous les organes de la prononciation étaient r
hologiques, oct. 1896). E. B. II. LE TREMBLEMENT GÉLATINEUX DE LA
LANGUE
CHEZ LES ALIÉNÉS MELANCOLIQUES'; par le D'' V.
ts qui intéressent la clinique des mala- dies mentales, celui de la
langue
des aliénés paralytiques est presque le seul re
on le rencontre, une importance véritable. Dans ce tremblement, la
langue
n'est point animée de mouve- ments irréguliers
s longitudinales. Le malade semble avoir quelque peine à tirer la
langue
hors de la bouche : elle sort à moitié tout au pl
e gauche du facial (toutes ses branches), de la moitié gauche de la
langue
, de la corde vocale gauche, et un peu des élé-
articuler les r et s. On constate une paralysie de l'hypoglosse; la
langue
dévie un peu à gauche, la moitié droite est un
es ce qui donne à la paralysie un cachet péri- phérique. Bientôt la
langue
se plisse de plus en plus, elle est quasi mutil
gauche saine. Le malade parle comme s'il avait une blessure de Ja
langue
. La paralysie avec atrophie est des plus nettes.
nique psychiatrique est gênée dans son essor par la confusion des
langues
; dans chaque école, dans chaque pays, des noms d
rise de huit heures de durée suivie de contracture permanente de la
langue
. Bientôt s'y ajoule un trismus invincible et un
spirées par les bons anges qui parlent dans sa bouche et forcent sa
langue
à remuer. Ils lui font ainsi . répondre par des
fortes et prédominaient à droite; pas d'écume, pas de morsure de la
langue
, pas d'évacuations involontaires. A la fin, stert
tée que la gauche. On ne peut obtenir de D... qu'il fasse sortir la
langue
et c'est à peine si on peut lui arracher quelqu
ouleur constatée chez un inculpé blessé, cicatrices ou plaies de la
langue
ou des lèvres, blessures consécutives à des ten
es d'innervation et de trophicité dans la sphère du nerf lingual.
Langue
saburrale névropathique. (Sphère du trijumeau.)
t vraisemblable que les troubles du goût et de la sensibilité de la
langue
des tabétiques retentissent d'une façon ou d'un
ès grande abondance. La diminution de la sensibilité générale de la
langue
était peu marquée; mais dans la sphère du triju
tion des faits, de rapprocher de ces troubles l'état physique de la
langue
268 CLINIQUE NERVEUSE. et l'état des fonction
Les diges- tions peuvent être régulières, l'appétit normal, etc. La
langue
du malade cité plus haut, si tourmenté pendant
c être profondément atteint sans catarrhe, sans état saburral de la
langue
. Il en est quelquefois de même lorsque les trou
tume, etc., des tabétiques, nous avons constaté deux états de la
langue
. Le premier est caractérisé par un dépôt blanchât
un dépôt blanchâtre, mou, humide, occupant la partie centrale de la
langue
, lais- sant les bords intacts. Ceci est un fait
de la maladie nerveuse. La cause qui le régit, autorise le terme de
langue
saburrale névropathique employé dans le tableau
Ainsi que nous le dirons plus loin, cet état de la nutrition de la
langue
dépend du trijumeau ; mais à son tour il retentit
cil., semble admettre la possibilité d'un trouble tro- phique delà
langue
pouvant entraîner des troubles du goût. TROUBLE
la mu- queuse nasale un trouble trophique analogue à celui de la
langue
et qui lui aussi, dans bien des cas, tient sous s
la muqueuse correspondante, consistant en un état catarrhal de la
langue
, en un trouble trophique de la langue, qui précis
nt en un état catarrhal de la langue, en un trouble trophique de la
langue
, qui précisé- ment ont fait naître les troubles
vent dans les paroxysmes sans la moindre modification du côté de la
langue
et des muqueuses. Dans un cas il y avait en Arc
altéré et en partant de ce point, soit pour descendre du côté de la
langue
, soit pour monter du côté du bulbe et de l'encé-
haryngien), soit par celle du nerf de la sensibilité générale de la
langue
et de la pituitaire, soit peut-être même par le
anesthésie du trijumeau à la face, si la sensibilité générale de la
langue
et de la pituitaire est intacte, si l'absence du
et de la pituitaire est intacte, si l'absence du symp- tôme « de la
langue
saburrale névropathique » démontre l'inté- grit
té l'abolition de la gustation dans les deux tiers antérieurs de la
langue
. De son côté Serres a vu la perte du goût chez
s qu'on observe parfois cet état particulier de la trophicité de la
langue
, désigné plus haut sous la déno- mination patho
la langue, désigné plus haut sous la déno- mination pathogénique de
langue
saburrale névropathique. 3° Il n'est pas jusqu'
spasme, les mâchoires étaient con- tractées ; de temps en temps la
langue
était mordue. Le grand danger était causé par l
tissent à un canal. La plupart des médecins parlent correctement la
langue
allemande. La paralysie générale est rare au Ja
nti- mètre de largeur ; puis elle mouille, en l'appliquant sur la
langue
, une des extrémités de cette bande afin de la fai
la bande de papier, .mouille l'extrémité libre en l'appuyant sur la
langue
et la fait ainsi adhérer au support. Un exame
ans le stade de démence, mais restait limité à l'idiome gallois, sa
langue
natale. Ce fait prouve- rait que l'hémisphère g
, réflexes pares- seux, tremblement des muscles de la face et de la
langue
. Hésita- tion de la parole. Exagération des réf
d'excitation, troubles de la parole, tremblement fibrillaire de la
langue
et des muscles de la face, ictus, démence progr
leptiques, en dehors des suites immédiates des accès (morsure de la
langue
, ecchymoses) aucun signe physique caractéristiq
ents (le plus souvent lenteur et tremblement). Le tremblement de la
langue
et des mains était souvent très accentué; l'hémip
agit d'un homme de soixante-douze ans, comptable, parlant plusieurs
langues
, chez lequel ses amis observèrent d'abord une d
isage, dans la jambe et le bras droits. Roideur des lèvres et de la
langue
; aggravation de la gêne de la dégluti- tion ;
Pas de déviation de la luette. Paralysie de la moitié droite de la
langue
, gênant la déglutition et la parole. La langue,
moitié droite de la langue, gênant la déglutition et la parole. La
langue
, quand il la tire, est déviée à droite. Voix ra
roite. Au moindre effort, fatigue extrême; pas de tremblement de la
langue
ni des extrémités. Pas d'altérations de la sens
e droite insignifiante. Altération du goût sur lamoitié droite delà
langue
. Diminution de l'acuité auditive à droite, mais p
affectent tout le corps, surtout les muscles de la face et de la
langue
et la tête. Si elle essaye de se servir de ses ma
er paraît surtout résulter de l'ininterruption des mouvements de la
langue
et des muscles de la face. Il ne parait y avoir é
de connaissance et de la parole, sans cri initial, ni morsure de la
langue
), puis d'autres crises à intervalles réguliers.
upières étaient devenus in-sensibles ainsi que la moitié droite de la
langue
; il y avait eu une inflammation aiguë de l'œil d
lpian a ren-contré des altérations identiques, dans les muscles de la
langue
, chez le chien, cinquante jours après l'avulsion
ces agrégats, peuvent, ainsi que je l'ai démontré, déterminer dans la
langue
, le pha-rynx, le larynx, l'orbiculaire des lèvres
erroge vivement, pro-Jère quelques sons inarticulés ; il tire bien la
langue
quand on l'y invite, la dé-glutition s'opère sans
clans son Traité de la moelle épinière, tous les épileptiques dont la
langue
étail mordue ont succombé par suite de phtisie, d
l'agitation convulsive. Néan-moins, il n'est pas très rare de voir la
langue
, même lorsqu'elle 1. Le tremblement impose â ré
ii peine, les mâchoires sont comme accolées l'une contre l'autre. La
langue
est animée d'un tremblement uni-l'orme, général,
ment augmente. La malade préfend qu'elle ne peut laisser longtemps la
langue
en dehors de la bouche : « Elle rentre, dit-elle,
ée et de la portion cervicale de la moelle; en outre, les nerfs de la
langue
, ceux du bras, étaient comme tendineux. Ce dernie
de toute intervention de la volonté, vous voyez le choréique tirer la
langue
, faire une grimace, lever brusquement un de ses m
nte, traînante, par moments presque inintelli-gible. Il semble que la
langue
soit devenue « trop épaisse » et le débit rappell
s pouvez le constater, une certaine lenteur dans les mouvements de la
langue
; vous reconnaissez même que, tirée hors delà bou
u que la parole pouvait être embarrassée à un haut degré, sans que la
langue
présentât la moindre trace de tremblement. Toujou
emblement. Toujours d'ailleurs, du moins d'après mes observations, la
langue
con-serve son volume normal et jamais je ne l'ai
vait observé pendant la vie Vatrophie de la por-tion antérieure de la
langue
. L'examen histologique fit voir, plus lard : 1° d
su sclérosé : 2° les libres musculaires de la partie antérieure de la
langue
avaient subi la dégénérescence graisseuse : la lé
ur la première fois. A. Ischurie et impossibilité d'uriner, dans la
langue
tech-nique, vous le savez, c'est tout un. La sign
les hystériques, il est assez fréquent de voir des contractures de la
langue
, de l'œso-phage, etc., de longue durée. L'ischuri
thésié. Le goût peut avoir disparu sur la moitié correspondante de la
langue
, depuis la pointe jusqu'à la base. Vodorat est ém
le buccinateuret l'orbiculaire des lèvres ; le plus souvent aussi la
langue
est tirée du côté paralysé. A la paralysie du mou
e ramollissement, soit auditifs. Sur la moitié droite do la bouche (
langue
, palais, gencives, joue), la sensation de chaleur
de chaleur est moins vive que sur la moitié gauche. A la pointe de la
langue
, à droite et dans une longueur d'un pouce, le mal
toniques, se compliquent d'accidents épileptiformes; C... se mord la
langue
, écume, etc. La période des contorsions vient ens
x ; 4°enfin, une contracture permanente plus ou moins prononcée de la
langue
. Ces derniers accidents rendent parfois nécessa
ieu, Messieurs, l'absence de para-lysie faciale et de déviation de la
langue
, lorsque celle-ci est tirée hors de la bouche. Vo
ence de la paralysie faciale et de la déviation de la bouche et de la
langue
dans l'hémiplégie hystérique. 11 n'en est rien ;
e un écume quelquefois sanguinolente, occasionnée parla morsure de la
langue
ou des lèvres. Enfin, il peut y avoir un relâchem
— dans les deux cas il y a prostration des forces, séche-resse de la
langue
, tendance à la formation rapide d'escarres au sac
r de la conscience après six minutes. La malade est en bon état, sa
langue
est peu chargée: la température est à 38°,12, le
journée du 20, 7. Pas d'albu-mine dans l'urine; fort sédiment urique.
Langue
chargée. Température matin et soir, 38°,12; pouls
°, 12, sauf un soir à 38°,75), pouls ordinairement au-dessus de 112 ;
langue
chargée. Le 16, éruption miliaire, conflncnte, en
rs. — Analyse des mouvements du tronc, des membres, de la tète, de la
langue
. — Chorea major. — Nature de l'affection : elle r
temps où cette grimace se produit vous priez la malade d'al-longer la
langue
, de la sortir de la bouche, vous constatez que la
rte très fortement vers la droite. Des mouvements involontaires de la
langue
, dans cette même direc-tion, se produisent à chaq
ans lanarine droite, perte absolue du goût sur la moitié droite de la
langue
, depuis la pointe jusqu'à, la base, diminution de
u'il touche à des questions d'actualité. Notre malade, pour parler la
langue
de M. Burcq, est une hystérique poly'métallique.
ou, plusieurs mouve-ments bruyants de déglutition, laprotrusion de la
langue
enfin annoncent que le résultat prévu va se produ
r encore à dissiper brusquement une contracture de la mâchoire, de la
langue
, des membres, lorsque ces accidents ne se sont po
fre une contracture du membre inférieur droit, des mâchoires et de la
langue
. Ces diverses contractures ont disparu sous l'inf
, la salive s'écoule involontairement de la bou-che. Les lèvres et la
langue
ne tremblent pas. La déglutition serait presque t
a ma-lade, les mouvements des lèvres du lapin. Môme dans la bouche la
langue
tremble ; allongée, elle tremble davantage. Le
, sont écartées d'un demi-centimètre, tremblantes et laissent voir la
langue
qui est sans cesse en mouvement. Le cou est très
vertiges ni d'attaques apoplectiformes. —La parole est scandée et la
langue
animée de mouvements vermicu-laires. Cettesitua
a distorsion des traits de la face et quelquefois la protrusion de la
langue
. Le cri du début de l'attaque signalé par les aut
es les plus bizarres : la distor-sion des traits, la protrusion de la
langue
rendent la physiono-mie effrayante; beaucoup éten
ntrairement à la règle, elle offre un tremblement très prononcé de la
langue
et surtout de la mâchoire inférieure. Ce tremblem
t-ils un signe équivoque de possession? » *« L'enflure subite de la
langue
, de la gorge et du visage et le subit changement
eurs. Analyse des mouvements du tronc, des membres, de la tête, de la
langue
. — Chorea ma-jor. — Nature de l'affection : elle
avité de l'ischurie calculeuse, 294. — Mécanisme de 1' —, 296. ii
Langue
(Contracture de la), 346. Latéropulsion dans la
au de la difficulté à parler. En quinze jours, les mouvements de la
langue
devinrent si difficiles, queC... se décida à entr
iculation coïn- cide avec un trouble manifeste de la motilité de la
langue
. En etl'et, lorsque le malade cherche à tirer c
! , : 3). -Au reste, la difficulté que Cab... éprouve à mouvoir la
langue
se manifeste non seulement à l'occasion de la p
t une inspiration quasi convulsive. D'autre part, les muscles de la
langue
, du pharynx et probablement du larynx sont affe
servation II. Hystérie. Monoplégie double à droite. Déviation de la
langue
à gauche. - Béguycment. (Hecueillie parM. : \hltQ
es paupières : l'ouverture palpébrale est de ce chef rétrécie. La
langue
est nettement et assez fortement déviée vers la
Il appuie davantage sur certaines lettres, exemple : bas = baas. La
langue
est toujours fortement déviée vers la gauche et a
a bouche, on ne constate pas d'asymétrie. Lorsque le malade tire la
langue
hors de la bouche, elle est fortement déviée à
ker en septembre et octobre DU BÉGAIEMENT HYSTÉRIQUE. 13 1888. La
langue
élait toujours fortement déviée et le bégayement
nsolite lorsqu'il le soulève. Pas de déviation de la face, ni de la
langue
. Lorsque le malade tire sa langue qui est très
de déviation de la face, ni de la langue. Lorsque le malade tire sa
langue
qui est très grosse hors de la bouche, on y const
s sujets atteints de sclérose en plaques. Tous les mouvements de la
langue
sont [normaux, abolition des réflexes plantaire
persiste. 2 octobre. - Le malade prononce mieux certains mots. La
langue
présente toujours des mouvements spasmodiques rap
- tion du sillon naso-labial gaucho, déviation de la pointe de la
langue
, vers la gauche; 2° de l'anes- thésie absolue a
iva. Le début fut progressif (le malade remarqua que peu à peu sa
langue
s'embarrassait) et ne succéda cette fois ni à u
les troubles de sensibi- lité que nous avons notés au niveau de la
langue
et du pharynx. A l'examen laryngoscopique nou
s malades ne nasounait. Les modifications observées du côté de la
langue
sont autrement importantes. Chez Cab..., nous t
effet dépasser le bord libre des lèvres. La difficulté à mouvoir la
langue
se manifeste non seulement à l'occasion de la p
de la déglutition, qui est très difficile à exécuter. Chez Dr... la
langue
était nettement et assez fortement déviée vers
un n'a pu y arriver. Les contractions volontaires des muscles de la
langue
ne ressemblaient que de fort loin aux petites o
ns constatées chez le malade. A côté des troubles de motilité de la
langue
, il est intéressant de signaler ce qui se passa
inspiration presque cor- vulsive ; d'autre part, les muscles de la
langue
, du pharynx et probablement du larynx étaient a
ulation des mots. Les troubles que nous avons notés du côté de la
langue
, du pharynx et des muscles de la respiration, s
l'avons toujours vu s'accompagner de troubles de la motilité de la
langue
(parésie, déviation spasmodique, tremblement).
heure et s'accompagnent d'opisthotouos; le malade ne se mord pas la
langue
, et, l'accès fini, le malade se rappelle ce que
et Je malade était demeuré cumpiëtement/maitre des mouvements de sa
langue
, du moins des mouvements les moins compliqués.
ole et notam- ment les troubles de l'articulation des lèvres, de la
langue
, du sociétés savantes. z117 7 voile du palais
pilepsie (mouvements convulsifs, écume à la bouche, morsures de la
langue
). Pas de renseignements sur les grands-parents. E
es symptômes, tels qu'un certain degré de parésie des lèvres, de la
langue
, une sali- vation habituelle, et le retour fréq
e ne peut sans difficulté souffler une bougie. Les mouvements de la
langue
sont gênés; ce n'est pas l'envie de discourir q
est touchée, on n'y retrouve pas la déviation habi- tuelle de la
langue
et des lèvres. Ces signes un peu spé- ciaux qu'
disparut très rapidement; il y avait une déviation extrême de la
langue
; s'agissait-il là d'une variété de spasme glos
lioré par la faradisa- tion. P. K. LU. UN cas DE convulsion DE la
langue
idiopathique; par A. ERLEN- MBYIOE, - DE la con
thique; par A. ERLEN- MBYIOE, - DE la convulsion idiopathique DE la
langue
; pal' M. IERNH : 111DT. (Centralbl. f. Neruelz
s, accès de convulsions linguales caractérisés par rétraction de la
langue
en arrière, puis projection très violente de l'or
surément ouverte; en même temps, mouvement convulsif indolent de la
langue
qui vient, en se cabrant, heurter le palais et
ne se produit pendant une des fonctions qui exigent l'action de la
langue
; il se suspend même à ce moment pour reprendre pe
hie de la - 250 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. moitié droite de la
langue
; parésie spasmodique avec amaigris- sement des
1891 aura lieu à LyoN. De plus, les médecins belges et suisses, de
langue
française, sont admis à faire partie du Congrès
transformé ainsi de Congrès natio- nal en Congrès des aliénistes de
langue
française. La proposition de M. SOLLIER, de s'a
hoix de Lyon pour la seconde session, l'admission des aliénistes de
langue
française assurent l'existence de ce nouveau Co
Prix : 5 fr. Pour nos abonnés 4 fr. BuTLm (H.-P.). - Maladies de la
langue
. Traduit de l'anglais par le D' Douglas-Aigre.
re, en fai- sant des efforts, un son rauque, sourd; toutefois, la
langue
et les lèvres se meuvent avec facilité pour acc
xe vertical de son corps, de droite à gauche. Il se mord parfois la
langue
, mais ne pousse pas de cris. L'attaque dure hab
on ; un sentiment d'ennui et de tristesse s'empare alors de lui, sa
langue
s'embarrasse, et il lui devient impossible de p
et disparaissait enfin complètement. Après les crises violentes la
langue
était parfois embarrassée et il y avait comme une
n départ subit. Suivant Longet, en pla- çant de la coloquinte surla
langue
, on produit des mouvents de la langue et des or
çant de la coloquinte surla langue, on produit des mouvents de la
langue
et des organes de mastication ressemblant parfait
et 1 forsley - - Yes, oui ? llouth, houche. - Head, tête. - Longue,
langue
.- Skoulder, épaule.- Elbow, cO\1tle.- "'lois !
, épaule.- Elbow, cO\1tle.- "'lois ! . poignet. - Finom's, doigt. -
langue
. Skoulder, épaule. - llip, coude. - An/de, poig
. - Pour nos abonnés .......... 4 fr. BUTIN (H.-P.). Maladies de la
langue
. Traduit de l'anglais par le Dr Douglas-Aigre.
IÉSlor.JÈRE, par Hitzig, 433. Langage réflexe, par Robertson, 94.
Langue
, convulsion idiopathique de la , par par Bern-
fixe, timidité, grimaces, mouvement anormal des mâchoires et de la
langue
; quelquefois parole embrouillée ou même imposs
sible, à peine perceptible ; le malade ne pouvait tenir en repos la
langue
qui lui sortait de la bouche ; mais il était ob
ne le quittait jamais cependant, non plus que le tremblement de la
langue
, et la parole était toujours incompréhensible.
r'ouverte, et sans torsion apparente; quelques mouvements dans la
langue
sans déviation permanente de sa pointe. Mouvement
t normale (deux dents cariées) ; la voûte palatine est profonde; la
langue
, le voile du palais, la luette, les amygdales,
accès ordinaires exclusive- ment nocturnes etse mord fréquemment la
langue
. - Deux ou trois fois par jour il a des étourdi
ordinaires (cri, périodes tonique et clonique, bave, morsure de la
langue
, etc.); ceux-ci, encore peu nombreux, sont excl
lontaire. - Il se blesse souvent au menton et à la tète, se mord la
langue
presque à chaque accès. - Après un sommeil de u
uche est tirée à gauche; pas de déviation, ni de tremblements de la
langue
. Parole libre ; pupilles égales, normales. Il c
couteau ; il se lave mal. Pas de trem- blement des lèvres, ni de la
langue
; il ne répond que par quelques mots incohérent
Léger embarras de sa parole; pas de tremblement des lèvres et de la
langue
. 62 de l'épilepsie PROCURSIVE. 188G. - Novemb
ne médiane. Pas d'urination, ni de défécation', ni de morsure de la
langue
. Le ronflement est fort, pas d'écume; la main g
venait de toutes les couleurs, il écumait peu, ne se mordait pas la
langue
. Ses accès étaient plutôt diurnes que nocturnes.
; T. R. 38°,8. 20. - Le malade est un peu plus éveillé; montre sa
langue
qui est humide. - A l'auscultation, râles varié
vite scrofuleuse à répétition. Elle s'exprime bien sans défaut de
langue
. Elle sait épeler, mais n'a jamais pu apprendre à
rassée, on dirait qu'il va devenir paralysé. Pas de morsure de la
langue
. -- Pas de folie consécutive. - Le caractère a to
es. - Stertor, un peu d'écume. Parfois, il se mord les lèvres et la
langue
; il urine sous lui toutes les fois qu'il a de
re. La parole est un peu traînante ; tremblement de la pointe de la
langue
. En décembre, on constate un léger tremblement
e de la langue. En décembre, on constate un léger tremblement de la
langue
et des lèvres, de l'embarras de la parole. - La
t et se recouche. Observation XXVIII. - Père mort d'un cancer de la
langue
. Cousine germaine du côté maternel, hystérique.
dité générale, secousses cloniques. Pas d'écume; morsure rare de la
langue
. Après les accès, sommeil d'une demi-heure. Quel-
artait son assiette, chiffonnait avec les mains, faisait mouvoir sa
langue
entre les dents. Observation XXXVIII. - Aura.
idissent, puis il a des secousses, de l'écume; il ne se mord pas la
langue
, mais urine quelquefois sous lui; enfin il se r
à vingt-deux ans. - Ver- tiges. - Accès procursifs. - Morsure de la
langue
. - Irritabilité très prononcée. Déchéance intel
sie PROCURSIVE. - On ne peut le faire parler, ni lui faire tirer la
langue
. il mange seul, mais avec les mains. 20 décem
ller. - Il bave etsnce. Pupilles égales. - Pas de tremblement de la
langue
. Aucune parole; il ne se rend nullement compte
pupillaire et blépharite ciliaire. - Pas de tremble- ment de la
langue
ni des lèvres. Parole réduite au mot« merde
ant ses accès. Il sourit quand on le fait marcher, al- longe la
langue
quand on le lui de- mande et recon- nait en
ême.» La parole est scandée par des mouvements. Il peut allonger la
langue
et la maintenir quelque tempshors la bouche. Il
Dern... prononce toutes les syllabes simples, et cela nettement. La
langue
ne sort jamais de la bouche involontairement. D..
Lem... parle, DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 179 la
langue
reste presque tout le temps contre le plancher bu
e prononcer d'autres syllabes, il dit : « la, ia. » Il allonge la
langue
, mais il la maintient en appuyant sur elle la l
rgiques des muscles de la face qui accom- pagnent chaque effort. La
langue
ne tremble pas. La préhension présente des part
convulsivement la bouche qui est tirée en divers sens, allonge la
langue
malgré lui, fléchit et détend violemment les bras
es chutes répétées. L'athétosique est en quelque sorte maître de sa
langue
, qu'il ne mord pas, qu'il peut porter dans tous
hors de la bouche. Il n'en est pas de même du choréique, dont la
langue
sort ou rentre, se porte à droite au lieu de se p
Nez moyen, régulier. Bouche petite, menton ovale. Voile du palais,
langue
, arcades dentaires, normales. Mâchoires volumin
mélancolie aiguë d'origine alcoolique, tremblement des mains, de la
langue
et des muscles de la face; dépression entrecoup
,'l fin % *ili9,i, : lit ? ,1^", ' t. ,Jt 23 décembre. r.(m. 39,1 ?
Langue
épaisse, blanche; vessie , pJeiné.·On réûssll.
6fn .M"1"^ 19'f76nttJU(jyy .oHik f "^°24 décembre]' 'T.' m. 37°,5 ?
Langue
meilleure, ! nuit calme, urine un peu avec ne r
0°,7 : Pas de délire. Ce matin,T ! J 370,8 De -m'a-ide à"1 manger ?
Langue
bonne. 1 ° " t i)J ? 1H41 : 'tsou Jnoaut dSxuLm
-Itra ? ...r" , ..rf ? m ? . a a, y ' 26 cdécémbre. - T. m. 38,2 ,
Langue
bonne, calme.' T. s. 38°,5. 2 2'7j décembre. -
vait aperçu soeur Buvée et soeur Gabrielle de Malo 1 « se baiser la
langue
à la bouche » et mentionna, devant l'official q
gnie de Mélifa; que dom Claude, bénédictin, lui mit la main sur la
langue
pour l'empêcher de faire des plaintes à la supé-
DES médecins aliénistes ET neurologistes , de France ET DES pays DE
langue
française Session à Clermont-Ferrand en 1894. -
des mé- decins aliénistes et neurologistes de France et des pays de
langue
française se réunira à Clermont-Ferrand, en 189
r des symptômes d'ataxie locomotrice. Tremblement fibrillaire de la
langue
et des muscles. Inégalité pu- pillaire. Grand e
galité pupillaire. Pas de signe de Robertson ; 3° tremblement de la
langue
. Troubles de la parole caractéristiques. Tremblem
te nuit le malade a eu une attaque épileptiforme sans morsure de la
langue
, ni mic- tion involontaire avec légère épistaxi
atigues physiques. L'appétit'est diminué. A l'examen, je constate :
langue
un peu chargée, légère dila- tation de l'estoma
amyosthénie, troubles 'vaso-moteurs. Outre cela, troubles digestifs
langue
unpeu chargée, anorexie légère, constipation, l
ions posées. L'exorciste demanda au démon Verrine quelle était la
langue
des créatures quand elles déposaient devant le Co
dente. BARBE BUVÉE. z lui paru avoir le don de l'intelligence des
langues
, en ce qu'elles ont tousiours respondu fidèllem
Hirlandois a témoigné l'entendre fort bien, et le luy a expliqué en
langue
françoise par plusieurs fois. 2. Que toutes o
par terre, la saincte Hostie demeurant toujours sur la pointe de la
langue
qu'elles advançoient et retiroient horriblement
plante des pieds, la bouche venoit baiser la terre, et former de la
langue
un signe de croix sur le pavé; quelques unes en
s paupières et des extré- mités, de la tuméfaction des lèvres de la
langue
et de l'oedème des cordes vocales, disparition
par le diapason, le sens du goût par du sel pulvérisé placé sur la
langue
, la rétine enfin par la présence devant l'oeil d'
iès rappelant la face du boule-dogue, lèvres ouvertes et pendantes,
langue
tuméfiée; beaucoup d'analogie avec le feu Pacha
hondrie et du Siii- cide ne tardait pas à être traduit en plusieurs
langues
. Un peu plus tard, ses travaux statistiques sur
s le monde entier. Congrès des aliénistes ET des neurologistes de
langue
française. Session de Clermont-Ferrand des 6 et
- TRER TOUS LES TREMBLEMENTS; EN PARTICULIER LE TREMBLEMENT DE LA
LANGUE
ET DE CERTAINS MUSCLES COMME L'ORBICULAIRE DES
nt relatif et non du tremblement absolu; quant au tremblement de la
langue
ou de certains muscles superficiels comme l'orb
le Dr Féré, cherchant à enregistrer les mouvements ataxiques de la
langue
, avait fait construire un appareil (cata- logue
cher plus ou moins l'index de la bouche du malade. Faisant tirer la
langue
au malade le style- '164 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
le style- '164 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. remue chaque fois que la
langue
touche l'index. Cherchant, au moyen de cet appa
ant, au moyen de cet appareil, à enregistrer les mouvements de la
langue
chez les paralytiques généraux et les alcooliques
est très difficile d'obtenir des malades de diriger exactement leur
langue
sur l'index et par ` (Vitesse lente). suitede
(Vitesse lente). suitede venirle toucher; tantôt le malade porte sa
langue
soit au-dessus, soit au-dessous, tantôt il la r
t impossible d'enregistrer avec cet appareil les mou- vements de la
langue
lorsqu'elle reposesur le plancher buccal ; quan
mbres, de certains muscles, comme l'or- biculaire des lèvres, de la
langue
maintenue hors de la bouche Fig. 5. tremblement
de la langue maintenue hors de la bouche Fig. 5. tremblement de la
langue
hors de la bouche dans l'alcoolisme aigu. ENR
e le fil de crin CD, de façon que dans toutes les posi- tions de la
langue
ou des membres, la transmission puisse se faire
se faire instantanément. Le but eût été facile à atteindre si la
langue
ou les membres du malade fournissaient des osci
oint d'un axe, autour duquel se produiraient les tremblements de la
langue
ou des membres; et encore, dans ce cas, pour to
xpériences. Cette dis- tance CD varie avec chaque déplacement de la
langue
, soit que celle-ci change de volume, par suite
par suite de dimension, soit que l'on fasse tirer plus ou moins la
langue
au malade. ,, 'l- Fig- 6- 166 PHYSIOLOGIE PAT
ns le fil CD, pour les différentes positions que peuvent occuper la
langue
ou les membres des sujets observés. La solution
ourse dans le tube EF. Ainsi donc, si ayant accroché l'hameçon à la
langue
, par exemple et ayant placé la poulie P à cheva
r suite, à la transmission des mouvements ou des vibrations de la
langue
de se faire aisément par le fil CD actuellement t
ne fixera pas la tige T au moyen du ressort R, les mouvements de la
langue
ou des membres ne se transmettent pas au style,
c régulateur de Foucault. ' Technique. 1° POUR LE tremblement DE la
langue
et DE L'ORBICULAIRE DES LÈVRES : agir comme il
ir de l'appareil comme pour l'enregistre- ment du tremblement de la
langue
(fig. 3). > Tous les graphiques ci-dessus, o
r les amnésies, 1885, p. 84. Fig. 8. Tremblement vermiculaire de la
langue
dans la - paralysie générale. 168 CLINIQUE NE
S. CONGRES DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES . DES PAYS DE
LANGUE
FRANÇAISE. SESSION DE clermont-ferrand. ` (uu
présider le Congrès où, pour la pre- mière fois, les aliénistes de
langue
française donnent la main à leurs frères les ne
t sa maladie, tels que soif inextinguible, vomissements continuels,
langue
et dents noirâtres, démontraient un empoisonnem
me et convainquante de vraye possession, ny dans l'intelligence des
langues
, ny dans la cognoissance ou révélation des secr
TES. CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES DES PAYS DE
LANGUE
FRANÇAISE ' SESSION DE CLERMONT-FERRAND. Séan
nte. Presque toujours une e voix s'élève et dicte au malade dans la
langue
mystique ce que le " ciel attend de lui, en un
lèvres, de l'articulation temporo-maxillaire (mas- tication), de la
langue
, de l'appareil vocal. C'est ainsi qu'on fait im
es commissures des lèvres, allonger, rentrer, élever et abaisser la
langue
, la porter à gauche et à droite, etc. Si les lè
t pour cause occasionnelle. P. K. LXII. Contracture réflexe DE la
langue
, DES LÈVRES et- DU pharynx OCCASIONNÉE PAR LA P
Bien que l'accident date de douze ans, il n'y a ni atro- phie de la
langue
, ni des lèvres, ni de la face, ni altération des
surtout au moment des émotions, le tremble- ment des mains et de la
langue
. Observation de 125 hystériques se décomposant
semble que des gre- nouilles se promènent le long de son dos ; des
langues
d'animaux dégoûtants les lèchent ; des roues se
our expli- quer cette poursuite acharnée. Il ne trouve plus dans la
langue
vulgaire des expressions applicables aux tracas
é du terme même. La traduction complète devient impossible dans une
langue
autre que la langue allemande, et l'interprétat
traduction complète devient impossible dans une langue autre que la
langue
allemande, et l'interprétation du la nouvelle e
morbide et aussi aux états mentaux les plus différents auxquels la
langue
allemande n'a guère assigné d'expressions conve
ction de lasuggestion, etc., par Seliafier, 1'2à; -réflexes de la
langue
, etc., par Gallerani et Pa- cinotts, 397. Cou
tour ; de plus, la parole devient inintelligible, H.... se mord la
langue
, est incapable de s'aider en quoi que ce soit e
latine aplatie, pas de déviation, ni d'anomalie du voile du palais.
Langue
normale et mobile. Amygdales moyennes. Réflexe
sogénien est plus marqué du côté gauche lorsque le malade tire la
langue
. Celle-ci ainsi que les lèvres, est continuelleme
28 novembre. L'enfant entre il l'infirmerie, Il ne mange pas, a la
langue
et les lèvres sèches et fuligineuses, n'a pas n
symétriques. . Thymus : 5 grammes. - Corps thyroïde : 8 grammes.
Langue
, bouche, pharynx, larynx, trachée ; rien à noter.
s de délire ni de stupeur. - Toux légère, sèche, peu fréquente. -
Langue
saburrale, diarrhée assez abondante et fétide ; f
nte de la température qui atteint 40°, 1, le- 30 septembre au soir.
Langue
légèrement saburrale, constipation, céphalée pe
rine. Soir : T. R. 39,5. Le lendemain diminution de la bronchite.
Langue
blan- châtre, ballonnement du ventre, diarrhée
ez fréquente, râles de bronchite disséminés, prédominant aux bases.
Langue
normale, pas de vomissements, pas de sensibilit
é. Quelques taches rosées sur la partie inférieure de l'abdo- men ;
langue
légèrement saburrale, selles régulières, pas de
perçoit au sommet de la submatité et des râles beaucoup plus fins.
Langue
humide, blanche au centre et rouge sur les bord
urs. - Soir : T. R. 38°, 9. Toux assez fréquente, bronchite légère.
Langue
blanche, pas de vomissements, un peu de constip
çu que 108 Épidémie de fièvre typhoïde. l'enfant semblait malade.
Langue
sèche et blanchâtre, pas de vomissements, pas d
. 40, Z. , Le lendemain, râles de bronchite prédominant à gauche.
Langue
saburrale mais sans fuliginosités des lèvres ni d
rosées, ni diarrhée, ni modifications des bruits, respiratoires. La
langue
est blanchâtre, non sèche, pas de délire ni de
érature remonte. Pas d'aggravation des signes pulmonaires ; mais la
langue
110 Epidémie de fièvre typhoïde. devient sabu
éphalée persistante avec insomnie; pas de délire ni de convulsions.
Langue
jaunâtre au centre, rouge sur les bords, anorex
aint toujours de. mal : de : tête délire^ peu bruyante insomnie.. -
Langue
large, étalée, sèche; et recouverte d'un enduit
sur la date du début de la maladie ; l'enfant se présente avec une
langue
blanchâtre un peu sèche, une diarrhée légère :
le. - Soir : 'l'.li. 10 ? >. 12 septembre. État saburral de la
langue
et fuliginosités des dents ; haleine très fétid
s : fuliginositcs des lèvres et des gen- cives, état saburral de la
langue
; anorexie très prononcée ; ventre ballonné et t
é qu'il était malade, mais cependant l'appé- tit était conservé. La
langue
est légèrement saburrale ; pas de vomissements,
e niveau, respiration rude et souillante au sommet correspondant. -
Langue
blanchâtre et humide, pas d'aug- mentation du f
ux persiste en même temps que la respiration devient plus rude. -
Langue
blanchâtre et sèche au centre ; quelques taches
egrés, l'abaissent à peine de deux ou trois dixièmes de degré. - La
langue
est un peu sèche et on note sur l'abdomen une é
grissement considérable, eschares au sacrum et le long du rachis. -
Langue
chargée et blanchâ- tre, pas de vomissements, l
s cloniques d'un seul côté ou dcs deux côtés; enfin morsure de la
langue
, écume, miction involontaire. Ces accès durent un
, un peu colorées, visage ovale. - Bouche, lèvres, voile du palais,
langue
, rien d'anormal ; amygdales volumineuses. Mento
octobre. Bronchite diminuée d'intensité. l'as de séche- resse de la
langue
ni de fuliginosités des dents; ventre ballonné,
ion douloureuse très légère; sonorité normale à la percussion. - La
langue
est humide. La respiration ne donne pas de gran
indécision de la démarche, inégalité pupillaire, tremblement de la
langue
, ictus apoplecti- formes ou épileptiformes, etc
sent. Le myxoedème facial s'atténue, l'état d'anémie s'améliore, la
langue
diminue de volume et l'enfant reconnaît sa mère
entrecoupée par les mouvements incoor- donnés de la bouche et de la
langue
. Le malade répond très len- tement, et par sacc
ent, et par saccades, aux questions qui lui sont posées. Il tire la
langue
droite, mais ne peut la maintenir tranquille hors
es symptômes du mal sous-occipital et par de l'hémiatrophie de la
langue
; par J. WENUARDT. (Neurolog. Ce71ti,cilbl., XVII,
de la tête en avant et à gauche; 3° une atrophie hémilatérale de la
langue
; 1 4° le malade en s'asseyant et en se couchan
Parfois cepen- dant M. Gumpertz a obtenu un mouvement certain de la
langue
du côté excité, mais exclusivement par le coura
l'arrière-gorge qu'il laboure jusqu'au sang ; une fois il avança la
langue
entre les dents puis frappa un violent coup de
ag- mus. Tous les muscles de la face fonctionnent normalement. La
langue
se meut librement dans la cavité buccale : elle n
sensibilisation de la joue, des mâchoires, gencives, dents, lèvres,
langue
, bouche, oesophage et estomac. Les réactions so
sont ensuite agités de secousses cloniques. Le malade se mord la
langue
, mais n'urine jamais sous lui. Le lendemain, le m
e brisé, mais ne se souvient en rien de sa crise : la morsure de la
langue
seule lui en indique l'existence. Telle est l'h
eux côtés à la fois par des convul- sions cloniques ; morsure de la
langue
, écume à la bouche, miction involontaire. Cette
s moments ; et dans un cas, la présence d'une morsure récente de la
langue
vint corroborer l'interprétation proposée. Quan
es extrémités, surtout par rapport au tronc, l'épaississement de la
langue
, les rides du front et des mains, le front bas, r
oile du palais avec perte des reflexes de celui-ci, paralysie de la
langue
. Légère parésie du bras 262 SOCIÉTÉS SAVANTES.
e anxiété très vive. Ce matin la face est rouge, la peau chaude, la
langue
un peu saburrale. Elle se plaint d'angoisse et
de damnation et de désespoir. Ce matin sa face est vultueuse, sa
langue
est blanche, épaisse ; elle a conscience de l'agi
ffera, que le médecin lui a prédit qu'elle mourrait par le sang. La
langue
demeure légère- ment saburrale, la plaie du bra
cri initial, sans émission d'urine ; mais avec chute, morsure de la
langue
, perte de connaissance. La crise été précédée d'u
t nocturnes, pas de cri, mais perte de connais- sance, morsure delà
langue
, émission involontaire d'urine et quel- quefois
angea de hauteur, de ton, et de qualité, devint nette- ment nasale.
Langue
moins habile, « engourdie », avec des mou- veme
ecousses fibrillaires. Organes de la parole et de la déglutition. -
Langue
épaisse et molasse, sans dentelures, ni atrophi
dis que le douzième nerf est responsable des troubles moteurs de la
langue
. Diagnostic. -La différenciation doit être fait
ères suivants de la paralysie bulbaire asthénique : ., Etat de la
langue
pui n'est pas atrophiée, et sans contractions f
scles de la face, ni de 31 : .r REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.. la
langue
ni des lèvres. Voix nasillarde, sifflante, indist
ise pas comme l'ont observé Jolly et d'autres. Pas d'atrophie de la
langue
ni d'aucun muscle ; pas de tremblements fibrill
s nos observations. En frottant légèrement la face supérieure de la
langue
, avec une pointe émoussée ou simplement un bout
escence. Pas de tremblements du corps, des mains seulement et de la
langue
. Pas d'hyperesthésie ou d'anesthésie. Les cho
entiques. Goût. - On ferme les yeux du malade, on lui fait tirer la
langue
et on lui passe dessus une -feuille de papier r
disant qu'il en a mal à la tête. Goût. Si l'on touche légèrement la
langue
avec du papier roulé, après avoir fermé les yeu
13..., il demande : « Pourquoi m'avez-vous mis de la saleté sur la
langue
? C'est très pâteux et je ne peux pas l'avaler,
de se nettoyer chaque jour avec une brosse à dents, les dents et la
langue
en cas où cette dernière se trouverait chargée.
e, qui paralysa du côté droit, les extrémités de la face et de la
langue
. Un officier est atteint de paralysie à droite
t aux extré- mités grandes : large nez, lèvres très épaisses, forte
langue
, grosses mâchoires avec séparation des dents.
ie subite du cerveau et qui amène des convulsions (face grimaçante,
langue
mordue, émission d'urine) ne produirait-elle pa
si, lui fermant les yeux, comme précédemment, on lui fait tirer la
langue
, et qu'on lui passe une feuille de papier à l'e
tranquillement de choses et d'autres, accuse à l'attouchement de la
langue
, la saveur du sulfate de quinine. Le bout de pa
gustation qui a produit cette sensation quand le papier a frôlé la
langue
. C'est l'hyperes- thésie du centre du goût qui
de forme... Il voit la statue de Napoléon ler, il est à cheval ».
Langue
. En frottant légèrement la pointe de la langue av
, il est à cheval ». Langue. En frottant légèrement la pointe de la
langue
avec la tête d'une épingle nous provoquons des
a membrane pituitaire, il croit sentir « du soufre et des gaz ». La
langue
est également excitable, et l'on produit le goût
très fréquemment, surtout des attaques nocturnes, avec morsures de
langue
. Comme son mari, elle était fantasque, déséquil
, c'est de l'encre, ça sent l'encre. » 484 CLINIQUE MENTALE. La
langue
est impressionnée sous l'action de frottement d'u
autre chose, déclare-t-il. Les oreilles n'entendent pas de voix. La
langue
a l'impression d'un goût amer, mauvais, qu'il n
voquent plus d'hallucinations. Seules, la membrane pituitaire et la
langue
sont encore excitables ; la compression des nar
uit la sen- sation d'un parfum, et le frottement de la pointe de la
langue
provoque un goût légèrement amer. Le lendemai
ue : . Il sent la lavande, ou plutôt, dit-il, « l'ean de Cologne ».
Langue
. Nous frottons la face supérieure de la langue av
l'ean de Cologne ». Langue. Nous frottons la face supérieure de la
langue
avec un bout de papier, C... sent « une petite
ssin. » Nez. « Ça sent très mauvais, c'est du mauvais vinaigre. »
Langue
. - « Ça pique fort... c'est amer. » 17. - C...
,' il sent « un parfum qui rapproche du lilas ». L'irritation de la
langue
lui fait goûter « une orange très acide ». En s
e très longue queue. » Nez : « Parfum agréable. » Oreille : rien. -
Langue
: « Un petit goût sucré. » 19. - Le nez et la
le : rien. - Langue : « Un petit goût sucré. » 19. - Le nez et la
langue
restent seuls sensibles, il y a des sensations
ne du tympan, et du nez ne produisent plus aucun trouble. Seule, la
langue
reste encore excitable pendant quelques jours.
nsoriels sont atteints. L'excitation de la vue, des oreilles, de la
langue
, du nez, produit des troubles hallucinatoires.
spontanée, C... accuse des sensations plus ou moins agréables à la
langue
, quand nous la frottons d'un bout de papier.
vale, le voile du palais est normal. Les amygdales sont grosses. La
langue
ne présente rien de particu- lier. Le goût exis
erritoire du facial inférieur, mais pasde réaction dégénérative. La
langue
dévie un peu à gauche; propension de la tête à
l'arcade gauche du voile du palais ; mouvements choréiformes de la
langue
; accélération de pouls; maladresse des mouveme
alf an inch en avant de la supérieure ; lèvre inférieure épaissie ;
langue
fendillée, large ; os de la face augmentés de vol
ptôme de Koenig quelquefois. Peau hyperesthésiée. Abdomen rétracté.
Langue
chargée ; constipation. Pupilles con- tractées.
attention à ce qu'il dit ; une sorte d'agitation choréiforme de la
langue
. Enfin, le petit malade a eu d'une façon intermit
op longue par rapport aux autres segments du membre supérieur, la
langue
hypertrophique, la voix caverneuse. Il est glycos
e de Ménière. Le goût est absolument nul sur la moitié gauche de la
langue
, certainement très émoussé à droite. L'odorat e
ous pouvez constater que le goût est aboli sur toute la surface de la
langue
; une quantité de sulfate de quinine étalée sur l
rface de la langue ; une quantité de sulfate de quinine étalée sur la
langue
ne provoque pas la moindre grimace de dégoût sur
i. T. I. Mai I8S3. comme dans l'autre, on note un tremblement de la
langue
, d'où résulte un certain embarras de la parole qu
es, sans convulsions ni perte de connaissance. Pas de morsure de la
langue
, pas de miction involontaire pendant l'attaque.
t remontant de l'extrémité du membre vers un côté des lèvres et de la
langue
, en même temps que se produit un trouble aphasiqu
ttaques d'hystérie et dans l'abolition du goût sur un des côtés de la
langue
. La dissociation même de l'anesthésie n'était poi
d'épilepsie (mouvements convulsifs, écume à la bouche, morsures de la
langue
). Pas de renseignements sur les grands-parents. E
une gêne à peine appréciable dans les mouvements des lèvres et de la
langue
. Mais ce phénomène était passager, et il ne fut p
ition ; voix nasonnée, un peu de parésie de certains mouvements de la
langue
. » 19 février 1890. Nouvelle consultation. État
èvres « comme paralysées » et ne peut plus siffler. Il tire bien sa
langue
, qui a l'aspect normal, mais il ne peut en releve
On ne constate aucune secousse fibrillaire dans les lèvres ni dans la
langue
. Pas de troubles de la sensibilité, ni sur la f
a bouche, au-dessous du menton, comme pour soulever le plancher et la
langue
, qui sont flasques et qui tombent. Nasonne-ment t
vements de plissement de front et de rapprochement des sourcils. La
langue
ne peut pas être tirée au dehors, ni mise en gout
inait dans son pantalon. Il ne se rappelle pas s'être jamais mordu la
langue
. Les crises étaient accompagnées d'une perte abso
s'exécutent parfaitement bien, Il n'y a pas de trace d'atrophie de la
langue
, qui se meut bien en avant, en bas et latéralem
peut pas du tout en relever la pointe, ni la creuser en gouttière. La
langue
reste immobile quand elle est au dehors, sans dév
intacts. Rien à noter du côté du front, des joues, des lèvres, de la
langue
, au point de vue musculaire. Signalons seulement
é dans l'articulation des mots. Pas de secousses fibrillaires de la
langue
. Réflexe massétérin conservé. Voici le résultat
z : Anesthésie du voile et du pharynx, ainsi que de la base de la
langue
. Réflexes très peu prononcés. Sensibilité du lary
n trouble de la déglutition, pas de nasonnement, pas d'atrophie de la
langue
. La tête est légèrement penchée en avant, à cau
ire inférieure qui s'était développée ensuite : atrophie légère de la
langue
, paralysie des muscles du voile du palais et du p
uvements, etc. Ces attaques ne s'accompagnent jamais de morsure de la
langue
: elles durent jusqu'à une demi-heure. Il les a t
tandis que la droite est tombante. Il n'existe aucune déviation de la
langue
. Mais si l'on fait rire ou grimacer le malade, on
ractères d'une déviation spasmo- dique et non point paralytique. La
langue
est le plus ________ 1 Todd. — Clinical lectu
sous le titre d'hémiplégie faciale dans l'hystérie1. Chez ce sujet la
langue
est enroulée sur elle-même, la pointe fixée contr
é tous les caractères, la traction de la commissure, la torsion de la
langue
, l'extension possible au domaine du facial supéri
e chez les hystériques présentant uue hémiamyosthénie des membres, la
langue
offre souvent une diminution de la résistance à l
fortement la face interne des lèvres entre les arcades dentaires. La
langue
n'avait pas été mordue. Quatre mois plus tard i
savez, par la paralysie du facial inférieur et par la déviation de la
langue
du même côté que l'hémiplégie des membres. Ajoute
« aune petite fente ». — La commissure labiale n'est pas déviée et la
langue
est tirée droite.— La paupière gauche n'est pas p
r si la science n'est, comme on l'a justement dit, autre chose qu'une
langue
bien faite, il s'en faut que les noms nouveaux so
le froid) sur toute la moitié gauche du corps, y compris la face, la
langue
et le pharynx. Le malade déclare qu'il ne perçoit
ure étaient constamment agitées de petits mouvements vibratoires ; sa
langue
, enfin, était tordue en crochet, incapable de sor
joue et de la lèvre sont le siège de petites secousses ; enfin, la
langue
est tordue en crochet dans l'intérieur de la bouc
z les appeler, accompagnées de miction involontaire, de morsure de la
langue
et de perte de connaissance. Depuis son admission
nférieur, mais n'oubliez pas que dans ces crises la malade se mord la
langue
et perd involontairement ses urines. Il est un
fortement relevée et tirée à gauche. L'aile du nez est affaissée. La
langue
est déviée, mais non en crochet, du côté paralysé
corps se raidissait et la face était violacée ; pas de morsures de la
langue
, pas de mictions involontaires. A huit ans, elle
ions gustatives est notablement moins vive sur la moitié droite de la
langue
que sur l'autre moitié. Il existe un rétrécisse
prononciation de la lettre U. Il ne peut ni souiller ni siffler. La
langue
n'est ni hypertrophiée ni atrophiée et elle est b
en travers. Atrophie des muscles de la houppe du menton. Rien à la
langue
, au voile du palais, ni au pharynx. Muscles de
ollé au tronc. Pas de chorée, ni d'athétose. Rien à la face ni à la
langue
. La contracture des membres du côté droit ne ta
des troubles divers dans les mouvements combinés des lèvres, de la
langue
et du voile du palais. Ce qui n'est pas moins i
bout de 1 il 2 minutes, de convulsions ; elle ne se mordait pas la
langue
, mais après chaque attaque, elle bavait beaucou
s d'asymétrie faciale, les lèvres ne sont nullement pendantes et la
langue
est tout à fait normale malgré la perte continuel
ques et elle ne s'accompagne pas de paraly- sie des lèvres ou de la
langue
. Nous avouons franchement notre embarras a expl
eurait tranquille. De même, si je prononçais une prière d'église en
langue
latine, il entrait dans une rage furieuse. Si j
as, la pupille restant toujours couverte dans sa moitié supérieure.
Langue
non déviée. Comme la première fois, on constate
calisation précise. Pas de fièvre. Pouls = 10'(-, égal et régulier.
Langue
un peu sèche. Ventre aplati, douloureux. Perte
st lent, régulier. Mais l'appétit est complètement nul, bien que la
langue
soit à peu près bonne. L'enfant ne veut prendre
uel un peu rétréci concentriquement (fig. G). La cavité buccale, la
langue
sont indemnes de toute altération, de toute néopl
des doigts qui s'agitent dans divers sens. Pas de tremblement de la
langue
. Les réflexes rotuliens, pupillaires, testicula
rte de connaissance, quelquefois miction, quelquefois morsure de la
langue
. Plu- (1) Poumayrac, Élude sur les hypertrichos
istophe Elseinger et Jacobus le rencontrèrent en chemin : ce fut en
langue
espa- gnole qu'il leur apprit sa triste destiné
né- ral des plus graves : paralysie complète des 4 membres et de la
langue
, (fini- culté de la déglutition. On était oblig
sociée. L'on ne remarque pas d'asymétrie faciale ; seulemement la
langue
est mani- festement déviée à gauche. Les mouvem
la langue est mani- festement déviée à gauche. Les mouvements de la
langue
se font bien ; mais la malade trouve qu'elle pa
riller d'emprunter des formules de rhétorique. Possédant à fond les
langues
étrangères, ils étaient trois alors il la Facul
es du foie, des reins et des poumons qui, traduites dans toutes les
langues
, sont de- venues classiques. C'est là que s'aff
ant s'exprimer ainsi sans une redite, sans un remplissage, dans une
langue
toujours châtiée, on se demandait si c'était là l
mates sensoriels, sauf la perte du goût sur une moitié droite de la
langue
. Pas d'attaques ni de points hystérogènes. Rê
et cependant, comme ses congénères, il parlait couramment plusieurs
langues
, le russe, l'allemand et un peu l'anglais. Il a
tra au Conservatoire où il resta jusqu'à 20 ans. Il apprit là les
langues
étrangères, le français l'anglais; par sa mère, i
paralysie, car avait, dit-il, beau- coup de difficulté à parler, sa
langue
étant comme empâtée. La sensibilité n'a pas été
nnu les détails par son impressario. Il perdit aussi la mémoire des
langues
étrangères qu'il avait apprises. Un de ses amis
cependant appris de sa mère, laquelle parlait habituellement cette
langue
aussi souvent que l'allemand. La mémoire musica
la mémoire ne lui revint guère, pas plus pour les faits que pour les
langues
et pour la musique. Il ne pouvait jouer qu'avec
côté du corps. Ainsi, si je niellais du sel sur le côté droit de la
langue
, le côté droit du corps se contracturait; si je f
tuait pas; du même si je suggérais une agousie du côté gauche de la
langue
, le sel appliqué sur ce côté ne produisait pas
De même, si je suggérais au malade qu'il sente du sel sur toute la
langue
, une contracture bilatérale se produisait, etc.
iques. 1. Si nous mettons du sel pulvérisé sur le côté gauche de la
langue
tirée il survient une hémicontracture gauche do
aux autres déjà décrites; l'excitation gustative du côté droit de la
langue
détermine une hémicontracture droite. 2. En m
une hémicontracture droite. 2. En mettant du sel sur le bout de la
langue
, c'est-à-dire sur les deux côtés, une contractu
émicontracture gauche ; excitant avec le sel la moitié droite de la
langue
, nous avions une hémi- contracture droite, etc.
ent dans l'état psychique. 5-6 février. Mal à la tête, vomissement,
langue
chargée ; la malade garde le lit. 7 février.
son langage est un assemblage de mots informes tirés de différentes
langues
elle répète ces néologismes dans un certain ord
ubi de modifications notables. S... n'a pas recouvré la mémoire des
langues
apprises autrefois (italien, anglais, français).
D'elle-même, elle nous annonce, non sans fierté, qu'elle parle cinq
langues
couramment, le russe, le polonais, l'allemand,
t de l'Autriche. Tous parlent l'allemand de préfé- rence aux autres
langues
. Et cependant tous sont polyglottes comme leur
qu'il allât, nous apprend un écrit de 1618, il parlait toujours la
langue
du pays (1) ». Quoi qu'il en soit, l'origine ge
sant, a étudié la légende (1) La grande aptitude des Juifs pour les
langues
est un fait bien connu. On lit dans la « Cosmog
e qui fust au monde : car il savoit parler de vingt huict sortes de
langues
toutes différentes, et en chacune d'icelles, lire
emble, soit partielle- ment. Témoin le cas de S. qui a oublié trois
langues
sur quatre qu'il par- lait couramment. Ainsi
idents épileptiques vulgaires, crises con- vulsives, morsures il la
langue
, urinalion involontaire, etc. Et lors même que
sistance, le mot technique de vagabond, doit même disparaître de la
langue
; ils représentent des malheureux arri- vés au
conique figure assez bien une des grosses papilles caliciformes de la
langue
, et le pourtour de la cupule offre des dépression
n ne trouve aucun vestige. On voit seulement, partant delà base de la
langue
, un repli muqueux, qui va, de chaque côté, se con
t que des déjris des replis muqueux que j'ai signalés à la base de la
langue
: c'est au-dessus de ce point d'insertion supérie
pu sans peine diviser et refouler les tissus. 4° L'adhérence de la
langue
avec le plancher de la bouche était produite par
thodique et peuvent se diviser, pour emprunter une comparaison à la
langue
du théâtre, en une série d'actes et d'entr'actes
e. 14. juin 1868. — Réglée à 17 ans; 8 enfants; ménopause à 54 ans.
Langue
très saburrale, bouche pâteuse, soif vive, consti
dants et plus volumineux à la face et sur les parties découvertes, la
langue
et le voile du palais n'en sont pas exempts. La
s le 11 février la peau de la face et des membres se congestionne, la
langue
devient saburrale et le pouls s'élève et, le 12,
résentait sous la forme d'une plaque noirâtre, occupant la base de la
langue
, ressemblant à un gazon touffu, sans fétidité ni
iles ; narines pulvérulentes ; mucosités desséchées sur les gencives;
langue
sèche, soif vive ; déglutition facile; ni vomisse
PHILIDE PAPULQ-HYPERTROPHIQUE Syphilide papulo-hypertrophique de la
langue
Nous reproduisons ici un type aussi complet que
d'une lésion très curieuse, la syphilide papulo-hypertrophique de la
langue
. Voir planche XXXI. Cette lésion, encore peu co
e peu connue, se caractérise de la façon suivante : déformation de la
langue
(il est remarquable que cette déformation porte l
; — saillies mamelonnées, piriformes, se produisant sur le dos de la
langue
, puis devenant de plus en plus considérables, trè
un peu considérable, la lésion est douloureuse, les mouvements de la
langue
sont empêchés ; la mastication éveille de vives s
tout à fait superficielle, tandis que les véritables tubercules, à la
langue
comme ailleurs, s'ulcèrent profondément après avo
dans la journée. Le soir, à la visite, la malade est plus calme, la
langue
est humide, saburrale; pas de vomissements ni de
a été calme. Rien du côté des organes pelviens, ni dans la poitrine.
Langue
humide, pas de vomissements. Matin. P. 104; T. 38
eau de Sedlitz la veille, continue. Pas de ballonnement du ventre. La
langue
est humide. La nuit d'ailleurs a été calme; il n'
'accuse aucune douleur. Le soir. P. 116; T. 3o°,8. 11 février. La
langue
est un peu sèche, pas d'appétit; la malade prend
ne sur le deuxième orteil droit; elle est semblable aux premières. La
langue
est un peu sèche, plus rouge à la pointe ; la mal
les dents sont sèches et commencent ^ se couvrir de fuliginosités. La
langue
est sèche; la figure est plus altérée. La malade
Le soir. P. 120; T. 40°,6. 13 février. La diarrhée est calmée. La
langue
, toujours sèche, et les dents encroûtées de fulig
rouge violacé dans toute l'étendue. La sensibilité est conservée. La
langue
, toujours très sèche, est encroûtée comme les den
La malade cause seule, elle veut se lever, vaquer à ses affaires. La
langue
est très sèche et cornée ; les dents couvertes d'
........................ 1 $9 Syphilide papulo-hypertrophique de la
langue
............... 167 Vices de conformation du bas
vre typhoïde, s'annonçant avec des caractères d'une haute gravité. La
langue
était sèche et recouverte d'un enduit noirâtre, l
l'obligea pas à se coucher. L'appétit toutefois était de-venu nul, la
langue
était chargée. L'état fébrile a persisté les 28 e
ômes de paralysie labio-glosso-laryngée avec atrophie manifeste de la
langue
. —Gêne très prononcée de la déglutition. — Les de
e là les tubes nerveux, à myéline sont rares, et que, au contraire la
langue
conjonctive prédomine; aussi ces parties se color
de celles qu'on rencontre dans l'amyotrophie Fig. 21. — Coupe de la
langue
. État normal. conjonctif interstitiel, infiltré
o-trophie vraie. Le fait est intéressant pour ce qui est relatif à la
langue
, dont les muscles , dans la sclérose amyotrophi-
sé-quence de l'altéra-tion des cellules du noyau de l'hypo-glosse. La
langue
, cependant, en pareil cas, peut avoir con-servé à
ur ainsi dire vermiculaires, qu'on y observe Fig. 22. — Coupe de la
langue
dans un cas de sclérose latérale amyotrophique av
urieuses du tableau, les symptômes suivants : 1° La paralysie de la
langue
amenant une gêne de la déglu-tition et une diffic
ulation des mots pouvant abou-tir à la perle absolue de la parole. La
langue
paralysée pré-sente bientôt-, en général, un cert
dans la sclérose en plaques ; — b) dans En effet, les muscles de la
langue
et ceux des membres su-périeurs surtout commencen
s'empara successivement desmembres frappés d'impuissance motrice. La
langue
elle-même fut intéressée en dernier lieu. L'autop
ux. Il est certain que, durant l'accès, M. X... ne s'est pas mordu la
langue
et n'a pas uriné sous lui. Sans qu'il eut repris
t du mouvement et à l'état gé-néral. Appareil de la digestion. — La
langue
, tirée hors delà bouche, est animée d'un léger tr
et dans l'un des bras. Il est certain que le malade ne se mord pas la
langue
et n'urine pas sous lui. L'accès est de très cour
initial, pas d'émission d'urines. Le malade ne s'est jamais mordu la
langue
; il n'y a au moment du réveil ni nausées ni vomis
sa durée il n'y a pas, autant qu'on le sache, du moins, morsure de la
langue
*, émission involon-taire d'urine, comme cela se
brodt, il est dit que dans ses crises le malade se mordait souvent la
langue
. 2 Voir: Charcot. — Leçons sur les maladies du
e se promène toute la journée. Rien à noter du côté de la face, de la
langue
, du larynx. De temps en temps, légers accès de dy
ilée ; toutefois, l'articulation des sons est parfaitement nette ; la
langue
a conservé son volume normal et la liberté de tou
par leur épaisseur, ceux du la-rynx paraissent également normaux. La
langue
a son volume normal, ses différentes couches musc
marquée surtout aux membres su-périeurs — Atrophie des muscles de la
langue
et de ïorbicidaire des lèvres. — Paralysie avec r
r tour progressivement. Vers le 1er octobre, « elle est prise de la
langue
», selon son expression, et la parole commence à
moins indistincte, lorsque l'on ferme les narines de la malade. La
langue
est petite, ratatinée, comme couverte de circonvo
-tent une coloration jaune feuille-morte au niveau de la pointe de la
langue
. Ils sont au contraire assez rouges, quoique mani
nterosseux. Les muscles de la main sont certainement, avec ceux de la
langue
, les plus altérés. 4° Au tronc. La masse sacro-
onctif et de noyaux arron-dis ou fusiformes. Pour les muscles de la
langue
, nous pourrons nous borner à répéter la descripti
malade semble comprendre toutes les questions qu'on lui adresse. La
langue
est atteinte d'une impuissance motrice à peu près
moelle. Etude histologique. — Muscles. — L'examen des muscles de la
langue
, pratiqué à plusieurs reprises, a constamment don
lier, l'intégrité des fibres de l'hypoglosse, parvenu à la base de la
langue
; il en était de même pour le spinal, le pneumoga
e(de Boulogne) sous le nom de paralysie mus-culaire progressive de la
langue
, du voile du palais et des lè-vres ; mais, par le
que par signes, l'intelligence semble être parfaitement conservée. La
langue
n'est pas aussi inerte qu'on pourrait le croire d
s l'influence des ex-citations directes. On constate également que la
langue
peut en-core être tirée hors de la bouche, portée
on appréciable. p. Etat des muscles. Les muscles extrinsèques de la
langue
et ceux des régions sus et sous-hyoïdiennes, prés
nt une belle coloration rouge ; par contre, les muscles propres de la
langue
se distinguent par leur pâleur et par une diminut
et du sarcolemme se rencontrent sur toutes les au-tres régions de la
langue
, mais à un moindre degré qu'au niveau de la point
ur coloration rouge de l'état nor-mal, les muscles extrinsèques de la
langue
présentent tous, çà et là, quelques faisceaux pri
ient l'altération gra-nulo-graisseuse à peu près au même degré que la
langue
. Les muscles du bras et de l'avant-bras, ceux d
rtout du côté gauche, dans divers muscles du larynx, et enfin dans la
langue
. Il importe de remarquer que ce mode de distribut
e atrophie partielle quelque peu prononcée des masses musculaires. La
langue
surtout, cela est dit très expli-citement dans l'
'un point : on sait que chez notre malade les divers mouvements de la
langue
, ceux surtout qui sont relatifs à l'articulation
, 27. Irritation spinale, 120. k Kystes hydatiques, 90, 91. L
Langue
(Lésions de la) dans les amyotrophies, 441, 445,
binaison pho- nétique des contractions des muscles du larynx, de la
langue
, du palais, des lèvres (Charcot-Bouchard). Or d
'est-à- dire le pharynx, les fosses nasales, le voile du palais, la
langue
, les joues, les dents et les lèvres, existent p
r une excessive faiblesse musculaire des organes de l'articulation (
langue
, lèvres...) '. Avec cet enfant, la préparation
aminait sur notre bouche la position que prenaient les lèvres et la
langue
, ainsi que les mouvements qu'exécutaient ces or
consonnes, il fallutleplacer devant un miroir pour qu'il exerçât sa
langue
et ses lèvres à la reproduction des mouvements qu
e; durant une quinzaine de jours, il dut maintenir avec un doigt sa
langue
dans la position requise pour ce son; dès qu'il
ns la position requise pour ce son; dès qu'il retirait le doigt, la
langue
quittait la position voulue et D... ne savait plu
rtée des instituteurs primaires pour enseigner aux sourds- muets la
langue
française sans l'intermédiaire des signes; de l'a
pplication de la méthode intuitive orale pure, ainsi qu'au Cours de
langue
française à l'usage des écoles de sourds-muets
spondent au mode de concevoir les idées complexes et qui forment la
langue
. » Ces diverses parties du langage veulent être
et qu'on appelle règles de grammaire. Ainsi simplifié, le cours de
langue
, si ardu et si complexe, devient accessible aux
s nos écoles de^sourds-muets, on divise donc l'ensei- gnement de la
langue
en quatre parties : « 1° Enseignement de la nom
ouvrir davan- tage les lèvres, de siffler, de souffler, de tirer la
langue
atrophiée. La mastication, la déglutition étaie
E PATHOLOGIE NERVEUSE. ment local, les mouvements des lèvres, de la
langue
deviennent de plus en plus difficiles, et l'on
s, du front, l'impossibilité de siffler, de mouvoir latéralement la
langue
visible- ment atrophiée et agitée de secousses
ater une légère diminution de l'excitabilité dans les muscles de la
langue
et des membres supé- rieurs avec la R. D. comme
ignait d'une diplopie, d'une fatigue des muscles masticateurs de la
langue
et du palais mou, d'une difficulté de déglutitiou
ement de la paupière gauche, une atrophie symé- trique légère de la
langue
, une immobilité du palais mou, une faiblesse de
astication se fait avec difficulté. Une assez grande atrophie de la
langue
, plus marquée du côté droit ; le réflexe pharyn
f de la sensibilité électrique; le rétlexe du palais mou manque; la
langue
présente une réaction partielle de dégénérescen
e musculaire générale; 2° l'atrophie dégénérative des muscles de la
langue
et du palais mou est une seconde particularité
droit devient plus prononcée du côté gauche; conformément à cela la
langue
se dévia du même côté, tout le reste des symptô
qu'il existe ici une réaction de dégé- nérescence des muscles de la
langue
. M. JAKovENKO trouve qu'il serait plus juste de
subit un traitement très énergique. En 1892, il eut une gomme à la
langue
. En octobre de l'année 1894 parut une névralgie
ire et du médius. Il n'y avait pas de paralysie de la face ni de la
langue
. La sensi- bilité était normale et il n'y avait
résie faciale gauche et affaiblissement des membres du même côté,
langue
non déviée ; réflexe patellaire nul ; démarche ch
ions de la main suivies de perte de con- naissance et morsure de la
langue
. Répétition fréquente de ces mêmes attaques dan
he plus tard accompa- gnées de perte de connaissance, morsure de la
langue
et écume à la bouche. Détermination du centre d
nasale).. En outre, le goût était aboli sur la moilié droite de la
langue
. Les muscles masticateurs de ce côté étaient pa
masticateurs de ce côté étaient paralysés. Les mouve- ments' de la
langue
et du voile conservés; pas de paralysie des mus
até la pré- sence de vésicules sur les muqueuses du palais et de la
langue
. On pouvait parler à juste titre d'une efflores
mégalie, qui ont évolué lentement : le nez, la lèvre inférieure, la
langue
, les mains ont un volume considérable. L'autr
. SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS DES ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES DE
LANGUE
FRANÇAISE (TOULOUSE, 1897.) Le lundi 2 août a
se, le Congrès des médecins aliénistes et neurologistes des pays de
langue
française, dans la salle des illustres du Capit
- seur d'abus '. Possédant une fortune considérable, parlant sept
langues
, il s'était donné la tâche de réformer nos asiles
n multiple des nerfs crâniens (combinée avec une hémiatrophie de la
langue
). Présentation des malades. L'auteur a observé
endemain d'une frayeur et d'un refroidissement, une déviation de la
langue
vers le côté droit avec développement rapide d'un
phénomènes locaux suivants : hémiatrophie de la moitié droite de la
langue
, paralysie du palais, de la corde vocale et du
scles crico-aryténoï- diens postérieurs). Hémiatrophie gauche de la
langue
avec tiraille- ment fibrillaire. Paralysie du p
3 une nuit, survinrent une déviation des yeux en dedans et de la
langue
adroite. Elle a été placée dans un hôpital et s
intacte ; peu de phénomènes cérébraux généraux ; hémiatrophie de la
langue
du côté droit avec tiraille- ments fibrillaires
peuvent être de différente origine sans que l'liémiatropllie de la
langue
ne soit pas d'une importance quelconque. Quelqu
gité quoique la température fut normale; tube digestif en bon état,
langue
rosée, selles régulières, appétit excellent. En
il perdait la mémoire des mouvements coordonnés des lèvres et de la
langue
(il est aphone). Cette amnésie s'étendait égale
il prend une nourriture suffisante, son appétit est ordi- naire. La
langue
n'est pas sèche, mais un peu blanche ; l'estomac
) SOCIETES SAVANTES. CONGRÈS DES ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES DE
LANGUE
FRANÇAISE1 1 (TOULOUSE, 1897.) Séance du vend
rois ans ; attaques convulsives avec chute à terre, déviation de la
langue
à gauche, hémiparésie droite, idées de suicide. U
avec la mimique volontaire et avec la parole (les mouvements de la
langue
). En suivant la direction des fibres dégénérées
25 avril 1897. M. Minor présente le cerveau, la base du crâne et la
langue
d'une malade avec lésions multiples des nerfs c
n estomac le rejèle aussitôt ; l'appétit pourtant est excellent, la
langue
n'est pas très chargée, les selles sont réguliè
tômes caractéristiques. Tremblements fibrillaires des lèvres, de la
langue
, des extrémités. Pupilles égales mais ne réagis
ion. Le malade a des tremblements fibril- laires aux lèvres et à la
langue
. Aux membres supérieurs et ' même aux membres i
questions à l'ordre du jour ont fait l'objet de rapports variés en
langues
diverses, ce qui n'était pas une des moindres c
trés chagrinés, a fait que le nombre des notes présentées dans leur
langue
a été considérable et qu'elles ont été lues gén
s borné à présenter ici un résumé des principales communications en
langue
française sur ces ques- tions générales et auss
n large et peu saillant. Les oreilles sont augmentées de volume. La
langue
est plus volumineuse qu'à l'état normal. Thor
ppe du menton, rider le nez. Mouvements du voile du palais et de la
langue
nor- maux ; conservation du goût, de la sensibi
de SOCIÉTÉS SAVANTES. 517 l'alcoolisme, plus parmi les nations de
langue
anglo-saxonne que parmi les nations continental
respiratoire, par Edel, 327. Convulsifs. Accès - corticaux de la
langue
dans la paralysie géné- rale, par Mouratoff, 80
Archives, '2" série, t. VIII. 1 2 CLINIQUE MENTALE. toutes les
langues
en subissant à peine l'adultération de mise en
nu au lit, camisole et surveillé, il s'est entaillé profondément la
langue
avec les dents; il a ainsi rongé ses propres lè
e- ment convulsif des paupières; puis la malade se mit à tirer la
langue
, et, enfin, peu à peu, les mouvements se générali
cela se voit surtout dans le sourire et l'expression du mépris. La
langue
n'est pas déviée au repos, ses mouvements sont no
accès devinrent excessivement fréquents; le malade, il cause de sa
langue
couverte de morsures, n'a pu prendre que du lai
ant donné les relations de voisinage de ce centre avec ceux de la
langue
, des lèvres, du pharynx et du larynx, c'est dans
égie gauche, de paralysie complète des mouvements volontaires de la
langue
, des lèvres, des muscles de la face, trismus, dév
sont paralysées; il y a impossibilité de siffler et de souffler. La
langue
, non atrophié, ne peut pas dépasser les arcades d
e facilement. 11 refoule les aliments avec les doigts au lieu de la
langue
. Le froncement des frontaux est impossible. Les
gauche, le voile du palais est pendant du même côté, tandis que la
langue
ne peut dépasser les arcades dentaires. Les pup
posteur, ce sont là, en effet, des mots d'un usage fréquent dans la
langue
des thaumaturges, et que se renvoient volontier
Le pouls est très rapide; on compte 116 pulsations par minute; la
langue
est sèche et rôtie, mais il n'y a pas d'élévation
il se serait couché sur son lit pour se reposer après une grande
langue
». L'infection post-opératoire ayant été la cau
t; la commissure gauche est abaissée. Très ' légère déviation de la
langue
à gauche. Les piliers gauches du voile du palai
-Conservation de la sensibilité générale sur les deux moitiés de la
langue
. L'état de la sensibilité spéciale n'a pu être
déviation de la commissure labiale gauche en haut; déviation de la
langue
du côté paralysé; légère ecchymose sur la paupi
ou un crayon ; il peut lire. Sensibilité spéciale. Du côté de la
langue
, l'examen n'a donné aucun renseignement précis,
t on voudrait lui faire apprécier la saveur. La moitié droite de la
langue
est insensible à la piqûre. Odorat. L'ammoniaqu
agité. Pupilles extrême- ment dilatées et insensibles à la lumière,
langue
tout à fait sèche, voix enrouée croassante. Dés
latées, sont insensibles à la lumière, le visage est très rouge, la
langue
sèche, ainsi que les lèvres. Pouls plein, dur,
on et fièvre, le lendemain, para- lysie brusque des jambes et de la
langue
; ensuite, convulsions avec perte de connaissanc
e de tous les mouvements oculaires. Figure en masque, parésie de la
langue
et du voile du palais, de la déglutition et de
te à droite ; 3° accès d'aphasie passagère avec tiraillements de la
langue
du côté droit. En outre céphalées accompagnées so
ps accès de convulsions partielles au bras droit, à la face et à la
langue
du côté droit avec aphasie simultanée. Mort en
anada (nos 1 à 4, 1899). Cette revue mensuelle, dont la forme et la
langue
sont celles de notre pays et qui constitue l'or
ble surtout parce que la plupart des médecins allemands parlent les
langues
étrangères, le français ou l'anglais souvent les
vent les deux. « Si seulement en France, on se donnait la peine des
langues
étrangères, dit le Dr Saint-Jacques, 'quelle in
aupières sont mobiles ; les lèvres s'agitent quoique faiblement, la
langue
peut à peine remuer et sortir des arcades denta
de la paralysie flasque généralisée. L'aphonie est complète ; la
langue
peut encore se mouvoir légèrement ; lorsqu'on int
rieures. Au moment où la voix intérieure parle, malgré le malade sa
langue
se meut. ' Jofiroy. Progrès médical, 1893, p. 4
e ressentait au même moment une contraction épigastiique, mais la
langue
ne remuait pas. Elle était hallucinée déjà depu
lles. Au moment où la voix psycho-motrice se faisait entendre. la
langue
du malade remuait et devenait sèche ; il ressenta
ticulées, non entendues, mais bien comprises qui lui parlent, et sa
langue
remue au moment où elles parlent. C'est bien un
e souvent, quand il entendait « la voix divine », « le fluide », sa
langue
remuait dans sa bouche. Cette voix était de nat
uvements sont géné- ralement localisés dans la gorge, la bouche, la
langue
, les lèvres, presque toujours dans la zone d'in
dans l'estomac ou dans les yeux (Séglas). Habituellement, c'est la
langue
qui est le siège des mouve- ments localisés. Le
i est le siège des mouve- ments localisés. Le malade sent remuer sa
langue
à l'instant où la voix se fait entendre. A l'
he, des mouvements musculaires d'articulation dans la gorge, sur la
langue
ou ! Séglas. Progrès médical, 1888, p. 126. = G
articulation des mots, les sensations tactiles et musculaires de la
langue
et des lèvres ne sont pas les seules qui se pro
Tremblement des extrémités des muscles de la face. Déviation de la
langue
à gauche. Inégalité pupillaire. Con- vulsions é
ans les asiles. Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de
langue
française. Nancy, 189G. LE TRAITEMENT DES MALAD
Alle- magne le traitement par le lit se répandit dans les pays de
langue
allemande, puis en Russie et enfin en France, où
ent, ce mode de traitement n'est même plus discuté dans les pays de
langue
allemande; il est appliqué par la majorité des
inuels dans l'oreille droite. Léger tremLlement des lèvres et de la
langue
, tremblement plus accentué des mains. HALLUCI
hallucinations psycho-motrices s'accom- pagnent de mouvements de la
langue
, l'affaiblissement intellectuel étant trop cons
e, paralysie faciale, paralysie du voile du palais, paralysie de la
langue
. Il n'existe pas de contrac- tures. En revanche
s- tate une paralysie atrophique isolée de la moitié gauche de la
langue
, accompagnée de réaction dégénérative complèle ch
ne s'est aperçue de la paralysie qu'alors que déjà l'atrophie de la
langue
était considérable, parce qu'enfin les troubles
'un courant de même force. La dé- chéance de toute une moitié de la
langue
exerce peu d'action sur le mouvement de cet org
s (lésion des trousseaux de libres qui traversent le milieu de la
langue
) et de la parfaite dégénérescence sans aucune ten
e; -l'absence de contracture de la moitié paralysée. Le raphé de la
langue
ne forme pas de crochet, la langue ne s'incurve
moitié paralysée. Le raphé de la langue ne forme pas de crochet, la
langue
ne s'incurve pas du côté paralysé. la pointe re
due, atteintes, ou que l'innervation com- pliquée des muscles de la
langue
comporte des variétés indivi- duelles. D'ailleu
leurs quand progresse l'atrophie, la pointe propre- ment dite de la
langue
c'est-à-dire la partie proéminente de la langue
- ment dite de la langue c'est-à-dire la partie proéminente de la
langue
n'est plus formée que par le côté sain, et lorsqu
st plus formée que par le côté sain, et lorsque le malade retire sa
langue
, le côté paralysé retarde; ainsi se forme l'incur
réagit bien) intégrité des mouvements de la tête, du facial, de la
langue
, de la parole, de la déglutition paralysie flas
e nocturne; légère parésie du facial droit ; pas de déviation de la
langue
; con- servation de la réaction des pupilles. De
tractées et irrégulières. Les réflexes pupil- laires sont lents. La
langue
est saburrale, animée à la pointe d'un certain
t. Les pupilles sont légèrement inégales au profit de la gauche. La
langue
est saburrale. La parole rare, mais sans troubl
grimace beaucoup depuis ses premières convul- sions, bave, tette sa
langue
, crie par moments, se jette de côté, se ferait
, lèvres minces, l'inférieure plus volumi- neuse, mais non éversée.
Langue
grosse, palais et voile nor- maux. Amygdales no
e latéralement, en levant alternativement les pieds et roulant la
langue
dans la bouche. 1894. 16 juin. Même état des or
mpliments et aux repro- ches (Fig. 8). Il a la manie de promener sa
langue
dans sa bouche et de la mordiller toutes les fo
e cérébelleuse (manifestations du fond de l'oeil, tremblement de la
langue
, tremblement des mains, exagération légère des
Le Congrès des aliénistes et neurologistes de France et des pays de
langue
française, lors de son Y11° Congrès, tenu à Greno
DES MI3DECINS aliénistes ET NEUROLOGISTES DE France ET DES pays DE
langue
française Bruxellcs, Il, août 1903. Les Compa
e géné'ale. Faciès sans expres- sion, tremblement lihrillaire de la
langue
, embarras de la parole caractéristique; tremble
parait pas son âge. Les pupilles sont égales et réagissent bien. La
langue
est un peu déviée à gauche, la parole est norma
faibles, surtout le réflexe 1.4'2 CLINIQUE NERVEUSE. lumineux. La
langue
est animée d'un tremblement fibrillaire très ac
ation des signes suivants : Inégalité pupillaire, tremblement de la
langue
, embairas de la parole, exagération des réflexe
t (hippus). De même les massé- ters se fatiguent vite, ainsi que la
langue
, le voile du palais pendant la phonation, les c
ble ou absent : le réflexe pharyngien existe. Aucune atrophie de la
langue
, des lèvres, des muscles quelconques; pas de ré
oliose du dos. Dès l'âge de cinq ans, atrophie considérable de la
langue
, surtout à gauche, demeurée stationnaire depuis.
s yeux bouffis, les pupilles contractées et légèrement inégales. La
langue
DÉLIRE ET PETIT BRIGHTISME. 20S saburrale et
nt consisté en grimaces de la face, projection en tous sens de la
langue
hors de la bouche. Cette agitation et ces tics, b
résence est expliquée par un de ses tics qui consiste à projeter sa
langue
sur la joue et à essuyer ensuite de la main l'h
r la joue et à essuyer ensuite de la main l'humidité laissée par la
langue
. Le tronc et les membres sont réguliers et n'of
la bouche s'allonge trans- versalement ou s'ouvre démesurément ; la
langue
sort violemment de la cavité buccale, se mettan
joue ou sur la lèvre supérieure, ou sur le menton ; aussitôt que la
langue
a passé sur la joue ouïes lèvres, V..., d'un reve
èvres. Elle renifle fortement, tousse très souvent, fait claquer sa
langue
contre le palais. Elle produit, en aspirant et
» et ceci dit avec une volubilité extraordinaire, tout en tirant la
langue
et ouvrant démesurément la bouche. A l'ouvroi
précipi- tamment, les fesses nues. sur son banc, tout en tirant la
langue
MALADIE DES TICS; GUÉRISON. 215 et en haussan
quents. A relever ceci : elle ouvre démesurément la bouche, tire la
langue
en tous sens ou bien contracte la bouche, fait
ent brusques, rapides, impulsifs, involontaires. Le lavage par la
langue
des joues et des lèvres, puis l'essuyage un peu b
DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES DE FRANCE · ET DES PAYS DE
LANGUE
FRANÇAISE Tenu à Bruxelles, du ler au 8 août 19
s des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pays de
langue
française s'est ouvert à Bruxelles, samedi 1" a
inence de la lèvre infé- rieure, est entr'ouverte, laissant voir la
langue
, un peu épaissie, à peu près toujours fissurée,
a langue, un peu épaissie, à peu près toujours fissurée, hachurée. (
Langue
mongolienne). Den- tition tardive. Voûte palati
le que le sujet cherche à faire di-paraitre par un frottement de la
langue
ou une morsure des dents, dont l'effet dépasse le
I" CONGRÈS DES MÉDECINS ET NEUROLOGISTES DE FHAXCE ET DES PAYS DE
LANGUE
LP.1\f.IIJE Tenu ci Bruxelles, du le' au 8 août
consiste chez le cheval à passer fréquemment la face dorsale de la
langue
sur les corps environnants. Le tiqueur lèche se
avons parlé plus haut. La suggestion se fait de préférence dans la
langue
maternelle du ma- lade, mais ce qui importe sur
n anormale de l'appareil phonateur (lèvres molles et relâchées bave
langue
épaisse et courte), nous pensâmes d'abord que d
ioration de la prononciation. Mais, du côté du fonctionnement de la
langue
, aucun progrès. Epaisse, elle était bridée par
e nous, une malformation anatomique empêchant l'allonge- ment de la
langue
; il remarqua, au niveau du frein, trois cica- t
pouvait, en dis- séquant la muqueuse, obtenir un allongement de la
langue
de 2 centimètres au minimum. L'opération fut fa
ltat anatomique prévu fut obtenu : par des tractions opérées sur la
langue
, on obtint un allongement 1 Ces expressions, ce
que, si l'enfant parvenait à amener spontané- ment la pointe de la
langue
hors de la bouche (ce qu'il ne pouvait faire au
s mouvements de cet organe; il lui restait à apprendre à diriger sa
langue
et à s'en servir pour parler comme le petit enf
on, la mastication qui a besoin d'être surveillée, même apprise; la
langue
(hypertrophie, atrophie, perlèche, fissure-comme
a aussi à cette époque sur l'aspect anatomique anormal de certaines
langues
de bègues pour préconiser soit l'excision d'une
t constater chez tous deux une impuissance motrice très nette de la
langue
, des lèvres et du voile du palais. Or, ces trou
des .Médecins aliénistes et neurologistes de France et des pays de
langue
fran- çaise, vient de se terminer en gerbes de
ue le gauche. Le ma- lade souffre ordinairement de constipation, la
langue
est chargée, l'urine a la réaction presque neut
éveloppés et non plats ; la tète et ses organes : les paupières, la
langue
, les tonsilles, le palais, ne manifestent non p
maigre, pâle, les muqueuses décolorées, les extrémités froides, la
langue
suhurrale, l'haleine fétide, le ventre ballonné
que. fntrégrité de la branche motrice du trijumeau. Déviation de la
langue
à gauche : elle se meut bien moins facilement v
ue invariable. La lati- gue est comme dépouillée de son épithélium (
langue
chauve de Sandwith). Fréquemment on trouve des
bres du dernier Congrès des Aliénistes et Neurologistes des pays de
langue
française se sont arrêtés quelques instants à l
a rédaction de rap- ports et, entre temps, s'adonnent à l'étude des
langues
étrangères. On ne peut, bien entendu, être admi
on se trouve en présence d'une femme amaigrie, les traits tirés, la
langue
saburrale, l'haleine fétide. Dans son délire mé
ES MÉDECINS ALIÉNISTES ET \EUROLOGIST1 : 3 DE FRANCE ET DES PAYS DE
LANGUE
FRANÇAISE Tenu it Brazxelles, du Il, au 8 août
le que le sujet cherche à faire disparaître par un frottement de la
langue
ou une morsure des dents, dont l'effet dépasse
es mé- decins aliénâtes et neuiologistes de France et des pav. de
langue
française. Bluxellus, J3, 216, 312. Conscienc
ItB-GOLDFLA11. Voir Asthénie. Ergographe. Elude comparative de la
langue
au moyen de l' - et des ergogrammes, chez l'hom
la parole, l'ouverture de la fente inter-rabiale, l'attitude de la
langue
, etc. Quelques cas curieux sont à signaler, dan
s'écoule par les commissures. Parésie linguale. La propulsion de la
langue
hors de la cavité buccale se fait d'une manière
consulter. Rich... accuse, en outre, de la difficulté à mouvoir sa
langue
, surtout à la porter vers la droite. Depuis le
quand on fait ouvrir la bouche au malade, c'est la déviation de la
langue
du côté gauche, l'liémiatrophie de ce côté et l
lle est le siège (PI. X). Dans l'intérieur de la cavité buccale, la
langue
, au repos, a sa pointe nette- ment dirigée et m
l'enveloppe muqueuse était devenue trop large pour son contenu. La
langue
exécute dans son ensemble quelques légers mouveme
ar places, la muqueuse. Quand on fait exécuter des mouvements de la
langue
, il faut distinguer en- tre les mouvements exéc
. A l'extérieur, le sujet a de la difficulté à projeter en avant la
langue
, qui dépasse à peine la région labiale et qui c
nce, plus inégale et plus en retrait. Le malade porte assez bien sa
langue
en haut et en bas, dans les limites toutefois où
rieur de la cavité buccale, lorsqu'on dit au malade de redresser la
langue
et de porter la pointe en arrière vers les dents
xtérieur de la cavité buccale. / La sensibilité superficielle de la
langue
à la piqûre, au tact, est moindre à la pointe q
à gauche qu'à droite. La sensibilité profonde à la pres- sion de la
langue
entre l'index et le pouce est plus marquée à droi
sel ou de sucre frottés contre la face supérieure et le bord de la
langue
ne déterminent pas la sensation salée ou sucrée à
on salée ou sucrée à la partie antérieure de la moitié gauche de la
langue
; ils sont perçus à la hase, mais moins à gauch
à gauche qu'à droite. Le vinaigre, perçu dans toute l'étendue de la
langue
, l'est mieux à droite qu'à gauche. Sel, sucre et
tant à gauche qu'à droite. Malgré les troubles de la motilité de la
langue
, la déglutition n'est nulle- ment gênée. Quant
mieux. Il n'a plus de difficulté pour parler, et la motilité de sa
langue
est nettement augmentée. La projection en avant
rgiques et plus étendus à gauche. Quand le malade veut appointer sa
langue
, on constate un soulèvement plus marqué de la moi
s troubles du goût et une diminution légère de la sensibilité de la
langue
prédominant dans la moitié gauche. Le début s'est
nski (Soc. 7aaéd. hôl)., 1896) : en dehors de la cavité buccale. la
langue
se meut très facilement du côté atrophié ; dans l
és ont à exécuter un mouve- ment croisé, chaque côté doit porter la
langue
en avant et du côté opposé, en arrière et du mê
amélioré, depuis que le malade a quitté l'hôpital : déviation de la
langue
à gauche peut-être plus prononcée, parfois retour
être discutée. Il existe, dans l'écorce, des centres moteurs de la
langue
, qui ont, à travers la capsule interne, leurs c
luette, troubles légers du goût et de la sensibilité tactile de la
langue
. On sait combien se sont multipliés, ces dernie
ckson, à cause de l'atteinte simultanée du voile du palais el de la
langue
, mais il y manque la para- lysie laryngée, et i
se ferment ou s'ouvrent avec exagération ; la bouche s'ouvre et la
langue
sort en dehors ou bien s'élève contre le palais
res supérieurs et inférieurs, du tronc, du cou, de la face et de la
langue
(Lemoine et Lemaire). MYOCLONIES ESSENTIELLES 9
aucun stimgate d'épilepsie, aucune cicatrice, aucune morsure de la
langue
, ne gâte jamais. Pendant leur intervalle, la ma
au contraire, il est rubicond. Les paupières ne sont pas bouffies, la
langue
n'est pas grosse, la dentition est complète, la
le nous dit qu'elle a été malade, étourdie. Si on lui dit de tirer la
langue
pour que nous la piquions elle commence à rire
la voûte palatine est ogivale ; les dents sont en mauvais état. La
langue
a un volume normal, elle est le siège de légère
che demeure demi-ou- verte et les yeux peu mobiles. La pointe de la
langue
est entre les arcades dentaires et on la voit s
lles réagissent bien à la lumière. Rien d'anor- mal il la face ; la
langue
est poussée hors de la bouche sur la ligne moyenn
il existe une diplégie avec paralysie, ou parésie des lèvres, de la
langue
, du palais, du pharynx et du larynx, avec dysarth
ion successive des membres inférieurs aux muscles des lèvres, de la
langue
, du pharynx, à ceux de la respiration et delà dé-
asale, parésie du facial inférieur, diminution des mouvements de la
langue
, déglutition, dif- ficile ou impossible, troubl
it l'explica- tion, non seulement du mutisme, de la paralysie de la
langue
, du facial droit, des membres ajoutés à la dysp
lité des yeux normale. Sillons nasolabials, symétriquement tracés.
Langue
, normalement innervée. Impressions du goût et d
ne femme âgée de 35 ans présentant une sclérose superficielle de la
langue
qui imposait le diagnos- tic de syphilis bien q
rie et ne peut aller plus loin. « Je sais bien les paroles, mais la
langue
ne peut pas dire ». Si je lui dis : Allons, enf
ant la phonation. Il existe une légère déviation de la pointe de la
langue
du côté gauche. Les mouvements de latéralité à
péter les lettres en lui montrant les mouvements des lèvres et de la
langue
. Elle réussit très bien et très vite à répéter
ysie faciale gauche) ; on y a suppléé par le toucher, en mettant sa
langue
et ses lèvres dans la position convenable pour la
s, sans être obligée de regarder les mouvements des lèvres et de la
langue
; aupara- vant la vue des mouvements nécessaire
auche; bout du nez rejeté à droite. Pas de paralysies oculaires. La
langue
et le voile du palais ne sont pas déviés. Pas de
valles. Le sujet sourit, chante son chant monotone, fait claquer sa
langue
ou prononce les mêmes paroles que lorsqu'il danse
n presque complète de l'oeil gauche avec écoulement de larmes. La
langue
tirée hors de la bouche n'est pas déviée, elle ne
es doigts et de maintenir fermée la commissure labiale gauche. La
langue
, tirée hors de la bouche, n'est pas déviée ; elle
mouvements forcés de la face (ouvrir grandement la bouche, tirer la
langue
hors de la bouche, faire la moue, siffler, souffl
observe dans l'hémiface droite ni au niveau du peaucier droit. La
langue
, le voile du palais, la luette, les piliers ne pr
alpébrales, l'aspect normal de la fente buccale, la rectitude de la
langue
, la contraction normale du peaucier. Mais à un ex
es pen- dant lesquelles il y a incontinence d'urines, morsure de la
langue
et présence d'écume à la bouche. Il semble que
nte. La bouche est oblique, ovalaire, à grosse extrémité droite. La
langue
se meut très bien dans les deux sens, ne paraît
le mouvement ; la mimique est lente ; tremblement des muscles de la
langue
; la parole est assez nette ; les réflexes des mu
on constata des attaques convulsives, accompagnées de morsure de la
langue
et suivies de sommeil et d'amnésie. Le malade f
des bras exagérés ; réflexes patellaires abolis. Tremblement de la
langue
. Sur les radiographies de la tète, on voit nettem
r signes elle nous fait com- prendre qu'elle ne peut pas parler. La
langue
a tous ses mouvements libres. Dix minutes après
t il a eu des convulsions, la mousse aux lèvres ; il s'est mordu la
langue
. Après il s'est endormi profondément. Lorsqu'il
st pris parfois d'engourdissement du membre inférieur gauche et de la
langue
durant tantôt quelques minutes, tantôt une heur
t un engourdissement des doigts du membre inférieur gauche et de la
langue
ainsi qu'un léger vertige, les fourmillements e
aissance avec convulsions, de la mousse aux lèvres et morsure de la
langue
. Après l'accès, il dort profondément et au réveil
les pieds ; tête en boule de bilboquet. Peau bien humide, fraîche.
Langue
blanche, épaisse. Malade gei- gnant ou sommeill
légèrement serrer avec la main. Peut tourner la tête. T. vers 37°,
Langue
blanche. 6. Urine : 1.250 ; pas d'albumine. 7
arqué à gauche. 'Aucun trouble sphinctérien. Pas d'astéréognosie.
Langue
blanche. Haleine fétide. Inappétence. Rien du côt
à l'entrée. T. : 37°2. Faciès normal, coloré. Ichtyose généralisée.
Langue
fortement saburrale. Inappétence, un peu de dia
lesse persistante. Diarrhée pendant quelques jours. A l'entrée. -
Langue
sèche, un peu blanche. Pas de vomissement. Selles
n ni diarrhée, vomisse- ments. A l'entrée. T. : 38°3. P. : 100.
Langue
sale, plate, saburrale. Nul autre signe objectif.
Une selle normale abondante. Pas de nausées. Pas de vomissements. -
Langue
épaisse blanche. Le foie ne déborde pas les fauss
ve un peu mieux et' les douleurs musculaires semblent moins aiguës.
Langue
toujours chargée. Il s'assied. Pas de signes de K
régulier, égal, bien frappé. La céphalée est presque disparue. z La
langue
est moins chargée. Fétidité de l'haleine. N'a pas
ouleurs dans le pied gauche et dans le genou droit. 212 Etienne
Langue
saburrale. Anorexie. Constipation. Marche de la
u droit et le coude droit, sans gonflement. Apyrexie. 1" septembre.
Langue
blanche, humide. Bruits cardiaques normaux. Dou
e. Pouls bon. 6. Epistaxis. Céphalée, 37°6. 7. Tête lourde, 36°6.
Langue
blanchâtre. 12. - Sueurs profuses depuis 15 jou
de se contracter. Bouche normale, pas de boucle oblique ovalaire.
Langue
non déviée. 274 BAUMEL ET LARDENNOIS Sensatio
tion de la faculté gustative dans les deux tiers anté- rieurs de la
langue
avec sécheresse plus ou moins marquée de la bouch
ent exagéré de la joue droite et de la moitié' correspondante de la
langue
. Les troubles dont cette malade est atteinte sont
digitale ne laisse nulle part de godet.' / La moitié droite de la
langue
présente une hypertrophie considérable et ses p
tat normal, il peine visibles. La largeur de la moitié droite de la
langue
est de 3 cm. 8 pour 1 cm. 8 du côté opposé. La
langue est de 3 cm. 8 pour 1 cm. 8 du côté opposé. La pointe de la
langue
du côté droit dépasse de 2 millimètres celle du c
emble pas différente dans ses deux moitiés), vient en contact avec la
langue
à cause de l'hypertrophie de cette dernière. On
ngual ne se trouve pas sur la ligne médiane, la moitié droite de la
langue
mesurant sur sa face inférieure 3 centimètres,
ns pratiqué l'examen microscopique d'un petit fragment excisé de la
langue
de la malade (près de la pointe). Le microscope n
plus nom- breuses, plus longues et plus ramifiées que celles de la
langue
normale, ainsi que des coupes de contrôle nous
he en noyaux dans notre cas qu'à l'état normal. FIG. 1. Coupe de la
langue
dans le cas présent. Pro. 2. Coupe de la lang
G. 1. Coupe de la langue dans le cas présent. Pro. 2. Coupe de la
langue
dans le cas présent. SUR UN cas D'HÉMI-HYPERT
ROPHIE CRANIO-FACIO-LINGUALE 285 Les figures 3 et 4 provenant d'une
langue
normale montrent bien le faible développement d
marque en outre le faible développement comparatif du derme dans la
langue
normale où on remonte bientôt sur la couche muscu
ème par compression, un simple lipome. De même l'hypertrophie de la
langue
ne saurait être confondue avec une tumeur, une sy
diagnostic, car elle existait aussi dans d'autres cas. Fia. 3. -
Langue
normale. Fio. 4.- Langue normale. 286 PABHON
stait aussi dans d'autres cas. Fia. 3. - Langue normale. Fio. 4.-
Langue
normale. 286 PABHON ET Mllo SÉVERIN Mais cert
286 PABHON ET Mllo SÉVERIN Mais certainement la participation de la
langue
fait, de ce cas* comme de ceux qui lui ressembl
iffler, ni prononcer l'o et l'u, ni rouler l'r. Elle ne peut tirer sa
langue
hors de la bouche-et n'arrive qu'à grand'peine
lesse de l'orbiculaire des lèvres (impossibilité de siffler), de la
langue
(ne peul être tirée hors de la bouche), du voile
ité de siffler (parésie de l'orbiculaire des lèvres) et de tirer la
langue
au dehors (parésie de la langue) appartiennent à
iculaire des lèvres) et de tirer la langue au dehors (parésie de la
langue
) appartiennent à la variété paralytique. En r
e se sentait paralysée de tout le côté gauche, même la figure et la
langue
, ayant la sensation d'être traversée par un coura
quinine- 16. Température : 37°5 le matin et 38° le soir. Pouls 66.
Langue
char- gée. Des vomissements. Pas de céphalée. P
son entourage, des convulsions dans le corps. Pas de morsure de la
langue
. En reprenant connaissance, il était hébété et
ocale gauche est en position cadavérique, complètement immobile, la
langue
et le voile du palais sont intacts. L'aphonie e
urgeon- nante de sa paroi postérieure à la hauteur de la base de la
langue
; elle admet le stylet qui pénètre peu profondé
même état de la plaie pharyngée, aucun trouble de la motilité de la
langue
, du voile ou de ses piliers. La radioscopie du th
ontact. La luette est déviée à gauche, mais le voile remonte droit.
Langue
bien tirée. Les cordes vocales sont un peu rouges
eu pour aphonie.; à la fin de l'examen, il était simplement enroué.
Langue
tirée droite, voile du palais normal. Pupilles
dans Paris seraient de mes pratiques ! 1 Et d'ailleurs, dans notre
langue
vulgaire, l'expression : « Il a un rat 1 0 est
ux fermés. La parole était traînante et difficile ; par instants la
langue
fonctionnait mal. On diagnostiqua alors une par
choires s'écartent et se rapprochent lentement et difficilement. La
langue
se meut péniblement 8 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
mais l'ouverture est toujours plus large à droite qu'à gauche. La
langue
est tirée droite, il n'y a pas de déviation et el
est bilatéral, il n'est pas compliqué d'hémiplégie hystérique et la
langue
n'y participe pas. Nous n'avons pu trouver de p
ployé aussi les jours antérieurs des lavements qui furent retenus. La
langue
se conserva toujours nette et un peu sèche. E
ndant tout le temps que persista l'attaque fébrile et douloureuse. La
langue
fut toujours nette et il n'y eut point de vomis
TRIÈRE. yeux ; ils présentent des convulsions, des tremblements, la
langue
sèche avec perte de l'appétit, mais ainsi que j
our suivant. L'état général, la coloration de la peau, l'état de la
langue
, dissipaient toujours les craintes, en laissant
ouillée il cause de la raideur et du mou- vement involontaire de la
langue
, mal articulée, nasonnée, mal sonnante, parce q
servant à la parole dans un état de raideur, de tension. Il tire la
langue
hors de la bouche mais accomplit pour cela un eff
un effort consi- dérable de tout le corps. Seule dans la bouche la
langue
exécute des mouvements les plus divers, il la p
isage se con- tracte, la bouche également jusqu'à laisser sortir la
langue
; la tête tourne, il fait un effort général éno
ue ces grimaces bizarres de la face se produisent à l'extérieur, la
langue
remue continuellement dans la bouche; elle roule
intensité assez grande lorsqu'on commande aux patients de tirer la
langue
ou d'ouvrir la bouche. En général les malades r
On peut retrouver l'influence des émotions sur ces mouvements de la
langue
qui, comme nous venons de le dire, varient beauco
t autrefois laissait échapper de l'urine. Elle ne se mord jamais la
langue
. L'attaque est pré- cédée d'une aura consistant
é- cédée d'une aura consistant eu tremblements, des lèvres et de la
langue
. Au dire de la mère, c'est vers la même époque
icile, la parole est comme retenue ou allongée, mais possible. La
langue
n'est pas hypertrophiée, ne sort pas hors de la b
rs de la bouche : quand on lui fait ouvrir la bouche on voit que la
langue
est à peine remuée de quelques petits mouvement
s arrive il peine à la sortie d'un ou deux centimètres de dehors ; la
langue
ne peut plus rester dans cette position, elle e
gonistes. Un certain nombre d'auteurs ont noté l'hypertrophie de la
langue
, qui donne quelquefois naissance à une véritabl
parole est fréquemment altérée par suite des troubles moteurs de la
langue
, des lèvres, du voile du palais, autrement dit pa
uisse être absolument correct. L'athétose de la face et celle de la
langue
ont cependant été rencontrées dans ces dernière
s commis- sures, dû à la contraction involontaire des muscles de la
langue
et d'une partie de la face. Dans quelques fai
d'une partie de la face. Dans quelques faits l'hypertrophie de la
langue
joue probablement un certain rôle, pour rendre
en pareilles circons, tances de l'hémiathétose de la face et de la
langue
. L'élocution peut dans quelques cas s'améliorer
zarres, les grimaces les plus inattendues et les plus étranges. La
langue
n'est pas hypertrophiée, le malade peut la sort
sans connaissance, ne pousse aucun cri ; quelquefois il se mord la
langue
. En général il tombe sur le côté droit. Pendant
la suite du rapprochement des mâchoires, les joues se plissent; la
langue
frappe con- tre le voile du palais en produisan
exciter leurs chevaux. Dans quelques cas il y a des morsures de la
langue
et des lèvres. Aux membres supérieurs l'enfant re
ion du son s'accompagne de mouvements convulsifs sié- geant dans la
langue
, les lèvres et les autres muscles de la face. L
Aucune anomalie ne se révèle dans les mouvements de la face, de la
langue
ni dans les sens spécieux ». Quoique le cas soi
. Les yeux sont enfoncés dans l'orbite, les lèpres boursouflées, la
langue
sale, l'haleine fétide (PL XXXIV, XXXV). Sur le
st restée assez élastique et ne garde pas les plis qu'on y fait, la
langue
n'est pas sèche ni l'haleine forte. Les pieds j
rge, perte de connais- sance, grands mouvements, sans morsure de la
langue
, sans miction in- volontaire. La première de ce
rent, les dents saines, la voûte palatine normale ; le volume de la
langue
n'est pas exagéré, les amygdales très grosses f
semble réagir lorsclu'on lui met de la poudre de coloquinte sur la
langue
et un flacon d'ammoniaque sous les narines ; il
'accom- pagnant jamais de perte de connaissance, ni de morsure à la
langue
. La surveil- lance de son enfant devenant alors
tat de repos, mais qui s'accuse mieux par le rire ou les larmes. La
langue
n'est pas déviée. Tout ce qui précède se rappor
ne et le sel ne provoquent aucune saveur sur la moitié droite de la
langue
. Perception très nette du côté gauche. III. Nut
côté du corps. Quand notre malade parle, vous le voyez bégayer, sa
langue
tremble, et il trouve les paroles avec dif- fic
çoit celle des roses. Le goût a disparu dans la moitié gauche de la
langue
. Nous ferons re- marquer que le malade se plain
s d'une façon pénible et lente. Si nous lui de- mandons de tirer la
langue
, nous voyons qu'il ne peut la maintenir hors de
onnés ; les méninges cérébra- REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX
LANGUE
ET LARYNX D'UNE HYDROPHOBE les, surtout, sont d
te avec la rougeur de la muqueuse sus-laryngienne. Sur la base delà
langue
on trouve, non-seulement les papilles, mais toute
rophiées. (Voir la planche II). Aucune altération ni tumeur sous la
langue
. Les glandes sub¬linguales sont saines. — Nous
'anesthôsie de la peau et l'hypertrophie des glandules delà base delà
langue
. Dans la plupart des observations de rage, on v
t une anesthésie considérable. Quant aux glandules de la base de la
langue
, on signale bien, dans les auteurs, de l'hypertro
en, dans les auteurs, de l'hypertrophie des papilles de la base de la
langue
, mais cette hypertrophie considérable de toutes l
e et de couleur rosée, que l'on pourrait prendre, à distance, pour la
langue
œdémaliôe. Cette masse occupe presque toute la la
e supérieure, et produite par la pression des dents à ce niveau. La
langue
est refoulée sur la moitié droite du plancher buc
'opération ayant été liées, un fil est passé à travers le filet de la
langue
et fixé à l'une des épingles qui servent à pratiq
la lon¬gueur de la plaie, excepté seulement au niveau des fils de la
langue
et de l'artère faciale. 12 octobre. On enlève l
remplit aux deux tiers le plancher de la bouche, se continue sous la
langue
, embarrasse, non-seulement les mouvements de cet
pour ainsi dire appliqué sur la joue de ce côté. De celte manière, la
langue
présente la face inférieure à gauche, et vice ver
o¬longement interne, remplir en partie la cavité buccale, déplacer la
langue
, qui se trouve comme renversée et refoulée dans l
¬culation, mais la nutrition a souffert ; l'embonpoint a diminué ; la
langue
est saburrale, et il y a des alternatives de cons
s, les jours de paroxysmes, il y avait du malaise : bouche mau¬vaise,
langue
sale; peau sèche, teint jaunâtre ; prostration de
chies ont une couleur rousse; elles dimi¬ nuent. La malade nourrit.
Langue
nette; appétit; selles régulières. P. 74 ; T. V.
s de sécrétion des glandes, soit des amygdales, soit de la base de la
langue
, soit de l'isthme du gosier. II. Les angines ai
tifs de sérosité, suivie d'une note sur les divisions complètes de la
langue
chez les enfants, par G. Pei.tier, interne des
es yeux, surtout à gauche. L'ouïe, l'odorat, etc., sont normaux. La
langue
est légèrement tremblotante. La bouche, les genci
après six heures de travail. Le soir, P. 64; T. Ax. 55°,9. — 16 mai.
Langue
chargée, ventre souple, plat; selles. Lochies nor
le sein. Céphalée. P. 72; T. 38u,6. Soir : P. 76 ; T. 37°4. — 17 mai.
Langue
nette, rouge; nuit bonne. P. 68; T. 56°,2 ; l'enf
auche ; le ventre est assez sou¬ple, mais la pression est pénible. La
langue
est sèche. — -Soir. P. 112; T. V. 39°,6. 28 déc
pénible. La langue est sèche. — -Soir. P. 112; T. V. 39°,6. 28 déc.
Langue
saburrale, sèche et brunâtre au centre ; soif viv
e l'aisselle s'est abcédé. 29 déc. Amélioration. Face meilleure. La
langue
est saburrale, la soif moindre, les douleurs null
V. 40°,8. La peau est le siège d'une chaleur intense, mordicante. La
langue
est saburrale, le ventre médiocre¬ment ballonné e
loureux. Il n'y a pas eu de vomissements. Ex¬citation légère. — Soir.
Langue
large, sèche à la pointe ; soif assez vive; ventr
ntaires. Délire léger, tranquille. — -Soir. P. 120; R. 32; T. V. 41°.
Langue
saburrale; soif vive; ventre ballonné, douloureux
ée; le front chaud. Les pupilles sont égales, contractiles, normales.
Langue
humide, saburrale, soif vive ; renvois gazeux don
opium; cataplasme laudanisé. Soir. P. 144 ; R. 24 ; T. V. 41°,4. La
langue
, un peu humide et saburrale sur les bords, est
anche I. Résultat d'une résec¬tion de l'épaule....... 1 Planche II.
Langue
et larynx d'une hydrophobe...... 14 Planche I
était désagréable et celle d'une idiote. La bouche était large, la
langue
épaisse et protubérante. De chaque côté du cou,
lèvres sont épaisses. L'enfant possède toutes ses dents de lait. La
langue
est de grandeur naturelle. De chaque côté du co
clavicules. (Voir fiy. 3). Fig. 3. - Figure montrant la trachée, la
langue
, l'absence de corps thyroïde, et les masses gra
de nombreuses macules. Amygdales petites; mu- queuse buccale pâle;
langue
un peu épaissie. Gr... dit qu'il ne peut sortir
ale pâle; langue un peu épaissie. Gr... dit qu'il ne peut sortir la
langue
. La parole est très pâteuse, lente, monotone. D
entre est médiocrement douloureux; il existe un tympanisme léger. -
Langue
légèrement saburrale; deux garde-robes ce matin
le gauche ; rien aux lèvres. L'érysipèle marche de droite à gauche;
langue
humide; nuit tranquille; pas d'agitation. - Soi
es et l'ouverture buccale, ordinairement béanle, donne issue à la
langue
, qui est très volumineuse et semble ne pouvoir se
IQUE. 57 la face; tuméfaction des paupières; épaississement de la
langue
, bave; oedème sur les mains ; cheveux rares ;
avec le fond blanc jaunâlre du teint qui a une couleur de miel ; la
langue
, épaissie pend presque constamment entre les de
est obtenu par la méthode des U9 Russell et West. Digestion.- La
langue
n'est pas notablement agrandie et pas entamée p
à trois ans, et de la marche à cinq ans. - Coqueluche, rougeole. -
Langue
et lèvres épaisses; gonflement des pieds et des
à parler vers deux à trois ans, il avait les lèvres épaisses et la
langue
très grosse; celle-ci pendait alors en dehors de
, offre des lèvres tuméfiées et pendantes, surtout l'inférieure. La
langue
, très volumineuse, semble prête à s'échap- per
'allongent, les lèvres s'écartent et deviennent plus saillantes, la
langue
s'é- chappe et la bouche se fend jusqu'aux orei
s, le nez écrasé, les lèvres légèrement épaisses laissant sortir la
langue
de temps à autre. Il avait un tic particulier c
te cachectique de la peau; brachycéphalie ; retard de la dentition;
langue
épaisse et pendante; 1 Goodhart. Sporadic créli
a dent cor- respondante du côté opposé apparaissait. L'état de la
langue
était remarquable. Elle était trop grande pour
ouble et gris jau- nâtre. - Rein droit (1415 gr.), mêmes lésions.
Langue
hypertrophiée avec plusieurs impressions dentaire
extrémités; pas d'hyperplasie conjonctive. - 3° Musculature de la
langue
également normale : pas d'hypertrophie des fibril
tion de froid; culo- ration jaunâtre de la face; aspect crétinoïde;
langue
dure, lourde, gênant la parole. - Eu 1882, tube
es ne se sont pas modifiés depuis le dernier examen. Appétit nul,
langue
blanche, constipation opiniâtre. Ab- domen ni b
persiste, l'amaigrissement augmente. Bouche cons- tamment ouverte,
langue
blanche et sèche, pas de muguet. Ni vomissement
ouge pas, n'avale pas, grimace quand on le remue. Bouche ouverte,
langue
sèche, clignottement des paupières, inégalité pup
accélère. Contracture des quatre membres, stertor, sécheresse de la
langue
et des lèvres. Mort. A l'autopsie : Congestion
abattue, la peau chaude. L'enfant se plaint tou- jours de la tête.
Langue
saburrale, soif vive, ventre sou- ple. Trois se
ques secousses d'une toux grasse, pendant lesquelles il projette sa
langue
hors de la bouche. En avant et en arrière, on e
crise, qui est encore révélée plus sûrement par des morsures de la
langue
, sinon constantes, au moins fréquentes. Céphala
a cherché à le mordre. 1884. ler juillet. Pas de tremblement de la
langue
ni des lèvres. Forces affaiblies. 24 décembre
t à lui faire ouvrir la bouche, mais on no peut lui faire sortir la
langue
, qui tremble légèrement.- Mén... égratigne parf
narines pulvérulentes. Bouche un peu entre ouverte, lèvres sèches,
langue
assez bonne, mâchonnement. Pas de roideur do la
ar des larmes. La malade n'urina pas sous elle, ne se mordit pas la
langue
pendant l'attaque. On provoqua une vive douleur
Motilité. Les mouvements des muscles de la face, des lèvres, de la
langue
s'exécutent bien. Pas de trémulation, pas de mouv
On Le soulève par la tête. Il y a absence de cri, de morsure de la
langue
, de miction involontaire. La crise se termine p
s annuel des aliénistes et neurologistes de France et des pays de
langue
française s'ouvrira le jeudi 1<='' août 1895,
et à droite, la joue gauche appuyée fortement contre le volet ; la
langue
était pen- dante et tuméfiée, le pantalon mouil
ion des mouvements vulgaires de pro- pulsion ou de latéralité de la
langue
, de propulsion des lèvres, etc. Les chiffres pr
arquée d'un côté que de l'autre; qu'il y a absence d'atrophie de la
langue
dans l'hé- miplégie double, et qu'enfin il y a
t qu'enfin il y a conservation de l'excitabilité électrique dans la
langue
et le voile du palais dans cette dernière affec
st en imminence d'accès, on observe chez lui un état saburral de la
langue
, des plus pro- noncés. Plus ou moins étalé, cet
la limite de l'enduit saburral. C'est en somme l'aspect qu'offre la
langue
dans ce qu'on est convenu d'appeler l'embarras
vertiges, un ou plusieurs accès, de l'agitation, etc. Au début, la
langue
est seulement un peu sale, puis chaque jour, l'
jusqu'à l'apparition des acci- dents. Si les accès sont isolés, la
langue
redevient normale, après chacun d'eux et reste
accidents épilep- tiques ; puis la première attaque éclate; mais la
langue
au lieu de revenir ensuite à l'état normal, res
est d'ailleurs marqué par la disparition de l'état sabur- ral de la
langue
. Mais s'il y a un intervalle de vingt-quatre ou
e on peut facilement s'en rendre compte en surveillant l'état de la
langue
. Malgré l'interruption des accès, l'enduit sabu
épit, de nouvelles attaques surviennent. C'est seulement lorsque la
langue
redevient nette, lorsque les troubles gastro-in
éressant de voir ce que devient dans ces cas, l'état saburral de la
langue
. Ici comme tout à l'heure les accès s'arrêtent
dans le premier cas, ici c'est le trouble mental qui s'établit. La
langue
devrait donc rester dans le même état. C'est ce
enir quelque accès convulsif. Après un temps plus ou moins long, la
langue
commence à devenir meilleure, et c'est l'indice
ndice certain que le trouble mental touche à sa fin. Chaque jour la
langue
se rapproche de DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEP
l a complètement disparu. Ce parallélisme absolu entre l'état de la
langue
et les acci- dents épileptiques a donc une impo
dents larvés, est annoncée et accompagnée par l'état saburral de la
langue
; c'est que la durée de cet état est égale à cel
n annonce le retour à l'état normal. Les anciens considéraient la
langue
comme le miroir fidèle de l'estomac, toute modi
ci. L'estomac doit donc être atteint dans l'épilepsie, l'état de la
langue
l'atteste à priori, et les faits le prouvent; d
purgation. Ils ont raison, cet état gastrique, dont l'enduit de la
langue
n'est qu'une manifestation, se produit chaque f
doit suivre les mêmes variations que nous avons signalées pour la
langue
. Cependant, pour nous en assurer, nous avons fait
es nous ont apporté la certitude que, comme l'état saburral de la
langue
, les troubles gastriques qui marchent de pair von
constants dans les accidents épileptiques. Les modifications de la
langue
, indiquant la manière d'être et l'état des fonc
s le texte,'et quand, surtout, on étudie leurs observations dans la
langue
où elles ont été rédigées.' Dans le mémoire de
iculation, ni l'écriture n'offraient rien d'anormal. Elle tirait la
langue
sans déviation. Il n'y avait pas de parésie fac
ment les muscles du côté droit de la face et du cou ainsi que de la
langue
. Ces crises convulsives se renouvelèrent et bient
troubles de la déglutition, léger tremblement des mains et de la
langue
. Le 30 octobre 1892, crise convulsive caractérisé
accès de troubles bulbaires graves, impossibilité de déglutir, la
langue
se renversait en arrière, etc. C'est dans un de c
NS L'ÉPILEPSIE. 367 bale ? de.l'incoordination des;mouvements de,la
langue
et de latrémulation : des.lèvres,qui,sont.lente
ngage sont en grande partie dus à des troubles de la motilité de la
langue
. Nous disions en commençant cette rapide étude
a première syllabe que se fait 1 Féré. Note sur l'exploration de la
langue
. Comptes rendus. Société de Biologie, 1889, p.
vidence les troubles moteurs que l'on voit apparaître du côté de la
langue
après les accès. Avec le glosso-dynamomètre il
ent norma- lement ; il n'y a pas de nystagmus. Les mouvements de la
langue
se font bien mais avec lenteur. Pas de troubles
série d'autres qui ne paraissent avoir aucun but. La motilité de la
langue
n'est guère gênée. Pas de trouble de la dégluti
complète et est véritablement de la démence. Les mouvements de la
langue
persistent, mais sont faits lentement, et par sac
arler, compris seulement des personnes de l'entourage ordinaire. La
langue
n'est pourtant pas déviée et ne présente pas de
paru en France sur ce sujet, mais la connaissance qu'il possède des
langues
étrangères lui a permis d'examiner encore les t
NS L'ÉPILEPSIE. 447 sur l'état gastrique et l'enduit saburral de la
langue
; c'est que ces symptômes ont pour nous une impo
n peu de malaise, de la cépha- lalgie, etc. L'examen nous montre la
langue
recouverte d'un enduit saburral, les troubles g
e folie épileptique. Pendant tout le temps que durent les accès, la
langue
reste dans le même état, ou bien parait de plus
parait de plus en plus chargée. Les accès cessent, et cependant la
langue
ne change pas d'aspect; c'est qu'alors les acci
s acci- 448 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. dents ne peuvent cesser, la
langue
ne peut redevenir normale, le tube digestif ne
cès, que la chose est le plus manifeste. Si l'on n'examinait pas la
langue
et si on ne connaissait pas la toxicité urinair
ellectuelle, mais ils n'ont pas d'accès, et l'enduit saburral de la
langue
persiste ou augmente. Il n'y a rien d'étonnant
heures, il survient de nouveaux paroxysmes. Cet état saburral de la
langue
est un signe que la série n'est pas épuisée; do
par l'organisme augmente, et l'état gastrique comme l'aspect de la
langue
s'accentue. Lorsque la dose est suffisante, et qu
la menstruation ont un certain malaise avec de la céphalalgie, une
langue
sale et pâteuse et une diminu- tion de l'appéti
Le Congrès des Aliénistes et Neurologistes de France et des pays de
langue
française s'ouvrira à Bordeaux le vendredi 2 août
et rien que d'entendre prononcer le mot de bâillement, qui, dans les
langues
les plus diverses, vise à l'imitation onoma-topéi
façon presque inintelligible). — Hor...tense. M. Charcot. — Tirez la
langue
. (Aux auditeurs) : Vous voyez qu'elle peut enco
ques mouvements choréiques de la face,l'impossibilité de maintenir la
langue
hors de la bouche, la difficulté spéciale de l'ar
le diagnostic hystérie, trouve son complément lorsqu'on fait tirer la
langue
au malade. Cet organe en effet prend alors cette
nsensible; ouïe à droite très affaiblie; goût nul du côté droit de la
langue
. Voilà toute la série des stigmates classiques
nce dégénérative de l'alcool sur la descendance, 5 mars 1888. et la
langue
verte. Ce serait une erreur, messieurs, et aussi
r côté très-bien caractérisés : goût diminué sur le côté gauche de la
langue
; odorat obnubilé également à gauche ; ouïe affec
lui adresse ; sur la demande qu'on lui en fait, il essaie de tirer sa
langue
, mais il n'y réussit pas et parvient seulement à
mais il n'y réussit pas et parvient seulement à ouvrir la bouche. La
langue
n'est point sèche. Même traitement. Température r
, les yeux enfoncés. Les lèvres sont sèches, couvertes d'enduits ; la
langue
cependant reste humide. ¦ On a eu raison ce mat
bien que l'alimentation ait pu être continuée tant bien que mal ; la
langue
est sèche, le ventre creusé en bateau, comme rata
ins bruyant remplacé désormais par de la stupeur; la sécheresse de la
langue
, etc., etc. ; et enfin, par-dessus tout, l'élévat
t dans ce cas. En effet souvent il y a pendant l'accès, morsure de la
langue
et urines involontaires, faits vraiment exception
ait remarquer au moment de la leçon,était portée à un haut degré ; la
langue
était sèche : les mouvements choréiques, atténués
s modification très marquée. Le soir, même prostration, même stupeur;
langue
toujours sèche, déglutition difficile. Le pouls q
sence d'une hémianalgésie droite (Fig.35).Le goût du côté droit de la
langue
esta peu près com- Pig. ¿0. plètement aboli.
L'enfant ne peut parler. Il éprouve une grande difficulté à tirer la
langue
. — Je vous ferai remarquer que les réflexes rotul
Dr Motchoutkowsky d'Odessa. Il l'a exposée dans un Mémoire publié en
langue
russe il y a cinq ans (1882), et resté je crois,
ot, une syllabe, bien qu'elle ait conservé dans les lèvres et dans la
langue
, des mouvements qui, bien qu'entravés quelque peu
rès, la bouche s'était fortement déviée vers la droite, et lorsque la
langue
était tirée, elle se portait de ce même côté droi
e, au-dessus du creux du jarret. Goût aboli sur toute l'étendue de la
langue
; odorat aboli à gauche. Un examen du champ vis
disparu au bout d'une huitaine. Mais alors des troubles du côté de la
langue
se sont manifestés. Il y avait une certaine dif
, mais de cette époque date une grande difficulté qu'il a de tirer la
langue
en dehors de la bouche, difficulté qui existe enc
ment la bouche ; mais il tire très difficilement et incomplètement la
langue
qui paraît contrac-turée; celle-ci n'est déviée n
u de nystagmus. Diminution très prononcée du goût des deux côtés delà
langue
. Abolition du réflexe pharyngien. Odorat très dim
premiers jours de l'hémiplégie et qui, aujourd'hui, se sont effacés :
langue
tirée vers la droite, quoique, remarquez-le bien,
tres disaient, et les mots me venaient pour répondre. Mais c'était ma
langue
qui ne voulait pas tourner. » L'hémiplégie des
topsie, ouïe affaiblie à gauche, goût aboli sur toute l'étendue de la
langue
. Insensibilité du pharynx (Fig. 68). Le dynamom
du goût, hemia-mthésie gauche. Hémiplégie gauche, contracture de la
langue
. Aura montant de la fosse iliaque gauche, boule
Hémiplégie gauche avec douleur à la cuisse, blepharospas-me û gauche,
langue
tirée adroite. 0 Rêve de son accident, voit d
ût, anesthésie Pharyngée, hémianes-thes* gauche. Hémiplégie gauche,
langue
déviée à droite, bouche tirée à gauche et en haut
gaires dans l'intervalle des accès ambulatoires, pas de morsure de la
langue
,pas d'urinationinvo- ANNÉE 1888 ANNÉE 1889
e relâchements des sphincters. Ses traits n'étaient pas convulsés, la
langue
ne sortait pas de la bouche ; comme elle est fort
mp visuel. Pas detroubles de l'odorat, de l'ouïe. Seul l'examen de la
langue
a fait reconnaître que la sensibilité générale ai
e compte rendu de mes leçons cliniques de cette année-là, publiées en
langue
italienne par le regretté Dr Miliotti (4). Vous l
d, puis cloniques; il y a de l'écume à la bouche,pas de morsure de la
langue
, pas d'urination involontaire. Un léger stertor t
une règle qui souffre cependan* quelques exceptions, la morsure de la
langue
et l'urination involontaire y font défaut. Mais
pparition plutôt la nuit, début soudain sans prodromes, morsure de la
langue
, urination involontaire, stertor prolongé, abruti
raît-il, et sans accrocs. Il est donc abasique, si vous voulez, de la
langue
et des lèvres pour l'articulation parlée, il ne l
s dans l'esprit du malade aucune espèce de souvenir, il se mordait la
langue
et urinait au lit. C'était le mal comitial dans t
nuit, il n'est jamais tombé de son lit; qu'enfin,il ne se mord pas la
langue
et n'urine pas sous lui comme il le fait dans ses
out à coup se raidit, ses yeux sont hagards, convulsés, il se mord la
langue
, puis il se met à ronfler; cela dure un certain t
en général par quelques points ; habituellement, il ne se mord pas la
langue
et n'urine pas, et si l'on intervient violemment
out cela des traces suffisamment accusées de spasme glosso-labié : la
langue
est tirée vers la droite, la lèvre supérieure du
s conjonctives, ainsi que la membrane muqueuse buccale et celle de la
langue
peuvent par contre être pincées, tiraillées, piqu
avons à signaler une perte très nette du goût sur le côté droit de la
langue
, la sensibilité de la membrane muqueuse étant con
smie de la narine droite. La perte du goût sur la moitié droite de la
langue
persiste et il y a une diminution très nette de l
et réguliers. Il n'y a aucune apparence de spasme ni de paralysie. La
langue
est tirée droite et se meut dans tous les sens sa
roit. Le goût est complètement aboli sur toute la moitié droite de la
langue
. Pas de troubles oculaires. Zone hystérogène. —
des deux yeux, l'abolition du goût dans toute la moitié droite de la
langue
, un affaiblissement très appréciable de l'ouïe et
ussi bien que ceux des globes oculaires s'exécutaient librement. La
langue
était tirée droite, elle ne présentait aucune déf
111, 114, 115, 131, 172. — Idées de persécution dans la, 105. — (
Langue
dans la), 38. Chorée molle, 38, 108. — Parole,
Landouzy, 25, 414, 416. Langage (Matériel de la faculté du), 250.
Langue
dans la chorée, 38. Lannelongue, 180,182, 191.
le trouve affaissé, fébricitant, refusant la nour- riture, avec une
langue
grillée, de la diarrhée. On l'alite; la tempé-
état, le teint se plombe un peu, fuliginosités sur les lèvres et la
langue
, le malade est dans une stupeur assez grande et
de petites épistaxis, de la diar- 24 CLINIQUE NERVEUSE. rhée, une
langue
grillée, la température à 40°, le pouls dicrote à
névrite optique double, plus accusée à gauche, tremble- ment de la
langue
et des lèvres, articulation des mots imparfaite.
abondante; quand les douleurs sont fortes, il y a sécheresse de la
langue
et pas des larmes. Sous )'influence de la douleur
s d'inégalité papillaire, pas de tremble- blement fibrillaire de la
langue
et des lèvres, pas d'idées de gran- deur ; pas
cles de la face du côté opposé. 3. La déviation ]Jtt1'étir¡ue de la
langue
et la dysartiirie typique en rapport avec le de
é de paralysie de cet organe. Dans l'hys- térie, la déviation de la
langue
se présente sous des formes variées et capricie
une paialysie alterne : ptosis droit, myosis droit, déviation de la
langue
vers la droite, SOCIÉTÉS SAVANTES. 173 3 sans
taire, le malade lit à peine et signe difficile- ment son nom. La
langue
est bonne, non tremblante. L'appétit est excellen
e tout excès alcoolique. Il ne présente- pas de trem- blement de la
langue
et des doigts. Il a été réformé du service mi-
nt intentionnel des membres supérieurs (yeux ouverts ou fermés). La
langue
ne trem- ble pas. Trophicifé. Pas de déviatio
mobiles, la déglutition était difficile, la parole embarrassée, la
langue
lourde, les muscles de la face épargnés. A l'ac
pée de paralysie périodique des quatre membres, envahissant même la
langue
: la durée variait de trois à huit heures. Elle
neront' au choix de telle ou telle (Université/ allemande ! ou de !
langue
: allemande, désireuse de se l'attacher. 1 Qu
a été réalisé dans tous les centres universitaires allemands ou de
langue
allemande. On peut dès maintenant apprécier les
ssent au bout de quinze à vingt minutes. Le coeur bat plus vite, la
langue
s'épais- sit, et si la dose est forte, le langa
is cette époque, il a la parole un peu embarrassée, il dit que « sa
langue
est lourde ». Quand il mange des fragments d'al
il mange des fragments d'aliments restent sous le côté gauche de sa
langue
, et il est obligé de les enlever avec les doigt
ition, coloration, sensibilité et motilité). Les deux moitiés de la
langue
sont très inégales, la gauche étant beaucoup plus
inégales, la gauche étant beaucoup plus étroite. Dans la bouche, la
langue
exécute sans difficulté tous les mouvements : h
ne contient pas moins de 96 indications bibliographiques en toutes
langues
sur la question. [A l'asile d'Armentières l'alite
cuit, il réunissait les fragments en pelote et les gardait entre la
langue
et le palais. Il' vomissait quelquefois mais pend
Les poumons et le coeur sont sains, le pouls bat 70 à la minute.
Langue
blanche, présentant au niveau du V lingual et un
es datant de deux mois et d'ailleurs très atténués aujour- d'hui.
Langue
couverte d'un enduit blanchâtre, sans tremblement
on, vu l'àge du sujet et la présence d'une cicatrice suspecte de la
langue
fut considérée' comme étant probablement d'orig
soir, il le trouva dans une mare de sang il venait de s'arracher la
langue
, que le surveillant ramassa. L'in- terne arrêta
ade dégagea ses mains et s'acharna de nouveau après la racine de la
langue
. L'interne ayant ouvert la porte, il se jeta su
1868 (Bude-Lipot- mezo). C'est le premier rapport général publié en
langue
hongroise, allemande et française. L'asile roya
sait que le dédoublement fut rendu nécessaire par la dualité des
langues
wallonne et flamande). Depuis 1883, Lierneux a
in Congrès des aliénistes et neurologistes de France et des pays de
langue
française aura lieu au mois d'août, à Limoges,
traction isolée du pouce, des doigts, de la main, des lèvres, de la
langue
, des muscles du larynx, des yeux, etc. Notez bi
se tournait et s'inclinait vers le côté droit. Le malade tirait la
langue
, qui se déviait vers la droite. Il se mettait à
pouce, une parésie complète de la main et des autres doigts, de la
langue
, de la moitié droite de la face, une aphasie pr
alysie de la partie inférieure de la moitié droite du visage, de la
langue
et du plancher buccal, et une aphasie complète,
paralysie motrice était complète, à la main droite et au coude; la
langue
, tirée, était déviée adroite; il existait de l'em
inégalité pupillaire. Intégrité de la parole ou léger embarras delà
langue
un peu tremblée, pas de paralysie des membres, pa
grave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXX. Hémiatrophie de la
langue
; par Harold N. Moyer. (The New- Yorfi Médical J
al Journal, 7 août 1897.) Observation curieuse d'hémiatrophie de la
langue
, survenue chez un homme de vingt cinq ans consé
ciale tardive organique est admise par tous les auteurs. Quant à la
langue
, les auteurs sont généralement muets à ce sujet
une indica- tion précise sur la possibilité d'une contracture de la
langue
. M. Afinorrelate le cas d'une femme âgée de tre
sie motrice et sensorielle, paralysie du facial et de l'hypoglosse (
langue
déviée à à droite), à la suite d'une fièvre pue
hémiplégie la contracture apparut également dans la face et dans la
langue
. Depuis un an cette contracture est très pronon
ce qui apparaît surtout lorsque la malade veut parler ou rire ; la
langue
, au contraire, est déviée à gauche lorsqu'elle
. L'auteur croit que, si l'on admet la contracture secondaire de la
langue
, celle-ci doit notamment être déviée du côté sain
ment la sensibilité du palais, du voile du palais, de la base de la
langue
et de toutes les régions de la bouche, à l'aide
istiques. 3° Tremblement saccadé (en mouvement de trombone) de la
langue
, particulièrement marqué au moment de l'émission
des muscles de la face. Après un instant de cet état ataxique, la
langue
acquiert une certaine stabilité et le tremblement
aire, l'oedème de la face, l'angine, la rapi- dité avec laquelle la
langue
s'est revêtue d'un enduit épais, sont encore de
accès changent de nature : la malade urine sous elle et se mord la
langue
; ils sont suivis de troubles somatiques et psy
ltahage traînant, une parère du facial gauche, du tremblement de la
langue
, des muscles de la face et surtout des lèvres,
lade n'urina jamais sous lui pendant l'attaque, ne se mordit pas la
langue
, n'écuma point, n'eut pas d'albumine dans l'uri
ncles ; pour les tics des lèvres, les gerçures, pour les tics de la
langue
, les anomalies de la dentition ; pour les tics
seuls les mouvements d'abaissement et de latéralité persistent. Sa
langue
un peu amincie à sa pointe conserve presque tous
r, 396. Irritabilité dans la série animale, par Cuurtacle, 442.
Langue
. Hématrophie de la -, par Mayer. 398. Lcvu iu
ents, etc. Ces attaques ne s'accompagnent ja- mais de morsure de la
langue
: elles durent jusqu'à une demi-heure. Il les a
ndis que la droite est tombante. Il n'existe aucune déviation de la
langue
. Mais si l'on fait rire ou grimacer le malade,
ractères d'une déviation spasmodi- que et non point paralytique. La
langue
est le plus 1 tord. Clinical lectures on panaly
le titre d'hémiplégie faciale dans l'hystérie '. Chez ce sujet la
langue
est enroulée sur elle-même, la pointe fixée con
tous les caractères, la traction de la commissure, la torsion de la
langue
, l'extension possible au domaine du facial supé
chez les hystériques présentant une hemiamyosthenie des membres, la
langue
offre souvent une diminution de la résistance à
ortement la face interne des lèvres entre les arcades dentaires. La
langue
n'avait pas été mordue'. Quatre mois plus tard
jeté de colère parce que c'était eux qui lisaient; en effet, t, sa
langue
marchait malgré elle pendant qu'elle lisait. Il
tre, de l'estomac, de la tête, du dos, de la gorge et surtrut de la
langue
. Ils se cachent sous sa langue et la remuent po
dos, de la gorge et surtrut de la langue. Ils se cachent sous sa
langue
et la remuent pour lui parler; quelquefois elle s
frissonner. Elle est tellement consciente de ces mouve- ments de la
langue
qu'elle attribue à la présence des prêtres, qu'
prêtres, qu'elle demande à chaque instant qu'on la regarde sous la
langue
pour voir s'ils n'y sont pas. Une fois elle est
lée chez un phar- macien pour faire constater leur présence dans sa
langue
. « Le pharmacien a regardé avec un tube en verr
vec un tube en verre, mais ne s'est pas prononcé.» Pour empêcher sa
langue
de « vaciller et pour les faire taire, elle se
en ne réussit pas, ils déplacent le citron et remuent de nouveau la
langue
pour se faire entendre. Quand ceux qui sont dan
se décroche. Cela saute et remonte dano la gorge jusque dessous la
langue
, - Comme elle 28 CLINIQUE MENTALE. n'a plus d
end pas. Mais il y en a un autre plus haut dans la gorge et sous la
langue
, qui répète « comme un interprète » ce que le p
ut dire, et c'est alors qu'elle comprend par les mouve- ments de la
langue
. Les yeux ont été changés en 1887 ; mais depuis
cependant alors dans son oeil la même chose qu'elle ressent dans sa
langue
lorsque le prêtre qui est caché lui parle et ce
ce que celui de l'oeil veut dire, il faut que celui qui est dans la
langue
lui remue la langue en même temps que l'autre r
il veut dire, il faut que celui qui est dans la langue lui remue la
langue
en même temps que l'autre remue 1'cril. Il en e
: a Il y en a qui viennent parler dans ma bouche et qui obligent la
langue
à remuer, mais la bouche reste fermée et il n'e
aucun son. Je comprends ce que les voix disent aux mouvements de la
langue
sans prononcer rien ni haut, ni bas. » Je cit
. Char- cot et qui avait des voix extérieures et intérieures : « La
langue
de M. X... se meut malgré lui au moment où parl
tre, aient jamais été accompagnées chez M. X... de mouvements de la
langue
. » Les deux observations que je viens de vous l
nts de l'oeil,en tout semblables cependant à ceux provoqués dans la
langue
par un autre prêtre, qui lui se fait comprendre
a 11 y a dans ma poi- trine, dans la région de l'estomac, comme une
langue
qui arti- cule tout intérieurement. » Plus loin
anesthésiée, sent le contact, la chaleur. Goût, odorat abolis. La
langue
est sensible, au toucher. L'é- piglotte, les co
s et des pieds. Ébauche d'hémianesthésie : la moitié droite de la
langue
sent la chaleur, la piqûre, la pression ; la mo
et cloni- ques, dilatation des pupilles, salivation, morsure de la
langue
, émission d'un cri, suivis d'obtusions, de vert
lement les médecins français, mais aussi les mé- decins des pays de
langue
française. La durée du Congrès sera de six jour
. CONGRÈS annuel DES médecins aliénistes DE France ET DES pays DE
langue
française. Section de Lyon 1891. -Ce Congrès se r
es hôpitaux, rue Laurencin, 13, à Lyon. Congrès des aliénistes DE
langue
française. -j1. Gircourt, dit le Républicain Or
nir. P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES DE
LANGUE
FRANÇAISE E Session de LYON. Août 1891. Séanc
ne combi- nera pas ce principe il celui de l'extension aux pays de
langue
fran- çaise. -- - M. LAD : 1ME, bien que n'ay
ces. M. Jetcherine (de Nyons), remercie, au nom des aliénistes de
langue
française et de la Suisse en particulier, l'admin
congestion cérébrale, suivie de parésie passagère du bras et de la
langue
pendant laquelle on s'aperçut du diabète. Elle
upérieure de la moitié gauche de la tête, et la moitié gauche de la
langue
s'était atrophiée, de sorte qu'elle déviait, au
arquées se forment sur la peau du même côté. La moitié droite de la
langue
est amincie et l'on voit des plis longitudinaux
le cours de quelques semaines, une hémiatrophie de la face et de la
langue
accompagnée d'anesthésie de la région affectée
s de maladies telles que l'atrophie d'un membre, l'atrophie de la
langue
, etc., et traite les tableaux cliniques correspon
oli. Le goût, parait très obtus, surtout sur la moitié droite de la
langue
. - L'odorat paraît normal. . 1 29. - A été re
Elle dura 15 minutes. Pas d'aura, pas de délire. Il s'est mordu la
langue
, mais n'a pas uriné sous lui. Il put revenir à
minutes et 388 RECUEIL DE FAITS. dans laquelle il s'est mordu la
langue
. Il s'est endormi ensuite. 20. - A 2 h. vingt d
cloniques dans les bras et les jambes, surtout à droite, dans la
langue
, sur toute la face y compris le front. On diagnos
Neurolog. Centrulbl., 1890". M. BERNHAHDT. Névrose peu connue de la
langue
et de la cavité buccale. Voy. Neurolog. Ceatral
S MULTIPLES. 67 elle avait des attaques la nuit, elle se mordait la
langue
et urinait au lit. Plus tard, les crises convul
ne à quelques cris inarticulés ; - elle ne s'aide en rien ; suce sa
langue
, mordille sa main droite qu'elle agite. Elle a
s ; la bouche et le pharynx sont encombrés de mucosités filantes.
Langue
grisâtre, mais humide. La déglutition est très gê
, deux cent vingt-neuf accès. Coma permanent. - Maigreur extrême. -
Langue
sèche, déglutition difficile; l'enfant n'avale
t, au début, il y a un petit cri. Dans les accès les plus forts, la
langue
est animée d'un mouvement de va-et-vient; les m
u côté droit et totalement abolis du côté gauche. En même temps, la
langue
est fortement déviée du côté para- lysé ; la lu
hésle senso- l'ielle. Le goût est aboli dans la moitié gauche de la
langue
. L'odorat est aboli du côté gauche; le malade n
ène vingt-cinq à gauche, et trente à droite (il est droitier); la
langue
n'est plus déviée, la face seule reste peut-être
ent prise : abaissement de la commissure labiale et déviation de la
langue
; écoulement de la salive. L'in- telligence est
que possible détruit le sens du goût dans les 2/3 antérieurs de la
langue
, les fibres subissant la dégénération ; 5° La
à droite. Elle essaye de parler quand on l'interroge et de tirer la
langue
, mais elle ne peut y arriver. - Le 2, anesthésie
e pulmonaire et péritonéale, après avoir présenté une parésie de la
langue
, des lèvres et de la partie inférieure de la fa
qui ne paraissent pas prédominer du, côté paralysé : Morsure de 'la
langue
. - Pas. de miction in- volontaire. La malade s'
d'un côté. Ecume peu abondante au début ; se mordait quelquefois la
langue
; quelquefois mic- tion involontaire. A la suit
es de trois ou quatre dans les vingt-quatre heures. (Morsures de la
langue
, miction involontaire; pas de coma à la suite d
une trace de paralysie ni de contrac- ture. L'appétit est perdu; la
langue
est sèche, chargée et noire, les dents fuligine
sions qui attei- gnent tous les membres, écume beaucoup, se mord la
langue
et, souvent, urine sous lui ; puis, la respirat
meau devrait donc être considéré comme nerf dilatateur-type de la
langue
, des muqueuses nasales latérales, supérieures et
face ; la parole était gênée parles mouvements involontaires de la
langue
, de la face et des muscles respiratoires. Il n'y
l'-i-i, < ? - -i, i°n ..)' n1 ' fflH» ? i ? '"t ? >'in u...."
langue
, des lèvres, et du reste de la face sont tout à f
ir ? iii-'ii j s J't ! ,rM\I)Lb9.1;lH ? er.tr Oy ? laissait,voir la
langue
con- 1- n 1 ? t- ? ' t'" ,l' yl X H'i'ilH, Il ?
'.^'vii L . A ration reprenait ? mais la crampe persistait pour la
langue
et "lh.Ji.J.'hl Il...11 .b 'htJ¡Q"dl'l : 1 1 tl
elte¡J [lu goûthdans la moitié antérieure^ du é6té gauche- fie la i
langue
,; ` forme, moyenne ,de la^rèaction de, Jj dégén
eÎ1sibililé t gustative .était revenue dansla'moitié gauche' de'la.
langue
et'la contractilité- galvanique ndiminuée'/isaa
vir d'un couteau ? pour' manger.'OLes mouvements de la pointe de la
langue
sont exécutés 1 avec7diffi- cu ! té.\ QuaMl.'en
fant est- excité, il -est-privé de -ka parole. 6L"e contrôle sur la
langue
, est .totalement 'perdu.' L'enfant^fut con- fié
dilatation des pupilles', une impossibilité complète .de tirer la
langue
hors de là bouche, des fuliginosités, enfin quelq
le à une attaque épileptique, dans laquelle l'enfant s'est mordu la
langue
. Le, 3 octobre, l'abdomen semble plus dur, bien
xpression d'idiote; la bouche restait entr'ouverte; le bout de la
langue
pendait au dehors et la salive bavait, en un fi
uque présente une exagération de la sensibilité à la pression. La
langue
, d'aspect normal, n'était pas déviée, non plus qu
tous les membres. Tremblement léger de la lèvre inférieure et de la
langue
. L'oeil gauche semble un peu plus petit, plus f
ants qu'au début commencent à ne plus avoir le regard bien fixe, la
langue
est fraîche et humide. Les phénomènes articulai
plus personne et ne répond pas aux questions qu'on lui adresse. La
langue
est sèche, le ventre légèrement ballonné, les s
alade rappellent ceux d'un typhi- que mourant à la période d'état. -
Langue
sèche et brune, fuliginosités aux lèvres et aux
certains moments et revient en quelque sorte par accès : alors, la
langue
est presque noire ; les pieds et les mains sont
r. - L'amaigrissement se prononce de plus en plus. Les oreilles, la
langue
, les mains et les pieds sont forte- ment cyanos
observe chez les idiots. Malheureusement cette étude est écrite en
langue
hollandaise et il nous a été impossible de l'ut
e, une amblyopie qui peut aller jusqu'à l'amaurose, la moitié de la
langue
de ce côté a perdu, outre la sensibilité tactil
lication oesthésiogène quelconque, c'est l'inverse. De même pour la
langue
, qu'on interroge en plaçant sur chaque moitié s
ogie, 17 juillet 1880; Gazette médicale, n° 37, p. 485, 1880.) La
langue
de la grenouille est innervée par le nerf hypoglo
1 ° Excitation du bout périphérique du nerf grand hypoglosse. La
langue
molle et inerte, appliquée sur le plancher de la
t périphérique du nerf glosso-pharyn- gien. Pas de rétraction de la
langue
, qui reste inerte, mais immédiatement apparaît,
nière du phonographe, tous les mots prononcés devant eux, même en
langue
étrangère. Souvent la sensibilité reste normale
s derniers, la contractilité se perd d'abord pour les muscles de la
langue
et de laface, sauf le mas- séter. Laperte de la
s fibres accompagnent en effet le nerf lingual et vont aboutir à la
langue
où elles ser- vent à la fois à la gustation et
ires souvent largement ouverts, bouche tourmentée, projection de la
langue
, ouverture et ferme- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEU
alors, parfois même il est accroché entre la face inférieure de la
langue
recourbée et la lèvre inférieure. La marche ne
des nombres ou des lettres A, B, C, la position des lèvres et de la
langue
ne correspond plus avec celle exigée pour l'inton
culation des linguales ne coïncidera plus avec le soulèvement de la
langue
du plancher buc- cal. Inversement, les lèvres r
ont intempestivement et la 29 450 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
langue
viendra sans nécessité, s'engager entre les incis
ril au matin, évacuation involontaire de deux selles assez claires;
langue
chargée. Apyrexie. Absence de phénomènes sub- j
nt de perte de connaissance, dilatation pupillaire, déviation de la
langue
et coma. Le début de chaque accès était annoncé p
u même côté, parésies et contractions convulsives des muscles de la
langue
, anarthrie verbale, diminution considérable de
ale (Hitzig et Ferrier) ; l'hémi- plégie gauche, la paralysie de la
langue
, des masticateurs et du droit externe droits, d
délire des grandeurs, tremblements fibrillaires de la face et de la
langue
, agitation mentale, signes de démence). L'autop
tentatives de suicide, une femme de quarante-cinq ans s'arrache la
langue
qu'elle jette à terre sous la forme d'une masse r
Dieu qui lui a enjoint de s'arracher un membre; elle n'a choisi la
langue
que parce que le diable qu'elle a dans le corps s
r l'épiglotte et la traction violente à ce niveau sur la base de la
langue
déchirée à l'aide des ongles, n'entraîna d'autr
Vaginisme (sur le), par V. de Pemo, 476. Vaso-dilatateurs de la
langue
chez les batraciens, par Laffont, 433. Vaso-m
angoissée ; elle les prononce alors à voix basse, ou elle remue la
langue
sans les prononcer. D'autres fois, elle se reti
du repos en les prononçant à voix très basse en remuant à peine la
langue
et les lèvres. Ici encore l'angoisse accompagne
e pas prononcer des mots obscènes, par se résoudre à immobiliser la
langue
avec les dents. « Excepté lorsque mon esprit es
assurance que je puisse me donner, c'est de fixer littéralement ma
langue
, de la mordre avec les dents et de la rendre ai
oder ou coudre, elles perdent le langage ou tout simplement telle
langue
particulière qu'elles savaient bien. Les exemples
a passé trois ans en Angleterre et elle parlait et comprenait la
langue
anglaise d'une façon très suffisante. Mais dans c
t oublié et son séjour en Angleterre, et les rues de Londres, et la
langue
anglaise dont elle ne peut plus com- prendre ni
s de cette jeune femme G... qui semble avoir totalement oublié la
langue
anglaise. Quand elle est en état de somnambulisme
et soutient parfaitement une conversation en anglais. L'oubli de la
langue
anglaise n'existe que pendant la veille et non
us au centre de la notion complète C. On lit comme si on lisait une
langue
inconnue avec un alphabet connu (plus d'idées)
st pas aussi pure qu'elle le parait. Il force le patient à tenir la
langue
tirée hors de la bouche, mais ne se peut-il pas
se dessine nettement dans ma connaissance. Quand vous parlez une
langue
étrangère qui ne vous est pas habituelle, ne la c
7 Congrès annuel DES médecins aliénistes DE France ET DES pays DE
langue
française. SESSION DE BLOIS 1892. Programme.-
s est acquise à tout doc- teur en médecine de France ou des pays de
langue
française qu verse une cotisation de 20 francs.
e fait jamais d'habi- tude, se plaignant de souffrir de partout; la
langue
est légèrement saburrale. Elle n'a eu que cet
us aussi. Sainte Catherine n'est pas venue. Il n'était pas là. » La
langue
est un peu blanche, cependant la malade mange a
partielle) est le trouble dans l'articulation des mots, comme si la
langue
était plus grosse, et tous les mouvements phoni
de onze ans, il lui arriva de perdre conscience et de se mordre la
langue
. Pas d'incontinence d'urine la nuit. ' Les cr
u'à la commissure labiale, ainsi que la moitié correspondante de la
langue
, et enfin se propage à la jambe du même côté.
yeux, la généralisation des mouvements convulsifs, la morsure de la
langue
. ' Les attaques avec perte de connaissance sont
d'autres fois encore il a uriné involontairement et s'est mordu la
langue
. . La durée de ces crises est d'une minute envi
ions, chute sur le côté droit, perte de connaissance, morsure de la
langue
, quelquefois miction involontaire, sensations par
tête se serait tournée lentement à gauche, elle se serait mordu la
langue
. Quand elle revient à elle, il subsiste encore
les lèvres paraissent animées de légers mouvements fibrillaires. La
langue
, même renfermée dans la bouche, est agitée de t
e chacun des doigts. Les mouvements de la face, de la bouche, de la
langue
, et aussi de l'organe de la voix possèdent leur
ation des pupilles, salivation et écume de la bouche, morsure de la
langue
, perte de connais- sance suivie d'obnubilation
SAVANTES CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES DE FRANCE ET DES PAYS DE
LANGUE
FRANÇAISE troisième SESSION (Blois). - 1 er.6 a
Dieu (la malade dit qu'elle n'a ni yeux, ni têle, ni cheveux, ni
langue
, ni coeur, ni aucun organe; elle est en pierre, e
ain Congrès annuel des Médecins Aliénistes de France et des pays de
langue
française aura lieu à la Rochelle. La dernière
bres du Congrès des médecins aliénistes de France et des pays de
langue
française, de véritables amis de la patrie, en mê
la lui apporte au lit. Quand elle l'entend, elle sort le bout de sa
langue
et fait des efforts pour sucer. La déglutition
once ces mots à haute voix, d'autres fois, elle remue simplement la
langue
, mais sans émettre de sons, enfin parfois elle
s'irradia à la moitié correspondante du cou, de la face et de la
langue
, et envahit tout le restant de la tête, du tronc
coté.- La bouche devint sèche, « elle croyait y avoir le feu », la
langue
lui paraissait s'enfler, elle ne pouvait pas pa
elle retrouva immédiatement l'usage de ses membres. Au contraire la
langue
resta paralysée longuement; M'° Gi... resta huit
Gi... resta huit jours sans pouvoir parler parce que, dit-elle, sa
langue
était enflée. D'autres attaques semblables à ce
mais son caractère essentiel est d'être éminemment intermittent. La
langue
aussi est parfois animée d'un léger trem- bleme
ace L'HYSTÉRIE ET LES maladies organiques DU cerveau. 393 et à la
langue
. Au commencement du mois de mai, la sensation d
ilive : engour- dissement envahissant toute une moitié du corps, la
langue
comprise; paralysie des membres, aphasie motric
e sa vie antérieure; entre autres elle avait complètement oublié la
langue
anglaise qu'elle parlait couramment avant ce mome
conditions perdues et de la façon la plus parfaite la notion de la
langue
anglaise, qu'elle parlait sans diffi- l'hystéri
le qui de l'estomac lui remonte à la gorge, il se sent suffoqué, sa
langue
lui parait enflée, paralysée, il ne peut pas pa
ate de carbone ni le goût d'une forte solution saline étalée sur la
langue
. L'ouïe a diminué à gauche. Appareil DE la vi
erte de la connaissance, contracture généralisée avec morsure de la
langue
). Cette succession de phénomènes n'est pas rare
uait à rendre le diagnostic très difficile c'était la morsure de la
langue
, qui arrivait constamment dans toutes les attaq
en laisser imposer par un seul symptôme tel que la mor- sure de la
langue
. Ceci du reste peut se rencontrer dans les atta
d'inconscience qui dura quelques minutes, il ne se mordit pas la
langue
et n'urina pas sous lui. Lorsqu'il revint à lui,
ssent presque complètement et F... parle comme un individu qui a la
langue
sèche par la soif. Du reste pas de trace d'apha
outre, dans notre cas, il n'y avait pas de trace de paralysie de la
langue
, ni des lèvres. Nous nous croyons donc autorisé
sort de l'hôpital en octobre avec une paralysie du côté gauche (la
langue
n'aurait pas été prise ? ). II se rend en Ang
très faible lorsqu'il tente de siffler. Il peut pourtant mouvoir la
langue
et les lèvres. L'intelligence est intacte, elle e
sensible par rapport à la droite. De même pour le côté gauche de la
langue
: Hypoacousie des deux côtés. Sens du goût très
u membre supérieur gauche. — C. artificielles. — C. des muscles de la
langue
et du larynx : aphonie. — Modifications de la sen
ures qu'on a fait disparaître, sauf une contracture des muscles de la
langue
et du larynx : elle ne peut pas parler du tout.
dormie de nouveau, de décontracturer les muscles du larynx; seule, la
langue
est débarrassée. Sous l'influence du chloroform
a tête se portent à droite. La bouche, restée ouverte, laisse voir la
langue
immobile. — La respiration est suspendue. — Les b
pières qui se ferment. La bouche, toujours ouverte, permet de voir la
langue
, dont la pointe est relevée vers le palais, agité
du mâchonnement, des mouvements de protraction et de rétraction de la
langue
, des secousses tétaniformes dans les membres supé
Bientôt, en effet, la sensation de constriction du cou augmente ; des
langues
de feu, des étoiles de toutes les couleurs se pro
epuis quelques mois, P..., dans ses attaques, a une contracture de la
langue
qui devient toute noire, ou une contracture des m
ure. — A. épilep-tiformes , etc. Contractures des mâchoires ; de la
langue
; des membres supérieurs et inférieurs ; des doig
s sortent de leurs attaques avec une contracture des mâchoires, de la
langue
, etc., ou avec un hoquet fatigant, etc., ou avec
igts, les jambes ; elle a des impatiences dans tous les membres. La
langue
est chargée, l'appétit nul, il y a des vomissemen
le sur les bras, reste très douloureuse sur le tronc et aux jambes.
Langue
saburrale, tremblante, ainsi que les lèvres, ce q
ien, n'a plus de cauchemars. Elle ne prend que de la viande crue ; la
langue
reste chargée ; il y a encore des nausées, mais l
des palpitations, de la constriction au cou ; la bouche s'ouvre et la
langue
se soulève : « On dirait qu'on me tire quelque ch
t des narines, des lèvres, des joues et de la partie antérieure de la
langue
, n'amène pas de réaction. Il en est de même pour
u voile du palais. Sur la moitié gauche du palais et de la base de la
langue
, le contact du doigt détermine des mouvements réf
t tournait. Ce matin, elle se plaint de douleurs, de fatigue, etc. La
langue
est saburrale, l'haleine nauséabonde, comme elle
u ; mais le pincement, la piqûre sont sentis sur l'œil, la base de la
langue
, la luette ; anesthésie de la muqueuse vulvo-vagi
gés : l'anesthésie devient complète et on voit les uns appliquer leur
langue
sur une barre de ter rouge, tandis que d'autres
t elle jette avec dégoût le papier-pommes de terre, crache, essuie sa
langue
, etc. m)X... est endormie et placée en cataleps
. La sensibilité est obtuse sur le voile du palais et à la base de la
langue
. L'ouïe paraît normale. — L'odorat est obtus; l
ractures artificielles, 20, 191, 204, 219. —Hémiplégique, 35. — De la
langue
, 22, 72. — Du larynx, 36. — Des mâchoires, 72. —
ant de lui donner une gouvernante allemande, qui lui enseigna cette
langue
, dans laquelle il fit de rapides progrès. A par
tion 0 qué Iés'Allelüands ? sôuvent plus'- expressifs ' dans ' leur
langue
'' que nous le sommes'dans' la nôtre'' ont nomm
imentaire, du malade, delà mydriase gauche,, de la, déviation de la
langue
du même côté,, de la. paralysie faciale droite,
du facial droit, l'augmentation de l'hémiplégie faciale gauche. La
langue
se sillonne, la parolc,deviçn,ft3dc plus,, en plu
prenait parfaitement tout ce qu'on lui disait; mais la pointe de la
langue
était fortement attirée à gauche, et se mouvait
ne savait plus où il était et qu'il a un peu peur tout de même. Sa
langue
est très blanche. Je lui prescris un purgatif.
vers la droite et en haut; la face se porte à gauche, ainsi que la
langue
qui dévie vers ce côté. On observe ensuite des
nte-quatre ans «de paralysie, un peu de partout, mais surtout de la
langue
)).- Mère, quatre-vingt-deux ans, bien portante,
la respiration est soufflante par places en arrière et à droite. -
Langue
humide, soif vive; pas de vomisse- ments ; vent
isse, devient à la fin liquide et amère. Le soir, il ne rumine pas.
Langue
toujours chargée. De plus, cette observation se
;', 1'" troubles.-du goût localisés aux deux tiers antérieurs de la
langue
, est remarquable par 1 existence de vertiges et
élémentaire de la syllabe constitue la deuxième particularité de la
langue
des enfants. Le langage de l'enfant ne renferme
yllabe est une des particularités les plus caractéris- tiques de la
langue
des enfants. Une particularité ultérieure du ga
milieu entre ou et iou. En outre, on retrouve fréquem- ment dans la
langue
des enfants des voyelles tron- quées. Les conso
nciation de plusieurs mots enfantins. Aussi constatons-nous dans la
langue
des enfants une ten- dance constance à simplifi
ment fi- gurer, ils ont placé, dans les mots commençant par k, la
langue
non pas au bord des dents, mais beaucoup plus l
avons cité un exemple, se remarque dans presque tous les sons de la
langue
des enfants. Nous avons fréquemment rencontré
(t, n,' et aussi s) résultent de l'appli- cation de la pointe de la
langue
contre le bord des dents et vers la partie anté
. en général, et les consonnes y, k, de la position de la base de
langue
à la partie postérieure. Les diffé- rentes posi
stérieure. Les diffé- rentes positions palatales de la pointe de la
langue
, pendant l'articulation des sons ch et j, n'ont
surtout servir à établir les différentes positions palatales de la
langue
, tandis que les positions dentales et glottique
emble, le fait absolument général de l'apparition tardive dans la
langue
des enfants des consonnes palatales. L'appa- ri
nuance de la voyelle a dans la voix du bébé ; 2° mou- vements de la
langue
, dont la nuance é nous offre le premier indice.
er indice. Comme on le sait, pendant la pronon- ciation du son a la
langue
demeure passive dans la ca- vité buccale, mais
mouvements de toutes les parties du méca- nisme articulatoire de la
langue
, des lèvres, etc. De ce germe se développent pe
tion plus haut, est le résultat d'une coopération super- flue de la
langue
dans les mouvements articulatoires. DU LANGAGE
e couteau, - gouteau) ; de même on discerne continuellement dans la
langue
des enfants des mouvements articulatoires plus
enfants des mouvements articulatoires plus ou moins précis de la
langue
, justement dans les cas où se prononcent des la
t dans les cas où se prononcent des labiales, pendant lesquelles la
langue
devrait rester inactive et à l'inverse, on sent
onstruction assez parfaite, on rencontre, à chaque instant, dans la
langue
si vive des enfants, une foule de produits d'un
mi- daux, car chez M..., les mouvements volontaires du cou, de la
langue
, de la face étaient normaux ; ceux des membres su
artie supérieure de la zone motrice et que ceux de la face et de la
langue
sont dans la partie inférieure. Il est à présum
n'y a rien de bien particulier DU MÉRYCISME. : 1ï9 9 à noter. La
langue
est bonne, l'appétit conservé et même aug- ment
-16 pour le souper. La bouche est complètement privée de dents ; la
langue
rugueuse, couverte d'un enduit épais et portant
tions est toujours le même; mais elles se font sans aucune gène. La
langue
est nette, les selles, quotidiennes. Plus de ga
ue rarement, l'hébétude est moins marquée, la parole plus libre. La
langue
est nette, l'appétit modéré; les régurgitations p
rne de l'omoplate du côté droit. Rien dans les poumons ni.au coeur.
Langue
nette. Abdomen souple, foie et rate normaux ; p
ale intacte; sens spéciaux obtus.- Rien au eoell1' ni a.\ixpoumons.
Langue
bonne; appétit conservé; rumination Selles norm
s journées accroupie sur une chaise, laissant écouler sa salive, la
langue
pendante, ne se remuant qu'avec peine et ne pre
de perte de connaissance; mais presque toujours sans morsure de la
langue
, ni délire, jamais de paralysies, contractures
ni scandée, ni bredouillée; pas de frémissement vermiculaire de.la
langue
, ni des lèvres; la physionomie a repris de l'expa
ambitieux ou autre, et l'absence de frémissement vermiculaire de la
langue
et des lèvres. Quant à la palhogénie, M. Charpe
r, nous poursuivons l'énumération des symptômes, nous voyons que la
langue
restait pendante et embarrassée entre les dents.
el, à moins de complica- tion ou de lésion accessoire, on trouve la
langue
pendante ? Mais même il la troisième période, l
n trouve la langue pendante ? Mais même il la troisième période, la
langue
est mobile et tout le monde a remarqué le jeu d
istait pas chez le malade. Mais si la parole était em- palée, si la
langue
était immobile, il y avait aussi un abaissement
l. Le premier bruit est sourd, le second est claqué à l'aorte. La
langue
est saburrale, large et tremblante, l'appétit est
aboulie profonde avec seulement une déviation latérale gauche de la
langue
. On crut à de l'hystérie, mais sous les douches
nt les paupières supérieure et inférieure gauches, les gencives, la
langue
, les lèvres, l'arrière-gorge et le voile du palai
vant du centre des mouvements communs des lèvres, de la face, de la
langue
, du larynx. Les centres moteurs de l'écriture e
ce destinée aux mouvements ordinaires des muscles de la face, de la
langue
, du pharynx, du larynx, des membres : le pied d
avec une paralysie complète du facial inférieur, déviation de la
langue
et de la luette, monoplégie et anesthésie du bras
ons peur du complot + Quelles réclamations ? Pieds plats, défaut de
langue
, vue courte -(- Je vais rester chez G .. à la N
t pendant près d'une minute une paralysie de tous les muscles de la
langue
qui tombe en arriére dans le palais. puis progr
puis progresse rapidement,. 28. - Hesensibitisation générale. La
langue
se paralyse encore et Louis est en imminence d'
ut se débloque, dit-il, par un claquement pro- duit à la base de la
langue
. Régression jusqu'à l'âge de trois ans et progr
ssion jusqu'à l'âge de trois ans, suivie bientôt de progression. La
langue
se paralyse toujours. 2. Séance de réveil gén
coude est encore bloqué -E- Tout se débloque. + Sentez la face, la
langue
: paralysie de la langue -f- Soubresaut ? Régre
-E- Tout se débloque. + Sentez la face, la langue : paralysie de la
langue
-f- Soubresaut ? Régression jusqu'à l'âge de tr
volume. - Sentez la poitrme, la face, les lèvres, les mâchoires, la
langue
+ Louis entre en crise -)- La langue se paralyse
les lèvres, les mâchoires, la langue + Louis entre en crise -)- La
langue
se paralyse -j- Louis m'explique sa paralysie p
plique sa paralysie par ce fait qu'un fil qui part de la base de la
langue
tire sur la pointe ? Régression jusqu'à l'âge de
l'instituteur, j'entendais l'instituteur qui médisait de remuer la
langue
. Sentez les yeux : j'ai som- meil, les yeux com
Régression jusqu'à t'age de trois ans; progression. Paralysie de la
langue
avec soubresaut Grande hyperesthésie du cuir ch
ctures, de mouvements toniques, les soubresauts, la paralysie de la
langue
sont allés en diminuant de quantité ' et d'inte
s toutefois signaler que le 24 décembre, Louis resta paralysé de la
langue
, sans pouvoir respirer, environ, je crois, une
entit considérablement, la face pâlit et je fus obligé de saisir la
langue
avec une pince et de faire des tractions rythmé
e de chaque jour. Le tremblement de la parole, de l'écriture, de la
langue
, l'inégale réaction des pupilles ont presque di
is été jusqu'alois appliqué et avais quelque peu appris, surtout en
langues
anciennes. Mes nouveaux camarades étaient peu i
qui parlent indistinctement. III. Un déluge de mots arrivent à la
langue
maladroite ; celle- ci ne peut à l'aide des mou
sauf quelques mots bretons conformément à la loi qui veut que* la -
langue
parlée la première persiste le plus longtemps.
de connaissance pendant les accès est complète ; les morsures de la
langue
et des lèvres, de même que les contusions de la
t été complète. Ce matin, grande fatigue ; violentes morsures de la
langue
et de la lèvre supérieure. 28. Petite ecchymose
uleurs dans la bouche, causées par d'assez violentes morsures de la
langue
et de la lèvre supérieure. 22. La malade, qui
races de contusions récentes à la tête et de légères morsures de la
langue
et de la lèvre inférieure (suites de l'attaque
eu de toux. Cons- tipation depuis plusieurs jours, appétit mauvais,
langue
très chargée. Rien d'anormal à l'auscultation.
janvier 1901, des troubles digestifs (inappétence, constipation,
langue
saburrale) purent faire songer à une intoxication
alalgie, pas davantage. Rien du côlé de la parole, du facial, de la
langue
; visage pâle. Pupilles égales, de moyenne dimen
iblissement des jam- bes : il n'y a eu ni gâtisme, ni morsure de la
langue
. On lui pres- crit de se mettre au lit, elle se
e elles, au moment du spasme, apparaît. étranglée la pointe de la
langue
plus ou moins projetée. Il est facile de comprend
asymétrique sans atrophie véritable, la pupille est rétrécie et la
langue
déviée du côté opéré. SOCIÉTÉS -SAVANTES. 419
u une série d'attaques d'épilepsie, avec cri initial, morsure de la
langue
, perte subite de la connaissance et chute, incon-
t d'une perte subite de la connaissance, de chute, de morsure de la
langue
, de peite involontaire des urines. En revenant
ante. Elle n'a pas, notamment, de trem- blement des lèvres et de la
langue
, pas de tremblement des mains, pas d'embarras d
sparu. La malade a eu une attaque d'épilepsie, avec morsure de la
langue
, chute, incontinence d'urine. D'autres attaques s
s convulsions généralisées. Elles s'accom- pagnent de morsure de la
langue
et d'incontinence d'urine. Au moment de reprend
cri initial, perte subite de la connaissance, chute, morsure de la
langue
, incontinence d'urine. C'est là, chose admise p
lades ne déchiffrent plus la valeur des mots et des phrases d'une
langue
qui leur est familière. Les hallucinations de l
soit somatique, soit mental. En forçant la pensée et en parlant une
langue
peut-être trop philosophique, on pourrait ramen
a parole et tremblement fibrillaire des muscles de la face et de la
langue
; myosis et inégalité pupillaire ; pleurnicheri
: visage sans expression, inégalité pupillaire, trem- blement de la
langue
mouvement de trombone manifeste embarras de la
ne période très avancée : inégalité pupil- laire, tremblement de la
langue
et des petits muscles de la face, tremblement d
plusieurs millions. Embarras marqué de la parole, tremblement de la
langue
et des lèvres. Malade atteint de démence paraly
bsiste. Rien du côté de l'écriture. Tremblements des mains et de la
langue
, à rat- tacher, de même qu'un accès d'épilepsie
que, de l'inégalité des pupilles, du tremblement des mains et de la
langue
, l'exagération des réflexes, le signe de Romber
r les hommes, et dans 17, pour les femmes. Sur 97 établissements de
langue
allemande, 0 seulement possèdent un personnel r
n congrès des aliénistes et neurologistes de France et, des pays de
langue
française, se tiendra, du1cI'au8 8 août prochain,
dre aux questions, de dire son nom. Tremblement très marqué de la
langue
et des muscles de la face, grande hésitation de l
, privation de sentiment, rotation de la tête et des yeux à gauche,
langue
déchiquetée; de tempsà autre, les compulsions g
t toux); les aliments solides occasionnent des efforts spéciaux. La
langue
ne peut être projetée au-delà des arcades dentair
était désagréable et celle d'une idiote. La bouche était large, la
langue
épaisse et protubérante. De chaque côté du cou.
idiotie; la face était large, le front fuyant et la tête petite. La
langue
large pendait en dehors de la bouche. De chaque c
lèvres sont épaisses. L'enfant possède toutes ses dents de lait. La
langue
est de grandeur naturelle. De chaque côté du co
nous voulons étudier dans Fig. 7. - FigUl'e montrant la trachée, la
langue
, l'absence du corps thyroïde, et les masses gra
e nombreuses macules. - Amygdales petites; mu- queuse buccale pâle;
langue
un peu épaissie. Gr... dit qu'il ne peut sortir
ale pâle; langue un peu épaissie. Gr... dit qu'il ne peut sortir la
langue
. La parole est très pâteuse, lente, monotone. D
oureux; il 152 " CLINIQUE NERVEUSE. existe un tympanisme léger. -
Langue
légèrement saburrale; deux garde-robes ce matin
ontrac- ture de ses membres pendant plusieurs jours et parfois sa
langue
est contracturée et paraît tordue sur elle-même,
sibles. k ' . Le coin gauche de la bouche est légèrement baissé; la
langue
tremble, lorsqu'il la fait porter hors de labou
is à prononcer les mêmes mots. Aucune déviation de la face, de la
langue
ni de la luette. Aucun trouble dans les mouve-
a langue ni de la luette. Aucun trouble dans les mouve- ments de la
langue
et des lèvres, il peut bien souffler et siffler.
mps se montre un zona des deux tiers antérieurs du bord droit de la
langue
. La lésion, rhumatismale, -IL, au-dessus du ram
t de la même altération des muscles du côté droit : intégrité de la
langue
, du voile du palais, des organes de la déglutit
atérale, s'étend jus- qu'au front et laisse intacts le palais et la
langue
. Néanmoins, la participation de la face ne perm
uche comme un homme ivre, injurie les passants. Il ne mord pas sa
langue
, mais écume; une fois, il a uriné involontairemen
Il avait aussi des attaques avec demi-conscience et paralysie de la
langue
. Il peut encore prononcer des sons, mais n'arti-
x, elle était prise d'une lassitude effrayante, se croyait ivre; sa
langue
était quasiparalysée, sa parole difficile; elle
donc dû être transporté la nuit en voiture. Il ne parlait aucune
langue
. Age apparent : trente ans. Les traits de son vis
lle gauche; rien aux lèvres. L'érysipèle marche de droite à gauche;
langue
humide; nuit tranquille; pas d'agitation. Soir
es et l'ouverture buccale, ordinairement béante, donne issue à la
langue
, qui est très volumineuse et semble ne pouvoir se
NERVEUSE. la face; tuméfaction des paupières; épaississement de la
langue
; ,. bave; oedème sur les mains ; cheveux rares
avec le fond blanc jaunâtre du teint qui a une couleur de miel ; la
langue
, épaissie pend presque constamment entre les de
est obtenu par la méthode des Ors Russell et West. Digestion.- La
langue
n'est pas notablement agrandie et pas entamée p
le à trois ans, et de la marche à cinq ans. - Coqueluche, rougeole.
Langue
et lèvres épaisses; gonflement des pieds et des
à. parler vers deux à trois ans. il avait les lèvres épaisses et la
langue
très grosse; celle-ci pendait alors en dehors de
, offre des lèvres tuméfiées et pendantes, surtout l'inférieure. La
langue
, très volumineuse, semble prête à s'échap- per
'allongent, les lèvres s'écartent et deviennent plus saillantes, la
langue
s'é- chappe et la bouche se fend jusqu'aux orei
s, le nez écrasé, les lèvres légèrement épaisses laissant sortir la
langue
de temps à autre. Il avait un tic particulier c
te cachectique de la peau; brachycéphalie ; retard de la dentition;
langue
épaisse et pendante ; 1 Goodhart. Sporadic crét
a dent cor- respondante du côté opposé apparaissait. L'état de la
langue
était remarquable. Elle était trop grande pour
trouble et gris jau- nâtre. Rein droit (1415 gr.), mêmes lésions.
Langue
hypertrophiée avec plusieurs impressions dentaire
x extrémités; pas d'hyperplaste conjonctive. 3° Musculature de la
langue
également normale : pas d'hypertrophie des fibril
tion de froid; culo- ration jaunâtre de la face; aspect crétinoïde;
langue
dure, lourde, gênant la parole. - En 1882, tube
études spéciales en neurologie et la connaissance approfondie de la
langue
alle- mande, il était à même de mener celte lâc
es, à l'exception de quelques éra- 420 varia. tlures du genou. La
langue
est pincée entre les dents, ces dernières en ma
'insensibilité porte également sur les muqueuses (moitié droite de la
langue
, de la bouche, narine et conjonctive du côté droi
a bouche laisse parfois couler une écume sanguinolente (morsure de la
langue
) ; le corps se couvre souvent de sueurs. Planch
ontracture un cri aigu et prolongé ; la bouche s'ouvre largement ; la
langue
est attirée si violemment au dehors, que sa Fig
istantes, affectant soit la face et les mâchoires (Pl. VIII), soit la
langue
, l'isthme du pharynx, le col de la vessie, etc.
et judiciaire, etc., t. II. p.; 23. ses attaques, L... sortait la
langue
hors de la bouche à un degré tel que la pointe ve
mit le corps de la Prieure dans une effroyable convulsion, tirant une
langue
horriblement difforme, noirâtre et boutonnée ou g
dire. Ladite » Possédée offrit néantmoins de lui répondre en quelle »
langue
il voudroit, mais cela n'eut point de lieu, » car
ne cle douleur. Il en était également de même quand on transfixait la
langue
,, la main, etc. Donc, chez les malades auxquelles
noir, tombe par terre sans perdre connaissance. (Pas de morsure de la
langue
, ni d'urines involontaires). Le tremblement durer
re crise, elle envoie des baisers avec les lèvres, sort et allonge la
langue
. Ses gestes sont lubriques, le plaisir est peint
t de douleurs névralgiques par tout le corps ; de crampes occupant la
langue
, les muscles de la nuque, des doigts (fléchisseur
midi. La nuit a été assez bonne. — L'appétit est toujours mauvais; la
langue
est humide, la constipation revient dès qu'on sus
convulsés en,haut et à gauche ; la bouche, oûyerte, laisse sortir la
langue
qui est cyanosée (Pl. XXIX). C'est, là une expres
a fin de l'inhalation, Celina fait des grimaces hideuses, tortille la
langue
, contorsionne la bouche. Elle prétend qu'elle voi
'embarras de la parole ; par instants, la bouche est entr'ouverte, la
langue
s'allonge entre les dents, la salive, qui paraît
ttaques. 22 nov.— Contractures passagères dans les mains et dans la
langue
: c'est ce qu'on désigne d'habitude sous le nom d
les ont succédé des crampes dans les doigts (demi-flexion) et dans la
langue
. « Il me semble, dit M..., que ma langue se rétré
ts (demi-flexion) et dans la langue. « Il me semble, dit M..., que ma
langue
se rétrécit, e met en tampon et se colle contre l
is à la malade. Elles occupent aussi les muscles des paupières, de la
langue
, etc., immobilisant ces organes dans la position
s d'aucun mot. L'oreille, exercée chaquejour, s'est améliorée, la
langue
est devenue plus habile. L'enfant dit tout plus o
re un peu renversée, la supérieure saillante à la partie médiane. -
Langue
, palais et voûte palatine normaux, symétriques,
ier. Lorsqu'il lit et surtout quand il écrit, il est agité, tire la
langue
, la contorsionne et exagère son grincement de d
le. 3 avril. L'enfant est amené à l'infirmerie. Il tousse et a la
langue
sèche. T. R. 39", 2. A l'auscultation, râles fins
s, le visage devient violet, les yeux s'excavent et s'éteignent. La
langue
est couverte d'un enduit noir et coagulé. L'enf
exagère de la voix. 4J mars. L'amaigrissement augmente toujours.
Langue
blanche, appétit très capricieux. L'enfant boit
es convulsions cloniques et urina sous elle. Pas de mor- sure de la
langue
, pas de bave ni de ronflement. Elle s'endormit
. Voûte palatine profonde, presque ogivale; voile du palais intact.
Langue
normale; amygdales assez volumineuses. Muqueuse
n normal. L'enfant fait la grimace au sulfate de quini- ne, tire la
langue
pour avoir du sucre. Dents temporaires au compl
cavité buccale ne présentent aucune anomalie : les mouvements de la
langue
sont libres et le goût parfait. - Pas de progna
iL l'infirmerie avec les symptômes d'une pyrexie au début (fièvre,
langue
sale, courbature, angine légère). Le 30 mai, on
ez nets pour imposer le diagnostic de fièvre typhoïde (T.R. 41°). -
Langue
rôtie, taches rosées sur l'abdomen, douleur et
is à l'âge de M ans. Pas d'écume, pas de bave, pas de morsure de la
langue
. Il avait les poings fermés. Secous- ses des br
t, symétrique. Bou- che toujours entrouverte ; lèvres volumineuses.
Langue
, longue, étalée. Amygdales très volumineuses ;
camarades, et cela en dehors de ses accès. Pas de tremblement de la
langue
. Il bave beaucoup après ses accès. Voici le n
ieur du tronc, des contorsions de la bouche, la protraction de la
langue
« qu'elle avait très grosse et qu'elle a sucé jus
es, l'inférieure prociclente. L'en ant sort constamment à demi la
langue
et grogne. Prognathisme très accusé. La première
e de la ligne supérieure est plus mobile que la moitié droite. La
langue
a sa mobilité ordinaire, elle est un peu déviée à
ongue de 5 centimètres; lèvres épaisses; voûte palatine profonde;
langue
et amygdales peu volumineuses ; pas de malformati
re 1895. TROIS CAS D'IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE. 17 : ; 20 juin. - La
langue
est moins épaisse, la prononciation est meilleu
La bouche est grande, presque constamment ouverte, cepen- dant la
langue
ne pend pas et la salive ne s'écoule pas au-deh
, vomissements, agita- tion, excitation, diminution du volume de la
langue
et de la coloration violacée des lèvres, poussé
ne couvulsif qu'une légère élévation des yeux. Pas de morsure de la
langue
, ni de miction involontaire. Il ne laisse pas t
de convulsions. - Soeur épileptique. - Paralysie passagère (le la
langue
. Kl... Pierre, 13 ans, est entré à Bicêtre le 8
s. Deux ou trois fois, il y eut de l'écume buccale, la marque de la
langue
et la miction involontaire étaient constantes.
aine d'années, des crises convulsives dans lesquelles il se mord la
langue
. Sa mère est bien portante, un peu ner- veuse.
t comme paralysé et laisse couler une certaine quantité de liquide;
langue
humide, saburrale, pas de vomissements, ventre
our en jour; pas de fièvre ; pouls petit et miséra- ble ; bouche et
langue
sèches, pas de muguet, pas de vo- missements, r
que congestionnée, les yeux entr'ouverts, mais non sail- lants ; la
langue
est un peu tuméfiée et son extrémité fait saill
ccale, en même temps que l'affaissement de la joue et du menton. La
langue
se dévie du côté paralysé. Thorax et abdomen
39 ? 24 juillet. L'état adynwv ? ue s'accentue. Les lèvres et la
langue
se recouvrent de fuliginosités ; la dyspnée augme
au bas du visage, surtout au menton. Les lèvres sont desséchées; la
langue
blanchâtre, avec piqueté rouge; Fi[l. 4. - 1 ?
rymhes. Sur les membres, elles sont pâles, sans relief, espacées.
Langue
saburrale ; à travers l'enduit blanchâtre, se dét
nd encore quelques râles avec respiration rude surtout a droite. La
langue
so détorgo, cessation do la diarrhée. - T. R. 3
janvier. La desquamation commence; la conjoncti- vite persiste ; la
langue
reste saburrale ; la diarrhée a dis- paru. Resp
he, respiration soufflante, mélangée de gros râles sous-crépitants.
Langue
saburralc, anorexie. Le petit malade est abattu
t n'importe quoi ; mais buvait difficilement « parce qu'il avait la
langue
trop courte ? En outre qu'il fût sujet à des vo
ne odeur fécale. La salivé est ichoreuse, d'une teinte chocolat; la
langue
se recouvre d'un épais enduit noirâtre. L'exame
; la bouche est enduite de muco- sités brunâtres, très fétides ; la
langue
est sèche, racornie, comme rôtie. Les lèvres, l
ade a rendu par le nez et la bouche un liquide noirâtre, fétide. La
langue
présente le môme aspect que les jours précédent
diennes : gâtisme absolu. Fav... a coutume de faire cla- quer sa
langue
sur le plancher de la bouche. Il reste conti- n
onc, en avant et en arrière, à la racine des cuisses, au scrotum.
Langue
saburrale. Erection des papilles qui se détachent
ppée sur les fesses. Dans toute la poitrine, râles sous-crépitants.
Langue
sèche : persistance de la diarrhée. T. R. 39°,4
x, 60 gr. Soir : T. R. 40°,2 14 janvier. L'éruption disparaît; la
langue
est humide. Julep diacode avec rhum, 40 gr. T.
er. Rougeur vive des pommettes. Râles sibi- lants surtout à droite.
Langue
saburrale; la diarrhée per- siste. T. R. 37",8.
t. Pas de ronflement, ni d'écume, mais de la salivation. Se mord la
langue
; urine rarement sous lui. N'aurait jamais eu d
ère morte à 74 ans, après avoir été, durant 6 mois, paralysée de la
langue
et du côté droit. Une tante maternelle de l'enf
rs temps de la vie, la mère de la petite ma- lade a remarqué que la
langue
était pendante, puis, que la voix avait quelque
aplati; lèvre inférieure large, légèrement cyanosée et pendante.
Langue
très grosse, ordinairement sortie de la bouche ;
èvre inférieure est plus grosse et un peu ren- versée en dehors. La
langue
est assez épaisso et la malade la tient toujour
la supérieure. Elles sont distantes d'un centimètre à peu près ; la
langue
de l'enfant est toujours entre les deux arcades
ne puisse faire régulièrement les injections anti- septiques. La
langue
est très épaisse, saillante, il n'y a pas de bave
bien. Durant 70 clinique.' * les premières années, la tête et la
langue
s'étaient développées d'une façon disproportion
. - La bouche est large; les lèV1'es sont épaisses, gon- flées ; la
langue
est volumineuse et sort habituellement; il n'y
'assa-foetida placée sous ses narines, la coloquinte déposée sur sa
langue
le font crier et faire des grimaces. La circula-
t fournis. L'enfant regarde et sourit. Les joues sont pendantes. La
langue
est très épaisse, la salivation abon- dante. Il
u lait de vache. Jusqu'à huit mois bien venante, mais elle avait la
langue
, les pieds et les mains épais et la peau cireus
- Pas de coque- luche, ni d'angine. Elle aurait toujours bavé et la
langue
restait hors de la bouche. Coryzas fréquents.
rythème de la joue gauche. Lèvres très grosses, bouche assez large,
langue
très épaisse, que la malade laisse voir entre l
n existe également sous les aisselles, offrant le même aspect. La
langue
est largo et très épaisse. Thorax. - Pas de liq
chexie pachydermique : état cireux de la peau, épaississement de la
langue
, des mains et des pieds, et les caractères part
née est bleuâtre, sont épaisses, l'inférieure souvent renversée. La
langue
, augmentée dans toutes ses dimensions, se montr
Nez épaté, lèvres épaisses, bouche cntr'ouvcrte, dentition tardive,
langue
très volumineuse. Strabisme fréquent, insensi-
ubes semblable à celle qu'on observe sur les jeunes sujets, dans la
langue
du nouveau-né, par exemple. On observe en assez
ilatées, mais égales. Connaissance par- faite. Pas de morsure de la
langue
. Pas d'évacuation involontaire. Il prétend qu'i
d'évacuation involontaire. Il prétend qu'il se mord quelquefois la
langue
. T. Il. après l'attaque, 37°,Ir. 15 mai. - Pr
mpagnée de quelques râles seulement; il n'y a plus de diarrhée ; la
langue
est détergée. T. R. 38',8. - Soir : 40°. 18 jan
nt ; bave peu abondante ; pas de morsure do la OBSERVATIONS. 21 1
langue
; parfois miction involontaire ; après les accès
dans les vrais accès, il n'aurait souvenir de rien, se mordrait la
langue
, etc. Etat actuel. - Le faciès est celui d'un e
e voile se soit abaissé légèrement à droite. - Luette effilée. - La
langue
ne présente aucune trace de mor- sure ; la plup
- rigidité ; - agitations; - écume ; ronfle- ment ; - morsure de la
langue
; pas de miction involontaire ; - durée 5, 6, 7
ur le scapulum droit. 10-13 août. Embarras gastrique. 12 octobre.
Langue
blanche, très chargée ; vomissement de- puis tr
se gauche persistent toujours sans douleur ni rougeur de la peau.
Langue
nette; l'appétit est bon ; l'oeil gauche larmoie
26 oct. Dans un accès, Dog... s'est fait sur lo bord droit de la
langue
, une plaie contuse, déchiquetée. 28 oct. La pla
la langue, une plaie contuse, déchiquetée. 28 oct. La plaie de la
langue
va mieux; les indurations de la cuisse gauche e
il n'a eu ni frissons, ni diar- rhée ; il a été à la selle hier. La
langue
est un peu sale, les amygdales grosses et d'un
issaient générales et égales (cyanose,, écume, pas de morsure de la
langue
, contracture des. mâchoires). Puis l'enfant s'e
GO-);\I : I : I'If : lL1'rli CHRONIQUE. des épaules et de la tête ;
langue
presque toujours en mou- vement, assez humide.
arines sèches; yeux dirigés en bas et en dedans, surtout le gauche;
langue
humide, haleine infecte, rien à la gorge. - Pas
58 ans, en 8 jours, d'une affection cérébrale avec paralysie de la
langue
sans para- lysie des membres ; sujette à des cé
s étant fléchies, on les pince, C... les soulève. Haleine fétide,
langue
humide, saburrale ; déglutition un peu gênée, s
, mais cette écume est rarement sanguinolente : il s'est mordu la
langue
une ou deux fois. A la suite de son accès il s'
s soubresauts des tendons, se montre très agité : il veut se lever.
Langue
saburrale, rou- ge sur les bords et à la pointe
rmaux. Nez droit. Pommettes régulières. Voûte du palais, amygdales,
langue
, normales. Dents bien plantées, saines. Menton
s. Nez droit. Vue normale, pas de dyschromatopsie. Lèvres moyennes.
Langue
mobile. Amygdales grosses. L'enfant respire par
tes chez les épileptiques qui ne présentent ni morsures de la , t",
langue
, ni plaies des téguments, nous sommes arrivés, en
rappé récemment de deux coups de couteau M'Ic Arnoldi, maîtresse de
langue
française dans cet établissement, et l'avait gr
alysie faciale, ni paralysie du voile du palais, ni déviation de la
langue
, ni troubles laryngés. L'intelligence est intac
ITHLIOIDE DU NOYAU ROUGE 99 ciée à des parésies des lèvres et de la
langue
. Dans ce cas, la pathogénie en est souvent comp
à des troubles parétiqùes des organes d'émission des sons, lèvres,
langue
, larynx, elle rappelle par ses caractères de le
lligent, répond très bien à toutes les questions qu'on lui pose. La
langue
est bonne, la dentition est bonne, le tube dige
. 112 PATHOLOGIE NERVEUSE.. La dentition est assez bonne, mais la
langue
est tirée à gauche sans qu'il manque de dents d
ventre, à jambes arquées en dehors. Il ne tremble pas des mains. La
langue
est bonne, l'ap- pétit excellent, les digestion
ux, à dentition bonne, mais les dents sont très mal entretenues. La
langue
est bonne, l'appétit est bon, les digestions so
n'y a rien dans les grands appareils : le coeur fonctionne bien, la
langue
est bonne, la dentition est excellente, le tube
e dans ses mains et pro- nonce le mot m...); morsure profonde de la
langue
; insomnie complète ». Le' malade est ensuite i
est normale; pas de signes d'hystérie ; une morsure profonde de la
langue
; un peu de tremblement des mains ; le malade av
ttaques : il se lève fré- quemment le matin avec la tête lourde, la
langue
douloureuse, l'oreiller taché de sang, le lit m
convulsives, durant lesquelles, nous dit-elle, elle se déchirait la
langue
: parfois les attaques étaient si fortes qu'ell
la condition néceseaire pour constituer une nation est l'unité de
langue
, et si l'hébreu n'est pas absolument mort, du moi
assiques ; il s'adonna aussi, ce qui était^alors une exception, aux
langues
étrangères. Son esprit, fin et pénétrant, s'ada
che assez mal; ses mouvements sont atactiques ; tremblement de la
langue
, des mains et des muscles faciaux, lorsqu'elle pa
elle marche mal, en chancelant ; ses mouvements sont maladroits, la
langue
et les mains tremblent. La force musculaire des
Des tiraillements fibrillaires dans les muscles faciaux et dans la
langue
. Tremblement des membres supérieurs. Ataxie des
re autres, l'abolition des réflexes rotuliens, le tremblement de la
langue
et des mains, l'affaiblissement de la force mus
s ; même état de la cor- née. Etat général progressivement mauvais.
Langue
sèche ; 90 pul- sations ; réflexes rotuliens no
DES MÉDECINS NEUROLOGISTES ET ALIÉNISTES DE FRANCE ET DES PAYS DE
LANGUE
FRANÇAISE Tenu à Grenoble du 1 ? au 7 août 1902
s des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pays de
langue
française s'est brillamment ouvert à Grenoble l
let, de Meige et Feindel, dont le récent traité synthétise en une «
langue
claire, précise et élégante », le résultat de l
près avoir pré- senté des tics caractérisés : un avait un tic de la
langue
qui venait se coller contre les dents de façon
sy- chopathie sexuelle est classique; il se traduit dans toutes les
langues
, il en est à sa onzième édition allemande. Kraf
promener. » En même temps, la parole est embarrassée, « il avale sa
langue
».'Cet état persistant, G... entre le 26 mai à
et dénotent un faible niveau mental. Tremblement des mains et de la
langue
, inégalité pupillaire. Il raconte avec assez de
per- sistent, il y a des secousses convulsives de la face et de la
langue
, du tremblement. Le 12, G... a gâté au lit; le
S DE PARALYSIE GÉNÉRALE ET D'ALCOOLISME 305 barras de la parole, la
langue
est sale, toujours très tremblante, ses pupille
e couverte de sueur, les pupilles toujours inégales et dilatées, la
langue
sabur- rale. Température 37",9. Dans l'après-mi
face vultueuse est presque, continuellement couverte de sueur. La
langue
reste sale malgré des purgatifs répétés (calomel)
, la température revient à la normale, la peau est plus fraîche, la
langue
se nettoie. D'une façon générale G... est plus
peu de tremblement des doigts et du tremblement fibrillaire de la
langue
; les pupilles restent inégales et ne réagissent p
; le malade ne reconnaît plus les objets, agitation auto- matique,
langue
sèche, fuligineuse, extrémités froides, gâtisme,
tombe et se convulse dans un accès hystéro-épileptique, puisque sa
langue
est déchirée et ses mains contracturées assez l
DES MÉDECINS NEUROLOGISTES ET ALIÉNISTES DE FRANCE ET DES PAYS DE
LANGUE
FRANÇAISE Tenu et Grenoble du 1 ? au 7 août 190
a eu un -grand retentissement, a fait, au Congrès des aliénistes de
langue
fran- ,çaise, une communication que l'on pourra
paralysie faciale très peu accentuée, secousses convulsives dans la
langue
au début des mouvements, paralysie légère du vo
; dentition normale. La voûte du palais est bien constituée. - La
langue
est large, sans tremblemeut de la pointe. Les amy
cienti- fiques et la connaissance approfondie qu'il possédait de la
langue
allemande le désignèrent, malgré son jeune âge.
s scientifiques avec les pro- fesseurs les plus estimés des pays de
langue
allemande. Mittermaïer s'occupa avec passion de
nt, servi de bréviaire à tous ceux qui à l'étranger parlaient notre
langue
. Son premier commenta- teur, le De Rousseau, a
ire de temps en temps une idée originale et vraie exprimée dans une
langue
amusante et pittoresque. Mais ce qu'il se propo
blis des deux côtés. 11 n'avait ni déviation de la bouche, ni de la
langue
. Le réflexe pharyngien était diminué. L'autop
entait à cette époque. D'après ces renseignements la motilité de la
langue
était alors diminuée, on n'obtenait que des rép
la déglutition difficile, on constata également la paralysie de la
langue
, du voile du palais et celle du pharynx. Un trait
s. La difficulté de la prononciation est due à la para- lysie de la
langue
qu'elle ne peut pas du tout remuer, quoique les m
s pendant la phonation. Une autre conséquence de la paralysie de la
langue
, c'est que bien que les mouvements de la mâchoi
-ci et le pharynx ne sont sensibles qu'à une pression assez forte. La
langue
est complètement insensible aux impressions tac
des substances qu'elle ingère et en effet on peut toucher toute sa
langue
avec une solution concentrée de sucre, de sel,
- lais, il faut une excitation forte de la partie postérieure de la
langue
pour obte- nir la déglutition. Le sens tactile
ns le service, le courant faradique et les exercices méthodiques de
langue
et de prononciation des syllabes n'ame- nèrent
uche du trijumeau, la perte du goût ' de la partie antérieure de la
langue
est en correspondance avec la lésion de la 1 tr
et à gauche. La perte des sens tactile et gustatif du fond de la
langue
provient d'un trou- ble dans le domaine du glos
la déglutition. Le nerf hypoglosse est complètement paralysé, la
langue
est aplatie, elle reste inerte sur le plancher
psychiques sont troublées. La gêne de la parole, la paralysie de la
langue
, la diffi- culté de la déglutition sans atrophi
3-4 ans. Elle eut des crampes pendant 8 jours, après lesquelles sa
langue
perdit sa motilité. Une salivation cons- tante
Une salivation cons- tante fut observée. La partie antérieure de la
langue
s'atrophia, le voile du palais était aminci, le
devint normale plus tard. Outre ces troubles le sens tactile de la
langue
était un peu affaibli. Pendant 12 ans aucun chang
tiais, il lui resta défi- nitivement une paralysie symétrique de la
langue
et des lèvres, avec anar- thrie et dysphagie, e
nts. Le fait, que les lèvres et les ailes du nez dans notre cas, la
langue
et le voile du palais dans celui de Hoppe-Seyle
érieux ET MIGNOT Questions ÉCRITES Lecture A haute voix Sortez la
langue
. Sortez la langue, c'était la langue. Quel- que
Questions ÉCRITES Lecture A haute voix Sortez la langue. Sortez la
langue
, c'était la langue. Quel- ques instants plus ta
Lecture A haute voix Sortez la langue. Sortez la langue, c'était la
langue
. Quel- ques instants plus tard il lit : sortir
it la langue. Quel- ques instants plus tard il lit : sortir de la
langue
, de la langure (l'ordre n'est pas exé- cuté).
langure (l'ordre n'est pas exé- cuté). Donnez la main. Donnez la
langue
, de la langure, de t temps... (on suspend l'exa
temps... (on suspend l'examen, le malade étant intoxiqué par le mot
langue
)... Plus tard il dit : Barello, coupeo. Aum..
l'a aussi bafouée et critiquée, sur tous les tons, dans toutes les
langues
, en prose et même en vers. Enfin, l'image ne l'
ale ; abolition du réflexe pharyngien : tremblement fibrillaire de la
langue
; tremblement irrégulier, saccadé, intermittent
vaisseaux les rapproche, dit-il, des épithéliomes de la peau, de la
langue
et du col de l'utérus. Ro- bin insiste sur la f
e développe alors avec les caractères habituels, sans morsure de la
langue
et sans miction invo- lontaire. Après la crise,
blême, le corps agité de tremblements rapides. Il écume, se mord la
langue
et demeure dans le stertor environ trois heures
ltation des poumons et du coeur nous ne relevons rien d'anormal. La
langue
est bonne, l'appétit est conservé, les digestions
exagérés. Nous ne relevons pas de tremblement des doigts, ni de la
langue
; il n'y a pas de tremblement (ihril- laire. Il
même pas. Elle s'accuse d'avoir à peu près à la même époque mis sa
langue
dans la bou- che d'une de ses amies. Aujourd'hu
e d'épilepsie franche, avec aura, cri initial, écume, morsure de la
langue
, miction involontaire, etc. Ces attaques se son
avant et à gauche ; le bout dépasse à peine l'arcade dentaire ; la
langue
ne peut être mise en gouttière ; les mouve- men
e, aucune altération du fond de l'oeil. Secousses fibrillaires à la
langue
. Pas d'atrophie musculaire. Examen de llT. P.
t seulement compréhen- sible pour les personnes qui le soignent. La
langue
est très mince. Pied. - On n'avait encore rien
1901. Le 6, au matin, à la visite, nous la trouvons dyspnéique, la
langue
sèche, avec un pouls à 124. Elle ne répond pas
nines, maintenant absentes. Le nez était de dimensions normales, la
langue
de même. Le corps thyroïde n'était pas sensible
bles à l'air et la patiente respire très bien, la bouche fermée. La
langue
n'est pas hypertrophiée ; au contraire, elle para
gauche de la face est tombant, les rides étant abolies de ce côté; la
langue
est déviée à droite ; la parole est scandée et
Quand on ouvre la bouche on constate une asymétrie très nette de la
langue
; toute la moitié droite est plus large et plus
ut deux minutes ; il n'y eut ni émission d'urines, ni morsure il la
langue
. Au début les crises revenaient tous les mois, ma
. Une fois ou deux elle a écumé, mais elle ne s'est jamais mordu la
langue
, elle ne s'est pas débattue, jamais non plus elle
es accidents : à cause du début lent, de l'absence de morsure de la
langue
et d'émission d'u- riues, on est porté à penser
ribution de l'hypertrophie qui siège à droite sur la face et sur la
langue
, et à gauche sur les membres et sur le tronc. J
urtout marquée pour les parties molles, ' l pour la joue et pour la
langue
; pour les autres parties il n'y a pas de dif- '
ques : marqués de paralysie générale. Tremblement fibrillaire de la
langue
, des mains, des muscles de la face, achop- peme
nscience est absolue. Bredouillement, tremblement fibrillaire de la
langue
, des petits muscles de la face, tremblement des
arqués. Tremblement fibrillaire de la 12 ) ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
langue
, embarras de la parole. Tremblement des mains. Ré
cas, enfant de quatre mois; l'hypertrophie intéresse la face et la
langue
, à droite, les membres et le tronc à gauche; da
des symptômes de paralysie labio- glosso-laryngée (voie nasonnée) ;
langue
atrophiée avec secousses fibrillaires; troubles
ite : (Anatomie et physiologie du système nerveux). Les nerfs de la
langue
. Questions restées dans l'urne : 10 Les centres
nté ou maladie, race), psychologiques (intelligence) et sociales (
langue
, religion, éducation, etc.), d'après lesquelles d
mblement limité aux membres supérieurs, mais étendu à la face, à la
langue
, au maxillaire. Le malade, cultivateur, est âgé
nt ensuite au bras droit. Depuis six mois, la face, la paupière, la
langue
et le maxi- llaire inférieur tremblent. Il ne s
ues contestables, tels que troubles pupillaires, tremblements de la
langue
, des lèvres, etc. A son entrée dans le service,
ysique est très précaire, elle est pâle, amaigrie, sans forces ; la
langue
est sèche, la soif est ardente; pas de fièvre.
naissance. Jamais d'attaques épileptiformes, jamais de morsure à la
langue
. Il lui est arrivé une fois seulement d'uriner
mémoire, du tout, voilà déjà longtemps que je n'ai presque plus de
langue
», dit-il en la tirant, quand on se lui commande.
s, par moments je perds la tête. » Pas d'inégalité pupillaire. La
langue
ne semble pas animée de tremblement fébrilaire,
se traduit parla perte complète du goût sur la moitié opposée de la
langue
et par un léger affaiblissement de cette foncti
te cette région fait aussi disparaître la sensibilité tactile de la
langue
, et cette anesthésie est exactement disposée co
ieure est principalement le siège de la sensibilité tac- tile de la
langue
, de l'acide et du sucré. 11 semble que l'amer o
à sa partie supérieure : le centre de la sensibilité tactile de la
langue
occuperait, dans la même circonvolution, l'endr
et de la déglutition. On constata une déviation très marquée de la
langue
à droite, il existait une paralysie de l'hypogl
ure externe des globes oculaires, des muscles de la face et de la
langue
, des muscles masticateurs, des muscles du voile d
asthénique : ophtalmoplégie externe, parésie faciale, parésie de la
langue
, du larynx, du voile du palais, épuisement rapide
x des nerfs crâniens moteurs sont sains. Enfin, les muscles de la
langue
, du pharynx et surtout les mus- -cles du larynx
survient atrocement violente, et il lui semble qu'on lui arrache la
langue
. L'oeil parait être projeté hors de l'orbite. C
e un point douloureux, une sorte de picotement très pénible sous la
langue
du côté affecté. La langue parait épaissie et t
sorte de picotement très pénible sous la langue du côté affecté. La
langue
parait épaissie et tuméfiée à la malade, mais cet
volume très marquée des vaisseaux du cou et des veines ranines. La
langue
est très épaissie. Le 3 mars 1901, la malade
her la voûte palatine avec une four- chette ou même la pointe de la
langue
pour susciter la crise. Aussitôt surviennent de
tate de la dilatation gastrique, un bruit très net de clapotage, la
langue
est sale, sèche. La malade se plaint d'avoir no
é- rieure de la face du côté du cuir chevelu. Hyperesthé'ie de la
langue
et des gencives. Comme troubles moteurs, il y aur
droit ; des mouvements comme ataxiques, lorsque la malade tire la
langue
. Pendant la déglutition souvent elle avale de tra
gauche. Les fonctions des sens supérieurs ne sont pas dérangées. La
langue
, lorsque la malade la tire, se dévie un peu à d
me congrès DES aliénistes et NHUROLOGISTES DE France ET des pays DE
langue
rtt.a\C.11SE se réunira à Bruxelles, le 1 ? a0tit
s de la maladie dont il devait moutir. 1-1 le frappa « seulement ma
langue
, dit-il, et tous les muscles des en- virons, d'
ue j'eus bien regret de l'avoir pris. » Puis « on me saigna sous la
langue
, je pris des goûtes d'Angleterre2, j'usai d'esp
e ce remède... Cependant toutes ces tortures ne purent me délier la
langue
qui étoit toujours également embarrassée » a.
e se manifeste d'abord par une dysarthrie, due à la paralysie de la
langue
et des lèvres, et qui aboutit bientôt à l'anart
tension musculaire est plus grande et surtout pendant l'émotion; la
langue
présente des tiraillements rythmiques, lorsque le
ébelleuse; il se tourne lentement et avec gaucherie. En parlant, sa
langue
s'embrouille, les con- sonnes sont prononcées i
la calmaient. Il arriva que pendant que l'un des chiens portait sa
langue
sur les parties génitales l'autre lui léchait l
e rencontrait mais bien peu répondaient à ses caresses ; un coup de
langue
sur la main lui donnait une grande satisfaction
ion incomplète ne lui donnèrent pas le plaisir que lui procurait la
langue
; elle renonça à ces tentatives. Peu de temps
satisfaction de l'instinct sexuel était pour elle inséparable de la
langue
d'un chien. Elle aimait les enfants, la famille
ernière affection. G. C. LXXX. Cas d'hémiatrophie progressive de la
langue
et de la face; par Alice Woods (de San Francisc
uche du corps. Abaissement du goût sur toute la moitié droite de la
langue
. Diagnostic : Affection du tegmentum du pont de
la clavicule. Dans deux tiers antérieurs de la moitié gauche de la
langue
un léger affaiblissement du goût. Diagnostic : Af
s DES médecins aliénistes ET ,EUROLOGISTES DE france ET DES pays DE
langue
française (Sessioza de Bruxelles).. , Le prog
eizième desaliénisies et neu- roiogistes de France et des pays de
langue
française, 400. 573. Troi- sième national d'ass
ical inférieur, par liouveyron, '-186. Cas d' pro- gressive de la
langue
et de la face, par 11^'^ Voods 535. 11L111'LI
s, constatation au réveil d'un état d'hébétude et d'une morsure de la
langue
. A ce moment, le jeune Lucien fut soumis à un t
me apparaît à mes lèvres, je ronfle, je roule les yeux et me mords la
langue
(toujours à droite). Puis je reviens à moi. Sitôt
lam et la pédagogie musulmane. D R NICOLAS (de la Bourhoule) : La
langue
internationale au point de vue mnémotechnique.
'Islam et la pédagogie musulmane. Dr Nicolas (de la Bourhoule) : La
langue
internationale au point de vue mnémotechnique.
rce que l'on est illogique dans la présentation des éléments de notre
langue
. Vous avez voulu faire lire à votre enfant le m
ar M. Albert Mersier, Diplômé pour le malais de l'Ecole nationale des
langues
orientales vivantes. Musulmans depuis lexiiie s
xixe siècle. Abdoullah qui avait appris l'anglais, l'arabe et une des
langues
de l'Inde anglaise était un homme à l'esprit ouve
plus grande force divine » que lui. Elles s'exprimaient en plusieurs
langues
étrangères et avaient le don suprême de l'explica
vulsions, le langage en idiomes étrangères et les explications de ces
langues
et des textes saints. » Dallmeyer écrit : « Ce qu
re part : impossibilité de choisir le point de chute — morsures de la
langue
avec écume ensanglantée, hébétude plus ou moins p
es applications à (a médecine pratique », a été traduit en toutes les
langues
les plus importantes. Personnellement, il a exerc
ès des médecins aliénistes e ; neurologistes de France et des pays de
langue
française tenu à Genève et Lausanne, du 1er au 7
un Congrès des aliénistes et neurolo-gistes de France et des pays de
langue
française ; les Suisses et les Belges n'ont aucun
u cours des débats publics, provoqués par le rapport de M. Ballet, la
langue
m'a beaucoup démangé. Vous savez que la philosoph
« Le Congrès des Aliénistes et Neurologlstes de France et des pays de
langue
française réuni à Genève et Lausanne, Considérant
rd'hui, en lui demandant toute son indulgence pour un étranger que la
langue
et la haute culture française ont captivé beaucou
enflées, aux lèvres épaisses et saillantes, surtout l'inférieure. La
langue
volumineuse, qui faisait saili : hors de la bouch
ter. Il y a un symptôme qui manque rarement, c'est la morsure de la
langue
. Elle permet, nous semble-t-il. de fixer le diagn
nte cas douteux nous a conduit à admettre que : 1° La morsure de la
langue
n'est pathognomonique de l'épilepsie que si elle
istes et Neurologistes (aoùt 1907). 2° La morsure des côtés de la
langue
ou des joues et des lèvres est toujours symptomat
mme la plus grande Université musulmane, on enseigne la syntaxe de la
langue
arabe en faisant apprendre le fameux poème d'Ibni
vous paraître un peu bizarre, me semble très commode et utile. Car la
langue
arabe, comme beaucoup d'autres langues orientales
e très commode et utile. Car la langue arabe, comme beaucoup d'autres
langues
orientales, peut par sa forme jouer un grand rôle
livres religieux et ces livres sont écrits en arabe. Outre que cette
langue
est très difficile à apprendre, il n'existe pas d
ux connaissances acquises de nos jours. Par conséquent, l'étude de la
langue
arabe est depuis une cinquantaine d'années, de pl
blables : lèvres et nez gonflés, cou œdèmatié ; l'une d'elles tire la
langue
dont le bout passe entre les dents serrées. L
énomènes sont : perte de conscience, crampes toniques, morsures de la
langue
, hémorragies conjonctivales, pas d'incontinence d
urine. Les accès ont lieu une ou deux fois par mois. La morsure de la
langue
est tellement forte un jour qu'elle laissa une gr
à un signe donné elle aura un accès, mais qu'elle ne se mordra pas la
langue
; à un second signe l'accès cessera. Il en est ai
haut degré ; les pupilles sont élargies, insensibles à la lumière. La
langue
n'est pas mordue, mais il se produit une hémorrha
enflées, aux lèvres épaisses et saillantes, surtout l'inférieure. La
langue
volumineuse, qui fait saillie hors de la bouche e
rès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pays de
langue
française, tenu à Genève et Lausanne en août 1907
ur à l'Ecole de psychologie ; M. Rougier, ancien élève de l'Ecole des
langues
orientales ; Mlle Alice Bérillon, professeur au L
avec un fort traitement ; et comme le voyageur ne connaissait pas la
langue
du pays, il lui donna deux substituts. Batuta eut
is, chatouillé ou piqué, ne réagit point ; la moitié gauche de la
langue
est insensible à la piqûre et le sens du goût y e
ité normale était rétablie des deux côtés, que la moitié gauche de la
langue
avait recouvré la fonction guslativc, que le voil
n'y a pas de troubles gastro-intestinaux, ni d'état saburral de la
langue
, et ceux chez lesquels ces phénomènes existent
sont toujours accompagnés d'état gastrique, d'état saburral de la
langue
. Nous devons soigner cet état gastrique par des l
a tête, la poser de côté, déboutonner ses vêtements et lui tirer la
langue
hors la bouche si par hasard elle tendait à êtr
, lui- même, un accès épileptique. (Importance des morsures de la
langue
, des ecchymoses, des cicatrices.) Les traumatis
de la parole comme dans la paralysie gé- nérale, la motilité de la
langue
est demeurée intaete. Quelques troubles mentaux
s jambes tendues et non roidies, le poing fermé natu- rellement, la
langue
rentrée, le pied reposant mollement sur un roch
ter les mouvements du visage : ouvrir et fermer la bouche, tirer la
langue
, rapprocher et éloigner les commissures des lèv
iologique, paralysie, atrophie de tel ou tel élé- ment d'organe. La
langue
trop épaisse, emprisonnée dans une mâchoire tro
tant les incisives supérieures trop développées, de la pointe de la
langue
et semblent tou- jours prononcer des dentales,
ne le son t ou d. D'autres enfants, comme Henri R..., possèdent une
langue
toujours en retrait dans la bouche, ne savent é
identiques à celles qu'il ressentait quand nous par- lions. Si la
langue
est paresseuse, c'est d'elle que nous nous occu-
de l'articulation, on sait que pour produire ce son « la base de la
langue
se relève, entre en contact avec le voile du pa
contact avec le voile du palais; celui-ci se trouve pressé entre la
langue
et la paroi pharyngienne et tout passage de souff
oi pharyngienne et tout passage de souffle est interrompu ; puis la
langue
se détache vivement et une explo- sion se produ
se produit ' ». La plupart du temps l'enfant ne sait pas relever la
langue
, et donne t pour k; le maître, alors avec son d
pour k; le maître, alors avec son doigt, repoussera la pointe de la
langue
le plus possible, afin de lui faire occuper la
te position, ka. Puis on habituera l'enfant à maintenir lui-même la
langue
avec son propre doigt, et peu à peu la langue s
maintenir lui-même la langue avec son propre doigt, et peu à peu la
langue
s'habituant à cet exercice finira par ne plus avo
st par trop prolongée nous avons remarqué que l'état saburral de la
langue
ne peut plus dis- paraitre malgré les purgatifs
m dans ces cas, on voit peu à peu sous l'influence des purgatifs la
langue
se nettoyer, l'haleine devenir meilleure et aux
trouvent si bien qu'elles viennent d'elles-mêmes nous montrer leur
langue
et réclamer le médi- cament. On n'oubliera donc
ICATION DANS L'ÉPILEPSIE. 129 surtout lorsque l'état saburral de la
langue
est très accentué avant les accès, ou bien lors
de soixante-six ans présentant de la para- lysie des lèvres, de la
langue
et du voile du palais; un défaut d'ar- ticulati
au nom de M. Régis, secrétaire général du Congrès des aliénistes de
langue
française, que la Société accorde une subventio
me CONGRÈS DES aliénistes ET NEUROLOGloTEb DE France ET DES PAYS DE
LANGUE
FRANÇAISE. Session de Bordeaux, 1895. PROGRAM
me Congrès des aliénistes et neurologistes de France el des pays de
langue
française se tiendra à Bordeaux, du 1er au 7 ao
amp;LITE. 275 nature de cet accident, son peu de connaissance de là
langue
fran- çaise et «on état mental rendant l'interr
dérablemeut affaissées. Les muscles de la face, des lèvres et delà
langue
sont animés d'un tremblement fibrillaire intens
accès d'épilepsie (perte complète de connaissance, morsure de la
langue
, sueurs profuses, suffocation, parésie du coeur,
tères permettant le diagnostic : hypertrophie des extrémités, de la
langue
, des muscles des membres ; articula- tions énor
phalalgie et de la diarrhée. -A son entrée, il est pâle, émacié; la
langue
est brune, sèche, fendillée. Râles hu- mides da
te maladie : épaississement de la peau, des mains, des pieds, de la
langue
; pseudo-lipomes; na- nisme ; persistance de la
, vomissements, agitation, excita- tion, diminution du volume de la
langue
et de la coloration vio- lacée des lèvres, pous
sifflements, résultant sans doute des contractions violentes de la
langue
qui éprouve quelques difficultés à se mettre en
graphies annexées à cette communication. Pas de tremblement de la
langue
, ni des lèvres. Les réflexes rotuliens sont con
ations lentes, mouvements d'avant en arrière et de latéralité de la
langue
sans hypertrophie. Troubles de la parole, mou
ession de Bordeaux, du Congrès des Aliénistes et Neurologistes de
langue
française. Il a été très intéressant au point de
diplôme de doc- teur,W... fonde un Institut poui-l'enseignement des
langues
, autour duquel il fait beaucoup de réclame, se
el il fait beaucoup de réclame, se donnant comme professeur de onze
langues
. Ensuite il se marie et n'épargne pas rasa femme
s les autres facultés, et en particulier avec sa connais- sance des
langues
étrangères. L'épilepsie qui a entraîné la réforme
vre de baisers, il s'entretient avec sa femme qui lui parle dans la
langue
universelle. Onanisme. Ce délire ne tarde pas à
ait en scandantles syllabes avec pauses entre les divers mots. - La
langue
ne parais- sait pas déviée. - Le 9 mars, le mal
innervé par le trijumeau, légère parésie du facial, déviation de la
langue
à droite. A droite, atrophie musculaire et contra
faciale, troubles de la parole, tremblement] des - lèvres et de la
langue
, exagération des réflexes rotuliens, démarche à
sistèrent plus longlemps. Tous les mouvements des extrémités, de la
langue
, etc., étaient exécutés à faux. La déglu- titio
'exprimer par la parole, il a perdu la mémoire des mouvements de la
langue
et des lèvres nécessaires pour articuler les mo
mot sera vu comme un dessin ou comme un caractère appartenant à une
langue
étrangère, mais sa valeur symbolique est mé- co
qu'il a souvent des cauchemars caractéristiques. Aux mains et à la
langue
on ne constate qu'un tremblement très léger. -
malade présentait une scansion de la parole, avec tremblement de la
langue
, de l'affaiblissement intellectuel, de la diminut
et de persécution, de l'embarras de la parole, du tremblement de la
langue
et des lèvres, de l'incontinence des matières f
rature s'éleva rapide- ment, il se produisit de la sécheresse de la
langue
avec fuliginosilés des lèvres, on constata les
se, il perdit l'appétit, et tomba plus tard dans la prostration. La
langue
d'abord très chargée se dépouilla par la suite
orpide. Trois frissons dans la journée. Vomissements. Constipation.
Langue
sèche, rouge, molle. Pas d'albumine. (La diarrhée
. Le malade ne peut avaler à .cause des douleurs qu'il éprouve à la
langue
et dans la gorge. Température très basse. La pe
de syph. l8ll-l815. (2) Le travail complet paraîtra incessamment en
langue
russe sous le nom du DI' : \i- kolski. Je ne do
sus des pieds. Hémianestbésio droite comprenant le côté droit de la
langue
elles orga- nos supérieurs des sens, c'ost-a-di
personnel de celle crise; mais elle affirme ne pas s'être mordu la
langue
et n'avoir pas eu de miction involontaire. Jama
s, qui donnent lieu il l'hémiplégie vulgaire. L'hémiparalysie de la
langue
est alors homonyme. On observe en effet avec la p
a paralysie de la face et des membres d'un côté, la déviation de la
langue
du même côté. Dans ce cas, ce signe est en géné
lle paires et concernait un enfant, chez lequel les mouvements delà
langue
étaient difficilement appréciables. Notre cas r
vec déviation il gauche et atrophie de toute la moitié gaucho de la
langue
. Cette atrophie indiquait que la lésion siégeai
r expliquer la déviation (spasme glosso-labié) ou l'atrophie 'de la
langue
. Il ne restait donc que l'hypothèse d'un foyer
ques vertiges, des soubresauts dans les jambes et s'aperçoit que sa
langue
et la prononciation sont un peu embarrassées. Cep
ots est seulement un peu embrouil- lée par défaut de mobilité de la
langue
, qui est complètement déviée a gauche (voir pla
c du nerf, aussi bien dans ses ramifications )olll'SIILV1CS dans la
langue
, qu'à son origine, S(,I11- de lout;'¡ fail nlro
siège d'une pneumonie fibrineuse à la période d'hépatisation grise.
Langue
. La moitié gauche de la langue est distinctement
e à la période d'hépatisation grise. Langue. La moitié gauche de la
langue
est distinctement atrophiée ; elle est très min
ethière Examen microscopique. (Fait à l'Institut pathologique).
Langue
. L'examen microscopique de la langue démontre qu'
it à l'Institut pathologique). Langue. L'examen microscopique de la
langue
démontre qu'il la moitié LI roi Io IL iiiuseti
ie alterne des mem- bres du côté droit et de la moitié gaucho de la
langue
. Notons la contrac- ture précoce des membres pa
nes attitudes des hystériques. Mais la bouche n'est pas crispée, la
langue
ne sort pas, et les yeux sont simplement relevé
Il pousse des cris affreux, ouvrant une bouche énorme'et tirant la
langue
de travers. C'est sûrement un fameux buveur, ca
n de la vue, chute sans perte de connaissance. Pas de morsure de la
langue
, pas de mictions involontaires, ni de crises no
t com- posées d'un assemblage baroque de mots puisés dans plusieurs
langues
. On y lit, en latin, petll1n, qttttttdo, etc.,
affreuse grimace. Un oeil clos, la face contractée d'un seul côté, la
langue
tirée de travers, il a vraiment le masque de la
perçoit bientôt que dans la Possédée de Rubens, la protrusion de la
langue
, la convulsion des yeux en haut, le gonflement
de la face. L'oeil gau- che était tourné en haut et en dehors ; la
langue
était paralysée, la pronon- ciation très diffic
ue-là, se supprime; la malade n'accepte plus qu'un peu de lait ; la
langue
est sèche. La température monte à 38°5 le soir.
jambe droite. La mâchoire inférieure tremble depuis deux ans et la
langue
depuis 8 mois. Le tremblement a envahi le côté
emblent de haut en bas, sans que cela gêne beaucoup la parole. La
langue
se meut continuellement d'avant en arrière. Tro
ion qu'elle donne - 26 CLINIQUE NERVEUSE. de la préférence que sa
langue
, dans ses écarts, paraît accorder à ces express
ette préoccupation est précisément ce qui les lui met au bout de la
langue
quand elle ne peut plus la maîtriser. Du reste,
e malade exécute une série de grimaces auxquelles ni les yeux ni la
langue
ne prennent aucune part. A ces grimaces s'assoc
fin, ce qui n'avait pas été noté pendant son séjour à l'hôpital, la
langue
est de temps en temps projetée au dehors et à p
s des deux mâchoires s'entre-choquer violemment. Assez souvent la
langue
se trouvant interposée est brusquement saisie et
(excepté sur la cicatrice du foyer trauma- tique) ; intégrité de la
langue
, des rebords alvéolaires, des dents, du palais,
et n'a conservé que quelques mots allemands (elle parle bien cette
langue
, ayant habité l'Allemagne pendant plusieurs ann
ns à côté des autres ; 4" La charpente musculaire intrinsèque de la
langue
, ainsi que les muscles rétracteurs de cet organe,
missements). Constipa- tion opiniâtre; léger enduit saburral sur la
langue
; pas de lien- térie. C'est au début de 1883, qu
qu'on ne constate pas d'atrophie ni de réaction dégénérative de la
langue
. : 11. Joli%, admet une troisième catégorie. Il s
tl)le pi-oitoiicé de l'ar- ticulation avec difficulté de mouvoir la
langue
; difliculté du dé- glutir, et plus tard aphonie
obiles, détachés de la cavité orbitaire, branlants (mélancolie), la
langue
paraît sèche. Le corps est brisé écartelé, toi-
direct, ces lésions seraient révélées par les états variables de la
langue
, par la présence dans les selles de débris d'en
les mouvements rhythmés se' propagent alors à la' mâchoire et à la
langue
qui peut se trouver prise accidentelle- ment-.
passée de la manière suivante : la tête s'est tournée à gauche, la
langue
est sortie brusquement, est rentrée de nouveau
is fois sa jambe droite, DE L INCOORDINATION MOTRICE. 161 tire la
langue
encore une fois, dit « zut » et tout est fini. En
masséters, en se contractant, produisent le grincement de dents, la
langue
est projetée en dehors et même déchirée lorsque
nt être fort préjudiciables. Chez le malade de l'observation IV, la
langue
était vi- vement projetée au dehors, et, parfoi
enaient avec une violence inaccoutumée; il gesticulait, tirait la
langue
, sautait sur place, devant la porte de celui qu'i
feste : le malade répétera parfaitement des mots prononcés dans une
langue
qui lui est tout à fait inconnue : il sifflera,
u de l'acte n'étaient pas moins appréciables : « Peu importait la
langue
employée dit-il : le sauteur, répétait aussi bien
T. R. matin, 39°. L'enfant est éveillé, P. 96. Pas de vomissements,
langue
humide, selles abondantes; il a gâté. 30 avri
lles égales, un peu dilatées. Léger frémissement de la pointe de la
langue
. 11 bave beaucoup; autrefois il ne bavait que A
e ; luette très longue, frôlant presque la partie postérieure de la
langue
; piliers normaux; amygdales très volumineuses, su
volumineuses, sur- tout la droite; muqueuse du pharynx assez rouge;
langue
large. Gencives en bon état. Organes génitaux
tertoreuse. A ce moment, les pupilles sont extrêmement dilatées, la
langue
est entre les dents, il y a de l'écume. Cet état
un accès, C... s'est mordu assez profondément le bord gauche de la
langue
; il a été très agité. ,1'2 févriei,. - Amélio
elle série d'accès avec excitation ma- niaque. Légère morsure de la
langue
. T. R. 39 ? Soir : 1'. R. 39°, 2. 9 janvier. T.
e : la commissure droite est un peu attirée en bas. La pointe de la
langue
est un peu déviée à droite. Pas de contracture
ve, mais la cornée est sensible : le résultat est moins net pour la
langue
. L'ouïe, l'odorat, le goût sont sensiblement ob
ture du côté droit de la face, sans déviation ni asymétrie de la
langue
qui se meut aisément en tous sens. Sensibilité gé
strabisme interne de toit droit, des mouvements incessants dans la
langue
, de temps à autre des convulsions dans lesmuscl
notion de situation des membres et dans l'impossibilité de tirer la
langue
, bien que ces organes ne soient pas paralysés. Ne
oit. Il lui semblait aussi sentir quelque chose d'anormal dans la
langue
quand il faisait quelque effort. La parole était
langue quand il faisait quelque effort. La parole était nette, la
langue
était tirée droite et ne présentait aucune anomal
s carotides et temporales sont gonflées' les pupilles rétrécies, la
langue
est chargée, le pouls accéléré et assez plein.
is à la lumière, un liseré gingival bleu-gris, du tremblement de la
langue
, une grande incertitude dans les mou- vements d
l fut pris tout à coup de délire furieux; la face est très pâle, la
langue
sèche et fuligineuse, la déglu- tition difficil
apparaissent des troubles du langage. Les réponses sont lentes ; la
langue
, qui parait moins mobile au malade, fourche sur
ysée du côté gauche. Déviation conjuguée des deux yeux à gauche. La
langue
est aussi un peu déviée du côté gauche. La raid
st tout à fait nor- névralgie ET paralysie oculaire. 23 mâle ; la
langue
se tire bien droite ; il marcheparfaitement, pas
t d'engour- dissement de la face à gauche et dans la moitié de la
langue
; la malade mourut subitement ou du moins très r
plégie et d'aphasie (mais avec conservation des mouvements de la
langue
); nous avons vu dans ces symptômes la traduction
ême côté; pas de modification très sen- sil)1(3 dans les traits, la
langue
est déviée d gauche. des zones cékébralks motri
l'abolition de la faculté du langage (alalie) sans paralysie de la
langue
(glosoplégie); nous remarquons, en outre, que la
erminé l'aphasie véritable (perte de la parole sans paralysie de la
langue
); 20 Que les lésions destructives de l'écorce g
n quelques lignes son histoire : Le père est mort d'un cancer de la
langue
. C'était un homme 'il ! (; I)L 1 ? \I'IS. sen
ont constituées par les phéno- mènes suivants : chute, morsure à la
langue
, écume à la bouche, convulsions toniques prédom
e borne, d'ordinaire, à quelques symptômes d'embarras gastrique; la
langue
est blanche, chargée, comme poisseuse; il y a d
haut; tantôt, et le plus souvent, ce sont des troubles digestifs :
langue
chargée, embarras gas- trique, constipation per
(inégalité pupillaire, parésie du facial gauche, tremblements de la
langue
et des mains), affai- blissement psychique, mod
n- sible à l'excitation lumineuse comme à toute aceommolation. La
langue
est titée droite, mais elle est tremblottante, et
l déraisonne complètement. Pupilles irrégulières, tremblement de la
langue
; écriture tremblée, réflexes normaux. L'agitat
pigastre et de la région pariétale. La diplopie, la déviation de la
langue
, l'asymétrie du voile du palais, la paralysie fac
ruits anor- maux, rien du côté des poumons, du foie, de la rate; la
langue
est bonne ; il existe de la constipation. A l
de la fièvre, la peau est chaude; le pouls est fréquent, à 108; la
langue
est blanche; constipation. Pendant quinze jours
nte aucun symptôme net de paralysie, d'anesthésie, ni d'aphasie. La
langue
est déviée à droite et l'éminence thénar de la
ques, survenus la nuit, pendant lesquels elle ne s'est pas mordu la
langue
, mais urina dans son lit, miction inconsciente
ises. C'est en 1875 que, pen- dant un de ses accès, elle se mord la
langue
pour la première fois et est presque délivrée d
nnaissance; elle urine inconsciemment dans son lit, elle se mord la
langue
et a des convulsions. En revenant à l'état norm
epos relativement courte chez Arch... n'ayant pas uriné ni mordu la
langue
dans ses deux dernières crises. La durée de l'a
aines, il devenait « songeur». Au- cun autre prodrome. Début par la
langue
et la moitié droite de la face, puis envahissem
neux. Il parle en mâchonnant, en coupant les mots, bave, se mord la
langue
. Hier matin, il a fait une chute, a eu peur, et,
e des extrémités des doigts ; sensibilité modérée de la pointe delà
langue
, sensibilité plus grande du côté gauche : diffé-
dans les bronches que de la salive mêlée au sang (morsures de la
langue
). M. IDELER a observé, dans le vieil asile de l
Les Européens ne possèdent sur ce sujet aucune notion, parce que la
langue
et l'écriture japonaises sont ardues pour les é
s de cette communication. Il présente un traité de psychiatrie en
langue
et matériaux japonais, avec la disposition typogr
interne. Intégrité à peu près complète du facial ; intégrité de la
langue
, de la luette, du voile SOCIÉTÉS SAVANTES. 285
racé des oscillations de la main droite, de la main gauche et de la
langue
. Les courbes présentées sont intéressantes, car
euses. Atrophie des interosseux des deux mains et des muscles de la
langue
. inulle part il n'existe de réaction dégénérati
ût 1882, la malade prend des crises très fortes avec morsures de la
langue
, sans aura, mais fréquemment avec émis- sion in
mois de juin, tuméfaction énorme de la lèvre inférieure et et de la
langue
à la suite de morsures : .la malade croyait avoir
niques généralisées sans prédominance d'un côté, avec morsure de la
langue
, perte de connaissance et état soporeux à la fi
nnaissance, et pendant ce temps a eu trois « attaques a, a mordu sa
langue
et.a présenté des phénomènes convulsifs bien ac
remier type, le plus fréquent et le plus complet, ils occu- pent la
langue
, la face, le membre supérieur droit, le membre in
che. Voici l'ordre dans lequel ils se montrent : Tout d'abord, la
langue
projetée en avant vient buter contre la lèvre i
recouvrent les lobles occulaires, et une nouvelle projection de la
langue
se produit, cette fois, contre l'arcade dentair
la tête ; du côté de la face on note simplement la projection de la
langue
hors de la cavité buccale. Ces mouvements, dont
clanchement; en ce cas, on ne note pas la première projection de la
langue
qui, d'habitude, devance l'exclamation coprolal
. Parfois, le mouvement convulsif est précéd de la projection de la
langue
hors de la bouche, ou encore de grimaces dues à
on reconnaît qu'à leur production, les mouvements des lèvres, de la
langue
prennent une faible part, tandis que le mode d'
ble; à droite, il pouvait à peine mouvoir les doigts de la main. Sa
langue
était contractée et immobile, les lèvres tirées
es au toucher. L'angle labial gauche est fortement tiré en haut, la
langue
fortement déviée ers la gauche. Du reste, pas de
ttention sur l'état des voies diges- tives. Tous les malades ont la
langue
pâteuse, saburrale et un manque absolu d'appéti
la face, y compris quelquefois aussi la muqueuse des joues et de la
langue
(analgésie, anesthésie, hypolhermeslhésie, dont
mbourère a présenté un cas de syringomyélie avec hémiatrophie de la
langue
. La malade, âgée de vingt et un ans, présente u
ement du côté gauche. Nystagmus. Atrophie de la moitié droite de la
langue
. La largeur de la moitié droite est de 20 milli
ètres. La muqueuse est couverte de plis et de sillons. Déviation de
langue
du côté droit; le sens du toucher et le sens du
dégénérescence; secousses fibrillaires dans la moitié droite de la
langue
. Le langage et la déglutition ne sont pas atteint
depuis deux ans. La date du commencement de l'hé- miatrophie de la
langue
n'est pas connue. Il y a un an fort traumatisme
ssion : M. le Dr RosSOLIMO pense pouvoir rapporter l'atrophie de la
langue
à une légère lésion des fibres trophiques dans la
exie se suivit par des troubles bul- baires et l'hémiatrophie de la
langue
. M. le D'' DARNSCHEWITSCH se basant sur l'intég
récédée d'un aperçu de l'histologie normale. Le texte sera écrit en
langue
allemande ou française, selon la nationalité de
as. VARIA Congrès annuel des MÉDECINS aliénistes ET DES pays DE
langue
française Session de la Rochelle (1893). Le con
Le congrès annuel des Médecins aliénistes de France et des pays de
langue
française se réunir à 1 Rochelle du 1er août au
Pas de trouble de la phonation ni de déglutition. Les lèvres et la
langue
sont à l'état normal. Pas de troubles du côté d
192 PATHOLOGIE NERVEUSE. commissures, mais extrêmement faibles. La
langue
a un volume à peu près normal. Elle est plutôt
s commissures en poussant un petit grognement avec les lèvres et la
langue
. Lorsqu'il est en colère, il prend un air pleu-
contente lorsque nous voulons exiger de lui une réponse de tirer la
langue
, de se dilater la bouche avec les index en croc
'appui de cette opinion, le fait que ses malades se servaient de la
langue
pour prendre les aliments et présentaient dans la
infantile. Le volume des phalangettes, rapproché des fissures de la
langue
, permet de penser à l'acromégalie mais, comme i
condaire des poumons. Furent épargnés les muscles de la face, de la
langue
, du larynx, du pharynx, ainsi que les organes d
supérieure et de la branche moyenne du facial, une'déviation de la
langue
à droite avec diffi- culté de la mastication et
nnus aussi bien sur la moitié droite que sur la moitié gauche de la
langue
. Odorat. - L'éther est reconnu à droite comme à
entuées et beaucoup moins fréquentes qu'au début de l'affection. La
langue
présente un tremblement fibrillaire très ma- ni
inations de la sensi- bilité générale se multiplient à l'infini; la
langue
usuelle ne suffit plus à décrire de pareilles s
ue, durant la crise, il n'a pas uriné sous lui ni ne s'est mordu la
langue
. Après l'attaque, il s'endormit facilement ; le l
HYSTÉRIE. 445 tient sa main fortement appliquée contre le genou. La
langue
prend part aussi au tremblement; retirée hors d
s fonctionnent régulièrement; pouls,80. Tem- pérature prise sous la
langue
, 37°3. Placé sur les diverses régions du corps
iâtre, interne du même asile, pour son Élude du trem- blement de la
langue
dans la paralysie générale. Prix Bel.homme.-111
vantageusement connu par des travaux antérieurs. De préférence à sa
langue
maternelle, l'auteur s'est servi de l'alle- man
ar Chaslin, 377. Congrès des médecins aliénistes et des pays de
langue
française, 149; - de la Société psychiatrique d
ux, par Schultz, Brasch, 263. Syringomyélie avec atrophie de la
langue
, par Fambourère, 104. Système nerveux, corpuscu
t qu'elle aura été comprise par lui. Si je m'adresse . à lui dans une
langue
qu'il ne connaît pas, le résultat de ma tentative
s'accomplissaient avec ensemble. Simultanément la bouche s'ouvre, la
langue
s'allonge, les épaules se soulèvent, le diaphragm
cauchemars ; asthénie générale profonde. Du côté du tube digestif,
langue
saburrale, anorexie complète, goût perverti (la m
obligent à se reposer. Il accuse des picotements insupportables de la
langue
et une grande difficulté à avaler tout ce qui n'e
son entourage qu'à peine éveillé, il se tâte, se percute, examine sa
langue
, se juge trop malade pour se lever, et reste au l
ccuse aucun trouble. Son teint est anémique : léger tremblement de la
langue
et des mains. II présente divers signes de dégéné
eux : Essai sur quelques questions de grammaire raisonnèe : i" série,
langue
grecque ( i 877). — de la placerespectice de l'ar
es dans les bras, manifesta le désir de faire à J... des piqûres à la
langue
. « Alors, à J... éveillée, on demanda d'avancer l
iqûres à la langue. « Alors, à J... éveillée, on demanda d'avancer la
langue
et on la lui perça plusieurs fois, avec une aigui
« Si les mots de magnétisme et d'hypnotisme n'existent pas dans la
langue
arabe, la chose y est, en revanche très connue et
, des ganglions sous-maxillaires et inguinaux, un état sabrinal de la
langue
, de la dilatation gastro-intestinale, une maigreu
et dès la plus haute antiquité, la musique a été envisagée comme une
langue
: la langue des Dieux ; mais de nos jours cette e
lus haute antiquité, la musique a été envisagée comme une langue : la
langue
des Dieux ; mais de nos jours cette expression do
cception propre, et non plus dans son sens figuré. La musique est une
langue
véritable, le musicien est polyglotte. L'étude
une langue véritable, le musicien est polyglotte. L'étude de toute
langue
débute par l'alphabet, ensemble de signes et de c
ots et des phrases. Plus tard, l'élève composera, reproduira en cette
langue
nouvelle les idées, les sentiments des auteurs.
r l'homme de produire les mouvements nécessaires à l'expression de sa
langue
maternelle, ses organes — larynx et cavité buccal
ements nouveaux. La difficulté est plus grande encore lorsque cette
langue
étrangère est la musique. La langue musicale parl
plus grande encore lorsque cette langue étrangère est la musique. La
langue
musicale parlée avec le larynx et la cavité bucca
que cette entérite n'était pas la cause des douleurs intestinales.
Langue
saburrale. Perte complète de l'appétit. Cette fem
Braid dit que, quoiqu'elle fût ignorante de la grammaire de sa propre
langue
dans l'état de veille, elle prouverait elle-même
n'importe qu'elle personne de la société qui chanterait, dans quelque
langue
que ce soit, et il pria de bien vouloir la mettre
une discussion ardue, lecture d'un ouvrage obscur, ou écrit dans une
langue
qui ne vous est pas familière, etc, etc.) 16.
non seulement des aptitudes spéciales, mais un exercice prolongé. La
langue
des psychologues modernes est incompréhensible po
res proposés; en outre, dit-il, il est obligé de traduire en grec, sa
langue
maternelle, les questions qui lui sont posées en
er à toutes sortes d'études; il s'occupe de littérature et parle cinq
langues
. M. Inaudi, au contraire, a été très précoce; c
tor. un épileptique peut encore mourir étouffé par la chute de la
langue
dans le pharynx par suite de la paralysie des mus
la langue dans le pharynx par suite de la paralysie des muscles de la
langue
. Il faut, dans ce cas, mettre le malade dans un d
Il faut, dans ce cas, mettre le malade dans un décubitus latéral ; la
langue
tombe de son propre poids sur le côté et la suffo
Si ce moyen ne suffisait pas, il faudrait faire des tractions sur la
langue
et employer la respiration artificielle. Des in
placera sur le côté pour que la salive s'écoule facilement, et que la
langue
ne viennent pas s'appuyer sur le pharynx. La tète
se rappeler. Chaque génie aurait besoin, en réalité, d'une nouvelle
langue
à lui pour formuler exactement ses représentation
représentations nouvelles. De ce qu'il est obligé de se servir de la
langue
qu'il trouve toute faite, c'est-à-dire des symbol
iques. Huitième Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de
langue
française. Ce Congrès s'ouvrira à Toulouse, le
purement motrice dans laquelle il y a paralysie des membres, de la
langue
et de la partie inférieure de la face, dans le
aux, en-' voient des nerfs aux muscles de l'oeil, de la face, de la
langue
, etc. situés du même côté qu'eux (exception fai
trajet intra-bul- baire, qui a été atteint. Cette paralysie de la
langue
s'accompagna d'atrophie musculaire, ce qui se c
sommeil. L'urine s'écoulait presque toujours pendant l'accès et la
langue
était mordue, ou d'un côté ou de l'autre. L'att
ue y révèle les globules rouges et blancs en grande abondance. La
langue
est très sale, un peu sèche. L'appétit est très d
s et les muscles de l'appareil génital, le coeur, les muscles de la
langue
n'ont pas encore été notés parmi les muscles ma
e conservée. La parole est hésitante. Tremblement fibrillaire de la
langue
. Les réflexes sont normaux ainsi que la sensibili
ossière, dans l'amyosthénie hystérique, il existe une parésie de la
langue
du côté de l'hémiplégie et une parésie analogue
côté op- (1) Cii. Féré, Noie sur l'exploration des mouvements de la
langue
(C. R. Soc. de biologie, 1889, p. 2 18). Note s
e (1). Hcldenberg a rapporté même un cas d'hémiparésie isolée de la
langue
dans l'hystérie (2). On a admis aussi l'existen
ements d'articulation peuvent exister sans que les mouvements de la
langue
adaptés aux autres fonctions soient atteints.
s, l'observation directe monlre que les mouve- ments généraux de la
langue
sont affectés : et il en est de même dans d'aut
(2) C. IIELUE\l3EIiG, Un cas d'hémi-parésie partielle gauche de la
langue
d'origine hystérique (La Belgique médicale, 189
énergie, la rapidité el l'habileté des mouvements volontaires de la
langue
chez un bègue (C. B. Soc. de biol., 1890, p. 61
; les veines dilatées, tortueuses. Les mouvements des lèvres, de la
langue
, des mâchoires s'effectuaient d'une façon absol
ations de la peau. Comme preuve il donne l'observa- tion qu'avec la
langue
on ne peut pas sentir le pouls de l'artère radial
'artère radiale avec la lan- gue, si je presse suffisamment fort la
langue
. Avec un simple toucher de la langue de même qu
je presse suffisamment fort la langue. Avec un simple toucher de la
langue
de même qu'avec un doigt, sans la pression nécess
asséters et des temporaux, ossification partielle des buccinateurs.
Langue
et pharynx normaux. Impossibilité d'ouvrir la bou
s de la mimique normaux. Mouve- ments des lèvres, des yeux et de la
langue
normaux. Ankylose de la mâchoire inférieure des
indique la participation des rebords alvéolaires, des dents, de la
langue
. Il fait la première nécropsie et il ne constate
é de volume. UÉMII1YPERTR0PHIE FACIALE 3 ? La moitié droite de la
langue
est hypertrophiée et possède une sensibilité gu
et plus lon- gue, la sensibilité est moindre, principalement sur la
langue
. On note en outre une scoliose peu marquée. O
l'état des yeux et de la sécrétion des lar- mes. La mobilité de la
langue
est intacte. La luette est déviée vers la droite.
, en partie absentes, sont de volume normal. La moitié droite de la
langue
est trois fois plus volumineuse que la moitié g
lumineuse que la moitié gauche qui paraît déviée. La motilité de la
langue
est conservée. Le palais, le pharynx ne présent
le du palais, le pharynx, l'épiglotte et le larynx sont normaux. La
langue
, triplée de volume dans sa moitié droite, est dév
la moitié gauche de la lèvre était relevée, la moitié droite de la
langue
énormé- ment hypertrophiée au point que la moit
hle intéresse les parties molles de la moitié droite de la face, la
langue
du môme côté, le maxillaire su- périeur et infé
cale, dont l'ouverture est oblique ovalaire, on se rend compte que la
langue
est déviée à gauche ; sa moitié droite est plus
ouvements sont conservés. Lorsque le malade veut boire, il place sa
langue
sous le rebord du verre, tout en avançant les lèv
t saine, est quelquefois sillonnée par des veinules. On a trouvé la
langue
hypertrophiée dans la moitié cor- respondante à
ongifor- mes et filiformes sont démesurément allongées (Kiwull). La
langue
est dé- viée du côté opposé à la malformation (
a malformation (Kiwull, Sabrazès et Cabannes). Il est des cas où la
langue
est normale (Finlayson, Fischer, etc.). La luette
première prémolaire. Il n'y a rien d'anormal dans l'aspect de la
langue
, des amygdales, des oreilles et du front. La
ur. La voûte palatine est plus sillonnée à gauche qu'à droite. La
langue
et les amygdales sont normales. Le goût, l'odor
du côté de la défor- mation, dans l'observation de Montgomery. La
langue
est ici toujours intacte. L'affection est nette
cloni- ques et toniques, de l'écume à la bouche, se mord parfois la
langue
, et se réveille au bout d'un temps variable ave
re est de coloration rou- genre, mais peu augmentée de volume. La
langue
apparaît déviée considérablement du côté droit. E
tivement et se jetaient de côté, les bras, les épaules, la face, la
langue
étaient agités de mouvements incoercibles et disc
a consultation le le,* février. Les membres, la face, le tronc, - a
langue
sont affectés de mouvements constants, prédominan
ce moment elle était incapable de parler tant les mouvements de la
langue
étaient intenses. Elle paraît avoir eu une phase
ace posément, nettement, avec sécurité. Il écrivait de même, en une
langue
puissante, sévère, châtiée, riche en images, ni
s, le cou saillant, la bouche grimaçante, les yeux convulsés et, la
langue
Urée de travers, n'est-ce pas le portrait- réalis
olue, et dans ce cas communiquant entre nous tout bas, à l'aide do la
langue
allemande, inconnue de nos trois malades. Les t
re. En ce qui concerne le goût, du sirop de groseilles placé sur la
langue
provoque un sourire, puis le geste d'envoyer un
ustatives donnent des résultats non moins intéressants. On humecte la
langue
avec quelques gouttes de sirop de groseilles ;
de la joue droite (l'acide avait été placé sur la moitié droite de la
langue
). Il fait une grimace en grinçant des dents. Da
is se recouche. Sa figure exprime la frayeur. Puis il pleure, tire la
langue
; la la face est animée de petits mouvements. L
'application du diapason à droite. Le sulfate de quinine placé sur la
langue
a provoqué une grimace qu'explique son dégoût pou
erfs, comme dans la première expérience. Sirop de groseilles sur la
langue
. — « Tuas soif? moi aussi. Je voudrais boire quel
eure entière. Il n'y eut jamais, pendant les crises, ni morsure de la
langue
, ni miction ou défécation involontaire. Cet enf
t les yeux un verre coloré, sous les narines un corps odorant, sur la
langue
une substance sapide. pour changer brusquement se
ultats de même ordre. En plaçant un peu de sirop de groseilles sur la
langue
: « Tu as soif ? moi aussi... Je voudrais bien qu
ssant. C'est bon quand on a soif... » Avec du sel de cuisine sur la
langue
, elle fait une grimace de dégoût : « J'ai avalé d
ume, Marie-Jeanne. » Puis nous plaçons du sulfate de quinine sur la
langue
: « J'ai promis à mon père de ne plus me suicider
n ce qui concerne le goût, si on lui met du sulfate de quinine sur la
langue
, il porte à ses lèvres, puis rejette avec une gri
laires, ni vertébraux. Le goût est aboli sur la moitié droite de la
langue
, l'odorat complètement perdu pour le côté droit.
our la r'apprendre à lire. Et prononçait du commencement le tout avec
langue
espesse, et fort difficilement, à la guise d'enfa
ement à la suite de la bénédiction par l'archevêque de sa tête, de sa
langue
et de toutes les parties de son corps. Bien que
l'attitude typique en arc de cercle. D'ailleurs pas de morsure de la
langue
, pas de miction involontaire pendant la crise. No
occupation et d'étude pour toute sa vie. Nous parlerions notre propre
langue
avec les mêmes efforts qu'exige l'emploi d'une la
ns notre propre langue avec les mêmes efforts qu'exige l'emploi d'une
langue
étrangère nouvellement et imparfaitement apprise.
Diabète. Mère. Père. Diabète, aliénation et suicide. Cancer de la
langue
. _1__i_ I-1 I I Une sœur. Un frère. Une sœu
de congestion cérébrale, suivie de parésie passagère du bras et de la
langue
pendant laquelle on s'aperçut du diabète. Elle pi
rnie de dents qui sont toutes tombées depuis une dizaine d'années. La
langue
est quadrillée en gaufre avec quelques plaques bl
prononciation de la lettre U. Il ne peut ni souffler ni siffler. La
langue
n'est ni hypertrophiée ni atrophiée et elle est b
re en travers. Atrophie des muscles de la houppe du menton. Rien à la
langue
, ni au voile du palais, ni au pharynx. Muscles
ation de certains signes dont il a l'habitude, comme la morsure de la
langue
, du sang sur l'oreiller, de l'urine dans les drap
par la présence d'autres signes (caractères de l'accès, morsure de la
langue
, miction involontaire, etc..) pour ne pas laisser
stique : cri, pâleur, convulsions prédominant à droite, morsure de la
langue
. Durée : 2 ou 3 minutes. Se répète tous les mois.
uence . Accès caractéristique : miction involontaire, morsure de la
langue
. Deux à trois par semaine, le matin. Aura de du
lquefois en séries. Aura jachsonnienne faciale, à début lingual. La
langue
se tortille dans la bouche, puis suivent des mouv
nés consistant, dès le matin du jour de l'accès, en picotements de la
langue
. Vertiges pas très fréquents, quelquefois équiv
lement le phénomène constituant ce prodrome éloigné (picotement de la
langue
) n'est qu'un tout petit diminutif de la crise jac
bitablement épileptique. La description de l'accès avec morsure de la
langue
faite par une personne intelligente, qui l'avait
nt lesquelles elle criait et se débattait sans jamais ni se mordre la
langue
, ni avoir d'incontinence d'urine. Ces crises disp
centre du langage articulé aux centres moteurs des lèvres et de la
langue
. Les réactions synergiques des muscles de l'oei
connaître les travaux postérieurs à la publication de leur livre en
langue
italienne; mais, si l'on remarque que la partie
A 9 h. 51, enlèvement du casque, l'animal tombe foudroyé, ayant la
langue
mordue et les pattes fortement tendues. Ses yeux
latine profonde, ogivale, symétrique. - Luette, piliers, amygdales,
langue
nor- maux. - Fondions digestives normales. Rien
e la gorge, mais à peine marquée. Déglu- tition un peu douloureuse.
Langue
saburrale. Rien à l'auscultation de la poitrine
a face interne de la joue gauche entre les deux arcades dentaires ;
langue
gonflée ulcération superficielle du pilier anté
Soir : T. R. 38°, 5. 3. - T. R. 37°, 7. - Soir : T. R. 41°. 4. -
Langue
sale, nausées. Rate grosse. Rien à l'auscultation
3. - T. R. 30°, 3. -Soir : 38°, 4. 6. T. R. 37°, 3. - Soir : 37".
Langue
toujours sale; pas de selle depuis la purgation
u niveau de la saphène externe, surtout vers la malléole externe;
langue
sale, anorexie, nausées. Pouls rapide. - Traiteme
du tiers inférieur s'accompagne de mouve- ments des lèvres et de la
langue
comme pour la mastication. L'aire de la tête ou
la muqueuse décou- verte des lèvres, le lobule du nez, le dos de la
langue
, la face externe des paupières, la gencive. Par
lytiques, in Archives de Neurologie '154 SOCIÉTÉS SAVANTES. de la
langue
. Diminution de la force motrice. Mouvements et dé
es. (Tome IX de ta Collection.) DUTLIN (Il.-T.). - Maladies de la
langue
. Traduit de l'anglais par le D' Douglas Aigre.
e crâne est étroit, assez irrégulièrement conformé. Les bords de la
langue
ont été dentelés par de nombreuses morsures.
s le lit et par des traces de morsures récentes sur les bords de la
langue
; les accès diurnes sont relati- vement très rar
it intacte, les malades se plaignaient d'une sensation de froid, de
langue
lourde, gênant la parole; voix voilée. Lunn 3 d
rs, et devinrent presque en- tièrement noirs dans quelque temps, la
langue
devint épaisse et ne se mouvait qu'avec lenteur
omie à expression stupide, bouffissure des paupières et des lèvres,
langue
épaisse, sensation de froid, cyanose et lourdeu
de la folie, et encore faut-il en défalquer trois qui, ignorant la
langue
allemande, se trouvaient doublement et par trop
des paupières (lésions du facial) et blépharoptose. Intégrité de la
langue
. On constata au microscope des altérations sclé
IGRAINE OPHTALMIQUE ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 325. mains tremblent, la
langue
tremble aussi ; sa parole est à peu près- inint
sement de la face a débuté en même temps que l'amblyopie ; puis, la
langue
s'est prise, ensuite le bras et le tronc, en dern
ressentit une sensation pénible d'engourdissement qui débuta par la
langue
, les lèvres et le côté droit de la face, s'élen-
, ou des lettres même sont oubliées. L'urbiculaire des lèvres el la
langue
sont migraine ophtalmique ET paralysie générale
nérale. 329 animés de secousses fibrillaires : le tremblement de la
langue
est surtout notable quand la langue est tirée.
illaires : le tremblement de la langue est surtout notable quand la
langue
est tirée. La force dynamomé- trique des membre
ubes semblable à celle qu'on observe sur les jeunes sujets, dans la
langue
du nouveau-né, par exemple. On observe en assez
q. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 38 ? des recueils savants rédigés en
langue
italienne), qu'il nous faut dire ici quelques m
ilatées, mais égales. Connaissance par- faite. Pas de morsure de la
langue
. Pas d'évacuation involontaire. 11 prétend qu'i
d'évacuation involontaire. 11 prétend qu'il se mord quelquefois la
langue
. T. R. après l'attaque, 3742. 15 mai. - Pris
c cela on observe parfois que les dents et les ongles tombent. La
langue
enfle et se meut à grand peine ; un ralentissemen
istinctes, ce qui dépend en partie de la diffi- culté de mouvoir la
langue
, en partie des altérations de la région mentale
x était monotone, la. parole indistincte à cause de l'enflure de la
langue
. La bouche se remplissait souvent d'une salive ép
as trace de sécrétion graisseuse; à la moitié du troisième mois, sa
langue
enfla et la parole devint pénible, avec cela,la
SUR un C\S de MUTISME HYSTÉRIQUE avec contracture par- TIELLE DE la
langue
; par M. A. 1)UTIL. (Gaz. méd. de Paris, 1887.)
. 38°. 8 janvier. - T.R. 38°, 2. La diarrhée est très abondante :
Langue
humide, gingivite légère, haleine un peu fétide,
cloniques; enfin, le stertor, avec ou sans écume, et morsure de la
langue
. Le tout durait il peine minutes et IL.. revena
ctobres 13. 38°, G. - Soir : 39°. 19 octobre. - T. Il. 38", 2. - La
langue
est un peu chargée, pas de vomissements; la dia
ères sont entrouvertes; les pupilles contractées et contractiles.
Langue
humide ; ni vomissements, ni diarrhée. Respira-
non déviée ; amygdales très grosses. - Réflexe pharyngien normal. -
Langue
large, étalée. Le goût parait exister. - Menton
inés dans la poitrine, avec quelques râles sous-crépitants moyens ;
langue
sale avec anorexie. - Traitement : potion calma
rmait immédiatement après. Pas de cri initial, pas de morsure de la
langue
, pas de miction involontaire. On n'a pas remarq
pas de secousses, pas de stertor, pas d'écume ni de morsure de la
langue
. Aucun accident post-épileptique, pas de folie, e
rement transversale. - Lèvres un peu volumineuses. - Palais ogival.
Langue
peu épaisse ; pas de tremblement de la pointe.
tranquille. T. R. 40°; pouls 150; R. à 48. La bouche est sèche, la
langue
fuligineuse. Herpès labial. - A l'auscultation,
le pouls incomptable et fili- forme. Sueurs abondantes sur la face.
Langue
sèche. T. R. 41°. - A l'auscultation, souffle à
ifiées d'internes, elle ne remuait pas, mais le cou était roide, la
langue
restait contractée au fond de la bouche, BOURNE
u- chent légèrement sur les inférieures. Rien de particulier à la
langue
, au palais, au gosier. Pas de réflexe pharyngé.
es. Un peu de frémissement de la parole. Pas de trem- blement de la
langue
. Réponses ditliciles, incohérentes ; D... ne sa
roideur du cou. Un peu de roideur de l'épaule gauche et des genoux.
Langue
chargée, humide; ventre creux. Pas d'accès hier
malade. jours; aujourd'hui, il n'écume plus et ne se mord pas la
langue
. Il tombe quelquefois égalementsaus cri initial..
ées. On note une forme ogivale de la voûte palatine très accusée. -
Langue
normale ; amygdales grosses ; dents en mauvais
lèvres. Le nez est pincé, les lèvres très-serrées. Morsure de la
langue
. Bave abondante. Pas d'évacuations involontaires.
gement fendue, presque ouverte. Lèvres épaisses, un peu renversées.
Langue
nor- male. Voûte palatine fortement ogivale. Lu
me, forcée par l’esprit qui l’obsédait à lécher une patère, en eut la
langue
brûlée et couverte de pustules pendant trois jour
t les mieux cachées, le don de répondre à des questions faites en des
langues
Quant aux autres phénomènes qui so seraient pas
uxquelles on perd la mémoire lors des accès. Qu'elles entendent les
langues
grecque et latine, répondent aux interrogatoires
ecque et latine, répondent aux interrogatoires qu’on leur fait en ces
langues
, en language vulgaire et après un peu de temps, e
font aussi précisément les choses, lesquelles on leur commande en ces
langues
. 5° Qu’elles découvrent les choses desquelles e
rents. 2° Qu’elles parlent intelligiblement la bouche ouverte et la
langue
tirée hors d’icelle. 3° Que dedans leurs plus v
. roulant; qu’il avait le visage noir, les cheveux hérissés et la
langue
hors de la bouche; qu’il débauchait les filles en
sont fort maigres, leurs vêtements sont en lambeaux ; ils parlent une
langue
étrangère. Ce sont des naufragés, car on voit leu
compris aucune des personnes présentes, et qui appartiendraient à la
langue
slave et formeraient même une prédiction très-com
ce sujet qu’on désigne sous le nom de slave une famille nombreuse de
langues
, comprenant le polonais, le russe, le bohémien ,
e, le bohémien , etc. : on ne nous dit pas au juste à laquelle de ces
langues
appartenaient les quatre mots en question. Mais l
’est pas impossible qu’elle ait oublié le peu qu’elle savait de cette
langue
, mais que, dans l’état de médium où il se dévelop
es vétilles et s'empressent de les oublier. IIS oublient de même leur
langue
maternelle pour ne parier que celle ifu médium. A
de aussi comment il se fait qu’un esprit ne puisse écrire que dans la
langue
du médium et soit hors d’état d’employer la langu
écrire que dans la langue du médium et soit hors d’état d’employer la
langue
dont il se servait sur terre. Que la vierge Marie
. Girard veuille bien lui demander d’écrire une seule fois dans cette
langue
(je suppose que pour lui, il ne la connaît pas),
rédules... Hélas! non seulement les esprits refusent de se servir de3
langues
que ne connaît pas le médium, mais ils ne compren
s ne comprennent môme pas les questions qui leur sont faites dans ces
langues
. N’est-il'pas clair dès lors que le médium ne ces
’est alors que l’auteur voyait que des caractères et des mots dans la
langue
esthonienne se formèrent ou furent gravés sur le
mais eu la prétention d’être un homme de cheval, comme on dit dans la
langue
du sport. Si le fait est vrai, il ne rend que plu
voient autant qu’il leur est possible, et toujours regrettant que1 la
langue
ne fournit pas de mots assez expressif pour pouvo
du côté droit, en un mot peraiysé de tout le côté droit, y compris la
langue
; je souffrais d’une amanrose grave. C'est dans
Et le souffle divin, courant sur les nuages, Eclaira les élus de sa
langue
de feu; Ce phare lumineux de la nuit des orages
Un fier représentant de Mesmer ici-bas; Voyez-vous, à son front la
langue
de feu brille, Au bien ainsi qu'au vrai toujour
ens, la prévision, l’instinct des remèdes et le pouvoir de parler des
langues
étrangères ou inconnues. « Relativement ¡t ces fa
et les remèdes, ni la prévision. 11 ne croit pas non plus au don des
langues
: mais nous devonsfaire remarquer que très-peu de
de magnétistes ont attribué aux somnambules la faculté de parler des
langues
non apprises ; les écrivains les plus estimés aff
d’après de nombreux témoignages, que certains lucides comprennent des
langues
non apprises, ce qu’ils expliquent par la communi
talie, en l’honneur de Bacchus, et dont le nom sert encore dans notre
langue
à exprimer tout ce que la débauche et le libertin
e dos journaux de médecine contient presque infailliblement, dans une
langue
de convention , comme la langue sacrée des Chinoi
ent presque infailliblement, dans une langue de convention , comme la
langue
sacrée des Chinois et intelligible seulement pour
dans l'intérêt de mes élus. Le moment est arrivé où la confusion des
langues
ne sera plus un obstacle à la connaissance de la
ossession du démon. Voici ces signes : a ) Parler ou comprendre une
langue
étrangère sans l’avoir apprise. b ) Voir claire
dose d'un sixième de grain, souvent répétée, que l’on déposait sur la
langue
; mais ceci non plus ne produisit aucune évacuati
re intelligible, difficulté provenant de la paralysie partielle de la
langue
. Il me faut ici, avant de faire l’analyse raiso
’est pas l’œuvre personnelle de ce médium. Ce Romain écrit dans une
langue
inintelligible, bien qu’on y trouve mêlés quelque
re ses mains, et qui avait été composé par un docteur indien dans une
langue
savante. En voici le texte : Comme notre grand Di
r un simple vêtement et les yeux fermés que vous à l’inspection de la
langue
et au pouls ; les guérisons si éclatantes qu’ils
icien qui a adopté cette appellation , Od serait un vieux vocable des
langues
du nord , signifiant la force créatrice universel
vince. Le char roule et tous les Baziledu monde useront leurs petites
langues
de vipère, briseront leurs petites griffes sans e
s qui le poursuivaient : « c'est comme si ces voix me venaient à la
langue
». Mendel ajoute qu'il n'y a pas trace d'halluc
t plus à la lumière, sa parole présente des accrocs 'manifestes, sa
langue
est animée de tremblement fibrillaire et de mou
Mon cher docteur, ' « Je ne sais pas comment se fait que je sens la
langue
, les dents, les bras, le coeur et l'estomac tou
ntrée, il se présente avec un embarras de la parole mani- feste, sa
langue
tremble en masse et a des mouvements vermicu- l
e lui-même comme d'une personne étrangère : ce « don » parle par sa
langue
, dans ses dents, il a une conversation avec le,
èse 85 kilos ; les voies digestives trahissent leur malaise par une
langue
assez sale et de la constipation avec une légèr
ent de la parole, que les mouvements vermiculaires constatés sur la
langue
expliquent : ondulations vermiculaires des musc
d qu'une femme lui parle sans cesse dans la bouche, l'ait remuer sa
langue
, malgré lui et lui dit des injures, il serre le
inoza). Que de physiologistes et de cliniciens parlent encore cette
langue
, et combien de philosophes, après eux, croyant
sa longue pratique, M. Keraval joint la connaissance de toutes les
langues
et de toutes les littératures ce qui donne à so
J. BOYER. Congrès DES neurologistes ET des aliénistes DES pays DE
langue
française. Nous rappelons à notre lecteurs que
toute interprétation suppose un inter- prète possédant également la
langue
qu'il traduit et celle dans laquelle il traduit
etc. Nerf ph7,éizo-glosso pharyngé : tremblement et déviation de la
langue
. Nerf spinal accessoire : respiration creuse et
c strabisme externe, hémiparésie droite et déviation à droite de la
langue
lésion pédonculaire par tubercule isolé probabl
ie et GUIL.11N présentent un malade atteint d'une hémitrophie de la
langue
; celle-ci tirée est déviée du côté de l'atroph
VARIA. Congrès des 1\EUROLOGISI'ES et des aliénistes DES pays DE
langue
française Nous rappelons à nos lecteurs que ce
sent les incisives latérales situées sur. un plan pos- térieur ; la
langue
est étalée, tous ses mouvements s'exécutent par
de sucre ou de sulfate de quinine sur toute la moitié gauche de la
langue
, sans que Marthe ne goûte rien ; mais si on met c
s des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pays dé
langue
française s'est ouvert le jeudi 1 ? août, à l'h
vous êtes venus ici de tous les points de la France et des pays de -
langue
SOCIÉTÉS SAVANTES. ? 3Õ française, tous connu
le parler régional est encore imprégné des vestiges de la poétique
langue
d'oc... J'en pourrais citer d'autres. Vous les
ffet, à un besoin très'réel en donnant a ceux qui, dans les pays de
langue
SOCIÉTÉS SAVANTES. 239 française, s'intéresse
On rencontre souvent aussi un tremblement généralisé intéressant la
langue
, fait qui détermide une parole tremblée et bredou
é cause de débats aussi stériles que si chaque auteur eùt parlé une
langue
différente. , Les délirants aigus se présentent
, son visage amaigri exprime la terreur, la parole s'embarrasse, la
langue
s'ulcère parfois, devient fuligineuse, le phary
- Tremblement fébrillaire des lèvres, des muscles de la face, de la
langue
, des extrémités digitales. Inégalité pupillaire
ée, voici l'état physique et mental : Tremblement fébrillaire de la
langue
, des lèvres, des extrémités digitales. Parole l
is affaiblissement des muscles masticateurs à gauche, parésie de la
langue
, déviée à gauche, régurgitation des liquides pa
amis Français ; il eut évité ainsi d'innombrables incorrections de
langue
qui vont . jusqu'à obscurcir l'intelligence de
r fébrile ; 4° urine rare, urée insuffisante, traces d'albumine; 5°
langue
sale, chargée, ni faim, ni soif; pou- voir dige
mentation considérable de l'excrétion de l'urée. Pas d'albumine; 5°
langue
propre, alimentation mieux 406 REVUE DE PATHOLO
eux ou prononcer des mots qu'elle ne comprend pas en lui remuant la
langue
à leur fantaisie. » Non moins rares sont les st
est installé en elle. « Aussi maintenant a-t-elle acquis le don des
langues
, peut-elle causer dans tous les idiomes connus.
es nerfs auditifs n'était point si grande que celle des nerfs de la
langue
. C'est pourquoi la matière visqueuse qui embarr
xtrême et il fut fort mortifié d'avoir commencé à faire usage de sa
langue
par une imprécation. « Il est probable, dit Bar
u une pituite épaisse s'était arrêté à l'entrée de l'artère de la
langue
et avait comprimé les nerfs voisins, mais que le
ait conservé l'exécution intégrale des mouvements vulgaires de la
langue
et des lèvres, qu'il puisse mouvoir ces organes
ais. L'anglais lui est même maintenant plus familier que les autres
langues
qu'il a en partie oubliées. Ce fait, qui défr
e. Sens du goût émoussé sur les deux tiers antérieurs gauches de la
langue
. Pupilles normales. Otite catarrhale chro- niqu
s aveugles, 74. des neurolo- gistes et des aliénistes des pa)s de
langue
française, 75, 170,233. Discours de M.' Labusse
ainure pour le souf- fle (Fig. 42), gymnastique des lèvres et de la
langue
, etc.) ; 2° les exercices d'articulation (nous
méthode de faire connaitre toutes les excep- tions que comporte une
langue
vivante. Comme dans le Syllabaire Regimbeau, no
employant les verbes. L'articulation est très nette, seulement la
langue
semble se mouvoir toujours avec peine, la parole
téraire, civique ctmorale (lecture;, intuition cl langage, deuxième
langue
). Il n'a pu être question évidemment de détermi
ais non rétrécie. Voile du palais régulier. Amygdales moyen- nes. -
Langue
normale, non déviée. L'enfant la sort faci- lem
ce qu'elle prend. Très altérée, demande conti- nuellement à boire.
Langue
saburrale, rouge sur les bords qui sont fendill
t ; les muqueuses sont iL peine colorées. La bouche est moyenne, la
langue
un peu épaisse et assez mobile ; la voûte palat
te un léger strabisme convergent. Il n'y a pas de tremblement de la
langue
ni des lèvres. Juillet. - Puberté. Augmentation
jambes. Description du tremblement : Très léger tremblement de la
langue
; la parole est assez libre (' ? ), le malade par
ue je ne puis pas parler tout de suite, il m'arrive de me mordre la
langue
, il cause des efforts.» On le fait lire, il lit
s'arrête ». Tremblement assez prononcé des lèvres ct surtout de la
langue
quand il la laisse allongée durant quelque temp
Bien qu'il y ait encore un peu de trem- blement de la pointe de la
langue
, il prononce bien les mots (aujourd'hui), môme
le, le voile du palais est normal. Les amygdales sont grosses. La
langue
ne présente rien de particulier. Le goût existe,
8 ans, durant trois mois, un tremblement de tout le corps et de la
langue
; ni convulsions, ni migraines, ni indices de s
mère lui attachait les bras. Préhension et mastication nulles : la
langue
se mouvait mal, grincements fréquents des dents
s ; l'amygdale de Luchka recou- vre le tiers supérieur du vomer. La
langue
est épaisse, mobile ; par de tremblement de la
cri initial, convulsions toniques et cloniques sans morsures de la
langue
, mais avec des émis- sions d'urine. Ces crises
être en mars 1899). - La mastication est incomplète et difficile.
Langue
large, se mouvant difficilement. Amygdales peu sa
es de convulsions cloniques. Il écume un peu, se mord légèrement la
langue
quelquefois. Il n'urine jamais sous lui. l'as d
lle a ses frères. Dans un accès, le Il juillet, il s'est mordu la
langue
, fortement contusionné le menton et les bosses fr
compte de ce qui est arrivé. est courbaturé. Pas de morsure à la
langue
. Pas de miction involontaire. Il ne prévient ja
é beaucoup, mesurant : f centimètres de longueur. Il s'est mordu la
langue
qui présente une plaie sinueuse de 2 centimètre
aies de la lèvre supérieure et du menton ; morsures profondes de la
langue
; contusions du poignet, de la main et de la tê
- Soir : T. R. 38°, 8. 2 février. - Adynamie. Lèvres fuligineuses.
Langue
sèche. Râles muqueux très nombreux dans toute l
rop de tolu, teinture d'aconit. - Naphtol et bismuth. 15 octobre.
Langue
sale, anorexie complète. Diarrhée jaunâtre, trè
és, 16 dents dont 8 molaires. Canines très pointues. Menton rond.
Langue
, amygdales, voile du palais, pharynx, rien de par
aux lèvres un peu d'écume. L'enfant s'est mordu plusieurs fois la
langue
et a eu des mictions involontaires. Parfois som-
ns un accès, chute sur le côté droit et ecchy- mose orbitaire. - La
langue
est craquelée, et présente de nombreuses fissur
ite, constamment entr'ouverte. Lèvres minces, sèches et fendillées.
Langue
volumineuse, paraissant trop grande pour la cav
) Dentition : -12dents, fortes et contiguës, assez bien rangées'.
Langue
enduite d'une épaisse couche saburrale, rouge à l
8.') lie de faire aller sa été de droite à gauche en claquant la
langue
. Il ne peut ni s'habiller ni se déshabiller. Il n
s, il avait les poings fermés, le pouce en dedans. Il se mordait la
langue
, au point de saigner abondamment, grinçait des
presque toujours béante, laisse couler une baue assez abondante. La
langue
, de volume naturel, est légèrement saburrale et
usses des membres supérieurs; rien aux inférieurs. Ni morsure de la
langue
, ni émission d'urine. Durée : une minute. Somme
uche petite, toujours en tr'ou verte; lèvre supérieure proéminente.
Langue
normale. Palais, voile du Description du malade
toujours aussi nombreux. Abat- tement notable. Etat saburral de la
langue
. Bouche fuli- gineuse. Traces d'albumine dans l
a- lais, les amygdales, la luette, n'offrent rien d'anormal. - La
langue
est actuellement saburrale, le pharynx rouge vern
l'as- pect typhoïde : narines pulvérulentes, bouche fuligineuse,
langue
très saburrale, pharynx rouge et sec, toux rauque
sortes ; mouvements alternatifs d'allongement et de retrait de la
langue
; balancement de la tête et du tronc, rotation
ces. L'enfant ne bave pas. Voûte et voile du palais non déformés.
Langue
de volume ordinaire. Amygdales assez petites. Réf
rbiculaire ; le mouvement de siffler ou de souffler se fait bien. -
Langue
et voile du palais normaux. Le goût ne pré- sen
t à cause des mouvements continuels de l'enfant. L'enfant suce sa
langue
et fait avec le voile du palais un bruit a,'riq
essinées. La voûte du palais et le voile sont normaux, ainsi que la
langue
et les amygdales Il est difficile d'être renseign
te ainsi que l'arcade dentaire supérieure. Palais, voile du palais,
langue
, normaux. Amygdales volumi- neux. Goût nul.-Ore
ie faciale. Lèvres rosées, assez bien faites. Bou- che bien fendue.
Langue
normale. Palais régulier. Raphé médian non dévi
commissures en poussant un petit grogne- ment avec les lèvres et la
langue
. Lorsqu'il est en colère, il prend un air pleur
contente lorsque nous voulons exiger de lui une réponse de tirer la
langue
, de se dilater la bouche avec les index en croc
chement des incisives verticales sur les incisives trans- versales.
Langue
longue, étalée. Menton arrondi, assez large, si
aires. Le ventre, un peu tendu, n'est pas douloureux à la pression.
Langue
sale, pas de fièvre. Huile de ricin : 20 gr. So
e différence de deux degrés matin et soir. La diarrhée persiste. La
langue
est blanche, recouverte de muco- sités abondant
l'on ne mettait un linge mouillé entre les dents, les lèvres et la
langue
seraient mordues presque chaque fois, ce qui ar
omme une sensation d'engourdissement à la face, à l'extrémité de la
langue
, aux bras et aux jambes. La force musculaire ét
désignait, mais sa prononciation semblait déceler une parésie de la
langue
. Elle dormait peu, se réveillait souvent en sur
issement de la température prise soit dans l'aisselle, soit sous la
langue
et qui ne fut jamais DE LA CACHEXIE PACHYDERMIQ
prononce pas un mot intelli- gible. D'ailleurs il ne peut remuer la
langue
: celle-ci reste appliquée contre le plancher d
nonce clairement quelques mots ; après quelques efforts, il sort la
langue
hors de la bouche. 7 sept. Les forces diminuent
ade parle mieux; il a quelques mots à sa disposition; il remue la
langue
en tous sens. Cet état reste le même jusqu'à la m
icile. La force mus- culaire et la sensibilité étaient intactes. La
langue
était agitée d'une trémulation notable. Le trem
st une hémiplégie, g ;1 , , La déviation.de la bouche et , de, là
langue
sont plus communes. La contracture est très com
e. La luette est grosse, comme oedématiée et pend sur la base de la
langue
. La peau et le tissu cellulaire du cou sont aus
es, qui deviennent cassants, rabougris et peuvent se détacher. La
langue
est habituellement large, épaisse et peut môme
à la face et sur le corps des traces de brûlures ; elle se mord la
langue
dans ses accès qui se sont répétés à peu près t
s. Il n'est pas établi que pendant ces accès elle se fut mordu la
langue
, mais elle pissait au lit à toutes les fois. Ve
as si elle a eu des convulsions, elle ne parait pas s'être mordu la
langue
, ni avoir uriné dans ses vêtements. A partir de
s'étendent au coude gauche et à l'épaule droite sans gonflement. La
langue
est sale, l'appétit nul, mais pas d'élévation d
uccale, en même temps que l'affaissement delà joue et du menton. La
langue
se dévie du côté paralysé. Thorax et abdomen
39°,2. 24 juillet. L'état adynamique s'accentue. Les lèvres et la
langue
se recouvrent de fuliginosités; la dyspnée augmen
ité pupillaire, embarras et lenteur de la parole, tremblement de la
langue
et des lèvres, etc. Sur ces entrefaites, le mal
rtaine hésitation de la parole, et du tremblement des yeux et de la
langue
, mais l'amélioration intellectuelle a persisté.
, permet à peine l'ouverture de la mâchoire, s'oppose à la marche ;
langue
étroite et pointue, dysphagie. Intégrité des fo
ale ainsi que le fond de l'oeil. L'hémianesthésie comprend aussi la
langue
, et la surface du globe oculaire. Parésie de l'
s qu'un bredouillement inintelligible, ils ont du tremblement de la
langue
; on croirait de vrais paralytiques généraux ar
Séville. Un congrès médical s'ouvrira à Séville le 9 avril 1882. La
langue
officielle sera l'espagnol; mais, BULLETIN bibl
uence ordinaire (75). La respiration est facile et non troublée. La
langue
est sale, l'appétit diminué ; il y a de la cons
aine d'années, des crises convulsives dans lesquelles il se mord la
langue
. Sa mère est bien portante, un peu nerveuse. Un
t comme paralysé et laisse couler une certaine quantité de liquide;
langue
humide, saburrale, pas de vomisse- ments, ventr
jour en jour : pas de fièvre; pouls petit et misérable ; bouche et
langue
sèches, pas de muguet, pas de vomissements, refus
pécial pour la musique et une aptitude particulière à apprendre les
langues
étrangères. Son caractère a toujours été un peu
es : ainsi ces auteurs placent le centre cortical des muscles de la
langue
dans la partie la-plus inférieure et la plus po
ie de dents qui sont toutes tombées depuis une dizaine d'années. La
langue
est quadrillée en gaufre, avec quelques plaques
- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 93 gnées : la moitié droite de la
langue
est atrophiée, la carie den- taire est beaucoup
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XVII. D'UNE NÉVROSE PEU commune DE la
langue
ET DE la cavité buccale; par M. BERNHARDT. (Neu
ente ans, sensation désagréable de picotement et de brûlure dans la
langue
(de la pointe à la base) qui s'étend à toute la
un cancer. Le traitement le plus efficace fut l'électrisation de la
langue
et du palais à l'aide des courants inter- milla
bilité men- tale avec irritabilité - ataxie des extrémités et de la
langue
ou des organes d'articulation ataxie des muscle
e rachidien. Les questions restées dans l'urne étaient : nerf de la
langue
; ;nerf spinal. L'épreuve orale a été : diagnost
voici ce que l'on observe chez ce malade : 1° Un tremblement de la
langue
et des lèvres, entrecoupé de secousses fibrilla
tronc, puis s'étend à la face droite et à la moitié droite de la
langue
, en même temps qu'elle descend de l'épaule jusqu'
pportent leurs voix intérieures aux mouvements d'articulation de la
langue
, d'une façon précise. Par contre, il peut ne pa
etite Marianne se promenait dedans. Elle venait de sa bouche sur sa
langue
pour chercher la nourriture. z « Quand on a des
'oedème péri-malléolaire. Les gencives sont atrophiées et pâles. La
langue
est pâle, charnue, comme bouillie. Mastication
versions de prononciation, ne peut pas être expliqué dans une autre
langue
que celle que parlait l'enfant. R. M. C. XXV.
mplète, de tout le côté droit 240 SOCIÉTÉS SAVANTES. y compris la
langue
et le nez; la face seule est indemne, champ visue
étréci, surtout à gauche; la sensibilité générale et spéciale de la
langue
est diminuée, sur- tout à gauche; il en est de
ent, de paralysie faciale complète; les segments antérieurs de la
langue
ne perçoivent plus les saveurs; il existe passagè
nte en outre de strabisme convergent, légère asymétrie faciale ; la
langue
et les oreilles étaient intactes. Lacein- ture
ions salivaires, lacrymales et sudorales, égales des deux côtés. La
langue
dévie à gauche, et le côté gauche en est consid
s'aperçoit que sa joue droite maigrit, et, une année après, que sa
langue
diminue de plus en plus de volume. La sensibili
. CONGRÈS ANNUEL DES MÉDECINS ALIÉNISTES DE FRANCE ET DES PAYS DE
LANGUE
FRANÇAISE . Session de Blois, 1892. , Blois,
Le Congrès annuel des Médecins aliénistes de France et des pays de
langue
française devant se réunir en 1892 à Blois, le Co
st angoissée; elle les prononce alors à voix basse ou elle remue la
langue
sans les pronon- cer ; d'autres fois, elle se r
ilatées, sont convulsées en haut et en dehors. La malade se mord la
langue
, écume un peu, pisse sous elle. Quelques secousse
les personnes du service. Ce matin, outre une hébétude complète, la
langue
est jaunâtre, l'haleine fétide. La malade sue a
physique est bonne. I ! n'a pas de tremblement des doigts ni de la
langue
. Il a peu mangé jusqu'à présent et il a abso- l
ur s'étouffer ' » et buvait de l'eau de vaisselle pour se brûler la
langue
. Elle ramassait des croûtes de pain dans la rue
uche. Dans l'après-midi, la malade redevient consciente, et tire la
langue
, qui n'est pas déviée, quand on le lui ordonne :
cilement des poids. Joignons à cet ensemble de l'hémiatrophie de la
langue
et des muscles de la face correspondants aux extr
siens, de sa force, de ses talents spéciaux (il parle, dit-il, sept
langues
, a des connaissances philosophiques et psychiat
les s'accompagnent de l'impossibi- lité totale de distinguer sur la
langue
et sous le nez, quelque soit le côté exploré, l
cles. Vous avez ces dons mon cher maître, et c'est ce qu'en toute
langue
, dans toutes les branches de la pensée humaine, o
ouest, 238 ; - des médecins alié- nistes de France et des pays de
langue
française, 261 ; - des alié- nistes de l'est de
-HESPIRATOIRE, par Tamastia, 107. 30 Mj6, TABLE DES MATIÈRES.
Langue
, névrose peu commune de la -, par Bernhardt, 10
iu sion du goût. Les aliments produiront sur les papil- les de la
langue
une sensation plus prolongée, par- tant plus se
perte de connaissance sans mouvements convulsifs, ni morsure de la
langue
depuis sa jeunesse jusqu'à 18 ans. Il s'est mar
ns les accès; miction, défécation, perte séminale; morsures de la
langue
, bave, écume; état consécutif, automatisme, procu
(forme ogivale ou non). Pharynx : déglutition; tumeurs adénoïdes.
Langue
: épaisseur; tremblement de la pointe. Amygdale
issement de la mémoire, embarras cle la parole, tremblement de la
langue
et des lèvres, modifications des dimensions des
n nor- male. Gencives en bon élat. (Noie de M. le docleur Cruet.)
Langue
, palais, voile du palais normaux. Amygdales un
nitrate d'argent. 1" novembre. A l'infirmerie pour de la diarrhée,
langue
saburrale. T. R. 39». Purgatif salin, 2 novem
d'une escarre fessière à gauche non encore -uicérée. Teint terreux,
langue
rôtie. Aspect typhoïde. Auscultation très diffi
rou- geole (4 ans). Epaississement des joues, des lèvres et de la
langue
et développement du ventre vers 5 ans. Batte- m
e époque, la ligure était petite, et ce n'est que vers 5 ans que la
langue
et les lèvres ont grossi et que la partie infér
it obligé à chaque instant de lui recom- mander de faire rentrer sa
langue
, qui avait de la tendance à sortir; l'enfant a
é à se développer vers cinq ans, en même temps que les lèvres et la
langue
. La hernie ombilicale daterait de la naissance.
épaisse et d'une coloration un peu plus rouge que la supérieure. La
langue
est tout à fait remarquable par ses dimensions
n'arri- vent à se rencontrer pour ainsi dire sur aucun point; la
langue
s'interposant entre les dents. ^- Il semble y avo
ion : Face livide; regard terne, pupilles très dilatées : lèvres et
langue
décolorées, respiration bruyante, précipitée, p
tes les questions qui lui sont posées. Ses réponses sont lentes. Sa
langue
est toujours pen- dante sur les lèvres, ce qui
es ne présente aucun caractère particulier. Yeux noirs, assez vifs,
langue
normale, tremblant un peu. La parole est légère
tains mots dans les phrases sont abso- lument incompréhensibles. La
langue
est normale comme volume, elle peut être facile
de plus en plus visibles. Toujours rien de manifeste du côté de la
langue
et du voile du palais; la voix n'est pas nasonn
, en mangeant, les liquides et les aliments; la moitié gauche de la
langue
parait un peu plus développée que la moitié dro
tent entr'ouvertes et laissent voir les dents. Elle peut tirer la
langue
sans trop de mal, mais seulement d'une longueur
tres à peine, et la maintient assez longtemps hors de la bouche. La
langue
ne semble pas notablement diminuée de volume, m
rganes périphériques, parmi les plus atteints, il faut citer : La
langue
qui présente une diminution de nomhre et de vol
atoire pour pouvoir l'affirmer). C'est à partir de ce moment que la
langue
a cessé de pouvoir se mou- voir d'une façon nor
es. Pendant le séjour à Tenon, la fille dit avoir remarqué que la
langue
allait de pis en pis; pendant les premiers jours
ndance par la commissure labiale droite. Elle ne peut ni tirer la
langue
, ni la porter soit en haut, soit latéralement;
e manche d'une cuiller, on écarte les arcades dentaires, on voit la
langue
aplatie sur le plancher buccal; la moitié antér
nce, à la disparition d'un certain nombre de fibres nerveuses. La
langue
est, comme nous l'avons dit dans la partie cli-
' ' RECUEIL DE FAITS. placés devant elle. Sa main pressait fort, sa
langue
tremblait à la sortie de sa bouche; quand la ma
it toute espèce de mouvements avec les muscles du visage et de la
langue
quand il veut parler; les convulsions reprennent
au préjudice du côté droit, est surtout accusée sur les cuisses, la
langue
; les lèvres beaucoup plus volumineuses à gauch
indistincte à raison des mouvements choréiformes (asynergie) de la
langue
et des lèvres; pas d'autres anomalies. Monde] a e
s'étendant ensuite aux inférieurs, puis enfin attaquent ceux de la
langue
, du facial infé- rieur, du pharynx, etc., et em
x côtés, pas de secousses, de slertor, d'écume, ni de morsure de la
langue
. (Le père et le frère ainé se mordaient la lang
e morsure de la langue. (Le père et le frère ainé se mordaient la
langue
, ronflaient et écumaient.) Il s'endort quelquefoi
e cette gêne ne pro"enait point d'un trouble dans la motilité de la
langue
qui a toujours été intacte, mais de la rigidité
ouveau sentir au moment du départ seulement. Les mouvements de la
langue
n'ont jamais présenté les troubles de la motili
ndant de pus par le conduit auditif externe. La moitié gauche de la
langue
, la narine du même côté paraissent aussi dénuée
oubles du mouvement. Il existe aussi fréquemment des morsures de la
langue
, des joues, etc. non soupçonnées qui forcent à
d'une incontinence nocturne et diurne d'urine avec morsures de la
langue
et inconscience ae certains actes.- Responsabilit
ni étourdissements, mais parfois il se trouvait le matin avec la
langue
mordue ; il était obligé de se lever cinq ou six
re fois. Quant aux absences dont il avait parlé, aux morsures de la
langue
et à la chute des objets, il avait saisi, dit-i
s par points les dents'sont couvertes de taches à leur couronne, la
langue
est recouverte d'un enduit blanchâtre et est co
la clavicule droite et râles assez fins mélangés de frotte- ments.
Langue
chargée. Deux verres d'eau de Sedlitz ; extrait d
peu de douleur-; ventre souple.; pas d'ictère, anorexie, soif vive,
langue
saburrale. Le 11, l'enfant qui avait pris de l'
oux fré- quente ; expectoration abondante et glaireuse ; soif vive,
langue
sale. A lapercussion, diminution de la sonorité
fréquente. Il n'y a pas de larmoiement; un peu de con- jonctivite ;
langue
humide, selles régulières. - Vin de quinquina,
e. La toux est toujours fréquente, l'expectoration assez abondante.
Langue
nette, appétitbon, pas de vomissements, selles
umons, ni au coeur. Fonctions digestives régu- lières, appétit bon;
langue
bonne; ni vomissements, ni diarrhée. - Foie et
tout à droite : dilatation de la pupille droite. Rien du côté de la
langue
. Le tremblement persiste pendant le sommeil. ,
e ; par LESCAUX. (Thèse de Paris, 1885.) De l'hémitttrophie de la
langue
dans les lobes dorsulotuxiqaes ; par 1t;1\.mu.
Paralysie du nerf moteur oculaire com- mun droit. Tremblement de la
langue
; trouble de la parole. Verte de la mémoire, dém
s avec une certaine hésitation ; les lèvres tremblent, ainsi que la
langue
, pendant la parole. Les réponses sont lentes, l
iction thoracique et des douleurs erratiques dans les membres. La
langue
est blanchâtre, l'appétit peu vif ; il n'y a pas
remière et ayant comme elle un caractère exclusivement tonique ; la
langue
est projetée hors de la bouche et il se fait un
première attaque. La face est pâle, avec des lèvres bleuâtres ; la
langue
porte des traces de morsures. La pupille droite
res. Perte de la mémoire. Tremblement intense des lèvres et de la
langue
. Démence sans délire. Pupilles punctiformes. Sign
E. d'un tremblement intense, particulièrement ceux des lèvres; la
langue
est tirée avec peine et présente des secousses fi
e et cesse de parler. Le 8 le malade est dans un état comateux ; la
langue
est sèche ; il n'y a pas de paralysie appréciab
fraisai ! lui sera loisible ? de faire publier son'oeuvre dans'sa'
langue
mater- nelle au moment où elle paraîtra dans la
ns) aliénistes(et;-neurologistes Ttjsat DE FRANCE : ET DES pays de (
Langue
française ? >-v [.< et) aot.is; ·Idn4 st
ei-tsoii ainsi qu'un tremblement fibrillaire- des ' lèvres et de la
langue
; les mains tremblent aussi légèrement ; la , m
ents convulsifs avec perte de connaissance, mais sans morsure'de la
langue
ni miction invo- lontaire : les bras étaient to
é possible de constater l'existence de, mouvements simultanés de la
langue
c.1a,langue, dit la malade, ne remue pasj'cesont
e constater l'existence de, mouvements simultanés de la langue c.1a,
langue
, dit la malade, ne remue pasj'cesont les dents
de' troubles " de ]W'sen'sibilitélau"'niveau,'de la 'face et'de la
langue
; le contact,' la piqûre soutpérçus aussi bien à
s amères : sont également perçues ? ' Pas 'd'engourdissement de "la
langue
. 'Pas' de névralgie des branches'du trijumeau. La
le, troubles,, pupillaires,- tremble- , ment des'doigts et , de la ^
langue
, exagération des réflexes); la marche de la mal
as des voix,,qui ne résonnent pas aux 1 oreilles ? il semble qu'une
langue
) placée'' dans la poitrine, «articule tout inté
ent1 un t mot, nous percevons, à l'état faible, dans le gosier, la'
langue
, qles lèvres; des sensations musculaires,' tact
ngage articulé (organes de la pho- nation). C'est habituellement la
langue
qui semble au sujet , Archives, t. XXVII. 22
ait que les' sensations - tactiles, musculaires des lèvres et de la
langue
ne sont pas les seules qui se produisent au^ co
la) choses arrivei fréquem- ment de mouvements d'articulation,de la
langue
) qui, chez,cer- tains sujets, « se meut involon
spasmes, douloureux des muscles masticateurs, les.mouvements, de'la
langue
aient pu passer inaperçus.- 6lxs, 9 >';>'
ü'iompher de l'obstacle ,à,'l' articulation ; elle nesentrien=,à la
langue
qui, ne peut. exécuter, que des mouvements lent
verte ? rie'pou-'e vait étre ni fermée ni ouverte complètement ? la
langue
né pou- vait ......" (y7frrl : 3'.YtII ? 1m 1 .
aient ? "' C'est, 'disait-il ! comme si, ces voix' me venaient à la
langue
. t "t;);, -u- <<{ ... comme .yyyl'i"1 voi
t F2);. , de.Verneuil (enfonce- ment des os du crâne; spasmes de la
langue
et des mâchoires", Contusion occupant la scissu
phragmatique, la, thii6rie ? des, petits "v'ers'bla'ncs"'s'o *ni la
langue
, et la : théorie mixLe ? lajtliérapeutique1très^
sorteitous les matins, durantcliuit, à- dix jours consécutifs, la'
langue
restant bonne et l'appétit conservé. Cette premiè
nuit ; coeur et poumons sains, pouls 80; température prise sous la
langue
370,06. Février d juin. L'état s'est aggravé; a
z 'muscles;' grand et f petit' zygomatiques i du, côtér, droit; la,
langue
reste indemne,'mais ! il yiaede l'hésitation.,
fibrillaires des muscles péri-'buccaux sont plus manifestes" : la'1
langue
* peut être retirée de la bouche, mais avec mouv
R ? P,Sim- o"n'ot,' prieur "des' Jacobins con mença le second ; en'
langue
-"latine5 et* différemment du rituel l' romain'
n signe qu'il avoit entendu ce qui luy avoit esté dit auparavant en
langue
grecque, et quelques instances que fit le P. pa
ur obliger ce démon de dire s'il l'avoit -entendu parler les autres
langues
, jamais il ne peut rien gagner ni faire parler,
a^compagnie qui n énr ernpêc%te, je. respondrez aussy bien en cette
langue
que dans les autres, mais je veux main- tenant
donna à celle qu'elle avoit données, autant que la différence de la
langue
et des interrogations luy peuvent permettre. »
r si les premiers procédoient de ce démon de l'intelligence des *
langues
ou s'il en pourrait faire le discernement. Elle s
ut l'évangile , de Saint- Jean, et ne pouvant rien obtenir en cette
langue
, il lui faict les mêmes commandements en latin,
apophyse mastoïde du côté droit,'est atteint d'une. atrophie, de la
langue
; cet organe qui ne réagit plust au.courant far
t. Les tremblements intermittents des muscles de la face et de la
langue
,* les secousses musculaires, les soubresauts des
e peut créer une aphasie totale (motrice et sensitive) pour telle
langue
, sans attaquer le moins du monde la faculté de co
Seul il n'avait pas varié; seul il paraissait surpris de parler une
langue
que son auditoire ne comprenait plus. Rappell
ussi net que le veulent ces auteurs. Ainsi il peut arriver crue, la
langue
ne que le veulent ces auteurs. Ainsi 1 peut arr
langue ne que le veulent ces auteurs. Ainsi 1 peut arriver que. la
langue
ne dévie pas du côté du spasme. Le diagnostic d
asme lingual trouve dans l'impossibilité pour le mode de ramener la
langue
déviée sur la ligne médiane un élément plus imp
n élément plus important que dans les déviations de la'pointe de la
langue
eà'pleinë' cavité buccale, que dans les mouveme
eà'pleinë' cavité buccale, que dans les mouvements spontanés de la
langue
, que 'dans la direction delà déviation lorsque
e, que 'dans la direction delà déviation lorsque le malade, tire la
langue
, hors de la bouche : - 5° Les spasmes qui se ma
s le nystagmus léger^ pas plus, que la toute petite déviation de la
langue
, concomitants ne sauraient être rattachés à des
petits enfants ; les hypochondriaques prétendaient n'avoir plus.de
langue
. Ces phé- nomènes,sont à rapprocher, des impuls
ie. Foie et rate très engorgés, la dernière est dure et palpable.
Langue
humide et un peu chargée, inappétence complète et
. SOCIETÉS SAVANTES CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES DES PAYS DE
LANGUE
FRANÇAISE. IVe SESSION DE LA ROCHELLE. Séance
atin, s'est réuni le cin- quième congrès des médecins-aliénistes de
langue
française, au palais de la Bourse à la Rochelle
voté la fusion des médecins aliénistes et neurologistes des pays de
langue
française. Cette proposition, déposée par M. Br
e.1 maladies mentales. (Congrès des médecins aliénistes des pays de
langue
française. (Session de la Rochelle, 1893.) Volu
ette à des exacerbations pendant les- quelles la malade gémit. La
langue
est blanche, saburrale ; l'appétit est complèteme
me de M. F. Warner d'aborder sous une forme très serrée et dans une
langue
très concise les problèmes les plus ardus de la
lir s'il s'agit d'une contracture hystérique ou d'une parésie de la
langue
et de la face. Les caractères spéciaux de la dé
langue et de la face. Les caractères spéciaux de la déviation de la
langue
et de la face de nature hystérique sont établis
hémiplégie hystérique du même côté; depuis 1859, quand elle tire la
langue
, celle-ci présente une déviation extrême à droi
oi j'ai voulu démontrer le caractère clinique des déviations, de la
langue
et de la face d'ori- gine hystérique en la mett
la face, surtout à la partie inférieure ; les lèvres, le nez et la
langue
sont hypertrophiés; les dents du côté gauche so
partiellement. Témoin le cas d'un nommé S... qui avait oublié trois
langues
sur quatre qu'il parlait couramment. Le diagnos
s'explique, d'ailleurs, par l'énorme dilatation de la glotte. La
langue
présente un tremblement très évident, mais le mal
la douzième paire, coexistant cepen- dant avec le tremblement de la
langue
et les troubles de la parole. Le même contraste
Combette : parole difficile et bégayée; Duguet : « les lèvres et la
langue
tremblent quand la malade est pour parler, à pe
e à lire des mots for- més de quatorze lettres et appartenant à une
langue
connue. Le rapporteur en conclut que nous appre
entier étant perçu comme une seule image visuelle; la lecture d'une
langue
connue se fait au moyen du second processus, c'es
mains se contractaient ; on lui ouvrait la gorge, on lui tirait la
langue
. Cela a duré ainsi environ cinq ans. Jusque-là,
voix parla bouche et il y a des moments où cela lui fait marcher la
langue
. « C'est comme cela, dit-elle, qu'ils commu- ni
n, n'entend pas de parole en même temps. Elle a essayé d'arrêter sa
langue
avec ses dents, mais- quelque chose la lui tire
les motrices très accentuées : elle sent parler en elle- même et sa
langue
remue malgré elle. Elle a aussi des impulsions
t allée consulter dans cette circonstance. li56 CLINIQUE MENTALE.
langue
, nécessaires pour l'articulation des mots (il est
e à la pression à la pommette droite. Je prie la malade de tirer la
langue
, elle ne le peut. Je la prie d'ouvrir la bouche
Elle parle comme on parlerait en fermant la bouche et en tenant la
langue
immobile dans la cavité buccale. En présence de
douleurs d'abord, puis bientôt peuvent jouer sans douleurs, mais la
langue
restait encore appliquée inertesur le plan- che
es faciales périphé- riques graves une déviation considérable de la
langue
du côté sain. Simultanément, la bouche est dévi
ute droite de la cavité buccale. Par conséquent, la-déviation de la
langue
précé- demment constatée, ne provient pas de la
inconscient qui a pour'but de maintenir le rapport habi- tuel de la
langue
avec les commissures huccales. c ,, i 1'jv ·W &
, mentale, u;, 171 ? 1 ? r des, m6decinsalienis- tes des pays de
langue
française. ,h 240 et, lrmtibme,, ;"des neurolo-
he- matome des aliénés par Pellizzi, ? 490.' De la.'situation de la
langue
. dans .'la' périphériquefldu 1 facial "'par
ûres cutanées. 6 avril 1905. La malade a un peu de peine à tirer la
langue
, dont la pointe est légèrement déviée à droite.
la bouclie est bien en place, aucun signe d'atropine des lèvres, la
langue
est tirée dans la ligne médiane et projetée en
'a rien montré d'anormal, les facultés tactiles et gustatives de la
langue
sont aussi bien 44 BERTOLOTTI développées à d
ux liers antérieurs (trijumeau), que dans le tiers postérieur de la
langue
(glossopharyngien). Chez notre malade on observ
V hypoglosse, on peut voir que tous ces muscles sont indemnes. La
langue
est parfaitement mobile et peut être tirée énergi
ent au dehors dans tous les sens. Il n'existe aucune atrophie de la
langue
(V. PI. XII, 3), ni de contractions fibrillaire
aitement négatif, de même que l'examen électrique des muscles de la
langue
. Tous les troubles que nous avons constatés che
lique du nerf facial hypoglosse est normale, tous les muscles de la
langue
et les muscles sus-liyoï- diens présentent une
ensorielles sont respectées. Il existe toutefois une atrophie de la
langue
, une paralysie symétrique du voile du palais et
e temps Ferrio examina la malade et constata une amo- trophie de la
langue
à gauche, une paralysie du voile du même côté et
n résultat négatif. L'examen électrique de la moitié gau- che de la
langue
el des muscles innervés par la branche externe du
t stylo-hyoïdienne), la maladeavait présenté une hémiatrophie de la
langue
, une hémiparésie de voile et des troubles parétiq
s, depuis deux ans, émettre de sons, par impossibilité de remuer la
langue
: or ce trouble n'apparaissait que lorsque le m
s à signaler de perturbations dans la musculature des yeux et de la
langue
. Pas d'atteinte des sensibilités sensorielles, pa
buccale est tirée en haut. A gauche, pas de signes particuliers. La
langue
est normale, même intégrité pour la musculature
té verbale, de cécité, d'agraphie. , Comme nous l'avons déjà vu, la
langue
se mobilise bien, pas de ptyalisme. Le malade s
. Lorsqu'il ne parle pas, le malade ouvre normalement la bouche, sa
langue
est parfaitement mobile. Les voyelles a et e
périeure paralysée pendant les mouvements actifs ou pas- sifs de la
langue
. Or on constata dans la région du plexus cervical
nt possible sitôt l'accès terminé. Une fois, il y eut morsure de la
langue
assez forte, avec plaie saignante, mais il n'y eu
vait eu uue attaque convulsive généralisée, avec cri, morsure de la
langue
, évacuation d'urine et des ma- tières fécales,
, opérations commerciales, nouvelles politiques, lettres chilllées,
langues
an- glaise, française, italienne, espagnole, ho
t sa profession. Crampes professionnelles du cou, de la face, de la
langue
. Andral a observé en 1855 a un malade dont la t
t ; elle se manifeste par un spasme des muscles des lèvres ou de la
langue
au moment où l'artiste veut se servir de son inst
c, ne pouvait plus émettre une note, par impossibilité de remuer la
langue
; s'il jouait seul chez lui, le spasme n'apparais
Frânkel (58) a décrit sous le nom de mogiphozzie des crampes de la
langue
, soit spastiques, soit trémulentes, survenant che
bilatéral, et de l'atrophie des muscles masticateurs et moteurs de la
langue
, particularité pour laquelle il a été présenté
a légère déviation des os du nez; la voûte palatine est aplatie, la
langue
est plutôt volumineuse et large. Les dents sont
tate cependant aucun trouble paraplégique. Pas de tremblement de la
langue
et des extrémités. Pas de troubles de la parole
difiée. Le malade ne peut parvenir à ouvrir la bouche et à tirer la
langue
par suite de la persis- tance des mouvements co
et du bras du côté droit, d'aphasie, d'impossibilité de parler. La
langue
était paralysée, elle ne pouvait la tirer au deho
ires et la face interne des joues ; ils doivent être ramenés sur la
langue
par les doigts que la malade introduit dans la
uemment dans les fosses nasales et s'écoulent alors par le ne z. La
langue
ne peut être projetée hors de la bouche ; pour la
mots ne nécessitant qu'une faible participation des lèvres et de la
langue
; elle cherche néan- moins les quelques syllabe
et de la parésie des muscles droits supérieurs des deux yeux. La
langue
, légèrement atrophiée,, est pour ainsi dire collé
de pousser ensuite le bol alimentaire sur la face postérieure de la
langue
jusqu'à l'orifice pharyngien. On observe, en ou
es, les mouvements de diduction sont abolis. Les mouvements de la
langue
sont impossibles, les mouvements de pro- pulsio
sont impossibles, les mouvements de pro- pulsion sont ébauchés. La
langue
présente des petits mouvements fibril- laires ;
s mouvements, mais bientôt la tête retombe lourdement en arrière.
Langue
, voile du palais, larynx. La langue n'est pas par
etombe lourdement en arrière. Langue, voile du palais, larynx. La
langue
n'est pas paralysée et la malade lui fait exécu
ous, appelé auprès d'elle, la trouve cyanosée, le regard éteint, la
langue
sortant hors de la bouche. Nous avons constaté à
particulière : les lèvres fines dessiuent une bouche normale et la
langue
n'offre aucune augmentation de vo- lume, rien q
ticulier du diamètre bi- malaire, ni l'augmentation de volume de la
langue
, ni la voix de polichi- nelle. Pour un acroméga
et du nez en comparaison avec la moitié supé- rieure du crâne. La
langue
est longue, très épaisse, pas trop large. La mo
longue, très épaisse, pas trop large. La mobilité des lèvres, de la
langue
et du voile palatin est normale. Le palais est
hragme est abaissé. Faiblesse des muscles du cou; tremblement de la
langue
. On observe aussi quelques signes de la paralys
re des lèvres à droite ; quelques contractions fibril- laires de la
langue
qui est tirée droite et dont la surface est un pe
e (Riva-Rocci) : 140 millimètres. Appareil digestif- Dents cariées,
langue
engluée, haleine fétide. Aucun trouble de la dé
l n'existe pas de tremblement sensible au niveau des mains, mais la
langue
est animée d'un tremblement fibrillaire très pr
nent qu'aucune goutte d'eau ne peut passer la gorge. Toutefois, la
langue
n'est pas paralysée, mais dévie à gauche quand
servé une paralysie complète de la déglutition, une déviation de la
langue
et une parésie faciale unilatérale. Le fait que
ffaissement s'accentue lorsque l'enfant rit ou montre les dents. La
langue
est légèrement déviée vers la droite. , A l'éta
nt dans les muscles du territoire du nerf facial. La position de la
langue
in situ est normale ; elle est bien allongée :
anisme vaguement pressenti dans l'élaboration de certains actes, la
langue
a adopté les termes instinct, habitude, automat
s devons citer encore une gêne assez prononcée des mouvements de la
langue
SPASME MUSCULAIRE. 3 semblant siéger surtout
taire; quand il serrait le poing, il ne pouvait plus le rouvrir; la
langue
souvent raide ren- dait la parole lente et disg
certains muscles du visage entraient en ri- gidité, de même pour sa
langue
; quand elle jouait du piano, ses doigts ne se
scles des mâchoires et dans ceux de la bouche. Les mouvements de la
langue
sont libres, mais ne s'exécutent pas aussi faci
es extrémités au début des mouve- ments volontaires, et aussi de la
langue
. Thomsen si- gnale même celle des orbiculaires
s muscles des membres, mais aussi dans la majorité des cas sur la
langue
, et aussi sur les muscles de la face dans deux
rien d'analogue du côté des membres supérieurs ou des muscles de la
langue
et de la face.- Quant à la paralysie pseudo-h
presque tous les muscles volon- taires (même ceux des yeux et de la
langue
), leur ca- ractère transitoire, ainsi que les p
sement de la face a débuté en même temps que l'amblyopie ; puis la
langue
s'est prise, ensuite le bras et le tronc, et en d
eurs attaques épileptiformes, avec écume à la bouche, morsure de la
langue
, et perte momenta- née de connaissance. Ensuite
tendue rigide sur son lit, la tête renversée et tournée de côté, la
langue
sortie de la bouche. Les bras, à demi-fléchis,
ensation de froid dans la moitié gauche de la face, déviation de la
langue
, et micropll- thalmie de ce côté. Bientôt ces m
mpris les paupières, la conjonctive, la cornée, le côté gauche delà
langue
et de la muqueuse pharyn- gienne, la cavité nas
intéressé ; il est forte- ment dévié à gauche. Les mouvements de la
langue
s'exécutent régulièrement. Le 28, les liquide
le droite. Nystagmus. Paralysie de l'hypoglosse avec atrophie de la
langue
du côté droit. M-1 Rob.... cinquante-quatre ans
ptômes présentés par cette malade, je signalerai la déviation de la
langue
à gauche en rapport avec la paralysie de l'hypo
st asymétrique; sa moitié gauche est moins mobile que la droite. La
langue
est sèche, grillée et sa pointe est déviée vers
affaiblis, la bouche est entraînée vers la droite, la pointe de la
langue
est déviée vers la gauche ; la paupière gauche
chaque pays voulait transformer ces formules pour les adapter à sa
langue
, et s'il fallait changer de symboles avec chaqu
eut frapper, simultanément ou isolément, la mâchoire inférieure, la
langue
, les divers muscles de la face. La parole se tr
inurie. Pas de nystagmus, ni de troubles de la parole. Cependant la
langue
tirée hors de la bouche est agitée de secousses
le myxoedème peut être localisé dans différentes parties du corps (
langue
, extrémi- tés) ; 7° Il est probable que la lé
es traits étaient déviés ci droite [avec jttosis et déviation de la
langue
à gauche dans celle-ci) et que la sensibilité g
produire des sons laryngiens et à le lui faire articuler dans cette
langue
le pro- fesseur introduisait dans la bouche de
ole. Les traits du visage né sont nullement déviés, pas plus que la
langue
. Le membre supérieur gauche est complètement in
est un peu plus large et n'est pas pulvérulente commela gauche. La
langue
est un peu déviée à gauche. Aucun trouble de la
pingle. ; 'r, ? ' ;v . ? (;,1,,1'7 ? ,, ,\ Inappétence complète, la
langue
, est blanche. Les gencives sont rouges, un peu
deux lèvres, de la gencive inférieure, de la face inférieure de la
langue
; de-la voûte palatine. ? i i La lèvre inférieur
;', "l-\ ? =,». ? rt ', «I ? "»1U-r|j -"i,l«. -I .-» ? '.l'-IOl 'La
langue
reste pelotonnée derrière 1 arcadedenlaire intéri
ession, à la température, est. abolie des deux côtés. , ,a. 11 La
langue
pelotonnée, derrière; les arcades deiitaires et t
t l ëul eé dësrüâ.3-ôns lumineux dans'l oeiUIJ J Séclielessé dé la"
langue
" vomissements'1 faciles,^ presque par- ré- gurg
hé.,^^., 3rLln,l r n <,nr-td>r ! i.> Il giiiqjnofrui'ii La
langue
est sèche, noire, inajsjiç porte point ainsi que
ire, de la parésie droite du facial inférieur, du tremblement de la
langue
; parole trébuchante, tremble- ment des doigts,
feslalioiis paralytiques du même côté, sur le voile du palais et la
langue
; ces phénomènes disparaissent en quelques semain
its. Le trouble paralytique, qui s'est montré sur les muscles de la
langue
et des membres du côté droit a été passager, pa
condes que du- rent ces vertiges. Il n'urine pas, ne se mord pas la
langue
. 2° Grandes attaques convulsives qui viennent p
caractères de l'épilepsie : cri, pâleur de la face, morsure de la
langue
, convulsions toniques et cloniques, sommeil prolo
face, des convulsions toniques et cloniques ; pas de morsures de la
langue
ni d'émission involontaire d'urine. En 18u1,
crises se sont répétées souvent depuis, quelquefois elle se mord la
langue
, mais n'urine jamais au lit, c'est le plus souv
. M-1 P.... n'avait pas uriné, mais elle s'était fortement mordu la
langue
et elle en souffrit pendant plusieurs jours ; e
aque d'épilepsie; convulsions toniques et clo- niques, morsure delà
langue
, miction involontaire, perte totale de la conna
le monde, mais de peur de ne pas se tuer, elle préféra se couper la
langue
avec des ciseaux (hémorrhagie simple du filet).
grand développement. Son palais est détruit, son estomac brûlé, sa
langue
acidulée, ses ongles durcis, ses dents aiguisées;
it-il, et il jetait tout ce qu'il avait à la main. Peu importait la
langue
employée : il répétait aussi bien du grec que d
terminé son évolution. P. K. XV. Convulsions IDIOP1TIIIQUES DE la
langue
; par 0. Berger. (Neurol. Centralbl., 1882.) F
-larsngienne siégeant immé- diatement au-dessous du menton; puis la
langue
, qui semble à la malade enfler au point de remp
jections brusques, involontaires, animées d'une grande force, de la
langue
hors de la bouche plu- sieurs fois de suite, mê
du bras gauche et d'une parésie de la jambe, de la face et de la
langue
. 6° Convulsions et paralysie du côté droit du cor
ement. - C. Ces centres, pour la partie inférieure de la face et la
langue
, sont situés à l'extrémité inférieure de la cir
droite; la bouche large- ment ouverte laisse quelquefois sortir la
langue
. L Fig. 1 ? Phase tonique. 13V CLINIQUE ner
mporte de signaler l'ouverture de la bouche, et la propulsion de la
langue
au dehors, qui se sont montrées à différentes r
? in|>< ..., - , ^r ? un mot long. Pas^de, tremblement'de.la
langue
; un peu de' trem- 11jé11lêiit'des 11, ,, sôrît'
, vio- lent ; a refusé'de manger. A son'entrée, : tremblement.de la
langue
peu marqué; `pupille. normale r sensibiliténcon
s élevés. L'un d'eux enseigne les sciences naturelles, un autre les
langues
anciennes, l'allemand, l'histoire, la philosoph
anciennes, l'allemand, l'histoire, la philosophie; le dernier, les
langues
'modernes. Cer- tains élèves doivent en outre ê
l'irresponsabilité dans l'abus de la morphine. - Tremblements de la
langue
et des mains. Le tremblement des mains est dist
sme dure quelques se- condes. Les muscles de la mâchoire et de la
langue
sont aussi affectés. Les premiers mouvements de
de quinine ni de la coloquinte. Cependant sur le côté gauche de la
langue
, les saveurs sucrées sont en partie perçues. Vu
prononcé; il se plaint toutefois spontanément d'un empâtement de la
langue
. Il n'a pas eu d'accès depuis quatre heures du
les narines sont pulvérulentes; les lèvres légèrement blanches. La
langue
est couverte d'un enduit gluant, sec et grisâtre
arotidienne; le goût a disparu dans les deux tiers antérieurs de la
langue
. En même temps, la sensibilité de l'occiput et ce
l'hémianopsie droite (I cas), des troubles de la motilité dans la
langue
(2 cas), des paresthésies droites (2 cas), des hé
mande ensuite si l'excitabilité élec- trique des deux moitiés de la
langue
a été examinée, et sil'étude microscopique de l
g, 68. Jumeaux (folie chez les), 351. TABLE DES MATIERES. 399
Langue
(convulsions idiopathiques de la), par 0. Berge
prononcé; il se plaint toutefois spontanément d'un empâtement de la
langue
. - Il n'a pas en d'accès depuis quatre heures d
, les narines sont pulvérulentes ; les lèneslégèrement blanches. La
langue
est couverte d'un enduit gluant, sec etgrisâtre :
. Il. matin, 39°. L'enfant est éveillé, P. 96. Pas de vomissements,
langue
humide, selles abondantes; il a gâté. ZD 4 De
lles égales, un peu dilatées. Léger frémissement de la pointe de la
langue
. Il bave beaucoup; autrefois il ne bavait que D
e ; luette très longue, frôlant presque la partie postérieure de la
langue
; piliers normaux; amygdales très volumineuses, su
olumineuses, sur- tout la droite; muqueuse du pharynx assez rouge ;
langue
large. Gencives en bon état. Organes génitaux
tertoreuse. A ce moment, les pupilles sont extrêmement dilatées, la
langue
est entre les dents, il y a de l'écume. Cet état
un accès, C... s'est mordu assez profondément le bord gauche de la
langue
; il a été très agité. 12 février. - Améliorat
elle série d'accès avec excitation ma- niaque. Légère morsure de la
langue
. T. R. 39 ? Soir : T. R. 39°, 2. 9 janvier. - T
moindre démangeaison, le plus souvent le ventre est consti- pé, la
langue
est rouge et muqueuse à sa base, les malades épro
cédente et demandait à se livrer à ses jeux habituels; cependant la
langue
était sale à sa base et légèrement piquetée. L'
t en même temps que l'érup- ruption et ne lui survivaient pas. La
langue
était généralement sale; jamais elle ne présent
ne ou de la face, se- cousses égales, stertor, écume, morsure de la
langue
. L'accès est suivi de sommeil pendant une à deu
Quelques mouvements vermiculaires dans les muscles des mollets. La
langue
est un peu poisseuse. Pas de vomisse- ments, pa
ir : 40°,2. 5 avril. T. R. 3J°;8. Ce matin, l'enfant est éveillé.
Langue
sale ; un peu de diarrhée, sans méléorisme. On ne
de la stomatite ulcéro-membraneuse ; il n'y a pas d'ulcérations. La
langue
est sale, mais non rouge ; large, saburrale; le
heveux, sur les joues et derrière les oreilles ; selles régulières,
langue
sale. Conjonctivite palpébrale droite. 7 mai.
e purulente très intense ; injection peu marquée de la conjonctive.
Langue
sale ; rien à la gorge ; constipation ; pas de
iration est très sèche. Percussion nor- mnle. Conjonctivite légère;
langue
humide, haleine fétide; rien à la gorge. L'abat
oGisN.S; AIMANT. ron un an, nous dit le malade. Le coté droit de la
langue
est insensible aux substances sapides et aux pi
soit en moyenne deux heures par jour. Il porte sur la religion, la
langue
allemande, l'écriture et le calcul, particulièr
bouche. Les mouvements de ses mains sont assez sûrs. Ne tire la
langue
que lors de ses se- cousses. Bave, grince des
des mains, de la face et des orteils, qui se crispent. Tire la
langue
souvent. Bave, grince des dents. Se cogne la
uchement laborieux. Prise du sein difficile à cause du volume de la
langue
. - Masses lipomateuses. Phy- sionomie hébétée.
r que toute jeune son enfant avait de la peine à téter parce que sa
langue
était, trop grosse. - De plus : elle avait un a
coup plus qu'aujourd'hui, on voyait les battements du cerveau. - La
langue
demeurait énorme et sortait sou- vent de la bou
viande. La bouche est encore fréquemment ouverte et laisse voir la
langue
volumineuse, les lèvres sont épaisses, cyano- s
et laisse apercevoir, même pendant le sommeil, l'extrémité de la
langue
qui est épaisse et large. Le goût est normal. L
phénomènes observés, furent l'hypertrophie et la protraction de la
langue
, rendant la succion difficile, l'état lipomateu
iminué (tableau des poids), la taille a aug- menté, le volume de la
langue
est allé en décroissant, la dentition, très en
s toniques, puis cloniques des quatre membres, pas de morsure de la
langue
. A partir de cette époque et pendant six mois l
ensions moyennes; les lèvres sont bien conformées, non éversées, la
langue
est de dimensions normales, sans tremblement de
, la parole est lente, difficile, traînante, nasillarde comme si la
langue
était inhabile. La respiration, la circulatio
oyennes. - Oreilles, rien de particulier. - Voûte palatine ogivale.
Langue
petite. Le corps de l'enfant est bien conformé,
la lèvre supérieure. - Palais bien conformé, de forme nor- male.
Langue
mince présentant des tremblements de la pointe.
cuit, il réunissait les fragments en pelote et les gardait entre la
langue
et le palais. Il vomissait quelquefois mais penda
s qu'il y ait toutefois communication avec les fosses nasales. La
langue
est étalée, rouge, épaisse, assez mobile. Pas de
ûte palatine est très concave, le voile du palais bien conformé. La
langue
est mobile, elle n'est pas hypertrophiée, elle
e nier la justesse des premiers termes de la série. Donnez-vous votre
langue
aux chiens? - Il n’y a cependant là rien de bien
e, avait répondu, par écrit, au cours d’une conversation en espagnol;
langue
que, nous autres, ne connaissions aucuns. Le peti
avais prié? demandai-je au spectateur. — Ma foi ! c’est à jeter sa
langue
aux chiens. Je m’épuise vainement à chercher comm
obsidentis sunt : Parler en phrases suivies (pluribus verbis ) une
langue
inconnue , ou la comprendre ; Jouir de la vue à
de tous les pays et de tous les siècles ont ce qu'on peut nommer une
langue
commune, la langue dos symboles, dont la langue d
t de tous les siècles ont ce qu'on peut nommer une langue commune, la
langue
dos symboles, dont la langue de la poésie n'est q
qu'on peut nommer une langue commune, la langue dos symboles, dont la
langue
de la poésie n'est qu'un dérivé, langue qui expri
langue dos symboles, dont la langue de la poésie n'est qu'un dérivé,
langue
qui exprime à peu près constamment les mômes idée
iput ( le sommet central de la tète) , actuelle? En un mot, dans la
langue
de l'école, ce sont là pour nous des faits de sub
de l'école, ce sont là pour nous des faits de subjectivité ; dans la
langue
des anciens philosophes mystiques et des religion
nt l’esprit d’un Allemand. Nous étions deux personnes (ignorant cette
langue
), et le docteur qui se mit à la parler. Toutes le
lèvre, d’une tumeur axillaire schireuse ou autre, d’un sein et de la
langue
même, ainsi que je l’ai vu faire dans ces diverse
yon de cette dame, aimable Parisienne, complètement étrangère à cette
langue
, les mots suivants : Tu n’as donc pas confiance e
clairement au public impartial la cause de votre grande colère : La
langue
Trappe là où la dent est malade ! Nous vous en
ce nouveau champion vient frapper sur les Écus des magnétistes, La
langue
frappe là où la bourse est malade, et invoque,
al est parfaitement écrit; et, bien qu’étranger, l’auteur manie notre
langue
avec une correction de style, une justesse d’expr
le livre. Nous croyons que M. Philips a mieux saisi le génie de notre
langue
que le caractère de notre nation. Ses idées, qui
ons l'usage, parce qu’il y a toujours inconvénient à ne pas parler la
langue
reçue. Dans tous les cas, 011 n’a le droit de la
ésoudre ; mais qu’on lui donne la solution enveloppée de voiles, — en
langue
vulgaire — déguisée, c’est tout bonnement un rébu
me transfigurée. Elle dédaraqu’elle pourrait parler toute espèce de
langues
; que si elle avait un piano à sa disposition, el
en avoir aucun souvenir, et n’.avoir jamais «appris ni parlé d’«autre
langue
que le français. Elle dit être Parisienne, et com
et personne , dans sa famille ni dans son entourage, ne savait cette
Langue
. On craignait donc qu’elle ne parlât sans être
is, en faisant venir auprès d’elle des personnes possédant bien cette
langue
. En conséquence, on appela deux Anglais et six
e, on appela deux Anglais et six autres personnes possédant à fond la
langue
anglaise, tous gens fort instruits et fort recomm
la manière plus ou moins correcte dont elles s’étaient servies de la
langue
anglaise , et signala les deux Anglais de naissan
ce fut en pur toscan , et non dans le dialecte sicilien, qui était sa
langue
maternelle ; elle dit être de Sienne, fit une des
nu, mais qu’elle choisissait arbitrairement pour remplacer ceux de la
langue
usuelle ; elle en donna quelquefois la clef ; d’a
raordinaires, persuadé, d’après les règles canoniques, que parler des
langues
non apprises et prédire exactement les circonstan
ne obscurité presque complète et en notre présence immédiate, en sept
langues
différentes, et peut-être en huit, car il y a plu
te ; nous ferons seulement remarquer qu’il a été traduit en plusieurs
langues
, qu’en Amérique il en a été fait plusieurs éditio
urs dames de la société ; il y avait contraction des mâchoires, et la
langue
était collée au palais. « Je fis adhérer au par
e de pénétrer les pensées, de lire dans les cœurs, de parler diverses
langues
, ce qui lui valut, comme à tant d’autres au moyen
nte, elle qui, durant « son exorcisme, parlait grec, lu lin et autres
langues
, quelle « fut rendue comme un enfant de quatre an
e ; elles furent toutes lues, excepté une, q ii était écrite dans une
langue
qu'aucune des personnes présentes ne connaissait
e dit. — Vous saisissez ses idées qu’ensuite vous exprimez dans votre
langue
. —Vous avez un frère? — Oui. — C’est ce que me di
se mit à invoquer Jésus et la Vierge , parlant en très-bon espagnol,
langue
qu’il connaît fort mal dans son état ordinaire. L
prits, 30, 76. 79, 157, 170, 629. Divination. Faits, 544. Don des
langues
. Faits observés sur une jeune fille hystérique, 4
4 ans. Gourmes, impétigo, blépharite, otorrhée à 3 ans. Tics de la
langue
et rotation de la tête; mastication défectueuse
rougeole (4 ans). - Épaissis- sement des joues, des lèvres et de la
langue
et dévelop- pement du ventre vers 5 c'tllS. - B
ps de la respiration. Pas de matité, T. Il. 38°. -Soir : T. R. 39°.
Langue
rouge et sèche. ' Ventre non douloureux, pas de
égales, contractiles. Très léger fré- missement de la pointe de la
langue
. Pas d'embarras de la parole. Affaiblissement d
décomposée. Alors, stertor, bave sans écume. Pas de mor- sure de la
langue
, ni d'évacuation involontaire. L'accès a duré a
ume, convulsions des membres surtout à gauche; pas de morsure de la
langue
. Durée de l'accès : 2 à 7 minutes. Il s'endorma
et également de chaque côté; les mâchoires sont contracturées et la
langue
, al'cbou- tée sur les dents, est gont1éc et sem
Communication faite au Congrès des aliénistes et neurolo- gistes de
langue
française (Session de la Rochelle : août 1893).
du côté droit seulement. Ni ronflement, ni écume, ni morsure de la
langue
. T,out en conservant sa connaissance ( ? ), il
a connaissance ( ? ), il était impossible à l'enfant de parler : sa
langue
était comme paralysée. Les accès se répé- taien
le nez pincé, ellilé, les narines pulvé- rulentes. Les lèvres et la
langue
sont sèches, couvertes de mucosités assez abond
it se mani- fester régulièrement.- 13oteche étroite, lèvres minces,
langue
normale. Le goût semble nul. Menton arrondi, pe
lait. Les gencives sont saines. Leur jux- taposition est régulière.
Langue
, voûte palatine, luette : rien de particulier.
'- ; ,AUTOPSIE. - Larynx et bronches fortement congestionnés.; La
langue
et la face interne des joues présentent de nom- :
bout au lieu de s'entrecroiser. Les gencives- sont en bon état. La
langue
est grosse et présente un sillon- 286 : Hydrocé
ifs étaient nette- ment exagérés du côté droit. L'enfant remuait sa
langue
et écumait légèrement. Parfois les convulsions
? ? tbi-e. L'enfant est à l'infirmerie, il ne peut se nour- rir, sa
langue
est douloureuse et tuméfiée, les gencives sont
euse, d'aspect^ légèrement papillomateux à la face supérieure de la
langue
à droite de la ligne médiane. Malgré le manque
Père : ivrogne, mort à l'hôpital Saint-Louis d'une affection de la
langue
. Mère, nerveuse, coléreuse, sans crises d'aucun
Bouche : largeur i cent., 5, horizontale. Voûte palatine profonde.
Langue
, voile du palais, amygdales normaux. Le réflexe
iale. Lèvre supérieure débordant l'inférieure. Bouche assez grande.
Langue
normale. ' Dents très défectueuses, bord libre
365 ment 16 dents. Son intelligence se développe; V... tire la
langue
quand on le lui demande, envoie des baisers, dit
886. 4 juin. Tell. présente des troubles digestifs avec ano- rexie,
langue
sale. Purgatif. Tuberculose intestinale. 7 21
ril. T. R. 37°. Soir : 37°, 2. Quelques traînées de mu- guet sur la
langue
. 21 avril. T. R. 37", 2. Soir : 37°, 4. La temp
t se rejette de toute sa hauteur : pas d'écume, ni de morsure de la
langue
; mictions involon- taires pendant l'accès. A l
il se met à parler. Pas de convulsions cloniques, de morsure de la
langue
. Par- fois la crise se termine par un nouveau g
e d'une chute sur le verglas, une cicatrice sur le bord droit de la
langue
. Il a pris du bromure de potassium, ordonné par
écume sort de ses lèvres d'abord blanche, puis rouge (morsure de la
langue
). Cela dure . 5 à 6 minutes ; il reste tranquil
convulsions toniques, avec de l'écume à la bouche, mor- sure de la
langue
, déviation des yeux du haut. Au bout de 2 ou 3
à la tète et pleurait abondamment. Une seule fois il s'est mordu la
langue
: à la suite de chaque crise, il passait deux o
bles que ceux de droite; hémiplégie faciale avec déviation de la
langue
à gauche. Le malade a par jour 2 ou 3 attaques :
tes de l'ouïe et .de la vue, violence, agitation, tremblement de la
langue
et clés mains (certificat de M. Girard de Caill
clair, non surélevées. abondantes surtout dans le dos. T. Il. 39°.
Langue
nette, ni diarrhée, ni angine; pas de symp- tôm
nimée mais uniforme. Pas de cris inarticulés. Il consent à tirer la
langue
qui est rouge, et, interrogé, répond qu'il n'a
- 010rat peu développé. Goût : quand on met de la coloquinte sur la
langue
de l'enfant, il dit que c'est agréable tout eu
ien à la lumière. Affaiblissement progressif. Diarrhée abon- dante.
Langue
sèche et fuligineuse. Pas de vomissements. Resp
nt progressif. Altération des traits. Face pâle, plombée. Lèvres et
langue
sèches. Tête très chaude, voix é- teinte, toux
28 mai. - R... a ou plusieurs accès ce malin. Hébétude, abattement,
langue
sale, pâteuse, portant l'empreinte des dents, T
ochent. Les pupilles sont contractées, la bou- che entr'ouverte, la
langue
très sèche. Face plombée, front couvert de sueu
ysionomie est peu expressive. La peau de la face est ter- reuse, la
langue
longue et étroite, l'haleine sans odeur. Sous l
es, leur bord libre et surtout leur face interne, sont cyanoses. La
langue
est volumineuse, mais non pendante; l'haleine e
sans cesse une bave abondante; les lèvres sont très épaisses; la
langue
est considérablement hypertrophiée, pendante. Le
et provoquées par la pression, par la marche et par la sta-tion. La
langue
est rouge, sans enduit, parfois sèche. La peau s'
romptement, en général, que cela n'a lieu dans la fièvre typhoïde. La
langue
se dessèche rapidement et se couvre d'un enduit n
ts des mem-bres ; rétention ou écoulement involontaire des urines. La
langue
est recouverte d'un enduit d'une coloration très
moins fréquent et plus résistant; la peau plus douce au tou-cher; la
langue
est humide sur les bords, bientôt elle se dé-poui
upeur ou l'épouvante ; la parole est embarrassée, la voix sourde ; la
langue
large, humide, blanchâtre, est tremblotante. La d
mais bientôt la face s'anime et les yeux s'injectent outre mesure, la
langue
se dessèche et noircit, les bubons s'affaissent ;
nt rccompagné d'agitation ; la bouche estamère, la soif est vive ; la
langue
, d'abord blanche et humide, se dessèche rapidemen
yphomanie se joignent les soubresauts des tendons, la carphologie. La
langue
se des-sèche et se recouvre d'un enduit noirâtre
tensité vers la fm du premier ou dans le courant du deuxième jour. La
langue
, humide, est couverte d'un léger enduit blanchâtr
iques disparaissent, les forces reviennent comme par enchantement, la
langue
se nettoie, l'épi gastralgie, les nausées et les
ne coloration orangée, cuivrée, acajou, ou encore comme bronzée. — La
langue
se sèche à sa partie centrale, elle de-vient quel
ndons, des contractures, des tremblements partiels des mains et de la
langue
, ont été observés dans un certain nombre de cas.
la gravité du mal. Ici, le pouls paraît naturel ou peu s'en faut, la
langue
est nette, la peau est fraîche ou obscurément cha
ses, expression pittoresque, mais à peu près intraduisible dans notre
langue
, ces cas insidieux, et dans lesquels on voit des
sale sans lèvres ; la malade a peine à parler ; elle ne peut tirer la
langue
. Les articulations des mains sont comme soudées
lles sont fortement chargées de la matière colorante de la bile. La
langue
est sèche ; la voix est extrême-ment faible. On p
que le malade se décide à parler, on n'observe point d'em-barras à la
langue
. L'hémiplégie s'est développée progressive-ment ;
s les repas et devient alors très vive. L'appétit est conservé ; la
langue
est naturelle. Les vomisse-ments n'ont plus lieu
écédents qui pussent appuyer l'idée d'un cancer py-lorique ; enfin la
langue
était naturelle et le pouls, avant que ses tuberc
harcot. Œuvr. compl. t. vin, 49 partie : Estomac. Rate. 19 site. La
langue
, qui était restée longtemps naturelle, devient tr
nt il y a deux ans environ, les deux côtés de la face, les lèvres, la
langue
et le voile du palais ; la parole, la mastication
s di-minuée dans l'intérieur des narines, surda face supérieure de la
langue
, sur la conjonctive. Strabisme interne de l'œil d
peut rester assise dans un fauteuil. Les douleurs des lèvres, de la
langue
et du voile du palais ont disparu presque complèt
rs et le long du rachis. En même temps, il y a de la somnolence, la
langue
se sèche, les narines sont pulvérulentes. Le poul
x côtés, pas de secousses, de stertor, d'écume, ni de morsure de la
langue
. (Le père et le frère aîné se mordaient la lang
e morsure de la langue. (Le père et le frère aîné se mordaient la
langue
, ronflaient et écumaient.) Il s'endort quelquefoi
par points, les dents sont couvertes de taches à leur couronne, la
langue
est recouverte d'un enduit blanchâtre et est co
la clavicule droite et râles assez fins mélangés de frotte- ments.
Langue
chargée. Deux verres d'eu'de'Sedlitz; extrait de
e peu de douleur; ventre souple; pas d'ictère, anorexie, soif vive,
langue
saburrale. Le 11, l'enfant qui avait pris de l'
oux fré- quente ; expectoration abondante et glaireuse ; soif vive,
langue
sale. A la percussion, diminution de la sonorit
fréquente. 11 n'y a pas de larmoiement; un peu de con- jonctivite ;
langue
humide, selles régulières. - Vin de quinquina,
e. La toux est toujours fréquente, l'expectoration assez abondante.
Langue
nette, appétit bon, pas de vomissements, selles
umons, ni au eoew'. Fonctions digestives régu- lières, appétit bon;
langue
bonne; ni vomissements, ni diarrhée. - Foie et
imaçante et la mastication difficile ; il arrive quelquefois que la
langue
est pincée. Nous conseillons alors l'emploi du br
emaines, il devenait « songeur». Aucun autre prodrome. Début par la
langue
et la moitié droite de la face, puis envahissem
neux. Il parle en mâchonnant, en coupant les mots, bave, se mord la
langue
. Hier matin, il a fait une chute, a eu peur, et
s en dehors : lalèvre inférieure est plus épaisse. Palais en ogive.
Langue
normale ; pas de végéta- tions adénoïdes ; amyg
léger duvet, assez épaisse; lèvre inférieure glabre, plus mince. -
Langue
très sale,trémulante. Palais normal. Dentition
'un droit ; et l'on enseignait jusqu'à aujourd'hui, dans toutes les
langues
, que la privation des droits constituait une in
ète, avec de temps à autre des contractions partielles, celle de la
langue
surtout. La sensibilité générale, ainsi que les
un masque, la bouche petite, et quand il parle, c'est sur- tout la
langue
qui se meut, les lèvres restant presque immobiles
paraissent si on les fait répéter plusieurs fois. Tremblement de la
langue
, propulsions et rétractions. Iné- galité pupill
pendant la nuit. Parfois on observe une véritable atrophie de la
langue
: la sensibilité reste normale ; dans la station
ause en serait : 1° le tremblement du mou- ton, des lèvres et de la
langue
; ? " la rigidité de ces organes et des muscles
couché à la caserne, il se sentit tout à coup comme per- clus de la
langue
. Depuis, graduellement se sont développés des s
minutes, sans passer par la phase du stertor. Pas de morsure de la
langue
, pas d'émission involontaire d'urine ou de matièr
; le pli naso-génien gauche est plus marqué, pas de déviation de la
langue
. Un n'observe néanmoins aucun signe ni vestige
implantées, adhérence du lobule de l'oreille. Pas de strabisme. La
langue
ne présente pas decicatricesde morsures. -1)ucù
ntôt en haut, tan- tôt en bas. - Les mâchoires se contractent. La
langue
est projetée en avant entre les dents, entre les-
serve également un tremblement (ihrillaire limité à la pointe de la
langue
, tremblement très menu, qui n'intéresse pas la ma
t déjà noter, c'est : la Pas d'évacuations; 2- Pas de morsure de la
langue
; 3" Pas d'ecchymoses sous-conjonctivales ; 40 R
ssion involontaire d'urine et de matières fécales, de morsure de la
langue
. La pé- riode comateuse est de courte durée. Pe
La face se dégage la première : on aperçoit d'abord la bouche et la
langue
de l'enfant, qui exercent des mouvements de suc
nt le breton ; ensuite parce que les infirmiers s versés dans cette
langue
constituent alors des auxiliaires précieux qui,
rition de quel- ques phénomènes tels que nystagmus, déviation de la
langue
, exagération des réflexes tendineux. Observat
st lente, traînante, sans troubles intellectuels. Tremblement de la
langue
et mouvements brusques de la tête et des muscle
le malade possède tout son vocabulaire et l'entière motilité du la
langue
et des lèvres. Achondroplasie atypique. )1. D
oin. Argunlina présentait seulement une contracture passagère de la
langue
Du même, luin de ne mani- t'('"tel' eL de ne sa
s DES médecins aliénistes ET neurologistes DE France ET DES pays DE
langue
française. Ce Congrès doit se tenir il Lille du
ssant depuis trois ans envi- ron. Paralysé des jambes, puis de la
langue
,puis à un moindre degré des bras, son humeur s'
doigts en grille. Du côté de la face, il y a une hémiatrophie de la
langue
très 43G Clinique mentale. marquée à gauche
à la rigidité des membres, exagération des réflexes patellaires. La
langue
a en partie conservé les mou- vements et il n'y
augmenté. Le côté droit de la face pa- raît légèrement parésié. La
langue
est tirée facilement, mais la pointe est d'abor
, déta- chant à peine les pieds du sol, et en traînant le droit. La
langue
est très atrophiée, animée de mouvements vermic
s du menton sont animés de contractions fibrillaires fréquentes, la
langue
pré- sente une liémiatrophie gauche très marqué
la parole .est très embarrassée, par suite de la para- lysie de la
langue
et des lèvres. Ces dernières sont encore peu tou-
l'mlènte de la main avec cyanose. Il s'y ajoute de la cyanose de la
langue
. SOCIÉTÉS SAVANTES. 503 Tabès fruste avec a
Seizième congrès DES médecins aliénistes DE France ET DES pays DE
langue
française. Ce Congrès doit se tenir à Lille, du
e ce Congrès ; la seule restriction impo- sée est l'usage d'une des
langues
usitées en Belgique. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE
res de l'Evangile, les guérisons magnétiques du Christ, et le don des
langues
, confirmaient sa doctrine. (Idem, p. 224.) — Ic
ournit une abondance de bile mal « préparée; c’est ce qui fait que la
langue
est toujours « chargéed’un enduit blanchâtre. Cet
, « une douleur au creux de l’estomac; ses forces sont « abattues, la
langue
est chargée. Sa maladie consiste « en une inflamm
ent les diverses sciences, mais pour acquérir et posséder la nouvelle
langue
qui sert à les faire comprendre. Et, comme tout e
ée depuis environ un mois. Les forces étaient entièrement résolues,la
langue
était couverte d’un enduit noirâtre; l’ictère éta
persil cru et pilé sur le Bas de l’abdo-« men. Le 4, amélioration; la
langue
est chargée; « tisane de racines de bardane, de
’homœopathe, au lieu d’employer la saignée, déposera gravement sur la
langue
du malade un globule d’aconit que celui-ci avaler
En quelques instants il a tout vu, tout entendu, tout inspecté : la
langue
, le pouls et le vide dans les fioles qu’il nous a
par instinct ce que tuMui demandes, cela suffit. Tout à l’heure ta
langue
cessera d’être sèche et ta bouche aride, ton poul
imal alors, à un signal donné, lèche la ligure do l’opérateur, met sa
langue
dans la bouche de celui-ci et lui hennit tout bas
e sont encore que des phénomènes, ne pouvant dé-gager, pour parler la
langue
de Kant, le noumene pur de son enve'oppement subj
it; mais privée de ce dernier moyen d’agression parla paralysie de la
langue
, elle fit dès-lors de grands mais inutiles effort
ossible. Aussi à l’arrivéo du père, qui eut lieu dans la matinée, les
langues
, jusque-là contenues, se délièrent,et on lui fit
s soulager, et jamais ce qui peut vous blesser; elle parle toutes les
langues
; elle voit d’un pôle à l’autre les choses les plu
ents généreux. Les objets de l'instruction nationale sont : 1" La
langue
maternelle, l’écriture, le calcul, la musique et
l'homme ait des moyens de les communiquer. - Ces moyens sont : La
langue
el l'écriture; l’une et l’autre sont naturelles o
l l'écriture; l’une et l’autre sont naturelles ou de convention. La
langue
naturelle consiste daus la physionomie, la ruix
lle est la faculté de dessiner tout ce qui peut parler aux yeux. La
langue
et l’écriture de convention consistent dans les p
fant la liberté de cultiver lui-inème, par imitation et sympathie, la
langue
et l’écriture naturelles, avant de lui apprendre
pathie, la langue et l’écriture naturelles, avant de lui apprendre la
langue
et l’écriture de convention. Il cultivera ainsi l
idées et celles des autres enfants. Il faut apprendre à l’enfant la
langue
de convention, et lui permettre, à un certain âge
nvention, et lui permettre, à un certain âge, de s'en servir. Cette
langue
, ayant pour objet de transmettre les idées, doit
ns de relation entre l’homme individuel et l'homme en société sont la
langue
et les actions, le premier de tous les devoirs es
t, que certains sujets, dans l’état somnambulique , savent parler des
langues
qu’ils ne connaissent pas dans l’état normal. Ain
fontaine exhibait une somnambule qui entendait, disait-on, toutes les
langues
. Un soir, M. Nctter, peintre de portraits, Israél
t sachant l’hébreu, glissa à l’oreille d’un de scs amis trois mots en
langue
hébraïque, pendant que cet ami se trouvait en rap
oismots hébreux: « Béni sois-tu, Seigneur! » L’ami répéta les mots en
langue
hébraïque: « Barueh athon Adonaï, » en pensant fo
, messieurs, que la somnambule Cia*. risse no parlait nullement les
langues
étrangères : elle les entendnit. Celait déjà fort
nit. Celait déjà fort joli. Je ne puis donc pas admettre le don des
langues
et la faculté de polyglotte dans l’état somnambul
avec déviation à gauche et atrophie de toute la moitié gauche de la
langue
, donc la lésion siégeait au noyau de l'hypoglos
e neurologique, avril 1896.) E. B. XII. SUR UN cas d'atrophie DE la
langue
dans LE MAL DE POTT sous-occipital; par le Dr P
xiste un certain degré d'atrophie et de paré- sie des muscles de la
langue
, ce qui n'est pas fréquent dans celte affection
fait constamment souffrir. Il parle lentement parce que souvent sa
langue
fourche. Le 8 août 1893 survient un vertige int
é visuelle est bonne. Du côté de l'ouie, du goût de l'odorat, de la
langue
, des dents rien de particulier. . Extrémités
lères contre les infirmiers qui lui ont déplu. Pas de morsure de la
langue
, quoi qu'il en dise. Pas de perte d'urine. '
CONGRÈS DES ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES DE FRANCE ET DES PAYS DE
LANGUE
FRANÇAISE. SESSION DE NANCY. Le Congrès de Mé
s des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pays de
langue
française. Nous sommes heureux de compter dans
s des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pays de
langue
française. Est-ce un bien ? Je le crois fermeme
t être atteints mais encore les paupières, les yeux, les lèvres, la
langue
, la mâchoire, la rotule... Pour faciliter l'étu
inthe vraie. M. Parant appelle l'attention sur le tremblement de la
langue
de certains mélancoliques, que l'auteur a remar
a plus loin que-M. Parant et estime que le tremble- ment lent de la
langue
est pathognomonique de toutes les étiolo- gies
les lèvres devenaient énormes et étaient cou- vertes d'escarres, la
langue
boursouflée ne pouvait se mouvoir et il ressent
ainsi qu'il a montré de bonne heure une certaine aptitude pour les
langues
et dans son existence cosmopo- lite il a pu se
dessa, il apprit successivement en Allemagne et en Angleterre, la
langue
du pays pendant les séjours qu'il y faisait, l'es
assez bien en français. La mémoire normalement développée pour les
langues
, présente des défaillances surprenantes pour le
ées par la contraction des masséters ; les ailes du nez battent; la
langue
s'immobilise dans la bouche ; la tête est légèrem
té plus ou moins profondément ressentie. Plus la connaissance d'une
langue
est familière au malade plus les accidents spas
génitaux... Cheveux... Divers : Pouls, température, respiration,
langue
... Essais de : La vue, l'ouïe, du goût, de l'
réveillé par une sensation pénible de piqûre et de gonflement à la
langue
. Puis il s'aperçut qu'il avait de la peine à pr
re des lèvres, paralysie presque complète des muscles masticateurs.
Langue
difforme, elle a trois pointes, une médiane et
s des yeux, ni à ceux de la face. Rien de particulier du côté de la
langue
, des dents, du goût, de l'odorat, de l'ouïe.
atopsie, ni de strabisme, ni de nystagmus. Rien de particulier à la
langue
, au goût, à l'odorat. La malade a toutes ses de
de rien. Rien de particulier aux muscles de la face, des yeux, à la
langue
, aux dents, du côté du goût, de l'odorat. Pup
urs. Rien du côlé de l'ouïe, du goût, de l'odorat, des dents, de la
langue
. ' Extrémités supérieures. Les mains sont agité
Rienànoter ducôtédel'ouie, du goût de l'odorat, des dents et de la
langue
. Extrémités supérieures. -Tous les modes de la
t distingue très bien les cou- leurs. L'ouïe, le goût, l'odorat, la
langue
, les dents ne présentent rien de pathologique.
« Une ancienne religieuse croyait que ses chats parlaient plusieurs
langues
. Elle montra à Calmeil l'un d'eux qui récitait
Dans ces cas, on peut parfois observer des mouvements faibles de la
langue
et des lèvres, qui lèvent t tous les doutes.
ou moins de chaleur. Quelquefois l'improvisation a lieu dans une
langue
que personne n'a le don d'entendre... Tous ces ac
it des convulsions épileptiformes de la moitié droite du visage, la
langue
, la mâchoire, les membres du même côté. Plusieu
après, hémiplégie droite totale, y compris le facial inférieur, la
langue
, les muscles du pharynx et les masticateurs. Clon
par Sérieux, t35. - de médecine mentale de France et des pays de
langue
française, à Nancy, 154, 199, 323. Crampe des
ux épileptiques et imbéciles, 413. Mal de 1'01'1'. Atrophie de la
langue
dans le - sous-occipital, par P. .Marie, 48.
la contractilité faradique de certains muscles de la face, et de la
langue
, qui peuvent accompagner cette hémiatrophie, es
unilatérale; 3° l'extension possible du tremblement à la face, à la
langue
, à la mâchoire. G. Carrier. XXIX. Du cas d'hyst
u l'occasion d'examiner le bulbe d'un malade mort d'un cancer de la
langue
ayant détruit une grande partie des muscles pal
tout net aux mem- bres supérieurs, contractions vermiculaires de la
langue
, parésie du facial inférieur droit. Tous les ré
S DES Médecins aliénistes ET neurologistes DE FRANCE ET DES pays de
langue
FRANÇAISE Pau'lm'-7 août 1904). - Le XIV8 Congr
s des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pays de
langue
française se tiendra cette année à Pau du 1er au
sibilité osseuse du côté droit. Des mouvements involontaires de la
langue
. De la paralysie atrophique des muscles de la par
DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES DE FRANCE ET DES PAYS DE
LANGUE
FRANÇAISE . (Paît, l"-7 août 1904). Séance du
questions et se montrent incapables d'ouvrir la bouche, de tirer la
langue
, de donner la main. Place-t-on entre les mains
ment tranchant, toucher leurs globes oculaires ou la pointe de leur
langue
avec l'extrémité d'une aiguille sans qu'ils don
ui était indifférent. Tantôt il eprouvait une sensation comme si sa
langue
, contre sa volonté et son désir, prononçait des
de moulinets des bras et des jambes, de mou- vements continus de la
langue
, de contraction des sourcils, des oreilles, des
stait un faible trouble du goût sur les deux tiers antérieurs de la
langue
à droite; l'acide était perçu comme salé; il y
solument normale : le goût est identique sur les deux moitiés de la
langue
. Cette constatation a donc la valeur d'une expé
l'ageusie existante ne portait que sur la partie an- térieure de la
langue
. La partie postérieure de cet organe serait pou
ourraient arriver, par celle-ci, jusqu'à la partie antérieure de la
langue
, ainsi que le veut Carl. Du ganglion pétreux les
gauche n'a qu'un défaut; c'est qu'il existe une hypoesthésie de la
langue
et du palais. Discussion touffue. Variétés indi
nne date, porteur de parésie du facial droit, de tremblements de la
langue
, des lèvres et des doigts, d'une dévia- tion en
angue, des lèvres et des doigts, d'une dévia- tion en crochet de la
langue
à droite. Il a bien eu des accès de manie furie
it atteint de parésie en même temps que de mouvements spasmodiques.
Langue
déviée à droite. Membre supérieur droit paralys
la bouche, les signes du contentement le plus évident, il passe la
langue
entre ses lèvres comme s'il dégustait et nous d
e ne se produit pas aussi facilement, notre malade se tire alors la
langue
avec la main, tousse et fait, comme il le dit,
prégnés, et, après les repas, on peut constater la sécheresse de la
langue
. Les joues sont pendantes, et, au moment du rep
LY. (Bévue de médecine. Dé- . cembre 1902.) M. H. LXIX. Un cas de
langue
double ; par Lrrz. (Médical Record. 1 Mars 190
res l'une de l'autre et même de les mouiller avec la pointe de la
langue
pour le débarrasser de la légère infirmité eten m
en diffère par la marche rapide, par l'absence dans la moitié de la
langue
atrophiée et dans le nerf enflammé d'altération
e), par l'absence des convulsions brillaires dans les muscles de la
langue
paralysés. Ces deux derniers caractères se retr
e de plusieurs nerls craniens d'origine basale, syphilitique ( ? ).
Langue
déviée à gauche; la moitié gauche de l'organe p
res, légèrement rosées. Bouche assez grande, horizontale. Lèvres et
langue
peu épaisses. GoÛt normal. Voûte pa- latine pro
ières que dans les accès précédents, sans non plus de morsure de la
langue
, ni de bave, ni mousse ; mais cette fois un for
tilisme et dont la cause commune nous échappe encore. Li. C. LXX.
Langue
cérébriforme chez un aliéné alcoolique ; par le i
essante, une conformation anor- male de la surface supérieure de la
langue
, qui est creusée de sil- lons longitudinaux et
des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pavs de
langue
française (Pau, 1 ? 7 août 1904), 96, 191, 20
dermoide des centres nerveux, par Raymond et Courtellemont, 76,
Langue
. Un cas de double, par Leitz, 394. cérébriforme
cibum,. action que les Allemands, souvent plus expressifs dans leur
langue
que nous le sommes dans la nôtre, ont nommée iv
rax peu développé, musculature moyenne, pannicule graisseux faible.
Langue
nette. Organes thoraciques et foie normaux. Pa-
isse, devient à la fin liquide et amère. Le soir, il ne rumine pas.
Langue
toujours chargée. De plus, cette observation se
des voies digestives il n'y a rien de bien particulier à noter. La
langue
est bonne, l'appétit conservé et même aug- ment
-16 pour le souper. La bouche est complètement privée de dents ; la
langue
rugueuse, couverte d'un enduit épais et portant
ions est toujours le même ; mais elles se font sans aucune gêne. La
langue
est nette, les selles quotidiennes. Plus de gar
ue rarement, l'hébétude est moins marquée, la parole plus fibre. La
langue
est nette, l'appétit modéré; les régurgitations p
rne de l'omoplate du côté droit. Rien dans les poumons ni au coeur.
Langue
nette. Abdomen souple, foie et rate normaux ; p
générale intacte; sens spéciaux obtus.- Rien au coeur ni auxpoMmo ?
M. Langue
bonne; appétit conservé; 7-iii ? îi ? z(ttioiz. -
sur le tendon d'Achille gauche. Rien au coeur, ni dans les poumons.
Langue
bonne, appétit bon; foie et rate normaux ; pas
c. Appétit assez bon, l'enfantmange de tousles aliments, soif vive;
langue
humide, légèrement saburrale; selles quoti- die
L'enfant pousse un petit cri, ouvre largement la bouche, allonge la
langue
en forme de gouttière; en même temps il contrac
nte-quatre ans «de paralysie, un peu de partout, mais surtout de la
langue
».- Mère, quatre-vingt-deux ans, bien portante, pa
la respiration est soufflante par places en arrière et à droite. -
Langue
humide, soif vive; pas de vomisse- ments ; vent
reilles; excoriations des lèvres (surtout aux commissures) et de la
langue
, avec for- mation d'une pellicule blanchâtre si
ue de 24 kg. 100. La peau devient moite. Pouls : 120. 20 juin. La
langue
est moins épaisse, la prononciation est meilleu
ée. La bouche est grande, presque constamment ouverte, cependant la
langue
ne pend pas et la salive ne s'écoule pas au deh
ie, vomissements, agitation, excitation, diminution du volume de la
langue
et de la coloration violacée des lèvres, poussé
science. L'aura parait consisler en une sorte de frémissement de la
langue
. A l'entrée de la malade à l'asile on noie un l
aperçu des galeries et des curiosités de Aluniez. VARIA. 89 Les
langues
admises pour les discussions sont : l'allemand, l
médecins les plus éminents de la Russie. Les Archives paraîtront en
langue
russe le 20 de chaque mois par un fascicule de
mois par un fascicule de ! )8 pages in-8° (ci-inclus un extrait en
langue
française de tous les articles originaux).7fA't
exemple les voix d'un' aliéné ne lui parleront jamais que dans les
langues
qu'il connaît ; et, lorsqu'il a des visions fan
rds ; ils ne vivent pas solitaires, ils s'associent, et parlent une
langue
de convention, l'ar- got, dont ne se servent ja
TALE. "129 intonations modifiables par les émotions. Dans certaines
langues
, l'italien par exemple, l'euphonie est l'âme mê
ous les mouvements mimiques la moitié gauche tire de son côté. La
langue
tremble et est un peu déviée à droite. Il a un ny
il parlait anglais, dans l'autre il se servait imparfaitement de la
langue
du pays de Galles. Dans le premier état, qui ét
scles qui en avaient été le siège étaient en état de parésie, et la
langue
était légèrement déviée à gauche. La déglutitio
te des muscles du côté gauche de la face, une déviation nette de la
langue
à gauche, un léger ptosisà gauche et une grande
de la déglutition de celui des mouvements des maxillaires et de la
langue
, de celui de l'angle buccal, de celui de l'ouvert
des médecins aliénistes et neuro- logistes de France et des pays de
langue
française s'ouvrira le samedi 1CI' août, à Nanc
au toucher. Il assure qu'il pouvait mouvoir la tête, la face et la
langue
; mais ne pouvait ni uriner, ni aller à la selle
'attention du côté d'une paralysie bulbaire fut une déviation de la
langue
à droite : bientôt survinrent quelques troubles d
OLOGIE NERVEUSE. festaient dans un délai d'une dizaine de jours. La
langue
était atrophiée et spongieuse au loucher sur le
ique de ce cas qui a commencé par une paralysie unilatérale de la
langue
, des parties molles du palais, et du larynx du cô
dix jours d'une paralysie unilatérale complète du côté droit de la
langue
, des parties molles du palais, du pharynx et du
l'hypoglosse donne naissance aux fibres nerveuses qui alimentent la
langue
, le palais, le pharynx et le larynx de chaque c
tante. En cas d'émotion, un peu de trem- blement du visage et de la
langue
. Les petits mouvements de pré- cision n'augment
paroles déraisonnables. Il n'y a jamais ni chute, ni morsure de ]"
langue
, ni incoordination des mouvements musculaires. So
res des muscles des membres et de ceux des yeux, du larynx et de la
langue
. On la constate dans la paralysie générale des
énés, où elle modifie à la fois la démarche et les mouvements de la
langue
, et aussi dans la névrite : elle est parfois co
s des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pays de
langue
française. (Sixième session tenue à Bordeaux du
rat notablement diminués. Légères con- tractions fibriilaires de la
langue
. La luetle occupe une position parfaitement nor
u 20 mai, jour où l'on s'aperçoit que la malade est fébrile avec la
langue
saburrale et qu'elle a eu plusieurs épistaxis p
22 mai, 39°,9. Injection sous-cutanée de chlor- hydrate de quinine.
Langue
rôtie. Epistaxis. Selles fréquentes, fétides, s
la corde vocale gauche, volume plus grand de la moitié gauche de la
langue
, troubles de sensibilité dans le domaine delà p
Bouche d'habitude légère- ment entr'ouverte, lèvres assez épaisses.
Langue
, amygdales, , 'palais, rien à noter. Luette cou
lume des mains, des pieds, de la mâchoire inférieure, du nez, de la
langue
et des clavicules. Pas de troubles oculaires. U
aissé les choses en l'état, celles-ci, gros- sies par les mauvaises
langues
, qui ne chôment pas plus ici qu'ailleurs, aurai
de la duplicité originelle du thymus. C'est ensuite à propos de la
langue
et aussi de la glande thyroïde que M. Bonne me
ncts. Mais puisque M. Bonne souhaite qu'on parle des origines de la
langue
et de la glande thyroïde, donnons-lui satisfact
pas mieux valu ? . J'ai cité (p. 201) les phrases suivantes : « La
langue
, double dans ses bases, l'est anatomiquement da
A. parle, cette fois-ci, d'une part, du thymus, d'autre part, de la
langue
et de la thyroïde ; et il ajoute, ce qui est do
ement des mouvements de trombone et du tremblement fibrillaire delà
langue
. Le 10 septembre au matin, A... qui depuis une
dis- tinct de celui des fibres gustatives du tiers postérieur de la
langue
; - des symptômes de vertige de Méniere (vertig
trême à gauche étaient légèrement parésiés ; légère déviation de la
langue
à droite. A l'autopsie pas d'autre lésion des c
re parésie du facial inférieur gauche, légère atrophie « du bord de
langue
» : mus- cles du cou plus faibles et plus flasq
ment à la règle, Lien qu'au fond elle désire faire son possible. La
langue
est sale, y a une anorexie presque com- plète,
Elle est parfois une heure en état d'apnée; les tissus violacés, la
langue
tuméfiée, pendant hors de la bou- che. Ces atta
u monde extérieur et s'opposait à l'alimentation, les muscles de la
langue
et du pharynx étant paralysés (1). A partir d
s des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pays de
langue
française, réuni à Genève le le' août 1907 émet
Le Congrès des aliénistes et neurologistes de France et des pays de
langue
française réuni à Genève et Lausanne, consi- dé
é de la remarquable propriété de déterminer, lorsqu'on en frotte la
langue
, une aguslie complète pour le sucre et l'amer.
ant des illusions du goût, quel était l'effet du badigeonnage de la
langue
à l'aide d'une solution de cette substance. Ils
rusque, inattendue, presque toujours elle se blesse. Morsures de la
langue
,inconti- nence d'urine. Observation VI. M. Ma
éunis au 17e Co ngrès des mé- decins aliénistes et neurologistes de
langue
française, à la séance tenue à l'asile de Céry,
Congrès des Alié- nistes et neurologistes de France et des pays de
langue
française tenu à Genève et Lausanne en août 190
urs du Congrès annuel des Médecins alié- nistes et neurologistes de
langue
française, les médecins des établis- sements pu
corde avec le Con- grès des médecins aliénistes et neurologistes de
langue
française. ART. 12. En dehors de cette assemblé
main et le pied, mais s'étend à la moitié droite de la face, de la
langue
, de la mu- queuse buccale, et s'accompagne de d
, et s'accompagne de diminution de l'odorat et du goût à droite. La
langue
,très déviée à gauche, ne peut être rame- nés su
er, parti- cipation du nerf masticateur, sens de la déviation de la
langue
; le vulgaire ignore en effet le mode d'action
stion (Nrlg. Ctrbl., 1892 et Arch. f. Psych.,XXXI) ; il note que la
langue
peut être déviée du côté opposé au spasme, et q
auditive ; abolition du goût daiis les deux tiers antérieurs de la
langue
; otite moyenne suppurée des deux côtés (fracture
de l'anesthésie et de la xénoglossie (l'a- culté de parler dans une
langue
étrangère). Après la relation de quelques cas i
(apparition de spectres de parents morts ; xénoglossie, ou don des
langues
; phénomènes de lévitation). Les rapports entre
xtrémité inférieure droite ; le malade a perdu la sensibilité de la
langue
et du palais. Le joui- suivant, l'engourdisseme
ont envahi aussi les extrémités supérieures ; la sensibilité de la
langue
et du palais s'est rétablie. Dès ce jour, le ma
articulaire au niveau des orteils est intacte. La sensibilité de la
langue
et du palais est nor- male. Les grands troncs n
ussi en faveur de ce diagnostic. La perte de la sensibilité de la
langue
et du palais qui existait, d'après le récit du ma
de tumeurs adénoïdes. Amygdales peu volumineuses, pas de saillies.
Langue
d'épaisseur moyenne, pas de tremblements de la
sversale. Les sillons naso-géniens sont éga- lement prononcés. La
langue
est tirée facilement; elle n'est ni déviée ni atr
ait tous les soirs des bouffées de chaleur. Appareil digestif. La
langue
est bonne. L'appétit est médiocre, les digestio
brations aussi minimes que l'est par exemple le trem- blement de la
langue
chez les paralytiques quand il s'agit de faire in
tème nerveux. Depuis son accident, le malade a perdu l'appétit : sa
langue
est sèche, couverte d'un enduit grisâtre, creva
moniaque de l'attaque d'hystérie. La bouche ouverte, contournée, la
langue
tirée de côté, lés globes oculaires convulsivemen
choire en avant et les mouvements de diduction sont impossibles. La
langue
n'est pas atrophiée mais la* plupart de ses (1)
. Parait intelligent, ne se plaint pas de douleurs ; tète fraiclie,
langue
rouge par places, pouls 72. Le Dr Backer ordo
e de potassium. Celui-ci ayant amené quelques acci- dents toxiques (
langue
saburrale, inappétence), est remplacé par l'iodur
. Nystagmus horizontal très marqué des 2 yeux. Les mouvements de la
langue
sont normaux. Le sens musculaire est conservé.
nd, par éducation, attachait une haute importance à la pureté de la
langue
scientifique. Son père avait écrit un Discours
son bord libre, et pour- rait faire penser au type Ilutchinson. La
langue
est peu mobile, retenue en arrière, raccourcie,
LE DOMAINE D'UN NERF SPINAL (CRURAL) ET TREMBLEMENT lÉlYl7UE DE LA
LANGUE
PAR R J.-B. CHARCOT Chef de clinique à la
ite, s'accompagnant d'atrophie musculaire ; B. Un tremblement de la
langue
véritablement ataxique ; C. Une arthropathie de
re histologique du neurone moteur pé- riphérique. B. Ataxie de la
langue
. Le deuxième symptôme intéressant chez B... est
ntéressant chez B... est la difficulté qu'il éprouve à maintenir sa
langue
immobile lorsqu'on la lui l'ait tirer hors de l
nsidè- rent bien comme une véritable incoordination. « Parfois la
langue
tout entière, disent ces auteurs, est agitée d'un
tion de tabes, Sacaze (2) constate aussi cette incoordination de la
langue
. « Dans ses nouvelles recherches cliniques et a
ues observations semblent démontrer que les muscles de la face delà
langue
peuvent présenter des troubles de la coordination
se manifestant par l'impossibi- lité qu'a le malade de maintenir sa
langue
en position fixe..C'est propre- ment parler de
re en jeu. Celle ataxie slatique chez B... n'est pas localisée à la
langue
. Si on lui met la jambe dans l'une des position
ion d'un cas de tabès où existaient des mouvements incessants de la
langue
à droite et à gauche, en haut, en bas, que l'au
- heiten, un tabétique atteint d'un [rouble de la musculature de la
langue
, du larynx et du phar)nx, qu'ils dénommaient at
si les jours suivants. Sa salive coula avec plus d'abon- dance ; sa
langue
se couvrit d'un enduit saburral. Bref, un embarra
nés la patrie est chère, il ne consentit jamais à parler une' autre
langue
que sa langue natale. Les Ro- mains, qui imposè
est chère, il ne consentit jamais à parler une' autre langue que sa
langue
natale. Les Ro- mains, qui imposèrent leur idio
r les théâtres et les comédies. Les . (1) Maccus est un mot de la
langue
osque, qui veut dire bouffon, stupide, étourdi,
s voies aussi défectueuses? C’est comme si deux étrangers ignorant la
langue
l’un de l’autre cherchaient à lier conversation ;
riche qui demande que Lazare vienne répandre une goutte d'eau sur sa
langue
embrasée : « Entre vous et nous il y a un abîme,
s, en allemand , en anglais, en italien, en espagnol, etc. Dans notre
langue
en particulier, les productions se multiplient pr
ourrait devenir un des interprètes les plus éloquents de cette grande
langue
des merveilles. Prenons pour exemple un raisonn
qu’il nuise à la Cronica del magnetismo animale, rédigée dans la même
langue
et publiée à Milan ; dans ce cas, ce serait un ma
e lien qui les réunit tous; s’il est la chair tic notre chair, quelle
langue
dira l'inefl'able bonheur où nous plonge le succè
cue? Quelle poésie peindra l'ivresse de ce triomphe? Eh ! bien, cette
langue
du cœur, cette poésie de l’âme qui touche au subl
le jour à plusieurs livres, dont 1 un a été traduit en deux ou trois
langues
. Ce succès et cette fécondité ont transformé les
vante étant en italien, et nos lecteurs ne connaissant pas tous cette
langue
, nous en donnons la traduction littérale, faite p
vres de verre pilé, un quatrième lèche 11110 barre de fer rouge, sa
langue
fume, on sent l’odeur de la chair rôtie, on est o
du Catéchisme, c’est le fait même d’avoir été traduit dans les trois
langues
les plus répandues de l’Europe. La traduction d
téorisé, la peau sèche et brûlante et la lièvre très- prononcée. La
langue
était épaisse et recouverte d’un enduit jaunâtre
anteur. Les dents serrées ne permettent pas de constater l’état de la
langue
; abdomen indolent. Respiration petite, ordinaire
ois, il ne resterait plus qu’une chance d’erreur sur un nombre que la
langue
se refuse à reproduire et qui est composé de tren
bois et sur le sait ble, en joie comme en peine ,ret dans toutes les
langues
« de la terre. » Ségélius mit alors un manuscri
s du globe, et les passions des infusoires, et les lois uerveuses des
langues
, et les détours capricieux des rivières. Tout lui
dans le labeur de quelque système philosophique, c’était en vain ; sa
langue
balbutiait des mots, mais sa pensée lui présentai
e ceinture de laine rouge, et marmottait sans cesse des vers dans une
langue
incompréhensible et composée de tous les idiomes
u qu’un mauvais patois ; fit entendre ensuite plusieurs phrases d'une
langue
tout à fait inconnue, et finit par s’endormir de
onnue, et finit par s’endormir de telle façon qu’on la crut morte. La
langue
inconnue était apparemment celle d’un autre monde
i eut effectivement lieu dans laisemaine. Elle parla et écrivit une
langue
inconnue qu’elle' appelait sa langue intérieure
e. Elle parla et écrivit une langue inconnue qu’elle' appelait sa
langue
intérieure et sur laquelle quelques détails seron
certaine Catherine Butler qu’elle distinguait tous les métaux avec sa
langue
. Notre voyante n’a point manifesté ces dons, mais
eigné par elle à son frère et au D' Kerner, comme signifiant, dans sa
langue
interne, dors, et comn e devant, prononcé par eux
end. 7, disait-elle, était le sien. Elle lisait ces chiffres, et la
langue
interne dont il a été question plus haut, dans de
es cercles avec tous leurs détails, au livre du Dr Kerner. Quant A la
langue
, d’autres individus, tels que Jacques Boëhm, ayan
lets sont couverts d’approbations et d’encouragements dans toutes les
langues
. Plusieurs Français ont ainsi marqué leur sympath
Quand ce malade se présenta pour la première fois aux mesméristes, sa
langue
sortait de la bouche, il était incapable d’articu
nt écrit sur des sujets dont ils n avaient pas connaissance, dans des
langues
qu’ils ne comprenaient pas, dans un style et avec
oivent seuls connaître. Celui qui s’aventure ainsi et qui laisse à sa
langue
ou à sa plume la faculté de tout dire, dans l’ord
e inonde. Ils n’ont ni la divination, ni la prescience, ni le don des
langues
. Ils ne peuvent plonger dans l’avenir ; quand ils
a donc prédiction! S’ils comprennent-ce que vous leur dictez dans une
langue
qui leur est inconnue (ce qui peut se rattacher h
mmunication de pensée), il y a, jus- qu’à nn certain point, don des
langues
. En attribuant aux somnambules toutes ces proprié
fixa sur cet objet, quoiqu’il y eût de la neige. Médium parlant des
langues
étrangères. Dans une conférence de spiritualist
usseté de l’opinon que les medium ne peuvent s’exprimer que dans leur
langue
usuelle. Un esprit lui a parlé en espagnol, par l
’organe de deux jeunes dames qui ne connaissaient pas un mot de cette
langue
. Ce qu’il en sait lui-même est si peu de chose, q
eçu qu’une éducation fort bornée. Cet individu ne connaît pas d’autre
langue
que l’anglais, et cependant, quand il est sous l’
une lucidité effrayante : il voit clairement, et explique dans une
langue
élégante et concise, les intentions les plus secr
tion n'ont aucun effet. Cependant du sel et du sucre déposés sur la
langue
n'amènent pas la sueur du visage. Au contraire,
i de manger. En plaçant alternativement sur la face dorsale de la
langue
, du sel, puis du sucre, on peut se rendre compt
e la face, lorsqu'il mettait du sel sur le côté correspondant de sa
langue
qui 72 CLINIQUE NERVEUSE. était excoriée. Har
ant est un eemple et, peut- être, les ulcérations imaginaires de la
langue
que M. Verneuil a récemment signalées à l'Acadé
é- mités supérieures. Aucune anomalie du côté de la face ou de la
langue
. L'individu est t) es vigoureux, mais sa force ne
ues. -Stertor, un peu d'écume. Parfois, il se mord les lèvres et la
langue
; il urine sous lui toutes les fois qu'il a de
re. La parole est un peu traînante ; tremblement de la pointe de la
langue
. En décembre, on constate un léger tremblement
e de la langue. En décembre, on constate un léger tremblement de la
langue
et des lèvres, de l'embarras de la parole. La m
t et se recouche. Observation .T1RI\. - Père mort d'un cancer de la
langue
. - Cousine germaine du coté maternel, hystériqu
dité générale, secousses cloniques. Pas d'écume; morsure rare de la
langue
. Après les accès, sommeil d'une demi-heure. Quel-
artait son assiette, chiffonnait avec les mains, faisait mouvoir sa
langue
entre les dents. Observation XLIX. - A ! <
idissent, puis il a des secousses, de l'écume; il ne se mord pas la
langue
, mais urine quelquefois sous lui; enfin il se r
but à vingt-deux ans. Ver- tiges. Accès procursifs. - Morsure de la
langue
. Irritabilité très prononcée. Déchéance intelle
émise par Todd : « Dans l'hémiplégie hystérique, ni la face ni la
langue
, ne sont prises; la paralysie est limitée au me
ai que sa première proposition doit être rejetée, car la face et la
langue
peuvent parfaitement être prises dans l'hémiplé
re est relevée par prédominance de l'action musculaire; enfin, la
langue
est tirée du côté paralysé. L'étude de plusieur
écents a montré que si, dans l'hémiplégie hystérique, la face et la
langue
étaient envahies, elles l'étaient tout autremen
spasme qui entr'ouvre largement la commissure ; la déviation de la
langue
qui est excessive, tou- 1 Clinical lectures ou
bien. Doué d'une intelligence remarquable, parlant couramment cinq
langues
vivantes, actif, laborieux, il ne faisait, assu
C'était un homme fort intelligent, actif, parlant et écrivant cinq
langues
vivantes. Il lui était très facile de trouver h
NIQUE NERVEUSE. - On ne peut le faire parler, ni lui faire tirer la
langue
. Il mange seul, mais avec les mains.- 20 déce
abiller. - Il baveetsuce. Pupilles égales. Pas de tremblement de la
langue
. Aucune parole; il ne se rend nullement compte
iblissement intellectuel de plus en plus pro- noncé. Morsures de la
langue
. Aura en forme de boule; aucun signe d'hystérie
convulsivement la bouche qui est tirée en divers sens, allonge la
langue
malgré lui, fléchit et détend violemment les bras
es chutes répétées. L'athétosique est en quelque sorte maître de sa
langue
, qu'il ne mord pas, qu'il peutporter dans tous
hors de la bouche. Il n'en est pas de même du choréique, dont la
langue
sort ou rentre, se porte à droite au lieu de se p
du tabès. M. REMAK présente un cas d' hémiatrophie saturnine de la
langue
. Saturnin franc de quarante-deux ans, atteint d
moitié droite du voile du palais, hémiatrophie du côté droit de la
langue
, réaction dégé- nérative partielle, légère blép
, l'atrophie de la partie antéro-latérale de la moitié gauche de la
langue
, ainsi qu'une paralysie progressive des muscles d
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