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1 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
bservation clinique appuyée sur l'examen métho-dique et minutieux des lésions organiques. Je ne saurais trop faire ressortir qu
nd on veut, lors de l'autopsie, déterminer la localisation exacte des lésions . Qui oserait affirmer que telle ou telle région,
sans qu'il y ait persistance de l'hémiplégie, malgré l'étendue de la lésion et sans infirmité; s'il occupe, au contraire; la
ude de figurer sur des schémas, dessinés d'après nature, le siège des lésions encéphaliques. En l'absence de ces précau-tions,
u côté gauche. L'autopsie fit reconnaître dans la moelle toutes les lésions découvertes parles auteurs français. Un examen mi
dans le gauche, ce qui est en rapport avec cette circonstance que les lésions spinales étaient plus accusées à gauche qu'à droi
bres ayant été de bonne heure complètement paralysés, par suite d'une lésion spinale profonde, les centres psychomoteurs, frap
rs supplémentaires, destinés à remplacer les centres primitifs qu'une lésion quelconque aurait détruits. Ainsi s'expliquerait,
sieurs fois constatée de l'aphasie, en dé-pit de la persistance de la lésion de la troisième circonvolu-tion frontale, nous fo
relever avec plus de détails. QUATRIÈME LEÇON arallèle entre les lésions spinales et les lésions cérébrales. Sommaire. —
tails. QUATRIÈME LEÇON arallèle entre les lésions spinales et les lésions cérébrales. Sommaire. — Conditions indispensabl
a-tion clinique et d'une autopsie régulière. Histoire naturelle des lésions encéphaliques. Parallèle entre les grands compa
grands compartiments de l'axe cérébro-spinal. — Systéma-tisation des lésions delà moelle épinière.— Localisations spinales. —
tres parties du névraxe : rareté des localisations. — Différences des lésions .— Fréquence des lésions vasculaires dans les mala
: rareté des localisations. — Différences des lésions.— Fréquence des lésions vasculaires dans les maladies du cerveau. — Néces
on ne l'a fait jusqu'ici, le siège, l'étendue et la configuration des lésions révélées à l'autopsie. Mais, Messieurs, il faut
l général sur ce que j'appellerais volontiers Vhistoire naturelle des lésions encéphaliques. Io Quelles sont les altérations
oi, que des formes les plus usuelles, les plus vulgaires et aussi des lésions partielles, des lésions en foyer, ainsi qu'on les
lus usuelles, les plus vulgaires et aussi des lésions partielles, des lésions en foyer, ainsi qu'on les dénomme encore, qui seu
i président soit au développement, soit au mode de répartition de ces lésions ? Car, Messieurs, dans cet ordre de choses rien ne
lle épinière : c'est l'existence très répan-due, dans ce domaine, des lésions dites systématiques. Nous entendons désigner par
ndons désigner par cette expression, que j'emprunte b M. Vulpian, les lésions qui, systématiquement, — la dénomi-nation est par
oire nos études antérieures. Il est, vous ne l'avez pas oublié, des lésions qui se bornent aux cornes antérieures de substanc
ieures; — F, zone radiculaire antérieure; — E, cordons de Goll. Aux lésions systématiques de ces diverses régions répon-dent
r les hybrides, les formes complexes. Nul doute, que l'étude de ces lésions systématiques n'ait puissamment contribué à faire
longtemps plongée, la question des localisa-tions spinales. B. Les lésions systématiques se retrouvent encore dans le bulbe
emples, les dégé-nérations secondaires de la moelle, consécutives aux lésions de l'encéphale, la sclérose symétrique et primiti
étrique et primitive des cor-dons latéraux, la paralysie bulbaire par lésion isolée des noyaux d'origine des nerfs, etc. Mais,
'exister, et l'on peut dire, quant à présent, que dans le cerveau les lésions systématiques font défaut. Ainsi, dans le cerve
le cerveau, aujourd'hui, on ne connaît point, à proprement parler, de lésions systématiquement limitées aux couches optiques, a
re la moelle épinière et l'encéphale, car là on note, d'une part, des lésions systématiques qui rappellent ce qu'on voit dans l
émorrhagies et d'ischémies ou de ramollissements, déterminées par des lésions vasculai-res.Ces dernières affections s'accusent
ffira, pour le moment, d'envisager le système ar-tériel, bien que les lésions du système veineux aient, elles aussi, une influe
lation du cer-veau est nécessaire à l'intelligence d'un bon nombre de lésions anatomiques dont cette partie des centres nerveux
e relative des territoires vasculaires du cerveau. — Localisation des lésions de l'écorce. Branches de la sylvienne : frontal
ont l'altération est le point de départ, la condition première de ces lésions diverses? Il ne saurait, d'ailleurs, s'agir ici
ites surtout dans le but de rechercher l'explication de l'as-pect des lésions trouvées à l'autopsie. A l'aide de plus de deux c
s où se produisent soit pathologiquement, soit expérimentalement, ces lésions par oblitération vasculaire que l'on a coutume de
pour l'étude des localisa-tions cérébrales. Il pourra se faire que la lésion , ainsi limitée, corresponde justement à une des c
la vie par des phénomènes spéciaux. Cette localisation étroite des lésions de l'écorce, produite par l'oblitération de branc
que et l'atrophie de la troisième circonvolution a été aussi la seule lésion correspondante, révélée par l'autopsie. [Fig. 13
ce qui a été consigné dans deux autres observations re-latives à des lésions étendues occupant d'autres parties de l'écorce gr
phénomènes qui se produisent dans ces noyaux, en con- séquence des lésions vasculaires, ne le cèdent en rien par leur import
ale, mais nous y rencontrerons, en outre, sur une grande échelle, des lésions qui ne se montrent au contraire que rarement à la
nons d'étu-dier. HUITIÈME ET NEUVIÈME LEÇONS Artères centrales. — Lésions isolées des noyaux gris Sommaire. — Origine du
pto-striés. —Hémorrhagieintra-encé-phalique. — Diagnostic régional. Lésions isolées des noyaux gris, sans participation de la
capsule interne. — Hémiplégies cérébrales centrales et corticales. — Lésions de la capsule in-terne. — Variété des symptômes s
psule in-terne. — Variété des symptômes suivant le siège qu'occupe la lésion dans la capsule interne. Nouvelles considératio
r rôle relativement à la sensibilité. — Preuves fournies : 1° par les lésions de la région posté-rieure lenticulo-optique de la
rite toute votre attention, car, comme nous le verrons plus tard, les lésions dans son territoire produisent un cortège de symp
lionnaires centrales du cerveau. 1° Pour ce qui regarde d'abord les lésions isolées de chacun des noyaux gris centraux, sans
nsi, on est dans l'impossibilité de distinguer, pendant la vie, une lésion limitée au noyau lenticulaire, d'une lésion circo
er, pendant la vie, une lésion limitée au noyau lenticulaire, d'une lésion circonscrite dans le noyau caudé et les lésions d
au lenticulaire, d'une lésion circonscrite dans le noyau caudé et les lésions de la couche optique, — bien que sur ce dernier p
ux compartiments du corps strié. Les symptômes qui accompagnent ces lésions limitées aux noyaux gris centraux, sont ceux Yhém
la distinguer des paralysies motrices qui résultent quelquefois de la lésion de certaines régions superficielles et que, par o
les cor-ticales. b) Dans la majorité des cas, la paralysie liée aux lésions des noyaux gris centraux porte sur le mouvement s
bli-gatoire d'une semblable complication. La bénignité relative des lésions limitées à la substance des noyaux gris tient san
autre côté, le caractère transitoire de la paralysie résultant de ces lésions partielles des masses ganglionnaires centrales pe
et les di-vers segments du noyau lenticulaire. 2° En revanche, les lésions de la capsule interne, alors même qu'elles sont a
c, et qu'elles n'intéressent enrien la substance des noyaux gris, ces lésions dis-je, produisent l'hémiplégie cérébrale vulgair
palement lorsqu'elles sont situées très bas du côlé du pédoncule, ces lésions déterminent une paralysie motrice qu'accompagne à
les symptômes varient remarquablement suivant le siège qu'affecte la lésion dans la capsule interne. Si elle occupe un poin
ontraire, ayant envahi le domaine des artères lenti-culo-optiques, la lésion porte sur le tiers postérieur de la cap-sule, dan
ésie cérébrale sera pour ainsi dire chose fatale. Le plus souvent, la lésion siégeant en quelque sorte sur un terrain mixte, l
dessein, dans l'exposé qui précède, fait allusion ex-clusivement aux lésions de la capsule interne véritablement destructives,
sorte, par le fait d'un phénomène de voisinage, en conséquence d'une lésion limitée aux noyaux gris qui l'environnent de tous
ement ; il serait facile, d'ailleurs, de citer nombre de faits où une lésion des tractus de la partie postérieure de la couche
dominant qui, dans la pathologie des masses centrales, appartient aux lésions des deux gtands départements de la capsule intern
, par opposition à la région postérieure ou lenticulo-optique dont la lésion déter-mine, seule, l'apparition du syndrome hémia
que, au contraire, dans tous les cas où, respectant cette région, les lésions intéressent seulement la partie de la capsule com
Contre cette assertion la pathologie protestait en montrant qu'une lésion située plus haut que ce point, dans certaines rég
e la capsule interne. Si, dans les expériences ainsi instituées, la lésion atteint la région postérieure de la capsule, l'hé
ontre seule, sans accompagnement d'anesthésie, toutes les fois que la lésion a respecté le tiers postérieur de la capsule et p
troit, pourront être affectés d'un seul coup en grand nombre, par une lésion même très minime et il s'en suivra une anesthésie
contraire plus haut, au niveau du pied de la couronne rayonnante, une lésion de même étendue, en raison de la divergence des f
lusieurs exemples d'hémianesthésie bien ac-cusée, en rapport avec des lésions peu profondes du pied de la couronne rayonnante.
la couronne rayonnante. 11 importerait maintenant de décider si les lésions étendues des lobes occipitaux et en particulier d
isée avec hémianesthésie de cause cérébrale : Mêmes symp-tômes. Les lésions des hémisphères cérébraux qui produisent l'hémian
particulière de l'hémianesthésie est une conséquence néces-saire des lésions qui portent, sur la région postérieure de la caps
sion dimidiée de la sensibilité ne reconnaissant pas pour origine une lésion du cerveau propre-ment dit. C'est seulement dan
eulement dans ces derniers temps que l'hémianesthé-sie cérébrale, par lésion organique grossière— Coarsedisease, comme dit M.
ectés en même temps. Il peut naturellement y avoir des degrés dans la lésion fonctionnelle, mais elle porte fré-quemment sur t
de conséquences, — les choses se passent chez les sujets atteints de lésions cérébrales en foyer, absolument comme chez les hy
as d'amblyopie croisée accompagnée d'hémianesthésie et relevant d'une lésion en foyer du cerveau que nous avons récemment étud
ntrique et général du champ visuel pour les couleurs, même absence de lésions pathognomoniques du fond de l'œil, appréciables à
as d'hémuinesthésie cérébrale reconnaissant pour point de dé-part une lésion organique, qui ont été examinés à ce point de vue
d'autres troubles visuels qui reconnaissent également pour cause une lésion organique intra-crânienne. Je fais allu-sion ici
phaliques quels qu'en soient la nature et le siège (1), à la suite de lésions variées agissant plus ou moins directement sur le
connaître, Messieurs, que l'amblyopie croisée est une conséquence des lésions en foyer du cerveau qui déterminent l'hémianesthé
e Dr Schoen (3), ce n'est pas l'amblyopi* croisée que déterminent les lésions absolument unilatérale; du cerveau; c'est un trou
re, à savoir : Vhémiopie latérale homologue ; en d'autres termes, une lésion cérébrale en foyer, du côté gauche, devrait, dans
de la moitié droite du champ visuel, et inversement pour le cas d'une lésion de l'hémisphère droit. Je crois devoir proleste
le moins, de trop absolu et lui opposer la proposition suivante : Les lésions des hémisphères cérébraux qui pro-duisent l'hémia
er quel'hémiopie latérale ne saurait être jamais la conséquence d'une lésion en foyer du cerveau ; mais je suis disposé à croi
nnante, tandis que les faits existent en cer-tain nombre où une telle lésion a déterminé l'amblyopie croi-sée, se présentant a
rès les auteurs, pourrait se produire comme conséquence directe d'une lésion en foyer intra-céré-brale. Il est clair que, d'ap
en foyer intra-céré-brale. Il est clair que, d'après la théoiie, une lésion siégeant au point R, de manière à interrompre dan
n un point de l'hémisphère gauche LOG. — LOD, Hémisphère droit — K, Lésion de la bandelette optique gauche produisant l'hémi
ette optique gauche produisant l'hémiopie latérale droite. — LOG, Une lésion en ce point produirait l'amblyopie croisée droite
Une lésion en ce point produirait l'amblyopie croisée droite. — 2, Lésion produisant l'hémiopie temporale. —N, N, Lésion pr
croisée droite. — 2, Lésion produisant l'hémiopie temporale. —N, N, Lésion produisant l'hémiopie nasale. de supprimer comp
'hémiopie latérale gauche surviendrait au contraire, à la suite d'une lésion affec- tant de la même façon la bandelette opti
démontrent qu'en réalité l'hémiopie latérale est laconsé-quence d'une lésion p'ortant son action sur l'une des bande-lettes op
es (1). L'effet restera le même, quel que soit le siège occupé par la lésion sur la bandelette, depuis l'origine de celle-ci d
atérale devra se produire d'ail-leurs non-seulement par le fait d'une lésion propre à la bande-lette elle-même, mais aussi,à t
-même, mais aussi,à titre dephénomène de voisinage, en conséquence de lésions — hémorrhagies ou tumeurs — développées dans les
s de l'hémiopie ne sont pas d'une interpré-tation plus difficile. Une lésion , une tumeur par exemple, située en T, c'est-à-dir
er, pendant la vie du malade, que tel était, en effet, la siège de la lésion et l'autopsie est venue justifier pleinement ses
seul interrompu, au niveau du chiasma, par exemple, en conséquence de lésions (1) Voir entre autres le cas de E. Mullcr dans
là un fait qui paraît bien établi, est le résul-tat obligatoire de la lésion d'une des bandelettes optiques. Est-il également,
nt, comme on l'affirme généralement, la consé-quence nécessaire d'une lésion qui rencontrerait les fibres nerveuses optiques,
t inévitablement l'hémiopie latérale déve-loppée en conséquence d'une lésion infra-cérébrale, en dehors de toute participation
pation des bandelettes optiques, tandis que les faits existent où une lésion de la partie postérieure de la capsule interne ou
a étant, comment comprendre dans une vue schémati-que cet effet d'une lésion cérébrale, tout en connaissant le (1) Archiv of
e,1873, p. 293. fait incontestable de l'hémiopie, conséquence d'une lésion des bandelettes optiques ? Pour en arriver là,
ôté correspondant, et cette vue s'accorde avec l'idée régnante qu'une lésion des fibres nerveuses optiques, dans leurs parcour
erveuses optiques, dans leurs parcours intra-cérébral, équivaut à une lésion de la bandelette optique et produit conséquemment
et l'on comprend que dans un appareil ainsi conslitué, tandis qu'une lésion de la bandelette optique pro-duit l'hémiopie laté
la bandelette optique pro-duit l'hémiopie latérale, au contraire, une lésion située pro-fondément dans l'épaisseur de l'hémisp
e l'amblyopic croisée et l'hémianesthésie sensitive résultant d'une lésion de la capsule interne. Origine cérébrale des nerf
de l'encéphale : faisceaux rayonnants cortico-optiques. Effets des lésions des tubercules quadrijumeaux antérieurs. Faits
ttre en relief l'existence de Y am-blyopic croisée, comme symptôme de lésions occupant la partie postérieure de la capsule inte
sée — le seul trouble fonctionnel de la vision pouvant résulter d'une lésion d'un des hémisphè-res cérébraux ; j'ai essayé, di
r ainsi dire habituel, de l'hémianes-thésie sensitive résultant d'une lésion de la capsule interne. Cette hémianesthésie de
t les expansions cérébrales du faisceau de fibres centripètes dont la lésion détermine Phémianesthésie sensitive de cause céré
cs cérébrales devront se distinguer de celles qui résulteraient d'une lésion de la protubérance ou d'un pédoncule céré-bral pa
éments pour la solution du problème font encore défaut. Chez lui, les lésions des tubercules qua-drijumeaux ne sont pas rares,
ne peuvent rien décider. De fait, on est encore à se de-mander, si la lésion des tubercules quadrijumeaux antérieurs produira,
n des tubercules quadrijumeaux antérieurs produira, à l'exemple d'une lésion de la bandelette optique, l'hémiopie latérale, ou
e obser-vation rapportée par M. le Dr Bastian, et dans laquelle une lésion unilatérale des tubercules quadrijumeaux antérieu
le fonctionnel de la vision qui se puisse pro-duire par le fait d'une lésion du cerveau proprement dit, ou si, au contraire, l
ue, dans la majorité des faits d'hémiopie qui ont été rapportés à une lésion du cerveau, celle-ci, ou n'oc-cupait pas les régi
ent l'une ou l'autre des bandelettes optiques. Pour montrer que les lésions de la profondeur du cerveau produisent l'hémiopie
e a, jusqu'ici, tou-jours fait défaut, et l'on peut se demander si la lésion incri-minée, dans ces faits, occupait réellement
rébraux, est chose notoire. Cela étant, il ne saurait échapper qu'une lésion convenable-ment localisée, par exemple dans un de
une hémiplégie motrice, et peut-être, en outre, l'hémianesthésie. Une lésion , telle qu'un foyer hémorrhagique brusquement déve
inique, peuvent être anatomique-ment expliqués dans l'hypothèse d'une lésion unique. Mais je ne puis que signaler ces difficul
iers antérieurs, noyau caudéet noyau lenticulaire)- — Influence des lésions de ces régions sur la production de l'hémiplégie
tre eux et les faits de la pathologie humaine. — Différence entre les lésions du noyau caudé et celles de la partie antérieure
interne. Des dégénérations secondaires ou scléroses descendantes. — Lésions qui les produisent; importance du siège et de l'é
ésions qui les produisent; importance du siège et de l'étendue de ces lésions . Caractères des scléroses descendantes : étendu
. Caractères des scléroses descendantes : étendue ; — aspects de la lésion sur le pédoncule cérébral, la protubérance. la py
x cornes de substance grise. Sclérose descendante consécutive à une lésion du système cortical. — Dé-monstration des fibres
édonculaires directes : faits anatomo-pathologiques. — Le siège des lésions corticales qui produisent des dégénérations secon
vue de l'anatomie et de la physiologie pathologiques, les effets des lésions qui s'y pro-duisent. Cette région qu'on pourrai
nsibilité, est la conséquence, en quelque sorte fatale, de toutes les lésions , même minimes, qui s'établis-sent dans les divers
ses parties que je viens d'énumérer, à la condition toutefois que les lésions en question produisent la destruction ou la brusq
il y a lieu d'établir une importante distinction. C'est ainsi que les lésions , même étendues et profondes, qui restent limitées
symptômes relative-ment peu accentués et peu durables, tandis que les lésions relativement légères qui intéressent le tractus b
rd de l'intensité relative des symptômes paralytiques dans le cas des lésions de la capsule interne, com-parée à leur faible de
de la capsule interne, com-parée à leur faible degré dans le cas des lésions limitées aux noyaux gris, après quoi, j'envisager
offre ce symptôme, à peu près nécessaire-ment, lorsqu'il s'agit d'une lésion de la capsule interne. 1. Pour ce qui a trait
et caudé. Dans cette hypothèse, il est facile de comprendre qu'une lésion un peu accentuée portant sur la capsule interne,
rce grise, et celle des deux noyaux gris, tandis qu'au contraire, une lésion limitée au noyau lenticulaire, laissera subsister
rablement de ceux qui se manifestent chez l'homme, en conséquence des lésions que la maladie détermine dans les parties corresp
té du corps, chez cet animal, est la seule conséquence d'une pareille lésion ; la station et le saut sont encore possibles, alo
heraient beaucoup de ceux qu'on observe chez l'homme, dans les cas de lésions en foyer des hémisphères cérébraux (3). (1) Voi
on de sa po-sition topographique, n'a pu être effectuée (1); 3° si la lésion porte, au contrai-re, sur la partie inférieure de
appelle l'hémiplé-gie qu'on observe chez l'homme en conséquence de la lésion de ces mêmes parties. (Fig. 35.) Tenu suspendu pa
trompe, pour faire comprendre pourquoi les hémiplégies résultant des lésions destructives, limitées à la substance des noyaux
règle générale, sont passagères, tandis que celles qui résultent des lésions intéressant la substance de la capsule interne so
ut au moins en ce qui concerne le noyau caudé du corps strié, que les lésions destructives par-tielles portant sur les régions
ple dans un membre ou une partie d'un membre (1). Dans le cas d'une lésion destructive de la capsule interne, une lente régé
erne ont pour consé-quence à peu près obligatoire la production d'une lésion fas-ciculée qui, commençant immédiatement au-dess
s tout d'abord devant un fait qui domine réellement la question : les lésions cérébrales en foyer, con-sidérées relativement au
erminer la production des sclé-roses consécutives. Ainsi, parmi ces lésions , il en est qui ne sont jamais sui-vies de scléros
uent, pour ainsi dire, à coup sûr. Au second groupe appartiennent les lésions destructives, mêmes circonscrites, qui, suivant l
-à-dire dans les deux tiers antérieurs de la capsule. Par contre, les lésions qui demeurent limitées à la substance des noyaux
après l'attaque, siège' toujours dans les membres du côté opposé à la lésion , et s'y établit le plus souvent d'une façon perma
soient pas trop éloignés du pied de la couronne rayonnante. 3° Les lésions de la substance grise corticale des hémisphè-res,
es, ne produisent pas la sclérose descendante. 4° Au contraire, les lésions corticales, à la fois étendues en surface et en p
cléroses consécutives aussi prononcées que celles qui dépendent d'une lésion des régions antérieures de la capsule interne.
e. — F, capsule ex-terne. — G, avant-mur. Il existait dans ce cas une lésion descendante très accentuée. servations que les
u'indiquer pour le moment. 5° En somme, le siège et l'étendue de la lésion paraissent être, dans l'espèce, les deux conditio
mnes. et l'étendue voulus étant donnés, pourvu qu'il s'agisse d'une lésion destructive, c'est-à-dire capable d'interrompre l
Io Je vous rappellerai d'abord que les scléroses consécutives à une lésion en foyer d'un hémisphère cérébral occupent toujou
tions ou même de l'hémisphère tout entier qui s'ob-servent lorsqu'une lésion centrale en foyer s'est développée chez de très j
yramide antérieure dans toute son étendue du côté cor-respondant à la lésion cérébrale ; la pyramide lésée est d'ail-leurs étr
hie (1) Le siège qu'occupe cette bande varie suivant le siège de la lésion centrale elle se rapproche d'autant plus du bord
rapproche d'autant plus du bord interne du pied du pédoncule, que la lésion de la capsule est située plus en avant. de la l
oncule, que la lésion de la capsule est située plus en avant. de la lésion , et de faire reconnaître par exemple, dans la moe
e cérébrale, et ces sclé- (1) L'extension, dans certains cas, de la lésion au-delà de ses limites habi-tuelles, l'envahissem
i méritent d'être signalées: ainsi, dans les scléroses primitives, la lésion fasciculée est nécessairement double, c'est-à-dir
intéressé "à peu près toutes les fibres de la pyramide antérieure, la lésion n'occupe, dans le faisceau latéral de la moelle,
t, mais ses limites sont beau-coup plus étendues. Ainsi, en avant, la lésion tend à envahir le domaine des zones radiculaires
spinales fasciculées, primitives, c'est-à-dire indépendantes de toute lésion céré-brale. Or, tous ces symptômes se reproduisen
rs ca-ractères essentiels, dans les cas de sclérose consécutive à une lésion du cerveau, et constituent, en définitive le tabl
légie permanente, vulgaire. On peut donc dire aujourd'hui qu'entre la lésion « sclérose latérale » et le phénomène « contractu
ns accompagnement de sclérose spi-nale latérale ; mais, lorsque cette lésion existe, la contracture permanente est un de ses s
e chronique, produite dans le faisceau latéral, en con-séquence de la lésion du cerveau, qu'il convient de faire in-tervenir i
faveur de l'opinion que je soutiens. Développée à l'occasion d'une lésion cérébrale en foyer, la sclérose consécutive acqui
ticuliers. Il peut arriver que, en raison même de cette autonomie, la lésion se répande au-delà des limites qui lui sont d'hab
é, M. Pierret et moi, en outre de la sclérose latérale classique, une lésion de la corne grise antérieure du même côté, ayant
tenant m'arrêter un instant sur celle qui se produit à la suite d'une lésion du système cortical. En tant qu'affection spinale
e chien, le hasard a fait rencontrer à MM. Carville et Duret (1), une lésion qui avait détruit la substance blanche de toutes
la protubérance et de la pyramide bulbaire du côté correspondant à la lésion cérébrale. La réalité, chez l'homme, de ces fib
ons qui,ainsi que nous l'avons dit,se dévelop-pent en conséquence des lésions étendues et profondes de la substance grise corti
ent ischémique an- [i)Archives de physiologie, 1875. ciens(l). La lésion , dans ces cas, se présentait sous la forme de pla
-ci permettent, on le comprend, de préciser le siège et l'étendue des lésions et suppléent, par conséquent, à l'insuffisance ma
itement accentuée. Le trait commun à ces cas est que, constamment, la lésion intéressait plus ou moius l'une ou l'autre des ci
annoncé, la production des scléroses secondaires, en conséquence des lésions destructives de l'écorce des hémis-phères paraît
is-phères paraît être subordonnée au siège qu'occupent ces der-nières lésions . Je vous ferai remarquer, en terminant, que ces d
e en plaques long-temps considérées comme des névroses. — L'étude des lésions , avec le con-cours de l'expérimentation, peut fou
ique des phénomènes morbides. Constitution de la moelle épinière. — Lésions systématiques. — Faisceau pyramidal (faisceau dir
e matérielle appréciable, ou ne s'y révèlent tout au plus que par des lésions minimes, sans caractère déterminé, inca-pables, e
aux formes pathologiques dans lesquelles l'existence constante d'une lésion matérielle a été bien et dûment constatée. Le cha
x. Quelques exemples suffiraient pour montrer que la découverte d'une lésion constante dans les maladies de ce genre, est un r
sitations ont régné dans l'esprit des praticiens, jusqu'au jour où la lésion décrite autrefois par Cru-veilhier fut, par les r
une névrose. Toute illusion se dissipa, lorsqu'on eut reconnu que la lésion spinale est déjà parfaitement constituée et facil
utres symptômet tabétiqucs, dépose absolument dans le même sens. La lésion est donc là, toujours présente à un degré quelcon
n ne s'occupe guère de saisir la nature des rapports qui unissent les lésions aux symptômes extérieurs. Sans méconnaître, Mes
ob-tenus dans cette voie, il est certain qu'aujourd'hui, l'étude des lésions peut, sans rien perdre de sa portée pratique, êtr
et elle n'est pas allée beaucoup au-delà. c) L'étude méthodique des lésions pathologiques, vous allez le voir, a démontré que
moelle épinière : C'est l'existence très répandue dans ce domaine des lésions dites systématiques. On entend, dans l'espèce, pa
pression empruntée à l'enseignement de M. le profes-seur Vulpian, les lésions qui se cantonnent et se circonscrivent dans certa
topographique qui montre les diverses régions que peuvent occuper les lésions systématiques jusqu'ici connues (Fig. 46). Les
r les cordons de Goll, peuvent être seuls lésés. — D'autres fois, les lésions intéressent la région des cordons postérieurs la
peuvent subir une décompo-sition du même genre. Ainsi, à la suite de lésions cervicales de siège déterminé, on voit apparaître
5. rieure des faisceaux latéraux, au voisinage du sillon médian une lésion nettement circonscrite. La lésion occupe un fais-
, au voisinage du sillon médian une lésion nettement circonscrite. La lésion occupe un fais-ceau défibres (peu ou pas distingu
rsale. C'est le faisceau de Turck ou faisceau pyramidal direct. Cette lésion d'un faisceau pyramidal direct est toujours accom
lésés systématiquement. On ne connaît pas, jusqu'ici, d'exemples de lésions portant sur la région qui entoure les cornes anté
que, en ce qui concerne la substance grise, il est toute une série de lésions , tant aiguës que chroniques ou su- baignes qui
d'un autre côté, l'élude des symptômes qui révèlent cliniquement ces lésions systématiques. A. Considérons d'abord le premie
de tous points avec le plan qui nous a servi à indiquer le siège des lésions spinales (Fig. 46). C'est ainsi qu'il vous sera f
'il vous sera facile de voir que les faisceaux spinaux où siègent les lésions systémati-ques, et doués par conséquent à'autonom
uillez remarquer que nous nous trouvons, dans ce cas, où il s'agit de lésions systématiques, c'est-à-dire nettement délimitées,
que recherche l'expérimentateur, lorsqu'il s'efforce de reproduire la lésion des parties qu'il suppose avoir les fonctions spé
imentateur se heurte à des difficultés presque insurmontables que les lésions systématiques résolvent tout naturellement. 11 es
outes ces alté-rations nettement circonscrites. J'ajouterai que les lésions systématiques spinales évoluent le plus communéme
ogie, — constituent justement la symptomatologié propre à chacune des lésions à l'étude. J'aurai à vous faire reconnaître, par
ette symptomatologié diffère en réalité profondé-ment, suivant que la lésion porte sur les faisceaux pyramidaux, sur les fai
ornes antérieures de substance grise, et aussi suivant le mode, de la lésion qui occupe les faisceaux. Pour le moment, je me
apport entre les troubles fonctionnels constatés durant la vie et les lésions révélées par l'autopsie. Ces deux points de vue
'est pas seulement l'anatomie pathologique contemplative, étudiant la lésion en elle-même et pour elle-même que nous devons co
n cer-tain nombre de maladies offrant ce caractère remarquable que la lésion à laquelle elles se rattachent, se fixe et se can
iculièrement étudié la pathologie de cet âge, à savoir que toutes les lésions cérébrales, même les plus graves, ne se traduisen
gnostiquées. Ainsi s'exprime M. le professeur Parrot à l'occasion des lésions cé-rébrales qu'il subordonne à l'athrepsie, stéat
précisément ces faisceaux corres-pondent aux régions occupées par la lésion , dans une des formes les plus intéressantes des a
ies qui, contraire-ment à la règle, se produisent du même côté que la lésion . L'existence de ces paralysies est incontestabl
peu long peut-être, était indispensable poui entreprendre l'étude des lésions systématiques des faisceaux pyramidaux, connues s
ux pyramidaux, connues sous le nom de dégénérations secon-daires. Ces lésions ne sont pas intéressantes au seul point de vue de
Une ques-tion de localisations domine la situation. — La nature de la lésion importe peu pourvu que cette lésion soit destruct
e la situation. — La nature de la lésion importe peu pourvu que cette lésion soit destructive. — Lésion consécutive du pédon-c
de la lésion importe peu pourvu que cette lésion soit destructive. — Lésion consécutive du pédon-cule; elle divise l'étage in
bérance, dans le bulbe, dans la moelle épinière. Localisation de la lésion degenerative dans la région opto-striée. — Etudes
de l'anatomie pathologique. Je me propose de traiter devant vous des lésions systématiques de la moelle épinière. Je commenc
ues généralement sous le nom de dégénérations secondaires. I. Les lésions dont il s'agit sont dites secondaires parce qu'el
secondaires parce qu'elles se produisent consécutivement à une autre lésion , lésion en foyer le plus souvent, développée prim
ires parce qu'elles se produisent consécutivement à une autre lésion, lésion en foyer le plus souvent, développée primitivemen
le épinière, ou même dans les nerfs périphériques. Une fois nées, ces lésions consécutives peuvent acquérir une in-dividualité,
rfois même la domine. A ce point de vue, les plus intéressantes des lésions secon-daires sont celles qui affectent le système
tiques des faisceaux pyramidaux ne sont pas se-condaires ; il est des lésions de ce genre (et c'est là un point sur lequel j'au
ives, protopathiques, c'est-à-dire en dehors de toute influence d'une lésion primordiale. Je ne saurais trop insister, Messi
tout-à-fait di-gne de fixer l'attention du médecin. Si, en effet, ces lésions ont pu pendant longtemps être considérées comme u
ondaires de cause cérébrale, c'est-à-dire celles qui procè-dent d'une lésion en foyer occupant certaines parties de l'en-cépha
lésion en foyer occupant certaines parties de l'en-céphale. Ainsi les lésions de ce groupe peuvent résulter : a) soit d'une lés
hale. Ainsi les lésions de ce groupe peuvent résulter : a) soit d'une lésion primitive du cerveau proprement dit, b) soit de l
a) soit d'une lésion primitive du cerveau proprement dit, b) soit de lésions siégeant dans les diverses régions de l'isthme (a
inale, c'est-à-dire celles qui sont consécutives à la formation d'une lésion en foyer dans un point quelconque de la moelle ép
es procédés de durcissement et de coloration dans l'investigation des lésions médullaires, et le premier aussi a cherché a étab
res, et le premier aussi a cherché a établir la symptomatologic de la lésion dégénérative (B.), quoi ces lésions consécutive
établir la symptomatologic de la lésion dégénérative (B.), quoi ces lésions consécutives peuvent être dites descendantes pour
térieures, qui ont dû être considérées comme le point de départ de la lésion spinale. m. Nous nous occuperons en premier l
core notre premier champ d'étude, nous n'envisagerons d'abord que les lésions fasciculées secon-daires, engendrées par un foyer
détail, indiquons les caractères les plus généraux du groupe. 1° La lésion originelle existe dans le cerveau proprement dit,
termes, il y a dans les hémisphères des régions très-étendues où les lésions en foyer sont impuissantes à provoquer des- dégén
t d'autres, par contre, où ces altérations déterminent à coup sûr des lésions descendantes consécutives. Vous le voyez, Messieu
on domine en quelque sorte la situation, 2° Quant à la nature de la lésion originelle, rien n'est plus variable. Tumeurs int
vu toutefois — et c'est là une condition sine quâ non — pourvu que la lésion soit destructive c'est-à-dire qu'elle produise, d
ou de ramollissement figurent-ils beaucoup plus communément parmi les lésions qui causent les dégénérations secondaires que ne
pyramidaux et de se limiter, de se cantonner dans ce système. Si la lésion primordiale n'occupe qu'un des deux hémisphè-res,
envahies. Et je le répète à dessein, Messieurs, il s'agit là d'une lésion systématique par excellence. Les faisceaux voisin
mais. — D, protubérance ; elle est asymétrique déprimée du côté de la lésion . — E, py-ramide dégénérée, grisâtre, atrophiée, s
ainsi que je vous l'annonçais tout à l'heure, qu'il s'agit bien là de lésions systématisées dans le domaine des faisceaux pyra-
atisées dans le domaine des faisceaux pyra-midaux. JV. Prenons la lésion secondaire au moment où elle émerge, en quelque s
ions de la moelle épinièrc. Remarquez d'abord, Messieurs, que si la lésion est très prononcée et très ancienne, passez-moi l
sez-moi l'expression, elle vous sautera aux yeux. Du même côté que la lésion hémisphéri-que, vous reconnaissez une atrophie ré
résente en même temps une teinte grise (Fig. 57). Du côté opposé à la lésion , au-dessous de l'entre-croisement des pyramides,
e l'atrophie du faisceau antéro-latéral. C'est sous cet aspect que la lésion a été connue des anciens auteurs. Mais notez bien
etrouver dans le pédoncule. A un faible grossissement, on voit que la lésion se présente sur une section normale, sous la form
voisines, ce qui permet la détermina-tion topographique exacte de la lésion . 2° Dans la protubérance, le faisceau pyramidal
us bas le faisceau pyrami-dal. 3° Dans toute l'étendue du bulbe, la lésion se reconnaît Tig. 58. —Coupe transversale de la
on cervicale. - A, dé-génération du faisceau pyramidal dans un cas de lésion des centres moteurs hémisphériques. — B, dégénéra
du bulbe rachidien et passant par la région moyenne des olives. La lésion bulbaire est exactement circonscrite dans le fais
est exactement circonscrite dans le faisceau pyramidal du côté de la lésion encéphalique primor-diale. 4° Si maintenant nou
aissons aussitôt le cor-don antéro-latéral du côté correspondant à la lésion cérébrale; et du côté opposé à la lésion, le fais
l du côté correspondant à la lésion cérébrale; et du côté opposé à la lésion , le faisceau pyramidal croisé (Fig. 58). Vous voy
démonstration que j'ai voulu vous présenter est donc complète; et la lésion dégénérative descendante, dans le cas qui nous oc
faisceaux pyramidaux. V. Après avoir déterminé la topographie des lésions dites dégé-nérations secondaires, il nous faut ac
ortants de leur histoire. Quel est le caractère commun à toutes les lésions destructi-ves en foyer, qui, s'étant développées
au caudé. Il n'est pas rare, tant s'en faut, Messieurs, de voir des lésions en foyer destructives étroitement localisées dans
ons secondaires, ces dégénérations ne se produisent jamais lorsque la lésion , restant limitée dans le noyau de substance grise
capsule interne de manière à en altérer profondément les fibres. La lésion de la capsule interne est donc, en ce qui concern
tion des dégénérations secondaires. 2° Mais, Messsieurs, toutes les lésions destructives de la cap-sule ne donnent pas lieu à
s? Tout, vous allez le reconnaître, dépend uniquement du siège que la lésion occupe dans le tractus blanc. Le problème consi
Le problème consiste donc à délimiter les régions capsulaires où la lésion destructive est suivie de dégénération,par opposi
ive est suivie de dégénération,par opposi-tion à Celles où cette même lésion ne produit pas les mêmes résultats. 11 y a quat
on sui-vante : « Les dégénérations secondaires se produisent quand la lésion porte sur les 2/3 antérieurs de la capsule intern
ntérieurs de la capsule interne ; elles ne se produisent pas quand la lésion porte sur le tiers postérieur de la capsule (1).
d'appeler le genou de la capsule. Or, Messieurs, j'ai reconnu que les lésions limi-tées au segment antérieur déterminent une dé
re. Si j'ai méconnu l'existence isolée de ce fais-ceau, c'est que les lésions capsulaires que j'avais examinées n'intéressaient
aussi le segment médian, le genou de la capsule; et, dans ce cas, la lésion complexe de la capsule s'étendait par en bas dans
ès les obser-vations de M. Flechsig et mes observations récentes, une lésion destructive, même peu étendue, ne saurait exister
tibles de subir la dégénération descendante. Toujours est-il, que les lésions en foyer qui se produisent en ce point se traduis
ède; c'est que, en tant qu'il s'agit des masses grises centrales, les lésions destructives, portant primitivement ou secondaire
pyramidal dans l'hémisphère cérébral, — Région rolandique du manteau. Lésions en foyer de cette région ; elles-donnont lieu à d
erveau ou autrement dit, le manteau de.l'hémisphère, car là aussi les lésions en foyer donnent lieu à des dégénérations secon-d
es. Il y a longtemps qu'on sait — L. Tûrck le savait déjà — qne les lésions en foyer, dites périphériques, par opposition aux
à — qne les lésions en foyer, dites périphériques, par opposition aux lésions qu'on appelle centrales parce qu'elles occupent l
ondaires assimilables à celles qui se produisent en conséquence des lésions de la capsule interne. Mais quelles sont ces circ
ont ces circonstances dans les-quelles les dégénérations résultent de lésions occupant l'écorce cérébrale ? C'est dans ces de
de déterminer topo gra-phiquement dans le manteau, la région que les lésions en foyer doivent intéresser pour qu'il s'en suive
osition aux autres, celles des régions de l'écorce du cerveau dont la lésion occasionne des troubles moteurs dans certaines pa
art des dégénéra-tions secondaires. En effet, en tant qu'il s'agit de lésions en foyer dites périphériques, c'est-à-dire siégea
ériques, c'est-à-dire siégeant en dehors des masses opto-striées, ces lésions ne déterminent la production des dégénérations se
olandique du man-teau de l'hémisphère. En dehors de cette région, les lésions destructives en foyer, quelle que soit leur étend
lement aux remarques suivantes ; il n'est pas démontré encore que les lésions destructives limitées à la substance grise cortic
générale (1) semblent dé-montrer qu'il en est réellement ainsi. Les lésions même peu étendues (1 à 2 centimètres cubes), inté
érations secon-daires très accentuées des faisceaux pyramidaux. Les lésions en foyer intéressant le centre ovale dans la régi
participation de l'écorce grise, déter-minent, au même titre que les lésions superficielles, des dé-générations secondaires tr
art des faits con-nus de dégénéiations secondaires consécutives à des lésions localisées dans la protubérance ou le bulbe. La c
cause cérébrale (fin). — Amyotrophies consécutives. Sommaire. — Les lésions dégenératives du faisceau pyramidal permettent d'
'histoire des dégénérations descendantes. En effet, alors même que la lésion d'un des faisceaux pyramidaux est des plus pronon
d'autres termes, on ne trouvait nulle part d'extension directe de la lésion du faisceau latéral à la corne antérieure corresp
la moelle dans le mal de Pott. — Pachyméningite caséo-tuberculeusc. — Lésion trans-verse totale. -- Il faut que cette lésion s
caséo-tuberculeusc. — Lésion trans-verse totale. -- Il faut que cette lésion soit destructive pour qu'il s'ensuive une dégénér
uive une dégénération. Division des dégénérations consécutives à la lésion transverse totale. — Dégénérations descendantes.
— Faisceaux céré-belleux de Flechsig. Dégénérations dans le cas de lésion transverse partielle. -- Elles n'ont lieu que qua
cas de lésion transverse partielle. -- Elles n'ont lieu que quand la lésion destructive porte sur les faisceaux blancs . — Ca
blancs . — Cas de l'hémiparaplégie spinale avec anesthésie croisée. Lésion unilatérale de la moelle épinière déterminant, à
ec-tions spinales. Nous allons donc nous occuper, Messieurs, de ces lésions systématiques dont je vous ai déjà entretenus, lé
sieurs, de ces lésions systématiques dont je vous ai déjà entretenus, lésions fascicu-lées, tant ascendantes que descendantes,
ertaines régions de la moelle comme conséquence de Js formation d'une lésion destructive en foyer Ces dégénérations secondai
ement étroi-tes de la moelle épinière, il ne peut guère s'établir une lésion destructive de ce cordon nerveux, sans que la dég
rme quelconque, en soit la conséquence. î. Considérant d'abord la lésion en foyer, cause de tous les accidents, nous envis
ession spinale. Quoiqu'il en soit, il se développe en cet endroit une lésion destructive qui, dans la région lésée, porte indi
ncs tant antérieurs que postérieurs : c'est ce qu'on peut appeler une lésion transverse totale. Il est bien entendu que cett
de la destruction des éléments nerveux. Ainsi, dès l'instant que la lésion totale et transverse agit comme un processus dest
es dégé-nérations présentent certaines particularités, suivant que la lésion initiale occupe telle ou telle région de la moell
e région de la moelle épinière ; il en est de même dans les cas où la lésion transverse est partielle, c'est-à-dire quand elle
II. Pour plus de simplicité, nous envisagerons d'abord le cas d'une lésion transverse totale, et nous supposerons que celle-
région dorsale supérieure. Il y a à considérer, vous le savez, les lésions dégénératives descendantes, c'est-à-dire irradiée
s dégénératives descendantes, c'est-à-dire irradiées au-dessous de la lésion , et les ascendantes qui irradient au-dessus. Io
ttes de sclérose dans les faisceaux antéro-latéraux représentent la lésion dégénérative; ces deux bandelettes ne sont autre
s : a) les faisceaux latéraux ; h) les faisceaux postérieurs. a) La lésion des faisceaux antéro-latéraux n'a rien de com-mun
) La lésion des faisceaux antéro-latéraux n'a rien de com-mun avec la lésion descendante. Les faisceaux pyramidaux sont ici ab
ux posté-rieurs ne sont pas capables de dégénération par en bas. La lésion se présente sur la coupe, sous la forme d'une ban
ar son bord externe, reste partout en contact avec la pie-mère. Cette lésion , déjà connue de Turek, peut être suivie jusque da
orsale. En con-séquence, leur dégénération ne se produirait pas si la lésion en foyer siégeait dans les parties inférieures de
rt obscures. Je n'ai rien de plus à vous dire sur ce faisceau dont la lésion ascendante, que l'on sache, ne se traduit par auc
que l'on sache, ne se traduit par aucun symptôme particulier. i) La lésion ascendante des faisceaux postérieurs offre plus d
u postérieur est lesé dans toute son étendue. B. Mais plus haut, la lésion semble s'effiler et n'occupe plus que la partie m
ures du bulbe, jusqu'au niveau du quatrième ventricule, tandis que la lésion du reste du fais-ceau ne remonte pas au-dessus du
odifications que présente le type qui vient d'être décrit, lorsque la lésion , au lieu d'être transverse totale est trans-verse
éra-tions, tant ascendantes que descendantes, n'ont lieu que quand la lésion destructive porte sur les faisceaux blancs. Ainsi
ux faisceaux blancs. 2° Dans les faisceaux blancs, au contraire, la lésion consé-cutive est en quelque sorte obligatoire ; s
aire, la lésion consé-cutive est en quelque sorte obligatoire ; si la lésion primitive est du domaine du cordon antéro-latéral
^trôs courtes. Nous verrons tout à l'heure ce qui advient, lorsque la lésion en foyer intéresse uniquement les fibres des fais
agnée d'une dégénération du faisceau pyramidal gauche. à savoir une lésion transverse et unilatérale de la moelle épi-nière.
transverse et unilatérale de la moelle épi-nière. Il est rare que la lésion soit mathématiquement unila-térale, c'est-à dire
dans les généralités, pre-nons un exemple concret. 11 s'agit d'une lésion syphilitique de la moelle qui se traduit par les
fficile. J'ai vu parfois les deux faisceaux latéraux affectés par une lésion unilatérale. L'altération, il est vrai, n'était p
es deux membres inférieurs, qui se produisent parfois dans des cas de lésion unilatérale spinale ou de lésions cérébrales en f
e produisent parfois dans des cas de lésion unilatérale spinale ou de lésions cérébrales en foyer. HUITIÈME LEÇON Degenerat
cher du quatrième ventricule. — Structure des faisceaux de Burdach. Lésions systématiques isolées, soit dans le faisceau de G
oit dans le faisceau de Goll, soit dans le faisceau de Burdach. — Les lésions du faisceau de Goll ne donnent pas lieu aux sympt
nérations ascendantes de cause spinale ; je veux parler surtout de la lésion des faisceaux postérieurs. Mais, au-paravant, vou
vous rappeler, en passant, que les symptômes observés dans les cas de lésions isolées, systématiques, des faisceaux de Goll, ne
es en mesure de com-prendre la disposition singulière que présente la lésion des faisceaux postérieurs,quand elle résulte de l
s des faisceaux de Goll et de celles des fais- ceaux do lîurduoh.La lésion , portant sur les fibres commissu-rales courtes du
pour quelle raison cette degeneration est ascendante; enfin, la môme lésion , en tant qu'elle porte sur les longues fibres com
que, dans l'ataxie locomotrice, la disposition la plus habituelle des lésions rappelle, à quelques modifications près, ce qui v
s, ce qui vient'd'être dit au sujet des degenerations ascendantes. La lésion fondamen-tale porte à l'origine sur les faisceaux
mais, comme il s'agit là surtout d'un processus inflammatoire, cette lésion ne reste Fig. 11. Fig. 72. Fig. 73. pas c
a même façon que s'il s'agissait d'une compression directe, et que la lésion ainsi produite peut être suivie, comme il vient d
jusqu'au plancher du quatrième ventricule. Telle est, Messieurs, la lésion vulgaire de l'ataxie locomo-trice, celle qui se r
de M. Th. Simon (1). Dans tous les cas observés jusqu'à ce jour, la lésion siège (1) Arch. f. Psych. v. Westphal, V,Bd, 1874
ns les observations auxquelles je fais allusion, relève non pas de la lésion des racines antérieures, mais de celles des racin
le voyez, quant à la topo-graphie, une assez exacte reproduction des lésions de Tataxie vulgaire. Maintenant, voici comment
ler, les racines postérieures dégénèrent par en haut, au-dessus de la lésion , du côté de la moelle, et la dégénération de ces
ra-spinal, c'est-à-dire dans l'épaisseur des faisceaux de Burdach. La lésion qui, à un moment donné, revêt le caractère inflam
de dégé-nération secondaire de ce genre, reconnaître à l'autopsie une lésion limitée aux faisceaux de Burdach et n'intéressant
quer en deux mots : 1° S'il s'agit d une dégénération ascendante, les lésions rappellent exactement ce que l'on voit chez l'hom
elle au-dessous de la lesion. — H, Coupe de la moelle au-dessus de la lésion . — On voit en A la diffusion de la sclérose desce
le nom de gyrus sigmoïde. Jusqu'ici, vous le savez, Messieurs, les lésions pratiquées dans le but de déterminer les dégénéra
peut plus vraisemblable, que les résultats seraient conformes si les lésions intéressaient les régions correspondantes de la c
nt chez le chien, absolument comme s'il s'agissait chez l'homme d'une lésion portant sur un point des régions motrices. A cet
tions expérimen-tales: 1° une observation de Gudden dans laquelle une lésion de la capsule interne chez un jeune chien, était
illeurs, Messieurs, il n'est pas excessivement rare de voir certaines lésions se dévelop-per spontanément chez le chien sur cet
MM. Pitres et Franck ont confirmé ces résultats:,, avant même que la lésion ne soit appréciable, elle existe déjà sûrement, c
du moins, semble con-tredire la loi : dans a sclérose en plaques les lésions , alors même qu'elles sont très étendues, ne produ
p. 147.) Voy. également : Tripier, De l'anesthésie produite par les lésions des cir-convolutions cérébrales in Revue mensuell
is au début même de nos études sur les dégénérations secondaires. Ces lésions , vous disais-je, offrent de l'intérêt, non pas se
s fonc-tionnels particuliers, qui s'ajoutent à la symptomalogie des lésions primitives qui leur ont donné naissance, et quelq
nature et l'origine des troubles fonc-tionnels qui se rattachent aux lésions dégénératives descen-dantes des divers faiceauxde
ons laborieusement recueillies sur tous les points qui concernent ces lésions . Cependant, pour mènera bonne fin notre entrepr
acile (saut, courses marche, etc.). L'étendue et la configuration des lésions sont étudiées par M. Woroschiloff avec le plus gr
. — Ce pronostic est basé sur le diagnostic anatomique du siège de la lésion . Détermination exacte du territoire vasculaire
ésenter un tableau des désordres fonctionnels qui se rattachent à ces lésions et qui servent, pendant la vie, à en révéler l'ex
cutives de cause cérébrale et celles qui reconnaissent pour cause une lésion spinale. II. Pour bien comprendre l'intérêt p
me région appartiennent, en effet, les artères nourricières, dont les lésions préparent en quelque sorte l'hémorrhagie intra-en
'artériose qui conduit à la formation des anévrysmes miliaires, cette lésion préparatoire de l'hémorrhagie intra-encé-phalique
définitivement compromise. C'est qu'en effet, Messieurs, une telle lésion destructive entraîne nécessairement le développem
lle lésion destructive entraîne nécessairement le développement d'une lésion spinale descendante, qui, elle, à son tour, ainsi
voyez, quelques millimètres déplus ou de moins dan s l'étendue de la lésion , suivant une certaine direction, ne sont pas ici
iques, des indices moins tardifs, capables de révéler l'existence des lésions spi-nales consécutives? En réalité, Messieurs,
sidérons en ce moment, entre l'hémiplégie permanente, résultant d'une lésion cérébrale organique, et l'hémiplégie ne relevant
actures dites myopathiques, c'est-à-dire de celles qui tiennent à une lésion du tissu mus-culaire lui-même, comme la cirrhose
mais encore, dans une certaine mesure, le retour de la motilité. La lésion persiste-t-elle dans la moelle épinière, et, en p
tracture. Raison physiologique de ce phénomène. -- A la suite de la lésion cérébrale il faut distinguer deux périodes dans l
érébrale il faut distinguer deux périodes dans le développement de la lésion spi-nale secondaire. — L'exaltation des réflexes
lement des -la suppression de l'influence modératrice cérébrale. La lésion des cornes antérieures dans l'hémiplégie permanen
La lésion des cornes antérieures dans l'hémiplégie permanente est une lésion irritative. — Elle agit comme la strychnine. -- E
hémianesthésie ; hémiplégie de cause encéphalique.~ L'bypothèsc de la lésion irritative dynamique explique mieux que les autre
oncée, laquelle per-siste à un certain degré pendant toute la vie. La lésion , cause de l'hémiplégie, est, ainsi que l'a fait v
d'une plaque jaune ou d'un foyer d'inflammation celluleuse; tantôt la lésion cérébrale est consécutive à l'hémorragie méningée
érose partielle ou généralisée de l'un des hémisphères cérébraux. Les lésions en question sont généralement cortica-les, c'est-
a protubérance et de la pyra-mide bulbaire du côté correspondant à la lésion (1). Cliniquement, les faits de ce genre sont q
blique. C'est de la sorte que la paralysie atrophique résultant d'une lésion de la substance grise spinale entraîne, lorsqu'el
raccourcissement par arrêt de déve-loppement du membre où siègent les lésions musculaires, alors même que ces membres remplisse
ce racourcissement ne saurait naturelle-ment exister lorsque la môme lésion se développe dans l'âge adulte. 2° Dans la desc
reconnaître, en un mot, par quel lien les symptômes se rattachent aux lésions . C'est là une entreprise toujours délicate, et, d
nt être modifiées un jour ou l'autre. 1° Je vous rappellerai que la lésion consécutive des fais-ceaux latéraux représente à
e qu' à l'époque où le faisceau pyramidal est déjà devenu le siège de lésions irri-tives. Je vous rappellerai d'abord les conne
correspondante. Ces connexions sont telles que, dans certains cas, la lésion des tubes nerveux se propage aux cellules ganglio
lulaires (cellules gan-glionaires) s'affectent à leur tour. Or, cette lésion , communi-quée aux cellules motrices, serait purem
correspondrait à aucune modification anatomique apprécia-ble ; cette lésion , si vous le voulez, nous la qualifierons, d'« ir-
tendineux. Sans forcer les choses, on pourrait ad-mettre même que la lésion irritative dont il est ici question provoque égal
7). 3° Au contraire, dans le cas de l'hémiplégie durable liée à une lésion organique en foyer, que nous considérons particu-
midaux donner naissance à la contracture, alors qu'il n'existe aucune lésion encéphalique. On a admis aussi que la contractu
es du faisceau pyramidal avec les cellules des cornes antérieures. -- Lésions de ces cellules. — Elles sont de nature irritativ
e la hauteur de la moelle épinière; et j'ai proposé d'admettre que la lésion irritative, dont ces tubes nerveux en voie de des
élément ganglionnaire. Ainsi communiquée aux cellules motrices, cette lésion serait purement dynamique, ne s'accompagnant d'au
toxication strychnique, mais avec cette différence, toutefois, que la lésion du strychnisme est un phénomène essentiellement t
els s'effectuent les actes réflexes spinaux; et, en conséquence de la lésion supposée, les pro-priétés des diverses parties de
st en jeu. . D'ailleurs, nous pouvons citer au moins un exemple d'une lésion intéressant sytématiquement les faisceaux pyramid
yramidaux, primitivement et indépendamment de l'intervention de toute lésion cérébrale en foyer, de toute encéphalite. Il s'
t elle se fait sui-vant deux modes. Dans certaines régions, c'est une lésion destructive des éléments cellulaires. La conséque
lésées de la substance grise. Dans d'autres parties, c'estune simple lésion fonctionnelle irritalive. des éléments ganglionna
ues faits récemment observés établissent cependant la possibilité des lésions intra-encéphaliques du faisceau pyramidal. Voy. C
ise et non dans le faisceau latéral lui-même. Il s'agit donc là d'une lésion consécutive, deutéropathique, aléatoire en quelqu
ovoque la contracture s'établisse primitivement, ou en conséquence de lésions autres que celle des faisceaux latéraux. Le fait
, etc.) étaient assurément beaucoup plus prononcés que dans le cas de lésion : encéphalique unilatérale. — c) Il en est de même
et ce membre est naturellement celui qui réponcL au côté où siège la lésion . Mais, en général, les symptômes spasmodiques tel
contrac-ture sont beaucoup moins accentués que quand il s'agit d'une lésion transverse totale. 2° Que devient cette contrac
douteux que ce genre de paraplégie se rattache le plus souvent à des lésions spinales vulgaires, compression, myélites, etc. ;
agit là effectivement d'une affection à part, l'autopsie révélera une lésion également spéciale, peut-être la sclérose primiti
elle épinière. — Paralysie des deux membres inférieurs dans le cas de lésion spinale unila-térale. — Hypothèse anatomique qui
on*" naître que l'existence régulière, constante ou à peu près d'une lésion soit primitive, soit consécutive des faisceaux py
myélite transverse, et nous avons considéré les cas dans les-quels la lésion occupe sur un point toute l'épaisseur du cordon s
Je dois vous dire quelques mots relativement à ceux dans lesquels la lésion transverse s'est localisée sur une partie seuleme
de la moelle épinière, de manière à reproduire, en quelque sorte, la lésion désignée en patholo-logie expérimentale sous le n
coup d'autres pour les besoins de la dé-monstration : 1° le cas d'une lésion traumatique consistant par exemple en un coup de
; 2° le cas très commun de la myélite spontanée syphilitique. Ici la lésion porte à la fois sur une des colonnes de substance
o-latéraux ; mais le point essentiel que je tiens à relever, c'est la lésion consécutive du cordon latéral, lésion descendante
ue je tiens à relever, c'est la lésion consécutive du cordon latéral, lésion descendante, et nous savons que cette lésion dégé
utive du cordon latéral, lésion descendante, et nous savons que cette lésion dégénérative est due à l'interruption du cours de
une sclérose descendante des deux faisceaux pyramidaux dans le cas de lésion unilatérale, mais encore ce fait déjà reconnu en
mais encore ce fait déjà reconnu en physiologie expérimentale, qu'une lésion transverse hémilaté-rale, produit une paralysie m
côtés, paralysie, à la vérité, beaucoup plus accentuée du côté de la lésion qu'elle ne l'est du côté opposé. 3° C'est ainsi
moins chez un certain nombre d'indi-vidus. La paralysie du côté de la lésion n'est jamais aussi com-plète qu'on aurait pu le s
cte ; et, d'autre part, il est rare que le membre du côté opposé à la lésion ne présente pas, lui aussi, un certain degré de p
ns avantages, puisqu'elle permet en-core la marche, alors même que la lésion hémilatérale est très profonde, en répartissant e
ils sont toujours beaucoup plus prononcés du côté correspondant à la lésion . II. J'en reviens, après cette digression, à
vêt, dès l'origine, les allures d'une maladie chronique primitive. La lésion est ici encore transverse, mais elle est incomplè
ulière, d'une maladie autonome, se rattachant vraisemblablement à une lésion de localisation spé-ciale. M. Erb est entré le
e M. Erb que sur un point. M. Erb a affirmé, ou peu s'en faut, que la lésion à laquelle les symptômes doivent être rattachés e
elever, ainsi qu'on devait s'y atten-dre, d'après la multiplicité des lésions et la variabilité de leur siège, que les symptôme
grise est atteinte, et les symptômes tabé-tiques quand il existe des lésions des faisceaux postérieurs. Teh sont, en résumé, l
aines influences, peut ne pas être défa-vorable à la production d'une lésion inflammatoire. 3° Chez l'adulte, une lésion du
e à la production d'une lésion inflammatoire. 3° Chez l'adulte, une lésion du même genre, également li-mitée au système des
ion n'est qu'une construc-tion nosographique artificielle, et que les lésions d'une myé-lite quelconque, spontanée, compressive
e tabès dorsal spasmodique, et où à Fautopsie, on avait rencontré les lésions spinales les plus va-riables. J'ai examiné ces ob
actéristique dans cette forme de myélite; à l'autopsie existaient des lésions diverses, et présentant toutefois ce trait commun
ons organiques spinales — et elles sont nombreuses — où il existe une lésion des faisceaux latéraux. Il importe toute-fois de
ublier que la contracture permanente n'est pas l'indice certain d'une lésion organique de la moelle épinière car il existe nom
raux sont affec-tés peut-être fonctionnellement, mais à coup sûr sans lésion ma-térielle. Sous ce rapport, le cas de l'hystéri
isations dans la substance grise de la moelle épinière. Sommaire. — Lésions systématiques de la moelle épinière. — L'étude de
aire. — Lésions systématiques de la moelle épinière. — L'étude de ces lésions doit précéder celle des lésions non systématisées
la moelle épinière. — L'étude de ces lésions doit précéder celle des lésions non systématisées. — Rôle physio-logique de la su
smission des impressions sensitives et des impulsions motrices. Les lésions systématiques de la substance grise paraissent ca
dans lesquelles, par une sorte de sélection, se cantonnent celles des lésions spinales qu'on appelle aujourd'hui lésions systém
, se cantonnent celles des lésions spinales qu'on appelle aujourd'hui lésions systématiques. Cette dénomination de lésions sy
on appelle aujourd'hui lésions systématiques. Cette dénomination de lésions systématiques, que j'ai empruntée à l'enseignemen
ômes étant connus, il sera permis au clinicien de remonter jusqu'à la lésion et d'en déterminer le siège. On est tout nature
çon diffuse et inégale, c'est-à-dire qu'en bonne méthode, l'étude des lésions systématiques spinales doit nécessaire-ment précé
ésions systématiques spinales doit nécessaire-ment précéder celle des lésions spinales non systématisées. J'ose espérer, Mess
que les développements dans les-quels nous sommes entrés à propos des lésions du système des faisceaux pyramidaux ont justifié,
r, Messieurs, ici se présente un fait capital dans l'his-toire de ces lésions systématiques de la substance grise. C'est que le
onscrire dans les colonnes antérieures, mais encore de constituer une lésion exclusive, systématique dans l'acceptation rigour
sans participa-tion (sinon accidentelle) des régions, voisines. Les lésions qui reconnaissent cette localisation étroite sont
mental, — les muscles des parties affectées sont en outre le siège de lésions trophiques plus ou moins profondes, se ré-vélant
istingue du premier coup ces paralysies de celles qui résultent d'une lésion des faisceaux blancs et spécialement des faisceau
aux escharres, etc., tendance qui ne se montre jamais dans le cas des lésions sys-tématiques. 4° Dans la plupart des cas, sur
ce groupe, seulement en raison de la distribution souvent inégale des lésions musculaires trophiques, vous rencontrez en pareil
nant et pour ainsi dire unique, exclusif, c'est, vous le comprenez la lésion musculaire trophique. Aussi ces altérations ont-e
l convient d'ajouter le qualificatif protopathique qui indique que la lésion de la ré-gion spinale d'où dérive cette lésion mu
que qui indique que la lésion de la ré-gion spinale d'où dérive cette lésion musculaire est le fait fondamental. Au contraire,
ques les diverses affections de la moelle épiniôre dans lesquelles la lésion des cornes antérieures n'est que secondaire, acci
atten-tion par une énumération concise. Ainsi que je l'ai dit, les lésions spinales antérieures systé-matiques évoluent, tan
une ma-ladie modèle pour l'étude anatomo-physiologique. En effet, les lésions sont parfaitement circonscrites ; d'autre part, l
aire progressive. Cruveil-hier avait reconnu dans cette affection une lésion des racines antérieures spinales. Les travaux mod
tération, mentionnée et décrite par Cruveilhier, se rat-tachait à une lésion systématique irritative des cornes grises antérie
e figurer un instant di-verses affections spinales dans lesquelles la lésion des cornes antérieures peut exister sans doute, m
constitue pas le fait anatomo-pathologique capital, unique. Ici la lésion originelle est en dehors de la substance grise, e
mble symptomatique complexe, car, de fait, il n'est peut-être pas une lésion spinale, aiguë ou chro-nique qui ne puisse, à un
à un moment donné, envahir les cornes antérieures et y déterminer la lésion des éléments ganglion-naires d'où dérive l'amyotr
de faire appel à un certain nombre de cas concrets. 1° a) Parmi les lésions spinales diffuses non systématisées, on peut cite
-vent prendre le masque de l'atrophie progressive. Il existe même des lésions non inflammatoires qui peuvent avoir un résultat
les tumeurs in-tra-spinales (gliomes, sarcomes, etc.). 2° Parmi les lésions systématiques, il faut mentionner la sclérose pos
nts anatomo-pathologiques : une lé-sion des faisceaux latéraux et une lésion des cornes antérieu-res. Et celle-ci n'est pas ac
oppe, tout porte à le croire, secondairement. Il s'agit donc là d'une lésion systématique, à éléments combinés, comme on dit e
antérieures de la moelle allongée,sont souvent le siège exclusif des lésions pathologiques ; de sorte qu'il existe des amyotro
de celle des éléments ganglionnaires. Il est démontré en effet que la lésion de l'élé-ment ganglionnaire retentit nécessaireme
ire retentit nécessairement sur le muscle par la voie du nerf; que la lésion du nerf retentit sur le muscle, qui, par conséq
nullement démontré d'un autre côté, quant à présent du moins, qu'une lésion des muscles ou des nerfs moteurs puisse retentir
t avait signalé, en 1874, comme étant la détermination clinique d'une lésion médul-laire, caractérisée par une sclérose symétr
cédents, le dia-gnostic est absolument certain; la constatation de la lésion se fera, chez l'un et l'autre sujet, conformément
bulbaire : celle qu'a décrite Duchenne (de Boulogne) ; 4° Enfin les lésions de la sclérose latérale amyotrophique n'auraient
'ait pas été faite encore, on est aussi cer-tain de l'existence de la lésion que si on l'avait actuellement sous les yeux. Or,
dernière objection de M. Leyden est la suivante : anatomiquement, la lésion n'a rien de spécifique ; elle ne porte pas exclus
yramidaux); les faisceaux antérieurs sont pris, et il faudrait que la lésion pût être suivie an-dessus du pont de Varole, pour
acines intra-spinales ne sont pas saines, et il est probable que leur lésion a amené, à la partie antérieure des cornes de sub
res de l'encéphale........ o'I QUATRIÈME LEÇON. Parallèle entre les lésions spinales et les lésions cérébrales. Sommaire. —
.. o'I QUATRIÈME LEÇON. Parallèle entre les lésions spinales et les lésions cérébrales. Sommaire. — Conditions indispensabl
a-tion clinique et d'une autopsie régulière. Histoire naturelle des lésions encéphaliques. Parallèle entre les grands compa
grands compartiments de l'axe cérébro-spinal. — Systéma-tisation des lésions delà moelle épinière.— Localisations spinales. —
utres parties du névraxe : rareté des localisations. —Différences des lésions .— Fréquence des lésions vasculaires dans les mala
: rareté des localisations. —Différences des lésions.— Fréquence des lésions vasculaires dans les maladies du cerveau. — Néces
e relative des territoires vasculaires du cerveau. — Localisation des lésions de l'écorce. Branches de la sylvienne : frontal
s).......... 78 HUITIÈME ET NEUVIÈME LEÇONS. Artères centrales. — Lésions isolées des noyaux gris. Sommaire. — Origine du
to-striés, —Hémorrhagie intra-encé-phalique. — Diagnostic régional. Lésions isolées des noyaux gris, sans participation de la
capsule interne. — Hémiplégies cérébrales centrales et corticales. — Lésions de la capsule in-terne. — Variété des symptômes s
psule in-terne. — Variété des symptômes suivant le siège qu'occupe la lésion dans la capsule interne. Nouvelles considératio
r rôle relativement à la sensibilité. — Preuves fournies : 1° par les lésions de la région posté-rieure lenticulo-optique de la
sée avec hémianesthésie de cause cérébrale : Mêmes symp-tômes." Les lésions des hémisphères cérébraux qui produisent l'hémian
e l'amblyopiè croisée et l'hémianesthésie sensitiva résultant d'une lésion de la capsule interne. Origine cérébrale des nerf
de l'encéphale : faisceaux rayonnants corlico-optiques. Effets des lésions des tubercules quadrijumeaúx antérieurs. Faits d'
iers antérieurs, noyau caudéet noyau lenticulaire)- — Influence des lésions de ces régions sur la production de l'hémiplégie
re eux et les faits de la pathologie humaine. •— Différence entre les lésions du noyau caudé et celles de la partie antérieure
interne. Des degenerations secondaires ou scléroses descendantes. — Lésions qui les produisent; importance du siège et de l'é
ésions qui les produisent; importance du siège et de l'étendue de ces lésions . Caractères des scléroses descendantes : étendu
. Caractères des scléroses descendantes : étendue ; — aspects de la lésion sur le pédoncule cérébral, la protubérance, la py
x cornes de substance grise. Sclérose descendante consécutive à une lésion du système cortical. — Dé-monstration des fibres
édonculaires directes : faits anatomo-pathologiques. — Le siège des lésions corticales qui produisent des dégénérations secon
e en plaques long-temps considérées comme des névroses. — L'étude des lésions , avec le con-cours de l'expérimentation, peut fou
ique des phénomènes morbides. Constitution de la moelle épinière. — Lésions systématiques. — Faisceau pyramidal (faisceau dir
Une ques-tion de localisations domine la situation. — La nature de la lésion importe peu, pourvu que cette lésion soit destruc
la situation. — La nature de la lésion importe peu, pourvu que cette lésion soit destructive.— Lésion consécutive du pédon-cu
de la lésion importe peu, pourvu que cette lésion soit destructive.— Lésion consécutive du pédon-cule ; elle divise l'étage i
bérance, dans le bulbe, dans la moelle épinière. Localisation de la lésion degenerative dans la région opto-striée. — Etudes
ramidal dans l'hémisphère cérébral. — Région rolandique du manteau. — Lésions en foyer de cette région ; elles-donnent lieu à d
cause cérébrale {fin}. — Amyotrophies consécutives. Sommaire. — Les lésions dégenératives du faisceau pyramidal permettent d'
la moelle dans le mal de Pott. — Pachyméningite caséo-tuberculeusc. — Lésion trans-verse totale. -- Il faut que cette lésion s
caséo-tuberculeusc. — Lésion trans-verse totale. -- Il faut que cette lésion soit destructive pour qu'il s'ensuive une degener
uive une degeneration. Division des degenerations consécutives à la lésion transverse totale. — Dégénérations descendantes.
— Faisceaux céré-belleux de Flechsig. Dégénérations dans le cas de lésion transverse partielle. — Elles n'ont lieu que quan
e cas de lésion transverse partielle. — Elles n'ont lieu que quand la lésion destructive porte sur les faisceaux blancs. —Cas
x blancs. —Cas de l'hémiparaplégie spinale avec anesthésie croisée. Lésion unilatérale de la moelle épinière déterminant, à
cher du quatrième ventricule. — Structure des faisceaux de Burdach. Lésions systématiques isolées, soit dans le faisceau de G
oit dans le faisceau de Goll, soit dans le faisceau de Burdach. — Les lésions du faisceau de Goll ne donnent pas lieu aux sympt
. — Ce pronostic est basé sur le diagnostic anatomique du siège de la lésion . Détermination exacte du territoire vasculaire
tracture. Raison physiologique de ce phénomène. -- A la suite de la lésion cérébrale, il faut distinguer deux périodes dans
rébrale, il faut distinguer deux périodes dans le développement de la lésion spi- nalc secondaire. — L'exaltation des réilex
seulement des la suppression de l'influence modératrice cérébrale. La lésion des cornes antérieures dans l'hémiplégie permanen
La lésion des cornes antérieures dans l'hémiplégie permanente est une lésion irritutive. — Elle agit comme la strychnine. — Ex
hémianesthésie : hémiplégie de cause encéphalique.— L'hypothèse de la lésion irritative dynamique explique mieux que les autre
ues du faisceau pyramidal avec les cellules des cornes antérieures. — Lésions de ces cellules. — Elles sont de nature irritativ
elle épinière. — Paralysie des deux membres inférieurs dans le cas de lésion spinale unila-térale. — Hypothèse anatomique qui
isations dans la substance grisé de la moelle épin1èré. Sommaire. — Lésions systématiques de la moelle épinière. — L'étude de
aire. — Lésions systématiques de la moelle épinière. — L'étude de ces lésions doit precèdei' celle des lésions non systématisée
la moelle épinière. — L'étude de ces lésions doit precèdei' celle des lésions non systématisées. —Rôle physio-logique de la sub
smission des impressions sensitives et des impulsions motrices. Les lésions systématiques de la substance grise paraissent ca
rts entre 1' — croisée et l'hé-mianesthésie sensitive résultant d'une lésion de la capsule interne, 131, 415. Amyotrophies s
, 143. Bruit musculaire, 328. Bulbe rachidien. Il est le siège de lésions systématiques, 49; — sa circulation, 82; — son dé
avec le pied du pédoncule, 87 ; — sa constitutions 89 ; — ses rv. lésions , 103 ; — Variétés des symptômes suivant le siège
rv. lésions, 103 ; — Variétés des symptômes suivant le siège de ces lésions , 104, 108 ; — Régions de la —, 109,229 ; — Influe
210 ; — Genou de la —, 210, 227 ; — Localisations dans la —, 226 ; — Lésions des-tructives de la —, 300, 301. Cellules gangl
Faisceaux); — postérieurs (dé-génération), 261. Cornes antérieures ( Lésions des), 340 ; — lésion irritative, 341 ; — dans la
urs (dé-génération), 261. Cornes antérieures (Lésions des), 340 ; — lésion irritative, 341 ; — dans la moelle allongée, 385.
, 277. H Hémtanestiiésie, 98 ; — cérébrale, 103, 451 ; — liée aux lésions posté-rieures de la capsule interne, 103, 111 ; —
Rapports entre l'amblyopic croisée et V — sensi-tive résultant d'une lésion capsu-Iaire, 134 ; — dans les lésions de la protu
t V — sensi-tive résultant d'une lésion capsu-Iaire, 134 ; — dans les lésions de la protubérance ou du pédoncule, 145 ; — expér
ve à 1' —, 296. Hémorrhagie méningée, 335. Histoire naturelle des lésions en-céphaliques, 45. Hystérie (Contracture dans 1'
odératrice du cerveau, 293. Insula de Reil, 8, 298. Irritation et lésions irritatives, 340, 341, 349, 355. K Kinésodiqu
341, 349, 355. K Kinésodiques (Cellules). (V. Cel-lules.) Ii Lésions . ( V. Systématiques.) Lobes cérébraux, 13 et su
cérébraux, 13 et suiv. Lobule paracentral, 30, 34, 39; Exemples de lésions du —, 40. Lobule quadrilatère,39.(V. Avant-coin
136. Noyaux gris de l'encéphale, 4 ; — leur circulation, 78 ; leurs lésions indépendantes de celles de la cap-sule interne, 1
; — pyramidal, 23; — basai, 24. Protubérance. Elle est le siège de lésions systématiques, 48 ; — sa circulation, 81 ; -- Tra
63, 164. Sclérose latérale amyotrophique, 48, 352 ; -- La — est une lésion systématique à éléments combinés, 385 ; -- Anatom
e (Myélite), 359, 361. Systèmes d'association, 24. Systématiques ( Lésions ) en gûiéntL. 47 ; — elles répondent à une topo-gr
vue de la pathologie et de la physiologie, 371. Systématisation des lésions , 46, 377. Système neuro-musculaire, 381. T
x, 140; — leurs rapports avec les racines des nerfs optiques, 142 ; — lésions des —, 145. V Volonté (Transmission des ordre
thè-ses et opinions soutenues depuis Galien, 363. w Wallériennes ( Lésions ), 271. Z Zones radiculaires, 186. Zone rolandiq
2 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
de celle du nosographe. — Diver-sité des opinions sur le siège de la lésion dans l'ataxie locomotrice. — Insuf-fisance des pr
scopique. — Induration grise , ses caractères. — Foyer originel de la lésion irritative. — Anatomie topographique microscopiqu
ose débute par les bandelettes postéro-latérales. — Rapport entre les lésions et les symptômes. — Mode de propa-gation de la sc
enfin, ont soutenu que l'ataxie était une névrose : pour ceux-ci, la lésion des centres nerveux, trouvée à l'autopsie, ne se
stème nerveux — les faisceaux postérieurs de la moelle épinière — des lésions facilement saisissables. J'espère vous montrer,
e les symptômes de l'ataxie en soient la conséquence ; 2° Certaines lésions de la moelle, primitivement développées en dehors
urs le même ou peu s'en faut ; c'est une maladie à part, autonome. La lésion à laquelle sont liés les symptômes occupe, en réa
le ne nous donne pas les moyens de préciser exactement le siège de la lésion , pas plus que sa nature. Elle nous enseigne simpl
ces communications, les symptômes ne pouvaient être mis en regard des lésions ; aussi, ces observations n'éveillèrent-elles guè
aussi, d'une ma-nière générale, qu'elle a permis de constater que les lésions V, L'étude de la moelle épinière, à l'aide de
l'évolution du processus morbide. C'est ainsi qu'on a reconnu que la lésion des cordons postérieurs, dans l'ataxie locomotric
nt sur l'état de la substance grise, sur la localisation exacte de la lésion , sur la genèse et la nature du processus morbide,
ésent, d'une manière définitive : quel est le foyer originel de cette lésion irritative ? Est-ce la névroglie? Est-ce au contr
ue confirmer, d'une manière générale, ces données, en montrant qu'une lésion , limitée à tel ou tel de ces départements, se tra
icat que l'est la moelle, aussi difficile à atteindre, déterminer des lésions exclusivement bornées, par exemple, à certains gr
'en douter. La maladie, au contraire, produit journellement de telles lésions , etl'anatomie topogra- phique de la moelle nous
pporte à une altération occupant le même siège, mais dans laquelle la lésion des cellules nerveuses s'o-père non plus suivant
portants qui ont été éluci-dés. Je vous ai laissé pressentir que la lésion des cordons postérieurs de la moelle, à laquelle
2, 3, 4, a, a ; voyez aussi Planche I, Fig. 1). L'examen attentif des lésions que présente la région Sclérose limitée aux cor
té à un haut degré dans les deux membres supé-rieurs, et cependant la lésion scléreuse n'était représentée, à l'autopsie, dans
t ce qui précède que, pour ce qui concerne les membres supérieurs, la lésion des cordons de Goll ne saurait réclamer aucun rôl
uelle peut donc être la raison de l'exis-tence si habituelle de cette lésion dans l'ataxie? M. Pierret a émis l'opinion qu'il
ane ascendante, à la suite des myélites partielles ; d'après cela, la lésion des cordons de Goll ne se produirait à la région
en les membres inférieurs que les membres supérieurs, et cependant la lésion des cordons médians faisait défaut ici à la régio
e des faisceaux postérieurs. Vous voyez, Messieurs, qu'en somme, la lésion scléreuse des bandelettes latérales est le seul f
rose des bandelettes latérales des faisceaux postérieurs est la seule lésion constante dans l'ataxie locomotrice ; cette lésio
ieurs est la seule lésion constante dans l'ataxie locomotrice ; cette lésion existe, Messieurs, à toutes les épo-ques de la ma
oscopiques, — à reconnaître le mode d'envahisse-ment progressif de la lésion , soit de dedans en dehors, soit de dehors en deda
i, comme a priori cela est très vraisemblable, cette localisation des lésions sclé-reuses, chez les ataxiques, dans une région
symp-tômes ordinaires de la maladie. L'extension progressive de la lésion scléreuse au delà des foyers qu'elle occupe à l'o
veux n'entrent pas seuls dans la composition des bandelettes ; car la lésion scléreuse se retrouve tout aussi prononcée dans l
par ce qui pré- Chap.cot. Œuvres complètes, ?.?. 2 cède, que leur lésion produit l'incoordination, tandis que la lésion de
.?. 2 cède, que leur lésion produit l'incoordination, tandis que la lésion des faisceaux de fibres qui composent les cordons
entre le trajet des faisceaux radiculai-res internes et le siège des lésions de l'ataxie contribuera, sans doute, à faire comp
pinion que l'amyotro-phie relevait, dans ce cas, de l'extension de la lésion sclé-reuse des cordons postérieurs à la corne ant
extrémités de la substance grise antérieure, et y aura dé-terminé les lésions qui président au développement del'amyo-trophie d
ieurs, que, dans le cas de dégéné-ration ascendante consécutive à une lésion partielle de la moelle dorsale (myélite partielle
ataxie loco-motrice progressive. Aussi, chez ces malades, bien que la lésion spinale primitive occupe un point limité de la ré
à une sorte à!action à distance. Il est incon-testable que certaines lésions expérimentales, portant sur le segment inférieur
'ai fait remarquer, Messieurs, la sclérose ascendante consécutive aux lésions partielles de la moelle dor-sale reste strictemen
gle ; or, ainsi que nous l'avons démontré dans la dernière séance, la lésion des faisceaux médians n'a pas pour effet, lorsqu'
ins cas, les bandelettes latérales des faisceaux postérieurs, dont la lésion , vous le savez, produit l'incoordination ; c'est
dons médians postérieurs, il existe presque toujours, dans les cas de lésion partielle de la moelle dorsale, principa-lement l
lésion partielle de la moelle dorsale, principa-lement lorsque cette lésion siège très haut, au voisinage du Il est temps,
et remonter jusqu'au bulbe, principalement, je le répète, lorsque la lésion partielle primitive occupe les parties supérieure
int, — progresse en s'aggravant d'une manière à peu près fatale. La lésion spinale, sur laquelle notre attention a surtout p
le nom de symptômes cephaliques, et qui ont pour point de départ une lésion des nerfs cérébraux ou bulbaires, tels que les ne
l choisie, car, déjà, lorsque les premiers symptômes apparaissent, la lésion est constituée, visible. Et d'ailleurs, conçoit-o
jourd'hui encore, vous pourrez recon-naître les cicatrices dues à ces lésions qui remontent déjà à quatre ou cinq ans. 3° Dou
is bien de la sclérose rubanée postérieure, en tant, du moins, que la lésion a envahi le trajet intra-spinal des faisceaux rad
uivent, et que, d'un autre côté, ces douleurs exis-tent, alors que la lésion scléreuse est restée limitée au trajet des faisce
montré M. Magnan et M. Westphal, sont un accompagnement fréquent des lésions ordinaires de la paralysie générale. J'ai été c
ue cette fois, mais devant être rattachée tou-jours,, cependant, aune lésion des cordons postérieurs, lésion que l'anatomie pa
rattachée tou-jours,, cependant, aune lésion des cordons postérieurs, lésion que l'anatomie pathologique fera sans doute décou
al de Pott. Dans plusieurs de ces cas, j'ai reconnu à l'au-topsie une lésion fasciculée extensive des cordons postérieurs, pou
âgée de 55 ans. Il y a 29 ans que cette femme est devenue aveugle. La lésion du fond de l'œil consiste en une atrophie nacrée
pourrait obscurcir le diagnostic, et faire songer à l'existence d'une lésion cérébrale ou cérébelleuse. — C'est un point sur l
que. Sommaire. — Symptômes céphaliques dans l'ataxie locomotrice. — Lésions des nerfs crâniens et bulbaires. — Induration gri
nce isolée de l'amaurose tabétique ; sa fréquence. — Caractères de la lésion anatomique du nerf optique à l'œil nu et au micro
s sous le nom de symptômes céphaliques. Ces symptômes répondent à des lésions variées des nerfs crâniens et bulbaires. Dès les
les douleurs fulgurantes, seule représentation, à cette époque, de la lésion spinale, se trouvent généralement combinées, en p
e sont : 1° des troubles de l'accommo-dation, la diplopie, liés à des lésions plus ou moins transitoires et fugaces ; 2° des tr
ins transitoires et fugaces ; 2° des troubles visuels dépendant d'une lésion par-ticulière du nerf optique. Ceux-ci sont autre
t sérieux que les premiers, car l'affaiblissement de la vue, comme la lésion qui l'a produite, se distingue par une marche à p
r une marche à peu près fata-lement progressive et envahissante. La lésion des nerfs optiques, dont il s'agit, pourrait être
du nom d'induration grise progressive, par opposition d'une part à la lésion de ces mêmes nerfs dans la sclérose en sortir l
nt pas eux-mêmes toujours indemnes. Les symptômes qui répondent à ces lésions se traduisent, pour les uns, par un état paralyti
réquence de leur altération et de la gravité de l'affection que cette lésion déter-mine. Nous allons donc entrer à ce propos d
mais dont la progression est moins inévitable ; et d'autre part, aux lésions connues sous le nom de névrite optique : dans ces
s ces deux der-niers cas, malgré quelques traits de ressemblance, les lésions et les symptômes diffèrent d'une manière essentie
e peut se présenter entourée de symptômes que reproduisent cer-taines lésions encéphaliques, les tumeurs, par exemple avec une
ivie d'ataxie ; de pouvoir, en d'autres termes, un cas d'amaurose par lésion atrophique du nerf optique étant donné, déclarer
e dit, à peu près infaillibles. III. Un mot d'abord concernant la lésion anatomique à laquelle se rattache le trouble visu
le voyez, dans le nerf optique, une marche centripète, tandis que les lésions cor-respondantes des nerfs spinaux ont, au contra
ence des vaisseaux propres que renferme le nerf optique dans son La lésion qui constitue l'induration grise s'accuse d'aille
nt à la gangue conjonctive. On s'expliquerait ainsi pourquoi, dans la lésion tabélique des nerfs optiques, l'élément nerveux s
début de ces accidents par un œil et la lo-calisation prolongée de la lésion , dans ce même œil, sont tout à fait l'inverse de
temps subsister le doute. Je ne ferai que mentionner en passant, la lésion du nerf op-tique qui survient quelquefois dans la
-tique. Enfin, dans la paralysie générale, on observe quelquefois une lésion de la papille qui ne diffère en rien de celle qui
xie ; mais nous avons eu le soin de vous faire remarquer déjà que les lésions spinales tabétiques se rencon-trent, dans quelque
'hypothèse de tumeurs cérébrales. S'il s'agit, en particu-lier, d'une lésion syphilitique, la cécité peut n'être pas fatale-me
dation plus abon-dante, et c'est, en somme, dans la production de ces lésions que gît toute la différence. V. Recherchons m
Diagnostic entre l'arthropathie des ataxiques et l'arthrite sèche. Lésions anatomiques. — Des arthropathies consécutives aux
nale. — Mécanisme de la production de l'arthropathie des ataxiques. — Lésion des cornes antérieures de la substance grise. — D
-culaires qui paraissent être sous la dépendance directe de certaines lésions de la moelle épinière auxquelles elles se rattach
rattacheraient par conséquent à titre d'affection symptomati-que. Les lésions irritatives de la moelle épinière, celles surtout
ticulaires, développées sous l'in-fluence plus ou moins directe de la lésion du centre spinal. Dès à présent, il n'est pas i
ma 1 La Planche VII, est relative à une ataxique qui présentait des lésions osseu-ses (fractures), et des lésions articulaire
une ataxique qui présentait des lésions osseu-ses (fractures), et des lésions articulaires (arthropathies). On trouvera l'obser
ids en faveur de la spécialité — pour ne pas dire spécificité — de la lésion articulaire dont je vous entretiens. Pour que vou
ces osseuses, des luxations variées (forme mali-qne). En dépit de ces lésions profondes, le membre correspon-dant à l'arthropat
forme mono-articulaire de l'arthrite sèche, reconnaît pour cause une lésion traumatique, une fracture intra-articulaire. Je c
—Extrémité supérieure d'un humérus sain et d'un humérus offrant, les lésions de Varthropathie des ataxiques. testablement, d
rès le début de l'arthropathie, avec la planche d'Adams, figurant les lésions de l'arthrite sèche scapulo-humérale, et vous sai
'affections articulaires subordonnées plus ou moins directement à une lésion protopathique du système nerveux n'est pas, tant
manifestation du rhumatisme noueux, de la goutte tophacée, ou une des lésions de la maladie d'Heberden, comme elle peut être au
, fort bien aujourd'hui les affections articulaires qui résultent des lésions des nerfs périphériques au même titre que l'herpè
e affection articulaire relevant évidemment à titre de symptôme de la lésion de ce département des centres nerveux. On obser
e plus facile de montrer la liaison qui existe, suivant moi, entre la lésion spinale et l'affection articulaire c'est celui de
i, entre la lésion spinale et l'affection articulaire c'est celui des lésions traumatiques portant sur la moelle épinière ; je
ce que j'avance. Dans un cas, relaté par M. Viguès, il s'agit d'une lésion de la moitié latérale gauche de la moelle épinièr
ulier, la région de la moelle épinière dont l'altération détermine la lésion articulaire ; car, évidemment toutes les régions
lieu dans l'atrophie musculaire et dans la paralysie infantile où la lésion trophique musculaire est évidemment liée à une al
égion de substance grise pouvait être encore le point de départ de la lésion articulaire. Un fait, observé avec M. Joffroy, es
ype aigu, apparaissant constam-ment quelques jours seulement après la lésion spinale et ac-compagnée d'autres troubles trophiq
t des affections articulaires à type aigu qui éclatent à la suite des lésions spinales aiguës ou subaiguës. mitant de l'arthr
e désigner aussi les cornes antérieures comme siège particulier de la lésion spinale. Je dois cependant, à la vérité, déclarer
o-adipeux du rachis: carci-nome, sarcome, hystes hydatiques, abcès. Lésions vertébrales : hyperostoses syphilitiques, arthrit
épinière en di-vers points de son trajet dans le canal rachidien. Les lésions organiques, capables d'amener ce résultat, sont d
des tumeurs parasitaires, etc. Au point de vue de la clinique, ces lésions , d'origines si variées,doivent être cependant r
sous le rapport de L'anatomie et de la physiologie pathologiques, les lésions organiques multiples qui lui donnent naissance. C
terminent une com-pression plus ou moins prononcée de cet organe, les lésions dont il s'agit ont parfois une histoire anatomiqu
s nous livrer. Qu'il me suffise de vous rap-peler qu'un bon nombre de lésions organiques que nous allons II. Afin d'établir
un peu d'ordre dans rémunération qui va sui-vre, nous grouperons les lésions en question d'après le siège qu'elles occupent, a
vient en première ligne, non en raison de sa fréquence, car c'est une lésion exceptionnelle, mais parce qu'il s'agit là d'une
vec quelque précision durant la vie, la présence dans la moelle d'une lésion syphi-litique. e) Je ne veux pas abandonner le
moelle épinière. Dans un cas de Gull, et dans quelques autres, cette lésion s'était traduite, du vivant du malade, par une pa
ère, et, par son intermédiaire, pressent la moelle elle-même. VI. Lésions vertébrales. J'arrive, Messieurs, au point le plu
aux points qui ont trait le plus directement à la compression que ces lésions ont le pouvoir de déterminer. A. Je commencerai
parties ainsi altérées de la dure-mère sont, à leur tour, le siège de lésions plus ou moins considérables et qui se seront trad
un élément qui se montre en proportions variées, dans tous les cas de lésions organiques qui, développées en dehors de la moell
s-cendante. — Les fonctions peuvent se rétablir malgré l'existence de lésions profondes. — Régénération des tubes nerveux au ni
t, dans la dernière séance, nous avons passé en revue les principales lésions organiques qui peuvent déterminer la compression
épinière au niveau du point com-primé. M. L. Tripier a signalé cette lésion secondaire dans le cas de cancer de la colonne ve
as de myélite transverse primitive subaiguë ou chronique. Mais, les lésions spinales, dans la compression lente, ne restent p
les cordons postérieurs et au-dessous les cordons latéraux. Enfin, la lésion ne porte que sur une moitié latérale de la moelle
le de la moelle, si la com-pression est elle-même hémilatérale. Ces lésions secondaires sont-elles d'abord purement pas-sives
c'est là une particularité impor-tante, — que, à un moment donné, les lésions en question se présentent dans les cordons envahi
s renseignements fournis par l'étude microscopique, était le siège de lésions tellement profondes qu'elle paraissait litté-rale
joute des phéno-mènes dont le caractère varie suivant la nature de la lésion organique qui est enjeu. Et, Messieurs, la connai
n l'exis-tence d'une douleur locale correspondant au lieu où siège la lésion et dépendant de l'irritation des os ou de celle d
'est la règle, dans le cas où, soit des tumeurs, soit encore d'autres lésions se développent primitivement dans l'épaisseur de
er a-t-il pu dire avec raison que la douleur vive est un symptôme des lésions extra-spinales et qui fait défaut dans les cas de
ymptôme des lésions extra-spinales et qui fait défaut dans les cas de lésions intra-spinales. Bien que, ici comme ailleurs, les
, à tous égards, à celle qui naît et progresse sous l'influence d'une lésion traumatique. Le ca-ractère de la douleur est le m
la paralysie, la contracture. Au reste, la nature inflammatoire de la lésion nerveuse a été plusieurs fois nette-ment constaté
ement élucidée. Il est vraisemblable qu'elle est variable : tantôt la lésion du nerf siège au niveau de la dure-mère ; tantôt
ai seulement que ces auteurs ne parlent aucunement du mécanisme de la lésion , non plus que du mode de production des symptômes
roncs nerveux, et dans le cas de cancer vertébral, en particulier, la lésion des nerfs est produite par l'affaissement des ver
urs que celles qui se développent en conséquence de toutes les autres lésions organiques, quelles qu'elles soient, capables de
été consignées dans la thèse de M. L. Tripier, et dans les-quelles la lésion organique en question existait avec tout l'en-sem
pourront occuper le plexus blachial ou le plexus cervical, lorsque la lésion portera sur la région verté-brale cervicale. D'
ts observés à la Salpêtrière, je demandai s'il n'existait pas quelque lésion mammaire. On me répondit par la négative; mais je
ie et hémi-paraplégie spinales avec anesthésie croisée. Sommaire. — Lésions que subit la moelle au niveau du point comprimé.
n des sensations, dysesthésie. — Sensations associées. Second cas : Lésions portant sur une des moitiés latérales du cordon n
une des moitiés latérales du cordon nerveux. — Circonscription de la lésion . — Hémiparaplégie spinale avec anesthésie croisée
altéré profondément. Le ligament vertébral antérieur, au niveau de la lésion osseuse, était comme dilacéré et la matière casée
de clarté, pre-nons pour exemple le cas le plus vulgaire, celui où la lésion siège sur un point quelconque de la région dorsal
issent à leur manière. Au niveau du point comprimé, se produisent les lésions de la. myélite transverse par compression. tandis
hèse où nous nous sommes placés, il s'agit uniquement bien entendu de lésions organiques primitivement situées en dehors de la
e myélites spontanées ou de tumeurs intra-spinales, dans lesquels ces lésions occupent très habituellement, dès leur apparition
es masses musculaires, autant de sym-ptômes qui relèvent encore de la lésion des cordons latéraux mais qui indiquent déjà qu'u
oque de la maladie qui paraît devoir être rattachée, elle aussi, à la lésion scléreuse que présentent les cordons laté-raux da
cas, s'opère par regorgement comme on l'a dit. Au contraire, si la lésion siège très bas, vers la partie supé-rieure de la
par une sorte d'arrêt que commande la volonté. D'après cela, toute lésion qui aura pour conséquence d'inter-rompre dans la
e qui commande l'occlusion constante du sphincter; c'est pourquoi les lésions de la moelle cervicale et dorsale pro-duiraient l
bserve dans certains cas de compression spinale. Si, par contre, la lésion siège plus bas, les conditions de l'acte réflexe
ue très tard, d'une manière sérieuse, à moins qu'il ne s'agisse d'une lésion qui, primitivement, aurait occupé les parties cen
ar une compression lente de la moelle épinière, que dans le cas où la lésion spinale est portée au plus haut point. VI. A
qu'ici, Messieurs, nous ne nous sommes occupés que des VIII Toute lésion hémilatérale de la moelle, qui ne remplirait pas
s que d'une manière imparfaite ; une fois, au contraire, ces condi- lésions organiques qui interceptent le cours des fibres n
épinière lésée dans toute son épaisseur, jusqu'à la ligne médiane. La lésion doit avoir, par conséquent, interrompu le cours d
diane. Dans ces conditions spéciales, et dans celles-là seulement, la lésion dont nous étudions les effets se traduit clinique
ent sous le nom ^hémiplégie spinale avec anesthésie croisée, quand la lésion dont il s'agit occupe un point de la région cervi
u'il nous est possible de faire remonter, avec préci-sion, jusqu'à la lésion anatomique qui leur a donné naissance. Pendant
gie avec anesthésie croisée paraît être une conséquence fréquente des lésions du centre spinal par un instrument tranchant. Cep
rait exagérée ou normale. Adroite, c'est-à-dire du côté opposé à la lésion spinale, le mouvement serait parfaitement conserv
une véritable hé-mianesthésie, limitée supérieurement au niveau de la lésion spinale, par une ligne horizontale bien tranchée
croisée, c'est-à-dire occupant le côté du corps opposé au siège de la lésion spinale, mais l'insensibilité ne resterait pas bo
ait peut-être seule respectée. Du côté correspondant au siège de la lésion spinale, la pa-ralysie motrice occuperait à la fo
serve, ainsi que nous l'avons fait remarquer ailleurs, dans certaines lésions en foyer de l'encéphale *. Mais, maintes circonst
ent à la distinction. Ainsi, dans l'hystérie, comme dans le cas d'une lésion encéphalique, la face participerait à peu près né
côté que celle-ci chez les hystériques et chez les sujets atteints de lésions organiques de l'encéphale. Je ne m'étendrai pas p
enant les conséquences qui ré-sulteront d'une telle disposition. La lésion hémilatérale de la moelle épinière — qu'il s'agis
vant les cas, à direction transversale, qui s'observe au niveau de la lésion et du même côté que celle-ci. 1 Consulter Brown
, t. IV, 1863,p. 124 ; — The Lancet, 1869, vol. I. Au-dessous de la lésion , les conducteurs venant de ce même côté de la moe
ns sensitives venues du côté de la moelle opposé à celui qu'occupe la lésion , ils ont tous à traverser, après leur entre-crois
oi-sée. Quant à la paralysie motrice qui s'observe au-dessous de la lésion hémilatérale de la moelle et du même côté qu'elle
entrale de la substance grise. 11 résulte de cette disposition qu'une lésion hômilatérale de la moelle, même assez prononcée,
t pas pour effet de déterminer l'hémianesthé sie croisée. Une telle lésion produirait, suivant le cas, l'hémi-plégie ou l'hé
plus saillants de l'ensem-ble symptomatique qui révèle l'existence de lésions hémilaté-rales de la moelle épinière. Je ne puis
outer à ce qui précède quelques détails complémentaires. Rarement les lésions dont il est question restent à jamais confinées d
r primitif. Il est presque de règle, par exemple, qu'au-dessous de la lésion transverse hémilatérale, et du même côté que cell
pas à se surajouter à la paralysie déterminée dans les membres par la lésion spinale primitive : d'autres fois, l'irritation s
l'irritation semble se propager, en outre, également au-dessous de la lésion en foyer et du même côté dans la corne antérieure
eulement, comme on a pu le penser pendant un temps, en conséquence de lésions trau-matiques de la moelle épinière. Je l'ai pour
de la moelle épi-nière. 1 Charcot et Gombault. — Note sur un cas de lésions disséminées des centre nerveux observées chez une
gie cervicale. — Compression des nerfs des extré-mités supérieures. — Lésions de la moelle épinière au cou ; leur mode d'ac-tio
ue à la compression des nerfs périphériques et celle qui dépend d'une lésion de la moelle. — Altération des cellules nerveuses
grais-seuse du tissu cardiaque, dépôts fibrineux). — Insuffisance des lésions car-diaques, dans certains cas, pour expliquer le
transverse de l'apophyse odon-toïde. Symptômes qui accompagnent les lésions du renflement lombaire et de la queue de cheval.
8, p. 207. cularités qui s'observent quelquefois dans les cas où la lésion , qui détermine les phénomènes de compression, aff
aplégie cervicale ; celle-ci peut se montrer encore en conséquence de lésions qui portent leur action sur la moelle épinière el
ionnellen Nervenkrankh. Berlin, 1871, p. 379. pour démontrer que la lésion ne porte pas sur ;le trajet péri-phérique des ner
ysie infantile spinale, la paraplégie cervicale s'ob-serve lorsque la lésion systématique des cornes antérieures de la substan
ns ce dernier cas, en raison de l'évolu-tion relativement lente de la lésion et de son extension, pour ainsi dire fatale à un
in nombre de symptômes qui se manifestent parfois, en conséquence des lésions par compres-sion soit de la région cervicale, soi
plus ou moins accusés se produisent assez fréquemment par le fait des lésions traumatiques portant sur la moelle cervicale ou s
es modifications de l'orifice pupillaire peuvent se montrer liées aux lésions par compression des régions supé-rieures de la mo
point ramolli. Les lobes inférieurs des deux poumons présentaient les lésions d'une pneumonie ré-cente ; nulle part, dans ces o
é-cente ; nulle part, dans ces organes, il n'existait de traces d'une lésion ancienne \ Des symptômes fort analogues, sous t
e commotion cérébrale, un symptôme immédiat assez fréquemment lié aux lésions spinales occasionnées par une fracture des vertèb
tent quelquefois d'une manière périodique chez les sujets atteints de lésions spinales par compression. Contraire-ment à ce qu'
paraît être, chez l'homme, un résultat comparativement assez rare des lésions spinales. Pourtant j'ai pu aisément réunir une di
dizaine de cas de ce genre dont la moitié environ est relative à des lésions de la moelle cervicale déterminées par la compres
ier cas, vous le savez, limitées aux parties situées au-dessous de la lésion de la moelle épinière. f) Un des faits les plus
ssi, si je ne m'abuse, les moins remarqués, de la symptomatologie des lésions spinales cervicales, c'est, sans contredit, le ra
permanent du pouls que l'on observe quelquefois en conséquence de ces lésions . L'observation chirurgicale a depuis longtemps
compression portait plutôt sur le bulbe. Pour l'épilepsie liée aux lésions des régions dorsale et lombaire de la moelle épin
irconstances, s'observer avec toutes ses conséquences, à la suite des lésions irritatives 1 Hutcliinson. — On fractures of th
omène indifférent, pour peu qu'il soit très accentué. En dehors des lésions traumatiques de la moelle cervicale ou du bulbe r
du pouls lent puisse reconnaître, en effet, pour point de départ une lésion organi-que du cœur. Mais je dois déclarer que tro
é conduit par là à me demander, si, tout au moins dans ces cas où les lésions cardiaques font défaut, la cause organique du ral
pouls lent permanent considéré dans ses relations possibles avec les lésions spinales ou bul-baires, c'est non seulement parce
ainsi que le démontrent mes trois observations, soit qu'il y ait des lésions organiques du cœur bien et dûment constatées, soi
ions organiques du cœur bien et dûment constatées, soit alors que ces lésions n'existent pas. Quelle est donc l'ori-gine du ral
s les cavités cardiaques, relèvent dans certains cas, au moins, d'une lésion siégeant dans le bulbe ou dans la moelle cervical
s rela-tivement aux symptômes particuliers qui s'observent lorsque la lésion porte sur le renflement lombaire ou encore sur la
sie des membres inférieurs. Paris, 1864, p. 73. — W. Ogle. — Pa- la lésion siégeait d'un seul côté du renflement, soit à dro
— et c'est là ce qui permettrait de différencier ce cas de ceux où la lésion hémilatérale siège plus haut dans la moelle — per
erfs de la queue de cheval rentrent naturellement dans l'histoire des lésions des nerfs périphériques. Les douleurs pseudo-névr
siège et d'étendue, suivant le mode de répartition et le degré de la lésion des nerfs. Les sphincters de l'anus et de la vess
nales ou de cause spinale. — Caractères géné-raux. — Localisation des lésions spinales dans les cornes antérieures de la substa
— seconde période ou ré-gression des symptômes avec localisation des lésions musculaires (Atrophie musculaire, arrêt de dévelo
ot paralytique). Anatomie pathologique de la paralysie infantile. — Lésions des muscles aux diverses périodes ; surcharge gra
— Lésions des muscles aux diverses périodes ; surcharge graisseuse. — Lésions du système ner-veux : historique (Charcot et Corn
ockh'irt-Clarke et Johnson, Damaschino et Roger). — Localisai ion des lésions dans les cornes antérieures de la substmee grise.
hie des racines antérieures. — Raisons qui tendent à démontrer que la lésion primitive réside dans les cellules nerveuses. 1
signer sous le nom de myo-pathies spinales ou de cause spinale. Une lésion trophique des muscles, plus ou moins étendue et p
s affections que nous allons dé-crire. Elles sont déterminées par une lésion qui peut siéger exclusivement, ou à peu près, sur
fecter la substance grise centrale. Dans ces myélites centrales, la lésion inflammatoire porte indistinctement sur tous les
font défaut dans les myopathies spinales. En somme, Messieurs, les lésions du système musculaire de la vie animale, se tradu
toutes les atrophies musculaires développées sous l'in-fluence d'une lésion spinale (amyotrophies spinales) à deux groupes fo
on-scrit qu'il soit, offre déjà un champ d'étude assez vaste, car les lésions aiguës de la moelle épinière qui peuvent entraîne
dans le canal rachidien ; en-fin la paralysie infantile. Parmi ces lésions spinales d"origine et de nature si diverses, il e
emarquable et qu'il convient de considérer tout d'abord, parce que la lésion médullaire et les con-séquences qui s'y rattachen
e semble s'accuser plus vite, dans cette maladie, que dans les cas de lésions des nerfs mixtes où elle est cependant très rapid
sie peut aller jusqu'à S ou 6 centi-mètres, bien que, dans ce cas, la lésion musculaire soit restée localisée dans un ou deux
tion, 1 72, p. 400. fonctions des muscles, être suivie cependant de lésions tro-phiques osseuses qui persistaient toute la vi
ile de trouver un exemple plus propre à éta-blir l'action directe des lésions du système nerveux central sur la nutrition des p
e mode de développement des accidents1. A partir de l'époque où les lésions sont devenues définitives dans certains muscles,
qui vient de vous être- présenté. Nous traiterons en premier lieu des lésions des muscles, et en deuxième lieu des lésions du s
rons en premier lieu des lésions des muscles, et en deuxième lieu des lésions du système nerveux. {"Lésions des muscles. — Je
des muscles, et en deuxième lieu des lésions du système nerveux. {" Lésions des muscles. — Je serai bref sur ce qui est rela-
le, un fait plutôt exceptionnel. En somme, il paraît constant que les lésions irritatives prédo-minent sur les lésions passives
, il paraît constant que les lésions irritatives prédo-minent sur les lésions passives. Nous verrons bientôt que, contrairement
trouve dans l'atrophie musculaire progressive de cause spinale. Les lésions dont il s'agit paraissent s'accuser de bonne heur
tion et delà surcharge graisseuses, se surajoutent habituellement aux lésions qui ont été décrites plus haut. Des amas de granu
iques. Qu'il me suffise pour le moment de vous faire remarquer que la lésion spinale qui, dans la paralysie infantile, ne fait
ie. Mais, c'est là un point qui réclame de nouvelles recherches. 2° Lésions du système nerveux. — Lésions spinales. Les lé-si
i réclame de nouvelles recherches. 2° Lésions du système nerveux. — Lésions spinales. Les lé-sions spinales dont je vais vous
ommun accord, dési-gné la moelle épinière comme étant l'organe où les lésions primordiales et fondamentales de la paralysie inf
ne)1. 1 Comptes rendus delà Société de Biologie, 1864, p. 187. La lésion des cellules nerveuses motrices dans la paralysie
trompe, l'étude qui a le plus contribué à déterminer le caractère des lésions spinales de la paralysie infantile, est celle que
oppement et of-fraient des déformations caractéristiques \ Ici, les lésions étaient extrêmement accentuées et elles ré-gnaien
cel- c'est là un fait qu'il convient de faire ressortir — où cette lésion des cellules était la seule altération que l'exam
on sert de fondement, nous nous sommes cru autorisé à admettre que la lésion des cellules nerveuses motrices, qui se trouve dé
suivant toute vraisemblance, c'est là le fait anatomique initial, les lésions de la névroglie et l'atrophie des racines nerveus
e que je prête aux cellules nerveuses motrices dans la production des lésions trophiques des mus-cles. Pour le moment, je me bo
i ont été recueillis depuis la publication de notre travail. Ainsi la lésion des cel-lules motrices se trouve expressément sig
m'en a été faite par M. Duchenne (de Bou-_ logne)3. Enfin, celte même lésion existait de la manière la plus nette dans trois n
sition, je ferai res-sortir ce qui suit: Si, sur certains points, les lésions de la né-vroglie envahissent la plus grande parti
re, voire même d'un groupe entier de cellules nerveuses, est la seule lésion que l'examen histologique permette de constater ;
s les caractères de la structure nor-male. Dans d'autres régions, les lésions de la névroglie pour-ront se montrer plus accusée
régions altérées de la moelle épinière, dans les cas récents, que des lésions relativement minimes et nullement propor-tionnées
vement minimes et nullement propor-tionnées, quant à l'intensité, aux lésions de la substance grise. Il nous paraît évident,
ertains cas, du processus morbide aux faisceaux antéro-latéraux. La lésion en question des cellules nerveuses, à en juger d'
e destructive avec formation d'un foyer de ramollis-sement rouge avec lésions vasculaires, corps granuleux et le reste. Quoi qu
in-flammatoire. Il me reste à mettre les symptômes en présence des lésions et à rechercher comment ceux-là dérivent de celle
ue de la paralysie spinale infantile. — Amyotrophies consécutives aux lésions spinales aiguës diffuses. Sommaire. — Paralysie
certains égards les résultats précédemment exposés. Un mot sur les lésions spinales aiguës qui ne sont pas, comme dans la pa
. Il resterait à déterminer si, ainsi que cela est vrai-semblable, la lésion spinale d'où dérive l'ensemble symptoma-tique rec
du tissu interstitiel qui paraissent être un caractère constant de la lésion spinale propre à la paralysie atrophique des jeun
sé qui va suivre. 1° Ce qui caractérise surtout, anatomiquement, la lésion spinale de la paralysie infantile, c'est la local
Ce sont là, pour ainsi dire, les foyers primitifs du mal, car, si la lésion s'étend au delà, elle paraît rayonner autour du g
diminution plus ou moins prononcée de tous les diamètres; mais cette lésion évidemment secondaire des faisceaux blancs n'est
par conséquent, figurer au premier rang dans la caractéristique de la lésion spinale propre à la paralysie infan-tile. La lo
ropre à la paralysie infan-tile. La localisation si remarquable des lésions dans l'aire des groupes cellulaires m'avait condu
rgument sérieux ait été, jusqu'ici, opposé à cette hypothèse. 2° La lésion des cornes antérieures, dans les cas de date anci
e espèce d'exégèse, les premières phases du processus. Sans doute les lésions de la névroglie nous offraient les traces inconte
s que, sur les points de la moelle le plus pro-fondément altérés, les lésions localisées, d'ailleurs, comme c'est la règle, dan
omme on voit — que le ramollissement rouge doit être compté parmi les lésions spi-nales de la paralysie infantile. Mais rien ne
leur plus haut degré d'intensité et provo-quer, à la périphérie, les lésions trophiques musculaires les Fiq, 10. — Cellules
quée par une atrophie avec pigmentation excessive de ces éléments. La lésion scléreuse, signalée dans les obser-vations qui no
s, à elle seule, quelque marquée qu'elle soit, pour carac-tériser une lésion profonde de l'organite. Mais il s'y joint, dans l
e avoisinante. ou bien elle existe isolément, indépendamment de toute lésion de la névroglie, dans certaines formes, par exemp
ratatiné. J'ignore si cette altération est toujours précédée par les lésions de l'atrophie pigmentaire ou 3° La lésion spina
oujours précédée par les lésions de l'atrophie pigmentaire ou 3° La lésion spinale, dont les principaux traits viennent d'êt
*. Je m'étais efforcé, en outre, à la même époque, d'établir que la lésion en question doit être considérée comme initiale,
sur les animaux, qui, entre les mains de M. Prévost, a montré qu'une lésion , portant sur les parties centrales de la moelle,
lésion, portant sur les parties centrales de la moelle, détermine des lésions musculaires fort semblables à celles qui s'observ
nt souffre l'appa-reil des cellules nerveuses motrices. De cette même lésion des éléments ganglionnaires relève aussi certaine
sé la dénomination Polyo-myelitisanterior acutissima pour désigner la lésion spinale de la paralysie infantile (Loc. cit. n° 1
dans ces derniers temps, étudiées avec tant de soin à l'oc-casion des lésions expérimentales des nerfs, et la perte appa-rente
viennent d'être exposées sont fondées, il doit s'en suivre que toute lésion inflammatoire aiguë de la moelle épinière, quelle
e la condition expresse, mise en relief tant de fois déjà, savoir: la lésion atrophique aiguë des cellu-les nerveuses motrices
graves. Je veux parler de la myélite aiguë centrale généralisée 1. La lésion se traduit ici, le plus souvent, microscopiquemen
ment modifiées dans leur texture par le fait de l'inflammation. Les lésions traumatiqnes de la moelle épinière, qu'elles résu
, celles de la myélite aiguë transverse, c'est-à-dire qu'il s'agit de lésions inflammatoires qui, intéressant à la fois l'axe g
ecté, jusqu'à l'extrémité du renflement lom-baire, par exemple, si la lésion a porté sur un point de la région dorsale ; la pr
cornes antérieures qui sont envahies. Celte extension descendante des lésions spinales transverses, dans les cornes grises anté
com-prendre, — je l'ai déjà fait remarquer ailleurs !, — comment une lésion spinale, en apparence limitée à un point circon-s
musculaires progressives spinales). — Unifor-mité dans ces cas de la lésion spinale qui porte sur les cornes antérieures de l
ressive spinale protopathique comme type du groupe : simplicité de la lésion spinale. — Amyotrophies spinales chroniques deuté
sion spinale. — Amyotrophies spinales chroniques deutéropathiques. La lésion des cellules nerveuses motrices cbt ici consécuti
lules nerveuses motrices cbt ici consécutive: elle se surajoute à une lésion spinale de siège variable. — Aperçu des principal
—Etiologie: hérédité, froid, traumatisme. Anatomie pathologique. — Lésions de la moelle: altération limitée aux cornes antér
nes antérieures de substance grise (cellules nerveuses, névroglie). — Lésions des racines nerveuses et des nerfs périphériques.
oglie). — Lésions des racines nerveuses et des nerfs périphériques. — Lésions mus-culaires, leur nature. I. Messieurs, Je
ngtemps qu'il ne s'agit pas là d'un groupe homo-gène. En effet, les lésions spinales qu'on peut rencontrer dans les cas qui p
ainsi dire, le caractère anatomique fondamental du groupe : c'est la lésion des cornes antérieures de substance grise et plus
ous avons vu à propos des amyotrophies spinales aiguës ; seulement la lésion spinale, dans les cas qui vont nous occuper, évol
avons pris pour objet un type régulier, la paralysie infantile où les lésions spinales sont systématiquement limitées aux corne
e dans l'histoire des amyotrophies spinales chroniques. En effet, une lésion exactement limitée aux régions antérieures de la
ment anatomo-pathologi-que est représenté: Io dans la moelle, par une lésion systé-matiquement limitée aux cornes grises antér
d'ailleurs une condition nécessaire, sine quanon, et parfois la seule lésion appréciable ; 2° dans les racines motrices et les
hériques, par une atrophie plus ou moins prononcée, conséquence de la lésion spinale ; 3° enfin dans les muscles correspondant
la lésion spinale ; 3° enfin dans les muscles correspondants, par des lésions Irophiques que nous aurons à passer en revue et d
ion, je désignerai sous le nom de deuléropathiques. Ici, en effet, la lésion des cornes antérieures et des cellules nerveuses
ais elle n'est qu'un fait de seconde date, consécutif en tout cas. La lésion originelle siège encore dans la moelle épinière,
ontrer complexe et variable. Car, de fait, il n'est peut-être pas une lésion élémentaire chronique de la moelle épinière qui n
ce qu'on appelait autrefois Y hypertrophie de la moelle épinière. La lésion méningée se propage à la moelle elle-même et simu
e combinée à des symptômes particu-liers qui relèvent à la fois de la lésion méningée, de la lésion spinale et de celle des ne
mes particu-liers qui relèvent à la fois de la lésion méningée, de la lésion spinale et de celle des nerfs périphériques. 2°
que, à marche chronique, doivent entrer dans cette énumé-ration ; une lésion anatomique que l'on désigne communément sous la d
es peut, en pareille circonstance, être intéressée au point 1 Cette lésion spinale a été désignée par Ollivier fd'Angers) so
latérale symétrique peut se rencontrer isolément, en dehors de toute lésion de l'axe gris ; mais, très fréquemment, elle rete
sible que la combinaison inverse puisse survenir, c'est-à-dire qu'une lésion primitivement développée dans le centre gris enva
r le côté clini-que ; après quoi, nous descendrons dans le détail des lésions anatomiques et, enfin, nous vous présenterons, en
nales, deutéropathiques, en raison de la combinaison habituelle d'une lésion des faisceaux blancs avec la lésion de la substan
e la combinaison habituelle d'une lésion des faisceaux blancs avec la lésion de la substance grise, il est de règle qu'un de-g
res tirés du mode de progression et de répartition que présentent les lésions musculaires dans leur envahissement successif. Da
thique. 1° Nous commencerons par ce qui est relatif à la moelle. La lésion , dont il s'agit, porte nécessairement sur les gra
s antérieures : les faisceaux blancs sont absolu-ment respectés. La lésion de la névroglie est de nature inflammatoire ; ain
cite. 3 Hayem. — Note sur un cas d'atrophie musculaire progressive, lésions de la moelle. (Archives de physiologie, 1869, p.
e conforme au type clinique Duchcnne-Aran, sans l'accompagne-ment des lésions spinales qui viennent d'être décrites, sont, je c
u égard à ce dernier point, Messieurs, je vous ferai remarquer que la lésion spinale de l'amyotrophie progressive protopathiqu
ieures et les nerfs périphéri-ques sont affectés consécutivement à la lésion de la substance grise. Je vous rappellerai, à ce
e, faite par M. Recklinghausen, n'aurait permis de reconnaîtra aucune lésion de la moelle épinière. Malheureusement la relatio
sion. (J. M. G.) cette atrophie serait rattachée quelque jour à une lésion de la substance grise *. Il importe de reconnaî
le mode suivant lequel, dans l'amyotrophie progressive, s'effectue la lésion musculaire en conséquence de la lésion spinale ?
hie progressive, s'effectue la lésion musculaire en conséquence de la lésion spinale ? .le ne vois guère à ce sujet, qu'une hy
squ'aux faisceaux musculaires qui, sous cette influence, subissent la lésion trophique. L'atrophie est ici, le phénomène primi
Il me reste, en dernier lieu, à vous exposer en quoi con-sistent ces lésions musculaires qui surviennent ainsi en consé-quence
ent ces lésions musculaires qui surviennent ainsi en consé-quence des lésions du centre spinal. Je n'aurai pas à insister longu
ement sur ce point, car nombreuses sont les analogies qui relient les lésions musculaires de l'amyotrophie spinale protopathiqu
téropathiques. — Sclérose latérale amyotrophique ; localisation de la lésion spinale dans les cordons latéraux — Raisons de ce
Col] et des faisceaux de Tiirck. Sclérose latérale consécutive à une lésion cérébrale. Sclérose latérale symétrique primitive
mitive. — Anatomic pathologique : Confi-guration et topographie de la lésion dans la moelle et le bulbe. — Lésions consécutive
fi-guration et topographie de la lésion dans la moelle et le bulbe. — Lésions consécutives de la substance grise (cellules nerv
econdaires : Racines ner-veuses antérieures. — Nerfs périphériques. — Lésions trophiques des mus-cles. Messieurs, Nous en a
ini avec la forme d'atrophie musculaire pro-gressive qui relève d'une lésion limitée systématiquement ci la, substance grise s
myotro-phies spinales affectant le mode chronique, dans lesquelles la lésion centrale, ne reconnaissant plus une circonscripti
giques qui s'y ratta-chent, mérite d'être examinée de près. Ici, la lésion spinale est constituée par une combinaison, si l'
et entrons, en premier lieu, dans la description de cette singu-lière lésion des faisceaux blancs. Rien n'est plus original as
t plus inattendu peut-être, pour quelques-uns d'entre vous, que cette lésion circonscrite en quelque sorte géomé-triquement da
c'est là un su-jet qui nous a occupé l'an passé, qu'à la suite de la lésion uni-latérale de certains départements de l'encéph
protubérance, le bulbe et toute la hauteur de la moelle épinière, une lésion consécutive, qui se traduit bientôt, histologique
lée peut être suivie jusqu'à l'entre-croise-ment, du même côté que la lésion cérébrale. Au-dessous de l'entre-croissement, au
ement, au contraire, elle occupe dans la moelle le côté opposé. Cette lésion du système des faisceaux latéraux est, en pareil
ce propos, que l'hémiplégie avec contracture qui coexiste avec cette lésion est remarquable par l'intégrité de la nutrition d
-tionnelle ne s'est pas trop longtemps prolongée. Dans le cas où la lésion cérébrale primitive occuperait simul-tanément les
par conséquent d'une sclérose latérale symétrique, consécutive à une lésion cérébrale. Mais la sclérose symétrique totale d
athiquement, primitivement, c'est-à-dire sans aucune dépendance d'une lésion encéphalique quelconque. C'est là un fait que L.
a sclérose symétrique primitive existe seule, sans complication d'une lésion de la substance grise antérieure ; le trait le pl
antérieure ; le trait le plus saillant dans le syn-drome relatif à la lésion , ainsi localisée, est une parésie des membres, de
longtemps tous les caractères indiquant une nutrition normale. Cette lésion de la moelle épinière, entre autres cir-\ constan
ion qui va suivre, nous aurons à nous occuper successivement : 1° des lésions que présente le système des faisceaux latéraux da
ement. Ces faisceaux, je le rap- l'isthme de l'encéphale ; — 2° des lésions concomitantes de la substance grise dans les même
nce grise dans les mêmes départements des centres ner-veux ; — 3° des lésions consécutives des racines antérieures et des nerfs
cutives des racines antérieures et des nerfs spinaux ; — 4° enfin des lésions trophiques des muscles. Sur ce premier point, j
même système que les faisceaux latéraux. b) A la région dorsale, la lésion est plus circonscrite. [Fig. 19.) En avant, elle
e de substance blanche in-tacte. c) Enfin, à la région lombaire, la lésion est moins étendue encore. Elle n'occupe guère que
e. {Fig. 19). B. En second lieu, qu'observe-t-on dans le bulbe ? La lésion s'accuse là par l'envahissement des pyramides ant
19.) Au-dessus, dans la partie inférieure de la protubé- 1 rance, la lésion peut être suivie tant que les fibres, provenant d
nt, on les perd aisément de vue. Quelques auteurs ont poursuivi les lésions de la sclérose la-térale primitive jusque dans le
re qu'on descend vers le renflement lombaire. Cette disposition de la lésion est en rapport avec une circonstance que je ne ma
devrons faire ressortir lorsque nous traiterons de la pa-thogénie des lésions musculaires consécutives. nière, de même que ce
ble. spinale primitive. Seulement, le caractère inflammatoire de la lésion dans la sclérose latérale amyotrophique m'a paru
isium tant interne qu'externe (Fig. 21 et 22.) Après cet exposé des lésions propres à la sclérose latérale amyotrophique, il
hercher, autant que possible, le lien physiologi-que qui rattache les lésions aux symptômes, On peut avancer, d'une manière t
ération symétrique des faisceaux latéraux ; les autres relèvent de la lésion concomitante de la substance grise. C'est ce que
est l'ensemble des symptômes qui, pendant la vie, se rattachent à ces lésions . J'espère établir, Messieurs, que cet ensemble
ose en plaques disséminées : on n'a connu, pendant longtemps, que les lésions singulières qui 1 Les observations suivies d'au
bien la sclérose symétrique et primitive des faisceaux la-téraux avec lésions concomitantes de la substance grise anté-rieure q
le dira. VI. Il me reste, Messieurs, à rapprocher maintenant les lésions des symptômes et à rechercher, dans un court essa
re que la sclérose latérale, dont elles relèvent, se produit avant la lésion de la substance grise antérieure à laquelle se ra
se rattache incontesta-blement l'amyotrophie. Par quel mécanisme la lésion de la substance grise vient-elle se combiner à la
mécanisme la lésion de la substance grise vient-elle se combiner à la lésion des faisceaux blancs? S'agit-il d'une simple pr
ux tend à s'affecter dans son entier et cela très rapidement. Mais la lésion ne l'envahit pas dans sa totalité d'un seul coup.
myotrophic liée à la sclérose latérale descendante consécu-tive à une lésion en foyer du cerveau et de la moelle épinière. — C
ralysie infan-tile. — Desideratum. Amyotrophies indépendantes d'une lésion de la moelle épinière ; exemples. Paralysie pseud
e, j'aborderai l'é- tude des atrophies musculaires qui relèvent des lésions du bulbe rachidien. I. A la fin de la dernièr
nées delà clinique, que, dans la sclé-rose latérale amyotrophique, la lésion symétrique des cordons latéraux, d'où résultent l
hie des muscles, serait un phénomène consécutif. La propagation de la lésion inflam-matoire des faisceaux blancs à la substanc
qui se pro-duisent dans les faisceaux latéraux à la suite de diverses lésions en foyer, cérébrales ou spinales, ne retentissent
effet, un caractère des scléroses qui surviennent consécutivement aux lésions partielles du cerveau et de la moelle épinière qu
rique. Je me bornerai à vous faire remarquer que la propagation des lésions à la substance grise dans les cas en question de
e dorsale, reconnais-sent le même mécanisme bien que la réalité de la lésion de la substance grise, en pareil cas, n'ait pas é
. Je vais vous donner tout d'abord quelques détails rela-tivement aux lésions . a) La pachyméningite cervicale hypertrophique,
inges, affectant plus spécialement la dure-mère. Quant au siège de la lésion , il est variable ; mais c'est le renflement cervi
ménin-ges épaissies. — C, Pie-mère confondue avec la dure-mère. — D, Lésions de la myélite chronique. E, Coupe des deux canaux
ancs. c) Les nerfs périphériques sont atteints en conséquence de la lésion spinale, en tant qu'elle porte sur les trajets ra
s les racines nerveuses. Les phéno-mènes en rapport avec cette double lésion composent une première période ou période doulour
so-lombaire, les racines postérieures, en raison de la limitation des lésions méningées aux parties antérieures de la dure-mère
pas à se montrer ; ils semblent dépendre surtout de l'extension de la lésion méningée à la moelle épinière et aussi d'une alté
. Parfois disséminées sur les parties du corps les plus diverses, les lésions musculaires restent d'autres fois limitées à des
mbre inférieur d'un même côlé (Fig. 26). Ce mode de répartition des lésions musculaires est déjà 1 Duménil (de Rouen). — Un
ns sommairement, de cer-taines amyotrophies qui ne relèvent pas d'une lésion spinale et qui sont susceptibles cependant, comme
garder de céder à l'envie de tout expliquer physiologiquement par la lésion des cornes grises spinales antérieures. Cette lés
giquement par la lésion des cornes grises spinales antérieures. Cette lésion a son domaine pathogénique fort vaste déjà, il ne
été examinée à l'état frais, ou après un durcissement imparfait, des lésions très délicates, telles que sont l'atrophie des ce
l'hypertrophie par substitution graisseuse. Si donc, dans ce cas, les lésions musculaires avaient été bées à des lé ions spinal
tait de rechercher si elles ne devaient pas être rattachées à quelque lésion du grand sympathique ou des nerfs périphéri-ques.
je ferai remarquer que, dans l'observation des auteurs an-glais, les lésions spinales, trouvées à l'autopsie, et constituées s
nfluence directe sur la nutrition des muscles, de telle sorte que les lésions spinales, dans ce cas, ne paraissent avoir été, e
et, conduite avec le plus grand soin, methors de doute l'existence de lésions spinales très accentuées ; je ne crois pas cepend
sive des cellules nerveuses des cornes antérieures. Sans doute, les lésions musculaires décrites dans le cas de M. 0. Barth,
auquel elle s'applique n'avait pas été méconnu : C'est qu'aucune des lésions musculaires dont il s'agit n'appariient absolumen
es fibres musculaires, peut se retrouver, par exemple, à la suite des lésions traumatiques des nerfs ^antegazza. Gazetta lomb.,
eudo-hypertrophi-que doit être considérée comme indépendante de toute lésion appréciable de la moelle épinière; j'ajouterai qu
nc dans le muscle lui-même qu'il faut chercher le point de départ des lésions d'où dérivent les symptômes observés pendant la v
viscères, est désignée générale-ment sous le nom de cirrhose. Or, les lésions de la sclérose musculaire se voient dans des cond
, au contraire, l'amyotrophie paraît se produire en conséquence d'une lésion des nerfs périphériques.L'existence, en pareille
as, à l'aide de procédés rigoureux d'investigation l'absence de toute lésion spinale 2. Les résultats, obtenus par M. Gombault
se traumatique, en ce sens qu'elle paraît dépendre, elle aussi, d'une lésion des nerfs périphériques, et ce rappro-chement par
actériserait une amyotrophie à évolution progressive, provenant d'une lésion des nerfs sans participation de la moelle épinièr
s mo-trices, et, par conséquent, on est en droit de se demander si la lésion spinale n'a pas été la première en date. Des re
e d'une altération du grand sympathique. Il n'est pas douteux que des lésions du grand sympathique, aussi bien des rami communi
is je ne sache pas que, dans aucun de ces cas, la non-existence d'une lésion des cellules nerveuses des cornes antérieures ait
rement établie. D'un autre côté, il est constant que fort souvent les lésions du grand sympathique font absolu-ment défaut dans
térisée d'ailleurs cliniquement, semblait devoir être rattachée à une lésion des nerfs périphériques. La moelle épinière était
en quelque sorte, à autant d'organes doués de fonctions spéciales. La lésion spontanée, isolée, générale ou partielle de chacu
régions bien distinctes: 1° les faisceaux deGoil (Fig. 29, E) dont la lésion isolée a été déjà plusieurs fois constatée et rép
seul côté de la moelle, dans la sclérose des-cendante consécutive aux lésions cérébrales ou spinales en foyer ; 2° les faisceau
our ce qui est de la substance grise, on connaît mal les effets d'une lésion isolée des commissures, et en ce qui con-cerne le
moins prononcée dans les parties du corps situées du même côté que la lésion spinale. Nos connaissances sont plus avancées rel
oduction d'une amyotrophie. Celle-ci se développe rapide^ ment, si la lésion spinale évolue suivant le mode aigu (para-lysie s
cela d'ail-leurs n'est guère discutable, un substratum organique, une lésion anatomique plus ou moins profonde dont la moelle
galement, à ne considérer même que la nature des symptômes, que celte lésion porte particulièrement son action sur les faiscea
ite par M. Erb, l'altération spinale en question ne soit autre que la lésion systématique décrite pour la première fois parL.
re de l'hys-térie, — se produire sans qu'il existe aucune trace d'une lésion spinale, appréciable du moins par nos moyens d'in
t en cause : contractures hémiplégiques dura-bles, consécutives à une lésion cérébrale en foyer, paralysie générale progressiv
essie ou du rectum, des paralysies des muscles moteurs oculaires, des lésions musculaires trophiques, etc., se mon-trent associ
ent, tout, en un mot, concourt, vous l'avez compris, à établir que la lésion spinale dont notre malade est atteinte n'est autr
lieu de comprendre la moelle dans toute son épais-seur en travers, la lésion , quelle qu'elle soit, restait limitée à une moili
réflexe ; — contracture permanente ; —escarres. — Siège etnature dea lésions . — Pathogénie : propagation de la lésion rénale à
arres. — Siège etnature dea lésions. — Pathogénie : propagation de la lésion rénale à la moelle par l'intermédiaire des nerfs
rinaires peut retentir sur le centre spinal, et y déterminer soit une lésion organique, soit un trouble superficiel, se tra-du
ies urinaires dans lesquelles la moelle épinière est le siège d'une lésion in-flammatoire et qui, pendant la vie, se révèlen
sie, on n'observe rien qui rappelle les symptômes graves, propres aux lésions spinales profondes et, de fait, la nécroscopie a
, reconnaît pour cause, non plus une affection spinale, mais bien une lésion des nerfs du plexus sacré produite d'une manière
l'observation du docteur Gull, on fait intervenir le microscope, des lésions histologiques plus ou moins accen-tuées, et, en p
ramollissement. Il n'est pas sans intérêt de faire remarquer que la lésion dont il s'agit paraît siéger, originellement du m
ison de cette relation, ou, en d'autres termes, par quel mécanisme la lésion génito-urinaire retentit sur le centre spi-nal, e
troncs nerveux seraient la voie par laquelle, de proche en proche, la lésion se propagerait, en suivant la direction centripèt
i de cette interprétation pathogénique. On a constaté, d'un côté, les lésions des voies urinaires; de l'autre côté, la lésion s
taté, d'un côté, les lésions des voies urinaires; de l'autre côté, la lésion spinale ; mais jamais, jusqu'ici, on n'a pu, sur
essayé, en inaugurant les leçons de cette année2, de montrer que les lésions du système nerveux central retentissent quelquefo
s'observe également, ou, en d'autres termes, il peut se faire que des lésions irritalives, occupant primitivement les parties p
t allusion ici aux Leçons sur les troubles trophiques consécutifs aux lésions du système nerveux, faites en 1S70 (Tome I, p. 1-
intervertébral, peuvent re-monter jusqu'à la moelle et y produire les lésions de la dégé-nération grise. Celle-ci occupe, en pa
e-même fut intéressée en dernier lieu. L'autopsie fit reconnaître des lésions remar-quables occupant principalement la substanc
l de Physiologie de M. Brown-Séquard, pour 1856. Il est relatif à une lésion d'un nerf de l'avant-bras ayant déterminé d'abord
lle, bientôt suivie de mort. Vous n'ignorez pas, Messieurs, que les lésions uro-génitales n'ont pas seules le pouvoir de déte
cer-bations paroxystiques ; — mouvements subjectifs de translation. — Lésions anciennes des oreilles : écoulement de pus, altér
de ce côté un affaiblissement considérable de l'ouïe. — Ces diverses lésions ont été, du reste, régulièrement constatées par u
all, Lœwenberg, lesquelles consistent à produire chez les animaux des lésions diverses des canaux demi circu-laires, ont fourni
rapeutique. Il est très remarquable de voir que, dans la règle, les lésions graves des centres nerveux qui sont si fréquemmen
mes remontent au-delà de dix années ; qu'il existe du côté gauche une lésion de la caisse avec épaississement de la membrane d
ractères des troubles musculaires au repos et dans les mouve-ments. Lésions organiques. — Foyers d'hémorragie et de ramolliss
ique. — Relation entre l'hémicho-rée et l'hémianesthésie. — Siège des lésions auxquelles se rattachent ces symptômes: extrémité
Messieurs, c'est, il n'y a pas à en douter, à l'une ou l'autre de ces lésions organiques qu'il convient de rapporter les accide
gaire-ment chez l'adulte. Elle peut survenir aussi par le fait de ces lésions , encore assez mal connues dans les premières phas
rveau. En effet, sur un nombre considérable de faits, rela-tifs à ces lésions , que j'ai recueillis à la Salpêtrière, depuis une
ors même de l'accomplis-sement des actes volontaires. sie relève de lésions localisées dans certains points, toujours les mêm
s nerveux, faisceaux de fibres ou corpuscules ganglionnaires, dont la lésion est capable de produire l'hémichorée, confinent à
c'est le côté gauche qui se montrait affecté. Quoi qu'il en soit, la lésion révélée par l'autopsie consistait en des cicatric
rticipait à l'altération. Quelles sont, dans cette énumération, les lésions qui ont déterminé l'hémichorée; quelles sont cell
t donc seules au compte del'hémichorée, car on ne saurait invoquer la lésion non constante des tubercules quadrijumeaux. Mais,
e et le noyau lenticulaire, atteints dans leurs diverses parties, des lésions les plus diverses sans qu'il s'en soit suivi la m
extérieures, qui rattachent les chorées sympto-matiques, liées à une lésion grossière de l'encéphale, de la chorée ordinaire.
te. Relations entre la céphalalgie et la région motrice du cerveau. Lésions : Pachyméningite gommeuse. — Siège probable de ce
était produit rien qui ressemblât à des convulsions. 11 n'exis- Les lésions de la pachyméningite gommeuse circonscrite, avec
aphiées annexées à l'ouvrage de M. G. Echeverría 2 et qui donnent des lésions , qu'on n'a pas l'occasion fréquente de ren-contre
ia déjà mentionnée tout à l'heure, il est aisé de reconnaître que les lésions gommeuses de la pie-mère occupaient le voisinage
la pie-mère altérée, n'a subi encore, tout porte aie croire, que les lésions du genre de celles qu'on a quelquefois appelées d
s lésions du genre de celles qu'on a quelquefois appelées dynamiques,— lésions transitoires en tous cas, et non désorganisatrice
vulsifs, soudains, portant sur le côté du corps opposé au siège de la lésion méningée. La décharge sera suivie d'un épuisement
épétition de ces actes, ou par le fait de l'extension progressive des lésions méningées à la sub-stance nerveuse, celle-ci s'al
2. 1 Sur la production des dégénérations secondaires à la suite des lésions de la zone motrice corticale, voir Charcot, Leçon
génération descendante, avec hémiplégie permanente, consécutive à une lésion gommeuse cérébrale. (Bull, delà Soc. anat., 1870,
particulièrement intéres-sante au point de vue de la localisation des lésions . APPENDICE APPENDICE i. Luxations patholo
trophiques des parties pé-riphériques, produits en conséquence d'une lésion du centre nerveux spinal, et sur lesquels j'ai "a
e la Salpètrière, a bien voulu étudier et décrire avec grand soin les lésions que présentent chez G... les os et les jointures.
xation ilio-ischiatique. Membre supérieur gauche. — Il présente des lésions à l'épaule et à l'avant-bras. Le bras mesure, dep
est l'indice d'une arthrite commençante. L'avant-bras présente des lésions analogues, sinon identiques, à celles décrites ci
térieurs, caracté-ristique de l'ataxie locomotrice progressive. — Les lésions sur lesquelles nous devons insister ici sont cell
(Planche IX). Les articulations coxo-fêmorales nous présentent les lésions habituelles des arthropathies des ataxiques. A dr
profondeur à droite et à peine un cen-timètre et demi à gauche. Les lésions sont encore plus prononcées du côté des fémurs. A
par un intervalle de trois ou quatre millimètres. En un mot, outre la lésion due à l'arthropathie, nous avons là une fracture.
la partie persistante s'est soudée avec le frag-ment inférieur. —Des lésions que nous venons de décrire, il résulte encore que
lanche X). On voit, par la description qui précède, qu'il s'agit de lésions très intéres-santes et d'un genre tout à fait par
iculier et les os du bassin, ne pré-sentent chez la malade aucune des lésions qui, cliniquement, peuvent servir à caractériser
ité des os a été ici une conséquence en quelque sorte immédiate de la lésion des centres nerveux. Cette hypothèse, se rattacha
prises1. 1 Sur quelques arthropathies qui paraissent dépendre d'une lésion du cer-veau ou de la moelle épinière in Arch. de
cavité du larynx, soit dans celle delà trachée, l'existence d'aucune lésion . » Telle était la situation lorsque M. G... vin
elle de la trachée ont été trouvées indemnes ou ne présentant que des lésions banales. Quoi qu'il en soit l'application des r
de rencontrer cette altération des cylindres d'axe, dans trois cas de lésions irritatives de la moelle épi-nière ; les observat
r-vation, comme dans la première de celles que j'ai rapportées, d'une lésion traumatique de la moelle épinière. Le renflement
Système nerveux. Le cerveau et le cer-velet ne sont le siège d'aucune lésion . Il en est de même delà protéburance et du bulbe
présentent ces parties varie très-vraisemblablement avec l'âge de la lésion ; tantôt elles sont chargées d'éléments cellullai
tion, ont môme des dimensions quasi-normales. A la région dorsale, la lésion va également en s'atténuant à mesure qu'on s'appr
de cette sclérose est manifestement en rapport avec l'intensité de la lésion qui occupe la corne antérieure, elle augmente, di
ps qu'elle. Elle est en grande partie aussi sous la dépen-dance de la lésion des racines antérieures dans leur trajet intra-sp
nt sur les cordons posté-rieurs. — A la région lombaire, ces diverses lésions disparaissent la couche corticale et la zone radi
plus spécialement sur le nerf phrénique dont nous allons décrire les lésions . — Une portion de ce nerf prise le long du périca
nés à l'aide des divers procédés actuellement en usage. Dans tous, la lésion prédominante est une atrophie simple des faisceau
ents muscles permet de se faire une idée plus exacte de l'étendue des lésions . Le grand dorsal, par exemple, est presque enti
me qui a le plus spéciale-ment attiré notre attention en raison de la lésion du nerf qui l'a-nime, l'altération est bien loin
a été donné à aucun mé-decin de l'observer. On a vu, du reste, que la lésion n'était pas exactement limitée à la substance des
u tableau clinique. Il nous faut montrer maintenant que l'étude des lésions conduit à des conclusions semblables. Nous admett
plusieurs fois déjà exposés dans les Archives de physiologie, que les lésions observées dans les muscles, les nerfs et les raci
de coupes de la moelle épinière suffit à dé-montrer que c'est là une lésion accessoire, variant en étendue d'une préparation
t très naturel d'admettre qu'il s'est produit sous l'influence d la lésion des filets radiculaires au niveau de leur passage
nt altérées, alors que le tissu interstitiel ne présente plus que des lésions minimes, nous serons portés à penser que, vraisem
cas, l'élément gan-glionnaire a été le siège primitif du mal. Cette lésion de l'élément nerveux serait de nature irritative,
sance motrice se serait développée paral-lèlement jusqu'au jour où la lésion est devenue assez gé-nérale pour ne plus permettr
sale (Pl. VIII, fig. S), peut-être convient-il de faire intervenir la lésion du nerf très accusée, en particulier en ce qui co
ait rouge, ferme, il paraissait entièrement sain. 11 n'y avait aucune lésion valvulaire. Les autres viscères ne présentaient
ent le même caractère et pour eux, comme pour les muscles du dos, les lésions semblent diminuer et même disparaître à mesure qu
leur coloration blanche. C'est surtout à la région cervicale que ces lésions sont le plus ac-cusées ; cependant on les observe
ions des muscles de la main ; ce sont ceux, en effet, qui offrent les lésions les plus avancées. Les muscles des éminences thén
mps. En résumé, dans les muscles de la main, c'est-à-dire là où les lésions étaient le plus accusées, nous avons observé ce q
t que c'est surtout dans les muscles intrinsèques de l'organe que les lésions étaient le plus accentuées. Les muscles de ïavant
nsidérablement atrophiées ; mais, d'une ma-nière générale, toutes ces lésions sont beaucoup moins accusées qu'à la main. Au d
ur-tout à la région cervicale de la moelle ; à la région dorsale, les lésions atrophiques se montraient moins prononcées, surto
divers points de leur trajet, ont présenté, le dernier sur-tout, les lésions comparables à celles qui ont été signalées à pro-
es di-mensions de l'état sain. Quelques-unes seulement présentent des lésions alrophiques bien caractérisées. Région du bulbe
Etat des viscères. — Le cœur est de petit volume : il n'existe pas de lésions valvulaires, Jes parois ont leur épaisseur et leu
, Jes parois ont leur épaisseur et leur coloration normales. — Pas de lésions dans les poumons. — Le foie, de volume normal, ne
ratiquées à différentes hauteurs de l'organe, permit de constater des lésions de la substance blanche et de la substance grise.
meurées saines, on peut observer dans les autres les caractères de la lésion à toutes les périodes de son déve-loppement. La p
e montrent normales sur toutes les coupes. 2° Substance blanche. La lésion de la substance blanche occupe ici toute l'étendu
Il est de plus à remarquer, que, du moins à la région cervicale, les lésions paraissent être arrivées à une période plus avanc
distribution, les dégénérations descendantes consécutives à certaines lésions en foyer de l'encéphale, bien qu'elle en diffère
ise et symétriquement disposée dans les deux moitiés de la moelle, la lésion cellulaire qui a été décrite à propos du noyau de
ricule droit est distendu par des caillots noirs. Il n'existe au-cune lésion des valvules ; les parois musculaires du ventricu
iphériques n'ont été affectés que secondairement, consécutivement àla lésion des centres nerveux. Si maintenant l'attention
ion des centres nerveux. Si maintenant l'attention se porte sur les lésions trophiques que présentait le système musculaire d
, on sera frappé du mode singulier qu'affectait la répartition de ces lésions des faisceaux, sur les divers points du corps. Ev
it pas ici d'un cas ordinaire d'atrophie musculaire-progressive ; les lésions des faisceaux primitifs sont bien celles qui appa
nar, des avant-bras, sont relativement peu af-fectés. Par contre, les lésions étaient relativement profondes dans le deltoïde e
nses répandus sur presque tous les points du corps. Rapprochant les lésions musculaires, dont il vient d'être question des al
-ci et celles-là une corréla-tion exacte. Des deux parts il s'agit de lésions diffuses répandues entre elles par un lien intime
ire ont pro-cédé, parla voie des nerfs bulbaires et rachidiens, de la lésion des centres nerveux? Les arguments favorables à c
us ne savons absolument rien concernant la na-ture et l'origine de la lésion des cellules nerveuses. Il est en-core bien d'aut
autopsie, on a trouvé dans les muscles qui constituent cet organe des lésions évidemment insuffisantes pour rendre compte d'un
où faut-il faire dériver cette impuissance motrice indépendante de la lésion trophique des muscles? Nous ne trouvons à invoque
ion trophique des muscles? Nous ne trouvons à invoquer que cette môme lésion des cellules ner-veuses, d'où nous avons fait pro
es, et il est difficile de comprendre par quel mécanisme cette unique lésion a pu produire simul-tanément des effets aussi dif
ue, puisqu'il s'agit d'expliquer, cette fois, non pas la présence des lésions trophiques musculaires qui trouvent leur raison d
ures questions. On a proposé plusieurs fois déjà de rattacher à une lésion primitive des noyaux gris étages dans le bulbe l'
rogressive les plus simples et alors qu'il n'existe aucun signe d'une lésion des faisceaux blancs de la moelle épinière. 3 V
ersales, ce qui frappe tout d'abord, dans le psoas par exemple, où la lésion en est à son plus faible degré, c'est que les min
ujours. Pour ce qui est des muscles pectoraux et sacro-lombaires, les lésions des fibres primitives qu'on y rencontre tiennent
atrophie simple d'un certain nombre de faisceaux musculaires sont les lésions qu'on observe. A cette époque, ou bien la substit
s amyotrophies spontanées ont per-mis, on le sait, de rattacher à une lésion de certaines régions déterminées de la moelle épi
yant été examinée à l'état frais ou après durcissement imparfait, des lésions très délicates, — telles que sont l'atrophie des
l'hypertrophie par substitution graisseuse. Si donc, dans ce cas, les lésions musculaires avaient été liées à des lésions spina
Si donc, dans ce cas, les lésions musculaires avaient été liées à des lésions spinales, celles-ci n'eussent pas manqué de se mo
o-hyper- trophique doit être considérée comme indépendante de toute lésion appréciable de la moelle épinière on des racines
relation d'autopsie, faite avec le plus grand soin, où l'existence de lésions spinales très ac-centuées est mise hors de doute
essive des cellules nerveuses des cornes antérieures1 Sans doute, les lésions musculaires décrites dans le cas de M. 0. Barlh r
e ne semblait pas avoir été quelquefois méconnu : c'est qu'aucune des lésions musculaires dont il s'agit n'appartient en propre
ibres musculaires 1 Deux cas d'atrophie musculaire progressive avec lésion de la substance grise et des faisceaux antéro-lat
physiologie, t. II, p. 334). se trouve, par exemple, à la suite des lésions traumatiques des nerfs 1 et dans quelques cas de
. de se demander si elles ne doivent pas être rattachées à quel-que lésion du grand sympathique ou des nerfs périphériques.
le psoas, présenta sur des coupes minces, colorées par le carmin, une lésion remarqua-ble consistant en une hypertrophie très
ns viennent corroborer cette assimilation. Chez ces trois malades, la lésion est de même nature ; toutes les trois sont attein
sont atteintes d'atrophie cérébrale uni-latérale, con-sécutive à une lésion encéphalique grave datant de l'enfance; toutes le
MOTRICE Fracture spontanée du fémur. Arthropathies coxo-fémorales : lésions de l'extrémité des deux fémurs. La figure placé
, représentant un fémur sain, permet de se rendre un compte exact des lésions . Charcot,Syst.nerv., t.II. Ûeuvrèa complètes.
de celle du nosographe. — Diver-sité des opinions sur le siège de la lésion dans l'ataxie locomotrice. — Insuffisance des pro
scopique. — Induration grise ; ses caractères. — Foyer originel de la lésion irritative. — Anatomie topographique microscopiqu
ose débute par les bandelettes postéro-latérales. — Rapport entre les lésions et les symptômes. — Mode de pro-pagation de la sc
que. Sommaire. — Symptômes céphaliques dans l'ataxie locomotrice. — Lésions des nerfs crâniens et bulbaires. — Induration gri
ence isolée de l'amaurose tabétique; sa fréquence. — Caractères de la lésion anatomique du nerf optique à l'œil nu et au micro
Diagnostic entre l'arthropathie des ataxiques et l'arthrite sèche. Lésions anatomiques. — Des arthropathies consécutives aux
nale. — Mécanisme de la production de l'arthropathie des ataxiques. — Lésions des cornes antérieures de la substance grise. — D
-adipeux du rachis ; carci-nome, sarcome, kystes hydatiques, abcès. Lésions vertébrales : hyperostoses syphilitiques ; arthri
s-cendante. — Les fonctions peuvent se rétablir malgré l'existence de lésions profondes. — Régénération des tubes nerveux au ni
égie et hémiparaplégie spinales avec anesthésie croisée. Sommaire.— Lésions que subit la moelle au niveau du point comprimé.
sion des sensations, dysesthésie. — Sensations associées Second cas : Lésions portant sur une des moitiés latérales du cordon n
des moitiés latérales du cordon ner- veux. — Circonscription de la lésion . — Hémiparaplégie spinale avec anes-thésie croisé
gie cervicale. — Compression des nerfs des extré-mités supérieures. — Lésions de la moelle épinière au cou ; leur mode d'ac-tio
ue à la compression des nerfs périphériques et celle qui dépend d'une lésion de la moelle. — Altération des cellules nerveuses
graisseuse du tissu cardiaque, dépôts fibrineux). — Insuffisance des lésions cardiaques dans certains cas pour expliquer le po
nt transverse de l'apophyse odontoïde. Symptômes qui accompagnent les lésions du renflement lombaire et de la queue de cheval..
nales ou de cause spinale. — Caractères géné-raux. — Localisation des lésions spinales dans les cornes antérieures de la substa
s ; seconde période ou régression des symptômes avec localisation des lésions musculaires (Atro-phie musculaire, arrêt de dével
aralytique). Anatomie pathologique de la paralysie infantile. — Les lésions des mus-cles aux diverses périodes ; surcharge ga
es lésions des mus-cles aux diverses périodes ; surcharge gaisseuse. — Lésions du système ner-veux : historique (Charcot et Corn
Lockhart Clarke et Johnson, Damaschino tt Roger). — Localisation des lésions dans les cornes antérieures de la substance grise
hie des racines antérieures. — Raisons qui lendent à démontrer que la lésion primitive ré-side dans les cellules nerveuses....
e de la paralysie spinale infantile. — amyotrophies consécuti-ves aux lésions spinales aiguës diffuses. Sommaire. — Paralysie
certains égards les résultats précédemment exposés. Un mot sur les lésions spinales aiguës qui ne sont pas, comme dans la pa
musculaires progressives spinales). — Unifor-mité dans ces cas de la lésion spinale qui porte sur les cornes antérieures de l
ressive spinale protopathique comme type du groupe : simplicité de la lésion spinale. — Amyotrophies spinales chroniques deuté
sion spinale. — Amyotrophies spinales chroniques deutéropathiques. La lésion des cellules nerveuses motrices est ici consécuti
lules nerveuses motrices est ici consécutive: elle se surajoute à une lésion spinale de siège variable. — Aperçu des principal
— Etiologie: hérédité, froid, traumatisme. Anatomie pathologique. — Lésions de la moelle : altération limitée aux cornes anté
nes antérieures de substance grise (cellules nerveuses, névroglie). — Lésions des racines nerveuses et des nerfs périphériques.
oglie). — Lésions des racines nerveuses et des nerfs périphériques. — Lésions mus-culaires, leur nature........................
éropathiques. — Sclérose, latérale amyotrophique ; localisation de la lésion spinale dans les cordons latéraux. — Raisons de c
Göll et des faisceaux de Tiirck. Sclérose latérale consécutive à une lésion cérébrale. Sclérose latérale symétrique primitive
mitive. — Anatomie pathologique : Confi-guration et topographie de la lésion dans la moelle et le bulbe. — Lésions consécutive
fi-guration et topographie de la lésion dans la moelle et le bulbe. — Lésions consécutives de la substance grise (cellules nerv
econdaires : Racines ner-veuses antérieures. — Nerfs périphériques. — Lésions trophiques des mus-cles..........................
trophic liée à la sclérose latérale descendante consécu- tive à une lésion en foyer du cerveau et de la moelle épinière. — C
ralysie infan-tile. — Desideratum. Amyotrophies indépendantes d'une lésion de la moelle épinière ; exemples. Paralysie pseud
res. — Siège et nature des lé-sions. — Pathogénie : propagation de la lésion rénale à la moelle par l'in-termédiaire des nerfs
cer-bations paroxystiques ; — mouvements subjectifs de translation. — Lésions anciennes des oreilles : écoulement de pus, altér
aractères des troubles musculaires au repos et dans les mouvements. Lésions organiques. — Foyer d'hémorrhagie et de ramolliss
ique. -- Relation entre l'hémichorée et l'hémianesthésie. — Siège des lésions auxquelles se rattachent ces symptômes: extrémi
nte. Relation entre la céphalalgie et la région motrice du cerveau. Lésions : Pachyméningite gommeuse. — Siège probable de ce
se latérale). — Dans l'a-taxie locomotrice, 278. — Propa-gation de la lésion par les filets ra-diculaires internes, 279. — Dan
-diculaires internes, 279. — Dans la sclérose en plaques, 277, 280. — Lésions du grand sympathique dans les —, 291 ; — saturnin
mpérature, 67. — Formes et symptômes, 67 et suiv, — Diagnostic, 69. — Lésions desos,7t, 373. — Lésions des cor-nes antérieures,
t symptômes, 67 et suiv, — Diagnostic, 69. — Lésions desos,7t, 373. — Lésions des cor-nes antérieures, 76. — Consécutives aux l
os,7t, 373. — Lésions des cor-nes antérieures, 76. — Consécutives aux lésions des nerfs périphériques, 74. — Aux hémiplégies cé
es nerfs périphériques, 74. — Aux hémiplégies cérébrales, 74. — Aux lésions traumatiques de la moelle, 75. — Dans l'hémiplégi
nnels, ¿20. — Mo-des d'invasion, 220. — Marche, durée, causes, 224. — Lésions de la moelle, 2: 5 ; — des racines an-térieures e
, ni, 175. — Dans la paraplégie cervicale, 143,146. — Consécutive aux lésions des nerfs, 292. — nerveuse progressive, 292.
de la moelle; rap-ports avec les filets nerveux radi-culaires, 19. — Lésions des cellules nerveuse des — , 179, 204, note. — A
6. (V. Arthropathies, Ataxie, Atrophie musculaire.) — Postérieures ( Lésions des), 16. Crises gastriques, 35 et suiv., 55, 5
52, 263, 310, 318. Escarres dans l'hémiplégie spinale 139. — Dans les lésions de la queue de cheval, 159. — Dans les myéli-tes
as) d'ataxie locomotrice, 39, 46. G Gliome, 87. Glycosurie avec lésion des nerfs optiques, 51. Goll (Développement des
ritation spinale, 120. k Kystes hydatiques, 90, 91. L Langue ( Lésions de la) dans les amyotrophies, 441, 445, 454. — Da
le, 99. — Myélite transverse, 100. — Scléroses secondaires , 101. — Lésions de la—, dans les cas de guérison du mal de Pott,
e la sensibilité, 129. — Compression brusque de la — au cou, 158. — Lésions du renfle-ment lombaire, 158.— De la queue de che
Lésions du renfle-ment lombaire, 158.— De la queue de cheval, 159. — Lésions trauma-tiques, 21C. — Etat de la — dans la paraly
Monoplégie transitoire d'origine sy-philitique, 389, note. Muscles ( Lésions des) dans la para-lysie glosso -laryngée, 466, 46
ropathies.) Myopathies spinales, 163. N Néphrite, 326. Nerfs ( Lésions consécutives a la sec-tion des), 205. — Bulbaires
ostic, 49, 5i. (V. Névrite.) — Phrénique, 433, 450. — Périphéri-ques ( Lésions des), 74, 77, 273, 445. — Sciatique (Arrachemen
ar compression, 131. (V. Amyotrophies, Muscles, etc.) O Oreilles ( Lésions des) dans le ver-tige de Meniere, 342, 346. Os
m-pression, 125. — Générale progres-sive, douleurs fulgurantes, 33; — lésion de la papille optique, 51. — Générale spinale, cr
e, crises gastriques, 36, 280. — Glosso-laryngée, 167,261, 453. — Lésions des muscles, 445, 456 ; — des cellules nerveuses
— Des cancéreux, 36, 116. — Par compression, 83. — Consécu-tive aux lésions de l'intestin, 338 ; — Del'utérus, 338. — Réfle
sie glosso-la-ryngée, 428, 455,456,465.—Ralentis-sement du — dans les lésions de la moelle cervicale, 152. — Lent permanent,
lésions de la moelle cervicale, 152. — Lent permanent, 153, 156, — Lésions probables du bulbe, 157.— Dans la sclérose latéra
se physiologique, 239. Sulfate de quinine, 3-4, 356. Sympathique ( Lésions du grand, 293, 488. Symptômes récurrents ou rét
érus. (V. Para-plégies, Rétrécissements, Trou-bles.) V Vaisseaux ( Lésions des) dans la sclé-rose latérale, 4SI. Vertige é
3 (1911) La pratique neurologique
que plus tard, au moment de dé- terminer le siège ou la nature des lésions plus profondes qui sont la cause du trouble con
s consta- table et même 111('nsurablt, mathématiquement. De petites lésions du nerf optique, invisibles il l'oplitalmoscope
te. ' , b) Il n'est pas amélioré. Dans ce cas il y a probabilité de lésions oculaires. Cependant, le trouble visuel peut en
ision par astigmatisme. : " b) Il n'améliore pas. Concluez : . Il a lésion de l'oeil. , Remarque : Pour l'essai des verres
iore beaucoup la vision ; s'il s'agit d'une véritable amblyopie par lésion nerveuse, l'utilisation du trou sténopéique dimin
erres, il est plus difficile de répondre à la question : « Y a-t-il lésion du fond de l'oeil ? » Cepen- dant, même dans ce
DE LA RÉTIr. 7' . - on ne s'expose pas à mettre sur le compte d'une lésion nerveuse ce qui . est dû à un vice de réfractio
e et de son expansion à la surface interne du globe, la rétine; une lésion , même minime, quelquefois invisible à l'ophtalm
u'une « autopsie sur le vivant », c'est un examen microscopique des lésions avec un grossissement considérable (fig. 11). D
pique des lésions avec un grossissement considérable (fig. 11). Des lésions intra-oculaires même minimes sont faciles 11 perc
s, si parfait que soit ce mode d'examen, il faut bien savoir qu'une lésion intra-oculaire réelle, amenant des troubles visue
lite, il en est autrement de l'examen subjectif. Il est rare qu'une lésion intra-oculaire appréciable ou non à l'ophtalmos
scope ne donne pas lieu à des troubles subjectifs. " L'absence de lésions ophtalmoscopiques ne prouve donc pas l'intégrité
DR LA RÉTINE. 15 5 subjectif bien fait laisse rarement échapper une lésion oculaire de quel- que. importance. ' ' - , ,
amen ophtalmoscopique méticuleux, ou d'interpréter correctement les lésions qu'il' voit. Presque toujours il-lui faut recou
e l'ophtalmologiste. , Il est donc'inutile de décrire les multiples lésions du -nerf optique et de la rétine. Je me content
optique et de la rétine. Je me contente d'indiquer les principales lésions qu'un médecin, d'expérience modérée, peut appré
transparents que nous venons d'indiquer, ne sont pas au nombre des lésions ner- veuses dont traite-cet ouvrage, mais ce so
iminer avant d'affirmer que le trouble visuel est le résultat d'une lésion des voies optiques. De là l'utilité de pouvoir le
ur de la coque oculaire (scléro- tique, choroïde, rétine), et enfin lésions des voies optiques dans toute leur longueur, de
s de diminution de la vue, pour les éliminer quand on soupçonne une lésion des voies optiques. J'ai d'ailleurs indiqué, il
llement je ne m'occupe que des diminutions de la vue imputables aux lésions des voies optiques. ACLYortESErAMAunosES. Le mo
e toute diminution de l'acuité visuelle quelle qu'en soit la cause ( lésions du globe oculaire, des milieux transparents ou de
ions du globe oculaire, des milieux transparents ou des enveloppes; lésions des voies nerveuses reliant le globe au cerveau).
tos, les vices de réfraction; seules les diminutions de vision sans lésions oculaires appréciables à l'oeil ou à l'ophtalmo
scopiques)). est, dans l'immense majorité des cas, produite par une lésion de l'appareil nerveux optique (lésion rétinienn
ité des cas, produite par une lésion de l'appareil nerveux optique ( lésion rétinienne invisible il nos yeux, lésion des nerf
'appareil nerveux optique (lésion rétinienne invisible il nos yeux, lésion des nerfs optiques, du chiasma, des bandelettes
érique jusqn l' écOl'Cl' el'rébrale). Mais, la situation exacte des lésions sur la voie optique, leur nature, connues dans qu
ans ce cas les troubles visuels ne sont nullement le résultat d'une lésion des voies optiques. Ils proviennent d'un troubl
de la sensibilité rétinienne.. ' 2° Troubles ,isuelsJ6sultant d'une lésion organique, circulatoire ou inflammatoire. Tels
sclérite, l'herpès cornéen,' etc.... Ces affections accompagnées de lésions anatomiques. évidentes ne sont pas des amblyopies
'origine nerveuse, la diminution de la 'sensibilité rétinienne sans lésions objectivement appréciables. ' Amaurose bilatéra
es de névrite optique rétrobulbaire à début brusque, présentent des lésions ophtalmoscopiques et s'accompagnent de modificati
lgie des dénis supérieures semble les provoquer plus facilement. La lésion des branches cutanées du trijumeau (inflammatio
ntégrité parfaite DIMINUTION DE LA VISION. 57 est de règle si les lésions ne sont pas trop accusées, si la diminution de
s visuels dus à l'intoxication saturnine sont souvent le fait d'une lésion du nerf optique (névrite, atrophie) visible à l
moscope. D'autres fois, l'examen le plus minutieux ne révèle aucune lésion ophtalmoscopique, et les troubles visuels rentr
e à un défaut d'usage de l'oeil strabique, ne s'accompagne d'aucune lésion rétinienne. Elle est d'ailleurs curable en gran
pour voir d'un grand éclairage. Cette affection qui s'accompagne de lésions rétiniennes périphériques (rétinité pigmentaire
'âge. Cependant, l'héméralopie peut être acquise et passagère, sans lésions rétiniennes persistantes, dans certains cas de dé
s amblyopies accompagnent des maladies nerveuses connues (hystérie, lésions du trijumeau, altéra- tion des voies optiques i
nt .uti- lisables pour le diagnostic de la nature et du siège des lésions pro- ductrices des lacunes. En effet, les aff
une manière spéciale, va- riant avec le siège et même la nature des lésions nerveuses. . La lacune peut être centrale (fig;
neux entre l'objet et les éléments visuels (cône et bâtonnets). Une lésion , une hémorragie par exemple, siégeant à la surf
s éléments visuels, peut réaliser ces conditions. Le malade voit sa lésion , son hémorragie. , ' Ainsi, dans la figure 58,
e voit sa lésion, son hémorragie. , ' Ainsi, dans la figure 58, une lésion hémorragique, située en L, em- pêche les rayons
ie qui fait écran entre eux et le jour extérieur. Au contraire, une lésion , destructive située en L2 pu en AB au niveau de
rte de la vision dans la J<'ig. 58. K, fibres dn nerf optique; L lésion située à la surl'arc de la rétine; . Lo, lésion
dn nerf optique; L lésion située à la surl'arc de la rétine; . Lo, lésion des libres optiques avant leur entrée ou à leur e
tandis que dans le second les éléments rétiniens sous- jacents à la lésion sont intacts. Cette différence fondamentale autor
se montre dans certaines formes de névrites toxi- ques, et dans les lésions maculaires de la rétine. Amblyopie toxique nico
uge.. (Voir Amblyopie toxique.) On ne voit à l'ophtalmoscope aucune lésion marquée suffisant à établir le diagnostic. '
sant à établir le diagnostic. ' Amblyopie diabétique. Voir p. 57. Lésions maculaires. Les lésions maculaires productrices d
stic. ' Amblyopie diabétique. Voir p. 57. Lésions maculaires. Les lésions maculaires productrices des scotomes sont le pl
aque de cho- l'Qïdite, quelquefois un décollement de la rétine. Ces lésions sont toutes visibles à l'ophtalmoscope. C'est à
ns sont toutes visibles à l'ophtalmoscope. C'est à cette variété de lésions , particulière- ment aux hémorragies, qu'apparti
n général absolus et présentent une étendue variable avec celle des lésions . Lacunes périphériques. Lacune périphérique c
a vie ordinaire, tandis qu'un rétrécissement semblable par suite de lésions rétiniennes (rétinite pigmentaire, glau- come)
ions irrégulières de la périphérie du champ visuet provien- nentdes lésions du système nerveux optique situé en avant du olri
ue situé en avant du olrirrwan, LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL. AT, lésions du nerf optique (névrite, atrophie), lésions de l
S LE CHAMP VISUEL. AT, lésions du nerf optique (névrite, atrophie), lésions de la rétine {plaque de cho1'Ofdite, hémorragie
stic entre ces diverses affections se fait par l'ophtalmoscope. Les lésions rétiniennes sont visibles. (Voir Ophtalmoscopie.)
'à une période avancée. En présence d'encoches du champ visuel sans lésions rétiniennes, sans lésions papillaires, il faut
présence d'encoches du champ visuel sans lésions rétiniennes, sans lésions papillaires, il faut penser à une atrophie optiqu
ne atrophie optique qui commence. Ces déformations irrégulières par lésion des voies optiques antérieures contrastent avec
c les déformations si régulières que nous allons retrouver dans les lésions des voies optiques au niveau et en arrière du chi
11B111A\OPSIE. L'hémianopsic est un trouble visuel résultant de la lésion des voies optiques au niveau ou au delà de leur
champs visuels.' C'est l'hémianopsie Ir.onzo- latérale gauche. La lésion des voies optiques de gauche, en arrière du chias
du chiasma, amène de la même façon une hémianopsie droite. Que la lésion siège au niveau du chiasma, au point d'entre-croi
- mle. - ' . Dans certaines condi- tions exceptionnelles, les lésions peuvent atteindre les deux fais- ceaux direct
t-à-dire une hémia- nopsie binasàle. Il est bien évident qu'une lésion unique ne peut amener de troubles bilatéraux
es variables de ce sym- ptôme suivant le siège et la nature des lésions qui le produisent. Hémianopsie ..l10molatéral
Fil(. W. - Lésions du chiasma. OD, oeil droit; OG, oeil gauche. 1. Lésion abolissaut les fonctions des deux rélines nasal
des deux rélines nasales et donnant de l'hémianopsie bitemporale. 2. Lésion abo- lissant les fonctions des deux rétines nas
d'où cécité de l'oeil gaucho avec hémianopsie temporale de l'OD. 3. Lésion abolissant les fonctions de la rétine nasale de
. Ce fait a une grosse importance pour le diagnostic du siège de la lésion qui provoque la cécité. Sur le schéma (lig. 59)
aires. Cécité avec conservation des réflexes pupillaires signifie : lésion cérébrale, sur les voies optiques, en arrière d
nopsie, et dans les suivantes, qu'on voit souvent se développer des lésions ophtal- moscopiques, témoignant d'une dégénéres
ces faits s'expliquent d'ailleurs bien par le siège particulier des lésions productrices de l'hémianopsie bitemporale. Si l'o
r que l'hémianopsie bi- temporale ne peut être réalisée que par une lésion siégeant au niveau du chiasma, seul point où el
s'y entre-croiser (fig. 40, 1). On conçoit facilement aussi qu'une lésion du chiasma ou de son voisi- nage puisse amener
. 40, 2 et fig. 42, B). ' ' Enfin, la localisation périphérique des lésions productrices de l'hémia- nopsie bitemporale exp
sale comme l'hémianopsie bitemporale, est toujours produite par une lésion , siégeant au niveau ou en avant du chiasma; les
hiasma; les hémianopsies véritables ont au contraire pour cause une lésion des voies optiques en arrière du chiasma. Varia
a. Variations sémiologiques de l'hémianopsie suivant le siège des lésions . Une lésion intéressant les voies optiques dans
sémiologiques de l'hémianopsie suivant le siège des lésions. Une lésion intéressant les voies optiques dans leur long tra
nt les voies optiques, peuvent, en effet, être atteints par la même lésion qui coupoles voies optiques, et donner lieu à d
ces variations de l'hémianopsie aident grandement i à localiser la lésion . ' Hémianopsie par lésion cérébrale corticale.
psie aident grandement i à localiser la lésion. ' Hémianopsie par lésion cérébrale corticale. Elle est souvent précédée
ou avec cécité complète (cécité corticale), sont surtout le fait de lésions cor- ticales. Cela s'explique d'ailleurs par la
par leurs faces internes, très voisines l'une de l'autre. Une même lésion les atteint facilement. Cependant l'hémianopsie
t. Cependant l'hémianopsie double peut être également le fait d'une lésion bilatérale atteignant le côté droit et le côté
uemment l'hémianopsie d'origine corti- cale ; mais plus souvent les lésions sous-corticales. Les hémianopsies transitoires
s chez les hémiplégiques. L'bémianesthésie dénote l'extension de la lésion à la partie postérieure de la capsule interne.
capsule interne. Mais c'est là encore un symptôme aussi propre aune lésion sous- corticale qu'à une corticale. Aphasie.
parler. C'est une aphasie par défaut d'impression. Elle dénote une lésion de la zone de Wernickc. L'anarthrie, dans laque
le langage parlé ou écrit, mais ne peut parler. Elle résulte d'une lésion du noyau lenticulaire. C'est une aphasie par dé
ubles du langage. La cécité verbale pure n'est pas, en effet, . une lésion des fibres venant du pli courbé, ce. n'est pas un
et, . une lésion des fibres venant du pli courbé, ce. n'est pas une lésion du territoire de l'artère sylvienne. La lésion
é, ce. n'est pas une lésion du territoire de l'artère sylvienne. La lésion productrice siège dans le terri- toire de la cé
et doit rentrer dans le groupe des aphasies. , . Hémianopsie par lésion cérébrale sous-corticale. Beaucoup des symptôme
ale. L'hémiplégie, l'hémiancsthésie se voient plus souvent dans les lésions soUs-corticales que dans les lésions corticales.
e voient plus souvent dans les lésions soUs-corticales que dans les lésions corticales. La cécité verbale pure se rencontre
les. La cécité verbale pure se rencontrerait exclusivement dans les lésions sous-corticales. Il existe encore quelques ca
: La ligne de démarcation coïncide avec le méridien vertical si la lésion s'avance assez loin, dans le voisinage du corps c
é des photopsies, des hallucinations visuelles. , Hémianopsie par lésion des ganglions centraux. Les symptômes associés
Les symptômes associés auxquels donnent lieu les hémianopsies par lésion des ganglions centraux sont, à vrai dire, mal con
. ' Le corps genouillé externe paraît être le seul ganglion dont la lésion donne l'hémianopsie (Henchcn). Des'lésions part
dans le sens vertical, une position variable suivant le siège de la lésion dans le corps genouillé, une lésion supérieure
variable suivant le siège de la lésion dans le corps genouillé, une lésion supérieure dans le corps genouillé amenant des sc
er l'ori- gine mésencépbatique d'une hémianopsie. Hémianopsie par lésion de la bandelette optique. L'hémianopsie est ord
dans les noyaux du mésocéphale (tub. quad. antér.) (fig. 59). Si la lésion siège au delà des noyaux du mésocépliaie, entre c
e l'excitation lumineuse de la moitié voyante. Si, au contraire, la lésion siège en deçà des ganglions du méso- céphale, e
o- céphale, entre ceux-ci et la rétine, comme c'est le cas pour une lésion de la bandelette, l'excitation lumineuse de la
int a une solution précise (Voir Technique, p. 29). Hémianopsie par lésion du chiasma. C'est dans cette variété topographi
ncomitante de certains nerfs de la base du crâne. On conçoit qu'une lésion siégeant au niveau du chiasma, dans le point où
uffirait il la distinguer de la cécité corticale. Hémianopsie par lésion du nerf optique. - D'ordinaire. une atrophie du
is ces rétrécissements n'ont pas la netteté des rétrécissements par lésion eu arrière du chiasma, leurs limites sont moins
par l'adjonction de symptômes associés, peut, suivant le siège des lésions , présenter des aspects cliniques multiples. La
des aspects cliniques multiples. La nature, variable également, des lésions qui peuvent la produire est. elle aussi, suscep
connaître. Car, s'il est inté- ressant de déterminer le siège d'une lésion cérébrale, il est bien plus important, au point
t, au point de vue thérapeutique, d établir la nature véritable des lésions productrices. Parmi les hémianopsies, les unes
hémianopsies, les unes ont une cause organique. (Hémia- nopsies par lésion organique appréciable.) Les autres se produisent
es autres se produisent sans qu mi puisse déceler l'existence d'une lésion organique en un point quel- conque de l'encépha
rganique en un point quel- conque de l'encéphale. (Hémianopsie sans lésion organique appréciable.) .1. Hémianopsie par lés
Hémianopsie sans lésion organique appréciable.) .1. Hémianopsie par lésion organique appréciable. Presque lotîtes les alle
ose et de la syphilis. La tuberculose peut donner naissance à des lésions nodulaires volumi- neuses, à de gros tubercules
ômes cliniques de la tumeur cérébrale; elle peut aussi produire des lésions diffuses, dissé- minées, une méningite. C'est p
diagnostic véritable. La syphilis produit des gommes syphilitiques, lésions nodulaires qui se comportent comme de véritable
en, recherche du spirille, réactions du sérum). B. Hémianopsie sans lésion organique. L'hémianopsie peut n'être le résulta
anopsie hystérique, il faut, toujours et avant tout, rechercher une lésion organique, cause habituelle de l'hémianopsie, pen
st l'amaurose, la perte complète et passagère de la vue sans aucune lésion du fond de l'oeil (p. 57). Cette amaurose est u
ntermédiaires ou scotomes insulaires ne se rencontrent que dans les lésions du système nerveux périphérique (fig. 57 et fib.
e (fig. 57 et fib. .I 0 S). Et encore n'existent-ils guère dans les lésions du nerf optique (atrophie, névrite). Ils sont,
rf optique (atrophie, névrite). Ils sont, en général, le fait d'une lésion rétinienne (chorioré- tinite, hémorragie, décol
décollement). On peut toujours, avec l'ophtalmoscope, constater la lésion qui produit le scotome. L'existence d'une lacun
ome dans le champ visuel, de déterminer le siège et l'étendue de la lésion rétinienne. Cette méthode est aussi pré- cise q
: 1° le muscle paralysé; 2° le siège dans les voies optiques de la lésion interruplrice; 5° la nature de cette lésion. '
es voies optiques de la lésion interruplrice; 5° la nature de cette lésion . ' Diagnostic des muscles paralysés. Il peut y
clinique des paralysies) . Aspects cliniques suivant le siège DE la lésion . Diagnostic du siège. Quand, il l'aide de la di
ore, pour arriver à un diagnostic complet, localiser le siège de la lésion dans les voies oculomotrices (diagnostic du siège
ge). Cela fait, il ne reste plus qu'à déterminer la nature de cette lésion (diagnostic étiologique). Suivons les voies opt
econnaître avec facilité. Ils sont variables suivant le siège de la lésion dans la région pédonculo-protubéran- tielle.
le bulbe. C'est d'ailleurs l'ordre d'émergence de ces nerfs. Une lésion pédonculaire touche le M. 0. C. croisé, le faci
. croisé, le facial et les nerfs des mem- bres non croisés. Une lésion protubérantielle touche le M. 0. E. et le facia
divers syndromes de Weber et de Millard-Gubler. Syndrome de Weber ( lésion pédonculaire) : paralysie du M. 0. C. d'un 1 i
nt de s'entre-croiser dans la région protubérantielle, en Eg. La, lésion L, (pédonculaire) coupe le M. 0. C. entrecroisé
e la face et des membres non entre-croisé (syndrome de Weber). La lésion Lo (protubérantielle) coupe le Il. 0. E. et l
). PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DÈS GLOBES. 71 côté (côté de la lésion ) ; paralysie de la face et des membres du côté op
des membres du côté opposé (fig. 52 A). Syndrome Millard-Guble1' ( lésion protubérantielle) : paralysie du M. 0. E. et du
ntielle) : paralysie du M. 0. E. et du facial d'un côté (côté de la lésion ) ; paralysie des membres du côté opposé (fig. 5
a lésion) ; paralysie des membres du côté opposé (fig. 52 B). Des lésions pédonculo-protubérantielles peuvent encore amener
plus tard une description détaillée. Syndrome type Foville dans les lésions pédonculaires : paralysie du facial, des membre
Déviations conjuguées (fig. 55 A.) Syndrome type Foville dans la lésion protubérantielle supérieure : 5 ? [POULARDE
érieure : 5 ? [POULARDE Fig. 52. La croix indique le côté de la lésion , les hachures le côté paralysé. A, syndrome de
res du côté opposé (fig. 55 B).. '.> Syndrome type Foville par lésion protubérantielle inférieure : para- lysie du fa
ure : para- lysie du facial et de l'oculogyre d'un côté (côté de la lésion ); paralysie des membres du côté opposé (fig. 55
ependant être connus. Fig. 55. (A; Syndrome type Foville dans les lésions pédonculaires (les deux yeux regardent à gauche
s deux yeux regardent à gauche). (B) Syndrome type Foville dans les lésions protuleraticlles supérieures (les deux yeux reg
c tremblement. Benedikt considère ce syndrome comme résultant d'une lésion du pédoncule cérébral au niveau du noyau du M.
ui ont été faites, le syndrome de Benedikt se montrerait dans les lésions de la calotte du pédoncule. Syndrome protubéran
rte du sens stéréognostique), Ce syndrome se rencontre dans « les lésions de la calotte de la partie supérieure de la pro
s ces troubles oculaires ont une origine bulbaire. 5° Paralysie par lésion isolée des noyaux pédonculo- protubérantiels.
le fait, [POULARD.] Fig. 55 (C). Syndrome type Foville dans les lésions protubérantielles inférieures (les deux yeux re
dent à droite). 74 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. ou de lésions périphériques ou de lésions nucléaires. En ces de
S NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. ou de lésions périphériques ou de lésions nucléaires. En ces deux points, en effet, les f
igine. Les paralysies totales du M. 0. C. sont plutôt le fait d'une lésion inter- médiaire portant sur le tronc nerveux. C
ment, expliquer ce symptôme par une localisation particulière de la lésion dans les points 1, 2, 5, 4 4 des voies optiques
e. 76 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. parait résulter de lésions nucléaires. C'est une polioencéphalite analogue-
gine nucléaire. Le droit externe peut être paralysé par suite d'une lésion du noyau du M. 0. E'. à l'emi-- nentia teres, o
du noyau du M. 0. E'. à l'emi-- nentia teres, ou par- suite d'une lésion des fibres de ce nerf dans la-protubérance (V
55). On peut recon- naître le siège diffé- rent de ces deux, lésions . Dans le pre- mier cas, la déviation persiste
5. Coupe schématique de la protubérance il sa partie inférieure. A, lésion touchant le noyau du M. 0. E. et le facial (par
uchant le noyau du M. 0. E. et le facial (paralysie nucléaire) ; B, lésion touchant les racines protubé- rantielles du fac
). PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 77 6° Paralysie par lésion des centres et voies supranu- cléaires (mésocép
juguées avec et même sans hémianopsie puissent se produire dans les lésions du pli courbe, cette région ne con- stitue pas
bulbo-protubérantiels, origine réelle des nerfs oculo-moteurs, les lésions ne produisent plus la paralysie isolée des musc
oteur, des déviations d'origine motrice. Elles s'observent dans des lésions siégeant sur le trajet que nous venons de donner
t sur le trajet que nous venons de donner aux nerfs oculogyres : a) lésions de l'écorcc cérébrale frontale ou occipitalo- p
ésions de l'écorcc cérébrale frontale ou occipitalo- pariétale ; b) lésion du centre ovale; c) lésions de la capsule interne
e frontale ou occipitalo- pariétale ; b) lésion du centre ovale; c) lésions de la capsule interne, [POULARD.] 80 TROUBLES
cial ou partie postérieure au voisinage des radiations optiques; d) lésions du pédoncule cérébral dans l'étage supérieur (f
lles semblent t s'être réunies les fibres du centre antérieur) ; e) lésions protubérantiellcs supérieure, moyenne et inféri
La déviation conjuguée paralytique présente, suivant le siège de la lésion productrice, des variations symptomatiques contri
tablissement d'un diagnostic précis. Syndrome type Foville dans les lésions pédonculaires ou cérébrales : paralysie du faci
e l'oculogyre du même côté (fig. 53 A). Syndrome type Foville par lésion protubérantielle supérieure : para- lysie de l'
un syndrome de Weber modifié (fig. 55 B). Syndrome type Foville par lésion protubérantielle inférieure : paraly- sie du fa
ure : paraly- sie du facial et de l'oculogyre d'un côté (côté de la lésion ) ; paralysie des membres du côté opposé. C'est
Grasset, sur les variations de la déviation suivant le siège de la lésion : dans les lésions hémisphériques avec déviatio
variations de la déviation suivant le siège de la lésion : dans les lésions hémisphériques avec déviation conjuguée, le malad
l regarde ses membres con- vulsés quand il y a convulsion. Dans les lésions protubérantiellcs, le malade regarde ses membre
rantiellcs, le malade regarde ses membres s'il y a paralysie, et sa lésion s'il y a convulsion. b) Déviations conjuguées
ations conjuguées d'origine motrice, paralytique ou convulsive, par lésion des oculogyres, il peut exister des déviations co
sion des oculogyres, il peut exister des déviations conjuguées sans lésion motrice, d'origine sensorielle. La déviation conj
ver- gence et de divergence, elles ont ordinairement pour cause une lésion au voisinage des tubercules quadrijumeaux. Sans
ules quadrijumeaux. Sans doute, elles peuvent également résulter de lésions plus élevées dans l'encéphale, mais nous en ign
non seulement suivant le siège,' mais encore suivant la nature des lésions productrices. Je me contente d'énumérer les dif
de la vue, de l'odorat, de l'ouïe. Ici, connue dans tous les cas de lésion cérébrale, la ponction lombaire, sera souvent u
gne de céphalée, de vomisse- ments, de constipation, quelquefois de lésions du nerf optique, de trou- bles de l'odorat et d
'accom- modation, la convergence sont sans action. Cependant, si la lésion siège au noyau du sphincter, la pupille, dit-on
sons nerveuses dans le dilatateur sont intactes, c'est-à-dire si la lésion siège avant le relais du ganglion cervical supé
manière précoce, peu de temps après l'accident primitif, sans autre lésion appréciable du système nerveux. Elle a pour le
ation pupillaire maxima semblerait donc ne se produire que dans les lésions du système ner- veux, en avant du ganglion opht
ous trouverez le labes ou la paralysie générale, moins souvent une- lésion de l'encéphale (1 u meur' ou méningite). Si vous
conclusion très importante, c'est que, certainement, il existe une lésion grave du système nerveux, et que, à côté de cet
existe une lésion grave du système nerveux, et que, à côté de cette lésion appréciable, il y en a probablement d'autres, ou
Rétrécissement pupillaire (myosis). Affections du globe oculaire : Lésions irritatives de l'iris et de la cor- née (iritis
Lésions irritatives de l'iris et de la cor- née (iritis, synéchies, lésions cornéennes), '" Substances chimiques : Agissant
et par conséquent de myosis. Elle serait due, d'après Cestan, a une lésion bulbaire dans la région du noyau du pneumogastriq
pasmodique. Le myosis, comme la mydriase, peut être réalisé par des lésions ner- veuses variées, mais il faut savoir que c'
ou ancien, le diagnostic est toujours facile par la constatation de lésions oculaires concomitantes. A l'état normal, l'iri
eut être lésé dans son tissu, devenu rigide (iritis, glaucome). Ces lésions se constatent en général très facilement à l'oeil
nt la dilatation et le rétrécissement pupillaire. H s'agit là d'une lésion isolée, périphérique, du système nerveux oculaire
soit maximal. En général, la perte du réflexe lumineux vient d'une lésion du système nerveux. Les mouvements réflexes lum
aux dumésocéphale, pourvoie centrifuge le M. 0. C. (fig. 50). Toute lésion interrompant cet arc réflexe amène la perle du
en présence d'une amaurose complète, de l'un ou des deux yeux, sans lésions ophtalmoscopiqucs et avec persistance des réflexe
s, tirer la conclusion suivante : Il s'agit très probablement d'une lésion des voies optiques située au delà de l'arc réfl
ires a donc une grande importance pour diagnostiquer le siège de la lésion . Il est encore très utile en cas de simulation
use, et pouvant s'altérer isolément. On peut encore supposer que la lésion qui produit la perte isolée du réflexe lumineux s
altérations, susceptibles de donner, sur la nature et le siège des lésions en cause, d'intéressantes indications. a) Eclai
ntrifuges. S'il y a amaurose d'un ou des deux côtés, concluez à une lésion corticale organique ou fonctionnelle (hystérie)
circonstances la paralysie de l'accommodation s'accompagne d'autres lésions nerveuses intrinsèques ou extrinsèques du globe o
accommodation), innervée par le M. 0. C. pouvait être atteinte sans lésion des branches extrinsèques du M. 0. C. L'iris es
associés est de la plus grande importance, pour la localisation des lésions productrices du ptosis. Souvent la chute de la
X DE L'APPAREIL OCULAIRE. llloc'Ezuen, se serait rencontré dans une lésion à l'intérieur du lobe tem- poro-sphénoïdal. D
nterruption dans les différentes régions qu'elles traversent. Une lésion périphérique touchant le muscle ou le filet nerve
s visuels par altération du nerf optique, exophtalmie, etc.). Une lésion du tronc M. 0. C. donne en général une paralysie
e ou quelques branches du M. 0. C., en particulier le ptosis. Une lésion pédoncllloprotubémntièlle, . dOn).1e le syndrome
. dOn).1e le syndrome de Webcr p. 70), jamais de ptosis isolé. La lésion des noyaux protubérantiels , origine du M. 0. G"
on des noyaux protubérantiels , origine du M. 0. G" peut, comme une lésion périphérique, donner un ptosis isolé. C'est là le
mbinés d'élé- vation des paupières n'est pas démontrée. C'est à une lésion de ces cen- tres d'association qu'on est tenté
uer les cas, d'ailleurs rares, de ptosis bilatéral simultané. Les lésions de la capsule interne ou du centre ovale ne donne
uzy, . Chauffard) : , on a noté la coexistence d'un ptosis avec une lésion du pli courbe du côté opposé. Ce sont là des fa
avec le nerf lacrymal lui-même (fig. 63). Dans ces conditions, une lésion périphérique siégeant au niveau du trou stylo-m
du larmoiement par paralysie du muscle de Corner; au contraire, une lésion intra-pétreusc intéressant les origines, du gra
n'existe que dans les paralysies périphériques du facial dues à une lésion siégeant entre le noyau hulbaire et la périphérie
morrhagies rétiniennes des nouveau-nés, etc. Cette multiplicité des lésions oculaires montre que la cause du nystagmus n'es
lésions oculaires montre que la cause du nystagmus n'est pas telle lésion oculaire plutôt que telle autre, mais l'altérat
de ce nystagmus est complètement inconnu. Il s'agit peut-être d'une lésion ou d'un vice de développement de certaines part
rtigineuses et déséquilibrantes, s'accompagnent de nystagmus. Les lésions opératoires ou spontanées du labyrinthe, les supp
clérose intéresse les centres encé- plialiques, quand il existe des lésions de la protubérance, du cervelet, du bulbe, des
eurs autopsies de malades atteints de nystagmus, on a rencontré des lésions de diflérento nature, intéressant les organes n
rer, nous permettent même de localiser plus exactement le siège des lésions productrices du nystagmus. Par conséquent, en p
de celles que nous avons énumérées, et soupçonner l'existence d'une lésion plus particulièrement localisée au cervelet, à
on lacrymale après résection du ganglion de Casser, serait due à la lésion concomitante du grand nerf pétreux. D'autre part,
kératite neuro- paralytique tient peut-être au siège différent, des lésions . La sécrétion psychique persisterait dans les l
ifférent, des lésions. La sécrétion psychique persisterait dans les lésions postérieures du trijumeau (tronc, ganglion de C
Casser, tronc ophtalmique); elle manquerait au con- traire dans les lésions périphériques (orbite), touchant le trijumeau apr
on sont d'ailleurs très rares, elles n'existent guère en dehors des lésions cicatricielles de la conjonctive (xerophtalll11e)
on lacrymale peut être le résultat d'une paralysie faciale quand la lésion atteint les filets sécréteurs dont nous avons ail
sième variété d'anesthésie cornéenne est celle qui accom- pagne les lésions du nerf trijumeau entier ou de sa branche ophtalm
, on pourrait l'appeler anesthésie d'origine névritique. Toutes les lésions du trijumeau, depuis son origine hulbo- protubé
, sont capables de la produire. Elle peut être la conséquence d'une lésion périphérique néoplasique ou inflammatoire, sur
rbite sont souvent atteints en même temps. Elle peut résulter d'une lésion bntbo-protnberantiette (tumeur, ramollissement),
eau. Dans ce cas, l'anesthésie peut être ou isolée ou associée a la lésion d'autres organes butbo-protuberantieis. On obse
ite neuro-paratytique. Kératite neuro-paralytique. L'anestbesie par lésion du nerf trijumeau se complique souvent d'une vé
, devient mate, se trouble légèrement, répithélium est exfolié. Ces lésions commencent au centre de la cornée et s'étendent
l'hypopioll ou accumulation de pus dans la chambre antérieure. Ces lésions cornéennes n'ont à vrai dire rien de caractéris
re : voilà une kéra- tite neuroparalytique. Ce qui, mieux que les lésions précédentes, caractérise celle kératite, c'est
couleurs. Tout trouble acquis de la vision des couleurs dénote une lésion de l'appareil nerveux sensoriel. Les altération
eil nerveux sensoriel. Les altérations de la vision résultant d'une lésion du système dioptrique (taies cornéennes, opacités
isuelle, n'altèrent point la vision des couleurs, s'il n'y a pas de lésion concomitante de l'appareil nerveux sensoriel. L
, leur influence sur la vision des couleurs est minime tant que les lésions rétiniennes ne sont pas très étendues. Cependan
vision des couleurs. La dyschroma- topsie constitue un bon signe de lésion du nerf optique. Elle s'accompagne d'une diminu
rf optique. '1 Il faut peut-être rattacher aux dyschromatopsies par lésion du nerf optique, celle qui résulte de l'intoxic
ur le rouge, enfin pour le blanc lui-même (p. 50). Dans certaines lésions des lobes occipitaux on aurait constaté une ach
Jl existe, en tout cas, des observations d'hemia- chromatopsie par lésion d'un lobe occipital. Pierre Marie a vu dans l'h
ège dans i'cncepate. D'autres sont variables suivant le siège de la lésion . Troubles communs à toutes les tumeurs cérébral
l'apparition du moindre signe ophtalmoscopiqne au fond de l'oeil. Lésions du nerf optique. Les lésions du nerf optique au c
ne ophtalmoscopiqne au fond de l'oeil. Lésions du nerf optique. Les lésions du nerf optique au cours d'une tumeur cérébrale
grande disproportion entre les troubles visuels et l'intensité des lésions ophtatmoscopiqucs ; ceux-là pouvant être légers,
ue pour les tumeurs corticales. Tumeurs cérébrales centrales avec lésion des ganglions centraux. - Ilémianopsie à caract
ystagmus (p. 109). Le nystagmus s'est aussi rencontré à la suite de lésions situées ailleurs : corps restifol'Il1l's, lésio
tré à la suite de lésions situées ailleurs : corps restifol'Il1l's, lésions bulbaires et protubérantielles, lésions des pédon
rs : corps restifol'Il1l's, lésions bulbaires et protubérantielles, lésions des pédoncules cérébel- leux, du 4e ventricule,
écorce pariétale, centre de l'équilibration volontaire. Ce sont les lésions de cet appareil qui déterminent les troubles de
et dit 1/(')'/ acous- tique; 4° Troubles nerveux déterminés par les lésions de l'oreille. I. RAPPORT DES MALADIES DE L'OREI
tentissement des maladies de l'oreille sur le système nerveux. 10 Lésions congénitales ou acquises au début de la vie. On
erf auditif subissait une semi- déeussation au niveau du bulbe. Les lésions unilatérales du cerveau ne pourraient donc donn
ourraient donc donner qu'une hémi-surdité analogue a l'hémiopic des lésions du centre visuel. Lorsqu'il existe de la surdit
e paraissent pas univoques. Pierrot, Marie et Walton ont décrit des lésions de l'acoustique, soit du nerf lui- même, soit d
et), il faudrait invoquer des troubles trophiques provoqués par les lésions du trijumeau. En réalité, ces faits sont l'exce
ion : le plus souvent, les troubles auditifs du tabès sont liés aux lésions de l'oreille moyenne qu'il n'est pas rare de tr
nt eu la syphilis et des affections diverses du naso-pharynx. (i° Lésions des nerfs. Nous venons de voir qu'on a invoqué
ons de voir qu'on a invoqué le rôle trophique du trijumeau dans les lésions de l'oreille chez les tabé- tiques : nous le tr
gies du trijumeau et notamment dans celles qui ont pour origine des lésions den- taires. D'ailleurs on sait actuellement qu
s classiques, mais avec la para- lysie du muscle de l'étrier. Les lésions du sympathique provoquent des troubles auriculair
de l'ouïe qui- se rencontrent parfois dans la grossesse, certaines lésions de l'estomac, etc. l'ai récemment vu de la surdit
rapide évolution. Hypoacousie et surdité. -(lu'elle soit liée à une lésion de l'ap- pareil de conduction ou- de l'appareil
igne médiane (dents, vertex), est perçu dans l'oreille sourde si la lésion porte sur l'appareil de conduction des sons, dans
de conduction des sons, dans l'oreille saine ou moins malade, si la lésion est labyrinthique. Par contre, l'épreuve de Rin
us longtemps., pendant 40 ou 45 secondes, par exemple, c'est que la lésion est de transmission (Schwabach prolongé); s'il
s'il n'est perçu que 10 secondes (Schwahach diminué), c'est que la lésion porte sur le nerf ou sur le labyrinthe. L'exame
ices, la perception des sons bas étant diminuée ou absente dans les lésions de la caisse, celle des sons élevés dans les lési
sente dans les lésions de la caisse, celle des sons élevés dans les lésions du laby- rinthe. On a même essayé de donner, pa
GÉNÉRALE DES TROUBLES DE l/OUIE. 13 L moyen de diagnostic entre les lésions du labyrinthe et celles du tronc nerveux lui-mê
nthe et celles du tronc nerveux lui-même : pour Gradenigo, dans les lésions du nerf, la percep- tion des sons élevés serait
n, bien entendu, que la surdité ne soit pas absolue) comme dans les lésions de la caisse : celles-ci s'éliminent par l'exam
y aurait un épuisement beaucoup plus rapide de l'audition dans les lésions du nerf. L'examen avec les diapasons, non plus
arition de la limite inférieure des sons indiquant au contraire une lésion de la pointe du limaçon. L'impor- tance de la c
er. bruit d'atelier, etc.). La paracuusie de "'illis est liée Ù des lésions ner- veuses et est d'un fâcheux pronostic en ce
eux sons pour un seul : elle se rencontre plus fréquemment dans les lésions unilatérales de l'appareil de conduction, mais
ts il timbre élevé, bruits métalliques et bruits musicaux, avec les lésions primitives ou secondaires du labyrinthe. Vert
abyrinthe et du nerf auditif. Toutefois, connue ils dépendent de la lésion d'une partie bien déterminée du labyrinthe, le ve
ortent sur le nerf lui-même. I. MALADIES DE L'OREILLE INTERNE Les lésions du labyrinthe sont relativement plus rares que ce
rébro-spinale épidémique par exemple, ou hcauconp'Trlti ? m-cnt aux lésions de la caisse (otites, ankyloses, etc.). 1° Trou
nous venons d'énu- merer. Souvent la rupture est favorisée par des lésions vasculaircs anté- rieures dues à la syphilis, a
mais ceci est loin d'être constant. 11. a en outre, en faveur de la lésion cérébelleuse, la prostration, le ralentissement d
est réelle. .5° Syphilis. C'est une cause fréquente de surdité par lésions de l'oreille interne : elle se montre parfois t
sance, comme dans la forme classique du vertige de Ménière. - Les lésions sont uni- ou bilatérales : malgré des travaux déj
LADIES DE L'OREILLE INTERNE. 15.'» cas récents il s'agit surtout de lésions d'ordre inflammatoire et exsudât if (infiltrati
s'accompagne d'atrophie des cellules du ganglion de Rosentilai. La lésion est probablement d'origine vasculaire. Le dia
des symptômes généraux et de la fièvre. Chez les jeunes sujets, la lésion des deux oreilles produit la surdi-mutité. La l
nes sujets, la lésion des deux oreilles produit la surdi-mutité. La lésion n'est pas connue; il s'agit vraisemblablement d
. Enfin, plus récemment, Willmack et IJJ'('Y ! 'IIS 0111 décrit des lésions de. chronialolyse dans les ganglions de Corti e
e ascendante consécutive aux labyrinthites. Dans ces deux cas les lésions du nerf sont secondaires. Mais lïlll1alll- tnat
hémorragies limitées, peuvent s'accompagner de surdité isolée : la lésion a porté dans ces cas sur le noyau antérieur et
s, avec le cervelet, avec la moelle. TROUBLES NERVEUX LIÉS 11 : DES LÉSIONS ORGANIQUES. 159 auditifs passagers par lésion c
ERVEUX LIÉS 11 : DES LÉSIONS ORGANIQUES. 159 auditifs passagers par lésion concomitante de quelques fibres de la racine au
ariétale ascendante, centre d'équilibration volontaire : toutes les lésions portant sur ce long trajet pourront s'accompagn
écorce temporale, probablement dans la temporale profonde. Mais les lésions de ce centre et de ce trajet bulbo-cortical ne
niveau du bulbe. Il faudrait, pour faire apparaître la surdité, des lésions bilatérales : ces cas sont exceptionnels, mais
diées avec l'aphasie. - IV. - TROUBLES NERVEUX DÉTERMINÉS PAR LES LÉSIONS DE L'OREILLE Pour la commodité de la descriptio
er en deux grandes classes, suivant qu'ils s'accompagnent ou non de lésions organiques. Mais cette division reste artificie
ysie de l'abduccns, par exemple. , I. TROUBLES NERVEUX LIÉS A DES LÉSIONS ORGANIQUES D'ORIGINE OTIQUE Nous décrirons so
ès grand nombre de cas la paralysie faciale est consé- cutive à une lésion de l'oreille. Le fait est trop connu pour qu'il s
, l'aditus ad mtrum et l'antre mastoïdien expliquent facilement ses lésions dans tous ces cas. Mais des otites moyennes, lé
le et souvent efficace découle naturellement de la constatation des lésions auriculaires. ' A cette question se rattache ce
d'origine otique (Lannois et Pautet). Chez les malades ayant eu des lésions unilatérales de l'oreille,il est fréquent de co
ue calcaire sur la membrane tympanique. TROUBLES NERVEUX LIÉS A DES LÉSIONS ORGANIQUES. 141 2° Complications intra-crânienn
. Le plus souvent cependant, il y a de l'ostéite destructive et des lésions de la table interne. Enfin, lorsqu'il y a de la
ans les formes chroniques et dans les formes aiguës. Le siège de la lésion auriculaire a une très grande influence sur la
e siège de la lésion auriculaire a une très grande influence sur la lésion cérébrale secondaire. Les lésions du-toit de la c
a une très grande influence sur la lésion cérébrale secondaire. Les lésions du-toit de la caisse et de l'antre donnent les
dapter à l'intensité de la source sonore. On sait que. s'il y a des lésions de la caisse et de la fenêtre ronde ou de l'ex-
de la sensibilité du conduit et du pourtour de l'oreille) dans les lésions chro- niques profondes de l'oreille. D) Réfle
e nystagmus spontané est un symptôme fréquent, mais inconstant, des lésions du labyrinthe. On a dit tout d'abord qu'il se pro
qu'il sc faisait dans le regard du côté malade, s'il s'agissait de lésions cérébelleuses. Du moins sa disparition ultérieure
lsions et à des crises épileptiformes : on les a vues à la suite de lésions très diverses, corps étrangers (surtout animés)
étrangers (surtout animés) du'conduit auditif, polypes de l'oreille, lésions diverses de la caisse ou de la mastoïde. C'est
quelques cas nets d'hallucinations unilatérales en rapport avec des lésions localisées il une oreille et sur la fréquence des
bérosité olfactive : cette partie du nerf est très exposée dans les lésions méningitiques aiguës ou chro- niques de l'étage
t y ajouter les diminutions ou disparitions de l'olfaction dans les lésions du trijumeau, après l'extirpation du ganglion d
erf de la 5e paire renfermait les fibres olfactives : en réalité la lésion du triju- meau détermine des troubles sécrétoir
ène; mais le plus souvent elle est purement nerveuse et traduit une lésion des voies olfactives. On l'a vue au début du ta
bles nerveux extraordinaire- ment variés. Les uns s'accompagnent de lésions organiques des nerfs ou des centres, les autres
n peut observer des troubles psychiques. 1° Troubles nerveux avec lésions organiques. -- L'in- nervation très étendue du
ions sont de même ordre que celles que nous avons vues succéder aux lésions de l'oreille; on trouvera des abcès extra- et int
ns de production de ces névroses nasales sont assez diverses' : les lésions du nez portent surtout sur la sphère sensitive, e
tribué des consti- pations et des entérites muco-memhrancuses à des lésions de la muqueuse fortuitaire ! ... -.C'est tout
L'obstruction nasale, quelle qu'en soit la cause, qu'il s'agisse de lésions du nez lui-même ou du naso- pharynx (végétation
s venons de citer ta neurasthésie : celle-ci est fréquente dans les lésions nasales. Mais elle ne reste pas toujours à l'état
sible que le vertige survienne seulement par l'intermédiaire d'une lésion portant spécialement sur les voies du sens de l
l'hystérie, dans la neurasthénie surtout. En somme, en dehors des lésions de l'oreille et du cervelet et peut- être de qu
s des lésions de l'oreille et du cervelet et peut- être de quelques lésions des voies visuelles, on voit combien la patho-
si c'est le pôle négatif, la réaction est pathologique : il y à une lésion organique de l'oreille interne du même côté. SJ
du mode d'action de chacun des pôles. Eu constatant d'abord que les lésions auriculaires déterminent, soit, chez l'homme, soi
e valeur séinéiologique, et que nous résumerons ainsi : 1" Dans les lésions organiques d'une oreille interne, on constate e
t du côté de l'oreille malade qu'elle est plus prononcée. Quand les lésions organiques de l'oreille interne sont bilatérales,
e. Soc. de biologie, 14 mars 1 005. 5. Babinski. De l'influence des lésions de l'appareil auditif sur le vertige voltaïque.
ause de certaines sur- dités; elle a pu servir aussi il déceler des lésions méconnues de l'oreille n'ayant donné lieu qu'à
n constate notamment, comme nous l'avons dit, dans nombre de cas de lésions de l'oreille interne, diminue généralement par
e. Thèse Toulouse, HIO 1. - Napie- d. Le vertige voltaïque dans les lésions de l'appareil auditif. Thèse Paris, 1909. - ]i,
son atten- tion est l'appareil de l'ouïe. Toutes les variétés de lésions des différentes parties de l'oreille peuvent dé
le plus souvent la forme du vertige auriculaire, soit par suite de lésions variées de l'oreille (Pierre Marie et Wallon, C
s), soit par sclérose du nerf auditif (Pierrot), soit peut-être par lésion cérébelleuse. Ce vertige peut être parfois d'or
ne sont pas rares, non plus que des manifestations objectives de la lésion auriculaire, rou- geur et gonflement de la mast
clu. \ous n'avons à insister ici, ni sur les signes des différentes lésions de l'oreille, ni sur les signes des affections
a dénomination d'essentiels ou d'idio- pathiques : dans ces cas, la lésion de l'oreille et ses manifestations clini- ques
de la caisse du tympan et de la trompe d'Eustache ne. révèle aucune lésion de l'oreille moyenne ou externe; les réactions de
yenne ou externe; les réactions de Pinne et de AVeber indiquent une lésion de l'oreille interne; le diapason n'est entendu
re déterminé par des altéra- tions nasales. .1° Vertiges dans les lésions du cervelet et du cerveau.- La presque totalité
t;"- rio-sclérose de tout organe, précéderait le développement, des lésions vasculaires définitives; l'anémie passagère dét
aortique sont dus aussi SÉMÉIOLOGIE. ni al'arterio-sclerosedontia lésion aortique n'est qu'une manifestation ; sans dout
au, il ceux du cervelet ou du laby- rinthe, ou à la propagation des lésions méningées à l'oreille interne. Il faut rattache
n conjuguée, nys- tagmus, etc.) ; 4° l'état nauséeux et anxieux des lésions bulbaires; 5° des phénomènes auditifs passagers
ère (Charcot 1'1 Houyeret) et, d'après Lasègue, l'apparition de ces lésions ferait disparaître un vertige gastrique habituel
re aussi en cause. Le vertige larvngé s'observe soit au cours d'une lésion du larynx, soit comme cons;' nonce d'une lésion
soit au cours d'une lésion du larynx, soit comme cons;' nonce d'une lésion bulbaire pouvant déterminer à la fois le vertig
e de vertiges auriculaires, et notamment pour ceux qui résultent de lésions de l'oreille interne, (syndrome de Ménière). Da
ns fréquente et moins im- portante. Elle est plus efficace dans les lésions labyrinthiques pures que dans les lésions mixte
st plus efficace dans les lésions labyrinthiques pures que dans les lésions mixtes de l'oreille, plus efficace aussi dans les
e déviation est un indice utile; on sait que le malade « regarde sa lésion » dans le plus grand nombre des cas; la loi ser
dans le plus grand nombre des cas; la loi serait invertie quand la lésion est non plus cen- trale, mais mésocéphaliquc. D
tion rapide et considérable du thermomètre se voit surtout dans les lésions des noyaux de la base et de la protubérance. Su
e dire que la mort rapide est en elle ! une exception en dehors des lésions bulbo- protubérantielles et que, le plus souven
Des paralysies laryngées peuvent également la déterminer, soit par lésion du récurrent, soit par altération du tronc même d
égale- ment déterminer le silence verbal. 20 La mutité relève de lésions centrales : le langage intérieur est intact. Le
moins intense, mais généralement assez prononcée. Elle dépend dune lésion en foyer située au niveau de la zone lenticulai
euses ou toxiques (diphtérie, polynévrite aiguë) ou sou- vent à des lésions traumatiques (section de l' hypoglossengtamment).
alement des troubles respiratoires et circulatoires redoutables par lésion du pneumogastrique, des symptômes oculaires, un
sous le nom de pseudo-bulbaires sent des hémiplégiques doubles. Les lésions consistent en lacunes disséminées dans les deux
deux hémisphères, dans les corps striés et la capsule interne. Ces lésions sont généralement peu étendues, et les malades
ccusés du langage (aphasie, anarthrie de Pierre Marie), lorsque les lésions intéressent la zone lenticnlaire ou la zone de We
individu très essoufflé se dépêchant de dire ce qu'il doit dire. La lésion dont relève cette manifestation dysartbrique si
les mêmes symptômes; sa localisation anatomique est semblable. Les lésions qui provoquent son apparition intéressent la zo
he. L'association de I'anarthrie et de l'aphasie de Wernicke (vaste lésion du territoire de la cérébrale moyenne ou sylvie
plus particulièrement le pied de ces dernières circonvolutions. La lésion de celle zone ne détermine pas d'hémiplégie. Cell
as d'hémiplégie. Celle-ci dépend évenlucllement d nue extension des lésions en avant vers les territoires moteurs. De même
psie, que l'on observe assez fréquemment, dépend de l'extension des lésions vers le territoire visuel du cuneus. L aphasiqu
presque aucun progrès. Le langage spontané, sauf en certains cas de lésions ' TYPES D'APHASIE. 219 peu étendues, est donc
intenses; le déficit intellectuel, considérable; parfois enlin, les lésions sont énormes, l'anarthrie et l'aphasie de Werni
contraire des plus réelles. Cette variété d'aphasie relève d'une lésion du territoire de la cérébrale postérieure (cune
robablement aussi, du moins au début, des trou- bles relevant de la lésion de la zone de Wernicke adjacente. Aphasie chez
uchers, aphasies croisées. L'aphasie est due le plus souvent il une lésion de l'hémisphère gauche chez les droitiers, de l
oit chez les gauchers. Cependant, on peut observer des aphasies par lésion de l'hémisphère droit chez les droitiers, gauch
chez des hémiplégiques, des aphasiques, des individus porteurs des lésions les plus diverses; elle n'est donc jamais isolé
eut être unilatérale ou bilatérale, s'observer du côté opposé il la lésion ou du côte homonyme. C'est ainsi que l'apraxie du
sont des plus vagues.' L'apraxie en effet, a été observée dans les lésions cérébrales en foyer, tumeurs, hémorrhagies, ram
sai de locali- sation anatomique. Elle peut dépendre, à coup sur de lésions de la ré- gion pariéto-temporale; mais Liepmann
de la ré- gion pariéto-temporale; mais Liepmann en fait un signe de lésion du corps calleux, pont interhémisphérique, quan
alcs mt souvent comme point de départ un trouble fonctionnel ou des lésions matérielles des organes sensoriels. Les hallucina
rchera il le rapporter à une des causes et en particulier à une des lésions anatomiques qui provo- quent l'idiotie. Nous ne
ique e de la méningo-encéphalite; dans ces cas il y a non-seulement lésion de la pie-mère et de la dure-mère mais il y a e
ulement lésion de la pie-mère et de la dure-mère mais il y a encore lésion des circonvolutions sous-jacentes, rappelant d'
décrite par Bourneville et Brissaud : il s'agit le plus souvent de lésions -portant sur des portions plus ou moins suivies
achy- etc. 10° A coté de toutes ces idioties symptomatiques des lésions anatomiques il existe des idioties par simple a
ndrome de Brown-Séquard (paralysie avec anesthésie croisée dans les lésions unilatérales de la moelle), tend à être abandon
ie et l' Itématomyélie, dans les compressions médullaires, dans les lésions médullaires en foyer, dans l'hémiplégie cérébra
dans un grand nombre d'affections centrales, comme le tabes ou les lésions cérébrales en foyer. Séméiologie. La perte du s
ie. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 505 de localisation des lésions cérébrales en foyer. Un hémiplégique, en effet,
après certains auteurs, pour permettre d'affirmer l'existence d'une lésion corticale, intéressant les voies de connexions
es plus nets des sensibilités périphériques et serait atteint d'une lésion sous-corticale ou centrale (Wernicke, l3onhoeller
os connaissances, de porter un diagnostic de localisation, dans les lésions des centres nerveux, con- stitue néanmoins un s
mie exposées au début de cel article, on comprendra aisément qu'une lésion quelconque, portant sur l'un des trois neurones
t la disposition et les caractères varieront sui- vant le siège des lésions en cause. Il y a donc lieu d'étudier les altéra
tubérance, bulbe); 2° dans le* affections de la moelle; 5° dans les lésions des racines rac Indiennes ; 4° dans les affecti
te « hémianesthésie ». Ce syndrome peut se rencontrer soit dans les lésions destructives des centres nerveux (hémisphères, pé
auses. L'hémianesthésie d'origine encéphalique est produite par une lésion unilatérale en foyer (hémorragie, ramollissement,
sion) ou par un traumatisme (fracture de la voùte crânienne, etc.), lésion qui vient frapper la zone corticale sensitive e
rétrocèdent rapidement : hémianesthésie thalamique (dans le cas de lésion de la couche optique). Distribution. L'hémianes
ion. L'hémianesthésie organique occupe le côté du corps opposé à la lésion cérébrale. Elle s'arrête sur la ligne médiane du
ches; perte complète du sens stéréognostique il gauche. fIémianopsie. Lésion corticale : ramollissement du gyrus supramargin
rales analogues aux fibres motrices, ou encore l'existence d'une lésion centrale, bilatérale. Cette question n'est pa
st pas encore résolue. Exceptionnellement enfin, à la suite d'une lésion cérébrale bilaté- rale, l'anesthésie peut envah
nt qu'une repré- sentation corticale unilatérale; aussi, lorsqu'une lésion aura détruit les libres visuelles cérébrales d'
rbides, elle peut guider dans la recherche de la localisation d'une lésion cérébrale. Il est indispensable pour cela que l
ar des phénomènes d'ischémie ou d'excitation à distance que par les lésions même des fibres sensitives. Pour ces différente
e nerveuse. , VARIÉTÉS DE L'HÉMIANESTHÉSIE SUIVANT LE SIÈGE DES LÉSIONS En se reportant aux notions actuellement admise
de la sensibilité, il est logique de se demander si le siège de la lésion dans l'encéphale, cortical ou central, pédonculai
quer de phénomènes d'épilepsie ,jachsonienne, d'aphasie (lorsque la lésion siège dans l'hémisphère gauche), ou enfin d'hém
() SENSIBILITÉ. du champ visuel, des deux yeux du côté opposé il la lésion , du même côté, que l'hémianesthésie). Dans ce d
ale; on peut également la rencontrer dans les hémi- anesthésies par lésion sous-corticale et centrale thalamique. On s'est
rtains auteurs admettent que l'on peut observer des hémiplégies par lésion corticale purement sensitive (v. Monakow, Milli
, l'hémianesthésie capsulaire était considérée comme relevant d'une lésion de la partie postérieure du segment posté- rieu
devait être abandonnée; il existe en effet, en clinique, des cas de lésions du segment postérieur de la capsule interne, se
ion avant de gagner le cortex et on sait aujourd'hui que c'est à la lésion de la couche optique, et non pas à celle du segme
et du sens stéréognostique à gauche. Ataxie légère. Durée 13 mois. Lésion de la couche optique droite. (Cas Hudry. Thèse
téréo- gnostique sont totalement et défi- nitivement abolis. La lésion qui provoque cette anesthésie siège presque tou
anatomiquc macroscopique insuffisant, on soit passé à côté de la lésion de la couche optique, pour accorder plus d'impo
lésion de la couche optique, pour accorder plus d'importance à la lésion capsulaire dans la produc- tion des hémianesthé
drome thalamique (Dejerine et Roussy). Ce syndrome, causé par une lésion occupant la partie postérieure de la couche opt
ens stéréo gnostique. - Douleurs très vives à la face du même côté. Lésion de la couche optique. (Cas Roy ? Roussy, Revu
as l'apanage unique de ces dernières et peut se rencontrer dans les lésions étendues du centre ovale ou du cortex. Les cara
ome thalamique et notamment les douleurs plaideront en faveur d'une lésion de la couche optique; la présence de l'aphasie
ou les phénomènes d'excitation corticale lais- seront supposer une lésion du cortex. Diagnostic des hémianesthésies céréb
thésies, qui simulent., à s'y méprendre, celles qui relèvent, d'une lésion cérébrale. Nous verrons bientôt, par l'étude des
culaire, protubérantielle, bulbaire. J Dans les hémianesthésies par lésions du pédoncule (calotte et région sous-optique),
de cas. Hémianesthésie pédonculaire. Elle se rencontre dans les lésions de la calotte pédonculaire qui intéressent le rub
rome de l3eneclili » . Hémianesthésie quadrigemminale. - Dans les lésions des tubercules quadrijumeaux, on peut observer
quelles les troubles sensitifs siègent la face, du même côté que la lésion (par participation des fibres radiculaires de la
e faits anatomo-cliniques dans lesquels on observe, par suite d'une lésion bulbaire, de l'hémiataxie d'un côté du corps avec
(reotte (2) (hémiasynergie, latéro- pulsion et myosis du côté de la lésion , avec hémianesthésie et hémiplégie sensitivo-ll
n suivant que les racines postérieures sont atteintes ou non par la lésion . Il n'y a donc pas, il proprement parler, de to
NSIBILITÉ. I" Hémianesthésie spinale. Causes. Elle est due il une lésion médullaire unilatérale : trauma- 1 ir/Ill' (hém
ie, foyer de ramollissement). Caractères. Suivant le siège, de la lésion en hauteur, l'anesthésie peul intéresser soit l
éresser soit les deux membres et le tronc d'un côté du corps (si la lésion se trouve au-dessus du renflement cervical), soit
partie inférieure du tronc et le membre inférieur de ce côté (si la lésion existe au-dessous du renflement cervical). Lors
croisée. » On note dans ce syndrome, aux régions sous-jacentes à la lésion : 10 ° Du côté de la lésion : .' a) de l'hype
yndrome, aux régions sous-jacentes à la lésion : 10 ° Du côté de la lésion : .' a) de l'hyperesthésie pour tous les modes
miparapiégie ou une hémiplégie (suivant le siège en hau- teur de la lésion ); de l'élévation de la température et des phénomè
la fente palpébrale), enfin des troubles respiratoires, lorsque la lésion siège dans la région cervicale. 2° Du côté op
la lésion siège dans la région cervicale. 2° Du côté opposé à la lésion : y une anesthésie superficielle totale (tact,
la face aux troubles sensi- tifs et moteurs plaide en faveur d'une* lésion médullaire. Dans l'hys- térie, l'hémianesthésie
ITE. 2° Paraplégie sensitive. Causes. Elle se rencontre, dans les lésions intéressant la moelle sur une grande partie de
ité (compression médullaire par fracture ou luxation du rachis, par lésions inflammatoires ou néoplasiques des vertèbres, d
VanGehuchten)('). . L'étendue de l'anesthésie dépend du siège de la lésion médullaire; sa limite supérieure correspond à l
ic qui soit à discuter ici est celui de la paraplégie sensitive par lésion médullaire avec la paraplégie sensi- tive hysté
es racines. - . . La topographie, radiculaire appartient autant aux lésions des racines rachidiennes qu'à celles de la moel
s de la moelle épinière, mais comme le plus sou- vent, en clinique, lésions médullaires et radiculaires marchent de pair (c
auses et du siège d'une affection médullaire. , A part les cas de lésions intéressant uniquement les racines (paralysies
in, on a signalé la présence de la topographie radiculaire dans les lésions de l'encéphale. Dans les compressions médullair
ace antérieure, d'après Scitlcrl. 52G SENSIBILITÉ. du siège de la lésion médullaire; clic sera fréquemment mise à contri-
dans les affections limitées de l'axe gris, aussi bien que dans les lésions des cordons postérieurs, la distribution périph
abès, les paraplégies par compression, les polynévrites. Dans les lésions cérébrales, on l'a vu, les troubles sensitifs, à
e de l'anesthésie cérébrale ne s'observe, semble-t-il, que dans les lésions de la partie toute terminale de la voie sensitive
rminale de la voie sensitive (jamais elle n'a été signalée dans les lésions centrales, thalamiques) ; elle incite tout natu
tion radiculaire, à rechercher désormais le siège cortical de toute lésion dont les caractères ne révéleraient pas une ori
E LA SENSIBILITÉ DANS LES AFFECTIONS DES RACINES RACHIDIENNES Les lésions des racines rachidiennes intéressant la racine po
que dont la distribu- tion revêt le type radiculaire. Causes. Ces lésions peuvent intéresser les racines : 1° dans le can
nt la réunion, des racines pour former le nerf périphérique). Ces lésions sont ou traumatiques ou spontanées. Tl'alllnaliqu
ement mélangées aux fibres motrices dans le nerf. Dans les cas de lésion intm-rachidienne, le parallélisme entre l'anes-
is à des degrés différents. Enfin, lorsque la moelle participe à la lésion (compres- sion de la moelle et des racines), ap
siège en hauteur de la compression. Les troubles sensitifs dans les lésions radiculaires sont variables; ils peuvent intére
rée et l'intensité de ces troubles sont fonction de la nature de la lésion ; définitifs dans les sections ou déchirures de
araître avec elles. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 557 Les lésions radiculaires peuvent exister seules ou associées
Les lésions radiculaires peuvent exister seules ou associées à des lésions de la moelle; en effet, certaines causes de lésio
associées à des lésions de la moelle; en effet, certaines causes de lésions médullaires, comme les compressions, intéressen
moelle. Nous avons donc à étudier les paralysies radicu- laires par lésion des racines seules; nous verrons ensuite comment
s seules; nous verrons ensuite comment on peut les différencier des lésions médullaires. Lorsque les racines rachidiennes s
e pure). La clinique montre que, s'il est possible de conslater des lésions isolées d'une racine (paralysie uii°adiczclai°e),
ES DES PLEXUS LOMBAIRE ET SACRÉ Comme pour le plexus cervical, la lésion peut ici intéresser une seule racine isolément
applique aussi bien au plexus cervical qu'au plexus lombaire qu'une lésion d'une seule racine ne détermine pas, en général,
qu'actuellement, le médecin cherchant à faire la topographie d'une lésion radiculaire lombo-sacrée, à l'appui des schémas
ite de tumeurs du canal lombo-sacré. Habituellement dans les cas de lésion de la région lombaire supérieure, la moelle épi
inière (qui descend jusqu'à la 2° vertèbre lombaire) participe à la lésion . Ces paralysies ordinairement complexes et frap
tique, à deux types. 1° Type total (lombo-sacré). Dans ce cas, la lésion intéresse toutes les racines lombaires et sacré
ées, et remonte jusqu'à la 1"e et 2e lombaires inclusivement. Cette lésion siège au niveau de la 2e vertèbre lombaire. L'a
u sacrum. , . Ce type total est presque toujours l'expression d'une lésion de la moelle (cône. terminal qui se trouve à ce
raphie des troubles sensitifs (type total) peut s'observer dans les lésions de la moelle elle-même; il faut alors que la comp
t d'un secours précieux pour préciser le. siège et l'étendue de la. lésion . Le syndrome de la queue. de cheval peut être éga
] : 540 - ' ' - . ? . SÉNStBmiTE. .; ? : ' "' en clinique par une lésion intéressant. les segments, de la moelle lombo-
et. des trois derniers segments lombaires. « - ' . .a) Dans -les lésions siégeant au niveau des 5c; 4c et 5e racines sac
fer à cheval, typique du syndrome du cône médullaire (1). b) Si la lésion s'étend plus loin en hauteur, et s'arrête à la 5"
nts à cette région, ce qui explique - l'anesthésie de la cuisse par lésion de cette dernière racine... [ROUSSY.] Fig. 56
cuisse par lésion de cette dernière racine... [ROUSSY.] Fig. 56. Lésion de la queue de cheval par chute sur le sacrum. An
des douleurs, elles existent dans le domaine du sciatique. c) Si la lésion de la queue de cheval est complète, c'est-à-dire
es radiculaires des plexus lombaire et sacré, que ceux relevant des lésions des racines postérieures de ces racines, troubles
culaires sensitives 100ubo-sacrées sont rares, qu'habituellement la lésion intéresse en même temps les racines inférieures e
es de la inutilité ». Diagnostic des paralysies radiculaires et des lésions médullaires. On sait que chaque segment médulla
rrespon- dante, etqueta distribution radicutaireappartientautautaux lésions médul- hures qu'aux lésions des racines proprem
ribution radicutaireappartientautautaux lésions médul- hures qu'aux lésions des racines proprement dites. Lorsqu'on se trouve
lle de la dis- sociation de la sensibilité plaident en faveur d'une lésion radiculaire; la dissociation syringomyélique de
la dissociation syringomyélique de la sensibilité, en faveur d'une lésion mé- clull,iire; les douleurs, extrêmement vives
ingomyélique de la sensibilité peut s'observer quelquefois dans les lésions des racines. Force est donc de recourir, pour le
habituellement comme extension sur les troubles sensitifs, dans les lésions médullaires, et les contractions librillaires app
vée, éjaculation abolie) est un signe qui a son importance dans les lésions sacrées et qui plaide pour une participation de l
pourra quelquefois servir utilement au diagnostic différentiel des lésions radiculaires et médul- laires ; 11 cet effet, o
rappellera que, pour donner une même topogra- phie périphérique, la lésion doit siéger au niveau de la moelle plus haut qu
uite de l'obliquité des racines (voir schéma fig. 2G). Ainsi, à une lésion siégeant au niveau de la 2e racine lombaire (2e
orrespond en tant que topographie radiculaire scnsitivo-mutrice une lésion de la moelle au niveau de la .1 le vertèbre dor
moyen des troubles sensitifs seuls, porter un diagnostic précis de lésions radiculaires ou médullaires, il doit, dans l'imme
utopsie : et cela tout particulièrement pour la différenciation des lésions de la queue de cheval, de la moelle sacrée et d
ura de très grandes chances de faire un diagnostic exact : 1° Les lésions traumatiques de la queue de cheval sont très rare
n. Si les signes vertébraux manquent, il s'agit presque toujours de lésions spinales. On peut donc admettre qu'un « syndrom
rome typique du cône » survenant brusquement est l'expression d'une lésion de la moelle; 2° Les lésions à évolution lente
nant brusquement est l'expression d'une lésion de la moelle; 2° Les lésions à évolution lente de la queue de cheval (tumeurs)
t de ses élèves ('), les ra- cudililes, « dont les symptômes el les lésions relèvent d'altérations inflammatoires, superhci
s la dégénération des racines est secondaire et liée intimement aux lésions des nerfs périphériques ou il celles des centres
ais- seront aucun doute il cet égard. C'est par l'intermédiaire des lésions méningées ou d'une méningite de voisinage que s
e mal de Pott et au cours de la méningite tuberculeuse avec ou sans lésion vertébrale. Chez les enfants hérédo-syphihtiques
culo-méningées » dans le cancer vertébral ; enfin, on a signalé des lésions radiculaires, en rapport avec le syndrome de co
ment mécanique, l'hypertension du liquide céphalo-rachidien. - -. Lésions . On distingue les altérations observées au cours
n distingue les altérations observées au cours des radi- culites en lésions primitives et lésions secondaires, suivant qu'ell
tions observées au cours des radi- culites en lésions primitives et lésions secondaires, suivant qu'elles traduisent l'atte
en résultent. Dans les cas typiques de radiculites infectieuses, la lésion fondamentale est constituée par un foyer inflam
râniens). A côté du foyer inflammatoire de la racine, il existe des lésions ménizz- gées, nettement appréciables ; on a pu
fique comme cause des altérations inflammatoires des racines; Les lésions secondaires, résultant des précédentes, sont cara
ILITÉ OBJECTIVE : ' 547 IV. - TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES LÉSIONS DES NERFS PÉRIPHÉRIQUES Causes. Les lésions tra
SENSIBILITÉ DANS LES LÉSIONS DES NERFS PÉRIPHÉRIQUES Causes. Les lésions traumatiques (section, piqûre, compression).ou
ensuite surtout parce qu'ils peuvent simuler ceux qui relèvent dune lésion organique du système nerveux. Ils revê- tent en
tous les signes observés soit à l'hystérie, soit au contraire à la lésion organique. Il devra connaître enfin les TROUBLE
10 organiques; 2° fonctionnels. 1° Organiques. Ils relèvent d'une lésion évidente, pathologique du système nerveux, par
e, urémie. Il doit également se rendre compte qu'il n'existe aucune lésion locale susceptible de la provoquer : lésions de
e qu'il n'existe aucune lésion locale susceptible de la provoquer : lésions de la peau, érysipèle, lésions des os, des yeux
locale susceptible de la provoquer : lésions de la peau, érysipèle, lésions des os, des yeux, des oreilles, de la cavité bu
halée, car nombreux sont les cas dont on retrouve la cause dans une lésion dentaire non soupçonnée. Il en est de même des
nce d'un malade atteint de céphalée rebelle, à la possibilité d'une lésion des sinus crâniens. La céphalée en neuropatho
orragies, les ramollissements cérébraux. Mais il est deux ordres de lésions du cerveau dans lesquelles la céphalée prend un
fréquente des algies secondaires. Parfois elle est produite par des lésions de la boîte crâ- nienne (périoslilc); elle peut
s, lui permettront de l'aire un diagnostic de iocaiisation dans les lésions cérébrales en foyer. Files foui, en effet, part
xpérimentaux ou anatomo-cliniques, les auteurs ont remarqué que les lésions de certains points de l'encéphale déterminaient
a protubérance annu- laire. Nothnagel observe des douleurs dans les lésions du pont, Bechterew au niveau du pli courbe. Gol
t, Bechterew au niveau du pli courbe. Goldscheider remarque que les lésions des gan- glions centraux sont particulièrement
Dejerine et Roussy insistent sur les douleurs unilatérales dans les lésions de la couche optique. De là le nom de douleurs d'
le prouvent les douleurs signalées par Raymond et Cestan clans les lésions prolubc- rantiellcs intéressant la voie sensiti
c- tères identiques Ù ceux observés par Dejerine et Roussy dans les lésions thalallli(lues (1). i IV. - ALGIES CENTRALES
faire le diagnostic. Mais ici une cause d'erreur est possible : une lésion d'un organe quel- conque peut créer un état neu
aux cOITnnémol'3til's que l'on s'adressera pour savoir si c'est la lésion organique ou la neurasthénie qui a débuté. §
partie de la symptomatologie des affections constituées du cerveau ( lésions cérébrales en foyer, hémorragies, ramol- lissem
on, ne correspondent à aucun territoire nerveux précis, ni à aucune lésion locale. Telles sont les algies centrales, les t
ant à l'occasion des mouvements volontaires en l'ab- sence de toute lésion locale, elle semble dépendre de troubles psychiqu
ou non utile. ° Les névralgies reconnaissent parfois pour cause une lésion des racines rachidiennes. et ses élèves ont for
es ncvromes douloureux, les tics douloureux de la face dépendant de lésions alvéolaires sont rapidement apaisés par les inj
e névralgies réflexes (telle la névralgie faciale provoquée par une lésion irritative du naso-pharynx, telles les névralgies
affection n'est pas une névralgie, elle ne peut être rattachée à la lésion d'un nerf déterminé, c'est une algie qui siège au
névralgie lombo-abdominale reconnaît comme causes principales : les lésions des vertèbres lombaires et de l'os iliaque, les l
pales : les lésions des vertèbres lombaires et de l'os iliaque, les lésions du psoas, les lésions du rein, l'anévrisroc de
s vertèbres lombaires et de l'os iliaque, les lésions du psoas, les lésions du rein, l'anévrisroc de l'aorte abdominale, les
c n'est pas précisée. La névralgie crurale est déterminée par les lésions de l'utérus et de ses annexes, les fumeurs de l
hement, de traumatismes, de chutes sur le siège, dépendent-elles de lésions locales osseuses, ligamenteuses ou musculaires. L
sacré. Les causes de la névralgie sciatique sont très nombreuses : lésions des vertèbres, mal de Pott, lésions méningées e
ciatique sont très nombreuses : lésions des vertèbres, mal de Pott, lésions méningées et compressions radiculaires, traumat
ic., l'état du réflexe achillécn : son abolition dénote souvent une lésion sérieuse et qui pourra être longue il guérir. Q
ique d'un mal de Pott. La sciatique double dépend fréquemment d'une lésion de la colonne vertébrale, du petit bassin, de l
; ces céphalées circonscrites semblent dépendre le plus souvent de lésions crâniennes cérébrales ou méningées localisées. La
ables .chez les différents sujets. Certaines céphalées dépendent de lésions osseuses du crâne (ostéites, périostites, exost
mble Indiquer une altération méningée. C'est sans doute aussi à une lésion congestive inflammatoire des méninges qu'il fau
vi, Dupré et Camus. Il est probable que, dans ces cas, il s'agit de lésions limitées à la partie supérieure de la moelle, de
s'agit de lésions limitées à la partie supérieure de la moelle, de lésions discrètes méningo-vasculaires ou de l'intégrité d
des réflexes s'observe dans toutes les variétés de névrites, que la lésion porte plus particulièrement sur les plus sensitiv
complète, il y a toujours exagération des réflexes au-dessous de la lésion : telles ne sont pas non plus les conclusions des
ysie flasque, intense, -complète, pouvait ne s'accompagner d'aucune lésion appréciable de la moelle. Dans la compression b
le des symptômes tabétiques : ces phénomènes sont l'expres- sion de lésions des cordons postérieurs. Bruhl a pu chez un mal
xes. On lient observer également des troubles des réflexes dans des lésions labyrinthiques; P. Bonnier a montré que, dans l
bon nombre de ces cas d'abolition des réflexes sont dus soit à des lésions médullaires comme dans l'anémie pernicieuse, so
touchés; ils subissent en effet le retentissement non seulement des lésions médul- laires dorso-lombaires, mais encore des
eulement des lésions médul- laires dorso-lombaires, mais encore des lésions médullaires et cérébraks sus-jacentes. L'exag
d'un faisceau pyramidal honiolaléral, mais encore à l'existence de lésions bi-latérales en particulier chez les vieil- lar
hémisections de la moelle, les réflexes sont exagérés du côté de la lésion ,- cette exagération s'accompagne des symptômes qu
mptômes qui constituent le syndrome de Brown-Séquard. Du côté de la lésion , en plus de l'exagération des réflexes, il exis
peresthésie supérieure à la précédente; enfin, -du côté opposé à la lésion , une anes- t.hésie généralement complète. RÉF
ologique du phénomène des orteils : en général elle équivaut .à une lésion organique avec pertur- bation d'ans le système
s et par une sclérose des cor- dons latéraux. (C'est cette dernière lésion qui crée le signe de Babinski). Le signe de Bab
Babinski se rencontre également dans le tabes quand il existe ' des lésions de sclérose combinée des cordons postérieurs et d
vant lui, cette disparition des réflexes cutanés est l'indice d'une lésion de la voie cortico-spinale. Cette manière de voir
anés. L'exagération des réflexes cutanés s'observe surtout dans les lésions centrales et, parmi elles, dans les régions méd
Toutefois le trouble du réflexe peut s'observer également dans les lésions des voies centripètes ou centrifuges. Nous envi
éralisée des réflexes cutanés. 1 1° Elle peut s'observer dans les lésions centrales graves : tels sont les traumatismes g
onie. L'absence des réflexes peut se voir également : 2° Dans les lésions des organes récepteurs et des voies centripètes,
rant ainsi .l'intégrité des organes récepteurs. ci et 5° Dans les lésions des voies centrifuges, les réflexes cutanés peuve
ralement liée il une anes- thésie el cette anesthésie est due à une lésion des nerfs périphériques. Suivant Blocq et Onano
ganes est nécessaire pour la production du mouve- ment réflexe, les lésions quelconques de l'un d'eux entraînent la perte de
1u l'apparcil linmn- Ipux rotulien, par névrite périphérique, par lésion des cordons postérieurs de la moelle comme da
s cordons postérieurs de la moelle comme dans le tabès, par des lésions de la subs- tance grise médullaire, comme dan
tance grise médullaire, comme dans la paralysie infantile ou par lésion musculaire comme dans les myopathies. Cependa
ES. -401 1 du réflexe abdominal et du réflexe crémastérien signifie lésion du faisceau pyramidal, et par conséquent a la m
eur des troubles des réflexes au point de vue de la topographie des lésions , nous pouvons cependant préciser la hauteur à l
a classer en trois grandes variétés : I. L'hémiplégie organique par lésion cérébrale, ou pédonculaire, ou protubérantielle
légies incomplètes et les grosses hémiplégies. I. Hémiplégies par lésion des centres nerveux chez l'adulte ou le vieilla
ient de parler des variétés d'intensité de l'hémi- plégie due à une lésion cérébrale; ces variétés sont d'ailleurs beaucoup
es signalées par Vulpian et Prévost, Landouzy et Grasset : dans les lésions des hémisphères, le malade re- garde sa lésion
Grasset : dans les lésions des hémisphères, le malade re- garde sa lésion s'il y a paralysie, il regarde ses membres convul
e, il regarde ses membres convulsés s'il y a contracture ; dans les lésions protubérantielles, la règle est inverse. La dém
car on voit, très rarement il est vrai, de grandes hémiplégies avec lésion étendue du faisceau pyramidal ne pas donner lie
EGIE. 405 u chez l'adulte ou le vieillard doit faire soupçonner une lésion des régions pédonculaire ou sous-optique. Quant
etites altérations surajoutées dans l'hémisphère où ne siège pas la lésion principale, notamment à de petits foyers lacunair
très rarement permanents lorsqu'il s'agit d'une hémianesthésie par lésion en foyer d'un hémisphère cérébral. Et, dans ces
isphère cérébral. Et, dans ces cas, il s'agit le plus souvent d'une lésion thalamique (Dejerine, Roussy). Comme troubles s
ux ou articulaire, elles semblent bien être d'origine centrale. Les lésions thala- miaues seraient particulièrement doulour
: sécheresse de la peau, desquamation ou macération épider- mique, lésions des ongles, des poils, etc. Parfois on voit une é
du cerveau dont elles sont la conséquence. Les hémiplégiques par lésion organique des centres nerveux peuvent [CROUZON.
1. Voir plus liant l'article, Apraxie, HÉMIPLÉGIE. 469 II) De la lésion . Ce diagnostic est souvent fort difficile. Un d
cunaires, si tant est même qu'elle puisse être pro- duite par cette lésion , tandis que dans le ramollissement cérébral c'est
De la localisation. Elle est le plus souvent très incertaine. - a) Lésions corticales. Les lésions corticales pures sont trè
e est le plus souvent très incertaine. - a) Lésions corticales. Les lésions corticales pures sont très rarement observées ;
orticales pures sont très rarement observées ; presque toujours les lésions dites corticales (nous avons sur- tout ici en v
s profondément la substance blanche sous-jacenle; d'autre part, les lésions purement corticales donnent rarement lieu il une
Quant il la contracture précoce, elle peut se voir dans les cas de lésion corticale, mais elle est loin d'y être constante;
, mais elle est loin d'y être constante; il en est de même pour les lésions qui intéressent les ventricules dans une certaine
ons qui intéressent les ventricules dans une certaine étendue. p) Lésions des noyaux gris centraux. - Quand les lésions son
ertaine étendue. p) Lésions des noyaux gris centraux. - Quand les lésions sont slrie- tement limitées, ce qui d'ailleurs
nt même dans certains cas (surtout pour les lacunaires chez qui les lésions du noyau lenticulaire sont volontiers bilatérales
ffé- rents troubles sont loin de se rencontrer constamment dans les lésions thalamiques. et en réalité le diagnostic des lé
mment dans les lésions thalamiques. et en réalité le diagnostic des lésions de ce genre est rare- ment assuré. Dans ces der
it comme réalisant le syndrome thalamique des cas dans lesquels une lésion du thalamus s'accompagnait d'une béinianeslhésie
- tosiques, absence du signe de Babinski. y) Capsule interne. Les lésions de la capsule interne sont celles qui donnent l
; d'après les nom- breuses autopsies invoquées par ces auteurs, les lésions limitées de la capsule interne ne déterminent p
ou inférieur, ou d'un segment de membre- HÉMIPLÉGIE. If 71 1 Une lésion intéressant, la portion motrice de la capsule int
r les deux membres du côté opposé. Cela est si vrai que ce sont les lésions de la capsule interne qui donnent l'hé- miplégi
ie se produit toujours, de même que dans la capsule interne, par la lésion du segment où le faisceau pyramidal se trouve col
re ne larde pas à survenir. Ce qui l'ait que l'hémiplégie due à une lésion d'un pédoncule, de la protubérance ou du bulbe,
nce ou du bulbe, présente des caractères particuliers, c'est que la lésion du faisceau pyramidal à ce niveau s'accompagne de
que la lésion du faisceau pyramidal à ce niveau s'accompagne de la lésion d'autres organes situés au voisinage dans l'épa
Il arrive cependant, le plus souvent, surtout lors- qu'il s'agit de lésions lacunaires de la protubérance, qu'il n'existe pas
désigne sous le nom d'hémiplégie alterne les cas dans lesquels une lésion du pédoncule, de la protubérance ou du bulbe port
ans le domaine du nerf atteint, mais celle fois du même cote que ia lésion . Les deux types d'hémiplégie alterne les plus f
de l'autre côté). Ce dernier type est, bien entendu, l'indice d'une lésion pédonculaire. tandis que le premier type est, pro
ésion pédonculaire. tandis que le premier type est, produit par une lésion bulbo-prolubérantiollc. On conçoit que les variét
pourront être nombreuses, puisque à la place des nerfs précités la lésion pourra intéresser soit l'hypoglosse, soit le ne
ésie localisée à la zone de distribution de la Ve paire. Parfois la lésion , et par conséqnent les symptômes ne portent pas
tent, mais alors sur- tout intentionnel. Il s'agit ici encore d'une lésion pédonculaire. Une lon- gue série de syndromes a
urs est, d'après Mann, à peu près la même que dans l'hémiplégie par lésion cérébrale. En réalité, nous manquons de caractè
traumatique soit par contusion ou enfonce- ment des os du crâne et lésions du cerveau ou hémorragie méningée, soit par pén
au cours de toutes les maladies infec- tieuses par suite soit d'une lésion des méninges, soit d'une hémorragie, soit d'une
n être duc à une hémorragie cérébrale ou à un ramollissement. Les lésions du coeur et des gros vaisseaux jouent aussi un rô
a production d'un certain nombre de cas d'hémiplégie. Peut-être les lésions de l'appareil respiratoire en jouent-ils un égale
des cas d'hémiplégie hncumomiclue, d'hémiplégie pleurale. Quant aux lésions des vaisseaux encéphaliques, leur rôle est de tou
tégration; or on sait caouzoN.7 474 . HEMIPLEGIE. que ces trois lésions sont de beaucoup les facteurs les plus importants
ère dans l'hémiplégie cérébrale infantile, même quand il existe des lésions de l'hémisphère gauche intéressant la zone du l
r développement les caractères qui lui sont propres, il faut que la lésion se soit produite dans les sept ou huit première
oit produite dans les sept ou huit premières années de la vie. La lésion peut être d'ailleurs d'aspect très différent : sc
re, porencéphalie, méningo-encéphalite, ramollissement, hémorragie, lésions traumatiques, etc. 1. Chez les jeunes enfants
n lombaire. 2° La théorie de l'irritation 111(ningo-nH"dullain', La lésion de la 111(;. ningite est la cause du signe de K
g : dans ce cas. elle est plus parti- culièrement révélatrice d'une lésion (ks méninges spinales (Dieulalby, Netter, Cipol
no). Cependant, d'autres auteurs font jouer un rôle très grand à la lésion du faisceau pyramidal, d'autres admettent la va
à la lésion du faisceau pyramidal, d'autres admettent la valeur des lésions cellulaires. 5" Un certain nombre d'auteurs adm
est pathognomoni- que dans la méningite et môme pathognomonique des lésions des ménin- gitesspinalcs. C'est plus particuliè
sans réactions méningées, dans les hémorragies cérébrales, dans les lésions destructives du cerveau (Abadic), dans l'abcès cé
ires ou quelques affections du système cérébral dans lesquelles les lésions méningées n'étaient pas suf- fis : mtes. lésion
ans lesquelles les lésions méningées n'étaient pas suf- fis : mtes. lésions méningées qu'il a pu révéler cliniquement. ' 11
permettent le diagnostic en hauteur du siège et de l'étendue de la lésion (V. chap. spécial). Ils se rencontrent dans la
us souvent. La région dorso-lornl]aire étant le siège ordinaire des lésions causales de la paraplégie, l'étude des troubles
ul l'orientation du diagnostic. On devra donc tenir pour suspect de lésion médullaire tout adulte atteint de lenteur des m
n ce cas. On peut constater un double syndrome de Hrown-Sequard par lésion bilatérale. Essentiellement, le syndrome de 131
e directe du membre inférieur, c'est-à-dire du membre homonyme à la lésion , et par une ltémimues- thésie croisée. Du côté
érale amyotrophique, les troubles d'origine vasculaire, les grosses lésions congénitales ont au contraire une inarche lente
formule. « Il y a suppression des réflexes centrés au niveau de la lésion , exagération de ceux qui s'organisent au-dessous.
ntion. Il en est ainsi des fractures, luxations, ostéomyélites, des lésions de la maladie de Barlow, des atrophies muscu- l
s ou banales. Chez le vieillard, retenons ce point, de très faibles lésions suffisent il faire garder le lit. Valeur sémé
own-Sequard. Le diagnostic etiotogique est encore facile lorsque la lésion est une hémato- myélie par décompression brusqu
chez un scolio- tique. Le diagnostic peut évidemment être aisé. Les lésions du rachi- tisme remontent au jeune âge; il exis
se que s'il est possible d'évaluer, au moins approximativement, les lésions respectives de ces organes distincts. La lési
imativement, les lésions respectives de ces organes distincts. La lésion des racines se traduit avant tout par les pseudo-
n, on a signalé la fréquence plus grande de l'incontinence dans les lésions radiculaires, de la rétention dans les lésions
ncontinence dans les lésions radiculaires, de la rétention dans les lésions médullaires, et les troubles trophiques sont géné
ique à l'évolution d'une paraplégie llaccide vers la spasticité; la lésion aurait, dans ce cas, atteint les racines d'abor
après le chancre, il cette époque où la syphilis nerveuse fait des lésions beaucoup plus chroniques qu'au début, lésions d'e
lis nerveuse fait des lésions beaucoup plus chroniques qu'au début, lésions d'emblée moins dangereuses et dramatiques, niai
e suffisante pour em- pêcher la marche. Dans ces différents cas, la lésion musculaire se com- plique souvent de rétraction
ouvement chez eux réveille d'atroces souffrances en dehors de toute lésion orga- nique. Il s'agit de grands névropathes pr
uggestion. Mais on ne saurait conseiller trop de réserves certaines lésions syphilitiques peuvent, sous l'influence d'un tr
être assez réservé. Peut-être, en effet, s'agirait-il de véritables lésions organiques par infection ascendante. Paraplégie
rfois en un mot les membres du paralytique infantile. En dehors des lésions caractéristiques de la spina bifida, le diagnos
quises. On peut chez l'enfant observer des para- plégies ducs à des lésions encéphaliques. Ces diplégies cérébrales de l'en
permet d'orienter le diagnostic en une certaine mesure. Les grandes lésions cérébrales, la maladie de Little, les diplé- gi
ntégrité des rapports de l'utérus avec les centres lombaires. Si la lésion médullaire remonte à ce niveau, le foetus pourr
cs, le massage, l'électricité. DIAGNOSTIC EN HAUTEUR DU SIÈGE DES LÉSIONS MÉDULLAIRES t-, par le Dr MOUTIER Il importe,
nce des symptômes révélateurs d'une compression médullaire ou d'une lésion en foyer, de déterminer le niveau de la compres
cr vsono ? 33 [MOOMB.] ] 514 DIAGNOSTIC EN HAUTEUR DU, -SIÈGE DES LÉSIONS MÉDULLAIRES. le territoire des troubles sensiti
d en effet en grande partie le diagnostic en hauteur du siège de la lésion . Mais, à propos des chiffres indiqués plus haut
ptômes cervicaux proprement dits passent souvent inaperçus, les lésions de la région étu- diée intéressant souvent le
omissements, la paralysie du diaphragme peuvent encore traduire les lésions de ce nerf. Il existe enfin des troubles de la
chémas radiculaires de Thorbnrn. DIAGNOSTIC EN HAUTEUR DU SIÈGE DES LÉSIONS MÉDULLAIRES. 5 ! 5 Syndrome cervico-dorsal ou b
bles sphinctériens sont intenses, et d'autant plus prononcés que la lésion se rapproche du renflement lombaire. Syndrome l
ntre la limite supérieure des troubles observés et la hauteur de la lésion médullaire. D'un autre côté, il est fréquemment d
au corps de la 2e vertèbre lombaire. Le syndrome révélateur de ses lésions est en général difficile à distinguer de celui de
heval. Théoriquement, sa séméiologic est cependant fort simple, ses lésions se traduisent par l'intégrité des sciatiques, et
. Une racine sacrée a est représentée dans son long trajet avec une lésion X, supposée placée en ses deux points extrêmes. L
l ique 111édico-chirul'gicale). DIAGNOSTIC .EN HAUTEUR DU SIÈGE DES LÉSIONS MÉDULLAIRES. 517. de l'urinc. Le réflexe bulbo-
occy- giennes. Nous mentionnons ici le syndrome révélateur de ses lésions , hien qu'il soit à proprement parler radicula
le syndrome de la queue de cheval, l'ensemble des signes réunis des lésions de l'épicônc (se reporter à la figure) et du cône
Z2, sectionnée, corres- pond une bande d'anesthésie du côté de la lésion . A la racine S', sectionnée égale- ment, et il
section, correspond un territoire ailes- lhésid, du côté opposé il lésion , et au-des- sous d'elle (d'après Brissaud). 5
s d'elle (d'après Brissaud). 518 DIAGNOSTIC EN HAUTEUR DU SIÈGE DES LÉSIONS MÉDULLAIRES. racine lombaire soit atteinte. Les
douleurs, leur caractère térébrant, sont également en faveur d'une lésion radiculaire. En revanche, l'existence d'un synd
ant de décrire la topographie des troubles de la inutilité dans les lésions tronculaires, radiculaires ou centrales, il m'a
ent suppléer, mais imparfaitement, les interosseux; dans des cas de lésion du cubital, la déformation en griffe est moins
ez l'homme sont intéressantes à connaître spécialement au sujet des lésions irritatives qui se traduisent par de l'épilepsi
corticale peuvent être crurale, brachiale ou faciale, suivant que la lésion siège à-la partie supérieure, moyenne ou inféri
nférieure de la zone rolan- dique. Les paralysies très limitées par lésion corticale sont exception- nelles chez l'homme.
ème frontale » (Cbwhy) . r . TOPOGRAPHIE MEDULLAIRE MOTRICE Les lésions de la moelle se traduisent fréquemment eh cliniqu
liniques, différentes suivant la cause, l'étendue et la hauteur des lésions , ont été étudiées dans un autre chapitre de cet
étudiées dans un autre chapitre de cet ouvrage. Je rappelle qu'une lésion limitée l'hémi- moelle donne lieu au syndrome d
mitée l'hémi- moelle donne lieu au syndrome de Brown-Séquard. Une lésion localisée au faisceau pyramidal du cordon latéral
i que Dejerine et Gauckler, Raymond et Guillain l'ont constaté. Les lésions des cellules des cornes antérieures de la moelle
encore sur la topographie dés atrophies musculaires dans le cas de lésions des cornes antérieures. Certains auteurs admetten
cture de la clavicule, les névrites infec- tieuses ou toxiques, les lésions des méninges [G. GUILLAIN.] Fis. 9. Fil\'.
la syphilis des vcrtu- bres, les tumeurs des vertèbres), enfin les lésions extra-mchidiennes (tumeurs du creux SlIS-Cla\-1
Illicnzplce, paralysie avec syndrome sympathique^ est Créée par les lésions intéres- sant la septième, la huitième racine c
laisser comme reliquat qu'une paralysie radiculaire supérieure. Les lésions des racines inférieures du -plexus brachial amè
pli- que que la grille soit moins pure que celle constatée dans les lésions périphériques du nerf cubital. D'ailleurs, dans
il la paralysie. Tous ces phénomènes sont sous la dépendance d'une lésion du sympathique cervical, le myosis est la consé
s se fera par l'étude des signes oculo-pupillaires indiquant que la lésion existe au niveau ou immédiatement en dehors des
éments il sera presque toujours facile de déterminer le siège de la lésion radiculaire. Quant à préciser s'il s'agit d'une
deviendront faciles. L'expérimentation cadavérique montrant que les lésions maxima en cas de traumatisme se font au niveau
ors faire la part de certains troubles subjectifs consécutifs à des lésions trophiques, anky- loses, rétractions tendineuse
prend-on que dans un traumatisme de l'épaule, il puisse y avoir une lésion des racines antérieures qui amène la rupture de l
ité dépend du traumatisme lui-même qui, léger ou violent, amène des lésions réparables ou non réparables des racines postér
upillaires existent souvent, mais si, comme nous l'avons montré, la lésion de la première dorsale se fait sur la pre- mièr
que constante. Le pronostic de ces paralysies dépend du degré des lésions radicu- laires causées par le traumatisme. Très
sence fréquente du syndrome sympathique s'explique bien, puisque la lésion de la première racine dorsale dans les paralysies
z les enfants, en même temps que la paralysie radiculaire, d'aulrcs lésions traumatiques (fracture de l'humérus, frac- ture
us. accusés. que les symptômes moteurs, car il est possible que les lésions portent principalement sur les racines postérie
yndrome oculaire sympathique se joint aux symptômes précédents. Les lésions qui produisent ces paralysies sy- philitiques p
ie des monoplégies brachiales, qui peuvent être créées soit par des lésions du cortex, soit par des lésions de la moelle, d
ui peuvent être créées soit par des lésions du cortex, soit par des lésions de la moelle, des racines ou des nerfs périphér
'origine corticale, mé- dullaire, radiculaire on troncutaire. Los lésions corticales localisées an centre du membre supérie
s peu accen- tuée comparativement à celle que l'on observe dans les lésions de la moelle ou des nerfs. Les (roubles de la s
ou des nerfs. Les (roubles de la sensibilité qui existent dans les lésions corticales régressent en général assez rapidement
e s'observe jamais; le syndrome hémiplégie traduit, en clinique les lésions même limitées de la capsule interne comme je l'
de la capsule interne comme je l'ai montré avec Pierre Marie. Les lésions de la substance grise de la moelle, les poliomyél
ralysie faciale. La paralysie faciale est souvent la conséquence de lésions Iraumaliques, de compressions du nerf : tumeurs o
e des nouveau-nés qui reconnaît deux variétés. L'une est due il une lésion du nerf produite par le forceps, la tête étant
lysie faciale. , La paralysie faciale centrale est causée par les lésions siégeant en [G. GUILLAIN.] 624 SËMËtOLOGtE DE
u nerf facial à la paralysie périphérique déterminée par toutes les lésions siégeant depuis l'origine réelle bulbo-protubér
Tomka, ils dépendraient d'un retentissement sur le labyrinthe de la lésion , qui détermine dans le canal de Fallope la para
accompagnée de douleurs; celles-ci sont sans doute causées par une lésion concomitante du nerf trijumeau, elles siègent p
érique présente plusieurs formes cliniques dépendant du siège de la lésion . La paralysie faciale centrale a une symptomato
iquement par l'examen des branches collatérales du nerf. Lorsque la lésion siège on dehors du canal de Fallope, par exemple
des branches innervant les muscles pcauciers de la face. Lorsque la lésion siège il la partie inférieure du canal de Fallo
inte en même temps que les muscles peauciers de la face. Lorsque la lésion siège plus haut, au niveau du point d'ori- gine
u tympan on constate en outre des troubles de la gus- tation. Si la lésion est au niveau du muselé de l'étrier, on observera
selé de l'étrier, on observerait de l'hyperacousie douloureuse. Une lésion siégeant au niveau du ganglion géniculé détermi
male s'ob- serverait dans des cas de paralysie faciale alors que la lésion siège au voisinage du ganglion géniculé. Lorsqu
s que la lésion siège au voisinage du ganglion géniculé. Lorsque la lésion siège au-dessus du ganglion géniculé on observe
es. Le plus souvent on est incapable de fixer le siège exact, de la lésion qui détermine la paralysie faciale périphérique
lement atteints et parlant qu'un diagnostic topographique exact des lésions ne puisse être précisé. La paralysie faciale d'
sie peut avoir une origine nucléaire, elle peut être causée par des lésions méningées ou basilaires, elle s'observe aussi d
la paralysie du spinal sont : les traumatismes, les com- pressions ( lésions de la colonne vertébrale, mal de Pott, tumeurs, a
que); la paralysie du, spinal observée dans le tabes dépend soit de lésions nucléaires soit de la compression radiculaire par
la méningite des tabétiques. Le nerf spinal peut subir l'effet d'une lésion de l'oreille en des points variés : 1° au nivea
compressions du nerf, mais elle est le plus souvent, créée par les lésions bulbaires. Quand le malade tire la langue, la p
ve s'écoule des lèvres. L bemiatrophie de la langue dans les cas de lésion unilatérale est très nette. Lorsque les doux hy
cours des inflammations pleurales ou péritonéales de voisinage. Les lésions de [G. GUILLAIN ] 650 SÉMÉIOLOGIE DES PARALYS
ou chroniques de l'articulation scapulo-hnmerale. Cliniquement les lésions du nerf circonflexe se traduisent par la para-
e contracté au niveau du bord externe de l'avant-bras. Lorsque la lésion du nerf radial a son siège dans le creux axillain
e de torsion, le vaste interne et l'aucune sont paralysés. Quand la lésion siège au niveau du coude, les muscles supina- t
e du poignet comme un véritable, trouble trophique; pour Erb, cette lésion aurait une origine essentiellement mécanique et
maintenus longtemps en flexion. La tumeur dorsale du carpe est une lésion bénigne qui rétrocède complètement quand la paral
iceps fémoral, le psoas iliaque, le pectiné, le moyen adducteur; sa lésion a pour conséquence la paralysie de ces différen
lysies du récurrent, ce qui est au moins exceptionnel. Certaines lésions bulbaires (tabès, syringobutbie), les lésions gra
ceptionnel. Certaines lésions bulbaires (tabès, syringobutbie), les lésions graves du cerveau (paralysie générale), certain
parfois au début de la tuberculose alors qu'il n'y a pas encore de lésions , si elle accompagne les lésions inflammatoires
ose alors qu'il n'y a pas encore de lésions, si elle accompagne les lésions inflammatoires de la muqueuse laryngée, il est
toux; ces ! 1 illusion de fausse présence. Souvent il s'agit de ces lésions du nez ou du naso-pharynx que nous venons de vo
s s'ob- tiennent aussi lorsqu'on réussit à guérir les malades de la lésion nasale ou pharyngée causale. Il faudra recourir
ex). Il va de soi que l'examen laryngoscopique esl négatif, car les lésions ulcératives de la tuberculose ou du cancer peuv
t aussi survenir sans raison apparente chez des malades porteurs de lésion ^ laryngées chroniques et les chirurgiens qui op
eurs n'ont jamais pu déterminer la paralysie des adducteurs par des lésions destruc- tives de ce centre, il semble bien qu'
par des lésions destruc- tives de ce centre, il semble bien qu'une lésion corticale ne doive pas produire de paralysie un
e qui nous occupe, car il est impossible d'affirmer les limites des lésions causales. Voici, par exemple, le cas de de Brys
édiastin, on ne peut s'em- lipeher de penser à la possibilité d'une lésion récurrentielle comme dans le cas de Grabower.
l écarte d'abord ce dernier en se basant surtout sur le siège de la lésion (lobe pariétal), sur l'association de symptômes p
pupillaires et laryngés, les premiers ne pouvant être dus qu'à une lésion du sympa- thique, sur la présence d'un coeur di
t, parfois en position médiane. Cela lui paraît impossible pour des lésions de l'écorce cérébrale, non seulement en raison
ann. « Quant à la position cadavérique de la corde à la suite d'une lésion cérébrale, dit-il en terminant, elle est absolu
l'autopsie démontra qu'il s'agissait d'une sclérose du cervelet sans lésions des noyaux de l'hypoglosse et du pneumogastriqu
r pour 9 paralysies récurrentielles. Il est donc manifeste que la lésion la plus fréquente du larynx dans le tabès est c
coïncide avec des troubles gastriques. Le plus souvent il s'agit de lésions nucléaires, portant surtout sur la névro- glieh
e altération nucléaire et que nombre d'auteurs les attribuent à des lésions névritiques des récurrents (Krause, Oppenheim,
Cohen, du récurrent, tef1'erts), il est moins rare de constater des lésions produites au cours d'interventions chirur- gica
e que celle de leurs antagonistes. Rappelons seulement que dans les lésions progressives du récurrent, le trouble primitif
o-bulbaire et j'ai moi-mème fait allusion à un cas de ce genre. Les lésions bulbaires, nous l'avons dit à propos de la para-
il y a des paralysies multiples des nerfs crâniens où, ;'1 côté de lésions du vago-spinal, on a noté des paralysies du facia
uées pour les paralysies du récurrent se retrouvent ici, depuis les lésions bulbaires jusqu'aux causes toxiques. Nous indiq
avec celle de la langue, le voile du palais n'étant pas touché. La lésion , traumatique dans la plupart des cas (il s'agit d
dducteurs en contraction tonique. B) Spasme d'origine centrale. Les lésions cérébrales ne parais- sent pas déterminer souve
rale progressive, mais dans ce dernier cas il faut tenir compte des lésions bulbaires. Nous retrouverons plus loin les spas
qui accompagnent la grande attaque épileptique. Au contraire les lésions bulbaires, qu'elles soient primitives ou consé-
sions bulbaires, qu'elles soient primitives ou consé- cutives à des lésions de voisinage ou de propagation, peuvent donner
urs indécis si l'ictus laryngé des tabétiques est déterminé par des lésions irritatives directes des noyaux bulbaires ou s'
suffocation. La toux génitale se rencontre après le coït, dans les lésions du col de l'utérus, les positions vicieuses de
e spasme laryngé suffocant que nous avons décrit, à des porteurs de lésions récurrentielles. Tous au total présentent des ict
e pour un vertige laryngé purement névrosique, indépendant de toute lésion tangible de l'appareil d'innervation du larynx.
onique. Le spasme glottique pho- nique est parfois symptomatique de lésions cérébrales ou bulbaires. Presser .lames a décri
paralytiques généraux. On a vu aussi l'aphonie spasmodique dans les lésions du nez et de l'arrière-gorge, le goitre, etc.
troubles peuvent disparaître par le repos, par le traitement de la lésion causale, par la gymnastique respiratoire, mais il
tionnelle que le malade lui-même s'est aperçu le plus souvent de sa lésion quand il vient consulter le médecin. Bien enten
einte morbide primitive du muscle lui-même, indépendamment de toute lésion ner- veuse ; mais ce fait n'est pas encore démo
liniquement, ni anatomiquement, on ne peut affirmer qu'il y ait une lésion nerveuse, où, même si l'on découvrait une lésio
er qu'il y ait une lésion nerveuse, où, même si l'on découvrait une lésion nerveuse qui nous échappe encore, la lésion muscu
si l'on découvrait une lésion nerveuse qui nous échappe encore, la lésion musculaire serait si prédominante qu'elle justi
' ? IL Atrophies musculaires secondaires : A) Consécutives à une lésion locale : a) Atrophies par lésions vasculaires.
ondaires : A) Consécutives à une lésion locale : a) Atrophies par lésions vasculaires. b) Atrophies dites « réflexes » :
etc.; hémi- plégie de l'adulte. c) D'origine périphérique : 1. Lésions traumatiques des nerfs, des plexus* des racines :
s : sections, plaies, con- tusions, compressions, élongalions. 2. Lésions inflammatoires : névrites infectieuses, toxiques.
héréditaire est plus constant, et cela quel que soit le siège de la lésion . C'est ainsi que l'atrophie Werdiii,-I-Ioffrriaii
l existe toute une classe d'amyotrophies progressives, avec ou sans lésion nerveuse centrale ou périphérique, qui sont hér
ération nerveuse, son absence n'en a aucune pour éliminer l'idée de lésion nerveuse : la preuve en est que dans les amyotr
s fibrillaires dans le second) avaient fait penser à l'existence de lésions nerveuses dont l'autopsie a révélé l'absence ou
ces osseuses et des attacnes ligament- teuses. La pathogénie de ces lésions n'est peut-être pas aussi simple chez des myopa
res ; deux éléments importants au moins doivent se sur- ajouter aux lésions musculaires pour produire les altérations révélée
oscopique, de James Ross (2) qui ri trouvé dans la même maladie des lésions manifestes des fibres musculaires du coeur, de Mm
une sténose. Babès (') et Kalindero ont constaté plusieurs fois des lésions importantes des artères et des veines musculaires
es des artères et des veines musculaires de plusieurs myopathiques, lésions plus ou moins semblables à celles queMarinesco(3)
ur tous les tissus, soit primitivement, soit secon- dairement à une lésion du système nerveux ou du système circulatoire.
r la nature réelle de l'affection, sur l'ordre de subordination des lésions des nerfs périphériques (névrite interstitielle
xiste, elle peut être due soit à une névrite, soit sans doute à une lésion des cellules radi- culaires de la moelle. Elle
AMYOTROPHIES TYPE ARAN-DUCHENNE. 705 l'atrophie, quelle que soit la lésion causale, parce que la gêne fonction- nelle est
suite presque généralisée aux quatre membres, nous avons trouvé des lésions très intenses des cellules radiculaires antérieur
SECONDAIRES. 707 prouver; mais, dans presque tous les cas, d'autres lésions que l'atrophie des cellules radiculaires, lésio
les cas, d'autres lésions que l'atrophie des cellules radiculaires, lésions médullaires ou périphériques, ont été constatée
hériques, ont été constatées, et l'on a du créer pour expliquer ces lésions « accessoires » des théories qui ne sont rien m
tères les plus constants de ces amyotrophies secondaires soit à une lésion locale soit à une paralysie, c'est, contrairement
A. - ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE LÉSION LOCALE a) Atrophies par lésions vasculaires. Dans l'cc·tério- sclérose et surto
gangrène des extrémités. Marinesco (') en particulier a étudié les lésions musculaires dégénéra- 1. Maiusesco. Semaine méd
t Louste (') ont mis en doute l'origine vasculaire exclusive de ces lésions indépendamment de toute participation du systèm
expérimentation, ont montré que l'atrophie pou- vait être due à des lésions véritables des cellules radiculaires antérieures
e. Les atrophies réflexes s'observent le plus souvent à la suite de lésions articulaires; elles peuvent s'observer aussi co
ires; elles peuvent s'observer aussi consécutivement à une foule de lésions abarticulaires. a) Atrophies d'origine articula
ne atrophie musculaire peut apparaître au cours ou à la suite d'une lésion quelconque d'une ou plu- sieurs articulations,
Mally. Arch. de médoc, 1900, p. 296. 1 ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE LÉSION LOCALE. 709 rapide; elle est d'ordinaire manife
de l'articulation lésée, par exemple le quadriceps fémoral pour une lésion du genou, le deltoïde pour une lésion de l'épaule
e quadriceps fémoral pour une lésion du genou, le deltoïde pour une lésion de l'épaule, les fessiers pour une lésion de la
nou, le deltoïde pour une lésion de l'épaule, les fessiers pour une lésion de la hanche. Des extenseurs l'atrophie peut s'
e. Cette durée est souvent en partie proportionnée à la durée de la lésion articulaire provocatrice, mais le fait n'est nu
ine abarticulaire. Des atrophies musculaires peuvent succéder à une lésion quelconque, et en particulier à une lésion trau
s peuvent succéder à une lésion quelconque, et en particulier à une lésion traumatique des membres ; elles peuvent porter
ue des membres ; elles peuvent porter sur des muscles voisins de la lésion et sont peut-être dues alors à une inflammation p
venons de parler. Les amyotrophies peuvent être consécutives : aux lésions des os. ostéites ou plus souvent fractures, sur
osselin), en particulier fractures de la rotule (Christin) ('); aux lésions des téguments, traumatisme quelconque, plaie supe
n même (Charcot et Dulil il (s), Ballet et Bernard (3), etc.) : aux lésions des muscles, compression, plaie plus ou moins pro
fonctionnelle, et, dans le premier cas, suivant que le siège de la lésion nerveuse est médullaire, cérébral ou périphé- r
indivi- duelles suivant l'intensité et la localisation exacte de la lésion , suivant et la période du développement, peut-ê
antérieures (Bernheim, Brissaud), soit par le fait que la première lésion jouerait le rôle d' «épine » et pro- duirait un
prédisposition héréditaire, 1' « infériorité originelle », dans les lésions , Fig. 15. - Atrophie considérable du membre i
réalité avait été mise en doute en tant que poliomyélite aiguë avec lésions en foyers analogue à celle de l'enfant, est auj
éral les violentes douleurs pseudo-névmlç¡iqlles qui sont dues à la lésion des nerfs et surtout des racines; l'apparition
ntiles est un arrêt de dévelop- pement dû au retentissement de la lésion cérébrale, par l'inter- médiaire du faisceau py
efois que l'amyotrophie des hémiplégiques était toujours liée à une lésion des cornes antérieures de la moelle. Babinski,
e, mais celle-ci se manifeste suivant son degré d'intensité par des lésions appréciables, soit dans tout l'appareil neuro-m
tôt dynamique. Pour Senator l'amyotrophie serait due souvent à la lésion même des cellules pyramidales de l'écorce céréb
s de l'écorce cérébrale, pour Borgherini, Eisenlohr, Quincke à la lésion de cen- tres trophiques cérébraux spéciaux de
ies consécutives à une paralysie d'origine périphérique. Toutes les lésions des nerfs moteurs ou mixtes provoquent des para
ixtes provoquent des paralysies suivies d'atrophie musculaire : ces lésions sont traumatiques (sections, plaies, contusions
(névrites toxiques ou infectieuses). Les atrophies consécutives aux lésions des nerfs se distinguent des atrophies d'origin
ont presque aussi fréquents : ils manquent cependant à la suite des lésions des nerfs purement moteurs, qui sont l'exception,
teurs, qui sont l'exception, mais existent à la suite de toutes les lésions des nerfs mixtes, qui sont la règle. Des troubl
e ou lente, une période d'état et une période de décroissance. 1. Lésions traumatiques des nerfs (troncs nerveux, plexus,
mplètes, l'anes- thésie est .plus ou moins absolue au-dessous de la lésion dans le domaine du nerf sensitivo-moteur altéré
t presque tou- jours elles sont unilatérales. Les compressions et lésions peuvent porter sur les plexus ou sur les racine
e inter- costaux, troubles oculo-pupillaires. Les compressions et lésions du plexus lombaire sont rares, celles du plexus
dans la zone de distribution des mêmes nerfs. Les compressions et lésions des racines (racines cervicales ou queue de che
et lésions des racines (racines cervicales ou queue de cheval) par lésions vertébrales ou intra-rachidiennes peuvent simuler
ou élongations brusques des nerfs (parfois obstétricales), dans les lésions vertébrales traumatiques, tuberculeuses ou canc
ions radiculaires. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE PARALYSIE. 719 2. Lésions inflammatoires des nerfs : névrites. Les névrites
humatisme chronique, albumi- nurie, cancer, etc.) s'accompagnent de lésions des nerfs : ces lésions sont sans doute dues à
umi- nurie, cancer, etc.) s'accompagnent de lésions des nerfs : ces lésions sont sans doute dues à une intoxication. Aucu
st impossible de dire si la symptomatologie dépend uniquement d'une lésion péri- phérique, polynévrite, ou d'une lésion ce
épend uniquement d'une lésion péri- phérique, polynévrite, ou d'une lésion centrale, myélite : il est pro- bable que, dans
béribéri, maladie contagieuse et épidémique. la polynévrite est la lésion essentielle ; elle se marque d'abord par t'anestb
ses ne sont pas rares, notamment celles du sciatique; peut-être les lésions de la goutte ou du rhumatisme vertébral agissent-
us cette forme et qu'elle est vraisemblablement due dans ce cas aux lésions des cellules radiculaires antérieures par la mé
eim et Siemerling, Pitres et Vaillard ont constaté dans ces cas des lésions nettes de névrite périphérique ; cette névrite
traire, les auteurs que nous avons cités plus haut ont constaté des lésions des cellules motrices de la moelle, et dans les
es cellules motrices, tantôt une névrite primitive. Mais il est des lésions de connaissance récente dans le tabes qui certain
pour une part dans ces troubles moteurs et trophiques; ce sont les lésions vasculaires et les lésions méningées. . Les lés
ubles moteurs et trophiques; ce sont les lésions vasculaires et les lésions méningées. . Les lésions de la névrite optique
; ce sont les lésions vasculaires et les lésions méningées. . Les lésions de la névrite optique des tabétiques, que nous av
rations névritiques peu- vent reconnaître la même origine et que la lésion primitive peut siéger au niveau du point où les
l'extrémité du ou des prolongements. Il est probable aussi que des lésions syphilitiques peuvent frapper isolément les vai
veau de la traversée de la méninge (Mlle Avda- koff) (4) ? i. Des lésions en apparence névritiques observées dans le cours
liquer un traitement préventif et un traitement curatif. Dans les lésions articulaires, le meilleur traitement préventif de
siste dans le massage doux, commencé sans retard dès le début de la lésion (arthrite, luxation, fracture juxta-articulaire,
passive et active, aussi précoce que possi- ble dans les cas où la lésion n'est pas inflammatoire; dans les arthrites sup
nts : irrégulières, striées, dentelées, mal implantées; glandes : lésions diverses (thyroïde, thymus, testicules. glandes s
s d'emblée, stationnaires ou régressives) : A) Consécutives A une lésion locale : " . ' a) Atrophies par lésions vascula
s) : A) Consécutives A une lésion locale : " . ' a) Atrophies par lésions vasculaires : exceptionnelles. b) Atrophies « r
gies, etc.; hémi- plégie de l'adulte. c) D'origine périphérique : lésions des nerfs périphériques : 1. Caractères de l'at
oires et trophiques cutanés. 5. Variétés anatomo-cliniques : 1 A) Lésions traumatiques (troncs nerveux, plexus, racines) :
nes) : sections, plaies, contusions, compressions, élonbalion. B) Lésions inflammatoires : névrites : infectieuses, toxique
ibres musculaires il un tra- vail exagéré. D'une part, en effet, la lésion du système nerveux parai l jouer parfois un cer
re pathologique de l'hyper- trophie préatrophique se révèle dans la lésion histologique de la fibre : non seulement les fi
e de nature. L'histologie semble confirmer ces conclusions, car les lésions des fibres musculaires sont très semblables dan
ujourd'hui que ce qui fait la différence essentielle entre les deux lésions , c'est dans la myopathie l'individualisation de
ont que la manifestation d'un degré plus ou moins avancé d'une même lésion . \ /¡;" Groupe. 4' Croupe. HYPERTROPHIES DE
tieuse dont on sait la fréquente influence sur la détermination des lésions des artères ou des veines (cas de Lesage, Berge
le étiologie rend très vraisemblable l'influence pathogénique de la lésion vasculaire sur la production de l'hypertrophie
hogé- z nique de ces faits, car Talma, dans son cas, a constaté des lésions mani- [A. LÉRI. ] Fig-. 19 ? Hypertrophie mus
utions cérébrales étaient altérées. ' . Quoiqu'il en soit, que la lésion musculaire ait été réellement primi- tive ou se
ésion musculaire ait été réellement primi- tive ou secondaire à une lésion nerveuse périphérique, ou centrale', presque to
(Krau, Talma, Durante, etc.)(1). Il semble donc qu'il s'agit là d'une lésion très analogue à celle de la maladie de Thomsen
rdination ne sera pas d'ailleurs la consé- quence obligatoire de la lésion de l'une quelconque de ces parties, à \A. LÉRI.
é de l'ataxie, tout à fait indépendante des troubles sensitifs ; sa lésion causale siège, soit dans le cervelet, qui paraî
connaissances indique : d'une part que, dans le cervelet, seule une lésion du vermis peut déter- miner la titubation; d'au
- miner la titubation; d'autre part que, en dehors du cervelet, une lésion du pédoncule cérébelleux inférieur (Babinski et
t produire seule l'asynergie, mais nous ne savons pas encore si une lésion des pé- doncules moyen ou supérieur n'est pas s
uble. Il semble que les syndromes cérébelleux sont dùs plutôt à une lésion des voies centrifuges que des voies centripètes,
centrifuges que des voies centripètes, n f i 1 r : savons pas si la lésion des seules voies cérébelleuses centripètes n'est
nge en proportions variables résulte sans doute de l'association de lésions des voies sensitives à des lésions des voies cé
e sans doute de l'association de lésions des voies sensitives à des lésions des voies cérébelleuses. C'est ainsi qu'il n'est
aires ou congénitales empruntent leurs princi- paux symptômes à des lésions combinées des voies sensitives et des voies cér
est celle du tabès, qui paraît reconnaître pour cause principale la lésion des racines et des cordons postérieurs. Mais l'
coordination d'origine sensitive, pourra reconnaître pour cause une lésion , de nature quelconque, de l'une quelconque des po
s portions des voies sensitives; on observera ainsi des ataxies par lésions non tabéti- ques des cordons postérieurs, des a
r lésions non tabéti- ques des cordons postérieurs, des ataxies par lésions des nerfs périphé- riques, des ataxies par lési
des ataxies par lésions des nerfs périphé- riques, des ataxies par lésions des voies supérieures, hulbe, protubérance, cer
rs aussi simple. Sa cause ne réside pas toujours uniquement dans la lésion des cordons postérieurs; dans le tabes, maladie
veux, les altérations les plus diverses peuvent résulter soit de la lésion des cordons postérieurs mêmes (lésion des faisc
s peuvent résulter soit de la lésion des cordons postérieurs mêmes ( lésion des faisceaux cérébelleux directs en relation ave
postérieures par l'intermédiaire de la colonne de Clarke), soit des lésions de la méninge et des vaisseaux (lésions accessoir
olonne de Clarke), soit des lésions de la méninge et des vaisseaux ( lésions accessoires des différents faisceaux, en partic
, enfin des symp- tômes d incoordination d'origine cérébelleuse par lésion des conduc- teurs cérébelleux ou du cervelet lu
. LÉRI.] 760 INCOORDINATIONS. 2. Ataxie dans les pseudo-tabes par lésions médullaires. Un certain nombre d'infections et
ont l'ataxie fait, partie. Aucune de ces affections ne provoque des lésions étroitement systéma- tisées ; presque toutes pa
en plus de terrain au profit des myélopathies ; c'est ainsi que des lésions médullaires dues à l'intoxication saturnine ont é
me, l'anémie pernicieuse, le diabète, déterminent de préférence une lésion des fibres radiculaires des cordons postérieurs :
ces différentes affections provoquent ou non, en même temps qu'une lésion des voies sensitives postérieures, une altération
syphilis est de beaucoup la cause la plus fréquente de l'ataxie par lésion des cordons postérieurs, car elle est la cause, d
es examens his- tologiques récents de Italo Rossi ont montré que la lésion essentielle de cette affection consistait en un
it récemment une ataxie spinale aiguê dont la cause serait dans une lésion artérielle, thrombose ou embolie, d'origine sénil
chez des sujets prédisposés. 5. Ataxie dans les pseudo-tabes par lésion des nerfs périphériques : pseudo-tabes polynévr
ique très semblable à celui du tabes : on admet généralement que la lésion des nerfs périphériques joue dans la consti- tu
oordination paraît devoir reconnaître pour cause, non seulement une lésion passagère des nerfs périphériques sensitifs, ma
nt une lésion passagère des nerfs périphériques sensitifs, mais une lésion plus durable des cordons postérieurs. N 4. At
lésion plus durable des cordons postérieurs. N 4. Ataxie dans les lésions bulbo-protubérantielles. Nothnagel avait remarq
Nothnagel avait remarqué la fréquence de l'incoordination dans les lésions bulboprotubérantielles; cette fréquence tient c
; mais on ne sait pas encore actuellement distinguer le siège de la lésion d'après la variété symptomatique d'incoordination
a variété symptomatique d'incoordination ; on sait seulement qu'une lésion du pédoncule cérébelleux inférieur peut détermi
re et stéréognostique et l'ataxie du membre supérieur du côté de la lésion . Dana a signalé un cas d'ataxie aiguë par lésio
ieur du côté de la lésion. Dana a signalé un cas d'ataxie aiguë par lésion bulbaire. 5. Ataxie dans les lésions du cerveau
alé un cas d'ataxie aiguë par lésion bulbaire. 5. Ataxie dans les lésions du cerveau. Le caractère par- ticulier de l'ata
les lésions du cerveau. Le caractère par- ticulier de l'ataxie par lésion du cerveau est d'être presque toujours net- tem
mollissement ou hémorrhagie cérébrale, quel que soit le siège de la lésion , couche optique, capsule interne, etc., conserve
ollatérales, sans que la sensibilité consciente, interrompue par la lésion du deuxième neurone sensitif*, ait il intervenir.
ctères de l'incoordination cérébelleuse que de l'ataxie commune par lésion des voies sensitives ; le cervelet est sans dou
ussi une place d'attente qu'il faut réserver à l'incoordination par lésion du nerf labyrinthique dans sa portion centrale
thique dans sa portion centrale ou périphérique, en particulier par lésion de l'oreille * interne, acquise ou congénitale
être dû à la seule sclérose labyrinthique, indépendamment de toute lésion des cor- dons postérieurs (Collet), et Bonnier
par l'occlusion des yeux; le signe de Romberg n'existe pas dans les lésions pures du cervelet, et les observations où il a
d'un côté et de l'au- tre, parfois toujours du même côté dans les lésions unilatérales (Menzel), les pieds quittent le so
e; quand le sens de la chute est constant, il indique le côté de la lésion , il semble indiquer aussi, d'après les observat
ès les observations anatomo-cliniques recueillies jusqu'ici, que la lésion atteint le pédoncule cérébelleux moyen. Pendant
érébelleuse est le phénomène le plus apparent dans nombre de cas de lésions du cervelet : c'est un phénomène fréquent. Il e
e fréquent. Il est loin pourtant de s'observer dans tous les cas de lésions du cervelet : d'après les recherches de Nothnag
mouvements commandés chez des sujets que l'on soupçonne atteints de lésion cérébelleuse. A la « grande asynergie », exceptio
e ces symptômes que l'on arrivera très fréquemment au diagnostic de lésion cérébelleuse. Les mouvements démesurés semblent
, la titubai ion le porte toujours de ce côté qui est le côté de la lésion . Le syndrome cérébelleux de Babinski. plus ou m
ATIONS. symptômes accessoires confirment le siège cérébelleux de la lésion . Le syndrome s'observe : l Dans les affection
ous en convaincre, il est loin de s'observer dans . la totalité des lésions du cervelet; les parties du cervelet dont la desl
nt, pas caractéristiques de la sclérose en plaques, mais bien d'une lésion du cervelet ou des voies cérébelleuses; s'il so
sait encore que par une observation de Babinski et Nageotte que la lésion du seul pédoncule cérébelleux inférieur est capab
olubé- rantiels servira parfois à fixer cliniquement le siège de la lésion . Fig. 12. z Ecriture d'un malade atteint de Scl
une diminution constante, mais parfois minime, du cervelet, et des lésions inconstantes, mais parfois très nettes, des con
es (P. Marie et witalsl : i, Thomas et Roux, Miura) : en somme, des lésions très variées et très étendues. c) La névrite in
exes ten- dineux. Variétés topographiques (suivant le siège de la lésion des voies sensifivesousen- sorielles) : a) Mo
Romberg (d'appa- rence radiculo-médullaire ? ) ; Concomitance de lésion de l'oreille interne, souvent de signes oculaires
DINATION CÉRÉBELLEUSE Origine : trouble de coordination motrice par lésion de l'appareil cérébelleux. A. TITUBATION CÉRÉBE
abisme, asthénie, vomissements, etc. Localisation topographique : lésion du vermis. B. ASYNERGIE CÉRÉBELLEUSE de Babinsk
n'ont pas donné jusqu'ici de résultat. Nous ne savons encore si une lésion limitée des centres ou des conducteurs cérébelleu
et particulièrement t'ataxie tabélique, due essentiel- lement il la lésion des conducteurs sensitifs, racines et cordons pos
le des tabétiques paralytiques généraux, même tout au début de leur lésion cérébrale. Frenkel cite les anciens officiers,
le tronc vacille ou que le malade ne puisse se tenir assis, car la lésion médullaire siège généralement au-dessous de la zo
e. Dans cette forme, les membres sont paralysés du côté opposé à la lésion , [MOUTIER.] 800 SÉMÉIOLOGIE DU BULBE. et, d
t que, atteint avec d'autres nerfs bul- baires, le spinal révèle sa lésion individuelle par une paralysie isolée du sterno
re, la paralysie isolée du sterno et du trapèze relevant surtout de lésions périphériques. Comment se présente le malade at
de lésions périphériques. Comment se présente le malade atteint des lésions les plus habituel- lement observées ? Négligean
e crises de sufl'ocation dramatique. ' Ajoutons que cet ensemble de lésions expose tout spécialement le malade au danger de
troubles f sensitifs étendus et intenses; mais il peut survenir par lésion directe du bulbe une asynergic de type cérébell
BULBAIRES Les altérations bulbaires coïncident fréquemment avec des lésions pro- tubérantielles ; aussi les syndromes obser
Babinski et Nageotte ont décrit un syndrome particulier, lié à des lésions de la ré- gion supérieure du bulbe, ramollissem
usement Pierre Bonnier. Cet auteur le tient pour symptomatiflue des lésions du noyau do Deiters, dont on connait les rappor
domaines du trijumeau. Le vertige de Ménière relèverait parfois de lésions du bulbe. Signalons les rapports de la migraine a
lbaire; syndrome olivaire. Il est exceptionnel que le diagnostic de lésion des olives bulbaires soit porté. Cette lésion s
que le diagnostic de lésion des olives bulbaires soit porté. Cette lésion se traduit en effet par des symptômes parfois trè
ires et fasciculaires : l'hé- miplégie croisée bulbaire existe. Les lésions du bulbe sont ici intrinsèques (ramollissements
observés sont des plus variables selon le siège et l'étendue de la lésion . Ils sont bien rarement strictement bulbaires,
ailleurs jamais de rémissions dans l'évolution des accidents. Les lésions extrinsèques du bulbe autres que les tumeurs prov
minent de l'hypcrthcrmie; ils sont habituellement secondaires à une lésion du labyrinthe. PARALYSIE PSEUDO-BULBAIRE par
veloppement se rencontre spécialement chez les pseudo-hul- baires à lésions cérébrales nombreuses, mais de faible volume indi
812 PARALYSIE PSEUDO-BULBAIRE. c'est-à-dire chez l'anarthrique par lésion du quadrilatère de Pierre Marie, on notera l'in
'on rencontre en les différents types : circonstances étiologiques, lésions du muscle e (amas lymphoïdes, graisse), anomali
pilepsie jack- sonienne) ou se généraliser. - Chez les malades, des lésions cérébrales, des toxines microbiennes, des toxiq
de perte de connaissance et est le plus souvent symptomatique d'une lésion cérébrale (hémorragie, ramollissement, tumeur, in
acksonienne est suivie de phénomènes parétiques passagers; quand la lésion causale est destructrice (hémor- ragie, ramolli
anifester par des con- vulsions jacksoniennes et, d'autre part, des lésions cérébrales peuvent donner des convulsions génér
lepsie, mais dans les convulsions symptoma- liyues si fréquentes de lésions cérébrales et surtout dans l'éclampsie, dans le
ièvre, à l'exa- men des urines. Les convulsions symptomatiques de lésions cérébrales ou méningées se montrent surtout che
t penser il la possibilité d'une encéphalite. Nom- breuses sont les lésions cérébrales apyrétiques : congestion, anémie, trau
re les premiers symptômes d'une tumeur cérébrale, d'un abcès, d'une lésion tubercu- leuse limitée, qui sont quelquefois cu
rtout cérébelleux en faveur d'une localisation au cervelet, quelque lésion otique ou nasale en faveur d'un abcès. Le début
evue les affections cérébro-spinales. les affections nerveuses sans lésions organiques connues, les intoxica- tions, en un
roupes. Nous décrirons successi- vement les tremblements liés à des lésions organiques du système ner- veux et les tremblem
du système ner- veux et les tremblements qui ne sont pas liés à des lésions organiques connues. Tremblement dans la sclér
tr'(,11 Iblel1 Il'11 associé, à l'héllliasynergie produite par une lésion cérébelleuse protuberantielle. Dans le cas de Bab
roubles des réflexes tendineux observés par Syllaba et Crocq et les lésions histologi- ques constatées par Wising ct lirauc
ct élllcilrc l'hypothèse que ce tremblement est peut être dû il des lésions organiques du cervelet ou' des voies cérébelleu
peut être due alors à une de ses complications, ce sont surtout des lésions circulatoires : endocardite végétante ou embolie,
sonnelle présente un pourcentage considérable, puisqu'il décrit les lésions cardiaques dans 2/3 des cas de chorée, c'est surt
très, voisine de l'athétose double, car elle a comme substratum une lésion cérébrale : c'est, comme l'athétose double, une
infantiles. Il conviendra de rechercher avec le plus grand soin les lésions acquises du cerveau; ces lésions, comme on le sai
ercher avec le plus grand soin les lésions acquises du cerveau; ces lésions , comme on le sait, sont souvent des lésions inf
cquises du cerveau; ces lésions, comme on le sait, sont souvent des lésions infectieuses, tantôt une affection caractérisée c
ion indéterminée à localisation encépha- lique, tantôt il s'agit de lésions traumatiques,- et le rôle des accouche- ments l
ntués. L'hémiathétose est donc consécutive comme l'hémiplégie à une lésion cérébrale en foyer et cette lésion peut être un
écutive comme l'hémiplégie à une lésion cérébrale en foyer et cette lésion peut être une hémorragie, un l'amol- lissement
ésion peut être une hémorragie, un l'amol- lissement ou toute autre lésion d'hémiplégie infantile. Sous l'impulsion des tr
de Raymond, d'Oulmont et de Grasset, on a pensé que le siège de ces lésions était plutôt à la partie postérieure de la caps
nd, de Gowcrs sem- blaient plutôt rattacher l'athétose double à une lésion des noyaux gris centraux, tandis que Kaliler et
entraux, tandis que Kaliler et Pick la rattachaient seulement à une lésion du faisceau pyramidal. - - Aujourd'hui, la lési
seulement à une lésion du faisceau pyramidal. - - Aujourd'hui, la lésion de l'hémiathétose n'est pas plus précise qu'au-
il existe toute une catégorie de tics qui sont conditionnés par une lésion organique, soit directe (tics spasniodiques), s
ale, niais d'origine organique. Pierre ! attire l'attention sur les lésions organiques qui peuvent être déterminées dans le
es (Charrin et Léri), soit de l'enfant par des traumatismes légers, lésions qui peuvent laisser des cicatrices et rester no
les fasse entrer enjeu; les tics pourraient être déterminés par des lésions de ce genre, dont les manifestations seraient éve
répond, en réalité, à des cas disparates de tics, de chorées et de lésions cérébrales. Les mouvements athétosiques ont sou
mble des faits ; dans certains cas, la crampe avait été précédée de lésions traumatiques ou pathologiques du membre supérieur
uvent encore en évolution; dans d'autres cas, on peut constater des lésions évidentes de névrite,' de myosite, des noyaux fib
ur étiologie est parfois la même (arthritiques, brightiques), leurs lésions sont plus ou moins semblables (la claudication
chique congénital, clans d'autres cas elle reconnaît pour cause une lésion . véritable inflammatoire ou dystro- phique, por
palliatifs souvent recommandabies. Dans certains cas seulement, des lésions locales, traumatismes, périos- tites, etc., des
s vaso-moteurs et les perturbations de la sécrétion sudo- rale, ces lésions , ainsi que la gangrène symétrique des extrémités
taches plus ou moins isolées,' plus ou moins vastes. Au niveau des lésions étendues, la peau est dure et fibreuse, résista
leurs coexister avec l'éruption vésicu- leuse ; c'est ainsi que des lésions de l'oeil se rencontrent dans le zona ophtalmiq
vateur, ne profite pas de ce trajet pour entretenir l'ulcération. Lésions non ulcéreuses du derme et de l'hypoderme. Beauco
gus de Quincke et le trophoedème chronique de Meige. Cette dernière lésion peut persister toute la vie ; elle est générale
t se fait d'une façon tout à fait irrégulière » (Purves Stewart). Lésions ulcéreuses des téguments et des tissus profonds.
us profonds. Pro- voquées le plus souvent par des traumatismes, ces lésions sont aggravées par des infections intercurrente
, au sacrum, dans la bouche, et la rhinelkose de Marie et Guillain, lésion échancrant l'aile du nez. semble fort rapproché
s vertébrales diverses, spina-bifida, tabès, syringomyélie. Mais la lésion banale, classique par excellence, est le mal pe
sement corné, un simple duril- lon d'aspect banal. Par- lois la lésion se greffe sur la petite plaie d'un ongle incarne;
qu'il en soit, il se creuse bientôt un trou, un perluis centrant la lésion primitive, pertuis par lequel va s'écouler un liq
couler un liquide plus ou moins franchement purulent. A ce stade la lésion est souvent assez pénible ; des douleurs fulgur
. On perçoit des craque- ments articulaires. A ce moment encore les lésions peuvent rétrocéder avec ou sans élimination de
oux, la région au grand trocnamer et par-dessus tout le sacrum. Ces lésions peuvent apparaître, à vrai dire, chez les malad
infection, tels doivent être les préceptes de la prophylaxie de ces lésions . Le panaris analgésique est une infection digit
résente aucune tendance à se propager vers les gaines palmaires. La lésion débute par l'extrémité des doigts, le plus souv
ès rapidement formation de séquestres et destructions osseuses. Ces lésions sont à distinguer des cas où l'atrophie osseuse
. Ces lésions sont à distinguer des cas où l'atrophie osseuse, sans lésion des tégu- ments, intervient, seule pour mutiler
on de striction circulaire à leur base, sans qu'apparaisse aucune lésion du tégument. Phanères. Les alté- rations de
ou les illala- dies coïncidentes, les traumatismes crâniens, les lésions du sympathique ou du trijumeau, diverses maladi
fracturé présente toujours un empâtement énorme à la hauteur de la lésion . S'agit-il vraiment d'une trophonévrose vraie dan
diagnostic vers le tabès ou vers la syringomyélie. On a signalé des lésions analogues dans la paralysie générale ; mais
s poches ou s'entrechoquent des moignons osseux. L'évolution de ces lésions est- essentiellement chronique;. il se produit
entre la courbe thermique et cardiaque. Dans la méningite, dans les lésions bulbaires, dans la fièvre typhoïde on peut obse
système nerveux cen- tral qui explique cette dissociation; dans les lésions bulbaires, c'est l'inhibition des noyaux pneumo
é ces expériences sur des chiens et a admis l'hypo- thèse que cette lésion provoquait la destruction d'un centre modérateur
on nombre d'auteurs pensent que l'hyperthermie peut être due il une lésion centrale soit de l'écorce cérébrale (Ch. Bichet
des cas où la fièvre est due probablement à une altération ou à une lésion du système nerveux. Dans ces maladies organique
ture dans ce cas a un pronostic extrêmement grave, elle indique une lésion cérébrale, elle s'accompagne le plus souvent d'
it d'une urémie associée il une grippe, à un état infectieux, à une lésion cérébrale (Giraudeau, Crouron). HYPOTHERMIE L
elleuse (Boul'l1evillc et Crouzon). On l'a observée encore dans les lésions bulbaires, en particulier dans la paraplégie bul-
atée dans le tabès, mais il semble qu'elle soit en rapport avec des lésions concomitantes des surrénales (Schmiegerld). L'h
son, d'après Sicard et Cuillain, sauf dans les cas où il existe des lésions cardio-renates pouvant entraîner de l'hypertensio
use. Il faut cependant éliminer les tachycardies qui proviennent de lésions du muscle cardiaque : telles sont les tachycard
3 ) BRADYCARDIE. du bulbe du 4" ventricule. On conçoit donc que les lésions du bulbe, les lésions du sympathique ou les lés
lbe du 4" ventricule. On conçoit donc que les lésions du bulbe, les lésions du sympathique ou les lésions du pneumogastrique
it donc que les lésions du bulbe, les lésions du sympathique ou les lésions du pneumogastrique puissent entraîner ce troubl
cardies d'origine centrale : telles sont celles qui sont dues à des lésions du noyau bulbaire, celle du tabès, celle des hé
lent permanent, au contraire, en dehors des cas où il est dit à une lésion cardiaque, peut s'observer dans les lésions bulba
cas où il est dit à une lésion cardiaque, peut s'observer dans les lésions bulbaires primi- tives ou secondaires (tabès, s
est difficile, car il n'est pas toujours possible de découvrir une lésion telle qu'un calcul, un foyer de tuberculose, une
énales, nombreuses aujourd but, qui ont fait constater l'absence de lésions ne permettent pas de mettre les névralgies réna
ois dans les organes voisins : tels sont les calculs biliaires, les lésions de la colonne vertébrale, etc. Plus fréquentes
Le réflexe réno-réual (Guyon) se rencontre ici fréquemment, et une lésion d'un rein se traduit souvent par une douleur né
t les cas où l'on découvre de l'albumine et surtout du pus, car une lésion rénale doit être soupçonnée. Il en est de même
ltés; on se basera surtout sur l'ensemble des symptômes propres aux lésions rénales, sus- ceptible de déterminer de la doul
iveau de la vessie, indépendantes de toute inflammation et de toute lésion organique de ses parois et pouvant mettre en je
opathiques. Ce sont celles dont la cause n'est, pas définie par une lésion nettement déterminée et qui tiennent sous leur dé
algies symptomatiques. Ce sont des manifestations vési- cales d'une lésion anatomo-patliologiquc occupant : 1" l'appareil ur
n organe voisin de l'appareil urinaire; 5" le système nerveux. 1° Lésions de l'appareil urinaire. Elles peuvent en occuper
. Elles peuvent en occuper tous les organes. - Pour l'urètre, les lésions bénignes sont plus souvent incriminées que cell
ralgies vésicales, car celles-ci ont bien souvent dis- paru avec la lésion soumise il un traitement approprié. . Toutes le
onique y prend la plus grande part. Nous avons indiqué pourquoi les lésions de la vessie elles-mêmes devaient être séparées
race d'altéra- tion- organique ayant disparu. Ce sont surtout les lésions du rein et de l'uretère qu'il faut dépister. Pa
, douleur, gène ou pollakiurie qui eu sont les premiers indices. 2° Lésions des organes voisins. A titre de rareté, on a sign
s organes voisins. A titre de rareté, on a signalé l'in- fluence de lésions de l'estomac ou du l'oie, de l'intestin, d'une co
urtout chez les hystériques ou les prédis- posés héréditaires. 5° Lésions du système nerveux. Les névralgies vésicales de c
donner lieu il des douleurs, mais il faut rechercher et écarter les lésions matérielles. C'est en étudiant leurs symptômes
fois pour amener une guérison. On' se rappelera enfin que certaines lésions provoquent des douleurs vésicales - NÉVRALGIES
ement d'un rétrécissement, d'une prostatite, d'un varico- cèle, des lésions rénales (eaux minérales de lavage et traitement g
, sauf exception, durée d'ailleurs en rapport avec la gravité de la lésion médullaire. L'incontinence lui succède et résul
il semble qu'il n'y ait pas de phénomènes mictionnels propres à la lésion cérébrale excepté à la période ultime, à laquel
local toute autre cause de dysurie. car on peut ainsi découvrir la lésion dès le début et l'empêcher d'évoluer; ils sont
ent d'une vessie distendue et trompe facilement sur la nature de ta lésion . Celle miction par regorgement est très fréquen
eux et se produit à une époque plus précoce qu'en présence d'autres lésions urinaires : la vessie, dont l'innervation est dep
découle de ce qui vient d'être dit et dépend essentiellement de la lésion nerveuse. Celle-ci a-t-elle détruit ou profon-
lcul, tuberculose, sarcome, etc.). 5° Le réflexe a pour cause une lésion de voisinage (oxyures, polypes du rectum, vulvi
uisait plus facilement dans les affections vésicales dépendant dune lésion du sys- tème nerveux que dans celles d'une autr
nu de la vessie seul est infecté, tantôt les germes ont produit des lésions sur les parois vésicales. Dans le pre- mier cas
aucoup de maladies d'autres appareils, tantôt un symptôme même, des lésions du système, nerveux dans lesquelles la polyurie
la suite de traumatismes du crâne et de la moelle, surtout dans les lésions du 4" ventricule, principalement les fumeurs; e
n ne doit con- clure à l'origine nerveuse que lorsque toute idée de lésion . organique aura été écartée. On surveillera la
moindres signes de néphrite interstitielle, et de toutes les autres lésions rénales ; car ici les deux causes peuvent se su
ine tomber à 200 ou 300 gr. et revenir à la normale à mesure que la lésion (traumatique) s'améliorait. On pourrait encore
ie, où l'anurie plus ou moins prolongée existe bien réellement sans lésions rénales, on n'acceptera qu'avec réserve les obs
u une opération chirurgicale a démontré l'existence dans le rein de lésions graves (calculs, suppurations anciennes, allant j
t assez facile de faire pénétrer la convic- tion de l'absence de la lésion redoutée, en leur démontrant, par exemple, par
AIRE. 967 La pollakiurie reconnaît parfois pour point de départ une lésion ana- tomique bien caractérisée, comme lorsqu'el
e, puis perma- nente : elle constitue alors une maladie véritable à lésion caractérisée, que l'absence de- traitement aggr
uloureuses au scrotum et au pénis. Le priapisme est un symptôme des lésions des tubercules quadri- jumeaux, ainsi que de ce
est un symptôme et n'a d'autre gravité que celle qui s'attache à la lésion première. On la constate dans un grand nombre d
énumérées. Traitement. Tout d'abord, on s'adressera il la cause, la lésion nerveuse, s'il est possible. La médication symp
normale (Pousson). Nous laisse- rons de côté celui qui est dû à des lésions matérielles, à la présence d'un calcul ou à l'o
ouleur ayant son siège dans les organes génitaux, on recherchera la lésion première à laquelle on appli- Huera un traiteme
nanisme est cause ou effet de la maladie nerveuse. L'influence de lésions du cervelet, considéré autrefois connue centre
entre g"t"l11lal, n'est plus acceptée aujourd'hui : par contre, des lésions de la moelle cervicale, du centre génito-spinal
mettre l'accouplement. Quelquefois elle constitue un symptôme d'une lésion cérébrale ou médullaire; ou bien elle est d'ori
énérale; toutefois, il y a lieu de rechercher si, dans ces cas, les lésions concomitantes du consécutives de la moelle ne jou
on dorso-lolll- )laire. Enfin on ne négligera pas de rechercher les lésions inflammatoires de la prostate ou des testicules
atique au moyen de l'urétroscollc a souvent permis de découvrir des lésions orificiellcs des canaux ejacutateurs ou du verumo
succès. Quant à l'impuissance d'origine spinale, le traitement delà lésion géné- ratrice est prédominant et il n a aucun t
ratrice est prédominant et il n a aucun traitement local; dans les lésions curables, on ne se hâtera pas de conseiller la
avité buccale est exceptionnelle et se rencon- tre dans les grandes lésions de l'encéphale. Plus fréquente est l'hémi- anes
éré- braux, les paralysies périphériques de la cinquième paire, les lésions de l'oreille moyenne. Dans tous ces cas, les mo
ations paresthé- siques dans l'organe atteint. De très nombreuses lésions en foyer la déterminent. En cas de lésion protu
eint. De très nombreuses lésions en foyer la déterminent. En cas de lésion protubérantielle inférieure, l'hémianesthésie l
iques ou tuberculeuses, les ostéites de la face, etc., peuvent, par lésion du trijumeau, provoquer l'anesthésie. Dans tous
posai) le à un trajet nerveux, la douleur relève directement alors de lésions du trijumeau. Ces dysesthésies céderont le plus
agueusie partielle ou totale. Dans l'héll11anesth(sie totale des lésions en foyer et de l'hystérie, la perte de la facul
e des crises d'épilepsie. Dans la paralysie faciale enfin, dans les lésions nucléaires de l'intermédiaire de Wrisberg et da
oolique, mercurielle, saturnine), mais avant de les attribuer à une lésion du système nerveux, il conviendra de s'assurer
alysie totale de la langue sans atrophie se voit chaque fois que la lésion siège au-dessus de la protubérance, dans les hémi
ésion siège au-dessus de la protubérance, dans les hémisphères. Des lésions bilatérales du cerveau symétriques et multiples r
ide, ainsi que le précise la réaction électrique spéciale. Avec les lésions bulbaires se montrent l'atrophie, les secousses f
e la langue n'atteignant qu'un côté de l'organe peuvent dépendre de lésions supra-bulbaires, bulbaires et périphériques. Dans
atrophie est minime et il s'agit plutôt d'amaigrissement, dans les lésions corticales et protub(;1'(l/Ilielles. La langue
rijumeau, du facial, de l'oculo-moteur externe, feront penser à des lésions périphériques, aue- vrismes, gommes, méningite
roit de conclure à des troubles vaso-moteurs sous la dépendance des lésions de la cinquième paire. Troubles de la mastica
asticateurs innervés par le trijumeau peuvent être atteints par les lésions bulbaires qui provoquent le syndrome de Duchenne.
uent le syndrome de Duchenne. Les symptômes sont les mêmes dans les lésions nucléaires et les lésions péri- phériques, mais
ne. Les symptômes sont les mêmes dans les lésions nucléaires et les lésions péri- phériques, mais dans ce dernier cas aux a
des péris- taphylins seulement. Ces troubles s'observent dans les lésions périphériques dépendant de compressions nerveus
riques dépendant de compressions nerveuses ou de névrites, dans les lésions nucléaires des syndromes glosso-labio-laryngés,
paralysie récurren- tielle homonyme (syndrome d'Avellis) à la même lésion accompagnée de paralysie du trapèze et du stern
èze et du sterno-cléido-mastoïdien (syndrome de Schmidt), à'la même lésion encore, associée à une hémiplégie linguale (syndr
des surmenés, des paludéens, des chlorotiques, chez les porteurs de lésions nasales. Ce sont des douleurs irradiant de la pro
ue fois que l'on constatera uivtel symptôme, on doit son- ger à une lésion du trijumeau. Le spasme est caractérisé par une
drome bulbaire, afin de dépister soit un spasme symptomatique d'une lésion de voisinage, soit un spasme témoin d'une lésio
ymptomatique d'une lésion de voisinage, soit un spasme témoin d'une lésion du pneumogastrique. Le tabès peut également don
ose vraie, orga- nique, puis de reconnaître sa nature, réflexe, par lésion de voisinage, on névropathique essentielle. On
l s'agit d'un neurasthénique obsédé, le convaincre qu'il n'a pas de lésion grave sera malaisé. Persuader à l'hypocondriaque
me peut dépendre d'un réflexe à point de départ lointain ou proche, lésions digestives diverses, cancer de l'oeso- phage, v
, sont d'ordre surtout nerveux et assez indé- pendants en somme des lésions et du chimisme. La dyspepsie nerveuse survient
quent, agissent par intoxication bul- baire plus sans doute que par lésions de l'estomac. Dans l'hystérie néanmoins, les vo
ement, la surdité consécutive éventuelle, la sialorrhée due .') une lésion de la corde du tympan, contribueront au diagnosti
opathique, il faudrait être bien sur de l'inexistence de la moindre lésion organique. Tétanie. En pratique on ne voit guèr
de Pott déterminent ainsi de la constipation qui les révèlent. Des lésions du bulbe et de l'encéphale, le ramollissement e
tériens. D'une façon générale il y a plutôt consti- pation dans les lésions de l'axe cérébro-spinal. Il y a incontinence du
étruit. lui fin, il peut y avoir incontinence ou rétention dans les lésions lombaires et sacrées. La constipation est fréqu
n est fréquente dans l'hémiplégie, presque de règle dans toutes les lésions de la moelle autres que les exceptions sus-men-
la moelle cervicale, les troubles sont très inconstants. Dans les lésions de la queue de cheval, il y a toujours constipati
bien difficile de distinguer le tic d'un spasme du voile lié à des lésions cérébelleuses ou but))aires. Certains malades o
tout traitement, il existe, en effet, trois choses à considérer, la lésion (s'il en existe une) et nous ne nous y attarderon
, le gâtisme est très fréquent dès que l'éten- due ou le nombre des lésions oblige les malades à garder le lit. Les altérat
es altérations médullaires s'accompagnent plutôt de rétention si la lésion est élevée, cervicale ou dorsale supérieure; il
re. Cependant, il n'est point rare d'observer consécu- tivement aux lésions du renflement lombaire ou de la queue de cheval
alades sont profondément atteints, ont assez souvent de 1'j "Tosses lésions cérébrales amenant des iclus parfois répétés. Le
igantisme et l'acromégalie, l'une et l'autre relevant peut-être des lésions de l'hypophyse survenues à un âge différent Bri
près J. Teissier et Roque), l'épreuve radiogra- phique révèle des lésions d'une autre nature : il n'y a ni disparition du
0). Les déformations peuvent tenir à deux causes, les tophus et les lésions articulaires ; ces deux variétés de déformations
déformations goutteuses proprement dites des doigts tiennent à une lésion exclusivement limitée aux extrémités osseuses ou
ge violacée et marbrée en hiver. La radiographie ne montre pas de lésion nette des os, mais une légère hypertrophie de l
se spha- cèle et sort il travers une ulcération ou une fistule. Ces lésions sont à peu près symétriques, elles envahissent,
ue le froid détermine sans doute la gangrène par l'intermédiaire de lésions nerveuses et vasculaires qu'il produirait directe
ou même parfois si ce n'est pas une altération non musculaire, une lésion osseuse ou fibreuse ; une déformation très ana-
ersistance d'une paralysie infantile au membre supérieur ; quand la lésion de la moelle est assez intense pour déterminer
e, prenant le long supinateur, due . peut-être à une névrite. Des lésions du plexus brachial ou de ses racines produisent e
on- nellement une paralysie radiale. Il en est de même de certaines lésions médullaires ou méningées, paralysie infantile,
ange du médius.. Le type de la griffe cubitale s ? observe dans les lésions traumatiques du IA. LÉRI ] Fig. 17. - Grille
iques du IA. LÉRI ] Fig. 17. - Grille de la main à la suite d'une lésion traumatique du poignet. C'est une grille cubita
ran-nnebenue est un syndrome dont la cause peut se trouver dans des lésions médullaires portant sur l'origine des W paire cer
s grande partie des fibres du médian et du cubital), dans certaines lésions nél'1'iliques et dans des atrophies myopathique
c de Gombautt, Dejerine et Sottas. lICCt1011S qui s'accompagnent de lésions médullaires, amènent parfois' aussi la producti
ènent parfois' aussi la production de celte même main. Toutes les lésions portant sur les nerfs médian et cubital ou leurs
euvent produire ramyotropilic de la main type Aran- Duchenne. Les lésions des racines médullaires portant sur la 8e cervica
ie, on observe souvent l'atti- tude de prédicateur. Dans toutes les lésions portant sur la 1"e racine dorsale ou la partie
ains muscles ou d'une contrac- ture de leurs antagonistes, les deux lésions déterminant une déformation à peu près analogue
nt modifié l'aspect clinique. Les cas typiques s'observent dans les lésions traumatiques des muscles ou des nerfs. b) Var
presque tous les cas de soi-disant maladie de Little on trouve une lésion cérébrale (') et non seulement,. 4. Les lésions
Little on trouve une lésion cérébrale (') et non seulement,. 4. Les lésions cérébrales grossières, les hémorragies surtout, n
ombault, Dejerine et Sottas, affection qui s'accompagne toujours de lésion médullaire : on y retrouve le tassement du pied,
e et il existe une cyphose dorsale inférieure. On constate soit une lésion cardiaque ou vasculaire congénitale ou acquise (a
e et de la constatation des différents stigmates de la spirillose : lésions osseuses, triade de Hutcbiu- son, cicatrices cu
ertaines conca- vités d'une moitié du squelette peuvent dépendre de lésions de l'oeil, de l'oreille, ou de torticolis congé
écissement. Déviation. Asymétrie. Il convient de tenir compte des lésions traumatiques si fréquentes : chutes des enfants
peut être dépistée chez un malade que l'on soupçonne atteint d'une lésion nerveuse spéci- fique. Nous envisagerons succes
a été ignorée, a passé inaperçue par suite du peu d'importance des lésions , par suite de l'ignorance ou de l'indifférence du
e syphilis quand le malade aura eu la notion du chancre. 1° Cette lésion a en général une incubation de 15 à 50 jours aprè
e notion sera suffisante pour per- mettre le diagnostic; ` ? ° La lésion est souvent unique, cependant la multiplicité du
iques simultanés (Queyrat) ; 5° Le malade se rappellera que cette lésion était volumineuse, suré- levée, que c'était un
'était un gros boulon siégeant le plus souvent à la verge; 4° Cette lésion est accompagnée de ganglions rarement suppures;
lésion est accompagnée de ganglions rarement suppures; 5° C'est une lésion d'assez longue durée : 5, 4, 5 semaines; Ou A l
ion d'assez longue durée : 5, 4, 5 semaines; Ou A la suite de cette lésion , après une seconde incubation de 45 jours, est
petits ganglions durs roulant sous le doigt. Examen de la peau. Les lésions de la peau peuvent, dans certains cas, coexiste
s lésions de la peau peuvent, dans certains cas, coexister avec des lésions nerveuses à une période avancée de la maladie,
1891) ; de Sérieux et Farnarier (Revue de Médecine, 1900), etc. Les lésions de la peau : roséole, syphilides papuleuses, papu
tanées quand on examine l'enfant ou l'adulte, on constate alors des lésions osseuses caractérisées par une exostose et hype
ue, la maladie de Pagel. Enfin, l'hérédo-syphilis peut produire des lésions rachitiques ou pseudo- rachitiques ou enfin mêm
ractéristiques sont les mal- formations qui sont consécutives à des lésions nasales dont les symptômes fonctionnels ont été
J/utcltinson, Le triade lrIlutchinson se compose de trois sortes de lésions : stigmates auriculaires, stigmates oculaires, st
ayant souvent intéressé les deux yeux : ce sont le plus souvent des lésions d'iritis, d'irido-choroïdite, kératite intersti
C'est l'atrophie cuspidienne de la première grosse molaire : cette lésion consiste dans un état atrophique, une sorte d'usu
seconde dentition, elle est le plus souvent symétrique. Enfin celle lésion n'apparaît qu'à un certain âge; chez les sujets
tigmate mettra sur la voie du diagnostic, ce sera, par exemple, les lésions den- taires, il faudra donc faire la part des s
le et indurée donne en effet des résultats très favorables dans les lésions récentes, mais elle n'agit pas ou fort peu sur
dans les lésions récentes, mais elle n'agit pas ou fort peu sur les lésions anciennes, sur les dégénérations secondaires. *
le qu'il puisse enrayer l'affection et éviter le dévelop- pement de lésions nouvelles. Chez les paralytiques généraux les rés
emment commencé il une période beaucoup trop tardive, alors que les lésions sont déjà anciennes et très accentuées. Il para
ol (préparation 000 d'Erlich). Les résultats acquis dans les cas de lésions nerveuses syphilitiques me paraissent trop incert
use : cette sensibilité peut être loca- lisée et répondre à quelque lésion sous-,jacente, ou être diffuse et témoi- gner d
ntrent que les réactions augmentent ou diminuent parallèlement à la lésion cutanée. Ainsi donc la lymphocytose varie propo
n cutanée. Ainsi donc la lymphocytose varie proportionnellement aux lésions cutanées profondes. Enfin, nous avons mentionné
nt résulter indifféremment de l'hyper- tension ventriculaire ou des lésions nucléaires. La même réflexion s'ap- plique aux
ngement au tableau clinique de la maladie du sommeil qui, à côté de lésions méningo-encéphaliques disséminées et variables,
ente un certain nombre de variétés résultant de la localisation des lésions causales au niveau des ventricules cérébraux, de
indéterminée, peut s'expliquer par les lacunes concomitantes et les lésions épendymaires observées ressemblent trop aux alt
ydromyélie toxi-infectieuse, lente, congénitale ou acquise dont les lésions sont analogues, sinon identiques celles des épe
contenant. Aussi les applications du radiodiagnostic il l'élude des lésions directes du système nerveux central se trouveront
u des extrémités, les rayons X ont surtout à mettre en évidence des lésions fines de la structure osseuse, des raréfactions
image précise et vivante. Elle permet de voir l'e squelette et les lésions , ou, s'il y a lieu, le corps étranger, connue r
1905. [4. LERL 1168 RADIOLOGIE. cependant faire défaut pour une lésion médullaire partielle ou exister sans que le cor
rons plus loin les aspects radiographiques que peuvent produire ces lésions quand elles tsiègent sur les os du crâne ou du
agnostic causal est rendu des plus faciles; mais, même au cas où la lésion osseuse ancienne aurait été méconnue, la radiogra
S DU CRANE ET DU RACHIS Le crâne et le rachis peuvent présenter des lésions localisées d'une maladie générale, comme la tub
his, de déformations, de déviations ou d'ankyloses. a) Crâne. Les lésions localisées, infectieuses ou néoplasiques, du cr
précise. Pourtant la tuberculose du crâne détermine quelquefois des lésions par défaut, des trous ou des enfoncements plus ou
ou moins concentriques, en bulbe d'oignon : la juxtaposition de ces lésions par défaut et par excès donne parfois des image
utures crâniennes chez l'enfant avec, semble-t-il, hydrocéphalie et lésions de la dure-mère. 11 y aurait en outre par place
. une dilatation considérable de la selle turcique. Cet ensemble de lésions donnerait il l'image radiographique un aspect q
aspect qui permettrait un diagnostic très précoce. b) Rachis. Les lésions localisées, infectieuses ou néoplasiques, du ra
direction inverse. Il est d'ailleurs impossible de généraliser, les lésions osseuses atrophiques unilatérales des corps ver
hies tabétiques proprement dites, nous envisagerons surtout ici les lésions constituées par des fractures spontanées ou des
fïection(3) : l'appareil osseux est ici le premier touché et. cette lésion précède parfois de long- temps tout autre sympt
a radiographie, susceptible de montrer et de suivre l'évolution des lésions d'ostéite raréfiante, des cals anormaux et des
en proportions variables de troubles trophiques dus les uns il des lésions médullaires, les autres il des lésions névritiq
rophiques dus les uns il des lésions médullaires, les autres il des lésions névritiques, D'après Destot ('), en effet, ces
sions névritiques, D'après Destot ('), en effet, ces deux ordres de lésions donneraient des aspects radiographiques différe
as de psoriasis al'tl/1'opathique, Belot ci Chaperon ont trouvé des lésions du même type susceptibles d'amener en certains
es affections osseuses dystrophiantes ne sont pas toutes dues à une lésion du système nerveux; la plupart même semblent être
montrent dans les cas dou- teux ou au début de cette affection des lésions bien spéciales et qui ne peuvent être mises en
leurs pas pré- cisée ; il peut s'agir d'un néoplasme ou d'une autre lésion : hypertrophie simple, syphilis, tuberculose, e
ion : hypertrophie simple, syphilis, tuberculose, etc. - D'autres lésions osseuses spéciales de l'acromégalie peuvent être
rissaud et Meige ont soutenu qu'il n'y avait dans la différence des lésions de l'acromégalie et du gigantisme que l'effet d'u
t'acromégalie de l'enfant ou de l'adolescent ; la dissemblance des lésions dépendrait uniquement de ce que, les cartilages
ravant peu appréciable. Il en est ainsi notam- ment dans les cas de lésion d'un seul os, relativement assez fréquents dans
iographie peut donner d'intéressants renseignements en révélant des lésions frustes ou initiales ctiniquement, mais déjà ca
DIOG\111'l'lf : . 1185 Nous avons étudié des os secs présentant des lésions beaucoup moins accentuées, plus intéressants pa
à des modifications appréciables à la radiographie et peut-être des lésions du type caractéristique que nous avons décrit.
iables de façon que les rayons convergent vers un centre commun, la lésion à irradier : par exemple, on irradie l'hypophyse
raissent dans les cas les plus favorables d'une manière rapide sans lésion des cellules qui les entou- rent,sans réaction
n même des tissus qui les recouvrent, absolument à la manière d'une lésion spécifique sous l'influence du mercure ou de l'io
thérapie cette l'orme d'infantilisme génital, associée ou non à des lésions du squelette avec adipose et lésions de la peau,
génital, associée ou non à des lésions du squelette avec adipose et lésions de la peau, qui rappelle le tuyxoedeme et que c
implement diminuée. Dans les atrophies musculaires qui dépendent de lésions des cornes anté- rieures de la moelle, l'excita
ertains cas, cependant, ces paralysies par compression dépendent de lésions suf- DIMINUTION DE L'ESClTADlLITIt 1245 lisam
nce, ainsi que nous le verrons plus loin; parfois la réparation des lésions reste incomplète; d'autres fois elle est complè
temps après le début de l'affection ou après l'établissement de la lésion qui la produit. Ce n'est qu'après une dizaine d
initiale qu'on a bien étudiée expérimentalement, en produisant des lésions plus ou moins prononcées des nerfs et qu'on peut
t observer en clinique dans certains cas, par exemple à la suite de lésions trauma- tiques des nerfs, dans des névrites (pl
ifférences d'un cas à l'autre, suivant la nature et l'intensité des lésions qui la déterminent. Comme type, on peut prendre
ui la déterminent. Comme type, on peut prendre la DR causée par une lésion grave d'un nerf, section, écrasement ou élongat
ions qui se produisent dans l'excitabilité du nerf au-dessous de la lésion , on constate que l'excitabilité faradique est d
; c'est généralement dans le cours de la deuxième semaine, après la lésion , qu'apparaissent les altérations qualitatives de
lin, que l'on doit envisager d'une façon différente suivant que les lésions originelles, causes de la DR, abou- tissent à l
sent une destruction définitive. Dans le premier cas, lorsque les lésions se réparent, on constate que les altérations de
t souvent plus diminuée que l'excitabilité faradique. Lorsque les lésions qui ont donné lieu à la DR ne se réparent pas et
tabilité au point d'élection. La DR partielle, d'emblée lorsque les lésions qui lui donnent lieu ne sont pas très intenses,
t galvanique du nerl' conservées niais plus ou moins diminuées. Les lésions qui donnent lieu il cette DU partielle dans les
ar suite de la longue durée du processus, du développement lent des lésions et de leur progression graduelle, l'excitabilit
e DR partielle caractérisée de la façon déjà dite. A mesure que les lésions progressent l'hypoexcitabilité s'accentue, la D
apidement suivant la nature de l'affection et suivant la marche des lésions ; dans certains cas elle peut déjà exister en quel
ême degré dans leur totalité, ou dans leur plus grande partie ; les lésions , au con- traire, les envahissent pour ainsi dir
valeur au point de vue du diagnostic. Elle indique qu'il existe des lésions du neurone moteur périphérique. File ne permet
ment par elle-même, dans l'état actuel de nos connaissances, si les lésions ont pour origine les cellules des neu- rones mo
river à reconnaître d'une manière indirecte le siège originel de la lésion en étudiant la répartition topographique de la
ritoires nerveux périphériques, il est vraisemblable d'admettre des lésions portant sur le nerf ou sur les nerfs correspon-
d'innervation radiculaire, le diagnostic se trouve orienté vers des lésions de racines nerveuses répondant à cette topograp
s aussi rigoureuse dans ce cas que dans le précédent, parce que des lésions nucléaires peuvent donner lieu aussi à des loca
une topographie radiculaire : il est rare, toutefois, que dans les lésions des cornes antérieures, la DR soit exclusivemen
chercher si l'âge de la DR correspond à l'âge que doivent avoir les lésions , d'après leur origine supposée. Dans des cas d'ac
iagnostic précis. Puisque la DR est une expression symptomatique de lésions des neu- rones moteurs périphériques, il est fa
comprimés par la tumeur en quelque point de leur trajet. Dans les lésions de la protubérance et du bulbe, la DR fait défaut
diculaires qui en partent se trouvent intéressés par le foyer de la lésion . En pareil cas, la localisation périphérique de
on périphérique de la DR contribue à faire localiser le siège de la lésion centrale. La DR se rencontre aussi dans les lés
le siège de la lésion centrale. La DR se rencontre aussi dans les lésions des noyaux bulbaires qui donnent lieu à la para
ses caractères d'acuité bien accusés. En rapport avec le degré des lésions , elle se montre complète dans la sphère de dist
ssez semblables ; elle suit un processus aigu; suivant le degré des lésions radiculaires elle est complète ou seulement par
aration cependant peut être incomplète, soit en raison du degré des lésions des racines, soit par suite de lésions nucléaires
soit en raison du degré des lésions des racines, soit par suite de lésions nucléaires concomitantes). Dans la sclérose lat
ion ou même a fait place à de l'inexcitabilité complète. Dans les lésions des nerfs, médicales ou chirurgicales, la DR s'ob
compagnées de DR ; celle-ci est en rapport dans ces cas soit avec des lésions étendues aux cellules des cornes antérieures, s
lésions étendues aux cellules des cornes antérieures, soit avec des lésions de racines nerveuses, soit avec des lésions de
érieures, soit avec des lésions de racines nerveuses, soit avec des lésions de nerfs périphériques. ' [E. HUET.] 1258 ÉLE
ses sont un peu prononcées. On la rencontre habituellement dans les lésions des nerfs résultant de traumatismes : section,
e encore lorsque les nerfs se trouvent irrités ou comprimés par des lésions de voisinage, tumeurs, fractures, cicatrices, f
t l'avoisinant. Les brûlures, les gelures peuvent donner lieu à des lésions des nerfs entraînant de la DR. Le froid agit en
us aigus, tantôt complète, tantôt partielle, suivant la gravité des lésions nerveuses; dans quelques autres, elle allecte l
cas la ferme partielle ou la forme complète, suivant la gravité des lésions . Dans quelques cas de paralysies toxiques la DR
st que relative; elle est subordonnée à la cause et à la nature des lésions . Avec une lésion curable par sa nature, la guéris
lle est subordonnée à la cause et à la nature des lésions. Avec une lésion curable par sa nature, la guérison peut se prod
la présence de la DR complète. On l'observe, par exemple, dans les lésions traumatiques des nerfs, si le bout périphérique
t même une ou plusieurs années. La DR partielle, avec de semblables lésions , indique une guérison possible en un temps beauco
il une guérison certaine et plus ou moins rapide; elle indique des lésions moins accentuées qu'une DU complète, mais avec
istance et le développement de la cause originelle, on peut voir la lésion des neurones s'aggraver et la DR partielle remp
R complète succédant à une DR partielle indique une aggravation des lésions ; au contraire une DR partielle remplaçant une D
ne permet pas de préjuger de l'avenir, puisque le plus souvent les lésions continuent à se développer, ou que, pour le moins
DU PRONOSTIC. 1201 1 années; la DR seulement partielle indique des lésions moins graves, aboutissant après un temps assez
ent; de simples altérations quantitatives, sans DU, indi- quent des lésions légères ou des troubles passagers, disparaissant
se montre moins bonne que dans les polynévrites, soit en raison de lésions concomitantes des cellules des neurones, soit p
ue aient eu le temps de se produire; dans les jours qui suivent une lésion nerveuse ou l'invasion d'une maladie atteignant
n exemple souvent cité, dans les paralysies 1. Dans certains cas de lésions des neurones moteurs périphériques susceptibles d
peu accusée. J'ai observé cette forme de DR non seulement dans des lésions de nerfs périphériques mais encore dans des lés
lement dans des lésions de nerfs périphériques mais encore dans des lésions des racines nerveuses et dans des lésions des cor
ques mais encore dans des lésions des racines nerveuses et dans des lésions des cornes antérieures; elle comporte une signi
la physiologie à la pathologie on a constaté, surtout dans les cas de lésions de la rétine ou du nerf optique, des modificati
on de ces sensations; on les observe principalement dans les cas de lésions du nerf lingual et du trijumeau. Les nerfs ol
tives, on se trouve en présence soit d'une oreille normale, soit de lésions légères si pour d'autres raisons l'examen olologi
fonctionnels comme dans la surdité hystérique, soit au contraire de lésions graves et d'une dégénérescence complète du nerf
de Basedow, la maladie de Parkinson, etc. I. MALADIES DÉPENDANT DE LÉSIONS PORTANT PLUS PARTICULIÈREMENT SUR LES NEURONES
ur la résorption du foyer hémorragique et sur la restau- ration des lésions qu'il a entraînées est loin d'être démontrée. D'a
fluctuations brusques et quelque peu prononcées d'intensité. Les lésions primitives de l'hémorragie cérébrale sont suivies
imitives de l'hémorragie cérébrale sont suivies habituel- lement de lésions secondaires parmi lesquelles la dégénérescence de
if sur le front ou sur la région temporo-mastoïdienne du côté de la lésion et une autre large électrode en rapport avec le
mbolie, aux monoplégies d'origine cérébrale, et aux hémiplégies par lésions de l'isthme de l'encéphale et du bulbe ; dans ces
dans ces dernières, aux manifestations symptomatiques dépendant des lésions des neurones moteurs centraux s'ajoutent parfoi
moteurs centraux s'ajoutent parfois des manifestations dépendant de lésions de neurones périphériques, nucléaires, radiculair
r les neurones centraux, dans la moelle épinière. dépendent soit de lésions en foyer (myélites transverses, blessures ou co
(myélites transverses, blessures ou compressions de la moelle), de lésions plus ou moins disséminées (sclérose en plaques)
le), de lésions plus ou moins disséminées (sclérose en plaques), de lésions systématisées. , Les lésions ne sont pas toujou
disséminées (sclérose en plaques), de lésions systématisées. , Les lésions ne sont pas toujours étroitement limitées aux neu
itement il appliquerais manifestations symptomatiques dépendant des lésions des neurones centraux. "'0; Les développements
lesquels nous sommes entrés sur le trai- tement des paralysies par lésions du cerveau et de l'encéphale peuvent s'applique
colonne vertébrale, l'une en haut et l'autre en bas. Dans le cas de lésions en foyer il y aura souvent indication de placer
à la hauteur de la colonne vertébrale qui correspond au siège de la lésion : l'autre électrode sera placée, suivant les ca
sur la moelle, en plaçant l'une des électrodes il la hauteur de la lésion , s'il s'agit de lésions en foyer, ou il diverse
ant l'une des électrodes il la hauteur de la lésion, s'il s'agit de lésions en foyer, ou il diverses hauteurs sur la colonn
auteurs sur la colonne vertébrale suivant les jours, dans le cas de lésions disséminées ou systématisées; l'autre électrode
i, dans les conditions déjà dites, au traitement des affections par lésions des neurones centraux intra-méduttaires. Enfi
dans une autre partie de cet ouvrage. II. - MALADIES DÉPENDANT DE LÉSIONS PORTANT PLUS PARTICULIÈREMENT SUR LES NEURONES
s l'avons vu à l'électrodiagnostic, sur l'étendue et la gravité des lésions et indiquera dans une certaine mesure ce que l'
mettent de soupçonner seulement la plus ou moins grande gravité des lésions ; mais vers la fin de la deuxième semaine, ou da
amen devient très démonstratif et peut fixer sur la répartition des lésions , sur leur intensité et sur la marche qu'elles sui
plus, l'examen électl'Odiagnostiquc afin de suivre l'évolution des lésions et à bien fixer les détails que comportent le d
nguer les uns des autres. Ces complications sont souvent dues à des lésions des racines nerveuses; elles peuvent aussi dépe
des lésions des racines nerveuses; elles peuvent aussi dépendre de lésions concomitantes des cellules des cornes antérieur
lles de la méningite que dans la poliomyélite', alors même que les. lésions secon- daires des nerfs périphériques et des mu
es cas auxquels on a donné le nom de cellulo-névritcs, soit que les lésions des nerfs moteurs aient été primitivement inten
ent généralement bons et sont souvent assez rapides. Paralysies par lésions des nerfs ou de leurs racines, lésions trauma-
ssez rapides. Paralysies par lésions des nerfs ou de leurs racines, lésions trauma- tiques, névrites, etc. Dans la pratique
distribuées suivant une topographie indiquant qu'elles dépendent de lésions ou d'altérations des plexus formés par les raci
érations des plexus formés par les racines des nerfs, et parfois de lésions ou d'altéra- tions des racines nerveuses dans l
tres cas de paralysies périphériques par névrites localisées ou par lésions des nerfs, des plexus ou des racines nerveuses,
ment, soit en totalité. Dans ces cas de paralysies radiculaires les lésions ne sont pas habituellement égales sur toutes le
ues. Les paralysies et les atrophies musculaires qui résul- tent de lésions des neurones moteurs périphériques et qui se déve
a plupart une évo- lution progressive. Parfois le développement des lésions semble s'arrêter pendant un temps plus ou moins
myélie entraîne souvent des atrophies musculaires par extension des lésions aux cornes antérieures ou par compression de voi-
raissent dépendre d'une dystrophie primitive des muscles et non de. lésions des neurones moteurs périphériques comme les at
Atrophies musculaires réflexes d'origine articulaire. A la suite de lésions ou d'irritations articulaires, on voit souvent se
, paludisme), des intoxica- tions ; elle peut être symptomatique de lésions vertébrales (mal de Poil), de lésions des ménin
le peut être symptomatique de lésions vertébrales (mal de Poil), de lésions des méninges rachidiennes, de lésions des racines
vertébrales (mal de Poil), de lésions des méninges rachidiennes, de lésions des racines nerveuses, de lésions des organes d
ons des méninges rachidiennes, de lésions des racines nerveuses, de lésions des organes du bassin. Dans certaines de ces form
être reconnue. Certaines névralgies sont dues il des névrites avec lésions s'étendant aussi aux neurones moteurs; l'examen
formes de névralgies l'examen anatomique ne fait pas reconnaître de lésions appréciables des nerfs, ce sont des névral- gie
niers des excitations comme il a été indiqué pour le traitement des lésions des neurones moteurs périphériques. Les indic
ues cas les résultats se sont montrés favorables. Tabes dorsal. Les lésions du tabes portent surtout sur le système neuro-s
cette place du traitement du tabès, sans oublier toutefois que les lésions tabétiques s'étendent parfois aussi au système
a lieu d'ap- pliquer le traitement déjà indiqué contre ce genre de lésions . Les paralysies des nerfs moteurs des globes oc
affection à propos du traitement des troubles qu'elle entraîne par lésions des neurones moteurs périphériques. Les troub
lésions des neurones moteurs périphériques. Les troubles dus aux lésions des neurones sensilifs, qu'il s'agisse de pertu
oreilles. Leurs causes sont d'ordres divers : artério-sclérose avec lésions cardiaques ou rénales, intoxications, infections,
soit de l'âge, soit de l'état du système cardio-vasculairc. son des lésions pulmonaires des malades. Je voudrais simplement i
thé- nie, que bien souvent cet état morbide est symptomatique d'une lésion organique ou d'un trouble fonctionnel viscéral.
pas comme une névrose mais connue une affection créée soit par une lésion cérébrale soit par une intoxication des centres
ts utiles au traitement général. Dans les paralysies dépendant de lésions organiques les douches locales chaudes et froid
rges GUILLAIN Formolage des centres nerveux avant l'autopsie. Les lésions cadavériques se développent dans les centres nerv
s hôpitaux où les cadavres ne sont pas conservés à la glacière. Ces lésions cadavériques sont une gêne très grande pour l'étu
cessaire de ne pas déployer une force trop grande pour éviter toute lésion du cortex. La méthode de la scie, si l'on agit av
s lames vertébrales ; la moelle est alors mise à nu. Dans le cas de lésions de la queue de cheval, il est nécessaire de pra
aire la section le plus près pos- sible de l'hémisphère sain. Les lésions macroscopiques du cerveau, corticales ou centrale
s au sillon de Bolando, sont excellentes pour les localisations des lésions dans le centre ovale, niais, par contre. renden
repère des coupes macrosco- piques que l'on fait, et d'inscrire les lésions trouvées sur des schémas. Lorsqu'il existe une
inscrire les lésions trouvées sur des schémas. Lorsqu'il existe une lésion corticale de la zone rolandique et que l'on dés
brunâtre uniforme qui est une grande gène pour l'interprétation des lésions . D'après Gombault et Philippe, ce dernier incon
dissection, il faut éviter tout tiraillement qui peut produire des lésions artificielles. Le nerf sera fixé par deux liga-
678. Aérophagie, 1004. Agnosie, 501. tactile, visuelle, 226. lésions , diagnostic, 227. Agoraphobie d'origine auricul
origine oculaire, cé- rébrale, névritique, 115. réflexe dans les lésions de l'oreille, 145. du la- rynx, 040. Anesthés
, 117 ! 4. Articulation des mots, troubles, 198. Articulations, lésions , atrophie muscu- laire réllexe, 708, 711. , A
ski, 775. , Ataxie, 754. du tabès, 759. dans les pseudo-tabes par lésions médul- laires, 760. - par lésions des nerfs I
759. dans les pseudo-tabes par lésions médul- laires, 760. - par lésions des nerfs INDEX ALPHABÉTIQUE. 1579 périphér
des nerfs INDEX ALPHABÉTIQUE. 1579 périphériques, 762. dans les lésions bulbo-protubérantielles. dans les lé- sions d
traitement élec- trique, 1312. secondaires. Consécutives à une lésion locale. A des lésions vasculaires, 707. Consécu
rique, 1312. secondaires. Consécutives à une lésion locale. A des lésions vasculaires, 707. Consécutives à une paralysie.
490, 495. .Buccinateur. Innervation, physiologie, 587. Bulbe, lésions , hémianesthésie, 515. Séméiologie. Symptômes bu
06. Réac- tion de dégénérescence, 1250. ' Bulbo-protubérntielles. Lésions ,ataxie, 763. C Cajal (Ramon y). Voy. Cylind
Certificat médical pour le placement des aliénés, 2C4. Cerveau ( Lésions du -) vertiges. 1 Li ! ). (Affections du -). Tr
l3 48. Cervelet. Syndrome oculaire dans les tu- meurs du -, 125. ( Lésions du -), ), Vertiges, 109. Syndrome cérébelleux,
ome des lu- sions médullaires), 514. Cervico-dorsal (Syndrome des lésions médullaires), 515. Champ du regard, 19. vis
s, traitement t leclrirlue, 1328. Convulsions déterminées par les lésions de l'oreille,' 144. et crises convul- sives.
'1 '145. - Recherche des corps étrangers par les rayons X, 1166. Lésions localisées, applications du radiodiagnostic, 11
ques, z1020. Dolichosténomélie, loti7, 1045. Dorsal (Syndrome des lésions médul- laires) 515.. Douleurs. Caractères gén
1272. - Résistance électrique du corps, 1276. , Électrothérapie. Lésions des neurones violeurs centraux. Hémiplégie céré
ns del'-). Troubles de la sensibilité, 505. radiothérapie, 1188. ( Lésions de 1' -). Absence de la réaction de dégénéresce
res, 507. - Valeur séméiologique. Variétés sui- vant le siège des lésions , 509. - Diag- nostic, 514. corticale ou sons-co
double, 47. - hétérolatérale biles- portale, binasale. 50. - par lésion cor- ticale, 52. par lésion sous-corticale, p
e biles- portale, binasale. 50. - par lésion cor- ticale, 52. par lésion sous-corticale, par lésion des ganglions centra
50. - par lésion cor- ticale, 52. par lésion sous-corticale, par lésion des ganglions centraux, 55. par lésion de la ba
lésion sous-corticale, par lésion des ganglions centraux, 55. par lésion de la bandelette, par lé- sion du chiasma, 54.
. par lésion de la bandelette, par lé- sion du chiasma, 54. - par lésion du nerf optique, 55. - par lésion orga- nique
lé- sion du chiasma, 54. - par lésion du nerf optique, 55. - par lésion orga- nique, 55. - sans lésion organique, 57.
lésion du nerf optique, 55. - par lésion orga- nique, 55. - sans lésion organique, 57. Hémiathétose, 875 - post-hémiplé
d'un seul côté du corps, 445. - phénomène des orteils, 45). par lésion des centres nerveux chez l'adulte ou le vieilla
avec les maladies qui peuvent la simuler, 468. - Diagnostic de la lésion , 469. de la localisation, 470. - Etiologie et v
. facial hystérique, 895. Hémorragie bulbaire, 805. -cérébrale. lésions de l'oreille, '127. du laly- rinthe, )5). du né
fec- tions viscérales, ulill. hystériques, 556. réflexes dans les lésions dé l'oreille, 145. Hyperidrose, 958. Hyperk
tion, hémor- ragie, 155. Inflammations, syphilis, 154. et 157. - ( Lésions du ), ), syndrome de Ménière, 1 GG. Ataxie, 7
592, 597. - radiculaires motrices. 599. Lombaire (Syndrome - des lésions mé- dullaires), 515. Lombricaux. Innervation,
nig, z tuberculeuse du nourrisson, somnolence, 190. Méningites, lésions de l'oreille consé- cutives, 120. - Examen du l
ubles de la sensibilité, 31 ;1. - (Tumeurs de la - ), .i ! J7. - ( Lésions de la ). nLlG- nostic en hauteur, 515. Syndrome
Hauu.ysxs; recherche des corps étrangers par les rayons X, 1166. ( Lésions de la réaction de dégéné- rescence, lu)56. - Ma
ne, 270. Monoplégie brachiale, 621. - d'origine hystérique. - par lésion cérébrale, médullaire, radiculaire, 622. - ou
physiologie, 559. Müller (Liquide de -). Vo. Fixation. Muscles ( Lésions des -), réaction de dégénérescence, 1259. - phy
ajet et décussation de ses libres, 124. - -, maladies. Effets des lésions situées dans son trajet intracra- nien, 156. -
névralgie, 594. - hypoglosse, paralysie, G29. - laby- rinthique, lésion . Ataxie, 765. - maxil- laire inférieur, névralg
3. z optique, exploration, 2. - explo- ration électrique, 4371. , lésions dans les tumeurs cérébrales, 121. pathétique,
e, 595. -, paralysie, 654. - spinal, paralysie, 628. h'ty'tfment, lésions , phénomènes auriculaires, 128. - -, névralgie,
névralgie, 586. - ? paralysie de la branche motrice, 627 f Nerfs, lésions , atrophies musculaires con- sécutives, 716, 719
9. - coccygiens, névralgies, 595. - crâniens, paralysies, 625. -, lésions , réaction de dégénérescence, z)56. - de la sens
intercostaux, névralgie, 595. - oculo- gyres, 78. - périphériques ( Lésions des -). Troubles de la sensibilité, 547. - Ca
- de Horion, 597. - du larynx, 642. - faciale déterminée par les lésions du nez, 151. caractères, 386 ? lymphocytose r
vertiges, 171, 804. - Yoy. Bonnier. Noyaux bulbo-prolubéranliels, lésions . Paralysies de la motilité oculaire, 73. Nyst
es ner- veuses, 11'1. - autres variétés, 112. - spontané dans les lésions de l'oreille, 145. - expérimental provoqué, 144
es paupières. Inner- vation, physiologie, 585. Oreille, maladies. Lésions congénitales ou acquises au début de la vie, 12
céré- brales, 127. - par la sclérose en pla- ques, le tabes, les lésions des nerfs, les névroses, 128. - Étude générale
et du nerf acoustique, 132. - Troubles nerveux déterminés par les lésions de l'oreille, 19.- Pa- ralysie faciale, 140. Co
agnostic du siège, 68. - Aspects cliniques suivant le siège de la lésion . Paralysie d'un mus- cle, 68. - Paralysie d'un
Paralysie d'origine pédonculo-protubé- rantielle, 70. Paralysie par lésion isolée des noyaux pédonculo-protuhéran- tiels
isolée des noyaux pédonculo-protuhéran- tiels, 75. - Paralysie par lésion des centres et voies supra-nucléaires, 77. -
552. Pédoncules. Syndromes oculaires dans les tumeurs des -, 125. Lésions , hémianesthésie, 514. ' Pédonculo-protubérant
es pures, 358. Névral- gies, 590. Paralysies radiculaires, 611. - Lésions et compressions, atrophies secondaires, 717. 7
7 . ' - lombaire, névralgie, 595. Paralysies radiculaires, 621. - Lésions et com- pressions, atrophies secondaires, 718.
e de cheval, 559. - Diagnostic des paralysies radiculaires et des lésions médullaires, 342. Com- pression. Pied bot, 1055
pression. Pied bot, 1055. - sacré. Paralysies radiculaires, 621. Lésions et compressions, atrophies se- condaires, 718.
Protubérance. Syndromes oculaires dans les tumeurs de la z, 125. - Lésions , hémianeslhésie, 514. - Réaction de dégénéres
gnostic, 811. Pséudo-péritonite hystérique, 999. Pseudo-tabes par lésions médullaires, ataxie, 760. - par lésion des nerf
ue, 999. Pseudo-tabes par lésions médullaires, ataxie, 760. - par lésion des nerfs pé- riphériques. - polynévritique, 76
la -), 559, 517. - Diagnostic des paralysies radiculaires et des lésions médullaires, 542. - Compression. Pied bot, 1055
, 524. - (Affec- lions des -), troubles de la sensibilité, 556. - Lésions et compressions, atro- phics secondaires, 718.
laire. 1'ov. Topographie radicu- laire. Radiculites. Causes, 544. Lésions . Formes cliniques. Valeur séméiologique, 545.
htalmique, névralgies et névrites, 1189. Ramollissement cérébral, lésions de l'oreille, 127. Ranvier. Voy. Carmin. Ra
niques, 1255. Signification au point de vue du diagnostic, 1255. Lésions de l'encéphale, 1256. - Lésions de la moelle, 1
point de vue du diagnostic, 1255. Lésions de l'encéphale, 1256. - Lésions de la moelle, 1257. Lésions des nerfs, 1258.
1255. Lésions de l'encéphale, 1256. - Lésions de la moelle, 1257. Lésions des nerfs, 1258. - Lésions des muscles, 1250.
e, 1256. - Lésions de la moelle, 1257. Lésions des nerfs, 1258. - Lésions des muscles, 1250. Signification au point de
enbach (Signe de), 108. Rumination, 1005. S Sacré (Syndrome des lésions médul- laires), 515. - . Saturnisme. Névrites
e, 1050, 1047. Sclérose combinée sénile, ataxie, 7G3. en plaques, lésions de l'oreille, z Atrophie musculaire typeAran-Du
neux,innervalion,plwsiologie,5 ? `-r. Symélie, 1042. Sympathique, lésions , phénomènes auri- culaires, 128. - cervical et
érapie, 1186. - Traitement électrique, lu-)10, 1525. T Tabes, lésions de l'oreille, 127. - Trou- bles de la sensibili
95. La main, 101. - Le pied, 1059. Tétraplégies, 490. Thalamus, lésions , hémiinesthésie, 511. Thomsen (Maladie de), hyp
sibililé, 549. - paraplégique des troubles de la sensibilité par lésions des nerfs, 549. - périphérique des trou- bles
ité. Troubles trophiques, 'J12. - Altérations du tégument, 915. - Lésions ulcéreuses, 922. - Altérations des phanères, 02
du crâne, injections d'alcool, 4' : 12. Tubercules quadrijumeaux, lésions , hé- mianesthésie, 514. Tuberculose. Névrites
meurs bullaires, 805. - cérébrales, troubles oculaires, 121, 12a. - lésions de l'oreille, '127. - vertiges, 169. - somnol
. Urémie. Ponction lombaire thérapeutique, 1141. V Vaisseaux. Lésions , atrophie musculaire consécutive, 707. Ventri
e du vertige n'est pas évidente, 164. Traitement, 175. - dans les lésions du cervelet et du cer- veau, 16 ! ). - dans les
maladies infectieuses, 165. Vessie, névralgies, 945. Vestibule, lésions , vertiges, 168. Vices de réfraction, correction
amp visuel, 9. ' Vitiligo et syphilis, hou Voies cérébelleuses. Lésions , syndrome cérébelleux, 776. - digeslives supé
4 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
elle épinière. PREMIÈRE LEÇON Troubles trophiques consécutifs aux lésions des nerfs. Sommaire. — Remarques préliminaires.
ituelle-ment à la Salpêtrière.— Troubles de nutrition consécutifs aux lésions de l'axe cérébro-spinal et des nerfs. — Ces altér
diagnostic et du pronostic. — Troubles de nu-trition consécutifs aux lésions des nerfs périphériques. — Le système ner-veux, à
, a peu d'influence sur l'accomplissement des actes nu-tritifs. — Les lésions passives des nerfs ou de la moelle ne produisent
on des troubles trophiques. — Les troubles trophiques consécutifs aux lésions traumatiques des nerfs, considérés en particulier
me, zona traumalique, pemphigus. — Glossy Skin des auteurs anglais. — Lésions musculaires : atrophie. — Lésions ar-ticulaires ;
Glossy Skin des auteurs anglais. — Lésions musculaires : atrophie. — Lésions ar-ticulaires ; lésions osseuses : périostite, né
anglais. — Lésions musculaires : atrophie. — Lésions ar-ticulaires ; lésions osseuses : périostite, nécrose. —Troubles trophiq
osseuses : périostite, nécrose. —Troubles trophiques con-sécutifs aux lésions non traumatiques. — Troubles trophiques de l'œil,
ades du dehors, l'une pour les femmes, l'autre pour les hommes^ Les lésions de l'axe cérébro-spinal retentissent fréquemment
es à tracer devant vous les principaux traits de leur histoire. Les lésions consécutives, dont il s'agit, peuvent frapper la
nt pas, cependant, être négligées. D'autres fois, au contraire, ces lésions acquièrent aux yeux du clinicien, en raison, soit
temps encore, eût pu lui rendre des services. Quelquefois, enfin, ces lésions trophiques consécutives donnent le change au clin
, dès maintenant, vous voyez l'intérêt qui s'attache à l'étude de ces lésions trophiques. Le pouvoir de déterminer, sous cert
. Le pouvoir de déterminer, sous certaines influences morbides, des lésions de nutrition dans les parties extérieures du corp
fs qui émanent d'eux. Mais les affections consécutives résul-tant des lésions protopathiques, développées dans les départe-ment
scription du système nerveux primitivement affectée et d'où dérive la lésion trophique est maintes fois très difficile à ré-so
considération m'engage à ne pas restreindre notre étude aux seules lésions trophiques de cause célébrale ou spinale. Celles-
nt l'histoire des troublestro-phiques qui apparaissent à la suite des lésions des nerfs périphé-riques. N'est-ce pas, d'ailleur
le domaine de nerfs qui n'ont subi directement aucune atteinte de la lésion primitive, c'est un sujet fort intéressant, sans
essieurs, des troubles de la nutrition qui naissent sous l'action des lésions des centres nerveux ou des nerfs, la, plupart d'e
du moins, que l'existence de ces troubles trophiques con-sécutifs aux lésions des centres nerveux ou des nerfs. Et cependant la
cas, c'est seulement à la longue que suryiennent dans ces parties des lésions nutritives. Ces lésions, d'ailleurs, presque touj
a longue que suryiennent dans ces parties des lésions nutritives. Ces lésions , d'ailleurs, presque toujours purement passives,
s, alors que le système nerveux n'est pas direc-tement intéressé. Ces lésions passives, que nous verrons figurer dans différent
amollissements, hyper-trophies et autres altérations consécutives aux lésions des nerfs, sont une conséquence des perturbations
» [Journal de VAnatomie, etc., 1867, pp. 276-300.) commun avec les lésions trophiques spéciales qui vont nous occuper. En gé
est qu'elles se développent avec une grande rapidité à la suite de la lésion des nerfs ou des centres qui en a provoqué l'appa
nt. On peut donc dire, qu'en règle générale, l'opposition entre les lésions passives résultant de la seule inactivité fonctio
e et les troubles trophiques qui surviennent à la suite de cer-taines lésions des centres nerveux est frappante : les premières
s à ceux que produit la section du nerf sciatique. Vous savez que les lésions de l'œil qni se montrent chez les animaux à la su
oire même des es-chares ; mais toujours il est possible de mettre ces lésions sur le compte de l'anesthésie et de la paralysie
causes d'excitation relativement légères chez l'animal sain. Mais ces lésions dénutrition d'origine neuro-paralytique ne sont n
sur ce point que nous devons reprendre par la suite. III. Si les lésions qui ont pour résultat d'anéantir ou de sus-pendre
qui dépendent de l'inactivité prolongée, il n'en est pas de même des lésions qui déterminent,soit dans les nerfs, soit dans le
d'inflammation. Tous les expéri-mentateurs savent, en effet, que les lésions traumatiques, même les plus graves, des nerfs pér
veloppent, au contraire, assez facilement chez l'homme à la suite des lésions les plus minimes. Les expériences propres à mon
lésions les plus minimes. Les expériences propres à montrer que les lésions irritatives des tissus nerveux sont capables de d
paraître dans l'œil,qui avaitconservé d'ail-leurs sa sensibilité, des lésions trophiques très prononcées. L'auteur fait remarqu
trophiques très prononcées. L'auteur fait remarquer avec soin que ces lésions se sont pro-duites sans qu'aucun signe d'hypérémi
pui de l'observation de Meissner, rapporte quatre cas, relatifs à des lésions partielles du trijumeau dans le crâne, et dans le
eloppée dans le nerf, en conséquence delà sec-tion partielle, que les lésions de l'œil se sont produites ? A l'ap-pui de cette
1. Les faits de troubles de la nutrition de l'œil, consécutifs aux lésions spon-tanées de la 5° paire chez l'homme, sont ass
Eu dehors de la cinquième paire, il est plus rare encore de voiries lésions expérimentales des nerfs déterminer l'apparition
remarquables que produisent quelquefois sur la nutrition du rein, les lésions des nerfs qui se rendent à cet organe. On sait qu
reau, Wittich) assurent produire pres-que à coup sûr, à l'aide de ces lésions , des altérations plus ou moins profondes du rein,
artie,de cette contradiction singulière, de la manière suivante : les lésions rénales feraient défaut dans le cas où la section
oduire à volonté, l'inflammation vient à s'établir au voisinage de la lésion spinale. Alors, en effet, ainsi que l'a montré M.
vient-elle retentir sur les parties périphériques et y déterminer ces lésions trophiques dont nous avons relaté quelques exempl
ilconducteuret ilnous amènera à comprendre, je l'espère, pourquoi des lésions , au premier abord semblables et portant sur les m
que nous nous proposons de passer en revue sont produits: 1° par des lésions des nerfs périphé-riques, et tantôt ces lésions o
produits: 1° par des lésions des nerfs périphé-riques, et tantôt ces lésions ont été provoquées par une cause traumatique, tan
traumatique, tantôt elles se sont développées spontanément; 2°par des lésions de la moelle épinière et du bulbe ; 3° enfin, par
par des lésions de la moelle épinière et du bulbe ; 3° enfin, par des lésions de certaines parties de l'encéphale. troubles t
rtaines parties de l'encéphale. troubles trophiques consécutifs aux lésions des nerfs Arrêtons-nous, en premier lieu, aux l
nsécutifs aux lésions des nerfs Arrêtons-nous, en premier lieu, aux lésions des nerfs. Elles nous offrent les conditions'id'é
s ce rapport, nous fournit des documents d'une grande valeur, car les lésions traumatiques des nerfs se présentent quelquefois
ez l'homme dans des conditions de simplicité comparables à celles des lésions expérimentales instituées chez les animaux. A.
instituées chez les animaux. A. J'établirai, dès l'abord, parmi ces lésions traumatiques des nerfs, une distinction que je cr
re attention. Occupons-nous d'abord des faits du second groupe. Les lésions traumatiques des nerfs dont il s'agit peuvent don
rquable sur les affections cutanées, développées sous l'influence des lésions des nerfs-périphériques. Je ne pourrai, naturelle
us grand soin (2). a) Affections de la peau,. Les accidents que les lésions trau-matiques des nerfs sont capables d'occasionn
ce dorsale d'une main et des doigts, et probablement consécutive à la lésion des filets nerveux qui se distribuent à ces parti
ticulière. c) Affections des articulations. Vers les jointures, les lésions traumatiques des nerfs produisent des symptômes q
. 30, quelles les troubles trophiques se développent à la suite des lésions traumatiques des nerfs. Paget qui, l'un des pre
lus avant et rechercher s'il n'existe pas dans les nerfs affectés une lésion anatomique constante en 1. Médical Times and Ga
ine, t. I. m:, pp. 188, 191, 194. rapport avec la manifestation des lésions périphériques. Mal-heureusement, nous devons nous
, en outre, les résultats nécroscopiques obtenus dans certains cas de lésions organiques des nerfs, où l'on peut voir apparaîtr
périphériques que nous avons appris à connaître comme conséquence des lésions traumati-ques. Dans ces cas, en effet, sur lesque
s. ne puisse exisler dans le nerf sans se révéler par cet ensemble de lésions relativement grossières. C'est ici le lieu de fai
encore permis de dégager. Cela con-traste avec ce que nous savons des lésions qui surviennent, dans les parties éloignées, à la
tre considérées ;omiTie une conséquence obligée, inévitable, de toute lésion de îerfs qui soustrait absolument les parties à l
entretenir des troubles trophiques qui s'observent en conséquence de lésions des nerfs développées spontanément, et non plus,
rgical pathology, t. I, p. 43. 2. Mougeot, loc. cit., chap. ri. Des lésions organiques des nerfs et des trou-bles de nutritio
oduisent quelquefois les troubles trophiques de l'œil consécutifs aux lésions du triju-meau : il s'agit communément, dans ces c
tout dans la région des 9e, 10e et 11e racines dorsales. Bien que les lésions de la dure-mère parussent aussi prononcées à droi
lèpre anesthésique queï on retrouve dans tout leur développement, les lésions trophiques que nous avons étudiées à propos des l
oppement, les lésions trophiques que nous avons étudiées à propos des lésions traumatiques des nerfs. Le processus morbide init
trons dans ces circonstances, à peu de chose près, toute la série des lésions trophiques que nous avons déjé dé-crites : a) le
s muscles ; d) lapériostite etenfin la nécrose. Lorsque ces dernières lésions acquièrent un haut degré d'intensité, on peut, vo
er rapidement en revue les troubles de la nutrition qui résultent des lésions irritatives des nerfs pé-riphériques. Dans les pr
s principalement sur les troubles tro-phiques qui se rattachent à des lésions du cerveau et de la moelle épinière. 1. Steuden
ar M. Virchow. DEUXIÈME LEÇON Troubles trophiques consécutifs aux lésions des nerfs (suite). Affections des muscles. Trou
suite). Affections des muscles. Troubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle épinière. Sommaire. — Modification
es et fonctionnelles que subissent les muscles sous l'influence de la lésion des nerfs qui les animent. — Importance de l'élec
es muscles dans le cas de paralysie rhumatismale du nerf facial et de lésions irritatives, soit traumatiques, soit spontanées d
ogiques. Application des re-cherches de M Brown-Séquard : Seules, les lésions irritatives des nerfs déterminent l'abolition hât
Ziemssen et 0. Weiss. — Écrasement, ligature des nerfs : ce sont des lésions irritatives. — Différence des résultats obtenus d
roposition de M. Brown-Séquard. Troubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle épinière. — En ce qui concerne leur
— En ce qui concerne leur influence sur la nutrition des muscles, ces lésions forment deux groupes bien distincts. — 1er groupe
cles, ces lésions forment deux groupes bien distincts. — 1er groupe : Lésions de la moelle qui n'ont pas d'influence directe su
e qui n'ont pas d'influence directe sur la nutrition des muscles : a) Lésions en foyer très circonscrites, n'intéressant la sub
tite éten-due en hauteur: Myélite partielle, tumeurs, mal de Pott. b) Lésions fascicu-lées même très étendues des cordons blanc
des cordons blancs postérieurs ou antéro-latéraux, etc. — 2e groupe : Lésions de la moelle qui influencent plus ou moins vite l
elle qui influencent plus ou moins vite la nutrition des muscles : a) Lésions fasciculécs ou circonscrites qui intéres- Charc
certaine étendue en hauteur : Myélite centrale, hématomyélie, etc. 6) Lésions irritatives des grandes cellules nerveuses des co
ulogne), atrophie musculaire progressive, etc. —Rôle prédomminanl des lésions delà substance grise dans la production des troub
, en faisant l'his-toire des troubles de la nutrition consécutifs aux lésions des nerfs, de m'appesantir sur les modifications
s ou fonctionnelles que subissent les muscles sous l'influence de ces lésions . Je voulais réserver cette question pour une étud
et démontre, dans certains cas pathologiques où il s'est produit une lésion quelque peu intense d'un nerf moteur ou d'un nerf
n chez les ani-maux semble établir, au contraire, que, à la suite des lésions des nerfs qu'elle provoque, les muscles conserven
de la contractilité électrique survenant rapidement à la suite de la lésion d'un nerf sont, ainsi que l'ex-ploration clinique
. Cependant, dès le quatrième jour, c'est-à-dire avant même que les lésions de la dégénération soient appréciables, le nerf a
thologie humaine. Les faits qu'elle nous présente se rapportent à des lésions de nerfs mixtes ou moteurs, survenues soit sponta
ar-ticulier, d'un fait rapporté avec détails par le D1' Erb, quer ces lésions n'auraient rien de commun avec la dégénération gr
s obtiennent à la longue, par la section ou l'exci-sion des nerfs, la lésion histologique était toujours la dégénéra-tion grai
ur ce point délicat. Pour le moment, il nous suffira de noter que des lésions irrifali-ves des muscles, en tout semblables à ce
, c'est-à-dire en dehors des conditions qui produisent d'habitude les lésions irritatives des nerfs. Ainsi à la suite de l'exci
ns, les avulsions de nerfs déterminent quelquefois dans ces nerfs des lésions irritatives : ou bien — si les observations ultér
za — que les altérations musculaires qui se produisent à la suite des lésion » passives des nerfs moteurs ou mixtes ne se sépar
nt de vue histologique, de celles qui surviennent consécutivement aux lésions irritatives de ces mêmes nerf.. Si les faits deva
nerveux, provoquer dans cer-tains organes, dans certains tissus, des lésions trophiques offrant tous les caractères d'un proce
êmes circonstances ou dans divers cas de paralysies consécutives à la lésion traumatique des nerfs mixtes, par Schultz(â), Bre
rmettrait toujours de maintenir le contraste entre les paralysies par lésions des nerfs que nous offre ordinai-rement la cliniq
e en question fait défaut. Nous devons examiner actuellement si les lésions des troncs nerveux qui provoquent une prompte mod
e,herpès)., que nous avons appris à connaître comme un des effets des lésions irritatives des nerfs cutanés et qui ne s'obser-v
'un des troubles de nutrition les plus remarquables, produits par les lésions de nerfs, est l'émaciation ou l'atrophie des musc
and Keen. — Gunshot Wounds, etc., p. 69.) 3. Voir : P. Brouardel. — Lésions du rocher, carie, nécrose, et des compli-cations
dmis, il nous faut rechercher actuellement, com-ment, étant donnée la lésion irritative des troncs nerveux dont nous venons de
'en est pas ainsi. D'un autre côté, il n'est nullement prouvé que les lésions de nerfs, qui produisent la perte hâtive de la co
inuité des nerfs persiste, au moins à un certain degré, à la suite de lésions qui cependant, déter-minent rapidement, dans les
es troubles trophiques les plus prononcés. C'est ainsi qu'après une lésion traumatique portant sur le trajet d'un nerf, on v
s persister pen-dant quelque temps et ne s'affaiblir qu'alors que les lésions trophiques sont survenues dans le muscle (2). 11
maintient souvent à un degré voisin de l'état normal, dans les cas de lésions d'un nerf mixte, alors même que l'affaiblisse-men
e grise, il est commun de voir se produire, comme lorsqu'il s'agit de lésions irritatives des nerfs, une diminution ou une abol
-lition rapide de l'excitabilité électrique observée à la suite de la lésion d'un nerf, ne saurait être rattachée tout entière
achée tout entière à l'alté- 1 Dans les paralysies consécutives aux lésions traumatiques des nerfs mixtes, les troubles fonct
ur contractilité ; ainsi une luxation de l'épaule ayant occasionné la lésion des nerfs qui animent le bras, l'avant-bras et la
l encore moins affectée que la sensibilité musculaire, dans ces mômes lésions nerveuses. Duchcnne de Boulogne, loc. cit., p. 21
trique, serait le précurseur et comme le premier terme d'une série de lésions plus profondes qui amènent graduelle-mentl'atroph
ur lesquelles nous reviendrons par la suite, semblent montrer que les lésions dont il s'agit sont, pour une bonne partie, dénat
les errements de la théorie actuellement en vogue, de considérer ces lésions comme la conséquence plus ou moins directe d'une
ent que très exceptionnellement chez les sujets qui, à la suite de la lésion d'un nerf, présen-tent une paralysie avec diminut
ès les conclusions formulées par les auteurs, l'oppo-sition entre les lésions passives et les lésions irritatives des nerfs,
lées par les auteurs, l'oppo-sition entre les lésions passives et les lésions irritatives des nerfs, t. Duehenne (de Boulogne
ir si elles ont bien la signification qui leur a été attribuée. Des lésions de nerfs, variées—écrasemen,tligature, section da
en l'écrasant à l'aide d'une pince, le nerf sciatique d'un lapin. La lésion peut être très prononcée ou légère. Est-elle très
central ; il est rapide, au contraire, pour le bout périphérique. La lésion est-elle légère, l'excitabilité électrique revien
disparaît à son tour quand la faradisation redevient puissante. Les lésions musculaires qui correspondent à ces modifications
génération cireuse. Tels sont les phénomènes signalés à la suite de lésions de nerf, qui, suivant nos auteurs, équivaudraient
que, dans ces expériences, comme dans les cas relatifs à l'homme, les lésions irritatives dontles nerfs sont le siège retentiss
tain degré de vita-lité ; qu'il soit capable,, sous l'influence d'une lésion irritative, de réagir sur la fibre musculaire et
quelques millimètres. Or,les résultats obtenus à la suite d'une telle lésion sont bien différents de ceux que cet auteur et M.
bles aux accidents qui se produisent chez l'homme,en con-séquence des lésions irritatives des nerfs mixtes ou purement moteurs.
leçon. (Note de la 2e édition.) troubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle ÉP1NIÈRE Les lésions irritatives
bles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle ÉP1NIÈRE Les lésions irritatives des centres nerveux, comme celles des
érie des affec-tions que nous avons vues se manifester à la suite des lésions des nerfs et dont l'histoire, déjà connue, facili
devenir le siège de troubles trophiques variés, consécuti-vement aux lésions de la moelle épinière et du cerveau. Nous trait
s développer relative-ment à ces affections, concernent seulement les lésions de la moelle et du bulbe, car il est au moins for
ns de la moelle et du bulbe, car il est au moins fort douteux que les lésions du cerveau proprement dit aient jamais pour résul
econnaîtrons en temps et lieu, un fait de la plus haute importance. Lésions musculaires consécutives aux affections de la moe
laires consécutives aux affections de la moelle épinière. — Parmi les lésions spinales de nature irri-tative, il en est qui dét
organiques, que nous avons appris à connaître, comme conséquence des lésions des nerfs ; il en est d'autres, au contraire, dan
-ment en revue. A. Dans le premier groupe, nous rangeons celles des lésions irritatives de la moelle qui, dans la règle, ne m
ée, que celle-ci soit protopathique ou au contraire consécutive à une lésion en foyer du cerveau ou de la moelle épinière : qu
oir l'intégrité des grandes cellules nerveuses se trouve remplie, les lésions dont il s'agit peuvent atteindre leur plus haut d
(1). 1. Charcot et .Toffroy. — Deux cas d'atrophie musculaire avec lésion de la substance grise et des faisceaux antéro-lal
es cellules nerveuses à laquelle doit être rattachée, suivant moi, la lésion trophique des muscles (2). 1. Charcot et Joffro
es cellules nerveuses présentaient à ce niveau, pour la plu-part, des lésions atrophiques profondes ; bon nombre d'entre elles
nçoit guère d'exception que pour le cas, d'ailleurs assez rare, où la lésion bien que circonscrite aux cordons blancs, occuper
l'altération, il se produirait là, nécessairement, l'équivalent d'une lésion affectant les nerfs périphériques (1). B. Le se
upe comporte deux sous-divisions : 1 ° La première est relative aux lésions en foyer ou diffuses, à marche aiguë ou subaiguë,
cornes antérieures de la substance grise se trouvent intéressées, les lésions musculaires qui sont la conséquence de cette part
taines parties du renfle-ment cervical ou du renflement lombaire. Les lésions musculaires qui pourraient survenir consécutiveme
orrélatifs : l'atrophie des masses musculaires s'accuse bientôt ; les lésions histologïques des faisceaux primitifs deviennent
mptement appréciables. D'après MM. Mannkopf (2) et Engel-ken (3), ces lésions sont remarquables surtout par la proliféra-tion d
ns relativement lé-gères et nullement en rapport d'intensité avec les lésions des muscles (4). Vapoplexie spinale (hématomyél
ent mortelle ; elle n'a pas encore fourni l'oc-casion de constater la lésion histologique des faisceaux primitifs et l'atrophi
composent la seconde catégorie relèvent de lésionsplusdélicates ; ces lésions , en effet, sont limitées d'une façon pour ainsi d
normale. 11 est, déplus, d'autres cas non moins significatifs où les lésions dé la névroglie se montrent beaucoup plus accusée
présentent, auniveaudes points altérés de la moelle épinière, que des lésions relativement minimes etnullement proportion-nées,
ativement minimes etnullement proportion-nées, quant àlintensité, aux lésions de la substance grise. Il paraitévident, d'après
a pathogénie de l'atrophie musculaire nombreuses recherches dontles lésions spinales auxquelles elles se rattachent ont été l
es nerfs jusqu'aux muscles paralysés qui, en conséquence, ont subides lésions trophiques plus ou moins profondes (2). Quoiqu'il
215 . — Charcot et Joffroy. Cas de paralysie infantile spinale, avec lésions des cor-nes antérieures de la substance orise de
jusque vers les périodes ultimes de la maladie. Le développement des lésions musculaires répond à ce mode d'évolution des lési
éveloppement des lésions musculaires répond à ce mode d'évolution des lésions spinales. Ainsi, il est rare que les troubles tro
ins deuxformes bien distinctes de l'amyotrophie progressive liée aune lésion irritative des cellu-les motrices. L'une, protopa
s cellu-les motrices. L'une, protopathique, relève exclusivement delà lésion en question et celle-ci, développée primitivement
st, au contraire, affectée que secondairement, con-sécutivement à une lésion des faisceaux blancs, par exemple, et pour ainsi
ns fort pro-bable que ces affections se rattachent, elles aussi, aune lésion des cellules nerveuses motrices. La paralysie spi
pèrent, au moins partiellement, leur volume et leurs fonctions (1). Lésions musculaires consécutives aux affections du bulbe.
dent à établir que, dans le bulbe comme dans la moelle épi-nière, les lésions irritatives des faisceaux blancs n'ont pas d'in-f
le rôle remarquable que, suivantles recherches les plus récentes, les lésions de cellules nerveuses antérieures jouent dans la
Cela étant reconnu, if y a lieu de rechercher, Messieurs, pourquoi la lésion des cellules nerveuses motrices entraîne avec ell
oup d'égards, les faisceaux blancs de la moelle, sous l'influence des lésions irritatives, se comporteraient autrement que les
ui consacrer. TROISIÈME LEÇON Troubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle épinière et du cerveau (suite). So
ndante ichorcuse, — Decubitus aigu dans l'apoplexie symptomatique des lésions cérébrales en foyer. Il se manifeste sur les memb
ge en général à la région sacrée. Arthropathies qui dépendent d'une lésion du cerveau ou de la moelle épinière.— A. Formes a
e.— A. Formes aiguës ou subaiguës : elles se montrent dans les cas de lésion trauma-tique de la moelle épinière, dans la myéli
s paraissent dépendre, comme les amyotrophies de cause spinale, d'une lésion des cornes antérieures de l'axe gris ; on les obs
Lorsque j'ai traité des troubles de la nutrition déterminés par les lésions des nerfs périphériques, jô vous ai laissé presse
utives se trouvaient représentées, pour la plupart, dans les cas de lésions portant sur l'axe spinal. A la vérité, il ne s'ag
entre les affections de cause centrale et celles qui dépendent d'une lésion des nerfs périphériques est tellement frappante,
ttacher la production des douleurs fulgurantes à l'une quelconque des lésions suivantes : 1° atrophie des racines postérieures
eure ; 3° sclérose des cornes postérieures de la substance grise ; 4° lésions irri-tatives des ganglions spinaux ou des nerfs p
d'ataxie où l'on a pu s'assurer, après la mort, de l'absence de toute lésion du genre de celles qui viennent d'être énumé-rées
, et à part quelques traces assez équivoques de méningite, les seules lésions appréciables qui furent rencontrées occupaient le
s encore, à moins qu'il n'y eût quelque complication, dans les cas de lésions irritatives limitées soit aux cordons antéro-laté
lir que le zona se développe quelquefois sous l'influence directe des lésions partielles de l'encéphale. Ainsi chez une vieille
dont l'existence peut être rattachée quelquefois à l'influence d'une lésion encé-phalique. C'est un fait qui, je l'espère du
re pas essentiellement de celui qui se développe sous l'influence des lésions spinales. Quelques jours et parfois même quelqu
ue, jusqu'ici, j'ai rencontrées à peu près uniquement dans les cas de lésions de la moelle épi-nière, il se produit en outre, a
(loc. cit., p. 383.) » — Trois autres cas relatifs, cette fois, à des lésions traumatiques delà moelle (chute d'un lieu élevé,
oints méritent surtout d'être notés dans ces observations. D'abord la lésion de la vessie. Celle-ci résulte de ce que l'or-gan
es dans lesquelles se produit le décubitus aigu, sous l'influence des lésions du cer-veau et de la moelle épinière, ainsi que l
Nous aurons à rechercher également si le mode de production de cette lésion trophique de la peau rentre dans la théorie génér
écubitus aigu. A. Déeidritus aigu dans l'apoplexie symptomatique de lésions cérébrales en foyer. C'est surtout dans l'apoplex
indiquées. Quelle peut être la cause organique de cette singulière lésion trophique? j'ai cru pendant longtemps que celte l
tte singulière lésion trophique? j'ai cru pendant longtemps que celte lésion devait être considérée comme un des effets de l'h
spinale. Lorsque le décubitus aigu se produit sous l'influence d'une lésion de la moelle épi-nière, il se manifeste dans la t
téressée, et alors c'est fréquemment sur le côté du corps opposé à la lésion spinale que siège la lésion cutanée. L'influenc
quemment sur le côté du corps opposé à la lésion spinale que siège la lésion cutanée. L'influence des attitudes joue ici un
commun d'ailleurs,—-contrairement à ce qui s'observe dans les cas de lésions cérébrales, — que les divers points des membres p
es, par exemple, les talons, la face interne des genoux, —offrent les lésions qui caractéri- sentie décubitus aigu. Les escha
lécrâniennes (1). D'une manière très générale, on peut dire que les lésions spinales qui produisent le décubitus aigu sont au
faire ressortir (Fig. 4). a) Nous mentionnerons en premier lieu les lésions trauma-tiques de la moelle épinière, celles, en p
20. 5. Ollivier (d'Angers), loc. cit., t. I. 6. S. Laugier. — Des lésions traumatiques de la moelle épinière. Thèse de conc
ersistance delà sensi-bilité dans les parties situées au-dessous delà lésion se trouve d'ailleurs signalée encore d'une façon
pide d'eschares est un des phénomènes les plus communs à la suite des lésions spi-nales résultant des fractures avec déplacemen
die — que la production des eschares soit d'autant plus hâtive que la lésion traumatique porte sur un point plus élevé de la m
t auteur, les eschares n'ont été notées que trois fois à la suite des lésions de la région cer-vicale (1/41 p. 100), 12 ibis (9
Lancel, 27jan. 1872, p. 117. Glinical Society of London. vement aux lésions spinales, rien qui soil particulier aux cas dans
e paralysie du mouvement dans le membre inférieur du côté où siège la lésion spinale; ce membre présente en outre un degré plu
ature liée à la paralysie vaso-motrice. Le membre du côté opposé à la lésion conserve par contre sa température normale et ses
si-multanément et qui relèvent tous, d'ailleurs, manifestement, de la lésion spinale. Parmi les lésions de nutrition de ce gen
vent tous, d'ailleurs, manifestement, de la lésion spinale. Parmi les lésions de nutrition de ce genre obser-vées chez l'homme,
tte dis-position particulière de l'eschare par rapport au siège de la lésion spinale serait, d'après ce qui m'a été dit par M.
. Viguès. Dans celle-là comme dans celui-ci, on voit à la suite d'une lésion traumatique por-tant sur une moitié latérale de l
hé à établir que, à la suite des blessures de la moelle épinière, des lésions irritatives, telles que: hypertrophie des cylindr
n des-cendante soit par la voie indirecte des cordons latéraux. Cette lésion de la corne antérieure, nous l'invoquerons encore
ncerne, maintenant, les eschares, leur apparition, ducôté opposé à la lésion spinale tend à établir que les fibres nerveuses d
us est fourni par les observations d'hémiparaplégie consécutive à une lésion unilatérale de la moelle épinière : c'est que le
os et les ligaments de la co-lonne vertébrale ne présentaient aucune lésion ; au voisinage des 5e et 6° vertèbres dorsales, l
rsqu'un processus d'inflammation aiguë se surajoute brusquemment à la lésion initiale. Ainsi que les exa-cerbationsdela myélit
y Journ., 1862. l'a vu à propos de l'hémiparaplégie résultant de la lésion trau-matique d'une moitié latérale de la moelle.
quement par l'ensemble des symptô-mes qui se rapportent à ce genre de lésion . Pour expliquer la production des troubles trophi
t dans le cas où l'inflammation est venue s'établir au vosinage de la lésion spinale. Il n'est guère vraisemblable que toute
s d'entre elles peuvent, nous l'avons fait pressentir déjà, subir les lésions irritatives les plus graves sans que le décubitus
aigu s'en suive jamais. Telles sont les cornes antérieures, dont les lésions , par contre, ont, vous le savez, l'influence la p
e l'adulte, affections qui sont caractérisées anatomique-ment par des lésions inflammatoires aiguës, systématiquement limitées
tandis que les autres, celles qui affectent la peau, relèveraient de lésions irritatives occupant, soit les parties centrales
ont chez un même individu. Par tout ce qui précède, l'influence des lésions irritatives de la moelle épinière sur le développ
raires aux vues de M. Samuel. Ce n'est pas à dire cependant que les lésions irritatives des nerfs périphériques, et peut-être
e cérébrale et spinale. Les trou-bles de la nutrition consécutifs aux lésions des centres nerveux ont assez fréquemment pour.si
anulo-graisseuse. — Couyba : Thèse de Paris, 1871. Obs. XII, p. 53. lésions cérébrales ou spinales qui leur donnent naissance
ès rare (2). Elle se produit plus fréquemment comme conséquence d'une lésion traumatique de la moelle épinière, c'est ce dont
les hémiplégiques, comme une conséquence plus ou moins directe de la lésion cérébrale, en dehors de toute influence de la gou
qui se produisent clans les membres paralysés, en consé-quence d'une lésion cérébrale, résultent généralement d'une irritatio
aux, les parties liga-menteuses n'ont paru jusqu'ici présenter aucune lésion conco-mitante, du moins appréciable à l'œil nu. P
1 Charcot.—Sur quelques arthropathies qui paraissent dépendre d'une lésion du cerveau ou de la moelle épinière (Archiv. de j
qui rendraient facilement reconnaissables lesârthropathies liées aux lésions des centres nerveux et permet-traient de les dist
aussi l'expression de troubles trophiques relevant directement de la lésion du centre nerveux spinal. Voici, d'ailleurs, en q
Dans l'opinion où nous étions que 1 arthropathie en question est une lésion trophique consécutive à l'affection delamoelle ép
, nous avait démontré, d'un autre côté, qu'on ne pouvait invoquer une lésion des nerfs périphériques; c'est dans la substanc
pinale affectée dans l'ataxie locomotrice ; mais, le plus souvent, la lésion porte alors sur les cornes postérieures. Or, il e
ur la corne anté-rieure correspondant au côté du corps où siégeait la lésion arti-culaire. Elle affectait la région cervicale
uelle le membre correspondant aura pu être condamné par le fait de la lésion articulaire. Cette hypothèse devra être reje-tée,
grande partie, la liberté de leurs mouvements et, d'un autre côté, la lésion de la sub-stance grise différait essentiellement
de celle qui se produit 1. Voir Gharcot et Joffroy. — Note sur une lésion de la substance grise de la moelle épinière, obse
taxiques, Il n'y a là rien qui doive surprendre, si l'on songe qu'une lésion irrita-tive, primitive ou secondaire, des cellule
. II, p. 384. QUATRIÈME LEÇON Troubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle épinière et du cerveau (suite et fin
e. Sommaire. — Hypérémies et ecchymoses viscérales consécutives aux lésions expérimentales de diverses parties de l'encéphale
nces de Schiff et de Brown-Sé-quard: observations personnelles. — Ces lésions paraissent dépendre de la paralysie vaso-motrice:
van der Kolk, relative aux rapports qui exis-teraient entre certaines lésions de l'encéphale et diverses formes de la pneumonie
es eschares se dé-veloppent à la région sacrée ; elle se rattache aux lésions des voies uri-naires qui. elles-mêmes, relèvent d
x. Théorie de la production des troubles trophiques consécutifs aux lésions du système nerveux. — Insuffisance de nos connais
posé ; critiques. — Conclusions. Messieurs, Le retentissement des lésions du système nerveux ne se fait pas sentir seulemen
es muscles. Les viscères, eux aussi, peuvent être in-fluencés par ces lésions . On sait que certaines altérations de l'encépha
uites spontanément, sont parfois suivies de l'apparition de certaines lésions viscérales. Ainsi.dans quelques expériences deM
et de la membrane muqueuse de l'estomac (1). Quoiqu'il en soit, les lésions viscérales dont il s'agit diffèrent par des carac
s congestions et ces ecchymoses qui se montrent consécutive-ment à la lésion de diverses parties de l'encéphale. D'un autre
rivent en pareil cas, d'une influence exercée sur les poumons par les lésions du cerveau ou du bulbe. Mais il faut reconnaître
e connexité ne sont pas encore suffisam-ment démonstratifs (1). Les lésions spinales, de même que les lésions de l'encéphale,
fisam-ment démonstratifs (1). Les lésions spinales, de même que les lésions de l'encéphale, peuvent être suivies delà product
Béhier, et prompte-ment terminée par la mort. A l'autopsie, outre les lésions de la myélite partielle, on constata, dans 1' épa
existence de foyers hémorrhagïques récents. Mais, je le répète, les lésions congestives et ecchymotiques 1. Schrœder van de
tion, se rattachent, par l'ensemble de leurs caractères au groupe des lésions trophiques proprement dites. Vous n'ignorez pas
ps reconnu qu'à la suite des fractures de la colonne vertébrale, avec lésion consécutive de la moelle épinière, les urines sub
la colonne vertébrale (3). L'autopsie fait constater dans ces cas les lésions plus ou moins prononcées de la néphro-cystite pur
, Bd. 1869, p. 359. Ciiaiicot. Œuvres complètes, t. r. 9 Mais les lésions traumatiques de ce genre sont, en général, peu pr
acture de la colonne vertébrale, ont pu, du môme coup, déterminer les lésions vésico-rénales. 11 n'en est plus de même lorsqu
l'autopsie, on trouva dans les reins, les uretères et la vessie, des lésions phlegraasiques très accentuées (1). Dans un cas a
s de cette espèce sont très intéressants en ce qu'ils montrent qu'une lésion uni-latérale, très circonscrite, de la moelle épi
ière, vous trou-verez, dans l'ouvrage de M. Rayer, la description des lésions souvent très profondes des reins, des bassinets e
es paralysés (1). Comment comprendre ce développpement si rapide de lésions inflammatoires des voies urinaires à la suite des
. Celle-ci reconnaîtrait donc pour cause, comme d'ailleurs les autres lésions trophiques qui se manifestent souvent en même tem
que le développement des troubles trophiques survenant à la suite des lésions du système nerveux n'est pas, au moins en général
es caractères à peu près identiques, à la suite d'un grand nom-bre de lésions des centres nerveux ou des nerfs périphériques. L
de-vrait nécessairement exister dans les parties où se mon-trent les lésions trophiques que nous avons décrites, si celles-ci
e à la névralgie ou à la né-vrite (1), on peut dire cependant que les lésions irritatives des nerfs périphériques, dans les con
nsun, loc. cil. — Earlc, in Med. chir. Transacl., vol. VII, p. 173, lésions spinales, il est vrai que parfois les membres sur
s voyez, d'après ce qui précède, que les troubles trophiques liés aux lésions irritatives des centres nerveux se trouvent au mo
deux cas de plaie du nerf avec glossy skin, la région occupée par la lésion trophique était de 1 à 2 degrés plus chaude que l
nflammatoires se développer sur le côté de Jaface correspon-dant à la lésion expérimentale ; de ce côté, même sans l'inter-' v
t permis de supposer que les animaux chez lesquels M. Schiff a vu des lésions trophiques survenir consécutivement à l'hypé-rémi
rait avoir qu'une application très limitée, car le décubitus aigu par lésion des centres nerveux peut se produire dans maintes
ssous du taux normal (2). On est naturellement porté à croire que des lésions nutritives profondes, accusées dans le sens de la
ce procédé, on soit parvenu jamais à produire expéri-mentalement une lésion trophique quelconque. M. 0. Weber qui, àl'aide d'
'apparition des troubles trophiques qui surviennent en conséquence de lésions du système nerveux. L'expérimentation physiolog
fisantes, a été quelquefois invoquée pour expliquer la production des lésions de nutrition développées par une influence du sys
crâniens, car les cas sont nombreux, ainsi que vous l'avez vu, où une lésion siégeant dans les parties centrales de la moelle
vre de M. Samuel a paru, et qui mettent hors de doute l'influence des lésions des cellules nerveuses antérieures sur le dévelop
nt d'éruptions huileuses ou pemphi-goïdes, du zona, en conséquence de lésions portant sur les faisceaux postérieurs de la moell
. Un certain nom-bre au moins des troubles trophiques consécutifs aux lésions du système nerveux trouveront peut-être dans cett
e la paralysie agitante. Résultats nécroscopiques. —Inconstance des lésions dans la paralysie agitante: fixité des lésions da
ques. —Inconstance des lésions dans la paralysie agitante: fixité des lésions dans la sclérose en plaques. — Lésions du pont de
paralysie agitante: fixité des lésions dans la sclérose en plaques. — Lésions du pont de Varole et de la moelle allongée (Parki
une à l'autre sous le triple rapport des symptômes, des causes et des lésions . Pour cela, nous ferons appel aux documents préci
, quant à présent, une névrose en ce sens qu'elle ne reconnaît aucune lésion qui lui soit propre. Dans les diverses relations
on à savoir que, jusqu'ici, la paralysie agitante ne reconnait aucune lésion matérielle déterminée. Elle frappe des sujets d
logique de maladies autres que la paralysie agi-tante, dans certaines lésions du cerveau, par exemple. 11 est juste de reconnaî
fût aupa-ravant (1). A l'autopsie, on ne rencontre d'ordinaire aucune lésion viscérale importante, capable d'expliquer la mort
e, capable d'expliquer la mort. On n'observe point, entre autres, les lésions de la pneumonie caséeuse ou de la phtisie tubercu
es. Le premier renferme les cas dans lesquels on n'a rencontré aucune lésion appréciable, malgré les explorations les plus att
atifs. D'autres fois,on trouve mentionnées, dans les nécrop-sies, des lésions banales, en particulier l'atrophie cérébrale séni
itre de paralysie agitante et dans lesquelles ont été rencontrées des lésions qui appartiennent vraisemblablement à la sclérose
veux, non plus que des caractères de la dégénération graisseuse, deux lésions signalées, on ne sait trop pourquoi, dans la vers
u. Les considérations qui précèdent vous montrent,Messieurs, que la lésion de la paralysie agitante est encore à trouver (1)
Charcot a eu l'occasion de pratiquer trois autopsies nouvelles ; les lésions qu'il a rencontrées sont de denx espèces : les un
stérieure du bulbe). Dans le cas le plus net, on ne constatait aucune lésion delà protubérance ni du bulbe. (Voir pour plus de
ons des vaisseaux. — Examen des plaques de sclérose à l'état frais. — Lésions histologiques consécutives à la section des nerfs
rais. — Modification des cellules nerveuses. — Mode de succession des lésions . Messieurs, J'ai insisté dans notre dernière
e. C'est dans les 22e et 23e livraisons que vous ver-rez figurées les lésions de la sclérose en plaques. A côté, vous pourrez l
ell, dans l'article A trophy de son Atlas (1838), a fait dessiner des lésions qui se rapportent à la sclérose en plaques. Mais
er de nouveaux jalons. Ludwig Tûrk a publié, en 1855, des exemples de lésions se rattachant évidemment à la sclérose en plaques
, nous devons dire que Xexamen purement extérieur ne donnerail delà lésion qu'une idéelrèsincomplèle. Les plaques, les Lâche
t nous pourrions, à lan-gueur, entrer de plein pied dans l'examen des lésions intimes. Toutefois, vous le savez, l'anatomie his
soulève sont encore en litige; et cependant, pour l'intelligence des lésions pathologiques, il n'est pas indifférent d'avoir s
ette disposition anatomique lorsqu'il s'agira d'interpréter certaines lésions (i). 1. Depuis le moment oîi celte leçon a été
t évidentes. Si l'on franchit la limite appa-rente du tissu sain, les lésions se montrent plus accentuées et elle se prononcent
it qu'il s'agisse de la sclérose spinale descendante, consécutive aux lésions du cerveau, ou de celle qui, occupant primivement
ion graisseuse consécutive des gaines lymphatiques et nullement d'une lésion primitive des parois vasculaires. Le même phénomè
uée par M. Vulpian. disproportion apparente entre le symptôme et la lésion consti-tue un des arguments les plus puissants qu
e alors même que l'amblyopie est cependant très accentuée, tantôt une lésion partielle, tantôt enfin dans les cas rares oùla c
yeux. L'examen ophtalmoscopique n'a permis de reconnaître ici aucune lésion bien déterminée. Un fait qui mérite d'être relevé
s peut-être plus caractéristiques en ce sens que les symptômes et les lésions de ia sclérose en plaques et de l'ataxie locomotr
otopathique ou au contraire consécutive, relève le plus souvent d'une lésion irritaiive des grandes cellules dites motrices (1
ntérieure de la langue avaient subi la dégénérescence graisseuse : la lésion avait envahi quelques-uns des faisceaux musculair
taques apoplecti-formes dans la paralysie générale et dans les cas de lésions cérébrales en foyer de date ancienne hémorrhagie
es. Physiologie pathologique. — Relation entre les symptômes et les lésions . Etiologie. — Influence du sexe et de l'âge.— H
ion de Nicolas, présentée à la Société de Biologie, par M. Joffroy. lésions cérébrales en foyer de dates anciennes et accompa
dit cerveau, lorsqu'ils ont occupé les régions de l'encéphale dont la lésion a pour efï'ef de déterminer presque à coup sûr le
onnues sous le nom de sclérose* fasciculées descendantes. Entre ces lésions partielles du cerveau et la paralysie géné-rale p
es de M. Wesl-phal ont fait voir que, dans la paralysie générale, aux lésions de la périencéphalite se surajoute très souvent u
bérance, le bulbe et certaines régions de la moelle épinière. Or, ces lésions cérébro-spinales, tant en raison de leur mode de
(Pl. 111, Fig. 1 et 3, Pl. VIII). Vous voyez par laque l'existence de lésions irritatives disséminées un peu partout dans l'axe
. Je signalerai surtout à votre attention l'existence constante de la lésion bulbaire, laquelle, très vraisemblable-ment, est
ressive. Elles ne sauraient par conséquent, sans le concours d'autres lésions , expliquer le développement d'accidents qui se pr
ont-ils pas été désappoin-tés en ne rencontrant pas, à l'autopsie, la lésion congestive sur laquelle ils comptaient ? Mais j'i
ient marqué la terminaison fatale ; je n'ai rencontré ja-mais que les lésions anciennes— foyers ocreux, plaques jaunes ou foyer
daires du méso-céphale et de la moelle qui sont la conséquence de ces lésions partielles des hémisphères. Je crois en somme que
Je crois en somme que, dans l'état actuel de la science, l'absence de lésions propres est, anatomi-quement parlant, un trait co
us atrophié dans son ensemble. On ne put découvrir aucune trace d'une lésion récente, soit dans les cen-tre nerveux, soit dans
l'autre dans l'épaisseur d'une cir-convolution. Il n'existait aucune lésion récente, capable d'expli-quer les accidents qui a
re, comme dans la paralysie générale progressive et dans les cas de lésions en foyer des hémisphères. Ainsi la malade, dont l
i, quelque prononcée qu'elle soit, — à part ce cas exceptionnel où la lésion prédominerait sur les cordons postérieurs,— efle
té. Douleurs fulgurantes fréquentes, sur-Fig.ib.— Elle représente les lésions observées sur une ^0ll^ dans la moitié uauche cou
de la face. — Etourdissements pris dans toute leur largeur, et que la lésion prédo- vertigineux se montrant à mine a leur part
moelle. En raison des symptômes ataxiques offerts par la malade, les lésions de l'axe spinal, doivent être consignées ici. Il
xtrémité inférieure de la région dorsale. La Figure 15 représente les lésions observées sur une coupe pratiquée à la partie la
s trois cas de sclérose en plaques disséminées, avec prédominance des lésions dans les cordons postérieurs, la maladie a duré o
itable notion du mal n'est, en général, reconnue que lorsque déjà les lésions sont très pro-fondes, partant peu accessibles à l
tachées à une cause périphérique, sont en réalité, subordonnées à des lésions siégeant dans certaines régions bien déterminées
utorisa à déclarer, dans ce temps-là, qu'on n'avait pas affaire à une lésion cérébrale en foyer. Un autre trait distinctif q
non pas absolument spécifiques parce que nous verrons bentôt que des lésions cérébrales grossières, circons-crites à certains
l'hémianesthésie hystérique. — L'ischémie et les convulsion-naires. — Lésion des sens spéciaux. — Achromatopsie. — Relation en
qu'il convient d'y apporter. Hémianesthésie dépendant de certaines lésions encéphaliques. — Analogies qu'elle présente avec
éphalique ressemble à, l'hémianesthésie des hys-tériques. — Siège des lésions encéphaliques capables de produire l'hémia-nesthé
sions. — Cas d'hémianesthésie observés par Tiïrck : siège spécial des lésions encéphaliques dans ces cas. — Observation de M. M
ouve pas avec les mêmes caractères dans l'immense majorité des cas de lésions maté-rielles de l'encéphale (hémorrhagie, ramolli
surtout, de dire que Yhémianesthésie développée sous l'in-fluence des lésions encéphaliques diffère toujours de l'hé-mianesthés
à la vérité exceptionnels, mais parfai-tement authentiques, certaines lésions cérébrales en foyer peuvent reproduire l'hémianes
celles fournies par l'expérimentation chez les animaux, veut que les lésions cérébrales en foyer qui affectent si profondément
ssieurs, le résultat est, dit-on, toujours le même, qu'il s'agisse de lésions intéressant spécialement le corps strié, la couch
e optique, ou encore l'avant-mur. Tout d'abord, lorsqu'il s'agit de lésions à développement brusque, déterminant une attaque
ions, en pareille circonstance, des sens spéciaux du côté opposé à la lésion encéphalique, c'est-à-dire du même côté que l'hém
L. Tûrck. Seul, ce dernier a su donner, relativement au siège que les lésions encéphaliques occupent dans ces cas-là, des notio
rrliagie céré-brale et toujours alors, j'ai rencontré à l'autopsie la lésion de la-couche optique dont, pendant la, vie, j'ava
l'existence. * Faut-il, Messieurs, induire de ce qui précède que la lésion de la couche optique est la véritable cause organ
e il suit, dans le domaine pathologique, les faits bien avérés où une lésion de la couche optique coïncide avec la diminution
ent, il s'agit là, dit-on, et cet argument est parfaitement fondé, de lésions récentes telles que Vhémorragie intra-encéphaliqu
e intra-encéphalique ou le ramollissement, ou bien encore de tumeurs, lésions par suite desquelles la couche optique se trouve
alementdans le but d'établir, avec une grande précision, le siège des lésions encéphaliques, aux-quelles pourraient être rattac
avant-mur (Vor-mauer). Or, Messieurs, dans les cas de M. Tùrck, les lésions avaient envahi à la fois la partie supérieure e
he avoisinante du lobe postérieur. Il s'agit là, par conséquent, de lésions complexes ; mais elles permettent tout au moins d
dans les hémisphères cérébraux, il existe une région complexe dont la lésion détermine l'hémianesthésie ; on connaît approxi-m
ient été attentivement explorés dans les faits d'hémianeslhésie par lésion cérébrale publiés jusqu'à ce jour ;_j les obser
nier cas, à l'époque où la paralysie motrice commence à s'amender. La lésion consiste dans la pré-sence, soit d'un foyer d'hém
s être plus affirmatif, l'autopsie n'ayant pas été pratiquée — que la lésion encéphalique était, chez cet homme, du même genre
sente dans l'hystérie, peut être produite, dans certains cas, par une lésion en foyer des hémis-phères cérébraux (1). 1. Les
sième noeud. — Le premier nœud a son point de départ dans l'ovaire. — Lésions de l'ovaire ; desiderata. Rapports entre l'hype
ifférences entre la contracture hysté-rique et celle qui dépend d'une lésion en foyer du cerveau. — Exemple de la forme pjn^aj
de la contracture chez un certain nombre d'hystériques. — Exemples. — Lésions anatomiques. — Sclérose des cordons latéraux. — V
arce qu'elle est très rare dans l'hémiplégie liée à l'existence d'une lésion cérébrale en foyer, et qu'elle est, au contraire,
tretrèsjhabituellementdans|la paralysie avec con-tracture, liée à une lésion organique spinale, lorsque, par exemple, les cord
subaiguë, ou encore dans Vàsclérose latérale con-sécutive à certaines lésions du cerveau, telles entre autres, que le ramolliss
rigueur, s'appliquer à un cas d'hémiplégie organique, résultant d'une lésion pro-fonde de l'encéphale, hémorrhagie ou ramollis
montre qu'elle ne saurait être rattachée toujours à l'existence d'une lésion matérielle appréciable des fais-ceaux latéraux. (
eurs, lorsqu'il s'agit par exemple d'une hémiplégie consécutive à une lésion de la capsule interne, et existent au contraire
tent au contraire toujours à un certain degré dans l'hémi-plégie, par lésion en foyer du cerveau (1). 2° Notez ensuite l'exi
s'il s'agissait de Yhémiplégie spinale, c'est-à-dire résultant de la lésion d'une moitié unilatérale de la moelle épinière, l
une anomalie considérable dans un cas d'hémiplégie consécutive à une lésion cérébrale, car, en pareil cas, la rigidité tardiv
e, que, chez cette femme, il s'est produit, aune certaine époque, une lésion scléreuse des cordons latéraux, lésion que lanécr
uit, aune certaine époque, une lésion scléreuse des cordons latéraux, lésion que lanécros-copie permettrait actuellement de re
ux. Séance du 25 janvier 1865. De même que, parfois, on observe une lésion spinale anatomiqucment appré-ciable dans les cas
aussi les trou-bles de la vision peuvent quelquefois s'accompagner de lésions du fond de l'œil que l'ophtalmoscope fait reconna
rt sur le fond de l'œil gauche, frappé d'amblyopie hystérique, aucune lésion : mais un dernier Des fait qui précèdent (1), i
s leurs fonctions normales. J'ajouterai enfin que l'existence d'une lésion organique spi-nale plus ou moins profonde serait
'héniianestliôsiecé-rébrale complète, et de date ancienne, liée à une lésion orga-nique, où ces applications ont eu, comme dan
malades, de les conduire à s'imaginer qu'ils sont sous le coup d'une lésion organique grave et menaçant l'intégrité des facul
es, et, profitant de cette occasion, il leur a rappelé de nouveau les lésions anatomiques et les symptômes morbides qui caracté
résistance que les cylindres axiles opposent à l'enva-hissement de la lésion , mêmes aux périodes avancées de la maladie, résis
lles intéressent une partie de l'un et de l'autre de ces cordons, Ces lésions semblent avoir une hauteur en général très limité
rose. — De nombreuses coupes du cerve-let n'ont fait découvrir aucune lésion . Cerveau. — Les surfaces des ventricules latéra
onoculaire avec hémianesthésie sensorielle et sensitive, relevant des lésions en foyer du cerveau qui siègent dans les parties
x, mais prédominant beaucoup dans l'œil du côté opposé au siège de la lésion intra-encéphalique ; même absence de lésions du f
ôté opposé au siège de la lésion intra-encéphalique ; même absence de lésions du fond de l'œil,appréciables à l'ophtalmos-cope.
encore au point de vue théorique. En effet, le siège qu'occupent les lésions organiques en foyers capables de déterminer la pr
semble dési-gner tout naturellement le siège que doivent occuper les lésions non appréciables par nos moyens actuels d'investi
ance l'hémianesthésie correspondante des hystériques. Ces dernières lésions , en conséquence, siègent vraisembla-blement, soit
ongées (1). 1. Progrès médical, 1879, n° 2. I. De l'influence des lésions traumatiques sur le déve- loppement des phénomè
mme avait éprouvé des symptômes nerveux analogues, à l'occasion d'une lésion légère du coude. « tant, en effet, de ce que vo
e laisse voir jusqu'où a pénétré dans la moelle même, à ce niveau, la lésion scléreuseet comment elle y est irrégulièrement di
ale fait voir jusqu'où a pénétré dans la moelle même, à ce niveau, la lésion scléreuse, et comment elle y est irrégulièrement
E DES MATIÈRES PREMIÈRE LEÇON troubles trophiques consécutifs aux lésions des nerfs. Sommaire. — Remarques préliminaires.
ituelle-ment à la Salpêtrière.— Troubles de nutrition consécutifs aux lésions de l'axe cérébro-spinal et des nerfs. — Ces altér
diagnostic et du pronostic. — Troubles de nu-trition consécutifs aux lésions des nerfs périphériques. — Le système ner-veux, à
, a peu d'influence sur l'accomplissement des actes nu-tritifs. — Les lésions passives des nerfs ou de la moelle ne produisent
on des troubles trophiques. — Les troubles trophiques consécutifs aux lésions traumatiques des nerfs, considérés en particulier
me, zona traumatique, pemphigus. — Glossy Skin des auteurs anglais. — Lésions musculaires : atrophie. — Lésions ar-ticulaires;
Glossy Skin des auteurs anglais. — Lésions musculaires : atrophie. — Lésions ar-ticulaires; lésions osseuses : périostite, néc
s anglais. — Lésions musculaires : atrophie. — Lésions ar-ticulaires; lésions osseuses : périostite, nécrose. — Troubles trophi
sseuses : périostite, nécrose. — Troubles trophiques con-sécutifs aux lésions non traumatiques. — Troubles trophiques de l'œil,
.............1 DEUXIÈME LEÇON troubles trophiques consécutifs aux lésions des nerfs (suite). affections des muscles. troubl
(suite). affections des muscles. troubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle épinière. Sommaire. — Modification
es et fonctionnelles que subissent les muscles sous l'influence de la lésion des nerfs qui les animent. — Importance de l'él
es muscles dans Je cas de paralysie rhumatismale du nerf facial et de lésions irritatives, soit traumatiques, soit spontanées d
giques. Application des re. cherches de M Brown-Séquard : Seules, les lésions irritatives des nerfs déterminent l'abolition hât
Ziemssen et 0. Weiss. — Écrasement, ligature des nerfs : ce sont des lésions irritatives. — Différence des résultats obtenus d
roposition de M. Brown-Séquard. Troubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle épinière. — En ce qui concerne leur
— En ce qui concerne leur influence sur la nutrition des muscles, ces lésions forment deux groupes bien distincts. — 1er groupe
cles, ces lésions forment deux groupes bien distincts. — 1er groupe : Lésions de la moelle qui n'ont pas d'influence directe su
e qui n'ont pas d'influence directe sur la nutrition des muscles : a) Lésions en foyer très circonscrites, n'intéressant la sub
tite éten-due en hauteur: Myélite partielle, tumeurs, mal de Pott. b) Lésions fascicu-lées même très étendues des cordons blanc
des cordons blancs postérieurs ou antéro-latéraux, etc. — 2e groupe : Lésions de la moelle qui influencent plus ou moins vite l
elle qui influencent plus ou moins vite la nutrition des muscles : a) Lésions fasciculées ou circonscrites qui intéres-sent les
rtaine étendue en hauteur : Myélite centrale, hématomyélle, etc. — b) Lésions irritatives des grandes cellules nerveuses des co
ulogne), atrophie musculaire progressive, etc. —Rôle prédomminant des lésions delà substance grise dans la production des troub
...........33 TROISIÈME LEÇON troubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle épinière et du cerveau (suite).
ndante ichoreuse. — Decubitus aigu dans l'apoplexie symptomatique des lésions cérébrales en loyer. Il se manifeste sur les memb
iège en général à la région sacrée. Arthropathies qui dépendent d'une lésion du cerveau ou de la moelle épinière.— A. Formes a
e.— A. Formes aiguës ou subaiguës : elles se montrent dans les cas de lésion trauma-tique de Ja moelle épinière, dans la myéli
s paraissent dépendre, comme les amyotrophies de cause spinale, d'une lésion des cornes antérieures de l'axe gris ; on les obs
.......... 75 QUATRIÈME LEÇON troubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle épinière et du cerveau (suite et f
e. Sommaire. — Hypérémies et ecchymoses viscérales consécutives aux lésions expérimentales de diverses parties de l'encéphale
es cle Schiff et de Brown-Sé-quard : observations personnelles. — Ces lésions paraissent dépendre cle la paralysie vaso-motrice
van der Kolk, relative aux rapports qui exis-teraient entre certaines lésions de l'encéphale et diverses formes de la pneumonie
es eschares se dé-veloppent à la région sacrée ; elle se rattache aux lésions des voies uri-naires qui, elles-mêmes, relèvent d
x. Théorie de la production des troubles trophiques consécutifs aux lésions du système nerveux. — Insuffisance de nos connais
la paralysie agitante. Résultats nécroscopiques. — Inconstance des lésions dans la paralysie agitante: fixité des lésions da
ues. — Inconstance des lésions dans la paralysie agitante: fixité des lésions dans la sclérose en plaques. — Lésions du pont de
paralysie agitante: fixité des lésions dans la sclérose en plaques. — Lésions du pont de Varole et de la moelle allongée (Parki
ons des vaisseaux. — Examen des plaques de sclérose à l'état frais. — Lésions histologiques consécutives à la section des nerfs
rais. — Modifications de cellules nerveuses. — Mode de succession des lésions .................................. 189 SEPTIÈME
taques apoplecti-formes dans la paralysie générale et dans les cas de lésions cérébrales en foyer de date ancienne (hémorrhagïe
ques. Physiologie pathologique. — Relation entre les symptômes et les lésions . Etiologie. — Influence du sexe et de l'âge.— Hér
l'hémianesthésie hystérique. — L'ischémie et les convulsion-naires. — Lésions des sens spéciaux. — Achromatopsie. — Relation en
qu'il convient d'y apporter. Hémianesthésie dépendant de certaines lésions encéphaliques. — Analogies qu'elle présente avec
céphalique ressemble à l'hémianesthésie des hys-tériques. — Siège des lésions encéphaliques, capables de produire l'hémia-nesth
sions. — Cas d'hémianeslhésic observés par Tiirck : siège spécial des lésions encéphaliques clans ces cas. — Observation de M.
isième nœud. — Le premier nœud a son point de départ dans l'ovaire. — Lésions dé l'ovaire ; desiderata. Rapports entre l'hype
ifférences entre la contracture hysté-rique et celle qui dépend d'une lésion en foyer du cerveau. — Exemple de la forme parapl
le la contracture chez un certain nombre d'hystériques. — Exemples. — Lésions anatomiques. — Sclérose des cordons latéraux. — V
que hystérique...................... 435 VII. I. De l'influence des lésions traumatiques sur le développement des phénomène
e hystéri-que, 365 ; d'un foyer sanguin du cerveau, note, 62; — d'une lésion hémilatérale de la moelle , 103, — de la sclérose
athies des ataxiques, 5 ; — symptômes. 118; — Siège, note, 113, 119 ; lésions des jointures, 120 ; — altération des cellules de
: des hémiplégi-ques : historique, 113; — mode de début, note, 113; — lésions , 120; — caractères cliniques, 119. Articulation
nerf sciati-tique, 9. — Arthropathies dans 1' —, progressive, 122. — Lésions inci-tatives des cellules nerveuses dans T — 69 ;
75. Avant-mur, 313. B Bromure de camphre, 188. Bulbe rachidien. Lésions muscu-laires consécutives aux affections du - . 7
hidien. Lésions muscu-laires consécutives aux affections du - . 72. — Lésions du — dans la paralysie agitante, 182 ; — dans la
Capsule interne, 313. Capsules surrénales (Hémorrhagie des) dans les lésions spinales, 128. Catalepsie, 447. Cellules nerveu
ces des cor-nes antérieures de la substance grise de la moelle, 62. — Lésions de ces cellules : forme aiguë (pa-ralysie infanti
phiques, 72. — Dégénération jaune des cellules nerveuses, 218, 219. — Lésions des — dans la sclérose en plaques, 244, 245 ; — —
ctiforme et épilep-tiforme, 378. Contractilité électrique après les lésions pathologiques des nerfs et après les lésions expé
ité électrique après les lésions pathologiques des nerfs et après les lésions expérimentales, 37 ; — dans la contracture hysté-
pan,nerf dilatateur,140. Corps granuleux, 215. Corps opto-striés ( Lésions des) : leurs effets, 307. — Théorie fran-çaise ,3
ections consécu-tives au —, 88 ; — dans l'apoplexie symptomatique des lésions céré-brales en foyer, 91 ; — siège,92. — Pathogén
96 ; — dans la myélite traumatique, 97 ; — influence du siège de la lésion spinale, 98 ; — dans l'hémi-paraplégie traumatiqu
ôle de la substance grise sur la production du—, 108. — Influence des lésions des nerfs sur le —, 109. Dégénération cireuse d
, vessie), 125, 126; — cle l'aponévrose épicrânienne 136 ; — dans les lésions spinales, 127. Ecriture (Spécimens de 1') dans
stérique. (V. Aura.) Griffe dans un cas de sclérose en plaques avec lésions des cellules nerveuses, note, 63 ; — dans la pa-r
129. Hémianesthésie hystérique, 285,300, 330. — Historique, 302. — Lésions des sens, 304. — Relations entre l'hémianesthésie
%. — Fréquence, 321. — Historique, 321. — Carac-tères cliniques,324.— Lésions ana-tomiques de l'ovaire, 329. — Con-clusions, 33
opulsion dans la paralysie agitante, 419. Lèpre anesthésique, 31. Lésions irritatives, 13, 17 ; — ocu-laires consécutives à
sser, 14, 17; — à la section dn nerf trijumeau, 10, 15 ; — dues à des lésions sponta-nées du nerf de la 5e paire, 17. M Mai
guë centrale, 65.— Dimi-nution de la contractilité électri-que, 65. — Lésions des capsules surrénales, 127. —Altérations des ur
(Résultats de la section du), 10, 15. — Expériences de Samuel, 14 ; — lésions sponta-nées du), 17 ; — trophiques, 21, 147; — or
e, 182.—Causes,462, 182, 184, 409. — Traitement, 186. — Influence des lésions traumatiques, 457. (V. Latéropuision, Parole, Pro
, symptomatique de la, sclérose en plaques, 263. — consécutive à la lésion des nerfs. 46, 48. — générale progiuessive ; ca
ntile, 71. — hystérique, 287, 351 et passim. — infantile, 46, 50. — lésions ana-tomiques, 72 ; — labio-glosso-la- ryngée :
e, 46, 50. — lésions ana-tomiques, 72 ; — labio-glosso-la- ryngée : lésions des cellules mo-trices, 72, 263, 236. — pseudo-
ie agi-tante, 163 ; — note, 173, 175, 411. Putamen, 313. R Reins ( Lésions des) consécutives à la section des nerfs, 128, 12
195, 205. — Altérations des vaisseaux dans la —, 211. — Na-ture de la lésion , 219. — Forme spinale, 194, 222. — Forme cépha-li
l'apoplexie cérébrale, 94. — Abaissement de la, — accompagnant les lésions irri-tatives des nerfs, 139. — Abaisse-ment de la
. Troubles trophiques. Siège, 4. — Différences qui les séparent des lésions passives, 8 ; — consécu-tifs aux lésions des nerf
érences qui les séparent des lésions passives, 8 ; — consécu-tifs aux lésions des nerfs périphé-riques, 5 ; — causes traumatiqu
ux lésions des nerfs périphé-riques, 5 ; — causes traumatiques, 25. — Lésions spontanées, 22. — Partie théorique, 131. — Théori
5 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
trêmement dé- licate. Chez l'enfant, la gibbosité apparaît vite, la lésion tuberculeuse, envahissant rapidement la totalit
ties ainsi altérées de la dure- mère sont, à leur tour, le siège de lésions plus ou moins considérables et qui se sont trad
sensitives. Charcol, dans ses Leçons faisait déjà remarquer que la lésion osseuse, atteignant d'habitude les corps vertébra
, le signe de Babinski et la rétention des réservoirs indiquent une lésion médullaire. Il en est de même pour l'anesthésie
re, la plupart de ces symptômes pouvant, d'ailleurs, être dus à une lésion médullaire. Nous ne citerons que pour mémoire l
ficultés presque insurmontables ; en raison de la variabi- lité des lésions , suivant les progrès de la maladie, il faudrait d
lus, la compression étant, d'ordinaire, radiculo-médullaire, et les lésions des plus difficiles à délimiter avec une précis
éré profon- dément. Le ligament vertébral antérieur au niveau de la lésion osseuse, était comme dilacéré et la matière cas
spasmodique, bilatérale, complète (ce qui éliminerait l'idée d'une lésion destructive de la moelle) avec anesthésie absolue
une observation de M. Sire- dey (2), bien que la localisation de la lésion osseuse soit, ici, particulièrement difficile,
d fait les réflexions suivantes : chez l'adulte, il faut une grosse lésion pour produire la gibbosité, qui est plus rare que
chis. A plus forte rai- son le diagnostic est-il malaisé lorsque la lésion siège en une région pres- que immobile à l'état
roubles objectifs de la sensibilité permettant de diagnostiquer une lésion intra-rachidienne siégeant au-dessus du rentle-
. La rétention des urines permettait, tout au moins de localiser la lésion au-dessus du centre vésical. Le fait de Bresci
racines sacrées et lombaires inférieures, ou porte le diagnostic de lésion de la queue de cheval ou du cône terminal. L'exag
qui revient à la moelle et aux racines, comme, d'ailleurs, pour les lésions du cône terminal et de la queue de cheval, en g
quée à gauche, un raccour- cissement notable du cou, sans signes de lésion en activité ; aux membres su- périeurs, de l'at
ant, ayant persisté après l'ablation de végétations adénoïdes. Pas de lésions laryngées. Disparition en 24 heures après l'app
des VIII0 ra- cine cervicale et Ire dorsale droite avec absence de lésions dégénératives dans la moelle. Nous avons réce
de Pott, son siège est loin de correspondre toujours à celui de la lésion osseuse, ainsi qu'il ressort nettement d'un certa
te n'équivalant pas à la section complète; au-dessus et au-dessous, lésions dégénératives. II. Eléments du diagnostic pos
uns permettent d'affirmer la tuberculose, les autres indiquent une lésion vertébrale : t a) Les signes de tuberculose s
ans les 4 autres cas, la tuberculose vertébrale était bien la seule lésion tuberculeuse constatée à l'autopsie. Mais il
irradiées sont un signe de compression radiculaire, non un signe de lésion osseuse. Il n'en est pas de même de la douleur ré
it, dans un cas où il s'agissait d'une syringomyélie anormale, sans lésion rachidienne, à l'autopsie. Nous avons suivi, pe
os semblerait, a priori, devoir fournir des renseignements sur les lésions destructives de ceux-ci, mais des divers travaux
mmobilisation : du sujet par le décubitus, ou, tout au moins, de la lésion , à l'aide d'un appareil bien fait, jusqu'à guér
une respiration uniquement abdominale, le malade ne souffre pas. La lésion pulmonaire a progressé sensiblement; à l'heure ac
gants qu'autrefois. Peut-être en certaines régions y a-t-il quelque lésion ligamentaire ou articulaire; il n'est en effet a
ec le temps un trouble d'abord pure- ment musculaire s'adjoigne des lésions d'autres tissus. La suppression d'une fonctionn
ose dans ce cas. Pour certains cliniciens (1), la coexistence d'une lésion semblable à celle-ci et d'une bacillose pulmona
ent localisée aux ligaments, aux bourrelets et aux ménisques. Or la lésion ankylosante primordiale et capitale au niveau de
l'ossification du bourrelet cotyloïdien. Il y avait assurément des lésions au niveau des surfaces cartilagineuses, mais qu
e limitée par un bourrelet osseux » (Poirier). Partout ailleurs les lésions consistent surtout dans l'ossification des liga-
st presque à angle droit avec l'inférieure. La presque totalité des lésions portent au même niveau,entre la 6"et la 12e ver-
affections traumatiques de la colonne zertébale,dans lesquelles des lésions de ligaments se séparent par des ossifications
à la base un dédoublement du second bruit, qui n'est pas lié à une lésion aortique. Pas de souffles, Le pouls, qui bat 62
ne ? Dans l'affirmative, il faut de toute nécessité admettre que la lésion du corps thyroïde chez notre malade est différent
iculière de chacune des con- ditions anatomiques qui, en dehors des lésions tyroïdiennes, peuvent produire l'infantilisme,
variables, mais qui a pres- que toujours comme cause prochaine une lésion du corps thyroïde. La dégénérescence héréditair
l'embarras, car l'ablation opératoire de la glande entraîne trop de lésions graves, pour que l'on puisse étudier les consé-
La question des oedèmes aigus et chroniques qui ne dépendent pas de lésions cardiaques ou rénales s'enrichit chaque jour de q
ieures de l'hémisphère cérébral ; le plus souvent il s'agissait des lésions caractéristiques de l'aphasie sensorielle. Dans u
s un seul cas, nous avons eu la bonne fortune de ne trouver que des lésions corticales sur une étendue considérable, sans p
pital, et en particulier la sphère visuelle , au lobe temporal. Les lésions limitées du lobe occipital entraînent une dégé-
nferment donc des fibres allant dans les deux sens. , A la suite de lésions de la région calcarine et du lobe occipital on ob
es et moyennes du corps quadrijumeau antérieur. Lorsqu'il s'agit de lésions intéressaut la substance profonde située en dehor
a couche sa- gittale externe que la couche sagittale interne. Les lésions du corps genouillé externe entraînent la dégénére
e corps genouillé externe. Plus récemment, à l'occasion d'un cas de lésion de la couche optique (h), Probst fait subir à s
nouillé externe (dans ce cas, ces parties ne sont pas atteintes par lésion ), et d'autres qui tirent leur origine de l'écor
l n'envoie aucune fibre à la capsule ex- terne. ' Dans des cas de lésions de la couche optique et sur d-3s coupes traitées
us récent Probst (1) étudie les dégénérescence consé- cutives à une lésion étendue qui atteint la couche optique mais aussi
singe une dégénérescence du faisceau longitudinal à la suite d'une lésion occipitale située à l'angle inféro-interne de la
babili- tés. Ce n'est guère que la dégénérescence consécutive à une lésion limitée qui puisse nous permettre de faire des
130 BRISSAUD ET MOUTIER se produisent des accidents fébriles et les lésions semblent s'étendre. Il s'a- git là sans doute d
croire au rachitisme tardif. On a longuement rapporté des cas avec lésions généralisées en tous points comparables au rach
éveloppement d'un organe (os, nerf, muscle, etc.) sans aucune autre lésion histologi- que que la diminution du nombre des
e, ni d'atrophie dégénéra- tive. Le nombre seul est en défaut. La lésion est purement quantitative, non qualitative. A
e nerveux, etc., mais que cette diminu- tion de nombre est la seule lésion existante, les éléments anatomiques qui subsist
econnaître, à un degré ou à un autre, et d'autant plus nette que la lésion causale a été plus précoce. Partout où elle se
'atrophie numérique et dont l'origine doit être recherchée dans des lésions produites pendant la vie intra-utérine. (1) Kli
rine. (1) Klippel, Arrêt de développement des membres à la suite de lésions dans l'enfance. Atrophie numérique, Rev. de méd
juillet 1897. DANIEL, Des arrêts de développement consécutifs aux lésions locales datant de l'en- fance. Atrophie numériq
éformations qui sont les conséquences plus ou moins tardives de ces lésions (callosités, douleurs, impotences) ; 3° Un ense
de rapporter l'insuffisance de l'amplitude des mouvements à telles lésions . La brièveté seule y suffit. Tous les mouvement
NUMÉRIQUE DES TISSUS 139 Sans doute, aux extrémités des membres la lésion est tout à fait nette. Mais en recherchant atte
plus, le 2e orteil gauche présente un aspect écailleux qui est une lésion secondaire. Les plus intéressants sont le 4e et
nitaux, ainsi que la famille de la malade l'affirme absolument. Ces lésions des pieds sont symétriques, Jambes : des deux c
aient ordonné de faire. D. Troubles viscéraux. Il n'existe aucune lésion organique gastrique, ou pulmonaire. La toux, la
la langue. En tous ces cas il est bien peu probable qu'il y ait des lésions d'atrophie simple ou de dégénérescences, pour l
ONNE L'auscultation de cette malade montre la présence d'une double lésion car- diaque mitrale, insuffisance et rétrécisse
me mitral publiés ces dernières années ; comme chez ces malades, la lésion cardiaque paraît bien être congénitale et ne s'
ie de cette hypotrophie nous croyons qu'il faut faire intervenir la lésion cardiaque, mais surtout l'infection, origine de
rvenir la lésion cardiaque, mais surtout l'infection, origine de la lésion cardiaque. On sait depuis les travaux de Potain,
puis les travaux de Potain, de P. Teissier, de Tripier que diverses lésions cardiaques, le rétrécissement mitral pur tout p
llaire pulmonaire. Il n'est pas témé- raire de croire que sa double lésion mitrale reconnaît pour cause une en- docardite
naissance et que c'est à l'action combinée de la bacillose et delà lésion cardiaque qu'est dû son dévelop- pementmoindre,
phie qu'elle présente. Il n'est d'ailleurs pas indispensable que la lésion tuberculeuse ait évolué pendant la vie intra-ut
quel point s'est localisée la lé- sion pyramidale; s'agit-il d'une lésion cérébrale, ou au contraire d'une lésion de la v
pyramidale; s'agit-il d'une lésion cérébrale, ou au contraire d'une lésion de la voie motrice médullaire ? on conçoit que ce
chez cette malade une endocardite bacillaire foetale dont la double lésion mitrale actuelle est le reliquat,tout nous auto
pparition tardive. Il est donc très vraisemblable d'admettre que la lésion pyramidale reconnaît la même cause que la malfo
n tuberculeuse foetale. Nées pendant la vie intra-utérine, les deux lésions , cardiaque et pyramidale sont restées longtemps
s loin. Je peux dire dès maintenant que M. Marinesco y a trouvé des lésions pathologiques indiscutables (2). Cas. I. Le m
res, voici maintenant la note de M. le professeur Marinesco sur les lésions du nerf que j'ai enlevé sur le malade J. T. « S
n'ayant pas été faites, nous ne pouvons pas nous prononcer sur les lésions du cylindre-axe, ce qui constitue une vraie lac
e, ce qui constitue une vraie lacune. Quelle est la valeur de ces lésions , sont-elles artificielles ou sont-elles pro- du
ixé immé- diatement (1), il n'a pas pu par conséquent présenter des lésions cadavériques et comme d'un autre côté des sembl
unes fines, d'autres plus grandes se voient dans les nerfs avec des lésions pathologiques, nous con- cluons que les lésions
les nerfs avec des lésions pathologiques, nous con- cluons que les lésions que nous avons trouvées sont pathologiques.' En
e et qu'un bout du nerf cutané enlevé chez l'un d'eux, présente des lésions pathologiques. D'après nos schémas on voit enco
s une disposition radiculaire; nous ne pouvons pas affirmer que les lésions du nerf sont primitives ou dégénératives. Devan
nos cas. Certainement ces troubles de sensibilité objective et ces lésions pathologiques des nerfs ajoutés à d'autres signes
tions ? Certainement les troubles de sensibilité ob- jective et les lésions des nerfs ne font pas partie des myopathies primi
gauche ne présentait qu'un seul kyste et pesait 70 grammes. (Les lésions rénales ne me paraissent avoir aucun rapport avec
u plutôt fibro-sarcomateuses, analogues à de faux névromes ; 2° des lésions dé- génératives des faisceaux nerveux ; 3 une s
le cours de la maladie chez les deux animaux. Anatomiquement, ces lésions sont à rapprocher de celles observées par MM. J
iel. C'est souvent une réaction à un prurit intense en général sans lésion de la peau ou au moins sans lésion grossière ; ce
n prurit intense en général sans lésion de la peau ou au moins sans lésion grossière ; cepen- dant il n'existe en même tem
depuis il se gratte dans des régions multiples du corps exemptes de lésions et il s'est labouré de plaies profondes. Ces
ertain, c'est que les deux malades qui n'ont pas eu d'anthrax ou de lésions de la peau ont eu un prurit quelconque puis- qu
hi et non pas spontané. J'ai relevé la possibilité d'un prurit sans lésions constatables chez le paralytique général dont j
ceci, comme nous allons le voir, est question de localisation de la lésion dans la racine. Pour qu'il y ait phénomènes ocu
les subissent une élongation plus ou moins forte d'où résultent des lésions plus ou moins profondes mais suffisantes pour com
açon, atteindre les racines et que celles-ci ne peuvent souffrir de lésions dans l'espèce que par l'effet de la traction. Ajo
s du plexus brachial. Ainsi, dans notre cas, il est certain que les lésions étaient très généralisées, quoique prédominante
ostérieurs de la première circonvolution temporale ; à ce niveau la lésion respecte la corticalité mais atteint la substance
épare presque totalement du lobe pariéto- frontal. Plus en avant la lésion diminue rapidement de volume et se cantonne à l
et. Il existe un degré considérable de dilatation ventriculaire. La lésion détruit la totalité de l'insula et de la premiè
faisceau est en grande partie respecté sur cette coupe, malgré les lésions étendues de la partie antérieure du lobe temporal
inférieur); en effet ses fibres sont sectionnées directement par la lésion au niveau de la partie moyenne de la paroi vent
utions temporales, les lobules fusiforme et lingual, on voit que la lésion atteint l'épendyme presque partout et qu'il ne
'une simple coque, méconnaissable au superlatif. Il n'existe pas de lésion du lobule fusiforme à ce niveau et la décolorat
lamiques nettement dégénérées. Cff l. Corps genollillé externe avec lésion de son angle supéro-emerne. . `r ? ao., 1 ? A ?
e, du bord inférieur du gyrus supramarginalis, du lobule fusiforme ( lésion corticale de sa partie occipitale) et de la par
nnante et de la partie supérieure du noyau lenticulaire. Toutes ces lésions occupent l'hémisphère droit (Schéma n° II, Planch
et la deuxième temporale ; le lobule fusiforme contient de petites lésions corticales et sous- corticales. Le faisceau opt
cepté au niveau du pli courbe où il est directe- ment touché par la lésion ; il est aussi dégénéré le long de la paroi ventr
e forceps du corps calleux. Cette traînée dégéné- rée résulte d'une lésion restreinte du cuneus, située un peu en avant de l
e on constate une décoloration considérable ; elle ne dépend pas de lésions sur place, mais du foyer profond au niveau du p
ons sur place, mais du foyer profond au niveau du pli courbe et des lésions corticales du lobule fusiforme. Cette dégénéresce
avant (Planche XXVIII, 2) au niveau du carrefour ventriculaire, la lésion de la face externe est plus considérable et attei
upérieure ; il est dégénéré sur une courte étendue au-dessous de la lésion . Cela tient à ce que ces fibres sont lésées dir
es allant dans les deux sens et il a été directement sectionné par la lésion sur place. La coupe la plus antérieure (Planc
externe est atteint ; c'est à ce niveau que siège le maximum de la lésion de ce noyau. Bien que très limité, ce foyer a e
térieurs, cette dégénérescence se confond avec celle qui dépend des lésions occipitales. Dans un autre de nos cas (cas Giro
cas (cas Giro..., planche XXXII ; 1) il existe également une petite lésion de la couche optique avec participation de la p
générescence siégeant dans le lobe pariétal est en rapport avec les lésions du noyau caudé et de la couronne rayonnante que n
isphère gauche est le siège d'un vaste ramollissement, mais que les lésions ne sont pas toutes de même date. Le ramollissem
la partie adjacente du lobule fusiforme qui soient respectées. Des lésions récentes occupent la partie postérieure de la deu
eprésente une coupe frontale prise au niveau du pôle occipital, les lésions sont anciennes et ont détruit la totalité de l'éc
if, il occupe la profondeur et n'est pas directement atteint par la lésion dans son seg- ment externe, c'est le faisceau o
ar le ramollissement. Plus en avant (Planche XXXII, fig. 17), les lésions sont moins destructives, mais partout l'écorce
uivante (Planche XXIX, 4) intéresse le carrefour ventriculaire. Une lésion récente détruit la substance profonde du gyrus su
, on croirait plus vo- lontiers que cette dégénérescence dépend des lésions postérieures. Or, ce n'est certainement pas la
e dépend des lésions postérieures. Or, ce n'est certainement pas la lésion profonde du lobule fusiforme (que nous avons men-
lérose très accusée. Cette dégénérescence pourrait-elle résulter de lésion ancienne du pôle oc- cipital ? Une pareille exp
pe que nous étudions actuellement. b) Dans d'autres de nos cas avec lésions occipita- les profondes, l'on ne retrouve pas c
agittale externe au niveau du carrefour ventriculaire. c) Enfin les lésions que l'on constate sur la coupe qui suit ne donn
n effet, que cette dégénérescence correspond mathématiquement à une lésion du noyau lenticulaire, que cette lésion a secti
pond mathématiquement à une lésion du noyau lenticulaire, que cette lésion a sectionné les fibres provenant du corps genou
it pure- ment d'une coïncidence ; la dégénérescence provenant de la lésion lenticulaire occupe le segment horizontal de la
ofonde de la circonvolution frontale ascendante, il n'existe aucune lésion corticale ou sous-corticale à ce niveau. Une stri
mière circonvolution temporale. Dans le lobe occipital (Fig. 2), la lésion détruit le pli courbe et la deuxième circonvolu
triculaire (Planche XXRIII,49),on aborde le niveau du maximum de la lésion . Cette coupe intéresse l'isthme de la première
ue les circonvolutions inférieures de la convexité participent à la lésion , nous verrons qu'en avant il n'y a guère que la p
rs de la couche sagittale externe et au-dessus et au- dessous de la lésion , la section des fibres du faisceau de Wernicke a
emière circonvolution tem- porale s'est en grande partie isolée. La lésion est beaucoup plus restreinte, elle atteint la p
par le ramollissement. Nous avons vu qu'au niveau du pli courbe, la lésion s'étend dans la profondeur jusqu'à l'épendyme,
place à la bandelette optique, il n'existe plus trace de la grosse lésion postérieure. De Cas : Roll... - Aphasie. Epilep
... nous semble le plus important, le plus instructif. Il s'agit de lésions strictement localisées et,dans l'étude des dégéné
des, nous n'avons à considérer que les altérations qui relèvent des lésions purement corticales du lobule -fusiforme et de la
dégénérée. On remarque l'extrême pâleur de la substance profonde ; la lésion a entraîné la dégénérescence du faisceau de Wer
externes. Au niveau du carrefour ventriculaire (Planche XXX, 8) la lésion détruit la totalité du lobule fusiforme et la m
du cingulum inférieur de Beevor. Comme sur la coupe précédente, la lésion a retenti sur le faisceau de Wer- nicke ; il ex
- les, le lobule fusiforme et la circonvolution de l'hippocampe. La lésion occupe encore le lobule fusiforme et la troisiè
lement atrophiée et décolorée. Sur les coupes prises en avant de la lésion , on note une pâleur considérable des deuxième e
assant à trois cen- timètres en arrière du splénium, on Voit que la lésion pénètre jusqu'à l'épen- dyme ventriculaire. Il
stance profonde de la deuxième circonvolution temporale. Malgré les lésions destructives des régions postérieures, on voit qu
mpte et de l'infiltration du corps genouillé externe causée par une lésion thalamique voisine et du passage des fibres qui
e du terri- toire exact de chacun de ces deux ordres de fibres. Les lésions des première et deuxième circonvolutions tempor
rovenant des circonvolutions du bord inférieur du lobe temporal. La lésion respecte la deuxième circonvolution temporale, ma
adrijumeau antérieur et des corps genouillés externe et interne. La lésion a abandonné la substance pro- fonde, mais détru
un foyer de désintégration lacunaire de la couche opti- que. Cette lésion du corps genouillé a déterminé la pâleur du segme
orti- cifuges. La couche sagittale interne dégénère à la suite de lésions du lobe occipital et 198 LASALLE-ARCHAMBAULT
rconvolutions latérales,médianes ou inférieures), qu'il s'agisse de lésions purement corticales ou de foyers profonds avec pa
non exclusivement, de la sphère visuelle corticale. A la suite de lésions occipitales, nous n'avons jamais observé de dégén
par contre nous avons constaté cette dégénérescence dans les cas de lésion temporale ; mais, nous devons le dire, les ramo
ence est nette, mais non con- sidérable. Dans trois de nos cas,, la lésion atteint la moitié postérieure de la première ci
ôté du pied du pédoncule; il en est de même de deux autres cas avec lésion du tiers postérieur de la troisième circonvolut
;le la convexité (pli courbe, gyrus supramarginalis). A la suite de lésions occipitales et de la partie postérieure des lobes
ticipe encore ici à la dégénérescence. Quel que soit le siège de la lésion qui ait retenti sur le tapetum, les fibres dégé
contingent purement commissural, du corps calleux. Donc, toutes les lésions du lobe temporo-occipital retentissent sur le tap
sur le tapetum, mais nous n'avons jamais observé, à la suite de ces lésions , la dégénérescence de la couche saggittale inte
le). . Nous avons dit que ce faisceau ne dégénère pas à la suite de lésions tem- poro-occipitales, mais il importe défaire
ticipètes. Nous n'avons jamais vu ce faisceau dégénérer à la suite de lésions du lobe frontal ou des circonvolutions du bord
la couche sagittale interne fronto-pariétale dégénère à la suite de lésions du noyau caudé qui intéressent la capsule interne
des planches ; on voit sur la première coupe toute l'étendue de la lésion dans le sens transversal (environ un centimètre
moitié postérieure de la face externe de l'hémisphère... en avant la lésion se cantonne à la première circonvolution tempor
de la partie antérieure du lobe temporal. En dépit de cette énorme lésion , on constate, à un point intermédiaire, au niveau
générescence du faisceau longitudinal inférieur, soit à la suite de lésions occipitales (Gg. 6, lésion du lobule lingual et
gitudinal inférieur, soit à la suite de lésions occipitales (Gg. 6, lésion du lobule lingual et du lobule fusiforme, la co
du lobule fusiforme, la couche, sagittale externe est normale), ou de lésions de la partie antérieure du lobe temporal (à con
urs vu le faisceau longitudinal inférieur dégé- nérer à la suite de lésions antérieures (fig. 5, le segment supérieur de la c
sagittale externe occipitale est totalement dégénéré à la suite d'une lésion profonde du pied de la première temporale, du p
de la partie adja- cente de la deuxième circonvolution occipitale), lésions profondes avec partici- pation des couches sagi
XXXII,13, 14 et PI. XXX) ; nous l'avons vu dégénérer à la suite de lésions du noyau lenticulaire, du corps genouillé ex- t
la convexité occipitale, mais il a été trouvé intact dans certaines lésions occipitales. Pour nous, ce Fio. 6. - Coupe fron
t dans le lobule fusiforme et dans le lobule lingual. A la suite de lésions étendues, mais limitées à la corticalité, du lo
FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 211 lésion de la circonvolution de l'hippocampe avec dégénér
segment horizontal, soit avec son segment inférieur. En effet, les lésions limi- tées à la face latérale retentissent sur
térieure des. deuxième et troisième circonvolutions temporales ; la lésion s'étend dans la profondeur et sectionne les cou
. de la face interne de l'hémisphère. ' La figure 7 a trait à une lésion de la troisième circonvolution frontale et de la
s avons observé des faits analogues dans un bon nombre de cas ; des lésions de la troisième circonvolution temporale et du lo
vient que du corps genouillé externe et nous ne croyons pas que les lésions de la couche optique retentissent sur le lobe.
sent sur le lobe. occipital ; exception faite, bien entendu, de ces lésions situées dans la partie postérieure et inférieur
mabilité de mettre à notre disposition des coupes sériées de cas de lésions de la couche optique ; il s'agissait de foyers pl
nombre de fibres d'association. 3) Quelle que soit l'étendue d'une lésion du lobe occipital, tout rentre dans l'ordre au
MASSUES DE CROISSANCE, A L'ÉTAT PATHOLOGIQUE ET 'A L'ÉTAT NORMAL ; LÉSIONS TABÉTIQUES DES RACINES MÉDULLAIRES, PAR J.
NAGEOTTE Avant d'entrer dans la description détaillée des nouvelles lésions et des régénérations, et avant d'entreprendre l
gion en cause et à préciser les concordances qui existent entre les lésions déjà connues et celles que je me propose de décri
ai publié dans ma note du 20 mai 1905 à la Société de Biologie. Les lésions médullaires sont celles du tabes avancé classiq
s fibres à myéline intactes. Les racines antérieures présentent les lésions que j'ai dé- crites à plusieurs reprises ; leur
pourvus de gaines de myéline. Les nerfs radiculaires présentent les lésions de sclérose conjonctive ancienne que j'ai décri
mort dans le service de M. Séglas à Bicêtre. La moelle présente des lésions tabétiques peu avancées (Pl. XXXIV, fig. 2) ; l
VEUSES 219 une tendance à produire dans les cordons postérieurs une lésion radiculaire discrète mais diffuse, plutôt qu'un
apparaît comme une sclérose riche en éléments cellulaires, avec des lésions vasculaires im- portantes. Les fascicules de la
xiste pas de faisceaux de régénération, ce qui indique l'absence de lésion destructive des éléments nobles dans cette raci
on diffuse qui est habituel dans le tabes, ne présente pas d'autres lésions nerveuses, visibles par la méthode de Pal, au n
veau de la Ire sacrée,qu'une sclérose des faisceaux pyramidaux et une lésion à peine perceptible d'une zone très étroite d'u
njonctives dont le tissu est riche en noyaux arrondis ; il existe des lésions inflammatoires des vaisseaux ; en un mot l'état
limités, donc il n'existe que peu d'endonévrite interstitielle et la lésion con- siste presqu'exclusivement en une périnévr
siste presqu'exclusivement en une périnévrite ; 2° il n'existe aucune lésion des éléments nobles de la racine postérieure qu
bres néoformées ; ce cas est remarquable en ce qu'il montre que des lésions des ra- cines peuvent être décelées par la prés
antérieurs et postérieurs (Gonflements, état moniliforme). Cette lésion est banale dans sa forme; nous savons en effet de
tique, représente sa distribution. Dans la racine postérieure cette lésion se rencontre dans toute l'étendue visible sur m
oelle de ce cas, conservée entière pour une étude topographique des lésions par la méthode de Weigert-Pal, n'a pas été trai
traitée par la méthode de Cajal ; aussi ne puis-je savoir si cette lésion remontait jusqu'à l'extrémité supérieure du neuro
ien, où les cylindraxes radiculaires conser- vés présentent la même lésion , on peut la suivre jusque dans les cordons post
s est loin d'être égale dans tous les cas, et qu'il faut ranger les lésions des fibres radiculaires antérieures parmi les l
ut ranger les lésions des fibres radiculaires antérieures parmi les lésions éventuelles du tabes ; en effet,dans un nombre co
en effet,dans un nombre considérable de cas de tabes on trouve des lésions de ces libres, qui s'accusent par la pré- sence
une façon absolue, si l'on s'en tenait aux méthodes anciennes. La lésion que je viens de décrire est-elle le premier indic
gnifian- tes de gonflement. Pour compléter ce qui a trait à cette lésion , j'indiquerai qu'elle se re- trouve, très accen
asse des tabes amyotrophiques.De plus, l'extension en hauteur de la lésion radiculaire motrice, extension qui se rencontre
nciens, a altéré la topographie initiale, si caractéristique, de la lésion . Je dois ajouter enfin que l'objection d'une lé
stique, de la lésion. Je dois ajouter enfin que l'objection d'une lésion artificielle se trouve écartée par plusieurs co
ificielle se trouve écartée par plusieurs considérations : 1° cette lésion ne se retrouve pas sur les pièces de comparaiso
e cas où elles sont le plus abondantes est précisément celui où les lésions radiculaires sont le moins marquées (obs. IV) ;
es ; c'est du moins ainsi que l'on peut con- cevoir l'évolution des lésions , et expliquer l'abondante ramification des fibr
n faveur de la simultanéité de la régénération collatérale et de la lésion qui la pro- voque ; en effet dans ce cas, conce
fet dans ce cas, concernant un paralytique général, en regard d'une lésion des racines postérieures' qui est encore presque
provenant du service de M. Çhaslin à Bicêtre, dans lequel, avec une lésion sensiblement nulle des fibres radiculaires posté-
eurs prolongements les plus longs. On peut supposer que c'est à ces lésions infimes que répondent les fibres terminées en m
es par la méthode de Marchi, peuvent ne pas toujours répondre à des lésions cylindraxiles suffisantes pour provoquer l'appa
ue, au moins dans les cas observés. IV. Il existe dans le tabes une lésion des fibres radiculaires, décela- ble par la mét
- ble par la méthode de Cajal, qui précède leur destruction ; cette lésion , qui consiste dans un gonflement moniliforme de
sché- matique). Fig. 2. Même cas, même ganglion ; répartition des lésions cylindraxiles dans les racines antérieure et po
dant. ' Fig. 4. Racine antérieure au point 2 du schéma ; absence de lésions . Fig. 5. Etat moniliforme des cylindraxes dans
tre la variété et l'incertitude des rapports qui existent entre les lésions et les symptômes. L'obscurité des corrélations
ci une observation où la constatation nécroptique de deux ordres de lésions successives, mais différentes, éclaire l'évolutio
e passant à 3 centimètres du pôle frontal, demontre l'existence des lésions suivantes : Fm. 1. FiG. 2. FIG. 3. 1° Un
des éléments mal colorés, représen- tent un degré plus avancé de la lésion précédente. Ce sont de véritables fan- tômes ce
la teinte métachromatique. L'interprétation de tout cet ensemble de lésions histologiques aboutit aux conclusions suivantes
ns défensives dans les tissus intéressés. En résumé, deux ordres de lésions , intéressants à opposer l'un à l'au- tre, coexi
ion clinique des acci- dents, de la double évolution anatomique des lésions . Aux lésions centra- les et lentes des régions
des acci- dents, de la double évolution anatomique des lésions. Aux lésions centra- les et lentes des régions tolérantes co
nd le syndrome insidieux et fruste des abcès cérébraux latents. Aux lésions corticales, rapides et mas- sives, aiguës, corr
uberculeuse. Il est intéressant de constater ici l'absence de toute lésion tuberculeuse spécifique dans les méninges et le
ale. Il est encore plus intéressant de constater l'absence de toute lésion méningée, et l'intégrité histologique de toutes
que certaines encéphalopathies peuvent revêtir,en l'absence de toute lésion méningée, une expression clinique que l'on qual
rébraux, c'est le caractère clinique presque latent de cette double lésion centrale, si volumineuse que, comme le dé- mont
cerveau; la PI. XL en indique la répartition. La relation entre ces lésions et une partie des symptômes corpo- rels présent
tion ventriculaire n'ayant été obstruée par aucune des tumeurs, les lésions des tissus en tant que démontrables par nos pro
mes de l'altération sénile physiologique. Nous ne parlons pas des lésions de sclérose artérielle ou de celles qui frappen
r des troubles de la motilité. De plus, dans l'interprétation des lésions observées chez le vieillard normal, doit-on pre
des muscles du vieillard dont la cause reste ignorée mais dont les lésions aujourd'hui définies sont, comme dans les paraplé
leurs caractères cliniques très spéciaux, de leur évolution et des lésions anatomiques qui les caractérisent, elles nous sem
TE des mouvements passifs. Dans ces circonstances, ajoute-t-il, les lésions musculaires ne sont pas douteuses et c'est vrai
a pas été faite, mais nul doute qu'on aurait trouvé dans ce cas des lésions musculaires, car nous croyons qu'il est im- pos
, car nous croyons qu'il est im- possible d'expliquer par la minime lésion médullaire les troubles qu'a présentés cette ma
l'attention attirée sur ce fait que la moelle ne présentait pas les lésions habituelles des paraplé- gies séniles et se dem
it pas là d'un syndrome spécial par sa physionnomie clinique et ses lésions . Depuis, nous avons continué ces recherches dan
, médullaire, névritique, myopathique.S'ait-il d'une paraplégie par lésion encéphalique ? alors, ou bien la malade aura pr
mble symp- tomatique suffisant pour faire rejeter l'hypothèse d'une lésion autre que celle du cerveau. Plus difficile es
lie, la capsule articulaire était épaisse mais il n'existait aucune lésion qui put faire penser au rhumatisme articulaire ch
grosses artères des membres inférieurs qui sont presque indemnes de lésions . Le cerveau et la moelle offrent microscopiquem
ard. Sur les coupes des noyaux gris et de la capsule interne aucune lésion ne mérite d'être signalée. Il en est de même de
chargées seulement de granula- tions pigmentaires. En somme, ces lésions sont celles qui accompagnent la sénilité dite phy
ent le maximum d'altérations. Après avoir décrit la topographie des lésions , nous envisagerons successivement celles du tis
stogénèse. Nous devons maintenant qu'est achevée la description des lésions mus- culaires de cette paraplégie, essayer d'en
e maladie bien à part et nous efforcer de montrer comment évolue la lésion avant d'aboutir à l'atrophie et à la sclérose acc
dire. Certains musclée profondément altérés ne pré- sentent aucune lésion en rapport avec une dégénérescence et cependant l
étractions marquées aboutis- sant au confinement absolu au lit; les lésions , exclusivement limitées à l'appareil musculaire
rs ont confondu la paraplégie par rétraction. La constatation d'une lésion qui, pour être étendue, ne s'en localise pas mo
, A l'autopsie, l'examen de la moelle a vérifié l'absence de toute lésion du tabes. Nous nous contentons actuellement d'i
de couleur rosée ; bientôt l'apparence que donnait cet ensemble de lésions était celle d'une pélerine jetée sur l'épaule d
feuillet moyen de l'embryon. A ce titre nous devons rapprocher les lésions rencontrées chez notre malade de cette dystrophie
tandis que le cerveau gauche est au contraire plus prédis- posé aux lésions organiques et profondes, son activité fonctionnel
des ganglions spi- naux, des nerfs cutanés et des sympathiques, les lésions profondes des racines postérieures, telles que
on doit admettre en effet, avec notre maître Dejerine (2), que les lésions des nerfs cutanés sont proportionnelles en généra
ter dans les nerfs cutanés et dans les cellules ganglionnaires, des lésions analogues à celles que l'on voit chez les tabétiq
lulesganglionnaires restaient indemnes, il faudrait admettre que la lésion décrite par Nageotte au niveau du nerf radiculair
d'abord, chez les animaux sacrifiés au ajour après l'opération, des lésions importantes des nerfs périphériques, localisées e
nt de quelques mois la survie de nos animaux, nous avons vu que les lésions , si manifestes au 250e jour, disparaissaient au
de la face postérieure de la jambe et de la cuisse présentaient des lésions analogues à celles de l'animal précédent. Les ner
ue l'accord est facile à établir entre elles. Rien ne distingue les lésions vues par nous au 250e jour de celles vues par K
gardés plus de 240 jours, présentaient au 287e et au 330e jour, des lésions de très peu d'im- portance « geringfüzig ». Dan
du sympathique. Soc. biologie, juillet 1900. (2) J.-Cn. Roux, Les lésions du grand sympathique dans le labes. Thèse Paris,
Au contraire, la section du nerf périphérique déterminait de graves lésions et même la disparition des cellules ganglionnaire
intactes dans 5 cas. Chez le sixième animal, il existait de légères lésions d'origine in- flammatoire. Dans tous les autres
t physiologique un certain nombre d'éléments anormaux. Le début des lésions véritables doit être fixé seulement au quatrième
la capsule endothéliale, ce qui élimine nécessairement l'idée d'une lésion artificielle. Enfin certains éléments ont tout
considère le ganglion comme de volume réduit dans son ensemble. Les lésions , par contre, lui paraissent toujours être restées
hat conservé 330 jours. Il n'y avait même pas un degré identique de lésion dans les différents ganglions du même animal. A
e lésion dans les différents ganglions du même animal. Au sujet des lésions des fibres nerveuses, Kuster est à peu près d'acc
es seulement un peu rétrécies. En concluant, Küster déclare que ces lésions ne peuvent s'expliquer autre- ment que par l'at
longtemps. Les méthodes de Nissl et de Cajal lui avaient montré des lésions cel- lulaires (diminution plus ou moins accusée
précoces avaient été faites seulement au 3 £ . L'importance de ces lésions est d'ailleurs minime et nous désirions surtout n
îne protoplasmique paraissait en différents points augmentée. Ces lésions , tardives dans leur apparition, puisqu'elles n'ex
cette impression. Il est donc relativement facile d'interpréter les lésions radiculaires tardives, mais il n'en est pas de
les lésions radiculaires tardives, mais il n'en est pas de même des lésions précoces de ces mêmes racines. Ces fibres que l
s se montrent plus nombreux au 950e jour qu'au 15e, et pourquoi ces lésions qui portaient exclusivement au début sur les fibr
ganglionnaires, nous n'avons retrouvé chez aucun de nos animaux les lésions décrites chez les tabétiques par de nombreux aute
éliales proliférées. Oppenheim et Siemerling, Redlich, ont noté des lésions de même ordre. Thomas et Hauser (5), par la m
enfin, Marinesco (6) considère qu'il n'y a pas de cas de tabes sans lésion des cellules ganglionnaires spinales, lésion qui
s de cas de tabes sans lésion des cellules ganglionnaires spinales, lésion qui est habituel- (1) SenaFFSrs, Das Verhalten
egré de dégé- nérescence des racines postérieures. En face de ces lésions caractérisées, constatons seulement que nos exame
ires intactes ; ce fait, il est vrai, est en contradiction avec des lésions décrites par d'autres auteurs après la même sec
ue nous appor- tons démontrent, pour le moins, l'inconstance de ces lésions cellulaires expéri- mentales. - Du côté des n
s par Dejerine, Pierret, Pitres et Vaillard, Joffroy et Achard. Ces lésions portent pres- qu'exclusivement sur les terminai
ales, nous voyons que les ressemblances s'arrêtent à ce point que les lésions portent dans les deux cas à peu près exclusivem
aité Brouardel-Gilbert, t. IX. (4) Thomas et Hausser, Etude sur les lésions radiculaires et ganglionnaires du tabes. Nouv.
type wallérien ; la cellule ganglionnaire ; spinale y présente des lésions notables. Le processus consécutif à la section
tabes (J.-Ch. Roux) (3). Il est en effet à peu près certain que les lésions du cordon cervical, par exemple, sont proportio
lésions du cordon cervical, par exemple, sont proportionnelles aux lésions des racines du renflement cer- vical (J.-Ch. Ro
es. Il faut ajouter cependant qu'au niveau des plexus viscéraux, la lésion des nerfs sympathiques prend, chez les tabétiqu
on expérimentale des racines postérieu- res pourrait reproduire des lésions analogues du côté des plexus viscéraux. (1) NAG
2) Marinesco, Semaine médicale, 18 avril 1906. (3) J.-CH. Roux, Les lésions du grand sympathique dans le tabès, thèse Paris,
celles du tabes, et que, par suite, dans cette dernière affection, lésions névritiques et ganglion- naires doivent être co
trouverait, selon Koster, dans la rapidité plus ou moins grande des lésions , celle-ci s'expliquant par la différence de la lé
s grande des lésions, celle-ci s'expliquant par la différence de la lésion radiculaire dans les deux cas. Nous croyons p
s deux processus des différences capitales, portant sur le mode des lésions histologiques et sur la nature même du processu
l'intégrité des racines postérieures. Dans un cas, il s'agit d'une lésion brutale, instantanée, ca- ractérisée par une in
ns momentanément la manière de voir de Nageotte, il s'agirait d'une lésion d'endonévrite, c'est-à-dire d'une lésion irritati
geotte, il s'agirait d'une lésion d'endonévrite, c'est-à-dire d'une lésion irritative, permanente, à longue évolution. La
' les conclusions du travail récent de Paviot (2), à savoir que les lésions ménin- gées sont selon toutes probabilités les
voir que les lésions ménin- gées sont selon toutes probabilités les lésions primitives du tabes. Peu importe en l'espèce qu
és les lésions primitives du tabes. Peu importe en l'espèce que ces lésions méningées se localisent au niveau du nerf radicul
entre les deux processus, tendent à faire admettre qu'à côté de la lésion radiculaire d'origineméningée, une cer- taine p
fluence toxique rend compte (1) Koster, loc. cit. (2) Paviot, Des lésions méningées du labes dorsal. Lyon médical, 10 décem
HAusFa, Nouv. Iconog. Salpêtrière, 1902. (5) Marie et GUILLAIN, Les lésions du système lymphatique postérieur de la moelle
du tabes. On ne saurait, en effet, assimiler les conséquences d'une lésion brutale et instantanée comme la sec- tion de la
racines postérieures dans le tabes. Il existe d'ailleurs, entre les lésions expérimentales et les lésions tabétiques, des d
abes. Il existe d'ailleurs, entre les lésions expérimentales et les lésions tabétiques, des différences importantes et nomb
st ainsi que chez les animaux opérés par nous, il n'existait pas de lésions ganglionnaires semblables à celles décrites dan
et l'état d'atrophie segmentaire des racines tabétiques. Seules les lésions du sympathique se ressemblent dans les deux ordre
expéri- mentation reproduirait, au niveau des plexus viscéraux, les lésions qui s'y voient chez les tabétiques et avec les
gré de la dégénérescence semble variable d'une fibre à l'autre. Les lésions sont celles de la dégénérescence wallérienne, c
aires ascendantes et descendantes, les vaisseaux présenteraient des lésions plus ou moins considérables ; somme toute on y
e des éléments cellulaires et des cylindraxes des libres nerveuses, lésions vas- culaires légères ou absentes, absence de d
pas trouvé dans leur cas d'altérations évidentes des vaisseaux. Ces lésions au contraire ont été rencontrées dans certains
cas à forme de sclérose latérale amyotrophique, et ayant trouvé des lésions assez prononcées des vaisseaux il leur attribue
xications, l'artériosclérose. La syphilis, pou- vant déterminer des lésions vasculaires spécifiques, entrerait ainsi en lig
nt son avis, que la syphilis cérébro-spinale présente sou- vent des lésions multiples, disséminées, sur la nature desquelles
rales de nature infectieuse auxquelles il y a lieu de rattacher les lésions vas- culaires comme le point de départ du proce
fait qu'il n'est pas rare de rencontrer au niveau de ces foyers des lésions vasculaires plus ou moins accentuées. En effet, l
ers des lésions vasculaires plus ou moins accentuées. En effet, les lésions vas- culaires sont dans la sclérose en plaques
n de la paroi et l'espace péri-vasculaire plus ou moins dilaté, des lésions vasculaires, on a trouvé les mêmes lésions dans
lus ou moins dilaté, des lésions vasculaires, on a trouvé les mêmes lésions dans les cas chroniques rose en plaques. On y a
oute que dans la sclérose en plaques vraie on rencontre souvent des lésions vasculaires plus ou moins accentuées ainsi nous
oyers un peu particuliers. En effet si dans le premier cas on a des lésions vasculaires plus ou moins accentuées et dans le
spécieux que la critique de Ladame au travail de Long. En effet si la lésion que Long a décrite présente réellement les cara
.Les parois ventriculaires et les plexus choroïdiens n'ont au- cune lésion . Les coupes faites à travers le cervelet montrent
as at- teints ; de même les systèmes des fibres arquées. Toutes les lésions sont symé- triques. ' Région bulbaire moyenne
tion ou de la démarche cérébelleuse pour voir, si à défaut d'autres lésions du cervelet ou de ses pé- doncules, cette local
doncules, cette localisation présente un intérêt particulier. Les lésions vasculaires et périvasculaires que nous avons déc
ine. Sclérose des zones ciliaires et periciliaires du cervelet avec lésions vasculaires, conservation de la plus grande par
ire avec un amaigrissement généralisé et que le malade présente des lésions tuberculeuses assez avan- cées. La force de l
et le cervelet avant et après le durcissement ne décè- lent aucune lésion appréciable. La moelle épinière offre à l'obser
la pre- mière racine cervicale sans trouver la moindre trace d'une lésion quelconque. A ce niveau on constate une très lé
d'urine et parfois des matières. Lymphocytose non douteuse. Aucune lésion grossière microscopique du système nerveux centra
cences secondaires et sans destruction des cellules ganglionnaires. Lésions vasculaires (épaississement et dégénéralion de
de la simple dysartrie. Or s'il y a des manifestations telles que la lésion des nerfs de la base, les symptômes méningés, l
ment démonstratif à ce sujet. Ajoutons que la nature spécifique des lésions anatomo-pathotogiques de ce cas était confirmée p
des lésions anatomo-pathotogiques de ce cas était confirmée par les lésions périvasculaires que nous avons décrit, soit dan
me nerveux, t. I, 1892. 19. CHARCOT et Gombault. Note sur un cas de lésions disséminées des centres nerveux chez une syphil
ital Saint- Roch, à Buenos-Aires. Il s'agissait d'un aphasique, par lésion diffuse de l'écorce cérébrale de nature syphili
s les centres de la phonation articulée et de l'écriture ; mais, la lésion était limitée et n'affectait pas les noyaux des
hauteur, il laisse intact le tiers supérieur de la protubérance. La lésion commence à 4 millimètres environ au-dessus de l
mergence des. fibres les plus inférieures de la cinquième paire, la lésion n'a plus que à 6 6 millimètres. A cet endroit d'a
t endroit d'ailleurs, le faisceau moteur cesse d'être intéressé, la lésion lui est immédiatement postérieure et s'arrête e
et tout à fait au dé- but. Il y a toujours eu raideur du côté de la lésion , et plus tardivement t (1) V. une observation r
06. 386 MARIE ET MOUTIER raideur généralisée. La photographie des lésions justifie ce syndrome : des- truction de certain
valeur diagnostique de telles températures obser- vées au cours de lésions des centres nerveux. Malheureusement,les recher-
maladies cérébrales (1), il est vrai, mais spécia- lement dans les lésions des noyaux gris centraux (2) ainsi que J. F. Guyo
uer l'urémie )et d'hyperthermie, il y a donc lieu de son- ger à une lésion mésocéphalique. (1) Ers, cité par LACASSAGNE, M
, Contribution à l'élude de l'hyperthermie centrale consécutive aux lésions de l'axe cérébro-spinal, en particulier du cervea
à parlé. Pas de craquements dans les articulations des doigts. La lésion ne s'accompagne d'aucune douleur au niveau des jo
la photographie de M : Léri des dépôts d'infiltration urique et des lésions naissantes d'arthrite tropho-névrotique avec di
E LA CLINIQUE DE M. PROFESSEUR GRASSET. UN CAS D'ACROMÉGALIE AVEC LÉSION DE L'HYPOPHYSE ET DE LA SELLE TURCIQUE. PAR ,
é de Montpellier. Bien que les relations entre l'acromégalie et les lésions du corps pitui- taire soient aujourd'hui bien c
résence de signes incontestables d'a- cromégalie, l'existence d'une lésion du corps pituitaire doit être soupçon- née en c
doit être recherchée à l'autopsie. Elle nous a permis d'étudier les lésions histologiques de l'adénome de la glande pituitair
décrite dans les cas d'acromégalie ; nous devons la description des lésions observées dans notre cas à la bienveillance de
é pratiquée 24 heures après le décès. Il est d'abord un ensemble de lésions qui sont sans intérêt pour le sujet qui nous oc
ales qui confirment le diagnostic de mal de Bright et d'urémie et des lésions pleuro-pulmonaires (vérification des constatati
es (vérification des constatations cliniques). Du côté du crâne les lésions sont plus intéressantes. On constate des adhére
icroscope ne présentent aucune alté- ration appréciable. La seule lésion complète dans ce cas est donc celle du corps pitu
nt fixés dans une flexion antérieure très accen- tuée, par suite de lésions analogues du rachis ; la respiration est gênée et
e de la Salpêtrière T. XIX. Pl. LVIII UN CAS D'ACROMÉGALIE AVEC LÉSION DE L'HYPOPHYSE ET DE LA SELLE TURCIQUE (GausseZ
a en effet que l'appareil optique n'était nullement intéressé. La lésion constatée était une hypertrophie du corps pituita
rans- formation adénomateuse de la glande, c'est-à-dire en somme la lésion la plus habituelle dans ces cas (Souques, Paron
pitui- taire. L'altération de la glande pituitaire a été la seule lésion constatée parmi celles que l'on a signalées che
s frontales saillantes ; commissure labiale déviée à gauche. Aucune lésion oculaire. Ouïe bonne. Corps thyroïde et tous le
vons eu l'occasion d'étudier soit expérimentalement, soit après les lésions anatomo-patholoiques. Section de la moelle chez
tout près de la région traumatisée présentent différents degrés de lésion dont le premier est représenté par la dégénéresce
interne gauche. - Sur les coupes longitudinales, on cons- tate des lésions d'atrophie simple très marquées. Il existe quelqu
reuse ou hyaline. Muscle jumeau externe gauche. - On constate des lésions analogues à celles du muscle jumeau interne, ma
celles du muscle jumeau interne, mais sur les coupes examinées, ces lésions paraissent encore plus marquées. Il n'existe au
e précédent. Muscle jambier antérieur gauche. On constate les mêmes lésions d'atro- phie simple avec prolifération nucléair
emi-membraneux gauches On constate sur la plupart des faisceaux des lésions extrêmement marquées d'atrophie simple avec proli
région dorsale moyenne. - On constate également sur ces muscles des lésions dégénératives, mais l'atrophie en est notableme
rquée que celle des muscles des membres infé- rieurs. Il existe des lésions d'atrophie simple, mais elle est moins prononcée,
intra-musculaire du jumeau interne gauche. - Mêmes aspects et mêmes lésions que pour le nerf du jumeau externe. Nerf du jam
Nissl modifiées avec le bleu de toluidine. - Dans l'ensemble, les lésions constatées portent sur la substance grise, tandis
on constate qu'aucune cellule n'est intacte, toutes présentent des lésions d'atrophie simple et progressive. Il y a désintég
re, la colonne de Clarke est absolument intacte. Il n'existe pas de lésions appréciables des cornes postérieures, les collaté
n histologique des muscles, des nerfs et des cen- tres nerveux. Les lésions étaient absolument semblables à celles que nous
, la survie n'a'pas dépassé' 4 ans. L'auteur, au point de vue des lésions anatomiques, insiste sur : l'alro- phie muscula
ux des cas rap- portés ci-dessus, les auteurs n'ont constaté aucune lésion nerveuse à l'au- topsie et concluent à une affe
trent de plus que, même dans ces cas à marche rapide,il'n'y a aucune lésion inflammatoire des cornes antérieures de la moel
des vertiges épileptiques, les symptômes moteurs et sensoriels, les lésions du fond de l'oeil per- mettent le diagnostic et
édia- tement le système nerveux dans du formol à 10 0/0. Ainsi, les lésions que nous décrirons plus loin ne pourront être c
que nous décrirons plus loin ne pourront être considérées comme des lésions surajoutées. De plus, ce fait d'anatomie pathol
udées. Les autres parties du cortex ne présentent que de très fines lésions consis- tant en la pigmentation de quelques cel
petites cellules rondes qui paraissent être des lymphocytes. Pas de lésions méningées. Il est intéressant de constater qu'u
autres éléments de l'écorce, a donné lieu à l'état de stupeur. Les lésions présentées par les autres parties du cortexsont
ymptômes qu'elle présente actuellement permettent de considérer les lésions de l'appareil respiratoire comme étant la cause
te, présente des réflexes lumineux et accommodateurs affaiblis. Ces lésions ac- tuellement stationnaires et datant probable
es extrémités digitales, elles cadrent mieux avec l'hypothèse d'une lésion pulmonaire simple, chronique, qu'avec celle d'u
, les troncs nerveux, les racines antérieures et postérieures, avec lésions médullaires consécutives ; d'oit le nom de Névr
Pas de troubles génito-urinaires. État général satisfaisant. Pas de lésions viscérales. Puissance génitale conservée. Dou
ies. L'examen du triceps fémoral est plus intéressant parce que les lésions y sont moins avancées. On remarque tout d'abord
irmer qu'il y a moins / de fibres dans les premiers. Comme type des lésions nous prendrons le tronc du sciatique à mi-haute
un tissu cellulaire larges mailles. 1 On n'observe nulle part de lésion d'inflammation récente. , La paroi des vais- se
fs crural, radial, médian, cubital, circonflexe nous ont révélé des lésions absolument identiques : sur les coupes du crural
la sclérose monotubulaire y est plus nette. ' On retrouve les mêmes lésions mais à un degré moins avancé sur les nerfs crân
nerfs crâniens. Sur le pneumogastrique à la région cervicale, les lésions se présentent avec une intensité variable : par
utres comme la pulpe d'un oignon. Sur le tronçon intermédiaire, les lésions tiennent le milieu entre celles qui existent da
lable du moins pour ce qui concerne les racines antérieures que les lésions sont plus jeunes au cen- tre qu'à la périphérie
sensitifs les mêmes considérations que pour les nerfs, moteurs ; les lésions paraissent d'autant plus jeunes qu'on se rappro
te et pauvre en fibres à myéline. Au niveau de la IV' lombaire, les lésions sont les mêmes, si ce n'est que les fibres sont
es troncs nerveux à la pression et à l'excitation électrique. Les lésions que nous avons observées chez le malade de l'obse
sont de trois ordres : musculaires, nerveuses et médullaires. Les lésions musculaires consistent en un processus d'atrophie
bre très atrophiée conservant encore sa striation transversale. Ces lésions n'ont rien de spécifique ; elles sont en grande
iellement primitives ? En tout cas elles ne dépendent nullement des lésions de sclérose vasculaire qui sont contingentes ou t
qui sont contingentes ou tout au moins indépendantes. De même les lésions médullaires ne sont que la conséquence de la dégé
observe dans le tabes ; nous ne nous y arrête- rons donc pas. Les lésions des nerfs sont au contraire très particulières et
érie pour s'étendre ensuite aux troncs nerveux et aux racines : les lésions sont plus marquées pour les nerfs et les racines
ptique et le nerf olfactif. Comment interpréter l'histogenèse des lésions ? S'agit-il d'une névrite ordinaire dont le pro
e âge, plutôt que comme une affection spéciale caractérisée par des lésions particulières et dont les symptômes tendraient,
terstitielle des nerfs moteurs avec dégénération ascendante, d'une lésion semblable des nerfs sensitifs avec dégénération
ns précédentes, parce que l'examen anatomique révéla l'existence de lésions nerveuses périphériques diminuant de bas en hau
ques et des racines postérieures sans état hypertrophi- que, et des lésions des cordons postérieurs analogues à celles que l'
atomique a été publié en collaboration avec Armand-Delille (2), les lésions consta- tées furent une atrophie simple des ner
is qui diffèrent un peu dans les détails. Sainton reconnaît que les lésions de l'atrophie musculaire type Charcot- Marie ne
oppose à. la la théorie soutenue par Marinesco : la répartition des lésions n'est pas abso- lument la même dans les deux ma
RAYMOND QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE ' ÉTUDE DES LÉSIONS NERVEUSES ' PAR ) L. ALQUIER, , Chef des tr
ar les auteurs. Voici, le plus brièvement possible, les principales lésions de la moelle épinière décrites au cours du mal
anière indéniable dans certains cas, la moelle est comprimée par la lésion osseu- se, après que se sont effectués l'effond
elle peut être écrasée contre la paroi postérieure du rachis, si la lésion siège à la région dorsale, où le canal rachidie
la propagation du foyer tuberculeux à l'espace épidural, et par les lésions inflammatoires qui entourent les masses tubercu
mmatoires qui entourent les masses tuberculeuses. L'ensemble de ces lésions est désigné souvent sous le terme de péripachym
able, débordant irrégulièrement sur les côtés de la dure- mère, ces lésions peuvent agir sur les racines et sur la moelle.
La moelle peut être atteinte de différentes façons : 1° Tantôt, les lésions épidurales atteignant jusqu'à1 cm 1/2 d'épais-
arement, la dure-mère est franchie, soit, en avant, au niveau de la lésion osseuse, soit, sur les côtés, au niveau des racin
ent aux méninges molles et à la moelle. , 3° Dans d'autres cas, les lésions inflammatoires et tuberculeuses restent extradu
t la dernière éventua- lité, au niveau du foyer épidural, les mêmes lésions de la moelle épinière, qui diffèrent suivant l'
cylindre-axe, normal par endroits, apparaît, ailleurs, gonflé. Ces lésions doivent être étudiées sur des coupes longitudin
itielles sont plus ou moins dilatées. , Dans la substance grise les lésions sont moins considérable : les cellules nerveuse
'axe gris est plus ou moins déformé, disloqué, même. Enfin, à ces lésions peuvent s'ajouter des foyers d'hémorragie ou de
volumineux, rétrécis ou thromboses. 2° Dans les cas anciens, les lésions de la première phase peuvent avoir plus ou moin
éninges molles, elles contractent parfois, au niveau du maximum des lésions épidurales, quelques adhé- rences avec la dure-
ication n'a pas été précisée. Telles sont, en gros, les principales lésions : leur interprétation est délicate et controver
interprétation est délicate et controversée. Lorsqu'on trouve des lésions d'endo et de périvascularité, dans les méninges
ction analogue à celle qui, dans la syphilis nerveuse, engendre les lésions spinales. L'ischémie, notamment celle produite
ration des artères radiculaires (Ziegler), peut expliquer certaines lésions en foyer, hémorragies ou ramollissements : on p
tuméfaction des cylindres-axes, épaississe- ment de la névroglie,' lésions qui paraissent pouvoir aller jusqu'à la myéloma
AL DE POTT CHEZ L'ADULTE 513 endroits où le microscope révélera les lésions sus-indiquées. Quelle est la cause de cet oedèm
me mécanique. L'oblitération des vaisseaux, au niveau et autour des lésions tuberculeuses de l'espace épi- dural, la compre
ntique en injectant des cultures stérilisées de staphylocoques. Les lésions « d'oe- dème » s'observent également dans les m
her le plus possible de la clinique et afin de ne rien préjuger des lésions , je divise ces cas en 3 groupes, suivant le siège
s nerveux supérieurs Cerveau, cervelet, bulbe, protubérance. Aucune lésion macroscopique, ni à l'examen histologique de frag
tuméfaction considérable des cylindres-axes. Au Pal et aulllarchi, lésions dégénératives diffuses, plus intenses à la périph
riphé- rie de la moelle. Méninges molles et vaisseaux sanguins sans lésions ; cellules nerveuses : les unes aplaties, défor
bres nerveuses, et dispa- rition de nombreux cylindres-axes. Pas de lésion des méninges radiculaires. Ces altérations disp
ascendantes et descendantes habituellement observées à la suite de lésions des- tructives siégeant à ce niveau. Cas. III
emphysème et néphrite chronique. Foyer épidural peu considérable. - Lésions légères de la moelle. (1) Une étude histologiqu
rs. Intégrité complète des autres vaisseaux et des méninges. Pas de lésions dans les autres régions de la moelle. Les cel
lules nerveuses présentent, dans toutes les régions du névràxe, des lésions de chromatolyse avec pigmentation. Il existe en o
au, ainsi que des traces dou- teuses d'oedème cortical : toutes ces lésions nous paraissent dues à la néphrite et à l'artér
se reconnaître dans la moelle et les méninges molles deux ordres de lésions . 1° Dans la région lombaire (de il ! ' à Ve L)
ntra-radiculaires sont entourés d'un manchon de polynucléaires. Ces lésions vont comme la symphyse entre la dure- mère et l
ns la région dorsale moyenne. Les cellules nerveuses présentent des lésions de chromatolyse avec amas de 518 ALQUIER pigm
ALQUIER pigment jaune dont l'intensité semble parallèle à celle des lésions des méninges molles. OBs. V (n° 814). Mal de
ques rares amas leucocytiques dans les vaisseaux sanguins. Pas de lésions du cervelet, en particulier, des cellules de Purk
sont enva- hies, les plus internes étant respectées. Racines sans lésion nette : la pie-mère présente sur la face antérieu
éfaction des cylindres-axes, et épaississement de la névroglie. Ces lésions sont au maximum dans le cordon latéral gauche, où
r un amas de cellules polymorphes. Au-dessus du foyer, pas d'autres lésions qu'un peu de pàleur et quelques granulations no
ues hématies, d'autres complètement vides. Au-dessus et au-dessous, lésions diffuses se propageant aux segments voisins à d
us, lésions diffuses se propageant aux segments voisins à distance, lésions dégénératives très accentuées, ascendantes et des
lutions frontale et pariétale ascendantes gauches. Cervelet, pas de lésions . De ces 6 observations de mal de Pott dorsal, l
et anatomiquement, de date plus récente, nous n'avons pas trouvé de lésions scléreuses des ra- cines. , Dans la moelle, l
trouvé de lésions scléreuses des ra- cines. , Dans la moelle, les lésions sont analogues dans les obs. 1 (avec com- press
lindres-axes sont, le plus souvent, irré- gulièrement tuméfiés. Ces lésions semblent bien, comme l'admettent les auteurs, p
sculaires ne sont pas dilatés. Dans les observations V et VI, à ces lésions s'ajoutait une myélomalacie avec nécrose, [qui
bien (obs. V) commencer par petits îlots aux points présentant les lésions précédentes. Dans l'observation II (cas datant
des cylindres-axes. Nous omettons à dessein l'observation IV où les lésions médullaires semblent complexes, et d'interpréta
, le canal épendymaire est oblitéré,souvent méconnais- sable. Les lésions dégénératives des faisceaux blancs pyramidaux (co
s racines. Le foyer épidural est, dans cas,localisé au niveau de la lésion osseuse, et ne dépasse pas la dure-mère ; en pr
auteur, avec symphyse étendue des méninges molles. Dans ce cas, les lésions des méninges molles étaient nettement dues à un
681). Mal de Pott sacré sans signes rachidiens. - Englo- bement et lésions des racines, dilatation du canal épendymaire. U
tant jusqu'aux dernières paires lom- baires. Histologiquement les lésions sont surtout radiculaires ; les racines englo-
englo- bées sont sclérosées, parfois d'une manière intense avec des lésions dégénéra- tives des cordons postérieurs présent
crète. Les racines englobées présentent, à un degré variable, les lésions suivantes : tuméfaction irrégulière des gaînes
Dans la moelle lombo-sacrée épaississement des méninges mol- les ; lésions banales des cellules nerveuses , dégénérescence d
clinique sur lequel nous n'insiste- rons pas. Anatomiquement, les lésions sont surtout radiculaires ; peu marquées dans l
one de sclérose névroglique. Nous ren- voyons pour l'étude de cette lésion , si un autre travail fai tavec Lhermi tte (4 ).
esque complètement vers C 11. Dans la ré- gion lombo-sacrée, pas de lésion dégénérative nette, mais un épaississement des
ons pontale et pariétale ascendantes gauches) ne présentent que des lésions insignifiantes de quelques cellules. OBS. X (
au de cette dernière (6e segment), le côté gauche seul présente des lésions de désintégration sous-méningée irrégulière, avec
: les racines gau- ches et les cellules nerveuses offrent les mêmes lésions que dans le 6e segment, mais seulement plus lég
es. Partout ailleurs, la moelle et les racines sont saines : pas de lésions d'au- cune sorte ; cependant dans la région lom
le canal épendymaire est rempli d'éléments embryonnaires. Aucune lésion dégénérative au-dessus ou au-dessous du siège de
om- breuses boules irrégulières de myéline, et corps granuleux. Les lésions sont plus accentuées à droite, et ne s'accompag
Les racines sont englobées dans les trois cas, elles présentent des lésions histologiques dégénératives d'intensité variabl
rieures.Il est difficile de dire exactement quelle part revient aux lésions des racines et aux lésions des cellules motrices
dire exactement quelle part revient aux lésions des racines et aux lésions des cellules motrices dans la patho- génie des
les cellules sont glo- buleuses avec chromatolyse et pigmentation, lésions d'apparence banales; les racines antérieures, p
ieures, elles sont atteintes dans les trois cas,mais sans que leurs lésions , d'ailleurs d'aspect récent, aient encore détermi
ns ascendantes des cordons postérieurs. Dans la moelle (Obs. X),les lésions « d'oedème » sont très manifestesau- dessus et
ion lombo-sacrée ; ici encore, les méninges molles présentaient les lésions de l'inflammation banale, avec accumulation au-
tableau symptomatique dans ces trois cas, où cependant le siège des lésions épi- durales et médullo-radiculaires est presqu
bien il est difficile de distinguer chez eux les symp- tômes et les lésions du mal de Poil et de la syphilis ; dans la 4e, un
de la méningite tuberculeuse, vient compliquer l'interprétation des lésions . Voici, le plus brièvement possible, ces observ
lobant les racines lombo-sacrées. Le foyer remonte plus haut que la lésion osseuse. Quoique très étalé, ce foyer n'a qu'un
e. Il semble qu'on puisse, au microscope, distinguer deux ordres de lésions : a) Des lésions probablement syphilitiques : é
n puisse, au microscope, distinguer deux ordres de lésions : a) Des lésions probablement syphilitiques : épaississement dans
res, particulièrement de la 1" lombaire qui présente une ébauche de lésions dégénératives ; la 2e racine cervicale gauche e
tissu très dense avec multiplication discrète des noyaux. b) Des lésions probablement tuberculeuses se réduisant au foyer
. XIII (n° 798). Mal de Poil dorsal chez une syphilitique probable, lésions tabétiformes dans la région lombo-sacrée. Femme
onaire ancienne. Mal de Pott avec destruc- tion du 4e corps dorsal, lésions des 2 voisins, gibbosité angulaire. Au niveau d
ques, avec tuméfaction des cylindres-axes, sclérose névroglique, et lésions dé- génératives au-dessus et au-dessous. Dans
ébauche de chromatolyse avec pigmentation. Dans la région sacrée, lésions dégénératives des cordons postérieurs,diffuses,
ines et refoulé l'une contre l'autre les cornes postérieures. Mêmes lésions , mais plus légères,dans la partie superficielle
ninges molles. Vaisseaux largement remplis de sang, plutôt dilatés. Lésions dégénératives diffuses au Pal et au Marchi. D
es diffuses au Pal et au Marchi. Dans la région lombaire, légères lésions dégénératives au Pal et au Marchi des racines p
la partie interne des cordons de Bnr- dach, semble correspondre aux lésions médullo-radiculaires situées en regard du foyer
bande de tissu sain de la précédente, elle semble correspondre aux lésions lombo-sacrées (Tabes incipiens ? ). On voit com
ue éteinte ; en tout cas., sans infiltrations péri vasculaires. Les lésions tabéti formes sont douteuses dans l'observation X
mes sont douteuses dans l'observation XIII. Dans ces cas, trois les lésions observées au niveau du foyer épidural ne diffèr
maladies aient évolué parallèlement sans influer beaucoup sur leurs lésions réciproques. Cas avec méningite, probablement t
les ; en dehors de la dure-mère, les racines cor- respondantes à la lésion osseuse sont englobées par un tissu inflammatoire
ntérieur de la moelle et des racines. La moelle présente de légères lésions d'oedème et un foyer de myélomalacie étendu sur
ons princi- pales : 1° quelle est la genèse et la signification des lésions nerveuses ob- servées ; 2° quelles indications
ations pratiques peut fournir la confrontation des symptômes et des lésions ? 1° Genèse et signification des lésions osseus
ion des symptômes et des lésions ? 1° Genèse et signification des lésions osseuses. Compression osseuse. - Trois fois, un
achidien, ne dé- terminait qu'une légère coudure de la moelle, sans lésions nettes au mi- croscope. 1 Obs. II : la sailli
l est impossible de préciser la part qui revient dans la genèse des lésions , à la compression osseuse et à la présence des lé
a genèse des lésions, à la compression osseuse et à la présence des lésions épidurales. ' Obs. I. : la saillie de. la VIe
e peut-être d'avoir, à un moment donné, contribué à la ge- nèse des lésions médullaires. Ainsi donc, même dans les cas de c
res facteurs et de préciser la part qui revient, dans la genèse des lésions nerveuses à la compression osseuse, Il convient
ient dilatées par places, avecépais- sissement de la névroglie, ces lésions indiqueraient, d'après les auteurs, l'oedème hi
e myélomalacie qui semble bien dû simplement à l'exagération de ces lésions , et ne répond à aucune distribution vasculaire.
oedème » manquait totalement dans les observations IX et XIV où les lésions semblent d'ailleurs être d'âge plus ancien. Lés
et XIV où les lésions semblent d'ailleurs être d'âge plus ancien. Lésion des racines. Elles sont toujours englobées par le
s ancien. Lésion des racines. Elles sont toujours englobées par les lésions épi- durales, dès que celles-ci acquièrent un d
dure-mère. Il est très difficile de dire à partir de quel degré les lésions périradicu- QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHE
déterminé aucun symptôme. ' L'examen histologique nous a montré des lésions variables des racines ; tantôt, tuméfaction irr
lérose avec atrophie des fibres nerveuses, et, au Pal et au Marchi, lésions dégénératives. Ces lésions sont nettes dans les
bres nerveuses, et, au Pal et au Marchi, lésions dégénératives. Ces lésions sont nettes dans les observations I et II (Mal de
al. ' Il nous est difficile d'apprécier exactement l'importance des lésions des racines antérieures ; remarquons seulement
amen des nerfs et des muscles, pratiqué par Rossi, lui a montré des lésions d'atrophie musculaire dans plusieurs des muscles
(obs. 1, VIII, XIII) nous voyons dans les cordons postérieurs, des lésions de dégénération ascendantes, en rapport, par le
ascendantes, en rapport, par leur siège et leur intensité, avec les lésions des racines. Les ganglions spinaux n'ont pu ê
s ; celles-ci étaient peu considérables, dans les cas exa- minés. Lésions des méninges molles. - Jamais nous n'avons vu les
minés. Lésions des méninges molles. - Jamais nous n'avons vu les lésions tu- berculeuses franchir la dure-mère directeme
entre la dure-mère et les méninges molles, au niveau du maximum des lésions épidurales. Deux fois,au contraire (obs.IV et
es, entre la dure-mère et les méninges molles, qui présentaient les lésions de l'inflammation aiguë avec infiltration massive
respectées dans les autres observations. En tout cas, l'aspect des lésions est bien différent de celles de l'observation X
étaient notablement di- latés. Il est évident que, au niveau des lésions tuberculeuses de l'espace épi- dural, les vaiss
un foyer étendu de myélomalacie, peut-être d'origine vasculaire. Lésions de la moelle. Dans la moelle, nous trouvons, tant
elle, nous trouvons, tantôt des lé- sions « d'oedème »,, tantôt des lésions de sclérose, avec dégénérations, souvent les de
érations, souvent les deux mélangés. Que penser de la nature de ces lésions ? Les partisans de leur origine mécanique feron
l'obervation I, où la compression osseuse est prédominante et sans lésions tuberculeuses en activité. Mais son degré est loi
cune relation entre le degré de l'oedème et l'âge ou l'activité des lésions tuberculeuses. Les cellules nerveuses peuvent ê
leux seul est en jeu ; toutes les fois que nous avons rencontré des lésions tant soit peu importantes, de chromatolyse, ave
ations pratiques résultant de la confrontation des symptômes et des lésions . Les signes rachidiens : endolorissement à la p
, raideur, ne coï- cident pas toujours absolument avec le siège des lésions osseuses ; dans l'obervation V, la douleur spon
adiculaires du début sont, en général, en rapport avec le siège des lésions épidurales, mais ne peuvent servir de guide perme
calisation exacte n'est possible, ni pour les symptômes ni pour les lésions ? Une seule fois (obs. V) nous avons noté une z
était normale ; cette zone d'anes- thésie ne coïncidait ni avec la lésion osseuse, ni avec le maximum des lé- sions épidu
e maximum des lé- sions épidurales. ' La coexistence variable des lésions médullaires et radiculaires permet 538 1 ALQUIE
'être en rapport constant avec le siège, l'intensité, la nature des lésions nerveuses. Une fois nous avons noté la dissocia
dégénérescence amyloïde. Onze de nos malades présentaient d'autres lésions tuberculeuses, en dehors du rachis, soit cliniq
e et sectionnée sur la ligne médiane n'a pu, même alors, déceler la lésion minime existant à la face postérieure des Ve et V
blanche de l'hémisphère céré- belleux droit était détruite par une lésion ovale, longue de 2 centimètres, large de 1 cent
où le foyer existe, nulle part on ne voit de reliquat d'une vieille lésion . En hauteur, ce foyer s'étend depuis la partie
plusieurs faisceaux de la voie pédonculaire, sans trace d'ancienne lésion . Sur les mêmes coupes, on remarque, immédiateme
us du cer- velet. * 1° Dans le cervelet. - Laissant de côté les lésions primitives que nous avons déjà décrites, nous n
ent inférieur. Sur les plus supérieures de ces coupes on trouve des lésions directement en rapport avec le foyer. Il est d'
les faits suivants : . Sur les premières coupes,où coexistaient les lésions primaires et les dégéné- rescences secondaires,
scendante des fibres atteintes parle foyer cérébelleux. La grosse lésion est la sclérose de l'olive bulbaire du côté oppos
Iconographie de la Salpêtrière T. Zizi. Pl. LXXX A Il >j C LÉSIONS DE L'OLIVE BULBAIRE A. Coupe du bulbe; décolora
s coupes transversales du bulbe passant par les olives présentent les lésions maxima. Au Pal (PI. LXXX,A) on voit, à l'oeil
n autour d'un vaisseau. Dans la moelle cervicale, on ne voit pas de lésions , par les méthodes de Pal et de Marchi. Il en es
ur, le faisceau cérébello-olivaire. De plus, le peu d'intensité des lésions du corps restiforme droit com- parées à celles
l'atrophie de l'olive et du corps restiforme consécutivement à une lésion cérébelleuse doit s'ex- pliquer en admettant qu
hognomonique de l'hémiasynergie cérébelleuse pour le diagnostic des lésions du système cérébelleux. Cet examen confirme l'h
s émise précédemment, quand nous expliquions l'hémiasynergie par la lésion de l'hémisphère cé- rébelleux, à l'exclusion de
ie par la lésion de l'hémisphère cé- rébelleux, à l'exclusion de la lésion protubérantielle, qui a tous les carac- tères m
protubérantielle, qui a tous les carac- tères macroscopiques d'une lésion récente. (1) A. Thomas, Thèse de Paris, 1897.
DROITE 551 Babinski et Nageotte (1) admettent dans leurs cas trois lésions explicatives de l'hémiasynergie et de la latéro
ions explicatives de l'hémiasynergie et de la latéropulsion : 4° la lésion des faisceaux olivo- ciliaires ; 2° la lésion u
latéropulsion : 4° la lésion des faisceaux olivo- ciliaires ; 2° la lésion unilatérale du faisceau qui met en rapport le noy
onstituée par le faisceau de Gowerss. Dans notre cas,de ces trois lésions la première seule existant,nous avons tendance
dance à admettre que l'hémiasynergie eut pour principal facteur, la lésion du faisceau olivo-ciliaire du même côté. Nous p
s que ce trouble de l'équilibration cinétique peut être fonction de lésions siégeant en divers points du système cérébelleux.
ain nombre de cas il s'agit d'une trophonévrose en rapport avec des lésions de la substance grise médullaire ; dans d'autres
es cas les plus nombreux on croit que cette affection est due à des lésions périphé- riques, enfin elle est considérée comm
s dans lesquels on n'a pu constater aucun rapport entre elle et les lésions du système ner- veux : le mécanisme de l'affect
gique a confirmé les notions cliniques en constatant l'existence de lésions dans la substance grise médullaire; cependant, on
avaient été négatives. Quoi qu'il en soit, le caractère même de la lésion rencontrée fait croire que ces constatations sont
s, cette interprétation pathogénique est exacte parce que, dans les lésions mé- dullaires qui peuvent provoquer la maladie
en sueur. Les articulations des phalanges de l'index présentent des lésions de l'arthrite chronique ; sur le dos de la main
ssu con- nectif, disparition d'une quantité de fibres nerveuses, et lésions dégénératives en activité irrégulièrement repar
rès imprégnation préalable par l'alun ferrique et le Van Gieson. La lésion la plus importante est celle des artères : part
sion la plus importante est celle des artères : partout on voit des lésions péri-endoartériques et une sclérose péri et par
idérons la connexion qui existe entre la rétraction palmaire et les lésions médullaires, nous la voyons évidemment dans ce ca
s le nom de maladies de Dupuytren d'origine nerveuse ; en effet, la lésion nerveuse, sinon par sa nature du moins par son
sion et sa localisation, reproduit parfaitement les' caractères des lésions indiquées par les autres observateurs. Mon cas es
ction qu'on peut faire aux autres : comment peut-on admettre qu'une lésion de la substance grise periépen- dymaire puisse
avec des troubles sensitifs et trophiques qui dérivent sûrement des lésions médullaires, nous permet d'attribuer une valeur c
lésions médullaires, nous permet d'attribuer une valeur causale aux lésions pathologiques de la moelle dans la production d
reste maintenant à démontrer l'origine vasculaire des nombreu- ses lésions médullaires. On peut s'appuyer sur bien des faits
omenes d'insuffi- sance fonctionnelle, et à l'examen anatomique des lésions de sclérose dif- fuse. On pourrait objecter que
pas facilement s'expliquer par une action toxique circulatoire. La lésion locale en foyer nous donne l'explication de l'a
ation de l'apparition rapide de la maladie (caractère important des lésions vasculaires), et de sa limitation. MALADIE DE D
nt tout, des troubles de fonctionnement (méiopragies), et après des lésions organiques durables. A la première période, l'exa
nctionnement de l'organe par la sclérose des artères. Mais quand la lésion a fait des progrès, on trouve l'explication anato
ion de l'action dystrophiante artérielle; or, il en découle que les lésions de l'artério-sclérose doivent ,y être plus fréq
fois qu'on aura déterminé, comme dans mon cas, le rapport entre ces lésions et l'artério-sclérose, pourquoi ne pourra- t-on
s fonctionnels, lors même qu'elle n'arrive pas jusqu'à produire des lésions destructives ? et pourquoi ne pas supposer que
-uns (Eulenbourg, Guinebault et Cenas). Si dans beaucoup de cas les lésions névritiques manquent, il n'y a pas de réelles o
rigine, parce qu'on dit, et juste- ment, que pour la production des lésions trophiques, il n'est pas nécessaire de constate
st artério-scléreuse et qui n'est pas accompagnée des symptômes des lésions des voies pyramidales, ne me semble pas avoir é
rités de distribution qui sont la conséquence de l'irrégularité des lésions artérielles qui la provoquent. En outre on peut
er longtemps stationnaire, se con- formant en cela au caractère des lésions vasculaires. L'exposant anatomo- pathologique e
lacunes dans la moelle est un fait rare contrairement t aux autres lésions histologiques de l'artério-sclérose médullaire qu
lérose peut causer la maladie de Du- puytren, non seulement par les lésions organiques de la substance médul- laire, mais a
radia- tions cortico-genouillées externes dégénèrent à la suite de lésions de la sphère visuelle corticale. D'où nous co
tense de la couche sagittale externe que l'on observe à la suite de lésions intéressant les centres optiques primaires ou l
es de retenir notre attention. Dans le premier cas (cas Cogery) une lésion centrale circonscrite a totale- ment détruit en
e traduit, en grande partie, la réaction corticipète qu'implique la lésion genouillée. Le second cas (cas Dautricbe) a tra
ue la lésion genouillée. Le second cas (cas Dautricbe) a trait deux lésions capsulaires, dont l'une occupe le segment rétro
n qui nous occupe serait vite réglée, puisqu'il est admis : que les lésions des centres optiques pri- maires ou du segment
totalité du lobe pariéto-temporo-occipital. · Viennent d'abord les lésions du lobe occipital, « elles entraînent une dégé-
cas : Dans la première observation (cas Courrière) il s'agit d'une lésion de la pointe et de la face interne du lobe occi
la description de ce cas nous permet de préciser la topographie des lésions . On note que le foyer ancien sectionne, au nive
e du foyer ancien (p. 114) et que ce tableau est l'expression d'une lésion purement occipitale ? Nous nous trouvons en pré
bien quelle peut en être la provenance. Etant donné l'étendue de la lésion calcarine et la profondeur qu'elle atteint au n
evables de ce si mer- veilleux isolement ; autrement (à moins d'uue lésion purement corticale), elles seraient masquées pa
s devons constamment lutter et jusqu'à quel point la multiplicité des lésions peut compromettre nos conclusions. La seconde
conde observation (Cas Bras, hémisphère droit) a trait à une double lésion des centres corticaux de la vision. Voici, du r
gone, etc. » . Il ressort donc très nettement de cet exposé que la lésion n'est pas unique- ment occipitale, mais égaleme
nt à ce principe que nous nous refusons ai admettre comme « type de lésion occipitale » la vaste plaque jaune que présente c
nte J'. Abordons maintenant la considération d'une seconde série de lésions ; les lésions temporales représentées par le ca
ns maintenant la considération d'une seconde série de lésions ; les lésions temporales représentées par le cas Neumann (Anat.
moyenne des deuxième et troisième circonvolutions tem- porales. La lésion intéressait l'écorce et la substance blanche sous
e la région. » Ce cas nous paraît fort précieux et nous rappelle la lésion assez analogue de notre cas Roll. (Nouvelle Ico
lenticulaire de la capsule interne. Il est donc tout naturel qu'une lésion des deuxième et troisième circonvolu- tions tem
ARCHAMBAULT tudiual (dans'sa partie antérieure) ; et évidemment la lésion est trop rappro- chée du pôle temporal pour ne
seule figure consacrée à l'hémisphère de ce cas... le schéma de-la lésion . , Quoi qu'il en soit, nos résultats personnels
us oblignent à interpréter autrement les réactions consécutives aux lésions temporales superficielles. Dans notre cas Roll
ble de la couche sagittale externe occipitale, il s'agit soit d'une lésion des ganglions infracorticaux, soit d'un foyer pro
ître dogmatique mais qui n'en est que plus utile : « à la suite d'une lésion centrale ou d'un ramollissement temporal intére
yer profond de la région temporale postérieure, et surtout si cette lésion est ancienne, on constate également sur les plans
territoire de la couche sagittale externe. Reste à considérer : les lésions profondes du lobe pariétal ainsi que les lésion
à considérer : les lésions profondes du lobe pariétal ainsi que les lésions des segments sous et rétro-lenticulaires de la ca
me Dejerine nous rappellent qu'ils ont démontré : - a) Que dans les lésions pariétales « on observe toujours une dégénérescen
des fibres corticifuges et des fibres corticipètes ». b) Que les lésions rétro et sous-lenticulaires entraînent « en amont
udinal inférieur » (se faisant d'avant en arrière, à la suite d'une lésion supramarginale) présenté par notre maître M. Pier
s le cadre de cette discussion lorsqu'ils invoquent, en parlant des lésions rétro et sous- lenticulaires, « la dégénérescen
ne traduit pas, à elle seuie, la réaction entière que détermine la lésion du neurone ; nous savons', en effet, que la sec
t rarement complète ; encore, n'est-elle appréciable que lorsque la lésion causale remonte à une date éloignée. En elles-
aucun compte. Il nous vient à l'idée que dans le voisinage d'une lésion destructive les élé- ments nerveux doivent forc
le privilège d'examiner déjà à un autre point de vue), il s'agit de lésions centrales circonscrites. Dans l'un, 873 LASALLE
r et dans le segment ré- trolenticulaire de la capsule interne. Ces lésions , disent les auteurs, «entraî- nent en amont du
octrine universellement admise aujourd'hui, à savoir : que dans les lésions centrales circonscrites, l'at- teinte portée au
ibres inté- ressé. Les localisations si favorables qu'affectent les lésions actuellement à l'é- tude, ne laissent aucun dou
t difficile, sinon impossible, d'établir, dans la majorité des cas de lésions centrales ou temporales antérieures, la nature
tion, non pas occipitale, mais simplement temporale, dans un cas de lésion ganglionnaire circonscrite, sans lacunes de dés
des couches externe et interne, on pourrait dire sans crainte : la lésion centrale a entraîné une grosse dégéné- rescence
tion ; sur le volume réel du faisceau longitudinal dans les cas de lésions super- ficielles ; enfin, en copiant notre seco
isme acquis. Que l'on rencontre de l'hémianesthésie dans des cas de lésions purement corticales, le fait n'est LE FAISCEAU
up plus à la désorientation qu'à l'anesthésie vraie. D'ailleurs, la lésion se trouve rapprochée du thalamus, et le noyau ven
dans la couche sagittale externe du lobe occipital. Ainsi qu'une lésion cérébrale se traduit par une réaction médullaire
ue le,, faisceaux pyramidal direct et pyramidal croisé, de même une lésion circonscrite des noyaux centraux ou de la partie
et dont l'autopsie est presque tou- jours faite, ils présentent les lésions habituelles, sans qu'on puisse plus que dans d'
ns qu'on puisse plus que dans d'autres pays signaler l'existence de lésions spécifiques associées. Parmi les causes associé
as- sues de croissance, à l'état pathologique et a l'état normal. Lésions tabétiques des racines médullaires (3 fig., 5 p
6 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
mes et peuvent être résumés brièvement. Je ne vous parlerai pas des lésions macroscopiques, constatées, surtout dans la rég
ajorité des relations anatomiques, les auteurs n'ont trouvé que des lésions histologiques, du cerveau, de la moelle ou des
eDrPhilipp (1),à l'autopsie d'un parkinsonien n'a rencontré d'autre lésion que des altérations cellulaires constatées par
die peut être hémiplé- gique, qu'elle peut débuter à la suite d'une lésion cérébrale, il conclut ci son origine corticale.
rigine corticale. Plus nombreux sont les auteurs qui ont trouvé des lésions médullaires. Je vous signalerai seulement les r
résultats de Démange, Sander, Karplus, Walbaum qui considèrent les lésions observées par eux comme banales et les attribue
bief (2) et de Borgherini (3), qui n'ont, eux aussi, trouvé que des lésions de sénilité, mais les disent précoces et particul
la maladie de Parkinson. On a attaché une certaine importance à des lésions des vaisseaux san- guins et des cellules de la
a sclérose des parois vasculaires, Redlich insiste beaucoup sur une lésion qu'il a rencontrée dans sept cas, et dont il l'
été constatées par M. Ballet (3) qui, accessoire- ment signale des lésions des prolongements cellulaires qu'il considère c
. Caterina () en Italie, puis Dana (6) en Amérique, ont signalé des lésions cellulaires qu'ils retrouvaient également dans le
a dilatation des espaces péri vasculaires ; pas d'artério-sclérose. Lésions dégénératives intenses des cellules ganglionnai
ement dans les régions cervicales supérieure et dorsale inférieure. Lésions minimes de l'écorce cérébrale. Au contraire, da
cérébrale. Au contraire, dans les olives- du bulbe, existaient des lésions cellulaires très prononcées. Les nerfs périphér
Parkinson, aux altérations des dendriles. J'en aurai fini avec les lésions des centres nerveux, quand je vous aurai (1) RO
de la région dorsale postérieure, et des faisceaux pyramidaux; des lésions des cellules de la moelle, l'atrophie scléreuse
scléreuse des ganglions rachidiens. Dans le cerveau, il observe des lésions des cellules corticales, par la méthode de Niss
ense, en définitive, que l'atrophie des faisceaux pyramidaux et les lésions corti- cales peuvent expliquer la rigidité ; le
aux et les lésions corti- cales peuvent expliquer la rigidité ; les lésions des cordons postérieurs, les troubles de la sen
les troubles de la sensibilité et de l'équilibre. Nous arrivons aux lésions musculaires. En 1881, Pierret et Vesselle (Th.
des noyaux interstitiels allon- gés, sans cellules rondes, et sans lésions des fibres musculaires, des ter- minaisons nerv
s ou des vaisseaux sanguins. Schwenn n'hésita pas à faire, de cette lésion musculaire, le substratum anatomique de la maladi
ubstratum anatomique de la maladie. Malheureusement, Messieurs, ces lésions , d'ailleurs banales, n'ont pas été retrouvées d
de myxoedème ; n'ayant trouvé, à l'autopsie de cette femme, d'autre lésion qu'une tumeur de l'hé- misphère gauche du cerve
RIBUTION A L'ÉTUDE ANATOMIQUE * DES CORDONS POSTÉRIEURS UN CAS DE LÉSION DE LA QUEUE DE CHEVAL ET UN CAS DE TABES INCIPI
J. NAGEOTTE, Médecin-suppléant de Bicêtre. Les observations de lésion des racines de la queue de cheval sont encore t
ne fortune de recueillir, dans le service de M. Babinski, un cas de lésion totale des nerfs de la queue de cheval jusqu'à la
6. XVII 2 i 18 NAGEOTTE Avant de commencer la description des lésions observées dans ces deux cas, il ne sera pas inu
ne destruction p1'esqu'absolue de toutes les racines sacrées et une lésion très intense des4e et 5e lombaires, avec conser
compare cette disposition avec ce que l'on observe dans les cas de lésion transverse de la moelle dorsale, on est porté à
ar la méthode de Weigert (PL VI), au carmin et à l'hématoxyline. La lésion des nerfs radiculaires dans ce cas a déjà été déc
e à l'état normal, on voit qu'il est moins fourni de fibres ; cette lésion extrême- ment légère et diffuse ne gêne en rien
int où cessent les cordons postérieurs eux-mêmes. Telles sont les lésions qui sont visibles par la méthode de Weigert-Pal e
ites parfaitement caractéristiques. L'écorce cérébrale présente les lésions spécifiques de la paralysie générale. Les notio
iculaires est complète sur une très grande étendue, et parce que la lésion , encore- récente, ne s'est pas ac- compagnée de
directement par la méthode de Nissl, ne présentent pas non plus de lésions apprécia- bles dans la corne postérieure. Je
ins prouvé. Lissauer lui-même, dans le mémoire où il dé- crit cette lésion fait remarquer que la zone qui porle aujourd'hui
ens, le seul tabes de cette catégorie parmi ses 13 observations, la lésion de cette zone était tellement peu évi- dente qu
ène. Pour ma part, j'ai toujours observé une disproportion entre la lésion des cordons postérieurs et celle des zones de L
ires entre le tabes incipiens et le tabes avancé, j'ai constaté des lésions très peu avancées de ces zones. ' En voilà plus
. ' En voilà plus qu'il n'en faut pour montrer que dans le tabes la lésion des zones de Lissauer est tardive et que, de pl
tteint jamais l'intensité de la sclérose des zones radiculaires. La lésion des zones de Lissauer constitue en réalité dans
ité dans le labes une dégénérescence tertiaire; elle appartient aux lésions des fibres endogènes qui sont à un moment donné
s que son intensité n'est pas forcément proportionnelle à celle des lésions de racines ; elle dépend sans doute en partie de
des zones de Lissauer n'est pas proportionnelle à l'intensité de la lésion des cordons postérieurs; par contre, elle m'a par
dons postérieurs; par contre, elle m'a paru être en rapport avec la lésion du réticulum formé par les fibres fines de la 3
est lui-même atteint, mais relativement peu ; on voit très bien cette lésion sur la fig. 4 de la pl. VII et l'on constate qu
ient à l'une et à l'autre, il faut s'a- dresser aux observations de lésions transversales de la moelle au-dessus du renflem
, mais souvent on voit débuter la sclérose médiane, dans les cas de lésion transverse de la moelle, par un tout petit fais
à des tabès localisés à une seule ré- gion, ou bien contiennent des lésions qui n'appartiennent déjà plus à la phase initia
phase initiale du tabes. Dans l'observation relatée plus haut, les lésions paraissent au contraire presqu'absolument limit
te observation, la sclérose intense s'accompagne de rétraction ; la lésion est nettement limitée, dans toute la hauteur de l
, centre ovale de Flechsig et cordon de Goll) ne présentent d'autre lésion qu'une légère diminution diffuse du nombre des
te dans la région de transition en hauteur, un tabes dans lequel la lésion des cordons postérieurs est restée limitée à la
laires, qui rendent ce cas peu propice à une localisation exacte des lésions du tabes incipiens. C'est sans doute à cette
Woch., 1881. (2) K. Scunnren, 10C. Cil. (3) JOFFIIOY et Gombault, Lésions de syringomyélie trouvées à l'autopsie d'un para-
° dorsale, d'après une coupe colorée au carmin. 46 NAGEOTTE des lésions du labes incipiens à un M. II faut bien remarquer
ystématique. Il doit cette double qualité d'une part au siège de la lésion initiale qui est, comme je crois l'avoir démont
r et se rapprocher de plus en plus du septum médian. Mais une telle lésion , si localisée qu'elle soit, n'appartientplus au t
du tabes incipiens ; enfin on peut trouver, sur une même moelle des lésions de tabes incipiens en une région et des lésions
une même moelle des lésions de tabes incipiens en une région et des lésions de tabes avancé dans une autre région. La moell
pour- tant la seule qui permette de comprendre- la disposition des lésions dans le tabes incipiens pur comparé au tabes pl
oite. Zone de Lissauer. Grossissement de 20 diamètres. 2. Obs. I. Lésion de la queue de cheval. Coupe de la moelle à la 2a
classiques de cette affection, on s'attend à trouver à l'autopsie la lésion caractéristique de cette affection : la scléros
. Une fois sur dix ou une fois sur quinze, on trouve en outre de la lésion des cordons postérieurs, une lésion des cordons
uinze, on trouve en outre de la lésion des cordons postérieurs, une lésion des cordons latéraux : c'est une sclé- rose com
pathogénie du tabes peuvent éclairer le processus anatomique de ces lésions combinées qui a été jus- qu'ici mal élucidé.
CLÉROSES COMBINÉES TABÉTIQUES 5B de Pal, on voit la coexistence des lésions des cordons postérieurs et des cordons latéraux
des lésions des cordons postérieurs et des cordons latéraux. Ces lésions peuvent être limitées à un système de fibres ; el
'apparence systématique. Leur distribution est réglée alors par les lésions des vaisseaux, des ménin- ges, des lymphatiques
jamais été observées. On a observé, au contraire, deux variétés de lésions systématiques secondaires : dans la première vari
systématiques secondaires : dans la première variété, il s'agit de lésions du tabes classique systématisées, associées à des
s à des dégénérescences des faisceaux pyramidaux consécutives à des lésions encéphaliques (hé- morrhagies, lacunes). Ces lé
écutives à des lésions encéphaliques (hé- morrhagies, lacunes). Ces lésions systématiques ne nous retiendront pas longtemps
mple plus bas dans l'observation deBit... Nous n'étudierons que les lésions systématiques secondaires à des lésions de la m
. Nous n'étudierons que les lésions systématiques secondaires à des lésions de la moelle. ' Dans le cordon postérieur les l
aires à des lésions de la moelle. ' Dans le cordon postérieur les lésions systématisées peuvent être sous la dépendance d
rieur les lésions systématisées peuvent être sous la dépendance des lésions radiculaires ; dans les cordons latéraux le faisc
e faisceau cérébelleux direct peut dégénérer sous l'influence d'une lésion cellulaire de la moelle ; les cellules de la co
ques secondaires dans le tabes seront donc dues à l'association des lésions systématisées du tabes vulgaire et des lésions
à l'association des lésions systématisées du tabes vulgaire et des lésions du faisceau cérébelleux direct par altération de
irect par altération de la colonne de Clarke. Cette association des lésions du tabes aveè les lésions des faisceaux cérébel
colonne de Clarke. Cette association des lésions du tabes aveè les lésions des faisceaux cérébelleux directs est déjà ment
trouve pas traces de cellules. De la 3e à la 6e racine dorsale, les lésions sont sensiblement les mêmes ; la colonne de Cla
' Au niveau de la moelle cervicale : dans le cordon postérieur, les lésions se sont limitées au cordon de Goll surtout dans
re la dégénérescence du cordon de Goll jusqu'au niveau des noyaux. La lésion des faisceaux cérébelleux a pu être poursuivie
(Voir Planche VIII, D, E, F). En résumé, il s'agit, dans ce cas, de lésions combinées des cordons postérieurs qui semblent
des cordons postérieurs qui semblent être systématiques, liées aux lésions des racines et de lésions des faisceaux cérébel
ui semblent être systématiques, liées aux lésions des racines et de lésions des faisceaux cérébelleux directs qui semblent dé
lésions des faisceaux cérébelleux directs qui semblent dépendre des lésions de la colonne de Clarke. Ce cas pourrait donc rép
ype de scléroses combinées systématiques secondaires. Cependant les lésions ne sont pas absolument limitées au faisceau cér
, une légère bande marginale de sclérose. 2° et 3e cervicales. La lésion du cordon postérieur affecte la même forme tria
milieu de ce faisceau, on constate une fente vasculaire dilatée. La lésion du cordon latéral est un peu plus étendue, gagne
moindre degré, au niveau du cordon an- térieur. Il n'existe pas de lésion du cordon antérieur. 5" et 6e cervicales.- La l
'existe pas de lésion du cordon antérieur. 5" et 6e cervicales.- La lésion des cordons postérieurs est toujours trian- gul
mais à l'union du tiers antérieur et des deux tiers postérieurs. La lésion du cordon '.latéral est très minime et n'est qu
la partie postérieure du bord du cordon latéral. 7e cervicale. - Lésions à peu près semblables, sauf au niveau du cordon
eau de la com- missure postérieure. 80 cervicale. Même aspect des lésions . ire dorsale. Dans les cordons postérieurs, la
dorsales.- Même forme triangulaire de la moelle ; même étendue des lésions . 7° dorsale. La forme reprend la forme quadrang
e de la zone atteinte. 9e dorsale. -Même aspect topographique des lésions . La moeelle est très grêle et prend tantôt la f
. Les dimensions de la moelle sont un peu plus considéra- bles. Les lésions des cordons latéraux sont'plus étendues sur le bo
gion marginale. Plus bas, dans la région lombaire, on [retrouve les lésions combinées des cordons postérieurs et des cordon
stérieurs et des cordons latéraux. Dans les cordons postérieurs les lésions sont très marquées et marginales ; dans le cordon
jusqu'aux cordons de Goll et dans les pyramides. Cervelet. Pas de lésions appréciables. Hémisphères cérébraux. Les noyaux
, il est vrai, atteintes, mais il ne s'ensuit pas forcément que les lésions des faisceaux cérébelleux directs soient sous l
le précédent. L'apparence pseudo- systématique peut être due à des lésions méningées ou lymphatiques. Sui- vant Dejerine,
méningées ou lymphatiques. Sui- vant Dejerine, on constate avec des lésions systématiques des cordons pos- térieurs, des lé
state avec des lésions systématiques des cordons pos- térieurs, des lésions diffuses des cordons latéraux et ces altérations
éri- phérie de la moelle. Kattwinkel, discutant l'importance de ces lésions méningées, les trouve minimes pour expliquer le
ent méningé n'est pas constant et ne concorde pas avec le siège des lésions . En résumé, les lésions méningées sont suffisan
tant et ne concorde pas avec le siège des lésions. En résumé, les lésions méningées sont suffisantes dans un certain nom-
rdons latéraux, mais il manque un processus intermédiaire entre ces lésions méningées et les lé- sions de la moelle elle-mê
semble pouvoir expliquer les faits éclairés incomplètement par les lésions mé ningées. Je rappellerai que ces auteurs base
ces auteurs basent leur théorie sur les argu- ments suivants : les lésions du tabes ne se confondent pas avec le trajet de
syphilitique amènerait donc se- condairement par histo-lymphite les lésions diffuses des cordons posté- rieurs. Cependant,
observations avec examen anatomo-patho- logique dans lesquelles les lésions ont été causées à notre avis par le processus d
altérations que précédemment. Le cordon latéral présente les mêmes lésions de sclérose. Il existe des lésions des colonnes
ordon latéral présente les mêmes lésions de sclérose. Il existe des lésions des colonnes de Clarke, les fibres sont diminuées
les cellules sont petites. Comme l'a fait remarquer Kattwinkel, les lésions maxima de ces colonnes de Clarke siègent du côté
ns maxima de ces colonnes de Clarke siègent du côté où existent les lésions les plus marquées du cordon latéral. A la partie
A la partie supérieure de la région dorsale, on retrouve les mêmes lésions du cordon latéral, des lésions moindres du cord
égion dorsale, on retrouve les mêmes lésions du cordon latéral, des lésions moindres du cordon postérieur ; les colonnes de
r les coupes précédentes et plus accentuée par comparaison avec les lésions du cor- don postérieur. Au niveau de la régio
gion bulbaire. Les pédoncules étaient normaux. Il n'existait pas de lésions au Marchi (Voir Planche IX). OBs. IV. Fau..., s
e Goll est très nettement sclérosé dans le cordon posté- rieur. Les lésions ont une apparence systématique à la partie inféri
est sclérosé ; la zone cor- nue-commissurale est respectée ; mêmes lésions du cordon latéral (Voir fig. 7). Au niveau de l
tologiquement, les colonnes de Clarke sont normales ; il existe des lésions très accentuées des vaisseaux au niveau de la m
hatiques sont dilatés et qu'ils semblent régler la distribution des lésions . La stase 62 CROUZON lymphatique parait plus
l existe en effet une dilatation du canal central de la moelle. Cette lésion a été rencontrée dans d'autres cas de tabes, de
à notre avis, que confirmer la non-systématisation du processus des lésions . Nous relaterons enfin une observation que nous
e du faisceau pyramidal direct d'un seul côté qui semble liée à une lésion bulbo-protubérantielle dont le siège exact nous
e qu'au-dessus. 4° Cervicale. Même distribution topographique des lésions : la séparation 64 CROUZON du faisceau pyrami
s en avant vers les cordons latéraux. 6e Cervicale. Même aspect des lésions dans les cordons postérieurs et antérieurs ; da
ou pseudo-pyramidale. Les figures 8 et 9 montrent l'existence d'une lésion du faisceau sulcomarginal droit. scléroses comb
e complètement respectées. Le cordon antérieur est indemne de toute lésion . Les cordons latéraux présentent la même sclérose
dans le cordon antérieur que dans les cordons latéraux., Enfin les lésions disparaissent au-dessous du 4° ventricule. ' Le
érance et le pédoncule sont normaux. Le cervelet ne présente pas de lésions . ' , L'écorce cérébrale coupée au niveau des ci
frontales droites et colorée à l'hématéine-éosine n'a montré aucune lésion . De même, le deuxième frontal gauche est normal
s. Les deux premières sont discutables et pourraient être liées aux lésions de la colonne de Clarke : nous croyons néanmoins
néanmoins plus probable qu'elles sont, elles aussi, causées par des lésions méningo- lymphatiques. Nous croyons donc que
ques; qu'elles ne peuvent être expliquées suffisamment que par- les lésions méningées et lymphatiques. La nature de leur pr
le à celui des tabes et la répartition pseudo-systématique de leurs lésions est un argu- ment en faveur des théories qui n'
t en particulier le mouvement du gros orteil dans quel- ques cas de lésions de la voie pyramidale. Les recherches graphique
normal : il a été cependant rencontré chez des malades porteurs de lésions médullaires ou cérébrales (scléroses en plaques
e la cyphose dépend-elle ici d'une action musculaire autant que des lésions articulai- res : l'absence d'ankylose complète
e et des .cyphoses des vieillards, qui ne dépendent pas toujours de lésions verté- brales, mais plutôt de l'affaiblissement
ertaines scolioses sciatiques. Dans le cas prescrit,je crois qu'une lésion au niveau des origines du scia- tique (névrite
ge de la maladie. Si celle-ci n'est pas traitée convenablement, les lésions s'étendent progressivement avec le temps aux au
approprié, évolue vers l'an- kylose par suite de l'aggravation des lésions articulaires ; c'est la période ankylosante, ou
e il s'agit de spondylôse rhumatismale évoluant très lentement, les lésions vertébrales s'accusant encore par des points do
lé intéressant par les symptômes qui ont accompagné l'évolution des lésions pendant la vie et par la multiplicité et la systé
psycho-paralytique (1) et par une partie de ses symptômes et de ses lésions elle semble se rapporter la théorie toxi-infectie
L'état général est médiocre, sans que l'examen somatique révèle de lésion marquée. L'examen du poumon ne décèle rien :
des amas de noyaux. Région motrice droite (partie moyenne). Mêmes lésions plus avancées. Deuxième circonvolution frontale
et un symptôme de localisation (hémispasme facial) ; coexistence de lésions corticales et retentissement dégénératif sur to
cliniques de l'affection et nous essaierons de montrer comment les lésions peuvent expliquer la série des symptômes ; nous
ulièrement silencieuse, ou au contraire comme un territoire dont la lésion donne lieu à des troubles mentauxinten- ses (2)
démence paralytique, d'autant qu'il pouvait y avoir coexistence de lésions diffuses et de symptômes relevant d'une lésion
voir coexistence de lésions diffuses et de symptômes relevant d'une lésion en foyer. Cette analogie clinique totale et non p
symptômes localisés devaient d'autre part faire naître l'idée d'une lésion circonscrite : l'apparition tardive des vomisse-
avation progressive du spasme facial impliquaient l'existence d'une lésion locale. Au surplus, bien que portant sur la total
ocale. Au surplus, bien que portant sur la totalité du facial cette lésion devait être rapportée à un des étages supérieurs
psychique (Lan- nois). Le nombre et la distribution régulière des lésions constatées à la nécropsie devait nous rendre su
hale, soit par la compression au niveau de la capsule ; -, mais les lésions cérébelleuses rendent mieux compte de ces trouble
u corps et de la tête d'un même côté ; si elle se retrouve dans les lésions d'un hémis- phère cérébelleux, elle se trouve é
ablation d'un noyau caudé entraînerait des mouvements de manège, sa lésion légère une raideur des membres opposés et sa de
a dégénérescence croisée du pé- doncule cérébelleux supérieur après lésion du cervelet : cet entrecroise- ment serait tota
oi qu'il en soit, la clinique confirme ces constatations : dans les lésions anciennes des hémisphères cérébraux, on constate
ux, on constate ordinairement l'atrophie croisée du cervelet et ces lésions n'ont pas besoin d'intéresser la couche optique
l'atrophie du corps strié droit et de l'olive bulbaire droite. Ces lésions observées dans notre cas nous ont paru intéress
le de faire re- marquer la disproportion évidente existant entre la lésion du noyau caudé et la dégénération du cervelet e
e, preuve de relations ana- tomiques importantes. Telles sont les lésions primordiales et l'explication des symptômes que
tu- meur comprime, détruit et irrite; nous constatons en effet des lésions in- flammatoires marquées dans la région de la
ais, de plus en plus, l'attention est attirée vers l'association de lésions portant sur une large surface des mé- ninges ou
lasmes. Si les auteurs n'ont pas in- sisté depuis longtemps sur ces lésions inflammatoires associées à l'évolu- tion des né
te existence (Nothnagel). Déjà Baillarger (3) cite l'association de lésions méningitiques diffuses avec adhérences corticales
de lésions méningitiques diffuses avec adhérences corticales à des lésions néoplasiques ; Lind signale ces mêmes lésions s
nces corticales à des lésions néoplasiques ; Lind signale ces mêmes lésions sur l'hémisphère opposé ; Bouveret (4) insiste
ur i-olandique , Klippel (5) Saqui (6) montrent l'importance de ces lésions secondaires dans l'évolution clinique des tumeurs
yers de ramollissement facilement expli- cables, mais un maximum de lésions inflammatoires vraies. Joffroy et Gombault (7)
action, mais ne cor- respond ni à une même cause pathogène ni à une lésion unique. Il arrive qu'une encéphalite inflammato
lite inflammatoire apparaît il titre d'infection secondaire sur des lésions atrophiques et dégénératives des éléments nerveux
léments nerveux qui ont été pour elle comme un point d'appel. Ces lésions secondaires deviennent la cause immédiate d'un ce
ingo-encéphalites chroniques (3) dont au surplus ils traduisent les lésions constatées. Le cerveau gauche et le cervelet dr
eau gauche et le cervelet droit de notre observation présentent des lésions à caractère inflammatoire plus aigu que les hémis
aigu que les hémisphères op- posés sur lesquels, au contraire, les lésions atrophiques dominent : ces lésions atrophiques
sur lesquels, au contraire, les lésions atrophiques dominent : ces lésions atrophiques seraient peut-être la première manife
on de la présence de la tumeur, la seconde étant constituée par des lésions plus récentes de méningo-encéphalite. En ce q
tes de méningo-encéphalite. En ce qui concerne la pathogénie de ces lésions surajoutées sur la na- ture desquelles on est p
es. Tirant leurs conclusions de l'analogie de ces troubles avec les lésions et les symptômes des toxi-infections (urémie, d
ence à titre de corps étranger irritatif ou toxique a déterminé des lésions méningo-encéphali- ques qui se sont traduites p
es coupes pratiquées à des hauteurs diverses montrent partout la même lésion , c'est-à-dire une atrophie blanche très visible
is le myocarde est mou et de couleur feuille morte. Il n'y a pas de lésions valvulaires. Dans la plèvre droite : épanchemen
oit. - Quelques cicatrices d'infarctus. Il ne semble pas y avoir de lésions de néphrites. Examen HIICt30SCOPIQUE. - Techniq
ie intense correspondant au noyau de Goll est très scléro- sée ; la lésion est au contraire très minime dans la partie exter
l, des fibres arciformes, du faisceau solitaire, et des olives. Ces lésions se retrouvent sur toute la hauteur du bulbe. Mo
insi que des racines antérieures. Dans la moelle dorsale, les mêmes lésions se poursuivent. Cependant la sclé- rose du fais
rieur, on ne retrouve que quelques rares cylindraxes disséminés. Les lésions des faisceaux pyramidaux croisés et des faiscea
veau du bulbe une sclérose légère des pyramides extérieures, et des lésions très accentuées des noyaux des XIIIe, Xe et XII
eich ; par sa marche, par son évolution, par ses symptômes, par les lésions constatées à l'autopsie, elle se rapproche de tou
de l'audition. On a bien signalé dans la maladie de Friedreich des lésions valvulaires d'origine congénitale, ou de l'aryt
ques et auditifs pouvaient déjà faire penser, pendant la vie, à des lésions bulbaires plus accentuées que l'on n'en trouve gé
deux moignons de l'épaule et d'un battement des ailes du nez. Les lésions cérébrales sont également extrêmement rares dans
ié à l'autopsie. C'est à ce ramollissement qu'il faut rapporter les lésions des pyrami- des antérieures que nous avons obse
oisement des pyramides. Le bulbe présente donc, dans notre cas, des lésions multiples, très ra- res dans la maladie de Frie
ordinairement que la sclérose des noyaux de Goll et de Burdach. Ces lésions ont deux origines : la lésion des pyramides ant
es noyaux de Goll et de Burdach. Ces lésions ont deux origines : la lésion des pyramides antérieures est d'origine descendan
'origine descendante, produite par le ramollissement cérébral ; les lésions des noyaux de Goll et de Bur- dach, des corps r
même que l'arythmie si particulière qu'a présentés notre malade. La lésion de la Xe paire permet d'expliquer également les
gique du coeur, quoiqu'il nous manque malheureusement la preuve des lésions des ganglions intracardiaques et du tronc du pn
mais qui devaient certainement être touchés. Il n'est pas jusqu'aux lésions du rein et du foie, que l'on puisse rattacher, so
l'innervation pneumogastrique. Enfin nous n'insisterons pas sur les lésions de la moelle, qui sont les lésions classiques d
n nous n'insisterons pas sur les lésions de la moelle, qui sont les lésions classiques de la maladie de Friedreich : gracilit
nette des racines postérieures ainsi que d'un ganglion radiculaire, lésions que tous les auteurs qui les ont cherchées, ont
avec des particularités rares et intéressantes, en particulier des lésions céré- brales et bulbaires étendues, qui permett
se de Paris 1899-1900, que, en outre des symptômes habituels et des lésions constantes, la symptomatologie et l'anatomie pa-
musculaire. Soit du fait de la fièvre, des infections, du fait des lésions des yeux, du poumon, du coeur, soit du fait des
ont connexes par loi de corrélation fonctionnelle ; soit du fait de lésions chirurgicales, etc., il résulte toujours que l'
rganes ou des centres nerveux qui les commandent, on observe que la lésion plus évidente et directe est celle de la fonction
ERGOTHÉRAPIE ET PSYCHOTHÉRAPIE 137 Ions pyschopathies, à côté de la lésion intellectuelle - je veux dire celle de l'écorce
aintenus et persistent. C'est précisément sur ce contraste entre la lésion très grave de la fonc- tion corticale comparée
l'organisme' jeune ; on ne soigne que tout à fait accessoirement la lésion pulmonaire par elle- 138 BIANCHINI ' même pui
quel- que effet moteur (James) ». Chez les aliénés il existe une lésion de l'intelligence ; toutefois, au dehors des ca
ionner, mais parce qu'il « fonctionne mal », parce qu'il existe une lésion de sa fonction normale. De même chez les fous l
ent ERGOTHÉRAPIE ET PSYCHOTHÉRAPIE 141< psychique est vain. La lésion mentale est inguérissable; mais elle permet à l
ts sont réfractaires au travail. La cellule nerveuse qui a subi une lésion peut-être depuis la vie intra-utérine est tout à
n'est plus possible à atteindre d'une façon spontanée à cause de la lésion mentale. Il doit être provoqué par l'aliéniste
ces oedè- mes des causes précises et une localisation spéciale des lésions . C'est ainsi que Parhon place les lésions qui p
localisation spéciale des lésions. C'est ainsi que Parhon place les lésions qui provoquent l'oedème chez les hémi- plégique
dans sa partie interne : Ces oedè- mes seraient donc réglés par la lésion nerveuse. Mais à côté d'eux, il reste un groupe
signes de congestion et de néphrite interstitielle. Il existait des lésions cérébrales étendues, des foyers multiples de ra
re inférieur fut aussi atteint d'oedème. L'autopsie révéla bien des lésions du myocarde et une destruction du rein gauche p
un oedème de cause nerveuse. M. Gombaut le rattache du reste à une lésion du lemniscus et du champ moteur. 186 LOEPER E
vons observés chez les hémiplégi- ques nous semble expliquée par la lésion cardiaque et la lésion rénale, il n'en est pas
hémiplégi- ques nous semble expliquée par la lésion cardiaque et la lésion rénale, il n'en est pas moins intéressant de re
t Courtelle- mont, de Gombaut, le cas de Gilbert et Garnier, que la lésion nerveuse pro- voque seule l'oedème ou le pseudo
ulie. \ Mais si les mêmes infiltrations peuvent apparaître dans les lésions organiques du cerveau, il est certain qu'elles
s y sont beaucoup moins fré- quentes et moins typiques que dans les lésions organiques et autres de la moelle et des nerfs
traumatisme, un refroi- dissement,ajouter son action à celle de la lésion nerveuse elle-même et faire apparaître cet oedè
. 11 est vraisem- blable que le malade, cardiaque ou rénal, dont la lésion était assez bien compensée, n'eût pas fait d'oe
z bien compensée, n'eût pas fait d'oedème sans l'intervention de la lésion ner- veuse : celle-ci, par le trouble nouveau q
e est d'autant plus intéressant qu'il peut mettre sur la voie d'une lésion rénale ou cardiaque jusque-là latente, ou réduite
les ascendants ma- ternels sont vivants, en bonne santé, exempts de lésions de la peau. Antécédents personnels. Le quatrièm
tranchée. Au cours de ce travail qui avait pour principal objet les lésions radi- culaires et ganglionnaires du tabes nous
aM'es e< .çannoH- (1) dM Thomas et GEORGES HAUSER, Etude sur les lésions radiculaires et ganglion- naires du tabes, Nouv
ructure et son aspect normaux, il est cependant parfois le siège de lésions trophiques, et d'ailleurs, à défaut t de lésion
arfois le siège de lésions trophiques, et d'ailleurs, à défaut t de lésions anatomiques, il est légitime de supposer que sa f
n de chaque procédé nouveau pose une fois de plus la question de la lésion cellulaire. La plupart des investigations faite
la porte ouverte au doute : dans le cas où elles sont légères, ces lésions peuvent tout aussi bien être en rapport avec la
s, plus grossières, qui ont le plus souvent permis de constater des lésions dans les ganglions rachidiens des tabétiques, et
grâce à l'emploi de méthodes semblables que nous avons observé les lésions que nous décrirons plus loin. Cette méthode n'e
e 1903. Examen anatomique. A l'examen macroscopique on constate les lésions caractéristiques du tabes et plusieurs ganglion
t épaissie. , Ganglions dorsaux (3 ganglions ont été examinés). Les lésions sont peu près les mêmes. Sur l'un de ces gangli
ion cervical est également très intéressant, on y trouve de grosses lésions des éléments nerveux et du tissu interstitiel. Un
générale. Examen ANATOMIQUE. - A un simple examen macroscopique les lésions du tabes sont manifestes. En raison du mode spé
sacrés (2° sacré droit, 2° sacré et 3e sacré gauches) on trouve des lésions analogues, mais un peu moins prononcées ; il y a
ont moins fibreuses et le tissu interstitiel est moins épaissi. Les lésions vasculaires sont également plus légères et ce qui
aucoup moins malade que les ganglions lombaires et sacrés, mais les lésions y sont de même nature. Les racines postérieures
La capsule des ganglions n'est pas en général très épaissie. Ces lésions varient un peu suivant le ganglion examiné. Sur t
possible que l'on se trouve en présence d'une hétérotopie. Ici les lésions prédominent très nettement à la périphérie du gan
à myéline qui y prend naissance. Dans le 2° ganglion sacré gauche les lésions sont un peu moins accusées, mais très analogues
volumineuses qu'à l'état normal, elles sont élargies, gonflées. Les lésions sont en général plus marquées à la circonférenc
examinés, deux à la région dorsale, deux à la région lombaire. Les lésions sont ici minimes : on distingue bien quelques c
enu hyalin. Sur le ganglion qui a été coupé perpendiculairement les lésions sont ana- logues, mais cependant moins accusées
gion lombaire. Les ganglions examinés sont inégalement malades. Les lésions sont plus intenses dans le 3e ganglion lombaire g
rares. Le tissu conjonctif interstitiel n'est pas très épaissi. Les lésions sont également accusées à la circonférence et au
ntre des ganglions. Dans les deux autres ganglions lombaires, les lésions sont très comparables, mais un peu moins accusé
al du ganglion. Le lue ganglion dorsal présente le même aspect, les lésions y sont un peu moins avancées : il manque moins
le central du ganglion et dans leur trajet sus-ganglion- naire. Les lésions cellulaires sont en quelque sorte réduites à leur
on peut conclure qu'elles sont légères. IV. ETUDE d'ensemble DES lésions . Nous n'insisterons pas sur les lésions des fib
IV. ETUDE d'ensemble DES lésions. Nous n'insisterons pas sur les lésions des fibres radiculaires, ce point ayant été suf
phiées et que la durée de la maladie a été plus longue. De même les lésions sont presque toujours plus intenses dans les ga
ossissement pour se rendre compte du caractère le plus constant des lésions cellulaires. Il est difficile sur coupe longitu
u tissu fibro-hyalin. Après la réduction du nombre des cellules, la lésion la plus importante est l'atrophie de la cellule
on des éléments nucléaires de la capsule. - En haut à gauche : même lésion , cellule réduite à un amas de pigment. Hyperplasi
ifications nucléaires et d'en envisager la valeur pathologique. Les lésions du tissu interstitiel et des vaisseaux sont varia
teintes d'une part et la prolifération du tissu interstitiel et les lésions vasculaires d'autre part ; celles-ci ont peu ou p
ence, il n'en est pas ainsi, et il semble même, dans les cas où les lésions cellulaires sont le plus accusées, qu'elles le
es cellules disparues ou atrophiées. V. Interprétation. Parmi les lésions qui ont été décrites précédemment il en est qui s
e produite par les altérations des vaisseaux. Ainsi envisagées, ces lésions cellulaires ne peuvent pas être regardées comme
es, ces lésions cellulaires ne peuvent pas être regardées comme des lésions banales : on peut discuter sur leur : \nl 1 ? 2
s par plusieurs auteurs et quelques-uns, parmi. eux, ont décrit des lésions du ganglion rachidien très analogues à celles q
aussi une position excentrique. En outre, même quand il existe des lésions considé- rables du ganglion, le nombre des cell
les résultats fournis par cette méthode. En somme, de toutes les lésions qui ont été relevées par ceux qui ont étudié le
ellules étaient atteintes de dégé- nérescence graisseuse. C'est une lésion inconstante et non spécifique : elle a été sign
beaucoup moins prononcée; on en a conclu qu'il s'agissait là d'une lésion cadavérique. Cette interpréta- tion ne paraît p
lus fins et les grosses houles de graisse. En ce qui concerne les lésions nucléaires, et en particulier l'homogéni- satio
grave de la cellule; d'après Mar- (1) VA-; Gehuchten et NELIS, Les lésions histologiqtles de la rage chez les animaux et c
ou de repos fonctionnel de la cellule, et plus souvent encore à une lésion cadavéri- que ; en tout cas, elle a été décrite
auteur, au cours d'embolies expérimentales, put obtenir de grosses lésions des ganglions spinaux qui avaient eu pour consé
rguments le premier seul parait avoir une valeur indiscutable : les lésions cellulaires ne sontpas constantes ou elles ne son
antes. Mais il reste en tout cas un fait bien établi, c'est que ces lésions existent, qu'elles ont été observées par plusieur
, elles faisaient défaut ou elles étaient minimes, mais lorsque ces lésions LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACIIIDIEN 333 so
aire ont invoqué, pour expliquer la dégénérescence des racines, des lésions méningées ceux-ci à la sortie du ganglion, ceux-l
nous semble beaucoup plus discutable ; il revient à dire ceci : les lésions cellulaires ne doivent pas, ne peuvent pas existe
l'anatomie normale et la physiologie s'y oppo- sent. Rechercher les lésions ganglionnaires du tabes avec des idées aussi pr
s tabé- tique ; ne retenons, encore une fois, que ce seul fait : la lésion de la cel- lule amenant son atrophie ou sa dési
que nous avons employées ne sont pas suffisantes pour dé- celer les lésions fines des cellules nerveuses, mais elles le sont
sectionné. En réalité, nous ne sommes pas en état d'affirmer si les lésions \cellù'M laires du ganglion tahétique sont prim
été en général délaissée et qu'il est nécessaire de rechercher ces lésions dans un grand nombre d'affections avant de conc
les radiculaires. Enfin nous sommes en droit de nous demander si la lésion anatomi- que qui aboutit à l'atrophie ou à la d
tions cellulaires dans les ganglions rachidiens des tabétiques. Ces lésions consistent principalement en un pro- cessus d'a
.de ces limites, la moelle était absolument intacte. Le maximum des lésions , qu'on voit dans le VI" segment, répond au siège
lus ou moins achromatiques. Au-dessous du siège de la fracture, les lésions médullaires disparaissent extrêmement vite. Alo
ns postérieurs. Par contre, au-dessus du siège de la fracture, les' lésions médullaires se prolongent beaucoup plus qu'au-d
rs le Vle segment cervical de la moelle. On constate le maximum des lésions : aplatissement de la moelle dans le sens antéro-
s hémorrhagies, l'examen histologique nous a montré trois ordres de lésions : des lésions congestives et inflammatoires, des
, l'examen histologique nous a montré trois ordres de lésions : des lésions congestives et inflammatoires, des lésions du can
ordres de lésions : des lésions congestives et inflammatoires, des lésions du canal épendymaire, et des lésions des cellul
estives et inflammatoires, des lésions du canal épendymaire, et des lésions des cellules nerveuses. Les lésions congestives
du canal épendymaire, et des lésions des cellules nerveuses. Les lésions congestives légères, consistant en hyperémie des
ent, aboutissant plus bas à des hémorrhagies périvasculaires. Les lésions inflammatoires, à peine appréciables à la réunion
ndymaires et périépendymairesdans les Ille et IVe segments. ' Les lésions des cellules nerveuses, étudiées par la méthode d
ents, où l'on voit toutes les transitions de l'une à l'autre de ces lésions . Ainsi, dans la corne antérieure droite sans hémo
e Brown-Séquard, Loi de Scher- rington), puisque, si le maximum des lésions siège dans le VIe segment médullaire, des lésio
si le maximum des lésions siège dans le VIe segment médullaire, des lésions existent déjà, profondes, dans le Ve et plus légè
(8) a trouvé, dans un cas d'hématomyélie cervicale traumatique, des lésions de chromatolyse très accentuée des cellules ner
es par l'expérience de Vulpian (2). Nous en pouvons conclure qu'une lésion médullaire localisée comme celle que nous étudi
2 si tifs. Néanmoins, si les vaso-moteurs cutanés sous-jacents à la lésion ont recouvré leur équilibre, les répercussions
centres solaires montre que les cellules ner- veuses présentent des lésions , à la vérité en partie réparables, mais diffu-
rieure de la moelle dorsale. Nous serions donc ici en présence de ces lésions nerveuses à distance qui démontrent, mieux que
tisme ambulatoire, en collaboration avec A. Fournier et Kohne. La lésion médullaire de l'ostéite déformante de l'aget, en
e, myasthénie grave pseudo-paralytique et para- lysie bulbaire sans lésions anatomiques », est un état morbide, clinique- m
matin, en se levant. PARALYSIE D1YASTllÉ\IQUG 'i71 1 1900. - Les lésions parétiques se présentent plus intenses à l'oeil d
signe de Romberg, etc.). Les opiitalmoplégies syphilitiques, par lésion encéphalique ou basilaire, en dehors des donnée
paralysie de la VIe paire droite, du nys- lagml1 bilatéral : aucune lésion du fond de l'oeil, pas de troubles des sphinc-
être rattachés qu'à une compression des divers troncs nerveux; une lésion centrale d'abord ne serait pas aussi strictemen
est l'image radiographique des mains. Nous y retrou- vons les mêmes lésions d'exostose et d'ostéite raréfiantes, surtout loca
tteints. (Pl. XXXIX.) Les phalanges des auriculaires présentent des lésions avancées d'ostéite raréfiante, les phalangines
niveau du tibia et de la malléole sont habituelles, la présence de lésions spécifiques des os de la main sont une rareté,
ate rachitique nous sem- ble devoir être rejetée, et l'analogie des lésions digitales avec les lésions tibiales doit faire
ble devoir être rejetée, et l'analogie des lésions digitales avec les lésions tibiales doit faire admettre pour les deux une
n XVII i is 282 rose strictement unilatérale et l'extension des lésions nerveuses intra-crànien- nes, ensuite par les d
rareté des ostéopathies spécifiques digitales. Qu'il s'agisse de lésions spécifiques, et uniquement spécifiques, ceci ne
élargi. Main gauche : Au niveau de la main gauche s'observent des lésions identi- ques consistant également en diminution
re particularité réside enfin dans la bilatéralité, la symétrie des lésions pour ainsi dire calquées l'une sur l'autre. Enf
générescence du faisceau de Goll dans sa partie postérieure. Pas de lésions dans la zone de Lissauer. La subs- tance réticu
es se trouvent dans un état d'atrophie au plus haut degré. Avec ces lésions tellement prononcées, concorde ce fait que le con
Les cellules dans la base des cornes antérieures ne présentent pas de lésions .* Les fibres des cornes postérieures apparaisse
est beaucoup mieux conservée. Dans les parties plus élevées, cette lésion devient de moins en moins marquée. Dans les cou
e la zone de Lissauer qui est raréfiée et au-dessus il n'y a pas de lésion . Dans les coupes de la région sacrée supérieure e
voisinage de la substance grise. - La région D5 ne présente aucune lésion du côté du cordon de Burdach, tandis que celui
surtout marquée dans les deux tiers postérieurs de ce cordon. Cette lésion , tout en devenant plus intense, ne change pas d'é
de nouveau une raréfaction dans la zone radiculaire moyenne. Cette lésion devient de plus en plus intense, de sorte que d
s avons rencontrées dans la région dorsale moyenne indemne de toute lésion . Cordons antéro-laidi-aux. - Région sacrée supé
l croisé montre dans cette hauteur une raréfaction. La forme de ces lésions reste la même dans tout le reste de la moelle dor
du cordon de Gowers. Dans les parties plus élevées de la moelle les lésions restent les mêmes dans les cordons antérieurs e
saines, de sorte qu'au niveau de G4 ce faisseau ne présente aucune lésion . C'est seulement d'un côté de la moelle qu'on t
partie' antérieure se pré- sente seulement raréfiée. Par contre la lésion du faisceau cérébelleux direct, après avoir pre
ion si UNE FORME D'nÉRÉnO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 299 accentuée de la lésion du cordon de Gowers, ni enfin de la réapparition
Burdach), mais le reste des cordons postérieurs ne présente pas de lésions appréciables. L'espace triangulaire limité par
ulaire, de même que les fibres intraolivaires, ne présentent pas de lésion . 300 RYDEL Les olives, quoique normales, prés
Comme la moitié postérieure du bulbe est principalement le siège des lésions , c'est aussi dans cette moitié, que l'atrophie
la partie postérieure de la substance réticulaire et du raphé, les lésions des olives et de leurs fibres, de même que la s
ubérance normale. Au-dessus de la protubérance, on ne trouve pas de lésions appréciables. Le cervelet est beaucoup plus pet
plus touché. Dans la moelle on trouve une ressemblance complète des lésions : le faisceau cérébelleux direct et celui de Gowe
dégé- nérés, de même que les cordons postérieurs, dans lesquels la lésion porte principalement sur les cordons de Goll. L
hie des cellules et une raréfaction des fibres. Enfin on trouve une lésion des fibres ponto-transversales, surtout dans leur
rieures et une sclérose de la substance réticulaire. Ainsi toutes les lésions principales se répètent avec une stéréotypie co
e du cervelet ; ni cliez son frère ni chez sa soeur on ne trouve de lésions analogues. Il nous semble qu'il faut, en présen
oins marquée, mais ne faisant défaut dans aucun de ces cas, par les lésions dans le domaine du bulbe et de la protubérance
cas de la maladie de Friedreich. - -- Nous pensons aussi que les lésions dans les cornes antérieures plaident plus tôt d
lui de Menzel (3). Nous voudrions enfin attirer l'attention sur les lésions des cornes anté- rieures et par excellence des
rouvées chez les trois membres de la famille Hand... Cette sorte de lésion , quoique loin d'être constante dans les autopsi
par MM. Greculees et Parvis (9). M. Mackey (10) décrivant la même lésion dit qu'elle était surtout pro- noncée dans le g
d....). Il suffit de ces quelques exemples pour démontrer que cette lésion , surtout étant donné le petit nombre des autops
lesquels il y avait une atrophie musculaire due certainement à des lésions médullaires. Hunter (3) trou- vant une paralysi
ques citées plus haut, on est obligé de voir une relation entre les lésions des cornes antérieures et les troubles de la mo
autopsies de l'ataxie héréditaire, ces troubles musculaires et ces lésions des cellules ganglionnaires nous paraissent êtr
te étonné, en parcourant la littérature considérable qui traite des lésions spinales et des théories pathogéniques du tabes,
- glionnaires peuvent d'ailleurs s'atrophier de la même façon après lésion des extrémités terminales des fibres, après alt
proportion avec celles que l'on doit s'attendre à trouver après une lésion quelconque du nerf optique depuis son origine j
ne présente aucun stigmate de la grande névrose. Faut-il penser une lésion organique ? la question est difficile à ré- sou
ver 1902 ; le malade a commencé à tousser, et on a alors trouvé des lésions pulmonaires des sommets qui se sont développées
uatre heures après la mort. A l'ouverture du thorax on constate des lésions de tuberculose pulmonaire ; les deux poumons re
au sommet plusieurs cavernules ; à la partie moyenne il existe des lésions de broncho-pneumonie pseudo-lobaire tuhercu- (1
s dis- séminées. L'encéphale présente macroscopique ment déjà des lésions très accentuées d'encéphalite aiguë hémorrhagiq
d'encéphalite aiguë hémorrhagique ; la description minutieuse de ces lésions vient de faire l'objet d'une étude de l'un de n
rfs périphériques, ne présente au point de vue macroscopique aucune lésion visible. - Etat des muscles. - A la dissection
à l'atrophie, mais celle-ci n'est pas uniformément répartie ; si les lésions semblent d'intensité égale dans les muscles hom
le grand droit. Nous donnerons d'abord une description générale des lésions observées, puis nous exposerons comment elles s
rt grossissement, on peut distinguer dans le muscle, deux ordres de lésions : les unes portent sur l'élément parenchymateux,
nctif et adipeux, les vaisseaux et les nerfs intra-musculaires. 1 Lésions des fibres musculaires. - Les fibres musculaires
eur fourni par le microscope. La fibre musculaire présente d'autres lésions parenchymateuses' Un carac- tère qui frappe imm
s. Disons immédiatement que l'examen à un fort grossissement de ces lésions permet de les distinguer d'une manière certaine d
nu. En tout cas, c'est au niveau des insertions tendineuses que les lésions musculaires sont à leur maximum. Lésions du t
ions tendineuses que les lésions musculaires sont à leur maximum. Lésions du tissu conjonctivo-vascutai1'e. - Le tissu inte
res sont en général intacts, toutefois certains présentent quelques lésions de dégénérescence granulo-graisseuse, ils sont en
n aiguë ou subaiguë. Voyons maintenant comment sont réparties ces lésions dans les différents muscles. Au niveau du tro
ans les différents muscles. Au niveau du tronc, l'atrophie et les lésions scléro-adipeuses sont à leur maximum dans tous
si quoiqu'à un moindre degré dans les muscles des extrémités. Les lésions sont un peu moins prononcées dans les muscles des
x groupes de muscles. C'est dans les muscles des extrémités que les lésions sont le plus légères ; l'adipose y est très peu
t moelle, et sur les nerfs périphériques. Nous ne décrirons pas les lésions encéphaliques; les lésions observées sont celle
périphériques. Nous ne décrirons pas les lésions encéphaliques; les lésions observées sont celles de l'encéphalite aiguë, e
segment médullaire qui, comparé aux autres segments, présentât des lésions prédominantes ; de même, dans chaque seg- ment
Les cellules des cornes antérieures de la moelle ne présentent pas de lésions de chromatolyse, pas de rupture des prolongemen
comparant avec une moelle d un sujet du même âge. En tout cas, ces lésions ne ressemblent nullement à celles de la scléros
léger épaississement de la trame conjonctivo- vasculaire, mais sans lésions de sclérose névroglique dilfuse ou systématisée.
ns fait du vivant du malade : il s'agit bien d'une myopathie. Les lésions médullaires que nous avons constatées sont tout à
ns la production de l'atrophie musculaire. Du côté des nerfs, les lésions un peu plus importantes, ne peuvent in- firmer
c'est un simple épaississement de l'endonèvre ; en aucun point, les lésions ne sont proportionnelles sous le rapport de l'in-
proportionnelles sous le rapport de l'in- tensité avec les grosses lésions des muscles. Nous sommes donc en présence d'une
d'ailleurs préjuger s'il s'agit dans ce dernier cas d'une véritable lésion ou bien d'une hypertrophie compensatrice. Un
par Krôsing n'intervient pas pour une part dans la constitution des lésions . En effet, sur des coupes perpendiculaires, on
par des lits de vésicules adipeuses. Ces bandes fibreuses FlG. 1. Lésions parenchymateuses diverses de libres musculaires c
pas d'ailleurs oublier que le malade est mort cachectique, avec des lésions tuberculeuses du poumon, et c'est là une raison
pour ne voir dans cette dégénérescence granulo-grais- seuse qu'une lésion contingente. Ce sont la, question d'histologie fi
en dehors du foyer hémorragique sus-mentionné, ne décelaient aucune lésion grossière au niveau des noyaux centraux. Seuls le
ment aug- mentant de nombre et de volume, au sur et à mesure que la lésion va s'accen- tuant (Pl. XDX, B). De cette façon
tude histologique ne décèle pas plus que l'examen macroscopique des lésions grossières du tissu nerveux environnant les forma
on. Tout cela signifie vraisemblablement, que dans le mécanisme des lésions désin- tégratives du tissu nerveux juxta-vascul
es lésions désin- tégratives du tissu nerveux juxta-vasculaire, les lésions de perméabi- lité de la paroi vasculaire peuven
tissu environnant, si on admettait, avec quelques auteurs, que les lésions du tissu périvas- culaire dans la sclérose et l
les parois vasculaires (1). En conclusion, nous avons affaire à une lésion fort peu banale et qui prête, comme nous venons
ogique de l'amaurose tabétique ont localisé dans le nerf optique la lésion origi- nelle du processus. Ce n'est qu'il une d
es opinions ont été émises sur la forme, la nature et l'origine des lésions de l'atrophie optique du tabes : les uns placen
ns de l'atrophie optique du tabes : les uns placent l'origine de la lésion dans la rétine, d'autres dans le nerf optique ;
s nerfs d'un certain nombre de sujets soit normaux soit atteints de lésions quelconques des yeux, mais sans atrophie optique.
. (j est clans le nert optique que nous avons assurément trouvé les lésions les plus caractéristiques de l'amaurose tabétiq
stiques de l'amaurose tabétique. Nous étudierons successivement les lésions de la portion orbitaire du nerf et celles de la
sur lui-même par suite de la disparition des fibres nerveuses. Ces lésions sont-elles spéciales à l'atrophie tabétique des n
e nerf optique et dans le tabes ? Nulle- ment, ce nous semble ; ces lésions sont celles de toute sclérose syphili- tique, d
l'évolution du tissu scléreux, c'est l'importance considérable des lésions d'endo-et de périphlébite, et surtout celle des l
erte, d'ailleurs in- complète, de la vue, le cerveau présentait les lésions les plus nettes de la paralysie générale. - On
i : obj. 8. k) Portion d'un nerf optique atrophié à la suite d'une lésion d'origine externe : obj. 8. - Les fibres nerveu
e signe de tabes (Turb...). - Nombreu- ses fibres restantes ; mêmes lésions méningées et vasculaires que dans le tabes- céc
ent dans le nerf à très peu de distance de la surface. La véritable lésion syphilitique des fins vaisseux est unique- ment
t l'atrophie ou la dégénérescence des éléments qu'il contient. La lésion vasculaire est certainement suffisante à elle seu
pour ainsi dire totalement privés de vaisseaux. Mais du fait que la lésion interstitielle explique l'atrophie des fibres o
x, elle ne permet cependant pas d'en éliminer la possibilité. Les lésions de l'amaurose tabétique se localisent surtout au
généraux sans cécité nous a révélé dans plusieurs cas l'origine des lésions : dans la plupart des cas ces lésions de début
s plusieurs cas l'origine des lésions : dans la plupart des cas ces lésions de début siégeaient à la périphérie du nerf, oc
mieux à ce que l'histologie nous a appris sur la loca- lisation des lésions . Les lésions que nous venons de décrire dans le
l'histologie nous a appris sur la loca- lisation des lésions. Les lésions que nous venons de décrire dans le nerf des tabét
ttent au- jourd'hui de les en distinguer. Ce sont aussi ces mêmes lésions que nous avons retrouvées dans la para- lysie g
e 372 mut il 18 paralytiques généraux, nous avons pu observer les lésions de début de l'atrophie optique dans plusieurs c
cité paralytique presque complète nous avons trouvé aussi les mêmes lésions que dans le tabes amaurotique avancé. En examin
e, hémiplégie, méningite corticale), nous avons trouvé une fois une lésion très limitée de la péri- phérie de l'un des ner
e de tabes, était aveugle depuis 7 ou 8 ans (nerf de Turbe...) : la lésion était étendue à toute la corticalité du nerf, sur
générale, ou qu'elles se présentent comme loca- lisation isolée, la lésion première est la même : il s'agit d'inflammations
nement vacuolaire spécial ; il est bien probable que dans ce cas la lésion avait évolué entière- ment dans une partie plus
.., de Ga- ra... p. ex.). En résumé, dans tout le nerf optique la lésion de l'amaurose tabétique est une névrite interst
diatement en arrière de t'oeit.La distribution périvascu- laire des lésions , leur prédominance ordinaire,mais non forcée, à l
peuvent se creuser primitivement dans la moelle sous l'influence de lésions vasculaires et qu'elles peuvent être ultérieure
ne réaction inflammatoire secondaire ». Ce processus nouveau où les lésions vasculaires occupent le pre- mier rang, et où l
région abdominale. La mort survint en 1903. AUTOPSIE. - ÉTUDE DES LÉSIONS . L'autopsie fut pratiquée 24 heures après la mo
paraffine. A un faible grossissement on reconnaît l'existence d'une lésion à tendance cavitaire, s'étendant depuis la régi
veloppée qu'on envisage des niveaux plus élevés de la moelle. Cette lésion se limite dans la région lombaire et dorsale, a
anter jusqu ? ) la base de la corne antérieure. Un peu plus haut la lésion , tout en conservant la même forme et la même dire
gement qui un peu plus haut ap- paraît isolé et comme détaché de la lésion de la corne. Les coupes du 2e seg- ment dorsal
a lésion de la corne. Les coupes du 2e seg- ment dorsal montrent la lésion atteignant et pénétrant la corne antérieure , (
n. Cette coupe représente la corne antérieure droite envahie par la lésion . Les feuillets conjonctifs écartés par l'interp
loration au picro-carmin. Cette figure correspond à la partie de la lésion qui, sur le schéma de la page 380 (lig. b). se
par l'interposition de vaisseaux. Un manchon névrogliquc sépare la lésion du tissu sain des comluns postéiieurs. Remarquer
à peu près indemne est atteint à partir de la 6e cervicale, par une lésion qui semble le prolongement de celle du côté gau
toute la région cervicale supérieure c'est ainsi que se présente la lésion qui imprime ici à la coupe de la moelle la déform
ures. Quant aux troubles de la sensibilité ils s'expliquent par les lésions correspondantes des cornes posté- rieures et mê
mites radiculaires de l'anesthésie se juxtaposant à l'étendue de la lésion médullaire sont une nouvelle preuve que la proj
s régions innervées par les segments de la moelle sous-jacents à la lésion , démontre que la destruc- tion de la corne post
ni dans l'ensemble et l'as- 382 TUOMAS ET HAUSER pect général des lésions , rien qui diffère beaucoup de ce qui appartient à
pique. Il en va tout autrement des caractères histolo- giques de la lésion , que nous allons maintenant étudier. Examen his
giques intéressants pour comprendre la nature et l'histogenèse des lésions . Di- sons immédiatement que la description que
ans les régions inférieures où l'on peut, croyons-nous, considérer la lésion comme plus jeune, tout peut se réduire à l'exis
tivo-vasculaire qui, pour constituer à de certains niveaux tonte la lésion , n'en existe pas moins à peu près partout à côté
su nerveux au sein duquel ils paraissent comme inclus. Telle est la lésion fondamentale : conjonc- tive, car elle est prin
mem- branes, les cloisons sinueuses et gaufrées qui constituent la lésion primitive. Mais il est non moins évident qu'il
ation lacunaire. Telle est dégagée des altérations de voisinage, la lésion primitive de la moelle. Autour d'elle que devie
l ne s'agit que de minces tractus fibro-élastiques. Mais lorsque la lésion a perdu son activité, et tel semble être le cas à
les se trouvent à la longue refoulés et détruits au voisinage de la lésion . C'est ainsi NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈ
eur situation normale. Cette étude, en quelque sorte analytique des lésions essentielles et secondai- res, va nous permettr
tituer l'évolution du processus et pour en finir avec l'analyse des lésions , il nous reste à indiquer celles qui peuvent exis
et de pigments. Essayons maintenant d'élucider le mécanisme de ces lésions et de retrou- z ver les étapes du processus. Il
retrou- z ver les étapes du processus. Il nous paraît acquis que la lésion fondamentale, malgré les dissemblances des régi
encore en relief leur influence, c'est la topographie même de notre lésion . On ne peut manquer d'être frappé de ce fait, q
sse- ment des cavités. Il se peut encore que la zone qui entoure la lésion primitive et qui est le siège d'uue hyperplasie
e nous ne sommes en mesure de nous prononcer ni sur la nature de la lésion , ni sur la cause primitive qui la commande. Sans
n, ni sur la cause primitive qui la commande. Sans doute est-ce une lésion inflammatoire du vaisseau, et non une tumeur vasc
' 389 de l'adventice et l'action irritative et destructive que ces lésions exercent sur les tissus nerveux voisins forment
dont l'adventice surtout est hyperplasiée. En certains points où la lésion est particulièrement végétante (PI.LVI, fig. B) l
e que l'épanouissement de l'une d'elles. Fentes et cavités sont des lésions de même nature, en continuité directe, indépendan
endyme est normal. La comparaison de ces deux régions montre que la lésion prend naissance à ia périphérie et pénètre dans
anal central est sur toute la hauteur entière- ment indépendant des lésions , et si à la région cervicale on pourrait à la ri-
ringomyélie une maladie inflammatoire, une myélite préparée par des lésions vasculaires et évoluant vers la nécrose. Hallop
ut que les symptômes dépendent du siège plutôt que de la nature des lésions , on argue de cas de syringomyélie hérédi- taire
lle perd aussi toute spécificité anatomique et pathogénique. Aucune lésion ne lui est propre et ne la caractérise, ni le s
tte doctrine nouvelle. « La syrin- gomyélie est une complication de lésions préexistantes, elle n'a pas de spéci- ficité an
cependant à définir une entité morbide. D'une étude d'ensemble des lésions d'après plusieurs cas de syringomyélie, l'un de
te. Même dans les cas où le processus syringomyélique complique des lésions préexistantes d'hydromyélie ou d'hématomyélie, «
sus originellement distincts par leur début, leur évolution, aucune lésion élémentaire ne peut en être re- gardée comme ca
cessus originellement distincts où l'analyse histologique montre des lésions voisines de la syringomyélie mais dont on peut
oquée est passible de sé- (1) Un écueil peut ici se présenter : les lésions vasculaires d'une syringomyélie franche peuvent
Ici le canal central est évidemment étranger au développement de la lésion qui le refoule, le déplace, mais n'a avec lui que
c les vaisseaux médullaires pourraient souvent s'appliquer ici. Les lésions vasculaires et en particulier l'hyperplasie de
avités, en des régions parfois très éloignées du canal central. A ces lésions s'ajou- tent des altérations (épaississement, n
ge des cavités. Tous les auteurs ont été frappés de l'intensité des lésions vasculaires dans la syringomyélie. Tous ont ins
leur tunique externe. Il est même certai- nes observations où cette lésion paraît dominante, tandis qu'en d'autres c'est la
ou du cor- don postérieur ; fentes et cavités sont généralement des lésions de même ordre, limitées d'une paroi identique e
une même pathogénie (voir notamment l'observation de F...). Donc la lésion semble pénétrer par la péri- phérie et gagner l
rait dans le premier groupe. Ces faits soulignent l'importance des lésions vasculaires et leur donnent une signification p
ituellement par troubles circulatoires, mais plutôt par le fait d'une lésion propagée autour d'eux. Et cependant, même les
ndant, même les auteurs qui font le plus directement intervenir les lésions vasculaires n'admettent pas qu'elles agissent aut
en dehors de nos cas souvent mentionnée. Et pourtant il y a là une lésion bien spéciale sem- blant se propager autour des
ant entraîné une myélite lente, diffuse, manifestement secondaire aux lésions des vaisseaux. Cette myélite d'ordre irritatif
isseaux. Cette myélite d'ordre irritatif pourrait être rapprochée des lésions inflam- matoires de voisinage que déterminent l
t l'altération des éléments nerveux, peut dépendre direc- tement de lésions vasculaires autour desquelles il se systématise.
surtout s'il paraît être d'autres fois commandé directement par une lésion conjonctivo- vasculaire. C'est celle-ci qui doi
ive de celle-là (1). Cette conception, qui dans la hiérarchie des lésions dites inflammatoires assigne le. premier rang a
explication souvent satisfaisante et celles-ci sont bien alors les lésions fondamentales, primant l'hyperplasie névrogliqu
a quarantaine ; il porte sur la face les signes indiscutables d'une lésion grave, lupus ou lèpre; et ses gants, au lieu d'
tions des mains. En tout cas le saint homme devait avoir là quelque lésion qu'il avait le souci de cacher ou le soin d'isole
reux, cernés, témoignant un état de grande fatigue. Cet ensemble de lésions permet de croire que l'artiste a représenté là
le, doit être rapprochée de la diffu- sion et de l'irrégularité des lésions corticales. J'ai eu l'occasion de l'affir- mer
périodes de la maladie, mais elles exigent, pour se manifester, des lésions beaucoup plus intenses que les altérations cortic
ême bien localisées, qu'on est accoutumé d'observer. Il faut de ces lésions pro- fondes sur lesquelles Baillarger a appelé
IE - UN'CAS DE POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE AIGUË DE L'ADULTE AVEC LÉSIONS MÉDULLAIRES EN FOYERS PA Il André LÉRI et S.
jusqu'ici nous ne possédons pas encore d'autopsie dans laquelle une lésion en foyer, analogue à celle delà paralysie infan
rtie an- térieure de la moelle est encore très aplatie. A droite la lésion est la même, mais moins étendue, limitée à la p
à la partie tout à fait externe de la corne antérieure. A gauche la lésion de la partie antéro-externe de la corne antérieur
rieure est aussi moins étendue, mais on constate de plus une grosse lésion , incomplète- ment séparée de la précédente, qui
dans le noyau intermédio-latéral gauche. 2°-3" dorsale. Toutes les lésions sont bien moindres, l'aspect et la forme de la
seaux. Ependyme obturé. 3° lombaire (Planche LIX bis, G). - Grosses lésions en foyers, semblables à celles de la région cer
deux en dehors. 5° lombaire (flanche LIX bis, II). - Mêmes grosses lésions des cornes antérieures, surtout à gauche. Moell
tous les niveaux, même très loin des hauteurs où l'on constate une lésion des foyers. ' ; L'existence d'une lésion généra
urs où l'on constate une lésion des foyers. ' ; L'existence d'une lésion générale de la moelle, prédominante partout au ni
tal gauche. - A peu près semblable au droit. Nerf radial droit. Les lésions sont également.très modérées, mais ma- nifestes
monaire : L'autopsie montra dans la moelle l'existence d'une double lésion en foyers qui avait détruit symétriquement, quo
re part au niveau du renflement lombaire. Dans ces deux régions, la lésion de gauche était plus marquée que celle de droit
e fibres variqueuses. . Pour prédominantes qu'elles aient paru, ces lésions n'étaient pas les seules ; dans toute la hauteu
mblait un peu éclairci, et cela à peu près proportionnellement à la lésion des cornes antérieures au même niveau. Les zone
aires, mais les frappant à tous les niveaux. Le point de départ des lésions en foyers nous a paru être manifeste- ment dans
entre d'un petit foyer de dégénérescence tout à fait au début : ces lésions périvasculaires étaient d'autant plus marquées qu
gaines lymphocytiques, mais malgré cette constellation négative les lésions vasculaires nous ont paru tout à fait patentes.
vasculaires nous ont paru tout à fait patentes. Cette existence de lésions vasculaires d'une part, prédominantes dans la p
le due à la distribution vasculaire. Quant à la cause même de ces lésions vasculaires, elle ne peut guère être cherchée a
ce possible chez l'adulte d'une poliomyélite antérieure .aiguë avec lésions en foyers analogues à celles de la paralysie infa
ésions en foyers analogues à celles de la paralysie infantile : ces lésions peuvent d'ailleurs, comme dans notre cas, être mu
e à l'examen des coupes, c'est que, quelle que soit la nature de la lésion initiale, la lésion médullaire était une lésion
pes, c'est que, quelle que soit la nature de la lésion initiale, la lésion médullaire était une lésion primaire ; pourtant
oit la nature de la lésion initiale, la lésion médullaire était une lésion primaire ; pourtant (et M. Anglade le fil observe
cas les nerfs et les muscles ont été coupés ; ils ont présenté des lésions manifestes, les nerfs de névrite interstitielle a
site, d'atrophie musculaire et de dégénérescence adipeuse. Mais ces lésions ne dépassaient POLIOMYÉLITE ANTÉITIEURF AIGUË D
accoutumé à trouver à la suite soit de sections nerveuses, soit de lésions médullaires, dans la paralysie infantile par ex
ément tout à fait accessoire ; on en est con- vaincu à l'examen des lésions considérables de la moelle dont la localisa- ti
os- sibilité chez l'adulte d'une poliomyélite antérieure aiguë avec lésions en foyers primitives absolument semblables à ce
diatement et ceux qui le furent seulement sept heures après. « La lésion est celle de la myopathie dans ses détails absolu
t impossible. Réaction électrique myotonique. A l'examen biopsique, lésions de la myopathie progressive. Je ne crois pas
ovoquer de la gan- grène de la peau ? Nous ne croyons pas que cette lésion ait pu être ainsi réalisée.- Mais a-t-on réalis
ictes d'expérimen- tation pour pouvoir affirmer l'origine de telles lésions : on peut toujours accuser une hystérique de si
tels téguments ont nécessairement une vitalité très amoindrie. La lésion elle-même a évolué de telle façon que l'auto-muti
ce a présenté une uniformité absolue ; il n'y a pas de points où la lésion ait entamé plus profondément les tissus : un ca
s après notre exa- men, donnent déjà un aspect un peu différent des lésions . C'est ainsi que les bulles du sacrum se sont r
e une desquamation assez vive de l'épidémie voisin. En dehors des lésions signalées plus haut,la surface épidermique est vi
tion des troubles trophiques se résume en trois faits : d'abord une lésion nerveuse 470 TREPSAT produisant souvent un tr
rvin, du jardon, de la jarde est aujourd'hui démontrée ; seules les lésions tendineuses ne paraissent pas transmissibles.
l possédait » : de même enfin un grand nombre de malfor- mations ou lésions du pied (encastelure, fourbure congénitale, crapa
dons postérieurs (Contribution à l'étude anatomique des). Un cas de lésion de la queue de cheval el un cas de tabes inci-
parCH. Féré, 79. Poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte avec lésions médullaires en foyers (4 pl.) par A. Léri et S.
LSOrr. Un cas de po- liomyélite antérieure aiguë de l'adulte avec lésions médullaires en foyers (4 planches), 433. LOEP
tion à l'étude anato- '. mique des cordons postérieurs (Un cas de lésion de la queue de cheval et un cas de tabès incipi
N ET Léri. Un cas de poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte avec lésions médullaires en foyer (3 planches, 432. TABLE
SIt), XXIX, XXX. Poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte avec lésions médullaires en foyer (A. Léri et S. A. K. WILSO
7 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
sentent quelques petites exostoses. Si nous comparons à présent les lésions osseuses que nous avons consta- tées dans notre
at acroméga- lique ; les déformations somatiques et la nature de la lésion hypophysaire sont tout à fait très nettes. ÉT
permis, je crois, d'avouer que cet infantilisme n'est pas dû à une lésion primitive de l'ap- pareil génital, mais à une h
iale, précéda la détermi- nation de l'infantilisme; dans ce cas, la lésion spléno-hépalique été probablement la cause de l
e de Lorain, la cause de la dystrophie était probablement une grave lésion cardiaque, peut-être congénitale. Dans ces deux c
ules, pendant la période pubérale. L'autopsie montra, en dehors des lésions classiques de la maladie de Banti concernant la
oit in vita soit post vtortent rien ne nous autorise à admettre une lésion soit anatomique soit fonctionnelle de l'apparei
ité : je rappelle aux lecteurs que chez cette jeune fille une grave lésion hypophysaire existait certainement. Malgré le t
raux (le côté gauche plus touché) et qu'il n'y avait presque pas de lésion des racines sacrées. D'autre part les faibles t
eures (absence d'érection, troubles urinaires) parlent en faveur de lésion de la queue de cheval ; il est en effet diffici
s même des vertèbres (flg. 1). Nulle part on ne trouve de traces de lésion tuberculeuse ou inflammatoire. C'étaient par co
de la moitié droite de la moelle). Au-dessous on ne constate pas de lésions macroscopiques. Les méninges, excepté la plaque d
BRALE 71 uingite cervicale mentionnée plus haut, ne montrent pas de lésions . Au cer- veau pas de lésions. Examen microsco
ntionnée plus haut, ne montrent pas de lésions. Au cer- veau pas de lésions . Examen microscopique. Les coupes colorées par
e. Les coupes colorées par la méthode de \\reicl t montrent que les lésions les plus considérables frappent les 11° et IVe se
LE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 73 Quant à la nature de ces lésions , nous les considérons dans les cordons posté- t
s pas de dégénérescence dans les cordons postérieurs. A côté de ces lésions (dégénérescence descendante) on voit sur les diff
yer). Quelquefois une seule vertèbre est douloureuse, tandis que la lésion est très étendue (Bruns). Schlesinger attire l'
le cas décrit par Deje- rineet Spiller (sarcome de l'os sacré avec lésion des racines sacrées et de quelques lombaires sa
sacré avec lésion des racines sacrées et de quelques lombaires sans lésions de la moelle). Mais en général tous ces cas ne
me de l'aorte, J'actinomycose, etc. ANATU31lE PATHOLOGIQUE. Les lésions qu'on peut constater dans la moelle épinière au c
tiquement comme il suit : ' I. Tumeurs vertébrales malignes sans lésions médullaires ou avec des lésions nécrobiotiqztes
. Tumeurs vertébrales malignes sans lésions médullaires ou avec des lésions nécrobiotiqztes. (pendant la vie existence de sym
ues du côté des membres inférieurs ; l'autopsie n'a démontré aucune lésion macro (Bruns) ou microscopique de la moelle suf
Spiller-Veisenbur). Dans un de nos cas (obs. I) il n'y avait pas de lésions macroscopiques de la moelle au cours du cancer
sions macroscopiques de la moelle au cours du cancer vertébral. Les lésions microscopiques étaient minimes (une vascularisa
burg) où il y avait de symp- tômes cérébraux, on constata à côté de lésions insignifiantes des cellules 'nerveuses et des c
TÉBRALE 8,1 (nous en parlerons plus loin quand il sera question des lésions histopatho- logiques de la moelle au cours des
le canal rachidien et compriment la moelle, peuvent apparaître des lésions considérables à l'endroit de com- pression et d
s à l'endroit de com- pression et de dégénérescence secondaire. Ces lésions sont analogues à celles qui se produisent sous
ent normales macroscopiquement. L'examen microscopique démontra des lésions des nerfs périphériques et delà moelle. Cette d
émie pernicieuse (Minnich, etc.). De Buck croit avec raison que ces lésions sont dues à l'influence des toxines. L'examen d
tions qui n'ont pas de caractère cancéreux ou c) fait connaître des lésions cancéreuses (tumeurs ou inlil- tration cancéreu
(a) constatables avec nos moyens d'in- vestigation, ou donnent des lésions sous forme de dégénérations diffuses ou en foye
nérations diffuses ou en foyer (b). Dans le troisième cas (c) les lésions cancéreuses peuvent naître dans le cerveau et r
us semble le plus probable que dans certains cas entrent en jeu les lésions cancéreuses proprement dites, dans d'autres les l
en jeu les lésions cancéreuses proprement dites, dans d'autres les lésions produites par les toxines. En tous cas il fau
s des déformalions très marquées des mains et des pieds sans aucune lésion tuberculeuse de la face (2). Chez ce jeune homm
sa maladie. Sur l'autre malade, âgé de trente-cinq ans environ, les lésions étaient plus avancées. Tous les muscles de l'av
teint, paraît intact, tandis qu'une paralysie typique in- dique une lésion du nerf radial, habituellement épargné au moins p
fémoral était très atrophié et où il existait tous les signes d'une lésion névritique intense des membres inférieurs, il é
s formes familiales, on doit distinguer avant tout l'extension delà lésion dégénérative, qui, tout en étant systématique, pe
ans un sous-ordre variable donné simplement par l'ex- tension de la lésion nerveuse. La conclusion logique qui en découle,
nt par disparaître et le sujet put être considéré comme guéri. La lésion cérébrale, cause de ces divers troubles, est diff
enteur de leur évolution nous paraissent plutôt en rapport avec une lésion de nature inflammatoire. La prédominance des trou
sifs et trophiques au niveau du bras droit permet de conclure à une lésion localisée dans la région m.otrice gauche, à la pa
ie supérieure de la frontale et de la pariétale ascendantes ; cette lésion ne devait occuper que les couches superficielle
s à celles des accès mélancoliques aigus. Nous les attribuons à des lésions corticales diffuses ayant eu pour point de départ
à des lésions corticales diffuses ayant eu pour point de départ la lésion localisée qui avait provoqué les crises d'épi l
oqué les crises d'épi lepsie j acksonienne. Il est probable que ces lésions ont consisté en une encéphalite légère. Ce sont d
u bras droit. C'est un l'ait exceptionnel chez l'adulte de voir une lésion corticale don- ner lieu à des troubles trophiqu
et. La forme des accidents rappelait celle de la sclérodermie ; aux lésions de la peau et des ongles s'associaient des al-
ns étaient exagérés. L'auteur admet comme cause de ces troubles une lésion corticale très superficielle. De notre observ
anés et articulaires graves peu- vent être sous la dépendance d'une lésion corticale très superficielle ; le pronostic dan
ndue des Il[, VIe racines dorsales. Dans le cerveau il n'y a pas de lésions . La tumeur médullaire (se trouvait en dehors de
t un sarcome à cellules rondes. Dans la moelle même on constate des lésions dans une région qui correspond à la tumeur extr
IVe et V" segments dor- saux.Dans le IVe segment dorsal le foyer de lésion avait une forme triangulaire à base orientée ve
n n'y voit pas d'infiltration, les vaisseaux ne mon- trent pas de lésions notables. Dans d'autres points de cette coupe
ent du Ve segment dorsal ne présen- tent plus de traces du foyer de lésion triangulaire. La coupe est par contre comme p
et des cloisons névrogliques. Dans la substance grise il y a des lésions ana- logues (vaisseaux à parois un peu épaiss
loigne de la tumeur. On ne constate pas d'autres grands foyers de lésion . Dans les coupes colorées par la mé- thode de
. Sarcome à cellules rondes. 1. Racines postérieures. 4. Foyer de lésion dans le cordon latéral 2. Dure-mère. droit. 3
rt à la dure-mère. L'examen mi- croscopique fit voir deux sortes de lésions : 1° dans un seul segment, le IVe dorsal précis
nce accentuée du tissu nerveux ; 2° le long de toute la moelle, des lésions vas- culo-scléreuses diffuses dans la substance
s la moelle qui correspond à la tumeur. Enfin comme résultat de ces lésions on constata de faibles dégénérescences secondaire
elles que le réflexe achilléen est aboli. Il faut supposer que ces lésions sont analogues à celles 118 FLATAU constatées
10 septembre dans la nuit. La moelle épinière ne présentait pas de lésions macroscopiques. On ne cons- tatait nulle part d
part de tumeurs sa surface. Examen microscopique. On a constaté des lésions uniquement dans les 111° et IVe segments cervic
les coupes colorées par la méthode de Weigert,on voit des foyers de lésion surtout dans les cordons latéraux et dans les p
ce grise, elles s'arrêtent à une certaine distance. A côté de ces lésions linéaires on voit aussi des foyers arrondis au se
nt aussi lésés, mais beaucoup moins que les laté- raux. On voit des lésions principalement à la périphérie. Çà et là sont dis
oisinage de la commissure grise. Quant aux cordons antérieurs les lésions s'y voient dans la zone périphé- rique antérieu
ique médiane (autour du sillon antérieur) est presque nor maie, les lésions , si elles existent, y sont minimes. Pas de foyers
que normalement. Avec des grossissements plus forts on voit que la lésion a frappé surtout les gaines myéliniques. Elles so
s irréguliers il y a de petits points noirs au milieu des foyers de lésion , qui sont également le produit de la dégénérati
Ce doivent être des foyers plus jeunes. Les vaisseaux n'ont pas de lésions notables. Ils sont partout dilatés dans les foy
. Les coupes colo- rées par la méthode de Marchi ne montrent pas de lésion notable. Dans le voisinage de certains foyers s
des cellules des cornes antérieures (dans le voisinage du foyer de lésion au niveau du IV, segment cervical). Les cellules
de cette région, par exemple au niveau du Vle segment cervical, les lésions cellulaires sont moins pronon- cées, et au nive
ables. Les coupes du IVe segment cervical contiennent des foyers de lésion iden- tiques à ceux décrits ci-dessus, en ce qu
laire et un foyer allongé dans la partie postérieure du cordon. Les lésions du côté droit res- sortent d'autant mieux. Le m
sus ni au-dessous de ces*segments cer- vicaux,il n'y a de foyers de lésion ; pas de dégénérescences secondaires non plus. R
male à l'examen macroscopique. Mais microscopiquement on voyait des lésions dans les Tille et IVe segments cervicaux. Les lés
on voyait des lésions dans les Tille et IVe segments cervicaux. Les lésions con- sistaient en foyers peu nettement limités,
rieures, dure-mère et pie-mère sans changements. Dans les foyers de lésion , la coloration de Weigert a montré les gaines de
ération de la névroglie. Dans d'autres régions de la moelle, pas de lésion . Nulle part de dégé- nérescences secondaires.
à travers les trous de conjugaison, pourtant la moelle offrait des lésions qui ont provoqué la paralysie de tous les membr
, immobilité de la tête). La structure histo- logique des foyers de lésion ressemblait au gonflement hydrémique qu'on note
aux dilatés et gorgés de sang). Méninges normales. On observe des lésions analogues dans les segments dorsaux inférieurs.
gments dorsaux inférieurs. Au niveau du XIIe segment dorsal déjà la lésion en foyer prend place (fig. S). Ui ? s. 1. Foy
déjà la lésion en foyer prend place (fig. S). Ui ? s. 1. Foyer de lésion dans le cordon latéral gauche. 2. Foyer de lési
s. 1. Foyer de lésion dans le cordon latéral gauche. 2. Foyer de lésion dans le cordon latéral droit. 3. Foyer de lésio
che. 2. Foyer de lésion dans le cordon latéral droit. 3. Foyer de lésion dans le cordon postérieur droit. TUMEURS DE LA
amen plus attentif on s'aperçoit qu'on a affaire à un autre type de lésion , ce n'est pas la dégénérescence secondaire, mais
roit voisin du précédent.) Au-dessous de cette région les foyers de lésion changent de place. Déjà dans le premier segment
le cordon antérieur gauche, 2) dans le latéral gauche et encore des lésions diffuses dans les parties antérieures des deux
res et postérieures en dedans de cette méninge ne présentent pas de lésion . Dans le IIe segment lombaire de nouveau nous c
la partie dorsale) est minime. Dans les cordons antérieurs, pas de lésion (seulement dans la zone radicu- laire droite an
e coloration nous ont servi pour mieux détailler le carac- tère des lésions . Les coupes colorées par la méthode de v. Gieso
ôté de leur localisa- tion dans les grands et les petits foyers des lésions , on note leur présence même tout à fait isolée.
icieuse, la néphrite chronique, la carcinomatose. Le tableau de cette lésion est presque le même que celui de la néphrite ch
nts correspondant à la localisation de la tumeur dé- montrèrent des lésions notables. Dans les cordons latéraux et postérieur
des fibres gonflées et dégénérées hydrémique'ment, c'est-à-dire des lésions qu'on rencontre dans la néphrite chronique, l'a
- lits, ni là où le processus commençait seulement, on ne trouva de lésions inflammatoires des vaisseaux ou de prolifératio
isseaux ou de prolifération réactionnelle de la névroglie. Toute la lésion consistait en une dégénérescence du tissu ner-
vasculaires et péricellulaires. Quant à la cause qui a provoqué ces lésions , il est difficile de l'indi- quer d'une façon c
cordons postérieurs et latéraux sont principalement le siège de la lésion n'est pas en contradiction avec la sup- positio
premiers louches dans des cas analogues. Le fait que les foyers de lésion se trouvent au niveau de la masse néoplasique peu
ans- verse sans que la compression de la moelle y intervienne. La lésion n'appartient pas à la catégorie destructive, car
ments décrits plus haut. Un peu plus bas encore on ne voit pas de lésion de la moelle. Les coupes de la moelle lombaire
LA COLONNE VERTÉBRALE 169 La coloration de Marchi n'a pas montré de lésions . Les'coupes colorées par la méthode de v. Gieso
sions. Les'coupes colorées par la méthode de v. Gieson montrent les lésions suivantes dans la région de la moelle cervicale
ts de la fibre nerveuse). Au-dessous de la moelle cervicale, pas de lésions notables. Un certain épais- sissement de la dur
e grise. Les coupes colorées par la méthode de Nissl ont montré des lésions des cellules nerveuses dans les segments cervic
res semblaient être élargis. Mais il faut ajouter que de semblables lésions se trouvaient presque uniquement dans la corne
it un sarcome globo- cellulaire. La moelle cervicale présentait des lésions qui sont le mieux reconnaissables dans les coup
er que les coupes colorées par la méthode de Nissl démontrèrent des lésions dans les cellules nerveuses de la corne antérie
ment,atrophie, paralysie) étaient en grande partie produits par les lésions médullaires cervicales. Il nous reste à dire co
ires cervicales. Il nous reste à dire comment il faut expliquer ces lésions médullaires. Comment elles se sont produites,c'
En faveur de cette supposition parle le fait que ce caractère de la lésion était le plus prononcé dans la moitié gauche de
tase ? Il est connu qu'au cours d'une compression mé- dullaire, des lésions peuvent naître sous forme d'élargissement des esp
sible que cette cause contribuait à un certain degré à produire les lésions médullaires. Les lésions dans les cellules nerv
ibuait à un certain degré à produire les lésions médullaires. Les lésions dans les cellules nerveuses sont aussi à notre av
les qu'on rencontre au cours de la dégénérescence rétrograde. Cette lésion naît dans les cellules motrices quand on coupe le
existe d'autres où la tumeur extraverté- brale donne un tableau de lésion médullaire, mais l'autopsie ne montre pas de ma
ontrerons plus loin,cela suffit dans quelques cas pour provoquer la lésion de la moelle et amener la paralysie. Dans un de n
al rachidien était indemne, et pourtant on a constaté des foyers de lésion dans les segments cervicaux moyens (non néoplas
ns spinaux. Il existe une autre catégorie de tumeurs où apparaît la lésion médullaire sans que la tumeur extravertébrale p
dans la région de l'a- queduc de Sylvius. Oppenheim ajoute que ces lésions anatomo-patholo- giques n'expliquent pas suffis
s produites par la tumeur causaient les troubles médullaires. Les lésions médullaires nées à distance sont souvent plus con
es cas de tumeurs extravertébrales éloignées de la colonne, avecdes lésions considérables de la moelle constatées par l'exame
partie de ce travail. Là aussi nous avons démontré la possibilité des lésions médullaires sans intervention de la compression
loignée de la colonne plus il est vraisemblable qu'elle provoque la lésion myélitique ou l'infil- tration néoplasique. A
u nerveux médul- laire. Quant à la moelle elle ne démontre pas de lésions à l'examen macros- copique. Le microscope y déc
s à l'examen macros- copique. Le microscope y décèle par contre des lésions en foyers et des lésions diffuses. Les foyers
que. Le microscope y décèle par contre des lésions en foyers et des lésions diffuses. Les foyers de dégénérescence apparais
ire. Avec de forts grossisse- ments on constate dans ces foyers des lésions profondes du tissu nerveux, de grandes places v
prolifération de la névroglie autour des vaisseaux épaissis. Pas de lésions inflammatoires. Rarement dans les parois vascul
es espaces péri- .vasculaires sont quelquefois élargis. Outre ces lésions on peut constater au niveau des masses néoplasiqu
ouvait au niveau des masses néoplasiques ou dans leur voisinage une lésion profonde de la substance grise sous forme d'une
XIII). Les cellules des cornes antérieures montraient des signes de lésions qui dépendent des lésions des racines antérieur
rnes antérieures montraient des signes de lésions qui dépendent des lésions des racines antérieures (dégénérescence traumatiq
ntérieures (dégénérescence traumatique ascendante). A côté de ces lésions qui correspondent topographiquement aux masses
voisines), d'autres peuvent naître en partie sous la dépendance des lésions précitées (dégénérescence secondaire), en parti
absentes dans la majorité de nos cas, ce qui nous démontre que les lésions produites il l'endroit de la com- pression sont
ant dans le canal rachidien). Dans ce cas également on trouvait des lésions insignifiantes immédiatement au-dessous de l'en
RALE 181 A côté des dégénérescences secondaires on voit souvent des lésions vasculaires légères dispersées le long de toute
lulaires. La question se pose de savoir quelle est la genèse de ces lésions diffuses et en foyers. Il faut se rappeler qu
t nous aide à comprendre jusqu'à un certain point la genèse de ces lésions . Il nous enseigne que les foyers de lésion médu
point la genèse de ces lésions. Il nous enseigne que les foyers de lésion médullaire peuvent naître indé- pendamment de l
non loin des ganglions spinaux) et des vaisseaux, et par suite, des lésions de la moelle par ischémie. Pour mieux compren
des lésions de la moelle par ischémie. Pour mieux comprendre ces lésions nous allons en résumer les observa- tions suivi
ies par Fickler dans les cas de caries vertébrales. II constate des lésions médullaires en foyer, et diffuses des foyers de r
yers de ramollissement. En cherchant minutieusement la cause de ces lésions il arrive à la con- clusion que la plupart du t
l'affection des vaisseaux. Comme causes rares Fickler mentionne les lésions immédiates de la moelle, les thrombus et les em
es circulatoires dans la moelle et comme suite de ces troubles, des lésions en foyers et diffuses. Quanta la deuxième cause
peut provoquer l'arrêt de la circulation et sanguine par suite des lésions médullaires (Cette hypothèse pourrait expliquer
es lésions médullaires (Cette hypothèse pourrait expliquer bien les lésions dans notre obs. X). Par analogie nous pouvons d
ues entourent la dure-mère comme la gra- nulation tuberculeuse, les lésions du tissu nerveux doivent être expliquées de la
vertébrale, elle comprime les vaisseaux des racines et provoque des lésions par ischémie. Enfin dans les cas cités plus haut
oignée de la colonne et où pourtant la moelle épinière présente des lésions , il faut chercher l'explication dans cette hypoth
latoires préparent le terrain. En outre elles peuvent provoquer des lésions diffuses non seulement là où se trouve la tumeur,
n peut être complète puisque, comme nous l'avons dit plus haut, les lésions médullaires provoquées par les masses néoplasiq
inique de Bel-Air, Genève. Les principaux problèmes que l'étude des lésions anatomiques des psychoses soulève me semblent a
st-il possible d'attribuer la priorité au trouble psychique ou à la lésion organique dans la genèse des psychoses ? Pendan
'une cause matérielle, d'une lé- sion organique. Cette notion des lésions anatomiques de la folie s'imposa peu à peu, en
es étaient exposés les savants qui osaient affirmer l'existence des lésions qu'ils avaient observées. Force fut bien alors
retrancha derrière quelques entités morbides, les vésanies, dont la lésion anatomique pouvait être controversée. Pour affi
ent le siège de processus pathologiques divers. Les partisans des lésions anatomiques, les « matérialistes », comme on (1
eva dès lors la question de priorité des troubles psychiques où des lésions histologiques. Nous examinerons cette question
t de la maladie et dont naguère encore on ignorait complètement les lésions , présente sou- vent des altérations considérabl
tance cérébrale ou qu'un trouble psychique est constamment lié à la lésion d'une zone cérébrale toujours la même, ce jour-là
une série d'altérations de la subs- tance corticale. Parfois les lésions paraîtront minimes et ne seront bien mises en évi
mentale ayant évolué depuis de nombreuses années, il s'ajoutera aux lésions propres à la psychose, des altérations provenant
de cas, enfin, avant tout dans les psychoses diles organiques, les lésions seront manifestes et facilement démontrables. O
manifestes et facilement démontrables. On a abondamment décrit les lésions de tous les systèmes histologiques, les cellule
psychoses assez nettement caractéristiques, selon que prédomine la lésion connectivo-vasculaire, ou que les altérations soi
dites organiques. On aurait donc : . 9. le groupe des psychoses à lésions essentiellement p,'aenchymateuses, 188 LADAME
lement p,'aenchymateuses, 188 LADAME 2. le groupe des psychoses à lésions connectivo-vasculaires prédominantes . Tandis q
e cérébrale observées dans les maladies mentales sont, en fait, les lésions banales de la pathologie générale que l'on rencon
s. Fragment de l'écorce de la paracentrale. ^Bleu de toluidine). La lésion cellulaire est la plus marquée, l'écorce a ses di
Fragment de l'écorce de la para- centrale. (Bleu de toluidine). Les lésions vasculaires, le désordre architectonique frappent
ans. Fragment de l'écorce de la paracentrale. (Bleu de toluidine). Lésions marquées des cellules ganglionnaires, du tissu
de la paracentrale. (Bleu de toluidine). Atrophie de l'écorce, les lésions sont interstitielles et aussi cellulaires, cesd
? Je répète ici ce que j'ai déjà dit ailleurs. Laissant de côté la lésion his- topathologique, nous estimons qu'il faut e
ces phénomènes peuvent avoir les uns avec les autres et prévoir la lésion par symptôme ? Il est évident que la lésion del
es autres et prévoir la lésion par symptôme ? Il est évident que la lésion delà même couche dans la même région doit L con
nt constants, il faut bien supposer qu'il se trouve à leur base une lésion anatomique, constante elle aussi. C'est elle qu
re prise en sérieuse considération.Cer- tains auteurs,analysant les lésions qu'ils ont observées, disent par exem- LA BASE
s techniques actuels, ou que nous ne savons pas reconnaître ! Les lésions anatomiques fines observées et décrites ne sont-e
plupart des maladies mentales. 6° Il y a, dans les psychoses, des lésions constantes et faciles à démon- trer. Elles ne s
trer. Elles ne sont pas typiques quoi qu'on en ait dit. Aucune des lésions histologiques décrites jusqu'ici n'a pu nous do
Est-il possible d'attribuer la priorité au trouble psychique ou ci la lésion anatomique dans la genèse des psychoses ? C'e
logiques que l'on démontre au mi- croscope. C'est au contraire la lésion anatomique qui provoque les désordres psychique
celui qui a une façon anormale de penser ! Tandis que s'il y avait lésion organique, primaire, tont effort serait vain et
bord, qu'une psychose débute par r un désordre psychique ou par une lésion anatomique. XXIII 13 J 94 LADAME Il faut bi
ge des métho- des spéciales. ' On constate alors qu'il existe des lésions étendues, diffuses et souvent considérables des
ue la priorité soit attribuée aux troubles psychiques plutôt qu'aux lésions or- ganiques. Mais pour ce qui concerne le trai
que très souvent on a pris pour des accidents hystériques, soit des lésions organiques indubitables, soit d'autres états né
e du réflexe rotulien : il y a là vraie qui est symptomatique d'une lésion du faisceau pyramidal, et la fausse qui s'obser
, il y a extension du gros orteil, il s'agit presque toujours d'une lésion organique (signe du gros orteil de Babinski). Mal
aient Cire confondues qu'avec les contractures symptomatiques d'une lésion du Fy. Elles s'en distinguent facilement : a) p
IQUE 213 lence habituelle d'anestllésie ; dj l'absence de signes de lésion organi'que, et le contraste qui existe entre ce
plus difficile,-se pose avec la contracture réflexe, secondaire à une lésion nerveuse, soit névrite, soit irritation de vois
e tissu, il faudra éliminer successivement toutes les hypothèses de lésion organique possible. La diffusion de la douleur, i
terminé, leur intensité toujours beaucoup plus grande, l'absence de lésion pour les ex- pliquer rendent ce diagnostic faci
affirme ne rien voir d'un oeil ; l'examen objectif ne révèle aucune lésion . Par une série d'expériences, soit avec des ver
années, parlant un peu le Français, atteinte de lèpre nerveuse sans lésion de la face mais dont les pieds étaient profondéme
ations primitives » car les déviations secondaires, dépendant d'une lésion de la plèvre, d'une atrophie muscu- laire, etc.
ssant l'analyse plus avant il conviendra enfin de mettre à part les lésions du rachitisme vrai qui s'ajoutent quelquefois a
rne. Ici au moins on s'appuie- rait à un état organique, presqu'une lésion , mais on atteindrait avec peine l'élément psych
ayon de même nom est atteint aux mains, comme aux pieds ; tantôt la lésion est symétrique aux extrémités homologues ; dans d
durant plusieurs jôurs.. Hérédité encéphalopathique et alcoolique, lésion cérébrale ou épilepsie progressive, à ces tares
ordinaires de l'en- fance ; à 12 ans, dans une chute, il se fit une lésion au niveau du pariétal gau- che, qui guérit en h
oup, car dans le rachitisme très souvent cet examen nous révèle des lésions os- seuses régressives, au contraire de ce qu'o
des os. En effet, maintenant, on affirme sans contestation que les lésions ana- tomiques osseuses de l'achondroplasie sont
pas tomber non plus en raison de la connaissance plus complète des lésions caractéristiques de l'achondroplasie selon l'op
aractéristiques de l'achondroplasie selon l'opinion de M. Levi. Les lésions histologiques des cartilages épiphysaires de ce
rêt à cause de la limitation topographi- que assez particulière des lésions osseuses. Observation (PI. XXXII). Seraf... Ces
rrive à déceler qu'elles ne sont pas complètement indemnes de toute lésion et qu'elles doivent aussi être considérées comme
surtout au niveau des os pariétaux et de l'os frontal. Aucune autre lésion ou déformation osseuse dans les autres os du sq
ours d'une hypertrophie concomitante des par- ties molles. - ' La lésion prédominante au maxillaire inférieur pourrait fai
si par élimination et en se basant sur les caractères objectifs des lésions osseuses elles-mêmes, il ne nous reste, évidemmen
on exclusivement céphalique, ou, si l'on veut stemo-céphalique, des lésions pugétiques et le défaut de toute ten- dance se
ains os, pour le tibia, par exemple, la multiplicité habituelle des lésions , la tendance au caractère hypersto- sant massif
nique, celle d'une ostéomalacie hypertrophique bénigne, celle d'une lésion de glandes à sécrétion interne, etc...), on peut
vant la première, la dystrophie osseuse aurait son origine dans une lésion du système nerveux central ou périphérique et m
a théorie nerveuse, on ne pourrait mettre en ligne de compte qu'une lésion cérébrale nu une lésion périphérique ; la moell
e pourrait mettre en ligne de compte qu'une lésion cérébrale nu une lésion périphérique ; la moelle épinière, dans laquelle
te différemment interprétées, ne pourrait pas être mise en jeu, les lésions osseuses étant localisées à la tête. La malad
symptôme qui nous puisse faire soupçonner l'existence d'une de ces lésions cérébrales (hémorragies, ramollisse- ments) qui
'amener des troubles tro- phiques. Et il faut en plus noter que les lésions osseuses, aussi profondes et aussi variées qu'e
Nous n'aurions pas non plus de sérieux arguments pour rapporter les lésions osseuses observées à des altérations du système n
e par le même processus artérioscléreux et, par conséquent, que les lésions des os du crâne et celles de l'os maxillaire in
-arlérite et une endo-artérite. Le jeune âge du sujet, l'absence de lésions de l'aorte, et l'inexistence de vices valvulair
existence de vices valvulaires, montrent la nature syphilitique des lésions des vaisseaux. La deuxième observation se rappo
. 64) se rapporte à un ouvrier chez qui, trois mois après une grave lésion de la tête, apparu- rent les signes d'une hémip
les syphililiques, soignés ou non, et qui n'ont pas été frappés de lésion du même système. Une statistique de ce genre po
spécifique. On comprend, en effet, que s'il s'est déjà produit des lésions irréparables comme les ramollissements (lie cas d
peu d'action sur la modification des symptômes qui dépendent de ces lésions . * Tare héréditaire névropathique, âge où fut c
RIÈRE. TRAVAIL DU LABORATOIRE DE M. LE PROFESSEUR RAYMOND. SUR LA LÉSION OSSEUSE DU MAL DE POTT SON RÔLE DANS LA GENÈSE
a- trisation osseuse dans le mal de Pott. 1° Quel est le rôle des lésions osseuses dans la genèse de la compres- sion ner
i depuis 39 ans, et résumait ainsi la description macroscopique des lésions (V. Bévue neurol., p. 1533, 1909). « Il existe
téro-postérieur est, à ce niveau, de 2 centimètres. En regard de la lésion osseuse, s'étale, sur la dure-mère, une mince c
ger renflement au-dessus. Il y a donc eu compression légère par les lésions osseuses, mais elle n'a pas en- travé la guéris
s Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXIII. Pl. XXXIII LÉSIONS OSSEUSES DU MAL DE POTT , (Alquier et Klmfeld).
e la dure-mère. Masson & Cie, Editeurs. Phototypie Berthaud LÉSIONS OSSEUSES DU MAL DE POTT (Alquier el Klarfeld).
eurs. UVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXIII. PI. XXXV LÉSIONS OSSEUSES DU MAL DE POTT (A lquier et llny'eld).
haut, à gauche) ; plus loin ostéoporose (en bas, à droite). SUR LA LÉSION OSSEUSE DU MAL DE POTT 311 intervertébraux qui
isseur variable d'un point à l'autre, mais jamais considérable. Les lésions nerveuses (dégénérations et léger oedème des cord
s (dégénérations et léger oedème des cordons latéraux au niveau des lésions tuberculeuses) semblent dues au foyer épidural, e
ans notre premier cas, n'en a pas altéré la structure. Pour que les lésions osseuses puissent jouer un rôle réellement acti
rminant, dans le troisième qu'une légère coudure de la moelle, sans lésions nettes au microscope comme dans le premier fait
fondrement » et des luxations en arrière du mal sous-occipital, les lésions osseuses nesemblent pas pouvoir produire là com
raison du tassement du rachis. 2° Comment se fait la réparation des lésions osseuses ? C'est avec juste raison que l'on a c
plus que douteuse. D'autant plus que les parties plus éloignées des lésions tuber- culeuses sont atteintes d'un léger degré
eintes d'un léger degré d'ostéoporose. Dans le deuxième cas, où les lésions sont encore en activité, chez un sujet de 33 an
veau de la tumeur (VIIIe-Xle, segments dorsaux) présente de profondes lésions . La configuration externe reste intacte, mais l
d général. Avec de forts grossissements on peut se persuader que la lésion principale consiste en un gonflement considérable
seaux partout dilatés, leurs parois entières sont épaissies. Pas de lésions enflamma- toires. Les coupes colorées par la
es. L'exa- men microscopique démontra qu'au niveau de la tumeur les lésions du tissu nerveux étaient telles qu'il était imp
, la substance grise, plus vulnérable, fut le plus modifiée, et les lésions y étaient telles que pas une seule cellule nerv
ion. L'hétérotopie et les faux névromes en témoignent. Toutes ces lésions sont localisées au niveau même de la tumeur aussi
es faisceaux' pyramidaux latéraux (dégénérescence descendante). Ces lésions se sont formées probablement par suite des profon
destruction de la gaine myélinique, gonflement des cylindraxes). Ces lésions sont plus prononcées dans le cordon latéral dro
oubles circulatoires consistaient en une stase sanguine; quant à la lésion du tissu nerveux', les gaines myéliniques étaient
- En résumé nous pouvons dire que dans ce cas il s'agissait, d'une lésion des fibres nerveuses par compression avec une s
en microscopique démontra que le tissu nerveux ne présentait pas de lésions profondes quoique la moelle fût comprimée ; on po
segment dorsal (là où la tumeur atteint son plus grand volume) des lésions si profondes qu'il est impossible d'y distingue
ent aussi dans le tissu médullaire même et dans le néoplasme. Les lésions disparaissent bientôt à mesure qu'on monte le lon
foyers clairs affectent la- forme irrégulière ou fasciculaire. Ces lésions sont plus accentuées dans la moi- tié gauche de
a droite.On n'y constate pas de signes de stase. 1 Plus en haut ces lésions disparaissent également de sorte que dans le VIe
ns le cor- don de Burdach. Il présente peu de ressemblance avec une lésion de dégéné- rescence secondaire, on doit plutôt
postérieur gauche,- surtout dans le cordon de Goll. Un constate des lésions presque analogues dans la partie distale de la mo
- don latéral droit raréfié. - 5. Racine postérieure. - 6. Foyer de lésions dans le- cordon postérieur droit. 7. Tumeur.
FiG. 17. Fibrosarcome psammeux de la moelle épinière. 1. Foyer de lésion dans le,cordon antérieur gauche. -2. Racine antér
dans le,cordon antérieur gauche. -2. Racine antérieure. 3. Foyer de lésion dans le cordon latéral droit. - 4. Dure-mère. - 5
lésion dans le cordon latéral droit. - 4. Dure-mère. - 5. Foyer de lésion dans le cordon postérieur droit. 6. Tumeur. 7. Ra
plupart du temps modifiés (gonflés, difformes). De plus on note des lésions propres à la méningite purulente. Elles frappent
iquement. Au niveau du Ve segment dorsal, les coupes démontrent des lésions considérables au sein du tissu nerveux TUMEURS
ERTÉBRALE 331 à côté d'une inflammation purulente des méninges. Ces lésions touchent les cordons antéro-latéraux aussi bien
tant on ne pouvait pas constater une pareille dé- générescence. Les lésions qui siégeaient dans la moitié gauche de la moelle
roite de la moelle au premier coup d'mil semble ne pas présenter de lésions . A l'examen plus attentif, on constate une certai
utour de la corne postérieure. Dans le cordon postérieur gauche les lésions sont analogues à celles du côté droit (ici on c
e la partie externe du cordon latéral. La moitié gauche, à côté des lésions du cordon de Goll, présente encore une sclé- ro
ente à elles). Au sur et à mesure qu'on descend un peu plus bas,ces lésions disparaissent vite. Déjà au niveau du 1er segme
. 21). Tout le cordon gauche est plus mince que le droit. Ces mêmes lésions peuvent être constatées dans toute la moelle dors
e du faisceau pyramidal gauche est nota- blement moindre. Outre ces lésions , on a trouvé sur les différentes hauteurs de la
ses qui couronnent la face postérieure des cordons postérieurs. Des lésions pareilles, mais moins prononcées se constataient
fragile. Les coupes colorées par d'autres méthodes ont démontré des lésions sembla- bles. La méthode de Marchi a démontré
Goll au niveau du IIe segment cep' vical. Il est étrange que cette lésion manque dans le VIe segment cervical (les lésion
t étrange que cette lésion manque dans le VIe segment cervical (les lésions plus considérables sont-elles localisées dans les
égale- ment nous pouvions constater une disparition rapide de toute lésion dé- pendant de la compression sitôt que cette d
s coupes faites au niveau du maximum de la compression montrent des lésions très prononcées, celles , situées au niveau des
ssine la figure habituelle et il n'y a que de faibles traces de ces lésions profondes. Il y a une légère dégénérescence sec
ante et descendante presque exclusivement du côté de la tumeur. Les lésions provoquées par la com- pression portent le cara
Les lésions provoquées par la com- pression portent le caractère de lésions mécaniques. Nulle part on ne peut constater d'a
tion.Du côté opposé de la tumeur, il n'y a pas môme de ces faibles lésions . Observation XVIII. La malade S. Powe., âgée
s par la fuchsine avec l'acide picrique (V. Gieson), présentent les lésions suivantes : 7 8 FIG. 23. Neuro-fibroangiome c
r. La moelle y est aplatie obliquement. Toute la coupe présente des lésions prononcées. La mieux conservée est la substance
e droite est considéra- blement dégénérée, l'antérieure droite sans lésion , la gauche antérieure légè- rement touchée. A
ieure gauche. Dans le tissu de la moelle même on voit seulement des lésions provenant de la compression. Nulle part des trace
èce de sarcome à petites cellules rondes. On constate les foyers de lésions principalement dans la région du 181, segment d
pe faite dans le VIIe segment cervical ne démontre pas de foyers de lésion . Presque toute la coupe est couverte de mailles l
urtout dans le gauche. A mesure qu'on monte. FIG. 28. 1. Foyer de lésion dans le cordon latéral gauche. - 2. Petit foyer n
aîches ou détruites. En descendant,on ne constate plus de foyers de lésion ni dans la moelle dor- sale, ni dans la lombo-s
oit dans la région ci-dessus mentionnée(dans le premier dorsal) des lésions carac- téristiques pour les foyers alvéolaires.
d et le centre en partie). Les vaisseaux en nombre augmenté. Pas de lésion inflammatoire bien distincte. Les cellules de l
ut infé- rieurà la Ire dorsale. L'examen microscopique démontra des lésions en foyer localisées surtout dans le 18 segment
escence des faisceaux pyramidaux laté- raux. Méninges molles sans lésions . Racines normales. Nulle part on ne cons- tatai
es sans lésions. Racines normales. Nulle part on ne cons- tatait de lésions inflammatoires. Ce cas était assez facile à dia
ne tumeur au dehors de la dure- mère. - Dans ce cas également les lésions de la moelle même étaient minimes. Dans les rég
e mailles larges et vides et des fibres ner- veuses gonflées. Cette lésion n'était pas bien profonde puisqu'elle n'a pas e
égère dé- générescence dans les cordons postérieurs dépendait de la lésion des zones radiculaires des cordons postérieurs
te des deux foyers précités. Il faut donc supposer qu'à côté de ces lésions se sont produites d'autres modifications dans l
qui ont engendré l'abolition des fonctions sans toutefois donner de lésions histologiques constatables. Il faut insister
Les coupes coloriées par la méthode de Weigert ne démontrent pas de lésions dans les segments cervicaux supérieurs (1-11).
cordons postérieurs. Vaisseaux en nombre augmenté. Ils portent des lésions spécifiques dans les méninges prin- cipalement.
sont épaissies (surtout la dure-mère).La moelle même présente peu de lésions . Faible raréfaction des fibres dans la substanc
ormal sur la coupe. Au premier coup d'oeil on n'y remarque point de lésions . Quelques endroits dans les cor- dons postérieu
; elle est peut-être un peu épaissie. Les vaisseaux présentent des lésions spécifiques. L'arachnoïde est franchement plus
radiculaire 1), tandis que sa voisine immédiate est normale. Des lésions semblables se trouvent dans la moelle dorsale inf
osine montrent une structure caractéristique pour les gommes et les lésions spécifiques des vaisseaux et des méninges. Les
ommes et les lésions spécifiques des vaisseaux et des méninges. Les lésions les plus prononcées'sont constatâmes dans les seg
u dans le tissu de la moelle épinière. Les vaisseaux présentent des lésions spécifiques non seulement dans la gomme même, m
lanche et grise) en dehors des gommes, il est vrai pourtant que ces lésions y sont moins prononcées. Il est à noter qu'on a
moelle sous forme des prolongements en coin effilés. A côté de ces lésions peu prononcées des méninges molles, on s'étonne d
au niveau du V° segment lombaire les méninges molles n'ont que des lésions voisines, tandis que de la dure-mère en face des
Les coupes coloriées par la méthode de V. Gieson montrent les mêmes lésions . Au niveau de la moelle dorsale moyenne (on y voi
une manière considérable. La coloration de Nissl ne démontre pas de lésions notables dans les cellules. (Dans la moelle lomba
l y avait une gomme dans le lobe parié- tal inférieur gauche et[une lésion syphilitique diffuse de tout l'appareil cérébro
euses. Il faut souligner tout spécialement ce. fait que, malgré des lésions très- prononcées de la moelle,les symptômes cli
logie nous fûmes frappés par la diffé- rence qui existait entre les lésions très prononcées de la dure-mère (épais- sisseme
ri- phérie vers la profondeur. Les vaisseaux par contre avaient des lésions profondes et bien caractéristiques de la syphil
porter quelque lumière sur ce sujet. J'ai constaté en effet que les lésions du segment postérieur de la capsule interne pro
e les grosses,car elles s'atrophient et disparaissent aussi après les lésions du faisceau pyramidal ou de la capsule interne.
rection furent faites par llloeli (1). Cet auteur en pratiquant des lésions expérimentales des faisceaux qui passent par la
interne, a observé que les cellules de l'écorce correspondante à la lésion , se coloraient moins intensivement avec le carmin
tions faites.avec la méthode de Golgi et de Nissl, ils trouvent des lésions , sur- tout dans les grandes cellules pyramidale
s les grandes cellules pyramidales. Dotto et Pusateri comparent ces lésions cellulaires avec celles décrites par Nissl, Marin
la capsule interne. J'ai constaté des réactions cellulaires et des lésions atrophiques des grandes cellules pyramidales, et
tionné les fibres de projection de la zone motrice pour voir si les lésions cellulaires qu'ils ont décrites dans la psychos
cerveaux démontrant la réaction des cellules géantes à la suite des lésions de la capsule interne. Dans la discussion quia
ia suivi cette communication, Gutz- mann dit n'avoir pas trouvé des lésions dans un cerveau de chien exa- miné quatre semai
e de Berlin (5), où j.'ai montré des coupes de cerveaux d'un cas de lésion du pédoncule cérébral, de six cas de compression
érose latérale al1lyotrophique. Dans tous ces cas j'ai constaté des lésions des cellules de Betz. Ces lésions variaient comme
ns tous ces cas j'ai constaté des lésions des cellules de Betz. Ces lésions variaient comme intensité selon la durée et la
r les altérations des grandes cellules pyramidales consécutives aux lésions de la capsule interne. Soc. méd. des Hôpitaux de
r les altérations des grandes cellules pyramidales consécutives aux lésions de la capsule interne. Revue neurologique, 1899,
, 1900, p. 221. 380 MARINESCO région inférieure de la moelle, des lésions dans les cellules géantes du lobule paracentral
s de leur disparition complète, est un fait constant à la suite des lésions du faisceau pyramidal, et qui se produit indiff
vicale et. en examinant des cou- pes des cerveaux, ils trouvent des lésions cellulaires près du gyrus cru- ciatus et chez l
i-ci, et dans la partie supérieure de la fron- tale ascendante. Les lésions se limitent aux cellules géantes. Ils étudient
es. Ils étudient aussi les modifications de l'écorce à la suite des lésions de la capsule interne. Chez une hémiplégique, m
. Goldstein. L'état des cellules pyramidales géantes à la suite des lésions du faisceau pyramidal, Spitalul, 1901, n° 1. (2
DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 381 avait pas de lésion dans les couches superficielles ni dans la couche
s les couches superficielles ni dans la couche polymorphe. Puis les lésions ne se limitent pas à la zone précentrale, mais
capsule interne et des noyaux de la base qui datait de 18 mois, les lésions corticales consistaient dans l'absence complète d
ortion d'un champ cortical différencié comme structure. L'étude des lésions corticales de la sclérose latérale amyotrophique,
end facilement pour les localisations cérébrales l'importance d'une lésion du système pyramidal qui s'arrêterait à une certa
ue de sclé- rose latérale amyotrophique dans lequel il a vu que les lésions corticales (disparition des pyramides géantes e
à la frontale ascendante. Schrôder (2), dans trois cas, trouve des lésions des cellules de Betz se limitant à la zone motric
des cellules de Betz se limitant à la zone motrice de Brodmann. Les lésions sont plus intenses dans la partie inférieure, de
ies capsulaires. J'ai eu à ma disposition 20 cas d'hémiplégie où la lésion datait depuis 9 jours jusqu'à 7 ans ; sauf dans
omplète avec aphasie motrice totale. Durée de la maladie 9 jours. Lésions macroscopiques. Foyer hémorragique qui détruisait
ait profondé- ment la moitié postérieure du lobe pariétal gauche. Lésions microscopiques. Dans le lobule paracentral gauche
le paracentral gauche les cellules de Betz sont le siège de grandes lésions allant jusqu'à l'achromatose complète et à la d
opique. Les cellules de Betz de l'hémisphère droit sont lésées. Les lésions sont incipientes et consistent surtout dans le dé
deux lobes occi- pitaux qui détruisent les scissures calcarines. La lésion est plus étendue à droite où elle occupe la con
yramides géantes sont en voie d'atrophie plus ou moins avancée. Les lésions sont plus prononcées dans le lobule paracentral
e paracentral et de la frontale ascendante, dans cette dernière les lésions sont moins manifestes que dans le lobule parace
t presque toutes disparu (fig. 7, Pl. XXXIX). On voit également des lésions dans ces cellules des types 1, 2 et 3 de la parié
posté- rieure du noyau lenticulaire droit. Examen microscopique. Lésions peu prononcées dans le lobule paracen- tral dro
aux de la 'base du côté droit. - Examen microscopique. -On voit des lésions dans la frontale ascendante et dans le lobule p
ans la frontale ascendante et dans le lobule paracentral droit. Les lésions consistent dans la réaction et l'atrophie des c
s de la pariétale ascendante ont disparu également à ce niveau. Les lésions cellulaires sont un peu moins accu- sées dans l
s cellules de Betz sont altérées et en grande partie disparues. Les lésions des cellules pyramidales géantes sont plus pron
résiduelle nous voyons que la réaction des cellules de Betz après les lésions de la capsule interne ou de la substance blanch
les cellules lésées. Dans les hémiplégies complètes on retrouve une lésion de presque toutes les cellules situées dans la fr
em- bre supérieur ou bien d'une façon seulement très incomplète, la lésion est beaucoup plus accusée dans la frontale asce
nte que dans le paracentral. Je ferai remarquer encore qu'après les lésions de la capsule interne les grosses pyramides pro
u'il m'a été permis de constater c'est la suivante : tandis que les lésions de la capsule interne gauche sont suivies d'alt
'on se rapproche de la partie inférieure de ces circonvolutions les lésions deviennent de nouveau plus étendues et dans les
es ascendantes et dans les lobules paracentraux des deux côtés. Les lésions sont plus manifestes et plus avancées dans les
s leur tiers moyen la plupart des cellules géantes ont disparu; les lésions sont plus accusées du côté gauche. Dans le tier
bules paracentraux et les frontales ascendantes des deux côtés. Ces lésions sont plus manifestes dans l'hémisphère gauche e
state encore que dans certains cas de paralysie pseudo-bulbaire les lésions cellulaires sont plus ou moins con- sidérables
- sidérables dans le tiers inférieur des frontales ascendantes. Ces lésions 392 MARINESCO sontplus manifestes dans les ca
s symptômes pseudo-bulbaires sont plus accusés. C. Paralysies par LÉSIONS IÉSENCÉPIIALIQUES. 10 Jean A... Notes cliniques
tiers supérieur des frontales ascendantes on observe également des lésions cellulaires mais peu démonstratives. Absence de l
également des lésions cellulaires mais peu démonstratives. Absence de lésions des cellules géantes dans les tiers moyen et in
3° Pauna P... Notes cliniques. 28 ans, tétraplégie à la suite d'une lésion de la moelle par arme à feu. Elle fut opérée et
inférieure. Durée de la maladie : 3 mois. Examen microscopique. Des lésions indiscutables et très étendues des cellules de
paracentraux. Dans le tiers supérieur des frontales ascendantes les lésions sont peu manifestes. Le reste de ces circon- vo
que dans les tiers supérieur des frontales ascendantes on voit des] lésions manifestes dans le cellules géantes, dont quelq
au type 5 ainsi que dans la pariétale ascendante, on ne voit pas de lésions dans les grandes cellules sous-graaulaires. 6
ntral. Les cellules géantes sous-gra- nulaires ne présentent pas de lésions . 7°EnacheD... Notes cliniques. - 5 ans, mal de
paracentraux on voit quelques cellules géantes en réaction. Pas de lésions dans les frontales ascendantes. 8° Albert J...
ment lombaire jusqu'à la queue de cheval. - Examen microscopique. - Lésions manifestes consistant en réaction à distance et
e. Par endroits les pyramides géantes ont complètement disparu. Les lésions s'étendent également au tiers supérieur des fro
Fxamen microscopique. Dans les lobules paracentraux on trouve des lésions évidentes et qui consistent surtout en atrophies
s les cellules de Betz ont complètement disparu. On ne voit plus de lésions dans les frontales ascendantes. 15° Constantin
vicale sans participation manifeste de la substance blanche. Aucune lésion dans les cellules géantes de la zone motrice cort
toujours un rapport entre le degré de paralysie et l'intensité des lésions corticales de même que entre le membre plus att
tteint et son centre cérébral. En effet, chez les paraplégiques les lésions des pyramides géantes se limitent aux lobules p
igine cérébrale, où le membre su- périeur était le plus touché, les lésions cellulaires sont plus accusées dans la portion
lieu quand la paralysie est plus intense [au membre inférieur, les lésions corticales étant alors plus manifestes dans le
ie avec les cons- tatations faites chez les hémiplégiques; mais les lésions sontplus accusées dans les parties inférieures
à travers ces noyaux. , Dans la sclérose latérale amyotrophique les lésions des cellules de Betz se produisent dans toute l
ion des pyramides géantes. Dans ces cas j'ai encore observé que les lésions sont moins accusées dans les lobules paracentra
asses : nxvi- vascularites et nævi-névrites, les premiers dus à une lésion vasculaire, les seconds à un trouble trophique,
Thornburn, Head, appliquée par Brissaud et Achard aux zonas, etc... Lésion du prolongement central ou radiculaire postérie
lètement recouverts et légèrement débordés pouvait faire penser à une lésion médullaire intéressant dans l'axe médullaire le
en arrière comme en avant, très nettement à la ligne médiane. La lésion porte exclusivement sur ra pigmentation ; aucune
en symétrie parfaite nous fait-elle penser à la proba- bilité d'une lésion médullaire foetale plutôt qu'à une névrite simple
iées. Et peut-être s'en rendrait-on mieux compte si on repérait ces lésions sur des schémas indiquant la topographie des bran
e à rechercher plus haut le point de départ, et à l'attribuer à une lésion de myélite intra-utérine. C'est le type symétri
zona de la 5e observation de M. Achard (1), plus facilement qu'une lésion systématique des 5e, 6e, 7e racines cervicales, l
la direction croise celle des nerfs périphériques de sa région, par lésion du prolongement radiculaire dans son trajet inlra
tant une disposition permettant de l'attribuer avec certitude à une lésion de la racine postérieure entre son ganglion et so
provenance ectodermique (Hensen) (3), on comprend facilement qu'une lésion de cet appareil embryonnaire peut retentir sur la
xes, poils, glandes séba- cées et sudoripares, etc. Et aussi qu'une lésion foetale de l'appareil gan- glionnaire détermine
stribution périphérique de ce nerf lésé. Mais qu'au con- traire une lésion foetale portant sur un neurotome spinal produira
distribution des bran- ches centripètes des nerfs. Mais comment une lésion du nerf sensitif nous explique-t-elle un troubl
sympathiques et sensitives. (1) G. ETlEJ\ ! OE et Cu. Champv, Les lésions cellulaires des cornes antérieures de la moelle
odermiques dans un territoire innervé par un nerf centripète. Si la lésion porte sur un ganglion sympathique, la répercussio
intéressé, en prendra le type névritique. Il en sera de même si la lésion initiale porte sur le ganglion de la raci ne po
nt mal à la périphérie l'influx sympathique qu'elle ont reçu. Si la lésion initiale porte sur l'appareil médullaire, deux ca
e plusieurs nerfs successifs ; ce sont les noevi sériés. Ou bien la lésion intéresse un groupe de cellules médullaires ; o
bles trophi- ques segmentairement distribués. Mais suivant que la lésion est myél,itique ou cellulo-névritique, les cond
'autre part, ce même trouble trophique pourrait s'expliquer par une lésion intéressant systématiquement l'ensemble de cet or
hropathie tahétique de la colonne vertébrale. Les cas de semblables lésions des vertèbres, présentées a\ec l'appui des rech
- rot (10). Tous, exception faite du dernier, se rapportent à des lésions des vertè- bres lombaires, et plus précisément
relevée dans les vertèbres de notre malade parmi celle catégorie de lésions . Négligeant complètement le critériums anamnesl
De même, on peut facilement écarter l'hypothèse de déformation pour lésion du sciatique, ou à cause d'anciens processus du
ues ou dans l'examen objectif, n'autorise à formuler l'hypothèse de lésions de ce genre, ensuite parce que la radiographie
es; il est par conséquent impossible d'attri- buer cet oedème à ces lésions cutanées. A gauche, l'oedème est à peu près seg
ucun signe de tuberculose. Rien au coeur et en particulier pas de lésion aortique. Les pouls radiaux, carotidiens et cru
faciles à détacher. Le lobe inférieur du poumon droit présente des lésions typiques de bronchopneumonie; à la base gauche
nts moins nom- breux. Les sommets des deux poumons sont le siège de lésions emphyséma- teuses très prononcées, et on y dist
roi- sième et surtout le quatrième sont très courts. Le maximum des lésions osseuses (modifications de l'ombre) paraît siég
s de janvier 1908, on constate l'état suivant : nerfs crâniens sans lésions . Pupilles égales. Le malade tient toujours la têt
Sur les différentes coupes faites à travers la moelle on constate des lésions suivantes : Sur la coupe transversale passant p
s antérieures (tremblement, contrac- 468 FLATAU lions) ou de leur lésion (atrophie musculaire). Cette dernière est surtout
é gauche de la moelle, y creusait un nid et provoquait une profonde lésion des tissus. Du moment que la compression fut él
a moelle disparurent, tandis que prirent place ceux provenant de la lésion des tissus, c'est-à-dire que le type de Brown-S
bulbaires et après la mort l'examen histologique n'a pas décélé de lésions du bulbe (Stertz). Quant à la durée de la malad
nombreuses erreurs peuvent se produire. Souvent des oedèmes ou des lésions inflammatoires de la moelle 474 FLATAU même o
).Leyden (ISi4) a cru que la différence consiste en l'intensité des lésions produites par la tumeur. Les lésions plus prono
ce consiste en l'intensité des lésions produites par la tumeur. Les lésions plus prononcées parleraient en faveur d'une tum
ades précités (un névralgique, un du type Brown-Séquard et un de la lésion transverse). En faveur de la tumeur intramédull
pparition rapide de phénomènes inattendus (hémorragies surajoutées, lésions inflammatoires du tissu médullaire), d'un autre
jouter que dans tous ces cas le fond de l'oeil ne présentait aucune lésion , qu'on rencontre de temps en temps dans les sta
opageant transversalement, tandis que, dans la syringo- myélie, les lésions frappent la moelle longitudinalement. Il faut e
s (2) méninges de nature tuberculeuse où man- quaient toutefois les lésions typiques. Nous ne nous arrêterons pas sur les a
tait tellement prononcé que la moelle ressemblait à un ruban. Les lésions du tissu nerveux vues sous le microscope peuvent
dégénérescences secondaires ascendantes et descendantes. Quant aux lésions qu'on observe à l'endroit même de compression, la
moelle y présentait des modifications. Parfois (obs. XVI, XVII) les lésions sont tellement prononcées qu'il est fort difficil
du côté de la tumeur seulement). Dans d'autres cas (obs. XVIII) ces lésions étaient moins prononcées et la distinction des de
dividuel du ma- lade, de la résistance du tissu nerveux, etc. Les lésions histologiques observées le plus souvent dans les
ègent principalement sur les côtés et en arrière de la moelle). Les lésions étaient surtout prononcées du côté de la tumeur,
vec le néoplasme, et beaucoup moindres du côté opposé.Les foyers de lésion réalisaient le type alvéolaire.. On voyait le g
ces TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 485 lésions on voyait des alvéoles plus ou moins vides appara
oglie ne proliférait pas. Les racines étaient bien conservées, sans lésions un peu profondes. Les racines dans le voisinage
racines étaient intactes ou à peine démyélinisées. Méninges sans lésions évidentes, avec vaisseaux dilatés. Il faut tout
t spécialement insister sur ce fait qu'on n'observait nulle part de lésions inflammatoires proprement dites et que les espace
rement dites et que les espaces lymphatiques ne présentaient pas de lésions prononcées . Une attention toute spéciale doit
ltiples au lieu de la figure habituelle. Il faut supposer que cette lésion fut produite arti- ficiellement (une hémorragie
idien (Quensel, Orlawski). Si nous nous arrêtons maintenant sur les lésions situées en dehors de l'endroit comprimé, nous d
86 . .- . - FLATAU , " , régions assez, éloignées de la tumeur, des lésions un peu pronon- cées étaient rares. Dans notre X
nt plus faible qu'on ne pouvait le supposer, en se ba- sant sur les lésions très prononcées au niveau de la tumeur. ' Ce fa
ux- décrits dans le chapitre II. - Quant à la pathogénèse, de ces lésions produites par la compression, nous l'avons déjà
rsonnels et ceux de Kahler, Schmaus, Zieorlel,, et d'autres que les lésions histo-pathologiq1le ? dans ce qu'on appelle la.
rôle : 1° à la compression mécanique immédiate delà moelle; 2° aux lésions secondaires, c'est-à- dire produites par la com
sion immédiate exercée sur le tissu nerveux provoque sans doute des lésions prononcées. La meilleure preuve en est que les pl
lésions prononcées. La meilleure preuve en est que les plus grandes lésions correspondent à la région la plus, comprimée. Il
une importance spéciale à la stase veineuse dans la provenance des lésions par compression. En tout cas il est maintenant
ar compression. En tout cas il est maintenant hors de doute que les lésions de la moelle provoquées par la compression de c
ns des cas exceptionnels, joue un rôle secondaire. Celle absence de lésions inflammatoires qui dé- truisent ordinairement l
escence. .D'un autre côté il faut se rappeler le fait suivant : les lésions histolo- giques peuvent manquer presque complèt
in- tervient au moment où on ne peut encore supposer l'existence de lésions profondes. (A suivre) NOUV ICONOGRAPHIE DE
sque les circonvolutions correspondantes de gauche présen- tent des lésions (1). Mais, à ma connaissance du moins, personne j
s, personne jus- qu'ici n'a étudié, au moyen de coupes sériées, les lésions qu'on rencontre dans les hémisphères cérébraux
tude.démontrent donc c que, chez les gauchers, les conséquences des lésions des zones du langage de l'hémisphère cérébral d
blance avec celles qui s'observent chez les droitiers, par suite de lésions des zones du langage de l'hémisphère cérébral g
libres endo-corti- cales du tiers antérieur de la Ti droite. Cette lésion concourt-elle, ou non, à produire des troubles
quelle, du reste, il avait lui-même renoncé) : c'est-à-dire que les lésions de l'insula pro- duisent seulement des troubles
posterior de droile se comporte comme celle de gauche, puisqu'à sa lésion dans mon cas on pouvait attribuer l'abolition d
l. Upsala Neurol. Cblatt, 189J. (6) Touche, Cas d'aphasie sens, par lésion du pli courbe chez un gaucher. Soc. Biol.. 1S99
étés exactement. Mais à rendre plus manifeste encore l'analogie des lésions et des symp- tômes dysphasiques, observés dans
n- tée. Les ventricules sont généralement dilatés et présentent les lésions de l'épendymite congénitale. Alors que les circ
divise en quatre groupes : 1° Cas d'agénésie complète sans autre lésion concomitante ; 2° Cas d'agénésie incomplète san
autre lésion concomitante ; 2° Cas d'agénésie incomplète sans autre lésion concomitante ; 3° Cas d'agénésie où cette malfo
itante ; 3° Cas d'agénésie où cette malformation est associée à des lésions en foyer, à l'hydrocéphalie, etc. ; . 4° Cas
s expériences sur les animaux. Il s'agissait soit de pro- duire des lésions de l'écorce, soit de sectionner le corps calleux
alblatt, novembre 1893. ' AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEUX 50M Après les lésions de l'écorce, la dégénérescence ne s'observe' que
ouronne rayonnante. Le faisceau sous-calleux dégénère à la suite de lésions aussi bien du lobe frontal que du lobe occipital
s symé- triques se font au niveau des lobes frontaux. A la suite de lésions corti- cales, le corps calleux ne présente qu'u
le dont l'intensité est directement proportionnée à l'étendue de la lésion . S'inspirant de la prétendue découverte d'Onufr
occipitale, avec les fibres du forceps major du corps calleux. Les lésions du lobe occipital retentissent non seulement sur
rontal ; or ce dernier faisceau dégénère partiellement, à la suite de lésions du lobe temporal et de la convexité de l'hémisp
, ce que. prouve bien l'existence d'une épendymite granuleuse et de lésions méningées. La destruction si considérable de la c
calleux, il n'est guère surprenant que ce système ait succombé aux lésions ventriculaires si intenses qui existent dans le
un faisceau d'association fronto-occipital ; le fait que malgré les lésions si étendues de l'hémisphère gauche, la majeure
éduit à pratiquer l'exa- men histologique de la zone motrice et des lésions méningées. L'écorce est remplie de petits kyste
prolifération névroglique plus ou moins généralisée. Ces. diverses lésions engagent l'auteur à porter le diagnostic suivan
s ventricules latéraux. Il considère, avec raison,, que ce sont ces lésions si intenses et si étendues qui ont déterminé l'
à dés altérations primitives du système nerveux central, soit à des lésions inflammatoires (étendues, mais peu profondes), so
s lésions inflammatoires (étendues, mais peu profondes), soit à des lésions systématisées d'originetoxique.Si l'on se rappell
somies uniformes,relatives aux réductions mentales suscitées,par la lésion primitive du système nerveux central, plutôt qu
antilique ni essentielle, mais est au contraire strictement liée la lésion cérébrale. » M. Sainton et 1l.Launois admettent
a tête retiendra votre attention^ Atteints, dès le jeune âge, d'une lésion chronique des centres nerveux, telle que la scl
trouve aussi des symptômes or- ganiques qui expriment clairement la lésion centrale, tels les tics, l'athé- tose, les chor
doigts des mains qui sont en baguette de tambour. Aucune trace de lésions rachitiques soit des extrémités, soit du thorax.
nous possédons à ce sujet plus d'hypothèses que de faits positifs. La lésion dont il dépend est complètement ignorée. Autr
end à localiser dans le ganglion ciliaire ou les nerfs ciliaires la lésion qui donne lieu au signe d'Argyll-Robertson ; dans
trouble du réflexe photo-moteur est dû vraisemblablement aux mêmes lésions . Les autopsies de tabes avec signe d'Argyll-Rob
es par la méthode de Pal) ont confirmé le diagnostic de tabes : les lésions sont limitées aux cordons postérieurs, et sur pre
la hauteur elles ne débordent pas la bandelette externe, ce sont les lésions du tab'es incipiens. Ce n'est guère qu'au nivea
: les cylindres axes sont également bien colorés. Il n'existe pas de lésion interstitielle. Sur les coupes passant par le p
sphère cérébral gauche. L'examen histologique de la moelle montre les lésions classiques du tabes incipiens : les coupes sont
rijumeaux colorées par la méthode de Marchi ne laissent voir aucune lésion importante. Peut-être les libres à myéline des
n trajet et nous ne pouvons affirmer qu'elle est in- demne de toute lésion . Nous n'avons-pas examiné les ganglions ciliair
ssent cepen- dant suffisantes, et il serait bien surprenant que les lésions susceptibles de produire le signe d'Argyll,et r
e signe d'Argyll- Robertson peut se manifester sans qu'il existe de lésions dans le ganglion ciliaire, dans ses racines et
it la variole (Gange, Markeloff) ou un traumatisme (Steinberg) ; la lésion métacarpienne est pure, ou associée à d'autres dé
e enfance, et ceux qui suivent pendant la période de croissance des lésions manifestes, connues et classées, des os de la mai
forme souvent avec l'axe normal un angle plus ou moins aigu. Les lésions anatomiques décelées par la radiographie portent
es microdactylies qui sont d'ordre actio - ou hémi-mélique. - Les lésions carpiennes ou tarsiennes peuvent elles aussi déte
utres termes de l'intensité du processus morbide. Nous ignorons les lésions de métacarpiens dans cette forme particulière d
le raccourcissement précède parfois l'apparition des exostoses; la lésion essentielle est la pré- cocité de soudure de l'
le seul phénomène dans la brachymélie métapodiale pure; il y a des lésions non seulement moins nombreuses, mais encore moins
pables de raccourciriez os métapodiaux, en totalité ou en partie. Lésion monosegmentaire, symétrique, congénitale, la brac
nnaire, un frère présente la même anomalie ; et celle de Regnault : lésions squelettiques concomitantes, vertébrales surtout,
flam- mation des tissus qui vont former la main de l'embryon, à une lésion des vaisseaux ou du système nerveux ? » (Polail
use. Il suppose, étant donnée dans ses observations la constance de lésions sphénoïdales (inf1ammatoll'.es, peut-être spécifi
ce nouvelle. Rappelons la disposition grossièrement métamérique des lésions dans un cas de brachymélie humérale. Il n'est c
cas de brachymélie humérale. Il n'est certes pas impossible qu'une lésion de l'axe vertébro-basilaire retentisse d'une faço
nerait l'acro- métagénèse, est tout hypothétique. La symétrie des lésions métapodiales peut bénéficier d'une explication
logues des deux côtés du corps; il est courant d'observer, dans les lésions même les plus indiscutablement in- fectieuses,
ditions favora- bles- ou non à sa localisation. La symétrie d'une lésion impose toujours au clinicien l'hypothèse d'une
roubles dans la croissance du tissu squelettogèI1e consécutifs aune lésion propre du système nerveux, ils sont peu connus. L
ésion propre du système nerveux, ils sont peu connus. Les faits, où lésion centrale congénitale et lésion squelettique congé
, ils sont peu connus. Les faits, où lésion centrale congénitale et lésion squelettique congénitale coexistaient, sont des
it d'une disjonction au niveau de la ligne d'ossification. Or cette lésion n'entrave en rien l'ossification périostale, mais
le professeur Kirmisson (1) En particulier P. BAR et M. de hHRVILY, Lésions médullaires rappelant la syrin- gomyélie chez u
glissé de côté; la tête paraît aplatie; l'os est un peu raccourci ( lésion récente). L'origine traumatique de certains cas
e plus leur origine congénitale est certaine. Certes la symétrie de lésions exogènes foetales est possible, en particulier
athologiques (oligohydramnie par exemple) ; « La mul- tiplicité des lésions et une symétrie assez grande ont d'ailleurs été s
s (streptococciques) peut déterminer chez le jeune animal de graves lésions des épiphyses fertiles, et même des décollement
ples et souvent symétriques, elle ne coïncide que rarement avec des lésions tu- berculeuses profondes ; elle guérit en lais
des lésions tu- berculeuses profondes ; elle guérit en laissant des lésions osseuses. Ce fait banal, qu'un raccourcissement
ien autre tendance à se réparer que ceux de l'adulte, et jamais une lésion foetale ne laisse autant de dé- formation, de s
ésion foetale ne laisse autant de dé- formation, de sclérose qu'une lésion survenue à une période plus tardive. La cicatri
uppuration ». D'Astres (3) ajoute : « Dans un cas il s'agissait d'une lésion déterminées par la tuberculose de ces organes,
chymétiques ; dans un cas même (obs. 3) nous avons pu constater des lésions de carie, les unes guéries, les autres en évoluti
se foetale. Le raccourcissement est la conséquence clinique d'une lésion modérée du disque proliférant. Que la localisat
e est habituelle et peut exister aux quatre extrémités, sans que la lésion d'un centre spécial régulateur soit nécessaire; l
sition vasculaire a peut-être une influence sur la topographie des lésions . (1) Article Achondroplasie de HUTINEL et Tixns
RALE 1.1 pération. Il est évident que la moelle a subi une profonde lésion qui ne se laisse plus réparer (cas de Tylher-Wi
s penche pour le désordre de la circulation cérébrale, causé par la lésion d'une certaine veine, dont les rapports anatomiqu
Pierre MERLE et C. CASTINE Interne des hôpitaux (de Gênes). Les lésions épendymaires et péfi-épendyraaires au cours de la
en plaques ont été signalées par plusieurs auteurs. L'étude de ces lésions , ainsi systématisées, peut amener à des considé
dant à peu près à la partie médiane. Hémisphère droit. Là encore la lésion la plus importante est la sclérose périventricu
. fou \ELLE Iconographie DE la SALP6rAIrRI. T. XXIII. Pl. LXl`f LÉSIONS ÊPENDYMAIKEES ET SOUS-ÊPENDYMAIRES DANS LA SCLÉRO
t liellse, formée de fibrilles parallèles et tassées. Il existe des lésions superficielles d'épendymite à ébauche de granul
pports sont manifestes entre la sclérose pé- riventriculaire et les lésions supeilkielles. Masson & Cie, Edtteurs. LI
ns dit, nettement tranchées sous forme d'une ligne irrégu- lière. Lésions épendynàires à distance des plaques de sclérose p
e rencontre que très rarement des fibres boursouflées, tuméfiées et LÉSIONS );PENDYD4AlRES ET SOUS- P PNDY,,IAIRr ? G17 glo
Les plaques cérébrales étaient en petit nombre comparativement, les lésions péri-ventriculaires constituaient le fait dominan
de Touche (1), il existait,avec la sclérose périventriculaire, des lésions du centre ovale et des plaques des noyaux gris ce
vale et des plaques des noyaux gris centraux. C'est à ces dernières lésions que l'auteur attribuait la production du rire spa
2) MÜLLER, Die multiple Sklerose des Gehirns u. Riickenmarks, 1904. LÉSIONS ÉPENDYMAIRES ET SOUS-ÉPENDYMAIRES 619 la scléro
irritant a pénétré dans le cerveau par la voie ventriculaire ». Les lésions vasculaires très marquées au con- traire leur o
leur gaine, joue "certainement un rôle important dans la genèse des lésions . Ce n'est ce- pendant pas, à notre sens, un arg
iculier la gainite périveineuse sont une des caractéris- tiques des lésions d'épendymite en général. On les rencontre à un de
u carmin dans les LI) Liiehmitte et GUCCIONE, Quelques symptômes et lésions rares dans la sclérose en plaques. Encéphale, m
les processus infectieux ou toxiqnes suivent le même chemin et les lésions vasculaires el périvasculaires peuvent et même
. Du reste, au-dessus de la plaque périventriculaire, on trouve des lésions manifestes d'épendymite chronique : granulations,
épithélium. Du reste, au pourtour du ventricule, les deux genres de lésions peuvent s'observer et beaucoup de points de cet
oduire une irrita- tion des parois ventriculaires aboutissant à des lésions d'épendymite et que ces lésions se propageant v
is ventriculaires aboutissant à des lésions d'épendymite et que ces lésions se propageant vers la profondeur sont capables de
rôle important au liquide céphalo-rachidien comme en témoignent les lésions des parois épendymaires qui font l'objet de ce
es sur l'étiologie des anévrysmes de l'aorte que l'on découvrit les lésions syphilitiques microscopiques dont la tunique mé
ntales déterminées. La démonstration du caractère spécifique de ces lésions , déjà importante pour la pathologie générale, e
cularités cliniques de ces cas et je ferai une élude d'ensemble des lésions microscopiques en les groupant selon leurs cara
n même temps des,tuberculeux. Encore faudrait-il que cette dernière lésion soit localisée dans les parois de l'aorte, ce q
permit de poser le diagnostic de syphilis céré- brale diffuse. Les lésions aortiques, comme uous allons le voir, sont un sta
L'AORTITE MOYENNE GOMMEUSE OU MÉSAORTITE GOMMEUSE 625 Elle a une lésion aortique de date encore récente et en pleine acti
près une maladie de quatre à cinq ans de durée, type classique. Les lésions aortiques sont complètement évoluées, on a devant
que dans les cas où l'aortite moyenne gom- meuse est accompagnée de lésions athéromateuses et dans ceux où les altérations
récentes, aiguës, ou au contraire très anciennes, en rencontre des lésions du début ou des altérations com- plètement évol
s gommes typiques. Cette forme d'aortite se complique rarement de lésions régressives, allié- comateuses. Les diverses
rarement de lésions régressives, allié- comateuses. Les diverses lésions de l'aortite moyenne gommeuse se rencontrent do
soit des gommules dans la paroi de ce vaisseau. Mais à côté de ces lésions on rencontre aussi des cicatrices dans l'aorte, s
ésions on rencontre aussi des cicatrices dans l'aorte, séquelles de lésions complètement évoluées. Ce cas est des plus précie
initive. Le cas de syphilis cérébrale diffuse relaté présentait des lésions aorti- ques plus avancées encore dans la voie d
pas de statistique, mais il arrive à la conclusion formelle que les lésions aortiques se rencontrent uniquement chez les in
es chiffres, mon expérience per- sonnelle me permet de dire que ces lésions spécifiques de l'origine de l'aorte se rencontr
ionnelle dans ces cas-là. Un examen microscopique attentif de ces lésions , même évoluées, met- tra facilement sur la voie
e d'alté- rations notables et étendues. Dans l'hémisphère droit ces lésions épendy- maires affectaient la forme de plaques
déprimée, d'aspect cicatriciel et présentant. tous les signes d'une lésion vasculaire ancienne : pie- mère' épaissie et ad
te par l'inversion très spéciale qu'a subie le trigone à la suite des lésions étendues du ventricule et de la pie-mère. Resta
toute altération épendymaire. En revan- che, on trouve d'abondantes lésions vasculaires au pourtour de la circonvolution de
dégénéres- cence très appréciable qui relève vraisemblablement des lésions ventriculaires qui à cet endroit sont de nouvea
tapétum présente une décoloration notable qui relève sans doute des lésions épendymaires voisines. La paroi ventriculaire,
paroi interne où ces libres sout actuellement interrompues par des lésions très sévères de l'épendyme voisin. Ces mêmes lési
ompues par des lésions très sévères de l'épendyme voisin. Ces mêmes lésions expliquent pro- bablement la dégénérescence trè
. La fimbria est notablement dégénérée, ce qui tient sans doute aux lésions intenses qui abondent dans son voisinage. En av
nsparente,car il reçoit un certain nombre de fibres du trigone. Des lésions vasculaires abondent à cet endroit et on note u
temporo-occipitale est pourvue d'un tapétum qui, malgré de nombreuses lésions , l'entoure complètement. Dans le lobe frontal
s du tapétum latéral. La voûte du ventricule présente de nombreuses lésions épendymaires et sous-épendymaires qui sont surtou
dans lagenèse de l'agénésie du corps calleux. Selon cet auteur, les lésions épendymaires sont susceptibles soit d'empêcher le
6 Ô ARCHAMBAULT que celle-ci se trouve compromise au cours de toute lésion épendymaire. En second lieu, dans notre cas d'a
as d'agénésie, nous avons la preuve incontes- table que ce sont les lésions ventriculaires qui ont empêché le développe- me
il n'y a guère moyen de se soustraire à l'importance des multiples lésions que nous avons décrites : épaississement pie-méri
a cloison transparente, boutons épendymaires volumineux,etc. Si les lésions d'épendymite foetale suffisent en elles-mêmes à
orps calleux, il faudrait t constater son intégrité dans les cas de lésion du corps calleux ou après la section de celui-c
nt à la réaction qui s'observe au niveau du tapétum dans les cas de lésion du corps calleux,nous rapporterons les seuls fait
ée, et c'est fort douteux que pareil fait puisse s'observer. Si les lésions ventriculaires sont pleinement capables d'empêc
sparition totale du système calleux s'observât, il faudrait que les lésions ventriculai- res fussent non seulement générali
générescence con- cordent absolument avec l'étendue et le degré des lésions ventriculaires etpériventricutaires. La capsule
marquer que sa topographie coïncide assez exactement avec celle des lésions pie-mériennes. Conclusions 1° Dans les cas de
culaire foetale est la cause déterminante de cette anomalie ; cette lésion agit soit en détrui- sant une grande partie de
FAM)HALE 667 Nous n'avons non plus aucun argument pour admettre une lésion du thymus ou une persistance anormale de cet or
e vie et de nourriture) qui déterminent,par l'in- termédiaire d'une lésion thyroïdienne, le crétinisme endémique en généra
ue ces différentes formes cliniques soient toutes dépendantes d'une lésion primitive et prévalente des glandes sexuelles peu
instruc- tion s'efface. L'incontinence nocturne est fréquente. La lésion nerveuse est latente : les réflexes cutanés et te
nfection pulmonaire aiguë. Actuellement elle n'a aucun signe net de lésions . Les amygdales sont grosses, souvent enflammées
otre fillette n'est pas le seul individu de sa famille présentant des lésions nerveuses et de la polydactylie : La mère et
o-protuhéranliel coordonnateur du développement des extrémités : sa lésion engendrerait une acrométagénése, et en particulie
s. 13. N. Magnanini. Déformations congénitales des quatre membres, lésions symé- triques des mains et des pieds. Revue de
se à M. Eltore Levi), par BAUER, 25. Compression nerveuse (Sur la lésion osseuse du mal de Pott ; son rôle dans la genès
graphisme rouge et blanc (1 pl.), par l3oonrEw 197. Ependymaires ( Lésions - et sous-épendy- maires dans la sclérose en pl
du -) 2 pl.), par KOPEZYNSKI et jAnosxYKSKi, 363. Pott (Sur la lésion osseuse du mal de ; son rôle dans la genèse de
d (Le professeur -) (1 pl.), par Meige, 489. Sclérose en plaques, lésions épendymaires el sous-épendymaires (1 pl.), par
47, 1h3, 313, 457, 590. TABLE DES AUTEURS ALQUIER et Klarfeld. La lésion osseuse du mal de Pott. Son rôle dans la genèse
bution à l'étude du pithiatisme (2 pl.), 363. KLAHFEf.n et Sur la lésion osseuse du mal de Pott ; son rôle dans la genès
ofesseur Raymond (1 pl.), 489. ' Merle (Pierre) et PASTIllE (G.). Lésions épendymaires et sous-épendymaires dans la scl
miplégie organique (1 pi.), 88. ' Pastine (G.) et Merle (Pierre). Lésions épendymaires et sous-épendymaires dans la scl
ithiatisme (KopEZYKSKr et JAIIOSZY : ;SKI), XXXVI et XXXVII. Pott, lésions osseuses(ALQUIER et 11LARFELD), XXXIII à XXXV.
AME), XV et XVI Raymond (Le Prof. -), LIV. Sclérose en plaques, lésions épendymaires (Pierre MERLE et G. PASTI-,z), LXI
8 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
' de haut en bas ( dégénérescence corlicifuge) à la suite de lésions corticales ou sous- corticales, pathologiqu
lte par une dislance toujours très appréciable; il s'ensuit que les lésions patho- logiques destructives de la corticalité
le de fibres de projection qui dégénèrent toutes deux à la suite de lésions patholo- Fie. fi. - Les différents segments de
ÉRÉBRALE. H giqucs, destructives du lobe frontal, en particulier de lésions de sa pointe, externe, de la troisième circonvo
secondaires prouve que le faisceau géniculé dégénère à la suite de lésions de l'opercule rolandique et de la partie adjace
étude systématique des dégénérescences secondaires consécutives aux lésions corticales montrent en effet - ainsi que l'un d
de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 47 lésion de la face interne et de la pointe du lobe occipi
du lobe occi- pital et qu'il dégénère partiellement à la suite des lésions des lobules lingual et fusiforme (cas Courrière
les (cas Neumann, Fig. 135, p. 144) et ne dégénère ni à la suite de lésions du lobe occipital (Dejerine, p. 107 et suiv.),
ons du lobe occipital (Dejerine, p. 107 et suiv.), ni à la suite de lésions de la première circon- volution temporale. C.
e la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral consécutive à une lésion corticale et sous-corticale ayant détruit l'ins
t proviennent de toutes les régions du manteau cérébral, puisqu'une lésion corticale pathologique ou expérimentale retenti
y. p. 90 et suiv.), une région déterminée de la couche optique. Les lésions du lobe frontal entraînent une dégéné- rescence
et externe du thalamus (cas Moriceau, p. 149, Fig. 137 et 140); les lésions des circonvolutions rolandiques et de la partie
érée; comme cette dernière elle est d'autant plus antérieure que la lésion rolandique corticale occupe un siège plus inférie
ège plus inférieur et plus rapproché de la scissure de Sylvius. Les lésions du lobe pariétal (cas Jouan, Leu- dot, p. 121,
érieur et les radiations cortico-genouillées externes à la suite de lésions de la zone visuelle corticale. Les autres, plus
couche optique (Fig. 47 et 48). Elles persistent intactes dans les lésions de la sphère visuelle (Voy. cas Courrière, Fig.
ons de la sphère visuelle (Voy. cas Courrière, Fig. 82) et dans les lésions du lobe pariétal (cas Heudebert, Fig. 121., Leu
ons démontré en 1895; il dégé- nère, en effet, à la suite de vastes lésions de la corticalité cérébrale, en particulier, de
tude en coupes microscopiques sériées de 23 hémisphères atteints de lésions corli- cales, ont démontré, contrairement à ce
de projection corticales et dégénère dans sa totalité à la suite de lésions déterminées de la corticalité cérébrale. Ces rech
es rapports. Ses diverse*, dingo- minations. Sa constitution. Lésions qui en- traînent sa dégéné- rescence. montr
isceau interne du pied du pédoncule cérébral dégénère à la suite de lésions de l'opercule rolandique (Fig. 116 à 122, cas Sch
opercule rolandique (Fig. 116 à 122, cas Schweigoffer) et après les lésions centrales, capsulaires qui intéressent la partie
80); dans ce dernier cas le faisceau geniculé (Ci[g]) est lésé; les lésions de la partie supérieure du segment antérieur de l
générescence dn faisceau interne du pied du pédoncule cérébral. Les lésions de la partie antérieure du seg- FIBRES DE PROJE
e correspond bien au faisceau geniculé de la capsule interne. Les lésions corticales, sous-corticales et capsulaires, même
ud, qu'il s'agit, le plus souvent, de fibres respectées au sein de la lésion primitive et qui peuvent être suivies du pied d
ibres ne peuvent avoir qu'une origine corticale, le cas Pradel (vaste lésion cor- ticale avec dégénérescence totale du pied
ointe frontale, ni de la face externe et moyenne de F3, puisque les lésions de ces régions s'accompagnent d'une intégrité par
tenait quelques fibies saines, cette zone participât nettement à la lésion primitive. (Voy. Fig. 142 et 147.) Le cas Ric
ngtemps que lefaisceau de Tiirck ne dégénérait jamais à la suite de lésions corticales ou centrales, et l'on invoqua cet argu
minations. 80 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. fra constitution. Lésions qui en- traînent sa dégéné- rescence. Le po
traînent sa dégéné- rescence. Le pourquoi de la rareté de ces lésions . les cas qu'ils ont rapportés il s'agissait de
areté de ces lésions. les cas qu'ils ont rapportés il s'agissait de lésions à la fois corticales et capsulaires. L'origine
, qu'il constitue un faisceau leu- p01'o-pl'otubéranliel et que les lésions du lobe occipital ne retentissent pas sur le pi
, surtout que le faisceau moyen, cela lient uniquement à ce que les lésions de la région temporale, en particulier de la pa
égion rolandique. S'il dégénère plus rarement encore iL la suite de lésions des masses centrales, cela tient iL son trajet; c
st aujourd'hui un fait bien connu que dans la région thalamique les lésions de la partie postérieure du segment postérieur
son étendue lorsque, par une éventualité que je crois très rare, la lésion porte dans la région sous-thalamiquo sur la par
i, au delà du tiers supérieur de la protubérance; d'autre part, les lésions protubéran- tielles qui détruisent la partie su
an- dique. La dégénérescence du locus niger accompagne toujours les lésions corticales de la zone rolandique, et le secteur
e qui aboutit au cordon anté- rieur de la moelle; 2° Que dans les lésions de la partie postérieure de lacapsule interne, l'
a dégénérescence secondaire sont point ou peu prononcées et que ces lésions déterminent fréquemment de l'hémiancbtltésie de
encéphalique et qu'ils dégénèrent à la suite d'une seule et même lésion . Bien que ces dégénérescences s'observent surto
n. Bien que ces dégénérescences s'observent surtout dans les cas de lésions centrales des hémisphères occupant non seu- l
e, - elles s'observent en outre, quoique moins prononcées, dans les lésions intéressant l'écorce grise avec intégrité des
al. Il le fut déjà par Vulpian, lorsque cet auteur montra que les lésions situées dans le centre ovale, en dehors des cor
culaires et pyramidales) semblables à celles que pro- duisent les lésions des corps striés. Si, grâce aux travaux de Turc
ement établi, si l'on savait que ce faisceau dégénère à la suite de lésions pro- tubérantielles, pédonculaires et capsulair
zone motrice par Hitzig) et que l'extirpation de cette région, sans lésions concomitantes des corps striés, pratiquée sur des
asion de constater la dégénérescence de la pyramide dans des cas de lésions pathologiques du gyrus sigmoïde chez le chien, et
aisceau pyramidal fut définitivement admise. Charcot montra que les lésions de la substance grise corticale déterminent une
nterne, qui dégénère parfois, mais exceptionnellement à la suite de lésions cérébrales, et dont la dégénérescence ne peut ê
ertion sur la fron- tale ascendante; elles dégénèrent à la suite de lésions de ces régions, occupent le bord interne du pie
res d'origine corticale et qu'il dégénère en totalité à la suite de lésions étendues de la corticalité cérébrale; 2° Que le
forme un tout au point de vue anatomique et physiolo- gique et une lésion d'une de ses parties constituantes retentit sur t
plus jeune; mais elle survient égale- ment chez l'adulte dès que la lésion est un peu ancienne (Fig. 55, cas Brichard, cas
, cas Dautriche, Fig. 192 à 194, p. 182). Nous savons enfin que les lésions destructives lorsqu'elles remontent à la première
ntile; il est de même fréquent de constater, suivant le siège de la lésion , soit une atrophie de la bandelette optique, ou
g. 152, cas Rivaud) et la moitié de la moelle épinière opposée à la lésion cérébrale (Fig. 77, cas Pradel; Fig. 157, 158, 15
. 77, cas Pradel; Fig. 157, 158, 159, cas Rivaud). A topographie de lésion égale, l'atrophie en masse est d'autant plus Co
moelle épinière. 92 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. intense que la lésion frappe un sujet à un âge plus jeune ou que chez l
dian atteint à droite de dégénérescence ascendante consécutive à la lésion protubérantielle. - SR, for- mation réticulée.
sain, dans certaines hémi- plégies cérébrales infantiles. Les lésions corti- cales déterminent la dégénérescence de
cordons de Burdach et de Goll gauches (\G, \B), du côté opposé à la lésion cérébrale. (Méthode de Weigert.) pagnant d'une
ésie plus ou moins totale de la pyramide du côté correspondant à la lésion , on observe parfois du côté sain une véritable
leur longueur et le territoire cortical dont elles émanent. Or une lésion corticale entraîne non seulement la dégénéresce
et à mesure de l'épuisement des fibres dégénérées. À la suite d'une lésion sous-corticale, rapsulaire, pédonculaire, protubé
érée est toujours plus grande que celle qui s'observe à la suite de lésions corticales. Ce fait tient : 1° il. la dispositi
a disposition en éventail du système de projection, qui veut qu'une lésion capsulaire même minime détruise d'un seul coup un
BRALE. 97 grand nombre de fibres de projection à long trajet qu'une lésion corticale de même étendue; 2° à ce que dans leu
uadrijumeau antérieur, du cervelet, du noyau de Deiters, etc.). Les lésions sous-corticales, capsulaires, protubérantielles,
nérescence d'autres systèmes de fibres d'origine variée. Dans ces lésions il se produit, en outre, des dégénérescences en a
s dégénérescences en aval et en amont du foyer primitif. Lorsque la lésion est récente, le champ de dégénérescence est con
e. Les fibres qui dégénèrent en aval, c'est-à-dire au-dessous d'une lésion sous-corticale ou capsulaire par exemple, et qui
. Les fibres qui dégénèrent en amont, c'est-à-dire au- dessus de la lésion , sont, elles aussi, frappées de dégénérescence ce
rboriser dans l'écorce, fibres corticipèles. Par contre, lorsque la lésion est moins récente, à cette dégénérescence cellu
, rétrograde, qui, .elle aussi, s'observe en amont et en aval de la lésion . Au-dessus de la lésion, il se produit une dégé
le aussi, s'observe en amont et en aval de la lésion. Au-dessus de la lésion , il se produit une dégénérescence rétrograde de
dégénérescence rétrograde des fibres de projection TOME II. 7 Les lésions sous- corticales, capsu- laires, pédonculai-
lles. Dégénérescences collulifuges en aval et en amont do ces lésions . Dégénérescences cellulipètcs en aval et on
ions. Dégénérescences cellulipètcs en aval et on amont do ces lésions . 98 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Importance
des cellules pyramidales de l'écorce cérébrale et au-dessous de la lésion une dégénérescence rétrograde des fibres cortic
ograde des fibres corticipètes. En d'autres termes, dans les cas de lésion sous-corticale ou capsulaire et il en est de même
sous-corticale ou capsulaire et il en est de même à la suite d'une lésion du pied du pédoncule, de la protubérance, du bulb
pète (voy. en particulier, cas Dautriche, Fig. 192, à 194, p. 182, lésion du segment rétro-lenticulaire de la capsule int
nt postérieur de la couronne rayonnante et le cas Brichard, Fig. 55 lésion protubérantielle, dégénérescence rétro- grade d
gie expérimentale, car elle ne peut s'appliquer que dans des cas de lésions récentes et on ne peut l'employer pour étudier de
hode de Marchi est également précieuse, car elle permet l'étude des lésions très récentes, à une période où la méthode de Wei
aisceau complexe la direction des fibres qui le constituent. Dans les lésions anciennes de la corticalité rolandiques, par ex
de fibres corticipètes frappées de dégénérescence cellulipète. Les lésions corticales récentes, étudiées au Marchi, montrent
ombre de fibres saines au milieu des fibres dégénérées; cer- taines lésions thalamiques récentes permettent de suivre le traj
onculaire et le ruban de Reil médian se trouvent sectionnés par une lésion protubérantielle, la méthode de Marchi permet d
n protubérantielle, la méthode de Marchi permet de déceler dans les lésions très récentes, une dégénérescence exclusivement d
exclusivement ascendante du ruban de Reil médian. Mais, dès que la lésion protubérantielle est un peu moins ré- cente, la
diminuent rapidement d'intensité à mesure que l'on s'éloigne de la lésion destructive, et leur interprétation est en généra
it d'un neurone court, d'un sujet frappé dans le jeune âge ou d'une lésion un peu ancienne chez un adulte, elles peuvent s
des fibres dégénérées dépendent essentiellement du siège même de la lésion . L'écorce est donc loin d'avoir partout les mêm
Lugs qu'un petit nombre de fibres (méthode de Marchi'). 2° Que les lésions de l'écorce, surtout lorsqu'elles remontent à l'e
ité cérébrale (mé- thode de Marchi), participent néanmoins dans les lésions anciennes à l'atrophie en masse de la moitié du
phie en masse de la moitié du tronc encéphalique correspondant à la lésion corticale ; tels sont, dans le cerveau antérieur
ssivement les dégénérescences secondaires con- sécutives : 1° Aux lésions très étendues de l'écorce cérébrale; 2° Aux lés
ives : 1° Aux lésions très étendues de l'écorce cérébrale; 2° Aux lésions corticales plus restreintes, limitées aux différe
eintes, limitées aux différents lobes ou segments de lobe; 3° Aux lésions sous-corticales et centrales. I. Dégénérescence
ales et centrales. I. Dégénérescences secondaires, consécutives aux lésions très étendues de l'écorce cérébrale. Le traje
ence par l'étude des dégéné- rescences consécutives aux très vastes lésions de la corticalité cérébrale, lesquelles, détrui
tant de 11 ans chez un homme mort à 68 ans. Topographie de la vaste lésion corticale. Fig. 67. Cas Pradel. Hémiplégie droi
67. Cas Pradel. Hémiplégie droite avec contracture et aphasie. Vaste lésion cor- ticale. Coupe horizontale passant par la r
. - Méthode de Weigert 2/1 grandeur nature. 3 Cas Pradel. Vaste lésion corticale sans participation des s masses cen
cérébral. 102 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Pradel. Vaste lésion corticale sans participation des masses centr
ux et la capsule interne qui ne sont intéressés en aucun point par la lésion pri- mitive. Comme dans le lobe lemporo-pariéta
par la lésion pri- mitive. Comme dans le lobe lemporo-pariétal, la lésion atteint l'épendyme ventriculaire e et sectionne
). - Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. Cas Pradel. Vaste lésion corticale sans participation des masses centr
cérébral. loi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Pradel. Vaste lésion corticale sans participation des masses centr
Niger et du noyau rouge. (Méthode de Weigert.) Cas Pradel. Vaste lésion corticale sans participation des masses centr
ébral. 1 106 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Pradel. \'aste lésion corticale sans participation des s masses cen
avec la Fig. 161, p. 163, cas Rivaut, hémiplégie infantile; ici la lésion remonte au jeune âge, les fibres dégénérées ont
ral. Méthode de Weigert 15/i grandeur nature. Cas Pradel. Vaste lésion corticale sans participation des masses centr
que par l'étude des dégénérescences secondaires consécutives à des lésions restreintes, limitées, de la corticalité cérébral
ticalité cérébrale. 2. Dégénérescences secondaires consécutives aux lésions corticales restreintes, limitées aux différents
ux différents lobes ou segments de lobe. LOBE OCCIPITAL. - Dans les lésions du lobe occipital, on observe toujours une dégé
observe toujours une dégénérescence - d'autant plus accusée que la lésion est plus étendue - des segments postérieur et i
projection cootico-clundrijéntirzales antérieures. Par contre, les lésions du lobe occipital ne retentissent ni sur l'étage
ourrière, Fig. 80 à 80, et cas Bras, Fig. 87 i à 95, p. 115). Les lésions du lobe occipilal déterminent, en outre, dans le
une dégénérescence du faisceau occipital vertical (Ov), lorsque la lésion siège à la face externe du lobe occipital; 2° D
s le cas Courrière (cécité verbale pure, Fig. 80-86), il s'agit d'une lésion de la pointe et de la face interne du lobe occi
ngitudinal inférieur) et le tapetum de la région (Fig. 8G). Cette lésion a entraîné les dégénérescences suivantes : 1° Une
ceps FiG. 80. - Cas Courrière. Cécité verbale pure. Topographie des lésions . Plaque jaune ancienne - indiquée par des hachu
re spontanée et sous dictée ainsi que de la parole, et relevant des lésions anciennes du lobe occipital. Pendant le deuxième
écité verbale avec agraphie et troubles de la parole, par suite de la lésion du lobule pariétal inférieur et du pli courbe.
le faisceau longitudinal inférieur (Fli). Sur la coupe actuelle, la lésion n'a sectionné que le faisceau longitudinal inféri
d de 64 ans, atteint depuis cinq ans de cécité corticale par double lésion du centre cortical de la vision, avec intégrité c
de la réaction pupillaire. L'hémisphère droit (Fig. 88) présente la lésion la plus étendue : on constate deux plaques jaun
l'écorce du lobe occipital par la plaque jaune sous-jacente. Ces lésions si étendues du lobe occipital ont entraîné : 1° u
tre suivies sur FiG. 87 et 88. - Cas Bras. Topographie de la double lésion corticale dans un cas de cécité corticale. A dr
983.) Cas Bras. Cécité corticale. Topogra- phie de la double lésion des centres corticaux de la vi- sion. 116
OMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Bras. Cécité corticale par double lésion des centres corticaux do la vi- sion. Hémisph
lobe occipital. (Les zones dégénérées sont colo- rées en jaune, la lésion pril1li Li ve en brun.) Méthode de Weigert. 2/1 g
ert. 3/2 grandeur nature. Cas Bras. Cécité corticale par double lésion du centre cor- tical do la vision. A droite,
OMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Bras. Cécité corticale par double lésion du centre cor- tical de la vision. A droite,
t s'étendant sur la partie postérieure du pli cunéo-limbique. Cette lésion a entraîné des dégénérescences moins étendues que
différenciée de la première circonvolution pariétale relevant de la lésion de l'hémisphère droit. Méthode de Weigert. 3/2 gr
s sont colorées en jaune. Cas Bras. Cécité corticale par double lésion du contre cor- tical de la vision. Hémisphère
OMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Bras. Cécité corticale par double lésion du centre cor- tical de la vision. Hémisphère
ébral est parfaitement normal (Fig. 94 et 95). LOBE PARIÉTAL. - Les lésions du lobe pariétal, même lorsqu'elles sont isolées,
une photographie. 122 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Jouan. Lésion de déficit du pli courbe limitée à l'écorce
ns musculaire, particularités intéressantes à noter étant donnée la lésion du pli courbe et de la partie adjacente du lobule
e pariétal inférieur. (Voy. localisations cérébrales, p. 236.) La lésion capsulaire a entraîné une dégénérescence du deuxi
as plus rares, il est vrai, que les précédents, et dans lesquels la lésion corticale n'intéresse pas le faisceau compact du
ig. 96 à 100) en est un exemple très net. Il existe dans ce cas une lésion de déficit (cavité porencéphalique) mesurant 4 ce
xtrémité postérieure de la première circonvolution temporale. Cette lésion a détruit, comme à l'emporte-pièce, l'écorce du
de la capsule interne (Cirl) et du pulvinar (Pul) consécutive à la lésion porencéphalique du pli courbe; 2° dégénérescence
du segment postérieur de la capsule interne (Cip) consécutive à la lésion capsulaire ; 3° dégénérescence de la commissure a
sule externe. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. Cas Jouan. Lésion de déficit du pli courbe limitée à l'écorce
cule cérébral. L 124 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Jouan. Lésion de déficit du pli courbe limitée à l'écorce
inée, mais la substance blanche sous- jacente ne participe pas à la lésion primitive. L'examen des coupes] microscopiques
s ne sont nulle part sectionnées ou intéressées directement par les lésions primitives; elles pré- sentent néanmoins une dé
erve lorsque les couclies sagittales participent partiellement a la lésion primitive. Elle occupe la partie interne de la co
ique nettement que les fibres dégénérées ne peuvent venir que de la lésion pariétale, qu'elles représentent les fibres de pr
ne du pied du pédoncule cérébral et du locus niger consécutive à la lésion du segment postérieur de la capsule interne imméd
de la moitié postérieure du pied du pédon- cule cérébral, malgré la lésion du pli courbe. Le pli courbe n'envoie pas de fibr
t le segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. Lorsque la lésion du lobe pariétal est plus étendue (Cas Leudot, Fi
e (Fig. 102). Dégénérescences des couches sagittales en amont de la lésion pouvant être suivies dans les radiations thalam
du pédoncule. Cette dégénérescence du pied du pédoncule tient à la lésion concomitante du pied d'insertion de la circonvolu
e s'observe que lorsque cette région est lésée. . Dans les vastes lésions du lobe pariétal, on observe, en outre, une dégén
2, 103 et 104. - Cas Leudot. Aphasie sensorielle avec hémianopsie par lésion du pli courbe et du lobule pariétal inférieur.
mporale (Ti) et postérieure de l'insula (Ip) étant englobée dans la lésion primitive, la limite entre la lésion pri- mitiv
sula (Ip) étant englobée dans la lésion primitive, la limite entre la lésion pri- mitive et les dégénérescences difficile es
tico-protubérantielles, ni fibres cortico- médullaires. , , . Une lésion du lobe pariétal retentit en outre sur les fibres
étale ascendantes, opercule rolandique, lobule paracentral.) -- Les lésions destructives de la zone rolan- dique, quel que
ège de la zone dégénérée dépend essentiellement du siège même de la lésion corticale : Lorsque la lésion primitive intéresse
d essentiellement du siège même de la lésion corticale : Lorsque la lésion primitive intéresse l'opercule ric. 10. - Cas L
pédoncule 'cérébral (cas Schweigoffer, Fig. 116 à 122) ; clans une lésion du lobule paracentral (Parc) et de l'extrémité
pied du pédoncule cérébral le deuxième cinquième externe. Dans les lésions de la partie moyenne des circonvolutions pariét
enne des circonvolutions pariétale et frontale ascendantes, plus la lésion corticale sera inférieure .antérieure et voisin
ormulée en 1892 et qui est basée aujourd'hui sur 37 cas personnels de lésions corticales examinées à l'aide de coupes microsc
de deux ans chez un homme mort à l'âge de 74 ans. Topographie de la lésion corticale, lobule paracentral et partie supérie
Cas Naudin Mo- noplégie brachiale droite. Enfoncement du crâne. Lésion du deuxième quart supé- rieur de la zone ro-
pied du pédoncule cérébral et du locus niger. dégénéré dans les lésions corticales qui intéressent le lobe central. Parmi
représentent les fibres aberrantes de la voie pédonculaire. Les lésions de la zone rolandique re- tentissent en outre s
u oc- cipito-frontal est toujours partiellement dégénéré dans les lésions de la zone rolan- dique (cas Schweigoffer, Fig.
aires consécutives à chacun des secteurs de la zone rolandique : 1° Lésion du lobule paracentral et du quart supérieur des c
rontale et pariétale ascendantes (cas Scheule. Fig. 106 à 112). - Les lésions du lobule paracentral s'accompagnent presque to
lésions du lobule paracentral s'accompagnent presque toujours d'une lésion de la partie supérieure de la face externe des
irconvolutions rolandiques, mais même dans le cas où cette dernière lésion n'est pas apparente à l'extérieur, il existe touj
énérescence très intense de la pyramide bulbaire correspondante. 2° Lésion du deuxième quart supérieur des circonvolutions f
ulaire, et une dégénérescence du locus niger (Ln). (Fig. 115.) 3° Lésion du deuxième quart inférieur de la zone rolandique
dique. - Le cerveau du cas Heudebert (Fig. 124 à 128) présente deux lésions ; l'une intéresse le lobe tem- poro-occipital :
on adja- cente à la zone capsulaire ou pédonculaire dégénérée. 4° Lésion de l'opercule rolandique (cas Schweigoffer. Fig.
mais les coupes vertico- transversales (Fig. 118) montrent que la lésion a détruit toutes les fibres de projection de
le part la couronne rayonnante n'est primitivement lésée. Cette lésion avait déterminé pendant la vie du malade, une
paralysie du facial inférieur et de la langue du côté opposé à la lésion , ainsi que des troubles de la déglutition et
s ce cas les pyramides antérieures (Fig. 122). LOBE TEMPORAL. Les lésions isolées du lobe temporal sont rares. En général,
t lésé en même temps que le lobe occipital ou le lobe pariétal. Les lésions du lobe occipital étendues au lobe temporal occup
le domaine de l'artère cérébrale postérieure (Fig. 65, p. 99). Les lésions du lobe pariétal (artère cérébrale moyenne), lo
mi- nution de l'intelligence. Mimique très peu expressive. Double lésion corticale : 1° lésion du deuxième quart inférieur
lligence. Mimique très peu expressive. Double lésion corticale : 1° lésion du deuxième quart inférieur de la zone rolan- d
et du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule cérébral; 2° lésion du lobe occipito-temporal, des segments postérieu
eure droite avec lié- miparésiedumembre supérieur droit. Double lésion cor- vcale : 1° lésion du deuxicme quart infé
iparésiedumembre supérieur droit. Double lésion cor- vcale : 1° lésion du deuxicme quart infé- rieur de la zone ro-
du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule cérébral; 21 lésion du lobcoccipito-tempo- ral. Dégénérescence
re droite avec lié- miparésie du membre supérieur droit. Double lésion cor- ticals : lésion du deuxième quart iiité-
iparésie du membre supérieur droit. Double lésion cor- ticals : lésion du deuxième quart iiité- rieur de la zone ro-
u deuxième cinquième interne du pied du pédoncule cérébral ; 2° lésion du lobe occipito-tempo- ral. Dégénérescence
e l'insula (Ip). Dans l'un et l'autre cas il s'agit, en général, de lésions à la fois corticales et sous-corticales qui attei
par la partie supérieure du pédoncule cérébral (Fig. 127). 1° La lésion du lobe occipito-tempol'al dont le foyer atteint
Inté- grité de la commissure antérieure Méthode de Weigert. 2° La lésion de la zone rolandique a entraîné une dégénérescen
cas des dégénérescences propres au lobe temporal. Ce sont : dans les lésions des 3° et 2e circonvolutions temporales une dég
oncule cérébral, c'est-à-dire du faisceau de Tiirck (FT), et dans les lésions de la ire ci ? convolution temporale une dégéné
2" quart inférieur de la zone rolandique est un exemple typique de lésion du lobe occipito- lemporal. Il s'agit d'une pla
maire du plancher de la corne sphénoïdale (Fig. 127). Cette vaste lésion a entraîné une dégéné- rescence secondaire pres
p) est intact (sauf dans sa partie anté- rieure qui correspond à la lésion du 2° quart inférieur de la frontale ascendante)
l'absence de dégénérescence du pied du pédoncule cérébral dans les lésions du lobe occipital rapportées plus haut (cas Courr
ème externe du pied du pédoncule cérébral relève unique- ment de la lésion du lobe temporal, en particulier de la lésion des
ve unique- ment de la lésion du lobe temporal, en particulier de la lésion des 2° et 3° circonvolu- tions temporales. Da
au uncinatus. Cas Le Seguillon (Fig. 129 à 133) : il s'agit d'une lésion du pli courbe et de la partie inférieure de la
rne du pied du pédoncule cérébral que l'on observe, soit lorsque la lésion du lobe occipital empiète sur le lobe temporal, e
e circonvolutions temporales, soit - à un moindre degré lorsque les lésions du lobe pariétal s'étendent sur les première et d
euxième circonvo- lutions temporales, s'observent en outre dans les lésions isolées du lobe temporal. Il est vrai que ces l
utre dans les lésions isolées du lobe temporal. Il est vrai que ces lésions intéressent parfois la couche sagittale du lobe t
itales; mais, nous avons montré plus haut (p. 108 et suiv.) que les lésions isolées du lobe occipital ne retentissent pas s
quième externe du pied du pédoncule cérébral dépend en effet de la lésion temporale; elle ne s'observe que lorsque le lob
est lésé (p. T9 et 80). Le cas Neuman (Fig. 134 à 136) a trait aune lésion isolée du lobe temporal. Il s'agit d'une plaque
a protubérance et la pyramide antérieure du bulbe est intacte. La lésion intéressait l'écorce et la substance blanche sous
cielle de ce tubercule (Fig. 135). Fig. 134, topographie de la lésion corticale. Fig. 135, coupe dupédoncule cérébral
eur de la protubérance (fibres cortico- protubérantielles). Les lésions du lobe temporal entraînent, en outre, une dégé
obe frontal (cas Heudebert, Fig. 126 et 127). LOBE FRONTAL. Les lésions du lobe frontal qui in- téressent la pointe fro
elles ne retentissent pas sur le pied du pédoncule cérébral. Les lésions des deux tiers antérieurs de la troisième circonv
le pied du pédoncule cérébral (Fig. 141). Dans ces deux variétés de lésion , le segment antérieur de la capsule interne est t
a formation des fibres radiées des noyaux externe et interne. Les lésions du lobe frontal retentissent encore sur les court
érieur, faisceau occipito-frontal (OF) (Fig. 137 et 140), et dans les lésions de Fa sur le faisceau uncinatus (Fu). La dégéné
de la couronne rayonnante du lobe frontal. Suivant leur biège, les lésions du lobe frontal déterminent en outre une dégénére
(Fig. 137 et 140). 3. Dégénérescences secondaires consécutives aux lésions sous-corticales et centrales. Les lésions sou
daires consécutives aux lésions sous-corticales et centrales. Les lésions sous-corticales el centrales ne peuvent nous rens
ultats obtenus par les dégénérescences secondaires consécutives aux lésions corticales et celles consécutives aux lésions s
ires consécutives aux lésions corticales et celles consécutives aux lésions sous-corticales et centrales. Les lésions exclu
celles consécutives aux lésions sous-corticales et centrales. Les lésions exclusivement limitées au segment antérieur de la
du pédoncule. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. loi Les lésions du segment postérieur de la capsule interne (Cip)
du pédoncule, des dégéné- rescences variables avec leur siège : les lésions situées immédiatement en arrière du genou respe
cinquième interne (cas Séjalon, Fig. 182; cas Carré, Fig. 188); les lésions de la partie moyenne du segment postérieur de l
ie moyenne du pied du pédoncule cérébral (cas James, Fig. 184); les lésions de la partie postérieure du segment postérieur de
me externe du pied du pédoncule cérébral ne dégénère que lorsque la lésion intéresse le segment sous-lenticulaire de la caps
e de la capsule interne (Cisl) (cas Cogery, Fig. 176 et 177). Les lésions exclusivement limitées au segment rétro-lenticula
rares et ne retentissent pas sur le pied du pédoncule cérébral. Les lésions de la partie supérieure du segment rétro- lenti
me cinquième externe du pied du pédoncule cérébral. Par contre, les lésions de la partie inférieure du segment rétro- lenti
osées, il est intéressant d'étudier les cas en détail. A. - Vaste lésion corticale et sous-corticale. Le cas Rivaud (Fig
et sous-corticale. Le cas Rivaud (Fig. 142 à 162) se rapporte à une lésion corticale et sous-corticale de l'hémisphère dro
longtemps qu'un indi- vidu sain. La sensibilité était intacte. La lésion intéresse tout l'opercule sylvien (c'est-à-dire l
sque complètement son segment postérieur (Fig. 143 et 144). Cette lésion respecte les noyaux gris centraux, en particulier
e 1893.) Hémiplégie cérébrale infantile gauche. Topographie de la lésion corticale et sous-corti- cale. Plaque jaune de
t 147. la capsule interne, n'étant pas directement intéressé par la lésion primitive (Fig. 148 et 149), contient un très g
ivaud. Hémiplé- gie cérébrale infantile gauche. Topographie de la lésion sous- corticale qui a sectionné les seg- ment
fférentes fibres de projection corticale, conséquence directe de la lésion des neurones de premier ordre; .-3° les atrophi
des neurones de deuxième et troisième ordre consécutives aux vastes lésions corticales et sous-corticales. La lésion remonte
dre consécutives aux vastes lésions corticales et sous-corticales. La lésion remonte en effet, à une période de la vie (12 à
des cordons de Goll (NCG) et de Burdach (\C13) du côté opposé iL la lésion cérébrale (Fig. 153). Cette atrophie est en tou
lume en masse de la moitié du tronc encéphalique correspondant à la lésion , mais ici intervient proba- I'tc. 160. - Cas Ri
airement à ce qui existe à l'état normal, ou encore dans les vastes lésions corticales de l'adulte, même lorsqu'elles sont tr
plus ou moins volumineux qui séparent, à l'état normal ou dans les lésions de l'adulte, les radiations strio-Ihalamiques les
L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 167 B. - Lésions centrales circonscrites. a. Lésion de la partie supérieure du segment antérieur (Cia
culé (Ci)g).- Le cerveau du cas Racle (Fig. 165 à 173) présente une lésion centrale dans le domaine des branches artérielles
mbre d'arières lenticulo-striées externes (voy. Fig. 163 el ltii). La lésion a détruit le putamen et la face adjacente du gl
ontracture et aphasie mo- trice datant de 30 ans. Topographie de la lésion centrale qui a détruit le putamen, évidé le tro
capsule et de la Cas Racle. Hénll- plégie droite avec aphasie. Lésion con- tralo ; destruction du putamen, du tronc
CENTRES NERVEUX. Cas Racle. Ilénit- plégie droite avec aphasie. Lésion cen- trame ; destruction du Il putamen, du tr
aphasie motrice sans trou- bles de la sensibilité et relevant d'une lésion dans le domaine des artères lenticulo- striée
on voit se déta- Cas Racle. llénu- plégie droite avec aphasie. Lésion cen- trale, destruction du putamen, du tronc
S CENTRES NERVEUX. Cas Racle. Hémi- plégie droite avec aphasie. Lésion cen- trale ; destruction du il putamen, du tr
le de la cavité du ventricule latéral (Fig. 1 G¡i à 167). Cette lésion a entraîné les dé- gênérescencessuivantes : l
appartiennent à la partie inférieure de ce segment, respectée par la lésion destruc- tive. On les voit s'irradier en gros f
ticale (Voy. cas Pradel, p. 100). Étant donnée la topographie de la lésion qui correspond à une destruction de la partie
éthode de Weigert. Cas Racle. Hémi- plégie droite avec aphasie. Lésion cen- trale ; destruction du putamen, du tronc
r bien qu'ap- partenant à un arc plus grand (Voy. p. ? 8 : i). b. Lésion de la partie inférieure du segment antérieur de
ie inférieure du segment antérieur de la capsule in- terne (Cia). Lésion du segment sous- lenticulaire de la capsule int
st la contre-partie du cas Racle. Chez ce dernier il s'agit d'une lésion centrale qui sectionne la partie su- périeure d
l n'est dégénéré que partiel- lement) ; chez Cogery il s'agit d'une lésion de la partie inférieure du segment antérieur Fi
re du segment antérieur FiG. 174. - Cas Cogery. Topographie de la lésion de déficit (porencéphalie super- ficielle) de l
partie moyenne de la cir- convolution pariétale ascendante. Cette lésion a entraîné une dégénérescence de la partie anté
ie (sur une coupe horizontale passant par la région thalamique) de la lésion capsu- laire qui a sectionné la partie inférieu
de la partie antérieure du quart postérieur de Cip consécutive à la lésion porencé- phalique corticale. 3" Dégénérescence
e la partie postérieure de la capsule externe (Ce//) consécutive à la lésion du segment sous-lenticulaire de la capsule inte
- tout du membre in- férieur. Dysarthrie, paralysie linguale. Lésions multiples. Destruction delà. partie inférieur
faisceau géniculé et de la partie interne du pied du pédoncule. Lésion de la région sous-lentICulaire de la capsule
la capsule interne sectionnant le faisceau 'géniculé et d'une seconde lésion intéres- sant le segment sous-lenticulaire de l
quième externe du pied du pédoncule. Chez Il. 176. - uas Cogery. 1° Lésion destructive dans le domaine de l'artère choroï-
escence du faisceau in- lerne du pied du pédoncule consécutive à la lésion du segment antérieur de la cap- sule interne (C
du segment postérieur de la capsule interne (Cip) consécutive à la lésion corticale fusionne avec la zone de dégénéres- c
orticale fusionne avec la zone de dégénéres- cence consécutive à la lésion du segment sous-lenticulaire (Cisl) et de la part
ed du pédoncule de Racle. L hémisphère du cas Cogery présente trois lésions : une petite lésion corticale inté- ressant la
cle. L hémisphère du cas Cogery présente trois lésions : une petite lésion corticale inté- ressant la htutie moyenne de la
nt la htutie moyenne de la circonvolution pmiélale ascendante et deux lésions cen- Irales, dont l'une occupe le putamen, le s
e sur le segment sous-lenticulaire de la capsule interne. Ces trois lésions ont entraîné chacune des dégénérescences distinct
r- tout du membre in- férieur. Dysarthrie, paralysie linguale Lésions multiples. Destruction do la partie inférieur
faisceau géniculé et de la partie interne du pied du pédoncule. Lésion de la région sous-lenticulaire de la capsule
- tout du membre in- férieur. Dysarthrie, paralysie linguale. Lésions multiples.. Destruction de la partie inférieu
faisceau géniculé et do la partie interne du pied du pédoncule Lésion do la région sous-lenticulaire de la capsule
la couronne rayon- nante. - La dégénérescence consécutive à la lésion corticale occupe dans la région tlialami- que e
t mal délimitée et fusionne avec la dégénérescence qui relève de la lésion du segment sous-lenticulafre de la capsule intern
ion du segment sous-lenticulafre de la capsule interne (Cisl). , La lésion centrale qui sectionne le segment antérieur de la
al (OF) et de la capsule ex- lerne (Ce) (Fig. l'7). La deuxième lésion cen- trale sectionne le segment sous-lenticul
qui descendent dans le pied du pédoncule cérébral. Au-dessous de la lésion primitive, la dégénérescence occupe le tiers ex
eau interne du pied du pédoncule cérébral dégénéré à la suite de la lésion du genou (Fig. 175). Dans le rhombencéphale o
ion lombaire inférieure. Il existe dans ce cas : 1° par suite de la lésion du corps genouillé externe, une dégé- nérescenc
de la commissure de Mey- nert (CM) (Fig. 176) ; 2° par suite de la lésion du pilier postérieur du trigone (Tgp) (F\g. 170),
ui peut être suivie jusqu'au tubercule mamillaire; 3° par suite de la lésion du ruban de lieil médian (Rm), une diminution d
é, ainsi qu'une disparition partielle du feutrage de ce noyau. c. Lésions du segment postérieur de la capsule interne (Cip)
ule interne (Cip).-Cliez Segalon (Fig. 181 et 182), il s'agit d'une lésion centrale de l'extrémité antérieure de la couche
Dans le cas Carré (Fig. 186 à 188), l'hémisphère droit présente deux lésions cen- trales. L'une sectionne, dans la région th
re du segment pos- lu ieur de la capsule interne (Cip). La première lésion respecte le genou et la partie adjacente du seg
quième externe (Fig. 188). Dans le cas James (Fig. 183 à 185), la lésion centrale occupe la partie moyenne du segment po
interne du pied du pédoncule. Cas James. Hémi- plégie droite. Lésion de lapartiemoyenne du segment posté- rieur
e moyenne du pied du pédoncule. Fig. 181 et 182. Cas Séjalon. Lésion centrale de la partie moyenne du globus pallidu
DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. n9 ? b. W 50, 10/, 100. - Lias uarre. Double lésion capsulaire : 10 Lésion sectionnant le quart ant
n9 ? b. W 50, 10/, 100. - Lias uarre. Double lésion capsulaire : 10 Lésion sectionnant le quart antérieur du segment posté
nterne du pied du pédoncule cérébral et du locus niger (Fig. 188). 2° Lésion destruc- Cas Carré. 1° Lé- sion de la partie
du deuxième segment interne du pied du pédoncule cérébral. 2° Lésion du quart postérieur de Cip, dégénérescence du
du deuxième segment interne du pied du pédonculo cérébral. 2° Lésion du quart postérieur de Cip, dégénérescence du
Dans le cas Lavigne (fig. ils9, 190 et 191) enfin, il s'agit d'une lésion centrale qui occupe la partie antérieure du pul
la ré- 1 ic. 189. - Cas Lavigne (Bicêtre, 1893). Hémiplégie droite. Lésion de la partie posté- rieure du segment postérieu
ostérieure du globus pallidus et du putamen (Fig.189 et 190). Cette lésion a entraîné une dégénérescence des fibres radiées,
) et une dégénérescence rétrograde du ruban de Reil médian (Rm). d. Lésion du segment rétro-lenticulaire de la capsule inter
egment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl). Cer- taines lésions dans le domaine de Tarière choroïdienne anlérieur
nopsie homonyme laté- rale gauche. L'hémisphère droit présente deux lésions dans le domaine de l'artère choroïdienne antéri
racture et hémianopsie homonyme latérale gauche datant de deux ans. Lésions capsulaires dans le domaine de l'artère choroïd
apsulaires dans le domaine de l'artère choroïdienne antérieure : 1° lésion du globus pallidus sectionnant la partie moyenn
t la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne. 2° Lésion du seg- ment rétrolenticulaire de la capsule in
Hémiplégie gauche avec contracture et hémianopsie liomonyme gauche. Lésions capsulaires dans le domaine de l'artère choroidie
re et hémianopsie homo- nymo latérale gauche relevant de deux lésions dans le domaine de l'artère choroïdienne anté
re et hémianopsie homo- nyme latérale gaucho relevant de deux lésions dans le domaine do l'arteie e choroidienne an
el, des radiations strio-luysiennes et du corps de Luys. La seconde lésion occupe le segment rétro-lenticulaire de la capsul
u pied du pédoncule contient un certain nombre de fibres saines. La lésion du segment rétrolen- ticulaire de la capsule in
générescence des fibres du faisceau occipito-frontal. En aval de la lésion primitive il existe : 1° une dégénérescence très
Hémiplégie gauche avec contracture et hémianop sie homonyme gauche. Lésions capsulaires dans le domaine de l'artère choroidie
st infiniment moins intense que dans le cas Cogery (Fig. 175) où la lésion avait sectionné le pilier postérieur et empiété
laire, protubéran- tiel et bulbo-médullaire, à la suite d'une vaste lésion corticale. Dans le deuxième cas (cas Richard),
rapproché du cas Rivaud (p. 151, Fig. 142 à 162), chez le- quel une lésion pathologique a détruit l'insula et la circonvolut
nfiniment plus déli- cate que n'aurait pu le faire n'importe quelle lésion pathologique ou expérimentale, ce cas démontre
e il l'atrophie extrême que subit parfois ce ganglion à la suite de lésions corticales destructives, surtout, lorsqu'elles re
- CHARCOT et Vulpian. Recherches sur les scléroses consécutives aux lésions cérébrales en foyer faites en commun à la Salpê
é d'Anatomie humaine du système nerveux, 1894. - CORNIL. Noie sur les lésions des nerfs et des muscles liees à la contraction
s des dégénérescences , spinales descen- dantes consécutives ci une lésion hémisphériques. Thèse Paris, 1899. - P. Flechsig.
Iss.\nTIER. Dêgènèrations secondaires de la moelle provoquées par des lésions expérimentales de l'écorce cérébrale. Thèse Par
Des dégénérescences secondaires dans la moelle provo- quées par des lésions corticales du cerveau. Mém. de la Soc. de Biologi
tère céré- brale antérieure, c'est-à-dire à ce territoire [dont les lésions entraînent, comme nous venons de le voir, une d
du membre inférieur. Troubles paralyti- ques consécutifs aux lésions destructives des différents centres de la zon
ues auteurs, la scissure perpendiculaire externe. Chez l'homme, les lésions destructives de la zone motrice s'accom- pagnen
les moteurs qui se traduisent cliniquement, suivant l'étendue de la lésion , soit par une hémiplégie totale et indéfiniment p
imitée il un ou deux segments du côté opposé du corps. Lorsque la lésion destructive intéresse la moitié supérieure de la
achio-linguale rapportées par H. Martin, Landouzy, Wood. Lorsque la lésion destructive est très limitée, elle produit, suiva
iques. Les monoplégies crurales sont rares et relèvent toutes d'une lésion du obule paracentral uu de l'extrémité supérieu
les peuvent être bilatérales, - paraplégie, - lorsqu'il existe deux lésions symé- triques, ou une tumeur médiane comprimant
itale (syndrome de Little). Les monoplégies brachiales résultent de lésions destructives, compres- sives ou traumatiques de
nvolutions rolandiques. Elles peuvent être totales et relever d'une lésion occupant le deuxième quart supérieur des circon
u pharynx. Paralysie pscudo- bulbaire d'origine corticale par lésion bilatérale de l'oper- culc rolandiquc. du t
ier, zygoma- tiques, releveur de l'aile du nez - et dépendent d'une lésion occupant le quart inférieur de la région roland
oubles de la déglutition (cas Schweigoffer, Fig. 117). Enfin, si la lésion de l'extrémité inférieure des frontales et pariét
cas comme dans celui de Barlow, l'oper- cule frontal participe à la lésion . Ainsi qu'on pouvait s'y attendre, les lésions
rontal participe à la lésion. Ainsi qu'on pouvait s'y attendre, les lésions de l'opercule rolandique ne donnent pas naissan
sans participa- tion delà face (Rosenthal, USi8), à la suite d'une lésion double et symétrique de l'opercule frontal et r
s jusqu'ici d'exemple de paralysie unilatérale des masticateurs par lésion corticale ou centrale. Il est probable que, dan
rotation de la tête s'observe au cours de certaines hémiplégies par lésion corticale (Prévost, Hughling Jackson, etc.) ; e
ments de la tête et des yeux. Par contre, Ilorsley diagnostique une lésion du lobe frontal lorsque l'attaque d'épilepsie j
igine corticale datant de deux ans et demi chez un homme de 53 ans. Lésions bilatérales exclusivement corticales constituées
e des yeux et de la tête - toujours transitoire, constatée dans les lésions en général profondes du lobule pariétal inférie
ofondes du lobule pariétal inférieur serait un symptôme indirect de lésion en foyer, dû à l'évocation d'une sensation visu
l'un et l'autre une action bilatérale. Les paralysies laryngées par lésions corticales ou sous-corticales unila- térales on
ès rarement observées. Dans un cas de Garel (1890), il existait une lésion très légère du pied de la troisième frontale et d
de la frontale ascendante, et, dans un autre cas du même auteur, la lésion siégeait au niveau du genou de la capsule interne
l'examen histologique du bulbe a été pratiqué. Dans ces deux cas, les lésions sous-corticales avaient détruit la substance bl
des, la paralysie de la corde vocale sié- geait du cûlé opposé à la lésion cérébrale. Quant aux centres corticaux des mouv
mine une dévia- tion conjuguée de la tête et des yeux du côté de la lésion . Les recherches de Ferrier ont été confirmées p
DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 235 236 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les lésions do la zone rolandique s'ac- compagnent do t
uteurs, il est admis, depuis les travaux de Tripier (1877), que les lésions partielles ou totales de la région rolandique, -
sitifs sont très fréquemment observés dans les cas d'hémiplégie par lésion corticale. Ils peuvent porter sur tous les mode
temps le plus paralysé. En d'autres termes, dans l'hémiplégie par lésion cérébrale compliquée d'hémianesthésie, les trou
nous n'avons jamais rencontréedans l'hémianesthésie relevant d'une lésion cérébrale. L'intensité de cette hémianesthésie
âgés que chez les sujets jeunes, et d'autant plus du- rables que la lésion corticale est plus étendue et plus profonde, part
en effet trop éloignées de la zone rolandique pour participer à la lésion de cette dernière. En outre, une lésion unilaté
ndique pour participer à la lésion de cette dernière. En outre, une lésion unilatérale de ces centres corticaux sensoriels n
(Voyez Localisations sensorielles). Pour la vision par contre, une lésion corticale s'étendant jusqu'au pli courbe et sec
hésie, et ce phénomène sera bien plus constant encore, si, outre la lésion de la zone rolandique, il en existe une seconde a
p de cas d'hémianesthésie d'origine corticale, on a constaté que la lésion rolandique empiétait plus ou moins sur le lobe pa
utefois en conclure que les troubles de la sensibilité relèvent de la lésion du lobe pariétal; les hémiplégies post-opératoi
u lobe pariétal; les hémiplégies post-opératoires consécutives à la lésion volontaire ou accidentelle de la zone motrice a
une trépanation, les hémiplégies par- tielles ou totales dues à des lésions nettement localisées à la région rolandique, s'
ndance réciproque des troubles moteurs et sensitifs consécutifs aux lésions de la région rolandique. Mais tandis que Tripier,
(Voyez IIe partie, Ruban de Iteil). Nous avons vu plus haut que les lésions strictement limitées à la zone rolan- dique ent
'existe aucune observation d'hémianesthésie totale ou partielle par lésion exclusive du lobe pariétal, 'nous possédons toute
muscu- laire ainsi que du sens dit stéréognostique, relevant d'une lésion du lobe pariétal et en particulier du gyrus sup
cet auteur, la circonvolution pariétale ascendante participait à la lésion , sa partie postéro-inférieure est en effet irri
d avec la rigueur d'une expérience physiologique : à la suite d'une lésion accidentelle du gyrus supramarginalis au cours d'
absence de tout trouble paralytique distingue nettement ce cas, des lésions traumatiques ou opératoires de la zone rolandique
umé, les troubles du sens musculaire s'observent à la fois dans les lésions de la région rolandique et dans celle de la parti
é - c'est-à-dire sans troubles moteurs correspondants à la suite de lésions de ce lobe. En d'autres termes, rien ne démontr
ions anatomo-cliniques recueillies chez l'homme, il résulte que les lésions corticales les plus circonscrites, capables de pr
ns l'écorce des deux tiers antérieurs de la scissure calcarine. Les lésions des lobes temporal, pariétal, pariéto-temporal et
ne rayonnante. C'est par le même mécanisme qu'agis- sent encore les lésions de la face externe, convexe du lobe occipital.
psie, ne s'observent en effet dans ces cas, que lorsqu'il s'agit de lésions profondes qui atteignent l'épendyme ventriculai
détruisent la substance blanche sagittale sous-jacente. Lorsque les lésions sont superficielles et respectent les conducteurs
, l'hémianopsie ou d'autres troubles du champ visuel, à la suite de lésions de la partie antérieure de l'hémisphère, mais ces
l'hémisphère, mais ces symptômes visuels relèvent alors, non d'une lésion corticale, mais bien de troubles circula- toire
aine. L 'hémianopsie est le symptôme clinique ordinaire, banal, des lésions qui détruisent d'un seul côté la sphère visuell
centrales (couches sagittales du lobe occipito-temporal). Dans ces lésions , quel que soit leur siège, l'hémianopsie n'est
sure calcarine. Ferrier le place dans le pli courbe et admet que la lésion unilatérale du gyrus angulaire détermine une am
ilatérale du gyrus angulaire détermine une amblyopie croisée, et la lésion bilatérale une perte plus ou moins complète et
. Celles-ci occupent l'étendue tout entière du centre visuel, et la lésion d'une partie d'entre elles, n'empêche pas celles
occipital, et explique l'hémianopsie en secteur par le siège de la lésion . Quant au rétrécissement de la partie conservée d
ptiques. La zone X teintée en gris représente la localisation de la lésion dans la cécité verbale pure. 1JI, avant-mur. -
rposés dans la zone visuelle. L'hémiachromatopsie résulterait de la lésion du centre des couleurs, et la lésion simultanée
chromatopsie résulterait de la lésion du centre des couleurs, et la lésion simultanée des trois centres produirait l'hémiano
ésulte en effet de l'étude comparative des hémianopsies et de leurs lésions corticales causales, c'est que les mêmes troubles
causales, c'est que les mêmes troubles visuels correspondent à des lésions de la sphère visuelle corticale, d'étendue et de
e visuelle corticale, d'étendue et de siège fort différents. Que la lésion siège dans la scissure calcarine, dans le cunéus
mpe enfin les conducteurs optiques partiellement ou en totalité par lésion du lobe pariéto-temporo-occipital, le trouble v
ulte une cécité persistante et durable, cécité corticale par double lésion des lobes occipitaux. Elle débute le plus souve
agit d'une double FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 245 lésion occipitale, intéressant plus particulièrement l'é
mianopsie, l'aphasie sensorielle, et relèvent en général de doubles lésions profondes du lobe occipital qui détruisent les ra
l'aura auditive initiale dans les attaques convulsives relevant de lésions des lobes temporaux. Les observations de -surdi
ux. Les observations de -surdité corticale complète ou croisée, par lésion bilatérale ou unilatérale de la partie postérie
de durée des troubles auditifs explique d'autre part que nombre de lésions unilatérales du lobe temporal constatées à l'au
ale s'améliore; v. Monakow croit que la surdité tonale relève d'une lésion bilatérale des premières circonvolutions tempor
la surdité corticale permanente ne se rencontre que dans les cas de lésions bilatérales des lobes temporaux, et en particulie
ers n'a rien à voir avec la perception des sons proprement dite. La lésion en effet détermine les symptômes de l'aphasie s
ulation; Pc, centre des images visuelles des mots. Kilo relève do lésions bilatérales du lobe temporal. La zone du lan-
mode corres- pondant au centre d'images directement atteint par la lésion . L'aphasie motrice domine si la lésion siège au
s directement atteint par la lésion. L'aphasie motrice domine si la lésion siège au centre de Broca, la surdité verbale domi
la lésion siège au centre de Broca, la surdité verbale domine si la lésion a détruit la partie postérieure de la première ci
olution temporale, la ci ! cité verbale domine lorsqu'il existe une lésion du pli courbe. 11 ne faudrait pas croire toutef
ne lésion du pli courbe. 11 ne faudrait pas croire toutefois qu'une lésion de la zone du langage entraî- nât des altératio
on l'agraphie exister dans toutes les formes d'apliasie relevant de lésions siégeant dans la zone du langage. La conserva
notion du mot est altérée, le langage intérieur est atteint. Toute lésion destructive de la zone du langage détermine l'aph
ncts, l'aphasie motrice et l'aphasie SCI1S0- rielle, suivant que la lésion occupe la partie antérieure ou la partie postérie
moteur d'ar- ticulation, auditif et visuel des mots sera altéré. La lésion siégeant dans la zone du langage, le langage in
intérieur sera toujours altéré et, suivant la loca- lisation de la lésion , on aura affaire soit -.L l'aphasie motrice corti
icale; 2° Ou bien les trois centres du langage seront intacts et la lésion siégera en dehors de la zone du langage, sur le
e faisceau longitudinal inférieur. Dans la surdité verbale pure, la lésion peul être tantôt bilatérale et siéger dans le cen
ces trois formes d'aphasie, le langage intérieur est intact, car la lésion siégeant en dehors de la zone du langage, aucun d
us le nom général d'aphasies pures, par opposition aux aphasies par lésion de la zone du langage - aphasies motrice et senso
mme à l'état normal, tandis que l'aphasique moteur ou sensoriel par lésion de la zone du langage pense avec des idées et n
intellectuel, et dans laquelle l'autopsie révélât l'existence d'une lésion isolée et localisée au pied de F,. Or une parei
absolument contraires il une pareille hypothèse. Dans l'aphasie par lésion de la zone du langage - aphasie motrice ou senso-
est toujours altérée ainsi que le langage parlé. Dans l'aphasie par lésion située en dehors de la zone du langage - aphasie
deux fonctions mar- cher ensemble dans les aphasies relevant d'une lésion de la zone du langage. Comment pouvoir explique
bles moteurs. Leurs caractères. Ils ne s'observent pas dans les lésions dc Cia. duire cette dernière par l'écriture.
tions sous-corticales et capsulaires. Localisations motrices. - Les lésions destructives siégeant sur les libres de project
les, se traduisent par les mêmes symptômes para- lytiques que si la lésion portait sur la corticalité motrice elle-même. Que
orticale ou non. Très souvent, dans le premier cas, sur- tout si la lésion est de nature irritative tumeur, plaque de méning
monique. En effet, l'épilepsie partielle peut faire défaut dans les lésions corticales de la zone motrice, et, en outre, -
ksonien le plus pur, le plus classique, peut se rencontrer dans des lésions sous-corticales de la zone motrice. Etant donné
vont former la capsule interne, il est facile de comprendre qu'une lésion limitée du centre ovale ou du pied de la cou- r
la capsule interne. En effet, si les monoplégies consécutives à des lésions du centre ovale ne sont pas très rares, il n'en
, et qui sont très exceptionnellement observées. Ici, en effet, une lésion intéresse presque toujours des neurones de projec
, lin- guale, brachiale, crurale, ne pourra être observée que si la lésion est de petite étendue et très circonscrite. Enf
si la lésion est de petite étendue et très circonscrite. Enfin, une lésion sous-corticale détruit non seule- ment les fibr
qui relient entre elles les circonvolutions voisines, et lorsque la lésion est étendue en profondeur ou rapprochée du centre
coupes microscopiques sériées, que l'on peut constater combien les lésions localisées - qu'elles soient corticales ou sous-
s étudierons successivement les symptômes auxquels donnent lieu les lésions en foyer localisées dans les segments antérieur (
laire (Cirl) et sous-lenticulaire (Cisl) de la capsule interne. Les lésions du segment antérieur (Cia) ne se traduisent par a
s montré, par l'étude des dégénérescences secondaires à la suite de lésions corti- cales de la zone rolandique, que les zon
psulaire présente les mêmes caractères que lorsqu'elle relève d'une lésion corticale, dans les deux cas, en effet, le faci
scopiques sériées, la paralysie faciale durait depuis douze ans. La lésion ici siège en arrière du genou, et ce fait montr
acial passent en arrière du genou de la capsule interne. Lorsque la lésion est bilatérale et symétrique, le tableau clinique
paralysie cérébrale quelconque, elle peut être d'origine corticale ( lésion bilatérale de l'opercule rolandique) (voy. Fig. ?
ndique) (voy. Fig. ? 3S), sous-corticale, capsulaire, ou relever de lésions protubérantielles et bulbaires, siégeant sur le
même du bulbe. D'autres fois enfin, on rencontre les deux sortes de lésions , à savoir des foyers centraux et des foyers protu
sions, à savoir des foyers centraux et des foyers protubérantiels. La lésion rencontrée par Lépine, dans la paralysie pseudo
ée par différents auteurs : Leresche (1890), Galavielle (1893), Les lésions de la partie antérieure Cip prodmsent uno mo-
- gliale croisée. Et une paralysie pseudo-bulbaire lorsduo la lésion est bilatérale et symé- trique 2'i 1 ANATOM
RES NERVEUX. Les monoplégies s'observent rarement à la suite de lésions de Cip. Brissaud et Ilalipré (I894). Pour nou
p. 316. Radiations striées). Nous ferons remarquer en oulre que les lésions symétriques - hémorrhagie, ramollissement, soit d
avait été noté l'existence d'une paralysie bulbaire dans ces cas de lésions symétriques du noyau lenticulaire, il existait da
1900). Il existe cependant nombre de cas où, en l'absence de toute lésion protubé- rantielle ou bulbaire appréciable au m
hode des coupes micro- scopiques sériées, on trouve toujours que la lésion bilatérale et symétrique du noyau lenticulaire,
e paralysie pseudo-bulbaire et dans lesquels, en l'absence de toute lésion corticale, protubérantielle et bulbaire, on aur
coupes microsco- piques sériées n'avait été pratiquée, regarder la lésion symétrique des deux noyaux lenticulaires comme
cause des accidents paralytiques. Pour nous, nous le répétons, une lésion symétrique des noyaux lenticulaires n'empiétant p
e ne peut produire le syndrome de la paralysie pseudo-bulbaire. Les lésions du segment postérieur de la capsule inlerne (Cip)
ssédons jusqu'ici que deux observations de monoplégie brachiale par lésion capsulaire. La première, rapportée en 1880 par l'
e à Bennet et Campbell (1885). Dans ce dernier cas, il existait une lésion en foyer du volume d'un haricot occupant la parti
upant la partie moyenne de Cip. Quant aux monoplégies cl'urales par lésions de Cip, il n'en a pas été, il notre con- naissa
nous avons été à même de constater plusieurs fois, dans des cas de lésions anciennes du tiers ou du quart postérieur de Ci
ne contracture plus intense du membre inférieur que dans les cas de lésions de la partie moyenne de Cip, se traduisant par
ux de lajambe et du pied. En résumé, l'existence de monoplégies par lésion limitée du segment pos- térieur de la capsule i
le facial inférieur, le membre supérieur et inférieur du côté de la lésion . Lorsque les fibres situées en arrière du genou
her. Il est en effet des plus rares d'observer un hémiplégique, par lésion corticale ou capsu- laire, qui reste privé de l
ourd'hui que ces symptômes ne relèvent pas de la localisation d'une lésion dans telle ou telle région de l'hémisphère. Cha
thésie que l'on rencontre le plus souvent dans ce cas relève de la lésion de la couche optique, ainsi que nous le montrer
la capsule interne (Cip). En ISî9,Ifahler etPickmon- rèrent qu'une lésion siégeant sur une partie quelconque du trajet du f
fait remarquer du reste que, dans l'hémichorée, il devait s'agir de lésions qui lèsent plutôt qu'elles ne détruisent la subst
l'hémiilhétose dans l'hémiplégie cérébrale infantile à la suite de lésions corticales de la région rolandique, tout comme à
ésions corticales de la région rolandique, tout comme à la suit( de lésions du segment postérieur de la capsule interne (Cip)
tion : motrices ont été peu étudiées, par la raison qu'il s'agit de lésions assez rares Ici le segment antérieur (Cia) a di
en avan par le faisceau de Tiirck venu de la région temporale. Une lésion des fibres mo trices dans celte région ne donne
us avons vu plus haut (V. p. 82) que L. Tiirck avait montré que les lésions siégeant dans la partie postérieure de la capsu
k et de Charcot, tout le monde est d'accord pour reconnaître qu'une lésion de la partie postérieure du seg- ment postérieu
clans certaines conditions sur lesquelles nous allons revenir - une lésion du seg- ment postérieur de Cip se traduit par u
e organique, la question pour nous est résolue par la négative. Une lésion du tiers postérieur du segment postérieur de la
blyopie, ni de rétrécissement du champ visuel du côté opposé. Si la lésion siège dans la région thalamique infé- rieure et
voy. Nerf auditif). Ces fibres peuvent donc être détruites dans une lésion de ce segment sous-lenticulaire; mais, comme le c
us-lenticulaire; mais, comme le centre auditif est bilatéral, cette lésion ne déterminera pas de trouble unilatéral persista
nier symptôme par contre pourra durer indéfiniment, dans les cas de lésion de la partie antéro-latérale de la protubérance,
a moitié opposée du corps si le ruban de Reil médian participe à la lésion . Les mêmes réflexions s'appliquent à l'olfactio
faut donc que le pilier postérieur du trigone soit intéressé par la lésion . Il en est de même pour la gustation, dont les fi
postérieur de la capsule interne et, dans les très rares cas où la lésion du thalamus n'est pas indiquée, on ne peut affi
sulaire. 258 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Kilo relève d'une lésion du thalamus dans la région du ruban de Reil.
n de Reil. fraîches. D'un autre côté, il existe des observations de lésions du segment pos- térieur de Cip avec intégrité d
ie accompagnée d'hémianesthésie, la couche optique participait à la lésion capsulaire. Mais, et nous tenons à le faire imméd
capsule interne et le thalamus soient simultanément altérés par une lésion en foyer, il faut encore que cette lésion siège d
ltanément altérés par une lésion en foyer, il faut encore que cette lésion siège dans une région spé- ciale de ce ganglion
et sont les observations suivies d'autopsies et dans lesquelles une lésion de la partie postérieure du segment postérieur de
ssent t par la partie postérieure de Cip ou bien relèvent-ils de la lésion concomitante du thalamus ? C'est à cette derniè
existait un faisceau sensitif dans la partie postérieure de Cip, les lésions de cette partie de Cip dans la région thalamiqu
ent capsulaire est seul altéré, sans participation du thalamus à la lésion . L'étude des dégénérescences secondaires patholo-
99) qu'une hémianesthésie de la sensibilité générale relevant d'une lésion centrale de l'hémisphère ne peut être réalisée
que dans les deux conditions suivantes à savoir : 1° dans le cas de lésion thalamique détruisant et les fibres terminales du
ES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 259 Dans ce dernier cas, la lésion est du reste toujours très étendue. Ces recherche
t persistante lorsque le tha- lamus est lésé. Parfois, enfin, les lésions du thalamus dans sa partie inférieure, lorsqu'ell
u cerveau. Paris 1876. - CLOXEL de BROYER. Eludes cliniques sur les lésions corticales des hémisphères cérébraux. Th. doct.,
k der Gehirnkrankheiten. Berlin, 1879. - Pitres. Recherches sur les lésions du centre ovale des hémisphères cérébraux étudiée
. Report, 1873. France. On the desceztding Degenerations which follow Lésions of the gyrus marginalis and gyrus fomieatus in
sur le faisceau sensitif et les troubles de la sensibilité dans les lésions du cerveau. Thèse, Paris, 1881. - Du même. Le l
esthésie de la sensibilité générale et perle du sens musculaire par lésion cérébrale corticale. Revue neurolog. 1893. - Du m
a montré en outre (méthode de Marchi) qu'il dégénère à la suite de lésion de la partie antérieure du septum lucidum, qu'i
eux dans un cas de dégé- nérescence du bourrelet consécutive il une lésion étendue du lobe occipital (lobule lingual, lobu
les dégénérescences du bourrelet du corps calleux consécutives aux lésions du lobe occipital (Fig. 260), le trajet de toutes
aire s'atrophie et diminue considérablement de volume à la suite de lésions du trigone, qu'il s'agisse d'une section du pil
l'hippocampe, ou qu'il s'agisse, comme dans les Fig. 266 à 272, d'une lésion purement corlicale limitée à l'écorce de la cir
Fig. 263). Cas Chab trouvaille d'autopsie. Ce cas se rapporte a une lésion très limitée (plaque jaune) du pli rétrolimbiqu
ar un tissu lacunaire riche en granulations d'héniatoidine. Cette lésion si localisée a entraîné des dé- générescences d
couronne rayonnante (Sgi RTh), (Sge, Fli), qui relèvent surtout de la lésion du pli rétrolimbique. Les fibres dégénérées du
escence concomitante du faisceau occipito-frontal consécutive à une lésion en foyer de la substance blanche sous- jacente
cence de l'une ou l'autre catégorie de fibres consécutive à certaines lésions encéphaliques. Dans le cas Chab (Fig. 2G et 2GS
fibres calleuses du tapetum (Tap) sont dégénérées à la suite d'une lésion en foyer siégeant à la base de la première circon
e. Il dégénère à la suite d'ablalion de l'hémisphère cérébral, sans lésion concomitante du corps strié et de la corne d'Am
u trigone reste intact, et il est par contre intact dans les cas de lésions expérimen- tales ou pathologiques de la corne d
o J. DEJERIXE. Sur les dégénérescences secondaires consécutives aux lésions de la circonvolution de l'hippocampe, de la corne
'il est un fait qui semble aujourd'hui bien démontré, c'est que les lésions corticales, quels que soient leur siège, leur éte
rès ablation du lobe frontal chez le singe et le chien (1 895). Ces lésions minimes dans tous les cas, et qui tiennent vrai
, que l'on constate quelquefois chez l'homme à la suite de vieilles lésions corticales pathologiques remontant à la première
ès frappant. Les noyaux caudé et lenticulaire sont respectés par la lésion primitive corticale et sous-corticale (Fig. 144
eau du deuxième cinquième postérieur du noyau lenticu- laire, où la lésion fuse en dedans et sectionne non seulement le puta
datant de la première enfance et où le malade survécut 24 ans à sa lésion , le noyau caudé est remarquable par son volume qu
me (Fig. lit5 et 147), ce qui tient probablement au voisinage de la lésion primitive et à sa section par cette dernière.
teint un degré extrême et tel qu'on ne l'observe guère que dans les lésions remontant a la première enfance. (Comparez la F
elles.) Le noyau caudé et le putamen se comportent de même dans les lésions survenant chez l'adulte, soit qu'il s'agisse de
me dans les lésions survenant chez l'adulte, soit qu'il s'agisse de lésions du lobe frontal (cas Moriceau Hg. et 11(l., Fig.
remier cas le malade sur- vécut 10 ans, dans le second 19 ans, à la lésion corticale. Ni dans l'un ni dans l'autre cas, le
'existence de fibres de projections cortico-striées, admettent, Los lésions corti- cales mêmes éten- dues no retentissent
au moins, au faisceau occipito-frontal et dégénèrent à la suite de lésions de la corticalilé cérébrale [lobe frontal, zone
cas Chab, p. 287, et plus particulièrement à la suite de toutes les lésions qui intéressent le tapetum (Fig. 2GG à 272)]. E
g. 126, p. 139; Cas Bras, Fig. 90 et 91, p. 117 et 118). Dans les lésions corticales étendues ou limitées, - traitées suiva
hi qu'est dévolue la tâche d'élucider celle question. Deux cas de lésions cérébrales récentes, l'une étendue, l'autre limit
er lacunaire. (Voy. Loxc., Th. Paris, 1898, obs. IV, p. 203.) Cette lésion a entraîné : -. 1° Une dégénérescence du 3° qua
paraly- sie faciale inférieure, datant de 22 jours, relevant d'une lésion sous-corticale qui occupe la partie moyenne des
lions rolandiques et la première circonvo- lution pariétale. Cette lésion , peu étendue en profondeur, respecte complèteme
té psychique, mort d'angine de poitrine au quarantième jour. Double lésion corticale (Fig. 28t). (\'oy. Lox(1, Thèse de Pari
a partie postérieure de la première circonvolution temporale; cette lésion s'étend en profondeur jusqu'aux couches sagitta
ntérieur. Sur les Fic. 286. - Cas Hilaire. Topographie de la double lésion corticale. Cas II ilaire. Plaque jaune du pli
s horizontales sont dégénérées. Ces cas montrent donc que certaines lésions corticales et sous-corti- cales entraînent en l
ez un chien auquel Goltz avait enlevé toute l'écorce cérébrale sans lésion concomitLante du corps strié. V. Monakow a employ
le trajet des fibres de projection striée : 1" dans un cas de vasle lésion corticale avec dégénérescence complète de toute
strié (cas Pradel, Fig. G6 à 78, p. 100); 2° dans plusieurs cas de lésions corticales étendues avec dégénérescence d'un gr
t suiv.); 3° à l'aide de la méthode de Marchi dans plusieurs cas de lésions étendues ou limités du corps strié (cas Ronse, Fi
e même facile à suivre lordne ce segment est dégénéré à la suite de lésions du lobe occipital et du lobe occipito-pariétal
psule interne sont complètement dégé- nérées à la suite d'une vaste lésion corticale (cas Pradel, Fig. 66 à 78, p. 100), o
UX. Dégénérescence des radiations striées consécutive a toute lésion centrale éten- due ou limitée du corps strie.
la calotte. Dégénérescence des radiations striées consécutives aux lésions cen- trales. Les radiations strio-thalamiques e
halamiques et strio-sous-thalamiques dégénèrent à la suite de toute lésion centrale des hémisphères cérébraux qui détruit
ns leur trajet capsulaire, thalamique ou sous-thalamique. Comme ces lésions empiètent le plus souvent sur la capsule intern
égénérescence des radia- tions striées et en complique l'étude. Les lésions du corps strié sont d'autre pari des lésions pa
complique l'étude. Les lésions du corps strié sont d'autre pari des lésions partielles en général, et partant n'entraînent
iations striées. Il est en effet exceptionnel, même dans les vastes lésions centrales, de con- stater une destruction total
l'artère choroïdienne antérieure. (Fig. 163 et 1G ? p. 165.) Les lésions étendues du corps strié entraînent en général une
aire de Forel, radiations strio-luysiennes, anse lenticulaire). Les lésions plus restreintes peuvent intéresser de préférence
s secondaires qui en résultent varient alors suivant le siège de la lésion : ainsi les lésions de la partie supérieure et
n résultent varient alors suivant le siège de la lésion : ainsi les lésions de la partie supérieure et moyenne du noyau len
ire de Forel, et respectent relativement l'anse lenticu- laire. Les lésions de la tête du noyau caudé et de l'e.x'6' ? ? ? e
dégénérescence prédomine enfin dans l'anse lenticulaire, lorsque la lésion destructive occupe la base du noyau lenticulaire,
point de vue de la dégénérescence des radiations striées les cas de lésions centrales rapportées p. 167 à 185, on est frappé
lativement considérable de fibres qui persistent intactes après des lésions mêmes très étendues du corps strié. Ce fait est b
s le cas Dautriche (Fig. 192 à 196, p. 182 et suiv.), il existe une lésion destructive du globus pallidus, en particulier de
riées intactes. Chaque parcelle du globus pallidus respectée par la lésion , possède un dense feutrage interradiaire et de
al ions strio sous-thalamiques et strio-luysiennes saines. Dans les lésions plus circonscrites, telles que les cas Segalon, L
e la méthode de Marchi, montre qu'il existe toujours en amont d'une lésion primitive du corps strié une dégénérescence trè
escence très nette du putamen et du globus pallidus, adjacente à la lésion et intéressant à la fois les fibres radiées et
des fibres radiées et du feutrage interra- diaire en amont des lésions primitives. 332 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
l. Trajet des radia- tions striées dégé- nérées en aval de la lésion primitive. le feutrage interradiaire. Cette dég
long trajet avant de se réunir en faisceaux radiés. En aval de la lésion primitive, la dégénérescence intéresse les radia-
gré plus ou moins prononcé, l'anse lenticulaire). Pour peu que la lésion primitive n'empiète pas trop sur le segment pos
it conforme à ce que nous enseigne l'anatomie normale. Dans toute lésion du corps strié, la dégénérescence du corps de Luy
la capsule du noyau rouge. Cas Ronse. - Il existe dans ce cas deux lésions , l'une sous-corticale, sous-jacente aux circonv
onvolutions rolandiques, l'autre centrale, intralenticulaire. 1° La lésion sous-jacente aux circonvolutions rolandiques a se
treize mois. (Voy. Long, Th. Paris, 1899, Cas XI, p. 257.) Cette lésion a entraîné les dégénérescences secondaires classi
t du pied du pédoncule. Degene- rescence de Zr, Lme, Ne, Nm. 2° Lésion intralcnticulaire. Dé- générescence des lib
du pied du u pédoncule. Dégéne- rescence do Zr, Lme, Ne, Nm. 2° Lésion intralenticulaire. Dé- générescence des lib
ise indique l'étendue de dégénérescence capsulaire consécutive à la lésion sous-corticale. Coupes horizontales obliques pa
e du segment postérieur (Cip) de la capsule interne consécutive à une lésion sous-corticale sous-jacente aux circonvolutions
édian de Luys (Nm) et de la région dite du ruban de Reil médian. 2° Lésion du putamen et du globus pallidus (Fig. 29G). Dégé
8) e dont l'intensité est due très probablement à l'extension de la lésion primitive à la partie postérieure du thalamus.
de la lésion primitive à la partie postérieure du thalamus. 2° La lésion centrale intralenticulaire se présente sous l'asp
Rm) et de la commissure postérieure consécutive à l'extension de la lésion sous-corticale à la partie supé- rieure de la c
érescence du noyau rouge et de sa capsule de fibres consécutives à la lésion mtralenticulaire et a la dégénérescence des f
t du pied du pédoncule. Dégéné- rescence de Zr, Lme, Ne, \m. 2° Lésion ititralenticulaire. Dé- générescence des li
Fig. 296) et respectant le segment interne du globus pallidus. Cette lésion de date plus récente que la lésion sous-cortica
nterne du globus pallidus. Cette lésion de date plus récente que la lésion sous-corticale - à en juger d'après l'état de dég
et du segment postérieur de la capsule interne du côté opposé il la lésion lenticulaire, jusque dans le globus pallidus. I
ostérieure (cop), consécutive très probablement à l'extension de la lésion sous-corticale à la partie supérieure du thalam
commissure antérieure (Fig. 297, 298); cette dernière relève de la lésion directe de ce faisceau par un des foyers lacuna
énérescences secondaires de la voie pédonculaire (p. 73). Certaines lésions du noyau lenticulaire entraînent en outre (Méthod
du troisième ventricule (p. 408). - Dans aucun des nombreux cas de lésions centrales traités par la méthode de Weigert-Pal
res striées. Dégénérescence des radiations striées consécutives aux lésions thala- miques. L'anse lenticulaire (Al) et le f
nt dégénérer à l'exclusion des radiations strio-luysiennes dans les lésions extra-striées par lésion directe de ces faisceaux
des radiations strio-luysiennes dans les lésions extra-striées par lésion directe de ces faisceaux clans la région antéro
e de ces faisceaux clans la région antéro-ventrale du thalamus. Les lésions de cette région dont l'irrigation esl assurée p
u faisceau lenticulaire de Forel pouvait être suivie en amont de la lésion , jusque dans le noyau lenticulaire et en aval d
La dégénérescence des radialions striées en amont et en aval des lésions paraît impliquer que ce système de fibres contien
pètes. Cas Gardette. - (Fig. 302 à 309.) Ici il s'agit d'une double lésion de l'hémisphère droit, l'une sous-corticale, l'
de l'hémisphère droit, l'une sous-corticale, l'autre thalamique. La lésion sous-corticale est un foyer de ramollissement s
e interne et envoie un petit t prolongement vers le thalamus. Cette lésion a entraîné une dégénérescence de la partie moye
noyau externe du thalamus relève évidemment en grande partie de la lésion de la couche optique. La lésion thalamique sièg
évidemment en grande partie de la lésion de la couche optique. La lésion thalamique siège à la partie antéro-inféro-intern
es sont en voie de désintégration vitreuse (Fig. 30G et 307). Cette lésion a entraîné : 1° une dégénérescence des radiations
foyer 1'ic. 302 et 303. - Cas Gardette (Salpêtrière, 1896). Double lésion de l'hémisphère droit : 10 lésion sous-cortical
dette (Salpêtrière, 1896). Double lésion de l'hémisphère droit : 10 lésion sous-corticale des circonvolutions rolandiques et
nérale. Th. Paris, 1899. Cas XII, p. 26 ). Cas Garde t te. Double lésion do l'hémisphère droit. 1- Ramollissement so
ale dans son trajet protubérantiel bulbaire et médul- laire. 2C Lésion en foy er de la partie antéro-inféro-interno
al. 31O ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Gardette. Dou- ])le lésion de l'hémi- sphère droit. 1° Ra- mollissement
le dans son trajet protubérantiel, bulbaire et médul- laire. 2° Lésion en foyer de la partie antéro-mféro-mterno d
segment postérieur de la capsule interne (Cip, d) consécutive à la lésion sous-corticale des circonvolutions rolandiques.
de Forel (FI), anse lenticulaire (Al) et pour une petite part de la lésion sous-corticale. La dégénérescence est en effet pa
du globus pallidus adjacente à la zone capsulaire dégénérée. 2° La lésion thalamique a entraîné en outre une dégénérescence
pédoncule cérébral. (Méthode de Marchi.) Cas Gardette. Dou- ble lésion do 1'liénii- sphère droit. I° Ita- molhssemen
e dans son trajet protubérant ici, bulbaire et médul- laire. 2° Lésion en foyer de la partie antéro-mfcro-internc
ébral. 342 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Gardette. Dou- ble lésion de l'hénu- sphère droit. 1° Ra- mollissement
le dans son trajet protubéranticl, bulbaire et médul- lairc. 2° Lésion en lyer de la partie an tl' ra-mfé 1'0- i n t
ticulaire, faisceau lenticulaire de Forel) dégénèrent à la suite de lésions de la partie antéro-infé- rieure du thalamus.
rofond (PLp), et du pes lemniscus superficiel (PLs) consécutive à une lésion sous- corticale des circonvolutions rolandiques
oyau rouge, en particulier de sa pai Lie interne, consécutive à une lésion de la partie antéro-inféro-interne de la couche o
isceau thalamique et du champ de Forel qui dégénèrent à la suite de lésions de la partie antéro-ventrale de la couche optique
s fibres au locus niger. Bien que l'on observe constamment dans les lésions centrales de l'hémisphère une dégénérescence du
démonstration de ces fihres reste encore à faire chez l'homme. Les lésions centrales qui détruisent une partie plus ou moins
la dégénérescence du locus niger paraît plus intense à la suite de lésions centrales qu'à la suite de lésions corticales,
araît plus intense à la suite de lésions centrales qu'à la suite de lésions corticales, cela tient peut-être non pas à l'ex
radiations striées se rendant au locus niger, mais bien à ce qu'une lésion centrale capsulaire frappe un plus grand nombre d
rappe un plus grand nombre de libres de projeclion corticale qu'une lésion corticale même étendue. Dans le segment postéri
Lvngley u. GRii : >lIHU)1. On the degencmtion resulting from Los lésions de la partie antéro-inféro- interne du thalam
pas ces faits expérimentaux de v. Monakow. Dans les nombreux cas de lésions corticales rapportés plushaut (p.91 et suiv.), no
au antérieur, lequel est presque tou- jours respecté, même dans les lésions étendues de la corticalité cérébrale, comme dan
toutefois dégénéré avec les autres noyaux thalamiques dans la vaste lésion corticale du cas Pradel (p. 100). Ce noyau entr
frontales et dégénèrent, ainsi que le noyau interne, à la suite de lésion destructive de ces régions (Voy. cas Moriceau,
isceau lenticulaire de Forel. Ces fibres dégé- nèrent à la suite de lésions de la partie antéro-inférieure des noyaux inter
èrent avec les autres libres de projection corticale il la suite de lésions destructives de ces régions (p. 91 et suiv.). .
xposées plus haut (p. 62 et p. 128 à 137) montrent en outre que les lésions partielles des circonvolutions rolan- diques dé
les dégé- nèrent comme les libres cortico-thalamiques à la suite de lésions corticales , mais leur dégénérescence est rétro
ler jusqu'à la disparition complète de la fibre nerveuse lorsque la lésion est ancienne ou remonte à la première enfance.
corticales à angle plus ou moins droit et dégénèrent à la suite des lésions du noyau lenti- culaire (cas Ronse, p. 332) et
ésions du noyau lenti- culaire (cas Ronse, p. 332) et à la suite de lésions thalamiques (cas Gardette, p. 338). La multip
p cortical auquel elles appartiennent, expliquent pourquoi dans les lésions corticales leur dégénérescence est presque touj
scence est presque toujours partielle. Dans les vastes et anciennes lésions corticales (cas Pradel, p. 100, Rivaut, p. 151),
urtout le contingent des fibres strio-lhalamiques. Quant aux vastes lésions cap- sulaires, elles n'amènent qu'exceptionnell
us-corticaux ou ganglionnaires. Ses fibres dégénèrent a la suite de lésions corticales ou sous-corticales de la sphère visu
(Voy. cas Courière, Bras, p. 188 et suiv.), ainsi qu'à la suite de lésions destructives de l'appareil visuel antérieur (réti
les régions inférieures du pulvinar dégénèrent, soit à la suite de lésions de la sphère visuelle corticale, soit consécuti
e lésions de la sphère visuelle corticale, soit consécutivement aux lésions de la face inféro-externe du lobe temporal. Cor
idence par l'étude des dégénérescences secondaires consécutives aux lésions cor- ticales de date récente étudiées par la mé
hode de Marchi. Jusqu'ici, en effet, on a surtout étudié des cas de lésions corticales anciennes par les méthodes de Weiger
ère puisqu'une GANGLIONS INFRACOHTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 371 4 lésion d'une partie quelconque de cette écorce retentit
e fibres allant de la corticalité au thalamus. En effet, dans toute lésion corticale un peu ancienne, la dégé- nérescence
ée dans plusieurs cas et nous avons pu con- stater qu'à la suite de lésions corticales récentes la dégénérescence occupe non
lion qui est piqueté de grains noirs de dimensions variées. Si la lésion corticale est étendue, si elle occupe le lobe par
couche optique. Si ces faisceaux diminuent de volume à la suite de lésions corticales anciennes ou remontant à l'enfance (ca
ur rentrer dans la constitution de la pyramide bulbaire. Dans les lésions capsulaires qui sectionnent les segments postérie
e de haut en bas (cas Carré, p. 179, cas Lavigne, p. 180). Dans les lésions récentes de la couche optique traitées par la m
à démontrer par l'élude des dégénérescences secondaires. Dans les lésions sous-corticales de la région rolandique ou dans c
encéphale. anciens une dégénérescence au-dessous et au-dessus de la lésion , à savoir une atrophie plus ou moins étendue du
utes les libres dégénérées au- dessus du foyer primitif. L'étude de lésions sous-corticales récentes pratiquée à l'aide de
donne des résultats plus positifs, mais qui, pas plus que dans les lésions corticales, ne sont absolument certains. Pour r
orel et de l'anse lenticulaire. Elles dégénèrent soit à la suile de lésions du corps strié (Cas Ronse, p. 330, Fig. 29fi à 30
(Cas Ronse, p. 330, Fig. 29fi à 301), soit consécuti- vement à une lésion thalamique (Cas Gardette, p. 336, Fig. 302 à 309)
ce est démontrée par l'étude des dégé- nérescences consécutives aux lésions du thalamus et traitées à l'aide de la méthode
du lobe temporal (zone auditive, du chien, méthode de Marchi) avec lésion concomitante des voies optiques. D'après Bechtere
erew la commissure postérieure dégénérerait en outre il la suite de lésions de la circonvolution du corps calleux; les libr
calité cérébrale et partant qu'elle ne dégé- nère pas à la suite de lésions de la corticalité frontale, rolandique ou parié
cence du bras du tubercule quadrijumeau antérieur consécutive à une lésion du faisceau visuel intracérébral (méthode de Ma
Dans les cas de dégénérescence du taenia thalami consécutive à des lésions corticales ou sous-corticales, nous avons pu su
A notre avis, la commissure postérieure ne dégénère que dans les lésions qui détruisent ou sectionnent le pulvinar et la p
une petite partie est d'ori- gine corticale, dégénère à la suite de lésions étendues de la corticalité cérébrale, et passe
e inféro-externe du Renia thalami (th) de l'homme consécutive à une lésion sous-corticale sectionnant le pied de la couronne
taenia thalami, et dégénèrent avec celui-ci à la suite de certaines lésions étendues de la corticalité cérébrale (Fig. 320)
si que le montrent les dégénérescences secondaires consécutives aux lésions du noyau lenticulaire et traitées suivant la méth
cas de dégénérescences secondaires de ces fibres, consécutives aux lésions du noyau lenticulaire et traitées par la méthod
adiations strio-luysienncs dégénère en effet toutes les fois qu'une lésion pathologique ou expérimentale détruit le corps
qui lui arrivent est dans ces cas pro- portionnel à l'étendue de la lésion destructive. Ce sont la des faits signa- lés po
e fibres de projection corticale, il apparaît intact à la suite des lésions corticales étendues qui n'intéressent pas les cor
ontré en effel dans un travail basé sur l'examen de nombreux cas de lésions cor- ticales, capsulaires protubérantielles ou
re de Meynert à l'aide de la méthode de Marchi dans quelques cas de lésions destructives GANGLIONS INFRACORTICAU : RÉGION S
i, dégénéré, mais comme le corps de Luys n'est pas intéressé par la lésion destructive, la dégénérescence de la commissure
égénérescence de la commissure de Meynert ne peut relever que de la lésion lenticulaire (cas Ronse, Fig. 297, 298 et 301).
égénérescence (méthode de Marchi) des fibres strio-luysiennes après lésions du corps strié plaide de même en faveur de la t
trio-luysiennes destinées au corps de Luys dégénèrent à la suite de lésions destructives du noyau caudé ou du putamen. Le
strio-luysiennes. Elle ne dégénère pas (méthode de Marchi) dans les lésions du noyau lenticulaire, et les nom- breuses fibr
sure de Mey- nert est dégénérée (méthode de Marchi) par suite de la lésion du noyau lenticulaire (cas Ronse, Fig. 297, 298
rio-sous-thalamiques, et dégénère avec ces dernières dans certaines lésions destructives du globus pallidus (méthode de Mar
que, ni par celle des dégénéres- cences secondaires. Dans un cas de lésion du noyau lenticulaire avec dégénérescences de l
tement en connexion avec le feutrage du globus pallidus; une petite lésion du noyau lenticulaire ayant entraîné la dégénéres
Nous n'avons pas constaté de dégénérescence de ce faisceau dans les lésions du noyau lenticulaire qui s'accompagnent d'une
lings-Jachson, Me Lanc IIamilton, Coupland, d'après les- quelles la lésion de la circonvolution du crochet déterminerait des
optiques. La zone teintée en gris représente la localisation de la lésion dans la cécité verbale pure. AM, avant-mur. C,
e corticale. L'étude des dégénérescences secondaires montre que les lésions des- tructives des centres ganglionnaires de la
a vi- sion. Mode d'articula- tien des neurones visuels. Les lésions de ces centres retentissent sur les doux segm
iche, p. 182, Fig. 192 à 196). Les dégénérescences consécutives aux lésions destructives du centre visuel cortical ou des r
il nerveux visuel. Les dégénérescences secondaires consécutives aux lésions du segment antérieur de l'appareil visuel s'arrêt
et le centre visuel cortical. L'énucléation d'un seul oeil ou la lésion d'un seul nerf optique entraîne en outre la dég
avec la moitié homonyme des deux rétines, de telle sorte que toute lésion destructive de l'appareil nerveux visuel située e
hémia- nopsie homonyme latérale, comme on l'observe à la suite des lésions de FiG. 330. - Trajet du faisceau nasal et du f
nopsie bi-tem- porale, et cette hémianopsie est caractéristique des lésions du chiasma. La dissociation des faisceaux tempo
ns lamême étendue que du côté controlatéral. Comme d'autre part les lésions des centres gan- glionnaires de la vision se tr
intégrité des limites périphériques du champ visuel, consécutif une lésion corticale. Mais à la suite des hémia- nopsies d
, on peut observer (si la bandelette optique ne par ticipe pas à la lésion primitive) une intégrité parfaite de la bandelett
ire son origine du noyau lenticulaire, qu'elle dégénère à la suite de lésions de ce noyau et que les fibres qui lui donnent n
ce grise du tuber cinereum et persistent toujours intactes dans les lésions et destructions des nerfs optiques. Chez l'homm
très réduites; elles diminuent considérablement de volume dans les lésions pathologiques qui intéressent l'écorce cérébell
Richard, Fig. 216. 233.) D'autres fois encore, a la suite de vastes lésions corticales ou centrales inlra-ulérines ou survena
, en particulier Fig. 208 à 212 et 231 à 233), soit dans les cas de lésions de l'hémisphère cérébral sur- venant dans les p
re du bulbe consécutive à la section de la voie pyramidale par deux lésions , l'une capsulaire et l'autre pro- tubérantielle
NCEPHALE. 343 3 jumeau antérieur (BrQa) (Fig. 374) consécutive à la lésion du segment rétrolenticu- laire de la capsule in
LE. 549 de dégénérescence de la voie pédonculaire consécutive à une lésion capsulaire. (Méthode de Marchi). - Les fibres p
e pédonculaire (cas Richard Fig. 232) et ne dégénèrent pas dans les lésions , même étendues, qui détruisent la voie pédoncul
ulaire dans son trajet capsulaire ou pédonculaire. Mais lorsque ces lésions sont anciennes, ou remontent à la première enfanc
9 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
plète par rigidité spasmodique. Il doit se faire dans ces cas une lésion artérielle productrice de sclérose et lorsque l
s malades ne songent pas à attirer l'atten- tion du médecin sur les lésions qui se font alors et ne rétrocéderont plus une
fonctionnel d'autre part, est le signe distinctif de cette sorte de lésion musculaire. Quant à la conclusion qu'on en peut
orps, et en fait un signe avant-coureur d'hémiplégie com- plète par lésion organique de l'hémisphère gauche. Les événements
ls motifs on pouvait aussi, dans notre observation II, penser à une lésion cérébrale affectant le type clinique de l'hémip
oir le jeune âge du sujet, la participation de l'écorce cérébrale aux lésions et enfin, le laps de temps nécessaire il l'évol
t de mal et qu'il était parfaitement raisonnable de rapporter à des lésions irritatives de l'écorce cérébrale. A ces lésion
rapporter à des lésions irritatives de l'écorce cérébrale. A ces lésions irritatives auraient succédé des lésions destruct
l'écorce cérébrale. A ces lésions irritatives auraient succédé des lésions destructives, et de fait, les attaques avaient
ivi la contracture. N'est-ce pas ta le processus classique de toute lésion cérébrale qui s'accom- pagne de dégénérescence
as s'étonner après cela qu'on ait affirmé la nature organique de la lésion et qu'on ait porté par conséquent les pronos- t
t d'aphasie pesaient également d'un grand poids contre l'idée d'une lésion organique. Mais ce qui enlevait tous les doutes
me hystérique simulateur à peu près complet, quoique différent, des lésions de l'hémiplégie spasmodique infantile. A l'hémipl
parition des accidents, trop variés d'ailleurs pour re- lever d'une lésion limitée, tout cela est plutôt en faveur d'une lés
e- lever d'une lésion limitée, tout cela est plutôt en faveur d'une lésion dyna- mique que d'une lésion organique de l'éco
, tout cela est plutôt en faveur d'une lésion dyna- mique que d'une lésion organique de l'écorce cérébrale. Impossible de
sensitivo-sensorielle, rapportés chez les hémiplégiques adultes à une lésion postérieure de la capsule interne, sont le fait
e. CHAPITRE Il syndromes hystériques simulateurs des maladies par lésions limitées de la zone motrice corticale. Les lé
s maladies par lésions limitées de la zone motrice corticale. Les lésions de la zone motrice corticale limitées à un seul d
ne sont en rapport constant avec leurs symptômes que s'il s'agit de lésions destructives de ces centres moteurs et de paral
eurs et de paralysies partielles consécutives. Ce rapport entre les lésions et leurs symptômes devient contingent pour les
rt entre les lésions et leurs symptômes devient contingent pour les lésions seulement irritatives des circonvolutions motrice
volutions motrices et on ne sau- rait préciser la topographie de la lésion corticale provocatrice d'après seu- lement la f
tracture partielle. On peut en effet rencontrer ces symptômes de la lésion irritative, alors même que la lésion siège seul
rencontrer ces symptômes de la lésion irritative, alors même que la lésion siège seulement dans le voisinage du centre moteu
nce à faire au point de vue de la précision topographique entre les lésions convulsivantes ou irritatives et les lésions pa
topographique entre les lésions convulsivantes ou irritatives et les lésions paralysantes ou destructives de l'écorce. Tel
l'écorce cérébrale ». Ils y ajoutent encore celle-ci, c'est que les lésions destructives des centres moteurs entraînent des
ntres moteurs entraînent des paralysies permanentes, tandis que les lésions irri- tcrtües de l'écorce pro' oquent surtout d
ons dans les rapports avec l'hystérie qui les pourrait simuler. -1. Lésions irritatives a). Convulsions Il ne saurait êtr
s- me). La généralisation des convulsions peut se produire avec une lésion très limitée de l'écorce et encore, nous l'avon
ns épileptiformes, généralisées ou partielles, indiquent plutôt des lésions limitées qu'étendues de l'écorce ; c'est pour-
te aux attaques périodiques, avait pu en imposer également pour une lésion intra-crânienne. Observation V. Période épile
céphalée persistante et attaques convulsives faisant pen- ser à une lésion organique de l'encéphale. Charcot (Leçons sur les
sidérer l'épilepsie partielle comme un signe certain et exclusif de lésions corticales organiques. Pourtant, Itard (1) (182
évrose convulsive (5) ; on conclut dans ce cas que le diagnostic de lésion organique devait être abandonné pour les motifs s
parfois embarrassant de faire la part exacte de la névrose et de la lésion organique. Observation VII. Attaques hémiplég
'on ne voit pas très bien pourquoi les uns seraient attribués à une lésion organique et les autres à l'hystérie. Il est poss
à l'hystérie. Il est possible que les uns et les autres relèvent de lésions organiques, mais les uns comme les autres pourr
les conditions les contractures peuvent-elles être rapportées à des lésions limitées de l'écorce cérébrale ? Ces conditions
rarement absolue au point de vue de la précision topographique des lésions corticales. En présence d'une contracture par-
o- dique ou névropathique peut dépendre soit de l'hystérie, soit de lésions organiques des centres nerveux ou de lésions de
de l'hystérie, soit de lésions organiques des centres nerveux ou de lésions des nerfs périphériques. En ce qui concerne les
e organique, si l'on met à part les contractures dites réflexes par lésions des nerfs : traumatis- mes, affections articula
s qui sont en général faciles à constater et les con- tractures par lésions organiques de la moelle qui affectent de préféren
fectent de préférence la forme paraplégique, il reste à imputer aux lésions organiques du cerveau les contractures permanen
leurs en rapport dans l'hémiplégie spas- modique infantile avec des lésions plutôt étendues que limitées de l'écorce cérébr
re peut suivre encore les monoplégies d'origine corticale, dont les lésions sont le plus ordinairement localisées dans la zon
ébut et dans quelques cas d'épilepsie partielle (1). En résumé, une lésion circonscrite de l'écorce cérébrale peut provoquer
rare qu'on puisse les rapporter, quand elles existent seules, à des lésions orga- niques des centres nerveux. Encore faut-i
; c'est pourquoi nous avons cru utile d'insister sur ce point. | 2. Lésions destructives. c). Paralysies partielles Ce qu
tures est en grande partie applicable aux paralysies partielles par lésions limi- tées de l'écorce cérébrale. Car, si nous
res et de même qu'elle rat- tache en général les contractures à des lésions irritatives des centres ner- veux, elle maintie
es ner- veux, elle maintient les paralysies dans le cadre -de leurs lésions dest.ruc- tires. Cette division peut n'être pas
i qu'on en pouvait tirer propos de la précision topo- graphique des lésions corticales du cerveau. Il n'y a de rapports il pe
ntre la forme des paralysies partielles permanentes et le siège des lésions destructives de l'écorce. C'est pourquoi nous p
ur les contractures, des formes qui correspondent direc- tement aux lésions des divers centres moteurs. En nous bornant à la
centres moteurs. En nous bornant à la zone motrice, suivant que la lésion limitée atteindra un centre unique ou deux cent
es leurs formes, les dif- férents types de monoplégie organique par lésion limitée de l'écorce ? Si l'on tient compte des
ns maintenant indiquer, Un début brusque est plutôt en faveur d'une lésion organique de l'écorce et cetle probabilité devi
par opposition à la distribution anatomique de l'anesthésie due aux lésions des nerfs. - Enfin, il est rare clans les mo- n
iques qui sont le cortège habituel des mo- noplégies corticales par lésion matérielle. La présence des stigmates hys- téri
. CHAPITRE III SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DE L'APHASIE PAR LÉSIONS ORGANIQUES DE L'ÉCORCE. L'aphasie est un synd
syndromes hystériques pouvant si- muler l'aphasie provoquée par une lésion organique. Nous disons à dessein « syndromes hy
. Dans tous ces cas, il faut démêler la part de l'hystérie et de la lésion organique, ce qui complique infiniment le problèm
rtance; mais la réserve pouvait s'imposer, au moins dans un cas, de lésions infra-crâniennes ayant succédé au trauma- tisme
e encore mieux avec la pathologie de la protubérance. En effet, les lésions de la région pédonczsloprot2cbéz°azatielle donn
yndrome décrit en cli- nique sous le nom de syndrome de Weber ; les lésions de la région bulbo- protubérantielle donnent li
, cette forme de paralysie devant évoquer tout d'abord l'idée d'une lésion protubéran- lielle. Il n'est pas difficile d'
e ptosis par paralysie isolée du muscle releveur de la paupière. La lésion ne siège pas alors sur le tronc unique des file
s 1892. MALADIES ORGANIQUES DE L ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 47 C. Lésions de l'appareil de la vision. SYNDROMES HYSTÉRIQU
HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DES MALADIES DE L'APPAREIL DE LA VISION PAR LÉSIONS ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE. L'encéphale tient so
troubles des mouvements ou du sens de la vision ne relèvent pas de lésions organiques de l'encéphale; cette cause centrale
rter tout autre mode de pathogénie, on est en droit de supposer une lésion intra-crânienne qui intéresse les nerfs optiques
dans une partie quelconque de leur trajet ou de leurs origines. 1. Lésions sensorielles. Il n'y a pas bien longtemps que l
ndice de compression des bandelettes optiques ou du chiasma, aucune lésion des corps genouillés ni des tubercules qua- dri
sation incomplète des nerfs optiques, il est logique d'invoquer une lésion de ces nerfs entre le chiasma et les trous opti
nerfs entre le chiasma et les trous optiques avant de songer à une lésion possible de l'écorce cérébrale. Ce qui n'est pa
frappés de cécité absolue dans un temps assez court par le fait de lésions organiques dont il est souvent difficile de fixer
s accidents. Chez ce même malade, il était possible de localiser la lésion au niveau du chiasma, grâce à l'oedème pa- pill
ût-il resté négatif sous ce rapport qu'on pouvait hésiter entre une lésion des tu- bercules quadrijumeaux ou une lésion si
vait hésiter entre une lésion des tu- bercules quadrijumeaux ou une lésion située plus haut. Il était bien plus difficile
plus haut. Il était bien plus difficile de préciser la nature de la lésion et le diagnostic a pu flotter long- temps indéc
Malades : l'amaurose double avec atrophie papillaire était l'unique lésion qu'on pût constater chez notre petit malade de
les commémora tifs et les signes subjectifs, s'ils sont le fait de lésions organiques ou de lésions purement dynamiques. C
s signes subjectifs, s'ils sont le fait de lésions organiques ou de lésions purement dynamiques. Car l'hystérie est le type
leurs de la névrite brachiale si elle est faite du côté opposé à la lésion ; elle facilite les mouvements du membre affect
vait par cette voie, pénétré obliquement jus- qu'au nerf médian. La lésion du médian par ce mécanisme était en somme possi
le lendemain de l'accident. Quoiqu'il en soit. comme d'une part les lésions de névrite traumatique étaient évidentes, et qu
endant les troubles trophiques étaient manifestes : il y avait donc lésion certaine du nerf en un point quelconque. Or deu
éclat de vitre, l'autre l'entorse du poignet. Ne trouvant pas de lésion du médian au niveau de la première, j'allai met
erf médian à la face antérieure du poignet. J. Là nous trouvâmes la lésion : le nerf nous apparut épaissi, d'aspect terne
e, lors de la chute, il y avait eu en même temps que l'entorse, une lésion du nerf médian soit par tiraillement soit par c
n nerf puisse être lésé. Mais dans l'entorse, la relation entre les lésions articulaires elles lé- 68 NOUVELLE ICONOGRAPIII
ns de vous parler, le hasard nous amenait un jeune homme porteur de lésions analogues. Ce 2e malade présentait, à 3 centimè
x, on remarque' une espèce de panaris qui a grande analogie avec la lésion récemment décrite sous le nom de panaris analgé-
phiques à la suite de 70 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. lésions nerveuses traumatiques sont aujourd'hui bien conn
tions que l'on observe dans les troubles trophiques consécutifs aux lésions nerveuses ; quelquefois c'est un zona, avec de be
n sujet qui présen- tait une éruption pemphigoïde consécutive à une lésion nerveuse. Les trou- bles trophiques ont apparu
rurent trois jours après le traumatisme. On observe quelquefois des lésions plus profondes ; on a vu de véritables faux-phleg
ésique, décrit en 1883 par un médecin breton, nommé Morvan, est une lésion qui se montre sur les doigts, lésion ulcérative,
breton, nommé Morvan, est une lésion qui se montre sur les doigts, lésion ulcérative, tro- phique, analogue aux ulcératio
ations phalangelliennes par nécrose des ligaments capsulaires ; les lésions sont généralement multiples, s'ac- compagnant d
névrites. Cette affection est, vous le savez, caractérisée par des lésions centrales consistant en fonte de la substance gri
à de la glu, d'où le nom de dégénérescence gliomateuse. C'est là la lésion primitive. Mais secondairement, et presque simu
appelé la dissociation syringomyélique de la sensibilité. Quand la lésion gagne en outre les cordons postérieurs de la mo
t oedème blanc ou bleu des extrémités des doigts. Il en résulte des lésions absolu- ment analogues au panaris analgésique d
identiques comme aspect extérieur, mais non localisés, et dus à des lésions centrales du système nerveux, lésions qui resso
s non localisés, et dus à des lésions centrales du système nerveux, lésions qui ressortiraient à trois maladies bien semblabl
mbre supérieur ; il faut alors savoir reconnaître pour cause de ces lésions ulcératives la contusion chronique par compress
la syringomyélie. Enfin nous avons dit que le cas est facile où les lésions ul- cératives se produisent dans la sphère d'un
e deux à trois mois ; il en résulte une sorte de généralisation des lésions qui pourrait donner le change, si l'on n'était
re croire que le traumatisme périphé- rique a donné naissance à une lésion des centres. Néanmoins, dans les névrites consé
engelures sur l'index, mais je ne vois rien d'étonnant à ce que ces lésions , déterminées par le froid, se soient produites
érébro-spinales comme produites par la syphilis, alors même que les lésions anatomiques dont elles dépendent ne présentent
résentent à aucun moment les caractères généra- lement reconnus aux lésions syphilitiques. Quelque soit d'ailleurs le bien
issance, dans les centres ner- veux, à des tumeurs gommeuses, à des lésions conjonctives et à des lésions vasculaires. Ce
veux, à des tumeurs gommeuses, à des lésions conjonctives et à des lésions vasculaires. Ce sont surtout les lésions céré
ns conjonctives et à des lésions vasculaires. Ce sont surtout les lésions cérébrales de cette nature qui ont attiré l'at-
tiques, a permis de mieux dégager la part qui revient en propre aux lésions anatomiques dans les complications nerveuses de
la syphilis médullaire précoce. Ces auteurs ont distingué dans les lésions un certain nombre de formes anatomiques auxquelle
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Les lésions syphilitiques du cerveau, beaucoup mieux étudiées
es de la moelle se prêtent à une division généralement adoptée en : lésions méningées, lésions vasculaires, tumeurs gommeus
prêtent à une division généralement adoptée en : lésions méningées, lésions vasculaires, tumeurs gommeuses des méninges ou du
est pas de présenter une étude complète de toutes les variétés, des lésions spinales de la syphilis.- Nous nous bornerons à l
t sous nos yeux. Les tumeurs gommeuses de la moelle constituent des lésions d'une extrême rareté : on peut compter les obse
il part l'artérite et la méningite syphilitique médullaire, si les lésions vasculaires spécifiques dans la moelle ont une
ifficile à faire : nous verrons par la suite que ces deux ordres de lésions coexistent la plupart du temps, et qu'elles son
lles que la tuberculose, la morve, la lèpre. Dans l'histoire de ces lésions (leur siège, leur évolution, etc.), onpeut trou
dans les di fférenls organes, on ne peut dire que l'on connaît les lésions syphilitiques de l'un parce que l'on connaît ce
e entre les produits secondaires et tertiaires. On trouve les mêmes lésions élémentaires dans la gomme et dans le chancre i
hépatite interstitielle qui devrait être tertiaire montre les mêmes lésions que l'orchite ou l'iritis interstitielle qui est
de caractéristique par elles-mêmes, nous devrons nous adresser aux lésions les plus récentes pour en saisir les particular
; et elle était assez peu avancée, pour permettre d'a- percevoir la lésion en cause sous sa forme et dans sa localisation in
ouleurs et ne souffre en aucune façon. Il présente actuellement des lésions syphilitiques manifestes : syphilides pig- ment
la mort. La moelle épinière et ses enveloppes ne présentent aucune lésion constatable à l'oeil nu. Tout au plus existe-t-il
ns sont un peu congestionnés. Le foie et l'estomac n'offrent pas de lésions apparentes. Les poumons présentent seule- ment
sommets, Le coeur est mou et flasque, le myocarde jaunâtre : pas de lésion valvulaire. Les gros vaisseaux sont sains ; pas
Pal. Le microscope a montré : d'une part dans les enveloppes, des lésions impor- tantes de la pie-mère et de l'arachnoïde
- versent, et parmi ceux-ci, tout particulièrement des veines ; ces lésions mé- ningo-vasculaires étaient étendues à toute
es, au niveau de la région dorsale supé- rieure. Nous décrirons ces lésions de bas en haut avec quelques détails. Région lo
a paroi de la veine spinale antérieure. Comme on peut le voir cette lésion considérable forme un contraste assez frappant av
t sensiblement le même que dans la région précédente. Là encore les lésions sont limitées à la pie-mère et aux vei- nes pér
ns réfringentes. - Région dorsale supérieure. Ici non seulement les lésions méningées et vas- culaires se poursuivent dans
ent brachial d'une part et vers la 6e dorsale de l'autre. Comme ces lésions se présentent avec les mêmes caractères dans tout
s filets radiculaires qui en partent. Dans la substance blanche les lésions nerveuses sont réparties d'une façon très singu
yer de nécrose. Il nous reste à ajouter, pour ce qui concerne les lésions de la substance hlan- che que les petits vaisse
ltérations méningées, elles sont présentes au niveau du foyer de la lésion médullaire comme plus bas, et leurs caractères es
XIV, XV, fig. 5). Ici encore, même contraste entre l'intensité des lésions veineuses et le peu d'importance des lésions ar
entre l'intensité des lésions veineuses et le peu d'importance des lésions artérielles qui se bornent il une très légère pér
quelques débris de myéline altérée. Sur la plupart des racines, la lésion est limitée à l'enveloppe conjonctive : il en e
fférentes hauteurs de la moelle. Région cervicale. L'importance des lésions diminue dans la moelle aussi NOUVELLE ICONOGRAP
que nous venons de décrire dans la région dorsale supérieure. Mais la lésion a beaucoup moins d'importance ici ; les fibres
tous les vaisseaux ici ont conservé leur calibre. Ajoutons que les lésions dont il vient d'être question s'atténuent vers le
hénomènes de paralysie qu'on était tenté d'abord de rapporter à une lésion matérielle. Môme dans les cas les plus difficiles
tique. (DUJARDiN-13EAUNIETZ et ABADIE, Soc. méd. lcôp., 1879). 2. Lésions motrices. Dans la question si complexe des trou
les moteurs de l'appareil de la vision qui sont en rapport avec les lésions organiques et intra-crâniennes des nerfs ou des
ira plus loin au diagnostic de la nature organique ou dynamique des lésions de l'encéphale manifestées par des formes à peu
t de recourir d'ailleurs aux schémas anatomiques pour localiser les lésions motrices de l'appareil de la vision dans les dive
ne sont pas d'origine périphérique, on ne peut les imputer qu'à des lésions nucléaires. S'agit-il de paralysies associées, de
de paralysies associées, de certaines formes d'ophlalmoplégie ? Les lésions , quand elles ne sont pas périphériques, peuvent
mais ce ne sont pas là les seules causes des ophthalmoplégies. Des lésions sus-nucléaires (tubercules quadrijumeaux et fib
xemple de l'un des six muscles extrinsèques de l'eeil ; 2° Dans les lésions purement corticales de la motilité, les mouvement
jeu de la pupille, qui n'est pas volontaire, est conservé dans les lésions corticales ». Mais il est d'usage de faire rent
, Tripier). Il est certain que le pto- sis isolé peut être dû à une lésion hémisphérique du côté opposé. C'est donc la seu
res, d'origine périphérique ou centrale, qu'on peut rapporter à des lésions or- ganiques de l'encéphale et des méninges crâ
res cliniques qui sont, même au point de vue de la localisation des lésions , la meilleure base que nous ayons actuelle- men
articuliè- rement l'enfance et peut faire croire à la rigueur à des lésions méningiti- ques ; dans certaines circonstances,
HYSTÉRIE SIMULATRICE DES MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE AVEC LÉSIONS DISSÉMINÉES Comme les lésions en foyer, les lés
DIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE AVEC LÉSIONS DISSÉMINÉES Comme les lésions en foyer, les lésions disséminées de l'encéphale
'ENCÉPHALE AVEC LÉSIONS DISSÉMINÉES Comme les lésions en foyer, les lésions disséminées de l'encéphale peu- vent en intéres
les ressemblances, d'ailleurs théoriques, entre ces deux variétés de lésions . Les maladies organiques qui en sont la conséqu
inique très différent. Les unes en effet, celles qui relèvent d'une lésion unique ou en foyer, sont systématiques, prévues
symptômes ; les autres au con- traire, celles qui accompagnent des lésions multiples et disséminées, échap- pent dans leur
d'auteurs confondent la sclérose atrophique lo- tre du cerveau par lésions en foyer avec la méningo-encéphalile dont les l
u cerveau par lésions en foyer avec la méningo-encéphalile dont les lésions sont disséminées d'une façon irrégulière sur les
cé- rébrales sont en effet des processus pathologiques communs aux lésions d'origine vasculaire, lésions ordinairement loc
s processus pathologiques communs aux lésions d'origine vasculaire, lésions ordinairement localisées à un seul hémisphère e
méninges (Cotard, Richardière, Jendrassik et Marie), landis que les lésions de la méningo-encépllalite, tout particuliè- re
parfaitement autorisé aujourd'hui à opposer l'origine méningée des lésions de la méningo-encéphalite à l'origine vascu- la
sions de la méningo-encéphalite à l'origine vascu- laire des autres lésions de l'encéphale. La clinique vient confirmer cet
ur la répartition régulière ou symétrique des symptômes propres aux lésions d'origine vasculaire. Rien de tout cela n'exist
laire. Rien de tout cela n'existe dans le tableau symptomatique des lésions d'origine méningée ; ce qui domine au contraire
es hystériques simulateurs » s'adaptent aussi bien aux maladies par lésions en foyer qu'aux maladies par lésions disséminées
nt aussi bien aux maladies par lésions en foyer qu'aux maladies par lésions disséminées des divers organes encéphaliques. D
ées ont, à la longue, au bout d'un an, amené la guéri- son de cette lésion . Quinze jours après, le bord interne de ce même o
ans, le pied gauche est atteint. Sur le gros orteil, répétition des lésions sus-indiquées ; chute de l'ongle ; pas d'éliminat
ar suite de son insensibilité, n'était pas très incom- modé par ces lésions , même dans la marche. En février de cette même
ties du corps, réservant pour la fin la description des principales lésions et l'étude des troubles sensitifs et des réacti
'état normal, sur le petit doigt. Dans ces diverses régions, pas de lésions cutanées ni de troubles de pigmentations autres
ec démangeaisons; celles-ci ont provoqué sur les cuisses quel- ques lésions de grattage. On ne sent pas les nerfs poplités ;
s, roses ou blanchâtres, plus ou moins épaisses, traces d'anciennes lésions pemphi- goïdes et d'ulcères anciens. La paume e
La flexion du pied est douloureuse; pas de douleurs spontanées. Les lésions gran- dissent en hiver. La marche n'est en ri
ulcères. Cependant, les promena- des trop prolongées aggravent les lésions . Pas de sudation exagérée sur les membres ; les
vait de grandes difficultés d'interprétation relatives au siège des lésions premières qui tenaient sous leur dépendance les t
trophi- ques et sensitifs et surtout à la cause pathogénique de ces lésions . Aussi le diagnostic restait-il en suspens. Il
ses reprises, le sang de notre malade, re- cueilli au voisinage des lésions , fut examiné minutieusement. La recherche du ba
let nerveux ; si les troubles trophiques n'étaient que le reflet de lésions nerveuses c'était, en dernière analyse, celles-
ur la voie du diagnostic. MM. le Dantec et Vergniaud, en voyant ces lésions , ont sans hésitation reconnu leur nature lépreu
t aux membres inférieurs se développe quelquefois en conséquence de lésions de la moelle épinière, myélite chronique (Sclli
nis qui, sans nnl doute, répondent à des localisations précises des lésions médullaires dont on déterminera la topographie
topsotie dure en effet depuis 4 ans. Pas de dyschromatopsie. Pas de lésions du fond de l'oeil. Examen du malade nu. Examiné
de la hanche ; nous n'y insisterons pas, on peut s'étonner que des lésions aussi marquées entraînent une aussi légère impo
esque complète (1) ». A cela rien d'étonnant puisque le siège de la lésion qui cause l'anesthé- sie quelle qu'elle soit es
esthé- sie quelle qu'elle soit est différent du siège supposé de la lésion qui amène les arthropathies. Le rhumatisme et
ut donc penser il cette coïncidence et à cette cause possible de la lésion cardiaque. Enfin au point de vue éliologique no
x phénomènes (crises gastri- ques et arturopathies) sont liés à des lésions situées dans le bulbe, au voisinage du noyau d'
ose ou embolie d'origine infec- tieuse. Ajoutons d'ailleurs que les lésions viscérales constatées à l'autopsie permettent d
s graves et que l'on pourrait supposer susceptibles de modifier les lésions appartenant en propre à ces myélites. L'examen
méningo-vasculaires sont beaucoup plus étendues en hauteur que les lésions médullaires ; elles sont en réalité diffuses et o
que nous l'avons vu, au niveau de la région dorsale supérieure, les lésions sont de deux ordres : a) Les unes résultent de
pas la moindre prolifération active. Dans la substance blanche, les lésions que nous avons décrites présen- tent un intérêt
ables que nous avons signalées dans les vaisseaux des méninges, les lésions vasculaires observées dans la substance blanche
oelle, particularité qui tient sans doute au degré peu avancé de la lésion . (1) Iconographie, n" 2, 1892. DE LA MÉNINGO-
ne complication étrangère à la syphilis, ou bien au contraire d'une lésion due à l'action directe du virus syphilitique sur
e et ses enveloppes ? Nous devons nous demander tout d'abord si les lésions constatées peuvent être mises sur le compte de la
syphilis, si elles sont en harmonie avec le processus habituel des lésions syphilitiques. La néoformation syphilitique, no
ssus (Virchow, Lancereaux). Or, que voyons-nous ici ? D'un côté des lésions méningées et vasculaires, de l'autre des altéra
on latéral et de la substance grise, en apparence indépendantes des lésions méningées. Les tubes nerveux qui ont subi une d
s le cas particulier, nous insisterons surtout sur l'importance des lésions vasculaires, et la gène circulatoire qui en a f
açon suivante l'ordre de succession et la dépendance réciproque des lésions constatées : lepto-méningite et a1'l/chnite spina
térations secondaires dans la moelle, en partie par propagation des lésions méningées, en partie consécutivement à la gêne de
n, et, dans le cas présent, affirmer la na- ture syphilitique de la lésion , de par ses caractères anatomiques ? Ce n'est p
rien à voir avec la syphilis. D'ailleurs nous avons considéré ces, lésions comme secondaires; rien d'étonnant alors si ell
om de granulomes (Vir- (1) La présence de cellules géantes dans les lésions spécifiques de la syphilis a été maintes fois s
i en toute certitude, nous nous croyons en droit d'admettre que les lésions des méninges et des vaisseaux, dans le cas actuel
vent être résumés ainsi : 1° Absence ou très peu d'importance des lésions macroscopiques. Elle correspond aux paralysies
où l'on croyait les ostéites des vertèbres seules capables parmi les lésions syphilitiques, de produire des paraplégies, par
, dans sa thèse, faisait allusion quand il disait que l'absence des lésions anatomiques semblait être la règle. 2° Altérati
hnite spinales avec participation constante des vaisseaux méningés. Lésions médullaires consécutives aux précédentes . Nous
et dont nous avons signalé l'analogie complète au point de vue des lésions anatomiques avec l'obser- vation précédente, fa
ence de la méningite spinale (arachnite et leptoméningite) avec les lésions des vaisseaux qui cheminent à la surface de la mo
a moelle. Le premier, il décrit les altérations des veines dans les lésions syphilitiques des centres nerveux. Il admet qu'
i te, l'endophlébite sont secondaires. Toutefois ces deux ordres de lésions peu- vent évoluer ultérieurement pour leur prop
nlérieure- ment émise par Koester (4), il incline à admeltre que la lésion débute dans la tunique adventice et dans les va
ation personnelle, ces auteurs décrivent avec détail cette forme de lésion anatomique. Ici les altérations ne sont pas le
térations ne sont pas le plus souvent appréciables à l'oeil nu. Les lésions microsco- piques sont représentées par une prol
ment étroite ; parfois elle est complètement oblitérée... Enfin les lésions ménin- gées spinales occupent toute la hauteur
ccident primitif, et dont la maladie évolua en moins d'un mois. Les lésions médullaires à l'oeil nu étaient insignifiantes.
et la corne antérieure correspondante. Il existait à ce niveau des lésions importantes dans les vaisseaux spinaux antérieu
t jusque dans la région cervicale, avec le même contraste entre les lésions veineuses et artérielles. De ces quelques exemp
choisis dans la littérature parmi ceux qui se rapportent au type de lésion anatomique qui nous occupe, nous ne vou- lons r
ins rapide. Les auteurs s'entendent généralement à admettre que les lésions (1) Gildeut et Lion. De la syphilis médullaire
sorte que l'on serait presque autorisé en ne tenant pas compte des lésions méningées, parfois très légères dans cette form
apidement développée autorise-t-elle à elle seule à déclarer que la lésion en cause doit être une thrombose ar- térielle d
t assez généralement aussi en ce qui concerne la forme initiale des lésions vasculaires. Dès qu'Heubner eut dé- crit l'arté
e n'est certes pas close aujourd'hui. On sait que, pour Heubner, la lésion débute vers l'endartére, et plus spéciale- ment
tion a été combattue en ce qui concerne l'ordre de succes- sion des lésions . MM. Lancereaux, Baumgarten, intervertissant la p
ancereaux, Baumgarten, intervertissant la proposi- tion, placent la lésion initiale dans la tunique adventice. Koester insis
firmation éclatante à l'opinion de MM. Lancereaux et Baumgarten. La lésion artérielle peul êlre saisie ici à sa phase initia
ux sanguins des centres nerveux pourrait expliquer la fréquence des lésions syphilitiques dont leurs parois sont le siège, ét
fraîche paraissait saine à l'oeil nu. Mais le microscope montra des lésions consi- dérables des vaisseaux méningés, veines
ge deux processus diffé- rents et inverses l'un de l'autre dans les lésions vasculaires qu'elle produit (proposition peu sa
à une syphilis récente), ou bien il s'agit, dans le cas actuel, de lésions vasculaires indé- pendantes de la syphilis. Nou
des faits que nous venons de passer en revue, se rappor- tant à des lésions de date récente, présentent encore les conditions
êt, et qui n'a cessé de préoccuper les auteurs : la spécificité des lésions constatées au microscope. Il serait certes prém
vations, permettent d'affirmer que, dans certains cas au moins, les lésions de la méningo-myélite diffuse des syphilitiques p
e diffuse des syphilitiques présentent les caractères objectifs des lésions spécifiques. Un rapprochement se présente ici t
prochement se présente ici tout naturellement il l'esprit entre les lésions que nous étudions et les lepto-myélites tubercu
iques moins étendus permettent une survie plus longue, l'aspect des lésions se trouvera singulièrement modifié par l'entrée
paru seulement congestionnée dans toute la hauteur. Poumons. Pas de lésions tuberculeuses ; le lobe inférieur du poumon gau-
té de volume, présente de la dégénérescence graisseuse, mais pas de lésion syphi- litique. Le testicule gauche présente au
ions colorées au picro-carmin ou par la méthode de Weigert, que les lésions sont surtout médullaires . La pie-mère est peu to
rose, Fig. 15. Coupe de la moelle dorsale, au niveau du foyer de la lésion , colorée par la méthode de Veigert. a) Grand fo
usés dans leur épaisseur (Fig. 17). Dans la moelle elle-même, les lésions sont considérables dans les deux subs- tances.
upart cependant, noyau reste visible ainsi que son nucléole. .Mêmes lésions dans la corne antérieure gauche. Il existe dans l
roliféré abondamment; les cellules nerveuses sont atrophiées. Les lésions des cordons blancs ne le cèdent pas en intensité
de scléreuse qui occupe les cordons postérieurs, on peut voir que les lésions les plus avancées correspondent à la partie pér
ibrilles sont ici coupées perpendiculairement il leur direction. La lésion est ici moins ancienne, et sans doute la conserva
haut. Dans les cordons latéraux et antérieurs, ce sont encore des lésions scléreuses que l'on cons- tate, mais moins avan
ent indiquée dans le cordon autéro-latérrll druit : on peut voir la lésion au premier degré, pour ainsi dire, dans celte r
er malade, au voisinage de la -lie racine dorsale, l'aspect de la lésion se modifie, par suite de la présence d'un vérit
2 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. être plus récent que les lésions précédentes. Il est constitué de la façon suivan
ns la même région. Racines rachidiennes. Elles pré- sentent des lésions scléreuses très ac- centuées. Dans une racine p
ILITIQUE 173 Coupes pratiquées au-dessous du foyer précédent. Les lésions vont en diminuant graduellement jusqu'à la région
chargées do pigment. La névroglie n'est pas hypertrophiée. La seule lésion à ce niveau consiste en héniorrhagies fisszt2-ai,
égénération pyramidale. Mais les racines à ce niveau présentent une lésion singulière, qui consiste en hémorrhagies intersti
é en couches concentriques. Dans les racines antérieures existent des lésions absolument semblables, mais moins importantes.
mais moins importantes. Coupes pratiquées au-dessus du foyer de la lésion . Dans la région cervicale, la lésion importante
quées au-dessus du foyer de la lésion. Dans la région cervicale, la lésion importante est la sclérose systématisée des cor
ontré dans les méninges, les vaisseaux et la moelle, l'existence de lésions diffuses, anciennes pour la plupart, en grande
éuingo-vascuiaire ne saurait faire de doutes. La prédomi- nance des lésions scléreuses ;1 la périphérie, la fusion intime de
laire lui-même montre bien la part des vaisseaux. La nature de la lésion originelle qui a atteint les méninges et les vais
s sont intéressées et que la périphlébite, la périartérite sont les lésions do- minantes. Les méninges sont touchées égalem
oir fig. 3, pl.1111,11V, XV) (1). Mais nous avons affaire ici à une lésion qui compte un an 1/2 d'existence; et suivant la
e de coin ou de triangle. Tels sont les caractères essentiels de la lésion , qui justifient la dénomination de méningo-myélit
ve vraie. Sans doute y a-t-il lieu de faire une part importante aux lésions vasculai- res, dans le mécanisme des graves alt
lanche. Tout porte donc à croire que, chez notre second malade, les lésions étaient à l'origine identiques, au moins dans l
e diffuse de toute la moel- (1) CHANCIT et GOMIIAULT. Sur un cas de lésions disséminées des centres nerveux chez une femme
. On conçoit sans peine qu'il l'aille renoncer il chercher dans une lésion aussi ancienne, les caractères plus ou moins sp
t et Gombault s'appuient pour conclure à la nature syphilitique des lésions rencontrées dans les centres nerveux de leur mala
e de la Clinique des Maladies du Système nerveux (Suite) (1). Les lésions méningées de la syphilis peuvent se limiter aux e
inguer une pachyméningo-myélite syphilitique. On conçoit qu'ici les lésions ma- croscopiques deviennent évidentes : l'infla
syphilitique des vertèbres peut être le point de départ d'une telle lésion , car elle s'accompagne fatalementd'une pachyménin
q jours après dans le service d'isolement. Autopsie. Il n'existe de lésion importante que du côté du système ner- veux. Co
me ner- veux. Congestion assez marquée du foie et des reins. Pas de lésions pulmo- naires ; absence complète de tubercules.
istance du tissu nerveux est manifestement diminuée en ce point. La lésion va eu s'atténuant sur les olives. Sur les parti
tricule. Plus bas, à partir de la moitié inférieure des olives, des lésions méningées s'étendent à toute la périphérie du b
u fibreux épais. Sur les coupes, à l'aeil nu, on ne constate aucune lésion au foyer, ni dans le Cerveau, ni dans le mésocé
coloration grisâtre, leur tissu est diminué de consistance. La même lésion se poursuit jusqu'à la région dorsale supérieure.
ntéro-latéraw, sauf leur partie postérieure), on ne constate pas de lésions appréciables. Les grandes cellules des cornes a
reux petits vaisseaux oblitérés. Région dorsale supérieure. Comme lésion importante dans cette région, il n'existe qu'une
e son explication dans DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 211 les lésions rencontrées plus haut. Elle est mal limitée en de
respondante est dégénérée, et l'on y constate il peu près les mêmes lésions que dans les cordons postérieurs au niveau de l
est nor- mal. Les coupes du nerf oculo-moteur droit ont montré des lésions exactement semblables il celles du nerf optique
esoin du secours du microscope ici, pour constater l'importance des lésions : la Fig. 27. - Coupe transversale du nerf opti
demi-circonférence postérieure. A partir de la région cervicale, la lésion va en diminuant vers le haut et vers le bas ; m
cas l'exa- men histologique pratiqué au niveau du foyer même de la lésion rachi- dienne, c'est que les vaisseaux nourrici
fin le microscope n'a pas montré de caractères spécifiques dans les lésions cons- tatées : il s'agit d'une néoformation fib
. Nous n'hésitons pas pour notre part à rattacher à la syphilis les lésions spinales qui viennent d'être décrites. L'absenc
. Nous avons affaire d'ail- leurs, selon toute vraisemblance, à une lésion de vieille date, dont l'ori- gine remonte aux p
rappor- tent à la syphilis cérébro-spinale, en ce qui concerne les lésions du moins; ils mériteraient de figurer dans les
idiennes sont intéressées ici d'une manière très accen- tuées ; les lésions prédominent d'une façon il peu près constante à l
part au processus. En résumé, ainsi que le fait remarquer Jurgens, la lésion consiste en une pachyméningite interne avec ara
state l'exis- tence d'un rétrécissement syphilitique du rectum. Les lésions rencontrées du côté des centres nerveux justifi
utrition insuffi- sante des éléments nerveux. Si l'importance des lésions méningées est généralement plus considéra- ble
ticuliers étudiés du plus près pos- sible, le processus général des lésions syphilitiques de la moelle. Mais, ainsi que nou
te, trop monotone, pourrait-on dire, pour ne pas se rattacher à une lésion également constante aussi bien dans sa localisati
e mesure on peut en rapporter les particularités symptomatiques aux lésions anatomiques que nous avons rencontrées. Ainsi
alés par tous les auteurs, et que l'on est autorisé à rapporter aux lésions premières en date : soit qu'il s'agisse de phéno-
ertain nombre d'exa- mens anatomiques, avait émis l'opinion que les lésions syphilitiques, dans les centres nerveux, suivai
iétés. Mais dans une publication ultérieure, nous montrerons que la lésion , se propageant exclusivement aux racines rachidie
dehors de toute anamnèse. Peut-être faut-il admettre alors que les lésions méningées sont moins étendues, qu'elles le cède
des altérations vascu- laires, on ne pouvait faire abstraction des lésions méningées, et que les cas de ce genre appartena
récédentes, ou que ces prodromes aient été seulement ébau- chés, la lésion médullaire une fois constituée se traduit cliniqu
établi aujourd'hui en pathologie nerveuse que la localisation d'une lésion en régit les manifestations cliniques bien plutôt
semble symptomatique aussi monotone, pour ainsi dire, reconnaît une lésion constante qu'il localise dans la moelle dor- sa
eurs. Disparition de tous les acci- dents cérébraux. Coexistence de lésions syphilitiques cutanées. Ney... 27 ans, élève en
ars 1893). Malade de petite taille, peu vigoureux, mais sans aucune lésion viscérale. L'étal mental paraît normal aujourd'In
nt d'ailleurs être très variés, suivant lui : paralysies oculaires, lésions ophtalmoscopi- clues; ou bien encore ictus, tro
ite (côté de l'iritis secondaire) est normale, et réagit bien. Pas de lésion du fond de l'uil ; acuité normale. Môme coïnc
e conforme au type vulgaire. On ne saurait préciser la nature de la lésion qui tient ici sous sa dépendance l'abolition pr
dans les thèses deBeaudouin (1), de l3re(ean (2). D'ailleurs les lésions anatomiques qui ont été constatées dans quelques
rsack, accompagnée d'un examen anatomique qui révéla l'existence de lésions syphilitiques non seulement du côté de la moell
en relation avec l'étendue, la profon- deur, ou la localisation des lésions secondaires de la moelle. Nous ne saurions pass
par le traitement - celles où l'autopsie a permis de constater des lésions spé- cifiques absolument étrangères au tabes or
larités du tableau clinique tiennent à la localisation fortuite des lésions syphilitiques dans les cordons posté- (1) 13oxr
d'une affection systématisée de la moelle épinière, de même que les lésions anatomiques qu'elle produit sont essentiellement
nales de même nature que celles qui précèdent dans certains cas les lésions organiques des centres nerveux. Jarisch et Finge
nce en- tre les différentes périodes de la syphilis et la forme des lésions spécifi- ques de la moelle épinière, au moins e
s la période tertiaire, c'est s'exposer à méconnaître la nature des lésions des méningites diffuses que nous avons signalées
absolue de la syphilis en 3 périodes; il a pensé que, la nature des lésions élémentaires n'étant pas différente dans les pr
uits secondaires ou tertiaires, le plus ou moins d'extension de ces lésions ne constituait pas un caractère suffi- sant pou
sé à admettre aujourd'hui que la diffusion plus ou moins grande des lésions anatomiques, aussi bien pour la syphilis que pour
ent en terminant que la localisation du côté du système nerveux des lésions sy- philitiques que nous avons envisagées, n'es
0111QUE111CN'l', le type qui s'observe le plus communément dans les lésions syphilitiques de la moelle épinière se rapporte i
e d'altérations du côté des vaisseaux nourriciers de la moelle. Les lésions des méninges et des vais- seaux qui les travers
de la base, de la région interpédonculaire et du chiasma. IV. Les lésions méningées semblent parfois le céder en importance
e à faire en ce qui con- cerne la moelle, et que les deux ordres de lésions prennent toujours leur part respective au proce
x, DE LAM É NIN G 0 - M Y ÉLI TES SYPHILITIQUE 275 l'existence de lésions exclusivement veineuses suffit à indiquer que l'o
iers aux méningo-myélites syphilitiques étudiées ici, les formes de lésions récentes seules peuvent donner des renseignemen
es parois vasculaires. Un premier fait paraît acquis, c'est que les lésions des veines spinales se montrent les premières,
ans la suite plus in- tenses que celles des artères. Le début de la lésion , dans les cas les plus favorables à cetle reche
iques qui distinguent les méninge-myélites syphilitiques des autres lésions analogues, par ce seul fait que nous sommes enc
rmes diffuses, l'examen micros- copique peut révéler la présence de lésions spécifiques assez caractéristi- ques pour perme
- (Observ. 1). La tuberculose, il est vrai, peut donner lieu à des lésions semblables. Vit Cliniquement les formes les mie
spinales syphilitiques caractérisent la deuxième périodes celle des lésions médullaires. Ces paralysies, dans les formes les
quelques jours a un mois. L'existence plu- sieurs fois constatée de lésions spécifiques dans l'examen anatomique de cas de
s apprit ce qui suit : LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊTRIÈRE 279 Aucune lésion viscérale quelconque.. Les lésions du système n
ANT A LA SALPÊTRIÈRE 279 Aucune lésion viscérale quelconque.. Les lésions du système nerveux constituent tous les symptômes
ontuse sans fracture la fracture sans plaie du cuir chevelu et sans lésion des membranes la fracture ou- verte avec ou san
elu et sans lésion des membranes la fracture ou- verte avec ou sans lésion des membranes ; cette manière est l'objet de pré-
t l'autre forme un lien réciproque entre la maladie cérébrale et la lésion des articulations. Au point de vue clinique, ce
e de quelque maladie constitutionnelle ou de quelque forme aiguë de lésions connues, telles que l'arthrite rhu- matismale,
s'expli- que alors sa pathogénie ? (1) On a observé en outre des lésions organiques de la moelle épinière de différentes
est impossible d'indiquer les moments favorables au mécanisme d'une lésion traumatique dans telle ou telle forme ; il ne p
s n'avons pas davantage le droit de rapporter cette affection à une lésion de la moelle épinière, les symptômes cliniques
e la moelle épinière, les symptômes cliniques propres à ce genre de lésions faisant défaut. Ces considérations, ainsi que l
les des nerfs de l'intestin) et qui suivent (phlegmon antibrachial, lésion huileuse de la peau) l'ostéo-artI1l'0pathie, nous
tions des centres nerveux et des nerfs (Charcot) où se trouvent les lésions qui déterminent les troubles trophiques dans les
NÉVROPATHES VOYAGEURS (Suite et fini). Examen des yeux. - Pas de lésions du fond de l'oeil ; les pupilles réagissent, qu
10 (1934) Oeuvre scientifique
té fournis ; leur présence vous permet d'affirmer l'existence d'une lésion organique intra-crânienne, d'un oedème cérébral
iquer, ont tous une valeur capitale. Ils dénotent l'existence d'une lésion et dans bien des cas vous mettent en mesure d'en
té un trouble ophtalmoscopique constitue plus qu'un simple signe de lésion , c'est la lésion même d'une portion du système
talmoscopique constitue plus qu'un simple signe de lésion, c'est la lésion même d'une portion du système nerveux, du nerf
ermet même de distinguer la paralysie de la sixième paire due à une lésion périphérique de celle qui est causée par une alté
autres circonstances différentes ; d'une part, elle accompagne les lésions de l'appareil occulaire qui inter- ceptent les
troubles ophtalmoscopiques ; ils constituent plus que des signes de lésion , c'est la lésion même d'une partie du système ner
scopiques ; ils constituent plus que des signes de lésion, c'est la lésion même d'une partie du système nerveux, la lésion
de lésion, c'est la lésion même d'une partie du système nerveux, la lésion des méninges, dans l'espèce, visible pendant la
ère par Claude Bernard et Hutchinson, qui est caractéristique d'une lésion du sympathique cervical située soit dans le tronc
tic. L'abo- lition des réflexes tendineux est caractéristique d'une lésion du système nerveux, et ce trouble est étranger
oute, que la réaction de dégénérescence est pathognomo- nique d'une lésion musculaire consécutive à une altération primitive
e vulgaire. Enfin j'attire votre attention sur les troubles que les lésions auriculaires apportent dans le vertige voltaïqu
n ni rotation latérale de la tête on peut affirmer qu'il existe une lésion labyrinthique, que l'hypothèse de surdité hysté
et la lymphocytose, ce ce sont là plus que des signes, ce sont des lésions qui sont symptoma- tiques de maladies nerveuses
ION A LA SEMIOLOGIE 13 'i occupe. Mais remarquez bien qu'il y a des lésions cutanées qui sont susceptibles de dépendre indi
distinguer des manifestations hysté- riques celles qui dépendent de lésions du système nerveux. Mais n'oubliez pas que la c
permettent, dans les cas de ce genre, d'affirmer l'existence d'une lésion et d'en préciser la nature, mais la céphalée pe
ar les vertiges que se traduisent généralement, dès leur début, les lésions de l'appareil vestibulaire, et c'est à cause de c
u près caractéristiques d'une claudication intermittente liée à une lésion artérielle. Tel autre malade se plaint de doule
éternuement. Ces caractères rendent déjà probable l'existence d'une lésion radiculaire. Cette simple donnée jointe à la co
eçon dont j'ai tiré profit. On peut dire que la céphalée liée à une lésion intra-crânienne s'accompagne ordinairement de m
iens consultés alors pensent qu'il existe du côté des jointures des lésions indélébiles et conseillent l'amputation du membre
et, d'une façon générale, les sujets se croyant à tort atteints d'une lésion du système nerveux ou de quelque organe ne sont
ai aussi observé dans plusieurs cas de paraplégie crurale due à une lésion organique de la moelle un mouvement d'extension d
mier est une femme atteinte d'hémiplégie organique gauche due à une lésion de l'hémisphère cérébral droit, remontant à trois
ion épileptoïde, etc., qui permettent d'affirmer qu'il s'agit d'une lésion organique. L'extension des orteils peut être prov
rver le phénomène des orteils. C'est d'abord l'hémiplégie due à une lésion organique de l'encéphale, quelle qu'en soit la
gauche ; il est vraisemblable qu'il s'agissait d'une association de lésions radiculaires postérieures et d'une lésion organ
ait d'une association de lésions radiculaires postérieures et d'une lésion organique de l'hémisphère droit avec dégé- néra
pinales spasmodiques, quelle qu'en soit la cause, qu'il s'agisse de lésion traumatique, de compression de la moelle par mal
ne provoquait aucun mouvement des orteils. Chez l'un des sujets la lésion siégeait au niveau de la septième cervicale et
n avait été pratiqué neuf heures après l'accident ; chez l'autre la lésion avait pour siège la partie supérieure de la moe
de ce faisceau étaient conservés, sur des sujets chez lesquels les lésions du faisceau pyramidal devaient être très étendu
midal devaient être très étendues et sur d'autres chez lesquels ces lésions étaient très limi- tées. Il faut donc bien re
x et l'épilepsie spinale, qui sont souvent sous la dépendance d'une lésion du système pyramidal, mais que ce lien n'est pa
e très nettement ce signe dans des cas où, malgré l'existence d'une lésion du système pyramidal, les réflexes tendineux sont
es tendineux sont normaux, affai- blis ou abolis, soit parce que la lésion est de fraîche date soit parce qu'elle s'associ
début. Les réflexes tendineux étant généralement abolis lorsqu'une lésion du système pyramidal s'associe à une altération
n seulement sur la nature des maladies, mais encore sur le siège de lésions atteignant des arcs réflexes. On admet que ch
lle valeur pra- tique : elles nous permettent parfois de situer des lésions médullaires avec une approximation suffisante p
TIONS QUI PRODUISENT DE L'IRRÉFLECTIVITÉ OU DE LA SUBREFLECTIVITE, ( Lésions intéressant les arcs des réflexes tendineux.) N
ériphérique de la voie centripète de l'arc réflexe pour aboutir aux lésions frappant la périphérie de la voie centrifuge; n
nne à son début; cela, d'ailleurs, se conçoit quand on sait que les lésions du tabès suivent d'habitude une marche ascendan
evenir sur ce sujet quand nous nous occuperons de l'association des lésions dont les unes exaltent et les autres affaibliss
es réflexes dans toutes les espèces et variétés de névrites, que la lésion porte plus particulièrement sur les fibres motr
endant, lorsque le réflexe achilléen est conservé, la réalité d'une lésion du nerf sciatique est souvent difficile à affir
que dans les névrites nous avions affaire à une irréflectivité par lésions des voies centripètes ou centrifuges, dans les
centrifuges, dans les poliomyélites ce symptôme est produit par une lésion des centres réflexes eux-mêmes, par une lésion
est produit par une lésion des centres réflexes eux-mêmes, par une lésion des cellules des cornes antérieures. L'irréflec
eint un nombre plus ou moins grand de départements, suivant que les lésions sont elles-mêmes plus ou moins étendues : elle
tendineux atteint d'emblée les territoires qui sont frappés par les lésions , et constitue pour le diagnostic et le pronosti
, variété de sclérose combi- née. Quoique dans cette affection, aux lésions des arcs tendino-réflexes s'associe une scléros
itive dans la maladie de Friedreich. deuxième GROUPE. Lorsque des lésions intra-spinales : myélites, néoplasies, hématomyél
nt lom- baire déterminera une abolition des réflexes rotuliens. Une lésion du renflement cervical donnera lieu parfois à u
c'est là un point que nous aurons à traiter ultérieurement. Si les lésions de la moelle cervicale, au lieu d'atteindre tout
a gliomatose, il y aurait témérité à localiser les frontières de la lésion en se fondant sur l'état des réflexes tendineux
bras sur le bras soit seul aboli. Il ne faut pas en conclure que la lésion se limite au cin- quième segment ; malgré l'int
cale. L'interprétation de ce fait est d'ailleurs assez simple : les lésions de syringomyélie peuvent s'étendre sur une grande
eur sans intéresser les arcs réflexes. Envisageons maintenant les lésions péri-médullaires capables de donner naissance à
ion de la moelle et sera alors ana- logue à celle qu'engendrent les lésions intra-médullaires que nous venons d'étudier, so
les lésions intra-médullaires que nous venons d'étudier, soit d'une lésion des racines. Remarquons cependant que la compre
es racines fussent englobées dans le tissu inflammatoire et que les lésions eussent déterminé une atrophie considérable des
ent pouvoir chercher la raison du phénomène dans la concomitance de lésions nerveuses. Jarkowski et moi(2) avons étudié des
la seule dans laquelle les réflexes tendineux se comportent ainsi. lésions siégeant au-dessus DES centres DES réflexes tendi
res DES réflexes tendineux. Nous venons d'envisager les différentes lésions de l'arc réflexe qui produisent de l'irréflecti
question que nous allons dis- cuter. Il est incontestable que des lésions survenant brusquement, provoquant des phénomène
e grenouille provoque une exagération des réflexes au-dessous de la lésion . Après la publication de Bastian, la question fut
nécessaire une abolition des réflexes tendineux au-des- sous de la lésion . Et alors la proposition de Bastian ne constituer
certain nombre de faits bien observés où l'on a pu établir que des lésions concomitantes d'arc réflexes devaient être incri-
des voies tendino-réflexes, on peut encore se demander si certaines lésions spinales, d'une nature spéciale, Il est à noter
inférieurs dans beaucoup d'observa- tions où il n'existait que des lésions incomplètes de la moelle cervicale. J'ai rapporté
iennent que l'état des réflexes dépend surtout de la modalité de la lésion . A l'appui de cette idée, voici une très intére
aient aboli les réflexes tendineux. Il s'agissait, très souvent, de lésions portant sur le cervelet. Ces faits paraissent e
urs, Oppenheim, Bruns, Bechterew, font dépendre l'irréflectivité de lésions radiculaires concomitantes éloignées de la tume
les réflexes tendineux et osseux sont exagérés sous l'influence de lésions du système pyramidal siégeant au-dessus de leurs
siégeant dans l'encéphale du côté opposé, ou, plus rarement, à une lésion spinale du même côté. b) La surréflectivité bil
rfois lié à une affection corticale, dépend bien plus souvent d'une lésion spinale; dans ce dernier cas, à la vérité, la s
ve plus rarement que le précédent; il n'est guère causé que par des lésions siégeant dans l'écorce cérébrale ou immédiatement
s du faisceau pyra- midal sont partout tellement rapprochées qu'une lésion atteignant les fibres correspondant au membre s
et osseux des membres supérieurs sont exagérés : elle dépend d'une lésion bilatérale occupant soit l'encéphale, soit la m
- culier quand on l'envisage dans ses relations avec ce symptôme. Lésions de l'encéphale. Des affections diverses de l'encé
a plus commune, l'hémiplégie vulgaire de l'adulte, produite par une lésion destructive en foyer ayant pour consé- quence u
rait pas. Considérons maintenant une hémiplégie organique due à une lésion cérébrale qui exerce sur le système pyramidal u
avec dégénération secondaire ? Assurément cela est possible si à la lésion du faisceau pyramidal s'associent des altératio
es associations sont-elles capables de produire le même effet ? Des lésions de la couche optique ou du corps strié, associées
lle l'absence de surré- flectivité a été souvent notée C) et où les lésions des noyaux gris centraux sont assez communes. M
chez l'adulte, où l'exagération des réflexes tendineux ait manqué. Lésions de la moelle. La surréflectivité dans les lésions
ineux ait manqué. Lésions de la moelle. La surréflectivité dans les lésions de la moelle (') De la paralysie par compressio
pyramidal est atteint dans la moelle ou dans l'encéphale : dans les lésions encéphaliques du moins chez l'adulte lorsque l'
les paralytiques assez accentués ; il n'en est pas de même dans les lésions spinales où une surréflectivité très marquée peut
ionnée par une sclérose systématique des faisceaux pyramidaux, sans lésion en foyer, ou bien d'un syndrome, comme d'autres
pinales diffuses : syphilis médul- laire, sclérose multiloculaire , lésions traumatiques, syringomyélie, peuvent, à un mome
à ce que la dégénération secondaire peut y faire défaut et que les lésions sont répa- râblés, soit encore à ce que d'autre
et que les lésions sont répa- râblés, soit encore à ce que d'autres lésions s'associent à celles du fais- ceau pyramidal.
Charcot, régresser et faire place à de la subréflectivité quand les lésions des cornes antérieures acquièrent une certaine
ste, en particulier, par de la trépidation épileptoïde du pied. . Lésions périphériques. Les névrites peuvent-elles produir
expliquer la surréflectivité observée parfois consé- cutivement aux lésions osseuses et articulaires. Dans ces faits, l'exagé
réflectivité, en pareil cas, prédomine dans la région avoisinant la lésion qui en est le point de départ : une arthrite ti
abord une exagé- ration du réflexe rotulien ; mais bien souvent une lésion atteignant l'une de ces articulations ou encore
ement abolis avant l'hémiplégie. Le plus souvent, en pareil cas, la lésion du faisceau pyramidal n'influencera pas les réf
fait place à de la subréflectivité. En pareil cas, sans doute, les lésions radiculaires étaient moins étendues, plus superfi
paradoxal chez des sujets atteints d'hémiplégie sans association de lésions radiculaires, et dont le réflexe du triceps bra
roublés par le tabès. Lorsque, comme cela a lieu plus rarement, les lésions radiculaires tabé- 72 SÉMIOLOGIE tiques appar
ration s'atténue, fait place à de la subréflectivité, et, quand les lésions tabétiques sont intenses, à de l'irré- flectivi
les forces antagonistes. Dans la maladie de Friedreich, où à des lésions des arcs réflexes se joint une sclérose des fai
parfois de la subréflec- tivité qui apparaît généralement quand les lésions des cornes antérieures, entraînant à leur suite
sera soumis à l'action d'une cause unique. Soit, par exemple, une lésion de la moelle lombaire au niveau du troi- sième
segment, provoquant une abolition des réflexes rotuliens. Si cette lésion irrite ou détruit les faisceaux pyramidaux, elle
demment. Mais, au point de vue qui nous occupe, ce sont surtout les lésions de la moelle cervicale qui méritent une attenti
une attention particulière. Admettons que nous ayons affaire à une lésion de la moelle cervicale (méningo-myélite 0, pach
élite 0, pachyméningite, maldePott, ou tumeur). Supposons que cette lésion exerce sur les faisceaux pyramidaux une action de
les modifications sont subordonnées, en partie, à la longueur de la lésion . Ils peuvent être tous abolis. Il faut pour cel
at, trois conditions sont nécessaires. Il faut : i° qu'il y ait une lésion du cin- quième segment cervical ; 2° que le hui
lui de pronation ? Ordinairement ils sont tous deux abolis quand la lésion occupe les cinquième, sixième et septième segment
de reconnaître et de localiser, avec une remarquable précision, les lésions de la moelle cervicale. RÉFLEXES TENDINEUX ET R
indications : a) Sur la possibilité de déterminer la hauteur de la lésion dans les paraplégies d'origine spinale RÉFLEXES
de neurologie de Paris, 12 mai 1910) . 6) Sur la localisation des lésions comprimant la moelle. De la possibilité d'en préc
en vue. Comment se comportent les réflexes cutanés dans les cas de lésions pures des arcs tendino-réflexes produisant de l
e chez des sujets atteints de paralysie avec contracture liée à des lésions du système pyramidal, et présentant phéno- mène
emestre, p. t4t) ont publié l'observation d'un malade atteint d'une lésion traumatique de la région cervicale de la colonne
érêt. Elle mérite au contraire de fixer l'attention dans les cas de lésions constituant des causes de surréflectivité tendine
ît des faits qui ne cadrent pas avec elle : 1" dans certains cas de lésion de la voie pyra- midale avec surréflectivité te
là une règle qui souffre quelques exceptions. Nous avons vu que des lésions articulaires peuvent engendrer de la surréflectiv
ts. Je rappelle que, dans l'hémiplégie cérébrale déterminée par une lésion en foyer atteignant la voie pyrami- dale, ou bi
é quelques instants après l'ictus. Dans les paraplégies liées à des lésions scléreuses de la moelle, il n'est pas exception
rteils est ordinairement présent et constitue le témoi- gnage d'une lésion des faisceaux pyramidaux. C'est ce qu'on observe,
lectivité tendineuse des réflexes de défense. Dans les cas où les lésions spinales sont cantonnées dans la voie pyramidal
ue la contracture vulgaire, celle qu'on observe d'habitude dans les lésions de la voie pyramidale, a des relations étroites
rétractions fibro-tendi- '. neuses. Je ne m'étendrai pas sur les lésions qui déterminent cette forme de para- plégie ; q
pons a poursubstratum anatomique, comme nous venons de le voir, des lésions du système nerveux central ; ces lésions intére
ous venons de le voir, des lésions du système nerveux central ; ces lésions intéressent la voie pyramidale dont la perturbati
ente, il est vrai, de la précédente par sa forme déterminée par des lésions ner- veuses centrales atteignant les faisceaux
peut avoir sur les réflexes tendineux une action pareille à celle des lésions nerveuses qui engendrent des paralysies ou des
. Il s'agit incontestablement d'une monoplégie brachiale liée à une lésion du système nerveux central. Le signe de la pron
ion des réflexes tendineux permettent de l'affirmer. Où siège cette lésion ? elle est probablement corticale ou sous-cortica
à discuter cette question, pas plus que celle de la nature de cette lésion , car c'est sur d'autres points que je veux arrête
il est incontestable qu'une secousse psychique peut déterminer une lésion organique de l'encéphale chez un individu dont
syphilitique comptent, il est vrai, parmi les causes ordinaires des lésions en foyer de l'encéphale, mais il ne faut pas ou
ncéphale, mais il ne faut pas oublier qu'on peut être atteint d'une lésion artérielle du cerveau sans en présenter de sign
ement du côté sain dans un cas d'hémiplégie, constitue un indice de lésion organique. Passons à l'étude des troubles de mo
ces réflexes sont presque toujours exagérés, sauf lorsqu'il y a une lésion radiculaire postérieure concomitante. On constate
paralysé dans un cas d'hémiplégie constitue un indice important de lésion organique du système nerveux et doit éloigner d
affection concomitante. Voici par exemple une malade atteinte d'une lésion de l'articulation tibio-tarsienne qui a donné n
ration des réflexes tendineux et à de l'épilepsie spi- nale ; cette lésion a été aussi l'agent provocateur d'une contracture
n cas d'hémiplégie doit être considéré comme un indice incertain de lésion organique. L'abolition du réflexe crémastérien
orter. Dans l'hémiplégie organique qui est sous la dépendance d'une lésion qui atteint le système pyramidal on observe ce
ler, cependant, tout en reconnaissant que ce signe est un indice de lésion organique, ne le considère pas comme tout à fait
es identiques au point de vue clinique à celles qui dépendent d'une lésion de l'encéphale, ce qui est une grosse erreur, s
racture de l'hémiplégie organique, qui est sous la dépendance de la lésion d'un système anatomique, a une forme spéciale q
rne. Il existe certaines variétés d'hémiplégie organique dues à des lésions siégeant dans d'autres parties du système pyram
dénomination de « syndrome de l-Iillard-Gubler », qui dépend d'une lésion de la partie inférieure de la protubérance, se
és, d'hémiplégie gauche. L'anosognosie serait-elle particulière aux lésions occupant l'hémisphère droit ? VIII RÉFLEXES
flexion réflexe du pied que provoque, chez les malades atteints de lésion de la voie pyramidale, l'excitation de la partie
faut dans les cas où l'hémorragie ou le ramollis- sement créent des lésions étendues et doivent laisser à leur suite une pa
nt précédée de la paraplégie en extension, dépend comme celle-ci de lésions du système nerveux central intéres- (') Voir :
lièrement quand la contracture en flexion est très prononcée, à une lésion non destructive de la voie pyra- midale. » J'
t tirer de l'étude des réflexes de défense pour la localisation des lésions spinales, en particulier des compressions de la
ire cutané en rapport avec la partie de la moelle sous-jacente à la lésion et la surréflectivité ne franchit jamais la lim
-mérienne. Depuis le début de nos recherches, la localisation d'une lésion médul- laire au moyen des réflexes de défense f
passe pas le pli de l'aine, même lorsque la limite inférieure de la lésion siège à la partie moyenne de la moelle dorsale
, à moins que d'autres symptômes ne permettent déjà de localiser la lésion dans la région lombaire ou sacrée. Enfin, je
r ainsi des données précieuses pour le diagnostic topographique des lésions . IX RÉFLEXES DE DÉFENSE [J. Babinski.] Co
? : v Sur une forme de paraplégie spasmodique consé- cutive 1l une lésion organique et sans dégénératiou du système pyramid
st nul ou même en flexion, le signe des raccourcisseurs établir une lésion que la recherche du signe de Babinski n'avait p
quatre petits orteils, cette excitation, dans les cas où il y a une lésion de la voie pyramidale, produit une contraction de
ièrement les réflexes de RÉFLEXES DE DÉFENSE 135 défense dans les lésions atteignant le système pyramidal ; il se sert de c
à utiliser les réflexes de défense pour déterminer le niveau d'une lésion spinale. En juillet 1910 (Revue Neurologique, t
de Friedreich ; c'est ce qu'on peut voir dans le tabes associé à une lésion pyramidale. J'ai insisté déjà en 1898, dans un
vec la portion delà moelle sous-jacente à la partie inférieure delà lésion , et dans ce territoire seulement, du moins quand
passe pas le pli de l'aine, même lorsque la limite inférieure de la lésion siège à la partie moyenne de la moelle dorsale
, à moins que d'autres symptômes ne permettent déjà de localiser la lésion dans la région lom- baire ou sacrée. « Enfin,
insi des données intéressantes pour le diagnostic topographique des lésions , surtout si on les rapproche de celles, plus im
forme qu'ils présentent sont-elles en rapport avec l'intensité des lésions , le niveau où elles siègent et leur nature ? Da
à la période initiale quand il y a shock, plus ' accentués dans les lésions spinales que dans les lésions cérébrales, ce qui
y a shock, plus ' accentués dans les lésions spinales que dans les lésions cérébrales, ce qui tient peut-être en partie à
rales. les secondes unilatérales. En ce qui regarde la nature des lésions , d'après ce que j'ai observé, je pense que l'ex
es de guerre ont montré à MM. Head, Riddoch, à M. Lhermitte que ces lésions , qui produisent le maximum de dégénération, peuve
festations cliniques et la dégénération descendante secondaire. Une lésion en foyer de la moelle, dit-il, peut causer une
des de ce genre, j'en puis citer un qui, guéri d'une paraplégie par lésion syphilitique de la moelle, avait recouvré la moti
uelle shock subi par la moelle est plus grand quand il s'agit d'une lésion bilatérale que lorsqu'on a affaire à une lésion
and il s'agit d'une lésion bilatérale que lorsqu'on a affaire à une lésion unilatérale. C'est une disposition contraire de c
vons dit, à une période plus avancée des RÉFLEXES DE DÉFENSE 1/13 lésions cérébrales et spinales. Dans les affections spina
mps, Jarkowski et moi, un sujet atteint d'une paraplégie liée à des lésions spécifiques, paraplégie très grave, mais dans l
nt de rétractions fibro-tendineuses. « Je ne m'étendrai pas sur les lésions qui déterminent cette forme de paraplégie ; qu'
s a pour substratum anato- mique, comme nous venons de le voir, des lésions du système nerveux central ; ces lésions intére
ous venons de le voir, des lésions du système nerveux central ; ces lésions intéressent la voie pyramidale dont la perturbati
ente, il est vrai, de la précédente par sa forme déterminée par des lésions nerveuses centrales atteignant les faisceaux py
n fait qui n'est pas sans importance, car il indique en général des lésions plus profondes que celles qui s'accompagnent de
ara- cérébelleux probablement (centre des réflexes de posture). Une lésion cantonnée dans le faisceau pyramidal exalte à l
e des fléchisseurs et donne lieu à une paraplégie en extension. Une lésion siégeant au-dessus du mésocéphale ne produirait
ne produirait jamais une paraplégie en flexion. - Au contraire, une lésion de la voie pyramidale associée à une lésion occ
on. - Au contraire, une lésion de la voie pyramidale associée à une lésion occupant une des parties de l'arc réflexe ayant
. - - RÉFLEXES DE DÉFENSE 153 n'existait pas chez notre malade de lésions mésocéphaliques, mais sim- plement une double l
tre malade de lésions mésocéphaliques, mais sim- plement une double lésion cérébrale. La suppression de l'influence des ce
paraplégie en flexion. Il n'est pas nécessaire non plus qu'il y ait lésion irritative comme dans le cas déjà signalé de M.
araplégie en flexion par compression mésocé- phalique) ; une simple lésion destructive suffit, en supprimant l'influence c
odique avec contracture en flexion, j'écrivais ceci, p. 135 : « Des lésions bilatérales de l'encéphale semblent pouvoir donne
ls : une excitation telle que le pincement de la peau du côté de la lésion , où il y a de l'hyperalgésie, sans être suivie
extension croisée observés par eux chez certains sujets atteints de lésions de la voie pyramidale. Les rapprochant du « cross
On peut observer parfois, nous le rappelons des sujets atteints de lésions spinales qui, après avoir présenté une paraplég
de l'irritation des centres nerveux produite par le reliquat de la lésion ? Considérant maintenant la question d'un autre
on peut observer un réflexe en flexion chez des sujets atteints de lésions avérées de la voie pyramidale. En ce qui conc
ux membres inférieurs. Lorsque par exemple un sujet atteint d'une lésion de la voie pyramidale fléchit la cuisse et la j
es sur des sujets atteints de paralysie avec contracture liée à des lésions du système pyramidal, et présentant le phénomèn
extrin- sèques permettant d'admettre ou d'écarter l'hypothèse d'une lésion du système nerveux. Cependant, en procédant ain
est plus complexe qu'on ne le suppose et que, dans certains cas de lésions du névraxe, on peut voir se produire, sous l'infl
un réflexe croisé provoqué par l'excitation de la peau du côté de la lésion et se traduisant par une réaction motrice du cô
en portant l'excitation sur la partie du corps située au-dessus de la lésion , tant à gauche qu'à droite, mais il est nécessa
le malade présente un ensemble de signes dénotant l'existence d'une lésion intéressant la moelle cervicale et prédominant du
it dans la région des racines sacrées droites, soit au-dessus de la lésion , à condition que ces excitations soient bien pl
ls : une excitation telle que le pincement de la peau du côté de la lésion , où il y a de l'hyperalgésie, sans être suivie d'
lade de l'observation III, que l'absence de mouvement du côté de la lésion est due à ce que les mouvements volontaires de
fense. Il est facile d'établir avec certitude, dans certains cas de lésion spinale, que le centre des réflexes de défense
ense se trouve dans la portion de la moelle située au-dessous de la lésion . Quant au centre spécial des réflexes hyperalgé-
es cas que nous avons observés, il siège sans doute au-dessus de la lésion , probablement dans l'encéphale. Ce n'est qu'avec
dans le domaine du trijumeau. Si le membre inférieur du côté de la lésion ne participe pas à la réaction motrice, c'est v
présumé, est arrêtée à son retour par le barrage que lui oppose la lésion spinale. Et si l'excitation de la zone anesthésié
e ? Nous ne pouvons pas l'affir- mer, car dans nos observations, la lésion n'atteint pas uniquement la voie sensitive, ell
ces deux ordres de réactions ('). (') Dans l'hémiplégie liée à une lésion cérébrale, on peut observer des phénomènes ayant
on de la motilité volitionnelle, quoique transitoire, prouve que la lésion du système nerveux n'est pas profondément destruc
se plaint d'aucun des signes subjectifs qui appar- tiennent à cette lésion , elle n'en a aucun des signes objectifs et, cytol
la lumière, quand elle est permanente, qu'elle n'est liée à aucune lésion du globe oculaire, et n'est pas associée à une pa
rale. J'estime que, chez la malade qui nous occupe, c'est bien à une lésion du système nerveux central qu'il faut attribuer
supposer que la syphilis est le lien qui unit chez cette malade la lésion aortique aux troubles pupillaires. Dans l'obser
r- vations que je viens de rapporter, il en est tout autrement ; la lésion orga- nique du système nerveux eût fort bien pu
n du réflexe à la lumière permet d'écarter l'hypothèse d'une simple lésion du sympathique ; même en l'absence de tout autre
umière, quand elle est per- manente, qu'elle est l'expression d'une lésion limitée à l'appareil des réflexes pupillaires,
syphilis il y a quarante-deux ans, à l'âge de seize ans; elle a une lésion au nez sur la nature de laquelle on n'a pas été
si la cure spécifique peut exercer une influence favorable sur les lésions du système nerveux d'origine syphilitique, elle s
hilitique, elle sera naturelle- ment d'autant plus efficace que ces lésions sont à leur début et que les éléments nerveux n
e forme de troubles de motilité, t dont la cause anatomique est une lésion cérébelleuse et qui dépend J d'une perturbation
de l'observa- tion I), sont indubitablement une manifestation d'une lésion des fibres cérébelleuses de la protubérance. Le
nous a semblé qu'il était, avant tout, essentiel de rapprocher les lésions du labyrinthe de celles du cervelet au point de v
phénomènes d'emprunt, ou qui seraient communs à ces deux ordres de lésions . Ce sera l'objet de la première partie de notre
atérale et alors ce symptôme s'observe du même côté que celui de la lésion cérébelleuse ; aussi l'a-t-on mis à profit pour
il y a une cause d'erreur d'interprétation qu'il faut écarter. Les lésions du bulbe et de la protubé- rance peuvent attein
est vrai, prétend que la démarche ataxique peut être causée par une lésion atteignant la voie médullo-cérébelleuse ascendant
le cervelet joue un rôle essentiel dans l'équilibration et que les lésions cérébelleuses troublent cette fonction. « Cela
tous d'intensité comparable, forts, moyens ou légers. Enfin, une lésion cérébelleuse, parfois considérable, pourra ne se
en se tenant en équilibre. Il résulte de cette expérience que la lésion cérébrale accentue les troubles qui s'étaient a
e trouve plus haut placé dans la série des vertébrés. » Si dans les lésions atteignant uniquement l'appareil cérébelleux les
ce à des compensations, inversement l'association de deux ordres de lésions , les unes frappant le cervelet, les autres atteig
l'examen anatomique décela, outre les altérations habituelles, une lésion bilatérale des pédoncules cérébraux. Or, dans ce
ité, la permanence des troubles cérébelleux provoqués par certaines lésions à siège bulbaire ou protubé- rantiel tienne à c
voir constaté « plus d'une fois que chez des malades porteurs d'une lésion en foyer du cervelet et présentant de ce chef des
c le temps augmentation des symptômes. » L'on peut estimer que la lésion des conducteurs, à volume égal, endommage plus
hémisphère. Mais il est aussi permis de penser qu'en pareil cas les lésions ne sont pas exclusivement cantonnées dans l'appar
nt les éléments voisins. Si ces altérations sont contemporaines des lésions cérébelleuses, les suppléances ne peuvent s'éta
ge), l'animal s'enroule davantage et la tète se porte du côté de la lésion , en même temps qu'elle tourne vers le même côté
la réaction de dégénérescence qui apparaît à la suite de certaines lésions des nerfs ? On admet généralement que cette réact
ACIALE^1) On admet généralement que dans les paralysies liées à des lésions des nerfs moteurs, l'excitabilité électrique de
qui fait le sujet de l'observation I sont sous la dépendance d'une lésion occupant la région bulbo-protùbérantielle droit
d'une lésion occupant la région bulbo-protùbérantielle droite. La lésion bulbo-protubérantielle a évolué d'une manière ass
nerfs a déjà été notée bien souvent dans les paralysies liées à des lésions des nerfs, dans la paralysie faciale en particu
al à son origine sont dans un état d'intégrité anatomique et que la lésion occupe la partie supranéculaire du facial, réalis
pas inadmissible mais il est peut être plus simple de penser que la lésion atteint le noyau lui-même ou le nerf à son orig
paraît d'autant plus accep- table que dans l'observation II, où la lésion occupe sûrement le tronc même du facial dans sa
édent, mais pourtant absolument nette. Ces faits établissent qu'une lésion intéressant le nerf facial dans son trajet ou à
ilieu ambiant et qui décèle une vaso-constriction consécutive à une lésion ou, en d'autres termes, qui traduit un véritabl
térisée par l'arrêt de développement des organes génitaux, et de la lésion pitui- taire, mérite aussi d'être remarquée. Il
était altérée et que l'infantilisme était sous la dépendance de cette lésion présumée. Il me semble toutefois que l'idée d'u
et l'infantilisme est très accep- table. On sait, en effet, que les lésions de l'hypophyse, quand elles appa- raissent chez
, l'atrophie de l'utérus ; il est donc bien naturel qu'une sembable lésion , quand elle débute chez l'enfant, produise un a
eliquide céphalo-rachidien parla narine gauche, dû sans doute à une lésion de l'ethmoïde. La céphalée s'accentuait quand l
COMPRESSIONS CEREBRALES restés bénins. La maladie en produisant une lésion de l'ethmoïde avait amené une décompression pro
être même impossible de reconnaître, pendant la vie, le siège de la lésion , mais la trépanation aurait pu être tentée pour
écisé. Dans ces deux cas, conformément à ce qu'on avait supposé, la lésion occupait le lobe frontal au devant de la région
vation I, je ne m'étais pas cru en état de déterminer le côté de la lésion . En raison de la prédominance des troubles oculai
mploi du mercure chez un syphilitique, pouvait faire penser que les lésions intra-crâniennes dépendaient de la syphilis. No
ui (') a) Sur une forme de paraplégie spasmodique consécutive à une lésion , sans dégénération du système pyramidal, par J.
des centres nerveux, à condition qu'elle ne soit pas associée à une lésion des cornes antérieures, des racines ou des nerfs.
nt être dues à une compression qu'exerce l'hémisphère du côté de la lésion sur l'hémisphère du côté sain ('). (') Un tra
à une perturbation organique des centres nerveux, je pense que les lésions dont elle dépend doivent être, au moins dans la
paraissant au cours du torticolis « mental », signi- fierait que la lésion n'est pas restée cantonnée dans cette région et q
s de J. Babinski, y3, p. 1-18.' III TORTICOLIS SPASMODIQUE AVEC LÉSIONS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL. EXOSTOSES OSTÉOGÉNI
lors. On constatait en outre, chez lui, divers troubles liés à des lésions du système nerveux central et des exostoses ostéo
ut le côté gauche prédominant au membre supérieur. 2° Des signes de lésion des faisceaux pyramidaux plus marqués du côté gau
était demandé s'il existait une relation de cause à effet entre ces lésions osseuses et les troubles précédents. Nous avons
on de la voie pyramidale ; on peut affirmer qu'il est atteint d'une lésion des centres nerveux. Les mouvements spas- modiq
ris centraux, et il y a tout lieu d'admettre que c'est à cette même lésion que se rattache le torticolis, dont les caractè
e nerveux central : on tend à admettre, comme on le sait, que cette lésion siège dans les noyaux gris centraux. IV DE
(-1) J. Babinski, Sur une forme de dysarthric paraissant liée à une lésion du corps strié (ses rela- tions avec les crampe
Il s'agit d'un sujet atteint aussi, selon toute probabilité, d'une lésion du corps strié. Il présente un ensemble symptom
cornée et un affaiblissement progressif de la vision consécutif aux lésions cornéennes. La parole se modifia aussi à partir
GIE ET CATALEPSIE ? ) Voici un autre malade, H. M..., atteint d'une lésion cérébello-protubé- rantielle, qui me paraît par
ues se rapportant au cas princeps qu'il a relaté, il y a longtemps ( lésion bulbo-protubérantielle), où il a observé pour la
ité, leur durée dépendent sans doute du siège et de l'intensité des lésions cérébelleuses et, quand celles-ci s'associent à
it intéressant de savoir exacte- ment comment étaient disposées les lésions dans le cas que nous avons en vue, où ces phéno
nférieure se trouve au niveau du noyau para-olivaire interne. Cette lésion présente, dans une grande partie de son étendue
ppelant l'aspect de la sclérose en plaques. La topographie de cette lésion est vasculaire. J. Babinski signale brièvement
es attitudes étaient parfaites. Il insiste, au contraire, sur les lésions constatées au côté droit de l'appareil céré- be
dégénération consécutive du pédoncule cérébelleux supérieur ; 7° Lésion du floculus et de l'amygdale dont la base d'impla
estruction des formations olivaire et justa-olivaire droites et des lésions des noyaux du pont à droite. La pureté et l'i
e ce travail met en évidence les traits essentiels et qui dépend de lésions bulbaires unilatérales. Nous allons exposer les
iniques. L'hémianes- thésie droite doit être sous la dépendance des lésions du ruban de Reil et probablement aussi du faisc
lité aux deux côtés de la face peut être expliquée par ce fait que la lésion du ruban de Reil a atteint à la fois des fibres
par l'affaiblissement de la contractilité volontaire, dépend de la lésion du faisceau pyramidal. La perturbation dans l'a
tuait le principal trouble de la motilité, est évidemment liée à la lésion des fibres cérébel- leuses contenues dans le bu
ires qui sont en connexion avec le cervelet. Faut-il l'attribuer à la lésion des fibres olivo-ciliaires ? L'action de ce sys
bilatérale. Il y a tout lieu de faire jouer un rôle important à la lésion du faisceau cérébelleux descendant, ou à celle
ue l'un de nous a publiée autrefois, le trouble siège du côté de la lésion , contrairement à l'hémianesthésie et à l'hémipl
a dans le bulbe des fibres irido-dilata- trices ; mais où siège la lésion qui donne lieu à ce trouble ? Serait-ce dans le
méritent par conséquent le nom de fibres olivo-ciliaires ; 2° Une lésion unilatérale du bulbe peut donner naissance à une
sens de la dou- leur, comme l'anesthésie syringomyélique ; 3° Une lésion unilatérale du bulbe peut provoquer des troubles
ultent de la section des deux premières paires dorsales ; 1,° Une lésion unilatérale du bulbe peut produire un syndrome ou
vertiges, une hémiplégie et une hémianesthésie du côté opposé à la lésion , une hémiasynergie, de la latéropulsion et du m
, une hémiasynergie, de la latéropulsion et du myosis du côté de la lésion . AFFECTIONS DU BULBE IV ? THERMO-ASYMÉTRIE
e du Il mai igo.,). E présente un malade dont l'étude montre qu'une lésion bulbaire peut, j sans atteindre la motilité vol
ontestable que les troubles observés chez ce malade sont liés à une lésion occupant le côté gauche du bulbe ou de la région
Claude Bernard-Hutchinson, à gauche. Quelle est la nature de cette lésion ? Il m'est impossible de le dire ; je suis simp
lus en mesure de déterminer la relation qu'il peut y avoir entre la lésion bulbaire et la suppression de la transpiration de
de ; cette perturbation aurait-elle joué un rôle dans la genèse des lésions bulbaires, ou, au contraire, aurait-elle été la p
ou, au contraire, aurait-elle été la première manifesta- tion de la lésion , ou bien ne se serait-il agi là que d'une simple
je me contente, jusqu'à nouvel ordre, de cette constatation qu'une lésion bulbaire unilatérale est capable de provoquer une
is son intensité ne donne aucunement la mesure de l'intensité de la lésion . Enfin, le nystagmus provoqué à l'état physiolo
iées les unes aux autres. J'ai observé bien des malades atteints de lésion auriculaire dont le réflexe calorique était nor-
inance des réactions du côté malade ou le plus atteint. Quand les lésions vestibulaires sont unilatérales ou prédominent d'
tionné, l'absence de cylindres-axes dénudés, le peu d'intensité des lésions vasculaires, la per- sistance au milieu du tiss
lus saillant du tableau sympto- matique et peut donner l'idée d'une lésion cérébrale en foyer. 8" Des plaques de sclérose
atologie est exactement celle de la sclérose en plaques et dont les lésions échappent complètement à nos moyens d'investiga
alade était vieille et que sa moelle présente, indépen- damment des lésions décrites, des marques incontestables de sénilit
faits publiés jusqu'à présent en petit nombre (2), à savoir qu'une lésion intra-crânienne peut provoquer, non seulement che
e de la maladie, qui parait devoir être rattachée, elle aussi. à la lésion scléreuse que pré- sentent les cordons latéraux
aximum d'intensité dans l'obser- vation I, où, au niveau même de la lésion , il n'existait aucune altéra- tion histologique
t il remarquer qu'une compression de la moelle peut, sans produire de lésions appréciables de cet organe, donner lieu aussi à
i sensoriels. Les crises épileptiformes confirment le diagnostic de lésion corticale porté dès le début, mais elles me con
sur la cause du mal. Il y a tout lieu d'admettre qu'il s'agit d'une lésion irritative, dont il reste à déterminer la nature.
(1) Voir : Sur une forme de paraplégie spasmodique consécutive à une lésion organique et sans dégénération du système pyram
tic sur les caractères de l'hémiplé- gie. On sait, en effet, qu'une lésion destructive du faisceau pyramidal a pour conséq
i- cation dans les réflexes ; j'estimais donc que l'hypothèse d'une lésion occupant l'épaisseur même des circonvolutions é
ais d'ailleurs observé déjà des faits analogues et je savais qu'une lésion de ce genre peut produire des paralysies s'accomp
émis l'hypothèse que cette forme de paraplégie était causée par des lésions du système nerveux central (sclérose spinale, n
e en (') Sur une forme de paraplégie spasmodique consécutive il une lésion organique et sans dégéné- ration du système pyr
. Jarkowski : « Sur la possi- bilité de déterminer la hauteur de la lésion dans des paraplégies d'origine spinale par certai
une partie plus ou moins étendue du tronc, suivant la hauteur de la lésion . D'après les faits que j'ai observés jusqu'à prés
aient jamais présenté d'exagé- ration manifeste. Quelles sont les lésions capables de déterminer le syndrome qui fait l'o
d'une compression de la moelle ou du bulbe par un néoplasme. Des lésions bilatérales de l'encéphale semblent pouvoir donne
nte, depuis huit ans envi- ron, de troubles de la marche liés à une lésion de la moelle dorsale. En 1912, l'un de nous eut
médullaires et ganglionnaires du sympathique pouvant dépendre d'une lésion cérébrale ou médullaire, comme d'une irritation
ermie et la parésie du membre inférieur paraissaient dépendre d'une lésion encéphalique. Une explication analogue peut êtr
parésie du membre supérieur, en l'absence de tout signe objectif de lésion des cornes antérieures ou de la voie pyramidale
de 15 à 20 secondes. Un pareil syndrome traduit indubitablement une lésion sympathique gauche ; il dénote en outre une par
ticipation de la moelle. Est-il possible de situer exactement cette lésion qui intéresse à la fois le sympathique et la mo
u corps en relations avec le segment de la chaîne sous-jacente à la lésion , de l'autre l'arrêt à ce même niveau du réflexe
l'hypothèse qui nous paraît la plus vraisemblable, admettre que la lésion porte non plus sur la chaîne mais sur la colonne
ET MÉDULLAIRE 3. 1 Iules radiculaires des muscles intéressés. Cette lésion devrait être toute- fois de dimensions extrêmem
eçu cette malade. La radiographie ne nous a toutefois révélé aucune lésion osseuse. En terminant, nous ferons remarquer qu
et la dissociation spéciale des divers modes de la sensibilité, les lésions de l'articulation de l'épaule constituent un ense
mécanisme. Abstraction faite de la raideur mécanique causée par des lésions articulaires ou péri-articulaires, il y a inconte
tracture sur laquelle j'ai appelé l'attention, qui dépend aussi des lésions du système nerveux central inté- ressant la voi
approcher cette contracture des spasmes que déterminent parfois des lésions du nerf facial. 11 s'agirait de part et d'autre d
toutes les variétés de névrite, quelle qu'en soit la cause, que la lésion se trouve située à la périphérie du nerf ou à son
ma- lade, qui pourtant présente tous les caractères appartenant aux lésions articulaires de l'ataxie, soit un trouble troph
trémités osseuses ? L'arthropathie de mon malade est-elle due à des lésions nerveuses du tabes, d'ailleurs hypothétique en
qu'il est impossible, selon lui, de distinguer objectivement cette lésion de la sclérose du tabes. L'excitation lumineuse d
raît montrer que le signe de Robertson est sous la dépendance d'une lésion de la voie réflexe centrifuge. Or, c'est l'inve
Il est vraisemblable que ces troubles sont sous la dépendance d'une lésion des nerfs causée par l'inflammation vertébrale au
ce qu'ils étaient le 3o mai. A l'ophtalmoscope on ne trouve aucune lésion du nerf optique, mais des lésions de choroïdite m
'ophtalmoscope on ne trouve aucune lésion du nerf optique, mais des lésions de choroïdite myopique très prononcées. Les d
nce du traite- ment mixte, doivent être considérés comme liés à une lésion intra- crânienne de nature syphilitique. Je fer
ilitique. Voilà donc deux exemples d'une association de tabès et de lésions syphilitiques. La coïncidence, qui n'est pas tr
ues. La coïncidence, qui n'est pas très rare, de ces deux ordres de lésions est un des arguments qu'on peut faire valoir en f
quand un malade tabétique fait une amblyopie toxique, sans avoir de lésions tabétiques de ses nerfs optiques. 1.' Il y a d'
ine syphilitique. Le scotome central dans l'atrophie tabétique sans lésion surajoutée semble excessive- ment rare. Cette r
trophie tabétique. Quand il existe, il est le plus souvent dû à une lésion surajoutée. Dans la majorité des cas, il s'agit
| Publié dans la Revue Neurologique, n" r, 15 septembre r9rr. Les lésions médullaires par coup de couteau ont, comme on le
de de la sensibilité : elles se rapprochent, en effet, beaucoup des lésions expérimentales, leur netteté et leur régularité
ervation typique de syn- drome de Brown-Séquard ayant succédé à une lésion traumatique de la moelle dorsale. L'intérêt tou
Stu diert (Aclt. f. Psrclt. Band., 47, IL 2). Cet auteur classe les lésions médullaires par coup de couteau en trois groupe
la sensibilité profonde du côté opposé, c'est-à- dire du côté de la lésion ; dans les cas du troisième groupe la sensibilité
défense et nous avons pu consta- ter que c'est du côté opposé à la lésion qu'ils se produisaient le plus faci- lement ; l
que l'excitabilité réflexe cutanée prédominait du côté opposé à la lésion , contrairement à l'excitabilité réflexe tendineus
ibilité des mouve- ments réflexes nous avons essayé de localiser la lésion médullaire. La limite supérieure des mouvements
itoire de IXe segment dorsal, ce qui nous permet de conclure que la lésion siège au-dessus de ce segment. La limite des tr
it au territoire de la VIIe racine. Nous pouvons donc penser que la lésion n'est pas très limitée, mais s'étend un peu en
conservation complète de la capacité de localisation du côté de la lésion , malgré l'atteinte très nette de la sensibilité p
tre, à l'heure actuelle, expliquée de deux façons : ou bien par une lésion d'un grand nombre de racines postérieures ou des
rieures ou des segments médullaires correspondants, ou bien par une lésion des voies longues du système sensitif intra-méd
Extension de l'orteil faible. Il existe donc très probablement une lésion de la moelle dorsale à sa partie supérieure, et
e en selle. » On pourrait penser qu'il existe chez cette malade une lésion portant sur quelques racines dorsales et lombai
s signes d'affection médullaire, nous pensons que l'hypothèse d'une lésion incomplète d'un seul segment de la moelle expliqu
S DE LA MOELLE encore un signe important qui infirme l'hypothèse de lésions radiculaires et confirme celle de lésion médull
ui infirme l'hypothèse de lésions radiculaires et confirme celle de lésion médullaire. De l'ensemble des faits dont l'expo
- vant des zones radiculaires existent chez des malades atteints de lésion médullaire et semblent devoir être rapportés à
ints de lésion médullaire et semblent devoir être rapportés à cette lésion ; nous appor- tons donc ainsi un nouvel argumen
n faveur de cette idée que les troubles de la sensibilité dus à des lésions médullaires se présentent sous la forme radicul
l'existence de cette zone sacrée sensible permet d'affirmer que la lésion médullaire n'intéresse pas la moelle dans toute s
'étendue de cette zone sacrée intacte, le degré de profondeur de la lésion . (DEUXIÈME NOTE.) Nous avons montré récemment
ré Thomas a publié depuis(=) l'observation de 3 malades atteints de lésion transverse de la moelle, chez lesquels il a obser
Troubles de la sensibilité thermique. XI SUR LA LOCALISATION DES LÉSIONS COMPRIMANT LA MOELLE DE LA POSSIBILITÉ D'EN P
rite par l'un de nous('). Mais dans les cas les plus communs, où la lésion siège à la région dorsale, les réflexes tendine
janvier 191 1). ? ) Sur la possibilité de déterminer la hauteur de la lésion dans les paraplégies d'origine spinale par cert
n. Il est évident que la connaissance de la limite inférieure de la lésion peut constituer pour lui un guide précieux. L
tituer pour lui un guide précieux. La notion de la longueur de la lésion qui se dégage des faits que nous avons relatés
lieu d'ad- mettre qu'il s'agit d'une tumeur intra-rachidienne si la lésion est courte. Dans cinq cas de ce genre que nous
diagnostic a été pleinement confirmé. Par contre, la longueur de la lésion , quand elle est grande, sans per- mettre d'excl
tent le plus souvent en s'associant de déterminer la longueur de la lésion qui comprime la moelle, elles constituent l'une
t du liquide céphalo-rachidien a été peu abondant ; pour éviter les lésions qui peuvent résulter de l'exposition à l'air de
la Société de neurologie de Paris, séance du 25 janvier igi2. Les lésions hypertrophiques des méninges de la région cervica
te malade nous avait per- mis de préciser la nature et le siège des lésions qui les avait déterminés. Le rapprochement des
flexes de défense nous conduisirent à reconnaître l'existence d'une lésion spinale. Enfin la lenteur de l'évolution, l'int
de troubles objectifs de la sensibilité permettant de localiser la lésion , l'examen comparatif des divers réflexes tendin
terne (C', C8, D'). De plus, certains signes nous montraient que la lésion devait s'étendre en haut ; l'atrophie des deltoïd
ive, la constatation du signe d'Argyll Robertson et l'étendue de la lésion nous conduisaient au diagnostic de méningite sy
ans la gaîne méningée, ayant l'aspect d'une gomme (fig. 44, G). Les lésions des méninges molles se poursuivent sur le bulbe,
que en coupes sériées qui nous a permis d'étudier non seulement les lésions méningées et vasculaires, mais encore les lésio
non seulement les lésions méningées et vasculaires, mais encore les lésions médullaires et radiculaires résultant de la com
res résultant de la compression produite par l'anneau fibreux. 1° Lésions méningées. L'anneau fibreux est constitué par la
de la dure-mère est absolument libre, ne présentant aucune trace de lésions et qu'il y a là par conséquent quelque chose de t
de vaisseaux aux parois altérées forte- ment épaisses : toutes ces lésions ont le caractère des lésions syphilitiques. C'est
rées forte- ment épaisses : toutes ces lésions ont le caractère des lésions syphilitiques. C'est du reste à l'intérieur de
hyméningite, dénomination par laquelle on a coutume de désigner ces lésions , puisque les altérations de la dure- mère ne so
isolées, qu'elles ne prédominent même pas, il existe en réalité des lésions irritatives des trois méninges : pachyméningite,
trois méninges : pachyméningite, arachnitis, et leptoméningite, les lésions de l'arachnoïde étant les plus accentuées. Il nou
iquer à ces altérations l'étiquette de méningite hypertrophique. 2° Lésions radiculaires. Les racines qui traversent cette ga
te gaine fibreuse pour gagner la moelle ou en sortir présentent des lésions , surtout prononcées à la partie posté- rieure c
un infiltration conjonctive interstitielle des racines malades. Les lésions radiculaires n'existent du reste qu'au niveau o
reste qu'au niveau où la fusion des trois méninges est complète. 3° Lésions médullaires. L'examen des coupes sériées de la mo
malgré une compression aussi étendue la moelle présente très peu de lésions . Il n'existe d'abord aucune lésion infectieuse en
la moelle présente très peu de lésions. Il n'existe d'abord aucune lésion infectieuse en foyer coïncidant avec cette méni
davantage de cavité médullaire comme dans certaines observations. Les lésions médullaires semblent dues beaucoup plus à l'irr
essants et sur lesquels nous tenons à insister en terminant. i° Les lésions méningées observées rentrent dans ce que l'on a d
is nous ferons remarquer que dans ce cas ce terme est impropre, les lésions de la pachy- méninge passent en effet au second
lait très grande (défor- mation de C3C4) n'a cependant pas amené de lésions profondes de la moelle. Il n'existe pas en effe
es supérieurs que nous avons pu utiliser pour la localisation de la lésion . Fig. 50. 40 segment cervical : anneau méningé
ie qui dépend d'une compression spinale et celle qui est liée à une lésion destructive de la moelle. Nous nous proposons d
de comparaison, voyons com- ment se présente l'anesthésie dans les lésions transversales destructives de la moelle. ' Vo
esthésie complète dans une grande partie du tronc sous-jacente à la lésion ) permettent de supposer l'existence d'une lésion
sous-jacente à la lésion) permettent de supposer l'existence d'une lésion transversale destructive très profonde de la mo
rai, la zone d'hypoesthésie légère à peu près semblable à celle des lésions destructives ; mais dans le reste du territoire a
rement sur la motilité volitionnelle, dans les paraplégies dues aux lésions non destruc- tives (') ; nous avons aussi insis
e marquée) est parfois très étendue en com- paraison avec celle des lésions transversales destructives ; elle peut occu- ('
ésie croisée s'arrête souvent bien loin au- dessous du siège de la. lésion . , .- Par contre, cette particularité contraste
e, cette particularité contraste. avec ce qu'on voit dans le cas de lésion intra-spinale, telles que la syringomyélie où les
ringomyélie où les troubles sensi- tifs prédominent au niveau de la lésion . N'y a-t-il pas là une donnée pou- vant être ut
e pou- vant être utilisée pour un diagnostic différentiel entre une lésion intra- médullaire et une compression extra-médu
intes en donnent la preuve. Parfois identique (fig. 54) à celle des lésions destructives et les rappelant dans une certaine
, telles que l'oedème dans la portion de la moelle sus-jacente à la lésion . D'ailleurs la limite de l'anesthésie maxima ne
la moelle. Nous avons été aussi à même de déterminer le siège de la lésion en nous fondant sur le niveau de l'anesthésie e
té et l'intérêt de ce cas, c'était le diagnostic de la nature de la lésion déterminant la compression spinale. La première
x hypothèses devaient se présenter à l'esprit : tumeur en bissac ou lésion pottique avec abcès par congestion. C'est cette d
peut-être, plus que toutes autres, risquent d'être prises pour des lésions pottiques. Or, c'est une erreur qu'il est essenti
i4, n° 3. ('-) J. Babinski et J..larkowski. Sur la localisation des lésions comprimant la moelle, etc. Comm. à l'Académie d
esthésie du côté gauche), ne sont pas liés au moins en partie à une lésion occasionnée par ces tiraillements exercés sur u
mais aussi par l'arachnoïdite. Il y a tout lieu de penser que cette lésion consiste en une hématomyétie à laquelle a été p
e de médecine (J. Babinski et J. Jarkowski. Sur la localisation des lésions comprimant la moelle, etc... Bulletin médical,
ki et J. Jarkowski. Sur la possibilité de déterminer la hauteur de la lésion dans les paraplégies d'origine spinale, etc. So
rs fois. Il nous a permis, dans le cas particulier, de localiser la lésion en dehors de la dure-mère et c'est la première
r contre courir le risque de méconnaître l'existence d'une pareille lésion et, pour le moins, de retarder une intervention
isés en deux groupes : d'une part ceux qui sont en rapport avec les lésions néoplasiques occu- pant le renflement lombaire
des cavités qui occupent la moelle dorsale. C'est à ces dernières lésions que paraissent liés les troubles sensitifs au n
pourrait résulter aussi de ce que l'anesthésie serait due ici à une lésion de la corne postérieure, constatée anatomiquement
ringomyélie cervicale, l'anesthésie doit siéger du même côté que la lésion . Autre singularité : à droite, contracture qui
ltérations dont les effets, en l'espèce, l'emportent sur ceux de la lésion pyramidale. D'autre part, lorsque l'on se rappe
s le premier et deuxième segment sacrés, on conçoit aisément qu'une lésion prédominant à la région lombaire ait pour consé
ce qui résulte incontestablement de cette observation, c'est qu'une lésion spinale lombo-sacrée peut, au cours de son évol
Il est très vraisemblable que ce syndrome appartient uniquement aux lésions intramédullaires. , (1) Voir J. Babinski. Con
pressions spinales ; elles peuvent être réalisées également par des lésions scléreuses (sclérose multiloculaire). Ce qui per-
liée à une compression, parfois semblable à celle qui dépend d'une lésion destructive, s'en distingue généralement, ainsi
c'est que le maximum de ce trouble ne se trouve pas au niveau de la lésion , mais en est d'habitude assez éloigné. En se
lésionnels dont le maximum est généralement éloigné du siège de la lésion et dont l'intensité est sujette à des variations.
d'habitude fixe et qui correspond assez exactement au niveau de la lésion . Nous ferons remarquer à cette occasion que cer
e cutané correspondant aux segments de la moelle sous- jacents à la lésion , éprouvent là une sensation différente de la norm
ki et J. Jarkowski. Sur la possibilité do déterminer la hauteur de la lésion dans les paraplégies, etc. Société de Neurologi
tumeurs en question, il nous est arrivé de constater au niveau de la lésion une bande d'anesthésie ou d'hypoesthésie nette,
ilité cantonnés dans cette zone semblent bien sous la dépendance de lésions radiculaires (Obs. I) ou médullaires (Obs. II)
ale ou la région dorso-lombaire. Mais quelle est la nature de cette lésion ? Il est permis de faire à ce sujet deux hypoth
ffaire à une méningo-myélite. Quel était le degré d'intensité des lésions spinales ? L'évolution de la maladie, la guéris
ses dénégations, la syphilis est en cause et qu'elle a provoqué des lésions méningées chroniques qui existent maintenant en
inées (') Sur une forme de paraplégie spasmodique consécutive à une lésion organique et sans dégéné- ration du système pyr
âge de vingt-deux mois. Il est de plus permis de se demander si les lésions méningées aiguës, si la méningite hémor- ragiqu
ons de nature diffé- rente, l'une syphilitique, ayant déterminé des lésions chroniques qui per- sistent encore, l'autre de
rites d'origine interne ». Il contient, sur les relations entre les lésions de la périphérie et des centres, des idées qui
e terme, névrite périphérique, ne doit pas impliquer l'idée que les lésions des nerfs sont primitives, qu'elles sont l'origin
fonctionnels qu'ils occasionnent sont causés non seulement par des lésions histologi- quement perceptibles mais aussi par
r des modifications de nature dyna- mique : et qu'en définitive les lésions des nerfs ne peuvent être considé- rées comme c
pas, du reste, l'idée que, dans les cas de ce genre, il n'y ait pas lésion du nerf. « Ce signe, comme en général tous les
n se contente du diagnostic vague de rhumatisme. Cette variété de lésion du nerf radial peut être mise en opposition avec
ensemble de signes qui condui- sent inévitablement au diagnostic de lésion bulbaire, probablement bila- térale, mais prédo
en même temps que sur le trijumeau, de même que chez mon malade la lésion a porté à la fois sur le facial et l'hypoglosse,
sme consécutif à une névralgie faciale reconnaissant pour cause une lésion siégeant dans la partie intra-bulbaire du triju
du trijumeau et limitée à ce nerf. Je ne crois pas non plus qu'une lésion du système nerveux siégeant au- (') Brissaud, L
00. 442 AFFECTIONS DES NERFS dessus du noyau facial, telle qu'une lésion corticale, puisse produire un hémispasme facial
sert pour désigner la variété d'hémiparalysie de la face liée à une lésion de ces mêmes organes. D'ailleurs je suis porté à
e, dans JL laquelle l'atrophie musculaire est indépendante de toute lésion des centres nerveux ou des nerfs périphériques,
l n'existe aucun signe pouvant faire supposer la concomitance d'une lésion nerveuse. 4° Enfin, il est à remarquer que l'ab
miner des troubles circulatoires graves chez les sujets atteints de lésions vasculaires ; c'est ainsi que l'hémorragie céré-
ue la monoplégie est hystérique ; en effet, si elle dépendait d'une lésion cérébrale, le membre devrait être contracturé e
même des troubles circulatoires graves chez les sujets atteints de lésions vasculaires : ce caractère n'est donc pas distinc
,tTISME Je soutiens depuis longtemps que l'hémiplégie organique par lésion cérébrale et la paraplégie par lésion spinale s
ue l'hémiplégie organique par lésion cérébrale et la paraplégie par lésion spinale se manifestent par certains signes qui
e de reproduire un des traits essentiels des paralysies liées à une lésion du système pyramidal. Pour les mêmes raisons, j
extraordinaires que l'on obtient chez certains malades porteurs de lésions incontestables, par les divers modes de la psyc
nt et chez qui on ne consta- tait aucun signe stéthoscopique net de lésion pulmonaire, ce qu'on observe parfois au début d
ultent principalement d'une perturbation physique, voire même d'une lésion du système nerveux, ce qui, par parenthèse, aurai
ons vaso-motrices anormales et dans quelques cas même de véritables lésions organiques. » MM, Tinel, Baruk et Lamache ne so
hémianesthésie à celle qui se produit quelquefois en conséquence de lésions occupant certaines parties des hémisphères céré-
ourd'hui les crises hystériques de celles que réalisent parfois des lésions cérébrales authentiques. Ces troubles sensitifs
e paralysie de la main, sans aucun signe dénotant l'existence d'une lésion des centres nerveux ou des nerfs périphériques,
t guère plus les influences psy- chiques que ceux qui sont liés aux lésions des centres ou des troncs nerveux. Aucun des ca
t communes à la suite de traumatismes de ce genre. La réalité d'une lésion organi- que est parfois indiscutable, même dans
physique produite par éclatement d'obus ait déter- miné ou non des lésions du système nerveux, il y a tout lieu d'admettre
us les troubles consécutifs au traumatisme et indépendants de toute lésion des centres ou des troncs nerveux. Si exacte que
ste que d'une manière approximative celle des anesthésies liées aux lésions des troncs nerveux. , ". , ' .. 1 ? ? L'HYSTÉ
ésente se brûler comme le fait un blessé atteint d'anes- thésie par lésion du cubital ou du médian. Ils varient souvent d'
sortes de griffés, aussi bien celles qui rappellent une griffe par lésion périphérique nerveuse que d'autres tout à fait il
riode de leur évolution, aussi fixes que les contractures liées aux lésions des 'centres nervenx. Or, le diagnostic de contra
ujours d'une simple supercherie des malades ou, au contraire, d'une lésion organique de nature vasculaire ou nerveuse. Le
bras, juste au niveau du paquet vasculo-nerveux, l'existence d'une lésion organique sans doute vasculaire semble tout au
sté, jadis, à considérer comme hystériques des accidents liés à des lésions du système nerveux central, lorsque les signes
qui appartiennent en propre aux affections organiques classées, aux lésions du système nerveux central ou périphérique et aux
sées, aux lésions du système nerveux central ou périphérique et aux lésions des gros troncs vasculaires. Ils se rapprochent
pprochent par certains traits des mani- festations hystériques : la lésion qui les a causés paraît parfois minime, hors de
térielle du système nerveux, ils ne semblent pas correspondre à une lésion nerveuse susceptible d'être décelée par les moy
issement et l'atrophie des muscles qui se produisent à la suite des lésions des arti- culations. « Il est digne de remarque
s des arti- culations. « Il est digne de remarquer, dit-il, que les lésions des tendons, des ligaments, des aponévroses, su
tte espèce. ' Charcot('), étudiant les atrophies consécutives aux lésions articulaires, montre que les muscles atrophiés
t offrir même le caractère ulcéreux. Il ajoute enfin que toutes les lésions périphériques, gelures, brûlures, plaies plus ou
sion de Dutil, qu'ils paraissent souvent hors de proportion avec la lésion qui les a provoqués, qu'ils se développent parf
ions inflammatoires du rein (Rayer, Stokes, Leudet), à la suite des lésions de l'utérus ou de l'intestin (Brown-Séquard); l'h
ubles nerveux consécutifs aux traumatismes et ne relevant pas d'une lésion avérée du système nerveux. Voici ce que A. Pitr
teurs, de l'hy- pothermie qui se développent souvent à la suite des lésions traumatiques et qui font partie du groupe des p
phénomènes dits réflexes. Ces troubles sont communs dans les cas de lésions dues à des blessures par projectiles, alors mêm
de lésions dues à des blessures par projectiles, alors même que ces lésions ne semblent pas avoir causé de dégâts notables,
ion avec les troubles de motilité. La radiographie ne décèle aucune lésion arti- culaire. Le réflexe rotulien droit paraît
it-il, qu'à l'origine la contracture est réflexe, provoquée par une lésion nerveuse ou par une sorte d'attitude de défense e
de Léri et Roger ; de Ducosté sur les contractures consécutives aux lésions des nerfs périphériques. Il se dégage de tous
ait être écartée en l'absence de tout signe caractérisant de telles lésions . S'agissait-il donc de phénomènes hystériques ou
épassait, l'hypotonie observée dans les paralysies consécutives aux lésions des nerfs les plus profondes ; de la sur excitabi
ns organiques du cerveau, de la moelle et des nerfs, ainsi rice les lésions des vaisseaux) : i° Les accidents hystériques,
eut rapprocher des troubles d'ordre réflexe observés à la suite des lésions articulaires. SYMPTOMATOLOGIE Les troubles ne
re, à la suite de gelures. Dans les cas de plaie par projectile, la lésion peut n'intéresser que les parties molles, en la
e pas être en raison de la durée de l'infection, de l'étendue de la lésion et des cicatrices, ni de l'acuité des douleurs
llometriques concernant des troubles nerveux purs ou associés à des lésions des troncs nerveux ou à des lésions artérielles
es nerveux purs ou associés à des lésions des troncs nerveux ou à des lésions artérielles ainsi que la notation des modificat
la secousse provoquée par la percussion révélait l'existence d'une lésion nerveuse et qu'elle équivalait à la réaction de d
16, p. r5o. ('') J. Tinel, Les blessures des nerfs. Sémiologie îles lésions nerveuses périphériques par blessures de guerre
cas où des troubles physiopathiques se trou- vaient associés à une lésion d'un tronc nerveux et ceux où pouvait être soupço
des deux mains ('). On observe, tout particulièrement lorsque la lésion siège à la main, une atrophie globale nettement
ténacité des amyotrophies réflexes, eussent-elles pour origine des lésions légères paraissant avoir rétrocédé depuis longt
G : 1 ? '0-ILI'LEXES Les paralysies et les contractures liées à des lésions du système ner- veux se distinguent par des car
é flexe. Ce mode d'association n'est pas rare. Dans bien des cas de lésion limi- tée au nerf radial, ayant déterminé une p
. P. Marie et I"'e Ath. Benisty, décrivant la forme douloureuse des lésions du nerf médian, font remar- quer que la main es
l'amyotrophie atteint des muscles situés au-dessus du niveau de la lésion et n'apparte- nant pas au territoire du médian,
e l'avant-bras par projectile qui n'a, d'ailleurs, déterminé aucune lésion des troncs nerveux et vasculaires, est atteint
mpagnant du reste d'aucun des signes objectifs pathognomoniques des lésions du système nerveux, doivent être mis, pour la p
constatés chez un malade peuvent dériver de ces trois sources : la lésion des nerfs, l'action réflexe et l'hystérie (cssoci
'altérations musculaires, tendineuses, osseuses, vas- culaires, des lésions inflammatoires ainsi que des adhérences cicatri-
ttent de les rat- tacher directement, en totalité ou en partie, aux lésions constatées. Lors- que celles-ci ne donnent pas
d'atrophie musculaire, dite réflexe ? L'excitation produite par la lésion périphérique est bien transmise à la substance
de la pression intra-artérielle. Il y a tout lieu d'admettre qu'une lésion destructive portant sur les voies sympathiques de
as d'association réllexo- organique, rien n'autorise à admettre une lésion des troncs nerveux. Quant aux artères, les exam
hygmométriques témoignent de leur intégrité et l'on conçoit mal une lésion périartérielle dans de pareilles conditions. En
mple, le bras au-dessus du coude et jusqu'à l'épaule dans un cas de lésion de la main. Quelquefois même l'autre bras prése
montrer que ces contractures ne sont pas la conséquence directe de lésions périphéri- ques produites par le traumatisme, m
ue des accidents d'ordre réflexe puissent être la conséquence d'une lésion périphérique déterminant une pertur- bation à l
ons organiques du cerveau, de la moelle et des nerfs, ainsi que les lésions des vaisseaux) : « 1" Les accidents hystériques
eut rapprocher des troubles d'ordre réflexe observés à la suite des lésions ostéo-articulaires. . (') Clovis Vincent, La
er que l'on a modifié les troubles qui relèvent direc- tement de la lésion radiculaire. ' De toutes les modifications du t
ophtalmoscopique etparla mesure de l'acuité visuelle le degré de la lésion ; -, on sait, d'autre part, que cette sclérose
mois de mai au mois de décembre, 22 injections furent faites et la lésion oculaire ne fit plus aucun progrès. Les troubles
nomène des orteils que j'ai constaté chez lui paraît montrer qu'aux lésions radiculaires était adjointe une altération du s
erait pas capable d'agir favorable- ment sur des troubles ayant des lésions labyrinthiques pour cause. J'es- timai qu'ily a
chicentèse a une action bien moindre sur les troubles dépendant des lésions du labyrinthe antérieur : bourdon- nements, dim
été diagnostiquée une altération labyrinthique pure ou associée àdes lésions cicatricielles de l'oreille moyenne ('). ' (1
derniers clichés radiographiques, bien réussis, n'ont décelé aucune lésion appréciable des vertèbres. Depuis le jour où l'
localisés pendant les deux premiers mois de la maladie, il y a une lésion destructive et que le faisceau pyramidal a subi u
sibilité à gauche (syndrome de Brown-Séquard) semble montrer que la lésion spinale est plus marquée du côté droit. 616 THÉ
'évolution, n'était dans ce cas que légère. Il est probable que les lésions ne sont ici que peu destructives ou qu'elles ne
). g. Sur un cas de myélite chronique diffuse avec prédominance des lésions dans les cornes antérieures de la moelle (Revue
ollaboration avec Dejerine. Revue de Médecine, r 8S4). I I. Sur les lésions des tubes nerveux de la moelle épinière dans la s
898). 51. Sur une forme de paraplégie spasmodique consécutive à une lésion organique et sans dégénération du système pyram
xes tendineux (Id., 5 juillet 1900). 63. Association de tabes et de lésions syphilitiques (Id.). 64. Du traitement mercurie
eurologie). 66. Scléroses combinées (Id.). 67. De l'influence des lésions de l'appareil auditif sur le vertige voltaïque (S
auriculaires (Société médicale des Hôpitaux, 7 novembre 1902). 87. Lésions syphilitiques des centres nerveux. Foyers de ramo
r 2g. Sur les injections de sels mercuriels insolubles (Id.). 13o. Lésion bulbaire unilatérale : thermo-asymétrie et vaso-a
iété de Neurologie, 2 décembre 1 g09). 165. Sur la localisation des lésions comprimant la moelle. De la possibilité d'en dé
ciété de Neurologie, 10 février 19 10). 167. Vertige voltaïque et lésions auriculaires (Bulletins et Mémoires de la Société
ril 1910). 171. Sur la possibilité de déterminer la hauteur de la lésion dans les paraplégies d'origine spinale par cert
Perturbation dans les mouvements des globes oculaires à la suite de lésions labyrinthiques expérimentales (en collaboration a
le (anosognosie) (Société de Neurologie, 1 juin 1(14). zr4. Sur les lésions des nerfs par blessures de guerre (Société de Neu
de Neurologie, 18 mars i g r 5). 219. Quelques observations sur les lésions des nerfs (Société de Neurologie, 18 mars I g I
lésions des nerfs (Société de Neurologie, 18 mars I g I 5). 220. Lésions du nerf crural. Abolition de l'excitabilité farad
de la plante du pied (Société de Neurologie, 6 mai r g r 5). 222. Lésion spinale par éclatement d'obus à proximité sans bl
se médicale, 9 juillet igi5). 225. Troubles nerveux consécutifs aux lésions des nerfs. Troubles nerveux consé- cutifs aux l
nsécutifs aux lésions des nerfs. Troubles nerveux consé- cutifs aux lésions des centres nerveux. Accidents hystériques. Troub
s altérations artérielles traumatiques. Des troubles que détermine la lésion de l'artère dans les fonctions du membre blessé
5 II. - Sur le spasme du cor 258 III. Torticolis spasmodique avec lésions du système nerveux central 262 IV. De la dégéné
.. 313 IL Sur une forme de paraplégie spasmodique consécutive à une lésion organique et sans dégénération du système pyram
égies médullaires avec anesthésie 3G1 1 XI. Sur la localisation des lésions comprimant la moelle. De la possibilité d'en pré-
11 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s sèment à partir de trois ans. Etat du malade au 1er février 1890. Lésions scrofuleuses et rachitiques, Absence de la glan
ertes. Les yeux sont mobiles dans toutes les directions sans aucune lésion . Les iris ont une couleur d'un gris bleuté, les p
OGIQUE. · graphie. Il aurait pour conclusion la systématisation des lésions , z leur évolution dans une région définie, leur
bryologique. Le second est relatif à l'évolution histologique de Ja lésion dont l'élément nerveux est le siège, prise dans
l est assez rare qu'on ait l'occasion d'observer dès leur début des lésions spinales qui évoluent sur le mode chronique. Et
n intercurrente aiguë, est-on en droit d'affirmer absolument que la lésion actuelle est tout à fait récente ? Non, car il
aucun signe clinique. Nous avons déjà eu l'occasion d'étudier cette lésion qui marque le début des dégénérescences les plu
étude des documents nouveaux après de nouvelles recherches. Cette lésion initiale, observée sur les tubes nerveux, peut se
des caractères généraux. Mais suivant le degré d'évolution de cette lésion ou l'aspect du cylindre d'axe on a des types un
x comprend une gaine de myéline et un cylindraxe. Invariablement la lésion débute par le centre du tube nerveux où la myél
une hypertrophie vraie, mais d'une tuméfaction, premier stade d'une lésion essentiel- lement destructive. Avec de forts
myéline n'est pas seule atteinte, et sitôt qu'on peut constater les lésions précédentes, on observe déjà celle du cylindrax
e à son tour, et réciproquement. Ce qui pourrait faire admettre une lésion primitive du cylindraxe, c'est ce fait signalé
voir que c'est précisément au voisinage de cet organe que débute la lésion dégénérative de la myéline, sa partie centrale
aux (cercles concentriques). Mais quoi qu'il en soit du début de la lésion , soit par la por- tion de myéline qui. confine
t il est l'axe rectiligne. Or, ce qu'on peut voir dans le début des lésions qui nous occupent, c'est une forme tout à fait
ne intensité normale, ce qui permet de distinguer parfaitement la lésion . Cependant il arrive assez souvent que la myéline
et de petits renflements et des portions rétrécies et effilées. Ces lésions indiquent déjà que non seule- ment le cylindrax
effet, une fragmentation granuleuse, qui est le dernier terme de la lésion avant la résorption complète. Le centre du tube
line. En cherchant à résumer les caractères de l'ensemble de la lésion on voit qu'elle est constituée par un gonflement
vroglique et à un moment où la sclérose fait défaut, le début de la lésion se faisant là par le fait dans l'élé- ment nerv
euse s'altère, on trouve dans les cornes de la moelle épinière, des lésions de ces cellules qui peuvent être considérées co
e celles des tubes nerveux et qui sont les premières périodes d'une lésion dont le dernier terme est tout semblablement la
pect connu qu'on rencontre dans les atrophies de longue date. Ces lésions nous les avons rencontrées sur les tubes nerveux
es dégénérescences spinales, souvent elles ne débutent qu'après les lésions cérébrales, de sorte qu'au jour de l'autopsie,
elles sont encore récentes. Il n'est donc pas rare d'y observer la lésion dont la sclérose spinale n'est que la suite et
e. C'est en étudiant des moelles qui semblent d'abord indemnes de lésions , qu'on rencontre çà et là cette altération naissa
avons insisté. Mais outre les cas où nous avons vu nous-même cette lésion , on la rencontre décrite par d'autres auteurs,
processus particulier. Un peu plus loin nous verrons encore que ces lésions ne sont pas sans analogie avec ce qui a été déc
h a observé sur les tubes nerveux de la moelle dont il a établi les lésions dans cette maladie, des figures semblables à ce
communes. Dans un remarquable mémoire 2 cet auteur a donné de ces lésions des figures très nettes, observées sur des coupes
observées sur des coupes transversales et longitudinales. La même lésion pourrait, d'après Minnich, se rencontrer dans l
dans une série d'autres maladies de la moelle où elle semble une lésion surajoutée probablement dominée par un processus
dès à présent, en considérant l'ensemble des maladies où cette même lésion , avec ses caractères si nets et si tranchés, a
UTENT LES DÉGÉNÉRESCENCES SPINALES. 41 nerveuse qui est commune aux lésions finalement destructives de l'élément noble. Ell
Michaël Lapinshi' et ici elle apparais- sait comme caractérisant la lésion récente dans une sclérose en foyers disséminés.
des recherches sur l'oedème des centres nerveux Rumpf a observé une lésion analogue. Enfin pour terminer cette énumération
e. Du côté des éléments nerveux on y peut observer deux ordres de lésions : d'abord ce sont des nécroses massives des tub
s colore et les fait apparaître à l'état normal. Tout récemment des lésions de ce genre ont été constatées par Ballet et II
e forme plus autour de lui qu'une mince enveloppe. C'est cette même lésion que .\f. Joffroy a encore constatée au voisinag
ubes sains. Et de plus le même auteur, poursuivant l'étude de cette lésion , dans les myélites expérimentales, y a rencontré
a été rencontrée au cours de processus aigus, en dehors de toute lésion de névroglie; les éléments nerveux apparaissaient
nts nerveux apparaissaient les- premiers frappés. Telles sont les lésions du début des processus aigus. Ce qui nous intér
s caractères analogues sinon iden- tiques dans le premier stade des lésions chroniques et irrépa- rablement destructives.
qui séparent ce mode de destruction aiguë de la première phase des lésions chroniques consistent surtout en ce que, dans l
phase des lésions chroniques consistent surtout en ce que, dans les lésions aiguës, le cylindraxe apparaît comme tuméfié à
line au voisinage du cylindraxe. Mais à part ces particularités, la lésion prise dans son début offre de frappantes analog
ire des élé- ments anatomiques sont infiniment plus restreintes. La lésion qui nous occupe est donc la façon la plus commu
tion oedémateuse qui va de plus en plus s'étendre, mais sans que la lésion primitive de l'élément nerveux lui-même soit co
use ayant disparu complètement. Notre conclusion sera qu'une même lésion dont nous avons- tenté d'indiquer les caractère
es cellules nerveuses puisqu'il nous est permis de rappro- cher les lésions que nous avons rencontrées au début des process
me de la moelle malgré une prolifération névrologique exagérée. Ces lésions étaient diffuses ce qui explique que, malgré le
ouvements choréiques. Emotivité spéciale persistante comme dans les lésions circonscrites. A. M. XVI. Trois cas d'abcès INT
,lombaires et sacrés, unilatérale ou symétrique. Il rapproche ces lésions , au point de vue anatomo-patholoâique, des lési
Il rapproche ces lésions, au point de vue anatomo-patholoâique, des lésions de la maladie de Raynaud. A. M. XXI. Diathèse u
gauche présente des signes de dégénérescence. Interprétation des lésions . Par suite du ramollissement de la scissure cal
cation du centre optique droit avec le lobe temporal gauche. Ces lésions expliquent, d'après Redlich, l'alexie,mais il pen
peuvent conduire des excitations au centre auditif de la parole. La lésion du tapetum qui établit l'association entre le c
centre étant lésé, il y a impossibilité de lire et d'écrire; si la lésion , au lieu de porter sur le centre, porle sur les
chiv f. Psychiat., XXVI, 3.) Toutes ces observations concernent des lésions corticales et des lésions de la substance blanc
Toutes ces observations concernent des lésions corticales et des lésions de la substance blanche sous-corticale, avec cons
asies); on y constate invariablement de la paralysie faciale seule ( lésion du segment inférieur des ascendantes) ou accomp
cerveau, affections de la région cortico-motrice, il appert que la lésion 58 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. locale a été
ate des stimulus involontaires qui pro- voquent Je rire; ou bien la lésion locale du cerveau, en interrom- pant les voies
ipal de la maladie, montrant diverses phases de l'évo- lution de la lésion cutanée, et rendant le diagnostic absolument ce
chirurgicale proposées pour la folie chronique proprement dite sans lésions ni localisation établie. Quatre observations de
re. - R. M. C. XVI. KYSTE traumatique DU cerveau consécutif A une lésion datant DE VINGT-CINQ ANS : ÉPILEPSIE; opération
il a été dit plus haut. Ces symptômes ayant paru se rattacher à une lésion des méninges earacténsée par un épaississement,
important dans la production de la folie trau- matique, et les deux lésions accompagnent assez souventlesinflam- mations de
r la tardive apparition des troubles mentaux, et l'absence de toute lésion pathologique, au moins d'ordre macroscopique. O
it indiquée ; mais avant d'y avoir recours, et en tenant compte des lésions histologiques de la dure- mère et particulièrem
pécifique latent, si bien que les conséquences intlammatoires de la lésion , survenant chez un sujet syphilitique, ont pu êtr
ue très légèrement t affectés, rendaient facile à diagnostiquer une lésion du centre brachial de l'hémisphère cérébral dro
éries, ou lotit au moins amendées par un trai- tement approprié des lésions nasales qui les provoquent : il rap- porte à l'
r l'examen des cavités nasales, et à engager les malades, en cas de lésion reconnue, d'avoir recours à une intervention ch
allucination. III. Deux classes d'hallucinations unilatérales : par lésion sensorielle et par lésion cérébrale. IV. Nécess
asses d'hallucinations unilatérales : par lésion sensorielle et par lésion cérébrale. IV. Nécessité de la prédisposition p
a pauvre tête ». Il était intéressant de savoir quelles étaient les lésions des oreilles chez notre malade. Nous avons eu r
notre collègue le docteur Lermoyez. Voici le résumé de son examen : lésions bilatérales, mais beaucoup plus prononcées à ga
ent caractéristique, sténoses tubaires) et aussi l'oreille interne ( lésions des terminaisons labyrinthiques des nerfs audit
uble vaso-moteur, soit par l'irrigation de sang vicié, soit par une lésion , une modification légère, le plus souvent insai
éliminées du nombre des causes productrices des hallucinations les lésions destructives des centres psycho- sensitifs. Tou
s lésions destructives des centres psycho- sensitifs. Toutefois des lésions de ce genre, siégeant au voisi- nage du centre
nelle des centres cérébraux. Sans cela tous les malades qui ont des lésions irritatives du cerveau (tumeurs, foyers cicatri
t des lésions irritatives du cerveau (tumeurs, foyers cicatriciels, lésions des vaisseaux, des méninges) seraient en proie
ette affirmation que l'hallucination unilatérale est causée par une lésion de l'organe sensoriel périphérique ; M. Toulous
qu'il en est d'autres qui peuvent être légitimement rattachés à des lésions centrales de l'encéphale. Vous savez que dans l
x où l'hallucination est sans contestation sous la dépendance d'une lésion de l'organe sensoriel, et ceux où elle semble ê
s que ces quelques exemples suffiront pour vous con- vaincre que la lésion d'une oreille, donnant lieu à des bour- donneme
de la production de ce phénomène, que la maladie de l'oreille, la lésion sensorielle périphérique ne fait que déterminer e
rend le problème encore plus ardu. D'autres fois encore il y a des lésions cérébrales telle- ment diffuses ou tellement pr
tions présentées comme exemples d'hallucinations uni- latérales par lésion cérébrale, dont plusieurs doivent être reje- té
us précise et paraissant prouver l'existence des hallucinations par lésion des centres cérébraux. Une malade, dont l'histo
s de l'ouïe il,y a lieu de remarquer que si l'autopsie révéla des lésions de la première temporale, siège du centre auditif
ie ; et elles paraissent bien devoir être mises sur le compte d'une lésion sensorielle cen- trale, puisque l'oeil était in
lettes optiques ne révéla aucune altération. On trouva du reste des lésions des lobes temporo-pariétaux, et en parti- culie
remplacée par du tissu sclérosé. Les auteurs supposèrent que cette lésion avait, en se développant, provoqué des hallucina-
de. Nous avouons qu'il nous paraît plus rationnel de rattacher à la lésion de l'oreille gauche, et aux bruits morbides qui
se produisirent plus tard, il semble légitime de les rattacher à la lésion centrale, t Lwoff. Études sur les troubles inte
n centrale, t Lwoff. Études sur les troubles intellectuels liés aux lésions circons- crites du cerveau. Th. Paris, 1890, p.
Ed. Toulouse. Hallucinations unilatérales chez une femme ayant vue lésion circonscrite du cerveau. (Gazelle des hôpitaux, 1
s longtemps déjà à d'autres troubles hallucinatoires. En résumé, la lésion de la région du pli courbe aurait donné nais- s
avait déjà des hallucinations de la vue et de l'ouïe. En somme, la lésion cérébrale donne lieu dans les cas de ce genre à
cinations. C'est donc l'état hallucinogénique du sujet et non la lésion cérébrale qui fait l'hallucination ; la lésion cé
e du sujet et non la lésion cérébrale qui fait l'hallucination ; la lésion cérébrale ne produit que des fourmillements, de
6 et suiv. LES HALLUCINATIONS UNILATÉRALES. 107 en conséquence de lésions cérébrales a été exposée dans la thèse de mon é
uche. L'auteur attribue les sensations lumineuses et la cécité à la lésion des régions pariéto-occipitales; en tout cas, l
temps à établir un rapport entre certains de ces phénomènes et les lésions nécropsiques, principalement dans la paralysie
ions de la paralysie géné- rale sont liées d'une façon intime à des lésions des centres sensoriels corticaux du sens intére
xistence des hallucinations et des impulsions motrices au siège des lésions . Enfin Hertz 3, qui s'est livré à des études se
ucinations chroniques de l'ouïe, ce qui conduirait à penser que les lésions cérébrales unilatérales peuvent, dans certains
ales. Mais il importe de s'expliquer nettement sur ce point. Si une lésion cérébrale détruit un centre, elle se traduit al
ou tactile; mais jamais le cerveau étant normalement constitué, la lésion ne donnera lieu à une hallucination. En d'autre
TIONS UNILATÉRALES. 109 tion, d'activer un centre sensoriel par une lésion irritative, quelque chose de plus est nécessair
le qui le rend hallucinogène; et c'est pour cela qu'il n'y a pas de lésions pro- duisant d'emblée des hallucinations, comme
ucinations, comme on pourrait par- fois être tenté de le croire. La lésion donne seulement naissance à des sensations morb
la paralysie générale par exemple, il n'est pas rare de trouver des lésions étendues des centres sensoriels chez des malade
ont jamais présenté d'hallucinations, ou encore de rencontrer des lésions de la troisième frontale gauche, analogues à cell
tions psycho-motrices. J'ai donc raison de dire que ce n'est pas la lésion qui fait directement l'hallucination, mais bien l
dification préalable du cerveau, la prédisposition sans laquelle la lésion , quelle qu'elle soit, sera impuissante à pro- d
es déterminantes, quelquefois plus près de nous, qui, ainsi que les lésions sensorielles ou cérébrales actionnent et donnen
s mois après cette leçon Mère... mourut. On trouva à l'autopsie les lésions des deux oreilles reconnues pendant la vie. ,
rconvolution temporale gauche. Sur tous ces points on rencontra des lésions qui sont sensiblement les mêmes pour leur degré
nt aussi des granula- tions. Du côté des tubes nerveux il y a des lésions moins accusées, caractérisées par une raréfacti
ulations siégeant ici dans les cellules endothéliales. Toutes les lésions qui viennent d'être décrites sont généra- lisée
entation ocreuse des cellules nerveuses elles-mêmes. Cette dernière lésion se trouvait disséminée dans quelques points des
plus encore la réaction de dégénéres- cence complète indiquent des lésions plus profondes qui deman- dent des mois à guéri
guérir, la disparition totale de toute excitabilité est l'indice de lésions incurables, fait rare dans les névrites péri- p
t aussi déplacée qu'en médecine ou en chirur- gie. Le crime est une lésion du corps social, que l'on peut sinon détruire,
r s'aider à com- prendre. Nous savons dans quelles conditions une lésion nettement définie d'un des deux hémisphères abo
laissant intactes les autres facultés; mais nous ignorons si une lésion analogue peut anéantir la faculté musicale en res
n- cline à penser que ce pouvoir ne peut être détruit que par des lésions intéressant simultanément les deux côtés du cerve
eau. Il me paraît aussi que la faculté musicale peut survivre à des lésions cérébrales étendues, alors même que celles-ci o
fourni d'une manière indiscutable la preuve de la dissémination des lésions morbides dans le grand appareil nerveux de cont
es multiples; mais l'analogie pathogénique existe surtout entre ces lésions et celles des névrites multiples toxémiques pri
aniens ou les nerfs périphériques, de la répartition symétrique des lésions dans les nerfs de la périphérie et de l'envahis
nc impossible à l'auteur d'adopter l'hypothèse suivant laquelle les lésions neuro-musculaires périphériques seraient second
le temps d'atteindre une période avancée, l'auteur a rencontré des lésions très accusées des nerfs~périphériques, et qu'il n
t pas de preuves cliniques pour démontrer que l'apparition de ces lésions avait été précoce : dans un des cas rapportés, no
'elles n'est en mesure de fournir une explication satisfaisante des lésions neuro- musculaires qu'il a observées et décrite
- musculaires qu'il a observées et décrites. 'La prédominance des lésions dans les portions les plus périphé- riques des
ement couramment observés dans la paralysie générale : en effet les lésions nerveuses périphériques contribuent pour une la
é- noïdal gauche, la désorganisation de l'écorce est complète. La lésion est irrégulièrement ovale et intéresse les extrém
phénomènes explosifs. On peut donc admettre ici l'existence de deux lésions de décharge, l'une ayant pour siège un petit te
on remarquait au niveau de la région pariétale gauche indiquait une lésion fort capable d'avoir provoqué les désordres cér
liniques sont pleinement en rapport avec la possibilité d'une telle lésion ; 4° l'examen phy- sique révèle fréquemment une
d'une telle lésion ; 4° l'examen phy- sique révèle fréquemment une lésion cardiaque connue pour survenir dans les cas d'a
existe une relation étroite entre ces désordres pulmonaires et des lésions des branches pulmonaires du pneumogastrique. (A
l'urémie, etc. Nombre d'auteurs français ont admis l'existence de lésions anatomiques, de processus méningitiques (Bouchut,
ux d'un sujet atteint de délire au début de la lièvre typhoïde. Les lésions constatées ne seraient pas de nature inflam- ma
r. Ce sont les épilepsies réflexes et les épilepsies relevant d'une lésion organique tangible qui s'agrandissent aux dépen
la polynévrite fut regardée comme une entité morbide, liée avec la lésion des nerfs périphériques, on commença à remarque
ait décrit un cas pareil. Il avait constaté dans son observation la lésion 'des faisceaux de Goll, dans la moelle épinière
té de très petites hémorragies. M71llç.in constata dans son cas une lésion de faisceaux pos- térieurs, surtout auprès de l
112, 1888, p. 237-259). 2 Willin.Alcoholie paralysies with central lésion (illed. 11'ews. July 13). Voyez Jcclzresberichl
et IV), dans la vacuolisation des cellules (observ. III) et dans la lésion des cordons postérieurs (observ. II et IV), laté-
plus grand nombre des fibres dégénérées. Quant au quatrième cas, la lésion était plus remarquable dans le faisceau de Burd
dégénérescence disséminée des fibres nerveuses de la moelle avec la lésion spéciale de la zone radiculaire de Lissauer et
e citer concernant l'objet qui nous intéresse, nous voyons que la lésion du système nerveux central, surtout de la moelle
olique que nous allons décrire nous sert d'exemple très visible des lésions aiguës et très pro- noncées de la moelle épiniè
préparations microscopiques, traitées par la méthode de Marchi, la lésion des cordons postérieurs est évidente, elle est
procès morbide est exprimé plus intensivement, on ne trouve pas une lésion entière des voies conductrices, mais les fibres
le remarque dans les cornes postérieures. Cela dépend de ce que la lésion des racines posté- rieures est plus grave. Nous
rations que nous venons de décrire, avec la seule différence que la lésion des cordons posté- rieurs est ici distribuée pl
s fibres altérées dans les cordons latéraux en général, bien que la lésion de ces derniers est moins grave que celle des a
méthode de Marchi. 186 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. déjà à l'oeil nu la lésion de la portion interne des cordons posté- rieurs
sissements des préparations microscopiques de Marchi on voit que la lésion des cordons de Goll est très grave et la quantité
s préparations microscopiques traitées par la méthode de Weigert la lésion des faisceaux de Goll se remarque aussi, bien q
e la moelle épinière, il est remarquer que nous ne trouvâmes pas de lésion des cellules de la substance grise, ni sur les
par la méthode de Mardi). 188 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. nettement la lésion du {uniculus g1'acilis. Cette dernière est. la
n du {uniculus g1'acilis. Cette dernière est. la continuation de la lésion du faisceau de Goll. Les fibres dégénérées pénè
piques traitées parla méthode de Marchi, il faut supposer que la lésion des cordons postérieurs est une continuation du p
morbide des racines correspondantes ; la distribution inégale de la lésion des cordons postérieurs sur les différentes haute
es inférieurs que dans les supérieurs. Quel rapport existe entre la lésion de la moelle et du bulbe et la névrite multiple
mpbell qui a trouvé dans tous ces quatre cas dé- crits par lui, une lésion des voies conductrices de la moelle épinière, e
tout le système nerveux et nous voyons que dans un cas existe la lésion très profonde de la moelle épinière, dans un autr
est accompagnée des symptômes cliniques caractéristiques pour la lésion du cerveau. Pour l'explication des différents p
e. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. I. SUR LES lésions microscopiques caractéristiques QUI S'OBSERVENT
u faveur de la thrombose ; s'il avait connu alors la nature de la lésion pulmonaire, il aurait au contraire adopté le diag
ine par quelques considérations intéressantes sur la pathogénie des lésions qui viennent d'être signalées. R. M. C. VU. Atr
oposées, et publie ensuite l'observation très détaillée d'un cas de lésion étendue du cervelet; nous en indiquons ici les po
signalées et qui peuvent accompagner un accouchement laborieux, les lésions de dégénérescence ne seraient pas réparties aus
ait donc pas téméraire de rattacher les troubles intellectuels à la lésion cérébelleuse. Beaucoup des signes qui aident à
néraux de l'incoordination des membres qui accompagnent souvent ces lésions , que Luciani dési- gne dans leur ensemble sous
trophie du cervelet. Ce cas nous montre aussi que l'existence d'une lésion cérébel- leuse étendue est compatible avec une
rvelet est plus petite que la* gauche; mais' on n'y constate aucune lésion . La moelle paraît saine du moins à l'oeil nu. U
est d'ailleurs beaucoup plus significative que l'exagération. Une lésion qui intéresse les racines postérieures des colonn
nterruption dans le trajet sensoriel, et le réflexe est aboli ; ces lésions sont les seules lésions sensorielles qui donnent
et sensoriel, et le réflexe est aboli ; ces lésions sont les seules lésions sensorielles qui donnent lieu à cette dispariti
s sensorielles qui donnent lieu à cette disparition du réflexe. Une lésion intéressant la portion motrice de l'arc réflexe
es que celles qui accompagnent la dégéné- rescence tabétique ou une lésion des racines postérieures. L'abolition du réflex
accompagne ordinairement d'une exagération du réflexe du côté de la lésion ; il en est de même dans certains cas d'hémiplégie
proposées pour expliquer la pathogénie de l'amyo- trophie dans les lésions d'origine cérébrale; sa conclusion est que, à l
ire dans l'hémiplégie. R. M. C. XIV. LE diagnostic différentiel DES lésions traumatiques intra- CRANiENNES; par Charles Phe
lait la difficulté qu'offre le diagnostic différentiel des diverses lésions encéphaliques entre elles. De nouveaux faits so
la voûte : A. Guérisons, 31; B. Morts, 12; C, Autopsies, 7. - 111. Lésions intra-craniennes sans fracture : A. Guérisons, 21
la voûte : A. Guérisons, 52; B. Morts, 22; C. Autopsies, 17. - III. Lésions intra-craniennes sans fracture : A. Guérisons,
-dessus de la dure- mère, cette indication donne sur le siège de la lésion un rensei- gnement au moins probable, qui sera
, qui sera confirmé par l'absence des signes caractéristiques d'une lésion parenchymateuse. Des symp- tômes concomitants d
ivie ou non d'un retour passager de la connaissance, suivant que la lésion diffuse du parenchyme est plus ou moins grave et
piration est presque invariable lorsque l'hémorrhagie constitue une lésion à peu près isolée. Si l'épanchement sanguin siè
sont assez communes, mais les cloniques sont rares, sauf le cas de lésion complicante. L'état des pupilles est ordinaire-
ont pas des symptômes d'hémorrhagie, et leur pré- sence indique une lésion concomitante du parenchyme. - Transsudation sér
oïdienne. - Aucun symptôme ne se rattache assez directement à cette lésion pour la révéler. A1'lIehnitis. Elle est aiguë o
qu'elle puisse, exceptionnellement procéder, par propagation, d'une lésion locale. Elle peut être insidieuse dans son débu
traumatismes intra-craniens, mais elle existe rarement à l'état de lésion mortelle isolée : ses symptômes sont irréguliers
tif ou précoce doit être attribué uniquement à l'influence de cette lésion aussi bien dans les cas simples que dans les ca
e physiologique pourra seule préciser la part qui revient à cette lésion . Contusion limitée. Elle est relativement rare,
u pronostic. La tempéra- ture est plus élevée dans cette variété de lésions que dans toutes les REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYS
t dans la contu- sion. Les convulsions, particulièrement lorsque la lésion intéresse le lobe frontal ou temporo-sphénoïdal
de la puissance musculaire. Il est rare dans les autres variétés de lésions traumatiques intra-craniennes, et devient ainsi
hognomonique. Les paralysies beaucoup plus communes dans les autres lésions , ne peuvent ici aider qu'au diagnostic 'du sièg
en puisse déduire les éléments du diagnostic. En résumé, dans les lésions intra-craniennes d'origine trauma- tique, les s
pour poser le diagnostic avec quelque précision. Mais si, dans ces lésions , on ne rencontre que peu de symptômes qui possè
iennent à acquérir cette valeur. R. DE Musgrave-Clay. XV. SUR LES lésions DE dégénérescence DU SYSTÈME artériel CHEZ LES
z eux de l'hypertrophie ou de la dilatation cardiaque, avec ou sans lésion valvulaire, ou encore de la simple asthénie car
ner attentivement, n'est 'presque jamais sain chez les aliénés; les lésions valvulaires et artérielles sont communes et le
sur une coupe micrographique, ne sont presque jamais exemptes de lésions . La tunique interne est le siège d'une proliférat
encontre jamais dans le cerveau normal, mais ils accom- pagnent des lésions très diverses de cet organe; ils manquent rarem
s participent de la nature des petites tumeurs ayant pour cause une lésion irritative, telle qu'un agent chimique contenu
cations originaires de l'appareil gastro-intestinal et du foie. Les lésions pulmonaires paraissent moins actives dans la pr
es affections de l'oreille, du nez, des dents, enfin et surtout les lésions des organes génitaux chez l'homme. R. M. C. XVI
o- physe mastoide. Le son peut-il être masqué ou affaibli par des lésions intra- craniennes, ou par des lésions des os du
re masqué ou affaibli par des lésions intra- craniennes, ou par des lésions des os du crâne. Des expériences établies par l
awjetf que la craniotonoscopie ne permet pas de dia- gnostiquer les lésions intra-craniennes. Mais elle permet de dia- guos
insomnie, démar- che ataxique, dysarthrie, accidents spasmodiques. Lésions multi- ples : leptoméniugite cérébro-spinale, h
oi le noyau de l'oculo-moteur commun est si fréquemment le siège de lésions et pourquoi beau- coup d'affections du système
ques. de la réaction lumineuse directe, peuvent s'expliquer par des lésions qui atteignent le segment centripète les fibres
non par l'action du contre-coup; il est prohable qu'il y a eu aussi lésion des cellules, mais on ne possède point de réact
sl même est impuissante. La commotion cérébrale provoque donc des lésions étendues des fibres nerveuses à myéline de tout l
de la moelleabel etbien pour substratum réel et non occasionnel ces lésions des fibres nerveuses à myéline qui se propagent
ous les malades, ces oscillations se sont montrées à la suite d'une lésion traumatique de la tête. Le premier présentait R
PHYSIOLOGIE pathologiques. 235 au début de signes non douteux d'une lésion cérébrale localisée. Chez les deux autres, on n
térés ont pu provoquer des troubles nerveux accusés, tandis que des lésions considérables (tumeurs, etc.), sont restées sil
des oreillettes, dont 3 cas de rupture de l'o2,eillette droite. La lésion , ainsi localisée doit donc être regardée comme
e altération de voisi- nage de nature à masquer les symptômes de la lésion . Observation. Bom... Cath..., soixante-quinze a
ifeste plus aucune idée délirante. Ne répond à aucune question. Les lésions eczémateuses ont produit une calvitie complète. P
ion. Etat de congestion intense du foie, des reins, de la rate sans lésions apparentes. Rien d'anormal dans toute l'étendue
es artères sont indurées et béantes. Les coupes ne laissent voir ni lésion , ni analomie. - La protubérance et les pédonc
t aux circonstances qui ont pu influer sur la localisation de cette lésion , elles n'apparaissent à aucun signe. Quoi qu'
elles n'apparaissent à aucun signe. Quoi qu'il en soit, les deux lésions , rupture du coeur et ramollis- sement cérébelle
n de l'obscurité qui entoure encore la physiologie du cervelet, les lésions pathologiques de cet organe et l'obser- vation
git de la suppression complète d'un hémisphère cérébelleux et cette lésion ne s'est traduite pendant la vie par aucun symp
. Hère en son temps sans qu'il fitt possible de l'attribuer à une lésion intercurrente ; il est légitime de penser qu'elle
ue eltrophique s'exercent sur les deux moitiés du corps et dont les lésions , si étendues qu'elles soient, ne se traduisent
plus une action de renforcement dans la sphère psychique et que ses lésions produisent de ce côté les mêmes phénomènes de d
u système nerveux a déjà constaté chez les indi-, vidus porteurs de lésions cérébelleuses anciennes des troubles du caractè
ymptômes toutefois len- draient à faire admettre que le siège de la lésion est dans la moelle plutôt que dans le cerveau.
'exa- men laryngoscopique montra que la dysphonie était due à une lésion du récurrent laryngé droit, ayant déterminé une p
ver à établir d'après les symptômes, le diagnostic anatomique de la lésion . L'autopsie lui montra que l'hypothèse à laquel
quelle il avait donné la préférence était inexacte. En l'absence de lésions macroscopiques de quelque valeur, l'examen hist
t sans rien qui puisse attirer l'attention sur la possibilité d'une lésion d'autres nerfs crâniens ou rachidiens que ceux
importance, puisque les deux variétés décrites se rattachent à une lésion unique, la différence n'étant due qu'au degré d
orticales superficielles, auront pour effet, suivant le degré de la lésion cellulaire, soit d'affaiblir, soit de détruire
ion de décharge dès qu'elles ont acquis une force suffisante. Si la lésion est modérément accusée, il peut subsister un nomb
sur ce point, ou encore dans les mouvements intentionnels. - Si la lésion des couches motrices n'est pas assez profonde pou
dance de l'esprit, comme ceux de la face et de la main. - Si les lésions de dégénérescence s'étendent aux cellules motrice
xication métallique vient ici compliquer la symptoma- tologie de la lésion médullaire. R. DE Musgraye CLAY. XLV. UN cas DE
distance d'un pied, sans que l'examen ophtalmoscopique révèle de lésion capable de l'expliquer; il existe une légère éros
qui, à l'heure actuelle, paraissent acquises à la science : 1° les lésions uni- latérales du cervelet déterminent des symp
aît pencher en faveur de ce dernier groupe de mouve- ments ; 5° les lésions du lobe moyen paraissent affecter les deux côté
e moyen paraissent affecter les deux côtés du corps, tandis que les lésions des lobes latéraux ou des pédoncules n'affecten
; ces cas se répar- tissent ainsi au point de vue de la nature des lésions : sarcome 22 cas; tuberculose, 22 cas; gliôme,
me et hémorragie, de chaque un cas. Au point'de vue du siège, les lésions occupaient le lobe gauche dans 32 cas, le lobe
tômes que l'on a coutume de considérer comme caractéris- tiques des lésions intra-crâniennes ont présenté la répartition sui-
arche à droite et à gauche un signe propre à préciser le côté de la lésion : les observations recueillies dans 35 cas mont
s symptômes primitifs peut servir à faciliter la localisation de la lésion dans le cervelet. Il se peut que la morl subite
rvelet. Il se peut que la morl subite, si souvent observée dans les lésions cérébelleuses, soit due à la compression du ner
compression du nerf vague. En résumé, les principaux symptômes des lésions cérébelleuses, rangés suivant leur ordre de fré
ion occipitale, la tendance de la démarche à incliner du côté de la lésion , les convulsion*, - et, parmi les symptômes sec
hésiter entre des troubles fonctionnels de nature hystérique et des lésions \ asculaires, du moins à ne considérer que les
e et neuro-rétinite syphilitique. Dans ce cas la concomitance d'une lésion de la base et d'une lésion de la convexité deva
tique. Dans ce cas la concomitance d'une lésion de la base et d'une lésion de la convexité devait naturellement faire pens
fort ulile en révélant%la nature incontestablement syphilitique des lésions de la rétine. Dans le septième cas, on observa
xie avant l'âge de cin- quante ans (sauf le cas de saturnisme et de lésions cardiaques ou rénales); 11° polydipsie et polyu
t. DE MUSGRAVE CLAY. L. DE l'ataxie considérée comme symptôme DES lésions du système CÉRÉDItO-Sf'INL; par D.-B. MAC C.OET
, et aussi dans la névrite : elle est parfois consécutive aussi aux lésions du cerveau et de la moelle. Elle compte parmi l
ines. Le point de départ, la zone de propagation de ces singulières lésions sont très variables et ne respectent pas la fac
oparalysie bulbaire, des étals les plus divers et dans lesquels les lésions du bulbe ne louent qu'un rôle effacé ou ne sont
ne s'agit pas dans la pachyméningite cervicale hypertrophique d'une lésion des méninges localisée à la hauteur de la moelle
le tout entière, le bulbe et même le cerveau peuvent participer aux lésions comme le démontre l'étude clinique et. microsco
s. z Pour l'auteur, l'épaississement de la dure-mère n'est pas la lésion primitive. - Il a trouvé les méninges des régio
intacte; si dans la région cervicale, là dure-mère participe aux lésions , ce n'est que par suite des rapports plus intimes
e n'est que par suite des rapports plus intimes avec la moelle. Les lésions int.ra-l11édullaires doivent être considérées a
dérées aussi comme primitives, elles ne sont qu'influencées par les lésions des méninges. Tout en admettant que dans cert
Tout en admettant que dans certaines maladies des vertèbres, les lésions de la dure-mère peuvent êlre considérées comme ca
chronique. Lrvor.r.. LV. UN CS DE paralysie isolée traumatique par LÉSION A la base DU NERF OCULOMOTEUR EXTERNE par A. EU
e myxoedème est le résultat de l'atrophie de la glande thyroïde. La lésion dépénérative aurait, de même que l'acromégalie,
tation douloureuse plus ou moins vive. Il n'est pas rare de voir la lésion passer d'un facial à l'autre (obs. \ 1) grâce a
pourvu qu'il s'expose à l'agent nocif qui, probablement, produit la lésion . P. IvEnAV.aL. LXIII. Syndrome APPELANT la sc
la région cervicale; e). Disparition de la colonne de Clarhe ; f). Lésions légères du groupe antéro-interne des cellules d
rmale de tabès combiné chez un syphi- litique, à une combinaison de lésions relevant à la fois des artères radiculaires pos
moelle par un prolonge- ment intra-rachidien. Dans les deux cas la lésion médullaire était de même nature : il s'agissait
s : celle d'Erichsen, qui attribue à la commo- tion physique et aux lésions organiques le rôle principal dans le développem
t établie entre les névroses traumatiques graves, avec commotion et lésions organiques probables et les névroses traumatiqu
., qui permettent de soupçonner et de reconnaître l'existence d'une lésion organique. . bibliographie. 311 Dans les névr
deuxième catégorie, d'où est exclue la possibilité d'une semblable lésion , où le traumatisme n'a en lui- même'qu'une faib
ans après, sous une influence banale, ont un réveil de la première lésion des centres nerveux. La maladie affecte alors l
préjuger de sa pathogénie, du mécanisme de sa production et de ses lésions anatomo-pathologiques; on trouve cependant dans
ications démon- trant que l'oedème bleu peut se rencontrer dans des lésions du système nerveux qui sont loin d'être puremen
is à mesure que le calibre des vaisseaux décroit, on aperçoit des lésions de leurs parois d'autant plus nettes que le vaiss
asme de tous les vaisseaux ; Gajkiewicz cherche sa cause dans une lésion de l'endothélium ; Bauchouïeff l'explique par un
ette surcharge de travail qu'elles sont obligées de suppor- ter. La lésion des parois vasculaires est une conséquence fatale
hémorragies dans l'é- paisseur des parois des vaisseaux et dans la lésion cellulaire périvasculaire. Les nerfs sont sou
soumis aux mêmes conditions des troubles de la nutrition, de là ces lésions de névrite au début que j'ai constatées, plus p
les nerfs de la peau que dans le gros tronc nerveux. Ainsi donc les lésions anatomo-patho- logiques que j'ai trouvées chez
cette paralysie. On ne peut de même considérer comme primitifs les lésions vasculaires; il n'y avait pas de trace d'un pro
Etant donnée l'absence des faits qui parleraient en faveur d'une lésion organique quelconque et la présence des stigmates
e au début, tout cela montre la possibilité d'un développement de lésions graves et profondes si l'on avait laissé l'oedème
ritable hou- limie, accompagnée d'une émaciation squelettique, sans lésions d'aucun organe de la nutrition. Incohérences co
violentes (présentant l'apparence d'une démence maniaque). Grave lésion inflammatoire intéressant les régions cervico-fac
nduisent à admettre cette triple intervention dans le mécanisme des lésions . R. M.-C. XXXVI. Folie ou NON-FOLIE : REVUE som
48 ô REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. notion certaine et précise des lésions pathologiques, mais elle s'achemine lentement v
bien que la terminaison puisse être funeste. On trouve rarement des lésions intestinales manifestes. Dans la seconde variét
la terminaison ordi- naire est la mort : on trouve à l'autopsie des lésions inflammations de l'iléon et du côlon, et souven
es. Il base cette opinion sur les raisons suivantes : il rareté des lésions ana- logues chez l'homme non aliéné; 2° fréquen
ana- logues chez l'homme non aliéné; 2° fréquence relative de ces lésions chez les aliénés dégénérés; 3° absence de toute é
sence de toute étiologie appréciable; 4° concomitance avec d'autres lésions trophiques; 5° concomitance avec les affections
t en par- ticulier chez les paralytiques généraux de rencontrer des lésions trophiques, telles que l'atrophie de la peau, d
stitielle qui existerait pourrait être masquée par d'autres grosses lésions du rein. Il a observé au moins un cas dans Jequ
grosses lésions du rein. Il a observé au moins un cas dans Jequella lésion , micruscopiquemenl douteuse, fut constatée à l'ex
que avec cauchemars, hallucinations. La malade présentait aussi des lésions de tuberculose au début aux deux sommets. Le tr
e tardivement, mais avec des allures si sournoises et cependant des lésions si graves que l'auteur estime que l'agent infec
moelle par un prolonge- ment intra-rachidien. Dans les deux cas la lésion médullaire était de même nature : il s'agissait
admettre que l'hypertrophie du corps pituitaire est la principale lésion de l'acromégalie; puis il recherche les rapports
, lourdeur dans l'épaule et douleurs irradiées faisant croire à une lésion persistante du plexus cervical; deuxième opérat
réfléchi, provo- quait une contraction symétrique des pupilles. La lésion siégeait donc en avant des tubercules quadrijum
e. Mort au bout de trente-cinq jours. A l'autopsie, on trouve : des lésions vasculaires, plusieurs foyers de ramollissement
sie peut être expliquée par un exsudat méningétique de la base; une lésion nucléaire lui parait inadmissible. LwoFF. LXX
? Pas plus que le phénomène du genou, il n'est un signe certain de lésions organiques du sys- tème nerveux central (Bechte
de la commissure antérieure, car dans le voisinage immé- diat de la lésion inférieure o.ù toutes les fibres ascendantes doiv
able de fibres commissurales saines, même dans le voisinage de la lésion inférieure; 8° toutes les libres des conducteurs
e et à la gangrène trophique du décubitus lentement progressifs. La lésion transverse de la moelle a déterminé : tout d'ab
Ions au milieu du noyau caudé. 11. Kaiser attribue à cette dernière lésion le trouble vaso-moteur, et, au noyau caudé la f
. On n'est .pas encore à même de savoir si ce dernier participe aux lésions . Lworr'. LV. SUR LES altérations secondaires
.et le plan bulbaire passant par les racines de l'hypoglosse. Les lésions avaient leur maximum au niveau des septième et
uvent prétendu, d'une simple atrophie d'une moitié de la moelle. La lésion pre- mière, c'est la dégénération bien localisé
cellules scnsitives et motrices sont toujours atteintes; quant aux lésions des cellules des ganglions spinaux on n'en a pa
e épinière au niveau de la première racine dorsale. Au-dessus de la lésion , dégénérescence des cordons et dissociation de
dégénérescence ascendante typique. Immédiatement au- dessous de la lésion , sclérose de l'ensemble des cordons. Au niveau
érescence hyaline, colloïde ou graisseuse. LVIII. NOTE A PROPOS DES lésions vasculaires dans la syphilis DES centres NERVEU
s difficultés ; la première résulte de l'ancienneté ordinaire de la lésion ; la seconde, de la difficulté qu'il y a de dét
point précis de l'artérite nodulaire vraiment spécifique qui est la lésion initiale ; -, la troisième, que signale l'auteu
rdé comme à peu près intact du haut en bas de la moelle ; 2° que la lésion initiale était partout la périvascularite. Nulle
acentes. (The alienist and neurologist, oct. 1895.) E. BLIN. LXI. Lésions produites par l'action DE l'alcool éthylique SUR
nes d'alcool éthylique pur, l'auteur a trouvé dans ces cellules des lésions constantes. Le nucléole est augmenté de volume,
i était réputé le moins toxique de sa série détermine cependant des lésions accentuées sur les cellules nerveuses. (American
utit à la production du tissu fibreux. Dans les cas observés, ces lésions , absolument banales, n'ont en rien altéré la vi
té; le cerveau et la moelle ne sont ni friables ni recoquillés, les lésions conservent leur aspect; le formol en renforce sim
ongueur, quatre noyaux longs, deux noyaux ronds. Suit une revue des lésions pathologiques des vaisseaux dans la paralysie g
oce ni tardif, de l'évolution moi bide où l'autopsie fut faite. Les lésions étaient à point. Les conclusions sont entièreme
touffées sans distinction dans la prolifération de la névroglie. La lésion irritative est due vraisemblablement à la filtrat
1l0L.\NDO j par W. 'I'URNER. (train, été et automne 1895.) Cette lésion trouble la sensibilité dans le domaine du trijume
étruit le tubercule au thermocau- tère chez des singes, limitant la lésion aussi exactement que pos- sible. Résultats : du
ous reviendrons sur les détails de sa struc- ture en parlant de ses lésions ) et d'un noyau. La forme, l'as- pect, les diffé
ones, le même procédé peut être appliqué à la pathologie. Les mêmes lésions , envisagées dans une unité nerveuse se pourront
ités. Le neurone formant un tout il est lo- gique d'admettre que la lésion d'une de ses parties retentisse forcément sur l
gement cylindraxe, les deux portions séparées vont présenter des lésions , celle qui constitue le centre cellulaire, son no
ésume dans le bout périphérique de ce dernier. Seule- ment les deux lésions ne seront pas identiques. Le bout périphérique
intact », il indiqua un fait inexact, car pour être le siège d'une lésion , d'un aspect différent, cette lésion n'en exist
car pour être le siège d'une lésion, d'un aspect différent, cette lésion n'en existe par moins dans cette dernière portion
collatérales séparée du reste du neurone s'altère profondément, sa lésion se fait avec rapidité, elle aboutit non seuleme
ne reste plus rien de la structure primitive. On a l'en- semble des lésions qui caractérisent habituellement la dégé- néres
rtion du neurone, celle qui conserve le centre cellulaire offre des lésions moins aiguës et moins destructives : ce sont ce
ous savons, c'est que la pathologie montre chaque jour que dans les lésions , même peu marquées du centre du neurone, on a d
tes. Avec la méthode Golgi nous avons pu cons- tater cette dernière lésion au début de la paralysie générale ' . Au point
, ce qui rend compte de leurs modalités différentes, tandis que les lésions primitives sont identiques. Ces sections du pro
t, chose commune en pathologie; c'est ce qui a lieu pour toutes les lésions en foyer circonscrit siégeant dans les nerfs, d
ette double dégénérescence du neurone au-dessus et au-dessous de la lésion est un fait souvent observé en pathologie. C'es
érimentale des nerfs, par exemple, sont toujours accompagnées d'une lésion rétrograde s'effectuant en sens contraire de la
a loi de Waller. Et les mêmes faits s'observent lorsqu'il s'agit de lésion sur le trajet des neurones centraux'. 1. Seul
le trajet des neurones centraux'. 1. Seulement le degré de cette lésion est plus variable et moins évident que celle du
ultats en matière d'expérimentation puisqu'on a pu rencontrer des lésions évidentes des granulations chromatiques du proto-
de voir, mais nous ferons remarquer que cette dernière modalité de lésion prise dans sa complexité n'est pas semblable à
ise dans sa complexité n'est pas semblable à celle qui préside à la lésion du bout périphé- rique du neurone et cela ni pa
ylindraxe d'un neurone étant sectionné expérimentalement ou par une lésion en foyer il y a donc lieu de réserver à la lési
lement ou par une lésion en foyer il y a donc lieu de réserver à la lésion du bout périphérique le nom de dégéné- rescence
d'ailleurs certaines analogies. Telles sont les deux variétés de lésions les plus importantes que peut offrir un neurone
hacune de ces grandes modalités cliniques correspond justement à la lésion isolée ou combinée des deux neurones. 1° La d
ou iso- lément. Dans ce dernier cas, le neurone resté indemne de lésion peut être épargné pendant très longtemps ; mais l
multanément par un même agent morbide. Il importe d'étudier cette lésion de transmission suivant que c'est l'archineuron
e descendante du prolongement neural de ce neurone, c'est-à-dire la lésion du faisceau pyramidal. Eh bien, dans ce cas, le
die ^est presque, suivant une expression devenue classique, « une lésion fonctionnelle >. Mais souvent elle dépasse ce
tionnelle >. Mais souvent elle dépasse ce stade et aboutit à une lésion nettement visible à l'autopsie. Ce qu'il import
utopsie. Ce qu'il importe de connaître, c'est comment se fait cette lésion et quelle elle est de par sa pathogénie. Les
- laire du neurone vers son centre spinal. En d'autres termes, la lésion du neurone supérieur influence le neurone suivant
ce le neurone suivant à son extrémité périphérique. C'est là que là lésion débute, et c'est aussi là qu'elle peut rester l
archineurone moteur détermine donc dans le neurone périphérique une lésion de propagation qui débute à l'extrémité muscula
qui peut rester localisée à cette extrémité. En d'autres termes, la lésion de ce neurone est cellulipète. En second lieu, no
u pyramidal peut dégénérer presque com- plètement dans ce cas et la lésion qui déborde ses limites étroites l'atteint auss
Mais, dans ce fait, l'étude de la hauteur à laquelle se propage la lésion démontre qu'elle ne remonte pas aux régions corti
al : c'est encore à l'extrémité cylindraxe du neurone que débute la lésion ; c'est encore là qu'elle est le plus marquée,
sinage ou dans l'éloignement du neu- rone primitivement malade ; la lésion la plus apparente débute en ce point; elle ne r
dont notre maître, le professeur Joffroy, mettant en parallèle les lésions anatomiques du tabès 432 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
ition à la dégénérescence des autres neurones de la chaîne dont les lésions primitives constituent les autres formes des ma
ès par dégénérescence du téléneurone au point de vue du début de la lésion qui se fait dans les neurones voi- sins de ce d
, il est très facile de se rendre compte de l'ensemble complexe des lésions qu'on a sous les yeux. 10 Le tabès par lésion
emble complexe des lésions qu'on a sous les yeux. 10 Le tabès par lésion primitive du téléneurone, tabès exo- gène, se r
ion primitive du téléneurone, tabès exo- gène, se répartit dans ses lésions suivant la topographie de ce neurone, y compris
de ce neurone, y compris ses branches collatérales. Où débute la lésion ? Est-ce au niveau du ganglion ainsi que les prem
st-ce au niveau du ganglion ainsi que les premiers observateurs des lésions histologiques de cette maladie l'avaient l pens
Ce qu'il peut être intéressant de connaitre au sujet du début de la lésion sur un point de ce neurone, c'est d'abord la fr
is non dans tous les cas. En second lieu, on peut se demander, la lésion étant faite sur un point du neurone, dans laquell
ux de Tuczek, de Marie, de Joffroy, etc. Voir aussi noire mémoire : Lésions et symptômes spinaux, formes spinales de la paral
les formes spinales tabétiques de la paralysie générale 2 dont la lésion primitive est dans d'autres neurones. 2° Le tab
'être dans le ganglion intervertébral. Disons tout de suite que les lésions qui sont primitives dans ces derniers cas, ne tar
urone périphérique ; de manière que celui-ci participe souvent à la lésion , mais dans des branches limitées de ces nombreu
dégénérescence dérive de l'altération de neurones intraspinaux. La lésion se poursuit du haut en bas. Cette dernière form
daux, des faisceaux cérébelleux, du faisceau de Gowers, ce sont ces lésions qui constituent pour une bonne part l'anatomie
nce primitive de tous ces neurones peut amener et amène souvent des lésions qui empiètent en quelques points sur les territ
ec ces neurones. Dès lors il faut en revenir pour l'explication des lésions à la dégénéres- cence de transmission de neuron
vant la même loi que dans le système moteur. Supposons d'abord la lésion primitive d'un neurone du noyau bulbaire des co
cellulipète de ces ramifications. De là l'apparente complexité des lésions des tabès endogènes; de là dans ces tabès la pa
n limitée à des segments du téléneurone. De là ce fait que dans les lésions de tous les neu- rones centraux de la chaîne se
du téléneurone lui-même. Dans tous ces cas, il est de règle que la lésion respecte à peu près la racine postérieure, le g
mémoire récent, M. Marinesco 2 a montré le rôle et l'importance des lésions de ces mêmes collatérales dans le tabès, la mal
ation sur le cerveau des animaux a démontré la possi- bilité de ces lésions descendantes dans le cordon postérieur de la moel
, séance du 6 mars 1896. LES NEURONES. 437 sur la topographie des lésions qu'il a observées et d'ailleurs sans s'inspirer
urone dans certaines de ses portions et donnent par le fait à leurs lésions quelques resserre- blances avec celles du tabès
n'y a même rien d'in- vraisemblable à admettre qu'à la longue, une lésion primiti- vement endogène devienne plus tard exo
rares. Ainsi dans la forme tabétique de la paralysie générale où la lésion occupe d'abord des neurones centraux l'intégrit
e le caractère le plus nettement opposable au tabès vulgaire. Les lésions des neurones centraux de la chaîne sensitive re
sensitive retentissent donc sur le téléneurone, mais en limitant la lésion à certaines de ses branches et en suivant en ce
s la dégénérescence des cordons pyrami- daux et postérieurs, que la lésion primaire a touché simulta- nément et à part les
istance de neurone à neurone et surtout de système à système, toute lésion , si localisée qu'elle soit, se généraliserait r
ption où le faisceau de Turck était lésé. Mais il est des cas où la lésion d'un système physiologique se transmet à un aut
simultanément sur un très grand nombre d'entre eux. On a alors les lésions et les symptômes bien connus de l'encéphalite d
tiples territoires de l'écorce. Dans une autre variété il s'agit de lésion en foyer, détrui- sant une portion limitée de l
font d'ailleurs elles- mêmes partie. Dans ces cas, on a toutes les lésions qui ont été décrites dans le neurone de la sens
s du corps calleux, par les atrophies du cervelet consécutives à la lésion expérimentale de 1 Zeilsclll'iri far M ? Med.,
bides bien circonscrits, par l'arrêt de ^développement qui suit les lésions en foyers qui sont à l'ori- gineadE l'idiotie,
foyers qui sont à l'ori- gineadE l'idiotie, par la constatation des lésions habituelles ? 1 ? g&;1¡[demence, etc., etc.
à s'altérer consécutivement. Nous croyons aussi que cette dernière lésion se produit avec la même localisation première e
t ce qu'on peut affirmer à l'heure actuelle, c'est l'ana- logie des lésions de ces neurones avec celles qui sont mieux conn
foyers morbides), ou des sujets adultes [démence secondaire et des lésions en foyers). Notre conclusion finale sera que la
séjour à la colonie de Vaucluse, il est arrivé maintes fois que ces lésions ont été plus accusées, en quelque sorte par pou
es muscles deltoïdes, biceps et triceps brachiaux forment des ' Les lésions ont toujours été beaucoup plus étendues et beauco
membres sont glabres. Quelques poils sous l'aisselle gauche. Mêmes lésions cutanées de l'aisselle droite dépourvue de poil
dehors, qui lui donne 0 francs par semaine. 1896. Janvier. Mêmes lésions trophiques de l'aisselle droite. Même état de l
t des yeux, pratiqué par notre ami le D1' KOENiG, n'a décelé aucune lésion . - Il en est de même de la sensibilité des muqueu
re inférieur où elles ont été aggravées par des traumatismes et des lésions de nature scro- fuleuse( ? ). Y a-t-il eu aut
- treignent considérablement les mouvements, et l'ensemble de ces lésions , qui répond aux arlhropathies des hémiplégiques 2
u'il conserve la liberté des mouvements de ses membres. Une simple, lésion du tubercule quadrijumeau postérieur entraîne de
. En effet, s'il y avait eu fusion, il serait extraordinaire que la lésion ait exactement et toujours plus atteint les fib
pas de faisceau cérébro-cérébelleux croisé direct. Sans doute, une lésion hémi-cérébrale est parfois suivie d'une atrophi
sphère cérébelleux du côté opposé, mais c'est parce qu'alors il y a lésion concomitante de la couche optique du même côté
vement fléchie et étendue, etc. Quant à l'exa- men histologique des lésions consécutives, il montre une dégéné- rescence de
e l'axe du corps et leur propension à tomber a lieu par suite de la lésion du faisceau cérébelleux dans les cordons latéra
que l'autopsie reste le plus sou- vent négative au point de vue des lésions syphilitiques osseuses, nerveuses, hépatiques,
e l'on considère comme l'effet de l'âge n'est que la conséquence de lésions encéphaliques qui en sont tout à fait indé- pen
estion importante est celle des combinaisons de l'hystérie avec des lésions organiques : Bruns a observé un cas de sclérose
asmodiques. Il serait intéressant de connaître le siège exact de la lésion qui entraîne ces troubles. , Du vertige des ala
perpose à l'hémi- plégie et la marche déjà rendue difficile par une lésion organique devient impossible par la névrose sur
on des aliénés à Berlin et en Ecosse, par Sibbald, 305. 1 Alcool. Lésions produites par l' - sur les cellules du cerveau,
man, 138. De la sortie des - des asiles, 173. en liberté, 175. Lésions microscopiques caracté- ristiques du cerveau de
ôme de diverses maladies, 46. L'- considérée comme symp- tôme des lésions du système cérébro-spinal, par Marc Cartie, 2
1 : sTRACR.\lilEli)¡ES. Diagnostic des 502 TABLE DES MATIÈRES. lésions traumatiques-,par Phleps, 218. Inversion. Exp
omme, par Sanphear, 365. Syphilis cérébrale, par Stiéglitz,274. Lésions vasculaires dans la des centres nerveux, par La
12 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
fait exceptionnel et seulement, pour ainsi dire, par accident. Les lésions ont ainsi suivi une marche graduelle et envahissa
u médius. Quelle est la cause de ces déformations ? Existe-t-il une lésion primitive des centres nerveux ? On a dit qu'il s'
es nerveux, ce qui paraît bien possible, étant donnée la symétrie des lésions et la marche delà maladie, on ne la connaît du mo
sement des éminences thénar et hypothénar, et la griffe interosseuse, lésions le plus souvent symétriques. Mais, de plus, il y
ption vulgaire du mot ; elle semblerait devoir être subordonnée à une lésion du centre nerveux spinal. C'est l'opinion de M. M
ne moyenne. Quoi qu'il en soit de la réalité et de la nature de ces lésions encore incomplètement étudiées, il y a une chose
ssieurs, de vous entretenir quelque jour, tendrait à démontrer que la lésion des parties trophiques centrales de la moelle est
t pas, à cette époque, pas plus qu'aujourd'hui, d'ailleurs, de grosse lésion de l'oreille, pas d'écoulement, etc. L'examen oto
. Gellé, a montré qu'il s'agit là d'un simple vertige de Ménière avec lésions scléreusesde l'oreille, qui ne paraît pas avoir d
ant la marche. L'index et le petit doigt seuls sont indemnes de toute lésion , sauf un certain ; degré de rétraction du tendon
e analgésique à panaris ? Ici, en effet, Messieurs, l'hypothèse d'une lésion médullaire ne nous suffît plus. Il nous faut une
pothèse d'une lésion médullaire ne nous suffît plus. Il nous faut une lésion cérébrale, pour tout expliquer. S'agirait-il là d
faut une lésion cérébrale, pour tout expliquer. S'agirait-il là d'une lésion du carrefour sensitif de la capsule interne, surv
s. — Rôles respectifs du traumatisme, de l'appareil à fracture, de la lésion du nerf médian, dans le développement des acciden
e de nature dynamique, j'entends par là une maladie dans laquelle les lésions matérielles n'ont pas encore été reconnues et la
été reconnues et la syringomyélie une affection caractérisée par les lésions les plus grossières de la moelle épinière. Mais,r
areil auditif, pratiqué par M. Gellé, n'a décelé l'existence d'aucune lésion otique pouvant produire le vertige de Menière. Ce
concordant pas par leur disposition topographique avec le siège de la lésion du nerf médian. Ce point mérite de nous arrêter
tions, on remarquait, phénomène bien singulier dans l'hypothèse d'une lésion du médian au poignet, que l'anesthésie remontait
en le tremblement que les stigmates et les attaques. Toute idée d'une lésion matérielle appréciable des centres nerveux doit d
lle appréciable des centres nerveux doit donc être écartée ; c'est de lésions fonctionnelles, dynamiques, comme on dit encore,
des 3e et 6" paires. Essai de pathogénie. Trois cas avec autopsie : lésions sur le trajet du nerf moteur oculaire commun. T
de la connaissance de ces faits. Il est clair qu'il n'existe pas de lésions organiques permanentes dans les migraines, du moi
de la plupart des accidents. Mais il y a lieu de penser aussi que ces lésions purement dynamiques, fonctionnelles comme on dit,
étition fréquente des actes, devenir l'occasion delà manifestation de lésions organiques. C'est ainsi que les artérioles mises
cas de migraine ophthalmoplégique à accès courts, il n'existe pas de lésions permanentes ; il s'agirait là de simples «fluxion
tence clans la migraine ophthalmi-que. Il n'y a là en tout cas qu'une lésion fonctionnelle, essentiellement transitoire et qui
épine, un désordre permanent. C'est probablement, en pareil cas, de lésions inflammatoires qu'il s'agit, et elles affectent l
st de la paralysie oculo-motrice, tout porte à croire que c'est d'une lésion périphérique basale du nerf qu'elle relève. Le fa
ne. Ainsi c'est sur le trajet périphérique, basilaire, que porte la lésion tantôt transitoire, tantôt permanente du nerf ocu
tout à fait dans le même sens, révèlent cependant toutes les deux une lésion siégeant sur le trajet basai du moteur oculaire.
ttre. C'est seulement par la répétition multipliée des crises que les lésions , purement dynamiques et essentiellement temporair
neuse, les produits néoplasiques. Existe-t-il chez notre malade une lésion permanente ? D'après l'exposé que nous avons fait
démontré cependant. Ce qui, surtout, n'est pas démontré, c'est que la lésion , si elle existe, soit absolument inaccessible à n
uée à notre cas, au moins à titre d'essai. L'existence possible d'une lésion organique désormais établie ne constitue pas dans
cation bromurée dans les cas de crises épilepti-formes relevant d'une lésion organique en foyer. D'un autre côté, on ne peut
n jeu. Mais vous n'ignorez pas qu'en dehors de la syphilis, certaines lésions irritatives ou exsudations chroniques sont souven
es ne réagissent ni àla lumière ni à l'accommodation. V = if-Pas de lésions du fond de l'oeil. 2e Examen. 10 mai 1890. — Pt
de l'oreille et l'examen de M. Gellé a montré qu'il n'existait aucune lésion de l'appareil auditif. Il n'existe pas de rétréci
nostic avec la syringo-myélie. C'est qu'en effet l'œdème bleu, ou une lésion fort analogue, en apparence du moins, figure parm
ralytiques, apparaître et disparaître avec eux, en l'absence de toute lésion organique, soit des nerfs périphériques, soit des
fermé) ne disparaissait pas, le médecin, croyant sans doute à quelque lésion articulaire organique, endormit la malade avec du
tête fœtale était déjà bien connue. Mais il était étrange de voir les lésions se localiser dans des cas semblables au domaine d
Mais ce n'est pas seulement dans cette branche du sciatique que les lésions de la névrite, car c'est d'elle évidemment qu'il
u contraire ont conservé leur excitabilité. Ici la localisation des lésions a encore été plus étroite que dans les cas précéd
a totalité du nerf sciatique poplité externe qui a été envahie par la lésion , mais seulement le nerf tibial antérieur. L'intég
dehore. En résumé, pendant quinze jours, les signes sont ceux d'une lésion non seulement du sciatique, mais encore de tous l
u à l'état normal et ce n'est en définitive qu'après neuf mois que la lésion se limite nettement au domaine du sciatique popli
le sujet de l'observation suivante, les conditions de production des lésions nerveuses ne sont plus tout à fait les mêmes que
et l'on peut fort bien admettre que le plexus ait été englobé dans la lésion du petit bassin. Nous possédons l'observation for
t rien de plus ici. De même que dans le saturnisme, l'alcoolisme, les lésions nerveuses se localisent de préférence aux troncs
invoquer comme cause de la scia-tique, ni traumatisme obstétrical, ni lésions du bassin. Il s'agit ici d'une complication de la
aladie, elle nous échappe, mais du moins on ne peut incriminer aucune lésion des branches d'origine du nerf dans le bassin. C'
VIII, les troubles de la sensibilité sont notablement moindres et les lésions musculaires prédominent, bien qu'on n'ait pas con
thésie, qui existe à un haut degré, n'est plus exactement connexe aux lésions des muscles. Mais auparavant, rappelons en quel
utané est restée indemne. On ne saurait d'ailleurs, pour localiser la lésion au domaine de telle ou telle branche nerveuse, ex
tibial postérieur (branche du poplité interne). pour conclure à la lésion des diverses branches nerveuses. Observation X
de par l'hérédité, s'est-elle affirmée avant ou après le début de la lésion du nerf? C'est ce que nous ne pouvons affirmer. I
est vrai, jamais décrite jusqu'aujourd'hui, que dans la sciatique par lésion traumatique des branches d'origine du nerf dans l
vérité, donner lieu à la paraplégie douloureuse, mais produit-il des lésions exactement limitées au domaine du sciatique ? Du
pos, permettez-moi de vous rappeler les symptômes que déterminent les lésions de la queue de cheval, fracture du rachis ou tume
ie et du rectum, alors qu'il s'agirait, dans cette éventualité, d'une lésion de la moelle devant intéresser, de par son siège,
seuls muscles moteurs du globe oculaire. Considérations anatomiques ; lésions nucléaires. Valeur séméiologique de l'oplithalm
in 1890, recueillie par M. Blocq. me semble toutefois relever d'une lésion de la substance grise des cornes antérieures de l
alysie glosso-labio-laryngée et à Vatrophie mus-culaire progressive ; lésion systématique des noyaux moteurs {polioencèphalomy
ation, a fait voir que les rameaux iriens et ciliaires — ceux dont la lésion produit les symptômes de l'ophthalmoplégie intern
es phénomènes ophthalmoplé-giques. Dans l'ophthalmoplégie externe, la lésion porto sur le groupe cellulaire postérieur composé
es ciliaires et iriens, reste en dehors de la sphère d'activité de la lésion originelle, et, en conséquence, il n'y a pas d'op
atteint après sa formation, on ne pourra plus se rendre compte d'une lésion individuelle des nerfs qui se rendent à chaque mu
compression de l'oculo-moteur comportera à peu près nécessairement la lésion de tous les muscles externes et celle de tous les
sie nucléaire ; c'est sur les noyaux d'origine des nerfs que porte la lésion et non sur les nerfs émanant des noyaux. On com
les nerfs émanant des noyaux. On comprend cependant l'existence de lésions portant sur les nerfs périphériques et non sur le
arler d'une ophthalmoplégie externe-névrose; de plus, dans un cas, la lésion des noyaux étant absente, les nerfs périphériques
s égards à la paralysie bulbaire inférieure. Dans les deux cas il y a lésion isolée et systématique des noyaux moteurs, les no
te l'existence de la paralysie glosso-labio-laryngée dégagée de toute lésion des faisceaux latéraux, il faut ajouter aujourd'h
mais supérieure du 4e ventricule, qui sont atteints. Ce sont là des lésions systématiques analogues ; j'ajouterai même, en ce
r compte de la topographie, car, ainsi que je l'ai fait remarquer, la lésion porte aussi sur Yabducens, fort éloigné topograph
longue, ou plus ou moins rapidement, de symptômes qui relèvent de la lésion des noyaux moteurs du bulbe correspondant aux cor
des noyaux moteurs du bulbe correspondant aux cornes antérieures. La lésion s'étend en pareil cas, en quelque sorte systémati
jusqu'à présent, aucune amyotrophie dans les membres. Dans ce cas, la lésion est descendante et va du bulbe supérieur vers l'i
locomotrice. A cet égard, vous n'ignorez pas que dans le tabès les lésions unilatérales de la 3e ou de la 6e paire ne sont p
anatomiques des noyaux (Gowers, Westphal, Ross). Il existe alors une lésion primitive des cellules nucléaires de Foculo-moteu
ité, à côté des névrites périphériques, qui paraissent constituer des lésions secondaires et d'une importance secondaire pour l
ataxiques avec oph-thalmoplégie externe, c'est-à-dire porteurs d'une lésion atrophique des noyaux moteurs, on rencontre en mê
plusieurs autopsies de Jean, Démange et autres l'ont démontré, d'une lésion des noyaux bulbaires. 3° Le troisième groupe qu
x moteurs spinaux et des noyaux moteurs bulbaires. Il s'agit là d'une lésion systématique, car il n'y a aucun trouble concomit
ité ni des sphincters. Tout concorde donc à nous faire penser à une lésion des noyaux bulbaires et des noyaux des cornes ant
ires et des noyaux des cornes antérieures. On ne peut pas dire que la lésion ait été descendante, mais elle a plutôt envahi pl
surtout dans les myopathies primitives, celles où il n'existe pas de lésions spinales, ainsi que l'ont fait remarquer MM. Land
nt à la conclusion de M. Seelig-mûller à propos de son propre cas, la lésion anatomique consiste dans une altération des cellu
mique-ment, comme l'a fait voir M. Oppenheim, est représentée par une lésion inflammatoire des cornes antérieures de la substa
gie dont il existe quelques faits dans la science. C'est encore à une lésion , subaiguë cette fois, des cellules motrices des c
la paralysie des muscles oculaires qui l'accompagnent relèvent de la lésion également subaiguë des noyaux oculo-moteurs. *
oplégie externe, considérée en tant qu'expression symptomatique de la lésion systématique des noyaux moteurs du bulbe protubér
ut se combiner à la paralysie labio-glosso-laryngée qui résulte de la lésion similaire du bulbe inférieur, ou à l'atrophie mus
alysie labio-glosso-laryngée et à l'atrophie musculaire progressive ; lésion systématique des noyaux moteurs ; polioencéphalom
ll Robertson. Réaction lente à la lumière. Réflexes conservés. Aucune lésion du fond de l'oeil. Les fonctions visuelles, sauf
ultation de MM. Charcot, Peter, Troisier et Moutard-Martin. Outre les lésions oculaires sur lesquelles nous reviendrons plus lo
. Pas de modification du champ visuel ni de dyschromatopsie. Pas de lésion du fond de l'œil. Au mois de mai 1890 : les sym
Le réflexe massétérin semble un peu augmenté. A côté de ces cas de lésions limitées au bulbe (polio-encéphalite), il convien
e. Depuis la date de son entrée à l'Hôtel-Dieu jusqu'à ce moment, les lésions n'avaient point augmenté du côté des membres supé
r. O. D. V = fg avec — 1 dioptr. Pas de dyschromatopsie. Pas de lésion au fond de l'œil. Rétrécissement du champ visue
ces variations passagères qui sont notées dans l'observation. Mais la lésion s'était accentuée du côté du bulbe : le réflexe p
oup plus d'intérêt, eu égard à la localisation la plus habituelle des lésions . Qu'il soit debout ou assis, le malade a toujours
ire inférieure sont venus s'adjoindre les signes qui caractérisent la lésion de la moitié supérieure du bulbe, l'ophthalmoplég
céphalite dans laquelle il n'existe au contraire aucun symptôme de la lésion des faisceaux pyramidaux. Il n'est pas besoin d'i
immobile. Ce fait se produira dans les cas, rares à la vérité, où la lésion bulbaire supérieure, se propageant à la moelle, a
à s'y méprendre aux cas que nous avons mentionnés et dans lesquels la lésion , ayant débuté dans le bulbe supérieur, s'étend en
ctions. Anatomie et physiologie pathologiques de la syringomyélie : lésions cavitaires ; symptômes extrinsèques (leucomyéliqu
o-logie assignée à la maladie de Morvan peut relever tout entière des lésions spinales de la syringomyélie. Cela me paraît être
tivement à l'anatomie pathologique de la syringomyélie (1). C'est une lésion fort originale, qu'on a autrefois considérée comm
hultze (de Bonn) et M. Kahler (de Vienne). Le grand caractère de la lésion , son originalité réside surtout dans son siège. E
postérieurs, ensemble ou séparément, ne tardent pas à participer à la lésion . Celle-ci, au point de vue histologique, n'est
y. En somme, peu importe pour le moment; un trait commun aux diverses lésions , c'est la fonte du tissu malade et la formation c
ssée à son terme ultime. Peut-on, d'après la connaissance de telles lésions , nettement localisées, prévoir, en se fondant sur
substance grise ; 2° extrinsèques s'ils dépendent de l'extension des lésions aux faisceaux blancs. Les symptômes intrinsèques
a syringomyélie, à l'instar de la sclérose en pla- ques et d'autres lésions centrales organiques du système nerveux, peut, il
Troubles trophiques. On sait qu'on range sous cette dénomination les lésions cutanées, sous-cutanées, ligamenteuses, osseuses,
uement, pour substratum anatomique de la maladie par lui décrite, une lésion spinale centrale occupant surtout la substance gr
vrites constatées plusieurs fois ne seraient là que consécutives à la lésion centrale. Mais sans tenir compte de la révélation
s à la lésion centrale. Mais sans tenir compte de la révélation d'une lésion spinale cervicale nettement reconnue dans une aut
dant qu'en outre des névrites constatées dans ce cas, il existait une lésion centrale dans la moelle cervicale, conformément a
t des pièces, on n'a pas pu constater si, oui ou non, il existait une lésion cavitaire. Les deux autopsies que nous devons à
t normal. Cette fois encore, l'examen post mortem mit en évidence les lésions classiques de la syringomyélie. Il ne paraît pa
On peut jusqu'à un certain point se figurer le siège et l'étendue des lésions qui dans ce cas ont présidé à la production des p
ui dans ce cas ont présidé à la production des phénomènes cliniques : lésions de la corne grise postérieure gauche dans une cer
e gauche dans une certaine étendue en hauteur à la région cervicale ; lésion légère et très limitée de la corne antérieure cor
lésion légère et très limitée de la corne antérieure correspondante ; lésions enfin des régions encore mal connues qui dans la
science les belles recherches de Claude Bernard sur la glycosurie par lésion expérimentale du plancher du quatrième ventricule
res nerveux et de chercher à démontrer dans ces cas l'existence d'une lésion du plancher du quatrième ventricule, que jamais
ceci en 1864: « La physiologie expérimentale ayant démontré que des lésions variées de l'axe cérébro-spinal peuvent occasionn
surie, on a observé sous cette prévention, et toutes les fois que des lésions de ce genre se sont présentées chez des diabétiqu
nt il est question dans ce chapitre ; car il est bien évident que les lésions spinales productrices ont empêché les médecins de
ons spinales productrices ont empêché les médecins de reconnaître les lésions cérébro-spinales produites. » Marchai citait de
tiré sur eux l'attention. Dans les faits de ce genre, Messieurs, la lésion nerveuse est évidemment secondaire et n'est pas l
point de départ du diabète. Remarquez qu'on ne prétend pas ici qu'une lésion des centres nerveux placée comme il faut, un foye
it en rien l'autonomie de ceux où la glycosurie est consécutive à une lésion des centres nerveux. Mais ceux-ci doivent former
te de celle où c'est le diabète vrai qui est le point de départ de la lésion des centres nerveux. Il ne s'agit plus ici de gly
en droit de se demander quel est le mécanisme de la production de ces lésions nerveuses secondaires dans le diabète. Sont-ce de
ar une oblitération des vaisseaux. Ce n'est pas, Messieurs, sur les lésions centrales consécutives au diabète que je veux ins
e Veil : c'est Worms qu'il aurait fallu dire. Traitant de l'étude des lésions du système nerveux en général, dans ses rapports
lue de la moelle (Rosenstein, et deux cas de Nivière) et l'absence de lésions des cordons postérieurs. Mais qu'est-ce alors? Do
que dans tous les cas, dans l'alcoolisme surtout, il n'existe pas de lésion spinale grossière, en particulier pas d'altératio
en faire un groupe à part, ceux dans lesquels un véritable tabès par lésion des faisceaux postérieurs peut s'associer à la gl
rie plus ou moins permanente serait la conséquence de l'extension des lésions de la moelle au plancher du quatrième ventricule.
ue instant dans des diagnostics erronés en prenant pour une maladie à lésion organique une affection qui n'en comporte pas, et
côté, hémiplégie des membres du côté opposé). Il est produit par une lésion du pédoncule cérébral intéressant les fibres du m
t fort sérieux, car le syndrome en question dénote nécessairement une lésion organique de siège déterminé et toutes les vraise
lte de notre examen ultérieur qu'il n'existe chez cette malade aucune lésion organique, que nous n'avons là qu'une apparence
publiait un cas, à localisation unique et très nette, montrant qu'une lésion de la partie inférieure et interne du pédoncule c
Soc. anat., mars 1877. 3 Gubler. — Gazette hebdom., n° 6, 1859. des lésions un peu dans toutes les parties de l'encéphale : n
avait amené le syndrome clinique en question. Il va sans dire qu'une lésion située à la base du crâne, une tumeur par exemple
e par un autre mécanisme, mais il faut que vous sachiez que certaines lésions du pédoncule, localisées dans un point donné, peu
e de laquelle on ne trouva' pour toute altération encéphalique qu'une lésion ancienne du pédoncule cérébral. Dans ce cas 1res
alterne caractéristique. Inutile de vous dire que le diagnostic d'une lésion 1 Fleichsmann. — Wien. med. Woch., 1871. 2 Ha
toutes ces considérai ions vous retiendrez ceci, qu'il y a certaines lésions du pédoncule cérébral (partie inférieure et inter
une paralysie alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté (côté de la lésion ) et des membres, du facial et de l'hypoglosse de
es membres, du facial et de l'hypoglosse de l'autre (côté opposé à la lésion ). Pour connaître, Messieurs, les raisons de ce
troisième paire. Vous concevez déjà par ce simple rapport qu'une même lésion puisse atteindre simultanément le moteur oculaire
membres, du facial inférieur et de l'hypoglosse, du côté opposé à la lésion , et produira ainsi l'un des deux éléments fondame
un des deux éléments fondamentaux du syndrome de Weber. Si cette même lésion détruit ou comprime le nerf ocuîo-moteur, le seco
anatomique que nous venons de faire, il est aisé de concevoir que la lésion de l'oculo-moteur commun puisse être intra ou ext
expliquent la solidarité pathologique de ces divers organes dans les lésions intraprotubérantielles de quelque étendue. Suppos
Millard-Gubler. Il est tout aussi aisé de concevoir en même temps une lésion de l'abducens et, par suite, une paralysie de la
e bulbo-protubé-rantielle, c'est toujours le siège et l'étendue de la lésion qui déterminent la nature et le nombre des manife
atégorie du syndrome de Weber. Mais ne vous hâtez pas de localiser la lésion qui a donné naissance à ce syndrome dans la régio
e. Je vous ai déjà déclaré que nous n'étions point ici en présence de lésions organiques et que nous nous trouvions au contrair
al inférieur et l'hypoglosse sont habituellement intéressés, et cette lésion se traduit, comme vous le savez, par la paralysie
de ce genre, méfiez-vous, elle ne relève très probablement pas d'une lésion organique. Celte réserve me semble suffisamment j
releveur de la paupière et que, quelque rare que soit une pareille lésion , elle n'est pas impossible organiquement. Mais al
assurément que l'hystérie ne fût ici qu'un revêtement surajouté à une lésion organique; on peut être hystérique et avoir un tu
oir les découvrir les stigmates officiels de l'hystérie, l'idée d'une lésion organique pouvait venir à l'esprit. J'adressai ce
t des diverses manifestations qu'elle peut présenter pour simuler les lésions organiques ; vous voyez quelle serait la situatio
la foi d'un diagnostic anatomique, eût ici déclaré l'existence d'une lésion incurable, tandis qu'un autre mieux avisé eût pro
— Champ visuel rétréci à 55°; pas de dyschromatopsie. Y = y2. Pas de lésions du fond de l'œil. Contracture de l'accommodation;
un cas de paralysie radieulaire de la première paire dorsale; Avec lésion hémilatérale de la moelle, d'origine trauma-tique
ultés du diagnostic. — Observation d'un malade :'lésion de la moelle, lésion des nerfs du plexus brachial, troubles du mouveme
lgésie avec thermo-anesthésie et conservation du tact) dans ce cas de lésion d'un nerf périphérique et dans le domaine du nerf
scles postérieurs de l'avant-bras, les extenseurs. La physionomie des lésions rappelle l'atrophie musculaire du type Duchenne-A
symptômes se rencontrent dans la syringomyélie; ils indiquent que la lésion atteint les cordons latéraux. Il s'agirait dans l
els dans la syringomyélie; ils doivent être sans doute attribués à la lésion du centre cilio-spinal. M. Brühl les a rencontrés
ion syringomyélique de la sensibilité? Peut-elle être produite par la lésion d'un nerf périphérique? Elle n'est donc pas spéci
ation du nerf brachial cutané interne, et laissez-moi imaginer que la lésion originelle porte sur la première paire dorsale, d
3° au médian qui donne lieu à la même observation1. Eh bien! une même lésion peut expliquer tous les phénomènes que le bras du
phénomènes que le bras du malade nous a présentés. Admettez que cette lésion porte sur le premier nerf dorsal, et vous vous ex
ndrome spécial et ce syndrome est caractéristique non seulement d'une lésion radiculaire de la première paire dorsale, mais en
ne lésion radiculaire de la première paire dorsale, mais encore d'une lésion portant sur cette paire nerveuse au niveau du tro
et le cubital. Mais ce n'est pas tout d'affirmer l'existence de la lésion et de la localiser, il faut en trouver la cause,
ment réalisées, puisque nous avons déterminé nettement le siège de la lésion rachi-dienne. J'espère vous avoir montré, par c
toutes par la connaissance plus exacte de leurs symptômes ou de leurs lésions , celles, en un mot, que nous savons diagnostiquer
iplicité de ses localisations, de ses formes et de ses dimensions, la lésion lacunaire est capable de produire les phénomènes
, si l'on voulait pousser plus loin le diagnostic topographique de la lésion spinale, rien n'empêcherait d'admettre que la gli
t étendue ultérieurement dans la direction de la commissure grise. La lésion du faisceau pyramidal a produit la contracture ;
un substratum anatomique constant, lequel n'a rien de commun avec les lésions syrin-gomyéliques. Fig..ko. Sans doute, on pe
, par exemple, pourrait, à la rigueur, ne dépendre que du degré de la lésion centrale, etc. A cela il est facile de répondre q
le, etc. A cela il est facile de répondre que rien ne démontre que la lésion du corps pituitaire soit la cause de l'acromegali
du membre supérieur. Il est possible que notre malade'soit porteur de lésions analogues. En tout cas, l'acromégalie vraie en es
t elle ne différerait de celle-ci que par le siège et l'étendue de la lésion glio-mateuse. Deux observations, suivies d'exam
émiplégiques (1). Sommaire. — L'hémiplégique organique vulgaire par lésion cérébrale marche « en fauchant. » Observations de
ous examinez, dit-il, une personne atteinte d'hémiplégie par suite de lésion organique du cerveau, vous remarquerez que, lorsq
n marchant. » Ce signe est suffisant pour rejeter l'hypothèse d'une lésion de la capsule interne. L'hémiplégie, dont nous pa
argés. Son père est alcoolique et vous savez quel grand générateur de lésions nerveuses est l'alcool; son cousin germain est mo
sente ce malade, cherchez, si vous le pouvez, à les expliquer par des lésions organiques. J'y renonce pour ma part, convaincu q
lepsio partielle » dans le diagnostic de l'hémiplégie syphilitique. Lésions de la syphilis cérébrale. Historique. Plaques gom
e nocturne syphilitique. Ses localisations. Névrite optique. Autres lésions syphilitiques : œil, oreille, nez. Syphilis héréd
e la syphilis cérébrale enseigne en pareil cas. Règle générale, les lésions de la syphilis cérébrale sont des lésions méningé
cas. Règle générale, les lésions de la syphilis cérébrale sont des lésions méningées, et, dans la majorité des cas, ce sont
sions méningées, et, dans la majorité des cas, ce sont avant tout des lésions de la base. Déjà Morgagni signale « tria gummata
ie Syphilitisch. Erkrank, des Nerveîisystcms. Wies baden, 1887. ces lésions basales qui peuvent être les seules observées dan
ques gommeuses plutôt que des tumeurs arrondies et circonscrites, des lésions en nappe, des lésions superficielles en tout cas
que des tumeurs arrondies et circonscrites, des lésions en nappe, des lésions superficielles en tout cas qui n'affectent d'abor
d de la pulpe cérébrale elle-même. Mais laissons pour aujourd'hui ces lésions graves au premier chef, pour ne parler que des pl
erfs moteurs de l'œil, etc., se trouvent englobés ; ils subissent des lésions de compression ou d'infiltration qui se traduisen
la paralysie des muscles de l'œil, soit par la névrite optique. Ces lésions basales, que je ne fais qu'esquisser devant vous,
produisent l'épilepsie syphilitique partielle. Celle-ci ressortit aux lésions de la convexité, de la région fronto-pariétale. I
nvexité, de la région fronto-pariétale. Il est vrai d'ajouter que ces lésions de la convexité sont généralement surajoutées à
énéralement surajoutées à celles de la base, de telle manière que les lésions pariétales seraient précédées de lésions basales.
se, de telle manière que les lésions pariétales seraient précédées de lésions basales. Les lésions pariétales sont aussi des
e les lésions pariétales seraient précédées de lésions basales. Les lésions pariétales sont aussi des altérations méningées,
aussi des altérations méningées, des altérations gommeuses en nappe ( lésions pachyméningitiques) qui ont été bien figurées dan
que, mais pour que cette épilepsie se produise, faut-il encore que la lésion méningée affecte une certaine localisation.il fau
enne, par la main et le membre supérieur, comme chez cette malade. La lésion mônin-gitique siège-t-elle en dehors de cette zon
tés, mais jamais de l'hémianesthésie totale qui semble appartenir aux lésions de la capsule interne, lésions qui doivent être é
hésie totale qui semble appartenir aux lésions de la capsule interne, lésions qui doivent être éliminées ici. Donc, dans le cas
ent démontré. Il pourrait bien s'agir d'autre chose ; il y a d'autres lésions que la pachymé-ningite gommeuse qui peuvent produ
s méninges dans les premières phases de leur développement, certaines lésions très circonscrites de l'écorce des circonvolution
et je reconnais que nous n'avons pas encore démontré l'existence des lésions syphilitiques. Je passe donc à la démonstration.
, en étudiant la question de plus près, on est conduit à localiser la lésion , et cette localisation est précisément celle qu'o
ne nous ont rien appris. Les téguments ne présentent aucune trace de lésion spécifique ; les souvenirs de la femme et du mari
isée par l'infiltration sans étranglement de la papille. C'est là une lésion qui est dans la logique des choses ; elle représe
a céphalée, un nouveau stigmate. L'œil droit présente lui aussi une lésion spécifique, un stigmate qui serait à peu près car
syphilitique. Vous n'ignorez pas que les auteurs considèrent cette lésion comme un stigmate syphilitique à peu près univoqu
lie, péremptoirement établie par l'ensemble des caractèces suivants : lésions nasales spéciales, névrite optique relevant de la
ystérique soit survenue provoquée parles accidents syphilitiques, les lésions superficielles, comme sont ici les nôtres, étant
ue seule pourrait expliquer, en dehors de l'hypothèse d'hystérie, une lésion de la capsule interne. Et maintenant je n'ai pl
, car, étant donné que l'épi lepsie partielle est le résultat d'une lésion en nappe, vous avez à redouter que cette lésion s
est le résultat d'une lésion en nappe, vous avez à redouter que cette lésion s'étende dans la profondeur, dans la substance cé
ts partiels et quelquefois nuls. Nuls quand il s'agira par exemple de lésions vulgaires — je me propose de vous en montrer, ven
artielle pure qui, dans l'intervalle des accès, ne sont pas suivis de lésion permanente des membres, alors même que coexistera
ue ; le ramollissement cérébral vulgaire qui en est le résultat ; les lésions ainsi produites sont irréparables et le traitemen
moteurs du membre supérieur droit et n'ayant pas encore déterminé de lésion organique de l'écorce cérébrale de ces régions. E
mardi dernier, en outre de la méningite gommeuse, c'est-à-dire d'une lésion superficielle par rapport à l'encéphale, il faut
superficielle par rapport à l'encéphale, il faut considérer aussi les lésions gommeuses qui pénètrent dans la substance même de
les sujets atteints d'artériosclérose. L'unique différence est que la lésion artérielle syphilitique pourrait probablement êtr
mollissement. Et si l'artérite qui lui a donné naissance est bien une lésion de nature syphilitique, la lésion qui se produit
lui a donné naissance est bien une lésion de nature syphilitique, la lésion qui se produit dans le tissu encéphalique, en con
ion vasculaire, ne mérite plus de porter ce nom. Ce n'est qu'une pure lésion de canalisation, mécanique, devant laquelle bien
se du mode de début — et en préciser le siège ? Très certainement. La lésion est incontestablement profonde, ineffaçable; elle
entraîné la dégénération secondaire. Et c'est là, vous le savez, une lésion permanente, en grande partie irréparable. Et, pou
istribution de l'artère sylvienne, et vous vous rendrez compte qu'une lésion des artères du corps strié puisse produire une te
hémiplégie. Je suis cependant porté à croire qu'il s'agit ici d'une lésion des branches terminales de la sylvienne, et que l
ssante de phénomènes que nous ne rencontrons pas d'ordinaire dans les lésions des masses centrales et que nous sommes au contra
centrales et que nous sommes au contraire habitués à trouver dans les lésions corticales en foyer. Dès les premiers temps de
Ce qui marque encore les régions corticales comme étant le siège des lésions , c'est la déchéance intellectuelle vraiment profo
ctères décisifs ? Avez-vous en concomitance avec l'hémiplégie quelque lésion basale qui, dans l'espèce, serait à peu près déci
c'est au cours de cette céphalée que se sont préparées les terribles lésions artérielles qui ont abouti à la production des ac
ns à vous signaler expressément. Étions-nous donc en présence d'une lésion organique ? Oui, peut-être, mais bien légère, vra
se en plaques. Quelques symptômes rares ou anormaux de cette maladie. Lésions de la papille du nerf optique; diagnostic avec la
cérébro-spinale, cette affection que caractérisent anatomiquement des lésions singulières dont je vous rappelais, il y a quelqu
montré que les paralysies des muscles de l'oeil s'expliquent par les lésions scléreuses de l'abducens et du moteur oculaire co
erche, même en dehors des troubles visuels accusés par le malade, des lésions du fond de l'œil. Il s'agit là d'un point de vu
ux insister tout particulièrement. Vous n'ignorez pas que parfois les lésions les plus nettes de la névrite optique ne produise
it remarquer à ce sujet que la paraplégie spasmodique, combinée à une lésion du nerf optique, peut être quelquefois l'unique i
statation, dans certaines formes anormales de sclérose en plaques, de lésions ophthal-moscopiques prendrait une importance diag
e sclérose en plaques. Chez quarante-cinq d'entre eux il a trouvé des lésions ophthalmoscopiques en rapport avec la sclérose mu
le que de six mois. Par contre, plusieurs de ces malades, porteurs de lésions ophthalmoscopiques, ne se plaignaient d'aucun tro
staté durant la vie aucun trouble visuel. Il est vrai de dire que les lésions trouvées à l'autopsie occupaient le segment posté
portion intra-oculaire des nerfs optiques n'offre d'habitude que des lésions insignifiantes qui ne permettent pas plus de préj
es. Vous devrez désormais, de parti pris, aller à la recherche de ces lésions papillaires, que les malades accusent ou n'accuse
, l'hébétude du faciès, le nystagmus, les paralysies oculaires, les lésions de la papille.....qui peuvent compliquer la par
..., l'incoordination motrice peut-être. C'est que, dans l'espèce, la lésion prédomine dans les faisceaux postérieurs de la mo
éfaut. Vous pourriez peut-être songer à une myélite transverse, à une lésion cérébelleuse, à la maladie de Friedreich. Détromp
rée fait craindre qu'il ri y ait là dans Vaxe cérébro-spinal quelques lésions inflammatoires persistantes du genre des sclérose
qué par M. le Dr Gellé, le 15 mars 1890, montre qu'il n'existe aucune lésion organique ni aucun trouble de l'accommodation, ni
ois, huit jours avant la paralysie faciale. Pupilles normales. Pas de lésions du fond de l'œil. L'odorat est parfaitement con
eu rude, mais sans râles, ni souffle. En somme, il n'existe pas là de lésions bien accentuées pour l'instant. Si Ton examine
lumière et à Ãàñ- commodation, qui a son amplitude normale. Pas de lésion du fond de l'œil. Champ visuel normal. O. D. V.=-
cial et de l'abducens ne peut guère s'expliquer autrement que par une lésion de ces deux nerfs au niveau de la partie inférieu
niveau de la partie inférieure de la protubérance. S'agit-il là d'une lésion nucléaire, portant sur les noyaux d'origine ? Cet
. Il ne s'agit donc pas ici d'une véritable paralysie nucléaire. La lésion , qu'on ne saurait cependant, en raison de la comb
d'origine et leur point d'émergence. Quelle est la nature de cette lésion protubérantielle dont la présence nous explique l
du facial et du moteur oculaire externe, du côté droit. Mais cette lésion est loin d'expliquer tous les phénomènes présenté
ubercule situé dans la moitié droite delà protubérance. En effet, les lésions de la protubérance, lorsqu'elles s'accompagnent d
s. — Rôles respectifs du traumatisme, de l'appareil à fracture, de la lésion du nerf médian, dans le développement des acciden
es 3e et 6e paires Essai de pathogénie. — Trois cas avec autopsie : lésions sur le trajet du nerf moteur oculaire commun. T
seuls muscles moteurs du globe oculaire. Considérations anatomiques ; lésions nucléaires. Valeur séméiologique de l'ophthalmo
ctions. Anatomie et physiologie pathologiques de la syringomyélie : lésions cavitaires ; symptômes extrinsèques (leucomyéliqu
côté, hémiplégie des membres du côté opposé). Il est produit par une lésion du pédoncule cérébral intéressant les fibres du m
ur un cas de paralysie radiculaire de la première paire dorsale, avec lésion hémilatérale de la moelle, d'origine trauma-tique
syringomyélie, difficultés du diagnostic. — Observation d'un malade : lésion de la moelle, lésion des nerfs du plexus brachial
ultés du diagnostic. — Observation d'un malade : lésion de la moelle, lésion des nerfs du plexus brachial, troubles du mouveme
algésie avecthermo-anesthésie et conservation du tact) dans le cas de lésion d'un nerf périphérique et dans le domaine du nerf
iques. (Leçon). Sommaire. — L'hémiplégique organique vulgaire par lésion cérébrale marche « en fauchant. » Observations de
lepsie partielle » dans le diagnostic de l'hémiplégie syphilitique. Lésions de la syphilis cérébrale. Historique. Plaques gom
e nocturne syphilitique. Ses localisations. Névrite optique. Autres lésions syphilitiques : œil, oreille, nez. Syphilis héréd
ue ; le ramollissement cérébral vulgaire qui en est le résultat ; les lésions ainsi produites sont irréparables et le traitemen
se en plaques. Quelques symptômes rares ou anormaux de cette maladie. Lésions de la papille du nerf optique; diagnostic avec la
isme, 424. Déviation secondaire dans le strabisme, 424. Diabète : lésions nerveuses secondaires, 259 ; — névralgies symétri
amidal chez les—, 428. Globe oculaire : enfoncement du — dans les lésions du plexus brachial, 345. Glycosurie et diabète,
brachial, 345. Glycosurie et diabète, 258; — ta-bétique, 277; —par lésions nerveuses, 260. Gommes de cerveau : localisatio
e et hystérie, 368. Grand sympathique : participation du — dans les lésions du plexus brachial, 344. H Helxipode (démarch
e, 7; Dissociation syringo-myélique de l'anesthésie dans la —, 341. Lésions vertébrales, conséquences tardives des —, 347.
drome de — Gubler, 317 ; — anatomie pathologique, 318. Moelle : lésion par coup de feu de la—, 335. Morvan : maladie d
e, 425 : — diplopie dans la paralysie du nerf, 422. Myosis dans les lésions du plexus brachial, 345. N Nerf brachial cuta
169, 179. Névrite optique dans la syphilis cérébrale, 380. Nez : lésions du — dans la syphilis héréditaire tardive, 381.
storique, 290. 297. Paraplégie diabétique, 257. Plexus brachial : lésion trauma-tique du —, 346; — rameau communiquant du
nt du grand sympathique, 344 ; Enfoncement du globa oculaire dans les lésions du —, 345 ; Distribution de l'a-nesthésie dans le
e dans les lésions du —, 345 ; Distribution de l'a-nesthésie dans les lésions du —, 343. Polioenoéphalomyélite, 187, 208. Pro
e du sourcil dans le —, 325. Pupille : troubles de la —, dans les lésions du plexus brachial, 315. R Ramollissement d
coudre, 170; — double amyotrophique, 179; — obstétricale, 131 ; — par lésion du petit bassin. 137; — et hystérie, 166, 177.
339. Simulation re la syringomyélie par l'hystérie, 105; - par une lésion traumatique de la moelle et du plexus brachial, 3
le, 380,385 ; — héréditaire tardive 370; — et hérédité nerveuse, 382; Lésions de la—, 372; Névrite optique dans la — , 380; Epi
taire tardive : cérébrale, 370; Atrophie choroï-dïenne dans la —,380; Lésions du nez dans la —, 381. T To db : démarche de
13 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
é du système osseux, il deviendra possible de reconnaître certaines lésions qu'aucun procédé n'aurait per- mis de percevoir
nation de la position des esquilles, la représentation de certaines lésions seront obte- nues avec une grande précision. .
méthode de M. Roentgen permettra donc en principe de rechercher les lésions osseuses, soit traumatiques, soit congénitales, e
trière des épreuves exécutées sur divers sujets présentant diverses lésions osseuses, ou chez lesquels on cherchait des cor
accidents, ni comme complication. L'hypothèse d'une anesthésie par lésion de l'encéphale n'est pas davan- tage admissible
a sectionné à peu près complètement les cordons postérieurs. ' La lésion est-elle limitée à la substance grise ? J'incline
u'il n'existe pas entre l'abolition de la sensibilité tactile et la lésion des cor- dons postérieurs un rapport aussi cons
cordon de Goll était désorganisée par la néoplasie. Par places, la lésion du cordon postérieur était plus prononcée à gauch
araissent absolument normaux à l'oeil nu ; on ne voit pas de grosse lésion au niveau de la moelle lombaire ; toutefois, le t
es grands signes d'une compression de l'encéphale sont absents. Les lésions oculaires elles-mê- mes (ophtalmoplégie interne
une syphilis cérébrale n'estpasplus satisfaisante. La fréquence des lésions oculaires y est telle que notre pre- mière pens
que notre pre- mière pensée avait été de rattacher à celle cause la lésion en présence de laquelle nous nous trouvions. No
ade a perdu ses cheveux à un moment donné : mais il s'agit là d'une lésion toute spéciale, de l'alopécie arthritique sébor
ro-cer- vicale surtout marquée du côté gauche. Mais outre que celte lésion peut se montrer dans un grand nombre d'étals mo
urait être invoquée comme argument irréfutable, puisqu'il s'agit de lésions anciennes contre lesquelles le mercure et l'iod
laires sont contraires il l'hypo- thèse de syphilis cérébrale : une lésion méningée, une infiltration jadis embryonnaire,
diffusion etproduire une pareille étrangeté dans la répartition des lésions . En pareil cas et par suite de sa prédilection
spécificité antérieure et que l'on n'avait retrouvé chez lui aucune lésion apparente suspecte (1). Nous ne croyons pas du
té est bien celle que les spécialistes décrivent comme constituant la lésion oculaire fondamentale des tabétiques. Puisqu'
, la pointe plan- taire semble légèrement affaissée. (PI. IV.) La lésion siège ici sans aucun doute, dans les bourses sére
ait pas ; cette amyotro- phie est consécutive sans aucun doute à la lésion des bourses séreuses, et au- jourd'hui que la d
serait plus vrai. Disons dès maintenant qu'au niveau du siège de la lésion la sensibilité est intacte. En outre il n'y a
nce des arthropathies aux membres inférieurs sous la dépendance des lésions des bourses séreuses -- quant à l'inégalité pupil
, en ont présenté toute leur existence, alors qu'elles n'ont aucune lésion de leur système nerveux, sans cause peut-on dir
and in- térêt, et nous a permis, grâce à un examen méthodique de la lésion , d'é- lucider le mécanisme du syndrome physiolo
qui auront leur im- portance pour le diagnostic topographique de la lésion : d'une façon géné- rale, les membres supérieur
érieure, ils éclairent précieusement le diagnostic du siège de la lésion . Aux membres inférieurs la sen- sibilité tact
cilio-spinal, on formula le diagnostic suivant : , Paraplégie par lésion de la moelle ; lésion bilatérale transverse, inté
mula le diagnostic suivant : , Paraplégie par lésion de la moelle ; lésion bilatérale transverse, intéres- sant certaineme
uelques adhérences anciennes avec la paroi. Le coeur n'offre aucune lésion apparente. Le foie est congestionné, un peu gro
oyenne, normale; les reins normaux. Le cerveau ne présente aucune lésion macroscopique ; les veines ménin- gées sont dil
scription nécropsique s'arrêtera là, la topographie complète de nos lésions n'ayant pu nous être donnée que par l'examen d'en
atiquées sur la moelle. Anatomie pathologique. A. Topographie des lésions . L'examen macroscopique de la moelle, il l'auto
e de la moelle, il l'autopsie, avait dû forcément être restreint,ia lésion devant être ménagée en vue des coupes histologiqu
r leur examen d'ensemble, d'établir exacte- ment la topographie des lésions macroscopiques. La moelle, dans l'étage corresp
faisceau cérébelleux direct. Telle est la topographie générale des lésions sur la coupe qui passe par le diamètre maximum
étage des tumeurs pro- prement dites (Fig. 14). B. Histologie des lésions . L'examen macroscopique (ou à un faible grossis
os coupes, en nous permettant d'établir 1;\ topographie des grosses lésions , ne nous z a montré en réalité que les deux gom
s, et nous montrera a,côté des formations gommeuses un «ensemble de lésions fines, diffuses, répondant il une méningo-vasculo
acines. I. Dure-mère. Généralement peu altérée, elle ne présente de lésions véritables que dans les points où elle contract
l'adhérence duro-mé- dullaire. Au-dessous, même disposition ; les lésions de la méninge ne s'étendent qu'à courte distanc
achnoïde. L'arachnoïde est, comme la dure-mère, peu atteinte et ses lésions n'existent que dans le voisinage des adhérences d
1 Au-dessus et au-dessous des adhérences, l'arachnoïde présente des lésions décroissantes, qui reparaissent irrégulièrement
la pie-mère est, suivant la règle, de beaucoup la plus altérée. Les lésions de leptoméningite sont consti- tuées ici dans l
oduites dans les thèses de Sottas et de Lamy. La prédominance des lésions de la pie-mère est naturellement en rap- port a
aturellement en rap- port avec le voisinage de la tumeur ; mais ces lésions ne restent point confinées dans ce voisinage; e
des foyers médullaires principaux, la pie-mère présente encore les lésions caractéristiques de la leptoméningite aiguë diffu
ningite aiguë diffuse, 62 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE lésions qui sont partout en rapport avec l'infiltration d
isseaux. Les vaisseaux périmédullaires nous offrent d'impor- tantes lésions , caractérisant le processus méningo-vasculaire" q
veines sont également atteintes, d'une façon générale ; mais leurs lésions ne sont point toujours parallèles dans les divers
peine atteintes. - . 1 Si nous abordons maintenant le détail de ces lésions , nous consta- tons les faits suivants : ' L'a
s points du segment médullaire sur lequel nos coupes ont porté, les lésions les plus intenses : au-dessous même du niveau o
e la gomme droite,' celle artère est déjà très altérée : FiG. la. - Lésions histologiques : A. Artère'et veine spinales ant
es tumeurs, l'artère spinale antérieure présente en- core les mêmes lésions de périendartérite ; sa lumière reparaît peu à pe
ent en amas qui flanquent un des bords du vaisseau ; plus haut, les lésions s'accentuent : on peut suivre sur la série ascend
sur la série ascendante des coupes le développement progressif des lésions : à la hauteur de la gomme droite, les deux art
le postérieure apparaît dès les coupes inférieures, avec de grosses lésions : très épaissie, réduite à un calibre insignifian
tade avancé de l'infection ; au sur et à mesure que l'on monte, les lésions s'accentuent et on trouve bientôt la veine complè
veine complètement oblité- rée. . Nous n'insisterons pas sur les lésions des autres vaisseaux de la cavité sous-arachnoï
s les ca- naux sanguins, artères et veines, et ne diffèrent pas des lésions que nous ' venons de décrire pour les vaisseaux
res démontrent par la nature, l'importance et la constance de leurs lésions qu'ils sont les véritables agents de diffusion
diffusion du processus inflammatoire et aussi les localisateurs des lésions . Dans toutes nos coupes nous les avons trouvés
a-spinaux dont ils émanent. Les artérioles présentent partout des lésions de périartérite intense, et ceux de ces conduit
5). Les coupes de cet étage sont remarqua- bles par la symétrie des lésions ; et sur celles colorées par la méthode de Weig
t et d'autre du sillon médian. Les vaisseaux pré- sentent les mêmes lésions , et dans les points inférieurs de la tumeur, on
la tumeur (Pl. X, D, E, F). VI. Faisceaux blancs. En général, les lésions de dégénérescence sont peu marquées dans les di
cornes postérieures et en arrière de la commissure. A ce niveau la lésion dominante est la sclérose embryonnaire qui dissoc
daux direct et croisé, ne présentent, comme les précédents, que des lésions limitées, situées immédiatement au-dessous du f
si élégants, décrits dans les observations de Sottas. Ces dernières lésions indiquent que ces régions de la moelle, soumise
reste l'emplacement de celles-ci. Aussi ne pouvons-nous décrire les lésions histologiques de la substance grise an- térieur
istance de ces foyers, les cornes antérieures ne présentent que des lésions en rapport avec son infiltration embryonnaire p
n au-dessus qu'au-dessous. VIII. Racines. D'une façon générale, les lésions radiculaires portent surtout sur les racines an
le foyer principal occupe la région antérieure de la moelle. z Les lésions varient suivant le point considéré : En ce qui
ans les premières racines motrices qui émergent de la tumeur; cette lésion se manifeste donc à gauche plus haut qu'adroite,
par le centre de la gomme gauche, montrent bien cette inégalité des lésions radiculaires gauches et droites : tandis que le
t colorés, les racines gauches, issues de la tumeur, présentent des lésions croissantes, caractérisées par la décoloration pu
es, qui portent sur les éléments nobles des racines, se placent des lésions beaucoup plus étendues, dépendant de l'infiltra
précède ne laisse guère de doute, pensons-nous, sur la nature de la lésion : il s'agit bien ici d'une méningo-myélite syphil
syphilitiques de la moelle : tandis qu'on ne compte plus les autres lésions syphilitiques de cet organe (méningites diverse
ommeuse, tuberculose et syphilis obéissent à un même processus : la lésion perd ses caractères de spécificité en atteignant
érations des méninges et des vaisseaux, le type le plus parfait des lésions syphili- tiques. La diffusion de la leptoméni
é du névraxe, l'infiltration pie-mérienne envahissant la moelle par lésions vasculaires, les lésions remarquables de ces va
ion pie-mérienne envahissant la moelle par lésions vasculaires, les lésions remarquables de ces vaisseaux mêmes, périartérite
leur importante. ' " Notre malade n'était porteur d'aucune autre lésion tuberculeuse, ni pulmonaire, ni cérébrale, ni i
ssé une signature indiscutable. 1 La nature syphilitique de notre lésion étant établie, y trouvons-nous quelque particul
blable, étant donné la participation remar- quable des méninges aux lésions inflammatoires et la présence des deux symphyse
gommeux une fois installé dans la moelle, le déve- loppement de la lésion s'est continué sur le même type, atteignant son
herche a été négative. (2) L'existence de cellules géantes dans les lésions spécifiques de la syphilis a été ob- servée par
otre malade, nous avait permis dès le premier jour d'af- firmer une lésion de la moelle et d'en fixer la hauteur sur le névr
evanche, nous avions été moins affirmatifs sur la nature même de la lésion et l'hypothèse, que nous avaient rendue vraisem
n de la marche des acci- dents. Il est en effet surprenant qu'une lésion aussi étendue; aussi destructive que celle que
ation de son métier. Comment expliquer dès lors cette latence d'une lésion énor- me ? Les faits sont là : tâchons d'en éba
originelles avec les méninges antérieures, on peut supposer que la lésion a débuté par le sillon antéro-latéral, et cela à
t peut cliniquement ne donner lieu à aucun phénomène objectif. , La lésion , dans ses débuts, a donc pu n'intéresser que les
rs et des phénomènes doulou- reux. Cette phase de l'évolution de la lésion répond, selon nous, à la pé- riode de prodromes
paraplégie complète et d'anesthésie du territoire sous-jacent à la lésion : un sembla- ble accident ne peut être imputé q
à la lésion : un sembla- ble accident ne peut être imputé qu'à une lésion soudaine, importante, d'un étage transversal de
i se trouve confirmée par l'examen histologique qui nous montre les lésions artérielles arrivées au stade de l'endartérite
, d'IIertel ; dans aucun de ces cas il ne s'agissait de gommes ; la lésion relevait simplement d'une méningomyé- lite à pr
du cordon postérieur, l'anesthésie du côté opposé, au-dessous de la lésion . Par les mêmes raisons la tumeur droite est la
nos raisonnements l'examen systématique, en coupes sériées, de nos lésions , et si nous n'avions trouvé dans une observation
'explication au moins théorique d'un fait analogue, portant sur une lésion unilatérale. Il est impossible d'aborder ce pro
s son application actuelle, n'exclura en aucune façon le rappel des lésions constatées histologiquement. Considérons d'abor
dorsale MD2, détermine la paralysie droite du corps au-dessus de la lésion , zone PD ; que la participation loca- lisée de
cupe, c'est qu'il s'agit ici d'un syndrome double déterminé par une lésion bilatérale de la moelle. *. Un dernier fait nou
e malade au niveau des membres inférieurs. Ici encore le rappel des lésions histologiques servira de'base à notre ar- gumen
aîne à merveille : d'une façon générale, dans tout l'étage de notre lésion , les portions médianes et pos- térieures des co
lets sensitifs émanés de ces régions aboutissaient et l'étage de la lésion , et que le relai sensitif établi dans la substa
delà des tumeurs ; quoi de plus naturel, dès lors, qu'une pareille lésion , équivalant physiologiquement à une lacune syring
(3), il existait bien des troubles de la motilité in- dépendants de lésions cérébrales, mais ceux-ci se rapportaient à des ph
ence. d'éruptions cutanées permettrait de soupçonner la présence de lésions spinales. Potain(l) aurait observé deux jumelle
42. LA SYPIIILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 83 philis avec lésions cutanées et bronchiques, sans autres détails clin
alibre était considérablement rétréci. Kahler et Pick comparent ces lésions à celles décrites par Charcot et Gombault (1) d
ment de la mort, 2 mois et 10 jours, le moins âgé 19 jours. - Les lésions qu'il a trouvées dans la moelle consistaient surt
on ne peut tirer aucune conclusion des recherches de Jarisch et des lésions assez peu précises qu'il a constatées. L'auteur s
e relier l'exanthème syphilitique qui existait chez ses sujets, aux lésions des cellules médullaires. Il trouvait, dans ces
les, surtout dé- (1) CHARCOT et A. 'GO.)113AULT. Note sur un cas de lésions disséminées des centres ner- veux observées che
érose des vaisseaux de la région cervicale de la moelle. Di- verses lésions syphilitiques des autres organes. 2e cas. Enfan
cation. La substance cérébrale ramollie ne permet de relever aucune lésion tant ma- croscopique que microscopique. La mo
int de vue anatomique, la méningo- myélite diffuse embryonnaire des lésions viscérales, en particulier de l'hépa- tite inte
é, reconnaissant une même origine vasculaire. - A l'instar de ces lésions hépatiques si fréquentes et si souvent ignorées,
ues si fréquentes et si souvent ignorées, il est à présumer que les lésions médullaires, qu'un même processus gé- néral tie
par les moyens appropriés. (1) HUDELO. Contribution à l'étude des lésions viscérales dans la syphilis héréditaire . Lésio
ion à l'étude des lésions viscérales dans la syphilis héréditaire . Lésions du foie. Th. Paris, février 1890. LA SYPIIILIS
i de former des agglomérats gommeux) qui est'la base anatomique des lésions tant encéphalo-mé- dullaires que viscérales del
iscérales de la sy- philis héréditaire associées si fréquemment aux lésions nerveuses. Et si nous parlons de localisation c
de troubles de la motilité. L'enfant mourut de diphtérie. Outre des lésions osseuses attribuables à la syphilis, on trouva,
d'une cerise. Gomme céré- brale ; hydrocéphalie interne. , Pas de lésions vertébrales. La dure-mère spinale, dans les régio
rs lorsqu'ils existent ne doivent pas être toujours attribués à des lésions limitées exclusivement à l'encéphale, que les l
tribués à des lésions limitées exclusivement à l'encéphale, que les lésions médullaires ne sont pas constamment de simples dé
ayons X, la recherche des corps étrangers et l'étude de cer- taines lésions du squelette. 91 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SA
ormé et plus sombre. Cela nous indique qu'il y a eu en ce point une lésion : l'os est devenuplus épais ou plus opaque. S
es, j'arrive à deux cas tout différents qui ont trait à l'étude des lésions osseuses. Voici d'abord une très belle photogra
, il n'est pas douteux que le cerveau participe au processus si ses lésions ne le commandent pas tout entier. Et les autops
illeurs assez rares, qui ont été publiées (1) montrent en effet des lésions de porencéphalie, de sclérose lobaire, d'atrophie
mémoire, appartiennent incontestablement il cette catégorie où les lésions cérébrales sont prédo- minantes, l'opinion émis
ez bon. Genu valgum gauche accentuée Pas do cicatrices cutanées, de lésions des membranes de l'oeil. Le système dentaire
lésions des membranes de l'oeil. Le système dentaire présente des lésions qui méritent d'être minutieuse- ment décrites.
s. Dans les cas congénitaux,en effet, semble,avons-nous dit,que les lésions anatomiques soient presque toujours sensiblemen
ue dépôt sur la région supérieure de la moelle et ses membranes. La lésion comprimait également les deux côtés car les deu
apillaire ; pas d'autop- sie. L'auteur,sans préciser lesiègede la lésion ,conclut à une paralysie vraie après avoir élimi
nté des phénomènes de rigidité généralisée. L'autopsie montre des lésions intéressant à la fois tout l'axe cérébro-spi- n
r que, dans ce cas, l'altération de la moelle était consécutive aux lésions cérébrales, lesquelles paraissaient elles-mêmes,
ales, lesquelles paraissaient elles-mêmes, sous la dépendance d'une lésion vasculaire. Les deux cas de Kohls (3) sont de m
ans 1/2, hérédo-syphilitiques. Chez tous les deux, il existait des lésions de sclérose cérébrale uni et bilatérale, avec o
asilaire dans une étendue de 13 millimètres pour le premier cas, et lésions des artères de la base et des vertébrales dans
ccompagnées de scléroses descendantes de la moelle consécutives aux lésions cérébrales. Toutefois, lorsque les phénomènes c
IS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 117 drait pas conclure que les lésions médullaires qu'on peut rencontrer à l'autopsie
à des manifestations cérébrales, mais l'autop- sie démontra que les lésions gommeuses étaient étendues a l'axe spinal tout
hez les enfants ; il y a lieu de penser que, dans les deux cas, les lésions siègent dans la moelle et sont de même nature. »
généralisée ou paraplégique d'origine congénitale dans lesquels la lésion cérébrale intervient presque toujours, il existe,
tt, 1893, p. 656. (2) Charcot et A. GOII1AUL'l'. Note sur un cas de lésions disséminées' des centres nerveux observées chez
polycycliques avec une pigmentation légère sur des bords. - Cette lésion cicatricielle est environnée d'autres cicatrices
r l'évolution desquelles la malade n'a pas conservé de souvenirs. Lésions de la bouche. La malade entre à l'infirmerie pour
avons signalées, ce qui prouve qu'il a existé an- térieurement des lésions de même nature de la voûte palatine. La paralys
me. En outre, accidents syphilitiques nombreux : fistule lacrymale, lésions osseuses du nez, dactylites, gommes etc.- En 18
nasarque. Emaciation, marasme et mort. Indépendamment de nombreuses lésions que nous passons sous silence l'autopsie révéla
reilles, le nez étaient en parfait étal. L. « Mais il y avait des lésions dentaires que notre maître 111. le professeur F
e rapportées il la syphilis héréditaire tardive. « Certaines de ces lésions ont siégé certainement au niveau du bulbe, puis
exclusive comparativement aux supérieurs et, dans l'hypothèse d'une lésion unique, il est presque nécessaire que cette lésio
l'hypothèse d'une lésion unique, il est presque nécessaire que cette lésion ait été limitée, interrompant ainsi le passage
chial. « L'hypothèse d'une tumeur gommeuse surgit aussitôt. Mais la lésion a dû intéresser les méninges, car lorsque nous
itique, l'examen du fond de l'oeil n'ayant laissé apercevoir aucune lésion , à un moment ou des reliquats auraient certaineme
des troubles de l'articulation des mots, permettant de penser à une lésion de l'hypoglosse ou des nerfs du voile du palais.
de la paralysie sur les membres inférieurs, montrent (en dehors de lésions des corps vertébraux qui ont fait défaut), la par
e jugeant par 17 morts sur 19 enfants, rachi- tisme, petite taille, lésions dentaires, tout concorde pour affirmer le dia-
vu et qui est avec elle le seul survivant de 19 enfants présente la lésion dentaire d'Ilutchinson. Le traitement antisyphi
il, lequel est dévié en dehors. ' Les dents offrent toutefois des lésions marquées. Elles sont en général mau- vaises, pl
ilis acquise, mais en présence de certains stigmates déjà anciens : lésions de la voûte palatine, de la luette et de l'épiglo
). LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 139 Là encore la lésion siégeait dans les parties supérieures de la moell
avec du sirop de Gibert et des frictions d'on- guent mercuriel. Les lésions osseuses guérissent, mais ce traitement ne semble
ais ce traitement ne semble avoir produit aucune amélioration de la lésion spinale. Examen de la malade. Taille au-dessous
uspidienne. Il n'y a pas de perforation de la voûte palatine, ni de lésions nasales. Pas de cicatrices sur le corps, ni sur l
léthalité de ses frères et soeurs (8 morts sur 12, en bas-âge), les lésions dentaires, n'hésita pas à attribuer à la syphil
Le traitement spécifique s'est montré il peu près inefficace sur la lésion médullaire, mais il faut dire que celle-ci exis
fection les phénomènes observés et qui seraient en rapport avec des lésions spé- cifiques de la moelle lombaire et de la qu
ires. Par contre, l'examen nous révèle chez Mme X... l'existence de lésions dentaires très spéciales. Les incisives médiane
nne. En présence de ces dents et du fait que, pour en expliquer les lésions , on ne peut invoquer l'existence chez Mme X...
s stigmates de la syphilis héréditaire et nous découvrîmes alors la lésion dentaire d'IIut- chinson qui levait tous nos em
tivement guérie. Si maintenant nous voulons préciser le siège de la lésion il n'est pas difficile, par les symptômes obser
l'anesthésie, de dire que nous nous sommes trouvé en présence d'une lésion des racines inférieures de la moelle, ou du cône
s probablement de méningo-myélite gommeuse et la localisation de la lésion en a permis la curabilité sous l'influence du tra
sous l'influence du traitement spécifique. On sait en effet que ces lésions des nerfs sont beaucoup plus susceptibles de gu
e terminal. Id., no 3, 189q. (2) Duroua. Contribution à l'élude des lésions des nerfs de la queue de cheval et du cône term
a voûte plantaire est un peu affaissée, la voûte dorsale normale. Lésions deîitaiîes.- Ce qui frappe d'abord c'est la vulné
oire inférieure, eu particulier, sont striées transversalement. Ces lésions , y compris la vulnérabi- lité, sont antérieures
mble indéniable : la pol.) léthalité, le nanisme, le strabisme, les lésions dentaires forment un faisceau de preuves très c
. Tabes d'origine hérédo-syphilitique probable, fracture spontanée, lésion recueillie par le Dr A. Bruchet, France médicale,
a survie. Les signes cliniques font donc complètement défaut. Les lésions que l'on trouve alors du côté de la moelle, sans
et reconnais- sant une môme origine vasculaire. A l'instar de ces lésions hépatiques si fréquentes et'si souvent ignorées,
ues si fréquentes et'si souvent ignorées, il est à présumer que les lésions médullaires, qu'un même processus gé- néral tie
éformations per- manentes des doigts et de la main consécutives aux lésions tuberculeuses de leurs os : déformations fréque
leurs os : déformations fréquentes, étant donné la banalité de ces lésions . De toutes pareilles peuvent se produire à la sui
ces lésions. De toutes pareilles peuvent se produire à la suite des lésions syphi- litiques des mêmes os ; elles sont beauc
e, dans ce cas, une véritable biopsie, une constatation directe des lésions osseuses exis- tantes. Grâce à l'obligeance de
ans le métacarpe, et l'atrophie osseuse légère de l'index étant des lésions secondaires à ce raccourcissement. Les observ
ele (5), Kocli (6)1; variétés cliniques, ostéites secondaires à des lésions des parties molles di- gitales ou métacarpienne
ératives ou simplement atrophiantes; variétés compliquées ou non de lésions ten- dineuses et articulaires. . La nature de
existe des myxoedèmes frustes, sans doute sous la dépendance d'une lésion thyroïdienne atténuée, qui se révèlent par un fac
ent éliminé dans toute cette étude, les tabétiques présen- tant des lésions articulaires, des névrites douloureuses, des para
on- tanées et provoquées chez les tabétiques, en l'absence de toute lésion ar- ticulaire. Existent-elles chez tous les tab
une place importante. Il peut être lié à l'état cachectique, à des lésions cutanées généralisées, aux lésions rénales : qu
lié à l'état cachectique, à des lésions cutanées généralisées, aux lésions rénales : quelquefois on le voit se manifester dè
e d'agir nous donnaient la conviction que nous avions affaire à une lésion cérébrale survenue à un âge reculé et [ayant prod
s nette. \ Pendant la vie, on n'a pu observer d'autres symptômes de lésion en foyer, sauf l'épilepsie. Avec le microscop
t en faveur de celte interprétation, tandis que dans la plupart les lésions de l'écorce sont si compliquées qu'il est impossi
observation du même auteur semble aussi s'opposer. Là on trouve une lésion insignifiante du lobe pariétal (gyrus angularis)
lets pédonculaires externes. Mais plus loin on y trouve cité que-la lésion s'est étendue dans la substance blanche de l'hé
énération secondaire du fascicule latéral. Peut-être la durée de la lésion (plus d'une année) n'a pas été sans influence sur
étal comme a . ' 15 222 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE lésion principale de la surface cérébrale était suivie d
uger d'une certaine indépendance entre l'atropine musculaire et les lésions tégumentaires. Cette peau, d'un jaune sale, est
s ou des affections surajoutées (hystérie) et visant le siège de la lésion anatomique. Dès 1882, M. le Professeur Fournier
rs (Charcot, Joffroy, Raymond, Leyden, Condoléon, Déjerine) sur les lésions hislologiques qui produisent les atrophies musc
de tous et nous nous contenterons de faire remarquer que les mêmes lésions pourraient être et ont été invoquées pour expli
, fait intervenir comme cause initiale des para- lysies.du tahes la lésion du protoneurone centripète. Elle a pour elle, o
s primitives et passagères ? Pourquoi en effet, dans le tabes où la lésion du protoneurone centripète est la règle, trouve-t
de membre (obs. iVlortoll Prince), doit plutôt être rapportée à une lésion encéphalique; celle qui, localisée, atteindra des
u'on peut admettre sa communication avec l'articulation atteinte de lésion tabétique. Un mois durant, la poche de liquide
de avait été hémorrhagique. Talamon (2), dans son mémoire sur les lésions osseuses et articulaires liées aux maladies du
1) ; des faits intéres-' sants de suppuration venant compliquer les lésions articulaires du tabès dans la thèse de Bougie (
l'Ol'rhagie qu'il a présentées à maintes reprises ou simplement des lésions vasculaires ou nerveuses, toutes locales ? Ce q
à la syphilis congénitale j'en trouverais quelques-uns présentant des lésions médullaires, lésions .qui seraient dès lors par
le j'en trouverais quelques-uns présentant des lésions médullaires, lésions .qui seraient dès lors parfaitement caractéristiq
x étaient nés de parents syphilitiques, quatre fois j'ai trouvé des lésions profondes et leur analogie, avec celles de la s
s de la syphilis acquise confirmait encore qu'il s'agissait bien de lésions spécifiques, sept fois les lésions étaient plus l
encore qu'il s'agissait bien de lésions spécifiques, sept fois les lésions étaient plus légè- res mais encore non douteuse
arl1t01110-patll0101lTlle. Avant de passer en revue les principales lésions observées dans l'héré- do-syphilis de la moelle
philis de la moelle il faut dire quelques mots de la- nalure de ces lésions . (1) Voir n°° 2 et 3, 1896. LOCALISATIONS SPI
les méninges et les vaisseaux, la moelle subit le contre- coup des lésions méningées et surtout celui des lésions vasculaire
le subit le contre- coup des lésions méningées et surtout celui des lésions vasculaires, elle peut être envahie pour son pr
gine, les . éléments nobles ne sont atteints que secondairement aux lésions de ce tissu. Au reste, les lésions ne sont pa
tteints que secondairement aux lésions de ce tissu. Au reste, les lésions ne sont pas toujours identiques il elles-mêmes. L
re- fois, du moins il n'y a pas de différence essentielle entre les lésions des diverses périodes de la syphilis. Mais, che
riodes de la syphilis. Mais, chez le foetus comme chez l'adulte les lésions évoluent, elles se conduisent dans la vie intra-u
syphilitique, celui-ci ne va pas forcément d'emblée provo- quer des lésions spécifiques, il peut rester inactif plus ou moins
possible de prédire d'après l'âge du sujet quelle sera la forme des lésions qu'on peut rencontrer dans ses divers organes. ~
s embryonnaires qui s'infiltrent entre les élé- ¡ ments nobles, ces lésions peuvent rester longtemps stationnaires, elles p
parition irréparable des éléments nobles qu'elles ont détruits. Ces lésions deutét'opathiques de la syphilis sont elles-mêmes
ouvé celte congestion en effet dans un certain nombre de cas où des lésions quoique très discrètes d'infiltration embryonnair
remarquable non seulement par la diffusion et par la profondeur des lésions dans la moelle mais encore par ce fait que cell
) ont fait l'autopsie d'un enfant de 5 mois mort de sy- philis avec lésions cutanées et bronchiques, sans autres détails clin
bre était considérablement rétréci. » Kahler et 'iclc comparent ces lésions à celles décrites par Charcot et Gombault dans
senté des phénomènes de rigidité généralisée. L'autopsie montre des lésions intéressant à la fois tout l'axe cérébro- spina
clérose des vaisseaux de la région cervicale de la moelle. Diverses lésions syphilitiques des autres organes. » (1) Money
cérébro- spinale est Siemerling (1), nous citerons avec détails les lésions qu'il dé- crit chez la petite malade qu'il a ob
Arachnitis spinale gom- meuse. » - Mais nous allons voir que les lésions histologiques de la moelle (nous les rapportero
aire on retrouve l'altération des tuniques. La veine présente des lésions bien plus marquées encore ; elle est à certains
rs sont, dans toute l'étendue de la moelle, le siège du maximum des lésions . Les cordons latéraux sont surtout affectés au
rieure de la moelle dorsale alors que dans les autres parties leurs lésions sont très minimes pro- portionnelleuieut. La su
PHILIS HÉRÉDITAIRE 287 philitiques. Chez tous deux,.il existait des lésions de sclérose cérébrale et des altérations vascul
ons vasculaires considérables, mais la moelle ne présentait que les lésions de la sclérose descendante consécutive aux lésion
ésentait que les lésions de la sclérose descendante consécutive aux lésions cérébrales. Gangitano (1) rapporte trois autops
est épaissie et infiltrée par des amas de noyaux. Moindres sont les lésions de la tunique interne ; on trouve pourtant tantôt
tiques ne sont que peu altérées proportionnellement à l'étendue des lésions des enveloppes. De nombreux faisceaux radiculai
ar la précision des détails et leur correspondance absolue avec les lésions que nous avons nous-mêmes trouvées dans les moe
analogie avec la syphilis acquise, devoir être le siège maximum des lésions , j'ai, dans le plus grand nombre de cas, laissé
l, des masses musculaires qui me renseignaient sur la diffusion des lésions hors du système nerveux. Je me suis servi com
ons résultats. La coloration la meilleure pour se rendre compte des lésions spécifiques que nous recherchions est sans cont
ouchement ou au moins pendant les derniers mois de la gestation des lésions en pleine évolution, lésions secondaires presqu
les derniers mois de la gestation des lésions en pleine évolution, lésions secondaires presque toujours. Cependant cinq fo
déplus de deux ans de trois à six ans dans l'observation IX où les lésions atteignent leur maximum et sont surtout fibreus
ents indemnes de syphilis, des vingt-six autres, quatre avaient des lésions très profondes de la moelle, lésions évidentes, g
six autres, quatre avaient des lésions très profondes de la moelle, lésions évidentes, grossières en quelque sorte, telles
u'un phénomène d'ordre banal, nous avons constamment trouvé quelque lésion plus particulière permettant de rattacher un tel
e rattacher un tel état au pro- cessus spécifique. Sept avaient des lésions intermédiaires. ' 296 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
296 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Avant de décrire les lésions que nous avons trouvées il est bon de rap- pele
x ou embryonnaire ne les relie. Voyons maintenant les principales lésions que nous avons trouvées. Ces lésions siègent pr
ons maintenant les principales lésions que nous avons trouvées. Ces lésions siègent principalement dans les vaisseaux d'une p
gros troncs, l'artère et la veine spinales antérieures. Lorsque la lésion est très intense, ces vaisseaux ont pour ainsi
ents aspects peuvent se retrouver sur une même moelle. En effet les lésions vasculaires quelles que soient leurs formes n'occ
sur toute la hauteur de la moelle, montrent une variété infinie des lésions des gros troncs spinaux antérieurs. Ces altér
nous en donnons permettent de se rendre compte de l'in- tensité des lésions , celles-ci sont souvent limitées il une partie se
la périphérie, formant à ce niveau une gomme microscopique. Mais la lésion constante est toujours la perte des contours exté
représente un de ces vaisseaux. Nous verrons enfin en étudiant les lésions médullaires proprement dites que les vaisseaux
cellules. Mais il nous faut encore insister sur la diffusion de ces lésions vascu- laires, nous les retrouvons en dehors de
arges traînées. Cette sclérose de l'espace extradural doit être une lésion précoce, elle est à peu près cons- tante, elle
aisseaux doivent se frayer un passage. Il est très probable que les lésions débutent par Tune des méninges qui bordent cet
res sur une coupe transversale isolée mais aussi, dans le cas où la lésion est limitée, les faces supérieure et in- férieu
ces cas les libres nerveuses restent indemnes il est certain que la lésion peut être poussée plus loin ; dans le cas de notr
llules embryonnaires la fonte caséeuse que nous avons signalée. Les lésions radiculaires ne sont pas sans importance, signa
Pas plus que les racines ils ne semblent se ressentir beaucoup des lésions très nettes qu'ils présentent, cependant, leurs
s par l'infil- tration. La moelle elle-même présente rarement des lésions considérables, nous n'avons trouvé que dans deu
d en ce qui concerne les élé- ments nobles, il est possible que des lésions cellulaires puissent exister, que des cylindres
ver quelques rares cellules rondes. Deux fois nous avons trouvé des lésions considérables de la moelle, c'est dans les obse
enterons ici de les résumer rapidement. Dans un cas il s'agit d'une lésion relativement limitée, puisqu'elle n'existe que da
t absolument transformées, méconnaissables et peine perméables. Les lésions sont beaucoup plus étendues dans le cas IX, aussi
pes montrent nettement les deux moitiés de l'axe spinal, encore les lésions y sont-elles considérables, la corne postérieure,
ure, et un cordon la- étant complètement dégénérés, et plus bas les lésions destructives empêchent-elles de nouveau toute é
urtout les dégénérations, la nécrose par compression et surtout par lésions vasculaires. Les artères de l'épendyme, les vaiss
lité ? Nous n'avons pas voulu interpréter a part, comme exemples de lésions spécifiques les cas où le phénomène prédominant
le à l'hépatite interstitielle diffuse décrite par IIudelo (1), aux lésions testiculaires décrites par Hutinel, aux lésions d
ar IIudelo (1), aux lésions testiculaires décrites par Hutinel, aux lésions de la rate, des poumons, des os, de la peau, de
et des ganglions décrites pré- cédemment, absolument comparable aux lésions rénales qui viennent d'être étudiées, aux lésio
nt comparable aux lésions rénales qui viennent d'être étudiées, aux lésions du placenta foetal décrites par Sclvvab (2) tout
mbre des cas où les foetus syphilitiques sont soi-disant morts sans lésions , par une inexplicable et singulièrement vague i
iatement après la mort n'a pas donné signe de vie, bien (1) HunELO, Lésions viscérales dans la syphilis héréditaire, lésions
, bien (1) HunELO, Lésions viscérales dans la syphilis héréditaire, lésions du foie. Th. Paris, 1890. (2) SCIlW.\B, De la
pondent exactement au type normal que nous avons décrit. La seule lésion qu'on puisse relever est une distension un peu ex
est normal. , , Région dorsale. Sans qu'on ait il relever d'autres lésions apparaît une hémorrhagie considérable entre l'a
guë au moment de l'ac- couchement ; la mort du foetus, l'aspect des lésions constatées donnent au moins de fortes présompti
milieu d'un ganglion ; des prolongements irréguliers prolongent la lésion sur les travées occupées par les cellules nerveus
la naissance de convulsions. Organes viscéraux ne présentent pas de lésions macroscopiques. Cerveau. Hémorrhagie sous-dure-
employé comme décalcifiant, aussi faut-il tenir compte surtout des lésions d'infiltration cellulaire et des lésions fibreu
l tenir compte surtout des lésions d'infiltration cellulaire et des lésions fibreuses. La moelle est asymétrique. Une des m
sang libre. Dans le canal rachidien il n'y a rien qui rappelle les lésions habituelles de la syphilis même sur les vaissea
yphilis même sur les vaisseaux, il faut se rappeler toutefois que ces lésions sont souvent très localisées et que nos coupes
elui-ci, dans les muscles attenant aux vertèbres, nous trouvons des lésions absolument t caractéristiques : une artère infi
ement une origine centrale, il devait y avoir en cause, non pas les lésions de la myélite vulgaire, mais ces altérations de
e d'urine et des matières fécales. A priori tout ce que produit une lésion des centres moteurs spinaux peut être produit par
it une lésion des centres moteurs spinaux peut être produit par une lésion des nerfs qui émanent de ces centres. En fait, je
, je crois avoir montré qu'il en est ainsi pour ce qui concerne les lésions de la queue de cheval et de la portion inférieu
de médecine et de chirurgie, 1857. (2) KnAus, Des paralysies sans lésions matérielles appréciables. Liège, 1852. (3) Pend
enic, peut engendrer indifféremment des névrites périphériques, des lésions spinales, et les deux à la fois. Pour ce qui es
tieuse. Cliez toutes les trois, l'autopsie a démontré l'absence d'une lésion valvulaire. Dans les cas d'empoisonnement ars
é- sence de tissus pathologiques organisés permet de considérer les lésions comme indépendantes de la macération. La moelle
iltrées de cellules fondes. Les vaisseaux sont toujours le siège de lésion intense d'endo et de péri-vas- culari te. L'e
. Dans tout le reste de la moelle, même distension vasculaire, sans lésion des parois du reste, et même envahissement fibr
idien. Aussi les méninges mal conservées ne montrent pas bien leurs lésions . ' Région cervicale. Ce qui frappe d'abord, c'e
se où les cellules sont normales que dans les cordons blancs. Les lésions des autres parties du névraxe sont assez accentué
caractères, il y a cependant une ac- centuation très notable de ces lésions dans la région dorsale moyenne, par rap- port a
quable. Arachnoïde et dure-mère normales. Région dorsale. Ici les lésions sont beaucoup plus marquées. La moelle reste in
A SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 365 La moelle à l'aeil nu ne présente pas de lésions manifestes, elle est cepen- dant très touchée a
e sain. Région dorsale. L'aspect est sensiblement le même, mais les lésions sont plus marquées, l'espace extradural est fib
ions affirmer qu'il ne s'agit pas dans l'aspect qu'elle présente de lésions artificielles produites par les manipulations. Qu
hnoïde qui se confond avec la dure-mère en beaucoup d'endroits, les lésions des vaisseaux soit au niveau de l'insertion du
ontrent que des moelles normales ou seulement congestionnées. Les lésions sont considérables dans les moelles n°S II, IV, I
dans les moelles n°S II, IV, IX et XVII. Si nous mettons à part les lésions médullaires proprement dites incertaines des no
oprement dites incertaines des nos XXVI et XXVII, il nous reste des lésions d'infiltration nettes dans sept cas : VII, X, X
terrogée au point de vue de ses antécédents syphilitiques, mais les lésions présentées par la moelle que nous avons examinée
les syphilitiques. Conclusions. De cette étude il résulte que les lésions méningo-médujlaires constatées 368 ' NOUVELLE I
anifestations spinales de l'hérédo-syphitis précoce ou tardive. Ces lésions peuvent se résu- mer d'unmot,elles sont identiq
nt de son tissu, soit l que sa désagrégation soit la conséquence de lésions vasculaires ou mé- ningées. On l'a vu transform
eaux blancs, rarement étendue, paraît plutôt sous la dépendance des lésions directes que de lésions médullaires ou radiculair
endue, paraît plutôt sous la dépendance des lésions directes que de lésions médullaires ou radiculaires voisines. Enfin la
aires voisines. Enfin la moelle peut être seulement comprimée, sans lésion , par des gommes volumineuses dévelopées à côté
use ayant envahi la moitié antérieure du canal rachidien. 7 et 8. - Lésions des vaisseani. 10. Une des racines isolées de l
ingée, méningo-médullaire). Les vaisseaux sont toujours le siège de lésions manifestes, leur lumière aplatie, rétrécie, déf
lis ne frappe pas la moelle uniformément dans toute sa hauteur, les lésions que nous venons de décrire sont remarquables par
écifique. Siemerling, Bottiger .in- sistent sur la prédominance des lésions aux régions dorsales moyenne et inférieure dans
nous avons à plusieurs reprises noté chez les foetus le maximum des lésions dans la région dorsale ou dans la région lombai
s égale- ment altérée dans toutes ses parties ; la prédominance des lésions au ni- veau de la région postérieure, qu'il s'a
des lésions au ni- veau de la région postérieure, qu'il s'agisse de lésions médullaires pro- prement dites ou de lésions mé
ure, qu'il s'agisse de lésions médullaires pro- prement dites ou de lésions méningées, est un fait constant, signalé dans t
8 ans, vient à la clinique des maladies du système nerveux pour des lésions unguéales localisées au pouce, au médius, il l'an
. , Les ongles de la main droite, ceux des pieds sont normaux. La lésion du pouce remonte il 4 ans ; celles du médius et d
. de ces 3 ongles sont minimes et ils paraissent bien présenter une lésion univoque. , Ces 3 ongles sont plus larges, plus
des angines. Réglée à 14 ans et depuis toujours régulièrement. La lésion n'étant pas parasitaire [nous devons à l'obligean
il s'agit là d'une vieille hystérique entachée d'alcoolisme dont la lésion unguéale trophique coïncide avec une localisation
se montrent ces 2 cas d'onychotrophose. Z) La relation entre les 2 lésions paraît moins évidente : il semble bien cepen- d
ord libre est grenu, grisâtre, adhérant au derme sous-unguéal. La lésion initiale, demande il être cherchée. Cependant ell
uche. , Il est inutile de revenir sur l'analogie que présentent ces lésions dans cer- 374 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE tains de leurs traits au moins avec les lésions précédentes. sera plus intéres- sant de remarqu
éres- sant de remarquer que les pouces, les seuls doigts vierges de lésions troplio- sensitives, sont aussi les seuls à pos
en somme, à quelques va- riantes près, toujours la même. Ici, la lésion s'observe sur une vieille femme d'allures et d'ét
14 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
fondre la distribution des troubles sensitivo-moteurs créés par des lésions des racines médullai- res ou des nerfs périphér
ou des nerfs périphériques avec celle des mêmes troubles dus .à des lésions intra-médullaires; à ce point de vue, on opposait
ET DUE ! ' des membres, des troubles de sensibilité causés par les lésions médullaires et deux théories entraient en lutte
ments métamériques transversaux du membre. On comprend ainsi qu'une lésion du renflement médullaire d'origine d'un membre
affectent les troubles de sensibilité des membres provoqués par les lésions intra-mé- dullaires, en particulier par la syri
urs des membres, paralysie ou atrophie musculaire, produits par une lésion localisée de la corne antérieure, affectent-ils u
aussi serait la disposition des troubles moteurs consécutifs à une lésion localisée de la corne antérieure. En réalité, l
e les cas de gangrène sénile malgré l'apparence seg- mentaire de la lésion car, d'une part l'infection remonte le long des t
elle, ne détermine pas nécessairement dans sa cellule d'origine des lésions visibles par la méthode de Nissl. Par suite, si
sera toujours difficile d'obtenir et d'interpréter chez l'homme des lésions médullaires consécutives à des ablations périph
oin et détail la disposition des troubles moteurs consécutifs à des lésions pri- mitives des cornes antérieures et essayer
exactement aussi bien les muscles atteints que le rapport entre les lésions musculaires et les lésions médullaires. L'extrê
muscles atteints que le rapport entre les lésions musculaires et les lésions médullaires. L'extrême rareté de la poliomyélit
sensitivo-moteurs, cette disposition est créée non pas tant par la lésion médullaire que par la virole pachyméningitique qu
ivo-moteurs sont créés non par la pachyménin- gite mais bien par la lésion gliomateuse intra-médullaire. Au point de vue s
davantage de pair que dans les cas de troubles moteurs relevant des lésions cellulaires des cornes antérieures à processus
s de sensibilitédans la syringomyélie pouvait s'ex- pliquer par une lésion des fibres d'entrée des racines postérieures puis
en droit de mettre cette disposition uniquement sur le compte de la lésion de la corne antérieure. Nous croyons utile de r
nar et du premier interosseux. Ne peut-on dès lors croire que si la lésion avait atteint éga- lement le groupe antéro-inte
l'éminence thénar mais aussi l'éminence hypothénar et qu'ainsi une lésion de tout un segment médul- laire aurait entraîné
ertains auteurs à la distribution segmentaire de la sensibilité par lésion médullaire superposent la distribution également
l'un de nous a pu les voir plusieurs fois atteints dans des cas de lésions de la par- tie radiculaire supérieure du plexus
dont la paralysie s'observe dans le type radiculaire supérieur. Une lésion loca- lisée de la corne antérieure, un foyer de
se d'une polynévrite, ou celle d'une méningite cérébro-spinale avec lésions radicu- laires. La polynévrite n'est guère vrai
polynévrite n'est guère vraisemblable en raison de l'intensité des lésions et de leur localisation étroite à un seul membre
onctions. L'hypothèse d'une méningite cérébro-spinale compliquée de lésions radiculaires serait plus vraisemblable; pour nous
is que nous n'avons pu avoir sur la période d'invasion ; déplus des lésions radi- culaires, correspondant à la topographie
ur la disposition des troubles moteurs périphériques causés par les lésions des cornes an- térieures ? Nous avons dit nos r
des filets des vue et VIIIe racines cervicales, et d'autre part des lésions de la partie supérieure du plexus brachial atte
t inter-segmentaires. Certes, on pouvait soupçonner priori qu'à une lésion d'un étage moteur médullaire doit correspondre
groupement postérieur D, celui des mus- cles de l'avant-bras ; une lésion de ce segment s'accordera donc fort bien avec u
ons, telles que disposition segmentaire. Nous avons montré que deux lésions très différentes de la corne antérieure, syringom
rvir de base au diagnostic de siège médullaire ou radiculaire de la lésion . NOUVI : LLh IcOXOGRAPHTE DL 1 A SALPÈIRltRr :
nspiratoires sont impossibles, fait important pour le pronostic des lésions pulmonaires constatées chez cette malade. Les m
superficielle (atrophie des muscles respirateurs accessoires). Ces lésions pulmonaires malgré leur faible intensité et l'a
rrémédiable et par les rétractions fibreuses des muscles et par des lésions articulaires et péri-articulaires. Mais ce mécani
usculaire ; il paraît plus juste d'attribuer l'une et l'autre à une lésion des muscles eux-mêmes, se basant sur l'intégrité
il fallait attribuer la cause essentielle de cette affection à une lésion des muscles eux-mêmes. Mais la théorie de la my
it d'une pathogénie neuropathique dans le même degré que les autres lésions myopathiques. En s'approchant de ce côté encore
onsidérations d'or- dre essentiellement clinique. Aussi bien, les lésions du cône terminal considéré comme étant cons- ti
e, dans les traits si particuliers, sous lesquels se présentent les lésions qui intéressent la queue de cheval au-dessous d
ône terminal. Cette symptomatologie se retrouve dans les cas où une lésion siégeant dans le segment médullaire dont émanen
rès symétrique, de celte pa- ralysie rend très vraisemblable que la lésion dont elle dépend siège dans le canal lombo-sacr
(trépidation spinale), et alors il y a lieu d'admettre l'existence de lésions irritatives (méningo-myélite) des racines ou du
lexe rotulien est conservé. Quand il est aboli, c'est signe que les lésions remontent jusqu'au troisième segment lombaire o
a de soi, en effet, que les mêmes symptômes pourront dépendre de la lésion d'un certain nombre de racines spinales ou de l
endre de la lésion d'un certain nombre de racines spinales ou de la lésion des centres spinaux qui sont les origi- nes de
a question de savoir si l'affection en cause implique seulement une lésion des racines du plexus sacré, ou une lésion du s
e implique seulement une lésion des racines du plexus sacré, ou une lésion du segment correspondant de la moelle, ou une l
sacré, ou une lésion du segment correspondant de la moelle, ou une lésion à la fois radiculaire et spinale. Aussi bien, la
et 2° vertèbres lombaires ? Les probabilités seront en faveur d'une lésion médullaire, intra-spinale. Une affection qui in
ement, les plus grandes chances sont en faveur de l'existence d'une lésion exclusivement radiculaire, d'une affection propre
la soudaineté du début plaide en faveur du siège intrà-spinal de la lésion (hématomyélie). d) Inversement, un début insidi
dans les cas d'affection de la queue de cheval et dans ceux où les lésions se cantonnent dans la portion correspondante de
s les membres inférieurs, constitue une présomption en faveur d'une lésion nucléaire de la portion terminale du névraxe. D
mais de simples présomptions -- en faveur du siège nucléaire de la lésion . Nous les trouvons réunies chez notre malade. O
la dissociation de l'anesthésie a été observée dans des cas où une lésion inté- ressait exclusivement les racines de la q
nilatérale, de l'anes- thésie. parle en faveur de l'existence d'une lésion radiculaire, d'une affec- tion de la queue de c
t à l'heure devant vous est, selon toute probabilité, atteint d'une lésion traumatique - myélite ou hématomyélie - de la p
sombres, voici pour quelles raisons : Du moment qu'il s'agit d'une lésion intra-spinale, d'origine traumati- que, elle éc
ganglion. L'examen histologique de la moelle a montré l'absence de lésions de myélite pri- mitive, soit hématomyélie, soit
ions constatées paraissent de nature secondaire, consécutives à une lésion des nerfs de la queue de cheval.C'est en effet,
rées avant leur entrée dans la moelle. On peut donc affirmer que la lésion a porté sur les racines de la queue de cheval ava
affection proprement dite de la queue de'cheval,dans les cas où une lésion circonscrite et extra-spinale agit, par voie de c
nsista dans l'effraction du canal rachidien, au siège présumé de la lésion , et dans l'extirpation de la tumeur, un sarcome s
e cheval, toutes les présomptions plaident contre l'existence d'une lésion intra-spinale et en faveur d'une simple compres
el ; mais vous le ferez sans grand espoir de succès. Aussi bien, si lésion syphilitique il y a, les plus grandes chances s
onne des chances de succès qu'aulant qu'on se trouve en présence de lésions gommeuses, assez récentes, développées dans le
n plus syphili- tique. Les symptômes qu'il présente sont ceux d'une lésion circonscrite, agissant sur la queue de cheval,
ons constaté que de cette manière on voyait beaucoup moins bien les lésions lacunaires. Il faut alors vraiment savoir qu'el
rement le noyau lenticulaire, sur nos 88 cas il y avait 64 fois une lésion de ce noyau. 39 fois la lésion était limitée à un
ur nos 88 cas il y avait 64 fois une lésion de ce noyau. 39 fois la lésion était limitée à un seul hémisphère, mais dans 2
fois nous la trouvons atteinte et parmi ces cas 6 fois seulement la lésion était bilatérale. Vient ensuite la capsule inte
sectionnée, cela se voit cependant mais surtout dans les cas où la lésion est franchement hémorragique et a cessé anatomi
ar rapport au noyau lenticulaire, il pa- raitrait rationnel que les lésions de l'une et de l'autre dussent se manifester d'
vants d'avoir une différence symptomatique suivant le siège de leur lésion : sauf peut-être dans certains cas lorsque la c
au, dans le lobe frontal. Enfin trois fois nous avons vu cette même lésion dans les fibres blanches qui constituent le cor
ndant aux chiffres les conclusions qu'on peut en tirer que, sur 100 lésions lacunaires, il y en a 87 dans les noyaux cen- t
près une longue période de gâtisme on trouvait plus fréquemment ces lésions . Mais nous manquons de statistique ce sujet et no
n plein tissu cérébral. On sera assurément tenté de prendre cette lésion pour une hémorragie an- cienne guérie et l'on n
ans ce cas se comporte comme dans le cas de lacune. Cliniquement la lésion s'est révélée de même par une hémiplégie incom-
mécanisme de production des lacunes, la grande part qu'y jouent les lésions artérielles et son rôle dans l'hé- morragie cér
trées d'une grande quantité de cellules embryon- naires. Malgré ces lésions l'artère est toujours perméable. Autour d'elle
ERRAND une véritable cavité, un manque dans la substance cérébrale, lésion typique qui a donné son nom l'afl'ection : c'es
e vide plus ou moins rempli d'éléments normaux ou pathologiques. 1° Lésions du vaisseau. - Le vaisseau central est habituelle
ériole cérébrale semble très altérée. Cependant avant d'étudier les lésions mêmes de ses tuniques constitutives il nous faut
on constante. Nous avons toujours, en effet, pratiqué pour une même lésion , des coupes à différentes hauteurs. Or une obli
itération artérielle suppose toujours un caillot ; ce n'est pas une lésion qui n'occupe qu'une hauteur insignifiante. L'arté
nous soit jamais arrivé de tomber sur une oblitération artérielle, lésion qui occupe tou- jours une certaine hauteur. N
il n'est pas toujours aussi net que dans ce cas. Malgré tout les lésions de la tunique moyenne et de la tunique externe so
ne et de la tunique externe sont cplles que l'on voit le mieux. Les lésions de l'endartère ne sont jamais très vi- sibles.
les cérébrales intra-lacu- naires nous n'y avons guère découvert de lésions d'endartérite. Il se peut qu'il eu ait existé e
d'examiner l'artère, mais elles sont bien moins accentuées que les lésions des deux autres tuniques. (Il n'est ici questio
, et non pas des volumineuses artères de la base du cerveau.) Les lésions de ces tuniques vasculaires ne sont pas toujours
-élastique coloré en rose par l'éosine. Ce sont du reste les seules lésions que l'on observe dans les parois artérielles :
, même dans les lacunes anciennes nous n'avons pas observé d'autres lésions vasculaires que cette épaisseur des parois et leu
vaisseau, tandis que l'endartère ne laisse pas apercevoir de grosse lésion . . La gaine lymphatique participe bien entendu
r de techni- que qu'il faut se garder d'interpréter en faveur d'une lésion . Mais elle peut être rompue, disloquée et on en
endue et traversée elle- même par les leucocytes. Telles sont les lésions de la région centrale de la lacune : ce sont en s
n premier lieu l'aspect n'en sera pas très différent suivant que la lésion occupe les noyaux gris ou qu'elle siège en plei
ce blanche ou dans la protubérance : ce se- ront toujours les mêmes lésions dissociant plus ou moins des faisceaux blancs d
s uns des autres. Avant même de se rendre compte de la nature de la lésion et des éléments sur lesquels elle porte principal
chargés de la myéline des éléments nerveux ; leur trajet indique la lésion dont la gravité est en raison de leur nombre. C
concentriques disposées autour de la cavité et dans lesquelles les lésions vont en s'atténuant à mesure qu'on s'éloigne de
perpendiculairement leur axe. Ils présentent à un moindre degré les lésions que nous avons décrites l'artériole centrale de l
t ses parois. Nous n'ajouterons qu'un mot sur elles : c'est que ces lésions sont invariables dans leurs caractères mais ell
incus qu'il s'agit là d'une migration leucocytaire en rapport avec la lésion vasculaire. Enfin le dernier genre de globule
rps granuleux disparaître et ne plus fixer l'acide osmique dans une lésion vieille de quelques mois, par contre il est rar
ne pas apercevoir quelques-uns do ces globes grenus dans les mêmes lésions . De plus, la méthode osmio-chromique montre LAC
chyme cérébral en voie de désintégration dont nous avons suivi les lésions du centre à la périphérie. Elle contient enfi
it dans le parenchyme cérébral et la lacune s'agrandit. Quoique les lésions restent à peu près les mêmes l'aspect de la lac
peu de variété qu'on observe d'une lacune à l'autre. La plupart des lésions que l'on décrit en anatomie pathologique sont f
ce titre elle mérite bien une place à part dans la description des lésions encéphaliques. INFANTILISME DÉGÉNÉRATIF (TYPE L
ladie de Little » est un ensemble de symp- tômes divers relevant de lésions plus ou moins étendues du système nerveux. En
u côté de la sensibilité ou des sphincters. Pour Erb et Charcot, la lésion siégeait t dans les cordons latéraux de la moel
ontré que si les symptômes cliniques offrent des points communs, la lésion anatomique est variable et se traduit par une e
terme n'est pas une des conditions essentielles de la maladie et la lésion des faisceaux pyramidaux peut provenir d'un man
ut provenir d'un manque de développement de leurs fibres ou bien de lésions traumatiques agissant sur les centres cérébraux s
que d'une part bien des examens médullaires ne mention- nent aucune lésion des faisceaux pyramidaux, et que d'autre part on
ne lésion des faisceaux pyramidaux, et que d'autre part on voit des lésions très diverses provoquer des symptômes identiques.
sance avant terme, contracture spasmodique des membres, absence de lésion cérébrale et tendance à la guérison spontanée et
sance. 2° Les contractures spasmodiques des membres avec absence de lésions cérébrales. - Il semble que ces symptômes soien
paraplégies infantiles; quant à l'ab- 140 GASTON DANIEL sence de lésions cérébrales, il faul évidemment distinguer les lés
NIEL sence de lésions cérébrales, il faul évidemment distinguer les lésions cé- rébrales, que l'on rencontre dans presque t
vec un peu de sérosité externe et la pie-mère un peu louche, aucune lésion atrophique sur les coupes, la substance blanche
être résu- més ici, à cause de leur date récente et de l'absence de lésions des éléments médullaires. Le premier cas qui
rté, à cause de la marche régulière vers la guérison. Serait-ce une lésion médullaire pure avec persistance des voies cortic
cortico-cé- rébello-médullaires ? Mais alors, comment expliquer les lésions actuelles du côté des yeux et du larynx (nystag
escence. Il est fort probable que nous nous trouvons en présence de lésions de tous les faisceaux médullaires : les membres i
vrage Sur les troubles de la sensibilité géné- rale consécutifs aux lésions des hémisphères cérébraux chez l'homme (1), re-
geant qu'a- vec les autres sens. Supposons que pour une raison de lésion centrale ou périphérique notre vue s'émousse ;
itudes. Je n'ai jamais rencontré le cas inverse. » Il s'agit ici de lésions cérébrales, portant sur les centres les plus élev
- (4) Verger, Troubles de la sensibilité générale, consécutifs aux lésions des hémi- sphères cérébraux, p. Sa 4. LE SENS
itudes. Munck attribue les troubles de la motricité volontaire, par lésion des régions rolandiques, à la perte des' notions
rhon et Golds- tein. 11 semble très logique de concevoir qu'à une lésion d'un étage moteur médullaire doive correspondre
rvir de base au diagnostic de siège médullaire ou radiculaire de la lésion . LES UROLOGUES (1) PAR PAUL RICHER, Membr
diffuse; son intérêt gît dans ce fait que la forme anatomique de la lésion n'est pas une forme commune, et aussi dans cett
auf un peu de congestion agonique des poumons. Cuveau. - La seule lésion constatée siège ft l'hémisphère gauche. On trouve
ide des facultés intellectuelles, sans que l'autopsie ait révélé de lésion autre qu'au niveau de la zone motrice gauche. C
, survenant par crises de 3/4 d'heure à une heure. Il n'y a pasde lésions viscérales appréciables à part de la submatité lé
s cérébraux; on en conclut que cette réaction est due seulement aux lésions pulmonaires et qu'il n'y a aucune manifestation t
avec stase très prononcée « on a l'aspect de la papillite dans les lésions méningées ou cérébrales ». 9 Novembre : ' ? Dan
onnés et on trouve au sommet de chacun d'eux quelques cicatrices de lésions tuberculeuses guéries. L'encéphale seul présent
ces de lésions tuberculeuses guéries. L'encéphale seul présente des lésions . NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T.
men de la convexité des hémisphères et du cervelet ne dénote aucune lésion méningée récente ou ancienne, la surface des circ
raît nor- male. La base semble également indemne, il n'y a aucune lésion ni tumeur des pé- doncules cérébraux ni du nerf
s la séparation des deux hémisphères cérébraux qu'on dé- couvre les lésions , qui siègent sur la face interne de l'hémisphère
ra- Fig. 6. Gliomatose diffuse. Schéma indiquant la disposition des lésions . TROIS CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 219 tions
ation est intéressante : 1° au point de vue anatomo-patho- logique ( lésions de gliomatose diffuse) ; 2° au point de vue de l'
ui a pu faire penser à une affection bulbaire. Comme on l'a vu, les lésions sont constituées principalement, sinon uniqueme
rigueur s'expliquer simplement par la commo- tion, les symptômes de lésion cérébrale sont apparus au bout de huit jours, s
i- laire ; or l'examen histologique nous a montré qu'il y avait des lésions de dégénérescence gliomateuse dans la protubéra
t empêcha ainsi l'ossification des os du crâne à ce niveau,ou si la lésion cérébrale fut amenée par une modification des par
ngs. La voie est un peu enrouée actuellement, peut-être à raison de lésions la- ryngées légères, mais X... affirme qu'il ch
reprises différentes, MM. J. Pelnar et VI. Skalicka on signalé des lésions du bourrelet du corps calleux associées à une dég
énérescence, dans certains cas, était même bilatérale, alors que la lésion du splenium coïncidait avec une des- truction i
ouble question encore litigieuse : 1° la cécité relève-t-elle d'une lésion toujours pariétale ou d'une lésion toujours occ
1° la cécité relève-t-elle d'une lésion toujours pariétale ou d'une lésion toujours occipitale ; 2' la lésion est-elle corti
sion toujours pariétale ou d'une lésion toujours occipitale ; 2' la lésion est-elle corticale ou sous-corticale ? 7 . Le
e. La dégénérescence du tapetum est la conséquence nécessaire de la lésion du gyrus lingualis. Elle s'étend toujours jusqu
E PURE (Brissaud). A. Face externe de l'hémisphère gauche. Pas de lésions du pli courbe ni du lobule du pli courbe. B. Fa
en croissant â concavité antérieure. Cette tache correspond là une lésion dégénérative. NOUVELLE Iconographie DE la SALPÊ
ue, ni le faisceau longitudinal inférieur de l'hémisphère droit. La lésion ischémique du lobule lingual, du cuneus, de toute
t la dégénération du tapetum du côté droit. Dans le cas actuel la lésion secondaire des fibres commissurales repré- sent
pré- sentées par le splenium est seule en cause. Il n'existe aucune lésion des fibres d'association représentées par le fa
TÉ VERBALE ET D'APHASIE SENSORIELLE CHEZ UN PARALYTIQUE GÉNÉRAL LÉSIONS CIRCONSCRITES DE MÉNINGO-ENCÉPHALITE PAR PAUL
s de l'ouïe reprenaient leur activité première. A l'autop- sie, des lésions de méningo-encéphalite dilTuse, mais présentant d
s symptômes cliniques. Voici d'ailleurs le relevé topographique des lésions (Voy. Pl. XXXVIII). Nouvelle Iconographie DE
SURDITÉ VERBALE, APHASIE SENSORIELLE chez un paralytique général. LÉSIONS CIRCONSCRITES DE MÉNINGO-ENCÉPHALITE (P. SJril'
ères au niveau du tiers moyen desT' etc2 qui sont amaigris; 7° La lésion devient de plus en plus marquée au niveau du tier
n s'infléchit pour former la circonvolution marginale supérieure,la lésion gagne en profondeur jusqu'à la substance blanch
a- que de méninge-encéphalite d'intensité exceptionnelle, véritable lésion en foyer intéressant la région du centre de l'a
remière temporale et circonvolution supra-marginale. A ce niveau la lésion gagne en profondeur jusqu'à la substance blanche
décrite par Baillarger, Rey, Tuczek). Dans le lobe temporal droit, lésions à peu près symétriques, mais plus superficielle
doute à une atrophie inégale, le ma- lade n'étant pas gaucher ; les lésions macroscopiques sont d'ailleurs plus accusées da
misphère gauche. L'examen histologique de l'écorce, en dehors de la lésion en foyer, a confirmé le diagnostic de paralysie g
te ; disparition des fibres tangentielles). Celte topographie de la lésion est d'accord avec ce que l'on sait sur le siège
nnaissent des facteurs plus tangibles, à savoir la localisation des lésions au niveau de tel centre sensoriel et la nature
n des lésions au niveau de tel centre sensoriel et la nature de ces lésions . Si on est d'accord pour admettre que des al- t
dre compte des symptômes de déficit (surdité verbale), pourquoi ces lésions , lorsqu'elles déterminent une action irritative,
tôt irritative, tantôt inhibitrice (troubles vaso-moteurs ? ) d'une lésion du même centre. Les faits de ce genre, considér
a été attirée sur eux. L'un de nous a déjà rapporté des exemples de lésions circonscri- tes de méningo-encéphalite donnant
que nos observations tendent à le démontrer, à la prédominance des lésions au niveau de cer- tains territoires corticaux e
et plus particulièrement des centres de la ré- gion postérieure. La lésion elle-même affecte alors parfois des caractères
avec séparation complète de l'é- corce et de la substance blanche ( lésion de Baillarger). Le connaissance de cette variét
verbale et apha- sie sensorielle) habituellement déterminés par des lésions en foyer (ra- mollissement, etc.), ne doivent p
BORATOIRE DU P' DEJERINE. HOSPICE DE LA SALPÊTRIERE ÉTUDE SUR LES LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TARES . PAR
établi par l'étude des dégénérescences secondaires consécutives aux lésions primitives des racines postérieures, par la patho
res la systématisation qui avait été reconnue pour la moelle, et la lésion fondamentale du tabes devint une atrophie primiti
, ou d'une altération secondaire due soit à une affection du centre LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 291 tro
ée d'une affec- tion primitive du ganglion, à moins de supposer une lésion purement dynamique des cellules ganglionnaires
'appui de telle ou telle , théorie; si enfin, juxtaposés aux autres lésions du tabes, ils peuvnl,ip'olïs'' conduire à une c
qui pénètrent entre les tubes nerveux et constituent l'endonèvre. LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 293 On
er à la fois sous les yeux le trajet des racines antérieures, celui LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 295 des
le conseille d'y avoir exclusivement recours pour l'observation des lésions localisées qu'il a décrites. Elles sont d'aut
décrites. Elles sont d'autre part'indispensables pour l'analyse des lésions histo- logiques fines, notamment du cylindraxe,
l'état du cylindraxe par les altéra- tions de la myéline. Si leurs lésions sont, dans la dégénérescence Wallé- rienne jusq
sions qu'ils permettent. Mais dès maintenant nous devons dire qu'en LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 297 l'e
re, ni d'un processus destructif à un stade initial. S'agit-il de lésions atrophiques de ces cellules ? Nos méthodes habi-
ture du noyau. Ce sont aussi les méthodes de choix pour l'étude des lésions intersti- tiel les et méningées ; en particulie
si souvent quepossible, utilisée. Il est évident qu'à l'égard des lésions fines 'du cylindraxe, des fibrilles nerveuses,
ent épaissies, mais en général on ne voit pas de gros exsudat ou de lésions inflammatoires. Au-dessus du ganglion quel- que
oyaux assez volumineux et des fibrilles conjonctives, répartis sans LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 299 ord
s du ganglion. Colorât. Ilématéine-éosine. Zeiss. Obj. a3, Oc. 2. LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 301 fix
plupart des ganglions lombaires et sacrés il existe, en dehors des lésions radiculaires, des altérations très notables des c
n des éléments nucléaires de sa capsule. - En haut, à gauche : Même lésion . Cellule réduite à un amas de pigment H)perplas
plus à la place de la cellule qu'un nodule de tissu conjonctif. - LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 303 son
ons successivement en revue dans cet exposé : 1° La topographie des lésions atrophiques des racines postérieures ; 2° L'his
atrophiques des racines postérieures ; 2° L'histologie fine de ces lésions et les altérations constatées sur les cellules
sur les cellules du parenchyme ganglionnaire. I. Topographie DES lésions radiculaires. Région dorsale infé- rieure. - L'
s postérieures dans leur portion sus-gan- glionnaire présentent des lésions atrophiques qui se poursuivent également jusqu'
s qui se poursuivent également jusqu'au parenchyme ganglionnaire. LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 305 On
de signaler : absence de prolifération conjonctive interstitielle, lésions vasculaires, etc. L'intégrité des racines antér
térieures est complète. Région cervicale. Il n'existe nulle part de lésion appréciable des racines postérieures. La méthod
ge immédiat du ganglion qu'à distance. II. - ETUDE histologique DES lésions . - 1° Lésions des fibres radiculaires. Voici ma
ganglion qu'à distance. II. - ETUDE histologique DES lésions. - 1° Lésions des fibres radiculaires. Voici maintenant en qu
nt en proportion un peu variable suivant le fascicule envisagé.. La lésion la plus évidente porte sur la gaine de myéline qu
uation du nombre des fibres ner- veuses conservées. A côté de ces lésions parenchymateuses nous avons cherché avec soin, sa
es nous avons cherché avec soin, sans en rencontrer nulle part, des lésions conjonctives interstitielles. De l'enveloppe mé
produits de désintégration qui ne sont que lentement résorbés. 2° Lésions cellulaires. - Les altérations du parenchyme gang
c'est que parfois au centre d'un de ces amas on peut distinguer un LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 307 rés
en masse au picro-carmin, particulièrement favorable à l'étude des lésions fines de la fibre nerveuse, met en relief ici la
ive (gaine de Schwann). L'évolution de ce processus s'accompagne de lésions vasculaires et d'un léger épaississement des mé
ascicules ou dans les interstices des fibres. Corrélativement à ces lésions radiculaires, quelques cellules ganglionnaires
thode de Weigert-Pal, par le carmin, l'éosine et l'hématéine. Les lésions que nous avons trouvées sur les ganglions dorsaux
er à si- gnaler. Tels sont l'aspect général et la topographie des lésions : quelle en est la nature ? ` ? LÉSIONS RADIC
ral et la topographie des lésions : quelle en est la nature ? ` ? LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 309 L'a
ions in- NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XV. PL, XXXIX LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES (Thomas
ascicules (épinévrite et périnévrite). Masson ET Ciel') Éditeurs. LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 311 diq
e. Ganglion normal. Autour de la racine antérieure, il existe des lésions de périnévritc analogues à celles qui ont été d
pôle central du ganglion, normale dans le pôle périphérique du gan- LÉSIONS RVDICULAIRËS ET GANGLIONNAIRES DU TABES 313 gli
sont légèrement épaissies, mais on n'y découvre guère de traces de lésions inflammatoires. Dans la région de Nageotte, les
s ; malgré cola la racine.antérieure n'est nullement dégénérée. Ces lésions ne descendent pas au-dessous du ganglion. Les
0', Oc.2. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIERE. T, XV, FL, XL, LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES (Thomas
re de fascicules, dont la plupart des fibres à myéline ont disparu. Lésions conjonctives : épinévrite et périnévrite intense.
mbien diffère l'aspect des racines postérieures avant et après leur LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 315 Qua
s et dissocient les élé- ments nerveux : par conséquent, à côté des lésions parenchymateuses il existe un certain degré d'e
à celles qu'on observe sur la racine postérieure, c'est-à-dire des lésions de péri- névrite, mais malgré cela les fibres n
les coupes, la racine postérieure paraît nettement atrophiée. Dans LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 317 son
diculaires sont à peine altérées. Tout au plus sont-elles au-dessus LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 319 du
es. Cette absence d'altérations parenchymateuses contraste avec les lésions in- flammatoires très nettes du tissu conjoncti
es racines postérieures sont compactes et homogènes, il n'existe ni lésions interstitielles, ni altérations vasculaires.
ce d'amas embryonnaires) ; les vaisseaux sont eux aussi atteints de lésions de même ordre (sclérose, amas d'éléments nucléé
léés, par 1 NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIERE. T. XV. PL. XLI. LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES (Thomas
rac¡'lIoidiC111U). Il n'y a pas de dégénérescence des libres, ni de lésions conjonctives interstitielles. Les méninges sont
isie inflammatoire du tissu interstitiel. Masson et Ch, Editeurs. LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 321 alt
peu au- dessus, l'état des fibres est normal (P. XLI, A). * Cette lésion localisée et en quelque sorte accidentelle, nous
lindraxes nus. Fibrilles et noyaux con- jonctifs interstitiels. LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 323 eng
gaines de Schwann. On y voit quelques rares noyaux. Ce sont là des lésions exclusivement parenchymateuses, car le 324 THOM
ensuite par le picro-carmin en masse. Selon le ganglion examiné les lésions radiculaires se montrent fort variables. Tandis
ur capsule conjonctive proliférée et semblent en voie d'atrophie. LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 327 4'
ns suivants : 2e et 3e Lombaires (ganglion bilobé) ; 1,10 dorsal. LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 329 Fix
très considérable qui peut être suivie jusqu'au ganglion et en des lésions des méninges et des vaisseaux. Tandis que les
ait exactement limitée à une moitié du corps. De plus, bien que les lésions osseuses de la syringomyéliese traduisent surto
deus (4), les exostoses multiples seraient sous la dépendance d'une lésion du système nerveux. « La multiplicité de ces pr
tte affection serait liée à un trouble trophi- que consécutif à une lésion non encore définie du système nerveux, sans dou
us tendent à établir qu'il existe réelle- ment un rapport entre les lésions des os et certaines altérations du sys- tème ne
tème osseux. n Toutefois, malgré cette main de Morvan, malgré ces lésions du sque- lette, nous ne nous sommes pas arrêtés
s surtout dans la marche, de la tachycardie et de l'oppression sans lésion , du coeur ni des poumons. 1 La sensibilité, l'i
une légère concession à la théorie anatomique, en admettant que la lésion est non la cause mais bien l'effet de la répétiti
, avant que la répétition des mouvements ait pu en- traîner quelque lésion des centres. Nous pensons que la modification a
à en faire un trouble psychique ? - On ne voit pas trop à quelles lésions correspondent les mouvements de la tête dans la
tonus, nous serions mal venu à pré- tendre préciser le siège de la lésion , alors que cette question, comme le dit Crocq (
cus niger, Von Gehuchten dans le noyau rouge. Quel est le siège des lésions chez nos malades ; le placerons-nous dans la mo
RATOIRE DU Pr DEJERLNE. HOSPICE DE LA SA1,PÉ7'RIERE ÉTUDE SUR LES LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES (Suit
PAR André THOMAS et Georges HAUSER. IV. - Étude d'ensemble des lésions . Récapitulons maintenant les principaux résulta
xamens ana- tomo-pathologiques, et voyons comment se présentent les lésions juxta- ganglionnaires et ganglionnaires du tabè
lésions juxta- ganglionnaires et ganglionnaires du tabès (1). 1° Lésions DES FIBRES radiculaires. - L'étude de l'atrophie
ar l'état de la moelle épinière, que le tabes était indiscutable. LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 413 nor
ns. A l'époque d'évo- lution avancée où l'on examine d'habitude ces lésions ,un grand nombre de fibres ont ainsi perdu leur
u mil ieu desquels se trouvent plongées des fibres atrophiées. 2° Lésions DU système conjonctif DES racines. - A côté des a
érations parenchymateuses que nous venons de décrire, il existe des lésions des méninges, du tissu conjonctif péri et intra
ires, de traînées nucléaires le long des vais- seaux, enfin par des lésions vasculaires (sclérose et dégénérescence hyaline
yers hémor- rhagiques. ' L'arachnoïde est de son côté le siège de lésions analogues. Bien que sou- vent confondue par l'i
nfin sur celte dernière portion des racines postérieures on observe LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 415 dan
faisceaux secondaires restent groupés et compacts; ils n'ont aucune LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 417 7 t
endant que Nageolle est beaucoup plus affirmatif sur l'existence de lésions interstitielles clans la racine an- térieure.
ante, et même la dégénérescence calcaire (Obs. VI). L'intensité des lésions vasculaires permet de s'expliquer les hémorrha-
il ne s'ensuit pas, fait à noter, de dégénérescence (Obs. VI). 3° Lésions du parenchyme ganglionnaire. Nos constatations su
anglion seront brièvement résumées. Nous n'avons guère rencontré de lésions du stroma qui mérite d'être signalée. La capsule
dans l'aspect trouble et sombre de certaines cellules un caractère LÉSIONS radiculaires ET ganglionnaires DU TABES 419 pat
terstitiel. On pourrait être tenté de contester la réalité de cette lésion , et de sup- poser que les figures dont nous par
rieusement soutenue. On ne peut donc se refuser à y voir un type de lésions , atteignant un petit nombre de cellules et abou
hiées jusque dans le ganglion, et c'est une particularité qui a été LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 421 bie
omb ; mais il y a lieu de se demander, avec Gombault, si lorsque la lésion est circonscrite, le processus étant alors moin
ph. nerves in locomotor ataxia. Journal of mental diseases, 1888. LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 423 tér
trophique commun, c'est-à-dire dans le ganglion rachidien, quelque lésion qui puisse être la cause de ces dégénérescences
ntparOppenheim (1), W ollenberg (2), Stroebe (3), Redlich (IL). Les lésions décrites par ces auteurs portent sur la configura
e l'hyperplasie de la capsule et l'amoindrissement de la cel- lule, lésions qui pourraient aboutir à l'atrophie et à la dispa
sitation, surtout si l'on compare plusieurs ganglions enlre eux.Ces lésions d'ailleurs ne sont pas constantes, mais elles s
ler aucune modification de la chroma- tine, Marinesco a observé des lésions variables : désintégration des élé- ments chrom
clérose des cordons postérieurs n'est pas sous la dépendance de ces lésions . D'ailleurs la structure fine des cellules gang
plement pour laisser supposer que dans les cas de tabès anciens, la lésion des fibres de la racine postérieure est suscept
(7) VAN GEIIUCIITEN et NÉLIS. Bull. acad. médic. de Belgique. 1898. LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 425 , M
incipaux, confirmés également par nos examens personnels. tua Les lésions cellulaires sont inconstantes, et l'on a d'autant
tégrité et nous avons pu vérifier ce fait,; même dans le cas où les lésions cellulaires étaient évidentes, variant depuis l
taglio della branca perferica a centrale del loro prolongamento. LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 427 phé
n et la persistance de la cause doivent s'opposer à la réparation des lésions . LÉSIONS RADICULA1RES ET GANGLIONNAIRES DU TABE
sistance de la cause doivent s'opposer à la réparation des lésions. LÉSIONS RADICULA1RES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 429 nai
elle légère. Nous avons rappelé plus haut le siège et la nature des lésions décrites par Nageotte(2) ; quelques auteurs les
eotte(2) ; quelques auteurs les ont également considérées comme des lésions inconstantes et variables : Obersteiner qui les a
à peine évidentes, et même lorsque le tabes était plus avancé, les lésions étaient relativement peu intenses et Redlich co
med. Wochenschrifl, 1894. (2) NAGEOTTE, Soc. de l31olog., 1894, La lésion primitive du tabes. Id. Bull. Société anat. Par
. Soc. de Biologie, 1900. Note sur la théorie du tabes. - Note sur la lésion primi- tive du tabes. 430 THOMAS ET HAUSER
eotte ; toutefois il y a lieu de distinguer d'une part l'épinévrite lésion habituelle, mais qui ne saurait intervenir, à auc
les racines sont ma- lades jusque dans le ganglion et pourtant les lésions de périnévrite et d'endonévrite font complèteme
sur certaines ra- cines des fascicules qui restent libres de toute lésion de périnévrite jusqu'à l'entrée du ganglion alo
VI; nous avons constaté sur le trajet de la racine postérieure des lésions conjonctives inflammatoires extrêmement intense
rophie des fibres est déjà ancienne (obs. III) : ces deux ordres de lésions n'évoluent donc pas toujours simultanément et l
eures sont dégénérées parfois jusque dans le ganglion alors que les lésions de périnévrite sont en pleine activité. Nageo
vrite sont en pleine activité. Nageotte admet avec raison que les lésions conjonctives ne sont pas sous la dépendance de
n que les lésions conjonctives ne sont pas sous la dépendance de la lésion parencbymateuse puisqu'elles restent cane' tonn
jet. Mais contrairement à Nageotte, nous ne pouvons admettre que la lésion parenchymateuse soit exclusivement sous la dépe
lésion parenchymateuse soit exclusivement sous la dépendance de la lésion conjonctive, et cela non seulement parce que LÉ
épendance de la lésion conjonctive, et cela non seulement parce que LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 431 cel
u, il est vrai, que dans un cas décrit et figuré par de Massary, la lésion différait complètement par son aspect des lésions
par de Massary, la lésion différait complètement par son aspect des lésions qu'il avait décrites et figurées chez les tabét
ique pas en quoi elles diffèrent; il reconnaît d'autre part que les lésions trouvées chez un typhique présentent certaineme
yphique présentent certainement une ressemblance grossière avec les lésions du tabès jeune : ces faits prouvent tout simpleme
'indiquer nous paraissent suffisam- ment décisifs pour refuser à la lésion de Nageotte une importance capitale dans le pro
peut lui faire encore le grave reproche de négliger une partie des lésions nerveuses du tabès (altérations des nerfs cutanés
s objections. Nous ne pensons pas toutefois qu'on doive reléguer la lésion décrite par Nageotte au rang des banalités, et
inévrite, lorsque celle- ci est extrêmement intense (obs. I). Les lésions décrites par Nageotte se rattachent selon nous au
estement de dehors (1) Cii. Roux, Thèse de Doctorat, Paris, 1899. LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES . 433-
e conjonctif interstitiel..11. ne, s'agit donc en réalité que d'une lésion épisodique d'origine méningée.- , Si dans la pl
ion épisodique d'origine méningée.- , Si dans la plupart des cas la lésion interstitielle ne nous semble pas plus interven
s la lésion interstitielle ne nous semble pas plus intervenir comme lésion initiale dans la dégénérescence de la racine po
en tous cas, elle concourt à en faire pressentir la complexité. La lésion fondamentale du tabes est en résumé une névrite,
y a peut-être lieu de faire intervenir divers facteurs tels que les lésions de méningite étagées sur le trajet de la racine
ou même quelquefois l'étranglement d'Obersteiner et de Redlich; ces lésions peu- vent agir à leur tour soit mécaniquement,
ordinairement; c'est pourquoi tenant compte de la multiplicité des lésions et de la difficulté que soulève leur interpréta-
ules généralement trop exclusives une théorie plus éclectique. La lésion essentielle du tabes est, en somme, une dystrophi
ucture et son aspect normaux, il est cependant parfois^ le siège de lésions atrophiq11es, et d'ailleurs, à défaut de lésions
rfois^ le siège de lésions atrophiq11es, et d'ailleurs, à défaut de lésions ^anatomiques, il est légitime de supposer 'que
l'anes- thésie et de la paralysie motrice est de règle, lorsqu'une lésion intéresse la queue de cheval au-dessous de la t
ur la moelle. Dans cette même leçon, j'avais insisté sur ce que des lésions circon- scrites, situées à des niveaux différen
es mêmes expressions symptomatiques, étant donné que dans un cas la lésion intéresse un certain groupe de centres spinaux
t y avoir, dans un cas donné, à diagnostiquer le siège précis de la lésion , à distinguer une affec- tion nucléaire de la p
rface et en profondeur ; elle atteint maintenant jusqu'à l'os. La lésion pulmonaire paraît être en voie de rétrocession, à
es qui plaident en faveur du siège radiculaire, extra-spinal, de la lésion : début par des douleurs violentes, à propagati
inales dites nucléaires, parce qu'elles sont sym- plomatiques d'une lésion destructive des centres spinaux des nerfs' péri-
ète qu'une pareille marche se conçoit t mal, dans l'hypothèse d'une lésion dégénérative des cen- tres qui président à l'in
ervation de la sensibilité vésico-uréthrale, dans l'hypothèse d'une lésion nucléaire, responsable de l'incontinence d'urin
vation sensitive de la vessie, de l'urèlhre et du rectum. Donc, une lésion nucléaire, une lésion intéressant la substance
vessie, de l'urèlhre et du rectum. Donc, une lésion nucléaire, une lésion intéressant la substance grise de la moelle sac
nesthésie parle déjà hautement en faveur du siège radiculaire de la lésion responsable des accidents pré- sentés par cet h
s accidents pré- sentés par cet homme. On conçoit difficilement une lésion nucléaire, une lésion de la substance grise de
s par cet homme. On conçoit difficilement une lésion nucléaire, une lésion de la substance grise de la portion la plus infér
position uni- latérale se conçoit très bien, dans l'hypothèse d'une lésion radiculaire. Les autres éléments du syndrome pa
vessie et du gros intestin est inconciliable avec l'hypothèse d'une lésion grossière des centres spinaux qui président à l'i
lcooliques du malade militent en faveur du siège périphérique de la lésion . Oui, sans doute; mais il y a lieu de prendre e
aire des troubles vésicaux qui s'explique par l'unilatéralité de la lésion , et surtout par son siège en hauteur. Enfin, il
à-dessus, quand une occasion propice se présentera de le faire. ' LÉSIONS SYPHILITIQUES DES CENTRES NERVEUX FOYERS DE RAM
ns la séance du 17 avril 1902, un travail sur un syndrome lié à une lésion bulbaire uni- latérale, dont les traits cliniqu
ertiges, une hémi- plégie et une hémianesthésie du côté opposé à la lésion , une hémiasyner- gie, de la latéiopulsion et du
une hémiasyner- gie, de la latéiopulsion et du myosis du côté de la lésion . Notre description était basée sur l'étude de t
de Weigert pour la myéline. L'examen microscopique a montré 1° des lésions diffuses, portant sur l'élément mésodermique et
'étendue de la cavitésous- arachnoïdienne (moelleetcerveau); 2° des lésions localisées, véritables foyers de nécrose et de
rs de nécrose et de ramollissement, qui sont sous la dépendance des lésions IIÉMIASYNERGIE, LATÉROPULSION ET MYOSIS BULBAIR
IRES 495 vasculaires, mais qui se cantonnent dans le bulbe ; 3° des lésions paren- chymateuses systématisées consécutives a
; 3° des lésions paren- chymateuses systématisées consécutives aux lésions localisées. Les lésions mésodermiques diffuses
chymateuses systématisées consécutives aux lésions localisées. Les lésions mésodermiques diffuses consistent en une infiltra
'épaississement et de l'infiltration de leur tunique externe et des lésions d'endartérite fibreuse. Fig. 2. - Coupe de la p
eurs parois sont infiltrées de cellules rondes (fig. 2 et 3). Les lésions du tronc basilaire méritent une description spéci
sont épaissies et thrombosées. Une série de coupes montrent que la lésion est en partie ancienne, en partie récente; elle
tunique moyenne et les tissus de l'endartère épaissie ont subi des lésions de nécrose dans les portions les plus éloignées
et qui est peut-être la cause immédiate de la mort. Telles sont les lésions mésodermiques superficielles. Dans la profon- d
superficielles. Dans la profon- deur du tissu nerveux on trouve des lésions de capillarité, surtout au ni- veau du bulbe, d
ésente qu'un certain degré de sclérose névroglique sous-jacente aux lésions inflammatoires de la pie-mère, sans lésions des
glique sous-jacente aux lésions inflammatoires de la pie-mère, sans lésions des fibres à myéline tangentielles. En somme, l
particu- lier, ne permet d'émettre aucun doute sur la nature de la lésion . La sclé- rose conjonctive, déjà avancée en cer
rose conjonctive, déjà avancée en certains points, montre que cette lésion évolue depuis un certain temps. Les lésions l
ints, montre que cette lésion évolue depuis un certain temps. Les lésions localisées consistent en quatre foyers qui siègen
PI. LVI, fig. K, L, M). Il nous faut aborder maintenant l'étude des lésions parenchymateuses systématisées, ou, en d'autres
mes assurés, par une étude minu- tieuse des coupes sériées, que les lésions mésodermiques que nous avons décrites plus haut
s, le malade meurt et l'autopsie permet de constater la présence de lésions syphiliti- ques artérielles et méningées diffus
e temps après l'apparition des troubles cliniques. Or il existe des lésions déjà anciennes, généralisées à toute l'étendue
ou au moins sans que le malade s'en soit aperçu. La présence des lésions méningées généralisées nous paraît être la règle
soit la forme, qu'il s'agisse de tabes, de paralysie générale ou de lésions conglomérées du cerveau et de la moelle. Ces lé
générale ou de lésions conglomérées du cerveau et de la moelle. Ces lésions constituent, en quelque sorte, les fondations s
quelque sorte, les fondations sur lesquelles s'élèvent ensuite les lésions caractéristiques de chacune des formes de la sy
que, par conséquent, la méningite paraît être le premier stade des lésions du système nerveux, qui dérivent de la syphilis
asilaire est manifestement spécifique, et la méningite présente des lésions vasculaires caractéristiques de la syphilis. C'
ntre les deux processus, et que, pour distinguer ces deux ordres de lésions , il est nécessaire de les envisager dans leur ens
nécessaire de les envisager dans leur ensemble. Dans notre cas, les lésions artérielles diffuses ont déterminé, dans le bul
sayer de superposer dans la mesure du possible les symptômes et les lésions . Sans revenir sur les différents détails anatom
vec conser- vation probable du faisceau cérébelleux direct ; 5° une lésion du fais- ceau longitudinal postérieur gauche av
truction des nerfs mixtes gauches sur une certaine étendue ; 7° une lésion légère de la pyramide gauche. Ces deux dernière
; 7° une lésion légère de la pyramide gauche. Ces deux dernières lésions expliquent la gêne de la déglutition et l'hé- m
s il nous est impossible de déterminer ici la part qui revient à la lésion de chacune des voies sensitives dans la genèse de
ue, que nous avons relatés dans notre communication antérieure, une lésion bulbaire avait déterminé une dissociation remar
supposé que dans ces cas le ruban de Reil était respecté et que la lésion siégeait exclusivement sur les voies sensitives l
gauche du corps, avec conservation du tact : il existait une vaste lésion sur les parties latérales du bulbe avec conserv
u ruban de Reil. Dans ce cas, il existait en ou- tre, du côté de la lésion , une perte du sens musculaire que l'auteur met
, une perte du sens musculaire que l'auteur met sur le compte de la lésion du faisceau cérébelleux direct. L'observation de
508 BABINSlil ET NAGEOTTE vés jusqu'à présent est la suivante : une lésion bulbaire peut donner lieu à une dissociation de
un phénomène que nous avons rencontré à plusieurs reprises dans des lésions unilatérales du bulbe et que' nous avons relevé d
oculaire avec rétrécissement de la fente palpébrale ; en un mot les lésions bulbaires peuvent amener un syndrome oculo-pupill
o-pupillaire à peu près identique à celui que l'on observe dans les lésions du sympathique cervical. Toutefois ces troubles
sé. Ces symptômes, qui sont associés dans un grand nombre de cas de lésion du cervelet ou de la protubérance, sont sans do
ion de l' « ataxie » par l'occlusion des yeux; mais dans ce cas les lésions étaient beaucoup plus étendues que dans le nôtr
i remarquer l'importance de la latéropulsion pour le diagnostic des lésions de cette région ; nous avons eu plusieurs fois
u diagnostic. Pour expliquer ces différents symptômes nous avons la lésion de trois appareils fort importants : 1° la lési
mes nous avons la lésion de trois appareils fort importants : 1° la lésion bilatérale des faisceaux olivo- ciliaires ; 2°
ts : 1° la lésion bilatérale des faisceaux olivo- ciliaires ; 2° la lésion unilatérale du faisceau qui met en rapport le noy
ée par le faisceau de» Gowers. C'est bien évidemment dans ces trois lésions qu'il faut chercher la cause des symptômes cérébe
auche seule est atteinte dans sa substance. Faut-il attribuer à cette lésion le tremblement intentionnel des membres supérie
Il semble donc qu'on peut attribuer avec quelque vraisemblance à la lésion du faisceau de Marchi, ou faisceau cérébelleux
synergie était presque limitée à un côté, c'est en réalité, avec la lésion du faisceau de Gowers, la seule lésion unilatér
é, c'est en réalité, avec la lésion du faisceau de Gowers, la seule lésion unilatérale que nous ayons constatée dans le do
. N. acoustique. X. N. pneumogastrique. XII. N. hypoglosse. LES LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE L'ÉCORCE DANS LES ATROPHIES DU
professeur Pierret.Enfin en dernier lieu nous avons pu retrouver la lésion qui nous occupe sur l'é- corce du cervelet dans
même société (30 janv. 1901), par M. V)AL, interne des hôpitaux. LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE L'ÉCORCE DU CERVELET 515 L'int
broncho-pneumonie le 23 janvier 1901. A l'autopsie, en dehors des lésions de broncho-pneumonie localisées aux deux lobes
rface externe des hémisphères. Sur le cervelet, on trouve les mêmes lésions de lepto-méningite. Sous le cervelet, entre sa
téro-externe, fortement excavée dans la partie postéro-interne. Les lésions sont assez nettement symétriques, j16 LANNOIS E
e, en dehors d'une légère diminution de volume ne présentent pas de lésions visibles à l'oeil nu. Examen HISTOLOGIQUE. Deux
son avec l'état normal. Or, nous retrouvons là exactement les mêmes lésions , quoique à un degré moindre, sauf pour l'augmen
; même réduction de la couche moléculaire ; même raréfaction de la LÉSIONS 1JISTOLOGIQU¡';S DE l'ÉCORCE DU CERVELET 517 "à
, coloration soit au carmin ammoniacal, soit à la safranine. Pas de lésion méningitique. Pas de lésion de l'épithélium épend
ammoniacal, soit à la safranine. Pas de lésion méningitique. Pas de lésion de l'épithélium épendymaire du 4° ventricule. L
ulbe, quelles que soient la hauteur et la zone considérées, présen- LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE L'ÉCORCE DU CERVELET 519 tent
sans avoir cependant l'attention suffisamment atti- rée du côté des lésions cellulaires que nous venions de rencontrer. Nous
«... Pour les hémisphères cérébraux, le droit (du côté opposé à la lésion cérébelleuse) est beaucoup moins volumineux que
tement disparu... « Dans la partie postérieure du lobe atrophié, la lésion est très intéressante parce qu'elle est beaucou
rs les caractères dominants. Mais le fait intéressant est que cette lésion débute constamment par la partie profonde"d-es
rs la nervure médul- laire principale que les dentelures offrent la lésion et on peut souvent observer deux, trois dentelu
concerne le cervelet, pour bien montrer que nous avions bien vu la lésion caractéristique sur laquelle nous avons insisté d
GIQUES DE L'ECORCE DANS Lmnvrmn DU z.=v· ? (La/111ois et 'Paviol) LÉSIONS UISTOLOGIQUES DE L'ÉCORCE DU CERVELET 521 les d
he nouvelle des gran- des cellules étoilées. C'est qu'en effet la lésion est ici à son maximum. Si l'on part d'un des ra
ue l'on pouvait t à la rigueur dire primitive : dans le premier, la lésion qui paraissait nettement limitée au vermis et a
u côté droit. On veraa que nous avons retrouvé dans le cervelet des lésions identiques à celles que nous venons de décrire;
évrier 1901, elle devient brusquement délirante, se déshabille dans LÉSIONS UISTOLOGIQUES DE L'ÉCORCE DU CERVELET 523 3 la
dure depuis huit à dix jours. Autopsie, 34 heures après la mort. Lésions de broncho-pneumonie du lobe supérieur du poumo
t très durs a la coupe et ont un aspect rétracté. Il n'y a pas de lésions apparentes au niveau de l'isthme : la protubéranc
e bulbe est éga- lement d'aspect normal. Au contraire, il y a une lésion évidente du cervelet : le lobe droit est réduit
e une infiltration intense d'éléments ronds ou ovales, témoins sans LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE L'ÉCORCE DU CERVELET 525 aucun
ié : il n'est plus compris entre deux lames grises égales. Pas de lésion il noter du côté des vaisseaux pénétrants. 2° F
sl, à l'hématéine-éosine, au picro-carmin.) Il n'y a pas la moindre lésion . Notamment les traînées des fibres transver- sa
ve ou secon- daire du cervelet, nous.avons constamment retrouvé une lésion qui nous paraît absolument caractéristique. Dan
e. Dans les folioles et les dentelures de l'écorce cérébelleuse, la lésion apparaît brusquement. Les cellules de Purkinje
llement formée : il semble nettement que les cellules qui la compo- LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE L'ÉCORCE DU CERVELET 527 sent
de Thomas (1). Cependant t nous sommes persuadés que Thomas a vu la lésion avec Déjerine (2), car dans l'examen histologiq
... » Dans 1'1)érédo-alixie cérébelleuse, il peut ne pas y avoir de lésions cel- lulaires. Nonne (3) dit expressément, malg
re d'une façon aussi complète. (1) A-Tiius, thèse de Paris, 1891. LÉSIONS H1STOLOGIQUES DE L'ÉCORCE DU CERVELET 529 Nous
s ne terminerons pas sans insister encore une fois sur ce fait : la lésion que nous venons de décrire se produit d'une maniè
Menzel et dans celui de Déjerine et Thomas où coexistaient d'autres lésions diverses du système nerveux. Les lésions cérébe
s où coexistaient d'autres lésions diverses du système nerveux. Les lésions cérébelleuses nous paraissent donc assez nettem
rêt clinique, ne doit pas toujours être considéré comme synonyme de lésion primitive du cervelet : il peut n'être que la man
lésion primitive du cervelet : il peut n'être que la manifestation de lésions éloignées retentissant secondairement sur l'éco
éloignées retentissant secondairement sur l'écorce cérébelleuse. La lésion de l'écorce cérébelleuse peut évoluer sans donn
raser et de Nonne, par Nliura et par Switalski, nous voyons que les lésions du cervelet sont véritablement insignifiantes à c
e clinique cérébelleux comme étant tou- jours le représentant d'une lésion primitive du cervelet. LABORATOIRE DE LA CLINIQ
23 septembre 1896. - Mort dans le marasme par suite du progrès des lésions tuberculeuses des deux poumons. GIGANTISME ET
microscopique a révélé très nettement la nature tuberculeuse de ces lésions . Langue : 11 cm. 05 de long sur 8 de large. C
ueur : intestin grêle (10 m. 70), gros intestin (3 m. 80). Quelques lésions tuberculeu- ses dans l'intestin grêle et le col
reum, remplissait la selle turcique. EtBabinski (1) conclut que les lésions de l'hypophyse qui produisent chez l'adulte (ac
8 fiÓ.), par SOU¡"HA : \OFF et Cl.III : \ II : CI< . Cervelet ( Lésions histologiques de l'écorce dans les atrophies du
ité verbale et d'aphasie sensorielle chez un paralytique général. Lésions de 7né ? tiîigo encéphalite (1 pl. pliotocollog
et myosis bulbaires avec hémianesthésie cl hémi- plégie croisées. Lésions syphilitiques des centres nerveux (8 fig. dans
e Liltle (2 pl. en photocollogr.), par GASTON Daniel, 138. Tabès ( Lésions 1'lldie,dall'es et ganqlioizizai- res du) (4 pl
Japonais (3 fig.) 359. HAusER (G* et Thomas (A.). Etude sur les lésions radiculaires et ganglionnaires du tabes (avec 4
que del'akathisie(1 pi. en photocollogr.), 241. Lannois et Pavot. Lésions de l'écorce du cervelet (1 fig., 2 pl.), 512.
ningo-encéphalite (1 pL photollogr.), 286. NAGEOTTE et BAi31NsKi. Lésions syphiliti- ques des centres nerveux. Ilermiasy-
rissaud) (12 pl. en photocollogr.), 134. Paviot et LA1\¡-'¡OlS. Les lésions histologi- ques de l'écorce dans les atrophies
photocollogr.), 131. Thomas (A.) et HAUSER (G.). Elude sur les lésions radiculaires et ganglionnaires du tabes (avec 4
IV. Cécité verbale pure (Brissaud), XXXIII à XXXVII. Cervelet ( lésions de l'éc rce dans l'atro- phie du) (Lannois et P
LXII à LXIX. llémiasynergie, latéropulsion, myosis bul- baires ; lésions syphilitiques des centres nerveux (13AmXSI([ et
omyélie à topographie radiculaire (Cestan et HUET), I, II. Tabès ( Lésions radiculaires et ganglion- naires) (Thomas et II
15 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
CLINIQUE MENTALE. SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE AVEC LÉSIONS TABÉTIFORMES DES CORDONS POSTÉRIEURS ; , . 1 .
un mot de son mémoire pouvant faire supposer qu'il ait pensé à des lésions spinales propres à la paralysie générale, diffé
olongé très longtemps, l'autopsie n'a point permis de découvrir les lésions ordinaires de la périencéphalite chro- nique »
la paralysie générale. Pour lui, les phénomènes tabétiformes et les lésions spinales de la para- lysie générale doivent êtr
de ressemblance. La diffé- rence est essentielle en ce sens que la lésion initiale du tabes n'a pas la même localisation
faut bien dire que dans la paralysie générale, la localisation des lésions des cordons postérieurs simule par- fois la scl
onographie de la Salpêtrière, 1895.) - Klippel. Paralysie générale. Lésions el symptômes spinaux. Formes pinales. (Archives
5 près, d'analyser exactement la topographie et la succession des lésions , si aux différents étages de la moelle on n'établ
elle on n'établit pas le rapport entre l'intensité et l'étendue des lésions intra- médullaires d'une part, l'intensité et l
ie générale juvénile. On verra, par les détails anatomiques que les lésions de la moelle peuvent être prises à première vue
, etc. Bref, ni l'ensemble symptomatique, ni l'étude minutieuse des lésions des cordons et des racines postérieures, ne per
service de Charcot ; là, après un examen prolongé, on conclut à une lésion organique de la moelle ; on appliqua des pointe
cher logiquement à l'hys- térie tout un ensemble de symptômes : les lésions de la sensibilité, la sitiophobie si accusée, e
la base, non plus que les artères sylviennes, ne présentent pas'de lésions apparentes. 8 CLINIQUE MENTALE.- ' grisâtre
ect normal ; il est lissé, uniforme,sans trace de carie ou d'autres lésions , pouvant agir par compression sur la moelle.
l'examen aucune altération notable, ils ne présentent nulle part de lésions tuberculeuses. Le coeur est petit, la cavité ga
estreintes, les valvules sont saines, l'aorte est étroite mais sans lésions . Le foie est petit; son tissu paraît normal ; o
r la capsule. Les reins sont petits, durs, d'un rouge intense, sans lésions de néphrite. L'estomac est notable- ment disten
distinguer diverses zones inégalement sclérosées. Le maximum des lésions siège en deux points : au niveau de la zone de
cordon postérieur vers la zone cornu-radiculaire. L'ensemble de la lésion dessine un champ semi- lunaire dont le côté rec
esure que l'on se rapproche du septum médian. La seconde zone des lésions occupe une grande partie du cordon postérieur,
DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 9 fibres en voie de disparition. La lésion se détache avec netteté sur le fond du cordon p
ale (/i. i, 3 et 4). a) Moelle dorsale inférieure et moyenne. - Les lésions sont plus limitées et l'ensemble du cordon post
es fibres saines. La forme, la disposition et la constitution de la lésion restent les mêmes dans toute la hauteur de la m
ur de la moelle dorsale, lorsque se constitue le cordon de Goll, la lésion reste encore circonscrite avec les mêmes contou
ellules d'aspect granuleux et jaunâtre. La corne postérieure n'a de lésions appré- ciables en aucun de ses points. Le can
posté- rieure et atteindre la périphérie avec cette dernière. La lésion se présente sous forme d'une bande sclércuse larg
rrière comprenant le faisceau de Goll entre ses deux bran- ches. La lésion est assez uniforme dans toute son étendue mais le
des lobes frontaux temporaux, pariétaux et occipitaux montre les lésions dont l'ensemble caractérise la paralysie générale
e pouvaient faire songer à une paralysie hystérique plutôt qu'à une lésion organique de la moelle, mais elle excluait à co
l'écarter. Nous insistons sur ce point, parce que l'ensemble des lésions anatomiques, malgré tous les détails que nous avo
hons à coordonner les résultats obtenus et à discuter la valeur des lésions , nous devons d'abord recon- naître la ressembla
- naître la ressemblance apparente qui existe entre certaines des lésions observées et celles du tabes au début. Prises sép
es, mais il y en a dans tous les cas très peu d'ab- sentes et cette lésion , si légère qu'on serait en droit de ne pas en t
Les racines pos- térieures semblent plus altérées, mais souvent la lésion est très peu prononcée. L'intégrité des racin
térieures et de la zone de Lissaüer, ou le peu d'intensité de leurs lésions apparaissent avec toute leur importance si on l
. Celles-ci étant la suite anato- mique des fibres radiculaires, la lésion des unes et la conser- vation des autres est de
, faisceaux triangu- laires) n'est pas absolue. Cette diffusion des lésions est incon- testable. C'est là un premier point
avec celui de l'irrégularité, de l'incon- gruence si l'on veut, des lésions observées. Poursuivant en effet la sclérose de
idérer ce fait comme en concordance complète avec l'état diffus des lésions étu- diées aux étages inférieurs d'une part et
sions étu- diées aux étages inférieurs d'une part et avec le peu de lésions des racines postérieures d'autre part. Nous nou
et la paralysie générale, s'il ne venait en concor- dance avec les lésions qui frappent les éléments des cornes. En effet,
ce granuleuse des cellules et surtout leur disparition complète. La lésion n'est d'ailleurs pas limitée au côté le plus gr
resque complète des zones de Lissaüer et cornu-radiculaire moyenne, lésions peu accusées des racines postérieures et des fa
a constitution de certaines racines ne suffirait pas à produire une lésion aussi étendue. La méningite, évidente sur la pl
complète. De plus, tout au haut de la moelle, nous avons décrit une lésion dont l'as- pect et la siluation étaient à peu d
e de certaines des cellules de la corne grise. Est-ce à dire que la lésion observée tienne uniquement à la désintégration
évidemment un peu plus considérable que ne l'indiquent les minimes lésions des racines sensitives et des deux premières zo
ellulipète de ces ramifications. Dans ce cas il est de règle que la lésion respecte à peu près la racine postérieure et la
no G.) 22 CLINIQUE MENTALE. d'invraisemblable à admettre que la lésion puisse devenir exogène. Il nous paraît qu'ain
ion s'éclaire com- plètement ; étant donné le fait indéniable d'une lésion primi- tive des neurones centraux- qu'il s'agis
s exogènes est le seul qui s'accorde logiquement avec les faits. La lésion primitive des neurones explique, en outre, la d
des neurones explique, en outre, la diffusion et l'irrégularité des lésions observées, en faisant intervenir l'altération d
des aliénés; mais après sa mort, l'examen de la moelle montrait des lésions telles qu'on aurait pu facilement les croire ca
pouvait seul empêcher de commettre cette erreur, en montrant que la lésion frappait presque exclusivement, non le système
testable que le myxoedème sans apathie intellectuelle résulte d'une lésion des- tructive des éléments thyroïdiens, les élé
n rien l'activité psychique permet d'entrevoir la conséquence d'une lésion exclusivement piràtli3,roïdieiiiie ; si cette lés
séquence d'une lésion exclusivement piràtli3,roïdieiiiie ; si cette lésion n'entraînait pas la dégénérescence totale de l'
ndaires et dépendants des symptômes poiynêvri- tiques, mais que les lésions périphériques sont dépendantes des lé- sions sp
faut reconnaître au diabète sucré une action prédisposante pour les lésions spéciales des nerfs périphé- riques; 4° qu'il n
riques; 4° qu'il ne s'agit pas d'une véritable systématisation des lésions médullaires, mais d'une pseudo-systématisation, a
d'hél11orlha ! ! ie méningée, et cependant l'autopsie a montré une lésion profonde à conlouis bien définis intéressant la
nlouis bien définis intéressant la zone motrice gauche, sans aucune lésion des autres parties du cerveau. B. Il y avait hé
le droite, mais sans paralysie du facial supérieur, et cependant la lésion intéressait la région rolandique tout entière.
d'une zone de petits noyaux d'aspect inflam- matoire ; aucune autre lésion . L'auteur en conclut : «1° Le centre de la sens
lacé- dans la partie antérieure du lobule pariétal supérieur; 2°les lésions corticales siégeant dans la zone psycho-motrice
point dé vue du traitement, est au fond purement théorique; 4° les lésions très limitées du cortex sont capables de faire
t se produire à la suite d'une 48 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. lésion cérébrale : hémiplégie purement motrice ou compli
de troubles sensitifs et sensoriels, hémiplégie alterne inférieure ( lésion bulbaire intéressant le faisceau pyramidal et le
pyramidal et le noyau de l'hypoglose), hémiplégie alterne faciale ( lésion bulbo-protubéran- tielle), hémiplégie alterne s
e supérieure désignée par Charcot sous le nom de Syndrome de Weber ( lésion pédonculaire). La malade pré- sentait, en plus
à la suite de rhumatismes et d'une scarlatine, les symptômes d'une lésion cardio-aortique (liyperthropie du coeur et insu
r l'expérimentation sur les animaux, de laquelle il résulte que les lésions centrales dans la maladie de Basedow doivent po
oitre semble, dans certains cac, sous la dépendance immé- diate des lésions oculaires; il en était ainsi, par exemple, dans
neurasthénie et ayant guéri sans avoir donné lieu à aucun signe de lésion apparente. Cette absence complète de signes phy
seulement coïncidence, mais bien rapport de cause à ellet entre les lésions osseuses et celles de la moelle épi- nière. Il
épi- nière. Il n'y a pas, par contre, de rapport constant entre la lésion de l'hypophyse et l'acromégalie. Par suite, il
liques sont l'effet des diverses modalités et des divers degrés des lésions des centres Irophiques, que l'observation clini
substance grise entourant le canal central, et que, par suite, les lésions de la substance grise peuvent aussi bien produi
a substance grise peuvent aussi bien produire l'acromégalie que les lésions plus fréquentes de la glande pituitaire. Celte
es symptomatiques, qui peuvent être récidivantes et qui relèvent de lésions organiques diverses. La pathogénie de l'attaq
tion d'ischémies fonctionnelles dans la région des noyaux, on à des lésions endartéritiques des artères oculu-molrices. Cer-
. Cer- tains faits suivis d'autopsie, dans lesquels on a trouvé des lésions assez circonscrites, au voisinage de l'émergenc
t aux troubles de l'appareil circulatoire de l'oculo-moleur, qu'aux lésions ner- veuses elles-mêmes. Ces vues palhogéniques
taté des altérations diffuses de séni- lité des reins, amsi que des lésions de néphrite subaiguë récente. Chez ces deux mal
du manteau hémisphérique. Le méningisme serait produit par de fines lésions cellulaires, presque toujours d'origine toxique
ongestion aiguë du pou- mon peut-être aggravée el favorisée par des lésions cardiaques. D'autre part, le système nerveux es
de dire l'origine et la signification. Le corps thyroïde offre des lésions accentuées; il existe une hyperplasie considéra
'aide de laquelle on voulait expliquer le syndrome de Basedow etles lésions thyroïdiennes paraissent en réalité être la con
ence, des paralysies secondaire, athéromateuse ou arthritique, sans lésions anatomiques, etc. Et ce sont ces faits, indûmen
ne décrire sous ce nom que des' càs semblables, en rapport avec des lésions anatomiques déterminées, et de réserver tous le
e diphtéritique, injectée aux cobayes, on constate tout d'abord des lésions graves dans les cel- lules motrices des cornes
sséminées de lasubstance blanche du système nerveux central, et des lésions systématiques des racines postérieures et des c
résumer l'action directe du streptocoque sur la fibre nerveuse. Les lésions des cellules des cornes antérieures ne sont pas
n degré de chromatolyse. Les nerfs périphériques ne révèlent pas de lésions bien nettes. Les altérations de la subs- tance
rédité cérébrale, MM. Mairet et Vires compren- nent les différentes lésions organiques du cerveau rencontrées chez les asce
. Mais, dans l'un et l'autre cas, ces processus réalisent les mêmes lésions d'inflamma- tion diffuse et de dégénération cel
98. N° 32 ARCHIVES DE NEUROLOGIE ANATOMIE PATHOLOGIQUE. SUR LES LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE ; Par le D D.
s des médecins alié- nistes et neurologistes, en août 1897, sur les lésions médul- laires des aliénés en général, nous avon
beaucoup insister sur l'intérêt qui s'attache à la constatation des lésions spinales de la paralysie générale. La clinique
ue nos observations nous autoriseraient à affirmer la constance des lésions médullaires dans la para- lysie générale. Mais
s qui constituent le système nerveux, ' Contribution il l'élude des lésions spinales de la paralysie générale. (Thèse de To
nales de la paralysie générale. (Thèse de Toulouse, mars 1898.) LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 83 z3 nous a
s de la paralysie générale. Elle est peut-être quelquefois la seule lésion ap- préciable du système nerveux. Pour notre pa
avons la ferme conviction que dans quelques cas de nécropsie avec lésion cérébrale négative ou douteuse, la lésion médulla
ues cas de nécropsie avec lésion cérébrale négative ou douteuse, la lésion médullaire, évidente et caractéristique, pouvai
les sujets étaient des paralytiques parce qu'ils présentaient des lésions de la moelle, avant d'avoir démontré que ces lési
ésentaient des lésions de la moelle, avant d'avoir démontré que ces lésions existent bien dans la paralysie générale. Il no
ils s'ajoutent à bien d'autres pour témoigner de l'importance de la lésion . 84 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. La topographie d
ce de la lésion. 84 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. La topographie de la lésion elle-même varie. Elle se can- tonne le plus sou
uelquefois ils sont lésés au même degré, souvent il existe entre la lésion de l'un et de l'autre une disproportion très gr
portion très grande. Le cordon latéral présentera, par exemple, des lésions peu accusées, tandis que le cordon postérieur e
ce. Nous le rappellerons ailleurs. C'est surtout la topographie des lésions du cordon postérieur qui varie dans les différe
e presque toujours, s'étendant de la périphérie jusqu'au niveau LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 85 de la col
cervicale, on retrouve bien quelquefois la suite anatomique de ces lésions . La dégénération du faisceau pyramidal est plus
ions. La dégénération du faisceau pyramidal est plus marquée et les lésions du cordon posté- rieur se localisent exactement
de Goll. Ces cas sont les plus rares. Plus généralement on voit les lésions perdre de leur netteté, à mesure qu'on s'éloign
oint coloré. Lorsqu'elle est plus avancée, on voit, au niveau de la lésion , des boules de myéline éparses çà et là, hors des
rvus. Le cylindre-axe persiste. A un degré plus accusé encore, la lésion dégénérative a abouti à une sclérose intense. N
, sauf dans les territoires des fibres endogènes. En sorte que la lésion représentait exactement ce qui s'observe dans la
lequel on distingue à peine la saillie des cornes antérieures. La lésion microscopique se caractérise d'abord par la des-
entale, 1891. erger. Analyse in Revue neurologique, janv. 1898. LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 87 I le noya
par une congestion cérébrale, et l'autopsie nous montra toutes les lésions de la paralysie générale. Les lésions médullair
topsie nous montra toutes les lésions de la paralysie générale. Les lésions médullaires, observées après la fixation, n'éta
c- tions les plus diverses. Il est plus difficile d'apprécier une lésion des cellules du faisceau intermedio-lateralis, de
donc intéressé, Il en est de même du revêtement interne, c'est- LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 89 à-dire de
git ici ? Nous nous pose- rons cette question tout à l'heure. Les lésions vasculaires ne s'observent pas seulement à la p
esque toujours atteintes. Prenons d'abord le faisceau pyramidal. Sa lésion , à peu près constante, devait évidemment nous f
. S'il est vrai que l'on peut, dans quelques cas rares, suivre la lésion du faisceau pyramidal à travers le bulbe et la pr
en forcé de reconnaître que, dans la grande majorité des cas, cette lésion a son maximum dans la région dorsale, qu'elle s
i- quement on pouvait s'attendre à trouver plus intense dans la LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. il 1 région
a pas disparu complètement. En tenant compte des caractères de la lésion elle-même, on ne s'explique pas très bien, dans
d'un retentissement, sur une partie du neurone médullaire, de la lésion , bien constatée, d'un élément important de ce neu
plus accusée à la région dorsale. La preuve qu'il s'agit bien de la lésion de ces fibres radiculaires moyennes, c'est qu'e
a- raissent les cellules de la colonne de Clarke, c'est que cette lésion est d'autant plus intense que la destruction des
que la destruction des cellules de Clarke est plus avancée, que la lésion du faisceau cérébel- leux direct, suite anatomi
térées que le cordon postérieur était lui-même plus dégénéré. Les lésions de la substance grise sont encore bien moins fa
n'a point de peine à admettre* semblable systématisation dans la lésion d'une des voies sensitives les plus importantes,
le. L'atrophie de la cellule radiculaire antérieure résulterait LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 93 de la dég
e, des cellules de cordon. Il n'est point facile d'apercevoir une lésion de ces éléments pas plus que des voies qui les re
, on pourra se prononcer sur les conditions de retentis- sement des lésions d'un organe sur un organe voisin, qu'il importe
demander quel peut être le but physiologique de la névroglie. Les lésions vasculaires sont constantes, nous l'avons vu. L
nant, jetant un coup d'oeil en arrière, nous envisageons toutes ces lésions médullaires dans leur ensemble, nous avons à no
ogie générale nous montre ailleurs des pro- cessus analogues. Les lésions de la substance blanche se retrouvent dans les
On s'est beaucoup occupé, dans ces dernières années, en Italie, des lésions médullaires qui s'observent dans cette maladie.
ée, combinée et pri- mitive des cordons latéraux et postérieurs. La lésion du fais- ceau pyramidal a son maximum dans la r
ur, à la région cervicale. Dans la subs- tance grise, il a noté des lésions des cellules nerveuses carac- térisées par l'at
IE GENERALE. 95 toxine diphtérique réalisée par Donaggio. Les mêmes lésions ont été constatées par Wassale, Donaggio et Gén
Et l'analogie se retrouve non seulement dans la topographie de. la lésion , mais encore dans les détails de son processus.
ous, se dégage de cette incursion dans la pathologie générale : des lésions médullaires, comme celles de la paralysie génér
générale, et l'anatomie patholo- gique nous amène à penser que ses lésions doivent être le - résultat d'une intoxication.
ogique va même un peu plus loin et nous signale quelques détails de lésions que certains auteurs, à tort ou à raison, consi
nt comme la signature de la syphilis. Nous faisons allusion ici aux lésions vasculaires dont la fréquence et l'intensité no
96 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. M. Il. Lamy' écrit : « L'importance des lésions vasculaires n'a pas échappé aux auteurs dont l'
écoces et généralement prononcées. Greif, le premier, a signalé les lésions veineuses dans la syphilis des centres nerveux;
oujours facile à établir, et nous nous garderons d'affirmer que les lésions étaient toutes de nature syphilitique, parce qu
générale, qui sont autant de signes de névrites. Presque toutes les lésions médullaires de la paralysie générale peu- vent
t;eCharcot et Brissaud, p. 633. * Semaine médicale, janv. 1898. LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 97 notamment
E. 97 notamment, par Ballet, dans la névrite expérimentale 1. Les lésions des cordons postérieurs sont notées dans un grand
tiques généraux que de présenter dans leurs cordons postérieurs des lésions analogues. Y. Des lésions spinales comme celles
nter dans leurs cordons postérieurs des lésions analogues. Y. Des lésions spinales comme celles de la paralysie géné- ral
eux, qui étaient en même temps des tuberculeux, présentaient des lésions des cordons postérieurs. Nous l'avons dit au Cong
ortant dans leur pro- duction, à titre de diathèse infectieuse. Ces lésions , nous les avons observées depuis chez des sujet
ire du faisceau latéral, leur topographie rappelant alors celle des lésions de la paralysie générale. Dans quel- ques-uns d
tre. Ils seront l'objet d'une étude spéciale. Est-ce à dire que les lésions médullaires de la paralysie générale soient ban
sont pas carac- téristiques de la maladie, pas plus que les autres lésions ~~ anatomiques prises isolément , elles mériten
ique de nos malades. En effet, puisqu'ils pré- sentent toujours des lésions des cordons postérieur et latéral, que l'un est
celui de la motilité, l'une et l'autre pourront être troublées. La lésion du cordon postérieur est parfois assez- intense
antôt exagéré, tantôt aboli, sans doute selon la prédominance de la lésion du cordon latéral ou du cordon postérieur. En é
a lésion du cordon latéral ou du cordon postérieur. En étudiant les lésions de la moelle, nous sommes conduits à penser qu'
la moelle, nous sommes conduits à penser qu'elles s'accompagnent de lésions périphé- riques si elles n'en sont pas la consé
- ques, peu de temps après le début de leur maladie, présentent LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GENERALE. 99 des troub
de deux ans, à l'asile de Tou- louse, ont été reconnus porteurs de lésions médullaires. Les lésions spinales de la paralys
Tou- louse, ont été reconnus porteurs de lésions médullaires. Les lésions spinales de la paralysie générale peuvent intéres
comme une dégénération descendante ayant pour point de départ la lésion de la cellule pyramidale de l'écorce. Les lésio
int de départ la lésion de la cellule pyramidale de l'écorce. Les lésions du cordon postérieur s'expliqueraient par une dég
ique dénonce et que l'anatomie pathologique soupçonne. III. - Les lésions , prises dans leur ensemble, ressemblent, comme
, dans la grande majorité des cas, un syphilitique. En outre, les lésions vasculaires observées sont bien de celles que la
coutume de produire. IV. - Envisagées à un autre point de vue, les lésions médullaires observées dans la paralysie général
eur connaissance, la clinique peut tirer quelque profit. Puisque la lésion des con- ducteurs de la motilité et de la sensi
es il y a vaso-constriction spasmodique parce qu'elle conduit à des lésions irréparables. A M. Allard nous devons une étude
point exploré ou en ce point lui- même ; elle reste muette. sur les lésions situées en amont et ne nous renseigne en rien s
ive de l'acuité visuelle était due, et à la névrite optique, et aux lésions des centres visuels sous-corticaux : petites hé
congestionné, [pourrait-on penser pour expliquer sa paralysie, à la lésion du faisceau longitudinal supé- rieur en rapport
partie était seule lésée, on n'observerait que de la mydriase. Une lésion nucléaire enlraine rarement une paralysie des m
n'y a pas de troubles fonc- tionnels des membres; donc il n'y a pas lésion de cette partie de j'oculomoteur qui occupe la
l'hypoglosse, de l'accessoire, du glossopharyngien, du nerf vague; lésions relative- ment faibles des cellules nerveuses.
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Si, dit l'auteur, nous laissons de côte les lésions irrégulières que l'on peut observer çà et là, t
bles à la présente observation; ces auteurs n'ont rencontré que les lésions corticales de la paralysie générale. Ici, en outr
es lésions corticales de la paralysie générale. Ici, en outre de la lésion corticale, il y a atrophie très marquée de lacouc
ette atrophie est primitive, car, même lorsqu'on est en présence de lésions encé- plialitiquescorticales des plus graves, i
. Tel était d'ailleurs son recoquillement qu'il peut expli- quer la lésion des voies motrices voisines, la dégénérescence de
or- ticale que de l'atrophie de la couche optique. Pathogénie. La lésion des conducteurs moteurs, n'interrom- pant point
antérieures ; mais ce courant rencontre l'obstacle en question (la lésion ) et il se fait au-dessus de celui-ci une accumu
, elle surmonte les résistances qu'elle rencontre à l'endroit de la lésion et se manifeste sous la forme d'un mouvement très
s dans les membres paralysés des hémiplégiques et monoplégiques par lésion cérébrale. R. C. XXXVI. Phénomènes pulmonaires
le, le bulbe ont été successivement mis en cause, mais pour lui les lésions de la glande thyroïde sont pri- mitives et dans
ande étant un moyen dangereux. Walter Edmunds ne considère pas la lésion de la glande thyroïde comme primitive dans la m
e peut se répercuter sur le système nerveux. Il est possible que la lésion primitive se trouve dans un trouble du métabolism
pendymaire; 4° Dans la production du type de la main succulente, la lésion des trois neurones médullaires entre en jeu. Le
opographie commandée par la marche de la gliose. Cette marche de la lésion nous permet de résoudre quelques problèmes de l
étueuse, incomplète, ou inversement. Tous les auteurs croient à des lésions vasculaires; l'observation de Brault (1878) est
es; l'observation de Brault (1878) est caractéristique ; il y avait lésions artérielles et hémorrhagie cérébrale. Mais il peu
la jambe sans examen de ses caractères précis, où il y a d'énormes lésions du cerveau. Il ne reste que le cas de David (18
t peu atteints. C'était en réalité une combinaison fortuite de deux lésions par la syphilis. P. IEnA vAL. REVUE DE PATH
nteur indirecte decon- traction. On pouvait espérer l'imputer à des lésions anatomiques des cellules motrices ou des nerfs
e tronc est resté intact. Cette allure indique la probabilité d'une lésion du système nerveux central. L'auteur fait rem
dans la sclérodermie que dans l'hémiatrophie faciale, il n'y a de lésions anatomiques toujours les mêmes. Il est plus que p
iatique, radial, cubital gauches, cervical et péronier droits); une lésion des fibres musculaires (disparition des stries
e. Dans l'hémiatrophie faciale, cas de Schlesinger, on constata des lésions centrales, mais il s'était produit des troubles
duit des troubles de la déglutition et, plus tard, des symptômes ou lésions de la base. , La marche ultérieure de notre o
olle à l'endroit même, assez bonne au-dessous. Il s'agit donc d'une lésion et non de simples troubles fonctionnels. De plu
ané, la branche du grand dentelé, le radial, le médian, le cubital. Lésion des cinquième et huitième racines cervicale et
, tandis que celle du sus-scapulaire se rattachera au quatrième, la lésion inflammatoire doit s'être étendu du plexus brac
et des muscles. Comme le facial et l'hypoglosse sont indemnes, la lésion se borne à la zone motrice du centre du bras. P
e est due à des troubles de centres encéphaliques spéciaux dont les lésions circonscrites produisent la chorée localisée ou h
des hommes de dix-neuf et trente-deux ans. La localisation de la lésion et de la détermination topographique cranio-céréb
cependant, à l'aide d'un objectif plus fort on y peut constater des lésions très considérables : hypérémie extrême, travées p
r- veuses' SYRINGOMYÉLIE ET SARCOMATOSE DE LA MOELLE. 169 Les lésions sont un peu moins avancées à la hauteur de la V
A ce 170 - CLINIQUE NERVEUSE. niveau nous voyons donc les deux lésions médullaires (la cavité et la tumeur centrale) q
nerveux résultant d'une hyperplasie diffuse de la névroglie. Cette lésion a particulièrement atteint la partie centrale d
pinales et de la moelle dans toute la lon- gueur de l'organe. Des lésions pareilles sont si saillantes qu'il paraît bien
la variété infinie de symptômes. Car quelle que soit l'étendue des lésions anatomiques qui occupent presque toujours toute
. A l'entrée de la malade à la clinique, on n'a pu constater qu'une lésion médullaire s'étendant depuis la neuvième racine
don d'Achille et même phénomène du pied). Quant à la nature de la lésion elle restait indéfinie, c'est un processus infl
: on le trouve multiple dans plusieurs endroits. Outre toutes ces lésions , il y a à noter dans la moelle une hyperhémie v
llant jusqu'à une oblitération complète. Plus souvent cependant ces lésions portent un caractère régressif. C'est la dégéné
développant qu'à une pé- riode rapprochée de la mort du sujet, les lésions vasculaires manquaient de temps pour s'établir.
e nous trouvons les vaisseaux hyalins, tandis que dans celle-là les lésions vasculaires n'offrent qu'un caractère 'inflamma
cas que cette malignité a atteint son plus haut degré. Parmi les lésions du tissu nerveux nous avons mentionné un ramoll
ntes : non seulement les troubles circulatoires qui résultaient des lésions vasculaires devaient être bien graves, mais cet
onnexion entre le canal central et les excavations, le siège de ces lésions restant à toutes les hauteurs bien éloigné de l
nées anatomo-pathologiques. Nous avons trouvé deux catégories de lésions médullaires apparemment indépendantes : la sarc
mêmes résultats ont été obtenus par Dexler, sauf que le siège des lésions fut toujours au-dessus du segment comprimé. Cep
l'étude de la syringomyélie, sont d'accord pour admettre que cette lésion puisse résulter d'une compres- sion de la moell
présenté toutes les phases de la paralysie générale. A l'autopsie, lésions classiques de cette maladie. M. Joffroy se dema
ors qu'ils lui préexistaient. En terminant M. Jotfroy mentionne des lésions intéressantes présentées par la moelle de ce ma
intéressantes présentées par la moelle de ce malade. A côté d'une lésion insignifiante des faisceaux blancs et une légère
ceaux blancs et une légère prolifération névroglique, on trouve des lésions très accentuées des cellules, ce qui est un arg
eur de l'opinion qu'il soutient, que dans la paralysie générale, la lésion cellulaire est primitive et indépen- dante de l
n gri- sâtre et sa consistance ferme sur la substance blanche. La lésion s'étend depuis le lobe frontal jusqu'au lobe occi
rs insistent sur les troubles mentaux et sur la topogra- phie de la lésion . Le délire (l'auto-accusation systématique. M
cons- taté des paralysies flaccides à la suite de compression ou de lésions de la moelle épinière susceptibles de donner na
sée, avec exagération des réflexes - et trépidation épileptoïde. La lésion , comme je l'ai dit, est carac- térisée par une
eu de temps après, MM.Char. cot et Marie reconnurent l'existence de lésions indubitables des cellules motrices de l'écorce.
bles mentaux liés à une affection des centres nerveux (traumatisme, lésion en foyer, etc., ou des nerfs); 8° troubles ment
gné à Toulouse. Parmi les maladies infectieuses qui déterminent des lésions arté- rielles, certaines se localisent primitiv
on dans l'adventice. Etendues en nappes quoique non localisées, ces lésions consti- tuent des périartérites dont le début e
aits dans lesquels elles seraient seules responsables de véritables lésions artérielles, ne sont pas probants. Elles n'agis-
Dans les maladies propres au système nerveux, dans lesquelles les lésions sont plus ou moins locales ou systématisées, elle
tissu de sclérose. Mais la encore nous ne retrouvons pas à côté des lésions des capillaires et des artérioles des lésions d
ouvons pas à côté des lésions des capillaires et des artérioles des lésions d'artérite au niveau des artères d'un certain v
es devient plus grande du fait de l'irrégularité de répartition des lésions et des réactions diffé- rentes que peuvent prés
sonl à 'peu près nuls sur tel autre. C'est cet aspect différent des lésions qui a été cause de la division tout arbitraire
aire individuelle des différents systèmes de cellules, fera que les lésions conjonctives ou les lésions parenchymateuses peuv
ents systèmes de cellules, fera que les lésions conjonctives ou les lésions parenchymateuses peuvent prédominer les unes pa
directement l'action de la toxine. Nous pouvons en dire autant des lésions syphilitiques circonscrites. Lorsque ces lésion
dire autant des lésions syphilitiques circonscrites. Lorsque ces lésions affectent dans le cerveau ou dans la moelle la
ltanément (sclérose latérale amyotrophique), on ne voit pas que les lésions vasculaires soient primitives. Les lésions vasc
, on ne voit pas que les lésions vasculaires soient primitives. Les lésions vasculaires que l'on ren- contre ne diffèrent p
. Les lésions vasculaires que l'on ren- contre ne diffèrent pas des lésions inflammatoires vulgaires et n'atteignent, au dé
chives, 2° série, t. VI. 16 242 SOCIÉTÉS SAVANTES. De ce que la lésion vasculaire est la plus facile à constater, on n'e
tater, on n'est pas autorisé à admettre qu'elle est antérieure à la lésion nerveuse. Il semble probable, si l'on admet les
scence primitive des téléneurones sensibles (tabes vul- gaire), des lésions simultanées du téléneurone et de l'archi-neu- r
ue les altérations artérielles qui les accompagnent. Cependant, les lésions nerveuses ne paraissent pas, dans certains cas
as, dans certains cas au moins, devoir être mises sur le compte des lésions vasculo- conjonctives. Dans la paralysie géné
e dans les formes pures de paralysie générale il puisse exister des lésions vasculaires, même peu avancées, sans altération
s très peu de chose sur les rapports réciproques des deux ordres de lésions . Si le rôle de l'artérite parait bien restreint
s la pathologie du système nerveux. En dehors de ces accidents, des lésions artérielles, même très avancées, peuvent ne se
ent, le malade mourut dans le coma. A l'autopsie nous trouvâmes une lésion énorme de ramollisse- ment blanc, occupant les
nt diminué considérablementlalumière du vaisseau. Voici donc deux lésions éloignées, oedème des rolandiques, arté- rite d
e l'hémi- plégie, et il est notoire même que souvent le maximun des lésions n'est pas du côté opposé à l'hémiplégie. Il fau
245 fois la fente palpébrale s'est montrée rétrécie, indice de .la lésion du moteur oculaire commun. ligature de l'artè
et Achard, pour interpréter dans un cas de névrite périphérique les lésions d'autopsie ; enfin, MM. Ballet et Duthil ont réce
par la com- pression de l'aorte ; ils déterminaient de la sorte des lésions plus ou moins accentuées dans les cellules des
rédi- 250 SOCIÉTÉS SAVANTES. taires menacés ou déjà atteints de lésions cérébrales d'origine vasculaire (athérome céréb
e demande si ce Cheyne- Stockes respiratoire doit être rattaché aux lésions cardiaques, cause de l'angor pectoris, ou à la
insiste sur le mode de réossification des brèches osseuses, sur les lésions d'ostéite hypertrophiantequil'ac- compagnent. D
ent. D'où il suit que le traitement chirurgical ajoute une nouvelle lésion à celles qui existaient auparavant. Les crânes tr
t une cicatrice osseuse, avec exostoses à la face interne, d'où les lésions méningo-encéphaliques, cause de l'épilepsie. En
thie qui prédispose l'ataxique à une phobie quelconque, ce sont les lésions organiques du tabes qui créent et spécifient ce
potence du malade plus grande que ne le com- portent réellement les lésions organiques dont il est atteint. Le traitement m
pinion de Ros, M'ol- terset Oster qui admettent la prédominance des lésions cérébrales sur les lésions médullaires', les lé
Oster qui admettent la prédominance des lésions cérébrales sur les lésions médullaires', les lésions du faisceau pyramidal n
édominance des lésions cérébrales sur les lésions médullaires', les lésions du faisceau pyramidal n'in- tervenant que consé
se peu accusé et encore moins caractéristique. Dans le cerveau, les lésions sont très importantes. Les cellules pyramidales
tique sont SOCIÉTÉS SAVANTES.. 259 détruites en partie. Mais la lésion principale que les préparations font ressortir
embres supé- rieurs et du tronc, produisant dans sa dévastation les lésions qui caractérisent aujourd'hui cette maladie.
déjà préparé avant la naissance par tant d'intenses et irréparables lésions . Ni d'aucune autre manière on ne pourrait expli
la clinique montre qu'il existe des faits de paralysie du voile par lésions du vago-spinal. L'auteur en rapporte un, dans l
bulbaires; ces troubles étaient certainement sous la dépendance des lésions histologiques constatées dans l'en- acéphale ;
. Journal, février-avril-mai 1897.) Les auteurs étudient à part les lésions des centres de la parole, droit et gauche, puis
, droit et gauche, puis les troubles fonctionnels secondaires aux lésions des images visuelles, auditives et autres. Ils ex
, avec prédomi- nance au niveau des régions sacrée et cervicale; la lésion était particulièrement discrète au niveau de l'
racines », située en avant de la substance gélatineuse, et dont la lésion détermine toujoursl'abo- lition du réflexe. Cet
ion, établies par Westphall, relativement au siège anatomique de la lésion , qui se traduit par l'abolition des réflexes pa
en conclure que le phénomène des orteils est lié intime- ment à la lésion des fibres des faisceaux pyramidaux, que cette
- ment à la lésion des fibres des faisceaux pyramidaux, que cette lésion siège dans la partie encéphalique de ce faisceau
B. 13RAUVELL. (British médical Journal, mai 1898.) C'est un cas de lésion traumatique de la colonne vertébrale au niveau
ésie transitoires suivies d'atrophie avec spasmes et rigidités.' La lésion semble avoir été superficielle, affec- tant les
lepsie. Pour lui, l'alcoolisme,provoque l'épilepsie d'abord par les lésions organiques qu'elle fait naître dans le système
ntral par athérome, sclérose, etc., mais, aussi, avant même que ces lésions organiques ne soient constituées par le trouble
point de vue nosographique, qu'au point de vue pathogénique : toute lésion articulaire retentit sur son centre médullaire.
ire. Mais ce retentisse- ment est variable : tantôt il n'y a qu'une lésion dynamique, épui- sement de la cellule ganglionn
t lieu à des parésies et des amyotrophies passagères, tantôt il y a lésion organique des cornes antérieures de la moelle p
sente des degrés divers en rapport avec l'étendue et le siège des lésions présentées par le cerveau, en rapport aussi avec
. REr.LaY. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 1. LÉSIONS DES CELLULES NERVEUSES AU COURS DE DIVERSES INTOX
de potassium, déterminent dans les cellules nerveuses centrales des lésions protoplasmiques qui portent sur la substance ch
ur, de formol à 10 p. 100, avant l'emploi de l'alcool absolu. Ces lésions existent dès le début de l'intoxication (tétanos)
estruction de l'élément noble. C'est à tort qu'on considérerait les lésions nerveuses des intoxications comme des lésions b
'on considérerait les lésions nerveuses des intoxications comme des lésions banales et sans valeur pathogénique. Elles inte
hode de Percy-Dean, deux morts et trois guérisons. A. Marie. III. LÉSIONS RÉTINIENNES EN RAPPORT AVEC DES LÉSIONS CÉRÉBRALE
s guérisons. A. Marie. III. LÉSIONS RÉTINIENNES EN RAPPORT AVEC DES LÉSIONS CÉRÉBRALES; . par WILLIAMSON. (British med. Jou
s ou thromboses cérébrales, altérations coïncidant souvent avec des lésions analogues du fond de l'oeil, sous la dépendance
tre figures d'hémorrhagies rétiniennes de l'oeil correspondant à la lésion céré- brale. Nous avons nous-même signalé des l
espondant à la lésion céré- brale. Nous avons nous-même signalé des lésions oculaires analo- gues en rapport avec les lésio
-même signalé des lésions oculaires analo- gues en rapport avec les lésions cérébrales de la paralysie générale (Thèse Pari
rriver au type parfait de cellules en araignée de la névroglie. Les lésions pathologiques du cerveau confirment cette maniè
l était difficile de faire un diagnostic et surtout de localiser la lésion . Cet état dura huit mois environ. Il présenta a
s de conduction sen- sitive subissent les premières atteintes de la lésion . Ce malade n'a pas échappé à la règle. Mais le
ques. - - P. KERAVAL. XII. Poliomyélite antérieure CHRONIQUE avec LÉSION concomitante DES racines postérieures ET DES co
. Autopsie. Les racines extramédullaires présentent deux espèces de lésions : une lésion récente occupant des zones radicu-
s racines extramédullaires présentent deux espèces de lésions : une lésion récente occupant des zones radicu- laires circo
des zones radicu- laires circonscrites qui siège au beau milieu de lésions anciennes - diffuses des manchons de myéline. L
région dorsale la plus supérieure, sont le siège des deux types de lésions , dont le premier apparait des plus nets au niveau
érieures à ces mêmes hauteurs sont aussi le siège des deux types de lésions , mais plus particuliè- rement du premier, le se
res, dans la région la plus supérieure de la moelle thoracique. Les lésions radiculaires en question sont également accentuée
oite), depuis la deuxième racine dorsale jusqu'au noyau de Burdach. Lésions récentes, insignifiantes, des cordons antérieur
médullaires des neuvième et onzième paires. Des deux côtés, faible lésion du genou du facial, de ses racines extra-médul-
on des noyaux; surcharge et dégénérescence graisseuses. En somme, lésions systématiques avec atrophie primitive des cellu
s nerveuses dans les foyers gris moteurs de la moelle et du bulbe ; lésions des racines antérieures et postérieures et d'une
yélite antérieure chronique pure, ni une polynévrite accompagnée de lésion simultanée des cornes anté- rieures, ni une aff
modifications quantitatives de l'excitabilité électrique ? Dans les lésions cérébrales, on tend il admettre que les hémorragi
de cette excitabilité, mais cela n'a-t-il lieu que dans les cas de lésions en foyers (Wernicke) ; peut-elle servir au diagno
res, c'est l'expérimentation qui devra préciser, dans l'avenir, les lésions anatomiques en relation avec l'état électrique.
es, ce sur quoi il s'appuie pour interpréter la valeur de certaines lésions sans retentissement immédiat apparent. A. M.
; par L. 13.hER. (BI'tl6SJL médical Journal, décembre 1897.) Ces lésions (4 figures) se rapprochent plutôt de celles d'un
à l'ablation des ovaires et de la matrice, en l'absence de toute lésion de ces organes, pour guérir certaines névroses ou
ar le sujet était en état de mal et présentait d'ailleurs une grave lésion encéphalique (atrophie unilatérale du cervelet) '
e de Breuty' montreront la ressem- blance plus ou moins accusée des lésions anatomiques des deux maladies, dans l'encéphale
èvent facilement de la substance corticale du cerveau. Pas d'autres lésions encéphaliques. Poids : hémisphère droit 58G gra
). 2° L'autopsie de quelques épileptiques donne plus ou moins les lésions macroscopiques de la paralysie générale : Les m
iques récents (obs. 5). , On est forcé de convenir que ces diverses lésions , principalement les adhérences de la pie-mère c
indrons quelques observations destinées à étudier l'influence d'une lésion hépa- tique intercurrente sur la marche et la s
is d'une cause banale infectieuse et n'est pas en rap- port avec la lésion hépatique 2 ». ' Klippel. - De l'insuffisance h
onctionnels du foie ne sont pas seuls à incri- miner et les grosses lésions , lithiase, abcès, cancers, cirrhoses, peuvent a
cancer et de cirrhose '. L'influence pathogène des troubles et des lésions hépa- tiques sur le cerveau une fois admise, un
inations de la vue accompagnées de poses extatiques et dues à des lésions rétiniennes, certaines interprétations délirantes
tique est quelconque. Dans un petit nombre de cas, au contraire, la lésion du foie paraît d'une importance telle que' sans
ériode terminale est la preuve qu'il est cependant influencé par la lésion hépatique inter- currente. On pourrait soutenir
uer pourquoi le délire n'a pas été en augmentant parallèlement à la lésion viscé- rale, conformément à ce qui s'est passé
nt congestionnés, ainsi que le cerveau, mais on n'y constate aucune lésion macroscopique. Pas d'athérome artériel. L'hémis
igris et exsangues pesant le droit 495, le gauche 490 grammes, sans lésions en foyer. Le cervelet avec l'isthme et le bulbe
die aiguë, la fièvre typhoïde par exemple. Action dérivative de la lésion intestinale ? Sympathie à rebours ? Mais dans c
d'accorder une importance réelle, au point de vue étiologique, aux lésions et aux troubles fonctionnels du- foie dans les
ées ou résorbées de cet organe. Chez les individus porteurs d'une lésion organique du foie, le délire peut survenir : il
délirantes en rapport avec les souffrances locales provenant de la lésion . Mais dans les nombreux cas que nous avons obse
diminue-t-elle au sur et à mesure des progrès et de la marche de la lésion du mouve- ment, se demande M. Dagonet dans la n
oque, affaiblissement intellectuel progressif. La topographie de la lésion et la concomitance de manifestations convulsive
eur pense que, dans ce cas spécial, il y aurait lieu d'admettre une lésion périostique de la paroi interne du crâne, ayant p
te sur la paralysie du facial SUPÉRIEUR dans L'JIÉ511- . PLEG)E par lésion cérébrale ; par Ch. FÉRÉ. (nous. IC0720Cf1'. de
réveil, après trente ans, de troubles fonctionnels résultant d'une lésion de l'enfance, et aussi par la persistance de la
s, regardée comme exceptionnelle, et surtout par l'absence de toute lésion macroscopique et microscopique du cervelet. Cet
ique des deux allections, il est permis de les considérer comme des lésions évoluant à la même époque, c'est-à-dire avant la
rale resta négatif. (Revue neurolo- gique, mai 1898.) E. B. ACII. Lésions DES CELLULES DE la moelle dans UN cas DE maladie
les Drs Ballet et FAURE. On ignore encore le siège et la nature des lésions qui déter- minent la maladie de Parkinson. Les
térieurs précise- ront sans doute la signification, la valeur de la lésion , et montre- ront si, comme Gowers l'avançait ré
mme Gowers l'avançait récemment, il ne faut pas cher- cher dans une lésion fonctionnelle des prolongements protoplas- miqu
e la cessation du regard, sans laisser aucunement sup- poser que la lésion auriculaire soit la cause unique et détermi- na
VEUSE. bles de la sensibilité également bilatéraux, imputables à la lésion médullaire, il s'agit certainement d'un double
syndrome de Brown- Séquard. Peu importe d'ailleurs la nature de la lésion : ce qui détermine le symptôme, c'est sa locali
la certi- tude absolue où il était de l'existence et du siège de la lésion , aurait dû insister pour que le chirurgien ouvr
411 dique est rarement limité aux symptômes résultant de la seule lésion primitive des faisceaux pyramidaux ; mais cela ne
ire doit aussi intervenir pour la pro- duire, en même temps que les lésions de bronchite continuent à l'augmenter. Il faut
LDI. (lliu. sp. di fren., fasc. ll, 1897.) En règle générale, les lésions de la thyroïde dans un grand nombre de cas de m
on de la fonction thyroïdienne puisse être élevée à l'importance de lésion primitive dans certaines formes données d'alién
, crises subintrantes d'épilepsie. Cette autopsie ne révéla que des lésions corti- cales bilatérales. M. le Dr Déjerine nou
istoire clinique de la maladie en rapport avec la topographie des lésions constatées, fera l'objet d'un autre travail de la
tale ascendantes, enfin des opercules frontal et rolandique. Pas de lésion de la première circonvolution temporale. L'atroph
rès durcissement et coupes sériées, n'a montré l'existence d'aucune lésion en foyer du centre oval, de la capsule interne,
épaisses et portées au rouge, ils obser- vèrent toujours les mêmes lésions cérébrales et la même évolution de l'inflammati
inées un peu partout dans la substance blanche du cerveau. Et cette lésion , qui d'après Friedmann serait l'expression du p
nfin sur l'étiologie. Il nous semble qu'une étude approfondie des lésions qu'on rencontre dans ces deux prétendues différen
tout à gauche, qui est le plus fortement atrophiée. Il n'y a pas de lésion méningée. Par l'examen microscopique de la régi
ses subdivisions : pyromanie, klepto- manie, et pour les cas où lès lésions du sens moral étaient plus évidentes que celles
principe d'après lesquels tous les symp- tômes mentaux résultent de lésions morbides analogues à celles qui se trouvent dan
e est également possible à cet âge et laisse surtout supposer des lésions en foyers; 7° l'épilepsie sénile peut aussi bien
ues : l'hérédité, l'artériosclérose, l'alcoolisme, la syphilis, des lésions organiques diffuses du cerveau et de ses envelopp
suffit pour engendrer la para- lysie générale. ' P. KERAVAL. XX. LÉSIONS ANATOMIQUES DE LA DEMENCE PARALYTIQUE ; par BOEDE
prolifératifau niveau de la pariétale ascendante, par rapport à la lésion corticale d'ailleurs généralisée. Dans les deux
nces locales, mais elles ne sont pas si marquées. Cette poussée des lésions paralytiques en certains territoires de l'écorce
lades permettrait donc ici de rapporter les troubles sensibles à la lésion corticale des centres moteurs. Il est impossi
s actif suivant tel ou tel autre cas, c'est possible, mais les deux lésions sont indissolublement unies. P. KERA VAL. XXI
es sons, produit par une excitation centrale de voisinage due à une lésion du centre verbal, c'est donc un symptôme de lés
sinage due à une lésion du centre verbal, c'est donc un symptôme de lésion en foyer du centre de la parole. Voici une fe
s que le streptocoque les attaque directement en y provoquant des lésions toutes particulières. Après avoir étudié l'acti
opératoire, accumulation de pigment dans les capillaires cérébraux, lésion du sympathique, auto-intoxication). Deux théori
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. sion de la fonction capsulaire ou de la lésion opératoire inévitable du sympathique ? Pour rép
bien démontrer que la mort des animaux décapsulés n'est pas due aux lésions nerveuses périphériques, mais bien à la suppres
euse; la première plaçant à la base de l'étiologie de la maladie la lésion capsulaire, cause immédiate de l'auto-intoxica-
iculier DES altérations des cordons postérieurs CONSÎ3CU- tives aux lésions EN foyer DE l'encéphale ; par le D1' DURANTE. D
-protubéran- tielles et des cordons postérieurs coïncidant avec des lésions en foyer siégeant soit dans l'écorce, soit dans
iégeant soit dans l'écorce, soit dans les noyaux gris centraux. Ces lésions vont en décroissant à mesure qu'on s'éloigne de l
OGIQUES. dans sa partie externe n'autorisent guère à interpréter la lésion des cordons postérieurs comme secondaire, soit
rvation des cylindraxes. De par ces caractères histologiques, cette lésion des cordons pos- térieurs s'éloigne des dégénér
éra- lement bilatérale, elle pourrait être croisée par rapport à la lésion cérébrale. Ces variations dépendent du siège et
es cordons postérieurs sont fortement atteints. Ce sont surtout les lésions du lobe occipital puis celles du lobe pariétal
la plus intense des faisceaux de Burdach et de Goll. L'étude des lésions du nerf, leur apparition relativement tardive p
ent tardive permettent de 1 egarder l'atrophie rétrograde comme une lésion non pas d'origine cellulaire, mais au contraire
titre de sclé- rose latérale amyolrophique, semblent relever d'une lésion ascen- dante du faisceau pyramidal consécutive
GioNNi, (ruz di (l'en., fasc. III, 1897.) XLII. RECHERCHES SUR LES lésions DES fibres NERVEUSES spinales dans LES PSYCHO-N
MOELLE LOMBO-SACRÉE DANS LES CAS DE PARAPLÉGIE FLASQUE DUS A UNE lésion DE la moelle cervico-dorsale ; par M. van GEHUCII
ylindraxe a été sectionné, sont envahies par la chromatolyse. Cette lésion de la substance grise de la moelle lombo-sacrée
siège, on constatait un complexus symptomatique en rapport avec une lésion du cône médullaire (intégrité du plexus sacré).
t, car la paralysie motrice a presque complè- tement disparu; cette lésion des racines postérieures est du reste compatibl
dre l'eau ? Ou jouit-il de celte propriété dans le cas seulement de lésions cérébrales notamment de lésions paralyti- ques
propriété dans le cas seulement de lésions cérébrales notamment de lésions paralyti- ques ? Questions qui infirmeraient le
8 faisceau du cordon latéral dans la pyramide du même côté que la lésion cérébrale. Donc, un )réllaisyhène cérébral est
insulaire, le plus petit, au milieu, 'occupant l'insula de Reil. La lésion d'un centre d'association aura donc une grande
tandis qu'il y a aphasie montée totale avec agraplde et alexie par lésion du centre d'association moyen ou insula de Reil
A. Aphasie sensible. 1° Organique. - a) Aphasie motrice isolée, par lésion de la troi- sième frontale. C'est l'aphasie mot
rieur. - 1° Organique. - a) Aphasie d'asso- ciation sensorielle par lésion du lobule pariétal inférieur (supra- marginal);
d'association ; exemples : alexie transcorlicale de Wernickte, par lésion du pli courbe (gyrus angulaire) ; les mois ne son
le principal rôle dans la formation de nos conceptions et notions. Lésion de la surface externe du lobe occipital et du lob
e dans l'esprit le nom qui lui convient. C. Cas mixtes Une petite lésion organique peut déterminer des phénomènes foncti
e et Lichtheim. Ainsi pense M. 0 tuszew : : ki, P. IiEn.wnL, LXX. Lésions fines des CELLULES NERVEUSES dans LES poliomyélit
pation des - chez le chien, par Sodou, 487. CELLULES nerveuses. Lésions des - dans les intoxications, par Na- geotte
y, 223. Degém rescences. Etude des - pro- pagées consécutives aux lésions en foyer de l'encéphale, par Durante, 489.
7. Démence. Sur la - pillnitive de la puberté, par \\ïrleroe, 39. Lésions anatomiques de la paralytique, par Boedecker
DIC DE Lill LE. Un cas de -, par Poix, 259. maladie de Pyrkinson. Lésions des cellules de la moelle dans un cas de -, p
Cbarpputier, Chnstian, Val. lon, Briand, ( ! 6. , par Mairet, 74. Lésions spinales de la -, par Pollack, 315. Symptômes p
, par 1\luurawieff, 11 ? Poliomyélite antérieure chronique avec lésions des racines posté- rtenreset les cordons <ie
osté- rtenreset les cordons <ie l3urdacll, par Schiister, 310. Lésions fixes des cellules dans les-chroullues. par))
s, 323. Hépatisme et , par Cullerre, - 353. I'C1CI10-I : IlOSE. Lésions des fibres nerveuses spinales dans les - aigu
modifiée, par Allison, 421. -, par Ha ! non, 520. - Rétiniennes. Lésions - en rapport avec les lésions cérébrales, par
, par Ha ! non, 520. - Rétiniennes. Lésions - en rapport avec les lésions cérébrales, par Villiamson, 302. Richer l'aul
16 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e la véritable explication scientifique de ce phénomène. Lorsque la lésion anato- mique du tabes, la lésion des racines et
ifique de ce phénomène. Lorsque la lésion anato- mique du tabes, la lésion des racines et des cordons sensitifs de la moel
'1 1 2 REVUE CRITIQUE. ment, on doit songer, dans l'ataxie, à une lésion des cordons postérieurs et surtout, à en juger
té des troubles de l'ataxie est, dans le tabès, en rapport avec les lésions de la sensibilité ; 6. Certains symptômes à peu
à désigner ainsi l'ataxie des tabétiques, car il s'agit bien d'une lésion des ' E. Hering. (7e&e ? 'een ? pee<a.x
tes par- ties du système nerveux qu'énumère Obersteiner, et dont la lésion pourrait avoir pour effet la dégénération ascen
int pour expliquer la dégé- nération. D'ailleurs, dans le cas d'une lésion de déficit des cellules des ganglions spinaux,
l'historique critique du développement de nos connaissances sur les lésions anatomiques du tabès dorsalis de 1827 à 1894, il
un trajet défini et peut-être même aussi une fonction spéciale ? La lésion tabétique des cordons postérieurs serait alors
la sensibilité a la douleur sont, on le sait, plus précoces que les lésions de la sensibilité tactile : « On observe assez
rations considérables, et non, par conséquent, des altéra- tions ou lésions anatomiques initiales, ont envahi des territoires
oient affectées d'ordinaire ce sont les racines lombaires : cette lésion entraîne celle des fibres radiculaires montant da
résultera de cette disparition. Si une seule racine dégénère, cette lésion de déficit pourra, jusqu'à un certain point, être
urellement cette para- lysie apparente avec celle qui résulte d'une lésion de la voie motrice. Ajoutez, toujours comme e
motrice. Ajoutez, toujours comme effet de cette dégénération, les lésions destructives, la dégénérescence des fibres asce
xes qui sont élaborés dans la moelle épinière ont à souffrir de ces lésions , un petit nombre seulement de fibres s'élevant
conçoit, d'autant l'ataxie. Au point de vue de la distribution des lésions dans le tabes, ce sont les racines lombaires qu
nfluence du cervelet sur la motilité des extrémités inférieures. La lésion destructive des fibres nerveuses dont il s'agit
consciente. Anatomique- ment, les nerfs sensitifs ont subi la même lésion dégénérative. C'est une preuve nouvelle que la
les douleurs lanci- ttatates, les paresthésies, sont l'effet de la lésion des racines posté- rieures. La physiologie expé
(si ce n'est toutefois dans certaines condi- tions), tandis que les lésions du segment périphérique de cette voie nerveuse,
e pourraient-ils aussi s'observer, dans le tabes, indépendamment de lésions médullaires, par lésions des nerfs cutanés péri
observer, dans le tabes, indépendamment de lésions médullaires, par lésions des nerfs cutanés périphériques (Dejerine) 1 No
on postérieur et de la corne postérieure n'a lieu que du côté de la lésion ; il n'existe pas de dégénération du cordon post
endantes des cordons postérieurs, dans des cas de compression et de lésions traumatiques de la moelle épinière, Redlich est
nt dégénérer, et qu'elles dégénèrent en fait, consécutivement à une lésion des racines postérieures ou des fibres radicula
ns deux cas de lèpre étudiés par E. Janselme et Pierre Marie ', les lésions du système exogène étaient au minimum, contrairem
trairement au tabes, affection qui se caractérise par un maximum de lésions du système exo- gène. Sur des coupes provenant
ide en faveur de la nature endo- gène de ce dernier territoire. Les lésions médullaires de la pellagre se rapprochent beauc
unes et les autres seraient donc de nature endogène. La gravité des lésions -du cordon de Goll dans la lèpre ne semble pas
ls concluent ainsi : « 1- Dans certains cas de lèpre, il existe des lésions des cordons postérieurs occu- pant, avec une pr
oll, les fais- ceaux en virgule, les triangles cornu-marginaux; ces lésions , coinci-, dant avec un minimum d'altération des
arke, sont très vraisemblablement d'origine endogène. » ' Sur les lésions des cordons postérieurs dans la moelle des lépreu
monaire. Chez le deuxième, un coeur malade et un foie douteux. Ces lésions suffiraient à elles seules à expliquer pourquoi n
AIARDELLIS (A.). Elude o,7zcttoi ? io-pathologiqtie et clinique des lésions du nerf optique dans les fractures de la base du
prononce pas définitivement. Il est évident qu'il y a une grosse lésion du cerveau, et par voie d'élimination, on peut co
e du droit externe gauche, donnant lieu à du strabisme interne ; la lésion plus avancée de la papille gauche.; enfin la cé
après les convulsions. Cette perte rapide de la vision indique une lésion du chiasma ; on peut donc situer la lésion à la b
de la vision indique une lésion du chiasma ; on peut donc situer la lésion à la base du cer- veau, et la supposer presque
IE MENTALE. · 47 autour de sa substance ; il est probable qu'ici la lésion est plus ancienne qu'on ne pense, qu'elle a été
st que parmi ces cas, il y en a dont les symptômes sont dus à des lésions cérébrales, et d'autres dans lesquels ces lésions
es sont dus à des lésions cérébrales, et d'autres dans lesquels ces lésions ne se ren- contrent pas : ce sont ceux chez les
ux hérités qui ne sau- raient à aucun point de vue être appelés des lésions cérébrales. , On peut donc distinguer parmi les
lie de la syphilis tardive (période tertiaire) : 1° folie due à une lésion syphilitique de la base et des vaisseaux ; 2° fol
ésion syphilitique de la base et des vaisseaux ; 2° folie due à une lésion syphilitique de la convexité. Ileaucoup de cas,
ans lesquels il existe comme cause des symptômes mentaux de grosses lésions anatomiques, certaines ou probables. Mais il es
iques con- nexes ; 2° Pachy-méningite cérébro-spinale. - 6) grosses lésions : 1° Tumeurs et abcès (y compris les gommes) ;
<a< Science, janvier 1898.) Ces notes comprennent cinq cas de lésion mitrale, trois cas de dégénérescence cardiaque,
ou idiotie, amblyopie progressive, extrême sensibilité au bruit, lésions ophthalmoscopiques absolument caractéristiques. D
ent hexagonal, partout où il est visible, semblent normaux. Mais la lésion absolument pathognomonique de l'affection se vo
ns sa limite phériphérique à l'encontre de ce qui se passe dans les lésions inflammatoires aiguës où la rétine avoisinante
il est de race sémitique, fait habituel dans cette affection. Les lésions ophtalmiques sont, dans ce deuxième cas, exacteme
6 août (matin). Présidence DE M. Magnan. Résumé du rapport sur Les lésions non tabétiques des cordons posté- rieurs de la
c la distribution vasculaire. L'auteur donne une revue sommaire des lésions non tabétiques, il discute alors le sujet de l'
on tabétiques, il discute alors le sujet de l'ataxie aiguë, due aux lésions épinières, acute spinal ataxiu. Il cite les obs
ons de Leyden et d'autres en ce qui touche à l'ataxie aiguë due aux lésions bulbeuses et décrit une classe distincte de cas
aux lésions bulbeuses et décrit une classe distincte de cas dus aux lésions aiguës de la colonne postérieure de la moelle.
pathologie de la ma- ladie. L'auteur traite ensuite le sujet des lésions de la colonne posté- rieure dues aux états cach
les conditions qu'il appelle « ataxie spinale sub-aiguë », due aux lésions de la colonne postérieure et, souvent, de la colo
57, 58, 59 et 60. SOCIÉTÉS SAVANTES. 65 Résumé du rapport sur Les lésions non tabétiques des cordons pos- térieurs de la
postérieures qu'antérieures (Momén et Laitinen) y provo- quant des lésions plus ou moins limitées; 2° Celles coordonnées a
tt'sc/t, quoique moins pro- noncées. Dans les anémies graves, les lésions sont les plus prononcées dans les cordons posté
u pas altérées (plutôt dans leur parcours intra- médullaire). Les lésions , disons myélitiques, dans les infections aiguës,
dans les cordons postérieures. 68 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. Quant aux lésions purement syphilitiques de la moelle (une ving-
Je ne puis admettre, avec M. le D1' Russell (Brain, 1900), que les lésions médullaires de l'anémie pernicieuse soient différ
cause l'anémie pernicieuse peut aussi produire les symptômes et les lésions de la dégénérescence com- binée à dé la paraplé
s sont les parties les plus 70 SOCIÉTÉS SAVANTES. , touchées. Les lésions vasculaires sont peu prononcées et insuffi- san
oire. Le virus est apporté dans la moelle par le sang et produit la lésion dégénératrice, les vaisseaux pouvant être parfo
(Présenta- tion de coupes histologiques.) La systématisation des lésions nerveuses peut se faire de plu- sieurs manières
ation en ce SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 71 point et de l'exacerbation de lésions inflammatoires diffuses ; cette aptitude spécia
a méthode de Marchi permet de constater la superposition exacte des lésions nerveuses et interstitielle au niveau des nerfs
nerveuses et interstitielle au niveau des nerfs radiculaires. La lésion du nerf optique dans ces cas est absolument compa
lésion du nerf optique dans ces cas est absolument compa- rable aux lésions des racines spinales. Contribution ci l'étude d
rable aux lésions des racines spinales. Contribution ci l'étude des lésions médullaires de la sclérose latérale tii21yoli-o
nous avons pu étudier à leurs principaux stades histologiques les lésions de la substance grise et de la substance blanche,
ifications de morphologie et de nombre dès les premiers stades. Les lésions des cellules cordonales paraissent évoluer moin
ubes nerveux). Elle n'est nullement en rapport d'intensité avec les lésions de la substance grise. Cette discordance entre
que dans la maladie de Charcot la sclérose antéro-latérale est une lésion primitive, non subordonnée aux adultérations ce
tômes bulbaires. A l'autopsie, nulle trace de polynévrite, mais les lésions névritiques et musculaires des atrophies myélopa-
s l'intensité observée dans la sclérose latérale amyotrophique ; la lésion prin- cipale consiste en une atrophie simple de
type Aran-Duchenne une affection exclusi- vement spinale, dont les lésions se cantonnent dans un seul sys- tème anatomique
s cellules et fibres de cordon. Sans comp- ter qu'assez souvent les lésions intéressent les fibres commissu- rales du cerve
e des trois cas on a trouvé, sur toute la hauteur de la moelle, des lésions atrophiques des cellules nerveuses et en partic
reste, affecte au moins deux systèmes anatomiques différents. Les lésions du Système Grand Sympathique dans le Tabès; par
n que les réflexes n'étaient pas supprimés temporaire- ment par une lésion périphérique susceptible de guérison et sur- to
Les faits senls peuvent trancher la question de savoir : 1° si la lésion de la cécité verbale est pariétale ou occipitale
sion de la cécité verbale est pariétale ou occipitale ; 2v si cette lésion est corticale ou sous-corticale. Voici un fait qu
econdaire du tapetum gauche et de la radiation optique gauche, sans lésion du faisceau longitudinal inférieur, sans lésion
ptique gauche, sans lésion du faisceau longitudinal inférieur, sans lésions de l'écorce pariétale ni de la substance sous-cor
e. 78 SOCIÉTÉS SAVANTES. L'élat du Corps calleux dans les grosses Lésions du Cerveau; par Kattwinkel (de Munich) (project
s Scléroses combinées; par J. Babinski (de Paris). L'association de lésions tabétiques des cordons postérieurs et d'altérat
a disposition jusque dans ces derniers temps pour diagnostiquer une lésion des cor- dons latéraux, font généralement défau
lésion des cor- dons latéraux, font généralement défaut quand cette lésion se combine au tabes. Le phénomène des orteils,
ombinées où le labes est très caractérisé, il en est un autre où la lésion radiculaire ne se manifeste que d'une manière f
e. L'abolition du réflexe du tendon d'Achille décèle, en effet, une lésion organique attei- gnant, il est vrai, une partie
de supposer que l'abolition du réflexe tendineux dépend aussi d'une lésion centrale ou voisine du centre, d'une altération
ment hydrargyrique a paru exercer une influence très favorable. , Lésions traumatiques dans le domaine de l'EpicGae médulla
le. L'auteur a eu l'occasion d'ob- server une série de cas avec une lésion probable de la substance grise ou des racines d
llules nerveuses abou- tissent rapidement à leur dégénérescence. La lésion apparente qu'on voit souvent dans toute myélite
dans toute myélite aiguë, c'est le ramollisse- ment hémorragique : lésion qui est la conséquence des troubles circulatoir
minant la myélite aiguë. Suivant l'étendue et la topographie de ces lésions vasculaires, on peut en admettre, avec Leyden e
ques distinctes. Les premières se caractérisent par l'existence des lésions typiques de l'inflammation aiguë ; les secondes p
toujours la conséquence d'une intoxication, la différence entre les lésions inflnmmatoires et. les lésions toxiques résidera
ntoxication, la différence entre les lésions inflnmmatoires et. les lésions toxiques résidera uniquement dans la présence o
un organe résistant, pourra ne donner lieu dans la moelle qu'à des lésions toxiques. Un même poison susceptible de provoquer
ons secondaires analogues, il peut être impossible, en présence des lésions anciennes, de discerner la nature des phénomènes
macroscopique. Les coupes sériées colo- rées au Pal montrent que la lésion initiale siège à la Vlle cervi- cale : elle s'é
ne du faisceau de Goll en arrière, du côté gauche. Au-dessous de la lésion , les faisceaux, p. direct et p. croisé du même
cines antérieures et postérieures sont prises également Au carmin : lésions de méningite surtout accentuées dans la région
dystrophie du tissu conjonctif et vasculaire en rap- port avec une lésion congénitale des centres trophiques médul- laire
une suractivité de la circulation rénale. Un cas de Polyurie avec Lésion du IVO Ventricule; par SVITaLS61 (Lemberg). C
côté de l'anesthésie pénio-scrotale. montrent une limitation de la lésion et comme une dissection de noyaux bien difficil
t comme une dissection de noyaux bien difficile à expliquer par une lésion radiculaire, incli- nent à admettre une lésion
à expliquer par une lésion radiculaire, incli- nent à admettre une lésion spinale. L'absence d'antécédents, le début brus
mère dans toutes les affections mé- dullaires. Recherches sur les lésions des cellules des ganglions spineaux dans le tab
ue, j'en conclus, ainsi du reste, que les faits le prouvent, que la lésion débute au niveau des collatérales sans exclure
ions spinaux. Peu de temps après, Stroebe, en trouvant une somme de lésions dans les ganglions chez les tabétiques, a voulu
'opinion émise pour la première fois par M. Marie, à savoir que les lésions des cordons postérieurs dans le tabes, dépenden
iques par la méthode de Nissl. Tous ces auteurs n'ont pas trouvé de lésions manifestes dans les cellules ganglionnaires.Aus
ux dans 9 cas de tabes. Dans presque tous ces cas j'ai trouvé des lésions différentes d'aspect et variant d'intensité d'un
vidu et d'autres productions influent aussi. Evidemment, toutes ces lésions ne sont pas univoques et sous la dépendance imm
quand par hasard elles existent. M. Marie n'a jamais constaté de lésions dans les ganglions spi- naux donc le tabès ne d
ons spi- naux donc le tabès ne débute pas dans ces ganglions et les lésions de ces ganglions ne peuvent donc pas expliquer
épi- nièré, et relativement à la doctrine nouvelle qui localise la lésion primitive dans les racines postérieures, fit.ob
lésion primitive dans les racines postérieures, fit.observer que la lésion des racines et des cordons postérieurs impliqua
stérieurs impliquait une affection cellulaire préexistante, car une lésion d'un prolongement nerveux doit résulter d'une a
nérescence 1. Stroebe estimait, contrairement à Wollenberg, que ces lésions étaient bien suffisantes pour accorder il P. Ma
t bien suffisantes pour accorder il P. Marie que, dans le tabes, la lésion initiale doit être localisée dans les cellules de
sion, qu' « on ne pourrait porter un jugement un peu assuré sur les lésions des cellules des ganglions spinaux dans le^ tab
ssl. » Eu résumé, la raison et la science forçaient de localiser la lésion primitive du tabes dans les cellules des gangli
dégénérallon des racines postérieures au niveau correspondant de la lésion tabétique dans la moelle épinière. Les nerfs se
térations des cel- lules des ganglions spinaux font supposer qu'une lésion primaire de ces neurones est le fondement du ta
hypothèse on objecte le manque de propor- tion entre la gravité des lésions des libres radiculaires postérieures et celle d
ériques du ganglion spinal. Il est toujours licite, de supposer une lésion partielle des cellules de ces ganglions. Cliiar
onstaté, avec une dégénération totale des racines postérieures, des lésions des cellules des ganglions spinaux. De même Wol
sie du tissu connectif, etc.) : cependant cet auteur estime que ces lésions ne suffisent pas pour expliquer celles des racine
lIe22scheiz, publié en 1897. Comme on ne saurait bien apprécier les lésions de ces cellules que si l'on est parfaitement éd
demandé s'il ne demeurait point indiqué de continuer à chercher la lésion initiale du tabes dans les cellules d'origine d
fait défaut dans les cellules des ganglions spinaux, rechercher la lésion initiale du tabès en dehors de ces cellules. Et
ans les racines postérieures sensitives » . La loca- lisation de la lésion primitive du tabes dans ces racines, laquelle l
les nerveuses résultant d'une dimi- nution de l'énergie vitale, les lésions trophiques apparaissent d'abord au point le plu
termine ainsi, à distance, une amyotrophie, est, daus le tabes, une lésion qu'on pourrait appeler purement fonctionnelle ;
àcliarcot, être d'origine centrale. Mais Schaffer a insisté sur la lésion de déficit de la dégénération des collatérales
icit de la dégénération des collatérales réflexes déterminée par la lésion des cordons postérieurs. Cette dégénération entra
icularités anatomiques auraient bien peu d'importance au regard des lésions si graves des cordons postérieurs. Si, sur ce p
iées les conclusions que ce savant en a tirées. Est-il exact que la lésion initiale du tabes se trouve en dehors des cellu
otyse ? « Si la cellule des- ganglions spinaux était le siège de la lésion initiale, avait écrit Schaffer, ce n'est pas se
rmale après une section de la branche centrale; il localisa donc la lésion initiale du tabes dans les racines postérieures.
ons-nous, au moins dans des termes aussi absolus, Lugaro) après une lésion expérimentale de ce genre. Ce n'est qu'alors qu
objection que dirige Schaffer contre la théorie d'après laquelle la lésion des cordons postérieurs dériverait, dans le tab
la lésion des cordons postérieurs dériverait, dans le tabes, d'une lésion primitive des cellules des ganglions spinaux, c'e
l'état naissant, au sens strict du mot. Du moment qu'il existe des lésions appréciables des cordons, on peut affirmer que
se dans les cellules des ganglions spinaux chez les tabétiques : la lésion initiale des cordons posté- rieurs serait bien
veuses sur de vastes espaces, infiltration des vaisseaux, etc.), lésion dans laquelle se trouvaient compiis le cordon ant
n typique des cordons postérieurs dans le labes coexistait avec ces lésions . D'autres observations cliniques (voit Monakow,
constant qu'une intoxication saturnine chronique peut produire une lésion des racines postérieures, comme dans le cas de
vent revendiquée, du tabes et de la paralysie générale. Outre les lésions des racines postérieures et des racines anté- r
é noté pendant la vie, on trouve dans le cerveau des tabétiques les lésions de la paralysie générale. A quoi Hoche répond e
uestions aux partisans de la théorie de l'identité : comment, si la lésion de la voie des pyramides est secondaire, les cord
aîne la dégénération de ce faisceau, ne provoque-t-elle pas la même lésion dans d'autres processus diffus de dégénérescenc
signale sur 118 cas de paralysie générale que 28 fois seulement les lésions caractéristiques du tabès, les lésions des cordon
le que 28 fois seulement les lésions caractéristiques du tabès, les lésions des cordons posté- rieurs seuls ; 17 fois les c
73 fois les cordons latéraux et postérieurs=; il en résulte que la lésion pure des cordons postérieurs n'est pas beaucoup p
s cordons latéraux des pyramides sont plus atteints dans les cas de lésion pure que dans les cas de lésion combinée de ces
sont plus atteints dans les cas de lésion pure que dans les cas de lésion combinée de ces cordons. Les cordons anté- ' ri
s pyramides n'étaient que très rarement affectés, et toujours leurs lésions étaient associées à celles des cordons laté- ra
celles des cordons laté- raux et postérieurs. « Dans les cas où la lésion siégeait sur les cordons postérieurs, il faut d
doute parlé quelquefois de névrite ascendante . Mais, outre que les lésions de la moelle, et en particulier celles des racine
u neurome sur un cylindraxe. Il lâut donc écarter l'hypothèse d'une lésion des cor- dons postérieurs comme effet d'une név
s et des cor- dons postérieurs. Mais Redlich fait remarquer que les lésions de la moelle épinière consécutives aux amputati
ère consécutives aux amputations sont de simples atrophies, non des lésions de dégénération comme dans le tabes. Le nombre
g, après destruction du nerf sciatique sur trois lapins, a noté des lésions manifestes dans les racines postérieures, les c
as que la théorie périphérique du tabes soit capable d'expliquer la lésion caractéristique de cette affection, la dégénéra
raison, a rapporté au neurone d'origine de la racine postérieure la lésion classique de ce cylin- draxe dans le tabès. Mar
ionnaire, comme la nomme Redlich, invoquent surtout de prétendues « lésions fonctionnelles » du protoplasma cellulaire qui
29 fibres (Marie, Marinesco). Le premier Redlich a montré que les lésions des parties intramédullaires des fibres radiculai
ce sont des mois et des années au contraire qui s'écoulent entre la lésion initiale et ses suites. » L'hypothèse de Babes
tre invoquées en manière d'argument contre la nature secondaire des lésions de ces cellules qui, dans le tabes, suc- cèdent
lon lesquels les racines postérieures sont le point de départ de la lésion des cordons postérieurs; tel serait, par exempl
tel serait, par exemple, le point des racines postérieures dont la lésion déterminerait la névrite interstitielle transve
névrite qui serait constante dans le tabes et serait la cause de la lésion des cor- dons postérieurs. Redlich ne peut voir
e peut voir dans la névrite signalée par Nageotte la cause de cette lésion . Archives, 2' série, t. XI. 9 130 - - REVUE C
. postérieurs pouvait d'ailleurs' dériver aussi,' selon' lui, des lésions cellulaires de la moelle, sans qu'il existât la m
racines pénè- trent dans la moelle, c'est là qu'il faut chercher la lésion initiale. Une méningite, surtout chronique, en
a méningite est à tout le moins un phénomène en corrélation avec la lésion des cordons postérieurs dans le tabes; ce point
reconnaît aussi qu' « une méningite proprement dite n'est point une lésion qu'on rencontre d'une manière constante dans le
, le poison- syphilitique, qui les susciterait), tient cependant la lésion dégéné ? rative du labes pour l'effet le plus p
résumé, quelque hypothèse qu'on invoque pour la produc-; lion de la lésion spécifique du tabes, la dégénératiol1 des cordons
de recherches expérimentales que, « consécutivement à cer-' taines lésions du cerveau, la dégénération secondaire peut s'éte
secondaire peut s'étendre aux^ cordons postérieurs, et qu'après des lésions du cervelet le faisceau céré- belleux peut auss
e, dans.le tabès, ce sont 132 . ' ' - - . REVUE CRITIQUE. - - les lésions de l'écorce du télencéphale l'origine du processu
écorce du télencéphale l'origine du processus et de rattacher à ces lésions la dégénération des cordons postérieurs. Il fau
e du tabes : « La plupart des symptômes tabé- tiques relèvent d'une lésion de l'écorce cérébrale ; le tabes dorsal n'est p
érieurs est une dégénération consécutive en correspondance avec les lésions décrites». Les fonctions psychiques demeurent d
ls citent des sensations persistantes de saveur sucrée 1. : 1 Les lésions histologiques d'où résultent, dans le tabes, les
-ganglions des nerfs rachidiens. Klippel a décrit et reproduit les lésions des cellules nerveuses du ganglion d'Andersch qui
du nerf olfactif, enfin celles des cellules du ganglion de Gasser, lésions qui commandaient naturellement celles des prolo
considèrent comme des centres olfactifs et gustatifs), a montré des lésions banales, mais accusées, d'atrophie et de dégé-
r étaient altérées histologique- ment. Où débutent pour Klippel les lésions du tabes ? Il se range parmi les auteurs qui co
t-à-dire qu'ils perdent la plupart de leurs fibres. Le caractère de lésions en foyer de la dégénérescence tabétique parait vé
porter en .quelque sorte leur appoint nécessaire à la production de lésions .dégénératives qui, sans cet appoint (surmenage
nt rigoureusement proportionnels au degré de rapprochement entre la lésion et les lobes occipitaux, ainsi que l'avait déjà
stérieurs. - Il. DE 1\1 VSG RAVE-CU Y. ' V. Communication sur les lésions macroscopiques et microsco- piques de l'utérus
, puisqu'il est lui-même un résumé. H. M. C. VIL Les effets d'une lésion de la tète chez un alcoolique ; par Nathan HAW.
SIOLOGIE 'PATHOLOGIQUES. l'épuisement provoqué dans l'écorce par la lésion convulsive de décharge : quand cet épuisement a
st vraisem- blablement d'origine toxique et il est probable que les lésions sont dues à une imprégnation progressive par la
x cas de destruction de la, moelle lombo-sacrée chez l'homme que la lésion traumatique ou nécrobiotique du faisceau pyrami
ses toxines. Au cours de la méningite tuberculeuse généralisée, les lésions cellulaires des centres nerveux sous-jacents pe
durant la vie. Au cours d'une tuberculose extra- dure-mérienne, aux lésions médullaires dues à la compression peuvent venir
s médullaires dues à la compression peuvent venir se surajouter les lésions dues à l'infection directe bacillaire. Les exsu
te plus grande gravité, M. Ifuet émet deux hypothèses : ou bien les lésions des racines antérieures des nerfs proloquent du
ndantes une réaction secondaire plus rapide et plus intense que les lésions traumatiques des troncs nerveux eux-mêmes, ou b
témoignage de la traction exercée sur les racines postérieures. Des lésions peuvent se trouver créées* par l'aplatissement
t la pre- mière côte servent de poulie de réflexion pour amener des lésions radiculo-médullaires. Un traumatisme violent et
nt du traumatisme qui, hrusque ou lent, violent ou minime amène des lésions réparables ou non des racines anté- rieures et
urée. Son cerveau montre que, ici, la microcéphalie est due à une lésion destructive qu'on rencontre rarement à un degré a
. Les auteurs rappellent que la microcéphalie n'est pas due à une lésion unique, mais à des lésions multiples : arrêt simp
que la microcéphalie n'est pas due à une lésion unique, mais à des lésions multiples : arrêt simple de déve- loppement des
zon présentent, par comparaison, un exemple. Dans le cas actuel les lésions rappellent celles de cer- taines paralysies gén
pellent celles de cer- taines paralysies générales de l'adulte; ces lésions sont rares dans l'enfance, mais ont déjà été ob
t voir plusieurs planches et photo- graphies représentant les mêmes lésions à des degrés divers, correspondant à un tableau
e volume dans des proportions égales. Le cerveau ne présente pas de lésions . L'étude histologique de la moelle montre une d
t de dos sem- blent indiquer cliniquement une maladie identique. La lésion anatomique sera-t-elle la même ? C'est ce que l
présentant une hémiplégie organique (les cas de trau- matisme ou de lésions intra-craniennes autochtones à part) sont ceux
anesthésie sen- sitivo-sensorielle. ' Dans l'hémiplégie due à des lésions du faisceau sensitif de la capsule interne, l'a
se rangent parmi les hémiplégies organiques, malgré l'absence des lésions appréciables à l'autopsie. La majorité des facteu
impossible de déterminer le rôle appartenant à l'hys- térie, à une lésion anatomique du cerveau ou à une altération fonct
ermiques. X. D6CUD11US acutus. Dans l'hémiplégie produite par une lésion de l'isthme de l'encé- phale du bulbe ou de la
es symptômes indubitables de l'hystérie si elle ne masque pas une lésion organique, qui est la cause réelle de l'hémiplégi
iques, où le passage des impressions lumineuses est entravé par une lésion siégeant sur le parcours compris entre la rétin
vant collègue, que l'extension des orteils répond constamment à une lésion organique du système pyramidal. On a généraleme
e que le réflexe de Babinski est l'expression non seulement d'une lésion organique du système pyramidal - ce qui est la rè
SAVANTES. 169 M. P. Marie rappelle le cas d'un malade atteint d'une lésion du système pyramidal, mais qui ne présentait pa
effet que ce phénomène des orteils peut man-' quer dans des cas de lésions du système pyramidal. Je dirai enfin' à M. Croc
Je dirai enfin' à M. Crocq que je n'ai jamais soutenu qu'une grosse lésion du système pyramidal fût nécessaire pour donner
ient alors ajouter sa symptomatologie propre à celle qu'engendre la lésion de la cellule cérébrale. Goitre exophtalmique
de méningite céréGro-spirzade; par Dagron. SOCIÉTÉS SAVANTES. 171 Lésions des Noyaux du Pneumogastrique dans la Sclérose la
intra-musculaires à l'acide osmique et picrocarmin). En dehors des lésions classiques du tabes, nous trouvons une intégrit
e, s'accompagnant d'une véritable angoisse et indépendante de toute lésion cardio-pulmonaire. Le malade fait volontairemen
eux cas le traitement spécifique a amené une rapide disparition des lésions syphilitiques, mais il- semble aussi avoir « do
uleux chez qui on observe la trépidation plan- taire présentent des lésions cavitaires, mais ils ne sont pas cachec- tiques
Elle détermine une excitation qui peut sans doute aller jusqu'à la lésion des faisceaux pyrami- daux. ' M. Babinski dem
Il s'agit dans de tels cas de relations de noyau à noyau et non de lésions à distance. SOCIÉTÉS SAVANTES. 183 Pachymerzi
jusqu'ici n'ont pas signalé cette sclérose, ou l'ont prise pour une lésion surajoutée); 2° im- portance plus grande de ces
ise pour une lésion surajoutée); 2° im- portance plus grande de ces lésions à mesure qu'on s'élève le long de la moelle, de
té corticale suivis d'autopsie sont très rares; ' l'existence d'une lésion symétrique des deux lobes temporaux con- firme
ermettre de les rattacher à leur véritable cause. Mais outre que la lésion supposée puisse elle-même n'être que transitoir
orte saillie des tendons fléchis- seurs. En somme, l'ensemble de la lésion rappelle la griffe cubi- tale, avec cette diffé
aladie aboutir presque fatalement à la mort, soit du fait de leur lésion nerveuse, soit par une maladie intercurrente peut
es au moins numériques dans les colonnes de Clarke. A côté de ces lésions systématiquement fasciculées, on a signalé des
est en droit d'admettre, en présence de pareils faits « à côté, de lésions nettement «.systématisées, d'autres lésions dif
eils faits « à côté, de lésions nettement «.systématisées, d'autres lésions diffuses sans systématisation « franche ». 11 e
es faits cliniques que nous faisons- connaître. Nous pensons que la lésion essentielle dans l'espèce peut consister en un
ticulière des foyers de sclérose qui nous paraissent représenter la lésion essentielle; peut-être aussi les zones sensitives
plus haut ; il.nous sem- ble bien qu'il s'agit dans l'espèce d'une lésion organique, qui' 2 ! 3 li ENSEIGNEMENT. pour ê
fantasques. ' VI. La démence paralytique. VII. LES psychoses DES lésions CÉRÉBRALES. VIII. Les psychoses DE la période d
bleau clinique, l'auteur déclare qu'il ne peut s'agir ici que d'une lésion des cornes antérieures de la moelle cer- vico-d
i le noyau segmentaire des muscles de l'avant-bras. G. D. IV. Les lésions anatomo-pathologiques de la rage sont-elles spé-
se dégagent de ce travail peuvent être for- mulées ainsi : Ni les lésions vasculaires et cellulaires décrites par les auteu
lulaires décrites par les auteurs antérieurs à van Gehuchten, ni la lésion capsulaire découverte par cet auteur, ne sont à
La physiologie pathologique de la rage s'explique aisément par les lésions vasculaires, cellulaires, péricellulaires et chim
agnostic de rage chez le chien mordeur. Si la constatation de cette lésion permet d'affirmer vraisemblablement la rage du
valée et provoquait de la suffocation. La nature syphilitique de la lésion n'est pas douteuse ; le mode de début, le carac
elle envahit les extrémités supérieures, exactement comme dans les lésions de la moelle ou des racines postérieures. Un autr
ermis de prévoir qu'on l'observera toutes les fois qu'il y aura une lésion des racines postérieures à la région dorsale. H
l a été facile de constater que l'oedème ne se rattachait pas à une lésion rénale, ou du moins pas absolument, ni surtout
peut dire dès maintenant que, dans un cas au moins, il y avait des lésions évidentes de dégénérescence dans les cellules mot
e des nécropsies on n'a trouvé de rougeur, ni d'hémorragie, ni de lésions macroscopiques inflammatoires des troncs nerveux,
i de lésions macroscopiques inflammatoires des troncs nerveux, la lésion vraie consistant, autant du moins qu'on a pu s'en
les, y compris le coeur quand le pneumogastrique parti- cipait à la lésion , ils présentaient les altérations de dégénérescen
a base ne paraissent pas très athéromateux et on ne constate aucune lésion cérébrale. La surface postérieure de la moelle
racique infé- rieure et lombaire. L'examen microscopique montre les lésions qu'on rencontre communément dans la syphilis. C
nale. Il. DE itIU : G9 : 1VG CLAY. XVIII. Remarques sur un cas de lésion traumatique des nerfs pneu- mogastrique, hypogl
. (7'/t6Vetc-yot'/fff;(< : cn/ Journal, 11 décembre 1897.) Les lésions traumatiques sont intéressantes à étudier au poin
d'albu- mine. La réunion de ces symptômes indiquait nettement une lésion du pneumogastrique, de l'hypoglosse et de la po
remarques sur les divers symptômes auxquels peuvent donner lieu les lésions des nerfs dont il s'agit : ces symptômes sont e
a été généralement trouvée plus intense du côté correspondant à la lésion . La nausée et les vomissements existaient dans
ans les autres états morbides .que l'on peut presque faire de cette lésion lo symptôme pathognomonique des tumeurs cérébra
xternes, nerfs qui émanent de la 2° et de la 3° racine lombaire. La lésion de la moelle siégeait surtout aux premier, deux
ue du corps : c'est ce qui explique pourquoi, malgré le siège de la lésion spinale, la sensibilité était conservée dans la z
ité de sang dans les tissus musculaire et connectif au niveau de la lésion : les lames de la douzième dorsale présentaient
ne présentait extérieurement aucun signe ni de ramolissement ni de lésion due aune compression. Les corps vertébraux n'ay
son nom et qu'il considérait comme ne pouvant se rattacher qu'à une lésion unilatérale de la moelle. Le type pur de cette pa
nant au cas qu'il a observé, il recherche quel était le siège de la lésion et le précise ainsi : les modifications de l'an
et jusqu'à la première lombaire en arrière, permettent de situer la lésion dans des limites assez étroites, d'autant plus qu
ées dans leurs fonctions de transmission. Le niveau inférieur de la lésion est moins facile à préciser, , d'après les symp
le tractus latéral ; en ou- tre, comme l'a établi Brown Séquard, la lésion devait être unila- térale et située du côté de
la moelle correspondant à la paralysie motrice. - La nature de la lésion demeure naturellement impossible à déter- miner
tème nerveux est très impressionné par l'in- fluenza, et les cas de lésions nerveuses consécutives à cette maladie sont peu
e qu'on s'éloignait des méninges. Il est probable toutefois que les lésions constatées étaient le résultat plutôt que la ca
il y avait un souffle systolique : on n'a toutefois constaté aucune lésion valvulaire récente. Enfin il faut noter qu'il e
s de ténia solium. Dans le cerveau un seul cysticerque et les mêmes lésions de mé- ningo-encéplialite que dans les deux cas
ons fait souvent remarquer, lamicrocéphalie, loin de répondre à une lésion anatomique toujours la même, a pour cause des l
répondre à une lésion anatomique toujours la même, a pour cause des lésions très diverses : arrêt de développement des circ
les sutures étaient gorgées de sang et comme distendues par lui, lésions que nous avons souvent observées chez des malades
cisions sur la face interne de- l'hémisphère et on trouve les mêmes lésions . (IL. 111.) En écartant les lèvres de ces incis
est conservée. Examen histologique ; par le D'' 013rRTIIUR. Les lésions de ce cerveau qui présente, à première vue, l'asp
nt de vue anatomo-pathologique, nous n'avons pas à insister sur les lésions . La minutieuse description que nous en avons do
phalite circonscrite est encore peu connue, parce que surtout cette lésion donne lieu à la fois à des symptômes d'inhibiti
e ulcérée, rouge et qui> semble être la cicatrice d'une ancienne lésion spécifique. Ni diar- rhée, ni constipation. n
ble nous amenant à penser que, sous cette méningite, il y avait une lésion destructive du cerveau, lésion siégeant à droit
us cette méningite, il y avait une lésion destructive du cerveau, lésion siégeant à droite. Et dans l'examen objectif, c
d'oreille (nerf acoustique). Le diagnostic porté fut donc celui de lésion de la base et, dans l'espèce, compression intér
bilité à gauche), le tri- jumeau et l'acoustique. La nature de la lésion , vu l'àge du sujet et la présence d'une cicatri
t revêtu de ses méninges le cerveau parait n'être le siège d'aucune lésion . 1 Après décortication, l'attention est attirée
omenteuse. Cette poche est entourée de tissu cérébral ramolli ; les lésions ne dépassent pas les limites du lobe temporal d
té apportés, mais c'étaient là des observations dans lesquelles les lésions auri- culaires avaient été constatées et où par
utopsie fut négatif. Peut- être néanmoins avait-il eu autrefois une lésion de l'oreille interne ayant passé inaperçue. D'a
our montrer com- bien est obscure et diffuse la symptomatologie des lésions de certaines zones du cerveau. z Dans les « c
drain. En considérant à côté de l'abcès en somme volumineux, les lésions circonvoisines et en quelque sortes diffusées dan
trop gros et la réaction des tissus environnants faisait que, la lésion n'était pas circonscrite. Asiles d'aliénés. Nom
. L'examen des organes thoraciques et abdominaux ne révèle aucune lésion capable d'expliquer les accidents survenus pendan
ui des organes abdominaux. Télé. Le cuir chevelu ne présente aucune lésion appréciable. On enlève la calotte osseuse avec
lions du nerf vague excepté) ne lui ont pas permis de découvrir des lésions suffisamment nettes pour affirmer l'existence d
53.) * REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 307 Les lésions ganglionnaires de la rage. leur valeur au point
nt dans ce travail sur la question encore débattue de la nature des lésions ganglionnaires de la rage et de leur valeur au
ues sous la dure mère il a constaté une fois de plus que seules les lésions capsulaires des ganglions notamment de ganglion
atation est donc un signe certain delà rage. En outre ce sont ces lésions qui pour M. van Gehuchten sont la cause des sym
ui abou- tissent à la dégénérescence nerveuse. Quant au siège de la lésion (sauf en ce qui concer,ie les états psychiques)
nt la deuxième année de sa vie ont bien des points communs avec les lésions corticales que l'on rencontre dans la démence p
seulement sur les chiffres, elle porte aussi sur le caractère de la lésion , les cellules arrivées au dernier stade de la d
LLET présente trois cerveaux atteints de gliome. Dans le premier la lésion était circonscrite et sise au niveau de la troi
ndre signe de localisation n'a permis de reconnaître le siège de la lésion . Dans le troisième cas, une piqûre de tuberculi
apport avec l'affection cérébrale. L'autopsie a en effet montré des lésions de bacillose pulmonaire. L'absence de réactions
du même côté. La réunion de ces symptômes est caractéristique d'une lésion siégeant dans la région bulbo-pro- tubérantiell
-pro- tubérantielle du côté droit. Mais, de quelle nature est cette lésion ? Il est difficile de se prononcer catégoriquem
t dans^la partie supérieure doivent être sous la dépen- dance d'une lésion des fibres du pédoncule cérébelleux inférieur q
s conducteurs nerveux qui pénètrent dans la. moelle, au-dessous des lésions . Je'7'eo-a<a.E : 'Ë cérébelleuse. M. SwiTA
sensorielle. Mi Touciic présente deux cerveaux atteints, l'un d'une lésion du lobe temporal ayant entraîné de la surdité v
entraîné de la surdité verbale avec jarâonu- phasie; l'autre d'une lésion profonde du pli courbe ayant coupé les radiatio
établit le rap- port qui existe entre le vertige voltaïc/ue et les lésions auriculaires que celui-ci peut révéler. ' F. B.
réflexes rotuliens et signe de Uabinski. Du côté de l'encéphale les lésions étaient purement basilaires et surtout méningées,
té des noyaux était complète. Du côté de la moelle au contraire les lésions intra-médullaires étaient très accentuées. Un c
. Il n'existe aucune modification du fond deToeil et aucun signe de lésion nucléaire. Cas fruste de sclérose en plaques ou
réservant le nom de mélancolie aux seuls faits caractérisés par une lésion générale de l'entendement. De cette dernière en
transition qui font mieux comprendre la pathogénie des faits où la lésion mentale semble seule en cause. Ce trouble morbi
aux autres viscères, une filaire dans le tissu périaortique, pas de lésion macroscospique des centres nerveux sauf l'hyper
e révèlent de microorganismes. A la coupe des centres nerveux, la lésion caractéristique est l'énorme invasion de la gaine
figures de ce travail c'est la res- semblance presque identique des lésions représentées avec celles de la paralysie généra
une forme de para- lysie générale. M. Mott fait observer qu'ici les lésions des vaisseaux avec leurs gaines gorgées de noya
ière altération est en dispropoi tion avec la première, comme si la lésion vasculaire était primitive. Ne pour- rait-on en
alysie générale où l'aspect est inverse, la fonte cellulaire est la lésion principale et autonome ? ` ? F. BossiER. XIII
d'atrophie partielle d'un hémisphère céré- bral, dans lesquels les lésions diffèrent de siège et de nature mais peuvent co
as de ce genre, se grou- per en deux classes : 1° classe corticale, lésions limitées à l'écorce ou à la substance blanche s
tées à l'écorce ou à la substance blanche sous-jacente ; 2° basale, lésions atteignant les ganglions de la base. Les alté
c exagération des réflexes, démence progressive, mort à trente ans. Lésion primitive des ganglions de la base à gauche (co
pondants à travers la protubérance, le bulbe et la moelle. Quand la lésion intéresse les ganglions de la base, il y a atro
aire, des modificaliotis des réflexes et de la contracture dans les lésions du njvraxe. Rapporteur, M. Crôcq (de Bruxelles) ;
96, vol. XXIV, p. 125). Un homme de vingt-quatre ans avait subi une lésion traumatique, au côté gauche du crâne. Deux ans
ultats de l'examen histologique. Notez bien qu'il n'existait pas de lésions de surface, du côté des méninges ou de la paroi
t engendrer une épilepsie partielle, corticale, sans occasionner de lésions appréciables de l'écorce de la zone motrice. Il
afférents. 5° Elle est généralement d'origine syphilitique. 6° La lésion qui produit l'iridoplégie réflexe unilatérale a s
pareil cas, impliquer le diagnostic d'hystéro-traumatisme, ou les lésions contuses suffiraient-elles à déterminer de l'amyo
1898.) Les troubles de l'équilibre dépendaient, en l'espèce, de la lésion du troisième ventricule : les attaques épilepto
ération du tissu conjonctif, bien plus vives que dans l'écorce. Ces lésions sont à leur tour bien plus pro- noncées dans la
'invalidité du cerveau, l'affaiblissement de ses fonctions, non une lésion interstitielle chronique des tissus. La présenc
IE PATHOLOGIQUES. 395 causée comme on pouvait s'y attendre, par des lésions bilatérales dans la région pédonculaire. A droi
dans l'Archivi itctliaizo di Clinica medica. Dans ces deux cas, la lésion principale révélée par l'examen nécroscopique é
e. La maladie de Basedow parait être toujours sous la dépendance de lésions primitivement nerveuses; la glande ne présente
ce de lésions primitivement nerveuses; la glande ne présente aucune lésion , ou bien des lésions analogues à celles des goi
ivement nerveuses; la glande ne présente aucune lésion, ou bien des lésions analogues à celles des goitres non exophtalmiques
es symptômes ; au point de vue ana- tomo-pathologique, existence de lésions squelettiques et muscu- laires, et fibromes int
ns le troisième ventricule. L'examen histologique n'a révélé aucune lésion des différentes parties du cerveau. L'auteur di
trompera guère en suspectant la syphilis si l'on est en présence de lésions multiples, de symptômes incomplets et d'une ten
gues : elles compriment les nerfs, modifient la circula- tion ; ces lésions ou ces modifications mécaniques étendent leur i
EUSE. de préciser le foyer primitif de i'infection tuberculeuse. La lésion bacillaire du tissu cérébral n'a été découverte
s céré- braux envahis et aussi à cause des effets consécutifs de la lésion cérébrale sur les autres parties de l'organisme
out dans la couche optique. Le lobe cérébelleux du côté opposé à la lésion (c'est-à-dire le droit) avait subi une notable
dont on s'occupe ici n'est pas celle qui se rattache à. une grosse lésion du cerveau. L'hémianesthésie relative est un ét
ent un processus de dégé- nérescence et indiquent l'existence d'une lésion irritative des cellules nerveuses (mentales et
niques de la maladie, et d'une façon plus concluante encore par les lésions non nerveuses et précoces (lesquelles sont infec-
infec- tantes pai la voie des sécrétions glandulaires) que par les lésions plus tardives et non infectieuses. Dans ses rec
ont il s'agit est une manifestation de la période tertiaire, et une lésion de dégénérescence, très distincte des produits
tème nerveux, et par là l'auteur entend la présence ou l'absence de lésions confirmées, telles que les altérations vasculaire
ion ; leur inégalité et leur absence de réaction sont des signes de lésions profondes de dégénérescence. Le diagnostic diff
un malade atteint d'aphasie. A priori, on incline à répondre qu'une lésion du cerveau, si petite qu'elle puisse être, ne s
t parti- culièrement étroits. Mais on s'attendra aussi à ce que des lésions en foyer, bien délimitées, soient moins nuisibl
onservées. On se fera ainsi une opinion sur le siège probable de la lésion cérébrale, et l'on sera renseigné sur l'état de
t le maximum de conservation de l'intégrité mentale est celle où la lésion est rigoureusement limitée à la circonvolution
ord sur la mesure dans laquelle l'amnésie verbale est associée à la lésion du centre de Broca exclu- sivement : mais cette
x manières : le premier mode d'action est bien connu et produit des lésions qui sont elles-même bien connues : la syphilis
ux du système nerveux central. L'auteur passe en revue les diverses lésions produites par ce mécanisme et les symptômes aux
nos asiles parce qu'elle en présente les symptômes cliniques et les lésions anatomo-pathologiques. Mais les symptômes varie
de M. Nalbandow prouve bien la réalité de la déviation osseuse par lésions trophiques des vertèbres, ce qui jusqu'au derni
pique et font supposer que celle-ci [dépend très probablement de la lésion fondamentale (syringomyélie). N... montre les
ec altérations inflam- matoires légères du côté de la pie-mère. Les lésions * étaient stric- tement limitées à l'écorce et n
tion de* cavités. Quelle relation existe-t-il entre la cavité et la lésion de la racine médullaire du trijumeau ou d'autre
6 figures. Bruxelles, 1901. Journal de neurologie. Crocq (J.). Les lésions analomo-pathologiques de la rage sont-elles spé
00. Journal de neurologie. Crocq (J.). Discussion sur la valeur des lésions ganglionnaires de la rage. in-8» de 2 pages. Br
rnal de neurologie. CROCQ (J.). Sur la soi-disant spécification des lésions rabiques. In-8- de 11 pages. Bruxelles, 1900. B
icales et naturelles. CRocQ (J.). Sur la soi-disant spécificité des lésions rabiques. In-8° de 8 pages. Paris, 1900. Imprim
la clinique ophtalmologique du professeur liadal, ne révèle pas de lésions . ' 2° Embarras de la parole, se traduisant par
veilleuse méthode d'exploration, appliquée à l'étude de certaines lésions profondes chez les paralytiques généraux, en part
t difficile de l'habiller. Il était naturel de supposer que quelque lésion pathologique fréquente s'était produite dans le
aussi prononcés, permanents, et présentant tous les caractères des lésions désorganisatrices. En effet, l'hémiplégie se pr
e de la dégénération secon- daire. Ce symptôme révèle évidemment la lésion du cordon pyramidal, quoiqu'il ne soit pas poss
l ne soit pas possible d'affirmer l'intensité ou la nature de cette lésion . La contracture post-hémiplégique chez l'adulte
tablir une relation de l'état du faisceau pyramidal déduite de la lésion cérébrale. Cestan, dans le travail que je viens
ne règle à ce respect. Des cerveaux avec porencéphalie, qui est une lésion produite, d'après les auatomo-pathologistes, pe
état agénésique d'après le développement et la patho- génie de ses lésions , puisque le neurone central manquait, tandis qu
s'est pas produite malgré l'existence d'adhérences méningées et de lésions méningo-encéphaliques, placées dans la région r
ces de la pie-mère. Diminution du nombre des cellules nerveuses, et lésions vasculaires dans la substance grise du lobe fro
énération descendante, que l'on devait / ? '0 ! fue ? ' d'après les lésions cérébrales et les symptômes présentés par le ma
tion des réflexes et la contracture sont les manifestations d'une lésion pyramidale, sont si nombreux qu'ils font une loi
si exagération des réflexes et contractures per- mauentes, avec des lésions cérébrales destructives, sans que l'examen le p
tructives, sans que l'examen le plus minutieux ait pu découvrir des lésions pyra- midales. De même qu'on ne peut pas donn
us occupe, après une simple ouverture du crâne qui ne montra pas de lésions méningées ni cérébrales appréciables, sans que
excitabilité de la substance ganglion- naire sous-corticale par une lésion qui la sépare des couches corticales (Ilitzi,-)
100 quand cette membrane a été incisée. Quand il n'existe pas de lésion anatomique bien déterminée, l'intervention par l'
nito qu'il est difficile d'éclairer, car la nature anatomique de la lésion qui produit le syndrome influera probablement d
oï- dienne agit aussi avec une grande puissance sur le coeur, les lésions de cet organe et particulièrement celles qui déte
, grand soin ayant été pris d'éliminer ceux qui étaient porteurs de lésions physiques; 32° Il est extrêmement probable que
mêmes hallu- cinations et suivis d'autopsie. Dans ces deux cas, les lésions ana- tomiques présentaient une diffusion unifor
'un rapport entre les hallucinations hygriques et l'existence d'une lésion en foyer de l'écorce. D'ailleurs, excepté le ca
iés à chacun de ces sens. Cela n'est pas seulement prouvé par les lésions anatomiques diffuses de l'écorce, mais aussi par
ue, des muscles de la face et surtout des lèvres, tous signes d'une lésion du cerveau. Il est très-probable qu'il s'agit d
00 SOCIÉTÉS SAVANTES. aigu chez un hémiplégique du côté gauche ; la lésion siégeait exclu- sivement au centre de la région
ment par la rapidité de son évolution et le peu de profondeur de la lésion des eschares sacrées dues au séjour prolongé au
ffuses (liumpol, Raymond) ? L'examen anato- mique ne dévoile aucune lésion qui soit indubitablement de nature syphilitique
s ainsi que l'aphasie consécutives aux attaques apoplectiformes. La lésion labétiforme coexistant avec l'exagéra- tion des
le cerveau était farci de kystes hydatiques donnant l'aspect d'une lésion diffuse. Dans l'observ atiou dui fait l'objet p
on des alté- rations pathologiques, on peut la considérer comme une lésion inflammatoire à étiologie multiple et produite
. Si la signature est effacée que la démence soit globale et que la lésion soit celle de la paralysie générale, les partis
iologie syphilitique pourraient s'approprier le cas et qualifier la lésion de para-syphi- lilique. M. le professeur Raym
juvénile à une certaine époque de la maladie. Il lui semble que les lésions décrites dans l'observation de la malade de M.
s difficile. Celle-ci a démontré que le malade avait débuté par une lésion circonscrite devenue plus tard diffuse. La débi
m'a paru digne d'être rapportée parce qu'il s'agit d'une maladie à lésions définies dans laquelle s'est rencontrée 1'liall
e.iiaLioii, symptôme qu'on observe dans les vésanies, maladies sans lésions , La sialorrhée était très abondante et plus vra
mou- vements, la synergie musculaire et ce syndrome dépend d'une lésion cérébelleuse ou cérébello-protubéranlielle siégea
mécanisme physiologique des mouvements de roeil, il localiserait la lésion supposée corticale de ce malade à la zone infér
traire, un spasme des muscles rele- veurs. J'ai dit que l'idée de lésion organique cadrait parfaitement avec l'ictus, l'
autrefois avoir démontré rigoureusement qu'il s'agissait ici d'une lésion organique; j'ai dit simplement que celte hypoth
syphilitique. Il y avait aussi une amanrose com- plète gauche, les lésions étaient multiples. Celles qui avaient déter- mi
taire dont ils ont fait l'autopsie. Au point de ue histotogique, la lésion dominante est une infiltration de grains fortem
érescence en activité des fibres blanches. Il n'y a pas non plus de lésions vasculaires. La moelle et les racines sont inta
ueuses survenues à la période ultime, passent en revue les diverses lésions signalées par les auteurs, diminution des fibre
ions signalées par les auteurs, diminution des fibres tangentieues, lésions vasculaires, altérations et disparition pattiel
et ne leur recon- naissent qu'une valeurrelative et contingente. La lésion constante est pour eux l'infiltration par les g
tratum organique de la chorée de Iltintin-Loti. C'est d'ailleurs la lésion qui rend le mieux compte de l'évolution des sym
e dans les régions supé- rieures de la moelle, en même temps qu'une lésion des noyaux des nerfs moteurs qui n'est pas cell
oyau du sphincter pupillaire est évidemment intact; ii n'y a qu'une lésion de quelques arcs réflexes qui s'y rendent. La p
alysie des mouvements en haut et en bas peut être expliquée par une lésion nucléaire ou par une interruption des conducteurs
n deux reprises et à intervalle de quinze ans, a donné lieu à une lésion élective de quelques éléments, lésion parfaitemen
uinze ans, a donné lieu à une lésion élective de quelques éléments, lésion parfaitement symé- trique, qu'on n'observe ordi
es antérieures, h) syriugomyélie, 1) paralysie de Brown-Sequart, m) lésions des queues de cheval, n) amyotrophie progressiv
sur l'action de 1' , par Haskovex, Ibi. Alcoolique. Effets d'une lésion de i tête eliez un -, par Raw, 937. - Signe p
tème osseux chez les - , par 13ri.sac, 5S. - en liberté, 93, 268. Lésions de. l'utérus chez les -, par Gortlou-111unn, 13
E ? DO-111EI.IOi.% cérébral, par,Dupré et Devaux, 507. Epice)NE. Lésions traumatiques de l'- médullaire, par Jlmor, 79.
iot, 255. Mobilis vtion en pathologie nerveuse, par 110. Moelle Lésions non tabé- tiques des cordons postérieurs de l
; D'Singer, 447. Néopusmes cérébraux, par Krauss, 252. Ncurs. - Lésions traumatiques des pneumogastriques. hyp elosse
, 403. Polyurie nerveuse, par Souques et Balthazard, 8t. avec une lésion du IV- ventricule, par Swital.l,y, 85. Paré
ette, 366. I{AC ! I)IE ? E. Tumeur , par Cladek, 307. Rage. Les lésions allatomo-patholo- giques de la rage sont-elles
es, par Croc(j, 239. - Im- maine suivie d'autopsie, parSano. 306. Lésions ganglionnaires de la , par van Gehncilten, 307.
plliql, par Joukowski, 391. Sclérose L\TP.nlLl : %1YOlitOPIII(UE. Lésions médullaires de la , par Philippe et Guillain, 7
e l'atrophie musculaire progressive, par Ray- mond et Rickhn, 73. Lésion des noyaux du pneumogastrique dans la , par P
TEURS ET DES COLLABORATEURS. ninfiite pottidue, par.1'ouclie, 87. Lésions des cellules des ganglions spinaux dans)e,parMa
17 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
, — sub-lobulaires, —• interlobulaires. — Espaces. — Localisation des lésions hépatiques. — Des deux substances du foie. Mess
s côtés par lesquels l'anatomie patholo-gique peut être envisagée. La lésion doit être, en effet, consi-dérée d'abord en elle-
runtées aux meilleurs auteurs, tantôt faites d'après nature et où ces lésions seront représentées aussi fidèlement que possible
Cette fois, il ne s'agit plus, comme tout à l'heure, de considérer la lésion en elle-même et pour elle-même : il faut chercher
nière d'envisager l'anatomie pathologique, qui con-siste à animer les lésions , à les faire revivre, en quelque sorte, et qui s'
on, précau-tion indispensable lorsqu'on veut fixer la topographie des lésions hépatiques. Quelques exemples vous feront mieux
vous feront mieux comprendre l'im-portance de cette orientation. Les lésions hépatiques ne sont pas constamment disséminées co
voisinage immédiat de la veine intra-lobulaire. Telles sont : 1° les lésions conges-tives de cause cardiaque ; 2° l'infiltrati
travaux de M. de Sinéty, chez les fe-melles en lactation; 4° d'autres lésions occupent la région périphérique du lobule ; telle
ent dans le cas de gêne de la circulation abdominale consé-cutive aux lésions cardiaques et pulmonaires. Enfin, il est des al
t spécifique de la région, siège et foyer primitif d'un bon nombre de lésions hépatiques. Pour bien apprécier les lésions, il
itif d'un bon nombre de lésions hépatiques. Pour bien apprécier les lésions , il est indispensable, en effet, d'être parfaitem
ogique et qu'on pourrait considé-rer à tort comme se rapportant à une lésion . Fia. 6. — Coupe longitudinale. — Â, A, A, lacu
i se produit fréquemment dans l'insuffisance mitraleet dans certaines lésions extensives et invétérées des poumons. En pareil c
s de la cellule. Telles sont, Messieurs, les principales formes des lésions élémentaires des cellules hépatiques. Nous aurons
cunes. — Filets nerveux. Espaces inter-lobulaires, localisation des lésions dans les espaces: Cirrhose vul-gaire, — abcès con
; Gornil et Ranvier. —Manuel d'histologie palh., p. 307 et 308. nés lésions traumatiques (cochon d'Inde ; introduction d'un s
es petites régions, dis-je, sont le siège primitif d'un bon nombre de lésions hépatiques. Je veux citer quelques exemples à l'a
es, moins grosses souvent qu'un grain de mil, qui constituent une des lésions caractéristiques de l'affection syphilitique du f
nduration dans la capsule de Glisson. 5° Je citerai encore pami les lésions hépatiques qui naissent dans les espaces, celles
es du lobule, surtout dans les parties périphériques du lobule. A ces lésions macroscopiques répond une altération microscopiqu
pathologiques du foie. — De la bile. Sommaire. — Localisations des lésions hépatiques dans les espaces interlobu-laires. — C
ples l'intérêt qui s'attache aux localisations d'un certain nombre de lésions hépatiques, dans les espaces interlobulaires. Je
obulaires. Je vous faisais voir en même temps que pour la plupart ces lésions ,, ainsi localisées et qui presque toutes ont pour
la capsule de Glisson n'aurait pas ce même caractère de dériver d'une lésion des vaisseaux. C'est là une hypothèse que je vous
propre à ce genre d'expérience et supporte admirablement cette grande lésion . De ces expériences, il ressort que, immédiatem
que. En déterminant, par leur présence, dans les voies biliaires, des lésions de canalisation (Tlruveilhier), plus oumoins grav
ie des accidents dont la gravité et la forme dépendent du siège de la lésion . En résumé, il semble établi; 1° que la Cholest
ccumulation de la Cho-lesterine dans le sang, à la suite de certaines lésions fonction-nelles et organiques du foie, n'est pas
tallines, au sein des liquides ou des tissus, dans un grand nombre de lésions organiques du foie. A chaque pas, du reste, nous
ent biliaire dans l'ictère qui accompagne si communément une foule de lésions hépatiques. A. On parle souvent des pigments bi
rencontrées par l'anatomo-pathologiste et capables de déter-miner des lésions de canalisation plus ou moins graves, mais pénétr
le sang, à dose quelque peu concentrée, sous l'influence de certaines lésions du foie ou de ses annexes, elles peuvent, comme n
gurés : vibrions, cylindres fibrineux et épithéliaux. Influence des lésions hépatiques sur la production de l'urée. — Fonctio
oie. Je veux par-ler de l'influence remarquable qu'exercent certaines lésions du foie sur la formation, et consécutivement, sur
nce, il paraît établi (1) Klebs, loc. cit., p. 481. que certaines lésions hépatiques ont pour effet d'accroître, dans des p
taux de la production d'urée dans les 24 heures, tandis que d'autres lésions entraînent au contraire un abaissement plus ou mo
ection qui se présentera nécessairement à votre esprit, c'est bien la lésion hépatique seule qu'il faut incriminer, car les ob
s de modifier la quantité de l'urée : telles sont l'alimentation, les lésions rénales, la fiè-vre, etc., etc. Ce fait, évidem
eure-ment celui de M. Meissner. Il reconnaît, en effet, que certaines lésions du foie produisent une augmentation de la product
sent une augmentation de la production de l'urée, tandis que d'autres lésions du même organe en déterminent la diminution. M. M
uger d'après les phéno-mèmes cliniques, le foie n'est pas le siège de lésions organi-ques graves. 11 y a lieu de croire qu'il s
y a lieu de conclure que ces faits se rappor-tent, en général, à des lésions destructives et plus ou moins profondes du parenc
ctives et plus ou moins profondes du parenchyme hépatique. Ainsi, les lésions qui entraînent le plus communément la diminution
le plus communément la diminution du chiffre de l'urée sont : 1° Les lésions diffuses attaquant dans toute (1) Voir un trava
l'abcès des pays chauds. 3° Nous verrons tout à l'heure qu'une simple lésion fonc-tionnelle, transitoire du foie, celle qu'il
un mode aigu ou subaigu. — Hépatite ; variations du taux de l'urée. Lésions hépatiques diffuses à évolution rapide ou suraigu
res à mettre en relief l'influence remarqua-ble qu'exercent certaines lésions du foie sur la formation defu-rée. L'autre jour,
quatrième catégorie de cas. Je range sous ce chef les observations de lésions hépatiques dif-fuses, à évolution rapide ou même
la variole, la fièvre typhoïde et le typhus, lorsque surviennent les lésions hépatiques de la dé-génération granulo-graisseuse
écédemment, que la diminution de l'urée est frappante. On sait que la lésion pro-pre à cette maladie consiste en une rapide al
ièvre intermittente hépatique. C'est qu'en effet elle se rattache aux lésions des voies biliaires,, avec altérations concomitan
fluence du foie sur l'uricémie des goutteux. — Goutte consécutive aux lésions du foie. — De l'acide urique dans les urines. — G
es détails relativement à l'in-fluence que paraissent avoir certaines lésions hépatiques sur la formation et l'élimination de l
n propres à frapper votre esprit. 1° Dans la goutte articulaire, la lésion locale est caractérisée par la présence, sous for
vrai, quant à à présent, et mentionnant dans la goutte l'existence de lésions hépatiques fonctionnelles assez accusées. Ainsi
re et M. Galtier Boissière. Or, Messieurs, cette tuméfaction, cette lésion fonctionnelle hépatique, prodrome des accès, coïn
deux phénomènes. Selon toute probabilité, c'est en conséquence de la lésion fonctionnelle du foie que l'acide urique, formé l
cit., p. lï), par M. Murchison dans ses intéressantes leçons sur les lésions fonctionnelles du foie, il faudrait se garder de
paraît démontré par les considé-rations qui précèdent, que certaines lésions fonctionnelles du foie aient pour résultat de pro
vra survenir, à titre d'affection symptomatique, consécutive à divers lésions matérielles du parenchyme hépatique qui, sans sup
es variées se montre dans différentes affections où l'existence d'une lésion soit fonctionnelle et superficielle, soit organiq
s d'acide urique, déjà constitués dans les voies urinaires. Parmi les lésions organi-ques du foie où elle se rencontre, je me b
e se rencontre, je me bornerai à mention-ner la cirrhose et parmi les lésions fonctionnelles, cet état particulier du foie que
de Lyon, M. Colrat, a eu l'idée que les sujets, qui sont atteints de lésions diffuses graves du paren-chyme hépatique, doivent
te alimentaire, chez des sujets qu'on soupçonnait être affectés d'une lésion grave de parenchyme hépatique. L'expérience — il
. « La production des calculs biliaires, dit Cruveilhier, est une des lésions les plus communes de l'espèce humaine. » (2). Et
oque et s'y enclave, s'y établisse d'une façon définitive. De là, des lésions de canalisation per-manentes, dont les conséquenc
s'agissait de l'enclave-ment dans le canal cholédoque. En outre, des lésions inflam-matoires se produisent quelquefois dans le
parois des con-duits biliaires au contact des corps étrangers. Et ces lésions déterminent soit des ulcérations, soit même des p
nique s'hypertrophie et acquiert des dimensions con-sidérables. Cette lésion a été signalée par MM. Barth, Deville et Broca, d
l'irri-tation hyperémique ou inflammatoire des conduits biliaires. — Lésions de canalisation. De la colique hépatique. — Cau
inent; — 3° tantôt enfin, la présence du corps étranger détermine une lésion de canalisation par Obs-truction plus ou moins co
par la présence du corps étranger, et sans l'intervention de quelque lésion orga-nique grave, telle, par exemple, que l'ulcér
rer surtout dans la nouvelle caté-gorie que nous devons envisager des lésions inflammatoires ou ulcéreuses, des perforations, d
ons inflammatoires ou ulcéreuses, des perforations, des ruptures, des lésions de canalisation plus ou moins durables et permane
c le corps étranger. Quelques faits tendent pourtant à établir que la lésion inflammatoire préalable n'est pas absolument néce
ent d'infection purulente. C'est ici le lieu de parler de certaines lésions que les cho-lélithes, qui ont accompli leur migra
que, le résultat est généralement Vhydropisie de la vésicule du fiel, lésion qui, pendant la vie, ne se révèle souvent par auc
cholédoque est à peu près fatalement l'origine de toute une série de lésions secondaires qui se traduisent par des désordres t
canal cholédoque par un calcul entraîne, comme nous l'avons dit, des lésions fonctionnelles et organiques qu'il nous faut main
au moins, les altérations dont il s'agit suffisent pour entraîner des lésions fonctionnelles sérieuses, pour entraver, par exem
us, d'après le même auteur, il serait impossible, en provoquant des lésions bulbaires chez les animaux ayant subi depuis quel
onstate en outre, comme on devait s'y attendre, que, dans ce genre de lésions hépatiques, la formation d'urée est en défaut.
, p. 355.) DIX-SEPTIÈME LEÇON Oblitération du canal cholédoque. — Lésions et symptômes. Sommaire. — Dilatation des voies
t présenté tous les symptômes d'une coli-que hépatique intense. Les lésions inflammatoires, résultant de la distension des vo
se présenter à propos de la phlébite du tronc porte, consécutive aux lésions du canal cholédoque. 11 existe plusieurs exempl
e et les accidents de la fièvre dite uréthrale. — Parallèle entre les lésions des voies urinaires qui se compliquent de fièvre
ons des voies urinaires qui se compliquent de fièvre uréthrale et les lésions du foie qui se compliquent de fièvre hépatique. —
mittente. Il manque encore dans certains cas où les conditions et les lésions de la stase biliaire se mani-festent, bien que l'
le qu'en puisse être la cause, surviendra chez un sujet atteint d'une lésion diffuse quelque peu profonde du parenchyme hépati
, que chez les sujets placés depuis longtemps déjà sous le coup d'une lésion inflammatoire des voies biliaires, circons-tance
l, hypertrophie de la prostate, paralysie delà vessie résultant d'une lésion de la moelle épinière, etc., et chez lesquels les
e, un élément constant. Les reins eux-mêmes offrent d'ordinaire des lésions plus ou moins profondes et plus ou moins caractér
e pyélo-néphrite (1). Un des caractères les plus saillants de cette lésion consiste dans la présence, à la surface du rein,
rôle fondamental. La fièvre uro-septique, en effet, peut exister sans lésions rénales graves, et d'un autre côté les lésions ré
fet, peut exister sans lésions rénales graves, et d'un autre côté les lésions rénales se montrent à Fautopsie de sujets qui n'o
— fistules cystico-vaginales ; — fistules pleurales et pulmonaires. — Lésions de l'instestin produites pas les calculs : iléus,
al. Messieurs, Nous avons terminé la longue histoire des diverses lésions tant organiques que fonctionnelles, déterminées p
e du fiel n'occa-sionne aucun trouble fonctionnel appréciable, aucune lésion organique. Les choses ne se passent pas toujours
quent pour com-pléter cette histoire. Il n'est peut-être aucune des lésions inflammatoires calcu-leuses qui ne soit capable d
cu-leuses qui ne soit capable de se développer spontanément. Mais les lésions inflammatoires, dites spontanées, des voies bilia
arois imprégnées de bile. Tels sont les vestiges cadavériques de la lésion qui suffit à retenir le cours de la bile et à pro
rtielles ; hépatites totales. — Cirrhose hypertrophique avec ictère : Lésions an atomiques ; — résultats de l'examen macroscopi
fiel qui, dans les cas de ce genre, est le siège primitif du mal. La lésion y occupe originaire-ment le tissu sous-muqueux. L
t chez les femmes. Il est possible qu'elle soit le point de départ de lésions cancéreuses secondaires qui envahissent le foie s
peuvent être intéressées secondairement par propagation directe d'une lésion cancéreuse originellement développée dans le foie
u'il atteint le canal cho-lédoque, peut déterminer toute la série des lésions et des symptômes qui se rattachent à l'obstructio
ssieurs, que le canal cholédoque peut être obstrué dans le cas où une lésion carci-nomateuse occupe la tête du pancréas. Vou
Quoiqu'il en soit, le cancer du pancréas n'est pas, en géné-ral, une lésion très rare ; on le rencontrerait dans 29 autopsies
ns l'espèce, très fréquent, puisque, d'après Ancelet, sur 200 cas, la lésion occupait toute l'étendue de l'or-gane, la tête y
comprendre que le canal cholédoque de-vra participer fréquemment à la lésion carcinomateuse du pancréas. Tantôt, il s'agit là
e de com-pression ; tantôt les parois du conduit sont envahies par la lésion carcinomateuse. Toujours est-il que, sur 37 cas d
bornerai mainte-nant à déclarer en passant qu'un grand nombre d'autre lésions ayant pris naissance au voisinage des voies bilia
la gangue conjonctive, ou autrement dit à la capsule de Glisson. Les lésions du parenchyme ne sont, en semblable occurence, qu
ume du foie, en général très accusée; 2° par l'existence de certaines lésions des canalicules biliaires qui ne se rencontrent p
ait être facilement multiplié. Ceci dit, entrons dans le détail des lésions anatomiqueset voyons de suite ce que nous apprend
mme dissocié de la périphérie vers le centre. Dans les points où la lésion est pour ainsi dire parvenue à son dernier terme,
ofondément altérées, groupées autour de la veine centrale. Mais, la lésion la plus intéressante, la plus caractéristique dan
important que jouent les canalicules biliaires dans la production des lésions de la forme de cirrhose hypertrophiques que nous
su conjonctif dans les canaux portes. Il semble, d'après cela, que la lésion concentre son action sur les canicules biliaires
usion du canal cholédoque. J'aurai terminé, Messieurs, l'exposé des lésions anatomiques en vous faisant remarquer que dans la
ercherai à vous donner dans la prochaine leçon, l'in-terprétation des lésions que je viens de décrire : puis je vous ferai co
IÈME LEÇON De la cirrhose hypertrophique avec ictère. Sommaire. — Lésions anatomiques. — Développement des canalicules bili
es canalicules biliai-res. — Angiocholite et péri-angiocholite. — Des lésions consécutives à l'oblitération du canal cholédoque
sions consécutives à l'oblitération du canal cholédoque comparées aux lésions de la cirrhose hyper-trophique. Symptômes: Ictè
n de la dernière séance, j'ai terminé, ou peu s'en faut, l'exposé des lésions anatomiques du foie qui caractérisent la cirrhose
présente une question que j'ai déjà touchée dans l'exposé général des lésions anatomiques du foie, à propos de l'atrophie jaune
le centre du lobule. Il faut relever encore ce fait à savoir que la lésion — angio-cholite et péri-angiocholite — est, pour a
édiocrement celles de plus fort calibre. Après avoir constaté cette lésion systématique des canali-cules biliaires et la pér
e reconnaître que c'est là le phénomène fondamental dans la série des lésions de la cirrhose hypertrophique avec ictère, et, su
initiale du produit de sécrétion biliaire, entraînant à sa suite une lésion de la paroi des plus fins canaux d'excré-tion ? o
ntérêt à rapprocher au point de vue spécial que nous envisageons, les lésions de la cirrhose hypertrophique de cel-les que déjà
-ci, les canaux biliaires les plus volumineux sonl affectés et que la lésion ne s'étend que secondairement aux conduits interl
deux cas, le mécanisme est analogue, puisqu'il s'agit toujours d'une lésion systématique, originelle des voies biliaires ; ma
moins sommairement les principaux symptô-mes qui se rattachent à ces lésions . Car « ce n'est pas seule-« ment l'organe altéré
oduction de cet ictère? Il faut, je crois, se reporter à l'examen des lésions des canalicules biliaires. On relève alors une ob
ile dans les grandes voies biliaires. Plus communé-ment cependant, la lésion est partielle, sans doute plus pro-noncée sur cer
ion de Cornil, évidemment relative à une cirrhose hypertrophique avec lésions des canalicules biliaires. Dans le cas de M. Sa-m
ts fondamentaux de la cirrhose de Laennec. — Granulations. — Rôle des lésions des petites branches intra-hépatiques de la veine
au système des canaliculôs biliaires inter-lobulaires. De même que la lésion systématique de ces canaux domine l'histoire path
lésion systématique de ces canaux domine l'histoire pathogénique des lésions de la cirrhose hypertrophiqué, de même une lésion
e pathogénique des lésions de la cirrhose hypertrophiqué, de même une lésion systématique des petites branches intra-hépalique
ites branches intra-hépaliques de la veine porte serait l'origine des lésions hépatiques de la cirrhose vulgaire. 3° C'est, d
cette dernière affec-tion, manque dans la cirrhose atrophique où les lésions des canalicules biliaires sont absentes ou tout a
stater la prédo-minance fréquente, mais rarement aussi prononcée, des lésions sur le lobe gauche du foie. Il importe de remar
coloration du lobule. Avant d'entrer dans l'étude histologique des lésions hépa-tiques de la cirrhose, je crois qu'il y a in
INGT-TROISIÈME LEÇON De la cirrhose vulgaire (suite). Sommaire. — Lésions des ramifications intra-hépatiques de la veine po
siologie pathologiques de la cirrhose atrophique : je veux parler des lésions que subissent les ramifications intra-hépatiques
rts grossissements. — Cirrhose annulaire. — Cirrhose monolobulaire. — Lésions des vaisseaux et du tissu coujonctif qui les ento
. Mais, avant de l'aborder, je crois utile d'entrer dans l'exposé des lésions de la trame conjonc-tive et du parenchyme hépatiq
ouver. Tel est l'aspect des choses, du moins dans les points où les lésions ne sont encore qu'à une période relativement peu
granulations graisseuses, mais cela n'est nullement nécessaire et les lésions les plus accusées de la cirrhose vulgaire peuvent
seuse des cellules hé-patiques. M. Frerichs dit n'avoir observé cette lésion que dans la moitié des cas de cirrhose qu'elle
arties du foie où l'al-tération est plus avancée, nous constatons les lésions sui-vantes : Des tractus de second ordre, on voit
L'expérimentation, d'ailleurs, a mis en relief la production d'une lésion de la gangue conjonctive de tout le foie, consé-c
sion de la gangue conjonctive de tout le foie, consé-cutivement à une lésion des vaisseaux portes produite en de-hors du foie.
rerichs, ne peut pas s'expliquer constamment par la présence de cette lésion . Aussi quelques auteurs (Virchow, Niemeyer), sans
rrhose du foie ne sont pas toujours susceptibles d'être rattachés aux lésions gastro-intestinales d'origine stasique, mais que,
t devenue, depuis quelques années, particulièrement intéressante. Les lésions histologiques que subit le rein dans cette maladi
ment les idées généralement admises ; vous verrez, par l'étude de ces lésions , que les variétés qu'elles présentent sont surtou
a périphérie du lobule, dans la région du labyrinthe, que siège les lésions les plus importantes des diverses néphrites chron
rie, M. Klebs aurait trouvé plusieurs fois dans les reins, pour toute lésion , en dehors des lésions banales rele-vant delà con
rouvé plusieurs fois dans les reins, pour toute lésion, en dehors des lésions banales rele-vant delà congestion, une altération
Klebs, se montre isolée dans la scarlatine, se trouve, dans certaines lésions chroniques du rein, combinée à des altérations qu
ils ont sé-journé longtemps dans le rein, par exemple dans les cas de lésions chroniques de cet orga-ne, ils présentent habitue
it, d'après Dickinson, une certaine importance ; elle indiquerait une lésion essentiel-lement chronique du rein, surtout la né
ien l'état anatomique du rein, des miroirs réfléchissant les diverses lésions rénales. Formés dans les dernières parties de l'a
emps et en grand nombre dans les urines, ils indiquent en général une lésion rénale confirmée ; mais il faut remarquer qu'à ce
absolu de la maladie. Les cylindres cireux sont aussi l'indice d'une lésion chronique, mais il faut bien savoir que la teinte
s nécessairement la dégé-nérescence amyloïde du rein. 3° Enfin, les lésions de la maladie de Bright peuvent exister sans que
che IV, fig. 1,2 des Reports of médical Cases. Histologiquement, la lésion porte surtout sur l'épithélium du rein; le tissu
es plus importants de cette forme ; hypertrophie du cœur gauche, sans lésions val-vulares ; rétinite albuminurique, presque spé
. Généralement, on trouve en même temps que l'al-tération rénale, des lésions de même nature dans la rate, le foie, l'intestin.
tirés : des circonstances étiologi-ques ; de la concomitance d'autres lésions dans le foie, l'in-testin (diarrhée), etc., et en
re d'observer, concordant avec le rein amyloïde, des hémorragies, des lésions rétiniennes, l'hy-pertrophie du cœur ; l'urémie e
là, relativement rare, et la mort survient en général par le fait de lésions concomi-tantes et particulièrement de la diarrhée
Néphrite interstitielle). Sommaire. — Considérations historiques. — Lésions du rein dans la néphrite interstitielle, à la pér
la période la plus avancée. — Granulations. — Étude histo-logique. Lésions du rein à la première période de la néphrite inte
onctive; canali- cules urinifères; — diverses variétés de kystes; — lésions des capsules de Bowmann et des glomérules; — al
urs, Avant de pénétrer plus avant dans la description des diver-ses lésions rénales, généralement rattachées à la maladie de
ppeler le point de vue auquel je compte me placer dans l'étude de ces lésions . Dans mon opinion, ainsi que je vous l'ai annon
tiques bien caractérisés, qui permettent de remonter du symptôme à la lésion , et d'établir une diagnose et une prognose spécia
lumière sur une des planches de l'ouvrage de M. Dickinson (1). Les lésions portent, vous le voyez, dans la néphrite inters-t
cette période. Vétude histologique, en effet, fait reconnaître les lésions suivantes : 1° Dès l'origine, la gangue conjonc
expliquée par l'excès de ten-sion. — Hypertrophie du cœur gauche sans lésion valvulaire. —Albuminu-rie très peu marquée. — Uré
que;— influence des émotions morales, des fatigues, de la fièvre, des lésions aiguës du cœur, etc. Troubles de la sécrétion d
Altérations des vaisseaux ; — athérome des artères ; hémorragies — Lésions de la rétine. 1. Messieurs, 11 est temps de
t, jusqu'à quel point l'étude minutieuse que nous venons de faire des lésions du rein, dans la première forme de la maladie de
on rattache, théoriquement, l'hy-pertrophie du ventricule gauche sans lésions valvulaires, qui accompagne si fréquemment la nép
ont certaine-ment rares, par comparaison avec ceux qui relèvent d'une lésion rétinienne : ainsi, suivant de Grael'e, sur trent
(i; Gazette hebdomadaire, t. v, 1858, p. 150 et 153. l'absence de lésions rétiniennes appréciables à l'ophlhalmos-cope, ils
affection. V endartérite chronique ou athérome artériel est une des lésions que l'on rencontre le plus souvent chez ces sujet
critique, on a rattaché à l'altération athéromaleuse des artères les lésions de la rétine, fréquentes dans cette forme de mala
n quelque sorte dans la néphrite parenchyma-teuse. Je veux parler des lésions connues sous le nom de rétinite albuminurique, c'
s seules d'établir le diagnostic de néphrite interstitielle. Si cette lésion relevait véritablement de l'endartérite, on devra
. l'observe pas ; je me borne à vous signaler la fréquence de cette lésion rétinienne dans la néphrite interstitielle, sans
contrairement à cé qui a lieu dans la forme précédemment étudiée, la lésion se localise tout d'abord dans l'appareil des tubu
la forme de maladie de Bright, qui se traduit anatomiquement par les lésions que nous venons de décrire, se fait en règle géné
le croire quelques auteurs. Ainsi, vous entendrez souvent dire que la lésion du gros rein blanc avec toutes ses conséquences c
te interstitielle une gastrite inlerlubulaire, et, au con-traire, une lésion particulière des follicules dans la néphrite pare
ME LEÇON Néphrite scarlatineuse. — Rein amyloïde. Sommaire. — Les lésions de la néphrite scarlatineuse ne sont pas celles d
ques. Rein amyloïde. — Examen histologique : — étude analytique des lésions ; — études sur des coupes du rein. — Caractères m
'opinion qui fait de la néphrite scarlati-neuse le point de départ de lésions permanentes pouvant être rapportées au gros rein
n, M. Kelsch expose, dans son important travail, que dans deux cas de lésion scarlatineuse du rein, il fut surpris de rencontr
ne compris sous le nom de maladie de Bright ; c'est que, en effet, la lésion rénale se présente ici avec des caractères assez
res : dans le rein, par exemple, elle coïncide souvent, soit avec les lésions de la néphrite interstitielle, soit avec celles d
ption spéciale du rein amyloïde; je commen-cerai ici par l'exposé des lésions histologiques auxquelles je rattacherai ensuite l
le que tous les glomérules ne sont pas affec- tés simultanément; la lésion se montre ensuite sur les vais-seaux afférents, p
ne paraît pas qu'elles soient jamais alté-rées. C. En dehors de ces lésions des vaisseaux et des membra-nes hyalines, la plup
njonctive interstitielle ; et c'est à la combinaison de ces di-verses lésions , concomitantes avec l'altération amyloïde, que
i-tent • les anses de Henle et les canaux droits ne présentent aucune lésion appréciable. E. J'arrivemaintenant aux caractèr
suffisent, dans l'espèce, pour faire reconnaître qu'il s'agit d'une lésion rénale, mais la pré-sence de phénomènes appartena
'albuminurie transitoire ou durable, fonctionnelle ou marquée par des lésions profondes du rein, toujours l'albumine est présen
hémo-globinurie. — Modification supposée de l'albumine du sang ; les lésions rénales seraient consécutives. — Théorie de M. Se
rein. Voilà le fait secon-daire. Conformément à cette théorie, les lésions du rein qu'on rencontre habituellement dans les a
Overbeck se re- trouve assez rigoureusement réalisé dans les cas de lésions cardiaques avec asysfolie, c'est-à-dire dans le c
le. — Albuminurie chez les cardiaques; obser-vations de Rosenstein. — Lésions du rein cardiaque. Adaptation de la théorie de
tion de vitesse aux cas d'albuminu-rie transitoire non accompagnés de lésions matérielles du rein. — Albu-minurie dans le cholé
ie anatomique — Insuffisance de cette théorie. — Cas où il existe des lésions profondes du parenchyme rénal sans qu'il y ait al
renchyme rénal sans qu'il y ait albuminurie et cas d'albuminurie sans lésions du parenchyme rénal. Messieurs, J'ai l'intent
ons remarquer, en effet, que la néphrite in-terstitielle de ce genre, lésion chronique primitive, à évolu-tion lente et progre
ations de la sécrétion urinaire, si souvent observées dans les cas de lésions valvulaires du cœur, alors qu'il n'y a pas compen
y a pas compensation. Ces mêmes effets se manifestent encore dans les lésions qui frappent directement le myocarde (péricar-dit
arde (péricar-dite adhésive, etc.), et aussi dans le cas de certaines lésions du poumon qui entravent le jeu de la petite circu
oint les épithéliums ne présentent d'altération appréciable. Toute la lésion , à part la stase veineuse, consiste dans un épais
lation générale, ne saurait être rattachée, à titre de symptôme, à la lésion qui vient d'être décrite. Elle la précède dans no
e. Elle la précède dans nombre de cas, et dans nombre de cas aussi la lésion peut persister, alors que, par suite du relèvemen
lbuminuries, soit fonctionnelles et transitoires, soit relevant d'une lésion organique du rein et par conséquent plus ou moins
'albuminurie transitoire et fonctionnelle, sans ac-compagnement d'une lésion matérielle quelconque du paren-chyme rénal. Le
rs même du travail, et pour celles quisur-viennent en conséquence des lésions du système nerveux, etc., etc. 111. Mais en v
en faut, de l'existence hypothétique ou régulièrement constatée d'une lésion des épithéliums du rein. Je ne ferai d'ailleurs q
s'exprime comme il suit : « L'albuminurie n'est que le symptôme d'une lésion plus ou moins prononcée de l'épithélium des canal
n-telle à une néphrite parenchymateuse légère. Donc, en de-hors d'une lésion de l'épithélium rénal, il n'y a pas d'alhu-minuri
oire et cependant morbide, qui ne s'accordent guère avec l'idée d'une lésion matérielle persistante. Elle ne se soutient pas d
bre de cas où l'albumine se présente dans les urines sans qu'il y ait lésion appréciable des épithé-liums ; et, inversement, i
— Hayem, Bulletin de la Société anato-mique, séance du 4 juin 1875). Lésions des canalicules biliaires au niveau d'un espace i
— intra-lobulaires, — interlo-bulaires. — Espaces. — Localisation des lésions hépatiques. — Des deux substances du t'oie.......
acunes. — Filets nerveux. Espaces inter-lobulaires localisation des lésions dans les espaces; Cirrhose vulgaire, — abcès cons
e pathologique du foie. — de la bile. Sommaire. — Localisations des lésions hépatiques dans les espaces interlo-bulaires. —Ca
gurés : vibrions, cylindres fibrineux et épilhéliaux. Influence des lésions hépatiques sur la production de l'urée. — Fonctio
un mode aigu ou subaigu. — Hépatite ; variations du taux de l'urée. Lésions hépatiques; diffuses à évolution rapide ou suraig
fluence du foie sur l'uricémie des goutteux. — Goutte consécutive aux lésions du foie. — De l'acide urique dans les urines. — G
l'irri-tation hyperémique ou inflammatoire des conduits biliaires. — Lésions de canalisation. De la colique hépatique. — Cau
e..... 171 DIX-SEPTIÈME LEÇON oblitération du canal cholédoque. — lésions et symptomes. Sommaire. — Dilatation des voies
e et les accidents de la fièvre dite uréthrale. — Parallèle entre les lésions des voies urinaires qui se compliquent de fièvre
ons des voies urinaires qui se compliquent de fièvre uréthrale et les lésions du foie qui se compliquent de fièvre hépatique. —
— fistules cystico-vagïnales : — fistules pleurales et pulmonaires. — Lésions de l'instestin produites-pas les calculs : iléus,
rtielles ; hépatites totales. — Cirrhose hypertrophique avec ictère : Lésions an atomiques ; — résultats de l'examen macroscopi
IÈME LEÇON de la cirrhose hypertrophique avec ictère. Sommaire. — Lésions anaiomiques. — Développement des canalicules bili
es canalicules biliai-res. — Angiocholite ef péri-angiocholite. — Des lésions consécutives ii l'oblitération du canal cholédo
ns consécutives ii l'oblitération du canal cholédoque comparées aux lésions de la cirrhose hyper-trophique. Symptômes: Ictè
ts fondamentaux de la cirrhose de Laennec. — Granulations. — Rôle des lésions des petites branches intra-hépatiques de la veine
INGT-TROISIÈME LEÇON de la cirrhose vulgaire (Suite). Sommaire. — Lésions des ramifications intra-hépatiques de la veine po
forts grossissements. —Cirrhose annulaire. — Cirrhose monolobulairc. — Lésions des vaisseaux et du tissu conjonctif qui les ento
Néphrite interstitielle). Sommaire. — Considérations historiques. — Lésions du rein dans la né-phrite interstitielle, à la pé
à la période la plus avancée. — Granulations. — Étude histologique. Lésions du rein à la première période de la néphrite inte
ctive ; — cana-licules urinifères ; — diverses variétés de kystes ; — lésions des capsules de Bowmann et des glomérules ; — alt
expliquée par l'excès de ten-sion. — Hypertrophie du cœur gauche sans lésion valvulaire. — Albuminu-rie très peu marquée. — Ur
es; — influence des émotions morales, des fatigues, de la fièvre, des lésions aiguës du cœur, etc. Troubles de la sécrétion d
Altérations des vaisseaux ; — athérome des artères ; hémorragies — Lésions de la rétine.....................................
TIÈME LEÇON néphrite scarlatine. — rein amyloide. Sommaire. — Les lésions de la néphrite scarlatineuse ne sont pas celles d
ques. Rein amyloïde. — Examen hislologiquc : — étude analytique des lésions ; — études sur des coupes du rein. — Caractères ma
hémo-globinurie. — Modification supposée de l'albumine du sang ; les lésions rénales seraient consécutives. — Théorie de M. Se
le. — Albuminurie chez les cardiaques; obser-vations de Roscnstein. — Lésions du rein cardiaque. Adaptation de la théorie de
tion de vitesse aux cas d'albuminu-rie transitoire non accompagnés de lésions matérielles du rein. — Albu-minurie dans le cholé
e anatomique. — Insuffisance de cette théorie. — Cas où il existe des lésions profondes du parenchyme rénal sans qu'il y ait al
renchyme rénal sans qu'il y ait albuminurie et cas d'albuminurie sans lésions du parenchyme rénal...................... 437 E
n, 302. — Atherome des —, 352. — Dé-génération amyloïde des —, 373. — Lésions des — dans la néphrite interstitielle, 339. Asc
Canalicules urinifères : Description, 284. — Groupement des —, 292. — Lésions des — dans la néphrite in-terstitielle, 337. Ca
ions, 148. — Physiologie, 154. —Struc-ture, 153. ' — Droits, 286. — Lésions des — dans les néphrite interstitielle, 330, 338.
. — Annulaire,251; — mutilobulaire, 251 ; — inlerlo-bulairc, 251. — Lésions du tissu conjonctif, 267 ; — du parenchyme hépati
e, 68 : — des vaisseaux, 269. — Développement des vais-seaux, 273 ; — lésions des voies biliaires, 275. — Symptômes, 275. Cce
Ccuru (Hypertrophie du dans la né-phrite interstitielle. 277, 311. — Lésions du — dans la cirrhose vul-gaire, 277. Coliques
l'oints douloureux dans les —, 165, — Sépliréliques, 11!. —De plomb Lésions du l'oie dans la , 88, 99, Coma dans l'oblitéra
8. Conjonctif "l'issu; du foie, 14, 48, 267. —? Du rein, 297, 293. — Lésion du — dans la néphrite interstitielle, 331. 335, 3
— Descaiiauxcontoui nés. 297. — Phy-siologie de !' —• du rein, 305. — Lésions de l'épifhélium dans la dè-génèralion atnylimlc.
ékui.e de Malpighi capsule de Boirmann; anatomie normale, 284, 288. — Lésions dans la néphrite interstitielle, 328, 339; —? dan
, 121. 179. Gr.yoooéniqt'e (Fonction 120, 131. Goutte, 87, 113. — Lésions du foie dans la —. Ili. — Lésions du rein (huis l
tion 120, 131. Goutte, 87, 113. — Lésions du foie dans la —. Ili. — Lésions du rein (huis la —, 309, 319. — Saturnique, 116,
rénale, 311. Inflammation récurrente. 222. Insuffisance mitrale ( Lésions de la cellule hépatique dans t'),23. K Kieena
foie, 96. 222. — Du rein contracté, 337. L Labyrinthe, 291,294. — Lésions dans la néphrite interstitielle, 331. Lactation
aire, 125. Lobules du foie, 6. — composition, 14. — Du rein, 293. — Lésions dans la néphrite interstitielle, 330. Localisat
3. — Lésions dans la néphrite interstitielle, 330. Localisation des lésions hépatiques, 11. Lympiiatiqeus du foie, 14, 49.
) Pouls (Du) dans la colique hépati-que, 56 : V. Ictère). Poumon ( Lésions de la cellule hépa-tique dans les affections anci
Prolongements de Ferrein, 291, 293 Pyélo néphrite, 200. R Rati; ( Lésion de lai dans la cirrhose hypertrophique, 228, 255,
graphique, 291, 292. — Physiologie, 303; Rein amyloïde, 323, 372. — Lésion des vaisseaux dans lo —, 373 ; — des tuhu.fi, 374
, 372. — Lésion des vaisseaux dans lo —, 373 ; — des tuhu.fi, 374 ; — lésions conco-mitantes acecessoires, 375. — Ap-parences m
os Gros rein lisse, rein de Briç/iil , 321, 356.— ittio-logie, 357. — Lésions , 358. — Symptôme de début, 364. —Delà période d'é
ns 368. Rein chirurgical, 200. Rein contracté, 278, 322, 325. ?—• Lésions du début, 333 ; — do la période d'olat, 329. —Top
Lésions du début, 333 ; — do la période d'olat, 329. —Topographie des lésions , 330. — Granulation, 331. — Si/ uiji loin es : Tr
s la—, 175 ; — phlébite de la — 175 ; — throm-bose de la — 175, 271. — Lésions des branches intra-hépatiques de la veine porte d
18 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pas à proprement parler, de maladies de la bouche il n'y a que des lésions locales, en connexion étroite avec un état path
urtout constaté ces manifestations dou- loureuses de la langue sans lésion chez des névropathes. M. Luys a observé les mêm
ouloureuses, et puisqu'on lui assure que celles-ci n'offrent aucune lésion , il en conclut que c'est le nerf dentaire lui-m
'a pu répondre jusqu'à maintenant qu'en se rapportant aux faits des lésions localisées. Bartholow' et Sciamanna 2 ont obser
onclure qu'il n'y a aucune fusion entre les deux cen- tres, car une lésion destructive, même petite, située sur le bord d'
pense que chaque point a été con- firmé jusqu'à l'évidence par des lésions de cette région, observées avec som etstricleme
des centres visuels, conclusion fondée sur les effets positifs des lésions des plis courbes et sur les résultats uniformé-
ifs de la destruction des deux lobes occipitaux, excepté lorsque la lésion empiétait sur la scissure occipito-pariétale. Dan
défauts de la vision ou parfois la cécité complète étaient dus à la lésion des fonctions des plis courbes eux-mêmes. Je vo
evés en même temps. Il survient un peu d'encéphalite qui étendit la lésion . Vous verrez, que sur le côté droit, non seulem
considérablement par suite d'une hernie inflammatoire. Malgré cette lésion étendue bilatérale, l'a- nimal, pendant une heu
e chez d'autres chez lesquels on observait les mêmes symptômes, les lésions occupaient la région de la scissure pariéto-occ
4. Ces expériences ont mis en lumière les résultats négatifs des lésions uni ou bilatérales du lobe occipital. J'ai cepend
ital. J'ai cependant trouvé dans mes premières expériences, que les lésions destructives de l'écorce de gyrus angulaire d'u
alors pour pouvoir déterminer exactement le siège et l'étendue des lésions avant le développe- ment de lésions inflammatoi
ement le siège et l'étendue des lésions avant le développe- ment de lésions inflammatoires secondaires. Elles avaient déjà
posé et non une hémiopie. Et il semble que la rapide guérison d'une lésion unilatérale est due à l'action compensatrice de
admet lui-même, de l'inflammation secondaire et de l'extension des lésions primaires qui suivent ses opérations gé- nérale
rain Phil. Trapus., vol. CLXXIX, 1888. Bd. XXX.) ' Influences des lésions corticales sur la vue. (Archives de médecine ex
tion complète des lobes occipitaux et frontaux et les limites de la lésion de la face inférieure de l'hémisphère (p. 35). »
. On a rapporté beaucoup d'autres expériences dans lesquelles les lésions unilatérales ou bilatérales empiétaient sur la sc
après. Les expériences de Ilorsley et Schoefer, dans lesquelles les lésions des lobes occipitaux sont plus considérables que
nente. La destruction du pli courbe avec le lobe occipital fut la lésion qui a produit un résultat permanent. Leurs conclu
téressé, nos observations confir- ment l'opinion de Munck que cette lésion produit un trouble hémiopique de la conscience
ale produit une cécité totale et durable. Tout en admettant que les lésions décrites par eux soient la cause de l'héuliopie
ette hypothèse s'appuie sur de nombreuses considérations3. 3. Les lésions de la temporo-occipitale seules peuvent produire
pporté des cas l où on note de l'hémiopie temporaire il la suite de lésions de la région ' Eleclrical excitation of the fMK
a consisté dans l'ab ! ation du lobe temporal droit. Plus tard, la lésion s'est étendue en partie sur la surface inférieu
sur la surface inférieure du lobe occipital. A l'exception de cette lésion du lobe occipital, tout le reste de la zone vis
cet animal était complètement hémiopique. La conclusion est que la lésion a atteint toutes les radiations optiques car autr
ipital d'un côté produit de l'hémiopie du côté opposé toujours sans lésion du gyrus angulaire qu'ils excluent entièrement
t pas d'epaississemeut. Il est certain cependant que cette première lésion a dû s'étendre au delà du lobe occipital, à cau
ipital, à cause de l'hénllanestéoie qui ne se produit pas quand les lésions sortent localisées au lobe occipital ; et ce fa
s produit une amblyopie croisée temporaire. Il rapporte deux cas de lésions successives des plis courbes. Dans un, la premi
x cas de lésions successives des plis courbes. Dans un, la première lésion produit une amblyopie croisée qui dura quatre j
ion produit une amblyopie croisée qui dura quatre jours. La seconde lésion , cependant, ne produisit aucune altération appr
produisit aucune altération appréciable. Dans l'autre, la première lésion produisit de nouveau de l'amblyopie croisée qui d
mières expériences, comme celles du professeur Yeo, montrent qu'une lésion destructive unilatérale de ce gyrus produit une
urut avant qu'aucune autre observation exacte fût possible. Que des lésions du pli courbe puissent com- prendre des radiati
dantesprojetéessur le côté correspondant dechaquehémisphère par une lésion unilatérale du pli courbe,produit une cécité temp
ne cécité temporaire ou une amblyopie du côté opposé, tandis qu'une lésion bilatérale produit un affaiblissement durable d
celles qui excitent les sensations visuelles dans l'écorce, et delà lésion du tractus optique causera non seulement l'hémi
de la réaction re- flexe de la pupille à la lumière ; tandis que la lésion des centres corticaux cause l'hémiopie mais lai
uels j'ai accidentellement blessé le tractus optique en faisant des lésions du lobe temporal. Le résultat dans les deux cas
éthodes d'examens. Quant à la pathologie de l'amblyopie croisée par lésion du pli courbe chez le singe, comme les cas semb
ule interne; elles se distribuent principalement au pli courbe. Les lésions des fibres sensorielles produisent l'amblyopie
ubles sensitifs dans l'oeil. Un pareil résultat se produit dans les lésions du pli courbe et tient sous sa dépense les chan
. Cette hypothèse demanderait que dans tous les cas d'amblyopie par lésion cérébrale il y ait intégrité de la sensibilité
res. On n'a pas trouvé d'une façon concluante leur rapport avec des lésions d'une portion particulière de l'écorce, et l'hy
, et l'hypothèse la plus probable est qu'ils dépendent t plutôt des lésions partielles des radiations optiques plutôt que des
e la parole. Il est douteux qu'on ait publié des cas strictement de lésions corticales du lobe occipital accompagé d'hémiop
les corps gémculés n'ont pas été évidemment lésés ; on a trouvé des lésions dans les fibres médullaires de la région postér
corce a été grav emen atteinte, les 100 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. lésions ont été multiples et diffuses et non confinées da
thésie. de l'hémiplégie, de l'aphasie et d'aulres symptômes dus aux lésions des tractus cérébraux et des centres dépassent
sé la majorité des cas sinon tous d'hémiopie avec autopsies, avec lésions cérébrales telles qu'elles n'ont pas certainement
d'autres régions. De ces 41 cas d'hémiopie, 13 étaient dus à des lésions de la région occipito-angulaire, 2 à des lésions
étaient dus à des lésions de la région occipito-angulaire, 2 à des lésions des circon- volutions angulaires et supra-margi
olutions angulaires et supra-marginale seulement, Ici décrits comme lésions du lobe occipital seul. De ces 15 il n'y en avait
ent de la substance médullaire de la région occipitale ni une autre lésion atteignant le thalamus optique; et dans un de c
amus optique; et dans un de ces cas, celui de Doyne, le siège de la lésion n'est pas décrit avec grand soin. Dans les autr
a lésion n'est pas décrit avec grand soin. Dans les autres cas, les lésions étaient diffuses, 6 des lésions de la région oc
rand soin. Dans les autres cas, les lésions étaient diffuses, 6 des lésions de la région occipito-temporale, 3 des lésions
ient diffuses, 6 des lésions de la région occipito-temporale, 3 des lésions des circonvolutions occipitales, temporales et
e relative avec laquelle on a trouvé l'hé- miopie associée avec des lésions du coin et de son voisinage, Segttin et Nothnag
expérimentales. Il est probable que l'apparente relation entre les lésions du coin et l'hémiopie est due à la tendance spéci
on à être affectée par les troubles vasculaires coïncident avec des lésions , des radiations optiques de la région temporo-occ
partie du gyrus de l'hypo- campe ? On a aussi publié des cas où des lésions non seulement unilatérales mais bilatérales ont
llissement du coin gauche. Dans ce cas, cepen- dant. il y avait une lésion artérielle généralisée et il y avait beaucoup de
e et il y avait beaucoup de LES LOCALISATIONS CEREBRALES. 101 Des lésions irritatives du pli courbe donnent parfois lieu à
emporaire, comme dans le cas de Hughes Cbennette 1, pendant que des lésions destructives du pli courbe plus particulièremen
e notable des sensations visuelles, quoique dans quelques cas où la lésion de la région oc- cipito-angulaire était plus ét
tion entre les symboles visuels et les choses signifiées. Donc, une lésion de la zone de la vision la plus claire peut paral
ettre des conclusions exactes sur les rapports de l'hémiopie et les lésions du coin en particulier. ' Excessive Sensory, Co
ns, et en 1881 Goltz décrivit un trouble de la vision à la suite de lésions destructives de l'hémisphère cérébral opposé, q
tièrement croisée et affectait seulement l'oeil du côté opposé à la lésion . Munk, dans ses premières expériences, arrivait
la même con- clusion : que le trouble de la vision, résultant d'une lésion au point A, fig. 14, n'avait lieu seulement dan
la région pariétale, en rapport avec l'oeil du côté opposé seul. La lésion du premier produit l'hémiopie homo- nyme ; la l
pposé seul. La lésion du premier produit l'hémiopie homo- nyme ; la lésion du dernier, généralement se produisant avec celle
ltz et beaucoup d'autres physiologistes. Car ils trouvèrent que les lésions , d'une étendue et d'une profondeur suffisantes, d
iens, et doit embrasser au moins deux circon- volutions. De petites lésions produisent une cécité complète de l'oeil opposé
es que d'autres peuvent échapper à la destruction générale de cette lésion iconoclastique. Dans un cas c'est celle du plat
iaux du centre visuel. Quand un trouble de la vision se produit par lésion du lobe postérieur, il y a toujours la même hém
ntrale est celle qui est la moins affectée dans tous les cas que la lésion du centre.visuel, soit uni ou bi-latérale. II n'y
spon- dantes étaient paralysés et le retour de la vision, après des lésions partielles du centre visuel, n'est pas dû à la
bserva- teur; quoique certaines expériences de Moeli' indiquent les lésions de la région indiquée comme produisant au moins
s comme celles de Munk, IIorsley et Schufer. montrent que quand les lésions sont strictement limitées à la sphère visuelle,
contraires obtenus par quelques auteurs sont sous la dépendance de lésions primaires ou secondaires des autres centres ou tr
s les expériences de Goltz, les troubles de la vision à la suite de lésions des régions occipitales paraissent avoir été pr
formes de troubles sensitifs, mais la façon dont il produisait ses lésions n'a pas été suffisamment définie pour pouvoir e
isième catégorie. P. K. Il. Trois cas DE paralysie PROGRESSIVE avec lésion en FOYER dans H capsule interne ; par Ta. Zache
é les destructions étendues de la capsule interne; il pense que les lésions diffuses préalables de l'écorce produisent chez
lieu de 1865 à 1888. P. K. XXI. UN cas DE paralysie alcoolique avec lésion centrale; par K. ScnAFFER. (Ncurol. Cenlralbl.,
couche corticale et une atrophie du cerveau avec accompagnement des lésions que l'on rencontre communé- ment dans la paraly
ros intestin étaient le siège d'une inflammation considérable ; les lésions de la péritonite étaient nettement accusés, bie
goutte, de l'artLrUis, etc., et, rejelant pour ces para- lysies la lésion sclérosique interstitielle caractéristique de la
té. Conclusion : l'hystérie convul- sive peut être symptomatique de lésions anatomiques du système nerveux central. (Archio
ure différente, car il y a des mélancoliques qui n'offrent d'autres lésions de l'intelligence qu'un délireparliel de nature t
utisme; il en conclut, avec raison, qu'il y a chez ces derniers une lésion générale de l'intelligence qui n'existe pas che
sion générale de l'intelligence qui n'existe pas chez les premiers, lésion générale qui sépare la mélan- colie des délires
à l'irritation et aux mouvements fluxiou- naires que provoquent les lésions cérébrales ou médullaires, six sont consacrées
connue, de la substance blanche des circonvolutions comme l'une des lésions principales de la démence paralytique. Cette par-
paralysie générale persistent une année et plus sans être liés aux lésions de la périencéphalite chronique et peuvent s'expl
au diabète. L'auteur décrit trois types de diabète : le diabète par lésions nerveuses (diabète de Claude Bernard), le diabè
e mani- festait, n'est pas bien loin des origines des nerfs dont la lésion périphérique était, déjà depuis longtemps, évid
ue des centres trophiques de la moelle épinière. L'absence de toute lésion apparente de la substance grise, dans le plus g
s la démonstration objective manquait. Chacun se mit en quête de la lésion spinale. Friedlaender, OEller, Hallopeau, J. Re
der, OEller, Hallopeau, J. Renaut publièrent des observations où la lésion des cornes antérieures semblait assez caractéri
yéhte chronique saturnine : « L'examen de la moelleavait montré des lésions incontestables et très considérables de myélite
e, mais auxquelles on nedoit pourtant pas refuser toute valeur. Les lésions , en effet, occu-- paient dans la moelle une éte
par la substance toxique, commande la réparti- tion symétrique des lésions périphériques ? Enfin, dans notre cas, la limit
nent quelques altérations spinales. Dans un cas d'OEttinger 1, la lésion vacuolaire des cellules de la corne antérieure ét
ncée. Dans deux observations de Finlay 2, on trouve mentionnées des lésions médullaires, caractérisées par la dimi- nution
aire que les éléments nobles de'la substance grise pré- sentent des lésions grossières pour qu'on soit en droit de faire re
ui avaient présenté cette atrophie, et il a constaté l'existence de lésions très caractérisées dans les cornes antérieures.
s comparables à celles de la téphromyélite. Eu d'autres termes, les lésions de la substance grise sont absolument subordonn
les lésions de la substance grise sont absolument subordonnés à la lésion dégénérative du faisceau pyramidal. Mais voic
ais quel avait été le point de départ de la névrite ? Evidemment la lésion qui avait déterminé la contracture, puisque l'a
ent leur maximum d'intensité dans les muscles con- tracturés. Or la lésion qui engendre la contracture c'est la sclérose d
: ou bien nos procédés techniques sont insuffisants pour déceler la lésion des cellules antérieures ; ou bien cette lésion
nts pour déceler la lésion des cellules antérieures ; ou bien cette lésion est purementfonc- tionnelle, comme je viens de
mentalement l'influence dynamique de la moelle sur l'apparition des lésions trophiques périphériques : « Lorsqu'on sectionn
ue l'atrophie mus- culaire des hémiplégiques, indépendante de toute lésion appré- ciable de la moelle, n'existe ou ne prés
ine à croire que, dès l'instant où quelques sujets sont porteurs de lésions bien caractérisées des cornes anté- rieures, le
des cornes anté- rieures, les autres sont également porteurs d'une lésion ana- logue, il est vrai, encore invisible, rudi
usculaire constatée chez des hémiplégiques, en dehors même de toute lésion névritique. Quincke et Babinsky en ont signalé
ou non à une névrite, est, quant àsa disribution, commandée par une lésion spinale. Chaque jour, du reste, de nouvelles ob
on spinale. Et cependant, ici encore, il n'y a pas à invoquer une lésion grossière de la moelle '. Bref, si beaucoup de
là à admettre l'influence des centres nerveux sur la production des lésions périphériques, il n'y a pas bien loin, convenez
t clini- - quement le même ensemble symptomatique, dans un cas de lésion organique. Nous regrettons de ne pouvoir analyser
gralement ensuite, il ne peut être alors question, dans ces cas, de lésion organique. Si toutes ces notions acquises ve- n
oire neutre », commun, situé sur le lobe pariétal inférieur : les lésions de ce « centre des centres », entraînant à la f
rations descendantes des faisceaux pyramidaux consé- cutives aux lésions en foyer de l'aire sensitivo-motrice. VI. Les v
e mis en éveil. Dans ces expé- riences cependant, le temps entre la lésion et la mort des animaux fut trop court pour étab
pas entendre les bruits légers quand l'oreille du même côté que la lésion était bouchée. Mais dans ses travaux avec Sanger-
circonvolu- tion, a été retrouvé à l'autopsie, mais pratiquement la lésion fut complète dans les six cas, quelques morceau
aux l'ouie n'était pas atteinte d'une façon évidente par une double lésion , ce n'était certes pas le cas chez les nôtres,
ité auditive doit être attribuée aux portions non détruites par les lésions décrites, du centre cortical auditif ou aux centr
uemment, cependant, avant que les troubles secondaires créés par la lésion primaire aient diminué, l'animal parait totalem
eux, pour déterminer si une guérison parfaite a eu lieu. Quand les lésions destructives sont limitées à la partio postérie
, résultats que je considère comme absolument opposés aux faits des lésions strictement localisées. On remarquera, pour la
r maladie cérébrale chez l'homme est rare, vu l'ex- trême rareté de lésions bilatérales affectant simultanément les deux ci
TIONS CEREBRALES. : il515 cas importante dans lesquels cette double lésion s'est rencontrée. Shaw ' a rapporté le cas d'un
es remplis de matière comme colloïde. La cécité était-elle due à la lésion des plis courbes seulement ou à la dégénérescence
ue soudaine de surdité dans ce cas coïncidant avec des symptômes de lésion cérébrale, et l'état du 1 Archives of médecine,
vec elle. Elle mourut d'une hématémèse le 21 octobre. On trouva une lésion extensive dans chaque lobe temporal, envahissan
ATIONS CÉRÉBRALES. 255 cérébrale. Pour exclure toute possibilité de lésions locales de l'oreille, le malade fut soumis à l'
ue les nerfs auditifs; se terminent dans le lobe temporal et que la lésion bilatérale de ces lobes produit une surdité com
s temporaux sont les centres cérébraux de l'audition. » Quoique les lésions n'étaient pas limitées à la première circonvo-
peut les répéter. On a trouvé associée la surdité verbale avec une lésion de la première circonvolution temporale supérie
le Dr Ewens sur lesquels j'ai des notes, dix ne présentaient qu'une lésion du lobe temporale. Dans 7 de ces cas, la premiè
lièrement prise, et dans les trois autres les limites exactes de la lésion ne furent pas établies. Dans huit cas, la lésion
ites exactes de la lésion ne furent pas établies. Dans huit cas, la lésion comprenait aussi bien le pli courbe que la circ
courbe que la circonvolution temporale supérieure; dans six cas les lésions avaient envahi la circonvolution temporale supé
bes occipitaux et parié- taux et un cas est rapporté comme dû à une lésion du pli courbe seulement. Dans ce cas, il parait
t de la surdité verbale. Dans tous les cas, sauf un, il y avait une lésion évidente de la circonvolution temporale supérie
décharges auditives, ou de sensations auditives subjec- tives avec lésions irritatives de la première circonvolution tem-
cerveau d'une femme sourde-muette chez laquelle, en plus de quelque lésion du lobule supramarginal, il y avait une atrophi
près Tooth, en derniei lieu le cervelet. Gowers rapporte un cas do lésion unilatérale de la moelle qui semblerait être à l'
moelle, le sens musculaire est atteint ou aboli du même côté que la lésion et intact dans le membre opposé anesthésique. L
sthésique, et son atteinte ou sa perte dans le membre du côté de la lésion n'était pas toujours satisfaisante. Des quarant
sion n'était pas toujours satisfaisante. Des quarante-trois cas1 de lésion apparemment unilatérale de la moelle, desquels
ite et delà myocardite chro- nique. Le cerveau ne présente pas de lésions macroscopiques manifestes Les méninges ne sont
e diminution du nombre des fibres nerveuses. L'auteur pense que ces lésions répondent à l'encéphalite parenchymateuse. RE
de chorée avec examen microscopique des hémisphères cérébraux, les lésions constatées sont absolument com- parables. 1\Ion
de la partie postérieure du tronc; dégénérescence des muscles sans lésion des noyaux, des racines, des nerfs périphériques.
XX, 1.) Observation très intéressante entraînant le diagnostic de : lésions du lobule pariétal inférieur ou de la substance
u de la substance blanche correspon- dante. L'autopsie révèle : une lésion (ramollissement) de cette région qui atteint su
conjuguée des yeux peut être tenue pour le symp- tôme direct d'une lésion en foyer, il y a lésion du lobule pariétal infé-
être tenue pour le symp- tôme direct d'une lésion en foyer, il y a lésion du lobule pariétal infé- rieur (Classification
ec lui, pourvu qu'on l'observe peu de temps après l'accident. Toute lésion bilaté- rale'du lobule pariétal inférieur se tr
peut appeler un trouble de la vision psychique. Il résulte ou de la lésion du centre des images commémératives des impressio
ion volontaire, réaction myotonique de la contraction élec- trique, lésions d'hypertrophie fibrillaire des muscles examinés
r ce nerf lui-même et sur ses ganglions. 11 décrit tout d'abord les lésions his- tologiques générales qu'il a rencontrées.
dé- taillée et très claire, accompagnée de schémas des plus nets ( lésions de la moelle, du bulbe, de la protubérance). P. K
. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES T. EFFET DES lésions DU CORPS strié ET DES couches OPTIQUES SUR la t
a température du corps (The effect upon the Godily tempéra- ture of lésions of the corpus striatum and optic thalamus); par
iences entreprises sur des lapins, et desquelles il résulte que les lésions du corps strié entraînent au bout de cinq à sep
ature de 5° (Fahrenheit) qui dure jusqu'à soixante-deux heures. Les lésions de la couche optique ont moins d'influence à ce
placé fonctionnellement les éléments détruits. L'an- cienneté de la lésion est démontrée par son aspect. P. KERAVAL. III
l a été question dans le tome XIX, 2, ayant succombé, on trouva les lésions de la moelle mises en relief par Struempell, Kr
ieures. Clini- quement, le processus spinal a ouvert la marche; les lésions de l'ap- pareil périphérique moteur se sont plu
ers. On trouve de mul tiples foyers scléreux cérébro-spinaux et les lésions de la syringo- myélie. L'auteur pense que le tr
ée une myélite transverse avec ses dégénérescences secondaires; ces lésions se sont compliquées dans les derniers mois de l
ire - chez un enfant diphtéritique de 22 mois. P. K. XVIII. D'une lésion TRAUMATIQUE limitée au CÔNE terminal DE la moelle
ère; par H. Oppenheim. (Archiv f. Psychiat., XX, 1.) Observation de lésions de la colonne vertébrale à la suite d'une chute
et hémor- rhoïdal ; impuissance. Autopsie avec examen microscopique Lésion des centres spinaux et surtout des troisième et
t le corps restiforme, peut-être aussi avec le cervelet. P. K. XXI. LÉSIONS cérébrales intéressantes CHEZ UNE IDIOTE ÉPILEPTI
en tout comparable à celui de la maladie de Thomsen. P. K. XXIV. LÉSIONS MULTIPLES DES NERFS CRANIENS A LA SUITE D'UNE FRA
at., XX, 2.) D'après cette observation, qui témoigne en effet d'une lésion des deuxième, troisième, quatrième, cinquième,
ine à des doses minimes réta- blissent l'équilibre. P. K. XXVIII. LÉSIONS ANATOMIQUES CHEZ UN MALADE PRÉSENTANT L'ABSENCE
e était frappante dans le cas particulier. Le microscope révéla des lésions diffuses de la névroglie, des espaces lymphatiq
est développée dans les extrémités paralysées consécutivement à une lésion céré- brale. I. Dans le premier cas, il s'agi
che, une sclérose descendante du faisceau pyramidal gauche. Pas de lésions de la substance grise de la moelle épinière; les
intra-médullaires sont absolument normales des deux côtés. ' Les lésions constatées dans le bulbe consistent en une scléro
nternes. Cette altération ne porte nullement les carac- tères d'une lésion généralisée, car parmi les territoires sclé- ro
diamètre transversal du corps resti- forme s'observe du côté de la lésion cérébrale. Les nerfs périphé- riques ne présent
que. En résumé, à côté de l'atrophie musculaire consécutive à une lésion cérébrale, cette observation présente une coïncid
e une coïncidence cu- rieuse de l'aphasie avec hémiplégie gauche et lésion de l'hémis- sphère droit. Naturellement, on se
trophies d'origine cérébrale, sont variables : tantôt on trouve une lésion très profonde des trajets moteurs une hémiplégie
ies ? Il est évident que leur curabilité dépend exclusivement de la lésion cérébrale fonda- mentale. Il parait donc étab
que l'atrophie musculaire peut se développer consécutivement à des lésions cérébrales sans aucune modification du côté des
rose descendante du faisceau py- hamidal ou exister sans la moindre lésion médullaire. Jusqu'à pré- sent, la localisation
encore considérer l'amyotrophie comme un symptôme immé- diat d'une lésion corticale en foyer, de même que la destruction
porter une certaine quantité de sang au muscle correspondant. La lésion anatomique de ces centres créerait donc simultané
teur. En trouvant, par l'anatomie patho- logique, la sclérose de la lésion de la substance blanche, on peut direqu'il a ét
fort sérieux, car le syndrôme en question dénote nécessairement une lésion organique de siège déterminé et toutes les vrai
de notre examen ulté- rieur qu'il n'existe chez cette malade aucune lésion organique, que nous n'avons là qu'une apparence
blie un cas, à localisation unique et très nette, montrant qu'une lésion de la partie inférieure et interne du pédoncule
alheu- reusement, son cas était complexe. Il y avait en effet des lésions un peu dans toutes les parties de l'encé- phale
vait amené le syndrome clinique en question. 11 va sans dire qu'une lésion située à la base du crâne, une tumeur par exemp
par un autre mécanisme, mais il faut que vous sachiez que certaines lésions du pédon- cule, localisées dans un point donné,
e laquelle on ne trouva pour toute alté- ration encéphalique qu'une lésion ancienne du pédon- cule cérébral. Dans ce cas t
terne caractéristique. Inutile de vous dire que le diagnostic d'une lésion pédouculaire est jusqu'à présent impossible dan
utes ces considérations vousretieu- j drez ceci qu'il y a certaines lésions du pédoncule céré- f bral (partie inférieure et
paralysie alterne de l'oculo moteur commun d'un ; côté (côté de la lésion ) et des membres, du facial et de l'hypoglosse d
membres, du facial et de l'hypoglosse de l'autre (côté opposé à la lésion ). Pour connaître, Messieurs, les raisons de ce
oisième paire. Vous concevez déjà par ce simple rapport qu'une même lésion puisse atteindre simultanément le moteur oculai
es, du facial inférieur et de l'hypoglosse, du côté opposé I à la lésion , et produira ainsi l'un des deux éléments fonda
es deux éléments fondamentaux du syndrome de Weber. Si cette même lésion détruit ou comprime le nerf oculo-moteur, le se
natomique que nous venons de faire, il est aisé de concevoir que la lésion de l'oculo- moteur commun puisse être intra ou
liquent la solidarité pathologique de ces divers organes dans les lésions intraprolubérantielles de quelque étendue. Supp
tte région de la protubérance, vous comprendrez aisément comment la lésion peut atteindre simultané- ment le nerf de la se
rd-Gubler. Il est tout aussi aisé de concevoir en même temps une. lésion de l'abducens et, par suite, une paralysie de la
ulbo-protubé- rantielle, c'est toujours le siège et l'étendue de la lésion qui déterminent la nature et le nombre des mani
ie du syndrome de Weber. Mais ne vous hâtez pas de loca- liser la lésion qui a donné naissance à ce syndrome dans la rég
e vous ai déjà déclaré que nous n'étions point ici en présence de lésions organiques et que nous nous trouvions au con- t
inférieur et l'hypoglosse sont habituellement intéressés et cette lésion se traduit, comme vous le savez, par la paralysie
e ce genre, méfiez-vous, elle ne relève très probablement pas d'une lésion organique. l Cette réserve me semble suffisamme
releveur de la paupière et que, quelque rare que soit une pareille lésion , elle n'est pas impossible organiquement. Mais
surément que l'hystérie ne fût ici qu'un revêtement surajouté à une lésion orga- nique ; on peut être hystérique et avoir
r les découvrir les stigmates officiels de l'hystérie, l'idée d'une lésion organique pouvait venir à l'esprit. J'adressai
des diverses manifestations qu'elle peut présenter pour simuler les lésions organiques ; vous voyez quelle serait la situat
a foi d'un diagnostic anatomique, eût ici déclaré l'existence d'une lésion incurable, tandis qu'un autre mieux avisé eût p
Champ visuel rétréci à 55°; pas de dyschromatopsie. V = ? Pas de lésions du fond de l'oeil. Contracture de l'accommodation
cence de cette partie du pédoncule évidemment en rapport avec des lésions des lobes occipital et temporal, et Flechsig dit
rale. - Chez les trois animaux on créa d'une façon satisfaisante la lésion , mais aucun d'eux ne se remit de l'opération as
de la sensibilité ou un trouble plus grand que celui Imputable à la lésion cérébrale. - Mais telles que ces expériences so
tile semble être complètement intacte quelle que soit l'étendue des lésions de chaque portion de l'écorce des hémis- phères
phères, mais j'ai remarqué dans plusieurs cas, dans lesquels les lésions s'étendaient profondément dans le lobe temporal q
rieure. - On peut cependant tenir compte et éliminer les ellets des lésions de ces régions et tout symptôme en plus de ceux
ceux que l'on peut leur attribuer peut être considéré comme dû à la lésion de la région de l'hippocampe. La méthode que j'ai
éma devant vous est la repro- duction de l'aspect superficiel de la lésion de l'un de ces cas et de la trace du sillon du
t, pour éviter les complications par une extension secondaire de la lésion , la chirur- gie antiseptique n'étant pas encore
gie antiseptique n'étant pas encore en vogue à cette époque. Les lésions dans ce cas 2 étaient sirictement limitées aux ré
est toujours irrésolue. Mais on a établi qu'on pouvait produire une lésion assez étendue dans une ou dans les deux régions
emporale inférieure et la région de l'hippocampe furent grattés; la lésion ne laissait seulement que la marge interne de l
important pour ce qui regarde la production de l'hémipiopie par une lésion de la région temporo-occipitale discutée plus hau
it ses membres. La mort arriva le quatrième jour. On trouva que les lésions étaient limitées soigneusement au lobe temporal
e profondément atteintes ou abolis, momentanément au moins, par des lésions destructives de la région de l'hippocampe et le
SIOLOGIE PATHOLOGIQUE. altérée moins facilement du côté opposé à la lésion que do l'autre côté. Un pincement, une piqûre p
iques de Rroca sur l'unité du lobe falciforme et démontrent que les lésions du gyrus formicatus produisent des symptômes se
ls con- cluent de leurs expériences : a Nous avons trouvé que toute lésion extensive du gyrus fornicatus est suivie d'une
été aussi longtemps con- servés. Dans d'autres cas dans lesquels la lésion apparemment était légère, la diminution de la s
présente l'état de l'hémisphère droit d'un ani- mal chez lequel les lésions indiquées ont produit d'abord une com- plète an
formes de la sensibilité commune et tactile du côté opposé par les lésions destructives du lobe falciforme, mais cela tient
es pour lever les doutes : et ils sont appuyés sur ce fait, que les lésions de la sec- tion de l'hippocampe du lobe falcifo
s conductrices, pour assurer 1 Dégénérescence descendante après les lésions de la circonvolution · marginale et du gyrus fo
riences sur la région de l'hippocampe, je ne pouvais distinguer des lésions de l'hippocampe de celles du gyrus de l'hippo-
hippocampe entièrement détaché du reste (fig. 35). En produisant la lésion , le cordon optique fut désorganisé et également
droit qui disparut au bout de quinze jours. On produisit la seconde lésion un mois après la première. L'ablation ne fut pas
ussi bien que le reste de la circonvolution de l'hippocampe dans la lésion , nous pouvons considérer ce fait comme une preu
nt de l'odorat succède à l'extirpation du lobe temporal; mais si la lésion s'étend sur la circonvolution voisine au-dessus
ain ». Si l'on se reporte à l'expérience originale ',on voit que la lésion était dans l'hémisphère gauche; l'odorat était pe
phaxie et une hémiplégie droite, on peut objecter qu'il y avait une lésion directe du tractus et du bulbe olfactif. Mais Chu
porté un cas dans lequel l'odorat était atteint du même côté que la lésion , une tumeur du gyrus uncinatus qui ne parait pa
uncinatus qui ne parait pas avoir produit directement au moins, une lésion du bulbe olfactif. On a publié plusieurs cas
lié plusieurs cas de sensations de goût ou d'odeurs dans le cas des lésions du gyrus uncinatus. M. Lane Hamilton en a puhli
ésions du gyrus uncinatus. M. Lane Hamilton en a puhlié un cas sans lésion des nerfs olfactifs; Vorcester en a publié un s
lière avec une tumeur du lobe temporo-sphénoidal gauche; mais les lésions étaient trop étendues et trop indéfinies pour per
dantes à l'exception de leur extrémité supérieure et inférieure. La lésion envahissait aussi la base de la circonvolution
r un comité nommé par la section de physiologie, et la position des lésions dans la zone motrice, et leur limitation furent
le jusqu'à la région lombaire. Dans le cas représenté fig. 37, la lésion faite à l'extrémité supé- rieure de la scissure
nce descendante dans les deux colonnes latérales, comme résultat de lésions corticales unilatérales. D'après les récentes r
nilatérales. D'après les récentes recherches de Sherrington, si les lésions corticales affectent seulement les centres des
as au moins à un certain degré, mais elle est très prononcée si les lésions atteignent la cir- convolution marginale. La dé
r- vations ont été confirmées par Pitres5 et FriedlanderG que les lésions qui produisent l'hémiplégie du côté opposé produi
on rencontre plus souvent la dégénérescence bilatérale après une lésion corticale unilatérale. Cette représentation bilat
ons du même hémis- phère. Aujourd'hui, il est hors de doute que les lésions corticales de la zone motrice de l'homme telles
respondantes. Un tel résultat se pro- duit, non seulement après des lésions destructives d'une maladie, mais aussi après l'
ès l'excision chirurgicale des centres corticaux. Non seulement des lésions de toute la région rolandique amènent une hémip
ions de toute la région rolandique amènent une hémiplégie, mais des lésions limitées produisent des paralysies limitées ou
par le Dr Ewens (en excluant en général les tu- meurs et les autres lésions qui peuvent produire des affections in- directe
tes d'autres parties), j'ai 110 cas d'hémiplégie du côté opposé par lésion générale de la zone rolaudrique; 90 cas de monopl
ar lésion générale de la zone rolaudrique; 90 cas de monoplégie par lésions limitées de cette zone ; dont 11 cas de monoplégi
ions limitées de cette zone ; dont 11 cas de monoplégie crurale par lésion du lobule paracentral, 15 de paralysie du bras
n du lobule paracentral, 15 de paralysie du bras et de la jambe par lésion du lobule paracentral et du tiers supé- rieur d
RALES. 40S chiale, comprenant trois cas d'excision chirurgicale par lésion de la partie moyenne des circonvolutions ascend
utions ascendantes, 19 cas de para- lysie du bras et de la face par lésion de la moitié inférieure de la zone rolandique e
inférieure de la zone rolandique et 10 cas de paralysie faciale par lésion du tiers inférieur de cette lésion. En plus, j'
10 cas de paralysie faciale par lésion du tiers inférieur de cette lésion . En plus, j'ai des notes sur 20 cas d'a- trophi
l'homme, il n'y a pas de preuve de compensa- tion fonctionnelle des lésions paralytiques, excepté celle que l'on peut mettr
étaient si peu atteints, quoique pas entièrement nor- maux, que la lésion pouvait bien échapper à une observation super-
Nous avons vu, disent-ils, suffisamment pour nous convaincre qu'une lésion de l'écorce qui produit une paralysie du mouvemen
ou perte observable de la sensibilité tactile en général après les lésions de la zone motrice, et je vais maintenant exami
'altération sensitive, ou bien ces troubles sensitifs sont dus à la lésion d'autres parties que la zone motrice de l'écorc
lus particulièrement aux ex- périences de Goltz dans lesquelles les lésions de l'hémisphère ou des hémisphères sont intermi
ues. Il est aussi incontes- table que chez l'homme la paralysie par lésion de la zone motrice est dans la majorité des cas
rale.J'ai moi-même observé plusieurs cas et réuni beaucoup d'autres lésions de la zone motrice certicale avec paralysie, dans
maux. Mais il est vrai aussi que dans un bon nombre d'autres cas de lésions de la zone motrice, on a observé un certain deg
conclusions sont basées me paraissent très peu satisfaitantes. Les lésions ont été ou des taches microscopiques incapables
nde, 1882. · LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 409 riable entre une lésion particulière et un symptôme particulier. Dans l
ticulier. Dans le cas de la zone motrice, il a été démontré que des lésions destructives produisent invariablement -une par
trice, locale ou généralisée suivant la position et l'étendue de la lésion . Un seul cas de paralysie par lésion de la zone
la position et l'étendue de la lésion. Un seul cas de paralysie par lésion de la zone motrice corticale sans trouble de la
s lesquels les deux symptômes semblent avoir été causés par la même lésion . De toutes ces considérations, il ré- sulte qu'
istincte- ment à toutes les sources en acceptant les tumeurs et les lésions capables de produire des troubles à distance n'
ssus cités ont tirées de cette espèce de preuve. Car des 110 cas de lésion géné- rale de la zone de Rolando produisant une
brale, produisant ainsi une hémi- plégie générale. Dans deux cas la lésion s'étendait profondément dans la substance blanc
s'étendait profondément dans la substance blanche. Dans un cas, la lésion corticale était compliquée par la présence d'un
ibilité était émoussée des deux côtés du corps. Dans un autre °, la lésion était un large kyste hé- morrhagique dans les d
ningite tuberculeuse diffuse. Dans 10 cas de monoplégie crurale par lésion du lobule paracentral, la sensi- bilité cutanée
de l'anesthésie. Des 15 cas de paralysie du bras et de la jambe par lésion du lobule paracentral et du tiers supérieur des
eul l'anesthésie fut marquée et permanente. Dans tous les quatre la lésion était à proximité ou comprenait le gyrus fornic
upérieur de la circonvolution frontale ascendante, l'excision de la lésion fut sui- vie d'une perte de la sensibilité tact
nfin pendant t que persistait la paralysie motrice. Dans ce cas, la lésion atteignait le gyrus fornicatus. Des 35 cas de
sibilité était abolie surtoute la surface du corps '. Des 19 cas de lésions de la moitié inférieure de la zone de Rolando p
(non suivis d'autopsie) dans lesquels les symptômes indiquaient une lésion corticale. Dans un cas récent de paralysie abso
x animaux. 412 -. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Dans 28 de ces cas la lésion n'était pas confinée àla zone de Rolando, mais
tal. Les 35 autres cas ont été déjà analysés et j'ai montré que les lésions comprenaient soit les centres sensitifs dans le
ensitifs dans la capsule interne. Même dans les cas où de pareilles lésions ne peuvent être démontrées, j'admets volontiers
tat que l'on peut reproduire expérimentalement chez les singes, par lésions du lobe falciforme nous avons une preuve de plu
s qui a été considerée par plu- sieurs comme la caractéristique des lésions de la zone corticale motrice doit être, à mon a
e la position des membres a été quelquefois observée dans le cas de lésions de cette région, quelquefois compliquée d'hémio
de lésions de cette région, quelquefois compliquée d'hémiopie où la lésion envahit aussi la ré- gion occipito-angulaire co
s la cause réelle de ces symptômes est, je crois, l'extension de la lésion aux cordons sensitifs de la capsule interne qui
capsule interne qui est située au-dessous de cette région et non la lésion de l'écorce elle-même ; car les lésions du lobe
us de cette région et non la lésion de l'écorce elle-même ; car les lésions du lobe pariétal inférieur ne produisent pas la
ltération de la sensibilité générale du côté opposé du corps. Les lésions corticales de la zone motrice causant une paralys
récision. Un même état peut se rencontrer dans l'hémianesthésie par lésion organique des conduits sensitifs dans la capsul
par l'intermédiaire de la substance grise de la plolubérance. - Les lésions destructives des centres frontaux, des régions
es dégénérescences ont été décrites par Brissaud2 comme résultat de lésions du lobe frontal chez l'homme. Il n'a pas pu sui
urs une déviation tem- poraire de la tête et des yeux du côte de la lésion . Cependant ce n'est que passager, même quand la
u côte de la lésion. Cependant ce n'est que passager, même quand la lésion a été presque, sinon tout à fait complète. Dans
nte d'abord une grande torsion de la tête et des yeux du côté de la lésion , avec incapacité de les tourner du côté opposé,
s, l'extirpation de la région préfronlale en avant de la précédente lésion , produisit le même état qu'auparavant, c'est-à-
frontaux chez l'homme sont d'accord avec le caractère négatif des lésions expérimentales, unilatérale ou bilatérale pour ce
bles à ceux rencontrés chez les chiens et les singes. Des bî cas de lésions de la région frontale réunis de différentes sou
nfé- rieure de Berlin, on constate, dans un cinquième de cas, une lésion certaine des cordons postérieurs; dans un tiers d
lésion certaine des cordons postérieurs; dans un tiers des cas, une lésion probable des cordons latéraux. Sur 104 de ces mal
00 ont éprouvé des symptômes tabétiques; 25 p. 100 présentaient des lésions des cordons latéraux; 9 p. 100 étaient indemnes
ient des lésions des cordons latéraux; 9 p. 100 étaient indemnes de lésions médullaires; 62 p. 100 avaient eu sûrement - la
nt eu sûrement - la syphilis : Ce nombre se décompose lui-même en : lésions conco- mitantes des cordons postérieurs, 70 p.
me en : lésions conco- mitantes des cordons postérieurs, 70 p. 100; lésions concomi- tantes des cordons latéraux, 20 p. 100
e début de la pa- ralysie générale. 70 p. 100 des paralytiques avec lésion des cor- dons postérieurs avaient la syphilis s
urs avaient la syphilis sûrement; 50 p. 100 des para- lytiques avec lésions des cordons latéraux ou à moelle saine étaient
t donc désormais étudier à part la paralysie genérale compliquée de lésions des cordons la- téraux et la paralysie générale
sions des cordons la- téraux et la paralysie générale compliquée de lésions des cordons postérieurs. Quoi qu'il en soit,
es les phénomènes morbides. Il est des cas dans lesquels il y avait lésion organique préalable (sclérose du système artéri
es nosographiques. La mélancolie hypochondriaque se traduit par des lésions de la sensibilité somatique (musculaire et visc
e). La mélancolie religieuse, intellectuelle, ou simple, procède de lésions de la sen- sibilité intellectuelle (auloculpabi
à l'une des deux formes précédentes, com- prend les deux espèces de lésions précédentes ; la mélancolie stu- pide n'est qu'
ie cérébrale. Notlinaâel faisait dépendre l'épilepsie procursive de lésions cérébrales. Bourneville et Bricon ont confirmé ce
Le D' Cramer combat cette opinion. Pour lui, il ne s'agit pas de lésions cérébrales ou cérébelleuses, mais de phénomènes p
est encore impossible de préciser la localisation anatomique de la lésion cérébrale provoquant infail- liblement l'atroph
t l'atrophie, mais dans la majorité de cas il faut incrimi- ner une lésion de la région motrice de l'écorce cérébrale. Au po
uës et chroniques; les pre- mières sont curables à condition que la lésion primitive soit cura- ble. Au point de we auatom
e épinière et les nerfs péliphéliques, mais dans ces der- niers les lésions sont les plus marquées. Le caractère de ces lé-
une névrite parenchymateuse multiple. Dans la moelle épinière, les lésions sont moins constantes et moins réguhèles- elles
de la maladie et son danger dépen- dent principalement du degré de lésion des organes profonds, principalement du coeur.
le professeur Sikorski a demandé si dans les cas où on a trouvé des lésions dans le sys- tème nerveux central et dans les n
ité. M. le professeur Sikorski cite des exemples d'a- phasie où. la lésion cérébrale étant absolument la même, les phé- no
ant : une impression visuelle ne peut être produite s'il existe une lésion du lobe occipital, et inversement une excitatio
sidérées comme des troubles des dépendances de la peau; de même les lésions des appareils ligamenteux compris dans le chapi
hystérique croisée périodique, par Cour- mont, 265. Hémisphère ( lésions des lobes pa- riétal et frontal d'un - sans t
vasculaire dans le), par Igloos, 13 1 - LOBULE pariétal inférieur ( lésions en foyer du), par Wernicke, 258. 478 TABLE DE
283. Oreille de Morel, par Binder, 281. Paralysie générale avec lésions de la capsule interne, par Zacher. 113; - 2G
30; - syphili- tique, par Thomsen, 451. Paralysie alcoolique avec lésion centrale, par Schaiffer, z par fiojwvmlco0',
19 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
Ce qui produit chez l'adulte la dystrophie pachydermique, c'est une lésion de la totalité de la glande thyroïde, et il y a t
lité de la glande thyroïde, et il y a tout lieu de croire que cette lésion totale frappe à peu près à un égal degré tous les
t n'est jamais absolue. En effet, de deux choses l'une : ou bien la lésion thy- roïdienne n'est jamais que partielle ; ou
fin des renseignements intéressants. Nous n'insisterons pas sur les lésions graves qui causèrent la mort de la malade : end
fait défaut, l'examen histologique prouve qu'il existe toujours une lésion . Mais que conclure de tout cela sinon que les d
ogénie univoque. En d'autres termes, il y aurait à incri- miner des lésions glandulaires multiples. Achaff, Babinski, Cardi
nski, Cardile et Fiorentini, Ponfick ont attiré l'attention sur les lésions de l'hypophyse dans le myxoedème. Babinski a publ
aux cas d'ordre chirurgical ou opératoire ; donc, nul doute que la lésion de la glande thyroïde et rien que de cette glan
se. La seconde objection repose sur ce fait que la multiplicité des lésions des glandes à sécrétion interne ne saurait jama
par 16 . BRISSAUD Santé de Sanctis), la simultanéité de plusieurs lésions distinctes est con- forme à cette loi formulée
est le bistournage qui réduit à néant les organes témoins. C'est la lésion des centres vaso- moteurs spinaux qui détermine
c- tions électriques. La peau est sèche, un peu rugueuse, mais sans lésion trophique vraie. Les articulations ne présenten
culté que l'on éprouve à faire un examen complet, il semble que les lésions articulaires soient les mêmes qu'en 1897. Le 20
la décomposition n'est pas très avancée, montre l'absence de toute lésion cutanée : eschares, ecchymoses, etc., etc. Le tis
t dilatés ; les valvules qui les limitent ne présentent, pour toute lésion , qu'un peu d'épaissis- sement. Leur anneau d'in
ogé le tissu cellulo-graisseux. Les poumons ne présentent que des lésions congestives généralisées. Il n'y a trace ni de
x; les articulations costo-verté- brales paraissent normales. Les lésions des articulations coxo-fémorales sont un peu diff
es articulaires son t normales. L'ankylose tient donc ici non à des lésions de synostose, mais à l'existence du tissu spécial
partie supérieure de la glande indique que nous avons affaire à des lésions artificielles dues à l'imprégnation biliaire pro-
oins volumineux que normale- ment. Le corps thyroïde présente des lésions multiples. Tout d'abord, les alvéoles sont moin
centro-ôvalaires. Les coupes du cervelet ne montrent pas la moindre lésion . Au niveau de la protubérance et du bulbe, intégr
s au niveau de l'encéphale que de la moelle, il n'existe la moindre lésion méningée. Reste, à examiner les os. Nous avons
n'y a pas de sclérose périvasculaire. Sur le second morceau, les lésions paraissent plus avancées. Le fibro-carti- lage
'asystolie aiguë a déterminé la mort. A l'autopsie, trois ordres de lésions principales : 1° altérations di- verses, très m
ne : aplasie ovulaire, aplasie complète des follicules de Malpighi, lésions multiples et intenses du corps thyroïde, lésion
cules de Malpighi, lésions multiples et intenses du corps thyroïde, lésions légères du pancréas, des glandes surrénales, de
légères du pancréas, des glandes surrénales, de la pituitaire ; 2° lésions thoraciques consistant, d'une part, en périvis-
ie : elle débute par les muscles de la nuque, enfin et surtout, les lésions qui la caractérisent sont primitivement mus- cu
es premiers phénomènes mor- bides n'ont apparu qu'à la puberté, les lésions sont fibreuses et osseuses, (1) WEIL et Ntssrsr
derniers : cuisse et jambe, forment un angle ouvert en arrière. Les lésions anatomiques de la spondylose rhumatismale ankyl
tomiquement les deux cas diffèrent essentiellement. Dans notre cas, lésions mixtes d'ankylose, à la fois fibreuses et osseuse
a fois fibreuses et osseuses. Dans la synarlhrophyse, au contraire, lésions purement osseuses ; les choses se passent de ce
nt aux articulations de la racine des membres, elles présentent des lésions analogues, surtout marquées au niveau des hanches
ment, nous pouvons, de même, relever quelques différences entre les lésions que nous avons observées, et celles qu'ont décrit
escription définitive, et,d'ail- leurs, ne peut-on supposer que les lésions de la spondylose rhizomélique varient selon les
rhizomélique de M. P. Marie, celle-là correspondant peut-être à des lésions moins avan- cées que celle-ci. Et MM. Teissier
nes tares d'ordre névropathique ; anatomiquement, nous trouvons des lésions de deux sortes l : 4° périviscérites fibreuses,
même, on n'a pas souvent relevé, dans les autopsies, l'existence de lésions vasculaires analogues à celles que nous avons obs
1) Il n'existe d'ailleurs du côté des articulations atteintes, aucune lésion inflamma- toire. (2) Hypothèse déjà émise par
ATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL 45 anatomique duquel on ait constaté des lésions considérables des glandes à sécrétion interne.
oraciques, la colonne vertébrale et les articulations des hanches ; lésions des glandes vasculaires sanguines. Si nous rapp
andes vasculaires sanguines. Si nous rapprochons ces deux ordres de lésions de la notion étiologique que nous rappellions t
malade a subies au cours de ses premières années ont déterminé des lésions pro- fondes des glandes vasculaires sanguines.
miné des lésions pro- fondes des glandes vasculaires sanguines. Ces lésions ont, à leur tour, provoqué des troubles de la n
ctions fibreuses périviscérales et périarticulaires, l'existence de lésions considérables, multiples et indiscutables des g
dans l'avenir rechercher surtout la nature et la loca- lisation des lésions et s'attacher à en étudier la physiologie patholo
ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 49 pelle les lésions bien connues de l'axe gris de la moelle dans la p
négatif de cet examen de la moelle épinière fait contraste avec les lésions considérables trouvées dans les troncs nerveux pé
s un plus fort grossissement ces coupes transversales on trouve des lésions complexes (1) : a) Dans le nerf brachial cutané
nt avec des grossissements plus forts (fig. 3) les mêmes variantes de lésions , mais ici déjà les fibres nerveuses composées d
ut le reste de la coupe transversale des nerfs mixtes on trouve des lésions beaucoup plus avancées (V. PI. V, B et fig. 3). L
la préparation on passe d'une zone peu altérée à une autre dont les lésions sont beaucoup plus considérables (fig. 3 et 4).
'intégrité de la moelle épinière constatée ultérieurement. Mais les lésions de névrite interstitielle trouvées sur les coup
plasique pour les éléments inter- titiels intrafasciculaires. Ces lésions n'existent que dans les racines antérieures; les
semblance, les fibres motrices qui ont été le plus atteintes. Ces lésions sont plus marquées dans les racines antérieures g
le pro- cédé de van Gieson). - Comme [dans les troncs nerveux, les lésions sont iné- gales et inégalement réparties. De de
s autour d'un grand nombre de fibres des nerfs mixtes. Ces diverses lésions sont plus marquées dans les nerfs mixtes que da
ro- gressives myopathiques sont en elles-mêmes indolores et que les lésions de l'axe gris de la moelle le sont également (p
ouloureux qui seront plus ou moins intenses suivant la quantité des lésions causales, mais qui pourront se reconnaître par
a là un fait important qui doit permettre de faire le diagnostic de lésions périphériques dans certaines formes cli- niques
athologique variable sui- vant les cas. On pourra ainsi lorsque des lésions périphériques seront supposées en faire un exam
ux et des filets sensitifs'. cutanés et de faire la comparaison des lésions à différentes hauteurs sur- les nerfs sensitifs
cene des fibres motrices, accompagnée ou aggravée peut-être par les lésions hyperplasiques du tissu conjonctif intrafascicu-
scicu- laire ; il est bien évident aussi que ces deux catégories de lésions sont plus intenses au niveau des troncs nerveux
s, d'autre part au niveau des racines antérieures de la moelle. Ces lésions périphériques systématisées des fibres motrices
cornes antérieures de la moelle. En passant à l'examen détaillé des lésions des nerfs mixtes on voit qu'elles se présentent
est des plus démonstrative. La même analogie est évidente avec les lésions décrites par Gombault et Mallet dans leur obser
sse (V. la fig. 3 de la planche qui accompagne leur mémoire). Ces lésions semblent avoir existé aussi dans les cas déjà sou
catifs. Virchow (2) dont l'attention s'est portée davantage sur les lésions mus- culaires fait une brève description des ne
ique contient beaucoup de noyaux ainsi que la gaine de Schwann. Ces lésions se retrouvent dans les troncs ner- veux et vont
ire progressive des membres supérieurs et inférieurs) il trouve des lésions des cordons postérieurs,des racines rachidienne
PÉRIEURS 59 res et des nerfs périphériques, et dans les muscles des lésions fibreuses aux membres supérieurs, lipomateuses
iedreich, on le voit, expliquait ces atrophies progressives par des lésions multiples et variables et n'hésitait pas à admett
mais un point rose qui est soit un noyau, soit un cylindre-axe. Les lésions des nerfs vont en s'ac- centuant vers la périph
nc parler ici de névrite hypertrophique. Les muscles présentent des lésions souvent juxtaposées d'hypertrophie et d'atrophi
ui avaient servi à la description clinique de Charcot et Marie. Les lésions sont complexes : dans la moelle diminution numéri
as et le sien par une évolution plus ou moins longue permettant aux lésions conjonctives hypertrophiques de s'étendre et de
qu'il le prouvait dans une nouvelle observation clinique (2). Des lésions des nerfs périphériques (hyperplasie de la gaine
) à l'autopsie d'un autre des sujets de Charcot et Marie ; mais les lésions médullaires concomitantes (sclérose des cordons p
urtout en Allemagne comme des preuves de la nature périphérique des lésions causales de l'atrophie musculaire (atrophie (1)
ures intactes et des nerfs périphériques dégénérés. Il considère la lésion des nerfs comme primitive. Nous n'avons cité ce
comme primitive. Nous n'avons cité ces divers travaux que pour les lésions histologiques qu'ils décrivent et qui peuvent ê
présent permettent par leur rapprochement une étude d'ensemble. Les lésions essentielles se présentent sous la forme de dégén
e régressive simple ; on ne les trouve pas en effet associées à des lésions inflammatoires locales ou à des lésions vasculair
as en effet associées à des lésions inflammatoires locales ou à des lésions vasculaires capables d'agir par ischémie. Si
ou à des lésions vasculaires capables d'agir par ischémie. Si ces lésions atrophiques étaient seules en cause, leur pathogé
onne Edinger. Mais, fait important, on voit s'y ajouter parfois des lésions hypertrophiques. Ces dernières, dans les faits
sclérose névroglique en tourbil- lons doit être du même ordre. Ces lésions dites hypertrophiques ne peuvent être un simple
de remplacement, elles dépassent le plus souvent en importance les lésions atrophiques des éléments nerveux ATROPHIE MUSCU
pas nécessairement porteurs ; le fait est banal en tératologie. Ces lésions d'atrophie régressive des éléments nerveux ou mus
les mem- bres inférieurs puis les membres supérieurs il y avait des lésions des cor- dons postérieurs de la moelle ; dans l
bservation II (atrophie des membres supé- rieurs et inférieurs) les lésions portent à la fois sur les cordons posté- rieurs
su inter- fasciculaire) ; les filets sensitifs étaient intacts, les lésions des fibres mus- culaires s'accompagnaient de li
s authentique d'amyotrophie type 64 LONG Charcot-Marie montre des lésions multiples : disparition partielle des cel- lule
arDejerine etLetulle et comme dans diverses observa- tions où cette lésion est décrite comme un phénomène accessoire ; dans
un phénomène accessoire ; dans les nerfs périphériques, à côté des lésions atrophiques des fibres nerveuses il y a une hyp
lle par Dejerine avec Sottas et avec André-Thomas on trouve ici des lésions à la fois très étendues et très intenses qui le
le vivant. La symptomatologie de cette forme répond à l'étendue des lésions ; en même temps que l'atrophie musculaire prédo
ation de gaines fibreuses épaisses autour des éléments nerveux. Ces lésions sont au maximum dans les troncs nerveux ; elles s
ont été atteintes plus que les fibres sensitives. Cliniquement, ces lésions se sont traduites par une atrophie musculaire pro
minance du côté gauche et par de rares secousses fibrillaires ; les lésions des filets sensitifs ont donné nais- sance à de
ce et qui semble avoir son substratum anatomique principal dans les lésions céré- belleuses par nous observées. Sans vouloi
les plus fortement pris il existe un parallélisme entre le degré de lésion des trois couches citées de la corticalité et s
dernier ordre de lobe il n'est pas rare de constater en plus que la lésion épargne l'une ou l'autre des 3 couches citées, ou
ntérieur et postérieur, au vermis supé- rieur, au flocculus, où les lésions atrophiques sont plus fortes et atteignent dans
comme dans la couche moléculaire les vaisseaux ne présentent pas de lésions appréciables ; il n'y a pas d'infiltration embryo
, pyra- mide, lingula) on retrouve, comme nous avons dit, les mêmes lésions atrophi- naires ci-dessus décrites, mais avec u
e Purkinje, d'autres lamelles aussi nombreuses présentent les mêmes lésions , mais avec une moins forte intensité. Dans ces
OPHIE PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 75 phie, d'autres où la lésion se limite exclusivement aux cellules de Purkinje
les, sur des coupes minces colorées au carmin, ne présentent pas de lésions d'atrophie. Le feutrage in- traciliaire est trè
épinière, nous donne les résultats suivants : Dans la moelle des lésions presque insignifiantes ; celles-ci consistent e
là de quelques rares fibres. Nous croyons pouvoir interpréter ces lésions comme des lésions banales, analogues à celles q
ares fibres. Nous croyons pouvoir interpréter ces lésions comme des lésions banales, analogues à celles qu'on rencontre ass
rencontré, dans la plus grande partie de l'écorce cérébelleuse des lésions d'atrophie intéressantes non seulement au point
ée par notre malade, mais aussi au point de vue anatomique pur. Ces lésions atrophiques parfois d'intensité variable selon le
n de cette dernière, en une perte complète ou par- tielle, avec des lésions atrophiques, des cellules de Purkinje. Dans d'aut
s atrophiques, des cellules de Purkinje. Dans d'autres lamelles les lésions sont cantonnées à la couche des grains et aux cel
e. On peut encore ajouter que la substance grise seule présente des lésions d'a- trophie ; c'est tout au plus si dans les l
er comme une atrophie secondaire d'origine péri- phérique, due à la lésion des noyaux d'origine des voies afférentes au ce
partie relève du syndrome cérébelleux, et les caractères mêmes des lésions anatomiques rendent très peu probable l'origine
x ne sont que légèrement épaissis. Ces faits, et l'absence de toute lésion inflammatoire des méninges ou de l'écorce céréb
laires inflammatoires sont trop peu intenses pour rendre compte des lésions dégénératives ». Ces atrophies seraient à disting
obes on rencontre à côté des lamelles présen- tant le même ordre de lésions , d'autres lamelles où l'atrophie se limite à la
s beaucoup de lamelles non atrophiées dans le vrai sens du mot, des lésions dégénéra- tives parenchymateuses consistant dan
corce cérébelleuse, ces mêmes faits dégé- nératifs, indépendants de lésions vasculaires ou méningées, peuvent sub- sister s
ais, ce qu'il est intéressant de constater, c'est que même avec ces lésions dégénératives, pour ainsi dire microscopiques, on
et dans leur inégale coloration ; et cela indépendamment de toutes lésions méningées ou vasculaires. Le malade avait prése
81 Ce sont bien là deux cas de syndromes cérébelleux dépendant de lésions primitives parenchymateuses de la substance grise
il n'existait pas de dégénération de la substance blanche malgré les lésions prononcées des cellules de Purkinje. Même contr
e intégrité relative de la substance blan- che contrastant avec les lésions fortes de la substance grise de l'écorce. On pe
fficultés. L'ataxie cérébelleuse est facilement expli- quée par les lésions du cervelet. De même les troubles de la synergie
observations d'atrophie du cervelet sans qu'il y ait l'existence de lésions médullaires capables de l'expliquer. Il nous suff
érébel- leux ». On peut cependant se demander si les très légères lésions des racines postérieures et des cordons postéri
upés, de la moelle sénile ont en effet pu met- tre sur le compte de lésions médullaires du même ordre que les nôtres, quelq
la sensibilité présentés par des vieillards. Mais dans ces cas les lésions atteignaient un degré d'intensité bien supérieu
ieur à celles par nous rencontrées. Ce fait ainsi que celui que des lésions médullaires et radiculaires séniles d'inten- si
sser très per- plexe sur les rapports qui peuvent exister entre ces lésions et les signes cliniques d'ordre secondaire qu'o
dicanurie très intense). Ce fait a incité Murri à inter- préter les lésions dégénératives du cervelet par lui observées comme
croyons que les cas comme le nôtre et ceux des auteurs précités, de lésions parenchymateuses primitives du cervelet suscept
bilité anormale. Il est vrai qu'on voit quelquefois se produire des lésions d'arthropathie hypertrophique ; mais ces modifica
existe avec un tabes indéniable,et nous devons nous demander si les lésions mé- dullaires habituelles du tabes n'ont pas co
n'était autre qu'un trouble trophi- que placé sous la dépendance de lésions médullaires des cordons posté- rieurs. Les co
avons vu la crois- sance exagérée plaider dans ce sens. Mais une lésion de l'hypophyse est-elle capable de produire l'obé
ger, Fuchs, Zak, Stalper, Pechkranz, Bew, Dercum, dans lesquels des lésions de l'hypophyse, surtout des tumeurs, coexistaient
sance gigan- tesque de notre malade sont des indices chez lui d'une lésion de la glande pituitaire. Il paraît rationnel d'
re dès lors que la polysarcie soit sous la dépendance de cette même lésion . D'autre part, Cyon a publié l'observation d'un
able qu'il s'agit des variations en rapport avec l'ancienneté de la lésion , sa nature, etc. Quoi qu'il en soit, l'hypothès
st toujours, uniquement, le contenu du ca- davre, les viscères, les lésions de ces viscères surtout. Ceci est encore la vér
e anatomique des deux affections, envisagée au point de vue de leur lésion primitive, a été, et est aujourd'hui encore sou
nt à ce qu'il est extrêmement difficile de saisir, dans l'étude des lésions définitives, telles que nous les relevons dans
utopsies les plus habituelles de paralysie cérébrale infantile, les lésions de début. Or, seules ces lésions initiales pour
paralysie cérébrale infantile, les lésions de début. Or, seules ces lésions initiales pourraient démontrer d'une façon pére
laire,le thalamus,ainsi qne la capsule interne ne présentent pas de lésions ma- croscopiques. L'hémisphère cérébral droit
ésions ma- croscopiques. L'hémisphère cérébral droit présente une lésion qui est exactement la même qu'à gauche, avec ce
aux, le pédoncule, la protubérance et le bulbe ne présentent pas de lésions appréciables à l'oeil nu. Moelle la dure-mère e
avec sclérose légère, une diminution du nombre des cellules et des lésions atrophiques dans quelques-unes des cellules res
me d'al- térations. La racine antérieure droite de L 4 présente des lésions atrophiques analogues, mais beaucoup moins accu
e des membres supérieurs. Or le résultat de l'autopsie montrant une lésion bilatérale et symétrique, dé- truisant une part
r poliomyélitique. Mais de- vant la bilatéralité et la symétrie des lésions cérébrales, n'est-il pas plus logique de rattac
réellement ainsi, le signe de Babinski à gauche serait, à cause de la lésion poliomyélitique,la seule expression de la spasm
avec participation légère du faisceau pyramidal croisé, soit d'une lésion cérébrale concomitante, comme on peut en voir d
ntile jusqu'alors publiées. Ces autopsies montreraient en effet des lésions poren- céphaliques dans la région motrice de la
ue tantôt c'est la moelle, tantôt le cerveau qui est le siège de la lésion . Mais il n'est pas d'accord avec Strümpell sur
e s'agit ni dans l'une ni dans l'autre de ces deux affections d'une lésion pure et primitive de la substance grise de la c
ornes antérieures de la moelle, comme le croyait Strümpell, mais de lésions en foyer, d'origine vasculaire, nul- lement sys
ompris la porencéphalie ac- quise, se prêtaient mal à l'étude de la lésion initiale, car il était déjà démontré qu'un état
, car il était déjà démontré qu'un état terminal pouvait relever de lésions initiales va- riées. Dans la plus grande partie
des cas d'hémiplégie cérébrale infan-, tile suivie d'autopsie, les lésions rencontrées, même les porencéphalies, acquises,
les porencéphalies, acquises, démontraient que presque toujours ces lésions n'étaient pas sys- tématisées à la substance gr
es régions du cerveau. Il maintient cependant l'en- céphalite comme lésion initiale possible de l'hémiplégie cérébrale infan
de l'affection qui devaient nous éclairer sur la pathogénie de ses lésions anatomiques. Les travaux d'Archambault-Damaschi
li, 1903. (20) BATTEZ, Brain, 1904, p. 376. 136 1TAL0 ROSSl Les lésions cellulaires ne sont pas primitives, mais secondai
PARALYSIE SPINALE INFANTILE 141 différent, et parle en faveur d'une lésion du neurone moteur central. Lés troubles de la m
st pas seulement étiologique et clinique, mais aussi anatomique; la lésion primitive étant la même pour toutes les deux. L
ffection, et que dans ces conditions il est très difficile dans les lésions terminales anciennes, de découvrir avec certitu
nant à l'épidémie de Medin et morts à la période aiguë, observe des lésions inflammatoires et dégénératives des noyaux des VI
le, il existait aussi de la dysphagie. L'autopsie montra, outre les lésions de la paralysie spinale infantile dans la moell
ées, à symptomatologie bien définie, en rapport avec le siège de la lésion , elles ne sont pas strictement indépendantes l'un
as, il existe donc une cause étiologique précise constituée par une lésion traumatique ouverte et infectée. Dans certains
fait incontestablement une névrite sensitive, ascendante, donc une lésion de la branche périphérique du protoneu- rone ce
e neurolo- gique nous permet de croire à un retentissement de celte lésion sur la cellule centrale du protoneurone, siégea
on de la racine postérieure. Une fois admise la possibilité d'une lésion ou d'une modification de la cellule centrale in
-ganglionnaire du protoneurone centripète, sous l'in- fluence de la lésion de son prolongement périphérique constituant la
station du type segmentaire et non du type radiculaire, mal- gré la lésion névritique initiale. ' C'est sous l'influence d
sur le tissu conjonctif dans les mailles duquel elle séjourne ; des lésions secondaires des lymphatiques s'établissent, ave
ux, et une réaction vicieuse à un influx nerveux lui-même vicié par lésion du protoneurome centripète dans nos cas de trop
he adipeuse sanglée par un derme fibreux dense. Les vaisseaux, sans lésions appréciables pouvaient, on le conçoit, assurer
gnorons bien souvent le lien qui rattache le trouble trophique à la lésion , le plus souvent centrale, du système ner- veux
donc le diagnostic qui convient dans ce cas ! 1 L'absence de toute lésion cardiaque ou rénale, les caractères mêmes de l'
ticité, la couleur normale des téguments per- mettent d'exclure une lésion du coeur ou du rein. Le manque de toute 162 PAR
u- bles trophiques osseux, musculaires et conjonctifs à la suite de lésions des cornes antérieures ou de leur voisinage imm
rrain particulier épilepti- que sur lequel a évolué la maladie, des lésions oculaires, des troubles vaso-moteurs et trophiq
plus décrit dans l'adipose douloureuse comme dans le myxoedème des lésions du thyroïde et certains ont vu la pathogénie du
Dercum dans un trouble de la sécrétion interne de cette glande. Ces lésions sont incons- tantes et cette pathogénie ne para
utre chose qu'une coïncidence dans les cas où ont été observées des lésions oculaires. Dans un cas cependant ces lésions s'
ont été observées des lésions oculaires. Dans un cas cependant ces lésions s'accompagnaient d'une tumeur susceptible d'intér
T AVEUGLE 173 comme une glande à sécrétion interne, voient dans ses lésions une patho- génie possible de l'adipose douloure
, à gauche comme à droite. A l'ophtalmoscope, on ne constate aucune lésion du fond de l'oeil. Réflexes : le réflexe rotu
OPSIE. - A l'examen macroscopique du cerveau, on ne constate aucune lésion au niveau de la surface des deux hémisphères ; le
résumant, à établir d'une façon synthétique la topographie de notre lésion . Avant de commencer notre description, nous vou
tion en largeur de la partie de la capsule interne respectée par la lésion et une atrophie nette du champ de Wernicke. Les
mp de Wernicke. Les figures suivantes (fig. 2 et 3) montrent que la lésion occupe la même situation que sur la coupe précé
nce réticulée de la calotte dans il détruit une grande partie. La lésion détruit en outre ici, en plus de la capsule inter
et le bras du tubercule quadrijumeau antérieur en grande partie. La lésion détruit encore une grande partie de la substanc
uche et la partie postéro-inférieure du corps genouillé interne. La lésion détruit ici, dans la calotte : le bras du tuber-
externes du pédoncule cérébelleux supérieur sont intéressées par la lésion . Sur ces mêmes coupes (fig. 8 et 9) on voit que
parition des fibres transversales du pont. A ce niveau (fig. 10) la lésion de la calotte ne consiste plus que dans un prolon
ns tout le reste du pédoncule, jusqu'à son extrémité inférieure, la lésion se continue aussi bien dans la calotte que dans l
es du pédoncule cérébelleux supérieur. Dans le pied du pédoncule,la lésion au contraire augmente d'étendue de haut t en ba
n embryonnaire diffuse et discrète. Dégénérations secondaires. - La lésion 'primitive, que nous venons de dé- crire a déte
tive, que nous venons de dé- crire a déterminé un certain nombre de lésions dégénératives et atrophiques dire6tes ou indire
e. La bandelette optique en avant du point où elle est détruite par lésion présente une dégénération rétrograde très marqu
ue nous permet de considérer comme étant, non pas le résultat d'une lésion primitive, mais bien comme l'effet d'un process
isceau longitudinal inférieur) de ce côté présente le même ordre de lésions , mais beaucoup moins accusées. 2° Au-dessus du
urtout ceux de Burdach et de Monakow du côté droit sont le siège de lésions atrophiques très nettes. En effet, ces noyaux son
n de nombre et une atrophie de leurs cellules. En relation avec les lésions de ces noyaux, en relation aussi avec la dégénéra
médian mentionnée dans la'région bulbaire supérieure, il existe des lésions atrophiques très manifestes (V. fig. 12), des f
upes de la moelle colorées au van Gieson, montrent qu'il existe des lésions de sclérose très accusées dans toute l'aire du py
dal croisé droit, et aussi mais très légères dans le gauche. Aucune lésion interstitielle dans le pyramidal direct gauche.
portion circumpé- donculaire la plus externe. Dans le pédoncule, la lésion s'étend à la fois dans la calotte et dans l'éta
, si on prend ici en considération les cas de syndrome de Weber par lésions d'origine non pas intra, mais bien extra-pédoncul
lis cérébrale en particulier, où l'on voit si souvent coïncider des lésions méningitiques basales avec des lésions arté- ri
oit si souvent coïncider des lésions méningitiques basales avec des lésions arté- rielles surtout du même côté, il est égal
e et de l'hémianopsie puisse être produite par la coexistence d'une lésion de la bandelette, d'origine basale et d'un foye
de ramollissement placé dans la capsule interne du même côté. La lésion intéressant en même temps le pédoncule cérébral e
sur celle de la réaction hémiopique (qu'il juge pathognomonique des lésions de la bandelette) pour admettre que dans (i) Ru
AVEC HéMIANOPSIE DATANT DE 28 ANS 199 son cas, il doit s'agir d'une lésion du pédoncule gauche faite par l'instru- ment tr
endroit où le pédoncule est entouré par la bandelette optique. La lésion capable de provoquer l'association morbide dont i
es, comme on l'observerait dans les cas de tumeur. Dans l'ordre des lésions d'origine vasculaire il faut cependant faire une
admet aussi la possibilité de l'association morbide en question par lésion de la cérébrale postérieure : « la coïncidence,
r lésion de la cérébrale postérieure : « la coïncidence, dit-il, de lésions oblité- rantes dans la cérébrale postérieure à
ce n'est que par l'intermédiaire du ramollissement occipital que la lésion de la cérébrale postérieure pourrait donner lie
ie. La tendance qu'aurait Leyden (1) à attribuer l'hémianopsie à la lésion de la bandelette optique dans le fait clinique
en dehors du pédoncule proprement dit. Nous voyons en effet que la lésion intéresse aussi les corps geuouillés externe et
ure du segment sous-len- ticulaire de la capsule interne. Or si les lésions de corps genouillés externe et interne relèvent
s qui vient de la partie réfléchie de la cérébrale postérieure), la lésion de la bandelette optique et de la moitié postér
re et de l'hé- mianopsie, n'est pas un foyer unique, relevant d'une lésion artérielle unique, mais doit être envisagé comm
nt à rapprocher la symptomatologie pré- sentée par le malade et les lésions que l'étude anatomique a permis de constater, n
tie delà substance réticulée. On sait en effet, que dans les cas de lésions pédonculaires, lorsque la région de la calotte pa
sions pédonculaires, lorsque la région de la calotte participe à la lésion , on peut observer des troubles de la sensibilité
t leur durée sont sous la dépendance du siège et de l'étendue de la lésion de la calotte. Les auteurs admettent, avec von
, ou ne persister que peu de temps, d'après von Monakow, lorsque la lésion du ruban de Reil médian n'est que partielle ou
w) que dans les cas d'hémianesthésie d'origine mésocéphalique, (par lésion du ruban de Reil médian) ce sont surtout les tr
qui, selon Wernicke et d'autres auteurs, serait constante dans les lésions com- plètes de la bandelette optique. De. mêm
tion auditive ; ce fait enlève toute va- leur anatomo-clinique à la lésion constatée du ruban de Reil latéral et du corps
ffet, amènerait des trou- bles auditifs dans l'oreille opposée à la lésion , selon Weinland ; bilaté- raux, selon Siebemann
chement des caractères de l'hémianopsie et de la localisation de la lésion qui l'a provoquée. On admet généralement, en ef
l'a provoquée. On admet généralement, en effet, que dans les cas de lésion totale de la ban- delette optique, l'hémianopsi
croscopiques sériées aient mon- tré l'existence non seulement d'une lésion presque complète du corps genouillé externe, ma
resque complète du corps genouillé externe, mais encore celle d'une lésion complète de la bandelette optique. La conservat
DE LA SALPÊTRIÈRE (LABORATOIRE DE 111. LE PROFESSEUR RAYMOND) LES LÉSIONS ANATOMO-PATHOLOGIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE D
en Afrique (1), aussi bien que les faits concernant l'ensemble des lésions de la moelle, ayant examiné cinq moelles épiniè
adie. Dans cet article nous insisterons en détail seulement sur les lésions anatomo-patboiogiques et sur l'examen de ce cas,
pour l'assistance des pêcheurs d'éponge et surtout des plongeurs. LÉSIONS AN.1TOAL0-PATnOLOGIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 209
ième moelle vient de confirmer cette ma- nière de voir. Quant aux lésions de la moelle chez les plongeurs, je dois rappeler
rotter. M. le professeur E. Leyden examina une moelle et trouva des lésions caractérisant la myélite parenchymateuse, des f
nces, mais pas de ruptures des vaisseaux et des hémorragies, pas de lésions dans la substance grise et les racines, pas d'a
enflements cervical et lombaire. Dans mes cinq cas, j'ai trouvé ces lésions . M. H. -V. Schrotter, de Vienne, examina 3 moel
descendantes, des ramollissements, mais pas d'hémorra- gies, pas de lésions myélitiques. Dans mes cas on peut voir ces lésion
ra- gies, pas de lésions myélitiques. Dans mes cas on peut voir ces lésions . Les grosses lésions delà moelle rappellent la
ons myélitiques. Dans mes cas on peut voir ces lésions. Les grosses lésions delà moelle rappellent la topographie vasculaire
alpêtrière. T. XX. PI. XL MYÉLITE DES PLONGEURS (Zogrn fid i) . LÉSIONS ANATOIrO-PATffoLOGIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 211
n des cellules névrogliques ayant pour but de réparer peut- être la lésion . On constate aussi de rares foyers d'hémorragie
dèse. . Région dorsale. -A la région supérieure on trouve les mêmes lésions , mais plus intenses et plus étendues. En descen
plus intenses et plus étendues. En descendant, on trouve dans tout LÉSIONS ANATOfo-YATllOLOGIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 213
ssi bien que des déchirures séparant les îlots du tissu altéré. Les lésions diffèrent de coupe en coupe d'intensité et d'ét
hromatolyse et des amas de pigment ; le plus souvent on constate un lésion plus profonde des cellules nerveuses, quelquefois
latéraux autour des cornes antérieures est seulement respectée. Les lésions présentent les caractères des dégénérescences e
nnés avec diapédèse. Les méninges prennent part au processus. Ces lésions existent à tous les niveaux de la moelle dorsale
- nuent d'intensité vers la région lombaire. Région lombaire. Les lésions sont moins intenses. Les cellules ner- veuses s
scence descendante secondaire des faisceaux pyramidaux croisés. Les lésions dans la région sacrée vont en s'atténuant jusqu'a
. Il s'agit donc dans ce cas là - comme dans les cinq autres - de lésions myélitiques. Dans deux de ces 6 cas les lésions m
es cinq autres - de lésions myélitiques. Dans deux de ces 6 cas les lésions myélitiques étaient extrêmement intenses. J'ai
mourut' le cinquième jour, - j'ai constaté, en dehors des premières lésions de la myélite (congestion, diapédèse leucocytai
, de vrais ané- vrysmes des vaisseaux dans la substance même. Les lésions anatomiques et les symptômes cliniques nous prouv
ers hémorragiques dans les 2/3 des cas. Quand le malade guérit, les lésions médullaires passent à la sclérose, et les sympt
ai trouvé ces plaques scléreuses dans les cordons latéraux (surtout LÉSIONS ANA'l'OMO-PATliOLOGIQUES DE LA MOELLE ÉP1N1ÈRE 21
érieurs. Elles rappel- lent un peu la topographie vasculaire. Ces lésions scléreuses présentaient les caractères suivants :
hiques. Les parois des vaisseaux étaient épaissies. J'ai trouvé ces lésions chez des malades guéris de leur première attaqu
émiques, et, si l'attaque est forte, des foyers hémorragiques ; ces lésions ont pour conséquence la myélite. Cette myélite se
crotiques et hémorragiques, des cavités, etc.) ; dans le second les lésions se transfor- ment en scléroses, c'est-à-dire en
e résultant d'un trouble glandulaire ou trophique, à la suite d'une lésion soit de la mère (hérédo-intoxication), soit du
pituitaire n'a pas altéré le parenchyme glandulaire, alors que les lésions du testicule sont très profondes et très étendu
cas est donc difficile à interpréter de par la complexité même des lésions , puisque les trois glandes à sécrétion interne co
ne trouve pas de liquide pleural, les poumons ne présentent pas de lésions appréciables ; pas de tuberculose des sommets ;
: des deux côtés, staphylome myopique en crois- sant ; à gauche, la lésion est plus étendue. Acuité visuelle : MYDI\1ASE
iliaire est intéressé ; et il existe des faits irréfutables, où une lésion circonscrite n'a provoqué qu'une para- lysie de
eurs attribuent à la mydriase paralytique sont ceux que produit une lésion organique siégeant soit sur le noyau irido-cons-
onc, au lieu de rapporter tous les troubles moteurs de l'iris à des lésions siégeant en amont du ganglion ciliaire, il est lo
destruction des cellules sympathiques du ganglion ciliaire ; cette lésion a pour conséquence la production d'une mydriase m
raction de la pupille, suffit à démontrer qu'il ne s'agit pas d'une lésion anatomique de l'iris lui-même ; enfin rien dans l
ralysie organique durant depuis aussi longtemps aurait entraîné des lésions atrophiques de l'iris. 2° Causes fonctionnelles
la mydriase. Ces divers caractères impliquent l'ab- sence de toute lésion organique des nerfs irido-moteurs. Notre malade
ous les cas de mydriase hystérique peuvent s'expliquer soit par une lésion organique, soit par l'usage de l'atropine par les
e considérée comme hystérique, l'autopsie a démontré la présence de lésions organiques ; mais ces faits ne suffisent pas à
h, contrairement à celui de l'alcool ne semble pas s'accompagner de lésions anatomiques caractéristiques, et il n'en résulte
e de la corde vocale droite. Du côté des yeux, s'il n'existe aucune lésion du fond de l'oeil et si les pu- pilles réagisse
ychique est satisfaisant. 41 Au point de vue viscéral il existe des lésions pulmonaires d'emphysème et t de bronchite chron
s a été négative. ,1 Le pouls, régulier, bat à 80 ; il n'y a aucune lésion cardiaque. On ne trouve aucun élément anormal,
é l'affection dont souffre ce malade, il faut préciser le siège des lésions syringomyéliques. Une pre- mière constatation s
ns la syringomyélie. Pour localiser avec une certaine précision les lésions cavitaires, deux ordres de symptômes nous seron
titue ce qu'on a appelé un syndrome de Jackson. Rappelons que les lésions unilatérales du bulbe peuvent réaliser trois sy
présence d'une pareil syndrome indique évidemment l'existence d'une lésion bulbaire droite qui atteint le noyau de la branch
itif, les troubles de l'ouïe présentés par le malade sont dus à des lésions d'otite catarrhale chronique et la huitième pai
gne d'une parésie du muscle grand oblique droit, c'est-à-dire d'une lésion du pathétique gauche, bien plus que d'une attei
ux inférieur ; il est difficile d'affirmer avec précision il quelle lésion il correspond : il est possible qu'il existe un
res sensibilités). Elle siège à droite, c'est-à- dire du côté de la lésion bulbaire. Etant donné les caractères de cette a
une atteinte du noyau ou des racines du trijumeau droit, mais d'une lésion des libres non entrecroisées de la voie sensiti
sceau sensitif (2). Il existe donc, à droile, un prolongement de la lésion bulbaire qui compri- me ces fibres. A côté de
nt de la lésion bulbaire qui compri- me ces fibres. A côté de ces lésions de srriaob2clbie indéniable, il y a lieu de se de
srriaob2clbie indéniable, il y a lieu de se de- mander s'il y a des lésions dans la moelle proprement dite et en particu- l
LSINOCtt, la Syringomyélie, 2" édition, p. 171-175. (2) V. Bnntvsr, Lésion bulbaire unilatérale. Rev. Neurolog., décembre 19
au ni- veau de C' indique qu'au point correspondant de la moelle la lésion se propagea gauche où elle atteint la zone sens
e atteint la zone sensitive. Voici donc bien établie l'existence de lésions syringomyéliques dans la région cervicale. Mais
jus- qu'aux extrémités inférieures n'implique pas par cela même une lésion qui se propagerait sur toute l'étendue de la mo
e lésion qui se propagerait sur toute l'étendue de la moelle. Une lésion de la région cervicale parait suffire à expliquer
iquer tous les symptômes que l'on observe chez F...; le maximum des lésions médullaires paraît siéger en C., elles se prolong
ence de douleurs, de raideur de la nuque, etc.). Dans la moelle, la lésion paraît atteindre avant tout la corne postérieure
s volumineuse que celle du côté gauche. Il ne paraît pas y avoir de lésions articulaires. Les os offrent la même transparence
donc conclure qu'il s'agit d'un cas d'origine mixte dans lequel les lésions d'ostéite hypertrophiante jouent un certain rôle,
- cessus. Chercher à localiser en un point du système nerveux une lésion qui expliquerait cette chiromégalie serait émet
ticulièrement intense et qu'ainsi s'explique cette localisation des lésions anatomiques les plus marquées. DE QUELQUES ALTÉ
cts ou peu touchés. L'hémianopsie fut donc en effet à distance. Ces lésions diffuses de la substance blanche méritent d'autan
t petites, mais péné- trant dans la substance blanche a produit des lésions dans tout l'encé- phale. Encore est-il certain
certain que je suis loin de les avoir toutes vues et décrites. Ces lésions prédominent évidemment du côté du néoplasme; el
t intraven- triculaire. J'hésite cependant à assimiler toutes ces lésions à de simples effets de compression ; il faut ne
ultés d'accès eussent été grandes. Aurait-on pu les surmonter ? Les lésions secondaires aurait-elles encore été capables de
aille, ayant un aspect infantile assez caractérisé. Il présente une lésion mitrale congénitale, un palais ogival et une di
hogénique que peut com- porter notre cas. L'autopsie a montré une lésion initiale qui a fait l'objet d'une thèse (1). L'
dire en effet : hémimélie par amputation congénitale; ce sont deux lésions totalement différentes; la seconde indique elle-m
énitales. Thèse Paris, 1892. Le sillon est le premier degré de la lésion ; il peut exister seul et ne pas continuer son
rvés. Le cerveau a été examiné avec soin ; on n'y a constaté aucune lésion corti- cale ou centrale. La moelle ne présentai
de 6 ans ; à 8 ans, sans cause appréciable, elle est frappée d'une lésion inflammatoire dans la malléole externe droite,
à présent effacé derrière le cerveau et nos con- naissances sur ses lésions sont demeurées insuffisantes faute surtout d'in-
m Kleinhirn relativ wenig bemertbar ». Ce qui prouve bien que les lésions du cervelet sénile sont restées jus- qu'à prése
semblent bien cliniquement jouer un rôle tant qu'on méconnaîtra les lésions cérébel- leuses dont je signale l'extrême fréqu
ques-unes capables de loger un pois ; je l'ai dit maintes fois, ces lésions cérebelleuses lacunaires pour avoir été méconnues
antes : 9° Le cervelet sénile se caractérise anatomiquement par des lésions typiques. 2° La fréquence et l'étendue de ces
ent par des lésions typiques. 2° La fréquence et l'étendue de ces lésions cérébelleuses dans le cas de syndrome clinique
ces caractères. Cette opposition faite entre l'état normal et une lésion avancée, exa- minons avec pour guide la planche
rée comme dépourvue. La substance blanche présente à considérer des lésions banales de sclé- rose secondaire et des plaques
provient d'un noyau de sclérose qui n'est pas caractéristique d'une lésion sénile quoiqu'il appar- tienne au cervelet d'un
mettre en garde contre la tendance à interpréter comme séniles des lésions qui ne le sont pas incontestablement. La planch
ou hypertrophique ancienne pourra être reconnue au milieu d'autres lésions , elles, séniles (Pl. LXII, fig. 2). On distingu
e manière lui être comparés : nous ne dirons pas autre chose de ces lésions . Ailleurs l'un de nous les comparera à celles du
si les symptômes cérébelleux ont grand besoin d'être précisés, ses lésions très nettes facili- tent singulièrement la lect
ais d'une inflammation scléreuse (3). (1) ANGLADE et Latreille, Les lésions du cervelet dans la paralysie générale. L'En- c
rtais suivante.) (1. 1)ans la moelle cervicale on ne trouve d'autre lésion qu'une légère pâleur diffuse sur- SOCIÉTÉ DE NE
e de broncho- pneumonie. L'autopsie nous a révélé l'existence des lésions suivantes : 1° Dans le cerveau : Plusieurs lacu
et variant d'un niveau à l'autre. 3° Enfin, la moelle présente des lésions légères, diffuses, pâleur de la myé- line, surt
, mais aussi de la partie cen- trale des cordons postérieurs. Ces lésions concordent bien avec les symptômes observés dans
a voie motrice est, dans la moelle, à peine touchée ; on trouve des lésions de la substance blan- che, légères, diffuses, a
RALYSIE PSEUDO-BULB.11RE 373 de vue nosologique, la topographie des lésions . Nous ne trouvons d'autres causes au syndrome c
vo- lumineuses dans la calotte protubérantielle. D'habitude, les lésions causales du syndrome pseudo-bulbaire sont céré-
x côtés, la voie motrice dans la capsule interne et déterminant des lésions dégénératives accentuées dans les pyramides bul
vé 5 faits ressemblant au nôtre par la présence, indépendamment des lésions cérébrales localisées, de foyers bulbo-protubér
Doct. Paris) publie plusieurs cas de paralysie pseudo-bulbaire avec lésions du pédoncule cérébral et de la protubérance et
ions du pédoncule cérébral et de la protubérance et conclut que les lésions peuvent siéger soit au niveau de l'écorce même,
'existence de lé- sions situées au-dessus des noyaux bulbaires. Ces lésions , habituellement cérébrales, peuvent également o
, à côté des troubles intellec- tuels qui indiquent l'existence des lésions cérébrales, d'autres symptômes tels que le nyst
les métacarpiens et les os de l'avant-bras ne présen- taient aucune lésion . La cheiromégalie parait donc seulement due à l
tes par les classiques sous le terme de névromes de régénération. Lésions vasculaires. - Nous avons pu rencontrer les diver
ation. Lésions vasculaires. - Nous avons pu rencontrer les diverses lésions dé- crites par Philippe et Obertl)ür et Thomas
nt l'origine de la membrane papillaire que nous avons signalée. Les lésions vasculaires n'existent pas seulement au voisinage
IIEIROMÉGALIE 379 faisceau fondamental latéral sont intéressés, les lésions des cordons postérieurs affectent la même topog
pes des nerfs du membre inférieur ne nous ont montré que de légères lésions de sclérose sans dégénérescence, les nerfs du m
égénérescence, les nerfs du membre supérieur droit présentaient des lésions marquées : c'est ainsi que le cubital, le musculo
ous sommes livrés, de superposer assez exactement les symptômes aux lésions et d'expliquer ceux-là par celles-ci. En partic
le bilatérale, que leur abolition aux membres supérieurs dérive des lésions nerveuses périphériques et de la destruction de
ide au développement de ces hypertrophies, nous devons préciser les lésions anatomiques qui sont à la base de la cheiroméga
issu cellulaire était pauvre en graisse. Il n'existait pas trace de lésions inflammatoires de la peau et les vaisseaux étaien
able à celui d'Hotsct)ewnikoff, car si nous n'avons pas constaté de lésions osseuses, du moins nous avons relevé des altéra
s vaisseaux ou soient lésés en rien. Les muscles présentaient des lésions d'atrophie simple avec infiltra- tion adipeuse
des lésions d'atrophie simple avec infiltra- tion adipeuse légère, lésions qui sont banales dans la syringomyélie, mais in
sont en voie d'hypertrophie mani- feste. Enfin, dans notre cas, les lésions des nerfs périphériques étaient intenses et gén
re les deux affections ainsi que le fait remarquer Rectdinghausen : lésions osseuses hypertrophiantes de la cheiromégalie (
du côté gauche. Quant à la raison intime qui fait que devant une lésion donnée du sys- tème nerveux, les I issus consti
t nous paraît à chercher moins dans la localisation elle-même de la lésion ner- veuse que dans l'aptitude réactionnelle in
deux paupières prend abso- lument la forme d'un chémosis. Pas de lésion , d'altération de la cornée ni de l'iris. Les do
l'espace intersourcilier (fibres sus-trochléaires), Mais dans notre lésion ecchymotique, de même encore que dans les zonas
ns notre lésion ecchymotique, de même encore que dans les zonas, la lésion déborde légèrement la région du nerf lésé, par re
rdinaires. Les ecchymoses peuvent donc manifester l'existence d'une lésion du nerf périphérique ; mais elles n'accompagnen
'une lésion du nerf périphérique ; mais elles n'accompagnent qu'une lésion du nerf sen- sitif, la branche de Willis du tri
et trophi- ques du sciatique, dans les névrites banales, ou dans la lésion tabétique des protoneurones centripètes. Et en
e de l'éruption zostérienne. Et entre ces deux résultats d'une même lésion , nous trouvons comme forme de passage le zona h
uire l'extravasation sanguine, l'ecchymose ? Brown-Séquard, par une lésion de la moelle allongée chez le cobaye telle que
latés ou à de petits foyers hémorra- giques, véritables ébauches de lésions purpuriques. Reste à examiner comment la névrit
es- sant à relater à cause de la multiplicité et de l'intensité des lésions cons- tatées, en raison aussi de l'association
sentir sur des régions similaires de l'embryon. La multiplicité des lésions et une symétrie assez grande ont d'ailleurs été s
n particulier chez les foetus issus de parents syphiliti- ques, les lésions de la moelle ne sont pas rares, la syphilis héréd
ongénitales de la hanche, etc. Nous admettons ici l'hypothèse d'une lésion médullaire, due à la syphilis héréditaire, et a
e Lancereaux. » Mais Troisier fait observer qu'il n'a trouvé aucune lésion organique de 404 . KLIPPEL ET BOUCHET la moel
s re- marquer que plus on se rapproche de la périphérie et plus les lésions sont intenses et marquées. Ainsi les troubles
nombre est notablement di- minué par rapport au côté sain. Toute la lésion est là. Voici la résultat ries numérations v
IE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 413 Ainsi dans le point où la lésion est au maximum les éléments histolo- giques son
re est seul diminué. Ce défaut de nombre est, répétons-le, toute la lésion . i La lésion est quantitative, non qualitative.
inué. Ce défaut de nombre est, répétons-le, toute la lésion. i La lésion est quantitative, non qualitative. Ce cas est don
ue marqué par un arrêt de développe- ment consécutif à de multiples lésions survenant avant le développement complet de l'i
ons survenant avant le développement complet de l'individu, que ces lésions se produisent pendant la vie intra- utérine ou
ronc, de la face. En renvoyant le lecteur pour les détails de ces lésions aux travaux de l'un de nous (1), nous concluons
ux travaux de l'un de nous (1), nous concluons en définitive que la lésion histologique pour le cas qui nous occupe présen
292. (il ICLIPFEL, Arrêt de développement des membres à la suite de lésions dans l'en- fance. Atrophie numérique. Rev. de m
avril 1906 ; . DANIEL, Des arrêts de développement consécutifs aux lésions locales datant de l'enfance. 'Atrophie mimétiqu
897-1898). 1 DANIEl.. - Des arrêts de développement consécutifs aux lésions locales datant de l'en- fance. Atrophie numériq
37,338. Klippel. - Arrêt de développement des membres à la suite de lésions dans l'enfance. Atrophie numérique. Rev. de méd
Zingerlé considère son cas comme une porencéphalie vraie due à une lésion d'origine vraisemblable- ment vasculaire, dans
rale moyenne, quoiqu'on ne retrouve pas de reliquat manifeste d'une lésion des vaisseaux ; le trouble circulatoire aura ét
opismo lekarskie, nua 8, 1901 (polonais). (4) Zingerlé. Un cas de lésion de développement circonscrite du cerveau. Contrib
système nerveux central dans sa partie motrice. C'est encore à une lésion pyramidale que Ha us- halter et Collin (1) ratt
t impossible de ne pas désirer, dans les trépanations, d'éviter les lésions traumatiques inu- tiles et de ne pas rendre jus
ce, de saillies sur l'avant-bras gauche. C'est à ce ,niveau que les lésions du squelette sont le plus marquées. Pour le père
c'est au voisinage du cartilage d'accroissement que se localise la lésion principale Mais con- trairement à ce qui paraît
toutefois mes recherches bibliographiques ont été suffisantes. Ces lésions médullaires dans l'acromégalie furent décrites pa
r Arnold, par Duchesneau et par Cagnetto, lesquels remarquèrent les lésions des cordons postérieurs ou antéro-latéraux, celle
me, l'altération à de différents degrés dans tous ces mus- cles. La lésion anatomique qui peut expliquer ces faits est-elle
u mal, n'en a pas empêché l'évolution. On pourrait croire que les lésions des os soient produites par des alté- rations m
ingo- myélie. Mais dans ce cas nous ne pouvons pas admettre que ces lésions sont celles du tabes ou de la syringomyélie ; l
cas actuel. Du reste, l'histoire de la malade nous apprend que les lésions ostéo-articulai- res ont précédé la manifestati
Son père est mort à l'âge de 62 ans avec un oedème mou généralisé ( lésion rénale ? ).Sa mère, âgée de 67 ans, jouit d'une
tologie si bizarre a son explication'simplement dans le siège de la lésion dans les régions médullaires en rapport avec le g
ement par la station debout longtemps pro- longée ainsi que par une lésion , infériorité fonctionnelle ou hyperexcita- biht
nous, qu'il y a lieu de tenir compte de l'influence probable d'une lésion ou d'une perturbation fonctionnelle de certains c
la périphérie, mais dans les centres cérébraux. Il ne croit pas à une lésion grave, irrémédiable, mais à un état irritatif p
ation des phénomènes convulsifs est con- traire à l'hypothèse d'une lésion périphérique unilatérale (du spinal par exemple
gigantis- me précoce ne'1 polysarcie excessive, 91. ZOGRAFIDI Les lésion » afialomo-patliologi- ques de la moelle dans la
t insuffisance diastématique (VIGOUROUX et DELMAS), XLVI. Moelle ( lésion de la) par décompression chez les scaphandriers
20 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
enter de la constatation pure et simple de tel symptôme et de telle lésion , créer des syndromes vagues au lieu d'espèces m
anuclau"\. directs et croisés. FIG. ,. - VIlle paire cervicale. Lésions plus étendues que plus haut dans les cordons post
ominante de la maladie, se distingue encore du syndrome général des lésions purement cérébelleuses. L'asynergie cérébelleuse
... D'autre part, l'abolition des réflexes n'a rien à voir avec les lésions du cervelet qui se traduisent surtout par des c
ch que pour le tabes dorsalis.Ai-je besoin de vous rappeler que les lésions du tabès sont loin d'intéresser seulement les c
lades ayant servi pour la mémorable description de Friedreich ; les lésions débordent en hauteur le névraxe rachidien et, dan
vécut sur la description, d'ailleurs très complète, qu'il donna des lésions médullaires. À l'autopsie de deux malades qui, de
IERE. T. XVIII. PL. II. tc. 4. - XI paire dorsale. Point où les lésions sont au maximum. Grosse atteinte du faisceau pyra
s postérieurs. FIG. i. - IV- paire lombaire. Aspect tabétiquo des lésions des cordons postérieurs. Atrophie des racines. Sc
t Vaquez proposèrent une interprétation différente de la nature des lésions des cordons postérieurs. Ils interprétèrent d'u
nue, maladie à point de départ ectoder- mique. Pour eux, dans les lésions de l'ataxie héréditaire, il existait deux pro-
ise par Switalski ; il considère, en effet, que c'est à la suite de lésions vasculaires d'ordre dystroplllque qu'il se prod
d'au- topsies. Cependant Marie, tout en convenant qu'il existe des lésions dans le territoire des faisceaux pyramidaux cro
ALPÊTRIÈRE. T. XVIII, PL. III. FlG. 1. - VIle racine cervicale. Lésions très accusées dans les cordons postérieurs, les r
- IVe racine lombaire. De même que pour la figure 2, similitude de lésions avec celles du cas précédent. MALADIE DE FRIEDR
sans doute trouver leur explication dans l'extrême variabilité des lésions , en particulier dans l'at- teinte plus ou moins
ladie de Friedreich devait être considérée comme l'expression d'une lésion cérébelleuse. L'instabilité statique, la démarc
t même des idées. La voie est ouverte aujourd'hui à la recherche de lésions considérées comme l'exception dansja maladie de
e l'exception dansja maladie de Friedreich; nous voulons parler des lésions cérébelleuses. C'est la découverte d'altération
a pas d'atrophie musculaire, pas de mouvements fibrillaires. Pas de lésions trophiques. Sphincters intacts. Rachis normal. Pa
omiquement ces troubles sensitivo-moteurs, nous devons admettre une lésion intéressant la moitié gauche d'un segment de la m
nférieur droit qui doit donc s'entrecroiser pour aller rejoindre la lésion du côté gauche, ceci dit, malgré les opinions a
peu ataxique, revient à gauche. Il y avait lieu de redouter que la lésion transverse primitivement limitée à gauche eût f
ilatérale gauche, puis diffusée dans la région pos- térieure. Une lésion transverse unilatérale évoque de suite l'idée d'u
géniques qu'on arrive le plus sûrement à comprendre la nature d'une lésion , disons dans le cas donné, d'une myélite transver
ction à distance dans l'espace et dans le temps, répercussion d'une lésion des extrémités sur le centre, sur un centre spéci
rivée, que si elle préside à la nutrition, elle souf- fre aussi des lésions périphériques, comine Sano vient encore de le dém
r les localisations motrices de la moelle. Il résulte enfin que les lésions traumatiques ou expérimentales d'un nerf mixte
atiques ou expérimentales d'un nerf mixte peuvent donner lieu à des lésions très variées de la moelle, lésions scléreuses (
rf mixte peuvent donner lieu à des lésions très variées de la moelle, lésions scléreuses (Marie, Switalski) (5), lésions cant
ès variées de la moelle, lésions scléreuses (Marie, Switalski) (5), lésions cantonnées dans un segment, segment dorso-lomba
ions cantonnées dans un segment, segment dorso-lombaire, lorsque la lésion , point de départ, siège aux extrémités inférieu-
pouvant créer la sclérose des cordons postérieurs. Dans ce cas, la lésion se propage de bas en haut (cordons de Goll et de
'est le trauma en chaussette qui aurait dans notre cas déterminé la lésion segmentaire et ses conséquences. Nous avons don
gue réflexion, le trauma vient échouer sur la moelle et y créer une lésion , celle-ci pourra être plus ou moins superficielle
érimentation qui démontre qu'une hé- morragie peut faire partie des lésions spinales consécutives à la section ou à l'ar- r
des animaux traumatisés, énervés en vue de leurs recherches sur les lésions consécutives de la moelle. Les anciens amputés
vons nous armer pour l'avenir, les yeux fixés non seulement sur une lésion inaccessible au meilleur rachitome, mais sur les
ondi- tions étiologiques et pathogéniques qui ont pu réaliser cette lésion et qui, comme nous l'avons vu, sont accessibles
laques lui emprunte nombre de signes, comme d'autre part, certaines lésions scléreuses portant sur les voies cérébel- leuse
es capitaux que depuis Thomas (1897) nous attribuons en France, aux lésions de déficit du cervelet, aux agénésies comme aux
t. Les symptômes n'ont pas varié depuis cinq ans. Où localiser la lésion de déficit ? «Nothnagel, nous dit Duret (4), s'ap
céré- belleux, sont des organes à fonctions différentes, et que les lésions du ver- mis seul entraînent des troubles de l'é
ées, et ce que la symptoma- tologie relève de plus positif dans les lésions destructives du vermis, c'est un trouble profon
mise en lumière par les recherches anatomo- cliniques. De plus les lésions peuvent intéresser soit les centres eux-mê- mes
cin des hôpitaux, faire l'autopsie. Autopsie Hémisphère gauche. - Lésion corticale ancienne constituée par un foyer cell
qui ferme normalement en arrière la scissure de Sylvius. En haut la lésion gagne le bord interne de l'hémisphère sur une t
la partie moyenne de la pariétale ascendante, Ne présentent aucune lésion corticale ou sous-corticale. Il faut seulement
ngement postérieur de la scissure de Sylvius (PI. VI et VII, C). La lésion comprend la circonvolution bordant la lèvre infér
AMNESIQUE /7 ? );'t''J A. Les deux lobes occipitaux. On voit les lésions des lobes occipital et pariétal gauches. B. C
pecte l'extrémité posté- rieure de la 2° temporale. Profondément la lésion dessine une vaste perte de substance approchant
icule latéral, mais sans l'at- teindre tout à fait. Sur la coupe la lésion est limitée en bas par le sillon séparant la 1°
à 2 centimètres 1/2 en avant du pôle occipital (PI.VI et VII,E). La lésion porte sur la Ire et le 2e occipitale. La 3e oc-
et du lobule fusiforme est respectée. Hémisphère droit. - Aucune lésion de l'écorce. Coupe de Brissaud. Ramollisement
nt de vue anatomo-pathologiq2ta nous nous trouvons en présence de 3 lésions : 1) Une lésion du pli courbe et des faisceaux
athologiq2ta nous nous trouvons en présence de 3 lésions : 1) Une lésion du pli courbe et des faisceaux sous-jacents (fais
et des faisceaux sous-jacents (faisceau longi- tudinal supérieur), lésions s'étendant vers les points du globe occipital (
substance blanche faisceau vertical occipital de Wernicke). 2) Une lésion superficielle du lobule paracentral gauche. 3)
2) Une lésion superficielle du lobule paracentral gauche. 3) Une lésion de l'hémisphère droit (lésion sous corticale de l
du lobule paracentral gauche. 3) Une lésion de l'hémisphère droit ( lésion sous corticale de la 3e fron- tale). Les deux d
oit (lésion sous corticale de la 3e fron- tale). Les deux dernières lésions , celle du lobe paracentral et celle de l'hémisp
al ne doit pas intervenir dans les phénomènes d'aphasie. Quant à la lésion de la 3e frontale droite, il faudrait pour lui
ère ; elle écrivait, man- geait, etc.. de la main droite. Déplus la lésion du centre de la cécité verbale, dans l'hémisphè
de la prendre en considération. Nous retenons donc exclusivement la lésion du pli courbe et des fais- ceaux sous-jacents.
la région capsulo-striée du côté droit. Du côté gauche on trouve la lésion ancienne qui a dû causer les symp- tômes précit
ticipation du segment postérieur de la capsule interne. Ainsi les lésions relevées dans notre observation montrent bien qu'
fait remarquer Pitres à propos des dix cas réunis par lui (2), « les lésions provocatrices de l'aphasie amnésique n'atteigne
ni- ques, loc. cit. 48 HALIPRÉ Dans l'observation de Trénel, la lésion exclusivement sous- corticale venait confirmer
idérée comme aphasie de conductibilité. Dans notre observation la lésion est à la fois corticale (pli courbe, cir- convo
faisceau occipital vertical de Wernicke). Peut-être est-ce à cette lésion sous- corticale qu'il faut rattacher les troubl
is- me et semblant dépendre « d'une action musculaire autant que de lésions arti- culaires » (2) et les cyphoses survenant
épiphyses et spécialement aux os des extrémités que prédominent les lésions . Il y a des hyperostoses et il se produit du ti
es degrés divers, le microscope révélant d'ailleurs le maxi- mum de lésions là où l'examen macroscopique les avait fait press
tème. Cette zone demeure toujours étroite. En somme, ce sont là des lésions d'ostéoporose sénile d'atrophie osseuse simple.
RANVIER, Manuel d'his- tologie pathologique. Art. de Maurice CAZIN, Lésions des os, pp. 780-797. Paris, 3e édit., 1901. (
rganiques, comme le tabes, les affections cérébelleuses liées à des lésions en foyer, la paralysie pseudo- bulbaire. Parm
phie du cervelet », et il ajoute : « la moelle ne présentait aucune lésion microscopique, pas plus dans le cas de Nonne qu
oelle. Déjà les observations de Spiller diffèrent par la nature des lésions . Mais si les autopsies des malades de Sanger-Br
ue publia Menzel en 1891, où l'atrophie du cervelet s'associe à des lésions médullaires analogues à celles de la maladie de
t notablement du type Nonne-Fraser. Ils présentaient, en effet, des lésions médullaires très marquées ; et alors qu'un élèv
ns de circonvolutions qu'un cervelet normal ; il ne présente pas de lésions mi- croscopiques et le nombre des cellules de P
rke et absence presque totale des cellules correspondantes), et des lésions de la substance blan- che (dégénération partiel
t l'atrophie du noyau correspondant (1). Evidemment, Messieurs, ces lésions présentent quelques différences avec celles qu'
leçon, je vous signalais, Messieurs, l'importance grandissante des lésions macroscopiques ou microscopiques du cervelet da
aphie de la Salpêtrière, a permis de consta- ter chez ce malade des lésions cérébelleuses et médullaires se superposant presq
dit Rydel, sont très peu considé- « râbles : nous avons trouvé une lésion des cordons antérieurs chez Louis Haud... et «
u cervelet ; ni chez son « frère, ni chez sa soeur, on ne trouve de lésions analogues. » NOUVELLE ICONOGRAPHIE UE LA SALPGl
eux presque constant, puis après plusieurs crises asystolique, sans lésions orificielles appréciables à l'auscultation, ell
panchement louche. Myocarde jaunâtre et mou, pas d'athérome, pas de lésions valvulaires. Le ventricule gauche est dilaté.
lobale et diffuse, sans sclé- rose, dépendant vraisemblablement des lésions microscopiques qui sont les suivantes : 1° Ce
parition des cellules d'origine. D. 'Protubérance, bulbe. Ici les lésions sont plus discrètes et en raison de la multipli
oter également la petitesse et la pâleur du faisceau solitaire et les lésions dégénératives du noyau dorsal du vague. ' , E
- Ils sont atteints dans toute leur hauteur, avec prédominance des lésions dans la région lombaire et dorsale. Il s'agit i
en fibres, à mesure que l'on s'élève. c) Faisceau antéro-latéral. - Lésions , somme toute, assez diffuses,intéres- sant avan
sa presque absolue pureté et vous voyez, d'autre part que, par ses lésions histologiques, il vient se placer à côté des ca
rentiel : l'atrophie isolée du cervelet. Cette maladie répond à des lésions de siège différent, appartenant tou- jours au s
re distinguée de cette dernière par la nature his- tologique de ses lésions ? Les observations primi tives de Nonne et de Fra
récents, vient de transformer cette classification trop simple des lésions cérébelleuses en atrophies scléreuses, ou acquise
nt, sans prolifération névroglique, sans sclérose. Tantôt enfin les lésions sont de nature scléreuse, d'origine connectivo-va
n activité une prédisposition familiale. D'autre part, à côté des lésions cérébelleuses acquises, processus ré- gressifs
ses principales voies affé- rentes, atrophie primitive, indemne de lésion inflammatoire et de proli- fération névroglique
ogiques, pas plus qu'elle n'a été établie de par la topographie des lésions , pas plus qu'elle n'est ressortie de ses manife
bolition des réflexes et des douleurs fulgurantes, ressortissant de lésions médullaires, l'absence tout au moins fréquente
Allons plus loin, Messieurs. Si les différences de localisation de la lésion dans le système cérébelleux distinguent seules,
de cette dernière ne diffèrent des cas purs que par l'existence de lésions connexes dans les systèmes plus ou moins direc-
me cérébel- leux héréditaire et des syndromes différents liés à des lésions « encore hé- réditaires » de systèmes cérébraux
e Strumpell. La coexistence possible, assez fréquente peut-être, de lésions des cellules des cornes antérieures et d'un cer
tre les différents symp- tômes et la signification systématique des lésions correspondantes. Quand nous serons à même de dé
de décider quel est le système anatomique ou fonc- tionnel dont la lésion se traduit par tel ou tel syndrome, il nous sera,
phérique. t - M. Monakow (Gehirnpathologie) indique comme suites de lésions desi lobes frontaux : 1° Un déficit intellect
postes). 3° Une forme d'ataxie analogue à celles que produisent les lésions du cervelet. Nous croyons avoir constaté chez
ale. Nous sommes tentés d'attribuer son ataxie, sa dy- sarthrie aux lésions constatées dans le cervelet et à les mettre en qu
(2) admet qu'un tel ensemble symptomatique peut s'expliquer par des lésions siégeant dans les centres coordinateurs supra-nuc
llais dans un cas absolument semblable (3) pense qu'il s'agit d'une lésion nucléaire, ayant frappé des deux côtés une grande
E LA CALOTTE PÉDONCULAIRE 169 associés des yeux et sur le siège des lésions qui entraînent la paralysie de ces mouvements d
es et les voici : En premier lieu, dit Nothnagel, dans les cas de lésions des tubercules quadrijumeaux antérieurs, il arr
les mouvements de latéralité. Il y a dans la littérature des cas de lésions limitées aux tubercules quadrijumeaux antérieur
fut dominé par les paralysies oculaires, on vit à l'autopsie que la lésion des tubercu- les quadrijumeaux n'était pas circ
estan (1) et par Bruce (2), qui prouvent d'une façon précise qu'une lésion extranucléaire, non placée dans les tubercules
mouvements associés de la bilatéralité ; il suffit en effet qu'une lésion soit placée dans la calotte protubérantielle, ent
dit nettement que les symptômes oculo-moteurs ne sont pas dus à la lésion de la substance grise ganglionnaire des tubercule
s ex- trinsèques ou intrinsèques unilatérales, ayant pour cause une lésion ba- silaire (3) ; d'autre part, en étudiant bie
opos : M.FBRRON, De l'ophtalmoplégie intrinsèque ou extrinsèque par lésion basilaire. Annales d'oculistique, novembre 1902.
e jusque dans la protubérance au niveau du pathétique. Une pareille lésion nous renseignait très bien sur la paralysie des
lle, Grasset, Bruce, Raymond, Cestan,etc. Il est donc prouvé qu'une lésion portant sur le noyau de la VIe paire ou sur ses
é, on y trouve la confirmation de cette hypothèse : à savoir qu'une lésion placée dans cet endroit, petit retentir sur les
et concentrique du champ visuel, déjà signalé dans quelques cas de lésion des tubercules quadrijumeaux (1) ; et l'apparitio
ociée à l'insuffisance fonctionnelle des muscles masticateurs, sans lésions sur nos coupes des noyaux de la Ve paire. On pe
s. Dans notre IIe observation, en plus de l'athétose constatée sans lésion et dégénérescence consécutive de la voie pyrami
ar Sorgo (1) (après Nothna- gel, Luce, Clerk, etc.), dans un cas de lésion des tubercules quadri- jumeaux. Selon cet auteu
donc résulter que les trou- bles vaso-moteurs apparaissent dans les lésions qui affectent les régions sensitives du pédoncu
ébrieuse, l'incoordination motrice, l'asy- nergie musculaire, sans lésion aucune du noyau rouge ou des pédoncules cérébel
tels troubles ; au surplus l'autopsie nous démontra l'existence des lésions destructives dans le ruban de Reil et dans la c
l-lühmu/ ! gen, p. 265, Leipzig, 1896. UN CAS D'ACROMÉGALIE- AVEC LÉSIONS HYPERPLASIQUES DU CORPS PITUITAIRE DU CORPS THY
anguines, s'impose l'examen du sque- lette. Crâne.-Le crâne a des lésions classiques souvent décrites (fig.6).Elles diffè-
L'athérome des vaisseaux de la base de l'encéphale rend compte des lésions du système nerveux central. Alors que les coupes
. 4 L'examen histologique des lobules paracentraux ne montre pas de lésions conjouctivo-vasculaires ; il existe quelques co
Nissl les montre normales. La moelle est très peu touchée. Aucune lésion n'est perceptible par l'héma. toxyline-éosine e
aît intéressante à plusieurs points de vue. Après avoir comparé les lésions squelettiques, musculaires, nerveuses et viscér
giques déjà données, nous nous attacherons à discuter la valeur des lésions de l'hypophyse, de la thyroïde, des surrénales, v
ans, il n'y avait aucune trace d'une reviviscence médullaire. Des lésions musculaires spéciales ont été signalées par Marti
du diamètre transversal des fibres qui atteignaient 130 micra, sans lésion du tissu con- jônctif. Il s'agissait en somme d
aire. Il nous pa- raît plus simple de rapprocher cette atrophie des lésions paralytiques du système nerveux que d'en faire
t dans la moelle des scléroses pseudo-systématisées, à Cagnetto des lésions dégénératives des cordons postérieurs (3), à Bo
.. , De ce qu'on pourrait citer encore d'autres observations où des lésions nerveuses existent chez des acromégaliques, on
port de nécessité avec l'acromégalie. Nous pensons en effet que les lésions nerveuses de notre malade ne dépendent pas de l
s nerveuses de notre malade ne dépendent pas de l'acromégalie. La lésion de l'hypophyse, dans notre cas, est certaine. Le
e premier point admis, deux questions restent à résoudre : 1* Les lésions du lobe antérieur de l'hypophyse interviennent-el
l'opinion des auteurs sur l'hypophyse facteur d'acromégalie. Les lésions de la pituitaire dans l'acromégalie sont très div
e savoir s'il existe un rapport constant entre l'acromégalie et les lésions pituitaires. (1) DURANT, il ! Traité d'anatomie
allet ET LAIGNEL-LAVAST1NE Or les auteurs ont rapporté des faits de lésions pituitaires sans acromé- galie et des cas d'acr
ésions pituitaires sans acromé- galie et des cas d'acromégalie sans lésions pituitaires. En premier lieu, il existe des lés
e fait nous paraît suffire expliquer ] 'apparente contradiction de la lésion hypertrophique de l'hypophyse sans acromégalie,
se basant sur des faits cliniques et expérimentaux, montre que les lésions destructives de la pituitaire ne donnent pas l'
'interprétation qu'on en donne, le fait est indéniable : toutes les lésions pituitaires ne sont pas suffisantes à produire l'
l'acromégalie. En second lieu, quelques auteurs soutiennent que les lésions pituitaires ne sont pas nécessaires pour produi
lle de l'hypophyse, ou l'hypothèse éclectique de causes diver- ses ( lésions pituitaires, thyroïdiennes, thymiques, etc.) pouv
u même symptôme. Klippel et Vigouroux, frappés de l'inten- sité des lésions hépatiques dans leur cas, pensent devoir faire jo
développement de la maladie première. Ces faits d'acromégalie sans lésion pituitaire ne cadrent pas avec l'opi- nion que,
n, d'acromégalie sans dilatation de la selle turcique et partant de lésion pituitaire. L'opi- nion conciliante de M. le Pr
éviation fonctionnelle de la pituitaire là où l'on ne trouve pas la lésion qu'on cherchait (2), n'aboutit, en fin de compt
des perturbations des fonctions anti- toxiques en rapport avec des lésions siégeant tantôt dans la thyroïde, tantôt dans l
tiples autopsies d'acromégaliques ou de géants où l'on a trouvé des lésions destructives. Mais l'argument thérapeutique par
at général. L'argument anatomique n'est pas plus convaincant. Les lésions destructives constatées aux autopsies ne sont pas
ionnement. Nous pensons donc qu'il y a plus de chances pour que les lésions du lobe antérieur du corps pituitaire intervien
orale. 192 BALLET ET LAIGNEL-LAVASTINE constate généralement des lésions . Les rapports intimes de la pituitaire et de la
sens que celle de la pituitaire, la thyroïde et les surrénales, les lésions observées dans les plexus choroïdes de notre ac
cités par Labadie-Lagrave et Deguy (loc. cit.), sans s'occuper des lésions surrénales, ont cité la fréquente coexistence de
oexistence de l'acromégalie et et de l'hypertension artérielle avec lésions vasculaires athéromateuses. Lortat-Jacoii et S,
r à la Société de Neurologie (mars 190.ij un cas d'acromégalie avec lésions kystiques de la pituitaire, goitre, adénome de la
portant. Sa mère, actuellement bien portante, ne présentant aucune lésion orificielle, a souffert de chloro-anémie avec p
de la tachycardie remarquée par l'accoucheur, mais l'existence d'une lésion cardiaque ne fut pas reconnue. Jusqu'à 10 mois
male, champ visuel aussi. Cyanose généralisée. A l'autopsie, aucune lésion valvulaire, mais dilatation et hypertrophie de
dans un cas de cyanose généralisée paroxystique,une hémorragie par lésion de l'artère méningée moyenne et le cas de vascu
bre. XVIII 14 1 202 VALOBRA chez des personnes qui n'ont aucune lésion du coeur ou des reins, sans lé- sion locale vis
santé parfaite. Il y a un an, petite chute accidentelle sans aucune lésion appréciable. Il y a neuf mois, il s'aperçut que
pirisme. Etant donné qu'aucun des malades observés ne présentait de lésion rénale, ni du coeur, ni des vaisseaux, ni même
oe- dème de la jambe de notre sixième observation étaient dus à des lésions nouvelles ou bien présentaient-ils des rapports
la colonne vertébrale ? Il y a lieu d'éliminer tout de suite une lésion osseuse (ostéomalacie, mal de Pott) dont on ne
uleur. Cette inflexion a été, au début, une réaction de défense. La lésion ma- térielle était minime ; les adhérences fria
e : à une cause dynamique, en quelque sorte au début, a succédé une lésion matérielle. Peut-être, même dans l'état où il
portant à l'autorité du professeur Erb, on devrait même trouver des lésions dans la substance grise de la moelle cervicale. D
ces causes. S'il est presque impossible d'affirmer l'existence de la lésion anatomo-pathologique centrale, il est, par cont
es dans le territoire des nerfs lombaires. D'ailleurs il existè des lésions du plexus lombaire, indépendantes de celles du pl
et des interprétation iëmfrrës et multiples ont été données de ces lésions . Tout le monde s'entend sur la fréquence des sc
re d'analogies dans la topographie des scléroses à des identités de lésions . Quand des observateurs également consciencieux
ement lom- baire ; elle ne saurait donc être mise sur le compte des lésions corticales de la paralysie générale ; c'est plu
re, pour Joffroy, Stojanowitch et Rabaud, sauf excep- tion (5), les lésions des cordons postérieurs dans la paralysie général
pport de M. Klippel, on peut voir qu'il reconnaît comme origine aux lésions spinales : « 1° les localisa- tions primitives
s. 1 or Groupe : Scléroses latérales. Les 4 cas suivants n'ont de lésions médullaires que dans les cordons antéro-latérau
lobe orbitaire. Les artères cérébrales ne présentent pas de grosses lésions d'athérome. Les circonvolutions cérébrales sont
nt cependant atrophiées. Pas de granula- tions épendymaires. Pas de lésions de ramollissement. Le poumon droit pèse 1430 gr
urs. A l'hé- matoxyline-éosine, comme au Nissl, on ne trouve aucune lésion dans le parenchyme médullaire. Au Weigert-Pal
s faisceaux pyra- midaux croisés avec prédominance d'un côté. Cette lésion est d'autant plus accentuée qu'on étudie des co
iveau, par l'hé- matoxyline-éosine et le Nissl, on ne décèle aucune lésion dans la moelle ; mais par le picro-carmin on vo
l'aire pyramidale croisée droite. 2. Obs. IV. Moelle dorsale. Mêmes lésions que figure 1. 3. Obs. IV. - Moelle lombaire. Sc
es régions. Rein. - Aspect vaso-paralytique typique. Pas d'autres lésions . 208 VIGOUROUX ET LAIGNEL-LAVASTINE 1 OBs.
gestionné à la base. Le coeur est mou, pèse 410 grammes, n'a pas de lésions valvulaires. Les reins, congestionnés, pèsent 3
s des faisceaux pyramidaux croisés seulement sous la dépendance des lésions encéphaliques. Il n'est pour ainsi dire pas de
ire pas de moelle de paralytique qui ne présente à quelque degré de lésions ana- logues. Il existe tous les intermédiaires
2e Groupe : Scléroses postérieures. Les trois cas suivants n'ont de lésions médullaires que dans les cordons postérieurs. '
peu près générali- sée, sauf à leur partie antérieure. En outre, la lésion est moins accentuée au niveau d'une petite zone
e aortique ; agi- tation très vive ; embolie de l'artère humérale ; lésions de tabès incipiens et méningo-my élite (1). M
e, les fibres des cordons postérieurs sont fortement altérées. Leur lésion porte sur une grande partie du cordon, respecta
onnes de Clarke. Les cordons antéro-latéraux sont indemnes de toute lésion . Quant aux cor- dons postérieurs, ils sont fort
nombreux tubes dégénérés, dont quelques-uns très volumineux. Ces lésions offrent la topographie suivante : elles respecten
s, la pie-mère est épaissie et infiltrée de cellules embryonnaires, lésions surtout marquées à la partie postérieure, dans
dons postérieurs un très grand nombre de fibres sont dégénérées. La lésion est diffuse et ne respecte que la zone cornu-comm
anifestement altérée. 4° Cerveau. Les coupes du cortex montrent des lésions caractéristiques de paralysie générale. La pie-
nte. La 3e sclérose est aussi une sclérose tabétique. Elle en a les lésions sys- tématiques, les localisations dans les rac
o Groupe : Scléroses combinées. Les six cas suivants présentent des lésions médullaires dans les cordons postérieurs et les
figure) des faisceaux pyramidaux. 3. Obs. IX. Moelle dorsale. Mêmes lésions de sclérose que dans la moelle cervi- cale avec
ure. Sclérose postérieure du tabes incipiens un peu masquée par les lésions diffuses de méningo-myélite de la moitié postér
219 l'hématoxyline-éosine, le Nissl, le Weigert décèlent de grosses lésions in0am- matoires : infiltration de petites cellu
ventricule présente des granulations épendymaires. Mais la grosse lésion , visible à la méthode de Weigert, est la dégénére
(pl. XXXIV, fig. 2). Dans la région dorsale on constate les mêmes lésions de sclérose et en plus un gros foyer récent de
faisceau pyramidal (pl. XXXIV, (ig : 4). Les reins présentent des lésions de sclérose. SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DE
ux superficiels. Le coeur pèse 300 gram- mes, il ne présente pas de lésions des orifices ; il y a de l'aortite chronique. (
Au point de vue anatomo-pathologique, on trouve dans la moelle les lésions du tabes incipiens, c'est-à-dire la sclérose de
aires moyennes (bandelettes de Pierret), mais, en plus, on voit des lésions dans la partie interne des cordons de Goll, dan
faisceaux pyrami- daux croisés sont dégénérés et de plus il y a des lésions de tabes incipiens : sclérose des bandelettes e
Les cellules des noyaux des X8 et XIIe paires sont normales. Pas de lésions appréciables au Weigert. Cerveau. Les méninge
n neuronophagie, chromatolyse et achromatose. Moelle dorsale. Les lésions sont les mêmes que dans la moelle cervicale, mo
due que dans les régions cervicale et surtout dorsale. Nissl. Les lésions des cellules nerveuses sont énormes : chromatolys
é, leur élection sur les bandelettes externes, leur régularité, des lésions des cordons postérieurs décrites par Joffroy et
n est pas de même pour les cordons latéraux. : Dans le 1er cas, ces lésions sont diffuses, et dépassant les aires pyrami- d
t diffuses, et dépassant les aires pyrami- dales, font penser à des lésions primitivement médullaires. Et, de fait,on trouv
ale et le bulbe au faisceau cérébelleux direct. Dans le 2° cas, les lésions des cordons antéro-latéraux sont plus com- 230
....) il y a à la fois sclérose des faisceaux pyramidaux, suite des lésions diffuses de l'encéphale et des altérations des co
vait déjà peut- être de l'inflammation méningo-radiculaire, car les lésions des racines postérieures peuvent à elles seules
es. des cordons postérieurs, comme la méningite, qui accompagne ces lésions des racines postérieures, peut entraîner une dégé
ous avons vu la raréfaction des fibres pyramidales consécutives aux lésions d'encéphalite diffuse. M. Klippel est, avec Sta
Géier, et quelques au- tres, un des rares auteurs à signaler cette lésion . Nous avons vu aussi la dégénérescence massive
a dégénérescence massive des faisceaux pyramidaux secondaires à une lésion encéphalique en foyer ou à une pachy-méningite
ndaires, soit à des foyers de leuco-myélite, ou de méningo-myélite, lésions sur lesquels insistent Pierre Marie, Guillain et
pas employé seulement par opposition à la sclérose secondaire à une lésion extra-médullaire, nous ne l'acceptons pas. Comme
ser passer un foyer de myélite souvent très circonscrit, qui est la lésion capi- tale dont toutes les autres dérivent. N
(Tabo- paralysie de Fürstner). A côté de tabes anciens sans autre lésion médullaire appréciable, nous avons vu des tabes
is- ceau pyramidal par ramollissement encéphalique. Nous avons vu lésions tabétiques jeunes et lésions de paralysie géné-
llissement encéphalique. Nous avons vu lésions tabétiques jeunes et lésions de paralysie géné- rale jeune n'être que les de
e la moelle et particulièrement des cordons postérieurs que par des lésions pseudo-systématiques répon- . dant à la concept
maladies nerveuses, caractérisées par la systémati- sation de leurs lésions , tend à se substituer une idée plus large faisant
yons-nous pas,dans le cas par- ticulier que nous avons envisagé des lésions médullaires chez les paraly- liques généraux, c
isagé des lésions médullaires chez les paraly- liques généraux, ces lésions varier avec la rapidité de l'évolution dela mal
Brissaud, concerne un paralytique générât dont la moelle « par ses lésions peut être placée entre les tabes vrais et les p
Blois 1 G. PETIT et COQUOT Professeurs à l'Ecole d'Alfort. Les lésions bien observées des animaux domestiques peuvent je
troubles moteurs, sensoriels et mentaux tels que le diagnostic des lésions causales put être fait très exactement; l'autop
immédiatement après la mort. 23H MARCHAND, PETIT ET COQUOT Aucune lésion n'est relevée du côté des organes thoraciques et
e opalescente.Légères adhé- rences de la pie-mère au cortex. Pas de lésions vasculaires apparentes sur les vaisseaux de la
olorations au picro- carmin et à l'hématoxyline de Delafield. Les lésions observées sont diffuses, mais ont une prédominanc
pa- rois vasculaires. Dans le lobe olfactif, on trouve les mêmes lésions inflammatoires que dans les autres parties du c
rplasiée par places dans la couche moléculaire. 2° Lobe gauche. Les lésions inflammatoires sont plus accentuées que celles
en coupes sériées, traitées par la méthode de Weigert-Pal. Pas de lésions des pédoncules cérébelleux supérieurs et inférieu
ne légère sclé- rose des faisceaux pyramidaux croisés. Pas d'autres lésions des cordons. Les vaisseaux, et principalement c
ut à la périphérie des ganglions. Les symptômes provoqués par les lésions partielles des lobes cérébel- leux sont encore
ents de manège et de ro- tation paraissent provoqués surtout par la lésion du cervelet et de ses pé- doncules ; mais, dans
e traumatisme physiolo- gique montre quels sont les symptômes d'une lésion survenue brusque- ment, et non pas la successio
que- ment, et non pas la succession des symptômes provoqués par une lésion dégénérative à évolution lente. Dans notre ca
ar une lésion dégénérative à évolution lente. Dans notre cas, une lésion inflammatoire portant sur les circonvolutions a
de la protubérance du côté gauche, c'est-à-dire du côté même de la lésion , sont disparues en presque totalité dans la par
droite. Cette constatation est des plus précises, car aucune autre lésion dégénérative due à la lésion cérébelleuse n'a pu
st des plus précises, car aucune autre lésion dégénérative due à la lésion cérébelleuse n'a pu être relevée dans les autre
xamen histologique du système nerveux de notre sujet montre que les lésions observées sont comparables, en tous points, à c
aralysie générale chez l'homme. La consta- tation chez le chien des lésions d'une maladie, sur l'étiologie de laquelle les
elle « la maladie des chiens », montre qu'une affection cérébrale à lésions bien définies peut être produite par diverses m
hien primitivement atteint d'une maladie microbienne déterminée, de lésions inflammatoires identiques à celles qui sont d'ord
topsie démontra qu'il s'agissait, dans le cas de M. Dejerine, d'une lésion corticale pla- que jaune de la région rolandiqu
tes. Le coeur, d'apparence absolument normale, ne présentait aucune lésion orifi- cielle, ni modifications de coloration o
anormale. Examen histologique. On ne constate au microscope aucune lésion de la rate, du corps thyroïde et du thymus ; ce
r ces différents procédés nous n'avons pas pu mettre en évidence de lésions cellulaires ou de lésions de dégénérescence fasci
nous n'avons pas pu mettre en évidence de lésions cellulaires ou de lésions de dégénérescence fasciculaire récente ou an- c
es et évolutifs, par sa terminaison mortelle même, par le néant des lésions anatomiques, notre cas appartient sans conteste
re anatomique de la myasthénie,puisque nous n'avons constaté aucune lésion du système nerveux central ou périphérique. Nous
autres, cités par Guillain dans son remarquable article, ont vu des lésions cellulaires nettes. Mais, à côté de ces faits,
côté de ces faits, la majorité des observateurs n'ont relevé aucune lésion . Indépendamment de ce caractère négatif fondament
permis à certains auteurs d'établir l'existence, de deux ordres de lésions extra- nerveuses. D'une part, des tumeurs à siè
de nature histolo- gique très dissemblable ; et, d'autre part, des lésions musculaires. Les tu- meurs observées ont été so
ymi- que (Laquer-Weigert, Hansermann, Hun-Bloomer et Streeter). Les lésions musculaires enregistrées dans les cas de Goldfl
par des infiltrations cellulaires entre les fibres musculaires, ces lésions ont été interprétées comme des métastases de la
comme des métastases de la tumeur constatée dans ces cas. Mais ces lésions musculaires ne sont pas constantes et Goldflam,
ladies infectieuses, elles se sont continuées après la guérison des lésions locales originales. La faiblesse des réactions
portant. Nous résumerons plus tard, à propos de la localisation des lésions , nos connaissances sur la présence des oedèmes
reins, et nous avons dit aussi qu'elles ne s'accompagnent jamais de lésions anatomiques ou fonctionnelles des gros vaisseaux
re l'ur- ticaire à l'influence du système nerveux pour en faire une lésion due à l'inflammation et à l'embolie locale des
as songer que, suivant les cas, les mêmes phénomènes soient dus aux lésions d'un système différent. LES OEDÈMES CIRCONSCRIT
rquables par leur dureté ». Mais lorsqu'il s'agit des maladies avec lésions profondes etanatomiques du système nerveux, il
sont propres des formes toxiques et névrosiques dans lesquelles des lésions peu profondes don- nent lieu à des phénomènes p
bles. Si nous trouvons parfois des observations de trophoedème sans lésion démontrable du système nerveux,' nous avons une
e nerveux,' nous avons une série d'observations dans lesquelles les lésions anatomi- ques de la moelle ont certainement sou
e inférieur (pied succulent de Crocq) lorsque change le siège de la lésion . La main dont nous donnons la reproduction photog
la conséquence d'une altération passagère de la même région dont la lésion définitive produit l'oedème nerveux persistant.
serve parfois des oedèmes chroniques de l'articulation de l'épaule ( lésion de la moelle cervicale) sans lésion des os, bien
de l'articulation de l'épaule (lésion de la moelle cervicale) sans lésion des os, bien circonscrits. Ces oedèmes seraient
a marche de la lymphe dans ses vaisseaux ; il s'agit toujours d'une lésion des voies lymphatiques L 'I-leïzdy (11 G), Calder
atiques L 'I-leïzdy (11 G), Calderoni (118), Alard (117)]. Et cette lésion est bien primitive, tandis que la dilatation et l
qu'on peut voir les mêmes altérations se produire à la suite d'une lésion mécanique(évidage des glandes lymphatiques aux
ES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 277 i gnent toujours de lésions secondaires des lymphatiques « avec stase, et f
peut disparaître. Mais par la répétition du même processus, par la lésion plus profonde des lymphatiques, cet oedème spécia
trophoedème se fait pour une stase de la lymphe qui a lieu pour une lésion nerveuse, et les travaux de l'école de Brissaud n
côté morphologique : cette analogie s'explique par l'identité de la lésion locale qui consiste dans une stase de la lymphe
es fonctionnels se présentent d'une façon sporadique à la suite des lésions anatomiques des centres mêmes. Nous devons à
plus grande partie des phénomènes sécréteurs et vasomoteurs, cette lésion 280 VALOBRA , .doit être en dernière analyse
ion 280 VALOBRA , .doit être en dernière analyse secondaire à une lésion anatomique ou bien fonctionnelle bulbo-médullai
irmation générale. Mais nous pouvons localiser ultérieurement cette lésion : Dans la syrin- gomyélie, syndrome morbide qui
a syrin- gomyélie, syndrome morbide qui peut être déterminé par des lésions diverses ayant un siège commun, l'éruption des
r à cet ordre de phénomènes. La variation parallèle du niveau de la lésion avec le siège des phénomènes cutanés (urticaire,
e l'omoplate, analogue à celle de la mère, mais bilatérale comme la lésion , et proportionnellement plus accentuée (voir le
és et pupillaires, l'acuité visuelle sont normaux. Pas de signes de lésion du faisceau pyramidal, pas de troubles de la se
on classique pour atteindre d'autres points osseux, ou exagérer ses lésions locales comme au niveau du crâne de l'enfant décr
oudure de la voûte palatine chez certains. 3° L'unilatéralité de la lésion claviculaire chez la mère, doit être signa- lée
ie claviculaire ; très appa- rente et bilatérale chez les enfants à lésion claviculaire double, elle est plus marquée du c
sostose cléido-crânienne le cas de notre plus jeune enfant dont les lésions crâniennes typiques ne s'accompagnent pas d'aplas
II. Signes fonctionnels de la méningite. III. Actions mécaniques et lésions de voisinage : Attitude ; hémicrânie et exorbitis
an- glions rachidiens et des nerfs ; ils ont ainsi passé à côté des lésions propres de la maladie, les signalant parfois sa
de groupes secondaires. Ces distinctions, fondées sur l'étendue des lésions destructives, nous paraissent à l'heure actuell
ermet de désigner par un mot tout un aspect extérieur. Lorsque la lésion est limitée à l'encéphale - au moins à la vue sim
'il y ait lieu de tenir compte de l'étendue et de la profondeur des lésions . Cette similitude ressort non seulement de la c
s raisons de cet exorbitisme ; ils ont invoqué, en particulier, les lésions des nerfs oculo-mo- teurs, sans se rendre compt
latissement frontal tiennent, pour une grande part, à l'étendue des lésions encéphalo-crâniennes. Celles-ci s'avancent plus o
atés, gorgés de sang, entourant une moelle presque indemne de toute lésion , est - un fait très important qui n'a pas suffi
le, les divers procédés de coloration ne mettent en évidence aucune lésion importante. La moelle est encore relativement int
vasculaire. - M. p. Méninge postérieure. 376 RABAUD d) Nature des lésions . Telle est, dans son ensemble, la marche des proc
aucune façon être un élément de doute relativement à la nature des lésions . L'anatomie pathologique de la mé- ningite repo
les plus invraisemblables. 2° Variations diverses. La nature des lésions étant ainsi établie, nous pouvons tenir compte de
antes cependant à noter. a) Méningite segmentaire. - Les cas où les lésions méningitiques augmentent progressivement d'inte
e, les ganglions spinaux, contrairement au cas général, offrent des lésions assez marquées. Sur la même coupe, ou sur les p
re ici inflamma] tion et inflammation marquée, mais l'intensité des lésions est notablement moin- dre, c'est une intensité
mentaire. Il n'y a pas, sans doute, de segments indemnes ; mais les lésions subissent deux alternatives d'aggravation et d'at
tôt, soit qu'ils aient marché plus rapidement, l'oeil présente des lésions assez accen- tuées. 4° Marche générale du pro
fait qu'il n'y a pas une transition graduelle et ménagée entre les lésions mé- dullaires et les lésions crâniennes. Quelle
nsition graduelle et ménagée entre les lésions mé- dullaires et les lésions crâniennes. Quelle que soit l'étendue des hémorra
où se trouve le tissu nerveux. D'ailleurs, la discordance entre les lésions de la pie-mère et celles de la moelle ne laisse p
pondant à des grains de névroglie. Mais si la discordance entre les lésions pie-mériennes et les lésions médul- laires est
glie. Mais si la discordance entre les lésions pie-mériennes et les lésions médul- laires est un peu moins accentuée, il es
acteur immédiat du processus dégénératif. En effet, l'intensité des lésions de la pie-mère rachidienne ne suffit pas à ex-
intérêt de savoir quels faisceaux sont ou ne sont pas atteints. Les lésions im- médiates de la moelle interviennent nécessa
). Elles seront conservées dans l'eau de lavage (2). L'aspect des lésions nous a semblé peu modifié. Les dégénérescences mé
re appuyée aujourd'hui que par la seule autop- sie d'Eichhorst, les lésions que l'on trouve dans de pareils cas étant d'or-
blants, inhabiles. A l'autopsie, faite en 1875, on ne trouva aucune lésion de l'axe cérébro-spinal, macroscopique ou micro
lus de ressemblances. Nous devons nous demander maintenant à quelle lésion anatomique correspond ce tableau clinique. Ici,
ée à une sclérose des cordons de Goll dans la région cervicale. Les lésions ne dépassèrent guère la moelle. Dans le pre- mi
l s'agit encore d'une sclérose combinée. Si d'ordinaire on voit les lésions restées localisées à la moelle, il.n'y a rien d'i
. Nous croyons pouvoir éliminer chez nos malades, la présence d'une lésion méningée quelconque vu le résultat absolument n
use, au Charcot- Marie, on en trouve d'autres qui font supposer des lésions ou des insuf- fisances fonctionnelles multiples
Dejerine-Solas). Par contre, la possibilité d'une absence totale de lésions (Westphal), ou l'exis- tence d'un simple nanism
ensemble de signes qui con- duisent inévitablement au diagnostic de lésion bulbaire, probablement bilatérale, mais prédomi
en même temps que sur le trijumeau, de même que chez mon malade la lésion a porté à la la fois sur le facial et l'hypoglo
sme consécutif à une névralgie faciale reconnaissant pour cause une lésion siégeant dans la partie extra-bulbaire du trijume
u trijumeau et limitée à ce nerf. Je ne crois pas non plus qu'une lésion du système nerveux siégeant au-dessus du noyau
système nerveux siégeant au-dessus du noyau du facial, telle qu'une lésion corticale, puisse produire un hémispasme facial
sert pour désigner la variété d'hémiparalysie de la face liée à une lésion de ces mêmes organes. D'ailleurs je suis porté à
aisée entre ces troubles mus- culaires purement fonctionnels et une lésion organique de la jointure. Les faits concernant
l muscle entre-t-il en contracture ? Le trauma a-t-il déterminé des lésions , des fibres musculaires ont-elles été rompues,
indolore et nous avons alors un bon élément de diagnostic, car une lésion ostéo- articulaire ne provoque en somme de cont
de vicieuse par con- tracture musculaire à début brusque, qu'aucune lésion antérieure ne permet d'expliquer, qu'aucune lés
usque, qu'aucune lésion antérieure ne permet d'expliquer, qu'aucune lésion organique traumatique ne peut légitimer, puis-
s portèrent sur le sol. Il rentra à la maison sans présenter aucune lésion appa- rente. Son épaule seule était légèrement
cause de ce torticolis. Etait-il d'ordre réflexe, y avait-il une lésion quelconque de voisinage pouvant lui donner nais
on à début lent. On éliminait ainsi toute arthrite cervicale, toute lésion pharyngienne, toute adénite cervicale. Pouvait-
e la brusquerie du début, qui suivit immédiatement le trauma, à une lésion de la colonne vertébrale, luxation, entorse ? T
uméfaction nettement localisées à l'endroit lésé, et d'ailleurs ces lésions ne sauraient provoquer une contracture aussi pron
une fois dans un groupement musculaire insolite, paradoxal ; aucune lésion nerveuse centrale ou péri- phérique ne permetta
e ca- pable d'en imposer pour un mal de Pott, c'est-à-dire pour une lésion d'ordre chirurgical, et de montrer comment nous
tard, se produisent d'autres manifestations. Chez nos malades, les lésions pseudo-chirurgicales pour lesquelles nous avons é
rachitisme et l'on expliquait leurs aspects variés par le début des lésions à une époque plus ou moins précoce du développeme
istincte dont les caractères cliniques étaient : la micromélie, les lésions du crâne, l'éburnation des os longs, l'ab- senc
rches de Kassowitz qui avait montré chez le foetus la précocité des lésions du rachitisme vrai. En 1889, Porak reprend cett
ée, celui de S. Miiller, qui attire l'attention sur l'importance de lésions périostales dans un certain nombre de cas publi
jugaison, et la 4$ ? PORAK ET DURANTE dystrophie I)éi,iostale par lésions des ostéoblastes avec intégrité des cartilages
terrain, s'est portée sur la pathogénie et le point de départ de la lésion osseuse. La diversité des lésions observées expli
ogénie et le point de départ de la lésion osseuse. La diversité des lésions observées explique la divergence des opinions;
le devient aujourd'hui insuffisante en pré- sence de la variété des lésions observées dans les différents cas. Si, au point
opposer la chondrodystrophie à l'ostéogénèse imparfaite relevant de lésions de l'os compact. L'un de nous a proposé de divi
seulement sur des caractères cliniques propres, mais aussi sur des lésions histologiques particulières, nous croyons 4SU l
ombe, du reste, naturellement par la connaissance plus complète des lésions carac- téristiques de l'achondroplasie. L'étude
ent L en imposer par la brièveté des membres, et de reconnaître les lésions sura- joutées qui compliquent parfois le tablea
. (fig. 4). Les déformations y sont rares à moins de coexistence de lésions os- seuses autres venant compliquer l'achondrop
o-achondroplasie, on est donc en droit d'admettre l'existence d'une lésion surajoutée du système nerveux venant compliquer l
ez le malade de 23 ans de Launois. C. CARACTÈRE DU SQUELETTE. Les lésions macroscopiques du squelette achondroplasique, sig
ez typiques pour pouvoir être facilement reconnus et distingués des lésions rachitiques et myxoedémateuses avec lesquelles
quelette, fig. 4). Elles relèvent, en effet,de l'évolution même des lésions histologiques que nous étudierons plus loin. L'
ns mal que les autres, ainsi que le montre l'intensité variable des lésions dans les diverses épiphyses et l'irrégularité d
ent une légère asymétrie du bassin. Il est facile d'interpréter ces lésions . Les os du bassin participent à la micromélie p
ller en Allemagne, de G. Durante et de Spill- mann en France. Ces lésions microscopiques, aujourd'hui bien déterminées, au
asie est seule en cause ou s'il s'agit de formes mixtes où d'autres lésions osseuses sont venues com- pliquer la lésion pri
mes mixtes où d'autres lésions osseuses sont venues com- pliquer la lésion primitive. Dans le rachitisme, les lésions para
venues com- pliquer la lésion primitive. Dans le rachitisme, les lésions paraissent porter avec une prédilection toute s
sont les os longs qui sont alté- rés au maximum. On retrouvera des lésions du même ordre à l'examen histo- logique de la c
suite de genn valgum expérimental. 3° Autres organes. En dehors des lésions du squelette, les autres orga- nes ne présenten
rouvera le détail dans les observations concernant ces malades. Les lésions que nous y avons relevées étaient des lésions ban
nant ces malades. Les lésions que nous y avons relevées étaient des lésions banales [(congestion, hémorrhagies récentes, in
our pouvoir leur attribuer les altérations osseuses. Mais ces mêmes lésions d'ordre congestif et inflammatoire existaient éga
lièrement dans le foie, le rein et les muscles. L'ensemble de ces lésions est intéressant en ce qu'il semble parler en fave
celui de dysplasie périostale, car, ainsi que nous le verrons, les lésions épipbybaires résultent peut-être davan- tage d'
tant anciennes que récentes, comme dans le cas de Chaussier. - C. Lésions histologiques. 1° L'ossification chondrale est en
rs. L'examen histologique des os nous montra l'absence complète des lésions caractéristiqnes de l'achondropla- sie et l'exi
es lésions caractéristiqnes de l'achondropla- sie et l'existence de lésions rachitiques typiques. Les causes qui peuvent dé
. 4° Formes complexes. Il est un petit nombre d'observations où les lésions cartilagineuses achondroplasiques s'accompagnen
crits plus haut, que dans l'achondroplasie vraie et paraît être une lésion pathognomonÙ/lte de cette affection il sa période
que l'hyper- trophie de cette glande entraîne le gigantisme ; Par lésion du foie et de la rate (Gilbert, Hasenclaver, Haye
rate (Gilbert, Hasenclaver, Hayem, Lereboullet, Lancereaux) ; Par lésion de reins (Souques et Castaigne) ; Par lésion de
Lancereaux) ; Par lésion de reins (Souques et Castaigne) ; Par lésion des capsules surrénales (Morlat) ; Par lésions
et Castaigne) ; Par lésion des capsules surrénales (Morlat) ; Par lésions cardiaques (Gilbert et Rathery, Ferramini, Caille
. Pour Brissaud, ces infections entraîneraient le nanisme moins par lésions osseuses que par lésions thyroïdiennes et condi
ctions entraîneraient le nanisme moins par lésions osseuses que par lésions thyroïdiennes et conditions générales défectueuse
is- tence.de ces deux formes pathologiques. Histologiquement, les lésions rachitiques des épiphyses sont l'opposé de cel-
sont pas le point de départ d'apposition régulière d'osséine. Les lésions rachitiques, dont le siège de prédilection est le
retrouvé, soit léger comme surprise histologique, soit marqué avec lésions ma- croscopiques, chez plusieurs nouveau-nés.
isé en se basant sur la topographie et la nature si différentes des lésions . 520 PORAK ET DURANTE An point de vue anatomo
formée par suite d'une résorption excessive des travées osseuses. Les lésions respectent les épiphyses et intéressent les os
ne première période, toutes les dystrophies osseuses, en dehors des lésions syphilitiques classiques, sont du rachitisme. Le
le, car, à aucune période de son évolution celui-ci ne présente les lésions de l'achondroplasie. Si, en 1900, nous avons re
entôt conduit à éliminer toute analogie entre ces deux maladies. La lésion essentielle de l'achondroplasie est une sclérose,
tilage de conjugaison possède une vitalité normale ou exagérée ; la lésion essentielle est une absence d'ossification des
e lamelles osseuses. L'achondroplasie, en tant que sclérose est une lésion organique destructive au même titre que toutes
se semblable (tuberculose, syphilis, etc., etc.), agissant, ici par lésion directe, là, indirectement par altération des cen
ment, ne servent qu'au modelage osseux. Elle ne serait donc pas une lésion dégénérative destructive ! comme l'achondroplas
maternelle^) Cette hypothèse, que rend plausible la nature même des lésions histologiques, est appuyée par l'état pathologi
s une syphilis récente, l'autre fois une tuberculose chronique avec lésions intenses du foie et des reins. Mais la nature
ent jamais été,jusqu'ici, le sujet de recherches histologiques. Les lésions médullaires sont, en effet, susceptibles d'entr
ans deux observations étudiées spécialement à ce point de vue « les lésions des centres étaient carac- térisées par de la c
n, des hémorrhagies récentes, une infiltration de petites cellules, lésions trop récentes et trop diffuses pour pouvoir être
d'une altération secondaire du cartilage par l'intermédiaire d'une lésion glan- dulaire et en proposant de faire rentrer
avons vérifié son intégrité. Ainsi qu'on le voit, l'hypothèse d'une lésion glandulaire spéciale, soit chez la mère (leéréd
t, jusqu'à preuve du contraire, plus probable vu la nature même des lésions histologiques. Les troubles glandulaires entraî
elle des toxines glandulaires, le plus souvent elles entraînent des lésions inflammatoires et de la sclérose. Lorsque 528 P
fection, et cette hypothèse nous paraît confirmée par la présence des lésions congestives et inflammatoires que nous avons co
rosante. La syphilis congénitale détermine, chez le nouveau-né, des lésions osseuses de nature très variable. Si les unes s
ar les infec- tions les plus diverses. Il y a donc lieu, à côté des lésions syphilitiques des os, de décrire les lésions os
donc lieu, à côté des lésions syphilitiques des os, de décrire les lésions osseuses du syphilitique, au même titre que l'on
que nous avons eu l'occasion d'examiner, plusieurs, sans offrir de lésions spécifi- ques, étaient altérès. Chez les uns ex
e de la zone de rivulation qui ressemblait étrangement au début des lésions achon- . droplasiques. La syphilis semble donc,
c, en tant qu'affection sclérosante,suscep- tible de déterminer des lésions très analogues à celles de l'achondroplasie. Elle
l'achondroplasie est toujours syphilitique, qu'elle représente une lésion proprement spécifique de l'os em- bryonnaire. D
t un signe de syphilis : N'oublions pas que la syphilis, à côté des lésions spécifi- ques donne naissance à des altérations
, l'alcoolisme, etc., etc., sont susceptibles d'entraîner les mêmes lésions scléreuses. Il nous semble donc, en résumé, que
gir de même. On ne saurait donc regarder l'achondroplasie comme une lésion spécifique, mais simplement comme une sclérose d'
entiques à celles qui parfois se développent secon- dairement à des lésions des centres nerveux et qui rentrent dans la catég
, cette déviation de l'activité cellulaire est acquise et relève de lésions centrales, dans d'autres elle est congénitale,
lle, et donnent naissance à des trou- bles trophiques distincts des lésions précédentes. ' L'hérédité de l'achondroplasie,
ier séparément : ' a) Les caractères histologiques, la nature de la lésion considérée en elle- même. b) La localisation
e la lésion considérée en elle- même. b) La localisation de cette lésion . - Cette localisation est parfois déterminée pa
deviendra paralytique général, tandis qu'un autre succombera à des lésions hépatiques ou rénales. On invoque alors un état d
syphilis du nouveau-né se manifestant par des plaques muqueuses, des lésions cutanées, des gommes dans divers organes. Cette
ransmission d'un virus encore très actif. Tantôt, au contraire, les lésions se localisent sur un système qui sera seul affe
lles. Nous avons, dans ce travail, cherché à élucider la nature des lésions achon- droplasiques vraies afin de les distingu
ieuse. 6° Possédant des caractères cliniques propres et relevant de lésions his- tologiques distinctes, ces dystrophies oss
uistik d. sog. foet. Rachitis. Zurich, 1897. GHtLLii. Influence des lésions nerv. sur le développ. des os (Soc. de Biol., 189
hysiol. nornx. et path., IV, 1871- 1872). L'achondroplasie et les lésions osseuses de la syph. héréd. et du rachitisme (Arc
ette dernière il exis- tait une dégénérescence aiguë du foie et des lésions rénales de nature toxique. L'autre était attein
foetus ces auteurs ont observé, outre les altérations osseuses, des lésions nerveuses qui tendraient, d'après eux, à démont
sont arrêtés dans leur développement, quelle est la rai- son d'une lésion si systématisée ? Et la réponse la plus vraisembl
areil, il ne pouvait pas mar- cher. L'appareil produisait aussi des lésions de la peau par compression. On le changea souve
résente au contraire des altérations morphologiques symétriques aux lésions décrites dans la main droite : anomalie de forme
audrait être doué d'une forte dose d'imagination pour songer qu'une lésion du système nerveux eut produite toutes les alté
ue lorsque une cause quelconque produit une dévia- tion ou bien une lésion d'un segment de membre, elle produit aussi pres
ation, qui présente unies à la syndactylie et à la polydactylie des lésions congénitales sur la production desquelles on ne
travaux récents presque tous les auteurs se rallient à la théorie des lésions amniotiques tandis que la théorie atavique est
de Reil, le stratum superficiale et profundum ne présentent aucune lésion appréciable. Le stratum complexum au contraire
et sous-lobaire postéro-inférieur. Sur des coupes plus latérales la lésion est moins étendue et épargne aussi les axes des
érébelleuse est, elle aussi, assez petite, mais elle pré- sente une lésion très évidente ; sa moitié externe n'est pas color
ne petitesse, le pédoncule cérébral 590 CATOLA ne présente pas de lésions appréciables. Seulement sur une coupe passant au
par le corps de Luys et le noyau rouge, il n'y a pas la plus petite lésion . Corticalité cérébelleuse. Les trois couches de
t présente une gliose périvasculaire plus ou moins pro- noncée. Ces lésions sont généralement plus accentuées au niveau des z
s 1/5 des fibres nerveuses colorées, c'est-à- dire le même degré de lésion que sur les coupes précédentes. A gauche, au co
a commissure grise. A la 42e racine dorsale on retrouve les mêmes lésions qu'au niveau de la 6e et des autres intermédiai
e et des autres intermédiaires (PI. LXII). Cependant à ce niveau la lésion des faisceaux pyramidaux directs est un peu plu
e couche ; dégénérescence de différents fais- ceaux dans la moelle; lésion de la pie-mère et de la couche névroglique sous
sion de la pie-mère et de la couche névroglique sous-pie-mérienne ; lésions vasculaires et périvasculaires. L'atrophie du c
partie scléreuse, d'une origine vasculaire : à ce dernier égard les lésions des vaisseaux et des zones périvasculaires nous t
ous témoi- gnent le fait avec une évidence non douteuse. Pour les lésions médullaires nous pensons aussi à un processus d'u
t de la commissure grise. Somme toute, nous avons dans ce cas une lésion à localisation multiple réalisant au même temps
antes comme le tabes ou la paralysie générale. II fait voir que les lésions de méningo- myélite signalées par Raymond et qu
rophie marquée de l'éminence thénar. Trois ans plus tard, une autre lésion qui s'était installée peu à peu avait acquis to
i vient d'être dit pour le côté droit. Le deltoïde présente la même lésion qu'à droite, un peu moins marquée et le grand p
es mus- cles atteints. 598 LANNOIS L'examen révèle en outre des lésions cutanées et osseuses très importantes. A la par
s points où ces cicatrices sont adhérentes, démontre la présence de lésions extrêmement marquées : au radius droit l'os est
, avec une grosse exostose à la région moyenne et postérieure. Même lésion , mais encore plus accentuée du cubitus gauche q
us dispensent d'une plus longue description. Il est évident que ces lésions cutanées et osseuses sont de nature syphiliti-
accusé. Il est ce- pendant affirmatif sur ce point que la première lésion de la peau, celle de la jambe droite, est appar
l'évolution se continue 16 ans après le début. Il est por- teur de lésions cutanées et sous-cutanées (cicatrices de gommes,
t sous-cutanées (cicatrices de gommes, rétractions palmaires) et de lésions osseuses qui ne laissent aucun doute sur la gra-
laire ne pour- rait-elle pas être simplement sous la dépendance des lésions osseuses, avoir été déterminée par elles ? Gela
vraisemblable, car chronologiquement l'atrophie a débuté avant les lésions de la peau et des 600 LANNOIS os. D'autre par
es 600 LANNOIS os. D'autre part il n'y a pas de rapport entre les lésions des muscles et des os : les triceps ont disparu
es muscles et des os : les triceps ont disparu sans qu'on trouve de lésions des humérus et les énormes lésions qu'on voit s
ont disparu sans qu'on trouve de lésions des humérus et les énormes lésions qu'on voit sur les tibias n'ont pas déterminé d'a
préciable. Il nous parait donc plus logique d'admettre que les deux lésions ont évolué indépendamment l'une de l'autre ou que
s occupe en ce moment n'a pas eu de douleurs véritables, malgré ses lésions osseuses, et l'affec- tion évolue chez lui depu
ré l'attention dont certains des auteurs ont décrit et représenté les lésions inflammatoires dont elle est le siège. Toute di
crâniennes, ensuite les méninges rachidiennes. De la pie-mère, les lésions se propagent en dehors vers les enve- loppes co
roubles intenses, et la mort survient rapidement à un moment où les lésions pie-mériennes existent presque seules, à peine
ses influences. II. SIGNES FONCTIONNELS de la MÉNINGITE. A ces lésions anatomiques, tardives ou précoces, à marche lente
issent au moins déplacées, étant données la nature et l'étendue des lésions , Respiration de Cheynes-Stockes, crises convulsiv
isant chez tous les pseudencéphaliens. III. Actions mécaniques ET lésions DU voisinage. Dès lors, tenant compte tant de c
estruction est la consé- quence directe du mode d'envahissement des lésions méningitiques. Celles-ci cannent progressivemen
tion dont la structure nous est connue. Des membranes osseuses, les lésions se propagent à la peau : nous savons que, d'une
de l'éclosion de la mé- ningite et à la rapidité de propagation des lésions . Ces deux conditions secondes interviennent ens
r les cartilages occipitaux; mais ceux-ci, éloignés encore de toute lésion , et par suite forte- ment reliés les uns aux au
a méningite s'est propagée du sommet sur la base ; mais lorsque les lésions en arrivent à être suffisamment étendues pour dim
'autre, délimitant le trou occipital. La vitesse de propagation des lésions entre ici seule en ligne de compte; il n'est gu
'il faille faire également intervenir un retard dans l'éclosion des lésions , car ce retard aurait pour conséquence immédiate
t t directement de la méningite : les premiers dérivent surtout des lésions de voisinage qui détruisent purement et simplem
condaire. Le rachischisis ne peut donc être mis sur le compte d'une lésion de voisinage comparable à celle qui supprime la v
les-, PATHOGÉNIE DE LA PSRUDENCÉPHALIE ET DE L ? NENCÉPIIALIE 613 lésions de voisinage. Nous assistons de la sorte à la for
que ce soit un groupe qui l'emporte plutôt qu'un autre, alors que les lésions médullaires sont aussi généralisées que celles
t entière; et l'envahis- sement n'a pas une marche déterminée : les lésions hémorragiques ou autres s'observent indifféremm
es et anatomo-patholobiques, à savoir l'affinité toute spéciale des lésions pour les extrémités des os, c'est-à-dire pour l
dante l'engagent à entrer à l'hô- pital. On constate l'existence de lésions tuberculeuses dans les deux poumons; elles sont
e. A l'autopsie, pratiquée 24 heures après la mort, on constate des lésions étendues aux deux poumons : à droite, il existe
ité vraiment curieuse de ce genre d'altérations est la fréquence de lésions osseuses similaires chez les ascendants des malad
stosiques. Celles-ci remontent à la première enfance, alors que les lésions bacillaires datent seulement de l'âge adulte. O
interrogations réitérées n'ont pu faire connaître la nature de cette lésion traumatique. Elle ne doit pas avoir été très im
eus aussi, croit que les exostoses multiples sont dépendantes d'une lésion du système nerveux. (2) Ménétrier, après avoir cr
Région occipitale. Extrémité du ventricule. Foyers sous-épendymaires. Lésion de l'épendyme à gauche. Pus intraventriculaire.
marqué à la périphérie de la mem- brane. Il est probable que cette lésion est consécutive à une kératite ancienne sur laq
du fond de l'oeil. Cependant il n'existe certainement pas de grosse lésion , soit au niveau de la papille, soit dans les po
mus horizontal à petites oscillations, courtes mais rapides. Pas de lésions de la cornée. Les pupilles sont égales ; elles on
, 0G : V = 5/7). L'accommodation est normale, on ne constate aucune lésion du fond de l'oeil. OBS. III. F. Alphonse,14 ans
resté négatif tant au point de vue des malformations autres que la lésion oculaire, qu'au point de vue de stigmates des syp
ors. Les deux cornées présentent des taies ressemblant beaucoup aux lésions constatées chez la mère. Les deux pupilles sont é
re. Les deux pupilles sont égales et réagissent normalement. Pas de lésions du fond de l'oeil. Les lésions de la cornée ont
es et réagissent normalement. Pas de lésions du fond de l'oeil. Les lésions de la cornée ont produit un astigmatisme très i
buer l'ophtalmoplégie une origine nucléaire, à l'exclusion de toute lésion tronculaire, basilaire ou autre. C'est là un argu
péremptoire pour établir le siège des 666 ' CUAILLOUS ET PAGNIEZ lésions qui déterminent une ophtalmoplégie. Aujourd'hui d
(1) PERRON, Ophtalmoplégie extrinsèque ou intrinsèque unilatérale par lésion basi- laire, Ann. d'oculistique, novembre 1902,
le seraient chez un foetus sain de l'âge correspondant.il n'y a de lésions que des lésions de voisinage aux alentours de l
z un foetus sain de l'âge correspondant.il n'y a de lésions que des lésions de voisinage aux alentours de la voûte du crâne e
us en voie de progression, sans trace aucune de désintégration. Les lésions n'existent que là où s'introduit le processus i
méningée et non le contre-coup de celle-ci par l'intermédiaire des lésions du système nerveux. Destruction du tissu céré-
s. Soc. de Biologie, 1903, p. H3T. 680 - RABAUD en disant que les lésions du système nerveux ont une répercussion motrice t
iscussion sur ce point. Au cours de la description histologique des lésions , j'ai longuement insisté sur le mode de propaga-
de technique. Le point de départ et le sens de la [propagation des lésions ne laissent prise à aucune discussion. Or, si l
gements de situa- tion qui demeurent comme une marque indélébile. Lésions de voisinage et déformations mécaniques aboutisse
La précocité ou le retard de l'invasion déterminent la gravité des lésions : précoce elle permet un envahissement plus com
en pré- sence d'un processus très localisé, n'ayant entraîné aucune lésion de voisinage, ni aucune déformation bien accent
modifie aucun des caractères de la pseudencéphalie : il n'y a qu'une lésion de voisinage en moins, marquant simplement le r
oit le fait du système nerveux lui-même. Quel que soit le degré des lésions , ces lésions existent tout le long du névraxe,
u système nerveux lui-même. Quel que soit le degré des lésions, ces lésions existent tout le long du névraxe, de sorte que
ouveau-né ou un adulte, pour conclure immé- diatement que ces mêmes lésions du système nerveux, loin de contribuer à conser
uement, au- delà du terme possible chez l'adulte, et provoquant les lésions destructives, les déformations mécaniques d'où
s longue résistance à la mort. Dans ces conditions, l'évolution des lésions méningitiques se poursuit bien au-delà du terme h
méningitiques se poursuit bien au-delà du terme habituel. . IV. Les lésions se développent tout d'abord sur les méninges, en
ls restes de l'axe spinal (Anencéphales des auteurs). VIII. A ces lésions correspondent des signes fonctionnels qui se trad
u crâne, les dispositions tiennent, d'une part à la propagation des lésions vers le dehors : elles détruisent le crâne membra
es et parlent d'inflammation chronique. Mais pour eux, le début des lésions se trouve dans le canal épendymaire. Ils conclu
périos- lale (6 pi.), par PORAK et DUHANTE, 481. Acromégalie avec lésions hyperplasiques du corps pituitaire, du corps th
og.), 194. Ballet et Laignel-Lavastine. Un cas d'acromégalie avec lésions hyperplasi- ques du corps pituitaire, du corps
.), 117. LAIGNEL-LAVASTINE et Ballet. Un cas d'a- cromégalie avec lésions hyperplasique du corps pituitaire, du corps tyr
21 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
hurmschædel ou crâne en tour. Ce type clinique, caractérisé par une lésion des nerfs optiques el par la déformation oxycép
hel établit un rapproche- ment entre la déformation crânienne et la lésion des nerfs optiques (2) ; .depuis, un certain no
es. L'oxycéphalie est caractérisée par deux symptômes capitaux ; la lésion des nerfs optiques et la déformation du crâne ;
ion principale, la seule qui permette d'affirmer l'atrophie, est la lésion papillaire. Les bords de la papille sont irrégu
tre rapportés à cette malformation il faut bien retenir que, ni les lésions des nerfs optiques, ni les autres troubles nerv
s aborder la question du cranio-tabes rachitique. L'on sait que les lésions du cranio-tabes sonl dans la plupart des cas loca
t dans ce cas à l'acromégalie, vu la fréquence du développement des lésions sque- lelliques au thorax-et à la colonne verté
est-il acromégalique ' ? L'appa- rence extérieure de son chef, les lésions du fond de l'oeil font que cette question ne pe
et farcie de nodules cartilagineux. En somme, abstraction faite des lésions cutanées, l'autopsie nous fournissait les pièce
latéraux sont très dilatés, on n'y voit pas macroscopi- quement des lésions épendymaires ou choroïdiennes. Le quatrième ven
vexité ainsi que les méninges correspondantes ne présentent pas des lésions appréciables. La 1\OUVFLI Iconographie UF la SA
choses changent d'aspect, l'inflammation y étant assez manifeste. Les lésions méningitiques sont beaucoup plus intenses dans
réquenle dans les cas de méningite séreuse ventriculaire, quand les lésions se cantonnent seulement à ces régions. Mais dans
ait macroscopiquement normal, a trouvé trois fois au microscope des lésions de méningite dans la moelle épinière. Le cerveau
e liste d'auteurs qui ont étudié la structure, les fonctions et les lésions des plexus choroïdes, on n'a pas prêté suffi- s
des méninges et sur l'hy- drocéphalie, dans le chapitre relatif aux lésions anatomo-pathologiques de la méningite séreuse,
ue dans trois cas de méninaile sé- reuse et il a trouvé, à côté des lésions inflammatoires prédominantes des parois ventric
trouvé une méningo-épendymite séreuse, tuberculeuse. Le maximum des lésions était au niveau des récessus latéraux du quatrièm
oir pour conséquence non seulement une hydrocéphalie, mais d'autres lésions du système nerveux central donnant lieu à des s
Little, on trouve deux observations sur quatre où elle rapporte des lésions inflammatoires diffuses, reliquat d'un processu
et une légère méningite de la base. Marchand (3) est d'avis que les lésions de l'écorce, séquelles des ménin- gites, sont d
daires et obscures, relatives à la localisation et il l'étendue des lésions , aux dispositions individuelles héré- ditaires,
s à établir et à un moment critique de l'évolution individuelle, de lésions congé- nitales obscures qui tiennent elles-même
o- minance autour des vaisseaux. Au cervelet on ne constate d'autre lésion appré- ciahlr qu'une diminution assez marquée d
o-ataxie céré- belleuse, puisque à l'autopsie on trouva surtout des lésions du système cérébelleux. De plus, en outre de l'
n de fois, en effet, chez des sujets en apparence indemnes de toute lésion nerveuse, n'a-t-il pas orienté le diagnostic vers
quelques observations lyonnaises de M. Gangolphe 7) où il s'agit de lésions labétiques osléo-articulaires chez des malades ay
DE LA CONSERVATION ET DU RETOUR DES REFLEXES ROTULIENS 81 avec une lésion de la zone de Westpha) ; dans une autre observati
e; la zone de Westphal était atteinte de ce seul côté. Est-ce une lésion de la zone d'entrée des racines qui expliquerait
iens avait fait écarter l'idée d'un tabes au début, alors que cette lésion existait nettement : mais la zone de Weslphal éta
sculnine. - Aorte absolument saine sans athérome. Coeur petit, sans lésions nettes. Appareil digestif. Rien à l'oesophage.
DE LA CONSI'RVATION ET DU RETOUR OES RÉFLEXES ROTULIENS 83 Aucune lésion appendiculaire, ni de la vésicule biliaire, ni du
ation foncée du reste de la glande. Le cerveau ne présente aucune lésion . La cervelle est prélevée pour l'exa- men histo
n chirurgical, octobre 1911. 84 CIIALIER ET NOVL : -JOSSERAND Les lésions essentielles portent sur les racines postérieures
régions. , / 1" Région sacrée inférieure (6°, 5e, 4° sacrées). Les lésions manquent ab- solument dans les cordons postérie
périeure (Ve sacrée). - Les cordons postérieurs ne por- tent aucune lésion apparente ; la zone de Lissauer n'est pas scléros
de sclérose, orientée légèrement eu ohli- , Scliéma représentant la lésion au niveau do la 1 V. lombaire NOUVELLE ICONOGRA
ranchent sur leurs voisine ? . 4° Région lombaire (3e lombaire). La lésion scléreuse précédemment dé- crite existe encore
rieure, cervicale. Elles sont nor- males. - 11 ' En somme, la lésion est strictement limitée à la région lombaire de l
comme une dégé- nérescence lertiaire et surtout en rapport avec les lésions du réticulum formé par les fibres fines de la c
e de notre malade, on ne peut véritable- ment rien conclure, car la lésion de la bandelette externe étant la seule lésion
ien conclure, car la lésion de la bandelette externe étant la seule lésion constituée au moment de l'examen, nous ne savons
n de Goll était intact ainsi que les champs postéro-exter- nes ; la lésion occupait électivement la bandelette externe dans
A CONSERVATION ET DU RETOUR DES RÉFLEXES ROTUL1ENS 87 vis-à-vis des lésions de la bandelette de Pierret, sans doute parce que
de la conservation des réflexes et la localisation anatomique de la lésion qui permet cette anomalie. Nous pouvons mainten
, avancer les proposi- tions suivantes : 1 Il y a des tabes, avec lésions très étendues des cordons posté* rieurs, qui ne
nt pas le signe de 1,Vestphal. Ce sont des ta- bes supérieurs, avec lésions cantonnées dans là moelle cervico-dorsale et sy
, prédominants. Ce sont aussi des tabès qui, tout en présentant des lésions dans la région do ? ,so-loiîibaii-e,ol7e ? îi u
uvent le seul symptôme est le signe de TVestpltal ; dans ce cas, la lésion siège dans la zone radiculaire des : : le et se p
iques, - dans lesquels le signe de Westpltal manque, et pourtant la lésion siège bien dans la ¡'rfgion dorso-lombai1'e de la
tion de localisation anatomo-palhologique : suivant le point où les lésions du tabès débu- (1) Nageotte, Société de biologi
uence de la sommation. « Quand on rap- porte ces faits, dit il, aux lésions anatomiques, qui, d'après MM. Deje- (1) Noica,
ent par exemple l'irritation du faisceau pyramidal consécutive à la lésion cérébrale qui conditionne l'hémiplégie et l'on
é- rales réflexes des racines postérieures ne sont atteintes que de lésions in- complètes, assez considérables pour gêner l
st de même dans la cécité réelle, il condition sans doute qu'aucune lésion .surajoutée, de la corticalité par exemple, ne
ns où les réflexes pitellaires sont revenus après avoir disparu, la lésion spinale intéressait une partie seulement des fibr
stic. A ce point de vue,notre cas démon- tre une fois encore que la lésion du tahes peut exister, plus ou moins localisée
comme dans le cas de M. Gangolphe, de fractures à répétition ou de lésions ostéo-articulaires ou articulaires : dans ces cas
s ces cas, dit-il, il ne vient pas à l'idée qu'il peut s'agir d'une lésion tabétique, ou, si l'on y songe, on élimine, en
font prendre pour tuberculeuses, syphilitiques ou sarcomateuses ces lésions trophiques. L'intérêt pratique qui découle de ces
Dès lors, il n'est pas vain de soupçonner derrière ce syn- drome la lésion nerveuse qui fait le fond de la maladie ; et nous
EL, Gilbert et Tuot- noi, p. 578. 94 CHALIER ET NOV ? JOSSERAND lésions des systèmes pneumogastrique et sympathique, dont
on l'applique parfois bien tard et qu'on lui demande d'agir sur des lésions anatomiquement définitives et non pas en voie d
i précoce que possible du trai- tement, c'est non seulement sur les lésions radiculo-médullaires, qui ne sont pas les seule
e sur les altérations du sympathique,voire même du pneumogastrique, lésions dues probablement au virus syphilitique et que
effet, comparativement, la part qu'on peut faire à l'estomac et aux lésions nerveuses dans la pathogénie des crises gastrique
Cette pathogénie est toujours à l'étude. Les liens qui unissent cette lésion radiculo-médullaire avec les manifestations vis
abès nous sont encore mal connus. En ne considérant d'abord que les lésions des racines et des cordons postérieurs dans leu
ut il fait comparables entre eux comme étendue et localisations des lésions , ne présentent pas égale- ment ces troubles gas
iques ; et inversement, on observe des crises sto- macales avec des lésions radiculo-médullaires très légères et étroitement
ccompagner de crises gas- triques. Il semble bien, dès lors, que la lésion médullaire ou radiculaire ne représente pas tou
ique du syndrome. On peut soupçonner qu'il faille lui adjoindre des lésions supplémentaires (peut- être des névrites périph
ULIENS yà Quelques observations viennent d'ailleurs montrer que les lésions radiculo-médullaires ne sont pas indispensables
qu'il peut exister des crises gastriques véritables en l'absence de lésions médullaires tabétiques, elles autorisent aussi à
si à penser que ce syn- drome se trouve parfois en rapport avec des lésions névritiques. L'étiolo- gie de ces névrites est,
. En elfel, d'une part, il serait sans doute exagéré de refuser aux lésions radi- culo-médullaires du tabes toute participa
ce est inconstante, n'est ni nécessaire ni suffisante ; de plus ces lésions semblent n'intervenir sur l'estomac que par l'i
ons semblent n'intervenir sur l'estomac que par l'intermédiaire des lésions tronculaires du sympa- thique, liées aux dégéné
is,d'autre part, il existe des observations, comme la nôtre, où les lésions radiculaires et médullaires sont trop peu éten-
n appli- cation. On connaît enfin des cas de crises gastriques sans lésions médul- laires tabétiques et très probablement d
omme celles des nerfs périphériques des membres ; à l'inverse de la lésion analogue, décrite par J. Ch. Roux, dans le symp
e la lésion analogue, décrite par J. Ch. Roux, dans le sympathique, lésion secondaire aux dégénérescences radiculaires, ce
triques avec hématémèses. Autopsie; ulcère ancien gastrique, pas de lésions histologiques des cordons postérieurs ; les quelq
tat anatomique de l'estomac dans les crises gastriques. (2) Roux, Lésions du grand sympathique dans le tabès. Thèse de Pari
ET NOVÉ-JOSSEI'AND lèlement ou non, en coexistence ou non avec les lésions médullaires du tabes ; elles seraient causées e
ffection parasyphiiitifiue ; ou bien elles seraient directement des lésions syphilitiques, sous la dépendance des toxines du
Ci). Roux a pratiqués ont porté sur le sympathique de tabétiques à lésions radiculo-médullaires qui paraissent très avancé
endue des lé- sions nerveuses sympathiques permet de considérer ces lésions nerveuses sympathiques comme leur étant seconda
n de l'estomac chez un labéticlite à crises gastriques, et dont les lésions radi- cuto-méduiiaires fussent légères, discrèt
e pourrait plus, ici, mettre ces altérations sous la dépendance des lésions médullaires ou radiculaires; on pourrait les cons
t alors une autre solution à ce difficile problème. En somme, les lésions radiculo-médullaires apparaissent sans rap- por
rvation de M. Devic démontre que l'estomac peut ne présenter aucune lésion mu- queuse, musculaire, périlouéale,.interslili
ment exceptionnelle. En général, l'estomac est malade et porteur de lésions les plus diverses (ecchymoses, gastrite, ulcéra
(ecchymoses, gastrite, ulcérations, tumeurs, etc.). Beaucoup de ces lésions ne sont que desgastropathies simplement concomi
que desgastropathies simplement concomitantes et indépendantes des lésions nerveuses ou de la syphilis (gastrites médicame
philis (gastrites médicamenteuse, étlylique, cancer, ulcère simple. lésion slénosante pylorique comme dans notre observation
ible, d'après les données de la phy- siologie pathologique, que des lésions très variées soient sous la dépen- dance direct
ue des lésions très variées soient sous la dépen- dance directe des lésions du système nerveux. . Quelles que soient leurs
lésions du système nerveux. . Quelles que soient leurs causes, ces lésions prennent part sans doute il ,1 la scène cliniqu
u'un tabétique pré- sente ce syndrome, faut-il qu'il ait une de ces lésions stomacales ? L'obser- vation précédemment citée
est celle ci ? nous avons vu que ce ne pouvait être seu- lement la lésion radiculo-médullaire du tabès et que c'était peut-
ordination motrice n'est pas toujours pro- portionnelle à celle des lésions des racines postérieures. De tels faits don- ne
des racines postérieures. De tels faits don- nent il penser que les lésions des nerfs périphériques peuvent avoir par- fois
ns la pathogcniode ce symptôme : une plus grande importance que les lésions radiculaires. » Conclusions. 1 1. - Il existe
ial est unique- ment subordonnée à la localisation anatomique de la lésion . Quand ce signe existe, la lésion intéresse, à
la localisation anatomique de la lésion. Quand ce signe existe, la lésion intéresse, à la région dorso-lombai re de la mo
elle signe de Westplial exister sans qu'il y ait aucune des autres lésions médullaires des tabès. Est-ce une lésion de la
l y ait aucune des autres lésions médullaires des tabès. Est-ce une lésion de la zone d'entrée des racines qui explique- r
e parfois ? C'est là une hypothèse vraisembla- ble. En tout cas des lésions portant ailleurs que sur cette région pourraient
et de l'irritation que subit le faisceau pyramidal à la suite de la lésion cérébrale, et qui, par un méca- nisme encore ma
étant liées d'une manière encore mal connue. On ne connaît pas de lésions gastriques susceptibles d'être regardées comme
es crises ue sont pas toujours parallèles et pro- portionnelles aux lésions radiculo-médullaires. On peut penser que les lé-
r dans la pathogénie du syndrome une plus grande importance que les lésions radiculaires. Nouvelle Iconographie de la SAL1'
nviron 11 centimètres entre les bords antérieur et postérieur de la lésion ; celle-ci a la forme d'une ellipse irrégulière d
tres de largeur (Pl. XVI). La radiographie découvre, en outre de la lésion proprement dite, plusieurs 'traits de fracture
s (Pl. XVII). Si l'on appuie sur la partie postéro-inférieure de la lésion , le malade accuse une douleur nette, assez pron
douleur nette, assez prononcée. En un champ limité au milieu de la lésion , l'épidémie est anesthésique (au tact et à la dou
s efforcés de faire la détermination topo- graphique du siège de la lésion cérébrale. En adaptant ce crâniométre à la tête
t ce crâniométre à la tête du malade, on trouve que le milieu de la lésion , qui est en même temps l'endroit où l'écoulemen
atéral n'a pas été ouvert ; pour la discussion plus approfondie des lésions cérébrales, nous renvoyons le lecteur à la second
hi- rurgiens les plus conservateurs sont d'avis que dans les cas de lésions analogues à celle-ci, iedébridement est indiqué
râne. III Comme on l'a vu d'après la description chirurgicale, la lésion crânio- cérébrale est localisée à une région do
l'aide de clichés Rôntgen et de calculs craniomélriques, projeté la lésion de B... ainsi que le trajet de la balle. Les va
jusqu'aux abords de la corne du ventricule. Dans les limites de la lésion crânienne, non seulement de grandes par- ties d
l ». Une diminution analogue de l'énergie perceptive, causée par la lésion organique, s'accuse chez B... encore par les va
liguë aux parois du ventricule, explique pourquoi bien des fois des lésions du pli courbe et du pli marginal provoquent de
rmales d'association à la lecture courante ont été détruites par la lésion cérébrale, sa faculté d'interpréter certains mo
n auxiliai- res dont les ressources mnésiques peuvent, au cas d'une lésion à gauche, servir à conserver un minimum de cont
re et non devant la région locomotrice. Bien que, par suite de la lésion cérébrale, ses facultés intellectuelles aient é
devant l'absence d'élargissement de la selle turcique, affirmer une lésion hypophysaire, les modifications de la glande, s
doit être discuté beaucoup-plus minutieuse- ment. S'il n'y a ni les lésions costales (chapelet) ni la cyphose dorsale, si l
Le nez est déformé, aplati et écrasé à la base, sans tubercules ou lésions ulcéro-des- tructives pourtant. Les lèvres légè
umentairegénéralisée sont des arguments appréciables. Sans doute la lésion possible des troncs nerveux ne se manifeste pas
cas exceptionnels, il estime qu'une cause morbide locale est en jeu ( lésion musculaire, varices, etc.). C'est avec cette te
situation réciproque des centres médullaires des deux réflexes (les lésions des 4° et 5e segments lombaires et du 1er sacré
tion inférieure des racines sacrées et de leurs gaines méningées. Les lésions de la jambe ne peuvent influer que sur le réfle
rane nucléaire très ap- parente. Puis quelques cellules offrent des lésions encore plus avancées. C'est ainsi que le vide n
nage dans l'eau distillée est considérable. Dans les cellules où la lésion est moins avan- cée, on peut voir une cytolyse
effacées dans le ganglion gardé dans l'eau pendant une heure el les lésions y sonl moins avancées (fig. 17). C'est là un ph
au contraire plus altérées. L'urée et l'antipyrine déterminent des lésions fort analogues à celles réalisées par l'eau dis
ituation habituelle ; il est seulement hypertrophié par suite de la lésion des reins, les bruits sont un peu sourds ; il y a
nous occupe et qui semblent avoir leur situation normale.. Poumon : Lésions de congestion et pleurésie légère. Coeur : Hype
ombe le 19 janvier 1912. Autopsie. - Nous n'insisterons pas sur les lésions des organes qui con- firment pleinement l'exame
le comparaison, car aucune relation n'existe entre notre cas et cette lésion , . UN CAS )) ABSENCE DES VERTÈBRES CERVICALES 2
quoique prodigieusement anormale ; elle ne présente aucune trace de lésions pathologiques, pottiques ou autres. Avant de di
t, donc devant être distinguée des autres hydrocéphalies dues à des lésions acquises du crâne ou du cerveau. Ils croyaient
des membres, atrophiée à divers degrés. Le cerveau ne porte pas de lésions macroscopiques, corticales ou centrales; l'axe
le normale ; on ne constate, à un faible grossissement (fig. 1), ni lésions interstitielles (méninges, vaisseaux, tissu con-
sions interstitielles (méninges, vaisseaux, tissu con- jonctif), ni lésions parenchymateuses ; la substance blanche est indem
antérieures à leur sortie de la moelle, et ne sont pas la cause des lésions importantes révé- lées par l'examen des nerfs p
in, cochenille). 10 Sur des coupes transversales (PI. XXXVIII), les lésions sont com- plexes et réparties inégalement. On n
alies de struc- ture relevées en quelques points. Répartition des lésions dans les nerfs périphériques et les racines rachi
nts nerveux est remplacée par une sclérose de faible intensité. Les lésions si caractéristiques des gros troncs nerveux ne se
c plus à la périphérie. Pour rechercher d'autre part le début des lésions , à l'origine radiculaire des nerfs, plusieurs r
côue terminal. C'est près des ganglions spinaux qu'apparaissent les lésions (PI. XL). Il s'agit, tantôt d'une raréfaction d
ines conjonctives. Si maintenant on considère la topographie de ces lésions initiales, on la trouve également très variable
phiée. Il est à remarquer enfin que dans les racines examinées, les lésions dé- génératives prédominent nettement sur les f
e antéro-externe de la jambe et des extenseurs de l'avant-bras. Les lésions sont moins considérables que ne le ferait suppose
troncs nerveux. Quelques vasa nervorum en état d'hypertrophie. Ces lésions des nerfs sont systématisées, elles atteignent
oblèmes, notamment, ont provoqué des opinions très divergentes. Les lésions essentielles de ces formes cliniques sont-elles
s supérieurs, accompagnée de phénomènes douloureux ; à l'autopsie : lésions myopathiques et intégrite de la moelle et des ner
ée aux altérations des muscles que l'on considérait alors comme les lésions fonda- mentales et les plus importantes en l'es
e en noyaux, autour de fibres nerveuses plus ou moins altérées. Ces lésions font défaut dans les nerfs cutanés et dans les
es supérieurs, et pour la névrite interstitielle qui en est une des lésions essentielles. Nonne (1).-A ces quatre cas très
lamelleuse et une sclérose interstitielle. Tout en concluant à une lésion principale médul- laire, Marinesco admet la pos
ésion principale médul- laire, Marinesco admet la possibilité d'une lésion primitive des nerfs moteurs et sensitifs. Obs
tissu interstitiel, tantôt état presque normal. Dans les muscles : lésions atrophiques très variables, inégalement réparties
draxes sont moniliformes, ou gonflés en certains points. Tontes ces lésions sont plus fréquentes dans les nerfs intramuscul
s de petit calibre et de nombreuses gaines vides. Dans les muscles, lésions fascicu- laires d'intensité variable allant jus
u scléreux et adipeux. Les artères intramusculaires présentent fies lésions d'endo-périar- térite intense. Observation DE
on unitaire de l'atrophie musculaire progressive et considèrent les lésions comme le résultat d'un état dégénératif primaire
èvre ; les parois des'vaisseaux sont anormalement développées ; les lésions parenchymateuses et interstitielles se retrouvent
res striées ; myosite interstitielle (Les auteurs insistent sur ces lésions primitives des mus- cles qui tendraient à effac
naux, des nerfs crâniens, rachidiens, spinaux et sympathiques, avec lésions parenchymateuses (atrophie des fibres et des gain
s autour d'un grand nombre de fibres des nerfs mixtes. Ces diverses lésions sont plus marquées dans les nerfs mixtes que da
ts et montrent en particulier très clairement la prédomi- nance des lésions sur les racines antérieures de la moelle et les n
et l'épaississement annulaire des gaines de Schwann qui en sont les lésions caractéristiques. D'autre part,au point de vue cl
aux documents anatomiques résumés plus haut, il est évident que des lésions semblables à celles que nous avons trouvées ont é
t varia- bles. Ainsi, dans l'observation que nous publions ici, les lésions portent presque exclusivement sur les racines a
e participaient à la dégénérescence. De même la systématisation des lésions a laissé à peu près intacts les racines rachidi
rachidiennes postérieures et les nerfs sensitifs ; et bien que ces lésions soient du même ordre que celles de la névrite i
cas Westphal, Gierlich, Cassirer et Maas). Enfin, et ce sont là les lésions les plus typiques, qui ont attiré l'attention d
jonctive périphérique. On doit donc conclure que ces deux sortes de lésions , parenchymateuses et interstitiel- les, évoluen
on des éléments conducteurs. Dans ces divers états anatomiques, les lésions des nerfs périphériques sont primitives ; les a
montrent l'intégrité de la moelle épinière. Dans cette dernière, la lésion la plus fréquente est une sclérose des cordons
du myolemme, prolifération des noyaux du sarcolemme, on trouve des lésions d'un autre ordre : augmentation du volume de quel
tensité variable. Si donc, ils paraissent devoir être attribués aux lésions des nerfs périphériques, on comprend difficilem
urquoi le phénomène douleur n'apparaît pas dans tous les cas où les lésions névritiques, parenchymateuses et intersti- tiel
r et encore seulement dans le territoire du sciatique. A égalité de lésions , les autres nerfs, ceux des membres supérieurs en
le cas D, que nous avons publié il y a quelques années, malgré des lésions identiques dans leur structure et leur systémat
s troubles de l'étal statique des muscles.. Le peu d'importance des lésions de l'axe gris, limitées chez Brandi au renflement
e est très nettement dégénéré (G. P.,rj-. 6). On retrouve les mêmes lésions vasculaires que plus bas. En somme.jusqu'ici la
moitié interne de la corne antérieure' est détruite (fig. 11) ; ces lésions s'accentuent en approchant de la région lombair
segment lombaire, la moitié antérieure de la moelle a disparu, les lésions de, myélomalacie ayant désagrégé la substance gri
e forte- ment dégénérés. Sur cette coupe, on note l'atténuation des lésions des raci- nes antérieures, les fascicules radic
lle à l'inté- rieur de ces racines. F) Au-dessus de ce point, les lésions de la substance grise s'atténuent pro- gressive
cale les dégénérescences des faisceaux ascendants intéressés par la lésion , mais il est à noter le peu d'importance de ces
mportance de ces dégénérescences comparativement il l'intensité dos lésions décrites. Les faisceaux antéro-latéraux présent
eure du bulbe ; elle est plus accentuée à gauche. En résumé : les lésions destructives de la moelle s'étendent du 4" segmen
représente la figure 15 donne une idée exacte de la répartition des lésions médullaires et des rapports de la tumeur et de
pports de la tumeur et de la moelle. Histologiquement, il s'agit de lésions dues soit à des hémorragies (ce sont les plus f
dans toute cette région et surtout au niveau de L5 et S' de grosses lésions irritatives ; elles sont fortement épaissies, s
s et leurs parois sont épaissies, les veines sont thrombosées ; ces lésions étaient déjà visibles à l'oeil nu sur la face a
l'on voit se former dans d'autres régions anatomiques à la suite des lésions irritatives et en particulier de lésions vascul
anatomiques à la suite des lésions irritatives et en particulier de lésions vasculaires. L'état des racines est va- riable
ns anatomiques, il nous semble qu'on est en droit de considérer les lésions vasculaires et méningées comme étant les premiè
stase due aux oblitérations. 4° Surcharge adipeuse autour de ces lésions irritatives méningo-vasculaires. 5° Phénomènes
'une tu- meur de la moelle. La topographie et la distribution des lésions correspondent assez exacte- ment à ce que la sy
ens précédant celle des réflexes patellaires, faisaient penserà une lésion des régions lombaire inférieure et sacrée supér
ions lombaire inférieure et sacrée supérieure, autrement dit il une lésion de l'épi- cône (1). La prédominance et la pré
té gauche s'ex- pliquent également par la plus grande intensité des lésions dans le même côté de la moelle. Nous n'avons
Ce cas mérite surtout de retenir l'attention par la singularité des lésions histologiques, par l'énorme développement du ti
le 1er et le il- segments sacrés (Minor). Dans les cas typiques de lésion limitée à cette région, les réflexes rotuliens
ndant les premières années les sphincters sont restés in- tacts. La lésion a donc intéressé au début l'épicôme, et ce n'est
l concluait que cette tension inférieure devait provenir ou bien de lésions vasculaires périphériques ou de troubles de l'inn
système sympathique. Or, il est peu vraisemblable de penser que des lésions vasculaires périphériques frappent un seul côté.
11 ; eczéma et ulcération accidentelle ; agmentation manifeste de la lésion osseuse. C. J.tmbe d'une malade atteinte de mal
du tibia, le même aspect ouateux, le même rebord flou ; mais en A la lésion se continue sur toute la hauteur du fémur, tout
continue sur toute la hauteur du fémur, tout l'os est massif; en B la lésion s'arrête au tiers inférieur, l'os s'effile a ce n
entre sa structure et celle d'un os pagétique. La localisation des lésions n'exclut pas non plus le diagnostic maladie de
t : l'extrémité inférieure du tibia reste bien indemne,* quoique la lésion ait peut-être un peu progressé en hauteur, mais i
tent l'ostéo- pathie sur le compte de troubles trophiques dus à une lésion primitive soit des nerfs soit des vaisseaux. C'
une lésion primitive soit des nerfs soit des vaisseaux. C'est à des lésions de ce genre, surtout à des troubles trophiques
anes : or les examens histologiques récents de Ménétrier font de la lésion de l'os pagétique une sclérose osseuse hypertro
aurait rien d'étonnant à ce qu'un traumatisme puisse déterminer des lésions nerveuses ou vasculaires qui, à leur tour, prov
qui, à leur tour, provoquent au niveau d'un ou de plusieurs os des lésions identiques à celles que des lésions nerveuses o
eau d'un ou de plusieurs os des lésions identiques à celles que des lésions nerveuses ou vasculaires diffuses pourraient déte
t déterminer au niveau d'un ou de plusieurs os exactement les mômes lésions trophiques que l'artério- sclérose par exemple
tères de l'ostéopathie pagétique, sans doute par l'intermédiaire de lésions nerveuses ou vasculaires qu'il détermine. Notre
eure du fémur de notre malade : le traumatisme aurait déterminé les lésions des nerfs ou des vaisseaux qui assurent la nutr
t sur sa partie antérieure ex- pliquerait particulièrement bien ces lésions nerveuses ou vasculaires, le paquet vasculo-ner
stéopathie à la fois pagétique dans la force et la structure de ses lésions et traumatique dans sa cause déterminante. Ainsi
lle telle qu'on l'observe dans les différents organes à la suite de lésions trophiques d'origine soit nerveuse soit surtout v
e temps l'absolu- tisme » (2). Rien de plus naturel pourtant qu'une lésion osseuse,qui indique uniquement des troubles tro
ompte d'une affec- tion généralisée (infection ou intoxication avec lésions nerveuses ou vas- culaires diffuses) quand elle
pourtant pas oublier qu'il peut à lui seul déterminer de gros- ses lésions vasculaires ou nerveuses dont d'importants troubl
idéra comme une maladie autonome et spécifique dé- terminée par des lésions toujours les mêmes. Mais les auteurs qui suivir
ntre, tributaires également de la syphilis ner- veuse, il s'agit de lésions centrales, et Raymond a publié en 1893 deux ob-
de vue clinique. Nous n'avons en effet eu en vue jusqu'ici que des lésions évolutives at- teignant progressivement les mem
rieurs, les membres inférieurs, le tronc, et causant finalement des lésions diffuses dont le lien commun est la main d'Aran
main, pouvant déterminer soit la main typique d'Aran-Duchenne avec lésion thénarienne, hypothénarienne etinter-osseuse, s
ieurs des segments correspondants. Telles ne sont cependant pas les lésions que nous avons retrouvées dans nos cas d'amyotr
tits muscles de la main, et ceci et priori se conçoit. En effet des lésions atrophiques des cel- lules témoignent d'un proc
uent forcément progressif; il faut au contraire, pour expliquer une lésion isolée et non progressive, qu'il existe soit une
topographie et d'allure intéressante, mais nous insisterons sur la lésion très particulière et mal connue que présente la
el' pa l' cica lrisa tion com- a soulevé lui-même l'hypothèse d'une lésion médullaire, identique à celle de nos cas, mais
ns de donner à cette singulière altération. Macroscopiquement, la lésion est déjà visible à un examen quelque peu attent
, on pouvait même apercevoir dans l'une une minuscule cavité. Ces lésions présentent toujours la même stricte limitation et
tuel en pareil cas, un léger degré de méningite-postérieure, et des lésions manifestes des vaisseaux de la base. Pas de thr
de la base. Pas de thrombose vasculaire appréciable au niveau de la lésion . Ilistologiquemenl, on s'aperçoit qu'au niveau
ion. Ilistologiquemenl, on s'aperçoit qu'au niveau du maximum de la lésion , il y a, en quelque sorte, ahrasion de la corne
Une étude un peu plus minutieuse permet de distinguer ce niveau Des lésions méningo-vasculaires ; La téphro-maiacie antérie
stérieure ellïnlégl ilé presque absolue des faisceaux blancs. Les lésions ménino-vasculair sont celles habituelles de la sy
c infiltration lymphocytique. Endopénarté- l rite syphilitique. Les lésions vasculail es sont ici intéressantes en ce qu'elle
un rétrécissement consi- dérable du calibre artériel. Toutes ces lésions sont d'ailleurs bilatérales,mais il y a de la cor
artério-sclérose sénile soit encore ici susceptible de produire des lésions analogues à celles de la syphilis, Arrivons mai
les de la syphilis, Arrivons maintenant à l'élément essentiel de la lésion , 1. ! \térhl'oJ ! - lacie antérieure proprement
rne. Les cellules motrices ont disparu complètement au niveau de la lésion maxima. Le tissu interstitiel est également dis
d'ailleurs pas complètement saine et, en dehors même des cas où la lésion est nettement bilatérale, on voit qu'elle est c
i se voit encore mieux du côté malade lui-môme, en les points où la lésion n'est pas maxima. L'on peut voir en effet à ce ni
ent sensiblement normales. Nous arrivons au troisième élément de la lésion : intégrité relative des cornes postérieures, i
31W P. MARIE El' F01X Revenons maintenant à la 1,gQ.Qgraphie de la lésion téphromaiacique. Cette topographie a ceci de ca
téphromaiacique. Cette topographie a ceci de caractéristique que la lésion , très limitée, commence et finit de façon relat
as, coupés en série, permettent de la fixer d'une façon précise. La lésion prédomine au niveau de la 8e cervicale, où l'abra
x sont indemnes ainsi'que les 2°, 3° et 4° segments dorsaux. Pas de lésion des cornes antérieures dans la partie supérieur
ite chronique. Le 3e cas, moins bien étudié, montre également une lésion Léphiomala- cique deslructive au niveau de la 8
n Léphiomala- cique deslructive au niveau de la 8e cervicale. Cetle lésion est bilatérale au contraire de ce qui se passe
n relative de la corne postérieure. Inté- grité des cordons blancs. Lésions artérielles associées, d'origine syphi- litique
sur trois. Quelle est maintenant la pathogénie de cette singulière lésion . L'im- portance des lésions artérielles permet
tenant la pathogénie de cette singulière lésion. L'im- portance des lésions artérielles permet tout d'abord de penser qu'il s
ions artérielles permet tout d'abord de penser qu'il s'agit 1 d'une lésion d'origine vasculaire. Cependant l'atteinte électi
gU pas d'un ramollissement banal. D'autre part, il n'existe pas de lésions inflammatoires très marquées ni de placard de s
e banalede ce territoire artériel ? L'unila- léralité fréquente des lésions , leur limitation à un ou deux segments médullai
ait même supposer l'oblitération d'un plus grand nombre puisque, la lésion prédominant au niveau du 81 seg- ment, déborde
elui-ci en haut et en bas. D'aulre part la limitation stricte de la lésion est plus apparente que réelle. Du côté malade,
le des artérioles de tout un territoire médullaire que dépend cette lésion . Pourquoi y a-t-il destruction de la corne anté
tte lésion. Pourquoi y a-t-il destruction de la corne antérieure et lésion légère de tout le reste de la moelle ? La prédo
sons d'y reve- nir plus loin. Il nous faut décrire maintenant les lésions que l'on observait clans notre quatrième cas an
ions que l'on observait clans notre quatrième cas anatomo-clinique, lésions de névrite interstitielle. L'atrophie était dan
un peu plus grêles du côté atteint. Au microscope on constate des lésions de névrite interstitielle ancienne frappant le
marquées. Une atrophie relative des racines correspondantes. Des lésions cellulaires des cornes prédominant sur le côté at
es d'aspect peut- être inflammatoire. Il existe en même temps des lésions vasculaires nettes consistant en une périvascul
enne et le Marchi n'y décèle plus de frag- mentation myélinique. La lésion consiste essentiellement en la dispari- tion de
omplè- tement sain ainsi que le musculo-cutané. Sur le médian, la lésion est presque exactement dimidiée. Tandis que l'u
à peu près complètement détruite par la sclérose. Telles sont les lésions que l'on observe du côté droit, le côté gauche
monili formes. L'on peut dire pourtant,sans grande erreur, que les lésions sont strictement limitées au médian et surtout au
iminution de volume d'ensemble, et quelques tubes grêles. Enfin les lésions que l'on observe du côté de la moelle au niveau d
description, trois seulement ont été cliniquement observés. Le 4e ( lésion bilatérale des cornes antérieures) constitue un
atoires du système nerveux une seule affection, dans la- quelle les lésions vasculaires ou les proliférations conjonctives se
ar conséquent 366 ANDRÉ-THOMAS ET QUERCY jusqu'où remontaient les lésions , et si la syringomyélie s'était compliquée de s
teur, ce sont les parties centrales qui ont le plus souf- fert. Les lésions occupent constamment la région périépendymaire, e
médiaire aux cornes antérieures et postérieures est détruite par la lésion . Les cornes latérales sont comprimées et refoulée
mées et refoulées, ou bien anéanties (Du, Div, Dyn, Dym, Dx). Les lésions ont enfin entraîné des déformations considérables
leur répartition et du rôle qu'ils ont joué dans l'édification des lésions . On les retrouve sur toute la hauteur de la s,i
njonctifs qui accompagnent les vaisseaux et qui convergent vers les lésions centrales, ils se continuent en plusieurs endro
on est particulièrement intéressante et est inti- mement liée à une lésion complexe qu'on met bien en évidence en exami- n
a été publié par l'un de nous avec Hauser, elle semblait, avec les lésions vasculaires, constituer la lésion fondamentale,
Hauser, elle semblait, avec les lésions vasculaires, constituer la lésion fondamentale, tandis que le gliome ne paraissait
use de leur richesse et de leur participation presque constante aux lésions : mais le gliome existe sur toute la liauteuret m
ome, des fentes et des cavités. Il serait téméraire, en présence de lésions cicatri- cielles aussi anciennes, d'accorder la
jonctif et l'élément névroglique. Il existe dans cette moelle des lésions d'un ordre assez particulier; telles que les an
emander si le processus syringomyéli- que n'est pas préparé par des lésions anciennes d'ordre inflammatoire qui dans certai
SYRING01l1YÉLIE, HYPEIIPLASIE DU TISSU CONJONCI1F 383 embryonnaire, lésions qui,se traduisantpar des malformations, laisserai
âge, qui, comme on le sait actuellement, conditionnent souvent des lésions du système nerveux, demeurées silen- cieuses pe
dieu- ses, accompagnées quelquefois de convulsions passagères : les lésions sem- blent guérir en apparence, mais les séquel
symptômes on peut dire qu'il s'agissait d'un cas de syringomyélie. La lésion devait se trouver localisée dans le 81 segment
la partie cervicale de la moelle épinière, se ramifie, provoque des lésions plus ou moin étendues de la substance blanche, oc
sur toutes les parties du corps situées au-dessous du niveau de la lésion médullaire. La diagnose cependant se trouvait en
ause réelle de la compression. Autopsie. L'autopsie a indiqué les lésions suivantes : les vertèbres cervicales inférieu-
s ci-dessus surtout à gauche. Au niveau du 7e segment cervical, les lésions sont encore plus visibles au microscope. La corne
moins prononcée du côté droit ; dans les racines postérieures, les lésions sont encore plus fortes sans que le cas patholo
ns. En allant vers le 80 segment cervical et à son niveau même, les lésions sus- indiquées augmentent encore ; les racines
ologique n'est pas récent. En approchant du 1er segment dorsal, les lésions indiquées plus haut dimi- nuent pour disparaîtr
tre complètement à son niveau. Pour compléter les des- criptions de lésions ci-dessus indiquées, il faut appuyer sur fait qu'
re trace d'infiltration cel- lulaire dans la moelle. Ainsi donc les lésions constatées à l'endroit de l'aplatis- sement max
t les espaces lymphatiques, cette pression expli- que également les lésions dont il s'agit. Il faut aussi admettre la possibi
as découvrir de changements plus profonds, ni même des symptômes de lésion mécanique de la moelle. La meilleure preuve de
lonne vertébrale (bosse), mais encore tous les autres indices de la lésion , comme raideur du cou, douleurs dans les mouvemen
ère hypermétro- pie : 0.25 Il n'y a aucun symptôme traduisant une lésion quelconque des nerfs crâ- niens. Les mouvements
les publications jus- qu'ici parues ont confirmé la signification, lésion de CI ou C5.-C., nous a été très précieux, puis
ouvent utiles au neurologiste, nous ont éclairé sur la nature de la lésion que nous cherchions. 1 (1) PEARCE BAILEY ET L
us. - Horizontal plus prononcé 'en regardant à droite (côté ' de la lésion dans le premier cas) ; rotatoire dans le second ;
ves des petits muscles de la main. Nous avons vu quelles étaient les lésions qui, dans nos cas personnels, constituaient leu
ire clinique. Elle comprend deux parts : Une hémiparésie droite par lésion pédonculaire ; Une amyolropbie théna ro-h ypoth
ndon d'Achille, signe de Babinski positif à droite. A l'autopsie, lésion ancienne du pédoncule. Ramollissement récent du p
même côté. Fie. 3. Obs. n° I. Téphromalacie unilatérale droite. La lésion est ici maxima. Du côté droit la corne antérieu
ur.Ce cas a été débité en coupes sériées depuis C 1 jusqu'à D 5. La lésion louchait C 8 en entier et s'étendait sur C 7 (p
le dessin a été retourné par erreur). Elle montre les détails de la lésion , idenliques d'un cas à l'autre. CA corne antéri
téphromalacie unilatérale limitée à la corne antérieure droite. La lésion est limitée au 8e segment cervical et empiète en
ents cervicaux et 2e, 3', 4' segments dorsaux sont indemnes. Pas de lésion de poliomyélite. Pas de lésion dans le reste de
gments dorsaux sont indemnes. Pas de lésion de poliomyélite. Pas de lésion dans le reste de la moelle dorsale, lombaire et s
iquement téphomalacie unilatérale de la corne antérieure gauche. La lésion frappe le 8e segment cervical et le 1er segment d
culaire avec dégénération des bandelettes de Charcot-Pierret. Cette lésion du cordon posté- xxv 29 434 P. MARIE ET FOIX
e, 4e segments dorsaux sont indemnes. Pas de polio- myélite. Pas de lésion de la moelle dorsale, lombaire et sacrée sauf la
té en séries depuis C 3 jusqu'à D 5 par segments étagés ensuite. La lésion touchait C 8 en entier et s'étendait sur C 7 (par
. Dans ce cas la moelle coupée par : (sep;menls étagés ne montrait de lésion qu'à ce niveau. C 6, U 3 et le reste de la moel
êles et mal vascularisées. La substance blanche est indemne. Pas de lésions des cordons postérieurs. Les lésions d'endartér
ce blanche est indemne. Pas de lésions des cordons postérieurs. Les lésions d'endartérite sont ici encore extrêmement marquée
si bien qu'il est difficile d'affirmer l'origine syphilitique de la lésion . Peut-être s'agit-il simple- ment d'artério-scl
e s'agit-il simple- ment d'artério-sclérose sénile. L'absence des lésions des cordons postérieurs qui existaient dans nos d
ne myéliniques conservées. g.v. gaines vides. a.g. amas de graisse. Lésion massive du cubital. Il ne reste plus que quelqu
si : 1° au niveau des nerfs une névrite interstitielle intense (Ces lésions ont été étudiées dans la première partie de ce
ombreuses. Beaucoup sont en voie de chromatolyse. En résumé, grosse lésion de névrite scléreuse ancienne portant sur les ner
n : Marchi-sllfranine, mêmes lettres que dans la figure précédente. Lésion dimidiée du médian, à droite tubes nerveux rela
n grand nombre d'entre eux à un fort grossissement présen- tent des lésions manifestes), à gauche, tubes nerveux vides, étouf
é faradique et galvanique. Rien à la main gauche. Par conséquent, lésions très marquées de l'éminence hypothénar et des i
lésions très marquées de l'éminence hypothénar et des interosseux, lésion moindre de l'éminence thénar. Rien à la main gauc
nar et les interosseux d'origine vraisemblablement obstétricale par lésion radiculaire. Observation IX B...,49 ans, jour
il s'agit d'amyo- trophie congénitale, due bien probablement à des lésions radiculaires par traumatisme obstétrical, nous
généralement évolutive ; et l'extension progressive et diffuse des lésions achèvera de dissocier les 2 tableaux cliniques.
trophies par poliomyélite ou par méningo- myélite syphilitique avec lésions cellulaires diffuses, où l'atteinte des membres
topsie : il s'agissait de téphromalacie et il existait en outre une lésion peu marquée des cordons postérieurs. c) Qu'ils
porte, elle nous parait quand on l'observe, plaider en faveur d'une lésion centrale plutôt que d'une lésion périphérique,
l'observe, plaider en faveur d'une lésion centrale plutôt que d'une lésion périphérique, radiculaire ou névritique. Ainsi
er à l'encontre de notre opinion, quant à la fréquence relative des lésions téphro-malaciques sur lesquelles nous venons d'
é un tout autre type d'amyotrophie. Ce sont des malades atteints de lésions diffuses, ayant presque tous le double pied-bot
de Rose el Rendu. Les cas avec autopsie relatent pres- que tous des lésions analogues, c'est-à-dire une atrophie des cellules
OGRESSIVE DES PETITS MUSCLES li 41) A cette atrophie s'ajoutent des lésions vasculaires plns ou moins mar- quées, lésions d
rophie s'ajoutent des lésions vasculaires plns ou moins mar- quées, lésions de périvascularite syphilitique subaigué dans les
syphilitique subaigué dans les cas de Raymond, de Launois et Porot, lésions d'endo-périvascularile chronique dans les cas d
d'endo-périvascularile chronique dans les cas de Leri, de P. Merle, lésions très anciennes et peu marquées dans les cas de
point commun qui les sépare com- plètement des nôtres. Il s'agit de lésions progressives revêtant plus ou moins le type de
es auteurs qui s'en sont occupés semblent surtout penser soit à des lésions muscu- laires protoptlliques, soit à des lésion
penser soit à des lésions muscu- laires protoptlliques, soit à des lésions de névrite localisée. Nous venons de voir qu'en
sive des petits muscles de la main peut reconnaître comme cause une lésion destructive et localisée de la corne antérieure,
acie limitée à un ou deux segments médullaires. D'autre part, cette lésion léphromalacique n'est pas la seule à pouvoir ca
RIE ET FOIX Comment faire cliniquement le départ entre ces diverses lésions . Ceci comporte une double question. Quelle es
ouble question. Quelle est la maladie causale ? ' ? Quelle esl la lésion anatomique déterminante. Pour ce qui est de la
ent bien hypothétique. Dans notre cas de névrite avec autopsie, les lésions frappaient à la fois le cubital et le médian, si
ouvé la trace à l'autopsie. Il reste alors à définir le siège de la lésion et ce dernier diagnostic nous parait particuliè
ence hypothénar respectée ainsi que les interosseux. Comme dans les lésions du nerf médian, l'adducteur du pouce est respecté
ur de la névrite, leur conservation du côté atteint en faveur de la lésion centrale. Nous pensons également que l'existenc
avec augmentation de l'albumine rachidienne plaide en faveur d'une lésion centrale, médullaire ou radiculaire. (On sait cep
fus). On le voit, tout cela reste un peu flou, et, le diagnostic de lésion de- meure en partie une affaire d'impression. N
lée avec abolition des réflexes radial et cubital, on conclura à la lésion périphérique névritique. 2° Quand chez un malad
n des réflexes radial et cubi- tal du côté malade, on conclura à la lésion centrale, médullaire. 3° L'existence de trouble
région. C'est encore en ce point que débu- tent et prédominent les lésions cellulaires de la poliomyélite chronique et de
r la stricte limitation des symptômes, et la stricte limitation des lésions . BIBLIOGRAPHE AposTOUDES. Presse médicale, 19
. Thèse de Lyon, 1905. CUARCOT et Pierrei'. Tabes avec amyotrophie. Lésions des cornes antérieures. C. Il . Soc. Biol., 187
otrophique, Revue de Médecine, 1906, p. 561. LAPIIiSIC, - Sur les lésions des cornes antérieures dans le labes. Archiv sur
déjà en 1892, apportant l'observa- tion d'une femme morte avec des lésions dégénératives de néphrite chro- nique, remarqua
ps que l'examen macroscopique et microscopique des reins montra des lésions de néphrite subaiguë. Voilà les grands traits d
ns lequel on glisse un gros drain. Les deux valves n'offrent pas de lésions apparentes. On les suture l'une à l'autre par c
t lirmatéine picro-ponceau . Les glomérules ont relativement peu de lésions , la capsuieestseuie épaissie ; certains sont ra
agment recueilli au moment de l'inter- vention, nous ont montré des lésions évidentes de néphrite grave, et il 460 PALLASSE
t de se reporter à la notice pour être convaincu de l'existence des lésions rénales. Comment donc pourtant concilier la gra
ion que nous émettons l'hypothèse très logique de l'influence de la lésion nerveuse. La tumeur pituitaire a pu jouer un rô
e tumeur l' hypophysaire constitue déjà pour le système nerveux une lésion qui le rend plus vulnérable, il est très raison
rès raisonnable de penser que chez une pré- disposée, du fait de la lésion encéphalique, l'évolution d'une poussée aiguë a
'une coexistence entre la néphrite et la dystrophie. L'existence de lésions rénales n'est pas men- tionnée spécialement dan
. Les trois malades de Huchard étaient des cardio-vasculaires, avec lésions rénales, mais Klebs désigne l'hypertrophie card
s'accompagne de plus d'asthénie, de troubles mentaux et souvent de lésions nodulaires sous-cutanées. Ces lipomatoses nodul
ion tuberculeuse a pu déterminer au niveau des éléments nerveux des lésions se traduisant à la périphérie par deux sortes d
hléen ; on peut se demander si l'on n'assiste pas là au début de la lésion ; mais il ne faut pas moins reconnaître, dans n
lymphadénome qui est plus ferme, qui s'accompagne de cachexie et de lésions du sang ; L'adéno-lymphocèle où l'on constate d
22 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ntre les affections mentales et les affec- tions cérébro-spinales à lésion caractérisée. Or, cette maladie offre une parti
la théorie atavique du crime. L'existence quelquefois constatée de lésions cérébrales 5, est encore à l'appui de l'opinion
proprement dite qui peut engendrer l'aliénation par hérédité. Les lésions cérébrales de tout genre, les affections ner- L
névroses d'une part et, de l'autre, aux maladies cérébro-spinales à lésion . Pour ce qui est de la chorée, sa parenté avec
970.) °- Ch.. Féré. Tic non douloureux de la face consécutif à une lésion probable de la région du pli courbe. (Bull, Soc
admet que la vésanie des tabétiques est en rapport direct avec les lésions anatomiques : pour lui, le délire du tabes est
euvent s'expliquer par ce fait que la sclérose en plaques étant une lésion de nature inflammatoire peut, 'dans certains ca
pathique qu'à titre de collatérales; elles résul- tent en effet des lésions qui occupent primitivement le système vasculair
des lésions qui occupent primitivement le système vasculaire et la lésion ne constitue en quel- que sorte qu'un accident.
la moelle; il dégénère parfois, comme le système postérieur, et sa lésion n'est autre que la sclérose latérale amyotrophi
clérose sur les cordons postérieurs et sur les cordons latéraux. La lésion du cordon latéral ne reproduisait pas, il est v
tion, dans l'acception rigoureuse du mot, de la com- binaison des lésions du tabes avec celles de la sclérose latérale am
r les deux malléoles internes. «L'encéphale pèse 1,100 gr. ; aucune lésion superficielle ou profonde, macroscopiquement ap
220 gr. Le foie est volumineux (1,720 gr.), congestionné, mais sans lésion appréciable à l'oeil nu. La rate, très grosse,
x. » Avant d'aller plus loin, nous devons faire remarquer que les lésions macroscopiques rencontrées à la nécropsie, ont ét
50 PATHOLOGIE NERVEUSE. Au demeurant, c'est exclusivement sur les lésions du système nerveux et spécialement sur celles d
mémoire. B. Examen microscopique de la moelle. I. Topographie des lésions .- Un examen attentif des figures représentées s
, au premier coup d'oeil jeté sur ces figures, c'est l'existence de lésions scléreuses dans toute la hau- teur de la moelle
sions scléreuses dans toute la hau- teur de la moelle épinière. Ces lésions sont surtout marquées au niveau de la région do
ach et même sur un point (fig. 8), ils paraissent indemnes de toute lésion . FAUSSE SCLÉROSE SYSTEMATIQUE DE LA MOELLE. 51
sions de ces cordons de haut en bas, nous décrirons cependant ces lésions en procédant de la partie inférieure vers la part
e coupe du cône médullaire ; il s'en éloigne un peu plus haut. La lésion devient plus étendue et plus massive à partir de
e s'étend jusqu'à la base de la corne antérieure. Telles sont les lésions qu'on constate en examinant les coupes à un fai
cornes. Toutefois il im- porte de relever que sur les points où les lésions scléreuses 52 PATHOLOGIE NERVEUSE. étaient le
qui précède, nous pouvons résumer comme il suit la topographie des lésions : Sclérose étendue à toute la hauteur de la moe
u 5t PATHOLOGIE NERVEUSE. tissu interstitiel. On ne relève aucune lésion des tubes ner- veux eux-mêmes. III. Examen mi
ci était très minime. III. En se reportant à la topographie des lésions spi- nales constatées dans le cas que nous veno
ourrait être tenté de penser qu'il s'agit là d'un exemple de double lésion systématique. La sclérose, en effet, intéresse
se de la moelle, et considérons exclusivement la localisation des lésions . A n'envisager que celles des cordons posté- ri
habitudes de la sclérose multiloculaire. De par la topographie des lésions , nous sommes donc autorisés à avancer que nous
es antérieures qui font partie intégrante du même système. Pareille lésion a été décrite cependant. Dans une thèse récente
nnaître qu'il nous a été impossible de trouver sur les coupes les lésions constitutives de la sclérose latérale systé- ma
lte, en effet, de la description histologique de Dreschfeld que les lésions dans toute la hauteur de la moelle paraissaient
ue l'on pourrait avoir à faire de la nature systématique ou non des lésions scléreuses intéressant à la fois les cordons la
ffi, nous l'avons vu, pour nous faire repousser l'idée d'une double lésion de système. Cependant, à la région cervicale su
agitant la question de la coïncidence possible dans la moelle de lésions de sclérose diffuse et de sclérose systéma- tis
OSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 59 de la voir coïncider ici avec des lésions des cordons postérieurs, qui nous paraissent ce
orté l'observation. Dans le cas de M. Babesiu, nous le verrons, les lésions spinales étaient fort analogues à celles rencon
o- pique ou de l'étude microscopique à faible grossisse- ment des lésions chez notre malade. Nous avons eu affaire à une
absolument de même ordre. Aussi décrirons-nous plusieurs types de lésions combinées. On ne devra pas oublier que la class
es systématiques; mais elles en ont simplement l'apparence. Ici les lésions se jouent des barrières physiologiques, se disp
ent notre cas, ainsi que celui de M. Babesiu'. La topographie des lésions dans ce dernier fait, l'irrégularité remar- qua
s. 2e type. - Dans une seconde catégorie de cas on a affaire à la lésion classique de l'ataxie locomotrice, à la scléros
, à la sclérose systématique de la bandelette externe. Mais cette lésion ne se limite pas au cordon de Burdach, elle int
orte en 1880, dans le service de M. Charcot, à la Salpêtrière : les lésions de la moelle chez cette malade correspondaient,
e la combinaison d'une sclérose primitivement systématique avec des lésions de myélite diffuse. Sous l'influence des condit
bandelettes externes des cordons postérieurs se prennent, voilà la lésion systématique. Mais cette lésion engendre second
postérieurs se prennent, voilà la lésion systématique. Mais cette lésion engendre secondairement une lepto- méningite ;
ns une étendue plus ou moins grande les cordons latéraux : voilà la lésion diffuse. Le cas de M. Prévost est un exemple de
type D'une part, nous relevons dans l'observation de M. Prévost les lésions suivantes de l'ataxie : « Altéra- tion des nerf
région lombaire ». Mais, d'autre part, il y avait, en outre de la lésion précédente, une sclérose de la partie la plus pé-
d'une dégénérescence du cor- don cérébelleux, il s'agit bien d'une lésion diffuse. Mais cette lésion diffuse ne résulte p
don cérébelleux, il s'agit bien d'une lésion diffuse. Mais cette lésion diffuse ne résulte pas d'une simple propagation
timement placée. Dans ce cas, en effet, on voit se surajouter aux lésions du tabes une sorte de sclérose corticale qui in-
Cette sclérose surajoutée qui, sur certaines des coupes, simule une lésion du fais- ceau cérébelleux, ne nous paraît pas c
admettre, d'après quelques faits, la possibilité de l'évolution de lésions systéma- tisées consécutivement au développemen
on à celle des faisceaux cérébel- leux ; au-dessous au contraire la lésion dégénérative intéressera, suivant la règle les
, sur Psychiatrie, Bd. VIII, u. IX. 6t PATHOLOGIE NERVEUSE. « Les lésions , dit l'auteur, offrent leur maximum d'intensité
n second lieu, de la première à la troisième dorsale, il existe une lésion qui intéresse également les cordons latéraux, lés
il existe une lésion qui intéresse également les cordons latéraux, lésion que prouve une dégénérescence latérale double c
u'à la partie inférieure des régions dorsale et lombaire. Quant aux lésions qui occupent les cordons latéraux et postérieur
dessus et au-dessous de la région que nous venons de considérer, la lésion affecte, au contraire, une disposition qui rapp
te, au contraire, une disposition qui rappelle assez bien celle des lésions systématiques consécutives d'un foyer intra-méd
analogie, en ce sens qu'il s'agit, dans toutes, de la combinaison des lésions classiques de avec une dégénérescence d'une par
st que ni dans les unes ni dans les autres de ces observations, les lésions des faisceaux latéraux n'affectaient, dans leur
interprétations : l'on peut admettre qu'il y a là exclusivement des lésions systématiques et, dans cette hypothèse, on aura
ns points une double myélite systéma- tique ; ou bien enfin que les lésions de la partie moyenne de la moelle étant celles
nes antérieures qui nous semble difficilement compatible avec une lésion systématique primitive du faisceau pyramidal. W
qui nous semble militer surtout en faveur de la nature diffuse des lésions de la région dorsale, dans le cas de Westphal,
de Westphal, c'est l'irrégularité réelle 'de la topographie de ces lésions , et aussi le développement remarquable des vais
ues qu'on observe d'habitude dans les cas où l'on a affaire à cette lésion . Westphal, qui s'est posé cette même question,
IE NERVEUSE. qui explique, dans une certaine mesure, l'absence de lésions dégénératives secondaires dans cette affection.
ne étendue moins considérable à gauche que de l'autre côté. Cette lésion du faisceau de Tùrck nous semble, comme à MM. K
e que le pyramidal. Les auteurs pensent qu'il s'agissait là d'une lésion propagée. 1 Kahler et Pick. Ueber combinirtc sy
es photographies des coupes microscopiques d'une moelle atteinte de lésion scléreuse des cor- dons postérieurs et latéraux
t ans, dont le corps était insuffisamment développé, si bien que la lésion des cordons, d'après les auteurs de l'observati
ntrer, qui ont trait, on l'a vu, exclusivement à la topographie des lésions scléreuses dans notre cas et dans quelques autr
z significatives pour nous permettre de repousser l'hypothèse d'une lésion primitivement péri-tubulaire. Un premier fait
TÉMATIQUE DE LA MOELLE. 71 t latéral dégénéré consécutivement à une lésion céré- brale, en B celle du cordon latéral de la
ns des parties malades et des parties saines, c'est-à-dire là où la lésion n'avait pas encore atteint son degré le plus av
ubes, mais ceux-ci sont pour la plupart malades et présentent les lésions qu'on observe dans les cas de myélite aiguë ou su
qui ont été attaqués par le rasoir au niveau de ces ruptures. La lésion que nous venons de décrire n'a,pas été, croyons
, qu'au contraire elle a été consécutive au dévelop- pement de la lésion interstitielle. Mais, dans la sclérose systémat
ns ses caractères généraux, qui ne soit fort mal connue quant à ses lésions primordiales. ' Or, la pathologie comparée des
utre de ces espèces certaines scléroses données. C'est ainsi que la lésion de l'ataxie locomotrice pro- gressive, qui, dep
al, nous restons donc convaincu de l'origine péri-radiculaire des lésions du tabes, dans les cas types de maladie de Duch
pathologiques de Sarrazin, pour se croire en droit de regarder les lésions médullaires observées dans notre cas, comme des
egarder les lésions médullaires observées dans notre cas, comme des lésions syphili- tiques. Ce qui caractérise en effet le
les travaux de Heubner, Cornil, d'autres encore ont montré que les lésions syphilitiques procèdent en gé- néral d'une arté
n gé- néral d'une artérite, et nous savons, d'autre part, que ces lésions ont une remarquable tendance, par- ticulièremen
tions observées dans les cas de myélite syphilitique scléreuse' : « Lésions des méninges avec prolifération du tissu conjon
ent sur les tractus fi- breux qui relient les méninges à la moelle. Lésions de la moelle produites par prolifération des él
ux ; formation de cellules à prolon- gements ou cellules araignées; lésions des vaisseaux et aussi des gaines péri-vasculai
derniers temps. La remarquable tendance qu'ont à se diffuser les lésions syphilitiques nous paraît être un argument très
é ses dégâts au système postérieur, que toujours, au contraire, les lésions ont envahi une partie plus ou moins étendue des
on pourrait objecter que, pour être habituelle, cette diffusion des lésions peut n'être pas fatale. Nous l'admettons volont
t reculer la difficulté sans la résoudre. « Un très grand nombre de lésions syphilitiques tertiaires, dit M. le professeur
s microsco- piques, de la nature probable et de la pathogénie des lésions , il reste à nous demander quelle est la symp- 1
lérose des faisceaux postérieurs. On sait que les symptômes d'une lésion spinale (comme ceux d'une lésion cérébrale) dép
On sait que les symptômes d'une lésion spinale (comme ceux d'une lésion cérébrale) dépendent du siège de la lésion, non
nale (comme ceux d'une lésion cérébrale) dépendent du siège de la lésion , non de sa nature. Peu importe que les cordons
ois de l'altération des premiers et de celle des seconds. Or, les lésions isolées des cordons postérieurs se traduisent p
. Le problème diagnostique se pose donc dans ces termes : En cas de lésion intéres- FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOE
les phénomènes prédominants ont été ceux qui dé- pendaient de la lésion du cordon latéral, à savoir : la paralysie avec
is cas, la sclérose laté- rale a maintenu ses droits en dépit de la lésion coïnci- dente des cordons postérieurs, et a pu
nous semble, s'expliquer le fait en considérant la topographie des lésions sur les dessins de M. Babesiu, et particulièrem
ité et avec de la trépidation spinale, car, dans ce cas encore, les lésions des bandelettes exter- nes s'étaient en quelque
, dans lesquels, la FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 83 lésion de ces derniers imprime à la symptomatologie la
axie locomotrice la plus franche. Mais, dans ces cas en général, la lésion propagée au cordon latéral est, nous l'avons vu
dant que, dans l'espèce, la prédomi- nance d'action est restée à la lésion postérieure. Relevons tout d'abord dans les dét
l'absence de douleurs et d'anesthésie, malgré l'exis- tence d'une lésion très prononcée des bandelettes externes. Kahler
uant à l'anesthésie, elle serait surtout sous la dépendance de la lésion des cornes postérieures de la substance grise.
us paraît se résou- dre de la façon que voici : l'avantage est à la lésion prédominante. Si la sclérose postérieure occupe
cerveau est un peu mou, tremblotant, d'aspect gélatiniforme. Pas de lésions à première vue : pas d'atrophie de la corne d'A
mac surtout, était sain, bien conformé, tout à fait normal, et sans lésions d'aucune espèce. Ces résultats, d'accord avec c
ements involontaires et forcés) à la suite de l'excitation ou de la lésion du plancher du troisième ventricule, ont le même
l3ECILTERE1'P. (LOC. Cit.) L'auteur arrive à la conclusion, que les lésions isolées du corps genouillé externe, chez les ch
eux yeux du côté con- traire à l'hémisphère lésé. - L'étendue de la lésion dans les deux veutétaitta même qu'à la section
troublée et ra- lentie et le tonus musculaire endommagé, de par la lésion des fibres radiculaires postérieures. La phase
gnostic porté pendant la vie du malade que ce fait con- cerne fut : lésion de la base du crâne (étage moyen), occu- pant l
sujets en expérience présentaient en revanche, du côte opposé à la lésion , une diminution de volume de la région cérébral
, pensa-t-il avoir affaire à un cas d'épilepsie symptomatique d'une lésion cérébrale gauche ayant amené l'hémispasme de to
arrivée, la malade fut prise d'hémoptysie, que l'absence de toute lésion pulmonaire ponstatable nous porta à considérer (e
caractères analogues à ceux qu'elles affectent dans l'épilepsie par lésion cérébrale localisée ou épilepsie jackso- nienne
la commotion cérébrale sans complications passe sans que la moindre lésion anatomique soit appréciable dans l'encéphale, e
re de la com- motion consisterait, d'après ses recherches, dans une lésion de la moelleallongée effectuéepar ce qu'ilnomme
en transmettant l'action vulnérante d'un choc sur le crâne. Cette lésion de la moelle allongée, ce « trouble bulbaire», ex
a cause de cet état dût être cherchée 136 BIBLIOGRAPHIE. dans une lésion de la moelle allongée, et, dans cette idée, M. Ti
, M. Tilanus se posa la question suivante : c) Est-il possible, par lésion directe de la moelleallongée et surtout du plan
er du ventricule bulbaire et l'aqueduc sylvien réagissent-ils à des lésions directes ? , " Pour les résoudre, le plancher d
s animaux étaient évidemment] compos mentis et cela même après. des lésions qui allaient jusqu'à l'extirpation du centre 1
ricule à sa partie antérieure sont, pour une partie, la suite de la lésion des centres des mouvements des yeux, et pour le
de '1 shok». Il a été toujours difficile de comprendre comment une lésion des hémisphères, comme l'ébranlement dans la co
riences décrites. Or, comme nous avons vu, de temps en temps, les lésions de la moellei allongée produisaient des symptômes
és plus haut, on ne doit jamais oublier que, dans les autres cas de lésion ¡de cette partie de l'encéphale, on a à faire à
es cas de lésion¡de cette partie de l'encéphale, on a à faire à des lésions locales, de sorte que les' différentes parties de
le, par paralysie des muscles articulateurs, dépendant soit d'une lésion cérébrale, soit d'une lésion protubéran- tielle
es articulateurs, dépendant soit d'une lésion cérébrale, soit d'une lésion protubéran- tielle. L'étude comparative de ces
observés : ,. %IL. 10 146 PATHOLOGIE NERVEUSE. 1° A la suite de lésions corticales; 2° - de lésions du centre ovale';
PATHOLOGIE NERVEUSE. 1° A la suite de lésions corticales; 2° - de lésions du centre ovale'; 3° de lésions de la capsule i
te de lésions corticales; 2° - de lésions du centre ovale'; 3° de lésions de la capsule interne et du - pédoncule; 4° d
'; 3° de lésions de la capsule interne et du - pédoncule; 4° de lésions de la protubérance. 1° Lésions corticales. Da
interne et du - pédoncule; 4° de lésions de la protubérance. 1° Lésions corticales. Dans ses recherches expérimentales
Ferrier, plus ou' moins bilatérale; aussi, différant en cela des lésions destructives des centres des membres, les lésions
érant en cela des lésions destructives des centres des membres, les lésions des centres oro-linguaux ne provoqueraient pas
ou hémiparésie des mouvements oro-lin- guaux '. Chez l'homme, les lésions de ces mêmes parties du lobe frontal peuvent do
variétés par- faitement distinctes de troubles de la parole. Si la lésion occupe le pied de la troisième circonvolution f
accordent à reconnaître que, pour produire le symptôme, il faut une lésion du tiers postérieur de la troisième circonvolut
ngage. Il a rapporté, en 1868, quinze observations d'aphasie avec lésions de l'insula. Depuis, quelques faits analo- gues
les observations démontrant la possibilité de l'aphasie avec une lésion limitée de l'insula' ». Si la littérature médic
ste d'ailleurs deux faits anatomiques qui tendent à prouver que les lésions de l'insula ne peuvent pas, par elles-mêmes, donn
ntes libres comniissurales. Ue là, il est permis d'admettre que les lésions de l'insula ne déterminent de l'aphasie que par r
gie corticale, mais de troubles divers de motilité de la langue par lésion des circonvolutions. Ces faits sont les suivant
paralysie faciale à gauche et difficulté pour sortir la langue : lésion portant spécialement sur la partie infé- rieure
lé un grand nombre de cas de convulsions des muscles delà face avec lésions de l'extrémité inférieure de la frontale ascend
el satisfaisant, compréhension bonne. A l'autopsie, l'on trouve une lésion dans chaque hémis- phère, au même point. Le poi
51 nant dans le domaine musculaire de l'hypoglosse, à la suite de lésions diverses (abcès, encéphalite aiguë, etc.) du pi
d de la circonvolution frontale ascendante, droite ou gauche. Les lésions ont intéressé indifféremment l'un ou l'autre de
et les symptômes observés ont toujours été croisés par rapport aux lésions . La troi- sième frontale n'ayant pas été attein
nt paralysée, et restait inerte sur le plan- cher de la bouche. Les lésions étaient bilatérales et occupaient dans chaque h
le. A l'autopsie, on trouve, à la surface de chaque hémisphère, une lésion symétrique : une plaque de ramollissement jaune
p. 848), M. Lépine a rapporté des faits de trismus per- manent avec lésions du pied de la frontale ascendante ou des faisce
losse, le facial inférieur et la branche motrice du trijumeau. 2° Lésions du centre ovale. Ainsi que l'a démontré Pitres,
sentés dans les coupes pédiculo-frontale et frontale de Pitres. Les lésions du premier donnent lieu à l'apha- sie, tout com
. Les lésions du premier donnent lieu à l'apha- sie, tout comme les lésions du centre cortical corres- pondant ; les lésion
ie, tout comme les lésions du centre cortical corres- pondant ; les lésions du second se traduisent par un ensemble symptom
servation 1 (recueillie par M. Oulmont). - Paralysie glosso-labiée. Lésion des deux noyaux lenticulaires et des capsules e
moyenne et inférieure. Observation IV. - Paralysie glosso-labiée ; lésion superficielle du lobe moyen de hémisphère droit
lue de ces parties. Observation VI. - Paralysie pseudo-bulbaire par lésion cÙé- branle bilatérale (Résumée.) Publiée par F
ncules, à la protubérance, ni au bulbe. Hémisphère gauche. Aucune lésion des circonvolutions. Sur la coupe de Flechsig,
circonvolution temporo- sphénoïdale. Sur la coupe de Flechsig, la lésion atteint le segment extenw du noyau lenticulaire
bservation VII. Paralysie glosso-labiée à forme pseudo- bulbaire. - Lésions symétriques des deux noyaux lenticulaires et de
onvolutions, rien àla protubérance. Le bulbe parait normal. Comme lésions , on trouve : 1° Dans l'hémisphère droit, un foy
\' v Itr W"1 11 ·w 1 .' Il semble étrange, au premier abord, qu'une lésion I,f 1110" hl 'II Jl.. l, l 1"I.t · 111 1 céré
dans l'hémi- - p,m , t-' le, 'et il 1. r 1 z plégie vulgaire par lésion de la capsule interne, il r< r11 ! 5111' 1,1
ERVEUSE. des signes de paralysie glosso-labiée. Qu'on suppose une lésion de l'hémisphère droit du cerveau intéres- sant
logues à ceux que nous avons décrits plus haut. Quelles sont les lésions du cerveau susceptibles de donner lieu au syndr
peuvent se diviser en deux groupes : un pre- mier, dans lequel les lésions sont exclusivement ou surtout corticales; un se
ont exclusivement ou surtout corticales; un second, dans lequel les lésions intéressent les faisceaux blancs sous-jacents.
Dans le cas de Barlow, que nous avons déjà rap- porté à propos des lésions corticales, existait une lésion symétrique de c
ons déjà rap- porté à propos des lésions corticales, existait une lésion symétrique de chaque hémisphère : une plaque de
mier fait de paralysie glosso-labiée ccre- , braIe produite par une lésion unilatérale. 1 il Dans le- fait de Féré existen
nilatérale. 1 il Dans le- fait de Féré existent en même temps des lésions de l'écorce des faisceaux blancs, sous-jacents :
voit,, assez indéterminée. Au point de'vue de l'uuilatéralité de la lésion , le fait, de Kirchhoff rappelle celui de Magnus
nets que -les malades de .Barlow et de.Rosenthal;' et cependant la lésion trouvée , . ,chez elle- était unilatérale : n
,deuxième groupe (Féré, Ou)mont, Kirchhoff, obs. personnel le) les lésions sont identiques : ..il s'agit' constamment de f
la circonvolution frontale ascendante, et figurer sur ce schéma une lésion analogue à celle que nous venons de décrire, on
alogue à celle que nous venons de décrire, on verra que toujours la lésion intéresse le faisceau frontal inférieur, c'est-
détachant du pied de la frontale ascendante. Ainsi, de même que les lésions du faisceau pédiculo- frontal inférieur (sous-j
la troisième frontale) se traduisent par de l'aphasie, de même les lésions du faisceau frontal inférieur (sous-jacent à la
« que le malade avait de la peine à écarter les mâchoires ». Les lésions de ce faisceau, qui donnent lieu au tableau cli
ilatérales. Deux fois seulement (cas de Magnus et de Kirchhoff), la lésion était unilatérale et occupait l'hémisphère droi
ymptômes d'une paralysie bulbaire progressive. A l'autopsie, pas de lésions dans les noyaux bulbaires; mais plaques de sclé
ongée et les cordons pyramidaux de la moelle. La localisation de la lésion capsulaire n'est mal- heureusement pas indiquée
artie antérieure de chaque corps strié (noyau'lenticulaire). Pas de lésions (à l'exa- men macro et microscopique) de la pro
nérale. A l'AUTOPSIE, kyste dans chaque noyau len- ticulaire Pas de lésions de la capsule interne. Pas d'examen microscopiq
, dans la région dorso-lombaire. A l'examen microsco- pique, pas de lésions dans le bulbe ; myélite transverse dans là régi
îles cas qui précèdent, à l'exception du cas de Frédéric Jolly, la lésion trouvée à l'autopsie siégeait toujours dans le
ions nerveuses de la goutte, parce qu'elles sont attribuables à des lésions vasculaires et non à des troubles spontanés du
ie et de Todd. Graves' semble être le premier qui ait signalé des lésions de la moelle; il parle d'un ramollisement de la
ieillards n'ont rien à faire avec la goutte 3. En somme, en fait de lésion médullaire, il n'y a guère que le cas de M. Oll
la cornée, glaucome irido-choroïdien) n'ont aucun rapport avec les lésions du système nerveux. Pourtant, M. Gauté 1 rattac
Parfois disséminées sur les parties du corps les plus diverses, les lésions musculaires restent d'autres fois limitées à de
cot a vu plusieurs fois l'ataxie locomotrice s'accompagner de cette lésion , souvent dès la première période de son évoluti
re; mais diminution de la sensibilité de la peau à la douleur. d) Lésions des jointures. A l'épaule on constate ce qui su
humatisme chronique. Nous serions donc porté à nous demander si les lésions arti- culaires observées chez le malade de M. V
es des grosses jointures des membres. L'autopsie démontra que les lésions osseuses relevaient, en effet, du rhuma- tisme
suite des affections cérébrales, des affections bulbaires ou des lésions périphériques intéressant l'un des nerfs .hypol
e l'or- gane ne subit pas une diminution appréciable ». Quant aux lésions du bulbe, elles s'accompagnent aussi quelquefoi
raît avoir été produite par une hémorrhagie bulbaire. - Quant aux lésions des hypoglosses, entre leur ori- gine apparente
iniquement conslatable, est un fait tout exceptionnel en dehors des lésions du nerf hypo- glosse. Ce qu'on peut s'expliquer
paire du côté droit. Ces' faits démontrent qu'au niveau du bulbe la lésion intéresse à la fois le noyau originel de l'hypo
troubles, dans la sphère motrice, contre la systématisation de la- lésion de l'ataxie à l'appareil sensitif, telle qu'ell
terprétation qu'on en donne, n'impliquent en au- cune façon que la lésion de la moelle ait dépassé 1 Leçons publies par 3
es moteurs, l'absence des phénomènes qui d'ordinaire révèlent une lésion des faisceaux pyramidaux consti- tuent déjà une
éjà une présomption suffisante contre l'exis- tence d'une semblable lésion dans les cas auxquels nous faisons allusion. D'
E L'H\ILaTR01'HIf : DE LA LANGUE. 213 la description minutieuse des lésions macroscopiques et microscopiques trouvées à l'a
roscopiques trouvées à l'autopsie ne mentionne, dans ce cas, aucune lésion des cordons antéro-Iatéraux de la moelle, ni de
hénomènes paralytiques au cours de l'ataxie, sans que cependant les lésions aient dépassé les limites du système sensitif,
on médullaire sont compatibles avec la parfaite systématisation des lésions du tabes, il est tout naturel d'admettre, comme
celles- ci n'impliquent pas plus que celles-là une diffusion des lésions hors du système sensitif. Dès lors, il ne nous
ères comme une présomption contre la systématisation rigoureuse des lésions à l'appareil sensitif. En est-il autrementdes
hysiologiques'. 1. Il est, dès lors, tout naturel d'admettre que la lésion des noyaux bulbaires est secondaire, comme cell
ntà l'appui de l'idée que nous émettions plus haut, à savoir que la lésion du système antérieur (cornes anté- rieures) sup
n certain nombre de faits relatifs à des cas d'ataxie bulbaire avec lésions de la langue ou des muscles des yeux, on ne tro
ômes (douleurs, anesthésies ou hyperesthé- sies), qui traduisent la lésion de la racine du trijumeau. Cette lésion et, par
sies), qui traduisent la lésion de la racine du trijumeau. Cette lésion et, par suite, les manifestations qui la révèle
les cas. L'examen anatomique a démontré qu'il en était ainsi de la lésion ; l'explora- tion clinique attentive établira, n
la con- viction, qu'il en est ainsi des symptômes par lesquels la lésion se révèle. On nous pardonnera d'être revenu aus
ules, le plancher du quatrième ventricule. De cette vésicule et des lésions qu'elle a provoquées en ce point ont dépendu le
on ne trouve outre la double pneumonie (Ilépatisa- tion grise), de lésions que dans l'encéphale. L'intestin, le foie, les
e traumatismes céphaliques '. c) Dans un certain nombre de cas de lésions de l'encéphale et en particulier dans les affec
encontre encore ces modifications de l'urine dans certains faits de lésions trau- matiques de la partie supérieure du rachi
nsitoire dans la plupart des affections 1 Bary. - Vu diagnostic des lésion * des reins dans les affections des voies urinai
e est double et ils ne paraissent pas être sous la dépendance de la lésion cérébrale. A l'autopsie des anciens hémiplégiqu
ale. A l'autopsie des anciens hémiplégiques on ne trouve jamais les lésions vésicales et ré- nales, suites nécessaires d'un
ire remar- quer que si, dans les affections du système nerveux, les lésions locales des voies urinaires, donnant lieu à l'a
involontaire qui, comme la précédente, se rencontre dans les cas de lésions de la partie inférieure de la moelle, dans sa t
servés du côté de la ves- sie et de l'urèthre sous la dépendance de lésions du système nerveux, il faut surtout citer les c
ébro-spinale. D'autre part, il s'en faut de beaucoup que toutes les lésions spinales s'accom- pagnent de phénomènes de cet
. , (La Semaine médicale, 20 septembre 1883.) La distribution des lésions cutanées du zona avaient depuis longtemps démon
variables du côté des sens, de la sensibilité, de la motilité sans lésion d'aucune espèce, si ce n'est peut-être une circ
ique fait sur coupes (d'après la méthode d'I;rlitzhy), démontra les lésions classiques des faisceaux latéraux sur toute l'é
ieur (sensitif) de l'entrecroisement inférieur ne pré- sente pas de lésions . Le noyau du nerf hypoglosse est seulement alté
stances extractives et leur accu- mulation dans l'économie. Mais la lésion épithéliale n'est pas constante dans les cas de
de l'air dans la trachée. L'examen microscopique n'a révélé aucune lésion bien nette soit des récurrents, soit des muscle
est pas seulement par la nature de ses symptômes et le siège de ses lésions que la maladie de Duchenne appartient à la gran
iées, habituelles ou anormales, d'en déterminer avec exactitude les lésions , oeuvre longue et laborieuse, à laquelle sur- t
rieusement prétendre que, dans des cas de cet ordre, la cause de la lésion spinale doive être cherchée ailleurs que dans l
alite interstitielle. Car, d'une part, on pourrait soutenir que les lésions de la paralysie gé- nérale, lorsqu'elles se man
e seule et même maladie. D'autre part, il n'est pas certain que les lésions spinales, dans le cas de cette nature, soient b
ien celles de la sclérose systématique des cordons postérieurs. Ces lésions semblent en effet être plus diffuses, moins net
III. De l'hémiplégie homonyme de la face et des membres dans les lésions en foyer de la protubérance annulaire; par HONDOT
umons d'ailleurs les conclusions de l'auteur : : ' t i . .1/. Les lésions en foyer situées dans l'étage moyen, plus raremen
au du facial, se comporte comme celles qui sont déterminées par une lésion cérébrale et peuvent comme elles entraîner une
'hospice des Incurables, et G. ARTAUD, interne des hôpitaux. - 3° Lésions de la capsule interne et du pédoncule. Sur la c
et en un point qui porte le nom de genou de la capsule. L'étude des lésions de la capsule (foyers d'hémorrhagie ou de ramol
4° Le segment antérieur de la capsule renferme un faisceau dont les lésions se traduisent par des troubles intellectuels;
stion ' que nous allons examiner. Brissaud, qui a bien étudié ces lésions dégénératives de la capsule interne et du pédon
n avant du genou de la capsule. 2° Dans l'hémiplégie vulgaire par lésion du faisceau pyramidal, il y a toujours un certa
oncule entre le faisceau géniculé et le faisceau intellectuel. 4° Lésions de la protubérance. Les troubles de la parole a
troubles de la parole auxquelles donnent habi- tuellement lieu les lésions de la protubérance, sont des troubles dans l'ar
a protubérance, sont des troubles dans l'articulation des mots, par lésion du faisceau de l'hypoglosse. Mais puisque le fa
sie pro- tubérantielle au même titre qu'il existe une aphasie par lésion de l'écorce, des faisceaux blancs sous-jacents
imètre environ (Coupe passant par la frontale ascendante). Aucune lésion de l'insula ni de lu-troisième frontale gauche.
uche. DES LOCALISATIONS CEREBRALES. 303 Cerceau droit. - Pas de lésion , soit à l'extérieur soit à l'intérieur. Protu
a circonvolution de Brocha, ni aux ganglions. Cerveau droit. Pas de lésions . Bulbe et protubérance. Plancher du quatrième v
e des membres. Mort par épanchement pleural. A l'AUTOPSIE, pas de lésions cérébrales. Rien au bulbe. Comme seules lésions
l'AUTOPSIE, pas de lésions cérébrales. Rien au bulbe. Comme seules lésions , on trouve un petit foyer de ramollis- sement s
peine et que le malade ne pouvait ni souffler, ni siffler ». Les lésions trouvées à l'autopsie ont été : dans l'Observat
t à la partie postéro-interzze de la pyramide motrice gauche. Les lésions qui donnent lieu à la glossoplégie occupent don
a profonde reconnaissance. 308 RECUEIL DE FAITS. traumatisme avec lésion des téguments et des os du crâne. Mais, dans to
u- vements forcés du système musculaire de la nuque. De ce que la lésion est hémtlatérale, tandis que les symptômes observ
scope dans les dix observa- tions analysées par M. Struempell. La lésion occupe, au début, dans la moelle dorsale deux étr
de l'affection est marquée par de la paraplégie s'accompa- gnent de lésions systématiques dans les faisceaux des pyramides.
e. Malgré cela, son autonomie est bien réelle, car du moment où les lésions portent sur les cordons latéraux (pyramides, cer-
lesquels, bien que l'examen clinique con- clue à l'existence d'une lésion en foyer, l'autopsie ne révèle rien de semblabl
méd. chir. de Liège, 1882.) Les affections de la moelle dont les lésions sont localisées aux cornes grises antérieures,
dues à leur mode de début, aigu ou chronique, à la répartition des lésions , ou bien résultent de conditions qui échappent
éflexes ten- dineux et celle des raideurs et contractures malgré la lésion des cordons latéraux. La double sensation d'une
t. Petit foyer dans le noyau lenticulaire gauche du corps strié. La lésion a porté profondément sans que les ganglions cen
t le cachet des symptômes selon la période prouvent l'ascension des lésions de la moelle à la moelle allongée par l'intermé
infiltration des sommets compliquée des accidents du décubitus. Les lésions portent sur le lobe frontal droit du cerveau. L
ité, affaibli pendant son enfance et jusque dans la puberté par dès lésions suppuratives chroniques des pieds et des jambes
ont amené la perte de l'oeil gauche. Il y a vingt-huit ans que les lésions ont commencé à se manifester : jamais de douleur
ux), que, d'ailleurs, les rétractions aient accompagné ou suivi les lésions osseuses. La solution de ces problèmes dépen- d
de volume en masse du bras droit, mais l'auteur n'ayant constaté ni lésions des muscles ni anomalies dans le résultat de l'
huitième nerf dorsal on trouve dans la corne antérieure gauche des lésions analogues. Dans toutes ces régions il y a dispa
u plus minces du côté malade que ducôté sain; mais on n'a trouvé de lésions ana- tomiques (augmentation du tissu conjonctif
ngées (cela a été souvent constaté, de môme qu'il est admis que ces lésions produisent fréquemment l'aliéna- tion mentale),
uisent fréquemment l'aliéna- tion mentale), pourquoi donc ces mêmes lésions ne produiraient- elles pas l'aliénation mentale
eux cas de Gowers et Blizzard) et celle des noyaux de ces nerfs; la lésion spinale est une dégénérescence des cordons post
urs et latéraux de lamoelle. Le lien anatomo-pathologique entre les lésions spinales, les lésions cérébro-bulbaires, les lési
oelle. Le lien anatomo-pathologique entre les lésions spinales, les lésions cérébro-bulbaires, les lésions psychogénétiques
ique entre les lésions spinales, les lésions cérébro-bulbaires, les lésions psychogénétiques inconnues est encore à trouver
ppelle aux phénomènes cliniques qui, pour lui, traduisent moins des lésions cellulaires que des tioubles dans la conductibi
que la disparition des fibres myélli1jques de l'écorce constitue la lésion pathognomonique exclusive de celte maladie; ses
M. Mendel espère d'ailleurs montrer prochainement à M. Tuczek, les lésions indubitables des cellules nerveuses de cerveaux
a disparition de ces fibres ne saurait jusqu'ici être tenue pour la lésion pathognomonique de la dé- mence paralytique. Qu
. MENDEL maintient son opinion. L'encéphalite interstitielle est la lésion de la paralysie générale, ce qui ne veut pas dire
ue pour le mal de Bright, il est extrêmement probable que plusieurs lésions anatomiques des plus variées entrent en jeu pou
ate un processus inflammatoire interstitiel, d'autres témoignent de lésions parenchymateuses vé- ritables, exclusives (dégé
pille étranglée, de concert avec des vomissements, fit supposer une lésion anatomique vos. les Archives de Neurologie, t.
la papille étaient effacées, mais sans tuméfaction considérable ni lésion vasculaire. Ces constatations correspon- daient
hénomène du genou, et, 378 SOCIÉTÉS SAVANTES. qu'elle indique une lésion des cordons postérieurs'. Il pense qu'il n'exis
ns les espaces adventices. Tout le reste des tissus est normal. Ces lésions s'observent dans toutes les couches de l'écorce
Grasset (T.). De l'aniblynpie croisée et de l'hémianopsie dans les lésions cérébrales. (Nouveau schéma du trajet présumé des
eitz, 253. Hémiplégie homonyme de la face et des membres dans les lésions en foyer de la protubérance an- nulaire, par
23 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s ; sur les mé- ninges des gommes et de l'infiltration gommeuse,des lésions inflammatoires banales et de la sclérose ; dans
use diffuse, de l'encéphalite et de la sclérose, sans compter les lésions para-syphilitiques. Les vaisseaux, enfin, peuvent
es. Les vaisseaux, enfin, peuvent être simplement comprimés par une lésion de voisinage, ou bien présenter de l'endartérit
males, des ruptures, etc. Et cependant, malgré la diversilé de, ces lésions , les symptômes sont toujours sensiblement les m
rale se rencontrant indifféremment, quelle que soit la nature de la lésion (gomme, lésions méningées, syphilis artérielle,
rant indifféremment, quelle que soit la nature de la lésion (gomme, lésions méningées, syphilis artérielle, etc.). « Quels
le, etc.). « Quels que soient, dit Mauriac ', le siège primitif des lésions encéphaliques et le mode sui- vant lequel elles
arriver quelquefois au diagnostic de la variété analo- mique de la lésion . Et cela n'a pas seulement une impor- tance thé
; il sera souvent rendu impossible par ce fait que les différentes lésions se combi- nent fréquemment entre elles. Mais ne
els la vérification nécropsique ou chirurgicale nous a montré trois lésions dif- férentes et assez pures gomme intra-cérébr
es bases d'un diagnostic diffé- rentiel entre ces trois variétés de lésions syphilitiques -de l'encéphale. Mauriac. Syphi
symptomatique. Très souvent observée, pure, sans mélange d'autres lésions , elle a attiré l'attention des cliniciens qui se
symptômes; 3° sur leur groupement. Nous n'aurons en vue ici que les lésions artérielles primi- tives et nettement syphiliti
ic. Dans quelques cas on a pu, à l'ophtalmoscope, diagnostiquer des lésions syphi- litiques des artères de la rétine : c'es
désordres anatomiques irrémédiables; l'autre caractérisée par des lésions qui ne peuvent plus rétrocéder. Nous décrirons
tissements du même genre peuvent se succéder avant l'apparition des lésions irré- médiables. Cette forme a été magistraleme
le fait est plus rare et on devra toujours redouter dans ce cas des lésions irrémédiables de ramollissement. Cette hémiplég
ément, soit séparément. Contraire- ment à ce qui s'observe dans les lésions organiques, il n'est pas très rare d'observer u
Knapp (de Kew-York). Arch. of isc. and pract. med., n° 4, 1873. La lésion , il est vrai, dans ce dernier cas, n'était peut-ê
Période des accidents incurables. Il ne s'agit plus d'ischémie, les lésions ont progressé : l'oblitération artérielle s'est
y, etc.). La rupture 'ne porte pas toujours sur un anévrisme. « Les lésions permettant une pareille rupture de la paroi art
ces symptômes de paralysie générale ne relèvent pas directement des lésions artérielles, mais plutôt des lésions interstiti
e relèvent pas directement des lésions artérielles, mais plutôt des lésions interstitielles bien décrites par Raymond2. Les
ment normale. La surface extérieure du cerveau ne présente au- cune lésion ; la pie-mère est normale; les vaisseaux de la con
et du cervelet. Le plancher du quatrième ventricule n'offre aucune lésion ma- croscopique. On fait d'abord une section mé
aspect normal. Le cervelet ne présente également à la coupe aucune lésion appréciable. Les hémisphères cérébraux étant
éunies on pratique les coupes de Pitres. Nulle part on ne trouve de lésions . Tout ce qu'on peut noter, c'est un brillant sp
res après la mort. La moelle est également retirée. 11 n'y a aucune lésion du canal vertébral. La dure-mère est aussi abso
encore été observée. Habituellement, elle est due uniquement à une lésion cérébelleuse, irritative (sclérose, tumeur, abc
tions étaient à discuter : on pouvait t admettre une, deux ou trois lésions . L'existence d'une paralysie du droit externe,
GNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 19 nous forçait à admettre une lésion siégeant sur le tronc de la sixième paire gauch
e faciale gauche et la monoplégie brachiale droite ? Sans doute une lésion siégeant à ce niveau peut bien s'étendre en lar
t très justement remarquer la difficulté qu'il y a à admettre une lésion limitée atteignant à la fois l'abducens et le fai
à la fois l'abducens et le faisceau pyramidal. En effet, une telle lésion devrait respecter la face du côté de l'hémiplég
ndonné les fibres du facial, il faut invoquer, ou bien une double lésion (l'une pour le faisceau pyramidal au-dessus de la
s de la pro- tubérance, l'autre pour l'abducens), ou bien une large lésion touchant en bas l'abducens, remontant en haut j
raissait sain. Nous sommes donc déjà amenés à admettre une deuxième lésion siégeant dans l'hémisphère droit, probablement
lement de l'ischémie simple, l'autopsie ne nous ayant montré aucune lésion macroscopique. La monoplégie brachiale droite p
a monoplégie brachiale droite pouvait-elle être attribuée à la même lésion que la paralysie de l'abducens ? Nous n'avions
ristiques de l'ischémie de la corticalité. Pour l'expliquer par une lésion du faisceau pyramidal au niveau du bord inférie
donc amenés pour l'interpréta- tion des symptômes à admettre trois lésions : deux lésions hé- misphériques pour la monoplé
ur l'interpréta- tion des symptômes à admettre trois lésions : deux lésions hé- misphériques pour la monoplégie brachiale e
ériques pour la monoplégie brachiale et la paralysie fa- ciale, une lésion basale pour la paralysie de l'abducens gauche.
et faisait remarquer les relations étroites qui existent entre les lésions nerveuses, médullaires et cérébrales dans la pa
ervés chez les paraly- tiques généraux ne dépendent nullement de la lésion céré- brale, « mais de complications accidentel
pemphi- goïdes. Il ne nous dit pas toutefois à quoi sont dues ces lésions . Bail ? sans insister, divise les troubles trophi
. Depuis longtemps cependant les physiologistes ont démontré qu'une lésion quelconque du système nerveux produisait fréque
flammatoire. Et l'on trouve en effet dans la paralysie générale des lésions de tout le système nerveux central. Nous somm
t également atteinte. M. Magnan, le premier, signala l'analogie des lésions de la moelle épinière et du cerveau, en 1865 3
ire du cerveau à la moelle. Il démontra sous le micros- cope que la lésion permanente était une prolifération nu- cléaire
». Cette prolifération nucléaire des couches corticales dans les lésions avancées se propage, quand elle est plus accusée,
vre parfois des foyers de myélite, mais le plus souvent ce sont des lésions fasciculaires plus ou moins systématiques qu'on
suivant G. Ballet et Blocq Bonnet et Poincaré' ont aussi trouvé des lésions très avancées dans le grand sympa- thique, surt
ne donc déjà de la conception de Bayle, qui expliquait tout par les lésions de la surface du cerveau. Il était logique qu'o
du cerveau. Il était logique qu'on examinât et qu'on recherchât les lésions des nerfs après celles du cerveau, des méninges
core M. Magnan* qui en 1878, dans ses Leçons cliniques, signala les lésions nerveuses de la paralysie géné- ' Magnan. De la
signala les lésions nerveuses de la paralysie géné- ' Magnan. De la lésion anatomique de la paralysie générale. Thèse de T
nales 71étlico -psycho 1., 1S65). " Magnan. Des relations entre les lésions du cerveau el certaines lésions de la moelle el
" Magnan. Des relations entre les lésions du cerveau el certaines lésions de la moelle el des nerfs de la paralysie général
une névrite parenchymateuse, et parfois une névrite atrophique. Ces lésions de névrite périphérique ont été signalées par d
nvier5 d'abord. I)tiisBoddaerL6 ' Klippel. - La paralysie générale, lésions et symptômes spéciaux, formes spéciales (Arch.
t. aux affections des nerfs (Thèse de Paris, 1867). 2 Artiozon. - Lésions trophiques consécutives aux maladies du syst. n
ante communication à la Société de Biologie, fait remarquer que les lésions observées chez les tabétiques, du côté du triju
ens. Toutes ses parties ont été étudiées. Nous ne parlerons que des lésions du nerf optique et de la rétine. M. Galezowski2
(Gaz. des 116pi1., 12, li, 19 et 23 mai 1868). ' Duterque. - Des lésions ophtalmiques dans la parai, yértér. (Ann. méd.
. - Tous ces troubles trophiques cutanés proprement dits sont des lésions « qui surviennent dans la nutrition des tissus
it pas un rapport entre les troubles trophiques du trijumeau et les lésions corticales. Axenfeld, d'après M. Rendu, déjà en
ns. L'eschare est due à la névrite périphérique relevant soit d'une lésion centrale (encéphale), soit d'un état général de
es à la pariétale ascendante, car elles dégénèrent à la suite de la lésion de cette circonvolution (observation person- ne
es dernières racines lombaires et des premières sacrées. Si donc la lésion occupe la région' lombaire au-dessus de la deuxiè
aura clonus podalique et clonus rotulien sinon, ou en cas d'inégale lésion des deux régions, il n'y aura pas simultané- me
ôtés semblait devoir, dans un cas de l'auteur, en faire un signe de lésion organique, tandis que d'autre part indique que
'y a pas la moindre hyperexcitabilité réflexe, qui est en faveur de lésion organique du système nerveux. M. de BechLerew d
il la région latérale de l'oeil et un territoire postérieur dont la lésion entraîne une anesthésie localisée. l'angle de l
se produisaient certains troubles moteurs dont la relation avec les lésions accessoires est évidente. La destruction coexista
qui lui parle; de là son attitude. Il n'a pas de signe objectif de lésion ver- tébrale, rectale, sexuelle. Ces sensations
un ton légèrement bleuâtre dans la substance non colorié; 3° les lésions occupent soit toute la cellule, soit une partie d
pathologiques. 59 XXI. Pathologie générale DE la cellule NERVEUSE ( lésions secon- daires et primitives); par lli. G. Marin
ent attaché à montrer combien est mobile et fugace l'expression des lésions primitives de la cellule nerveuse et combien ce
de la cellule nerveuse et combien celles-ci diffèrent toujours des lésions secondaires dans leurs caractères essen tiels »
un nerf moteur, on observe dans le centre d'origine de ce nerf des lésions secondaires, caractérisées tout d'a- bord par u
ents chroma- tophiles se résolvent en une fine poussière. Les mêmes lésions s'observent à la suite de la section des nerfs
doit obser- ver dans la moelle des sujets qui en sont atteints les lésions corres- pondant aux trois phases de réaction, d
appliquent à la dégénérescence rétro- grade. Tandis que le type des lésions secondaires est unique, celui des lésions primi
e. Tandis que le type des lésions secondaires est unique, celui des lésions primitives est essentiellement variable. L'aute
sions primitives est essentiellement variable. L'auteur examine ces lésions primitives dans l'anémie expéri- mentale les em
première altération, que l'on rencontre dans la plupart des cas de lésions primitives, semble bien être la désagrégation d
manières. Ce qui caractérise et ce qui fait surtout la gravite des lésions primitives, c'est l'altéra- tion de la substanc
aboutit à la mort de la cellule nerveuse. On observe aussi dans les lésions primitives, une colorabilité intense de la subs
la plupart des cas d'affections primitives des centres nerveux, des lésions vascu- laires qui font presque défaut dans les
nerveux, des lésions vascu- laires qui font presque défaut dans les lésions de réaction à dis- tance ou lésions secondaires
ui font presque défaut dans les lésions de réaction à dis- tance ou lésions secondaires. Les lésions primitives elles-mêmes
ns les lésions de réaction à dis- tance ou lésions secondaires. Les lésions primitives elles-mêmes présentent des différenc
umatismes, brûlures, arthrites, etc.) ou générales de l'enfance. La lésion qui la constitue, consiste en la disparition dé
de l'ouvrage. L'auteur y poursuit l'élude des troubles nerveux sans lésions pour en déterminer la genèse, l'évolution, les
nant d'abolition du goût, alors que le diagnostic avait localisé la lésion aux racines du trijumeau. Mais comme la plu- pa
aleur. Car, remarque Dixon, sur quoi se baser pour prétendre qu'une lésion intéressant l'origine du trijumeau ne s'étend pas
lope, est très proche du trijumeau (3 à 4 mil- limètres), et si une lésion intéresse ce dernier dans sa totalité, elle est
les acromégaliques. Chez les acromégaliques cachec- tiques, il y a lésion de la glande pituitaire. P. K. XXIX. Des lacune
t-elles d'ab- sences ou d'atrophies des centres spinaux trophiques ( lésions des cornes antérieures) ? On ne sait. Enfin son
ont-elles bien congéni- tales ? Ne sont-elles pas plutôt dues à des lésions pathologiques acquises mais précoces ? et notam
ation cérébelleuse; ten- dance à la rotation du corps du côté de la lésion ; attitude spéciale, le malade étant couché sur
; attitude spéciale, le malade étant couché sur le côté opposé à la lésion , les membres fléchis, etc.) ne permettent pas t
nomèmes principaux : 1° paralysie du membre superieur du côté de la lésion , avec faiblesse musculaire dans les membres inf
mbres inférieurs ; 2° exagération du réflexe rotulien du côté de la lésion ; 3° déviation conjuguée des yeux du côté opposé
é de la lésion; 3° déviation conjuguée des yeux du côté opposé à la lésion ; et de quelques signes secondaires : contractur
contractures et accès convulsifs limités aux membres du côté de la lésion , parésie des membres du côté opposé à l'abcès, ny
pratiquer ensuite la trépanation mastoïdienne. A. Fenayrou. XXXIII. LÉSIONS DE la moelle épinière dans un cas d'amputation
ur, ne présentait pas d'atrophie visible à lit nu. Le maximum des lésions de la moelle siégeait au niveau du premier segm
ieur droit : la zone postérieure est la plus altérée. Il existe une lésion bilatérale des cordons de Goll sans doute due à
les a succombé la malade. Le cordon latéral est peu atrophié. Ces lésions sont sans aucun doute de* lésions secondaires, ré
n latéral est peu atrophié. Ces lésions sont sans aucun doute de* lésions secondaires, résul- tant de la .réaction à dist
s du membre amputé. Elles corres- pondent et sont superposables aux lésions trouvées dans les faits- d'amputation chirurgic
e le médecin perde la notion inexacte qu'il doit soigner les seules lésions officiel- lement cataloguées ; qu'il cesse d'êt
leau clinique de la cécité corticale s'explique parfaitement par la lésion bilatérale des lobes occipitaux (le som- met du
son action sur les méninges de plu- sieurs façons différentes. Les lésions méningées peuvent être secondaires, propagées s
nt donner sa note symptomatique dans le syndrome pré- existant. Les lésions primitives des méninges peuvent secon- dairemen
cas est fréquent pour la gomme circonscrite) ou bien déterminer des lésions secondaires par compression des vaisseaux (isch
gie, n° 25. Archives, 2e série, t. V. 7 98 CLINIQUE NERVEUSE. - lésions sont et restent purement méningées ; et encore la
. " Après toutes ces éliminations il nous reste trois variétés de lésions méningées susceptibles d'être réunies dans un tab
t l'efficacité habituelle du traitement. Nous allons voir que ces lésions présentent une symptomatologie un peu particulièr
, soit à la dénutrition excessive qui paraît sous la dépendance des lésions de l'écorce et rappelle celle de cer- tains cas
sie oculaire brusque, des phé- nomènes aphasiques ébauchés, etc. La lésion est alors essen- tiellement curable par le trai
gie existe d'une façon permanente, que l'ophtal- moscope montre des lésions de névrite optique, que tous les symptômes énum
yurie et souvent la polydypsie sont fréquentes même en l'absence de lésions du bulbe. Dès le début la dépression domine la
senter d'autres symptômes. Autopsie. CLE2l1' très petit sans aucune lésion orificielle. Reins un peu augmentés de volume e
nerveux. Rien d'anormal à l'ouverture de la boite crânienne, pas de lésion osseuse; la dure mère est un peu conges- tionné
eu conges- tionnée. Elle est sectionnée et rabattue, n'offre aucune lésion a sa face interne. Il n'y a pas de symphyse mén
éphale est extrait. Les vaisseaux de la base ne présentent pas de lésions macrosco- 110 CLINIQUE NERVEUSE. piques : leu
ect sain. Sectionnés ils ne présentent nulle part, ni thrombose, ni lésion de la paroi interne. Au niveau du grand conflue
ccentuée. Au niveau des lobes frontaux, occipitaux et temporaux les lésions sont les mêmes, mais moins prononcées. Cette mé
so- céphale présentent les mêmes caractères que plus haut. Aucune lésion macroscopique sur les'coupes. La moelle est macro
,1" Les symptômes de déficit, dépendant de la localisation de la lésion , sont très variables suivant les cas. Produits
une symptomato- logie plus grossière, plus évidente, puisque leurs lésions empêchent l'influx nerveux d'arriver à l'écorce
mènes de déficit qui dépendent exclusivement de la localisation des lésions . 2° Les phénomènes irritatifs sont extrêmement
t généralement qu'ils sont dus soit à l'extension progres- sive des lésions , soit à des phénomènes congestifs de voisi- nag
asculaire, ou à l'excès de tension intra-cranienne. L'extension des lésions n'explique ni les aggravations ni les améliorat
mprimés ou envahis par la tumeur ». Mais plus loin il ajoute : a La lésion est parfois tellement étendue que cette explica
anatomique il est probable qu'on trouverait une gamme parallèle de lésions , allant de la con- gestion la plus légère au ra
nfection intercurrente susceptible d'expliquer les phénomènes et la lésion récente. ' Gamel (de Marseille). Thèse Montpell
la normale, et cependant l'examen ophtalmoscopique montrait que les lésions restaient station- naires. Cette amélioration c
périodes de rémission souvent très longues. Suivant le siège de la lésion ces rémissions peuvent être plus ou moins com-
déficit : ceux-ci sont plus ou moins accusés suivant le siège de la lésion au niveau d'une zone de- pro- jection ou d'une
rvicale. La malade parle difficilement et à voix basse; il n'y a ni lésions laryngées, ni paralysie des cordes vocales. Dys
'envoie dans un service de chirurgie, en émettant l'hypothèse d'une lésion tuberculeuse de la colonne vertébrale, en même te
n'est à l'examen ophtalmoscopique qui fait voir toujours les mêmes lésions . En résumé, asthénie très prononcée, parésie tr
examen ophtal- J24 4 CLINIQUE NERVEUSE. moscopique qui montre des lésions absolument stationnaires. Rien du côté des musc
nt donné que nous voulions apporter des types purs, sans mélange de lésions diverses, et avec vérification indiscutable du
écéder celle des types plus complexes résultant de l'association de lésions diverses. CLINIQUE MENTALE. LA PARALYSIE GENE
clairement à une cause principale tous les symptômes et toutes les lésions que l'on voudrait comprendre sous la dénominati
xubérante, une forme dépressive, une variété ascendante ou spinale ( lésions s'éten- dant de la moelle à l'encéphale) ou, in
s des carac- tères symptomatiques particuliers à telle forme et des lésions ou des causes de cette forme ? Les opinions é
veau en y déterminant des altérations spéciales : il se produit une lésion cérébrale (gomme, méningite, encéphalite) qui e
t se résumer en quelques mots : syphilis du cerveau, ictus initial, lésions localisées (aphasie, hémi- plégie, monoplégie,
- plégie, monoplégie, troubles oculaires, etc.), puis démence. La lésion syphilitique guérit ; mais l'hémiplégie et la dém
est associée à des conditions d'affai- blissement intellectuel sans lésions somatiques correspondantes; 3' les psychoses sé
olie est associée non à un simple affaiblissement mental mais à une lésion plus ou moins diffuse des centres nerveux. A cô
aiblissement intellectuel avec perver- sion mentale dépendant de la lésion médullaire et lui ayant été consécutif. Il y av
lleurs révéla les symptômes classiques de l'ataxie. sans aucune des lésions de la paralysie générale. Quant aux attaques ép
meurt d'ailleurs dans le marasme avec escarres, et l'on trouve des lésions paralytiques. P. KERavaL. XXVII. Récents trav
i- tive du corps située au milieu de l'écorce, et à y découvrir les lésions palpables de la folie morale, de la criminalité
ar des causes diverses. Il cite deux cas de myxoedème l'un dû à une lésion syphilitique de la glande qui guérit sous l'inf
l à la suite d'une rixe. L'expert, chargé de l'autopsie, décrit une lésion de la fosse iliaque résultant- d'une incision c
es cas elle est disséminée en clairière. Nous n'avons pas trouvé de lésion cutanée prémonitoire appré- ciable à l'oeil nu.
fonctionnelle au début de la parai, génér., 1878. ' Arnozan. Des lésions trophiques consécutives aux maladies du £ syst.
ques généraux, suivie d'examen microscopique. Il en conclut que les lésions portent aussi bien sur la substance grise de la
En outre des foyers de myélite limitée à la subs- tance grise, des lésions diffuses envahissent aussi les cordons de la mo
alysie générale trouve son explication dans la nature même de ces lésions . » L'existence de l'amyotrophie dans la paralysie
h. of Psychiatrie, XXVII, 2, p. 541. ` Klippel. Paralysie générale, lésions et symptômes spéciaux. (Aclr. cle médecine expé
schare, la nutrition des nerfs périphériques étant entravée par les lésions centrales. Nous avons 8 obser- vations d'eschar
bases. Coeur. Surcharge graisseuse générale; cavités vides, pas de lésions orificielles. AMomeHefo)'sraHMSMt<at<a;.
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXXV. RÉFLEXIONS SUR LES LÉSIONS DE LA MOELLE DANS DEUX CAS d'anémie pernicieuse
E. (Bret. med. J02lra., 2 octobre 1897.) Dans le premier cas, les lésions médullaires consistaient en une dégénérescence
ée. Ces deux cas forment un contraste frappant : l'un offrant une lésion de la substance blanche avec dégénérescence chron
de la substance blanche avec dégénérescence chronique, l'autre une lésion de la substance grise. Dans les deux cas les ce
bleues. La durée de l'ané- mie a joué un rôle dans la nature de la lésion , l'une datait de un mois et l'autre de deux ans
mois et l'autre de deux ans. D'autres auteurs ont décrit diverses lésions de la moelle dans l'anémie pernicieuse et la co
de la moelle dans l'anémie pernicieuse et la conclusion est que ces lésions sont de ca ractère différent et que le plus sou
ère différent et que le plus souvent les symptômes cliniques de ces lésions médullaires sont cachés par la gravité des symp-
ulier. A ce dernier point de vue, il est important de noter que des lésions semblables des vaisseaux se rencontrent aussi b
e directe des altérations vasculaires et occasionnerait ensuite les lésions des tissus interstitiels et parenchymateux en p
x expériences qui lui ont per- mis de constater qu'à la suite d'une lésion du pédoncule cérébral on observait chez le coba
ont les suivantes : 1° Au point de vue clinique, a) dans les cas de lésion transver- sale complète de la moelle cervico-do
recherches SUR la STRUCTURE FINE DE la CELLULE NERVEUSE ET SUR LES LÉSIONS PRODUITES PAR CERTAINES INTOXICATIONS; 'par M.
l'auteur expose les résul- tats de ses nouvelles recherches sur les lésions primitives de la cellule nerveuse produites par
des organes sensoriels. La surdité verbale devait correspondre à la lésion de la temporale supérieure, l'alexie et l'agraphi
donc un substratum anatomique. P. KERAVAL. LVI. UN cas insolite DE lésion de la partie cervicale du grand sympathique; pa
rochée de ces symptômes, indique qu'il y a eu, pendant l'opération, lésion du grand sympa- thique et du ganglion cervical
ciale gauche; ce n'est donc point un symptôme direct produit par la lésion du grand sympathique, c'est un symptôme indirec
qu'on peut dire actuellement c'est qu'on appelle fonctionnelles les lésions dont nous ne connaissons pas le substratum anat
t nous ne connaissons pas le substratum anatomique. Le cadre de ces lésions est denc essen- tiellement élastique et dépend
ppui l'auteur cite des cas répondant clinique- ment à des types des lésions fonctionnelles, hystérie entre autres, qu'en ré
ut se produire surtout dans la partie inférieure de la moelle. La lésion primitive est cependant la sclérose des cordons p
érente de celle que l'on trouve dans l'ataxie locomotrice et autres lésions scléreuse.5. C'est une sclérose de la névroglie
s lésions scléreuse.5. C'est une sclérose de la névroglie; et cette lésion remonte au pre- mier développement de la moelle
s la corne antérieure gauche de la moelle à la région lombaire, des lésions identiques à celles signalées par M. Marinesco :
sont que les symptômes constatés pendant la vie correspondent à des lésions existant dans les méninges. Or, aucune preuve
son de la coïnci- dence fréquente des deux conditions, symptômes et lésions . Mais des cas peuvent se produire où lésions et
nditions, symptômes et lésions. Mais des cas peuvent se produire où lésions et symptômes ne coïncident plus et l'auteur en
OGIE NERVEUSE. 229 tomes méningitiques, l'autopsie ne montra aucune lésion patholo- gique appréciable des méninges et du c
e méningitique, l'auteur trouva à l'autopsie, en même temps que les lésions pulmonaires, une infiltration intense des ménin
en particulier dans la région médullaire, et pour- tant, malgré les lésions classiques de la soi-disant méningite, aucur si
méningite, aucur signe clinique n'avait permis de diagnostiquer ces lésions . Si la méningite est une condition anatomique,
restreint le champ des névroses et psychoses .essentielles et sans lésions ; plus ce champ sera défriché et connu, plus la
rsiste depuis dix-huit mois et paraît devoir être définitif. Pas de lésions de la papille ni de la rétine. Le malade n'est
rveau, des tumeurs à localisation bien nette, peuvent entraîner des lésions suffisamment symétriques pour produire cette hémi
se médicale, 14 avril 1897.) On n'avait constaté jusqu'ici aucune lésion anatomique à l'au- topsie de sujets atteints de
n de Nissl, de Marchi et de Pal, et ont ainsi relevé l'existence de lésions dans les noyaux du moteur oculaire commun, du m
cervicale, ainsi que dans les nerfs qui émanent de ces noyaux. Les lésions des cellules des centres nerveux consistent essen
ir si les altérations des nerfs sont primitives ou secondaires. Les lésions constatées par les auteurs dans le cas qu'ils r
t polioencéphalomyélite sont deux maladies différentes résultant de lésions distinctes des mêmes sys- tèmes anatomiques. Du
éfinitivement d'un seul fait. Le syndrome d'Erb relève peut être de lésions de siège différent. A. Fenayrou. XX. POLYURIE
OGIE NERVEUSE. des paralysies récurrentielles, toujours fonction de lésions mor- telles, il en est un grand nombre qui ne c
La paralysie récurrenlielle grave, qui mène à la mort, du fait des lésions qui l'ont déterminée; 2° la paralysie récurreu-
uite d'une broncho- pneumonie. A l'autopsie, on n'a trouvé aucune lésion appréciable dans les nerfs périphériques (média
tre centraux, étaient refoulés à la périphérie de la cel- lule. Ces lésions très prononcées à la région lombaire allaient en
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 239 XXVI. Contribution A l'étude DES lésions médullaires dans l'anémie PERNICIEUSE protopath
, mais il y a raréfaction de leur feutrage intermédiaire. En somme, lésions dif- fuses et interstitielles, expliquant en pa
idité de l'évolution de la maladie et dans l'apparition tardive des lésions médullaires, qui ont permis de surprendre dès l
ésions médullaires, qui ont permis de surprendre dès leur début des lésions dont les autopsies n'avaient jusqu'ici que sign
les et les autopsies qui ont pu être faites ont toujours révélé une lésion des nerfs périphériques et de la moelle. La cau
niaque, que celui-ci soit du reste vésanique ou symptomatique d'une lésion organique comme dans la période prodromique do
la faveur de l'imita- tion, d'une émotion morale vive, d'une petite lésion passagère de la peau ou des muqueuses, mais plu
athogénie y est particulièrement intéressante. On ne connaît pas de lésion pathognomonique de l'épilepsie. Mais cela ne ve
érentes causes : intoxication alcoolique, trau- matisme, cicatrice, lésion du cerveau, irritation des terminaisons nerveus
persistance de la fontanelle antérieure. Description du cerveau .- lésions des circorzuolutions; hydrocéphalie ventriculai
ment nerveux. Mère, morte à quarante-sept ans, probablement d'une lésion organique du coeur. Elle étail plus âgée que son
re du lobe occipal. Nombreuses adhérences sur le lobe pariétal. La. lésion atrophique est surtout intense au niveau du pli
opsie, du reste, ne révèle aux viscères (sauf à l'encéphale) aucune lésion macroscopique. V. Les lésions de l'hémisphère g
viscères (sauf à l'encéphale) aucune lésion macroscopique. V. Les lésions de l'hémisphère gauche, au niveau de la zone mo
ons. D'une façon générale le pronostic varie avec la nature de la lésion et sa localisation ; il s'assombrit d'autant plus
et de ceux des capsules surrénales. Le sympathique n'offre guère de lésions appréciables. 11 y a, au contraire, une altérat
e des capsules surrénales. Mais l'importance du cas réside dans les lésions spinales indépendantes de lésions antérieures ou
importance du cas réside dans les lésions spinales indépendantes de lésions antérieures ou concomitantes du sympathique et
ations vasculaires. Dans l'hérédo-ataxie cérébel- leuse de Marie la lésion importante est l'atrophie du cervelet avec simp
rapports constants entre- ces localisations et les organes dont la lésion a produit ces douleurs. Cette longue en- quête
hésies dont la localisation déterminée et constante correspond à la lésion de tel viscère ou portion de viscère plus ou moin
par les 5°, 6°, 7°, 8° et 9° segments médullaires dorsaux pour les lésions mitrales, et les 2°, 3°, 4° et 50 segments cerv
50 segments cervicaux, ou bien du 4° cervical au 6° dorsal pour les lésions aortiques. Pour l'aorte transverse l'aire doulo
iscérale correspondante ; elles sont surtout marquées du côté de la lésion , quand elles apparaissent du côté opposé, ce n'es
er chapitre est consacré aux gastralgies à distance causées par une lésion pulmo- naire, différenciées bien entendu, des d
différenciées bien entendu, des douleurs gastriques de voisi- nage ( lésions de la base) et des dyspepsies indépendantes sura-
urs de méningite tuber- culeuse classique. A l'autopsie, en sus des lésions de la méningite mortelle, on trouve dans chaque
urs, le malade n'a jamais accusé de douleurs. On ne constate pas de lésions vertébrales. Les autres segments du membre supé
ments pénibles. L'auteur pense que dans ce cas il s'est produit une lésion des racines rachidiennes cervicales au cours de
ations quelconques, plus fréquemment atteints ; dans la moelle, les lésions hémorra- giques rappellent celles de la syringo
années. (The alienist and neurologist, juillet 1897.) E . B. LU. LÉSIONS PRODUITES EXPÉRIMENTALEMENT PAR L'ALCOOL ÉTHYLIQU
ant subi l'action d'aucun sorcier : 1° malades dont la nature des lésions a été méconnue; 2° aliénés ; 3° auto-suggestionné
tion sous toutes ses formes. 22. Des anesthésies coiiséctitioes aux lésions de la zone motrice corticale ; par Henri Verger
de sensibilité, que l'auteur va chercher les modifications dans les lésions de la zone corticale motrice. De ses expérience
ns tous les cas il a constaté, dans les membres du côté opposé à la lésion corticale, lésion portant sur la région motrice
a constaté, dans les membres du côté opposé à la lésion corticale, lésion portant sur la région motrice, un défaut d'inci
ensations kinesthésiques. Les recherches cliniques, portant sur des lésions chirurgicales faites pour la cure de l'épilepsie
our la cure de l'épilepsie jackson- nienne, en tout comparables aux lésions expérimentales et passées au crible de la métho
rroborer ces résultats. Chez l'homme, comme chez le chien, dans les lésions de la zone dite motrice du cerveau, la sensibil
altérées d'une façon constante dans les membres du côté opposé à la lésion ; la sensibilité douloureuse, au contraire, res
tion de savoir si les troubles sensitifs sont un effet direct de la lésion elle-même ou d'une répercussion lointaine du trau
ions. Cette origine interne, le moi, se modifie et s'altère par les lésions psychomotrices, comme le milieu extérieur paraî
eu extérieur paraît se modi- fier et s'altérer sous l'influence des lésions sensorielles. Une diminution d'énergie affectan
a continuité du prolongement nerveux qui détermineraient ces graves lésions de la cellule nerveuse. Quant au fait de l'abol
xpliquerait pas par lui-même. . Dans les paralysies causées par des lésions du cerveau, on voit sou- vent les cellules des
ale, examiner le fond de l'oeil de la malade et n'a constaté aucune lésion sensible à l'ophtalmoscope. Il s'agit donc, d
me le dit encore ce maître éminent, ces troubles de la vision, sans lésion appréciable du fond de l'oeil, relèvent de trou
des troubles similaires observés chez les per- sonnes atteintes de lésions en foyer, il ne paraît pas inutile de rappeler,
st mieux conservée. Cette atrophie ne s'est caractérisée par aucune lésion permettant de songer à une lésion du cervelet. Dr
ne s'est caractérisée par aucune lésion permettant de songer à une lésion du cervelet. Dr DEVAY. LIX. UN cas d'ostéite dé
VAY. LIX. UN cas d'ostéite déformante DE PAGE. Interprétation DES lésions DE la MOELLE épinière; par Léopold L1 : VI. (IV02
articularités de ce cas, l'auteur signale : la symétrie croisée des lésions osseuses (humérus gauche, radius droit, fémur dro
perte des urines et des matières et le nystagmus binoculaire); les lésions médullaires qui peuvent se résumer ainsi : sclé
à admettre qu'il n'y a pas lieu d'éta-' blir de relation entre les lésions de la moelle épinière et l'ostéite déformante d
d'une coïn- cidence, et l'on pourrait seulement se demander si les lésions vas- culaires et osseuses ne sont pas sous la d
que de la moelle, mais encore l'histoire clinique complète de cette lésion peu fré- quente et les enseignements qui s'en d
x et secondaires du syndrome de Bi,oiv2-Sequai'd : A. Du côté de la lésion , à gauche : Hémiplégie motrice, hyperesthésie c
remontant pas jusqu'à la racine des membres inférieurs. Siège de la lésion : au dessous de la neuvième vertèbre dorsale. Sec
paralysie du grand sympathique cervi- cal et du nerf phrénique. La lésion médullaire siège au dessus de la sixième vertèb
toute une moitié du corps, nuque et cou compris jusqu'à la face. La lésion intéresse la moelle dans sa partie supérieure,
l ne doit point déclarer son malade voué à une mort certaine. Si la lésion intéresse la partie supérieure du rachis, une i
his, une issue fatale est vrai- semblable, mais non certaine. Si la lésion siège au-dessous de la cinquième vertèbre cervi
bli du côté opposé à l'hémianesthésie. A l'autop- sie, en outre des lésions de la néphrite chronique pour laquelle la malad
sion capsulaire peut produire l'hémianopsie au même titre qu'une lésion des radiations optiques ou du lobe occipital du m
s optiques ou du lobe occipital du même côté. Dr F. DEVAY. LXIII. LÉSIONS DE la moelle épinière dans UN cas DE diabète sucr
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 401 A aucun niveau il n'y avait de lésion certaine des racines posté- rieures : un peu d'
ation d'ordre glycosu- rique qu'il faut rechercher l'origine de ces lésions 'dans certains cas de diabète sucré. En somme
lément, soit en même temps que le système nerveux périphérique. Les lésions médullaires portent isolément ou simultanément
ce grise, spécialement sur les cellules des cornes antérieures. Ces lésions paraissent détermi- nées par les substances tox
du côté opposé, ni en d'autres points de la moelle ; 6° les autres lésions tiennent à peu près sûrement à des trauma- tism
ffectent une distribution différente au- dessus et au-dessous de la lésion . Au-dessus, elles se rencontrent surtout dans l
éraux qui sont dégénérés en direction ascendante. Au- dessous de la lésion , la dégénérescence prédomine dans les cordons a
dégénéres- cence devient assez visible cinq jours et demi après la lésion ; 2° le sixième jour, on peut constater une dégé
aits publiés. Pour ma part, je crois que ce que l'on prend pour des lésions de pa- ralysie générale, ne sont que des lésion
'on prend pour des lésions de pa- ralysie générale, ne sont que des lésions d'encéphalite simple. Il n'y a pas de maladie c
e générale . La méningite chronique elle-même, qu'on ^invoque comme lésion caractéris- tique de la paralysie générale, se
es des paralytiques généraux auraient le carac- tère spécifique des lésions syphilitiques. sociétés savantes. 413 Les lés
spécifique des lésions syphilitiques. sociétés savantes. 413 Les lésions cérébrales de la paralysie générale étudiées par
x de ses collègues une série de dessins reproduisant fidèlement les lésions de la paralysie gé- nérale préparées par la mét
ainsi de résoudre cer- tains problèmes relatifs à la succession des lésions , dans le cours de la paralysie générale. S'agit
el ? ou bien est-ce dans la cellule que s'installe primitivement la lésion , comme le pensent MM. Ziegler, Binswanger, Joffro
la gangue interstitielle qui est toujours la première atteinte. La lésion pri- mordiale consiste en une prolifération nuc
rcir le débat. 1f. Cliristian croit que, puisqu'il y a identité de` lésions entre les deux affections, le traitement spécifiq
être efficace dans les deux cas. Il ne s'explique pas pourquoi les lésions de la paralysie générale resteraient cantonnées d
isin expose qu'il a déjà décrit, il y a environ vingt-cinq ans, les lésions dont M. Ballet a parlé dans la dernière séance; e
elles ne sont donc pas nouvelles. La prolifération nucléaire est la lésion caractéristique du début de la paralysie généra
e maladie on ne verrait pas guérir par le traitement spécifique les lésions syphilitiques cutanées chez les paralytiques gé
, quand il m'attribue la prétention d'avoir dé- crit le premier les lésions de la paralysie générale. Elles ont été découve
mplement montrer que par la méthode de Nissl on distingue mieux les lésions que par tout autre procédé. Cette méthode per-
re faut-il autre chose pour que l'agent virulent produise certaines lésions ? La syphilis ne conduit pas fatalement à la pa
Mabilte de faire une pétition de principe quand il nous parlait de lésions diffuses de syphilis, et je lui demandais de fa
e épinière s'étendant en bas jusqu'au troisième segment dorsal. Les lésions prédominent dans la moitié antérieure de la moe
es faisceaux fondamen- taux des cordons antérieurs et latéraux; les lésions diminuent vers la périphérie. Les cellules des
alite. Les altérations plus anciennes de la moelle ont provoqué des lésions dégénératives dans la région de la tige cérébra
stérique. MM. RossOLImo et ORLOVSKY pensent que la localisation des lésions , dans le cas de M. Wersiloff, tient probablemen
çon à rap- peler l'hémichorée. Le diagnostic anatomique suppose uue lésion du pédoncule cérébral gauche avec participation
es. M. MOURAWIEFF ne croit pas que la localisation présumée de la lésion dans le cas présenté parM. Mouratow, soit bien fo
on peut être secondaire et placée sous la dépen- dance : 10 D'une lésion organique primitive située dans la protubérance,
rités du traitement. De plus, cette excitation centrale produit des lésions anatomiques capables de rendre l'irritation sym
us System; A second contribution to the study of localized cérébral lésions ; -Imporlance of the enrly reco- gnition of epi
'« : <t ? t; A z contribution to the study of localized cérébral lésions ; Contribution to the diagno- sis and Surgical
tuelle assez bien connues, faire le diagnostic exact du siège de la lésion ; la superposition des symptômes aux lésions no
exact du siège de la lésion ; la superposition des symptômes aux lésions nous a permis en outre de tirer quelques conclu-
et de la sensibilité permet de fixer les limites supérieures de la lésion spinale. On reporte cette limite sur un schéma;
rieure est beaucoup plus difficile à établir; il est certain que la lésion n'atteint pas toute la hauteur de la moelle ; l
: aucune trace d'inflammation, pas de congestion. On ne voit aucune lésion du canal vertébral. La moelle est retirée avec
mine de nouveau le canal vertébral et on vérifie l'absence de toute lésion . Les racines sont numérotées par des fils placés
es actuellement n'indiquaient pas de chercher la localisation de la lésion au-dessous de la deuxième dorsale; aussi, au-de
bles de la sensibilité éveillait immédiatement l'idée, soit d'une lésion transverse de la moelle, soit d'une lésion diffus
ement l'idée, soit d'une lésion transverse de la moelle, soit d'une lésion diffuse d'une méningo-myélite, dont le type est
qui se voit aussi dans la méningo-myélite, et peut manquer dans les lésions médullaires transverses; mais tous les réflexes
rieusement atteintes dans leur trajet extra ou intra-médullaire. La lésion devait donc être recherchée plus haut, sur le f
UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 447 1 vions des signes très nets de lésion extra-médullaire, de cont- pression radiculaire
émité céphalique. En résumé, pour les membres inférieurs, signes de lésion transverse de la moelle ; pour les membres supé
ciable seulement à un examen minutieux. La limite supérieure de la lésion était donc cliniquement la suivante : en avant,
préciser. Nous pouvions cependant affirmer qu'il n'y avait pas de lésion notable delà portion lombaire, car en pinçant la
loppement très rapide de la tumeur. Le diagnostic de nature de la lésion pouvait-il être fait ? Après avoir assisté impu
affirmer que les sensibilités profondes sont abolies du côté de la lésion , car on est gêné par la persistance de la sensibi
on motrice (en dehors des cas où celle-ci est sous la dépendance de lésions centrales), ou bien pour les membres supérieurs
c conservation des sensibilités profondes, nous semble indiquer une lésion agis- sant d'avant en arrière, respectant plus
rs, dans notre cas par exemple. La seconde indique au contraire une lésion prédominante sur les cordons posté- rieurs (le
; c'est la question des localisations médullaires sen- sitives. La lésion de l'axe gris (syringomyélie, hématomyélite etc
nérale, la diminution ou la disparition des réflexes provient d'une lésion de l'arc médullaire périphérique (lésions du pr
es réflexes provient d'une lésion de l'arc médullaire périphérique ( lésions du protoneurone centripète dans le tabes; du ne
Seules, les lésions- du neurone moteur de cet arc sont conuues : lésions soit primitives de la paraplégie spasmodique fami
par leur réaction pathologique sur la moelle ; le plus souvent, les lésions de l'hémisphère gauche retentissent davantage s
s, en parti- culier le langage, sont sous sa dépendance propre. Les lésions loca- lisées de l'aphasie attestent encore la n
dification du caractère et émoti- vité chez des malades atteints de lésions de l'hémisphère droit opposées aux troubles du
s du langage et à l'affaiblissement intellectuel qui trahissent les lésions de l'hémisphère gauche ; abolition du REVUE D'A
chez les hémiplégiques gauches; dysarlltrie plus fréquente dans les lésions de l'hémisphère droit. Fréquence plus grande de
s dynamiques tandis que le cerveau gauche est plus prédisposé aux lésions organiques et profondes. Les termes d'hémisphère
gue l'homme de tous les autres animaux. A. FENAYROU. LXXXIII. DES LÉSIONS histologiques FINES DE la CELLULE nerveuse DANS
ie, vingt-quatre heures après d'une ino- culation d'antitoxine. Les lésions histologiques constatées par eux dans les grand
mêmes que celles qui ont été observées par d'autres au- teurs ; ces lésions ne sont pas toujours identiques ; elles peuvent
des cellules sont appréciables, et qu'il n'y a pas de tétanos sans lésions médullaires. Tout récemment, un auteur anglais,
corps cellulaire, du noyau et du nucléole, mais pas de véritables lésions . Enfin, après une inoculation de toxine suivie vi
ours, alors que la contracture avait disparu, une absence totale de lésions médullaires. Ces constatations viennent a l'app
, la piqûre n'excite point les centres vaso-moteurs, il faut qu'une lésion plus étendue agisse sur les conducteurs-moteurs
velet ou à la substance ferrugineuse de l'un ou l'autre côté. 2° La lésion de la racine spinale à la hauteur des olives en
es semblent entrer dans la masse comme du corps restiforme. 3° La lésion du tronc des hémisphères dans la région du tuberc
le noyau moteur et se distribuent aux cellules de ce dernier. 4° La lésion du cer- velet tout près des noyaux du trijumeau
peut percevoir de connexions du cervelet avec le trijumeau. 5° Les lésions de la substance cérébrale dans la région de la
auteurs, vont de cet endroit au trijumeau. - 6° A la suite d'une lésion à la hauteur, des racines de la cinquième paire,
optique. Donc, toute dégéné- rescence secondaire, consécutive à des lésions frontales, dans la racine antérieure delà couch
en rapport avec la couche optique, aec plzc>w; il n'y a que des lésions strictement circonscrites à l'écorce qui puissen
faudrait constaterl'atrophie congénitale du noyau du facial, ou la lésion primitive des muscles, chez un individu ainsi a
; P. KERAVAL. XCVII. Tractus dégénérés dans LE TRONC DU cerveau par lésion DE la MOELLE cervicale inférieure ; par F. DE S
? Névrite intra-utérine par intoxication ou infection ? Mais cette lésion ne saurait expliquer tous les cas, particulièreme
ne myélite intra-utérine. Les noevi, reconnaissant pour origine une lésion nerveuse intra- utérine, peuvent donc être atti
e lésion nerveuse intra- utérine, peuvent donc être attiibués à une lésion du neurone sen- sitif direct par altération, so
e, décharge visuelle, précédait l'accès épileptique : on trouva une lésion du pli courbe. Hughes Bennett and Peace Gould.
passé, la décharge des souvenirs, si l'on veut, fut causée par une lésion des lobes frontaux. Hughfings- Jackson. Intelle
tous les cas le centre qui se décharge avec le foyer épileptog8ue ( lésion déchar- geante) qui cause la décharge. On a att
égie dans ces cas, l'épilepsie est due à l'oedème partiel, ou à des lésions cir- conscrites, nées de l'intoxication, et non
ncore que la décharge d'un centre ne comporte pas nécessairement la lésion de celui-ci. Ce sont les épilepsies réflexes, p
llet 1885 et nov. 1887). Monfflier. Union med. du ou tenant à des lésions des cavités uasales.Iijelinan. Brrl. llin 117oche
phérique peut être seulement la cause déterminante par laquelle une lésion préexistante du cerveau devient une lésion déch
minante par laquelle une lésion préexistante du cerveau devient une lésion déchargeante. Ce qui peut caractériser l'épilep
t une valeur à peu près nulle quant la détermination du siège de la lésion déchargeante, du foyer épilep,o-ène. Toute lésion
on du siège de la lésion déchargeante, du foyer épilep,o-ène. Toute lésion du cerveau, dans n'importe quelle partie, peut
ilepsie dite jalçsoii- nienne ou idiopathique ! 11 faut chercher la lésion qui produit les décharges ! Il n'y a pas de chi
ervention. Elle admet qu'uneépifepsie peut être symptomatique d'une lésion quelconque du cerveau, tandis que, la prédispos
tandis que, la prédisposition épileptogène faisant défaut, la même lésion ne fournit pas ce symptôme. Elle admet en outre
même lésion ne fournit pas ce symptôme. Elle admet en outre qu'une lésion unilatérale quelconque peut provoquer des spasm
oivent servir de point de repère. Elle doit alors reconnaître si la lésion est assez superficielle, accessible, circonscrite
état de mal unilatéral » ne se produit que sous l'in- fluence d'une lésion siégeant directement sur la zone motrice. D'où
trice. Là encore, on constate une grande différence suivant que la lésion relève d'un traumatisme ou d'une autre cause. Les
uant à la nature de l'épilepsie, n'indique nullement le siège de la lésion et la concordance topo- graphique absolue de la
n et la concordance topo- graphique absolue de la cicatrice avec la lésion cérébrale est un cas rare. Nombreux sont les ca
mère au niveau de la cicatrice superficielle, on ne trouva pas de lésion , ce qui arrive lorsque les convulsions partielles
écé- dant le spasme, l'aura elle-même, dépendent uniquement de la lésion cérébrale. . Il s'agit donc de déterminer exact
cérébrale. . Il s'agit donc de déterminer exactement le siège de la lésion interne, car le succès dépend de la possibilité
interne, car le succès dépend de la possibilité d'éliminer cette lésion , et la guérison exige l'ablation totale de la lés
éliminer cette lésion, et la guérison exige l'ablation totale de la lésion déchar- geante. Nous savons que l'idée de la dé
première secousse musculaire n'indiquerait nullement le siège de la lésion . Lorsque la lésion est située à la partie posté
usculaire n'indiquerait nullement le siège de la lésion. Lorsque la lésion est située à la partie postérieure de la zone mot
smes unilatéraux, c'est dans le lobe frontal qu'on doit chercher la lésion déchar- geante ; l'aura visuelle, avec ou sans
; l'aura visuelle, avec ou sans hémianopsie incomplète, indique une lésion du pli courbe. L'aura olfactive indique une- lé
, indique une lésion du pli courbe. L'aura olfactive indique une- lésion du lobe temporo-sphénoïdal. Si donc l'aura, qui
itue le seul indice de localisa- tion. - On a essayé d'exciser la lésion déchargeante diagnostiquée par l'existence de s
ités de la paralysie générale ; elle peut parfaitement produire les lésions de la paralysie générale qui, sou- vent, peut ê
signes de vraie méningite ; seuls manquent ceux qui sont dus à une lésion limitée (troubles du pouls, de la respiration,
Centre de l' - et de la surdi-mutité, par Brissaud, 485. Alcool. Lésions produites par l' - éthylique sur les cellules n
Sensations illusoit es des - par Pitres, 57. Anémie pernicieuse. Lésions de la moelle dans 1' , par Clatke, 210; par L
oble, 239. Archives, 2e série, t. V. Anesthésies consécutives aux lésions de la zone motrice corticale, par Verger, 348
sco, 220. - ries chiens vaccinés contre la i@ago, 1)ti-Na,y, 222. Lésions fixes dès - dans le tétanos, par Cliantemesse e
1`é- ratologie du -, par Solovtzow, 4t8.Tractus dégénères dupar lésion de la moelle cervicale in- férteure, par de Sof
s sensi- tifs de la substance grise de la - , par Ciaglinski, 66. Lésions de la - dans un cas d'amputa- tion congénital
owski, 166. Hémisection traumatique de la- par F. Ray- mond, 398. Lésions de la - (]ans le diabète, par Souques et Mari-
égis, Chris- tian, A. Voisin, Brigand et Char- pentier,.lti, 412. Lésions de la - par G. Ballet, 413. - et svphilis, pa
ne, 172. Suicide. Enquête sur le , par Laupts, 79. Sympathique. Lésions de la partie cervicatedu,parJacobso)in. 222.
24 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
jerine avec Roussy () ont au con- traire attribué ce phénomène à la lésion d'un centre cortical des mouve-' ments de la tê
pu la revoir. ' L'autopsie de cette femme révéla l'existence d'une lésion corticale très nettement délimitée qui permet d
ner avec précision le centre des mouvements convulsifs observés. La lésion était située (comme on le voit sur la planche I
t à la méninge du sillon de Rolando. En somme il s'agit d'un cas de lésion très localisée au coude du sillon de Rolando so
'insertion du pied de F2, mais sans empiétement sur celle-ci. Celte lésion localisée avait produit des mouvements jacksonn
la tête et des yeux vers la gauche, c'est-à-dire du côté opposé à la lésion . Nouvelle Iconographie DE la SALPi.TRII.RE. T.
e et l'auriculaire, malades depuis 1910, présen- tent le maximum de lésions . L'index, le médius et l'annulaire sont moins a
dire plus. ? ' Les radiographies mettent en évidence deux sortes de lésions : des lésions osseuses et des lésions des parti
Les radiographies mettent en évidence deux sortes de lésions : des lésions osseuses et des lésions des parties molles (PI.
nt en évidence deux sortes de lésions : des lésions osseuses et des lésions des parties molles (PI. III). C'est au gonfleme
autour de cette articula- tion et respecte le bout du doigt. : La lésion osseuse est essentiellement constituée par des pr
lignes articulaires sonts nets et l'articulation semble intacte. La lésion est exclusivement localisèe à la phalangette. Cep
stéophytiques à la face postérieure de l'épiphyse distale. Le mêmes lésions se retrouvent aux pieds. Ici encore, la phalanget
images que nous avons obtenues ne permettent pas de conclure à une lésion de la selle turcique. Le malade ne/se 6 CHEVALL
été récemment publiée parBartolotti (1), se trouvent signalées des lésions comparables à celles de notre malade. Les extrémi
st presque exclusivement atleint; les radiographies montrent que la lésion porte sur les épiphyses : leur tissu se raréfie p
électivement à l'extrémité de tous les rayons pour en déterminer la lésion (2). Cette hypothèse s'accorderait, par exemple,
iculièrement orienté nos recherches vers un trouble tro- phique par lésions de la base du crâne. Déjà Babès (5) a invoqué par
s de la tête déterminant une transformation symé- 10 0 CHEVALLIER lésions pour expliquer certains cas de polydactylie symét
Fumarola (1) et d'autres auteurs, on peut faire interve- venir une lésion de la base du crâne sans admettre l'existence d'u
orer notre malade par des extraits glandulaires. Etant donné qu'une lésion hypophysaire pouvait être en cause, nous avons
ains cas de polydactylie symétri- ques des membres, la présence des lésions inflammatoires traumatiques du sphénoïde,.avait
estion qui devait être posée, est la suivante : s'agissait-il d'une lésion organique ou d'une affection en partie organiqu
e l'oeil étaient normaux.Cela n'étai t pas sufnsantpour exclure une lésion organique. Parfois, en effet, on peut avoir des
vision était accompagnée par certains caractères qui excluent toute lésion organique. Nous avons vu que le malade, quoiqu'
'arrive pas dans les spasmes toniques qui viennent à la suite d'une lésion organique irritative du trijumeau. En pareil cas,
acial. On trouve le phénomène de la ptose à bascule dans les cas de lésion organique, tandis qu'on rencontre très probableme
a réaction électrique contro-latérale a été trouvée dans des cas de lésions protubérantielles. En effet, en admettant que l
niquer aux fibres contro-latérales du côté atteint, dans les cas de lésions unilatérales du noyau du facial. Ces fibres, au
noyau du facial. Ces fibres, au contraire, sont détruites en cas de lésion du tronc nerveux où les fibres homo-latérales e
est mou, ictérique, sans autres altérations. Les poumons sont sans lésions tuberculeuses, ils ne sont pas enflammés. Le foie
premier noyau eu haut et à gauche est le type normal. 46 WOERKOM lésions . D'autres cellules, et c'est le plus grand nombre
forte dégénération qu'au- tour des cellules qui ne montrent aucune lésion manifeste. Ils sont présents dans l'écorce des
entres corticaux et sous-corticaux. Cellules nerveuses sans grosses lésions . Coupes coloriées suivant Pas : état normal. L'
es coloriées suivant Pas : état normal. L'épendyme ne montre pas de lésions microscopiques. Résumé. Un homme, 59 ans, est a
foie, se manifestant par l'ictère, des oedèmes, l'ascite. Signes de lésions cérébrales ; somnolence, crises d'irritabilité
tuberculose pulmonaire et où le délire était le seul symptôme d'une lésion des centres nerveux, l'intérêt est surtout d'ordr
a somnolence extrême. Quant à notre deuxième cas, comme signe de la lésion des centres ner- veux, il ne présentait que les
et les coudes. C'est au niveau des pieds que nous avons observé les lésions les plus mar- quées (Pl. XIII). Tout à fait typ
ière de ces crises a donné lieu à des localisations multiples ; les lésions siégeaient en elfet, par ordre d'importance et
. BAIID) @ SUR LES DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES CONSÉCUTIVES A UNE LÉSION DE LA MOELLE CERVICALE Par Ed. LONG. Comm
ns ici l'examen des, dégénérescences secondaires consécutives à une lésion de la moelle cervicale. Nous nous occuperons sp
rture de la cavité rachidienne, l'examen macroscopique ne révèle ni lésions des vertèbres, ni pachyméningite, ni adhérences
XV Cs Cfi r, C r, DÉGÉNÉRESCENCE ASCENDANTE CONSÉCUTIVE A UNE LÉSION DE LA MOELLE CERVICALE (E. Long). DÉGÉNÉRES
u total, et l'élude des dégénérescences secondaires le confirme, la lésion a atteint surtout la moitié droite de la moelle ;
ession, troubles circulatoires). Cependant, la nature même de cette lésion ne permet pas de délimiter avec certitude ce qu
n ne se retrouve que dans une région très limitée, au-dessous de la lésion seulement et il est intéressant de noter qu'il
res exactement systématisées, proportionnellement à l'é- tendue des lésions primitives (fig. 2) ; dans les segments D,, D3,
n'insistons pas davantage sur l'état des régions sous-jacentes à la lésion , ce travail étant plus spécialement desliné à l'é
cences des divers systèmes de fibres. On ne trouve, au-dessus de la lésion , aucune imprégnation anormale de la substance n
répartition et une in- tensité correspondant à la localisation des lésions causales (compression, nécrose). Au départ (f
recte ou croisée de ces divers systèmes de fibres : la nature de la lésion primitive et ses limites impré- cises ne permet
scence ascendante d'une partie de la voie pyramidale a. la suite de lésions spinales est bien connue. Quelques auteurs l'ont
dantes de la formation r-éli- culée, chez l'homme, consécutives aux lésions en foyer de la calotte pédonculaire. Revue neur
7, p. 308. STEWART (PUnvEs). - D3gene¡'ations following a lraumalic lésion ol the spinal cord. Brain, vol. 24, 1901, p. 22
bles. (1) Sur une forme de paraplégie spasmodique consécutive à une lésion organique sans dégénération du.système pyramida
éllexes cutanés abdominaux inférieurs, en rapport probable avec une lésion de la voie centrifuge. . . La sensibilité est a
ère correspondant au canal épendymaire. 3° dorsale (PI. XXIII). Les lésions de ce segment sont tout à fait compa- rables à
ntenant à grouper dans un petit tableau synthétique les principales lésions que nous venons de passer en revue : 1° C'est t
- minée par une tumeur radiculaire du volume d'un petit pois. Les lésions pyramidales sont des plus minimes « si tant est q
rès intense coïncidait avec une absence totale ou presque totale de lésions pyramidales. Ajoutons à ces conclusions princip
lésions pyramidales. Ajoutons à ces conclusions principales que la lésion des cordons pos- térieurs de la moelle rendent
roubles sensitifs à type tabéti- que que présentait la malade ; les lésions des cordons postérieurs ont été déjà plusieurs
e l'acromégalie ; dans cette dernière, et en ne considérant que les lésions osseuses, les pieds comme les mains sont élargis
rcice (nouvelle forme de ken- tomanie, provoquant, à la longue, des lésions cutanées bizarres qui offrent toute leur intens
est pourquoi on observe moins fréquemment des symptômes relevant de lésions de la moelle épinière que de lésions d'origine
ment des symptômes relevant de lésions de la moelle épinière que de lésions d'origine névritique.. Comme les conséquences d
que de lésions d'origine névritique.. Comme les conséquences des lésions lépreuses névritiques sont suffi- santes pour p
as, mais en plus petit nombre, où les symptùmes correspondent à des lésions de la moelle. Et non seulement la lèpre a une p
légers, la lièvre ne dure d'ordinaire que trois jours, mais si les lésions sont plus importantes elle peut durer da- vanta
tant alors par conséquent inverse. Cela dépend de l'évolution de la lésion nerveuse. Si elle régresse, le nerf peut se rét
esthésie disposée suivant le type névritique, quoiqu'il s'agisse de lésion des nerfs, et il l'est moins encore de la voir
Quoi qu'il en soit, le type de projection nerveuse par effet de la lésion de quelque tronc s'observe quoique, généralemen
cette sorte, comment nepas généraliser par extension aux faits avec lésions de moindre impor- tance ? Voilà pourquoi nous n
guérissent sponta- nément. Mais il est très fréquent que les mêmes lésions et les mêmes symptômes disparus reparaissent de
s d'instabilité ni dans la station debout, ni dans la marche, si la lésion n'en- valiit les nerfs vestibulaires ou les cen
onnexions labyrinthiques, souffre des troubles moteurs adéquats aux lésions propres il sa maladie. En revanche, le névritique
ment compensé du côté sain. Mais nous ne devons pas admettre que la lésion labyrinlhique bilatérale puisse êlre compensée
ne sont pas Ips seules; il en est de même, plus ou moins, pour des lésions qui siègent dans n'imporle lequel des trois dép
ues qui offrent le plus fréquemment l'inslahililé sont ceux dont la lésion consiste dans l'a- trophie bilatérale du nerfoa
et du corps que les autres, beaucoup de labyrinlhiques chez qui la lésion n'est pas complète peuvent aussi, avec le temps,
aciaux. Les troubles moteurs dans la lèpre nerveuse dépendent de la lésion spécifique dans les nerfs sensilifs superficiel
exercée sur elle et sur un point du nerf lui-même, au-dessus de la lésion , provoque aussi des spasmes. Fig. 50 . Fig. 5
rouve très avancé. En second lieu, elies surviennent par l'effet de lésions arti- culaires, dans le côté de la flexion. En
combinées telles que l'atrophie,cornme je viens de le dire, unie des lésions articulaires osseuses, tendineuses et a la sclé
rofond. 1 Je crois que ces dernières contractures ont pour cause la lésion spéci- fique des filets nerveux des mêmes muscl
et dans maintes occasions où les pieds et les jambes présentent des lésions névri- liques lépreuses, il existe une supraréf
éllexes tendineux, il y en a d'autres où avec l'existence des mêmes lésions dans les pieds et les jambes, les réllexes ont le
z beaucoup de lépreux dont les mains elles doigts offrent de graves lésions . (I) Nous acceptons volontiers les mots « supra
flectivilé dépend-elle dans la névrite lépreuse ? Où trouve-t-on la lésion qui la produit ? Nous n'avons pas à nous occuper
efférente ou centrifuge de l'arc, car nous savons fort bien que la lésion dans cetle partie ne tarde pas à produire la subr
é ou l'irréflectivité. Nous ne devons pas non plus l'attribuera une lésion du sa isceau pyramidal au-dessus du troisième s
ès juste et très rationnel d'admettre que le phénomène dépend d'une lésion dans la première portion du neurone ou du conduc-
le fait que lorsque celle modification de la réflectivité dépend de lésion des nerfs sensitifs, les muscles ne sont pas vrai
traire, elle augmente et disproportionnellement aussi à cause de la lésion nerveuse. Il est évident que nous trouvons souv
à l'état normal et qui sont contigues à d'autres qui présentent des lésions dans leurs tissus superfi- ciels et profonds. T
odermie abonde dans celle maladie soit immédiatement après d'autres lésions cutanées, surtout après les macules, soit- primit
r conséquent, celles où les nerfs s'altèrent de préférence. Cette lésion dermique cicatricielle est en général accompagnée
que la syringomyélie, des états syringomyéliques joints à d'autres lésions spinales, et les névrites de différentes origines
autres, et grâce à leur anesthésie ils ne se préoccupent point des lésions produites qui, privées par ce motif de protection
ssaire que l'insuffisance nerveuse nutri- tive des tissus, due à la lésion spécifique des nerfs, intervienne en altérant l
ons graves qui puissent compromettre sa vie. Une personne qui a une lésion de ce nerf, peut suivre sa vie ordinaire sans p
sèche et ronde comme on peut le voir dans la figure 41. Alors si la lésion sur le nerf a été seulement une simple section, s
ainsi que la septicémie surviendront. Si une personne souffre d'une lésion grave du nerf grand sciatique comme par exemple
as être innervées, la peau de ces zones souffre alors facilement de lésions d'ordre régressif qui peuvent arriver jusqu'à l
haut la même analogie entre les manifestations pro- duites par des lésions nerveuses névritiques et d'autres dépendant des
leur vigueur avec l'atrophie extrême des membres ; il n'y a aucune lésion viscérale, aucun trouble ni sphtnoérien ni géni
re portant sur les jambes et le tiers inférieur des cuisses, toutes lésions parfaitement symétriques (PI. XXXII). Les pieds
i'anou'ophieCharcot-Marie. Je vous rappelle que, classiquement, les lésions de celle amyotrophie portent à la fois sur les
te amyotrophie n'est pas primitive ; elle est sous la dépendance de lésions du système nerveux. Les lésions de la moelle fr
; elle est sous la dépendance de lésions du système nerveux. Les lésions de la moelle frappent et les cornes antérieures d
rs où elles rappellent les firure ? du labes incipiens. Quant aux lésions des nerfs, elles sont très variables; elles porte
hie simple. Les troncs restent de volume normal et ne présentent de lésions appréciables, ni parenchymateuses ni linter- st
ec Hoffmann, l'explication de l'amyotrophie ? Il est des cas où ces lésions sont si discrètes qu'il parait difficile d'adopte
le opinion. Faut-il au contraire faire dépendre l'amyotrophie de la lésion des cor- nes antérieures ? Cela semblerait logi
ve signalée l'atrophie dégénérative du noyau rouge à la suite d'une lésion de l'hémispllère céré- bral, est celle qui a ét
qui a été rapportée en 188 : 3 par Wi lkowski (1). Dans ce cas, la lésion qui datait de l'enfance était de beaucoup trop va
apports existant entre la distribution de celles ci et le siège des lésions . Des observations analogues furent rapportées p
sait d'une atrophie très marquée du noyau rouge déterminée par des lésions cérébrales très étendues et ayant débuté, le plus
, mais les détails se rapportant aux altérations histologiques, aux lésions fines des éléments cellulaires surtout, étaient
aux sont basés sur l'étude soignée d'un très grand nombre de cas de lésions corticales et sous-corticales, a eu maintes foi
l, ces réactions secondaires étaient d'autant plus intenses que les lésions de l'écorce cérébrale étaient plus anciennes et
es et plus étendues. Bien qu'il eût affaire, le plus souvent, à des lésions trop vastes pour que l'on pût se permettre d'en d
notre avis, en effet, en raison de l'étendue trop considérable des lésions qu'ils présentent, ces deux cas ne sauraient êt
r le fait, nous dit l'auteur, que « dans le lobe temporo-pariétal, la lésion atteint l'épendyme ventriculaire et sectionne l
hère gauche )1. Il est donc impossible de retrouver au milieu d'une lésion aussi vaste que celle-ci le point d'origine de
tient aucun compte etcom- ment il est conduit à n'envisager que la lésion pariétale pour expliquer les phénomènes dégénér
ppré- ciable du noyau rouge bien qu'il eût affaire cette fois à une lésion attei- gnant surtout le lobe temporal et n'impl
Séguillon), que l'auteur lui-même, du reste, choisit comme type de lésion temporale, le foyer de ramollissement inté- res
e des fibres de projection qui proviennent du lobe temporal . Cette lésion a déterminé une dégénéres- cence très nette de
NEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE lui Voilà donc trois cas dont les lésions ont entraîné la dégénérescence se- condaire du
uge lorsqu'il fait la description d'un autre cas (cas Jouan), dont la lésion est strictement limitée au lobe pariétal. Pou
est strictement limitée au lobe pariétal. Pour ce qui en est des lésions du lobe frontal et du lobe occipital, les cas p
mme. Les recherches ayant porté sur un bon nombre de cas et sur des lésions très diverses quant à leur siège et à leur nature
servé la dégénérescence secondaire du noyau rouge avaient trait des lésions (kystes hémorragi- ques, foyers de ramollisseme
es dégénérescences secondaires observées chez l'homme à la suite de lésions corticales et sous-corticales, et portent sur tou
et de la voie cortico-rubrique reposent sur l'étude de vingt cas de lésions plus ou moins étendues mais il topographie stri
le du neurone cortico-rubrique. Pour ce qui en est de la nature des lésions , il s'agissait, dans deux de ces cas, de microg
lisée ont chacun été constatés une fois. Quant la topographie des lésions , nous tenons à reproduire ici très exactement l
les renseignements fournis par l'auteur. Dans trois de ces cas, les lésions intéressaient le lobe frontal 1 (FI F2 et 13); da
ccipitales (région calcarinienne et 0, à 03) ; dans deux enfin, les lésions siégeaient surtout au niveau du lobe temporal (Fi
3 et région occipito-temporale). Il s'agissait, le plus souvent, de lésions assez étendues et atteignant plusieurs circonvo
de volume, dégénérescence secondaire) au niveau du no5au rouge. Les lésions , dans trois de ces cas positifs, occupaient le lo
nt à la presque totalité de l'hémisphère. Dans les dix cas dont les lésions n'ont aucunement retenti sur le noyau rouge, il
l (2 cas). Etant donné que dans les cas de cette série négative les lésions étaient non seulement anciennes mais très vastes.
du noyau rouge n'ayant été constatée que lors- qu'il s'agissait de lésions intéressant le lobe frontal (région préfrontale)
ignements assez précis et fort intéressants. Dans deux cas dont les lésions , bien que très intenses, n'impliquaient que les
les réseaux cellulaires raréfiés. , Dans quatre autres cas dont les lésions occupaient surtout les circon- volutions centra
phie net- tement différente. Dans deux de ces cas, il s'agissait de lésions occupant surtout le lobule paracenlral mais att
ux autres, le lobule paracen- Irai était parfaitement libre, et les lésions étaient limitées au segment inférieur des circo
on frontale se trouvait plus ou moins largement inté- ressée par la lésion , l'auteur considère que c'est surtout au niveau d
orticale du noyau rouge ressort nettement de ce fait, que, dans les lésions centro-operculaires, la dégénérescence de ce no
topographie sensiblement différente de celle qui carac- térise les lésions préfrontales. Il convient d'ajouter enfin que lor
s lésions préfrontales. Il convient d'ajouter enfin que lorsque les lésions s'étendent à la presque totalité d'un hémisphère,
qui LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 1 usa résulte de la lésion isolée, soit du lobe préfrontal, soit de la régio
seignement à l'égard de la voie cortico-ruhrique. Dans les cas de lésion ancienne intéressant la totalité ou la presque
ertain nombre de cellules principales. Les seules régions dont la lésion détermine la dégénérescence du noyau rouge sont
uelle s'étend peut-être au lobule- paracentral. , Dans les cas de lésion isolée de la région préfrontale, la dégénérescenc
elle intéresse surtout la zone grise dorso-médiane. 1 Lorsque la lésion est strictement limitée à la région operculo-cent
cerla.. En effet, lorsque ces régions se trouvent atteintes par les lésions frontales, la réaction que l'on observe au niveau
e aussi la zona incerla. On a pu suivre, en effet, à la suite d'une lésion limitée à la région thalamique ventrale, et même
ce faisceau, il en élait un (Cas Roll. 5e ob- servalion[l] dont la lésion , assez étroitement limitée à l'écorce et la sub-
ramollissement temporal, car il - n'existe dans ce cas aucune autre lésion , soit au niveau de l'hémisphère cérébral, soit
s cette constatation, nous nous sommes mis à la recherche de cas de lésion ayant à peu près la même topographie que celle
r la conclusion que celui-ci semblait légitimer, il savoir, que les lésions du lobule fusiforme et de la troisième, circonvol
effet, constaté la dégénérescence du noyau rouge chaque fois que la lésion intéressait le lohulefusiforme et la circonvolu
part, voulant savoir comment se comporte le noyau rouge lorsque les lésions siègent en d'au- tres régions de l'hémisphère c
postérieures de l'hé= misphëre ; d'une façon générale, ce sont les lésions qui caractérisent l'a- phasie sensorielle. Donc
ée de dix-huit cas de ramollissement. Dans quatre de ces cas, les lésions intéressent le domaine irrigué par les branches
isent par une réaction nette au niveau du noyau rouge ; ce sont les lésions : a) de la face inféro-interne du lobe temporal
nsula et partie avoisi- nante des circonvolutions rolandiques). Les lésions limitées au lobe occipi- tal ou au lobe pariéta
traînent pas la dégénérescence secondaire du noyau rouge. Quant aux lésions de la convexité temporale, elles ne reten- tiss
me. Au niveau du plein développement du carrefour ventriculaire, la lésion occupe le segment inférieur de l'hippocampe et
ieur du pulvinar, l'hippocampe est excavé dans la totalité, mais la lésion fusiforme a régressé en partie, n'étant représe
largement toutefois les couches sagittales sous-ventriculaires. La lésion de l'hippocampe s'étend en avant jusqu'au nivea
re posté- rieure et par les corps genouillés externe et interne. La lésion fusiforme ne disparaît que sur les coupes intér
COI\'11CALES DU NOYAU ROUGE 201 1 n'existe dans ce cas aucune autre lésion , soit dans le lobe pariétal, soit dans le lobe
un mince fascicule partiellement dégénéré. Dans le lobe temporal, la lésion a complètement disparu mais il persiste une déc
nvolution de l'hippocampe. Au niveau du carrefour ventriculaire, la lésion occupe la partie médiane du lobule fusiforme et
splénium du corps calleux. ' Il existe également dans ce cas une lésion centrale très importante. Dans le sens horizont
une lésion centrale très importante. Dans le sens horizontal, cette lésion se trouve comprise entre deux plans verticaux,
'autre, antérieur, traverse le pôle frontal du corps de Luys. Cette lésion débute en arrière par un tout petit foyer siégean
intéressant l'extrémité antérieure du noyau rouge. A ce niveau, la lésion s'étend dans un sens vertical oblique, de la paro
présente le noyau rouge à cet endroit résulte essentiellement de la lésion temporo-occipitale. Pour ce qui en est de la ré
oro-occipitale. Pour ce qui en est de la réaction déterminée par la lésion centrale siégeant dans la partie supérieure de
non seulement du ramollissement temporo-occipital mais aussi de la lésion lenticulo-capsulaire, laquelle sectionne sans le
siste plus, longtemps. Quant à la dégénérescence occasionnée par la lésion centrale, on voit qu'elle est devenue de beauco
La coupe suivante (PI. XXXV-C) est prise au niveau du maximum de la lésion centrale et passe par la bandelette optique, le
ual, le lobule fusiforme et la circonvolution de l'hippo- campe. La lésion débute en arrière près de la pointe occipitale et
e la circonvolution de l'hippocampe. Donc, nous avons affaire à une lésion qui détruit la presque totalité des lobules lingu
es deux tiers postérieurs de l'hippocampe. Il n'existe aucune autre lésion dans ce cas sauf un petit foyer de ramollisse-
sse un peu en avant de l'extré- mité postérieure du noyau rouge. La lésion a déterminé la soudure des deux circonvolutions
sant par l'extrémité postérieure de ce ganglion, on constate que la lésion temporo-occipitale a déterminé une dégé- néresc
roit, occupant le domaine ir- rigué par la cérébrale antérieure. La lésion intéresse le précunéus, le lobule paracentral,
- duc si considérable dans le sens sagittal et antéro-pustérieur la lésion se loca- lise assez étroitement dans la zone so
lleux au niveau de la voûte ventriculaire. Il n'existe aucune autre lésion dans ce cas, sauf quelques lacunes de la couche o
croyons que cette dégénérescence partielle du trigone résulte de la lésion de la première circonvolution limbique. Le lobe t
u niveau de son seg- 212 LA SALLE ARCHAMBAUJLT ment inférieur. La lésion sous-corticale de la face médiane de l'hémisphère
il partir de celle-ci jusqu'au niveau de la limite antérieure de la lésion frontale. La dégénérescence de la capsule interne
ment en arrière de ce foyer cir- conscrit, on voit qu'en réalité la lésion détruit totalement le pied de la troisième circ
rontale et de la première circonvolution limbi- que. En arrière, la lésion détruit, par des prolongements assez superficiels
lions de la base sont absolument intacts. Bien qu'il s'agisse d'une lésion relativement récente, ce ramollissement a n dét
on voit l'extrémité postérieure du foyer de ramol- lissement. Cette lésion a déterminé une décoloration partielle de toute l
résente une raréfaction manifeste de (1) Le malade porteur de cette lésion n'a jamais présenté d'aphasie, ni aucun trou- b
son parcours. En arrière, où elle est beaucoup plus destructive, la lésion intéresse la partie antérieure du pli courbe, la
postérieurs de la deuxième cir- convolution temporale. En avant, la lésion implique la majeure partie de l'insula, tout en
rtical des couches sagittales profondes du lobe temporal. Cette vaste lésion Schéma ? VI. Sixième observation. LES CONNEXI
entrale de l'opercule rolandique. Malgré le voisinage si intime de la lésion , on voit que la couche sagittale externe tempor
enons de faire l'exposé nécessairement sommaire de six cas dont les lésions ont entraîné la dégénérescence secondaire du noya
rouge. Nous avons vu, en effet, que ce noyau dégénère à la suite de lésions atteignant la face inféro interne du lobe tempo
nt de spécifier ai nouveau, cependant, qu'il s'agit dans ces cas de lésions intéressant les circonvolutions du bord inféro-in
ippocampe en particulier. Ainsi que nous l'avons dit plus haut, les lésions de la convexité temporale ne déterminent des ph
nsi à sectionner les fibres provenant de la face médiane. Quant aux lésions limitées au lobe occipital ou à la région rétro
: nos cinquième et sixième observations démontrent en effet que les lésions de ce territoire se carac- térisent par une dég
égénérescence très accentuée du noyau rouge. Pour ce qui en est des lésions atteignant la pointe du lobe frontal, la connexit
ico-rubrique, nous n'avons pas eu l'avantage de pouvoir étudier des lésions affectant strictement cette topographie et ne p
von Monakow, cette localisation n'entre pas dans la sphère dont la lésion retentit sur le no5au rouge; tout au plus cet o
e l'écorce cérébrale, bien que nous puissions affirmer que dans les lésions strictement limitées au lobe occipital ou au lo
problème particulièrement complexe et délicat, étant donné que les lésions qui retentissent sur le noyau rouge déterminent
u temporo thalamique d'Arnold ne fait jamais défaut dans les cas de lésion intéressant les circonvolutions de la facemédiane
les grises dorsale et dorso-médiane. D'une façon générale, dans les lésions de la face médiane du lobe tem- poro-occipital,
ertaine raréfaction de la substance médullaire centrale. Dans les lésions du bord supéro-inlerne du lobe fronto-pariétal (p
noyau rouge, elle se trouve très notablement dégénérée. Quant aux lésions intéressant la région operculo-centrale, c'est-à-
ndre aux ganglions cen- traux et au pied du pédoncule cérébral. Ces lésions entraînent, au niveau de la couche optique, la
LES CONNEXIONS COHTICALES DU NOYAU ROUGE 221 1 noyau, à la suite de lésions de l'hémisphère cérébral, varie dans sa topo- g
misphère cérébral, varie dans sa topo- graphie selon le siège de la lésion déterminante. Les lésions de la face inféro-int
ns sa topo- graphie selon le siège de la lésion déterminante. Les lésions de la face inféro-interne du lobe lemporo-occipit
out les zones marginales grises dorsale et ventro-latérale. - Les lésions du bord supéro-inlerne du lobe fronto-pariétal re
zones marginales gri- ses dorso-latérale et ventro-latérale. Les lésions de la région operculo-cenlrale retentissent sur l
s pièces uniquement pour l'élude des altérations cellulaires et des lésions fines du névraxe, nous avons retrouvé asez nett
e n'est xxvtc 15 5 222 ' LA SALLE ARCHAMBAULT pas rare dans les lésions de la face médiane du lobe temporal ; nous avons
a fréquem- ment attribué l'hémi-alllétose et 1'li6mi-clioi-ée à des lésions siégeant dans le voisinage du noyau lenticulair
de chorée chronique progressive clans lesquelles ils ont trouvé des lésions corticales assez strictement limitées au lobe f
contré, dans certains cas d'héll1l-chol'ée et d'hémi- athétoae, des lésions intéressant soit le cervelet ou le pédoncule céré
eltemeut que dans ces divers troubles de la motililé le siège de la lésion déterminante peut être des plus varia- bles, ma
rd que les sphères corticales Il. PIER"E Marie el J. LUEIIITTR, Les lésions de la chorée chronique progressive Annales de M
a donnée à un phénomène assez curieux qui s'observe dans certaines lésions de la cou- che optique. ' On a fréquemment co
ue. Pour nous, ce phénomène peut tout aussi bien s'expliquer par la lésion , dans le voisinage immédiat du noyau rouge, des
assurer le fonctionnement même émotif du facial, puis- que dans les lésions siégeant au niveau de la zone motrice, le malade
u sont partiellement compromises, ce qui se trouve réalisé dans les lésions thalamiques attei- gnant le voisinage du noyau
rouble d'innervation du facial inférieur que l'on a décrit dans les lésions de la couche optique est ordinairement transitoir
le pleurer spasmo- diques, symptômes que l'on a rencontrés dans les lésions atteignant tan- tôt la partie médiane du noyau
des fibres rubro-Imlbaiies. Nous sommes donc porté à croire que la lésion , soit des voies afféren- tes, soil des voies ef
lature en général. Ainsi que nous l'avons dit plus haut, toutes les lésions que l'on a rencon- trées jusqu'ici dans les cas
siège et la nature mais aussi clans l'étendue ou l'intensité de la lésion déterminante. En effet, s'il est légitime de su
ser que ces divers désordres reconnaissent pour cause principale la lésion des voies afférentes du noyau rouge, on conçoit
ionomie du symptôme puisse varier sensiblement selon le siège de la lésion grâce à. l'implication surajoutée d'une autre v
mpromises. Toul ce que l'on peut dire c'est que ce sont surtout les lésions superficielles de l'écorce, et les foyers mi- n
marginales dorso médiane et dorso latérale. Il est possible que la lésion des connexions corticales du noyau rouge joue u
nt d'apporter sembla- ble affirmation, il convient d'examiner si la lésion hypophysaire n'a pas provoqué un retentissement
ous pensons donc que, dans notre cas, il n'y a, a l'origine, qu'une lésion hypophysaire amenant de l'hvperfonctionnement tot
sion hypophysaire amenant de l'hvperfonctionnement total, que cette lésion a provoqué un retentissement thyroïdien plus ou m
cosurie observée après les opérations sur ['hypophyse est due à des lésions de la base du cerveau; mais serait-elle due à l
tervention de multiples facteurs, ne relevant pas directement de la lésion hypophysaire et susceptibles d'agir sur les organ
le, tout particu- lièrement quand les signes caractéristiques de la lésion hypophysaire font défaut, l'hvperalbuminose du
n réalité, une espèce de relation de cause à effet. La cause est la lésion zostérienne des ganglions spinaux, qui se propage
ent dans l'hystérie traumatique un rap- port entre les plus légères lésions anatomiques déterminées par le trauma et les ph
des altérations organiques, même des plus légères, comme une petite lésion périphérique, un trouble vaso-moteur d'origine ém
ue qu'on peut expliquer les rapports que nous avons cités entre les lésions organiques et l'hystérie, rapports que les théori
de JONG. SUR LES TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS DEUX CAS DE LÉSION BILATÉRALE DU CORPS STRIÉ PAR R W. Van WOER
rence est que nous connaissons bien les symptômes provoqués par les lésions de ces dernières régions et qu'ainsi notre pens
roubles d'ordre moteur sont maintenant attribués exclusivement à la lésion de la première. L'opinion de Hammond, attribuan
ces symptômes accompagnant parfois l'hémiplégie sont dus à la même lésion que celle-ci, c'est-à-dire à une affection du f
t provoqué les secousses choréifol mes sans qu'il y ait eu trace de lésion des faisceaux pyramidaux. Le grand nombre de ca
t en vigueur, que la présence des secousses cboréiformes indique la lésion des hracliia conjuncliva dans un point quelconq
nt von Niessl Vlayendorf élargi cette théorie en acceptant t que la lésion de certaines parties de l'écorce cérébrale en con
midaux dans la genèse de la parésie spasmodique, après celles où la lésion des pédoncules,cérébelleux supérieurs avait pro
on se croit en présence d'une diplégie spasmodique, causée par une lésion des voies pyramidales, Quelques-uns de ces cas, e
s striés fort prononcée, les TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 275 autres parties du névraxe ét
ertitude en cette matière est encore très grande ; le l'ait que les lésions du corps strié seraient capables de provoquer des
culaire. Celle opinion est soutenue par l'observation de cas où les lésions , même bilatérales, ne provoquent pas de symptôm
horéo-athétosidues, la raideur des muscles, qui sont attribués à sa lésion . Une petite minorité parmi les neurologistes (M
teurs ont observé des cas où la capsule interne était intacte et la lésion du noyau lenticulaire seule était capable de pr
nd il y a quelque chose dans TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 277 son entourage qui l'amuse, l
e DE la Salpêtrière. T. 11VII. hL. 1LVIII TROUBLES MOTEURS DANS LES LÉSIONS DU CORPS STRIÉ (W. van Woerkom.) -- TROUBLES
reste figé à la même place. TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 281 Les troubles que j'ai décrit
rmale Observation 1 FiG. 1 TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 283 dente : atrophie du corps st
male Série ohs, I - Fm.2 2 TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 285 extrême; en d'autres places
rmale Série obs. 1 Fn,.3 3 TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 287 motion décrite; partout le r
lte%ue Neurol., n° 11, 1912. TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 293 malade pouvait être soigné c
arquons un réseau capillaire TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 295 très dense ; cette néoformat
CONCLUSIONS. Après la description et l'analyse de nos deux cas avec lésion bilatérale du corps strié, reprenons la questio
e perturbation de la fonction musculaire doit être attri- buée à la lésion des corps striés ? . Elle n'est pas due à une l
i- buée à la lésion des corps striés ? . Elle n'est pas due à une lésion directe du cervelet, des brachia conjunc- tiva
as sans altérations, dans notre seconde observation elles sont sans lésions aiguës. 1 (1) Urne semble intéressant de rapp
rophie des corps sous-thalamiques. Dans la seconde observation. des lésions aiguës des noyaux lenticulaires sont constatées
euvent être conçues dans les termes suivants : En dehors de toute lésion du cervelet (des pédoncules cérébelleux), des f
on est une contribution à la thèse que dans certaines conditions la lésion des corps striés seuls est en état de provo- qu
nes antérieures ne sont pas seules prises, mais qu'il y a aussi des lésions méningées et des lésions diffuses de la substance
as seules prises, mais qu'il y a aussi des lésions méningées et des lésions diffuses de la substance blan- che. Dans le sec
térations tabétiques ; mais, à côté de ces dernières, on trouve des lésions des cornes antérieures, des méninges et de la sub
érieures, des méninges et de la substance blanche, c'est-à-dire des lésions diffuses analogues aux précédentes. Aussi, au n
est-on autorisé à dire que, dans tous ces cas, il ne s'agit pas de lésions systématisées, mais bien de lésions pseudo-syst
us ces cas, il ne s'agit pas de lésions systématisées, mais bien de lésions pseudo-systématiques, de méningo- myélite diffu
de cette ponction ne nous aurait rien appris au point de vue de la lésion méningo- médullaire, puisque le malade est tabé
re une marche progressive plus ou moins accidentée des symptômes et lésions médullaires pour aboutir à la vérification anatom
côté droit. Et celle hypothèse pouvait s'appuyer sur le siège de la lésion qui comprend le segment du faisceau de Burdach
OD tions, jouissant de cette seconde guérison apparente, puisque la lésion est toujours là et que, malgré l'expérience du
estif propre- ment dit. Anatomiquement on peul se représenter les lésions commeayantenvabi i d'abord les faisceaux blancs
par conséquent un second temps de repos, sinon de réintégration des lésions médullaires. Cet étal, cette période de guériso
passagères, semblent en effet peu compatibles avec l'existence d'une lésion fixe, permanente et progressive, tandis qu'un a
), en cas d'hémorragies dans le lobe antérieur (Maranon). après des lésions traumatiques de l'hypophyse par balle, etc (Madel
e postérieur. Crowe etHomans, Schüller attribuent l'adiposité à une lésion du lobe antérieur. Clunet et Roussy onl obtenu
r. Clunet et Roussy onl obtenu expérimentalement chez le chien, par lésion de l'hypophyse, le syndrome adiposo-génilal. Pl
bète insipide, qu'il explique- rait volontiers dans son cas par une lésion épendymaire circonscrite du quatrième ventricul
cours de l'épilepsie. Camus et Roussy attribuent la polyurie à une lésion inlerpédonculaire. Simon l'a signalée dans la par
SAIRE 323 vu la polyurie avec azoturie succéder à une paralysie par lésions céré- brales. Lecorché a noté l'azoturie chez u
trauma- tisme engendre en même temps l'épilepsie et la polyurie par lésion d'un des centres polyuriques de la base. Scha
une déviation conjuguée (tourner le visage et les yeux du côté des lésions cérébrales). Benders a appelé l'attention sur le
cérébrale infantile est dans le fait que, dans un cas, il s'agit de lésions de forme strictement en foyers, dans d'autres c
dans l'autre ; ce spécialiste autorisé dit textuellement; En cas de lésion de foyer déterminée, la « ReaktionfahigheitM » ép
elle augmentation esl une attaque jacksonnienne typique ; en cas de lésions diffuses dans les deux hémisphères intervient l
ïde et des glandes parathyroïdes doit être regardée aussi comme une lésion congénitale de ces organes et, par conséquent, il
e du corps ihyi-oïde et de l'Hypophyse. Paris, 1908. Marchand (L.). Lésions cérébrales dans l'épilepsie dite essentielle. Com
phénomènes biologiques de chaque malade. A se juge en proie il une lésion gastrique; B se croit atteint d'une grave affec
de sorte que le médecin doit pratiquer des incisions au niveau des lésions . La nuit, il « bat la campagne », prend sa femm
43. Corps strié (Troubles des mouvements actifs dans deux cas de lésion bilatérale du -), par W. vAN Woerkom, 213. Dé
oN et Barré, 81. Dégénérescences ascendantes consécutives à une lésion de la moelle cervicale, par Long, 61. Démente
cervicale (Sur les dégénérescences ascendanles consécutives il une lésion de la -), par Long, 61. Mouvements actifs (Tr
), par Long, 61. Mouvements actifs (Troubles des dans deux cas de lésion bilatérale du corps strié), par W. VAN Woerkom,
Long (E.). Sur les dégénérescences ascen- dantes consécutives à une lésion de la moelle cervicale, 61. Marchand (L.) et
tterdam). Sur les troubles des mouvements actifs dans deux cas de lésion bilatérale du corps strié, 213. TABLE DES PLANC
rations des centres nerveux (W. VAN Woerkom), XII. Corps strié ( Lésion bilatérale du -, trou- bles des mouvements acti
Woerkom), XLVIII. Dégénérescences ascendantes consécutives à une lésion de la moelle cervicale (Long), XV. Dystrophie
ccr,IOn), LII. Mouvements actifs (Troubles des - dans deux cas de lésion bilatérale du corps s strié) (W. vix Woerkom),
25 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re persistent pendant un temps rela- tivement long et attestent une lésion plus grave du cerveau lui-même, nous voulons pa
ion des couches corticales sous-jacentes, dans le second il y a une lésion des cellules de la substance grise, une véritab
ence de faits (celui de Janson-Zuède, par exemple) dans lesquels la lésion cérébrale siège du côté opposé à l'oreillon, ou
MANIFESTATIONS MENINGITIQUES DES OREILLONS. 13 La complexité des lésions dans notre cas rend toute explication bien plus
galement qu'il serait aussi difficile de les expliquer tous par une lésion de la protubérance. Tous ces symptômes, fièvre,
se rendre compte assez facilement des phénomènes obser- vés : la lésion cérébrale consécutive à la méningite, peut-être
oute formule absolue, aussi variables que le siège et le nombre des lésions . III.-Nous pensons donc, en résumé, que les acc
dents encéphalopathiques des oreillons doivent être rattachés à des lésions méningées d'ordre congestif ou inflammatoire; l
ureusement restreint, elles donnent naissance consécutivement à des lésions de l'encéphale lui-même (encéphalite ou ramolli
D dans les deux yeux. S=0 Du 0 G ,=o; champ visuel normal. Pas de lésions ophthalmoscopiques. Les phosphènes sont beau- c
a migraine. On pourrait donc se demander s'il ne s'agit pas d'une lésion organique grossière, comme tendrait à le faire
altérations médul- laires secondaires accompagnant visiblement les lésions cérébrales diagnostiquées à gauche, la paralysi
saire entre ces deux symptômes. G. Ballet la résume ainsi : «Toute lésion permanente de ces circonvolutions (la pariétale e
rtie de la zone sensitive I » : Dans notre cas, la localisation des lésions de ramollissement au tiers postérieur des circo
-là encore sensitivo-motrice, devient exclusivement sensitive. La lésion destructive n'atteignant pas cette étendue, ne po
efour sensitif de Charcot) était également intacte. b) En outre des lésions existant sur la racine des deux dernières circo
psule interne (zone 2,olai ? dique de Charcot). Or, on sait que les lésions destructives corticales, siégeant à cette parti
t encore qu'elles en déterminent la production lorsqu'il existe des lésions concomitantes des corps opto-striés 1. L'hypo
central à droite (corps calleux, noyau caudé, anse 7-ola71111qzie); lésion dégénérative secon- duire du pédoncule cérébral
ymptômes 'constatés ce matin suffisent au diagnostic d'une nouvelle lésion destructive, siégeant dans l'hémi- sphère céréb
icale de la scissure de Rolando ; enfin, à sa partie inférieure, la lésion a détruit la substance cérébrale presque jusqu'
res, qui ont été évidemment prises de dégé- nération secondaire. La lésion occupe le faisceau pédonculaire moyen qui, pars
, au quart antérieur de la circonvolution du corps calleux; la même lésion existe sur le pied des deuxième et troi- sième
résente plusieurs points d'un jaune rougeâtre, ce qui dénote que la lésion est de date plus récente que celle du côté droi
ne subissant pas de modification heureuse militait en faveur d'une lésion destructive de nature nécrobiotique : c'est le ty
gauches; notons seulement qu'ici, comme dans 1'OnsERVAïfON I, cette lésion a déterminé la perte DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRI
miplégie des membres droits, sans anesthésie. A droite, une vaste lésion a intéressé le corps calleux dans la moitié de
e corps calleux en particulier, Flourens et Longet affirment que la lésion expérimentale ne détermine aucun trouble appréc
ment, et de décrire avec tous leurs détails anatomiques, les cas de lésions de ces centres et d'en déterminer exactement le
erminer exactement les limites. Dans notre deuxième observation, la lésion destructive d'une portion du noyau caudé ainsi
corticale »(Charcot)2; qu'enfin la thèse de Pitres établit que les lésions , siégeant dans la substance 1 E. Savoy. ? H '&l
harcot. Leçons sur les localisations. ;1 Pitres. Recherches sur les lésions du centre ovale des hémisphères cérébraux étudi
ntres corticaux, donnent lieu aux mêmes symptômes localisés que les lésions de ces centres eux- mêmes. Or le ramollissement
en induire que c'est par les fibres pédonculaires indirectes que la lésion descendante s'est produite, c'est-à-dire par ce
la paralysie du grand oblique de l'oeil, etc. ; signes habituels de lésion ou de compression de la bandelette optique et d
oisée, symptôme qu'on sait d'ailleurs accom- pagner d'ordinaire les lésions cérébrales qui produisent l'hé- mianesthésie (C
sus morbide (les pièces conservées ayant été égarées) : mais si les lésions n'ont pu être constatées à l'oeil nu dans la pr
que les dégénérations secondaires qui sur- viennent à la suite des lésions du cerveau, si nettes lorsque l'accident origin
'au microscope si la maladie première est récente. Cliniquement, la lésion descendante est silencieuse au début : pour Bou
pian les a vus commencer dès le vingtième jour. Jaccoud n'admet les lésions secondaires que plusieurs mois (cinq, six mois)
deux mois comme chiffre moyen. Quant à 1'013SEFLVATIoN I, si ces lésions n'étaient pas, il est vrai, visibles à l'oeil n
ions, l'ensei- gnement à retirer de nos observations : 1- Que des lésions destructives des couches corticales de la trois
able (perte de la parole sans paralysie de la langue); 20 Que les lésions destructives de l'écorce grise de la zone rolan
al) ont pro- duit une paralysie exclusivement motrice ; 3° Qu'une lésion destructive très étendue du corps calleux ne s'
lysie motrice, du côté opposé; 4° Que l'hémiplégie résultant de ces lésions s'est accompa- gnée de contractures tardives et
s scléreuses secondaires descerz- daiites (que nous savons être des lésions systématisées au même titre que les myélites pr
ives des cordons latéraux ou des faisceaux de Tiirck) ; 5° Qu'une lésion en foyer du centre ovale, lésion étendue et peu
s faisceaux de Tiirck) ; 5° Qu'une lésion en foyer du centre ovale, lésion étendue et peu éloignée du pied de la couronne
.conception de leurs théories. 52 REVUE CRITIQUE. Premier groupe. Lésions matérielles. Il est bien évi- dent qu'on ne sau
pour certains cas dans les centres nerveux. Si l'on veut parler de lésions gros- sières, d'hémorragies ou de ramollissemen
ue l'anémie, la congestion ou l'oedème cérébral, que signifient des lésions aussi disparates pour expliquer un état symptom
DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 53 Est-il nécessaire de s'étendre sur les lésions rénales ? Qu'im- porte que Griesinger ait const
die des reins. Ce qui revient' à dire que c'est le diagnostic de la lésion rénale qui permet le. diagnostic de l'urémie. O
ique succombe dans le. coma sans avoir présenté le moindre signe de lésion rénale, ni albuminurie, ni anurie, et c'est le
éniste fasse la cohfu-. sion, sans profit même pour lui ? Quant aux lésions histolo- giques, à la nécrose épithéliale des t
éelle des accidents. Une part plus importante doit être faite aux lésions cons- tatées du côté du coeur. L'atrophie du mu
n d'une vue plus générale. Or, abstraction faite des apoplexies par lésion cérébrale grossière, ramollissement ou hémorrag
s les plus caractéristiques de l'acétonomie. C'est une dyspnée sans lésion matérielle, semblable à la dyspnée uré- mique.
pût constater à l'auscultation des poumons le moindre indice d'une lésion quelconque. L'ha- leine, dès les premiers jours
rtain, c'est que ces troubles convul- sifs n'étaient pas liés à une lésion cérébrale. Si on rejette l'acétonémie, on ne po
dégénéres- cence à un moment donné. Donc le point de départ de la lésion est, dans l'espèce, le vaisseau. Autre preuve : l
e l'adulte; car, tandis que cette dernière est la conséquence d'une lésion spinale, le système nerveux ne prend aucune par
iale, la nutrition de la peau, les sphincters restent intacts. La lésion anatomique consiste dans une myosite parenchyma-
urasthémie, la chorée, les états d'angoisses, le railway-spine. Les lésions céphaliques, la sclérose multiloculaire, la név
(tableau clinique de la dégénéres- cence grise cérébro-spinale sans lésion ), les affections organiques de l'en- céphale; e
ses; III comme épiphénomène enté sur des affec- tions palpables, il lésion , du système nerveux central ; elle n'a, d'après
le n'a, d'après nos observations, pas l'importance d'un symptôme de lésion en foyer ; c'est une manifestation cérébrale d'
lus ou moins accentué. IV. Anesthésie sensorielle consécutive a des lésions céphaliques et à des commotions traumatiques (a
e assez notable, on trouva aussi des phénomènes se rattachant à des lésions irréparables du système nerveux (fixité, immobi
ecte des accidents psychiques, quelle que soit la progression de la lésion ; de plus, la bilatéralité en est presque la règ
st presque la règle. Il n'est donc pas l'expres- sion directe d'une lésion en foyer. Il ne saurait non plus servir 84 REVU
VI. Remarques sur l'existence de l'anesthésie sensorielle dans les lésions de l'encéphale confirmées ou diagnostiquées penda
pendant la vie. - Les troubles de la sensibilité cutanée émanent de lésions de la partie postérieure de la capsule interne.
découvrir l'origine, le coeur et l'aorte n'étant le siège d'aucune lésion . Un certain nombre de considérations intéressan
cette observation. G. D. XI. Noie SUR UN cas DE pied tabétique avec lésions osseuses ET artiiropathies ; par M. le Dr J. BO
lète du cuboide et des trois cunéiformes avec les métatarsiens. Ces lésions , qui ont été déjà signalées par Page et désigné
céphale, notamment de la zone corticale motrice seule, soit par une lésion de la moelle, com- pliquant les altérations enc
la moelle, com- pliquant les altérations encéphaliques, quand cette lésion atteint le fais- ccau pyramidal; . 2° L'évolu
ues du cerveau ou de l'écorce; 3° Quand il existe en même temps une lésion des cordons postérieurs, et en particulier des
à coup et meurt une demi-heure après. A l'autopsie, on trouve les lésions de la paralysie générale et début, et en outre,
e l'animal fut mis au râtelier avec les autres que se produisit une lésion cornéenne; on l'isola et les altérations trauma
a part de l'excitation du cer- veau antérieur. Meynert rappelle les lésions nécroscopiques ren- contrées par lui et les aut
e Chauveau, d'après laquelle la chorée indiquerait simplement une lésion des ganglions sous-corticaux, au sens strict du m
Des recherches récentes ne démontrent- elles pas, en effet, que les lésions inflammatoires de l'ap- pareil auditif peuvent
tremblements des doigts persistent. On ne trouve chez B... aucune lésion organique; les batte- ments du .coeur sont régu
e-t-il chez notre malade une rela- tion de cause à effet, entre les lésions inflammatoires qui ont abouti à la formation de
rale, par ce que nous savons de l'influence que peuvent exercer les lésions inflammatoires de l'oreille sur le développemen
ctuel, par l'étroite relation qui a existé entre la guérison de ces lésions et celle des troubles psy- chiques. Si nous sui
chiques. Si nous suivons comparativement le déve- loppement de ces lésions et celui de la folie, nous voyons que, si les p
ne pendule. Par suite, s'il existe chez B... un rapport entre les lésions inflammatoires périphériques et l'aliénation me
t être un rapport de cause à effet, puisque cette aliénation et ces lésions sont de même âge. Il faut donc chercher aille
stent entre l'évolution des troubles céré- braux et l'évolution des lésions inflammatoires qui ont abouti à l'abcès ouvert
i à l'abcès ouvert par l'oreille. Nous avons vu ces troubles et ces lésions apparaître et disparaître en même temps; et si
t la terminaison prouve qu'il y a plus qu'une coïncidence entre les lésions inflam- matoires périphériques et les troubles
nt disparu à la suite de l'ouver- ture de l'abcès qui met fin à ces lésions , c'est que cet abcès est la terminaison du trav
itable, la nature des rapports qui ont existé chez B... entre les lésions inflammatoires périphériques et l'aliénation me
s lésions inflammatoires périphériques et l'aliénation mentale; ces lésions ne sont pas la cause de la folie, elles sont de
ture. Et, comme conséquence de ces rapports pathogéniques entre les lésions et l'alié- nation mentale, la nature du travail
, en jugeant par analogie, avec ce que nous,, savons du siège des lésions dans la paralysie générale, de dire que, chez n
de comparative entre la marche de l'aliénation mentale et celle des lésions inflammatoires périphériques nous rend parfaite
ement, dans son développe- ment, sa marche et sa'terminaison, à des lésions inflam- matoires aboutissant à un abcès ouvert
n abcès ouvert par l'oreille ; elle reconnaît la même cause que ces lésions et est de même nature qu'elles; enfin,- une fiè
imement dans son développement, sa marche et sa terminaison à des lésions inflammatoires aboutissant ci un abcès ouvert p
abcès ouvert par l'oreille ; elle reconnaît la même cause que ces lésions et est de même nature qu'elles. Jusqu'à présent
elles. Jusqu'à présent, nous n'avons pas insisté sur le siège des lésions périphériques qui ont abouti à l'abcès ouvert p
hériques qui ont abouti à l'abcès ouvert par l'oreille externe. Ces lésions , à en juger par la conservation absolue de l'ou
ue le malade compare aux battements du balancier d'une pendule, ces lésions n'apparaissent que plus tard à l'extérieur, sou
n temporale. L'observation de B... me parait, au point de vue des lésions inflammatoires périphériques, absolument com- p
e observation, on retrouve, comme chez notre malade, associés à ces lésions , des troubles psychiques qui ont une grande res
une dénu- dation osseuse. Il n'y eut pas de surdité consécutive. La lésion DE 1,'ALIÉNATION MENTALE. 147 primitive était
cas, relativement à la nature des rapports qui ont existé entre les lésions périphériques et la folie. Chez B..., l'aliénat
périphériques et la folie. Chez B..., l'aliénation men- tale et les lésions périphériques reconnaissent une même cause; che
jour à s'accroître, démontrent l'influence que peuvent exercer les lésions de l'oreille sur la production de dif- férents
parles tentations subjec- tives auxquelles elles donnent lieu, ces lésions sont le point de départ de perversions sensorie
étudiées depuis sous le nom d'hallucinations unilatérales. Là, ces lésions pro- duisent des troubles délirants passagers,
ons mentales. Mais la connaissance de l'influence exercée par les lésions de l'oreille sur le développement des troubles
n plus générale, de la question des rapports qui existent entre ces lésions et ces troubles. Cette question, pour être comp
e retentir sur l'appa- reil auditif ? Les troubles cérébraux et les lésions de l'oreille ne peuvent-ils pas reconnaître une
l'observation deB..., en nous montrant que, chez notre malade, les lésions auriculaires et la folie ont une commune origin
e, à une des questions qui précèdent, les troubles cérébraux et les lésions de l'oreille ne peuvent-ils pas reconnaître une
observation nous fait envisager le problème des rapports entre ces lésions et ces troubles par un côté jusqu'ici laissé da
nt, comme démontrer l'unité d'origine chez un même indi- vidu des lésions auriculaires et de la maladie mentale ; mais no
, par le rapport intime qui existait entre le développe- ment des lésions péri-auriculaires et le développement de l'alié
2° Elle nous'permet d'élargir la question des rapports entre les lésions de l'oreille et l'aliénation mentale ; 156 PATH
maintenant qu'on connaît bien la symptomatologie de la plupart des lésions sys- tématisées de la moelle, de fixer les yeux
sur les modifications qu'apporte au tableau clinique habituel des lésions simples la combinaison de plusieurs lésions ent
u clinique habituel des lésions simples la combinaison de plusieurs lésions entre elles'. » Ces paroles, prononcées à la
autres myélites, que l'on ne peut pas confondre avec la masse des lésions diffuses; c'est ce type clinique que nous propo
fait pour l'étude analytique de cette question), en montrant que la lésion , systématisée dans les cordons postérieurs, ne
toire de l'ataxie loco- matrice ». Mais il se refuse à voir dans la lésion laté- rale le simple résultat de l'extension de
r dans la lésion laté- rale le simple résultat de l'extension de la lésion pos- térieure ; un espace sain sépare les deux
à une combinaison des deux formes de la maladie, coexis- tence de lésions ordinairement séparées. Il proclame enfin la né
, beaucoup plus importants que tous les pré- cédents. L'étude de la lésion combinée de la moelle était le but même du mémo
dies multiples de la moelle par complication ou par extension de la lésion , soit par conliguité (dans le tabes ordinaire),
ation tout à fait sem- blable à celle qu'on observe dans des cas de lésions des faisceaux latéraux de la moelle épinière. C
ien rencontrer un cas d'ataxie locomo- trice avec propagation de la lésion aux faisceaux' latéraux. Un pareil cas jetterai
font valoir de puissants arguments contre la systématisation de la lésion tout entière. Mais en même temps (et sur ce sec
ons leurs conclusions) ils induisent de la non- systématisation des lésions à la non-existence clinique du type morbide, et
(douleurs lancinantes et abolition des réflexes tendineux) avec des lésions des cordons de Burdach; mais la plupart des cas
présentent su- perposés (au moins en partie) les symptômes de la lésion postérieure et les symptômes de la lésion laté-
rtie) les symptômes de la lésion postérieure et les symptômes de la lésion laté- rale. La lésion postérieure semble s'ar
lésion postérieure et les symptômes de la lésion laté- rale. La lésion postérieure semble s'arrêter au-dessous du renf
e et font prévoir (ce que l'anatomie pathologique confirmera) une lésion simultanée des cordons postérieurs et des cordo
es au rapport qui existe entre le symptôme hémianopsie et certaines lésions centrales ou cérébrales. J'essaierai de montrer
aucun autre symptôme cérébral. Le diagnostic topographique de la lésion fait pendant la vie fut vérifié après la mort, de
venuerévéler l'existence DE L HÉ.M1AN0PSIE CORTICALE. 177 7 d'une lésion dans quelque partie du cerveau, y compris les c
neurologiste; 2° L'hémianopsie verticale, due presque toujours aune lésion de la portion retro-oculaire des fibres optique
vement causées, d'après l'état actuel de nos connaissances, par une lésion du chiasma, de ses bords antérieur, postérieur
l'état actuel de nos connais- sances, est toujours produite par des lésions d'un nerf optique, ou d'une portion plus centra
étudier les cas suivis d'autopsie, d'hémianopsie latérale due à des lésions situées dans les par- ties les plus reculées de
sens ordinaire du mot, est impossible dans ces conditions. 3. Une lésion totale d'une bandelette optique produit fata- l
ent l'hémianopsie latérale du champ visuel dans le sens opposé à la lésion . 4. Une lésion portant sur la partie latérale d
latérale du champ visuel dans le sens opposé à la lésion. 4. Une lésion portant sur la partie latérale d'une bandelette
de ses fibres pro- duira l'hémianopsie nasale unilatérale. 5. Une lésion portant simultanément sur les côtés du chiasma,
isceaux latéraux, l'hémianopsie nasale dans les deux yeux. 6. Une lésion comprimant le chiasma dans ses bords anté- 180
deux yeux, en altérant les deux faisceaux croisés. 7. Toutes ces lésions peuvent s'accompagner d'immobilité ou d'irrégul
sie des autres nerfs crâniens ou d'une hémiplégie croisée. 8. Une lésion de l'hémisphère peut être située de façon à com
psie du type périphérique (voy. le cas de Hirschberg, n° 5). 9. Les lésions des lobes optiques ont été rarement observées c
-cinq cas en six catégories. 1. Les cas, au nombre de quatre, où la lésion est mal déli- mitée et qui sont, par conséquent
l'étude de la localisation. 2. Les cas, au nombre de trois, où la lésion portait sur des parties que nous savons être pa
cas, au nombre de six, dans lesquels l'hémianopsie était due à une lésion du corps genouillé latéral ou de la couche opti
, ou des deux ensemble. 4. Les cas où l'hémianopsie était due à une lésion de la substance blanche du lobe occipital, au n
au nombre de onze. 5. Les cas d'hémianopsie traumatique, due à des lésions de la portion occipitale du crâne et de l'encép
6. Les cas, au nombre de seize, où l'hémianopsie était due à des lésions de l'écorce cérébrale, seule ou avec la substance
r- vation. Parmi ces seize cas, il y en a quatre dans lesquels la lésion était assez bien délimitée et toujours la même, p
que nor- malemeiit,le gauche un peu plus que le droit. Pas d'autres lésions 7''i ? 1. Le trajet probable de la balle à traj
) j i I . ; . Vas d'hémianopsie dans lesquels la relation entre la lésion et le trouble visuel n'était pas évidente. Cas ma
r : 4. |, 1 .li ! ' 1 i ' TABLEZ' 1 1 ' Cas d'hémianopsie par lésions situées principalement 198 PATHOLOGIE NERVEUSE.
e. La hauteur de ce foyer était de 2 à 3 centimètres. Pas d'autre lésion cérébrale. Les bandelettes, le chiasma et les n
e ramollissement dans l'obs. 8. (Haab.). 200 PATHOLOGIE NERVEUSE. lésion en foyer du cerveau et il persista. Mort en juin,
ypique, la ligne verticale passant par le point de fixation. Pas de lésions du fond de l'oeil. Il n'est pas fait mention de
furent reconnues à cette époque pour être sous la dépendance de ia lésion mitrale; et il me vint enfin à 204 PATHOLOGIE N
es circonvolutions orbi- taires. Au sommet de l'hémisphère droit, lésion superficielle analogue DE L'HÈMIANOPSIE CORTICA
par un large foyer, évidemment ancien, de ramollissement jaune. La lésion comprend la base du coin, les quatrième et cin-
ales (Ecker) et une partie de la circonvolution de l'hippocampe. La lésion n'atteint pas la pointe du lobe occipital. Le
ent normales. J'ajouterai que l'examen du cerveau a été fait et les lésions Sus- dites constatées par votre président, le d
ude, en l'état actuel de nos connaissances, qu'il n'existait pas de lésions ou du moins de lésions tangibles dans les parti
e nos connaissances, qu'il n'existait pas de lésions ou du moins de lésions tangibles dans les parties centrales du cerveau.
ons-nous raisonna- blement déduire de tous ces cas ? 2 1. Que des lésions de la face interne des lobes temporaux ou même
es optiques ou les bandelettes optiques et le chiasma. 2. Que des lésions du corps genouillé latéral ou des parties posté
l'hémianesthésie, quelquefois de l'hémianesthésie seule. 3. Qu'une lésion de la substance blanche du lobe occipital, au n
hémianopsie seule ou accompagnée d'hémianes- thésie. ' 4. Que des lésions de la circonvolution supra-marginale, du gyrus
hémiplégie, perte du sens musculaire, surdité verbale). 5. Qu'une lésion plus étendue, comprenant le centre de la parole
e, l'aphasie, l'alexie, l'hémianopsie et l'hémiplégie. 6. Que les lésions du lobe occipital, écorce et substance DE L'HÉM
ilatérales. En cela je suis d'accord avec Exner (1881). 7. Qu'une lésion du coin et de la 5° temporale (Ecker) adja- cen
et 45. J'ai essayé de fondre ensemble les schémas des 16 cas avec lésions occipitales (en dehors des cas traumatiques) sur
XXXV, p, 229, et reproduites dans le Brain, april 188'4 : 1° Les lésions des lobes occipitaux et du gyrus angularis 1 .l
la vue sans troubles des autres sens ni du mouvement. 2° La seule lésion qui produise la perte complète de la vue est la
l'oeil opposé et une hémianopsie des deux yeux du côté opposé à la lésion . 7° Comme dans aucun cas il ne s'est produit d'
Ferrier. Mais d'une part les cas les plus concluants, ceux avec les lésions corticales les plus limitées, sont tout à fait
s son trajet vers le lobe occipital (le coin principa- lement). Une lésion du gyrus angularis, de la circonvolution supra-
sous l'aspect d'une bande blanche homogène. Il est évident que les lésions du gyrus angularis et de la circonvolution supr
et appuyer sa théorie de la production de l'amblyopie d'un oeil par lésion du lobe occipital et de la' capsule interne du
l et non l'hémianopsie , accompagnant l'hémianesthésie produite par lésion de la capsule interne. Je regrette de dire que
ort pour concilier l'opinion de Charcot concernant les effets de la lésion de la capsule interne à son extrémité postérieu
rne à son extrémité postérieure avec les résultats bien établis des lésions des lobes occipitaux, mérite une sévère critiqu
ions sui- vantes : t. L'hémianopsie latérale indique toujours une lésion intra- 1 W. Bechterew. Ueber die ? icieh Diii-c
t à expliquer plus spécialement l'hémia- nopsie latérale gauche par lésion organiques L. T. 1 ? ., demi-champ visuel tempora
av ec les moitiés droites des 2 rétines. Le lecteur peut placer la lésion comme il lui plaira. 212 PATHOLOGIE NERVEUSE.
u atrophie du nerf optique, surtout s'il s'y joint des symptômes de lésion de la base, est due à l'altération d'une bandel
moitié du corps, sans hémiplégie nette, est probablement due à la lésion de la partie postéro-latérale de la couche opti
ques semaines) et hémianes- thésie, est probablement causée par une lésion étendue de la capsule interne, au niveau de son
affecté, et peu ou pas d'anesthésie, est très-certainement due, une lésion superficielle étendue à l'aire irriguée par l'a
convaincantes apportées par les observations 28, 29, 41 et 45, à la lésion du coin seul, ou du coin et delà substance gris
ent normalement ; et rarement l'examen ophthalmoscopique dénote une lésion du nerf optique, excepté, bien entendu, dans qu
; à cette époque on ne constate aucune perturbation dénonçant une lésion quelconque du coeur ; les bruits en ont été dans
èrement soufflants ; le pouls a été parfois - traînant, mais pas de lésions permanentes dans le domaine de l'appareil circu
dent; on pour- rait presque conclure l'état de ceux-ci du degré des lésions articulaires. Une circonstance à signaler, c'es
envisage que quelques-uns : les enfants et les individus ayant une lésion du cerveau (parmi ces derniers, les paralytique
ls on observe souvent cette position. Il y a des sujets qui ont des lésions du cerveau chez lesquels les tendances aux cont
nce complète de réflexe tendineux rotulien. Au mois d'octobre 1880, lésion du nerf optique aboutissant promptement à une c
apsus rapide entraînant la mort en quatorze jours. Autopsie. Aucune lésion syphilitique. Atrophie simple, mais générale des
on syphilitique. Atrophie simple, mais générale des nerfs optiques. Lésion des cordons postérieurs sous forme d'une étroit
dineux rotulien fut par conséquent le signe unique et précoce de la lésion spinale dont la délimitation explique le mutism
t existant entre certains types de folies héréditaires et certaines lésions organiques. Peut-être a-t-ilélé un peu loin, ca
dontle facteur pourrait bien avoir été la syphilis. Evidemment ces lésions remontent à l'époque foetale, au cinquième mois
ce explique la parésie des extrémités; la plus grande étendue de la lésion , à gauche, explique la prédominance de la parés
re con- vient-il de rattacher le trouble thermique vaso-moteur à la lésion du lobe pariétal, à l'exemple des auteurs ? D
e la lacune plaide en faveur d'un trouble nutritif consécutif à une lésion artérielle. En ce qui le concerne, il a plusieurs
uscite l'hypothèse, qu'à l'époque de l'accident, il peut y avoir eu lésion de l'écorce du cer- veau, d'où la céphalalgie l
e l'intégrité intellectuelle. Il est im- possible de rattacher à la lésion du crâne et de son contenu le trouble mental, p
arce qu'il faut tenir compte de la tare héréditaire. Inversement la lésion en question représente un facteur pathogénétiqu
s de Neurologie, t. IX, p. 270. 286 SOCIÉTÉS SAVANTES. heure à la lésion , ou si elle ne se produit que plusieurs jours p
t intellectuel dont la cause ne se pouvait guère rattacher qu'à des lésions re- montant à la jeunesse. M. Jastrowitz. Les
er qu'à des lésions re- montant à la jeunesse. M. Jastrowitz. Les lésions traumatiques peuvent devenir le point de départ
que, dans le cerveau, de même que dans d'autres organes, il y a des lésions syphilitiques généralisées que nous ne connaiss
mpagne les artères des cordons postérieurs. L'autre ré- sulte d'une lésion primitive des fibres nerveuses : elle commence
rande prudence est recommandée à l'égard des personnes atteintes de lésions organiques du coeur avancées. Pendant le sevrag
! 'Op/t ? if. En français.) L. Adamkiewicz. Sur l'irritation, la lésion , la compression du cerveau. (En allemand.) - To
eréiiiie cérébrale; L'expression de contusion cérébrale désigne une lésion trauma- tique du cerveau se traduisant par les
s phénomènes indiqués 311l)i-ii. Or, nous savons aujourd'hui qu'une lésion limitée au cer- veau ne produit que de simples
ier séparément : 1° l'excitation et la paralysie du cerveau; 2° les lésions du cerveau ; 3° la compression du cerveau. La c
sa pathologie propre, caractéristique. De même que les effets d'une lésion cérébrale dépendent du mode de lésion, de même
De même que les effets d'une lésion cérébrale dépendent du mode de lésion , de même ceux de la compression dépendent du mode
e méthode et de plan, basée sur les diagnostics vagues et variés de lésion de la moelle et d'hypocondrie. Il y a trois ans,
électrique. L'issue favorable montre qu'on avait affaire non à une lésion spinale grave, telle que myélite ou sclérose di
cette maladie de la sclérose multiloculaire par la prédominance des lésions dans l'écorce, l'absence d'épaississe- ments va
ler : foyers dans l'écorce grise avec gtioso diffuse, el, en outre, lésion systé- matique de la moelle. S'agit-il de la
lis (abstraction faite naturellement des affections en foyer et des lésions vasculaires), car le symptôme fondamen- tal de
enté, pendant l'enfance, des ano- malies psychiques; sans doute, la lésion cérébrospinale plus tar- dive a dépendu de cond
que (gliose de l'écorce cérébrale); à un âge plus avancé, quand ces lésions ont pris une certaine exten- sion, se montrent
lité précoce appliquée aux premiers; dans la paralysie générale, la lésion , qui porte princi- palement sur le cerveau fron
ée totale de la maladie : neuf mois environ. Diagnostic clinique. Lésion des cordons postérieurs consécutive à la diphthér
l'examen des autres nerfs, mais tout porte à croire qu'il s'agit de lésions périphériques ayant entraîné un complexus sympt
gne habituellement sous le nom de névrites parenchymateuses . Les lésions de cet ordre peuvent se développer sous l'influ
Schwann que distendent de loin en loin quelques noyaux ovoïdes. Ces lésions essentiellement carac- térisées par la segmenta
s isolées sur une grande longueur permet de s'assurer que la même lésion circonscrite peut s'être produite à la fois sur
erannulaire. Dans les points ainsi atteints, les caractères de la lésion sont ceux d'une véritable inflammation paren- c
e segmentaire péri-axile imposée par M. Gombault à cette curieuse lésion ; elle explique aisément l'absence de troubles m
hologique des nerfs 1 Gombau]t. JVo<e sur le rôle que jouent les lésions segmentaires dans l'évolution delà névrite pare
t. Si, dans le fait dont il s'agit, la distribution segmentaire des lésions est très évidente sur un grand nombre de fibres
coupée par des accès d'apnée. Ces troubles, que n'expliquent aucune lésion pleurale, pulmonaire ou cardiaque, dépendent un
Contraire- mont à ce que l'on observe sur les tubes précédents, la lésion n'intéresse' ici qu'une partie restreinte de la
egmentaire les phé- nomènes initiaux s'éloignent des précédents. La lésion est encore répartie par foyers intercalés entre
és. 2" Tronc du radial dans la gouttière de torsion. Présente des lésions identiques à celles qui ont été décrites dans les
i beaucoup moins abondants. 3° Cubital à la partie moyenne du bras. Lésions sem- blables à celles des filets du radial. 4
re supérieur droit. Le cubital et le coraco-brachial présentent des lésions dont l'étendue et la forme ne diffèrent en rien
es sains sont en propor- tion fortement dominante. Les formes de la lésion sont d'ail-' leurs complètement semblables à ce
s tubes conservant les attributs de l'état normal. Les formes de la lésion sont d'ailleurs celles qui ont été déjà décrite
fibres altérées, éparses au milieu de tubes absolument intacts. La lésion y présente les caractères et les diverses forme
es faits, aujourd'hui nombreux, ont dé- montré d'autre part que des lésions de même nature peuvent être produites par la di
avoir décrit dans plusieurs faits de para- lysie diphthéritique des lésions intéressant les racines antérieures et les nerf
nt de paralysie diphthéritique, P. Meyer a a constaté également des lésions simul- tanées des nerfs périphériques, des raci
, parfois du noyau et des nucléoles. t Déjerine. Recherches sur les lésions du système nerveux péri- phérique dans la paral
e altération appréciable. Il est donc ra- tionnel de penser que les lésions des nerfs périphéri- ques et des racines sont a
rtie du système nerveux. Au point de vue purement anatomique, les lésions des nerfs périphériques montrent quelques carac
uelques caractères spéciaux sur lesquels il importe d'insister. Ces lésions consistent dans l'association constante de la n
egments dont l'intégrité est parfaite. Le processus intime de cette lésion segmentaire n'est pas toujours identique et se
s que la vitalité des segments placés au-dessus et au-dessous de la lésion paraisse notoirement compromise. DE LA NÉVRIT
si, les filets terminaux du radial devraient assurément montrer des lésions bien diffé- rentes de celles que présente le tr
toute leur longueur. Or, tel n'est point le cas; les formes de la lésion sont identiques de part et d'autre, la névrite
it général. D'après le premier de ces auteurs, ces deux formes de lésion sont liées l'une à l'autre par un lien étroit de
propre à la névrite segmen- taire péri-axile. Celle-ci constitue la lésion initiale, nécessaire; tantôt le processus demeu
rapports qui unissent 1 Gombault. - Note sur le rôle que jouent les lésions segmentaires dans 1a névrile parenclayntaleuse.
concevoir les névrites dégénératives, primi- tives, en dehors d'une lésion préexistante représentée par la névrite segment
ne cellule nerveuse inaltérée ? Il faut nécessairement admettre une lésion intermé- diaire, préparatoire en quelque sorte,
une lésion intermé- diaire, préparatoire en quelque sorte, et cette lésion est tellement nécessaire que, si l'examen anato
déjà grand de névrites primitives, diffuses, indépendantes de toute lésion médullaire et d'examiner ainsi un nombre consid
thérie, il nous a été impossible de constater autre chose que les lésions décrites par M. Ranvier comme propres à la dégé
que les névrites primitives, c'est-à-dire sans rela- tion avec une lésion primordiale des centres nerveux, 1 Gombault. Su
vec une lésion primordiale des centres nerveux, 1 Gombault. Sur les lésions de la névrite alcoolique. (Acad. des sciences,
nte; car elle explique comment des DE LA NÉVRITE SEGMENTAIRE. 361 lésions , en apparence minimes, déterminent des troubles
des noyaux ovoïdes. Fig. 7. Portion de segment présentant en a des lésions semblables à celles que l'on observe dans la dé
r soir membre, correspondant, une paralysie complète suivra cette lésion , et avec la dégénération secondaire la funeste
orres- pondantes, presque sans nous en apercevoir; mais après une lésion destructive d'une partie de la subs- tance cort
es, dépendent de la fonction des champs moteurs, et si, après une lésion analogue, les animaux conservent leur pouvoir s
Nous nous proposons, dans ce court mémoire, de faire connaître une lésion assez singulière, vraisemblablement très rare,
llules ner- veuses cérébrales, ou bulbaires et ne possédant pas une lésion anatomo-pathologique spéciale et constante. N
ue d'une autopsie bien faite, on parviendra à dé- couvrir sinon une lésion nécroscopique caractéristique, peut- être un ar
de l'état plus hyperhémié de la moitié inférieure du bulbe : toutes lésions constatées par Schrôder van der Kolk qui ne par
lions sympathiques observées par Echeverria, ne constituent pas des lésions exclu- sives de l'épilepsie, et sont loin d'êtr
qui avaient présenté des crises épileptiformes dans le cours d'une lésion cérébrale. C'est la constatation d'une lésion i
s dans le cours d'une lésion cérébrale. C'est la constatation d'une lésion identique, échappée jusqu'à ce jour aux observa
t à 0" 130. L'hémisphère gauche pèse 600 gr., il présente les mêmes lésions à sa face. Le pied du sillon de Rolando est à O
de quinze ans à l'autopsie de laquelle nous n'avons trouvé d'autre lésion que le ramollissement entourant les cornes occi
droit est très petite. Tout le reste du coeur est normal. Pas de lésions osseuses du crâné, pas d'asymétrie. Le rocher g
ment l'accentuation des convulsions du côté droit; deuxièmement une lésion manifeste et unique de 414 RECUEIL DE FAITS.
au côté du corps où les convulsions sont plus marquées. Pareille lésion ne parait pas avoir été notée encore dans une p
nspiré quelques doutes sur la valeur et la signification de cette lésion . Nous nous sommes demandé, en effet, si nous n'ét
s convulsions cloniques sont propor- tionnelles à l'intensité de la lésion et toujours plus marquées dans le côté du corps
ticulièrement atteint; , . 3° Que l'influence pathogénique de cette lésion est encore obscure, mais qu'elle laisse suppose
entigrammes. G. D. - XXIII. Epilepsie J.1CK50NIENNEDANS un cas DE LÉSION sous-corticale : par L. Bouveret et M. EPARVIER
et qui attribue au cercelet une action directe et non croisée, les lésions du lobe droit s'accompagneraient de faiblesse d
urs et sensoriels étaient beaucoup plus marqués du côté opposé à la lésion dans J'attaque terminale; mais cela était évide
démarche, les nausées, les vomissements indiquaient le siège de la lésion ; enfin, après la première attaque on a constaté
revue des résultats expérimentaux relatifs à' I*élon-aliou et à la lésion des nerfs. Il en tire que toute paralysie motri
ou poliomyélitique. Dans les cas de paralysie grave, atrophique, à lésion intense du nerf ou de la moelle (Cas. III), la-
chercher dans ce contraste un élément de diagnostic en faveur d'une lésion centrale. ' Conclusions générales. l- L'exagéra
dégénérative du système musculaire correspondant que dans le cas de lésion spinale, et, avant tout, comme nous l'avons cons-
, habitude qui en faisait un droitier du cerveau. C'est pourquoi la lésion siégeant à gauche ne détermina pas des symptôme
n (anode dans la fosse auriculo-maxillaire) et même dans les cas de lésion organique (cathode dans la région précitée). -
des troubles nerveux pure- ment fonctionnels, hystériques, pour des lésions cérébro-spinales graves. De même, il existe une
ation, les convulsions cessèrent pour revenir dès que fut guérie la lésion due à l'opération. D'après Bern- hardt, la scie
et être bizarre désigné du nom de dégé- néré ; il faudrait soit des lésions centrales ou périphérique-, soit enfin une comp
onné, à l'absence de cylindres-axes dénudés, au peu d'intensité des lésions vasculaires, à la persistance au milieu du tiss
nt du tableau symptomatique, et peut donner faussement l'idée d'une lésion cérébrale en foyer. Des plaques de sclérose dis
ubles dans les fonctions organiques, et dans laquelle cependant les lésions échappent complètement à nos moyens d'investigati
la folie (thèse, <846); Des maladies de la volonté ou étude des lésions de cette faculté dans l'alié- nation mentale; C
nsidérations sur les intervalles dits lucides chez les aliénés; Des lésions de l'association des idées; - Dès FAITS DIVERS.
, 257. Cerveau (nutcitiou du), par llteynert, 233; - (irritation, lésion , com- pression du), par Adamlciewicz, 291 ? a
isestlu), parJley- nert,1 15 ? (auomalies des artères du), 422; - lésion du lobe tem- poral gauche sans aphasie chez u
occi- 11ltles dans 1'), par Zohrab, 405. Epilepsie partielle par lésion sous- corticale, 421. Ergotine et psychoses,
des noyaux ovoïdes. Fig. 7. Portion de segment présentant en a des lésions semblables à celles que l'on observe dans la dé
26 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
. — La struc-ture lobulaire du poumon. Sommaire. — Objet du cours : lésions inflammatoires aiguës et chroniques des voies bro
de mettre en relief dans un enseignement de la nature de celui-ci. Lésions inflammatoires tant aiguës que chroniques des voi
maine des autres par-lies de la science biologique, que l'étude de la lésion organique en elle-même n'a pas de vitalité qui lu
r la nature des objets dont elle s'occupe, c'est-à-dire sur celle des lésions considérées indépendamment des symptômes qui les
cé si elle était véritablement réduite à la seule contemplation de la lésion morte. Dans la situation 1 Laënnec. — Dictionna
sans y changer rien d'essentiel; car, dans l'examen méthodique de la lésion , elle n'a pas de procédés qui lui appartiennent e
e même ses matériaux d'étude, ou si l'on veut son sitbstratwn, car la lésion considérée dans l'organe, dans le tissu, dans l'é
r la clinique, il y a pour lui un problème résolu ou à résou-dre, une lésion délicate ou grossière, passagère ou durable à déc
faites, d'habi-tude, en vue d'une application immédiate à l'étude des lésions . Or, tel détail de structure, de configuration, q
-saires à celui qui doit apprendre à s'orienter dans la recherche des lésions délicates, sont considérées d'une façon spéciale.
gangue conjonc-tive elle-même peuvent être primitivement le siège de lésions importantes. Elle forme ce qu'on pourrait appeler
i aussi dans mon exposé sur les enseignements fournis par l'étude des lésions . L'anato-mie pathologique, vous ne l'ignorez pas,
lons entrer à ce propos, lorsque je vous aurai fait remarquer que les lésions de ces éléments si délicats qui, en anatomie norm
ent, le premier rang dans les conditions anatomo-pathologiques. Ces lésions , en effet, prédominent, on peut le dire sans être
ne assertion que j'ai émise dans la dernière séance, à savoir que les lésions de ces éléments tien-nent une grande place dans l
des endothé-liums : démonstration. — Broncho-pneumonie expérimentale: lésions au bout de six heures et vers le deuxième et le t
, ou forme pseudo-lobaire de la broncho-pneumonie ; caractères de ces lésions . I. Messieurs, Considérons maintenant l'épi
hez certains animaux, le lapin par exemple. Vous n'ignorez pas que la lésion du poumon, observée en pareil cas, se rapproche d
ord, mais à laquelle ils s'adaptent peu à peu. La cause mécanique des lésions pulmonaires est l'introduction dans les voies aé-
il s'agit du cochon d'Inde, cet animal émi-nemment propre à subir les lésions de l'inflammation caséeuse, sous l'influence de l
um pulmonaire prennent une large part dans la production de certaines lésions inflammatoires du pa-renchyme pulmonaire et que,
'une forme pseudo-lobaire de la broncho-pneumonie ; c'est dire que la lésion occupe la majeure partie d'un lobe, l'inférieur s
de l'homme. Dans tous les cas, je le répète, en ce qui concerne les lésion ? subies par les canalicules respiratoires, il y a
lastiques, les vaisseaux, etc. (Fig. 20 et 21). Pour en revenir aux lésions broncho-pneumoniques subai-guës et chroniques, do
e encore à nos précédentes études — que siègent parti-culièrement les lésions dans le cas du petit rein rouge. J'ai essayé d'ét
u point de vue que nous envisageons actuelle-ment, la comparaison des lésions de la cirrhose broncho-pneumonirrae avec celles d
re du foie. — Origine des cirrhoses: épithéliale ou conjonctive? — La lésion épithéliale est la pre-mière en date. — Arguments
e, la ligature de l'uretère déterminerait, dans le tissu du rein, des lésions analogues à celles qui se développent dans le foi
à propos de la substance médullaire. C'est dans le labyrinthe que les lésions sont le plus accentuées. Du côté du tissu interst
obule, les colonnes de cellules hépati-ques tendent à disparaître. La lésion s'accuse d'abord à la partie périphérique du lobu
ercher si ces deux éléments ont la même valeur, si les deux ordres de lésions se développent parallèle-ment, ou si, au contrair
n d'autres termes, l'épithélium est-il affecté en premier lieu et les lésions dont il souffre se communiquent-elles secondai-re
près un examen de toutes les circonstances, j'incline à croire que la lésion épithéliale est la première en date, l'ori-gine e
it assez, Messieurs, pour faire ressortir la prédominance du rôle des lésions épithéliales dans l'accom-plissement de certaines
fort vraisemblable, que, dans tous les cas que je viens de citer, la lésion des tissus sous-jacents est un phéno-mène seconda
ut-être dans les conditions expé-rimentales. Je rappellerai que les lésions de la cirrhose biliaire sont, ainsi que nous l'av
section des récurrents. L'ana-lyse que nous vous avons présentée des lésions qu'on observe en pareille circonstance, d'après
des lé-sions multiples qu'elle présente. Leur nature inflammatoire. — Lésions élémentaires principales: bronchite, splénisation
ns synonymes adoptées par les auteurs. — Analyse histolo-gique de ces lésions : 1° Examen topographique du lobule pulmonaire à
nous attacher maintenant à faire ressortir les caractères. II. La lésion qui porte le nom de la broncho-pneumonie est cons
divers et il rentre dans le plan de mon exposé, avant d'envisager ces lésions constituantes une à une, de les montrer dans une
ns tranchées. Le ca-ractère commun du groupe, c'est l'existence d'une lésion pul-monaire inflammatoire consécutive à une infla
onaire inflammatoire consécutive à une inflammation bron-chique. Sans lésion bronchique procréatrice, il ne saurait y avoir br
chique procréatrice, il ne saurait y avoir broncho-pneumonie. Mais la lésion pulmonaire se montre-t-elle variable suivant la n
a lésion pulmonaire se montre-t-elle variable suivant la nature de la lésion bronchique ori-ginelle? La pneumonie morbilleuse,
vous seront don-nées, celles qui surviennent à la suite de certaines lésions de l'encéphale. Par contre nous vous proposeron
Par contre nous vous proposerons d'isoler absolument de ce groupe les lésions pulmonaires qui forment le substratum analomique
e pulmonaire vulgaire ou phtisie calarrhale. Incontestablement, ces lésions appartiennent à la grande classe des broncho-pneu
ions appartiennent à la grande classe des broncho-pneumonies, mais la lésion bronchique pro-vocatrice est ici toute spéciale,
ro-vocatrice est ici toute spéciale, spécifique en quelque sorte. Les lésions pulmonaires qu'elle provoque, bien qu'elles soien
ire. Quelques auteurs frappés des caractères qu'offrent certaines des lésions de la broncho-pneumonie, considérées surtout dans
méconnaître la part des phé-nomènes mécaniques dans la production des lésions pulmo-naires, mais celles-ci présentent, même à u
s ces préliminaires, nous pourrons maintenant repren-dre l'exposé des lésions de la broncho-pneumonie. Voici un cas de pneumo
e ans qui a succombé au quinzième jour de la maladie. Nous voyons les lésions disposées sur les bords posté-rieurs des poumons
ieurs des poumons et sur les bords des lobes inférieurs. A gauche, la lésion forme une grande plaque uniforme; à droite elle e
parties déclives, disposée symétriquement. Examinons maintenant les lésions : 1° La surface du poumon présente des plaques un
friables et granuleux, laissant s'écouler un liquide purulent. Cette lésion a souvent l'aspect d'une petite grappe ; on peut
n, chez le vieillard et chez l'enfant. Je propose de donner à celle lésion le nom de nodule péri bron-chique. Elle a reçu le
ouder et faire disparaître les régions splénifiées, on a dès lors une lésion en apparence semblable à la pneumonie lobaire gri
donné des caractères excellents qui permettent de distinguer ces deux lésions . Pour la pneumonie lobaire, c'est l'état très man
uleux de la surface de section et de plus, le mode de répartition des lésions à divers degrés en zones concentriques. Tandis qu
congestion. Dans la pneumonie lobulaire généra-lisée, l'inégalité des lésions s'accuse d'un lobule à un autre; on voit çà et là
. En outre, les granulations sont plus petites, moins évidentes ; les lésions sont toujours doubles et symétriques ; les bronch
ns non atteintes. En résumé, cette description met en évidence deux lésions bien caractéristiques dans le parenchyme du lobul
, localisé dans les portions centrales du lobule. Si j'ajoute à ces lésions l'état des bronches et des bronchioles remplies d
compliquer la des- cription, j'aurai énuméré à peu près toutes les lésions élémen-taires macroscopiques dont l'ensemble cons
rrons, l'examen microsco-pique montrera en outre qu'il s'agit bien de lésions inflamma-toires et non de lésions d'origine purem
trera en outre qu'il s'agit bien de lésions inflamma-toires et non de lésions d'origine purement mécanique, comme le voulait Bé
ous voyez que l'examen histologique décèle une grande variabilité des lésions inflammatoires dans le lo-bule. C'est là ce qui c
on du pneumogastrique ; 3° par la section des nerfs récurrents. — Les lésions broncho-pneumoniques qui succèdent à cette derniè
roncho-pneumonie, il est utile d'entrer dans quelques détails sur ses lésions observées dans les conditions expérimentales. Il
es expé-rimentateurs sont encore loin de s'accorder sur la nature des lésions ainsi provoquées. On a produit souvent aussi de
sperger, Boddaërt3 ont déterminé parla section du pneumogastrique des lésions plus voisines de celles qu'on observe dans la pat
cette nouvelle manière d'être. L'opération est suivie tout d'abord de lésions inflam-matoires de la trachée et des bronches. Au
se principale de la bronchite et des accidents consécutifs. Quant aux lésions pulmonaires, elles occupent les lobes supérieurs,
ineux, en par-ticulier chez le chien. Dans une seconde période, les lésions pulmonaires pren-nent de plus en plus les caractè
r plus pâle, grisâtre; on trouve des lobules d'une couleur jaune. Les lésions interstitielles sont déjà plus prononcées et les
les parties splénisées et les parties hépatisées. Dès l'origine, les lésions appartien-nent manifestement au processus inflamm
s dans les parois alvéolaires. On peut arriver ainsi à reproduire les lésions de la broncho-pneumonie chronique aussi bien que
épandu, celui qui tient le plus de place dans l'ensemble complexe des lésions broncho-pneumoniques. Pourtant vous n'ignorez pas
Bailly2, Gairdner, Béhier, etc.. n'ont vu dans la splénisation qu'une lésion en quelque sorte mécanique, une sorte de collapsu
s. C'est ici, Messieurs, le cas de vous dire quelques mots de cette lésion parfaitement réelle du poumon qu'on désigne avec
e avec la splénisation, qui d'après ma description, est nettement une lésion irritative. Mentionné dans les écrits de Laënne
rg le premier a fait connaître en 18.'12J. Mais l'aléleclasie est une lésion congénitale qui consiste en un défaut d'expansion
ment de la respiration : c'est donc un retour à Y état fœtal. Celle lésion , ainsi que l'a montré Gairdner en 1850 2, est dé-
malgré de réelles analo-gies, il est possible de distinguer les deux lésions , même par le simple examen macroscopique. Voici d
t être lobulaire ou lobaire et occupe en général les deux poumons. La lésion est symétrique ou présente une grande tendance à
les alvéoles affaissés ne contenant qu'un exsudât albumineux ; pas de lésions épithéliales, à moins que l'inflammation ne com-m
om-mence à s'ajouter au collapsus. ( Il n'est pas douteux que cette lésion précède souvent l'in-flammation broncho-pneumoniq
filiation nécessaire entre ces deux états. Tous deux procèdent de la lésion bronchique. Celle-ci contient deux éléments patho
qui peut s'étendre jusqu'au revêtement des cavités alvéolaires. Si la lésion mécanique précède souvent la lésion vitale, c'est
nt des cavités alvéolaires. Si la lésion mécanique précède souvent la lésion vitale, c'est que les effets mécaniques de l'obli
aires intralobulaires. De même la ligature de l'uretère est suivie de lésions de l'épithélium des canaux con-tournés qui se tra
rplasie : le poumon tend à se scléroser. Comme on le voit, toutes les lésions de ce groupe méritent le nom de cirrhoses épithél
ur formation est moins constante. Tandis que la splénisation, avec la lésion èpithéliale qui l'accompagne, est en quelque sort
chite. En terminant cet exposé de la marche et de la palhogénie des lésions broncho-pneumoniques, je tiens à répéter que les
uliers dits corpuscules du tu-bercule. A un degré plus avancé de la lésion , les espaces inlervési-culaires ont doublé, ou mê
c'est là un point sur lequel nous aurons à revenir plus longuement. Lésions concomitantes. — Lorsque l'induration grise a env
se; 2° la pneumonie chro-nique ulcéreuse. CHAPITRE II de quelques lésions du parenchyme du poumon dans leurs rapports avec
t Rilliet. — Maladies des enfants, t. I, p. 433. la nature de celte lésion , qui n'a, comme on le voit, rien de commun, anato
onstituées par les bronches dilatées. L'origine particulière de cette lésion , aussi bien que ses caractères purement anatomiqu
rches de MM. Hall (de Sheffield), Beale et Bennet(d'£din-burgh)2, les lésions du parenchyme pulmonaire paraissent être le résul
ulaire chronique avec induration mélanique des parties affectées. Des lésions pulmonaires fort analogues aux précédentes ont ét
-lisation pulmonaire, MM. Rillet et Barthez ont rencontré 19 fois les lésions de la pneumonie chronique (Maladies des enfants,
ctif » G. Carniftcation congestive : Isambert et Charles Robin 2. — Lésion pulmonaire fréquente chez les vieillards, et qui
et laisse échapper quelquefois une sérosité sanglante et spumeuse. La lésion est caractérisée essentiellement : Io par l'inter
interstices presque à l'état normal. — Les premières phases de cette lésion ont été bien décrites par Yirchow, sous le nom de
même point. — Pneumonie lobaire récurrente: Exemples. — Formes de la lésion : induration rouge, induration grise ou ardoisée.
vre cesse momen-tanément; mais les signes physiques persistent, et la lésion chronique s'établit. Celle-ci ne se développe qu'
oïde s'établit, et des es-charres se forment. L'autopsie montre les lésions qui caractérisent le premier stade de ce genre de
'accidents fébriles et succombe deux mois et demi après le début. Les lésions furent encore ici celles de Yinduration rouge; ma
on rouge; mais, de plus, on trouvait par places de Yinduration grise, lésions correspondant à une phase plus avancée de l'altér
râles sous-crépitants dans le lobe moyen gauche. Il est clair qu'une lésion permanente, probablement un certain degré d'indur
monie lobaire, lorsqu'elle se résout lentement, laisse après elle une lésion permanente, un certain degré d'induration hyperpl
'elle soit le résultat de récidives nombreuses dans Je même point, la lésion s'offre toujours à l'observation sous les deux fo
pendant à l'état chronique de l'hépatisation rouge de l'état aigu. La lésion est lobaire ; le tissu pulmonaire est compact, lo
poumon hépatisé prend une teinte jaune, anémique, qui a valu à cette lésion les noms d'induration jaune (Hope J) ou d'hê-pati
e produit, dans l'espace de 4 ou 5 mois, un an ou même davantage. Les lésions histologiques sont ici beaucoup plus accentuées,
du poumon, etc. ment bien distincte, dans toutes ses phases, de la lésion cor-respondante qui succède à la pneumonie lobair
lly 1 ont les premiers donné, en 1844, une bonne description de cette lésion ; ils l'ont désignée sous le nom de carnisation,
subaiguë soit en quelque sorte la règle. L'étude macrosco-pique de la lésion dans cette forme subaiguë a clé bien faite par le
e aiguë : 1 ZietnssemS Supplément. 4° Localisation symétrique des lésions aux parties inférieures, et postérieures, avec te
aisse sous l'influence de la chaleur; c) enfin, dans les points où la lésion est la plus avancée, la paroi alvéolaire est revê
aiguë, et ce parallèle permet de mieux interpréter les caractères des lésions lorsqu'il s'agit de broncho-pneumonies décidément
morte en couches, un an après le début des accidents pulmonaires. La lésion était au premier degré dans le lobe supérieur, av
certain degré d'atro-phie du poumon. Malgré la date plus ancienne des lésions , les caractères hislologiques sont, dans ce cas,
de ultime de la pneumonie lobaire chro-nique. A ce degré terminadla lésion broncho-pneumonique s'accom-pagne, dit M. Charcot
rminadla lésion broncho-pneumonique s'accom-pagne, dit M. Charcot, de lésions concomitantes utiles à con-naître au point de vue
). 2° Déplacement plus ou moins prononcé du cœur, du même côté que la lésion pulmonaire : à gauche, vers la région sous-clavic
ues, chez une petite fille de quatre ans. A l'autopsie, on trouva les lésions ca-ractéristiques de la carnisation développées d
es deux poumons, dans le deuxième. L'examen microsco-pique montra des lésions semblables à celles que décrit M. Charcot : infil
angreneuse. En résumé, dit M. Charcot, il s'agit dans ces cas d'une lésion remontant à l'enfance ou à la jeunesse, dont le d
la plèvre. Ces don-nées trouvent leur application dans l'histoire des lésions pul-monaires consécutives à celles de la plèvre,
core tenir compte dans leur étude d'autres éléments importants. Les lésions pulmonaires s'étendent souvent à la plèvre ; c'es
brineuse les alvéoles superficiels remplis d'exsudats ûbrineux. Les lésions de la plèvre agissent aussi sur le poumon par une
que, il peut, en résulter une injection du sang par le pus ; enfin la lésion peut se propager au tissu conjonctif ambiant (int
ce genre de pneumonie chronique ; leur analyse montrera la série des lésions graves qui peuvent se produire en pareil cas. La
la poitrine. Mort au milieu de symptômes asphyxiques. — Autopsie. 1° Lésions pulmonaires : tout le poumon droit est enveloppé
erlobulaires qui tra-versent toute l'étendue du lobe supérieur. Mêmes lésions dans le lobe inférieur à l'état moins avancé. Bro
ur à l'état moins avancé. Bronches un peu dila-tées, cylindriques. 2° Lésions consécutives : poumon gauche emphysémateux, cœu
ormes rapides, on trouve des nodules fibrineux ou puru-lents avec les lésions de la splénisation ; dans les formes chro-niques,
n de ses caractères morphologiques et chi-miques. En second lieu, les lésions produites en pareil cas, reconnaissant comme caus
dans des conditions d'analyse relative-ment simples. Enfin ces mêmes lésions peuvent être expéri-mentalement reproduites chez
nt les formes sui-vantes : 1° Pneumonokonioses anthracosiques. — La lésion paraît ici surtout produite par l'introduction de
e part le corps étranger est bien du charbon, puisque d'autre part la lésion qu'il détermine par sa présence n'occasionne aucu
contrait, outre les particularités qui viennent d'être signalées, les lésions d'une véritable pneumonie interstitielle : épaiss
u bout de 2 mois et demi 3 mois, 3 mois et demi, le développement des lésions propres à la tuberculose du cochon d'Inde est ven
cules de charbon 1 II est très remarquable que chez ces animaux les lésions tuberculeuses ne se sont développées ni exclusive
es maladies organiques du cœur. Le parenchyme pul-monaire, lorsque la lésion est très prononcée, se présente avec une teinte b
attribuée à de petites hémorragies microscopiques Voici en effet les lésions qui se rencontrent habituellement en pa- 1 Atla
monokoniose physiologique. — Au-delà de cette limite elle produit des lésions et des troubles fonctionnels, la pneumonokoniose
le II se produit alors des troubles respiratoires correspondant à des lésions organiques provoquées par la pré-sence du corps é
c effa-cement plus ou moins prononcé de leurs cavités, en un mot, les lésions caractéristiques de la pneumonie interstitielle l
ne maladie étrangère à la sidérose, et le poumon présentait les mêmes lésions , mais à un degré moins avancé. En résumé, il ré
s voies aérien-nes de poussière d'oxyde de fer. A un faible degré, la lésion passe inaperçue ; à un degré plus prononcé, il se
mouleurs en bronze ou en cuivre, etc. Chez ces derniers, du reste, la lésion ne diflère en rien d'essentiel de celle qui se pr
enter le moule ; sans cette précaution, le bronze serait piqué. Les lésions sont ici en tout semblables à celles qui viennent
es. Quelle que soit la profession ayant déterminé la chalicose, les lésions anatomiques ne présentent pas, bien entendu, de d
nalée l'existence de cavernes, indépen-dantes, bien entendu, de toute lésion tuberculeuse. Il existe quelques caractères mor
particules siliceuses et alumineuses. On peut y rattacher aussi les lésions pulmonaires observées encore par M. Greenhow, che
s l'ana-lyse chimique révèle la présence delà silice. Une semblable lésion n'a rien qui doive surprendre, les cendres de la
rcules de guérison ; tubercules stationnaires ; tubercules fibreux. — Lésions spécifiques de propagation. — Granulation grise.
anatomiques propres à la phtisie chronique ou phtisie vulgaire. La lésion fondamentale est encore le nodule tuberculeux 1
is il se peut faire dans des cas particulièrement favorables, que les lésions se réparent : d'où une période de réparation, F
ce sujet. Lors-que la phtisie chronique commence à se développer, la lésion se présente, dans le poumon, sous la forme de pet
e reconnaître facilement, sur des coupes, le siège exact des diverses lésions et d'en suivre les évolutions successives. Ces no
ec la phtisie chronique, apparaît une nouvelle phase du processus. La lésion tuberculeuse se développe par additions successiv
aséeuse, ramollie, mêlée à des libres élastiques et au muco-pus de la lésion bronchiti-que concomitante, est évacuée par l'exp
sion de Cruveilhier. Lorsqu'il n'y a plus, dans le poumon, pour toute lésion que celte poche où tout le tissu embryonnaire par
st important de ne pas prendre pour véritable caverne de guérison des lésions qui n'ont que l'apparence de la ca-verne guérie.
a caverne et leurs parois y sont nettement coupées. Mais, lorsque ces lésions sont anciennes, le bout tronqué de la bron-che se
presque exclusivement, on a alors af-faire à la phtisie fibroïde. Les lésions de cette variété anato-mique de la phtisie peuven
ique de l'organe. Charcot. Œuvres complètes, t. X. Poumons. 17 D. Lésions spécifiques de propagation. — C'est un fait ac-qu
sch, Lépine, Pon-fick, Charcot. Il est incontestable que, parmi les lésions tuberculeuses de la phtisie, il en est qui doiven
de la phtisie, il en est qui doivent être considérées ainsi comme des lésions d'origine secondaire, irradiées autour de foyers
utour de foyers primitifs ; envisagées selon cette subordination, les lésions tuberculeuses se comprennent souvent mieux dans l
a dit que ces lé-sions ganglionnaires sont toutes consécutives à des lésions du parenchyme pulmonaire, seulement beaucoup plus
'es-pèce nosologique, mais la pneumonie qui lui succède con-stitue la lésion la plus grave de la tuberculose : elle dé-termine
elle qu'il faut arrêter et combattre. » Ainsi donc, prédominance des lésions pneumoniques, inertie de la lésion tuberculeuse.
e. » Ainsi donc, prédominance des lésions pneumoniques, inertie de la lésion tuberculeuse. M. Charcot déclare que pour beau-co
trouve les nodules fi-brineuxou purulents caractéristiques, avec les lésions de la splénisation ; dans la forme chronique, la
n cer-tain, on l'a déjà vu, qu'on trouve, en plus des tubercules, les lésions de la pneumonie catarrhale. MM. Hérard et Cornil
les produits d'inflammation vulgaire ne font » pas défaut, parmi les lésions complexes de la pneumonie » caséeuse; ils sont pr
rences de la pneumonie lobaire ou de » la broncho-pneumonie aiguë, la lésion pulmonaire est fon-» cièrement une lésion tubercu
broncho-pneumonie aiguë, la lésion pulmonaire est fon-» cièrement une lésion tuberculeuse, on aurait du même coup » ruiné le p
i professent que, dans ces formes de la phtisie destructive aiguë, la lésion pulmonaire est, à l'origine, l'in-flammation comm
ritique qu'aucune des observa-tions rapportées à cette forme et où la lésion aurait abouti à la formation de noyaux caséeux
ls. A côté, coupe oblique des bronchioles, E, E, E ; dans ces points, lésions de la pneumonie péri-tuberculeuse indiquées dans
région cen-trale ; ils constituaient dans le poumon, de beaucoup, la lésion prédominante; tandis que les altérations inflamma
limités par une zone embryonnaire avec ou sans l'ac-compagnement des lésions de l'inflammation commune. C'est au sein des nodu
e dans les cas de phtisie pneumonique aiguë ou su-raiguë, ce sont les lésions de la broncho-pneumonie aiguë qu'on observe : c'e
aînement d'idées qui a pu conduire à la doctrine suivant laquelle les lésions de la pneumonie caséeuse résulteraient de la méta
es auteurs partisans de cette théorie sont partis du principe que les lésions très di-verses, qu'on rencontre en même temps dan
nodules tuber-culeux et la sépare des régions où le poumon offre les lésions de l'inflammation simple. Cette zone embryonnaire
singulièrement, principalement en raison du siège et de l'étendue des lésions . Ces lésions et ces symptômes ne paraissent pas d
t, principalement en raison du siège et de l'étendue des lésions. Ces lésions et ces symptômes ne paraissent pas devoir constit
ature et dont l'intensité varient suivant le siège et l'étendue de la lésion . Reste à savoir s'il existe réellement entre ces
étendue de la lésion. Reste à savoir s'il existe réellement entre ces lésions et ces symptômes un rapport de causalité bien lég
ontre parfois à l'autopsie, soit dans l'encéphale, soit ailleurs, des lésions plus ou moins profondes, telles que la congestion
ente qu'intermit-tente, observés par M. iXepple, il n'existait aucune lésion appréciable du cerveau et des méninges ; le cerve
uelques accidents des fièvres coma-teuses. L'obstacle qu'une pareille lésion apporte au cours du sang prédispose évidemment à
se faire, enfin, que l'hémorragie méningée soit venue s'ajouter à ces lésions diverses. Planer a rapporté plu-sieurs faits de c
4. toujours partielle, et l'on n'y rencontre habituellement pas les lésions variées, et en particulier les granulations qui a
alade, aurait pu donner le change et faire croire à l'existence d'une lésion cérébrale; l'autopsie ayant démontré l'absence d'
ui remplis-sait en partie la cavité gauche du cœur. Y a-t-il entre la lésion et le symptôme simple coïncidence ? c'est ce que
ment la précèdent ou lui succèdent. — Il nous paraît pro-bable que la lésion organique du cœur n'a pas été sans influence sur
on par une tumeur, etc.); d'autres fois, il indique l'existence d'une lésion delà valvule mitrale. « Le murmure interscapulair
se propageait dans la direction de l'aorte, indiquait à son tour une lésion de l'orifice aortique. Le rétrécissement de cet o
omplète du pouls, s'accordait parfaitement avec la supposition de ces lésions . Dans une observation fort intéressante, lue à la
e diagnostic complexe auquel nous avions cru devoir nous arrêter. Ces lésions multiples nous paraissaient pouvoir expliquer tou
plication. L'autopsie cependant est venue appren-dre qu'aucune de ces lésions n'existait en réalité. Tous les ac-cidents étaien
intestins, examinés dans toute leur étendue, ne présen-taient aucune lésion , leur muqueuse était tapissée par un mucus d'un b
n profondeur, varient et, par suite, des altéra-tions organiques, des lésions de canalisation plus ou moins graves et presque t
ères. On est aujourd'hui assez générale-ment porté à admettre que ces lésions multiples sont déter-minées par des particules dé
dimensions, entre les deux ventricules. Dans les poumons, ou-tre les lésions de bronchite, on rencontre un nombre considé- r
, du tronc et du cou, on avait pensé qu'il était bien possible que la lésion siégeât dans les valvules du cœur droit; cette hy
oùla coagulation du sang dans l'artère pulmonaire ne dépend pas d'une lésion du parenchyme du poumon ou des parois vasculaires
e des caillots de sang en partie mo-difié. Le cœur ne présente pas de lésions notables. Le foie est volumineux. Les pyramides e
e la veine crurale ; il était donc d'une date plus ancienne. — Pas de lésion dans le cœur. — Cerveau un peu dense, sans autre
ù la coagulation du sang dans l'artère pulmonaire ne dépend pas d'une lésion du parenchyme du poumon ou des parois artérielles
t de signaler, et qui permettront toujours de soupçonner que quelques lésions importantes auront bien pu passer ina-perçues.
orte. On peut rencontrer, sur le trajet, de l'aorte, la plupart des lésions qui ont été signalées sur d'autres points du syst
tions de l'aorte, de ne point empiéter quelquefois sur le domaine des lésions artérielles, envisagées dans leur ensemble. Nous
d'un homme qui mourut subitement et chez lequel on trouva, pour toute lésion , une dégénérescence des parois aortiques, qui, pa
e les auteurs du siècle précédent, il attri-bue une grande valeur aux lésions concomitantes, comme si-gnes anatomiques de l'inf
rôle de critiques, nous sommes obligés de constater que de toutes les lésions autre-fois envisagées comme des indices certains
ondement admissible. Dans les cas, peu nombreux à la vérité, où des lésions in-flammatoires sur le trajet de l'aorte ont été
quement constatée dans les parois artérielles. On voit donc que cette lésion , malgré sa rareté, a été plus d'une fois signalée
ots fibrineux, à la suite d'une inflammation aiguë, est au nombre des lésions les plus exceptionnelles ; mais il arrive souvent
nces ne sont pas im-médiatement fatales, elle prédispose à toutes les lésions qui résultent de la dégénérescence des parois art
tement sa bifurca-tion, sont plus spécialement exposées à ce genre de lésion . L'ordre de fréquence, d'après Lobstein, serait l
ous ne chercherons point à discuter ici la nature et l'ori-gine d'une lésion dont l'étude appartient à l'histoire générale des
it aujourd'hui justice de cette erreur. L'existence de ces diverses lésions est une des causes les plus habituelles des dilat
ment ou à l'oblitération complète du vaisseau (Barth.) Celte dernière lésion est plus fréquente pour les artères périphériques
e de cet excès de matières grasses dans le sang donne naissance à des lésions viscérales; mais il est difficile de dis-tinguer
ation seule une ossi-fication de l'aorte, indépendante de toule autre lésion . Lors-que la crosse de ce vaisseau a subi une amp
e ossification des vaisseaux péri-phériques ne s'accompagne pas d'une lésion semblable dans le tronc principal ; aussi toutes
: il ne faut cependant jamais oublier que, chez plusieurs sujets, des lésions de ce genre, malgré leur étendue, ne se révèlent
ronique, et permet souvent aux malades d'atteindre un âge avancé. Les lésions viscérales, et principalement celles du cœur et d
es opinions. Nous devons à Yésale la relation du premier cas où cette lésion ait été anatomique-ment constatée, après avoir ét
ines trop exclusives de ce dernier, onlintroduit, dans l'étude de ces lésions , une exacti-tude jusque alors inconnue. Mais il
éorie générale des ané-vrismes sont étroitement liés à l'histoire des lésions de l'aorte en particulier. Nous renvoyons donc à
e, les pou-mons, le péricarde, le cœur lui-même, peuvent éprouver des lésions de cette espèce ; l'œsophage, la trachée et les b
es séjournent au milieu de la cavité thoracique, sans y déterminer de lésions considérables, tandis que des tumeurs d'un volume
'anévrisme, mais les adhérences générales du péricarde, ainsi que les lésions valvulaires, doivent être regardées comme de simp
les phénomènes de compression autorisent le médecin à soupçonner une lésion de ce genre, il lui est impossible de parvenir à
sous une pression continue, et fait subir à l'enveloppe cuta-née des lésions spéciales : la peau rougit, s'amincit et pré-sent
ée, donne naissance à un anévrisme diffus. L'existence d'une pareille lésion sera facilement reconnue à la région thoracique.
inale du vaisseau, le souffle existe presque toujours ; mais quand la lésion occupe la partie sus-diaphragmatique de l'artère,
vec raison sur ce point. Il ne faut point oublier, cependant, que les lésions mi traies peuvent aussi donner naissance à un sou
e ou de la sous-clavière amène parfois des troubles cérébraux, ou des lésions localisées aux membres supérieurs. Un œdème unila
deux tiers des cas, selon Le-bert ; elle peut résulter d'une foule de lésions diverses : com-pression de la trachée, des bronch
utes les observations qu'il a recueillies, est pro-bablement liée aux lésions du nerf pneumogastrique, ou du laryngé inférieur.
n effet, que les poumons sont engoués chez les malades atteints d'une lésion sembla-ble. Dans un travail récent, Habershon att
urs désespérer du salut du malade. Étiolooie. — Les causes de cette lésion sont jusqu'à pré-sent peu connues. L'âge, le sexe
t la plupart des auteurs du siècle dernier ; on rencontre ce genre de lésions aussi bien chez les hommes voués à des travaux sé
les violences extérieures sont quel-quefois le point de départ de ces lésions : la plupart des au-teurs en rapportent des exemp
r des vaisseaux de dépôts alhéromateux ou calcaires. Cette dernière lésion , en effet, paraît être la cause la plus générale
souvent invoquée, n'est pas encore bien démontrée ; mais une fois la lésion dévelop-pée, les écarts de cette nature doivent s
le de symptômes ration-nels, on est quelquefois parvenu à deviner une lésion de ce genre, il faut plutôt voir, dans un pareil
ons du larynx; avec les affections du péricarde et du cœur ; avec les lésions des gros troncs vasculaires voisins ; enfin les p
ficiles. d) Vangine de poitrine est quelquefois occasionnée par des lésions du cœur ou des gros vaisseaux. C'est donc encore
très difficile de distinguer les affections chroniques du larynx des lésions anévrismatiques de l'aorte : Charcot. Œuvres co
ues. g) L'œdème de la glotte est quelquefois capable de simuler une lésion de l'aorte; et réciproquement les anévrismes do l
ment à droite, et bien plus faiblement à gauche, que ne le ferait une lésion du même genre, sur le trajet de l'aorte. En tenan
Nous savons que le contraire a lieu quand l'aorte est le siège de la lésion . Enfin, les symptômes qui résultent de la compres
es principales indications qui permettent de préciser la nature de la lésion anatomique. p) Quant aux palpitations nerveuses
, que les moyens thérapeutiques ne peuvent avoir aucune prise sur une lésion pareille. Cependant, dans le cours d'une affectio
ont la guérison présumée a servi de point de départ à ce système, les lésions constatées à l'autopsie, quelques années plus tar
ait revenir à l'état normal, sans offrir au moins quelques traces des lésions qui ont précédemment existé. 11 est donc permis d
e demander si, chez le malade de Valsalva, il ne s'agissait pas d'une lésion athéromateuse plutôt que d'un véritable anévrisme
ubite qu'elle en-traîne chez les individus atteints d'une aussi grave lésion du système circulatoire. La méthode débilitante p
lysie du larynx, une atrophie de ses muscles peuvent résulter d'une lésion pareille. Il est aisé de comprendre en pareil cas
t cependant loin d'être réduite à un rôle passif en présence de cette lésion formidable ; une thérapeutique rationnelle parvie
de la circula-tion du sang. Paris, 1863. — Leudet. Recherches sur les lésions de l'œsophage causéespar les anévrismes de. l'aor
on d'un sac anévris-mal entre les tuniques de l'aorte n'était pas une lésion entière-ment inconnue des médecins. Une altératio
-rons surtout Guthrie, Shekelton, Hope, Rokitansky, ont étu-dié cette lésion : Un résumé complet de leurs travaux a été publié
cock, le mécanisme qui préside constamment au développe-ment de cette lésion . Dans son dernier mémoire, Rokitansky, qui partag
a mort survient, en général, peu de temps après la rup- ture et les lésions consécutives sont alors beaucoup moins étendues q
. Siège. — L'aorte ascendante est le siège le plus ordinaire de ces lésions , cependant la crosse et les autres parties de ce
unté à Peacock et Rokitansky, in-dique la fréquence relative de cette lésion sur les différents points du vaisseau. 1 peac
res anatomiques et les signes pathognomoniques de cette intéres-sante lésion . Tout récemment, M. Tripier a repris l'étude de c
-tions de l'aorte avec l'artère pulmonaire, et le diagnostic de cette lésion ; enfin, l'observation fort intéressante publiée d
roit, et onze fois dans l'artère pulmonaire. Depuis cette époque, des lésions de ce genre ont été plus d'une fois constatées. S
isseaux qui en émanent, suffisent pour expliquer la possibilité d'une lésion semblable. Souvent un anévrisme formé sur ce poin
rtère sont les points les plus spécialement prédisposés à subir cette lésion ; mais on peut aussi la rencontrer sur le trajet
de vue analomique, une différence absolue entre ces deux ordres de lésions , elles dilatations, parvenues à un volume très co
ie d'aspérités (Burns). Les dilatations simples de l'aorte sont des lésions essentiel-lement incurables, puisqu'elles n'ont a
rs. Depuis lors, le nombre des observations, rela-tives à ce genre de lésion , s'est considérablement augmenté. Le mémoire insé
ie du ventricule gauche est une consé-quence assez fréquente de cette lésion , qui peut quelquefois amener une rupture du vaiss
le, au premier abord, résulter d'une ligature ; 3° l'absence de toute lésion , de tout épaississement des tuni-ques. Ce dernier
e de caillots adhérents. Parmi les conséquences immédiates de celte lésion , on a principalement signalé l'hypertrophie du ve
; au-dessous, l'aorte reprenait son calibre ordinaire. De semblables lésions ont été rencontrées également à l'aorte abdominal
ntéressant de consta-ter les signes qui révèlent l'existence de cette lésion chez le cheval, afin d'en faire l'application à l
de la santé. L'un de nous (M. Charcot) a observé, chez l'homme, une lésion semblable, avec les symptômes correspondants. Il
aplégie n'a pas été toujours observée chez les malades atteints d'une lésion de ce genre, ils ont éprouvé néanmoins de l'affai
es symp-tômes typhoïdes très prononcés, M. Charcot trouva, pour toute lésion , des ulcérations athéromateuses et des kystes fib
ait signalé ce fait : c'est chez le cheval qu'il avait constaté cette lésion singulière. Soixante ans plus tard, Schulze décou
On regardait autrefois ces helminthes comme la cause pre-mière de la lésion artérielle; leur présence, d'après plusieurs obse
nt signalés chez l'homme, par Kussmaul et Maier ; au reste, comme ces lésions ne siégeaient pas sur le trajet de l'aorte elle-m
se ; celui de la membrane moyenne est presque toujours consécutif aux lésions de la couche èpithéliale, et s'accompagne d'une f
ophies partielles ou locales sont invariablement la conséquence d'une lésion de structure. X. Ruptures et perforations de l'
nous répétons ici qu'il existe néanmoins quelques cas de rupture sans lésion préalable des tuniques ; presque toujours, en par
bien des égards, se rappro-chent des ruptures. Elles succèdent à des lésions développées dans les organes voisins ; c'est ains
ique par M. Lancereaux, l'œsophage avait été le point de départ de la lésion , les deux tuniques externes de l'aorte avaient ét
é que, sous l'influence de causes inconnues, et en l'absence de toute lésion organique, l'aorte est quelquefois agitée de palp
s sur le trajet de l'aorte ascendante, ne sont en rapport avec aucune lésion organique appréciable. L'histoire des battement
intermittente ; quels sont les symptômes qui la caractérisent et les lésions qui les produisent. Pour ne point nous égarer sur
us allons rapporter l'histoire, et les symptômes correspondants à ces lésions , ont été, comme on va le voir, semblables à ceux
exus lombaires et sacrés ont été examinés ; ils n'ont pas présenté de lésions appréciables. Nous avons noté particulièrement qu
ndri. Tel a été, suivant toute probabilité, l'ordre de succession des lésions qui ont été sui-vies des phénomènes de claudicati
s en question, est réellement inadmissible; celle, par exemple, d'une lésion quelconque du système ner-veux central ou périphé
ns plusieurs viscères, et en particulier dans le cerveau et la rate ; lésions dysentériques de la muqueuse de l'intestin grêle
pitations ou à quelque autre phénomène indiquant la persistance d'une lésion cardiaque. Pendant les dix ou douze premiers jour
e réaction fébrile. L'auscultation du cœur démontre l'existence d'une lésion vascu-laire. Le traitement employé pendant cette
nts. L'examen physique des divers organes n'y fait reconnaître aucune lésion importante. Le cœur seul paraît volumineux; on y
cas où l'on rencontre l'in-farctus hémoptoïque. Quant à celles des lésions préparatoires de f'hémorragie qui sont circonscri
— la structure lobulaire du poumon. Sommaire. — Objet du cours : lésions inflammatoires aiguës et chroniques des voies bro
es endothé-liums : démonstration. — Broncho-pneumonie expérimentale : lésions au bout de six heures et vers le deuxième et le t
, ou forme pseudo-lobaire de la broncho-pneumonie ; caractères de ces lésions . 62 SEPTIÈME LEÇON des cirrhoses viscérales é
re du foie. — Origine des cirrhoses: èpithéliale ou conjonctive? — La lésion èpithéliale est la pre-mière en date. — Arguments
des lé-sions multiples qu'elle présente. Leur nature inflammatoire. — Lésions élémentaires principales: bronchite, splénisation
ns synonymes adoptées par les auteurs. — Analyse histolo-gique de ces lésions : 1° Examen topographique du lobule pulmonaire, à
on du pneumogastrique ; 3° par la section des nerfs récurrents. — Les lésions broncho-pneumoniques qui succèdent à celte dern
e chronique simple.................. 121 Chapitre II. — De quelques lésions du parenchyme du poumon dans leurs rapports ave
même point. — Pneumonie lobaire récurrente: Exemples. — Formes de la lésion : induration rouge, induration grise ou ardoisée.
monokoniose physiologique. — Au-delà de cette limite elle produit des lésions et des troubles fonctionnels, la pneumonokoniose
ercules de guérison; tubercules stationnaires ; tubercules fibreux. — Lésions spécifiques de propagation. — Granulation grise.
s plusieurs viscères, et en parti-culier dans le cerveau et la rate ; lésions dysentériques de la muqueuse de l'intestin grêle
, 74, 100; — pseudo-lobaire,71 ; — dénominations diverses, 102; — lésions .102; — aiguë, 101; — nature inflammatoire, 104; —
ons.102; — aiguë, 101; — nature inflammatoire, 104; —va-riabilité des lésions , 107; — ter-minaisons, 107; — expérimen-tales, 10
es aériens, 19; — indé-pendance des — , 19, 23; — pa-rois des —,28; — lésions —, 74. Canaliculi contorti, 77. Canaux collecte
cardite ulcéreuse, historique, 400: — siège des ulcérations, 40 : — lésions de l'endocarde, 401 ; — symptômes typhoïdes, 4
tères d'un membre, 585. Oblitération de l'artère pulmonaire 421 ; — lésions des tuniques arté-rielles, 422; — altérations du
5. Pneumogastriques (Effets de la sec-tion des —), 63. Pneumonie, lésions , 64 ; — èpithé-liale, 65 ; — desquamative, C5, 1(
ntenant des globules pyoïdes dans le cerveau et la rate, 604, 605 ; — lésions dysentériques de la muqueuse de l'intestion grêle
27 (1913) Exposé des travaux scientifiques
r des muscles atrophiés dans un cas d'amyotrophie consécutive à une lésion de la moelle, j'avais pensé qu'il s'agissait d'un
res altérées, qui me paraît propre à faire comprendre la nature des lésions qu'elles ont subies. « Des muscles de lapin a
ci ce qu'ils écrivent à ce sujet : « Le caractère dominant de toute lésion musculaire a été exprimé par Durante. Tandis qu
la réaction de dégénérescence qui apparaît à la suite de certaines lésions des nerfs ? On admet généralement que cette réact
oolique de l'homme. Nous ferons remarquer, au sujet de l'absence de lésions dans la paralysie pyocyanique, que les recherch
embres paralysés. Ce ne sont pas des arthropathies ner- veuses. Les lésions articulaires reconnaissent pour cause un agent
t du nerf avant d'altérer sa disposition morphologique ; 2° que les lésions de la névrite périaxile diphtérique ne peuvent êt
fonctionnelle, ce qui, du reste, n'empêche pas de supposer que ces lésions , une fois produites, n'exercent à leur tour une
à leur tour une influence perturbatrice » (32). VERTIGE VOLTAIQUE. LÉSIONS LABYRINTHIQUES EXPÉRIMENTALES Lorsqu'on appli
d'une irritation directe des centres nerveux. VERTIGE YOLTAÏQUE. LÉSIONS LA13YR1NT111(UES EXPÉRIMENTALES 10 En montrant
QUE. LÉSIONS LA13YR1NT111(UES EXPÉRIMENTALES 10 En montrant que les lésions auriculaires provoquent des perturba- tions div
s'enroule davantage et la tête se porte vers le flanc du côté de la lésion en même temps qu'elle tourne vers le même côté au
éflexe du radius ; il est lié dans la grande majorité des cas à une lésion spinale atteignant le cinquième segment cervica
réflexe d'extension de l'avant- bras, déterminer la longueur de la lésion . S'ils sont tous deux abolis, la lésion occupe
éterminer la longueur de la lésion. S'ils sont tous deux abolis, la lésion occupe les cinquième, sixième et septième segment
xplique aisément avec les données ci-dessus,' quand on sait que les lésions radiculaires tabétiques suivent d'habitude dans
. Babinski qui pense que cette inversion est condi- tionnée par une lésion de Cn avec intégrité complète de CI. Si, dans not
cette inversion n'est qu'un argument de plus pour la localisation des lésions polio- myélitiques antérieures, sa parfaite con
er le phénomène des orteils. « C'est d'abord l'hémiplégie due à une lésion organique de l'encé- phale, quelle qu'en soit l
auche. Il est vraisemblable qu'il s'agissait d'une asso- ciation de lésions radiculaires postérieures et d'une lésion organiq
t d'une asso- ciation de lésions radiculaires postérieures et d'une lésion organique de l'hémisphère droit avec dégénérati
pinales spasmodiques, quelle qu'en soit la cause, qu'il s'agisse de lésion traumatique, de compression de la moelle par ma
de ce faisceau étaient conservés, sur des sujets chez lesquels les lésions du faisceau pyramidal devaient être très étendu
midal devaient être très étendues et sur d'autres chez lesquels ces lésions étaient très limitées. « Il faut donc bien rema
ux et l'épilepsie spinale qui sont souvent sous la dépendance d'une lésion du système pyramidal, mais que ce lien n'est pa
e dans des cas où, malgré l'existence RÉFLEXES CUTANÉS s 45 d'une lésion du système pyramidal, les réflexes tendineux sont
es tendineux sont nor- maux, affaiblis ou abolis, soit parce que la lésion est de fraîche date, soit parce qu'elle s'assoc
début. Les réflexes tendineux étant ordinairement abolis lorsqu'une lésion du système pyramidal s'associe à une altération
ce que l'anatomie pathologique avait déjà montré, à savoir que les lésions de la poliomyélite antérieure aiguë peuvent ne
n voici des preuves : a. On a vu plus haut que dans certains cas de lésions de la voie .pyramidale on peut obtenir alternat
quatre petits orteils, cette excitation, dans les cas où il y a une lésion de la voie pyramidale, produit une contraction
, 3o mai 1903). 34° Le signe de Babinski comme signe précurseur des lésions du système pyra- midal, par Peppo Acchiotte, de
res cutanés innervés par des segments médullaires sous-jacents à la lésion . C. Chez un sujet présentant un syndrome de Bro
deux côtés, se produisaient le plus facilement du côté opposé à la lésion ; le malade 58 SÉMIOLOGIE avait du reste rema
noté le même fait dans un cas de syndrome de Brown-Séquard dû à une lésion syphilitique de la moelle. Chez un 'autre malad
ère, lorsqu'elle est permanente, lorsqu'elle est l'expression d'une lésion limitée à l'appareil des réflexes pupillai- res
ans les conditions ci-dessus précisées, dénote presque sûrement une lésion du système nerveux central d'origine syphi- lit
si la cure spécifique peut exercer une influence favorable sur les lésions du système nerveux d'origine syphilitique, elle
x d'origine syphilitique, elle doit être surtout efficace quand ces lésions sont à leur début et que les éléments nerveux n
d, de Claude et Verdun nous montre que, dans les 7-2 SEMIOLOGIE u lésions cérébrales en foyer qui s'accompagnent de leucocy
m- phocytose, pourrait conduire à faire dépendre de la syphilis une lésion nerveuse qui n'a aucun lien avec cette infectio
rites d'origine interne ». Il contient, sur les relations entre les lésions de la périphérie et des centres, des idées qui
e terme, névrite périphérique, ne doit pas impliquer l'idée que les lésions des nerfs sont primitives, qu'elles sont l'origin
onctionnels qu'ils occasionnent sont cau- sés non seulement par des lésions histologiquement perceptibles mais aussi par de
par des modifications de nature dynamique ; et qu'en définitive les lésions des nerfs ne peuvent être considérées comme const
pas, du reste, l'idée que, dans les cas de ce genre, il n'y ait pas lésion du nerf. « Ce signe, comme en général tous les
on se contente du diagnostic vague de rhumatisme. Cette variété de lésion du nerf radial peut être mise en opposition avec
FACIALE On admet généralement que, dans les paralysies liées à des lésions des nerfs moteurs, l'excitabilité électrique de
ent des faits que j'ai observés (121). Ces faits établissent qu'une lésion intéressant le nerf facial dans son trajet ou à
mouvements d'un tout autre ordre. « Je ne crois pas non plus qu'une lésion du système nerveux sié- geantau-dessusdu noyau
système nerveux sié- geantau-dessusdu noyau du facial, telle qu'une lésion corticale, puisse produire un hémispasme facial
rt pour désigner la variété d'hémi- paralysie de la face liée à une lésion de ces mêmes organes. D'ailleurs, je suis porté
mée par M. Babinski, l'hémispasme ne recon- naisse pour origine une lésion périphérique du nerf facial, sur un point quelcon
récédée par de la paraplégie en extension, dépend comme celle-ci de lésions du système nerveux central intéressant le systè
lièrement quand la contracture en flexion est très prononcée, à une lésion non destructive de la voie pyramidale. Dès mon pr
et l'examen des coupes per- mit de constater l'extrême légèreté des lésions médullaires. TABES Anatomie pathologique. J
LA MOELLE Dans le fait que nous avons rapporté, la topographie des lésions était exactement l'inverse de celle qu'on obser
it exactement l'inverse de celle qu'on observe habituellement : les lésions radiculaires frappaient les voies longues de préf
isation, exceptionnelle dans le tabes, soit plus fréquente dans les lésions dues à la pellagre, si l'on s'en rapporte aux fig
début ; cela se conçoit TABES 91 d'ailleurs quand on sait que les lésions tabétiques suivent d'habitude une marche ascend
trophie tabétique. Quand il existe, il est dù le plus souvent à une lésion surajoutée. Dans la majorité des cas, il s'agit
e malade, qui pourtant présente tous les caractères appartenant aux lésions articulaires de l'ataxie, soit un trouble troph
ne me paraissait pas prouvé qu'elles fussent sous la dépendance de lésions du système nerveux. Il y a peut-être là un rapp
raction faite des signes con- comitants qui décèlent l'existence de lésions radiculaires ? On peut en douter, comme je l'ai
verses, relatives à l'association non exceptionnelle de tabès et de lésions syphilitiques (63), à l'impossibilité de trouve
as où l'on en attribuait les symptômes à toute autre cause qu'à une lésion nerveuse, mais même chez des gens qui ne s'imag
Il est vraisemblable que ces troubles sont sous la dépendance d'une lésion des nerfs causée par l'inflammation verté- bral
aut examiner à de forts grossissements pour constater la nature des lésions . On voit alors, lorsque la coupe a été traitée
eau symptomatique et l'on pourrait être tenté de le rapporter à une lésion cérébrale en foyer. « Des plaques de sclérose d
ie de l'anesthésie permet généralement de déterminer le siège de la lésion , ce qui est d'un grand intérêt quand il s'agit
cet égard des indica- tions intéressantes. Mais dans les cas où la lésion siège à la région dor- sale, on ne peut tirer a
l'est beaucoup moins ; nous avons observé des sujets atteints d'une lésion spinale siégeant certainement à la partie supér
e, car je n'ai jamais constaté chez la malade de signe décelant une lésion radiculaire ; les réflexes tendineux, en particul
; la première a été publiée par Froin). « Quel était le degré des lésions spinales ? L'évolution de la mala- die, la guér
nce d'une paraplégie spasmodique que l'on aurait pu attribuer à une lésion siégeant exclusivement dans la moelle, et, sans l
J..TARA011'SAI) Voici les conclusions de ce travail (198). 10 Les lésions méningées observées rentrent dans ce que l'on a
nous ferons remarquer que dans ce cas ce terme est impropre ; les lésions de la pachyméninge passent en effet au second pla
it surtout d'arachnitis ; il nous paraît préférable de désigner ces lésions sous le nom de méningite cervicale hypertrophiq
ompression, qui semblait très forte, n'avait cependant pas amené de lésions profondes de la moelle; il n'existait pas, en eff
de défense que nous avons pu utiliser pour la locali- sation de la lésion . HÉMORRAGIE MÉNINGÉE . J'ai publié avec Jumen
é conduits à penser que la syphilis est une cause assez commune des lésions vasculaires pie-mériennes qui provoquent l'hé-
ît d'habitude immédiatement après l'ictus et que, généralement, les lésions radiculaires tabétiques, quand elles viennent s
lésions radiculaires tabétiques, quand elles viennent s'ajouter aux lésions pyramidales, paraissent ne pas le mo- difier.
veuses des cornes antérieures de la moelle. J'ai montré (i4) qu'une lésion cérébrale accompagnée de dégéné- HÉMIPLÉGIE ORG
s (26) font évidemment partie d'une même série caractérisée par des lésions plus ou moins accentuées de l'appareil neuro- m
nes, mais on peut les constater aussi dans la monoplégie liée à une lésion de la moelle ou à une névrite. Pour interpréter
précoce do néoplasme inlra-crû- nien et dénotant l'existence d'une lésion qui comprime simplement l'encéphale sans provoq
sont unilatéraux, ils permettent de déterminer le côlé où siège la lésion ; dans un grand nombre de publications, il est ex
gmus. Certains de ces troubles sont peut-être même particuliers aux lésions vestibulaires et il est incontestable, pour le
é et leur durée dépendent sans doute du siège et de l'intensité des lésions cérébelleuses, et, quand celles-ci s'associent à
e les mouvements sont franchement démesuiés chez un malade atteint de lésion bulbo-protubérantielle avec syndrome cérébelleu
térale, tantôt unilatérale ; dans ce dernier cas. elle dépend d'une lésion occupant le même côté ; c'est là une donnée imp
perturbation dans ce mécanisme. » Il serait permis de dire que les lésions cérébelleuses peuvent, sans diminuer l'énergie
des atteints de sclérose en plaques et chez un malade porteur d'une lésion cérébelleuse survenue à la suite d'un traumatis
rvation XII de son Traité des tumeurs cérébrales publié en 1907. La lésion occupait l'hémisphère céré- belleux droit. 11 l
isse de Médecine, 2g décembre igi r) écrit ceci : « Sur huit cas de lésion en foyer du cervelet, la recherche de cette « adi
et liémi- plégie croisées ». L'hémiasynergie siégeait du côté de la lésion . Il va sans dire que l'asynergie, comme les aut
6 février 1\)02), chez un sujet à l'autopsie duquel fut trouvée une lésion de l'hémisphère cérébelleux droit, décrivent av
oyau que les troubles de la motilité siégeaient du côté opposé à la lésion . SYNDROME CËHÉXKLLEUX loi Pelnar (Casopis Ces
elé l'attention sur quelques symptômes qu'on peut observer dans les lésions cérébel- leuses. Ces symptômes sont très import
il est homolatéral, c'est-à-dire qu'il se trouve du même côté que la lésion ... » Catalepsie cérébelleuse. Le phénomène au
e cervelet joue un rôle essentiel dans l'équilibra- tion et que les lésions cérébelleuses troublent cette fonction. 156 6 A
meurs unilatérales intracérébelleuses ont noté ceci : du côté de la lésion , le bras étendu horizontalement peut se mainten
ORATION AVEC ! V 1Gfi01'TE) Nous avons décrit un syndrome lié à une lésion bulbaire unilatérale dont les traits cliniques
: de l'asynergie, de la latéro- pulsion et du myosis du côté de la lésion , de l'anesthésie et de la para- lysie ou de la
e Weigert pour la myéline. L'examen microscopique a montré : i° des lésions diffuses, por- tant sur l'élément mésodermique
endue de la cavité sous-arachnoïdienne (moelle et cerveau) ; 2° des lésions locali- sées, véritables foyers de nécrose et d
- trique. quatre et siègent dans le côté gauche du bulbe ; 3° des lésions parenchy- mateuses systématisées, consécutives
; 3° des lésions parenchy- mateuses systématisées, consécutives aux lésions localisées (voir fig. 23, 24, 25, 26, 27). Ba
Babinski. il I 162 AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE Ces trois sortes de lésions offrent chacune un intérêt particulier ; nous a
ssentiellement par des altérations typiques des vaisseaux. 2° Les lésions en foyer qui sont cantonnées dans le côté gauche
olivo-ciliaire des deux côtés ; la bilatéra- lité de cette dernière lésion (toutes les autres sont unilatérales) tient à c
ner, dans la mesure du possible, les rapports unissant symptômes et lésions . La gêne dans la déglutition et l'hémiparésie d
e l'anesthésie au membre inférieur peut être attribuée à ce que les lésions du ruban de Reil sont plus prononcées dans la p
dépendance de l'altération du faisceau cérébelleux descendant (les lésions du faisceau longitudinal postérieur pourraient
e tremblement bilatéral des membres supérieurs est peut-être dû aux lésions des systèmes olivaires, qui étaient intéressés de
, il serait légitime de la rattacher, principalement au moins, à la lésion du faisceau cérébelleux descendant, mais il est p
ons des fonctions bulbaires et cérébelleuses. 3° La recherche des lésions parenchymateuses systématisées, con- sécutives
rche des lésions parenchymateuses systématisées, con- sécutives aux lésions localisées, nous a permis de constater des faits
nt qui ont subi la dégénérescence ré- trograde. Nous avons vu les lésions du ruban de Reil se terminer dans le noyau exte
symétrie d'origine bulbaire. J'ai observé des faits montrant qu'une lésion bulbaire peut, sans atteindre la motilité volon
pparentes. J'ajoute que du côté opposé, c'est- à-dire du côté de la lésion , existait le syndrome oculo-palpébral de Claude
es étaient effacées des deux côtés, puis la main gauche (côté de la lésion ) s'échauffait, ses veines se dilataient, tandis
il s'agissait d'hyper- thermie et de vaso-dilatation du côté de la lésion , ou d'hypothermie et de vaso-constriction de l'
ferme et je me contente, jusqu'à nouvel ordre, de constater qu'une lésion bulbaire unilatérale est capable de provoquer u
» Voici les notions nouvelles qui résultent de cette étude : Une lésion bulbaire peut, sans engendrer de paralysie de la
à forme syringomyélique. J'ai constaté avec Nageotte (i 18) qu'une lésion bulbaire peut don- ner naissance à une hémianes
est possible, mais qu'elle correspond à une règle. En effet, si les lésions bulbaires ou protubéranlielles sont capa- bles
logique. Chacune d'elles doit dénoter soit le degré d'intensité des lésions , soit leur situation dans telle ou telle partie
iées les unes aux autres. J'ai observé bien des malades atteints de lésion auriculaire dont le réflexe calorique était nor
é, la recherche du vertige voltaïque permet : « 1° De découvrir une lésion auriculaire qui, en l'absence de signes fonction-
e de signes fonction- nels, passerait inaperçue, ou de dépister une lésion organique ne donnant lieu qu'à des troubles sub
AFFECTIONS DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE 171 « 2° De différencier une lésion auriculaire d'un trouble psychique : dans le pre-
Après avoir fait remarquer que les troubles fonctionnels dus à une lésion de l'appareil statique sont accessibles à la si
ca- tion sur ce sujet, celle de 1901, me prête à tort l'idée qu'une lésion auriculaire sans participation de l'appareil ve
s troubles du vertige voltaïque peuvent déce- ler l'existence d'une lésion de l'appareil vestibulaire, alors que les réactio
orisés à dire que ce mode d'investigation apporte au diagnostic des lésions de l'appa- reil vestibulaire des données précie
je me contente de les signaler. Traitement. Les troubles liés aux lésions labyrinthiques sont susceptibles de s'at- ténue
serait pas capable d'agir favorablement sur des troubles ayant des lésions labyrinthiques pour cause. J'estimai qu'il y av
l'inclination et la rotation unilatérales peuvent être liées à des lésions labyrinthiques superficielles et, ce qui est un
icentèse a une action bien moindre sur les troubles dépen- dant des lésions du labyrinthe antérieur : bourdonnements, diminu-
» 177 du vertige et des nausées. Six de mes dix malades avaient des lésions de l'oreille interne (région cochléaire) ; dans
à une perturbation organique des centres nerveux, je pense que les lésions dont elle dépend doivent être, au moins dans la m
pparaissant au cours du torti- colis « mental » signifierait que la lésion n'est pas restée cantonnée dans cette région et
10 enfants atteints de chorée de Sydenham, il a observé des signes de lésions du système nerveux (troubles du tonus, flexion
ctérisé par l'arrêt de développement des organes génitaux, et de la lésion pituitaire mérite aussi d'être remarquée. Il est
ait altérée et que l'infantilisme était sous la dépendance de cette lésion présumée. Il me semble toutefois que l'idée d'une
pituitaire et l'infanti- lisme est très soutenable. On sait que les lésions de l'hypophyse, quand elles apparaissent chez l
l'atrophie de l'utérus ; il est donc bien naturel qu'une semblable lésion , quand elle débute chez l'enfant, produise un a
ire, j'avais constaté qu'il était très affaibli ou aboli, ce qu'une lésion du sympathique, quelle qu'en soit la nature et
n, les troubles pupillaires étant permanents, n'étant liés à aucune lésion des globes oculaires et n'étant pas associés à
itions requises (voir p. 58) pour être légitimement attribués à une lésion syphilitique des centres ner- veux. J'ajoute qu
pendant il ne s'agissait pas là d'une coïncidence fortuite, que les lésions aortiques et les perturbations pupillaires étaien
servations que je viens de rapporter, il en est tout autrement ; la lésion organique du système nerveux eût fort bien pu êtr
ndrome de Babinski (Association des troubles de la pupille avec les lésions de l'aorte). » En voici quelques extraits : «
ie ; dans la troisième, les symptômes se réduisent exclusivement à la lésion valvulaire aortique et à l'inégalité pupillaire
hilis est le plus indubitable. ANEVRISME DE L'AORTE 191 « Si la lésion aortique ne se montrait qu'au cours du tabes conf
ors des cas où la coincidence peut être fortuite, comme celui d'une lésion valvulaire aortique d'origine rhumatismale évolua
gitime de soumettre au traitement spécifique les sujets atteints de lésions aortiques chez lesquels, en dehors de toute autre
tique chez tout malade, et en particulier chez tout malade atteint de lésions vasculaires, de dilatation aortique, démontrera
les ou médullaires. On la croyait en état de donner naissance à des lésions superficielles ou profondes et à des troubles d
dans les conjonctures inverses on l'attribuait, au contraire, à une lésion des centres nerveux. Il y avait là un manque de
nale. La convic- tion, si répandue jadis, que l'hystérie, comme les lésions du système pyramidal, peut provoquer de la surr
à conclure qu'elle peut donner naissance à des hémorragies el à des lésions cutanées diverses, il n'y a qu'un pas : et alor
e l'éminent neurologiste admettait l'existence des hémorragies, des lésions cutanées hystériques et qu'il avait décrit sous
es, par l'auto-suggestion qu'entretiennent les désor- dres dus à la lésion . J'ajouterai incidemment que ces manifestations
). g. Sur un cas de myélite chronique diffuse avec prédominance des lésions dans les cornes antérieures de la moelle (Revue
ollaboration avec Dejerine. Revue de Ifédeciiie, 188b). Il. Sur les lésions des tubes nerveux de la moelle épinière dans la s
898). 51. Sur une forme de paraplégie spasmodique consécutive à une lésion orga- nique et sans dégénération du système pyr
es tendineux (Id., 5 juillet i;)0o). 63. Association de tabès et de lésions syphilitiques (il.). lit¡. Du traitement mercur
eurologie). 66. Scléroses combinées (Id.). 67. De l'influence des lésions de l'appareil auditif sur le vertige voltaïque (S
auriculaires (Société médicale des Hôpitaux, 7 novembre 19°2). 87. Lésions syphilitiques des centres nerveux. Foyers de ramo
129. Sur les injections de sels mercuriels insolubles (Id.). 13o. Lésion bulbaire unilatérale : thermo-asymétrie et vaso-a
té de Neurologie, 2 décembre 1909')' 165. Sur la localisation des lésions comprimant la moelle. De la possibilité d'en dé
iété de Neuro- logie, 10 février igio). 167. Vertige voltaïque et lésions auriculaires (Bulletins el Mémoires de la Société
avril igio). 171. Sur la possibilité de déterminer la hauteur de la lésion dans les paraplé- gies d'origine spinale par ce
Perturbation dans les mouvements des globes oculaires à la suite de lésions labyrinthiques expérimentales (en collaboration a
s expérimentales Il Paralysie diphtérique . 17 Vertige voltaïque. Lésions labyrinthiques expérimentales 18 Réflexes tendi
28 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
angs supérieurs. On en est, somme toute, réduit à enregistrer une lésion du sens critique, du jugement, lésion primitive
ute, réduit à enregistrer une lésion du sens critique, du jugement, lésion primitive et principale, qui, en enlevant au ma
rveux périphériques, ou plutôt, en raison de sa bilatéralité, à une lésion des centres nerveux. G. DERNY. IL Un cas d'acro
de l'amyotrophie à l'extrémité du membre supérieur, il admet que la lésion est elle-même localisée à Vêlage métamérique de l
le-même localisée à Vêlage métamérique de la main. G. D. III. Des lésions compensatrices dans l'angine de poitrine; par le
cas où l'angine de poitrine fut suppléée petit à petit par d'autres lésions qui diminuèrent notam- ment le mauvais pronosti
pronostic et les crises douloureuses de cette funeste maladie. Ces lésions compensatrices peuvent selon M. Pa- winski, évo
e insuffisance mitrale. Ces deux REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 49 lésions peuvent être relatives et absolues; elles ne sont
ateuses, ce qui provoque une insuffisance aortique. En général, ces lésions dimi- nuent la tension artérielle et permettent
sent un plus grand effet. La suppléance qui se fait en créant des lésions moins dange- reuses est très importante au poin
peut produire. Il faut qu'au moment de la production de nouvelles lésions le malade garde le lit; le médecin doit être en é
uleur remplacent les crises d'angine de poi- trine. En général, ces lésions , en augmentant le rythme du coeur, produisent l
o-spasmodique d'origine médullaire sont en rapport constant avec la lésion de la partie spi- nale du faisceau pyramidal. L
nte entre les contractures (et l'état spasmodique) d'une part et la lésion du faisceau pyramidal, de l'autre, par quel mécan
la lésion du faisceau pyramidal, de l'autre, par quel mécanisme la lésion ou l'absence des faisceaux pyramidaux entraine-t-
on objecte : pourquoi la contracture n'apparaît- elle que quand la lésion atteint la partie sous-protubérantielles du fai
polynévrite. III. Paralysie généralisée de type mixte traduisant la lésion com- binée des deux éléments du neurone périphé
du faisceau pyramidal. Les poumons et le foie présentaient quelques lésions tuberculeuses si peu prononcées que l'examen cl
lymphatique du nerf optique, lequel peut, à lui seul, produire des lésions graves de ce nerf et conduire à la cécité, sans
de la tem- pérature. A l'autopsie, on constata, du côté droit, des lésions d'endo-périartérite ancienne de.la cérébrale mo
tionnées, mais il n'y avait pas de ramollissement périphérique ; la lésion était centrale, située au noyau lenticulaire. I
nécrobiose du bulbe. Cette observation montre la bilatéralité des lésions et leur symétrie, ainsi que la précocité des lé
latéralité des lésions et leur symétrie, ainsi que la précocité des lésions ; celles-ci sont surve- nues, en effet, dans le
rième année après l'infec- tion syphilitique. Elle montre aussi des lésions d'endo-périartérite d'âge différent, évoluant s
au point de vue gynécologique, sept seulement n'ont présenté aucune lésion des organes génitaux, soit environ une proporti
environ une proportion de 89 p. 100 de femmes aliénées affectées de lésions de l'appareil génito-urinaire. Nous devons dire
aire. Nous devons dire que nous comprenons sous ce titre toutes les lésions inflammatoires ou autres, en excep- tant toutef
rusque- ment des troubles organiques graves, survenus à la suite de lésions organiques ou de néoplasmes très étendus. De mê
yland), déclare que 60 p. 100 des folles internées présen- tent des lésions des organes pelviens. Isabel Dowenport, à l'hô-
les rapports qui peuvent exister entre les maladies mentales et les lésions de l'appareil génital de la femme, ne pouvait ê
s chez lesquelles l'affec- tion mentale a évolué parallèlement à la lésion des organes géni- taux. La guérison, à la suite
onnabilité excessive, l'atten- tion toujours appelée vers certaines lésions des organes génitaux, dégénère en une obsession
me temps, il prévient l'épui- sement qui peut résulter de certaines lésions (fibromes avec hémorragie) et il supprime, dans
tant ; il démontre les bienfaits de la gynécologie appliquée à des lésions de peu d'importance mais susceptibles dé prolonge
délire n'est souvent que l'expres- sion de la douleur, atteintes de lésions organiques ou inflamma- toires, dont elles sera
rapide et généralement connu, les localisations topographiques des lésions affectent une variabilité et une irrégularité q
e ou leur tégument cutané, pour voir s'il ne s'y trouve pas quelque lésion en activité. Percutez leurs réflexes rotuliens,
rus a le même volume des deux côtés. De plus il y a il gauche une lésion ccrliculairs : dans les mouvements passifs de l'é
ter4, etc... L'hy- pothèse de troubles trophiques consécutifs à une lésion arti- culaire était plausible, puisque l'examen
rvation des réflexes, la répartition rigoureusement unilatérale des lésions , devaient inspirer des doutes, et d'autres cons
t il ne pense pas beaucoup. On peut encore invoquer en faveur d'une lésion superficielle du cerveau la céphalalgie presque
émiplégique infantile ? 11 semble plus logique de suppo- ser que la lésion cérébrale a retenti sur l'autre côté en frap- p
et il ne serait pas sans intérêt de rapprocher de pareils faits les lésions cérébrales observées dans certaines monstruosit
et de conserver la calotte crânienne pour bien voir et décrire les lésions . Bourneville. REVUE CRITIQUE. 1. Apuntes para
; par le professeur Kov ALEYSKY. On a observé chez les lépreux les lésions suivantes : ménin- rites. hydrocéphalies aiguës
Ces données permettent de poser les conclusions suivantes : 1° des lésions du système nerveux central ont été observées chez
on des déments séniles, des paralytiques généraux, des déments avec lésion circonscrite, etc., qui sans nulle conscience s
Quelques mois après elle succombait et on trouvait à l'autopsie des lésions que M. Tou- louse attribue à une paralysie géné
TES. ibis lysie générale et meurt trois mois après et cependant les lésions histologiques seraient celles d'une vieille mén
s épileptiques et qui sont fréquents dans les cas s'accompagnant de lésions organiques. M. DoorsEUEVr n'a observé au contra
mment expliquer alors la surdité de ces deux jeunes filles ? Aucune lésion organique ne la justifie : seule l'hystérie parai
on. (13.). SOCIÉTÉS SAVANTES. 159 corne postérieure droite; cette lésion persistait dans toute la hau- teur de la colonn
n de l'anesthésie était la même que celle qui serait résultée d'une lésion radiculaire. M. Brissaud. Celte lésion des fibr
qui serait résultée d'une lésion radiculaire. M. Brissaud. Celte lésion des fibres radiculaires existe peut- être ; le
l`c sensibilité. M. Ballet. Il est assez difficile de localiser une lésion protu- bérantielle. Un homme est atteint d'une
mes feraient songer à un syndrome de 13rown-SéIJuard traduisant une lésion de la moitié gauche de la moelle cervicale. Une
elle cervicale. Une paralysie alterne de la sensibilité indique une lésion dans la région supérieure de la protubérance, lés
té indique une lésion dans la région supérieure de la protubérance, lésion intéressant la bandelette de Reil et le trijume
ésion intéressant la bandelette de Reil et le trijumeau. Mais cette lésion ainsi localisée n'explique pas les troubles de
bles de la moitié du bras et de la jambe gauche. Faut- supposer une lésion unique intéressant la bandelette de Reil et le
gné le faisceau pyramidal, d'autre part, ou faut-il admettre deux lésions distinctes ? Le problème est très probablement in
lus ou moins les cellules cérébrales, et c'est le reliquat de cette lésion qui, ultérieurement, crééra l'épi- lepsie. Il y
rave eut des convulsions, puis mourut. On trouva, à l'autopsie, des lésions manifestes des cellules pyramidales des zones m
ndemne de toute altération; cependant il peut s'y produire diverses lésions matérielles. Le diagnostic surtout dans la form
'on ne peut rattacher ni à la syphilis ni à l'impaludisme, ni à une lésion locale, la thérapeutique médicale ou chirurgica
reproduisant avec plus de net- teté encore ceux que provoquent les lésions centrales ; spasmes et autres désordres viscéra
cles du côté opposé, obéissent à la fois aux deux hémisphères : une lésion unilatérale ne les paralyse jamais complètement
erons jamais de paralysies de ces musles sur uu seul oeil, dans les lésions corticales. Les muscles moteurs des paupières (
trouver d'un seul côté des troubles légers de la motilité dans les lésions unilatérales. C'est ce que va nous apprendre la
t : I, les troubles des mouvements oculaires et palpébraux dans les lésions unilatérales ; II, dans les lésions bilatérales
culaires et palpébraux dans les lésions unilatérales ; II, dans les lésions bilatérales des hémisphères. I. Dans les lésion
les ; II, dans les lésions bilatérales des hémisphères. I. Dans les lésions unilatérales. Deux ordres de faits sont à consi
lerons seulement que son origine peut être multiple : périphérique ( lésions du labyrinthe), bulbaire (lésion du noyau de De
eut être multiple : périphérique (lésions du labyrinthe), bulbaire ( lésion du noyau de Deiter), cérébelleuse (Thomas), pro
ésion du noyau de Deiter), cérébelleuse (Thomas), protubérantielle ( lésion du faisceau longitudinal postérieur), pédoncula
n corticale. Nous n'envisagerons que les cas où elle est .due à une lésion des hémisphères. - a) Déviation conjuguée de la
ette déviation stati- que des yeux' se rencontre aussi bien dans la lésion de la substance blanche que de l'écorce. L'anat
uée des yeux associée à ,l'hémiano- psie est sous la dépendance des lésions du centre postérieur sensorio-moteu1', ou de se
ntrifuges. b) Déviation conjuguée de la léte et des yeux dans les lésions du pli courbe. Grasset et Landouzy, presque en
ne façon plus rationnelle, à la lumière des notions nouvelles ? Les lésions du pli courbe déterminent de la déviation conju
ée, mais d'une façon inconstante. Rappelons d'abord que ces mêmes lésions du pli courbe déterminent aussi d'une façon incon
be déterminent aussi d'une façon incons- tante de l'hémianopsie par lésion des fibres blanches sous- jacentes (Déjerine et
sous- jacentes (Déjerine et Viallet). Or nous savons déjà que la lésion de ces fibres blanches sous-jacentes détermine en
uée de la tête et des yeux. Faut-il généraliser et dire que si la lésion du pli courbe détermine de la déviation oculaire,
de la déviation oculaire, c'est toujours par l'intermédiaire de la lésion des fibres sous- jacentes ? Ce serait peut-être
Nous serions donc tenté d'admettre la progression suivante pour les lésions du pli courbe : une lésion très superficielle e
mettre la progression suivante pour les lésions du pli courbe : une lésion très superficielle et légère ne détermine aucun
cielle et légère ne détermine aucun symptôme du côté des yeux ; une lésion un peu plus prononcée détermine de la déviation
sur les fibres centrifuges issues du centre visuel curtical; une lésion profonde détermine à la fois de l'hémianopsie et
clusion suivante : La déviation conjuguée des yeux, consécutive aux lésions du pli courbe, est due à la suppres- sion fonct
sensol'io-moteur. c) Déviation conjuguée de la tête et des yeux par lésion du centre oculo-moteur &tK<ë ? 'teM) ? I
moteur &tK<ë ? 'teM) ? II est un grand nombre de faits où la lésion , tout en étant hémisphérique, respecte le centr
ieur sensorio-moteur ainsi que le pli courbe. Il s'agit alors d'une lésion soit des circonvolutions dites mo- trices, soit
ombreux. Si les observations ne sont pas encore assez précises, les lésions assez limitées pour localiser exactement le cen
ée des yeux, habituellement asso- ciée à l'hémiplégie motrice, sans lésion ni du pli courbe, ni du lobe occipital, est pro
lésion ni du pli courbe, ni du lobe occipital, est produite par une lésion du centre oculo-moteur antérieur. Théoriqueme
rechercherons donc quels sont les troubles produits soit par une lésion du lobe occipital, soit par une lésion du centr
oubles produits soit par une lésion du lobe occipital, soit par une lésion du centre oculo-moleur antérieur. a) Dans les
soit par une lésion du centre oculo-moleur antérieur. a) Dans les lésions du, lobe occipital. Lorsque celles-ci sont isol
gnement réflexe produit par une vive lumière; il est aboli dans les lésions du lobe occipital : une lueur intense produite
de chacun des deux lobes occipitaux, ne sont pas troublés dans les lésions unilatérales. Peut-être le serait-il dans l'hé-
e ; mais l'existence de celle-ci est trop discutable. b) Dans les lésions du centre oculo-moteur antérieur2. Lorsque cell
en partent pas- sent au-dessous du pli courbe, d'où les effets des lésions et des excitations de cette région. La lésion
'où les effets des lésions et des excitations de cette région. La lésion des deux centres (ou de leurs fibres de projec-
, une action bilaté- rale des centres moins solidement établi ; une lésion unilaté- rale pourra déterminer une véritable p
é- rale pourra déterminer une véritable paralysie, de même qu'une lésion unilatérale peut quelquefois déterminer des tro
déterminer des troubles bulbaires assez accentués. En résumé, la lésion isolée d'un des centres oculo-moteurs ne produi
minimes du côté des pau- pières ; chez la plupart des individus, la lésion des deux centres du même côté produit des troub
même côté produit des troubles légers ; dans quelques cas rares, la lésion des deux centres du même côté peut produire la
nc avoir, dans la majorité des cas, comme condition anatomique, une lésion ' Grasse). Progrès médical, l8îG, p. 106. s L
o-moteurs. Et en effet, le plus souvent, on trouve à l'autopsie des lésions très étendues ou multiples. Il est cependant qu
ons très étendues ou multiples. Il est cependant quelques cas où la lésion étant plus limitée, l'interprétation est plus d
de la convexité des deux hémisphères. Dans le cas de Chauffard, la lésion s'étendait jusqu'à la pariétale ascendante, de
é lésés simultanément. Nous ne parlons pas des autres faits oit les lésions étaient toujours multiples ou très éten- dues.
dant que la paralysie des mus- cles palpébraux puisse être due à la lésion d'un seul centre, du centre oculo-moteur antéri
contrairement à la règle, le facial supérieur est paralysé par une lésion hé- misphérique ? Faut-il voir là la conséquenc
r une lésion hé- misphérique ? Faut-il voir là la conséquence d'une lésion des deux centres oculo-moteurs ? Nous serons be
192 PHYSIOLOGIE. . II. Troubles des mouvements oculaires dans les lésions hémisphériques bilatérales. Les lésions bilatér
uvements oculaires dans les lésions hémisphériques bilatérales. Les lésions bilatérales des deux centres postérieurs sensor
ntaires se passant dans le centre antérieur sensitivo-moteur. Les lésions bilatérales du centre oculo-moteur antérieur, o
que nous devions chercher l'existence des troubles djs à une double lésion du centre oculo-moteur antérieur. Ces troubles
partie adja- cente de la frontale ascendante. Dans la profondeur la lésion atteint à peine la substance blanche ». Ces d
brusque de la main ; dort les yeux fermes. La vue est bonne; pas de lésions ophtalmosco- piques. Ces deux faits (Magnus,
ire usage de ces observations, car dans les deux cas il y avait des lésions bulbaires. Dans le premier : petit foyer de ram
ettait que l'ophtalmoplégie pseudo-nucléaire était due à une double lésion des lobules pariétaux inférieurs. ' Cette concl
uie, est peu favorable à cette opinion. En . effet, si à gauche les lésions atteignaient le lobule pariétal inférieur, à dr
c'est-à-dire en somme tout l'appareil moteur de la vision. 3° La lésion isolée du centre oculo-moteur antérieur peut pr
des yeux; b) des troubles légers des mouvements palpébraux. 4° La lésion isolée du centre oculo-moteur postérieur pro- d
pro- duit la déviation conjuguée des yeux, et l'hémianopsie. La. lésion du pli courbe agit de même par l'intermédiaire de
pital. 5° Le ptosis d'origine corticale est peut-être dû à une lésion simultanée des deux centres oculo-moteurs du même
on simultanée des deux centres oculo-moteurs du même côté. 6° Une lésion bilatérale et symétrique atteignant les deux ce
terait un rapport étroit entre la symptomatologie et le siège de la lésion . - Depuis ce travail qui tendait à faire de l'a
'établir entre l'évo- lution des symptômes et la localisation de la lésion . Le tableau symptomatiq1te de l'apoplexie progr
contre la capsule interne. La coupe pariétale pré- sente les mêmes lésions , mais plus étendues. Au niveau de la pédiculo-p
ent le troisième. La déviation de la tète et des yeux du côté de la lésion , est notée dans la plupart des cas ; lorsque l'
ué, sans aphasie. Ce fait est en rapport avec le siège habituel des lésions hémorra- giques à droite. Dans les deux cas où
- vius, dans l'espace interpédonculaire, mais du côté opposé à la lésion . En effet, le sang venant des ventricules latérau
ylviusdu côté opposé, l'écou- lement dans la scissure du côté de la lésion étant empêché par la compression du foyer hémor
au de l'apoplexie pro- gressive, on ne constata à l'autopsie aucune lésion hémorra- gique, mais seulement un peu d'oedème
er des intermédiaires qui les ratlachent. D'autre part, l'étude des lésions nous montre que l'hémorra- gie ne trouve pas st
s les divers cas de cyclopie.. Il. Ctunox. II. Recherches sur les lésions des centres nerveux consécutives à l'hypertherm
THOLOGIQUES. 219 fectieuse ou toxique et en cas de constatation des lésions dans les centres nerveux, il faut savoir distin
l'infection; attribuer en bloc à l'hyper- thermie seule toutes les lésions trouvées chez un individu mort par suite d'hype
tions qui accompagnent les maladies fébriles. L'étude attentive des lésions produites par la fièvre chez l'homme permet à l
plusieurs jours, ne semble pas être suffisante pour pro- duire des lésions semblables à celles que détermine l'hyperthermie
ébriles, où la température a dépassé 40°, il peut se rencontrer des lésions , lesquelles n'appartiennent pas toujours à l'hy
s'est maintenue à cette élévation pendant quelques heures, que des lésions analogues à celles de l'hyperthermie expérimental
e d'opinion provient sans doute de ce que M. Marinesco a étudié les lésions cellulaires après l'arrachement et non après la
son (de Manchester). (British met. Journal, décem- bre 1898.) Les lésions pathologiques peuvent se résumer comme suit : e
guère aujourd'hui question de mettre en discussion ce fait que les lésions du cervelet produisent des troubles plus ou moi
ut. Conservation des mouvements des yeux compensateurs. Diagnostic. Lésion de l'organe de station; conser- vation des cana
des mouvements. Observation II. Femme atteinte de tabes bulbaire ; lésion des 3°, 5°, 7°, z,9 ? 10", if, 12° paires. En c
ervation III. Femme atteinte d'une tumeur bulboprotubé- rantielle ; lésion unilatérale du nerf vestibulaire gauche, de la S'
rémités postérieures et l'animal meurt quelques heures plus tard de lésions intestinales graves (exp. 1 et II). La même opé
bilité de la nature hystérique des troubles psychiques, bien qu'une lésion organique primitive du cerveau ne puisse guère
c. Les dégénérations secondaires chez les animaux, consécutives aux lésions expérimentales du cervelet (avec présenta- tion
érance, des corps quadrijumeaux et des hémisphères. Les plus graves lésions , dues à l'intoxication par le poisson, se trouv
ons- tate également un spasme de cette région. L'existence de ces lésions donne l'explication des troubles nerveux réflexes
de l'extrait d'ovaire sur les troubles mentaux qui accompagnent les lésions génitales ou la castration est réelle. En même
sies générales, dont les autopsies n'ont révélé en aucune façon les lésions matérielles propres à cette affection. 13. Le d
ùition génitale; par le DI SAOTAREL. L'obsession-inhibition est une lésion de la volonté d'action ; le sujet essaie vainem
res psychiques pour supprimer la fonction bien qu'il n'y ait aucune lésion essentielle organique. La syncope géni- tale pe
quet (Victor). Les aliénés dissimulateurs. Péchoutre (Ferdi- nand). Lésions médullaires dans le tétanos et mécanisme des cont
t le grand silence. Rabaud (Etienne). Contribution Ci l'étude des lésions spinales pos- térieures dans la paralysie génér
d'origine probablement hystérique ou bien comme la résultante d'une lésion interrompant dans leur trajet les fibres de con
entaires. Nous ferons simplement remarquer que dans les deux cas la lésion intéressait dans toute son étendue la par- tie
uguée de la tête et des yeux à droite, par conséquent du côté de la lésion encéphalique. Toute tentative de redressement d
IE. 281 point n'est atteint de ramollissement. Il s'agit donc d'une lésion centrale et c'est pour la mettre en évidence qu
supérieur que nous représentons ici. Nous avons d'abord décalqué la lésion sur un papier transparent, le cerveau préalable-
s le formol et nous l'avons rapportée sur le schéma ci-joint. Les lésions sont les suivantes : Hémorragie cérébrale ayant d
de la capsule interne (fit/, 5, A). Ne trouvant point dans ces lésions une raison suffisante de l'hémiplégie qu'avai
de l'avant-mur ' ! % ig. 5. a. substance grise; b, ,eulriculc5j c, lésions . 282 CLINIQUE NERVEUSE. le segment rétro-lent
. Mort dans la journée du 25 mars. Autopsie. Pour la figuration des lésions , nous avons pris les Fig. G. a, subslance gri
ous avons pris les Fig. G. a, subslance grise; G, ventricules; c, lésions . SUR L'AMÉNORRHÉE D'ORIGINE NERVEUSE. 285 mêm
ure qu'on s'élève; cependant, il faut dire que partout où existe la lésion , les parties essentielles (partie postérieure d
iculaire et de la capsule interne) sont détruites. En résumé, les lésions étaient les suivantes : 1° ramollis- sement anc
on, signes d'em- physème pulmonaire. Le coeur est un peu gros, sans lésion val- vulaire. Ombilic normal ; les fesses sont
agie du cerveau. Le coeur est gros, ce qui peut s'expliquer par une lésion rénale possible ou par la présence même des lés
xpliquer par une lésion rénale possible ou par la présence même des lésions athéromateuses. Il est difficile de se prononce
ème est singulière- ment plus ardu. L'idiotie congénitale est une lésion d'évolution, un arrêt de développement de l'org
t un arrêt du développement physique. Il existe donc entre ces deux lésions une parité incontestable d'ori- gine. Chez M...
levée. Nous ne trouvons point chez M... quel- qu'une de ces grosses lésions comme en décrit M. Bourne- ville : porencéphali
halie, plagiocéphalie, etc. Il est vrai qu'il faut tenir compte des lésions histologiques probables; néanmoins on peut dire
ychique : d'où la relation que cette théorie établit entre les deux lésions . Il est alors nécessaire d'admettre que la coïn
u- sieurs individus atteints de mono ou de cryptorchidie, une des lésions les plus fréquemment causes d'hermaphrodisme, q
développent après la puberté, lorsque le malheureux porteur de ces lésions comprend et se préoccupe de la situation social
ies des perturbations viscérales instables et non rattachables aune lésion des organes intéressés doivent faire porter les
relatifs 1l ce phénomène et conclut à la syringomyélie ou à quelque lésion obscure de l'écorce comme origine. F. B. XX.
tieuse du plexus brachial, sans toutefois exclure la possibilité de lésions poliomyé- litiques. G. D. XXI. Insuffisance n
f, de ses racines et de la moelle épinière a révélé l'existence des lésions suivantes : Au niveau de la zone d'infection, l
t dans la tunique externe de certains vaisseaux. Dans la moelle les lésions localisées au- dessous de la IVe lombaire, du c
gliques. Nulle part, dans la moelle, il n'y avait des microbes. Les lésions des cellules nerveuses, loca- lisées principale
es, présentaient des altérations rappelant tout il fait le type des lésions décrites par M. Marinesco sous le nom de lésion
l fait le type des lésions décrites par M. Marinesco sous le nom de lésions secondaires. D'après l'auteur, les lésions du n
Marinesco sous le nom de lésions secondaires. D'après l'auteur, les lésions du nerf dans la zone d'infection 310 REVUE DE P
de proche en proche jusque dans la moelle, ont donné naissance aux lésions vascu- laires, interstitielles et parenchymateu
opaga- tion s'est faite directement par les voies lymphatiques. Les lésions parenchymateuses du nerf ont elles-mêmes réagi
mes réagi à distance sur les centres nerveux, déterminant ainsi des lésions cellulaires secondaires qui ont été constatées
oelle. Si, au contraire, il s'agit de poisons très diffusibles, les lésions centrales seront très accusées, avant même qu'il
lésions centrales seront très accusées, avant même qu'il existe des lésions manifestes dans les nerfs. A. Fenayrou. XXIV. A
les formes par un symptôme dominant, et résultant nette- ment d'une lésion métamérique bien déterminée. Le symptôme labyri
dans l'obscurité, surdité, bourdonnement, vertiges, etc.), dû à la lésion de la plus grosse, la plus active, la plus impo
ade est un homme robuste d'âge moyen. L'auteur estime qu'il y a une lésion au niveau de la couche optique, tout en admetta
diques des muscles des membres, le tremblement qu'il attribue à une lésion des cellules motrices cérébrales ou tout au moi
l'anatomie pathologique des hémichorées pré et post hémiplégiques : lésion de la partie posté- rieure de la capsule intern
l'expression réflexe des émotions dans la face du côté opposé à la lésion thalamique) laisserait supposer que la couche o
méthodes d'exa- men de Marchi. L'auteur conclut à la probabilité de lésion domi- nante dans les paralysies diphtériques, c
ns chroniques ou de suppurations de l'oreille moyenne, ou encore de lésions pathologiques de la base du crâne. Dans ce cas,
un moine de quelques livres qui s'est échappé du manche. Il y a eu lésion des parties molles, un peu d'étourdissement. sa
8° le pied de Friedreich. En outre dans l'observation 1 il y a une lésion destruc- tive chronique des poumons, dans l'obs
1 322 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. mais il repousse l'idée d'une lésion cérébrale, encore plus celle d'une lésion' du n
dans son trajet intra-osseux. Le trismus serait dû, pour lui, à une lésion légère des téguments de la tempe chez un sujet
etits grains de la substance chromatique, il ne s'ensuit pas que la lésion du cor- don postérieur ne dépende point d'un tr
difi- cation primitive de la cellule en question, mais l'absence de lésion anatomique ne permet pas d'en contester l'exist
émipa- 324 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. résie gauche persistante. Lésions des cordons postérieurs sem- blables à celles d
celui d'un processus jeune. L'hémiparésie doit être rattachée à la lésion primitive des cellules pyramidales des ascendan
ules pyramidales des ascendantes. Ce l'ait permet d'admettre que la lésion des cordons postérieurs émanait d'un trouble pr
mes qui ne'sont, en fait, que des réactions du cerveau à l'égard de lésions probablement syphi- litiques mais qui produirai
econdaire qui peut être regardée non seulement comme le résultat de lésions organiques, mais encore comme le produit de tro
ictoire de la paralysie générale. Enfin, l'examen psychologique des lésions de l'encéphale a donné dans les cinq cas, la pr
, devait être écarté. M. 1\nccorTE a fait l'examen histologique des lésions présentées par deux des malades de M. J. Voisin
usion com- mune : On n'a pas découvert dans le cerveau de Vacher de lésions pathologiques. Observation d'acromégalie chez
ie générale la vigueur du délire soit conditionnée par l'état de la lésion alors que son existence ne l'est que par une pr
personnelles, M... essaie de différencier un groupe particulier de lésions médullaires, caractérisées principalement par l
paralysie du péronier font admettre qu'il s'agit dans ce cas d'une lésion de la queue de cheval. \ Observation II. Homm
le domaine de ce nerf. Les sphincters sont intacts. Diagnostic : Lésion de la queue de cheval, principalement à la haut
s sphincters et les réflexes rotuliens sont intacts. Diagnostic : Lésion probablement combinée et limitée (hémato- myéli
cine sacrée. Discussion. M. l\10URAVIEFF a observé plusieurs cas de lésions médullaires du même type à évolution chronique.
des paralysies, la bilatéralité et le carac- tère segmentaire de la lésion , dans l'absence de toute cause d'embolie doit f
fin du deuxième mois, et parfois même plus tard, se développent des lésions dégénératives des racines postérieures et des c
variable dans la maladie de Little. De plus, il existe toujours une lésion cérébrale, mais très variée de siège, de nature e
ée de siège, de nature et d'm- tensité. En résumé, il n'y a pas une lésion unique, ainsi que l'exi- gent les partisans de
ue, ces sujets sont sous le coup de toutes es maladies avec ou sans lésions du système nerveux. P. 1301SSlER. VARIA. L'
s idiots : Pas de mémoire. 1886. De l'idiotie et en particulier des lésions anatomiques des centres nerveux dans l'idiotie
Peuser. Grasset. - Diagnostic des maladies de la moelle (Siège des lésions ). Volume in-1G carré de 96 pages. Prix : 1 fi,.
affections, sur leur bactériologie, sur l'étendue et la valeur des lésions constatées par les méthodes histologiques récen
. Les facultés intellectuelles sont intactes ; le malade comprend LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 355 tout ce
happe en jet lorsqu'on incise la dure-mère; pas de congestion ni de lésion apparente des méninges. Les coupes de la moelle
moelle qui est ferme et d'aspect normal ne révèlent non plus aucune lésion macroscopique. Des fragments de moelle, de bulb
, des méninges, ni des vaisseaux. Moelle. La moelle nous offrit des lésions d'autant plus accu- sées qu'on les considérait
clinique de J'affec- tion. Au niveau du renflement lombaire, les lésions sont très avancées, particulièrement dans la co
nt pour le colorant des degrés d'affinité différents. A côté de ces lésions , d'une interprétation si délicate et qui varien
elles sont rendues moins frappantes par les déformations concomi- LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 357 tanles d
orps cellulaire. Nous chercherons plus loin à interpréter certaines lésions qu'il nous suffit de mentionner ici : nous avon
grandes cellules de la moelle. Au niveau du renflement ce1'vicalles lésions cellulaires sont beau- coup moins accentuées :
ncées qu'au renflement lombaire : cela seul semble indiquer que ces lésions ne sont peut-être pas forcément d'ordre patholo
itiques aigus frap- pent avec prédilection. Chez notre malade les lésions de l'hypoglosse étaient peu avan- cées, moins m
l'hypoglosse étaient peu avan- cées, moins marquées encore que les lésions de la moelle cervicale et consistaient uniqueme
petit nombre de cellules. D'autres étaient vacuolées. Ces quelques lésions avaient à peu près complètement disparu au nive
s (Ballet et Marinesco) qui ont étudié les 358 CLINIQUE NERVEUSE. lésions secondaires des cellules d'origine de l'hypogloss
lus petites que celles de l'hypoglosse est encore moins altéré. Les lésions sont en tout cas plus nettes que celles du noyau
es éléments conjonctifs (méninges, vaisseaux) ne présentent que des lésions minimes dans toute la hauteur de la moelle et d
lules nerveuses altérées. Les vaisseaux ne présentent nulle part de lésion de leur tunique interne. On trouve cependant au
te à un petit nombre de glomé- rules ; ceux-ci ne présentent pas de lésions de leurs bouquets vasculaires ; les vaisseaux d
and il est prélevé longtemps après la mort; on peut conclure de ces lésions à l'exis- tence de deux processus : un processu
i, pour ainsi dire, en activité et dont on voit les traces dans les lésions inflam- matoires des épithéliums sécrétoires. I
l'assimiler au processus qui a causé dans la moelle et le bulbe ces lésions électives des éléments nobles, lésions qui ont
ns la moelle et le bulbe ces lésions électives des éléments nobles, lésions qui ont entraîné les symp- tômes paralytiques e
i ont entraîné les symp- tômes paralytiques et la mort du malade. LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 359 Considér
stratum de nombre d'états pathologiques ou fonctionnels. Seules des lésions pour ainsi dire grossières : vacuoles, état hya
'examens faits sur des pièces prises long- temps après la mort. Ces lésions du reste sont toujours visibles, quoiqu'à des d
différentes méthodes. Dans de récents articles sur les soi- disant lésions nerveuses du tétanos, Paviot2 montra quelles in
éserves sur la méthode de \'iasl. (.luclr. de Physiologie, 1898.) LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 361 courants
e grande place dans les descriptions que l'on fait actuellement des lésions , pathologiques ou expérimentales, ou même des s
qui offrent ainsi plus de prise à l'action de l'alcool, la défor- LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 363 mation n
Toutes ces considérations nous dispensent de chercher, parmi les lésions cellulaires que nous venons de décrire, les cri
es processus pathologiques. Sauf les désintégrations profondes, les lésions évidentes que les méthodes anciennes montrent a
e sang avait été recueilli, la veille de la mort, dans une veine- LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 365 du pli d
oque infra-cellulaire (Piccinino ') que l'on attribue la genèse des lésions . , Nous n'insistons pas sur ces faits auxquels
. de Biologie, 1896. . Picciniuo..111111. di Nevrologia, fasc. 1. LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 367 I défaut
affection où celte pathogénie vasculaire a été mise en avant, les lésions sont précisément diffuses dans bien des cas aux
iqué ce fait mystérieux de la marche progressivement ascendante des lésions . Sans vouloir rejeter absolument la part de vér
nous semble intéressante surtout par la localisation exclusive des lésions aux cellules motrices des 1 Schultze. liùiieli.
motrices des 1 Schultze. liùiieli. oaecl. \Voch., 1898, n" 38. 1 LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 369 cornes a
où se réalisait l'ensemble de ce syndrome quelles que soient les' lésions constatées, médullaires ou névritiques. A l'heure
paralysies ascendantes a fourni les résultats suivants. ·1° Pas de lésions macroscopiques ni microscopiques. Cette opinion
ervation de Giraudeau et Levai- est venu combler cette lacune. 2° Lésions exclusivement médullaires. La littérature médi-
le de ces dernières années est fort riche en faits de ce genre. Les lésions signalées sont d'ailleurs fort variables comme
ées. On voit que, rare- ment, une systématisation, une élection des lésions pour les seules cellules motrices des cornes an
hée. A part ces deux cas il n'en n'existe pas, croyons-nous, où les lésions des éléments 1 Raymond. Clinique des maladies d
t accompagnées d'altérations vasculaires d'intensité variable. 3° Lésions des nerfs périphériques, soit seules, soit asso-
ésions des nerfs périphériques, soit seules, soit asso- ciées à des lésions médullaires. Ces lésions ont été mises en évide
ues, soit seules, soit asso- ciées à des lésions médullaires. Ces lésions ont été mises en évidence, surtout par Eichorst,
de Landry. Pour les uns elle ne serait jamais l'expression d'une lésion des centres, mais toujours d'une polynévrite pé
de la sensibilité, ni réaction de dégénérescence, et seulement avec lésions médullaires. C'est une question de définition.
uwerck et Barth faisant remarquer l'invrai- semblable diversité des lésions médullaires décrites dans celte affection en co
IlétersboLir,). Zeitschrifl sur lilitz. Dleclicin., 1897, p. 11j. LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 3-il 1 sont
e des altérations des cornes antérieures et une absence complète de lésions de polynévrites. Aussi l'opinion de Krewer nous
te antérieure plus ou moins accusée et que le malade meurt avec des lésions étendues à tout son neurone moteur périphérique
ones moteurs périphériques sont primitivement atteint sans aucune lésion du nerf périphérique lui-même. Faut-il dès lors
de paralysie ascendante aiguë avec symptômes purement moteurs et lésion exclusivement médullaire et lui réserver le nom d
e paralysie de Landry ? Laissant de côté les cas complexes où des lésions successives ou simultanées des différentes par-
ble de décider si nous avons ou si nous n'avons pas devant nous des lésions de polynévrite, de poliomyélite ou des lésions
as devant nous des lésions de polynévrite, de poliomyélite ou des lésions spinales quelconques*. » D'ailleurs attacher le
e confusion, puisque des tableaux cliniques assez différents et des lésions anatomiques multiples ont été décrits sous ce n
bien net, sans adjonction de symptômes accessoires, et surtout des lésions aussi exactement systématisées aux cellules, ce
que nous appelle- rions : myélite antérieure ascendante aiguë avec lésions exactement localisées aux cellules des neurones
est des cas de paralysie ascendante à forme motrice pure, dus à des lésions exclusives de la colonne motrice médullo-bulbai
ue toute autre hypothèse, la marche ascen- dante et progressive des lésions , la colonne motrice étant touchée par l'intermé
les altérations des grandes cellules pyramidales consécu- tives aux lésions de la capsule interne ; par le Dr 11RIESCO. En
uel pouvait être le sort des grandes cellules pyramidales après les lésions de la capsule interne et, dans ce but, il a exa
tales et pariétales ascendantes dans six cas d'hémiplégie due à des lésions plus ou moins anciennes de la cap- sule interne
portent exclusivement sur les grosses cellules pyramidales; mais la lésion de celles-ci dépend, d'une manière générale, de
ule nerveuse pyramidale, allant jusqu'à son atrophie à la suite des lésions du faisceau pyramidal dans la capsule interne,
progressive et invariable des neurones pyra- midaux consécutive aux lésions en foyer de la capsule interne nous démontre qu
ve aux lésions en foyer de la capsule interne nous démontre que ces lésions des cellules pyramidales sont irré- parables. (
Après la compression des fibres du faisceau de Gowers, on voit la lésion médullaire amener la perte de la sensibilité musc
statation négative, contraire à celle de Mari- nesco, prouve que la lésion initiale du tabes ne doit pas être cher- chée d
ermis. III. Faisceaux qui dégénèrent en descendant à la suite d'une lésion du cervelet. A côté des courts faisceaux qui dé
. (Neurolog. Centrcalbl., XVII, 1898 ) Voici deux observations de lésion isolée des racines, très propres à éclairer la
ec la structure des cordons postérieurs. Figures. On sait que les lésions des racines, tant de la moelle dorsale supérieure
te et ascendante. La dégénérescence descendante en rapport avec les lésions transverses de la moelle (Mlestplial, Schultze,
. Cette dégénérescence en virgule tiendrait, d'après les uns, à une lésion de la substance grise, d'après les autres, à une
uns, à une lésion de la substance grise, d'après les autres, à une lésion radiculaire. A l'exemple de Schultze, M. Schaffer
ire. A l'exemple de Schultze, M. Schaffer la rattacha en 1894 à une lésion des branches descendantes des racines posté- ri
pui à la thèse de la dégénérescence descendante consé- cutive à une lésion de la substance grise (Déjerine et Sottas, Gom-
cence des- cendante des cordons postérieurs survient dans le cas de lésion transverse totale de la moelle tout aussi sûrem
ansverse totale de la moelle tout aussi sûrement que dans le cas de lésion des racines postérieures. Puis, les faits anatomi
térieur, et l'on constate la dégénérescence de Schultze dans les lésions purement radiculaires Par conséquent la dégénéres
rescence descendante des cordons postérieurs est explicable par une lésion des fibres radiculaires descendantes et l'hypot
la formation du petit trousseau de Schullze est superflue. Dans la lésion transversale de la moelle de l'homme, les racin
e est tout à fait différente dans la ligature de l'aorte et dans la lésion des racines (Singer et ? lIÜnzer, Schaffer). Il
ines postérieures se confondent intimement avec les voisins; 4° les lésions des racines postérieures sont, contraire- ment
vraie dégénérescence de Schultze est exclusivement produite par la lésion des fibres radi- culaires postérieures ; les fi
neuvième et dixième segments dorsaux ; on ne constate pas d'autres lésions dans la moelle cervicale, mais on a réussi à su
apparaissent des phénomènes de déficit. L'autopsie ne révèle pas de lésions splanchniques ni musculaires, pas de névrite. Q
nérescences cellulaires des di- verses couches corticales, dont les lésions permettent de déchiffrer l'incurabilité. En cas
prédominance des phéno- mènes d'excitation, réparation possible des lésions légères, à la condition que le malade ne s'expo
odure de potassium au mercure. C'est pourquoi, pour combattre ces lésions scléreuses d'origine syphilitique du tabes et de
e cause ; ni syphilis, ni affection auriculaire ; point de signe de lésion des méninges à la base, de lésion de la protubé
n auriculaire ; point de signe de lésion des méninges à la base, de lésion de la protubérance. Et d'ailleurs ce n'était pa
suite de la disparition de la paralysie faciale, on ne constata de lésions d'autres nerfs périphériques. Et la diplégie à
peuvent être tout aussi bien produits par une myé- lite que par une lésion du système nerveux périphérique. 2° Les acciden
de guérir étaient la mi- graine et les névralgies, daus 60 cas; les lésions des os et des join- tures dans 29 cas; des mala
malades atteints de foyers d'encéphalite. Calmeil affirme que ces lésions sont toujours suivies de délire mélancolique. C
accès transitoire d'agitation à forme maniaque. D'après Luys les lésions du lobe cérébral droit sont pres- que toujours
- pondant à la période de début du processus nécrobiotique. « Les lésions organiques circonscrites du cerveau, dit Cul- l
ssif. Nothnagel, sur la question des troubles psychiques liés aux lésions nécrobio tiques du cerveau, ne nous apprend qu'
ET TROUBLES PSYCHIQUES. 435 Régis déclare nettement que, parmi les lésions circons- crites du cerveau, le ramollissement c
quer l'autopsie, nous n'avons rencontré le plus souvent, que des lésions généralisées résultant d'anémie, d'hyperhémie,
ment cérébral en foyer, remarquables autant par la localisation des lésions 436 CLINIQUE NERVEUSE. que par leur étendue.
ance de ramollissement au moment de leur admission dans l'asile. La lésion nécrobiotique n'avait été diagnostiquée pour au
et de diffluence du magma ramolli indi- quent manifestement que la lésion a été constituée par des pous- sées successives
la cavité ramollie. Après lavage, on distingue parfaitement que la lésion s'est formée de plusieurs foyers juxtaposés, d'
es psycho-sensoriels. L'au- topsie montra, entre autres choses, des lésions de méningo- 1 Sérieux. Archives de Neurologie,
hiques accessoires' ne sont pas en relation avec telle ou telle des lésions anatomiques. Celles-ci n'agissent qu'en produis
éphalite interstitielle : - à peine le cerveau est-il touché par la lésion que les aptitudes délirantes dusujetse révèlent,
épendymaires. A la coupe, le cerveau est pâle et ne présente aucune lésion en foyer dans les hémisphères ; pas d'ahérome a
Cervelet, 150 grammes; pâle, méninges minces non adhérentes; pas de lésions en foyer. Protubérante, 17 grammes. Le qua- tri
es, gros, bosselé, congestionné, capsule épaisse; à la coupe, mêmes lésions de dégénérescence graisseuse très accentuée.
ratoire peut se produire au cours des affections les plus diverses, lésions méningo-encéphaliques (tumeurs, hémorrhagies, p
par l'anesthésie seule ; il est probable que de môme que dans les lésions de l'intoxication arsenicale (Henschen, Elitzky e
l'hystérie aux embolies, thromboses, hémorragies, à l'urémie, aux lésions centrales du cerveau (ou polioencéphalite) l'aute
ant une extension soudaine et violente du bras, ayant détermine une lésion du radial (Oppen- heim). Gerulanus indique bien
is après un intervalle de rétablissement apparent. Et cependant les lésions graves des os avaient déchiré quelques branches
e secondaire par thrombose des vaisseaux originellement lésés. La lésion des segments antérieurs des première et deuxième
hés de l'hé- mianopsie droite, engagent à penser qu'il y a eu aussi lésion de la partie postérieure de la capsule interne
à la base. L'auteur pense que l'alcoolisme chronique a provoqué les lésions REVUE DE ^PATHOLOGIE NERVEUSE. 497 méningées
agnostic de M. Francke, entre l'hystérie et une affection spinale à lésion , il ne saurait y avoir de relation étiologique.
de M. Bernhardt (Cenlralbl. f. Nenvenheilh., 1885) montrent que la lésion du médian au niveau de l'articulation du poigne
O REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. pathologiques. On constate : 1° une lésion toxique des cellules de l'écorce ; 2° des altér
état mental (idiotie) du myxoedème est donc expliqué par les graves lésions anatomiques de l'écorce, et correspond aux symp-
e, l'absence de symptômes bulbaires, 1'uililatéralité éliminent une lésion radiculaire ou nucléaire. Ce n'est point une lé
é éliminent une lésion radiculaire ou nucléaire. Ce n'est point une lésion aiguë (hémor- ragie circonscrite, ou poliomyéli
dérable, parce qu'enfin les troubles ont continué à progresser. Une lésion bulbaire chro- nique se fût accompagnée d'autre
de convulsions fibrillaires et fasciculaires dans les deux moitiés ( lésion des trousseaux de libres qui traversent le milieu
deltuido reprend son activité. La perforation totale du cou, sans lésion d'organe vital, est tout aussi curieuse par la
pas vrai; l'acromégalie ne tient pas tou- jours exclusivement à des lésions pituitaires, Cependant nous avons eu chez notre
t les épisodes aigus des affections chroniques (paralysie générale, lésions cérébrales en foyers, délires systéma- tisés ch
it aplati le tronc nerveux. Au microscope, on ne put déceler aucune lésion histologique dans n'importe quelle branche péri
ique histologique moderne reste incapable de nous renseigner sur la lésion qui, dans la paralysie radiale par compression,
e. M. Babinski présente un malade atteint incontestablement d'une lésion bulbo-protubérantielle, avec hémiplégie alterne s
out des jambes, Elle doit être attri- buée, suivant l'auteur, à une lésion cérébelleuse. M. Robinson. Surdité verbale ment
abcès cérébral situé à gauche dans le centre ovale, sans la moindre lésion des méninges. Le pus, jaunâtre, non fétide, fut
la moelle et du bulbe. Les auteurs insistent, avant tout, sur une lésion non encore décrite; une méningite corticale inten
ts histologiques permettent de penser que l'écorce cérébrale et ses lésions entrent pour une large part dans la symp- tomat
encore si mal caractérisés. MM. Cl. Philippe et 0131',R71lllli. Une lésion bulbaire constante dans .la syringomyélie avanc
es. Dans quatre autopsies de syringomyélie avancée, il existait une lésion bulbaire placée dans la corne postérieure et da
ach. Cette situation, très par- ticulière et constante, fait que la lésion coupe les fibres sensitives émanées des noyaux,
pte en examinant des coupes sériées. Au point de vueclinique, cette lésion bulbaire, qui fait dégénérer la grande voie sensi
es en se basant sur la théorie qui incri- mine dans la scoliose des lésions musculaires, l'auteur se déclare partisan des p
isan des procédés qui s'adressent directement au squelette dont les lésions ont été constatées. Il emploie, en suivant une
ille interne dans l' - par Veragutb, 412. Angine DE poitrine. Des lésions compensatrices dansi ? par l'awnsky, 4S. An
les altérations des grandes cellules pyramidales consécutives aux lésions de la-, par illarinesco, 100. Cardiopathie (o
s dégénérations se- condames chez les animaux, con- sécutives aux lésions expérimen- tales titi -avec présentation des
ées, par Picqué et Febvré, 00. Hyperthermie. Recherches sur les lésions des centres nerveux con- sécutives à l' - expér
and, 16b. Maladies du -, par Robent, 306. Syndrome de LARDR)' par lésions exclusives des cornes antérieures (myélite as
2. - et folie, par Collotti,328. SmvcowÉLte, par CarslaAv, 814. Lésion bulbairedansla avancée, par Philippe et Obertii
29 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oces, ce qui n'a pas lieu de surprendre, étant donné le siège de la lésion dans la zone psychique du cerveau. Mais ce n'es
Mais ce qui présente un peu plus d'intérêt, c'est la nature de la lésion que nous avons observée bien plutôt que la sympto
antérieure du lobe frontal gauche nous montre le commencement de la lésion , constituée par une tumeur, demi-dure, d'aspect a
ant à expliquer cet état : 1° congestion cérébrale ; 2° névrose; 3° lésion rénale; 4° altération du sang. Il semble donner
ssion d'une cicatrice ; chez les uns ce sera sous l'influence d'une lésion cérébrale ou d'une irritation quelconque des te
ostiqué diverses localisations. Il s'agit, d'après M. Sommer, d'une lésion en foyer à troubles périodiques. . L'auteur fai
ymptôme, non d'un affaiblissement général de la mémoire, mais d'une lésion en foyer ; 2° il trouve en écri- vant les noms
ur constatation ne servira que le jour où l'on pourra constater les lésions cérébrales. - P. KERAVAL. IX. Raretés d'un as
quelle que soit la localisation, la syphilis domine l'étiologie des lésions , lesquelles sont de nature parasyphi- litique (
ce, comme les autres, s'affaiblissent et s'effacent. A l'autopsie : lésions macroscopiques cérébralesclassiques de la paral
opiques cérébralesclassiques de la paralysie générale. A la moelle, lésions histologiques multiples et prononcées, dont les p
sement jaune de l'écorce peut être considéré comme secondaire à une lésion traumatique du cerveau, si l'on ne constate pas
ire à une lésion traumatique du cerveau, si l'on ne constate pas de lésion dégénérative des artères. On sera très réservé
mes crâniens sont dus soit à l'ébranlement du cerveau, soit à des lésions cérébrales variées (cicatrices, abcès, kystes, fo
sition possible de névropathies fonctionnelles et de névropathies à lésions . Ce n'est au surplus, pas une rareté. Cette simul
ifficilement à raison de ces détails à l'origine périphérique de la lésion pathogénetique. P. K. II. NOUVELLE observation
nté- rieurs de la couche optique. On voit qu'il ne s'agit pas d'une lésion en foyer bien limitée, mais d'une lésion des pl
qu'il ne s'agit pas d'une lésion en foyer bien limitée, mais d'une lésion des plus complexes. L'auteur en rapproche l'obs
tence des myopathies primitives, c'est-à-dire des myopa- thies sans lésion médullaire ni nerveuse, le muscle lui-même étant
(hémiparaplégie et anesthésie croisées) est ordinairement dû à une lésion unilatérale de la moelle par un instrument tran
l cette autre division : 1° amyotrophies de cause médullaire ou par lésion des nerfs périphériques; 2° myopa- thies primit
es nerfs périphériques; 2° myopa- thies primitives progressives, la lésion ne porte que sur la fibre musculaire. Dans le
ites antérieures secondaires, c'est- à-dire consécutives à d'autres lésions spinales, par exemple les atrophies syringomyél
fications de réaction électrique n'en sont pas moins l'indice d'une lésion profonde, d'une lésion de la moelle ou des nerf
lectrique n'en sont pas moins l'indice d'une lésion profonde, d'une lésion de la moelle ou des nerfs. L'auteur, devant cel
ophies ne seraient pas toutes deux, au début, sous la dépendance de lésions médullaires ou nerveuses, et il propose l'hypot
l'hypothèse suivante : dans les myopathies dites pri- mitives, les lésions nerveuses profondes survenues dans les premiers
nue à évoluer dans les muscles. Dans l'observation qui précède, les lésions ner- veuses, au lieu de disparaitre, sont deven
s ou moins marquée, elle est souvent absolue. Il faut noter que ces lésions articulaires commencent par des troubles trophi
e des arthrites douloureuses, etc. ^Remarquons maintenant que si la lésion du tabes est unique quelle que soit la forme du
rescence bien que plongés dans une zone sclérosée; l'identité de la lésion ne comporte que l'identité de la région médulla
tabétique classique à l'épaule droite. . Dans les deux épaules les lésions sont identiques. La face latérale de l'épaule e
ont alors toujours subi un traumatisme. - La peau qui recouvre la lésion , excepté dans les cas exception- nels, est atte
uent sans réaction. Les arthropathies syringomyéliques dépendent de lésions médul- laires, on ignore encore quelles sont ce
pendent de lésions médul- laires, on ignore encore quelles sont ces lésions , on sait seulement qu'il y a corrélation entre
ites est facile, sinon les erreurs sont fréquentes surtout quand la lésion articulaire apparaît tout à fait au début de l'af
orme mixte, la syringomyélie type Morvan, décrite par Charcot. La lésion doit être localisée plutôt vers les cornes postér
es tropho-névrotiques. Il y a lieu de décrire à part l'ensemble des lésions articulaires qui peuvent.faire partie des sympt
début en est indolore et progressif. Les arthrites consécutives aux lésions chirurgicales de la moelle constituent de simples
r être complet il discute à la fin le diagnostic. L'hypothèse d'une lésion médullaire comme facteur étiologique est à reje
e comme facteur étiologique est à rejeter, parce qu'il faudrait une lésion parfaitement homologue des parties antérieures
le. Sans préjuger de la nature intime de cetle affection, ni de ses lésions cérébrales ou médullaires, sans rechercher non
du,côté opposé. La cause de cette paralysie croisée consiste en une lésion de la troisième paire et du pédoncule cérébral
ues troubles mentaux. Plus tard aphasie. Gâtisme. La nature de la lésion est sans doute tuberculeuse. Noter que quand l'
leuse. Noter que quand l'aphasie accompagne de signe de Weber, la lésion siège toujours dans le pédoncule gauche, ce qui t
dernier soupir. On rapporte qu'il a eu plusieurs cotes brisées, des lésions abdominales et qu'il portait des ecchymoses sur
e Marie C... a subi un traumatisme du crâne qui sans avoir causé de lésions internes a déterminé de graves accidents nerveu
trois quarts à gauche. Bien que l'ophtalmoscope ne révèle aucune lésion du fond de chacun des yeux, l'oeil gauche est pre
l est nécessaire d'établir une distinction. Il va de soi que si les lésions qui ont occasionné l'idiotie ont détruit plus o
la grande majorité des cas, chez les idiots qui ne parlent pas, ces lésions localisées n'existent pas, et c'est précisément
Il s'agit d'une paralysie générale traumatique consécutive à une lésion en foyer (hémorragie pie-mérienne et corticale) d
mérienne et corticale) déterminée par une contusion de la tête. Les lésions diffuses généralisées en ont été -la conséquenc
CH. (Jahrbùch. f. Psychiat., XII, 3.) Il y a, dit M. Redlich, une lésion anatomique fixe qui est la cause de la maladie
ties de la substance blanche, affectant la forme d'ilôts petits. La lésion , d'une netteté très grande dans les cordons posté
hauteur de la moelle, il y a des différences dans l'intensité de la lésion ; on peut presque en désigner deux centres : l'u
grenue externe des vaisseaux, ni la sclérose périvasculaire. Ces lésions anatomiques expliquent la contracture de la paral
te, il n'a pas de substratum anatamo- pathologique. P. K. VI. DES lésions anatomiques DE la MOELLE dans LES cas DE TUMEURS
vations de tumeurs cérébrales avec absences partielles de réflexes, lésion récente des cordons postérieurs qui paraît plut
rne. L'absence des réflexes patellaires pourrait s'expliquer par la lésion de la zone d'entrée radiculaire de la moelle lo
centuée dans la couche optique et dans les deux nerfs optiques sans lésion de la bandelette optique. Pas d'altération dans
d'épilepsie vraie et persistante a été noté 24 fois; dans 23 cas la lésion portait sur la tête ou le corps, et dans un seul
ns un grand nombre de cas, la dépression mentale est associée à des lésions organiques bien nettes : à l'asile de Gar- land
ut de la maladie elle meurt, et à l'autopsie on trouve entre autres lésions de l'oedème avec hypérémie du cerveau et des mé
le communique dans le Progrès médical, p. 709 (Nouveaux exemples de lésions tuberculeuses dans la moelle épinière) un nouve
affections de la base du cerveau se compliquent presque toujours de lésions spinales. Dans la thèse de Châteaufort 1878, on
roubles sensitifs dans la tuberculose aiguë et les rat- tache à des lésions anatomiques nerveuses. Cette même année encore,
rons seulement remarquer ici que l'on peut, en effet, rattacher aux lésions anatomiques les diverses douleurs et paresthési
rmes coexistent presque toujours ensemble et sont accompagnées de lésions des méninges et d'une leptomyélite corticale et g
men microscopique très détaillé de la structure de la tumeur et des lésions consécutives de la moelle. Un nouveau cas de tu
pri solilar zich nadorech puvodu infekëniho (Considérations sur les lésions de la moelle produites par les tumeurs d'origin
ux, mais pas de troubles bien nets de la sensibilité provoquée. Les lésions des sommets ont fait des progrès. Craquements,
de la moelle cervicale, on ne trouve pas macroscopiquement d'autres lésions visibles. On a soumis à l'examen microscopiqu
à cause de la coloration des bacilles tuberculeux. . Quoique les lésions trouvées dans la moelle ne diffèrent que par l'
l'intensité du processus morbide, nous allons décrire cependant les lésions trouvées dans chaque portion nommée ci-dessus. No
abondante de la névroglie autour du canal central. A côté de ces lésions , on voit, dans le faisceau de Burdach, du côté
point où l'on trouve l'infiltration surtout abon- dante. II. Les lésions de la moelle cervicale de la seconde portion, son
(partie supérieure). C'est dans cette partie que l'on rencontre les lésions les plus intenses. Dans la pie-mère, les infilt
ères généraux, on constate dans cette partie de la moelle les mêmes lésions que nous avons indiquées dans la partie supérieur
a partie supérieure. Mais elles y sont beaucoup moins intenses. Ces lésions envahissent surtout le cordon laléral et le cor
le canal central et dans la pie-mère nous avons remarqué les mêmes lésions que dans la partie supé- rieure. Le cordon post
la pie-mère, dans les racines spinales et dans la moelle, soit des lésions diffuses inflam- matoires, soit des nodules tub
ation mentionnée est assez difficile. Pouvons-nous supposer que les lésions , trouvées dans les deux commissures grises, ont
iten, Er- laugen, 1870. Dans le cas de M. Rosenthal, il y avait des lésions autour du canal central. Archives, t. XXX. 13
légie complète ou incomplète. Cette paraplégie est accompagnée de lésions de la sensibilité, de l'innervation de la vessie
s de la sensibilité, de l'innervation de la vessie et du rectum, de lésions trophiques, etc. La mort survient réguliè- reme
s souvent, l'aspect d'une myélite transverse. Le diagnostic d'une lésion organique de la moelle n'est point difficile. P
s réflexes rotuliens, par exemple, et la sensibilité dissociée. Les lésions isolées, ou même quelquefois les lésions plus dif
sensibilité dissociée. Les lésions isolées, ou même quelquefois les lésions plus dif- fuses, qui se propagent graduellement
elle. Nous hésitons à penser, avec Hutinel, que dans son cas, les lésions trouvées sur les méninges expliquent suffisamment
a disparu. - 24. II. Mort. Diagnose : Paraplégie consécutive à des lésions en îlots dans la partie inférieure de la moelle
e même aux tubercules contenant les cellules géantes. - Outre ces lésions , on trouve une prolifération conjonctive dans l
névroglie produisent des PSYCHOSES DE DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. 201 lésions très considérables de nutrition. Il s'ensuit une
es dans la continuité, et des scléroses secondaires causées par les lésions provenant de l'interruption des cordons... En c
éristique. Notons en passant que nous n'enregistrons aucun signe de lésion en foyer. L'histoire antérieure de la malade éc
opérations intellectuelles. Comment se traduisent les maladies, les lésions du cerveau ? Elles se traduisent par des troubl
les psychoses de la vieillesse. Les troubles de la circulation, les lésions cardiaques, les lésions rénales sont très fré-
llesse. Les troubles de la circulation, les lésions cardiaques, les lésions rénales sont très fré- quents. Il est probable
. 6° Cela paraît d'autant plus probable que chez les vieillards à lésions circonscrites du cerveau ou atteints de démence s
ransitoires, sans ressemblance avec la folie proprement dite. ? Les lésions du coeur sont très 224 SOCIÉTÉS SAVANTES. fré
corps thyroïde n'est point volumineux, il n'en existe pas moinsdes lésions constantes de la glande. On venait d'ailleurs d
en jeu par des causes multiples. En matière de système nerveux, la lésion n'est rien, la localisation est tout. Cette local
s étiologiques disparates. Le chapitre le plus important vise les lésions du corps thyroïde dans la maladie de Basedow. O
' Plus tard MM. Joffroy et Achard insistent sur la constance des lésions diverses (kystes, sclérose) du corps thyroïde che
stes, sclérose) du corps thyroïde chez les base- dowiens ; mais ces lésions banales se retrouvent chez des sujets indemnes
demnes de tout symptôme de goitre exophtalmique. S'agirait-il d'une lésion spéciale, d'une hyperthyroïdite avec une augmenta
de, un état d'irrita- tion vaso-motrice etvaso-sécrétoirequicrée la lésion thyroïdienne. La preuve de cette explication se
ïdes, mais par contre, chez la plupart, nous avons pu constater des lésions histologiques importantes. Ces lésions histolo-
nous avons pu constater des lésions histologiques importantes. Ces lésions histolo- giques, qui souvent transforment la gl
existence d'un type de fièvre liée au goitre exophtalmique et d'une lésion particulière (sclérose intralobulaire effaçant
ogique fut mon instrument d'investigation. J'ai d'abord cherché une lésion en dehors du système nerveux central, où rien d
re microbien, résulter d'une auto-intoxication, d'une extension des lésions neuraxiales préalables, ou se réduire à une actio
C'est la période fonc- tionnelle. L'hyperthyroïdisation crée une lésion de la glande. C'est alors la thyromucoïne qui p
lobes thyroïdiens sont hypertrophiés parfois considérablement. Les lésions histologiques, correspondant à cette hypertrophie
de la ma- ladie de Basedow, a cherché à rattacher la maladie à des lésions destructives du corps thyroïde (trouble de son
sa manière de voir en tenant compte des nouveaux faits acquis. Les lésions invoquées par M. Joffroy se retrouvent (Brissau
cirrhose hypertrophique (Bris- saud) mérite confirmation. Quant aux lésions histologiques décrites par M. Renaut, elles son
thyroïdisation provoque dans la glande elle-même, chez l'homme, les lésions de Renaut. Les causes morales, infectieuses ou to
tion. Nous avons vu en effet que l'organe cardiaque est le siège de lésions graves; une péricardite ancienne et une hypertr
'oedème cérébral, mais elle ne manque pas dans les cas anciens. Les lésions des méninges sont parfois bien peu accusées dan
e affirmer la paralysie générale; l'absence d'une quelconque de ces lésions ne peut pas davantage 1 Voir Archives de Neurol
re l'existence de la paralysie générale. Il en est de même pour les lésions microscopiques. L'atrophie des fibres à myéline
t anatomique : 1° l'en- céphalite sous-corticale, dans laquelle les lésions intéressent la subs- tance des hémisphères plus
misphères plus que l'écorce. Au point de vue clinique, symptômes de lésions en foyer (l'auteur a observé un cas d'atro- phi
erling insiste sur l'importance des altérations médullaires (tabès, lésions des cordons pyramidaux). Dans l'encé- phalite s
phalite sous-corticale progressive, il y a vraisemblablement des lésions vasculaires. Pour ce qui est de la folie présénil
ne dans la région antérieure du cerveau; en outre, on observe des lésions de la moelle. M. GAUSER accorde un rôle étiolog
ncontre dans plus de la moitié des cas. On ne peut pas dire que les lésions vasculaires de la paralysie générale ne sont pa
ue les lésions vasculaires de la paralysie générale ne sont pas des lésions syphilitiques. Ce qui est vrai, c'est qu'actuelle
s bien des cas on peut distinguer 12s symp- tômes provoqués par une lésion en foyer de ceux qui relèvent de la paralysie g
nérale. Les difficultés deviennent considérables quand il s'agit de lésions en foyer multiples. Le diagnostic est souvent i
surmenage). La perte - des réflexes pupillaires est un symptôme de lésion en foyer. Chez -l'animal ces réflexes peuvent ê
doit être séparée de la paralysie générale. La maladie, due 'à des lésions athéromateuses des vaisseaux, débute de quarante-
a de l'hémiparésie. A l'autopsie : arlério-sclérose généralisée : lésions rénales. Le cerveau est peu atrophié. Les gaine
state l'existence de petits anévrysmes, de petites hémorragies, des lésions en foyer (microscopiques), de la névroglie au v
ente avec cette forme de grandes analogies. Il est probable que les lésions cérébrales sont les mêmes. M. ALZHEI)fER fait o
ction diffuse, tandis que l'atrophie artério-scléreuse présente des lésions en foyer. M. VOGT lit un travail sur les faisce
faits sur lesquels le présent travail se fonde n'ont pas trait.à la lésion que nous considérons comme la caractéris- tique
des centres nerveux. Nous n'avons pas la prétention de décrire des lésions nouvelles, car les détails sur lesquels nous vo
s rapports particulièrement étroits avec la syphilis, il existe des lésions diffuses, portant sur les vaisseaux et le tissu c
jonctif et étendues à une très grande partie de l'axe nerveux; ces lésions diffuses, considérées indépendamment de leur élé-
telle espèce nosologique. En d'autres termes il nous semble que les lésions vasculo-conjonctives caractéristiques de cha- c
unis, qui ont passé sous nos yeux ont régulièrement présenté des lésions diffuses faites exactement sur le même type. Nous
x d'aspect; l'embonpoint est conservé. La moelle ne présente pas de lésion apparente, sauf un certain degré d'épaississeme
piqueté congestif très marqué, mais en aucun point on ne trouve de lésion qui puisse expliquer l'ictus terminal. Les vent
rappelant par con- séquent la disposition qu'affectent souvent les lésions syphilitiques en évolution des veines. La par
a région dorsale SUPÉRIEURE, méninge au niveau du faisceau latéral. Lésion d'une veine, dégénérescence des éléments morbid
mince, tantôt épaissie en quelque point ou circulairement, mais la lésion la plus remarquable est l'absence presque compl
e formation. La moelle elle-même ne paraît pas avoir souffert de la lésion de ses vaisseaux nourriciers. En aucun point se
la protubérance, on constate sur les artérioles et les veinules des lésions analogues ; leur tunique adven- tice contient d
e, même sur les lobes occipitaux, est infiltrée de noyaux ronds. La lésion est iufiniment plus intense sur les lobes front
ble pourtant qu'un certain nombre de fibres ont disparu; mais cette lésion est très peu importante. Un nerf musculaire pris
l'ensemble du système nerveux central. Il est bien évident que les lésions décrites dans la moelle et localisées à ce nive
, qui frappe particulièrement l'élément conjonctif, dans lequel les lésions spéciales des vaisseaux jouent un rôle prépondé
he du processus inflammatoire n'indique pas néces- sairement que la lésion est très ancienne, car nous savons que des lési
sairement que la lésion est très ancienne, car nous savons que des lésions semblables, plus ou moins arrêtées dans leur év
celui qu'elles avaient dès le début. D'autre part l'extension de la lésion au cerveau, où elle forme cette mé- ningo-encép
le substratum anatomique de la paralysie générale, et l'absence de lésions des cordons postérieurs donnent au cas actuel u
as actuel, il est certain qu'elle ne doit être rapportée ni à une lésion des nerfs, ni à une altération des racines, ni à
se laissent faci- lement décortiquer, ils ne présentent pas d'autre lésion apparente qu'une concestion marquée et un certa
ar- min sur des rondelles de moelle, ne présentent pas la moindre lésion ; elles sont aussi nombreuses et aussi belles que
s colorées à rhématoxylinp va maintenant nous faire connaître des lésions de la pie-mère et des vaisseaux médullaires, qui
ie et infiltrée. Les racines antérieures, sans présenter la moindre lésion de leurs Fig. 11. 4j);¡¡j;ERVATlON II. Coupe
on ne s'observe qu'au niveau des cordons postérieurs. · Outre ces lésions irritatives, les vaisseaux des régions dégénérées
UDE SUR LA \IÉNINGO-\IYÉLITE. z) 89 dominent dimir.ué; il gauche la lésion parenchymaleuse est extrê- mement considérable;
te du tissu est fibreux et présente des tubes extrêmement fins. Ces lésions se prononcent encore et les tubes conservés dim
erfs du bulbe ont leur gaine épaissie et infiltrée, mais sans autre lésion appréciable. Les noyaux d'origine de ces différen
rices et de la pointe du lobe temporal. Pourtant il n'existe pas de lésions des fibres tangentielles, sauf au niveau du gyr
du pied ne présentent plus qu'un petit nombre de fibres saines; ces lésions sont moins avancées au niveau de la jambe. Les
. manifestes de méningo-encéphalite . La méningite accompagnée de lésions veineuses considérables, ne diffère en rien au po
, de la protu- bérance et même des circonvolutions cérébrales d'une lésion de même nature, montrent avec la dernière évide
lésion de même nature, montrent avec la dernière évidence que les lésions systématisées des cordons postérieurs n'ont aucun
très régulière de l'infiltration, son ancienneté prou- vée par les lésions scléreuses de la base de l'encéphale montrent b
s de la base de l'encéphale montrent bien qu'il ne s'agit pas d'une lésion infectieuse banale, évo- luant sous la dépendan
s de la moelle elle-même ne participent que relativement peu à la lésion inflammatoire. ' Nous ferons remarquer, sans vo
Les artères cérébrales sont saines. Le cerveau ne présente' aucune lésion appréciable. Les autres organes n'offrent aucun
nte' aucune lésion appréciable. Les autres organes n'offrent aucune lésion intéressante; il n'existe aucune trace de tuber
n'existe aucune trace de tuberculose. Examen histologique. - Les lésions sont très exactement com- parables à celles du
us intense que dans le cas précédent. Il n'existe d'ailleurs aucune lésion des cellules de la moelle ni des fibres des rac
dits sont beaucoup plus infiltrés que dans le cas précédent; cette lésion n'est pas limitée aux cordons postérieurs, où l
nges cérébrales et les capillaires de l'écorce ne présentent pas de lésions appréciables. La pie-rr.èae du bulbe et de la p
. La pie-rr.èae du bulbe et de la protubérance présente les mêmes lésions que celles qui ont été décrites dans le cas précé
t;(W)f. 294 CLINIQUE NERVEUSE. ont leurs parois infiltrées; cette lésion est bien visible et facile à étu- dier surtout
; mais les tubes nerveux ne paraissent nullement atteints par cette lésion purement interstitielle'. Les moteurs oculaires
res sont assez marquées. Les nerfs cutanés du pied présentent des lésions atrophiques très marquées; on n'y voit point de
le, contemporaine des accidents qui ont amené la mort. L'aspect des lésions , leur tendance manifeste- ment nodulaire, leur
nt du fait d'une pyélo-néphrite ascendante. L'autopsie montre des lésions très avancées de tabes et des lésions de paraly
ndante. L'autopsie montre des lésions très avancées de tabes et des lésions de paralysie générale à peine visibles à l'oeil
ères présentent de l'endartérite fibreuse. En somme il s'agit d'une lésion qui ne diffère en rien de celle que nous avons
des. En somme, il s'agit là d'une sorte de foyer de condensation de lésions vasculaires que l'on retrouve éparses dans tout
avec la méninge qui, à son niveau, ne présente ni plus ni moins de lésions que partout ailleurs. La névroglie est en voie
LA MENINGO-MYÉLITE. 297 I Cette observation nous montre, outre les lésions diffuses signalées plus haut, une complication
la même plaque de myélite, à un plus foit grossissement. Méningite; lésions des capillaires. - J/émaloxyline et éosine. '
s ont trait à des tabétiques, dont un, au moins, ne présente pas de lésions cérébrales. Néanmoins, si nous fai- sons abstra
lésions cérébrales. Néanmoins, si nous fai- sons abstraction de la lésion tabétique chez les trois derniers, nous nous tr
d'entre eux, de méningo- encéphalite de même nature. L'aspect de la lésion de la pie- mère chez Wet..., pourrait induire e
dégénérescence des éléments morbides ; mais il suffit d'étudier la lésion au niveau de la protubérance et du cerveau, où el
r, nous l'avons rencontrée à des degrés divers. Dans le tabes ces lésions ont attiré l'attention depuis long- temps ; ell
cas de tabes, dont trois non compliqués de paralysie, est que cette lésion est constante, à des degrés variables ; les inf
lle-même sont plus ou moins atteints suivant les cas ; tantôt cette lésion vasculaire, qu'il faut bien distinguer de la sc
ment répartie dans tous les faisceaux ; enfin nous avons vu que les lésions vasculaires peuvent se concentrer en un point d
nt à l'opinion généralement admise, nous n'avons pas trouvé que les lésions de la pie-mère fussent beaucoup plus avancées e
chnoïde également altérée donne au premier abord l'impression d'une lésion plus intense; mais si l'on fait la part de ce q
ite syphilitique transverse aiguë; chez tous les deux il existe une lésion dif- fuse étendue à toute la moelle, constituée
re 'part, on se rappelle que dans nos observations le maximum des lésions diffuses répond toujours à la région dorsale supé
ns la myélite syphilitique transverse, on voit qu'il s'agit là de lésions singulièrement voisines. Nous n'avons pas à ins
ent voisines. Nous n'avons pas à insister sur la comparaison de ces lésions avec celles qui, dans le cerveau, sont le subst
ensent d'y revenir (loc. cit.). D'autre part, il est évident que la lésion de névrite transverse, que nous avons décrite c
e géné- rale, le tabes et les myélites syphilitiques, il existe des lésions d'inflammation, diffuse étendues à tout le syst
rtie de ce système, et en particulier à la moelle tout entière. Ces lésions sont de même nature, au point de vue histologiq
ra forcé- ment échapper les'détails les plus caractéristiques de la lésion , et souvent la lésion elle-même, si l'on n'empl
r les'détails les plus caractéristiques de la lésion, et souvent la lésion elle-même, si l'on n'emploie pas le colo- rant
me, si l'on n'emploie pas le colo- rant approprié. La forme de la lésion est suffisamment montrée par nos dessins pour q
LA \IBNINGO-11YGLITE. 301 1 de préciser la nature du processus. Les lésions de la méninge et des vaisseaux sont essentielle
purement locale, comme le montre bien la superposi- tion exacte des lésions des éléments nobles avec les lésions spécifique
la superposi- tion exacte des lésions des éléments nobles avec les lésions spécifiques du tissu conjonctif. Il nous a semb
f. Il nous a semblé, en effet, que d'une part on ne trouvait aucune lésion des cellules ou des tubes, qui ne soit en relat
lésion des cellules ou des tubes, qui ne soit en relation avec une lésion conjonctive spé- cifique, ou qui ne puisse être
puisse être rapportée à une dégénérescence secondaire partant d'une lésion mésodermique; que d'autre part les lésions vasc
secondaire partant d'une lésion mésodermique; que d'autre part les lésions vasculo-conjonctives étaient souvent plus mar-
les; nous avons même pu montrer que, dans les tabes peu avancés, la lésion conjonctive existe au niveau do nerfs radi- cul
nt encore sains. Nous nous croyons donc autorisés à qualifier cette lésion de vasculaire ou de conjonctive suivant les cas
en rien l'atteinte portée à l'élément noble. Outre sa forme, cette lésion semble encore caractérisée par son allure. Dans
ysie générale ; nous croyons pouvoir en conclure qu'il s'agit d'une lésion très peu active, susceptible de végéter fort lo
est-elle postérieure ? La préexistence de la névrite transverse aux lésions tabétiques dans les ganglions non encore attein
ait prouver que la méningite peut, elle aussi, se déclarer avant la lésion spinale ; mais nous devons- aussi dire que notr
tenus à des réserves. Sans doute la syphilis peut produire cette lésion il serait oiseux d'en donner des preuves ; mais
d'en donner des preuves ; mais elle ne produit pas seulement cette lésion , qui appartient à une catégorie particulière de
m sûr; il est souvent difficile de décider si telle ou telle grosse lésion est due à telle ou telle cause, quelle ne sera pa
ÉTUDE SUR LA. MÉNINGO-MYÉLITE. 303 l'ensemble caractéristique de lésions méningées, vasculaires et veineuses que nous av
des points donnait, il est vrai, une physionomie particulière à la lésion ; néanmoins l'examen des préparations provenant
tuberculeux, sauf le dernier, qui d'ailleurs ne présentait que des lésions très anciennes et guéries. Il est inutile d'ajo
De tout ceci nous tirons cette conclusion qu'il y a une espèce de lésion diffuse qui répond à un type histologique spécial
-être, des lé- sions circonscrites de la moelle très semblables aux lésions syphilitiques. Mais il reste possible que la sy
e que la syphilis soit la seule cause de ce processus diffus et des lésions localisées qu'il amène lorsqu'il se concentre e
u tabes et de la paralysie générale relèvent exclusivement de cette lésion diffuse ou plus ou moins inconscrite. Dès le
Adamkiewics, de Rumpf, plus tard, qui ont cherché à rattacher à des lésions vasculaires les altérations des cordons postéri
abès dorsalis, N.-Y., Med. J., janvier or) a fort bien étudié cette lésion dans un cas de tabes et a émis l'hypothèse qu'e
Mais si la méningo-myélite n'est par elle-même pour rien dans la lésion qui fait du tabes une entité morbide, elle n'en
difier en se superposant à elle. Nous avons vu qu'elle entraîne des lésions vasculaires spéciales qui se surajoutent en que
e, ainsi que l'a montré notre maître, M. le professeur Raymond, aux lésions scléreuses banales consécutives à toute dégénér
anales consécutives à toute dégénérescence ; de telle sorte que les lésions vasculaires des cordons postérieurs sont consti
sser un coup d'estampe, si nous pouvons nous exprimer ainsi, sur la lésion tabétique. Mais il est bien évident qu'il s'agi
ocessus d'inflammation diffuse qui s'étend à toute la moelle. Cette lésion mérite le nom de vasculaire ou de conjonctive e
, pour la recher- cher, des colorants muléaires électifs. II. Les lésions de l'écorce cérébrale cause de la paralysie gén
lisées de myélite syphilitique ne sont que l'exa- gération de cette lésion diffuse en des points déterminés par suite d'un
rition non moins brusque, vont cependant contre l'hypo- thèse d'une lésion organique. D'autre part, les accidents comateux
éphalite; il faut leur ajouter l'absence de fièvre. Y a-t-il eu une lésion grave intéressant le lobe frontal, par- suite d'u
-SUTURE OSSEUSE DANS LES FRACTURES FERMÉES DE LA CLA- - VICULE avec LÉSION DU PLEXUS brachial; par les Drs CHII'AULT et A.
bservations publiées dans ce mémoire sont des exemples très nets de lésion du plexus brachial par fracture de la clavicule
i lesquels on peut distinguer plusieurs variétés pathogéniques : 1° lésions immédiates du plexus brachial soit par contusio
imples, ou par les esquilles dans les fractures comminu- tives ; 2° lésions secondaires précoces par excès d'épanchement sé
r excès d'épanchement séro-sanguin dans le foyer de la fracture; 3° lésions secondaires tardives par cal vicieux ou par pse
mouvements du bras. Dans la première observation, il s'agissait de lésion immédiate par esquille ; chez l'autre de lésion
n, il s'agissait de lésion immédiate par esquille ; chez l'autre de lésion tardive par cal hypertro- phique. Le pronosti
utre de lésion tardive par cal hypertro- phique. Le pronostic des lésions du plexus brachial par fracture fermée de la cl
ctrique qui ne devient utile qu'après l'ablation chirurgicale de la lésion . E. B. XIV. CONTRIBUTION A la pathogénie DES AR
de ce travail sont les suivantes : 10 le substratum anatomique 'des lésions nerveuses des arthropa- thies neuro-spinales es
iate des agents patho- gènes (microbes, etc.). Les symptômes et les lésions anatomiques sont, du reste, différents de ceux
nt la différence est capitale entre les deux, au point de vue des lésions : alors qu'on trouve, dans toutes les autopsies d
'on trouve, dans toutes les autopsies de maladie de Friedreich, des lésions dégénératives très étendues intéressant le cord
ilibration, et dans un cas seulement une atrophie de la moelle sans lésions dégénératives. Pourtant, comment expliquer l'an
es représentatives des mouvements nécessaires à la parole (Broca) : lésion à la partie -postérieure de la troisième fronta
encore à son service une assez riche provision de mots (Wernicke) : lésion de la première temporale gauche; 3° l'aphasie de
mots propres est troublé mais le malade comprend tout (Wernicke) : lésion de la région de l'insula. Plus tard Wernicke et
segment postérieur de l'insula. Voici une autre observation. Une lésion destructive occupe le lobe temporal gauche; il
mité pos- térieure de l'insula. L'étude critique des malades et des lésions montre qu'il s'agit de cas non classés, nec plu
ramidal gauche et des cordons antérieurs et postérieurs. En résumé, lésions diffuses d'ori- gine sénile ayant provoqué des
lles sont dues à des troubles trophiques ; 3° elles constituent des lésions de dégénérescence et non des lésions inflammato
ues ; 3° elles constituent des lésions de dégénérescence et non des lésions inflammatoires; 4° la syphilis n'est pas un fac
I. Névralgie DU grand nerf occipital accompagnée DE symptômes D'UNE lésion DESTRUCTIVE DU sympathique cervical; par Alexande
et ne réagit pas. Pas de paralysie de la face. On diagnostique une lésion du sympa- thique cervical, et une opération est
ur une étendue de deux pouces : ni l'un ni l'autre ne présentent de lésion ni d'anomalie. On referme la plaie qui guérit p
lusieurs auteurs que les symptômes observés se ratta- chaient à une lésion peu étendue, mais destructive, de la moelle, lé
chaient à une lésion peu étendue, mais destructive, de la moelle, lésion dont il est, dans l'état actuel de la science, im
avec une paralysie du moteur oculaire externe gauche. - Pour qu'une lésion unilatérale produise une hémiplégie vulgaire, c
s vraisemblable. Chez la malade qui fait l'objet de cette lecon, la lésion parait devoir être due à la syphilis acquise. O
d'action des infiltrations gommeuses, il suffirait qu'une pareille lésion entourât le tronc nerveux de la sixième paire e
ssive sans hérédité similaire; 3° chorées symptomatiques de grosses lésions , tumeurs, ramollissements, embolies, etc. : a.
et hémia- théthose ; b. chorées généralisées, dans certains cas de lésions éten- dues du cerveau, par exemple dans la para
XXXVII.. L'anesthésie localisée comme guide dans LE diagnostic DES LÉSIONS DE la partie supérieure DE la MOELLE; par ALLEN S
n, part. LXVII, 1894, p. 481.) L'auteur, s'appuyant sur neuf cas de lésions localisées à des niveaux différents de la moell
s anesthésies hystériques d'une part et de celles produites par des lésions des troncs ou branches nerveux. D'accord avec M
nerveux. D'accord avec Mme Déjerine Klumpke, il re- marque que les lésions de la partie inférieure de la région cervi- cal
le de la moelle produisent un certain nombre de symptômes dus à une lésion du centre cilio-spinal. Ces faits servent en outr
térieures et les zones d'anesthésie se trouvent du même côté que la lésion et correspondent aux racines dont les prolongem
imulateurs qui viennent fréquemment se surajouter aux symptômes des lésions organiques. Elle contribue ainsi à faciliter le
e en signalant le rapport possible de cause à effet entre certaines lésions circonscrites tardives et certaines particula-
istence du syndrome athétose, sans en rapporter l'éclosion à aucune lésion valable. M. Verrier lit un travail sur l'aquapu
nom participaient seules au processus anato- mique. Désormais à ces lésions il faudra ajouter la notion d'une zone de sclér
orables à sa cons- tatation. « Ainsi dit l'auteur (page 144), les lésions constatées dans la substance blanche de nos cas
.démonstrative pour la réhabilitation du type Duchenne-Aran; ces lésions sont consécutives à la polyomyélite dont elles fo
les font pour ainsi dire partie, elles ne ressemblent nullement aux lésions patho- gnomoniques de la sclérose latérale amyo
is qu'il a apporté encore une contribution importante à l'étude des lésions dégénératives des cordons blancs de la moelle é
nnière, que le danger ne provient pas de la trépanation, mais de la lésion , il reste à savoir si l'opération présente quelqu
E DANS SON TRAJET PÉTREUX; par les Drs A. CHIPAULT et DALEINE. La lésion otitique provocatrice d'une paralysie faciale, pe
subits. Les autopsies qui ont pu être pratiquées n'ont douné aucune lésion du système nerveux central ou périphérique. P
l'aide du plessimètre. La percussion faible permet de découvrir les lésions locales des vertèbres (tubercules, périostite,
, périostite, sclérose osseuse syphilitique); la seconde révèle des lésions pro- fondes (sensibilité pariétale des épilepti
atique DE la paralysie spinale spasmodique COMME ÉPIPHÉNOMÈNE D'UNE LÉSION SYPHILITIQUE HÉRÉDITAIRE DU SYS- TÈME NERVEUX c
vaisseaux qui débutent. Ils forment le centre de chaque foyer : la lésion marche ainsi pas à pas du centre à la péri- phé
partie fibrillaire de la névroglie s'altère à son tour. Quant aux lésions des parois des vaisseaux qui ouvrent la scène,
e du processus est .moins graduelle. Dans la forme' subaiguë> la lésion s'étend uniformément à une distance assez grand
rocéphalie interne existait dans une proportion de 14,3 p. 100. Des lésions localisées ont été trouvées dans 70 cas dont 54 h
9,2 p. 100 pour les secondes. - Au point de vue de la nature de la lésion , le ramollissement jaune occupe la première pla
occupe la première place avec une proportion de 36,9 p. 100. Les lésions sont plus souvent localisées chez les hommes dans
i des aliénés atteint le poids normal s'il ne le dépasse pas. Les lésions des nerfs craniens sont relevées pour l'olfactif
cinq cas. La dégénérescence et l'atrophie du nerf optique sont une lésion relativement fréquente, Kaes l'a trouvée dans 4
e et sur les éléments constitutifs de cette zone. R. M. C. XXXVI. LÉSIONS MAL DÉFINIES DE LA COLONNE VERTÉBRALE, SUIVIES DE
tion invo- lontaires. Amaigrissement squelettique. Tout indique une lésion grave à gauche, au niveau du sillon de Rolando,
ctionnels de l'intelligence seront trouvés sous la dépendance d'une lésion orga- nique et qu'une classification des maladi
une réduction considérable. Dans la paralysie générale, l'étude des lésions des cordons posté- rieurs confirme les vues de
ue pos- sible et, pour un certain nombre d'entre eux, à figurer les lésions trouvées à l'autopsie du cerveau, sans préjuger
localisalions. De l'examen comparé des symp- tômes cliniques et des lésions , il tire les conclusions qui paraissent s'en dé
ement. Sur un total de 892 décès, on put pratiquer 830 autopsies. LÉSIONS CONSTATÉES SOCIÉTÉS SAVANTES. 407 restreignan
l'alcool, suivi de mort en quelques heures, on n'a pu observer des lésions bien caractérisées. Lorsque la mort n'est survenu
es nucléoles traités par le bleu de méthylène n'ont pas présenté de lésions . Ces altérations ne frap- pent qu'un certain no
des cellules de Purkinje. Chez un chien, mort en trente heures, des lésions analogues, mais plus accentuées, ont été consta
à myéline intra-corticales dans la paralysie générale (1884), cette lésion a été constatée chez les épileptiques, les déme
s fonctionnels; il est probable que souvent il s'agit en réalité de lésions dégénératives des fibres d'as- sociation. Le gr
une dégénération partielle des fibres d'association. De même cette lésion peut expliquer les hallu- cinatiuns des persécu
s, l'apparition des symptômes dits secondaires parait lié à la même lésion atrophique, quelque ait été le processus initia
de la maladie. L'atrophie des fibres corticales n'est donc pas une lésion appartenant en propre à la démence paralytique.
dernière affection serait caractéri- sée par la prédominance de la lésion dans les circonvolutions rolandiques. Discuss
caractérisant la paralysie générale, l'existence cons- tante de la lésion et sa localisation habituelle aux régions anté-
ré de vouloir rapporter un grand nombre de troubles psychiques à la lésion des fibres corticales. Par exemple dans les pse
était prédominante dans la région antérieure des hémisphères; la lésion est plus accentuée, chez les paralytiques, dans l
ferme l'anatomie patho- logique de la moelle épinière. Les diverses lésions de substance blanche, de la substance grise et
auteurs entrent dans des considérations intéressantes au sujet des lésions de la moelle consécutives 'aux amputations, de la
odiques, les scléroses et la syringomyélie. Il met en parallèle les lésions nécroscopiques et l'étude histologique du centre
avec ces affections spinales diverses et à l'existence fréquente de lésions centrales variées variables réalisant le substr
ur les relations qu'on a voulu établir entre cette affection et les lésions de sénilité du système nerveux. Il déclare d'un
fibres périphériques, mais aussi sur les centres. On rencontre des lésions dégénératives des nerfs périphériques (névrite pa
ubaiguës au chroniques des maladies infectieuses ou toxiques. Les lésions dégénératives des nerfs périphériques nous donnen
périmentale, et aussi sur les observations anatomo-cliniques et les lésions de l'écorce cérébrale décrites dans certains cas
s à l'asile d'aliénés de l'Alabama, l'auteur a trouvé des signes de lésions chroniques du rein chez 50 p. 100 des malades a
coïncidence mais bien un rapport étroit dû vraisemblablement à une lésion unique affectant l'ensemble du système nerveux.
al ; par le D1' Nageotte L'auteur a déjà attiré l'attention sur une lésion de névrite inters- titielle transverse qui sièg
ence secondaire du système radicu- laire extérieur, en un mot de la lésion essentielle du tabes. Le nouveau cas dont il do
te; puis, dans les nerfs radiculaires, on trouve du haut en bas une lésion légère- ment ébauchée qui subitement s'exagère
tions physiologiques que nous ignorons encore, se développerait une lésion spéciale, névrite radiculaire transverse, antér
par Hitzig. (Annali di nevrologia, fasc. I, 1891.) LXXV11. SUR LES lésions DE L4 base DE l'encéphale D4NS LE tabès; par l'
ssement consécutif du cunéus, du précunéus et du lobule lingual. La lésion s'étend jusqu'au ventricule largement dilaté, e
des lobes occipital, temporal et pariétal. Hémisphère droit. Pas de lésions en foyer, mais une atrophie manifeste du lobe o
e du lobe occipital. Les coupes des deux hémisphères ont montré les lésions suivantes des faisceaux d'association (méthode
l; tapetum droit plus pauvre en fibres que le gauche. En résumé : lésion en foyer du centre visuel du côté gauche et rup
e centre visuel droit intact au centre acoustique gauche. De telles lésions sembleraient n'avoir dû déterminer que de l'a-
les reconnaissant). Aussi Lissauer dans son étude cri- tique sur la lésion qui pouvait être admise comme cause du syn- dro
hémisphère droit. On peut expliquer le désaccord apparent entre les lésions et les symptômes observés par les altérations p
er les troubles des mouvements volontaires des globes oculaires aux lésions intéressant le raphé. Il a observé un cas dans
e, aucun autre symptôme ne pouvait faire supposer l'existence de la lésion trouvée à l'autopsie (il n'y avait pas d'exopht
le noyau présenter un aspect terne. Dans les stades plus avancés la lésion , au lieu de se limiter à la partie de la cellul
t intact ce qui prouve que l'analgésie du cubital peut exister sans lésions des nerfs périphé- riques (et aussi sans lésion
peut exister sans lésions des nerfs périphé- riques (et aussi sans lésions de la moelle). Il n'a jamais présenté l'analgés
e, dans le voisinage de l'aque- duc et du quatrième ventricule. Les lésions maxima siègent au niveau de la partie antérieur
gauche sont saines. L'examen de la moelle a révélé l'existence des lésions typiques du tabes (lesions asymétriques). . D
'alors. Les influences traumatiques sont mieux connues et outre les lésions des centres nerveux eux-mêmes, le shock émotif
ire et de l'- sensorielle, par Bechterew, 143. localisée dans les lésions de la moelle par Starr, 320. Anomalies. Rappo
is, par Clark, 395. Cervelet. Dégénérations consécuti- ves à la lésion expérimentale du- par Russel et Campell, 155. G
ification des ary- thmiques par Lannois, 318. Colonne vertébrale. Lésions mal définies de la traitées par la suspension
. Suture osseuse dans les fractures fermées de la clavicule avec lésions du , par Chipault, 308. POLIOE\C5Pn.ILITE hém
e général, par Nageotle, 47`3. - traumatique, par llitzig, 476. Lésions de la base de l'encé- phale dans le -, par Pace
tumeur dans la région des , par Weinland, 397. Tumeur cérébrale. Lésions anato- miques de la moelle dans les cas de -,
30 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
clame qu'il ne saurait y avoir de dérangement des fonc-tions sans une lésion correspondante des organes (nous di-rions aujourd
in. On prévoyait, dès l'origine, qu'un jour viendrait où toutes les lésions que l'œil nu peut reconnaître seraient définiti-v
eint de ma-ladies, puisque beaucoup d'entre elles ne possèdent pas de lésions appréciables à ses moyens d'investigation. De p
hologique se limite volontairement, et de parti pris, à envi-sager la lésion en elle-même, indépendamment des symptô-mes qui l
'il lui faut reconstruire à la lumière des notions physiologiques. La lésion qu'il a sous les yeux ne représente qu'une des ph
rgane, Si parfois, le microscope avait été employé dans l'étude des lésions , l'on n'était dirigé dans cet ordre de recherches
restreindre le nombre des maladies sans matière, en montrant que des lésions peuvent exister là où l'œil nu ne peut les aper-c
saurait l'atteindre sans établir un rappro-chement incessant entre la lésion étudiée jusque dans les moindres détails de son d
ici se résigner à reconnaître, contrairement à toute analogie, qu'une lésion fonctionnelle, un trouble des propriétés organiqu
s appréciables. N'est-il pas aisé de concevoir qu'il peut exister des lésions des éléments qui, sans altérer leur forme, s'oppo
es de l'organisme, où une dyspnée intense se montre, sans qu'il y ait lésion des poumons ou du cœur? Chez les sujets qui ont s
malheureux frappés par la foudre, l'anatomie ne révèle souvent aucune lésion appréciable ; et cependant la rigidité cadavériqu
mentation réussit à produire une glycosurie passagère, à l'aide d'une lésion traumatique. Elle reproduit à merveille les accid
ermine à volonté tous les accidents de l'urémie. Grâce à de certaines lésions du système nerveux, elle fait naître des pleurési
lards n'est pas une affection nerveuse, mais l'un des symptômes d'une lésion organique ; et Ton reconnaît aujour-d'hui que, si
Les organes semblent souffrir isolément. —• Maladies latentes. — Les lésions les plus graves peuvent passer inaperçues. — Fièv
endants les uns des autres : ils souffrent isolément, et les diverses lésions dont ils peuvent devenir le siège ne retentissent
.............On ne devra jamais oublier que dans un âge avancé, les lésions les plus graves peuvent coïncider avec un petit n
que les lois qui régissent chez l'adulte le rapport des symptômes aux lésions soient complètement interverties chez le vieillar
é-rale, il existe chez le vieillard un défaut de corrélation entre la lésion locale et l'appareil des symptômes généraux. Pare
ieu chez les vieillards à des suppurations des voies biliaires. Cette lésion se traduit au dehors par une fièvre intermittente
ment lent, pro-gressif, et pour ainsi dire latent, que se forment ces lésions organiques profondes, qu'on rencontre si souvent
é-trocession de la maladie; mais les affections viscérales liées àdes lésions matérielles appréciables sont au contraire assez
ons et d'exacerbation. A ces symptômes permanents correspondent des lésions per-manentes, d'abord du côté des jointures, puis
t qu'elles acquiè-rent parfois des dimensions considérables. Mais ces lésions extra-articulaires, qui correspondent à un degré
x et des cristaux articulaires. ÏI. Signalons maintenant d'autres lésions , qui, pour n'être pas constantes, n'en méritent p
e goutte invétérée, on peut rencontrer sur le point malade toutes les lésions de l'arthrite sèche; l'usure des cartilages, les
es jointures qui ont été malades sont les seules qui présentent cette lésion du cartilage ; on ne la trouve quelquefois que da
révéler à l'extérieur par aucune déformation appréciable. 4° Cette lésion est propre à la goutte, et ne se rencontre jamais
pathologique de la goutte viscérale. Sommaire. — Goutte remontée ; lésions fonctionnelles de la goutte. — Elles se rattachai
s où l'autopsie a pu être pratiquée, à des altérations matérielles. — Lésions organiques qui se rencontrent le plus souvent dan
tteux. — Dégénérescence graisseuse du cœur. — Athéromc de l'aorte. —? Lésions bronchiques. — Néphrite goutteuse. — Elle compren
èces bien distinctes. — Goutte du rein. — Rein goutteux des Anglais : lésions qui correspondent à cette désignation. — Dépôt d'
chez les mammifères. — Elles se rencontrent chez certains oiseaux. — Lésions du même genre chez les reptiles. — Expé-riences d
est probable que nous connaîtrions mieux l'anatomie pathologique des lésions viscérales qui peuvent résulter de cette maladie.
eut dire que la question est peu connue, au moins sous le rapport des lésions anatomiques. La néphrite goutteuse fait seule e
t qu'en pareil cas, on doit supposer au premier abord qu'il s'agit de lésions tout à fait superficielles, surtout lorsque ces a
isposé à faire rentrer les troubles de cette espèce dans le cadre des lésions fonc-tionnelles. Mais ici le contrôle de l'anatom
. 5 dans le cours d'un accès de goutte, on a rencontré chez eux les lésions ordinaires de l'hémorrhagïe cérébrale, — quelque-
superficielles qu'on ne le suppose en général. Mais il est d'autres lésions qui paraissent se rattacher à cette affection et
tères encéphaliques. E. Nous allons maintenant passer à l'étude des lésions du rein; et nous trouverons ici des faits intéres
b. Par des altérations concomitantes du rein, qui correspon-dent aux lésions ordinaires de la maladie de Bright. 11 existe d
cœur, peuvent également passer pour des conséquences éloignées de la lésion rénale. II. Ici se termine, messieurs, l'expo
de la lésion rénale. II. Ici se termine, messieurs, l'exposé des lésions anatomiques qui caractérisent la diathèse goutteu
hologie vous apprendront qu'il peut exister, chez divers oiseaux, des lésions fort analogues à celles de la goutte. Aldrovandi
infarctus ana-logues dans les articulations et dans les reins. Des lésions du même genre ont été signalées chez les rep-tile
exister dans les reins; chez la tortue, Bertin a également trouvé des lésions articulaires et rénales. Il est curieux de renc
ieux de rencontrer, chez des animaux aussi peu voisins de l'homme des lésions aussi analogues sous tous les rapports à celles d
la goutte. Mais un fait bien plus remar-quable encore, c'est que ces lésions peuvent être artificielle-ment provoquées par l'e
es peuvent intervenir pour troubler cette progression régulière : les lésions traumatiques, le phlegmon, l'érysipèle, viennent
dernes. — Définition de la goutte viscérale.— Troubles fonctionnels : lésions organiques. — Goutte larvée ; mal placée ; rétroc
e. — Manifestations hépatiques de la goutte. -Appareil circulatoire : lésions du cœur et des vaisseaux. — Mort subite. — Manife
onctionnels qui relèvent de cet état général ; le second embrasse les lésions organiques qui peuvent se développer sous son inf
iscé-rales qui, sous tous les rapports essentiels, sont analogues aux lésions articulaires de la goutte, et jouent le même rôle
Fonctionnelle. Larvée (précède^ Remontée (suit). Anatomique, avec lésions permanentes. I. Nous allons maintenant étudie
é de l'organe renferme quelquefois un liquide noir. L'ensemble de ces lésions semble indiquer une altération déjà ancienne, mal
re compte des phénomènes de la goutte stomacale, nous croyons que des lésions superficielles peuvent fort bien se produire dans
tion viscérale, si elle existe,ne nous sont pas encore connus; et les lésions hépatiques qu'on rencontre chez les goutteux se r
sme, d'endocardite, de pericardite, ni d'affections valvu-laires. Ces lésions , lorsqu'elles se rencontrent chez les goutteux, p
les, et l'on a même vu des malades mourir par le cœur. Mais alors les lésions que nous allons étudier s'étaient déjà développée
, la dégénérescence graisseuse du cœur existe. Les symptômes de cette lésion demeurent toujours les mêmes, qu'elle qu'en soit
in que l'état athéromateux des artères, qui souvent coïncide avec les lésions du cœur, peut donner lieu à des hémorrhagies céré
ternant avec les accès ; mais il ne faudrait pas confondre avec une lésion de la moelle épinière cette faiblesse musculaire
ns articu-laires très prononcées peuvent se développer à la suite des lésions , même traumatiques, de la moelle épinière (1).
il existe une seconde forme d'asthme goutteux, qui se rattache à des lésions permanentes, et coïncident surtout avec l'emphysè
es affections articulaires. Mais, à un degré plus avancé, c'est une lésion permanen-te avec catarrhe de la vessie, et d'autr
à devenir sourds; il serait fort intéressant de pouvoir rattacher aux lésions que nous venons de mentionner ce nou-veau genre d
rs, Nous avons jusqu'à présent étudié la goutte au point de vue des lésions qui raccompagnent, des symptômes qui la caractéri
ée dans l'intérieur de articulations et dans leur voisinage, comme la lésion caractéristique de la goutte. Or ces matières top
cette manière pourquoi les articulations sont le siège principal des lésions de la goutte : leur richesse en tissu fibreux les
appelée à supporter le poids entier du corps, offre fréquem-ment des lésions antérieures à toute manifestation goutteuse ; et
ieux. ONZIÈME LEÇON Du rhumatisme articulaire chronique et de ses lésions anatomiques. Sommaire. — Le rhumatisme articula
humatisme articulaire chronique. — Né-cessité d'étudier avec soin les lésions locales. Unité de cette affection. — Indication d
ra-arti-culaire ; du tissu osseux. Étude histologiquc de ces diverses lésions . — Modifications qui correspondent aux principale
ssi la proportion des pensionnaires admises dans cet hospice pour des lésions de cette espèce est-elle d'un quinzième environ p
l'avons souvent fait jusqu'ici, mais encore des malades atteints des lésions que je vais avoir à décrire. I. La dénominati
que nous signa-lons ici. Personne, on peut le dire, ne doute que ses lésions ne se rapportent bien et dûment à la goutte. Nous
gts et qui les déforment d'une façon si singulière. A coup sûr, ces lésions ont frappé les regards de bien des observateurs ;
des plus importantes, se trouvent affectées en môme temps; enfin, la lésion articulaire peut coexister avec des douleurs musc
d'être démontrée. Il faudra donc recourir à l'examen approfondi des lésions locales ; nous poursuivrons ces recherches au dou
je, dans un ouvrage intitulé : « Osteologia pompeiana », a figuré des lésions articulaires qui sont identiques à celles que nou
roisième altération, dont l'importance est au moins égale à celle des lésions précédentes, est la réfraction du tissu osseux au
e, au plus haut degré, l'atrophie des os. On expliquait autrefois ces lésions par l'ostéomalacie, le rachitisme sénile (Malgaig
tisme généralisé quelques-unes des articulations malades of-frent des lésions tout aussi prononcées que dans le rhumatisme part
nnelles, au point de vue anatomique. Sommaire. — Analogie entre les lésions du rhumatisme articulaire chronique, et celles du
pas superficielle. — Les cartilages et les os peuvent y participer. — Lésions de la synoviale. — Lésions des cartilages diarthr
rtilages et les os peuvent y participer. — Lésions de la synoviale. — Lésions des cartilages diarthrodiaux. — Lésions des os.
— Lésions de la synoviale. — Lésions des cartilages diarthrodiaux. — Lésions des os. — Nature du liquide épanché dans la cav
Nature du liquide épanché dans la cavité synoviale. — Analogie de ces lésions avec celles du rhumatisme chronique. Caractères
t sou- matisme articulaire aigu. Nous reconnaîtrons bientôt que les lésions de la forme chronique ne sont, pour ainsi dire, q
chronique ne sont, pour ainsi dire, que la plus haute expression des lésions de la forme aiguë ; elles correspondent à une pha
onsidérations sur ce point. Nous voulons pour le moment, indiquer les lésions qu'on remarque dans les join-tures, dans le rhuma
minables discussions ont eu lieu, à une certaine époque, au sujet des lésions du rhumatisme articulaire aigu. Cette affection p
cartilages et même les os peuvent participer à ces altérations. Les lésions de la synoviale ne méritent pas de nous arrêter l
aucune altération appréciable à l'œil nu, le microscope y dévoile des lésions très manifestes et probablement constantes. A u
érébraux, Bonnet avait déjà trouvé des altérations analogues (2). Ces lésions se rencontrent encore à l'état de 1. Kussmaul.
ïeissier et Bonnet (1), l'arthrite par repos prolongé donne lieu aux lésions suivantes : un épanchement séro-san-guin se forme
ertains auteurs, s'expliquent de cette manière. J'ai pu constater ces lésions chez les sujets frappés depuis longtemps d'hémipl
se sé-pare profondément de l'arthrite sèche, même au point de vue des lésions élémentaires. C'est ce que démontre l'étude des l
nt de vue des lésions élémentaires. C'est ce que démontre l'étude des lésions qui caractérisent cette maladie. Pour ce qui conc
peu vascu-laires, qui caractérisent l'arthrite déformante. Ainsi les lésions élémentaires de ces deux affections diffèrent les
l approfondi sur cette matière, s'est attaché à décrire avec soin les lésions arti-culaires de la syphilis. Il en distingue deu
re, sauf un petit noyau central. 4° Arthropathies goutteuses. — Les lésions de l'arthrite déformante présentent assez de ress
al de la goutte articulaire ; en outre, il n'existe ici au-cune autre lésion constante du cartilage. 11 n'y a point de segment
e transforment jamais pour se confondre (1). On peut considérer les lésions articulaires de la goutte commme le résultat de l
ésence d'un corps étranger à l'in-térieur des tissus : tandis que les lésions du rhumatisme, au contraire, répondent à de vérit
int de vue purement anatomique, des distractions tran-chées entre les lésions articulaires qu'il détermine, et celles qui résul
crofule et la syphilis. Il importe cependant de reconnaître que les lésions élé-mentaires dont l'ensemble constitue l'arthrit
, suivant le mode que nous avons déjà indiqué, et l'extension que ces lésions peuvent acquérir sans se compli-quer de suppurati
ain, messieurs, que dans ces conditions on peut rencontrer toutes les lésions que je viens de décrire. Mais en pareil cas, elle
opathies dans le rhumatisme articulaire aigu. Les caractères de ces lésions locales vous sont déjà con-nus; je me bornerai do
née aux arthropathies ? est-elle, au contraire, indépendante de toute lésion locale ? Il est certain que la fièvre peut souv
elle est souvent (nous ne disons pas toujours) motivée par une de ces lésions viscérales qui précèdent quelquefois les manifest
injecté de l'acide lactique dans les veines des chiens, a trouvé des lésions articulaires et des affections du cœur chez ces a
oute interven-tion artificielle. Il paraît donc bien démontré que les lésions de l'endocarde existaient d'avance; et, pour ce q
s lésions de l'endocarde existaient d'avance; et, pour ce qui est des lésions articulaires, il faut se rappeler que les jointur
et même affection. Nous avons cherché à le dé-montrer par l'étude des lésions articulaires et des caractères généraux de la mal
maladie : nous allons en trouver une nouvelle preuve dans l'étude des lésions viscérales que nous allons aborder maintenant.
eloppement prématuré de ces affections dans le rhumatisme aigu. — Ces lésions ne se manifestent que plus tard dans le rhumatism
s tard dans le rhumatisme chronique. — Différence entre la nature des lésions viscérales dans le rhumatisme et dans la goutte -
e l'histologie moderne. — Structure de la membrane interne du cœur. — Lésions inflam-matoires do l'endocarde. — Elles siègent p
. — Conséquences de cet état patholo-gique. — Embolies capillaires. — Lésions de canalisation. — Etat typhoïde. — Période chr
de la maladie. — Affections multiples qui sont la conséquence de ces lésions . — Ischémie ; gangrènes localisées. — Taches ecch
eins. — Complications diverses du rhumatisme arti-culaire aigu. — Les lésions cardiaques peuvent exister aussi dans le rhuma-ma
ussi dans le rhuma-matisme subaigu et dans le rhumatisme chronique. — Lésions de l'appareil respiratoire. — Pleurésie, pneumoni
, congestion pulmonaire. — Asthme, emphysème. — Phtisie pulmonaire. — Lésions de l'appareil urinaire. — Néphrite. — Albuminurie
sions de l'appareil urinaire. — Néphrite. — Albuminurie. — Cystite. — Lésions du système nerveux. — Affections cérébrales. — Af
système nerveux. — Affections cérébrales. — Affections médullaires. — Lésions abarticulaires de diverse nature. — Douleurs musc
nos or-ganes intérieurs ; nous aurons ensuite à nous demander si les lésions viscérales du rhumatisme aigu se retrouvent, avec
s dans sa forme aiguë), c'est le développement prématuré de certaines lésions viscérales (endocardite, péricardite, etc.), qui
ale. Il ne s'agit plus ici de troubles purement fonctionnels, mais de lésions permanentes, qui modifient la texture des organes
e à revêtir la forme chronique, plus il est rare de voir de pareilles lésions se développer pendant son cours. Un autre fait
a goutte, qu'une analogie des plus grossières ; ce sont, au fond, des lésions essentiellement différentes. Ainsi les troubles
se localisent sur la fibre musculaire, lorsqu'ils se transforment en lésions perma-nentes ; c'est alors la dégénération graiss
ire aigu, les affections du cœur se traduisent, au contraire, par des lésions inflammatoires qui portent leur action sur l'endo
vail inflam-matoire. On sait que, dans près de la moitié des cas, les lésions permanentes des valvules auriculo-ventriculaires
porter au rhumatisme cet ensemble de phénomènes. C'est donc sur ces lésions du cœur, dont la connaissance offre une si grande
carde comme une membrane séreuse, et l'on croyait retrouver, dans les lésions qu'il présente, les carac-tères de l'inflammation
rdite. On a voulu rap-porter à de simples dépôts fibrineux toutes les lésions de cette maladie (Simon). C'est là le développeme
ui est la plus éloi-gnée des vaisseaux, que siègent de préférence les lésions in-flammatoires : elles débutent d'ailleurs sur l
n permanente : d'autres fois leurs extrémités sont ulcérées, et celte lésion est la conséquence d'une dégéné-ration granuleuse
ment des arborisations vasculaires peuvent se montrer au pourtour des lésions du cœur (1). Les conséquences de cet état patho
é-diates. Tantôt les choses en restent là ; il n'y a point alors de lésions de canalisation. Tantôt le dépôt fibrineux se ram
; il se forme alors des perforations valvulaires qui donnent lieu aux lésions de canalisation les plus diverses ; la réunion de
omblé par l'allongement des deux autres; et la partie mécanique de la lésion peut guérir de cette manière. J'en ai rencontré m
ntré moi-même des exemples évidents sur le cadavre. Telles sont les lésions élémentaires de l'endocardite. Nous n'insisterons
mporte de faire ressortir ici, c'est que souvent il n'existe point de lésions de canalisation : souvent il ne se produit que de
t bien plus fréquent qu'on ne le suppose ; et en tenant compte de ces lésions rudimentaires, on augmente, dans une très grande
es, peuvent affecter presque tous les organes et donner naissance aux lésions les plus variées. A. Lorsque les capillaires de
linicien admit l'existence d'une embolie cérébrale, consécutive à une lésion valvulaire du cœur. Cette femme ayant succombé pl
e qui permet en quelque sorte de prendre la nature sur le fait. Les lésions de cet ordre sont tellement fréquentes à la suite
sion de recueillir une ob-servation intéressante, dans laquelle cette lésion se montra à la suite d'une affection rhumatismale
le, l'autre un peu plus petit. D. Les reins peuvent aussi subir des lésions analogues: M. Rayer, sans en connaître l'origine,
aladie du cœur. Les embolies capillaires du rein donnent lieu à des lésions qui ont été fort bien décrites dans la thèse de M
; mais ils ne se développent que rarement dans cet organe. G. A ces lésions , qui relèvent des embolies artérielles ou capilla
et de la pericardite dans le rhumatisme aigu, nous cherche- 1. Des lésions viscérales suites d'embolie. Thèse de Strasbourg,
régation de M. le docteur Bail (1). Mais il s'agit de prouver que ces lésions peuvent exister dans le rhumatisme chronique prop
é des manifestations pathologiques. On trouve assez fréquemment des lésions cardiaques dans le rhumatisme noueux. Un fait de
, on découvrit une adhérence générale du pé-ricarde au cœur, et cette lésion était évidemment d'origine récente, car ou parven
rès les faits que je viens de rapporter, que l'on peut rencontrer des lésions organiques du cœur dans le cours du rhumatisme ch
permis de constater : 1° Une hypertrophie du ventricule droit, sans lésions valvulaires du cœur, et sans traces de péricardit
du cœur, et sans traces de péricardite ancienne ou récente. 2° Des lésions articulaires presque complètement identiques à ce
les recherches que j'ai entreprises sur ce sujet avec M. Cornil. Ces lésions , d'ailleurs, se rencontrent toujours chez des suj
t. (Thèses de Paris, 1867.) matisme fixe sur les jointures, car les lésions de la moelle épi-nière produisent quelquefois une
autres observateurs. Il nous reste maintenant à signaler certaines lésions qui, sans occuper les viscères intérieurs, sont c
ahissement général de toutes les jointures. Mode de production de ces lésions . — Opinions diverses. — Contractions spas- modi
l côté du corps être frappé d'abord: puis aune époque ultérieure, les lésions articulaires se généralisent. 11 existe une dis
ns inverse des phalangines sur les phalanges. La première de ces deux lésions est sou-vent l'une des premières déformations qui
s, se développer sur le membre : Nous allons maintenant étudier les lésions articulaires, qui peuvent se produire sur d'autre
celluleuses et la rigidité consécutive des jointures, la symétrie des lésions , distinguent les effets du rhumatisme chronique d
articulaires. — Manifestations diathésiques. — Affections cutanées. — Lésions viscérales. Mode de développement. — Succède pa
la goutte. — Siègent au niveau des articulations des phalangettes. — Lésions identiques à celle de l'arthrite sèche. — Les aut
t sou-vent coexister avec des manifestations cutanées (1) et avec des lésions viscérales (asthme, cardiopathies) dont la signif
nner, car nous savons que le rhumatisme aigu pré-sente, en germe, les lésions de la forme chronique. B. Le début de l'arthrit
r une seule affection articulaire, et dans la jointure af-fectée, les lésions de l'arthrite déformante finissent par se dévelop
st plutôt une infirmité qu'une maladie. — Je fais abstraction ici des lésions viscérales qui peuvent en être le cortège. — Cepe
que cet auteur est le premier qui ait senti qu'il fallait séparer ces lésions de la goutte. ( Quelle est, » dit-il, dans ses
ès que la maladie regarde souvent comme des attaques de goutte. Les lésions anatomiques de cette arthropathie en minia-ture n
iculations métacarpo-phalangïennes, qui présentent, en pareil cas des lésions plus ou moins accentuées. Ces nodosités sont in
ique : dans plusieurs cas, on a constaté, sur ces débris humains, les lésions qui caractérisent cette maladie. On trouve, à cet
coexister quelquefois chez le même sujet, qui présente à la fois les lésions de la goutte et celles du rhumatisme articulaire
accidents de ce genre, lorsque la goutte est déjà ancienne et que les lésions du rein goutteux se sont déjà prononcées. Un fait
e, d'autre part, ils souffrent isolément, en ce sens que les diverses lésions dont ils peu-vent devenir le siège, ne retentisse
que chez eux, même au plus fort de la maladie, et dans les cas où la lésion est le plus éten-due, non-seulement la douleur lo
mptômes qui rappellent, jusqu'à s'y méprendre, ceux que détermine une lésion grave de l'encéphale. En gé-néral, ce n'est pas l
ercussion ; seulement, tandis que celles-ci s'appliquent sur-tout aux lésions locales, celle-là s'adresse au phénomène fondamen
étendue d'un lobe pul-monaire, qu'il est impossible d'admettre epe la lésion locale rende compte ici de l'issue fatale. Il me
n, cpie l'autopsie fait toujours découvrir, dans quel-que organe, une lésion grossière qui explique la mort. C'est alors l'éta
esse de battre aux environs de 45 degrés. L'organe ne présente pas de lésions grossières; mais son tissu a subi des modificatio
vre typhoïde, suivant Louis, et d'après Stokes, dans le typhus. A ces lésions se rattachent habituellement, pendant la vie, des
n augmentant. A l'autopsie, vous ne trouvez pas dans ces cas d'autres lésions que celles de la périencéphalite diffuse. Dans qu
uvrir, soit dans les centres nerveux, soit dans les viscères, quelque lésion ré-cente de nature à expliquer les symptômes grav
quer les symptômes graves qui ont amené la mort. On ne trouve que les lésions anciennes (foyers d'hémorragie ou de ramollisseme
et une atrophie de tout l'hémisphère de ce côté. Il n'existait aucune lésion récente ni dans les centres nerveux, ni dans les
autes tem-pératures ultimes je passe aux affections où existent des lésions récentes, en commençant par les lésions traumatiq
affections où existent des lésions récentes, en commençant par les lésions traumatiques. Depuis un fait célèbre de Brodie
lusion importante que l'élévation de la température suppose une grave lésion médullaire, tandis que si la moelle est simplemen
it la même distinction. Il ne s'agit pas seulement, d'ailleurs, des lésions de la moelle. Billroth a vu à la suite d'une fiss
s'était élevée à 40°, 9. Nous retrouvons ce même caractère dans les lésions graves non traumatiques de l'encéphale, déterminé
à l'aide duquel l'apoplexie avec ou sans convulsions résultant d'une lésion récente (hémorragie ou ramollisse-ment) peut être
baisse-ment de la température centrale (2). A la suite de certaines lésions traumatiques de la moelle, M. Brown-Séquard a obs
e de matière tophacée, mais elle nous a mis à même de reconnaître des lésions profondes, qui paraissent de nature inflammatoire
ons spasmodiques douloureuses ? 3° Comment expliquer par les seules lésions articulaires la régularité des déviations qui pré
mplètes des articulations des mains, on ne trouve le plus souvent des lésions arthritiques très pronon-cées, que dans un certai
fait montrera que cette action peut, à elle seule, en dehors de toute lésion des articulations, amener les déviations dont nou
rent notre premier type. Cependant, il n'y a chez ces infirmes aucune lésion des articulations. 6° Si, pendant la vie, on ch
s une attitude permanente produite par la rétraction des muscles, les lésions articulaires se développent et suivent leur march
lement des articula-tions déformées paraissent avoir été le siège des lésions in-flammatoires. On sait que Delpech, M. Chomel
-elles pas l'expression d'actions réflexes morbides, excitées par les lésions articu-laires? Ou bien faut-il invoquer, pour les
à un certain degré, celles du membre supérieur ont présenté les mêmes lésions à un degré plus avancé ; si bien qu'il est commun
is six, huit, dix années. Nous n'avons guère à nous occuper que des lésions qu'ont offertes les parties constituantes et acce
enté d'altérations qui se rattachent directement à notre sujet. Ces lésions étaient toujours les mômes, sauf le degré, quelle
sseur considérable. Landré-Beauvais avait déjà noté la pulpart de ces lésions dans la goutte mthénique. Les têtes des os prés
ouve-ments. Ainsi que nous l'avons déjà fait pressentir, à part les lésions qui avaient déterminé la mort, les viscères n'ont
lations étaient seules atteintes (Bouillaud, Chomel et Requin.) Ces lésions , on n'en saurait douter, sont le résultat de l'in
tteintes et le degré des altérations qui y ont été rencontrées. Les lésions trouvées, par l'autopsie, dans les jointures, éta
ques et des arthropathies, indépendantes de l'hémite. Les causes, les lésions , les symptômes, sont au fond les mêmes dans les d
ns. — Tuberculisaiion pulmonaire ; mort. — Autopsie : Description des lésions articulaires. Le 3 Mars 1851, entre dans la sal
s compléter, sur certains points, principalement en ce qui touche les lésions rénales et articulaires. I. Observation. — Ar
, ni les tophus I. De l'état du rein chez les goutteux. Parmi les lésions du rein trouvées à l'autopsie de sujets goutteux,
que les autres lui appartiennent en propre. La première catégorie de lésions n'est autre chose que la néphrite albumineuse; la
que les reins de goutteux peuvent présenter anatomiquement toutes les lésions de la maladie de Bright (néphrite albumineuse,
l'occasion d'examiner plusieurs reins de goutteux, offrant les mêmes lésions , notamment ceux de ces observations 4,5,6 et8.
la ligne extérieure des tubes uri-nifères, très sombre, etc., toutes lésions appartenant à la né-phrite desquammative ou paren
ranulés à leur surface chez les goutteux. Il distingue deux formes de lésion rénale, l'une portant sur le contenu épithélial d
ans l'autopsie que nous avons faite, les deux reins pré-sentaient des lésions fort différentes, à droite et à gauche ; le rein
elles, (néphrite intersti-tielle, gouty kidney de ïood), mais que ces lésions n'ont rien par elles-mêmes qui soit spécial à la
la goutte, et complètement identiques à ceux des articulations. 11. Lésions des articulations dans la goutte. Les dépôts ur
istique dam les cartilages. (Observ. IX). L'étude microscopique des lésions articulaires de ce malade dont nous avons rapport
t point, les conclusions précédentes, aussi bien en ce qui touche les lésions des reins que celle des articula-tions. Dans ce c
e albumineuse de M. Rayer) et des dépôts uratiques du rein. Quant aux lésions articulaires, elles étaient exacte-ment les mêmes
ns de sels uratiques. Vexamen microscopique nous a montré les mêmes lésions que dans l'observation précédente ; aussi nous n'
aux progrès de la cachexie hydrémique. A son au-topsie, on trouve les lésions caractéristiques de la goutte (dépôts d'urate de
extrême ; elle est d'emblée chronique et se présente avec toutes les lésions de la goutte tophacée. Un des malades qu'il a eu
is la simple érosion du cartilage jusqu'à l'ankylose cellu-leuse, les lésions qu'on a désignées dans ces derniers temps sous le
es muscles, mais que l'au-topsie démontre tenir tout simplement à une lésion particulière de l'articulation du coude. Voici d'
rtilages incrustés d'urate de soude ne présentaient d'ailleurs pas de lésions de texture appréciables ; en un mot, on ne trouva
rhumatismale chronique, se rencontrent sur une môme jointure avec les lésions propresà la goutte. Brodie (Diseases of the joint
Les dépôts goutteux des cartilages coexistent aussi parfois avec les lésions qui surviennent dans les diverses parties des joi
p. 42, 1840) ; c'est, à proprement parler, la gra-velle du rein. Les lésions anatomiques sont les suivantes : 1° à la surface
rstitielle, tantôt à la néphrite suppurative. — Pendant la vie, les lésions qui viennent d'être décrites peuvent rester laten
, des globules rouges du sang. II. En second lieu, on rencontre les lésions rénales de la ma-ladie de Brigh't, tantôt sous la
illeurs, qu'à part la coexistence des infarctus d'urate de soude, les lésions du parenchyme rénal dont il s'agit ne diffèrent e
eux de rencontrer chez ces animaux aussi peu voi-sins de l'homme, des lésions assez analogues à celles de la goutte ; mais un f
outte ; mais un fait plus intéressant encore peut-être, c'est que les lésions dont il s'agit peuvent être artificiellement prov
s en premier lieu, avant tous les autres organes, et c'est là que les lésions se montrent toujours le plus prononcées. Les cana
3, 4e livraison), et qu'il m'a paru intéressant de rappeler ici. « La lésion matérielle de la goutte, » dit M, Cru- veilhier
nts de ce genre,lorsquelamaladie est déjà de date ancienne et que les lésions du rein goutteux se sont déjà prononcées. C'est c
, et il est incontestable que les symptômes qui appartiennent à cette lésion cardiaque ont été souvent mis sur le compte de la
tisme ou la goutte, se développent quelquefois à la suite de diverses lésions trau-matiques ou spontanées de la moelle épinière
. Ergebn. Berlin, 1846. p. 11.5) avait déjà reconnu l'existence d'une lésion mitrale chez une femme de vingt-trois ans, attein
e noueux et chez qui l'on constatait, en outre, tous les signes d'une lésion profonde des valvules sigmoïdes de l'aorte. Cet h
jamais n'avaient éprouvé d'accès de rhumatisme articulaire aigu. Les lésions occupaient tantôt l'orifice aortique, tantôt l'or
ormes et leurs dimensions normales ; si bien que, pendant la vie, ces lésions ne s'étaient révélées par aucun symptôme apprécia
molles (p. 616). Artliriie sèche. — Le processus qui détermine les lésions dont il s'agit a pour caractère principal de donn
ns égards, par les travaux de plu-sieurs médecins qui, à l'examen des lésions faites à l'œil nu, ont ajouté le contrôle des obs
VII (p. 243), pour reconnaître jusqu'à quel point elles diffèrent des lésions de l'arthropathie goutteuse (p. 618-621). Rhuma
nchée avec ce que l'on sait de la goutte (p. 627). Ressemblance des lésions dans les formes aiguës et chroniques du rhumatism
atisme chronique (p. 020). Il y a donc lieu, même au point de vue des lésions anatomiques, d'établir un rappro-chement entre le
ans les autopsies qu'il a pra-tiquées, M. Charcot n'a pas constaté de lésions du cœur. La chorée, chez le vieillard, paraît ê
. — Les organes semblent souffrir isolément. — Maladies latentes. Les lésions les plus graves peuvent Charcot. Œuvr. compl. t.
N anatomie pathologique de la goutte viscérale. Goutte remontée ; lésions fonctionnelles de la goutte. — Elles se ratta-cha
s où l'autopsie a pu être pratiquée, à des altérations matérielles. — Lésions organiques qui se rencontrent le plus souvent dan
outteux. — Dégénérescence graisseuse du cœur. — Athérome de l'aorte. — Lésions bronchiques. — Néphrite goutteuse. — Elle compren
èces bien distinctes. — Goutte du rein. — Rein goutteux des Anglais : lésions qui correspondent à cette désignation. — Dépôt d'
oint chez les mammifères. — Se rencontrent chez certains oiseaux. — Lésions du même genre chez les reptiles. —Expériences de
odernes. —Définition de la goutte viscérale. — Troubles fonctionnels: lésions organiques. — Goutte larvée ; mal placée ; rétroc
e. — Manifestations hépatiques de la goutte. — Appareil circulatoire: lésions du cœur et des vaisseaux. — Mort subite. —Manifes
. 152 ONZIÈME LEÇON du rhumatisme articulaire chronique et de ses lésions Le rhumatisme articulaire chronique est une aff
rhumatisme articulaire chronique.— Né-cessité d'étudier avec soin les lésions locales. —Unité de cette affection. — Indicatio
tra-articulaire ; du tissu osseux. Etude histologique de ces diverses lésions . — Modifications qui correspondent aux principa
as superficielle. — Les carti-lages et les os peuvent y participer. — Lésions de la synoviale. — Lé-sions des cartilages diarth
— Lésions de la synoviale. — Lé-sions des cartilages diarthrodiaux. — Lésions des os. — Nature du liquide épanché dans la cavit
Nature du liquide épanché dans la cavité synoviale. — Analogie de ces lésions avec celles du rhumatisme chronique. Caractères
voppement prématuré de ces affections dans le rhuma-tisme aigu. — Ces lésions ne se manifestent que plus tard dans le rhu-matis
tard dans le rhu-matisme chronique. — Différence entre la nature des lésions viscérales dans le rhumatisme et dans la goutte.
e l'histologie moderne. — Structure de la membrane interne du cœur. — Lésions inflammatoires de l'endocarde. — Elles siègent pr
de la ma-ladie. — Affections mutiples qui sont la conséquence de ces lésions . — Ischémie; gangrènes localisées, — Taches ecchy
ssement général de toutes les join-tures. — Mode de production de ces lésions . — Opinions diverses. — Contractions spasmodiques
r aussi dans le rhumatisme subaigu et dans le rhumatisme chronique. — Lésions de l'appareil respiratoire.— Pleurésie, pneumonie
congestion pulmonaire. —Asthme, emphysème. — Phtisie pulmonaire. — Lésions de l'appareil urinaire. — Néphrite. — Albuminur
ons de l'appareil urinaire. — Néphrite. — Albuminurie. — Cystite. — Lésions du système nerveux. —? Affec-tions cérébrales.— A
ystème nerveux. —? Affec-tions cérébrales.— Affections médullaires. — Lésions abarticulaires de diverses natures.— Douleurs mus
rticulaires. — Manifes-tations diathésiques. — Affections cutanées. — Lésions viscérales. Mode de développement. — Succède pa
de la goutte.— Siègent au niveau des articulations des phalangettes. — Lésions identiques à celle de l'arthrite sèche. — Les aut
De l'état du rein chez les goutteux.......................... 425 Lésions des articulations dans la goutte ................
— sénile, 249; — déformante, 249, 256; — par repos prolongé, 248; — lésions de l'arti-culation, 249: — fongueuse et scro-fule
thé-nique, 163; action sur l'urée, ,542 ., Gollapsus, 319; — dans les lésions traumatiques de la moelle, 343; — dans la pneumon
214; — loca-lisation sur les valvules, 218, 214; absence fréquente de lésions de ca-nalisation, 214 ; — du rhumatisme chronique
nifes-tations rares de la —, 60; métas-tases et rétrocessions, 65 ; — lésions fonctionnelles, 65;— autopsie dans %d. des Viei
s cartilages, 522; dépôts uratiques articulaires, 445; historique des lésions articulaires, 445; — examen microscopique des lés
historique des lésions articulaires, 445; — examen microscopique des lésions articulaires, 446; — obser-vations des lésions ar
amen microscopique des lésions articulaires, 446; — obser-vations des lésions articulaires, 509; — déformations dans la —, 51
la synoviale, des téguments, des muscles, 393 ; — non-spécificité des lésions articu-laires, 393 ; — différence avec la goutte,
le —, 540. Respiratoires (fonctions), 13. Rhumatisme aigu, 182; — lésions de la synoviale, 183; — altérations des cartilage
rioste, 185; — liquide de la synoviale, 185; — synovite aiguë, 185; — lésions ana-logues dans les affections du cœur, 186 ; — a
nvahissement des articulations, 239, 555 ; — forme atrophique, 240: — lésions arti-culaires, 241; — marche, 244; — symptômes gé
icardite, 219, 222 ; — endocardite, 219, 222 ; — embolies, 218, 219; — lésions encéphaliques, 228; — état typhoïde 219; — ictère
yncope, par excitation des ganglions semi-lunaires, 342. Synoviale, lésions de la — dans le rhumatisme aigu, 183; — liquide d
rhumatisme aigu, 183; — liquide de la — dans le rhumatisme aigu, 185; lésions dans l'arthrite par repos pro-longé, 185; — lésio
atisme aigu, 185; lésions dans l'arthrite par repos pro-longé, 185; — lésions dans les ar-thropathies syphilitiques, 188; — lés
o-longé, 185; — lésions dans les ar-thropathies syphilitiques, 188; — lésions dans la goutte, asthérique, 392. Synovie, réact
31 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
tion, il nous est permis de rechercher, par l'ouverture du corps, les lésions correspondant aux symptômes longuement et minutie
tème nerveux. Un^exemple suffira pour montrer que lavdécouyerle d'une lésion constante, dans les maladies de ce genre, est un
ation a régné pendant longtemps dans les esprits, jusqu'au jour où la lésion spinale, décrite depuis longtemps par Cruveilhier
e une névrose. Toute illusion se dissipa lorsqu'on eut reconnu que la lésion est déjà constituée et parfaitement reconnaissabl
On ne s'occupe pas de saisir la nature des rapports qui unissent les lésions aux symptômes extérieurs. Sans méconnaître l'im
e. — E, cordons de Gall. cette voie, il est certain que l'étude des lésions peut être adaptée à un autre point de vue et prét
dans les conditions d'une vivisection bien réussie; à chacune de ces lésions circonscrites correspond une symptomatologie part
ient jamais prévaloir. Ainsi nous savons, de science certaine, que la lésion destructive du faisceau pyramidal, dans son traje
arrière du genou, produit l'hémiplégie permanente vulgaire ; que les lésions destructives de l'extrémité postérieure de la cap
l'hémiplégie complète, ou au contraire seulement une monoplégie si la lésion se circonscrit dans telle ou telle région seconda
i la lésion se circonscrit dans telle ou telle région secondaire. Aux lésions irrita-tives de ces mêmes régions se rattachent l
'objectivité qui appartient aux affections désormais rattachées à une lésion organique appréciable. Quelques-uns même ne voi
et souvent très étroitement de celles qui se rattache aux maladies à lésions matérielles. Et la ressemblance est parfois si fr
e l'hémianeslhésie vulgaire des hystériques et celle qui relève d'une lésion en foyer l'analogie et frappante. Au fond c'est l
e la paraplégie spasmodique des hystériques et celle qui relève d'une lésion organique spinale (impuissance motrice, rigidité,
une analogie de siège anatomique, et, mutatis mutandis, localise la lésion dynamique d'après les données fournies par l'exam
e la lésion dynamique d'après les données fournies par l'examen de la lésion organique correspondante. Et ceci nous conduite r
UXIÈME LEÇON «» Sur l'atrophie musculaire qui succède à certaines lésions articulaires. Sommaire. — Traumatisme articulai
urs de l'articulation sont affectés d'une manière prédominante. — Les lésions musculaires sont sous la dépendance d'une affecti
moins dans les extenseurs, est une complication fréquente de diverses lésions spontanées ou traumatiques affectant les articula
es affectant les articulations correspondantes : ainsi, à la suite de lésions diverses de l'articulation scapulo-humérale, on v
ribution du crural, dans les muscles de la jambe et du pied. Dans les lésions articulaires de l'épaule, du coude, de la hanche,
parler bientôt. Mais, j'en viens au traitement. Il s'agit ici d'une lésion spinale dynamique, sans modification profonde, au
t pas les seuls troubles deutéropalhiques qui puissent résulter d'une lésion articulaire. Ce groupe de faits est plus compliqu
s vous soumettre vous fera reconnaître l'influence qu'ont parfois les lésions traumatiques les plus banales sur le développemen
ne maladie diathésique, se développent quelquefois à l'occasion d'une lésion traumatique. Il est habituel alors que ces affect
es spasmodiques hémiplégiques ou paraplégiques qui se rattachent aune lésion médullaire. Ainsi, dans l'hémiplégie consécutive
nt aune lésion médullaire. Ainsi, dans l'hémiplégie consécutive à une lésion du cerveau, occupant la capsule interne sur le tr
y a imminence de contracture, et celle-ci pourra se développer si une lésion traumatique survient; et elle se manifestera sur
11 existe dans ces cas de paralysies qui reconnaissent pour cause une lésion matérielle, une hyperexcitabilité de la substance
utres, déterminent les mêmes effets que dans les cas où il existe une lésion des centres nerveux ; la paralysie spasmo-dique d
t, en dehors de l'hystérie, chez les sujets prédisposés par certaines lésions organiques. Nous aurons maintes fois l'occasion,
roit, et qui rend depuis cette époque la marche très difficile. Les lésions traumatiques ne sont pas, tant s'en faut, les ;eu
ent amener de tels accidents. Il est bien établi, en effet, que les lésions les plus diverses peuvent conduire au même résult
eps crural, si le genou est atteint; c'est le triceps brachial, si la lésion siège au coude, etc. Cette relation entre le si
comme vous le voyez pour le deltoïde gauche, en particulier. A ces lésions trophiques des muscles correspond une impuissance
és qu'un médecin instruit a été conduit à penser que, dans ce cas, la lésion spinale était primitive, les arthropathies et l'a
existants metteut hors de doute l'existence, à un moment donné, d'une lésion articulaire ; mais si ces renseignements étaient
ractures spasmodiques qui se produisent souvent, en conséquence d'une lésion des jointures et quelquefois concurremment avec l
blissent par le fait d'un acte réflexe développé en conséquence de la lésion articulaire. L'excitation des nerfs articulaires
re affectée. Mais, dans d'autres cas, par suite de la diffusion de la lésion spinale, le spasme musculaire peut tendre à se gé
ractures généralisées à toute l'étendue d'un membre, à la suite d'une lésion limitée à une seule jointure, peuvent s'observer
que des muscles, développée par action réflexe, en correspondance des lésions articulaires. J'ai essayé d'établir autrefois 1
En général, les mains sont dans la pronation et un peu fléchies. Les lésions sont habituellement symétriques. Les doigts subis
'il y ait contracture ou, au contraire, amyotrophie consécutive à une lésion articulaire, la lésion spinale est la même, au fo
u, au contraire, amyotrophie consécutive à une lésion articulaire, la lésion spinale est la même, au fond. Ces deux ordres de
ée à la thèse de M. Féré : Des troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrales, 1882, p. 109.) la parésie d'un memb
ette dernière particularité, ils peuvent se rencontrer dans le cas de lésions cérébrales en foyer occupant la capsule interne.
ves. Le diagnostic, parait-il, fut hésitant ; on aurait parlé d'une lésion organique, et le pronostic aurait été déclaré trè
t de l'hystérie qu'il s'agit, et rien que de l'hystérie; l'idée d'une lésion organique intra-crânienne quelconque doit être re
racture qui se présente rarement à ce degré, quand elle est due à une lésion organique, à une lésion scléreuse latérale de l
rarement à ce degré, quand elle est due à une lésion organique, à une lésion scléreuse latérale de la moelle; 2° sur la perm
ps après que la plaie est guérie. Sans doute aussi, chez des sujets à lésions organiques (sclérose descendante cérébrale ou spi
ie. Ces troubles sen-sitifs ne pourraient être déterminés que par une lésion cérébrale en foyer, siégeant au niveau du carrefo
ire le départ de quelques affections qui quelquefois la produisent ( lésions capsulaires en foyer, saturnisme, alcoolisme), l'
ce de toute circonstance capable d'être rattachée à l'existence d'une lésion capsulaire en Fig. 22 foyer, du saturnisme, d
ble d'une affection spinale organique développée en conséquence d'une lésion traumatique ayant porté son action non sur la moe
ntifiques, un certain nombre de faits tendant à établir que certaines lésions des extrémités, ou des troncs nerveux peuvent ret
s antérieures correspondantes, qui consécutivement sont affectées. La lésion , légère ou grave, dynamique ou organique dont ell
e ces éléments ganglionnaires deviennent, à leur tour, le siège d'une lésion dystrophi-que plus ou moins passagère, ou, au con
ui a résisté à tous les moyens mis en œuvre. Nous allons voir que des lésions dystrophiques tout aussi graves et répandues sur
nduit nécessairement à incriminer le centre spinal. Là, il existe une lésion qu'on peut même localiser jusqu'à un certain poin
dents qui, je le répète, accusent incontestablement l'existence d'une lésion spinale, et celle lésion, on peut l'affirmer, n'e
accusent incontestablement l'existence d'une lésion spinale, et celle lésion , on peut l'affirmer, n'est pas purement dynamique
on peut l'affirmer, n'est pas purement dynamique. Il s'agit là d'une lésion matérielle, anatomique, vraisemblablement d'une n
ssance musculaire pourrait à la rigueur s'expliquer, en admettant une lésion des tubes nerveux moteurs, développée au-dessous
u nerf fessier ne peut guère s'expliquer qu'en faisant intervenir une lésion spinale. L'existence de cette lésion spinale, d
r qu'en faisant intervenir une lésion spinale. L'existence de cette lésion spinale, déjà révélée d'un autre côté par la para
es affections spinales dynamiques développées à la suite de certaines lésions articulaires. 2° L'atrophie dégénérative a été
cles se voient dans les affections des nerfs périphériques (sections, lésions traumatiques, etc.) ; mais aussi dans les maladie
aumatiques, etc.) ; mais aussi dans les maladies spinales, lorsque la lésion est localisée de telle façon que les éléments gan
evient à dire que le trouble fonctionnel de ce muscle est lié à une lésion organique, que, par conséquent, la difficulté de
'elle nous permet de présumer jusqu'à un certain point le degré de la lésion spinale. Celle-ci occupe donc la région lom baire
rrespond à l'origine des branches du plexus lombaire. Il s'agit d'une lésion peu profonde, peut-être dynamique des cellules de
correspond à l'altération si considérable des muscles fessiers. La lésion spinale dont il s'agit, développée sous l'influen
fait depuis longtemps; on pourrait dire, d'après cela, que c'est une lésion éteinte, ou ayant même peut-être sur les points o
membres inférieurs qu'exige sa profession. On sait, en effet, que des lésions spinales anciennes et éteintes se réveillent, pou
ques vulgaires. Cependant, il n'existe aucun symptôme qui indique une lésion spinale ; ainsi, au lit, les mouvements de flexio
es qui sont enjeu, ce sont donc les nerfs eux-mêmes. Quelles sont les lésions qui, le plus souvent, en déterminant une compress
e l'abdomen, du rectum, de la vessie, ne révèle rien de semblable. La lésion est ailleurs, c'est dans les vertèbres lombaires
es corps vertébraux par le cancer secondaire, principalement quand la lésion primitive a pour siège le sein, et quand il s'agi
ent d'un seul coté, mais quelquefois des deux côtés ensemble. Cette lésion , admise dans notre cas, nous explique : 1° la bil
une façon plus accentuée dans la thèse de M. Joffroy (1873). A. Les lésions nécroscopiques sont relativement grossières; autr
ien. Mais ce n'est pas d'hypertrophie de la moelle qu'il s'agit ; les lésions consistent : 1° en une inflammation chronique de
er, dès lors, que ce ne soit point une affection caractérisée par une lésion systématique. Au point de vue symptomatique, on
t la maladie se termine par la guérison complète, tantôt il reste des lésions atrophiques indélébiles des muscles. Mais, en gén
mme celle des membres supérieurs, elle n'est pas due, en effet, à une lésion des racines ou des cornes antérieures, mais seule
inlra-articu-laire et que l'impossibilité du redressement est due aux lésions du tissu fibreux périphérique. 4 juillet. La ma
type, telle qu'on est habitué à la rencontrer, lorsqu'il s'agit d'une lésion de la bandelette optique. 3° Pas de diminution de
topsies. — Localisation. — Fréquence de l'hémianopsie. — Nature de la lésion . Messieurs, Tous n'avez pas oublié l'exposé q
n anato-mique, concordent parfaitement sur un point : dans toutes, la lésion prédomine sur le lobule pariétal inférieur, avec
avec ou sans participation du lobule du pli courbe, que siégerait la lésion qui tient sous sa dépendance la cécité verbale qu
le phénomène de l'hémianopsie latérale peut être la conséquence delà lésion de certaines parties de l'écorce cérébrale Or, il
tamment dans l'hémianopsie de cause cérébrale d'origine corticale, la lésion occupe à peu près la même région que celle que no
. — Contribution à l'étude des froubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrales [amblyopie croisée et hémianopsie), 18
a inférieur est, d'ailleurs, assez étendu pour que les deux ordres de lésions puissent y trouver leur place, sans se superposer
érait en rien de l'hémianopsie classique, telle qu'elle résulte d'une lésion d'une bandelette optique, puisque la ligne de dém
re est un fait rare, exceptionnel dans l'hémianopsie qui dépend d'une lésion de la bandelette; il pourrait bien être un des ca
rnit des branches à la fois à la circonvolution de Broca, siège de la lésion de l'aphasie, et aux régions où semblent devoir ê
lent devoir être localisées et la cécité verbale et l'hémianopsie. La lésion de ses branches artérielles est le fait primitif
plus ou moins prononcée du tissu cérébral. Mais, en quoi consiste la lésion vasculaire, spasme, thrombose, embolie? Cela, bie
le établies à l'état permanent, depuis près de six mois. Toutefois la lésion , quelle qu'elle soit d'ailleurs, n'est pas absolu
Dr Parinaud, dans le cabinet ophthalmologique de la clinique : Pas de lésions oculaires ni de troubles fonctionnels objectiveme
sont d'origine spinale, qu'elles dépendent, en d'autres termes, d'une lésion de la moelle épinière et plus particulièrement de
: 1" Les amyotrophies spinales deutéropathiques, dans lesquelles la lésion de la substance grise est secondaire; 2° Les am
ire; 2° Les amyotrophies spinales prolopathiqnes dans lesquelles la lésion de la substance grise est le fait unique ou tout
distinction suivante. Tout d'abord viennent ces cas dans lesquels la lésion de la substance grise est un fait accessoire, acc
elles dépendent. En second lieu, viennent les cas dans lesquels la lésion des faisceaux blancs est primitive mais toujours
sceaux blancs est primitive mais toujours nécessairement suivie d'une lésion de la substance grise. Ici ce sont les faisceaux
us le nom d'atrophie musculaire progressive du type Duchenne-Aran. La lésion des noyaux gris moteurs, spinaux ou bulbaires est
d'atrophie musculaire progressive caractérisée anatomiquement par la lésion isolée des cornes antérieures de la substance gri
athie progressive plus ou moins généralisée est indépendante de toute lésion des centres nerveux ou des nerfs périphériques. 1
urg et Cohnhein, en 1866, par moi-même en 1871, que, dans ces cas, la lésion du muscle est complètement indépendante de toute
s ces cas, la lésion du muscle est complètement indépendante de toute lésion de la moelle et des nerfs. Et à ce propos, je doi
e alors régnante à rapporter toutes ces myopathies progressives à des lésions des centres nerveux. Il y a, disais-je alors, des
rculéennes. Anatomiquement, cette hypertrophie se caractérise par des lésions du tissu interstitiel, ce qui n'existe pas à ce d
in, au point de vue anatomo-pathologique, l'absence complète de toute lésion spinale. La forme juvénile décrite par M. le pr
lement porté à conclure que l'amyotrophie relève, dans ces cas, d'une lésion spinale, comme dans les cas du type Duchenne-Aran
et dans un de ces cas, l'autopsie a démontré qu'il n'existait aucune lésion , soit de la moelle épinière, soit des nerfs périp
réside dans la pathogénie, la maladie étant en pareil cas liée à des lésions cérébrales localisées d'une certaine façon. Il
le, que souvent les (roubles nerveux se produisent en dehors de toute lésion traumatique et simplement à la suite de l'ébranle
vec crises nerveuses simulant plus ou moins la crise comi-tiale, aune lésion organique en foyer, à un néoplasme intra-crânien,
à un néoplasme intra-crânien, ou s'il s'agit d'une paraplégie, à une lésion organique spinale. D'autres reconnaîtront volonti
stion, dans ces cas, d'une altération organique, mais simplement dune lésion dynamique ; mais en présence de symptômes dont la
ue, suivant toute vraisemblance, il n'existe pas, chez ces sujets, de lésion organique. Yoilà donc des malades tout à fait s
29 ans, le malade a été atteint de rhumatisme articulaire aigu, sans lésions du cœur. La dernière attaque a duré 6 mois et c'e
olument normaux à droite. Il n'existe, d'ailleurs, aucune trace d'une lésion du fond de l'œil, soit à droite soit à gauche.
conséquence, tout naturellement, que cette monoplégie dépendait d'une lésion cérébrale en foyer, corticale, étroitement limité
ôt nous détromper. Sans doute, la monoplégie en question dérive d'une lésion cérébrale corticale, principalement localisée dan
s; mais il ne s'agit pas là d'une altération matérielle grossière, la lésion est purement « dynamique », « sine matériel », du
de 10 mois, devait faire repousser du premier coup l'hypothèse d'une lésion du plexus brachial ; tandis que l'absence d'amyol
rvenir, très exceptionnellement, il est vrai, à la suite de certaines lésions de la capsule interne, comme le montre, entre aut
ive qui, quelquefois, se surajoute à l'hémiplégie vulgaire totale par lésion de la capsule. La production dans l'hémisphère
vait supposer limité étroitement à la zone motrice du bras, une telle lésion , dis-je, pourrait rendre compte de l'existence d'
encore, dans le diagnostic, cette dernière hypothèse, et celle d'une lésion spinale que nous ne croyons même pas devoir discu
onnaissons actuellement les caractères cliniques? Relève-t-elle d'une lésion plus ou moins grave des nerfs périphériques, cons
u plexus brachial produite par la chute sur l'épaule? S'agit-il d'une lésion spinale? ou d'une lésion cérébrale en foyer? Tell
e par la chute sur l'épaule? S'agit-il d'une lésion spinale? ou d'une lésion cérébrale en foyer? Telles sont les hypothèses qu
onoplégie brachiale qui, très certainement, cette fois, procède d'une lésion du plexus et qui s'est développée dans des circon
rs et des troubles trophiques qui seront tout à l'heure indiqués, une lésion grave, étendue à la totalité du plexus. Ce mode d
lle j'insiste, paraît donc être, en somme, l'expression classique des lésions organiques profondes, destructives, portant sur t
de l'anesthésie, est en contradiction formelle avec l'hypothèse d'une lésion qui aurait dû profondément atteindre toutes les f
cutanés de la main ne saurait s'expliquer dans la supposition d'une lésion générale et profonde du plexus brachial. Les fait
mplètement nuls. Chez D..., qui représente un exemple typique d'une lésion profonde, ancienne et irréparable du plexus brach
lement s'accommoder avec la théorie qui invoquerait l'existence d'une lésion grave du plexus brachial, étant donné que la mala
ude, bien que survenue dans les conditions où peuvent se produire les lésions graves ou légères du plexus brachial, par commoti
chial, par commotion ou par contusion, ne dépend pas en réalité d'une lésion de ce genre. Le siège du mal doit être cherché ai
leurs, dans les centres nerveux par conséquent ; s'agit-il donc d'une lésion organique en foyer, cérébrale ou spinale ? Il me
s. Sommaire. — Suite du diagnostic. — Amyotrophies dépendant d'une lésion articulaire ; lésion spinale ou cérébrale en foye
te du diagnostic. — Amyotrophies dépendant d'une lésion articulaire ; lésion spinale ou cérébrale en foyer. — Symptômes nettem
re que les symptômes observés chez notre malade ne relèvent pas d'une lésion des nerfs du plexus brachial. Nous nous sommes fo
les deux hypothèses suivantes : notre monoplégie relève-t-elle d'une lésion localisée dans le cordon spinal ou, au contraire,
localisée dans le cordon spinal ou, au contraire, relève-t-elle d'une lésion en foyer siégeant dans l'un des hémisphères céréb
ieurs fois, chemin faisant, dans le cours de la précédente leçon. Une lésion destruclive étroitement localisée dans une certai
, la seconde leçon, Sur l'atrophie musculaire qui succède à certaines lésions articulaires. quatre mois une atrophie manifest
ou de paralysie du sens musculaire ferait défaut. Il est vrai qu'une lésion concomitante des cornes postérieures de substance
du même côlé, n'a pas encore été observée, que je sache; et si celte lésion , au lieu de rester limitée comme nous le supposio
nesthésie porterait non plus seulement sur le côté correspondant à la lésion , mais encore sur le côté opposé. Je n'insistera
r ce point, mais je considérerai d'un peu plus près l'hypothèse d'une lésion cérébrale en foyer. Dans quelle région des hémisp
cérébrale en foyer. Dans quelle région des hémisphères cérébraux une lésion de ce genre devrait-elle être localisée, pour don
agit-il chez lui d'un foyer intéressant la capsule interne? Une telle lésion qu'on pourrait supposer s'être produite à la suit
la voit dans notre cas, est un fait presque inoui dans l'histoire des lésions de la capsule interne 1 ; elle supposerait d'aill
e 1 ; elle supposerait d'ailleurs 1. Voir un cas de Monoplégie, par lésion de la capsule interne, publié par MM. Bonnet et G
Bonnet et Gampbcl, dans le journal le Brain, avril 18?5, p. 18. une lésion limitée étroitement dans les parties antérieures
du centre ovale, qu'il conviendrait de chercher la localisation de la lésion organique supposée. Une lésion corticale suffis
it de chercher la localisation de la lésion organique supposée. Une lésion corticale suffisamment étendue et profonde, local
it de la langue, soit du membre inférieur, survenant à la suite d'une lésion corticale, est véritablement un fait rare. A pein
, seul le membre supérieur s'est montré atteint. J'ajouterai qu'une lésion corticale suffisamment accentuée pour provoquer u
pas notablement exagérés, ainsi que cela devrait être dans un cas de lésion corticale avec dégénération descendante, quatre m
ez Por..., ne sont pas ceux qu'on rencontrerait s'il s'agissait d'une lésion de l'écorce qu'on devrait supposer limitée étroit
iers moyen des circonvolutions médianes. Dans un bon nombre de cas de lésions corticales localisées à l'un des centres moteurs,
e faisceau sensitif et les troubles de la sensibilité dans les cas de lésions cérébrcdes (Arch. de neurologie, t. IV, 1882 et T
. Ferrier, d'un cas de monoplégie crurale. 3. Allen Starr, Cortical lésions of the Brain, a collection and analysis of the am
sed cérébral disease, pp. 48 et 49 (The american nombre de faits de lésions limitées aux circonvolutions médianes, dans lesqu
nous conduire à ne pas admettre, chez notre malade, l'existence d'une lésion corticale en foyer, comme déjà nous avons dû reje
orticale en foyer, comme déjà nous avons dû rejeter l'existence d'une lésion spinale et d'une lésion des nerfs périphériques.
déjà nous avons dû rejeter l'existence d'une lésion spinale et d'une lésion des nerfs périphériques. De quoi s'agit-il donc a
s périphériques. De quoi s'agit-il donc alors? A n'en pas douter, une lésion des centres nerveux est présenle dans ce cas ; ma
und des Muskelsinnes an der OLerflci- sûr il ne s'agit pas là d'une lésion en foyer organique, destructive, comme cela devai
passer en revue. Ici, il ne saurait être question que de l'une de ces lésions qui échappent à nos moyens actuels d'investigatio
que et que, faute de mieux, on est convenu de désigner sous le nom de lésions dynamiques ou encore fonctionnelles. C'est là ce
, t. VI, p. 39, 1818). voir : sénilité, cataracte, astigmatisme par lésion de la cornée, introduction dans l'œil de l'ésérin
tif, dans un cas surtout où ni l'alcoolisme, ni le saturnisme, ni les lésions de la capsule interne ne peuvent être mis en caus
vement recueillis, véritablement inexplicable, dans l'hypothèse d'une lésion organique cérébrale, spinale ou des nerfs périphé
u- traire, d'une interprétation très simple, dans l'hypothèse d'une lésion dynamique hystérique. Mais je tiens à vous faire
» — c'est presque toujours qu'il faut lire — « dans l'hémiplégie par lésion en foyer du cerveau. » 4. Weir Mitchell, Lectur
embres, le type des anesthésies de cause corticale quelle que soit la lésion qui les produit, seulement, dans l'hystérie ce ca
plus accentué, beaucoup plus facile à reconnaître que dans les cas de lésion organique en foyer, sans doute parce que, dans la
lésion organique en foyer, sans doute parce que, dans la première, la lésion dynamique se répand sur une plus grande étendue e
ement, comme nous venons de le faire chez Porcz..., l'hypothèse d'une lésion des rameaux du plexus brachial ; celle d'une lési
l'hypothèse d'une lésion des rameaux du plexus brachial ; celle d'une lésion spinale, celle enfin d'une lésion organique en fo
ux du plexus brachial ; celle d'une lésion spinale, celle enfin d'une lésion organique en foyer des hémisphères cérébraux que
nous avons conclu, en fin de compte, que la paralysie dépendait d'une lésion dijnamique localisée dans l'écorce grise de la zo
ce qu'il eût été si la paralysie se fut développée à la suite d'une lésion destructive occupant l'écorce grise de l'un des h
cas d'une affection de ce genre que dans le cas où il s'agirait d'une lésion organique destructive. Sans doute, chez nos deux
ont, objectivement, tout aussi réelles que celles qui dépendent d'une lésion organique: elles s'en rapprochent même, vous alle
souvent tout aussi accentuée cliniquement que si elle provenait d'une lésion destructive de la substance cérébrale. Ce sont là
es, souvent si durables et si tenaces, bien que ne relevant pas d'une lésion organique, particulièrement étudiées par nos conf
ointures et simuler, jusqu'à rendre des plus ardus le diagnostic, une lésion organique grave de l'articulation. C'est surtout
e organique grave, scrofuleuse ou autre, ou inversement. L'absence de lésions matérielles dans le premier cas est cependant suf
tures, non matérielles, pouvant simuler des affections articulaires à lésions profondes, et conduire ainsi, en faisant errer le
ui permettra de constater si, oui ou non, la jointure est le siège de lésions matérielles ; et encore est-il bon de faire remar
men au moyen du chloroforme ne laissera quelquefois soupçonner aucune lésion , et qu'on ne peut, par conséquent, assigner à ce
men rien qui soit contraire à l'idée d'une affection articulaire avec lésions plus ou moins étendues et plus ou moins profondes
rique et aucun de ceux qui désignent nécessairement l'existence d'une lésion profonde de la jointure ; l'amaigrissement du mem
culaires et osseuses ne présentent aucune de ces déformations, de ces lésions qui ne sauraient manquer d'exister dans une coxal
somme, que nous fussions en présence de la combinaison suivante : 1° Lésions organiques de la coxalgie scrofuleuse ; 2° lésion
ison suivante : 1° Lésions organiques de la coxalgie scrofuleuse ; 2° lésions dynamiques de la coxalgie hystérique. — Notre mal
plus attentif a montré que les phénomènes hystériques masquaient une lésion organique de la hanche, restée inaperçue \ A prop
que de la hanche, restée inaperçue \ A propos de cette combinaison de lésions organi- 1. Voici du reste l'exposé sommaire de
, on voit les stigmates hystériques persister pendant l'évolution des lésions organiques plus ou 1er cas. (Observation commun
aquements caractéristiques ne laissant aucun doute sur l'existence de lésions osseuses très avancées. » moins graves ; par ex
tteint d'une coxalgie bien et dûment hystérique sans mélange d'aucune lésion organique. Nous pouvons donc affirmer, je le répè
s ou moins prononcée, mais celte action locale n'a pas déterminé de lésions organiques sérieuses, et la douleur qu'elle a pro
n Shok, Wiesbaden, 1885, p. 78 et s. il ne saurait s'agir ici de la lésion d'un nerf en particulier, — il se produit une ane
ion fut pratiquée, elle permit de reconnaître qu'il n'existait aucune lésion articulaire, aucune rétraction fibreuse et qu'il
ent permet d'affirmer du môme coup qu'il ne s'agit pas non plus d'une lésion des gaines tendineuses, des tendons, ou encore d'
pas foncièrement de celles qui se développent à la suite de certaines lésions organiques des centres nerveux : lésions, vous le
pent à la suite de certaines lésions organiques des centres nerveux : lésions , vous le savez, diverses quant à leur nature et q
guées souvent des contractures reconnaissant pour point de départ une lésion matérielle appréciable cérébrale ou spinale, à l'
ou tout à fait nulle sur le membre contracture quand il s'agit d'une lésion organique, peut, au contraire, être observée au p
imé, surtout en l'absence de tout symptôme pouvant se rapporter à une lésion organique en foyer des centres nerveux, par les r
étrécissement du 1. Voir sur ce sujet : Charcot, De l'influence des lésions traumatiques sur le développement des phénomènes
cution de l'arrêt. C'est que ce dernier malade est sous le coup d'une lésion bulbaire organique, indélébile, à marche progress
degli Os-pedali, de Milan, VII, n°s 75 et 76. que, chez l'autre, la lésion , vraisemblablement de siège cortical, est, en tou
l ne saura plus écrire, car vous n'ignorez pas que les aphasiques par lésion organique qui écrivent sont véritablement rares e
rois pouvoir l'admettre sans m'avancer trop, — qu'il faut chercher la lésion dynamique d'où dérivent les symptômes dont il s'a
s cas où l'aneslhôsie des membres inférieurs est la conséquence d'une lésion organique de la Fig. 86 et 87. — Distribution d
ve quand l'anesthésie des membres inférieurs est la conséquence d'une lésion organique en foyer siégant, par exemple, vers le
tat actuel de la science, se refuser d'admettre que cela dépend d'une lésion dynamique affectant celles des zones motrices ets
trices proprement dites venaient à faire défaut, en conséquence d'une lésion survenue dans les cellules nerveuses du centre mo
pendant de la perle du sotivemr^e if^ force.m.Qr tr/ce, causée par la lésion de certaines parties du cerveau./ {Histoire natur
ctés plus ou moins profondément, en conséquence d'une diffusion de la lésion de ces centres. C'est ce dont paraissent témoigne
peuvent rendre compte de ces variétés. On comprendrait par là qu'une lésion de même nature, de même étendue et de même locali
males. Jamais la malade n'a eu de rhumatisme, il n'y a aucun signe de lésion cardiaque. Maintenant que vous connaissez, Mess
établir la nature de cette hémiplégie. Et d'abord, est-elle due à une lésion cérébrale en foyer, hémorrhagie ou ramol lissem
ne atrophie simple, c'est-à-dire d'une atrophie indépendante de toute lésion matérielle de la substance grise de la moelle et
il faut aller plus loin et chercher à expliquer le mécanisme de cette lésion . Il semblerait, au premier abord, assez naturel
phie dont nous nous occupons ici avec l'amyotrophie qui résulte d'une lésion organique des cornes antérieures de la moelle ou
eures de la moelle ou des nerfs moteurs et qui constitue le type delà lésion trophique? — 11 est sans doute indispensable d'ét
uivie de dégénération descendante, et qui était indépendante de toute lésion des cornes antérieures de la moelle et des nerfs
degré assez prononcé d'anesthésie du pharynx, permet de constater les lésions suivantes (Dr Wyss) : L'abduction et l'adduction
.. L'examen laryngoscopi-que (pratiqué par Isambert) ne révéla aucune lésion organique, ni aucun phénomène inflammatoire, et l
thésie complète à droite. L'examen laryngoscopique ne révèle aucune lésion , ni paralysie, ni contractures. L'application du
se trouver à ce défaut de tension plusieurs autres causes ; que cette lésion explique un degré d'aphonie plus ou moins complèt
t de la faculté graphique. Or, dans certains cas d'aphasie, due à une lésion organique, on peut observer cette dissociation :
suel commun, CVC. — Que le centre visuel des mots soit le siège d'une lésion , le malade pourra encore voir les mots écrits, ma
ne les comprendra plus, il sera atteint de cécité verbale. Mais si la lésion n'est pas exactement localisée en ce point, et c'
ent permettre de distinguer cliniquement les aphasies corticales (par lésion des centres eux-mêmes) d'avec les aphasies sous-c
eux-mêmes) d'avec les aphasies sous-corticales ou de conduction (par lésion des seules libres issues de ces centres). 11 ne s
t à être altéré. Et, dans ce cas, on peut voir, par exemple, la seule lésion du centre auditif amener, •outre la surdité verba
n de Broca ne soit le siège d'aucune altération ; •ou encore la seule lésion du centre visuel produire l'agraphie, sans qu'il
eule lésion du centre visuel produire l'agraphie, sans qu'il y ait de lésion dans le centre de Exner (pied de la 2e frontale g
DEUXIÈME LEÇON. sur l'atrophie musculaire qui succède a certaines lésions articulaires. Sommaire. — Traumatisme articulai
urs de l'articulation sont aflectés d'une manière prédominante. — Les lésions musculaires sont sous la dépendance d'une affecti
utopsies. — Localisation. — Fréquence de l'hémianopsie.— Nature de la lésion ................................................ 1
es. Sommaire. — Suite du diagnostic. — Amyotrophies dépendant d'une lésion articulaire ; lésion spinale ou cérébrale en foye
te du diagnostic. — Amyotrophies dépendant d'une lésion articulaire ; lésion spinale ou cérébrale en foyer. Symptômes nettemen
Asyllabie, i68. Athétose, 2j£l Atrophie musculaire à la suite des lésions articulaires, 24; — consécutive au rhumatisme art
tique, 261, 266, 273; — Hystérie et neurasthénie, 268; — Absence de lésions , 268; — Attaque à forme d'épilepsie partielle, 28
iques, 305 ; — Diagnostic d'avec la névrite, 311 , — Diagnostic des lésions en foyer; 316; — Absence de participation de la f
ouble dans le diabète, dans les affections spinales ot méningées, les lésions vertébrales, 143. Scotome scintillant, 75. Se
32 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
x ou trois centimètres en avant du pôle occi- pital, on voit : La lésion occupe principalement le lobe lingual et le lobe
einte très faiblement, surtout dans le coin antéro-supérieur, où la lésion s'étend sur la substance blanche, qui se trouve p
calcarine, sont complètement dé- truites par le ramollissement. La lésion s'étend jusqu'à la paroi interne de la corne
trouve sous la paroi inférieure de la corne postérieure près de la lésion . Dans la partie intermédiaire de la couche sa
uche sagittale et des fibres du tapetum, qui se trouvent près de la lésion immédiatement sous la paroi inférieure de la corn
erne de la corne postérieure, on voit sous le microscope une petite lésion , dans laquelle on distingue de nombreux corps g
laquelle on distingue de nombreux corps granuleux. Autour de cette lésion on observe la formation de tissu conjonctif (Fi
. Dans la couche des radiations de Gratiolet on remarque une petite lésion , où on distingue de nombreux corps granuleux.
où on distingue de nombreux corps granuleux. A l'entour de cette lésion , ainsi que dans le reste de cette couche, on voit
s la capsule interne et dans les couches optiques on ne voit aucune lésion . Sur les coupes faites plus en avant, on n'obse
ats négatifs. L'étude histologique de ces cas nous a montré, que la lésion était loca- lisée dans le domaine de la scissur
nt principalement le lobe lingual et le lobe fusiforme et que cette lésion pénélrait dans la substance blanche sous-jacent
s-jacente jusqu'à la paroi interne de la corne posté- rieure. Cette lésion était suivie de la sclérose des fibres des radiat
formation de tissu conjonctif. Ainsi dans ce cas nous avons eu une lésion exclusivement de l'appareil visuel intracérébra
f peut-être dans sa partie ex- trême antérieure. Plus en arrière la lésion ne touchepas le pôle occipital. Sur la surface
e l'hémi- sphère. La substance blanche qui se trouve près de la lésion est parfaitement intacte (Fig. 6). 2° Sur des
ste qu'une très mince couche de l'é- corce cérébrale, qui limite la lésion . La partie interne du lobe fusiforme est aussi
3° Sur les coupes, qui traversent le splenium du corps calleux, la lésion occupe la circonvolution limbique, le lobe ling
II. - C, cunéus. - K, fissure calcarine. lg, lobe lingual. - (La lésion est indiquée en blanc.) 8 JOUKOWSKY L'écorce
i passent en avant du splénium du corps calleux, on remarque : La lésion occupe toute la partie qui se trouve sous la paro
icule. L, limbique. 10 , JOUKOWSKY partie inféro-externe. Cette lésion était accompagnée de sclérose des fibres de la
), Dejerine (3), se trouve le centre de la vision des mots, dont la lésion détermine le phénomène de la cécité verbale. L'
l faut noter un fait intéres- sant : malgré la grande étendue de la lésion du lobe occipital dans les deux cas, nous n'avo
s du corps calleux, une dégénérescence proprement dite, bien que la lésion dans le premier cas fût très ancienne. On pouva
oisinage immédiat. Par conséquent, il s'agissait dans ces cas d'une lésion surplace de ce faisceau et non pas de dégénéres
vre et de la gencive supérieures doit être mise sur le compte d'une lésion de la deuxième branche du trijumeau gauche, cel
la partie gauche de la gencive inférieure est la conséquence d'une lésion de la troisième branche gauche du trijumeau, la p
' de la partie antérieure de la langue est en correspondance avec la lésion de la 1 troisième branche du trijumeau gauche e
ent à l'esprit du clinicien qui cherche à apprécier la nature de la lésion . Il est bien plus rare que lemédecin pense, au
arasites ont été constatés sur des individus qui ont succombé à des lésions très di- verses. C'est dans 36 cas seulement qu
eut d'autre part s'appuyer le plus sou- vent sur la constatation de lésions de même nature, en d'autres points de l'organis
acilement énucléables, n'amenant d'autre part que tar- divement des lésions du tissu cérébral sont justiciables de la trépana
cule, ni production néoplasique. Le coeur n'est le siège d'aucune lésion valvulaire. Les cavités droites ne renferment p
UÏE 47 poral. Il existe peu d'observations de surdité corticale par lésion bilaté- rale de T1; dans celle de Wernicke et F
rechercher l'hémiopie. Rappe- lons que le sujet était porteur d'une lésion du cunéus gauche. Il recon- naissait d'ailleurs
généraux frappés d'un ictus, et, comme lui, passager. Nature des lésions . - Il s'agissait de kytes hydatiques reconnaissab
ni traumatisme; pas d'opération pratiquée sur le genou (1), pas de lésion de l'extrémité inférieure du membre (2) ; d'aut
intéressantes. Jusqu'ici, elle s'est montrée indépendante de toute lésion osseuse du genou. Chez notre malade, l'épreuve
issent insoutenables. La théorie osseuse a contre elle l'absence de lésion du squelette. La théorie musculaire ne pourrait ê
exister et s'exagère. Bien plus, dans le cas de notre malade,.où la lésion siège sur le membre sain, il n'existe sur celui
n ; mais cette hypothèse tombe devant la date d'apparition des deux lésions : la tumeur est survenue 11 ans après le genu r
(certains genu valgum, genu varum, genu recurvatum) survenues sans lésion osseuse, sans trouble musculaire (faiblesse, hy
musculaire (faiblesse, hypotonie, atrophie), et en dehors de toute lésion médullaire ; notre malade en est un exemple rem
on rapidement fatale. On s'accorde à y donner la première place aux lésions spécifiques, vasculaires oupérivasculaires, dont
opinion se manifestent seulement lorsqu'il s'agit d'interpréter les lésions secondaires de myélomalacie : les uns admettent
'une comme dans l'autre de ces théories on admet d'ailleurs que les lésions ultimes de sclérose ne sont que le résultat de l'
s ultimes de sclérose ne sont que le résultat de l'organisation des lésions initiales, inflammatoires ou nécrotiques. L'int
ions initiales, inflammatoires ou nécrotiques. L'interprétation des lésions scléreuses est moins aisée dans la forme xiv '
e ralentissement progressif de la circulation ne crée pas les mêmes lésions que la suppression brusque ou rapide de l'ap- p
ée par la syphilis, présente dans les formes à évolution rapide des lésions nécrotiques, dans la genèse desquelles l'arrêt
le premier rôle, tandis que dans les for- mes à évolution lente les lésions en foyer prennentmoins d'importance et c'est al
n. Il ne nous a pas paru possible de l'expliquer uniquement par les lésions en foyer dont nous avons cependant déterminé auss
en ter- minant, elle parait devoir être mise en parallèle avec les lésions vascu- laires dont l'importance est des plus év
au péritoine pa- riétal gauche. Le cerveau ne montre pas d'autres lésions qu'un peu d'oedème sous-arachnoï- dien. La mo
fine. L'étude de ce cas comprend : 1° Le relevé topographique des lésions d'après des coupes dessinées a la chambre clair
cie et préparée de la même manière ; 2- l'exa- men histologique des lésions des. tissus (méninges, vaisseaux, substance ner-
s, vaisseaux, substance ner- veuse). I. - ETUDE topographique DES LÉSIONS (coupes colorées par , la méthode de Pal). Da
iveau du leur segment dorsal (fig. 1). On voit aussi apparaître des lésions vasculaires, visibles avec un faible grossissem
tramédullaires ont des parois épaisses et une lumière rétrécie. Ces lésions se retrouvent même dans les parties des cordons
ir tout il l'heure sur ce point. 4" segment dorsal. - En plus des lésions qui viennent d'être mentionnées on trouve il la
sont atteintes en plus grand nombre. De même au lieu de trouver des lésions avancées de la subs- tance grise à droite, comm
et une no- table diminution de volume de la colonne de Clarke. Les lésions vasculaires sont, comme plus haut, disséminées.
Dans les cordons latéraux c'est à gauche qu'on trouve le maximum de lésions (comparez figures 6 et 7), et la colonne de Cla
6° segment dorsal. La pie-mère reste légèrement épaissie, mais les lésions vasculaires deviennent très manifestes, en part
dons antéro-latéraux présentent à ce niveau (fig. 9) le maximum des lésions . Dans la substance grise, la base de la corne p
OP111QUE DE la MOELLE épinière 111 7° segment dorsal (fig. 10). Les lésions en foyer commencent il disparaî- tre. Les deux
croisés sont en état de dégénérescence secondaire descendante. Les lésions vasculaires sont beau- coup moins intenses que
escence descendante des fais- ceaux pyramidaux croisés est la seule lésion qui subsiste ; elle va en diminuant progressive
ormale,même niveau. 112 LONG ET WIKI Il. - ETUDE histologique DES lésions . 1. Méninges. La dure-mère, dans ce cas, est ab
e les deux feuillets de l'arachnoïde La pie-mère ne contient pas de lésions nodulaires qui puissent faire penser à l'exis-
ence secondaire, et il est d'ailleurs fa- cile de constater que les lésions des cordons postérieurs ne sont pas d'origine r
épaissis et oblitérés (fig. 18 et 19) ; il faut aussi noter que ces lésions vasculaires ne sont pas réparties par foyers et q
rmale un ou plusieurs vaisseaux en état d'intégrité complète. Ces lésions , ainsi qu'on le voit sur les figures 16, 18 et 19
scence hyaline. 3. Vaisseaux intramédullaires. - Ils présentent des lésions beaucoup plus avancées et plus diffuses que cel
ncées et plus diffuses que celles des vaisseaux extramédullaires. Ces lésions Fig. 16. - Pie-mère et vaisseaux. 2e segment do
arrive au renflement lombaire. La répartition topographique de ces lésions vasculaires n'obéit à aucune règle : dans un mê
gment ou un autre de la moelle. Lorsqu'elles sont peu intenses, ces lésions des vaisseaux intramédullaires se présentent so
dernier en un conduit rigide rempli de globules sanguins. Avec des lésions plus intenses, les parois subissent en totalité l
use (axe gris et faisceaux blancs). - Le relevé topographi- que des lésions que nous avons fait plus haut dispense de faire l
ons fait plus haut dispense de faire la nomencla- ture complète des lésions en foyers de la substance nerveuse. Il montre bie
st ainsi que pour le cordon de Goll droit, on trouve le maximum des lésions dans la partie supérieure du 5° seg- ment dorsa
UR l'état ATROPIIIQUE DE la moelle épinière 115 Cette diffusion des lésions en foyer de la substance blanche se retrouve qu
ns les 5e et 6° segments dorsaux, c'est à gauche qu'on retrouve des lésions analogues dans la substance grise : raréfaction
nt de la colonne de Clarke (fig. 21). L'apparition de ces foyers de lésions destructives dans la substance nerveuse - faisc
cs et substance grise - coïncide toujours avec une augmentation des lésions vasculaires. Il est noter que ces foyers ne se
istologique. - On constate trois catégories de lé- sions : 1° des lésions vasculaires et péri-vasculaires diffuses et en gr
ulaires diffuses et en grande majorité intra-médullaires ; 2° des lésions scléreuses en foyers multiples qui constituent le
s deux tiers supérieurs de la région dorsale. Remarques. - i° Les lésions vasculaires se manifestent ici avec le ca- ract
pie-mère et les vaisceaux pie-mériens sont presque indemnes. 2" Les lésions destructives de la moelle sont en foyers multiple
la substance grise et qui ne constituent pas un foyer unique. Ces lésions limitées des faisceaux blancs et de la substance
e, ou seule- ment d'un ramollissement inflammatoire produit par les lésions péri-vas- culaires ? Le cas actuel-ne se prête
, qui est un tissu de remplacement dans le sens complet du mot. Les lésions destructives en foyer ont pu jouer un rôle, mai
moelle s'étend uniformément sur une grande hauteur, tandis que les lésions en foyer occupent surtout les li ? 5°, 6e segment
igris que les autres. Il ne reste plus comme cause possible que les lésions vasculaires ; on remarque que leur distribution
la paralysie spinale syphilitique. , La forme rapide est due à des lésions inflammatoires, vasculaires et périvasculaires,
de cas. Il est vraisemblable qu'il existe à cette période surtout des lésions vasculaires qui créent .un état d'insuffisance
nomènes spasmodi- ques de cette période, de supposer la présence de lésions destructives, et on peut comparer ces faits à c
e former, sui- vant le degré d'oblitération des vaisseaux, soit des lésions en foyer, soit un état dystrophique étendu à un
sentir sur des régions similaires de l'embryon. La multiplicité des lésions et une symétrie assez grande on* d'ailleurs été
topsie de sujets porteurs de difformités congénitales on trouve des lésions du système nerveux dans les parties corresponda
t un mécanisme analogue à celui qui après la naissance entraîne des lésions spinales à la suite des amputa- tions des membr
ièrement intéressante, car elle dénote sûre- ment, dans ce cas, des lésions dégénératives des nerfs moteurs de ce groupe mu
que, comme celle que nous observons ici, dénote infailliblement une lésion du nerf périphérique ou de ses cellules d'ori-
t examen confirme notre hypothèse au sujet de la localisation de la lésion . DE LA CRAMPE DES ÉCRIVAINS 151 Chez ce malad
l'approfondir. Jusqu'à présent, on n'a pas encore décrit de grosses lésions , ce qui ne saurait être surprenant étant donnée l
ctilité électrique, observées dans nos cas I et IL Théoriquement la lésion ne peut être loca- lisée que dans deux points d
llons défendre. L'on sait, sans entrer ici dans les détails, qu'une lésion irrilative de la substance grise cérébrale donn
Pourquoi ne pas alors raisonner par analogie et ne pas localiser la lésion dans les cellules motrices delà corne anté- rie
uer comment la simple prolongation d'un mouve- ment peut causer des lésions cellulaires ; on pourrait cependant se deman- d
sembler étrange, à pre- mière vue, que cette affection, 'due à une lésion destructive, soit plus fré- quente chez les hom
odifications des réactions électriques, ce qui indique toujours une lésion définitive du nerf. Des cas que nous avons étudié
rce, des nerfs optiques, 'et la représentation de certains types de lésions cellulaires corticales, sur la planche XXV. Obs
ns calcification. Sclérose névroglique intense des nerfs optiques ; lésions cellulaires corticales légères, diffuses. G...,
L'examen somatique ne révèle, du côté des grands appareils, aucune lésion , aucun trouble fonctionnel. Le second temps aor
évèle, à la base de la partie antérieure de l'hémisphère gauche, la lésion , sous la forme d'une volumineuse tumeur sphé- n
lles de la planche I, destinées à montrer l'aspect d'ensemble de la lésion sur la table d'amphithéâtre, on détache, par des
VAUX ventriculaires, légère à droite, assez forte à gauche.. Pas de lésions apparentes dans les masses centrales, grises et
ulaires, notamment des cellules pyramidales dont nous décrivons les lésions (état fissuraire, éclatement, gonflement et exc
s op- tique. ' L'examen de la moelle est négatif L'ensemble des lésions microscopiques de l'écorce, des nerfs optiques, e
ulter de la statistique comparée des troubles mentaux, au cours des lésions encéphaliques, que c'est l'atteinte des lobes fro
nalée avec tant de complaisance, comme symptôme caractéristique des lésions néoplasiques du lobe frontal, par Bruns (1) et su
ct de cette sclérose névro- glique rappelle de près l'apparence des lésions névritiques d'origine toxi- infectieuse ou toxi
nterprétation pathogénique que peut suggérer la constatation de ces lésions névritiques. Dans les derniers jours, le malade
rition des paralysies du côté gauche, qui permirent de localiser la lésion dans l'hémisphère gauche. A ce moment, l'état d
nde cependant à être éclairée par une connaissance plus précise des lésions anatomiques, et nous comptons, dans cette seconde
petites. En résumé, l'examen détaillé des coupes nous montre comme lésion élémentaire, caractéristique dans toutes les prép
qui s'applique sur la néoformation elle-même. - La gradation de ces lésions se retrouve à l'examen histologique et les altéra
ition fonctionnelle diffuse de tout le cor- tex. , L'ensemble des lésions que nous allons décrire peut s'apprécier à l'insp
éres- sants de nos préparations. Dans la zone périnéoplasique,les lésions sont d'autant plus évidentes qu'on est plus prè
uées en deçà de la tumeur (lobe temporo-sphénoïdal) on constate des lésions moins avancées. Les petites cellules ont à peu
sont ordinairement au dehors. Dans la zone paracentrale, les mêmes lésions se retrouvent à un degré moin- dre. H y a moins
es vaisseaux. Dans la zone occipitale nous observons le minimum des lésions . Certaines .cellules offrent des altérations an
98 DUPRÉ ET DEVAUX En résumé, la méthode de Nissl nous a montré des lésions cellulaires dissé- minées consistant : 1° en un
cte- ment par la tumeur ils n'en présentent pas moins tous deux des lésions indis- cutables et identiques. . Le premier p
Nissl nous a permis de constater différentes par- ticularités. Les lésions sont étendues à toute la surface du cerveau, et s
es ont gardé leur aspect normal la grande majorité sont le siège de lésions atteignant à la fois et le protoplasma et le noya
une de ses parties, le noyau de son côté a complètement disparu. La lésion rappelle alors celles qu'ont décrites Nageotte et
à n'être plus perceptibles dans les cellu- les en achromatose. Ces lésions de l'écorce n'ont donc pas toutes un aspect ide
tés et même la contradiction des interprétations données d'une même lésion par les divers auteurs, rendent malaisé d'établir
édés n'ont rien donné. » z (1) Marinesco, Recherches sur quelques lésions peu connues des cellules corticales, Revue de n
icales, Revue de neurologie, 1899. (2) NAGEOTTE et L ? fTLI\G6lt, Lésions des cellules nerveuses dans les intoxications et
toxications et les infections. Presse médicale, 1891. (3) Ballet, Lésions de l'écorce et de la moelle dans un cas de démenc
ffèrent d'avis, quand il s'agit de déterminer le mécanisme de cette lésion . ' Pour Nissl (1). la chromatolyse consiste dan
a cellulaire, c'est qu'à partir du troisième jour (il s'agissait de lésions expérimentales) le bleu de méthylène commence à
; fës e : om eco<tti ? 'M e cete KefueuM, (3) lIIAI11l\EbCO, Des lésions primitives et des lésions secondaires de la cellu
'M e cete KefueuM, (3) lIIAI11l\EbCO, Des lésions primitives et des lésions secondaires de la cellule nerveuse, Société de
se, Société de biologie, 1896. Dps polynévrites en rapport avec les lésions secondaires et les lésions primitives des cellu
96. Dps polynévrites en rapport avec les lésions secondaires et les lésions primitives des cellules nerveuses, Revue de Neuro
tes constatations on est en droit de conclure à la cause réelle des lésions . Dans notre cas,le cerveau était soumis à une for
et plus tard une atrophie extrême des corps cellulaires. Pareilles lésions n'ont été retrouvées dans notre observation que
itime par suite de conclure à l'intervention d'un autre fadeur. Les lésions de l'écorce du reste nous y autorisent volontiers
t le type périphérique. D'après Marinesco (3) il s'agit alors d'une lésion primitive de la cellule. Les agents capables de
dans l'intoxica- tion botulinique;et nous-mêmes avons rencontré des lésions tout à fait sem- blables chez un malade mort de
inesco y attache une grande importance et y voit l'expression d'une lésion primitive de la cellule, par opposition aux altér
indre axe. Van Gehuchten (7) s'élève contre le carac- (1) NRncAVeR, Lésions histologiques de l'écorce dans la compression du
, Loc. cit., et Congrès de Moscou, 1897. (4) ACQUISITO et PUSATERI, Lésions des cellules dans l'urémie expérimentale, Riv. di
servation il est d'autant plus certain que nous avons à faire à des lésions primitives, que le névraxe examiné à plusieurs ét
e névraxe examiné à plusieurs étages était ab- solument normal. Les lésions du cerveau ressemblent d'une façon indénia- ble
'action de toxines sécrétées par le tissu néoplasique. A côté des lésions cellulaires de l'écorce, nous avons insisté sur l
rganes de l'économie, et les in- (1) Ballet et I)UTIL, Sur quelques lésions expérimentales de la cellule nerveuse- Semaine
le- ment. II Diagnostic ET interprétation (l31aet-Satglé). La lésion cutanée que présente notre malade peut éveiller l
bleu des hystériques ; 4° les troubles vaso-moteurs consécutifs aux lésions trau- matiques, toxiques ou infectieuses des ne
gions, surtout les doigts, ont l'aspect qu'on observe à la suite de lésions traumatiques, toxiques ou infectieuses des nerfs
icile à faire. Aussi bien ne le ferai-je pas et voici pourquoi. Les lésions de la peau qui résultent des lésions trau- mati
-je pas et voici pourquoi. Les lésions de la peau qui résultent des lésions trau- matiques des nerfs sont consécutives à la
isse pas d'oedème bleu (affection qui rélève aussi d'ailleurs d'une lésion des. neurones vaso-constricteurs, mais qui impl
de la sensibilité auditive à gauche me paraît due égale- ment à une lésion , peut-être purement fonctionnelle (hyperamiboïsme
e. L'exagération de certains réflexes n'est que le corollaire de la lésion des neurones des mouvements volontaires, et l'i
eurones de laztlso-coaastrictioat. J'arrive à la plus apparente des lésions nerveuses que présente notre malade, à la paral
de N- (n X n'), d'où une vaso-paralysie plus étendue. Où siège la lésion nerveuse qui donne lieu à ce naevus ? Ce qu'on
rs nerfs ni à celui d'une ou plusieurs ra- cines nerveuses. Cette lésion , qui est une lésion diffuse, siège donc dans la m
d'une ou plusieurs ra- cines nerveuses. Cette lésion, qui est une lésion diffuse, siège donc dans la moelle du côté des
e croire après les conclusions que j'ai déjà eu à tirer quant à des lésions de l'écorce de l'hémisphère droit. D'autres n
es observed in the température of the body as snaptomatio of cérébral lésions . The Brit. med. Journ., 1889, p. 1406. z) Bar
de la température et l'épaississement de la peau du même côté. La lésion initiale parait siéger dans les zones sensitivo-m
ché. Elle acquiert ainsi une réelle valeur pour le diagnostic de la lésion rachidienne sous-jacente et a été jusqu'ici envis
vance de la race,et d'ailleurs uniquement par la femme,ce sont les lésions du bassin. « Certains auteurs ont bien signalé
ien, exostoses, fractures juxta- épiphysaires, syphilides cutanées, lésions spécifiques des autres organes, testicule, foie
os mous, ramollis, fracturés, avec des localisations variées de ces lésions sur tous les os longs et courts, et un rachitisme
(\ ! achondroplasie, indiquant ainsi que la cause en réside dans une lésion du cartilage (à, privatif, xovopo;, cartilage,
ns très variées. Nous n'insisterons pas sur cette varia- bilité des lésions , car on trouvera dans ce même numéro l'histoire t
l'achondroplasie qui a pour elle et pour elle seule la symétrie des lésions , leur localisation à l'épiphyse des os longs, l
e, la main en trident, l'intégrité du thorax. Si la description des lésions macroscopiques et microscopiques de l'achon- dr
t du cartilage. « Au point de vue histologique, dit M. Durante, les lésions 'de ces deux enfants achondroplasiques se rappr
age est tout à fait différent de celui de l'os achondroplasique. La lésion achondroplasique est une lésion éteinte à la na
celui de l'os achondroplasique. La lésion achondroplasique est une lésion éteinte à la naissance, comme l'a dit 141üller
landulaire encore inconnue; mais on n'oubliera pas cependant que la lésion s'établit peut-être chez les foetus avant l'app
rès irrégulier et très variable comme siège, intensité et durée des lésions . L'achondroplasie au contraire est une lésion é
tensité et durée des lésions. L'achondroplasie au contraire est une lésion éteinte à la naissance, symétrique, atteignant su
x maladies, il faut admettre que dans le rachitisme micromélica, la lésion rachitique est arrivée à un état très avancé en q
hondroplasie 289 dulte. Cette objection de durée et de symétrie des lésions ne nous parait pas avoir une valeur absolue ; n
e produisant à un certain moment de son existence, puisse créer des lésions rachitiques localisées aux noyaux cartilagineux
ayant présenté à l'autopsie une dégénérescence aiguë du foie et des lésions rénales de nature toxique (Porak et Durante, Cong
é aussi des lé- sions du système nerveux, mais ne mettent point les lésions osseuses sous la dépendance des lésions médulla
, mais ne mettent point les lésions osseuses sous la dépendance des lésions médullaires. En résumé, on peut appuyer sur de
s intérêt, disent-ils, de rechercher et de mettre en évi- dence ces lésions nerveuses qui, par leur nature, tendent à démontr
t des plus nets : il n'existe dans les os achondroplasiques aucunes lésions semblables à celles du rachitisme; on ne trouve
er rien qui ressemble au tissu spongoïde ou au tissu chondroïde. La lésion caractéristique de l'achondroplasie est tout au
e, ou le pied-bot congénital relevant d'un vice déposition ou d'une lésion médullaire. Il n'en est pas de même pour l'achond
euse atrophique avancée. L'examen microscopique mit en évidence des lésions pigmentaires et chromatolytiques diffuses de la t
énique de l'action à distance et du retentisse- ment général de ces lésions circonscrites et localisées sur tout l'appareil
lente d'origine banale, en quelque sorte. S'il en était ainsi, les lésions devraient être loca- lisées, ou très prédominan
her les troubles psychiques non pas seulement à la localisation des lésions , mais aussi à l'action sur le cerveau des toxin
clinique qui existe entre tel ou tel symptôme de localisation et la lésion en foyer représentée par le kyste : et, presque
e par le kyste : et, presque toujours, dans ces cas, on observe des lésions inflammatoires chroniques ou subaiguës, parakysti
à distance des néoplasmes. . Dans notre observation, en dehors des lésions constatées dans la zone juxtanéoplasique, et su
es à toute action directe de la tu- meur, et nous avons observé des lésions cellulaires et péricellulaires, très analogues
du cerveau toxi- infectieux. Sans revenir sur la description de ces lésions , que nous avons longuement exposée, nous ferons
us ferons remarquer la grande analogie qu'elles présentent avec les lésions corticales du botulisme, telles qu'elles sont dé-
de psychose polynévritiqne,où Trénel et Ci-été ont constaté les mêmes lésions {chromatolyse et infiltration péricellulaire pa
l'examen histologique de l'écorce ne leur a montré qu'un minimum de lésions cellu- laires et fibrillaires, avec un maximum
inimum de lésions cellu- laires et fibrillaires, avec un maximum de lésions méningitiques diffuses, chroniques et subaiguës
s. En résumé, la fréquence de ces petits corpuscules dans l'écorce, lésion de fréquence assez banale au cours de bien des
aris, 1901. , (3) Monkemoller et KAPLAN, Syndrome de Korsakoff et lésions médullaires dans un cas de tumeur cérébrale. AU
nique exercée par la tumeur. ' Enfin, la nature et la diffusion des lésions névritiques, constatées dans les tractus optiqu
ce pédoncule et à l'en- céphale : la fréquence et la profondeur des lésions de névrite optique cons- tatées dans les tumeur
ni plus prononcés ni plus anciens au voisinage de la tumeur ; mêmes lésions sur les méninges médullaires. Le lobe cérébelle
e de prédilection les zones péri et pava- vasculaires. III. - Les lésions des cellules corticales sont les suivantes : dans
tions des cellules corticales et des nerfs optiques comparables aux lésions toxi-inrectieuses),anato11liques (large com- mu
la dégénérescence hyaline telle que la décrit Robertson. Quant aux lésions des cellules corticales, nous n'avons pu encore p
de Menzel qui présente des différences considérables à l'égard des lésions avec ceux de Fraser et Nonne a été considéré par
ne peut expliquer. L'auscultation ne permet de recon- naître aucune lésion soit dans les poumons, soit au coeur. Le malade,
nt toujours été dans le même état, ce qui n'est pas admissible. Les lésions existent des deux côtés, mais sont plus accentu
sont bien développées. Sur les coupes de Flechsig on ne voit pas de lésions . Le cervelet est petit, sans lésions macroscopi
de Flechsig on ne voit pas de lésions. Le cervelet est petit, sans lésions macroscopiques; ses méninges sont épais- sies.
lus petite, mais la disparition des fibres y est plus prononcée. La lésion du faisceau cérébelleux direct et du faisceau d
'y voit pas de dégénérescence. Le reste du bulbe ne présente pas de lésions . Les noyaux olivaires sont petits, comme du reste
e leur étendue. Dans les pédoncules cérébraux on ne constate pas de lésion . Sous l'épendyme du plancher du Il ventricule e
a prédominance des fibres fines. En résumé, notre examen montre les lésions suivantes : Dans la moelle, dégénérescence des
mbaire 11 - 8, 5 millimètres. Au microscope on ne constatait pas de lésions dans la moelle. Dans les racines antérieures le
raci- nes postérieures et dans plusieurs nerfs périphériques cette lésion était t moins prononcée. ' Dans le cas de Men
'y avait plus de cellules. Les cel- lules persistantes étaient sans lésions . Les parties supérieures du cervelet étaientplu
rieures du cervelet étaientplus atrophiées que les inférieures. Les lésions du vermis beaucoup moins prononcées que celles
ins prononcées que celles des lobes. Fraser dans son cas relève des lésions dont nous empruntons la descrip- tion à la thès
s fines était plus grand que celui des larges. Dans le bulbe pas de lésions . Dans la protubérance disparition d'un grand no
obtenu dans notre cas, on verra qu'à beaucoup de points de vue les lésions sont semblables, mais pourtant il existe des diff
clérose dans la moelle tandis que Menzel et nous, nous trouvons des lésions de la substance blanche et grise. Dans les deux
des lésions de la substance blanche et grise. Dans les deux cas les lésions ont beaucoup de ressemblance, quoique dans le n
les lésions ont beaucoup de ressemblance, quoique dans le nôtre les lésions de la substance blanche occupent plus les parties
able de fibres bien conservées. Nous trouvons dans les deux cas des lésions de la substance grise. Les lésions du bulbe dan
trouvons dans les deux cas des lésions de la substance grise. Les lésions du bulbe dans le cas de Menzel et dans le nôtre s
ressem- blent aussi. 384 SWITALSKI Chez Haut nous trouvons des lésions des faisceaux cérébelleux di- rects, des noyaux
yaux des faisceaux de Goll ; dans le cas de Menzel, en outre de ces lésions , on constatait des altérations desnoyaux de sfais
s glossopharyngiens et de la partie motrice du trijumeau, enfin une lésion des olives. Les lésions qui ont été trouvées da
de la partie motrice du trijumeau, enfin une lésion des olives. Les lésions qui ont été trouvées dans tous les cas examinés
as où les racines et les nerfs périphériques ont été exa- minés, la lésion trouvée est la même, à savoir disparition des gro
us trouvons dans la moelle, dans le bulbe et la protu- bérance, des lésions plus profondes que dans les mêmes cas de Nonne,
ser et Miura. Quelle peut être la cause de ces différences dans les lésions anatomi- ques d'une même maladie. Nous pensons
petissement du volume de la moelle, du bulbe, etc. Dans ce stade de lésions les fonctions du système ner- veux sont déjà al
survie dure plus long- temps, ou peut-être si dans certains cas les lésions du système vasculaire sont plus profondes, ou l
t atteindre aussi d'autres parties du système nerveux par suite des lésions des vaisseaux,comme les voies motrices (cas de Me
e, dira-t-on. - Mais ce qui l'autorise, c'est que nous trouvons des lésions chroniques de vaisseaux. Cette lésion seule ne po
c'est que nous trouvons des lésions chroniques de vaisseaux. Cette lésion seule ne pouvait pas produire une atrophie d'un
lus tôt, et qui s'enveloppent le plus tôt de myéline. Par suite des lésions de vaisseaux, comme nous l'avons dit, se produit
is qui sont moins bien nourries, et qui finissent par présenter des lésions . De cette façon les lésions du système nerveux
ies, et qui finissent par présenter des lésions. De cette façon les lésions du système nerveux dans l'hérédo-ataxie céré- b
es seront dépendantes de la durée de la maladie, de l'intensité des lésions vasculaires et d'un, plus ou moins grand arrêt
, D). Quoique très dégénérées les cellules ne présentent pas ici de lésions aussi avancées que dans les descriptions précéd
ortent au niveau de la région dorsale et de la région lombaire. Les lésions sont peu près les mêmes en ces deux points de l
lume. Les coupes transversales et longitudinales ne montrent pas de lésions appréciables des fibres nerveuses. Le processus
les entourent et les pénètrent sont très dila- tés, présentent des lésions de périartérite. Des éléments embryonnaires leur
problème et de rapprocher ces données disparates. III. ? Malgré les lésions avancées de l'élément cellulaire, les racines n
e, les racines nerveuses ne présentent pas de dégénérescence, ni de lésions manifestes. Ces résultats sont conformes à ceux
ceci prou- vant, au moins, que la grande névrose est associée à une lésion organique. Mais les cas de contracture de la ma
ure de la pathogénie de la maladie de Pagel. Comme on le verra, les lésions du système nerveux central ne nous ont pas paru
r un des côtés, où un début d'eschare commençait à se voir. Cette lésion du sacrum, était avec l'épaississement des crêtes
térieure du pubis. Du côté des viscères, les poumons présentent les lésions étendues de la broncllOpneumonie qui a entraîné
n'y a pas trace de tuberculose aux sommets. Le coeur présente des lésions de péricardite aiguë sans épanchement liquide.
racique descendante. Par contre, la portion abdominale présente des lésions extrêmement marquées, une dilatation fusiforme ir
es supérieurs, mais il est probable qu'elles présentaient les mêmes lésions . Le foie pèse 1110 grammes et présente quelques
sombre. Quant au radius correspondant, il pré- sente un minimum de lésions . Ce qui frappe le plus, dans sa radiographie, c'e
nce, toute structure. Il en tire des conclusions au point vue de la lésion du début qui ne concordent pas avec les résultats
ésultats de nos examens tant radiographiques qu'histologiques. La lésion ne nous a pas paru sous-périostée, comme le pense
aires sur ce point. Examens histologiques. Le foie présentait les lésions du foie artérioscléreux. Epaississement des pa-
artérioles sont manifestement scléreuses. Les reins présentent des lésions histologiques importantes, mais assez diffé- re
qu'un nom- bre restreint de cellules radiculaires, ne sont que les lésions de la vieillesse. Nous savons d'ailleurs qu'il
carmin. Les différentes coupes présentent sur toute la hauteur des lésions manifestes de sclérose d'origine vasculaire. La p
e périartérielle se continue avec la sclérose névroglique. Mais les lésions s'arrêtent là, il n'y a ni dilatations vasculaire
s réflexes rotuliens abolis. En tout cas, il ne s'agit là que d'une lésion légère. Les zones radiculaires internes sont d'ai
le donc pas qu'il faille attribuer une importance spéciale ci cette lésion , peu importante au surplus. En somme, les lésions
spéciale ci cette lésion, peu importante au surplus. En somme, les lésions de la moelle (très marquées lorsqu'on la compar
notre malade se distin- gue, au point de vue de la répartition des lésions par quelques points un peu spéciaux : L'intégri
mais un certain nombre d'observations notent également l'absence de lésions osseuses du côté du crâne [Voyez les observations
uve également dans plu- sieurs observations. Il semble bien que les lésions soient toujours plus ou moins irrégulièrement d
s l'intimité des tissus de ces organes. Il est bien évident que les lésions de tous ces viscères doivent être expli- quées
Presque toutes, à commencer par celles de Paget, notent de grosses lésions cardiaques. Le malade de Thibierge (1) avait le
(8) nous décrit : « la valvule mitrale épaissie et rugueuse; mêmes lésions moins marquées à la tricuspide ; les valvules a
viscères, et il est bien possible que, comme chez notre malade, les lésions artérielles se soient lo- calisées dans les pet
ui ont été mises en avant ces dernières années. 1° Hypothèse de la. lésion médullaire. - Gilles de la Tourette et Mari- ne
es de la Tourette et Mari- nesco (2), dans leur article intitulé la lésion médullaire de la maladie de Paget, avaient décr
t de la contracture des adducteurs, et en usait pour conclure à une lésion médullaire. Mais les nouveaux faits ne semblent
es altérations médul- ]aires de son sujet, déclare n'y voir que des lésions séniles, d'ordre vascu- laire. Selon lui, la co
ons séniles, d'ordre vascu- laire. Selon lui, la coïncidence de ces lésions avec l'ostéite déformante tient vraisemblableme
) L. LÉVI, loc. cit. UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 429 mes lésions de moelle sénile que L. Lévi, et elles ne nous on
nous ont pas paru, non plus qu'à cet auteur, pouvoir expliquer les lésions osseuses. Quant aux vues théoriques basées sur
a maladie de Paget, nous paraissent dépendre de la localisation des lésions vasculaires. Prédominent-elles sur les cordons
cellulaire du côté correspondant, au voisinage du canal central. La lésion de ce groupe cellulaire tiendrait sous sa dépen
e altération localisée à un groupe cellulaire. 2° Hypothèse de la lésion d'une glande vasculaire sanguine. - Depuis que
hèse de la lésion d'une glande vasculaire sanguine. - Depuis que la lésion du corps pituitaire semble unanimement reconnue c
ause probable de l'acromégalie, on devait en arriver à admettre une lésion du même ordre pour expliquer l'ostéite déformante
peut admettre en tout cas, qu'il n'y avait en aucun cas de grosses lésions du corps pituitaire. Nous l'avons d'ailleurs tr
tologiquement, a trouvé une sclérose très accu- sée avec de grosses lésions vasculaires et parenchymateuses. On a vu que, d
s vasculaires et parenchymateuses. On a vu que, dans notre cas, les lésions étaient encore plus avancées. On ne peut tirer
n symptôme qui semble à première vue devoir être rat- taché à cette lésion : la mélanodermie. (1) Cuncio, Annali di medici
nt une coïn- cidence. La sclérose de la capsule surrénale est une lésion très rare ; Pilliet (2) rapporte un cas de canc
On peut expliquer de même facilement l'irrégulière distribution des lésions qui atteignent un os et épargnent l'os voisin, un
ent complet de l'architecture qui nous a paru le trait dominant des lésions osseuses. Pour trancher cette question, que nous
ous sommes toujours obligés d'avouer que nous ne connaissons pas la lésion initiale, le point de départ des malformations
troubles trophiques osseux, musculaires et conjonctifs, à la suite de lésions des cornes antérieures ou de leur voisinage imm
ngomyéliques, etc.). En définitive, il y tout lieu de croire que la lésion du trophoedème est une lésion médullaire intére
tive, il y tout lieu de croire que la lésion du trophoedème est une lésion médullaire intéressant l'axe gris (1). La répar
e la syringomyélie. Les divisions métamériques de la moelle (1) Des lésions du système sympathique pourraient exister égaleme
urraient exister également, soit primi- tives, soit secondaires aux lésions médullaires. SUR LE TROPROEDÈME 469 s'accorde
our qu'il soit superflu d'y revenir. En faveur de l'existence d'une lésion médullaire, M. Rapin apporte une observation de
ues aux mala- dies articulaires, aux fractures, aux névralgies, aux lésions cérébrales, (1) LANnouzv, Revue mens. de méd. e
s serions donc en présence de troubles trophiques consécutifs à des lésions encore mal déterminées du département nerveux c
ent nerveux chargé de diriger la nutrition et de la tenir en hride, lésions qui permettraient au tissu cellulo-adipeux de se
retour complet des fonctions musculaires, être suivie cependant de lésions trophiques osseuses qui per- sistaient toute la
ngueur d'un autre membre ira jusqu'à 5 ou 6 centimètres, quoique la lésion musculaire y soit restée localisée dans un ou d
était considérée comme une paralysie essentielle, l'aspect seul des lésions des cornes antérieures ne nous permet pas de pr
rophiques, dans la paralysie infantile, ne semblent pas résulter de lésions médullaires massives, comprenant une certaine éte
c de la substance grise. Ils paraissent être plutôt l'expression de lésions éparses, frappant des centres fonctionnels dist
tres fonctionnels distincts. Ainsi que le dit Bris- saud (1) : « La lésion spinale, qui est le point de départ nécessaire de
des types divers, pouvait relever dans un certain nombre de cas, de lésions médullaires ayant affecté des centres trophique
extension, étroitement liées aux modifications mêmes subies par les lésions nerveuses. Landouzy fait ressortir les liens qu
ir les liens qui unissent les modifications du tissu cellulaire aux lésions nerveuses, non seulement dans ses propres obser-
la peau .. Ce qui revient à dire que l'adi- pose, pas plus que les lésions cutanées, ne se trouve sous la dépendance 486 E
APIN de la macilence musculaire, mais bien sous la dépendance d'une lésion coexistante ou consécutive des agents d'innerva
en faveur d'une subor- dination de l'hypertrophie des membres à une lésion médullaire, leurs lé- gitimes soupçons à l'endr
nfantile, être envisagée comme l'une des conséquences légitimes des lésions médullaires qui font de la polio- myélite antér
ettre cependant l'existence d'un peu d'cedème qui se surajoute à la lésion principale au bas de la jambe et sur le pied, apr
pathogénie, M. Meige revient à maintes leprises sur la part qu'une lésion des centres pourrait avoir dans le mécanisme nutr
sur la pa- thogénie de ces troubles de nutrition ? Existe-t-il une lésion ? Siège-t-elle sur les centres ou les conducteu
oedémateuses que l'on observe, soit expérimentalement à la suite de lésions nerveuses, soit d'iniquement au cours d'affecti
stème nerveux soit la cause de la maladie. » M. Meige place même la lésion , si lésion il y a, dans la subs- tance grise du
ux soit la cause de la maladie. » M. Meige place même la lésion, si lésion il y a, dans la subs- tance grise du névraxe. M
que le diagnostic de troubles trophiques consécutifs à une ancienne lésion nerveuse pourrait être soutenue avec vraisembla
d'origine congénitale. Avons-nous il en chercher-la cause dans une lésion de la moelle pendant la vie embryonnaire ? C'es
sur la vitalité 'des cellules sécrétantes du corps thyroïde. Les lésions sont moins fréquentes que dans la scarlatine. Ell
. A chaque étage médullaire correspond un segment de l'individu, la lésion du méta- mère spinal retentissant sur le segmen
respondant. Dans notre observation, il y aurait donc deux sortes de lésions , lésions centrales d'une part, caractérisées pa
t. Dans notre observation, il y aurait donc deux sortes de lésions, lésions centrales d'une part, caractérisées par de l'hé
ésions centrales d'une part, caractérisées par de l'hémiparésie, et lésions mé- dullaires, affectant le segment inférieur d
re de plus la distribution métamé- rique (Grasset) : le siège de la lésion est dans ce cas dans une tranche de la moelle l
t pas congénitale chez notre malade. Je ne vois pas non plus qu'une lésion acquise des centres nerveux, méningée, céré- br
a tuberculose pulmonaire. L'autopsie a montré dans les viscères les lésions habituelles de la tuber- culose pulmonaire chro
l'occipi- tal, les mastoïdes et les rochers (Pl. LXXI). Voici les lésions que nous avons constatées : . (1) 11RITCIIEV561
es articulations qu'il nous a été permis d'examiner, a présenté des lésions profondes. Il en a du moins été ainsi dans tout
outes les articulations irrégulière, découpée en dents de scie. Ces lésions se sont retrouvées dans toutes articulations du
que dans les petites articulations du pied et des orteils. Mais les lésions les plus importantes et les plus curieuses sont l
s les os longs du pied, métacarpiens et phalanges, présentent des lésions épiphysaires abso- lument analogues à celles du
ro- cartilagineuses du genou, tranchent par leur intégrité avec les lésions des (1) Le cerveau et la moelle ont été recueil
is pour son pro- pre compte. Mais l'os compact échappe partout à la lésion ; partout où l'os est déformé, c'est de tissu s
33 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
est aussi le point le plus frappant de l'observation qui suit. La lésion du nerf optique, qui constitue avec la déformatio
desquelles on distingue encore il peine quelques fibres. Les mêmes lésions se voient nettement sur les coupes longi- tudin
a critique, étant donné que sous le nom de spondylite on entend une lésion vertébrale osseuse, articulaire ou périarticuta
iqués qui seront publiés ultérieurement, nous n'avons trouvé aucune lésion organique, du moins actuelle. Le terme de cam
Pas de signe de Babinski. L'examen radiographique n'a montré aucune lésion osseuse ou péri- osseuse. D'ailleurs, la mobili
bilité parfaite de la colonne vertébrale rejette toute hypothèse de lésion rachidienne. La ponction lombaire (faite 8 à 10
la normale. En résumé, l'examen le plus minutieux n'a pu déceler de lésions orga- niques, si bien qu'au point de vue cliniq
initial et l'examen tardif, comme nous avons vu, n'a pu déceler de lésions organiques actuelles. Cependant l'examen du liq
t, car s'il avait été positif, il aurait démontré la présence d'une lésion cérébro-médulaire latente et passagère. M. Dufo
ons constatés en étudiant, les mouvements simples dansées cas avec- lésion de certaines parties du névraxe. Pendant leur vie
s l'autre ; 3° pour l'absence des signes indubitables désignant une lésion organique dès oies'cëi-él)ro spi- nales (signe
s de la sensibilité ; 4° pour des' rais'orisfarl'àto'ri11qiles' : les lésions prédominent dans les 'centres s'ous-co'rticnux,
festes, dans d'autres cas elle est intacte. / Nous concluons que la lésion des parties décrites seules est en état de pert
es seules est en état de perturber la fonction musculaire et que ia lésion des autres systèmes du (li Cet état de cataleps
s l'état de dystonie de nos cas à celui que nous constatons dans la lésion des autres systèmes des centres nerveux : La lé
atons dans la lésion des autres systèmes des centres nerveux : La lésion des racines postérieures provoque une atonie musc
à la destruction des voies pyramidales. Comme nous le savons, cette lésion provoque les contractures qui probablement sont d
ed. Quant aux troubles des mouvements volontaires, les malades avec lésion des voies pyramidales présentent le type d'électi
uys seraient le siège d'un mécanisme d'innervation sympathique. Les lésions de ces régions chez l'homme (Schrottenbach, Zeits
es actes volontaires, rôle qui est tout autre que dans les cas ayec lésion des racines postérieures ou des voies pyramidales
s extenseurs des gros orteils. Pour le fait qu'en certains cas la lésion anatomique se limite aux atro- phies des corps
IN PAR BLESSURES DES NERFS PAR R Mme ATHANASSIO-BENISTY.. Les lésions des nerfs périphériques au cours de cette guerre
, fig. A, B et C). Quelles que soient la nature et la gravité de la lésion , presque toujours la paralysie des muscles exte
stérieur qui l'étend en la portant en dedans (adduction). En cas dé lésion du nerf radial, la paralysie de ces trois muscles
st presque toujours simultanée. Elle n'est dissociée que lorsque la lésion du nerf n'a intéressé que sa branche postérieur
ncore observé cette dissociation, mais plus rarement, dans des Gas de lésion incomplète du radial au niveau du plexus brachi
cubitale. ' ', t ? l...... 11, - PARAI,YSIE CUBITALE. 1 En cas de lésion du nerf cubital, l'aspect de la main est très car
ct de la main est très caractéris- tique, surtout s'il s'agit d'une lésion grave ou d'une section totale de ce nerf.. -
r espace interosseux dorsal. C'est là le signe le plus fidèle d'une lésion du cubital, plus fidèle même à notre sens que la
ntensité que ne suffisent pas toujours à expliquer la hauteur de la lésion et le'degré de paralysie du fléchisseur profond
déformation de l'ongle du petit doigt; il faut alors suspecter une lésion vasculaire concomitante.^ L'interrogatoire du b
même le pouls radial sont alors modifiés. Lorsqu'il s'agit d'une lésion grave du cubital au niveau de l'avant- bras ou
tendineuse, modification des surfaces articulaires des phalan- ges, lésions musculaires ou vasculaires, non appréciables dire
uelques jours après. D'autres blessés (mais c'est plutôt le cas des lésions incomplètes) rap- portent qu'au début, les quat
troubles vasculaires notables conduiront au diagnostic exact. III. LÉSIONS DU NERF médian. Le médian est le nerf de la pro
. A. Paralysie complète. En cas de section totale du médian ou de lésion , grave de ce nerf, la main du blessé se trouve
ement très notable de la partie externe de l'éminence thénar. Si la lésion date de quelques mois, une atrophie importante
igts principalement, apparaît très modifiée dans un grand nombre de lésions du médian. La peau est rouge, violacée, quelque
vasomoteurs secrétoires et caloriques doivent être rapportés à une lésion artérielle associée, chose fréquente, étant don
n pourront éliminer ou confirmer l'hy- pothèse d'une association de lésion artérielle. B. Paralysie incomplète. , Les
ssociation de lésion artérielle. B. Paralysie incomplète. , Les lésions partielles, dissociées, du médian apparaissent, d
t donné la gravité des perturbations fonctionnelles qu'entraîne une lésion totale du nerf. L'aspect de la main est celui q
mbreux de plaie en séton de la partie interne du bras. Lorsque la lésion du nerf médian revêt la forme particulière décrit
jours un degré marqué d'atrophie des muscles situés au-dessus de la lésion et n'appartenant pas au médian. L'évolution des
et d'une manière bien différente de ce qu'on observe à la suite des lésions vasculaires par angustie ou oblitération artéri
l semble que les troubles vasomoteurs et trophiques consécutifs aux lésions vasculaires sont d'ordre pécrohiotique et consist
tritifs et à une perturbation de la croissance de ces tissus. IV. LÉSIONS concomitantes DES NERFS médian ET cubital. Ces
issus. IV. LÉSIONS concomitantes DES NERFS médian ET cubital. Ces lésions fréquentes déterminent des aspects très variables
isselle, les signes sont identiques. Très souvent il,s'y ajoute une lésion de Tarière humérale ou axillaire, s'accompagnan
suite d'une atteinte des deux nerfs doit tenir à l'inégalité de leur lésion . On se trouvera en présence d'aspects différent
sion. On se trouvera en présence d'aspects différents, selon que la lésion la plus grave porte sur le médian ou sur le cub
in, croyons-nous, selon la nature plus ou moins inflammatoire de la lésion . Les troubles observés au cours de ces lésions
s inflammatoire de la lésion. Les troubles observés au cours de ces lésions partielles des nerfs médian et cubital constitu
en voie de restaura- tion.Dansles cas que nous figurons, il y a eu lésion vasculaire associée, assez NOUV. ICONOGRAPHIE D
et des fléchisseurs ; d'autre part, de la force des extenseurs, des lésions vasculaires associées, des anastomoses'entre le
s associées, des anastomoses'entre les troncs nerveux, et enfin des lésions articulaires. Ces dernières dépendent sans dout
ns individuelles ; mais nous inclinons à croire que la nature de la lésion n'est pas étrangère aux arthropathies qui s'ins
isseurs n'est pas la même non plus chez tous les sujets, quoique la lésion siège au même point du nerf. I' a-t- il encore
vec l'individu, et dont le mode de rupture est différent suivant la lésion ? Peut-être aussi faut-il tenir compte, dans ce
où l'inflammation des parties molles des articula- tions aidant, la lésion se fixe; des ankyloses et des rétractions s'établ
s combattre et les modifier. V- Lésions vasculaires associées aux lésions DES nerfs PÉRIPHÉRIQUES. Toutes les fois qu'aux
dans la maladie de Volkmann, déformation due, comme on sait, à une lésion musculaire par ischémie, à la suite de la compres
ordinairement améliorent les raideurs ou contractures, séquelles de lésions osté4-articulaires ou musculaires. La première
Main DU lanceur DE COUTEAU. Paralysie de l'adduc- teur du pouce par lésion de C™' et hypertonie des interosseux par irrita-
enne du coude, face antérieure du liras), peut s'expli- quer par la lésion des fibres envoyées dans ce nerf par la huitième
'éternuement), doit correspondre, vu le trajet du projectile, à une lésion assez bas située sur les branches efférentes du
son territoire. - L'hypotonie de l'adducteur résulterait donc de la lésion de la huitième cervicale. La première dorsale
une disso- ciation lésionnelle des fibres émanant de deux racines : lésion destructive des fibres de la huitième cervicale
e amenant une parésie avec hypotonie de V adducteur du pouce et une lésion irritative des fibres de la pre- mière dorsale,
sseux. 86 LAIGNEL-LAVASTINE ET PAUL COURBON Quant au niveau de la lésion même, on peut en fixer le siège dans l'angle fo
re, conserve plus longtemps la chaleur. 14. Interprétation. I. La lésion du médian est rendue évidente par le siège de l
urt abducteur du pouce, dont on constate l'amaigrissement. II. La lésion du radial est évidente aussi par le siège de la b
sthésie de la main, mais n'a pas de conséquence musculaire. III. La lésion du cubital est réelle. Elle a dû se produire par
e. Cette hypothèse se pose avec plus de poids dans notre cas, où la lésion ne siège pas sur le trajet d'un rameau cubital im
celui-ci, mais ne dépendant pas du môme mécanisme. En résumé, une lésion dans le domaine du cubital a amené l'hypertonie
temps, le cinquième doigt pendait toujours en flexion du fait de la lésion métacarpienne, si bien qu'on dut le redresser p
re, fonctionnel, commandé par le premier. En d'autres termes, une lésion siégeant dans le domaine du médian amena l'hype
meaux du radial qui innervent le dos de la main. La preuve de cette lésion organique du nerf radial est fournie par l'anes
ar une hy- pertonie du premier interosseux dorsal, consécutive à la lésion du rameau du cubital, innervant ce muscle, par
nique, réflexe. Tout le monde s'entend sur les troubles moteurs par lésions nerveuses organiques, quand il s'agit de paraly
rveuses organiques, quand il s'agit de paralysie ou d'hypotonie par lésion radi- culaire comme dans I (re paralysie de l'a
adi- culaire comme dans I (re paralysie de l'adducteur du pouce par lésion de C'III, »), ou tronculaire comme dans II (« g
n de C'III, »), ou tronculaire comme dans II (« griffe cubitale par lésion du nerf cubital »), III (« hypotonie du fléchis
rome ») et aussi quand il s'agit de contracture ou d'hypertonie par lésion irritative, radiculaire comme dans I (hypertonie
rritative, radiculaire comme dans I (hypertonie des interosseux par lésion irritative de DI), ou tronculaire comme dans II
e DI), ou tronculaire comme dans II (hypertonie des interosseux par lésion irritative secondaire du cubital). Nous pensons
tonie des muscles tributaires du nerf lésé, on doit admettre qu'une lésion irritative tronculaire peut les déterminer et q
d'hypertonie comme dans celui d'hypotonie, de troubles moteurs par lésions organiques, tronculaire ou radiculaire. Claire
ure du fléchisseur superfi- cielle, contracture réactionnelle à une lésion cubitale. Mais ces trois ordres de phénomènes :
on de la première phalange de l'index ; XI, main de mea culpa après lésion du carpe ; XII, main du préteur de serment, con
nt-bras). 3° L'apparence est celle d'une réaction consécutive à une lésion sié- geant sur un tronc nerveux défini (III, ma
sié- geant sur un tronc nerveux défini (III, main en ciseaux après lésion du médian,- du cubital et du radial par perfora
n réflexe d'hypertonie et d'hy- potonie combinées consécutive à une lésion ne siégeant pas sur un tronc nerveux bien défin
onie des fléchisseurs après plaie du premier espace interdigital et lésion du radial à la main). 0° L'apparence est à la
mble cependant qu'il y ait un certain rapport entre l'intensité des lésions ner- veuses constatées et ces troubles vaso-mot
so-moteurs, témoins les III, XV, IX où il y a les signes nets d'une lésion des nerfs de la main et où les troubles vaso-mo
, VIII, fil, V, IV, IX, XV, c'est-à-dire dans les cas où il y avait lésion tronculaire évi- dente ou trouble réflexe. Dans
nos résultats il découle que, chez les malades atteints de grosses lésions nerveuses, il y a des troubles trophiques appréci
ine psychique que lorsqu'elle e est d'ordre réflexe ou dépend d'une lésion organique manifeste. II est à remarquer que pré
'hyper- myotonie paraît secondaire à une évolution irritative d'une lésion ner- veuse déjà ancienne, comme dans les cas d'
les troubles moteurs produits, s'expliqueraient par l'existence de lésions à distance, irritatives ou des- tructives de l'
ins élonnanles des signes physiques de perturbations réflexes ou de lésions organiques ne suffit pas à démontrer que ces pert
ues ne suffit pas à démontrer que ces perturbations réflexes ou ces lésions organiques sont la cause totale et unique de ces
eur, à quelques centimètres au-dessus du poignet. Cette identité de lésion et la similitude de l'aspect de la main dans les
examen, étaient telles que nous avons pensé à-la possibilité d'une lésion du cubital en un point où il donnerait des file
titude en contracture auraient pu faire penser à l'un de ces cas de lésions réflexes si justement isolés par MM. Babinski e
se- ments. - II SUR LES troubles VASO-MOTEURS ET TROPHIQUES par LÉSIONS associées DES vaisseaux ET DES nerfs. Les lés
TROPHIQUES par LÉSIONS associées DES vaisseaux ET DES nerfs. Les lésions des nerfs mixtes périphériques entraînent d'une f
isty ont par- ticulièrement appelé l'attention sur l'importance des lésions vasculaires associées aux lésions nerveuses dan
l'attention sur l'importance des lésions vasculaires associées aux lésions nerveuses dans la genèse de ces derniers troubles
face pal- (1) Henri MEIGE et Mme BÉNISTY, Les signes cliniques des lésions de l'appareil sym- pathique et de l'appareil va
R. D. complète dans le domaine du médian et du cubital. En somme, lésion du médian et du cubital à la partie inférieure du
rtement et rapprochement non modifiés (PI. XXIX, B, C). En somme, lésion très incomplète du cubital et surtout du médian
vaisseaux avaient été liés, et consécutivement étaient apparues des lésions trophiques de la main, notamment un panaris ana
deuxième et troisième phalanges de l'index et du médius. En somme, lésion incomplète du médian. En outre, le malade a des
qui rend ce cas particulièrement intéressant, c'est que, malgré la lésion vasculaire qui parait bien avoir joué un rôle imp
externe du quatrième. C'est donc sans doute l'association des deux lésions , vasculaire et nerveuse, qui l'a déterminée. Ce
ns noté de gros trou- bles vaso-moteurs et trophiques à la suite de lésions associées des vais- seaux et des nerfs. Dans ce
, sans oedème sous-cutané dans le territoire des nerfs lésés. Une lésion vasculaire est-elle toujours, forcément, associée
ntervient, à notre sens, la plus ou moins grande impor- tance de la lésion nerveuse elle-même. Quand il y a une lésion vascu
ande impor- tance de la lésion nerveuse elle-même. Quand il y a une lésion vasculaire, on peut constater des troubles vaso
constater des troubles vaso-moteurs et trophiques,même alors que la lésion nerveuse est relativement peu grave : ainsi, dans
hysiologique. C'est avec cette restriction en ce qui con- cerne les lésions vasculaires associées que nous croyons à l'import
'une section nerveuse complète. M. Meige, M. Leriche pensent que la lésion du sympathique est alors en cause ; c'est fort
que est alors en cause ; c'est fort possible, mais il semble que la lésion des fibres sym- pathiques intratronculaires suf
ntratronculaires suffise à déterminer des troubles trophiques, sans lésion des fibres sympathiques périvasculaires, à la con
ophique. La question inverse peut être posée, à savoir : une grosse lésion vas- culaire, associée à une blessure complète
emple, une section de l'artère humé- raie ou radiale associée à une lésion du nerf médian ou du médian et du cubital n'a p
ons appelé l'attention sur la fréquence et l'importance des grosses lésions vasculaires dans les formes causalgiques des bl
giques des blessures des nerfs, et nous émettions l'opinion que ces lésions vas- culaires devaient jouer un rôle dans la ge
anatomo-cl iniques.1V1. Leri- che a tendance à incriminer dans ces lésions vasculaires l'altération des filets sympathique
sures des nerfs avaient pris la forme causalgique et où de grosses' lésions vasculaires avaient été constatées soit au mome
e diminuée, etc.). Pourtant, comme M. Meige, nous ne croyons pas la lésion vasculaire indispensable pour déterminer les gr
les cas de causalgies, que nous avons observées,où cliniquement une lésion vasculaire importante paraissait bien peu vrais
ue les douleurs caùsalgiques sont un signe à peu près certain d'une lésion DEFORMATIONS DES MAINS ET DES PIEDS CHEZ LES BL
PIEDS CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 131 irritative du nerf et non d'une lésion destructive ; on a trouvé très ordi- nairement
ent, nous avons observé un bon nombre de cas où l'association d'une lésion nerveuse et d'une lésion vasculaire n'a déterminé
n bon nombre de cas où l'association d'une lésion nerveuse et d'une lésion vasculaire n'a déterminé aucun symptôme doulour
s troubles vaso-moteurs. 11 sem- ble d'ailleurs exceptionnel qu'une lésion vasculaire eL nerveuse détermine chez le même s
o-moteurs comme des gros- ses douleurs causalgiques consécutifs aux lésions des nerfs, l'association d'une lésion vasculair
causalgiques consécutifs aux lésions des nerfs, l'association d'une lésion vasculaire parait jouer un rôle très important, m
oubles sont limités au territoire de distribution nerveuse. Mais la lésion vasculaire n'est pourtant pas un élément pathogén
génique indispen- sable, et d'autre part l'association d'une grosse lésion vasculaire à une lésion nerveuse ne produit pas
et d'autre part l'association d'une grosse lésion vasculaire à une lésion nerveuse ne produit pas forcément des troubles va
eu(êLre faite que sur le même sujet, aux différentes périodes de sa lésion ; toute comparaison de sujets entre eux serait
s letern- toire du nerf radial. V , LE « PIED EFFILÉ » DANS LES LÉSIONS DE LA BRANCHE INTERNE DU SCIATIQUE (PORTION INT
ns accentué, dans toutes les formes douloureuses, causalgiques, des lésions du sciatique ; or les lésions de ce nerf sont t
ormes douloureuses, causalgiques, des lésions du sciatique ; or les lésions de ce nerf sont très fréquemment douloureuses q
de celle que l'on observe à la main dans les formes douloureuses de lésion du nerf mé- dian ; main affinée, doigts effilés
Z LES BLESSÉS NERVEUX 137 est souvent le seul signe organique d'une lésion qui peut ne se révéler que par des manifestatio
ne pouvons dire encore avec quelle fréquence on l'observe dans les lésions non douloureuses de la branche interne du sciat
ement dans quel nombre relatif de cas et dans queiles conditions la lésion de la branche interne du sciatique détermine de
ous pouvons dire, c'est qu'qn peut observer le pied effilé dans les lésions de la branche interne du sciatique aussi bien ave
ande, car elle peut être le seul signe organique indiscutable d'une lésion de ce nerf (découverte de la simulation, expertis
ce. Le pied effilé peut être constaté aussi dans une série d'autres lésions douloureuses du même nerf (contusion du nerf sa
, avec une fréquence que nous ne pouvons encore apprécier, dans des lésions non douloureuses ou peu douloureuses du nerf.
I représentent une série de formes doulou- reuses, causalgiques, de lésion du sciatique interne. La figure A reproduit une
sta sans effet. Les figures B et C montrent un degré prononcé de la lésion , degré qui est fréquent. Dans le cas B, la bles
D présente un degré moyen de déformation, degré le plus fréquent : lésion au tiers supérieur de la cuisse, paralysie très i
; le réflexe achilléen était conservé. La figure C est un cas de lésion très douloureuse du sciatique, consé- cutive à
anomalies du cas, et surtout la simul- tanéité des deux variétés de lésions , rétraction de l'aponévrose et nodo- sités digi
cromégalique, pituitaire ou de certaines hydromyélies, ou encore de lésions locales osseuses plus ou moins suppuratives. En
type ethnique, puis : ou bien le maximum est atteint d'emblée et la lésion régresse ensuite dans le cours des générations,
J. Theveaot, 5sint-Uizer (Haute-Marne). HOPITAL GÉNÉRAL DE MADRID LÉSION TRAUMAT1QUE PURE DE L'HYPOPHYSE. SYNDROME ADIPO
culté avec laquelle on peut porter sur- le terrain expérimental les lésions de la glande pituitaire. Pour ce motif, le cas
on d'extrait d'hypophyse sur la diurèse. 188 MARANON ET PINTOS ta LÉSION TRAUMATIQUE PURE DE L'HYPOPHYSE 189 tige hypoph
is de plus avec la valeur des démonstrations expérimentales, que la lésion de l'hypophyse détermine le syndrome adiposo-gé
a consé- quence du trouble génital, en plus grande mesure que de la lésion hypophysaire directement. Les caractères de c
s hypophysaires (Mayer, Lewet, Umker, etc.) (7). 5° Découverte de lésions de l'hypophyse dans des cas de diabète in- sipi
oeb, Burnier, Rômer, etc.) (8). 6° Production de la polyurie par la lésion expérimentale de la ré- gion hypophysaire, surt
surtout de la région du lobe postérieur (Cus- hing) (9), ou par la lésion traumatique de l'hypophyse, chez l'homme (cas d
ter la densité jusqu'aux limites normales, pendant plus ou moins de LÉSION TRAUMATIQUE PURE DE L'HYPOPHYSE 191 temps (van
e hyperpituitaire (acromégalie). Les cas de dia- bète insipide avec lésions destructives de l'hypophyse (tubercules, tu- me
ushing) s'expliqueraient, selon ce critérium, en sup- posant que la lésion donnât origine à une irritation des lobes moyen e
topsies récentes, faites avec grand soin, ont démontré que lesdites lésions de l'hypophyse étaient plus ou moins destructives
jours environ, complète- ment normale. Voir le tableau suivant : LÉSION TRAUMATIQUE PURE DE L'HYPOPHYSE 193 194 MARANON
ateurs, et spécialement par Camus et Roussy (11), selon laquelle la lésion responsable de la polyurie ne réside pas dans l'h
Nous devons ajouter que lorsque nous avons parlé de l'action anti- LÉSION TRAUMATIQUE PURE DE L'HYPOPHYSE 195 diurétique
3). 198 MONIS On ne trouve pas de vestiges de nerfs. Il y a des lésions de compression dans le bulbe et dans le cortex cé
deNetter et Levatidi, qui, lorsqu'il intervient à temps, lorsque les lésions d'infiltration de la myélite aiguë ne se sont p
LEXUS brachial (en collaboration avec Jean DAGNAN-BouvEnE'rj. Les lésions traumaliques des nerfs mixtes périphériques ou de
homme énergique et nullement pusillanime sont aussi en faveur d'une lésion nerveuse. Le point d'Erb est d'ailleurs doulour
dique que c'est au voisinage même du point d'Erb que doit siéger la lésion causale. Mais quelle est cette lésion ? Pour to
oint d'Erb que doit siéger la lésion causale. Mais quelle est cette lésion ? Pour tout traumatisme antérieur, le ma- lade
ploi des rayons X, répondait trop exactement au siège présumé de la lésion ner- veuse pour n'en être pas évidemment la cau
'atrophie musculaire progressive Aran-Duchenne est' la syphilis. La lésion essentielle est non pas une « poliomyélite anté
ique (2) et que nous avons retrouvée à plusieurs reprises. - ' La lésion syphilitique reste plus ou moins localisée au rés
accessoirement seulement ; nous avions constaté également qu'à des lésions méningo-vasculaires en pleine évolution active da
bondante lymphocytose méningée et périvascu- laire) répondaient des lésions dorso-lombaires déjà éteintes et en grande part
mbaires déjà éteintes et en grande partie fibrosées. Pourquoi les lésions syphilitiques chroniques ont-elles une action d
ons où une poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte ait présenté des lésions médullaires en foyers tout à fait analogues à c
ehuchten nous a déclaré n'avoir pas recherché la syphilis, mais les lésions vasculaires qu'il a décrites la rendent assez vra
à effet, la coïncidence ne nous avait pas frappé ; or, d'après les lésions vasculaires observées, des relations de causalité
causalité existaient sans doute entre la syphilis antérieure et les lésions des cornes antérieures. 262 LÉRI . Ce fait n'
n des premiers troubles fonctionnels et il n'avait déterminé aucune lésion ostéo-articulaire ; la légèreté du traumatisme es
r les autopsies de Pierre Marie et Marinesco et de Sainton, par des lésions des cornes antérieures et par des lésions des c
co et de Sainton, par des lésions des cornes antérieures et par des lésions des cordons postérieurs très analogues à celles
comme dans le tabes, l'infection détermine, au moins en partie, les lésions médullaires par l'intermédiaire d'une méningite
Il n'est pas nécessaire d'avoir les pièces en main pour deviner la lésion causale d'une telle amyotrophie syphilitique ;
philitique à type Aran-Duchenne. Rien d'étonnant à ce que semblable lésion détermine une symptomatologie très analogue à cel
ie très analogue à celle de l'amyotrophie Charcot-Marie, puisque la lésion essentielle de cette der- nière affection est p
pétreuse. Elle peut donc être atteinte non seulement par toutes les lésions susceptibles d'intéresser de façon générale un
ux ou ses ori- gines cérébrales, mais encore par presque toutes les lésions auriculaires. Tout le monde sait aujourd'hui co
st la nature ? Nous éliminerons facilement la paralysie faciale par lésion cérébrale.. Dans ces conditions, le facial supé
e explication n'a plus de valeur quand il s'agit d'une diplégie. La lésion cérébrale susceptible d'amener une paralysie faci
rite ou une embolie. Si à la rigueur on peut admettre qu'une petite lésion circonscrite d'un hémisphère soit susceptible d'a
sie faciale, par contre il est à peu près impossible de trouver des lésions bilatérales identiquement localisées. Ces dernièr
marquée à l'aggravation. Il ne saurait non plus être question d'une lésion (hémorragie, tumeur) atteignant seulement les f
l y a paralysie des nerfs moteurs de l'oeil (Vle paire surtout). La lésion étant double, occupant par conséquent les deux mo
e peut atteindre les deux nerfs, mais ici également il n'y a jamais lésion des deux faciaux sans atteinte d'autres nerfs c
to-staphylin laisse pré- dominer le péristaphylin interne. Dans une lésion unilatérale, il y a déviation de la luette avec
a déviation de la luette avec affaissement du voile du palais. Une lésion bilatérale avec prédominance d'un côté comme da
assez marqués de l'ouïe avec atteinte de la memhrane du tympan. Les lésions sont dues à une otite cicatricielle double cons
l'étrier et du marteau. La légère hyperacousie gauche relève de la lésion inflam- matoire otique. De déduction en déduc
matoire otique. De déduction en déduction, il ne reste plus que la lésion des troncs nerveux de la VIle paire au-dessous
insi nous arrivons au diagnostic de diplégie faciale névritique par lésion des branches cervico et temporo-faciales. Quell
que D... est atteint d'otite catarrhale chro- nique bilatérale. Des lésions inflammatoires minimes de l'oreille moyenne peu
ditions, il ne nous est guère possible de faire le départ entre les lésions qui peuvent relever de l'inflammation otique et c
. Par suite des suppléances fonctionnelles et de labilatéralité des lésions , le faciès de D... présente un aspect particuli
oplégie est beaucoup trop ancienne pour pouvoir être améliorée. Les lésions névritiques faites sont sûrement indélébiles. L
tance n'a été si- gnalé, sinon dans le cas où il existerait quelque lésion de cet appareil, La température, dans la plupar
e glande contenant de la ma- tière colloïde dans un autre cas. c) Lésion du côté du testicule et de l'ovaire. d) La surr
un affaiblissement de l'intelligence ou aphasie sensorielle due à une lésion de la zone de Wernicke, accompagnée d'anarlhrie
on de la zone de Wernicke, accompagnée d'anarlhrie produite par une lésion dans la zone du noyau lenticulaire. Cette opini
gie cérébrale de cause spécifique remontant à la vie intra-utérine. Lésions s'étendant des deux côtés à la zone motrice et ay
a voix n'est pas nasonnée, comme elle l'est dans d'autres cas. La lésion expliquant ce syndrome parait devoir être une alt
guée des yeux et de la tête il droite, indiquaient t le siège d'une lésion très étendue qui prenait surtout la zone motrice
s yeux mérite, dans ce cas, d'être appréciée à cause du siège de la lésion . ' 1) Cas publié dans la Afedecina conlemporane
une physiologie pathologique très discutée. Il dépend des diverses lésions encéphaliques, mais quand il provient des lésions
pend des diverses lésions encéphaliques, mais quand il provient des lésions corticales, l'accord n'est pas établi entre les
be et gyrus supermarginal. Ilorsley, au contraire, diagnostique une lésion du lobe frontal quand il observe des accès jack
ux et de la tôle pour le côté opposé à celui de l'accès (côté de la lésion ). Mills dit qu'il a obtenu une déviation nette
iation conjuguée,des yeux et de la tète peut être provoquée par une lésion à la 'hauteur de la partie postérieure de la seco
dien sanguinolent est celui-ci : Le mélange de sang dépend-il d'une lésion des vaisseaux ménin- gés, produite par le troca
du tissu conjonctif sous-endothélial, qui, du reste, recouvrent la lésion d'une couche épaisse. Manifestement, il y a là
nte alors cette question-, si la veine éclatée ne dépend de quelque lésion fortuite à l'enlèvement de la calotte. Il sembl
on semblable est un processus , entièrement vital, on peut dire une lésion agonique. Elle est une preuve directe que l'écl
, qu'elle ne peut guère échapper à l'attention. Lorsqu'il s'agit de lésions plus graves du crâne, soit par violence directe
érale du côté gauche, un peu en avant du milieu du corps strié, une lésion kystique de la grosseur d'un pois avec des paro
gnostic différentiel entre l'hémorragie artificielle, causée par la lésion d'un vaisseau pendant la ponction et l'hémorragie
ion chirurgicale suivant que l'on attribuait ce trouble vocal à une lésion du récurrent ou à une compression de nerf par l
al et Mme Déje- rine avait montré que sa production nécessitait une lésion attaquant la 1" racine dorsale avant qu'elle n'
de la racine immé- diatement à sa sortie du trou de conjugaison,.la lésion doit toucher la racine entre la moelle et l'ext
ociations du syndrome de Claude Ber- nard-Horner selon le siège des lésions . Gazette des hôpitaux, 15 février 1910y p. 251-25
ncapable, dans les conditions de l'expérience, de contrebalancer la lésion paralytique de celui-ci. 2° L'énophtalmie par
ul pense que celle sudation marquée, n'existant que dans les cas de lésion thoracique supérieure, peut être rapportée à une
tewart, que quelques fibres sympathiques ont peut-être échappé à la lésion opératoire; mais il est plus probable que les fib
te aphonie et du trajet de la balle, il était facile d'éliminer une lésion récürrentielle et par conséquent de dis- tingue
ssion fonc- . tionnelle d'un trouble vaso-moteur du larynx lié à la lésion de cette anse et parler d'un syndrome physiopal
la peau, des os et des articulations. , La peau peut présenter des lésions épidermiques, état lisse, disparition des crête
croquevillés. L'importance des troubles trophiques cutanés dans les lésions irritalives des nerfs a d'ailleurs déjà été entre
(1) Presse médicale, 1915, nos 31 et 40 ; 8 juillet et 30 août, Les lésions des gros troncs nerveux des membres par project
t par les nouvelles méthodes d'électrodiagnostic. Cliniquement la lésion du plexus brachial est démontrée par l'exis- te
an. Soc. de Neurologie, 1918. 356 CHIRAY, BOURGUIGNON ET ROGER La lésion du plexus brachial peut également être mise en lu
quels les anciens procédés d'électrodiagnostic ne révélaient aucune lésion . Ces constata- tions corroborent la donnée clin
ce faradique de vitesse d'excitabilité permet de déceler de légères lésions nerveuses que n'accusent pas les procédés class
main du côté malade est nettement refroidie. On ne constate aucune lésion articulaire. L'examen électrique par les procéd
ophiés sont légèrement sensibles à la pression. La distribution des lésions permet d'incri- miner G V et C VI. La partici
0 CHIRAY, BOURGUIGNON ET ROGER . Observation IL V ? Pierre Marie. Lésion par balle dans la région du plexus brachial. Pa
troncs nerveux à la pression. L'examen électrique ne révèle aucune lésion par les méthodes classiques et manifeste un syn
être un peu moins fort à gauche. L'examen clinique ne révèle aucune lésion qui soit susceptible de rendre compte des sympl
Mais l'étude du rapport des seuils faradiques montre un mélange de lésions irrita- tives légères et de lésions dégénérativ
faradiques montre un mélange de lésions irrita- tives légères et de lésions dégénératives. Pour le cubital, il y a élévatio
,7. Dans l'ensemble, ces constatations confirment l'existence d'une lésion mi- irritative, mi-dégénérative du plexus brach
itesse d'excitabilité. xxvm - 25 CONTRIBUTION AU DIAGNOSTIC DES LÉSIONS TRAUMATIQUES DU PNEUMOGASTRIQUE - PAR , MM. C
STRIQUE - PAR , MM. COLLET et PETZETAKIS. 1 Le diagnostic des lésions traumatiques unilatérales du pneumogastrique ce
ujours appréciables, au moins par l'examen au laryngoscope; mais la lésion du nerf récurrent peut amener des troubles moteur
s loin fournissent déjà une très- forte présomption en faveur d'une lésion du tronc du pneumogastrique, mais nous avons pe
ier 1914, et Societé médicale des hôpitaux de Paris, 1" mai 1914. LÉSIONS TRAUMATIQUES DU PNEUMOGASTRIQUE 367 1 un pois
ZETAKIS D'après le siège delà blessure, il faut donc incriminer une lésion pneumogas- trique et non du récurrent. La corde
le 8 juillet 1916 à ... par éclat d'obus. Entré dans le service de LÉSIONS TRAUMATIQUES DU PNEUMOGASTRIQUE - 369 M. Collet
H tir H ro H ? 3 N t4 ? 3 en OBS. Il. Ons. II. LÉSIONS TRAUMATIQUES DU PNEUMOGASTRIQUE 371 17 novembre
racés du'pouls, la compression de l'oeil gauche montre une augmen-- LÉSIONS TRAUMATIQUES DU PNEUMOGASTRIQUE 373 tation énor
côté droit un réflexe très net avec deux pauses ; à gauche, le ré- LÉSIONS TRAUMATIQUES DU PNEUMOGASTRIQUE 375 llexe se tr
cé- lération du pouls allant jusqu'à 135, phénomène qui indique une lésion du pneumogastrique, et une instabilité du pouls
é du rythme, arythmie, extrasystoles) permet déjà de soupçonner une lésion du vague; la recherche du réflexe oculo cardiaq
rche du réflexe oculo cardiaque nous donne une preuve absolue de la lésion de ce nerf. En effet, dans ces cinq observations,
servations, le réflexe ocu- locardiaque, normal du côté opposé à la lésion et se manifestant par une' diminution du nombre
on du rythme. Ce fait ne peut s'expliquer que par l'hypothèse de la lésion unilatérale du pneu- mogastrique, ce qui du res
très commode pour distinguer les paralysies larynx- gées dues à la lésion unilatérale du pneumogastrique desparalysiesrécur
sain) ou légèrement accéléré, on peut se prononcer en faveur d'une lésion du tronc du pneumogastrique ; 2° les faits ci-d
renseignements importants. L'auscultation du coeur ne révèle-pas de lésions vàlvulaires ; la pression artérielle est augmen
x. Ce syndrome élimine d'emblée : A) L'atrophie myélopathique par lésion intra-médu) taire en foyer (syringomyélie, mala
s et les carac- tères sexuels et dépendant quant à la pathogénie de lésions des glandes génitales, troublées primitivement
d'après cet énoncé que dans la dystrophie génito-glandu- laire, la lésion ou l'altération des glandes endocrines sexuelles
urieuses observations de Bartel et Her- mann, sur la coexistence de lésions de l'ovaire dans les cas d'anomalies constituti
ont 13 présentaient de l'aménorrhée. Pour Bartel et Herrmann, les lésions ovariennes et les anomalies constitutionnelles
nombre de cas d'infantilisme, un fait primitif au même titre que la lésion thyroïdienne ? Et le mauvais fonctionnement de la
tait un phénomène secondaire, l'hypothyroïdie demeurant toujours la lésion essentielle. Un certain - nombre d'auteurs para
: « Pour que l'infantilisme s'ensuive, il faut, semble-t-il, que la lésion primitive retentisse sur le testicule et altère s
Et dans un autre passage, sur le rôle du testicule : « En somme la lésion testiculaire soit primitive, consécutive ou simul
que pas en effet l'infantilisme. Il y a une question de degré de la lésion et d'âgedu malade (1). » Souques, justifiant sa
de pituitaire n'avait pas altéré le parenchyme glandulaire ; c) des lésions des testicules très profondes et très étendues :
contredite par les faits cliniques, appuyés sur la vérification des lésions et des altérations histologiques, prouvant que
e si fréquente du diabète insipide, syndrome si souvent associé aux lésions de la région hypophysaire ; et il devient alors
l'époque prépubère. Dans des' cas beaucoup plus rares il s'agira de lésions génitales consécutives à des infections de l'enfa
uchoïdisme tardif, qui doit être circonscrite à l'hypo- thèse où la lésion testiculaire se produit dans l'âge mûr, donnant l
ypes gérodermique et eunuchoïde, parfois, dans les cas dépendant de lésions dans l'âge tendre, les manifestations peu- vent
s, eunuchoïdisme passager, qui montre que ce n'est pas là un cas de lésions irrémédiables. Mais ces cas constituent une par
l'arrêt de développement des organes génitaux ne serait pas lié à la lésion hypophysaire : « // me semble que l'idée d'une
avoir lieu. Il ne serait donc pas légitime d'attribuer toujours aux lésions hypophysaires les principaux phénomènes observé
savons que l'existence d'altérations génitales, consécutives à des lésions hypophysaires, est prouvée expéri- (1) R. Birrc
variétés cliniques : l'une, pure et isolée, l'autre, associée à une lésion organique, qu'il importe de distinguer, particu
ncurvation né- vrosique de tronc, il est indispensable de guérir la lésion organique, sous peine de voir le traitement éch
ens. - ' Un examen radiographique fait à Bordeaux n'a décelé aucune lésion vertébrale. Le 1 septembre 1916, on lui fait
u 10 au 23 août. Là, on l'a radiographié, et on n'a constaté aucune lésion . Il n'avait sur le corps, semble-t-il, ni plaies
oïdien), par Rimbaud et REVAULT D'ALLONNBS, 162. Adiposo-génital ( Lésion traumatique pure de l'hypophyse ; syndrorne - e
de la des yeux et de la tête), par MONIS, 306. Diabète insipide ( Lésion traumatique pure de l'hypophyse ; syndrome adip
Hémorragies méningées (Sur les -), par INGVAR, 313. » Hypophyse ( Lésion traumatique pure de l'- ; syndrome adiposo-géni
RocER, 353. 1 Pneumogastrique (Contribution au dia- gnostic des lésions traumatiques du-), ), par Collet et Petzetakis,
par tiraillement du plexus brachial, 252. MARANON (G.) et PINTOS. Lésion traumati- que pure de l'hypophyse. Syndrome a
hilitique ou mercurielle, 226. Petzetakis et Collet. Diagnostic des lésions traumatiques du pneumogastrique, 366. P1NTOS
ons traumatiques du pneumogastrique, 366. P1NTOS (G.) et Maranon. Lésion traumati- que pure de l'hypophyse, 185. RATHA
olontaires, 37. TABLE DES PLANCHES Adiposo-génital (Syndrome) par lésion traumatique de l'hypophyse (M \RAX01l et Pint
, LIII et LIV. Hémorragies méningées (Ingvar), LVII. Hypophyse, lésion traumatique. Syndrome adiposo-génital et diabèt
34 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
tent un très grand intérêt à plusieurs points de vue (Pl. I). Les lésions en effet sont unilatérales : seule la moitié droi
otographie et les radiographies ci-jointes montrent bien l'état des lésions . La malade reslera-t-elle toujours une « Unipag
toujours une « Unipaget », ou bien fera-t-elle ultérieure- ment des lésions de môme ordre du côté gauche du corps ? Cela est
. La température est donc surtout élevée au niveau du maximum des lésions . - Celte hyperthermie locale est manifeslement
ait, qui, surajoutés l'un à l'autre, aboutissent à la formation des lésions pagétiques). Il y a là un signe qu'il faudra do
iane. Sur les radiographies du bassin on constate manifestement des lésions très marquées de l'os coxal : si l'on prend comme
s sa chambre. Du côté de la vaso-mo- tricité, rien à signaler ; des lésions d'amyotrophie existent, nous l'avons vu surtout
'amyotrophie existent, nous l'avons vu surtout marquées du côté des lésions ;enrrll T3ppelons les différences de tem- pérat
- cie (Vincent) que personne ne soutient plus, et l'hypothèse d'une lésion vasculaire sanguine (Labadie-Lagrave) qui,'bien
ur M. Cornil (2), cet échec serait dû à ce que l'on s'attaque à des lésions avancées, tandis que seules, les lésions récent
ce que l'on s'attaque à des lésions avancées, tandis que seules, les lésions récentes, formées de cellules vivantes, non enc
; Lannelongue (3) croit que le manque d'action est dû à ce que les lésions sont confirmées. Cependant, comme le fait remar
sives, forcément n'est pas constituée d'une façon exclusive par les lésions accomplies et définitives ; elle se compose néc
sions accomplies et définitives ; elle se compose nécessairement de lésions de divers âges, c'est-à-dire qu'elle présente,
de lésions de divers âges, c'est-à-dire qu'elle présente, à côté de lésions réelles et irré- ductibles, des lésions plus je
qu'elle présente, à côté de lésions réelles et irré- ductibles, des lésions plus jeunes et encore accessibles à l'action thér
t vrai qu'ils n'ont pas pu examiner de vrai tibia en lame de sabre, lésion rare dont le musée Dupuytren ne possède pas d'e
ilis est sans doute une cause adjuvante pour le développement de sa lésion osseuse tardive, mais il n'y a pas entre cette
ppement de sa lésion osseuse tardive, mais il n'y a pas entre cette lésion et l'infection syphilitique un rapport direct de
it que la section des nerfs des membres provoque du côté des os des lésions bien étudiées par Schiff zut) et par Vulpian (2),
ue la trophonévrose soit un processus étiologique possible, que des lésions nerveuses puissent provoquer des altérations du
autopsies de pagéti- ques à l'autopsie desquels ils ont trouvé des lésions médullaires; L.Lévi (9), HudeloetHeitz(t0) ont
s lésions médullaires; L.Lévi (9), HudeloetHeitz(t0) ont trouvé des lésions médullaires et névritiques chez (t) Schiff, Com
Toulouse, octobre 1896. (8) Gilles DE la ToURETTE et DIARINESCO, La lésion médullaire de l'ostéite déformante de Pagel. No
toutes ces constatations anatomi- ques ? Léopold Lévi pense que les lésions médullaires de son malade sont dues à la sénili
dues à la sénilité : il y a pour lui une simple coïncidence entre ces lésions et le pagétisme. Hudelo et Heitz attribuent u
et le pagétisme. Hudelo et Heitz attribuent une certaine valeur aux lésions névritiques qu'ils ont observées et font remarq
ulent pas conclure de leur cas à la théorie tropho-névrotique : les lésions qu'ils ont constatées sont en effet très diffus
par Gilles de la Tourette et Marinesco pré- sentaient tous deux des lésions médullaires beaucoup plus marquées à un examen
ordons postérieurs). Mais il est difficile d'af- ' , firmer que ces lésions sont cause des altérations osseuses : le fait est
ble, étant donné le caractère léger, diffus, peu systématisé de ces lésions . Elles peuvent tout aussi bien n'avoir aucun rapp
ns 1 le domaine des artères spinales postérieures. En résumé, des lésions de l'axe nerveux ont été observées chez les pag
sculaire de la moelle ; certaines peut-être sont conditionnées par la lésion * osseuse primitive. Toutes ces lésions, null
sont conditionnées par la lésion * osseuse primitive. Toutes ces lésions , nullement systématisées, à caractères vagues et
mann, Remak (3)]. Or l'un de nous (4) a montré, le premier, que les lésions médullaires ne sont pas primitives mais bien se
, traumatique, tuberculeuse ou autre, détermine parfois jusqu'à des lésions matérielles, dans les centres trophiques correspo
ations diffuses de légère sclérose médullaire ne sont à la base des lésions osseuses de la maladie de Paget. Mais il est pr
ées, les artères des membres, incrustées de sels calcaires. « Les lésions osseuses de la maladie de Paget semblent être, se
sions osseuses de la maladie de Paget semblent être, selon lui, des lésions secondaires, consécutives à l'incrustation calcai
ement, à un moindre degré. Un des malades de Paget avait de grosses lésions cardiaques ; un malade de Thibierge(S) avait le
orté que sur le coeur et l'aorte, et « il est bien possible que les lésions artérielles se soient localisées sur les petits
halanges tout particulièrement. Chez le malade Gaillard-Béclère ces lésions étaient très irrégulièrement réparties, et de m
cas, bien qu'à un moindre degré. « Cette singulière répartition des lésions osseuses du squelette de la main jointe à l'int
d'origine nerveuse ; elle s'explique mieux par l'hypo- thèse d'une lésion artérielle, intéressant l'artère nourricière de t
u n'intéressant qu'à demi Tarière nourricière de l'os voisin... Les lésions osseuses de la mala- die de Paget semblent être
... Les lésions osseuses de la mala- die de Paget semblent être des lésions secondaires, consécutives à l'ai lé- ration et
s, en effet, ont mis en relief les analogies qui existent entre les lésions osseuses pagétiques et celles des scléroses vis
vent assez comparables entre elles. D'une façon générale toutes les lésions osseuses dystrophiques ou in- flammatoires ont
pects absolument différenciés. Une affection qui nous a donné des lésions très curieuses et des mieux caractérisées est l
omosées entre elles et prenant parfois l'aspect de tourbillons. Ces lésions peuvent s'étendre jus- qu'à la périphérie de l'
ite d'une pleuro-pneumonie gauche. Autopsie. Crâne présentant des lésions d'ostéite raréfiante au niveau de la table inte
amen de l'encéphale. Sclérose des cordons postérieurs de la moelle. Lésions de méningite posté- rieure chronique. Gros co
notre observation, l'autopsie permit t de constater, en outre, des lésions articulaires : il existait en effet un épaissis
u début de l'affection, on serait porté à croire qu'il s'agit d'une lésion post-traumatique. En effet, les médecins consul
it être envisagée et discutée, mais ici nous avons affaire avec une lésion parfaitement symétrique qui s'étend des noyaux bu
s du spinal jusqu'aux derniers segments de la moelle cervicale. Une lésion radiculaire ou de névrite périphérique aurait d
re cas il faut exclure encore la possibilité d'une névrite ou d'une lésion radiculaire due à une carie tuberculeuse ou cancé
ssemblable. Par les mêmes raisons il faut rejeter l'hypothèse d'une lésion en foyer due à une hémalomyélie ou à un hémato-
sont absolu- ment indemnes et nous nous trouvons en présence d'une lésion systéma- tisée qui a envahi les cellules des co
é exception- nelle, où l'on peut démontrer la systématisation de la lésion aux noyaux- moteurs du nerf spinal et apporter
e du syndrome de Ferrio ou ptosis de la tête, avec les signes d'une lésion bilatérale et symétrique de la XIe paire, il est
des noyaux médullaires du nerf spinal, le diagnostic du siège de la lésion reste facilité et, comme dit Ferrio, en présence
r les premiers quatre ou cinq nerfs cervicaux, il faut admettre une lésion nucléaire dans la moitié supérieure de la moell
me d'une netteté absolument exceptionnelle dominé par le fait d'une lésion bilatérale et symétrique de la XIe paire, lésio
par le fait d'une lésion bilatérale et symétrique de la XIe paire, lésion qui est indéniablement nucléaire. Etant donné q
lbaires présentés par la malade tombent sous la dépendance de cette lésion et doivent être attribués à l'atteinte du nerf
écrit un cas où la frac- ture de la base du crâne avait produit une lésion des VIe, VIII" et XI" paires avec paralysie du
r où, à la suite de l'abla tion d'une adénite rétro-maxillaire avec lésion post-opératoire de l'hvpo- glosse,du spinal et
nclurent qu'il faut mettre l'hémiparésie laryngée à la charge d'une lésion du spinal. Revenons enfin au cas de Ferrio publ
déjà résumé. Ici nous avons vu qu'il existait tous les signes d'une lésion bilatérale des noyaux de la XIe paire et la mal
ens et du voile du palais doivent être mis sous la dépendance de la lésion du nerf spinal. Chez la jeune femme que nous av
analogues à ceux produits chez les animaux de la- boratoire, par la lésion des racines intra-cràniennes de la XIe paire. (
à entendre qu'il s'agit de phénomènes convulsifs provoqués par une lésion irritative d'un conducteur nerveux, ce qui n'eb
arler une véritable impotence, bien plus qu'une gêne causée par une lésion anatomique quelconque ». Aussi Gallard propose-t-
ture progressive et gra- duelle, et non subite, ne peul tenir à une lésion d'un centre coordonna- teur qui, par accident,
est clair que l'incoordination peut prendre naissance dès qu'il y a lésion périphérique, causant une incertitude dans la r
tude dans la réaction du muscle, vis-à- vis du stimulus mental. Ces lésions sont la parésie musculaire et un ex- cès d'irri
me sur l'apparition d'un spasme ; d'autres apportent les preuves de lésions anatomiques dans le membre atteint : périostite
t être, sinon causées de toutes pièces, au moins provoquées par une lésion anato- mique. Mais ces lésions anatomiques, p
pièces, au moins provoquées par une lésion anato- mique. Mais ces lésions anatomiques, pour importantes qu'elles soient, re
leur fourchette. Il s'agissait tou- jours, soit de sujets ayant une lésion locale, soit de malades s'observant de très prè
mbre d'exemples (voir obs. I, VII). Il faut donc autre chose qu'une lésion locale pour faire une névrose d'occupalion : ce
ut, nous l'avons vu, qu'ilprésente un terrain spécial. Dès lors une lésion anato- mique, même minime, va être l'épine irri
la cherche bien, sera constante. Dans d'autres cas au contraire, la lésion périphérique sera nulle, ou du moins invisible, e
ine centrale. ' Ce mot d'origine centrale doit-il sous-entendre une lésion cérébrale, soit diffuse, soit localisée ? Oui p
évroses, ne font intervenir ni des centres coor- donnateurs, ni des lésions anatomiques précises dans la production des cra
s l'état actuel de nos connaissances, de prouver qu'il y a, ou non, lésion anatomique de telles ou telles cellules cérébra
is nécessaire Dans d'autres cas au contraire, en l'absence de toute lésion périphérique, il faudra invoquer une origine ce
faible (fig. 1). Ces signes paradoxaux donnaient l'impression dune lésion empêchant, ou du moins entravant l'arrivée du s
vements. Ces désordres cor- 80 , MACÉ DE LÉPINAY respondent à des lésions anatomiques constantes : on trouve en effet dan
ychisme particulier d'individus prédisposés au nervo- sisme ; et la lésion artérielle qui chez les autres malades ne provoqu
hémiplégiques dont la ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 81 t lésion est strictement localisée à l'écorce cérébrale, e
ce une névrose vaso-motrice et motrice, provoquée sans doute par la lésion vasculaire, mais spécialisée par le spasme vaso-m
les à la fois moteurs et vaso-moteurs, sans qu'on puisse trouver de lésions vasculaires périphériques, et nous arrivons à des
que. Nous pensons avoir démontré par ces quelques exemples qu'une lésion vasculaire périphérique peut amener des phénomène
Dans tous les cas, de même que les altérations vasculaires -, les lésions musculaires ou tendineuses, si elles existent, ne
propriée amènera plus rapidement la sédation des troubles. De ces lésions musculaires ou tendineuses on peut rapprocher les
De ces lésions musculaires ou tendineuses on peut rapprocher les lésions de synovite sèche telles qu'il nous a été donné d
tion. Cet exemple nous montre, une fois de plus, l'importance d'une lésion locale périphérique pour la détermination d'une
rofession nelles, avec leur caractère électif, occasionnées par des lésions nerveuses. Il est facile, à la vérité, d'en ret
lus attentives, on ne trouve dans le membre atteint aucune trace de lésion anatomique qui puisse expliquer la localisation d
e voulons point préjuger, nous l'avons déjà dit, qu'il s'agit d'une lésion anatomique céréhraleou cérébelleuse, diffuse ou e
longuement, il n'a plus de crampes. Localement, il n'existe aucune lésion périphérique appré- 94 MACÉ DE LFPINAY ciable
eux de leur rachis). Au microscope, le névraxe présente surtout des lésions vasculaires : capillaires rompus, substance ner
entiques. Le point d'application était marqué, sur la peau, par des lésions (épaississement, chute des poils, petites croûtes
iquement appréciables, ni des méninges, ni du cerveau. Les seules lésions constatées dans ces deux cas sont de petites hémo
, de cLde là, on trouve quelques très rares corps granuleux. Aucune lésion dans le cerveau. Ainsi donc, le radium, appliqu
le rachis du lapin, aux doses thérapeutiques, ne détermine d'autres lésions du névraxe que de minimes hémorragies, sans alt
eau (PI.XV, B), mais encore dans toute la hauteur de la moelle. Ces lésions n'avaient d'ailleurs déterminé aucun accident cli
xpérimentation vient nous montrer que, chez l'animal, de semblables lésions peuvent, ou bien, comme dans nos cas, ne pas avoi
le plus commun, caractérisé par une hémiplégie du côté opposé à la lésion avec ophtalmoplégie unilatérale du même côté que
para- lysie du nerf oculo-moteur externe du côté correspondant à la lésion et le type de l3énédiclt caractérisé par une hé
ule cérébral droit. Nous n'insistons pas tant sur la nature de la lésion qui a provoqué les troubles décrits chez notre
de plus intéressant dans notre cas, ce n'est pas la na- ture de la lésion que seule la nécropsie pourrait nous révéler avec
eurer spasmodique se retrouve dans des états pathologiques dont les lésions siègent en des points diffé- rents des centres
us avec celles du rire. ou pleurer spasmodique in- dépendants d'une lésion organique des centres nerveux. Lorsque la lésio
dépendants d'une lésion organique des centres nerveux. Lorsque la lésion siège uniquement sur les noyaux bulbaires, elle s
modiques par. excitation organique de voisinage. Pour BETCHEREW, la lésion corticale intervient par un double méca- nisme
onducteur nerveux peut être et excitateur et inhibiteur. Mais si la lésion porte directement sur le thalamus, le syn- drom
Betcherew c'est le cas le plus ha- bituel. Pour DIoNAi : ow, les lésions peuvent siéger sur le thalamus, mais les causes
oies nerveuses qui commandent soit au rire soit au pleurer dans les lésions cérébrales sont certainement les mê- mes, et qu
e amènera le syndrome et c'est au niveau de la capsule que siège la lésion qui le déterminera. Les phénomènes émotionnels
e und Ruckenmark, 2 Aull., 1899. (2) Du pleurer impulsif dans les lésions cérébrales, Revue russe de Psychiatrie, de Neur
u pleurer. Cette altération peut être déterminée par deux sortes de lésions , les unes sectionnant directement la capsule, l
l'altération est uni ou bilatérale, et, si elle se complique d'une lésion du faisceau géniculé, il y aura,en plus,abolition
5. xxii 9 12 6 VIRES ET ANGLADA pseudo-bulbaires (1) ; avec des lésions capsulaires simples, accompagnées d'hémiplégie
lontairement (3). Son spasme paraît bien sous la dé- pendance d'une lésion capsulaire (par hémorragie cérébrale) comme le
. De par son aphasie, on peut le considérer comme un cortical,et sa lésion corticale doit joindre son rôle à celui de l'irri
seux de ces animaux; seulement la démonstration de l'i- dentité des lésions anatomo-patholobiques (sclérose du cartilage épip
tombe du reste naturellement par la connaissance plus complète des lésions ca- ractéristiques de l'achondroplasie. L'étude
ffection, et cette hypothèse serait confirmée par la pré- sence des lésions congestives et inflammatoires trouvées par ces au
lismes. Nous considérons, en général, le gigantisme comme lié à une lésion hypophysaire et d'autre part, nous connaissons
des maladies que nous considérons comme d'origine auto-toxique par lésion des glandes à secrétion interne (infanti- lisme
ire dans la détermination des cas classique d'achondroplasie. Une lésion éventuelle de certaines glandes à sécrétion inter
ndrissement ou des modifi- cations parfaitement en rapport avec les lésions de la matière nerveuse, pour autant que celles-
s, que, à côté de dyskinésies pro- fessionnelles provoquées par une lésion anatomique périphérique, mais nécessitant toujo
menues et délicates des doigts ; cela se produit soit lorsqu'il y a lésion périphérique, soit lorsque le sujet très nerveu
un coiffeur. Localement il n'existe, sur tout le bras droit, aucune lésion périphérique appréciable pouvant expliquer ces
ner aussitôt les accidents paralytiques ou spasmodi- ques dus à une lésion des centres ou des conducteurs nerveux : hémi-
veux (Poore), etc. On devra rechercher ensuite s'il n'existe pas de lésion périphérique artérielle, musculaire, ou nerveus
la cause qui lui a donné naissance : une crampe pro- voquée par une lésion périphérique telle que lésion artérielle, névrite
ance : une crampe pro- voquée par une lésion périphérique telle que lésion artérielle, névrite,, myosite, si celle-ci est
dans l'esprit, guérira difficilement. Au contraire une crampe sans lésion organique définie prise à ses débuts, chez un s
plus indistincte qu'à l'ordinaire. Noïca (3) conclut à l'absence de lésions osseuses après examen radio- graphique de deux
troubles n'ont fait que s'accroître. C'est vers 9 ans et demi que les lésions du côté du membre supérieur ont apparu. Actuell
es qui concernent les sujets jeunes donne bien l'impression que les lésions osseuses observées constamment se développent par
t dus à un trouble trophique atteignant les deux systèmes, ou à une lésion d'involution osseuse parallèle à l'involu- tion
nombre de cas d'ostéite déformante, l'on doit surtout noter que les lésions observées dans ces cas sont peu considérables,
PESCAROLO ET BERTOLOTTI 1 notre malade pour noter l'importance des lésions osseuses et articulaires des phalanges, qui rév
seux hypertrophique, puisque leur malade ne présentait aucune autre lésion pouvant être rapportée au rhumatisme chronique
tion se concentre avant tout sur le système osseux, il y a d'autres lésions et d'autres symptômes qui sont loin d'être néglig
otre malade. Nous rappellerons en effet qu'il existait chez lui des lésions du coeur et de l'aorte, puisqu'à l'auscultation
es signes d'insuffisance mitrale et à l'au- topsie on découvrit des lésions athéromateuses avec dépôts calcaires. Chez le m
père a eu le doigt annulaire courbé avant la naissance du fils; la lésion s'est produite à la suite d'une bles- sure pend
e Dupuytren, pense que les professions mécaniques peuvent causer la lésion du fait de la pression mécanique des outils ; l
nstance. En émettant la supposition de la localisation corticale de lésion pour notre cas, nous n'en excluons pas l'origin
rité. Tantôt on invoque les traumatismes [Etienne (11)], tantôt une lésion du système nerveux central (Testi) ; ou une altér
n du tissu conjonctif; cer- tains auteurs attribuent l'oedème à une lésion du sympathique et secon- dairement à une altéra
noncé. Ni sucre, ni albumine dans les urines. On ne constate aucune lésion cardiaque. 5 juillet. M... dort chaque nuit de
ésen- tent aucun trouble paralytique. Malgré l'absence apparente de lésion cardiaque, on fait le diagnostic d'embolie céré
mains, les sillons longitudinaux des ongles qui sont cassants, les lésions dentaires, la chute des poils, l'oedème des membr
es- sèrent, mais, au dire de la malade, survinrent des symptômes de lésion trau- ,matique de diverses racines du plexus br
laisser des reliquats plus ou moins persistants, comme suite d'une lésion du plexus L RSEIFFER (2)]. Les notions sus-ment
traité la malade et qui, voulant trouverchez elle des symptômes de lésion organique, attirèrent l'attention de la malade
s un seul cas : s'il existe, localement, sur le membre atteint, des lésions vasculaires, telles que artériosclérose, athérome
, telles que artériosclérose, athérome, spasme artériel ou varices, lésions qui, comme nous l'avons vu, favori- sent et fix
E LÉPINAY A. - Traitement physique, ou externe 1° S'il existe une lésion périphérique locale qui paraisse être la cause
à bon escient, c'est-à-dire seulement dans les cas où il existe une lésion périphérique apparente et déterminée. S'il ex
locale conviendra surtout aux cas où le membre atteint présente des lésions locales évidentes. Les bains locaux chauds prol
tain nombre d'observations probantes dans les- quelles existait une lésion anatomique bien définie au niveau du mem- bre a
t des cas, on nepeut déceler, au niveau du membre at- teint, aucune lésion locale. Il se peut qu'elle existe, sans doute, ma
te origine. Il s'agit peut-être d'un simple trouble psychique, sans lésions anatomi- que définie ; il serait assez logique
al du sujet ; 4° Sur Y ancienneté de la maladie. Une crampe, sans lésion organique définie, prise à ses débuts, chez un
ttentif du membre atteint : on recherchera avec soin toute trace de lésion anatomique locale qui exigerait aussitôt une th
orragie microscopique. 2° Dans la capsule surrénale cancéreuse, les lésions de sclérose ancienne prédominent. Le tissu conj
se de celui de Cheyne-Stokes. L'examen des poumons ne dénote aucune lésion et confirme l'origine ner- veuse de ces trouble
de liquide céphalo-rachidien clair et limpide. On ne trouve aucune lésion des os ou des méninges, aucune gomme, aucun foyer
breuses cellules nerveuses toutes très altérées et présen- tant les lésions suivantes : formation autour de la cellule d'un e
s. , Par quel mécanisme se localise l'infection et quelles sont les lésions anatomo-pathologiques qu'elle produit au niveau
- tude anatomique fort malaisée et souvent infructueuse. Tantôt les lésions nerveuses se produisent au cours d'une infectio
s on constate au niveau des nerfs et des centres nerveux de grosses lésions auxquelles i I est di fcici le de rattacher avec
LA POLYNÉVRITE GRAVIDIQUE 3 : 53 3 Poumons : Congestion aux bases. Lésions discrètes d'emphysème. Raie : Très volumineuse.
Très volumineuse. Pulpe très rouge, molle, très abondante. Reins : Lésion de néphrite aiguë. Utérus : A repris son volume
ystème nerveux central : Les centres nerveux ne présentaient aucune lésion macroscopique. Les ganglions rachidiens et les
niveau nous n'avons trouvé dans la moelle de foyer de myélite ou de lésion de poliomyélite aiguë. Les vaisseaux intramé- d
ésidant à l'innervation des membres inférieurs, nous rencontrâmes des lésions tout à fait caractéristiques de chromolyse inte
ion que l'on peut rattacher à cette dispo- sition topographique des lésions . Retenons dès à présent qu'à aucun étage de la
à présent qu'à aucun étage de la moelle nous n'avons rencon- tré de lésions inflammatoires de myélite, de.polyomyélite aiguë,
a destruction définitive de certains éléments nerveux. A côté des lésions chromolytiques, et souvent coexistant avec celles
diverses peuvent provoquer et qui parait fréquemment être dû à des lésions des prolongements de la cellule, surtout lorsqu
des lésions des prolongements de la cellule, surtout lorsque à ces lésions s'ajoutent une cause d'intoxication. 2° Ganglio
rachidiens. Les ganglions rachidiens ne présentent que fort peu de lésions . Nons avons noté un certain nombre de cellules en
co-dorsaux en renferment également quoique en moindre quantité. Ces lésions ne peuvent pas être considérées comme spécifiques
'affection polynévritique, mais se rapportent vraisemblablement aux lésions banales résultant de toute affection grave. L
hidiens tant lombo-sacrés que cervico-dorsaux ne présentent que des lésions fort discrètes. 3° Racines antérieures et posté
em- bres inférieurs. Nous prendrons comme type de description les lésions du nerf sciatique au niveau de la partie moyenn
able, avec laquelle s'opère la réparation fonction- nelle après les lésions de polynévrite toxique ou infectieuse : les nouve
accentuée au niveau des muscles de la jambe. Nous signalerons comme lésions caractéristiques : l'infiltration graisseuse in
de la dégénérescence de l'ancienne arhorisation terminale. ' Les lésions musculaires sont identiques à celles que l'on obs
tiplication des noyaux, proliféra- tion du tissu conjonctif, toutes lésions qui sont secondaires et étroitement dépendantes
outes lésions qui sont secondaires et étroitement dépendantes de la lésion primitive des plaques terminales encore récemment
O (1) avec beaucoup de précision. Dans notre cas l'intensité de ces lésions se trouve encore renforcée par l'intoxication p
s ayant produit les vomissements incoercibles et secondairement les lésions nerveuses périphériques ? Ou bien au contraire la
intéres- sants : nous rappellerons la distribution paraplégique des lésions , l'im- portance des troubles recto-vésicaux, l'
nérés. A quelle variété anatomique de névrite rallacherons-nous les lésions que nous avons observées et décrites dans les p
ement aux gaines d'enve- loppe du nerf. Dans ces deux variétés, les lésions que l'on observe sont celles de l'inflammation
la part de Stransky (2). En ce qui concerne les polynévrites les lésions les plus différentes ont été signalées : tantôt
tes les lésions les plus différentes ont été signalées : tantôt les lésions inflammatoires, interstitielles se présen- tent
ions du tissu conjonctif péri-nerveuses sont à peu près nulles, les lésions atteignant les (1) GOIdBAULT, Arch. neurolog.,
s ce dernier cas, tous les . degrés peuvent s'observer : depuis les lésions légères disséminées, rappe- lant la névrite pér
qu'à l'atrophie presque totale du nerf. Cette variété extrême des lésions , tant au point de vue de l'intensité que de la
ntièrement fondée si l'on n'envisage que la localisation de grosses lésions prédominantes, soit ou niveau des filets nerveux,
croyons-nous, admettre que toutes les névrites sont accompagnées de lésions ou de réactions de l'élément noble. Quelques ex
s divers. Dans quelle catégorie de névrite devons-nous ranger les lésions que nous avons observées et décrites dans le ca
ébut de régénération, démontre indiscutable- ment l'existence d'une lésion de l'élément noble, par conséquent d'une névrit
près deux mois, démontrent, à notre sens, l'existence antérieure de lésions inflammatoires fort intenses. . Tout-en faisa
les yeux qu'un des épisodes, nous croyons pouvoir affirmer que les lésions interstitielles se manifestèrent les premières,
leurs du début et la contracture initiale de la jambe gau- che. Aux lésions interstitielles succédaient bientôt les lésions p
jambe gau- che. Aux lésions interstitielles succédaient bientôt les lésions parenchy- mateuses amenant une véritable sectio
ents modes de sensibilité et l'apparition de douleurs intenses. Les lésions observées dans notre cas ressortissant à la fois
s. Les lésions observées dans notre cas ressortissant à la fois aux lésions de névrite interstitielle et de névrite parench
titielle et de névrite parenchymateuse ; elles se distin- guent des lésions de névrite massive par la conservation des filets
able névrite périphérique, et non d'un retentissement à distance de lésions centrales, de lésions médullaires ? C'est là un
que, et non d'un retentissement à distance de lésions centrales, de lésions médullaires ? C'est là une des questions qui ont
Ce terme névrite périphérique ne doit pas impliquer l'idée que les lésions des nerfs sont primitives, qu'elles sont l'origin
onction- nels qu'ils occasionnent sont causés non seulement par des lésions histo- logiquement perceptibles, mais aussi par
Bouchard, Brissaud. 364 DUSTIN dynamique, et qu'en définitive les lésions des nerfs ne peuvent être considérées comme con
laquelle les troubles des cylindraxes sont primitifs, tandis que les lésions des cellules à myélines et du tissu conjonctif
faits, d'acquisition récente, pourraient, la rigueur, expliquer une lésion secondaire des cellules de Schwann succédant à un
rouble dyna- mique léger du neurone. La disposition segmentaire des lésions oblige, nous semble-t-il, à admettre dans ce ca
re des lésions oblige, nous semble-t-il, à admettre dans ce cas une lésion primitive juvénile, indépendante de toute altér
te, ne laisse pas d'être délicate. Nous avons, en effet, trouvé des lésions importantes au niveau des troncs nerveux, et de
rrélation importe-t-il d'établir entre ces deux ordres défaits ? La lésion médullaire est-elle primitive ? Est-ce au contrai
es inflamma- toires ; 2° Intégrité des racines antérieures ; 3° Lésions médullaires localisées uniquement aux cellules ra
quement aux cellules radiculaires d'origine des nerfs malades, sans lésions de myélite et sans lésion des petites cellules
laires d'origine des nerfs malades, sans lésions de myélite et sans lésion des petites cellules funiculaires. Reprenons
se d'un trouble dynamique expliquerait fort mal la localisation des lésions aux troncs nerveux, tandis que les racines anté-
s avons vu qu'au niveau de la moelle lombo-sacrée n'existait aucune lésion inflammatoire, aucune lésion vasculaire dénotant
moelle lombo-sacrée n'existait aucune lésion inflammatoire, aucune lésion vasculaire dénotant l'exis- tence d'une myélite
volution. L'intégrité médullaire contras- tait étrangement avec les lésions des nerfs périphériques. Mais, nous objectera-t
omolyse etde vacuoli- sation des cellules radiculaires dénotent une lésion profonde de la moelle, lésion à laquelle sont d
es cellules radiculaires dénotent une lésion profonde de la moelle, lésion à laquelle sont dues les altérations névritiques
ction dont souffre tout l'organisme, ne peuvent plus faire face aux lésions de leurs cylindraxes, ni aux dépenses que nécessi
uses premières de cet état de choses. Quant à la localisation des lésions , nous ne savons si nous pouvons ap- pliquer ici
que la compression, n'eussent favorisé encore la localisa- tion des lésions . Ou plus simplement encore, ne doit-on pas adme
lle ou telle région du système nerveux, de même que nous voyons les lésions rabiques atteindre profondément les ganglions r
ravidique dans les cas analogues au nôtre, est caractérisée par des lésions intenses, probablement primitives, au niveau de
des lésions intenses, probablement primitives, au niveau des nerfs, lésions qui respectent en grande partie les fibres sens
andis qu'elles sectionnent véritablement les fibres motrices. A ces lésions succèdent la chromolyse el la vacuolisa- tion d
et tous les documents nécessaires' à cette étude. SUR LA GENÈSE DES LÉSIONS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE DANS UN CAS DE SYPHILIS D
a- ralytique de Gilbert et Lion. Mais, combien souvent ces diverses lésions apparaissent, au microscope, disproportionnées
erveux est loin de se faire toujours dans le voisinage immédiat des lésions inflammatoires, dont la présence ne paraît même p
yphi- lis peut atteindre d'emblée le tissu nerveux, et produire des lésions paren- chymateuses primitives. En pratique, o
complexes, la syphilis ayant évolué par poussées successives, et ses lésions se compliquent de dégénérations, de cicatrices,
é par une syphilis nerveuse à marche rapide, la moelle présente les lésions d'une myélite syphilitique aiguë, sous une form
ée). Homme, 44 ans. Syphilis il y a dix ans, ALQUIER. LA GENÈSE DES LÉSIONS DE LA MOELLE ÉPIN1LRE 369 soignée méthodiquemen
base gauche, et quelques adhérences pleurales, disséminées. Pas de lésion macroscopique de l'encéphale, ni en surface, ni
longe les cornes et racines posté- rieures. D'avant en arrière, la lésion s'étend de la méninge à la com- missure, respec
n postérieur. La moitié postérieure des cordons latéraux montre des lésions analogues, qui, bien qu'occupant la région du pyr
Marchi n'est ici d'aucune utilité, en raison de la multiplicité des lésions , etde leur diffusion. A divers niveaux de la ré
nté- rieur présente, de chaque côté du sillon médian antérieur, des lésions de même ordre, encore plus irrégulières, et qui
yers multiples de myélomalacie. Dans tous ces foyers, on trouve les lésions habituelles d'une myéloma- lacie récente, datan
E RAPIDE (L. Alquier). Masson & Cie, Editeurs. L GENÈSE DES LÉSIONS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 371 enfin que, dans plusi
de démyélinisation analogues à ceux de la moelle. En dehors de ces lésions , fort peu importantes, les .racines apparaissai
es en pré- sence d'une myélomalacie récente à foyers multiples, les lésions dégéné- ratives n'ayant encore eu le temps que
ratives n'ayant encore eu le temps que de s'ébaucher, si bien que la lésion initiale se représente à nos yeux à peu près pu
ent bien, déprime abord, l'aspect en coin à base périphé- rique des lésions vasculaires, mais, ce n'est là qu'une apparence,
anchon lymphocytique discontinu, de 2-3 éléments d'épaisseur. Cette lésion , importante au point de vue du diagnostic de sy
forme irrégulière en carte de géographie 372 ALQUIER. LA GENÈSE DES LÉSIONS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ne cadre guère avec l'idé
ec Baudouin (Arch. de méd. expérim.etd'anat. path., n° 1, 1907 : la lésion est figurée dans la planche qui accompagne ce t
le et cependant, la forme irrégu- lière, le mode de répartition des lésions nécrotiques, plus intenses au voisinage de la m
iste, mais il ne paraît pas suffisant pour expliquer à lui seul les lésions du tissu nerveux, une part semble bien revenir
encore réaliser pour la tuberculose, où, malgré elle, la genèse des lésions du névraxe est à l'heure actuelle toujours indé
placée par un tissu cicatriciel. D'ac- cord avec ce caractère de la lésion anatomique d'être bien limitée, mais complète,
tion était attirée sur ce fait qu'au commencement de la maladie les lésions anatomiques du sys- tème nerveux ont une distri
(92), Cadwalader, Acuna). De plus, on a trouvé dans ces cas que les lésions anatomiques sont étendues aussi aux autres partie
es formes de la maladie, d'après l'extension et la localisation des lésions anatomiques et Wickman a encore ajouté un certa
d'une ma- ladie systématique et qu'au contraire on reconnu que les lésions anato- miques avaient une distribution très dif
autre chose que des cas de paralysie infantile méconnus et dont les lésions ont amené trop rapidement la mort pour que le t
aître qu'on aurait dû trouver en même temps des symptômes dus à une lésion des cornes postérieures du renflement cervical,
il n'y a aucune difficulté à conclure que nous avons affaire à une lésion complète des faisceaux pyra- midaux dans la par
anée et du sens musculaire. Pour conclure sur la localisation de la lésion qui a causé ce change- ment des troubles de la
aux : du sens musculaire et de la sensibilité tactile) est dû à une lésion qui a atteint les cordons postérieurs à la partie
pendante du résultat auquel on arrive quant à la localisation de la lésion qui a causé l'analgésie et la thermoanesthésie.
qu'il s'est agi dès le début d'une myélomalacie ou de quelque autre lésion diffuse (de nature syphilitique ou autre) dans
sibilité, c'est-à- dire l'analgésie et la thermoanesthésie, par une lésion des cordons laté- raux des deux côtés. La sensi
changement de son type. On admet géné- ralement avec Bastian qu'une lésion transversale complète de la moelle ne cause pas
it normaux nous indique avec certitude qu'il n'y avait nullement de lésion transversale complète, mais au contraire que le
ontraire que les cordons postérieurs étaient intacts. Plus tard, la lésion transversale s'est étendue aussi aux cordons post
égie devenait spasmo- dique. C'est dire qu'il y avait d'abord une lésion incomplète, mais une para- plégie tout à fait f
plégie tout à fait flasque, et plus tard il y avait au contraire une lésion beaucoup plus complète, mais une paraplégie d'u
tômes, telle que la décrit Dejerine, s'explique en supposant que la lésion transversale a d'abord été (du moins au point d
e. Mais il nous semble incertain qu'on puisse accepter l'idée d'une lésion transversale par une myélomalacie comme la seul
le cause de tous les symptômes qui se produi- sent en ce cas, où la lésion transversale serait devenue plus complète en mê
les voies de la sensibilité de la moelle), il faudrait admettre une lésion symétrique des cordons latéraux, en même temps
res ca- ractères de la maladie, par exemple, avec l'extension de la lésion anato- mique de la moelle. L'étude de nos obser
, nous ne pouvons établir une relation sûre entre l'extension de la lésion de la moelle et la fré- quence avec laquelle le
lle, on a constaté, comme nous l'avons déjà fait remarquer, que les lésions anatomiques s'étendent sans interruption . par
ement on ne peut conclure qu'il y ait une extension semblable de la lésion dans tous les cas de la maladie ; au con- trair
a maladie ; au con- traire, on peut considérer comme certain que la lésion est beaucoup moins répandue quand il n'y a, par
nt ni s'asseoir ni se tenir assis. Néanmoins, si l'on songe que les lésions de la poliomyélite pen- dant cette phase tenden
notre maître, M. le professeur Gil- bert Ballet et dans lequel les lésions musculaires nous paraissent parti- culièrement
s ne contiennent que du sang noir sans caillots. Il n'existe aucune lésion valvulaire. Les poumons sont congestionnés. Au
line-van Gieson, au Marchi, au picro-carmin ne nous a révélé aucune lésion . Muscles. L'examen a porté sur les muscles ster
ui se divisait que dans celles qui naissaient de sa divi- sion. Ces lésions se retrouvent dans les myopathies. 438 LAIGNEL-
oupes colorées à l'hématoxyline-van Gieson, nous avons constaté les lésions suivantes : Sur des coupes intéressant les fibr
cesse et qui n'existent plus au point où la striation reparaît.Ces lésions sont identiques celles que Durante a décrites sou
points entourées complètement par l'infiltration cellulaire. Ces lésions ne s'observent qu'en certains points. En d'autres
e pharynx transversalement, et où il était possi- ble d'étudier les lésions depuis la muqueuse jusqu'aux fibres musculaires l
yaux n'est pas augmenté. En revanclie, aux points où existent les lésions que nous venons de décrire, certaines présenten
l'autopsie, la persistance du thymus est devenue un fait banal. Les lésions des muscles présentent un plus UN CAS DE MYASTH
avaient déjà été décrites dans la myasthénie, sauf, cependant, les lésions de métamorphose fibreuse que nous avons observé
s est fourni par l'examen du corps pituitaire et de la thyroïdè.Les lésions trouvées dans ces glandes indiquent qu'elles ét
ulaire rénal est aussi légèrement touché par t'athérome. Toutes ces lésions sont légères et relatives à l'âge avancé de notre
urantes, ni d'ataxie, ni de trou- bles sphinctériens, ni la moindre lésion de la sensibilité tant superficielle que profon
ve dans certains cas de tumeurs cérébrales ; State a parlé aussi de lésions tabétiformes de la moelle chez les acromé- gali
ne hérédo-syphilitique ; à la même cause nous pouvons attribuer les lésions papillaires, le symptôme d'Argyll- Robertson et
bablement un tabétique. Dans notre cas nous ne pouvons affirmer une lésion hypophysaire, car l'énorme épaisseur des parois
des auteurs, cette affection doit être mise en corrélation avec la lésion d'une ou de plusieurs glandes à sécrétion interne
ement lésé, certainement rien ne nous empêche de supposer que cette lésion uni ou pluri-glandulaire soit dans notre cas d'
des membres sont par- faitement ossifiés. Si nous confrontons ces lésions osseuses à celles que l'on trouve en gé- néral
d'une altéra- tion des systèmes vasculaire ou nerveux. Selon que la lésion siège ici ou là, et selon que dans tel appareil
t périphérique de un ou plusieurs nerfs spinaux. Il admettait une lésion du ganglion spinal, théorie à laquelle se ralliè-
r tous les ailleurs récents, et basée sur l'aspect descriptif de la lésion cutanée : noevus-vascularile ne signifie pas na
es na;vi-vascularites ; dans les nmvi-névi,iles, on peut ranger des lésions vasculaires qui sont dues à des troubles trophi
fait est important à souligner. Le naevus-vascularite est dû à une lésion des parois vasculaires : c'est une vascularile;
est une vascularile; le naevus-névrite, au contraire, est dû il une lésion du système nerveux : c'est dans le plus grand n
culaires à l'axe de ce membre. Ces naevi sont liés sans doute à une lésion spinale ; ils ont une topographie spino-métamér
pés, le fait s'expliquant mieux et plus simplement en admettant une lésion radiculaire. Nombre d'observations cataloguées
ter, pour expliquer la topographie assez spéciale de ce naevus, une lésion congénitale des 5e, 6e, 7" racines cervicales a
s. 6, malade du Dr Launois), nous avons constaté dans la moelle une lésion dont l'importance ne sau- rait passer inaperçue
topsie, l'examen complet du système nerveux n'a montré qu'une seule lésion , qui occupe une étendue de 3 centimètres environ
e 1 à 2 millimètres. Sur une coupe transversale de la moelle, cette lésion est évidente à l'oeil nu sous forme de tache cen-
ellules de la substance grise, n'a pas permis de déceler la moindre lésion . En cherchant évaluer l'importance que peut avo
ité toute particulière. Il est donc très important de constater une lésion , ou un reliquat de lésion, siégeant précisément
est donc très important de constater une lésion, ou un reliquat de lésion , siégeant précisément au point de la moelle qui e
n n'est visible en aucun autre point de l'axe cérébro-spinal. Cette lésion est le reste d'un processus morbide qui à un mome
vue cliniquequ'au point de vue anatomo-pathologique, deux types de lésions de la colonne vertébrale caractérisées par la s
tions de Strümpell et de Marie, dans lesquelles on note, à côté des lésions de la colonne vertébrale, des lésions articulai
esquelles on note, à côté des lésions de la colonne vertébrale, des lésions articulaires. A ce propos, Bechterew a fait rem
formes intermédiaires, car, en réalité, le tableau clinique et les lésions anatomiques trouvées, parlent plutôt' en faveur
° cas d'ankylose de la colonne ver- tébrale avec la description des lésions anatomo-palhologiques. Observation (PI. L1V).
dylose ou une mobilité très affaiblie de la colonne vertébrale sans lésions des grandes articulations, c'est-à-dire une spo
mes qu'il a présentés (l'im- mobilité de la colonne vertébrale sans lésions des grandes articulations) aux lésions locales
e la colonne vertébrale sans lésions des grandes articulations) aux lésions locales mais non pas aux troubles de nutrition gé
i-cellulaires sont élargis. La substance blanche ne présente pas de lésions systématisées. On perçoit sur des prépara- tion
x latéraux (un peu plus à gauche). Les racines ne renferment pas de lésions récentes. On constate sur des coupes colorées par
eures ; pachyméllingite cer- vicale chronique hypertrophique, Les lésions trouvées dans le cerveau concordent tout à fait a
cines et à la pachyméningite, elles ne concordent pas avec d'autres lésions ni par le moment de leur apparition, ni par leur
nt de leur apparition, ni par leur intensité et leur étendue. Les lésions de la dure-mère et des racines de la moelle épini
escence. L'examen macroscopique de la colonne vertébrale montre les lésions sui- vantes. Les ligaments costo-vertébraux s
rée et trois vertèbres cervicales. Nous allons décrire à part les lésions trouvées dans chaque région. Région cervicale.
diminution : de la sensibilité, des douleurs dans les jambes, sans lésions des grandes articulations. On note dans l'anamn
. Cependant elle se dis- tingue de ce dernier type par l'absence de lésions des grandes articula- tions. Il n'y avait pas n
ver- tébrale et une ossification partielle; ils n'ont pas trouvé de lésions des centres nerveux ni de modifications au nive
ni avec celui de Raymond et Babonneix; il en est de même pour les lésions histologiques, Peut-on penser dans notre cas à
03 d'ankylose de la colonne vertébrale et de toutes les côtes, sans lésions des grandes articulations . Comme il n'existe
de la région dorsale de la moelle épinière. D'après Bechterew, les lésions commencent non pas par la colonne ver- tébrale,
es sont la cause de la spondylose rhizomélique. Ils croient que ces lésions os- seuses sont le résultat d'un trouble surven
Strumpell un processus in- flammatoire, on devrait considérer comme lésion secondaire l'ossification des ligaments ainsi q
r l'ossification comme phénomène primitif. Faut-il considérer cette lésion comme le résultat d'un processus local limité à
ie générale progressive, on peut se demander, naturellement, si les lésions en question ne sont pas dues à l'infection spéc
l'infection spécifique de l'organisme. Il faut avoir ici en vue des lésions syphilitiques des os ou bien des lésions parasy
faut avoir ici en vue des lésions syphilitiques des os ou bien des lésions parasyphilitiques survenues au cours de la para
remier cas, il s'agirait d'une affection locale en rapport avec les lésions gommeuses des os ; dans le second, de troubles
os ; dans le second, de troubles trophiques du système osseux. Les lésions syphili- tiques des os sonl caractérisées par l
e l'os ; il n'existe pas non plus de périostite des vertèbres ; les lésions articulaires, comme t'hydarthrose aiguë ou chro
aralysie générale, tout en pro- xxti 34 506 ROUDNEW voquant des lésions trophiques des os, n'entraîne pas d'ordinaire la
compliquée d'une ankylose, ce qui n'aurait pas dû avoir lieu si ces lésions étaient d'origine rhumatismale. Ainsi, ni la pa
me résultat des troubles trophiques, peut expliquer l'évolution des lésions osseuses, nous nous demandons d'où vient l'anky
ues modifications et d'autres particularités morbides inhérentes à la lésion spinale dont notre malade est atteint et que je
e, ou même les ostéo-arthéopathies de la colonne vertébrale, car la lésion n'est jamais limitée, du moins dans les cas con
emble anatomo- pathologique qui les distingue facilement des autres lésions ou néoforma- tions de la colonne vertébrale ell
a colonne vertébrale elle-même. Pansini a décrit minutieusement les lésions tabétiques des articulations et des os voisins
nt les lésions tabétiques des articulations et des os voisins ; ces lésions , on peut les résumer assez brièvement de la faç
écanisme, grâce au- quel, les effets ne sont pas si graves comme la lésion primitive aurait pu en produire. Selon toute pr
téo-arthropalhie, Il reste maintenant à discuter de quelle façon la lésion osseuse a pu engendrer celte atrophie. Les éven
lement il n'exisle ni con- tractions fibrillaires qui indiquent une lésion médullaire, ni névralgies ra- diculaires qui in
plus élevé que celui auquel correspond le maximum de gravité de la lésion ostéo-articulaire. Ce serait, d'ailleurs, un ca
à un tiraillement ou à une compression des racines, en somme à une lésion des fibres nerveuses pro- duite elle-même par l
inférieur gauche. En effet, il serait juste d'admettre que, si une lésion médullaire était cause de celle atrophie, les c
mbre inférieur gauche, due, d'après ma modeste façon de voir, à des lésions traumatiques secondaires, la quantité des phé-
terne et des os du pied ; dans le cas de Pescarolo etBortolotti les lésions furent notées aux os dans les phalanges des mai
leur début toutes avant 20 ans, cela sans tenir compte du type des lésions osseuses, qui dans les deux maladies sont bien
ongles en verre de montre, sont caractéristiques et il n'y a pas de lésion du crâne. La léontiasis ossea de yirchow frappe
nce dans les premières années de la vie, donne presque toujours des lésions symétri- ques, respectant le crâne et le visage
e déforma- tion de la colonne vertébrale. D'ailleurs, en dehors des lésions fondamen- tales, on peut dire que chaque cas pr
suite cette maladie, ont eu recours, pour l'étude appro- fondie des lésions osseuses, aux rayons X. Très récemment Legros et
ucoup admettent pour l'acromégalie, a bien peu des partisans. Les lésions trouvées du côté de la moelleépinièrepar Gilles d
ue G. et M. tendaient à mettre en rapport de cause à effet avec les lésions osseuses, ont été confirmées par les cons- tata
nant sur les faisceaux de Goll et Burdach et semblables en tout aux lésions de la moelle épinière sénile. Du reste, la di
sions de la moelle épinière sénile. Du reste, la distribution des lésions osseuses, malgré que parfois elles prévalent d'
oigne de l'idée d'une influence nerveuse centrale; d'autre part les lésions trouvées sur les nerfs périphériques par Hudelo
ll, Soc. méd. h6p. Paris, 19. VI. 1901) les artères calcifiées, les lésions cardio-vasculaires sont à compter parmi les plu
tout cas, s'il résulte de l'élude générale des cas publiés que les lésions artérielles sont presque constantes, il ne faut p
éformante sont ordinairement d'un certain âge et c'est pourquoi les lésions osseuses et vasculaires pourraient coexister, c
nstate chez lui aucun stigmate physique de dégénérescence, au- cune lésion organique de l'un des différents appareils. L'aus
supérieurs. Cette règle s'explique par la tendance prononcée de la lésion anatomique dans la poliomyélite aiguë à se conti-
t point du tout en opposition avec notre idée sur le caractère delà lésion anatomique dans la poliomyélite et sur sa tendanc
n le long de la moelle. Tous les symptômes sont expli- qués par une lésion ne s'étendant pas au-dessous de la moelle cervica
nt cervical avec paralysie et anesthésie complètes au-dessous de la lésion . La compression a été causée par une maladie de
lié ci-dessus. Comme il s'agit d'une paralysie com- plète due à une lésion spinale des segments thoraciques les plus supé-
ration qui ont été observées puissent être mises en rapport avec une lésion du bulbe. D'abord, il faut remarquer qu'il n'a
aire une distinction entre les troubles de la respiration dus à une lésion du noyau du dia- phragme et des muscles interco
dia- phragme et des muscles intercostaux et ceux qui sont dus à la lésion du noyau du pneumogastrique (il est probablemen
es muscles de la respiration et ceux qui sont dus directement à une lésion bulbaire. Je suis persuadé qu'il est souvent tr
itue, à mes yeux, une nouvelle preuve de la grande tendance qu'a la lésion anatomique de la poliomyélite à se répandre pen
autre chose que des cas de paralysie infantile méconnus et dont les lésions ont amené trop rapidement la mort pour que le t
us, mais des os aussi, et dans des cas dans lesquels il y avait une lésion indiscutable de l'hypophyse on a trouvé augment
er que de nombreux auteurs et entre autres Franchini pensent que la lésion hypophysaire puisse être secondaire à une intoxic
vé (Pétren, Gagnetto, Messedaglia, etc.) des cas d'acromégalie sans lésion hypophysaire et vice versa des cas de lésion hy
cas d'acromégalie sans lésion hypophysaire et vice versa des cas de lésion hypophysaire sans symptômes acromégaliques (sur
table; cela surtout pour l'acroméga- lie, car dans le gigantisme la lésion hypophysaire sérail, se)on5]M. Launois et Roy,
elle turcique est énormément agrandie ; ce qui est un indice sûr de lésion hypophysaire. Les faits contradictoires que nou
ue Gauthier, Strumpell, Arnold, Vassale, etc., soutien- nent que la lésion hypophysaire est secondaire à une altération prim
expliquer d'une façon satisfaisante la fréquence si remarquable des lésions hypophysaires. Tout ce que nous venons de dire
eurol., 1905, p. 131. Ballet ET Laignel-Lavastine. Acromégalie avec lésions hyperplasiques du corps pitui- taire, du corps
de Weigert et de Pal,les fibres sont bien colorées ; on retrouve la lésion générale, c'est-à-dire l'atrophie en masse de la
miers segments. Les fibres sont régulières et ne présentent pas les lésions observées aux régions inférieures. Les bras de
évroglie paraît légèrement proliférée. On n'observe toujours pas de lésions vasculaires. La capsule du noyau rouge paraît à
ut à fait raréfié. Dans la région inférieure on observe les mêmes lésions ; restent seulement quelques très rares fibres
normales ; il n'y a aucune différence entre les deux côtés, pas de lésion des fibres. Disons une fois pour toutes que les
t atrophié ainsi que la III' paire du même côté. Au microscope la lésion apparaît dans la partie toute supérieure de la pr
pyramidales au niveau du pied du pédoncule gauche, au-dessus de la lésion , se colorent beaucoup moins bien qu'à droite et
myéline nor- males. Dégénérations descendantes. Au-dessous de la lésion toutes les fibres pyramidales ont disparu. On p
midal croisé. L'examen anatomique nous a donc montré l'existence de lésions com- plexes de l'appareil cérébelleux ; nous av
doatcttles cérébelleux supérieurs jusqu'aux noyaux rouges, dont les lésions sont à peine appréciables. Conservation des a
xiste en aucun point de foyer inflammatoire ou nécrobiotique, ni de lésions méningées ou vasculaires, en dehors d'un épaissis
partie des fibres du faisceau central de la calotte. En face de ces lésions complexes, une première question se pose, celle
lleuse. D'après ce que nous enseigne l'anatomie de l'encéphale, une lésion limitée du pédoncule ne peut en aucune manière
dinal postérieur. Il n'y a donc aucune relation directe entre la lésion du pédoncule cérébral gauche et l'atrophie oliv
ophie olivo-rubro-cérébelleuse. On pourrait se demander si les deux lésions ne sont pas de même origine et de même nature.
l n'y avait au niveau du cervelet et des voies cérébelleuses aucune lésion en foyer, ni aucune lésion vascu- laire notable
rvelet et des voies cérébelleuses aucune lésion en foyer, ni aucune lésion vascu- laire notable. Il s'agit donc bien de de
ni aucune lésion vascu- laire notable. Il s'agit donc bien de deux lésions absolument indépen- dantes l'une de l'autre.
s l'une de l'autre. Nous ne croyons pas devoir insister ici sur les lésions anatomiques auxquelles se rattache le syndrome
RMITTE I. - Atrophies partielles ou asymétriques consécutives à des lésions limitées (hémorragies ou ramollissements) et pa
trois n'ont pas trait aux atrophies cérébel- leuses ; ce sont : les lésions cérébelleuses aiguës, la dégénération des fais-
l'ébellr : 1tse, III. - Atrophie cérébelleuse progressive due à des lésions irrilalives ou vasculaires. Notre observation
cervelet de l'atrophie olivo-ponto-céréhelleuse, ces deux types de lésions constituant deux catégories distinctes ; MM. De
sur l'époque du développement de l'atrophie, sur la topographie des lésions , leur systématisation, leur origine, nous sommes
atrophie ; sou- vent, en effet, certaines atrophies succèdent à des lésions de l'encéphale : hémiatrophies croisées (Thomas
'encéphale : hémiatrophies croisées (Thomas et Cornélius), ou à des lésions de la moelle (maladie de Friedreich, tabes) ; d
ou du moins ces modifications, elles existent, sont secondaires à la lésion du cervelet (dégénérations secondaires), ou tou
e causalité. Les atrophies secondaires ne nous retiendront pas : la lésion qui les conditionne est en géneral grossière, é
toute atrophie du cervelet développée indépendamment de toute autre lésion du système nerveux. Les atrophies primitives du
es grains, sans qu'on puisse reconnaître une systématisation de ces lésions . C'est dans cette catégorie que rentrent l'atro
Cas de Murri, I. Rossi. Atrophie lamellaire de Thomas. t" Avec lésions interstitielles et vasculaires. Cervelet sénile
oite. Pas de scoliose. L'examen ophtalmoscopique ne révéla aucune lésion du fond de l'eeil. Pen- dant toute la durée de
Les troubles relevés chez ce malade consistaient essentiellement eu lésions de certains nerfs- crâniens (VI, VII, XII), lés
entiellement eu lésions de certains nerfs- crâniens (VI, VII, XII), lésions plus accentuées à gauche et accompagnées d'hémi
ique droite. Cet ensemble symptomatique im- posait le diagnostic de lésion bulbaire ou bulbo-protubérantielle gauche. La n
e lésion bulbaire ou bulbo-protubérantielle gauche. La nature de la lésion restait toutefois obscure : les principaux signes
Aucun antécédent héréditaire ne permettait de supposer l'existence de lésions tuberculeuses ou syphilitiques. L'absence de
okes. Enfin, au mois d'août 1908, le malade succomba au progrès des lésions bni- baires, sans avoir présenté d'affection in
cellules interstitielles typiques. Dans le testicule ectopié les lésions sont plus intenses. Les tubes séminaux sont élo
tion pendant les der- niers temps. Le corps thyroïde présente des lésions ? incontestables et qui sont de deux 640 MARINE
ts tissus et organes. Dans le système nerveux nous avons trouvé les lésions habituelles de l'hy- drocéphalie. Une dilatatio
ntes. C'est ainsi que l'adiposité générale a été observée après les lésions de l'hypophyse, du testicule et du corps thyroï
i a suivi cette communication Stolper rappelle qu'il a vu un cas de lésion delà glande pituitaire à la suite d'une chute gra
isme observés chez ces malades, ne fussent pas la conséquence de la lésion hypophysaire, la dyslrophie ne dépendant pas de
es c'est la diminution des fonctions génitales. Mais, même dans les lésions de l'hypophyse qui n'ont pas produit l'acrégomali
et chez la seconde, nous avons trouvé des ovaires qui, en outre des lésions microsco- piques, ne pesaient que deux grammes
basant sur la précocité sexuelle. Mais ce ne sont pas seulement les lésions directes de l'hypophyse qui peuvent déterminer
cette opinion, il invoque la présence dans la poliomyélite aiguë de lésions cérébrales constatées par l'examen anatomique. Ma
s de côté les altérations du tronc cérébral et ne regardons que les lésions des hémisphères trouvées dans la poliomyélite aig
st bien connu qu'on trouve, dans les cas de la dernière espèce, des lésions anatomiques très différentes dans les différents
semble commun à la plupart des cas ou à tous les cas, c'est que ces lésions cérébrales s'étendent à tout un hémisphère et qu'
temps devenu plus petit que l'autre. Par contre, quelles sont les lésions anatomiques des hémisphères que l'on trouve dan
Je rappellerai brièvement les faits. Wickman a trouvé deux fois des lésions anatomiques des circonvo- lutions cérébrales co
Peut-être objectera-t-on qu'on ne doit pas comparer directement les lésions inflammatoires tout à fait aiguës trouvées chez d
individus morts pendant la phase initiale de la poliomyélite et les lésions constatées dans 664 PETRÉN ET EHRENBERG des c
rocessus morbide. De ces observations nous pouvons conclure que les lésions légères des cir- convolutions cérébrales trouvé
semaines ; en tout cas, cette observation ne peut démontrer qu'une lésion cérébrale tout à fait légère. Rossi a cité un c
ue l'ataxie peut s'expliquer par une extension extraordinaire de la lésion dans le bulbe (ou peut-être aussi dans la moelle
nt surtout remarquables. L'un c'est la répartition très étendue des lésions anatomiques le long ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POL
, la forme du début de la maladie et la forme de la répartition des lésions anatomiques et enfin de ce que les symptômes de
rait croire que le raccourcissement de l'humérus droit est dû à une lésion osseuse juxla-épiphysaire dont ces cicatrices ser
est privé de ses moyens, soit parce qu'ils ont été détruits par une lésion organique (paralysie générale), soit parce qu'ils
x humérus (2 pl.), par D.\1\Los, ApEuT et PL1NDIN, 682. Moelle ( Lésions dans une syphilis du nc·'- vraxe a marche rapid
ysie spi- nale infantile (1 pi.), 650. ALQuiER. Sur la genèse des lésions de la moelle épinière dans un cas de syphilis
35 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- thésie du côté droit du corps, montrent qu'il doit s'agir d'une lésion pédonculaire. La lésion a-t-elle atteint direc-
du corps, montrent qu'il doit s'agir d'une lésion pédonculaire. La lésion a-t-elle atteint direc- tement les noyaux, ou b
z récents ont montré l'existence, dans les tumeurs cérébrales, de lésions médullaires : en Allemagne et en Autriche ce sont
itable sclérose pseudo-tabé- tique. Au point de vue clinique, les lésions de la moelle se mani- festent presque toujours
erminer le mécanisme pathogénique qui préside à l'établissement des lésions des racines et cordons postérieurs de la moelle
erches, surtout dans le but de préciser la pathogénie exacte de ces lésions médullaires, sans négliger de relever soigneuse
MM. Cl. Philippe et P. Lejonne ont été conduits à admettre que les lésions médullaires des tumeurs cérébrales sont netteme
pourrez en juger vous-mêmes dans un instant. Topographiquement, ces lésions sont nettement prédomi- nantes sur le système r
étudier au niveau de la racine postérieure; ainsi, l'intensité des lésions augmente manifestement au sur et à mesure qu'on
ur toutes les recherches concernant le méca- nisme pathogénique des lésions ; je vais vous montrer son importance majeure r
s fibres de la région du faisceau pyramidal croisé. Mais toutes ces lésions sont contingentes, toujours faiblement développ
ce est certainement très longue, sinon indéfinie. - Au total, ces lésions sont à rapprocher incontestablement de celles b
fasci- cules nerveux de la racine postérieure principalement; les lésions , surtout démyélinisatrices, des fibres nerveuses,
autres, plus ou moins dissociés et tiraillés au point de subir ces lésions de la myéline et du cylindraxe, sur les- quelle
n terminant, vous dire ma pensée sur la valeur séméiologique de ces lésions médul- laires, d'après l'ensemble des cas qui o
sont plus accentués, plus directement imputables, semble-t-il, aux lésions des racines et des cordons posté- rieurs. Ainsi
r. Elle est,impor- tante aussi au point de vue de la pathogénie des lésions des cordons postérieurs, mais c'est là une ques
rès Kahlbaum, le cas typique de la catatonie présente un tableau de lésion mentale à cours périodique (dont les périodes v
amentia de Meynert et les formes qui ont une connexion avec cette lésion , à savoir, la psychose hallucinatoire aiguë et la
n. La périphérie de la- main gauche est ulcéreuse, à la suite d'une lésion gommeuse de l'os, à ce qu'il paraît. Un balance
égénérescences psychiques. En effet, il est très probable que cette lésion , à son tour, se basant sur son type clinique, p
PATHOLOGIQUES. I. Un cas d'épilepsie avec gliôme consécutif à une lésion trauma- tique du cerveau; par A.-R. URQUHAUT et
octobre 1902). L'intérêt de ces cas réside dans la localisation des lésions et dans la dégénérescence du tissu cérébral au
cutive à une 44 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. lésion traumatique du lobe frontal : il en a été de même
il en a été de même danp le cas présent. Tout le monde sait que des lésions cérébrales peuvent rester silencieuses pendant
comme dans la précédente, le traumatisme n'est pas douteux, et les lésions de dégénérescence sont vérifiées à l'autopsie.
rale des aliénés. , Jusqu'à une date récente, on admettait que la lésion initiale qui aboutissait à la dégénérescence de
owers disait que les ganglions sont généralement normaux et que les lésions de dégénérescence du système nerveux sont proba
publient un travail dans lequel ils déclarent n'avoir pas trouvé de lésions des cellules ganglionnai- res des racines posté
e à une fixation im- parfaite plutôt qu'à un état pathologique. Les lésions décrites par Marinesco ressemblent beaucoup à c
u point de vue de leur importance en tant que cause primi- tive des lésions nerveuses de la moelle, de remarquer que Marinesc
ions nerveuses de la moelle, de remarquer que Marinesco dit que les lésions signalées sont très communes dans les états mor
e la moelle, et conclut que lorsqu'on considère l'incons- tance des lésions , et les différences qui existent entre l'intensit
escence des fibres de la moelle et le peu d'importance relative des lésions des cellules des ganglions des racines posté- r
lonnes postérieures de la moelle n'est pas sous la dépendance d'ude lésion primitive de ces cellules. D'autre part les lés
dépendance d'ude lésion primitive de ces cellules. D'autre part les lésions de ces cellules, ne sont pas consécutives à une a
lle chez les tabétiques et' montre que l'on a souvent rencontré des lésions portant surd'autres tractus de fibres que ceux
seules sont atteintes, et des cas de « tabes combiné » où d'autres lésions de dégénérescence se ren- contrent, par exemple
e à des altérations des, parois vasculaires, qui constitueraient la lésion primitve ,(Chalmersl Watson). Le Dr Buzzard a p
si c'est par la libre nerveus ou par les vaisseaux que débutent les lésions , ou si ces deux éléments sont envahis simultanéme
his simultanément : Ce qui est absolument certain c'est que, si les lésions vasculaires ne créent pas la maladie, elles jou
ie générale on' trouve les mêmes altérations nerveuses et les mêmes lésions vas- culaires, et dans cette maladie, M. Ford R
culaires, et dans cette maladie, M. Ford Robertson pense que les lésions va"culair es sont primitives et que la dégénéresc
les folies aiguës par exemple, où il est à peu près certain que la lésion nerveuse est primitive : mais qtiel-(Iue soit l
de dégénéres- cences nerveuses chez le lapin, et passe en revue des lésions du système nerveux chez l'homme dans lesquelles
entale, la désorientation, etc., rapprochées de la prédominance des lésions pariétales, viennent à l'appui de la thèse de r
iennent à l'appui de la thèse de rlerUsig, d'après la- quelle toute lésion de la zone d'association postérieure entraîne de
. le Dr RAYMOND (Nouv. . lconogr. de la Salpétrière, n° 6, 1902). Lésions syphilitiques des centres nerveux. Foyers de ramo
jours après le début des accidents, mort en syncope. A l'autopsie, lésions syphi- litiques artérielles et méningées diffus
sychiques. Les symptômes cliniques obser- vés sont expliqués par la lésion bilatérale des faisceaux olivo- ciliaires, par
ués par la lésion bilatérale des faisceaux olivo- ciliaires, par la lésion unilatérale du faisceau qui met en rapport le n
insiste sur l'importance de la latéropulsion pour le diagnostic des lésions . ' R. Charron. XVII. Les lésions histologique
ropulsion pour le diagnostic des lésions. ' R. Charron. XVII. Les lésions histologiques de l'écorce dans les atrophies du
e clinique cérébelleux comme étant tou- jours le représentant d'une lésion primitive du cervelet. R. C. XVIII. Sur l'aspec
ées de la présentation des cerveaux et de l'examen histologique des lésions présentent comme intérêt dominant, l'absence de
de la 3" C-F de l'hémisphère gauche ; l'évolution a été rapide, la lésion profonde : pas d'aphasie. La deuxième est un cas
t les collatéraux trois cas de la même anomalie. XXV. Etude sur les lésions radiculaires et ganglionnaires du tabes ; par T
en histologique du système nerveux portant principale- ment sur les lésions des racines postérieures de la moelle et des ga
ntérieures, une théorie plus éclectique résumée comme suit : « La lésion essentielle du tabes est, en somme, une dystrophi
ructure et son aspect normaux, il est cependant parfois le siège de lésions atrophiques et d'ailleurs, à défaut de lésions
parfois le siège de lésions atrophiques et d'ailleurs, à défaut de lésions anatomiques, il est légitime de supposer que sa f
gie, 1903, n° 14.) On ne discute plus aujourd'hui l'existence des lésions médul- laires aprèsles amputations, mais leur t
localisées ; MM. Brissaud et Bauer au contraire ont cons- taté des lésions cellulaires très nettes des cornes ventrales du
e fait d'une tumeur intra-vertébrale n'ayant pas encore provoqué de lésions médullaires irréparables. G. DENY. XXXII. Un
e de 49 ans. Trou- bles du langage, de la lecture et de l'écriture. Lésions des conduc- teurs qui joignent le. centre intel
se produisit de désordres somatiques : il s'était fait une nouvelle lésion du centre sen- sorie) tui-méme, de la première
langage oral. Le désordre observé d'abord peut ? expliquer par une lésion des centres moteur et sensoriel. Ce qu'il y a d
teur. L'aphasie motrice transcorticale ne peut s'expliquer par une lésion du centre moteur. On peut sans difficulté s'exp
exes tendineux, etc. En présence de ces accidents révélateurs d'une lésion du faisceau pyramidal, l'auteur estime qu'il s'ag
L'auteur attribue ce phénomène névrosique à une auto-suggestion. La lésion organique préexistante aurait joué dans ce cas
re; par BRISSAUD (Nouv. Iconogr. de la Sal- pétrière, n°4, 1902). Lésions anatomiques constatées à l'autopsie : ramollissem
tendu caractériser la forme sous-corticale de l'aphasie motrice. La lésion corticale, trouvée à l'autopsie, permet à M. La
ues de l'aphasie motrice, dite sous-corticale, s'observent 'dans la lésion corticale de l'opercule frontal; - 2° L'agraphi
cule frontal; - 2° L'agraphie n'est point la suite nécessaire d'une lésion du pied de la deuxième circonvolution frontale
localiser exactement les dégénérations secondaires consécutives aux lésions de l'écorce trouvées à l'autopsie (Revue neurol
itifs se produisant au cours de cette maladie, sous l'influence des lésions médullaires, peuvent, comme les troubles moteur
fections telles que tabes et paralysie générale. L'auteur admet les lésions parasyphilitiques non justiciables des antisyphi-
enstruelle. , R. DE Musgrave-Clay. IX. Le traitement opératoire des lésions traumatiques intra cra- niennes, par Charles PH
siégeant au-dessus de la dure-mère, exceptionnelle dans les cas de lésion située au- dessous de la dure-mère, que ces lés
dans les cas de lésion située au- dessous de la dure-mère, que ces lésions intéressent le cerveau ou la membrane pio-arach
de Goll dans ses deux tiers antérieurs et du cordon de Burdach. Ces lésions étaient surtout intenses dans la région cer- vi
tions de sénilité, les racines antérieures sont intactes aussi. Les lésions des nerfs périphériques sont plutôt des lésions
intactes aussi. Les lésions des nerfs périphériques sont plutôt des lésions d'atrophie simple que de dégénération; il n'y a
ne valeur pronostique réelle.. , , 1 Méningo-myélite tuberculeuse à lésions discrètes. Paraplégie aiguë : MM. DUPRÉ, Haosen
myélite subaiguë, inté- ressant à plusieurs titres. Anatomiquement, lésions méninge-' médullaires diffuses, mais discrètes,
dullaire. Pas de mal de Pott : méningite'cérë= brale secondaire aux lésions spinales. Tuberculose pleuro-pulmo- naire et ga
s altérations profondes de la moelle, contraste avec l'exiguité des lésions constatées, et autorise à supposer une sorte d'in
nt s'espacer, lorsqu'elles sont indépendantes évidemment de grosses lésions organiques (altérations méningo-corti- cales pr
es systèmes anatomiques, ne peut produire les mêmes effets qu'une lésion organique cérébrale, bulbaire ou médullaire. La
ive sont loin d'être identiques à une aphasie et à une agraphie par lésion cérébrale. Tandis que les organiques se présent
, ni phé- nomène des orteils, ni aucun des signes caractérisant une lésion organique; comme dans l'hémiplégie hystérique l
ont ouvert la scène, on se trouve en présence d'un dilemne : si les lésions ou les imitations périphériques constituent un
folie circulaire terminée par la guérison, ou encore à la suite de lésions organi- ques circonscrises ou diffuses du cerve
l'une de psychose récidivante qui à la suite du développement de lésions arterio-séléreuses a pris un cours circulaire, l'
t de déglutition : cette anxiété trouble l'acte malgré l'absence de lésions organiques au pharynx, à l'oeso- phage, de para
re le langage des autres; 8° ces troubles du langage tiennent à des lésions qui peuvent atteindre divers points de l'encéphal
le cours de la psychose mélancolique aiguë a été compliqué par une lésion orga- nique de tout l'appareil nerveux et muscu
trouva une gomme du cervelet avec pachyménin- gite sans aucune des lésions classiques de la paralysie générale. M. Vallon
. L'examen du système nerveux montra, du côté de l'encéphale, des lésions exclusivement cellulaires. Les grandes cellules p
xcentrique, de la chromatolyse et une excessive pigmentation. Mêmes lésions cellu- laires dans les cornes antérieures de la
membres inférieurs sont atteints de névrite parenchymaleuse. Ces lésions cellulaires sont nettement primitives, à l'encéph
. Celle-ci ne parait pas, dans la majorité des cas, responsable des lésions nerveuses constatées à l'autopsie. Dans le fait
ette double action toxique. M. Duruir. De l'aveu même de Nissl, les lésions cellulaires qu'il a décrites et qui sont invoqu
typhoïde, les cachexies, etc. M. Ballet reconnaît qu'en effet, ces lésions s'observent, quelle que soit la forme de toxici
au syndrome paralytique. Il pense que, malgré la multi- plicité des lésions observées chez le malade de M. Vigouroux, on do
M. Vigouroux, on doit plutôt porter le diagnostic de démence, avec lésions circons- crites, chez un syphilitique. Un cas
e d'un pied tabétique offrant tous les caractères typiques de cette lésion et provenant d'un individu de soixante-treize a
tisme; on ne peut donc croire à une origine essentiellement due aux lésions des nerfs périphé- riques. D'autre part, il f
able, s'explique par le siège supérieur et le caractère discret des lésions méningo-radiculaires. Les cas en sont tellement
n de cécité ver- bale comme mauvaise, appliquée à des faits dont la lésion toute virtuelle ne rend pas les sujets tout à f
ute virtuelle ne rend pas les sujets tout à fait inéducables. Cette lésion , serait un défaut d'association des centres gra
me de Weir-Mitchell. M. P. Marie montre des cerveaux présentant des lésions peu '1 Î4 SOCIÉTÉS SAVANTES. communes et d'au
roscopiqnes, dont les hul- bes et les .moelles offraient de grosses lésions de dégénérescence secondaire. ? Névrite optique
l'on envisage les réflexes cutanés en général, il faut dire que les lésions du système pyramidal leur font subir une transf
tion des troubles trophiques se résume en trois faits : d'abord une lésion nerveuse amenant sou- vent un trouble circulato
hare, quelles que soient la faiblesse du malade et l'étendue de ses lésions cérébro-spinales, une antisepsie rigoureuse peu
'est pas plus fréquente dans nos services c'est que l'indolence des lésions les font souvent passer inaperçus. R. LEROY.
ntertitielle ou parenchymateuse. Sur le système nerveux central des lésions variables ont été signalées de l'écorce, des mé
l'Institut sérothératique de Maragliano), il faut convenir que ces lésions n'ont rien de caractéristique ni de certain. l
squels il a été démontré que certains de ces aspects tiennent à des lésions de la papille, de la rétine, du nerf optique Il
art. L'état du fond de l'oeil chez les paralytiques Qeneraux el ses lésions anatomiques initiales et terminales. Nou- relle
doutes ne se présentaient pas avec les caractères très tranchés de lésions indéniables. Voici d'ailleurs les traits princi
vingt et une paralytiques qui cer- tainement étaient affectées des lésions que nous avons anté- rieurement décrites avec M
e est un peu imprécis. - IV. Enfin, sept paralytiques portaient des lésions du fond de l'oeil paraissant indépendantes de l
ice qui n'a persisté qu'un mois. A l'ophthalmoscope on constate des lésions de kératite ancienne au travers desquelles les
ÉRAUX. 205 seule ne réagit plus à la lumière. - A l'ophthalmoscope, lésions de rétinochoroïclite ancienne, papilles floues
nsécutive à un mal de Pott guéri. A l'ophthalmoscope, on relève des lésions de myopie extrême; un staphylome postérieur éte
e. Gâtisme. - A l'ophthalmoscope, vieilles 206 CLINIQUE NERVEUSE. lésions de myopie avec astigmatisme accusé ; quelques poi
ze d'entre elles. 2. Il existait chez vingt et une paralytiques des lésions papillaires certaines de l'ordre de celles que
bliées. 3. En éliminant, comme de juste, les sept observations de lésions du fond de l'oeil ou d'aspects du fond de l'oeil
indé- pendants de la paralysie générale, ou, si l'on préfère, de lésions qui ne permettent pas d'apprécier de visu s'il ex
lésions qui ne permettent pas d'apprécier de visu s'il existe des lésions complicatrices d'origine paralytique, on obtient,
de 38 p. 100 d'états du fond de l'oeil normaux, et de 61 p. 100 de lésions du fond de l'oeil d'origine paralytique. CLIN
n encépha- lique épileptogène. Excitences, d'origine thyroïdienne.- Lésions anatomiques de l'épilepsie, secondaires et non
- Intoxication épileptogène. - Epilepsies dites secondaires. Les lésions de l'idiotie ou de l'imbécillité avec épilepsie s
est formée en quelque sorte la constitution épileptogène, mais sans lésions anatomiques des centres nerveux, un état chimiq
- « Ce qui semble faire croire qu'on aurait tort de chercher une lésion organique là où il n'y a que perversion dyna- m
iques seraient donc altérations secondaires, consécutives, et non lésions causales, ce qu'il est important de retenir pour
il est important de retenir pour bien s'expliquer la pathogénie des lésions méningo-encéphali- ques que l'on considérait ju
ans une première classe, il range « les épilepsies secondaires avec lésions plus ou moins grossières de l'encéphale »; - un
, taenia). : '- 1re classe. Les épilepsies dites secondaires avec lésions plus ou moins grossières de l'encéphale seraien
onde des facultés intellectuelles et divers troubles liés à quelque lésion méningo-encéphalique. A cette classe appartiend
cas l'idiotie et l'épilepsie peuvent être la conséquence des mêmes lésions encéphaliques, on doit reconnaître que dans que
ans son développement, ou que le cerveau est plus détérioré par des lésions organiques. D'autre part, l'intelligence des id
se de l'enfance, - arrêt de développement intellectuel par suite de lésions méningo-encé- phaliques indélébiles, etc. etc.
dérer comme un arrêt de dévelop- pement par suite d'épilepsie et de lésions méningo-encépha- lique secondaires, lésions qui
suite d'épilepsie et de lésions méningo-encépha- lique secondaires, lésions qui se sont produites d'autant plus facilement
ations anormales et plus fra- gile 1. On conçoit facilement que ces lésions puissent être enrayées dans leur développement
autres persistant, on observe habituellement l'état mental lié aux lésions devenues indé- lébiles et, de temps en temps, u
ntalité plus ou moins rudimentaire 1 L'existence et le siège de ces lésions secondaires nous expliquent la prédominance des
s membres; et la meilleure preuve que cette prédominance accuse des lésions secon- daires, c'est que le sens de la chute es
e seraient que des épilepsies vraies accompa- gnées de symptômes de lésions organiques elles-mêmes consécutives à l'épileps
urs due à une affection intercurrente, on ne trouva non plus aucune lésion définie ni constante du tissu thyroïdien. En ce
l'un d'eux après' avoir présenté des secousses convulsives; aucune lésion histologique des parathyroïdes ne fut non plus co
nne soit parathyroïdienne, de cytotoxine capable de produire aucune lésion des cellules glandulaires in situ. Cepen- dant,
encéphalo-spinale et de la voie sensible principale et croit que la lésion siège sur la voie sen- sible ou plutôt centripè
entripète, se rapproche de l'asynergie, de l'ataxie et dépend d'une lésion des voies mé- dullo-cérébello-corticales, tandi
e (rupture de l'équilibre de tonus entre antagonistes), dépend de lésions du faisceau extra-pyramidal et doit être rangé à
ant quand le trijumeau ou le facial sont affectés, ou lorsqu'il y a lésion du lieu de passage de ce réflexe dans le bulbe
, l'apoplexie étant le résultat d'une action d'arrêt exercée par la lésion sur les fonctions de l'en- céphale et de la 'mo
iné par la rétraction des prolongemements des neurones. C'est là la lésion fonctionnelle, toujours identique, quelle que soi
des points les plus remarquables est la présence, au milieu de ces lésions , de cavités qui, par leur aspect, rappellent sing
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. .....1,. ? \ f. , ... - XLVIII. Les lésions de la moelle épinière chez les amputés, " ' . p
a survie, après l'amputation, soit longue, même très longue, et les lésions seront d'autant plus marquées, que l'in- dividû
- tion musculaires du membre, hypéresthésie, réflexes normaux. La lésion était une névrite atrophique surtout parenchymate
e des chiffres. Comme chez le premier cas on ne peut conclure à une lésion en foyer; il faut chercher plutôt la cause dans
es symptômes peuvent aussi se ren- contrer dans de bien différentes lésions graves générales du cer- veau. ' N. P. PosTOV
appelé pour lui donner des soins. L'enfant devint plus faible; une lésion cérébrale se déclara, sui- vie de la perte de l
se des divers symptômes, nous arriverons à localiser exactement ces lésions . , Tout d'abord, et en ceci nous suivons la chr
atteinte de l'os coxal n'est pas évidente. En tous les cas, cette lésion est peu accusée et ne va pas jusqu'à la compres
tteints par la généralisation du néoplasme. Je ne doute pas que les lésions pulmonaires ne soient de cet ordre et que ce qu
ans le cas qui vient de pas- ser devant vos yeux, j'ai conclu à des lésions siégeant sur le système nerveux périphérique, p
LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX. 283 pathogénie aux lésions médullaires signalées dans la même dyscrasie pa
part, les troubles circula- toires, les oedèmes cachectiques. Ces lésions ne semblent d'ailleurs nullement pathogno- moni
les seuls dont j'aie à m'occuper aujourd'hui avec vous. 1%i. 7. - Lésions d'ordre toxique des cylindraxes. \, coupe Vc¡'l
ennes de Fôrster et de Wir chow se rapportent indubitablement à des lésions d'un tout autre genre, à la sarcomatose ou à la
me assurément peu commune dans toute sa pureté, con- siste dans des lésions multiples des terminaisons nerveuses les plus f
lym- phangite cancéreuse. Mais nulle part il n'y a confluence des lésions . - Par contre les poumons sont envahis en masse
ncer massif, ramolli au centre, dur à la périphérie. A droite les lésions sont moindres, plusieurs gros noyaux enserrent
étastases intra-muscu- laires dominaient entre toutes. Les seules lésions que je vous prie de retenir pour l'ins- tant so
sculaires au voisinage des mélastases cancéreuses; c'est là que les lésions nerveuses - sont profondes, graves; et le très
nce rétro- grade souvent à type périaxile. Concurremment avec ces lésions névritiques, les lésions musculaires les plus v
t à type périaxile. Concurremment avec ces lésions névritiques, les lésions musculaires les plus variées et les plus intére
vous disant que les phénomènes de réaction à distance dues à des lésions périphériques sont évidents dans un certain nom
est la plus habituelle. Tels sont : le cas de Lancereaux où cette lésion avait été réalisée par un cancer du poumon, le
vous venez de le voir, souvent dès le début d'un cancer du sein la lésion néoplasique retentitsur rie domaine du plexus v
nsitive que motrice et les types clas- siques sont l'exception. Les lésions sont incomplètes, difTu- , ses, ce qui s'expliq
ieu même de la masse néoplasique, par l'absence presque totale de lésions dégénéralives des nerfs au-dessous du point de
vec une paralysie radiculaire inférieure, d'un myosis du côlé de la lésion avec rétraction du globe oculaire et diminution
me de la fente palpébrale. On attri- bue cette symptomatologie à la lésion , section ou compres- sion des l'ami communicant
er ganglion dorsal. Ce signe ne saurait donc exister que lorsque la lésion atteint la portion du plexus la plus rapprochée
rapprochée de la moelle; il se rencontre aussi lorsqu'il existe des lésions radiculaires intrarachidienues. Une partie du
meur. 294 " - CLINIQUE NERVEUSE.' - " - Dans certains points, les lésions vont plus loin, et l'on peut constater la sclér
s faisceaux ner- veux. Mais, eu égard à la compression intense, les lésions ne sont pas telles qu'on-aurait pu le supposer
- dème et les troubles vaso-moteurs. Toutefois les deux ordres de lésions , intrarachidiennes et autour du plexus peuvent
uvent comme facteur pathogé- nique. .. Ici le diagnostic avec les lésions intrarachidiennes est difficile dans bien des c
ypothèse que je livre à votre critique. - Quoi qu'il en soit, ces lésions du sympathique sont peu connues. Je crois volon
înantla tachycardie, la louxquiuteuse les troubles laryngés. - La lésion des nerfs crâniens est infiniment plus fréquente
SE. z étroite analogie entre la pathogénie de ces accidents et la lésion de même nature des racines rachidiennes. Rien d'é
s de même constater qu'il peut y avoir sur les nerfs crâniens des lésions nerveuses consécutives à l'envahissement osseux,
écutives à l'envahissement osseux, phé- nomènes de compression, des lésions succédant à l'envahis- sement de la méninge, vé
ns l'intérieur de sa gaine. (Fig. '1" ? ). - Quoiqu'il en soit la lésion cancéreuse des nerfs crâniens est le plus souve
u de vous étonner ; étant donné l'étroitesse des canaux osseux, une lésion minime pourra retentir sur les troncs ner- veux
une autre voie d'invasion qui comporte une symp- tomatologie et des lésions très différentes. Que se passe-t-il donc dans b
chis, par un mécanisme toujours à peu près le même que débutent les lésions ? Toujours est-il que, presque constamment, nou
us voyons les LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX. 301 lésions qui nous occupent - à condition toutefois que le
l'on ne puisse encore saisir le mode d'évolution du proce^-sus ces lésions , dis-je, semblent être eu rapport étroit de voi
es des muscles. Vous pourrez d'ailleurs vous rendre compte de ces lésions et de leur pathogénie dans les figures histologiq
mais on n'avait pas cherché à trouver la loi pathogénique de ces lésions . Plus récemment, deux observations très curieus
culaire. La pachyméningite externe n'existait pas, non plus que les lésions osseuses. La description exacte de ce processus
eue de cheval, libre de toute adhérence avec la dure- mère. - Mêmes lésions plus légères, à la région cervicale. L'examen h
sachiez, rarement vous aurez l'oc- casion d'étudier post-mortem des lésions aussi limitées que celles qui existaient dans l
ects cliniques seront fonction de la distribution topographique des lésions et celle-ci peut être très variable. C'est su
gissent par deux moyens' : la compression et l'enva- hissement. Les lésions mécaniques, les seules que nous ayons développé
syndromes variés. Vous retiendrez surtout l'existence possible de lésions multiples des terminaisons nerveuses intra-musc
10 décembre 1902). Le tabes est caractérisé anatomiquement par une lésion inflam- matoire qui attaque un nombre quelconqu
GIE NERVEUSE. 319 La moelle des tabé tiques présente deux ordres de lésions : 1<> lésions des éléments nobles ; 2° lé
moelle des tabé tiques présente deux ordres de lésions : 1<> lésions des éléments nobles ; 2° lésions de l'appareil co
deux ordres de lésions : 1<> lésions des éléments nobles ; 2° lésions de l'appareil conjonctif. La dégénérescence tab
se terminent, le processus marchant de la moelle aux ganglions. La lésion consiste en une atrophie lente qui frappe de pr
t pas seules atteintes, les racines antérieures n'échappent pas aux lésions dans le tabès. Les lésions diffuses qui siège
acines antérieures n'échappent pas aux lésions dans le tabès. Les lésions diffuses qui siègent dans l'appareil conjonctif d
é ce qu'est dans le cer- veau la méniztgo-encépltalite diffuse. Les lésions inflammatoires de l'élément conjonctif existent
mières manifestations du tabès. Bien loin d'être la conséquence des lésions parenchymateuses, ln méningite précède leur évo
syphilis nerveuse. Elle ne peut donc pas expliquer à elle seule les lésions des racines postérieures propres au tabes. Pour
lésions des racines postérieures propres au tabes. Pour trouver la lésion syphilitique indissolublement liée au tabes, il
radiculaires par le processus d'inflammation méningée syphilitique, lésion que l'auteur a décrit en 1894 sous le nom de né
que ; c'est une conséquence fré- quente mais non obligatoire de la, lésion méningée, ce qui expli- que pourquoi le tabes l
onstaté chez des chattes thyroïdectomisées en état de gestation des lésions rénales et hépatiques. Le corps thyroïde n'est
aux du plancher du 4C ventricule. Au point de vue topographique, la lésion était située en pleine REVUE DE PATHOLOGIE NERV
t la racine descendante de la Vu paire. , Cette topographie de la lésion rend compte des principaux symptômes observés.
une affection du cervelet peut être quel- quefois le résultat d'une lésion siégeant dans d'autres parties qui, a l'instar
n a appelé le sens statique. - A côté du syndrome cérébelleux par lésion du cervelet, il existe donc des syndromes pseud
genouillés et les tubercules quadrijumeaux ne présen- taient pas de lésions macroscopiques, l'examen microscopique n'a pas
r deux points : tout d'abord la simultanéité et la bilatéralité des lésions , choses très rares. Ensuite l'absence certaine
e certaine et plusieurs fois constatée du réflexe ,pupil- laire. La lésion étant corticale, le réflexe aurait dû persister d
phrite, font des phénomènes délirants, évoluant parallèle- ment aux lésions rénales. Les coefficients urotoxiques n'ont 'ja
ges.- 2° L'existence d'une pachyméningite cérébrale très accentuée, lésion qui a été trouvée^ rarement dans les autopsies de
à son niveau aucune trace de dégénérescence épi- théliomateuse. Les lésions histologiques observées sur les reins étaient t
r Geisleslcr·ankheiten. 1901. p. 281). Quant à nous appuyer sur les lésions anatomiques supposées par Kraepelin, il faut at
hénomènes de déficit (surdité corticale, puis surdité verbale). Les lésions de méningo-encéphalite diffuse présentaient des
urait donc pas lieu en présence d'hallucinations et de symptômes de lésions en foyer surajontés au tableau clinique commun
on en rapport avec la localisation des degrés les plus élevés de la lésion . IL C. LI. Démence précoce et catatonie ; par S
e l'on observe pour l'alcool, l'usage du haschich ne produit aucune lésion anatomique caractéristique, non plus qu'aucun t
on corticale avec ostéité hypertrophique du pariétal. A côté de ces lésions spéci- fiques, on constate les lésions ordinair
e du pariétal. A côté de ces lésions spéci- fiques, on constate les lésions ordinaires de la paralysie générale, tant macro
ifs, ni d'ophtalmoplégie, rien qui pût faire soupçonner les grosses lésions qu'elle portait dans son cerveau ; elle eut seu
suites furent toujours très vite dissi- pées. Cette association de lésions diffuses de paralysie générale et de lésions lo
. Cette association de lésions diffuses de paralysie générale et de lésions locales de syphilis est assez intéressante, car e
nt rares dans la paralysie générale, demande si la localisation des lésions pauvait les expliquer. M. TISSOT. Les lésions
la localisation des lésions pauvait les expliquer. M. TISSOT. Les lésions étaient surtout accusées au lobe fron- tal. , ,
au lobe fron- tal. , , M. Vallon. La rareté de l'association des lésions diffuses de la paralysie générale, avec les lés
association des lésions diffuses de la paralysie générale, avec les lésions circonscrites de la syphilis, explique pourquoi
de M. Tissot. 340 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. PACTET, L'association des lésions syphilitiques avec celles qu'on rencontre habit
eur de la moelle. 11 ? DÉJERINE, au moyen de très nombreux cas de lésions corti- cales avec pièces, préparations et figur
ent que le fais- ceau pyramidal direct dégénère à la suite de toute lésion encépha- lique dans l'aire pyramidale et que la
valeur de cette dégénéres- cence varie, non pas avec le siège de la lésion , mais selon que l'individu possède plus ou moin
la myopathie, les névrites, les polynévrites, c'est-à-dire dans les lésions du neurone moteur périphérique. Les auteurs ont
neurone moteur. Dans les hémiplégies anciennes avec contracture par lésion cérébrale et chez une femme atteinte de paraplé
.avastine. Cytologie ner- veuse d'un cas de tétanos.- A. Zinno. Les lésions de centres ner- veux produites par la toxine té
ent des phénomènes paralytiques de la musculature externe, ou des lésions du fond de l'oeil, mais ce sont les troubles irie
u fond de l'oeil. Chez nos 227 malades, 38 fois nous avons noté des lésions de la musculature externe. Nous n'avons pas fai
asmodiques de l'orbiculaire. Il peut bien arriver parfois que ces lésions musculaires se manifestent après des attaques a
uleurs fulgurantes, incoordination motrice, abolition des réflexes, lésions atro- phiques de la papille, etc.), l'affection
ly- tiques. Depuis longtemps déjà on a décrit des hyperémies, des lésions artérielles du fond de l'oeil, de l'oedème et sur
tout de l'atrophie papillaire. . C'est bien en effet cette dernière lésion que nous avons trouvée le plus fréquemment. Fov
ques généraux examinés par ces derniers auteurs 42 ont présenté des lésions du fond de l'oeil. : » atrophies blanches de la
le avec 364 CLINIQUE MENTALE. bords indécis. En somme 42 fois des lésions du fond de l'oeil sur 51 malades examinés. ' '
re tout à fait différent. Gowers, ne décrit pas chez ses malades de lésions du fond de l'oeil, sauf des cas très exceptionn
exceptionnels. M. Ballet, sur 37 malades ne signale non plus aucune lésion du fond de l'oeil. Chez nos 227 malades, 27 f
renoble MM. Keraval et Raviart. Nous n'avons en effet que 27 cas de lésions du fond de l'oeil chez nos 227 malades, à savoi
as de lésions du fond de l'oeil chez nos 227 malades, à savoir : 22 lésions papillaires (atro- phies complètes ou en évolut
ïdite et 2 fois des traces d'ancienne névrite optique. Sur les 22 lésions papillaires 16 étaient concomitantes de lésions
tique. Sur les 22 lésions papillaires 16 étaient concomitantes de lésions de la musculature externe, 6 cas seulement en é
erne, 6 cas seulement en étaient indemnes. Quand à leur aspect, ces lésions papil- laires présentaient absolument les mêmes
trou- bles mentaux rendent cet examen impossible, et ceux où des lésions papillaires peuvent entraîner une modification, n
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. L11. Sur quelques lésions viscérales dans la folie; par R. WILSO ? et D.
calisée uniquement dans sa portion intra-parotidienne. G. C. LXI. Lésions nerveuses dans le tétanos expérimental du cheval;
s ont soutenu qu'il n'existait pas dans la moelle des tétaniques de lésions cellulaires pouvant être considérées comme l'or
en, par le Nissl, des hémorrhagies et une chromato- lyse cellulaire, lésions décrites parMarinesco comme spécifiques du téta
étralement opposées â celles de cet auteur et n'admettèrent pas ces lésions comme spécifiques du tétanos. Pour les auteurs
teurs qui ont étudié ultérieurement la question, comme pour eux,les lésions cellulaires,observées dans la moelle d'hommes o
, le système nerveux cen- tral envahi par des cellules migratrices, lésion déjà citée par M. Jonkowski dans ses recherches
éjà citée par M. Jonkowski dans ses recherches sur l'histologie des lésions ner- veuses du tétanos. Mais cette accumulation
s histologiques dans leurs traits principaux ont été les suivants : lésions prédominantes dans le cerveau et au niveau des
ns le cerveau et au niveau des couches de cellules du manteau gris, lésions analogues, mais moins marquées, dans l'axe gris
de déter- miner exactement si le malade souffrait de cette dernière lésion ou bien d'une affection syphilitique du médiast
hie de la couche optique était entièrement sous la dépendance de la lésion corticale; 4° Les tractus cortico-spinal et tha
rtain degré d'atrophie générale. Ceci semble être indépendant de la lésion corticale, et être de la même nature que l'opac
qu'on ne peut constater en ce point aucune sclérose, bien que cette lésion existe à un certain degré dans la moelle allong
1902.) La conclusion de l'auteur est la suivante : Il s'agit de la lésion que l'on désigne sous le nom d'hypertrophie du
caractères d'un gliome myxomateux. La distribution générale de la lésion donne à penser qu'elle pouvait être le résultat d
modérateur du coeur aux effets de la com- presssion.. J. S. LXX. Lésions nerveuses et pathogénie des amyotrophies d'origin
LXXI. Rotation autour de l'axe longitudinal chez les animaux avec lésions unilatérales du cervelet; par le D SEncI (Riv. Sp
n de la rotation autour de l'axe longitudinal chez les animaux avec lésions unilatérales du cervelet se fait tantôt du côté
é opéré au côté sain, tantôt du côté sain au côté opéré. Dans les lésions incomplètes des pédoncules cérebelleux, qui intér
eux, qui intéressent leur partie postérieure et interne ou dans les lésions qui intéres- sent surtout le cervelet, le mouve
let, le mouvement se fait du côté sain vers le côté opéré, dans les lésions complètes des pédoncules cérébelleux en sens in
L'état morbide qui se produit chez les procréateurs, à la suite de lésions ou d'ablations des thyroïdes, exerce une action n
tement au siège du corps étranger. La plaie ossseuse présentait des lésions manifestes d'ostéite ancienne. Les renseignemen
eux. Le second groupe comprend les nains rachifiques chez qui les lésions se développent après la naissance soit dans le pr
ses peuvent l'expliquer : ou bien elle était sous la dépendance des lésions méningées légères trou- vées à l'autopsie ou bi
isparu. Au point de vue du diagnostic, les auteurs rejettent et une lésion organique et 1'liysLéro-trauinaisme. Il s'agit,
les psychiques. Le diagnostic doit être fait avec l'hystérie et des lésions organi- ques du système nerveux. Au point de vu
st probable que suivant l'intensité de la commotion électrique, les lésions nerveu- ses peuvent ou non apparaître. Au poi
t il rapporte l'observation. Il l'a observé éga- lement au début de lésions organiques du cerveau et en particulier du ramo
issement cérébral. Féré attribue ce rire prodromique, non pas à une lésion localisée, mais à une dépression de l'activité
vi l'attaque montre que paralysie et gonflement relèvent de la même lésion ; il plaide en faveur de l'opinion de Parhon et
de maladie de Pa1'lânon. M. JDELSOHN (de Riga) a pu vérifier les lésions décrites par Schiefferdecker et Schuetze (Bonn)
maladies, entre autres dans la maladie de Parkinson. Il trouva des lésions musculaires très accentuées dans tous les muscl
érations musculaires des faisceaux neuro-musculaires; il décrit une lésion 1° vocabulaire, 2° grannuleuse et 3° une lésion
ires; il décrit une lésion 1° vocabulaire, 2° grannuleuse et 3° une lésion très particulière, qui consiste en une division
ent prononcée, qu'il y a lieu de se demander s'il s'agit bien d'une lésion et non pas d'un changement artificiel. , 1 La
e à jour d'une façon aussi concise et aussi nette que possible, les lésions du système nerveux dans un syndrome mental de n
tieux.. 422 - BIBLIOGRAPHIE. Pour arriver à une notion exacte des lésions du delirium tre- mens, l'auteur a adopté un pla
ériques, enfin les artifices de pré- paration. Il différencie des lésions pathologiques, les modifications appor- tées à
nelle et cons- tante dans les cas de delirium tremens constitue une lésion bien spéciale de dégénérescence jaune globulair
e graisseuse des éléments nerveux. Pour interpréter sainement les lésions du delirium tremens qui, au pointdevue clinique
es toxi-irfections; altérations qu'il a cherché à diagnostiquer des lésions trouvées, soit dans les délires urémiques, soit
l'étude histologique du delirium tremens dont il différencie les lésions dé celles de la paralysie générale. Dans le derni
générale. Dans le dernier chapitre, l'auteur compare l'ensemble des lésions du delirium tremens etdu BIBLIOGRAPHIE. 43 dé
elle de la cellule. La raréfaction des corps de Nissl constitue une lésion cellulaire chronique; leur fonte poussiéreuse o
chronique; leur fonte poussiéreuse ou leur dissolution indique une lésion cellulaire récente. Les objections faites il, l
la production de la cause toxique déterminante ; d'autre part, des lésions chroniques réalisées dans les cellules nerveuses.
délire alcoolique, on peut distinguer dans le cortex deux sortes de lésions : 1° Des altérations cellulaires chroniques, ca
névroglique, de l'altération de quelques fibres corticales. · Ces lésions ne sont pas spécifiques de l'alcoolisme, elles s'
des couches profondes de l'écorce par de petits éléments ronds. Ces lésions cellulaires récentes, à vrai dire fonctionnelles,
fectieux fébriles. Elles ne dépen- dent ni de la congestion, ni des lésions de méningo-vasculurite, ni de la rièvi-e. Dan
lequel la prédisposition cérébrale héréditaire est secondaire, les lésions d'alcoolisme chronique étant le facteur essenti
o-encéphalite pal'el/chy- maleuse toxique aiguë. Indépendamment des lésions anciennes, dues à l'alcoolisme, ce sont les alt
me, ce sont les altérations cellulaires qui credo' minent parmi les lésions récentes. 131BLIOGRAI'lilE. 458 5 L'aspect te
ns les plus élevées de l'activité psy- chique : j'ai recherché, les lésions élémentaires qui constituaient ce trouble : j'a
accentué; il ne s'agit ici que d'une forme fruste dans laquelle les lésions ne portent que sur les élé- ments les plus déli
comme un endiguement du processus démentiel ; car, en dehors de la lésion irréparable causée par la ma- ladie, il se pour
ésanique, héréditaire, ils réclament un autre facteur qui serait la lésion produite par la méningo- encéphalite localisée
sante. L'observation est suivie de l'autopsie qui en révélant des lésions irritatives manifestes surtout au niveau de la ci
r l'attention est la périodicité des décharges. Que l'on regarde la lésion comme une lésion irritative ou une lésion de dé
la périodicité des décharges. Que l'on regarde la lésion comme une lésion irritative ou une lésion de décharge, elle est
rges. Que l'on regarde la lésion comme une lésion irritative ou une lésion de décharge, elle est en tout cas chronique ; e
il est certain que ces décharges sont périodiques. Comment donc des lésions chroniques causent-elles des décharges périodiq
orce Rolandique exerce une fonction d'inhibition, et que lorsqu'une lésion détermine la dégénéres- cence des tractus pyram
c différentiel des troubles purement fonctionnels du cerveau et des lésions anatomiques de cet organe; et il ne faut pas ou
tomiques de cet organe; et il ne faut pas oublier que même dans les lésions organiques, si elle échoue contre la lésion ell
lier que même dans les lésions organiques, si elle échoue contre la lésion elle-même, elle peut souvent atténuer des symp-
oration. M. L... fait remarquer que malgré la présence d'une grosse lésion de la zone motrice droite, les crises ont toujour
lepsie jacksonienne, on est autorisé .à aller voir s'il existe une lésion dans la zone correspondante, mais qu'il ne faudra
e devoir être favorable au malade puisqu'elle a permis d'enlever la lésion causale. Le résultat immédiat est très bon puis
'action révulsive des vésicatoires suffirait pour faire avorter des lésions assez légères pour pouvoir rétrocéder. Ce n'est q
. Thomas et CHIRAY présentent une malade qu'ils crurent atteinte de lésion isolée de la couche oplique. Ils pensent qu'à l
c l'exagération des réflexes et on la retrouve dans tous les cas de lésions thalamiques. La cécité et le pronostic du tabès
00 l'hypothèse que l'autopsie du second malade révéle- rait la même lésion . Ils présentent aujourd'hui à la Société, l'encé-
s. ' L'examen du névraxe en coupes sériées démontre la nature des lésions observées. Dans les deux cas, on voit des lésio
e la nature des lésions observées. Dans les deux cas, on voit des lésions du tabes incipiens. De plus, dans l'un la sclér
on de méningo-myélite de la région dorsale. Dans l'autre cas, les lésions des cordons antéro-latéraux sont plus complexes
laircir. Tabès, dégénérescence descendante du système pyramidal par lésion cérébrale, foyers de méningo-myélite de même na
s coupes d'un cas de poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte avec lésions en foyer absolument analogues à celles de la pa
t encore un vaisseau altéré, témoin de l'origine vasculaire de la lésion . La méninge paraissait indemne et les vaisseaux n
lymphocytiques. , Les nerfs ont été examinés. Ils présentaient des lésions mani- festes de névrite interstitielle; mais ce
accusée, semblable àcelle qui succède aux sections nerveuses et aux lésions médullaires. sociétés savantes. 499 Ce cas dé
re nettement la possibilité, jusqu'ici contestée, de l'existence de lésions en foyer dans les Cornes antérieures de l'adult
insiste sur ce fait que dans la paralysie générale de paire avec la lésion fondamentale peuvent exister aussi des pro- ces
sus anatomique diffus général, il y a dans le cerveau du malade une lésion spéciale des régions qui ont un rapport à la re
à une déchéance prématurée. On se trouve en effet en présence d'une lésion directe subie par 1 germe plas- matique, et le
anormal, par Sutcliffe, 386. - Voir Corps étranger. CERVELET. Les lésions histo'ogiques de l'écorce dans les atrophies du
générale. I'.pii.epsii : . Un cas il' avec g»ome consécutil à une lésion trauma- TABLE DES MATIÈRES. 53 1 tique du cer
Thomson. 335. La - du lia-cliich, par Warnock. 336. Sur quelques lésions viscé- ra)es dans la -, par Wdson et Walslln,
. Douze cas de maladie de - chez des rem, mes, par Turner, 330. Lésions histologiques, Voir Cerer- lel. Le traitement o
s la pie-mère de la - épinière. par Dereum et Spiller, 240. Les lésions de la - épinière chez les amputés, par Sivitals
érieures sur l'étiologie du dorsalis, par Rows, 44. Etude sur les lésions .radiculaires et ganglionnaires du , par Thom
cas (le d'origine gastrique, par Barjon et Cade, 330. Tétanos. Lésions nerveuses dans le - expérimental du cheval. par
36 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ouloir et d'agir. Si quelque chose se dérange dans ce mécanisme, la lésion , évidemment, à cause de l'inces- sance du trava
été méconnu, ce qu'atteste l'idée comprise dans cette définition : lésion partielle de l'intel- ligence. D'une séparation
tionnels, qui se produisent dans les membres, consécutivement à une lésion cérébrale, sont beaucoup plus complexes qu'on n
e et différente. En général, les membres du côté correspondant à la lésion sont sim- plement affaiblis. Ceux du côté oppos
résulte des observations du professeur du Collège de France, qu'une lésion cérébrale unilatérale ne produit pas exclusivem
, il existerait une paralysie directe légère. Quelquefois aussi, la lésion pourrait déterminer une paralysie limitée à tro
bservations antérieures, se pro- duisent fréquemment a la suite des lésions unilatérales du cerveau'. Bien que ces recherch
clusivement limitée à l'un d'eux, dans les cas, bien entendu, où la lésion cérébrale est unilatérale. II. ÉTAT DES FORCES
est la perte absolue ou relative de la motilité volontaire. Toute lésion destructive des régions motrices du cerveau pro-
ui caractérise la paralysie. Les membres du côté correspondant à la lésion initiale ne présentent, malgré leur affaiblisse
embres supé- rieurs. Aussi observe-t-on quelquefois à la suite de lésions unilatérales du cerveau des troubles bilatéraux
ette partie. » Et plus loin, M. Bernard ajoute : « L'absence de lésions sur les autres parties du cadavre me fait sup-
sent 175 gr. chacun, se décortiquent facilement et n'offrent aucune lésion à l'eeil nu. Aucune altération de lai)essie ni
n cas d'hémiplégie avec paraplégie spasmodique; Par CH. Féré. Les lésions du cerveau qui atteignent directement ou indi-
gie qui siège, dans l'immense majorité des cas, du côté opposé à la lésion . Cepen- dant on a pu observer quelquefois une h
observer quelquefois une hémiplégie, reconnais- sant pour cause une lésion de l'hémisphère correspondant. Ce sont ces cas
que l'on observe quelquefois du côté du corps correspondant à la lésion , mais aussi des mouvements associés qu'on peut vo
t que, depuis près de vingt ans, il a été frappé de ce fait que les lésions cérébrales s'accompagnent en général d'une hémi
il y a toujours un 1 Recherches ayant pour objet d'établir que les lésions encéphaliques unilatérales, si elles déterminen
, dans le membre inférieur sain, longtemps après l'apparition de la lésion céré- brale ; puis à la suite d'une irritation
ent de la contracture, lorsqu'il existe dans la moelle épinière une lésion capable de déterminer une exagération de l'exci
e ces phénomènes sous l'in- fluence d'un traumatisme dans certaines lésions matérielles, delà moelle épinière, peut-être ra
FAISCEAU SENSITIF ET LES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES CAS DE LÉSIONS CÉRÉBRALES; Par Gilbert BALLET, Chef de clini
sur le faisceau sensitif et les troubles de la sensibilité dans les lésions du cerveau. Paris, 1881. II. DES troubles DE
II. DES troubles DE la sensibilité dans leurs rapports avec les v LÉSIONS DE LA CAPSULE INTERNE ET DE SON VOISINAGE. Tui'ck
tremblements symptomatiques . Paris, 1876. Lafforgue, Rapports des lésions de la couche optique avec l'hémianesthésie d'or
III. DES tiioubles DE la SENSIBILITÉ D1NS leurs rapports avec les lésions du centre ovale ou DE l'écorce cérébrale. Flou-
ngrès de Genece, 1878. R. Tripier, De l'anesthésie produite par les lésions des circon- volzctions cérébrales. (Revue mensu
uestion des troubles de la sensibilité dans leurs rapports avec les lésions du cerveau est une des plus complexes qui se pu
tive de ses parties élémentaires; la physiolo- gie en réalisant des lésions artificielles dont on peut étudier avec plus ou
nctionnelles ; la pathologie enfin en créant spontanément ces mêmes lésions , souvent plus délicates et mieux isolées que ne
observation anatomô-clinique vulgaire, suffit à les réfu- ter : une lésion siégeant à la partie postérieure de la capsule
re et Raymond se sont attachés à détruire chez le chien, et dont la lésion , d'après les idées admises, détermine chez l'ho
se. II. DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ CONSÉCUTIFS AUX DIVERSES LÉSIONS DU FAISCEAU SENSITIF, DANS SON TRAJET INTRA- CÉ
d'oeil d'en- semble sur les conséquences possibles des différentes lésions à siège, à nature et à symptomatologie variable
ptomatologie variables susceptibles d'intéresser ce faisceau. Ces lésions siègent, suivant les cas, au niveau : 1° du pied
onçoit que les phénomènes observés seront différents suivant que la lésion aura assez d'étendue pour léser toutes les fibr
er, on comprendra qu'il se puisse produire exclusivement lorsque la lésion occupera le pied de la cou- ronne rayonnante, c
onnel, au contraire, si tant est que la chose soit possible, que la lésion ait assez d'étendue pour in- téresser toutes le
nouissement exceptionnel; aussi, pour les mêmes raisons, que cette lésion porte à la fois sur toute l'étendue des régions s
urait s'observer que dans deux conditions : 1° lorsqu'il existe une lésion matérielle de la cap- sule interne ou de son vo
ta- nément troublées dans leur fonctionnement. Par opposition aux lésions ou désordres qui affectent tous les éléments du
corce, sont choses qui se rencontrent communément. Il y a plus, les lésions de la cap- sule interne et de son voisinage, co
s. A. Des troubles de la sensibilité dans leurs rapports avec les lésions de la capsule interne et de son voisinage (Lési
ports avec les lésions de la capsule interne et de son voisinage ( Lésions du carrefour sensitif.) L'hémianesthésie sensit
sistante. Tantôt, il y a simplement compression du faisceau par une lésion de voisinage (couche optique, noyau lenticulair
'est dans ce dernier groupe qu'on doit ranger les observa- tions de lésions de la couche optique, considérées à tort par qu
quelques-unes d'entre elles seulement avaient été atteintes par la lésion . On conçoit très bien, dans cette hypothèse, qu
ies leur conductibilité pre- mière. Si le plus habituellement les lésions de la partie postérieure de la capsule interne
ié par M. Dérignac. Dans le cas de M. Pierret (Soc. auat., 1874) la lésion occu- pait le noyau extra-ventriculaire du corp
qu'il fut possible de déterminer avec certitude les rapports que la lésion affectait avec la partie intra-capsulaire du fais
lquée tant au point de vue de la symptomato- logie que du siège des lésions anatomiques sur celle de M. Pierret; ces derniè
l'année dernière ; l'autopsie en a été faite par M. Féré; mais les lésions observées étaient trop étendues et trop complex
ité au moins relative des sensi- bilités spéciales, dans les cas de lésion capsulaire. Et si l'on envisage un de ces cas o
expliquer cette association d'une symptomatologie anormale avec des lésions de siège constant, en supposant que les con- du
sorte de faisceau spécial qui serait difficilement touché par les lésions n'intéressant que les parties externes de la caps
énérale, sans altération de la sensibilité spéciale, dans le cas de lésion capsulaire, invoque, pour rendre compte du fait
compression des fibres de la capsule, la résistance opposée par la lésion à la conductibilité centripète est plus considé
r. B.-Des troubles de la sensibilité dans leurs rapports avec les lésions du centre ovale et de l'écorce cérébrale. Cette
et la localisation des symptômes ne dépendraient plus du siège des lésions du cerveau ; elles seraient commandées DU FAISC
ps, que la cécité et la surdité verbale soient en relation avec des lésions occupant le pli courbe ou la partie postérieure
actérise) avec l'intégrité de l'ouïe et de la vue. Or, de ce qu'une lésion occupant la partie postérieure des circonvoluti
e, puisque dans tous ces faits on a positivement constaté, avec une lésion des points précités, l'in- tégrité des sensatio
s personnellement. Or il résulte de l'en- semble de ces cas que les lésions les plus diverses, intéressant les différents p
ués, de la sensibilité spéciale, ce qui revient à dire qu'en cas de lésion circonscrite, les parties de l'écorce restées i
grand nombre vers telle ou telle autre partie de l'écorce, dont les lésions retentiraient par conséquent d'une façon plus m
des altérations destructives de la zone motrice que dans les cas de lésions occupant un autre siège. Il y a là matière à de
ies tactiles ne sont pas exceptionnelles toute- fois à la suite des lésions corticales récentes. Il s'agit la de troubles i
ous semble, dégager les propositions sui- vantes : A la suite des lésions du lobe frontral (la circonvolution fron- tale
e), il n'y a pas de troubles de la sensi- bilité ; A la suite des lésions des circonvolutions motrices, l'anes- thésie es
ésie est habituelle mais peu marquée et passagère : Dans les cas de lésions des circonvolutions occipito-sphénoï- 86 REVUE
ment plus durable, d'autant plus marquée en règle générale, que les lésions sont plus étendues. Ces faits nous autorisent à
thorax, le cou, la face, le membre supérieur du côté répondant à la lésion ; hyperesthésie et con- tracture du membre supé
III. SUR LES températures inférieures des malades atteints d'une lésion cérébrale; par SIiL01VSIiY. flTratscla, 1880, n
a dure-mère. L'auteur croit que, dans ce cas, la méningite a été la lésion pri- mitive et que la thrombose du sinus s'est
alheureux est réduit à une idiotie muette par suite des progrès des lésions bulbaires. Des lettres de malades prises à dive
ont le résultat de mauvais traitements de la part des gardiens. Ces lésions peuvent se montrer très facilement en dehors de
nts que pour les fonctionnaires et les gardiens des asiles. - Ces lésions peuvent s'expliquer par l'extrême fragilité du
MENTALE. sies relevées ne jettent aucune lumière sur la nature des lésions encéphaliques. L'hypothermie indique et le genr
nnion comme atteint d'hallucination unilatérale consécu- tive à une lésion de l'oreille, je tiens à faire remarquer que ces
-mère opposées. M. Rich- ter explique l'absence d'aphasie malgré la lésion classique par la conservation de la paroi exter
té gauche. Discussion. M Jastrowitz, prenant en considération les lésions des circonvolu- tions temporales, inclinerait,
astrowitz explique la confusion des phénomènes malgré l'étendue des lésions par la conservation d'un certain nombre d'éléme
, pour aiguillonner la surveillance préventive, les traumatismes et lésions que se sont infligés les malades sous l'influen
ques. Il s'en tient à ceux qui ont guéri, laissant dans l'ombre les lésions osseuses. Nous relevons : l'arrachement des che
en raison delà tendance que présente la syphilis à mul- tiplier ses lésions et à les disséminer sur les divers départements
est de même de la plupart des auteurs et il paraît étrange qu'une lésion intellectuelle aussi caractérisée n'ait pas dav
r Azam', qui décrit quarante cas d'autopsie de femmes aliénées avec lésions sexuelles. Boussi , au contraire, ne croit pas
-Ebbing8, Ripping9, et 1 Azam. Folie entretenue et pbuoquée par les lésions de l'utérus et de ses (lll ? lexes,1858. 1 Bo
is sans rien préciser. Krafft- Ebbing (loc. cil.) trouva six cas de lésions génitales sur dix-neuf, taudis que dans huit le
s, prises à l'autopsie des aliénées pendant plusieurs années, des lésions sexuelles se trouvaient dans les deux tiers, c'
rincipalement par des anomalies de position de l'utérus et diverses lésions de cet organe et de ses annexes d'origine infla
nte-quatre à soixante-deux ans, ne présentaient pas de symptômes de lésions génitales, sauf l'atrophie de l'utérus sénile;
eur très relative, attendu que l'autopsie ne peut révéler que des lésions d'un ordre purement anatomique et que les anoma
nombre des deux cents malades examinées, on a pu constater diverses lésions de l'appareil géné- rateur chez cent trente-hui
ociée dans huit cas à celle du col. Dans douze cas, ces dernières lésions étaient accompagnées d'ulcérations de diverses
que, sur quarante cas, trente- quatre sont aussi compliqués par des lésions sexuelles du même caractère que chez les mélanc
pause, sur dix cas, on n'en trouve que six asso- ciées aux diverses lésions génitales. Enfin, sur vingt- cinq cas de mélanc
xcluses) avant la ménopause, vingt-quatre sont compliqués par des lésions génitales, tandis que les dix autres cas après
sur quatre- vingt-huit malades des deux premiers groupes, ont des lésions de l'appareil générateur, qui se présentent prin-
l'on voit apparaître, en même tenlps, une.prédomi= nance marquée de lésions plus compliquées ? Ainsi, les 186 PATHOLOGIE ME
sition de l'utérus. Sur cent douze aliénées de cette catégorie, les lésions géni- tales se trouvent notées dans quatre-ving
sur qua- rante-quatre autres qui en ont eu une ou plusieurs, les lésions sexuelles sont constatées quinze fois, et c'est
elles qui ont eu plusieurs couches (de huit à douze) qu'on voit les lésions sexuelles les plus pronon- cées. Je dis les plu
lus prononcées; car chez ces neuf malades on a pu observer diverses lésions graves (ruptures du périnée, métrite chronique
mutuellement, c'est-à-dire les irritations périphériques dues à des lésions sexuelles, même peu graves en apparence, à la l
e.) RECUEIL DE FAITS DESCRIPTION DE QUELQUES PIÈCES RELATIVES AUX LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES, CONSE
. anat., 1878, p. 512. ' A Report on the Conyî,ess Muséum, p. 20. LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 203 squ
ve n'est pas sans intérêt, car elle a permis de découvrir plusieurs lésions ignorées pendaut la vie, ce qui permet de sup-
ésions ignorées pendaut la vie, ce qui permet de sup- poser que les lésions osseuses des ataxiques sont encore plus fréquen
cture de l'os iliaque droit et du péroné gauche. Ces deux dernières lésions avaient passé inaperçues sur le vivant. 1° Arti
on temporo-maxillaire. Nous ne connaissons point d'autre exemple de lésions de la base du crâne chez les ataxiques. Le maxi
de la fiae de l'humérus et de la cavité glénoïde de l'omoplate. LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 205 rem
face articulaire de cet os, nous dirons quelques mots d'une autre lésion qui n'avait point été soupçonnée pcndant la v
onsolida- tion de la fracture par un cal exubérant et dinoniie. LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 207 vir
it, car elle n'avait subi aucun traumatisme grave, et d'ailleurs la lésion n'avait pas été soupçonnée de son vivant. L'abs
u fé- mur. (Les autres lé- sions sont dues il la macération.) LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 209 du
constaté que l'extrémité supérieure du 14 Fig. 9. Fémur gauche. Lésions peu prononcées de l'extré- mité supérieure. U
ôle physiologique de ces muscles. (Bull. Soc. anal., 1880, p. 290.) LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 2li t c
oisine. Fig. Ki. Fémur gauche, disparition totale de la tête. LÉSIONS OSSEUSLS ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 213 III
Fractures des deux os de la jambe gauche (face pos- térieure). LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 215 de
de la cavité cotyloïde au fond de laquelle est la tête fémorale. LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. l't7. d
os est détruit sur une petite épais- seur. Il n'y a pas d'autre lésion appréciable des sur- faces articulaires du geno
t que la surdité n'est pas complète. L'autopsie n'a révélé aucune lésion constante. M. Pierret a décrit parmi les symptô
ent agit alors aussi bien que la première fois '. D. BERNARD. XI. Lésion grave du cerveau, GUÉRISON; par William Wood. (
eur n'ait pas indiqué d'une façon plus précise la topographie de la lésion cérébrale, sa largeur, sa profondeur, et les ré
pileptiques que dans la moitié du corps correspondant au côté de la lésion ; si on enlève les deux lobes cérébraux, on ne
eut-être reconnaître comme génératrices de ces phénomènes certaines lésions de la partie antérieure du corps strié et de la
primitive à issue insolite, avec pièces à l'appui. Il s'agit d'une lésion des cordons latéraux (faisceau latéral dans les p
es colonnes de Clarke, et son opinion relative à l'indépendance des lésions des cordons postérieurs et du ' On en trouvera
convolution de la substance blanche. 11 s'agit par conséquent d'une lésion ayant atteint un cerveau déjà parvenu à son typ
de la sténokrotophie de Virchow). L'apha- sie ; évidemment due aux lésions de l'insula du côté gauche, rétro- cédait plus
côté droit. Peut-être la perte de l'oreille droite tient-elle à la lésion du lobe temporal gauche, puisqu'il n'existe ni ot
descendante et de contractures permanentes. Quant à la nature de la lésion , la colo- ration jaunâtre du lobe temporal démo
s 7 février 1876, et 1'2juillet 1880), serait pathognomonique d'une lésion liomolatérale du noyau de l'oculo-moteur extern
ée des muscles de 1'oeil ne signifie pas nécessairement qu'il y ait lésion du noyau de l'oculo-moteur externe; un foyer pe
: 25'< il SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Westphal communique un cas de lésion corticale avec lténtiu- nopsie. M. Wernicke fai
té médicale de Berlin ; il s'agissait notamment dans l'espèce d'une lésion de l'écorce avec les troubles caractéristiques
e ensuite à sa communication annoncée : Des -caractères propres aux lésions de l'écorce du cerveau. Le malade, qu'il eut l'
relatées témoignent d'une irrita- tion cérébrale avec laquelle les lésions décrites n'ont rien avoir. M. 13r.van rappelle
n que l'anatomie pathologique mettent hors de doute en l'espèce une lésion généralisée. M. Richter (de Pankow) communique
e de I'oedèine cérébral circonscrit coinïlz, cause de symptômes des lésions en foyer. La discussion qui s'engage à son suje
ation dulohe inférieur gauche, et l'autopsie ne décelait, outre les lésions pulmonaires, qu'une transsudation séreuse avec at
facial et des extrémités) permirent de diagnostiquer le lieu de la lésion ; ce qui n'implique pas d'ailleurs le diagnosti
DER. De fcedeme circonscrit du cerveau comme cause de symptômes des lésions en foyer. De la stupeur. Quelques-uns de ces mé
continuer l'oeuvre prématurément interrompue. PAUL Ricuer. 111. Des lésions du lobule de l'insula; par A. Perdrier. Thèse de
uteur conclut de ses recherches cliniques et expérimentales que les lésions absolument localisées au lobule de l'insula se tr
athogénies différentes. La variété des formes symptomatiques et des lésions pathologiques montre qu'il existe des formes di
e que sous l'influence d'un épisode aigu, ou en conséquence d'une lésion cérébrale. Les troubles digestifs sont analogues
est absolument exceptionnel de les voir arriver à soixante ans. Les lésions anatomiques encore peu connues de l'absinthisme
ÉTUDE CLINIQUE DU VERTIGE DE àlÉNIÈRE DANS SES RAPPORTS AVEC LES LÉSIONS DES FENÊTRES OVALE ET RONDE ; . Par le Dr GEL
été atteints de phénomènes prononcés de vertige avec surdité,' des lésions du labyrinthe et surtout.des ca- naux semi-circ
le plus souvent à la suite de la méningite cérébro-spinale que ces lésions ont été observés. Ces cas mortels et si nets ne
vertige de Ménière. Mais c'est bien pis si l'on veut savoir quelle lésion correspond au vertige qui guérit, .celle qui ca
ci par avance une preuve de la multiplicité et de Fa différence des lésions 276 ô . CLINIQUE NERVEUSE. étiologiques dans
la fenêtre ronde parut bombée en dehors. Ce court aperçu montre des lésions bien dif- férentes de celles qu'a trouvées Méni
me une manifestation labyrinthique, mais quia été provoquée par une lésion siégeant hors du labyrinthe. En face d'un mal
menis signalent à l'attention, la source du mal et le siège de la lésion qui le produit. L'observateur appuie sa con- cl
ment guéris du vertige des pigeons sur lesquels on avait, par des lésion des canaux semi-circul aires , provoqué les acc
équilibre s'ajoutent le bour- donnement d'oreille et la surdité; la lésion des canaux semi-circulaires ne saurait à'elle s
t qu'en hâtant la terminaison par surdité. Dans l'hypothèse d'une lésion exclusive des canaux, il faudra donc admettre q
trouvé privé du fonctionnement. Il y a donc là autre chose qu'une lésion de ces canaux membraneux. z La surdité terminal
hors de l'oreille interne qu'on est conduit à placer le siège de la lésion principale dans le vertige de Ménière, si l'on
aient jamais eu spontané- ment, bien que l'examen fît découvrir une lésion de la caisse. C'est là un trait de lumière ! Il
byrin- thique ? Et il serait logique d'admettre, avec Duplay, une lésion de la fenêtre ronde, ou près d'elle, l'empê- ch
GE DE MÉNIÈRE. 281 où l'on n'a pu avoir la preuve qu'il existât des lésions quelconques de l'oreille interne, bien que les
l'organe labyrinthique. Mais , prouver qu'une surdité existe, sans lésion de la caisse, n'est, pas chose facile actuellem
ce. Les symptômes et particulièrement ceux qui auraient indiqué une lésion de la moelle à la 'naissance du plexus brachial
urelle d'un organe malade, dans le cas où on aurait constaté que la lésion maté- rielle d'un organe est la cause de cet ét
res. « La physiologie expérimentale, dit-il, ayant démontré que les lésions variées de l'axe cérébro spinal peuvent occasio
rie, on a observé sous cette prévention, et toutes les fois que des lésions de ce genre se sont présentées chez des diabéti
hémiplégique générale, ou partielle, doivent être rapportées à des lésions d'origine encéphalique. Il en existe d'autres à
en existe d'autres à forme paraplégique qui sont attribuablcs à des lésions médullaires. Marchai (de Calvi) , rapportant l'
sifs et paralytiques, peut faire admettre l'origine corticale de la lésion , d'autant mieux que quelquefois les convulsions
on' a d'ailleurs décrit dans le système nerveux des diabétiques des lésions qu'il croit à tort, il nous semble, développées
fois que Mùller, Kulz, Taylor et Goodliart n'ont point retrouvé ces lésions . B. Troubles de la sensibilité. L'aaesthésie co
n phénomène purement nerveux (Prout3) ou bien relève-t-elle d'une lésion de l'oreille ? M. Raynaud6 a décrit l'otite moyen
le diagnostic et le pronostic. De plus, la connaissance exacte des lésions rétiniennes diabétiques pourra sans doute aider à
l'iritis, l'irido-choroïditeau diabète et même aux troubles ou aux lésions concomitantes du syst( me nerveux ? Les observa
Desmares revient l'honneur d'avoir le premier décrit et figuré les lésions de la rétine observées dans le cours du diabète
l. E. Wickcrsheimer3 rapporte un cas d'amblyopie diabétique, sans lésion du fond de l'oeil, qui, améliorée par le régime,
st regardée comme l'une de ses formes. Elle peut coexister avec les lésions qui nous restent à énumérer et les masquer, ce
(bouchardant', von Grsefe, Bellouard2.) Ces symptômes dépendent de lésions diverses de la rétine, du nerf optique ou de se
tine, affectant le voisinage de la macula surtout ; telles sont les lésions du fond de l'oeil, en tout pareilles àcellcs de l
te, albuminurie et rétinite ne dépendraient-ils pas également d'une lésion bulbaire ou protubérantielle (Panas) Y La forme
de la rétinite glycosurique n'est pas en rapport avec l'idée d'une lésion encéphalique, qui se traduit sur l'oeil par une
du nerf optique, mais encore les amblyopics graves du diabète sans lésions appréciables, la dégénération n'ayant pu s'éten
RITIQUE. D. Troubles trophiques. Certains diabétiques offrent des lésions qui présentent une certaine analogie avec les tro
pourtour, apparition d'escarres et d'hémorrhagies abondantes. Ces lésions nous paraissent devoir être rapprochées des gan-
de ses organes accessoires, que l'on peut rappro- cher de certaines lésions cutanées notées dans plusieurs affec- tions du
que ces troubles trophiques localisés reconnaissent pour cause une lésion médullaire très limitée. Enfin certains cas d
oplaie musculaire peuvent être plus sûrement encore rattachés à des lésions des cornes antérieures, de la nature de celles
hénomènes du coma.- L'urémie a aussi été in- criminée en raison des lésions rénales,'(Dickinson, Griesinger) rencontrées ch
'après Ebstein, que l'éli- mination du produit fût empêchée par une lésion rénale spé- ciale, une dégénération hyaline qui
mme déduction pathologique à la fin de son travail, établit que les lésions de l'ataxie locomotrice, dans leurs phases du dé-
à établir que les douleurs dites fulgurantes se rattachent à cette lésion . La présence de vaisseaux abondants dans la ré-
, Mendel, Kcy et Retzius). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XX. Lésion unilatérale DE la moelle ; par le Dur Richard S
males ; fonction génitale conservée. Il s'agit ici évidemment d'une lésion hémilatérale delà moelle. L'instrument a attein
male. Quant à l'hyperesthésie cutanée du côté correspondant à la lésion médullaire, l'explication physiologique est encor
qué on comprendra du même coup la raison de l'hyperesthésie dans la lésion hémilatérale. R. V. XXI. UNE application pratiq
eur rappelle que, d'après une statistique de Meyer (de Zurich), les lésions de l'oreille tiennent à peu près le même rang q
oynbee ; d'après lui, le cervelet et le sinus latéral souffrent des lésions de l'apophyse mastoïde, tandis que le cerveau est
indiqué par Gehrardt et Grie- singer comme pathognomonique de cette lésion , l'oedème dou- loureux de la région mastoïdienn
que dans ces prétendus faits d'ataxie guérie, il n'existait pas de lésion des cordons posté- rieurs. Il rapporte quator
ues rapportées par Landouzy et d'autres auteurs, et consi- déra les lésions causales des symptômes observés, comme probable
n, on assistait à des manifestations permettant de con- clure à une lésion centrale. Telles des douleurs névralgiques dans
lesquelles \ REVUE DE PATkûLOGIE NERVEUSE. 383 sont notées des lésions scléreuses consécutives à une myélite aiguë ou
ux à travers la région dorsale inférieure et lombaire de la moelle. Lésions des cordons de Goll dans la moelle dorsale et c
e. Lésions des cordons de Goll dans la moelle dorsale et cervicale; lésions du faisceau pyramidal dans la moelle lombaire.
ent au-dessous du renfle- ment cervical. Le microscope localise ces lésions dans les cor- dons postérieurs, les cordons ant
ale. Atteinte des cordons de Goll dans la moelle allon- gée. Faible lésion des faisceaux cunéiformes. Altérations mar- gin
allongée, et çà et là, le long des cordons postérieurs de lamoelle. Lésions des racines postérieures,'par places des cornes
mylacés et des éléments colloïdes dans la pie-mère et au sein des lésions . En somme, lésion luzi'lbi-me des cordons postéri
éments colloïdes dans la pie-mère et au sein des lésions. En somme, lésion luzi'lbi-me des cordons postérieurs avec un gro
Wolff parait incliner à l'idée d'une méningite ayant déterminé une lésion interstitielle, à raison de l'accentua- tion de
rescences marginées, malgré la bénig- nité et la faible étendue des lésions de la méninge; on peut suivre à ce niveau un tr
r applique, une conception différente de l'évolution générale des lésions anatomiques, dans leurs rapports réciproques. L'i
Une seconde hypothèse concernant ces manifes- tations a trait à la lésion des fibres radiculaires intra-médul- laires, l'
urs. , Sur le chapitre de la systématisation et de l'existence de lésions parenchymateuses, l'auteur ne croit pas pouvoir t
égrité des régions) ; l'extension transverse, à cette. hauteur, des lésions de la moelle aux deux cordons antérieurs, (expé
; quand les réflexes étaient normaux, la moelle n'of- frait aucune lésion ; quand ils étaient exagérés, il existait une d
ées anormales, soit un état d'insensibilité morale. » L'étude des lésions somatiques, pouvant influer sur la déte ? - min
bes antérieurs du cerveau. » Il n'est donc pas étonnant, lorsqu'une lésion - cérébrale affecte dans une mesure plus ou moi
oit se manifester sou- dainement à la suite d'une insolation, d'une lésion de la tête, d'une affection fébrile aiguë, ains
. C REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 395 XXII. Localisation SPINALE.- lésions destructives DE L'EN- céphale. AFFECTION DE LA
s ce cas, en même temps qu'une hémiplé- gie gauche, il existait des lésions destructives affectant à la fois le corps strié
é du côté droit et le lobule paracentral droit ; la première de ces lésions avait probablement joué le princi- pal rôle dan
princi- pal rôle dans la production de la paralysie ainsi que de la lésion descendante secondaire. 2° Il y avait des contr
e la corne grise postérieure correspondante. Il est possible que la lésion des éléments sensitife ait neutralisé, et au de
des éléments sensitife ait neutralisé, et au delà, à cet égard, la lésion descendante des éléments moteurs. 3° La lésion
elà, à cet égard, la lésion descendante des éléments moteurs. 3° La lésion qui avait détruit la surface inférieure de l'éc
ce inférieure de l'écorce occipito-tem- porale gauche, ainsi que la lésion partielle de la couche op- tique gauche (pour n
on partielle de la couche op- tique gauche (pour ne rien dire de la lésion protubérantielle), sont intéressantes et quelqu
uelques explications sur ces symptômes, à la production desquels la lésion protubérantielle peut d'ailleurs avoir contribu
lésion protubérantielle peut d'ailleurs avoir contribué; ces mêmes lésions , d'autre part, sont in- téressantes au point de
présentait le malade à l'égard des. objets placés à sa droite; les lésions occipitales surtout sont à rapprocher des résul
emment publiés par Munck. 4° Au, point de vue de la comparaison des lésions observées dans ce cas avec celles que l'on renc
tions de la paralysie générale sont liées d'une façon intime à des lésions des centres sensoriels corticaux du cerveau. Lo
Le psychologue se retrouve tout entier dans les chapitres sur les lésions de la volonté, sur celles de l'association des id
Thèse de Paris, 1882. Des diverses hémorrhagies consécutives aux lésions des centres ? le ? ,- veux; par Langlois. Thèse
se, 233. Ata\if)ucs (description de quelques pièces relatives aux lésions os- seuses et articulaires z servées an musée
a fonction), et la sina- piscopie, par Adamlciewicz, S9. Cerveau ( Lésion grave du - rison), parNVootl, 221. Cerveau d'
21. Cerveau d'un typhique, 257, Cerveau (caractères propres aux lésions de l'écorce du), 254. Cerveau (des métastases d
123. Cerveau (températures inférieures des malades atteints d'une lésion du), 88. Cerveau (altérations anatomiques d
anato- miques du cerveau dans les ma- ladies ), 89. Insula (les lésions du lobule de l') par Perdrier, 262. Invalides
llénière (Etude clinique du vertige de dans ses rapports avec les lésions des fenêtres ovale et ronde), par Gellé, 73.
t observa- tions surIa),parBoarneyd)e et Wuillamié, 52. Moelle ( lésions unilatérales de la), 369. Moelle (affections
ons, 268. OEdème cérébral circonscrit comme cause de symptômes de lésions en foyer, 256. Oreille (des métastases des in
(le faisceau), et les troubles de la sensibilité dans les cas de lésions cérébrales, par Ballet, 67. Sexuelles (recher
er, ,t36. Températures inférieures des ma- lades atteints d'une lésion céré- brale, par Sklowsky, 88. Température (b
37 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
il fallait les considérer tous. » En outre il ajoute que toutes ces lésions plus ou moins étendues du cerveau prouvent « qu
tes ces lésions plus ou moins étendues du cerveau prouvent « qu'une lésion déterminée, des lobes cérébraux, quel qu'en soi
l'exercice de fonctions intellectuelles; tandis qu'il n'est aucune lésion de ces organes, quel qu'en soit le siège encore
d'un autre côté la perle considérable de matière cérébrale dans des lésions profondes de l'os frontal n'exerce aucune influ
ormaline et puis soumis à un examen qui devait, faire constater les lésions expérimentales. Fig. a. LE SIÈGE DES PROCESSU
le lapin, nous avons le droit d'en tirer la conclusion, que par ces lésions , la con- nexion entre les centres d'écorce, che
ne dépend pas de la maladie du cerveau frontal lui-même, mais de la lésion des organes avoisinants, par conséquent des par
, divisé en sections horizontales séparées ' prises d'en haut. X. Lésion par la pointe de l'aiguille en forme de lance ; s
horizontales de l'hémisphère gauche du cerveau du chien. , X. Les lésions provoquées par l'instrument. 10. Corpus callosu
raison pour qu'elle ne se voie pas aussitôt après l'apparition de la lésion ou au bout de quelques jours, et pour qu'on ne
l1'and-Fa1'del, etc., sou- tiennent que la contracture signifie une lésion de la convexité ou des ven- tricules par un épa
icules par un épanchement liquide. Nous ne disons pas qu'une de ces lésions ne puisse pas produire de la contracture, surtout
ardive, il ne suffit pas d'ex- pliquer un phénomène en énonçant une lésion anatomique ; el puis, comme dit Hitzig, il y a
NTRACTURE 27 1 que nous devons retenir c'est la découverte de cette lésion (dégénéres- cence du faisceau pyramidal) et cel
, Luys (1), Cornil l et Charcot (2) attribuaient la contracture aux lésions des nerfs qu'ils cons- talaient dans les membre
toutes ces maladies qui s'accompagnent de contracture, on voit une lésion de dégénérescence des faisceaux pyramidaux. On
t expliqué, quand survinrent les cas de paraplégie spasmodique sans lésions dégénératives des faisceaux pyramidaux de Babin
la moelle cervico-dorsnle avec phénomènes de paraplégie flasque et lésions dégénératives du tissu pyramidal de Bastion, Br
e la contracture s'établisse primitivement ou comme conséquence des lésions autres que celles des cordons latéraux. Il en r
Mais si ces mouvements volontaires sont perdus chez l'homme par une lésion du cerveau, nous voyons qu'il existe encore des m
st parce que l'hémiplégie chez eux est la conséquence sur- tout des lésions des ganglions centraux, qui sont pour lui les cen
CONTRACTURE 33 idiots, paralysés ou non, aussi bien dans les cas de lésion de l'écorce du cerveau que dans ceux des lésion
ien dans les cas de lésion de l'écorce du cerveau que dans ceux des lésions des ganglions de la base. Katz (1) a fait les m
résence des mouvements associés chez des personnes non atteintes de lésions du faisceau pyramidal, était la preuve la plus
c les physiologistes, on concluait que chez l'homme dans les cas de lésion transversale complète de la moelle, dans la rég
natomique de M. van Gehuchten ? Si un jour l'hémorragie produit une lésion plus forte sur les fibres cap- sulaires corresp
érieures et le cerveau inhibe ces excitations, et s'il survient une lésion qui empêche l'influence du cerveau, alors le ce
TOIRE DE M. LE PROft'E ? J'SEUR BARD. 10 MONOPLÉGIE CRURALE . PAR LÉSION DU LOBULE PARA CENTRAL · 2° LÉSION ÉTENDUE DE L
10 MONOPLÉGIE CRURALE . PAR LÉSION DU LOBULE PARA CENTRAL · 2° LÉSION ÉTENDUE DE LA RÉGION ROLANDIQUE, D'ORIGINE INTR
estructions partielles de la zone motrice du cerveau. Dans l'une la lésion s'est produite à un âge avancé, dans l'autre elle
des anomalies intéressantes des dégénérescences consécutives à ces lésions secondaires cérébrales. Observation I Résumé
jambe gauche. Autopsie. Le diagnostic posé, pendant la vie, de lésion de la région rolandique supérieure, est confirm
et la partie postérieure de la circonvolution Fi (PI. IV, B). Cette lésion respecte la forme générale de la région paracentr
partie postérieure de Ti. L'hémisphère gauche est indemne de toute lésion , superficielle ou pro- fonde. Examen histolog
ux, est débité en coupes vertico-transversales. Il ne contient pas de lésions primitives et la méthode de Weigert-Pal n'y mon
'examen des coupes sériées en étudiant séparément la localisation des lésions et les dégénérescences secondaires. , A. Loca
lésions et les dégénérescences secondaires. , A. Localisation des lésions . En se reportant à la planche IV, B, on voit qu
lutions Fa et Pa se sont fusionnées dans le lobule paracentral, les lésions destructives gardent la même répartition géné-
uneus (PrC) qui apparaît derrière le lobule paracentral n'a que des lésions de faible importance. ° On remarqué d'autre par
rtance. ° On remarqué d'autre part sur cette coupe (fig. 2) que les lésions de nécrose restent superficielles. et ne s'éten
moyenne des circonvolutions Fa et Pa reste indemne ; les 40 LONG lésions de la face interne n'ont même pas pénétré assez p
nts du membre supé- rieur. En suivant sur la série des coupes les lésions de la région paracentrale, en voit qu'elles se
limites. Dans le reste de l'hémisphère on ne relève que deux autres lésions primi- tives, qui ne peuvent, de par leur situa
nces secondaires. Les dégénérescences secondaires consécutives à la lésion de la région paracentrale portent : 1° sur les
strations précises. Dans le cas particulier elle montre comment une lésion de la région du lobule paracentral peut détermi
on a même nié son existence et émis récemment l'hy- pothèse qu'une lésion quelconque, même partielle, des voies motrices
s'observe rarement, l'explication du fait est la sui- vante : Une lésion corticale de la région rotandiquesnpérieure,en s'
ur et inférieur ; la face peut même participer à l'hémiplégie si la lésion atteint l'écorce de l'opercule rolan- dique ou
rolan- dique ou les fibres de projection qui en partent. Quant aux lésions sous- corticales, elles produisent encore plus
loi : « La production globale des hérnisyndromes céré- braux par la lésion d'une portion seulement de la zone qui leur donne
la sensibilité (Th. de Paris, 1899). Dans trois d'entre eux, avec des lésions partiel- les des voies motrices descendantes, l
d'une monoplégie brachiale. Mais dans'tous ces cas il s'agissait de lésions récentes et nous ne pouvons en tirer de conclusio
re- miers en date, y ont insisté que pendant plusieurs semaines les lésions cérébrales ajoutent aux symptômes de déficit de
pour la monoplégie crurale. On voit en effet sur la figure 2 qu'une lésion de la région du lobule paracen- tral n'a pas be
oignée du pied de la couronne rayonnante,peut être détruite par une lésion de dimensions plus considérables sans compro- m
tre faite à propos de cette observa- tion c'est la prédominance des lésions sur la circonvolution Fa,la circon- volution Pa
central (Hitzig, Grun- baum et Sherrington,Horsley, etc.). Mais les lésions de nécrose par isché- mie, qui sont cependant l
ution Pa ne peut être considérée comme indemne et, d'autre part, la lésion de Fa se continue en avant sur la première fron-
elevant d'une nécrose du lobule paracen- tral avec prédominance des lésions dans la frontale ascendante et la par- tie adja
tout leur trajet les dégénérescences secondaires consécutives à la lésion de la région rolandique supérieure : bien visible
ires, mais d'un défaut de sclérose de remplacement. Dans les cas de lésions cérébrales infantiles avec longue survie, il est
re du FPyC, on ne peut tirer aucune déduction de l'importance de la lésion qui lui a donné naissance; car il n'est pas pos
iplégie. Pas d'état spasmodique. Epilepsie. Mort à l'âge de 47 ans. Lésion porencéphalique très étendue de la face externe
L'hémisphère droit du cerveau présente sur sa face externe une vaste lésion . En repérant les circonvolutions qui restentonv
de configuration normale. L'hémisphère gauche est indemne de toute lésion superficielle ou profonde. Examen HISTOLOGIQUE.
que qui se prolonge jusqu'à 3 centimètres environ du pôle frontal. La lésion a détruit dans cette région le bord inférieur d
ne se prolonge pas jus- que dans ce segment et on n'y trouve comme lésion primitive qu'une nécrose superficielle et peu é
ons séparément sur les coupes de ce segment : la localisa- tion des lésions et les dégénérescences et atrophies secondaires.
t les dégénérescences et atrophies secondaires. A. Localisation des lésions . Les coupes horizontales passant par la partie
e externe, détruits également dans les régions sus-jacentes. . La lésion destructive a limité ses dégâts à l'écorce cérébr
es divers éléments de la région sous-optique sont indemnes de toute lésion primitive, la déformation de l'hémisphère a produ
cerveau rend à cette anamnèse toute sa valeur; il s'agit bien d'une lésion cérébrale précoce. En relevant sur la face exte
les provenant du tronc de la sylvienne, ne sont pas compris dans la lésion . On peut donc conclure qu'un processus infectie
que des phénomènes de suppléance ont pu, grâce à la précocité de la lésion cérébrale, s'exercer dans une large proportion.
sont commandés par les deux hémisphères à la fois et qu'il faut des lésions cérébrales bilatérales pour produire leur pa- r
érébral. Il semble et c'est I;i plus qu'une simple hypothèse que la lésion céré- brale a été assez précoce pour permettre
du sixième mois de la vie intra-utérine, et on peut admettre que la lésion du manteau cérébral s'est produite à cette époq
MONOPLEGIE CRURALE ET PORENCËPHAHE CONGENITALE raz c'est que les lésions consécutives à ces processus sont en général trop
t donc intéressante. Chez le pre- mier, un vieillard de 74 ans, une lésion cérébrale peu étendue laisse une paralysie perm
de suppléance sont nuls à peu de chose près. Dans le second cas une lésion très étendue de la zone motrice du cerveau n'a
ible, puis se flétrit et laisse place à une ulcération torpide ; la lésion cutanée n'est pas précédée desyncope locale ni
La cause de cette gangrène est une artérite ohlité,"mte chronique, lésion d'étiologie inconnue. gangrène symétrique DES e
l'ulcération se cicatrise au bout de trois mois. Ce fut la dernière lésion à la main droite. Vers la même époque, le pouls
étit est conservé, l'examen minutieux des viscères ne décèle aucune lésion ; on ne trouve dans les urines ni sucre ni albu
. ? 1 ? GANGRÈNE SYMETRIQUE OES EXTREMITES 59 Les douleurs et les lésions sont actuellement localisées à la main gauche, le
ié, on le croirait mort et pour- tant il continue de croître. Cette lésion qui n'est douloureuse qu'à la pression date de
ités, sauf hyperesthésie dès que l'on approche de l'ulcération. Les lésions et douleurs datent de neuf mois. Annulaire. L'e
es sensibilités sauf hyperesthésie au niveau de l'ul- cération. Ces lésions datent de cinq mois. - ' 60 RAYMOND ET GOUGEROT
rs Le moignon droit ne présente rien de particulier, ni douleur, ni lésion cutanée. Le pied gauche semble guéri depuis 1902.
main droite, la main gauche . L'appa- rition et la disparition des lésions sur un doigt ou un orteil échappent à toute règ
amuscules nerveux des doigts et des orteils. Cette simultanéité des lésions des nerfs et des vaisseaux a été signalée dans
ire est hypothétique, non démontrée et improbable. Les causes des lésions artérielles restent obscures. Dans les antécéde
trer que notre enquête a cherché à être complète. L'étiologie des lésions vasculaires restant donc inconnue, mieux vaut ne
osclérose, ne nous échappent-elles pas le plus souvent ? ' ! Par sa lésion anatomique (l'artérite chronique cette gangrène s
et Vaillard (2), deBrenues sont dus à des névrites associées à des lésions artérielles contemporaines ou antérieures, ils di
cas de maux perforants plantaires et dans quelques autres formes de lésions trophiques des pieds. Archives de Physiologie n
vier 1908) NÉVRITE SENSITIVE ET TROPHIQUE A LA SUITE D'UN ZONA. LÉSIONS TROPHIQUES DES OS DE LA MAIN A TYPE DE RHUMATIS
ontraire il existe une transparence très marquée des divers os, les lésions étant le plus prononcées au niveau des phalanges
eau d'orange ; elle est curieuse à rapprocher de la description des lésions observées par Long. Mentionnons, pour terminer,
esseur J. V. HULTKRANTZ (d'Upsal, Suède). Nos connaissances sur les lésions ou anomalies du système osseux dans la dysostos
ommunication spéciale. Enfin, les artères cérébrales présentent des lésions très nettes et très nom- breuses d'athéromasie.
LQUIER Le mal de Pott sarcomateux est bien plus rare que les autres lésions destructives de la colonne vertébrale ; sur les
me de la compression médullaire qu'il détermine, la comparaison des lésions avec celles observées dans le mal de Pott tuber
mais sans pigmentation. Dans la substance blanche, on constate les lésions de « l'eedéme » du tissu nerveux : dilatation des
nueux des cylindraxes, épaissis- sement diffus de la névroglie. Ces lésions se retrouvent, atténuées, au- dessus et au-dess
scuté, dans la tuberculose, le rôle des toxines, dans la genèse des lésions médullaires. En comparant la moelle de notre ma
ression. Le rôle des toxines du bacille de Kocb, dans la genèse des lésions ner- veuses du mal de Pott tuberculeux n'est pa
acines sacrées droi- tes ou syndrome de l'hémi-queue. de cheval par lésion syphilitique unilaté- rale, probablement méning
les Ires racines sacrées et les 2 dernières lombaires, on voit des lésions plus récentes. Les coupes supérieures, traitées
et Lm n'ont-elles qu'une raréfaction de leurs fibres nerveuses. Les lésions des racines ressortent de la description du syphi
à droite et prédominant sur les racines sensitives. La moelle a des lésions dégénératives de deux ordres. Le 12e segment do
males. La partie moyenne du renflement lombaire, au Pal, montre des lésions un peu différentes, selon que l'on considère le
t que la topographie radicu- laire des troubles est la même, que la lésion porte sur la racine ou sur la moelle. Aussi ce
ts qui in- clinent le diagnostic. Ici j'avais pensé d'abord à une lésion médullaire à cause du peu de dou- leurs éprouvé
roubles, et c'est cette unilaléralité qui m'avait fait admettre une lésion méningée de la queue de cheval. Cependant sa
il y avait le début brusque et l'atrophie rapide, dénotant plus une lésion directe des cornes antérieures que seu- lement
dégénérations ascendantes des cordons postérieurs, consécutives aux lésions des racines postérieures. ' Le dessin net de la
mais il est très petit, plus petit que lorsqu'il est figuré par une lésion . Ceci s'explique facilement. L'aire d'un faisceau
eu d'autres faisceaux sains, soit par son intégrité au milieu d'une lésion massive. Comme les limites ne sont pas aussi st
V. D'ailleurs, sans admettre depuis^ l'examen cette extension de la lésion qui paraît'tout à fait probable, on trouverait
ngton. A gauche l'abolition du réflexe rotulien me parait tenir aux lésions des 3e et 4.0 racines lombaires. On voit, en ef
itué dans ces segments lombaires. Les troubles des sphincters, sans lésions médullaires de leur centre, tiennent certainement
peuvent pendant l'évolution d'une affection tuberculeuse, subir des lésions indépendantes de toute modification de la moell
s des autres maladies infectieuses. En outre ils établirent que les lésions du système nerveux périphérique se développent
nerveux périphérique se développent sur place indépendamment d'une lésion préexistante du cer- veau et delà moelle épiniè
le. Le système nerveux, central et périphérique, ne présente aucune lésion macroscopique. A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRI
sie infantile cantonnée exactement au territoire du nerf radial par lésion isolée des centres médullaires correspondants ; m
se, tandis que dans tous les autres cas de paralysie de Landry avec lésions névriti- ques tuberculeuses (cas de Nauwerck et
t Vaillard furent les premiers auteurs qui entreprirent l'étude des lésions des nerfs périphéri- ques se développant au cou
erches ana- tomo-pathotogiques et expérimentales, on prouva que les lésions des nerfs périphériques ne doivent pas être rap
méconnaître la très grande valeur étiologique de l'alcool dans les lésions des nerfs périphériques et les très probables e
un argument d'une cer- taine valeur à l'appui de l'existence d'une lésion réelle du réseau fibrillaire intracellulaire.
le tissu de soutien et le canal central étaient indem- nes de toute lésion appréciable. On peut seulement noter que certains
a bibliographie médicale qui touche aux rapports existant entre les lésions médullaires et l'infection tuberculeuse, on tro
certains de ces cas qu'ils ont appliqué la mé- thode de Marchi. Les lésions médullaires delà polynévrite tuberculeuse ont é
hiemich, Nonne, Kahlden, Ransohoff, Becker. Summa (1896) trouva des lésions dégénératives légères et diffuses dans A PROPOS
trouva lui aussi une dégénération légère et diffuse de la moelle avec lésion plus intense des zones radiculaires postérieure
xtramédullaire des racines était intacte. Cet auteur attribue à ces lésions une origine toxique el non ca- chectique. Pet
ntenant ce qu'on trouve dans la bibliographie médicale au sujet des lésions médullaires dans la polynévrite tuberculeuse et c
aux latéraux et dans le faisceau de Flechsig. Ils considérèrent ces lésions centrales comme une xxi 10 142 G. CATOLA di
n mémoire sur la polynévrite tuberculeuse ne mentionne pas d'autres lésions de la moelle en dehors de quelque altération mé
sieurs cas de ce genre. Dans 8 cas sur 13 ils trouvèrent, à côté de lésions anciennes, des altérations réagissant nettement
e Flechsig, prenaient parfois part au même pro- cessus. Une fois la lésion était localisée à la virgule de Schultze. Dans
llules segmentaires. Après la description que nous avons donnée des lésions des nerfs péri- phériques il nous semble que da
présence d'une modification chimique de la myélineet bien loin des lésions caractéristiques de la dégénérescence secon- da
important dans notre observation, c'est que ces deux catégories de lésions se trouvent séparées par un trait, le trait rad
es les plus délicates ne sont pas arrivées à mettre en évidence une lésion anatomique d'une entité quelconque. L'explication
s, car, dans le cas actuel, ainsi que nous l'avons déjà relevé, les lésions des nerfs périphériques étaient également intense
tralistes) et ceux qui admettent l'existence autonome de cette même lésion (périphéristes). Or, les constatationsanatomo-pat
- sible d'une névrite autochtone ou primaire, indépendante de toute lésion du A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQ
extrêmement grave de la fonctionnalité cellulaire, c'est-à-dire une lésion profonde des centres trophiques médullaires, un
onsidérées comme définitivement perdues. Dans cette valu- tation de lésions cellulaires nous ne voulons pas attribuer trop de
e qui constitue, comme on le sait, un des principaux caractères des lésions cellulaires secondaires aux alté- rations de le
'il s'est produit, la cellule était toujours capable de régir à une lésion de son neu- rone, ce qui plaiderait encore d'av
une façon péremptoire la discontinuité entre les deux catégorie des lésions . Avant d'achever ce travail nous voulons encore
medica, vol. 2°, 1900. 68. Auum. - Périnévrile en relation avec des lésions de tuberculose pulmonaire. So- ciété de Neurolo
ils existent, et ils existent toujours chez les gens atteints d'une lésion spasmodique. L'un se produit percutant l'apophy
gonflement est bilatéral il est difficile de comprendre comment une lésion qui réalise l'obstruction des veines ou des lym
entaient était d'origine mixte. Il ne me paraît pas douteux que les lésions d'ostéite jouent ici un rôle important dans l'h
ixte de cette hypertrophie, sans chercher d'ailleurs à localiser la lésion du système nerveux qui l'occasionne. (1) CHARCO
ire est un peu moins profondément atteinte que celle des idiots par lésions cérébrales macroscopiques. Dans certains cas le m
elon l'hypothèse de Brissaud, la thyroïde serait seule touchée sans lésion des , para-thyroïdes. L'observation de J. Chali
'ablation de la thyroïde chez les animaux, comme son agénésie ou sa lésion chez l'homme, les rend tristes, apathiques, len
nes autres que la thyroïde interviennent pour modifier le type. Les lésions ou l'insuffi- sance des autres glandes font des
s expériences semblables, Delitala a montré le peu d'importance des lésions hépatiques, mais la constance des lésions rénal
é le peu d'importance des lésions hépatiques, mais la constance des lésions rénales. Si déjà, chez les animaux, l'expérim
thyroïdien. Soc. méd. des hôp., 1894. - et LAMKEL-LAVASTixM. Des lésions corticales dans les psychoses d'origine toxique.
souffrant d'une hémiplégie ordinaire sous la dépendance de quelque lésion organique du cerveau, vous vous apercevez qu'en
s », pour ce qui regarde le diagnostic différentiel avec les vraies lésions des articulations, remarque que : « La valeur d
e la convergence. Les réactions pupillaires sont normales. Pas de lésions du fond d'oeil. Le retour des fonctions des mem
tal. Par contre le noyau de l'hypoglosse fut respecté. Peut-être la lésion ne serait-elle pas uniquement centrale. Le neuron
d'une cellulo-névrite. Quelle que soit la localisation exacte de la lésion , l'origine infectieuse de l'affection paraît év
elle succombe. Autopsie. L'examen des viscères ne décèle que des lésions banales de broncho- pneumonie. , Système nerv
25 gr.) ne présente à l'oeil nu rien de remar- quable en dehors des lésions de méningite déjà signalées. C'est l'hémi- sphè
néisation du noyau avec atro- phie. D'après IYIAIiINESCO (1), cette lésion présente deux phases : « celle (1) Marinesco, l
par des fibrilles plus fines per- pendiculaires ou obliques. Les lésions cellulaires sont tout à fait du même type qu'à dr
iminuées de nombre. Nous inclinerions volontiers à admettre que les lésions de chromatolyse,devacuolisation, d'homogénéisat
ieurs. Si elle n'apporte pas de faits nouveaux à la description des lésions de spondy- lose rhizomélique, elle vient les co
trouve son plus solide appui. .Rappelons d'abord les caractères des lésions vertébrales décrites par Marie et Leri. Dans un
et dans laquelle il nous a fait connaître pour la première fois les lésions des parties molles. En ce qui concerne la colon
vait : 1° Une ankylose fibreuse de la racine des mem- bres ; 2° des lésions thoraciques péri-viscérite, aplasie aortique ; 3°
ne : aplasie ovulaire, alté- ration des follicules de Malpighi, des lésions du corps thyroïde, du pan- créas, des glandes s
corps tout entier comme s'il était d'un seul morceau de bois. Les lésions articulaires sont très accentuées : les genoux et
e. Les deux poumons sont infiltrés de granulations tuberculeuses. Lésions vertébrales. - Dans son ensemble la colonne verté
véritable étui osseux. La colonne cervicale présente le maximum de lésions , en ce qui concerne les corps vertébraux, le tass
élique, bien mis en évidence par Pierre Marie et Léri. En résumé. Lésion généralisée à toute la colonne vertébrale et ca-
Marie et Dabrowitch et étu- diée ensuite par P. Marie et Léri, les lésions sont ici localisées dans une ÉTUDE D'UNE COLONN
de ruptures ligamen- teuses résultant du traumatisme. La principale lésion était l'ossification du ligament vertébral comm
n prévenu aurait quelque peine, au premier aspect, à distinguer ces lésions : Cette absence d'exubérance du processus d'oss
ntré dans une autopsie une dégénérescence du cordon postérieur, des lésions disséminées des cordons antéro-latéraux ; les c
issie. L'inflammation des méninges avait été le point de départ des lésions rachi- diennes et médullaires. Cette particip
e tabétique. Babinski admet qu'il s'agit non de tabes vrai, mais de lésions des racines postérieures, produites par l'infla
l'une comme dans l'autre affection on n'a décrit jusqu'ici que des lésions limitées des racines et de la moelle ; ces lésion
usqu'ici que des lésions limitées des racines et de la moelle ; ces lésions paraissent rester sous la dépendance des altéra
abolition des réflexes. Quels sont les rapports de ce tabes avec la lésion vertébrale ? Notre ma- lade a contracté la syph
e de son tabes. Il serait difficile d'affirmer que, de son côté, la lésion vertébrale a été absolument étrangère à la produc
ulièrement placées et avec érosions multiples de l'émail, mais sans lésions caractéris- tiques. Les cheveux sont longs, abo
tiples érosions et le bord inférieur des incisives est crénelé. Les lésions très accentuées ne sont cependant pas nettement
pour la syphilis héréditaire. Le palais est du type ogival. Aucune lésion ni des yeux ni des oreilles. La glande thyroïde e
estations articulaires pas très accentuées il présentait une double lésion valvulaire dont nous ne pûmes établir sûrement l'
x cas des symptômes oculaires qui sont souvent caractéristiques des lésions de l'hypophyse. Dans la bibliographie nous trou
rie chez des malades qui auparavant n'avaient donné aucun indice de lésion du rein. Ces faits et d'autres encore me donnen
'hypophyse seraient secondaires et qui donne beaucoup de valeur aux lésions de la thy- roïde,je vais citer un cas que j'ai
du tissu cellulaire sous-cutané, sont causées exclusivement par la lésion de la thyroïde. Je me demande seulement, vu que
L'auteur en lire la conclusion que l'acromégalie ne vient pas d'une lésion primitive de l'hypophyse, mais qu'elle est une af
ous voyons que dans plusieurs cas d'acroméga 1 ie on a constaté des lésions du sang ; il serait bon de les étudier avec suite
non seulement des altérations dans les tissus mous, mais encore des lésions osseuses, comme nous l'avons déjà dit en parlan
s, correspondant à la période grave où il existait des symptômes de lésions infra-crâniennes, avec céphalées très fortes, l
ution d'azote uréique a, selon toute probabilité, sa cause dans des lésions hépatiques, peut-être en partie primitives et en
fiée dans tous les cas de l'indican est en relation autant avec des lésions hépatiques qu'avec une augmentation des putréfa
vis de Labbé et Witry (1) qui ne reconnaissent aucune influence aux lésions hépatiques et à l'activité des bactéries proéol
e, nombre élevé d'éthers sulfuriques) sont sûrement en faveur d'une lésion hépatique et d'une augmentation des processus de
e ici avec cette cause inconnue qui, dans l'acromégalie, produit la lésion des os,qu'elle soit de nature toxique comme je
e la sécrétion pancréatique. Du reste, étant donnée la fréquence de lésions des diverses glandes à sécrétion interne ou ext
du diabète dans l'acromégalie, je serais enclin à ad- mettre que la lésion du pancréas, qu'on constate du reste souvent à la
'elles ne s'affectent pas au même temps, l'échange variera selon la lésion de l'une ou de l'autre glande. 3° Les altérat
lles sont ouvertes; mais dès qu'elles se ferment, il se produit une lésion des nerfs optiques et de la cécité qui débute d
Centrablatt f. Augenheilkunden, 1883, VU, 1885, p. 25. (2) PATRY, Lésions oculaires dans les malformations crâniennes. Th.
y distingue au cours de la déformation crânienne plusieurs types de lésions oculaires. 1° Tout d'abord la névrite optique s
ans. 2° Un type d'atrophie optique secondaire, diagnostiqué par la lésion papillaire. ' 3° Des signes oculaires accesso
rgent, il est vrai, trouve une explication dans l'amblyopie due aux lésions propres de l'oeil (choroïdite, kératite). Che
nce (Bourneville) (4), l'autre à 28 ans (Weber) (5). Du reste les lésions optiques ne sont pas obligatoires et nous apporto
topographiquement, au point de vue du crâne et de l'encéphale, les lésions des nerfs optiques, des nerfs olfactifs et les dé
t de noter qu'à l'extension maximum du néoplasme- correspondent des lésions analogues, quoique moins denses et moins éten-
coupes sériées seul a réussi à démontrer la grande exten- sion des lésions ; l'aspect macroscopique ne les eût pas fait soup
e la destruction des fibres traversant la région de l'insula et des lésions générales de l'hémisphère gauche, qui ont été d
lques ramifications vers l'extrémité inférieure du claustrum. Cette lésion de l'insula à droite a pu contribuer à aggraver l
e où siège la gomme est altéré dans de très fortes proportions. Ces lésions ne sont donc pas tout simplement des effets de
est de nature en faire douter beaucoup. M. Redlich a recherché les lésions diffuses de l'écorce dans quelques cas de tumeu
t cette manière de voir ; mais faut- il reléguer au second plan les lésions grossières, encore plus diffuses quoique moins
cliniques analogues. Pour les expliquer on ne saurait invoquer des lésions du genre de celles décrites plus haut : ces der
perpétuer biologiquement, même lorsque la cause a disparu et que la lésion organique est guérie. En conséquence, des affec-
at de névrose, des affections organiques après la guérison de leurs lésions , aussi bien que la tendance à la perpétuation d
tigations les plus minutieuses n'aient jamais fait découvrir aucune lésion , même dans les manifestations névrosiques les mie
ns ses symptômes purement psychiques, et de ces états extrêmes à la lésion commençante jusqu'aux changements pathologiques
er eaux pense que cette forme d'infantilisme est déterminée par des lésions secondaires de la glande thyroïde, tandis que F
. Byrom-BI'a1n1Cell a publié un cas d'infantilisme pancréatique par lésion congénitale du pancréas, et 1l101'lat a étudié
nier, I)e- faucamber[je; Cornil, Apert ont démontré la fréquence de lésions thyroï- diennes de nature infectieuse, ou toxiq
Garnier ont observé chez les infantiles hérédo-syphili- tiques des lésions très variées de]a thyroïde : faits nodulaires,néc
ns quelques cas du goitre. Selon Roger il s'agirait dans ces cas de lésions parasyphililiques qui pourraient expliquer les
pert trouva à la nécropsie de deux cas d'infantilisme de Lorain des lésions notables et diffuses de la thyroïde, tandis qu'il
notables et diffuses de la thyroïde, tandis qu'il n'observa que des lésions beaucoup moins apparentes chez un sujet qui-cepen
uels la pathogénie doit être considérée comme indépendante de toute lésion primitive et préva- CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L
ine hypothyroïdienne, on trouva au contraire à la nécropsie que les lésions les plus évidentes intéressaient la glande inte
différemment les cas de cette catégorie et les croit causés par une lésion primitive des glandes séminales ; il cite un cas
son école combien il faut être prudent dans l'interprétation de ces lésions dentaires. Nous savons que l'infantilisme est s
utes les grandes et petites articulations,mais .encore par d'autres lésions non moins importantes. Chez les trois sujets en
causes qui peuvent également être' invoquées avec autant de raison ( lésions primitives des glandes sexuelles); l'action de
causes ne peut pas être mieux prouvée dans l'espèce que celle d'une lésion thyroïdienne exclusive. Il nous suffira à ce suje
de développement général, mais même si cet arrêt est ' amené par la lésion d'une ou de plusieurs glandes il sécrétion intern
e il faut toujours admettre qu'une infection, une intoxication, une lésion quelconque acquise ou héréditaire ait produit c
ion, une lésion quelconque acquise ou héréditaire ait produit cette lésion . Nous avons vu en effet que l'infantilisme de L
t toutes les données de l'anamnèse parlent contre l'existence d'une lésion congénitale valvulaire cardiaque et nous n'avon
hypothèse). Nous n'avons pu savoir exactement à quel âge la double lésion valvulaire actuelle a débuté chez notre patient
polysérosite juvénile dans la détermination de l'infantilisme ; les lésions du foie à travers l'altération des séreuses ser
D'autres auteurs (Lereboullet, Ilayem) ont attribué de même à des lésions hépatiques la détermination de l'infantilisme.
pparue en effet quand l'infantilisme était déjà bien déclaré et les lésions du foie, cliniquement décelables, sont minimes.
lques carac- tères somatiques qui pourraient nous fairesupposer une lésion prévalenle des testicules. Nous avons donc ét
nique ne permet plus de reconnaître la part de responsabilité de la lésion thyroïdienne secondaire, mais il ne s'ensuit pas
croyons pas autorisé, par aucun fait bien démontré, à admettre une lésion prévalentedirecte et primitive du corps thyroïde,
nérale en somme, soit par soi-même un indice suffisant et sûr d'une lésion thyroïdienne ; le cas de polysarcie publié par Ro
comme des caractères eunuchoïdes et les attribuent t surtout à une lésion testiculaire primitive. , Nous avons vu que ces
romégalie a été attribuée par la plus grande part des auteurs à une lésion de l'hypophyse, et à des lésions tout à fait anal
plus grande part des auteurs à une lésion de l'hypophyse, et à des lésions tout à fait analogues on a voulu ratta- cher au
omo-cliniques ont montré dans des cas appartenant à cette série des lésions légères ou même l'intégrité de la glande pituit
D'ailleurs Launois et Roy, Bassoe, P. Marie, etc., ont observé des lésions trophoglandulaires multiples dans des cas de gi
ue le même syndrome infantilisme a été attribué non seulement à des lésions du corps thyroïde et du thymus, mais aussi à de
ment à des lésions du corps thyroïde et du thymus, mais aussi à des lésions de l'hypophyse et des glandes séminales. L'expéri
ki, Cardile et Fioretlini, Pomfick ont trouvé dans le myxoedème des lésions de l'hypophyse en dehors de celles du corps thyro
nnée. Mais des faits tout à fait analogues ont été démontrés par la lésion expérimentale de la thyroïde : Gley, Ho/naeiter
développement mental chez les myxoedémateux serait secondaire à des lésions parathyroïdiennes (myxoedème para thyroïdien de B
a décrit un infantilisme pancréatique, et 11'ezasser croit que les lésions hépatiques dans la polysérosite juvénile peuvent
e aussi en faveur de cette théorie ; dans ce cas d'infantilisme les, lésions les plus graves intéressaient la glande diasthé
r les différentes formes d'infantilisme toujours et seulement à des lésions du corps thyroïde; Hertoghe a voulu attribuer à
s myxoedémateux frustes, tels qu'ils sont décrits par Hertoghe, une lésion constante et exclusive ou au moins primitive de
glandulaires qui ont été observées soient toujours dépendantes des lésions thyroïdiennes,surtout quand nous savons que tou
e des in- fantilismes dystrophiques et des infantilismes liés à une lésion des glan- des à sécrétion interne, un troisième
pte pas la théorie de Erdheim pour qui l'adiposité dépendrait de la lésion d'un centre cérébral de la base. Schuller pense q
et nous sommes d'accord avec lui pour donner beaucoup de valeur anx lésions des glandes séminales. Il nous semble au contra
ces différentes formes cliniques soient toutes dépendan- tes d'une lésion primitive et prévalente des glandes sexuelles, pe
de l'infantilisme, qu'elle soit primitive ou secondaire à une autre lésion glandulaire. Les preuves que M. Halmagrand nous
c'est-à-dire que les infantilismes ne peu- vent s'expliquer par la lésion de la seule glande thyroïde, mais qu'il faut ad
réflexes, doit au contraire être discutée à fond. Tout symptôme de lésion en foyer faisant défaut, nous devons naturel- l
oindre symptôme en foyer se manifeste ou surtout sans qu'on ait une lésion quelconque de la motilité ou de la sensibilité.
tas universalis, se déterminant plus ou moins rapidement; les mêmes lésions peuvent aussi donner des altérations diffuses d
crâne, l'amé- norrhée précéder de dix ans tout autre symptôme : la lésion des nerfs opti- ques parut seulement plus tard.
r de l'hypophyse : Hueter a trouvé à la nécroscopie d'une naine des lésions tuberculeuses de l'hypophyse. Cette série de
es. ' Selon Nazari son observation, par l'évidente multiplicité des lésions des glandes à sécrétion interne,prouve la vérit
e; à l'examen histologique il se montra tout à fait t normal. Les lésions du testicule étaient au contraire très profondes
nc dans ce cas la première à incriminer. Nous avons donc vu que des lésions de nature différente de l'hypophyse peuvent se
L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 457 démonstrative, car la lésion de l'hypophyse n'était pas unique; dans le cas
des testicules ne nous permettent ab- solumentpas d'affirmer que la lésion de l'hypophyse ait été la cause déter- minante
eut en dire autant de l'observation de Vigouroitx et Delnaccs où la lésion testiculaire était pré- valente. Voilà donc q
ns plus tard, et il nous est très difficile d'admettre qu'une telle lésion hypophysaire soit restée latente pendant un tem
x cas de Nazàri, de Vigoecroux et Delmas dans lesquels peut-être la lésion testiculaire était primitive et en réfléchissant
satrice de l'hypophyse, on pourrait supposer que dans notre cas une lésion primitive atrophique des glandes sexuelles ait pr
au contraire une simple hypertrophie glandulaire compensatrice des lésions éventuelles d'autres glandes à sécré- tion inte
feri. Speri- mentale, 1903. MARFAN et P. Guinon. Infantilisme par lésion accidentelle du corps thyroïde. Revue mensuelle
cédentes, l'enfant mourut le 31 août. A l'autopsie, on constata des lésions de paralysie générale et de tabes sur lesquelle
ale ; peut-être est-ce à ce fait que nous devons de n'avoir que des lésions de tabes incipiens. Par contre le tabes ne semb
viscères, hors le foyer de gangrène pulmonaire, on ne trouve aucune lésion notable. L'examen de la calotte crânienne une mon
u à notre disposi- tion de ganglion rachidien pour y rechercher les lésions décrites par M. Nageotte à l'aide des imprégnat
s et des veinules sont infiltrées de petites cellules rondes. Les lésions des cellules nerveuses sont très nettes,et parles
rée de cellules rondes. Le cervelet ne nous a pas paru présenter de lésion importante. A la moelle les coupes traitées par
l co moment la réaction, la composition, la flore microbienne de la lésion : je n'ai pu déceler la moindre trace'a'acide o
ant le jour et pendant la nuit. Je n'ai pas essayé de reproduire la lésion par suggestion directe, je n'ai pas donné d'ord
e des étudiants, que j'avais des soupçons sur la spontanéité de ces lésions et que je prenais mes précautions. Un soir la m
ous les traitements, et j'étais tellement frappé par l'identité des lésions que j'ai relaté mon observation dans le traité
glions correspondants. M. Oudin avait aussi remarqué l'identité des lésions de la .rôntgenodermite avec les moulages (n° 19
ulages (n° 1945 et n° 1963) reproduisant, au musée de St-Louis, les lésions de la gan- grène hystérique. Le dénouement de
die (main gauche, pied droit), on peut seulement observer que si la lésion était provoquée par la malade, il ne s'agissait
tainement d'un phénomène de mythomanie, car elle n'avait montré ses lésions ni au médecin du pays, ni à sa mère, ni à moi q
onie..le dois seulement à ma curiosité médicale la découverte de la lésion . En tout cas, la simulation n'a pas été possibl
bas blanc qui depuis le matin recouvrait l'endroit où il y avait la lésion , pas les signes tangibles d'une brûlure avec un
bjet métallique chauffé au rouge, qui physiologiquement produit des lésions de l'épiderme d'autre nature. Dans ces circonsl
-r- rant n'est pas douteuse non plus. Le mal perforant produit une- lésion 488 VALOBRA . qui en général est sans douleur
la jambe, plaques qui présentaient une analogie frappante avec les lésions observées chez la jeune fille hystérique. En ré
lois de la pathologie, il faudrait pour cela : a) Démontrer que la lésion de la peau ne dépend d'aucune autre maladie. Ce
nclusion peut se résumer dans les mots suivants de Charcot : « La lésion anatomique de l'hystérie échappe encore à nos moy
troubles trophiques analogues à ceux qui se voient dans le cas des lésions organiques du système nerveux central ou des ne
rie. La discussion et le doute commencent lorsqu'on affirme que les lésions CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES GANGRÈNES CUTANEES S
omène se produire en sa présence. Chez la malade de IL 1,Vende, les lésions gangreneuses apparurent sous un large et épais
- cope),tandis que les tissus sous-épidermiques présentent déjà des lésions profondes.Puisque les hystériques n'ont pas à l
des substan- ces qui,sans avoir une réaction chimiquespéciale,sans lésion superficielle de l'épiderme, puissentproduireun
pendant cinq ans consécutifs et qui à l'autopsie ne présenta aucune lésion du système vaso-moteur ou du sys- tème nerveux
autre manière. On constata le même phénomène lorsque plus tard les lésions se produisirent à la ré- gion parotidienne où l
ffirait pas pour la démonstration de la spontanéité possible de ces lésions chez les sujets hystériques ? La même malade a
onjonctive. Hintner chez son hystérique a vu se produire de petites lésions gahgré- neuses sur la peau, sur le conduit audi
e doute beaucoup qu'elle puisse se pratiquer artificielle- ment une lésion limitée de la membrane du tympan qui est douée de
de la sensibilité la plus exquise à la douleur. S'il s'agit d'une lésion banale, provoquée artificiellement, comment exp
ale, provoquée artificiellement, comment expliquerions-nous que ces lésions aient une tendance si frappante à la chronicité
es hypertrophiques qu'on observe presque toujours à la suite de ces lésions . » Mais j'observe avant tout que chez ces malad
substance qui aurait la propriété spéciale de produire toujours la lésion avec les mêmes caractères étranges, et qui abou
. M. 1,Vende se propose de faire apparaître chez son hystérique les lésions gangreneuses sur un point déterminé de la peau
ours d'une brû- lure par le feu, ou bien par un acide caustique. La lésion initiale très douloureuse et l'émotion du traum
r le psychisme malade du sujet qui reproduit par auto-suggestion la lésion primitive sur les autres endroits du tégument.
roscopique des tissus nécrosés ; on n'a trouvé rien d'autre que les lésions banales de la nécrose des tissus qui ne sont pas
voquée par la suggestion volontaire du médecin. » b) Est-ce que les lésions de la gangrène cutanée peuvent guérir sous l'in
équence d'une altération fonctionnelle, mais elle est désormais une lésion anatomique et elle ne peut guérir qu'à la suile d
ésiques. Ce sont précisément les carac- tères qui appartiennent aux lésions cutanées provoquées par l'application de certai
étrique, rectangulaire, ne me semble guère cadrer avec l'idée d'une lésion d'origine interne ; elle me donne tout à fait l'i
ilement aux documentations primordiales, notamment en précisant les lésions de la pneumonie et de la broncho-pneumonie. Sou
ilisme du type Lorain (5 pl.),297,421. Long. Monoplégie crurale par lésion du lobule paracentral. Lésion étendue de la r
7,421. Long. Monoplégie crurale par lésion du lobule paracentral. Lésion étendue de la région rolandique d'origine intra
415. Rose. Névrite sensitive et trophique il la suite 'd'un zona. Lésions trophiques des os de la main à type de rhumatis
psychose maniaque dépressive (4 pl.), par Boschi, 75. Hémiplégie ( Lésion étendue de la région rolandique d'origine intra
par IIenry Meige, 510. Lobule paracentral(Monoplégie crurale par lésion du -) (1 pl.), par Long, 37. Mains et pieds à d
ue (2 Pl.), par Haushalter et COLLIN, 264. Monoplégie crurale par lésion du lobule paracentral (1 pl.), par Long. 31.
Llv, 249. Névrite sensitive et 17-opltique à la suite d'un zona. Lésions trophiques à type de rhu- mutisme chronique (2
hétéro- gène, par Klippel et Pierre WEIL, 270. Région rolandique ( Lésion étendue de la- 1 d'origine intra-utérine sans h
kylosant vertébral et tabes, par ODDO, 278. Rhumatisme chronique ( Lésions trophiques à type de - à la suite d'un zona) (2
ODDO, 278. Zona (Névrite sensitive el trophique à la suite d'un-, Lésions ti ophiques à type de rhumatisme chronique) (2
IILI)¡), XLV. Joffroy (Henry Meige), LXXII. Lobule paracentral, lésion (Long), 1 \" Mains par Holbein (CROUZOX), XXXV1
z un enfant (BOUa\EV1LLE, Kindberg el BICIIE1'), LXX. Trophiques ( Lésions ) à la suite d'un zona (Rose), VU et VIII. Tro
38 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
folie au traumatisme, de la considérer comme un effet éloigné de la lésion crânienne, comme le dernier chaînon d'une trame
en effet de séparer de l'effet physique, de l'ébran- lement, de la lésion d'organes produite par ces causes, l'émotion, l
plus loin, à propos de la folie épileptique qui succède à certaines lésions crâniennes, « pour cette catégorie de faits, di
ion morale déterminée par l'accident plutôt que symptomatique de la lésion crânienne elle-même. » Il n'y a donc pas lieu d
évident qu'il y a deux hypothèses à faire : 1° la folie est due aux lésions traumatiques du cerveau, qui ont également déterm
ndre par d'excellentes raisons. Pour moi, j'incrimine avant tout la lésion du cerveau. 8 PATHOLOGIE MENTALE. dès la prem
mem- branes, Paris, 1826, p. 409). Calmeil également signale ces lésions traumatiques chaque fois qu'il les rencontre da
: « Je ne mets pas en doute qu'un certain nombre d'affections et de lésions cérébrales ne soient l'origine de la paralysie
ion de corps étrangers dans la cavité crânienne, etc., toutes ces lésions peuvent exister. Elles sont du domaine de la ch
pour déterminer une mort brusque, alors même qu'il n'existe pas de lésion extérieure. Si le blessé ne suc- combe pas, il
leur point de départ dans la réaction inflammatoire excitée par les lésions produites au sein des centres nerveux par la vi
phale du Dict. de Jaccoud) dé- finit la commotion cérébrale : « Une lésion de fonction qui résulte de l'ébranlement du cer
plus ou moins abondante. Bryant fait remarquer aussi que souvent la lésion se produit par contre- coup dans un point oppos
uves anatomiques et les preuves cliniques. Preuves anatomiques. a). Lésions constatées il l'autopsie. Elles sont extrêmemen
, 26 PATHOLOGIE MENTALE. faits, assez nombreux, où jai trouvé ces lésions à l'au- topsie ; et, dans mes observations actu
ccupe^peuvent avoir pour cause un trau- matisme du crâne. b). Les lésions externes, visibles pendant la vie, sont. fréque
antérieure du crâne, qui risquent le plus de laisser après eux ces lésions graves. Bien plus souvent, on ne rencontre que
catrice, externe est profonde, plus il est probable qu'il y a une lésion correspondante intra-cranienne. Cependant ce n'
la face interne. Je ne découvris d'ailleurs dans le cerveau aucune lésion localisée qui pût être attribuée au choc extéri
a avait constaté au point de vue expérimental, non seulement qu'une lésion inté- ressant les faisceaux qui, du pulvinar de
rieures », détermine toujours la cécité de l'oeil opposé, et, si la lésion est bilatérale, la cécité com- plète, « sans qu
lamus du même côté étaient atrophiés. Bref, Panizza savait qu'une lésion unilatérale d'une partie de la substance cérébr
cation du gyrus angulaire et du lobe occipi- tal des singes, qu'une lésion unilatérale du centre de la vision détermine, n
hien provoquait une amaurose presque complète de l'oeil opposé à la lésion et une légère amblyopie de l'oeil du côté corre
endre à toute la con- vexité de l'écorce chez le chien, puisque les lésions destructives des lobes temporaux et frontaux on
utefois, si l'on y regarde de plus près, on constate que, parmi ces lésions , les unes dif- fèrent des autres quant au degré
occipitaux et pariétaux sont permanents. En outre, alors que les lésions peu étendues des lobes frontaux ou tem- poraux
t ne donner lieu à aucune altération appréciable de la vision , les lésions , même limi- tées, des lobes pariéto-occipitaux,
suels, transitoires, il est vrai, mais constants, consé- cutifs aux lésions destructives des lobes frontaux et temporo-sphé
ulaire, à la réaction inflammatoire du lobe occipital, surtout à la lésion des faisceaux optiques qui, des ganglions d'origi
ortes de cécité décrites par Munk, en tant qu'elles résultent d'une lésion de l'écorce, sont, comme le dit Stenger, des «
ut temps on a noté la rencontre d'altérations de la vision avec des lésions des hémisphères céré- braux. Mais le vague et l
l'inexactitude des indications relatives au siège anatomique de ces lésions rendent, on le sait, les anciennes observations
i et Tamburini recueillirent, trente-quatre étaien t relatifs à des lésions de la vue, trois à des lésions de la vue et de
rente-quatre étaien t relatifs à des lésions de la vue, trois à des lésions de la vue et de l'audition. Tout d'abord, ils f
équence des altérations fonctionnelles bilaté- rales avec une seule lésion en foyer de l'écorce, ce qui était conforme aux
tait conforme aux résultats de leurs recherches expérimentales. Les lésions étaient localisées dans les lobes pariétal, occ
n des phénomènes ; 3° par la possibilité des suppléances quand la lésion a évolué lentement, suppléances dues soit aux r
l, qui, vers cette époque, indi- quaient nettement l'importance des lésions des régions occipitales dans la production des
u manicome de Macerata, publiait un mémoire remar- quable sur les lésions de la circonvolution pariétale inférieure (lobu
rale homonyme dans lesquels on trouve, comme caractères commun, une lésion du lobe occipital : dans cinq cas même, la lési
tères commun, une lésion du lobe occipital : dans cinq cas même, la lésion est exclu- sivement limitée à ce lobe. Dès que
ndice de compression des bandelettes optiques ou du chiasma, aucune lésion des tubercules quadrijumeaux ni des corps genou
e, force est bien d'établir une relation entre l'hémiauopsie et les lésions du lobe occipital, que le processus se limite à
le fois (dans un cas de Westphal), et il existait en même temps une lésion du lobe occi- pital. , , - Les conclusions qu
vision mentale. L'hémianopsie bilatérale homonyme, consécutive à la lésion d'u lobe LES FONCTIONS DU CERVEAU. SI occipit
s bilatéraux, d'intensité iné- gale, mais réels, déterminés par une lésion unila- térale des centres nerveux. L'esprit c
des troubles unilatéraux et croisés de la vision .consécutifs à une lésion de l'hémisphère opposé ! En outre, dans deux ca
regard des cas d'hémianopsie bila- térale homonyme consécutifs à la lésion d'un seul lobe occipital. Elles ont été faites
rieure. « Les hallucinations sont aux centres sensoriels et à leurs lésions ce que l'épilepsie est aux centres moteurs » (p
établissaient-elles le même rapport entre les hallucinations et les lésions de la zone sensorielle de l'écorce ? Il ne fall
t survient quand les hallucinations sont dans toute leur force, les lésions irritatives de l'hallucina- tion ne laissent pa
hallucina- tion ne laissent pas plus de trace appréciable que les lésions irritatives de l'épilepsie corticale. On ne les a
e recherchées d'ailleurs; c'est toute une étude à faire. Les cas de lésion destructive du lobe occipital ont souvent été p
a Westphal, à Gowers, à Monakow, où existaient, à l'autopsie des lésions du lobe occipital. Tamburini et Riva, dans un r
, fort importante : de même que le diagnostic topogra- phique des lésions motrices de l'écorce, soit irritatives, soit de
l devient possible également de délimiter la région cérébrale des lésions , soit irritatives, soit destructives, des diver
s, centres sensoriels, centres d'idéa- tion.-Naturellement, plus la lésion initiale sera pé- riphérique, plus les hallucin
eux oreilles, mais plus accusée sur l'oreille du côté opposé à la lésion . Puis cette différence dans la sensibilité de l'o
u moins semblait disparaître, quelques jours après l'opération. Une lésion destructive sem- blable sur la région homonyme
i n'a pu trouver une observation clinique décisive de surdité par lésion corticale du lobe temporal. Ce qu'il a surtout
ensation élémentaire des sons ou des bruits demeurant intacte. La lésion amnésique porterait essentiellement sur les'cen
a pu rassembler des cas plus nombreux de surdité verbale, situe la lésion de cette affection dans le lobe temporal gauche
obe occipital. Quoique considérée généralement comme un symptôme de lésion en foyer, soit de l'écorce, soit des faisceaux
lconque du cerveau : il peut exister alors une surdité verbale sans lésion appré- ciable des Tl et T2 gauches. Quant au
lésion appré- ciable des Tl et T2 gauches. Quant au mécanisme des lésions qui produisent la surdité verbale, Seppilli rap
vienne aux r3, FA, PA et Tl. On comprend ainsi pourquoi, dans les lésions destructives résultant d'un foyer de ramollisse
de ceux qui voient dans la surdité verbale, lion un symptôme d'une lésion en foyer, mais un symptôme d'affaiblissement in
s des images acoustiques des mots, on conçoit que, dans le cas de lésions destructives des T' et T2, la perte de ces images
omisa patologica délia paralisi progressiva, etc.)0)it constaté des lésions du lobe temporal, de la T, eu particulier, dans
e l'ouïe. Dans un cas d'liallll- cination unilatérale de l'ouïe, la lésion était limitée a la TI du côté opposé. , 2 Le
A l'autopsie, les médecins s'appliquent d'ordinaire à constater les lésions de l'oreille interne, les malforma- tions de l'
sensibilité générale qui, selon Ferrier, seraient consécutives aux lésions de la région hippocampale, Fasola non plus que
'on réfléchit que dans l'hémianesthésie (sensitivo-sensorielle) par lésion de la capsule interne, l'affaiblissement ou la
rne des hémisphères) et l'insuffisance des moyens de diagnostic des lésions du goût chez l'animal, en sont, suivant Luciani
qu'il est possible d'admettre que dans ces cas il se produit une lésion de la moelle, et que cette lésion a dû être une
ue dans ces cas il se produit une lésion de la moelle, et que cette lésion a dû être une hémorrhagie. Suivant le siège et
olies gazeuses; c'est ce qui me fait penser que les troubles et les lésions qui caractérisent la décompression brusque tien
éclatent lors de la dé- compression brusque doit être rapportée aux lésions déterminées par les bulles gazeuses arrêtées da
s; pas de strabisme; iris brun, pupilles égales; cils longs, pas de lésions oculaires. Régions malaires symétriques, cepend
usieurs dans sa leçon : z10 un oedème des membres inférieurs sans lésion orificielle du coeur à la suite de la 17e séance
fections des sys- tèmes cardio-vasculaire et nerveux ; 3° certaines lésions locales. 1 The Lancet, juin 1889, p, 119. ? 1'c
res par les courroies, des congestions, l'apoplexie cérébrale ; les lésions valvulaires du coeur, la sclérose du myocarde p
iani. Leurs observations corroborent les assertions de Munie que la lésion des lobes occipitaux produit l'liémiauopsieï.Af
causes d'une ma- ladie, on la connaît mieux que si l'on voyait des lésions qui sont souvent secondaires. Il se rattache au
presque complètement conservé leur motilité et leur sensibilité. La lésion consistait en une fraction de la pre- mière lom
nsibilité. Diagnostic encore impossible. 1 ' M. 1h'sTexar.. D'une lésion anatomique des muscles des yeux dans l'ophthalm
ES DE NEUROLOGIE ANATOMIE PATHOLOGIQUE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE DANS LES EN
e-préparateur d'histologie à la Faculté de médecine. L'histoire des lésions chroniques de l'encéphale a été très longue à é
es, que nous apportons au- jourd'hui. · Nous ne parlerons que des lésions de l'enfance, et Archives, L. XVIII. 12 2 178
t Marie, Pozzi, Richardière. Nous nous sommes en effet attachés aux lésions qui laissent en place les circonvolutions, et s
sence de petits kystes à leur surface et dans leur épaisseur. Ces lésions se traduisent cliniquement par l'idiotie, le gâ
our deux raisons; la pre- mière et la plus importante c'est que les lésions étant absolument diffuses, comme dans les démen
ns ces cas nous envisagerons, sans nous occuper de topographie, les lésions de l'écorce grise seulement; celles du moins qu
effet, sans repères précis, il est impossible de reconnaître une lésion diffuse même étendue; et, ces repères, il les f
celles de L. Edinger entre autres. Nous n'avons pu rechercher cette lésion qui pourtant existe presque à coup sûr dans les
e étagée pour nous. Mais ce n'est pas assez pour la topographie des lésions ; et il faut pouvoir donner ces cinq nappes supe
sens ver- tical. Il sera donc presque aussi aisé de préciser une lésion diffuse et vague, caractérisée seulement par un
rtons sont relatives à des idiots de quatre ou sept ans; avec les lésions de méningo-ellcéphalite plus ou moins pro- nonc
kystes celluleux avec épanchements sanguins chez un idiot; car ces lésions peuvent servir à établir une transition entre l
, nous signalons ce fait en passant, parce qu'il est comparable aux lésions expérimentale des poumons déterminées par Traub
érimentale des poumons déterminées par Traube, Schiff, etc., par la lésion du bulbe et des pédoncules cérébraux, et parce
rmanni ont signalé la même broncho-pneu- monie, coexistant avec des lésions du pneumogastrique chez les paralytiques généra
somme, les cinq couches de la substance grise ne présentent pas des lésions nettes; la substance blanche offre des lésions
e présentent pas des lésions nettes; la substance blanche offre des lésions de désintégration. Sur le milieu de cette premi
ses qui rayonnent dans la substance grise. Du côté de celle-ci, les lésions sont les mêmes pour les cinq couches; la vascul
llules intersti- tielles. L'hippocampe du côté gauche a les mômes lésions que la pre- mière frontale. Il existe des foyer
s les observations qui précèdent, il y a des exemples de toutes ces lésions , et il n'est pas néces- saire d'insister sur le
sance par un boulet qui lui rasa la tête, d'ail- leurs, sans aucune lésion apparente. Il reprit son ser- vice, mais souffr
à une époque éloignée; la chute n'avait été qu'un des effets de la lésion cérébrale. Féré a raconté l'histoire d'un ouvri
spécial, il n'en existe pas. La raison en est simple : à côté de la lésion di- recte, mécanique en quelque sorte, qui résu
manquerait pas de me citer des exemples nombreux où l'on a vu les lésions les plus insignifiantes en apparence suivies d'
patron, au constructeur. Si, après l'accident, il s'est produit des lésions secondaires durables, permanentes ; si, par exe
. Cet auteur suppose le point de départ de cette maladie dans une lésion du système nerveux central. Goodhart publia l'o
ois agents à la base de cette souffrance : une profonde anémie, une lésion cutanée et sous-cutanée et une altération menta
ut de prouver l'existence d'un lien intime entre le myxoedème et la lésion de la glande thyroïde; et que la cachexie était
e cela, pour confirmer le lien génésique entre le myxoedème et la lésion de la glande thyroïde, les auteurs s'adressent à
imitive, on peut se demander si elle doit être considérée comme une lésion descendante émanant, des centres cérébraux avec
culaire pro- gressive où l'on voit se développer, parallèlement aux lésions des cellules multipolaires des cornes antérieur
ue les ganglions hémisphériques n'ont pas été intéressés, et que la lésion centrale avait probablement son siège dans la c
et, beaucoup parmi les maladies mentales ne s'accompagnent pas de lésions matérielles dont la constatation puisse venir éta
a jamais rencontré, quoi qu'on en ait dit, de concordance entre les lésions cérébrales et la forme du délire observé pendant
des moulages et des photographies de cerveaux de microcéphales. Les lésions qui produisent la microcéphalie sont très variabl
une relation entre les diverses formes de syphilis cérébrale et les lésions de la périencéphalite chro- nique. Cliniquement
ur les effets du traitement, puisque dans les deux cas il s'agit de lésions destructives probablement irréparables. La stat
e puni, pas plus que lorsque l'alcoolisme chronique a produit des lésions cérébrales définitives. Dans la discussion qui su
'excitabilité électrique, paralysie de l'orbiculaire des paupières ( lésions du facial) et blépharoptose. Intégrité de la la
ette hypothèse, des plus acceptables, ses signes dépendraient de la lésion de cette région déterminée des centres nerveux
égion déterminée des centres nerveux quelle que soit du reste cette lésion : ischémie, inflammation adhérence, néoplasme e
ond. Or, la méningo-encéphalite diffuse par la répartition même des lésions qui lui sont propres, satisfait évidemment à ce
é qu'une quinzaine de minutes. Le 31 juillet, je ne constate aucune lésion oculaire. Les pupilles, en particulier, sont ég
générale, tient à la localisation spéciale qu'affectent alors les lésions ordinairement diffuses de la méningo- encéphali
que nous ne saurions dé- DE LA SUBSTANCE GRISE. 333 terminer, les lésions propres à la paralysie générale viennent à occu
ngo-encéphalite. ANATOMIE PATHOLOGIQUE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LÉSIONS IIISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE DANS LES E
encore, et l'atrophie des élé- ments nerveux portée très loin. Ces lésions sont générales et dif- fuses. Il n'y a nulle pa
ré l'atrophie plus marquée du côté gauche du corps, il n'y a pas de lésions en foyers à droite, ceci n'est pas rare dans les
lables. D'ailleurs les deux hémisphères étaient égaux en poids. Les lésions assez légères d'ailleurs observées du côté des
rise. (Bourneville et Pilliet, Soc. anat., 1886.) Disons un mot des lésions de la névroglie, pour n'avoir plus à y revenir,
gnaler. DE LA SUBSTANCE GRISE. 335 Le rôle des vaisseaux dans ces lésions déjà anciennes paraît peu considérable. Nous ve
s idiots plus jeunes qu'il n'en est pas toujours ainsi et que les lésions sont plus marquées toujours autour des capil- l
e des grosses cellules, on observe vu la grosseur des éléments, des lésions plus nettes. Les cellules sont diminuées de nom
n peut observer sur les coupes. Sur une coupe du lobe pariétal, les lésions sont absolument du même ordre, mais plus avancé
s cellules pyramidales moyennes que l'on retrouve l'évolution des lésions cellulaires telles que nous venons de l'indiquer.
cellules de Purkinje, sont admirablement conservées. En résumé, les lésions paraissent plus marquées sur les régions postér
paraissent plus marquées sur les régions postérieures de l'hémis- LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 337 I phère et se compos
méninges (Bourneville et Baumgarten, Soc. anatomique, 1888). Les lésions , dans ce cas, étaient bien celles de la méningo
aisse de la substance grise avait été enlevée avec la pie-mère. Les lésions de l'écorce étaient pourtant fort semblables à
seulement idiot, mais épileptique, ce qui s'accorde encore avec une lésion active, en pleine évolution, déterminant une ir
., mort à huit ans; à l'autopsie, induration des hémisphères; les lésions étant semblables, l'examen n'a porté que sur le c
des qu'on voit sur la coupe d'un zeste de citron ou d'orange, quand LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 3391 on pratique une sec
û à la macération de la pièce dans l'alcool' empêche qu'on juge des lésions qu'elle peut présenter, même sur les pièces dég
moelle que e dans les racines coupées avec elle. Ainsi, avec des lésions étendues de la convexité des hémisphères, nous
vons une moelle relative- ment saine; donc on peut supposer que les lésions diffuses, si avancées parfois, que l'on trouve
ne sont consécutives qu'à l'alté- ration lente de l'encéphale. Les lésions de la convexité sont ici très marquées, l'idiot
use de l'idiotie. Nous ne dis- cuterons point ici la pathogénie des lésions , mais le 340 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. nombre de
s corps granuleux. Dans le lobe paracentral gauche, on constate des lésions exac- tement semblables. L'hippocampe gauche
blables. L'hippocampe gauche a été examiné aussi; il présente des lésions beaucoup moins avancées que la convexité; les sér
oupes latéraux de la corne antérieure. Le ENCÉPHALITES CHRONIQUES : LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 341 groupe antérieur de
de celte corne ainsi que la colonne de Clarhe sont conservés. Cette lésion est symétrique. La partie du faisceau latéral c
arations à l'acide os- mique. Nous trouvons donc toujours la même lésion de l'écorce se produisant toujours au même poin
l'écorce se produisant toujours au même point; de plus, ici, les lésions de la moelle existent, portant sur les cellules
portant sur les cellules nerveuses elles-mêmes, avec très peu de lésions de la conductibilité. Les symptômes d'idiotie c
onductibilité. Les symptômes d'idiotie complète concordent avec les lésions diffuses de la convexité, comme dans nos autres
ratif de cerveaux de nouveau-nés nous a été utile pour préciser les lésions , à cause de l'âge peu avancé du sujet; de même
és Je long des vaisseaux dans la partie profonde de l'écorce. Les LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE.- 33 3 espaces péri-vascu
es. Les coupes au niveau du lobule paracentral montrent les mêmes lésions plus avancées, les foyers de désintégration forme
e après coloration au picro-carmin et montage au baume présente des lésions diffuses très mar- quées dans la substance blan
ique, nous les retrouvons, coïncidant il est vrai, avec les mêmes lésions d'atrophie et d'état chagriné à l'oeil nu. L'at
gique siège entre la première et la troisième couche de l'écorce, LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE.. 345 en général , qu'il
profonde à la suite d'accès répétés, jusqu'à soixante par jour. Les lésions que présente ce dément, fort jeune il est vrai,
des trois premières couches et présente à ce niveau trois ordres de lésions qui se succèdent irré- gulièrement sur les coup
mieux comprendre qu'une description le siège et l'aspect de cette lésion . Dans le cervelet, les éléments de Purkinje son
issement de la circonvolution et l'état chagriné de la surface. Ces lésions sont à leur maximum au sommet de la circonvolut
atteint d'atrophie cérébrale, mais cette atrophie n'était point la LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 347 grande sclérose loba
due à l'action de l'alcool sur les pièces. Ici, rien de pareil, la lésion est évidente et comme elle est encore petite no
û au retrait qu'a subi la pièce dans l'alcool. Sur des points où la lésion est plus avancée, il existe autour de ce réseau
illes conjonctives en plus ou moins grande épaisseur; plus loin, la lésion est plus avan- cée encore. Ces fibrilles conjon
sent au point de former un tissu aréolaire visible à l'oeil nu. Ces lésions expliquent l'état chagriné qui résulte de l'effon
atre heures dans ce réactif. Lobe occipital droit en dehors de la lésion . Vaisseaux nombreux, vascularisés, à cavité lar
er. Cervelet droit. Cellules de Purkinje assez nombreuses. Couche LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 349 externe et couche de
u quatrième ventricule, au-dessous des olives, montrent d'abord des lésions péri-vasculaires très marquées, surtout du côté
us, un certain nombre de tubes nerveux persistent. En résumé, les lésions du bulbe et de la moelle sont consécu- tives, a
sont consécu- tives, ainsi que celles de la couronne de Reil. Les lésions de l'écorce sont surtout marquées au niveau de la
t atrophie des cellules nerveuses ; 3° formation des cavités. Ces lésions forment aussi à la surface des hémisphères un cer
'après tout ce que nous avons regardé jusqu'ici. Résulte-t-elle des lésions que nous venons de passer en revue ? Est-elle l
que nous venons de passer en revue ? Est-elle le pre- mier degré de lésions plus étendues, telle que la sclé- i Bourneville
leptiques aliénés âgés, ayant tous deux dépassé la quarantaine. Les lésions se rapprochent beaucoup chez ces épilep- tiques
autres formes de démence. C'est, en effet, un aboutissant commun de lésions différentes. Mais on retrouve un certain nombre
âgé. Coupe d'une des circonvolutions frontales du côté gauche. Les lésions des premières couches de l'écorce sont comparab
l'écorce sont comparables, mais beaucoup moins avancées. Au lieu LÉSIONS DE LA SUBSTANCE CRISE. 351 de former une bande
Examen HITOLOG1QUE.- L'hémisphère droit n'a pas été examiné, les lésions étant d'apparence semblable des deux côtés. Les c
sphériques très peu abondants, s'amincit aux points extrêmes de la lésion et disparaît dans la couche superfi- cielle de
la surface libre. Autour de ce foyer, il ENCÉPHALITES CHRONIQUES : LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 3Õ3 existe un certain no
our de la plupart d'entre eux; ils morcellent la substance grise. Lésions de la substance blanche. Dans la substance blanch
tuées par les mêmes tissus fibrillaires que dans la précédente; les lésions de la substance grise au pourtour du foyer sont
t fortement colorés. Dans la substance blanche, on voit les mêmes lésions que dans les préparations précédentes; les vaisse
étendu que celui que nous avons décrit sur le frontal, montrent des lésions absolument semblables, mais la traînée des- cen
it affaire à de véritables foyers hémorrhagiques en ce point. Les lésions d'encéphalite au voisinage présentent les mêmes
plus volumineux sont entourés d'une paroi fibrillaire nette. Mêmes lésions que plus haut dans la substance grise. Cervelet
cs est notable- ment épaissie, le nombre des tubes diminué, mais la lésion est la même sur tous les cordons. Il n'y a pas
nt dilatés. Moelle dorsale. - L'aspect est le même de tout point. LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 3bo- Moelle lombaires Le
t point. LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 3bo- Moelle lombaires Les lésions sont les mêmes, la tuméfaction des cellules et
écédent. Ils étaient seulement plus profonds et plus accentués. Les lésions histologiques différaient en un point de celles
, ont été exa- minés sur des coupes et ne présentaient pas d'autres lésions que leur état légalement atrophique, semblable
ue nous ne puissions indiquer les relations réciproques de ces deux lésions . CONCLUSIONS. On voit que les lésions qui ont é
tions réciproques de ces deux lésions. CONCLUSIONS. On voit que les lésions qui ont été décrites dans les observations qui
ultipliés, opacifiée, puis fibrillaire, puis enfin vacuolée, et ces lésions se présentent sous la forme de points, puis de
cellules, l'abondance des corps granuleux, mais non le reste. Les lésions diffuses que nous avons pu voir dans la moelle,
sa- tion. Ne pouvant rien dire de précis sur la pathogénie de ces lésions , nous avons préféré n'en pas parler. Par suite
grise, enfin les fibres descendantes de la substance blanche de- LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 337 1 vaient nous échapp
de façon à débrouiller l'histoire naturelle de la production des lésions , il s'ensuit que nous n'avons pu les rattacher,
'Lépine. - Archives de physiologie, p. 439, 1869. .Herbert Mayor. - Lésions histologiques de la substance grise, chez démen
Paris, 1885. Marie. - Sclérose infantile. Progrès médical, 1885. LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 389 Obersteiuer. - Voies
net que les paralysies motrices qui succè- dent à l'ablation et aux lésions destructives des mêmes aires corticales ; mais
fique des localisations ait rencontré, lorsqu'il écrit qu'après une lésion pro- fonde, bilatérale, du cerveau antérieur, «
le et du mouvement, ou de la sensibilité générale seule, dans les lésions destructives des circonvolutions centrales et p
i 88 cas de troubles de la sensibilité générale observés dans les lésions corticales de la zone motrice. C'est cette zone
es de la sensibilité générale et de la motilité volontaire dans les lésions des centres moteurs du cerveau '. Aujourd'hui
ore, non plus que Charcot, qu'on puisse dire sans réserve que les lésions des parties de l'écorce qui déterminent des par
malades qui présentaient des accès épileptiformes symptomatiques de lésions cérébrales, la sensibilité avait été altérée ou a
par exemple, avec le centre moteur cortical de l'hy- poglosse. Une lésion de la circonvolution de Broca peut produire une
e aphasie motrice sans paralysie de l'hypoglosse; d'autre part, une lésion du territoire cortical de l'hypoglosse peut dét
se peut déterminer une paralysie pure de l'hypoglosse. De même, une lésion du lobe pariétal pourrait produire une ataxie p
n d'autres termes, les phéno- mènes d'ordre moteur, consécutifs aux lésions destruc- tives, soit expérimentales, soit patho
e des centres moteurs, et l'on a attribué l'hémiplégie typique à la lésion de ces ganglions. On sait aujourd'hui que les p
que ces paralysies rétrocèdent, ce qui n'est pas le cas lorsqu'une lésion destructive intéresse la capsule interne elle-m
uis- sent ses doigts et ses mains. Les paralysies produites par les lésions de ces centres moteurs seraient proportionnelle
s de ces centres moteurs seraient proportionnelles iL l'étendue des lésions .- Des centres moteurs encéphaliques, 1877, 1. 1
(distinct du faisceau pyramidal), et s'atrophie secondairement aux lésions destructives de la zone motrice. Il en résulte-
e muscles, sans paralysie ni anesthésie véritables, consécutifs aux lésions destructives du noyau caudé, sont tout à fait d
ême nature que les altérations de la motilité qui suivent les mêmes lésions de la zone motrice corticale. Si l'animal survi
isme opératoire, tous ces troubles d'inner- vation motrice, dus aux lésions du noyau caudé, fini- raient par s'amender, com
- que la physiologie expéri- mentale constate aujourd'hui dans les lésions du noyau caudé. Tous les phénomènes traditionne
ure de la colonne vertébrale, etc. étaient certainement dus à des lésions qui avaient intéressé en même temps la capsule
es faits très nets de thermogénèse, d'hyperthermie, qui suivent les lésions du corps strié, faits bien démontrés depuis les
empérature, comme dans les expériences : le siège circonscrit de la lésion , aussi limitée que Nothnagel et Charcot l'aurai
0 8a't depuis les pre- mières recherches de Hitzig (1874), dans les lésions superficielles de l'écorce de la zone motrice '
séquent à intervenir, peut- être cette hyperthermie consécutive aux lésions du corps strié pourrait-elle être invoquée comm
température of the Iwo sides of the body as symplomalic of cérébral lésions . -1'le Brit. med. Journ. 1889. - . LES FONCTIO
motrice, non ataxique ni sensitive, des phénomènes consécutifs aux lésions destructives de la zone excitable du cerveau, à
axique de ces dé- sordres moteurs et supposent, avec Schiff, qu'une lésion de la sensibilité tactile peut suffire à les ex
es moteurs- (alors considérés comme tels par Hitzig) dérivent de- lésions de la sensibilité, et sont bornés à cette sphère-
a perdu dans les mem- bres, le tronc ou la face du côté opposé à la lésion , cérébrale, ce n'est pas l'énergie des mouvemen
ui le porte. Il mâche bien des deux côtés sa nourriture (avec une lésion unilatérale du cerveau), et la force des muscles
tication est très grande. Si on lui offre un os du côté opposé à la lésion , il le prend dans sa gueule et le brise avec se
de cette anesthésie de la peau et des mu- queuses, consécutive aux lésions destructives des centres dits moteurs, Schiff r
ie, le sens musculaire, lui avaient parudiminuéducôté opposé à la lésion , alors qu'aucun muscle de l'animal n'était para
g sur la nature de ces troubles, puisqu'il constate à la fois des lésions de la sensibilité tactile et du sens muscu- lai
ssables. Si Hitzig a découvert les troubles moteurs consécutifs aux lésions de la zone excitable, Schiff nous a révélé ceux
quer ces désordres de la motilité qui succèdent aux plus minimes lésions de l'écorce cérébrale ? 2 Schiff a rencontré de
Horsley, la perte des réactions motrices de l'écorce est due à une lésion 'des faisceaux latéraux des pyramides; d'après
ubles de la motilité et de la sensibilité générale, consécutifs aux lésions destructives des régions motrices de l'écorce,
e (telle que Goltz et Luciani l'ont quelquefois observée dans des lésions destructives de la zone excitable) avec ¡ une p
2;;2. * 404 -il PHYSIOLOGIE. tionnels varie avec l'étendue de ces lésions . Si toute la zone motrice des membres est détru
de 'préférence, aux parties du corps correspondant au : siège de la lésion centrale, ou s'étendeut-ils unifor- mément à to
ructions partielles de l'écorce, on échouera. Cette extension des lésions fonctionnelles du mouvement et de la sensibi- l
f mois après l'opération, contrairement à ce qu'on observe quand la lésion n'intéresse que l'écorce cérébrale. Puisqu'il
ns de la motilité volontaire, se sont montrés du côté opposé à la lésion cérébrale, non du côté correspondant. Les fibre
u de Tùrck, a d'ailleurs été trouvé lésé chez les chiens, après des lésions destruc- tives de la zone motrice, par Bianchi
bilatéralité des désordres moteurs chez le chien, consécutifs à une lésion unilatérale de la zone exci- table ; la paralys
; la paralysie était naturellement plus intense du côté opposé à la lésion . Ces résultats expérimentaux concordent avec le
en effet, les troubles de la motilité volontaire, qui succèdent aux lésions de la zone motrice ou des faisceaux pyramidaux
de scléroses bilatérales de la moelle épinière, consécutives à des lésions uuilatérales du cerveau, qui servent de fondeme
centre ovale a lieu au bout d'un certain temps (96", heure après la lésion destructive de l'écorce) à pou près exactement
'une façon sensiblement plus marquée dans le lobe frontal; et celte lésion , joinle aux adhé- rences cérébro-ménlnriées, ap
ningi tique, qui reconnais- saient à leur tour pour cause une grave lésion cranio-cérébrale avec perte de substance. Ce pr
e, comme siège unique ou principal, les lobes fronto-pariétaux. Les lésions , con- sistant surtout en adhérences, occupaient
int de vue de l'histo- logie pathologique, une transition entre les lésions les plus carac- téristiques de la paralysie gén
où ce type respiratoire avait été constaté, Tizzoni a trouvé des lésions ascendantes d'inflammation chronique le long des
longitudinal du calamus. Dans un autre cas (d'origne urémique), des lésions analogues furent rencontrées dans le segment su
t. LV). L'intérêt de cette observation réside dans ce fait qu'une lésion limitée à la surface convexe des hémisphères cé
uire des symptômes oculaires ressemblant à ceux qu'occasionnent les lésions de la base. L'auteur se déclare du reste incapa
observés pendant la vie étaient donc exlactement supperposables aux lésions constatées à l'autopsie. G. D. REVUE DE THÉRAPE
a colonne sanguine avait diminué de diamètre sans qu'on observât de lésions proprement dites, tantôt le rétrécissement (dan
i- niennes ; ces ectasies oblongues, ne s'accompagnaient d'aucune lésion de la paroi vasculaire, tantôt elles transformaie
avorable que les monoplégies, les hémiplégies, les paraplégies, les lésions diffuses et mixtes, géué- ralement incurables o
. Séance du 1er Mai 1888 1. M. L. Bruns (de Hanovre). De quelques lésions rares du tronc du cerveau (avec présentation de
mes généraux de la tumeur ont permis de reconnaître la nature de la lésion . 11 faut noter que celle altération isolée, non.
e fonctionnement du coeur, il n'en est pas moins surprenant que ces lésions ne se soient pendant la vie traduites ni par des
génie. Quelles sont les relations de l'affection psychique avec les lésions cardiaques ? 11 ne saurait être question ici d'
n, 303 ; (développement du man- teau au), par hthnger, 119 ; - ( lésions rares du tronc du), par Bruns, 454. Cheveux (
tique, par Richet. 284. ' Encéphalites chroniques de l'enfance ( lésions histologiques des), par Pilliet, 177,333. Epi
9. Oculaires (mouvements), par Da- nillo, 445. Uphthalmoplégie ( lésions anatonn- ques des muscles des yeux dan, I par
39 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Dans ce cas-ci le lien entre la phobie du regard d'au- trui et la lésion dans la fonction sexuelle est tout à fait évide
quantité de gros muscles entrant en jeu, son exagération indique la lésion du neu- rone central ; sa diminution ou son abs
ésion du neu- rone central ; sa diminution ou son absence trahit la lésion du neurone périphérique. Mais il faut encore le
OGIQUES. 43 VU). La pseudomélie paresthésique symptomatique d'une lésion de la portion cervicale de la moelle et du segm
r P. A. OsTANKOw. - Pseu- domélie paresthésique symptomatique d'une lésion du noyau lenticulaire, par W. M. BECHTEREW. (&l
lésé ; ce symptôme n'apparaît d'après l'auteur russe que lorsque la lésion anatomi- quedela moelle occupe un étage aussi é
x. C'est, pour M. Bechterevv, à l'anesthésie du sens musculaire par lésion rigoureu- sement limitée du noyau lenticulaire
Mener. (Centralblatt f..Yèrüenheilh. XXVI. X. F. XIV. 190.3) Les lésions mécaniques involontaires des nerfs posl-mortem, a
tionnel. La branche motrice du trijumeau n'étant pas paralysée la lésion doit être bulbo-prolubéranliello (hémorrhagie pro
la phonation et de la respiration, delà rapidité du pouls et des lésions du voile du palais. Ni incoordination, ni trouble
ts sont rares, la prolifération névroglique se l'ait en foyers. Les lésions vasculaires sont caractérisées par une prolifér
trice, ni surdité verbale, et de l'héinia- nopsie homonyme droite ; lésion au niveau du centre visuel commun. La lésion in
psie homonyme droite ; lésion au niveau du centre visuel commun. La lésion interrompt les fibres de communication avec le
faciale gauche sans troubles de la sensibilité. Syphilis probable ; lésion pédon- culo-prolubérantielle (artérite ou gomme
part de ces malades ont un aspect las, fatigué, et présen- tent des lésions artérielles ou myocardiques ou rénales. Ce sont
ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE c 1 sur un cas ae lésion ae ia queue ae cnn ? par tuberculose sacrée ;
rarement citée.Dans la thèse de Dufour (1) parue en 189G, sur les lésions de la queue de cheval, où l'auteur expose ses r
a- bonneix (2). Bartels (3) dans son travail paru en 1903 sur les lésions de la queue de cheval, à la suite de tubercu- l
la queue de cheval.Les chi- (1) Dofour. Contribution il l'élude des lésions des nerfs de la quelle de cheval et du cône ter
ne terminal, 1896. (2) CES1'AN et Uaboxneix. Quatre observations de lésions des lici-i's (le lit (j tieu e de e lie %-.il.
soit par une pachyménin- gite, soit par un abcès, elle produise la lésion des racines de la queue de cheval. Le fait qu
rement, tant au point de vue clinique qu'ana- tomo-pathologique, de lésion de la queue de cheval, re- lève peut-être moins
e de Conta (4) publiée en 1887, la question de la possibilité de la lésion de la queue de cheval par tuberculose sacrée, l
équences au point du vue de l'accouchement. Thèse de Paris, 1887. LÉSION DE LA QUEUE DE CHEVAL PAR "1 UBERCULOSE S \CRÉE,
s le même cas, les racines de la queue de cheval n'offraient pas de lésions (examen par dissocia- tion) ; dans l'autre cas
son re- marquable travail, dit que l'anatomie pathologique de la lésion de la queue de cheval par tuberculose sacrée ne
, ont été publiées quelques observations cliniques complètes sur la lésion de la queue de cheval consécutive à la tubercul
bres lombaires ou du sacrum est assez fréquente, la complication de lésion de la queue de cheval, surtout dans la tubercul
nt de rap- porter ici l'étude d'un cas de tuberculose sacrée avec lésion secondaire de la queue de cheval. Observation c
em- pêchant le sommeil, vomissements fréquents se produisant sans LÉSION DE LA QUEUE DE CHEVAL PAR TUBERCULOSE SACRÉE. 85
ns in- tervention de symptômes nouveaux. Les douleurs aux membres LÉSION DE LA QUEUE DE CHEVAL PAR TUBERCULOSE SACREE. 87
poumons, surtout le droit, présentent, dans les 2/3 supérieurs, des lésions de congestion très intense, avec carnilicalion
brale, le sacrum, les symphyses sacro-iliaques ne présentent aucune lésion extérieure. En soulevant la moelle et la queue
près l'extraction de la moelle, on remarque qu'il n'existe au- cune lésion à l'intérieur du canal rachidien dans la colonne
de 1/2 cm. environ, qui nese propage pas de côté : il n'y a pas de lésions caséeuses neltes, mais des simples longosités 1
membres inférieurs; fléchisseurs de la jambe, grand fessier, vaste LÉSION DE LA QUEUE DE CHEVAL PAR TUBERCULOSE SACREE. S9
erveuses est très forte, sans être toutefois complète. En outre, la lésion atteint, généralement, pour les faisceaux de la
nts de la moelle lomho-sacrée,confirment, par leurs caractères, les lésions radiculaires déjà citées ; en elfet les racines
ux, légère prolifération du tissu interstitiel). L'intensité de ces lésions est variable dans les divers segments et parfoi
l'autre, comme dans le deuxième, troisième segments sacrés, où les lésions radicu- laires rejoignent le maximum, tout en c
es, et ou les racines clroitessont plus prises que les gauches. Les lésions radiculaires moins fortes dans le 1 ? segment sac
seulement au niveau du 1 cI' segment sacré et du 5e lom- baire des lésions tout à fait légères, et à ce niveau il existe aus
cordon antero-latéral. Dans les cordons postérieurs, il existe des lésions (lui, tlans la moelle sacrée et lombaire inféri
s noirâtres, fines, disposées en série, abondantes surtout là où la lésion radiculaire est plus forte, marquent le pas- sa
ordon postérieur à la base delacorne postérieure. Le fait que les lésions radiculaires postérieures sont inégales et souv
marchai au-dessus du 5U segment lombaire et que, d'autre part, les lésions des cordons postérieurs dans la moelle sacrée se
éressante des dégénérations secondaires des cordons postérieurs par lésion de la queue de cheval. Dans la moelle sacrée,cepe
la disposition radiculaire de la dégénération est assez évidente au LÉSION DE LA QUEUE DE CHEVAL PAR TUBERCULOSE SACREE. 91
allÉi-ieniie. Dans le jamhier antérieur, le long péronier, la seule lésion ap- préciable se réduit à l'exagération de la s
l'épaississement de la dure-mère seul paraît ici être la cause des lésions d'in- tensité variable observées dans les racin
veau de chaque segment de la moelle sacro-lombaire ont confirmé des lésions d'inten- sité variable dans les divers segments
en détail anatomo-pa- thologiquement ; peut-être le mécanisme de la lésion ra- diculaire a-t-il été le même ; dans la queu
ées et lombaires inférieures. Les caractères et la distribution des lésions radiculaires s'accordent d'ailleurs avec les sy
roubles moteurs et trophiques, peuvent bien relever du fait que les lésions radiculaires, non seulement d'intensité variabl
bolition du réflexe cutané plantaire droit peuvent se rattacher aux lésions que nous avons constatées dans la lire et la 2e
rieure droite, surtout dans la 2" qui était très fortement prise. LÉSION DE LA QUEUE DE CHEVAL PAR TUBERCULOSE SACREE. 95
. LÉSION DE LA QUEUE DE CHEVAL PAR TUBERCULOSE SACREE. 95 Dans la lésion delà première racine sacrée, faut-il cher- cher
éflexe achilléen droit, et l'affaiblissement du gauche. et, dans la lésion des 3e et 4e sacrées,les légers troubles vésica
le existence des- quels il est difficile de se prononcer ? Si les lésions radiculaires suffisent à expliquer les symptôme
musculaires de certains muscles, nous avons trouvé quelques légères lésions consistant dans l'abondance, supérieure à la no
nerveuse. Même en ne tenant pas compte de la prédominance de ces lésions sur les muscles de la racine des membres plu- t
lement localisée aux deux sciatiques et surtout sensi- live que les lésions radiculaires se manifestèrent. Dans la littérat
Dans la littérature neurologique, les observations pu- bliées de lésion de la queue de cheval par tuberculose sa- crée
oppe primitivement dans les corps vertébraux et y produit de fortes lésions avant de se por- ter vers le canal rachidien et
nné un résultat positif, étant donné le caractère superficiel de la lésion osseuse. Si notre malade avait survécu plus l
IE. ' 97 ceptible d'augmenter jusqu'à la destruction complète les lésions radiculaires présentes ou d'en produire de nou-
arrin (4), répondant au travail de Grilli, qui nie la fréquence des lésions hépatiques chez les aliénés, puis Klippel (5).J
rritation ménin- « gée. Le liquide lombaire demeure normal quand la lésion n'est « pas exactement sur les méninges. ' -, -
isser la place à l'immobilité pupillaire réflexe typique. La même lésion peut présider aux deux formes de l'immobilité p
pe la substance grise de la moitié opposée de la moelle. 7. Toute lésion unilatérale de la substance grise de la moelle
. Une thermo-analgésie du même côté (ho- mologue) pourvue que cette lésion soit limitée à la corne pos- lérieure du même c
sse le ]1roLoneurone ; b). une thermo analgésie croisée quand cette lésion a détruit la substance grise dans le voisinage
ii[ (]Li côté opposé ; c). une thermo-analgésie bilatérale quand la lésion a atteint les deux endroits de la substance gri
lésion a atteint les deux endroits de la substance grise. 8. Toute lésion limitée de la substance grise ne donne jamais q
invariablement au segment de la moelle lésé correspondant. 9. Toute lésion du cordon latéral y compris sa périphérie latér
0. L'hémizone de la thermo-analgésie homolaterale, produite par une lésion de la substance grise (ou de la corne postérieu
l'hémizone de la thermo-analgésie contralatérale, produite par une lésion de la substance grise (ou du voisinage) de la c
supérieure (le la thermo-analgésie totale croisée, produite par une lésion de la substance blanche ou du cordon latéral y
supérieure de la thermo-analgésie totale croisée, produite par une lésion de la périphérie latérale du cordon latéral ou
isée commence à six ou sept vertèbres au-dessous de l'endroit de la lésion trauma- tique de la moelle, nous pouvons, en dé
M. Klippel présente une malade de 24 ans qui,en l'absence de toute lésion atrophique organique ou dégénérative des muscles
13. Séance du 29 mai. - Présidence de M. Vallon. Hypochondrie et lésions organiques latentes. MM. VIGOUROUX et Collet co
; chez l'autre, un cancer de la petite courbure de l'estomac, avec lésions cérébrales beau- coup moins importantes. Supp
ut un accès délirant absolument semblable sans coïncidence d'aucune lésion locale. Il guérit de nouveau.' M. Vigouroux s
e. Il guérit de nouveau.' M. Vigouroux se demande si le siège de la lésion a eu une in- fluence sur le développement du dé
ions auditives observées doit faire penser aune action locale de la lésion . M. KERAVAL rappelle que M. Cechterew a publié
être parlé, ayant eu déjà des accès délirants indépendants de toute lésion , rien ne permet d'affirmer que, dans les cas cité
entretenu par les douleurs fulgu- rantes, viscéralgies, etc. Les lésions du sympathique dans les maladies mentales sont
n outre,des paralytiques généraux hypochondriaques ont présenté des lésions des ganglions semi-lunaires et des nerfs splanc
e peut-être l'hypochondrie n'est qu'une représentation corticale de lésions ou de symp- tômes viscéraux latents. Un ouvrier
après un examen attentif du chimisme stomacal, comme n ayant aucune lésion , et qui pourtant présenta tout d'un coup une hl
de poser le problème de la façon suivante : en présence d'une même lésion , deux cas peuvent se présenter : 1° Si le malad
e malade possède une mentalité normale, il peut se préoccuper de sa lésion , et cette préoccupation reste légi- time. 2"
, dès lors, le mener ul'intcrnement. La chirurgie, en supprimant la lésion pourra, par voie de conséquence, mettre fin aux
ent la forme du délire, l'état mental du malade, et la nature de la lésion . Forme du délire. - S'il s'agit d'un délire hyp
e : la croyance du malade est irréductible, et la suppression de la lésion n'ar- rive pas à modifier le délire. Je possède
altération ou non du rein ? Dans le prolapsus utérin, y a-t-il des lésions concomitantes des annexes ? P Dans ce dernier
nombre en affir- mant qu'il y a erreur de croire « que chercher la lésion c'est la créer » - Il n'y a qu'une restrictio
élire hypochondriaque. Au chirurgien colle de fixer la nature de la lésion et de déterminer l'importance réelle des troubl
périphérique incessamment renouvelée, comme celle qui résulte d'une lésion viscérale ; la perception inexacte des sensatio
ullerre et contrairement à l'opi- nion défendue par M. Roy, que les lésions des viscères n'inter- viennent qu'exceptionnell
servent le plus souvent dans le tabes, la paralysie générale et les lésions cérébrales syphilitiques. Dans le tabes on obse
d'Argyll-Robertson. Ce signe indique toujours le tabes et une autre lésion médullaire. » Si on l'observe souvent chez des
la pupille, ou du muscle accommodateur, ou des deux à la fois.) Les lésions causales de ces troubles pupil- laires dans la
ascendante sera d'autant plus sévère ; susceptible d'entraîner des lésions graves,que le point de départ sera plus haut pl
riable après l'opération. Dans presque tous ces cas.il existait des lésions des cordons postérieurs, les unes homolatérales
riabilité ne nous paraît guère conciliable avec l'idée d'une simple lésion d'origine ganglionnaire, soutenue par M. Marine
un fort gros- sissement nuus donnerait la clef de ces inégalités de lésions et voici ce que nous avons constaté : En prem
ncore inconnues dans leur nature, que l'on observe dans beaucoup de lésions médullai- res ou cérébrales et, en particulier,
de lésions médullai- res ou cérébrales et, en particulier, dans les lésions très an- ciennes ; or, ces boules siégeaient no
ciennes ; or, ces boules siégeaient non seulement au niveau de la lésion des cordons postérieurs, du côté amputé et du c
fibres radicu- laires postérieures n'était pas encore possible; ces lésions fai- saient défaut dans les racines mêmes.' *
dans ? cas, en plus des al- térations des cordons postérieurs, des lésions do méningite syphilitique. Or, la distribution
te explique parfaitement, et seule explique bien, à notre avis, les lésions à sa fois homo et hétérolatérales, si dis- semb
que cette méningite tient vraisemblablement sous sa dépendance les lésions des cordons postérieurs. Cette méningite est du
omo- pathologique. Les différents auteurs qui se sont occupés des lésions de la moelle des amputés ont jusqu'ici employé le
u'il y a entre II. Léri et nous surtout une différence de mois. Les lésions si in- SUR LE TEMPS PERDU DU RÉFLEXE ROTULIEN.
? M. Léri a ré- servé la question de l'étape intermédiaire entre la lésion pé- riphérique et la lésion médullaire ; il nou
stion de l'étape intermédiaire entre la lésion pé- riphérique et la lésion médullaire ; il nous paraît logique de supposer
t la lésion médullaire ; il nous paraît logique de supposer que les lésions méningées peuvent être soit contin- ? entes, soit
ns méningées peuvent être soit contin- ? entes, soit secondaires à la lésion même des cordons posté- rieurs par suite peut-ê
iat, il nous a dit n'en avoir jamais observé. Il a ajouté que cette lésion lui semblait aussi d'origine traumatique et que,
édecine maritime, les brimeurs me- nacent souvent les mousses d'une lésion en tout semblable à l'othématome. Ils appellent
ine trauma- tique, dans la plupart des cas. Il va sans dire que les lésions des nerfs des vaisseaux favorisent singulièreme
Le signe de. Kernig est considéré, généralement, comme symptôme de lésion de méninges rachidiennes ; aujourd'hui on élarg
gne de Kernig,dans la paralysie générale, comme traduisant soit une lésion cen- trale, soit une lésion médullaire. Cette v
sie générale, comme traduisant soit une lésion cen- trale, soit une lésion médullaire. Cette vue de l'esprit est une réali
Babinski. La présence de ces derniers signes indique bien qu'il y a lésion des méninges rachidiennes ou des faisceaux pyra
é complète de se tenir debout. Le signe de Ker- nig signifiait bien lésion médullaire. Dans le cas où le signe de Kernig e
de la marche et l'on peut admettre qu'il traduisait simplement une lésion du cerveau ou des ménin- ges cérébrales. Il r
tedu vertige voltaïque et de son importance dans le diagnostic de lésions cérébrales et auriculaires, d'après Babinski. Enf
ninges au cortex ; atrophie du cerveau. A l'exa- men histologique : lésions classiques de la paralysie générale dans.tout l
oints trois millimètres d'épaisseur et, sous elles, on constate des lésions profondes du cortex. Application du sérum marin
illusions et les hallucinations, par exemple, sont imputables à des lésions réelles des neurones sensitifs à tous les étage
othérapie dans l'épilepsie com- me agent général, pour prévenir les lésions cutanées, éditer l' Ie bromismc (1), pour comba
légalisme (érytliùmc,értil)- tions papuleuses ou pustuleuses), les lésions du décubilus, les bronchites chroniques, la tub
GISTES. Une observation de troubles mentaux liés à l'existence de lésions chroniques du rhino-pharynx. D''5Royet et Rouss
de qui a fait l'objet°de cette observation a présenté à la suite de lésions du rhino- pharynx consécutives à des accidents
stincte du signe d'Argyll, qui est un symptôme fixe et permanent. LÉSIONS DU FOND DE L'OEIL. ' " Les formes des lésions d
fixe et permanent. LÉSIONS DU FOND DE L'OEIL. ' " Les formes des lésions du fond de l'oeil que nous avons trouvées chez
des sensations musculaires, articulaires, etc. 11 s'ensuit que les lésions tabétiques produi- sent l'incoordination du dia
empêchée ou retardée. L'hystérie, bien que ne reconnaissant pas des lésions constatables par nos moyens d'aujourd'hui, doit
s le faisions prévoir alors, l'étude du cer- veau nous a montré une lésion de la couche optique. Dans une observation que
les moteurs, il existe également, outre les autres altérations, une lésion de la coucheoptique. Notre observation, ainsiqu
thalamiques dans la genèse des troubles de la sensibilité dans les lésions LÉSIONS DU CERVEAU ET DU CERVELET. 241 sous-c
es dans la genèse des troubles de la sensibilité dans les lésions LÉSIONS DU CERVEAU ET DU CERVELET. 241 sous-corticales
mptôme qu'on devrait chercher toutes les fois qu'on sup- posera une lésion de la couche optique. On arrivera peut- être à
re avec certains troubles de la mimique à faire diagnosti- quer une lésion de la couche optique. Nouvelle contribution à l
nne les fibres motrices au masséter et aux muscles ptérygoïdiens. Lésions du cerveau et du cervelet chez une idiote aveug
etd'une idiotcaveu- gle-néeet avions constaté, pour le cerveau, les lésions maxi- mum dans les calcarines,complètement enva
ctions pal- maires, de cicatrices, de gommes cutanées,et surtout de lésions d'ostéite hypertrophiante du radius droit, du c
nce d'aucun trouble objectif de la sensibilité, d'aucun signe d'une lésion orga- nique, les idées de transformation corpor
s ces malades étaient tous atteints d'affections auri- culaires ,dc lésions labyrinthiques ; or, tout le monde sait, et M.
temporaires (Régis) qui s'arrêtent et rétrocèdent, par- ce que les lésions aiguës qui les produisent s'arrêtent et rétrocè
t aussi le plus souvent. 3° Anatomie pathologique. Pathogénie.- Les lésions cé- rébrales dans les psychoses des infections
s sont en effet celles de la paralysie générale, c'est-à-dire des lésions de mértingo-encéphalite diffuse, mais de méningo-
s fibres, prolifération de la névroglic. Il s'y joint parfois des lésions des viscères, en parti- culier du coeur, du foi
cence, soit enfin à la dénutrition et à l'épuise- ment. Quant aux lésions anatomiques, sur lesquelles ont in- sisté Pierr
fusion caractéristique. (G. 13c,r,·r. Un cas de surdité verbale par lésion sus-nucléaire Revue Neurologique, 1903, p. 685-
égies orga- niques ou cérébrales est imputé par les auteurs à des lésions du faisceau pyramidal. Tout en considérant cette
d'autre part que c'est plutôt à un trouble fonctionnel, suite d'une lésion organique du cerveau, la lésion elle-même du fa
un trouble fonctionnel, suite d'une lésion organique du cerveau, la lésion elle-même du faisceau pyramidal, qu'il fau- dra
es fois que le signe de l3altinski : tltl>nr : al au cours d'une lésion organique du faisceau pyramidal, il n'est pas dû
d'une lésion organique du faisceau pyramidal, il n'est pas dû à la lésion même, niais à l'entrave fonctionnelle des antag
is à l'entrave fonctionnelle des antagonistes des orteils. Aussi la lésion organique du faisceau pyramidal n'est pas indispe
teils ne doit pas être considéré comme l'expression immédiate d'une lésion matérielle du faisceau pyrami- dal, mais qu'il
région le névraxe entier est en état de fonctionner. « Malgré les lésions avancées de l'élément cellulaire les racines ner-
de Thomsen. Réaction électrique myotonique. A l'examen biopsi- que, lésions histologiques de la myopathie progressive. L'aute
dans plusieurs cas publiés, l'atrophie du cervelet s'associe à des lésions médullaires analogues à celles de la maladie de
lopathiquc et myopathique, et les relier par le même syndrome d'une lésion commune, la dégénérescence primitive du protone
t soeur d'une même famille chez lesquels le tableau clinique et les lésions cons- tatées furent presque identiques : début
Pierre Marie et la maladie de Frie- ili-eicli, des symptômes et des lésions de ces deux affections se retrouvant dans les t
) Enfin, en dépit des troubles trophiques les plus accusés et des lésions avancées de la sensibilité, l'atrophie musculaire
sens musculaire. Celle perte du sens stéréognoslique doit tenir aux lésions de l'écorce de la région de Romande du côté dro
lle, M. De- croly est plutôt tenté de rattacher ces accidents à une lésion orga- nique des centres nerveux. G. D. Xi. -
on supérieure du faisceau pyramidal de la moelle ne révèlent aucune lésion . Parmi toutes les particularités que nous venon
se Gaumie, 190).Lancereaw, et plus tard Wagner, avaient signalé des lésions hépatiques dans les pachyméningiles. L. \'AHr..
la guérison est très exceptionnelle. A l'autopsie, on trouve des lésions de l'intestin, mais qui ne sont pas celles de l
cause de la maladie un traumatisme, c'est- à-dire une blessure, une lésion accidentelle. L'auteur essaye de démontrer que
assique dans son tableau clinique et l'aspect macrosco. copique des lésions , mais -dont les caractères histologiques elle p
tères histologiques elle processus cavitaire semblent atypiques. La lésion initiale, fonda- mentale, consiste dans la néof
e tractus, debandelettes festonnées. Secon- dairement, autour de la lésion primitive la névroglie prolifère et les fibres
s médullaires 11 résulte de leurs ob- servationsdo contrôle que les lésions elle processus cavitaire dé- crits par eux se r
oppement de cavités médullaires, mais très dissemblahles quant à la lésion primitive ; en d'autres termes, il n'existe pas
. XXX. --Un cas de poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte avec lésions médullaires en foyers; par U;¡U et Wilson. (Nou
en outre d'une polyo- myélite antérieure généralisée, d'une double lésion en foyers ayant tout il fait l'aspect des foyer
veau des ren- flements cervical et lombaire. Le point de départ des lésions était visiblement dans les vaisseaux (existence
seur ; c'est tout au moins à ce niveau que se trouve le maximun des lésions . - Le tissu interstitiel est augmenté, résultat d
e est mort), la moelle et les nerfs périphériques n'offrent que des lésions de peu d'importance. ' Les auteurs l'ont remarq
le est d'origine syphilitique : 1° par l'examen des cerveaux où les lésions de la paralysie géné- rale s'associent à des lé
erveaux où les lésions de la paralysie géné- rale s'associent à des lésions non douteuses de syphilis cérébrale la coexiste
s lésions non douteuses de syphilis cérébrale la coexistence de ces lésions est beaucoup plus commune qu'on ne le croit gén
ue de la para- lysie générale a fait peu de partisans, mais ici les lésions scléreu- ses sont très avancées, et commentun t
rticulière à la nature, l'intensité, la localisation, l'étendue des lésions . L'âge auquel elles sur- viennent est une condi
c nombreux intermédiaires : dans la première forme, il s'agit d'une lésion mé- ningée dans laquelle l'inflammation est enc
démence à marche progressive mais lente ; la deuxième forme est une lésion méningée arrêtée dans son évo- lution : cette f
es syndromes mentaux stationnai- res pendant de longues années. Ces lésions affectent seulement la couche superficielle du
Wicdemann), ne serait- elle donc qu'une simple coïncidence ? Et les lésions pro- noncées des voies biliaires et du parenchy
lle le foie est atteint avant toute dépression. Les troubles et les lésions du foie pa- raissent influencer l'état mental d
gne pour le diagnos- SOCIÉTÉS SAVANTES. 377 -1 tic du siège de la lésion dans les différentes paralysies centrales ou pé
hysaire. : 'Il. I)FROU]3 ? 1-,L('del,'roi(imonL) a lait connaître les lésions qu'il a observéesa l'autopsie de deux malades p
s delà région ccrv icalc antérieure, ces au leurs on l constaté une lésion exacteiiieiilloci- lisée aux groupes cellulaire
Ü'.\Ldheiml'r dans lequel cd auteur s'efforce du démontrer (pie la lésion n'est pas diffuse, de cause vasculaire, mais fr
dant* : celle dégénérescence, en l'espèce secondaire, esl due à une lésion de la zone 1llOlri('1' de' l'I;C(II'('(' Ironlale
t donner naissance à des myélites systématisées, en dehors de toute lésion héléromorphe delà moelle et de ses enveloppes.
ître des ? 94 REVEE D'AiATO\II1; ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. lésions médullaires réalisant des types classiques de myé
é au point où l'on aurait pu soupçonner l'existence d'un'' pareille lésion , a montré que la tunique interne du sinus ,"Iail
Ionien avant conservé une coque périphérique.. Dans le cas où la lésion médullaire équivaut à une section, on a, en gén
les mouvements de (tefctjse. L'manien hislologiquu montra (pie la lésion dclamoellc n'était prut-etre pas aussi complète
ales se reconnaissent encore. A un examen plus attentif, mélange de lésions i Il Lel's ! i [idll ? et delesions pa l'enchym1l
une grande majorité. Il y a parallélisme assez rigoureux entre les lésions pal'l' ! 1clty- 3Qû REVEE n'ANATOMIE ET DE PHYS
lty- 3Qû REVEE n'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. et les lésions interstitielles. En outre, if semble bien que l
postérieure. 11'. Cordons ccztd>'o-latérav.r. 10 Au dessus de la lésion . Dégéné- rcscence occupant toute l'aire des cor
t;eurde.Cene\eesLu ! ) nouvel exemple de ce l'ait. clinique que des lésions périphérique» peuvent retentir >111' l'a.\e
onnel statique L'auteur rattache cet ensemble symptoma- tique a une lésion probable du vermis dont un processus d'arlé- ri
us de raréfaction et même de résorption osseuse mani- feste. , La lésion est surfont nette au niveau du pouce et. du médiu
ceau occipital vertical le \\-cruicl : e.) Il existe donc ici une lésion à la fois corticale el sous-corticale ; peut-êt
on à la fois corticale el sous-corticale ; peut-être est-ce à celle lésion à la fois corticale et, sous-corticale qu'il fa
es auteurs, un ne trouve pas d'altérations de l'état général ni des lésions viscérales aucune circonstance éliologique cons
liologique constante, les os sont très fragi- les et présentent les lésions de l'ostéoporose, de l'atrophie osseuse simple,
f ! 'aieiit des diminutifs des types précédents. Ils marchent il la lésion , et deviennent de véritables anormaux, s'ils ne
é- ntallt, Pichet Meisser. De même, pour l'anatomie pathologique ( lésions périphériques et centrales) et pour la clinique d
autre chapitre, l'auteur étudie lessYll1ptômes atlribua- bles à des lésions cérébrales en foyers que l'on peut trouver dans
ou moins la moelle : pour cette raison ' déjà peuvent survenir des lésions des éléments ner- veux ; cette compression de l
infiltrations cellulaires dans le tissu ou autour des vaisseaux, de lésions vasculaires, d'hémorragies font écarter, à Kahl
tion de la lymphe sur les fibres nerveu- ses, Kahler interpréta les lésions par lui rencontrées comme la conséquence d'une
rotec- trice. Kahler admet toutefois qu'il peut y avoir aussi une lésion mécanique directe des fibres nerveuses parla com-
es centres.trophiques sur les fibres ner- veuses. La similitude des lésions rencontrées par lui dans ses expériences et de
le peut suffire à empêcher le retour de la lymphe et produire une lésion des éléments nerveux ; ainsi s'expliquerait l'aug
dans le canal vertébral de petits morceaux d'argent, obtinrent des lésions analo- gues àcelles de Kahler pour ce qui conce
èrent dans la substance grise et qu'ils interprètent, ainsi que les lésions de la substance blanche, comme la conséquence d
ouerait, selon lui, un rôle très impor- tant dans la production des lésions médullaires : c'est-à- dire l'anémie ; cette an
lle dans ie mal de Pott sont les suivantes : dans des cas rares, la lésion médullaire est (1) MUIlI2E\1'I : '1'S(CI. Zeits
maus ne lui' fait pas jouer un rôle exclusif dans la production des lésions de la' moelle : dans la compression, d'autres f
le rôle le plus important, presque exclusif dans la production des lésions médullaires. Le point sur lequel les auteurs di
sur un point limité de la moelle, elle a engendré non seulement des lésions locales mais encore des lésions il distance par
, elle a engendré non seulement des lésions locales mais encore des lésions il distance par l'intermédiaire de troubles cir
8 PATHOLOGIE NERVEUSE. et le premier en date dans la production des lésions mé- dullaires est joué par la péri-pachyméningi
ectement et défor- mée parles masses fongueuses épiduraleset due la lésion médullaire, en partie au/moins, relève, dans ce
ecte, un facteur important et certaine- ment le premier en date des lésions médullaires consiste dans les troubles circulat
iste une vraie myélite seulement dans les cas dans lesquels cette lésion a les caractères spécifiques tuberculeux ; cett
ujours associée, ainsi que Chipault avec Schmaus l'affirment, à des lésions arachnoïdiennes et pic-mériennes de même nature
les et à la moelle. SiCARDCt Cestan (/. c) ont prouvé encore que la lésion tuberculeuse, primitivement épidurale, peut se
le mal de Pott d'une vraie myélite primaire, indépendante de toute lésion méningée, est prouvée par le cas publié par Phi
laire, ni cellules géantes, ni bacilles de Koch ; au contraire, des lésions intenses des cellules motrices dorso lombaires.
à des troubles circulatoires d' ordre mécanique pour expliquer des lésions médullaires analogues survenant dans les cas de
invoquée, en effet, par Dupré et DELA- MARK (1) pour. expliquer les lésions médullaires que ces auteurs ont rencontrées dan
anatomique saisis- sable (formations nodulaires, amas bacillaires, lésions vasculaires), les auteurs les interprètent comm
s des cas de mal de Pott dans lesquels on ne peut expli- quer les lésions qu'on rencontre dans la moelle sans admettre, a
l'action de l'élément toxique. Ce sont les cas où on retrouve des lésions nettes d'cedènte médullaire et où la péri-pteliy-
tiques et sanguines efférentes. Ce sont les cas où on rencontre des lésions destructives de la moelle, sans déformation de
sans déformation de celle-ci, avec une pachyméningite très faible, lésions que le degré d'inten- sité de la pachyméningite
xpli- quer comme conséquence d'un oedème mécanique pré- existant, lésions que l'absence de toutes lésions vascu- laircs.
'un oedème mécanique pré- existant, lésions que l'absence de toutes lésions vascu- laircs. uinsi que les bonnes conditions
s qui,dans la grande majo- rité des cas, suffisent il expliquer les lésions médullaires, ne peuvent pas être invoqués ou au
troubles circulatoires mécaniques semblent suffire à expliquer les lésions médullaires. Ce serait ainsi l'at- teinte il la
ication à donner au mot de myélite, la difficulté de décider si une lésion nerveuse, comme le ramollisse- ment, est produi
s mêmes : , bien conservées à droite, à gauche elles présentent des lésions d'inlensilé variable consistant dans la dispari
e grise se détache assez bien de la blanche ; celle-ci présente des lésions destructives diffuses accentuées, moins fortes
existe ' une légère chromalolyse, sont intactes. ' Remarques. Les lésions rencontrées dans la moelle au niveau de la comp
s la moelle même nous font écarter tout de suite l'hypothèse que la lésion médullaire puisse être la conséquence d'un proc
la pie- mère, delà moelle même, outre qu'ils ne présentent aucune lésion appréciable en dehors d'un léger épaississcmcnl,
oelle ait souffert d'une façon assez intense pour amener les fortes lésions destructives constatées par nous. L'action méca
u de compression, comme la cause unique où prépondérante des fortes lésions destructives qui sont. non localisées au lieu d
'élude histologique de la coupe si- tuée au-dessous du point oil la lésion est au maximum, 446 PATHOLOGIE NERVEUSE. mont
iatement au-dessus et au-dessous de la pachy-méningite. Ce sont des lésions qu'on peut inter- préter comme causées par l'oe
se des cordons anléro-latéraux, soit au-dessous ou au-.dessus de la lésion , et qui dis- paraît complètement quelque segmen
Goll. - ' . Les cellules radiculaires au-dessous et au-dessus de la lésion ne présentent pas des lésions dignes d'être nuL
culaires au-dessous et au-dessus de la lésion ne présentent pas des lésions dignes d'être nuL(·e· : quelyuos cellu- les l'I
able qu'on peut écar- ter les phénomènes d ischémie comme cause des lésions médullaire s,soit parce que celles-ci ne corres
s le sens de Schmaus. Notre cas est intéressant parce que, avec une lésion SUR LA PArHOGKNOE DES ALTÉRATIONS 'IIDn.L.\IIOE
a intcr- prété l'abolition des réflexes comme l'expression d'une lésion des racines postérieures par des troubles circula
(11, \, dans un cas de mal de Pott dorsal avec pachyméningite et lésion transverse incomplète de la moelle, explique l'
1)iqllc dc la stase dans la partie delà moelle sous-ja- centc il la lésion . stase qui aurait produit, d'après l'auteur, la
en : le signe dcWcstpIml ne peut pas non plus être ex- plique parla lésion de lapartiecellulairc de l'arc réflexe, les cel
ndrassik suivant laquelle l'abolition des réflexes tiendrait il une lésion de la moelle lombaire non déce- lable par nos m
elle lombaire non déce- lable par nos moyens d'investigation. Cette lésion serait produite, selon lui, par des troubles ci
lonne de Glarke. lofait que dans la moelle cervicale Pl dorsale les lésions du même ordre n'existent pas, ne nous permetten
on plaide en faveur d'un tabès lombo-sacré incipiens. Cependant ces lésions des cordons postérieures, qu'on les interprète
xpli- quer l'absence des réflexes rotulicns dans notre cas, où la lésion cervicale est bien loin d'être complète. Troisi
niveau des segments Ll, L2,L : î, la substance blanche présente des lésions diffuses pas systématisées, pas en relation ave
ystématisées, pas en relation avec une distribution vasculaire. Ces lésions diffuses atteignent dans les cordons antéro-lal
face antérieure de la dure-mère, on rencontre à peu près les mêmes lésions diffuses décrites dans le 1 ? segment lombaire.
nstaté au niveau de l'aplatissement de la moelle (segm. Ll, L2) des lésions diffuses de la substance blanche constituées pa
e constituées par une sim- ple diminution en fibres nerveuses ; les lésions diffuses, qui se retrouvent avec la même intens
isparaître complète- ment : ne disparaissent pas, au contraire, les lésions de dégénérescence secondaire dans le FPy C et d
même dans la moelle sacrée inférieure. Dans l'interprétation des lésions médullaires consta- tées au niveau de l'aplatis
sseuse. La faiblesse relative de cet aplatissement, le fait que les lésions destructives de la substance blanche sont diffu
atoires, que par action mécanique directe sur le tissu nerveux. Les lésions diffuses de la substance blanche dans les segme
egments de la moelle comprimée se laissent expliquer aisément comme lésion de voisinage : on n'en peut dire autant de la d
région sacrée inférieure. Elles ne peuvent être expliquées par une lésion des racines postérieures, celles-ci restant int
miques, les vaisseaux ne présentant d'altération d'aucune sorte, la lésion ne correspon- dant pas à une distribution vascu
daires à la compression de même natnre que ceux qui ont produit la lésion étendue à toute la moelle au niveau de la compr
tte dégénération persiste seule et avec la même intensité là où les lésions même de SUR T.1 ('.1'IITOGÉVIr DES ALTÉRATIONS
H'[li um postérieur. Au niveau du [CI segm. lomhail et au-dl'su,la lésion de la substance blanche 1 t'I"'{'l'nle presque
les voies péri- vasculaires rend l'interprétation pathogénique des lésions médullaires particulièrement difficile. Au nive
le. Au niveau des segm. L : 3,Li,L où la moelle présente le plus de lésions , celles-ci se montrent sous deux formes : d'une
rales des cordons antéro-latéraux et des cordons postérieurs. Les lésions marginales sont très vraisemblablement sous la
les proportions entre la péri-pachyméningite dans la production des lésions constatées dans les autres régions de la moelle
Les bonnes conditions de l'irriga- tion sanguine, la diffusion des lésions destructives, leur apparente indépendance d'une
, narines ouvertes en avant ; a l11élries; anomalies congcnitatcseL lésions congénitales tlu coeur.at.)'sics,et.c. Ces ma
L'auteur examine les diverses théories pathogéniques, le rôle des lésions des glandes th) i-oides, (le la syphilis congénit
earses. B. XIV. Sur l'étiologie du crétinisme et du myxoedème par lésion delà glande thyroïde ; par le Dr CAYO. 1 Ueber di
ère à tant d'égards, pa- rait reconnaître cependant pour causes des lésions de la glande thyroïde : thyroïdite ou sclérose,
eint de cancer primitif du rein gauche chez lequel on découvrit des lésions secondaires dans le rein droit, les deux poumon
avait allai ré à une tumeur delà cuisse gauche qui donna lieu iules lésions secondaires au niveau du foie. Au milieu des phén
ie : poumons de nouveau-né, cneur de 130 gr., rein de 70 gr. et des lésions tuberculeuses du poumon. Le cerveau était de vo
pesait 1350 gr. L'examen histologique du cerveau fit constater des lésions des 'cellules nerveuses et l'absence de toute l
constater des lésions des 'cellules nerveuses et l'absence de toute lésion vasculo-conjonc- tive. - M; Vigoureux communi
le cerveau également. , L'examen histologique du cerveau montra des lésions du seul tissu neuro-épithélial, à l'exclusion d
sixième qu'il fut reconnu aliéné. Dans les deux cas, on relève des lésions de méningite aveccette différence que, chez le
de méningite aveccette différence que, chez le premier sujet, ces lésions étaient arrêtées dans leur évolution et que chez
ens histologiquesà ceux déjà publiés, les auteurs concluent que des lésions diverses peuvent donner lieu au syndrome de la
as est léger, résultant d'une otite suppurée ; l'autre est dû à une lésion lnllho-protu- héranliolle. L'excitabilité élect
) .) sociétés savantes. 491 noslique favorable. D'autre pari, une lésion siégeant à l'origine ou sur le trajet d'un nerf
Fille de 20 ans atteinte de nanisme sans infantilisme, avec double lésion mitrale,fatigue rapide, chu- tes fréquentes, ré
ibilité générale.' Pas de troubles trophiques. Instabilité mentale. Lésion cérébelleuse probablement limitée ;t certains f
tteintes arti- culaires, absence de douleurs objectives, aspect des lésions . 1 Faisceau longitudinal inférieur. M. ARCHAM
eur. M. ARCHAMBAUT. Ce faisceau qui ne dégénère pas à la suite de lésions importantes du lobe occipital^ prendrait son orig
cérébrales, mais on peut hésiter quand il n'existe pas enco- re de lésions du fond de l'oeil. Dans un cas, plus de quinze jo
celle de i\loe- bius et Charcot, qui accepte le siège nucléaire des lésions , et celle de Manz et Mauthner,qui accepte le si
.) - z. Paralysie la- bio-glosso laryngée, probablement liée à une lésion congénitale de l'écorce cérébrale chez une fill
ès et Mura- tet, p. 244. Cérébhine. Voir l'oelvl. Cerveau. Voir Lésions . Con- tribution à l'étude des idées ] égnnnte
p. 316. Voir Cancer. , Cervelet. Voir Eléments 111'1- re1tx. Voir Lésions . Voir Cancer. Charpentier. Voir Bayons. C.l
ie do la persécution, par Leroy, p. 185. ' HYPOOHOX[>I\TE et lésions orga- niques latentes, par Vigou- roux et Col
de -, par Weygiindt, p. 40. Lecture. Voir Troubles. Voir Tic. Lésions du cerveau et du cer- velet chez une idiote ave
l{osso)imo, p. 317. Un cas de antérieure aiguë de l'a- dulte avec lésions médullaires en foyers, par Léri et Wil- son,
, p. 131. Pseudomélie l'.OEESTHÉSIQUE. La symptomatique d'une lésion de la portion cervi- cale ,le la moello et du 5
ar .\rtnattd-I)clillc. 1. 1 : 8. Queue DE cheval. Sur un cas de lésion de la par tu- berculose sacrée, par Rossi, p.
s, 11. 187. Une ot- oervatioll de - mentaux liés à l'existence do lésions chro- niques du rhino - pharynx, par Royet et
40 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
RVEUX, Paralysie générale, M.NIN(-0-MYÉLITE vasculaire diffuse ET lésions SYPHILITIQUES DES vaisseaux; Par M. le docteur
se, et que ce processus présente des rapports intimes avec d'autres lésions que l'on s'accorde aujourd'hui à reconnaître co
cienne. Rien n'est variable comme la marche et l'évolution de ces lésions médullaires; au point de vue clinique le tableau
nt de vue clinique le tableau change du tout au tout suivant que la lésion est diffuse ou loca- lisée, qu'elle évolue lent
tent avec plus ou moins de vigueur aux assauts que leur livrent les lésions vasculaires. Cette méningo-myélite peut garder
lance, les formes scléreuses et seléro-gomineuses. Enfin lorsque la lésion des gros vaisseaux nourriciers de la moelle, ar
les affections syphilitiques du système nerveux, compare bien les lésions de l'écorce cérébrale, dans un cas de paralysie g
es de la syphilis médullaire, il déclare bien qu'il considère cette lésion comme un .type de tissu de granulation (Granu-
es du cerveau et plus particulièrement de l'écorce cérébrale. Cette lésion est-elle différente anatomique- ment suivant qu
iologie invoquée, on rencontre, pour ainsi dire, toujours les mêmes lésions embryonnaires des vais- seaux. Les trois obse
peu la question et à montrer que, dans les cas syphilitiques, la lésion de la paralysie générale est une lésion histologi
s les cas syphilitiques, la lésion de la paralysie générale est une lésion histologique- 4 PATHOLOGIE NERVEUSE. ment syp
cope, il faudra admettre que d'autres infections peuvent donner une lésion vasculaire dif- fuse que nous ne pouvons pas di
ssé à chaque instant pour décider, à l'aide du microscope, si telle lésion est syphilitique, tuberculeuse ou simplement in
ou simplement inflammatoire ? Enfin il ne faut pas oublier que des lésions toutes différentes de l'en- céphalite interstit
t, c'est que la signature de la syphilis se trouvait dans certaines lésions des gros vaisseaux du cerveau et de la moelle.
ans les cordons postérieurs, lieu de moindre résis- tance de par la lésion tabétique qui les occupait auparavant, ou qui s
ite transverse syphilitique de la région dorsale supérieure ; cette lésion , qui avait passé à la sclérose, présente des dé
tance de cette observation, c'est la présence dans le cerveau d'une lésion vasculaire diffuse, peu avancée, avec intégrité
ssus dans la paralysie générale syphilitique, puisqu'il montre leur lésion isolée, alors que quelques prodromes lointains
ant une dégénérescence descendante de toutes les fibres de ce nerf. Lésions spécifiques des artères de la base du cerveau.
ences des racines postérieures. La moelle ne présente pas d'autre lésion macroscopique appré- ciable, sauf une congestio
la putréfaction. Sur la coupe des hémisphères on ne remarque aucune lésion autre qu'un piqueté congestif très accentué. Le
siège de cette méningo- encéphalite vasculaire diffuse, qui est la lésion de paralysie géné- rale légitime; 2° Cette lé
use, qui est la lésion de paralysie géné- rale légitime; 2° Cette lésion vasculaire s'étend en outre à tout le reste de l'
u et des méninges rachidiennes sont le siège, veines et artères, de lésions nodulaires caractéristiques de la syphilis; la
riques de ce nerf. Cerveau. - L'écorce cérébrale est le siège d'une lésion vasculaire diffuse, qui se continue d'ailleurs
la substance blanche sous- jacente, mais à un moindre degré. Cette lésion est constituée par une accumulation de cellules
ner un Observation 1. Ecorce prise tt la convexité du lobe frontal. Lésions , des vaisseaux, dont les parois sont surchargé
e lignes violettes formées d'un fin pointillé. En un mot c'est la lésion typique que l'on rencontre dans la paralysie gé
égitime. Fi3. 1. ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. Il La lésion n'est pas très avancée, quoique parfaitement nett
on à l'état frais par la méthode d'Exner à l'acide osmique. Cette lésion d'inflammation interstitielle diffuse n'est pas s
tion ; on pourrait déjà presque affirmer la syphilis à l'aspect des lésions méningées. Les éléments cellulaires nerveux et
large du ce niveau. ]4 PATHOLOGIE NERVEUSE. ' matoire. C'est la lésion que jusqu'ici j'ai rencontrée dans tous les cer
e est plus considérable qu'elle ne l'est le plus souvent. A cette lésion profonde, déjà ancienne, à évolution progressive,
déjà ancienne, à évolution progressive, se surajoute par places une lésion beaucoup plus superficielle évi- demment récent
t prend une teinte un peu plus foncée que dans les régions où cette lésion n'existe pas ; ces taches, visibles sur le cerv
ricellù- laires sont fortement dilatés; d'ailleurs ce n'est pas une lésion bien ancienne, ni bien profonde, car les élémen
ièrement espacées. Pédoncules cérébraux, protubérance et bulbe. Les lésions des vaisseaux de tout calibre sont exactement s
du cerveau, mais beaucoup plus intenses. Pourtant il n'y a aucune lésion des éléments nerveux : les cellules des noyaux gr
a paralysie du nerf moteur oculaire commun droit. Au contraire, les lésions méningées et radiculaires en rendent parfaiteme
ons méningées et radiculaires en rendent parfaitement compte. Les lésions de la pie-mère et des gros vaisseaux de la base s
sistent en une infiltration embryonnaire périvasculaire ; quant aux lésions des gros vaisseaux, je les décrirai plus loin.
e la racine, dont le fascicule supérieur contient une petite gomme; lésion des vaisseaux de la moelle. 7M ? M<o.N/MM de D
dans ceux qui dépendent du moteur oculaire commun droit. Moelle. La lésion vasculaire et méningée se continue dans toute l
e la région cervicale, on aperçoit même un petit nodule gommeux. La lésion méningée prend aussi, dans certains endroits, .
g. 7. Sillon antérieur de la moelle (région dorsale supérieure); la lésion veineuse l'emporte de beaucoup sur la lésion arté
orsale supérieure); la lésion veineuse l'emporte de beaucoup sur la lésion artérielle, qui est exclusivement limitée 11'ad
partie déformés ; pourtant il ne parait pas en manquer beaucoup. Lésions des gros vaisseaux. C'est ici que nous allons tro
Lésions des gros vaisseaux. C'est ici que nous allons trouver les lésions les plus typiques au point de vue de la syphins;
ablement spécifique, dans l'état actuel de nos connais- sances. Ces lésions portent sur les artères, et plus encore sur les
e, elle a tous les caractères d'une sclérose banale, secondaire aux lésions de la tunique nourricière ; elle est encore peu a
n qu'à la périphérie : c'est la caséification qui commence et cette lésion n'est autre chose qu'une gomme miliaire. Sur qu
aissance à l'hémorrhagie considérable qui occupe la région. -- La lésion des veines l'emporte de beaucoup en intensité sur
moelle. Chose remarquable, elle est à peu près indépendante de la lésion des méninges et des capillaires ; ainsi c'est ver
de la région dorsale et dans la région lombaire en arrière, que les lésions veineuses sont les plus marquées, dans la moell
périphériques cutanés de la main et du pied ne présen- tent que des lésions peu marquées. Observation II. CActMcre de la co
granuleux. Les artères de la base sont saines. On ne trouve aucune lésion sur la coupe des ' hémisphères. La moelle ne
issent très légèrement grisâtre*; plus tard, après durcissement, la lésion est devenue parfaitement visible à l'oeil nu.
t avec une cirrhose porte encore peu avancée; de plus il existe une lésion cellulaire très étendue et manifestement récent
reins est facile. Au microscope les reins présentent deux sortes de lésions : 10 une altération scléro-gommeuse ancienne, l
contournés dans toute la substance corticale des deux reins. Cette lésion cellulaire se caractérise par l'état granuleux et
, ce qui leur donne un aspect trouble. Les vaisseaux présentent les lésions habituelles ; on aperçoit beau- coup de capilla
surtout à droite. D'ailleurs dans toute la hauteur de la moelle la lésion est plus avancée à gauche qu'à droite. Enfin da
à mesure que l'on remonte. Les racines postérieures présentent des lésions assez avancées en bas; a la région dorsale elle
grêles en assez grand nombre, mais à droite, où pourtant il y a une lésion très avancée, déjà de la bandelette externe, les
nt saines. Il ne semble donc pas y avoir un rapport exact entre les lésions des racines et celles des cordons postérieurs,
vaisseaux malades, limité exactement aux cordons postérieurs. Cette lésion diffère tout à fait de celle que l'on rencontre
s, hyalines, sclérosées; elle ressemble au contraire absolument aux lésions vasculaires du cerveau dans la paralysie généra
hilitique; elle affecte une certaine indé- pendance vis-à-vis de la lésion tabétique à laquelle elle se super- . pose, car
méningite comparativement à l'intensité Fig. 15. Moelle cervicale; lésions vasculaires dans les faisceaux posté- rieurs (l
segment postérieur delà moelle. Enfin, bien qu'au premier abord la lésion vasculaire semble limi- tée aux cordons postéri
vrogliques, comme on l'observe souvent dans les moelles qui ont une lésion quelconque en un autre point; mais les autres p
de ce que l'on voit dans les cordons postérieurs. Il n'y a pas de lésion appréciable des cellules ganglionnaires. Cervea
ion appréciable des cellules ganglionnaires. Cerveau. On trouve les lésions vasculaires caractéristiques de la paralysie gé
igure précédente vue à un plus fort grossissement, pour montrer les lésions des petits, vaisseaux. (Obj/0, oc. 1 Vérick.) '
érick.) ' 32 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. sauf un peu de congestion; la lésion s'arrête presque brusquement à l'angle qui sépa
n compare entre.·elles les, différentes régions au.point de vue des lésions vasculaires et des lésions des fibres myéline, on
différentes régions au.point de vue des lésions vasculaires et des lésions des fibres myéline, on trouve que les unes elle
es unes elles autres sent à leur maximum danstegyrus rectus; que la lésion vasculaire diminue un peu dans lereste du lobe
e du lobe frontal et dans le'pied des circonvolutions motrices'/ la lésion nerveuse restant très considérable;' que, -dans
que, -dans les circonvolutions motrices à leur partie moyenne, les lésions vasculaires et nerveuses sont nulles dans les s
erficie, surtout la première ; enfin que dans le lobe occipital les lésions vasculaires sont à leur minimum, les lésions de
le lobe occipital les lésions vasculaires sont à leur minimum, les lésions des fibres tangentielles étant plus accentuées
st arrêtée dans son développement. ? " "' · Si nous comparons les lésions cérébrales capables d'entraîner la démence à ce
rquoi donc se contenter du diagnostic d'idiotie . lorsque ces mêmes lésions se produisent chez un enfant ? L'idio- tie, c'e
est qu'il est beaucoup plus difficile de ratta- cher l'idiotie à la lésion cérébrale qui,.l'a produite, que -la. - démence
ue -la. - démence. Il est beaucoup plus facile de diagnostiquer, la lésion qui produit une forme spéciale d'aphasie que de
on qui produit une forme spéciale d'aphasie que de déterminer lat lésion qui entraîne l'absence de parole chez un enfant.
et'en reléguant au second , plan -les autres' manifestations de 'la lésion causale, que 1 on arrivera à éclaircir lâ pathô
idiots se rapproche singulièrement de la survie des déments à leurs lésions cérébrales, tandis que la moyenne de la vie des
lité. 37 types de malades. Toits les idiots en effet présentent des lésions cérébrales, tandis que les imbéciles n'en offre
complète et fatuité simple'. Autant ces auteurs ont été frappés des lésions cérébrales rencontrées dans l'idiotie, autant c
'a existé à aucun moment des troubles dépendant manifestement d'une lésion cérélirâlé.YIl ya aussi les'cas d'épilépsieavec
que l'idiotie; il s'agit alors' d'idiotie ordinaire conséquence dé lésions cérébrales.' Tantôt enfin l'épilepsie s'ac- com
en- tale due probablement à un trouble fonctionnel mais non à une lésion organique des centres nerveux. Elle constitue [le
1, . 1 1 *i. f, -v 1, 1 ik ' , i, 1-11 ? t li ? " £ llti iP t- - Lésions organiques, du coeurjion soupçonnées pendant 'la
ts pour. que je,vous,en entretienne un instant. Ce sont deux cas de lésions organiques du coeur trouvées à l'autopsie, et n
s. Pas d*altération i du, cerveau, ni des méninges. En résumé,, la, lésion capitale chez'ce malade est'une péricardite hém
sayant de se lever de son fauteuil. Je trouvais chez lui, outre les lésions caractéristique de la para- lysie générale, une
j'ai voulu attirer'un' instant "votre"1 attention' : ce'sont des ! lésions graves et'étendues du'coeur'qui'ont0 pu exister
t ne s'agissait pas de démence précoce, et s'il n'y avait .. pas de lésions cérébrales capables d'expliquer cet état démentie
démentiel.' Quantàla péricardite hémorrhagique, elle constitue une lésion rare que, pour ma part, je n'ai pas encore eu l
n e .31 t'^'. f 1 , li 1 ? j-' ,, M. CHRISTIAN n'a'constaté aucune lésion cérébrale macroscopique. ? ; " - , ' ' i ? '' "
ents, le mode de début, les symptômes, la marche, le pronostic, les lésions anatomiques. Eu réalité, aucun de ces caractère
ation de poreucéphalie"vraie, très instructive auq point de vue des lésions trouvées à l'autopsie ? nt p^b no·ln.o3 3° Une
premier rang. Cela s. rr. -,s ne veut pas dire néanmoins que* la lésion mesoneunale v soit . rs , · tlnnt ? tt-.OfT .J
lâissa(t rlén "d - -" La 1 ici les générale n a rien à^désirer. La' lésion ! occupait ici les 0 .n..uwt ? v Il * .Il ? -41
té sacrifié^ depuis quelque, ` temps déjà lorsque j'ai découvert la lésion du péronier. Il convient d'ajouter que cette de
s conglomérats irréguliers, hétérogènes qui se présentent comme des lésions accidentelles semblent plutôt appartenir au gro
avres de ces mêmes individus s'il existe, ou non dans les nerfs une lésion mésoncuriale. Malheureusement, l'application de
tituant le tronc du poplité externe au niveau du point où débute la lésion , c'est-à-dire à la partie HO ' Y .1\.11'O111C..
ysie générale, 3rÉNILIGG-111YL : LITE , VASCULAIRE diffuse f,^;' ET LÉSIONS SYPHILITIQUES DES .VAISSEAUX; i- \- y, g.1'" '
es; plaques érythémateuses au sacrum et au trochanter droit. Pas de lésions dû'racbis. ., , La' moelle, est molle, de, volume
e que 1 aorte. Le ioie pèse "l 800 grammes; il né présente pas de lésions à l'oeil nu, sauf un peu de'congestion et un peti
st bien en rapport avec la disposition en taches irrégulières de la lésion primi- tive ; de ce. côté la partie postérieure
est évidemment en rapport avec la'dispositioil ircégu- lière de la lésion d'origine.*»' -M W1 tlWf 41l ti- fin Quanta la
es ascendantes hypothétiques devraient être saines au-dessous do la lésion primitive; or, si l'on compare l'in- tensité de
lle à l'aide de forts grossisse- ments/on constate qu'il existe des lésions des méninges, des vais- seaux, de la névroglie,
ne est épaissie* fibreuse, mais sans infiltration cellulaire.'Cette lésion est à son maximum au niveau du foyer transverse
es, il s'est 'fait une sclérose névrogliquetrès intense., Les mêmes lésions vasculaires se retrouvent dans toute la moelle,
énère, et se détruit en laissant en liberté des cellules filles. La lésion parait avoir débuté dans le foyer du sclérose et
e 'en proche ? . '' "'b-wi1»» '"n; wn'"1' · " . . le' Outre cette lésion inters Litielle,'Ies cylindres d'axe qui persiste
il s'accompagne d'une altération évidente des prolongements. Cette lésion diffère absolument de la dé-éne- rescence granu
s la paralysie générale; c'est pourtant bien exactement] la ( même, lésion (.de« capillaires fins et moyens. La lésion se
exactement] la ( même, lésion (.de« capillaires fins et moyens. La lésion se propage dans, la, substance blanche. lu. n a
im "1 nu -·.dn un pro Toutes les circonvolutions présentent la,même lésion ,vasculaire, Fig. 25 : - Vaisseaw pris- dans la
te de ; ' kyste hydatique guéri ? En outre.' le foie présente des lésion ='d'infil- tration diffuse que l'on peut aussi *
tribuer à lâ syphilis qu^à la- tuberculose. ? . " . a"r. * '' Les lésions du poumon^sont celles de la tuberculose fibreus
formes subintrantes. ,} - 915 9'`tAll'âutopsie;f rioûstrôurvons'des lésions qui expliquent, les «Irr. m -*T r.ri .'i ' VI.,
vasculaire diiluse, qui. ne me parait être v autre, chose. que, la lésion typique de la paralysie, générale observée chez l
? "non /.m ., '< .-H-0\fïifl'> ? I ^«b " Etudions d abord les lésions ultimes, qui présentent un ^fm tt·.t^o. Irrt w1
àt parâlysie"' généralé et' des hémorrhagies méningées, quoique ces lésions n aient pas de rapport direct avec la question,
X. '1 L Î. , 1 '-%'tL'lVJ1f ? U .n ..v v -n ' tabétiformes. Cette lésion explique parfaitement les douleurs, ies,trouble
pie-mère'rachidienne participent au. processus morbide, et ici la lésion est franchement, syphilitique, c'est la goinme.,1
a goinme.,11,est bien évident "d'ailleurs qu'il ne s'agit pas d'une lésion hété- n ,.TrfTafT( î."»» T " .Tl M'I I nflu ? l
ene suraioutee, car on trouve tous les. intermédiaires, entre cette lésion gommeuse et la lésion diffuse des capillaires ; c
trouve tous les. intermédiaires, entre cette lésion gommeuse et la lésion diffuse des capillaires ; c est lé même'. proce
t, en bien des points, un caractère franchement nodulaire, mais les lésions les plus considérables portaient sur les veines
entait aucune trace de prolifération, et que, par consé- quent, les lésions veineuses de la syphilis ne sont nullement comp
lésions veineuses de la syphilis ne sont nullement comparables aux lésions artérielles ; lorsque l'endo-veine est atteinte
es veines elle entraîne l'hémorrhagie. Enfin, je rappelle que les lésions gommeuses se surajoutent parfois à la méningo-e
comme on les voit, dans des cas rares il est vrai, s'adjoindre aux lésions du tabes; on trouve dans la littérature médical
tique ; or, l'examen histologique des reins a montré l'existence de lésions scléro-gommeuses, traces indé- niables d'une sy
, on a trouvé, dans ce cas particulier, du côté de l'encéphale, les lésions ordinaires de la méningo-encé- phalite diffuse
a méningo-encé- phalite diffuse syphilitique, et dans la moelle des lésions tabé- tiques qui me paraissent indiscutables. L
u réticulûm"des"colonnes de Clarke, l'aspect caractéristique 'de la lésion "bulbâire pour être édifié à cet égard. En outre
ulbâire pour être édifié à cet égard. En outre, on a rencontré' des lésions vasculaires qui me paraissent surajoutées, car
seaux dans* Ji l'àtaxie locomotrice. Rien n'est yariable'co'mme les lésions rem- \ contrées dans cette maladie, suivant les
rébrale; peut-être's'agit-il du inème ,f ïirocessus,'des ., ? mêmes lésions que celles qui constituent là inénin ? o-ryélit'é
sale supérieure, de la deuxième à la cinquième racines dorsales, la lésion est beaucoup plus intense ; il existe là un vér
ilitique scléreuse ; dans l'état actuel de nos connaissances, cette lésion , qui procède 'd'une infiltration embryonnaire des
Gowers et cérébelleux direct, n'offrent rien d'intéressant, mais la lésion du faisceau pyramidal croisé se présente sous u
e' faisceau : l'une; au-dessous du foyer, est descendante, c'est la lésion habituelle, la conséquence de la dégénérescence
et, par conséquent, ne semblé pas soumise à la loi de Waller. Cette lésion ascendante existe dans les cas anciens de lésio
i de Waller. Cette lésion ascendante existe dans les cas anciens de lésions transverses; je l'ai déjà vue dans un cas de co
e cellules migra- trices dans les gaines de myéline; cette dernière lésion , véri- ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX.
tubes qui sont restés sains.. , 1 .0l'i On pourrait croire que les lésions cellulaires des cornes', qui remontent si haut,
r- prétation. * > ,9t -i ', Il faut'encore rapprocher de cette lésion insolite l'aspect singulier que prennent les ce
qui, expérimentalement, est arrivé à la conclusion suivante : .une lésion d'un nerf crânien moteur ou d'un nerf rachidien
u pyramidal vient d'être 'décrite par il. Sottas dans quatre cas de lésion syphilitique trans- verse de la moelle épinière
s la'dépendance'de la' syphilis.' Or,"l'aut6psie'nous'amontré des lésions qui portaient sur deux points de'l'arbre vasculai
apillairesrde'l'écorceéérébrale : · vilyNrYy ? 4t 1t'; - ? «,;»' La lésion des gros vaisseaux estTendartérite oblitérante de
rtérite oblitérante de Heubner ; c'est la trace; la cicatrice d'une lésion embryonnaire' dans la tunique'externe'; bien 'q
rale syphilitique; la seule diffé- rence qui existe,'c'est.'que.ces lésions sont prédominantes sur des capillaires plus fin
fins. .5 m · r r. , · ? J h >» , Ce cerveau est donc le siège de lésions vasculaires diffuses, avec très peu de particip
vérifier récemment. -" /» ^ >» Dans le cas actuel, l'absence'de lésions des éléments nerveux explique l'absence1 de tro
' comme' on peut'le "supposer,'d'après'la'marche de l'affection, la lésion vasculaire était arrêtée et comme figée dans so
SYPHILIS DU,. SYSTÈME NERVAUX. '133'' diffuse *. syphilitique, les lésions vasculaires précèdent toute lésion,des éléments
diffuse *. syphilitique, les lésions vasculaires précèdent toute lésion ,des éléments nerveux; ce sont les vaisseaux qui c
ois observations que je viens de rapporter,, la première montre,des, lésions ,vasculaires diffuses de l'écorce cérébrale qui
ffuses de l'écorce cérébrale qui se continuent directement avec des lésions gom- meuses,des gros ^vaisseaux ;. la seconde m
s gom- meuses,des gros ^vaisseaux ;. la seconde montre les. mêmes lésions vasculaires, mais limitées à l'écorce; dans la tr
l'arbre vasculaire et limité à des capillaires plus fins ; quelques lésions anciennes trahis- sent pourtant la participatio
participation antérieure des gros vaisseaux. Dans les trois cas, la lésion cérébrale était associée à diverses lésions dif
Dans les trois cas, la lésion cérébrale était associée à diverses lésions diffuses de la moelle, que l'on s'accorde aujourd
sus syphilitiques ; dans l'observa- tion 11, il y avait de plus une lésion tabétique des cordons pos- térieurs. Enfin, de
s morbide dans son entier. Mais, dans les cas moins complets, où la lésion des capillaires ne s'accompagne pas de lésion d
moins complets, où la lésion des capillaires ne s'accompagne pas de lésion des gros vaisseaux, elle n'en a pas moins les m
e des circonvolutions, les cellules nerveuses s'altèrent et la z -- lésion de l'écorce devient irrémédiable.^Il en est ainsi
de rapporter ces faits à leur véritable place dans la nosologie. La lésion médullaire qui correspond à l'encéphalite inters-
i, soit la dégéné- rescence dès faisceaux pyramidaux, soit ces deux lésions com- binées. Quel est le lien, indiscutable, qu
fait que, sans qu'il y ait de'' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 139 lésions ophlalmoscopiques, on trouve soit un rétrécisseme
ne s'agit pas là d'un cas de folie sympathique essentielle, car les lésions somatiques observées ont été posté- rieures aux
cer qu'un délire sympathique peut éclater à l'occasion de certaines lésions orga- niques ; que ce délire, alors même qu'il
us inflammatoire étendu à toute la moelle cervicale et dorsale. Ces lésions anatomiques peuvent être considérées comme l'ef
ages optiques et interruption des coordinations optico-acoustiques, lésion probable des centres opti- ques. Chez le second
e des images commémoratives des impressions acoustiques des mots, lésion probable du centre auditif gauche. Pas d'autopsie
se montrent des symp- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 153 tomes de lésions en foyer : monoplé;ié, hémiplégies, rigidité de
uque, fièvre variable suivant la localisation ou apoplexie quand la lésion occupe les ganglions centraux, des troubles de la
myélie chez un syringomyélique. L'autopsie montre l'existence d'une lésion tout à fait localisée de la partie supérieure d
eure et les cordons de Bunduch. Pendant la vie rien n'indiquait une lésion de cordons postérieurs; aucun trouble de la sensi
UE et observation publiée par WEST- PHAL sous LE TITRE DE Un cas de lésion du système nerveux à dia- gnostiedouletix in Cl
ur, ce qui indique un double foyer occipital (un dans chaque lobe). Lésion vasculaire syphilitique. Cécité psy- chique et
? -. , ... ciennete seule dune, vésanie; par suite^sans' doute des lésions ? n ? i ? rsm,tJnmnr 'i t matérielles .que la v
qu'une 'ionuniquéqui itité ? seàlafoi-lâ'd"' et la partie qu'une lésion unique qui intéresse à la fois la dure-mère et la
cette partie malade de''la' dure-mère, le cerveau est lésé, mais la lésion ducerveau est plus étendue que celle de la NOTE
anti feramoDissemèntest'de moins en moins prononcé. Les bords de la lésion " n'en sont pas1 moinT très nets,' et il existe
? celles" qui ne' le sont pas. ? Voici'les limites exactes de cette lésion cérébrale : n4yATir< ? tfi .r srrp flià4t'yq,%
a'trbisièmë ? 1 "giti41li tl'IJ Lq) A l'aspect, il semble que cette lésion est de nature inflammatoire : il paraît évident
antérieures, ce qui, cause plus tard la dégénératiou ; finale- ment lésion des'cellules sécrétoires'et'vaô=motrices. J.-B.CI
sie amnésique; accès de dyspnée. Mort en octobre) 1890. Aulop- sie. Lésions avancées caractéristiques des cordons postérieurs
t ? · LrT, n,r,·1" g ? t^ ? > ,» i«" 11 est probable qu'il y1 a' lésion d'une partie du lobe, occipital. Le traitement
e,diognostic, est particulièrement dif- ficile quand il y ad;autres lésions de la moelle,) telle que l'hyper- 192 t REVUE,
surtout l'oeil droit, au- dessus de l'horizontale.. Diagnostic : , Lésion du noyau des oculo- moteurs communs, dans la ré
eti le réflexe) pupillaire intact, on devra la rapporter, à.- une, lésion 3 I)ilatéi,ale de la région occipitale. La céci
lésion 3 I)ilatéi,ale de la région occipitale. La cécité due.'à;une lésion des deux lobes occipitaux tantôt ,se montre en
e plus les difficultés que présente la détermination du siège des lésions cérébrales soudaines. Sans le brusque^arrêt respi
verbale, dit l'auteur, n'est pas nécessairement le résul- tat d'une lésion centrale'. L'intelligence des,mots peut être supp
IV. UN cas DE CHORÉE PROGRESSIVE (héréditaire, d'Huntington) avec lésions anatomo-patiiologiques ; par P. Kronthal et S. Ka
tres ano- malies de formation, on se trouve en présence de dix-huit lésions grossières dont il est aisé de faire l'étude cr
res dont il est aisé de faire l'étude critique en les comparant aux lésions semblables' relevées par les auteurs. On se, trou
bles' relevées par les auteurs. On se, trouve alors en présence des lésions suivantes dont on ne trouve pas mention ailleur
ma- nège,qtii*a, lieu du'côté opposé. la destruction provient de la lésion de la partie correspondante de l'écoi,ce'et, de
I U DES ALTÉR.1TIONSDU7·BOUT^CENTR : 1L7 DU\J NERC moteur après la. lésion du bout, périphérique; par L : DARESCIIEWIT3CH. (
as de tabes dépourvus de complexité, tiennent exclusivement à'une lésion des racines postérieures dans' leur, trajet intra
i. raal rr <l<<5l ' ? .·. 1., . ,. Quatorze observations., Lésions ^des fibres, nerveuses, du tissu conjonctif int
du tissu conjonctif interstitiel 'et des cellules elles-mêmes ? Ces lésions sont : à pigmentation. anormale,- état trouble
.·. , - P LI ses ravages. ,;Mieux encore, dans le ? voisinage de la lésion .de· la moelle, se dévetoppe une périnévrite qui
s cordons pos- térieurs et latéraux ainsi' que dans les racines ? 1 lésions vasculaires de moyenne intensité. Bulbe : dégén
le'faisceau pyramidal, tandis qu'il â`épar=nP le noyau du facial.. Lésions isolées dulnoyati de.l'oculo-moteur externe, de
peut encore observer assez longtemps' lé bronzage de' la' peausans lésion sur- rénale, ou la lésion surrénale dans bronza
z longtemps' lé bronzage de' la' peausans lésion sur- rénale, ou la lésion surrénale dans bronzage' cutané. '' ' R. 11. C :
sang fluide; sans aucune trace'de caillot organisé; l'aspect dé'l ? lésion , soit à l'oeil n u ? soit'aéC'rnieroscope, n'avai
là poche. Il fait remarquer en terminant que dans ces deux cas, les lésions observées'peuvent aussi être rap- portées à' un
a théorie hémorrhagique ne rend que très difficile- ment compte des lésions observées dans le deuxième cas. " ' R. DE MUSGR
n, ou de la combinaison' polymorphe'de' Ja'syringo- myélie avec des lésions diffuses ou systématisées de la substance blanc
elle dorsale ; 3° cas particulièrement difficiles dans lesquels la" lésion ,1 en forme' de tumeur, fuse dans la moelle dors
ette dénomination, il faut comprendre, non les cas dans lesquels la lésion syringomyélique en se propageant au bulbe provo
ropageant au bulbe provoque des symptômes bulbaires/compliquant des lésions anté- rieures, mais les cas rares dans lesquels
uant des lésions anté- rieures, mais les cas rares dans lesquels la lésion d'amblée se déve- loppe dans le bulbe et produi
tIL.Gm m" 1 z >. , . XXVIII. CONTRIBUTION A" LA connaissance DES LÉSIONS spinales observées dans le cours de L'ANÉMIE PE
nrevanche; quelques symptômes* s'y joignent qui appartiennent à la' lésion des cordons latéraux : ,L'auiopsie explique ces
ence exception- nelle'des fibres fines') : des'colonnes de Clarke.j Lésions des parties moyennes des zones radiculaires ;4
a 1 in«. ? . M' On's'eipliqùé),leidéfautf.de, concordance entre les lésions et le tableau clinique, et surtout la conservat
Celle ['de Pitres et Nothnagel est excellente pour, localiser, les lésions internes des organes de l'encéphale et elle per
sant 1 à , travers (le crâne et l'encé- phale (Griesinger); si' les lésions siègent dans la. fosse^ postérieure du crâne, o
- toine). La mort est déterminée non seulement par la gravité des lésions locales provoquées par'la multiplication.des baci
dans les centres, nerveux. Leur mort-l n'est.pas en rapport avec la, lésion locale.t,mais avec la présence^ des bacilles in
le occasionne ses ravages. Mieux encore : dans le voi- sinage de la lésion de la moelle se développe une périnévrite qui,
i[r., ? r tmar. p : rrmrrhrl3lr : m. ( ? t.'r-t dans le tabes. Les lésions des fibres nerveuses croissent du centre à la p
ffrt.)t9fifforjTqoiQ >,6q 3nsJà`u iiieb 2·.· ? w Kd r i ' XLVI.j LÉSION DES ARTICULATIONS ETUDES MUSCLES DANS LES HÉMIPLÉ
* ... 224 ' REVUE'DE THÉRAPEUTIQUE. i ? r , t .1 ? ? ... XLIX. LÉSIONS DE LA C.4LOTTE dans LA PROTUBERANCE avec remarque
juin 4892. Vingt-neuf observations montrent que certains signes de lésions cérébro-spinales dues à l'ergotisme paraissent
l'autopsie on constate : à toutes les hauteurs de la moelle il y a lésion de' la zone' radiculaire po'stéro-médiane, du s
e la' substance ! intermédiaire aux dépens des fibres nerveuses. La lésion , qui'a terminé'son évolution, remonte à l'âge d
raison des symptômes observés durant la vie des malades avec les lésions encéphaliques constatées à leur autopsie. Ses a
d'une affection quelconque; à son autopsie on trouve, en outre des lésions qui ont causé sa mort, une plaque jaune ancienn
de le rapport de cause à effet entre le symptôme hémiplégique et sa lésion provocatrice. Et si dix fois, vingt fois, cent
dix fois, vingt fois, cent fois, ce même symptôme coïncide avec une lésion siégeant dans le même point du cerveau, si, par
ion siégeant dans le même point du cerveau, si, par surcroît, les lésions occupant d'autres points de l'encéphale ne coexis
vec le symptôme en question, n'est-il pas légitime de penser que la lésion localisée commande le symptôme spécia- lisé et
n'ont pas été régulièrement notés durant la vie des malades et les lésions minutieusement décrites après leur mort. Dans
ont indépendantes de l'appareil moteur intra- cérébral et que leurs lésions destructives ne provoquent pas de paralysie des
yons que, loin de siéger sur les circonvolutions postérieures, la lésion est placée au milieu du lobule pariétal inférieur
ctrines'. D'autres fois la description est incomplète. Une grosse lésion a attiré l'attention pendant qu'une ou plusieurs
Une grosse lésion a attiré l'attention pendant qu'une ou plusieurs lésions plus petites restaient inaperçues. Auburtin rac
ans le service de Trousseau, on trouva seulement à son autopsie une lésion .corticale siégeant sur l'hémisphère droit. Bro
voir le cerveau. Il constata qu'il exis- tait, en effet, une grosse lésion du lobe pariétal droit, mais il ne borna pas là
s cérébrales, avec un soin méticuleux, et à des- siner aussitôt les lésions , ou, tout au moins, à en marquer la topographie
circonvolutions seront passées en revue une à une. S'il y a quelque lésion corticale, elle sera aussitôt dessinée ou repor
cune d'elles et en reportant sur des schémas la topographie de leur lésion . On n'oubliera pas, en terminant, d'examiner la
ude des localisations cérébrales. Les cas simples dans lesquels une lésion ancienne bien limitée a donné lieu à un ou plus
paraisse à l'autopsie, équivaut presque sûrement, en réalité, à une lésion diffuse. De là cette seconde règle de la méthod
t impropres à l'élude des 'localisations cérébrales tous les cas de lésions mzclliples ou diffuses, de mé- ningites, d'encé
dont le point de départ ne peut pas être uniquement cherché dans la lésion révélée par l'examen nécroscopique. Nous ne vou
. Si, par exemple, il existe un appareil moteur'intra-céréhral, ses lésions destruc- tives doivent nécessairement donner li
ement donner lieu à des paralysies motrices ; mais par contre,' les lésions destructives des autres appareils intra-cérébra
'autopsie de tous les malades atteints de monoplé- gic crurale, une lésion du lobule paracentral du côté opposé, si invers
n'ont pas présenté de monoplégie crurale, nous ne trouvons pas de lésions du lobule paracentral, alors, mais alors seulemen
ontrant la coexistence cons- tante d'un symptôme déterminé avec les lésions d'un territoire cérébral également déterminé ;
égatifs prouvant l'absence constante de cet même symptôme avec les, lésions , de toutes, les autres parties du cerveau. "..
es symptômes' ou dans celle de la. distribution topogra- phique des lésions , maisriparce qu'iljyra'dans l'étude de la patho
révèle aucune altération des centres nerveux l'absence» absolue de lésions sera; par elle-même, une raison suffisante pour
difier les aptitudes fonctionnelles desT hémisphères cérébraux. Les lésions qui causent l'aphasie motrice 'siègent habituel
sition des organes cérébraux et deviennént'aphasiques par levait de lésions des- tructives du pied de la troisième circonvo
asll'rendr'très 'difricilè'l'iterprétatio'W exacte des rapports des lésions aux symptômes.1' ,r '^ ` ', " ' - Exemple' : La
" ' - Exemple' : La cécité 'verbale è`st' ôrdinairementliéé.à des lésions de la région du pli courbe'de l'hémisphère gauche
rveau' est' l'organe de la pensée, ni Broca pour fixer le siège des lésions qui déterminent l'aphasie. ' ' ? ' '' y b. ( 1
ni'rsur les circonvolutions ? ni ? sur' la- capsule 'interne''une" lésion ? si . Ailhives, t. XXVII. fs - 274 DE^THÉRAl
ion ,11e/ pouvait' pas avoiri ilnél action(, biènJèfficaca sur les' lésions * cérébrales qu'occasionnents les diverses9 ! f
ià ? rimitive, . 3j, et, les Ï.8ÏJ& REVUE- DE- THERAPEUTIQUE^ lésions des os du crâne, , comrne*iSecondaires ;;et .d'au
te des maladies inflaiiffiiatoiresrdes, méninges^ cérébrales,9 ùnê' lésion 'qui, "pbur'lùi, éttdûê-plutôt`a'de's troubles
re, il trouva' que1 riiémb*rrhagiérêst iâ condition1 première dé la lésion , 'et,que,rpar>conséquerit,/ l'inflammation '
jl-'ll ? ' (Amei-ican Joiti-n 1-7 ? donc analogie entre 'ces' deux1 lésions . (American Journal of insa- H'1893' ) etlül .1
absolue apparente du bulbe olfactif gauche, il est probable que les lésions destructives avaient atteint le *, ZD - 'l' ale
l'analyse (.d'un travail, très^ intéressant ? intitirlé : Un cas de lésion secondaire de la couche optique et de la région s
n délire de persécution, les résultats de l'autopsie qui montra des lésions de méningo-encéphalite localisées au niveau du
sanguines au niveau de la région sylvienne. 5fême prédominance- des lésions (épaississement des méninges et adhérences) aux
utations épen- dymaiires (ventricule latéral et moyen). -Absence de lésions en foyer danslesdénxrhémisphères(fzÿ.-28) ? ;'
ules inflamma- toires leucocytaires. ? sur les vaisseaux de la La lésion vasculaire porte'non-seullem les vaisseaux de la
olou,emeiLsintra-cor- ticaux"de là pie-mère. présentent les,. mêmes lésions ..A l'intérieur dé éertains'vais âûx,;et quelque
Les cellules pyramidales, .présentent en certains endroits (car les lésions sont discrètes), à leùr" péri phérii . (espace-pé
là d'une invasion'de la7ééil-ul nerveuse* pàr'des-phagocytes. Cette lésion intéresse la plupart des couches de Meynert; elle
l'épendyme ventriculaire)' et par ceux de l'exameiiMiistologique ( lésion des cellules nevrogliques, des vaisseaux de 1 eco
t ? tt ? . wn r L u< ? i-n - 'titit ! daims par des leucocytes, lésions médullaires)... , - i ti Li ii point plus intér
...,rr t .*. , if. ;ntt tains territoires de l'écorce, soit même de lésions circonscrites surajoutées (foyers d'hém6rrao;ië
intercurrente' (pneu-, monie), nous pouvions espérer rencontrer des lésions encore t' ) ! 4·r . p··· t4 r» . a-t .. v . vit
' *< 1î ? l*i" " ? j-1,fi ? K ' 0 , ment des dentsctenait a une lésion 'des centres moteurs de ? tm.tt ? t""1t f't ? ? ?
nov. 1879.) Localisations cérébrales dans la paralysie gé- nérale. Lésions ^ accidentelles (congestions et hémorragie cortica
entre les troubles, de la motilité dans' la paralysiegénéràleetfles lésions de la couchel.corlicale'descirconuolu- tions fr
ifs, puis, paralysie, isolée double des. muscles. masticateurs, par lésion unilatérale du tiers inférieur de la circnvolüt
fiûlté pouru ouvrir la bouche, mouvements très, limités; autopsie : lésions t bilatérales, insula et piédde >i'3, partie
et comme re exe provoqué, chez"'dè's'hy's'té'ri'q ù"'I es "p"àr"lés lésions dès dets,"d'makillaie, chez des1 hystériques, p
r"lés lésions dès dets,"d'makillaie, chez des1 hystériques, par lés lésions des dents, du maxillaire, des traumatismes; rap
ysiériqués, ,dans 1 epilepsie ? absinthique expérimentale, dans les lésions circonscrites' du ' « "- - ' ' E ? ' ' '1'-% 'à
sation. Accès mélan- coliques secondaires. - ' ' e) A l'autopsie, lésions de méningo-encéphalite, symétriques dans les de
Il expose tout d'abord que, pour Iui{'']a cause primitive de cette lésion anatomique'est un facteur physique, lequel n'est
tout au microscope sous de faibles grossissements. tèpériode' 'la lésion peut disparaître, sans' laisser d'autres traces
isés par l'abondance compensatrice du liquide céphalo-rachidien, la lésion passe à la deuxième période : il se fait à trav
atique ; il se condensé -facilement, s'il est mis à nu ou en cas de lésion ; mais il est très 374 REVUE D'ANATOMIE ET DE PH
dation, et. provoque ainsi une impulsion qui détermine une sorte.de lésion locale centrale, avec vibrations en retour le l
r'mâriquer; mais 'alors' l'action centripète- se traduit3 par' u`ne lésion centrale; qui peut être mortelle, ou siiion-ell
89b é usil i nu an oh Jq d.9'ItLG(JrLtlTT eecmoiy 2t1 fiez LUI. Les lésions dans la paralysie générale; par le Dr J DAGON>
les diverses opinions émises sur là nature aiiato- ^mique, et, les, lésions complexes de^, la, paralysie générale. Tout t d
e, lui, laisseï- encore son nom clinique. En 1 ce , qui concerne la lésion primitive de la paiaivsie générale, Calineil- eja
itaüshÿ'attrihua âu tissu' interstitiel' le principal rôle dans les lésions histologiques de' la paralysie générale. Il se pa
pour la`cirrhose;Fla lésion' primitive serait interstitielle et la lésion secondaire parenchymateuse : le rôle prin- cipa
ché MI Dâôtiet;` apr8s ses propres' recherches; à ' savoir-'quë la' lésion primitive," le 'point' de départ, est iadegéué-
épart, est iadegéué- rescéiice dés'fibres nerveuses; tandis'que les lésions des vaisseaux, des cellules-nerveûsessont`secon
tes, ces fibres, ajoute M. Schiitz, doit être, considérée comme une lésion de système, ^'comparable à la dégénérescence de
es,et Notlinael doivént,étre,préférées,quandjôn véut 1 i'* dier les lésions du centre; ovale ? il est des. cas dans lesquels
leuse.j-v- h 0 af[ ! )0(n ef .,<,« ^n'-i ? Dans bien des cas, de lésions , profondes, on,a avantage à enlever l'encéphale
, le,tabes, le muscle çil aire : est,constammentlres ? pecté par^la lésion * dâns : lespremières.périodes del l'affection,^ £
atioils ? pour i lesquels ? de,- par »une» force inéluctable ? les' lésions du' P tabès- doivent être confinées 'aux cordon
lle et le cerveau, de tabes à l'autopsie( desquels on, à-trouvé des lésions de circonvolutions' cérébrales ? bien que penda
Jieu.aux accidents, habituels ; récemment il était soigné,pour,des lésions tertiaires, parxM . ,1e . D-j j.Cordier, (de Ly
e ses recherches sur les réactions, électriques dans les maladies à lésions ,, spinales; polyo- myélite antérieure, atrophie
n presque illimitée de quelques semaines à sept ans. Donc, dans les lésions nerveuses graves la cause, l'étendue et le cara
lésions nerveuses graves la cause, l'étendue et le caractère de la lésion ont'souvent'plus d'impor- tance au point de vue
ubles de. la motilité des pupilles (19 paralysies unilatérales z 32 lésions de nerfs). Il est bon de rapprocher de ces fait
s utiles. L'un est intitulé : Mémoire sur le mutisme produit par la lésion des fondions intellectuelles ;, l'autre : De l'
té des champs, d'où la nécessité de lutter non seulement contre les lésions cérébrales qui ont occasionné l'arrêt de dévelo
iaiit le tronc du poplité externe au niveau' du point où' débute la lésion ,' c'est-à-dire à la partie tout à fait 'supérie
alisations, par, Charcot et Pitres, 241. - .. Anémie pernicieuse, lésions spinales dans le cours de l ? par Naine, 212.
NE, de-Suède, par Sarbo, 51 Chorée, un cas de -2 progressive avec lésions anatomo-patholoôl; ques, par .Kronthal et;Kalis
et du trijumeau, par Hoe- sel, 203, 219. /)' -, z 1 -.t j Coeur, lésions organiques du non soupçonnées durant, la.,vie c
is- tes et neurologistes de France, 77, Couche optique, un cas de lésions se- condaires de la-, par Ncehanu,210. Couche
s d'-cérébrale ' consécutive à la diphtérie, par , Seifert, 192 ; lésions des artères et des muscles dans les cérébrales,
, 1, Nerf moteur, des altérations du bout central du - après' la- lésion du bout périphérique, par Darksche- witsch, 1
hallucinations mo- trices verbales dans la-- -, par Sérieux, 321; lésions dans la -, par Dagonet, 377. ` ' w - " ("I Pa
réface, par Boui-ne%ille, 463. ? » .<<-3 le Selle turcique, lésions anatomo-pa- '' tttotogiques de la-chez les alié
écouvertes ' '' récentes * sur ' le ? par Baker, 150; un- cas de- lésion du ? à 1 diagnostic douteux, par Westphal, 15
41 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
cela était impossible. Il tombait toujours à gauche (du côté de la lésion ). Pas de déviation conjuguée de la tête et des
e des lèvres est légèrement abaissée il droite (du côté opposé à la lésion ). Du reste pas de paralysie faciale ; le malade
alisée des artères les hémisphères cérébraux ne présentaient aucune lésion macroscopique, ni atro- phie, ni ramollissement
de la né- vroglie, mais les fibres nerveuses y sont normales. Les lésions de l'olive gauche (PI. I, B et PI. Il, C) sont su
ra- tion il la nécrose de l'olive gauche comprimée, et ceci est une lésion importante à signaler, car elle n'a pas encore
che au voisinage des vaisseaux, mais pas de lé- sions en foyer. Ces lésions anatomiques sont tout à fait analogues à celles
seulement au point de vue clinique, mais aussi et surtout quant aux lésions anatomo- pathologiques. Les cas bien observés d
ez rares dans la littérature médicale, et la symptomatologie de ces lésions est encore très peu connue, spécialement pour l
ptomatologique permit dès le moment de l'attaque de reconnaître une lésion du cervelet ou de la calotte protubérantielle(ata
rtère vertébrale est loin d'être encore suffisamment éclaircie. Les lésions anatomiques se- condaires qui sont la conséquen
sont bien en effet, comme nous venons de le voir, les symptômes des lésions cérébelleuses et protubérantielles qui ont été no
ntense de régions cérébrales très impor- tantes. Malgré les grosses lésions organiques de l'encéphale, dont nous avons parl
ent entravée dans tout le domaine de l'artère vertébrale gauche. La lésion n'était toutefois pas assez grave pour entraîne
iée du même côté, doivent être certainement mis en rapport avec les lésions plus graves qui se produisirent à cette époque, l
e, la destruction com- plète du pédoncule cérébelleux supérieur, la lésion du ruban de Reil, etc. Quant aux troubles propr
tion et de la respiration ; puis des symptômes plus prononcés d'une lésion grave du bulbe, les vomissements, l'anarthrie et
copiques. ANÉVRYSME DE L'ARTÈRE VERTÉBRALE GAUCHE 19 Malgré une lésion accentuée du nerf acoustique gauche, l'ouïe n'éta
déjà observé sans doute à diverses re- prises ce syndrome dans les lésions bulbaires, mais on n'en a pas trouvé jusqu'ici
rattacher avec une grande probabilité l'ataxie des mouvements il la lésion de ce ruban, ainsi qu'à celle de la formation r
, tandis que l'acte cérébelleuse serait plutôt la conséquence de la lésion du corps restiforme. La tumeur anévrysmale avai
e de ces faits que l'on peut compren- dre la distribution des fines lésions anatomiques de la protubérance et du bulbe. L
irement ANÉVRYSME DE L'ARTÈRE VERTÉBRALE GAUCHE 21 à la suite des lésions que la même compression exerçait sur l'olive gauc
lle qu'on l'observe le plus souvent dans la syringomyélie parmi les lésions orga- niques. Tandis que la sensibilité au cont
atomique satisfaisante de ce syndrome, et de le rattacher à une des lésions recon- nues. ' Ainsi que nous l'avons déjà re
s du bulbe et de leurs noyaux, on n'observa pas des symptômes d'une lésion proprement bulbaire, ou du moins on ne put cons
r que de légers troubles qui pouvaient se rapporter à une semblable lésion . L'articulation de la parole n'avait pas les ca
nt des troubles sérieux de la respiration et de la déglutition. Les lésions anatomiques offrent un intérêt aussi grand que le
ux destructions du cervelet observées cliniquement. D'autres cas de lésions d'un hémisphère du cervelet furent publiés réce
diminué d'en- viron un quart de son volume du côté de la principale lésion cérébelleuse. Quant au noyau du corps restiform
Pour Mingazzini l'a- trophie contra-latérale du cervelet après une lésion de l'hémisphère céré- bral du côté opposé s'acc
l'hémisphère céré- bral du côté opposé s'accompagne toujours d'une lésion du thalamus et du noyau rouge siégeant du même
e lésion du thalamus et du noyau rouge siégeant du même côté que la lésion cérébrale et consécutive à cette dernière. Or,
couches optiques à droite et à gauche. Il ne paraît donc pas qu'une lésion homolatérale du thalamus soit la condition néce
it faite. Le reste du corps semblait à ce moment in- demne de toute lésion de ce genre. Le semaines suivantes apparurent des
e complète, le poumon est fortement t congestionné. Il n'y a pas de lésions tuberculeuses. Le coenr a son volume normal ; l
lisse. Le parenchyme est de consistance ferme, la coupe lisse sans lésions macroscopiques. La vési- cule biliaire renferme
intermédiaires à deux neurofibromes ne sont pas toujours indemnes de lésions . Si les uns sur les coupes longitudinales et tr
le. . Les vaisseaux cutanés sont malades. Ils sont sclérosés. Et la lésion a son maximum d'intensité au niveau de la tuniq
quadriceps crural) - sont profondément altérés. (Planche VI, E.);La lésion est constituée par une 36 PIERHE MARIE ET A. CO
roïde, les reins examinés histologiquement, ne pré- sentent d'autre lésion importante que de la sclérose des vaisseaux. Sur
atose chez notre malade ; au point de vue anatomique l'existence de lésions squelettiques singulières, de lésions mus- cula
vue anatomique l'existence de lésions squelettiques singulières, de lésions mus- culaires, de fibromes intestinaux et de fi
pement progressif au cours de celte neurofibromatose généralisée de lésions squelettiques localisées au thorax et à la colonn
ervations le rapport de causalité entre la neuro-fibromatose et les lésions osseuses n'apparaît pas avec toute l'évidence q
AIRE dante bouillie rouge ». Ces altérations sont il rapprocher des lésions que nous avons observées. i A côté de ces lés
rapprocher des lésions que nous avons observées. i A côté de ces lésions squelettiques, nous avons observé des lésions mus
vées. i A côté de ces lésions squelettiques, nous avons observé des lésions mus- culaires. Ces lésions nous ne les avons tr
ns squelettiques, nous avons observé des lésions mus- culaires. Ces lésions nous ne les avons trouvées signalées dans aucune
os coupes histologiques de divers muscles,nous avons pu étudier les lésions du tissu musculaire. A l'oeil nu les masses muscu
malade est un fort buveur, a des digestions mauvaises, mais pas de lésion viscérale. Les urines sont acides et contiennent
, de pommes de terre, de poisson); on constate encore de nombreuses lésions de grattage consécutives à la dernière poussée
mal. On le considère comme un neurasthénique ; car, en l'absence de lésion organique définie et de manifestations actuelles
parlent de narcolepsie. Le fait qu'on ait trouvé à l'autopsie une lésion organique n'est peut- être pas une raison suffi
certain que nous ne pouvons rapprocher notre cas des sommeils sans lésion organique bien établie ; que nous devons au contr
ablie ; que nous devons au contraire le rap- procher des sommeils à lésion anatomo-pathologique probable ou certaine. Ains
ique mort à l'hôpital Saint-André. Les ver- tèbres présentaient les lésions typiques des arthropathies tabétiqut : 3. Ces*
représentent les malades dans les attitudes que leur impriment les lésions vertébrales. L'étude clinique de- ces faits est
un second paragraphe qui pour titre « Déviations ne relevant pas de lésions localisées », l'auteur pense à l'existence probab
on pensa à une compression des nerfs de la queue de cheval et à une lésion ascendante de la moelle. La gibbosité persista sa
s delà moelle. Ou vérifia l'étal du rachis et l'on ne trouva aucune lésion expliquant la gibbosité conslalée pendant (t) V
ataxiques la possibilité de déviations rachidiennes sim- ples sans lésions localisées : le seul argument en faveur de cette
topsie de l'un de ces malades et nous avons pu à loisir étudier les lésions rachidiennes qu'il présentait. Le musée de la S
alors de se rendre un compte exact de la nature et de l'étendue des lésions osseuses. ' On constate d'abord des arthropathi
ois centimètres l'un sur l'autre. Les deux hanches sont le siège de lésions profondes. Les fémurs sont luxés 130 JEAN ABADI
on- vexité tournée à gauche. Ces déviations sont les résultats de lésions nombreuses qui sont successive- ment les suivan
, sur toute la hauteur de la colonne vertébrale, on ne rencontre de lésions du côté du canal vertébral. Malgré les déviations
PATMES VERTÉBRALES DANS LE TABES 137 Marche gênée à la fois par les lésions articulaires de la hanche et les trou- bles ata
tatées pendant la vie de la malade. Ces déviations sont dues à des lésions des vertèbres, en particulier des vertèbres lom
lésions des vertèbres, en particulier des vertèbres lombaires. Ces lésions sont les suivan- tes : Nouv. Iconographie DE
e que l'affection médullaire, fruste par ailleurs, s'épuise dans la lésion ostéo-articulaire, rapide, intensive et indolente
ité. L'articulation de la hanche et le fémur ollrent à l'examen des lésions considérables. On est tout d'abord frappé par l
e frac- ture du col, à une luxation ou à la combinaison de ces deux lésions . La radio- graphie ci-jointe vient heureusement
veloppe dure-mérienne ou sur tout autre point de son trajet par une lésion syphilitique de voisinage qui l'englobe ou le c
des membres en 1884 ; pas de paralysie vraie. Pendant l'été de 1884, lésions trophiques des doigts et des orteils ; ecchymos
és à cause de la rétraction des tendons fléchisseurs. Peu à peu les lésions cessèrent de progresser. A la fin de 1891, le mal
mme un exemple de polynévrite radièu- laire, or nous savons que les lésions anatomiques de radiculile syphili- tique et le
och et de ses toxines, la possibilité de créer chez les animaux des lésions névritiques par l'injection de tuberculine ains
ite des tubercu- leux dépendait d'une intoxication alcoolique ou de lésions infectieuses surajoutées, du moins dans certain
moteurs, le malade peut être syphilitique et auto-intoxiqué par des lésions du foie ou des reins, syphilitique et alcoolique,
xpliquer l'apparition des troubles moteurs, il faut faire la part des lésions hépatiques et rénales inévitables qui créent de
state alors avec l'absence de névrites périphériques la présence de lésions cellulaires des cellules motrices mé- dullaires
la patho- génie, car une intoxication mercurielle intense crée des lésions hépatiques et rénales, point de départ d'une au
ans l'impossibilité de trouver le facteur véritable qui a causé les lésions névritiques; ces malades sont des intoxiqués au
ujours par la syphilis et le mercure, auto-intoxiqués enfin par les lésions hépatiques et rénales coexistantes. Nous voilà ai
précédée d'un traitement mercuriel intensif, d'abus de boisson, de lésions rénales. La malade présentée par notre maître, le
ntoxication chez nos deux malades, ni alcoolisme, ni saturnisme, ni lésions hépatiques ou rénales. On voit que cette disc
ques sous l'influence d'intoxications multiples, syphilis, mercure, lésions rénales, alcool (cas de Brauer, Raymond, Gilles
our substratum une ressemblance ana- tomique et que, par suite, les lésions des vaisseaux doivent jouer un rôle très second
ren- chymateuse peut être primitive et non sous la dépendance d'une lésion vasculaire spécifique, théorie généralement adm
s attirerons seulement l'altention sur l'extension considérable des lésions dans le cas que nous publions, l'angiome ici pren
ts jusqu'à sa racine comprise dans le sens le plus large puisque la lésion s'étend sur un quart en moins de la paroi thoraci
se présente d'habitude sous la forme simple, consécutivement à une lésion unilatérale de la région pédonculo-protubé- ran
érale de la région pédonculo-protubé- rantielle. Il s'ensuit qu'une lésion bilatérale de cette région pourra déter- miner
nit par succomber dans le marasme. L'autopsie montra l'existence de lésions bilatérales dans la région pérlon- culaire. Une
D). Telle est l'observation anatomo-clinique. L'interprétation des lésions et l'explication des symptômes estaiséeà concev
itement antisyphilitique n'a donné aucun résultai. La filiation des lésions est, somme toute,facile à saisir : artérite nodul
moteur gauche. Donc sous ce rapport l'a- datation des symptômes aux lésions estparfaite. Il est difficile de rencon- trer u
souffrant d'une hémiplégie ordinaire sous la dépendance de quelque lésion organique du cerveau, vous vous apercevrez que,
ire des auteurs allemands, aurait été observée dans des pays où les lésions de la glande thyroïde font presque complètement
e arrive au milieu du hile, pénètre dans le rein, et l'ensemble des lésions permet à peine de reconnaître le parenchyme rénal
l. LXIX, p. 49, cas n° 7. W. IL, vacher, 29 ans. Alcoolique. Pas de lésions viscérales. Bonnes digestions et bonne santé gé
uche puis sur le côté droit. Le mouvement des bras est gêné. Pas de lésions viscérales. Le malade a perdu ses forces : au d
ronostic plus grave. Dans la plupart des cas d'hémiplégie dus à une lésion en foyer du cer- veau, il n'y a pas' de perte d
avail sur « les modifications du caractère de l'homme à la suite de lésions du crâne pour la région frontale » Leonore IVel
nt pas) et. production d'une hémiplégie un certain temps après. Les lésions se font dans la profondeur sans que l'écorce pa
aractères de l'hémiplégie qu'il présente plaident en fa- veur d'une lésion organique des centres nerveux. Il y a en cela p
moratifs révélant une fracture étendue du crâne, nous admettons une lésion des centres nerveux causée par un ou plusieurs
alaire et avoir perforé la grande aile du sphénoïde. En tous cas la lésion n'est sûrement d'origine corticale. Les déducti
iplégie, écartent nettement cette idée. Etant admise l'idée d'une lésion centrale il reste à expliquer pourquoi l'hé- mi
s inflammatoires subaigus et d'un ramol- lissement excentrique. Les lésions devront atteindre en arrière la partie mo- tric
us profondément une dissection, il me serait impossible d'éviter la lésion des gros ^aisseaux et des nerfs importants de l
touchant la fine structure analomique de la cellule nerveuse et ses lésions . 1. Quelques modifications heureuses apportées
les cellules nerveuses pendant leur activité fonction- nelle et les lésions qui résultent d'une intervention expérimentale ou
nerveux. Cette méthode nous montre dans les cellules nerveuses des lésions qui, hier encore, étaient absolument insoupçonn
apport directement proportionnel qui existe entre l'intensité de la lésion et la turgescence du corps cellulaire. On ne
se de réparation, ou de reconsti- tution qui a toujours lieu, si la lésion n'a pas provoqué l'atrophie de la cellule par u
'espèce. Elle varie suivant le mode expérimental ou la nature de la lésion . II résulte de ces faits que les processus de r
u'on la distingue à peine et son protoplasma est en lambeaux. Ces lésions sont-elles la conséquence d'une très rapide et tr
étaient déjà malades lors de l'opération, vu l'état avancé de leurs lésions . Il est peu vraisemblable qu'au 22e jour après la
lules parfaitement caractérisés : des cel- lules qui réparent leurs lésions chromatiques et des cellules en voie d'atrophie
(Presse médicale, Névraxe) ont fait exclusivement cas de ce genre de lésion pour diagnostiquer à coup sûr la rage. Nous a
our diagnostiquer à coup sûr la rage. Nous avons constaté ces mêmes lésions dans une série de ganglions cérébro-spinaux de
irus fixe, avec une intensité variable selon les gan- glions. Ces lésions toutefois offrent une différence dans la répartit
r ce qui est de la vue, l'examen ophthalmoscopique ne révèle aucune lésion du fond de l'oeil ; la vision des couleurs est in
a- raffine, afin de pouvoir faire un examen complet et détaillé des lésions histolo- giques ; des petits fragments de la mo
débris et des déchets protoplasmiques. A ce niveau, il n'existe ni lésions vasculaires, ni prolifération névroglique. 3° C
en certains points de la couche moléculaire. En présence de telles lésions , la réduction des lobes et lobules, lames et lame
clinique si singulier correspondent chez notre premier malade, des lésions anatomiques d'une topographie et d'une nature lié
us petits que normalement, mais sans trace de dégénérescence. Les lésions semblent avoir débuté à la fois dans l'écorce du
cellules des olives inférieures sont atrophiées ou disparues ; ces lésions cellulaires ont eu comme conséquence l'atro- ph
ncipales voies afférentes, est une atrophie primitive, l'absence de lésion inflammatoire et de prolifération névroglique p
couche des grains et cellules de Purkinje. C'est une atrophie sans lésions vasculaires (Lannois et Paviot) (1) ». Ex- cept
laires inflammatoires sont trop peu intenses pour rendre compte des lésions dégénératives. Il s'agit dans notre cas d'une a
e processus morbide ; en raison de la prédilection systématique des lésions pour l'écorce cérébelleuse, les olives bulbaires
cornes antérieures en rapport avec l'atrophie musculaire ; mais les lésions cérébelleuses, bulbaires et protubérantielles son
perposables à celles de notre nouvelle observation; en dehors de la lésion des cornes antérieures localisée au niveau de la
la huitième ra- cine cervicale, la moelle ne présente aucune autre lésion manifeste, les cordons latéraux sont seulement
les s'appuient sur le syn- drome cérébelleux et la distribution des lésions qui intéressent presque exclusivement les olive
PIERRET, Note sur un cas d'atrophie pÙiphèl'iq1f,ÆJ du cervelet avec lésion conco- mitante des olives bulbaires. (2) l\)E
rophie. Arch. sur Psychiatrie, 1891. (3) ROJET et COLLET, Sur une lésion systématisée du cervelet et de ses dépendances
sain du même âge ; il n'y a pas de traces, de dégénérescence, ni de lésions cellulaires ; c'est plutôt un organe petit qu'u
e, mais, par contre la moelle est diminuée de volume, il existe des lésions dans toute sa hauteur, particulièrement prononc
ttement systématisée que dans nos observations, la distribution des lésions en aires sclérotiques suffit à différencier les
fit à différencier les unes et les autres. L'histoire clinique et les lésions anatomiques comprises dans ces diverses observa
150 à 1.170 d'après Schwalbe). L'atrophie du cervelet, l'absence de lésions histologiques dans les deux cas, le caractère f
l'évolution plus ou moins rapide de la mala- die, la coexistence de lésions de siège différent, l'individualité, l'intensité
upçonnée, il n'y a là rien que de légitime, mais nous savons que la lésion peut être de nature très différente ; 'petitess
e, Miura), atrophie scléreuse (Spiller), atrophie dégénérative avec lésions de la moelle (Menzel) ; sclérose de la moelle S
Menzel) ; sclérose de la moelle Si on tient compte de la nature des lésions anato- miques et qu'on en fasse la base d'une c
axies céré- belleuses reconnaissant comme substratum anatomique des lésions de siège 362 J. DEJERINE ET A. THOMAS et de n
il plusieurs affections familiales du système nerveux et due à une lésion intéressant soit le cervelet, soit les voies affé
ocateur de la titubation, ou qu'il reconnaisse pour cause unique la lésion céréoelleuse. Si par contre on dépouille les obse
cas d'anémie pernicieuse rappellent la titubation cérébelleuse, les lésions se localisant fréquemment sur les cellules des
bservation de Menzel, où l'atrophie cérébelleuse est associée à des lésions médullaires de même topographie que la maladie
ulement de la localisation anatomique, mais encore de la nature des lésions . Le diagnostic avec la sclérose en plaques est
'après lui ils doivent être considérés comme la manifestation d'une lésion cérébelleuse et s'ils sont si communs dans la s
ômes de la sclérose en plaques, nous ferons remarquer que, dans les lésions lo- calisées au cervelet et généralisées à tout
orce, ces symptômes ac- quièrent une moindre intensité que dans les lésions irrégulièrement dis- tribuées sur les fibres cé
remblement des membres, symptômes qui peuvent t en imposer pour une lésion du cervelet ; peut-être ces troubles ont-ils pour
si le traumatisme porte sur le bord de l'écaille de l'occipital, la lésion produite a pour conséquence l'hémianopsie. Or n
nce cette affection accompagne l'hémiplé- gie. Il s'agit là d'une lésion de la région calcarine qui est considérée comme
TRAUMATIQUE 373 suffit, pour que l'hémianopsie se produise, que la lésion porte sur le bord de l'écaille, en quelque poin
s radiations visuelles peuvent être atteintes dans cette région. La lésion peut d'ailleurs être produite par l'intermédiai
panchement comprimant la sphère visuelle. Schloffer dit que même la lésion du bord du pariétal correspondant, sans lésion du
ffer dit que même la lésion du bord du pariétal correspondant, sans lésion du bord occipital, ne peut déterminer l'hémiopi
rs un grand nombre d'hémianopsies latérales homonymes à la suite de lésions du bord occipital dans la collection Henschen. Ce
peu. Enfin, il est une autre condition qui importe pour obtenir la lésion des radiations visuelles, c'est la direction mê
ait expliquer une paralysie. D'habitude cette dernière survient par lésion delà région temporo-pariétale, l'os tem- poral
ont immédiatement au-dessous ou dans le voisinage très proche de la lésion et le seul fait de l'enfonce- ment d'un fragmen
ance très importante. C'est l'hémor- rhagie et l'hématome dus à une lésion de l'artère méningée moyenne. Cette artère est
ne moindre épaisseur, et ses branches l'exposent d'autant plus à la lésion qu'elles sont plus nom- breuses. Leur blessure
ipitale ou la région fronto-temporale. En tout cas il résulte de la lésion de l'artère méningée moyenne ou de ses branches
rimées. Au point de vue de l'intervention, il est un autre signe de lésion de l'artère méningée moyenne que Schloffer dit
est pas possible d'en tirer un signe clinique quant au siège de la lésion , car nous n'avons trouvé aucune autopsie qui no
opor et du coma, sont le signe d'un hématome de la dure- mère. La lésion qui détermine l'hémiplégie peut également n'être
lors un arrêt des fonctions qui dépendent de ce territoire et si la lésion gagne du ter- rain, on peut voir les troubles m
lière. D'ailleurs l'hémiplégie traumatique tardive peut provenir de lésions profondes des vaisseaux, sans qu'il y ait ni fr
profondes des vaisseaux, sans qu'il y ait ni fracture du crâne, ni lésion du cortex. Il se produit de petites hémorrhagie
ce d'hé- miplégies et, suivant son siège, la paralysie sera simple ( lésion de la capsule interne, du corps strié, de la co
antérieure de la capsule), de paralysie du moteur oculaire commun ( lésion des fibres radiculaires de III), d'aphasie (lés
oculaire commun (lésion des fibres radiculaires de III), d'aphasie ( lésion atteignait le segment antérieur de la capsule int
s et en dedans, on atteint le pédoncule (fig. XVI et XIV). Donc ces lésions qui sont déjà possibles par plaie pénétrante, l
le). Il suffit, d'après nous. d'admettre l'hémorrhagie centrale, la lésion pédonculaire, plus ou moins proche des centres
us ou moins proche des centres gris pour expliquer cette paralysie. Lésion qui a fort bien pu être favorisée par une prédi
du calibre de 9 m/m. Voici ses conclusions : Il faut diviser les lésions du cerveau, par armes à feu, en trois degrés :
large que celui d'entrée. Les noyaux gris sont de par le fait de la lésion plus fortement déchirés que la substance blanch
e sa moins grande résistance. L'explication du processus de cette lésion réside dans l'action de la pression hydrodynami
ssures du cerveau par armes à feu, ne dépend que de l'étendue de la lésion et il ne paraît pas possible de diagnostiquer l
ndue de la lésion et il ne paraît pas possible de diagnostiquer les lésions particulières. L'expectative est selon M. Bergm
tance nerveuse. Les choses sont d'autant plus obscures qu'en cas de lésion il se forme une sorte de magma de sang et de su
iparésie gauche d'origine centrale. On exprima la probabilité d'une lésion des faisceaux moteurs depuis le centre psychomo
it sont dus à des bles- sures pénétrantes. Tous paraissent dus à la lésion de la bandelette optique. Nous avons déjà dit c
clinique correspond à la situation de la cicatrice.... à une telle lésion correspondent les signes d'une lésion vascu- la
de la cicatrice.... à une telle lésion correspondent les signes d'une lésion vascu- laire considérable : la perte de connais
trant plus avant atteint le cerveau. Nous verrons plus loin quelles lésions sont faites. Avec une tige suffisamment solide
ième circonvolution occipitale, au-dessous du pli courbé. Voici une lésion qui présente donc un trajet assez compliqué. La
é. Voici une lésion qui présente donc un trajet assez compliqué. La lésion pouvait entraîner avec elle l'aphasie. l'épilepsi
la voie orbitaire, rappelons ce que nous avons dit relativement aux lésions faites sur les cerveaux pendant leur formolage,
un cerveau ayant suhi l'opération du formolage : En L se trouve une lésion affectant la forme d'une déchirure; NC, noyau cau
- Coupe de Ficchsing- sur un cerveau également formolé : En L, grande lésion déchirant largement la substance grise et attei
ituation au milieu d'un liquide et à son élasticité propre. Mais la lésion du sinus caverneux serait à elle seule suffisam
l'orbite n'est pas la seule qui puisse se faire et con- duire à la lésion des centres cérébraux. Nous avons trouvé deux c
malaire puis de la grande aile du sphénoïde. Il en est résulté une lésion d'origine centrale. Et il dit en outre que : '&
tre oval. D'après les symptômes MM. Abel et Colmann concluent à une lésion de la capsule interne. En pratiquant une expéri
nou. Au cours de nos expériences nous aurions désiré reproduire ces lésions . Mais nous ne pouvions opérer de blessure sur l
lté- ration de la 111* paire. Il dit quel'hémiparésie est due à une lésion secon- daire de l'encéphale, dans le développem
uvent être intervenus. Et, il formule deux hypothèses : Ou bien, la lésion peut être très voisine de la première altératio
o- encéphalite de propagation. Ou bien, par l'intermédiaire de la lésion d'un vaisseau compris dans la première altérati
moment de la chute, car les renseignements éloignent toute idée de lésion primitive de l'os et des ,cavités de l'oreille.
e Fallope. Cette autopsie est absolument typique et montre bien les lésions telles qu'on les constate dans ces cas. Les dif
re l'hémiplégie. Le traumatisme peut donc produire l'hémiplégie par lésion directe du cerveau ou pour action indirecte ; o
après tout ce que nous venons de dire, le diagnostic du siège de la lésion ne présentera de difficulté que dans peu de cas.
s désagréments considérables. Les accès de colère dépendaient de sa lésion et sa responsabilité devait être dégagée. La
ment radiographié une telle main et rien n'est plus curieux que les lésions ainsi constatées. Le carpe a complètement dispa
tatées. Le carpe a complètement disparu, et de ce point maximum les lésions osseuses s'étendent de moins en moins accentuée
plus proche de la première phal'ange de l'index (Pl. LVIII). Les lésions consistent en effet dans une fonte des os qui son
gure, moins marquées sur l'in- dex, et au maximum au 4e doigt : ces lésions n'ont cependant pas détruit l'épiphyse encore r
ent rapportés à l'immobilisation et aux conséquences ré- flexes des lésions ostéo-articulaires. ' L'affection s'est établie
a augmenté pendant six mois et s'est étendu bien plus loin que les lésions osseuses, puis s'est peu à peu résorbé, pendant
nt. Son caractère et son émotivité ne présentent rien de spécial. Lésions concomitantes. Tuberculose pulmonaire; splénique
ésence des craque- 426 ABADIE ments articulaires est la preuve de lésions déjà avancées (obs. X). Cette opinion est loin,
signe le second groupe sous le nom de déviations ne relevant pas de lésions ostéo-artbropatbiques localisées. Il rapproche ce
éviations simples. Plus tard en raison de la marche progressive des lésions , de leur localisation pins grande en tel point
n donnée par Ilal- lion. C'est la période des déviations dues à des lésions vertébrales locali- sées. Nous verrons par la s
icher (obs. VIII). Le second à la période des déviations dues à des lésions localisées : les deux cas de Pitres et Vaillard
d'une courbure anormale est un effet avec l'al de localisation des lésions la principale caractéristique de la périoc dévi
brusque. A la période des déviations simples succède la période des lésions loca- lisées. La transition est inopinée : elle
raisemblance, les éta- pes successives de la marche progressive des lésions . Il n'en est cependant pas toujours ainsi : cel
bien qu'il existe une transition brusque etbruyante, la période des lésions localisées et des déviations secondaires est dé
déviations secondaires est désormais définitivement installée. Les lésions ont leur siège de prédilection dans la région lom
d'abord, à distance en- suite. La déformation au lieu même de la lésion est le plus souvent constituée par un gibbosité
me malade présentait aussi, d'après cet auteur, un début de la môme lésion (obs. VII). , Ces déformations sont, on le vo
par conséquent un seul type clinique de compensation vertébrale des lésions localisées nous parait impossible et les seules r
es à percevoir. Lescorpsver- tébraux sont plus accessibles et leurs lésions plus manifestes. Leurs di- mensions sont exagér
La percussion violente, brutale, -exercée même au foyer maximum des lésions , ne provoque pas la moindre ' souffrance, la mo
le bassin résiste quelquefois et ne subit aucun retentissement des lésions rachidiennes, il reste intact, même sous une co
les en tous sens. Mais nous savons qu'il peut exis- ter du fait des lésions des vertèbres des mouvements anormaux dans un o
servations : nous voulons parler de troubles de compression dus aux lésions mécaniques des parties molles, Ce sont là, à vr
ation vertébrale, sans point maximum apparent de loca- lisation des lésions . Cette déviation est le plus souvent une scoliose
tive. À cette période succède brusquement celle de localisation des lésions : il y a place cependant en- tre les deux pour
ière période, celle caractérisée par une localisation manifeste des lésions vertébrales. A cette période appartiennent la g
u rien ai sa colonne vertébrale, il oublie bientôt complètement les lésions dont elle est atteinte. Celles-ci continuent à
Pas de modification du champ visuel ni de dyscliromatopsie. Pas de lésion du fond Nouv. Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE
t de six ans on constate une ophtalmoplégie gauche totale. Outre la lésion de la troisième paire gauche il y a encore une
'il n'est pas possible de fixer la date à laquelle a commencé cette lésion , mais comme la paralysie de la troisième paire
us inclinons à supposer que la parésie du nerf facial est due à une lésion se développant aussi très lentement, et que cet
due à une lésion se développant aussi très lentement, et que cette lésion a commencé à une date de beaucoup postérieure. Il
produisant ces symptômes, et quelle est la nature anatomique de la lésion ? En ne regardant que l'ophthahlloplégie, on pe
on ? En ne regardant que l'ophthahlloplégie, on peut éliminer toute lésion dans la cavité orbitaire; on trouve seulement l
e commun, cependant un processus dans l'orbite devrait produire des lésions d'autres nerfs de l'oeil gauche. Parla même raiso
dans le sinus caverneux gau- che, puisqu'il n'y a aucun signe d'une lésion pareille. Si l'on considère les deux lésions en
n'y a aucun signe d'une lésion pareille. Si l'on considère les deux lésions ensemble, nous pouvons éliminer tout processus
t processus basal, quelle que soit du reste sa nature. L'absence de lésions des autres nerfs crâniens après une durée de si
une affection pa- reille devrait produire plus de symptômes que la lésion isolée de deux nerfs. Ce n'est pas une affect
plus une affection radiculaire, puisqu'il n'y a au- cun symptôme de lésions qui puissent produire une affection pareille. Ce
Ce n'est pas une paralysie corticale ou supranucléaire ; il y a des lésions bien nettement isolées, mais aucun trouble des
stablement chez notre malade d'une affection nucléaire : quant à la lésion on doit éliminer une lésion et une tumeur comprim
d'une affection nucléaire : quant à la lésion on doit éliminer une lésion et une tumeur comprimant les noyaux des nerfs m
teur oculaire commun de gauche sont atteints ne peut pas exclure la lésion nucléaire; si l'on n'acceplepas l'opinion de St
de Stona-Row que toute ophtalmoplégie totale est le résultat d'une lésion nucléaire, on doit soutenir la possibilité que la
ltat d'une lésion nucléaire, on doit soutenir la possibilité que la lésion nu- cléaire ne se manifeste pas exclusivement s
arta- gent également. t. ' Il s'agit donc chez notre malade d'une lésion isolée des noyaux de la troisième et de la sept
ou polioencéphalite supérieure chronique. Au fond ce n'est pas une lésion très rare, mais il y a dans notre cas quelques tr
is pu trouver dans la littérature médicale un cas semblable, où les lésions restent pendant six ans restrein- tes sur un se
u de paralysie générale, ou l'on trouve parfois ou même souvent des lésions unilatérales des nerfs du bulbe supérieur, mais l
as a débuté par une paralysie bulbaire supérieure restreinte sur la lésion du noyau de la troisième paire gauche, à laquel
de la troisième paire gauche, à laquelle s'est joint plus tard une lésion du noyau du nerf facial : nous inclinons à supp
que si l'affec- tion s'étend peut-être sur le bulbe inférieur, les lésions ne se manifeste- ront plus unilatéralement. L
tie probablement du procès morbide dans les enveloppes spinales. La lésion des cordons postérieurs dans les régions infé-
c un noyau disposé excentriquement, nous fait douter que ce type de lésion des cellules puisse être envisagé seulement com
nière une dégénérescence très marquée des fibres myéliniques et une lésion plus accentuée des fibres radiculaires et des cor
ines postérieu- 492 SOUKUAKOFF ET GEIER res) a été envahie par la lésion plus que leur région extramédullaire, in- volon
à Laënnec. L'état actuel est le suivant. Bon état général : aucune lésion vésicale : ni sucre ni albumine. Réflexes tendi
rtrophie et la déformation articulaire sont dues.beaucoup moins aux lésions des extrémités osseuses proprement dites, qu'aux
ective prise dans le complexus de l'arthropathie tabétique, par les lésions des os, de la capsule, de la synoviale, et des
on dans sa nature ni ses conséquences, mais dans la répartition des lésions plus fibreuses qu'osseuses, qu'on pourrait dénomm
ère (obs. III). Elles sont par conséquent insuf- fisantes, mais les lésions qu'elles relatent sont presque identiques. Cette
description générale. Nous ne parlerons d'abord pas de l'aspect des lésions ni des modifica- tions mécaniques des organes s
bral voisin ou s'articu- ler avec lui. A la colonne lombaire, les lésions atteignent leur maximum de déve- loppement. Ell
LES OSTGO-AH'fllHOPATQI1;S VERTÉBRALES DANS LE TABES 505 mum des lésions . En général, elles ont des dimensions exagérées m
es grands ostéophytes que nous décrivions plus haut. Ce sont là les lésions habituelles des vertèbres lombaires. Nous en auro
rthropathies vertébrales, parvenues à la période de localisation de lésions . A la période des déviations rachi- diennes sim
T PATIIOG : i'¡¡E. Les conditions dans lesquelles se produisent ces lésions sont difficiles, pour ne pas dire impossibles à
itifs. De plus, beaucoup d'entre elles rapportent la coexistence de lésions ostéo-articulaires de siège variable, mais de mêm
plus élevée et plus exacte. Quant à rechercher la cause réelle des lésions vertébrales tabétiques, c'est essayer de résoud
saient de préférence dans les petites articulations. Dans ces mêmes lésions arthropathiques, le pro- cessus pathologique s'
on essence, mais dans son évolution. C'est donc la patho- génie des lésions que nous allons entreprendre. Dans cette partie d
ont pas moins vrais.. . Le tabétique dont le squelette présente des lésions si profondes, a dû, (1) Marinesco, Revue neurol
phénomènes brusques et bruyants, période enfin de localisation des lésions . Au début du mal, les déviations simples ne s'i
tions simples succède insidieusement la période de localisation des lésions . Mais il n'en est pas en général ainsi. Au cour
ogie. La colonne vertébrale est consolidée, mais, pour remédiera la lésion et assu- rer au tronc une statique suffisante,
- mitive. De cet ensemble de malformations vertébrales naîtront les lésions de la cage thoracique, les viciations du bassin
aître en clinique. Dans cette longue explication de la genèse des lésions , nous avons eu surtout en vue, d'abord le proce
autopsies mises à notre disposition nous ont révélé ce seul type de lésions vertébrales. Mais ce serait encore une erreur de
refoulement d'une vertèbre en totalité ou fracture spon- tanée, les lésions ostéo-arthropathiques vertébrales ont une tendanc
sera surtout dans le tabes : cette affection comporte en effet des lésions névritiques fréquentes, et parmi toutes les név
ré s'observent le plus souvent d'abord et présentent le maximum des lésions . Il n'est pas étonnant par suite de penser une
areil récit ; la cause en est soit au développement insuffisant des lésions , soit encore à l'indolence même de l'affection, q
ions professionnelles. Ce sont là confusions faciles à éviter : les lésions vertébrales existaient déjà avant l'apparition
ots, genu valgum, luxation congénitale etc., ou qui succèdent à des lésions vertébrales anciennes, tel- les que tuberculose
eux affections. Et, si les crises douloureuses du tabès jointes aux lésions du rachis pouvaient un instant faire naître le
connaissant que le traitement orthopédique peut seul remédier à des lésions vertébrales trop brutales ou trop étendues, nous
clure que la compression est un trauma- tisme léger, produisant des lésions de peu de durée. Expérience VI. Lapin adulte
de l'encéphale permet-elle d'admettre l'une ou l'autre de ces deux lésions centrales ou la coexistence de ces deux lésions
l'autre de ces deux lésions centrales ou la coexistence de ces deux lésions ? Sous leur influence n'aurait-on pas dû observer
t presque entièrement fermé, tandis que le droit est normal, aucune lésion de la peau ou des muqueuses ; aucune cicatrice.
ses occupations pendant treize jours sans la plus légère marque de lésion cérébrale ou cérébelleuse, se plaignant seuleme
'os nu. DE l'hémiplégie traumatique 545 Un peu au-dessus de cette lésion , une déchirure oblique superficielle et n'inté-
ressant que la peau. Au corps du pariétal, plusieurs contusions et lésions de la peau tumé- faction, relèvement des fragme
52.. < DE l'hémiplégie TliAUMATIQUE 557 1898. 0. TlI.MANN. Des lésions du cerveau par armes à feu. Centralblatt sur chir
on doit envisager non seulement le côté étiologique, mais aussi les lésions anatomo-pathotogi- ques. Oppenheim, Obersteiner
boursouflée, la substance grise injectée et même striée de sang. La lésion , quelle que soit la forme de la myélite, un max
ce des troubles circulatoires ainsi que cela résulte de l'étude des lésions consécutives à la ligature de l'aorte abdominale,
présenter tous les types connus, mais je préfère étudier toutes ces lésions lorsque je traiterai les myélites expérimentale
hnoïdien. J'ai rencontré dans la substance blanche de la moelle une lésion assez caractéristique qui a été décrite par Ley
t par IIeller, Mager, von Schrôtten sous celui de Lnckenfeld. Cette lésion qui siège aussi bien dans le cordon postérieur qu
s examens : dans les trois cas de rage chez l'homme, il y avait des lésions intenses dans les ganglions spinaux, dans les gan
s ganglions jugulaire et sympaunque, et aans celui de Gasser. Ces lésions peuvent être résumées de la manière sui- vant
tiel ; ces nodules interstitiels sont relativement rares, une autre lésion qui mente une attention paru- culière est celle
Gehuchten et Nélis sous le nom de nodule rabique. En dehors de ces lésions , j'ai vu, par ci par là, une irritation des cel
par ci par là, une irritation des cellules fixes péricapsulairé. La lésion décrite pour la première fois par MM. Van Gehuc
YÉLITE AIGUË 575 réserve dans le diagnostic de la rage par la seule lésion histologique. Je pourrais ajouter que chez un s
mort à la suite du diabète insipide non seulernent j'ai trouvé des lésions semblables(fig. 1-1 et 12), mais le tissu in- t
les rabiques de Van Gehuchten et Nélis qui constituent en somme une lésion banale. Dans la moelle épinière, j'ai constaté
tour des cellules nerveuses, mais sur quelques coupes seulement, la lésion dé- crile par Babès sous le nom de nodule rabiq
t, la lésion dé- crile par Babès sous le nom de nodule rabique. Les lésions des cellules nerveuses sont très variables quan
on partielle. Le système nerveux des chiens enragés est le siège de lésions encore plus étendues, et on les rencontre dans
, dans la moelle épinière, dans le bulbe, dans la protubérance. Les lésions des ganglions cérébro-spinaux sont identiques à
ec le virus fixe sous la dure-mère crânienne, je n'ai pas trouvé de lésions vasculaires' Fic. 13. Une cellule nerveuse radi
it très accentuée et quelquefois des nodules rabiques (fig. 14) Les lésions interstitielles étaient très rares. A quoi tient
transmission de ce virus par la cavité arachnoidienne. L'absence de lésions manifestes chez ce : derniers animaux montrerai
ifestes chez ce : derniers animaux montrerait que ce n'est pas à la lésion des ganglion; spinaux qu'il faut rapporter les
t rapporter les paralysies rabiques. Je pourrais ajoute] que si les lésions , des ganglions cérébro-spinaux sont vraiment très
ons spécifiques au point d< vue morphologique ; ai rencontré des lésions plus ou moins semblables, dans la névrite as-
ns un cas de diabète insipide, etc. Je con- viens cependant que les lésions rabiques de Babès et les altérations des gangli
aractéristiques, ménin- gite qu'on ne doit pas considérer comme une lésion accidentelle, mais au contraire comme une altér
elle est loca- lisée au voisinage des vaisseaux. Pour étudier les lésions médullaires expérimentales produites par les em
culaire de la po- liomyélite antérieure aiguë de l'enfance, car les lésions réalisées par les embolies aseptiques ressemble
ar les embolies aseptiques ressemblent jusqu'à un certain point aux lésions de la paralysie infantile. Cette analogie est d
TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 581 On constate, en outre, parmi les lésions médullaires, dues aux embolies expérimentales,
homme et que Leyden a décrits sous le nom de blassiger Zustand. Ces lésions irritatives de la substance blanche ont été consi
es de la substance blanche ont été considé- rées par Lamy comme des lésions de dégénérescence simple. En combinant les rech
t de véritables myélites, dans le sens que j'attribue à ce mot. Les lésions qu'ils ont décrites sont purement des lésions d
ttribue à ce mot. Les lésions qu'ils ont décrites sont purement des lésions dégénératives, soit celles de la substance grise,
t Masselin, Widal et Bezançon) on reste tout étonné de voir que les lésions produites consistent essentiellement en des lésio
de voir que les lésions produites consistent essentiellement en des lésions dégénératives, tandis que les mêmes microbes in
ur le système nerveux, est moins violente; elle réalise surtout des lésions dégénératives ; la preuve en est la toxine téta-
près son injection dans le sang. Après avoir étudié les différentes lésions histologiques qu'on rencontre dans la myélite a
des cellules névrogliques, tandis que le tissu nerveux présente des lésions de nature régressive. Parfois, la cellule et la
des phénomènes de tuméfaction, d'ampliation. La description de ces lésions représente la définition même de la myélite. La
issu nerveux. Cependant, je tiens à souligner ce fait qu'aucune des lésions décrites n'a de valeur spécifique par elle-même
de valeur spécifique par elle-même, mais que c'est l'ensemble de ces lésions qui entre dans la constitution du processus ana
le trajet des vaisseaux et ont envahi le pourtour du canal ; les lésions ont été produites par l'injection intra-rachidi
ne méningo-myélite également ascendante. J'ai obtenu de très belles lésions de poliomyélite analogues à ceux de la poliomyéli
substance grise au voisinage des cellules nerveuses dé- termine des lésions très graves pour celle-ci. Parmi ces lésions je c
veuses dé- termine des lésions très graves pour celle-ci. Parmi ces lésions je citerai la rétraction de la cellule avec néc
nce profonde et irréparable de la cellule nerveuse. Il n'y a pas de lésions spécifiques en rapport avec les dif- férents ag
uée par le bacille de la diphtérie et un streptocoque virulent. Les lésions sont très intenses et consistent dans une ménin
les myélites,néanmoins, j'ai rencontré dans certaines myélites des lésions que je n'ai pu retrouver dans d'autres. Les alt
s empêchent la libre circulation du sang dans les vaisseaux. - La lésion la plus légère et l'une de celles qu'on rencontre
tophiles avec état granuleux et vacuolaire de ces élé- ments. Cette lésion ,marquant le début de la réaction de la cellule ne
s ondulés ou bien offrent un trajet en zig-zag (ug.22). Une autre lésion sur laquelle je désire attirer l'attention, c'est
un cas de myélite aiguè chez l'homme. L'altéra- tion a l'aspect des lésions secondaires, ce qui dépend vraisemblablement de l
ales et pathologiques. L'aspect de la cellule affec- tée de cette lésion est homogène, le pro- toplasma est peu teinté (
B). En effet, c'est pour la première fois que je vois de pareilles lésions . Voici en quoi elles consistent : la cellule se c
ritable perte dans le cytoplasma. La cellule (fig. 27) présente une lésion très grave du cytoplasma ; elle est pour ainsi
lombaire. Si on considère à un point de vue tout à fait général les lésions que détermine l'introduction des microbes dans
matique jusqu'à la destruction, jusqu'à l'achromatolyse. Toutes ces lésions sont la fonction de plusieurs facteurs : 1° la na
nal verté- bral sans avoir observé le moindre trouble ni la moindre lésion ; d'autres fois le streptocoque ne produit la p
accumulés dans la cavité arachnoïdienne et dans les méninges et la lésion est beaucoup plus considérable du côté du sciat
e postérieure, ainsi que dans la paroi de la spinale antérieure. La lésion se présente dans la région dorsale inférieure ave
plus discrètes et discon- tinues. Dans le renflement cervical, les lésions décrites sont très réduites et localisées du cô
rès réduites et localisées du côté de l'opération. J'ajoute que les lésions des cellules nerveuses sont plus accusées du cô
arfois ils disparaissent complètement sans avoir produit la moindre lésion apparente, d'autres fois ils se multiplient d'une
criture en miroir : aussi cette dernière est-elle favorisée par les lésions qui entravent cette représentation en amenant d
e l'organisme fonctionnent bien, on ne trouve'pas ailleurs d'autres lésions musculaires. La sensibilité et les réflexes sont
é des fibres musculaires; celles-ci dégénèrent au contraire, si une lésion est survenue dans le système nerveux lorsque l'as
70 kil. 300. Un peu d'emphysème pulmonaire. - Rien au coeur. Pas de lésions vasculaires. Ni sucre, ni al- bumine dans l'uri
in- férieure des jambes, les malléoles et le dos du pied. Aucune lésion viscérale. Pas de troubles de la sensibilité. C
qui n'est pas sans importance au point de vue de la possibilité.de lésions médullaires. Je dois ajouter que le fait de ces
d'avril, nous constatons au niveau de la peau des symptômes et des lésions qui jusqu'alors ne nous avaient pas frappé ou éta
ffe de poils. Le malade n'avait pas connaissance de ces différentes lésions , pas même la petite tumeur du coude droit. En
présence de ce cas, à l'époque de notre premier examen, lorsque les lésions peu apparentes de la peau, n'avaient pas encore f
émontré qu'il existât des tumeurs le long des nerfs rachidiens. Ces lésions de la peau suffisent au diagnostic de la maladie
expliquent comment pendant quelque temps, la nature véritable de la lésion médullaire fut méconnue. Ici cependant les loca
e interne de l'oeil gauche, nous pouvons conclure, les symptômes de lésions cérébrales manquant complètement, que des nodul
nous demanderons ensuite si la chromatolyse a lieu à la suite d'une lésion quelconque du prolongement cylindraxile et des pr
isation. La chromatolyse est un phénomène qui se manifeste après la lésion quelconque des prolongements cylindraxile et pr
phérique, se trouve lésé dans son intégrité anatomique, soit que la lésion qui est en cause agisse en un point quelconque
une action nettement déterminée. - Il n'en est pas de même pour les lésions opératoires dont les résultats sont plus aiséme
ratoires dont les résultats sont plus aisément interprétés. , Ces lésions sont sensiblement différentes suivant que l'on pr
matolyse faible et de courte durée. Dans ces cas, la réparation des lésions cellulaires se fait rapidement. On admet géné
(1) VAN Gehuchten, Le phénomène de la clenomatolyse consécutif ii la lésion patholo- gique ou expérimentale de l'axone. Bul
ules des ganglions rachidiens et sur les cellules multipolaires. La lésion atteint d'abord le noyau qui devient plus petit,
ivie d'une réaction dans les cellules d'origine des nerfs lésés, la lésion est ici plus profonde que dans les cas précéden
en, Sano). Marinesco pense cependant que dans les am- putations les lésions sont plus profondes, « car, dit-il, on saitque da
ion n'est nullement prouvée. D'après l'opinion de V. Gehuchten la lésion d'un nerf périphérique n'est pas la cause uniqu
enons de citer. En outre nos observations ont démontré aussi que la lésion d'un nerf périphérique n'était t pas indispensa
llules des ganglions plexiformes chez le chien, du côté opposé à la lésion . Les effets de l'arrachement du nerf sont connu
cel- lules sensibles et dans les cellules motrices à la suite d'une lésion quelcon- que du neurone. Le phénomène de la c
cellules sensibles que dans les cellules motrices à la suite d'une lésion quelconque de leurs pro- longements. Il y a c
durée de la turgescence. Nissl l'observe jusqu'au 12e jour après la lésion des nerfs ; Van Gehuchten jusqu'au 20. jour et
que suc- cèdeà celui de réaction. Il a lieu toutes les fois que les lésions n'ont pas été trop profondes dans la partie ach
on, cependant, ne peut pas avoir lieu lorsque la cellule a subi des lésions trop profondes; dans ce cas elle s'atrophie et
sparaît. L'atrophie et la disparition des cellules à la suite de la lésion d'un nerf ne saurait donc devenir un caractère di
n. On découvrit bientôt que les cellules sensibles réparaient leurs lésions comme les motrices et que les motrices pouvaien
noyaux moteurs dorsal et ambigu, il est impossible d'y trouver une lésion quelconque de ces noyaux. Toutes les cellules o
42 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
on que nous lui trouvons chez cet homme, ne peut dépendre que d'une lésion spinale ou d'une lésion diffuse des nerfs périp
chez cet homme, ne peut dépendre que d'une lésion spinale ou d'une lésion diffuse des nerfs périphériques. Le problème que
it une paralysie du pneumogastrique, que lorsqu'elle est liée à une lésion inflammatoire ou dégénéra live de son centre bulb
ine. Dans un cas de polynévrite, ces mêmes accidents dépen- dent de lésions qui peuvent se cantonner dans les parties périphé
antonner dans les parties périphériques des nerfs crânio-hulbaires, lésions réparables, et qui n'intéressent pas for- cémen
atrophique que nous observons est donc bien la con- séquence d'une lésion primitive des muscles, car, seule, une semblable
ns le cas actuel que les deux manifestations paraissent dues il une lésion primitive des muscles. Quoi qu'il en soit, nous
la tête de l'humérus. La mère affirme que l'enfant est né avec ces lésions qui étaient rougeà- tres et plus étendues puis
itait. A 38 ans, il a eu une fluxion dentaire en même temps que des lésions multiples de carie qui ont amené la chute de pl
nystagmiques dans l'horizontalité; examen ophtatmoscopique : pas de lésions du fond de l'oeil ; pas de tremblement des paupiè
ne se produit de contractions fibrillaires. Pas de tremblement. Ces lésions sont absolument' symétriques ainsi que les suiv
l le myocarde ne parait pas dégénéré. Le coeur est indemne de toute lésion apparente endocarditique. L'estomac, l'intestin
ulose. Le pancréas est scléreux, d'une dureté anormale, dépourvu de lésions tuberculeuses visibles. Les reins sont petits
ont conservé leur intégrité parfaite ; quelques-unes présentent des lésions de chroma- tolyse partielle ou totale englobant
onné les résultais suivants : le nombre des cellules nerveuses, les lésions de chromatolyse sont les mêmes que dans la moel
ou de l'auto-intoxication. Mais,- en re- vanche, un grand nombre de lésions cutanées se développent sur des dépar- tements
nation à l'autorité régulatrice du système nerveux. Telles sont les lésions du zona dont nous avons étudié précé- demment l
és en tranches perpendiculaires à l'axe des membres, tandis que les lésions radiculaires mettent en évi- dence des territoi
idents pour qu'on les récuse. Tout le problème est de savoir si les lésions , les symptômes ou les signes localisés à des tron
- bre d'affections cutanées, sortes de trophonévroses fortuites, de lésions pas- sagères ou durables des nerfs, des racines
vez sous les yeux la figure, permet de préciser le lieu exact de la lésion nerveuse : c'est bien une lésion des racines, e
et de préciser le lieu exact de la lésion nerveuse : c'est bien une lésion des racines, et non pas une lésion de la moelle
lésion nerveuse : c'est bien une lésion des racines, et non pas une lésion de la moelle. Plusieurs étages de racines sont
gumen- laire (Fig. 3 et 4). Fig. 2. Schéma de la distribution des lésions dans un cas de sclérodermie en bandes disséminé
ritoire de la Sa lombaire et un peu de la Ire sacrée. En résumé les lésions correspondent aux 7° et 8° segments cervicaux, au
dérez par exemple les eczémas chroniques des ongles (Fig. 7). Leurs lésions consistent soit en une inflammation du tégument
as de Besnier). plutôt des dystl'ophies unguéales (Besnier) que des lésions eczémateuses proprement dites ('1). » Assurém
u près (Fig. 10), vous vous ren- drez compte que la topographie des lésions est subordonnée à un fait de constitution histo
éléments der- mopatliiques, c'est, je le répète, la répartition des lésions . Dans presque tous les cas publiés jusqu'à ce j
ne peut avoir ainsi enfermé entre deux bracelets invi- sibles une lésion dermo-épidermique dont l'ori- gine se perd dans
syphilis héréditaire localisée sur le cerveau pouvait produire des lésions secondaires dégénératives de la moelle épinière
la dépendance de la syphilis héréditaire (2), mais dans lequel les lésions centrales sont presque toujours 'primitives. L'
tant mais sans s'accompagner de troubles permettant de songer à des lésions cérébrales. La mort était survenue à la suite d
étude que nous avons faite de son système nerveux nous a montré les lésions suivantes concordant absolument avec le diagnosti
e de l'axe médullaire semble donc sous la dépendance directe de ses lésions pathologiques, et ne paraît pas devoir être att
s, qu'elles tendent aujourd'hui il passer de plus en plus, pour des lésions banales sur lesquelles on ne saurait s'appuyer
urait pas plus regarder comme la cause que comme la conséquence des lésions plus grossières, mais plus caractéristiques que l
lancs, en particulier les cordons postérieurs, ne présentent pas de lésions appréciables. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SAIPGI'R
sale supérieure. l)Par les colorants myéliniques la topographie des lésions est la même que plus haut. Les mômes faisceaux
urs séparée par une large bande de tissu sain. ' A droite la même lésion se retrouve, avec la même topographie, mais inf
sée, très peu marquée en comparaison de celle du côté opposé. Les lésions des cordons postérieurs étant au maximum à gauche
ule différence à noter ici, est la disparition presque complète des lésions du faisceau pyramidal gauche qui ne sont plus rep
lus marquée à gauche qu'à droite. H. BULBE ET protubérance. Les lésions ne semblent pas dépasser la moelle. Au-dessus de
te très notable dans le cerveau de ce malade, qui présente moins de lésions vasculaires- que de lésions des tubes nerveux.
eau de ce malade, qui présente moins de lésions vasculaires- que de lésions des tubes nerveux. Ces lésions des tubes nerv
ins de lésions vasculaires- que de lésions des tubes nerveux. Ces lésions des tubes nerveux sont limitées aux fibres superf
coup plus marquée à gauche qu'à droite, est croisée par rapport aux lésions des faisceaux pyramidaux. SYPHILIS HÉRÉDITAIRE
nerveux dégénérés dans les racines postérieures. D'autre part, les lésions vasculaires de ces racines se retrouvent sur to
e Bulbe et la Protubérance paraissent sains. Nous n'avons trouvé de lésions ni dans leurs faisceaux blancs, ni dans leurs noy
idaux. Maintenant quelle interprétation convient-il de donner à ces lésions , quel fut leur point de départ, comment peut-on
e celle que nous avons décrite de- manderait si elle relevait d'une lésion encéphalique une destruction éten- due des circ
laireno saurait pas davantage être mise en cause pour expliquer les lésions des cordons postérieurs. La zone cornu- radicul
observée dans les racines postérieures qui du reste il côté de ces lésions vasculaires ne montraient pas de fibres dégénérée
nce d'une dégénérescence des cordons postérieurs consécutives à des lésions encéphaliques (1), mais cette dégénérescence est
upe et en outre ne s'est jamais montrée que consécuti- vement à des lésions en foyer que nous ne retrouvons pas ici. Il s'a
coupes faites à différentes hauteurs nous montre que le maximum des lésions siège à l'union des régions dorsale et cervicale.
nous ayons multiplié celles-ci à la hauteur du siège présumé de la lésion initiale. Mais s'il était d'une partie épaisse
894. - Les dégénérescences des cordons postérieurs conséculives aux lésions en foyer de l'encéphale. Revue neurologique, 1898
us récente des cellules de la colonne de Clarke. L'étiologie de ces lésions n'est pas ici absolument certaine, la notion de
t sur le point antérieurement malade et amenant une extension de la lésion pri- mitive. De ces poussées, les unes plus i
traces, d'autres plus légères ont disparu complètement. Quant aux lésions d'endo et de périartérite disséminée relevées sur
es beaucoup plus anciennes. Ce sont du reste, histologiquement, des lésions très récentes et qui n'ont pas encore eu le tem
olidarité des neurones qui sont spécialisés dans un but commun. Les lésions des neurones moteurs périphériques, par exemple,
paule. Sensations de picotements et de fourmillements sur la main. La lésion se répare, mais à partir de ce moment, le bras
suffit à faire apparaître sur les mains, à gauche et à droite, des lésions semblables aux soulèvements bulleux d'un vésicato
palais. Pas de dé- viation de la luette qui est très mobile. Pas de lésions des joues (le malade souffle et siffle bien). P
que les traumatismes qui en ré- sultaient pouvaient déterminer des lésions nerveuses (en dehors de la compression directe
sale). Quinze jours après, les réactions électriques accusaient des lésions portant sur la totalité du plexus brachial. Doi
us brachial. Doit-on imputer aux manoeuvres du procédé de Mothe les lésions des racines motrices par élongation portant sur
irure des faisceaux musculaires sous-jacents. on n'ob- serve pas de lésions nerveuses. Or, ici on ne trouve aucune trace de c
épineux, etc.). Il faut admettre pour ces nerfs collatéraux que les lésions se sont produites au-dessus de leurs points d'é
se sont produites au-dessus de leurs points d'émergence. Seule une lésion radiculaire sise vers les trous de conjugaison
ie permanente ou passagère associée à la paralysie à la suite d'une lésion nerveuse tron- culaire s'observe quand les lési
à la suite d'une lésion nerveuse tron- culaire s'observe quand les lésions des fibres sont suffisantes pour inter- rompre
es transmissions nerveuses centrifuge et centripète. Quelquefois la lésion tronculaire se traduit par une simple parésie san
matismes nombreux qui ont frappé le membre malade ont déterminé une lésion radiculaire chroni- que, suivie sans doute, d'u
es de compression et d'élongation ont joué un rôle essentiel. Les lésions nerveuses qui en ont été la conséquence ont-elles
up des altérations des nerfs périphériques. Le retentissement d'une lésion des nerfs jusqu'aux cellules d'origine de leurs p
ement influé par elles-mêmes sur la genèse de l'atrophie ; mais les lésions nerveuses fronculaires et radiculaires sur (1)
racines, des lésionsirri- tatives des fibres nerveuses sensitives, lésions qui se traduisent par une hy- peresthésie cutan
ment et légitimement formulé en dehors de toute manifestation d'une lésion dorsale de l'axe cérébro-spinal. Le tabes en ef
artie de la symp- tomalologie : les signes et symptômes relevant de lésions dorsales. - On emploie aussi couramment le term
des caractères cliniques, selon le siège plus ou moins élevé de la lésion systématique, qu'il doit sembler indispensable
toute vue théorique. Il nous importe peu de savoir en réalité si la lésion initiale, devenant causale à son tour par sa répe
plus importante des racines spinales postérieures ; - parce que la lésion systématique atteindra, dans les racines postér
ains symptômes tabétiques, que l'on ne songe guère à attribuer à la lésion de l'appareil labyrinthique, se affections laby
e forment en . cordons systématisés qui rendent très manifestes les lésions présentées si- multanément par un grand nombre
es centres supérieurs dont beaucoup ne sont pas éloignés. Ces mêmes lésions , si apparentes au niveau des cordons ascendants
depuis longtemps 138 PIERRE BONNIER signalée, et sur ce point la lésion du protoneurone centripète y est plus évidente
pinales. Remarquons que dans la surdité d'origine périphérique sans lésion primitive du tronc nerveux, l'atrophie est loin
ille sont extrêmement fréquentes chez les tabétiques, en dehors des lésions de pure coïncidence et sans valeur systématique,
s. Il y a sans doute là une cause de coïncidence fréquente entre la lésion médullaire et la lésion labyrinthique périphéri
une cause de coïncidence fréquente entre la lésion médullaire et la lésion labyrinthique périphérique. Mais il faut admettre
surtout au niveau des centres labyrinthiques que doit apparaître la lésion systé- matique. D'autre part, qui dit tabes d
sibilité à une grande partie de l'appareil auriculaire, et dont les lésions nucléaires ont un retentissement si formidable
vasculaire timpa- nique et labyrinthique. « Cette coexistence des lésions du trijumeau et des lésions de l'oreille, remar
labyrinthique. « Cette coexistence des lésions du trijumeau et des lésions de l'oreille, remarque Collet (2) , lésions que
ons du trijumeau et des lésions de l'oreille, remarque Collet (2) , lésions que leur unilatéralité vient rendre quel- quefo
simultanément l'acoustique et le trijumeau. Mais dans le cas où les lésions de l'oreille et du trijumeau sont du même côté,
qu'il ne s'agit pas toujours en pareil cas de la coexistence d'une lésion des deux nerfs, mais quelquefois de la coexiste
une lésion des deux nerfs, mais quelquefois de la coexistence d'une lésion du triju- meau, et d'une lésion de l'oreille mo
quelquefois de la coexistence d'une lésion du triju- meau, et d'une lésion de l'oreille moyenne, avec intégrité parfaite du
it., p. 151. - 140 PIERRE BONNIER . comme le pense Collet, par la lésion des nerfs trophiques. La névralgie du trijumeau
En résumé, nous voyons qu'il est possible de trouver soit dans une lésion de l'appareil de transmission, soit dans celle
byrinthiques dans le tabes : et cette variété de localisation de la lésion causale nous per- met de répéter que l'appareil
thique est directement exposé, et légi- timement, à l'offense de la lésion tabétique, quelle que soit la théorie pa- thogé
tabétique est apparu tout d'abord par l'analyse topographique de la lésion anatomique. Mais si l'on y regarde de plus près
ts dits, je ne sais pourquoi, compensateurs, disparaissent quand la lésion la- byrinthique centrale est définitive et bila
e sa place dans la symptomatologie du tabès, en l'attri- buant à la lésion des troncs ampullaires du nerf ]ibyi-iiiiiiique.
l s'agit du tabes, les centres sont au moins aussi accessibles à la lésion systématique que la péri- phérie, et qu'à côté
r le vertige en particulier, qu'il n'est pas toujours causé par une lésion de l'appareil périphérique de l'oreille ; il faut
us remarquerons que ce vertige labyrinthique peut être provoqué par lésion banale de l'oreille ex- terne, de l'oreille moy
on internucléaire, avec ou sans enjam- bement, soit par toute autre lésion . C'est toujours du vertige labyrinthi- que, com
équent dans le tabes, et ses causes sont diverses et multiples. Les lésions périphériques et auriculaires abon- dent, ainsi
berg, nous pensons que la perte de l'équilibre est toujours due aux lésions de l'appareil ampullaire, ou de ses noyaux et c
et spasme du second). A quel point du filet anastomotique était la lésion ; était-ce en haut vers la troisième paire ou e
et la diplopie étaient ap- parus. Il est difficile d'admettre une lésion artérielle intéressant à la fois le noyau palpé
ommodation, soient plus fréquents que ceux qui ont pour origine une lésion labyrinthique. D'une part, des troubles du doma
c était des plus faciles à établir étant donné les caractères de la lésion cutanée. Nous retrouvons là en effet la plaque
crises épileptiformes, apparues quelques mois après le début de la lésion cutanée. Chez notre petite malade, il fut impossi
rose cutanée, on pourrait cepen- dant trouver des rapports entre la lésion de la peau et des filets nerveux (br. oplitalm.
élé- ment nerveux joue un rôle important, mais ne prouve pas que la lésion soit une tropho-névroce. Elle établit seulement
rt de la mère. N'a jamais été malade. Rougeole il y a trois ans. La lésion sclérodermique est passée inaperçue. Tout au pl
urs eu une bonne santé. C'est il l'âge de i à 6 mois qu'a débuté la lésion des mains pour laquelle elle est amenée à l'hôpit
a lésion des mains pour laquelle elle est amenée à l'hôpital. Cette lésion va en s'accentuant. Etat actuel. - Enfant bien
la malade, âgée de 2 ans, présente depuis l'âge de 6 ou 7 mois des lésions analogues des extrémités. La paume de la main ser
ncerait également depuis quelque temps à desquamer. Les principales lésions sont donc ici : l'effilement, la cyanose, la se-
éjuge rien sur la nature de la maladie et sur ses rapports avec les lésions notées dans nos premières observations. Notons
arsien et les phalanges correspondantes. ' Le diagnostic de cette lésion cutanée n'est pas sans présenter quel- que diff
hilis ne semble pas pouvoir être mise en cause; elle ne fait pas de lésions de cet aspect; d'ailleurs elle est absente ici. I
: l'hypothèse de ces cicatrices cadrerait mal avec l'étendue de la lésion et son aspect réticulé. Au reste rien ne peut en
tement faite ; seuls, Hoffmann, Marinesco ont essayé de décrire les lésions correspondant aux symptômes, et d'esquisser la
ion. Nous avons pu examiner les pièces provenant de ce malade : les lésions que nous avons observées sont des plus nettes e
girofle, montage dans le baume). Au point de vue topographique, les lésions sont plus avancées à mesure qu'on se rapproche
ent inférieur et dans la région sacrée. D'une façon générale, les lésions se réduisent à l'atrophie simple de tou- tes le
ordons postérieurs, les cordons antéro-latéraux présentent quelques lésions ; mais celles-ci sont beaucoup moins profondes que
lle et la IV' cervicale et au niveau de la cinquième cervicale, les lésions sont les mêmes (PI. XXIX, fig. L). Région cer
parties dégénérées. Les faisceaux pyramidaux directs présentent des lésions à peine appré- ciables. La diminution des fibre
. Entre la VIIe et la VIIIe cervicale, on retrouve encore les mêmes lésions , la conservation du triangle cornu marginal par
ervation du triangle cornu marginal parait à peu près complète. Les lésions des racines postérieures paraissent beaucoup moin
a première et la deuxième dorsale, on retrouve a peu près les mêmes lésions (PI. XXVIII, lig. I). Les cordons de Burdach
SAINTON Sur une coupe passant par la région dorsale inférieure, la lésion des cordons postérieurs est toujours marquée ;
par la première lombaire (PL XXVIII, fig. K). La localisation des lésions est la suivante : Le maximum des altérations co
ées de nombre ; mais leur atteinte est en somme très modérée. Ces lésions rappellent les lésions du tabes incipiens.. '.
leur atteinte est en somme très modérée. Ces lésions rappellent les lésions du tabes incipiens.. '. Sur une coupe au niveau
incipiens.. '. Sur une coupe au niveau de la troisième lombaire les lésions sont les mêmes : il est inutile de les décrire
la périartérite. Les nerfs intra- musculaires ne montrent d'autres lésions qu'une légère hypertrophie de la gaine lamelleu
pas d'altéra- tions des noyaux. Muscles de l'éminence thénar. Les lésions sont très profondes et très étendues, sur des c
eme du même côté. Muscle biceps crural. Ce muscle présente peu de lésions des faisceaux : atrophie de certains faisceaux
tissu conjonctif est des plus nettes. Muscle couturier droit. Les lésions se montrent à un degré plus accentué; le nombre
eux ; cependant la striation est en général conservée. Mais ici les lésions sont extrêmement diffuses, tous les faisceaux son
onctif très développé ; les autres présentent de l'endartérite. Les lésions des nerfs intramusculaires sont inégales : les un
o-exteJ'/le de la jambe gauche. - Sur des coupes transversales, les lésions sont absolument les mêmes que celles que nous v
que la striation des fibres a il peu près disparu. En résumé, les lésions que nous avons rencontrées sont : 1° Des altéra
es deux côtés. c) Des altérations de la colonne de Clarke. d) Des lésions cellulaires des cornes antérieures consistant en
res nerveuses des nerfs intra-mnsculaires, peu considérable. - b) Lésions des troncs nerveux de l'avant-bras et de la jambe
es gros troncs nerveux, tels que le sciatique, sont normaux. : 3° Des lésions musculaires consistant en : atrophie des fibres m
es pieds n'étaient envahis que depuis huit jours. A première vue la lésion des mains et des poignets rappelait très nettem
mains, un peu masquées et altérées par la limite accidentelle, les lésions décrites sous le nom très défectueux de psorias
tes sous le nom très défectueux de psoriasis syphilitique palmaire, lésions essentiel- lement épaisses, squameuses, kératos
urde, - que les malades d'amour en peinture étaient atteintes d'une lésion sanguine caractéristique ? Ce serait vraiment f
asale, pharyngienne s'améliore. Les organes sexuels s'achèvent. Les lésions osseuses du rachitisme, de l'ostéomalacie (3), de
ar amoindrir l'activité thyroïdienne. De la vient la similitude des lésions , toutes d'ordre trophique en somme, en présence
et dont les antécédents en disent long sur la filiation des (1) Les lésions du foie et des reins chez les animaux éthyroïdés.
jugement du médecin s'égare d'autant plus facilement que certaines lésions rachitiques (tibia en lame de sabre et d'autres,
s sourcils. - 19. Même slilet, après guérison. 20. Myxoedème avec lésions du système pileux. - 21. Même sujet, après guéris
I. XLVI, 20), comme les deux malades précédentes, offre surtout des lésions trophiques d'ordre épithélial. La nuque est ici c
liaires. Météorisme gas- trique. Constipation. /7fMO)'- 1'hoides. Lésions des gencives et des dents caractéristiques. M
t d'une manière chronique ; les formes les plus fréquentes sont les lésions érythémateuses ou bullaires, le purpura, le zon
but de la paralysie générale d'un prurit isolé indépendant de toute lésion cutanée appréciable et pouvant disparaître plus t
uet) est d'autant plus in- téressante que ce prurit, indépendant de lésions cutanées grossières, peut se rencontrer non seu
é- gion qui avait été le siège de la démangeaison. Le prurit sans lésion apparente de la peau peut être interprété, soit
rritation corticale. La distribution du phénomène et l'ab- sence de lésion déterminée, n'est guère en faveur de la dernière
interpré- tation. La disparition rapide ne concorde guère avec une lésion des filets nerveux, lésion qui, au cours de la
rition rapide ne concorde guère avec une lésion des filets nerveux, lésion qui, au cours de la paralysie générale, n'aurait
i ? Contribution à l'étude des troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrales, 1882, p. 49. (2) H. IIALLOPPAU, S
e l'affection pour laquelle il est entré. Il ne porte aucune trace de lésion syphilitique : il avoue plusieurs blennorrhagie
passait son temps à tirer ses poils.' La peau ne présentait aucune lésion , à part quelques écorchures saignantes ou croût
provoqué au grattage et à l'épilation par un prurit lié soit à des lésions nerveuses, soit à une auto-intoxication dont on n
ons antéro-externe et postérieure de la cuisse. A l'autopsie, les lésions observées portaient sur la moelle, les nerfs pé-
élevé sur la légitimité du diagnostic clinique. Voici le résumé des lésions qui ont été constatées et que l'on peut considé
considérer comme caractéristique de cette forme d'amyotrophie. 1° Lésions médullaires (5). La moelle ne présente rien de sp
ltérations de la substance grise et des altérations des cordons. 1° Lésions de la substance grise. - Il existe des lésions de
ions des cordons. 1° Lésions de la substance grise. - Il existe des lésions des cellules et des lésions des fibres. Le no
de la substance grise. - Il existe des lésions des cellules et des lésions des fibres. Le nombre des cellules des cornes a
nom de « neuritische Atrophie », une ubservation dans laquelle les lésions présentent la plus grande analogie avec celles
ke sont conservées ; mais le réseau de fibrilles est atrophié. 2° Lésions de la substance blanche. I. - Dans le cas de Mari
ns ce cas particulier, de dire quelle valeur on doit attribuera ces lésions dans la genèse de l'atrophie. C'est un sujet su
t éclaircir ce point spécial de l'anatomie pathologique. IL - Les lésions vraiment capitales se rencontrent dans les cordon
près complète de la région cornu-marginale (obs. personnelle), avec lésion de celle-ci dans le cas de Marinesco. Dans la r
m- plètement celles qui ont été décrites dans le labes incipiens. Lésions des ganglions spinaux et des racines. - Dans le c
ées dans Ta région dorsale et clans la région lombaire, mais aucune lésion dans la région cervicale. Fig. 1. - Coupe du ne
lésion dans la région cervicale. Fig. 1. - Coupe du nerf péronier ( lésion maximum). L'examen des ganglions spinaux fait p
es qui sont signalées dans les cellules des cornes antérieures. Les lésions du cytoplasme sont très importantes si l'on consi
uels nous faisons allusion. DE L'AIMYOTROIIIIIE CHARCOT-MARIE 321 Lésions des nerfs. - Les nerfs ne sont point augmentés de
xtérieur n'a rien de particulier. Au point de vue microscopique les lésions dont ils sont atteints sont beaucoup plus marqu
x assez marquée dans le cas de Marinesco ; modérée dans le nôtre. Lésions des muscles. Elles sont beaucoup plus intenses au
tandis que les muscles de l'avant-bras sont mieux respectés. Les lésions au microscope se présentent sous plusieurs degrés
érés chez notre malade, mais beaucoup moins que dans son cas. Ces lésions ont-elles quelque chose de caractéristique ? Nous
-ci par l'examen histologique des muscles. En résumé l'exposé des lésions que nous venons de faire nous montre que le typ
a tum : - 10 Une sclérose des cordons de Goll et Burdach ; 2° Des lésions atrophiques probables des cellules des cornes ant
s plus ou moins intenses, par- fois minimes. L'énumération de ces lésions , qui n'est que la traduction des deux obser- va
tomo-pathologiques, suffit pour indiquer qu'il s'agit bien là d'une lésion spinale. Nous tenons notre cas comme plus probant
ui DE l'AMYOTROPHIE CHARCOT-MARIE 323 de Marinesco, parce que les lésions y étaient moins avancées et par suite plus faci
théories et nous voulons rester dans le domaine des faits. Si les lésions de l'amyotrophie Charcot-Marie sont des plus évid
e la racine du membre sont habituellement intacts. Par suite de ces lésions , il existe des déformations absolument comparable
distinguer suivant leur origine les anesthésies en rapport avec une lésion des nerfs périphériques, radiculaire,intraspinale
encer cette topographie radiculaire : 1° La répartition inégale des lésions dans les différentes racines succes- sives ;
er- rington) ; . 3° La participation d'un processus endogène à la lésion radiculaire, opinion émise par Marie et soutenu
issement du champ visuel, quelques secousses nystagmiformes, aucune lésion du fond de toit. Les réflexes sont abolis aux
st satisfaisant, elle éprouve quelques palpita- tions du coeur sans lésion organique constatable à l'auscultation ; il n'y a
es et presque entièrement résorbées. L'étude plus complète de ces lésions sera pratiquée et fera l'objet d'une note ultér
opa- thies de l'épaule, eschares multiples. Mort dans le marasme. - Lésions nerveuses classiques. G... Emile, formier de
e au point de vue clinique, je renvoie aux figures reproduisant ces lésions , Revue de médecine, 1899, p. 557 et seq. ATROPH
nution du nombre des filets nerveux ; nombreuses gaines vides. Mais lésions très nota- blement moins prononcées que dans le
et postérieures, surtout au niveau du ventricule droit. ' Aucune lésion valvulaire. Les parois du coeur sont épaissies,
recherches histologiques. Sans doute, nous avons bien constaté des lésions de névrite périphérique ; le contraire seul ser
un groupe clinique bien défini. Que la syringomyélie, que d'autres lésions médullaires venant atteindre secondairement les g
quels le syndrome décrit par Duchenne et par Aran se trouve uni à sa lésion anatomo-palhologique bien connue, l'altération
aladie n'est pas isolée dans la pathologie ; assez fréquem- ment la lésion s'étend aux cellules des noyaux antérieurs et inf
e du syndrome labio- glosso-laryné (observations I, V). Parfois les lésions débutent dans ces noyaux du bulbe, restent loca
ive, trois termes caractérisés analouio-palhologiquemenlpar la même lésion du même appareil nerveux pris en des étages diffé
es 'observations d'atrophies musculaires survenant à la suite d'une lésion articulaire sont relativement banales, s'il est f
rares les cas d'amyotrophie qui succèdent à des traumatismes, à des lésions extra-articulaires. Parmi les multiples individus
es à des fractures. On en avait signalé quelques cas à la suite des lésions phlegmoneuses ayant pour origine la bourse du g
ivement rares si on les compare aux amyo- trophies consécutives aux lésions des articulations qui, elles, sont fré- quentes
e plusieurs- semaines ou de plusieurs mois chez un malade ayant une lésion articulaire grave, une fracture maintenue sous
rrivé aux mêmes conclusions que M. Raymond. * . "- L'absence de lésions dans les examens anatomiques va nous expliquer
si les résultats deMoussous (3). M. Raymond (4) n'a pas constaté de lésions de la moelle ni des nerfs chez ses animaux ; il a
ésions de la moelle ni des nerfs chez ses animaux ; il a trouvé des lésions des muscles. Dans les muscles atrophiés la surfac
ssous, Contribution à l'étude des atrophies musculaires succédant aux lésions articulaires, Th. Bordeaux, 1885. (4) Raymond
h. Bordeaux, 1885. (4) Raymond, loc. cil. 396 G. GUILLAIN à une lésion articulaire est de nature réflexe elle dépend du
culaire est de nature réflexe elle dépend du retentisse- ment de la lésion locale sur la moelle qui devient le siège d'altér
les nerfs, la moelle de leurs animaux, ct, étant donné l'absence de lésions , ils arrivent eux aussi à cette conclusion que
es, des muscles dans un cas d'atrophie musculaire consécutive à une lésion articulaire observée chez l'homme. Les résultai
ans la cir- constance on est toujours en droit de se demander si la lésion spinale était sous la dépendance de l'arthrite
générale. Somme toute ces atrophies musculaires consécutives à des lésions arti- claires où à des traumatismes extra-artic
13. AMYOTROI'JlOE DOUBLE DU TYPE SCAI'UW-llG1>1ÉRAL 397 d'une lésion des cellules radiculaires des cornes antérieures
identiques, on peut supposer qu'elles sont similaires de par leurs lésions ou mieux de par l'absence de lésions médullaires.
s sont similaires de par leurs lésions ou mieux de par l'absence de lésions médullaires. Sur les conseils de M. le professe
ca- tions du caractère et de l'intelligence que Brunet rattache aux lésions thyroïdiennes. Tout en reconnaissant l'influenc
t tombante. Acuité visuelle normale, pas de dyschromatopsie, pas de lésion du fond de l'oeil. , Les réflexes sont abolis a
aire, la pupille droite est un peu dilaté. A l'ophtalmoscope pas de lésion du nerf optique. Les réflexes du poignet et du
osition segmentaire que vous avez vue ne peuvent dépendre que d'une lésion des fibres radiculaires postérieures dans les rac
s troubles en question auto- rise en premier lieu à conclure que la lésion dont ils dépendent siège dans les racines posté
es seuls nerfs qui tirent leurs fibres des racines lésées. Or des lésions semblables ne nous rendent pas compte suffisammen
en remon- tant plus haut et en cherchant la cause véritable dans la lésion des cordons médullaires et de la substance gris
distribution des anesthésies d'origine spinale, nous savons que les lésions intra-spinales se traduisent par des anesthésies
on des anesthésies segmentaires et la hau- teur à laquelle siège la lésion intra-spinale dont elle est une des consé- quen
t une des consé- quences. D'après les recherches d'Allen Star une lésion du segment d'où émer- (1) Ross, On the segment
es bras et des avant-bras, l'anesthé- sie respectant la main. Une lésion d'où émane la 81 paire cervicale produit une môme
nglobant le petit doigt et la portion adjacente de l'annulaire. Une lésion du segment d'où émane la 4° paire cervicale entra
le des racines rachidiennes, on voit ainsi que dans la planche 3 la lésion intéresse la 1'° dorsale gauche seule ; dans la
ésion intéresse la 1'° dorsale gauche seule ; dans la planche S, la lésion intéresse les lyre, 2" et 3e racines lombaires et
anche 8 ce sollt les 4 ? 4e, 5°, 6e dorsales. Il est clair qu'une lésion transverse totale entraîne une anesthésie qui i
e celé la clinique aidée par l'anatomie pathologique montre que les lésions de la substance blanche des cordons postérieurs s
ieurs se tradui- sent surtout par de l'anesthésie tactile ; que les lésions de la substance grise centrale donnent habituel
leur caractère de dissociation ne peuvent être expliqués ni par une lésion des nerfs périphériques ni même entièrement par u
ne lé- sion des racines postérieures. Elles sont l'expression d'une lésion intra- spinale qui intéresse à la fois la subst
sont sous la dépen- dance sinon exclusive du moins prépondérante de lésions intra-spinales du tabes. LES PEINTRES DE LA M
c autopsie utilisable qu'il a pu trouver enseigne seulement que les lésions siègent « au niveau des régions pariétale et te
olument à l'appui de l'hypothèse de M. Pitres au sujet du siège des lésions de l'aphasie amné- sique et de sa nature : les
du siège des lésions de l'aphasie amné- sique et de sa nature : les lésions corticales primitives y sont négligeables, et l
ture : les lésions corticales primitives y sont négligeables, et la lésion importante consiste presque uniquement en une sec
te consiste presque uniquement en une section des faisceaux blancs, lésion dont la topographie devra être déterminée. Cette
e autopsie ne représente cependant pas encore tout à fait le cas de lésion sous-corticale pure qui manque jusqu'ici. Obs
rties voisines eu dehors de la ligne médiane. Il ne présente aucune lésion corticale. L'hémisphère gauche paraît intact, s
ésion corticale. L'hémisphère gauche paraît intact, sans la moindre lésion corticale comme on peut le constater sur la pho
série de coupes par la méthode de Pitres montre la localisation des lésions sous-corticales. M. Brissaud a eu la grande oblig
ù porte la coupe apparaît l'angle postéro-supérieur de l'insula. La lésion a détruit toutes les fibres de la première temp
orale. Dans la coupe 4 (I'1. LXXVII et Schéma G), on voit encore la lésion corti- cale de la même portion de la fie tempor
ncore la lésion corti- cale de la même portion de la fie temporale, lésion d'ailleurs ici moins étendue et n'atteignait pa
foyer hémorrhagique par une mince couche cle substance blanche. La lésion a complètement détruit ou coupé les faisceaux q
blanche de la -1 r8 temporale. Un cons- tate un prolongement de la lésion à la partie supérieure du segment pos- térieur
et le segment avoisinant du noyau lenticulaire est intéressé par la lésion . Dans la coupe 2 (l'l. L11VIII et Schéma 8) qui
I et Schéma 8) qui passe par le pied de la pariétale ascendante, la lésion siège nettement dans la capsule externe, elle l
première temporale. La coupe 1 montre l'extrémité antérieure de la lésion , étroit foyer qui s'éteint à l'angle inféro-ext
o-externe du noyau lenticulaire. Comme nous l'avons remarqué, cette lésion est presque schématique. Il ne semble pas qu'on
e. Il ne semble pas qu'on doive tenir particulièrement compte de la lésion lo- calisée de la substance'grise de la premièr
lésion lo- calisée de la substance'grise de la première temporale, lésion qui ne répond sinon à aucun des symptômes clini
l y a un léger af- faiblissement de l'ouïe (attribuable plutôt à la lésion du carrefour sensitif), mais du moins à aucun d
aucun des symptômes se rapportant aux troubles apha- siques (1). La lésion est en somme presque uniquement sous-corticale.
dans les figures 376 et 377 de son traité et en y superposant t la lésion de notre cas, nous constatons les faits suivants
oins de celle-ci sont coupées. La figure 10 donne les limites de la lésion reportées sur une coupe horizontale empruntée a
er d'autopsie de M. Déjerine, on y note la limitation précise de la lésion à la substance blanche. Le pointillé passe seul
ce grise qui, dans la réalité, n'est pas à ce niveau englobé par la lésion : ceci pour rappeler que la substance grise est
gure n'est qu'approximative. Une coupe reproduisant réelle- ment la lésion n'aurait pu être faite d'après nature qu'en sacri
ées sont celles de la pièce. Le pointillé indique les limites de la lésion en projection. FIG. 10. - Coupe schématique rep
réalité des faits, et s'il n'y aurait pas lieu¡ de tenir'compte des lésions probables des cellules corticales faisant partie
erons ressortir que, dans notre observation, si la limitation de la lésion presque exclusivement à la substance blanche co
re sous-corticale de l'aphasie am- nésique, l'étendue même de cette lésion dans la substance blanche ne per- met nullement
ec opacité quasiment complète à droite, peu accentuée à gauche. Ces lésions rendent l'examen très difficile. Les pupilles s
gnostic de la localisation est assez obscur. 11 y a apparemment des lésions multiples sous ou infra-corticales, bilatérales (
e la famille que nous avons eu l'occasion d'examiner il n'existe de lésion cardiaque. Chez aucun l'artériosclérose ne peut
iaque. Chez aucun l'artériosclérose ne peut être incriminée. Aucune lésion locale du système vasculaire. Aucun traumatisme
t les causes font défaut ici. Tels sont les oedèmes consécutifs aux lésions traumatiques ou compres- sives des nerfs, ceux
généralisé à toute la surface du corps, sans pourtant présenter de lésions cardiaques ou rénales. Mais ce malade guérit so
onsistait en une en- flure oedémateuse considérable, survenant sans lésion viscérale apprécia- ble et sans modifications d
d'ailleurs est bientôt entré en voie de régression. En l'absence de lésion cardiaque ou rénale, de fièvre, de phlébite ou
cidents comparables à ceux du myxoedème et sous la dépendance d'une lésion thyroïdienne (2). Mais nos malades n'avaient au
crit une maladie hypertrophiante singu- lière, caractérisée par des lésions éléphantiasiques des parties molles et du squel
ien d'anormal dans les organes du bassin. L'auteur supposa que la lésion du sciatique pouvait être la cause de cet oedèm
e ni veineuse, il fallait rejeter aussi l'hypothèse d'un oedème par lésion mécanique. D'ailleurs, aucun trouble de la sens
iété d'oedème segmentaire des membres inférieurs. Ces malades, sans lésions cardiaques appréciables, étaient cependant des
e qu'il s'agissait d'un trouble trophique consécutif à une ancienne lésion nerveuse. Chez une seconde malade âgée de 60 an
einte depuis ans d'un oedème dur du membre inférieur gauche. Aucune lésion viscérale, gan- glionnaire, vasculaire, ni sang
plus l'oedème observé au cours des affections du sys- tème nerveux, lésions organiques ou nécroses : c'est encore moins une
flure, sa consistance, son indolence, sa localisation, l'absence de lésions ulcératives de la peau 'sont assez [caractérist
'intégrité des tégu- ments ; puis, sous une influence inconnue, des lésions cutanées peuvent s'y surajouter de façon à réal
res sur la pathogénie de ces troubles de nutrition. Existe-t-il une lésion ? Siège-t-elle sur les centres ou les conducteu
démateuses que l'on observe, soit expérimenta- lement à la suite de lésions nerveuses, soit cliniquement au cours d'affec-
rveux soit la cause de la maladie. On peut ajouter cependant que la lésion , si lésion il y a, est sans doute une lésion mé
la cause de la maladie. On peut ajouter cependant que la lésion, si lésion il y a, est sans doute une lésion médullaire, i
outer cependant que la lésion, si lésion il y a, est sans doute une lésion médullaire, intéressant plus ou moins profondémen
e à chaque étage médullaire correspond un segment de l'individu, la lésion d'un métamère spinal doit retentir sur le segment
distribution segmentaire ne sem- ble pas douteuse. Suivant que la lésion médullaire porte sur un ou plusieurs étages ' (
lies par défaut sont des modes de réaction con- traires qu'une même lésion peut engendrer. , Et l'on peut se demander si l
te altération pouvant d'ailleurs être primitive ou secondaire à une lésion de la moelle » (1). . .. La parenté des oed
anomalie de déve- loppement du tissu conjonctif, conséquence d'une lésion ou d'une perver- sion des centres trophiques ch
face, sont entièrement respectés; d'autre part, il n'existe aucune lésion viscérale : le coeur, les poumons, les reins, l
t soit d'une névrose (hys- térie, neurasthénie, épilepsie), soit de lésions irritatives de l'écorce (cas de Poore cité par
s (à gauche), de l'épaisseur considérable des parties molles, de la lésion osseuse de l'auriculaire gauche et surtout de la
43 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r, le tronc du trijumeau gauche ne présente pas histologiquement de lésions remarquables ; il en est de même pour les branc
très inté- ressants : intégrité des cordons latéraux et antérieurs, lésion des cordons postérieurs exclusivement au niveau
ie : Du côté des organes on note : coeur mou, pâle, adipeux, sans lésion d'orifice, de dimensions normales. Broncho-pneumo
a branche externe est la plus voisine du facial (intéressé par la lésion , d'où le spasme facial et l'hypercrinie paroxysti
ue), et que les symptômes moteurs observés faisaient supposer une lésion moins profonde de la branche interne en raison de
ce. Ils font remarquer la rareté des troubles vaso-moteurs dans les lésions de la protubérance et citent à ce propos un cas
Rendu (Elévation de la tempéra- ture au bras du côté répondant à la lésion ). Jacobsohn et Ja- mane dans un travail tout ré
e négatif, qui pouvait faire hésiter sur l'extension possible de la lésion vers le trijumeau, nous avons noté l'absence de
gré l'absence à l'époque où la malade fut observée, de symptômes de lésion du trijumeau, l'existence antérieure de cette a
rapport avec le néoplasme que le trijumeau absolument dissocié. La lésion partielle du facial assez mar- quée permet, par
ncontrer bien souvent l'atteinte des tractus vaso-moteurs (dans les lésions protubérantielles en gé- néral), quand on compa
ares (du moins elles n'ont guère été enregistrées), dans les cas de lésions du cervelet. Nous noterons le cas curieux mais
ur produire une hallucination d'activer un centre sensoriel par une lésion irritative, quelque chose de plus est nécessair
ale qui le rend hallucinogène et c'est pour cela qu'il n'y a pas de lésion produisant d'emblée des hallucinations comme on
allucinations comme on pourrait parfois être tenté de le croire. La lésion donne seulement naissance à des sensations morb
'interprétation des sensations morbides lumineuses produites par la lésion . Chez notre malade, l'aptitude délirante et le
ents dans le cerveau. Outre les chan- gements grossiers propres aux lésions organiques du cerveau, la théorie des neurones
Pour plus de précision prenons quelques exemples concer- nant des lésions organiques de cerveau qui sont accompagnées de
en rapport intime avec les actes psychiques supérieurs, et dont la lésion amène tout d'abord une démence générale et un a
lindraxiles; dans tous les cas de démence, fût- elle amenée par une lésion organique de l'écorce cérébrale, ou par une psy
et l'incapacité de pro- duire de nouveaux liens; seulement dans les lésions organiques les changements sont plus grossiers
is les connexions récentes subissent aussi le même sort, et plus la lésion est profonde, plus grand est le nombre des cont
tisme et du retard de l'intelligence de D... était certainement une lésion cérébrale. L'esprit de ce sujet avait dû être l
quelles il se trouvait placé par son mutisme tout autant que par la lésion intellectuelle qui produisait et entretenait ce
électro-diagnostic dans les maladies nerveuses permet de dire si la lésion intéresse ou non le neurone inférieur, qui compre
elle et les nerfs périphé- riques, qui en sont le prolongement. Une lésion de ce neurone a pour effet la dégénérescence de
'est cette dégénérescence que permet de découvrir l'électricité. Le lésion d'un neurone plus élevé ne change rien à l'état d
on observe la réaction de la dégéné- rescence, on peut dire que la lésion siège en un point du trajet du neurone inférieu
se des cordons latéraux, sclérose deutéropathique consécutive à une lésion cérébrale dont la locali- sation était parfaite
'hui disparue, telle est l'opinion de M.Marie qui lui assigne comme lésion l'absence de développement du faisceau pyramida
nt des faisceaux pyramidaux est toujours sous la dépendance d'une lésion cérébrale, que la rigidité spasmodique peut exist
erme n'est pour rien dans la maladie de Little, la production d'une lésion céré- brale antérieurement à la naissance ou au
entre le mode de groupement et de localisation des symptômes et les lésions constatées à l'au- topsie. Revenant alors au ca
accidents épileptiques présentés par la malade admet l'existence de lésions cérébrales aujourd'hui éteintes mais dont le ce
forme de sclérose névrotique. II. C'est à cette même conclusion de lésions encéphaliques néces- saires pour expliquer les
net dans l'affirmation d'une paralysie labio- glosso-laryngée avec lésions strictement limitées à la substance grise d'un
istincte de l'atrophie type Aran-Duchenne. En effet pour Charcot la lésion de la substance grise des cornes antérieures rend
amyotrophique et il en est de même, le cas de Leyden nous montre la lésion sans le symptôme, un cas de Senator résumé ici
ptôme, un cas de Senator résumé ici nous montre le symptôme sans la lésion . Le malade avait tous les signes spasmodiques d
té décroissante le type inverse de ce qu'on observe dans les cas de lésions en foyer de la zone psycho- motrice de l'écorce
e ascendante. La réponse à la première question est donc facile; la lésion des faisceaux pyramidaux n'est pas responsable
atteint surtout dans son extrémité terminale avec propagation de la lésion dans le sens centripète et peut-être aussi ailleu
ènes spasmodiques, ceux-ci ne sont pas contestables. Où chercher la lésion susceptible de nous en rendre compte, évidemmen
dans certains cas de paralysie asthénique des degrés différents de lésion des centres nerveux sont possibles et que l'atrop
lysies hystériques et des contractures dans de tels muscles dont la lésion n'a pas encore été décrite. Ont pris part aux
encéphalite diffuse chronique, surtout dans l'hémis- phère gauche ; lésions très profondes inflammatoires et dégénéra- tive
flammatoires et dégénéra- tives dans les circonvolutions centrales; lésion des fibres arciformes, de fibres de projection
a cellule nerveuse, les recherches expérimentales mon- trant que la lésion d'un nerf retentit sur la cellule nerveuse d'ori-
soit la variété de polynévrite en face de laquelle on se trouve, la lésion sera toujours la même; altération du neurone mo
te, avec paralysie associée du sous-épineux et du grand dentelé. La lésion intéresse donc toutes les racines du plexus : l
une tumeur cérébrale dont les exemples sont extrêmement rares. Les lésions hulho - p rotubéran- BIBLIOGRAPHIE 85 tielles
variétés de paralysie alterne on peut localiser rigoureusement les lésions . Dans les tumeurs cérébrales, une grande partie
mes, la peau qui les recouvre est lisse et luisante; il n'y apas de lésion osseuse, mais chez trois de ses malades M. Marine
ique et localisations) rappelle la conservation des cadavres et les lésions des organes (tube diges- tif, foie, rate, poumo
circulation), ainsi que l'opinion de quelques rares auteurs sur les lésions matérielles dans les paralysies arsénicales. Su
programme : 1. Pathologie de la cellule nerveuse (Anatomie fine et lésions pathologiques). Rapport prévu : V. Gehuchten (d
; étant donnés les symp- tômes, on étudie le siège et la nature des lésions qui leur correspondent. ' Je n'hésite pas à s
c'est-à-dire de cette méthode qui met en rapport le symptôme et sa lésion , et en déduit tout ce que vous savez pour la gé
lules des cornes anté- rieures et dans les faisceaux pyramidaux. Sa lésion anato- mique est une sclérose encore. Sans dout
e multiple disséminée ci foyers multiples dont un médullaire est la lésion de la sclérose latérale amyotrophique. A côté
ôté de cette théorie de la coïncidence et de la superpo- sition des lésions , que j'élimine, une autre voudrait mettre tous
a syphilis, comme Ray- mond voit l'atrophie musculaire et Cornil la lésion d'encé- phalomyélite... Cette collection si var
trois pro- positions : '1° dans le tabès isolé, il y a souvent des lésions scléreuses éparses, discontinues, disséminées ;
ner- veux. 1. Dans le tabes pris en lui-même il y a souvent des lésions scléreuses éparses, discontinues, disséminées. La
ent des lésions scléreuses éparses, discontinues, disséminées. La lésion la plus importante du tabes est dans le protoneur
érieurs, racines postérieures, ganglions spinaux). Cette première lésion même la plus étroitement locale est le plus souve
aucune continuité nécessaire, ni même habituelle entre les diverses lésions . On sait depuis longtemps que la lésion du nerf
ituelle entre les diverses lésions. On sait depuis longtemps que la lésion du nerf optique peut se trouver chez [un tabéti
o-lom- baire ; il n'y a là ni contiguïté, ni continuité entre les lésions . 1 Voir mon Rapport sur le traitement du tabes
. De plus, si l'on peut placer dans ce protoneurone centripète la lésion principale, systématisée du tabes, il y a cependa
la lésion principale, systématisée du tabes, il y a cependant des lésions ailleurs, dans d'autres régions : ainsi, la ménin
attribué le rôle primordial dans la pathogénie du tabes ; ainsi les lésions des nerfs périphé- riques, lésions bien étudiée
pathogénie du tabes ; ainsi les lésions des nerfs périphé- riques, lésions bien étudiées par Déjerine, Pitres et Vail- lar
la périphérie et constituent bien ainsi des foyers distincts de la lésion médullaire. Donc, dans le tabès non compliqué,
aire. Donc, dans le tabès non compliqué, il y a déjà une série de lésions éparses, discontinues, disséminées. C'est ce qui
d- mettre dans le tabes et la paralysie générale, deux groupes de lésions bien distinctes, unies seulement par les mêmes
dire que tout ceci ne s'applique qu'aux syn- dromes nerveux dont la lésion est une sclérose. Ils sont légion. Mais cela pe
es myélites diffuses, et en général du rôle de la sclérose dans les lésions d'origine parenchymateuse. A propos du n° 33 de
t je vous exposerai bientôt l'état actuel des connaissances sur les lésions du tabcs en m'aidant notamment de la thèse de P
la thèse de Philippe. Vous verrez que l'on continue à admettre les lésions parenchymateuses, la distinction entre les myél
soit aux dégénérations secondaires (faisceaux pyramidaux) soit aux lésions primitives du parenchyme (tabès). Il n'admet do
appeler une myélite mixte ; dans le tabès ordinaire même, certaines lésions comme celles des méninges ne sont pas étroiteme
notam- ment la sclérose primitive et la sclérose secondaire à une lésion parenchymateuse primitive ; comme il y a une vari
hologique, et comme c'est une maladie surtout caracté- risée par sa lésion , le désaccord me paraissait avoir un cer- tain
ncidence plus ou moins commune de la sclérose d'un viscère avec des lésions inflammatoires de ses vaisseaux nourriciers ne
De même, Bard étudie les polyscléroses viscérales d'em- blée, sans lésion initiale et causale des artères, n'admet pas qu
sans lésion initiale et causale des artères, n'admet pas que « des lésions artérielles soient à l'origine de toutes les sc
ent à l'origine de toutes les scléroses insiste sur ce fait que les lésions conjonctives les moins suspectes d'origine dyst
ercules, s'accompagnent d'endartérile des vaisseaux compris dans la lésion et conclut que « la conception actuelle de l'ar
s entre les artères et les inflammations nodulaires, puis entre les lésions des artères et les inflammations chroniques (sc
gane, le développement du tissu conjonctif n'est commandé par les lésions des vaisseaux, puisque les lésions vasculaires
onjonctif n'est commandé par les lésions des vaisseaux, puisque les lésions vasculaires existent sans sclérose, et que, d'a
ement spé- cifique triomphant, il faut recourir au traitement de la lésion et au traitement des symptômes et là se dégagen
droit, le cervelet, la protubérance, le bulbe ne présentent pas de lésions macroscopiques. Ce qui me paraît intéressant da
héorie du Dr Wiglesworth qui fait de la mélancolie avec stupeur une lésion primitivement inflamma- toire des cellules nerv
omme défectueuse à ce point de vue. A. M. II. SY31TOU1TOLOG1E des lésions (tumeurs ET abcès) intéressant la RÉGION préfro
tomne 1896.) Cette symptomatologie moins bien définie que celle des lésions des autres régions cérébrales donnerait d'après
'on appelle le tonus psychique individuel. L'auteur décrit 4 cas de lésions de ce lobe. 1° Femme, vingt-trois ans. Après
3° anosmie seulement quand le nerf olfactif est intéressé par la lésion ; 4° parésie ou paralysie (face, bras, jambe) pre
oma surtout à la fin sont la règle. Si le diagnostic des tumeurs et lésions massives du lobe préfrontal est difficile parmi
tumeurs du cervelet, les symptômes communs entre ces deux ordres de lésions sont nombreux ce qui s'explique aisément parles
le, exophtalmie quoique rares décideront s'ils apparaissent de la lésion préfrontale. Enfin l'opportunité opératoire est d
rs médullaires, ce qui abolit aussi la sensibilité au-dessous de la lésion . Ils montrent encore que les points d'élection
tré d'une part la dissociation des sensibilités, et d'autre part la lésion des racines postérieures seules coïncidant avec
te est bien diffé- rente de la dégénérescence wallérienne. Mais les lésions produites et décrites par les expérimentateurs
oïde, qui sont suffisamment connues et de restreindre son étude aux lésions microscopiques ; puis il passe en revue les div
théliaux, et aussi, ce qui est plus caractéristique encore, par des lésions de dégénérescence portant surtout sur les cellu
par l'inhibition de l'activité sensitive, motrice et mentale, sans lésion organique importante, comme on l'observe dans l
elles s'occupent d'abord de la formule histolo- 'gique générale des lésions médullaires tabétiques ; elles étudient ensuite
dullaires tabétiques ; elles étudient ensuite la relation entre ces lésions et les' symp- - tômes observés au lit du malade
adjacentes, et les ganglions rachidiens. L'étude topographique des lésions médullaires du tabes doit établir sur quels sys
ur quels systèmes de fibres ou de cel- lules nerveuses évoluent ces lésions , au niveau des cordons postérieurs, des cornes
sympto- matologie générale de l'ataxie locomotrice progressive, les lésions des nerfs périphériques et de l'écorce cérébral
moelle épinière. Malgré cette complexité, l'étude topographique des lésions médullaires du tabès ne doit avoir qu'un seul b
en, colonnes de Clarke, corne postérieure), participent- elles à la lésion , et dans quelle mesure ? Autant de ques- tions
ques- tions que doit résoudre l'étude topographique complète des lésions médullaires du tabes. En somme, le programme est
ction qu'on a mis sur le compte de la sclérose tabétique, certaines lésions des cordons postérieurs qui doivent en être soi
tomatologie, et même dans son étiologie ; il se caractérise par des lésions franchement autonomes dans leur topographie, da
deux parties : dans la première, nous exposerons la topographie des lésions médullaires tabétiques par rapport aux faisceau
Dans la seconde, nous donnerons les caractères histologiques de ces lésions . Un parallèle ana- tomo-clinique nous permettra
formule ana- tomique générale. Première partie. - Topographie DES LÉSIONS médullaires du TA13ES D'APRÈS NOUVELLE AHCUITËC
AHCUITËCTUHE DES CORDONS POSTÉ- RIEURS. L'étude topographique des lésions médullaires du tabès doit s'appuyer évidemment
dre nos résultats, nous ferons précéder l'étude topographique des lésions médullaires du tabes d'un exposé de la nouvelle f
S. 183 ceaux constitutifs des cordons postérieurs : supposons une lésion destructive au niveau des racines postérieures de
emplacés par des taches scléreuses, au-de-sus ou au-dessous de la lésion ; ces faisceaux seront situés en dehors des champ
la partie adjacente de la com- missure grise. B. Topographie DES lésions médullaires tabétiques. - L'étude anatomique de
stérieurs nous a paru nécessaire pour appuyer notre topographie des lésions médullaires tabé- tiques. Sans entrer dans de l
11, 12, 13. Ces figures sont destinées à montrer la topographie des lésions dans le tabès initial (première étape anatomique
loi; à cette condition expresse, l'liistologiste est sur de voir la lésion tout entière, et la lésion seule. Arrivons aux
esse, l'liistologiste est sur de voir la lésion tout entière, et la lésion seule. Arrivons aux résultats. Nos cas de tabès
Au niveau des racines, il nous a paru impossible de systématiser la lésion : les fibres étant intimement mélan- gées les u
riser le tabes avancé; en d'autres termes, c'est, à notre avis, la lésion de la deuxième étape anatomique de la maladie.
plus, la solu- tion du problème sera utile et à la topographie des lésions médullaires tabétiques et à leur formule histol
ssus primitif, au cours du tabès médullaire. Dans ces trois cas, la lésion , uniquement cervico-dorsale, respectait la moel
histologiques du processus tabétique, c'est déterminer la part des lésions parenchymateuses inters- titielles et dégénérat
de la moelle. Notre technique a été spéciale pour chaque ordre de lésions . Ainsi, les réactifs nucléaires par excellence (h
r la sclérose névroglique, l'état des vaisseaux, etc. L'étude des lésions parenchymateuses a été faite sur les racines po
donné l'état des cellules d'origine des racines postérieures. Les lésions interstitielles nous paraissent avoir une im- p
op inconstante et souvent hors de proportion avec l'intensité de la lésion des cordons sensitifs. D'ailleurs, il ne suffit
ans l'évolution du processus tabétique. - Les anciens partisans des lésions méningées auraient bien dû expliquer par quel m
gique nous a montré un foyer de méningite très intense, sans aucune lésion au niveau des filets radiculaires enserrés par
ssez grande quantité, pour être considérées comme saines '. » Les lésions parenchymateuses existent, dès le début du tabè
tube nerveux ; la cellule du ganglion vertébral reste intacte; ces lésions parenchymateuses sont surtout primitives. - Voy
s les fois qu'une altération cellulaire a le temps de provoquer des lésions dégénératives considérables au niveau des tubes
la décèle aisément; en d'autres termes, on peut dire que, dans les lésions chroniques du système nerveux, il existe une ce
se leur échapper. Toutes ces raisons nous empêchent de croire à une lésion importante des cellules du ganglion rachidien,
marquée du réticulum myélinique. Nous avons dit plus haut que les lésions parenchymateuses du tabes médullaire étaient su
est celui de la superposition de chaque symptôme fondamental à sa lésion spécifique. Il nous sera permis de donner ici le
la superposition (à peine ébau- chée) des symptômes tabétiques aux lésions : « Il nous semble possible d'aller plus loin e
xamens microscopiques minutieux, pour super- poser le syndrome à la lésion , suivant la loi établie par Charcot en neuropat
n expression clinique, malgré que certaines lois président et à ses lésions et à sa sympto- matologie. - Est-il possible, m
possible, maintenant, d'aller plus loin dans ce parallèle entre les lésions et la maladie que nous venons de résumer en dis
rave. Nous serions portés à penser que le tabès grave reconnaît une lésion surtout médullaire à extension rapide; cette lé
e reconnaît une lésion surtout médullaire à extension rapide; cette lésion entraîne très vite la destruction des zones end
limités à une symptomatologie peu bruyante, com- portaient tous des lésions presque uniquement radiculaires. Dans un autre
nous ont aussi montré que les douleurs étaient surtout le fait des lésions des racines postérieures; cela concorde bien av
es; cela concorde bien avec la symptomatologie qu'on reconnaît à la lésion de ces racines, lorsqu'elles sont comprimées pa
euxième modalité du syndrome sensitif tabétique reconnaîtrait une lésion médullaire proprement dite. Enfin nous pouvons di
s dire que l'incoordination motrice ne suit pas nécessairement la lésion des bandelettes externes : dans notre observation
tement, savoir : la superposition de chaque syndrome tabètique à sa lésion originelle. ASILES D'ALIhNIS. LE PERSONNEL DE
t enfin que certains cas d'apoplexie où l'autopsie ne révèle aucune lésion , seraient dus à une intoxication urique suraigu
. L'auteur discute avec détails le diagnostic de l'affection. Une lésion de la moelle peut-elle produire ce syndrome ? Non
Une lésion de la moelle peut-elle produire ce syndrome ? Non. Une lésion unilatérale de la moelle produirait la paralysie
monter au REVUE DE pathologie NERVEUSE. 227 cerveau pour voir une lésion de la partie postérieure de la capsule interne
e les fibres motrices et sensitives du côté opposé. Encore pareille lésion ne produirait-elle pas de contracture et pas d'
tracture et pas d'aneslhésie si limitée. On peut donc exclure toute lésion nerveuse organique. Il s'agit de contracture hy
'hystérie est seule en jeu. Souvent en effet, l'hystérie masque une lésion organique à laquelle elle est associée. Après a
survint une paralysie du muscle droit externe. Le diagnostic de la lésion causale est difficile. Elle doit intéresser le
ar on n'observe pas de troubles oculaires trophiques comme dans les lésions du ganglion de Gasser. La sixième paire passe p
uble série de symptômes psychiques et physiques en rapport avec des lésions particulières (meningo-encéphalile chronique di
chopathiques sans substratum anatomique appréciable ou dépendant de lésion en foyer, d'altérations athéromateuses, etc. -
mie pathologique n'a pas encore démontré là nature syphilitique des lésions de la paralysie générale ; je con- nais cependa
n certain nombre de faits dans lesquels la moelle était le siège de lésions identiques à celles que détermine la syphilis.'
syphilis, en effet, est susceptible de provoquer' l'apparition des lésions encéphaliques propres à la paralysie gêné-- ral
rale, il ne s'ensuit pas qu'elle ne puisse pas déterminer d'autres lésions des centres nerveux : ces lésions de syphilis cér
ne puisse pas déterminer d'autres lésions des centres nerveux : ces lésions de syphilis cérébrale don- nent souvent lieu à
ond par sa signification même à un état clinique complexe lié à des lésions nécropsiques très différentes. La création néol
l convient avant tout de mettre un peu de clarté dans la valeur des lésions anatomiques de la maladie, comme cela a été fait
igine toxique (alcoolisme, syphilis, saturnisme, états infectieux à lésions plus ou moins graves ou étendues, depuis la sim
cclusion palpébrable droite. Peut-être est-elle en rapport avec une lésion cérébrale ? ' L'Open-door. M. CHRISTIAN. - M.
e du pha- rynx dans son cas, le rapporteur est porté à admettre une lésion des nerfs vague et accessoire de Willis, et non
- cation de la paralysie du palais mou dans les trois cas par une lésion de la branche de la portion motrice du trijumeau.
ait une tumeur; dans le second la syphilis avec des symptômes d'une lésion multiple des nerfs crâniens. Il fit attention à
ut témoigner la présence d'une hémianopsie temporale, ainsi que des lésions trophiques de la cornée. M. le professeur Iionr
de l'atfec- tion extra-cérébrale banale, car on observe des cas de lésion de la protubérance, avec phénomènes trophiques
lésion de la protubérance, avec phénomènes trophiques à la suite de lésion de la portion radiculaire intra-cérébrale du tr
avec celles plus fixes, durables et périodiques qui sont dues à des lésions nerveuses. Dr F. DC1' : 1Y. VARIA. LES alié
du petit sujet; la déglutition se fait bien et pas de fièvre. A une lésion organique des centres cérébraux spinaux ? Le mo
mère, quelques sangsues. Pourquoi ? On avait, sans doute, cru à une lésion organique,, et c'était de l'hystérie qui était
es enfants nés avant terme, avec absence de symptômes manifestes de lésion corticale et avec une tendance à la guérison, s
écrites sous le nom de paralysie spinale spastique. Il s'agit là de lésions intéressant les faisceaux pyramidaux qui ont ex
odique se trouve accompagnée d'autres symptômes qui montrent que la lésion ne s'est pas exclu- sivement localisée aux fais
e, puis l'examen histologique démontrèrent qu'il n'y avait aucune lésion du cerveau ni de la moelle, en particulier des fa
léthargie nerveuse des neu- rasthéniques, de certains aliénés, des lésions organiques du cer- veau, et la léthargie hystér
vec exactitude (conformément au modèle qu'on lui donne à copier) la lésion doit s'étendre aux fibres d'asso- ciation entre
i correspond à la macula (coin, l10 occipitale) n'est pas lésée. La lésion siège, en un mot, plus en avant, c'est-à-dire sur
her chez les aliénés les troubles qui pourraient correspondre à ces lésions qui paraissent assez fréquentes. M. Sabrazès pe
zès pense qu'il faut se mettre un peu en garde contre ces sortes de lésions qu'il a trouvées souvent chez des sujets âgés n
très discuté, fut autopsié par M. Sabrazès et présentait toutes les lésions de paralysie générale. M. BEZY fait remarquer q
st toujours resté impuis- sant ; il fait un rapprochement entre ces lésions des centres ner- veux et celles des paralytique
re de cinq ans et demi. Au point de vue macroscopique, en dehors de lésions banales d'épanchement dans les méninges, de pac
et chez la seconde 980 grammes. Au point de vue microscopique, la lésion très évidente, consiste essentiellement en une
scen- dants, la région antéro-latérale et le cérébelleux direct. La lésion dans ces deux cas est donc très analogue à cell
ion tous les cas de chorée chro- nique dont les unes ont de grosses lésions macroscopiques et les autresde fines lésions hi
es unes ont de grosses lésions macroscopiques et les autresde fines lésions histologiques très différentes de nature. Du ny
néral bon. L'examen laryngoscopique a montré qu'il n'y avait pas de lésion du larynx. L'ictus laryngé a été écarté en rais
ie générale vraie ; elle donne naissance, du côté du cerveau, à des lésions spé- cifiques qui peuvent s'exprimer symptomati
rale, la forme sénile, on trouve au coeur, au foie, aux reins, les lésions dégénératives du début de la sénilité, dégénéresc
ique soit morpho- logiquement le même dans tous les cas. Mais cette lésion anato- mique peut être due à une maladie locale
i, ainsi que le prouvent les autopsies, sont souvent accompagnés de lésions de la méningite, peuvent être suivis de trouble
bien d'un sifflement ou de quelques bourdonnements produits par une lésion de l'oreille si commune à l'âge avancé. La su
persistante. Idées et tentatives de suicide. Deux craniecto- mies. Lésions méningées. Guérison. MM. Voisin et LOEVE, Il s'
er. Contribution l'élude des dégénérescences secon- daires dans les lésions circonscrites de la protubérance. Le rap- porte
ale du noyau sensitif du triju- meau. · En outre, on a trouvé des lésions de la moelle épinière, princi- palement dans le
des phénomènes d'une dégénérescence secondaire. Dans des cas, où la lésion est plus forte, dans les faisceaux posté- rieur
de faiblesse de com- binaisons. L'auteur est porté à expliquer la lésion cérébrale si précoce par un ramollissement céré
ation innée de vaisseaux. Les apoplexies infantiles diffèrent des lésions cérébrales des adultes par l'étendue plus vaste
idiotie et d'épilepsie en différents degrés dans des cas de la même lésion et dans le même endroit ; il existe encore un c
OJEVNIKOFF fait attention à ce que la cause dominante de ce que les lésions cérébrales circonscrites chez les enfants provo
. Séance du 24 janvier 1897. M. Korniloff présente un malade avec lésion du plexus brachial. Le malade, âgé de vingt-un
es, furent bientôt reconnues pour des abcès froids à la suite d'une lésion tuberculeuse des os. L'examen minutieux du memb
t de la main sont restés intacts. Nous avons donc affaire ici à une lésion assez rare du plexus brachial, type Ducheune-Er
n assez rare du plexus brachial, type Ducheune-Erb ; dans ce cas la lésion devait être occasionnée par une tumeur dans la
distinction, pourtant, de ce cas des cas typiques provenant d'une lésion de la cinquième et sixième racines cervicales, le
SOCIÉTÉS SAVANTES. 349 notre cas il faut admettre non seulement la lésion de la cinquième et de la sixième racines cervic
l'appari- tion très précoce des dérangements graves, indiquant une lésion stable de la moelle épinière ; 2° des oscillati
1·CriAnOFF ? Affection des vaisseaux (des veines) pro- venant d'une lésion des nerfs périphériques (présentation du malade).
eur, trouvent que certaines altérations des vaisseaux dépendent des lésions des nerfs périphé- riques (Fraenkel l'a prouvé
la sclérose en plaques en rapport avec la question des différentes lésions de luzzévro- glie. Le rôle du système vasculair
partie postérieure du pont de Varole et des pyramides. En outre, la lésion envahit le domaine du noyau de l'hypoglosse et
olives et en partie les fibres arciformes internes et externes. La lésion est symétrique, avec des limites très accentuée
résente le cerveau, la base du crâne et la langue d'une malade avec lésions multiples des nerfs crâniens. On constate sur l
bilité ; on ren- contre très souvent une semblable distribution des lésions dans les paralysies périphériques invétérées du
aux sont comparativement insignifiants. M. ROSSOLIMO suppose que la lésion particulière des cornes anté- rieures de la moe
e pas possible de convenir avec l'explication du rapporteur, que la lésion des cellules des cornes antérieures doit être r
antérieures doit être regardée comme un phénomène pri- mitif et la lésion des nerfs périphériques, comme phénomène second
OFF, M. Mouratoff. De certaines particularités cliniques, dans la lésion cérébrale circonscrite d'origine traumatique ou à
ire de la destruction des fibres arciformes. Dans le second cas, la lésion primitive en forme de foyer causé par la dégéné-
s'explique aisément, vu l'absence dans le bas àge de la plupart des lésions orga- niques qui peuvent nous frapper à une épo
s qui reconnaissent comme pathogénie ou 392 CLINIQUE MENTALE. une lésion nerveuse (racines nerveuses, moelle, cerveau en
ifficile de rattacher des acci- dents aphasiques si complexes à une lésion corticale en foyer. On se rattacha à l'idée d'u
x où les crises d'épilepsie sont directement sous l'influence d'une lésion organique du cer- veau ou d'une dépression des
ionnel, quel qu'il soit, 43,0 SOCIÉTÉS SAVANTES. z Sur quelques lésions expérimentales de la cellule nerveuse. MM. Gilb
tats d'expériences faites sur le cobaye dans le but d'étudier les lésions légères des cellules nerveuses de la moelle provo
seu- lement les caractères, mais aussi la durée approximative des lésions provoquées. La présente communication résume les
vue de la pathologie générale de la cellule nerveuse. La première lésion apparente, c'est la dissolution partielle des g
de décrire sont les plus légères; mais nous avons pu provoquer des lésions de chromatolyse plus générales et plus diffuses
t, au moment où ils ont été sacrifiés, comme ceux chez lesquels les lésions constatées étaient moins accusées, de l'intégri
liqués à marquer les différences très nettes qui existent entre les lésions secondaires de la cellule nerveuse, c'est-à-dire
-à-dire consécu- tives aux sections des nerfs périphériques, et les lésions primitives produites par une injure diiecte fai
némie expérimentale, etc.). En rapprochant très judi- cieusement la lésion secondaire expérimentale des altérations cellul
ailleurs très variés, que l'on peut ren- contrer dans le groupe des lésions primitives produites par l'anémie prolongée, le
intoxi- cations massives. Il est incontestable, en effet, que les lésions cellulaires, réalisées dans ces deux ordres de
e que nous avons réalisée dans nos expériences, peut déterminer des lésions cellulaires très analogues aux altérations dégé
e, l'évolution n'est pas la même dans les deux ordres de faits, les lésions primitives s'effectuent et se réparent beaucoup
s primitives s'effectuent et se réparent beaucoup plus vite que les lésions secondaires. Nous avons cons- taté, en effet, d
s dissemblances habituelle- ment observées entre ces deux ordres de lésions sont peut-être le fait d'une différence dans l'
ité de l'injure produite. Nous croyons donc que la séparation des lésions dégénératives de la cellule nerveuse en deux type
drait' pas la formuler en termes trop rigoureux absolus. Puisqu'une lésion primitive est capable, dans certaines condition
st capable, dans certaines conditions, de se montrer semblable à la lésion secon- daire, on conçoit qu'il puisse se présen
e se dégage de nos expériences; la chro- mastologie est la première lésion appréciable par laquelle la cellule nerveuse ré
ré d'une manière certaine que celte proposition est inexacte. Les lésions qui déterminent la section d'un nerf sensitif ou
méthode de Nissl. Sans entrer dans la description détaillée de ces lésions , nous ferons remarquer que la première altérati
l'ai appelée, la chromatolyse des corpuscules chromatiques. Cette lésion commence tout près du cylindraxe. La chroma- to
substance achromatique, éventualité qui présente dans les cas de lésions primitives de la cellule nerveuse, lésions que no
présente dans les cas de lésions primitives de la cellule nerveuse, lésions que nous étudie- rons plus loin. Cette consta
aussi l'exclusivisme de ceux qui ont voulu faire des névrites une lésion purement périphérique. Mais ces lésions centrales
voulu faire des névrites une lésion purement périphérique. Mais ces lésions centrales sont con- sécutives à la dégénérescen
ande importance au point de vue des rapports qui existent entre les lésions des prolongement et ceux de la cellule, ce qui
qui confirme l'opinion que j'ai émise le premier, à savoir que les lésions de la substance achromatique entraînent la dégé
ullaires dans la rage humaine. A coté des SOCIÉTÉS SAVANTES. 437' lésions de chromatolyse que nous avons figurées existent
ocalisés. Le foyer local se trouve directement sous l'endroit de la lésion osseuse et consiste dans une simple destruction
éralement on peut constater dans la majorité des cas l'existence de lésions net- tement localisées. Cette localisation est
e dissociation syrin- gomyélique exclusive il n'existe qu'une seule lésion centrale loca- lisée. Ces cas arrivent rarement
l, la corne antérieure de la moelle et le cervelet, j'ai trouvé des lésions très nettes, consistant dans la désin- tégratio
rpuscules perdre leur faculté de coloration. Dans le cervelet les lésions étaient beaucoup plus intenses, et l'on voit de
ble de concentration, détermine dans le système nerveux central des lésions extrêmement nettes qu'on peut reconnaître au mi
succombé à la suite de l'ino- culation de ce microbe m'a montré des lésions nerveuses centrales caractéristiques. ' / G
question, s'il y a dans la paralysie musculaire hypertrophique des lésions anatomiques de la moelle épinière, n'étant pas en
la moelle épinière et dans les troncs nerveux. Dans la moelle, ces lésions s'observent dans les cellules ganglionnaires an
ces propagées. Altération des cordons postérieurs secondaire ci une lésion cérébrale en foyer; par le D'' G. DURANTE (Pari
nouveau fait d'altération des cordons postérieurs secondaire à une lésion cérébrale, par dégénérescence rétrograde propagée
n causale. Nous y reviendrons à propos des indications tirées de la lésion anatomique. En somme, les mé- dications causale
tique et l'hygiène. Des moyens thérapeutiques qui s'adressent aux lésions du tabes. La lésion principale du tabes étant u
Des moyens thérapeutiques qui s'adressent aux lésions du tabes. La lésion principale du tabes étant une sclérose médullaire
La lésion principale du tabes étant une sclérose médullaire, cette lésion fera indication thérapeutique, soit à titre de lé
llaire, cette lésion fera indication thérapeutique, soit à titre de lésion scléreuse, soit à titre de lésion médullaire; c
on thérapeutique, soit à titre de lésion scléreuse, soit à titre de lésion médullaire; c'est-à-dire qu'il y a des moyens s
lus souvent,, on préfère appliquer les pointes de feu au niveau des lésions présumées. Il y a alors des éléments cliniques
une compensation médullaire, compatible avec la persis- tance da la lésion (comme dans le cas de Schultze). Ce moyen doit
rébral du côté correspondant; par MM. E. Wertheimer et L. Lepare; - Lésions médullaires expérimentales produites par les em
SYMPTOMATOLOGIE DR LA PARALYSIEASTUÉNIQDE (paralysie bulbaire sans lésions anatomiques),. par J. r ? rEnszr.a. (Neurolng.
schr f. Nervenheilk. VI); on trouve, dans ce cas, à. l'autopsie lès lésions de la paralysie subaiguë. P. KERA VAL. XXXV. De
même que ceux du larynx, ne peuvent être paralysés par suite d'une lésion corticale unilatérale; l'exis- tence d'une para
t pas un seul cas authentique de para- lysie d'une corde vocale par lésion corticale unilatérale. Il en serait de même pou
ts conjugués. Il s'ensuit donc que l'ophtalmoplégie corticale après lésion bilatérale des lobes frontaux n'a pu être obtenue
ne sont pas plus probants. Il n'est pas rapporté un seul cas où la lésion d'un lobe frontal ait entraîné une paralysie de
aralysie complète de la troisième paire droite. Le diagnostic de la lésion causale était difficile; on s'arrêta à l'idée d
dès lors de conclure à une ophtalmoplégie uni- latérale, causée par lésion du lobe frontal opposé. Encore fallait- il, pou
lyse, et démontrer encore plusieurs points : absence de toute autre lésion corticale, intégrité des fibres corlico-pédoncula
oscopique du moteur oculaire commun de l'oeil para- lysé montra des lésions manifestés de névrite hémorrhagique, avec dilat
capillaires. Cet examen permet doue de rattacher la parqlysie à une lésion directe du nerf et fait écarter toute idée d'op
6 ? XV, 1890.) Fillette de dix-neuf ans présentant les signes d'une lésion de la base du côté gauche (hématome probable, M
facial n'est pas atteint ; la conservation du goût signifie que la lésion porte sur le bout central du ganglion géniculé
LOGIE NERVEUSE. 507 l'oreille. Il faut, conséquemment, croire à une lésion du labyrinthe ou de la base du crâne dans le vo
dans l'intégrité complète de certains muscles de la face, malgré la lésion de la base, notamment dans la conservation de m
e affection familiale, comparable il ce qui se passe à la suite des lésions expérimentales de la moelle entre la huitième d
ès international de médecine de Moscou. 510 SOCIÉTÉS SAVANTES. La lésion anatomique bulbaire de la syringomyélie ne se ren
tiologiques très importants l'ischémie progressive produite par des lésions artérielles, ainsi que la distraction du tissu
s et agissant sur différents points du système nerveux. L'étude des lésions qu'elles y provoquent conduit à cette conclusio
ur le point où ces racines offrent le minimum de résistance que ces lésions débutent. Mais nous ne connaissons point quelle
e de leur action et pourquoi cette action se traduit par une. telle lésion . 11 semble cependant que la toxine syphilitique
érapeutique échoue, c'est l'état général insuffisant du malade, les lésions trop avancées, et enfin l'influence d'autres ca
. Je compte actuellement 60 opérations de trépan faites pour des, lésions cérébrales sans origine traumatique ou se rapport
aux caractérisés par de l'épilepsie jackso- nienne dans lesquels la lésion cérébrale était bien limitée à un peint de la r
ès nombreux dans lesquels l'épilepsie jacksonienne accompagnait des lésions éloignées des centres moteurs ou de grosses lés
ccompagnait des lésions éloignées des centres moteurs ou de grosses lésions ne touchant que fort peu ces centres moteurs. P
du lobe droit du cervelet, et la troisième de la base du crâne sans lésion du parenchyme cérébral. Dans ces cas il y eut d
ralisaient ensuite. Sans perdre de vue la facilité de diffusion des lésions de l'encé- phale, même inflammatoires, et en te
phale, même inflammatoires, et en tenant compte que seulement les lésions superficielles sont accessibles, il convient d'él
plète, la désingurgitation du parenchyme cérébral, et s'évitent les lésions régressives. Le but de ce travail ne nous perme
. Nécessité et urgence de l'intervention opératoire dans les cas de lésions cérébrales; par le Dr LAVIST.1 (de Mexico). L
ts que la chirurgie a constamment faits pour modifier les multiples lésions occasionnées par les désordres cérébraux, aussi
. Lavista (de Mexico). L'épilepsie jacksonienne est molivée par des lésions de la zone psychomotrice de l'encéphale. Elle o
, principalement sur la moitié droite parce que plus communément la lésion existe sur le lobe cérébral gauche. Beaucoup
le lobe cérébral gauche. Beaucoup de causes peuvent produire des lésions anatomiques dans le sillon de Rolando, mais les
lle est rarement tuberculeuse à Mexico. On a coutume de trouver des lésions dégénératives avec le caractère gliomateux comm
ité leur loca- lisation plus précise. L'évolution de ces diverses lésions est excessivement lente et ses manifestations p
Il con- vient de signaler cette circonstance par la bénignité delà lésion et le résultat vraiment satisfaisant obtenu par
vie pour un temps plus ou moins long. Il détermine d'ordinaire des lésions régressives descendantes, qui envahissent les p
tions qui démontrent que ce phénomène a été observé dans des cas de lésions du cerveau, comme suite de bles- sures par arme
aires des myopathies dites primitives sont sous la dépendance d'une lésion des centres nerveux, et, ayant observé un certa
ATIERES. 551 Brachial. Paralysies du plexus par Schuster, '232. Lésions du plexus -, par Korniloff, 348 : Bromures. A
nte avec idées de suicide, par Voisin et Lasve, 341. Cérébrale. Lésion - circonscrite, parllouratoff, 357. Nécessité d
Beyer, 500. Protubérance. Dégénérescences se- conclaires dans les lésions circons- crites de la -, par Weideuham- mer,
44 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
n en effet, nous savons par nos leçons de l'an passé, que certaines lésions locali- sées dans certaines régions du cerveau
démontré dans. ces derniers temps, du genre do loca- lisation de la lésion corticale; si il en est ainsi, on comprend l'appa
es, la migraine ophthalmique la plus légitime, indépendant de toute lésion cérébrale antérieure peut en se prolongeant ame
localisation spéciale. Or, quelle est la région du cerveau dont la lésion pourra produire si- multanément l'hémiopie, le
symbolique est mé- connue, aucune idée ne s'y rattache. Enfin, la lésion des circonvolutions frontale et pariétale ascenda
vaisseaux d'ailleurs prédispo- sés par la diathèse arthritique, des lésions portant sans doute sur la mem- brane interne, u
m- brane interne, une sorte d'endartérite capable de déterminer une lésion de canalisation permanente. Ainsi, l'aphasie de
analisation permanente. Ainsi, l'aphasie deviendra durable si cette lésion organique consécutive s'est établie dans l'artéri
paralysies motrices, considérées au dou- ble point de vue de leurs lésions causales et de leur siège central ou péri- phér
t-elle dynamique ou organique et, dans ce dernier cas, s'agit-il de lésions matérielles centrales ou périphériques; autrement
lésions matérielles centrales ou périphériques; autrement dit, ces lésions ont-elles pour siège le cerveau, la moelle, le
ri- gueur, pour affirmer que nous avons affaire à une paralysie par lésion d'un nerf mixte. En outre, l'examen électrique
IE BILATÉRALE DU DELTOIDE 21 Or, la première hypothèse, celle d'une lésion des cornes antérieures, doit être rejetée dans
élite antérieure aiguë. D'ailleurs, il est malaisé de concevoir une lésion bilatérale des cornes, limitée aux centres trophi
e deltoïdienne. Il dépend, d'une manière générale, de la nature des lésions musculaires ou neurotiques qui sont en jeu. Che
rmer qu'il s'agissait d'une amyotrophie véri- table, impliquant une lésion du système des cornes antérieures, car la dimi-
e de réaction de dégénérescence. Sans préjuger la nature intime, la lésion cérébrale ou médullaire de la maladie de Little
d, en 1841, Parchappe observait des fails de folie paralytique avec lésions spinales. Plus tard encore, en 1856 et en 1858, T
oexistence d'une dégénération grise des cordons pos- térieurs et de lésions de péri-encéphalite. , (1) Communication faite
estion dans des termes précis : cet auteur décrit en effet diverses lésions médullaires dans la paralysie géné- rale, entre
et les rattache, non à une maladie spinale indépendante, mais à une lésion propre de la paralysie générale, laquelle peut
cas d'ailleurs, une même cause, la syphilis, domine l'étiologie des lésions encéphaliques et médullaires ; ces lésions, sans
, domine l'étiologie des lésions encéphaliques et médullaires ; ces lésions , sans être de nature spécifique, sont du moins
ralysie générale ayant débuté par la moelle avec prédomi- nance des lésions dans les cordons postérieurs. Dans le courant d
se, les artères sylviennes et leurs bran- ches ne présentent aucune lésion apparente. La dure-mère est saine, sans traces
colorent vivement en rouge sur les préparations au picro-carmin. La lésion s'étend jusqu'au niveau de la commissure postér
ieures et posté- rieures de la substance grise ne présentent aucune lésion . Les racines antérieures et postérieures parais
, ni de dilatation des vaisseaux. Les méninges présentent les mêmes lésions que dans la coupe précé- dente. Coupe faite a
Les méninges présentent un épaississemenl fibreux très accusé, avec lésions des veines et des artères (l'l. IV, 6). Coupe f
6). Coupe faite au niveau de la ^région lombaire (Pl. IV, 5). -.Les lésions ici sont beaucoup moindres que dans la coupe pr
rveuses ont presque disparu, celles qui per- sistent présentent des lésions d'atrophie. Dans la corne antérieure droite, au
ent, et le ma- lade succombe comme un paralytique général, avec les lésions classiques de l'encéphale. Quant à la moelle, e
ssiques de l'encéphale. Quant à la moelle, elle ne présente que des lésions ma- croscopiques très peu accusées; au conlrair
ue des lésions ma- croscopiques très peu accusées; au conlraire les lésions histologiquessont 40 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
0 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE très prononcées. Mais ces lésions se distinguent nettement du tabès : d'abord, da
es au même degré que dans le tabès, et ne présentent que de Jégères lésions microscopiques. Voilà certes un tabes qui présent
nce des caractères distinctifs, de séparer du tabes classique cette lésion spinale qui se fait remarquer par sa tendance à
ômes encéphaliques habituels de la paralysie générale, enfin que la lésion spinale en pareil cas diffère par plusieurs trait
de. On peut la définir : « Une maladie contagieuse dans laquelle la lésion princi- pale est une dermite, parfois vésiculeu
; surtout la-première portion du duodénum qui présente en outre les lésions du premier degré de l'ulcé- ration. Ganglions m
s normaux. Cerveau : méninges épaissies et adhérentes; pas d'autres lésions . Lésions d'arthrite chronique au genou droit.
. Cerveau : méninges épaissies et adhérentes; pas d'autres lésions. Lésions d'arthrite chronique au genou droit. ÉTUDE II
logiques caractéristiques de l' « epidemic skin disease » (2). Les lésions que j'ai observées confirment entièrement les con
R L'EPIDEMIC SIiIN DISEASE 51 Elle est probablement secondaire à la lésion épidermique, car les couches profondes sont moi
grosses cellules mal colorées. Il semble que dans cette maladie, la lésion progresse toujours de l'exté- rieur à l'intérie
ur ; mais la périphérie reste claire et se colore difficilement. La lésion semble donc une dégénération transparente de la p
dié aussi trois autres cas de cette maladie, et j'ai trouvé que les lésions variaient proportionnellement à la gravité de l'a
examinée quelques semaines après. On ne saurait donc considérer les lésions comme des altérations post mortem ou comme résu
PtTRI1'T<F T. VIII YL. XIV. TROUBLES TROPHIQUES dans un cas de lésion de la queue de cheval. L EATTAILLE ET C" F ?
ne auto-intoxica- tion telle que la glycosurie du diabète, ou d'une lésion du bassin, mais qui peuvent n'être ni symptomat
vec une forme spéciale de sciatique compliquée, con- sécutive à une lésion traumatique des branches d'origine du nerf dans l
trouver en présence de monoplé- gies crurales, en rapport avec une lésion spinale (cornes antérieures) ou avec une névrit
ous faut chercher maintenant à déterminer exactement où siège cette lésion dans le canal lombo-sacré, et quelle est sa natur
erai ensuite sur les symptômes qu'on a observés dans des cas où une lésion intéressait exclusivement le cône terminal, sans
urs, les symptômes qu'on observe, dans le premier cas, lors- qu'une lésion agit, par voie de compression, sur les branches n
sée dans des cas où l'autopsie a démontré ensuite l'existence d'une lésion limitée au cône terminal. Je vous ai dit que je
ation pro- nostique. Elle traduit l'existence, dans les muscles, de lésions dégénérati- ves, le plus souvent irréparables,
yez(là un exemple des erreurs de diagnostic auxquelles exposent les lésions qui intéressent isolément la région des centres
Détail important : contrairement à ce qui arrive dans le cas d'une lésion destructive de la moelle, siégeant à un ni1 : e
RIÈRE pour une large pari à accélérer le dénouement dans les cas de lésions du segment dorso-lombaire de la moelle. Une o
ents médicamenteux, lorsque les dou- leurs sont en rapport avec une lésion organique incurable. Dans un cas pareil, vous v
econdaire des cordons postérieurs. Il est à prévoir que lorsque des lésions de cette nature datent déjà de loin, elles sero
minale du rachis, de la portion lombo-sacrée. On ne conçoit pas une lésion bilatérale extra-rachidienne, donnant naissance à
s-je, est d'une interprétation bien simple. Vous avez affaire à une lésion qui re- montej1lsqu'Ù la partie supérieure du r
lle qu'elle était réalisée chez le malade d'Eulenburg, implique une lésion située à un niveau un peu plus élevé que la lés
rg, implique une lésion située à un niveau un peu plus élevé que la lésion constatée chez le malade de Kahler. Chez ce derni
ite; les nerfs de la queue de cheval n'étaient pas altérés. 2° La lésion intra-rachidienne peut intéresser à la fois le cô
nfin la moelle, y compris le cône terminal, peut être indemne et la lésion intra-rachidienne se limiter aux nerfs qui se dis
lèvres, périnée, pourtour de l'anus, région fes- sière inférieure ( lésion en foyer ayant désorganisé le centre ano-vésical,
ont la cause peut être supprimée. 1 Il faut, en second lieu, que la lésion en jeu soit justiciable de l'inter- vention opé
l sera le cas lorsqu'il s'agit d'une compression entretenue par une lésion extra-spinale, luxation de vertèbres, morceau de
turées, tumeur extra-dure-mérienne. Au contraire, dans le cas d'une lésion intra-spinale, l'intervention du chirurgien n'a p
n soit renseigné d'une façon assez précise sur le siège exact de la lésion , c'est-à-dire sur le point au niveau duquel il de
inspection du rachis. Il n'en est plus de même dans le cas d'une lésion intra-rachidienne telle qu'une tumeur. C'est
tion des premières et deuxième racine lombaires, dans les cas où la lésion siège au niveau de la première lombaire. Lorsqu
lus haut. 3° Si l'on s'en rapporte à une observation de Leyden, les lésions qui siègent entre la première et la deuxième ve
e incomplète, dans cette même région (catégorie f). 4° Lorsqu'une lésion siège au niveau des 3e et 4e vertèbres lombaires,
par le péronier sera indemne (catégorie d). , 5° Dans les cas de lésions circonscrites (luxation, fracture), siégeant au
ération l'ensemble symptomatique, il ne me paraîtpas douteux que la lésion doit siéger au niveau de la deuxième vertèbre lom
mes leçons du semestre dernier, j'ai abordé devant vous l'élude des lésions de la queue de cheval et du cône terminal. Je me
les rappeler plus lard, quand il me faudra discuter le siège de la lésion . - Inquiet de la longue durée de son mat, ce ma
i tout il l'heure ces deux caractères, pour préciser le siège de la lésion causale. 152 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
ous avez déjà deviné, j'imagine, qu'il est sous la dépendance d'une lésion de la queue de cheval ou du cône terminal. Il m
nus, à la région cruro-fessière. Ce tableau a été vu dans un cas de lésions en foyer, ayant désorganisé le centre ano-vésical
it avec une fidélité parfaite le syndrome énoncé en second lieu. La lésion causale serait donc ici intra-spi- nale et occu
r sur des arguments circonstanciés. Vous concevez, en effet, qu'une lésion extra-spinale, intéressant dans l'intérieur du ra
tableau clinique. Dans celle seconde hypothèse, il s'agirait d'une lésion de la queue de cheval proprement dite. Or cette
t presque absolument symétrique. Ne serait-il pas surprenant qu'une lésion de la queue de cheval intéressât symétriquement 1
vessie ? Ne serail-il pas encore plus surprenant qu'une pa- reille lésion n'intéressât que les racines des nerfs précédents
cheval ? .Je vous avoue qu'une semblable sélection de la part d'une lésion brutale me paraît invraisemblable, encore qu'el
et le traitement. J'espère vous avoir convaincus qu'il s'agit d'une lésion du cône terminal et non d'une lésion de la queu
convaincus qu'il s'agit d'une lésion du cône terminal et non d'une lésion de la queue de cheval, d'une paralysie nucléaire
ne eschare de décubi- tus. Le professeur Erb avait diagnostiqué une lésion de la queue de cheval, située au-dessous de la
onguement insisté sur les signes qui permettent de dis- tinguer les lésions de la queue de cheval de celles du renflement lom
ut' aussi et surtout tenir compte de l'étendue transversale de la lésion à l'intérieur du canal rachidien. On conçoit qu
ce niveau D'où un syndrome identique à celui que produirait 1 une lésion située beaucoup plus bas et com- primant les ra
et dont voici la reproduction (Fig. 32), montre bien comment deux lésions , situées à des ni- veaux très différents dans l
ce fait que les contractions fibrillaires appartiennent surtout aux lésions spinales ou nucléaires. .J'ai insisté, dans m
autre signe différentiel. Je vous disais alors que, dans les cas de lésion destructive de la moelle occu- pant un niveau u
ion progressive, tandis que le contraire s'observe souvent dans les lésions limitées à la queue de cheval. Valentini s'était
rale. De fait, chez le malade de Erb, au- topsié par cet auteur, la lésion intéressait, la moelle et la maladie dura cepen
sept semaines après l'accident. Or, à l'autop- sie, on constata une lésion intéressant exclusivement la queue de cheval et
rrêté au diagnostic d'hématomyélie. S'il s'était agi chez lui d'une lésion de la queue de cheval, je n'aurais pas hésité u
mps, deux médecins anglais, Schawet Busch (2), ont publié un cas de lésion traumatique de la queue de cheval, où la trépanat
urs de l'hystérie peut se développer tantôt indépendamment de toute lésion extérieure, tantôt à .la suite d'accidents trau
photo- graphies. Ces formes spéciales d'hémiplégie indiquent une lésion protubérantielle et peuvent présenter diverses
. UN NOUVEAU ^TYPE D HÉMIPLÉGIE ALTERNE 179 être compris dans les lésions corticales, centrales, capsulaires, pédoncu- la
-alrophie faciale (maladie de Iloulller), dans le tabes et dans les lésions du tronc même de l'hypoglosse, lésions dues il
), dans le tabes et dans les lésions du tronc même de l'hypoglosse, lésions dues il des traumatismes ou des tumeurs, qui resp
tique au point de vue ana- tomique que le diagnostic du siège de la lésion pouvait être posé avec une certitude parfaite,
levilliod dans sa leçon du S février 1894. Il supposa et dessina la lésion dans le sillon qui sépare l'olive gauche de la
sans aphasie motrice ou sensorielle, faitclui excluait t déjà toute lésion centrale ou pédonculaire. La lésion ne pouvait ex
faitclui excluait t déjà toute lésion centrale ou pédonculaire. La lésion ne pouvait exister qu'au delà du point où le fa
oute la moitié gaucho de la langue. Cette atrophie indiquait que la lésion siégeait au noyau ou au-dessous, par conséquent,
la région hnlhaire. De ces données topographiques découlait que la lésion ne pouvait se trouver ailleurs que dans un poin
ci, soit avant l'entrecroisement des pyramides. Une seule et unique lésion parfaitement limitée, pouvait commander aux tro
e de tout autre signe ou symptôme pouvant laisser supposer d'antres lésions sur d'autres points de l'appareil cérébro-spinal,
type parfaitement pur d'hémiplégie alterne. Quant à la nature de la lésion , on ne pouvait rien affirmer, si ce n'est que s
e. Nous avons aussi coloré les coupes avec du carmin boracique. Les lésions que nous venons de décrire représentaient d'une
diquant évidemment une inflammation formative (voir Fis. 51). Ces lésions s'observent surtout dans quelques artères, situ
majeure partie des ra- cines de l'hypoglosse gauche. Telle est la lésion , qui a donné lieu à une hémiplégie alterne des me
l la dégénérescence descendante du faisceau pyramidal, symptômes et lésions qui existaient déjà le onzième jour de l'ictus
13a61gnolles,l'aris. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE LA LÉSION MÉDULLAIRE DE - L'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET
euse de Paget, et deux fois nous avons rencontré dans la moelle des lésions qui nous paraissent mériter l'attention des obser
plus d'éléments cellulaires fusiformes que d'éléments ronds ». LA LÉSION MÉDULLAIRE DE L'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 207
nous en avons fait après durcissement nous a révélé l'existence de lésions des cordons postérieurs qu'aucun trouble pendant
n lombaire, on constate à l'oeil nu, mais très atténuées, les mêmes lésions que le microscope relève également, mais avec une
LLE (RÉGION DORSALE) DANS UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET LA LÉSION MÉDULLAIRE DE L'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 211
- mier abord, être invoqué pour expliquer ces particularités. Les lésions macroscopiques de la moelle que nous avons rencon
iculièrement dans la région moyenne et inférieure (Pl. XXXV). Ces lésions sont constatables à l'oeil nu sur la moelle à l'é
gion dorsale. l Dans la région lombaire supérieure et moyenne où la lésion n'est pas aussi prononcée que dans la région do
tion tout à fait particulière qui diffère de celle du labes dont la lésion porte essentiellement sur la région radicu- lai
sens transversal. Ces troncs nerveux étaient oedématiés. , A ces lésions macroscopiques correspondaient des altérations mi
ont plus clairsemées à l'in- térieur de ces faisceaux nerveux. La lésion que nous avons constatée macroscopiquement est do
ale nous ont paru sains. Quelle est maintenant la signification des lésions que nous avons cons- tatées dans la moelle et d
moelle que nous avions seule examinée s'il ne s'agissait pas d'une lésion artificielle due au durcissement. Nous avions é
altérations dans un second fait montre qu'il s'agissait bien là de lésions spontanées et non provoquées. Nous nous étions
rovoquées. Nous nous étions aussi demandés si ce n'était pas là une lésion contln- gente accidentelle pour ainsi dire, ana
entelle pour ainsi dire, analogue à celles que l'on observe chez LA LÉSION MÉDULLAIRE DE L'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 213
Nous ferons la même réponse pour que la précédente objection. Les lésions que nous avons notées dans deux cas consécutifs s
rquerons que, dans la moelle, l'altération est consti- tuée par une lésion d'origine probablement endogène attendu que les f
endu que les fi- bres des racines postérieures sont intactes. Cette lésion cantonnée dans certaines parties des cordons po
estion très intense de la moelle et qu'on pourrait admettre que les lésions médullaires seraient ,aussi dues à des troubles
xister entre les altérations osseuses de la maladie de Paget et les lésions du système nerveux que nous avons rencontrées.
térations osseuses seraient des troubles tro- phiques dépendant des lésions médullaires. Le cas nouveau que nous pu- blions
eurs jours. Il était permis, cependant en raison de l'évolution des lésions , d'en soupçonner l'origine nerveuse. Mais les c
ouleur, de telle sorte qu'on ne peut pas reconnaître le siège de la lésion ancienne. Les photographies III et IV (Pl. XXXV
nnes cicatrices. Dans ce cas comme dans le premier, l'évolution des lésions n'a été troublée par aucune intervention médica
éfinitives, ne présentant jamais aucune trace de con- gestion ou de lésions de grattage, ni d'altération de la peau ou des ch
tre les mains des chirurgiens pour des affections céré- brales sans lésion apparente. Autrement dit n'aurait-on pas affaire
er la nature de ce syndrome mor- bide et de préciser le siège de la lésion originelle, il me semble nécessaire de vous exp
é- soudre le problème, qu'à déterminer le siège et. la nature de la lésion cau- sale. Et d'abord, quel est son siège ? Trè
Quels sont les signes qui vont traduire la présence d'une pareille lésion ? La réponse, Messieurs, s'impose. Vous aurez é
émiplégie droite, ti- tubation, nystagmus vertical) réalisé par une lésion imaginaire de pareil siège n'est que le paradig
la région de l'aqueduc et la moitié gauche de la protubérance. Une lésion , ainsi localisée, partiellement'destructive ou
re de rechercher l' le mécanisme, la pathogénie, la nature de cette lésion protuhérantielle. Ces dernières années, grâce a
e la bactériologie, le rôle des infections dans le déterminisme des lésions des centres nerveux a été mis en lumière par la
peuvent déterminer des altérations du système nerveux central. Des lésions analogues ont été rencontrées chez l'homme, à la
57) se perdent, à droite et à gauche, dans l'épaisseur du pont. Une lésion por- tant à la fois sur les artères latérales g
éalisera le syndrome nerveux que pré- sente notre malade. Que cette lésion artérielle post-morbilleuse ait abouti à la pro
es- sayé de préciser. 1 Vous n'ignorez point, Messieurs, que les lésions vasculaires jouent aujourd'hui un rôle primordi
Ophtalmoplégie externe, vous ai-je dit, est à peu près synonyme de lésion nucléaire. Je ne reviendrai donc pas sur ce chapi
de mai, la guérison était com- plète. Y a-t-il eu, dans ce cas, une lésion des nerfs périphériques ? Je ne le pense pas. J
ntiers l'incontinence des sphincters m'y oblige à l'hypothèse d'une lésion spinale légère, ayant entièrement guéri. Ici la
moelle bien différentes par leur étiologie : l'une a succombé à une lésion infectieuse que les circonstances ne nous ont pas
hilitique; l'autre au contraire était une syphilitique avérée et sa lésion médullaire relève de la syphilis. Obs. 1 (1).
une pièce de 50 centimes. - Le canal rachidien ne présente aucune lésion appréciable. La moelle étant enlevée et les mén
rotubérance, le cervelet et le cerveau ne présentent pas la moindre lésion macroscopique. - Le pannicule adipeux est parto
myéline. Nous étudierons d'abord le to- pographie du foyer. Cette lésion commence au niveau de la 2e racine dorsale ; dès
parables à ceux qui ont été décrits pour la partie supérieure de la lésion . Néanmoins la tache de myélite diminue beaucoup
rne postérieure droite reste toujours plus malade que la gauche. La lésion se termine au niveau de la 8e racine dorsale par
useau allongé, plus effilé en bas qu'en haut. La prédilection de la lésion pour la substance grise est évidente, mais au n
ont été à un certain niveau à peu près complètement envahis par la lésion ; il en est de même pour le faisceau pyramidal dr
grosine et aussi des préparations faites par la méthode de Pal. Les lésions vasculaires qui pa- Fig. 65. Coupe de- la moell
en être en rapport avec la zone de diffusion des leucocytes. - La lésion des vaisseaux ne se borne pourtant pas exclusivem
bryonnaires. Cet aspect, qui rappelle par certains points celui des lésions syphilitiques des vaisseaux médullaires, est lo
s diapé- désés, à noyaux irréguliers, que l'on ne voit pas dans les lésions vascu- laires de la syphilis nerveuse, sont inf
ne. S'il s'agissait ici d'une infection secondaire surajoutée à une lésion syphiliti- que, on n'observerait pas une unifor
rverait pas une uniformité aussi complète dans la disposi- tion des lésions ; les deux processus ne pourraient pas être fondu
trouverait une dissociation qui permettrait de caractériser chaque lésion séparément. L'étude microscopi- que des vaissea
en histologique, permet donc de rejeter dès maintenant l'idée d'une lésion syphilitique. En dehors des vaisseaux qui vienn
olorées par la méthode de Pal, on voit dans toute l'é- tendue de la lésion des débris myéliniques sous forme'd'une fine pous
granuleux. Les méninges, au niveau du foyer, ne présentent pas des lésions diffé- rentes, ni plus intenses que partout ail
e myélite il existe, dans le reste de l'axe nerveux, deux ordres de lésions à décrire : 1° Des lésions diffuses des méninge
reste de l'axe nerveux, deux ordres de lésions à décrire : 1° Des lésions diffuses des méninges qui reconnaissent vraisembl
n remar- quer toutefois que nulle part le pus n'est collecté. Les lésions de l'élément nerveux, avons-nous vu, pour intense
trop large, Les nerfs et les muscles examinés n'ont pas présenté de lésions appré- ciables. La lésion médullaire est donc
muscles examinés n'ont pas présenté de lésions appré- ciables. La lésion médullaire est donc constituée par un foyer de my
appelle d'une 'façon frappante, à l'état aigu, la dispo- sition des lésions chroniques de la sclérose en plaques. Cette analo
ment à un processus infectieux. L'extension plus considérable de la lésion au niveau de la substance grise, sa tendance ma
hèse il existerait une certaine analogie entre la disposition de la lésion dans le cas actuel et la configuration des foyers
nique ou si une infection secondaire, provenant des eschares et des lésions vésicales, ne s'est pas surajoutée à DEUX CAS D
est pas surajoutée à DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 335 une lésion primitive. Malheureusement le cadavre était, au m
. Il est donc très vraisemblable que nous avons eu sous les yeux la lésion primitive dans toute sa pureté, sans mélange de c
ique. 1 En résumé on peut conclure de toute cette discussion que la lésion mé- dullaire était un foyer inflammatoire dével
es inférieurs paralysés, contrai- rement à ce qui se passe dans les lésions transverses de peu d'étendue. Ici la lésion, pa
qui se passe dans les lésions transverses de peu d'étendue. Ici la lésion , par son importance et son acuité, a provoqué une
nt complètement disparu, ce qui prouve qu'il n'est pas besoin d'une lésion transverse totale pour abolir le pouvoir réflex
se compor- taient de même dans l'observation qui va suivre, mais la lésion transverse était totale. ' La sensibilité a é
s trophiques et la paralysie des sphincters sont habituels dans les lésions médullaires étendues quel que soit leur siège; le
pas diminué de volume. Le bulbe et la protubérance n'offrent aucune lésion macroscopique, sauf un léger dépoli de l'épendy
s grande partie du lobe inférieur droit. Le coeur est flasque, sans lésions de l'endocarde. DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE
des travées anastomosées, toujours assez superficielles. On voit des lésions analogues, mais moins étendues dans le lobe gau
l nu sur les cou- pes où il forme une large tache non colorée. La lésion commence au niveau des radicules supérieures de l
sur la substance blanche avoisinante. Au niveau de la 1" dorsale la lésion a déjà envahi la presque totalité de la surface
ls couverts de taches diffuses. Au niveau de la 3e paire dorsale la lésion est presque totale ; il ne reste qu'une très mi
les tubes myélini- ques qui persistent sont fortement altérés. La lésion reste à peu près la même, sauf que le réticulum d
petite tache descendjusqu'à la 10° racine. En résumé il existe une lésion , énorme, comprenant une étendue de 10 racines,
uent un grand rôle dans sa pathogénie. Dans toute l'étendue de la lésion les vaisseaux sont gorgés de sang et énormément
té- rieurs et postérieurs. Les artères sont même indemnes de toutes lésions de leurs parois;. les .veines présentent au con
rétrécissement.' ' Les vaisseaux intra-médullaires, à part quelques lésions diffuses qui seront décrites plus loin, ne devi
ouronne de corps granuleux que présentent certains capillaires, les lésions vàsculaires consistent en une infiltration, parfo
us forme de petites boules peu colorées. Dans les points même où la lésion est totale, les racines antérieures sont relati
me dans le foyer, par une infiltration embryonnaire des parois. Ces lésions sont disséminées et peu marquées. La pie-mère
s les fentes lymphati- ques, loin de tout-capillaire sanguin. Cette lésion est particulièrement in- tense dans le tractus
téristiques. Au niveau du bulbe et de la protubérance il existe des lésions intersti- tielles des nerfs crâniens et des mén
niens et des méninges qui sont exactement de la même nature que les lésions méningées et radiculaires qui viennent d'être dé-
is des veines qui traversent cet espace. Les artères échappent à la lésion . Tous les nerfs dont il vient d'être question n
nt il vient d'être question ne présentent d'ailleurs pas la moindre lésion parenchymateuse ; leurs fibres sont parfaitement
es manifestes d'une évolution fibreuse qui donne l'impression d'une lésion arrêtée dans sa marche et en voie de guérison.
Schultze. , Les nerfs et les muscles examinés n'ont présenté aucune lésion appré- ciable. L'étude histologique des lésio
nt présenté aucune lésion appré- ciable. L'étude histologique des lésions hépatiques est fort intéressante, parce qu'elle
llules géantes. En quelques points les veines-portes présentent des lésions de périphlé- bite et d'endophlébite qui se ratt
MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 345 D'autre part la forme particulière des lésions vasculaires, les lésions concomitantes des méni
345 D'autre part la forme particulière des lésions vasculaires, les lésions concomitantes des méninges, celles du foie, qui
atifs établissent d'une fa- çon indiscutable qu'il s'agit, la d'une lésion syphilitique. Cette lésion est fort intéressant
çon indiscutable qu'il s'agit, la d'une lésion syphilitique. Cette lésion est fort intéressante par son étendue inusitée, p
d la présence, dans le reste du système nerveux et dans le,foie, de lésions que l'on a l'habitude de considérer comme carac-
arac- téristiques de la syphilis dans un cas, l'absence complète de lésions ana- logues dans l'autre cas. C'est enfin et su
s l'autre cas. C'est enfin et surtout la nature très différente des lésions vasculaires dans les deux cas. On comprend fort b
laires dans les deux cas. On comprend fort bien que deux espèces de lésions vasculaires aient en fin de compte exactement la
e d'allure, malgré la ressemblance considérable dans l'ensemble des lésions , il existe des arguments absolu- ment probants
s, au moins très vraisemblable que nous nous trouvons en face d'une lésion pure. La dernière observation est fort importan
AIGUË 3t7 matoire. Ici l'activité du processus est très grande; les lésions vasculaires qui, mécaniquement, auraientpeu d'i
l anatomique de la paroi. Il ne faut donc pas considérer toutes les lésions syphilitiques de la moelle, même parmi celles à
les recherches les plus minutieuses n'ont permis de trouver aucune lésion nerveuse ni périphérique, ni centrale. Nous n
ent indé- 360 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE pendante de lésions organiques quelconques. En elfet après avoir her-
tic rétrospectif ne nous semble pas douteux. « L'une des espèces de lésions du chef, dit-il, est celle où, le crâne non fra
use du sang pu- tréfié en un point non reconnu : et cette espèce de lésion est mauvaise parce que les médecins ne savent l
tologie des fractures du crâne et, pour commencer, les signes de la lésion osseuse même : signes présomptifs et signes « m
n soit, arrivons aux symptômes attribués par Bérenger de Carpi à la lésion des membranes. « Avicenne, dit-il, pense que la p
ut du reste que l'un survienne et point l'autre, ou même, malgré la lésion des membranes, ni l'un ni l'autre ». S'il y a,
la lésion des membranes, ni l'un ni l'autre ». S'il y a, cle plus, lésion du cerveau, on constate, en outre des symptômes
ment, se placent les fractures plus rares ; dans l'espèce « qui est lésion avec enlèvement de la superficie de l'os » il f
la rougeole, par F. RAYMOND, 265. Ostéite déformante de Paget (la lésion médullaire), par GILLES DE la TOURETTE et MAR
, Dégénéré persécuté. 187. Marinesco et GILLES DE la TOURETTE. La lésion médullaire de l'ostéite déformante de Paget, 20
consé- cutive à la rougeole, XLIII. Ostéite déformante de Paget ( Lésion mé- dullaire),XXXV. Paralysie générale ci for
teen). LI. Queue de cheval (troubles trophiques con- sécutifs aux lésions ), XIV. Sein hystérique (miracle de la demoisell
ion bulbo-protubérantiell,e, 56, 57. Ostéite déformante de Paget, lésion mé- dullaire, 52. Paralysie bilatérale du del
45 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
si douloureux qu'elle craignit pendant plusieurs jours d'avoir une lésion au cerveau. Elle demeura quelque temps abattue,
complète et encore le cer- veau qui y était renfermé présentait des lésions qui s'oppo- saient à son développement tout aut
IV. - Encéphale de PCI'I'... ' 4 50 ' ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des lésions cérébrales et à la diversité des troubles patholo
ontracture, localisée au membre infé- rieur était en flexion. 4° La lésion causale consistait en un ramol- lissement très
purement hystérique, alors que pour Déjerine et Thomas il y aurait lésion organique sous-corlicale dont la nature est ind
e des sensibilités périphériques. Pour l'auteur, il s'agirait d'une lésion des neurones coordinateurs des noyaux gris sous-c
lésion des neurones coordinateurs des noyaux gris sous-cor- licaux, lésion intéressant les fibres centripètes de la sensibil
ction, aussi bien la théorie de l'aplasie lamineuse que celle de la lésion ner- veuse périphérique (facial, sympathique, t
ériphérique (facial, sympathique, trijumeau) et d'ad- mettre que la lésion est nerveuse et qu'elle siège dans les centres
pulmonaire. Diagnostic vérifié à l'autopsie par la constatation de lésions de l'articulation scapulo-humérale (énormes végét
e montre une malformation de l'hémisphère cérébral gauche, et des lésions de méningo-encéphalite s'étendant à presque toute
la face inférieure du cervelet, de la protubérance et du bulbe, des lésions de méningo- myélite disséminées sur toute la ha
e la hauteur de la moelle. L'examen histologique de ces différentes lésions permet de déterminer leur nature spécifique. R.
. L'hémiatrophie faciale rapide et très accusée s'explique par la lésion des filets sympathiques des racines du plexus bra
x nerveux moteurs de certains nerfs craniens sous la dépendance des lésions du sympathique. G. C. XXVII. Accidents pseudo
erfs périphé- riques (racines antérieures) ; par J. NAGEOTTE. Une lésion inflammatoire subaiguë des nerfs radiculaires peu
ral a produit deux foyers dans l'axe cérébro-spinal et en outre des lésions inflammatoires multiples au niveau de plusieurs
cence de plusieurs racines sacro-lombaires d'où il résulte : 1° Une lésion systématisée des cordons postérieurs au-dessous d
séro-réaction. (Revue neurologique, janvier 1903). E. B. IV. Les lésions du système lymphatique postérieur de la moelle
i crée le tabes, ce n'est pas seulement la névrite, c'est-à-dire la lésion de la racine à sa tra- versée de la méninge, c'
ire la lésion de la racine à sa tra- versée de la méninge, c'est la lésion de tout le système lympha- tique postérieur de
ne pos- térieure, la pie-mère et le cordon postérieur. En somme, la lésion initiale du tabès ne serait autre chose qu'une
En somme, la lésion initiale du tabès ne serait autre chose qu'une lésion syphilitique du système lymphatique postérieur
, avec quelle fréquence et quelle prédilection la syphilis crée des lésions dans les lymphatiques. (Revue neurologique, janvi
a face inférieure du cervelet. L'exa- men histologique a révélé des lésions très semblables à celles de l'atrophie olivo ?
rologique, mai 1903.) E. B. X. Fracture de la colonne vertébrale. Lésion spinale limitée à une minime partie d'étage rad
rieure des avant-bras. (Revue neurologique, juin 1903). E. B. XI. Lésions de syringomyélie trouvées à l'autopsie d'un paral
pour le choix du lieu de l'opération, d'être fixé sur le côté de la lésion néoplasique. On y parvient en tenant compte des
On y parvient en tenant compte des faits suivants : les effets des lésions cérébelleuses uni- latérales sont directs et no
ymptomatologié et des dégénérations nettes. La rareté de semblables lésions , avec survie suffisante pour la production de d
urs a été dans les deux observations, à. très peu près, celle d'une lésion cérébelleuse. Les tumeurs du nerf auditif son
er et Claparède, et dont l'intérêt n'est pas d'ordre médical. XX. Lésion ancienne du noyau rouge. Dégénérations secondaire
isme après tentatives de suicide. A l'autopsie on neconstate aucune lésion du cortex ni des méninges, mais une lésion pédon-
sie on neconstate aucune lésion du cortex ni des méninges, mais une lésion pédon- culaire intéressant nettement tout le no
central de la calotte et au faisceau longitudi- nal postérieur. Les lésions médullaires ne paraissent avoir aucun rapport a
infantile, mais dépendre de la syphilis acquise. L'absence de toute lésion de la voie pyramidale permet- trait de supposer
permet- trait de supposer que l'hémiplégie infantile résulte de la lésion du noyau rouge et des voies motrices de la calo
qui explique la conservation de la vision centrale dans les cas de lésions des sphères visuelles parce fait que les fibres
it les sels minéraux, ramollirait les os et constituerait ainsi les lésions de l'ostéomalacie. Des recherches auxquelles s'
point de vue clinique qu'anatomique. Ils présentaient en outre des lésions tuberculeuses multiples, les unes très anciennes,
n MM. Déjerine, Thomas et Chiroy ont considéré comme rattaché à une lésion thalamique, M. Marie n'a trouvé à l'autopsie au
nication autopsié deux sujets atteints de ce syndrome et trouvé des lésions thala- miques chez les deux.. Accidents bulba
ouvent remarqué que les accidents généraux'accompagnent surtout les lésions droites du bulbe et non les gauches. Cécité ver
mas. Chez un malade dont le pli courbe est resté intact et dont les lésions occupaient une faible portion de la P3 et une v
trent les radiographies, d'exostoses et d'ostéites raréfiantes. Les lésions semblent devoir être rapportées à la syphylis h
'autres (Pofoff, Moxter, Von Michel, de Grosz, etc.) croient que la lésion primitive siège dans la rétine et qu'elle consi
ent pas plus prononcées que celles qui se' produisent à la suite de lésions quelconques du nerf optique ou des extrémités t
ptique ou des extrémités terminales de ses fibres, à la suite d'une lésion du corps genouillé par exemple. En somme, ces r
cette constatation laissait supposer qu'il devait exister une autre lésion qu'une simple atrophie sur place des fibres ner
issent alors faute d'irrigation sanguine ; à cette même période des lésions , on voit disparaître les travées conjonc- tives
tives qui unissaient les modules vasculaires. Cette succession des lésions est très nette quand on examine des nerfs à des d
e conserve durant un temps très long des sensations lumineuses. Ces lésions n'ont rien de spécial à l'atrophie tabétique, c
s lésions n'ont rien de spécial à l'atrophie tabétique, ce sont des lésions de péri et d'endophlébite, de péri et d'endarté
TÉS SAVANTES. 70 début de l'amaurose. Nous avons retrouvé ces mêmes lésions vas- culaires prédominantes au pourtour du nerf
très nette vis-à-vis des agents généraux (toxique ou infectieux). Lésions corticales et sous-corticales minimes avec lésion
ou infectieux). Lésions corticales et sous-corticales minimes avec lésion sotis-épei- dy maire très prononcée chez deux a
l'autre sensoriel, cliniquement typiques. Chez l'un d'eux : aucune lésion corticale et seulement une petite lésion linéai
. Chez l'un d'eux : aucune lésion corticale et seulement une petite lésion linéaire séparant la couche sous-épendymaire de
Ces cas ne sont pas les seuls dans lesquels nous ayons trouvé une lésion épendymaire manifeste. Il existe une pathologie d
ystème nerveux, abstrac- tion faite de la nature et de la cause des lésions , à ce qu'est la pa- thologie de l'endocarde pou
u côté du système nerveux SOCIÉTÉS SAVANTES. 85 des phénomènes de lésion des nerfs périphériques (manque de réflexes pat
roubles de mémoire analogues peuvent s'observer aussi dans diverses lésions anatomiques du cerveau, preuve de quoi peut ser
ue pure ; 2° lorsqu'un processus a : .a- logue est observé dans les lésions organiques du cerveau et 3° lorsque la maladie
3° lorsque la maladie de Korsakoff typique est compliquée par des lésions cérébrales organiques et non provoquées par elles
tème nerveux, Comme endroit de la plus grande concentra- tion de la lésion dans cette maladie apparaissent les nerfs péri-
outre les modifications observées dans l'organisme. Il n'y a pas de lésions spécifiques ni des centres ner- veux, ni des vi
i a-t-il limité son invasion à la peau, déjà l'on peut observer les lésions dermatologiques les plus variées, la desquamati
ans ces cas, de même que dans la rhinite ou l'orchite lépreuse, les lésions sont directement imputables au développement lo
aux perforants, de gangrène sèche avec résorption des phalanges, de lésions articulaires et d'atrophies musculaires. Faut-i
ume. Du côté de la paroi vasculaire, vous ne constaterez que peu de lésions , mais tout autour des vaisseaux cutanés existe
ire correspondant à une des macules de la peau ; enfin, quand les lésions sont plus confluentes, elles donnent naissance au
Non seulement par sa nature, mais aussi par son histolo- gie, la lésion sera bien réellement lépreuse, je veux dire qu'on
ntrafasciculaire pénétrant entre les fibres nerveuses. Eh bien ! la lésion lépreuse se rencontre en deux endroits à la foi
On comprend bien alors les conséquences qu'entraînent de semblables lésions au point de vue de la structure et. du 128 CLIN
ants pour permettre d'identifier les deux affections. En outre, les lésions de sclé- rose décrites au niveau des cordons po
remar- quer. Enfin le tissu nerveux ne se refuse pas à faire des lésions histologiquement spécifiques le tubercule, la g
s paroxystiques de longues périodes d'accalmie, le plus souvent les lésions et leurs symptômes ont une tendance redoutable
histologie pure. Pour arriver à rattacher la modalité clinique à la lésion , il faut, avant tout, interpréter correctement
, interpréter correctement tous les éléments histologiques de cette lésion . Expérimentons. L'expérimentation nous permettr
t être introduites dans la nomenclature anatomo pathologique. Les lésions régressives admises, jusqu'ici nous offrent peu d
encore à la notion dp-l'inflam1Jlation. Si nous désignons ainsi une lésion du tissu nerveux s'accompagnant de prolificatio
nts nerveux affectés, non pas à rattacher les signes cliniques à la lésion anatomique, mais bien à rechercher méthodiqueme
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. seraient pas au début localisés. La lésion qui semble sous le microscope la plus diffuse n
n réflexe d'autant qu'il est exagéré d'un seul côté dans les cas de lésions anatomiques cérébrales et spino- cervicales. Ce
on paradoxale apparente des pupilles à la lumière. A la suite d'une lésion de l'iris, la contraction du sphincter irien d'
E NEUROLOGIE Séance de juillet 1904. - PRÉSIDENCE DE M. Dêjerine. Lésions des neurofibrilles dans la paralysie générale.
éral et de tuberculeux pris comme témoin. La comparaison montre des lésions des neurofibrilles dans les cellules nerveuses
it un foyer de dégénérescence secondaire dans la cap- sule interne ( lésion ancienne). Ce cas (sauf pour cette lésion ancie
ans la cap- sule interne (lésion ancienne). Ce cas (sauf pour cette lésion ancienne) est en tout semblable à celui de Gras
es amyotrophies peuvent se classer parmi les atrophies réflexes par lésion articulaire. Sclérose en plaques chez un infant
ales étaient histologiquement altérées, enfin il y avait une grosse lésion du pli courbe. C'est aux dégénérations secondai
nime et fait quelquefois défaut. Les dégénérations de ce cordon par lésions cérébrales sont l'exception. Ces dégénérations
ons cérébrales sont l'exception. Ces dégénérations consécutives aux lésions du mésen- céphale, du métencéphale, du myélencé
quet, fit admettre la mort par inhibition : il n'y avait en fait de lésion qu'un certain degré de congestion pulmonaire. A c
les peuvent relever d'altérations locales du squelette (gommes), de lésions des centres trophiques ou bien de dystrophies g
fficiles àétablir; dans plusieurs cas, l'autopsie n'a révélé aucune lésion attribuable au traumatisme. M. BRIAND. J'ai c
démontré que sur 167 î épileptiques, il y en avait 142 atteints de lésions cutanées : 196 PATHOLOGIE. indemmes de troubl
ubles mentaux, n'en a trouvé que 34 atteints de noevi. Le siège des lésions cutanées serait par ordre de fréquence : - Tr
lus fréquemment à la tête. Nos observations nous ont montré que ces lésions siègent au tronc puis aux membres supérieurs, c
internes des bras, des cuisses. Dans aucun cas nous n'avons vu les lésions se localiser à un tra- jet nerveux. Un fait, dé
ou héréditaires, parce qu'elle n'a pas encore pour critérium des lésions anatomiques indiscutables ou une étiologie spécia
ip- pel et Lhermitte). On ne manquera pas de nous objecter que la lésion exclusive du neurone n'a pas, par elle même, une
ier et quelques autres auteurs ont noté expressément l'existence de lésions vasculaires, et aussi, d'une infiltration de l'
aire d'affirmer, avec ces auteurs, que, dans la démence précoce, la lésion localisée à l'un des tissus de l'encéphale deme
encéphale demeure comme un fait indiscutable... et qu'il y a là une lésion qui appartient à la démence précoce et non à ce
, c'est l'ana- logie, pour ne pas dire la complète identité, de ces lésions avec celles de psychoses dont l'origine toxi-in
même intégrité des méninges et des vais- seaux, la même absence de lésions notables de la névroglie, la même localisation
établissant l'existence, dans tous les cas de démence chronique, de lésions matérielles de la corticalité cérébrale, et en
de la corticalité cérébrale, et en montrant que l'intensité de ces lésions était tou- jours en rapport avec la gravité des
t non prévenu, de ne pas admettre un rapport de causalité entre ces lésions et le tableau symptoma- tique de la démence. M.
s vésaniques, en se fondant sur la différence de loca- lisation des lésions respectives de ces deux groupes d'états démen-
indre l'ensemble des tissus qui composent l'encéphale et à côté des lésions du neu- rone, et de la névroglie (tissu neuro-é
rie, t. XV111. 15 226 SOCIÉTÉS SAVANTES. niques seraient liés aux lésions dites fonctionnelles et à l'atrophie du neurone
'encéphale, à part parfois la névroglie, ne participeraient pas aux lésions . » On remarquera qu'à cette différence de siège
ne correspond aucune différence de nature. Il s'agit toujours de lésions destructives avec désintégration plus ou moins co
oici déjà l'opinion de M. Pierret sur la question : « De toutes les lésions observées au cours des démences, écrit son élèv
est celle de la cellule corticale. Il ne s'agit pas seulement d'une lésion banale telle que la chroma- tolyse, mais de la
es vésaniques) en deux grandes classes : celles qui sont dues à des lésions circonscrites, solitaires ou multiples, et cell
solitaires ou multiples, et celles qui reconnaissent pour cause des lésions diffuses et généra- lisées d'emblée; cette seco
s, à la vérité artificiellement séparés, sui- vant qu'il s'agit des lésions aiguës ou chroniques, réparables ou destructive
vue anatomo- pathologique, il y a une grande diffé- rence entre les lésions trouvées par MM. Klippel et Lhermitte dans 4 ca
odification delà forme cellulaire, avec chromatolyse légère) et les lésions que j'ai décrites dans la confusion mentale (tu
ec chromatolyse intense). En vain, M. Deny a tenté d'identifier des lésions de caractères aussi différents et de se baser s
sent-elles même com- parables à celles de la confusion mentale, les lésions signalées par MM. Klippelet Lhermitte pourraien
tuberculose pulmonaire notées à l'autopsie, bien plutôt qu'à une lésion toxique. La diminution du nombre des cellules pyr
des cellules pyramidales (Klippel et Lhermitte) semble indiquer une lésion morphologique congénitale, c'est-à-dire constit
vasculaire chez des prédisposés, éréthisme précédant et motivant la lésion circonscrite ultérieure. A l'appui de nos opinion
e stupeur avec accès d'excitation cacatonique. A l'autopsie, aucune lésion macroscopique en dehors des tubercu- leuses. Au
leuses. Au microscope, on ne voit dans l'écorce cérébrale aucune lésion des méninges ni des vaisseaux ; il n'existe pas d
Heidelberg), qui a réglementé cette méthode, cherche à produire une lésion périphérique dans un nerf, dans un muscle et re
ns associées diverses, intercurrentes ou terminales. De plus, les lésions anciennes qui se sont compliquées d'atro- phie
se sont compliquées d'atro- phie ou de sclérose médullaire, et les lésions destructives de la substance médullaire (tumeur
servir de documents pour établir la théorie des localisations : ces lésions ont, en effet, suffi à elles seules à produire un
exacte et à délimiter la situation des altérations secondaires aux lésions périphériques. Ces cas servent, cependant, à démo
en, etc.), dans lequel les trou- bles périphériques résultant de la lésion médullaire occupent des zones limitées par des
rice antérieure de la moelle, et a trois groupes de centres dont la lésion produit trois types de troubles périphériques.
enfin, les centres supérieurs, supra-nucléaires (Parinaud) dont la lésion pro- duit des paralysies associées, bilatérales
va le sympathique thoracique gauche du 30 au 10e communicant. Les lésions , maxima dans Du', sont comprises entre Uvti et Cv
e de traite- ment a engagé ces auteurs à en faire la publication. Lésions de l'écorce cérébrale et cérébelleuse chez une id
ns, aveugle par suite d'ophtalmie puru- lente des nonveau-nés, avec lésions plus graves de l'oeil gauche et des voies optiq
rition de la rétite et du cristallin à gauche. Dans le cerveau, les lésions cellu- laires (disparition d'un très grand nomb
de Herschen est donc possible même dans des cerveaux atteints d'une lésion généra- lisée. Le cervelet est également atte
e. Le cervelet est également atteint dans toutes ses parties. Les lésions y ont le même caractère (destruction d'un très gr
élévation de la température. Mort subite le lendemain. Autopsie : Lésions inflammatoires avec hémorrhagies criblant les p
de poliencéphalite supérieure aiguë hémorrhagique. Il s'agirait de lésions assez diffuses avec prédomir nance au voisinage
e différence manifeste entre les deux renflements lombaires. 1° Les lésions sont beaucoup plus accen- tuées et plus netteme
fort peu d'importance à cet égard ; - 44° Cette restauration des lésions de la moelle n'est jamais par- faite. Il ne s'a
s; elle n'est fréquente que dans le tabes avec symptômes minimes de lésion des cordons pos- térieurs ; 2° quand la cécité
alysie générale ; il s'agit, ce semble, d'atrophie secondaire à des lésions de méningite et de névrite interstitielle à poi
de la face peut, dans quelques cas exceptionnels, s'accompagner de lésions du nerf optique. Nous avons eu l'occasion d'obs
aud, Pagenstecher, Ramirez, Ripault, etc. La réalité clinique de la lésion optique (névrite ou atrophie) au cours de l'éry
édente : les autres, plus nombreux, incriminent, dans la genèse des lésions , l'atrophie post-névritique. Nous nous rangeons à
pagation de son inflammation au tissu cellulaire orbitaire dont les lésions (cellulite orbitaire) s'étendent consécutivemen
pa- gation, explique toutes les formes cliniques, suivant que les lésions mécaniques et inflammatoires prédominent dans l'u
t, chez des neurasthé- 270 SOCIÉTÉS SAVANTES. niques, sans aucune lésion stomacale par conséquent. De l'étude de ces obs
a douleur épigastrique; 3° Il existe des cas où on ne trouve aucune lésion pouvant reten- tir sur le plexus solaire et où
e chez lui et l'examen biopsique d'un fragment de muscle montre les lésions typiques de l'atrophie musculaire. Des faits
ne savons pas si ces formes sont liées à l'évolution fébrile de la lésion tabétique elle-même ou bien si, plus probableme
de la lésion tabétique elle-même ou bien si, plus probablement, la lésion tabétique et les accidents qu'elle entraine son
MM. 13RlCIIE, PAVIART et Chaudron. - Conclusion : On a trouvé des lésions du fond de l'oeil chez les paralytiques générales
z le chien, des véritables centres musculaires. Pour la cuisse, les lésions sont minimes dans nos deux cas. Elles correspon
iculier dans les cas qui font l'objet de cette communication. Les lésions les plus variées de l'oreille ou de ses annexes
, très souvent, les états vertigineux sont sous la dépendance d'une lésion passée inaperçue jusqu'ici; la soudure de la tr
eure du naso-pharynx. J'ai. observé aussi que la destruction de ces lésions amène la dispari- tion, en général immédiate, d
s les plus directes ont pu être établies entre les symptômes et les lésions . Il s'agit, en résumé, d'un tuberculeux de tren
filtration bilatérale étendue, et cavernulation rapide des sommets, lésions laryngées, cachexie rapide, etc., mort trois mo
malade meurt dans un coma asphyxique graduel et rapide. Nécropsie : lésions pulmo- naires d'infiltration caséeuse classique
ement épaissies au niveau des lobes frontaux, sans adhérences, sans lésions tuberculeuses : l'épaississement prédomine en c
iat des capillaires. Prolifération à peine marquée de la névroglie. Lésions profondes et diffuses des cellules nerveuses fr
n hyaline de la plupart des capillaires. Dans la substance blanche, lésions de début de putréfaction : lacunes avec dissolu
raînées de streptobacilles le long de certains vaisseaux. Les mêmes lésions , mais beaucoup plus discrètes et moins avancées
du cortex. A ce niveau simple vascularisation de la pie-mère. Ces lésions , d'ordre toxique, de date récente, nullement subo
s d'ailleurs, aux altérations vasculaires, qui sont minimes, ni aux lésions méningées, qui sont plus anciennes et d'une autre
mique de l'état mental si spécial de cer- tains phtisiques dans les lésions destructives des cellules du lobe frontal, et p
cellules du lobe frontal, et parce qu'elle permet de rapporter ces lésions aux pro- cessus de l'intoxication complexe dont
elative à la question des modifications du caractère à la suite des lésions du cerveau; par M. Friedmann. {Neurolog. Centra
exérèses du cerveau, il s'en est trouvé deux qui, à la suite d'une lésion très légère et fort petite, ont trois semaines
HITZIG. (Neurolog. Cent1'albl., XXI, 1902.) Animaux ayant subi des lésions expérimentales de la sphère visuelle occipitale
sions expérimentales de la sphère visuelle occipitale de Munk. I. Lésions unilatérales. 1° Le trouble visuel disparaît tota
ent il ne reste qu'un endroit amblyopique en haut et en dehors. II. Lésions bilatérales. Ces chiens ont préalablement subi un
aque congestive et de l'affaiblissement mental. Elle doit tenir aux lésions du lobe pariétal, car les singes auxquels Munk
ieure du noyau du facial. Dégénérescence : des branches du facial ; lésions des deux branches de l'auditif. Voici le résumé
al peut être suivie jusque dans le noyau du côté correspondant à la lésion ; il existe une faible dégénérescence des fibres q
e reste au noyau de Deiters. 3. La grosse olive du côté opposé à la lésion contient plus de fibres dégénérées que celle du m
if s'étend à la racine descendante de l'auditif du même côté que la lésion , ainsi qu'à la substance réticulaire et aux noy
dégénérescence est un peu plus accentuée du côté correspondant à la lésion . Dans la zone des tubercules quadri- jumeaux po
Bechterew : elles sont notablement plus nombreuses du côté de la lésion . Encore plus en dedans, les diverses parties des
uleur, l'action favorable du traitement mercuriel font penser à une lésion syphilitique et très probablement à une méningite
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. LXII. Contribution à la connaissance des lésions corticales cir- conscrites de la région motrice
ats et consécutifs qui permettent de constituer la localisation des lésions (figure d'orientation cor- respondante). M. Lév
et des expérimentateurs, il arrive aux conclusions suivantes. Les lésions corticales du centre de la jambe et les lésions s
ions suivantes. Les lésions corticales du centre de la jambe et les lésions sous- corticales du centre du bras se traduisen
bles de la sensibilité sont en somme tout aussi graves quand il y a lésion sous-corticale immédiate de la couronne rayonnant
icale immédiate de la couronne rayonnante que quand il s'agit d'une lésion directe de l'écorce. 3. 1,'ataxie tend moins à
des racines cervicales inférieures. Son apparition indique donc une lésion du neurone moteur central au-dessus du renflement
il pense que l'existence de la surdité verbale pure dans le cas de lésion bilatérale du lobe temporal n'est pas prouvée, qu
e streptocoques a été suivie de paralysies soudaines mortelles avec lésions de la moelle ressemblant à celles de la myélite
ons. Il y a des raisons de penser que la cause anatomique est une lésion du cervelet, très probablement d'origine vasculai
sie ou de paralysie de certains segments de l'iris, produit par des lésions pathologiques de certains filets des nerfs ciliai
partielle. Elles sont, selon toutes probabilités, produites par des lésions pathologiques des filets pupillaires correspondan
es crises nerveuses alternant avec des crises de toux. L'absence de lésions pulmonaires, les stigmates hystériques évidents
st qu'un examen ultérieur qui permit d'attribuer les troubles à une lésion syphilitique de la base du crâne. XLI. Observat
! e psiehiutnü, VII, 1902.) Ce signe aurait de la valeur dans les lésions syphilitiques à forme de méningo-encéphalite et
nostic de paralysie générale ressort et du tableau clinique, et des lésions macroscopiques. Les convulsions portèrent plus
carac- tère qu'il serait impossible de ne pas les attribuer à une lésion de la couche optique. A... L..., âgée de cinqua
- sidération le symptôme concomitant du rire forcé conclue que la lésion devait siéger vers la partie postérieure de la
optique n'en avait détruit que la partie postérieure seulement. Les lésions qu'elle avait pro- voquées dans ce ganglion cen
la couche réticulée ou grilla- gée d'Arnold. Comme il appert que la lésion n'atteignait guère, en sus du segment antérieur
1904, n° 24.) Après s'être défendu d'avoir jamais prétendu que les lésions des vaisseaux de l'écorce cérébrale étaient tou
l'auteur déclare que de ses recherches il résulte seulement que ces lésions vasculaires sont celles qui s'observent le plus
eaux de l'écorce, et d'autre part que si on rencontre parfois cette lésion dans d'autres phychoses, c'est qu'il s'agit d'anc
La sclérose hypertrophique tubéreuse. 4° L'idiotie consécutive aux lésions circonscrites du cerveau (par encéphalite, hémo
pathologiques. 405 LXXXV. La rage expérimentale à virus fixe et ses lésions histologi- ques ; par le Dr Lanme. (Journ. de N
ort : 1° que la rage expérimentale à virus fixe ne produit pas de lésions spéciales; 2° que le nodule rabique du ganglion e
inflammation de cet organe ; 3° que ni le siège, ni l'intensité des lésions de la rage des laboratoires ne permettent de fa
hologique de la rage due au virus fixe est l'ensemble de toutes les lésions des enveloppes et de la substance nerveuse de t
ans l'organisme n'a pas d'influence sur l'intensité et le siège des lésions rabiques ; 6° que les légères lésions visibles de
r l'intensité et le siège des lésions rabiques ; 6° que les légères lésions visibles de la rage expérimentale doivent être
.) De l'examen de l'état du réflexe du fascia lata dans 12 cas de lésions du cerveau ou des méninges, les auteurs déclarent
nsitivo-moteur était complète- ment détruit. Il semble donc que les lésions du faisceau moteur seul n'exercent sur la-produ
ssez restreinte se traduisent souvent par de la diminution; que les lésions destructives du faisceau sensoriel peuvent anéant
eux, l'angoisse a été observée : dans les paralysies bulbaires, les lésions méningo-encéphaliques basilaires, les affection
adies de l'appareil i-espiratoit e, l'angoisse a été notée dans les lésions des pneumogastriques, la coqueluche, l'asthme, la
mort subite. Le traitement de l'angoisse est symptomatique de la lésion qui l'a produite; dans l'angoisse des neurasthé
es neurasthéniques, par exemple, il y a lieu de traiter d'abord les lésions somatiques qui peuvent la déterminer. M. H. I
it une autre phase de développement. La guérison dépend du sort des lésions de l'oreille ; il s'en faut malheureusement de
es à la paraysie générale; par .111;\1..10FFROY et BADAUD. Si les lésions médullaires postérieures de la paralysie générale
s cas, l'autopsie a été négative. A comparer avec l'hémiplégie sans lésion anatomique de Jacobson. ALZHEIMER (Munich). S
oint de vue des organes autres que le cerveau, qui présen- tait des lésions des cellules ganglionnaires de l'écorce, des hémo
paralysie générale. . G. DENY. 'L'il. Fréquence et évolution des lésions du fond de l'oeil dans la paralysie générale; p
Chez 38 paralytiques généraux sur 44, les auteurs ont constaté des lésions du fond de rail (décoloration ou atrophie de la
l'hystérie est une psychose, pense que l'on devrait « trouver les lésions dans la glande pituitaire », à cause, dit-il, de
et non celle de Bechterew, pour qui le symptôme est réalisé par une lésion de la couche optique. Dans l'observation de l'a
omes juxtaposés exige même l'intégrité de la couche optique dont la lésion détermine un syndrome facial diamétralement opp
nt la symptomatologie de la maladie de Menière. D'après l'auteur la lésion qui avait déterminé cette paralysie siégeait dans
surchargé de graisse. Pas de per- sistance du trou de Botal. Pas de lésions valvulaires. Dilatation assez sensible de l'aor
de calculs. Reins se décortiquant facilement et n'offrant pas de lésions . Rien de particulier aux capsules surrénales ni a
le lobe temporal est atteintde sclérose ve1'micellée. En résumé la lésion forme un demi- cercle, comprenant : 10 le lobe
ère cérébral droit, avec atrophie croisée du cervelet et compliqué, lésion rare, d'une absence complète du corps calleux '
e étendue (posi- tion de Kernig). Deux observations. G. C. XCIII. Lésions de l'écorce cérébelleuse chez les paralytiques gé
à la destruction totale. La couche des grains est touchée, mais sa lésion est moins appa- rente. La couche moléculaire es
leur a semblé que les formes du type tabes moteur présentaient les lésions les plus considé- rables et les plus caractéris
es périmusculaires. Examen histologique du système nerveux : Aucune lésion dans le système nerveux périphérique (filets du
hique cervical, ganglions cervicaux inférieur et supérieur). Pas de lésion du noyau bulbaire du spinal. Atrophie très marqué
MM. Gallavardin et Savy concluent de cette observation : 1° que les lésions macroscopiques ou microscopiques qu'ils ont const
raumatique ou infectieuse), de cette affection; 2- que l'absence de lésions au niveau du système nerveux périphé- rique (fi
cervical) ne permet pas non plus d'attribuer cette affection à une lésion névritique; 3° qu'il existe une lésion médullai
ribuer cette affection à une lésion névritique; 3° qu'il existe une lésion médullaire « collatérale » du torticolis congén
gine du spinal cer- vical ; 4° que la signification exacte de cette lésion reste encore à préciser. ' ' ' ' Il est possi
e encore à préciser. ' ' ' ' Il est possible qu'il s'agisse d'une lésion médullaire primitive, tenant sous sa dépendance
'analogue de la paralysie infantile. Mais il est possible que cette lésion ait seulement la valeur d'une atrophie rétrogra
i pour les centres moteurs du membre supé- rieur. ' G. C. XCVIII. Lésions du cervelet dans quelques formes d'aliénation men
tes sur les démences, lui permettant de différencier par les seules lésions histologiques du cerveau, certains types anato-
ns ce nouveau travail à décrire des types anatomiques différents de lésions cérébelleuses dans les démences paralytiques, s
injé; dans une démence rapide chez une syphilitique il a trouvé des lésions cellulaires et l'existence d'éléments analogues
égalie : Splanchnomégalie ; gros coeur : mort par asys- tolie (Sans lésion orificielle cardiaque ni néphrite) ; par MM. J.
'aorte et de la pulmonaire, peuvent arriver à simuler des bruits de lésions orificielles, mais n'existant point en réalité.
alades, de violentes névralgies faciales ou dentaires, affection ou lésion ayant intéressé quelques-unes des terminaisons
ns de la V" paire. Ces affections ont pu produire, à la longue, des lésions dégéné- ratives du nerf sensitif, et par un pro
tus, on trouve de petits foyers de ramollissement cap- sulaire. Les lésions de la moelle ne sont jamais bien syetérna- tisé
dans le cordon latéral et même dans les faisceaux postérieurs. Ces lésions sont variables d'étendue et de siège suivant le
r d'une même moelle. Sans l'affirmer, les auteurs pensent que ces lésions sont en connexion avec des altérations vasculaire
, sous le nom de tabes spasmodique sénile, où il étudie surtout les lésions médullaires; les autres mis récemment en lumièr
mière par MM. Marie et Ferrand, qui font jouer un rôle exclusif aux lésions lacunaires et centrales du cerveau. Ils pensent
Ils pensent que le syndrome parésie spasmodique est fonction de la lésion médullaire et non de la lésion cérébrale. Les l
résie spasmodique est fonction de la lésion médullaire et non de la lésion cérébrale. Les lésions cérébrales, dans leurs o
fonction de la lésion médullaire et non de la lésion cérébrale. Les lésions cérébrales, dans leurs observations, tiennent sou
re pseudo-systéma- tique. ' G. Carrier, LVII. Surdité verbale par lésion temporale droite; par M. MOL- lard. (Société na
pouvait donner l'aphasie totale observée et la surdité verbale. Les lésions trouvées sur l'hémi- sphère droit, qui consista
de soit un gaucher, M. Mollard met en évidence cette association de lésions tout à fait exceptionnelle et telle, qu'il est
cette association sans prendre part dans le débat. Intervention de lésions du pancréas (Dallemaque, Hauseman) d'une part;
ticulier sur le tuber cinereum qui contiendrait des centres dont la lésion donne lieu à la glycosurie. G. C. LIX. Arthropa
utre part, l'oedéme etl'adi- pose sous-cutanée masquent souvent les lésions dans les amyotro- phies d'origine médullaire, o
iques de l'ostéomalacie nerveuse, ils ont trouvé dans trois cas des lésions médullaires coustantes : une dégénérescence myéli
ant à l'aspect de l'organe celui d'un cerveau en réduction : pas de lésions muscu- laires. R. C. LXXI. Nouvelles remarque
ue : les cas observés par l'auteur appartiendraient à la sphère des lésions motrices primaires, ceux de Raymond et Janet à
es primaires, ceux de Raymond et Janet à la sphère émotive dont les lésions affectives primaires sont sui- vies par des lés
motive dont les lésions affectives primaires sont sui- vies par des lésions motrices secondaires. R. C. LXXII. Le pseudo-oe
de vue pathogénique, qu'il s'agit : - 1° Pour le myxoedème, d'une lésion thyroïdienne primitive retentissant ensuite sur
PEUTIQUE. *- 499 ment d'abord d'une façon dynamique puis créant des lésions pro- bablement durables dans le corps thyroïde
e et sa répétition et semble- acquérir l'au- tomatisme. De plus les lésions de la bouche, des troubles de la dentition, peu
optique évoluant au cours d'une myélite aiguë; de plus, l'étude des lésions observées semble donner une conception nouvelle
férieure et du renflement lombaire, une névrite optique double. Des lésions légères de névrite périphérique (sciatique popl
ones, le premier, émit une théorie vaso-motrice; il prétend que les lésions du nerf optique sont consécutives à des trouble
tiniens et rétro-bulbaires, qui eux-mêmes sont sous l'influence des lésions médullaires dorsales superieures intéressant le
ent être considérés comme étant l'expression de la prédominance des lésions en d'autres points (nerfs, encéphale). G. Carri
syphilis, ou bien y a-t-il lieu de différen- cier le tabes vrai des lésions tabetiformes de la paralysie progres- sive La q
tions vésicales. Epanchement pleural. Arythmie. Mort. A l'autopsie, lésions mé- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 503 ningo-co
ningo-corticales de la paralysie générale. Du côté de la moelle, lésions des méninges du canal épendymaire et des cordons
lissement intellectuel progressif. Contractions idio-musculaires et lésions fréquentes de l'organe auditif. R. C. , XXXII
paralysie géné- rale : 1° Paralysie générale avec localisation des lésions aux por- tions postérieures des hémisphères ; 2
isphères ; 2° Paralysie générale avec prédominance céribelleuse des lésions et des. symptômes ; 3° Para- lysie générale à f
c délire hallucinatoire, etc. ' L'observation et la description des lésions paraissent pouvoir prêter à discussion. Retenir
onnelle de la paralysie' générale, correspon- draient également des lésions spéciales. Simon. XXXVIII. Les progrès de la ps
communiquent une nouvelle observation dans laquelle on constate des lésions syphilitiques cérébrales surajoutées à celles d
s symptômes du délire aigu. A l'autopsie, on constata, en outre des lésions habituelles de la méningo-encéphalite diffuse,
e migraine ophtalmique. M. Oddv (de Marseille) communique un cas de lésion de l'épicone dans une plaie de la moelle. M.
stata extérieurement aucune marque de violences, ne trouva d'autres lésions internes que celles d'une aortite chronique et
l'- sensorielle optique, par Ho- senfeld, 329. Aphasiques. Voir Lésions corticales. Aponévrose. Note sur la rétraction
te relative à la ques- tion des modifications du - à la suite des lésions du cerveau, par Fiiedmann, 325. Catalepsie sy
t du avec étude des dégénérescences secon- daires, par Négel, 65. Lésions du dans quelques formes d'aliénation mentale,
COIT. Voir Circulation. Colonne vertébrale. Fracture de la - -. Lésion spinale limitée à une minime partie d'étage rad
, par Pauly, 39f. COULEUR. - Voir Neurasthénie. Ecorce cérébrale. Lésions de l ? et cérébelleuse chez une idiote aveugl
ge. Voir Tics : Lèpre. Deux cas de - nerveuse, par Raymond, 97. Lésions corticales et sous-corticales minimes avec - so
sse des Mathématiques, par Ahrens, 320. Moelle. Voir Névrite. Les lésions du système lymphatique posté- rieur de la - s
phie osseuse, par Guillain et Courtellemont, 161. Noyau rouge. Lésion ancienne du . Dégénérations secondaires, par
de la face, par Courmont, 57. hérédo-syphililique, par Rose, 75. Lésions des neurolibril- les dans la générale, par Bal-
. générale Voir Réaction pupillaire. Fré- quence et évolution des lésions du fond de l'oeil dans la - générale, par Rav
u- hon·sl : y, 401. Rage La - expérimentale à virus fixe et ses lésions histologiques, par Ladame, 405. Rapport médic
verbale; par Biscl1ofT, TABLE DES MATIÈRES. 537 3». - verbale par lésion tempo- laie droite, par Mollard, 493. Sthénom
myélie, arthropathie de l'é- paule, par Brissaud et l3uandet, 56. Lésions de - trouvées à l'au- topsie d'un paralytique g
46 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
ient souvent le siège du protozoaire ; de celte localisation et des lésions qui Fiu. 1. Triatoma î ? 2agisia. Hémiptère ino
t, etc., ces agglomérations parasitaires ont été trouvées, avec les lésions qui les accompagnent. Dans la moelle épinière,
hyroïde. Quoiqu'elles soient constantes dans la trypanosomiase, les lésions du corps thyroïde, avec formation de goitres, q
ésentent simultanément des troubles delà motilité, dénonciateurs de lésions cérébrales; il s'agit donc de l'idiotie organiq
convulsives, et les recherches histo-patlrolonirlues ont décélé des lésions du corps thyroïde; il n'y avait pas de processus
HYPKHTt ! OPH)QUH PAR J. BABINSKI, J. JUMENTÉ, J. JARKOWSKI Les lésions hypertrophiques des méninges de la région cervica
elle malade nous avait permis de préciser la nature et le siège des lésions qui les avaient déter- minés. Le rapprochement
flexes de défense nous conduisirent à reconnaître l'existence d'une lésion spi- nale. Enfin la lenteur de l'évolution, l
de troubles objectifs de la sensibilité permettant de localiser la lésion . L'examen comparatif des divers réflexes tendin
terne (C7, C s, D'). De plus,certains signes nous montraient que la lésion devait s'étendre en haut ; l'atrophie des deltoïd
ive, la constatation du signe d'Argyll Robertson et l'étendue de la lésion nous conduisaient au diagnostic de méningite sy
gaine méningée, ayant l'aspect d'une gomme (PL VI, fig. 1, G). Les lésions des méninges molles se poursuivent sur le bulbe
que en coupes sériées qui nous a permis d'étudier non seulement les lésions méningées et vasculaires,mais encore les lésions
non seulement les lésions méningées et vasculaires,mais encore les lésions médullaires et radicu- laires résultant de la c
aires résultant de la compression produite par l'anneau fibreux. 1° Lésions méningées. L'anneau fibreux est constitué par la
de la dure-mère est absolument libre, ne présentant aucune trace de lésions et qu'il y a là par conséquent quelque chose de
able de vaisseaux aux parois altérées fortement épaisses : toutes ces lésions ont le caractère des lésions syphilitiques. C'e
térées fortement épaisses : toutes ces lésions ont le caractère des lésions syphilitiques. C'est du reste l'intérieur de cett
méningite, déno- mination par laquelle on a coutume de désigner ces lésions , puisque les alté- rations de la dure-mère ne s
isolées, qu'elles ne prédominent même pas, il existe en réalité des lésions irritatives des trois méninges : pachymé- ningi
rois méninges : pachymé- ningite, arachnitis, et leptoméningite,les lésions de l'arachnoïde étant les plus accentuées. Il n
r à ces altérations l'éti- quette de méningite hypertrophique. 2° Lésions radiculaires. Les racines qui traversent cette ga
te gaîne fibreuse pour gagner la moelle ou en sortir présentent des lésions , surtout prononcées à la partie postérieure com
ne infiltration conjonctive interstitielle des racines malades. Les lésions radiculaires n'existent du reste qu'au niveau où
ste qu'au niveau où la fusion des trois méninges est complète. 3° Lésions médullaires. - L'examen des coupes sériées de la
lgré une compression aussi étendue la moelle pré- sente très peu de lésions . Il n'existe d'abord aucune lésion infectieuse en
a moelle pré- sente très peu de lésions. Il n'existe d'abord aucune lésion infectieuse en foyer coïncidant avec cette méni
tage de cavité .médullaire comme dans certaines ob- servations. Les lésions médullaires semblent dues beaucoup plus à l'irrit
ssants et sur lesquels nous tenons il insister en terminant. 1° Les lésions méningées observées rentrent dans ce que l'on a d
is nous ferons remarquer que dans ce cas ce terme est impropre, les lésions de la pachyméninge passent en effet au second p
lait très grande (défor- mation de GJ C4 n'a cependant pas amené de lésions profondes de la moelle. Il n'existe pas en effe
es supérieurs que nous avons pu utiliser pour la localisation de la lésion . , Légende des Planches. PLANCHE VI. Fie. 1
malades dont l'état clinique a été très soigneusement observé. Les lésions que présentent ces cerveaux nous paraissent appor
able des ventricules. Les vaisseaux sanguins présentent partout des lésions très manifestes d'artério-sclérose. En plus de ce
lissement très circonscrit au niveau de l'hémisphère gauche. Cette lésion 22 0 ARCHA : lIBAI1LT (Pl. IX) détruit complè
sur la valeur démonstrative de ce cas ; il prouve nettement que la lésion de la troisième circonvolution frontale gauche
issait d'une aphasie motrice déterminée, vraisemblablement, par une lésion cérébrale d'origine vasculaire. Cette aphasie é
deux hémisphères, nous avons constaté à gauche la présence de trois lésions nettement distinctes (fig. 2). La plus grosse de
trois lésions nettement distinctes (fig. 2). La plus grosse de ces lésions , représentée par un foyer hémorragique assez réce
niveau du bord supérieur du corps genouillé externe. En dedans, la lésion atteint légèrement l'extrémité postérieure du g
nt sectionnés dans le voisinage immédiat du putamen. En arrière, la lésion ne s'étend pas au delà d'une ligne rasant le bord
ion temporale profonde et de la première temporale. Les deux autres lésions que présente l'hémisphère gauche sont beaucoup
moyenne de la seconde circonvolu- tion frontale. A cet endroit, la lésion est située en avant et en dehors du crochet que
t trois ans, aux attaques convulsi- ves à type épileptiforme. Cette lésion atteignant, en effet, l'écorce en deux points d
idiopathique, ou des accès épileptiformes surve- nant au cours des lésions circonscrites de l'écorce cérébrale. Tout ce que
ntiguïté de domaines entre cette circonvo- lution et le siège de la lésion qui nous intéresse. Ce n'est pas, cependant, su
aires et nous pouvons dire positivement qu'il n'existe aucune autre lésion dans l'hémisphère gauche. Quoi qu'il en soit de
ce permanente qu'après l'apparition de son hémiplégie causée par la lésion de la zone lenticulaire gauche. Cela n'implique p
a destruction du noyau lenticulaire lui-même, puisqu'il y également lésion de la capsule externe et de la substance profon
n raison du siège trop éloigné de celui-ci. Il est possible que les lésions lenticulaires,produisen t l'aphasie motrice grâ
l'a fait, il y a déjà plusieurs années, M. Pierre Marie. 1° Que la lésion de la troisième circonvolution frontale gauche ch
oitier ne détermine pas nécessairement l'aphasie motrice; 2° Que la lésion de la région lenticulaire gauche chez un droitier
OMITANTE DE LA MOITIÉ DROITE DU CORPS, PRÉDOMINANT A LA FACE, PAR LÉSION CÉRÉBRALE PAR G. RAUZIER et H. ROGER (de Mo
ade, comme dans la plupart des cas d'hémiatrophie lin- guale, cette lésion n'est pas isolée. Les symptômes les plus fréquemm
ifica- tions dans les sensibilités tactile et gustative. A QUELLE LÉSION RATTACHER L'IIÉMIATROPIIIE LINGUALE ET LE COMPLEX
ne produit pas d'atrophie, on doit se demander d'abord, ou siège la LÉSION , à la péri- phérise (trajet de l'hypoglosse), d
(trajet de l'hypoglosse), dans les centres (bulbe, écorce). 1° Les lésions périphériques, susceptibles de provoquer l'hémiat
(Brissaud et Bauer, Soc. neurol., 12 janvier 1905) ; d'autre part, lésions osseuses vertébrales ou plutôt occip 1 to-a Li
(Gino-Riva, Riv. spé- rim. di ¡l'en. 1905). Chez noire malade, la lésion périphérique peut être écartée ; nous n'avons a
ion périphérique peut être écartée ; nous n'avons aucun symptôme de lésion vertébrale, aucun trauma à l'origine. Le début
rarement isolée ? ne s'accompagne-t-elle pas le plus souvent d'une lésion des centres, lésion secondaire comme dans le ca
e s'accompagne-t-elle pas le plus souvent d'une lésion des centres, lésion secondaire comme dans le cas de lésion de l'hypog
nt d'une lésion des centres, lésion secondaire comme dans le cas de lésion de l'hypoglosse avec atrophie de son noyau d'or
d'origine publiée par Laignel-Lavastine (Soc. anat., 1907) ou même lésion primitive, neuronite motrice, frappant à la foi
nterne, leurs conducteurs spéciaux. Mais, d'une façon générale, les lésions corticales ne donnent naissance à de l'atrophie q
p. 296), un rôle vaso-moteur, facteur de troubles trophiques. Une lésion cérébrale et non une hémiatrophie linguale gauche
(Montpellier médical, 1904). 3° Reste la localisation BULBAIRE, la lésion du noyau d'origine de l'hypoglosse, cause la*pl
ée et les tremblements fibrillaires, qui restent de bons signes des lésions des neurones moteurs bulbo-médullaires, et les
dromes bulbaires unilatéraux,décrits par divers auteurs,et dont les lésions siègent dans la région inférieure du plancher d
la branche externe du spinal). En réalité, suivant l'extension des lésions et la combinaison des symptômes, le nombre des sy
ale, qui ne rentrent dans aucun des syndromes précités, mais qu'une lésion bulbaire au voisinage de l'hypoglosse peut bien c
parésie subjective du côté opposé à l'hémiatrophie linguale, qu'une lésion bulbaire aurait beau- coup de difficulté à expl
on n'avait pas une origme centrale, mais avait été consécutif à des lésions nerveuses périphériques, lors de l'extirpation de
ho- monymes (Soc. neur., 11 janvier 1906), seule combinaison qu'une lésion bulbaire unique puisse anatomiquement expliquer
atrophie linguale et une paralysie faciale alterne, il faudrait deux lésions bulbaires de siège opposé (1), et, encore dans
bulbaires de siège opposé (1), et, encore dans ces conditions, une lésion bulbo-protubérantielle droite, susceptible de p
hémiparésie des membres ho- monymes s'expliquent très bien par une lésion corticale. Malgré la multiplicité des syndromes
récemment décrits, notre cas ne peut donc s'expliquer par une seule lésion bulbaire. Il faut admettre une double lésion :
xpliquer par une seule lésion bulbaire. Il faut admettre une double lésion : bulbaire pour r hémiatrophie linguale gauche, c
iale et l'hémiparésie droites. B. - 8ans discuter l'étiologie de la lésion cérébrale concomitante, il nous reste à établir
ion cérébrale concomitante, il nous reste à établir la nature de la lésion bulbaire occupant le noyau de l'hypoglosse et c
es (Ebstein, Jellinek) ne sont pas en cause chez notre malade. La lésion la plus probable parait, à cause du début assez b
e du bulbe, étiologie qui a le mérite de s'appliquer également à la lésion cérébrale, cause de l'hémiparésie droite totale
fonctionnement de la vessie ; il y avait cependant des symptômes de lésion transversale de la moelle, marqués par la paral
dorsal, c'est-à-dire à l'endroit de l'aplatissement ou plutôt de la lésion plus ou moins continue de la moelle par la comp
Coeur : normal. 74 SOUQUES ET STEPHEN CHAUVET - % Aorte : pas de lésions valvulaires ; pas de dilatation. 'Pouls : régul
se qui doit être accusée d'engendrer, sous l'influence de certaines lésions , cet infantilisme hypophysaire. Il importe aupa
roscopiquemeut que microscopi- quement (vésicules normales). Pas de lésions de l'hypophyse, mais tumeur cal- cifiée de la t
currence, doit-être incriminé. Si telle est la réalité, quelle est la lésion perturbatrice de ce lobe antérieur qui détermin
actères sexuels secondaires. Les faits précédents prouvent, que les lésions pathologiques et expéri- mentales de (hypophyse
cements, qui ne sont pas dépendantes d'un état pithiatique ni d'une lésion organique quelconque. Observation I (PI. XVII).
limitées aux muscles du côté gauche, vrai équivalentjacksonien par lésion syphilitique du cortex moteur à droite. La se
nt souvent avec le nystagmus (qui est toujours indépendant de toute lésion pathologique qui puisse l'expliquer) d'autres s
droite et gauche (Rossi et Gonzales) ; oedème cérébral (Ferrero) ; lésions de méningo-encéphalite \Paviot et Josserand) ; et
errero) ; lésions de méningo-encéphalite \Paviot et Josserand) ; et lésions des cellules du cortex et des cornes médullaires
pé- rieurs, il y a la différence qui existe entre le résultai d'une lésion irritative et le produit d'une action psychique
it intéressé un seul humérus ; enfin un cas de M. Variot t avec des lésions limitées aux membres inférieurs. M. Dufour a fa
ni sur le squelette du pied, nous n'avons pu noter aucune trace de lésions préexistantes auxquelles on pourrait attribuer l'
aucoup, et pour signifier par ce nom même un degré moins avancé des lésions . Après ces considérations qui, bien que bornées
e turcique et nous autorise à supposer qu'il existe à ce niveau une lésion dont la nature nous échappe, mais qui, par son
omo-cliniquesonldémonlré l'existence chez l'homme de troubles et de lésions entièrement superposables à ceux que détermine
mptomatologie tout à fait sem- blable à celle qu'on a à la suite de lésions localisées dans la moelle allon- gée, ou par qu
ésions localisées dans la moelle allon- gée, ou par quelques autres lésions de la fonction de cette partie de l'encé- phale
r lieu, que la cause du complexus symptomatolo51que résidait en une lésion d'une partie du cerveau et éventuellement qu'il s
orme de paralysie pseudo-bulbaire des enfants. Cela est dû ou à des lésions bilatérales, ou à des déformations de la partie
'examen électrique seul ne permet pas de conclure à l'existence d'une lésion du neurone moteur périphérique. Cependant, comm
membre supérieur. Il est au contraire permis d'hé- siter entre une lésion primitive du muscle, une myopathie au sens étroit
ion primitive du muscle, une myopathie au sens étroit du mot et une lésion du neurone périphérique (nerfs ou cellules du cen
incertaine. C'est, en somme, la névrite qui nous parait être ici la lésion la plus probable. Considérations sur l'éliolo
atentes, non douloureuses, sont fréquentes, qu'elles viennent d'une lésion des cornes antérieures, du bulbe, ou d'une névr
illée de ces modifications qu'on pourra se consacrer à l'examen des lésions plus fines dans la structure fibrillaire et de Ni
cation ni - dans sa forme, ni dans sa structure. En analysant les lésions de la substance médullaire, nous pouvons consta
S DANS LA MOELLE ÉPINIÈRE 251 men habituelles, nous n'avons noté de lésions cellulaires. Batten et Col- lier (1), qui se so
eures, les racines postérieures sont moins lésées. Le caractère des lésions est toujours le même : oedème et désagré- gatio
bsohn et Jamane, cité par nous plus haut, que nous avons trouvé des lésions des racines antérieures. L'état des racines pos
re que, dans les cas de Batten et Collier, nous avons affaire à des lésions médullaires de date ré- cente. Dans un cas de
remier cas sur les coupes appar- tenant à la région lombaire. Les lésions ci-dessus décrites présentent un intérêt tout à f
grâce à leurs relations avec ies histoires cliniques. Le maximum de lésions nous le trouvons dans le second cas, kyste du cer
est connu, le premier cas décrit, où on se trouve en pré- sence des lésions dans la moelle dorsale au cours d'une tumeur non
de Jacobsohn et Jamane, cité par nous plus haut, et présentant des lésions dans la moelle dorsale, les premiers symptômes
la maladie ne peut pas nous donner l'expression exacte de l'âge des lésions anatomo-pathologiques au cours du développement d
ans un des quatre cas de Jacobsohn et Jamane où furent trouvées des lésions médullaires, existait la stase papillaire. Dans
naissance du travail de M. Angela d'après l'extrait du journal. Les lésions de la moelle dans les cas de tumeur intracra- n
a, Revue Neurologique, 1912, n. 10, p. 185. Cet auteur a décrit les lésions qu'il a constatées dans la moelle dans un cas d
du cervelet. 254 RAIMISTE ET NEIDING nos trois cas présentant des lésions de la moelle dorsale d'une intensité différente
troites entre la présence et le degré de la stase papillaire et des lésions de la moelle dorsale. Les réflexes patellaires
dans nos cas, les réflexes patellaires étaient conservés malgré les lésions assez prononcées (deuxième cas) des racines ant
ion du rôle de l'augmentation de la pression dans la production des lésions de la moelle dorsale plaide d'après Hoche le fait
son travail, que les fibres radiculaires présentent le maximum des lésions aux points de leurs passages par la pie-mère, o
le cas de Bouttier (4) il s'agit d'un goitre exophtalmique avec des lésions sclérodermiques au visage et aux doigts. De Sai
ple deSamouilson; <) mettre la sclérodermie en relation avec des lésions nerveuses, produites par des troubles thyroïdie
vant lui. (1) SAMOUILSO;V, La coexistence de la sclérodermie et des lésions du corps thyroïde. Thèse de Paris, 1898. (2)
ouffre depuis 6 ans de Basedow. L'auteur admet comme pathogénie une lésion ou une névrose du sympa- thique à laquelle il s
ins lon- gue, concernant les cas de sclérodermie où l'on a noté des lésions atrophi- ques, la diminution de volume de la gl
cas de sclérodermie combinée avec le syndrome d'Addison, à côté des lésions d'une capsule surrénale et des ganglions sympat
ïde chez ces malades. Nous avons déjà noté dans cer- tains cas avec lésions du corps thyroïde, que l'administration des prépa
- drome sclérodermique. - Alquier et Touchard (17) ont trouvé des lésions pluriglandulaires dans deux cas de sclérodermie
il., 1872. (16) GeüvrEu, Thèse, 1894. (17) ALQuiR et P. Touchard, Lésions des glandes vâsculaires sanguines dans deux cas
par une théorie unique, à savoir que la sclérodermie serait due aux lésions du système sympathique. Huismans (1) ayant trou
e aux lésions du système sympathique. Huismans (1) ayant trouvé des lésions glandulaires multi- ples dans un cas de sclérod
semble trop généralisatrice. En admettant une telle pathogénie, les lésions pluriglandulaires devraient être beaucoup plus
ec troubles thy- roïdiens sont très fréquents, tandis que ceux avec lésions d'autres glandes endocrines sont assez rares. P
. Pour expliquer ce fait on devait ad- mettre la prédominance d'une lésion du sympathique cervical. Celte hy- pothèse est
insista sur l'atrophie des muscles, qu'il croyait secondaire à une lésion du système nerveux central. Plus tard, en effet
et Jacques de Saint-Germain montrèrent des pièces anatomiques avec lésions médullaires très nettes. ' Depuis, Raymond, Gra
, au niveau des articulations interphalangiennes, il y a de petites lésions érosives un peu suin- tantes qui mettent à déco
urs ÉTUDK RADIOLOGIQUE d'un CAS DE SCLÉRODERMIE 29 ? ) Toutes les lésions que nous avons décrites sont parfaitement symétri
ne trace de pigmentation. Aux membres inférieurs, au contraire, les lésions sont plus marquées, on rencontre une plaque à l
as de troubles du côté de l'innervation cardiaque, pas de signes de lésions orifi- cielles. Le foie et la rate présentent
lète en position dorso-pal- maire. Il est inutile d'ajouter que les lésions d'atrophie osseuse se sont montrées parfaitemen
clérodermie, nous avons ob- servé encore dans notre observation des lésions musculaires et articulai- res assez graves. Le
r à penser que la sclérodermie reste subordonnée dans ces cas à une lésion thyroïdienne primitive. De celte façon ce sont
ermie avec hypertrophie de l'hypophyse qui démontrait nettement des lésions dégénératives des grosses cellules épithéliales.
termes, faut voir si cette hypertrophie est à considérer comme une lésion primitive, ou si, au contraire, elle ne serait
de cet organe. Nous disons altérations, car non seulement dans les lésions de déficit du corps thyroïde l'hypertrophie pitui
t par cet exposé, il est très difficile de croire à l'existence d'une lésion primitive du corps pituitaire dans la scléroder
teints par cette curieuse dystrophie ont présenté en même temps des lésions scléro- dermiques. On connaît depuis longtemp
'une couleur blanc vio- lacé par places ; fréquemment à côté de ces lésions nettement scléroder- miques il existe encore de
existe encore des taches pigmentaires, des troubles thermiques, des lésions atrophiques, des altérations articulaires et des
ale, des infections telles que la lèpre on la syphilis ainsi que de lésions nerveuses. Pour Gaucher la syphilis agi t en dé
it par l'in- termédiaire du système nerveux. Dans certains cas, les lésions syphiliti- ques des téguments serviraient de po
, jouant à son égard le même rôle que les pressions répétées ou des lésions traumatiques banales. Enfin la syphilis pourrai
pas de tabes, mais les malades doivent présenter, probablement, des lésions non labéti- ques des cordons postérieurs. Le
achyméningite et la syringomyélie. Dans notre cas existe-t-il une lésion nerveuse et plus particulièrement spinale ? L
nerveuse et plus particulièrement spinale ? La topographie de la lésion nous porterait à l'admettre et cela d'autant pl
ristique du vitiligo dans notre cas, se trouve en relation avec une lésion bilatérale des groupes d'origine du sympathique
bien que légers, notés dans ce cas,plaideraient également pour une lésion spinale. Mais la topographie ne semble pas rapp
et la seconde résection du sciatique. Nous n'avons guère trouvé de lésions ana- tomiques pouvant être rapportées à cette i
arfaitement imprégné le fragment de sciatique ; peut-être aussi les lésions produites s'étaient-elles déjà, en tout ou en par
myélinique, pouvant aller jusqu'à la démyélinisation complète. Ces lésions peuvent s'élever sur un trajet de plusieurs centi
aux (droitier, gaucher,ambidextre); les autres d'ordre anatomique : lésions uni- latérales ou bilatérales, degré de leur ét
ou bilatérales, degré de leur étendue en surface et en profondeur, lésions corticales ou sous-corticales, section des faisce
d inlegrum est néanmoins exceptionnelle et ne s'observe qu'avec des lésions très peu étendues ; au contraire, dans les gros
avec des lésions très peu étendues ; au contraire, dans les grosses lésions de la zone du langage, est rare qu'on obtienne d'
titué très notablement, et cependant l'autopsie a révélé de grosses lésions dont l'examen histologique sur coupes sériées a
surface du cerveau à travers la pie-mère,ne laisse constater aucune lésion ,ni sur l'hémisphère droit, ni sur l'hémisphère
misphère gauche. L'examen successif des coupes sériées a révélé des lésions beaucoup plus étendues que ne l'avait fait prév
s que ne l'avait fait prévoir le simple examen macroscopique. Les lésions sont à la fois corticales et sous-corticales. L
opique. Les lésions sont à la fois corticales et sous-corticales. Lésions corticales. - L'insula a été presque entièrement
a 1™ et la ` ? ° circonvolutions temporales présentent de pe- tites lésions destructives. Celles-ci s'étagent sur presque tou
très petite portion de son bord antérieur (PI. LI, a, b, c). Les lésions sous-corticales occupent la substance blanche de
depuis la 2e circonvolution frontale jus- qu'à la 2e pariétale. Les lésions dimiunent ensuite, à mesure qu'on examine des c
veau normal, mais cette réduction est secondaire et consécutive aux lésions de voisiuage. L'écorce de la 2° circonvolution
urbe (partie inférieure) sont assez sérieusement endommagés par les lésions ; il en est de même de la substance blanche sou
: 1° dans ses irradiations les plus antérieures et inférieures (la lésion est légère) ; 2° sur le bord externe de la corne
xaminé sur coupes vertico-transversales ne présente aucune trace de lésion . Observation II (PI. XLIX, L) (1). Examen cli
énu. La trépanation faite il fut impossible de constater la moindre lésion : on lit trois ponctions sans obtenir aucun résul
cile de figurer sur un cerveau normal la topographie probable de la lésion . On voit alors qu'elle a son centre au ni- veau
t qu'après leur incision qu'on peut se rendre compte de l'étendue des lésions . La destruction a porté sur la 3° circonvolutio
écédemment signalés. L'insula a donc été gravement endommagé par la lésion . Les coupes microscopiques sériées per- mettron
it. Sur la convexité, comme sur la face interne, il n'existe aucune lésion apparente. 2° Examen microscopique. Après durci
istingue plus aucune fibre à myéline. A la limite postérieure de la lésion , les radiations thalamiques et le faisceau longi-
longi- tudinal inférieur sont très amincis. Un peu plus haut, les lésions présentent à peu près la même disposition : sur
r dont les fibres les plus externes sont encore interrompues par la lésion . Sur les coupes passant par la région thalamique,
ns la portion de ces cir- convolutions qui borde la cavité. Mais la lésion de la substance blanche ne se prolonge guère ni
longe guère ni en avant ni en arrière. On voit apparaître enfin les lésions de la troisième circonvolution frontale, dont l
rieure du noyau caudé et la couronne rayonnante (PI. L, C et D), la lésion atteint dans la profondeur la couronne rayonnan
Le faisceau lon- gitudinal supérieur ou arqué a été compris dans la lésion , sur la plus grande partie de son trajet. C'est
e circonvolution temporale, mais il faut tenir également compte des lésions primitives de cette dernière circonvolution.
nérescence de l'extrémité supérieure du pulvinar s'explique par les lésions qui ont été signalées sur le trajet des radiation
e antérieure est atrophiée. Hémisphère droit. Il n'existe de grosse lésion nulle part : ou ne découvre que quelques petits
nous parait susceptible de recevoir une autre interprétation. Les lésions ne consistent pas chez elle en un foyer de ramoll
rales) et des représentations visuelles verbales (pli courbe) ; ces lésions ne sont pas forcément contemporaines, et il est
oration qui s'est produit, malgré l'étendue et la dissémination des lésions . Celles-ci étaient en effet réparties à la fois d
le les facultés du langage, si l'on a égard à l'extrême étendue des lésions . Chez la deuxième malade, il s'agit encore d'un
ésions. Chez la deuxième malade, il s'agit encore d'une très grosse lésion , qui est particulièrement intéressante par les
e la partie trépanée : ses limites sont nettes et tranchées, et les lésions s'arrêtent assez exactement dans la substance b
enfant qui apprend parler, à moins qu'il n'existe préalablement une lésion cérébrale, les images verbales ne se sont pas enc
sie a per- sisté très longtemps et a été causée par de très grosses lésions cérébrales (comme dans le cas présent où la III
- gage. Cependant il est très rare, quelque étendues que soient les lésions , qu'elles détruisent complètement la zône du la
phasique de Broca, et enfin aphasique motrice pure, il existait des lésions dans les deux hé- misphères, différemment répar
nt réparties ; dans l'hémisphère gauche c'était une droitière - les lésions correspondaient à celles de l'aphasie mo- trice
elle-ci ne puisse survenir, surtout chez un sujet jeune, même si la lésion est très vasle, comme chez noire première malade
re, l'autre pour l'articulation » ; dans de telles con- ditions une lésion de la zone du langage donnerait lieu à de l'aphas
s la phy- siologie du langage est sans doute, avec la diversité des lésions , un des principaux facteurs- des différences ob
'avant-mur, de la 3' circonvolu- (1) ED. Long, Un cas d'aphasie par lésions de l'hémisphère gauche chez un gaucher. L'Encép
la partie inférieure des ganglions centraux, destinée à montrer la lésion de l'insula, de l'avant-mur, de la capsule exte
sous-thalamique. - Destruction de la plus grande partie de l'insula. - Lésions des- tructives dans la substance blanche de la
le passant par l'extrémité supérieure des ganglions centraux. Vaste lésion ayant détruit le noyau lenticulaire, l'insula, la
mière tend à prouver que cette relation peut se rencontrer dans les lésions bulbaires. Les autres semblent démontrer que pa
l a observé, chez une vingtaine de malades qui avaient présenté une lésion centrale ou périphérique dans la sphère du faci
moins évidente, dans la région mentonnière du côté correspondant à la lésion , con- traction provoquée par un mouvement alter
la voie de ce diagnostic. Seul un signe pouvait être rapporté à la lésion verté- brale, et encore dans notre cas il relev
Widal et Froin. Il y avait hyperalbumi- nose et hyperocytose, donc lésion durale (Sicard et Soix). La lésion durale était
mi- nose et hyperocytose, donc lésion durale (Sicard et Soix). La lésion durale était-elle tuberculeuse ? L'examen chimiqu
ion polynucléaire et non lymphocy- taire était plus en faveur d'une lésion due au bacille de Koch qu'à des toxines.Lorsque
és et répandus dans la masé encéphalique droite. La diffusion des lésions expliquait la diversité des symptômes observés
face; si les troubles visuels trouvaient leur justification dans la lésion des lobes occipitaux et à la rigueur de la couche
nous ne relevions pas de syndrome cérébelleux même fruste malgré la lésion de l'hémisphère droit du cervelet. En dépit de
act, ce qui permettait d'ex- pliquer l'absence d'aphasie malgré les lésions de la frontale ascendante et surtout du centre
tuberculomes des méninges et du cerveau étaient secon- daires à la lésion vertébrale. La mort survint du fait de la général
lière, au cours de ces dernières années, sur les syndromes liés aux lésions ou aux troubles fonctionnels des glandes à sécrét
prétation. La tendance primitive fut de rapporter chacun d'eux à la lésion d'une glande endocrine ; mais on sait maintenant
sucré,-dont on entrevoit maintenant la relation fréquente avec des lésions des glandes à sécrétion interne. Nous observons
outes les dents furent tombées, en l'es- pace de quelques mois, les lésions buccales se cicatrisèrent et n'ont plus reparu
t les régions du corps.Sur le thorax et les mem- bres c'étaient des lésions rouges prurigineuses et non suintantes ; au nivea
ieurs années des signes de bacillose indiscutables des sommets. Ces lésions du poumon ont du reste progressé pendant le séj
sur le thorax, les bras et les membres inférieurs, on remarque des lésions eczéma- teuses très prurigineuses, non suintant
te sans ulcération nette. La peau du scrotum présente également des lésions eczématiformes. Le malade transpire très peu, i
al à la papille. L'examen viscéral révèle au niveau des poumons des lésions certaines de bacillose au second degré du somme
LET, FAURE-BEAULIEU ET VAUCHER ments pleuraux à la base droite. Ces lésions pulmonaires se sont accentuées pendant le séjou
ME 415 t Comment peut-on interpréter ces divers symptômes, à quelle lésion commune les rattacher ? Notre malade est en p
- gues cliniquement, et que l'existence d'une tumeur hypophysaire - lésion évidemment primitive à laquelle toutes les autr
physaire - lésion évidemment primitive à laquelle toutes les autres lésions glandulaires peuvent être subordonnées permet d
rome, mais non de l'arrêt général du développement,commandé pal' la lésion hypophysaire. Quant aux rapports entre l'atroph
ypophysaire. Quant aux rapports entre l'atrophie testiculaire et la lésion primitive du corps pituitaire, on peut ouvrir,
Vigouroux et Delmas) où est nettement spécifiée l'absence de toule lésion thyroïdienne. Si l'on ajoute enfin que l'expérime
ion antérieure qui commande la croissance du squelette, et dont les lésions produisent l'acromégalie ou le gigantisme quand e
- po Une portion postérieure, de fonction plus obscure,mais dont la lésion semble conditionner le syndrome adiposo-génital
e l'hypophyse, montrent la corrélation du diabète insipide avec des lésions du corps pituitaire. C'est là un des côtés qouv
s faits plus nouvellement connus où l'on voit coexister polyurie et lésion hypophysaire. (1) Scu.easa, Die Funkliunen des
re, observa une polyurie permanente qu'il ne put que rattacher à la lésion hypophysaire. Franck (2) observa un homme de
génitaux et du système pileux, ils concluent à la probabilité d'une lésion hypophysaire, bien que dans leur cas, comme dans
en effet satisfaisant pour l'esprit de pouvoir rattacher à une même lésion les deux éléments du syndrome observé. Il est vra
athologiques analogues. , Après cette discussion sur le siège de la lésion glandulaire qui nous pa- raît commander les tro
à retenir pourrait être la tuberculose. Nous trouvons en effet des lésions bacillaires très nettes du poumon droit : il ne
- fréquence selon les auteurs, pourrait-on être tenté de faire de la lésion hypophysaire une lésion tuberculeuse non follic
eurs, pourrait-on être tenté de faire de la lésion hypophysaire une lésion tuberculeuse non folliculaire. Pareille étiologie
parfois les trou- bles de la morphologie osseuse s'accompagnent de lésions portant sur l'appareil oculaire et sur l'encéph
admet, après Virchow, que la sy- nostose prématurée en constitue la lésion anatomique essentielle. Il en est de même de Po
Bertolotti (29-34) ont apporté des clichés rendant perceptibles les lésions concomitantes de la base crânienne. Virchow (1),
égère courbure des fémurs en parenthèse. Examen de M. Fage : Aucune lésion fonctionnelle ni physique de l'organe de la vis
re. Examen du Dr Fage : Exophtalmie sans strabisme, ni aucune autre lésion de l'appareil oculaire, vision, pupilles et ner
simple et d'un cas de syndrome oxycéphalique incomplet (absence de lésion des nerfs optiques) avec idiotie dans les deux
itcedel, von Graefe's Archiv f. Oph- talmologie 1904. (23) PATRY, Lésions oculaires dans les malformations crâniennes, th.
aration qu'on faisait autrefois entre les atrophies musculaires par lésion de nutrition primitive et isolée de la fibre musc
lée de la fibre musculaire (prolo- spathiques) et les atrophies par lésion des centres trophiques, c'est-à-dire, du systèm
ue (deutéropathidues), est en voie d'être abandonnée ; l'absence de lésions du système nerveux n'est pas démontrée d'une fa
bliés des cas d'anno- trophies classées comme prolopathiques où des lésions du système nerveux furent plus tard vérifiées.
mentation de la masse protoplas- mique cellulaire, c'est-à-dire une lésion du système lympatluque cérébral en général, jou
». Notre sujet a en effet de fortes mains, mais elles n'ont pas de lésions spéciales même à la Radiographie ; de plus, les
ies consécutives a attiré notre attention sur la fréquence de cette lésion basilaire (2); l'examen de 5 crânes conservés a
enne était L énorme (PI. LXVIII, fig. 1), toute (1) ANDRÉ LÉRi, Les lésions des extrémités, mains et pieds, dans la maladie d
nt sur les coupes microscopiques du crâne el des os des membres les lésions historiques typiques de la maladie de Paget. Ai
les lésions historiques typiques de la maladie de Paget. Ainsi, les lésions de la base du crâne que nous allons décrire peu-
ents étages de la base. Dans notre seconde observation (cas 2), les lésions de la base étaient nettement moins prononcées q
le bord antérieur' du trou occipital et diminuant son étendue ; ces lésions étaient manifes- tement de même nature que cell
s cas douteux (comme nous en avons observé un exemple), puisque^les lésions de la base peuvent s'observer en l'absence de lés
, puisque^les lésions de la base peuvent s'observer en l'absence de lésions de la voûte ou de lésions des membres. 3° Les
a base peuvent s'observer en l'absence de lésions de la voûte ou de lésions des membres. 3° Les altérations de la base du c
moins de valeur. Rappelons enfin qu'on a trouvé plus d'une fois des lésions médullaires dans l'acromégalie (8). On pourra d
llaires dans l'acromégalie (8). On pourra dire, d'ailleurs, que ces lésions ont été trouvées seu- lement dans quelques cas;
un sur l'autre. La radiographie faite par M. Infroit montre ici des lésions ostéo-articulaires (Pl. LXXIII). La deuxième ma
mouvements de flexion, d'extension et de circumduction du pied. La lésion est bila- térale et l'intégrité fonctionnelle a
ied tabétique se pose à peine : énorme déformation dans un cas avec lésions constatées par la radiographie, déformation pre
étractions musculaires et aponévrotiques, par la bila- téralité des lésions , par le peu d'intensité des amyotrophies, enfin p
on pas à proprement parler d'une déformation tabétique du pied avec lésions articulaires, mais bien de phénomènes de paraly
e autre anomalie de développement. A l'autopsie furent relevées les lésions ordinaires de la paralysie générale; à noter en
estan et Ravaut publièrent le premier cas suivi de nécrop- sie ; la lésion trouvée fut une pachy-méningo myélite du cône ter
érieurs - paraplégie - et l'examen indi- quait presque toujours une lésion dans la région inférieure de la moelle. Dans 20
et complète résolution musculaire. Les signes de localisation de la lésion manquent parfois, le tableau cli- nique indiqua
progressivement atteint, et les symptômes étant l'expression d'une lésion tout à fait il diffuse. Les troubles ont paru t
méningée, notre malade a présenté aussi des troubles indiquant 'des lésions notables des éléments nerveux et précisément de
-patholo'ique n'a pas toujours per- mis de déterminer la nature des lésions . En effet s'il s'agit de méningo- myélites chro
l s'agit de méningo- myélites chroniques ou de pachyméningites, ces lésions peuvent avoir pour cause la syphilis, la tuberc
s. L'examen histologique n'a pas pu déterminer la spécificité de la lésion . Sicard et Descomps décrivent aussi une pachi e
sur l'existence des cellules géantes, les au- teurs considérant la lésion comme étant de nature bacillaire; la recherche
pourtant négative. Dans le cas de Lejonne et Blaiiclietièi-e, 1 la lésion trouvée fut une tumeur de la dure-mère, de la g
ent¿ltion du nombre des polynucléaires, de celle du sang, enfin les lésions des vaisseaux méningés, trouvées dans tel cas à l
t probablement d'hémorragies capillaires, petites et répétées, sans lésions accentuées des parois, de sorte que l'inté- gri
itante de la moitié droite du corps, prédomi- nant à la face, par lésion cérébrale, 28. Ravenna (Ferruccio) ide Parme).
rome de) et sclérodermie (Marinesco et GOLDSTEIN), XLII. Cerveau, lésions dans un cas d'aphasie (UEjEBtKE et AN[)nÉ-THO :
47 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
scles d'un des fils de Thom- sen, mais cet auteur n'a trouvé aucune lésion ; la dis- position des fibres, leur striation ét
CLINIQUE DU VERTIGE DE : 1(I : NII : RE D1\S SES RAPPORTS AVEC LES LÉSIONS DES FENÊTRES OVALE ET RONDE [Suite); Par le D
it avec la production du phénomène vertigineux. Les signes de cette lésion coïncident souvent avec le vertige de Ménièrc.
ît ni promontoire, ni sourcil, ni fenêtre ronde, ni fossette. Les lésions des fenêtres suffisent-elles à expliquer le ver
ité et les rémittences renaissent. On a suivi ainsi la marche de la lésion vers la gué- rison. Les symptômes objectifs n
s, t. V. 3 34 CLINIQUE NERVEUSE. facilement associés et dus à une lésion auriculaire dans laquelle la platine de l'étrie
es signes ne permettant pas de conclure d'une façon précise, à une. lésion auriculaire comme explication du vertige. Il s'
. L'épreuve des pressionsnelaisse aucun doute sur l'existence d'une lésion de l'oreille méconnue et impossible à constater d
preuves des pressions centripètes au point de vue du diagnostic des lésions des fenêtres ou de l'étrier. DU VERTIGE DE MI
n labyrin- thique a été relativement faible; sous l'influence des lésions de l'otite traumatique, de la mobilité anormale
qui ait évolué sous l'oeil du sens interne. Comment, en effet, une lésion qui amène l'usure cérébrale, la destruction des
S FRUSTE. 51 grande force de réflexion pour se maintenir avec une lésion isolée de l'intellect. Il est toutefois, en clini
Mais l'exploration ne s'arrêtait pas là ; il fallait déterminer la lésion anatomo-pathologique capable d'engendrer le tab
IL DE FAITS. soin, il nous a été impossible de constater la moindre lésion sur les circonvolutions cérébrales ; tous les r
à l'étude de la moelle, nous consta- tons que la distribution de la lésion s'éloigne un peu du type clas- sique. Si, sur b
uffées par une vaste infiltration de graisse. Quant la nature des lésions cérébro-médullaires, il ne peut pas y avoir le
uré qu'une dizaine de minutes. Le 31 juillet, je ne constate aucune lésion oculaire. Les pupilles, en particulier, sont ég
ations cérébrales, dont la doctrine ne peut s'appuyer que sur les lésions destructives en foyer. M. le professeur Ferrier",
d'aliénés dont la folie a été de longue durée, on n'a trouvé aucune lésion cérébrale appré- 1 P. Broca. Localisations céré
aux, la protubérance, le cervelet, le bulbe, ne présentaient aucune lésion , ou déformation appréciable à l'oeil nu 1. Ai
re du lobe frontal pourrait être considérée comme le résultat d'une lésion inflammatoire ou autre datant de l'enfance ou d
Rolando et des parties voisines, on ne peut pas faire intervenir de lésions pathologiques, c'est une anomalie congé- nitale
bien nous l'avouer, d'une maladie dont nous ne connaissons point la lésion ; il est vraisemblable que sou- vent il n'y a q
sur le même objet, à raison du nystagmus et du strabisme divergent ( lésions musculaires) ; l'exagération excessive de tous
terosseux des mains et des pieds qui diminuent de volume (peut-être lésions bul- baires). Trois mois plus tard se déclare u
de Kussmaul (appareil d'articulation fondamental). La priorité des lésions cérébrales ou du moins leur prééminence ressort
rés à la forme cérébrale (Ordenstcin, l3amurond, Setschenow) et les lésions des zones motrices entraînant manifestement des
iturie de Cl. Bernard (Senator) ; la seconde émanant peut-être de lésions des noyaux du glosso-pharyngien et des branches d
ères était le siège d'indurations et rétractions sclé- reuses ; les lésions allaient jusqu'au lobule paracentral, au sillon
ntégrité de la cin- quième paire). Constatation nécroscopique de la lésion , du moins à 1'oeil nu. Du même ordre d'altérati
lutions pariétales. Les dégénéres- cences consécutives indiquent la lésion du foyer locomoteur de l'extrémité postérieure
générescence médullaire, surtout si l'on remar- que qu'il s'agit de lésions anciennes datant de bien plus de six semaines.
nt de Varole.) Y a-t-il là com- binaison fortuite de deux séries de lésions , ou bien sont-ce les manifestations d'une même
postérieurs à la ré- gion dorsale, sont partiellement altérés ; la lésion gagne en étendue à mesure qu'elle atteint le se
rdons de Goll participent faiblement au processus. L'étendue de ces lésions , au regard de la rétrocession des symptômes fai
ppelle l'at- tention : sur la non-persistance de l'ataxie malgré la lésion du trousseau externe des faisceaux cunéiformes,
le nerf optique, si souvent atteint dans le tabes du même ordre de lésions que la moelle, constituerait un terrain fécond
hypostatique du lobe inférieur droit. On trouve au microscope des lésions des cordons de Goll, depuis leur origine jusqu'en
multiplicité des systèmes atteints, no- tamment la coïncidence des lésions dans les faisceaux posté- rieurs et latéraux (W
mps la proliféra- tion de la substance intermédiaire, ainsi que les lésions des parties nettement différenciées de la subst
-gastrique faisaient diagnostiquer à M. Se- nator l'existence d'une lésion supra-médullaire et infra-céré- brale, à raison
sensitives des nerfs médullaires ), localisant plus spécialement la lésion près du calamus, endroit où les racines ascenda
ertaines artères périphériques, M. S. formule ainsi la nature de la lésion : foyer de ramollisse- ment aigu, par obstructi
sous les yeux du lecteur, avec leurs princi- cipaux signes et leurs lésions caractéristiques, toutes les myé- lytes systéma
xie locomotrice, tabes dorsal spas- modique, etc. Puis viennent les lésions du bulbe, celles de la pro- tubérance, avec les
celles des pédoncules. M. Duret termine son mémoire par l'élude des lésions des hémisphères, tant dans la substance blanche
très judicieux de M. Hermann Munk sur les troubles consécutifs aux lésions corticales. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ MÉDICO-
nté et dans l'état de maladie ; mais quand le muscle est atteint de lésions trophiques, on observe de notables changements.
eurs foyers de ramollissement. L'examen microscopique montra que la lésion occupait le centre de la corne antérieure dans
ues sont forcément très variables à cause de la dis- sémination des lésions , l'opinion du Dr Seguin parait fort plausible.
diverses théories émises successivement, repousse l'hypothèse d'une lésion médullaire et s'arrête à l'idée d'une névrite p
ée d'une névrite primitive, mais pouvant amener consécutivement des lésions centrales. Le pronostic doit être regardé comme
des cornes grises; mais contrairement au Dr Weber, il loca- lise la lésion de la paralysie saturnine dans la moelle. M. Edes
brales s'étaient montrés, mais où l'autopsie ne vint révéler aucune lésion de cette nature. M. Seguin ne nie pas l'importa
l'opération. M. Hammond pense que la maladie était produite par une lésion du corps strié ; dans cette hypothèse, le succès
GinEY.Après avoir fait l'historique du malade, l'auteur décrit les lésions trouvées i l'autopsie. Des coupes furent pratiqué
e second, la compression avait duré quatre mois ; à l'autopsie, les lésions intéressaient sur- tout la partie des cordons l
gion des fibres pyramidales. Au-dessus du point de compression, les lésions étaient peu marquées. M. Morton mentionne à c
de l'oreille du même côté. Le moteur oculaire externe échappa à la lésion , mais l'ophtlialmique fut paralysé et la perte
ent guérir la ma- ladie. Pour le Dr Baclielder, la cause serait une lésion idiopathique de la muqueuse nasale. M. Seguin
S. 125 plus aisée à introduire; son élasticité la préserve de toute lésion sur les muqueuses. Elle sert et à l'alimentatio
'élude des paralysies motrices de l'oeil, on semble admettre que la lésion est toujours périphé- rique, qu'elle n'intéress
que d'une manière imparfaite à la réalité cli- nique. Lorsque la lésion est réellement périphérique, il n'est déjà pas
onservent leur intégrité fonction- nelle. Mais, le plus souvent, la lésion est centrale, et si, dans ces conditions, elle
confirme, en nous montrant des formes cliniques qui répondent à la lésion de ces centres de coordination; et l'anatomie,
MM. MiHard et Gubler venaient de faire connaître, soupçonna que la lésion devait sié- ger dans la protubérance. Une obser
s prévisions et démontrer que cette forme de paralysie relève d'une lésion siégeant au ni- veau de l'eminentia teres, et i
gnalant les rapports que la déviation conjuguée peut avoir avec les lésions des hémisphères. Son mémoire est rempli de cons
le est égale dans chaque oeil examiné séparé- ment. Il n'y a pas de lésion au fond de l'oeil. Je ne constate à ce moment a
gauche. Les pupilles sont égales et réagissent assez bien. Pas de lésions ophthalmoscopiques. L'acuité visuelle est normale
forme de paralysie, qui me fit porter dès le début le diagnostic de lésion de la protubérance, aurait été infailliblement
ment : paralysie incomplète de la sixième paire gauche. Lorsqu'une lésion de la protubérance produit le syndrome paralysi
même côté que la paralysie oculaire, qui est également celui de la lésion cérébrale, tandis que l'hémiplégie occupe le cô
elle a lieu du côté de la déviation des yeux et du côté opposé à la lésion . Observation II. Paralysie conjuguée congénital
' Les pupilles sont égales et se contractent normalement., Pas de lésions du fond de l'oeil. L'examen de la sensibilité r
ues ; mais elles sont ordinairement incomplètes; il est rare que la lésion soit aussi pro- noncée que chez la malade de l'
qui est lié à l'amblyopie de la première enfance, est causé par une lésion des noyaux de substance grise préposés aux mouv
Claude Bernard et est très vraisembla- blement en rapport avec une lésion du plancher du quatrième ventricule, ou tout au
quatrième ventricule, ou tout au moins avec des irradiations d'une lésion voisine. La tendance à tomber du côté gauche, s
ysie appréciable des membres, plaide également dans le sens d'une lésion bulbo-protubérantielle. Nous avons retrouvé ce
tielle. Nous avons retrouvé ce symptôme dans l'Observation I, où la lésion occupait manifestement ce siège. Quant au méc
elle n'occupait qu'un seul oeil, elle pourrait s'expliquer par une lésion partielle du noyau de la troisième paire, intér
ière et l'iris. D'après les expériences de Hensen et Welkers, cette lésion devrait siéger à la partie pos- térieure du noy
t des images est variable, mais reste toujours peu prononcé. Pas de lésion du fond de l'cpil, ni d'amblyopie. M. le Dr Bal
de vue des symptômes nerveux généraux, suppose l'existence d'une lésion en foyer de nature syphilitique. Nous savons, d
e. Nous savons, d'après les considérations qui précèdent, que cette lésion siège très probablement dans la protubérance.
ment affaiblie à la vision centrale. Pas de dyschromatopsie. Pas de lésions ophthalmoscopiques notables. Le 8 août, deux mo
st comprimée en tota- lité, mais le néoplasme n'y a pas pénétré. La lésion ne parait guère dépasser l'aqueduc de Sylvius d
nu. « (L'examen histologique n'a pas encore été fait.) > Cette lésion volumineuse qui a produit dans les der- niers j
forment assez exactement la contre-partie, et de les sé- parer des lésions unilatérales des mouvements d'abduc- tion. Ce
acuité visuelle est normale et le fond de l'oeil ne présente pas de lésions . J'ai pratiqué l'examen quatre fois dans l'espa
oite, quoique d'une manière infiniment moins accusée que dans les lésions périphériques. Dans son étiologie il faudra don
ans son étiologie il faudra donc faire entrer en ligne de compte la lésion des deux noyaux de la sixième paire, mais je ne
s caractères identiques, ne sont pas favorables à l'hypothèse de la lésion simultanée de deux centres d'innervation. La fi
gération de l'écartement, ne s'accorde guère avec l'existence d'une lésion des deux noyaux de la sixième paire, lésion qui
avec l'existence d'une lésion des deux noyaux de la sixième paire, lésion qui devrait rester indéfiniment stationnaire et
YSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 171 forme de diplopie par la lésion d'un centre qui serait préposé à l'adaptation d
l'espace, annexé 172 CLINIQUE NERVEUSE. au nerf auditif, dont la lésion produit le vertige de Ménière. Mais il n'y a pa
la lésion produit le vertige de Ménière. Mais il n'y a pas que les lésions périphériques qui l'occasionnent; celles du cer
ent sur les rapports des axes oculaires entre eux. Tandis que les lésions du bulbe et de la protubérance produisent cons-
E CLINIQUE DU VERTIGE DE \II : NIIaiI : D 1\S SES RAPPORTS AVEC LES LÉSIONS DES FENÊTRES OVALE ET RONDE (Suite)'; Pai- le
ïncide pas néces- sairement avec une.immobilisation de l'étrier. La lésion scléreuse peut être bornée au tympan ; la pouss
ervices que peuvent rendre les deux épreuves pour le diagnostic des lésions qui siègent au niveau des fenêtres ovales et ro
Cette sensibilité indique sans doute qu'il y a autre chose que la lésion de l'oreille moyenne dans ces cas de vertige, e
précieuse ; celle-ci éclate aux yeux quand on se trouve en face de lésions d'apparence grave, telles que certains aspects
te-treize faits de pathologie auriculaire commune, comprenant des lésions de tout ordre et de toutes sortes. Il est cu- r
i pu noter trente et une fois sur soixante-treize cas les signes de lésions au niveau des fenêtres ovale et ronde de la pla
sur cinquante et un cas, les troubles spéciaux caractéristiques des lésions des fe- nêtres ont existé; mais sur soixante-tr
xistent indépendamment des manifestations vertigineuses, et que les lésions ne sont point la cause unique de la production
le bruit, les cris violents chez un sujet d'ailleurs atteint d'une lésion auriculaire tiennent déjà davantage à l'idiosyn
le vertige cesser spontanément, dès qu'une jointure se prend; et la lésion auriculaire gardait son caractère de chronicité
u l'excitation anormale des nerfs des canaux semi-circulaires. La lésion auriculaire moyenne constitue la prédisposition.
édés d'in- vestigation connus, il est possible de reconnaître les lésions cachées de la base de l'étrier et des fenêtres.
st ainsi poussée beaucoup plus loin; le rôle et le diagnostic des lésions de l'étrier et des fenêtres ovale et ronde sont
s. Dans la grande majorité des faits de ver- tige, il y a une grave lésion au niveau des fenêtres et de l'étrier, combinée
ombinée ou non avec d'autres siégeant dans l'oreille moyenne. Cette lésion est rendue évidente par les deux épreuves décri
vidente par les deux épreuves décrites. La plus habituelle de ces lésions estl'enfonçure de la platine etson immobilisation
une forme névrosique, et une forme con- gestive, dans lesquelles la lésion de l'oreille moyenne agit comme prédisposition
n'ont permis de reconnaître jusque dans ces derniers temps que les lésions grossières des nerfs, celles qui s'accompagnent
QUES NON TRAUMATIQUES. 193 pique du nerf malade. Pour constater les lésions des tubes nerveux et à plus forte raison pour e
tre à la fois les symp- tômes observés du vivant des malades et les lésions rencontrées après la mort dans les troncs nerve
es. (Pl. II, Fig. 5, 6 et 7.) A ce degré un peu plus avancé de la lésion le tube nerveux garde encore un diamètre sensib
la base non athéromateuses. Cervelet mou, fortement pigmenté, sans lésions en foyer. Pas d'altération appréciable des pédo
digitations antérieures de l'insula de Reil sont détruites par une lésion évidemment ancienne et remplacée par une plaque
aboutissant à chaque eschare ont été examinés séparément, mais les lésions qu'ils présentent sont tellement identiques qu'
ction des eschares rapides n'est pas en rapport nécessaire avec les lésions destructives des lobes occipitaux, puisque ces
ent altérées, et toutes les fibres qui les composent présentent des lésions évidentes de névrite parenchymateuse. Nulle par
né- ralement avec l'aspect conjonctif. Dans les rares tubes où la lésion est moins avancée, la myéline est fragmentée en b
e rapide de cette région. Il y a très vraisemblablement entre les lésions nerveuses et la nécrobiose de la peau une relat
uitième jour. .'të)'a<to ? t des nerfs cutanés correspondant aux lésions de la peau ' . 1. Jolfre, maçon, âgé de soixa
s différents, de telle sorte que les uns subissent les phases d'une lésion destructive, tandis que les autres tendent à re
évolution plus lente, ainsi que l'indique la moindre gravité des lésions . De plus, le processus destructif s'est arrêté su
'elles aient été régénérées. De là sans doute la marche lente des lésions cutanées , leur caractère superficiel et la ten
DES NÉVRITES PÉRIPHÉRIQUES NON TRAUMATIQUES. 21.1 différente de la lésion cérébrale qui, au lieu de détruire, se bornait
bornait à comprimer ? Tout au moins, il ressort de ce fait que les lésions destructives de l'en- céphale ne sont pas seule
cette observation cette particularité intéressante, à savoir qu'une lésion unilatérale du cerveau peut être la cause de la
n peu hématique dans la plèvre droite. Le poumon droit présente les lésions d'une pneumonie lobaire; au sommet existe un no
été également enlevés ; sur aucun de ces organes, on ne découvre de lésions appréciables à l'oeil nu. DES NÉVRITES PÉRIPHÉR
de potasse, la gomme et l'alcool, décèlent, indé- pendamment de la lésion parenchymateuse, l'existence d'une sclérose dif
sixième et onzième nerfs intercostaux : elle n'a présenté aucune lésion appréciable. En résumé, sur le cadavre d'un suj
cherons pas les rapports que présentent entre elles les différentes lésions que nous avons trouvées réunies; il nous suffit
ndant le cours d'une phthisie pulmonaire. Le sujet, déjà porteur de lésions avancées, a d'abord présenté l'état mental qu'o
axe. Mais la première de ces causes est seule permanente. Quant aux lésions dégénératives qui sont la conséquence du trauma
st-à-dire l'hystérie. Que l'irritation génitale existe en dehors de lésions utérines (hystérie autonome) ou concurremment a
huit années de maladie. L'autopsie vient confirmer le diagnostic de lésion cervicale interrompant inté- gralement la condu
XIV. Note sur un cas DE surdité cérébrale [surdité psychique) PAR LÉSIONS DES DEUX PREMIÈRES CIRCONVOLUTIONS TEMPORO- sph
elle, il faut ne tenir compte que des cas simples, de ceux où à une lésion anatomique unique et circonscrite auront répondu
e. N'y aurait-il pas entre les symptômes observés et le siège de la lésion pure coïncidence ? et des lésions d'autres poin
mptômes observés et le siège de la lésion pure coïncidence ? et des lésions d'autres points de l'écorce ne don- neraient-el
cnEZLEs enfants; par M. Pamtor. [Revue de médecine, 1 S3 ? .) Celle lésion , dont 11. le professeur Parrot donne pour la prem
x dans sonTraité d'anatomie patho- logique ; il se demande si cette lésion ne pourrait pas être consi- dérée comme une lés
demande si cette lésion ne pourrait pas être consi- dérée comme une lésion trophique d'origine centrale, au même titre que
ramollie, en bouillie au niveau des trois premières dorsales. Nulle lésion du rachis, de ses articulations, des parties pé
iénation survenant dans les périodes de l'affection, sont dus à des lésions du cerveau ; 5° Quoique le myxoedème soit une
rties du corps (langue, extrémi- tés) ; 7° Il est probable que la lésion primitive et essentielle existe dans le système
fois observés (cas de Ord). P. M. ! 1`V. Contribution A l'étude DES lésions CÉRI : DB.1LES LOC.1LIS1 : ES au LOBULE DE l'in
rvations, l'une de ramollissement, les deux autres d'liémorrltabie, lésions siégeant à droite et exactement limitées à la s
e blanche la séparant de l'avant-mur, les auteurs concluent que les lésions rares de cette partie du cerveau se traduisent
oirait volontiers, avec Grasset, que le tabès dorsal est plutôt une lésion cérébro-spinale diffuse qu'une myélite systémat
e1-Dieu, on fit son aulopsie et on trouva dans le cerveau d'énormes lésions . Voilà ma réponse, à M. Foville. Que l'affaire
teurs ont avancé que les vertiges et vomissements observés après la lésion expérimentale des canaux semi-circulaires dépen
ématique dans son expansion qu'elle l'était peut-être au début. Les lésions systématiques du système nerveux de par le seig
eants du traitement antisyphililique el spécialement du Kt pour les lésions spécifiques du système nerveux central 1. M.
ruit les cloisons conjonctives, on observe de larges mailles vides. Lésions analogues surle revêtement endothélial des trac
CERVEAU. (Relation des monoplégies des membres inférieurs avec les lésions du lobule paracentral.) Par le. D' Gilbert BALL
se dégageaient de l'analyse attentive des faits, écrivaient : « Une lésion destructive siégeant sur le lobule paracentral,
nion si nettement' formulée' 'par MM. Charcot et Pitres, qu'à des lésions de sièges divers correspondent des symp- tomato
ie de l'un des membres in- férieurs correspond anatomiquement à des lésions du lobule paracentral et de la partie la plus é
, tant par les détails de la symptomatolo- gic que par le siège des lésions constatées à l'autopsie, rappellent les nôtres.
Les poiiiiioiis, particulièrement le.poumon droit, sont le siège de lésions tuberculeuses aux divers degrés de leur dévelop
ules n'ont pas encore atteint lapériode de ramollissement. Mais les lésions , sur lesquelles nous devons spécialement insist
de' masse tuberculeuse. Il est très remarquable qu'en dehors des lésions très pro-, ' ' '" ' I . , n.r I - ! 1 me I 27
.-le . 1 ' (Min ,it s « " 1 " . ? ( t n t 111 , jout,s quant à,)a lésion qui avait déterminé les symptômes, 1 a. I. yn .
é dans tous ses modes (sensibilité générale et spéciale) avec une lésion profonde d'une partie de la zone motrice. Ce fa
! à,,la,zoye,po-- trice, r et ,;·l·c yf auraitTtoatoztz's dans lés lésions » ! démette dernière, abolition ou.au moins affa
e, par'suite,lies' de la sensibilité, positifs dans quelques cas de lésions des circonvolutions frontale et pariétale ascen
sur le faisceau sensilif et les troubles de la sensibilité dans les lésions du cerveau. (Thèse'de Paris 1880), et Nouveau D
nsibilité. , 2 R. Tripier. De 1'(t ? iesthésie 1»otlitile pcii, les lésions des circonvolu- tions cérébrales. (Revue mensue
aucune altération. Sur la coupe de,llecshsig, 1 on ne trouve aucune lésion . Rien de grossier dans,la protu- bérance, ni da
2noiiolléqz*c ii,inei-nl)ref inférieur, droit. On avait cru' à une lésion , de. la moelle.,L<L moelle était saine; il''
,, ... t, ,.l. t. ? nui ? 1 r- "'t jlMJ'U'Hll -m ,-U ? ^ ' ., ' ? ' lésion z le même siei2 : e,,le r ),n ;)")./j ,... ? tj
? "*>;" ? a,y ? ^ /rki.' ' monoplegie de, l un des s 2 ci une lésion du lobule paracentral- ou 'c la partie la plus '
des terri- toires, préposés à. la motilité.de.-chaque membre, les lésions qui intéressent l'un d'eux retentissent aisément
-cas d'une monoplégie du membre' inférieur gauche consécutive à une lésion du lobule pariétal supérieur 1 Thèse de Paris,
c que, dans tous ces faits de monoplégie du membre 'inférieur, les, lésions · ont été trouvées localisées et circonscrites.a
ons que l'étroite subordination qui relie la monoplégie crurale aux lésions du lobule para- i Ce mémoire était composé lors
te, discuter tant et plus sur le mécanisme en vertu duquel pareille lésion engendre pareil symp- tôme; on pourra opposer h
t-,ttioti destl,çel lules ganglionnaires, qu'il, faut rapporter la, lésion ..cutanée » ;et, , celte, 011.1 nion estaencore
n- z dure de'1'existence` d'un ' zona^cutané à l'existence d'une' lésion drihiganglionJrachidien'3'correspondànt.' Certa
'.le zona';réoent : <Il;;se,,piourr,aityfôrt,bjenqtue 'dans la`' lésion - ' 1 ' tibdf;aiicieiine,-3lesalté- tluly3lTU U
i la coloration. " ? " -*il Une même description est applicable aux lésions histologiques de ces diverses1 branches; cari t
part,"et. à la .face i externe de la pie-mère, d'autre part. Ces lésions sel montreiil surtout dans lesdetix tiers inférie
rieur gauche ,etcelles musculaire, du même(1côté pré;, sentent 'des lésions tout^ à fait semblables' à celles qui se rencon
t j f Il mien (il 4 . 1-l'i Il., .l Il 1 phiques de t'ataxie à des lésions médullaires siégeant dans des cornes' antérieur
nale infantile ou de l'atrophie musculaire progressive, dont les, lésions initiales siègent précisément dans,, les cornes
jj ^i>i ? > j^v- i'li.. à- ilU'< ,1 un .r ' jn.tl 'tf . la lésion décénérative des, nerfs, et,, 1 es % troubles tro
langue est sèche, noire, inajsjiç porte point ainsi que la gorge de lésions analogues. à celle que1nous.,venons1de,1signale,r
ianc.jaunatre.un peu dur, présentant en un mot les caractères de la lésion sur la lèvre inférieure. Le soir les lésions tr
ot les caractères de la lésion sur la lèvre inférieure. Le soir les lésions trophiques de la lèvre supérieure, et celles de
s d'indiquer est'le siège'd'unééscharevgrisâtret ? indurée.' \ .La, lésion trophique, sur. to'us'sesvpoints, est le siège d'
le le 3 mars; Le begayement semble avon^quelque 'peu diminué ! Les « lésions trophiques de la face1 sont absolument1 ré- par
ns ici' : lque les`11é- ? t.(.t't ? jftf ? [ t 4.1 ) z nerveux, les lésions 'de ses enveloppes ou des organes avoisinants s
il ? I ' i , . * festalions une fois développées peuvent masquer la lésion primi- live, en obscurcir la marche, /a'm<om
en'é'o'r"é'fa'isait"dé's'ace d'eiiis' livs toriques a;,propos de sa lésion de 1 oreille, et pour les raisons que nous avon
bservation que nous .venons, de signaler : la paralysie faciale, la lésion trophique.de la face à bulles Demphigoïdes, les'd
s avonsjtenu surtout à.attirer, l'atteiitioii stir,ce, fait que des lésions même peu importantes, des, centres, nerveux ? des
p;nemUreLsupérieur; en : ; particulier,lng plus; sexpliquerjparjuno lésion t due,,sq.ill trqncl liprveux.,Fut-,il,elicréli
s directement la colonne vertébrale, peuvent être attribués à une lésion siégeant au niveau de l'émergence d'une paire ner
gien, soit au niveau du trou de conjugaison, et en imposer pour une lésion d'un tronc nerveux périphérique; ce, sont des fai
'la ? r6tie dé ,là,.paralsie, il parait pluslégitime d'admettre une lésion symétrique des cornes , antérieures de lamoelle
il (levicii- ,i drait plus facile de.limitcr.ce qui appartient aux lésions i .t drait plus facUc de.limitcr.ce qui apparti
aux lésions i .t drait plus facUc de.limitcr.ce qui appartient aux lésions intra- ? 1-acliid.i.ennes. ? ... ,, ? , '= ? ? r
Contribution à l'étude des troubles fonctionnels de la vi- sion par lésions cérébrales, 1882, p. 236. ' SUR LES PLEXUS DES
ulaire dans la moelle pourrait encore être éclairée par l'étude des lésions me-, dullaires dans1 certains cas'd'arrèt 'dé'd
étûdé dè' lâ localisation1.de,s1ajnyotro71|-J phiés limitées études lésions médullaires qui leur correspondent. ? ... ,-r ?
inhalation 'de nitrite d'myle,frejpl>tantl'expliiationll;à ? uhe lésion dans la partie postérieure de la capsule interne,
sens spéciaux, ethémichoréiquedu même côté, ne pré- sentait aucune lésion de lacapsule interne en nulledesesparties. Sous
le (anesthésie du côté hémiplé- gique, hyperesthésie du côté de l'a lésion ). De cet ensemble'de constatations rapprochant
' .. 1 . - . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. -3jl sympathique après lésion cérébrale clinique (Nothnagel in Vir- claow's A
ndance non d'une inflam- .mation interstitielle ou parenchymateuse, lésion définitive et » incompatible avec la 7,esllli(l
formes de mélancolie. Ces trois dernières , complexes à raison des lésions multiples (pneumonie et gangrène pulmonaire, al
ets s'accumulant dans une économie déjà urémiée), les progrès de la lésion , ou l'âge du malade, on verra se déve- lopper,
appui; en faisant remarquer en ce cas l'absence de toute maladie ou lésion de l'ensemble du système osseux. - ' ' ? ' Da
ait tout. D'où cette conclusion que, quelqu'importantc que soit une lésion de la moelle, se produisit- elle chez les paral
s opinions de Foville, Bonnet. et Poinearré qui le rattachent à des lésions du ganglion cervical du grand sympathique, et t
grand sympathique, et termine en citant des cas d'otllématome sans lésion nerveuse centrale (G uéniot et l,odentu, Heyfol
grité du faisceau pyramidal jusque dans les tractus intraccrebraux. Lésions de iameningo-perien- cépllalite chronique diffu
culaire diffuse; dans le cerveau, de la congestion corticale et des lésions de la paralysie générale sans foyers scléreux n
gaines de Schwann etdescloisons marginales interfasciculaires; ces lésions seraient analogues à celles de la méningite spina
rtisans sur leurs personnes, à l'exclusion du cas de suicide et des lésions osseuses. Nous n'avons ( rien à ajouter à l'ana
n d'anormale »' .... t » K. . '" 1>, ...I , si i , ,, ? T XIV. LÉSION .DES cordons postérieurs dans la PARALYSIE GÉNÉRAL
énie du symp- tôme en question exige probablement le concours d'une lésion atrophique assez intense, et d'une irradiation
périencéphalite, ou même après cette dernière, meurent avant que la lésion médullaire ait progressé et se soit étendue. C'
de Siegburg. et de Dürren, l'auteur a trouvé trente-quatre faits de lésions , utérines, utéro-ovariennes, nova- riennes ou t
n cas, la folie ne procède sympathiquement, paraction réflexe, delà lésion génitale. On trouve toujours d'autres facteurs
r l'état mental.des aliénées, même quand-ils n'engendrent pas 'des' lésions traumatiques,,et la clUoroformisation, ,qui,suppn
bservations DE démence paralytique A marche atypique, compliquée de Lésions en I·O1R12` DA\St l'écorce; par H. HiCKHOLT (de
'mois de maladie, de manifestations, maniaques; le second, par une lésion diffuse,- avec ramollissement de la zone péri-i
d'une névrite à l'organe central, rien ne, saurait établir que les lésions de la'paralysie, générale émanent,de, l'excitatio
éparé par une prédisposition. '< h 1JP e"P/ Kr""o> ? XXV. DES lésions DE la moelle dans la démence paralytique ET DE
ase du travail confirme,én,somme cetteoinion,ldlanioinsslorsqiie la lésion , ..lm n' 9 t il,ctractérisée, porte,sqr toit t
aphasie en puissance ? Les phénomènes observés répondent-ils à une lésion purement fonc- tionnelle ou à une altération ca
eules pourraient nous éclairer, sont muettes, ou elles révèlent des lésions qu'on était loin de soupçonner. Que con- clure
role e>t donnée à M. Furstner pour présenter son mémoire sur les Lésions céphaliques et les psychoses. Le rapport qui lie
de rapi- dité qu'affecte la perturbation mentale, consécutive à la lésion chij rurgicale, le genre des symptômes notés, o
maladies nerveuses de Berlin', dans lequel l'autopsie décelait les lésions de la paralysie générale. Or, malgré l'existenc
e particulier qu'il n'excitait ni la dilatation de l'estomac, ni la lésion pylorique des cas de Kussmaul, Neumann, Gassner (
un des symptômes observés n'eût permis évidemment de conclure à une lésion aussi grossière de l'organe central. C'est à l'
a-t-il été dans l'espèce. L'hypochondrie constatée correspond à la lésion du lobule pariétal supérieur; Bisch- Ilirschfel
iron de soixante ans, M'autopsie desquels on constate à la fois des lésions de paralysie générale (adhérences, épaississeme
issement de substance grise, induration de substance blanche et des lésions athéromateuses (athérome, anévrysmes miliaires
thérome plus ou moins généralisé; à l'autopsie, on constaterait les lésions ci-dessus mentionnées. Les observations à l'a
e cette 412 BIBLIOGRAPHIE. forme, a constaté une prédominance des lésions athéromateuses sur les lésions de la paralysie
rme, a constaté une prédominance des lésions athéromateuses sur les lésions de la paralysie générale, rares ou partielles ; p
sphygmographe et par l'auscultation, qui révélerait la présence de lésions artérielles athé- romateuses ; mais les cinq ob
ant le rhumatisme cérébral; par Repéré. Thèse de Paris, 1883. Des lésions ( ! 0)'<tf/Mes chez les ataxiqucs ; par Balaca
isagé soit comme une entité morbide nettement définie, avec ou sans lésions et devant à ce titre ouvrir un chapitre nouveau
laisse rien à désirer. Certains délires aigus ne présentent aucune lésion à l'autopsie; mais ces formes sont rares, et, s
, l'auteur étudie surtout les cas dans lesquels il pu retrouver des lésions anatomiques qui sont les suivantes : « Une in
st dans les phases d'affaiblissement que se rencontrent surtout ces lésions qualitatives s du sang. « Quelle est la cause
intis, 265. Démence paralytique marche aty- pique compliquée de lésions en foyer dans l'écorce, par Eicl,liolt, 37'i
iquée de lésions en foyer dans l'écorce, par Eicl,liolt, 37'i ; - lésions de la moelle dans la - et de leurs relations av
) ; relation des illoiloi)]- gies des membres inférieurs avec les lésions du lobule paracentral , par Ballet, 273. Mais
tes, 397. Malformation particulière du cer- veau et de la moelle; lésions se- condaires des deux organes, par Fiii-stit
gi,aiiie opli- thalmique au début d'une), 57. Paralysie générale ( lésions des cor- dons postérieurs dans la), par Westp
nts volontaires, par Bal- let et Marie, 1 . Surdité cérébrale par lésion des deux premières circonvolutions temporo-sp
Vertige de Meniere (étude clinique du) dans ses rapports avec les lésions des fenêtres ovale et ron- de), par Gellé, 2 ?
48 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sations. Aussi parmi les procédés en usage permettant de trahir une lésion rénale, nous som- mes-nous fort souvent adressé
ivisés en trois groupes : 1° Ceux qui sont sous la dépendance d'une lésion rénale ; 2° Ceux qui sont de même que la lésion
la dépendance d'une lésion rénale ; 2° Ceux qui sont de même que la lésion rénale, symptômes d'une maladie générale ; 3° L
t l'artério-sclérose et les infections, nous verrons que parfois la lésion rénale parait réagir sur l'état mental. Enfin
brightique, il a l'air d'un aliéné. Or ce délire, seul témoin de la lésion rénale, est-il pathognomonique ? Il semble bien
chroniques il peut constater un trouble mental persistant après une lésion rénale guérie et qu'il ignore peut-être. Il peu
nt bien démontrer la réalité d'un lien entre l'état psychique et la lésion viscérale éloignée (Du Cai., Schu...). Chez d
e les décrire avec précision. Du côté des membres inférieurs, les lésions sont très accentuées et il y a lieu de les décr
on accroissement ultérieur ait été singulière- ment entravé par les lésions existantes du système osseux, et que par conséq
ce elle-même du rachitisme intra-utérin a été mise en doute, et les lésions inscrites au compte d'arrêts de développement,
l ), THERAPEUTIQUE MÉDICO-PÉDAGOGIQUE. et à l'accommodation. Pas de lésion de la cornée ou de la conjonc- tive ; pas de la
it, celles qui se basent sur les résultats observés dans les cas de lésions transversales de la moelle : les uns pré- tende
, à ce que les cliniciens interprètent différemment la nature de la lésion qu'ils observent : les uns, convaincus que la s
elle ne donne lieu à l'abolition du tonus et des réflexes que si la lésion est brusque, considèrent comme répondant à une se
bien connue : ce sont en général des irritations mécaniques ou des lésions traumatiques ou patholo- REVUE D'ANATOMIE ET DE
et en particulier l'appareil auditif sont sou- vent le siège de ces lésions irritatives, mais les cas où la provoca- tion e
vue par l'auteur montrent l'intérêt qu'il y aurait à déterminer les lésions anato- miques présidant : 1° à l'hydrocéphalie
ne de la compression des vaisseaux : on se trouve en présence d'une lésion du tissu même du cerveau et, par-dessus tout, d
aussi simuler la paralysie générale (Bresler, Burr et Carthy). Les lésions du corps calleux sont aussi indécises au point
a dû se contenter du diagnostic de tumeur du cerveau. Sur 20 cas de lésions du corps calleux (surtout des tumeurs), 4 ne se
; dans tous les autres, la destruction de celui-ci s'accompagne de lésion d'une portion plus ou moins moins étendue de l'
é par la majorité des auteurs, est presque indubitablement lié à la lésion du corps calleux, c'est la diminution de l'intell
éflexions suivantes, qui en sont en quelque sorte le résumé : 1° La lésion était très étendue, et, autant qu'on a pu s'en
ur la voie du dia- gnostic étaient le nystagmus caractéristique des lésions du cer- velet, puis la douleur occipitale et le
thogénie de la maladie de Basedow l'auteur admet l'existence, d'une lésion portant à la fois sur ces deux nerfs dans la mo
le allongée. D'après les expériences relatées dans cette note cette lésion serait située au niveau du bord externe du 4e ven
que subit la malade a eu pour conséquence une résolution rapide des lésions . Il consista en l'injection intra-musculaire de
ntal particulier des malades qui per- mettront d'éliminer l'idée de lésion organique (Revue neurologique, avril 1901). E.
llules rondes ou grains. Pour les uns, ce sont des leucocytes et la lésion de la chorée héréditaire est une inflammation cir
halite interstitielle chronique diffuse. Pour les autres, c'est une lésion d'origine névrogtique. Dans un cas rapporté t
névrogtique. Dans un cas rapporté tout au long par les auteurs, la lésion dominante était l'infiltration de grains fortem
che moléculaire du manteau gris étant respectée. C'est bien là la lésion la plus évidente et la plus constante de la cho
lite miliaire ou diffuse : il n'en reste pas moins acquis que cette lésion existe et qu'elle est très facile à mettre en é
e mécanisme par lequel surviennent des troubles fonctionnels ou des lésions histologiques de la moelle est des plus complex
is prise en 1858, soit trente-huit ans après. Maladie de Littlesans lésions cérébrales. M. Déjerine, a pratiqué dans sa car
s atteints du syndrome de Little. Un de ces sujets présentait les lésions cérébrales classiques. Un autre avait un encéphal
assiques. Un autre avait un encéphale complè- tement indemne et des lésions médullaires cervicales. Le dernier qui fait l'o
e. A l'autopsie, cerveau absolument intact; mais à la moelle double lésion avec altérations vasculuires inten- ses dans le
1 y aurait donc des cas de la maladie dite de Little où la dou- ble lésion cérébrale ferait défaut. Le diagnostic différenti
la valeur d'une entité morbide définie dans ses signes et dans ses lésions . Paralysie associée des globes oculaires pour l
a compression de ces dernières dansles trous de conjugaison par les lésions de spondylite. M. MAROE, préfère le mot spondyl
r le membre inférieur, intéressant tout ou partie de ce membre, des lésions apparaissent dans la moelle épinière. 1 SOCIÉTÉ
s la moelle épinière. 1 SOCIÉTÉS SAVANTES. 85 2o l'apparition des lésions a lieu quelques jours après l'amputa- tion ; la
s d'entre elles a été constatée dix mois après l'amputation. 3° ces lésions comportent des modifi- cations de la substance
cations de la substance grise et de la substance blanche. 4° les lésions de la substance blanche paraissent consister en u
entrent en ligne de compte. Il n'y a pas, en apparence au moins, de lésions profondes de structure ; l'état de la moelle en
e des voies conductrices et anastomotiques intra-spinales. 6° Les lésions de la substance grise semblent à peu près locali-
sure de se repérer, il y a cependant une disposition générale de la lésion atrophiante que l'on retrouve très communément
; par te D'' DUPIN-DULAU. L'hystérie peut à, elle seule simuler des lésions d'ordre chirurgi- cal sans lésion anatomique, a
e peut à, elle seule simuler des lésions d'ordre chirurgi- cal sans lésion anatomique, ayant leur point de départ dans l'éta
rvention chirurgicale ne doit être qu'un moyen de suggestion. Les lésions organiques et l'hystérie peuvent aussi évoluer pa
s, il est diffi- cile d'assigner des bornes précises à l'Il et à la lésion . Au point de vue du traitement chirurgical il f
isser guider dans une intervention sanglante que par la gravité des lésions . IV. L'état mental chez les blennorrhagiques; p
a peau a partir de trois ans. Etat du malade le le, février 1890. Lésions scrofuleuses et rachitiques. 1 Absence de la
Abdomen. L'estomac, les intestins ne paraissent le siège d'au- cune lésion . Le foie est un peu congestionné et il y a des pl
ingle, situés aux limites des zones corticale et pyramidale. Aucune lésion des capsules surrénales. IDIOTIE MYX(EDGMATEUSE
que), a permis de relever, -tir la presque totalité des coupes, les lésions suivantes : méningites, atrophies cellulaires,
t teintés après action du bleu polychrome d'Unna. D'ailleurs, des lésions du même type se retrouvent sur les élé- ments c
lrontal et du lobule paracentral. Fibres nerveuses. Etant donné les lésions cellulaires précé- dentes, les fibres nerveuses
ous avons dans un premier travail' étudié les différents stades des lésions du fond de l'oeil dans la paralysie générale. N
iart. L'étal du fond de 'a't7 chez les paralytiques généraux et ses lésions analomiques initiales et terminales (Archives de
u niveau de l'extrémité antérieure des lobes temporaux. Pas d'autre lésion de la subs- tance blanche qu'un léger piqueté h
inière ne présente pas d'altérations macroscopi- ques. - En somme lésions caractéristiques de la paralysie générale. Les
sse des noyaux conjonctifs et névrogliques. Ce sont là en somme les lésions du dernier stade de l'atrophie papillaire des p
ésente dans ses parties avoisinant la papille (6 et 7 fig. 18) des. lésions de même intensité que celles que nous avons LE
évrogliques proliférés. A mesure qu'on s'éloigne de la papille, ces lésions si marquées de sclérose diminuent peu à peu d'i
a couche des fibres ner- veuses, devient moins dense, mais d'autres lésions plus intéres- santes s'offrent alors à notre ob
semble plus contenir de fibres opliques intactes, elle présente des lésions extrêmement accusées qui vont jusqu'à la désint
131 L plus intéressantes. Nous nous trouvons ici en présence de la lésion décrite sous le nom de sclérose en arcades de l
che granuleuse externe, épaisse d'environ HO 1-t ne présente pas de lésion appréciable. La membrane litnilaizie externe, n
ment dépourvues (17, fig. 19). La choroidc présente à ce niveau des lésions ti es caractéristiques susceptibles d'éclairer
olore, plus ou moins abondant suivant les points. Telles sont les lésions que nous rencontrons dans la partie de l'hémisp
tine diminuée de volume, infil- trée de pigments, présente bien les lésions de l'atrophie pig- mentaire consécutive au déco
ARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 135 choroïde est très altérée et présente des lésions de sclérose caractéristiques. Du côté de l'hé
ctéristiques. Du côté de l'hémisphère inférieur de l'eeil droit les lésions sont moins accusées. Dans le voisinage immédiat
mmédiat de la papil- le, on rencontre comme précédemment toutes les lésions étudiés et représentées figure 2 mais bientôt l
érées dans leurs éléments. L'oeil gauche, présentait simplement les lésions de l'atro- phie papillaire, nous n'insisterons
'aspect en arcades de la couche intergranuleuse de la rétine ni les lésions d'im- bibition des cônes et des bâtonnets. En
ique est venu confirmer le diagnostic clinique et nous a décelé les lésions ordinaires de l'atrophie papillaire et rétinien
ves et névrogliques. Du côté de l'aeil à rétine décollée, outre les lésions précé- dentes, nous avons observé l'altération
tique pratiqué a son entrée révèle qu'il est por- teur d'une double lésion nntrale, le foie est douloureux, les jambes lég
et sont en voie de dégénérescence. Les reins sont très altérés. La lésion qui frappe au premier abord est l'épaississemen
erie et ses vêtements. L'autopsie révéla d'une part l'existence des lésions ordinaires de méningo encépha- lite diffuse, d'
ue d'ailleurs sans ictus. La constatation à l'autopsie d'une double lésion rénale ne permet-elle pas d'invoquer, pour expl
les con- ceptions délirantes optimistes sont étroitement liées aux lésions cérébrales, et l'on a été jusqu'à considérer le
tions corticales appré- ciables. L'hypothèse qui explique par des lésions cérébrales spéciales les variétés de sentiments
é la forme dépressive dans les cas où la maladie est associée à des lésions athéromateuses généralisées 2° Intoxications. L
n sait que le délire hypochondriaque est presque toujours lié à des lésions viscérales. Clouston a noté la dépression menta
coolisme (Régis, Camuset), dans la démence due à d'autres formes de lésions organiques du cerveau (Jastrowitz, Burzio, Vaeg
le, d'alcoolisme, de sénilité, la démence est seule le résultat des lésions cérébrales et son degré est proportionnée à leu
iques d'impulsion et dépensée ne sont pas des effets directs de ces lésions ; ils sont l'expression - considéra- blement ex
e hystérique typique, et la maladie de Basedow symp- tomatique, par lésion du faisceau solitaire ( ? ) : 3 cas. P. Keraval
ganique de l'appareil digestif n'est pas pius en cause, ici qu'une' lésion organique du système nerveux. Mais celte dyspha
tion du réflexe rotulien et douleurs fulgu- rantes. Serait-ce une lésion des noyaux d'origine ou des racines de la 3° pa
à un complexus symptomatique ayant pour lieu commun l'absence de lésions grossières attestées soit par le guérison, soit p
de En raison de la double atrophie papillaire, on peut penser à une lésion localisée à la base du cervelet et s'avan- çant
t méningé. il. Leroy. XXVII. Un cas d'épilepsie consécutive à une lésion traumatique du lobe préfrontal; par R.-A. Unoui
ents héréditaires ni syphilitiques. A l'âge de 18 ans, chute grave; lésions de la tête; plusieurs semaines d'état inconscie
pparition, à échéance éloignée, d'épilepsie générale, malgré que la lésion trau- matique n'ait primitivement intéressé auc
uteur parle ici de l'épilepsie vraie, celle dont la condition ou la lésion nécessaire siège primitivement dans .le cerveau e
l'épilepsie psychique pure. Au point de vue delà localisation de la lésion , elles sont probablement identiques et ne diffè
luscum cuta- nés. Enfin le microscope montre que la disposition des lésions au niveau des nerfs périphériques est semblable
i pour lui reste autre chose qu'un simple syn- drome traduisant une lésion tantôt céfébrale tantôt médullaire. IL P. Marie
utopsié trois maladies de Little, deux de ces cas étaient dus à des lésions médullaires. M. BFIISSAUD reste d'accord avec M
al; il est au contraire très commun et très intense dans les cas de lésion du faisceau pyramidal. Il est fréquent aussi ch
taine spasmodicité. Surdité rerbale. M. Gilbert Ballet décrit les lésions rencontrées dans le cerveau d'un malade affecté
sement. Il s'agit donc d'une aphasie sen- sorielle produite par une lésion sous-corticale. L'examen histologique de la sub
orce. Cette atrophie des cellules du cerveau sous l'influence de la lésion des fibres qui en émanent avait été déjà mise e
u'on doit rapporter à la compression de la moelle cervicale par des lésions progressives de pacby-méningite chronique. Ar
Marie et GUILLAIN présentent des coupes histologiques montrant les lésions limitées aux deux olives bulbaires. Ceslésions
démyeti- irisation des fibres périolivaires et intraolivaires. Ces lésions n'ont pas déterminé de dégénérations secondaire
Ces altérations limitées aux olives ne sont pas en rapport avec des lésions du cervelet ou du faisceau central de la calotte,
plaques mais ne peuvent se prononcer sur l'origine première de ces lésions , tout à fait excepi ioiinelles. Madame Dnai : n
182 SOCIÉTÉS SAVANTES. peuvent être intenses, en l'absence de toute lésion saisissable, les réactions cérébrales qui carac
jet de nombreuses descriptions, nous ne connaissons en effet ni les lésions avec lesquelles elle est en rap- port, ni les f
. le Dr Klippel, médecin des hôpitaux de Paris. Conclusions : Les lésions dans leur nature. Un syndrome ne correspond ni
. Un syndrome ne correspond ni à une même cause pathogène, ni à une lésion uni- que. Il relève d'une même localisation et
lisation et d'une même modalité de réaction, sous des causes et des lésions diverses. La paralysie géné- rale est un syndro
paralysies générales s'observent. Le premier se caractérise par des lésions inflammatoires pouvant aller jusqu'à la diapédèse
second, la même encéphalite inflammatoire est en évolution sur des lésions préalables et apparaît comme une infection seco
ndaire. (Paralysies générales associées). Le troisième comprend des lésions purement dégénératives, de causes diverses, à l
ent et la seconde peut sans doute être la suite de la première. Ces lésions n'offrent aucun caractère de spécificité. On n'
té. On n'y saurait déceler aucun de ceux qui ont été assi- gnés aux lésions syphilitiques certaines. ni comme topographie no-
elle elle se produità partir de l'infection parle chancre. Plus les lésions sont précoces et plus elles sont diffuses; ainsi
oup plus tardive. De sorte que, plus la virulence décroit, plus les lésions sont circons- crites et localisées. Alors, si l
uver un crité- rium histologique pouvant faire distinguer de telles lésions de celles des autres inflammations de même path
iguës dont la nature infectieuse- est admise, ne donnent lieu à des lésions très analogues, parfois identiques, à celle des
alite est venue se greffer, à titre d'infection secondaire, sur des lésions encéphaliques préalables. Telle est la paralysie
oliques chroniques, qu'ils soient ou non paralytiques, présente des lésions spéciales : atrophie et dégé- nérescence granul
atteintes d'une façon analogue. Pour ce qui est de l'encéphale, ces lésions sont le fond commun sur lequel viennent se greffe
alite apparaît comme greffée à titre d'infection secondaire sur les lésions atrophi- ques et dégénératives des éléments ner
ien seulement des dégénérescences des éléments nerveux sont ici les lésions préalables. Telle est la paralysie générale assoc
onique. Les néoplasmes syphilitiques ou autres sont, en ce cas, les lésions préalables, les points d'ap- pel de l'infection
es des dégénérescences des tubes nerveux de l'écorce cérébrale. Ces lésions sont tabétiques. Aussi faut-il conclure que les
oliques, les artérioscléreux, les tuberculeux, etc., présentent des lésions encéphaliques distinc- tes par leur origine et
Dans un troisième groupe, l'examen histologique ne révèle que des lésions dégénératives à l'exclusion de toute inflammation
auto-infection y intervient aussi, du moins ne produit-elle pas les lésions inflammatoires indiquées dans le groupe précédent
'ai tantôt employé ce der- nier terme pour accuser l'opposition des lésions avec celles des 234 i SOCIÉTÉS SAVANTES. form
alysie générale dégénérative des tuberculeux dont j'ai rapporté les lésions à l'action des toxines d'une tuberculose pulmon
ive des al- cooliques. Ces deux dernières s'accompagnent parfois de lésions prédominantes à la périphérie, d'où les termes
plicables en pareil cas. Telle est la pseudo-paralysie générale par lésions syphilitiques mul- tiples, admise par un certai
oyons prédominer les dégénérescences diffu- ses qui ont précédé les lésions inflammatoires, tandis que ces der- nières s'ac
es de l'infection ou celles des auto-intoxications comme causes des lésions . Ces analogies et ses transitions insensibles,
groupes et qui par conséquent implique cette distinction. II. Les lésions dans leurs conséquences.L'histologie arrive sou-
nces.L'histologie arrive sou- vent à constater dans l'encéphale des lésions qui sont à la fois io- rilaliues et destructive
proliféra- tions endothéliales et névrogliques, la diapédèse. Les lésions destructives, qui sont l'aboutissant des précéden
llule, les prolongements neuraux et surtout les den- drites. De ces lésions , les premières pervertissent le mode de l'acli-
rigine du délire; les secondes ont pour conséquence la démence. Les lésions irritatives, résultat de la toxi- SOCIÉTÉS SAVA
Les autres symptômes ne sont pas moinsjusticiables de la dou- ble lésion , irritative et destructive, dont le délire et la
cite en détruisant, est par elle seule capable de produire les deux lésions , irritative et destructive, et par là les deux gr
auto-infection ou d'une auto-intoxication surajou- tées. III. Les lésions dans leur évolution. L'une des questions qui a
a- die. Sans prétendre marquer le point de départ très précis des lésions ce qui semble fort difficile, je crois pour ma
l'aide de toute terminologie équivalente. D'une part, en effet, la lésion des vaisseaux est la diapédèse et non la scléro
n'y contredis pas. Mais, comment définir une ma- ladie d'après une lésion qui en serait l'aboutissant à la fois ultime et
peine augmentée, ne saurait en aucune façon rendre compte de leurs lésions . Et puis, si c'était la névroglie qui venait à
t et dont l'importance ne saurait échapper. La maladie est-elle une lésion primitive des réseaux fibrillaires décrits par
ussi des affinités régionales, qu'il faut chercher a rapprocher les lésions des variétés dans la marche et dans les symptôm
maladie caractérisée surtout et avant tout par la diffusion de ses lésions , ses modes de début sont par- fois assez divers
territoires de l'axe céré- bro-spinal. ' Ainsi, la diffusion des lésions commune à tous les cas, le degré de la virulenc
ents les plus hautement différenciés peuvent nous rendre compte des lésions et des symotômes envisagés dans leur début et d
et dans leur évolution ultérieure. M. ANGLADE (de Toulouse). Les lésions de. la paralysie géné- rale ne me semblent pas
emier atteint, comme le croit M. Klippel Tel n'est pas mon avis. La lésion des méninges précède celle de la substance nerv
sujet que les auteurs classiques et je ne veux pas considérer cette lésion comme absolument spécifique ; mais, dans ces co
dans ces conditions, il faut se garder d'exclure de l'étiologie des lésions de la paralysie géné- rale des infections dont
ffet, très fréquent de constater chez les paralytiques généraux des lésions tuberculeuses ou syphiliti- ques. Le microscope
er sans encéphalite concomitante. La simul- tanéité de cette double lésion est pour ainsi dire fatale, étant donnés les ra
nt secondaires et acces- soires, et que le premier rôle revient aux lésions des fibres et des cellules nerveuses, engendrée
t rare chez les paralytiques généraux; par contre, j'estime que les lésions athéromateuses des vaisseaux encéphaliques sont
de paralysies générales, si ce n'est peut-être dans les cas où ces lésions athéromasiques sont prépondérantes et occupent
es hyalins Dans un deuxième groupe, nous avons réuni les cas où les lésions inflammatoires, parfois moins intenses, sont as
t associées à des alté- rations dégénératives des artères. Les deux lésions capitales sont la dégénérescence hyaline des ar
i, l'étude histologique du cervelet de 8 paralytiques généraux. Les lésions que nous avons constatées portaient sur tous le
eurs malades moins aptes à être soignés, car à l'état mental dû aux lésions cérébrales, viennent s'ajouter les mauvaises habi
arriération mentale, et quelle est la nature de ce rapport ? 1 Des lésions nettes et non discutables de rachitisme se sont r
es (louss.. et Wei..). Elles permettent de constater la réalité des lésions rachitiques Disons en passant que ' Voir dans l
que ne peut être appliquée aux paraplégies spasmodiques liées à une lésion en évo- lution, surtout quand les mouvements pe
puis long- temps les troubles vao-moteurs des sujets porteurs d'une lésion exclusivement corticale (hémiplégiques); d'autr
énoïdes très prononcées chez une faible d'esprit congénitale ou par lésion des centres nerveux dans la première enfance. A
nelle des hémis- phères (Dupé, etc.), ou plutôt par l'existence des lésions histolo- giques qui ont été décrites dans les m
l'aspect évident d'une atrophie à évolution lente. il n'y a pas de lésions marquées des nerfs périphériques. Après avoir
l'origine du sympathique, les auteurs croient pouvoir attribuer aux lésions médullaires obser- vées les phénomènes vaso-mot
gue durée présentés par leur malade. On sait en effet que c'est aux lésions de cette région que l'on a attribué les trouble
malade en lui montrant, par un examen méthodique, qu'il n'a pas de lésions organiques, qu'il guérira. Il faut l'encou- rag
es sur les animaux. Les cas de mort sont presque toujours dus à des lésions cardiaques antérieures. Mais, même chez les car
épaissies, entourées d'une couche épaisse de petites cellules. Ces lésions vasculaires semblent intéresser exclusivement l
icile de dire, d'après nos préparations, quelle est la nature de la lésion initiale. Nous croyons cependant que, dans notr
rrhagies médullaires. Quelle que soit d'ailleurs la nature de cette lésion initiale, une chose nous parait incontes- table
ésion initiale, une chose nous parait incontes- table, c'est que la lésion médullaire est une lésion primaire. Il s'en sui
nous parait incontes- table, c'est que la lésion médullaire est une lésion primaire. Il s'en suit que l'existence de la po
- ces que nous qualifions différemment ne sont pas étrangères aux lésions ou au mauvais fonctionnement du corps thyroïde. A
- 3140 SOCIÉTÉS SAVANTES. pendiculdire, peut-être greffée sur une lésion consécutive à l'ap- pendicite, que le cerveau é
et qui est en particulier celui que l'on trouve pour le tabès. Les lésions rencontrées par nous dans un cas ont été des lé
le tabès. Les lésions rencontrées par nous dans un cas ont été des lésions de méningo- myélite vasculaire diffuse exacteme
normal, la moelle présen- tait dans sa portion cervico-dorsale les lésions caractéristiques de la syringomyélie ghomateuse
dica- teur) pesait Sa grammes, celle du côté droit en pesait 182. Lésions osseuses à type hypertrophique des tètes humérale
ôté droit. L'examen histologique de l'écorce cérébrale a montré les lésions suivantes : Un très grand nombre de cellules ne
es cellules moyennes qui sont le siège des alté- rations, enfin les lésions sont beaucoup moins intenses dans les circonvol
sont beaucoup moins intenses dans les circonvolutions. Ce sont les lésions ordinaires de la cellule ner- veuse ; chromatol
u'à la transformation vésiculeuse du noyau. Neuronophages. Pas de lésions très marquées de la névroglie. Vaisseaux normaux.
omyélie : refroidissement, trau- matisme, surmenage, infection. Des lésions marquées des cellules nerveuses de l'écorce cér
e l'écorce cérébrale ont été constatées. Fréquence et évolution des lésions du fond de l'cril dans la para- lysie générale,
gère atrophie de la pupille, probablement consécutive à d'anciennes lésions intraocu- laires ; des traces d'iritis ancien e
plus sou- vent que la manifestation extérieure d'un trouble, d'une lésion plus ou moins grave des centres cérébraux et le
issance extraordinairement vi,ox se 1 ? patientiie présente aucunes lésions ou anormalités tyicEU9 b(pnp ? l'acromégalie. R
de la maladie. ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Fréquence et évolution des lésions du fond de l'oeil dans la paralysie générale.
és en collaboration avec M. le D1' Kéraval, nous avons étudié les lésions du fond de l'oeil dans la paralysie générale et m
ons pensé en effet, qu'il y aurait intérêt à suivre l'évolution des lésions du fond de l'oeil observées un an auparavant et
'ceil chez une nouvelle série de malades. La grande fréquence des lésions observées antérieurement pouvait être le fait d'u
ppor- tons aujourd'hui -montrent qu'il n'en était rien et que les lésions du fond de I'oeil sont des plus fréquentes chez l
remier. Nous avons alor, pu constater que d'une façon générale, les lésions du fond de l'oeil avaient évolué parallèlement
ale, les lésions du fond de l'oeil avaient évolué parallèlement aux lésions du cerveau, s'aggravant lorsque celles-ci progres
ue à la seconde période ne présentait lors du premier examen aucune lésion du fond de t'oeit ; sorti en rémission, il y a
ation appréciable du côté du fond de )'oeit. I . D'ordinaire, les lésions du fond de t'oeit sont d'autant plus mar- quées
al. Trente-huit malades sur quarante-quatre présentaient donc des lésions du fond de l'oeil ce qui fait 73,33 p. 100 d'alté
ils peuvent encore distinguer les caractères fins. Rapporter les lésions que nous avons observées à un facteur étiologiq
nt alcooliques, le reste ne l'était pas et présentait néanmoins des lésions ; d'autre part 20,9 p. 100 étaient syphilitiques
x ne présentant dans leurs antécédents que la syphilis seule. Les lésions papillaires constatées à l'ophtlialmoscope sont é
, et, comme il s'agissait de paralytiques généraux présentant des lésions oculaires à tous les degrés, nous avons pu suivre
cés. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. li,23 Ces lésions de rétinite diffuse peuvent être parfois accompag
jonctifs et névro- gliques dont le nombre varie avec le degré de la lésion ; quand elle présente l'aspect flou, on trouve
membrane limitante interne et au pourtour des vaisseaux. Quand les lésions sont plus avancées, les cellules conjonctives et
sente les mêmes altérations que la papille. Ce sont 15 en somme des lésions dif- fuses analogues à celles que l'on rencontr
entale orga- nique. On voit également par les rayons Roentgen les lésions prévues du squelette dans les scolioses et diff
e dans un cas de dilatation du coeur, d'origine traumatique, sans lésion valvulaire, la pression était de SO-60 millimètre
êmement probable que la plupart des fibres dégénérées devaient leur lésion à l'action de la tumeur sur la partie située en
uches optiques et des tubercules quadiijumeaux antérieurs, où les lésions toutefois étaient moins accentuées. Dans les cas
eu sûrs. L'absence d'autres symptômes s'explique par le siège de la lésion , et par sa nature qui n'entraîne aucune compres
a névrite optique. R. de Musguave-Clay. XLI. Sur les rapports des lésions locales avec les troubles nerveux et en particu
nt pres- que toujours amenés tardivement à l'asile, en sorte que la lésion cutanée caractéristique de la pellagre a presqu
rs l'étude d'une série de maladies nerveuses, caractérisées par des lésions d'apparence irréparable. Est-ce à dire qu'il
e judicieux de ces mêmes eaux exeercune influence salutaire sur les lésions réalisées', sans doute en modifiant le terrain,le
CL. PHILIPPE 2tief de laboratoire à la Salpêtrière. L'étude des lésions médullaires qui s'expriment en clini- que par l
e contribution légère à l'élude de ces problè- mes suscités par les lésions de la moelle épinière. En voici l'histoire, bri
lôgique devait t déterminer avant tout la nature et l'étezzclue des lésions qqi avaient entraîné la symptomatologie observé
et 8° racines dorsales, pour moutrer les limites inférieures ,des lésions . Un dernier fragment a été pris au niveau de la 3
aires postérieurs. IL Coupes au niveau de la 60 racine dorsale. Les lésions ont sensiblement diminué d'intensité, tout en c
C. Coupes au niveau de la '7" racine dorsale. Les caractères de la lésion changent complètement. D'abord, les cordons posté
upes au niveau de la 3 dorsale. La moelle n'a certaine- ment aucune lésion primitive. A signaler simplement : dans le cord
d'être simplement cicatriciel, présente tous les caractè- res d'une lésion inflammatoire de nature infectieuse. Il y a eu
pleine évolution. Au-dessus et au-dessous de ce foyer principal les lésions précédentes ont continué à s'étendre, mais à un
e racine dorsale ; à ce niveau, la moelle ne présente plus aucune lésion primitive. Il est intéressant de rapprocher de
dullaire des compressions dont l'action s'est ajoutée à cette de la lésion mécanique'. Nous comprenons maintenant que celle
ou cutanés, qui s'expliquent suffisamment par l'étendue même de la lésion destructive initiale de même que par l'extensio
masique qui l'a suivi, qui a commandé toute la symptomatologie. Les lésions systématiques de la moelle, les dégénérescences
uré pendant plusieurs années rigoureusement intact. Les premières lésions sont constituées par une sclérose conjonctive,
lluci- nation unilatérale, dit M. Régis, reconnaît pour cause une lésion unilatérale des sens... dans une partie quelconqu
ustique est en rapport avec les deux aires auditives ? Des lors une lésion siégeant sur une seule oreille retentit sur les
e ainsi ébranlée, M. Séglas substitue une théorie psychologique. La lésion périphérique n'agit pas sur la zone temporale,
unilatérales (Encéphale, 1881, n° 4). 1 J'élimine de mon sujet les lésions corticales unilatérales, dont le rôle, d'ailleu
ent la doctrine anté- rieure et refuser dorénavant, de voir dans la lésion péri- phérique une cause efficiente de l'halluc
l'autre laisse sans explication le parallélisme d'évolution de la lésion et de l'hallucination. Dans ce but, je Lâcherai d
de cette complexité lorsqu'on l'envisage dans ses testions avec les lésions de l'oreille. « Un trouble organique ou fonctio
rédisposition : « C'est l'état llallucinogénique du sujet et non la lésion cérébrale qui a fait l'hallucination 1 » ' ·
(roubles sensoriels. Vient- elle à taire défaut dans un délire, une lésion de l'appareil auditif produira non pas une hall
disposition hallucinogène existe. le trouble sensoriel apparaît. La lésion auditive périphérique peut néanmoins n'avoir su
breux assurément sont les cas négatifs où des individus porteurs de lésions d'une seule oreille présentent des hallu- cinat
e produire, l'hallucination n'a pas eu besoin ducoup de fouet de la lésion , l'imprégnation toxique, par exemple, ayant suf
la lésion, l'imprégnation toxique, par exemple, ayant suffi. Cette lésion impaire sans action sur l'élément sensoriel de
térale. Ainsi se trouvent établies deux catégories de faits où la lésion unilatérale est dépourvue de toute fonction hallu
rsque l'excitation a pris fin ? - ? Mais dans ce cas l'action de la lésion j'y reviendrai bientôt - s'est manifestée à la
âce à cette excitation externe, elle cesserait en même temps que la lésion . En d'autres termes, si l'action de la lésion s
en même temps que la lésion. En d'autres termes, si l'action de la lésion sur l'élément sensoriel seul de l'hallucination
s mêmes' bruits la valeur délirante d'un symbole. Par conséquent la lésion périphérique impaire a une double action : agis
e lui imprime sa direction unilatérale. Que se passerait-il si la lésion , n'intervenant pas dans la genèse de l'hallucin
e repère ? L'hallucination en elle-même, n'étant pas fonction de la lésion n'aurait aucun motif de disparaître HALLUCINATI
disparition de l'hallucination unila- térale par la guérison de la lésion sensorielle périphérique du même côté ». A mon
robablement à une date ancienne et est sans doute indépendant de la lésion . C'est laisser entendre que ce cas ne me semble
lade de Pick les hallucinations sont à ce point indépendantes de la lésion qu'elles se localisent du côté sain contraireme
re, mais faut-il eu déduire que les cas de guérison simul- tanée de lésions périphériques et d'hallucinations uuilalé- ' Le
intellectuel explicable par la théorie psychologique de Séglas (la lésion unilatérale point de repère). Suivant qu'une lé
de Séglas (la lésion unilatérale point de repère). Suivant qu'une lésion unilatérale agira sur ces deux termes ou seulemen
nt sur l'un d'entre eux, les rapports de l'hallucination et de la lésion seront différents. Chez l'aliénée chronique de Pi
la lésion seront différents. Chez l'aliénée chronique de Pick la lésion n'a dû exercer son influence que sur le second te
s analogues au nôtre, si l'on admet le dualisme fonctionnel de la lésion unilatérale, périphérique c'est-à-dire qu'elle es
cause du l'uuilaléralité, on s'explique l'évolution parallèle de la lésion et de l'hallucination : guérir l'une c'est du mêm
n de cause à effet entre quelques halluci- nations auditives et les lésions unilatérales de l'oreille n'a pas seulement un
hallucinations de l'ouïe implique le plus souvent l'existence d'une lésion de l'oreille du même côté. Dès lors en présence
nt la prédisposition du sujet et selon l'influence exercée par la lésion sur l'élément sensoiiel et sur l'élément intellec
mer que l'interprétation délirante des symptômes fonctionnels de la lésion , interprétations qu'il faut se garder de prendr
ns qu'il faut se garder de prendre pour des hallucinations. 2° La lésion unilatérale peut simplement coexister avec des
sentent aucun caractère capable d'indiquer la coïncidence de cette lésion . 3° La lésion unilatérale peut agir sur l'éléme
aractère capable d'indiquer la coïncidence de cette lésion. 3° La lésion unilatérale peut agir sur l'élément sensoriel s
e l'élément intellectuel. Dans ce cas. malgré l'unilatéralité de la lésion , l'hallucination est bilatérale, mais elle disp
elle disparaît avec la cause qui contribue à son éclosion. 4° La lésion unilatérale n'a pas d'action sur l'élément sens
repère. Ce dernier caractère disparaît seul avec la guérison de Lr lésion : l'hallucination devient bilatérale (cas de Pick
ion devient bilatérale (cas de Pick cité par Séglas). 5° Enfin la lésion unilatérale possède un double rôle, réalisant p
ations, la seconde explique leur unilaté- ralité. L'évolution de la lésion et celle de l'hallucination sont alors parallèl
linvuoun et CEST%N. - Des faits nombreux on) bien montré que des lésions d'appa- rition rullv s'accompaenent, lan, le ca
et c'est, en apparence. plus de temps qu'il n'en faut pour que les lésions descendantes des cordons laté- raux, soit en su
it brusquement compliquée d'une myélite aiguë. Au microscope, les lésions présentaient une intensité et une extension telle
ilis ne suffit pas à elle seule et qu'elle exige, pour produire les lésions de la périméningo-encéphalite chronique diffuse
la maladie a évolué, le clonus du pied reste. Il s'agit bien d'une lésion organique. Cette femme était donc atteinte d'un
une myélite aiguë transverse de la région dorsale inférieure et des lésions cancéreuses. Dans le premier cas, elles consist
stence d'une trépidation épileptoïde bilatérale mit sur la voie des lésions des centres nerveux. On constate alors le syn-
e alterne sensitive) et myosis bnlbaire, put être rattachée à une lésion siégeant à la protubérance et intéressant le fais
il. M. S)CtttD ajoute que si ces signes imposent le diagnostic de lésion organique la ponction lombaire complète aussi la
soit augmenté, car les trois cas se présentent. Sa sclérose est la lésion habituelle, elle peut êlre vésiculaire, ou géné
es Myélites tuberculeuses, la Sarcomatose du sys- teme nerveux, les Lésions cérébrales dans la sclérose en plaques, les Amy
nésie rétro- grade, par Séglas, 168. Un Cal il' consécutive à une lésion trau- malique du lobe prélontal, par Uiquhart
Oedème. Voit Oeil. Le fond de i' . \Ulr Para- lytiques généraux. Lésions (lu fond de l' -, Paralysie générale. OI'IITI
iale, par Klippel et Vtgou- roux. 279. Fiéquence et évolution des lésions du fond de l'oeil dans la - générale, par liavi
iques. voir leoe7ltgele - Voir Sensibilité bur les (ap- ports des lésions locales avec les - nervnux et en particulier av
49 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
nous avons pu le faire, comme on le verra plus loin, grâce à des lésions exactement limitées aux faisceaux moteurs. Avan
rnes antérieures de la moelle. Nous laissons de côté cette dernière lésion qui n'offre point d'intérêt dans le cas particu
n fait, à l'autopsie des animaux en expérience , on ob- serve des lésions dans un certain nombre d'organes et de tissus;
de fibres nerveuses altérées. Avant d'aborder la description de ces lésions , nous ferons remarquer qu'à aucun moment de leu
varient d'aspect suivant qu'on envi- sage telle ou telle fibre. La lésion n'est pas toutefois aussi prononcée dans tous l
fibres saines, de même, au niveau des points les moins altérés, la lésion est géné- ralement présente à un degré quelconq
reviendrons du reste plus loin sur le mode de distribution de cette lésion dans l'en- semble du système nerveux périphériq
permet de s'assurer , ainsi que le montre la figure 2, que la même lésion circons- crite peut s'être produite à la fois s
s grande, ou bien, au contraire, et beaucoup plus fréquemment, la lésion n'intéresse pas la totalité du segment. Dans ce
t lorsque nous vou- drons montrer le rapport étroit qui les unit. Lésions SEGMENTAMES totales. Nous nous occu- perons d'a
E SEGMENTAIRE PÉRI-AXILE. 17 i et le plus habituellement on voit la lésion se modi- fier d'une extrémité à l'autre du segm
ns l'autre (fig. 11), l'ordre de succes- sion est le même, mais les lésions sont un peu différentes, en ce sens que le cyli
effectuerait alors à l'aide de la portion interne demeurée saine. Lésions segmentaires circonscrites. Les deux modes d'al
s ait été moins actif sur certains points, soit qu'à ce niveau la lésion n'ait pas eu le temps de se développer et se mo
nte sou- vent dans son voisinage, et de se demander si lorsque la lésion est circonscrite , le processus étant alors moi
et suw. - l'1. IV. fig. 3 et n. 26 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 4° Des lésions segmentaires envisagées dans leurs rapports ave
Il nous faut maintenant poursuivre un peu plus loin l'étude de ces lésions segmentaires, et les considérer dans leurs rapp
uestion, nous pouvons conclure que la localisation habituelle de la lésion , lorsqu'elle est circonscrite, se fait sur l'un
r en faveur de cette manière de voir en montrant que l'état de la lésion est différent suivant qu'on examine les diverses
ce qu'on constate tout au moins, c'est qu'à l'une des extrémités la lésion est manifestement plus ancienne qu'à l'autre. L
mportant se dégage, c'est que, dans le segment interannulaire, la lésion procède suivant une certaine loi, qu'elle envahit
i probablement les premières à se res- taurer. De plus, soit qu'une lésion circonscrite intéresse sur une même fibre plusi
l, lorsque nous envisagerons le mode probable de distribution de la lésion dans la conti- tinuité de la fibre nerveuse, de
le précèdent ou qui le suivent, des altérations localisées. Or, ces lésions ne sont pas dis- posées au hasard, et leur mode
er à nouveau avec une portion large. En résumé, on voit combien les lésions que nous venons de décrire diffèrent de celles
erve dans la partie périphérique des nerfs sectionnés. D'un côté, lésions identiques et à peu près simultanées sur toute
30 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. du segment supérieur. Ici, au contraire, Lésions loca- lisées, segmentaires, conservation du cyl
t est rare, dans les nerfs que nous avons examinés. Dans ce cas, la lésion du tube nerveux ne paraît pas différer de celle
f, à un segment interan- nulaire parfaitement normal. Ici encore la lésion n'a donc pas frappé la fibre sur toute sa longu
ous a paru tout à fait normale. 32 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. III Lésions segmentaires observées chez l'homme. - Nous avo
servées chez l'homme. - Nous avons cru devoir étudier en détail ces lésions à propos des cas expérimentaux, parce qu'elles
résente un tube nerveux atteint de dégénération, on voit combien la lésion diffère par ses caractères anatomiques de la dé
sclérose latérale amyotrophique, nous avons constaté l'existence de lésions segmentaires parfaite- ment caractérisées dans
une explication satisfaisante. Enfin, nous avons pu constater des lésions du même genre dans un cas de névrite traumatiqu
s une régénération active de tubes nerveux, mais indépendamment des lésions que nous venons de signaler, les dissociations
36 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. lorsque celle-ci reconnaît pour cause une lésion de la substance grise de la moelle épinière, ma
tre lesquels est intercalé lel segment' dégénéré. l Fig.,4 ? Dicnze lésion que dans la / ! yM ? jt);'ece ? : <e arrivée,
. 13, 14, 15. Elles représentent les principales particularités des lésions segmentaires circonscrites. - Fig. 13. A, noyau n
frflr'If4'"1 Ptj ! --tHJ4 l' t -"o ) . j " n .Á * , musculaire. Ces lésions sont fort inégales; il suffit pour im- '4-111,i
on en trouve d'autres pro-, fondement altérées; cette inégalité de lésion s'observe fiï- (j 9j1 , 'Il "i».-«j . - - - é
L'un de nous a déjà fait ressortir dans un .travail récent' que les lésions médullaires trouvées (à l'autopsie avaient le m
., La seule diu'p- rence anatomique paraît être dans le degré de la lésion ; Icelle-ci déterminant d'abord une excitation,
es hôpitaux, 1879.) INCOORDINATION DES ATAXIQUES. 47 produire des lésions limitées' à quelques filets nerveux, ainsi' que
hésies cérébrales aux anesthésies spinales. Le siège primitif de la lésion ou trouble qui amène l'hémianesthésie hystériqu
gie des symptômes avec ceux présentés par les ma- lades atteints de lésions du tiers postérieur de la capsule interne. Les
u faire l'autopsie et nous avons enregis- tré le mieux possible les lésions . Toutefois, dans les trois observations qui von
enfants offrant un ensemble symptomatique différent, dépendant de lésions variables quant à leur étendue leur nature et l
ons variables quant à leur étendue leur nature et leur siège. Les lésions qui produisent l'idiotie sont, on le sait, très
fût capable de marcher seule et de se servir de ses mains. Les lésions relevées à l'autopsie, en ce qui concerne le ce
plète, corome Regn..., mais d'idiotie profonde, occasionnée par une lésion d'un autre genre et que, jusqu'à nouvel ordre,
indre qu'à droite et ont con- servé leur forme. Toutefois, de cette lésion et de celle de la frontale ascendante résulte u
a première circonvolution frontale, atrophie et indu- ration, de la lésion des trois circonvolutions frontales dans leur p
trois circonvolutions frontales dans leur partie postérieure, de la lésion de la frontale ascendante et de l'atrophie de l
mes, est pâle. - Vessie, rien. Dans ce cas, l'idiotie est due à une lésion atrophique NOTES SUR L'lDIOT19*1 81 portant s
un arrêt t9 développement des lobes antérieurs du cerveau. Cette lésion s'est traduite, cliniquement, par des convulsions
ie-neère est très mince et s'enlève avec peine, sauf au -niveau des lésions en foyer, disséminées sur beaucoup de circonvol
lésions en foyer, disséminées sur beaucoup de circonvolutions. Ces lésions consistent en îlots arrondis, formant saillie,
le. Hémisphère cérébral droit. Même aspect de la pie-mère ; mêmes lésions des circonvolutions, mais en moins grand nombre
nt l'aspect du tissu cancéreux. Le rein gauche (60 gr.) offre des lésions semblables mais en moindre quantité. L'origine
Or, on sait que ces dernières parties de l'encéphale présentent des lésions dans la sclérose en plaques, que celle-ci affec
tème nerveux de 1\1. chariot mettront en évidence la différence des lésions . Le siège des lésions explique-t-il la producti
hariot mettront en évidence la différence des lésions. Le siège des lésions explique-t-il la production des accès d'épileps
gion, les deux circonvolutions étaient soudées : c'est donc à cette lésion , suivant nous, que l'on doit ratta- cher les co
e sur ce cas. Nous aurons l'occasion de revenir sur la nature de la lésion dans la seconde partie de ce mémoire, qui nous
tique de l'exploration thermique de la tête dans la recherche des lésions circonscrites du cerveau. Avant cette communicati
ée en d'autres points correspond au peu que nous sachions sur les lésions somatiques de la folie. On remarquera aussi que,
paralysie du trapèze obser- vée chez un soldat avait succédé à une lésion siégeant au point indiqué dans le schéma de l'a
tions par excitation fonctionnelle, qui se font du même côté que la lésion ; 2° Les déviations par paralysie, qui se font
2° Les déviations par paralysie, qui se font du côté opposé à la lésion . L. LANDouzy. II. ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE DE LA
ctions rythmiques survenaient dans le sphincter anal à la suite des lésions de la moelle épinière. Dans un travail précéden
vérifiait sur le névraxe suffisamment durci quelles avaient été les lésions expérimentales effectuées. Des treize expérienc
LOGIE. III. EXPÉRIENCES montrant QUE l'anesthésie DUE A certaines LÉSIONS DU CENTRE CÉRÉBRO-RACHIDIEN PEUT être remplacée
e remplacée par DE l'hyperesthésie , SOUS l'influence D'UNE autre LÉSION DE CE CENTRE; parM. BROwN-SÉQUARD. (Compte rendu
oyens produit une hyperesthésie plus ou moins marquée du côté de la lésion , en même temps qu'une anesthésie du côté opposé
l'anesthésie ou l'hyperesthésie ne dépen- dent évidemment pas d'une lésion des centres percepteurs encéphaliques, non plus
ntôt, au contraire, d'exciter et d'accroître, sous l'influence de « lésions irritatrices », les propriétés de ces mêmes par
lus le droit de se servir de l'apparition de l'anesthésie après une lésion de l'encéphale, pour en conclure que la partie
ourt, remue la queue. On le sacrifie, et l'autopsie démontre que la lésion était bien strictement telle qu'on avait voulu
grand appétit, et ils mouraient sans qu'aucun symptôme ni aucune lésion pût en donner l'explication. Les plaies de la têt
arrive seulement à la surface cérébrale. Les faits expérimentaux de lésion de l'écorce déterminent des hémiplégies persist
r, une excitation des centres de l'écorce est nécessaire. Comme les lésions étendues de la zone motrice doivent, dans cette
(Annales méd. psych., janv. 1880.) II. NOTES A propos DE certaines LÉSIONS viscérales SECO\- DAIRES AIGUËS CHEZ LES ALIÉNÉ
LES ALIÉNÉS; par M. DuFOUR. Des observations relatant une série de lésions anatomo-pa- thologiques se prêtent peu à l'anal
où l'affection secondaire guérit, on retrouve, suivant les cas, les lésions de l'apoplexie pulmonaire, de la pneumonie ou d
tatées pendant la vio ou à l'autopsie ont pour cause immédiate la lésion cérébrale. Cette conclusion est plus contestable
liéné. (Ibid., janv. 1880.) 148 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. III. LÉSIONS ANATOMIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UN HA
omba pour succomber rapidement à une méningo-encéphalite aiguë. Les lésions trouvées à l'autopsie étant récentes et peu car
oduire ces troubles intellectuels, que concuremment avec les autres lésions viscérales. La seconde observation est celle d'
mort était survenue par suite d'une affection intercurrente; des lésions syphilitiques multiples furent reconnues à l'auto
té », qu'il regarde tout échec de sa méthode comme l'in- dice d'une lésion organique, soit des nerfs qui se distribuent au
localisations caractéristiques de la paralysie infantile, dont la lésion anatomique n'est plus aujourd'hui discutable. C.
t à quelque chose d'anormal, à un tempérament exceptionnel, à une lésion cachée, en un mot, à une irrésistibilité maladive
rer la peine ou de la sup- primer entièrement. DELASIAUVE. IL Des lésions trophiques consécutives aux maladies du système
Baillière et fils éditeurs. II. M. X. Arnozan avait à étudier les lésions trophiques con- sécutives aux maladies du systè
troubles trophiques observés. Dans un premier chapitre consacré aux lésions trophiques dans le système nerveux lui- même, M
le, spinale ou périphérique. Le troisième chapitre est consacré aux lésions trophiques osseuses et articulaires. Là encore
des affections du système nerveux central et non pas de décrire des lésions syphilitiques du système nerveux. C'était en so
nalogues à ceux de cette affection peuvent être occasionnés par des lésions syphilitiques (tumeurs, artérites, etc). Dans l
titre de la thèse était : « Influence de la syphilis » et non pas « lésions syphilitiques . » Dé même, quelques pages plus
sur des scléroses ascendantes ou descen- dantes, consécutives à des lésions syphilitiques de la moelle et du cerveau. En qu
ons secondaires sont-elles modifiées, parce qu'elles succèdent à la lésion syphilitique plu- 166 BIBLIOGRAPHIE. tôt qu'à
ations hystériques, épi- leptiques, choréiques ou vésaniques et les lésions syphilitiques. Les critiques que nous faisons a
, en termes de concours, non pas de faire un vaste compendium des lésions de l'oeil, de ses enveloppes, de ses annexes, dan
celles de l'encéphale, entre telle modification de l'oeil et telle lésion de l'encéphale : en d'autres termes, tous les c
ière à ce trouble des fonctions de l'oeil ? Enfin, quelles sont les lésions cérébrales qui sont en rapport avec ce trouble
emblable, si on ne suppose en même temps pour l'expliquer que des lésions , préparatoires en quelque sorte, se sont 4 Voir
des blocs de myéline. La fibre présentait dès lors l'en- semble des lésions considérées comme caractéristiques de la dégéné
semblables sur la longueur d'un même segment interannulaire. Les lésions de la myéline nous semblent plaider dans le mêm
s de la section du cylindre d'axe viennent masquer ou remplacer les lésions dépendant du traumatisme, tandis que, du^côté d
rait de section- qui divise expérimentalement un nerf, et que les lésions segmentaires que nous y avons constatées ont ét
'affections, ainsi que depuis long- temps l'a établi M. Charcot, la lésion dominante' est celle des cellules nerveuses de
e antérieure spinale. La question estdesavoirparquelmécanisme cette lésion réagit sur l'état des fibres nerveuses qui en é
tance, que dans un certain nombre de cas d'atrophie musculaire, les lésions des tubes nerveux ont paru plus prononcées du c
rs extrémités périphériques qu'au niveau des racines spinales. La lésion dégénérative paraissait donc ici remonter des e
n- nerons en premier lieu, la présence de la névrite péri- axile, lésion irritative qui, par conséquent, doit prendre or
s expliquer. En second lieu, nous croyons que la prédominance des lésions dégénératives dans la partie périphérique des n
t quatre fibres nerveuses dont la partie B est saine ou atteinte de lésions segmentaires, tandis que la partie C a subi la dé
sous de la section, elle sera atteinte de dégénération wallérienne, lésion d'apparence uni- forme jusqu'à la terminaison d
la moelle épinière, la substance grise antérieure offre, seule, des lésions évidentes ; elles sont exclusivement localisées
ettement de la dégénération wallérienne : 1° sur une même fibre, la lésion est discontinue, elle atteint certains segments
interrompu, la gaîne de myé- 1 M. Vulpian a observé dans un cas des lésions beaucoup plus pro- fondes. (Voir Vulpian. - Mal
nt sont seuls intéres- sés '. Les caractères anatomiques de cette lésion étant ceux d'une véritable inflammation parench
nerfs périphériques où l'on n'avait signalé jusqu'à présent que les lésions ha- bituelles de la dégénération wallérienne.
identiques, quelque' va- riées que soient les maladies et même les lésions qui en sont l'occasion. Nous exposerons success
atteints.de démence, nous avons été surpris de ne trouver aucune lésion sérieuse dans certains cas, tandis que, dans d'
dans certains cas, tandis que, dans d'autres, nous constations des lésions considérables, i 1 - mi .' soit en intensité,
juger par lui-même. z I. Observations de démence épileptique sans lésions macroscopiques, Les cas qui composent ce groupe
se - piil)2oiiaî«î,e. - A101'(.,7" Autopsie : absence com- Plète de lésions corticales. ,. " cle '11 G)II(")(I ? G ! [J'iJP
llucinations diverses. 1 Néanmoins,. t'autopsie'n'a ré- vélé aucune lésion importante' du côté°'des méninges, ni de la sub
e ? ¡J1'.dmÓ}i'àÙ : é ? .... ''A'ÚtÓjnie''... ? Absence complète de lésions des lobes / ? 'OMMa ? HM ? 'a<MMe la coi,ize
u 15 avril, la.température, oscilla ,entre,' 38" t]et''40°u et les) lésions t pulmonaires s'étendirent rapiaement. Le3l,mai
ur l'hémisphère droit). Les mas- ses centrales ne présentent aucune lésion .' ' ' , j 1 Il '' Il - '' Hémisphère cérébral
prononçait plus que quelques mots. L'autopsie n'a dé- celé aucune lésion des méninges'. On voit donc qu'iLest des cas da
ue à sa dernière période, ne se traduit anatomique- ment par aucune lésion des méninges ni de la substance grise appréciab
les malades dont nous allons parler, la démence a déter- miné des lésions , parfois très étendues, mais toujours profondes
Mélancolie. Démence. Affaiblissement pro- gressif. Mort. Autopsie : Lésion des 2e et 3e circonvolu- tions frontales droite
'est traduite par une diminution du poids de l'encéphale et par des lésions en foyer assez circonscrites. . Observation I
aîne avec elle l'écorce grise; -c'est sur le lobe occipital que les lésions sont le moins accentuées. Hémisphère cérébral d
autres organes. Les symptômes de démence étaient accentués et les lésions de méningo-encéphalite si caractéristiques , qu
spécial. ' Ici encore, la démence épileptique a donné lieu à des lésions de méningo-encéphalite très nettes, assez éten-
es symptômes de la méningo-encélhalite. L'autopsie a montré que les lésions occupaient principalement les lobes frontaux; m
euse générale de la base de l'en- céphale, on voit qu'il y a là des lésions de méningite récente, ' vraisemblablement suffi
que l'hémisphère gauche pesait 160 gr. de moins que le droit. Les lésions caractéristiques de la méningo-encépha- lite, i
nu, contrai- rement à ce que nous avons vu dans d'autres cas, les lésions des méninges l'emportaient sur celles de la sub
intérêt, surtout au point de vue de la localisa- tion initiale des lésions , attendu qu'il ne s'agit pas ici de cas d'épile
aurait été important de faire des dissociations et de constater les lésions à l'état frais, principalement les lésions de l
ions et de constater les lésions à l'état frais, principalement les lésions de la substance grise, qui est assurément plus
adie diagnostiqué pendant la vie. Ainsi, c'est chez Font... que les lésions étaient le plus avancées; chez Micamb..., elles
adhère assez fortement à la substance grise. Dans les points où la lésion n'est pas très avancée, on peut la distinguer n
sera . ,plus. longuement question. lorsque, nous décrirons les «^ lésions de la substance blanche. ,, , . ? Les.yaisseaux s
. il | ' ' ri)f. , () <llllll, Ifl' des circonvolutions que les lésions sont assurément yjj ; : 1 ¡Ji IJJ.I " " 1 d 11
<'- 1 'f , t .. attribuer à la propagation, par contiguïté, des lésions ) , j J " , , 1 1 .... ' , 1 , de l'écorce. '
lus .L ? < ,( 1 t.. . , Il' - 1 ? .... l' 1 z prononcée que la lésion est plus ancienne. Déjà, nous l 1 l " " t.'(""1
TII ! 1'Q'.IdTtt5l iLIr11f¡ : cla .l\l ....t\lI 'Dans les cas où la lésion est encore, jeune,, ces-, ce , , . ? < ? f't
i que des hemorrha- eies 'S'Oüs-'ad'v'ëntitiellel.1' Cette dernière lésion même D '1 ... , ? ? -. " t'. i, 'jii i |if ét
ui' 4 ? * 1 ' '" P '" ? " "-' le- ''ri M. Lubimoff à l'occasion des lésions de la paralysie' ë ? ' ! " h ,. ? ' ' "I ', ? ?
de la' méningo-éncéphaliti 1 su perficielle ! r¡.1J ;>/1 ¡; LéS" lésions 1 cérébrales n'occupaient' que ' les- lobes 1 f
ue. ne se traduisait par aucune 11 M.;1 r, , ..MM il .. U" ,n.,m. lésion appréciable , ' caractérisée, tandis que, dans
ciable, 'caractérisée, tandis que, dans d'autres cas, on notait des lésions très accusées. Ces lésions, comme on vient de l
que, dans d'autres cas, on notait des lésions très accusées. Ces lésions , comme on vient de le voir, sont presque tout à
, 4, la substance rise ? 1 1 dans ijag démence épileptique, j la , lésion débuterait; .parlai couçhe,profonde ,deI la ,subs
rait avoir obtenu des succèsdanslediabète. En somme, la présence de lésions organiques ne contre-indique pas, bien 266 , RE
emières heures), ou d'une congestion pulmonaire ou cérébrale. Les lésions pathologiques des viscères et les états consti-
s rapportent les détails, il résulte : 1° Que, chez le chien, une lésion corticale siégeant dans la zone motrice peut êt
SIOLOGIE. 279 Cependant, Treub a vu que, dans ces cas, alors qu'une lésion expérimentale engendre une paralysie à distance
s qu'une lésion expérimentale engendre une paralysie à distance, la lésion pa- ralysigène se propageait, par continuité, d
hes expérimentales ET cliniques sur L'ANES- THÉSIE PRODUITE par LES lésions DES circonvolutions cérébrales; par H. Tripier.
physiologie des circonvolutions cérébrales. Du mo- ment où une même lésion produit à la fois des troubles de la motilité,
IQUE ' I. Dégénération ET régénération DU CI'LIDIIt-.11S dans les lésions non traumatiques DES nerfs; par HOGGA1. (The La
de la dégénération et de la régénération du cylindre-axe dans les lésions non traumatiques des tubes nerveux. L'auteur pens
eux obtenus jusqu'ici. M. Hoggan a constaté que, dans ce genre de lésions , le cylindre- axe peut, soit se rompre à un cen
as la chorée congénitale, mais elle appartient à cette catégorie de lésions dont la relation avec des manifes- tations spas
tologique. Il est au moins vraisemblable que dans le cas présent la lésion médullaire était le résidu d'un processus infla
tabétiques, plus que de l'arthrite sèche : il y a là une véritable lésion trophi- que des os, une dégénérescence graisseu
ent 49 290 REVUE d'anatomie. pathologique. avec netteté,-4,les ( lésions ultimes'f de la; névrite dégénérative atrophiqu
tation faradique et galvanique du tronc du facial, au- dessus de la lésion (dans le méat auditif), même avec de très fo !
l fût' hÍJct servée'dans1 ce 'cas'ét dari's'quéÎques'autré's`où làf lésion du1 fa- ciaVsiégeaiVâu's'si enf dèhÓrs' duf'Cal
constituer une variété dé paralysie dissociée ? '' répondant à des lésions isolées- des filets nerveux, qui;- émanées d"po
'T J{ ? jtT ! tf/1lQ'1 ' ! "il ... Les cO'11tions dans lesquelles ( lésions cérébrales syphilitir ques vra,isen.,2bles M. P
u; J ? ll r, Cette dissociation ne peut-elle pas s'expliquer paires lésions intéressant partiellement Je noyau d'origine tr
, ., ? . 1 f ' , Lf °, . i ¡ V "T I\t . \\ "\.. \ .\\ . \" . une. lésion située plus 'en avant, 'dans le ventricule' moyen
.JwJil I.lü laires;'observes de ce même cote, qui firent penser une lésion ? 4 ? ? 1''1' d .. ti.... 1 ? l : .I...,.( L ! f
r oculaire commun droit por- taient, d'autre part, à soupçonner une lésion du pédoncule cé- rébral droit. L'enfant succomb
, tandis que les convulsions du bras droit-auraient.pour origine-la lésion de la pariétale ascendante gauche-Les. poumons
en deux grandes catégories : symptômes indiquant l'existence d'une lésion , organique infra-crânienne, (névrite i optique, c
ramollie., Le, cerceau était anémié,, mais ne, présentait L pas de lésion appréciable, non plus que les nerfs optiques. , i
are; quand elle existe comme symptôme dominant, il faut ou que la lésion siégeant à la périphérie de la moelle ait envahi
û au défaut d'action des nerfs émanés de la moelle au-dessous de la lésion et altérés consécutivement. 01,1"1) i i ,f'1 ? .
JlItI'" i 'l't,. ? JJ f .'10 d"JU moment, par une blessure, par une lésion encéphalique, par REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
\' ....... -- 1 - , ...O les uns sur les autres , et* même sur. la, lésion , primitive. rLa - t i même sur.. 4- 4 ? - r 21
EVUE DE thérapeutique.. 329 térèt : il s'agit d'enfants atteints de lésions oculaires anciennes et irrémédiables ayant atte
Il' ne faut pas oublier que- les troubles intellectuels et même les lésions ner- veuses sont susceptibles d'une complète gu
crée à la température des aisselles et des membres dans le cas de lésions cérébrales. Le sujet avait déjà été traité, au mo
2. Etablir par des faits cliniques les relations existant entre les lésions cadavériques trouvées chez les aliénés et les s
quoi repose une telle conclusion ? Précisé- ment, sur divers cas de lésions anatomo-pathologiques (notamment des hémorrhagi
nous terminerons la des- cription des circonvolutions et des autres lésions ob- servées et nous la ferons suivre de quelque
es de méningite tuberculeuse, d'accidents ménin- gés au cours d'une lésion cérébrale plus ancienne, ou de rhumatisme céréb
ode. 2° L'hypothèse d'accidents aigus, greffés sur une an- cienne lésion cérébrale, n'avait pour elle que le début brusq
our elle que le début brusque des accidents, mais à moins que cette lésion supposée n'eût siégé en dehors des points auxqu
E NERVEUSE. cordes vocales sont vascularisés, mais n'offrent pas de lésions . b) Les poumons sont petits, rouges, non adhére
me normal et non caséeux. Foie. Le foie est un peu gras et friable ( lésion de fièvre), poids : 1,500 gr. La rate est molle
trouvées dans ces sortes de bourgeons charnus. 1 Réflexions. Les lésions que nous avons consta- tées sont celles d'une m
nnes des traînées rouges et du gonflement qui paraissent trahir une lésion des gaines synoviales plutôt que des articula-
logues à ceux x qui ont été signalés à la convexité du cerveau. Ces lésions sont surtout accentuées sur le renflement lomba
st sain, l'intestin présente une vascularisation un peu forte, sans lésion bien déterminée; les reins et la rate sont inde
era cependant l'accord qui existe entre les symptômes observés, les lésions discutées et celles que nous avions supposées.
que c'est celui auquel il faudrait avoir recours en pareil cas; les lésions de stéatose viscérale que nous avons indiquées
ites rhumatismales. Peut-être pour- rait-on cependant rattacher ces lésions à une intoxica- tion phosphorée à laquelle notr
s, chez lesquels, à l'autopsie, nous avons trouvé, dans un cas, des lésions analogues à celles qui sont représentées dans l
dans la Planche III (Voir PL. ,VIII et IX) ; dans l'autre cas, des lésions absolu- ment semblables à celles de la Planche
enfants étaient atteints d'idiotie profonde ou complète. Quant aux lésions , elles sont très différentes et diversement rép
Foie (345 gr. rate (15 gr. avec un lobe presque pédicule ; pas de lésions . Chaque rein pèse 35 gr. ; rien. Tête.-Les os d
émité du lobe occipital gauche, ne donnent qu'une médiocre idée des lésions . En effet, toutes les circon- volutions occipit
e de traînées transversales d'un centimètre environ de largeur, des lésions atrophiques des cir- convolutions ; ces deux tr
est respectée. La Planche VIII ne donne qu'une idée imparfaite des lésions . - Sur la face interne de cet hémisphère, la lé
imparfaite des lésions. - Sur la face interne de cet hémisphère, la lésion intéresse la partie moyenne de la première fron
convexe, il produit une hachure profonde qui est aceentuée par les lésions des circonvolutions de la face interne. Face
est à six mois que sont apparues les convulsions symptomatiques des lésions atrophiques des deux hé'* misphères cérébraux,
ient été généralisées. L'enfant n'a jamais parlé, ce qu'explique la lésion de la troisième circon- volution frontale gauch
ème circon- volution frontale gauche; il n'a jamais marché et les lésions des circonvolutions ascendantes en donnent la r
ns des circonvolutions ascendantes en donnent la raison. Ici, les lésions , comme nous l'avons dit, doivent être rapproché
ère se détache en entraînant la substance ra- mollie. Outre cette lésion récente, nous avons à noter une lésion an- cien
ce ra- mollie. Outre cette lésion récente, nous avons à noter une lésion an- cienne, cause de l'idiotie ; elle consiste
masses centrales sont normales. Cervelet et isthme, 140 gr. Aucune lésion de la protubé- rance, du bulbe, ni du cervelet.
que dans celui de l'OBS. III (p. 81-90), l'autopsie a fait voir une lésion intéres- sante, qui semble assez rare, et consi
as de sclérose en plaques. Mais la véritable encépha- ' Ces mêmes lésions existaient dans l'OBs. V; c'est par une erreur du
ets inspirait à un de ses élèves, van der Eyden, un travail sur les lésions encéphaliques qu'on observe chez les idiots. Ma
ons de structure de l'écorce grise, mais il s'étend surtout sur les lésions qui résul- tent de l'arrêt de développement ou
rophie des nodules scléreux qui nous ont déter- miné à qualifier la lésion d'encéphalite tubéreuse, il n'y a pas lieu de f
r une opinion précise sur la pa- thogénie de l'affection. Tantôt la lésion occupe une seule partie d'un repli cérébral ; t
hiées, jaunes, granuleuses et troubles. Ceci nous enseigne que la lésion tend à se propager toujours vers les parties sa
englobe. ÉTUDE SUR L'IDIOTIE. 411 i Dans la substance blanche, la lésion scléreuse, à part la différence de densité, pré
- blent y pénétrer. Enfin, en aucun point nous n'avons observé de lésions hémorrhagiques comme tant d'au- teurs en ont si
s cliniques, avec autopsie, dans lesquels les mala- des affectés de lésions des canaux semi-circulaires, avaient souffert d
diminution de volume du corps géniculé externe du côté opposé à la lésion ne tient pas à une dégénération de celui-ci (Gu
s ou des ganglions sym- pathiques. Plus souvent, elle est due à des lésions vaso-dilata- trices directes ou réflexes. La va
l d'un nerf mixte, dans les névroses, les phlegmasies cutanées, les lésions cardiaques. Dans ces diverses conditions, l'exc
t rendu très vraisemblable qu'il no s'agis- sait pas purement d'une lésion isolée des cordons postérieurs. Pour d'autres c
plication de la glycosurie que l'on trouve dans certaines maladies ( lésions cardiaques, rhumatisme, pleurésie, fièvre typho
érer un retour partiel de l'exercice de ses membres. Mais, comme la lésion est toujours là, incurable, l'état spasmodique
un pédicule. Enfin, trois nécrop- sies de M. Charcot démontrent des lésions dans le domaine de la capsule interne (hémianes
. L'observation qui vient d'être décrite a pour première étape la lésion du système osseux de la base du crâne en ce point
dullaires et des modifications qu'ils subissent dans les cas où une lésion de la moelle soustrait une région de celle-ci à
moelle fut cependant trouvée parfaite- ment saine; il n'existait de lésions que dans l'encéphale (Bir- 454 REVUE DE patholo
suivit chaque atteinte rend assez invraisemblable l'hypothèse d'une lésion organique de la moelle, et dans le cas même où
n organique de la moelle, et dans le cas même où il y aurait eu une lésion commençante, le développement complet et l'arrê
ses indiquerait qu'une forme clinique grave est compatible avec des lésions peu avancées. La seconde observation est un exe
ou- veaux symptômes apparaissent, par suite' de l'extension de la lésion aux cornes antérieures (sclérose latérale amyotro
loppée lentement en près de 6 ans. Extension brusque probable de la lésion à la subs- tance grise : apparition d'une fièvr
après avoir discuté l'interprétation des faits clini- ques par les lésions trouvées à l'autopsie, se demande en ter- minan
des artères ayant amené leur oblitération. On sait que c'est là une lésion à laquelle Heubner attache une grande importance
s intellectuelles jus- qu'au moment de la mort, coïncidant avec les lésions considé- rables qui viennent d'être indiquées.
ie de tête, dans le second après une insolation. M. XLVIII. SUR UNE LÉSION DE la CIRCONVOLUTION pariétale INFÉ- RIEURE (lo
des connaissances ana- tomiques, de découvrir par quelle voie cette lésion se rattache à celle des cordons postérieurs, M.
à un rapport anatomique. Groefe a observé un malade chez lequel les lésions avaient débuté par la base de l'encéphale ; l'a
M. Dickinson rapporte l'observation, il est vraisem- blable que les lésions existaient depuis un certain temps à la base du
tre part, sur les phénomènes d'épi- lepsie réflexe produits par des lésions irritatives plus ou moins éloignées des centres
tômes avaient disparu. M. Koch admet qu'une ulcération analogue aux lésions observées sur les amygdales s'était formée sur
rticulaires, il existe une atrophie musculaire spécifique, due à la lésion ; un spasme musculaire invariable, qui persiste
spectes, cette phrase de M. Charcot, àsavoir que «l'existence d'une lésion or- ganique spinale plus ou moins profonde sera
s nettes de l'hémisphère cérébelleux droit, légèrement atrophié; la lésion est extrême dans le corps rhom- boïdal mesurant
es possèdent une consis- tance plus ferme. Pas d'anomalie à gauche. Lésions pulmo- naires citées plus haut. Réflexions. P
des idées). 474 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Or, étant donné la lésion du cervelet constatée à l'autopsie, voici quell
s deux catégories de manifestations à une seule et même cause, à la lésion orga- nique ? C'est aujourd'hui un fait établ
les diverses affections de l'oreille pouvant produire le vertige : lésions organiques des canaux semi-circulaires et pro-
CERASI. (Gazetta medica di Roma, n° 12, 1880.) LXXI. Deux cas DE lésions corticales DE la zone motrice ; par F. GATTI. (
LXXIII. UN cas d'hémorrhagie sous-arachnoïdienne, accompagnée DE lésions corticales ET DE SURDITÉ, (datant de près d'un an
ns le cours de cette affection et les explique en admettant que les lésions qui produisent la chorée siègent en même temps
ives, il ne serait pas mauvais non plus de chercher à découvrir les lésions cor- respondantes du cerveau, siège de ces facu
s cellules du ganglion et dilatation des capillaires sanguins ; ces lésions seraient, d'après Gerhardt, bien plutôt la caus
phie. pour prologue le mémoire de M. Rouchard, et qui prenant les lésions soit au niveau des circonvolutions, soit au nivea
s pédoncules cérébraux, la dégénération des fibres atteintes par la lésion primordiale et est arrivée à la constater jusqu
e sur le pédoncule de la bandelette de dégénéra- tion qui suit leur lésion (du moins pour les trois segments antérieurs),
ieur de la capsule interne ne subit jamais la dégénération lors des lésions de celle-ci à ce niveau. Le faisceau pédoncul
du cordon latéral aux grandes cellules des cornes antérieures ; la lésion est alors identique à celle de la sclérose latéra
e nom- breuses observations inédites accompagnées des schémas des lésions trouvées à l'autopsie; ces dessins ajoutent encor
rts au'une^ ? J'ja 1GJ J «j0Ufaa 01j/uii 01» 9JaJ G..I n))il91jf'jH lésion de la substance', cérébrale ^affectera, dans cett
dentiques à celles de l'ataxie se produisent, en l'absence de toute lésion tabétique, dans des cas de myélite et de méning
t d'éruptions huileuses ou pemphigoides, du zona, en conséquence de lésions portant sur les fais- ceaux postérieurs de la m
Un certain nombre au moins de troubles trophiques consécutifs aux lésions du système nerveux trouveront peut-être dans cett
émichorée et d'hémia- nesthésie sensitivo-sensorielle, par suite de lésion cérébrale ancienne. Le résultat fut1 immédiat e
la sensibilité ou du mouvement, dues, selon toute apparence, à des lésions cérébrales, ont présenté le transfert et n'ont
ulaire REVUE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 579 rappelant cependant les lésions de l'atrophie musculaire progres- sive3 La loca
la sclérose latérale amyotrophique. On constate en' même temps les lésions des muscles et des nerfs périphériques propres
endance de certains malades à indiquer comme syphili- tiques telles lésions , cutanées, indifférentes, de certains autres à
relation; il est tout à fait exceptionnel, qu'en même temps que les lésions de l'ataxie on constate sur le cadavre des prod
os à ce moment, comme il s'agit dans l'espèce qui nous occupe d'une lésion conjonctive et systé- matisée dont les symptôme
isation de la syphilis que l'on rencontrerait. Jusqu'à présent, les lésions de cette diathèse dans le système nerveux ont c
s. Cependant, comme le diagnostic de la ' délimitation exacte de la lésion est difficile, comme on n'est pas toujours en d
ordons postérieurs : t .. P. K. ' . r XVI. Étude minutieuse DES lésions DES CORDONS postérieurs dans UNE moelle d'ataxi
rive par le seul examen aria-' tomiqueauxconclusions suivantes : La lésion marche de bas en haut.' Les altérations procède
vail précédent, le professeur Westphal , reconnaît l'exactitude des lésions décrites , mais se'refuse aux conclusions qu'en
tions permanentes, M. B... conclut au développement tardif de la lésion des hémisphères (7° mois intra-utérin), attribuan
K. - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE LXXVI. SUR L'ÉPILEPSIE LIÉE aux lésions des.couches OPTI- quels ; parW.-A. Hammond. [Ar
nséquence logique de l'illusion formée. Il pense qu'il n'y a pas de lésion des centres sensoriels intellectuels situés dan
érale et, point intéres- sant à noter, existait du côté opposé à la lésion . Cette névrite optique n'a pas nécessairement p
irculation cérébrale, vertige circulatoire; l'autre dépendant d'une lésion du centre qui préside à la posi- tion de la tèt
issance ; aussitôt se manifestent l'en-, semble des symptômes d'une lésion en foyer (contracture du bras et paralysie de l
aisement de l'irritation générale immédia- tement remplacée par les lésions en rapport avec cet arrêt de la circulation dan
illes, affections traumatiques de la tête, maladies diverses. Les lésions auxquelles se rattache la surdi-mutité sont peu
d'autopsies faites. Dans trois cas de surdi-mutité congénitales les lésions ont été à peu près les mêmes; il s'agissait de
le centre auditif dans les lobes temporaux. En supposant que des lésions atrophiques des circonvolutions, analogues à ce
n arrêt de développement, ou bien comme secondaire, consécutive aux lésions indiquées dans la caisse et les parties périphé
out dans la moelle dorsale inférieure et lombaire, accompagnée de lésions identiques des cordons latéraux dans le cervelet,
bjectifs et subjectifs, indique sans doute une amélio- ration de la lésion spéciale. Il avait été signalé, plus ou moins l
s foyers disséminés de sclérose médullaire. PourM. S., l'aspect des lésions dans les organes centraux confirme les deux dia
es théories faites sur les hémorrhagies stomacales consécutives aux lésions des différentes parties du système nerveux(couc
ion dans tout le système circulatoire à la suite de ces différentes lésions : les hémorrhagies se feraient alors dans les p
est en cause dans certaines formes d'hypochondrie, sinon à titre de lésion syphi- litique, au moins à l'état latent, en cr
upation sérieuse. M. Read pensa à examiner la vue et trouva la même lésion , qui fut soignée parles mêmes moyens et avec le
nts, siègent surtout aux 'épaules' et1 aux coudes. (On a trouvé les lésions de l'arthrite dans' quelques autopsies.) L'atro
quelquefois il existe des troubles de la 'parole en rapport avec la lésion cérébrale, mais la répétition des accès n'a auc
le et s'il est possible d'établir un rapport de causalité entre les lésions limitées du manteau cérébral et les élévations
phénomènes cliniques (probablement névritiques) observés après des lésions articulaires. On connaît ces manifestations, ce
ie du tissu cellulo-adipeux sous-cutané, l'atrophie de la peau, les lésions des poils et des glandes, l'état lisse de la pe
nt des) chez eux, par Gray; - ( Législation des J, 62. Aliénés ( Lésions viscérales secon- daires chez les), par Dufour,
qué, l¡75. Anesthésiques, par Duret, 273. Anesthésie produite par lésions des circonvolutions cérébrales, par R. Tripie
Historique de l'), par 1·Iorton, ? S4. Anesthésie (1') due il une lésion centrale peut être remplacée par del'hyperest
remplacée par del'hyperestliesie sous l'influence d'une nouvelle lésion , par Brown Séquanl, 132. Anomalies nerveuses
5, 34 : i, 3 iG, 50S, 509, 10. Asiles, par Curwen, 612. Ataxie ( lésions des cordons posté- rieurs dans l',)par Adamkiew
ie des), par Spitzka, 127. Couches optiques (épilepsie liée aux lésions des), par Hammond. 587. Courants continus, pa
s aliénés criminels, par Proust, 322. 656 TABLE DES MATIERES. Lésions corticales (deux cas de), de la zone motrice, p
s corticales (deux cas de), de la zone motrice, par Gatti, 475. Lésions cérébrales (quatre observa- tions de), par Iack
ésions cérébrales (quatre observa- tions de), par Iackensie, 457. Lésions cérébrales (trois cas de), par Osier, 141. Lo
. Revisla /re- copatica l3arceloaesa, 512. 1 Orbite (rapports des lésions de l'), et des inflammations mtracrâ- niennes
Paralysie du grand dentelé, par Banda, 298. Paralysie générale ( lésions de la), chez un halluciné, par Dutenlue, 148;
maux entre lesquels est intercalé le segment dégénéré. Fig. 1. Mène lésion que dans la figure précédente arrivée à une pér
13, Il,, la. Elles représentent les principales particularités des lésions segmental1'es circonscrites. Fig. 13. A, noyau no
50 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
nes des observations citées plus haut, on ait relevé la présence de lésions pulmonaires, néanmoins l'existence de l'ostéo-a
une manifestation de la tuberculose. On sait, en effet,qu'à côté des lésions cutanées dont est responsable par sa présence l
n trouve à côté du visage,deux mains de coloration asphyxique, sans lésions apparen- tes,qui offrent une ressemblance singu
iteurs UN CAS D'HÉMIATROPHIE FACIALE PROGRESSIVE 27 Du côté de la lésion le front est aplati, l'oeil enfoncé, la fosse tem
naugurale de Lande, de l'autre, une théorie nerveuse qui plaçait la lésion tantôt dans le nerf facial, tantôt dans le symp
affection nerveuse. Pour les deux théories nerveuses invoquant une lésion du facial ou du trijumeau, nous ne voulons pas
es nerfs. Le sympathique a bien un territoire aussi vaste que notre lésion , mais Nouvelle Iconographie DE la SArrGrxr;ax.
poglosse, glosso-pharyn- gien), il est donc naturel de penser à une lésion de l'axe cérébro-spinal ; c'est cette théorie q
belle clinique sur les trophonévroses céphaliques. Quelle est la lésion ? 11 semble difficile de le dire puisque nous n'a
i qu'il en soit, nous conclurons que pour des cas comme le nôtre la lésion nerveuse doit être transportée de la périphérie d
udiée par M.Boinet (1). Nous y reviendrons, Toujours est-il que ces lésions conjointes de l'annulaire'sont d'importance pour
arrière de ce côté gauche. Au niveau de la VIe racine cervicale les lésions s'exagèrent ; la fente se continue avec l'épend
ie d'avant en arrière. A la hauteur de la VIII0 cervicale,grandes lésions bilatérales. Au milieu, la paroi antérieure de
et plus large limite la paroi médiane postérieure de la cavité. La lésion fend dans leur longueur les deux cornes postéri
aires exis- tent des deux côtés. Au niveau de la Ile dorsale, les lésions augmentent encore d'intensité (Pl. XV, C). Les
atie que la droite; la fente y pénètre moins profondément, mais les lésions de la névroglie y sont plus intenses. Aux deux
mmissure postérieure (Pl. XV, E). A hauteur de la VIIIe dorsale les lésions ont presque disparu ; seule- ment quelques peti
niveau de cette articulation, il estprobablequ'une rétrocession des lésions s'y est opérée. L'articulation de l'épaule gauc
végétation considérable de la cavité articulaire qui donne à cette lésion de l'épaule tout son cachet, les phénomènesproiif
s du muscle. HOSPICE DE BICÊTRE LABORATOIRE DE M. PIERRE MARIE. LÉSION ANCIENNE DU NOYAU ROUGE. DÉGÉNÉRATIONS SECONDAI
l'hospice Ste-Anne Nous avons observé, au cours d'une autopsie, une lésion ancienne d'un noyau rouge ayant déterminé la dé
différents fais- ceaux nerveux. Etant donné la rareté relative des lésions limitées du pé- doncule, nous avons pensé qu'il
côté. Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XVI. Pl. XVII LÉSION ANCIENNE DU NOYAU ROUGE Dégénérations secondair
ROUGE Dégénérations secondaires. (Pierre. Marie et G. Guillait LÉSION ANCIENNE DU NpYAU ROUGE Dég¿n0r.1tions secondai
l(iii) Masson & CI-, Editeurs 1'l,oratN.Pie llen1umJ, P1Js. LÉSION ANCIENNE DU NOYAU ROUGE 81 A gauche pupille de
tentatives de suicide. L'autopsie ne permit de reconnaître aucune lésion de la corticalité ni des méninges. Sur les co
es méninges. Sur les coupes microscopiques nous avons rencontré une lésion siégeant dans le noyau rouge du côté droit. Il
it d'un vieux foyer de l'amollissement limité. L'ancien- neté de la lésion ne permet pas de spécifier avec exactitude son or
'on le voit sur la coupe du pédoncule cérébral (Plan- che XVII), la lésion est bien localisée dans la région du noyau rouge.
pes sus-jacentes intéressant la région sous-optique, on voit que la lésion a disparu,elle est donc nettement localisée à la
rophie des fibres cérébello-olivaires. M. Thomas (1) dans un cas de lésion du faisceau central de la calotte a fait récemmen
a pas paru dégénéré. Les coupes de la moelle épinière montrent des lésions nouvelles, essen- tiellement différentes des lé
e montrent des lésions nouvelles, essen- tiellement différentes des lésions observées précédemment et tout à fait indépenda
condaires classiques des deux faisceaux pyramidaux au-dessous de la lésion et des cordons postérieurs au-dessus. Sur les c
OUGE Dégénérations secondaires. (Pierre Marie et G. Guillrrin). LÉSION ANCIENNE DU NOYAU ROUGE 83 Cette observation es
ion est intéressante, au point de vue anatomique, en rai- son de la lésion pédonculaire limitée et des dégénérations bien lo
les résultats anatomiques. Toutefois nous ferons remarquer que les lésions médullaires observées ne paraissent avoir aucun r
sent avoir aucun rapport avec l'hémiplégie infantile, parce que ces lésions sont des lésions de méningo-myélite dorsale inf
rapport avec l'hémiplégie infantile, parce que ces lésions sont des lésions de méningo-myélite dorsale inférieure, qu'elles
homme. Celte hémiplégie infantile est-elle sous la dépendance de la lésion du noyau rouge et des voies motrices de la calo
es coupes du cerveau, du pédoncule et du bulbe, on ne cons- tate de lésions ni de dégénérations de la voie pyramidale. (1)
la fois par des troubles de nutrition, des dystrophies, et par des lésions de nature vraiment syphilitique, comparables en t
ômes bien caractérisés ou des stigmates apparents. Aussi, quand des lésions de na- ture gommeuse se produisent chez un adol
e des données étiologiques, c'est parfois à la forme anatomique des lésions qu'il faut demander leur véritable nature. L'ob
nature spécifique du processus, en raison de l'étude anatomique des lésions et de certaines malformations. Observation (d
le professeur agrégé Haushalter). Résumé. - Garçon de 11 ans, sans lésions , ni stigmates visibles d'hérédo- syphilis. Lési
de 11 ans, sans lésions, ni stigmates visibles d'hérédo- syphilis. Lésion fistulaire du pariétal, bientôt accompagnée d'épi
amené au Service des enfants de la Maison de secours à cause d'une lésion suppurative, qu'il porte depuis quel- ques sema
te pas de mal- formation du crâne ou du reste du squelette ; aucune lésion tégumentaire, aucune lésion viscérale. ' En r
crâne ou du reste du squelette ; aucune lésion tégumentaire, aucune lésion viscérale. ' En raison du traumatisme subi par
ant sa persistance, on dut penser à une gomme tuberculeuse ou à une lésion périostée syphilitique. Le traitement spécifiqu
'épilepsie jack- sonienne dans tout le côté droit, côté opposé à la lésion du tégument crânien. Les crises se répétèrent f
même des ganglions mésentériques. Les autres or- ganes montrent des lésions banales. 86 RICHON Crâne encéphale. - Le cuir
obes frontaux. L'hémisphère droit montre aussi quelques-unes de ces lésions superficielles, son ventricule latéral est un p
vi pour certaines régions de la moelle. ' Etude microscopique des lésions encéphaliques. Cerveau. Sur une coupe perpendic
rendre le mode d'envahissement étudier les bords et le centre de la lésion . En suivant la surface cérébrale du tissu sain ve
x est cependant très atteinte et la plupart reproduisent le type de lésions , rapportées à la dégénérescence hyaline : épaissi
nt encore une structure légèrement fibrillaire. On ne constate pas de lésions isolées de l'endarlère avec intégrité des autre
es régions du cerveau offrent des caractères analogues : partout la lésion méningée prédominante, pénétrant la substance ner
e et contient beaucoup de petits nodules gommeux. Cervelet. - Les lésions cérébelleuses sont très voisines de celles que no
it les différentes tuniques. Le caractère le plus remarquable de la lésion est la pénétration de la couche moléculaire par
étroitement, ou avec l'apparence de petites gommes, accompagnées de lésions vasculaires très marquées. Il n'y a aucune trac
e refouler, mais en se substituant au tissu nerveux, comme dans les lésions de l'encéphale précédemment décrites. Autour de
e profil des zones dégénérées indique donc nettement la cause de la lésion : l'anneau méningé, agissant à la fois par compre
ution clinique, el sur- tout d'après les caractères anatomiques des lésions constatées ? 2 Si celles-ci sont de nature spéc
ou histologique ? Quel est enfin l'ordre probable de succession des lésions ? 2 Des symptômes d'irritation corticale appara
rritation corticale apparaissent chez un enfant, pré- cédés par une lésion crânienne ou périostée suppurative d'allure chron
e de la tuberculose ou de la syphilis. Mais, tandis que ce genre de lésions tuberculeuses coexiste toujours avec d'autres man
d'accepter celte hypothèse, en raison des caractères spéciaux de la lésion osseuse. L'évo- lution ultérieure ne contredit
cale persistèrent et une hémiplégie apparut, symptoma- liques d'une lésion en foyer; mais en même temps les symptômes céré-
s comme celui-ci, où à côté de symptômes de tumeur cérébrale, ou de lésions destructives localisées, évoluent parallèlement
ination psycho-motrice ? Il faut demander à l'aspect anatomique des lésions l'explication de leur véritable nature. L'exa
les surfaces voisines. On op- pose généralement le crâne atteint de lésions tuberculeuses, à perforation large, à bords uni
par du tissu osseux. Nous savons, depuis Fournier, la fréquence des lésions os- seuses de la syphilis héréditaire tardive,
rations aussi étendues : tels ces cas admis par les clas- siques de lésions frappant simultanément le périoste et la dure-mèr
ers cette dernière hypothèse. L'encéphale nous offre deux ordres de lésions à envisager : une plaque fr- broIlle, représent
broIlle, représentant un processus âgé de méningo-encéphalite et des lésions diffuses de la base et des bords, analogues à c
es, atteintes par une encéphalite profonde. Abstraction faite de la lésion en foyer de l'hémisphère gauche, les lésions en p
Abstraction faite de la lésion en foyer de l'hémisphère gauche, les lésions en placard, surtout localisées à la base, à for
nous avons notées, nous paraissent aussi très éloignées des petites lésions d'apparence cicatricielle, blanchâtres, très in
tres avec la dure mère, nous la croyons en relation directe avec la lésion osseuse ; elle marque la première localisation
iante, mais seulement au niveau de l'adhérence méningée, loutes ces lésions sont le résultat de l'action du néoplasme gommeux
mes cliniques d'irritation corticale, puis d'hémiplégie. Les autres lésions sont plus récentes et relèvent de la méningite go
e l'infiltration, des caractères des cellules qui la composent, des lésions vasculaires, nous considérons ces dernières for
ions comme de véritables productions syphilitiques et non comme les lésions diapédétiques vulgaires d'encéphalite diffuse, qu
la paralysie générale associée à la syphilis cérébrale. Enfin les lésions cérébelleuses, ainsi que les parois de la gomme p
et organe nous offrent une structure générale identique à celle des lésions cérébrales homologues. L'analyse des lésions mé
dentique à celle des lésions cérébrales homologues. L'analyse des lésions médullaires nous semble encore plus caractéristi-
nce grise subit en général peu de modifications structu- rales. Les lésions cellulaires, peu étudiées par les auteurs et à l'
colonne de Clarke ; l'infiltration nucléaire, soit indépendante des lésions méningées, soit en relation avec elle par les s
ibres nerveuses, des altérations constantes du canal central el des lésions de ses vaisseaux satellites. De notre côté, nous
se, l'absence de nodules cellulaires, la dilatation vasculaire sans lésions bien accentuées des parois et surtout la déform
ent du cylindre-axe, modifications diverses de la myéline; mais ces lésions s'ob- servent sur des fibres isolées aux enviro
isseaux sont altérés dans les masses nucléaires, qui constituent la lésion dominante de la substance blanche, soit qu'elle
volution rapide, caracté- risées en général par la prédominance des lésions nécrotiques, montrent le maximum de lésions vas
par la prédominance des lésions nécrotiques, montrent le maximum de lésions vasculaires ; dans les formes longues au contrair
ous n'avons pas constaté de foyers de ramollissement étendus, ni de lésions parenchy- maleuses aiguës, les vaisseaux étaien
tomiques et histologiques en faveur de l'o- rigine syphilitique des lésions , il faut cependant rapprocher de notre cas cert
lifération conjonctive autour du canal central, constitueraient les lésions principales de la moelle, aux- (1) Long et Kiki
e par l'inoculation, le bacille étant très rarement décelé dans les lésions tuberculeuses des centres nerveux. A défaut d
peut être établi avec cer- titude en présence des deux variétés de lésions : le peu d'intensité de l'infiltration d'origin
très grande de la granulation tuberculeuse, la coexislence d'autres lésions tuberculeuses plus avancées caractérisent toujo
il est intéressant de constater la grande ressemblance de certaines lésions élémentaires d'un organe, dues à deux grandes i
ômes d'irritation corticale, puis d'hémiplégie. Enfin plus tard les lésions se diffusèrent à toutes les méninges encéphalique
nce blanche du cervelet. ' Nous croyons la nature spécifique de ces lésions suffisamment prouvée, par l'ensemble de l'évolu
scléreuse, et une tendance peu accusée au ramollissement, dans les lésions ménin- gées particulièrement. Elle emprunte u
symétrique des lobes occipitaux. La marche lente de l'affection, la lésion définitive qui peut être assimilée à une destruct
la forme, ni la couleur. A l'examen de l'oeil, on ne trouve aucune lésion périphérique. Les pupilles sont égales et réagi
ux de névroglie beaucoup plus abondants que partout ailleurs. Les lésions ont leur maximum d'intensité au niveau de la scis
saines. Les nerfs optiques et la rétine semblent normaux. Pas de lésion du bulbe et de la moelle. La localisation exact
t aux deux tiers antérieurs de la scissure calcarine. L'étendue des lésions trou- vées chez notre malade ne permet pas d'ap
mais notre cas permet de'préciser les symptômes déterminés par une lésion envahissant lente- ment et progressivement les
ent « que les troubles dans la perception des couleurs résultent de lésions d'intensité différente plutôt que d'une localis
nés par la marche de l'affection Notre malade, malgré l'étendue des lésions occipitales avait conserva un petit champ visue
our expliquer la conservation de la vision centrale dans les cas de lésion des sphères visuelles. Dans une première, il es
avec les deux hémisphères par des fibres directes et croisées ; la lésion d'un lobe occipi- tal permet ainsi la conservat
nt sclérosés, La seconde hypothèse doit être rejetée également; Les lésions étendues et profondes des deux sphères visuelles
nous pou- vons nous représenter la topographie de l'espace. Qu'une lésion du cerveau supprime les images visuelles, le se
dans lesquelles les malades se conduisaient comme des aveugles par lésions périphériques. Dans les lésions du lobe occipit
conduisaient comme des aveugles par lésions périphériques. Dans les lésions du lobe occipital, il est de règle de voir les ma
, 1890, I. SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES LOBES OCCIPITAUX 10 ? dans les lésions des sphères visuelles : « Notre vieil atlas tacti
nous orienter dans l'es- pace (Sachs). Chez les malades atteints de lésion symétrique des lobes occipitaux et ayant conser
ophie du type pé- riphérique que l'autopsie montra indemne de toute lésion nerveuse. Inver- sement, la variété d'atrophie
étiologique. Et cependant nul doute qu'il existe, dans ce cas, des lésions névritiques, peut-être même une altération de l
d qui voit dans cette anomalie crânienne le symptôme possible d'une lésion centrale. L'opinion générale place le siège cau
myélopathiques, névritiques ou myopathiques ; suivant les cas, on a lésion primitive des cellules, ou lésion secondaire asce
pathiques ; suivant les cas, on a lésion primitive des cellules, ou lésion secondaire ascendante, ou enfin simple altérati
purement neurotique, du moins par Hoffmann, cet auteur a montré des lésions de sclérose des cordons postérieurs et de ce fa
qu'on l'a souvent répété à tort.» Au moment de son évolution cette lésion osseuse n'était sans doute pas indolore, quoi q
e longueur, ni comme musculature. Le thorax est bien conformé, sans lésion rachitique. Du côté de la colonne vertébrale, on
n que nous reproduisons (fi- gure ), on peut juger de l'étendue des lésions du pelvis et du fémur gauche. Bassin. Le bassin
combe dans la matinée. L'autopsie fut pratiquée le 26 novembre. Les lésions observées portaient presque exclusivement sur l
rononcée à droite qu'à gauche. Le poumon gauche ne présente que des lésions de congestion. Le poumon droit, gorgé de sang d
eux est très augmenté de volume. La PI. XXXII montre l'aspect de la lésion : On distingue très nettement les divers détails
II, destinées à montrer en-coupe transversale la' topographie de la lésion . La moelle est représentée avec ses dimensions na
Sur une coupe de la région voisine de D II, on reconnaît, malgré la lésion , les vestiges de la topographie médullaire habi
région dorsale vers D. IV, la moelle n'était plus le siège d'aucune lésion extérieure^ nous montre qu'il existait cependant
d'aucune lésion extérieure^ nous montre qu'il existait cependant une lésion interne marquée par une cavité très petite situ
pe faite vers la fin de la moelle dorsale ne pré- sente plus aucune lésion appréciable ri l'oeil nu, sauf peut-être une opac
rmaux de la moelle, rechercher son point de départ, et examiner les lésions qui résultent pour les tissus environnants de s
lmann et Hoche') PARAPLÉGIE CERVICALE INCOMPLÈTE 151 coupe aucune lésion de la paroi vasculaire qui puisse être considérée
de la tumeur on constate aussi des signes de stase lymphatique, des lésions d'oedème. Les fibrilles y sont écartées, séparées
ensible. Ni les racines nerveuses, ni les méninges ne présentent de lésions appréciables. La coupe C. VIII, D. I, qui a ser
urs présentent leurs caractères normaux. Il s'agit, en somme, d'une lésion qui a produit une interruption pres- que complè
LMANN ET HOCHE La nature, le développement, l'installation de cette lésion méritent quelques considérations anatomiques et
es, qui ont été signalées au cours de l'analyse hislologique. Ces lésions ne différaient d'ailleurs pas de ce qu'elles pouv
e l'on en rencontre fréquemment à l'origine du développement de ces lésions ; il faudrait admettre comme on le fait pour l'
le une conséquence ? L'analyse histologique ne nous a décelé aucune lésion des parois vasculaires susceptible d'expliquer
ois vasculaires susceptible d'expliquer cette thrombose en tant que lésion primitive, et l'absence de toute trace d'organisa
a faire considé- rer comme secondaire. Il en est de même des autres lésions vasculaires que l'on rencontre dans les diverse
s lésions vasculaires que l'on rencontre dans les diverses coupes : lésions de congestion, rup- tures vasculaires, hémorrha
fondément altéré. La stase, el l'oedème consécutif accompagnant ces lésions , se révèlent t d'une façon discrète en général,
l'une caractérisée par ses cavités avec parois continues, scléreuses, lésion de longue durée; l'autre caractérisée par l'épa
ables suivant l'intensité, la durée du processus, l'extension de la lésion . Au début de leur développe- ment, ces deux typ
ent, son extension en longueur expliqueraient la localisation de la lésion il la moelle elle-même et la longue durée de la m
s syringomyélies pachy-méni n- gitiques, avec cette addition que la lésion des méninges n'est pas due il une inflammation
névroglique néoplasique lui-même. Considérations cliniques. Les lésions médullaires étant connues, il nous est loisible d
ion avec le développement de la tumeur, furent au début, ceux d'une lésion des racines sensibles, des douleurs. Ce furent le
paraplégies, et non plus de crises né- vralgiques, nécessitant une lésion névritique ou radiculaire qui ne fut pas consta
e à l'hôpital concorde bien avec la disposition topographi- que des lésions . En effet, nous avons vu que la tumeur tout entiè
nt en quelque sorte à une molaire bicuspidée. En rapport avec cette lésion le tableau sympto- matique (nerveux) était le s
ullaires uni, puis bitaté- - raux est le plus souvent l'effet d'une lésion chronique des méninges, plus spécialement même
e aux autres manifestations du diabète, la toux en rapport avec des lésions tuberculeuses des poumons, la suppuration due à
rieur de chacun d'eux, plus particulièrement à gauche, existent des lésions tuberculeuses à différents degrés d'évolution : à
UE. L'examen histologique des différents organes, n'a pas montré de lésions bien caractéristiques. Toutefois il nous a paru
Les glomérules ne sont pas entourés de sclérose et il n'y a pas de lésions 170 LAUNOIS ET ROY évidentes du revêtement ca
substance corticale. Les artères, en collapsus, ne montrent pas de lésions . Les tubes contourné^ sont désordonnés : les un
'y avait pas d'infiltration embryon- naire. On ne constate aucune lésion au niveau du bulbe ni de la protubérance. A la
nstantin (1), Simon Botis (2), elc.), on a rencontré chez K..., des lésions de tuberculose pulmonaire. Cette in- fection pa
- taire et la glande thyroïde, rapport qui se traduirait, en cas de lésion de l'une de ces glandes par l'hypertrophie de s
amen de cette malade ne nous montrait aucun symptôme bien net d'une lésion organique du système nerveux. Sans doute, au pr
doigts, puis l'index et l'auriculaire, en flexion incomplète ; aucune lésion osseuse ou articulaire ne justifie cette attitu
ents, pas d'oedème, pas d'abaissement de température locale, pas de lésion des poils ni des ongles, pas de tumeur dorsale
e même l'hystérie dont le malade ne présente aucun sti- gmate ; une lésion nerveuse centrale qui s'accompagnerait d'exagérat
use centrale qui s'accompagnerait d'exagération des réflexes ou des lésions médullaires ordinairement symétriques ; - une a
achial, type supérieur de Duchenne-Erb. Ce type qui correspond à la lésion des 5° et 6e cervicales, intéresse en effet les
de ces remarques ? Ces troubles ne relèvent certainement pas d'une lésion organique, puis- qu'ils sont améliorés par un t
é- quents dans les spasmes qui reconnaissent pour cause premièreune lésion organique. L... ne présente aucune modification
Taruffi. D'un autre côté, nous connaissons l'existence de certaines lésions pa- thologiques de la langue, très rares et com
muscle que nous étudions. D'un autre côté, ils ne présentent aucune lésion par défaut ou par excès, mais seulement une var
se fixer et mettre en relief les intervalles. Il n'y a donc aucune lésion du muscle, mais un développement segment- taire
utres ; nous n'avons trouvé aucune disso- ciation, ni au niveau des lésions , ni en dehors d'elles. Mais par contre les trou
Mais par contre les troubles sensitifs sont accusés au niveau de la lésion articulaire sur laquelle ils se superposent. La
us retiendront car la thérapeu- tique chirurgicale de ces sortes de lésions est encore des plus discutées. I. De tous les s
Il suffirait de rappeler la superposition de troubles sensitifs aux lésions articulaires, et le contraste démonstratif qui
e tropho-suppurée pouremprunter à Chipault sa dénomination. . Ces lésions trophiques et infectieuses ne sont pas restées lo
estés indemnes. Il serait difficile d'établir l'étendue précise des lésions : elles ont eu un caractère diffus. Leur extens
suite d'une plaie de la région olécranienne. Si le diagnostic de la lésion articulaire s'impose, il n'en est pas de même d
rvation de M. Jaboulay parait être la première, uti- lisée pour une lésion trophique de la tibio-tarsienne. Après l'ablati
naud, Ilanhion, etc., s'efforcent de différencier du tabes vrai les lésions tabétiformes de la' paralysie progressive. Mais
topathologique. Nageotte, d'après ses observations, conclut que les lésions des cordons postérieurs chez les paralytiques g
ytiques généraux sont bien celles du tabes vrai, et il explique les lésions du faisceau pyramidal par l'état de vulnérabilité
peut en certains cas attaquer les voies descendantes ; en effet, la lésion du fais- ceau pyramidal (quand elle existe) est
us accentués les symptômes corticaux (Raymond). Garbini dit que les lésions anatomiques de la paralysie générale pottabétique
Phi- lippe et Decroly. Cependant la question de la localisation des lésions dans les pseudo-paralysies tabétiques a peu d'i
ar on sait que dans la paralysie générale légitime on rencontre des lésions dans la région pos- térieure du cerveau, quoiqu
peu de mots : Il n'y a aucun doute que la symptomatologie et les lésions histopatholo- giques cérébrales sont bien celle
ssique de cer- tains auteurs, étant donné que la localisation d'une lésion a peu d'impor- tance pour l'identification de l
ation d'une lésion a peu d'impor- tance pour l'identification de la lésion même ; du reste, la pathologie générale et l'an
n syndrome clinique commun à des toxines diverses, en- traînant des lésions tantôt inflammatoires, tantôt dégénératives.....
générale; d'autres, comme Anglade (de Toulouse) soutiennent que la lésion des méninges précède celle de la substance ner-
gauche on a affaire à une véritable méningo-encéphalite ? Par ses lésions la moelle épinière de notre cas peut être placée
n en dermo-patholocrie ; ils affirment la nature syphilitique d'une lésion , là où sont absents ou incertains les autres sign
te origine morbide. Or, comme il est très probable que beaucoup des lésions cérébrales et médullaires de notre cas sont d'o
ations de P. Marie et Guillain seront confirmées, à savoir que « la lésion initiale du tabes n'est autre chose qu'une lési
à savoir que « la lésion initiale du tabes n'est autre chose qu'une lésion syphilitique du système lymphatique postérieur de
culaires graves, l'intégrité du système lym- phatique, l'absence de lésions des viscères abdominaux ou de tumeurs pelvienne
en raison des analogies avec le myxoedème), ou que l'on invoque une lésion des centres nerveux du trophisme cellulo-cutané
s centres sous-corticaux. Nous savons seulement qu'il s'agit ici de lésions passagères et certainement d'ordre fonctionnel.
de 30 ans, atteinte de ladite aboulie, quoiqu'elle ne montre pas de lésions dans la position assise. Femme nerveuse, émotiv
mon esprit l'hystérie en général dans laquelle on observe diverses lésions motrices causées par l'amnésie ou par la paraly-
u Congrès de Paris, en 1900 : mes cas appartiennent à la sphère des lésions motrices primaires (le second cas se trouve à l
cas de MM.Raymond et Janet appartient à la sphère émotive,dont les lésions affec- tives primaires sont suivies par des lés
motive,dont les lésions affec- tives primaires sont suivies par des lésions motrices secondaires. USAGES DES BANQUETS CHEZ
as en évidence ces points essentiels, mais empêche de constater les lésions protoplasmiques plus intéressantes qui siègent
nts points sont à discuter dans cette observation : La nature de la lésion primitive du nerf; la persistance et la régénérat
er également en faveur NÉVROME ADIPEUX DIFFUS DU MÉDIAN 335 d'une lésion rétrograde, ainsi que les nombreux grains noirs s
sion du nerf n'est, du reste, pas absolument constante lors- que la lésion porte, non pas sur le tronc, mais sur le seul nos
s ou moins marquée des racines antérieures, ne correspondait aucune lésion des nerfs périphériques. Babinsky, Pitres, Kron
nces propagées. Altérations des cordons postérieurs consécutifs aux lésions cérébrales (Congr. internat. de méd. Moscou, 1897
1889). V. Gehuchten. - Phénomènes de chromatolyse consécutifs à la lésion pathol. ex périm. de l'axone (Acad. de méd. de
n Neuroma and Neurofibromatosis.Edinbourg, 1900. Tillais. - Sur les lésions chirurgicales des nerfs (Thèse d'agrégation, 1866
elles se peuvent rencontrer dans l'hystérie, les intoxications, les lésions du cervelet. L'écholalie et l'échopraxie sont é
de vastes cavernes des deux poumons. Le coeur ne présentait pas de lésion . Le foie était légèrement atrophié et pesait 12
rait manifestement dépasser ma pensée que croire que de pareil- les lésions soient pathognomoniques du pseudo-oedème catatoni
oniques du pseudo-oedème catatonique,Je sais, au contraire, que des lésions aussi profondes du corps thyroïde peuvent se tr
eur Perrin de la Touche et moi, publié récemment un travail sur les lésions thyroïdiennes chez les aliénés en général (1).
tivement à des manifestations purement dystrophiques et liées à des lésions matérielles du système nerveux est importante à c
cas, l'atrophie mus- culaire est, commel'aedéme, commandée par les lésions des régions tro- phiques de la moelle. Et, si l
génique nous supposons qu'il s'agit : 4° Pour le myxoedème, d'une lésion thyroïdienne primitive retentissant ensuite sur
gnant ultérieurement d'abord d'une façon dynamique, puis créant des lésions probablement durables dans le corps thyroïde et
ent être congénitales, mais elles paraissent plutôt « l'in- dice de lésions anciennes » (3). L'un de nous poursuit actuelleme
e de l'encolure et du rein est, au contraire, indépendante de toute lésion antérieure. Sensi- bilité du nez et des barres
ons et le trouble moteur lui-même. Nous estimons, en effet, que des lésions banales de la langue, des barres, des lèvres et
nce et sa répétition et semble acquérir l'automatisme. De plus, des lésions de la bouche, des troubles de la dentition, peu
adie. Très souvent, dans le délire alcoolique continu, existent des lésions de l'appareil auditif périphérique, parfois uni
llucinations auditives sont plus accentuées justement du côté où la lésion de l'appareil auditif péri- phérique est plus m
mes, certes, bien loin de l'idée de mettre en relation immédiate la lésion de l'appareil périphérique avec le délire alcoo
ec le délire alcoolique continu ; il y a des cas où il n'y a aucune lésion de l'ap- pareil auditif périphérique, et pourta
auditives sont vives et intenses ; mais il est très possible que la lésion de l'appareil au- ditif périphérique serve de m
) sous le nom de « psychose hallucinatoire, se développant dans les lésions de l'organe auditif », (1) S.-S. KORSAKOFF, Tra
ntinu, vu la diffé- rence dans l'étiologie de la maladie susnommée ( lésion de l'appareil auditif) et dans le tableau clini
s avons en vue la contraction idio-musculaire (Bernstein) (1) et la lésion de l'organe auditif, P. B. Gannouchkine et S. A.
tinu, où on a fait attention à ce phénomène, il était présent. La lésion de l'appareil auditif dans le délire alcoolique c
sous une forme très accentuée; dans quelques-uns de nos cas, cette lésion représentait le reliquat de pro- cessus morbide
encore actif ou inachevé. En ce qui concerne la signification de la lésion de l'organe auditif dans la patho- génie du dél
'il indique une fois de plus la possibilité de la participation des lésions périphériques de l'appareil auditif à l'évolution
autogène (3 pl. en photocollogr.) par DURANTE, 322. Noyau rouge, lésion ancienne du noyau rouge ; dégénérations seconda
'école italienne (4 pl. en photocoil ? 406. Guillain et P. Marie. Lésion ancienne du noyau rouge ; dégénérations seconda
cle (1 pl. en photocol.l), 302. Marie Pierre et GEORGES Guillain. Lésion ancienne du noyau rouge ; dégénérations secon
Névrome adipeux du médian (DunANTE), LXII à LXIV. Noyau rouge ( Lésions anciennes, dégéné- rations secondaires) (Pierre
51 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
a moelle, chez les mammifères; D'avoir montré que chez l'homme, les lésions , traumatiques ou autres, qui aboutissent à une
aralysie motrice accompagnée d'hyperesthésie, dit, côté où siège la lésion . Une anesthésie du côté opposé à la lésion. T
dit, côté où siège la lésion. Une anesthésie du côté opposé à la lésion . Tels sont les éléments fondamentaux du syndrom
cée à la limite supérieure de la zone d'hyperesthésie du côté de la lésion (111. I. B). Quelquefois, cette zone d'anesthés
ie confine à la limite supérieure de l'anesthésie. b) Du côté de la lésion , coïncidant avec l'hyperesthésie cutanée, un (1
ela n'est pas constant. d) Une paralysie vaso-motrice du côté de la lésion , superposée par con- séquent à la paralysie mot
ires d'ordre paralytique, la dilatation de la pupille du côlé de la lésion , le rétrécissement de la fente palpébrale. Ces de
it par un foyer de compres- sion extra-spinal, soit surtout par une lésion traumatique. Il y a deux ans, j'ai consacré une
de l3rown-Séduard est apparu, je 'vous le répète, a la suite d'une lésion traumatique de la moelle. Je vais vous narrer s
qu'elle était limitée.aux téguments Du côté gauche, du côté de la lésion , on constatait de l'hyperesthésie du pied et de
cas d'une section incomplète de la moelle, d'une section (ou d'une lésion destructive) qui ne tranche pas toute l'épaisseur
suivantes : Les viscères abdominaux ne présentent ni anomalies, ni lésions patho- logiques ; le coeur et les gros vaisseau
saine, on ne relève sur elle aucune trace, ni aucun commémoratif de lésions spécifiques. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SA
ur donne origine, se demande où est la cause, où est l'effet, si la lésion médullaire dans le cas d'ectromélie est consécuti
t en particulier chez les foetus issus de parents syphilitiques les lésions de la moelle ne sont pas rares, la syphilis hér
elle d'une enfant atteinte de luxation congénitale de la hanche des lésions con- sidérables. ' J'ai eu l'occasion d'exami
ttre dans le cas d'hémimélie que nous présentons, l'hypothèse d'une lésion médullaire, due à la syphilis héréditaire, et a
produites par les chaus- sures grossières et les marches exagérées, lésions peu. graves, mais très douloureuses, que les ar
les, lors toutefois qu'on peut établir le diagnostic du siège de la lésion . Ce diagnostic de la localisation est basé dans l
équent dans les méningites, les méningo-encéphalites, bref dans les lésions intéressant les zones les plus superficielles de
E 75 des troubles variés de la tension intra-crânienne; ce sont des lésions à ma- nifestations diffuses. On ne peut attendr
t banal sans valeur diagnostique, simplement surajouté à ceux de la lésion diffuse. C'est à un cas de ce genre que nous av
symptôme qui ne correspondra pas à la tumeur prévue mais bien à une lésion de voisinage, irritative ou vasculaire ; par cela
à aucune intoxication professionnelle. Rien ne faisait supposer une lésion secondaire à un traumatisme ancien. Il n'avait ja
'incriminer la fonction du coeur. Les artères étaient souples ; une lésion méningitique de nature tuberculeuse n'était guè
mais sans réaction inflamma- toire, voilà tout ce qui constitue la lésion cérébrale proprement dite. C'est une lésion méc
out ce qui constitue la lésion cérébrale proprement dite. C'est une lésion mécanique. Les vaisseaux qui circulent dans cette
é ; et lorsqu'une épilepsie non jacksonnienne paraît résulter d'une lésion encéphalique accessible aux moyens chirur- gica
gicaux, encore faut-il qu'on ait quelque chance de rencontrer cette lésion à la surface. Si le mal est profond, la crâniec
ationnelle sur laquelle il fallait se rabattre, était t celle d'une lésion telle qu'un kyste parasitaire, capable d'irritati
ulsions d'ori- giiie'cortic,ile; nous ne pouvions donc localiser la lésion dans la sphère . motrice. L'intégrité-parfaite
qui a eu occasion de voir ce malade, a affirmé qu'il s'agit )a d'une lésion os- seuse, rhumatismale ou scrofuleuse. Le mala
on pourrait penser que cette tuméfaction est due unique- ment à des lésions osseuses de l'articulation métacarpo-phalangienne
u étudier il l'aide des rayons de Roentgen, je n'ai pas constaté de lésions bien nettes des os; toutefois il y avait une légè
ystème nerveux qui, dans l'espèce, détermine cet oedème ? Que les lésions de nerfs périphériques puissent déterminer de l'o
y a lieu de penser que s'il existe dans la syringomyélie c'est à la lésion de la substance grise postérieure qui, comme on
et dans la main succulente ne sont que des équivalents des diverses lésions de la substance grise médiane el postérieure. J
et de la chiromégalie par exemple, des modalités différentes de la lésion de la substance grise, modalités qui dépendent
ésion de la substance grise, modalités qui dépendent du siège de la lésion , de la nature différente du processus et d'autr
NERVEUX UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET. INTERPRÉTATION DES LÉSIONS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE PAR LÉOPOLD LÉVI Anci
ette et Marinesco (1) ont attiré, d'autre part, l'attention sur les lésions de la moelle épinière dans ce type morbide. Nous
ires généralisées . Tuberculose pleuro-pulmonaire et péritonéale. - Lésions de la moelle épinière (Sclérose pseudo-systémat
t un épaississement moins accentué de la valvule tricuspide. Pas de lésions apparentes de l'artère pulmonaire. L'aorte est
L'aorte est dilatée à son origine et offre sur tout son trajet des lésions d'a- thérome accentué. L'aorte abdominale très
pas le siège d'altérations. Le système nerveux ne présente aucune lésion macroscopique importante. Les circonvolutions c
f sciatique a été étudié. L'organe hépatique présente à la fois des lésions du tissu conjonctif, du parenchyme et des vaiss
ie. Il existe des hémorrhagies dans la substance. Le rein offre des lésions diffuses : altérations diffuses des cellules des
ante très marquée. Les coupes du cerveau ne font pas reconnaître de lésions notables des cel- lules ou des fibres à myéline
es coupes, l'aeil nu ou à un faible grossissement, on reconnaît des lésions prédominantes au niveau des cordons postérieurs e
ngestionnés. En ce qui concerne la moelle elle-même on note que les lésions des faisceaux blancs laissent intacts les cordo
ues dans des espaces élargis. Au niveau de la région cervicale, les lésions sont diffuses, à peine accentuées au niveau du
as atteint. Elles sont accentuées au niveau des cordons de Golf. La lésion plus étroite contre la commissure posté- rieure
ro-interne est ou non inté- ressée. Dans les cordons latéraux, la lésion est prédominante au niveau des faisceaux pyrami
ainsi que leurs prolongements normaux. Dans la région dorsale, les lésions sont diffuses aux cordons postérieurs mais avec
ombaire, c'est encore de part et d'autre de la zone médiane que les lésions sont prédominantes dans les cordons postérieurs,
te d'être relevée. Nous désirons insister essentiel- lement sur les lésions de la moelle épinière et l'étal des os. I. L'ex
des os. I. L'examen histologique de la moelle a fait constater des lésions qui peuvent se résumer sous le titre de scléros
r mémoire classique. Si le faisceau pyramidal croisé est atteint de lésions , le faisceau pyramidal direct est intact. Ce n'
ick). SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 121 croisé que les lésions sont localisées, mais elles le dépassent, gagnent
lérose est d'origine vasculaire. Les faisceaux sont ici atteints de lésions très accusées, et ce sont eux qui sont très nette
on maximum autour des vaisseaux. Quelle est la signification de ces lésions ? La question mérite d'être dis- cutée après le
MM. Gilles de la Tourette et Marinesco (2). . Le titre en est : La lésion médullaire de l'ostéite déformante de Paget. Les
rmante de Paget. Les conclusions sont réservées. Il est dit : « Les lésions semblent bien apparte- nir à la maladie osseuse
ral une diminution des fibres à myéline. » Dans le deuxième cas les lésions sont plus accentuées. Elles portent sur- tout s
de la moelle en général). Les auteurs ont été en outre frappés des lésions des nerfs qu'ils interprètent comme névrite inter
t chez un même sujet. On peut se demander seulement le rôle que les lésions vasculaires géné- ralisées [aux gros troncs com
troncs comme aux artérioles viscérales] jouent dans l'évolution des lésions osseuses, et d'autre part si lésions vasculaires
s] jouent dans l'évolution des lésions osseuses, et d'autre part si lésions vasculaires et os- seuses ne sont pas sous la d
dépendance du même trouble dystrophique, d'o- rigine inconnue. Les lésions artérielles et cardiaques sont de règle en effet
ubles de la sensibilité. Ce fait né- gatif peut s'interpréter : Les lésions sont à la fois diffuses et incomplètes. Elles n
chées conservent leurs cylindres-axes intacts. - II. - A propos des lésions osseuses, quelques particularités méritent d'êt
ticularités méritent d'être signalées (2) : L'asymétrie croisée des lésions (humérus gauche, radius droit, fémur droit, pér
onstatant leur extrême sen- sibilité, et l'absence à leur niveau de lésion tuberculeuse appréciable. Pensant dès lors qu'i
ablement d'une façon prédominante, sur les symptômes imputables aux lésions de ces régions, par lesquelles débute du reste pr
TOIRE DES CLINIQUES DE LA FACULTÉ DE BORDEAUX. NOTE - SUR LES LÉSIONS DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE DANS LA RAG
s de structure. A la lu- mière des procédés techniques actuels, des lésions ont été constatées par divers observateurs et e
de Bordeaux, 1895, 156 J. SABRAZÈS ET C. CABANNES seur Ferré, les lésions de la rage paralytique du lapin consistent en une
ar le virus rabique. On est d'abord frappé par la topographie des lésions (Fig. 2). Les cor- nes postérieures, les groupe
de l'altération. COUPES DE MOELLE RABIQUE. Microphotographies des lésions . (Région car vie île de la miellé. Méthode de \ ?
ne les cellules de la corne antérieure; il semble cependant que les lésions soient beaucoup plus accentuées dans la moelle
hénomènes réactionnels dans le sens de la karyo- kynèse. Mais les lésions dégénératives deviennent prédominantes et la cell
processus analomo-pathologique que nous avons observé. S'agit-il de lésions cellulaires primitives ou secondaires à l'altérat
fs de la région mordue ? M. Nissl et M. Marinesco ont montré qu'une lésion d'un nerf périphé- rique retentit sur ses cellu
ls nous venons de faire allusion ; on doit les considérer comme des lésions autochtones causées par le virus et cette concl
que les cellules nerveuses de l'é- corce cérébrale,au voisinage de lésions cxpérimenfales,présentent (les (igu- (1) llnnmc
LE 167 moelle où les troubles sensitivo-moteurs, en rapport avec la lésion spinale ne dépassaient pas, comme limite supéri
de la moelle, dont j'ai pu prendre connaissance, c'est celui où la lésion occupait le niveau le plus bas. Le fait concerne
ladeeracontaitdu'à droite il avait t (1) Charcot. Arthropathies par lésions de la moelle. Arch. de phys. normale et pa- tho
noire deuxième el de notre troisième groupes. Elles montrent qu'une lésion traumatique qui intéresse la moelle au niveau des
ours beaucoup moins prononcés. « Malgré toutes ces apparences d'une lésion profonde, les articulations des doigts affectés
ux. Il y a association d'ostéite condensante et raré- fiante. Des lésions comparables se montrent au niveau de la partie in
que exclusivement aux petits muscles innervés par le cubital. Si la lésion progresse et envahit des régions sus-jacentes,
l'extension. Dès lors, si la zone spinale cubitale est envahie, la lésion retentira sur les faisceaux blancs les plus proch
end bien de la pachyméningite cervicale ou bien serait-olle due une lésion conco- mitante ? A ce point de vue on n'aura qu
logique ne sont pas très favorables à la pachyméningite en tant que lésion méningitique qui produirait la griffe dont nous
ophie musculaire qui a produit le geste de prédicateur relève de la lésion de la corne antérieure concomitante ou succédant
tra qu'il s'agissait bien d'une syringomyélie indépendante de toute lésion de pachy- méningite. Une autre autopsie publiée
dymaire. - IV. Dans la production du type de la main succulente, la lésion des trois neurones médullaires entre en jeu. Le
issance à l'atrophie musculaire. Or comme dans la syringomyélie, la lésion débute au niveau de la 8e racine cervicale et d
o- graphie commandée par la marche de la gliose. Celte marche de la lésion nous permet de résoudre quelques problèmes de l
sultant de la présence de tumeurs diverses du cou ; 2) torticolis par lésion des articulations de la colonne vertébrale; 3)
iphérique limitée aux muscles atteints, ou comme l'expression d'une lésion portant sur un point des centres nerveux ? En (
ux variétés de l'infanti- lisme sont subordonnées à l'intensité des lésions thyroïdiennes. « Il n'existe pas, dans cette ca
les variantes du myxadéme - sont subordonnées à l'importance de la lésion thyroïdienne et à l'âge auquel la maladie déb
de deux conditions diversement asso- ciées : -I° l'intensité de la lésion thyroïdienne atrophiante ; 20 t'age auquel la s
éclatante. Comme, après tout, la petitesse de la taillerésultant delà lésion chondro-épiphysaire est une des marques les plu
és chez l'homme etpeut-être même si com- plètement mélangés que les lésions accidentelles des corps thyroïdes en masse doiv
eu différent suivant ces régions. (PI. XXVII, À.) - Le centre de la lésion parait siéger au cou, environ à 4 ou 5 travers de
du trapèze, et arrive vers l'acromion. En somme, dans ce cas, la lésion est unilatérale, présentant manifes- tement un
On voit que le point central d'où rayonnent les ramifications de la lésion et où, en même temps, ses caractères sont le mi
pée, ne présentant aucune déformation autre que son noevus. Cette lésion est congénitale et s'est régulièrement accrue au
bution to- pographique est la même que celle de l'observation I, la lésion occupant la région du plexus cervical superfici
vue par la mère, pendant la grossesse, d'une fem- me atteinte d'une lésion semblable, et que la mère du malade de Saalfeld
t l'étiologie générale. Remarquons d'abord que la disposition de la lésion ne correspond nul- lement avec celle des fentes
'est-à-dire les papilles cutanées; on ne voit pas prendre part à la lésion les glandes, les poils, les cheveux. Bien que
vent être intéressés. Enfin l'unilatéralité n'est pas absolue ; les lésions peuvent exister des deux côtés du corps ; ou bien
hique entraînerait une atrophie des territoires cutanés, et non une lésion hypertrophique; il faudrait donc admettre plutô
du groupe des grosses cellules antérieures de la moelle. Enfin, la lésion originelle dans les cas rentrant dans la théori
nerveuse; une altération de l'action nerveuse devrait aboutir à une lésion diffuse occupant tout le territoire de cette br
cette branche, et non pas seulement, comme dans certains cas, à des lésions développées suivant la projection sur la peau d
superficiel, alors que dans notre 4''e observation, nous voyons la lésion suivre plutôt les branches du même plexus. Si
face un nerf sensitif et trophique; en outre, la grande étendue des lésions les place manifestement en dehors de la zone an
fs trophi- ques puisse le déterminer, excitation anormale due à une lésion des nerfs périphériques, à une véritable névrit
que l'on n'objecte pas la localisation excessive, la ténuité de la lésion , puisque l'on sait que préci- sément dans le pr
de la manifestation,suivant le territoire nerveux périphérique, de lésions médul- laires intéressant son faisceau pendant
ait présenté une origine médullaire de navi, les attri- buant à une lésion des cornes postérieures de la moelle. Restent l
us obli- ques. Que survienne maintenant, lors du développement, une lésion de cet étage spinal, une myélite, elle pourra s
ments cutanés. EN résumé, les naevi, reconnaissant pour origine une lésion nerveuse intra-utérine, peuvent être attribués
ine une lésion nerveuse intra-utérine, peuvent être attribués à une lésion du neurone sensitif direct, altéré dans l'une q
t être provoquées à une époque déjà avancée' de l'évolution par une lésion cérébrale c'est qu'elles n'ont pas de lien nécess
rangeaient, en 1891 (Arch. de méd. expériment.), sous trois chefs : lésions des cornes antérieures de la moelle (Charcot, H
la moelle (Charcot, Hallopeau, Leyden, Pitres, Pierret, Brissaud); lésions exclusivement limitées aux nerfs périphériques
ent limitées aux nerfs périphériques (Dejerine) ; absence de toutes lésions visibles des cornes antérieuresetdesnerfs (Babins
s que, si les auteurs avaient été moins préoccupés de remonter à la lésion anatomique et s'étaient astreints en particulie
perficielle croisées, la para- lysie motrice siégeant du côté de la lésion . Les autres éléments' du syn- drome de Brown-Se
avant tout, du niveau plus ou moins élevé de l'hémisection : Si la lésion intéresse la partie supérieure du rachis, faites
ne issue fatale comme vraisemblable, mais non comme certaine. Si la lésion siège au-dessous de la 5e vertèbre cervicale, le
le avec l'idée qu'on se fait généralement de l'irréparabilité d'une lésion traumatique des centres nerveux ? Messieurs, vo
à la suite d'une désorganisation partielle de ces éléments par une lésion traumatique. Je serais entraîné trop loin, si j
participent nullement. 2° Une partie des troubles consécutifs à une lésion traumatique de la moelle est imputable à une tu
alysie motrice directe. - La paralysie qui se produit du côté de la lésion est des plus faciles à expliquer. En effet une hé
le voir dans cette hémi-anesthésie que la conséquence directe d'une lésion organique. La position de la question peut, som
et de l'a- nesthésie profonde, musculaire, siégeant du côté de la lésion dans les cas d'hémisection de la moelle. *
à une hémisection de la moelle, qu'une consé- quence directe d'une lésion organique. Or il est une autre voie qui peut no
de s'atténuer et de s'effacer, malgré le caractère irréparable de la lésion qui intéresse les conducteurs nerveux au siège
DE LA MOELLE 323 D. Exagération desréflexes tendineux du côté de la lésion .- Ce phénomène s'observe chaque fois qu'une lés
ux du côté de la lésion.- Ce phénomène s'observe chaque fois qu'une lésion interrompt les communications d'une moitié de l
t lieu d'ap- pliquer ce nouveau moyen d'investigation à l'étude des lésions osseuses de la paralysie infantile. C'est ce qu
- tômes généraux (fièvre, transpiration, amaigrissement) et locaux ( lésions du 2e degré au sommet droit) de la tuberculose
connu que la pigmentation légère de la peau pouvait être liée à des lésions rachidiennes aussi bien qu'à des états généraux
le départ de pigment, puisque la pigmentation prédomine autour des lésions qui ont provoqué le grattage ; mais cette irrit
régions inaccessibles au grattage et qui ne sont le siège d'aucune lésion superficielle (1). Les conditions multiples de
La peau était restée lisse, ne présentant aucune éruption ni aucune lésion de grattage. Du reste ce malade comme les autre
s membres paralysés des sujets hémiplégiques (ou monoplégiques) par lésion cérébrale. Les résultats sont constants, à moin
hrite la plus vulgaire avec amyotrophie pouvait s'accompagner d'une lésion du même territoire de la moelle. L'arthrite a
ISTOLOGIE PATHOLOGIQUE DE LA POLYNÉVRITE DANS SES RAPPORTS AVEC LES LÉSIONS DE LA CELLULE NERVEUSE PAR SERGE SOUKHANOFF,
ue en voie de régres- sion. A l'autopsie, on trouva, entre autres lésions , de l'oedéme du cerveau et- de la moelle et de
ellules restent évidem- ment intactes. On peut juger du degré des lésions cellulaires par la disposition dans ces dernièr
mmés. Nous allons commencer l'interprétation hislo-pathologique des lésions que nous venons de décrire, par l'examen des do
nt constaté indiscutablement le fait suivant : à savoir qu'après la lésion du prolongement cylindre-axile dans les éléments
dans la polynévrite est, d'après M. Marinesco, en relation avec la lésion des nerfs périphérique. Celle-ci influe sur les
a moelle (1) Mabinesco, Pathologie générale de la cellule nerveuse. Lésions secondaires el pri- ntilives. Presse médicale,
l, 1896, n" 26. (3) Maiunesco, Des polynévrites en rapport avec les lésions secondaires et les lésions primitives des cellu
esco, Des polynévrites en rapport avec les lésions secondaires et les lésions primitives des cellules nerveuses. Revue neurol
a cellule nerveuse une coloration bien plus claire, dépendent de la lésion des troncs nerveux. Nous pouvons désigner ces ano
cellule nerveuse. Paris, 1897, p. 37. (3) Sabrazès et CABANNES, Les lésions des cellules nerveuses de la moelle dans la rage
recherches sur la structure fine de la cellule nerveuse et sur les lésions produites par certaines intoxications. Presse méd
ées. Il est encore difficile de dire définitivement à quel degré de lésion du protoplasma la cellule nerveuse peut se reco
stérieurs de la moelle épinière chez notre malade dépendaient de la lésion des éléments cellulaires des ganglions interver
e la fonction trophique des cellules en question a été atteinte. La lésion des cordons postérieurs dans ce cas porte surto
la Clinique des Maladies Nerveuses. Quand Charcot démontra que des lésions articulaires survenaient dans le tabes sous la
e. Il n'y a pas non plus une forme d'arthropathie spéciale à chaque lésion médullaire comme certains l'ont écrit. Il nous
judicieusement à cette affection les arthropathies consécutives aux lésions traumatiques de la moelle et des nerfs. Les deux
irurgie, 1878. (6) OEuvres complètes, T. I, p. 112 et passim. (7) Lésions des nerfs et leurs conséquences, traduit par D.\S
t dis- loquée, plutôt que luxée; ainsi l'ankylose n'existe pas; les lésions os- seuses sont très précoces, peut-être primit
qu'une évolution vraiment spéciale soit liée à la localisation de la lésion dans les nerfs, la moelle ou le cerveau. II.
nomènes graves, fonctionnement facile de l'articulation. Les autres lésions articu- laires rapportées (genou gauche, annula
traumatisme antérieur, mais il y avait des mouvements athétosiques. Lésions trophiques de la peau et de ses annexes aux deu
PATniE NERVEUSE VRAIE 387 Ce triage fait, il ne reste à l'actif des lésions spinales pures (car dans le tabes et la syringo
lésions spinales pures (car dans le tabes et la syringomyélie, les lésions spinales ne sont pas exclusives) que les trois
démontrer que les trois . formes ne correspondent pas chacune à une lésion spéciale de la moelle. 1° Forme aiguë. - J. K.
ser- vations il est dit que des sangsues appliquées au niveau de la lésion spi- nale amenèrent la résolution. Dans le ca
Particularité : atrophie des extenseurs du cou, ce qui prouve que la lésion spi- nale remontait assez haut. Le fait est d
it jusqu'à la mort (qui eut lieu le 3° mois), sans s'accompagner de lésions osseuses. Les recherches bactériologiques furen
euses. Ces arthropathies furent-elles douloureuses ? L'ab- sence de lésions osseuses au bout de 3 mois écarte absolument l'id
yndrome de Brown-Séquard, sans paralysie vaso-motrice du côté de la lésion spinale, mais arthrites des deux ge- noux. (3
La localisation de ces arthrites était nettement en rapport avec la lésion spinale, quoique la hanche ne fut pas atteinte.
rès résection, qui d'ailleurs réussit admirablement, on vit que les lésions osseuses ressemblaient fort en somme, quoi qu'e
osseuses ressemblaient fort en somme, quoi qu'en dise l'auteur, aux lésions de l'arthrite sèche. Le malade était resté les
on n'a jamais noté que l'hyper- throphie, d'ailleurs rare, car les lésions se bornent en général à la syno- viale et aux t
s et les autres, nettement en rapport par leur localisation avec la lésion nerveuse. Enfin le niveau de la lésion médul- l
ar leur localisation avec la lésion nerveuse. Enfin le niveau de la lésion médul- laire pas plus que sa nature n'a paru mo
émonstration sera plus facile ici. Couyba les a déjà assimilées aux lésions traumatiques de la moelle en insistant sur leur
; on peut y ajou- ter une observation de Reuillet dans laquelle une lésion nerveuse datant de l'enfance avait amené une at
u membre : on n'y note les arthropathies qu'à l'autopsie (2). Les lésions nerveuses capables de donner lieu à une arthropat
rapport constant entre le siège de l'arthropathie et le siège de la lésion nerveuse : ainsi dans un cas où le nerf médian
à propos des arthropathies spinales ? On voit aussi à la suite des lésions nerveuses périphériques, l'oedème dur pseudo-él
naison est sans doute en rapport avec l'évolution pro- longée de la lésion nerveuse périphérique ; la lésion médullaire qui
vec l'évolution pro- longée de la lésion nerveuse périphérique ; la lésion médullaire qui cause l'arthropathie spinale gué
aines peuvent être également prises et l'autopsie ne révèle que des lésions de synovite. Considérer cette forme comme toujo
gu il n'est pas douteux que l'axe spinal com- mande la symétrie des lésions ; les centres (bulbaires) commandent peut- être
nel d'abord, explique la localisation symétrique ou régu- lière des lésions (d'origine infectieuse ou auto-toxique). Mais ce
alement, Albertoni, dans des expériences sur le chien, a obtenu par lésions du pédoncule cérébral des hémorrhagies, non seule
is aussi dans les articulations du côté opposé. Môme résultat après lésions profondes du gyrus sigmoïde en arrière du sillo
er de remarquer que l'hémarthrose sem-. ble plus fréquente dans les lésions avoisinant ou intéressant le mésocé- (1) Des au
le n'existe pas dans les névrites et si on l'a vue à la suite d'une lésion spinale vulgaire ( ? ), ou d'une lésion corticale
on l'a vue à la suite d'une lésion spinale vulgaire ( ? ), ou d'une lésion corticale ( ? ),elle doit être bien exceptionne
s ne sont pas dues exclusivement, dans certains cas au moins, à des lésions correspondantes du système nerveux. Il y a un aut
rustés d'urate de soude. On comprend facilement que dans ces cas la lésion ner- veuse devienne cause prédisposante en mett
créer l'arthropathie ? Nullement. On peut très bien admettre que la lésion nerveuse périphéri- que par exemple puisse crée
mollissement), il est rationnel d'en déduire .qu'elle est due à une lésion ou un trouble fonctionnel permanent, siégeant a
a coïncidence fréquente des crises gastriques el laryngées avec les lésions articulaires. Cette hypothèse,toute incertaine
revient fatalement à l'origine spi- nale ; il faut admettre que la lésion nécessaire peut être produite par d'au- tres af
e symptôme unique est le torticolis, un torticolis spasmodique sans lésion organique quelconque. Le symptôme est unique, cel
nt sur leurs deux extrémités. Nous avons dit qu'il n'y avait pas de lésion organique; mais on peut très bien concevoir que
sion organique; mais on peut très bien concevoir que quelque légère lésion des vertèbres puisse être l'occasion, - au même
qu'ailleurs une dent cariée, de la pro- ductionde ce tic, alors, la lésion et le torticolis seronten telle disproportion,
cs. 2° la Lèpre nerveuse anesthésique ou trophoneurotique, dont les lésions semblent porter surtout sur les nerfs, et qui s
rte d'établir quelques différences entre la valeur diagnostique des lésions représentées. Les taches cutanées, papules ou m
'ulcères qui abondent dans les tableaux des peintres primitifs. Ces lésions , dont par- fois le réalisme pathologique est fr
sque le même personnage porte en outre sur lui plusieurs indices de lésions lépreuses, il y a tout lieu de penser que ses mut
se traduit seulement, par ses manifestations cutanées du début. Les lésions sont éparses sur le dos, les bras et les jam- b
il offre encore davantage d'analogies avec les pieds déformés par les lésions de la Lèpre nerveuse et mutilante. La main gauc
on des pieds, peut parfaitement passer pour être la conséquence des lésions lépreuses portant sur les mem- bres inférieurs.
ns ni pustules. Mais le peintre a peut-être hésité à reproduire ces lésions répugnantes, et d'ailleurs, elles peuvent faire d
u premier plan, le genou mis à nu et ulcéré. En ce qui concerne les lésions figurées, nous avons pu nous convain- cre qu'el
le brun rougeâtre plus ou moins large. Pour l'interprétation de ces lésions , la critique de Virchow conserve toute sa valeu
m'a laissé aucun doute. » Virchow a aussi discuté le diagnostic des lésions syphilitiques. Il le rejette judicieusement en
r complète- ment disparu, si ce n'est déjà fait. Mais, à gauche, la lésion est moins avan- cée. L'attitude de la main nous
éruption caractéristique. Qui pourrait se tromper à l'aspect de ces lésions et quelle autre maladie pourrait les produire,
ussi que le peintre a copié son sujet sur la na- ture même, car les lésions paraissent figurées avec une grande vérité. Il y
Mais, dans la main qui fait suite à ce bras, ne voyons-nous pas des lésions osseuses absolument acceptables ? Quant aux man
nsi que l'ont fait justement ob- server Charcot et Paul Richer, les lésions cutanées figurées par les pein- tres sont rarem
euvent être également bien défendus, lorsqu'on ne considère que les lésions cutanées figurées sur ce tableau. Il n'en va pl
leau. Il n'en va plus ainsi en ce qui concerne l'interprétation des lésions osseuses. Celles-ci, à n'en pas douter, sont im
s une large plaque rouge et ulcérée. La main tombe inerte, flasque. Lésion cutanée et lésion ner- veuse dont la coexistenc
rouge et ulcérée. La main tombe inerte, flasque. Lésion cutanée et lésion ner- veuse dont la coexistence fait songer à la
, 38, L. 1, Il. (2) Remarquons en passant que l'artiste a figuré la lésion cutanée sur la face su- péro-externe de la cuis
lle a perdu un ou plusieurs doigts. Le visage porte les traces de lésions profondes, déformant le nez, les joues et les y
in que la Lèpre trophoneurotique se manifeste quel- quefois par des lésions cutanées rappelant à s'y méprendre celles de la
ger. Cependant,- à ne considérer que la forme et la disposition des lésions du visage, nous croyons bien qu'en figurant un
amputée au niveau de la cheville. La figure est maladive, mais sans lésions spéciales. Sur le même tableau, un autre infirm
rrondi, à fond grisâtre, à bords rouges et bourgeonnants. C'est une lésion bien imitée, mais qui n'est pas caractéristique d
stes anciens ont tenté de reproduire sur le corps du malheureux les lésions cutanées qui les avaient le plus frappés. Une d
Les Emmurés de Tiraspol, par P. E. I,AUNOts (2 phototypies), 355. Lésions des cellules nerveuses de la moelle dans la rag
2133. Ostéite déformante de Paget (un cas d'). Interprétation des lésions de la moelle épinière, par Léopold Lévi (1 figu
re et 1 planche), 113. , Polynévrite dans ses rapports avec les lésions de la cellule nerveuse (histolo- giepathologiqu
plan- ches), 374. , CABANNES (C.) et J. Sabrazès. Note sur les lésions des cellules nerveuses de la moelle dans la rag
ronc (1 planche), 109. Sabrazès (T.) et C. CABANNES. Note sur les lésions des cellules nerveuses de la moelle dans la rag
tologie pathologique de la polynévrite dans ses rapports avec les lésions de la cellule nerveuse (6 figu- res), 347. So
52 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
llie par MM. Roonmomrcu et DuFoun en Janvier 1897. L'hémiplégie par lésion cérébrale revêt des formes plus ou moins com- p
de la partie inférieure de la face, dans le côté du corps opposé à la lésion cérébrale. Dans ces cas cette lésion siège soit
s le côté du corps opposé à la lésion cérébrale. Dans ces cas cette lésion siège soit sur les circonvolutions ro- landique
rs le pédoncule cérébral. Le point important à noter ici c'est que la lésion hémisphérique est toujours du côté opposé à l'h
la forme hé- miplégique, et comme eux siégeant du côté opposé à la lésion de l'hémi- sphère cérébral. Parmi les' troubl
sphère cérébral. Parmi les' troubles sensoriels produits par une lésion cérébrale il en est un fort intéressant, se rat
lésion cérébrale il en est un fort intéressant, se rattachant à la lésion du lobe occipital, c'est l'hé- miopie homonyme
ion soit xi i 2 A. JOFFROY croisée et siège du côté opposé à la lésion cérébrale. Ce n'est là qu'une apparence, car si
ralysée, et inversement quand l'hémiopie estgauche. Dans ces cas la lésion du lobe occipital détermine donc dans chacune d
re qu'il y a une paralysie de la moitié gauche des rétines quand la lésion occipitale est gauche, et de leur moitié droite
la lésion occipitale est gauche, et de leur moitié droite quand la lésion occipitale est à droite. Mais je ne fais ici que
ensoriels qui constituent l'hémiplégie, siègent du côté opposé à la lésion cérébrale. Je veux encore attirer votre attenti
e hémiplégie droite, avec ou sans troubles de la sensibilité, et la lésion siège alors dans l'hémisphère cérébral gauche,
notre malade, l'aphasie se combine avec une hémiplégie gauche et la lésion cérébrale siège dans l'hémisphère cé- rébral dr
es les principales formes d'hémiplégie obser- vées à la suite d'une lésion cérébrale ; voyons maintenant quelles sont les
nt quelles sont les modifications que subissent ces formes quand la lésion siège au-dessous du cerveau, dans les pédoncule
une hémi- plégie croisée, c'est-à-dire siégeant du côté opposé à la lésion , d'autres fois, et c'est presque la règle, on a
tie inférieure du bulbe, au-des- sous des olives. Une seule et même lésion siégeant dans l'un des pédon- cules cérébraux,
poglosse dans son trajet intra-bulbaire ; dans la protubérance, une lésion intéres- sant le faisceau pyramidal et le noyau
ou encore le nerf moteur oculaire externe ; dans le pédoncule, une lésion atteignant simultanément le faisceau pyramidal
Examinons successivement ces trois cas. ' Que se passe-t-il si la lésion siège dans le bulbe, au niveau des olives, et i
, va nous le faire voir d'une manière véritablement schématique. La lésion siégeait dans ce cas, au niveau de la région oli-
Le malade présenta une hémiplégie des membres du côté opposé à la lésion , c'est-à-dire une hémiplégie droite, puisque c'ét
ysie de la moitié gauche de la lan- gue, c'est-à-dire du côté de la lésion , ce qui se comprend facilement puis- que c'est
s aisément, puisqu'ainsi que je vous l'ai dit, on peut assimiler la lésion de l'hypoglosse à une section expérimentale et qu
e grande utilité pour la démonstration. Supposons maintenant que la lésion , au lieu de siéger à la région oli- vaire du bu
6 A. JOFFHOY rait appeler hémiplégie alterne faciale, c'est que la lésion siégeant dans la partie inférieure de la protub
nerf facial, parfois môme son noyau d'ori- gine. Très souvent, la lésion protubérantielle intéresse simultanément les fi
membres, supérieur et inférieur, sont paralysés du côté opposé à la lésion , puisque le faisceau pyramidal ne s'entrecroise
que le faisceau pyramidal ne s'entrecroise qu'au-dessous de cette lésion qui donne lieu à l'hémiplégie. - Au contraire t
'est le nerf lui-même ou son noyau qui sont atteints. Et comme la lésion du nerf ou du noyau en- traîne fatalement à sa
s'en suivra une atrophie dégé- nérative des muscles paralysés. La lésion concomitante du nerf moteur ocu- laire externe
sie avec atropine uegeneraLive uu muscie urom externe du côté de la lésion , notion fort importante il noter au point de vue
r au point de vue du traitement du strabisme symptomatique de cette lésion . En résumé, dans cette seconde variété d'hémipl
de concevoir toute la symptomatologie à laquelle donnera lieu cette lésion . Il existera en effet, une hémiplégie croisée i
rd, je tiens il vous mettre en garde contre cette conjecture qu'une lésion pédonculaire donne toujours lieu à un syndrome de
toujours lieu à un syndrome de We- ber. Sans parler des cas où la lésion peut n'intéresser aucune fibre motrice, vous tr
gie banale, le bras et la jambe étant paralysés du côté opposé a la lésion sans qu'il existe aucun symptôme d'hémiplégie a
cas les nerfs des 3°, 6°, 7e ou 12e paires ont été respectés par la lésion et leur fonclionnement ne se trouve entravé en
marquer que c'est là un fait assez rare dans la symptomatologie des lésions pédonculaires, mais vous verrez par la suite qu
gie des lésions pédonculaires, mais vous verrez par la suite que la lésion qui a donné naissance à cette attaque d'apoplexie
je pense que lorsqu'il y a des troubles du langage consécutifs à la lésion du pédoncule cérébral gauche il s'agit, ou bien s
plus loin par quel mécanisme, ou plutôt par quelle extension de la lésion , se produit cette aphasie sensorielle, et on co
rien il voir avec la symptomatologie qui traduit l'existence d'une lésion du pédoncule céré- bral. Mais laissons là pour
s que présente celle maladie, nous allons chercher à déterminer les lésions qui leur ont donné naissance. Nous savons déj
culaire commun droit se rapporte habituellement à une seule et môme lésion atteignant le pédoncule cérébral droit. SYNDROM
iasma, que pour expliquer une hémiopie on est obligé d'invoquer une lésion siégeant en arrière du chiasma des nerfs optiqu
ceux que nous avons relevés chez notre malade, se rattachent à des lésions siégeant soit dans le lobe temporal, soit au ni
A. JOFFROY Ces considérations nous confirment dans l'opinion d'une lésion très limi- tée du pédoncule cérébral qui suffit
emière temporale peut-être aussi, se trouveront sur la limite de la lésion , et à cause de ce voisinage et de leurs connexi
à ce que l'on observe habi- tuellement dans les cas d'hémiopie par lésion du lobe occipital, le champ visuel était très n
tômes temporaires d'apha- sie sensorielle (l'aphasie dans ce cas de lésion de l'hémisphère droit s'expliquant par cette pa
n dans les branches terminales, il n'y aura en con- séquence aucune lésion des lobes occipital et temporal ; mais par contre
à ce qui se passait dans l'hypothèse précédente, il n'y aura aucune lésion , aucun trouble cir- culatoire dans le pédoncule
de Dure[, et les branches terminales et donner ainsi naissance aux lésions simultanées du pédoncule (1) C'est ce que confi
er- manente et quelques troubles aphasiques transitoires lorsque la lésion sié- gerait à gauche. 5° Enfin la thrombose o
en effet il ne faut pas oublier que les phénomènes produits par une lésion cérébrale en foyer (qu'il s'agisse d'une hémorr
ho-moteurs. L'observation que nous allons présenter apprend que les lésions très limitées de la substance grise corticale p
une pullu- latitin des noyaux de la névroglie. Pour conclure, la lésion kystique dont la description précède semble Nou
trou- vaille microscopique, car je pense que la confrontation de la lésion avec les symptômes peut jeter de la lumière sur
ut dire que, tout en s'agissant d'une néoplasie, c'est-à-dire d'une lésion qui, d'habitude, n'a point de valeur pour l'étu
s autres (1) ». Aussi, pour ce physiologiste et pour ses élèves les lésions de la région « motrice » affectent non seulemen
pposer les ensei- gnemenls de la clinique, qui nous apprend que les lésions des circonvo- lutions ascendantes peuvent produ
tent cependant que « les localités de la surface du cerveau dont la lésion produit d'une part la paralysie motrice, d'autre
tions de précision véritablement exceptionnelles dans lesquelles la lésion se présente - je ne me lasserai jamais de le répé
n augmenter encore son intérêt. En effet, comme il a été relevé, la lésion se trouvait absolument limitée à ce lobule et tou
moyenne du lobule pariétal supérieur droit », je ne connais aucune lésion de ce lobule dans ces conditions de précision a
dans ces conditions de précision anatomique. Presque toujours les lésions du lobule pariétal supérieur étaient très étend
s la remarquable observation de Velter. Quelquefois cependant, la lésion , bien localisée dans ce lobule, agissait t par
mprimée, resserrée par le néoplasme (1) ». D'autres fois enfin, les lésions étaient multiples : en outre de la lésion de ce
D'autres fois enfin, les lésions étaient multiples : en outre de la lésion de ce lobule plusieurs néoplasmes ou plusieurs
cu- laire du membre inférieur est placé dans le lieu atteint par la lésion , c'est- à-dire, à la partie antérieure du lobul
tions de la sensibilité cutanée. Quels rapports existent entre la lésion de notre malade et les convul- sions ? 2 Nos
IE SYMPTOMATIQUE DES NÉOPLASIES CORTICALES 31 leptogène (discarging lésions ) ; c'est-à-dire, d'une lésion qui était la cause
CORTICALES 31 leptogène (discarging lésions) ; c'est-à-dire, d'une lésion qui était la cause et le point de départ de la
sultat de décharges des éléments moteurs de l'écorce cérébrale, les lésions corticales qui provoquent ces décharges peuvent s
t les choses se passent dans ce dernier cas. En effet, puisqu'une lésion irritative de la partie supérieure des circon-
ion épileptique. Il s'agit donc d'une êp\\e^s\e symptomatique d'une lésion corticale. Mais toutes les attaques, autant cel
e des phénomènes post-épileptiques, je ne 'songeais nullement à une lésion corticale. Ceci prouve que, contrairement à l'o
ci prouve que, contrairement à l'opinion classique qui rapporte aux lésions grossières de l'écorce exclusi- vement l'épilep
s grossières de l'écorce exclusi- vement l'épilepsie partielle, ces lésions peuvent produire aussi des attaques typiques de
s rappelons qu'on connaît des cas d'épilepsie partielle sans aucune lésion macroscopique de l'écorce, ainsi que Seppill i
ront d'expliquer comment les convulsions produites par une pe- tite lésion en foyer restent quelquefois toujours limitées à
p. 17. DE L'ÉPILEPSIE SYMPTOMATIQUE DES NÉOPLASIES CORTICALES 33 lésion la cause directe de ce délire, et à généraliser a
nous échappent. C'est cette prédisposition latente au délire que la lésion a mise en éveil en lui donnant en même temps une
é dans la partie antérieure du lobule pariétal supérieur. II. - Les lésions corticales siégeant dans la zone psycho-motrice o
de vue du traitement, est au fond purement théo- rique. IV. - Les lésions très limitées du cortex sont capables de faire éc
hé- nomènes paralytiques des hémiplégiques : ceux-ci doivent à leur lésion la perte de leur sens musculaire et les trouble
possible de nier l'existence de troubles de la sensibilité dans les lésions corticales suivies de phénomènes moteurs; la rapi
tion de M. le Doyen Pitres, étudie les anesthésiés consécutives aux lésions de la zone motrice. Sans nous arrê- ter aux trè
e en est éphémère et parait être en rap- port' avec l'étendue de la lésion , nous relèverons surtout cette autre con- clusi
nt principalement les sensations associées qui font défaut dans les lésions corticales, que la perte de ces notions com- pl
s troubles sensitifs qu'il a cons- tatés sont un effet direct de la lésion en elle-même ou d'une répercussion lointaine du
e, se basant sur les dégé- nérescences secondaires consécutives aux lésions de la corticatité, montre que si seul le secteu
serait spécialement le siège de l'intelligence proprement dite ; ses lésions provoqueraient des troubles de la mémoire et de
lobe frontal intéresserait surtout la personnalité de l'individu, ses lésions supprimant l'attention active et modifiant le c
ière ramification nerveuse, soit également parfaitement sain. Toute lésion qui entravera en un point L quelconque ce mécan
che. Le signe d'A. Robertson existe des deux côtés. Il n'y a pas de lésion du fond de l'oeil. La sensibilité objective est
ste de la pleurésie sèche bilatérale. Des deux côtés, on trouve des lésions de tuberculose pulmonaire, allant jusqu'à l'exc
volumineux (560 gr.). Il est le siège d'une insuffisance aortique par lésion de l'aorte (maladie de lIogdson). L'aorte est t
ectée, est épaissie également. - Le cerveau n'est le siège d'aucune lésion en foyer, ni au niveau de l'écorce, ni au nivea
du cerveau, et des différents organes. Nous insisterons peu sur les lésions du foie, qui montre une légère sclérose périporta
ongestion de la substance grise, des corpuscules amyloïdes, enfin des lésions assez accentuées des vaisseaux (péri-artérite e
paissie sur toute son étendue, mais sans méningite véritable. Les lésions essentielles portent sur les racines postérieures
ion cervicale. 4 Région sacrée inférieure (6°, 5e, 4e sacrées). Les lésions sont très accen- tuées dans les cordons postéri
ieur de Gombault et Philippe. B. (Méthode de Pal.) 4' sacrée. Mêmes lésions . C. (Méthode de Pal.) - 1'" sncn4·. Sclérose un
érieures. (Pl. X, A.) 2° Région sacrée supérieure (1'0 sacrée). Les lésions existent mais sont re- lativement moins marquée
ement au niveau des cordons postérieurs. Ce sont toujours les mêmes lésions : sclérose des zones de Lissauer, dans lesquell
uer, dans lesquelles pénètrent un assez grand nombre de fibres. Les lésions sont en outre disséminées dans la partie moyenne
e, ses filets radiculaires pénètrent en petit nombre. Il existe des lésions manifestes dans le 5e inférieur du champ postéro-
a zone radiculaire moyenne. D'uue façon générale, il ce niveau, les lésions sont assez peu accentuées. (Pl. XII, B.) 9° Rég
z peu accentuées. (Pl. XII, B.) 9° Région cervicale inférieure. Les lésions plus manifestes portent sur la zone de Lissauer
le 1/5 postérieur du cordon de Goll, la bandelette externe, mais la lésion n'atteint pas la périphérie de la moelle ; elle e
sée à tout l'axe médullaire, mais répartie d'une façon inégale. Les lésions du tabes se rencontrent dans toute la hauteur de
racines postérieures extra-médullaires présentent, elles aussi, des lésions inégales, le plus souvent assez discrètes. Nouv
s dorsalis. Son existence est la règle. Et, dans cette maladie, les lésions des nerfs périphériques et de leurs terminaison
nes postérieures et à la moelle, siège pour ainsi dire constant des lésions , qu'on s'attache surtout dans le tabes, pour expl
pos- térieures étaient intactes : ce qui permet de conclure que la lésion radicu- laire n'est pas au moins la seule cause
tulien dans le tabes est d'origine médullaire. Et il suppose que la lésion de la moelle a une influence inhibitrice sur la
a démontré, en effet, qu'il existe dans la moelle une zone dont la lésion détermine l'abolition du réflexe. Placée à l'unio
ment avant la mort, 22 jours du côté droit, la veille à gauche. Les lésions dépassaient peine la limite de la zone.Westplial
lexes survenir il droite 2 mois, à gauche H jours avant la mort. La lésion était déjà plus accentuée. Enfin dans l'observa
l côté. La comparaison histologique était par conséquent facile. La lésion n'existai que d'un seul côté. La même localisat
on des réflexes, seul symp- tôme nerveux, était en rapport avec une lésion de la zone de Westphal. Dans notre cas, on cons
esseur A. Polotebnoff qui est instructif en ce que le lien entre la lésion cutanée et la maladie du système ner- veux cent
aujourd'hui d'autopsies complètes avec la description détaillée des lésions histologiques des organes intérieurs et du syst
ce sont là des problèmes, qui, comme la ques- tion de la nature des lésions histologiques survenues dans le système ner- ve
service de M. le Professeur Dieulafoy (1). ATheure actuelle, les lésions pulmonaires sont assez sérieuses : respi- ratio
l'un et de l'autre infantilisme sont entièrement dissemblables : la lésion thyroïdienne fait généralement défaut dans l'in-
oite en particulier), ue laissent aucun doute sur la réalité de ses lésions . D'ailleurs la syphilis ne semble pas en cause.
con- nues depuis exactes ; il admet trois périodes dans l'élude des lésions : . stade d'infiltration embryonnaire, stade d'
pas plutôt lieu de considérer cette maladie comme le résultat d'une lésion primitive de la moelle. Nous verrons, dans la s
e prédisposition congé- nitale. A propos de la localisation de la lésion , ajoutons que déjà longtemps avant Mays, Hamilt
nt l'articulation coxo-fémorale. » Hamilton place donc nettement la lésion dans le tissu conjonctif des aponévroses ; Hawk
njonctif des aponévroses ; Hawkins se demande également pourquoi la lésion se localise dans le tissu conjonctif. En 1879,
ive dans la myosite ossifiante progressive », étudie en détails les lésions du deuxième stade. S. Paget 1895, 0. Paget, V
mieux étudié et parce que c'est là qu'il est le plus fréquent. Les lésions débutent par le tissu conjonctif intermusculaire
(éosine, hématoxyline), le microscope ne fait constater la moindre lésion dans le.tissu musculaire même, mais une lésion
constater la moindre lésion dans le.tissu musculaire même, mais une lésion très intense et tout à fait récente- du tissu c
érimysium interne se montre plus cellu- ]eux et plus large avec des lésions concomitantes des fibres musculaires consistant
e avec atrophie des fibres muscu- laires, telles sont en un mot les lésions du deuxième stade de la myosite ossifiante. Nou
évoluer les manifestations pathologiques futures. Tenant compte des lésions survenues dans le tissu conjonctif du pour- tou
que dans son épaisseur ; le périoste n'existe pas en réalité. Les lésions musculaires, la dégénérescence graisseuse, l'atro
s, la tumeur s'arrête à la période fibreuse de l'évolu- tion de ses lésions ; presque toujours au tissu fibreux, fait suite l
t des exostoses que nous venons de décrire, les os offrent d'autres lésions . Ils sont en général très volumineux, certaines
s feuillets aponévrotiques. Les aponévroses elles-mêmes offrent des lésions de deux ordres : 1° dé- veloppement anormal ; 2
dans l'aponévrose superfi- cielle, épaissie, du bras gauche. Les lésions des ligaments sont de même nature, ils présentent
9 de la malade de Munchmeyer. Lendon n'a pas trouvé, non plus des lésions , dans la moelle cervicale de son malade. SYMPTO
ne, voire plus, suivant l'intensité du processus et l'étendue de la lésion . La région envahie est sensible, d'autres fois tr
. L'examen des divers appareils ne fait découvrir rien d'anormal. Lésions cutanées. -- La région frontale droite présente d
qui semble bien prouver chez notre malade l'origine nerveuse de la lésion , c'est le siège des plaques. Elles suivent exac
athogénie du processus scléro- clcrmidue en général, rapportait ces lésions a une origine métamériquc. 146 LOUIS SPILLMANN
ie. Les analorno-pathologistes ont signalé dans la sclérodermie des lésions nerveuses diverses scléroses des circonvolution
onvolutions, de la moelle, des nerfs périphériques. Sans songer une lésion des circonvolutions chez notre malade, ne pourr
circonvolutions chez notre malade, ne pourrait-on pas admettre une lésion périostée de t'autre côté du diploé, analogue à
NOTE SUR LA PARALYSIE DU FACIAL SUPÉRIEUR DANS L'HÉMIPLÉGIE PAR LÉSION CÉRÉBRALE PAR CH. FÉRÉ Médecin de Bicêtre.
esse des mouvements voloizlai- Tes considérés dans l'hémiplégie par lésion cérébrale, dans l'amyosthénie hystérique et en
nque il l'appui de cette systématisation. Dans les paralysies par lésions cérébrales, on a admis aussi des restric- tions
ela- tifs à l'étendue de la paralysie faciale dans l'hémiplégie par lésions céré- brales. Non seulement on a mis en doute l
XI. PI. XVIII PARALYSIE DU FACIAL SUPÉRIEUR dans l'Hemip)cgic par lésion cérébrale (Ch. Iiré) MASSON & Cie, Editeu
isu (17 mai). Cette observation présente un double intérêt : 1° Une lésion cérébrale datant de l'enfance et laissé ces cas
qui passe pour être toujours indemne dans l'hémiplégie ancienne par lésion cérébrale. Celle participation de l'orbiculaire à
de tor- licolis gauche alors que dans d'autres, et cela lorsque les lésions osseuses sont aussi prononcées d'un côté que de
petitesse du gros orleil et leur rejet en dehors, en hallux valgus, lésions toutes deux d'origine congénitale. Mais cette rem
istence d'une exophthalmie unilatérale, il n'admet pas non plus une lésion du vague, car les autres organes fonclionnaient
14 jours après la naissance de l'enfant. 'ilette parle également de lésions congénitales. Dans 12 autres observations, l'af
e cause à effet ? Nous ne le croyons pas, l'hallux valgus étant une lésion si répandue. Quant à l'hérédité hétéromorphe, n
'opinion que cette affection pourrait t bien être le résultat d'une lésion nerveuse. Hayem dans le dictionnaire de Decbamb
a concomitance de la myosite ossifiante pro- gressive avec d'autres lésions nerveuses, telles que épilepsie, atrophie du ne
aident, à notre avis, vigoureusement en faveur de l'existence d'une lésion centrale, cérébrale ou médullaire, peut être d'un
point qui nous semble hors de con- testation, c'est la présence de lésions dans les nerfs périphériques ; com- 1 ment comp
à celui qui l'a le premier étudiée, sans préjuger sur le siège des lésions , sur son éliologie et sur sa 1)tilio(séiiie.
à première vue de la maladie qui nous occupe. Dans la première les lésions siègent surtout au niveau désarticulations ; les
valgus, rejet des pouces vers le bord cubital, ankylose ; mais ces lésions , congénitales dans la myosite, se mon- trent en
rée. Il y a une sclérose assez marquée des cordons postérieurs ; la lésion est plus accusée au niveau des zones radiculaires
tivement peu atteinte. (PI. XXII, C.) Dans les cordons latéraux, la lésion est plus diffuse ; elle occupe le terri- toire
issent aussi atrophiées. ' Région cervicale. - Même topographie des lésions . Dans les cordons posté- rieurs, la zone radicu
s parties scléro- sées paraissent un peu épaissies, en tous cas, la lésion est très peu marquée. Les racines rachidiennes
sont normales. Les racines postérieures présentent de très grosses lésions de dégénérescence ; les fibres à myéline sont t
antérieur et musculo-cutanés ont été examinés. Tous présentent des lésions de dégénérescence très manifeste. Les fibres à
description habituelle, du moins en ce qui concerne la moelle ; les lésions que nous avons trouvées sont celles que l'on ren-
microscopiquement, il n'y avait pas d'atrophie, il n'y avait aucune lésion des cellules de Purkinje. Un pareil fait ne vie
ntre les deux hémisphères du cervelet. (PI. XXIII, C.) Les autres lésions observées à l'autopsie sont une bronchite dissémi
pte. Il ne saurait être question, dans le cas présent, d'une de ces lésions (le déficit, causée par une hémorrhagie, par un
compte de l'ensemble des accidents présentés par notre malade, des lésions de cet ordre devraient occuper des points de l'
en est qui peuvent simuler la symptomatologie des 220 F. RAYMOND lésions circonscrites de l'encéphale, el en particulier d
es de Phy- siologie, 1873. (2) II. ltoreo, et .1. Collet. Sur une lésion systématisée du cervelet, etc. Archives de Neur
che et de l'équilibration doit éveiller de prime abord l'idée d'une lésion du cer- velet. L'exagération des réflexes tendi
des récents travaux de Russel et de IIorsley, sur les symptômes des lésions destructrices du cer- velet. Non pas que le c
actère titubant de la démarche entraîne fatalement le diagnostic de lésion du cervelet, et dans notre cas, il s'agirait d'un
t celle-ci : la titubation ne manque presque jamais dans les cas de lésion du cervelet ; par contre on l'a observée, mais à
'a observée, mais à titre tout à fait exceptionnel, dans des cas de lésions encéphaliques qui n'avaient aucun rapport direc
meurs ou qu'il n'y en ait qu'une, il reste à nous de- mander si une lésion , située comme je viens de vous le dire, est susce
même la cause de la douleur sera toujours le traumatisme, suivi des lésions du tissu nerveux ou d'autres changements anatomiq
rûlante, obtuse, aiguë, térébrante etc. Probablement le degré de la lésion (piqûre, pression, écorchure, broyement), le nomb
sseur de la couche indolore et son rapport avec la profondeur de la lésion ont une grande importance. Le fait clinique que
è- tres, ce qui est bien suffisant pour examiner les plus profondes lésions pathologiques de la sensibilité cutanée. La pér
un crâne d'enfant semblant bien porter des vestiges peu douteux de lésions syphilitiques et affectant à un très haut degré
sque aucuns vestiges. Voici, d'autre part, les malformations et les lésions que j'ai relevées sur ce crâne, connu dans la c
la suture médio-coronale sur un crâne d'a- dulte ; , 8° Plusieurs lésions qui appellent notre attention au point de vue de
A savoir : L'angle postérieur du pariétal gauche est occupé par une lésion de forme ovalaire, grande comme une pièce de ci
rit par le professeur Wirchow sous le nom de « carie sèche ». Une lésion de même ordre, mais encore moins importante, sièg
me un aspect vermiforme de 3 à 4 millimètres de longueur. Une autre lésion semblable, mais plus petite, existe à peu près au
i détruirait toute hypo- thèse d'une simple action corrosive, d'une lésion artificielle due aux agents physiques et proven
ilitique, à savoir : malformation générale; anomalies sutura- les ; lésions dites « de carie sèche » ; et dystrophies dentair
ayant présentera l'âge dedeux mois, une éruption pustuleuse et des lésions labiales, nettement syphili- tiques, qui obligè
, et mort il seize mois à la suite d'accidents convulsifs. Pas de lésions des membranes ni des vaisseaux. Tout l'hémisphè
antérieure ou postérieure à la naissance, suivant qu'elle dérive de lésions dûment syphilitiques, ou qu'elle procède de simpl
bétif, qui, dés l'âge de trois semaines, com- mence à présenter des lésions cutanées suspectes au pourtour des parties gé-
des parties gé- nitales et de l'anus. Quelques jours plus tard, ces lésions , examinées par deux de mes collègues et par moi
SYPHILITIQUES 257 Mère indemne ; n'a jamais présenté qu'une petite lésion érosive sèche du corps de l'ongle, survenue pen
ue au cours de la paralysie infantile. Elle est en rapport avec une lésion pri- mitive de la moelle, qui a entraîné l'atro
'autre part, l'atrophie d'un membre se rencontre encore au cours de lésions périphériques. Il s'agit alors, en général, d'atr
et nous allons en fournir un exemple, on peut rencontrer aussi une lésion de la moelle. Mais, comme il est facile de lepr
lésion de la moelle. Mais, comme il est facile de leprévoir, cette lésion médullaire est différente de celle de la paralysi
B. Tibia normal. 266 ACHARD ET D30POLD-LÉVI On ne constate pas de lésion manifeste sur la branche musculaire ou sensi- t
laires, colorés par la méthode de Pal, ne laissent percevoir aucune lésion accentuée. La moelle a été étudiée d'une façon
que la tuberculose généralisée chez notre malade n'a pas produit de lésions de névrite. Nous avons eu l'occasion de faire c
E DES CENTRES NERVEUX 267 La méthode de Ma rchi n'a point montré de lésion systématisée sur un groupe de fibres. Par ci pa
1S86, p. 3S. (3) Klippel, De l'arrêt du développement à la suite de lésions des membres dans l'enfance, Revue de médecine,
du nombre des cellules, sans modification de la névroglie. Mais les lésions étaient aussi marquées d'un côté que de l'autre
avait conclu. En raison même de celle ahsence de localisation de la lésion , il est difficile d'établir un rapport entre l'at
centres nerveux est dite dynamique, elle ne se manifeste par aucune lésion médullaire. Un cas, qui, comme le nôtre, met en é
dei- Huckenmarkskrankheiten, Berlin, 1898. (2) Maiunesco, Un cas de lésion traumatique du trijumeau el du facial avec troubl
). On sait actuellement, que, contrairement il la loi de Waller, la lésion d'un nerf détermine des lésions à distance dans l
ontrairement il la loi de Waller, la lésion d'un nerf détermine des lésions à distance dans le centre d'origine de ce nerf.
rescence du bout central avec atrophie du noyau, secondairement aux lésions périphériques. Il est admis d'ail- leurs que le
une atrophie du mem- bre inférieur. Il a fait cette remarque que la lésion est d'autantplus pronon- cée que l'opération re
ire seproduisit il l'àge de 7 ans. Elle remontait à 34 années. La lésion médullaire une l'ois interprétée, reste à invoque
complexes en général et variées. Sans insister sur les différentes lésions observées,nous pouvons rappeler que l'atrophie
ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX 273 Dans la paralysie infantile, la lésion médullaire est tout à fait différente. Nous pou
ettrait de séparer, dans un cas douteux, l'atrophie d'un membre par lésion périphérique ou par para- lysie infantile. Atro
petits globules libres, bril- lants, qui semblent appartenir à une lésion de la paroi vasculaire. Au-dessous, peut-être à
cités. Les résultats obtenus étaient en rapport avec le degré de la lésion muscu- laire. Morte le 22 mars 1877, à 32 ans
algré l'exophlal mie unilatérale. La tachycardie ne tient pas à une lésion du vague car les autres organes fonction- nent
as de Béer). ANATOMIE PATHOLOGIQUE. On peut se faire une idée des lésions delà spond5lose rhizomélique d'abord par l'exam
autopsié par Bechterew, nous conduit à penser qu'en définitive les lésions anatomiques de la spondylose rhizomélique sont de
survenu chez une femme de 38 ans, comme conséquence probable d'une lésion traumatique du nerf sous-orbitaire. Berger (0.)
)'age de 9 ans. L'auteur suppose que le traumatisme a provoqué une lésion du nerf sous-orbitaire avec paralysie consécutive
alie congénitale interne. Les modifica- tions, provoquées par celte lésion sont caractérisées parce fait que, de tout le c
phalie. L'épendymite chronique est ici assurément la cause de cette lésion . On ne peul d'ailleurs rien dire de positif conce
enfants, ni à l'autopsie, il n'a pu être constaté d'accidents ou de lésions syphilitiques visibles. Ajoutons enfin que nous
- res sont ossifiés. Rien dans les antécédents héréditaires ; les lésions ont été remarquées pour la première fois à 4 an
pectoral ; l'omoplate est fixé aux côtes. Adroite, il y a moins de lésions , les mouvements sont plus libres. Masses volu
temporale. Mêmes modifications à gauche, mais moins accusées ; mêmes lésions sur le grand dorsal. Le bras droit s'éloigne du
s des chirurgiens, pour remédier à des désordres entretenus par des lésions situées à la surface ou une faible profondeur du
ans un grand nombre de cas, le siège vraisemblable ou certain d'une lésion intra-cranienne. Conséquemment, lorsqu'il s'agi
d'ouvrir le crâne et de mettre il nu le cerveau, pour supprimer une lésion superficielle, l'étendue des délabrements que né-
és aux rapports qui existent entre certains troubles nerveux et les lésions dés divers centres ou faisceaux dont se compose l
de filiation entre la nature des troubles morbides et le siège des lésions spinales : pour vous en citer un exemple, un am
c., en eux-mêmes ; ils les considèrent dans leurs rapports avec les lésions de tel ou tel système anatomique ou fonctionnel.
à une catégorie déterminée de troubles nerveux, correspond bien la lésion de tel ou tel système de la moelle ou de l'encé
les d'une maladie nerveuse, peuvent exister indépendamment de toute lésion appréciable du cerveau, de la moelle et des nerfs
es maladies que nous nous étions habitués a mettre sur le compte de lésions incurables des centres ner- veux. Voilà qui est
utes les maladies du système nerveux, qui sont la conséquence d'une lésion grossière, ont par- donnez-moi le mot leurs « d
te for- me de paralysie associée présente tous les caractères d'une lésion périphé- rique. Une autre hypothèse nous para
ur origine, leur trajet ou leurs rapports, qui prédisposent 1 à des lésions de cette nature ? Nous n'avons pas eu jusqu'ici l
e une pareille hypothèse c'est presque affir- mer l'existence d'une lésion périphérique, tronculaire du nerf du grand dent
encontre si souvent chez les malades por- teurs d'angiomes d'autres lésions d'une congénitatité non douteuse comme Lannelon
e sa monstrueuse hypertrophie des tissus extérieurs au crâne et les lésions cé- rébrales qui ont donné naissance à l'hémipl
rs, à la demi-idiotie et à l'épilepsie. D'une part, on sait que les lésions cérébrales (scléroses, porencéphalie, etc.) qui d
parfois nulle. Il est donc très probable que chez notre malade, les lésions cérébrales et celles de la face sont anatomique
nous occupe, car elle est très comparable, moins l'intensité de la lésion , à notre premier sujet. Voici son histoire résumé
rapport entre les nfcvi étendus, sur- tout ceux de la face, et les lésions cérébrales se traduisant par l'idiotie, les aff
on est provoquée par une irritation locale ayant son siège dans une lésion nasale : cette cause n'est pas inconnue, quelquef
t la dyspnée (jus- qu'à 170 respirations par minute).Est-ce que des lésions aussi superficielles que celles qui corresponde
-elle très grave. Il n'y a donc au- cun rapport rationnel entre les lésions relevées par les signes physiques et les symptô
ention. Après l'opération les signes physiques, et certainement les lésions , ont été s'atténuant sensiblement, ce dont nous
tationnaires la dyspnée se montre ou s'en va au gré du caprice, les lésions s'atténuant, disparaissant même, la dyspnée se
yspnée n'est pas sous la dé- pendance tout au moins exclusive de la lésion pleuro-pulmonaire mais bien à l'intervention d'
t qui corrobore notre opinion que la dyspnée n'est pas fonction des lésions pulmonaires. Si la dyspnée dépendait des lésion
t pas fonction des lésions pulmonaires. Si la dyspnée dépendait des lésions pulmonaires celles-ci seraient extrêmement grav
général serait tellement mauvais que la malade serait mourante. Une lésion pulmonaire capable à elle seule 'd'occasionner
ignée. Devant ces considérations il est difficile d'admettre que la lésion pleuro- pulmonaire est la cause unique de cette
raison de phénomènes aussi singuliers. Nous avons dit déjà que les lésions pulmo- naires n'expliquaient pas suffisamment l
ssants, se comprennent sans effort : le défaut d'harmonie entre les lésions pulmonaires et la dyspnée, l'action par trop merv
ée est bien de nature hystérique ; mais elle a été provoquée par la lésion pleuro-pulmonaire, celle-ci ayant réveillé les ap
ement et double coloration (éosine, hé- matoxyline). Pas la moindre lésion dans le tissu musculaire même, mais lésion très
atoxyline). Pas la moindre lésion dans le tissu musculaire même, mais lésion très intense et tout à fait récente dans le tis
nsion du sterno-mastoïdien. Intelligence et dentition normales. Les lésions peuvent se rapporter à quatre classas. i ,, ).
es. Les lésions peuvent se rapporter à quatre classas. i ,, ). 1° Lésions en connexion avec les os. Deux grosseurs ovales,
la phalange unguéale s'articule directement avec le métatarse. 20 Lésions en connexion avec les muscles. - Tête fixée par l
l gauches ossifiés. Deltoïdes et biceps d'apparence nor- male. 3° Lésions en connexion avec les ligaments. Pas de lésions d
nce nor- male. 3° Lésions en connexion avec les ligaments. Pas de lésions daus les liga- ments de la colonne vertébrale,
tres articulations sont norma- les sauf un léger craquement. ' 4° Lésions en connexion avec les glandes. - On sent une cord
ette, Arch. of. Surgery, 1896, t. VII, p. 133-141. Homme, 35 ans. Lésions congénitales et ayant progressé, localisées aux
,tres ; 6° La myosite ossifiante progressive semble provenir d'une lésion des centres nerveux; le processus ossifiant con
hot.), 419. Paralysie du facial supérieur dans l'hémi- plégie par lésion cérébrale, par Cil. Flré £ (2 phot.), 147. Pe
.). Note sur la paralysie du facial supérieur dans l'hémiplégie par lésion cérébrale (2 phot.), 147. Fournier (Edmond).
XVI, XXVII. Paralysie du facial supérieur dans l'hémi- plégie par lésion cérébrale (Cn. Féré), XVIII. Paralysie du gra
53 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des réflexes qui accompagne la paraplégie flasque consécutive à une lésion transversale de la moelle, est véri- tablement
estion des deux bases. Coeur petit; ventricule droit dilaté; pas de lésions PARAPLÉGIE SPASMODIQUE. 11 valvulaires. L'aor
plus large que lorsqu'il s'agit d'une dégénérescence secondaire par lésion cérébrale. Une bande noire souligne, dans la mo
x pyramidaux on ne distingue pas de dégénérescence. Au-dessus de la lésion , la moelle demeure longtemps très aplatie. Le 3
D'ailleurs les dégénérescences ascendantes et descendantes de cette lésion étaient identiques à celles qui font suite à une
, les cellules des colonnes de Clat·Ire et les nerfs survivent à la lésion initiale au-dessous de cette lésion. La parap
e et les nerfs survivent à la lésion initiale au-dessous de cette lésion . La paraplégie sensitive partielle peut se prod
point de vue des compressions pottiques intenses, pro- duisant des lésions équivalentes à la section complète de la moelle
arcot et lfichaud 1. ' L'un de nous2 a déjà rappelé des faits où la lésion trans- versale totale de la moelle se traduisai
es cellules de la colonne de Clarke, et des nerfs, au-dessous de la lésion maximum. Contre-partie de celui de Westhphal 1,
légies il en est qui restent toujours spastiques, alors même que la lésion anatomique en est venue à équi- valoir à une se
suspension parce qu'elle est impuissante à arrêter la marche de la lésion anatomo-pathologique du tabes. Le professeur Lé
ances. Chez une de nos tabétiques de la Salpêtrière, atteinte d'une lésion mitrale, nous avons fait l'extension par la planc
par une anastomose avec le cutané externe ? est-ce par suite d'une lésion indépendante ? l'au- teur l'ignore, mais le fai
ne dû nerf occipital. L'auteur présume d'après ces symptômes que la lésion siégeait entre l'émergence du nervus sta- pediu
topsie, l'auteur croit pouvoir rattacher cette cécité verbale à une lésion située entre le pli courbe et les centres cortica
ement exagéré des deux côtés. L'auteur attribue ces accidents à des lésions nerveuses détermi- nées par la toxine tubercule
plus ou moins l'équilibre. Les unes comme les autres présentent des lésions d'ostéo-porose. L'étiologie particu- lière à ce
s et les hypothèses restent ouvertes entre ceux qui incriminent une lésion des cornes antérieures de la moelle (Charcot),
, Pitres, etc.). Pour ce qui concerne la pathogénie évolutive de la lésion elle-même, l'auteur ne peut également poser qu'
de l'ostéoar- thropathie tabétique classique, un type anatomique à lésions plus fibreuses qu'osseuses qui pourra être déno
nter un cas très rare : la polioencé- phalite supérieure chronique, lésion isolée des noyaux des troisième et septième pai
xpérimentales ingénieuses en vue de localiser le siège cérébral des lésions et de présenter réunies les quelques considé- r
faisceau pyramidal avec atrophie des cellules ganglionnaires; sans lésion vasculaire). Il y a deux points principaux. sur
. L'auteur croit à une paralysie rhumatismale ou a frigore, dont la lésion siégerait au-dessus du niveau d'émergence de la
scription détaillée du système nerveux d'un cas qu'il a étudié. Les lésions les plus manifestes sont'macrosco- piquement l'
fait le traitement chirurgical par incapacité d'atteindre ainsi la lésion réelle; un mot enfin en faveur des colonies d'é
Des trou- bles respiratoires graves ont amené une issue fatale. Les lésions des centres nerveux trouvés à l'autopsie portai
que l'absence de phénomènes généraux et secondaires au moment de la lésion qui est demeurée locale. Son petit volume et so
bilatérale, des territoires du radial et du cubital, indiquant une lésion du cinquième au huitième segment de la moelle c
du nerf fémoro-cutané n'est pas périphérique, elle se rattache à la lésion des premier à troisième segments lombaires du côt
t revisée par M. Anphimow, l'amène à comprendre la localisation des lésions tabétiques comme suit. On trouve les cor- dons
e, les lèvres, l'arrière-gorge et le voile du palais' indiquent des lésions partielles de l'oculo-moteur commun gauche, du
re que ces différents stades cliniques sont les manifestations de lésions intéressant les cellules motrices des cornes anté
lésions intéressant les cellules motrices des cornes antérieures, lésions qui elles-mêmes pourraient être déterminées par d
n de la température et l'épaississement de la peau du même côté. La lésion initiale parait siéger dans les zones sensitivo-
es névrites aiguës exclusivement motrices, indépen- dantes de toute lésion spinale. Enfin, la question du diagnostic influ
céphalo-rachidien. Il y a eu, par conséquent : méningite spinale et lésion sous la pie-mère. Le diagnostic se cir- conscri
du pronostic, non seulement quant à la locali- sation exacte de la lésion , mais aussi quant à sa nature. - Tumeur cérébra
élique; mais d'autres caractères, et en particulier l'extension des lésions ankylosantes aux extrémités aussi bien qu'aux r
chronique. Dans tous ces cas, malgré la gravité et l'ancienneté des lésions , l'élongation nerveuse a été suivie de guérison
erfs élongés. Dans un cas de Roucoli et dans celui de Vince, où les lésions siégeaient aux deux pieds et où l'élongation n'
r le territoire de ce nerf. MM. VASCHIDE et VURPAS présentent les lésions du névraxe chez un anencéphale. M. Touche mon
anique. MM. FAURE et Laignel-Lavastine communiquent des coupes de lésions cadavériques des centres nerveux. ' Séance du 5
rcule isolé de la protubérance. Ce tubercule était primitil, aucune lésion bacillaire n'ayant été relevée dans aucun autre
'extension des orteils, constatés de temps en temps, on pensa à une lésion organique du système ner- veux associé à une hé
tendineux et épilepsie spinale. M. BABInSgI. Chez cette malade, une lésion organique vieille de dix ans persiste. Ce qui é
i était hystérique a guéri. C'est un cas d'hystérie survenu sur des lésions organiques plus anciennes. 1 Hémorrhagie céré
flexion combinée de la cuisse et du tronc, l'indice unique d'une lésion cérébelleuse. Il ne considère pas non plus ce tro
omitiale et hystérique, dans lesquels on trouve, à l'opération, des, lésions qui ne doivent plus se trouver à l'autopsie. D'
la suspension, appliquée systématique- ment, agit utilement sur des lésions atrophiques et d'autres du nerf optique, dépend
ssive de l'affection. » Une telle - action de la suspension sur les lésions du nerf optique, le professeur Bechtereff l'exp
ès impres- sionnables, tuberculeux, emphysémateux, ou atteints de lésions cardio-vasculaires ; b) Chez ceux qui ont eu de
t de l'élongation) ; 1° Chez tous les tabétiques qui présentent des lésions car- dio-vasculaires ; 2° chez tous ceux qui pr
lésions car- dio-vasculaires ; 2° chez tous ceux qui présentent des lésions tuberculeuses et emphysème ; 3° chez tous ceux
y a bien des .lésions rénales mais peu accentuées; au cerveau, les lésions sont' limitées aux cellules de l'écorce des lob
correspond aux indication don- nées par Babinsky. Il semble qu'une lésion au niveau de la hui- tième dorsale, plutôt plus
lexe fémoral sous la forme de l'extension du triceps, tandis qu'une lésion siégeant au-dessus, comme dans la dernière obse
rise de la moelle sacrée supérieure et moyenne, en rapport avec les lésions de l'embolie médullaire, produisent une dégénér
ce grise voisins du canal central sont conservés. P. KEHAYAL. XI. Lésions dégénératives dans un cas de myélite aiguë ; par
celle du cordon poslérieur plus nette en montant ? A la suite de la lésion transverse de la moelle, les fibres qui ont d'a
bord à subir une dégénérescence grave sont celles qui au delà de la lésion , séparées de leurs cel- lules, ont le plus long
st pas non plus la cause, puisqu'on n'a jamais encore rencontré ces lésions dans le tabes. C'est une affec- tion particuliè
oter que dans les deux cas, il n'existait pas, malgré l'étendue des lésions cortico-occipitales, de dégéné- rescence second
e. Examen histoloyir¡ue : On constate 3 catégories de lé.-ions : 1° lésions vascu- laires et péri-vasculaires diffuses et e
vasculaires diffuses et en grande majorité intra-mé- dullaires ; 2° lésions scléreuses en foyers multiples qui constituent
siège de prédilection les zones péri et paravasculaires ; 3° Les lésions des cellules corticales sont les suivantes : dans
tions des cellules corticales et des nerfs optiques comparables aux lésions toxi-infectieuses), anatomiques (large communic
ou par méningite, ne subit d'atrophie que secondairement, soit par lésions des parties du système nerveux central en rappo
erveux central en rapport avec les cellules de Pur- kinje, soit par lésions de celles qui envoient leurs cylindres-axes (fi
, trois semaines après l'opération. . On trouve, à la suite de la lésion de la partie postérieure de la substance grise
égénérescence du groupe de cellules antéro-médian au- dessous de la lésion , tandis qu'au-dessus on constate des cellules d
ussi un faisceau antéro-latéral descendant. Un peu au-dessous de la lésion , on voit un grand nombre de (ibres des- cendant
ents de latéralité vers la gauche des deux yeux. On avait cru à une lésion en foyer siégeant dans la région des tubercules
très légers de tabès depuis vingt-cinq ans montra à l'autopsie des lésions radiculaires et des cordons postérieurs très ca
tabès reste. Or dans ces cas là il y a deux choses; d'une part des lésions simplement syphilitiques que le traitement a fa
yphilitiques que le traitement a fait disparaître, d'autre part les lésions tabétiques qui restent constituées. 11 y a des ta
récents de cinq à six mois dans lesquels on peut constater que les lésions postérieures et radiculaires sont déjà établies
Weber. M. Bishof-Werder communique un cas' de syringomyélie avec lésion isolée d'un des cordons de Goll. La sensibilité é
n des cordons de Goll. La sensibilité était abolie du côté de cette lésion . M. Iinsnovrr (de Prague) envoie l'observation
motrice sans 6K ? <t ? M'e étudiée clini- quement par Ladame; la lésion très limitée occupe le pied de la troisième fro
ro-latéraux que dans les cordons postérieurs. L'auteur qualifie les lésions du cerveau et du cervelet d'encé- plaalite chro
sénile). - . Discussion. Le professeur Rotin fait remarquer que des lésions analogues vasculaires ont été constatées dans l
ffections diffuses du système nerveux, on ne trouve pas non plus de lésions spécifiques. D'autres remarques ont été faites
nt défaut, lorsque le quatrième ventricule n'est pas atteint par la lésion en question. Secrétaires des séances : N. 1'>
ur du trouble mental dans l'obses- sion, en particulier celle de la lésion de la volonté sur laquelle nous avions nous-mêm
oré des coupes de l'écorce cérébrale et cérébelleuse, et décrit les lésions qu'il a observé. Smoh. X. Le suicide et son a
dix-sept. Mort à dix-neul ans de tuberculose pulmonaire. Autopsie : lésions peu avancées; poids de l'encéphale : 885 gramme
rs fausses couclies. Morte à vingt- deux ans après des convulsions. Lésions avancées; poids : 8j5 grammes. Observation II
, Démence rapide. Mort de tuberculose pulmonaire à vingt- deux ans. Lésions de la paralysie générale. Poids : 815 grammes.
ntoxication et autres causes, le mode et la durée de réparation des lésions , etc. Or, hystérie, neurasthénie, folie, ne fon
ellules psychiques. La pathogénie parait comporter ensuite soit des lésions vasculaires, surtout dans la deuxième moitié de
a patho- logie des artères et veines cérébrales, en particulier les lésions séniles et de sclérose; 4° enfin, les lésions v
s, en particulier les lésions séniles et de sclérose; 4° enfin, les lésions vasculaires syphilitiques. 1 SillON. 222 12 R
septiques du puerpérisme : Folie puerpérale, avec peu ou même sans lésion locale, par infec- tion septique ; folie puerpé
ion locale, par infec- tion septique ; folie puerpérale avec grosse lésion locale, du fait d'infection septique ; folie po
Sur 187 femmes examinées dans ce but, 80 ont été trouvées avec des lésions inflammatoires des organes pelviens consécutives
t; -201aparalysie g(néralepeut ressem- bler àla clémence organiquc ( lésions circonscrites) : deux observations. REVUE DE PA
ns. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ` 23u Inversement, il existe des lésions en foyer qui, grâce à une locali- sation partic
générale : l'observation correspondante revendique, en faveur d'une lésion en foyer, un ictus apoplectiforme suivi de paré
s être des tabétiques, comme l'autopsie l'a montré, malgré quelques lésions médullaires posté- rieures. M. Souques voit u
onstatée à plusieurs reprises du côté droit, permit de localiser la lésion dans la moitié droite du système cérébelleux. A l
t de tous autres symptômes nerveux et ne relève ni du tabes, ni des lésions osseuses vertébrales, ainsi que permettent de l
roite, où l'on trouve aussi les traces d'une brûlure et de quelques lésions traumatiques. Les organes internes sont intacts
uteur attire l'attention sur ce fait que dans cette observation les lésions ont eu une marche ascendante. En effet, la malade
moindre, méningite spinale. Tons les cas autopsiés ont présenté une lésion profonde des tuniques des artères (grandes et pet
ius était le siège le plus fréquent. Plusieurs cas ont présenté des lésions communes à la base et à la convexité. La céphal
nvulsions épilepti- formes ; par BrADLEs. Trois cas différents de lésions multiples du système nerveux cen- tral; par TRE
disséminée ne répondant par son aspect à aucune forme décrite. Les lésions semblent avoir été confinées d'abord à la moell
dorsale pour s'étendre ensuite progressivement. Recherches sur les lésions produites dans le cerveau, la moelle, les muscl
ession une importance capitale; cette condition résiderait dans une lésion de la volonté. A des degrés divers, les obsédés
la même, et dans l'intoxication par le sulfonal, paraît liée à des lésions . graves de l'épithélium rénal, probablement de
PATHOLOGIQUES. ne permet pas d'attribuer leur dégénérescence à une lésion de nutrition du neurone progressant à partir de
ments du cordon postérieur, qui* tient ou peut être rattachée à une lésion spéciale des racines postérieures. Ce n'est pas
la névrite multiple est seule en jeu. 11 n'existe pas de signes de lésions de la moelle, sauf dans l'observation I où il y
né- rescence des éléments anatomiques au cours de l'évolution des lésions et de leur réparation. En réalité, bien que les n
l'acuité visuelle.' consécutivement à un choc de la tempe droite : lésion probable de l'oculo-moteur commun et du nerf opti
umière est en partie revenue. Localisation . On peut penser à une lésion des deux nerfs, à. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
yramide, est rela- tivement plus souvent lésé. On peut croire à une lésion des deux nerfs au moment où ils pénètrent dans
faites. Après avoir passé en revue les anomalies qui tiennent à des lésions des organes de la parole (nez, palais, lèvres,
une de ces paraplégies fut autopsié sans qu'on put observer aucune lésion des centres nerveux. Corps granuleux dans le
était survenue par accident ou suicide au cours de l'évolution des lésions , les corps granuleux n'y affectaient d'ailleurs
e de Brissaudwe res- semble en rien à ce que présente M. Touche. La lésion qu'on a sous les yeux est en tout cas exception
M. Marie présente un cerveau dont la moitié a été détruite par une lésion sylvienne datant de quinze ans (ramollissement) l
semble que c'est là une lui. Mais je n'ai jamais prétendu que toute lésion du système pyramidal dût provo- quer le phénomè
ne para- lysie de la branche externe du spinal associée au tabès. Lésion du splénium. M. Marie montre les pièces de deux
malades présen- taient des troubles visuels, mais l'un portait des lésions thala- miques et l'autre des lésions du cunéus.
visuels, mais l'un portait des lésions thala- miques et l'autre des lésions du cunéus. - 1\1. CiHpAULT fait hommage à la so
rise n'est survenue. M. GUILLAIN rapporte un cas d' hémiplégie avec lésion du splé- niam. 1111. OL1RIOT0 et Charpentier
le, surtout de la région cervicale. Le malade ne guérit pas, et les lésions passèrent à l'état chronique. A l'heure actuell
de la paralysie générale, sous forme d'épendymite granuleuse et de lésions paren- chymateuses des cellules et des fibres d
s cellules et des fibres de l'écorce cérébrale. Comme ces dernières lésions se sont développées dans le cours de la syphili
tableau clinique, on trouve des phénomènes qui correspondent à ces lésions parenchymateuses (paralytiques), notamment les
ver, dans le cours de la syphilis du système ner- veux centra), des lésions anatomiques des éléments nerveux et épendymaire
s anatomiques des éléments nerveux et épendymaires, de même que des lésions des méninges (pachy- méningite hémorragique), a
itoires se rencontrent dans le cours de la syphilis et sont dus aux lésions paren- chymateuses dcs cellules corticales. Ces
ant pseudo-paralysie progressive. M. Weideniummer a rencontré les lésions décrites par M. Mou- raton', dans différentes a
osrowsrr fait remarquer que l'analogie, voire même l'iden- dité des lésions anatomiques de deux maladies, ne permet pas enc
mieux être expliqués par des altéra- tions vasculaires que par des lésions parenclymateuse superfi- cielles. 11. HOT ! !
iquide céphalo-rachi- dien parait bien en rapport avec les diverses lésions constatées par l'anatomie pathologique. D'une
s ans des vertiges intenses avec nausées, vomissements, sans aucune lésion auricu- laire. Sa mère, âgée de quarante-deux a
ladie infectieuse comparable à l'atteinte du testicule et non d'une lésion de voisinage. La surdité serait bilatérale dans
. D'après May, dans la moitié des cas, il y aurait auparavant des lésions plus ou moins sérieuses de l'oreille moyenne qui
point de moindre résistance. Au point de vue de la nature de cette lésion , M. Lannois admet un mouve- ment fluxionnaire b
Ménière fait intervenir une méningite, don- nant secondairement des lésions du nerf auditif dans son trajet ou à son origin
e forme, rare d'ailleurs, de surdité temporaire, qu'il rattache aux lésions de l'oreille moyenne ; catarrhe simple ou infla
ur concluait que l'hypertrophie osseuse ne se trouvait que dans les lésions nerveuses périphériques. Dans trois cas, MM. La
alogue à ceux qui se sont produits il y a vingt-cinq ans, ou si les lésions stationnaires depuis si longtemps ne se sont pa
erne, des réflexes tendineux. Le vertige est le fait immédiat de la lésion ; la titubation peut être aussi rattachée aux t
ité au tronc ni sur les extrémités : s'il n'y a pas de signes d'une lésion des racines postérieures et des nerfs sensitifs
immédiatement au-dessous de l'épine (figu- z'es). Il y a évidemment lésion nettement localisée des racines infé- rieures d
n raison des caractères constants qu'elle présente : symétrie des ' lésions , leur localisation à l'épiphyse des os longs, la
c. 1° Peau : ne pas oublier que l'on sera rarement en pré- sence de lésions récentes, et en dehors des cicatrices du chancre
E PATHOLOGIE NERVEUSE. les cas, mais il ne faut pas oublier que les lésions créées par la syphilis sont loin d'être toujour
cas publiés par Leyden sous le nom d'ataxies centrales aiguës : la lésion n'est pas exclusivement bulbaire, et envahit pr
de clinique des malades ne permet guère de doutes sur la nature des lésions , malgré que l'autopsie fasse défaut. Ces observ
orme d'ataxie esi due à des altérations sémlcs des arteres ou à des lésions syphi- litiques des vaisseaux postérieurs de la
uranles, ni crampes, ni secousses, ni dou- leurs en cemture. Aucune lésion des nerfs ci àniens. En ce qui louche la marche
dans l'ataxie bulbaire il y a toujours des symptômes relevant d'une lésion des nerfs crâniens, et les bras sont atteints a
ques, nous indiquent d'une façon presque certaine l'existence d'une lésion vasculaire aboutis- sant soit à l'hémorragie, s
on ajoute les résultats discordants des autopsies, la fréquence des lésions nerveuses et l'identité des . lésions musculair
s autopsies, la fréquence des lésions nerveuses et l'identité des . lésions musculaires avec celles de certaines affections o
lles dilatées et de l'hyperesthésie abdominale il la pression, sans lésion . Le diagnostic porté est celui de grande hystérie
Archives, 2' séiie, t. XIII. 27 Ii 18 5 SOCIÉTÉS SAVANTES. Les lésions du cerveau et de ses enveloppes, qui peuvent man-
paralysies vraies, et peuvent être prouvées par l'autopsie. Or, ces lésions amènent, dès le début, un affaiblissement et un
amais normale ni dans ses caractères ni dans ses proportions. Les lésions névrogliques s'étendent souvent par plaques et so
rdité verbale et d'aphasie sensorielle chez un paralytique général- Lésions cir- conscrites de ménill ! Jo-cncép/{I1lile.
que de méningo-encéphalite, d'intensité exception- nelle, véritable lésion en foyer, intéressant le centre de l'audition (
e temporale et circonvolution supra- marginale). - A ce niveau la lésion gagne en profondeur jusqu'à la substance blanch
de l'écorce et de la substance blanche (altération de liaillarger). Lésions à peu près symétriques, mais plus superfi- ciel
me le diagnostic de paralysie géné- rale. Cette topographie de la lésion confirme ce que l'on sait sur la localisation d
ent liées à l'influence tantôt irritative, tantôt inhibitrice de la lésion en foyer du centre de l'audition. S'appuyant su
fant de dix-neuf mois, atteinte à un an de paralysie infantile avec lésions limitées au bras droit et affectant la même top
ons limitées au bras droit et affectant la même topographie que les lésions radi- alaires supérieures du plexus brachios. I
dtscuter le diagnostic de polyomyélite antérieure aiguë et celui de lésions radiculaires déterminées par la méningite céréb
la méningite cérébro-spinale, la confusion entre les deux ordres de lésions ayant sans doute été assez fréquente. Pour étab
important, pour le diagnostic, dans le cas actuel, le fait que des lésions assez accentuées existent sur l'un des muscles de
eule et est toujours bilatérale et synchrone, laissant supposer des lésions centrales en même temps que périphériques. Il e
nsky et Nageotte rapportent l'histoire de trois malades atteints de lésions bulbaires, dont l'un a succombé et dont le syst
itent, par conséquent, le nom de libres olivo-ciliaires; - 2° Une lésion unilatérale du bulbe peut donner naissance à une
au sens de la douleur, comme l'anesthésie syringomyélique; 3° Une lésion unilatérale du bulbe peut provoquer des troubles
i résul- tent de la section des 110 et 2° paires dorsales; 4° Une lésion occupant un côté du bulbe peut produire un synd
S- SAVANTES. et une hémi-anesthésie qui siègent du côté opposé à la lésion , une hémi-asynergie, de la latéropulsion et du
rgie, de la latéropulsion et du myosis du côté corres- pondant à la lésion . Il y a lieu de dénommer ce syndrome : )cémi-as
nt d'un réflexe physiologique provoqué, dans le cas actuel, par une lésion du nerf sous-orbitaire, a les caractères de la
n deux mois. A l'autopsie, bronchopneumonie des bases; aucune autre lésion que deux abcès indépendants, de la grosseur de
tale. La substance grise n'est atteinte nulle part. Il n'y a aucune lésion auriculaire. Ce cas, intéressant par le caractè
j'ai eu l'occasion de rencontrer dans certaines cellules un type de lésion qui mérite d'être rapporté. Eu effet, ces cellule
isme et des interventions chirurgicales sur les malades porteurs de lésions des centres ner- veux. Ces deux éléments seraie
tisme et les consé- quences graves qu'il peut avoir dans les cas de lésions organiques des centres. Cette indication peut f
impor- tance capitale : les troubles de la vision consécutifs à une lésion soit de l'appareil sensoriel, soit de l'apparei
e qu'on ne peut rattacher la paralysie des nerfs moteurs ni à une lésion des centres cérébraux, ni à une lésion d'origine
e des nerfs moteurs ni à une lésion des centres cérébraux, ni à une lésion d'origine nucléaire. Les arguments sont au cont
ine nucléaire. Les arguments sont au contraire écrasants pour une lésion d'origine basilaire. Sa fréquence est en raison'
é des théories 428 VARIA. émises sur la nature des chorées. Comme lésions anatomiques on trouve dans un grand nombre de c
rouve dans un grand nombre de cas mortels de la chorée vulgaire des lésions inflammatoires du système nerveux : exsudations i
culaires. Dans les cas de chorée chronique on rencontre les mêmes lésions inflammatoires à un slade plus avancé : méningite
s des cornes antérieures. Il n'y a pas de centre choréigène ; les lésions sont disséminées sur tout le tractus moteur et
l'asile, le dément sauta par la fenêtre et reçut dans sa chute des lésions graves. Or, il vient d'être guéri, non seule- m
nent dans ces conditions, il faut évidemment faire inter- venir des lésions cérébrales diffuses. Rappelez-vous que les lési
ter- venir des lésions cérébrales diffuses. Rappelez-vous que les lésions de la syphilis cérébrale sont de trois ordres, et
nt aucune indication précise relativement au siège présumable des lésions encéphaliques dont est atteinte notre malade, il
si curieux, de la perception visuelle ne peut dépendre que d'une lésion de la voie optique centrale. Comme, d'autre part,
l- ligence et de la mémoire - parlent en faveur de l'existence de lésions corticales ou sous-corticales, nous sommes donc
te première malade, l'hémi- anopsie doit être mise sur le compte de lésions diffuses de la portion terminale de la voie opt
n'dire, et je conclus à l'existence, chez notre première malade, de lésions diffuses, corticales ou sous-corticales, d'orig
'hémiparésie droite et d'aphasie motrice sont sous la dépendance de lésions corti- cales ou sous-corticales. Il y a plus; c
ndance de lésions corti- cales ou sous-corticales. Il y a plus; ces lésions doivent être limitées à l'hémisphère gauche. Di
ui s'est accompagnée de la perte de la connaissance, implique une lésion de l'hémisphère gauche, cela ne demande aucune
ologie ner- veuse. , De même, qu'une aphasie motrice implique une lésion ou un trouble circulatoire du centre de Broca,
ongues explications. De même encore, l'amnésie verbale implique une lésion ou un trouble circulatoire du centre chargé d'e
ue c'était là un nouvel argument en faveur de l'unilatéralité des lésions cérébrales diffuses que nous supposons exister
eur origine du segment nasal de l'oeil gauche. Conséquemment, une lésion qui désorganise la bandelette optique droite en
lie dans les deux moitiés gauches du champ visuel. Inversement, une lésion qui désorganise la bande- lette optique gauche
la pathogénie de l'hémianopsie, l'important est de savoir que toute lésion qui désorganise la voie optique d'un côté, dans
anopsie homonyme droite (temporale à droite, nasale à gauche) si la lésion siège à gauche, et vice-versa, car, je vous le
nant de quelle façon les choses von t se passer dans les cas où une lésion intéresse la voie optique dans sa portion la pl
n l'espèce, une importance capitale. Je la formulerai ainsi : Toute lésion qui désorganise la voie optique d'un seul côté,
omonyme laté- rale, et il en sera encore de même, dans le cas d'une lésion qui désorganise la zone corticale visuelle. Une
le cas d'une lésion qui désorganise la zone corticale visuelle. Une lésion , qui réalise l'une des deux conditions que je v
nyme droite constitue un argument en faveur du siège unilatéral des lésions encéphaliques présumées, en ' r faveur de leur
les autres phénomènes morbides impliquent le caractère diffus des lésions en cause. Dès lors, elles ne sauraient être local
e, chez cette seconde malade, l'hémia- nopsie est la conséquence de lésions corticales ou sous-» corticales du lobe occipit
une circonscription plus étroite, en admet- tant qu'il s'agisse de lésions corticales,.puisque nous ne SUR trois cas d'hém
légie transitoire et d'aphasie motrice. Eu égard à la nature de ces lésions , je vous ai dit que nous manquons de raisons po
tério-sclérose. Ajoutez à cela qu'elle est parvenue à l'âge où les lésions artério-scléreuses peuvent déjà se montrer chez
articulaire aigu, elle ne présente pas de signes appréciables d'une lésion organique du coeur. Je ne vois donc qu'une inte
Messieurs, l'hémianopsie homonyme peut être l'unique symptôme d'une lésion du lobe occipital de l'un des hémisphères. Il e
d'isolement. En fait d'autres phénomènes morbides, dépendant d'une lésion de même siège, vous trouverez men- 458 CLINIQUE
énomènes de cette catégorie, ou d'autres symptômes imputables à une lésion , soit de l'écorce grise des hémisphères, soit d
us avons de nouveau affaire ici à un syn- drome en rapport avec les lésions de l'hémisphère gauche. Tous les éléments de ce
nce d'une aphasie sensorielle, ne peut être expliquée que par une lésion du pied de la troisième circonvolution frontale
A la surdité verbale on assigne comme substratum ana- tomique une lésion du lobe temporal gauche; principalement de la p
du langage articulé est conservée, on assigne comme substratum une lésion du pli courbe de l'hémisphère gauche, territoir
ement ce désordre du langage écrit ne s'observe que dans des cas de lésions de l'hémisphère gauche. Pour ce qui est de l'hé
t à l'heure, vous devez être convaincus qu'elle est imputable à une lésion de l'hémisphère gauche, quand elle dépend d'un
arcours terminal. 1 Diagnostic. - Qu'est-ce que peut bien être la lésion qui, chez ce troisième malade, nous rendra rais
troisième malade, les présomptions parlent plutôt en faveur d'une lésion sous-corticale, c'est-à-dire en faveur d'un foyer
ue situé dans la substance blanche du centre uvale, qu'en faveur de lésions corticales diffuses, comme c'était le cas chez
remarquer von Monakow, si, pour donner lieu à une hémianopsie, une lésion corticale doit embrasser une étendue relativeme
ons optiques de Gratiolet; il aboutira donc au même résultat qu'une lésion diffuse corticale, beaucoup plus étendue. L'h
rébrale moyenne. 468 CLINIQUE NERVEUSE. l'hémianopsie, lorsque la lésion , dont elle dépend, intéresse la voie optique, e
ne connaît pas encore un seul exemple d'hémianopsie imputable à une lésion des tubercules quadrijumeaux antérieurs. Au con
e lésion des tubercules quadrijumeaux antérieurs. Au contraire, les lésions qui inté- ressent la partie postérieure des cou
vo-sensorielle et à une hémiplégie symptomatique de l'extension des lésions à la portion avoisinante de la capsule interne,
re à des troubles athétosiques, choréiformes. De même encore, les lésions qui intéressent l'un des corps genouillés exter
nantes du cerveau, l'hémianopsie qui est sous la dépendance d'une lésion du corps genouillé externe, comme du reste celle
genouillé externe, comme du reste celle qui est symptomatique d'une lésion du pulvinar, ne différerait de l'hémianopsie d'
cas et qu'on observe seulement, mais pas toujours, dans les cas de lésion du corps genouillé externe ou du pul- vinar. 4
pas conscience. Au contraire, quand elle est symptomatique d'une lésion du pulvinar, du corps genouillé externe (ou de
ous cette forme que se présente l'hémianopsie symptomatique d'une lésion qui intéresse l'une des bandelettes optiques dans
son épaisseur (en A fig. 30), et là c'est le cas habituel, quand la lésion siège au voisinage du point où la bandelette opti
perd dans l'hémisphère cérébral. Il n'en est plus de même, quand la lésion siège plus en amont, à la base du crâne; en ce
n externe de la bandelette (en B'). Il en sera encore de même si la lésion atteint le chiasma dans son angle externe (en C
on atteint le chiasma dans son angle externe (en C). Enfin, si la lésion siège dans l'angle antérieur du chiasma (en D),
t vos yeux (fg. 29) vous fera bien saisir les rapports du siège des lésions avec la forme d'hémianopsie, qui en résulte.
psie, qui en résulte. Naturellement le diagnostic topographique des lésions qui, intéressant les bandelettes optiques ou le
n arrière du chiasma. Si de l'anosmie s'associe à l'hémianopsie, la lésion en cause agit évidemment sur les bandelettes ol
es caractères avec lesquels se présente l'hémianopsie, selon que la lésion dont elle dépend intéresse la voie optique dans
ssure calcarine. Cu, cuneus. 472 CLINIQUE NERVEUSE. port avec des lésions de l'hémisphère gauche, les malades éprouvent h
formulée en termes trop absolus. 2° L'hémianopsie qui dépend d'une lésion du corps genouillé externe Cge, ou de la partie
is, ce signe manque souvent. 3° L'hémianopsie symptomatique d'une lésion A, qui inté- resse l'une des bandelettes optiqu
asso- ciées. Celles-ci sont en rapport avec la compression ou la lésion du pédoncule cérébral (hémiplégie motrice, plus
mun, olfactif, triju- meau). 4° L'hémianopsie symptomatique d'une lésion partielle, B ou B', des deux bandelettes optiqu
r une hémianopsie bitemporale. Il en est encore de même, quand la lésion siège dans l'angle postérieur E, ou dans l'angl
ur E, ou dans l'angle antérieur D du chiasma. Le siège précis de la lésion ne peut se déduire que de la prise en con- sidé
ion des manifestations associées. 5° L'hémianopsie qui dépend d'une lésion partielle d'une seule des bandelettes optiques
ques est unilatérale ; Elle est nasale et siège du même côté que la lésion , quand celle-ci intéresse la portion externe de
andelette (en B') ; Elle est temporale et siège du côté opposé à la lésion , quand celle-ci intéresse la portion interne (e
resse la portion interne (en B) de la ban- delette. 6° Enfin, une lésion qui siège dans l'angle externe du chiasma (en C
atérale; ce sera une hémianopsie nasale, située du même côté que la lésion . Vous voyez que pour résoudre les problèmes de
inem- ment que les unes et les autres dégénèrent, dans les cas de lésions destructives de la zone corticale visuelle. Peut-
ue d'un nombre considérable d'aliénés qui n'étaient pas atteints de lésions organiques. L'examen psychologique complet de n
que à la moelle cervi- cale et dorsale. Dans la moelle lombaire, la lésion des cordons postérieurs était encore plus accen
ut être démontrée d'une manière mathé- matique, non par l'étude des lésions mais par les effets positifs, fré- quemment obs
ont été confirmées par MM. Gellé, Napieralski, Escat, Cros, qu'une lésion unilatérale de l'oreille provoque ordinairement
rrait s'appliquer à ce mode de perturbation. Dans certains cas de lésions auriculaires le vertige est irrégu- lier ; il e
ltaique qu'il est utile de connaître ; on l'observe dans des cas de lésion des deux oreilles avec surdité complète; un coura
le vertige voltaïque est normal, la surdité organique liée à des lésions de l'oreille ; il peut être le seul signe objecti
s, les rayons X, le radium ne donnent rien). Deux nouveaux cas de lésion limitée du bourrelet du corps calleux. MM. PELN
on entre M. Déjérine qui en faisait une dégénération secondaire par lésion des hémi- sphères et M. Marie qui en faisait un
ondaire par lésion des hémi- sphères et M. Marie qui en faisait une lésion locale. Dans les deux cas actuels, il y a aussi
sait une lésion locale. Dans les deux cas actuels, il y a aussi des lésions corticales, mais ces dernières ne sont pas en r
diotie avec microcéphalie, ' Bourneville et Oberthur ont trouvé une lésion fort rare : les deux hémisphères étaient transf
inflammatoire, d'une méningo- encéphalite. Chez un autre idiot, la lésion etait bien encore la méningo-encéphalite mais s
que dans les domaines émotionnel, volontaire et intellectuel. Ces lésions élémentaires engendrent un nombre considérable de
omme Waisse, Ledreit de la Charrière, etc., le trouble est dû à une lésion anatomique qui'est bien incertaine. Aussi doit-on
mptômes, leur évolution et sans doute aussi dans la nature de leurs lésions : il s'agit donc là d'un groupement de formes m
t Vel- denhainmer. 337. facial franc, par Neige, 42 ? Splénium. Lésion du -, par Marie, 334. Spina mrln.t.Voir Systè
54 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s des centres moteurs », l'étude de la paralysie générale, dont les lésions diffuses frappent indistinctement tous les terr
tion avec tendances à la systématisation, Enfin, à l'autopsie,, des lésions de méningo-encé- phalite intéressant le pied de
es hallucinations psycho-motrices (cas de Sérieux). En raison des lésions anatomiques habituellement obser- vées dans la
e ment, cette théorie se trouve en contradiction avec le défaut des lésions anatomo- pathologiques des centres corticaux et
s ; avec le manque d'hallucinations psycho-motrices dans les cas de lésions microscopiques des centres psycho- moteurs verb
r produire une hallucination, d'activer un centre sensoriel par une lésion irritative, quelque chose de plus est nécessair
e qui le rend hallucino- gène et c'est pour cela qu'il n'y a pas de lésion produisant d'emblée les hallucinations. Ce qui
ien d'anormal, le pouls est rapide, bat à 120. Mais il n'y a aucune lésion au coeur, l'état général est assez bon, le mala
forme absolument clas- sique d'arthropathie du genou. En outre, la lésion de l'articulation thoraco-claviculaire n'a été
ymptômes du tabes se montrent six ou dix ans après l'infection. Les lésions anatomiques réunissent celles des deux affectio
niveau des os. Comme il n'existait, chez ce malade, aucun signe de lésion organique en dehors d'un commencement d'atrophi
aires. D'après l'auteur, tous ces troubles moteurs sont dus à des lésions [scléreuses d'origine artérielle disséminées sur
tion. " D'autre part, l'importance du rôle qu'y joue d'ordinaire la lésion vasculaire n'est plus pour embarrasser, aujourd
est admis que les dystrophies des plaies trophiques dépendent de lésions des nerfs vaso-moteurs par l'intermédiaire des al
teurs par l'intermédiaire des altérations artério-veineuses que ces lésions produisent. Adipose douloureuse. MM. Acuann e
'est pas prêt pour que la syphilis y évolue dans ce sens. Qnant aux lésions gommeuses et aux artérites des centres nerveux,
t pas encore fait. Sur la physionomie et le moment d'apparition des lésions cadavé- riques dans l'écorce cérébrale de l'hom
le laboratoire de M. Gilbert Ballet, à quel moment apparaissent les lésions cadavériques dans l'écorce cérébrale des cervea
e l'écorce. Ce n'est guère que du troisième au sixième jour que des lésions cadavériques se sont produites. Elles étaient,
le. Le nucléole est très gros et ses contours sont irréguliers. Ces lésions sont donc très différentes d'aspect de celles q
rtout pendant les temps chauds et orageux. - Conclusions : 1° Les lésions cadavériques de l'écorce cérébrale étudiées par
thologiques; ° Leur physio- nomie diffère radicalement de celle des lésions pathologiques. Elles ne peuvent donc pas consti
myélite syphilitique. MM. H.4.usERetTnoMAS.A propos d'un cas où les lésions des fibres étaient nettes, celles des vaisseaux
t, dans les symp- tômes, faire une place considérable en dehors des lésions réelles à l'irritation produite par l'agent mor
oduite par l'agent morbide sur le parenchyme nerveux lui-même. (Les lésions névrogliques étaient nulles.) M. Touche montre
it des accès de convulsions toniques, ce qui indique l'existence de lésions dégénératives. Quant aux troubles de la sensibi
vaso-moteurs, des troubles dynamiques simplement ou crée-t-elle des lésions . Ce point est encore hypothétique et il n'apparti
dans la statistique, parce que dans 11 cas sur 12, on à trouvé des lésions évidentes même sans examen complet. Parmi ces 6
ration gycécologique, trois de ces malades ne présentaient aucune lésion nouvelle au moment de l'examen : la quatrième ava
e que sur les 61 autres qui ont été examinées 59 présentaient des lésions gynécologiques, 2 n'en présentaient pas. Parmi
cologiques, 2 n'en présentaient pas. Parmi les 59 malades ayant des lésions génitales 11 n'ont pu être examinées complèteme
ons déjà indiquées n'a pu être établi. Des 2 malades n'ayant pas de lésions apparentes l'une n'a pu être examinée au pointd
des annexes (la famille n'ayant pas donné l'autorisation). , Les lésions constatées ont été les suivantes. Nous ferons r
ous ferons remarquer que beaucoup de ces malades ont présenté des lésions multiples pouvant rentrer dans plusieurs catégori
ité, nous les avons indiquées une seule fois dans le chapitre de la lésion principale. OBSERVATIONS GYNÉCOLOGIQUES. 83 O
r qu'au- jourd'hui où l'on connaît bien en France l'influence des lésions physiques sur la production de certains délires e
ectieuse de la folie on est astreint de rester dans l'ignorance des lésions physiques de nature infectieuse parfois, chez d
n déplacement utérin (21 cas) n'a pu être traité. Aucune des cas de lésions du col et de déchirure du périnée n'a été l'obj
te opération chirurgicale présente quand elle est justifiée par une lésion véritable un caractère d'urgence. C'est ainsi q
s mortelles. Les rétrécissements de l'urèthre peuvent engendrer les lésions les plus graves de l'appareil urinaire. Les néo
en effet, forl ingénieusement que dans cette forme particulière la lésion de la mémoire ne réside pas dans la perte de la
se qui, chez l'homme» et les animaux supérieurs, accompagnent les lésions douloureuses ne justifieraient pas la conclusion
ide montra qu'il s'agissait d'une véritable hydrorrhée nasale, sans lésion du nez, et paraissant d'origine pure- ment nerv
il existait des signes de compression du cer- veau. Quelle est la lésion qui peut donner lieu à cet écoulement nasal qui
eau. L'examen histologique de la moelle à démontré l'existence de lésions inflammatoires de la substance blanche et de la s
leur évolution. Les ganglions spinaux étaient également le siège de lésions inflam- matoires et on y constatait en outre un
es modifications ne saurait suffire pour affirmer l'existence d'une lésion médullaire. Les réflexes cutanés sont en effet
nt chez la fillette que chez le petit garçon '. P. KERAVAL. XV. Des lésions delà corne d'Ammon dans l'épilepsie; parl\IIl1C P
ns, sans cause appréciable. Les observations IX et X mon- trent des lésions de la corne d'Ammon, dans la paralysie progrès
lles dépendent de causes générales particulières à l'épilepsie. Les lésions des coines d'Ammon ne sont pas pnmi- tives, ell
ilepsie, quoi qu'eu ait dit M. Chaslin, en 1890 : ce sont .bien ses lésions qui ont été retrouvées ici. P. Keuaval. XVI.
iles du protoneurone centripète où commencent et où prédominent les lésions nerveuses du tabes. Mais avant d'adopter cette
nent mortels avec des doses plus élevées et s'accompagnent alors de lésions des centres nerveux. Contrairement à l'opinio
a vie : respiratoires, circulatoires, thermiques et nerveux, et aux lésions des centres nerveux, l'auteur reconnaît qu'il e
ération des sensibilités tactile, et thermique consécu- tives à une lésion d'un rameau digital palmaire du médian ; par P'
III. Contribution- à l'étude de. la pathogénie des symptômes de . lésions en foyers dans la' paralysie générale des aliénes
folies post-hémiplégiques et dans les folies associées à de.grosses lésions unilatérales, indiquant une altération des lobe
maladies organiques et des mala- dies mentales. Il montre que les lésions anatomiquesqui entravent la nutrition régulière
il s'agit d'une névralgie ophtalmique ou d'une migraine. P. XVII. Lésions de chiasma optique, avec la relation de trois cas
VEUSE. passe en revue quelques-unes des statistiques faites sur les lésions du chiasma optique. Il en conclut que les lésio
es faites sur les lésions du chiasma optique. Il en conclut que les lésions du chiasma peuvent se subdiviser en quatres cla
re local adjacent. ' Sans nécropsie, le diagnostic de la nature des lésions primitives ne saurait être qu'hypothétique; qua
sseurs de la cuisse. L'examen. microscopique delà moelle montra des lésions sem- blables à celles de la. poliomyélite des'c
quelques remarques sur les caractères cliniques delà maladie. Les lésions pathologiques montrent une connection serrée entr
ons électriques restent à élucider. Depuis qu'il est établi que les lésions anatomiques dans la paralysie de Landry sont une
ie des affections nerveuses sont justes, qu'il doit résulter de ces lésions une atrophie musculaire et une modification dans
fié cependant par l'absence de daneothésie tactile. Autopsie. Les lésions étaient unilatérales et intéressaient une moiti
sait d'uue immunité relative. - L'hémiplégie existait du côté de la lésion , la^dissociation sensitive du côté opposé. . De
ileptoïde. Pas d'atrophie musculaire aux membres inférieurs, pas de lésions trophiques ; pas de symptômes bulbaires ; rien
térieures. La subs- tance blanche est également très dégénérée. Les lésions portent plus spécialement sur les cordons antér
ée,sans importance, etil il n'en reste pas moins vrai qu'à côté des lésions constatées dans le reste de la moelle, celles d
ostérieurs.Il n'y a aucune cavité dans la moelle, mais le siège des lésions dans la substance grise est en'réalité le même
céphale en suivant les cordons de Gowers. Van Gehuchten regarde les lésions de la syringomyélie comme démontrant cette marc
e disposition était clairement mise en évidence par le l'ait que la lésion était presque entièrement unilatérale, et que l
ilatérale, et que la thermo-anesthésie siégeait du côté opposé à la lésion , tandis que l'anesthésie tactile et l'hémiplégi
ue l'anesthésie tactile et l'hémiplégie étaient du même côté que la lésion . Dans le second cas, la lésion n'est pas unilat
plégie étaient du même côté que la lésion. Dans le second cas, la lésion n'est pas unilatérale, bien que la thermo-anest
les faits pathologiques du premier cas surtout. Dans le second, la lésion de la substance grise n'est pas suffisamment un
ucun signe extérieur d'affec- tion oculaire. Aucune douleur. Pas de lésions ophtalmoscopiques du fond de l'oeil. Réaction p
symptôme : Il est certain que l'asté- réognose peut être due à des lésions du cerveau, de la moelle ou des nerfs périphéri
euse périphérique ou médullaire, il sera assez juste d'admettre une lésion cérébrale. De telles manifestations n'indiquera
rébrale. De telles manifestations n'indiqueraient pas seulement une lésion corticale; elles dénoteraient la lésion d'une r
queraient pas seulement une lésion corticale; elles dénoteraient la lésion d'une région plus précise de l'écorce, la parti
e de dire dans quelle mesure la perte du sens de l'espace dépend de lésions nerveuses, médullaires ou céré- brales. Bien qu
sivement corticale, on constate sa disparition, aussi bien dans les lésions nerveuses périphériques, que médullaires ou cor
généralisant enfin. Il y en eut en tout 21, toutes semblables. La lésion était un abcès gros comme une noisette, placé à l
ssement pédonculaire. ... ' MM. AcuARD et LOPOLD LEVI. Lorsqu'une lésion pédonculaire produit une paralysie de la 3° pai
à évolution pro- gressive. Et cependant les auteurs ont trouvé des lésions poly- morphes variant d'un point à l'autre et s
méthodes de Nissl, de Marchi) il est possible de trouver de grosses lésions au niveau des cellules et des tubes nerveux (ce
d'une part elle confirme la localisation établie par Brissaud de la lésion du rire et du pleurer spasmodique dans le bras
fre un exemple instructif de l'associa- tion sur le même cerveau de lésions multiples de désintégration lacunaires, récemme
ud, Remuno Riuzgio Mingozzini, etc., la localisation centrale de la lésion du rire et du pleurer spasmodique. Elle montre
VANTES. 157 haut intérêt que cette lymphacytose prend naissance par lésion de l'endothelium des vaisseaux qui rompent au f
es vaisseaux qui rompent au fond des sillons des hémisphères et par lésion endothéliale des vaisseaux sous-épithé- liaux d
iaux de l'épendyme. Ce signe de début plaidait donc en faveur de la lésion vasculaire précoce dans la paralysie générale.
isme externe, hémiparésie droite et déviation à droite de la langue lésion pédonculaire par tubercule isolé probable. Ils
bes et indépendante d'une sclérose ou d'une dysgénésie du cervelet, lésion toujours absente dans les cas authentiques, com
nt favorables à la théorie méningée. Ce cas présente en outre des lésions des racines qui permettent d'étudier l'invasion d
ntral et périphérique ainsi que celui des muscles nous a décelé les lésions suivantes : le bulbe est' d'apparence normale,
es on a coupé le cylindraxe, c'est-à-dire elles offrent le type des lésions secon- daires qui consistent, ainsi qu'on le sa
dégénérescence primitive des nerfs péri- phériques ; tandis que les lésions des cellules radiculaires sont secondaires il c
arait dépendre de l'intensité et de la durée de la polynévrite. Les lésions incontestables paraissent être surtout dues aux f
iterons : Arnaud. Sur la théorie de l'obsession. G. Ballet. Sur les lésions corticales et médullaires dans la fièvre typhoï
réflexes pupillaires existent normale- ment des deux côtés. Pas de lésion ophtalmoscopique, pas de 180 CLINIQUE NERVEUSE.
anologues : pupilles égales, réa- gissant bien à la lumière; ancune lésion du fond de l'oeil. Nous songeons alois, vers il
e réfraction ; emmétropie des deux yeux; pas d'astigmatisme; aucune lésion du fond de l'oeil. Les pupilles égales, réagiss
Altérations de la sensibilité tactile et thermique à la suite de la lésion d'un rameau digital du nerf médian; par G. Ferrar
ateuse ou de dégénéres- cence wallérienne secondaire : et, dans les lésions des cellules ner- veuses, s'il s'agit d'altérat
raxe. REVUE D'ANATOMIE.ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. g;21) Les lésions de la paralysie de Landry paraissent toujours r
on clinique. Ce fait justifie l'absence contradictoire de certaines lésions secondaires (lésions des racines postérieures a
justifie l'absence contradictoire de certaines lésions secondaires ( lésions des racines postérieures avec intégrité des cordo
bjet plus éclairé à un objet moins éclairé. P. Kiiraval. XLV. Des lésions de la queue de cheval ; par W.-M. 13¡¡CIITEREW.
lysie des sphincters, de la vessie, et du rectum. Chez l'homme, les lésions de la queue de cheval et du cône médullaire pro
ts postérieurs et en partie internes des cuisses, parfois, quand la lésion monte, sur les parties posté- rieures des jambe
es nerfs dans la région des- quels existe l'anesthésie : lorsque la lésion est limitée, et que .l'anesthésie ne descend pa
\D a suivi la forma- tion cumulative des symptômes à mesure que la lésion monte de la partie inférieure du canal sacré ju
a sortie des troisième et quatrième paires sacrées. De sorte que la lésion du cône médullaire se caractériserait seulement
t les cellules motrices des cornes antérieures et en même temps une lésion fonctionnelle de cellules motrices spinales ell
s motrices spinales elles-mêmes. De plus, dans les cas avancés, une lésion anatomique peut être constatée. Enfin la cause
sous-cutané; les troncs nerveux plus volumineux n'of- frant aucune lésion . La moelle présente quelques modifications dans
ène qui reste un des meilleurs signes permettant de reconnaître les lésions pyra- midales. Foulard. L. Veines spinales va
u moins (il en a cinquante- huit) : l'examen des poumons montre des lésions tubercu- leuses : aucune autre grosse lésion. L
es poumons montre des lésions tubercu- leuses : aucune autre grosse lésion . La moel.e est mise à nu ; assez haut dans la r
de talent vinssent préciser avec minutie la nature et le siège de lésions que nous sommes restés incapables d'arrêter dans
harenton, s'étaient attachés a mettre en relief les symptômes d'une lésion nouvelle du cerveau, sur laquelle pendant cinqu
t avoir un résultat inattendu. La connaissance des symptômes et des lésions va conduire à celle des causes; ici encore une
nt contre la tuberculose. Ne nous le dissimulons pas : contre les lésions constituées, , qu'elles soient, congénitales ou
ndants d'ataxiques, de paralytiques généraux, d'hémiplégiques par lésions circonscrites ? '1 Je n'ignore pas qu'en interv
s une telle importance et l'on sait aujourd'hui que ce n'est qu'une lésion réactionnelle banale. Les auteurs allemands, et
égis, que l'ou'retrouve'dansl'intoxication alcoo- v hyperhémie. Ces lésions sont les seules décrites avec précision jus- qu
les cellules des. cOI'l1l ! li.oant¡ ! ¡'ieür- présentenl*les mêmes lésions quélê-cortexcÚé- bral. Dans les cellules des co
e (m. au carmin) est un processus secondaire de réaction contre les lésions cellulaires . Les vaisseaux et la névrogliese mon
si le processus inflammatoire était primitif. La forme initiale des lésions cellulaires est en pleine harmonie avec l'origi
herches anatomiques et expérimentales de Mari- nesco. La marche des lésions histologiques répond à l'évolution clinique. Au
glomérule et des tuhes. (Cappelletti). I<'urstner a signalé des lésions musculaires sembl ? Les à.celJesque-l'ou rencon
herché à démontrer l'origine infec- tieuse du délire aigu, dit sans lésion . En effet, s'il y a vingt ans, cette opinion, e
nion : les uns le considèrent comme une entité morbide avec ou sans lésions nettement définies, pour les autres, il n'est q
a donnés sous le nom de délire aigu. Si on considère maintenant les lésions que l'on rencontre dans le système nerveux des
s morts de délire aigu, on est encore frappé de la ressemblance des lésions . A ce sujet, l'auteur présente des coupes prove
uver dans l'examen des coupes de caractères différentiels entre les lésions du système nerveux d'un malade mort à la suite
ement dans ses manifestations symptomatiques, mais aussi dans ses lésions anatomiques. On peut à la fois rencontrer des lés
ussi dans ses lésions anatomiques. On peut à la fois rencontrer des lésions inflammatoires et des lésions toxiques ou seule
ues. On peut à la fois rencontrer des lésions inflammatoires et des lésions toxiques ou seulement une seule variété de ces
oires et des lésions toxiques ou seulement une seule variété de ces lésions . Il est vrai, comme il a pu l'observer dans les
s. Il est vrai, comme il a pu l'observer dans les myélites, que les lésions toxiques peuvent se transformer en lésions infl
les myélites, que les lésions toxiques peuvent se transformer en lésions inflammatoires. Il insiste sur ce fait que l'on p
inflammatoires. Il insiste sur ce fait que l'on peut voir de graves lésions cellulaires et analogues à celles signalées dans
on a pu voir cliniquement des délires sans pouvoir constater aucune lésion des cellules nerveuses. M. BRIAND. - M. Roubino
ochent beaucoup. Je ne peux croire que M. Crocq a voulu opposer les lésions inflammatoires, aux lésions toxiques, dans le d
croire que M. Crocq a voulu opposer les lésions inflammatoires, aux lésions toxiques, dans le délire aigu, car qu'il survie
infection. Evidemment, il peut y avoir beaucoup de délire et peu de lésions de chromatolyse cellulaire, et inverse- 262 SOC
omatolyse cellulaire, et inverse- 262 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment des lésions et peu de délire. On peut avoir un délire intense
des lésions et peu de délire. On peut avoir un délire intense sans lésions chromatolytiques, mais à condition que ce délire
ition que ce délire soit transitoire. Il ne peut croire qu'avec des lésions très marquées des cellules très nerveuses, on n
tion. M. Crocq répond à M. Ballet qu'il n'a pas voulu opposer les lésions d'inflammation à celles d'infection. M. AItNAUL
- dents héréditaires nuls. Antécédents personnels. - A trois ans, lésion tuberculeuse de l'articulation tibio-tarsienne
emble des faits jusqu'à ce jour connus, il résulte que le siège des lésions en rapport avec l'amusie est : 1° presque tou-
njection lombaire de cocaïne. Il s'agissait d'une femme atteinte de lésions annexielles (hémato-salpynx droit avec ovarite
la plaie de l'or- gane central. L'affection étant uni-latérale, la lésion doit siéger au niveau des ganglions centraux, a
ion de la papille du nerf optique de l'oeil droit. B. Phénomènes de lésions en foyer. 10 Hé- mianopsie homonyme gauche ; 2°
par nne diminution de la mémoire et de la faculté d'orientation. Lésions . La dure-mère, des deux côtés de la scissure long
ièrement dans les formes syphilitiques de l'affection, montrent des lésions périvasculaires; les veines réti- 300 REVUE DE
mières vasculaires sont fréquemment rétrécies. S'il n'y a pas eu de lésions périvasculaires, les vaisseaux sanguins, plus par
ques de maladies nerveuses. Pendant une longue période, en dépit de lésions objectives très nettes de la papille, la vision
de la motilité dans le bras et la jambe du côté correspondant à la lésion ; 2° anesthésie pour toutes les sensibilités dan
outes les sensibilités dans le membre inférieur du côté opposé à la lésion . Dans le membre supérieur du côté opposé à la l
té opposé à la lésion. Dans le membre supérieur du côté opposé à la lésion , il y a bien perte de la sensibilité tactile ;
au toucher et à toutes impressions douloureuses du même côté que la lésion ; 4° Sens musculaire diminué du côté paralysé,
es cas). La névrite a peu de valeur comme signe de localisation des lésions . Un autre symptôme oculaire important, bien qu'
suivant Fournier, de syphilis tertiaire. Combien de temps après la lésion ininiale voit-on apparaître les symptômes céréb
onc- tionnement normal du cerveau contribuent à faire éclater des lésions cérébrales jusque-là latentes. Les effets direc
-là latentes. Les effets directs de la syphilis sur le cerveau, les lésions spéci- fiques, amendables par le traitement son
dégénérescence d'origine toxé- mique. Dans le cerveau le type de la lésion spécifique est la gomme : c'est un produit infl
t encore dans le cervelet. L'auteur s'attache ensuite à décrire les lésions non spécifiques qui résultent des lésions spéci
che ensuite à décrire les lésions non spécifiques qui résultent des lésions spécifiques, et à tracer la ligne de démar- cat
et à tracer la ligne de démar- cation qui sépare en deux ordres de lésions . Il étudie ensuite l'état des vaisseaux dans la
f optique. Dans 6 cas sur 10, on a noté la coexistence de plusieurs lésions oculaires : dans 2 cas, on a constaté une lacry
e le trouble ou la perte de la vision ne sont pas le résultat d'une lésion matérielle, mais sont des phénomènes mentaux, des
s, mais l'auteur est d'avis qu'on a exagéré le rôle provocateur des lésions de l'appareil génital et qu'elles n'exercent au
'hystérie, on sait toute la médecine, car la syphilis détermine des lésions , et l'hystérie des symptômes, dans tous les org
ques, d'associations de symptômes qui ne se rencontrent dans aucune lésion localisée des centres nerveux, et c'est cette dis
tivement facile; malheureusement elle est souvent accompagnée de lésions organiques ou même provoquée par ces lésions, et
souvent accompagnée de lésions organiques ou même provoquée par ces lésions , et le problème du diagnostic peut alors deveni
alade est mort après une série d'attaques épileptiformes et que les lésions macroscopiques de l'autopsie, pratiquée par M. La
volontaires et exagère le to- nus des phincters; Reliez l'homme,les lésions transversales complètes de la moelle, à la régi
lon- taires, et l'exagération de la tonicité sphinctérienne; 61 les lésions destructives des lobes cérébraux donnent des ré
nouille, donne lieu a l'exagération des réflexes sous- jacents à la lésion (ftg. 5); 3e la section ou la ligature de la moel
e et complète des réflexes tendineux et cuta- nés (fiq. 8) ; G° les lésions destructives de l'écorce cérébrale don- nent li
uns d'entre eux, à un affaiblissement des réflexes cutanés ; 7° les lésions destruc- tives du cervelet entraînent l'exagéra
on de l'hypertonie. L'expérimentation confirme cette hypothèse; les lésions irritatives de l'écorce ne provoquent aucune co
motrice, peuvent être assimilées à celles qui se produisent par des lésions incomplètes non irritatives de la zone motrice de
éralement, la seconde résulte de la première. L'une résulte de la lésion des neurones moteurs centraux, l'autre de l'alt
état normal, certains groupes musculaires sont pré- dominants ; une lésion diffuse ayant pour résultat d'abaisser d'une ma
au. Rien ne prouve que la disparition des réflexes à la suite d'une lésion de la partie cervicale de la moelle soit le rés
il existe déjà quelques observations cliniques, dans lesquelles une lésion de la partie cervicale de la moelle, équivalant
rtical d'après \I. Crooq. Cette théorie n'explique pas les faits de lésion de la capsule interne ayant séparé la corticali
dant ayant déterminé'une contracture spasmodique. D'autre part, les lésions aiguës trans- verses de la moelle cervicale dét
ibres pyramidales intactes, il faudrait donc admettre que, dans les lésions à localisation variée qui créent l'hémiplégie cér
ter si les quelques cylindres- axes encore épargnés au niveau de la lésion sont capables de déter- miner la contracture, m
ont complètement disparu au-dessous de la 328 SOCIÉTÉS SAVANTES. lésion et pourtant la paraplégie était spasmodique. La t
garçons présentés dans le service, nous avons constaté 19 fois des lésions dentaires, susceptibles d'être rattachées à la
mpruntée à Freud. Sur la physionomie el la progression de certaines lésions cellulaires corticales accompagnant les acciden
douze malades, morts de maladies générales (pneumonie, tuberculose, lésions du foie, lésions du rein), avec des troubles me
s de maladies générales (pneumonie, tuberculose, lésions du foie, lésions du rein), avec des troubles mentaux plus ou moins
rtains troubles fonctionnels cérébraux, même accentués, sans que la lésion correspondante de l'organe soit appréciable à nos
cations antérieures, insisté sur la physionomie typique de cette lésion , dont nous rappellerons seulement ici les caractè
s mettre très nettement en évidence le parallélisme d'intensité des lésions corticales, des troubles mentaux et des acciden
lle peut s'appliquer avec la même vraisemblance à l'explication des lésions que nous avons rencontrées. Ces lésions, que no
lance à l'explication des lésions que nous avons rencontrées. Ces lésions , que nous avons vainement recherchées dans un g
res autopsies d'origine variée, dont le type est fort différent des lésions banales que l'hyperthermie, l'agonie, la décomp
les. De même que les polyné- vrites sont formées de symptômes et de lésions toujours les mêmes ou à peu près, quelle que so
que soit leur cause (alcoolisme, tubercu- lose, etc.), de même les lésions corticales, que nous signalons resteront les mê
omyélites (Revue générale). Gazette des hôpitaux du 8 octobre 1898. Lésions cellulaires dans la maladie de Païkinson (en co
ag. GILBERT Ballet). Presse médicale, 30 novem- bre 1898. - Sur les lésions cellulaires corticales observées dans G cas de
fonctions hépstorénales (1 vol., Ruef, éd., Paris). Importance des lésions hépatiques dans les cas de délire au cours des
ne moderne, août 1900). M. Gilbert* Ballet affirme l'importance des lésions cellulaires. Leur extrême fréquence n'infirme e
342 SOCIÉTÉS SAVANTES. On connaît aujourd'hui l'importance de ces lésions ariatomiqués. Il en est de même pour les lésion
'importance de ces lésions ariatomiqués. Il en est de même pour les lésions cellulaires, que l'on est tenté de considérer c
e Paris, rapporte deux cas de troubles mentaux toxi-infectieux avec lésions cellu- laires corticales. Chez deux malades qu'
re avec hallucinations et refus d'alimentation. A l'au- topsie, les lésions macroscopiques étaient banales : mais l'examen
M. Ballet et Faure permettent de se rendre compte de l'identité des lésions . Ce syndrome anatomo- clinique parait relativem
estion, des parésies et des contractures sys- tématisées dues à une lésion de l'oreille moyenne, lésion pouvant passer ina
ontractures sys- tématisées dues à une lésion de l'oreille moyenne, lésion pouvant passer inaperçue. MM. Lannois et Pautet
sesses ci subis- tralum organique (c'est-à-dire pour lesquelles des lésions de l'utérus ou des annexes sont le point de dép
peuvent se diviser en deux groupes, celles qui sont associées à des lésions organiques des systèmes cérébro- spinal et lymp
ans la substance grise corticale, de la couche tangentielle, et des lésions tabétiformes des colonnes postérieures de la moel
, et jusqu'à ce que nous ayons rencontré plus de cas présentant des lésions tabétiformes définies, nous hésitons à nous for
dans les racines postérieures des nerfs, et il est probable que les lésions diffuses que l'on trouve disséminées dans les c
disséminées dans les cordons postérieurs ont la même source. A ces lésions primi- tives, il vient s'en ajouter de secondai
et nous sommes d'accord avec les observateurs qui admettent que les lésions des tractus pyramidaux sont consécutives à la d
e et la pupille peuvent pendant plusieurs années coexister avec une lésion organique du cerveau. Elle nous donne aussi quelq
années avec la réaction pupillaire normale chez un sujet atteint de lésion organique du cerveau. Enfin il y a lieu de teni
e opinion, il ajoute que cette hypothèse est appuyée par les seules lésions analomiques capables de démonstration qui aient
vous System. Lecture IV. On Ireatment of paralysis l'esulling front lésion of the upper motor neuron. Brochure in-8° de 30 p
, inanition prolongée, auto- intoxication par rétention fécale, par lésion des organes digestifs, estomac,' foie, intestin
ant chacun que 80 grammes. Vessie rétractée, sans urine. ' Pas de lésions cérébrales macroscopiques sauf un épanchement a
être discuté, en présence des révélations de l'autopsie. Une seule lésion est constatée, la néphrite chro- nique arrivée
TUDE DES STÉRÉOTYPIES. 501 sensitifs (hémianesthésie) indiquant des lésions cérébrales, parce que la volonté ne peut les ar
est vrai toutefois qu'on a vu des tremblements sans qu'il y ait de lésions cérébrales et qui sont dus à une idée fixe ou à
qui n'ont aucune action sur les aecidents similaires dépendant des lésions organiques... L'hystérie est la grande pourvoye
de préférence sur les noyaux gris et très souvent conco- mitants de lésions d'hémorrhagie ou de ramollissement sur 50 cerve
utes les maladies men- tales on devait nécessairement constater des lésions organiques. Si nous laissons de côté naturellem
à des intoxications subaiguës. Examinons successivement : 1° les lésions qui ont été relevées; 2° dans quelle mesure ces
nt : 1° les lésions qui ont été relevées; 2° dans quelle mesure ces lésions sont l'expression de la psychose ; -, 3° dans q
quel point elles suffisent à expliquer le tableau morbide. J. Les lésions Il ne s'agit ici que de l'écorce. Verworn et au
es lui a paru s'accroître. Jamais il n'a trouvé une seule espèce de lésion uniformément répandue dans le cerveau entier. A
ode de Marchi. IL-Pour apprécier comme il convient la valeur de ces lésions , il faut avant tout peser certaines influences
ltérations quantitatives ne semble pas non plus très brillante. Les lésions enregistrées par la méthode de Marchi ne se son
ossible : c'est ainsi que l'on arrivera à la formule des formes des lésions de l'ensemble de l'écorce. Tel est également l'
s cas connus d'angiome du cerveau, on note dans les antécédents une lésion de la tête, et que, dans le cas actuel il y ava
ingite n'a pu être reconnue pendant la vie, la coexistence d'autres lésions ayant rendu le diagnostic très difficile. Les p
nte colorée par la méthode de V. Giesen ne présentait pas de grosse lésion . b) La pie-mère et l'arachnoïde présentaient en
iffuse, affectant les tissus osseux et pulmonaire et accompagnée de lésions amyloïdes éten- dues du foie, de la rate, des r
u foie, de la rate, des reins et de l'intestin. Il n'y avait aucune lésion suppurative ouverte à la surface, exception faite
e colorée par la méthode de V. Giesen paraissait exempte de grosses lésions . b) Au microscope, la pie-mère et l'arachnoïde
tat de la pie-mère ont été obscurcis par ceux qui appartenaient aux lésions abdominales. R. DE MUSGRAVE-CLAY. LXIV. Corps é
Neurologie, 1901, n° 2.) Ce travail contient huit observations de lésions du faisceau pyra- midal soit dans sa portion cé
900, n° 24.) . De l'examen attentif d'un certain nombre de cas de lésions du cerveau et de la moelle, M. Van Gehuchten cr
évroglie, peut permettre de voir si, dans la paralysie générale, la lésion débute par la cellule ou le tissu de soutien. Il
ute par la cellule ou le tissu de soutien. Il a toujours trouvé des lésions névrogliques chez les paralytiques généraux mor
ale, M. Marchand pense que, plus la démence est accentuée, plus les lésions névro- gliques sont accusées. Il rapporte l'obs
l'objet d'un examen histologique, caractéristique à cet égard. Les lésions névrogliques peuvent d'ailleurs être très accu-
e, dans certains cas, le diagnostic d'al- cooliques chroniques avec lésions méningitiques et de paralysie . générale au déb
re compris de leurs interlocuteurs. Ce sont de simples affaiblis, à lésions circonscrites, avec lesquels on arrive à pouvoi
dans la thérapeutique des Arabes, par Hickmet, 359. Cellulaires. Lésions corticales dans les accidente mentaux des mal
près la résection du pneumogastrique, par Ladame, 127. Chiasma. Lésions du -optique, par Leszmshy, 141. Circonvolutio
rce cérébrale. Sur la physio- nomie et le moment d'apparition des lésions cadavériques de l'- par Faure et Laignel-Lavast
dite essentielle, par Lhote, 74. cor- ticale, par Vassilieff, 64. Lésions de la corne d'Ammon dans l ? par Borozdine et
- , par Marandon de Montyel, 4r. i. Pathogénie des symptômes de lésions en foyer dans la -, par Mouratow, 131. Lymphocy
omie et hisio- pathologie de la - par Soukha- noff et Geier, 529. Lésions du cor- tex dans la -. par Marchand, 538. Dél
la -, par Thomas, 58. Tumeur comprimant la-, par Sachs, 143. Des lésions de la -, par Bechte- rew, 225. R ,CHICOCAÏKIS
55 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de lui assigner une étiologie spéciale et de la rat-" tacher à des lésions anatomiques. Elle constitue donc une simple ent
e l'écorce par l'intermédiaire des fibres corticu- thalamiques. Une lésion unilatérale de ces fibres suffit à provo- quer
arhon et 1\'aovt ? (.fou ? -n. de ne ? 1'olouie, 190G, no 7.) Les lésions médullaires, bulbaires et protubémnlielles décl'i
tumeur par la base de la langue. Au niveau du noyau du facial, les lésions siégeaient surtout dans le second groupe ? entr
résection du masséter et du Leiiipoi-al. G. 1) l ? N Y. 111. Les lésions cérébrales dans les psychoses d'origi.- ne toxi
bonne, section de neurologie.) Les syndromes mentaux accompagnés de lésions macroscopi- ques sont exclus du cadre des psych
estreignent, d'année en année, le groupe des accidents mentaux sans lésions d'aucune sorte. Encore peut-on, sans crainte d'
ses, c'est parce que nos techniques sont insuffisantes. Parmi les lésions cérébrales microscopiques accompagnées de troub
péri-vasculaires.ol interstitielles. Nous n'étudierons pas ici ces lésions , afin de nous limiter aux psychoses purement to
on majorathe du poison sur d'autres organes peut avoir provoqué des lésions mortelles. Ainsi, dans les délires fébriles, pa
t des délires toxiques, il arrive souvent que l'on ne révèle aucune lésion des cellules corticales (Faure et Des- - % aulx
uses définies et des symptômes déterminés. On les appelle alors des lésions hanales. Les auteurs pensent que celte objectio
que celte objection n'a pas de valeur, parce qu'on ne qualifie de « lésions banales » que les lésions dont ne ne connaît pa
s de valeur, parce qu'on ne qualifie de « lésions banales » que les lésions dont ne ne connaît pas la signification. C'est
s que Dé- jerine a décrit les névrites périphériques qui, comme les lésions cellulaires, sont en rapport avec cles causes t
s varies. Nul, cependant, ne contesterait aujourd'hui la valeur des lésions des névrites périphériques. Il en sera de même
des lésions des névrites périphériques. Il en sera de même pour les lésions cellulaires. Les auteurs rapportent un très gra
lésions cellulaires. Les auteurs rapportent un très grand nombre de lésions cellu- laires de physionomie variée, décrites a
vraisemblable que beaucoup de toxiques divers peuvent créer la même lésion et que heaucoupde lésions peuvent aboutir au même
p de toxiques divers peuvent créer la même lésion et que heaucoupde lésions peuvent aboutir au même symptôme, lien est, d'a
te la pathologie : beaucoup de toxiques variés peuvent produire des lésions analo- gues dans les cellules hépatiques, et be
es lésions analo- gues dans les cellules hépatiques, et beaucoup de lésions hépati - (lue" peuvent ahout il' à des symptôme
elations solides entre des catégories de poisons, des catégories de lésions , et des catégories de symptômes. (,'et d'ail- l
e la cellule, migration périphérique du noyau) correspondant il une lésion cellulaire ré- parallle, qui leur a paru liée,
être foudroyante et dramatique, sans avoir le temps d'installer des lésions cellulaires profondes, et qu'aueou- traire, une
ec troubles mentaux plus effacés, peut aboutir insidieusement à des lésions cellulaires considéra- bles : c'est précisément
volution du délire qui peut être soudaine, bruyante, et celle de la lésion qui est insi- dieuse. De même, le mode do réact
ormules étroites. Mais déjà on peut considérer comme acquis que les lésions cellulaires sont, au même titre que la psychose
temps pour juger delà valeur de cette intervention. e. Cl. V. Des lésions de la moelle dans la démence précoce ; par IlLi
rieurs, les ailleurs étudient dans trois nouvelles observations les lésions spinales de la dé- mence précoce ; It comme dan
réaction névroglique discrète. - Il est probable que le début de la lésion qui aboutit à la sclérose et à la destruction d
faire en des points différents Le tableau clinique révélateur de la lésion tabétique a passé inaperçu dans les trois cas r
ur l'insomnie. Les relations entre les trou- hies du sommeil et les lésions de la glande pituitaire sont très in- téressant
(Weurel), dans les traumatismes à la tête qui ont souvent causé des lésions pituitaires et des graves narcolepsies. L'auteu
une infection ou d'une intoxication, d'une maladie de llanti, d'une lésion des organes génitaux, d'une gros- sesse ou delà
elles qui existent dans le thymus. Pour ( Illpenlreim et Israël les lésions constatées seraient des troubles agoniques et i
Coldfram un coin plexus symptomatique caractérisé par l'absence do lésions grossières attestées soit par la guérison,soitp
ssseuse du foieet du rein, la clroniatolyse des cellules nerveuses, lésions habi- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 41 fuell
ale (hémi- ' plégique et aphasique). Prédominances régionales des lésions dans les méningo-encéphalites diffuses ; par Pas-
r évolution ; elles tirent leur physionomie spéciale du siège de la lésion bien plus que desa nature. L'auteur les divise
s avec prédominance ou exagération localisée en certains points des lésions de méningo-encéphalite ; deuxième groupe : para
encéphalite ; deuxième groupe : paralysies générales compliquées de lésions en foyer, juxtapo- sées, à évolution indépendan
ante (hémorrhagies, ramollissement) ; troisième groupe : absence de lésions en foyer mais atropliie élec- tive d'un hémisph
es Les expressions cliniques les plus intéressantes de ces diverses lésions sont l'hémiplégie et l'aphasie. Parmi les forme
d'inter- nement d'un ictus apoplectique; à l'autopsie on trouva des lésions d'arterite hypertrophique généralisée avec rétr
on doit voir dans le délire à évolution progressive l'expression de lésions dues à l'arLéri le. F. Tissot. IX. Le déliriu
avait nulle part de diapédèse dans l'encéphale, mais seulement dos lésions eus diffuses. La conclusion qui se dégage du
ensemble de ses symptômes et par son évolution, peut répondre à dos lésions de nature différente. La paralysie générale n'e
rol; elle n'est pas non plus une enfile morbide dont la cause et la lésion sont toujours les mê- mes, comme le voulait Bay
amélioration rapide par traitement mercuricl. La localisation de la lésion reste imprécise. \Téurite ascendante. MM. LIO
. M.LAMY. Femme atteinte à la suite d'un ictus, attribuable à une lésion du lohe temporal. Localisations motrices médull
et, pour ainsi dire, au commandement. Jamais le moindre symptôme de lésion cérébelleuse ; nul trou- ble de l'équilibre ou
bre 1905, en état de mal. 11 z-asanas dire qu'aucune des .multiples lésions constatées à l'autopsie n'a- vait été diagnosti
s la plupart des cas publiés ! l'agénésie partielle du cervelet, la lésion avait été latente ou du moins ne s'était traduite
urtout noyaux du pneumogastrique droit et de l'accessoire. C'est la lésion de ces derniers centres que les auteurs rattach
millimètres faites après durcissement au llüller, ne dénota aucune lésion in- flammatoire ou dégénérative. D'autre part,
ère cérébelleux droit ; on connaît d'autre part la prédilection des lésions de la péri- encéphalite pour les hémisphères cé
corps restiforme, vers le plancher du qua- trième ventricule. Les lésions , consécutives à l'absence de développe- ment de
s que l'atrophie croisée de la protubérance est de règle dans les lésions cérébelleuses unilatérales, expérimen- tales ou
ses anomalies des circon- volutions. On sait, d'autre part, que les lésions éten- dues d'un hémisphère cérébral entraînent
pas, et c'est en vain que l'on chercherait dans les observations de lésion unilatérale de ce dernier organe une atrophie m
noter encore : L'abolition du réflexe consen- suel qui indique une lésion périphérique de l'appareil innervateur de la pu
phénomènes différents qu'il faut étudier : 1° au point de vue de la lésion encéphalique elle-même ; 2° au point de vue du
ésion encéphalique elle-même ; 2° au point de vue du siège de cette lésion . Lorsque l'ictus du début s'accompagne d'ltcJJl
ifficile de faire la part de l'alcool, du tabac, du sucre, et de la lésion cérébrale, car toules ces causes contribuent à
visuel est rare à la pre- mière période el alors qu'il n'y a aucune lésion visible à 1'opltt.almoscope. Lorsque le champ
sert au dia- gnostic ÏO/OMg. La dyschromatopsie qui survient sans lésions ophtal- ;I) Jean Gai.I'.zoxyski. Thèse de l'nri
ême à ce degré, ni lira(T't-l;bin7, ni Kornfeld, n'ont trouvé des lésions ophtalmoscopiques expliquant ce fait. Quel- que
t moins étendue ; 3° Elle est bilatérale, le plus souvent, mais les lésions ne sont pas les mêmes dans l'un et l'autre oeil
i les troubles de la vision ne suivent pas une marche parallèle aux lésions oculaires, les lésions du fond de l'oeil évolue
sion ne suivent pas une marche parallèle aux lésions oculaires, les lésions du fond de l'oeil évoluent parallèlement aux lé
oculaires, les lésions du fond de l'oeil évoluent parallèlement aux lésions du cerveau.» ·> Les troubles pupillaires son
lorsqu'elle est bilatérale, signifierait pour le diagnostic : « une lésion nucléaire entraînant la paralysie du muscle cil
ent, la marche des symptômes ocu- lo-pupillaires. En général, les lésions ophtalmoscopiques progres- sent, mais le malade
En effet, à la période la plus avancée de la maladie, alors que les lésions sont très apparentes, cet examen de- vient très
g par rapport à l'énormité de la tare nerveuse et à l'intensité des lésions et des troubles fonction- nels du système nerve
'organe sénile et no- tamment de cerveau sénile, sans lésions'. Les lésions de tout organe sénile peuvent être essentiellem
lus ou moins modérée ou localisée des éléments intersti- tiels ; en lésions scléreuses des vaisseaux. Ces trois sortes de l
tiels ; en lésions scléreuses des vaisseaux. Ces trois sortes de lésions ne paraissent pas, en général, dépendre l'une d
dans son aspect extérieur et intérieur, et dans ses trois sortes de lésions diffuses : lésions du tissu nerveux, lésions du
érieur et intérieur, et dans ses trois sortes de lésions diffuses : lésions du tissu nerveux, lésions du tissu névroglique,
ns ses trois sortes de lésions diffuses : lésions du tissu nerveux, lésions du tissu névroglique, lésions des vais- seaux.
diffuses : lésions du tissu nerveux, lésions du tissu névroglique, lésions des vais- seaux. Nous avons réservé, un peu art
avons réservé, un peu artificiellement, pour les étudiera part, les lésions en foyer du cerveau sénile qui sont le résultat
veau sénile qui sont le résultat fréquent, mais non constant, des lésions diffuses, spécialement des lésions vasculaires.
fréquent, mais non constant, des lésions diffuses, spécialement des lésions vasculaires. 1° Le cerveau sénile ATROPHIQUE.-
s, et notamment les fibres tangentielles de Tuczek : cette dernière lésion est celle qui paraît avoir été surtout constaté
ile, peut-être avec la démence (5 cas,dont un personnel). Les mêmes lésions des cellules et des fibres, nerveuses et névrog
dans l'écorce et dans les noyaux gris centraux. 3° Vaisseaux. Les lésions artério-scléreuses des vais- seaux intra-cérébr
- seaux intra-cérébraux ne sont pas toujours proportion- nées aux lésions athéromateuses des vaisseaux de la base ; elles
d'un- même cerveau, ni même dans les vaisseaux les plus voisins. La lésion est une artérite le plus souvent totale ; plus
ce fibro-hyaline, la dégénéres- cence calcaire sont plus rares. Les lésions des capillaires sont peu connues ; la dégénéres
ni proportionnée à la sclérose des petites artères. 4° Toutes les lésions en foyer paraissent déterminées surtout par les
tération du parenchyme est peut-être une cause prédisposante. Ces lésions sont : 1. Des scléroses périvasculaires et « pa
gros foyers de ramollissement et à'hémorrhagie cérébrale. 5° Les lésions diffuses ne paraissent, au contraire, pas être
d'atrophie des cellules et des fibres nerveuses. ' 2° Les petites lésions en FOYER DU cerveau sénile. Deux variétés de pe
etites lésions en FOYER DU cerveau sénile. Deux variétés de petites lésions en foyer semblent à peu près exclusives à la sé
sez pro- noncé et parfois avec l'épilepsie sénile. 3° Les grosses LÉSIONS en foyer dans la sénilité. Les ramollissements
ério-sclérose cérébrale ne sont pas proportionnés à l'intensité des lésions vasculaires. Les signes de l'artériosclérose cé
cérébrale peut prendre, au début, l'aspect de la neurasthénie. Les lésions en foyers multi- ples peuvent simuler des ramol
qu'éprouve le vieillard de ne plus pouvoir marcher à la suite d'une lésion minime, cé- rébrale ou non, enfin et surtout pa
de méningite scléro-gommeu- se et l'artério-sclérose, soit par ses lésions diffuses, soit par des foyers de désintégration
rce cérébrale : dans les 5 cas jusqu'ici signalés de cette dernière lésion , il y a tou- jours eu de l'épilepsie sénile.
nsitifs, sensoriels, réflexes, etc., et, cela fait, d'envisager les lésions multiples du cerveau sénile,pour ten- ter enfin
regrets exprimés, j'arrive au fond de la question, à l'é- tude des lésions de la sénilité cérébrale. La lésion des cellu-
e la question, à l'é- tude des lésions de la sénilité cérébrale. La lésion des cellu- les cérébrales est indiscutable. Les
ré. Il est manifeste qu'on a exa- géré considérablement le rôle des lésions vasculaires. En réa- lité, l'atrophie sénile, l
iciel,que se réalise l'état vermoulu, qu'il faut rap- procher d'une lésion identique,selon moi, au niveau de l'é- pendyme.
semblent bien cliniquc- mentjouer un rôle tant qu'on méconnaîtrales lésions cérébel- leuses dont je signale l'extrême fréqu
lade qu'il a fait, dès le début, une tentative de superposition des lésions anatomiques et des syn- dromes cliniques ; en d
es para- plégies lacunaires seraient peut-être dues surtout à des lésions bilatérales des lobules paracentraux. D'un autre
des lobules paracentraux. D'un autre côté, dans certains cas où les lésions des faisceaux pyrami. daux dépendent manifestem
es cérébrales, d'une lacune de la capsule interne, par exemple, ces lésions pyra- midales sont pourtant beaucoup plus nette
ution du pro- cessus morbide est due à plusieurs causes, absence de lésions vasculaires, fréquence des hallucinations, etc.
ement à l'arrachement unilatéral du sciatique, on peut observer des lésions bilatérales des cordons postérieurs. On ne peut
t connaître à l'heure ac- tuelle le mode spécial de disposition des lésions ; aussi l'auteur se réserve-t-il d'étudier plus
nération primaire des fibres nerveuses comme d'origine toxique. Les lésions systématiques des faisceaux pyramidaux et des c
s pièces non fraîches, par la possibilité de mettre en évidence des lésions qui échap- paient aux autres méthodes de recher
érébral correspondant, plus ou moins marqué selon l'intensité de la lésion , et donnant la classique manifestation hémiatro
Dans tous ces cas, le développement du crâne s'adapte toujours à la lésion cérébrale et il en résulte une hémiatrophie crâ
on suivante : l'hémiatrophie crânienne est due exclusive- ment à la lésion de l'hémisphère cérébral correspondant. En somm
o-patliologiques obser- xées ont amené l'auteur à ne considérer ces lésions que comme des modifications secondaires et n'ay
lwopatlriyuu (Gilles de la Tourelle). 1'll. Atrophie musculaire par lésion d'un point du faisceau pyra- mitlal. avec lésio
hie musculaire par lésion d'un point du faisceau pyra- mitlal. avec lésions consécutives des cellules des cornes antérieu-
causes : action de l'écorce sur les muscles par l'intermédiaire de lésions matérielles ou dy- namiques des cellules des co
s, des troubles vaso- moteurs, des arthropathios fréquentes.-\l. La lésion de l'écorce ou du faisceau pyramidal amène des
les altérations trophiques qui inter- viennent dans les muscles par lésions cérébrales doiventleur ori- gine à la propagati
s par lésions cérébrales doiventleur ori- gine à la propagation des lésions des fibres descendantes dégéné- rées de la cell
ent cet arc neuro-musculaire on constaterait une prédo- minance des lésions , tantôt au niveau des muscles, tantôt au niveau
andis qu'au point 'de vue anatomique elle réalisait un type mixte à lésions à la fois spinales, nerveuses et musculaires. D
, il pose d'abord en premier lieu que la localisation corticale des lésions histologiques se rencontre sur- tout dans le lo
re sur- tout dans le lobe frontal de la zone motrice. La nature des lésions montre qu'il y a une désintégration complète de
stance chromatique, et dans une phase plus avancée on ob- serve des lésions nucléaires. Un point reste douteux : c'est celu
ions nucléaires. Un point reste douteux : c'est celui de savoir les lésions des éléments nerveux sont primitives, ou si ell
sont secondaires il des altérations vasculaires. Pour l'auteur, les lésions des éléments nerveux succèdent à un processus d
la moelle UN CAS DE COMPRESSION DE LA .MOELLE. 171 présente des lésions de dégénérescence des faisceaux pyramidaux, en
areils symptômes, on n'hésite pas à admettre qu'il doit y avoir des lésions de dégénérescence et par conséquent d'émettre u
pé. A la nuque on ne constate aucune défor- mation, aucune (race do lésion . Les membres inférieurs sont on extension compl
s de spasmodicité, mais qui anatomiquement ne s'associent pas à des lésions de dégénérescence. Déjà Charcot et plus tard
un commencement de syndrome de Brown-Séquart pour conclure à une lésion médullaire consécutive à une coin-- pression »,
is observations avec autopsie, dans lesquelles il n'a pas trouvé de lésions dégénératives, quoique les mala- des, pendant l
rs 1899. Sur une forme de paraplégie spasmodique consécutive il une lésion or- ganique et sans dégénération du faisceau py
nous autorisait pas, chez notre malade, à dire qu'il traduisait une lésion de dégé- nérescence, mais tout au plus un troub
'hémisphère droit pa- raît sain. L'hémisphère gauche présente les lésions suivantes à sa face inférieure : 1° A un centim
périphérie, non plus que le centre, ne sont in- durés ; mais cette lésion ressemble à une gomme syphilitique de petite di
hémisphères cérébraux,dans le centre ou l'isthme ne révèlent aucune lésion , et montrcntque les lésions ci-dessus décrites
le centre ou l'isthme ne révèlent aucune lésion, et montrcntque les lésions ci-dessus décrites ne s'étendent guère qu'à cinq
Le. 195 nombreux. En ce qui concèrne l'anatomie pathologique, les lésions , discrètes, sont variables et peu précises. Le
a syphilis s'y trouve constatée et par les commémoratifs et par les lésions encéphaliques. - Attaque hystéro-épileptique
observés chez ces deux malades ont presque tous pour origine des lésions situées en dehors du corps calleux et qu'en som-
à des altérations céré- brales diffuses (compression,intoxication, lésions vasculaires). Il reste, comme caractéristique,
e, constante chez les myxoedémateux in- fantiles, et l'existence de lésions dans les glandes thyroïdes, existantes, des mon
ngolisme la glande thyroïde est présente, mais elle est atteinte de lésions inflammatoires chroniques et quelquefois présen
e el. sur ce nombre, 2 seulement sont des phti- siques atteintes de lésions pulmonaires tuberculeuses ouver- tes. Or, dans
ansle sang elle liquide céphalo-rachidien des mala- des atteints de lésions du système nerveux, d'un corps qui a été regard
r tuberculose pulmonaire. L'examen histologique montra, outre les lésions des cellu- les nerveuses, une extraordinaire ac
s, une extraordinaire activité de la prolifération névroglique. Les lésions du cerveau et du bulbe frappentpar leur ressemb
sions du cerveau et du bulbe frappentpar leur ressemblance avec les lésions de la démence épileptique, deladémence organiqu
gauche s'associant un spas- me facial du côté droit, au cours d'une lésion méningo-mé- socéphalique.Le siègeintra-craniend
urs d'une lésion méningo-mé- socéphalique.Le siègeintra-craniendela lésion s'affirme par de la céphalée, de la diplopie, u
l est dans ce cas d'origine intra-cranienne, et surtout qu'une même lésion causale peut, suivant ses effets irritatifs ou
ont débuté à la suite du choléra) et par l'association de multiples lésions . F. 'f. IX. L'analyse mathématique des courbes
te hypothèse, il n'en est pas moins intéressant de voir comment une lésion localisée peut fixer chez une hystéri- que, les
e complication de l'otite dans sa marche envahissante. Il s'agit de lésions simplement os- seuses, carie de la pointe de la
ent à des types isolés, on en trouve d'autres qui font supposer des lésions ou des insuffi- sances fonctionnelles multiples
vent indolore : c'est là un bon élément de diagnostic, car dans une lésion osléo-articulaire la contracture est le résultat
entendu, doivent être corroborés par l'ab- sence constatée de toute lésion osseuse, articulaire ou synoviale. Mais il ne f
ans ces cas difficiles il faut faire la part de ce qui revient à la lésion organi- que provocatrice étala constitution név
E PATHOLOGIE NERVEUSE. 225 considérer ni comme étant simplement des lésions du muscle, ni comme relevant de névrites : il s
(Raymond). Le diagnostic en est relati- vement facile soit avec les lésions médullaires soit avec la chorée vulgaire de Syn
ion dans les premières années de la v ie, indolence, sy- métrie des lésions , siège électif des exostoses au voisinage des épi
t une hémorragie ré- tinienne à droite et même du myosis double. La lésion anatomi- que est une hémorrhagie cérébrale due
butant que, sous le nom de folie gémellaire, il comprend toutes les lésions psychiques qui peuvent se développer chez les j
2) qui, sur 1240 décès survenus de 180riL 1887, relève 322 fois des lésions tuberculeuses à l'autopsie, soit 25,9 %. Il don
s à l'asile de Prague, rencontra dans la moitié des cas environ des lésions tuberculeuses ; Le D'' Pandy Calman a repris la
n certain qu'on ne guérira jamais la démence confirmée, qui est une lésion anatomique irré- médiable. » Viennent ensuite
que s'il pullule dans l'intestin, c'est-à-dire à une époque où les lésions sont avancées et où le malade est depuis longte
et la réaction paraît se conserver d'autant plus longtemps que les lésions sont plus avancées. On élabore à l'heure actu
s citer l'exemple d'une paralytique générale en rémission guérie de lésions pulmonaires indiscutables (service du Dl' Boudr
Les aliénées tuberculeuses, agitées et dangereuses, celles dont les lésions sont trop avancées sont exclues de ce régime, m
archi, Weigcrt, Van Gieson, Mallary. On a trouvé dans la moelle une lésion à foyer caractérisé essentiellement par : altéra-
aire des parois, surtout de l'adventice et du tissu avoisinanl. Les lésions ont une intensité variée, allant du gonflement à
gaines myéliniques : tuméfaction el altération des cylindraaes sans lésions de continuité, et sans dégénération secon- dair
liseitla- · ble dans ce cas ; la névroglie, par la précocité de ses lésions , montre seulement une hvperplasie initiale. 11
t une hvperplasie initiale. 11 faut rapprocher de ces résultats les lésions I)aLliogétiiques expérimentales obtenues par Cl
Lel>on..f. SÉGLAS. XXXVIII. Etude par laméthode de Donaggio des lésions du réticulum neuro-fibrillaire de la cellule ne
méningile el consécutivement l'altération des éléments nerveux. Les lésions anatomo-pathologiques rencontrées expliquent la
remarqué que, dans la forme cafalonique do la démence précoce, les lésions prédominaient dans la couche des grandes cellul
la couche des grandes cellules pyramidaleset, au contraire, que ces lésions portaient sur la couche des cellules polymorphes
. ne doivent donc être acceptés qu'avec réserve au point de vue des lésions cellulaires fines : augmentation de volume des
plus intéressants au point de vue de la topographie en surface des lésions , quoique l'A. ait né- gligé de donner, même app
soit, S. fait re- marquer que, chez les trois sujets examinés, les lésions étaient à la période de début dans les deux cir
ntal, le réseau inlercellulaire était « notablement éclairci. » Les lésions de l'opercule (rolandique) étaient plus avancée
de l'écorce étaient à peu près également atteintes. S. décrit des lésions analogues dans les grandes cellules de la moell
p. 99 à 107, 1 février 1906.; Observation tout àfail remarquable de lésion des trois nerls mixtes, à leur passage dans le
lequel survécut à l'accident. B. fait justement remarquer que si la lésion des nerfs crâniens est assez fréquente dans ces
sur un de ceux des trois premières paires ; qu'il existe un cas de lésion du spinal, mais qu'on ne connaît nul autre cas
un cas de lésion du spinal, mais qu'on ne connaît nul autre cas de lésion des trois nerfs mixtes. Il discute longuement l
ie seulement le compte rendu anato- mique à cause de l'analogie des lésions et de celles décrites par Seharrer. (Neurol, Ct
exus de fibres myéliniques sont « exLraorlinairement denses. » La lésion , généralisée atout le névraxe, sur laquelle S. at
nts successifs irrégulièrement espacés. Dans l'écorce cérébrale, la lésion atteint surtout les grandes cellules de la ? )-
réfiées ; la couche des grains manque totalement. Dans le bulbe, la lésion prédomine dansles olives et dans les noyaux mot
pourtant si utile de connaître dans ce c.i·; l'énorme extension des lésions porte à se demander, en l'absence de toute donn
lusion était bien adapté au but poursuivi. S. pense qu il s'agil de lésions d'usure (Edinger) com- binées il un dév-eloppcm
e six années. A l'autopsie, on ne constata macroscopiquement aucune lésion notable du cerveau, mais l'examen histologique
cellules plasmatiques et des plasma- zellen. C'est à cette dernière lésion que l'auteur fait jouer le prin- cipal rôle dan
à des études diverses ayant pour objet les maladies mentales et les lésions qui les déterminent.Les résultats de ces recher
cas d'idiotie avec autopsie, dans la- quelle nous avons étudié les lésions si variées que nous avons pu rencontrer. Ce tra
non seulement sur l'état de la force, mais aussi sur le siège de la lésion ; en un mol, il fau- drait qu'il puisse nous fo
arci de nodules de broncho-pneumonie bacillaire ; à droite, mêmes lésions , un peu moins développées. On ne trouve plus trac
du mouton examinée avec soin, car il nous est arrivé de trouver des lésions , dernièrement un abcès volumineux (2). Nous c
e la mort survient souvent avant 20 ans ; - qu'elle s'accompagne de lésions profondes de la glande thyroïde (chez Cott ? de
erses causes possible de paralysie et éli- mine successivement : la lésion des troncs nerveux pendant l'opé- ration (rapid
être rapproché de cas déjà observés d'affection de Friedreich avec lésions cardia- ques, lésions de myocardite notamment,
déjà observés d'affection de Friedreich avec lésions cardia- ques, lésions de myocardite notamment, lésions valvulaires, all
edreich avec lésions cardia- ques, lésions de myocardite notamment, lésions valvulaires, allé- rationsdes centres cardiaque
ressants : d'abord la prédominance du (rouble du côté opposé à la lésion , puis sa disparition après l'intervention et sa r
roubles sphinctériens. D'au- tres symptômes prouvent l'existence de lésions siégeant sur le névraxe ailleurs qu'aux cordons
st bien certain que pour produire des troubles graves il faut des lésions très étendues au niveau du 4e ventricule. La lé
il faut des lésions très étendues au niveau du 4e ventricule. La lésion dans ce cas été fixe et assez limitée et n'a donn
L'examen du rocher fait ultérieurement montra qu'il existait deux lésions très distinctes. D'abord les lésions d'antrite et
ent montra qu'il existait deux lésions très distinctes. D'abord les lésions d'antrite et de ca- rie osseuse du toit sur les
ar les auteurs réside dans la coexistence sur le même sujet de deux lésions extrêmement 4C8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
verne pulmonaire tuberculeuse et d'une méningite tuberculeuse. La lésion pulmonaire chez le petit malade, caverne du volum
et le cervelet. Dans le cas des auteurs le foyer initial a été les lésions del'appareil pulmonaire et des ganglions tracti
ans le rhuma- tisme dyscrasique ou goutteux. La pathogénie de ces lésions méningées est la même, elles ne sont en effet q
ac ont vraisemblablement réalisé une inloai- cation bulbaire ou des lésions de vago-n6mite se traduisant par une excitation
ord alvéolaire et présentent bien les caractères cliniques de cette lésion . Sur le côté gauche et à peu près au milieu il
-thalamiques, pourrait bien être provoqué avec prédilection par des lésions de leploméningite dif- fuse. Certaines partic
males et toxiques dans le liquide céphalo-rachidien aboutisse à des lésions maté- rielles des méninges spinales. Cette pa
iques de il ! . Klippel et distingue nettement les démences dont la lésion est purement neuro-épithéliale de celles dont l
ces dont la lésion est purement neuro-épithéliale de celles dont la lésion est encore et surtout vasculo-conjonctive. La d
. Les démences paralytiques, les démences séniles, les démences par lésions or- ganiques sont ensuite exposées avec une gra
Hétérotopie de la moelle épi- mère, par Guido-Garbini, p. 147. Lésions cérébrales. oit Psy- choses. Lobe OCCIPIT.\L.
ystrophie périostale, par Po- rak et Durante, p. 217. Moelle. Des lésions de la dans la démence précoce, par Klippel et
ale (hémiplé- gique et aphasique). Prédomi- nances régionales des lésions dans les méninge-encéphalites par épuisement
surmenage mental à l'école, par Patini, p. 146. Psychoses. Les lésions cérébra- les dans les d'origine toxi- que, pa
llule nerveuse, par Besta. Etude par la mé- thode de Donaggio des lésions du - neuro-fibrillaire de la cellule nerveuse
56 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
e rein gauche (40 gr.), le rein droit (45 gr.) ne présentent aucune lésion . Le grand sympathique parait normal des deux cô
gré d'entropion à la paupière inférieure gauche. Iris bleus. Pas de lésions des globes ocu- laires. Nez camus (1), épaté. J
que. Tissu ferme, un peu pâle. Trou de Bolal oblitéré. Pas d'autres lésions . Abdomen. - L'estomac, les intestins, la rate (
stins, la rate (40 gr.), le pancréas (35 gr.), ne présentent aucune lésion . - Le foie (495 gr.) est décoloré, jaune et d'a
érules encore en voie de formation sous la capsule. Il n'y a pas de lésions scléreuses, mais toutes les cellules du parench
ant aux altérations qualitatives, elles sont très peu marquéos. Les lésions des fibres à myéline dans la couche corticale,
lande thyroïde. Parfois, peut-être, est-elle aussi produite par des lésions pa- thologiques de cette glande survenues duran
à l'autopsie des adultes atteints de cachexie pachyder- mique, de lésions sérieuses de la glande thyroïde et dans l'appar
tres que l'idiotie myxoedémateuse, nous n'avons pas trouvé d'autres lésions que cet aspect foetal du cerveau. IDIOTIE MYX
accusés que ceux qu'offrent les idiots myxcedémateux, c'est que la lésion pathologique (cachexie pachydermique des adulte
l'ensemble de l'organisme. L'idiotie, au contraire, est due à des lésions ou à un arrêt de développement du cerveau. A ce
énumération que nous empruntons à M. Baillarger, nous trouvons des lésions qui se rencontrent également dans l'idiotie myx
CEPHALITES CHRONIQUES DE L'ENFANCE II. Contribution à l'étude des lésions histolo- giques de la substance grise dans les
e-préparateur d'histologie à la Faculté de médecine. L'histoire des lésions chroniques de l'encéphale a été très longue à é
ites, que nous apportons au- jourd'hui. Nous ne parlerons que des lésions de l'enfance, et BOUII11EVILLE, Bicêtre, 1889.
et Marie, Pozzi, Richardière. Nous nous sommes en effet attaché aux lésions qui laissent en place les circonvolutions, et s
sence de petits kystes à leur surface et dans leur épaisseur. Ces lésions se traduisent cliniquement par l'idiotie, le gâ
ur deux raisons ; la pre- mière et la plus importante c'est que les lésions étant absolument diffuses, comme dans les démen
émences où la paralysie générale a son terme, une telle recherche LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. 115 serait
ns ces cas nous envisagerons, sans nous occuper de topographie, les lésions de l'écorce grise seulement; celles du moins qu
effet, sans repères précis, il est impossible de reconnaître une lésion diffuse même étendue; et, ces repères, il les f
u nombre de cinq, d'après le schéma donné il y a dix-huit ans par LÉSIONS HISLOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. 41Î Meyner
celles de L. Edinger entre autres. Nous n'avons pu rechercher cette lésion qui pourtant existe presque à coup sûr dans les
e étagée pour nous. Mais ce n'est pas assez pour la topographie des lésions ; et il faut pouvoir donner ces cinq nappes supe
ffisamment sur les pièces traitées par l'alcool. Ces faisceaux se LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. 1119 divis
sens ver- tical. Il sera donc presque aussi aisé de préciser une lésion diffuse et vague, caractérisée seulement par un
rtons sont relatives à des idiots de quatre ou sept ans; avec les lésions de méllingo-encéphalite plus ou moins pro- nonc
kystes celluleux avec épanchements sanguins chez un idiot; car ces lésions peuvent servir à établir une transition entre l
utre de nos malades mort dans le même cas présentait le caractère LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. 121 hémorr
, nous signalons ce fait en passant, parce qu'il est comparable aux lésions expérimentale des poumons déterminées par Traub
érimentale des poumons déterminées par Traube, Schiff, etc., par la lésion du bulbe et des pédoncules cérébraux, et parce
rmanni ont signalé la même broncho-pneu- monie, coexistant avec des lésions du pneumogastrique chez les paralytiques généra
somme, les cinq couches de la substance grise ne présentent pas des lésions nettes; la substance blanche offre des lésions
e présentent pas des lésions nettes; la substance blanche offre des lésions de désintégration. Sur le milieu de cette premi
ses qui rayonnent dans la substance grise. Du côté de celle-ci, les lésions sont les mêmes pour les cinq couches; la vascul
s cellules interstitielles. L'hippocampe du côté gauche a les mêmes lésions que la pre- mière frontale. Il existe des foyer
Les faisceaux muscu- laires eux-mêmes ne paraissent pas altérés. LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. 123 Nous v
encore, et l'atrophie des élé- ments nerveux portée très loin. Ces lésions sont générales et dif- fuses. Il n'y a nulle pa
ré l'atrophie plus marquée du côté gauche du corps, il n'y a pas de lésions en foyers à droile, ceci n'est pas rare dans les
lables. D'ailleurs les deux hémisphères étaient égaux en poids. Les lésions assez légères d'ailleurs observées du côté des
rise. (Bourneville et Pilliet, Soc. anat., 18().) Disons un mot des lésions de la névroglie, pour n'avoir plus à y revenir,
ous nous bor- nons à les signaler. Le rôle des vaisseaux dans ces lésions déjà anciennes paraît peu considérable. Nous ve
s idiots plus jeunes qu'il n'en est pas toujours ainsi et que les lésions sont plus marquées toujours autour des capil- l
des grosses cellules, on observe, vu la grosseur des éléments, des lésions plus nettes. Les cellules sont t diminuées de n
e blanche, présente ces mêmes séries morcelées par disparition de LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. -125 5 cel
n peut observer sur les coupes. Sur une coupe du lobe pariétal, les lésions sont absolument du même ordre, mais plus avancé
s cellules pyramidales moyennes que l'on retrouve l'évolution des lésions cellulaires telles que nous venons de l'indiquer.
cellules de Purkinje, sont admirablement conservées. En résumé, les lésions paraissent plus marquées sur les régions postér
posent toujours des deux mêmes éléments, sclérose interstitielle et lésions des cellules pyramidales, évoluant parallèle- m
méninges (Bourneville et Banmgarlen, Soc. anatomique, 1888). Les lésions , dans ce cas, étaient bien celles de la méningo
aisse de la substance grise avait été enlevée avec la pie-mère. Les lésions de l'écorce étaient pourtant fort semblables à
seulement idiot, mais épileptique, ce qui s'accorde encore avec une lésion active, en pleine évolution, déterminant une ir
émise, quoique cette atrophie soit réelle; et il suffit de corn. LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. Il -) -i p
., mort à huit ans; à l'autopsie, induration des hémisphères; les lésions étant semblables, l'examen n'a porté que sur le c
dû à la macération de la pièce dans l'alcool empêche qu'on juge des lésions qu'elle peut présenter, même sur les pièces dég
la moelle que dans les racines coupées avec elle. Ainsi, avec des lésions étendues de la convexité des hémisphères, nous
vons une moelle relative- ment saine; donc on peut supposer que les lésions diffuses, si avancées parfois, que l'on trouve
ne sont consécutives qu'à l'alté- ration lente de l'encéphale. Les lésions de la convexité sont ici très marquées, l'idiot
'asphyxie des nouveau-nés, comme cause de l'idiotie. Nous ne dis- LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. 129 cutero
UES DE LA SUBSTANCE GRISE. 129 cuterons point ici la pathogénie des lésions , mais le nombre des apoplexies des nouveau-nés
s corps granuleux. Dans le lobe paracentral gauche, on constate des lésions exac- tement semblables. L'hippocampe gauche
blables. L'hippocampe gauche a été examiné aussi; il présente des lésions beaucoup moins avancées que la convexité; les sér
de cette corne ainsi que la colonne de Clarke sont conservés. Cette lésion est symélriquc. La partie du faisceau latéral c
préparations à l'acide osmique. Nous trouvons donc toujours la même lésion de l'écorce se produisant toujours au même poin
l'écorce se produisant toujours au même point; de plus, ici, les lésions delà moelle existent, portant sur les cellules
portant sur les cellules nerveuses elles-mêmes, avec très peu de lésions de la conductibilité. Les symptômes d'idiotie c
onductibilité. Les symptômes d'idiotie complète concordent avec les lésions diffuses de la convexité, comme dans nos autres
ratif de cerveaux de nouveau-nés nous a été utile pour préciser les lésions , à cause de l'âge peu avancé du sujet; de même
maternel alcoolique ; mère nerveuse; frères morts de convulsions; LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. '1 ;-11 co
es. Les coupes au niveau du lobule paracentral montrent les mêmes lésions plus avancées, les foyers de désintégration forme
e après coloration au picro-carmin et montage au baume présente des lésions diffuses très mar- quées dans la substance blan
ique, nous les retrouvons, coïncidant il est vrai, avec les mêmes lésions d'atrophie et d'état chagriné à l'oeil nu. L'at
s et demi. Salacité, conjonctivite purulente, varioloïde en 1881. LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. 133 A l'au
profonde à la suite d'accès répétés, jusqu'à soixante par jour. Les lésions que présente ce dément, fort jeune il est vrai,
des trois premières couches et présente à ce niveau trois ordres de lésions qui se succèdent irré- gulièrement sur les coup
mieux comprendre qu'une description le siège et l'aspect de cette lésion . Dans le cervelet, les éléments de Purliinjc so
e Purliinjc sont assez nombreux, il n'y a pas de corps granuleux. LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. 135 Observ
issement de la circonvolution et l'état chagriné de la surface. Ces lésions sont à leur maximum au sommet de la circonvolut
due à l'action de l'alcool sur les pièces. Ici, rien de pareil, la lésion est évidente et comme elle est encore petite no
û au retrait qu'a subi la pièce dans l'alcool. Sur des points où la lésion est plus avancée, il existe autour de ce réseau
illes conjonctives en plus ou moins grande épaisseur; plus loin, la lésion est plus avan- cée encore. Ces fibrilles conjon
Ces bandes ne sont pas pures, mais contiennent un certain nombre LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. '13ï d'ama
sent au point de former un tissu aréolaire visible à l'oeil nu. Ces lésions expliquent l'état chagriné qui résulte de l'effon
heures dans ce réactif. f. Lobe occipital clroit en dehors de la lésion . Vaisseaux nombreux, vascularisés, cavité large
u quatrième ventricule, au-dessous des olives, montrent d'abord des lésions péri-vasculaires très marquées, surtout du côté
us, un certain nombre de tubes nerveux persistent. En résumé, les lésions du bulbe et de la moelle sont consécu- tives, a
sont consécu- tives, ainsi que celles de la couronne de Reil. Les lésions de l'écorce sont surtout marquées au niveau de la
t atrophie des cellules nerveuses ; 3° formation des cavités. Ces lésions forment aussi à la surface des hémisphères un cer
'après tout ce que nous avons regardé jusqu'ici. Résulte-t-elle des lésions que nous venons cle passer en revue ? Est-elle
ue nous venons cle passer en revue ? Est-elle le pre- mier degré de lésions plus étendues, telle que la sclé- 1 bourneville
icon ? Epilepsie ? rocacrsioef.lrchices de Nemofoic, 1888, 1. 26. LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. tu rose lo
leptiques aliénés âgés, ayant tous deux dépassé la quarantaine. Les lésions se rapprochent beaucoup, chez ces épilep- tique
autres formes de démence. C'est, en effet, un aboutissant commun de lésions différentes. Mais on retrouve un certain nombre
âgé. Coupe d'une des circonvolutions frontales du côté gauche. Les lésions des premières couches de l'écorce sont comparab
Examen HISTOLOGIQUE.- L'hémisphère droit n'a pas été examiné, les lésions étant d'apparence semblable des deux côtés. Les c
une quantité considérable de petits noyaux sphériques appartenant LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. ,lit Il au
sphériques très peu abondants, s'amincit aux poinls extrêmes de la lésion et disparait dans la couche superfi- cielle de
our de la plupart d'entre eux; ils morcellent la substance grise. Lésions de la substance blanche. - Dans la substance blan
tuées par les mêmes tissus fibrillaires que dans la précédente; les lésions de la substance grise au pourtour du foyer sont
e. Dans les espaces qui séparent ces rangées de cellules, espaces LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. '[/t3 par
t fortement colorés. Dans la substance blanche, on voit les mêmes lésions que dans les préparations précédentes; les vaisse
étendu que celui que nous avons décrit sur le frontal, montrent des lésions absolument semblables, mais la traînée des- cen
it affaire à de véritables foyers hémorrhagiques en ce point. Les lésions d'encéphalite au voisinage présentent les mêmes
plus volumineux sont entourés d'une paroi fibrillaire nette. Mêmes lésions que plus haut dans la substance grise. Cervelet
cs est notable- ment épaissie, le nombre des tubes diminué, mais la lésion est la même sur tous les cordons. Il n'y a pas
tout point. t44 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. Moelle 10mbai1'c. - Les lésions sont les mêmes, la tuméfaction des cellules et
écédent. Ils étaient seulement plus profonds et plus accentués. Les lésions histologiques différaient en un point de celles
, ont été exa- minés sur des coupes et ne présentaient pas d'autres lésions que leur état légèrement atrophique, semblable
semblable à celui qu'on trouve dans les lé- sions de dénutrition. LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE G1USE. '145 plus
ue nous ne puissions indiquer les relations réciproques de ces deux lésions . Conclusions. - On voit que les lésions qui ont
ons réciproques de ces deux lésions. Conclusions. - On voit que les lésions qui ont été décrites dans les observations qui
ultipliés, opacifiée, puis fibrillaire, puis enfin vacuolée, et ces lésions se présentent sous la forme de points, puis de
cellules, l'abondance des corps granuleux, mais non le reste. Les lésions diffuses que nous avons pu voir dans la moelle,
sa- tion. Ne pouvant rien dire de précis sur la pathogénie de ces lésions , nous avons préféré n'en pas parler. Par suite
de façon à débrouiller l'histoire naturelle de la production des lésions , il s'ensuit que nous n'avons pu les rattacher,
Lépiue. - Archives de Physiologie, p. 439, 1869. Herberl Mayor. - Lésions hislologiques de la substance grise, chez démen
ement â paz·tir de trois ans. Etat du malade au 1er février 1890. - Lésions scrofuleuses et rachi-' ' Voir aussi le Compte
stence chez B..., comme chez la plupart de nos autres malades, de lésions scrofuleuses et de déformations rachitiques, inté
................................ 11` ? o, Contribtttion t'étude des lésions histologiques - de la substance grise dans les
57 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e, le diagnostic des diverses formes entre elles et même avec les lésions en foyer intra-hémisphériques corticales ou profo
claircir les obscurités, de superposer exactement les symptômes aux lésions . Peut-être arrivera-t-on ainsi à expliquer la v
gion frontale une éraflure cutanée sans importance. Il n'y a pas de lésions de la boite crânienne. Après ouverture de la
ées de la méninge sont un peu imbibées de sang, mais lisses et sans lésions . Pas d'épanchement sanguin ni de lésions dans l
sang, mais lisses et sans lésions. Pas d'épanchement sanguin ni de lésions dans l'épaisseur de l'hémisphère. ' La sylvie
l du côté du mésocéphale. Le coeur est gros (450 gr.), gras, sans lésions orificielles. Les poumons sont congestionnés. L
a succession des diverses tuniques qui sont atteintes d'ailleurs de lésions manifestes : l'endartère est épaisse, présentant
ies de la sylvienne (point de départ de l'infiltration sanguine), lésions des artères cérébrales, léger degré de sclérose r
, clinique et thérapeutique. If. - Considérations- générales. Les lésions révélées par l'examen nécropsique du sujet de n
anatomique retenir seulement deux faits : D'abord l'existence de lésions de sclérose rénale et en général de lésions art
D'abord l'existence de lésions de sclérose rénale et en général de lésions artérielles ; en second lieu la présence : d\1ll
t anévrysme. Goodhart a bien insisté sur leurs relations avec les lésions rénales : vingt fois sur quarante-neuf cas il. y
te du volume d'un petit pois par exemple comme dans notre cas où la lésion portait sur une artère de moyen calibre, ou bie
sme miliaire siégeant sur une artériole pie-mérienne, au fond les lésions sont à peu près les mêmes et leur mécanisme patho
NERVEUSE. , moitié droite du corps. Ces contractures du côté de la lésion ne constituent point une anomalie-dans l'histoi
on ne constituent point une anomalie-dans l'histoire clinique des lésions méningées, et il y a de nombreuses années déjà qu
où l'on notait de la contracture du membre supérieur du côté de la lésion . Il est donc possible que les contractures dire
te modification du réflexe plantaire signalée par Babiuski dans les lésions orga- niques-du système neuro-moteur central et
réunies. En présence de tels malades on a bien l'impression que la lésion est en varia- tion ou mieux qu'elle évolue et p
ison d'être dans le mode d'insLalla- tion et la progressivité de la lésion . L'épanchement sanglant détermine sur les centr
ire, d'ailleurs peu important, au-dessous de la pachy- méninge. Ces lésions secondaires peuvent évidemment jouer un rôle mo
tiennent sous sa dépendance les raideurs ob- servées du côté de la lésion par irritation de lapachyméninge conformément a
graduellement. Mais s'il est difficile de séparer cliniquement une lésion intra-cérébrale d'une lésion péri-cércbrale, il
difficile de séparer cliniquement une lésion intra-cérébrale d'une lésion péri-cércbrale, il est peut-être encore plus di
ont bas, à peine bombé. Arcades sourcilières peu saillantes. Aucune lésion des yeux. Iris bruns. réagissant bien à la lumi
é, la corne d'A 1111/10n et le ventricule lui-même n'offrent aucune lésion . Le lobule de l'instcfcc avec ses trois digitatio
n'offrent rien de particulier. Sur cet hémisphère il n'y a pas de lésions de ménil1go-encé¡;halite, tandis qu'il en exist
férieur est fortement congestionné. Le poumon gauche n'offre aucune lésion tuberculeuse. Cceuu. Le péricarde est sain. L'o
mplie de caillots cruoriques. Le trou de Dotal est oblitéré. Pas de lésions des orifices. Abdomen. - Estomac, intestins,
des îlots de sclérose ( ? ). Le rein gauche est le siège des mêmes lésions . De plus, il y a vers son extrémité supérieure
face, constipation, etc., étaient sans doute dus à l'existence des lésions méningiliques chroniques qui étaient du reste b
reuses des ventricules latéraux et les petits néoplasmes des reins, lésions qui sont constantes. EXPLICATION DES PLANCHES
a fin relèvent d'une cause diffé- rente (hémorrhagies). Enfin les lésions corticales macroscopiques et histologiques, en
) ; athérome des artères cérébrales et piemériennes. Pas la moindre lésion d'encéphalite inflammatoire, ni adhérences ni opa
ue centrale, ce que vient corroborer la présence d'autres signes de lésion des centres nerveux tels que affaiblissement in
arfaitement dans l'un des trois types cliniques qu'il a décrits, la lésion centrale ici n'est point nucléaire à son avis m
ion. En résumé, si la psychothérapie ne peut faire disparaitre la lésion organique, lorsqu'elle existe, elle peut restaure
te restauration fonctionnelle, annihiler la puissance funeste de la lésion . Elle n'a pas la prétention de remplacer toutes
ssionnel ; c) Le mouvement de la population illustré du tableau des lésions trouvées chez les décédés, en face des diagnost
ions, il faut noter des cas innombrables où l'abla- tion même de la lésion causale n'a pu amener qu'une période relativeme
d'anormal, la pie- mère est congestionnée, mais il n'existe pas de lésion visible, ni esquille, ni exostose, ni trace d'h
. A part ce dernier détail les circons- tances de la maladie et les lésions trouvées à l'autopsie rapprochent ce fait du pr
e épilepsie dite jacksonnienne ou idiopathique; il faut chercher la lésion qui produit les décharges... Il n'y a pas de ch
fente palpébrale, » Ces troubles oculaires seraient causés par une lésion de la VHP racine cervicale d'où partent les filet
mineux parti de la rétine pour aboutir à la pupille ? Où siégera la lésion qui le supprimera tout en conservant l'action d
de la fente palpébrale causés, selon toute vraisem- blance, par une lésion radiculaire atteignant l'origine du sympathique
malade, syringomyélique, présentait du côté gauche les signes de la lésion du grand sympathique (myo- sis, diminution de l
Robertson. Ainsi nous ne pouvons supposer chez nos malades qu'une lésion de méningo-myélite irritant la 1 paire dorsale ai
nt la myélite spasmodique et le signe d'Argyll, ce dernier, par une lésion encore inconnue. Cependant nous ferons remarque
é dans des travaux antérieurs, vient nous révéler avec certitude la lésion du faisceau pyramidal. D'autre part, nos 110 0
t des lors des spasmodiques avec signe d'Argyll. Très rarement la lésion du faisceau pyramidal siégera dans le cerveau,
'il se présente avec une paralysie spasmodique créée par une double lésion cérébrale, la droite relevant de l'enfance, la
maladie, aussi peut-on admettre que chez eux la syphilis a créé une lésion médullaire combinée, d'une part une myélite chr
t une myélite chronique pro- gressive du type Erb, d'autre part des lésions tabétiformes. Cette association a été en effet
insi le tableau d'un tabes légitime. A l'autop- sie on constate des lésions tabétiformes des cordons posté- rieurs et une m
'une part que ce signe soit créé par la syphilis en dehors de toute lésion tabétiforme des cordons postérieurs, par un méc
ore inconnu, d'autre part qu'il soit l'indice d'une 'association de lésions tabeliformes avec des lésions de myélite transv
soit l'indice d'une 'association de lésions tabeliformes avec des lésions de myélite transverse, le signe d'Argyll dénonçan
ques, ombrées de cils longs et bruns. Les yeux ne présentent pas de lésions ni de troubles de la réfraction. Iris marron, p
gie, 1899, nU 21.) En étudiant les dégénérescences consécutives aux lésions des tubercules quadrijumeaux supérieurs chez le
cette dernière est plus énergique qu'à l'état normal par suite des lésions qui augmentent la difficulté de la conduction o
des malades avant la maladie. C. ScuÉPILOFF. VII. Remarques sur les lésions observées dans un cas de paralysie spinale chro
inpliadénoïdes. et un rétrécissement des artères : cet ensemble de lésions représente bien au point de vue anatomo-patholo
a première, on a ici les conditions de la naissance, le siège de la lésion , qui bien qu'au niveau de la zone de distributi
ès. Si l'on admet l'étiologie hémorrhagique, il est probable que la lésion remonte au moment de la naissance, et l'apparit
présentent une disposition radiée des circonvolutions autour de la lésion , et Gierlich a montré que dans la paralysie infan
ait peut-être de rapporter principalement à ce point le siège de la lésion . Enfin l'auteur étudie en terminant le spasme d
faisceaux moteurs parla cicatrisation qui s'effectue au siège de la lésion et se propage le long de ces faisceaux. D'autres
dernier pourtant parait légèrement ramolli en son centre, mais sans lésion circonscrite ni corticale et sans altération de
ques tiennent à l'étendue et à la prédominance en divers points des lésions et à l'âge où le mal apparaît. F. f3olsslea.
recte de la REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. L53 lésion , puisque celle-ci n'intéressait que l'hémisphère
soit à cause des anamnestiques, soit en raison de la coexistence de lésions tuberculeuses dans d'autres organes. ' Malgré
anches orbitaires du trijumeau ne pourrait dans ce cas. exister. La lésion doit fata- lement siéger dans la cavité orbitai
D'après l'auteur ces accidents ne sauraient être attribués à une lésion médullaire : le diagnostic différentiel doit se l
comme accident transitoire dans l'hystérie. L'hémianopsie due a des lésions vasculaires du cunéus débute souvent par un obscu
rme, pour la lumière; mais l'hemiachromatopsie est plutôt due à une lésion sur un point quelconque des voies optiques, sit
res corticaux. L'hémianopsie en quart de cercle peut être due à une lésion de la capsule interne. Les fibres de la région
alade (qui vit encore) présente en outre une paralysie bulbaire par lésion de la région des noyaux c'est-à-dire une paraly
cellules et fibres nerveuses). L'auteur croit à la simultanéité des lésions pareilles mais indé- pendantes du cerveau et de
de troubles mentaux pouvant faire soup çonner la coexistence d'une lésion cérébrale localisée '. L'hérédité dans la paral
tion des tissus est nécessaire pour expliquer la produc- tion de la lésion . Maladies mentales familiales. M. BOISSIeR. - M
M. Babinski s'appuie sur ce fait pour montrer que dans le tabes la lésion porte sur les voies centripètes, ce qui explique
xplique l'immobilité du côté sain, ou bien dans le pseudo-tabes, la lésion intéresse les voies centrifruges. Association
sion intéresse les voies centrifruges. Association du tabès et de lésions syphilitiques. M. Babinski présente deux malade
ndique. Les convulsions jacksonniennes in- diquaient le siège de la lésion . Ces deux malades ont été opérées. Les résultat
s le BIBLIOGRAPHIE. 173 cas de Déjerine, elle relève toujours des lésions nucléaires : c'est donc une complication, une a
r, se tient dans une prudente réserve sur le siège possible de la lésion . Faut-il, avec Marie et Gowers, rayer l'atrophi
es et des polynévrites proprement dites, il existe des formes où la lésion frappe à la fois la cellule et le cylindraxe :
ique. Rapporteurs : Roth (de Moscou), Ferrier (de Londres) ; 5° Des lésions non tabétiques des cordons postérieurs de la mo
rteurs : MM. D. Ferrier (de Londres), et W. Roth (de Moscou). Les lésions non tabétiques des cordons postérieurs de la moel
e lorsqu'il existe certaines THÉORIE DES NEURO-DIÉRECTRIQUES. 209 lésions nerveuses que j'appelle les ae2cro-diélecf·iqtces
nnaissons encore que les neuro-diélectriques grossiers. Ce sont ces lésions nerveuses qui ont été constatées en corresponda
y une place à part dans la noso- 'graphie. Tantôt il n'y a pas de lésions , tantôt ce sont des lésions variées (myélite, p
oso- 'graphie. Tantôt il n'y a pas de lésions, tantôt ce sont des lésions variées (myélite, polynévrite, altération de to
er, la paralysie de Landry est un syndrôme auquel correspondent des lésions anatomiques qui ne sont pas toujours les mêmes.
acile de multi- plier les exemples de différences existant dans les lésions post- mortem, chez les personnes mortes de ce q
plus, aucune unité, et par suite, aucune relation causale entre ces lésions anatomiques et la symptomatologie admise ne sau
lusion. Etant donnés l'inconstance des symptômes cli- niques et des lésions pathologiques, le vague de l'étiologie, il est
r un nom qui est à la fois inutile et trompeur. A. POULAIID. XXX. Lésion cérébrale par contre-coup ; par les D ? DE BucK e
bout de douze jours, avec des symptômes de paralysie bulbaire. Les lésions constatées à l'autopsie consistaient dans une fél
ttant d'affirmer qu'un traumatisme puisse déter- miner d'emblée une lésion du groupe externe des cellules, de la corne ant
teur croit plutôt que c'est le développement brusque sinon de cette lésion (qui pouvait exister à l'état latent depuis que
édoncules cérébelleux supérieurs, dans leur trajet pédonculaire, la lésion enfin du pied du pédon- cule cérébral gauche et
nu dans la déno- mination de névrose, c'est-à-dire de maladies sans lésions et sans cause, que l'on donne à la maladie de B
ines, les psychoses viscérales avec les auto-intoxications dues aux lésions des organes, et enfin les psychoses diathésique
ne de l'hémisphère cérébral. L'examen histologique démontra que les lésions des méninges et de l'écorce cérébrale sont géné
epsie. chorée, tétanos, rage, etc.; le reste embrassait l'étude des lésions trauma- tiques, des vices de conformation, des
ns les autres branches de la pathologie. On se mit à distinguer des lésions parenchymateuses et des lésions interstitielles
hologie. On se mit à distinguer des lésions parenchymateuses et des lésions interstitielles. L'induration grise devint la scl
des amyotro- phies spinales, des amyotrophies symptomatiques d'une lésion des centres trophiques du névraxe. ARCHIVES,
on des cellules des cornes antérieures de- la moelle constituait la lésion anatomique principale de l'atrophie musculaire
'une forme d'atrophie muscu- laire progressive, en rapport avec une lésion des cellules tropho- motrices des cornes antéri
, formant autant de systèmes ana- tomo-physiologiques distincts, la lésion isolée de chacun d'eux se traduisant par des ma
en- trevu l'existence, dans le cerveau, de deux territoires dont la lésion engendre, pour l'un, une hémianesthésie, pour l
on avait reconnu les rapports de l'épilepsie uni- latérale avec des lésions de l'écorce grise, cantonnées dans une région c
composent en territoires aux fonc- tions très différentes et que la lésion isolée de chacun de ces terri- toires se révèle
es des maladies de l'encéphale. Aux affections, en rapport avec des lésions diffuses du cerveau et de ses enveloppes, nous
stic topo- graphique rigoureux parce qu'ils sont en rapport avec la lésion d'un territoire aux fonctions psychiques bien d
at d'épuisement, d'une intoxication, de celles qui sont liées à une lésion organique; de discerner celles qui sonl cura- b
vant souffrir aucun contact, augmente l'excitation, s'accompagne de lésions , comme meurtrissures, ecchymoses, et constitue
ce moyen : il est nécessaire lorsque le malade tend à se faire des lésions importantes, il est quel- quefois également néc
pas non plus dans le système de No- Restraint la camisole en cas de lésions chirurgicales, bien qu'elle soit admise dans le
thèse 1, M. Garnier s'est, en effet, constamment trouvé en face de lésions qui attestaient l'excès de fonctionnement des é
s glandulaires spécifiques. Dans l'infection éberthienne, à côté de lésions de phlébite avec thrombose, « le parenchyme éta
uer dans les glandes thy- roïdes des animaux mis en expérience, les lésions d'excitation sécrétoire, et l'issue de la matiè
e : « Depuis que MM. Roger et Garnier ont montré la fréquence des lésions thyroïdiennes, au cours des maladies générales,
e aiguë sur la glande, puis, après guérison complète du malade, les lésions thyroïdiennes peu- vent persister, entraînant t
ant les cavités ventriculaires, peut être résistante et simple. Les lésions de l'hydrocéphalie peuvent être asymétriques et c
endant la vie intra-utérine, comme inflamma- tion intra-utérine, ou lésions de la mère pendant la grossesse. La scaphocépha
riques de la macula ont toujours été observées dans tels cas, et la lésion essentielle du cerveau semble être la dégénéres
de la paralysie générale infantile); IV. Cas paralytiques. 1. Les lésions pathologiques dans les cas éclamptiques, ceux a
établit que, dans 16 cas où on a pratiqué l'examen post mortem, les lésions macroscopiques ordinaires de la paralysie génér
nt à la dernière catégorie. S'il n'y a pas de convulsions, et si la lésion du cerveau est peu étendue, un progrès mental a
normalement prolongé ; ou moins souvent à l'usage du forceps et les lésions produites par des accidents ; 2° Les cas post-f
rares cas, à l'écra- sement par le forceps. En règle générale, les lésions sont localisées à la région de la scissure de R
circonvolutions, a été relevée avec évidence. D'après Wilmurth, la lésion par les coups est plutôt diffuse que locale, mais
es qui n'ont pas été mentionnés, c'est-à-dire tumeurs du cerveau, lésions chroniques des membranes, et altérations du crâne
osera avec le progrès de nos connaissances. La base de toutes les lésions anatomiques des cerveaux d'idiots est la déviat
il faut cher- cher son origine dans la vie embryonnaire ou dans les lésions pathologiques qui se produisent dans la plus te
êt de développement des circon- volutions sans malformations, avec lésions des cellules nerveuses (Idiotie congénitale idi
eau ( ? ) ; 6° Idiotie hémiplégique ou diplégique symptomatiques de lésions en foyer dues à une oblitération vasculaire ou
pement avec ou sans malformations, ou reconnaissant pour causes des lésions survenues après la naissance (I. microcélrhaliqne
servé aucun cas d'idiotie pouvant être rattaché exclusivement à une lésion osseuse, en particulier à une synostose prématu
si- dère que ce phénomène ne se produisit chaque fois qu'avec une lésion exclusive du centre auditif ou avec sa participat
clusive du centre auditif ou avec sa participation, jamais avec une lésion isolée du centre moteur lui-même : cela seul écar
tre les anarthries et les aphasies : Les anarthries résultent d'une lésion des neurones de pro- jection qui constituent le
oir une origine corticale, et n'est pas seulement le symptôme d'une lésion bulbaire ou pseudo-bul- baire de la région caps
sous-corticale. Les aphasies, par contre, sont la conséquence de la lésion des neurones d'association intra-corticaux ou t
symptômes qui en découlent sont en rapport avec la complication des lésions . Dans l'aphasie motrice e 328 CONGRÈS INTERNATI
INTERNATIONAL DE MÉDECINE. pure (sans agraphie) ou aphémie pure, la lésion est localisée dans les neurones d'association q
particularité, ce n'est pas, comme on l'a enseigné, le siège de la lésion dans les faisceaux blancs sous-jacents à l'écor
aisceau pédiculo-frontal inférieur de Pitres), mais c'est plutôt la lésion localisée dans les faisceaux d'association que
ment dites. Réservant le nom d'aphasie au trouble provoqué par la lésion des neurones d'association dans la zone du lang
n conséquence de classer les aphasies motrices d'après le siège des lésions dans les faisceaux d'association qui aboutissen
aboutissent à la circonvolution de Broca ou qui en émanent, que ces lésions soient dans les cellules d'origine des neurones
fication suivante : APHASIES MOTRICES A. Aphasies motrices pures. Lésion isolée des neurones d'asso- ciation du centre d
hémie pure, sans agraphie, ni autre complication motrice corticale. Lésion des faisceaux de neurones qui mettent le centre
s aphémie, ni complication motrice ou sensorielle corticales ( ? ). Lésion du faisceau des neurones qui relient le centre
es doutes sur sa réalité clinique.) B. Aphasies motrices complexes. Lésions combinées des divers faisceaux qui partent du c
es principaux : 1. Aphasie motrice vulgaire (type Bouillaud-Broca). Lésion plus ou moins complète de plusieurs faisceaux d
psycho-moteurs, qui sont eux-mêmes plus ou moins atteints par la lésion . (Les diverses variétés cliniques de l'aphasie mo
aphasie motrice sous-cor- ticale, et qui est une conséquence de la lésion des neurones phoné- tiques de projection des op
le et l'aphasie motrice se confondent. 2. Aphasie sensorio-motrice. Lésion plus ou moins complète des neurones d'associati
qu'il y a aphasie totale. 3. Aphasie avec troubles intellectuels. Lésions multiples et variées des neurones d'association
ns du cer- veau ont noté des troubles de la vue aussi bien dans les lésions du cerveau antérieur que dans celles de la sphè
moïde et la sphère visuelle. Après extirpation de la dure-mère sans lésion de la pie-mère, on observe, en opérant aseptiqu
s avec évidence, qui ne peuvent certainement pas être imputés à une lésion indémon- trable au niveau de la sphère de Munk.
lésée et si on attend la disparition des troubles qu'entraîne cette lésion , et qu'on inté- resse par une altération superf
de paralysie bulbaire asthénique. A l'autopsie il n'existait aucune lésion en foyer. L'examen micro- scopique, pratiqué su
e dans les circonvolu- tions motrices du côté gauche l'existence de lésions assez limitées de l'écorce cébrale. Le pied du
omènes d'excitation d'ordre moteur dont peuvent s'accompagner leurs lésions doivent être interprétés comme des actions à di
ue de l'hémiplégie est un traitement externe d'un symptôme, dont la lésion causale échappe souvent aux investigations thér
ut être appliqué parallèlement avec n'importe quel traitement de la lésion centrale. Le traitement mécanothérapeutique ou
toute seule, que l'hémiplégique marchera un beau matin seul, si la lésion centrale guérit, sinon, tant pis, il restera te
rition de la myéline dans les centres nerveux ; ses travaux sur les lésions systématiques de la moelle (1877-1878), sur les
aux sur les lésions systématiques de la moelle (1877-1878), sur les lésions du tabès, sur l'anatomie du ceiveau et l'histoi
ale (1874-1883-1889). En 1874, Hitzig fait remarquer qu'après une lésion du lobe occipital, l'oeil du côté opposé est frap
r localisation correspondent à la classe des atrophiés simples sans lésions de la moelle et que jusqu'à présent la réaction d
e nerf est situé plus profondément, est appliqué sur le siège de la lésion en général facile à déterminer. Avec un hérosta
ne communication d'Arton sur les troubles du sens muscu- laire, par lésion cérébrale, où il se trouvait chez trois malades
lésion cérébrale, où il se trouvait chez trois malades atteints des lésions organiques. Ce syndrome rappelle un com- plexus
ai qui, à ce qu'il semble, n'a pas encore été fait, on voit que les lésions sous-corticales et corticales de la branche sen
t motrice sont bien connues ; mais il ressort du schéma que pour la lésion transcorticale de la branche motrice on doit su
ick, ceux de Halm et de Bruns; quant aux cas où l'on a constaté des lésions grossières du cerveau, on ne peut pas éliminer av
e M. Fr. Pick, également d'origine orga- nique. Il s'agissait d'une lésion du premier lobe temporal gauche, dans le gyrus
quatre classes : 1° Foyers lacunaires de désintégration. C'est une lésion très fré- quente dans les cerveaux de vieillard
tat « fromage de gruyère » considéré par certains auteurs comme une lésion véritable ; n'est en réalité qu'une altération
eillards, pour ainsi dire le fait habituel. Parmi ces vieillards, à lésions cérébrales circonscrites, certains peuvent deve
xpliquer cette contradiction apparente ? Comment comprendre que les lésions , dans un cas, n'engendrent pas de paralysie, al
re, d'un ou de plusieurs autres facteurs se surajoutant à la ou aux lésions lacunaires; parmi ces facteurs celui qui m'a pa
et Marco Trêves. Sur la physionomie el la progression de certaines lésions cellulaires corticales accompagnant les acciden
ouze malades, morts de maladies générales (pneumonie, 'tuberculose, lésions du foie, lésions du rein), avec des troubles me
ts de maladies générales (pneumonie, 'tuberculose, lésions du foie, lésions du rein), avec des troubles mentaux plus ou moins
ins troubles fonctionnels cérébraux; mêmes accen- tués, sans que la lésion correspondante de l'organe soit appré- ciable à
blications antérieures, insisté sur la physionomie typique de cette lésion , dont nous rappellerons seulement ici les caractè
s mettre très nettement en évidence le parallélisme d'intensité des lésions cor- ticales, des troubles mentaux et des accid
e peut s'appliquer avec la même vraisemblance à l'explication des lésions que nous avons rencontrées. Ces lésions, que no
lance à l'explication des lésions que nous avons rencontrées. Ces lésions , que nous avons vainement recherchées dans un g
res autopsies d'origine variée, dont le type est fort différent des lésions banales que l'hyphertermie, l'agonie, la décomp
rales. De même que les polynévrites sont formées de symptômes et de lésions tou- jours les mêmes ou à peu près, quel que so
que soit leur cause (alcoo- lisme, tuberculose, etc.); de même les lésions corticales, que nous signalons, resteront les m
atrie. 429 M. TOULOUSE. Dans la paralysie générale on observe des lésions cellulaires semblables. Les partisans de l'origin
e leur opinion. J'ai eu récemment l'occasion de constater les mêmes lésions dans des cerveaux de malades ayant présenté des
acilement par le traitement médico-pédagogique. L'idiotie relève de lésions cérébrales variées : sclérose atrophique, sclér
s cerveaux per- mettent de se rendre compte de la clinique et de la lésion . Les deux planches que nous reproduisons, conce
et pas de trancher la discussion en suspens au sujet du siège de la lésion anatomique du zona, et malgré la présence de tr
&eMe.'réflexes rotuliens manquent ; il l'autopsie on trouve une lésion des cordons postérieurs ; Deuxième type. Para
e des orteils ». Par sa constance dans certaines affections, avec lésions du système nerveux central, ce phénomène acquiert
s du faisceau pyra- midal. Ce trouble relèverait, évidemment, d'une lésion ner- veuse localisée, ayant amené un certain de
moteur volontaire. Ceci démontrerait donc nettement l'existence de lésions localisées dans la plupart des cas de pseudo-pa
nce. - L'idiotie morale est produite par des malformations et des lésions morbides cérébrales ; elles sont moins bien connu
s la première observation, d'une congestion méningée, sans aucune lésion histologique des cellules de l'écorce examinée pa
ue des cellules de l'écorce examinée par la mé- thode de Nissl. Des lésions très importantes furent constatées chez la mala
e frontale gauche et du lobule paracentral démontra l'existence des lésions suivantes : 1° Distension des grandes cellules
p. 100 des cas. 5m/" la physionomie el la progression de certaines lésions cellulaires corticales accompagnant les acciden
uze malades, morts de mala- dies générales (pneumonie, tuberculose, lésions du foie, lésions du rein), avec des troubles me
s de mala- dies générales (pneumonie, tuberculose, lésions du foie, lésions du rein), avec des troubles mentaux plus ou moi
tains troubles fonctionnels cérébraux, même accentués, sans que la lésion correspondante de l'organe soit appréciable à nos
e peut s'appliquer avec la même vraisemblance à l'explication des lésions que nous avons rencontrées. Ces lésions, que no
lance à l'explication des lésions que nous avons rencontrées. Ces lésions , que nous avons vainement recherchées dans un g
es autopsies d'origine variées, dont le type est fort différent des lésions banales que l'hyperlhermie, l'agonie, la décomp
est exceptionnelle et peut être causée par shock nerveux ou par une lésion secondaire de la moelle. . 7° L'abolition des
ux de la moelle. 9° L'abolition des réflexes patellaires dans les lésions trauma- tiques de la moelle cervicale ou dorsal
national DE médecine. communication de Bastian, d'après laquelle la lésion transversale supra-lombaire est suivie d'une pa
our expliquer l'abo- lition de ce réflexe ; 3° on observe encore la lésion transversale complète et l'absence du réflexe d
erfora- tions lentes, les tumeurs par exemple; 4° si le siège de la lésion supra-lombaire est plus élevé, on voit encore a
e syn- drome de Bastian. C'est ainsi qu'on l'observe dans certaines lésions dorsales, aussi bien que dans les lésions sous-
l'observe dans certaines lésions dorsales, aussi bien que dans les lésions sous-cervicales ; 5° l'opi- nion de Bastian n'e
es réflexes cutunés et tendineux découle une autre conséquence : la lésion des fibres cortico-spinales entraîne l'aboli- t
èrement d'accord avec M. Bruns. Je n'ai pas dit que dans les cas de lésion transversale complète de la moelle, toute réfle
a voie pédocz=ulairc; par 1\111\0 DÉJOEJNE - (de Paris). Dans les lésions corticales et sous-corticales de la zone sensitiv
motrice il n'est pas rare de constater en particulier lorsque la lésion remonte à l'enfance ou lorsque chez l'adulte elle
midal une diminution de volume du ruban de Reil du même côté que la lésion cérébrale et qui peut être suivie dans les fibr
e la méthode de Marchi à l'étude systématique d'une série de cas de lésions récentes corticales ou sous-corticales dans la
nution de volume du ruban de Reil médian que l'on constate dans les lésions de la zone sensitivo-motrice anciennes ou remon
ceaux de la moitié du tronc encéphalique du côté correspondant à la lésion corticale. 3° Que la voie pédônculaire peut pos
éthode de Marchi les dégénérescences secondaires consé- cutives aux lésions corticales, sous-corticales, pédonculaires ou b
s coupes micros copiques sériées. \ Aphasie 1not1'ic : pure, avec lésion corticale circonscrite ; par lAG.ILIBÈS (de Por
OGIE. ' 505 Sylvius, en bas par la scissure de Sylvius ; en haut la lésion n'ar- rive pas jusqu'au sillon frontal inférieu
ou surdité verbale, sans trouble sensitif* ou moteur; d'antre part, lésion corticale limitée à une partie du pied de 1-"3.
, où le con- trôle anatomique a été insuffisant. Pour savoir si une lésion est vraiment corticale ou sous-corticale, si el
rmettent de se prononcer sur le siège, le nombre et l'éten- due des lésions de la corticalité et sur les faisceaux sous-jacen
hésie tactile et douloureuse. De celles-ci, 7 correspondaient à des lésions corticales, frappant le lobe pariétal seul, ou le
506 congrès international DE médecine. tal et d'autres lobes. Les lésions pariétales s'étendaient en profon- deur jusqu'a
s'étendaient en profon- deur jusqu'au ventricule latéral. Les douze lésions centrales (six hémorragies de la capsule extern
douze lésions centrales (six hémorragies de la capsule externe, des lésions du noyau lenticu- de la couche optique, etc.) i
mais j'en ai vu plusieurs chez lesquels, malgré l'apparition de la lésion des nerfs optiques, le tabes avait continué à é
, cela tient peut-être, non pas à une sorte d'action d'arrêt que la lésion oculaire exerce- rait, mais à ce que les formes
ée, mais pourtant sou- vent modifiée. Si cette atrophie précède les lésions médullaires ou survient dans un état plus ou mo
e, les diffé- 508 congrès international DE médecine. 1 rences des lésions étant de nature quantitative, mais sans distinc-
(de Budapest), et FlSIlER (de New-York). Résumé du rapport sur Les lésions 1lOn-tabélirlues des cordons i)os- térieurs de
ostérieurs est montrée par les dégénérescences qui suivent : 1° les lésions des racines posté- rieures, 2." les lésions de
es qui suivent : 1° les lésions des racines posté- rieures, 2." les lésions de la moelle elle-même qui interrompent la cont
moelle elle-même qui interrompent la continuité des cordons, 3" les lésions de la substance grise. Faisceaux exogènes. La d
hologiques des cordons postérieurs con- sidérés en rapport avec les lésions qui les produisent. a. L'atrophie musculaire pr
nt dégénérées. b) Les tumeurs cérébrales produisent fréquemment des lésions dans les cordons postérieurs, qui sont parfois
dégénérescences rétrogrades à partir des noyaux des cordons. Ces lésions sont dues probablement il des dégénérescences asc
bande étroite, entre les cordons de Goll et de 1,>ui-- dach. Ces lésions sont dues probablement à l'extension immédiate
ures, qui sont presque invariables, sug- gèrent que la nature de la lésion est un développement des neu- rones sensitifs d
affection de la substance grise. Dans le paraplégie ataxique les lésions ressemblent à celles de la dégénérescence combi
m Erkrankung de Rothmann et la dégénérescence combinée subaiguë. La lésion est surtout marquée dans les ré- gions dorsales
00), l'extension s'y voit en 20 p. 100 des cas. Quand il existe une lésion organique ou une atteinte fonctionnelle des cor
tellesquel'liyslérie, la neurasthénie, est très active quand il y a lésion du faisceau pyramidal ; il suffit alors, pour p
ngite localisée des méninges molles de la moelle; il en résulte une lésion des racines postérieures et d'une partie des raci
imites normales. Supposons la tonicité musculaire affaiblie par une lésion céré- belleuse et surtout par la dégénérescence
cliniques de l'anesthésie et de l'analgésie de ces régions dans les lésions spinales ascendantes. Il en tire que le territoir
rent leur sensibilité d'une autre hauteur de la moelle, soit que la lésion ait épargné certains segments de la coupe de ce
AL. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 519 XXXIII. Lésion anatomique dans un cas de paralysie uni-latérale
le était encore maîtresse de~sa paupière. On trouva, l'autopsie les lésions de la paralysie générale et une atrophie microsco
oyau du pathé- lique, sont normaux. Ce serait, dans l'espèce, une lésion primaire des cellules, exactement comme dans le
r droit associé à une rétinite gauche. Il s'agit probablement d'une lésion des tubercules quadri- jumeaux d'origine typhiq
la paralysie générale. Ce réflexe serait souvent le seul indice de lésions pyramidales au cours de la paralysie générale.
le a pleinement confirmé les diagnostics des médecins ; plusieurs lésions du cerveau ont motivé l'état léthargique dans leq
rie et quelques formes mentales, par û0lltlll, 45. Cellulaires. Lésions - corticales dans les accidents mentaux des m
cornes antérieures en action, par Luxem- burg, 133. Cérébrale. Lésion - par contre- coup, par de Buck et van der Li
iver- sités allemandes, par P. Sérieux, 193, 371, 473. Cocaïne. Lésions nerveuses dans l'empoisonnement leut par la-,
0. Cellules nerveuses rie 1'01- corce dansia, par Agapoff, 514. - Lésion de la paralysie de l'oculomoteur commun dans la
270. d'une adolescente, 78. Supplice de lloriu, 77. Tabétiques. Lésions non - des cordons postérieurs, par Bruce, 509
é, 164. Symptô- - mes pupillaires dans le -, par Piltz, 165. - et lésions syplnliu- ques, par Babinski, 167. - et traum
58 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
al sur son développement. Il dit que, dans les cas où il existait des lésions viscérales, elles n'étaient autres que des lésion
où il existait des lésions viscérales, elles n'étaient autres que des lésions propres à l'infec-tion purulente. Un peu plus tar
e un terme à l'existence. Il ne nous reste donc plus qu'à décrire les lésions anatomo-pathologiques. Deux autopsies nous fourni
Planche I. ARTHROPATHIE DU GENOU c h t. z une a t a x i q u e ( Lésions an a ta m ique s ) à dix ans. — Crises gastriqu
ubercules, presque crétacés, au sommet du poumon gauche; pas d'autres lésions pulmonaires. — Cœur, rien. — Foie,sain; un calcul
s ont les mêmes caractères, et sont, en outre, fongueux. Toutes les lésions que nous venons d'exposer sont figurées sur la Pl
gueuse, mamelonnée. (Pl. 11, A.) Extrémité supérieure du tibia. Les lésions , en général, sont les mêmes. Les deux tiers exter
interne et vers son bord supé-rieur. (Pl. II, E.) Genou droit. Les lésions trouvées dans celte jointure étaient les mêmes qu
la tête de l'humérus. La cavité glénoïde de l'omoplate présente des lésions analogues : sa surface, est rugueuse, érodée comm
loration violacée, ou jaunâtre, diffuse, dans plusieurs endroits. Ces lésions étaient d'autant plus marquées que le tissu de la
e trou-ver dans l'utérus ou dans ses annexes le point de départ de la lésion morbide. La péritonite est étudiée avec soin dans
e peut être causée, soit par l'empoisonnement puerpéral, soit par une lésion ou du système circulatoire, ou des organes respir
une place importante dans la thérapeutique des plaies compliquées de lésions osseuses ou articulaires. — Outre que ces apparei
ppement de la maladie, les douleurs arti-culaires et musculaires, les lésions endopéricardiques concomitantes. Ces trois raison
ation. Les faits s'expliquent très-suffisamment de cette façon. Les lésions endopéricardiques constituent, en faveur de la na
fond. Trop souvent, en effet, nous rencontrons en même temps que ces lésions d'autres altérations qui doivent bien mieux nous
s abcès métastatiques des poumons, des reins, etc. L'en-semble de ces lésions plaide bien plus l'admission d'une complica-tion,
ouvent une cause locale a passé inaperçue. Mais chez quels sujets une lésion médullaire occasionnelle a-t-elle le plus de chan
i les sépare. (La planche VI donne une idée exacte de ces différentes lésions . On voit en dehors un endroit ombré qui ré-pond à
ires. Ainsi, on remarque : 1° l'usure qui, croyons-nous, constitue la lésion principale pour l'épaule ; 2° les bourrelets osse
durée de ces deux périodes est très-différente. Dans la première, les lésions marchent vite ; en quelques semaines elles sont p
appréciable, ni coups, ni chocs, etc. Il est probable que, alors, la lésion de la moelle à laquelle on est autorisé de rattac
éraux. Les crises gastriques, entre autres, paraissant dépendre d'une lésion du grand sympa-thique. Siège. « 11 est assez va
rt direct entre l'arthropathie et le degré plus ou moins avancé de la lésion dans le côté correspondant de la moelle. Anatom
rable, à marche rapide, des os eux-mêmes ;— telles sont plus tard les lésions prin-cipales de l'arthropathie de l'épaule. Usu
ux variétés, l'une dans laquelle Y atrophie serait pour ainsi dire la lésion capitale, l'autre dans laquelle il y aurait plutô
eurs exclusivement sur la corne antérieure du côté correspondant à la lésion articulaire. Elle siégeait à la région cervicale
s arthropathies avaient conservé des mouvements assez étendus ; 2° la lésion de la substance grise diffé-rait essentiellement
utation d'un membre ou de la section des nerfs qui s'y rendent1. La lésion des cornes antérieures si elle vient à s'étendre
es atteints d'ataxie locomotrice. Enfin, l'évolution ultérieure des lésions articulaires est bien dif-férente. L'hydarthrose,
éformation, les commémoratifs d'une part, ensuite la localisation des lésions à une jointure, à deux tout au plus, l'absence de
nombre de commu-nications relatives à ïépilepsie, produite, soit par lésion de la moelle épinière, soit par lésion du sciatiq
ïépilepsie, produite, soit par lésion de la moelle épinière, soit par lésion du sciatique, soit par lésion des nerfs des membr
lésion de la moelle épinière, soit par lésion du sciatique, soit par lésion des nerfs des membres inférieurs; sur la zone épi
riques développés dans les hémisphères cérébraux et rentrant dans ces lésions récemment étudiées avec soin par M. Cotard dans s
ë, la sclérose spinale, l'ataxie locomotrice, déterminent souvent une lésion congestive et plus tard alrophique de la papille
miner l'histoire des arthropathies qui forment le pre-mier groupe des lésions articulaires, d'origine trophique, auxquelles M.
rophie musculaire progiessive; l'autre chez un homme à la suite d'une lésion traumatique de la mo lie. Observation V. — Atro
der Nervenkrank-heiten, p. 571. semble y avoir, au point de vue des lésions , un rapport entre les arthropalhies des ataxiques
nes cornes anté-rieures de la substance grise présentent, entre autre lésions , une atrophie profonde et la disparition même d'u
grandes cellules nerveuses1. iii. arthropathies consécutives a une lésion tralma'f ique de la moelle. Nous n'en connaisso
mple dû à M. Viguès. Nous en donnons le résumé2 : Observation VI. — Lésion traumatique de la moelle. — Arthropa-ihie du geno
opalhic se rapprocherait beaucoup plus de celle des ataxiques que des lésions articulaires que l'on rencontre chez les hémiplég
Charcot. et Joffroy, Deux cas d'atrophie musculaire progressive avec lésions de la substance grise et des faisceaux anléro-lat
me VI, p. 125. guale ni rougeur, ni chaleur, etc. ; et, de plus, la lésion de la moelle nous paraît la môme , à savoir ; lés
et, de plus, la lésion de la moelle nous paraît la môme , à savoir ; lésion des cellules de la partie antérieure de la substa
de la partie antérieure de la substance grise. Le second groupe des lésions articulaires susceptibles d'être ratta-chées à de
compression de la moelle (tumeur, mal de Pott, etc.), soit après une lésion traumatique du centre nerveux spinal, soit dans l
mais sont, au contraire, sous la dépendance plus ou moins directe des lésions de la moelle ou du cerveau. Sans plus de préambul
ble attribuable, ici, qu'à un trouble de la nutrition consécutif à la lésion de la moelle en quelque sorte détruite en un poin
ant à 4 centimètres environ au-des-sus de la queue de cheval. -—Les lésions trophiques — arthropathies, eschares, — sont ap-
ntures du côté paralysé. VI. ATTITUDE ET CONTRACTURE DES MEMBRES. - LÉSIONS ARTICULAIRES QUI s'ORSERVENT CHEZ LES HÉMIPLÉGI
lies pour la plupart à la Salpêtrière, M. Cotard résume et classe les lésions anatomiques, indique les causes capables de les p
est extrêmement remarquable, dit-il, que, quel que soit le côté de la lésion cérébrale, les individus hémiplégiques depuis leu
as, un mutisme absolu joint à une idiotie com-plète coïncide avec des lésions atrophiques considérables des deux hémisphères. —
ons faire voir que la connaissance des dé-formations des membres, des lésions des jointures, etc., n'est pas moins curieuse et
us. Voyons maintenant quelles étaient les autres particularités de la lésion . La rupture siégeait ici sur la face antérieure
ité péritonéale; on y trouva un liquide sanieux, fétide et les autres lésions delà péritonite.— Un point mérite encore d'être r
; pas de calculs. — L'estomac, le pancréas, la rate, n'offrent aucune lésion . — La veine cave inférieure, les vei-nes iliaques
as cette femme de vaquer à ses affaires. L'autopsie nous montra les lésions suivantes : os du crâne et de la face sains. Hu
nt la veille par un violent coup de mè-che de fouet. A l'examen, la lésion qui frappe au premier abord est une tumeur du vol
peu de photophobie et du larmoiement. M. Broca reconnaît dans cette lésion de la conjonctive une eschare dont il enlève immé
-dant que la plupart des kystes observés se sont développés après une lésion directe de l'iris ou des annexes de l'œil. Dans l
e ; attaques éclamptiques, coma, mort. — Altération urémique du sang; lésions cérébrales. — Héloïse Watre-metz, 56 ans, vit ses
e. Chez un enfant mort au troisième jour, Bœckel rencontre, outre les lésions sous-périosti-ques, deux foyers apoplectiques dan
les dans une étendue égale sur chaque face de l'os. Telles sont les lésions primitives des médullites, lésions qui très-souve
ue face de l'os. Telles sont les lésions primitives des médullites, lésions qui très-souvent existent concurremment, mais qui
que aigu, ostéomyélite, ostéite juxta-éphiphysaire. Il est d'autres lésions consécutives aux précédentes, et qui leur sont im
récédentes, et qui leur sont immédiatement liées. Nous avons cité les lésions périostales et les fusées purulentes consécutives
pression des vaisseaux du canal et né-crose. Dans un autre ordre de lésions anatomo-pathologiques viennent l'ensemble des phé
ntanées qui en sont la conséquence. (Roser.) Après avoir étudié les lésions primaires, initiales, des médullites, les lésions
ès avoir étudié les lésions primaires, initiales, des médullites, les lésions secondaires nécessaires et d'autres éventuelles,
ort a été très-rapide. Si elle a tardé quelques jours, on observe des lésions disséminées un peu partout, et qui se rapprochent
ulaires, des œdèmes et suppurations du tissu cellulaire. Toutes ces lésions ne coexistent pas, et, sans pouvoir donner les rè
r bqubnevii.le 1 — suite — VI. ATTITUDE ET CONTRACTURE DES MEMBRES; LÉSIONS ARTICULAIRES qui S'OBSERVENT CHEZ LES HÉMIPLÉGIQU
te, sur l'état de la parole, etc. Avant de résumer ce qui a trait aux lésions articulaires et les caractères principaux des mem
traînées (hands) possé-dant un haut degré de réfraction, en somme les lésions qu'on voit dans le squirrhe. La seule particula
té de cette forme, la singularité de ses symptômes, de sa marche, ses lésions multiples, une certaine mode lui ont valu dans ce
lence, ni tendance à la stupeur. Autopsie. Nous ne relevons que les lésions de l'appareil urinaire. Les reins sont hypertroph
et œdème du poumon droit. Légère hypertrophie du cœur (405 gr.). Ni lésions valvulaires, ni surcharge graisseuse. — Quelques
onfondues, pâles, jaunâtres (75 gramm.); le rein droitoiïre les mêmes lésions , à un degré encore plus avancé : il ne pèse que 5
i que les désordres de l'uropoièse dé-pendent plus de l'étendue de la lésion que de son degré, il est in-contestable que, chez
able que, chez notre malade, ils devaient être considérables, car les lésions intéressaient toute l'étendue des glandes rénales
utions sont saines et de nombreuses coupes ne font découvrir aucune lésion . — Lecrvelet et V isthme pèsent 170 gr. Thorax.
pâles au centre, confuses sur leurs bords.— Vessie, saine et vide. Lésions rénales répondant au troisième degré des néphrite
découvrir chez cet homme. Le cerveau était parfai-tement sain. Or les lésions , portant sur les deux reins et sur l'en-semble de
importante à savoir que, le plus souvent, l'état diathésique prime la lésion et qu'on ne doit voir dans beaucoup de maladies q
le où il montre que les eaux sulfureuses s'adressent spécialement aux lésions de la muqueuse utérine, tandis que les eaux alcal
ine, tandis que les eaux alcalines et salines sont indiquées dans les lésions des tissus parenchymateux et cellulaires. Toutefo
comme le résultat d'une irritation sympathique dépendant de quelque lésion utérine, et, d'au-tre part, par Churchill, comme
tion abdo-minale, permet d'arriver à une appréciation plus exacte des lésions existantes. Tel est, en quelques lignes, le rés
opinion, et cepen-dant à l'autopsie on n'a trouvé aucune trace d'une lésion sembla-ble.— La variété d'étranglement interne qu
bser-vation suivante est remarquable à la fois par la multiplicité de lésions variées et par celle du siège de ces lésions. O
s par la multiplicité de lésions variées et par celle du siège de ces lésions . Observation. — Adolphe X... a aujourd'hui 2 an
le siège d'une desquamation épidermique. Nous ne trouvons là au-cune lésion élémentaire qui puisse être rapportée à l'eczéma,
s de vésiculation (il n'y a pas trace de vésicules), d'exsudation (la lésion est sèche, il n'y a pas d'ulcération sous les pla
l'eczéma). D'un autre côté, la rougeur sous-jacente, le siège de la lésion peu-vent faire penser à la pellagre; mais nous n'
nt une rougeur intense; ces caractères ne s'appliquent qu'à une seule lésion générique : le psoriasis. Mais quelle est la vari
trique, il est vrai, mais le malade ne sait dire si l'évolution de la lésion s'est faite simultané-ment et également des deux
e nous avons affaire à une arthritide. Les caractères objectifs de la lésion sont ici suffisants pour reconnaître la maladie,
malade sujet de cette observation, sauf sur un point, le siège de la lésion . Dans les cas d'après lesquels est faite sa des
paume des mains et la plante des pieds sont le siège principal de la lésion ; notre malade présentait des squames de psoriasis
. Cette influence extérieure seule n'ex-pliquerait pas la présence de lésions analogues aux pieds et aux par-ties sexuelles. No
t à s'affaiblir, n'ont pas en-core subi d'atrophie appréciable. Les lésions occupent donc surtout les membres supérieurs, ain
Epaule et thorax du côté droit. — Il existe du côté droit les mê-mes lésions que du côté gauche, mais, comme nous l'avons déjà
côté, et dont nous allons dire quelques mots: nous voulons parler des lésions analo-miques que l'on rencontre dans cette maladi
ilhier, était vraiment sédui-sante.... mais comment expliquer par une lésion première aussi net-tement limitée une atrophie au
e même muscle?... Gomment, en outre, concilier cette théorie avec les lésions multiples de la moelle et même des nerfs, énumôré
t facial. 11 n'y a rien qui paraisse étrange dans cette diffusion des lésions ; c'est, au contraire, un argument en faveur de l
llaires ont une influence marquée sur la nutrition des muscles. — Les lésions de la moelle qui sont plus particulièrement en ra
On doit donc considérer certains cas d'atrophie mus-culaire comme des lésions de nutrition, consécutives à une irrita-tion médu
e la moelle épinière explique seul la distribution irrégu-liôre de la lésion des muscles... De leur côté, MM. Charcot et Jof
on particulière des cellules de la sub-stance grise. Serait-ce là une lésion constante dans l'atrophie mus-culaire progressive
gnalée. L'altération paraît se développer souvent sous l'influence de lésions diverses (sclérose dif-fuse, sclérose en plaques,
usculaire pro-gressive ; de plus, il y a une relation intime entre la lésion trophique des fibres musculaires et celle des cel
he et les terminai- sons de la maladie, tant par la nature môme des lésions que par les amputations toujours graves qu'elles
it, n'entraîne pas un pronostic fâcheux. Elle doit faire craindre des lésions étendues, et par suite une nécrose peut-être cons
arce qu'elle est très-rare dans l'hémiplégie liée à l'existence d'une lésion cérébrale en foyer et qu'elle est, au contraire,
re très-habituellement dans la paralysie avec contracture, liée à une lésion organique spinale, lorsque les cordons latéraux s
igueur, s'appliquer à un cas d'hémi-plégie organique, résultant d'une lésion profonde de l'encéphale, hémorrhagie ou ramolliss
tent au contraire toujours à un cer-tain degré dans l'hémiplégie, par lésion en foyer du cerveau1. 2° Notez ensuite l'existe
'il s'agissait de l'hé-miplégie spinale, c'est-à-dire résultant de la lésion d'une moitié unilatérale de la moelle épinière, l
une anomalie considérable dans un cas d'hémiplégie consécutive à une lésion cérébrale, car en pareil cas la rigidité tardive
, que, chez cette femme, il s'est produit, à une certaine époque, une lésion scléreuse des cordons latéraux, lésion que la néc
it, à une certaine époque, une lésion scléreuse des cordons latéraux, lésion que la nécroscopie permettrait actuellement de re
s leurs fonctions normales. J'ajouterai enfin que l'existence d'une lésion organique spinale plus ou moins profonde serait m
s cuta-nées (zona, ectnyma, etc.), développées sous l'influence d'une lésion spontanée des nerfs. Jusqu'ici il semble qu'on n'
être rangée dans la catégorie des troubles trophiques consécutifs aux lésions spontanées des nerfs. MALADIES DES VOIES [JUINA
LÈTES DES NERFS Observation : Saignée. — Gangrène consécutive à des lésions traumatiques de filets nerveux, par M. Yitrac.
rison. —La dissec-tion de la partie amputée ne révèle aucune trace de lésion artérielle, mais une section incomplète du muscul
egrettable que cette observation ne soit pas plus dé-taillée, que les lésions ne soient pas mieux décrites et que l'état de l
uvements. Ces trois doigts deviennent froids. Il y avait probablement lésion maté-rielle de quelques filets du nerf médian. Ap
nt, sous celte dénomination vague, ils ont compris presque toutes les lésions qui peuvent se manifester sur la langue, à cette
les plaques muqueuses, les syphilides tuberculeuse et ulcéreuse, les lésions tardives intermédiaires; puis, dans un paragraphe
e tuberculeuse et ulcéreuse, on peut encore y faire rentrer certaines lésions que j'ai appelées lésions tardives intermédiaires
e, on peut encore y faire rentrer certaines lésions que j'ai appelées lésions tardives intermédiaires ; — 3° Dans la plupart de
aisselle, l'omoplate, le cou, le thorax, ex-plorés, je conclus que la lésion est limitée à l'extrémité supérieure de l'humérus
heures. La première cautérisation fut faite sur toute l'étendue de la lésion , les deux au-tres furent partielles et eurent lie
st, au dire du malade, qu'il y a cinq semaines qu'on s'a-perçut de la lésion qui nous occupe. — Les fonctions du malau" sont r
musculaire de la face. (Voy. planche XXX.) C'est donc un exemple de lésion du tronc des nerfs frontaux, branches du nerf fac
ulaire et la peau du crâne avoisinante. Les parties supérieures de la lésion sont détruites et des cicatrices s'y sont formées
u'on pourrait attribuer, soit à l'état relativement plus avancé de la lésion , soit à quelques différences de nature encore trè
ou), donné par Virchowà la rate ainsi modifiée.—Dans d'autres cas, la lésion respectant les corpuscules, envahit les éléments
cie quand la maladie suit une marche chronique. En même temps que ces lésions , on en trouve d'analogues dans le foie, les poumo
rales. On voit que les symptômes s'expliquent assez nettement par les lésions . V. Etiologie. — Les fièvres d'origine palustre
par l'accumulation du pigment dans les viscè-res; toutefois, quand la lésion ne gagne pas les centres nerveux, quand elle rest
VEAU par bourneville1 vi. attitude et contracture des membres ; — lésions articulaires qui s'observent chez les hémiplégiqu
en de l'adulte de l'atrophie céré-brale unilatérale consécutive à une lésion , quelle qu'elle soit, qui aurait détruit une port
us ou moins avancée de l'existence, et nous résumerons brièvement les lésions articulaires que l'on observe en pareille occur-r
. Mais, si bien établi qu'eût pu et qu'eût dû être le diagnostic, les lésions du cœur étaient si extraordinaires, qu'il était i
Le foie est hypérémié. Cerveau. — Pas d'œdème arachnoïdien, aucune lésion impor-tante. Moelle, saine. — Cette observation a
blement celle des jeunes soldats qui paye le plus fort tribut à cette lésion fonctionnelle. Cela tient, sans doute, à ce qu'un
uit tout le tissu converti en une vaste poche purulente, c'est là une lésion qui atteste, à coup sûr, 'existence d'un travail
a sensibilité de l'ouïe ; 5° idées fixes, conceptions délirantes ; 6° lésions des affections ; 7° impul-sions irrésistibles; 8°
suffit pour faire justice de l'erreur de Volkrnann , qui attribue les lésions de ce genre aux mouvements désordonnés qu'exécute
anches I et II de cette année qui, outre la planche III, figurent les lésions . nombre des manifestations les plus communes de
des grosses cellules nerveuses qui en occupent le bord externe. Cette lésion , que M. Charcot a déjà constatée dans quelques au
sibilité, échapperait complètement à cette influence. Ce serait à des lésions d'une toute autre nature, occupant surtout les ne
hyperesthésie cutanée des plus remarquables. Faut-il supposer qu'une lésion des nerfs périphériques s'est produite chez lui,
alade de tirer quelque parti du membre affecté, d'autant plus que les lésions de ce genre ne paraissent pas en général suivre u
esquels on peut établir, avec quelque certitude, l'existence de cette lésion , ou la distinguer, soit d'une péritonite simple,
ert-Roche, parlant de ce principe que la peste est le résul-tat d'une lésion du grand sympathique, d'une névrose de ce nerf, a
premier bruit du cœur, et, sans affirmer que l'bydropisie lient à une lésion de cet organe, il croit qu'il ne s'agit pas là d'
flanc gauches) une épaisseur de 1 à 4 centimètres. Le maxi-mum de la lésion existe des fausses côtes gauches à la partie moye
— dans l'atrophie musculaire progressive, parle même, 67 ; — suite de lésions traumatiques de la moelle, par le même, 68; — dan
HOTOGRAPHIES Planche I. Arthropathie du gencr» chez une ataxique ( lésions ana-tomiques).......... 11 Planche il Arthropat
s).......... 11 Planche il Arthropathie du genou chez une alaxique ( lésions des os)............. 13 Planche III. Arthropath
59 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
offrir un tableau clinique sembla- ble, mais se traduisant par des lésions très diverses. Cette confusion regrettable cess
ir des groupes d'observations complètes avec autopsies montrant des lésions identiques. C'est parce qu'il en est ainsi dans
'impression de M. Monod étant qu'il s'agissait là probable- ment de lésions tuberculeuses. Le seul bénéfice tiré de l'in- t
e pinéale n'offrc rien de particulier. C'crweaza. - Il présente des lésions de méningite chroni- que. A la base du cerveau,
l'écorce cérébrale qu'elle entraîne quand on veut l'enlever. Ces lésions de méningo-encéphalite sont surtout marquées dans
etite. C'est surtout sur cet hémisphère ga uche que prédominent les lésions de ménin gite et même sur sa face interne. Fi
; en longueur de 13 cent. 5 à 9). Cette figure montre nettement les lésions décrites. Ceruelel.- Surface congestionnée, rec
e gauche sont min- ces. Pas de persistance du trou de Dotal, pas de lésions val- vulaires. Plèvres : adhérences récentes de
re. Rate diffluente. Pancréas, capsules surrénales, reins, aucune lésion apparente. Estomac, intestins, rien de particulie
de nouveau. La fig. 2 met bien en évidence, la prédo- minance des lésions dans la région du chiasma, des nerfs optiques e
droit, différence que l'on peut attribuer à la prédomi- nance des lésions de ce côté et partant à une compres- sion et un
sillon de Holando et la scissure de Sylvius. Hémisphère gauche. Les lésions de la pie-mère sont les mêmes, et sont prédomin
t manifestement hypertro- phiées. Les orifices ne présentent pas de lésions . Le coeur droit a des parois minces, tapissées
ôpital. VII. Les symptômes cliniques prédominaient il droite, les lésions à gauche : os du crâne plus épais de ce côté, d
ait plus étendue que dans l'OiiS. I, mais, comme dans celle-ci, les lésions avaient leur maximum à la base, au niveau et au
e. Il n'y a pas de poussée subaiguë. D'autre part, la recherche des lésions ba- cillaires a été absolument négative. Il s'a
dominance de la méningite, bien que tous les deux présentassent des lésions tuber- culeuses des poumons. CLINIQUE MENTA
ligne transversale au niveau de la région ombilicale. G. D. ] ? - Lésions de5 neuro-fibrilles dans certains états pa- tho
e, 1905, il» 12.) L'auteur décrit dans ce travail les principales lésions des neurofibrilles, qu'il a constatées grâce à
ites, les méningites, les ramollissements du cerveau, ainsi que les lésions des cellules géantes rencontrées au cours des h
et des para- plégies. Dans ces différents états pathologiques les lésions des neu- rofibrilles sont le plus souvent assoc
bé à la suite de suppurations périnéo-anales. Dans ces deux cas les lésions étaient les mêmes ; elles commençaient à la par
re droite et de la zone intermédiaire du même côté présentaient des lésions chromatolytiques très accentuées. Au niveau de
de la moelle dorsale la colonne de Clarke était le siège des mêmes lésions . S'appuyant sur ces constatations d'une part, e
sur ces constatations d'une part, et d'autre part, sur l'absence de lésions dégénératives des nerfs et des muscles et aussi
tives des nerfs et des muscles et aussi sur l'existence de quelques lésions irrita- tives au niveau du ganglion spinal, l'a
cnt intentionnel limité au bras gauche. A l'autopsie, on trouva une lésion limitée tel la partie pos- REVUE DE PATHOLOGI
toujours d'origine otique. Le vertige d'oreille peut être dû à des lésions d'un point quelconque de l'appareil auditif. En
casion d'observer. L'existence de symptômes paraissant indiquer une lésion centrale ou cérébelleuse ne doit pas faire reje
ui aussi, sur les différences anato- miques entre les gommes et les lésions spécifiques vascu- laires d'une part, et celles
paralysie générale soit de nature spé- cifique, mais parce que les lésions vasculaires syphilitiques sont l'épine autour d
avoir de raison d'être qu'avant ou pen- dant le développement de la lésion spécifique qui alors existe seule ; il n'est pl
ralysie con- firmée. M. Raymond signale la fréquence relative des lésions syphilitiques chez les paralytiques, signalées
ble, car on sait aujourd'hui, que la tuberculose peut engendrer des lésions qui ne rappellent en rien les mani- festations
ent aussi bien être des intoxiqués héréditaires. La fré- quence des lésions syphilitiques en voie d'évolution chez des para
it ni sucre, ni albumine dans ies urines et on ne constata aucune lésion des organes thoraciques ou abdominaux. G. D. VI
de psychoses, le tableau anatomo-pathologique se réduit ou à des lésions parenchymateuses avec réaction neuroglique sans
avec réaction neuroglique sans participation du mésoderme, ou à des lésions intersti- tielles où le processus porte probabl
ste une hallucinose. auditive chronique qui s'observe à la suite de lésions soit de l'organe de l'ouïe, soit des centres co
ement dite, tuber- culose, etc., on doit penser à la possibilité de lésions vascu- laires d'origine sénile, goutteuse, syph
iques siègent dans le cer- veau et se révèlent à l'autcpsie par des lésions en foyer. Enfin les hypochondriaques sont très
sont pas toujours d'ordre paralytique lorsque le malade regarde sa lésion et enfin que le centre cervical d'innervation p
'il est détruit, le malade tourne la tête et les yeux du côté de sa lésion ; s'il est excité ou si ses voies de communicatio
de la tête, elle peut aussi s'expli- quer par la localisation de la lésion au centre visuel ou aux fibres qui l'unissent à
ions auditives et de la folie. Ces affections auriculaires sont des lésions banales de l'oreille externe (bouchons de cérum
oit une simple congestion des méninges. Dans d'autres cas, aucune lésion apparente ne se présentait à l'oeil de l'observat
-Marchi et coloré à 1'liCiiiatéiiie-éosine et au Van Gieboii. Les lésions sont surtout nulles à la partie supérieure du la
aire. A l'endroit de la compression maxima, on retrouve les mêmes lésions ; dansla moelle dont nous n'avons pu obtenir que d
me on le rencontre dans certaines cavités post-hématomyéliques. Les lésions dure-mériennes sont les mêmes que plus haut, l'
l épenclymaire signa- lée plus haut est une dilatation simple, sans lésions de l'épithé- lium. En résumé, nous nous trouv
anatomiques. Auparavant, faisons observer que la limitation de la lésion correspond exactement aux troubles moteurs ob-
l'hématomyélie que de la myélomala- cie. Quoi qu'il en soit de la lésion initiale, il n'en est pas moins vrai qu'il faut
gite simple, même avec le secours de la ponction lombaire. Dans les lésions tuberculeuses, la I>I13GCILLITI ? ET ÉPILE
de pachyméningite interne chronique simple, vu l'ab- sence de toute lésion tuberculeuse ou syphilitique. Un autre point di
ue le trau- matisme médullaire assez léger a produit une première lésion peut-être de nature hémorrhagique, ayant détruit
rutir les -fibres sensitivo-motrices des membres infé- rieurs. La lésion de ces dernières a rétrocédé en partie, et c'est
, ainsi que le montre le tableau ci-joint ; ils portent la trace de lésions suppu- ratives nombreuses (2). L'examen radiogr
repousser le kyste hyda- fi(|ue, et fait admettre l'hypothèse d'une lésion inllammatoire. 11 ne peut en être de même dans
la production d'escharresprécoccset graves, et aussi l'existence de lésions osseuses suppura- tives du côté hémiplégie coïn
plusieurs maux per- forants. Avec la rémission psychique, les deux lésions du pied se sont amendées elles aussi. Enfin, lo
emal perforantestun trouble trophique lié assez souvent à de graves lésions du système nerveux central. Bali et Thibierge o
p&#x152 ? Mg : elles se ramènent à trois. Les uns invoquent une lésion locale, la névrite terminale etl'hypé¡'émienew'
la névrite terminale etl'hypé¡'émienew'o-paralytique {Charcot), la lésion vasculaire sous-cutanée (Dt'a), ? M9ar)'t0- s
s lite- ries et négligences du personnel). D'autres invoquent une lésion centrale des centres corticaux vaso-trophi- que
t arrivée, à la participation plus ou moins grande de la moelle aux lésions du cerveau. Tendance àla suppuration, tel est d
ccompagnent de sensations désagréables. , Dans sept observations de lésions cérébrales organiques, carac- térisées par l'ex
é. Cette exagération anormale doit tenir à ce que dans l'espèce les lésions génératrices de l'hémiparésie cérébrale excitai
es formes de tuberculose aiguë ou chronique) ; b) d'autres fois des lésions spécifiques tuberculose, cancer); c) des lésions
d'autres fois des lésions spécifiques tuberculose, cancer); c) des lésions secon- daires à d'autres lésions du système ner
iques tuberculose, cancer); c) des lésions secon- daires à d'autres lésions du système nerveux (moelle) ; d) des lésions ba
n- daires à d'autres lésions du système nerveux (moelle) ; d) des lésions banales d'infection. Ce dernier cas est le seul q
que l'auteur en\ isane actuellement et il considère deux groupes : lésions à type interstitiel et lésions à type parenchym
ement et il considère deux groupes : lésions à type interstitiel et lésions à type parenchymateux.Le 1er groupe com- prend
ement on voit la disparition de la cellule elle-même. Peut-être ces lésions encore peu connues ex- pliqueront-elles les psy
s ou moins profonds qui sont la caractéristique macroscopique de la lésion . Autour des artères au voisinage desquelles on
° glyose périvasculaire; 2° vaginalile subaiguë. Nous avons ici une lésion de périartérite qui n'est point l'endar- térite
ues des voies pyramidales ; elle peut, aussi servir à constater des lésions organiques des conducteurs moteurs, dans les ca
LOGIQUES. 137 la surdité d'origitielabyrintinque et dans lus cas de lésion interne des conducteurs centraux. Il est affaib
e lésion interne des conducteurs centraux. Il est affaibli dans les lésions périphé- riques du facial, du côté do la lésion
affaibli dans les lésions périphé- riques du facial, du côté do la lésion tandis qu'il est d'ordinaire conservé dans la p
xcitation, des hallucinations de l'odorat. Quant à la fréquence des lésions de la corne d'Ammon dans l'épilepsie, Féré, Cat
t et la maladie rétrocéda peu àpeu.'Etait-on en présence : 1° d'une lésion du pédoncule cérébral ; 2° d'une fracture du cr
des lymphangites multipliées, enfin la mort. A l'autopsie, ou- le ? lésions de tuberculose miliaire des plèvres et des reins
augmentation des noyaux, hypertrophie du tissu con- jonctif. Pas de lésions importantes du système nerveux. Cet état probab
esquels il y a des phénomènes typiques de rap- pel : 2" ceux où une lésion jusqu'alors latente devient évidente sous l'inf
ent sous l'influence d'un mauvais état général. Conclusions : une lésion des centres nerveux, compensée ou latente, s'ét
s avec toupies symp- tômes organiques ou dynamiques auxquels ladite lésion a donné ou était susceptible de donner lieu : c
e psychique née, à l'occasion, de la première mani- festation de la lésion conservée depuis par le cerveau et qui, réa- li
eux sont normaux. On ignore encore l'anatomie pathologique de cette lésion que l'on rencontre plutôt chez les malades aisés,
ule, hypertrophie mammaire, large repli du peau au bras droit. t. Lésions cadavériques des fibrilles colorées par la méthod
l'hémiplégie est bien organique. . L'absence d'aphasie indique une lésion non corticale ; il s'agit 154 SOCIÉTÉS savant
el le transport tlu;carlavre. [Ectopie cérébelleuse post mortcm). Lésions de la moelle dans la démence précoce. JDI. KLiP
des cullules ganglionnaires les autours ajoutent la possibilité de lésions systématisées des cordons postérieurs asso- cil
s typiques dans lesquels seuls les nerfs bulbaires présentèrent des lésions du névrite ancienne avec gaines vides. Ces cas
est normale. L'acuité visuelle est bonne ; à l'ophtalmoscope aucune lésion du fond de l'oeil. Le champ visuel uslun peu ré
iratoires, circulatoires). Pouls ré- gulier à 80 pulsations. Pas de lésions cardiaques. La malade ne présente ni stigmates,
. Pas de lésions cardiaques. La malade ne présente ni stigmates, ni lésions de syphilis anciennes ou ré- centes. Les trou
NERVEUSE, apparue dans le dernier mois de la grossesse. Mais les lésions n'étaient pas assez prononcées sans doute. pour
nt les fibres nerveuses à l'a- trophie : c'est le second stade. Les lésions portent davantage sur la substance blanche que
du moteur commun. 1 ? l'ISSOT. 1X\'lll. -Un cas d'acromégalie avec lésions hyperpla- siques du corps pituitaire, du corps
alcaires dans les pif \tIS(;I1UI'llï(185. Le squelette présente les lésions classiques de l'a- rromégalie, et,, malgré l'hy
cromégalie, mais de quelle nature est-il au juste, et quelle est la lésion productrice du syn- drome ' ? D'abord on a rapp
on productrice du syn- drome ' ? D'abord on a rapporté des faits de lésions pituitaires sans acromégalie : il s'agissait pr
est, une chose acquise, parla clinique et l'expérimentation que les lésions destructives de lapituitaire ne donnent pas l'a
ructeur malin. D'autre part, on a publié des cas d'acromégalie sans lésions pi- tuilaires ; il est probable que ces faits n
ts des fonctions du coeur et des reins, ne s'accompagnent jamais de lésions des vaisseaux ; ils sont nettement sous la dépen-
vidus ayant eu la syphilis, le système artériel cérébral montre des lésions histologiques qui paraissent être le point de dép
t, l'auteur attribue les symptômes cliniques de cette affection aux lésions diffuses que l'on trouve disséminées sur toute
on observe surtout des troubles mo- teurs et trophiqucs. Quant aux lésions histologiques que l'on ob- serve dans la paraly
'auteur conclut que, dans le cerveau, la corne d'Ammon présente des lésions très nettes et très caractéristiques. On observ
dans les applications thérapeutiques des courants galvani- ques aux lésions de la sensibilité. 5° Il faudrait établir con-
rices de la moelle épinière des lapins tétanisés ne présente pas de lésions appréciables. En certains cas seulement, la neuro
se présente légèrement contracté, ce qui ne constitue nullement une lésion spécifique due au tétanos, puisqu'un état analogu
rail plus où moins clairement et non dans toute la libre, mais les lésions sont partielles et mal définies. La btriatidn lon
très marqué. Evolution lente d'abord, puis rapide de la maladie. Lésions très accentuées de la pie-mère cérébrale, sans al
sant en montrant, à côté d'une hémiatrophie faciale peu banale, des lésions cutanées trophiques qu'on peu l'approcher de la
es spéciaux, tels que : nystagmus,pa- mUysies des munies oculaires, lésions cardiaques, et concilient ( que le diagnostic,
cation de la structure cellulaire, augmentation du la névroglie, et lésions vasculaires..1. SEnt.As. XXIV. Cécité corticale
tal. Quels rapports existe-t-il entre les crises d'épi- lepsie etla lésion mitrale ' ? Les crises n'apparaissent qu'après
l peut rappeler des crises d'épilepsie chez des malades porteurs de lésions cérébrales plus ou moins déterminées. G. 1. XXt
à l'éclosion de l'hystérie. Parmi les faits cités, il y en a où la lésion cardiaque agit sur un système nerveux héréditai
admettre pour expliquer le déve- loppement de l'hystérie est que la lésion cardiaque crée l'hysté- rie par un trouble circ
al. C'cstia pathogénie de l'épilupsie de Lemoine. S'agif-il d'une lésion aortique ! 1;'est l'anémie cérébrale qui interv
ortique ! 1;'est l'anémie cérébrale qui intervient. S'agit-il d'une lésion rnilrale ! C'est la congestion des contres encé
ien. G. C. XLLaminectonie des 3° et 4° vertèbres lombaires pour lésion de la queue de cheval ; par LIOBCRTO ALFXANDRI ;
ut dans l'impossi- hilité de faire le diagnostic de la nature de la lésion , et la ponc- tion lombaire donna des résultats
nglionnaire se traduisant par un syndrome tahetiforme, indice d'une lésion des racines et des cordons posté- rieurs. Scl
ieurs. Sclérose en plaques. M. LEJONNE montre les préparations de lésions des cellules des cornes antérieures dans la scl
nski, origine fonctionnelle pro- bable. - M. Babinski croit à une lésion si petite soit-elle. , Dyslalie chez un aphasiq
peutdinicilementdissocier ces deux syndromes expression d'une même lésion : vice de dé- veloppement de l'organe de l'équi
preux a imposé sou caractère à la psychose. L'autopsie a montré des lésions du foie en sus des lésions hansé- niennes. Ti
e à la psychose. L'autopsie a montré des lésions du foie en sus des lésions hansé- niennes. Tics ,'ol/wlsi(s du cou. M.
chapitres Iuslésions du globe oculaire causées par la fulguration, lésions consécutives ou à l'action d'unu chaleur rayonnan
entre l'étiologie et l'expression clinique, pas plus qu'il n'y a de lésion anatomique particulière au syndrome de Little, et
l la moelle. Un tableau d'ensemble montre la variété extrême de ces lésions . En présence de cette variété des lésions, et d
la variété extrême de ces lésions. En présence de cette variété des lésions , et de la difficulté d'expliquer certains faits,
altérations du faisceau moteur vn- lontaire sont la conséquence des lésions cérébrales (1). K. ÀUBRY. NÉCROLOGIE Dr VER
nstallation complété du microphotographie. Les démO/Isl1'ulions des lésions sur lus pièces pathologiques oc- cupant une gra
odes lle colo- loration. Pour l'élude détaillée et approfondie de-, lésions ner- veuses, on fait u5age des inclusions il. l
emple, permet, lorsqu'on est habitué à lire et il in- terpréter les lésions nerveuses. une étude d'ensemble rapide de tous
dont les centres nerveux ont pu subir le contrecoup en masse. Les lésions globales oulocales peuvent d'ailleurs se trouve
nt entraînél'in- ternement puis décès, et autopsie confirmative des lésions pré- citées. Observation 11. Un autre malade,
peut en effet se rattacher, aux affections organiques dé- mence par lésions diffuses (P. G.) ou localisées avec ou sans épi
s, inversement on peut citer des exemples nombreux où l'on a vu les lésions les plus insignifiantes en appa- rence suivies
t que « l'accident, tel qu'il faut l'entendre consistant dans une lésion corporelle provenant de l'action soudaine d'une
été respectés. Etudes microscopiques (figures). a) On ne trouve de lésions cellulaires qu'à partir du 3c segment lombaire.
uisse à la partie moyenne. Il est mort de phtisie pulmonaire. Les lésions débutent aussi, en l'espèce, dans le 3° segment l
rillaires, peu importe du reste à cet égard l'endroit heurté. Les lésions du trijumeau n'exercent aucune influence sur le
nce. Seul l'examen histologique du cervelet permet de constater des lésions caractérisées par l'atrophie et la dispa- ritio
x névro- gliques plus ou moins épais. Au niveau de la moelle, les lésions sont limitées à la région lombosacrée et n'occu
oubles de l'équilibre et du nystagmus est facile ; ils sont dus aux lésions cérébelleuses. Les autres signes cliniques deva
ns doute un Tôle im- portant dans la production de l'hypotonie ; la lésion médullaire et la lésion Cérébelleuse ont contri
tant dans la production de l'hypotonie ; la lésion médullaire et la lésion Cérébelleuse ont contribué vraisemblablement tout
alysie ni dans celui des autres phénomènes ner- veux etsans que les lésions vertébrales et méningées constatées à l'autopsi
araient du réflexe normal de flexion et parce que l'existence d'une lésion médullaire identique des doux côtés était peu c
par un réflexe inverse de ce régime ; si ce régime préexistant à la lésion pouvait être, dans certains cas, inverse de ce
ns marquée des ré- flexes musculaires. Ainsi dans les cas où il y a lésion du plexus cervical ou de nombreux nerfs du memb
la réaction de dégénérescence par le courant galvanique. Quand la lésion du neurone périphérique est plus ancienne, avec
égénérescence électrique. 332 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Les lésions du neurone central se traduisent d'habitude par u
en est ainsi pour les cas de maladie de Thom- sen congénitale avec lésions musculaires telles que les a décrites Erb, et t
rites Erb, et telles que les ont retrouvées, à l'exclusion de toute lésion du système nerveux, -MM. Déjerine et Sottas.
l : o, contracture de Tiegel) ; (b) Elle peut encore dépendre d'une lésion cicatrisée, portant sur l'appareil du tonus. Il
sur l'appareil du tonus. Il s'agit alors de myotonie acquise avec lésions variables du système nerveux. Le sarcoplasma repr
part, au niveau des faisceaux pyramidaires directs et croisés. Les lésions des cellules des cornes antérieures ont montré
la cellule, surcharge pigmen- taire. Dans le type spasmodique la lésion des cordons prédominait ; dans le type amyotrop
ion des cordons prédominait ; dans le type amyotrophique c'était la lésion des cellules qui pré- dominait ; mais dans tous
lésion des cellules qui pré- dominait ; mais dans tous les cas les lésions coexistaient toujours. (Revue neurologique, mai
s considérations suivantes : « L'automatisme moteur dépendant d'une lésion des voie» pyramidales offre des analogies évide
ociés au bâillement, au prurit, sont d'autant plus prononcés que la lésion du faisceau pyramidal est cliniquement plus évi-
: : - simple raréfaction des faisceaux pyramidaux consé- cutive aux lésions d'encéphalite diffuse ; dégénérescence mas- siv
iffuse ; dégénérescence mas- sive de ces faisceaux secondaire à une lésion encéphalique en foyer ou à une pachyméningite h
to- mique des associations tabéto-paralytiques admises par tous ; lésions simultanées de tabès jeune et de paralysie généra
adie du jeune âge » présenta dans la suite le tableaucliniqueet les lésions de la paralysie générale (démence progressive,
on des perceptions et secondairement le trouble intellectuel. Les lésions observées chez le chien qui fait l'objet de ce tr
et évolutifs, par sa terminaison mor- telle, par le néant de toute lésion anatomique. Elle en diffère par l'existence d'u
aire de l'auto-moteur a d'abord été complète au début, mais que les lésions sans doute légères des deux noyaux antérieurs d
o- tisme dans une affection cura nxateria ; on comprend que cette lésion ait été l'obstacle à la guérison définitive du vo
ion. ;\1. Paul FAREZ. - Qu'il y ait simple trouble fonctionnel ou lésion organique, la sollicitation nauséeuse devient le
e nerveux consécutives à un trauma- tisme, ou à un choc moral, sans lésion traumatique proprement dite. Il a été frappé pa
marche progressive dans certains cas, avec signes indéniahles d'une lésion maté- rielle organique du système nerveux. Ce s
ues : névroses ou psychonévroses dynamiques auto- suggestives, sans lésion dues à la conservation d'impression dans le cer
ve et incurable, les autres à évolu- tion curable mais laissant une lésion organique, avec infirmité incurable. VU ! . -
as a celle que l'on observe à la suite de troubles épileptiques, de lésions circonscrites du cerveau, de la paralysie génér
mpromettre l'avenir, pour lui-même etpour son client, en faisant la lésion plus bénigne ou plus grave qu'elle n'est. b ZD
iles à découvrir, d'empêcher ici le subterfuge qui transforme une lésion insignifiante en lésion àindemnité, c'est-à-dire
pêcher ici le subterfuge qui transforme une lésion insignifiante en lésion àindemnité, c'est-à-dire d'empêcher un sujet de
uement que la migraine et l'épilepsie constituent le même groupe de lésions , savoir l'épilepsie. Voici un cas de migraine o
as, à côté de lé- sions récentes de granulations tuberculeuses, des lésions ancien- nes circonscrites avec épaississement d
n'est pas une maladie nécessairement mortelle. Il peut y avoit- des lésions circonscrites qui peuvent s'atlénuer et même guér
re externe. Il s'appuie pour cela sur les faits suivants : 10 Toute lésion qui porte sur le nerf moteur oculaire externe d
e jusqu'à sa terminaison, détermine un strabisme convergent ; toute lésion qui porte sur le noyau dit de la1'1 paire déter
de hilatéralité. L'autopsieapermis,dans un cas, de constater que la lésion avait détruit les noyaux de la lit, et IVe pair
e du réflexe achilléenqui est la manifestation la plus certaine des lésions des cordons postérieurs. Les auteurs, rejetant le
rd et BAUER, chez un sujet mort au bout dehuitjours, ont trouvé des lésions diffuses delà moelle surtout à la région dorso-
s le bulbe, la protubérance, le pédoncule et la capsule. Au cortex, lésions limitées à la partie supérieure du Fa. Zona.
M. Marinesco n'a pas pu découvrir le parasite de Schaudinn dans les lésions de ces maladies qui seraient dues à l'action des
s développés près de la selle turcique, et d'origine épendymaire. Lésions cellulaires par sérum név¡'olooeique, I. ARMAND
auteurs, d'après les- quels l'examen microscopique a montré que les lésions dégénératives ne se bornent pas à l'axe bulbo-s
ientation du malade, hallucinations favori- sées sans doute par les lésions oculaires dont il est por- teur. Puis le malade
à celui que l'on observe couramment chez les vieillards porteurs de lésions corticales. A mesure que l'affection progresse,
s, troubles de déficit dus à la participation précoce du cortex aux lésions qui relè- vent de la sclérose latérale amyotrop
sur le crâne un moellon qui détermina une vaste plaie contuse, sans lésion osseuse et sans perte de connaissance, Pas de r
normaux, à part le coeur, où l'on constate les signes d'une légère lésion ou malformation de l'origine de l'artère pul-,
vieillards en enfance, les paralytiques généraux et les porteurs de lésions cérébrales circQnscrites. Il y a encore d'autre
r sa moelle, l'est encore par son cerveau ; de là la complexité des lésions anatomiques progressives et des symptômes à la
tale du système nerveux de ce malade peut être soupçon- née, si la lésion cardiaquecluenous avons constatée chez (1) A..l
ion crânienne rap- pelle celle de certains dégénérés inférieurs. La lésion anatomique a envahi à la fois le cerveau et la
formée de cellules rondes en dégénérescence. Plus en dedans, les lésions sont caractérisées par une inflammation avec di
ppuyer sur ce que l'enfant possède pour aller en avant, arrêter les lésions en évolution, s'il y a lieu, développer ce qui
ervation d'un cas de démence précoce avec exa- men nécropsique. Les lésions consistentsurtout en une méningite chronique, a
uent que le syndrome démence précoce peut relever de deux ordres de lésions bien distinctes : 1° De lésions portant sur les
ce peut relever de deux ordres de lésions bien distinctes : 1° De lésions portant sur les méninges et les différents tissus
olaires et même à la formation de nucléoles. L'inconstance de ces lésions a conduit l'auteur à admettre qu'il doit interv
- Influence exercée par la section transverse de la moelle sur les lésions secondaires des cellules motrices sous-jacentes
définitive suivje de- leur disparition. Ramon y Cajal considère ces lésions comme résultant de l'état de repos des cellules
connaître ce nouveau cas de coïncidence en- tre un vitiligo et une lésion nerveuse. (Revue neurologique, 1905.) ZD E. D.
os d'une femme de 37 ans, amputée du liras gauche en S9Sa, pour une lésion probable- ment congénitale caractérisée par une
llaires en pla- ques. , Il considère ensuite un premier groupe de lésions avec mani- festations macroscopiques : a) tuber
litaires cle l'écorce ;b) méningites. Un second groupe est formé de lésions qui ne sont ap- préciablesqu'au microscope : a)
st formé de lésions qui ne sont ap- préciablesqu'au microscope : a) lésions cellulaires aiguës; b) lé- sions dégénératives
me partie. il étudie les diverses interprétations pathogéniques des lésions corticales cales : a) dans le tubercule solitai
: 1° des cellules grossièrement et entière- ment altérées ; 2° des lésions légères ; 3° des lésions très légè- res, l'affe
èrement et entière- ment altérées ; 2° des lésions légères ; 3° des lésions très légè- res, l'affection clinique est d'auta
l'affection clinique est d'autant plus rapidement mortelle que les lésions sont plus étendues et moins profondes. Pans le
s lésions sont plus étendues et moins profondes. Pans le groupe des lésions dégénératives ligure en première li- gne l'abon
quelles que soient les circonstances de la vie des tuberculeux, les lésions cellulaires de son écorce cérébrale sont toujou
ect non pas de l'alcool lui-même, mais d'une maladie surajoutée aux lésions préalablement provoquées par l'alcoolisme. F. T
montrent un malade atteint d'hémia nesthésie probablement due à une lésion corticale. Syndrome thalamiquc. ml. DéjeriNe
DéjeriNe et llbussy en précisent les caractères cliniques : la Une lésion intéressant le noyau externe du thalamus dans sa
ulbe et le pont englobant toutes les paires y compris la 8e. Aucune lésion de l'oreille interne. Malformation du cervelet.
arapliasie et à la jargonaphasie correspondent habituellement L des lésions du tiers postérieur des deux premières circonvolu
premières circonvolu- tions temporo-sphénoïdales. L'étendue de ces lésions ne peut être mesurée que par le microscope; la
endue de ces lésions ne peut être mesurée que par le microscope; la lésion microscopique s'é- tendant parfois loin du loye
microscopique s'é- tendant parfois loin du loyer macroscopique. Les lésions peuvent t n'être que microscopiques sans cesser
l'association d'un proces- sus d'encéphalite corticale diffuse aux lésions destructives des circonvolutions teinpoi,o--pli
utions teinpoi,o--pliénoïdales. La démence avec jargo- naphasie par lésion scléreuse localisée est le terme cle transition
e fibrillaire de la - nerveuse à l'état normal et il la suite des lésions des nerfs, par Pariant, 207. Des groupes de -
luence exercée par la sec- tion transverse de 1a1, moelle sur les lésions secondaires des - motrices sous-jaoentes et sur
s postérieurs chez l'homme, par Bumke, 121. Fibrilles colorées. Lésions cada- vériques des - - par la mé- thode de Ca
arrier, 237. Laminectonie des 3° et 4e vcrlè- bres lombaires pour lésion de la queue de cheval, par Roberto Alexandri,
423. Langage l11usbal. Voir Troubles. Lépreux. Vnir Korsakoff. Lésions cellulaires par sérum né- vroloxique, par Arman
l'étude du trajet de quelques cordons de la , par Dydynski, 124. Lésions de la dans la démence précoce, par Klippel et
n il l'élude dla la sexuelle, par Ch. Féré, 418. Neuro-fibrilles. Lésions des - - dans certains états pathologi- ques,
60 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à éloigner de l'esprit l'hypothèse d'hystérie, et fait penser à une lésion organique. Examinons donc cette dernière hypoth
s ad- missible que l'on puisse faire est certainement celle d'une lésion siégeant dans l'écorce cérébrale au con- tact d
vue ies divers arguments que nous venons d'invoquer en faveur de la lésion corticale, et voyons s'ils résistent à une anal
gauche qu'il a présentés au Tonkin doivent être rattachés à quelque lésion organique ou à l'hysté- rie. Cette question est
analyse rigoureusement les faits et qu'il ne peut s'agir ici d'une lésion organique du cerveau. Remarquons d'abord que le
tendant à établir que celle-ci n'était pas sous la dépendance d'une lésion organique, il devient dès lors probable qu'il e
est-ce pas là déjà une objection impor- tante contre l'hypothèse de lésion organique con- sécutive directement au traumati
paragraphe précé- dent, on peut déjà déduire le siège probable des lésions de la moelle. - Tout le premier groupe de phé
rdi- nation motrice, douleurs fulgurantes, anesthésies) veut dire lésion des cordons postérieurs et surtout de leur part
roupe de symptômes (paralysies et sur- tout contractures) veut dire lésions des cordons laté- raux et surtout des faisceaux
lier), admettre que la contracture permanente est le symptôme de la lésion des cordons latéraux ». Que sont donc ces faits
thologie spinale, la contrac- ture permanente est le symptôme de la lésion des cor- dons latéraux » . 1 Art. Tabès s}J/l
Charcot) par irritation des cellules motrices antérieures que la lésion latérale entraîne la contracture. Ceci est une
apprendre à déduire des symptômes observés le siège probable de la lésion médullaire, c'est que aux contractures répond l
bable de la lésion médullaire, c'est que aux contractures répond la lésion latérale, comme à l'ataxie répond la lésion pos
contractures répond la lésion latérale, comme à l'ataxie répond la lésion postérieure et comme aux amyotrophies répond la
ie répond la lésion postérieure et comme aux amyotrophies répond la lésion grise antérieure. Aiusi comprise et expliquée,
tabes combiné, si les symptômes du premier groupe font penser à une lésion des cordons postérieurs, ceux du second font su
ne lésion des cordons postérieurs, ceux du second font supposer une lésion des cordons latéraux. 11 est donc probable, d
eule analyse des symptômes physiologiquement interprétés , que la lésion du tabes combiné est une sclérose postéro-laté-
re de voir. Aucune ne fait exception. Dans toutes les autopsies, la lésion intéres- sait les cordons postérieurs et les co
une difficulté; tout le monde admet cette double localisation de la lésion . Mais les divergences commencent quand il s'agi
rgences commencent quand il s'agit d'interpréter la nature de cette lésion . S'agit-il là d'une myélite systématisée ou d'u
iffuses; le second, des cas d'ataxie locomotrice dans lesquels la lésion atteint non seulement les faisceaux de Bur- dac
ipète ; le troisième, des cas d'ataxie locomotrice dans lesquels la lésion primitivement systématisée aux cor- dons postér
érose spinale, et ceux chez les- DU TABES COMBINÉ. '-il quels les lésions se succèdent dans l'ordre inverse. Les question
t pas faire perdre de vue le point principal. Y a-t-il ou non une lésion du tabes combiné comme il y a une symptoma- tol
et Minor aux travaux des Allemands est la non-systématisation de la lésion dans les cordons latéraux : cela est très juste
s mala- dies de la moelle), se déterminent, chez les uns, par une lésion systématique; chez les autres, par une lésion 3
chez les uns, par une lésion systématique; chez les autres, par une lésion 32 PATHOLOGIE NERVEUSE. diffuse; chez d'autre
PATHOLOGIE NERVEUSE. diffuse; chez d'autres encore, par une double lésion , diffuse en avant, systématisée en arrière. On
, diffuse en avant, systématisée en arrière. On a cité des cas de lésion diffuse dans le cerveau et de lésion systématis
arrière. On a cité des cas de lésion diffuse dans le cerveau et de lésion systématisée dans la moelle (paralysie générale
ataxie locomotrice); on peut aussi avoir dans. la même moelle une lésion diffuse et une lésion systématisée (ataxie loco
on peut aussi avoir dans. la même moelle une lésion diffuse et une lésion systématisée (ataxie locomotrice et sclérose en
cependant nier l'intérêt : quelle relation y a-t-il entre les deux lésions dont nous venons de parler ? La lésion diffus
n y a-t-il entre les deux lésions dont nous venons de parler ? La lésion diffuse succède-t-elle à la lésion systéma- tis
dont nous venons de parler ? La lésion diffuse succède-t-elle à la lésion systéma- tisée (3° type de Ballet et Minor), ou
systéma- tisée (3° type de Ballet et Minor), ou, au contraire, la lésion systématisée succède-t-elle à la lésion diffuse
inor), ou, au contraire, la lésion systématisée succède-t-elle à la lésion diffuse (4e type des mêmes auteurs) ? La propag
vers malades. Mais ces variétés dans le détail de la marche de la lésion n'empêchent nullement l'unité anatomique de la
INÉ. 33 arrêté de l'ataxie locomotrice progressive. Chez l'un, la lésion commence par les nerfs crâniens; chez l'autre,
ans chaque cas, mettre en rapport la topographie particulière de la lésion avec les symptômes spéciaux du cas. Ce serait
question : dans Archives, t. XLI. 3 34 PATHOLOGIE NERVEUSE. les lésions combinées des cordons postérieurs et laté- raux
musculaire et la contracture spastique ne surviennent pas quand la lésion des cordons posté- rieurs s'étend en bas jusqu'
ous une forme plus synthétique etplus générale en disant : Dans une lésion combinée des faisceaux pyramidaux et postérieur
développent pas dans les membres supérieurs ou inférieurs, quand la lésion des cordons postérieurs a atteint les zones rad
pinal. De plus, dans la myélite diffuse tout est continu dans les lésions , et il n'y a pas de symptômes céphaliques ou mê
ou même mésocéphaliques. Dans le tabes combiné, au contraire, la lésion s'élève en hauteur, non en largeur; elle ne fra
conçoit qu'elles puissent raisonnablement simuler toutes les autres lésions des centres nerveux. Je n'hésite pas à dire que
de cas, permettront un diagnostic. 38 PATHOLOGIE NERVEUSE. Les lésions de la sclérose en plaques ne présentent ni symé
tout marche au contraire, comme dans les maladies systématisées; la lésion se propage de proche en proche d'une manière co
en est de même des indications tirées de l'acte morbide anatomique ( lésion de la moelle) : ré- 40 PATHOLOGIE NERVEUSE. v
du tabes combiné est constituée par son tableau symptomatique et sa lésion anatomique. Symptomatiquement, il est caractéri
ns postérieurs et les cordons latéraux. On ne peut considérer cette lésion ni comme entière- ment systématisée ni comme en
tue donc une myélite mixte. Il y a aussi dans beaucoup de cas des lésions méso- céphaliques, céphaliques ou même périphér
té déterminée par une méningo-encéplialite tubercu- leuse, dont les lésions sont restées exactement localisées à la partie
'autopsie, personnelle à l'auteur. Comme dans les cas analogues, la lésion occupait la circonvolution frontale ascendante
à simuler l'épilepsie jacksonienne, ce qui prouve qu'à la suite des lésions cérébrales, même lorsque la zone corticale est
ie par M. PAUL Berthod. (Gaz. m(M. de Paris, 4884.1 XI. Deux cas de lésion cérébrale; par le Dr A. Brousse, chef de cliniq
aris, 1884.) Il s'agit de deux vieillard» morts hémiplégiques ; les lésions trouvées à l'autopsie étaient conformes à la do
schémie, du ramollissement, et de l'hémorrhagie centrale. Ces trois lésions , pour M. Lancereaux, ne correspondent pas à des
re appeler l'attention sur le pronostic de l'épi- lepsie liée à une lésion anatomique de l'encéphale; ce qui existe le plu
d'épilepsie, qui, au début, peut être guérie par la guérison de la lésion initiale. Il a trois cas d'épilepsie traumatique
in consul- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. () 1 tant. Plus tard, les lésions étaient devenues définitives. Le second cas rel
ontinuèrent comme devant. L'intervention était trop tardive car les lésions cérébrales étaient définitives, mais elle n'en
tion de la sonde oesopha- gienne nécessiterait une lutte (danger de lésion : pneumonie alimentaire), parce que cette lutte
s chez eux, aboutit à une convalescence courte, ne détermina pas de lésions consécutives et se traduisit, en général, par u
ttend par consé- quent à trouver une distribution hémisphérique des lésions expli- quant le caractère unilatéral des spasme
dinaire de chorée post-hémiplégique, tels que ceux où il existe une lésion massive dans le segment postérieur de la capsul
cas de la catégorie des mouvements choréi- formes consécutifs à une lésion des fibres convergentes en éventail voisines de
e cérébrale plutôt que spinale. Recherchant ensuite la nature de la lésion , et rappelant que l'at- taque n'avait pas été a
es par de nombreux vaisseaux. Pour suivre pas à pas la genèse de la lésion et les interprétations de l'auteur, il est indi
phérique n'entrave les progrès d'une maladie centrale; 4° certaines lésions organiques récentes font exception aux règles é
nt exception aux règles établies dans les conclusions 2° et 3°; ces lésions récentes peuvent être influencées par l'action
iner, je montrerai aussi la courbe d'un malade qui à la suite d'une lésion du crâne, avait une hémiparésie. Le malade avai
nomène intéres- sant, c'est l'effet produit sur le sujet atteint de lésion du crâne ; plusieurs savants ont dû constater q
âne ; plusieurs savants ont dû constater que des sujets atteints de lésions du crâne opposaient moins de résistance aux inf
mun des doigts (parésie surtout frappante à droite). Aucun signe de lésion du système nerveux central. P. K. REVUE D'ANATO
(trousseaux gris des processus réticulaires), du côté op- posé à la lésion . Cette dégénérescence est sur le chemin des al-
constate l'intégrité d'autres départements nerveux, de penser à une lésion de noyaux du facial. M. BERNHAItDT a publié, da
p- toides. - Réponse négative. M. REntAS. Y a-t-il sous roche une lésion organique ? Réponse dubitative ; en tout cas, i
ralytique général. Si l'on fait abstraction des malades affectés de lésion cérébrale grossière, on rencontre la rigidité, l'
es aliénés non paralytiques, chez les tabétiques ou dans les cas de lésion céré- brale, est tout au plus de 1,4 p. 100 et
me céphalique et de commotion cérébro-spinale. Un malade atteint de lésion cornéenne présentait une vive exagéra- tion de
tracture spasmodique ou uue contracture réflexe consé- cutive à une lésion du noau du laryngé supérieur. Dans un autre cas
s. Celte constance, au contraire, s'éclaire par la conception d'une lésion portant 122 SOCIÉTÉS SAVANTES. uniformément s
e, portant sur un grand nombre de nerfs des membres inférieurs, une lésion circonscrite de la corne antérieure droite, de
e la corne antérieure droite, de la moelle lombaire supérieure. Les lésions étendues de la périphérie ne pouvaient dépendre d
ndues de la périphérie ne pouvaient dépendre de la moelle épinière, lésions centrales et périphériques provenaient du même
morbide, on note fréquemment aussi des symptômes qui indiquent une lésion centrale, et, dans un cas donné, il est diffici
ficile d'exclure ou de diagnostiquer l'existence si- multanée d'une lésion centrale. Séance du 4 décembre 885. - Présidenc
muscles. Mort en état de collapsus. Les viscères sont parsemées de lésions caractéristiques de l'alcoolisme chronique; int
, habitude qui en faisait un droitier du cerveau. C'est pourquoi la lésion siégeant à gauche ne détermina pas de symptômes
l'ac- commodation et de la polyopie monoculaire; par l'absence de lésions du fond de l'oeil. Cette amblyopie n'est pas ab
e l'hémianesthésie dont elle fait partie, doit être rapportée à une lésion de l'hémisphère opposé. Elle . démontre qu'il y
et l'hémisphère. D'autre part, il y a des faits qui prouvent qu'une lésion de l'hémisphère peut produire l'hémiopie. Il fa
ris. La question posée était : « De l'idiotie et en particulier des lésions anatomiques des centres nerveux dans l'idiotie
n mentale dans laquelle l'hérédité a également joué son rôle. Les lésions du crâne et du cerveau sont de beaucoup les plus
te un certain degré de ramollissement. Dans les autres organes, les lésions sont insignifiantes; l'estomac présente les lés
es organes, les lésions sont insignifiantes; l'estomac présente les lésions du catarrhe chronique (Gaz. liebd.). F £ né(C
n. Supposons en effet qu'il s'agisse là d'une paralysie due à une lésion organique, à une lésion de l'encé- phale par ex
qu'il s'agisse là d'une paralysie due à une lésion organique, à une lésion de l'encé- phale par exemple , et c'est évidemm
perte de connais- sance qui l'a précédée, c'est, disons-nous, à une lésion siégeant dans cet organe qu'il faudrait songer.
marche, une per- sonne atteinte d'hémiplégie en conséquence d'une lésion organique du cerveau,'on voit que, pour porter
estations motrices et sensitives aient été sous la dépendance d'une lésion organique de l'encéphale ; dans cette hypothèse
me due à une dégénération secon- daire. Mais alors, où localiser la lésion ? Il faudrait DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 169 é
hésie sensi- tivo-sensorielle serait en rapport avec l'idée d'une lésion de la partie postérieure de la capsule interne ;
ie postérieure de la capsule interne ; et l'on admettrait que cette lésion empiète sur la par- tie antérieure de la capsul
me, après une courte analyse des faits, de rejeter l'hypothèse de lésion * organique et de mettre la paralysie sur le com
é- 178 CLINIQUE NERVEUSE. rique, et qu'elle ne peut relever d'une lésion orga- nique. Il nous suffira de faire remarquer
ie hystérique ou bien d'une amyotrophie musculaire due soit à une lésion spinale, soit à une lésion des nerfs, et coïn-
ne amyotrophie musculaire due soit à une lésion spinale, soit à une lésion des nerfs, et coïn- cidant avec l'hystérie. -
'atrophie simple, c'est-à-dire d'une atrophie indépendante de toute lésion matérielle de là substance grise de la moelle e
faut aller plus loin et chercher expliquer le méca- nisme de cette lésion . ' .. Il semblerait au premier abord assez natu
dont nous nous occupons ici avec l'amyotrophie qui résulte d'une lésion organique des cornes antérieures de la moelle o
de la moelle ou des nerfs moteurs, et qui constitue le type de la lésion trophique ? Il est sans doute indispensable d'é
de dégénération descendante, et qui était indépen- dante de toute lésion des cornes antérieures de la moelle et des nerf
ces publications. Dans tous ces cas l'autopsie n'a découvert aucune lésion pathologo- anatomique dans le système nerveux;
de l'albumine en petite quantité. En outre, on remarque encore une lésion vasculaire. La jambe droite se présente plus pàle
ique a l'iuhersite de lIelsingfurs. Comme le nombre des différentes lésions corticales bien limitées, est encore assez rest
paralysie du côté droit; avec cette distinction que la place de la lésion était en partie différente et plus étendue dans
urtout les premiers temps après l'accès, il peut être rattaché à la lésion locale (supposée), conformément à une règle à p
LOGIE NERVEUSE. 209 presque toujours à un certain degré, lorsqu'une lésion , même circonscrite, s'est développée sur un poi
oduit, à plus forte raison, et pour ainsi dire à coup sûr, quand la lésion intéresse les lésions où siège l'appareil du la
son, et pour ainsi dire à coup sûr, quand la lésion intéresse les lésions où siège l'appareil du langage '. REVUE DE PATH
e pyramidale serait indépen- dante de la sclérose postérieure et la lésion de la substance grise serait due à la sclérose
ablement à la destruction du corps calleux ; z 1° peut-être la même lésion est-elle responsable des phénomènes relatifs à
re un zona des deux tiers antérieurs du bord droit de la langue. La lésion , rhumatismale, -IL, au-dessus du rameau de l'ét
art, la parésie faciale émane de l'atrophie musculaire et non d'une lésion des noyaux des nerfs bulbaires, car elle est un
s musculaire. L'ensemble symptomatique ne permet de songer ni à une lésion cérébrale, ni à une affection cérébelleuse, mai
on systématique combinée) est assez sédui- sante, car on trouve une lésion adéquate dans les deux cordons 21 si REVUE DE P
des cordons postérieurs; la substance grise ne présente pas plus de lésion que dans le tabes accompagné d'ataxie, elle n'e
me à la suite d'un empoisonnement unique et déjà souvent liés à une lésion orga- nique sont très passagers chez le chien;
iés à une lésion orga- nique sont très passagers chez le chien; les lésions organiques ne se montrent chez ce dernier qu'à
qu'à la suite d'une série d'empoi- sonnements successifs. II. Les lésions en foyer, très fréquentes chez l'homme, n'ont j
aucoup plus tardivement apparait le carac- tère inflammatoire de la lésion se manifestant cliniquement par la fièvre, les
isement des pyramides, le cordon latéral gauche est dégénéré. Cette lésion , qui ne se rattache en rien à celle du cordon l
aisceaux cunéiformes. Il y a donc eu, dans l'espèce, deux sortes de lésions presque contemporaines; un ramollissement céréb
t débuté par l'entrecroisement des pyra- mides. Ces deux espèces de lésions émanent d'altérations inflam- matoires syphilit
mis de dire que leur altération dépend du stade du tabès, et que la lésion y est d'autant moins avancée qu'on examine les
hthisie pulmouaire ou mutilée par des névro- pathies (surdinrutilé, lésions du nerf optique, etc.). M. Thomsen écrit une le
ni troubles de l'accommodation, ni modifica- tions pupillaires, ni lésion du fond de l'oeil, acuité visuelle mo- dérée (a
rique n'atteignant pas le degré qu'on a cou- tume de noter dans les lésions de la moelle. Conclusion. Névrite multiloculair
quable, ce qui confirme encore le diagnostic et exclut l'idée d'une lésion des centres nerveux. L'auteur insiste sur l'act
bles aux blessures du médian(ques- tion de degré et d'étendue de la lésion en chaque cas particulier), sur l'atteinte, dan
. 1'IIERZE.1E1VSICY et Rosenbacii. (Neurol. Centrabl., 1885.) Les lésions de la protubérance peuvent produire de nom- bre
rne, se trouve atteint. Ce syndrôme se rattache comme on sait à une lésion unilatérale du noyau de l'ocumoloteur externe'.
I. SUR une FORME DE trouble DE la sensibilité DÉCOU- verte dans LES LÉSIONS unilatérales du cerveau A l'aide d'une méthode
entées sur de l'artérite syphilitique (tableau microscopique des lésions décrites par Heubner), l'écorce congestionnée pré
dis que sa rapidité dépourvue de propagation plaide en faveur d'une lésion spinale. - P. K. XLIV. Communications casuistiq
e ; de date plus récente que l'altération de la couche optique, ces lésions expliquent l'aphasie (très légère atteinte de l
ombinées; par C. Westphal (drch. .Psych. XYI, 2). Dans toutes les lésions combinées, dit Déjerine, l'atteinte des cordons
On constatait encore de l'encéphalite interstitielle ; peut-être la lésion du lobe occipital est-elle en rapport avec les
tués par une hypochondrie pure sans phénomènes objectifs, par des lésions surtout atrophiques du nerf optique, par de la
tions, il existe des signes morbides qui indiquent certainement une lésion orga- nique du système nerveux à évolution insi
que c'est lorsque la paralysie se généralise que l'on rencontre une lésion centrale des cornes antérieures. Mais il est im
oit survenu de para- lysie généralisée. Le manque presque absolu de lésions céré- brales, la durée et les phénomènes princi
ésanie systématique avec stupeur modifiée, par intervalles, par des lésions intercur- rentes ; c'est ainsi que la paraplégi
. Churchill. Setrztc. - A contribution to the localizalion of focal lésions ln the poîts oblongata transition. Brochure in-
timent ; enfin l'impossibilité d'attribuer la surdi-mutité à une lésion organique quelconque, me font reconnaître l'hysté
qu'il étonna les personnes qui supposaient que B... souffrait d'une lésion organique de la moelle épinière. Le patient peu
rétention d'urine qui ne pouvait être causée que par de profondes lésions de la moelle épinière; enfin, l'a- mélioration
ace , malgré la vigueur de la constitution, fait supposer une grave lésion de l'organisme. La vision et l'audition sont no
ncements, plus forts à la pression, dans le côté droit, sans aucune lésion ,dans les pou- mons ni dans la plèvre. Dans le
, le trouble étrange de la sensibilité qui ne correspond à aucune lésion organique du système nerveux ni central, ni per
et disparu avec la même rapidité sans qu'on pût obser- ver aucune lésion de l'oreille; 2. Le mutisme (cas 3' et 9'). Le
plégies hystériques qu'on risque facilement de con- fondre avec des lésions organiques de la moelle épi- nière, lorsque la
tate sur ce dernier lobe quelques petites ecchymoses ponctuées. Les lésions sont les mêmes qu'à gauche. Sur la plèvre parié
dur que d'habi- tude, sans qu'on puisse y constater à l'oeil nu de lésions de néphrite interstitielle (épaisseur de la cou
ct du cerveau des nouveau-nés, sorte d'aspect gélatiniforme. Pas de lésion en foyer; pas d'induration de la corne d'Ammon;
. - Le foie, la rate, les reins, les poumons ne présentent pas de lésions qui méritent d'être notées. Cependant, du côté dr
naissance est l'une des causes peut-être les plus fré- quentes des lésions qui aboutissent il l'idiotie. (B.) Les autres e
hette, mais ne savait pas se servir de couteau, il n'offrait aucune lésion du tube digestif, sauf des hémorroïdes. Il ne pou
ce, soit à l'étranger. L'idiot est loin de présenter toujours des lésions macroscopiques grossières, beaucoup ne sont att
lésions macroscopiques grossières, beaucoup ne sont atteints que de lésions structurales, ne se décelant quelquefois à l'oe
rundler3, et offre un grand intérêt par suite de la constatation de lésions identiques à celles qui ont été rencontrées dan
e en sang. Quelques sugillations pleu- rales. - Poumon droit, mêmes lésions . Rate : longueur : 8 c. et demi, poids 75 gr. -
-ci par-là trouble et gris jau- nâtre. Rein droit (1415 gr.), mêmes lésions . Langue hypertrophiée avec plusieurs impression
irurgie. IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 369 myxoedème d'une lésion grave ou de l'absence de la glande thyroïde. La
émie consécutive à la paralysie des dilatateurs de la glotte, à une lésion des rameaux du grand sym- pathique, à l'altérat
inéale, à l'action de l'acide phénique pendant l'opé- ration, à une lésion des troncs nerveux, situés dans le voisinage de
st rasée et lavée avec du savon et de l'éther ; puis la place de la lésion est constatée par des mesures et marquée sur le
e. Dans le cas où il y a 384 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. encore lésion cardiaque considérable, on doit faire une pareill
aches blanc-jaunâtres sur leurs parois, qui indiquent une vieille lésion . Je doit dire ici qu'il est nécessaire d'avoir un
et du sens musculaire, accompagnée de paralysie motrice, due à une lésion de l'écorce. On ne saurait trop comprendre que
t ce fait et nous a dit qu'il croyait que ce malade souffrait d'une lésion irritative de nature inconnue, située dans la r
xploratrice fut décidée. Opération (22 juin 1886). Le siège de la lésion a été déter- miné par mensuration, une large co
i. Ces considérations amenèrent le Dr Buz- zard à diagnostiquer une lésion située dans le tiers postérieur de la circonvol
t conséquemment un tiouble de la nutrition. De là à interpréter les lésions encéphaliques, il n'y a qu'un pas. On peut se f
upes seules permettent de découvrir d'autres anomalies, surtout les lésions fines. Parmi les liquides de durcissement, c'es
douleur étaient toujours perçues. Chez les chats et les chiens, les lésions cérébro-spinales unilatérales qui ne nuisent pas
tilité, L'auteur porte sur les deux premiers faits le diagnostic de lésion du centre cortical mo- teur, sur les deux derni
lésion du centre cortical mo- teur, sur les deux derniers, celui de lésion corticale de la zone sensible, conclusion, conf
semées , amincies, pauvres en éléments de relais. Importance de ces lésions pour l'in- terprétation de l'hystérie. V. SEC
résultats de l'autopsie pour faire le diagnostic topographique des lésions en foyer de l'encéphale. La physiologie est ici
énomènes d'excitation pour le diagnostic local, la localisation des lésions . Nous devons savoir gré à M. Kéraval d'avoir vo
la topographie cérébrale et de déterminer rapidement le siège des lésions en foyer successivement passées en revue dans le
ie du corps du roi a prouvé que non seulement il existait de graves lésions cérébrales, mais encore que l'état durait depui
rmation réticulaire du bulbe et de la protubérance, 105. Gaucher ( lésion du lobe tempo- ral gauche sans aphasie chez u
par Campbell, 72. Possession de Jeanne Féry, 415. Protubérance ( lésions de la), 227. Psychiatrie clinique, par Schuel
61 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ermanesthésie est, dans ce cas, la seule indi- cation directe d'une lésion anatomique du système nerveux; mais on ne saura
GLI02blATOSE MEDULLAIRE. 35 ces phénomènes, comme symptôme de cette lésion anatomique une gliomatose de la moelle épinière
ption de la conductibilité à un certain point de la moelle mais une lésion segmentaire de la substance grise des cornes po
de la partie spinale. En outre, il faut supposer l'existence d'une lésion limi- tée de la corne antérieure gauche et des
ique moderne des centres nerveux, savoir : 1° L'étude parallèle des lésions anatomiques d'un système cérébro-médullaire et
rébro-médullaire et des troubles fonctionnels qu'occasion- nent ces lésions ; en d'autres termes, l'étude anatomo- clinique
es corrobo- rantes3. Nous y déterminons successivement le siège des lésions * Nous verrons le rôle important que joue la mé
ur el à la branchemo- trice du trijumeau (VII), enfin, le siège des lésions à l'écorce dans l'héma'atzopsie (VIII), malgré
lin., propres à démontrer que la perte de la parole correspond à la lésion des lobes ant. du cerv. (Acad. des se, 1825. Ar
e, t. VI, p. 330) ; Nouv. observations d'aphémie pro- duite par une lésion de la moitié post. des 1° et 3° cire, front, même
t, d'après M. Lépine(Th, ajréâ.), la réalisation de l'a- phasie par lésion isolée de l'insula n'est pas encore démontrée.
'insula n'est pas encore démontrée. D'ailleurs, anatomiquement, les lésions de l'insula ne peu- vent pas par elles-mêmes do
es fibres commissurales ? De là, il est per- mis d'admettre que les lésions de l'insula ne déterminent l'a- phasie que par
ons en rapport avec celui- ci. Et ces deux auteurs concluent que la lésion de ces différents cen- tres amenant les trouble
sie verbale auditive. 1 Voir pour l'historique de la découverte des lésions dans l'aphasie Grasset, 1886, p. 153, et th. de
, et th. agrég. Paris, 1875, Cl. de Boyer. Etudes cliniques sur les lésions corticales des hémisphères cérébraux, th. Paris
té la trépanation et l'ablation de la région malade dans six cas de lésions cérébrales chez l'homme avec épilepsie partielle.
ns inscrit. Quelques-uns (Leloir, Barbe) semblent établir que c les lésions susceptibles de donner lieu aux monoplégies bra
inférieur étant d'ailleurs assez étendu pour que les deux ordres de lésions puissent y trouver Aleuschenhirnes (Wiener n2ed
. Contribution à l'étude des troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrales (Amblyopie croisée et hémianopsie), th
essairement' 1 ». Les trou- bles de la vue, hémianopsie, etc., avec lésions des circonvolu- tions occipitales sont en ce mo
que la dissociation de la troisième paire semble effectuer par des lésions du Pli courbe ou du voisinage, rien n'est encore
gnalons sans plus y insister la région présumée que doit occuper la lésion corticale, cause de la déviation conjuguée de l
alysie générale, dont la création repose sur une base solide, des lésions anatomiques, dont la nature tout à fait intime n'
rieurement les variétés. Ici au contraire, rien de précis ; car les lésions méningitiques de nature tuberculeuse trouvées d
ment et les autres ne parlent pas de l'anatomie patholo- gique. Les lésions anatomiques manquant donc, et rien ne per- mett
omme de seize ans, présentant les symptômes caractéris- tiques delà lésion des noyaux du moteur oculaire externe, du triju
la DÉGÉN13RES- CENCE DES cordons postérieurs ' ; CONTRIBUTION A LA lésion PRI31f- TIVE combinée DES CORDONS DELA MOELLE ;
parition du réflexe tendineux rotulien, il faut et il suffit que la lésion dépassant en dehors la partie externe des cordons
ortion correspon- dante des cordons antérieurs. A l'association des lésions des cordons postérieurs et des cordons antéro-l
vec hydrémie DE l'hémisphère DU COTÉ OPPOSÉ A L'HÉMIPLÉGIE ET A UNE LÉSION PULMONAIRE PRÉEXISTANTE; par R. Lépine. (Rec. d
tion involontaire et l'idée fixe. VIII. HÉMIPLÉGIE DIABÉTIQUE AVEC LÉSIONS SEULEMENT MICROSCOPIQUES DES circonvolutions MO
uelle il meurt de tuberculose pulmonaire. Anatomie patholo- gique : lésion primitive des faisceaux pyramidaux portant en m
n général, celle des réflexes tendineux en particulier, tenant à la lésion non des fibres motices, mais de certaines fibre
e soient les faisceaux pyramidaux qui soient les premiers lésés, la lésion portant en même temps sur les cor- dons antérie
qui comme ici témoignent d'une affection systématique combinée, la lésion des cordons postérieure prédomine toujours dans
cordons postérieurs. Les dégénérescences secondaires qui suivent la lésion primitive des faisceaux pyramidaux sont descend
e des faisceaux pyramidaux sont descendantes; celles qui suivent la lésion primitive des faisceaux latéraux cérébelleux et
côté de ce type quasi pur, y a-t-il un type spas- modico-tabétique ( lésions tabétiques et lésions des cordons latéraux des
pur, y a-t-il un type spas- modico-tabétique (lésions tabétiques et lésions des cordons latéraux des pyramides). P. K. XI
guë transverse l'auteur passe à l'étiologie et à la pathogénie delà lésion . Ce n'est pas une myé- lite infectieuse ordinai
SoREL. XVI. SCLÉROSE OU dégénérescence spinale CONSÉCUTIVE A DES lésions cérébrales; par W. J11liUS MlCl, : LE. 77 ! e<
se ou dégénérative de la moelle s'est montrée consécutivement à des lésions encéphaliques localisées ; voici pour chacun de
localisées ; voici pour chacun de ces neuf cas l'indication de la lésion cérébrale : OBs. I. Lésion de la surface des ci
cun de ces neuf cas l'indication de la lésion cérébrale : OBs. I. Lésion de la surface des circonvolutions, pénétrant da
quelques-uns des pro- longements de la capsule interne. uns. Il. Lésions diffuses, peu manifestes, siégeant surtout dans
eurs circonvolutions et d'une partie du corps strié. Cas. IV. Les lésions primitives locales avaient surtout détruit des
e côté était en état de dégénérescence partielle. Ons. VI. Adroite, lésions destructives du corps strié; à gauche mêmes lés
s. VI. Adroite, lésions destructives du corps strié; à gauche mêmes lésions , moins étendues et intéressant la capsule interne
tus analogue, mais cunéi- forme dans la colonne droite. OBS. Vil. Lésion médullaire centrale de l'hémisphère droit, à pe
: sclérose de la colonne latérale gauche de la moelle. OBs. VIII. Lésions ayant détruit une partie du corps strié, de la
s. IX. Atrophie considérable d'un des hémisphères céré- braux, avec lésions de paralysie générale plus accusées dans cet hé
me dans l'alcoolisme, mais avec un pronostic infiniment meilleur ( lésions anatomiques graves des alcooliques). La guérison
éreiicie-t-on une maladie en pathologie générale ? On s'adresse aux lésions anatomiques, avec symptômes, aux causes. Or, ce
l'autopsie à peu de distance des acci- dents. On ne constate pas de lésions méningitiques. Il est vrai qu'on ne trouve pas
, p. 410. SOCIÉTÉS SAVANTES. 89 leur lui ont montré que c'est une lésion du système vasculaire et non la dégénérescence
on ne rencontre pas de dégénérescence des cordons postérieurs. Les lésions cérébrales du labes sont d'une autre es- pèce q
sont pas syphilitiques. Il n'existe aucune contradiction entre une lésion or- ganique produite par un poison et une lésio
adiction entre une lésion or- ganique produite par un poison et une lésion organique produite par un parasite. M. de RI;CK
nutrition s'est effectuée et les éléments se sont détruits. Pas de lésions vasculaires, pas d'hypérémie, pas de pro- lifér
s d'huile de croton à 1/5, de teinture d'iode, etc.) et celle de la lésion directe du muscle (martellement de portions de mu
e et la contracture ne peuvent-elles pas être considérées comme des lésions secondaires ? M. Kussmaul. Dans l'espèce il n'y
erme un tableau de 109 observations d'épilepsie Jacksonmenne où les lésions sont mises en regard des symptômes observés, et
es symptômes observés, et qui permet à l'auteur de conclure que les lésions déterminantes de l'épilepsie partielle ne siège
ces; par Gnimoi)ji ? Th. Paris, 1887. L'influence qu'exercent les lésions des nerfs périphériques sur le développement de
nce considérable dans la neuro-pathologie. Après avoir attribué aux lésions cen- trales seules la pathogénie des accidents
es la pathogénie des accidents nerveux, on considère maintenant les lésions périphériques comme un facteur des plus communs
avoir mieux compris l'importance et la portée de cette catégorie de lésions . Les travaux de WesLpliall, d'Erb, de Mayor, de
atrophie. Quant aux altérations anatomiques, on constate tantôt des lésions des nerfs seuls, tantôt des lésions concomittan
omiques, on constate tantôt des lésions des nerfs seuls, tantôt des lésions concomittantes des racines, et des méninges rac
est surtout le fait de la régénération, par suite duquel souvent la lésion primitive a disparu alors que ses conséquences
ont encore manifestes. Les observations indiquent la coexistence de lésions médullaires représentées par de la ménin- gite
lution des névrites ; enfin la possibilité de la restauration de la lésion primitive permettrait de concevoir qu'on observ
les névrites dites spontanées ne sont point indépendantes de toute lésion des centres, mais peuvent être rattachées dans
es auteurs se sont adonnés à rechercher pour les expliquer. Dans la lésion des cellules cérébrales doit certainement résid
t résider toute l'expression de la ma- ladie. Mais quelle est cette lésion ? - Les différents facteurs jouant un rôle dans
térie avec une de 9,13 p. 100 dont 19,03 p.100 chez les femmes. Les lésions du coeur et du poumon présentent un chiffre de
nérale qui peuvent avoir une influence fâcheuse sur l'évolution des lésions traumatiques. Le traumatisme peut avoir une tac
que. Il peut être comparé au rôle de la fièvre, de l'émotion, de la lésion viscérale que l'on constate quel- quefois à l'o
fréquemment le mode hémiplégique, et peut simuler l'hémiplégie par lésion du cerveau ; les indications du diagnostic diff
a plupart des symptômes cliniques énumérés est sans doute liée à la lésion anatomique de cette partie de la moelle épinièr
fisante à l'examen du sens de la température; néanmoins il a vu des lésions de sensibilité à la douleur et à la température
des deux membres DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 203 supérieurs sans lésion simultanée des segments thora- ciques adjacents
(OBS. VI), on observe de l'asymétrie dans les différents degrés de lésion de diverses régions isolées ; de sorte qu'un de
isolées ; de sorte qu'un des membres présenterait, par exemple, une lésion plus avancée des parties périphériques, tandis
ement rapide d'éléments dans cer- tains groupes n'ayant pas subi de lésion , et ayant con- servé la faculté de conduire les
e pas toujours que l'analgésie n'occupe que certaines parties de la lésion thertnanes- thésique. Parfois, dès le début, le
ntal se complique ou s'obscurcit même par une série de symptômes de lésion diffuse ou en foyer des cordons blancs de la mo
eulement que nous ne nous voyons pas forcés de les expliquer par la lésion des nerfs trophiques hypothétiques. Mais nous n
e (dans la localisation initiale, dans la sanction et le degré de lésion des muscles atteints), qui est observée dans le
émiques , les neuropathes, surtout les femmes', et ceux qui ont une lésion dynamique ou matérielle de l'estomac, sont préd
; aussi le cervelet ne semble-t-il que très légèrement atteint; les lésions principales trou- vées à la nécropsie étaient l
Lobe temporal. Les première et deuxième temporales présen- tent des lésions de méningo-encépfecclite sur presque toute leur
û au retrait qu'a subi la pièce dans l'alcool. Sur des points où la lésion est' plus avancée, il existe autour de ce vaiss
illes conjonctives en plus ou moins grande épaisseur; plus loin, la lésion est plus avancée encore. Ces fibrilles conjonct
sent au point de former un tissu aréolaire visible à l'oeil nu. Ces lésions expliquent l'état cha- griné qui résulte de l'e
uatre heures dans ce réactif. Lobe occipital droit en dehors delà lésion . Vaisseaux nombreux, vascularisés, à cavité lar
u quatrième ventricule, au-dessous des olives montrent d'abord .des lésions péri-vasculaires très marquées, surtout du côté
iffus un certain nombre de tubes nerveux persistent. En résumé, les lésions du bulbe et de la moelle sont consécu- tives ai
sont consécu- tives ainsi que celles de la couronne de Reil. Les lésions de l'écorce sont surtout marquées au niveau de la
et atrophie des cellules nerveuses; 3° formation des cavités. Ces lésions forment aussi à la surface des hémisphères un cer
convulsions et paralysie du côté gauche sont en rap- port avec les lésions trouvées à l'autopsie, qui étaient en effet plu
veloppée, se limita de plus en plus, ce qui est en rapport avec les lésions relevées à l'autopsie qui nous a montré que la
gauche de la moelle est atrophiée. Nous ne reviendrons pas sur les lésions rencontrées sur les circonvolutions cérébrales;
ons affirmer dans notre cas si ce symptôme doit être attribué à une lésion cérébelleuse, DE l'axe cérébro-spinal. 249 vu
DE l'axe cérébro-spinal. 249 vu l'étendue et la dissémination des lésions rencon- trées à l'autopsie, mais nous croyons d
belleuse. Parmi les autres symptômes pouvant être rattachés à une lésion cérébelleuse nous signalerons encore la titubat
'écorce cérébrale en deux régions : une pre- mière région, dont les lésions produisent manifestement des troubles moteurs v
stement des troubles moteurs variés et une deuxième région, dont la lésion reste à peu près silencieuse, au point de vue d
te : (la zone corticale dite latente est ainsi nommée, parce que sa lésion ne provoque aucun événement pathologique de la
s des troubles de la sensibilité ». En outre, des observations de lésions corticales du côté des circonvolutions frontales
olutions frontales avec « troubles légers de la sensibilité » ; des lésions de la plus grande partie de la région fronto-pa
tales; la pédiculo- frontale, par le ' Pitres. - Recherches sur les lésions du centre ovale des hémisphères au point de vue
méthode d'étude des dégénérescences secondaires. Chaque fois que la lésion première à l'écorce cérébrale, ou au centre ova
pédoncule dans la partie interne de son étage inférieur et cette lésion secondaire systématique coïncide toujours avec de
alogue aux carrefours moteur et sensitif de la capsule interne. Une lésion du centre ovale au niveau du carrefour du langa
. Toutefois, il existe un seul fait d'aphasie protubérantielle avec lésion du milieu du côté droit de la protubérance. Celui
be (Charcot-Féré-Brissaud). Les différents faits anatomo-cliniques ( lésions , engendrant l'aphémie, de l'écorce au pied de l
engendrant l'aphémie, de l'écorce au pied de la troisième frontale, lésions du faisceau pedieulo-frontal inférieur, du carr
four du langage parlé de Bitot et dégénérescences secondaires à ces lésions supérieures, dans la capsule interne, dans le p
stance grise du noyau antéro-latéral. Il présente ordinairement des lésions identiques à celles du noyau principal dans la
echerches anatomiques auxquelles se sont livrés ces auteurs sur les lésions causales de la paralysie labio-glosso-laryngée
ices et que l'étude anatomo-clinique désigne comme une zone dont la lésion se révèle par des troubles psychiques (zone int
e, démontrée par LudwigTurk et Charcot, dans la systématisation des lésions anatomiques dégénératives des- cendantes. Ils s
ainsi du reste que les cornes grises antérieures de la moelle. Leur lésion expérimentale en outre répond toujours à des tr
entre ovale, dans la région dite excitable (région rolandique), ces lésions destructives expérimentales produisent des acci
sur divers points, se proposant de vérifier expérimentalement les lésions que Ludwig Turk et Charcot avaient observé chez
orrespond à l'hémiplégie. Carville et Duret' précisent le siège des lésions capsulaires, produisant isolément l'hémiplégie
es symptômes observés pendant la vie peuvent être expliqués par une lésion unique, pour l'exactitude absolue sur la questi
xactitude absolue sur la question des rapports entre le siège de la lésion et celui des troubles moteurs, destructive et n
idal. A l'écorce cérébrale, pour qu'il y ait paralysie, il faut une lésion destructive des parties de l'écorce qui recouvr
rontale et pariétale ascendante, et du lobule paracentral. Si « ces lésions sont étendues, il en résulte une hémiplégie tot
Th, citée. . DE L'AXE CÉRÉBRO-SPINAL. 265 Au centre ovale, les lésions de la région intermédiaire aux deux coupes préf
émiplégie ou monoplégie. A la capsule interne, ce sont toujours les lésions primitives ou secondaires dégénératives du tier
ice capsulaire), étaient isolément atteints'. Consécutivement aux lésions de l'écorce motrice, des fasci- cules moteurs,
se trouve ainsi révélé par sa mortification même, puisque par des lésions supérieures, ses fibres constituantes interrompue
En raison des faits de dégénérescence descendante secondaire à des lésions du couronnement cortical des régions centre-ovala
aux dégénérescences secondaires, elles se montrent à la suite d'une lésion destructive supérieur ! ; : au pédoncule, dans
iculées, du pédoncule, du bulbe et de la moelle, consé- cutives aux lésions destructives localisées à la zone motrice cortica
es bandes de dégénération que présente, chez des sujets porteurs de lésions localisées des hémisphères, la partie interne du
la moelle épinière qui correspondent à la nutrition des muscles. La lésion des grandes cellules motrices des cornes antéri
rophies en quatre groupes, d'après la localisation anatomique de la lésion destructive : dans la moelle (amyotrophies m\é-
sans 1)aî,alysie labio-glosso-lL, ? -yigée bulbaire* se réalise. La lésion est-elle secondaire à une pachyméningite spinale
nir en anatomie pathologique pour révéler, par l'analogie de leur lésion et la succession presque régulière de leur attein
que toujours dans l'ordre suivant lequel nous les énumérons par les lésions des tabès' (type : ataxie locomo- trice progres
ons des tabès' (type : ataxie locomo- trice progressive (Duchenne), lésions se traduisant entre 1 M. le prof. Charcot (Geç.
e le substratum anatomique de l'ataxie-locomo- trice progressive la lésion scléreuse des bandelettes latérales est le seul
e seul fait anatomique essentiel et primitif dans l'ataxie. » Cette lésion existe à toutes les époques de la maladie. Elle
se spinale (compression lente delà moelle, etc.) De plus, certaines lésions de la moelle révélées en clinique sur- tout par
ier de pareils actes. R. M. C. BEVUE 1 D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE I. LÉSIONS DE LA MOELLE l;PINI1 : RE CHEZ L'HOMME DANS L'IN-
se rencontrent très rarement dans le cas actuel. En comparant ces lésions avec celles qu'il avait constatées antérieureme
résent du moins; il croit qu'en ne prenant en considération que les lésions de la moelle épinière seule, on peut parfaiteme
que, particulièrement intéressante à ce titre.On voit, entre autres lésions , une dégénérescence ascendante du ruban ' de Re
ë des gros troncs nerveux avec hémorrhagies interstitielles; faible lésion du parenchyme. Intégrité des nerfs, du cerveau
générés. p. Ici. Vil. UN CAS DE GOMME DE L\ \. BASE DU CERVEAU AVEC LÉSION DU CHIASMA des nerfs optiques; par E. SIE.)irRL
oïdes ou des cordons postérieurs. Les symptômes qui résultent de la lésion des cor- dons postérieurs, c'est-à-dire les dou
antérieures ou myairoplii- ques. Les symptômes qui résultent de la lésion des cornes antérieures et plus spécialement des
substance blanche ne sont point du tout égales en lieu et degré de lésion dans différents cas et oc- cupent toujours le p
ression se formant lentement de côté. D'autre .part, ces grossières lésions varient comme nature, Consistance, délimitation
esthésie généralisée (OBs. 111, V, VI). Ces symptômes indiquent une lésion élective, quasi-systématique. Elle peut être pr
faits cliniques nous obligent aussi de rattacher l'anesthésie à une lésion des cornes postérieures : la répartition segmen
es. Mais quelles sont les rapports intimes entre ce symptôme et les lésions anatomiques ? L'intensité variable des anesthés
r- dons blancs; si avec cela existait toujours parallèle- ment la lésion du sens de la température et de dou- leur, cett
ne disparaît presque qu'avec la destruction des cylindres axes. Une lésion aussi considérable des éléments nerveux, mais l
u groupe de cas étudiés par nous. D'autres phénomènes tenant à la lésion des cordons postérieurs et latéraux de la moell
e faut pas oublier que dans aucune autre maladie les symptômes de lésions en foyer de la moelle épinière ne se combinent
e du bras etc.). Une telle disposition n'exclue pas il est vrai une lésion d'une série de ra- cines d'un côté une rhenitis
rrespondant pas aux sphères de dis- tributions nerveuses, mais à la lésion de parties de certains segments des colonnes po
thésie seule ou accompagnée d'analgésie et sans autres symptômes de lésion anatomique de la moelle épinière ou allongée es
. Dans un de nos cas (OBSERV. Viol), en fait de sympa tomes d'une lésion anatomique il n'existait qu'une ther- 1 manesth
atteints l'un d'épilepsie procursive , pouvant être rattachée à une lésion du cervelet, et l'autre d'ac- cidents procursif
le cas de Meschede, les symptômes observés sont en rapport avec la lésion cérébelleuse rencontrée à l'autopsie, locomotio
s dans notre historique, on trouva à l'autopsie, dans deux cas, des lésions profondes de la protubé- rance et, dans un autr
s lésions profondes de la protubé- rance et, dans un autre cas, une lésion du corps strié; dans ces trois cas il s'agissai
rrhagie ; la difficulté dans ces circonstances de bien localiser la lésion , son retentissement sur les organes environnant
sifs, certains mouvements de manège, de rotation, sont liés à une lésion cérébelleuse '. Celle-ci peut être tantôt primi
En 1869, MM. Luys et A. Voisin' ont attiré l'at- tention sur les lésions du cervelet et de ses pédon- cules chez les épi
de ses pédon- cules chez les épilel)ti(lues; ils attribuaient à ces lésions un rôle important dans les phénomènes convulsif
ns les phénomènes convulsifs, assertion du reste discutable, car la lésion cérébelleuse était associée à d'autres lésions
te discutable, car la lésion cérébelleuse était associée à d'autres lésions encéphaliques; aucun de leurs malades n'est sig
ou l'irritation de certains points de l'encéphale sont liées à des lésions du cerveau et l'on constate dans l'intervalle d
. Parmi les phénomènes les plus constants observés à la suite des lésions ou des excitations expérimentales du cervelet,
'. » M. Nothnagel n'admet, au contraire, aucune liaison entre les lésions cérébelleuses et l'épilepsie'. « Les accès épil
ndiquer aucune espèce de signification diagnostique au profit d'une lésion du cervelet ; cela va de soi, lors- qu'on envis
ce assez grande dans l'atrophie cérébelleuse, c'est-à-dire dans une lésion qui ne restreint pas l'espace de la cavité spla
, soit que les parties se trouvent directement comprimées par une lésion restreignant l'espace ambiant, soit qu'il s'agiss
mouvements de rotation ont été également obser- vés à la suite des lésions des pédoncules cérébelleux. « M. Bethomme, dans
admettre, en eflet, avec Nothnagel, que ces derniers sont dus à la lésion secondaire de la protubérance ou de la moelle a
i servent d'insertion aux muscles. Le cerveau n'avait point d'autre lésion que l'atrophie des nerfs optiques, une diminution
pondant aux exostoses signalées à la gouttière basilaire'. '. Les lésions cérébelleuses s'accompagnent de dégé- nérations
gé- nérations secondaires, particulièrement de la protu- bérance, lésions secondaires auxquelles peut être attribué le re
de la protubérance produit des convulsions épileptiformes et que la lésion d'un pédoncule cérébral produit un mouvement de
doncule cérébral produit un mouvement de manège du côté opposé à la lésion . « Dans ce mouve- ment de manège, l'animal décr
variable, et le cercle parcouru serait d'autant plus petit que la lésion se rapproche davantage du bord antérieur de la
. le édition, p. 999. Paris, 1876, de L3RPILEPSIE PROCURSIVE. 3 lésion de la partie supérieure et externe du pédoncule
nts irrésistibles à un défaut d'asymétrie de l'innervation 1. Les lésions cérébelleuses peuvent être latentes, mais elles
r les autres parties de l'encé- phale. Aussi la symptomatologie des lésions céré- 1 Archives de Neurologie, 1885, t. IX, p.
ient à l'abri de toute critique sous ces divers rapports, car les lésions rencontrées à l'autopsie n'étaient pas stric- t
s, surtout dans l'ob- servation de Duch..., de la coïncidence de la lésion cérébelleuse paraissant primitive, avec les phé
taine période de l'affec- tion de ce malade , de l'étendue de cette lésion cérébelleuse et de sa plus grande ancienneté pa
cérébelleuse et de sa plus grande ancienneté par rapport aux autres lésions rencontrées à l'autopsie. L'interprétation des
thèse de la relation possible entre l'épilepsie procur- sive et une lésion cérébelleuse. Etiologie. Nous ne connaissons ri
rsive. D'après nos observations, nous pouvons seulement dire que la lésion encépha- lique semble débuter dès l'enfance.
ôle nécessaire à la production du tremblement, car, dans les cas de lésions en foyer exclusivement limitées à la protubéran
ations importantes à cause de l'intensité et de la localisation des lésions . Et à propos de ces observations, idées origina
ocalisations CLItÉBli.ILCS.-i10\OPLÉGIR brachiale consécutive A une lésion corticale; par W. Julius Mickle (The Journal of
nts de la première et de la seconde circonvolution frontales. Cette lésion , tout en irritant la couche corticale qu'on en
bre supérieur. Quant au membre inférieure droit, le siège même delà lésion faisait prévoir qu'il ne serait que légèrement
tion. Mort trois ans après le début de la maladie par suub- cation. Lésion des cornes antérieures absolument pure; atrophie,
rvations caractérisées, à l'exception dcsixpsychopathies dues à des lésions céphaliques et à d'autres dommages, par de la f
les psychiques qui succèdent aux mauvais traitements corporels sans lésions crâniennes vraies. Douze observa- tions dont vo
, peu detemps après un mauvais traitement qui s'est traduit par une lésion légère, se manifestent, de concert avec une mélan
ngestive brutale, M. Eastelberg ne trouve, comme c'est la règle, de lésions ni dans l'encéphale ni dans la moelle, qui four
nne. Elle meurt néanmoins à 1 heure et demie après-midi. Autopsie : Lésion mitrale, myocarde altéré. Congestion des bases
'admet pas que l'artério-sclérose soit fonction de sénilité ; cette lésion n'existe pas dans tous les cas, et quand elle a
ation spinale de l'artério-sclérose généralisée. La première de ces lésions à laquelle seule convient le nom de moelle séni
nsition à l'hérédité dans les maladies. Vient ensuite une revue des lésions causées par l'alcoolisme et il prend le terme d
Magnus Iluss, Lancercaux, Yetautt, Leudet, etc. L'auteur admet des lésions de stéalose portant sur toutes les glandes; des
ue l'absinthe a déterminé chez les chiens nés du mâle intoxiqué des lésions nombreuses et variées qui sont caractérisées su
ciale, prosnatisme, arrêt de développe- ment des membres, pied bot, lésions des organes génitaux uri- naires. Il cite des o
ide : Contribution ci l'étude clinique des anesthésies dépendant de lésions en foyer de l'écorce cérébrale. Tostivint : Con
omatose médullaire, par Roth, 23, 195, 395. Gomme du cerveau avec lésions du chiasma optique, par Siemerlin" 282. Gro
ncendie commis par une hystérique , par Stark, 275. Intoxication ( lésion de la moelle dans 1' arseuicale aiguë), par P
r Virchow, 100; (tubercu)e de la-cervicale), par Saclrs, 919 ; - ( lésion systéma t iyue primitive combinée de la), par
a), par Sttncmpell, 71. Monoplégie brachiale consécutive à une' lésion corticale, par Muckte, 439. .Montagnards (aff
3. Prix de la Société médico-psycholo- gique, 81. Protubérance ( lésions de la), par Mier- z et Rosenbach, 279. Pty.il
ns la), par Richaidièie, 68. Sclérose spinale consécutive à des lésions cérébrales, par iNlickle,-i5; inuililoctil;tire
62 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
comme, la sciatique hystérique ou les sciatiques symptomatiques de lésions pelviennes, font naître la contracture ; mais n
- frant d'une hémiplégie ordinaire, sous la dépendance de quelque lésion organique, vous vous apercevrez qu'elle a, en m
e malade aucun des signes objectifs permanents qui accompagnent les lésions cérébrales ou spinales. En outre, la marche de
ites anatomiques. Dans le cas contraire, l'ischémie persiste et des lésions orga- niques se produisent dans le tissu emboli
le. Au centre de ces foyers, on trouve le maximum d'intensité de la lésion ; là, les élé- ments nerveux sont complètument
rés et réduits en granu- lations. Vers la périphérie, surtout de la lésion , on distingue les signes d'une myélite, les tun
térations classiques de la dégénérescence descendante, à savoir une lésion scléreuse caractérisée par l'atrophie considéra
s les foyers qui, déjà à l'oeil nu présentaient comme des sièges de lésion profonde, on constate une disparition complète
un ramollissement central de la moelle dorsale et au milieu de la lésion une artère oblitérée. Les faits de Leyden sont
ique a donc démontré que ces points clairs jaunes, les foyers de la lésion , constitués presque exclusivement par un amas d
ées. Le maximum d'alté- ration se trouve au milieu du domaine de la lésion . Ici les cordons postérieurs sont en quelque so
ervé. FORME cérébrale paralytique. L'étude de la localisation des lésions matérielles organiques nous permet d'avoir une
partielle a démontré qu'il est sous la dépendance immédiate d'une lésion (syphilis, tumeur d'une autre nature, légère in-
notre malade. Cet endroit c'est la zone motrice et par analogie aux lésions matérielles 68 CLINIQUE NERVEUSE. organiques
ale de la frontale et pariétale ascendante. De quelle nature est la lésion qui siège à cet endroit ? La nature de cette lé
e nature est la lésion qui siège à cet endroit ? La nature de cette lésion est certes irritative, j'ajouterai même qu'elle
ntré expérimentalement que les troubles de l'équilibre sont dus aux lésions de cette portion. Or, le nerf de l'espace une f
s douleurs nous'en parlerons dans la suite. Maintenant, quand les lésions épinales siègent ou au moins domi- nent au cent
uand c'est au centre, aux cordons latéraux et postérieurs que les lésions se localisent, naît la forme centralespi- nale
les syndromes propres aux régions lésées de la moelle. Le siège des lésions au centre et aux cordons postérieurs, donne nai
a forme centrale spinale postérieure. La localisation exclusive des lésions aux cordons postérieurs, produit la forme spina
ns postérieurs, produit la forme spinale postérieure. Enfin, si les lésions siègent à la moitié de l'organe spiual, nous av
geri pour étudier les dégénérations descen- dantes consécutives aux lésions destructives des diverses zones de l'écorce cér
latérale, affectant surtout la moitié interne de l'oeil opposé à la lésion , altération transitoire de l'ouïe et de l'odora
et du tronc est seul atteint dans l'ataxie cérébelleuse. Enfin, la lésion d'une partie quelconque du cervelet déterminera
ire. L'ataxie cérébelleuse de cette chienne ne résultait ni d'une lésion du sens de l'équilibre, ni d'un manque de coord
médicale italienne, tenu à Pavie, en sept. 1887. 86 PHYSIOLOGIE. lésion n'intéressait que les hémisphères cérébelleux et
ont également été observés chez ces chiens. L'autopsie vérifia les lésions annoncées par Borgherini. Peut-être convient-
pathognomonique servant à distinguer une lé- sion de la base d'une lésion de l'écorce. Charcot et Pitres (1877-1879), Mar
ner. Il y aurait sans doute quelque exagération à prétendre que les lésions destructives de la zone motrice s'accompagnent
du silence qu'ont gardé si long- temps les auteurs sur ce genre de lésions fonction- nelles. Quoi qu'il en soit, et en lai
té générale coïncidaient avec des troubles de la motilité dus à des lésions de l'écorce. Dans les altérations de la sensibi
elles dans un étroit rapport. » Voici en quelles pro- portions les lésions affectaient les différentes régions du cerveau
cas cliniques recueillis par Sep- oilli : 92 ' PHYSIOLOGIE. Les lésions provocatrices des altérations fonction- nelles
cliniciens ont été jusqu'ici assez unanimes à re- connaître que les lésions des deux tiers antérieurs des circonvolutions d
ontracture et arrêt de développement du même mem- bre, une ancienne lésion destructive, intéressant uni- - z LES FONCTIO
Seppilli, n'a jusqu'ici apporté aucune preuve à l'appui. Les cas de lésions limitées à l'hippocampe sont d'ailleurs si rare
bles de la sensibilité avaient fait défaut en dépit des plus graves lésions destructives de l'hip- pocampe et ceux, innombr
p- pocampe et ceux, innombrables, où ces troubles exis- tent sans lésions de l'hippocampe. Enfin, dans le cas d'épilepsie
iniques connus, sauf deux, ceux de Grasset et de Kahler et Pick, la lésion n'a jamais été trouvée limitée au lobe pariétal
où il n'est point fait mention d'altération du sens musculaire, la lésion s'étendait uniquement à la zone motrice. Si les
'ex- pliquer par la différence d'extension et de profondeur de la lésion corticale. C'est ainsi que, suivant une hy- pot
n corticale. C'est ainsi que, suivant une hy- pothèse de Lisso, les lésions superficielles de l'écorce des régions motrices
otrices détermineraient des troubles de la sensibilité cutanée, les lésions profondes, des alté- rations du sens musculaire
musculaire et des paralysies motrices. Quant à la profondeur de la lésion , l'observation cli- nique démontre, ainsi qu'il
ontre, ainsi qu'il résulte des cas recueillis par Seppilli, que les lésions de l'écorce et de la subs- tance blanche sous-j
l'écorce et de la subs- tance blanche sous-jacente, tout comme les lésions superficielles de l'écorce seule, peuvent ne dé
ut en 96 PHYSIOLOGIE. dire autant de l'extension en surface de la lésion . Mais s'il ne parait pas qu'on puisse encore ex
as qu'on puisse encore expliquer par l'étendue ou la profondeur des lésions les différences d'intensité des troubles de la
ement et exclusivement leur siège dans l'écorce cérébrale. Si une lésion destructive de l'écorce les paralyse, une lésio
érébrale. Si une lésion destructive de l'écorce les paralyse, une lésion irritative les exalte'. Les observations cliniq
corps permettent-elles de rapporter ces troubles fonctionnels à des lésions correspondantes et exacte- ment localisées de l
différents centres de sensibilité générale, et cela parce qu'à des lésions plus ou moins circonscrites de l'écorce, peuven
us ou moins au membre antérieur et à la face. Mêmes résultats si la lésion destructive intéressait le centre cortical du m
iens, et toujours en vertu de la théorie de ]'« engrenage », qu'une lésion limitée de l'aire sensitivo-motrice d'une régio
ou moins éloignées, voire sur toute la moitié du corps opposé à la lésion . Tout ce qu'il serait permis d'avan- cér, parce
ons de la sensibilité de la face sont surtout en rapport avec les lésions des parties inférieures des circonvolutions asc
ndantes, et que celles des extrémités correspon- ' dent surtout aux lésions des parties supérieures de ces circonvolutions.
ières (para- lysie faciale périphérique de J'oeil), on provoque des lésions , non dans les noyaux du facial, non dans ceux d
ralytiques généraux, des déments séniles, des individus affligés de lésions traumatiques, des déments apoplectiques ayant s
il importe de résumer les conclusions de ce long travail. 1° Les lésions de l'ensemble des circonvolutions cérébrales prod
es produisent des troubles de la motilité d'autant plus tôt que ces lésions siègent plus près du pourtour immédiat du sillo
de Romande ; -- 2° les troubles de la sensibilité produits par des lésions se montrent surtout nettement quand l'altératio
lorsque REVUE D'ANATOMIE ET DE PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE. '113 la lésion occupe l'hémisphère gauche. L'aphasie motrice app
sphère gauche. L'aphasie motrice apparaît prin- cipalement quand la lésion siège sur le pied des deuxième et troisième fro
d l'altération occupe les première et deuxième temporales ; - 4° la lésion du lobe occipital engendre des troubles de la vue
is incomplète ; - 8° la cécité psychique se produit plutôt dans les lésions superficielles de l'écorce; la cécité corticale d
es lésions superficielles de l'écorce; la cécité corticale dans les lésions qui pénètrent toute l'épaisseur de l'écorce ou
condaires, non pas en tant que méthode, mais en tant qu'étendue des lésions ; c'est-à-dire que chez un adulte, les résultat
de sa prépondérance dans l'es- pèce, tenir compte des tabes et des lésions grossières du cerveau, de la syphilis, de l'alc
ultérieurement paraly- tiques généraux, et les malades atteints de lésions cérébrales gros- ses, il reste vingt cas d'immo
Il n'y avait toutefois aucune trace de violence pour expliquer une lésion rénale, et rien d'ailleurs, à l'autopsie, ne pu
es de la forme de l'objet, puisqu'il les dessine, il n'y a donc pas lésion de l'aper- ception ; il y a trouble de l'associ
el de l'écorce du centre visuel (symptôme indirect pos- sible d'une lésion en foyer) ; elle peut en outre être produite par
é psychique associative; au contraire la des- truction de l'écorce ( lésion corticale) engendrera la cécité psychique aperc
r recon- naître une action curative. M. Zncaen (de Stéphansfeld). Lésions anatomiques rares sur un cerveau d'idiote. - Il
s de la lisière de substance blanche. Discussion. M. Flersiweh. Ces lésions nous rappellent les faits de prolifération conj
e de délire général hallucinatoire. L'autopsie se traduisit par les lésions du décubitus acutus, des ' Nous avons traité au
aiblement accusée. Chez l'autre femme, il existait, en outre de ces lésions médullaires, une dégénérescence des vaisseaux t
à noyaux. A une demande de M. Jolly, M. BUCIIHOLZ réplique que la lésion atteignait à un même degré les droits de l'abdo
phie consécutive de i'organe. Il n'est commode de diagnostiquer ces lésions -là. On indique bien comme signe général l'affai
ache pas que les aliénés soient bien plus fré- quemment atteints de lésions cardiaques que nos malades des hô- pitaux, Le m
par les observateurs qui ont mis au pre- mier rang l'évolution, les lésions , l'étiologie, l'édifice élevé par les devancier
i- niques, ses symptômes physiques, son délire spécial, enfin ses lésions propres; si on a soin de la distinguer des paraly
'examen des coupes faites à un niveau inférieur, on constate que la lésion subit des modifications notables : elle devient
ôté opposé. Lorsqu'on arrive dans le voisinage de la région où la lésion disparaît, la forme de cette dernière se modifi
tion de rien de pareil. Ne pourrait-on pas du moins admettre que la lésion qui a donné lieu à la formation d'une cavité et
e vertébrale, la dégénérescence secondaire avait été amenée par des lésions traumatiques. Dans notre cas, il n'est pas ques
otre cas, il n'est pas question de trauma- tisme et, d'ailleurs, la lésion ne présente pas les caractères d'une dégénéresc
terew ont vu, en effet, soit l'excitation expérimentale, soit les lésions , irritatives ou destructives, des centres corti
iner des réactions motrices, et, inversement, l'exci- tation ou les lésions des zones motrices , provo- quer des troubles d
dis que la coordination et le sens musculaire sont abolis, et où la lésion intéresse le plus souvent les cordons postérieu
erçues avec un retard considérable (ce qui peut tenir aussi à une lésion de l'attention). Tous ces travaux d'anatomie no
ent à partir de trois ans. - État du malade au 1e'' février 1890. - Lésions scrofuleuses et rachi- tiques. Absence de la gl
stence chez B..., comme chez la plupart de nos autres malades, de lésions scrofuleuses et de déformations rachitiques, inté
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. IV. Observation de cécité TOTALE par lésion corticale; par L. 13ouvFRi.T. (Lyon méd., 1887,
cause à effet entre l'abolition complète de la vision et la double lésion des lobes occipitaux. G. D. V. Contribution :
ès lui s'obser- verait assez fréquemment dans les cas de syphilis à lésions géné- ralisées : il tiendrait à des troubles fo
KERAVAL. VI. Contribution .\ LA pathologie du tabès dorsal et A la lésion des nerfs périphériques; par H. Oppenheim et E.
soit, la dégénérescence des nerfs périphériques appartient bien aux lésions ordinaires du tabes. On ne saurait en- core néa
naires du tabes. On ne saurait en- core néanmoins la rattacher à la lésion même de la moelle, quoique MM. Oppenheim et Sie
de relation entre la dégénérescence des nerfs périphériques et les lésions des cordons postéeieurs. Eu ce qui regarde la p
es cordons postérieurs; les troubles laryngés se rattachent à des lésions des nerfs pneumo-gastrique et récurrent, les orig
ent, les auteurs repoussent la distinction de Pitres et Vaillard en lésions tabétiques constantes (d'origine spinale) et lé
Vaillard en lésions tabétiques constantes (d'origine spinale) et lésions tabétiques accidentelles ( périphériques ) ; leur
ieure peut être atteinte. Mais l'atteinte se traduit surtout par la lésion muscu- laire, parce que le muscle est l'organe
inion du Dr Cloustou qui a fait remarquer l'étendue qu'occupent les lésions des circonvolutions dans les cas où la folie es
il existe un élément rhumatoïde. Mais il convient de se défier des lésions orga- niques du coeur et des modifications trop
iâtre et la fréquence des affections pulmonaires se rat tachent aux lésions , des muscles abdo- minaux, rectaux, diaphragmat
culaires chez les paralytiques. Quand cette maladie se complique de lésion des cordons latéraux, on constate de l'atruphie
e des nerfs périphériques moteurs et sensitifs à marche ascendante; lésion semblable des racines antérieures et postérieur
substance grise des cornes postérieures, à l'altération. Quant aux lésions musculaires, elles ont été déjà publiées. Il en
ans 14 cas; en deux cas il est fait mention de l'absence absolue de lésions des vaisseaux de la base; quinze faits témoigne
est donc impossible de diagnostiquer la syphilis antérieure par les lésions vasculaires constatées à l'autopsie. Mais il est
ées à l'autopsie. Mais il est évident que les individus atteints de lésions cérébrales organiques présentent de bonne heure
- sente au Congrès des préparations et des dessins témoignant des lésions anatomiques de la paralysie infantile; le sujet d
altérations ont une origine centrale et que, ne trouvât-on pas de lésions médullaires, on est en droit d'admettre l'idée de
Il a peine à accepter la théorie des myopathies pures. L'absence de lésions dans la moelle n'implique pas la négation de to
de toute origine spinale. D'ailleurs, de ce qu'on ne trouve pas de lésions , cela ne veut pas dire qu'il n'en existe pas, c
lé externe, du pulvinar et du corps genouillé interne du côté de la lésion ; cette atrophie atteint la ban- odelette optiq
gagné les tractus moteurs périphériques. Ou bien il existait une lésion organique des centres, une tumeur par exemple des
s syphilitiques ou des alcooliques de celle qui apparaît de par des lésions apo- plectiques ou névritiques. La forme et la
ience les belles recherches de Claude Bernard sur la glycosurie par lésion expérimentale du plancher du quatrième ventricu
nerveux et de chercher à démon- trer dans ces cas l'existence d'une lésion du plancher du quatrième ventricule, que jamais
en 1864 : « La physiologie expérimentale ayant démontré que des lésions variées de l'axe cérébro-spinal peuvent occasio
toutes les fois que SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABETIQUE. H07 des lésions de ce genre se sont présentées chez des diabéti
l est question dans ce chapitre ; car il est bien évident que les lésions spinales procllcctoices ont empêché les médecin
spinales procllcctoices ont empêché les médecins de reconnaître les lésions cérébro-spinales produites. » Marchai citait
ré sur eux l'attention. Dans les faits de ce genre, Messieurs, la lésion ner- veuse est évidemment secondaire et n'est p
. de départ du diabète. Remarquez qu'on ne prétend pas ici qu'une lésion des centres nerveux placée comme il faut, un fo
en rien l'autonomie de ceux où la glycosurie est consécutive à une lésion des centres nerveux. Mais ceux-ci doivent forme
de celle où c'est le diabète vrai qui est le point de départ de la lésion des centres nerveux. Il ne s'agit plus ici de g
roit de se demander quel est le méca- nisme de la production de ces lésions nerveuses secon- daires dans le diabète. Sont-c
une obli- tération de vaisseaux. Ce n'est pas, Messieurs, sur les lésions centrales - consécutives au diabète que je veux
Veil : c'est Worms qu'il aurait fallu dire. Traitant de l'étude des lésions du système nerveux en général, dans ses rapport
e de la moelle (Rosenstein, et deux cas de Nivière) et l'absence de lésions des cordons postérieurs. Mais qu'est-ce alors ?
dans tous les cas, dans l'alcoo- lisme surtout, il n'existe pas de lésion spinale gros- sière, en particulier pas d'altér
faire un groupe à part, ceux dans lesquels un véri- table tabes par lésion des faisceaux postérieurs peut s'associer à la
plus ou moins permanente serait la conséquence de l'extension des lésions de la moelle au plancher du quatrième ventri- c
malade a succombé à la tuber- culose pulmonaire dont on trouve des lésions très avancées. , Système nerveux. - Les méninge
cérébrales non plus que le cerveau et le cervelet n'offrent aucune lésion appréciable. Les méninges rachidiennes paraisse
igert) nous ont surtout servi dans l'ap- préciation des détails des lésions . Pour en étudier la distribution, nous avons al
inférieure de la région sacrée, là même où n'existent pas encore de lésions du cordon postérieur : elle est beaucoup plus p
t à mesure qu'on s'élève dans la région dorsale. Toutefois, cette lésion n'est pas très régulière, et elle fait défaut d
us altérée est l'extrémité antérieure du cordon céré- belleux. La lésion est partout symétrique, comparée au schéma de F
ostérieures et les cornes postérieures sont très peu sclérosées. La lésion du cordon de Flechsig dépasse un peu la limite
normal, est aussi 3Vl- ANATOMIE PATHOLOGIQUE. · moins altéré. La lésion empiète en avant sur la limite normale de ce co
érose disparaît presque complètement dans le faisceau pyramidal. La lésion est moins marquée dans le cordon de Burdach, sa
constate une disparition de quel- ques fibres nerveuses ; et aussi ( lésion peu importante du reste) des zones vacuolaires
ltération moins prononcée des fais- ceaux de Flechsig. Cependant la lésion de ces cordons et de ceux de Burdach persiste e
corps restiformes. Les pyramides antérieures ne présentent aucune lésion . Il en est de même des noyaux des nerfs bul- ba
us de la moitié inférieure du quatrième ventricule. Il n'y a pas de lésion de la substance grise de la moelle. - Atro- phi
et brachial offrent une altération moins avancée ; par contre, les lésions sont intenses dans les nerfs hyporlosses où le
- rieures soin dégénérées. Autopsie VI. (Friedreich.) - Outre les lésions caractéristiques de la lièvre typhoïde, il exis
Dans les cordons prismatiques, il y a la même augmentation de la lésion , qui s'étend jusque dans l'angle formé par la com
au numéro 6 du schéma de Strum- pell. Dans le cordon latéral, la lésion est plus avancée que dans la région supérieure.
nées qui leur sont communes. Il en ressort en effet que plusieurs lésions s'observent pour ainsi dire constam- ment dans
limètre. Il y a donc une évidente irrégu- larité de volume. 2. La lésion scléreuse s'est cantonnée dans noire cas dans l
iforme ( ? 37). Si nous considérons maintenant la répartition des lésions en considérant non pas la totalité de la moelle,
mais chacun de ses faisceaux en particulier, nous remarquons que la lésion affecte les caractères sui- vants. Le cordon
n a été faite également par Pitt. Dans le faisceau de Burdach, la lésion apparaît au niveau de la région lombaire inféri
sition entre la région dorsale et la région cervicale (/ ? . 30) la lésion commence à diminuer, et elle disparaît dans la
à celle des dégéné- rescences descendantes d'origine cérébrale. La lésion diminue à la partie inférieure du bulbe. Les
cérébelleux sont pris à partir de la région dorsale inférieure. La lésion augmente dans r la région dorsale supérieure, e
on peut se rendre compte sur la figure (jig. 38) qui représente une lésion de dégénérescence ascendante. Toutefois, dans l
marquer, car il a été également constaté par Pitt et Rütimeyer la lésion du faisceau cérébelleux dépasse les limites nor
été étudiée que dans la région lombaire), est atteinte, mais cette lésion diminue dans la même région à mesure que l'on s
gion dorsale inférieure jus- qu'à ses limites supérieures. 3. Les lésions histologiques portent non seule- ment sur les p
e noyaux, et se colore bien par les couleurs d'aniline. Quant aux lésions des vaisseaux, on peut ranger sous les quatre c
pondantes de notre cas. 2. Au point de vue de la distribution des lésions , notre cas ressemble incontestablement à très p
IEDREICH. 359 La participation ou non de la zone de Lissauer à la lésion ne serait donc pas, comme l'a prétendu M. La- d
ensé, pour peu qu'on envisage tous les éléments qui concourent à la lésion . En en proposant la solution, nous nous prononç
distri- bution de la sclérose y revête un cachet particulier. La lésion évolue en effet conformément à des lois, celles
les unes sur les autres. C'est en partie grâce à ces caractères de lésion systématique qu'elle affecte, qun peut la dégag
eut invoquer dans quelques cas relativement à la distribution de la lésion , l'intégrité du faisceau de Lissauer qui s'expl
ssi exactement qu'on le voit sur le schéma de Flechsig. De plus, la lésion n'est pas parfaitement symétrique, et, il n'est
ir, au moins sur quelques coupes, une diffusion significative de la lésion . Nous pouvons ajouter que l'altération par elle
re côté, il n'est concevable qu'une simple inflammation réalise des lésions vas- culaires du genre de celles qu'on observe,
ée par la méthode de Pall. On y voit la topographie générale île la lésion : a, portion triangulaire fortement dégénérée, si
it particu- lièrement nette à la région dorsale : à ce niveau, la lésion allait de chaque côté, eu arrière, jusqu'aux ra
de cette région, il restait, entre les cornes postérieures et la lésion atrophique, une bande mince de tissu normal. Da
e rangée parmi les pro- cessus diffus, ou bien, appartient-elle aux lésions systé- matiques ? Déjérine la considère comme u
dl'eich 1 la sclérose des cordons postérieurs constitue- rait la lésion primitive et serait de même nature que l'ataxie
ement réalisée dans notre observation. En outre, il arrive que la lésion des cordons posté- rieurs et celle des cordons
n lombaire, les cordons postérieurs étaient sains. Au contraire, la lésion des cordons latéraux s'étendait à toute la long
la moelle. Peut-on considérer les scléroses combinées comme des lésions systématiques ? Le caractère essentiel de la lé
es comme des lésions systématiques ? Le caractère essentiel de la lésion systématique, c'est qu'elle frappe un ensemble
'idée d'un processus systéma- tique : elle fait plutôt penser à une lésion diffuse. Pour terminer l'examen des coupes fait
les se comportent dans leur distribution le long de la moelle. La lésion systématique se caractérise non seulement par l
autant plus accentuée que le sujet était plus jeune au moment où la lésion périphérique s'est produite et qu'un laps de te
s de temps plus considérable se sera écoulé entre l'époque de cette lésion et celle de l'examen nécros- copique. L'atrophi
amroth, 271. " Cécité psychique, par Lissauer, 128 : complète par lésion corticale, par Bouveret, 244. Centre cortical
ac (prix de la Société co.tre l'abus du), 432. ' Tabès dorsal, et lésions des nerfs périphériques, par Oppenheim et Sie
rée par la méthode de Pall. On y voit la topographie générale de la lésion : a, portion triangulaire fortement dégénérée, si
63 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
observé, laissant à d'autres le soin de déterminer la nature et les lésions anatomiques de ce syndrome clinique. Les malade
s femmes, dont l'un, suivi d'au- topsie, avait permis d'étudier les lésions anatomiques. C'est toujours le même tableau cli
rejette absolument l'interprétation de Ord et ne pense pas que des lésions cutanées telles que celles du myxoedème, puisse
rait plutôt. En résumé, il attribue les symp- tômes cérébraux à une lésion cérébrale de même nature que celle qui porte su
peut objecter à l'auteur anglais que Ord n'a pas pu découvrir cette lésion cérébrale et qu'il a observé dans un cas de scl
ces malades, que l'on peut comparer à des animaux à sang-froid. Une lésion du grand sympathique expli- querait ces symptôm
evenait, ainsi que l'activité cérébrale, et, chose remarquable, les lésions périphériques disparaissaient en même temps ».
CHYDERMIQUE. 73 titution du malade, de son tempérament, que de la lésion de l'encéphale. Il existe alors quelque chose d
ste alors quelque chose d'analogue à ce qui se passe dans certaines lésions du cerveau qui entraînent souvent, mais non néc
rvées dans certains cas. » Il rattache les troubles cérébraux à une lésion de l'encéphale, caractérisée par le dépôt de ti
al. En résumé, les troubles nerveux résulteraient de deux ordres de lésions : lésions périphériques et lésions centrales.
é, les troubles nerveux résulteraient de deux ordres de lésions : lésions périphériques et lésions centrales. Pour complé
résulteraient de deux ordres de lésions : lésions périphériques et lésions centrales. Pour compléter la bibliographie du m
est sur ces cas exceptionnels qu'on se base pour affirmer que « une lésion limitée à une moitié du cerveau peut produire des
ut à fait anormale. Faut-il s'emparer de ce fait et conclure qu'une lésion de l'hémisphère droit pourrait produire l'apha-
i- plégie gauche, on trouve deux séries de faits : 1° Ceux où des lésions multiples expliquent l'aphasie d'une part, l'hé
atégorie; on peut en rapprocher une observation de M. Peter, où les lésions corres- pondent exactement aux phénomènes clini
'apparente; à des symptômes multiples correspondaient également des lésions multiples. Observation II (résumée). - (Gazette
te d'autres, où l'hémisphère cé- rébral gauche ne présentait aucune lésion appréciable. Pour nous, les cas de ce genre doi
rniers temps, on a bien mon- tré que l'aphasie pouvait être dueàuno lésion ducentre ovale, si eelle-ci correspond au faisc
au pédiculo-frontal inférieur. N'a-t-on pas quelquefois négligé une lésion très peu étendue et située dans la profondeur,
la profondeur, et non à la surface du cerveau ? Ne trouvant pas de lésion importante, et superficielle, on a inscrit le f
de faire des réserves ; peut-être chez ces malades, existait-il une lésion de l'hémisphère droit, en même temps que l'on r
lésion de l'hémisphère droit, en même temps que l'on rencontrait la lésion de l'hémisphère gauche, lésion qui, à l'autopsi
même temps que l'on rencontrait la lésion de l'hémisphère gauche, lésion qui, à l'autopsie, surtout si l'on n'est pas prév
bstance blanche ferme et dure; réduction de la couronne rayonnante. Lésions mitrales. L'analyse hislologique démontre : une
ul- laire et le long des racines antérieures et postérieures. Ces lésions qui rétrocèdent dans les régions où la dilatation
se partout identique, ainsi que parait l'indiquer l'exagération des lésions le long de l'axe nerveux dans les régions où l'
us prononcée et inversement, voici comment le DT Eickholt relie les lésions épendymaires à l'hy- drocéphalie et àl'hydromyé
dymaires à l'hy- drocéphalie et àl'hydromyélie. Chez une cardiaque ( lésions des orifices non compensées) se produit une scl
complètement guérie. C. T. XI. Quelques POINTS DE LA pathologie DES lésions oculaires DE LA SYPHILIS CÉRÉBRALE ET SPINALE ;
s deux ordres de phénomènes est en rapport le plus souvent avec une lésion syphilitique des circonvolutions. Bull rapporte
on de l'élon- gation chez l'animal (lapin, cobaye) décèle les mêmes lésions et quelquefois la déchirure du cylindre-axe. Mê
e- ment le plus voisin. P. K. XIII. DE l'amaurose consécutive aux lésions du sourcil ou DE la région orbitaire; par J. SA
ine par les conclusions suivantes : 1° L'amaurose consécutive aux lésions du sourcil est généra- lement causée par des lé
onsécutive aux lésions du sourcil est généra- lement causée par des lésions cérébrales ; la preuve, c'est que dans le plus
est due soit à une atrophie de la papille, relovant elle-même d'une lésion plus ou moins grave ; soit à une lésion du nerf
e, relovant elle-même d'une lésion plus ou moins grave ; soit à une lésion du nerf optique à son pas- sage dans le trou op
favorable dans, les, deux cas : quant ài,l'amaurose consécutive aux lésions du sourcil et aboutissant à l'atrophie do la pa
de la .période [d'inflammation et do suppuration qui succède à la; lésion .'Plusieurs malades, dont,,l'état paraissait 1 d
'venu d'ailleurs. Tous les auteurs s'accordent à considérer' cette' lésion comme extrêmement rare; mais M. Sanders pense'
ventriculaires ne se comportent pas autrement à l'égard de cette lésion que les autres.vaisseaux cérébraux. En dehors d
CULAIRE. 'Il (C 11 . -* Pas d'antécédents pour, expliquerai, la lésion . Les symptômes prémonitoires ne sont pas rare
assez marquée pour obscurcir le diagnostic. Cu. F. XVII. SUR UNE lésion DE l'axe GRIS DE la moelle épinière dans un cas
andé si ces phénomènes ne devaient pas être mis en rapport avec des lésions médullaires analogues à celles qu'il avait,déjà
conjonctif était gonflé, sans, altération des tubes nerveux. Ces lésions étaient beaucoup moins marquées. CH. FÉRÉ etRiCHA
des troubles psychiques. On entre dans la folie bien plutôt par une lésion du sentiment, de la sensibilité' morale, du sen
exemple, dans son étude du ramollissement cérébral, il confond les lésions propres à la paralysie générale avec celles d'a
odifications de la sensibilité du membre supérieur consécutives aux lésions nerveuses; par G. Mialabct (thèse de Paris, 188
i aliezzati. Broch. 111-8- de 8 pages, Milan. COUL61ULT (L.). Des lésions de la corne d'Ammon dans l'epmlepsie. Une broch
(E.-C.) A second contribution to llee sii4cly of localised cérébral lésions . Broch. in-8" de 43 pages, avec il figures dans l
ique en effet une subordi- nation complète des troubles nerveux aux lésions cuta- nées. Les troubles nerveux vont croissant
Les troubles nerveux vont croissant à mesure que se développent les lésions cutanées, a tel point qu'il survient une vérita
on observe une triade symptomatique constante : anémie profonde, lésions tégumentaires et troubles nerveux, on peut dire
t-onenconclure, comme l'ont fait quelques auteurs, à l'existence de lésions portant sur ce système ? L'exis- tence de ces l
'existence de lésions portant sur ce système ? L'exis- tence de ces lésions peut paraître très vraisemblable, mais il ne fa
à cet égard le résultat de nouvelles autopsies. En tout cas, ces lésions ne sont pas indispensables pour expliquer la ma
avec Ord, subordonner absolument tous les troubles psychiques aux lésions cutanées ? Accepté dans toute sa rigueur, ce pr
les trou- bles psychiques observés peuvent être indépendants des lésions tégumentaires, puisqu'on les a vus consti- tuer
bles psychiques. Sans doute, il faut un élément de plus pour que la lésion périphérique provoque une idée déli- rante. Il
o- dermie oedonateuse, comme dans la cachexie pachy- dermique, la lésion prédomine dans le tissu conjonctif sous-cutané;
leur, cette cause reste à cherclier. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS LÉSION A\(;II : \\1 : UU 1,01,UI,E DL L'INSULA; a Pa
1,UI,E DL L'INSULA; a Par t30Ut111s·fLl,l : et 1W\NAIRI : . Les lésions limitées exclusivement au lobule de l'insula sont
sivement au lobule de l'insula sont très rares ; le plus souvent la lésion intéresse, à des degrés divers, les circonvolut
ne connait-on pas encore les symptômes cliniques qui répondent aux lésions du lobule de l'insula. Dans le cas qu'on va lir
ns le cas qu'on va lire et que nous publions à titre de document la lésion avait détruit entière- ment toutes les digitati
optique et du corps strié correspondants; Dégénération secondaire; Lésions tuberculeuses des poumons. Carr... (François)
t de l'ictus primitif, le malade n'a présenté d'autres symptômes de lésion encéphalique durant ce laps de temps, que des a
charge graisseuse, principalement sur la face antérieure. Pas de lésions valvulaires. Le ventricule gauche renferme un c
ui se développent dans l'axe cérébro-spinal consécutivement à une lésion cérébrale en foyer, ayant causé une hémiplégie et
tait forte ; rien en un mot ne faisait pres- sentir l'existence des lésions pulmonaires, à marche chronique, que nous avons
que, que nous avons rencontrées à l'autopsie. Le développement de lésions organiques graves, sans réaction appréciable, n'e
ous croyons inutile de revenir sur les caractères et le siège de la lésion . Toutefois, nous devons signaler l'absence d'ap
sion. Toutefois, nous devons signaler l'absence d'aphasie, avec une lésion de la partie postérieure de la troi- sièine cir
de toute la face convexe de l'hémis- phère droit, conséquence d'une lésion survenue à trente-six ans. Quel est le rôle de
ence d'une lésion survenue à trente-six ans. Quel est le rôle de la lésion du lobule de l'insula dans cette atrophie ? 2 .
éterminantes du mal perforant, nous per- met de ne considérer cette lésion , dans le cas actuel, que comme un simple troubl
riétale ascendante dont l'extrémité inférieure est atrophiée. 7 ? lésion de la première circonvolution tempoto-sptiénoiddt
les maladies cérébrales; H. de Bojer, Études topographiques sur les lésions corticales des hémisphères cérébraux; Ferrier,
ù sont consignées la plupart des observations connues ielatives aux lésions du lobule de l'insula. REVUE CRITIQUE CARAC
avec une hémiplégie permanente compliquée de contracture due à une lésion , quelconque, des centres nerveux, l'autre avec
r attention sur ce point. Quelle différence avec l'anesthésique par lésion encéphalique ou mé- dullaire, qui s'aperçoit, q
l par le Dr Jensen démontre qu'il exisleune classe d'idiots dont la lésion anatomique est représentée simplement par un dé
ure prématurée des sutures (théorie de Virchow), ni aucune trace de lésions encéphaliques récentes ou anciennes (Stark), ni
atomique, l'évolution témoignant en même temps de la guérison des lésions ; c'est à la suite de leur résolution que l'épilep
quarts d'un pouce, fut enlevé au point qui avait été le siège de la lésion . La portion d'os enlevée n'était pas fracturée
ment au diagnostic porté. C'est une thrombose qui a déterminé cette lésion dans le domaine du corps resliforme gauche. D
cial et des extrémités) qu'il considère comme en rap- port avec une lésion de la protubérance (travail de Couty dans la Ga
insiste sur la valeur de cette paralysie partielle en faveur d'une lésion nucléaire de la moelle allongée. Au cours de la
re d'une tête d'épingle, ajoutant qu'à ce symptôme corres- pond une lésion très ancienne. En effet, les pupilles déplus de u
n de ces nerfs (Erb, Hempel), tandis que le myosis dériverait d'une lésion du centre dilatateur de la pupille dans la moel
uées sur des animaux qui ont survécu jusqu'à un an et demi après la lésion , seront intégralement publiées 2. M. le profess
ulo-moteur sont demeurés intacts. L'oeil blessé présente, outre les lésions de la panophthalmie une névrite ascendante du N
scope. Il est probable, ajoute M. Berlin, qu'immédiatement après la lésion , par suite de la répartition uniforme de la press
qu'ils intéressent la vision excentrique, il faut les rattacher aux lésions intra-oculaires de la rétine et de la choroïde
oelle des individus morts. Il a trouvé et montre aux assistants une lésion des cordons postérieurs, le processus était ess
non plus complètement compte des phénomènes. L'auteur pense qu'une lésion bulbaire n'explique- rait pas les troubles isol
observe les particularités suivantes chez l'homme, à la suite d'une lésion altérant toute l'épais- seur transversale d'une
s dont les nerfs naissent immédia- tement au-dessous du siège de la lésion ; 4° hyperes- thésie plus ou moins étendue au-d
paralysie des origines du nerf grand sympathique cervical, quand la lésion siège au renflement cervico- brachial. Du côté
J876, dans une thèse intitulée Contribution à l'étude clinique des lésions unilatérales de la moelle épinière, Vinot pouva
e ici avec ses caractères ordinaires. Comme dans tous les cas où la lésion médullaire est exacte- ment unilatérale et sièg
urs dans lesquels on trouve ordinairement signalée au-dessous de la lésion une exagération bilatérale des actes réflexes (
uve une fois de plus que ce trouble génital n'est point spécial aux lésions de la moelle cervicale, comme l'out cru beaucou
te. D'après Hutchinson, le pouls reste toujours régulier dans les lésions de la moelle, contrairement à ce qui aurait lie
IE. 281 que la plaie de la moelle peut seule expliquer, car cette lésion a été absolument isolée. Ces troubles du pouls
qu'à la mort. Les centres nerveux n'ont présenté à l'ceil nu aucune lésion , particulière. DE L'HYSTÙRO-PILUPSTE. 283 pre
ui a permis de mettre en lumière l'amblyopie croisée dans certaines lésions cé- rébrales. Cherchant à notre tour des analog
es entre l'hémianesthésie des hystériques et l'hé- mianesthésie par lésion cérébrale, nous avons pu voir que, comme les hy
ntribution à l'étude des troubles fonctionnels de la vision par les lésions cérébrales. Paris, 18S9. 286 CLINIQUE NERVEUSE.
rois ventrieulaires. Nulle part dans l'encé- pliale on ne trouve de lésions en foyer. La moelle a été durcie dans une solut
r, le pied bot est dans un certain nombre de cas la conséquence des lésions limitées de la moelle épinière. Michand en 15î0
pied bot fût réellement congénital, il faudrait en conclure qu'une lésion nettement systématisée de la corne antérieure p
pos d'un exemple d'une difformité de ce genre paraissant liée à une lésion congénitale de la moelle épinière. (Archives de
droite et qu'elle atteignait la moelle épinière de ce côté. Mais la lésion était-elle exactement limitée à la moitié droit
ifférant les unes des autres par des symptômes cliniques et par des lésions anatomo-patho- logiques. A côté des idioties pa
énéralisée, rappelant tout à fait par ses caractères antomiques les lésions de ]apM)'a- lysie générale. C'est à ce dernier
mets sont sains. Le coeti7, pèse 170 gr. et n'est le siège d'aucune lésion valvulaire ; quelques caillots cruoriques dans
icule droits, du sang fluide dans le gauche, rien à l'aorte. Aucune lésion de l'sopz7eaye, de l'estoznac ni de l'intestin
UEIL DE FAITS. II. Disons de suite que l'autopsie n'a révélé aucune lésion tuberculeuse, que la diarrhée n'a laissé aucune
culeuse, que la diarrhée n'a laissé aucune trace ' et pas- sons aux lésions cérébrales qui, à notre avis, méritent tout par
scrupuleuse exactitude et avec un remarquable talent, l'aspect des lésions que nous avons dé- crites.) C'est, croyons-no
ites.) C'est, croyons-nous, la première fois que l'on signale des lésions de ce genre chez un enfant de douze ax ; tout le
il rappelle trois cas de paralysie générale où il a trouvé la même lésion , caractérisée par la séparation de la substance
eurs mois, par la mort, et dans lesquels nous n'avons relevé aucune lésion macroscopique. Nous publierons prochainement une
as, chez des enfants idiots, également, nous avons constaté la même lésion , mais circonscrite à quelques circouvolu- tions
. Contribution a l'étude des troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrales, 1882. Lorsque de Groefe émit l'opin
ons cérébrales, 1882. Lorsque de Groefe émit l'opinion que dans les lésions céré- brales, le seul défaut visuel qui pût êtr
ment l'hémianopsie n'était pas exclusive- ment la conséquence d'une lésion cérébrale, mais encore que son existence n'étai
défaut visuel, l'amblyopie croisée, dont la relation avec certaines lésions cérébrales parais- sait hors de doute. Mais cet
ante, montrent seulement la possibilité de sa com- pression par des lésions très diversement situées du cerveau et de la ba
que l'amblyopie croisée, mais il l'a provoquée aussi bien par des lésions frontales, que pariétales et qu'occipitales. Comm
chez l'homme. M. Munk ne dit-il pas qu'il a constaté que les mêmes lésions produisaient des troubles divers chez des chien
on nombre de faits où l'autopsie a été faite, la localisation de la lésion manque de précision. Si nous considérons l'ense
s des défauts visuels coïncidant avec des troubles imputables à une lésion unilatérale du cerveau ; nous voyons que ces tr
de l'acuité visuelle. Cette amblyopie prédomine du côté opposé à la lésion cérébrale, mais elle existe ordinai- rement à u
é du même côté. L'existence de cette amblyopie en relation avec les lésions cérébrales était déjà mise en lumière par ce fa
suffisante pour démon- trer l'existence d'une amblyopie liée à une lésion cérébrale dé- terminée : une observation de M.
ues démontrer la relation qui existe entre l'amblyopie et certaines lésions céré- brales ; et, sauf le fait de Petrina dans
it de Petrina dans lequel le trouble visuel est en rapport avec une lésion corticale du lobe occipital, tou- jours il s'ag
vec une lésion corticale du lobe occipital, tou- jours il s'agit de lésions siégeant à la partie postérieure du pied de la
utanée peut être limitée à la région qui avoisine l'oeil. Quand une lésion cérébrale détermine des troubles seusitifs des
car le trouble visuel ne peut guère être déterminé à distance parla lésion qui produit les autres symptômes cérébraux. Les
cas il n'est guère possible d'apprécier réellement l'action de la lésion . Toutefois, certains faits d'hémorrhagie assez bi
n à distance ne peut jouer aucun rôle ; ils semblent prouver qu'une lésion limitée du carrefour sensitif peut déterminer u
rent nettement qu'il existe une relation entre l'hémianopsie et les lésions très étendues^du lobe occipital. D'autre part,
de M. Hujuenin, dans lequel l'hémianopsie était en rapport avec une lésion située au voisi- nage de la partie inférieure d
aujourd'hui que l'amblyopie et l'hémianopsie peuvent résulter d'une lésion cérébrale avec intégrité des nerfs optiques et
lettes ; il est bien prouvé que l'amblyopie est en rapport avec les lésions de la @partie postérieure de la capsule interne
e ; mais elles semblent aussi pouvoir être déterminée par certaines lésions du lobe occipital (fait de Petrina). Quant à l'
à l'hémianopsie, elle semble aussi pouvoir être déterminée par des lésions soit corticales, soit centrales : les lésions c
re déterminée par des lésions soit corticales, soit centrales : les lésions corticales ne peuvent qu'être grossiè- rement l
tre grossiè- rement localisés en arrière de la région motrice ; les lésions centrales siègent aussi au voisinage du carrefo
La chose est possible mais non démontrée. Si on considère qu'une lésion cérébrale produisant l'amblyo- pie croisée déte
ain degré d'am- blyopie du côté correspondant, que d'autre part une lésion cérébrale peut déterminer la paralysie des fibr
d tranchant surtout, et sa fixité, tout est réuni pour faciliter sa lésion dans les fractures du crâne. Une remarquable ob
R,BLAKCnEetGARKIER. M. Lumer lit une note de M. Baillarger, sur une lésion de la paralysie générale, que l'auteur a rencon
er a su éviter cette tendance. Frappé du défaut de coïncidences des lésions dans un certain nombre de cas, où les relations
mmense dépouillement d'observations que celles qui concernaient des lésions corticales ; et, qui plus est, parmi celles-là, i
nce, consistant à figurer sur des schémas de l'écorce cérébrale les lésions mentionnées dans ces 167 obser- vations en les
es 167 cas utilisés par ill. Exuer, un bon nombre est relatif à des lésions sans symptômes. Ceux-là, qu'il appelle cas néga
p servi à cir- conscrire l'aire motrice, car sur les schémas où les lésions sont re- présentées par une série de teintes su
e notion fort curieuse, à savoir que la région coiticale , dont les lésions ne produisent pas de troubles de la motilité, e
parties ne le sont pas Mais en superposant une grande quantité de lésions analogues, on arrive à circonscrire un départemen
on arrive à circonscrire un département de substance grise dont la lésion ne manque jamais dans tel ou tel cas de paralys
opinion, signale douze observations de paralysie des membres sans lésions du lobule paracentral ou des parties les plus éle
ère et d'y reproduire fidèlement le calaclère topo- graphique de la lésion . On conçoit qu'un travail si consciencieux ait
dont l'expérience ait sanctionné la valeur. D. Bernard. XIV. Des lésions de la corne d'Ammon dans l'épilepsie ; par George
se de Paris, 88't. Y a-t-il une relation de cause à effet entre les lésions de la corne d'Ammon et l'épilepsie ? Tel est le
ur ou non d'une corrélation entre lès phénomènes cliniques et les lésions . s'agissait,en second lieu, de dégager la notion
ialement affaire a de l'épilepsie acquise, l'intensité et l'âge des lésions rapprochés de l'époque du début des symptômes,
fications rl(, la sensibilité dit membre supérieur consécutives aux lésions nerveuses; par G. 111mcnnt.r; thèse de Paris, 1
lésions nerveuses; par G. 111mcnnt.r; thèse de Paris, 1881 . Des lésions syphilitiques du raclas; par L. LEtOT; thèse de P
Contribution à l'cliulc des troubles fonctionnels de la vision par lésions cerébiales (Anibljopie croisée et hémianopsie). U
igOLII-011X, 86. Aliénés criminels, 226. Amaurose consécutive aux lésions du sourcil ou de la région orbi- tawe, par Sa
unoii (chez 1'lioiiiiiie et quelques singes) , par M. Ducal, 1 ; ( lésions de la) dans l'épilepsie), par Coulbault, 373.
Empyème (accidents reflètes ala suite de l'), 2115. Epilepsie ( lésions de la corne (l ? 111111pn ClallS l'), 373 ;-(mn
ion des fibres inbibitoires de la), par Ott et Smith, 31 ? i ; - ( lésions de l'axe gris de la), dans un cas de syphilis
ucture du), 6. Oculaires (ipiclques points de la pathologie des lésions de la sy- 1)1)ilis céi-él)rale et spinale), par
anthropolo- iC ? 7J. Syphilis (et ataxie locomotiice), 3'iU; - ( lésions de l'axe glis de la moelle épinière dans un cas
omoluliun pariétale ascendante dont niléiieuie est atrophiée. 1 ? lésion de la preniioie Lulli I)OI'O-b [)Il é il 01 T=,
64 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
et la moins teintée, la perte du rouge et du vert. Il s'agit d'une lésion qui intéresse tout le nerf optique gauche en le d
eaucoup d'autres pas toutes. Du moins, tout se passe comme si cette lésion existait. Le pouls est petit et bat 84 pulsatio
nsemble, s'appuyant les uns sur les autres, parlent nettement d'une lésion congénitale de la à 20 ans (97 sur 125).Les déb
ypertrophie congénitale de l'hypophyse. Et puisque la maladie et la lésion forment un tout, il est très vraisem- blable et
professeur Brissaud sur l'in- fantilisme vrai, il faut penser à une lésion du corps thyroïde ; et, en effet, cet organe no
t organe nous a paru sensiblement atrophié, à la palpation. Mais la lésion du corps thyroïde est-elle, en somme, bien nécess
nl des organes génitaux qu'elle présentait, ne serait pas lié à une lésion du corps pituitaire. « Il est vrai, dit-il, en
it. altérée et que l'infantilisme était sous la dépendance de celle lésion pré- sumée. Il me semble toutefois, a,joute-t-i
e et l'infantilisme est très acceptable. On sait, en effet, que les lésions de l'hypophyse, quand elles apparaissent chez l
l'atrophie de l'utérus ; il est donc bien naturel qu'une semblable lésion , quand elle débute chez l'enfant, produise un a
e l'argument de Babinski est suffisant pour nous faire penser à une lésion de l'hypophyse chez notre sujet ; mais nous avons
raisons, et de plus grand poids, non seulement pour penser à cette lésion mais pour admettre son existence. C'est que J
ité des acroméga 1 iq ues, aussi bien que des géants, on trouve une lésion commune l'hypertrophie de l'hypophyse, qui est
s d'une interprétation aisée et indiscutable. Or, l'existence d'une lésion commune au gigantisme et à l'acromégalie plaide
(et peut-être les autres glandes), subissant le contre- coup de la lésion de l'hypophyse, réagit à son tour, el. ajoute l'i
ubles glandulaires ce qui est plus problable ; car non seulement la lésion d'une .glande endocrine retentit généralement sur
sur les autres. Mais dans ce cas. en face de cette multiplicité de lésions , il est très difficile de préciser la part qui re
galie, s'élargit et se complique en mettant en jeu l'hypophyse comme lésion initiale, le corps thyroïde et le testicule com
sinon constance) de l'hypertrophie de l'hypophyse consécutive à une lésion primitive du corps thyroïde, comme dans le cas
e l'hypophyse et les organes génitaux. Dans presque tous les cas de lésion hypophysaire, les auteurs constatent une atrophie
troite qui rattache entre elles ces trois glandes, et parce que, la lésion de 1'uiiepi-o(luitgénéi,ilement des allé- ratio
esticu- laire collaborent en général, plus ou moins activement, par lésion di- recte ou secondaire, voire par simple troub
ent, dû à l'hy- pertrophie de l'hypophyse. Car, tout d'abord, cette lésion initiale peut avoir provoqué des multiples lési
ut d'abord, cette lésion initiale peut avoir provoqué des multiples lésions secondaires dans les autres glandes ; et en con
intermédiaire de ces glandes, sur l'évolution de la croissance. Ces lésions secondaires sont ainsi à la fois un effet et une
a fois un effet et une cause. Ensuite, la cause qui a provoqué la lésion hypophysaire peul s'adresser aussi directement
airer ce dernier point ; et dans ce but cherchons la cause de cette lésion . L'hérédité similaire du gigantisme, quelquefoi
nes, a été aggravée (i) Cette collaboration, celte multiplicité des lésions glandulaires, avec l'âge et le degré du trouble
sait comme la dégénérescence estcoulumière de cette multiplicité de lésions . Dans ce recueil, j'ai autrefois insisté d'une
dégénéralive. Il faut donc s'attendre à trouver chez les géants des lésions multiples (glandulaires ou autres), comme d'ail
remarquer Brissaud et Meige. « Il est bien entendu,dit Meige,qu'une lésion , rigoureusement la même, chez l'homme adulte ou
José Lopes). 4° Très vraisemblablement l'hypertrophie hypophysaire, lésion commune du gigantisme et de l'acromégalie. peut
entiellement dû à l'hypertrophie de l'hypophyse, qui semble être sa lésion causale, du moins dans l'immense majorité des cas
ollaborent dans le résultai final, plus ou moins activement, et par lésion directe ou secon- daire. 7° Tout en admettant
pé qu'à l'état normal. Les capsules surrénales ne présentent pas de lésions . On peut noter tout an plus une légère diminuti
es acini présentent leur structure normale, d'autres présentent des lésions nécrotiques 'et atrophies marquées de cellules.
'intérêt parce qu'il s'agit d'une trouvaille de nécropsie et que la lésion thyroïdienne constatée dans ce cas a été prévue
a substance grise particulièrement rouge. Microscopiquement, pas de lésions nerveuses, on trouva un gros goître et un très
'infantilisme tel que celui de Nazari, en rapport toujours avec des lésions de l'hypophyse. Les recherches expérimentales p
es osseuses de leur voisinage qui serait elle-même secondaire à des lésions des ostéoplastes qui s'arrondissent et sont attei
diale, et particulièrement intéressantes pour la pathogénie de- la lésion . Un entre autres est représentée par la « courb
n Siegrist, sur 50 cas de maladie de Madelung, on note cas avec des lésions unilatérales et 28 cas avec lésions bilatérales.
Madelung, on note cas avec des lésions unilatérales et 28 cas avec lésions bilatérales. La difformité affecte les deux sex
nées anamnesliques très formelles, par la symé- trie parfaite de la lésion bilatérale, par le manque absolu de sensation d
ons plus loin). Pour le moment on peut admettre que probablement la lésion slluelet- tique congénitale du poignet est augm
scence. « Comme le montrent ces deux observations, où la réunion de lésions somati- ques et de modifications psychiques gra
e se constituer en quelques semaines complètement. Des symptômes de lésions cérébrales, en particulier les para- lysies ou
et d'un néologisme, ont tenté de décrire à l'affection nouvelle des lésions spécifiques. Fischer fut le premier qui dota
gique. Dans plusieurs travaux (1), il décrivit comme spécifique une lésion consistant en petits foyers, répartis d'une façon
inflammatoire. A côté de ces formes délimitées, l'auteur décrit une lésion diffuse caracté- risée par une infiltration du
qu'on ait pu ob- server chez eux de troubles psychiques (1). Les lésions décrites par Fischer avaient déjà été observées p
atomi- ~ques analogues. Pour certains d'entre eux, il est vrai, ces lésions étaient pathognomoniques de l'épilepsie sénile.
quelques heures avant leur mort. (2) BLocQ et Marinesco, Sur les lésions el la pathogénie de l'épilepsie dite essentielle.
Fischer excepté, ne prétendent plus, semble-t-il, qu'à décrire les lésions d'une forme clinique et non d'une entité morbid
yse des os longs. Chez nombre des nains de ce groupe, on a noté des lésions diverses (absence, atrophie, dégénérescence) de
comme on le croyait jusqu'ici, une origine trophique centrale à ces lésions articulaires et os- seuses et si elles sont tou
survenues tout simplement chez un cancéreux cachectique, comme des lésions articulaires et osseuses analogues surviennent ch
elle là-dedans ? Peut- on attri- buer une origine myélitigue é, ces lésions ostéoarticulaires ? Nous ne le croyons pas, pui
s qui ne souffrent point de la moelle épinière ; par conséquent ces lésions ne sont pas, comme on le croyait jusqu'ici, d'o
jusqu'ici, d'origine trophique centrale, exclusivement liées à une lésion des cordons postérieurs de la moelle. ÉTUDE A
considère que cinq fois sur cinq on relève dans cette affection des lésions des nerfs périphériques (névrite intersti- tiel
périphériques (névrite intersti- tielle), quatre fois sur cinq des lésions du corps thyroïde et deux fois sur cinq des alt
ïde et deux fois sur cinq des altérations de l'hypophyse. Outre ces lésions , quelques auteurs ont trouvé des lésions des gl
de l'hypophyse. Outre ces lésions, quelques auteurs ont trouvé des lésions des glandes surrénales. Pour MM. Ilallopeau et
entres moteurs médullaires et des centres psychiques. Toutefois les lésions du corps thyroïde et celles de l'hypophyse semhle
LE ÉPILEPTIQUE 145 La seule observation dans laquelle on relève des lésions isolées de l'hy- pophyse est celle de Dercum et
ien plus communes sont les observations dans lesquelles on note une lésion de la glande thyroïde. Pour Ghelphi (2) la maladi
urs sujets. Dans le cas de fini Nain et Alquier (5) il existait des lésions scléro-graisseuses du foie et des reins, une hy
). D'autre part, dans les observations de G. Price(6) on trouve les lésions suivantes : dans le premier cas des lésions infla
Price(6) on trouve les lésions suivantes : dans le premier cas des lésions inflamma- toires de la glande thyroïde et de l'
une prolifération du tissu conjonctif de la glande thyroïde et des lésions légères de l'hypophyse. La lésion des surréna
f de la glande thyroïde et des lésions légères de l'hypophyse. La lésion des surrénales n'est constatée que dans un cas, c
n une hypertrophie. On a noté enfin dans plusieurs observations des lésions des nerfs périphériques et sympathiques ; cette
vations des lésions des nerfs périphériques et sympathiques ; cette lésion se trouve expressément notée par Dercum, Mac Cart
bécile épileptique, atteinte d'adipose douloureuse généralisée, les lésions les plus accusées siègent au niveau du corps th
nt : le droit 145 grammes, le gauche 175 grammes. On ne note aucune lésion appréciable. La rate est volumineuse; son poids
de la base. Sur les coupes vertico-transversales on ne note aucune lésion localisée. Le plan- cher du quatrième ventricul
rger elle-même est à peine indiquée. . Bulbe. - On ne trouve aucune lésion ; les cellules des noyaux des nerfs crâniens son
et.- Les circonvolutions sont peu développées ; on n'observe aucune lésion des éléments constituants. Nerfs périphériques.
aucune infiltration graisseuse ou hypertrophie. On ne relève aucune lésion des fibres myéliuiques. Rate. - Elle présente u
ments parenchymateux et interstitiels. Foie. -- On ne note aucune lésion . - Tissu adipeux. Ce tissu ne présente aucun ca
alade meurt à l'âge de 58 ans. A l'autopsie on ne rencontre que des lésions portant sur la glande thyroïde et les ovaires. L'
t ne présente aucune hypertrophie, aucune altération apparente. Les lésions des ovaires consistent en une sclérose diffuse
es- sant de relever que chez notre malade, il n'existait donc comme lésions importantes que celles de la glande thyroïde. L
aient rien de particulier; le système nerveux lui- même, à part les lésions corticales scléreuses déterminant l'imbécillité,
ction au fonctionnement défec- tueux de la glande thyroïde. - Les lésions du corps thyroïde sont particulières ; elles ne c
s du corps thyroïde sont particulières ; elles ne consistent pas en lésions scléreuses banales, comme il est fréquent d'en re
e. D'autres régions de la glande, divisées en ilots, présentent les lésions du goitre folliculaire enkysté. (1) J. 11A,%i
e plus (voir obs. XI), c'est que ces cerveaux ne présentent pas les lésions anatomiques de la compression chronique ; ces sem
t que l'on a déjà cherché à expliquer les formes paranoïdes par une lésion anatomique de la substance blanche (Rémond et Che
ent sain ». Toutes les libres du faisceau pyramidal, organe dont la lésion con- ditionne l'hémiplégie, ne s'entrecroisent
d'hémiplégies syphilitiques, nous ne voyons pas très bien à quelle lésion spécifique on peut attribuer ces bras en écharpe
tance corticale est très réduite. ' Le cerveau ne présente aucune lésion appréciable à sa surface ; il n'y a pas d'hémor
ée la fréquence de l'hémorragie cérébrale dans lemal deBrigllt. Des lésions vasculaires très disséminées, portant sur des a
s. Les méninges crâniennes et les plexus choroïdes n'offrent aucune lésion macroscopique, les ventricules ont leurs di- me
'infundibulum. Ce dernier comprimait le chiasma, qui présentait des lésions dégénératives d'où abaissement de l'acuité visu
de de la corne sphénoïdale est oblitérée par leptoméningite : cette lésion manquait totalement dans notre cas personnel, o
ouroux) Au moment où la question de la systématisation de certaines lésions cutanées, soulève autant de théories diverses,
à une distribution radiculaire, et que nombre d'observations de ces lésions , publiées sous le nom de « noevi à distribution s
r topographie, sans tenir grand compte de l'aspect descrip- tif des lésions . Voici d'abord les observations sommairement ré
d'un segment de moelle ni d'un nerf périphérique. Au contraire, une lésion intéressant les 2e, 3e et 4e racines cervicales
il faudrait admettre l'existence à la période embryonnaire de deux lésions différentes el très localisées. D'un autre côté
, c'est-à-dire un territoire ra- diculaire sain entre deux zones de lésions . 3° Il est assez naturel d'invoquer une lésion
entre deux zones de lésions. 3° Il est assez naturel d'invoquer une lésion nerveuse pour interpréter les troubles variés q
er les troubles variés que nous venons de décrire. En résumé, les lésions précédentes peuvent être expliquées, à notre avis
e l'ana- tomie pathologique de la spondylose rhizomélique (1). La lésion primitive et essentielle de la maladie est l'osté
a- cines des membres » en un seul bloc osseux. L'ostéoporose est la lésion primordiale, mais il reste à trouver la cause d
upes his- tologiques il nous été donné de constater la présence des lésions dans les ganglions rachidiens correspondant aux
seuls altérés. Dans ce travail, nous nous proposons de décrire les lésions microsco- piques trouvées dans ces ganglions. N
rouvées dans ces ganglions. Nous étudierons successivement : 1° les lésions cellulaires (altérations de l'appareil nucléolair
re, du noyau, du cytoplasme et de la subtance chomatophile); 2° les lésions péri-cellulai- res (altération des vaisseaux de
ui nous devons une grande partie de notre éducation histologique. LÉSIONS CELLULAIRES Les altérations rencontrées dans le
nucléolaire. Il nous paraît indispensable pour la compréhension des lésions fines qui vont être passées en revue, de consac
e. Dans les cellules normales où on ne peut déceler aucune trace de lésion du cytoplasma ou du noyau, le nu- cléole est de
ires, c'est à-dire : déplacement périphé- rique en rapport avec les lésions de la substance chromatophile. Mais il faut rem
l y a déplacement nucléolaire, dans les cellules qui présentent une lésion généralisée de la substance chroma- tophile, da
n connuesousle nom d'homoénéisalion(1).Le noyau atteint d'une telle lésion a une memhrane nucléaire ratatinée ; son conten
nous n'avons évidemment pas le droit d'aflirmer qu'il s'agit d'une lésion spécifique et nous nous bornons simplement pour l
chromatolise, mais on ne la trouve pas dans toutes les cellules. LÉSIONS PÉRI-CELLULAIRES A côté des lésions cellulaires
s dans toutes les cellules. LÉSIONS PÉRI-CELLULAIRES A côté des lésions cellulaires décrites prennent place les lésions p
LULAIRES A côté des lésions cellulaires décrites prennent place les lésions péri- cellulaires qui portent sur la capsule fi
nalogues aux nodules rabiques ne nous autorise pas à rapprocher les lésions décrites de celles qu'on observe dans la rage.
mation cytoplasmique décrite. (i) G. Marinesco, De la constance des lésions de l'appareil fibrillaire des cellules nerveuse
térisé par l'atteinte des 6", 7% 9°, 11e et 12e paires gauches, par lésion intracrânienne très vraisemblablement périphériqu
ens du côté gauche chez une malade présen- tant d'ailleurs d'autres lésions oculaires dont nons donnerons plus loin le détail
n aspect jaune sale et est très légèrement atrophique par suite des lésions concomitantes de la chorio-rétine. OEil gauche
des lésions concomitantes de la chorio-rétine. OEil gauche : Pas de lésions ophtalmoscopiques appréciables. Acuité visuelle
tteigne un aussi grand nombre de nerfs crâniens et en pareil cas la lésion est ordinairement plus ou moins bilatérale. '
lité des membres supérieurs. Or on ne peut même pas supposer que la lésion soit limitée au bulbe car le trapèze et le sterno
ouche pas le spinal médullaire. Il semble certain quepour une telle lésion , l'on constaterait des troubles bulbaires graves
ne présente pas. Nous ne croyons pas davantage qu'il s'agit d'une lésion en foyer. Celle-ci pourrait expliquer la paraly
et où le nerf facial vient contourner ce dernier. A la rigueur une lésion un peu plus étendue expliquerait l'atteinte de
la destruction de la longue colonne du spinal médullaire. Une telle lésion devient bien improbable et dans tous les cas entr
ifs à type syringomyél i- ques comme on en observe parfois dans les lésions bulbaires. En définitive, c'est donc à une lési
parfois dans les lésions bulbaires. En définitive, c'est donc à une lésion des nerfs crâniens si tuée entre leur émergence
u chez un jeune homme tuberculeux.- Dans l'un des cas avec stase la lésion parait vraisemblablement de nature syphilitique
ssi grand nombre de nerfs nous parait significative. (1) Souque», Lésion bulbo prolrcbéranlielle intéressant l'hypoglosse,
e l'hypoglosse avec hémiatropbie linguale. Pareillement c'est à une lésion rachidienne que MM. Grenet etTanon () rattachent
du spinal et de l'hypoglosse s'explique relati- vement bien par une lésion osseuse, il devient beaucoup plus malaisé d'exp
est sensiblement constant dans les cas de compression nerveuse par lésion tuberculeuse des os et de la pachyméninge. Ce s
se nous paraît la plus vraisemblable. Notre malade qui présente des lésions oculaires (Iritis, chorio-rétinite) de nature trè
La rate n'est pas percutable. Le coeur ne paraît présenter aucune lésion . La respiration est normale, mais le malade est
e professeur Marie. Ainsi ,on a vu des cas où il n'y avait point de lésions du côté des pieds [Ganser(l), Israël (2). Rad (
romélie pro- noncée, absence du radius), il n'y a presque jamais de lésions du côté des os du carpe. Le sujet que j'ai étud
presque constamment rencontré dans ses observations la présence de lésions sphénoïdales (inflammatoires, peut- être spécif
e Babès (2) et capable, de par l'influence qu'exercent sur elle les lésions sphénoïdales, de donner origine aux déformitéscon
la valeur à ce sujet, en tant qu'ils sont capables de produire des lésions sphénoïdales et respectivement, de la selle tur
plus intéressées dans l'acromégalie. Quanta expliquer pourquoi les lésions de l'hypophyse durant la vie mtra-utérine provo
e sens d'un défaut ou d'un excès, même sans qu'il soit question des lésions sphénoïdales que je viens de rappeler, mais direc
ées va- gues de persécution dirigées contre son entourage. Pas de lésions viscérales saisissables. La malade eut, il y a
nostic porté avait été : Tabès spasmodique atypique, aboutissant de lésions médullaires, dont la symptomatologie était faite
hui les physiologistes considèrent que les troubles consécutifs aux lésions du cervelet provoquent de l'incoordinalion, el qu
ais voulu confondre les troubles de mot i I i té, provoqués par les lésions du cervelet, avec ceux qu'on observe dans le ta
acté absolu auquel il a été soumis depuis deux ans ( ! ) et par une lésion aortique très accentuée qu'on constate la la base
ns et des membres infé- rieurs s'expliquaient par l'hypothèse d'une lésion transversale de la moelle que le microscope ult
ules rondes qui pourtant ne se trouvait pas en tous points avec des lésions vascuiaires type de Heubner et portant à la foi
tiologie des processus morbides et de déterminer la topographie des lésions dans le sens de la plus large acception de ce ter
ite dont la conséquence est la sclérose de la moelle ; telle est la lésion destructive des cornes grises provoquée par une
ogies avec les nains achondroplasiques sont évidentes. L'absence de lésion des cartilages chez ces animaux et chez les ach
une longueur démesurée. Il est donc permis de penser que c'est une lésion différente, ou plutôt un trouble fonctionnel en
plus plausible que l'hypofonctionnementde la thyroïde, etc.... La lésion , ou plutôt le trouble fonctionnel des glandes à s
et à l'hypocondrie; est-ce le trouble des sécrétions internes ou la lésion nerveuse (suivant l'opinion pathogénique à laqu
u de mortification. A présent que nous -avons indiqué la marche des lésions , nous pouvons décrire leurs différents aspects.
très ogivale. Si l'on excepte ces dystrophies, on ne trouve aucune lésion soma- tique. On ne note pas de tendances aux hé
cilement déterminables. Dans quelques observations, s'est agi d'une lésion testiculaire, provo- quée par un traumatisme (o
parait sans conteste, d'autant que c'est environ six mois après la lésion que se développent les premiers symptômes. Dans
U TARDIF 409 sans glycosurie, sont difficilement rattachables à des lésions de glandes endocrines. Cette période de début
s pieds et l'hémianopsie, sont indiscutablement en rapport avec des lésions hypo- physaires, établies secondairement, et qu
Enfin, les résultats éloignés de la résection déférentielle, ou les lésions expérimentales de la glande orchidienne, tout e
la théorie que nous allons tenter d'éta- blir et pour laquelle les lésions orchidiennes sont absolument autonomes et primi
onomes et primitives, précédant, si elles ne les régissent pas, les lésions elles ma- nifestations thyroïdiennes. 111. Di
s d'une façon générale, l'anatomie pathologique ne peut, devant ces lésions univoques, sans caractères spécifiques, permettre
E13A'lTU surrénale aiguë, constatèrent, eh outre, à l'autopsie, des lésions thyroïdien- nes, ovariennes et hypophysaires ;
tet Laignel-Lavastine trouvè- rent chez un acromégalique à côté des lésions de l'hypophyse une thyroï- dite et une hypertro
ep- tionnel de ne pas trouver, dans ces affections, quelques autres lésions glandulaires ? Claude et Gougerot, s'appuyant
andulaires ? Claude et Gougerot, s'appuyant sur la multiplicité des lésions glandu- laires fréquemment constatées dans l'in
on peut donc se demander si la L INFANTILISME REGRESSIF OU TARDIF lésion thyroïdienne n'a pas été primitive et n'a pas com
n thyroïdienne n'a pas été primitive et n'a pas commandé les autres lésions : ce qui correspond d'ailleurs à la symptomatolog
à cette conclusion que « aucun fait n'a prouvé la simultanéité des lésions notées dans les syndromes pluriglandulaires n.
tivité complète, ce qui attirait surtout l'attention, c'étaient les lésions thyroïdiennes ; la glande ne pesait que 7 grammes
Le corps thyroïdien primitivement lésé entraîne des troubles et des lésions des glandes géni- tales. A la dysthyroïdie prim
ire ouvrirent la scène clinique dans le cas de Sainton et Dupré. La lésion tes- ticulaire (orchite atrophique d'origine tr
plus facilement la glande qui a été primitivement lésée et dont la lésion a entraîné un trouble dans le fonctionnement de
sa- tion du syndrome. E. En troisième lieu examinons pourquoi une lésion thyroïdienne chez l'adulte, crée seulement le m
uente; il s'agit en gé- néral de sujets âgés ou bien présentant des lésions graves,tumeurs le plus souvent, qui ne permette
. Dans l'infantilisme régressif, la glande génitale est le siège de lésions accusées, mais elle ne disparaît pas. Elle est do
t pas les mêmes chez le sujet castré et chez le sujet atteint d'une lésion testiculaire : celui-là est un mutilé ; celui-c
; celui-ci seul est un malade, el verra de ce fait se produire des lésions secondaires des autres glandes à sécrétion intern
nction diasté- matique n'est pas troublée, alors qu'il suffit d'une lésion minime, parfois purement épididymaire, pour ent
ire, pour entraîner du coup l'insuffisance spermatique. On voit des lésions très étendues du pancréas, sans aucun signe d'ins
alors à parler d'infantilisme tardif nyxcedétateux; tantôt c'est la lésion testiculaire qui a débuté; il est indispensable q
donné des preuves de sa puissance génitale. Consécutivement à une lésion de ses glandes sexuelles, et parfois sans qu'on
nchées. Au point de vue anatomo -pathologique, on ne trouve que des lésions atrophiques et scléreuses des diverses glandes
te des cellules interstitielles dans les espaces intertubulaires. Lésions de lepto-méningite basilaire avec oedème cérébral
front et la base du nez ; pas de troubles du squelette. En outre, lésions tuberculeuses pulmonaires, cutanées (gommes), gan
yroïdienne semble donner une amélioration passagère. A l'autopsie : lésions pulmonaires cavitaires ; la thyroïde pèse 12 gram
e la sensibilité : l'oeil droit a une petite tache cornéenne et une lésion ancienne de l'iris qui l'a laissé un peu déform
digestif, à part quelques troubles fonctionnels en rapport avec les lésions pulmonaires, n'offre rien d'anormal. En particuli
constatée par M. Jacqueau au campimètre, et attribuée par lui à une lésion du chiasma. Mis en éveil par ce symptôme, je ch
bles suivant le nombre de glandes atteintes, suivant le degré de la lésion de chacune d'elles » (clade et Gougerot). La
u système endocrinien ; il précisait l'étiologie infectieuse de ces lésions : tubercn- lose dans notre cas, syphilis dans d
(1) et que le diagnostic fut posé dès que nous vîmes le malade. Les lésions anatomiques, macroscopiques et microscopiques s
ndant la vie et vérifiées à l'autopsie ; celle-ci révéla encore des lésions de l'hypophyse, du pancréas, du rein. L'observati
a pigmentation et une hypoten- sion artérielle qui traduisaient les lésions des surrénales. L'évolution a été lente et insi
craquements secs à la partie interne de la fosse sous-épineuse. Ces lésions pulmonaires, un petit lupus facial, affirment l'e
s. Il est tuberculeux ainsi qu'en témoignent un lupus du nez et les lésions du sommet. . Evolution. - Le traitement thyroïd
onsthyroïdiennes,testiculaires,surrénales, elle révèle en outre des lésions des reins et de l'hypophyse. Le poumon gauche a
et inférieur d'hépatisation rouge. - Le coeur (250 gr.) n'a pas de lésions valvulaires ; l'aorte présente une grande plaqu
SANCE PLURIGLANDULAIRE INTERNR 457 L'examen HISTOLOGIQUE révèle des lésions intenses des glandes vasculaires internes : thy
présente pas de réaction anormale. Quelques vésicules présentent de lésion plus manifestes; quelques-unes, ex- ceptionnell
lloïde interacineux ou intravasculaire en voie de résorption. Les lésions sont donc intenses, l'atrophie scléreuse tend à d
e colloïde normal, mais la résorption ne semble pas se faire. Ces lésions de sclérose et d'atrophie semblent un peu plus ma
ules thyroïdiens ou de thyroïde en voie de sclérose atrophique. Les lésions sont en tous cas très marquées. Testicules. Les
et qu'on ne reconnaît qu'à sa forme et sa paroi moins dense. Les lésions sont donc encore plus intenses que dans le cas Cl
elles où les tubes séminipares persistaient plus nombreux. Mais les lésions des tubes séminipires sont identiques : même sclé
es qui s'atrophient. Enfin dans d'autres points de la corticale les lésions sont moins marquées, la struc- ture mieux conse
u- laire, il ne se teint par le Van Gieson qu'en rose ? pâle. Les lésions glandulaires sont peu nettes,difficiles à affirme
ciui. Les îlots de Langerhans sont nombreux et ne présentent pas de lésions en- docrines évidentes ; à peine les cellules s
le est sclérosée. Les cellules nobles semblent altérées, mais leurs lésions sont difficiles à interpréter. La capsule fibre
tu- berculose doit avoir eu une grande part dans la production des lésions glandulaires, mais de- quelle nature était celt
ées, souvent scléreuses, à l'examen histologique. il confirmera ces lésions ; aux insuffisances que cliniquement il avait co
myxoe- dème, ni régression sexuelle. Constatant chez un adulte une lésion beau- coup plus marquée des testicules que de l
pas douteux qu'un jour ou l'autre on nous en offrira présentant la lésion localisée à une unique phalange. Il est clair q
aines atrophies musculaires se produisant brusquement à la suite de lésions articulaires. La rapidité d'évolution de ces at
vantes. Limites du sujet. Il ne s'agit pas dans nos observations de lésions osseuses consécutives à des traumatismes intére
anciennes sur les troubles objectifs et subjectifs consécutifs aux lésions nerveuses, en signalant l'im- portance dans ces
ctions vaso-motrices et sudorales. Nous n'aurons en vue ici que les lésions osseuses consécutives à des traumatismes dans l
sée, aucun trouble sensitif localisé ne permettent de soupçonner la lésion d'un tronc nerveux périphérique. S'il existe da
erveux périphérique. S'il existe dans les cas que nous étudions des lésions périphériques, ce sont des altérations discrètes,
que, examen indispensable actuellement pour établir l'existence des lésions osseuses de ce genre. Historique. Les altérat
nt satisfaisant du membre blessé ne peut expliquer. Pour Sudeck, la lésion des os s'accompagne de troubles trophiques et v
coexistence de ces différents symptômes, pensent que plus lard les lésions objectives des muscles et de la peau peuvent disp
a- ble de mettre en évidence. Quoi qu'il en soit, la coexistence de lésions osseuses et de douleurs accusées par le blessé
nctive- ment en avant. Le médecin traitant ne constate aucune autre lésion qu'une fracture de l'avant-bras (extrémité infé
Gascaud, professeur à l'Ecole de médecine de Rouen, montrent comme lésions chirurgicales : un léger déplacement de l'extrémi
placé lui-même à égale distance des deux mains). Telles furent les lésions constatées quatre mois après l'accident. Six mo
aumatisme initial ayant occasionné une fracture du scaphoïde et des lésions légères de l'extrémité inférieure du radius et du
nt d'emblée dans les os une importance prépondérante, devançant les lésions de même ordre observées plus tard dans les musc
de même ordre observées plus tard dans les muscles et la peau. Les lésions osseuses ne sont pas limi- tées aux os intéress
en outre par ce télescapage une ascension de la tête du radius. Les lésions du cubitus sont insignifiantes. Tous les os d
sistons sur ces caractères avec intention pour bien montrer que les lésions rendues si évidentes par la radiographie, au nive
e l'image radiographique par des oedèmes. Il s'agit donc bien d'une lésion osseuse. Cet exemple leverait tous les doutes s'i
ux pré- sentent au contraire l'atrophie osseuse caractéristique. La lésion s'étend au delà du foyer traumatisé. Il y a atr
rition, il est surtout important d'établir dans quelle mesure cette lésion entraîne pour l'ouvrier blessé une diminution de
taine de clichés de fractures de l'avant-bras. Nous n'avons relevé de lésion nette que dans les trois cas que nous publions.
istait avec ses caractères habituels. Chez notre premier malade, la lésion osseuse persiste dix mois après l'accident. Et ce
ervation 11, la radiographie montre quatre ans après l'accident des lésions encore très nettes. Les deux cas ne sont pas supe
ccidentés du travail ? Comme nous l'avons vu, la constatation d'une lésion osseuse chez notre première malade modifia comp
de troubles vaso-moteurs. Comment dans ces conditions songer à une lésion grave, alors que le traumatisme lui-même n'avai
blessé, loin de s'améliorer, s'est plutôt aggravé. Dans ce cas, la lésion tro- phique des os constitua un signe précoce,
yotro- phies abarticulaires permet d'attribuer à ces deux ordres de lésions une origine identique. La clinique, l'expérim
c noire main ; mais si un jour cette sensibilité disparaît, par une lésion organique comme celle qu'on trouve chez tabétiq
côté, trouvaient dans les autopsies des sujets morts de tabès, des lésions des mêmes cordons postérieurs. C'est de ces argum
et par des exercices souvent répétés. Supposons qu'à la suite d'une lésion anatomique, nous perdions ce sens profond, il a
360. Jl'f.SS(ltlll (1 pL), `3J6. Ilulbaire (IIemisynd/'0111e par lésion périphé- rique inlra-craniemle des nerfs bulbai
), par Launois, 116. Nerfs bulbaires (Ilémisyndrnnte bulbaire par lésion intra-cranienne des -) (2 pl. j, par Foix, 303.
ologique (t pl.). 350. Foix (CUarles). llémisyndrome hulhaire par lésion périphérique mtra-crânienne des nerfs bulbaires
tilisme et acromégalie (Lcoos), I à IV. Hémisyndrome bulbaire par lésion péri- phérique inlra-erfmienne des nerfs bul-
65 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
nées pour exposer les caractères différenciels de ces trois ordres de lésions sous le rapport de la saillie trochantérienne: je
del XifA. tés £csiartietF/cy. (PLANCHE VI, XXVIIIe LIVRAISON.) Lésions dans la contiguïté des os. — Luxation du fémur en
une mauvaise attitude, etc., peuvent très bien rendre compte de cette lésion . Je ferai remarquer que, chez beaucoup de vieilla
halo-rachidien. Je vis une hémiplégie, je la rattachai de suite à une lésion du cerveau : je ne pris pas garde que cette hémip
aussi fréquentes que les hernies fémorales. Dans le cas suivant, la lésion existait dans l'articulation de la iG et de la 3e
lle sont plus fréquentes qu'on ne le croit communément, cependant ses lésions sont plus souvent consécutives à celles de son en
nfluence du froid et de l'humidité; d'autres faisaient remonter cette lésion à une grossesse, à un rhumatisme laiteux. Quelque
st l'ankylose fausse. Anatomiquement considérée, l'ankylose est cette lésion des articulations, dans laquelle les surfaces art
succès complet que lorsque la maladie n'est pas ancienne; car, si la lésion articulaire date de longues années, des changemen
es os du crâne ne doit pas plus étonner que le développement de cette lésion dans l'épaisseur de l'utérus ou de tout autre org
aire remarquer la similitude parfaite de texture qui existe entre les lésions organiques de la même espèce, preuve évidente que
ces pathologiques de quelques réflexions sur la nature présumée de la lésion . EXPLICATION" DES FIGURES. PLANCHE IV. L'humé
milieu des masses phosphatiques. Réflexions. A quelle catégorie de lésions appartiennent les tumeurs représentées planches i
'espère être bientôt en mesure d'établir un corps de doctrine sur les lésions morbides, i° que les tumeurs ou exostoses des fos
e, est régi par d'autres lois, et peut devenir le siège de toutes les lésions morbides connues. Les productions osseuses signal
moment. Dans le cours de sa maladie, elle n'offrit aucun symptôme de lésion ni du côté du cerveau, ni du côté des organes de
sanguines artérielles, deJungus hématodes se rapportent à ce genre de lésions ; mais le vague des descriptions ne permet pas de
Xel C'e (planche i, xxxviiie livraison.) vices de conformation. — lésion des mains et des pieds ( absence des parties ).
uvel exemple cette règle que j'ai déjà eu occasion d'établir pour les lésions pathologiques postérieures à la naissance, savoir
ie et la tenir assez fortement serrée. Je décris dans mes leçons la lésion congèniale représentée planche i, xxxvm6 livraiso
ermanent appartenant à d'autres espèces, mais comme le résultat d'une lésion mécanique ou vitale subie par le fœtus à une époq
eption. Si quelques vices de conformation peuvent s'expliquer par une lésion éprouvée à l'état fœtal, un grand nombre doit rem
de la trompe utérine soit la cause première d'un grand nombre de ces lésions . L'étude des ankyloses congéniales ne pouvant ê
outre, le vice de conformation du bassin entraîne nécessairement des lésions très graves dans les organes contenus dans cette
ues sous le nom de pubis et d'ischion. Or, il est bien évident que la lésion du bassin domine toutes les lésions des membres p
on. Or, il est bien évident que la lésion du bassin domine toutes les lésions des membres pelviens; car on l'observe dans les s
es ayant lieu à des époques différentes, on trouve, à l'autopsie, les lésions appartenant aux diverses périodes de l'inflammati
es, et j'ignore s'il existe un seul exemple de parotide suppurée sans lésion organique antérieure. Je croyais avoir affaire à
r quelle cause cette hémiplégie a-t-elle été produite? Est-ce par une lésion du cerveau, est-ce par une lésion du bulbe rachid
t-elle été produite? Est-ce par une lésion du cerveau, est-ce par une lésion du bulbe rachidien, ou enfin cette hémiplégie du
que cette hémiplégie ou atrophie hémiplégique du larynx tenait à une lésion du nerf laryngé inférieur ou récurrent du même cô
decine , Paris , 18^7, tome vr, pages 5 et sviivantes ). mettre une lésion du pneumo-gastrique, du bulbe rachidien ou du cer
sans renseignement. Le rétrécissement de l'œsophage appartient aux lésions de canalisation dont j'ai cru devoir faire une cl
ng , les produits de sécrétion, les matières alimentaires, etc. Les lésions de canalisation de l'œsophage sont un des chapitr
œsophage sont un des chapitres les plus intéressans de l'histoire des lésions de canalisation du canal digestif, et voici les d
il paraît démontré qu'il existe des rétrécissemens de l'œsophage sans lésion de tissu. L'observation qu'on va lire , recueilli
fait représenter, comme dans le cas de M. Cassan, il n'y avait aucune lésion organique, aucune trace de travail morbide ; tel
e ce fait, savoir: qu'il existe des rétrécissemens de l'œsophage sans lésion organique ouvre en quelque sorte une nouvelle voi
es et cicatrices de toutes ces parties appartenaient évidemment à une lésion identique. Ces taches noires me paraissent n'êt
ération ; mais il m'a paru intéressant de présenter parallèlement des lésions qui ont autant d'analogie entre elles que celles
et, d'une autre part, plus exacte que celle tirée de la nature de la lésion qui produit l'hémorrhagie, le mot melœna, d'après
réquentes, et que, depuis que mon attention est fixée sur ce genre de lésion , je l'ai observée un grand nombre de fois. J'ai c
n difficile de rattacher les symptômes observés au lit du malade, aux lésions constatées après la mort, et jusqu'à ce que de no
nouvelle de maladie; i° par l'anatomie pathologique, qui constate une lésion nouvelle ou quelque forme nouvelle d'une lésion c
que, qui constate une lésion nouvelle ou quelque forme nouvelle d'une lésion connue, et en fait un genre à part, une espèce ou
quelle cause a pu donner lieu à une semblable altération, et quelles lésions de fonctions a-t-il dû en résulter ? « H est pr
ou huit jours: c'est le seul dérangement qu'on puisse rapporter à la lésion des follicules. «Quelles peuvent être les suite
it indépendantes l'une de l'autre. A l'appui de cette indépendance de lésion , je pourrais invoquer les deux argumens suivans :
que celle des ganglions persistant présente tous les caractères d'une lésion idiopathique, alors qu'au fond elle constitue une
ctères d'une lésion idiopathique, alors qu'au fond elle constitue une lésion purement symptomatique ; mais on voit tous les jo
Quant à l'altération des follicules intestinaux,j'ai fait sur cette lésion toutes les hypothèses imaginables. Je me suis dem
gélati-niformeje suis porté à penser que telle a été primitivement la lésion de l'estomac ~ La grande différence qui existe en
sif en faveur de ce caractère. Au reste, rien de phis fréquent que la lésion des deux épiploons dans les maladies de l'estomac
es maladies de l'estomac; et si on admettait des départemens pour les lésions de chaque organe, je dirais que la lésion des é
des départemens pour les lésions de chaque organe, je dirais que la lésion des épiploons est dans le département des lésions
, je dirais que la lésion des épiploons est dans le département des lésions de l'estomac._Je ne dois pas omettre l'intégrit
n chronique de cet organe et la nécessité de l'analyse anatomique des lésions pour en apprécier le véritable caractère. Maigr
ion, on ne voit de tissu cancéreux : et je suis porté à considérer la lésion représentée fig. 2, pl. 1, xxvirlivr. comme une c
ntractait adhérence avec un autre organe altéré dans sa structure, la lésion organique pouvait s'y propager par continuité de
e vi, xxxviie livraison.) déplacemens. La classe des déplacemens ou lésions de contiguïté comprend tous les changemens de sit
u de rapports, dont nos organes sont susceptibles. Aucune classe de lésions , je dirais presque aucune famille naturelle des z
d'insister sur les avantages d'une distribution qui n'a égard qu'à la lésion matérielle fondamentale, qui la met en relief et
est généralement appliqué qu'au canal intestinal et pour désigner une lésion qui consiste dans l'introduction spontanée d'une
organes canaliculés et ayant la plus grande analogie avec ce mode de lésion . Ainsi, je considère comme autant d'invaginations
ment ou une ouverture agrandie de ses parois, constituent un ordre de lésions plus importantes encore. Leurs innombrables varié
ien que l'anato-mie pathologique eût établi qu'un grand nombre de ces lésions n'offraient, en tant que lésion, aucun caractère
eût établi qu'un grand nombre de ces lésions n'offraient, en tant que lésion , aucun caractère d'incurabilité; cependant un par
eloppement. Or, admettre l'arrêt de développement par rapport à une lésion , c'est admettre qu'à une époque déterminée de la
, le fœtus présente temporairement la disposition qui constitue cette lésion . Une lésion par arrêt de développement, c'est don
résente temporairement la disposition qui constitue cette lésion. Une lésion par arrêt de développement, c'est donc un état no
aison, 7V. 6'. CL.Ch.aza.lid. J.. de /S criard, r.dt l'flbbauc* Lésions de canalisation. Rétrécissement du gros intestin.
entrale et très considérable de la protubérance annulaire, soit d'une lésion fonctionnelle purement sympathique du cerveau. Ma
xies centrales et considérables de la protubérance sont si rares, les lésions fonctionnelles sympathiques du cerveau si fréquen
ception et de l'intelligence, sans que l'autopsie constate la moindre lésion du cerveau et de ses dépendances. Dans toute apop
ns générales. — L'anatomie pathologique ne se borne pas à étudier les lésions d'organes à une époque donnée de leur développeme
moins, d'une part, en établissant une ligne de démarcation entre les lésions curables et les lésions incurables, et dune autre
tablissant une ligne de démarcation entre les lésions curables et les lésions incurables, et dune autre part, en approfondissan
e l'intestin grêle et du gros intestin doivent être classés parmi les lésions susceptibles de guérison. La forme ulcéreuse es
ébriles, la chute de la fièvre ne coïncide pas avec la guérison de la lésion locale, mais avec la cessation de la marche progr
els elle a lieu des connexions vasculaires et vitales, telles que les lésions organiques, se propagent de l'une à l'autre avec
ritonites ymptoinatiques soit d'une affection de l'utérus, soit d'une lésion du foie, de l'estomac. Les taches noires occupent
uleur ardoisée foncée qu'on a assez généralement considérée comme une lésion cadavérique. J'ai rencontré très souvent encore
arfaitement sains. Le gros intestin, au contraire, est le siège d'une lésion extrêmement grave, d'une forme assez peu commune,
tions qui existent sous le rapport de la fréquence entre les diverses lésions , auxquelles est exposé tel ou tel organe. Il sera
i est, au plus haut degré de l'échelle, sous le point de vue de telle lésion , serait au dernier sous le point de vue de telle
intestin, de même que l'intestin grêle, ne présentait aucun indice de lésion . Examiné à sa surface interne, l'intestin grêle é
nal digestif, la membrane fibreuse des intestins a été respectée, les lésions de la muqueuse ne se manifestent pas à l'extéri
n.) La planche v, XLe livraison, fournit un exemple remarquable des lésions que laissent après elles les dysenteries aiguës l
eurs être surpris de l'influence funeste qu'exerce sur l'économie une lésion aussi superficielle en apparence, si l'on considè
n apparence, si l'on considère que, dans le cas dont il s'agit, cette lésion surprend l'économie dans des conditions de débili
pendu et repris de tem ps en temps, qu'on parvient à triompher de ces lésions encore peu connues du gros intestin,suite de dyse
me d'ailleurs dans beaucoup de cas de cancer, il survient souvent des lésions viscérales aiguës ou chroniques qui emportent les
les erreurs de diagnostic qui doivent résulter de cet effet commun de lésions essentiellement différentes. Or, de même que l'ul
ncer du pylore. Il mourut dans le marasme le plus complet. Pour toute lésion , on trouva une cicatrice circulaire de 3 pouces d
nouveaux faits à l'appui de cette proposition. Disons d'abord que les lésions organiques du rectum, comme d'ailleurs celles de
limentaire, intéressent sous deux points de vue : i° sous celui de la lésion organique, considérée en elle-même, i° sous celui
t pendant un grand nombre d'années. Considérations générales. — Les lésions de la rate méritent d'autant plus de fixer l'atte
eine, qui forme à elle seule la moitié du sang de la veine-porte. Les lésions de la rate peuvent donc jusqu'à un certain point
comme ayant leur siège dans un réseau veineux, et le parallèle de ces lésions et de celles analogues qui surviennent dans d'aut
s peut jeter le plus grand jour sur la question du siège immédiat des lésions organiques en général. L'hypertrophie est à-peu-p
lésions organiques en général. L'hypertrophie est à-peu-près la seule lésion de la rate qui ait été bien étudiée et dans l'alt
llement une structure veineuse, ne présentassent pas plus souvent les lésions dont je crois avoir constaté le siège dans le sys
u'il faut rapporter l'intégrité de la rate au milieu de tant d'autres lésions qui attestent une infection générale. J'ai appliq
ires, que je n'ai pas trouvés une seule fois altérés dans les grandes lésions qui sont la suite des plaies et des opérations ch
type périodique semble donc affecté d'une manière toute spéciale aux lésions de la rate et peut-être aussi à certaines lésions
toute spéciale aux lésions de la rate et peut-être aussi à certaines lésions du foie: à l'époque où la fièvre tierce parut, il
de la section ou de la déchirure. Un fait constant dans ce genre de lésions , c'est l'intégrité parfaite des granulations du f
ns. Le cancer encéphaloïde du foie par masses disséminées est une des lésions les plus importantes à étudier à raison de sa gra
foie est environné, me paraissent expliquer en partie l'isolement des lésions orga- niques de cet organe; mais lorsque des ad
tout-a-fait semblable à celle du foie, preuve bien évidente que la lésion du foie et celle du poumon reconnaissaient une ca
ilagineuses. Voici les réflexions que me suggéra cette coïncidence de lésions au moment où je recueillis cette observation (au
nt qu'un moyen, dont je me sers habituellement pour diagnostiquer les lésions du foie en général, m'a paru parfaitement applica
s positive le siège, préciser les caractères les plus minutieux de la lésion , que nous n'en saurions pas plus en thérapeutique
de l'altération locale, soit que cette altération locale entraîne une lésion grave des fonctions, soit qu'il en résulte l'épui
e malade aucun phénomène appréciable n'avait permis de reconnaître la lésion du poumon. Les symptômes de l'épanchement dans la
.ilt IStnard. MALADIES DU FOIE. (Planche iv , xxixe livraison.) LÉSIONS DE CANALISATION. — CALCULS BILIAIRES. EXPLICATION
trée de la malade. Diagnostic. Il y a obstacle au cours de la bile, lésion de canalisation des voies biliaires. Mais quelle
uche. L'état des organes digestifs suivit les diverses phases d'une lésion aussi considérable de l'organe sécréteur de la bi
de la vie qu'elle prit cette teinte jaune-paille qui caractérise les lésions organiques profondes. Les forces musculaires se
ependant la percussion et l'auscultation ne donnèrent aucun indice de lésion . Le traitement consista d'abord dans le régime
exions. J'ai fait représenter le corps thyroïde, moins à raison de la lésion du corps thyroïde en elle-même, qu'à cause de l'i
méconnaître un lien étroit entre cette inflammation de la veine et la lésion du corps thyroïde. Quel est ce lien ? Je l'ignore
le sens transversal, soit dans le sens antéro-postérieur. Quant aux lésions connues sous le nom de goitres, elles comprennent
de et celles du larynx, si bien que l'on rencontre tous les jours des lésions organiques très avancées du larynx, sans que le c
uqueuse ( dont la laryngite œdémateuse n'est qu'une variété ) est une lésion bien fréquente et bien grave. J'ai eu occasion d'
ue ou plutôt d'une altération chimique. Si j'avais à rapprocher cette lésion de quelque altération analogue, je la mettrais en
d'établir un rapprochement entre l'œdème ordinaire du poumon et cette lésion , qui serait bien mieux désignée sous le nom d'œdè
ême que j'ai des exemples de cancer du péritoine indépendant de toute lésion des viscères dont cette membrane forme le tégumen
n excellent mémoire, (i) 3° La pneumocèle par suite d'efforts, sans lésion antécédente des parois du thorax, a été observé u
. Doit-on admettre que, dans la pneumocèle, suite d'efforts et sans lésion antérieure des parois abdominales, le déplacement
mer ainsi, par des maladies chroniques, succombent très souvent à des lésions autres que ces maladies chroniques. Ainsi,tout ré
iv. Elle a été recueillie à l'hôpital de la Salpêtrière, si fécond en lésions organiques de tous genres. Il est malheureux que
on est l'effet d'une phlébite, comme l'attestent les symptômes et les lésions anatomiques; (1) Voyez article Phlébite déjà ci
pendamment de cette altération d'ancienne date, il existait une autre lésion toute récente, que j'ai cru devoir rapporter à la
hémorrhagique. Examinons d'abord les faits qui se rattachent à cette lésion : nous cher cherons ensuite à les interpréter. R
bre inférieur. Quelques exemples donneront une idée plus exacte de la lésion que je décris. Hémorrhagie spontanée de la peau
t sains; les viscères thoraciques et abdominaux n'ont présenté aucune lésion digne de remarque. Ces faits suffiront pour fai
pour faire connaître les caractères cliniques et anatomiques de cette lésion hémorrhagique, qui tantôt coexiste avec l'état fo
ux d'une contusion violente, et il est bien remarquable que certaines lésions spontanées présentent des caractères identiques a
ines lésions spontanées présentent des caractères identiques avec les lésions traumatiques; on conçoit, en effet, que la soluti
rène spontanée, la cause de la mort est plus ou moins souvent dans la lésion consécutive de quelques viscères, du poumon par e
enre, je crus pendant vingt-quatre heures à une paralysie du bras par lésion du cerveau ou de la moelle, parce qu'il y avait p
rculation artérielle diffère essentiellement d'un membre paralysé par lésion des nerfs ou du centre céphalo-rachidien, en ce q
andis qu'il est excessivement rare de voir une paralysie complète par lésion des nerfs. Un autre caractère tout-à-fait pathogn
j'ajoutai à ma note que la paralysie purement locale tenait ou à une lésion des nerfs ou à une lésion du système artériel. Du
a paralysie purement locale tenait ou à une lésion des nerfs ou à une lésion du système artériel. Du reste, intelligence saine
aladies des deux ordres des valvules et qui établit une solidarité de lésions entre les unes et les autres; tandis que, dans le
té ou bosselure en dehors , une concavité en dedans; les limites delà lésion étaient parfaitement tranchées. Cette dilatation
dans des cas de cette espèce, s'il est possible de diagnostiquer une lésion de cette partie si importante du centre céphalo-r
re céphalo-rachidien, il est à-peu-près impossible de rapporter cette lésion à sa véritable cause. (1) Présentée à la Sociét
rdinaire. Diagnostic. Anévrysme de l'aorte thoracique. Aucune autre lésion ne pouvait, en effet, expliquer les phénomènes ob
re. Tous les jours, tous les deux jours, j'étudiais cette remarquable lésion ;, et je la faisais étudier aux personnes qui me f
sur cette question. Quant à moi, je n'hésite pas à affirmer que cette lésion est congé-niale, et je me fonde sur les considéra
e de la gêne de la circulation, et s'explique tout aussi bien par une lésion congéniale que par une lésion postérieure à la na
, et s'explique tout aussi bien par une lésion congéniale que par une lésion postérieure à la naissance; il est d'ailleurs pro
pensais de l'arrêt de développement, comme présidant à la plupart des lésions congéniales, pour n'avoir pas à m'en occuper ici.
ales, pour n'avoir pas à m'en occuper ici. (i) Du reste, le mode de lésion de canalisation consistant en un froncement circu
du coeur; i" sous celui de l'adhérence du cœur au péricarde. Ces deux lésions , la dilatation et l'adhérence sont-elles connexes
fluence des moindres maladies du cœur, tandis que, chez d'autres, les lésions organiques les plus considérables du même organe
doute à l'idiosyncrasie, mais elles tiennent aussi au caractère de la lésion , qui porte un trouble matériel plus ou moins gran
'orifice. Le valvule mitrale est également un peu épaissie ; point de lésion dans l'aorte. Le léger épaississement des valvule
La cause de cette cyanose, c'est le plus souvent Xœdème du poumon, lésion si fréquente dans les maladies du cœur, lésion si
vent Xœdème du poumon, lésion si fréquente dans les maladies du cœur, lésion si subite qui emporte souvent en quelques heures
malades renaître, pour ainsi dire, comme par enchantement. Lorsque la lésion organique était peu intense, et que l'économie a
rculation du sang, il y a eu guérison durable; lorsqu'au contraire la lésion organique était profonde, cette guérison n'a été
spondant dans les fonctions respiratoires. C'est à la fréquence de la lésion des organes de la respiration chez les vieillards
spèces d'anévrysmes: \° X anévrysme ordinaire on par dilatation, sans lésion de texture, avec ou sans hyperthrophie, anévrysme
gauche et surtout de la pointe du cœur, indépendamment de toute autre lésion ; on conçoit en effet que la pointe du cœur étant
ersement de l'artère pulmonaire a mis en évidence. Du reste, aucune lésion proprement dite dans le cœur: point de rétrécisse
hie du cœur comme pouvant amener ou favoriser cette rupture. D'autres lésions préexistantes du tissu du cœur ont été invoquées.
g dans les dernières ramifications artérielles: mais pour que de deux lésions coexistantes, l'une puisse être considérée comme
n; que souvent dans les points adhérens je n'ai trouvé aucun signe de lésion ni dans la membrane interne ni dans le tissu du c
le qu'il en était ainsi dans les cas où les accidens de dyspnée et de lésion de circulation existaient dès la naissance; mais
culation existaient dès la naissance; mais on ne saurait admettre une lésion congéniale de cette espèce pour les individus qui
onaire; que dans d'autres cas, comme dans celui que j'ai rapporté, la lésion était bornée au rétrécissement de l'orifice pulmo
IES DU CŒUR Livraison Pl.4 A Chazal. Lith de Benard et Frey lésions de canalisation. Rétrécissement de Vorifice aur
vme livraison. ) Le rétrécissement des orifices du cœur est une des lésions les plus graves de cet organe, graves par les acc
par la difficulté du traitement. Ce rétrécissement est aussi une des lésions les plus fréquentes du cœur ; ce qui n'étonnera p
t exclusivement, non de l'altération organique elle-même, en tant que lésion organique, mais de circonstances de localités, c'
i cru devoir ranger les rétrécissemens des orifices du cœur parmi les lésions de canalisation, indiquant par là que la nature d
rmi les lésions de canalisation, indiquant par là que la nature de la lésion qui constitue le rétrécissement, ne joue ici qu'u
u de la veine avait été lui-même envahi. On conçoit le trouble qu'une lésion semblable doit entraîner dans la circulation vein
ulation a été tellement insensible que personne n'a pu soupçonner une lésion quelconque dans les organes de la circulation. Bi
u avec épanchement ventriculaire à laquelle il succomba. Quant à la lésion organique en elle-même, elle doit être classée pa
cancéreuse mérite d'être notée, non moins que l'identité de ces deux lésions . Que si on me demande si cette tumeur de l'orei
leur permit de reconnaître que le foie était le point de départ de la lésion de circulation qui les avait abusés. Le fait su
huit pulsations par minute. Le cœur exploré ne donnait aucun signe de lésion , et j'ai mis de la manière la plus formelle, sur
'entrée du malade, et qui ne m'avait donné jusqu'alors aucun signe de lésion . Matité à la région précordiale; bruit râpeux et
cherchons à interpréter les symptômes observés pendant la vie par la lésion trouvée après la mort, nous verrons que tous se r
he et aucun phénomène de myotilité ni de sensibilité n'a manifesté la lésion de cette protubérance. Le pédoncule cérébelleux g
qui résultent d'une atrophie pure et simple des nerfs optiques, sans lésion aucune des corps genouillés externes, des couches
e, habituelle ou intermittente, c'est l'amaurose sympto-matique d'une lésion organique du cerveau. L'amaurose avec perte de l'
semblables tumeurs : et si quelquefois elle ne s'explique par aucune lésion nouvelle surajoutée, le plus souvent elle résulte
d'un ramollissement manger-blanc du cerveau avec coloration jaunâtre; lésion qui paraît dépendre d'une fluxion chronique ou su
at de la sensibilité ; ce qui suppose qu'elles ne présentaient pas de lésion manifeste ; ou plutôt que les deux côtés du corps
tion dans la sensibilité soit générale soit spéciale. Diagnostic. — Lésion de Vorigine de la moelle. — Je n'ai point assez d
de la moelle. — Je n'ai point assez de données pour établir si cette lésion est le résultat, soit de la compression produite
mpression de la tumeur. A mesure que nous avancerons dans l'étude des lésions organiques, nous verrons les différences symptoma
ent posée est à moitié résolue, et d'un autre côté, plus j'étudie les lésions matérielles de nos organes, plus j'arrive à cette
elles de nos organes, plus j'arrive à cette conviction, que les mêmes lésions matérielles, toutes choses égales d'ailleurs, dét
cause étrangère à la moelle elle-même, et en ceux qui ont trait à une lésion du tissu même de la moelle. Jusqu'à ce moment, il
ecté, et avec lequel elle n'avait même contracté aucune adhérence: la lésion de la moelle consiste donc exclusivement dans une
apporter certaines paraplégies à la néphrite, indépendamment de toute lésion de la moelle. Le corps de la première vertèbre
lire. La douleur est donc dans cette maladie en raison inverse de la lésion de la moelle. La paralysie sans douleur suppose
uée au coin de l'incurabilité. Dans la paraplégie par compression, la lésion de la sensibilité égale, si elle ne dépasse, la l
ompression, la lésion de la sensibilité égale, si elle ne dépasse, la lésion de la myotilité. • Paraplégie douloureuse par d
ière vertèbre lombaire. Il m'est d'ailleurs impossible de préciser la lésion qui a amené la déviation. Pour commémoratifs, j
stic. Maladie delà moelle. Quelle maladie? Est-ce compression? est-ce lésion du tissu propre et quelle lésion ? Questions inso
maladie? Est-ce compression? est-ce lésion du tissu propre et quelle lésion ? Questions insolubles pour moi à cette époque, e
profondément altérés dans leur tissu. Réflexions. Encore un cas de lésion de moelle, coïncidant avec une altération des rei
ir si les paraplégies ne reconnaissent pas quelquefois pour cause une lésion des reins(i). La question réciproque me paraît bi
ciproque me paraît bien plus importante; car, s'il est douteux qu'une lésion des reins puisse réagir la moelle, il ne l'est pa
ion des reins puisse réagir la moelle, il ne l'est pas du tout qu'une lésion de la moelle, en paralysant la vessie, n'agisse c
rvateurs sur l'appréciation de l'influence de l'hémorrhagie et autres lésions du cerveau sur l'état de la moelle, et réciproque
cerveau sur l'état de la moelle, et réciproquement de l'influence des lésions de la moelle sur l'état du cerveau. Je puis donne
sur l'état du cerveau. Je puis donner comme positif ce fait, que les lésions de la moelle n'exercent aucune influence sur le c
de la moelle n'exercent aucune influence sur le cerveau, mais que les lésions du cerveau ont une action extrêmement puissante s
vient à l'appui de ces idées, bien qu'il existât dans le cerveau des lésions capables jusqu'à un certain point de rendre raiso
vérique, mais que beaucoup de faits me portent à considérer comme une lésion morbide opérée sous l'empire delà vie. L'une de
circonstance, une cause de fausse paraplégie. t . Paraplégie par lésion du tissu propre de la moelle. — Destruction du ti
eur de la queue de cheval, d'une autre part. Dans quelle catégorie de lésions ranger cette altération de la moelle? Il est plus
ine névrilématique, est une sorte de guérison, de cicatrisation d'une lésion profonde de la moelle, que je suppose être un ram
acines antérieures. Ici point d'illusion, point d'erreur possible. La lésion est exactement limitée. Ce fait prouve encore l'i
lligence persiste jusqu'au dernier moment. J avais diagnostiqué une lésion de la partie supérieure de la moelle. J'avais mêm
us éclairer à cet égard. J'ajourne à un autre moment le parallèle des lésions observées après la mort et des symptômes observés
te de la fraîcheur et de l'embonpoint d'une santé brillante, avec une lésion locale qui soustrayait la moitié inférieure du co
ntactes, dont la présence décelait bien manifestement la nature de la lésion . Après avoir étudié la région postérieure de la
me dans la paraplégie non douloureuse. Dès le début de la maladie, la lésion du sentiment apparaît en même temps que la lésion
t de la maladie, la lésion du sentiment apparaît en même temps que la lésion du mouvement. C'est à Paide de ces données que j'
cette espèce de combinaison de l'hémiplégie et de la paraplégie. Les lésions ou compressions de la moelle peuvent même se mani
e croyais que l'hémiplégie emportait nécessairement l'existence d'une lésion du cerveau. Aujourd'hui, à défaut de tout autre s
. i et i\ Lesfîgures i et i' nous offrentun nouvel exemple de cette lésion de la moelle que j'ai décrite (voyez xxxne livrai
tes, qui me firent penser à I'arachnitis spinale. D'un autre côté, la lésion étant bornée à un membre, il était bien difficile
muscles des membres; 2° sur les gros troncs nerveux d'où résulte une lésion paralytique ou douloureuse des parties auxquelles
vation ultérieure faite, dans le but d'étudier la génération de cette lésion remarquable, pourra seule éclairer cette question
fortement battue en brèche par cette coïncidence. Relativement à la lésion de la moelle, bien des réflexions sont suggérées
survenir dans la première enfance, elle doit donc se rattacher à une lésion , qui appartient à la première enfance aussi bien
à la première enfance aussi bien qu'à l'âge adulte: quelle est cette lésion ? La dégénération grise serait-elle une dégénérat
flammation chronique de la muqueuse du gros intestin, telles sont les lésions principales fournies par l'autopsie; telle est pr
opsie; telle est probablement aussi la succession pathogénique de ces lésions qui coïncident parfaitement avec les symptômes ob
entre la péritonite tuberculeuse et la carie des vertèbres ? Ces deux lésions pourraient bien ne pas être étrangères l'une à l'
changer de position leurs membres paralysés. Ce fourmillement est la lésion de sensibilité la plus commune , celle qui précèd
ne affection carcinomateuse du corps d'une ou de plusieurs vertèbres, lésion que j'ai observée plusieurs fois, surtout chez de
ires. Vue par sa face externe , la moelle n'offrait aucune trace de lésion : elle n'était pas plus volumineuse que de coutume
ement on voyait un renflement léger au niveau de la terminaison de la lésion . La moelle divisée nous a présenté un foyer sangu
ce de ces formes légères d'apoplexie de la protubérance avec d'autres lésions qui ont entraîné la mort que j'ai pu les observer
ait donc dans la protubérance et le cervelet que devait se trouver la lésion matérielle, source de l'hémiplégie. Or, la protub
lusif dans la protubérance; car le même phénomène est produit par des lésions qui occupent des sièges bien divers. Cependant, j
antérieur. Dans ce cas, comme dans les précédens, la multiplicité des lésions rend difficile la détermination de la part que ch
es du cerveau et du cervelet; l'état apoplectiforme sympathique d'une lésion grave existant dans un organe éloigné en impose à
'anatomie pathologique. Encore ne puis-je donner sur plusieurs de ces lésions que des détails descriptifs fort incomplets. La
tait point altéré dans sa structure. On pourrait admettre, dans les lésions des centres nerveux par compression, deux période
rouge des auteurs et ramollissement blanc. La coïncidence de ces deux lésions n'établit-elle pas de la manière la plus positive
ore à faire, ce qui tient sans doute en grande partie à la rareté des lésions de ces organes. Le bulbe rachidien est tantôt aff
s des ressources de l'art. Je pensai et j'annonçai que le siège de la lésion morbide devait être la protubérance annulaire et
bide devait être la protubérance annulaire et ses annexes 9 que cette lésion devait consister, soit dans une compression exerc
est le nerf moteur ; 4° l'action de tous les muscles du corps; car la lésion du bulbe rachidien doit exercer son influence sur
né une hémiplégie. Il résulte d'un certain nombre de faits, que les lésions du bulbe simulent jusqu'à un certain point les lé
faits, que les lésions du bulbe simulent jusqu'à un certain point les lésions de la protubérance et de l'encéphale.. Le bulbe e
rigine réelle des autres paires crâniennes. Pour bien apprécier les lésions du bulbe, il faut le décomposer en ses élémens an
oser en ses élémens anatomiques, de même que, pour bien apprécier les lésions de la protubérance ou plutôt de l'isthme de l'enc
ance desquelles on rapporterait à la protubérance proprement dite des lésions qui lui sont tout-à-fait étrangères (Voyez, pour
fig. 2'. Je regarde cette tumeur comme appartenant à la classe des lésions tuberculeuses. La fig. 3 représente une tumeur
lexions. A l'article Fongus de la dure - mère, nous avons vu que la lésion organique ainsi dénommée avait pour siège tantôt
vait pour siège tantôt les os du crâne et tantôt la dure-mère; que la lésion des os du crâne avait pour point de départ le tis
une cavité plus ou moins profonde. Nous avons vu, en outre, que cette lésion devait être rapportée à la classe des maladies ca
ba à l'affection pulmonaire. Aucun symptôme n'avait révélé la moindre lésion du côté du cerveau. A l'ouverture, on trouva une
e n'est point à la compression exercée par la tumeur, mais bien à une lésion consécutive de la substance cérébrale ambiante, e
à une lésion consécutive de la substance cérébrale ambiante, et cette lésion peut être une apoplexie avec foyer, une apoplexie
as difficile de concevoir combien grave et irrémédiable doit être une lésion de ce genre provoquée et entretenue par la présen
utérus, de la mamelle ou d'autres organes ne préservant nullement des lésions aiguës du cerveau, on conçoit qu'une femme cancér
sions, des attaques d'épilepsie, et entraîner la mort par suite d'une lésion des méninges ou de la substance cérébrale. MALA
rouge et le ramollissement blanc ne sont pas deux périodes de la même lésion , correspondantes aux deux périodes d'induration r
ement rouge et le ramollissement blanc appartiennent au même ordre de lésions , et que, si on les trouve souvent séparés,- on le
ondeur. Je n'ai pas de détails sur les symptômes correspondans à la lésion précédente; les observations suivantes pourront y
ut-être pas impossible de distinguer ces cas de ceux de démence, sans lésion organique correspondante. Des vestiges de paralys
orrespondante. Des vestiges de paralysie, dans le cas de démence avec lésion organique, pourront en général mettre l'observate
ic. Ramollissement du cerveau. Je me fonde sur la rigidité, et sur la lésion du sentiment. Le mode d'invasion de la maladie co
s granulations et ces foyers -sanguins appartiennent au même ordre de lésion , et que ces granulations ne sont autre chose que
es disséminés, établit le rapport qui existe entre ces deux ordres de lésions ; le mode de cicatrisation de cette apoplexie capi
cchymose ni dans le corps strié ni dans la couche optique. Toutes ces lésions existaient dans l'hémisphère droit; l'hémisphère
tre rapportée à l'apoplexie capillaire, ou bien appartient-elle à une lésion traumatique, à une contusion? Les deux opinions p
t. Le doute qui reste sur la nature spontanée ou traumatique de cette lésion , est un fait bien remarquable, et prouve la néces
it bien remarquable, et prouve la nécessité de Fétude comparative des lésions par cause externe et des lésions par cause intern
nécessité de Fétude comparative des lésions par cause externe et des lésions par cause interne. Considérations générales sur
es fonctions cérébrales éprouvent quelque dérangement par suite de la lésion organique légère qui constitue ces petits foyers
qui l'entourent, et qu'il échapperait probablement au médecin. Cette lésion par foyers miliaires disséminés, je l'ai rencontr
miliaires, m'a donné l'éveil sur la connexité de ces deux espèces de lésion . Le raisonnement et les faits viennent également
plexie ordinaire, constituaient les degrés divers d'une seule et même lésion ; que l'apoplexie capillaire n'est pas plus que le
on ; que le ramollissement blanc n'était pas la période avancée d'une lésion , dout le ramollissement rouge serait la première
que l'apoplexie capillaire n'est nullement la première période d'une lésion dont le ramollissement blanc serait la dernière;
as moins convaincu qu'il y avait méningite rachidienne , aucune autre lésion ne pouvant expliquer les symptômes et la mort. La
it mettre en doute ici, la préexistence delà maladie du rocher sur la lésion du cerveau : ce fait vient donc à l'appui des arg
égoût, le malade mangerait si on lui présentait des alimens. Point de lésion appréciable du sentiment et du mouvement. La lé
imens. Point de lésion appréciable du sentiment et du mouvement. La lésion cérébrale est enfin diagnostiquée; je me demande
ens qui attachaient une si grande importance à l'œdème comme signe de lésion intra-crânieune, n'étaient donc pas complètement
ue, sans agonie. Si l'on voulait rattacher à ces trois périodes les lésions observées, on pourrait dire que dans la première
-mère. Fig. a. Les tumeurs carcinomateuses de la dure-mère sont une lésion assez fréquente chez les vieillards: les symptôme
des membres du côté gauche, pourrait faire présumer la présence d'une lésion organique dans le lobe opposé du cervelet. Ici c'
es, me paraît normale. Les artères utérines étaient ossifiées. Aucune lésion ni dans les organes de l'abdomen-, ni dans les or
leur de bistre. L'idiotie la plus complète est le dernier terme des lésions apoplectiques du cerveau et du cervelet(1), soit
ce sujet, pour voir combien l'ignorance des véritables caractères des lésions organiques, même à une époque voisine de la nôtre
ent à-la-fois sur un grand nombre de parties, indépendamment de toute lésion locale. Ainsi les annales de la science contienne
es nombreuses altérations observées sur ce sujet, nous verrons que la lésion a probablement commencé par le cancer du sacrum,
imitif, rien ne force à admettre une subordination entre les diverses lésions observées. Les tumeurs cancéreuses peuvent s'être
s lombaires est un fait bien remarquable et prouve l'indépendance des lésions de différente nature chez le même sujet. Ainsi la
seul organe fait exception à cet égard: c'est le foie , dont une des lésions les plus fréquentes est sans contredit le cancer
ore à faire. Son peu de progrès tient, d'une part, à la rareté de ces lésions ; d'une autre part, à ce que les nerfs ne sont gén
tes les recherches anatomiques que j'ai pu faire à cet égard, que les lésions anatomiques des nerfs ne portent pas sur la fibre
Maladies de la prostate. Les figures I et F représentent une de ces lésions si fréquentes, connues depuis sir Everard Home so
représentées figure 2. Cette maladie hémorrhagique se rattache à une lésion du système capillaire veineux sur laquelle j'aura
hie de la vessie qui m'a paru pouvoir servir de type pour ce genre de lésion . Cette hypertrophie n'occupe que la tunique muscu
commune des rétentions d'urine et par suite du plus grand nombre des lésions dont les voies urinaires sont susceptibles. Les
tion des vésicules à la surface libre des membranes muqueuses est une lésion que je n'ai rencontrée que dans la vessie; rien n
extraordinaire qui,bien qu'il ne puisse pas être considéré comme une lésion morbide, m'a paru digne d'être représenté. Cett
taillée relative à cette altération, qui peut servir de type pour les lésions du même genre. Urines purulentes. ¦— Tuméfactio
ngsues Quant à la cause de ces crises , j'ai toujours hésité entre la lésion du rein et l'éventration, les phénomènes morbides
exie, je ferai remarquer les symptômes insolites par lesquels cette lésion s'est manifestée à son début, savoir la céphalalg
très vives et les accidens symphatiques, suite presque inévitable de lésions graves du rein, cessaient subitement à la suite d
l'observation précédente. Quelques considérations générales sur les lésions de canalisation du rein feront ressortir la valeu
Plusieurs de ces calculs sont blancs, durs et demi transparens. Des lésions de canalisation des reins. Les lésions de canal
s et demi transparens. Des lésions de canalisation des reins. Les lésions de canalisation de l'appareil des voies urinaires
continences, les fistules, tous les obstacles par rétrécissement, par lésion organique ou vitale: elles embrassent, en outre,
sables, graviers et calculs urinaires, source si fréquente de tant de lésions de cet appareil (i). Les lésions de canalisation
ires, source si fréquente de tant de lésions de cet appareil (i). Les lésions de canalisation des reins reconnaissent presque t
e la santé a pu se concilier pendant longues années avec une pareille lésion , parce que le rein du côté sain suffit aux besoi
acens; mais à gauche, l'altération des os était indépendante de toute lésion voisine, et c'est évidemment par l'os lui-même qu
re. L'examen le plus attentif ne me permit de découvrir aucune de ces lésions intercurrentes ou consécutives qui précipitent si
chement dans la poitrine. Ouverture du cadavre.—Indépendamment delà lésion mammaire qui va faire le sujet d'une description
lente ; une petite érosion très superficielle, paraissant tenir à une lésion mécanique plutôt qu'à un travail morbide, fournis
eux altérations réunies. Elle succomba sans qu'aucune douleur, aucune lésion spéciale de fonctions m'eût éclairé à cet égard.
cules cancéreux du foie peuvent exister indépendamment de toute autre lésion . Notre malade est un exemple de tubercules cutané
otre malade est un exemple de tubercules cutanés très multipliés sans lésion viscérale correspondante. Nous devons admettre co
dernières périodes, je me propose de publier successivement sur cette lésion une série de figures dans lesquelles je ferai con
me et de siège qu'elle présente. Heureux si l'étude approfondie de la lésion considérée en elle-même pouvait me conduire à la
lsives qui simulent quelquefois des attaques d'épilepsie avec ou sans lésion des facultés intellectuelles, et qui sont suivies
est-il rare de voir le bas-fond de la vessie ne point participer à la lésion dans presque toute son étendue. La figure 3 nous
rière, âgée de 78 ans, morte d'une maladie tout-à-fait étrangère à la lésion de ces organes. Ce fut par hasard, en procédant à
à l'hôpital. Il s'agissait de déterminer quelle était la nature de la lésion . Malgré la mollesse fluctuante de la tumeur, je p
. Son aspect lui donnait beaucoup plus de ressemblance avec certaines lésions de l'ovaire qu'avec un utérus altéré. C'était b
ré de sang, lequel est rassemblé en foyer dans quelques points. Cette lésion , qui est généralement limitée au corps de l'utéru
r pullacé. On confond sous la dénomination de cancer de lutérus des lésions organiques très différentes. J'ai le projet de fa
e le réseau veineux doivent imprimer des modifications nombreuses aux lésions morbides, sans toutefois en changer la nature.
s phlegmoneux), on pourrait révoquer en doute le siège immédiat de la lésion ; et c'est dans le but de le démontrer, même dans
é à les rapporter à la maladie de l'utérus; car on peut appliquer aux lésions organiques cet aphorisme d'Hippocrate : Duobus do
tive de lutérus. Rien de plus fréquent que de rencontrer pour toute lésion chez les femmes réputées cancéreuses une gangrène
essives. Je trouve dans mes notes la description d'un grand nombre de lésions entièrement semblables. Ainsi, chez une femme de
apsus de l'utérus. Elles complètent l'anatomie topographique de cette lésion , déjà présentée sous d'autres aspects dans la pla
articipé au déplacement. Réflexions. — Pour se faire une idée de la lésion de contiguïté connue sous le nom de chute ou prol
tiques que les ganglions sont affectés, mais on cherche vainement une lésion intermédiaire aux ganglions et à l'organe. — J'ex
ux ne pouvait être que le pavillon de la trompe. Bien que l'étude des lésions organiques m'ait habitué à voir des transformatio
ions. Plusieurs réflexions se présentent ici et sous le rapport de la lésion du rein, de l'uretère et de la vessie, et sous le
ésion du rein, de l'uretère et de la vessie, et sous le rapport de la lésion de l'utérus et du vagin. i° Le rein , l'uretère
évident que cette altération xxxviie livraison. i était, non une lésion morbide spéciale, analogue ou non à 1 affection t
ns de tissus, qu'on serait tenté de prendre au premier abord pour des lésions morbides spéciales comme des lésions de restaurat
rendre au premier abord pour des lésions morbides spéciales comme des lésions de restauration. Ainsi j'ai démontré ailleurs qu'
ues correspondans, qui si souvent révèle le véritable caractère d'une lésion équivoque, ne m'a été ici d'aucun secours. L'alté
ouble quelconque dans la menstruation, m'ont éloigné de toute idée de lésion organique du vagin et de l'utérus. Il faut donc s
sulté pendant la vie de la malade, pour déterminer le caractère de la lésion , j'aurais été tenté de croire à l'inflammation ch
ans les cas de cancer à la mamelle, qui se lie presque toujours à des lésions viscérales. Relativement à la forme du cancer q
nne, pour le diagnostic des maladies de l'utérus : il est rare qu'une lésion irritative de l'utérus ait lieu sans que cette lé
est rare qu'une lésion irritative de l'utérus ait lieu sans que cette lésion ne soit accompagnée d'une douleur à la pression o
e sont pas des signes plus positifs que la douleur; ils annoncent une lésion de l'utérus, mais ne préjugent rien sur sa nature
a consistance des organes, ne préjugent rien quant au caractère de la lésion . Nous n'avons donc de certitude sur l'existence
ns odorantes, mais le toucher ne m'ayant permis de reconnaître aucune lésion du museau de tanche, je restais dans le doute sur
ciable, et je regarde comme démontrée cette proposition que, dans les lésions des viscères abdominaux, l'inflammation et la sup
ce cas lui parut fort remarquable et douteux, quant à la nature de la lésion . La figure 2 représente la surface extérieure d
u museau de tanche. On voulait savoir mon avis sur le caractère de la lésion . Le museau de tanche était très tuméfié, surtout
à-fait semblable est adhérente au fond de l'utérus. Réflexions. Les lésions morbides des trompes sont rares, si l'on excepte
mitif, c'est-à-dire qu'il a uue existence indépendante de toute autre lésion , et tantôt consécutif au cancer de l'estomac, du
servations qui suivent pourront servir à jeter quelque jour sur cette lésion bien peu étudiée(i). Le fait suivant, que j'ai re
ueilli à l'Hôtel-Dieu en 1814, représente trait pour trait, quant aux lésions organiques, celui figuré Planche 111 ; il nous of
hydropisie essentielle, ou bien à une hydropisie symptomatique d'une lésion organique du péritoine, telle que péritonite chro
autre, cancer du péritoine? est-ce une hydropisie symptomatique de la lésion de quelqu'un des viscères abdominaux? Je ne conna
ux étaient parfaitement sains. Réflexions. Le point de départ de la lésion me paraît être la masse cancéreuse contenue dans
l'abdomen. L'exploration la plus attentive ne me lit découvrir aucune lésion appréciable dans les viscères abdominaux m Je m'a
exemple de péritoine primitivement cancéreux indépendamment de toute lésion dans les viscères abdominaux. L'étude du cancer d
DES MATIÈRES CONTENUES DANS LE SECOND VOLUME LIVRAISONS XXI A XL. LÉSIONS DE L'APPAREIL DE LA LOCOMOTION. Maladies des os
râne. ... *........ Maladies des extrémités. Vices de conformation. Lésions congeniales des mains et des pieds (absence de pa
opie. . . * —.— Vices de conformation. Sirénie. Réflexions....... LÉSIONS SE L'APPAREIL DE LA DIGESTION ET DE SES DÉPENDANC
XI. 1 — 4 6 XXIV. 1 — 6 5-6 XXXVII. 1 — 3 6 TABLE DU TOME II. LÉSIONS DES ORGANES GÉNITO-URINAIRES. Maladies de la pr
de la vessie . Maladies des reins. Considérations générales sur les lésions de canalisation des reins. --Phlébite rénale. L
grand nombre de cas; moyens de la prévenir lorsqu'elle est mécanique; lésions concomitantes. 15e liv., pl. 1, p. 2.— Enfant mor
illaire de la protubérance et du bulbe. 35e liv., pl. ni, p. /. — Les lésions du bulbe simulent jusqu'à un certain point les lé
i, p. /. — Les lésions du bulbe simulent jusqu'à un certain point les lésions de la protubérance et de l'encéphale. 35e liv., p
urs cancéreuses du foie peuvent exister indépendamment de toute autre lésion organique, ou bien concurremment avec plusieurs a
droite incomplète. Facultés intellectuelles ordinaires. Atrophie sans lésion organique de l'hémisphère gauche du cerveau. 8e l
grand nombre de cas; moyens de la prévenir lorsqu'elle est mécanique; lésions concomitantes. 25eliv., pl. i, p. a. — Apoplexie
llissement de la substance grise des circonvolutions. = Influence des lésions du cerveau sur l'état de la moelle. 32e liv., pl.
1, p. S. — Tumeur carcinomateuse de la dure-mère ; fréquence de cette lésion chez les vieillards ; symptômes qui en résultent;
., pl. i, p. S. — L'idiotie la plus complète est le dernier terme des lésions apoplectiques du cerveau et du cervelet. 37e liv.
choléra asphyxique rapidement mortel ; point de réaction; pour toute lésion , quantiié considérable de liquides dans les intes
e gauche. Gravité, fréquence, accidens, incurabilité, éliologiede ces lésions . 28e liv., pl. v, p. .— Anatomie pathologique du
nsidérations générales sur la cyclopie. 33e liv., pl. v, vi, jp. y. — Lésions des mains et des pieds; absence des parties. 38e
n, p. 7. — Tumeur carcinomateuse de la dure-mère; fréquence de cette lésion chez les vieillards, symptômes qui en résultent ;
tomie pathologique de la dysenterie. 38e liv., pl. 11, m, iv, p. 3. — Lésions que laisse après elle la dysenterie. 40e liv., pl
jette sur la thérapeutique de celte affection, la connaissance de la lésion organique; méthode de 31. Petit. 7e liv., pl. 1,
7e liv., pl. 1, n, ni, iv, p. 14. — Nécessité d'une diète absolue; la lésion anatomique de l'entérite folliculeuse aiguë ne do
paroi postérieure de l'estomac. Hémalémèse el déjections sanglantes. Lésion de Tarière splénique. = Cicatrices des ulcères de
ébriles, la chute de la fièvre ne coïncide pas avec la guérison de la lésion locale, mais bien avec la cessation delà marche p
es organes du fœtus peuvent éprouver pendant la vie fœtale, les mêmes lésions que pendant la vie extra-utérine. 17e liv., pl. r
urs cancéreuses du foie peuvent exister indépendamment de touie autre lésion organique, ou bien concurremment avec plusieurs a
lle. 12e liv-, pl. iv, v, p. FOURMILLEMENT. Le fourmillement est la lésion de sensibilité la plus commune. 38eliv., pl. v, p
ir les goitres. 35e liv., pl. iv, p. 2. GOUTTE. En quoi consiste la lésion matérielle de la goutte. 4e liv., pl. m, p. 5. —
liv., pl. vi, p. S. — De la compatibilité et de l'incompatibilité des lésions organiques avec la graisse. 36e liv., pl. v, p. 4
droite incomplète. Facultés intellectuelles ordinaires. Atrophie sans lésion organique de l'hémisphère gauche du cerveau. 8e l
neumonie. 179 liv., pl. 1, p. 2. — L'idiotie est le dernier terme des lésions apoplectiques du cerveau et du cervelet. 37e liv.
choléra asphyxique rapidement mortel ; point.de réaction ; pour toute lésion quantité considérable de liquides dans les intest
intestinales gangrenées. Mort. Ouverture. 24e liv., pl. v, vi, p. 6.— Lésions de canalisation : Rétrécissement du gros intestin
llicules des intestins. 34e liv., pl. n , ni, p. • — Déplacemens ou lésions de contiguïté ; invaginations ; hernies. 37e liv.
uée autour de l'intestin grêle. 38e liv., pl. vi , p. 4.— Dysenterie: lésions qu'elle laisse après elle. 40e liv., pl. v, p. i.
Existe-t-il des phthisies laryngées primitives indépendantes de toute lésion pulmonaire. = Maladies du larynx: laryngite sous-
r lui contre l'hypertrophie de la prostate. 17e liv., pl. n , p. 2. LÉSIONS . Indépendance des lésions de différente nature ch
e de la prostate. 17e liv., pl. n , p. 2. LÉSIONS. Indépendance des lésions de différente nature chez le môme sujet. 32e liv.
melles. 26e liv , pl. 1, p. 2. — Caractères ; type de celte espèce de lésions . 26e liv-, pl. 1, p. .3. — Cancer dur, atrophique
es circonvolutions du cerveau. 32e liv., pl. 1, n, p. — Influence des lésions de la moelle sur l'état du cerveau. 32e liv., pl.
lle sur l'état du cerveau. 32e liv., pl. 1, 11, p. 6. —Paraplégie par lésion du tissu propre de la moelle. Destruction du tiss
tomie pathologique des nerfs est encore à faire. Sur quoi portent les lésions anatomiques des nerfs. Formes, degrés et causes d
rand nombre de cas ; moyens de la prévenir lorsqu'elle est mécanique; lésions concomitantes. 15eliv., pl. 1, p. a. — Enfant mor
ort une heure après la naissance. =:Enfant à terme, mort par suite de lésion du cordon. — Hydrocéphale mort-né. Accouchement n
e cancer mammaire. 27e liv., pl. m, p. S. — De l'œdème comme signe de lésion inlra-crânienne. 33e liv-, pl. m, p. 4. — OEdème
1, p.3. — Végétations polypeuses de l'œsophage et rétrécissement sans lésion de tissu. 38e liv., pl. vi, p. i.— Rétrécissement
enl. Es-chare du sacrum. 32e liv., pl. 1, n, p. *6. —¦ Paraplégie par lésion du tissu propre de la moelle. Destruction du tiss
35e liv., pl. v, p. 3. — Caractères cliniques et anatomiques de cette lésion ; traitement. 35e liv., pl. v, p. 5. — Affinité e
iste-t-il des phlhisies laryngées primitives , indépendantes de toute lésion pulmonaire. 5e liv., pl. n, p. 6— Coïncidence pre
., pl. \i,p. 1 ¦ — Le placenta n'est exposé qu'à un petit nombre de lésions : 1° Hypertrophie. 16e liv., pl. 1, p. 1. — 2° At
iode de réaction. 14e liv., pl. 1, n, ni, iv, v,p. 5i. — Réaction des lésions de la moelle sur les reins. 32e liv., pl. 1, 11,
céreux à la surface des reins. 23e liv., pl. v,p. 4. — Réaction des lésions de la moelle sur les reins. 32e liv., pl. 1, n, p
ire gauche.Gravité, fréquence, accidens, incurabilité, étiologiedeces lésions . 28eliv., pl. v, p. 4.—Analomie pathologique du r
d'ulcères. 33e liv., pl. 1, p 4. — Rétrécissement de l'œsophage sans lésion de tissu. 38e liv. pl. vi ,p. 1. — Rétrécissement
laire. 18eliv., pl. 11,-p. 2. —Dans la paraplégie par compression, la lésion de la sensibilité égale au moins celle de la myol
ladies de la moelle. 381" liv., pl. v, p. p.— Le fourmillement est la lésion de sensibilité la plus commune. 38e liv., pl. v,p
paroi postérieure de l'estomac. Hématémèse et déjections sanglantes. Lésion de l'artère splénique. = Cicatrices des ulcères d
11, m, p. 43. — Fièvre puerpérale .Mort le neuvième jour. Pour toute lésion cadavérique, pus dans les vaisseaux lymphatiques.
35é liv., pl. v, p. 4. — Caractères cliniques et anatomiques de celte lésion ; traitement, 35* liv., pl. v,p. S. VELPEAU (M.)
, p. — Hypertrophie de la vessie ; considérations générales sur celte lésion . 39e liv., pl. i, n, p. /.— Rétrécissement. Abcès
Considérations générales sur la cyclopie. 33e liv., pl. v, vi, y-y- — Lésion des mains et des pieds (absence des parties). 38e
66 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
L'état du fond de l'oeil chez les paralytiques géné- raux et ses lésions anatomiques initiales et terminales. PAR LES
presque dans tous les cas examinés à l'ophthalmoscope, trouva des lésions : la congestion, l'infiltration de la papille et
u nerf optique. Dans des recherches ultérieures, Uhthoff trouva des lésions du fond de l'oeil chez 50 p. 100 des paralytiqu
lis étant notée dix fois la dégénérescence vingt-quatre fois. Les lésions du fond de l'oeil que nous avons constatées éta
érale avait déjà atteint une période avancée, nous avons trouvé des lésions plus particulièrement accusées : trois fois l'a
1 Caudron (P.). Le fond de l'oeil des paralytiques généraux et ses lésions initiales. Thèse de Lille 1902. V Casson, éditeur
a vue. Ces sept cas constituent un premier groupe dans lequel les lésions du fond de l'eeil étaient très accusées. Les au
e l'eeil étaient très accusées. Les autres malades présentaient des lésions moins avan- cées. La fovea centralis droite éta
ette, tandis qu'il lui était devenu impossible de se diriger. Les lésions intéressaient inégalement les deux yeux chez 18
cas, la gauche dans 5. ' Chez 9 malades nous n'avons pas trouvé de lésion du fond de l'mil, les uns étaient en rémission,
, 8 d'entre eux étaient alcooliques, 2 étaient syphilitiques. Les lésions que nous venons de décrire brièvement ne sont p
dre aux leurs pour démontrer péremptoirement lagrande fréquence des lésions du fond de l'oeil chez les paralytiques générau
uence des lésions du fond de l'oeil chez les paralytiques généraux, lésions revê- tant la forme d'une névrite optique inter
rise de la papille tout entière. A mesure que nous observions ces lésions , deux questions se présentaient à notre esprit
iologique étaient-elles tributaires ? Fallait-il les identifier aux lésions oculaires que l'on rencontre dans d'autres affe
tion occupait le bord interne, supérieur ou inférieur; et enfin les lésions n'étaient pas bilatérales. Pour ce qui concer
es. Pour ce qui concerne la syphilis, nous n'avons pas observé de lésions dechorio-rétinitepréatrophique chez nos malades,
s ne semblant pas diminuer proportion- nellement à l'importance des lésions ; le diagnostic n'est donc à faire qu'avec les n
rte, un véritable contrôle tout en nous éclairant sur la nature des lésions décelées par l'examen ophthalmoscopique. Troi
examen clinique; ce sont celles : 1° de deux malades présentant des lésions peu intenses de la papille, l'un B... avait cep
malade V..., atteint d'atrophie papillaire blanche bilatérale. 1° LÉSIONS INITIALES Observation 1. - 13. J..., quarante-n
ions frontales, érosions dues à l'enlèvement de la pie-mère. Pas de lésions macroscopiques importantes de la substance céré
méthode de Van Gieson, nous ont permis de constater l'existence des lésions suivantes : OEil droit. - 10 Rétine : La couche
nflées, diminuées en nombre, particulièrement du côté temporal; ces lésions sont surtout apparentes aux points où la couche
le gonflement du noyau et du protoplasme cellulaire semble être la lésion initiale, c'est celle que nous avons rencontrée
i, dans certaines cellules, présente un aspect aréolaire. Quand les lésions du protoplasme ont atteint ce degré, le noyau e
ées, accolées à elles et semblant même çà et là les pénétrer. Les lésions semblent surtout cantonnées aux cellules nerveuse
nerveuses de la rétine, et les autres couches ne présentent pas de lésions manifestes. Toutefois, leur épaisseur est de be
. Les fibres nerveuses paraissent pour la plupart normales et les lésions , en ce point, sont donc essentiellement dues à la
ées pour l'oeil droit; les neuronophages existent également. Pas de lésions évidentes des autres couches delà rétine. 2° Pa
meurt dans le marasme le 2 avril 1902. L'autopsie nous montra les lésions suivantes : Calotte crânienne : Epaisse, non tr
histologique de l'écorce cérébrale, nous a permis de constater les lésions ordinaires de la paralysie générale au niveau d
ique dans sa portion intracranienne. OEil droit. 1° Rétine : Pas de lésions apparentes de la couche des fibres nerveuses. L
e parait peu altérée, et nous ne voyons à signaler ici que quelques lésions cellulaires inté- ressant peu d'éléments, distr
nne. 3° Quant au nerf optique, il présente, à un degré moindre, les lésions que nous avons signalées pour le nerf du côté d
s lésions que nous avons signalées pour le nerf du côté droit. 2° LÉSIONS TERMINALES OBs. III. V... J.-P., âgé de quarant
es. L'examen histologique nous a permis de constater l'absence de lésions systématisées des cordons postérieurs. Les yeux
éthodes de Weigert et de Marchi. Les deux yeux présentant les mêmes lésions , nous n'avons fait porter notre examen que sur
re de la normale.- 2° La papille présente au plus haut point, les lésions de la sclé- rose la plus caractérisée. Quel que
plus caractérisée. Quel que soit le point que nous exami- nons, la lésion revêt la même intensité; c'est en vain qu'on re
and nombre d'éléments proliférés. Au niveau de la lame criblée, les lésions revêtent la même inten- sité, et les éléments c
proliférés : Gr. - 251 diam. su 26 6 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. la lésion est extrêmement accusée. Toutefois, il semble bie
doit pas nous surprendre étant donné l'ancienneté (trois ans) de la lésion ). Le nerl optique de V.... bien que moins riche
es fournies par l'examen ophtalmoscopique, nous trouvons que, à des lésions pro- noncées constatées cliniquement, correspon
des alté- rations avancées des éléments anatomiques, et qu'à des lésions à peine perceptibles à l'ophtalmoscope correspon-
plus prononcée que dans tout autre point. Chez le malade S..., les lésions étaient moins prononcées, l'ophtalmoscope annon
it normal à l'examen ophthalmoscopique présentait quelques-unes des lésions rencontrées du côté malade, mais à un degré bea
L'histologie nous permettait-elle de déterminer la nature de ces lésions ? Nous ne tenterons pas quant à présent de diff
as songer à rapporter à l'une plutôt qu'à l'autre de ces causes les lésions observées. - Par contre, quelques faits acquis
a; dans les cas de névrite paralytique que nous avons examinés, les lésions sont au contraire dis- 30 ANATOMIE PATHOLOGIQUE
rche descendante qu'une marche ascendante comme dans le tabès ; les lésions parenchymateuses sont moins marquées dans la pa
des hommes, internés à l'asile d'Armentieres présentent de notables lésions du fond de l'oeil; il n'y a guère que ceux qui
rme lente à longue évolution, il a été impossible de trouver aucune lésion ophtalmoscopique. VI. L'examen ophtalmoscopique
s, et l'analyse de certains succès thérapeutiques dans des cas de lésions incurables fit admettre cette idée nouvelle que s
qu'on a dû, en bien des cas, se contenter de remédier aux effets de lésions définitives ; enfin, la rééducation a dû précis
LA REEDUCATION MOTRICE. 00 lement : c'est pourquoi, même en cas de lésions nerveuses profondes, de destruction complète de
lles mais les mouvements eux-mêmes, et en même temps d'agir sur les lésions organiques des nerfs, des muscles et des articu
et assure d'autre part le contrôle des mou- vements exécutés. Des lésions des os, nous ne dirons rien, car elles n'ont ri
dépassent en étendue les régions directement intéressées par les lésions ; il se produit alors une sorte d'inhibition de vo
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 1. Transmission aux descendants des lésions expérimentales produites chez les ascendants ;
arrin, Delamarre et Moussu, sur la transmission aux descendants des lésions expérimentales produites chez les ascendants. I
déjà faits d'autre façon. La question est celle-ci, en somme : des lésions accidentelles, expérimentales ou autres, peuven
dical du 2 août), n'hésitent pas à dire : « On s'est demandé si des lésions provoquées chez la mère peuvent se reproduire c
ant terme ou sacrifiés au moment de la naissance, d'indiscutables lésions des glandes hépatique ou rénale (congestion, hémo
fixe, c'est la petitesse du cervelet et de la moelle, avec ou sans lésions macro et microscopiques; les lésions, lorsqu'el
et de la moelle, avec ou sans lésions macro et microscopiques; les lésions , lorsqu'elles existent, affectent d'ailleurs un
de Gowers. Pour expliquer ces différences con- sidérables dans les lésions anatomiques d'une même maladie, le D1' Switalsk
nutrition. Le degré et l'extension plus ou moins considérables des lésions anatomo-pathologiques seraient en rapport avec le
atisme déformant, d'ankyloses con- génitales par aligamnios, ou par lésions acquises des centres ner- veux : la musculature
ilités et les réflexes sont demeurés intacts. L'autopsie montre des lésions destructives des cartilages articulaires et des
le tableau clinique, à une polyné- vrite infectieuse du cheval. La lésion des nerfs périphériques, après avoir envahi les
lk, XXIII, N. F. 1900.) Jusqu'ici on u'a pas trouvé le lieu de la lésion qui produit l'im- mobilité réflexe des pupilles
nt très vite les autres parties de celui-ci. Il est à penser que la lésion qui entraîne l'immobilité réflexe des pupilles
'après les théories les plus admises actuellement qui présument une lésion des fibres pupillaires centripètes. En effet, d
duire l'égalité parfaite de la sensibilité réflexe ; où que gise la lésion dans le trajet centripète, que les branches d'u
pupille. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 95 La lésion exclusive du point de départ de la voie réflexe c
pposé. S'il existe du myosis, on peut croire au premier degré d'une lésion qui irrite celle des cellules sphinctériennes non
yaux, l'effet des cellules motrices se règle d'après le degré de la lésion . 11 n'est pas rare en neuropathologie de voir deu
nfin ils ont constaté la diadococinésie sur un malade atteint d'une lésion cérébelleuse consécutive à un traumatisme occipit
eint de signe d'Argyll et de douleurs fulgurantes n'a pas trouvé de lésions . M. Babinski a aussi vu de tels cas sans lésion
n'a pas trouvé de lésions. M. Babinski a aussi vu de tels cas sans lésions mais jamais sans lymphocytose. Pas d'Argyll san
ibrillaires; troubles de déglutition, etc. A l'autopsie, à côté des lésions classiques du tabès dorsalis, les auteurs ont t
ule modifiée dans les états pathologiques. Traitement spécifique de lésions non syphilitiques. M. Grasset (de Montpellier)
oie une communication lue par M. Marie au sujet de plusieurs cas de lésions des centres nerveux manifestement indemnes de s
dans le liquide céphalo-rachidien. Le diagnostic étiologique de la lésion est orienté vers le mal de Pott par l'existence
a pachyméningite et à la myélyte transverse. Il faut admettre une lésion médullaire dorsale,transverse, centrale, coïncida
lésion médullaire dorsale,transverse, centrale, coïncidant avec une lésion vertébrale, mais indépendante de tout processus a
on de facteurs de tout ordre, depuis le climat, la nutri- tion, les lésions organiques, jusqu'à l'éducation, les conditions
d'appel important pour la localisation de la névrose, joué par les lésions auriculaires. Ce rôle, peut en effet, être asse
à la fusion à peu près complète du tibia et du péroné. L'absence de lésion cardiaque, malgré' un degré très avancé d'arlér
qu'à cejour pour expliquer la patho- génie de la maladie de Paget : lésion médullaire; lésion d'une glande vasculaire sang
pliquer la patho- génie de la maladie de Paget : lésion médullaire; lésion d'une glande vasculaire sanguine, athérome de l
uine, athérome de l'artère nourricière de l'os, et concluent que la lésion initiale de cette affection reste obscure. IV
parties. La première traite d'une observation avec autopsie et des lésions possibles de la maladie. La seconde éludie sept
189-1. 2° série.) On l'a aussi appelée : paralysie bulbaire sans lésions , névrose bulbaire, paralysie myasthénique (Oppe
idents paralytiques et les phénomènes convulsifs lémoi- gnent d'une lésion des régions motrices de l'hémisphère droit. Il
de tête; la syphilis est catégoriquement niée. Reste l'hypothèse de lésions vasculaires, les vaisseaux accessibles étant du
l'enfant atteints de nystagmus congénital des deux yeux sans autres lésions . La première a quarante-sept ans, la seconde se
mouvements associés de la tête et des yeux ; L'ab- .sence de toute lésion oculaire. Ces deux cas viennent à l'appui de la
e de Wernicke. Elle diffère de ces deux affections par l'absence de lésions des noyaux bulbaires, par ses rémissions et par
. On peut admettre un arrachement des racines , coïncidant avec une lésion de la moelle. M. Duplant pense que certains cas
s de paralysie oculaire ni de troubles sensoriels ou sensitifs. Les lésions nucléaires bulbaires ont donc intéressé tous le
au-dessous de la Vie paire. M. Collet pense qu'il s'agit ici d'une lésion systématique de la substance grise, de la moell
halite circonscrite. La syphilis est la raison très probable de ces lésions . Les anté- sédents spécifiques ne sont pas disc
s actuelles. Dans les cas de Charcot, de Déjerine, de Thomas, les lésions sont disparates, ne peuvent pas expliquer les sym
nt que ce syndrSme peut être l'effet d'une intoxication due à une lésion du thymus. G. C. XXIII. Note sur un cas de sclé
- lement oblitérées. L'examen microscopique montre l'existence de lésions d'asté- rites sur les sylviennes et les vaissea
homolatéral du cervelet. Le parallélisme entre la distribution des lésions scléreuses et celles du réseau artériel, la con
étermination, que de l'état mental de l'aliéné et de la gravité des lésions matérielles qui mettent en question son interve
ctement les signes, mais dont les centres nerveux ne portent aucune lésion . Il s'agit d'une atrophie ponto-céréhelleuse av
tête et des yeux. M. Thomas rapporte l'histoire de ce cas dont la lésion siégeait au niveau du genou du nerf facial. La
intense au niveau du noyeau de Deyters, et seulement du côté de la lésion (fibres déjà entrecroisées). L'état des faiscea
nt suite à une syphilose méningée. Pour MM. Marie et Guillain. La lésion méningitique est, en effet, constante, elle porte
le, alors que la pie- mère de la région antérieure est indemne. Les lésions des racines ne sont pas des lésions de névrite
ion antérieure est indemne. Les lésions des racines ne sont pas des lésions de névrite radiculaire pure, elles sont con- ti
ostérieurs, plus encore que dans les racines. Cette coïncidence des lésions piemériennes et médullaires est due à un système
st atteint primitivement dans le tabès, et, si l'on admet que les lésions de la syphilis sont avant tout lymphatiques, on p
syphilis cérébro-spinales d'autre part, dont il a eu à examiner les lésions depuis plusieurs années. De cet ensemble imposant
core aux enseignements de Westphall, Vulpian, etc., la nature de la lésion de ces fibres spéciales dépend d'un processus a
me celles de la paralysie générale sont donc une classe spéciale de lésions syphi- lithiques qu'il faut mettre absolument à
- matisation ; mais il revient sur le processus qui détermine ces lésions systématiques et admet que la lymphangite syphili
. L'épilepsie spinale n'a donc pas de valeur absolue comme signe de lésion du système pyramidal, le phénomène des orteils
d'épilepsie spinale. Cécité et surdité verbales avec paraphasse par lésion droite du cerveau. M. Joffroy montre les pièc
demne. Touche, Kussmaui et d'autres ont publié deux ou trois cas de lésions droites ayant produit l'aphasie chez des gauchers
tions, ni corps granuleux, ni névrite segmentaire périaxile ; leurs lésions sont histologique- ment parlant d'ordre puremen
'a pu produire une paraly- sie générale, c'est-à-dire une maladie à lésions anatomiques bien caractérisées. Tout au plus pe
convient tout d'abord d'éliminer les formes qui ressortissent à des lésions anatomiques bien définies; on ne saurait évidem
e présente; lorsque le trouble men- tal semble étroitement lié à la lésion . Or, les indications peuvent être nombreuses, c
in où elle se trouvait ayant été tamponné, elle crut avoir reçu des lésions internes et se fit examiner par le 1) Thoinot d
aux parties distinctes des annexes à cause de l'hémorrhagie et des lésions faites à celles-ci pendant l'opération. Après l
écis, toujours le même, et tout porte à croire qu'elle répond à une lésion locale du nerf ou des centres correspondants.
sceaux de Goit(dans la moelle cervicale), telle est la marche de la lésion de bas eu haut, progressivement. Les fibres ner
ostérieure, la corne postérieure du côté opposé. La constatation de lésions atrophiques identiques dans les ramuscules sens
egments intraspinaux), autorise à formuler que le tabès émane d'une lésion primitive des cellules des ganglions spi- naux,
glie. II. L'inflammation qui s'adresse aux vaisseaux engendre des lésions en foyer. Celles-ci sont, lorsque le système vasc
côté des lacunes de la substance blanche de la moelle. Enfin, si la lésion est extrême, la charpente de soutien cède à son
d'un morceau de tissu, et ce séquestre irrite autour de lui. Les lésions de nutrition sont de trois sortes : 1° la tuméfac
es consécutive à encéphalomyélite disséminée. Il existe aussi des lésions en foyer, c'est-à-dire vasculaires, dès le débu
onnaissant d'une part, la possibilité de pareils symptômes avec une lésion protubé- rantielle, et d'autre part il put cons
irmer le ramollissement de la protubérance. II y a probablement des lésions multiples pour expliquera la fois l'hémianesthé
XXII. Troubles du goût dans le domaine de la corde du tympan par lésion latérale ; par Pauly ; (Société nationale de méde
er des trou- bles du goût dans le domaine de la corde du tympan par lésion de la base ; il attire aussi l'attention sur la
culaire chez les ma- lades psychiques est une preuve de plus que la lésion mentale est en connexion très proche avec les t
ues divers. A leur avis, le terme de porencéphalie doit désigner la lésion anatomique caractérisée par l'existence de cavi
de la dure-mère au niveau de l'orifice crânien, funilatéralité des lésions ont été con- sidérés par certains auteurs comme
e, d'ordre héréditaire et chez deux d'entre eux on a vu évoluer des lésions d'hérédo-syphilis absolument caractéristiques.
croire que ces troubles sont dus non à une polynévrite, mais à une lésion de la substance grise. On se trouverait donc en
use ; par le , Dr HOBINSON. Observation de névralgie du foie sans lésion matérielle, et notamment sans calcul. C'est la
sie bulbaire a été appelée successivement : paralysie bulbaire sans lésion anato- mique, paralysie bulbaire asthénique, ma
décèle, dans des territoires assez limités de la zone motrice, des lésions caractérisées par une multiplication très intense
NERVEUSE. matiques, toxiques, infactieux, némotrophiques, etc. Les lésions varieraient seulement d'intensité suivant qu'el
de l'affection est naturelle- ment subordonnée à l'intensité de ces lésions et aussi de leur cause productrice. Ainsi la fo
localisée au segment jambier. Comme il est difficile d'admettre une lésion périphérique du nerf sciatique intéressant seul
s. Ces faits confirment donc la doctrine de la simultanéité de la lésion périphérique du neurone. En un mot, dans les névr
gnification se précise de jour en jour davantage dans le sens d'une lésion organique du faisceau pyramidal. G. D, XLII. La
ente à l'évacuation défectueuse de la vessie. Chez ces malades, les lésions de l'appareil respiratoire et circulatoire n'ét
t faire supposer une névrite par propagation, ayant déter- miné une lésion initiative de la moelle. L'autopsie montra qu'il
gère des faisceaux pyramidaux, altérations de la colonne de Clarke, lésions cellulaires atrophiques des cornes antérieures)
HOLOGIE NERVEUSE. 283 libres nerveuses des nerfs intra-musculaires, lésions des troncs ner- veux de l'avant-bras et de la j
res, lésions des troncs ner- veux de l'avant-bras et de la jambe) ; lésions musculaires (atro- phie plus ou moins accentuée
pouvoir tirer les conclusions suivantes : 10 Chez les animaux,la lésion des corps restiformes (spécialement dans leur p
wien; 2° chez les animaux qui sont devenus basedowiens par suite de lésion expérimentale, mais chez lesquels les symptômes
Chez les animaux sur lesquels on a pratiqué la thyroïdecto- mie, la lésion des corps restiformes ne provoque pas le syndrome
basedowien; 4° chez les animaux qui sont devenus basedowiens par la lésion des corps restiformes, la thyroïdectomie diminue
Le type habituel des myopathies familiales est caractérisé par la lésion anatomique du muscle atrophié ou pseudo-hypertrop
. 13. LXVI 11. De l'hémiatrophie faciale dans ses rapports avec les lésions du ganglion cervical inférieur ; par le D 130UV
s an- ciennes, estime que l'hemiatrophie faciale est fonction de la lésion du ganglion cervical inférieur. Les rapports im
tentionnel du membre supé- rieur. L'étude histologique montra des lésions disséminées, sans sys- tématisation aucune, à a
s, se pose naturel- lement la question de savoir si, par hasard, la lésion du système nerveux ne contribue pas à détermine
nerveux ne contribue pas à déterminer ou, au moins, à aggraver les lésions vasculaires. {Revue neurologique, oct. 1902). E.
nisme peut avoir une influence dans son mode d'action; de plus, les lésions dominantes de la paralysie générale sont d'ordre
o-alcoolique, chez une femme à l'autopsie de laquelle on trouva des lésions du foie et des reins. M. PACTET croit qu'on p
directement dans le cordon antérieur de la moelle ; ainsi donc une lésion pédonculaire entraine dans le cordon antérieur
on de M. Cestan et présente quelques coupes de moelles montrant des lésions consécutives à des altéra- tions pédonculaires.
dans les névroses (l'hystérie et la neurasthénie) et en dehors des lésions du faisceau pyramidal. MM. G. Ballet et L. Delh
présentent un malade qui permet d'affirmer que sans aucun signe de lésion ou* d'irritation perma- nente de ce faisceau, o
e fatigue générale habituelle. On ne relève chez lui aucun signe de lésion cérébrale ou spinale ; l'examen du liquide céph
de tous points à celui qu'on rencontre chez les malades affectés de lésions organiques ; il était notamment impossible delà
tribue encore à établir, son caractère de trouble indépendant d'une lésion organique. Ce cas permet donc d'affirmer que ch
tre en relief tous les carac- tères cliniques de la trépidation par lésion organique. M. Babinski ne pense pas que l'épile
binski ne pense pas que l'épilepsie spinale dénote fatale- ment une lésion pyramidale,.on la rencontre dans des intoxication
e. M- Ballet. - Elle peut donner une- présomption en faveur d'une lésion organique mais elle n'a pas de valeur décisive.
ien contre la règle générale. D'ailleurs dans la plupart ces cas de lésions organiques on la voit rétro- céder. M. Babins
néral que l'épilepsie spinale perd de son importance comme signe de lésion organique. Atrophie des membres de nature mal d
onc être dans ces cas un élément de dia- gnostic ou de pronostic. Lésion du noyau rouge. M. Guilmain montre les pièces e
oyau rouge. M. Guilmain montre les pièces et les préparations d'une lésion ancienne limitée au noyau rouge, à la suite de
des fibres dégénérées des racines postérieures correspondantes. Ces lésions étaient SOCIÉTÉS SAVANTES. 297 extrêmement ne
urdach. Dans les gan- glions correspondant, on trouve également des lésions cellulaires. Ce cas vient donc apporter une nou
mais après plus ample étude il y avait renoncé et il considérai les lésions méningitiques comme consécutives aux lésions de
é et il considérai les lésions méningitiques comme consécutives aux lésions des racines. M. Marie considère que la r.»gion
yphilitique. D'ailleurs si la syphilis crée seule le tabès vrai, la lésion systéma- tique du bloc postérieur médullaire pe
lo-inoteui, commun. Ayant SOCIÉTÉS SAVANTES. -303 en vue, que les lésions organiques du système nerveux sont sou- vent co
suggestion et 2° parles données expé- rimentales de Luciani que la lésion des petites régions du cervelet provoque l'atax
rou- bles des fonctions des petites régions du cervelet. Puisque la lésion du cervelet chez le malade en question n'était
n'était pas grande, donc ou ne peut pas expliquer seulement par la lésion en foyer l'ataxie si prolongée. discussion
antes. Dr VEIDI ! £ ÇGAMML ? 11 pense à. l'existence possible d'une lésion des deux hémisphères, à une lésion disséminée à
se à. l'existence possible d'une lésion des deux hémisphères, à une lésion disséminée à la suite de modi- fications vascti
ade n'est pas gaucher. La particularité de ces cas consiste dans la lésion de l'hémis- phère droit (ordinairement l'alexie
'hémis- phère droit (ordinairement l'alexie isolée correspond à une lésion de l'hémisphère gauche), malgré que les deux ma
du cas Il consiste dans l'amnésie antérograde comme symptôme d'une lésion en foyer, identique au trouble d'orientation, d
es rémis- sions. 4. Présence des troubles nerveux spéciaux pour les lésions syphilitiques (céphalalgies, analgésies cutanée
algésies cutanées, états épileptiques équivalents). 5. Présence des lésions syphilitiques cutanées. 6. Influence favorable
' Dr W. SERBSKY ne voit pas de raison d'attribuer la cause de la lésion donnée à la syphilis, car un symptomocomplexus pa
prétexte qu'attendre, c'est donner à la névrite ascendante et aux lésions encéphaliques le temps d'évoluer. Et il ajoute :
s rotuliens, il n'existe ni signe de Romberg, ni signe d'Argyll, ni lésions de l'oeil. L'examen de l'appareil oculaire perm
me très mince. Pas de granulations épendymaires. A la coupe, pas de lésions en foyer. Hémisphère gauche : poids 4CO grammes
73 tantôt à droite, tantôt à gauche, ne dépend que du siège de la lésion périphérique déterminant le point de repère de'l'
SOCIÉTÉS SAVANTES. 381 causé des troubles médullaires à la suite de lésions des doigts, ces troubles ont été parfois jusqu'
érédoafaxie cérébelleuse. L'autopsie du premier malade a montré des lésions des cordons postérieurs combinées à des lésions
malade a montré des lésions des cordons postérieurs combinées à des lésions du faisceau cérébelleux direct Les auteurs attr
e le tabes. On la rencontre dès le début de la sypliilis, c'est une lésion banale qui peut se trouver dans toutes les irrita
es cliniques pen- dant la vie n'étaient pas adéquats à une pareille lésion . Ramollissement localisé au loc2cs niger. - M
l résulte qu'il s'agit d'un processus dégéné- ratif du cerveau avec lésions dystrophiques très avancées. Le dernier travail
insensibles, allier des phénomènes moteurs, dont l'origine est une lésion anatomique, aux phénomènes moteurs qui ne sont
nt une grande place. {'anatomie pathologique n'existe pas et aucune lésion , cause d'un tic, n'a été démontrée de façon proba
z un spécia- liste pour les maladies de coeur, qui ne relève aucune lésion , et attribue tous les accidents à l'état gastri
, réflexes et volontaires. Ce fait plaiderait contre l'existence de lésions définies, ou bien encore on pourrait penser à u
Revue neurologique, mai 1902). E. B. XXXVII. Deux nouveaux cas de lésions limitées au bourrelet du corps calleux; par MM.
ure actuelle poser de conclusion affirmative sur la nature de cette lésion , les auteurs estiment pourtant que les connexio
que les connexions entre la destruction de l'écorce cérébrale et la lésion du corps calleux sont assez loin de la simplici
plique ces deux théories par le siège extra et intra-médullaire des lésions . Quant aux localisations motrices qui se prêtent
groupe radiculaire du plexus brachial; ils en concluent que « deux lésions très différentes de la corne antérieure (syringom
rvir de base au diagnostic de siège médullaire ou radiculaire de la lésion . » R. Cnaaon. XL. Anatomie des lacunes de désin
une association de ces deux syn- dromes et est en rapport avec des lésions pédonculaire et bulbo- protuberantielle coexist
Duphé. Malade de 53 ans, ancien grand buveur et fumeur, sans autre lésion saisissable que de la tuberculose loca- 474 SOC
et d'origine périphérique. MM. DÉ.1ER1NE ET M. Eggeu. - Deux cas de lésion de la couche optique, dont un confirmé par l'au
essairement moins accusée comme le montrent si bien nos deux cas de lésions thalamiques. F. Boissier. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE
nt seulement les cas où les idées obsédantes font l'essentiel de la lésion , présentant la manife-tation d'une constitution
prévalaient sur les femmes. La plus grande majo- rité des cas de la lésion donnée appartenait aux personnes s'occu- pant d
rencier les manifestations purement mentales des manifestations par lésions organiques. Des phénomènes tels que'l'exagérati
Richer qui place la contracture organique sous la dépendance d'une lésion du faisceau pyramidal et la con- tracture hysté
tractures entous points semblables à celles qui sont créées par des lésions encéphaliques ou médullaires. Jamais l'hystérie
ous prenons à dessein un exemple où les symp- tômes produits par la lésion médullaire ont un aspect d'exagération presque
pense qu'il s'agit d'un bruit vasculaire lié à l'exis- tence d'une lésion cérébrale. Ce phénomène pourrait être dû, dit l
rmie et vient à l'appui de 1 opinion des auteurs qui ont trouvé des lésions ner- veuses dans cette dernière affection. G. C
utres symptômes ; nystagmus, parole spasmodique, ou l'absence des lésions médullaires à l'autopsie. La diversité de ces cas
és. L'auteur crut pouvoir rattacher cette atrophie musculaire à une lésion d'origine musculaire des groupes cellu- laires
ique à longue évolution ( ? ) ; il tend à croire qu'il s'agit d'une lésion périphérique siégeant dans l'iris, quelque chos
dystro- phie donnée pouvait être congénitale, d'autant plus que la lésion du nerf périphérique n'est pas bien démontrée.
savantes. 549 Du trouble dissocié de la sensibilité cutanée dans la lésion du tronc cérébral. Dr G. Rossolysio. L'auteur
ent du côté du foyer ; d'admettre pour un tel symptôme complexus la lésion localisée de la moelle allongée dans la région
uble fonctionnel des voies pyramidales, mais il ne dépend pas de la lésion même des fibres pyramidales. Le siège du phénomèn
orteils n'est pas dans la moelle, car il ne se produit pas dans les lésions transverses de l'axe spinal. F. Boissier. BIBLI
t Danser, 455. Cécité et surihté verbales avec pa- raphasie par lésion droite du cer- v·eau, par .lolTroy, 203. Cell
action. V. maladies mentales. Corps calleux. Deux nouveaux cas de lésions limitées au bourrelet du-, par l'elmar et Skali
371. 1JL111pTR01'111E. De l' - faciale dans ses rapports avec les lésions du ganglion cervical inférieur, par liouveyro
Paralysie. 586 TABLE DES MATIÈRES. LAIIINECT0AItE. Voir Rachis. Lésions expérimentales. Voir Trans- mission. Liquide
rva- tions de d'angoisse, par Uar- tenber" 407, Noyau-rougi : . Lésion du- par Guil- main, 296. Nystaguus. Deux cas
L'état du fond de l'oeil chez les paralytiques gé- néraux Pt ses lésions anatomi- ques initiales et terminales, par Ké
ans la -, par P. Marie et. Guillain, 203. Syphilis. Traitement de lésions non syphilitiques, par Grasset, l0ïr. - médul
er la tête, par Scherb, 284. ' Transmission aux descendants des lésions expérimentales chez les ascendants, par 111alll
n. Voir Diplégie. Du - dissocié de la sensibilité cutanée dans la lésion du tronc cérébral, par Rossoluno, 519. 'I'ROI
67 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
résente un certain degré d'atrophie. Les vaisseaux pré- sentent des lésions accentuées. Un grand nombre des cellules pyra-
- cieuses, non qu'elles permettront de déterminer la nature d'une lésion cérébrale, abcès, tumeur, hémorragie, etc. ; mais
PATHOLOGIE NERVEUSE. tés très gênants dans l'oreille droite; pas de lésions de l'oreille moyenne. Syphilis cérébrale probab
sions fibrillaires indiquent REVUE pi PATHOLOGIE NERVEUSE. 51 une lésion aiguë du centre bulbaire de l'hypoglosse. On est
centre bulbaire de l'hypoglosse. On est donc obligé de croire à une lésion centrale ayant très fortement atteint les racin
glosse droit, de cause inconnue : l'auteur aban- donne l'idée de la lésion des noyaux de l'hypoglosse. P. KERAVAL. IX. LES
ation du système nerveux péri- phérique. Depuis, l'existence de ces lésions put être établie par Dumesnil et dès lors la vo
ses enveloppes; 3° le système nerveux périphérique. Ces différentes lésions peuvent être elles mêmes divisées en altération
. L'auteur estime que dans ce cas, on se trouve en présence d'une lésion corticale des deux lobes occipitaux ayant détermi
eux lobes occipitaux ayant détermini une hémianopsie double : cette lésion aurait été en rapport avec ses crises épileptif
ns le moment. Mais les antécédents connus, l'ab- sence de signes de lésions des centres nerveux l'ensemhle des symp- tômes
atteints d'une dégénérescence très fine, pointillée. En résumé la lésion dominante dans ce cas a été une polynévrite seg
inante dans ce cas a été une polynévrite segmentaire périaxile, les lésions des muscles u'ont été que secon- daires. G. 1)E
ET la face. Aggravation soudaine avec perte DE l'ouïe du côté DE la lésion ; par S. WEST. (It)'üil7, été et automne 1895.)
convulsée des nerfs crâniens moteurs, crises tétanoïdes. -Autopsie. Lésion des artères de la base et surtout delà cérébral
omboses disséminées des petits vaisseaux. 11 est à remarquer que la lésion 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE." des artères
- ver que, dans ce cas, la paralysie générale était compliquée de lésions médullaires étendues (paralysie vraie, atrophies,
du délire aigu, de le paralysie générale, de la démence sénile, des lésions cérébrales circonscrites, de l'idiotie, de la f
e Tambu- rini et Tripier, soit l'excitation expérimentale, soit les lésions , irritatives ou destructives, des centres corti
miner des réactions motrices et, inverse- ment, l'excitation ou les lésions des zones motrices, provoquer des troubles de l
OPTIQUK ET LA RÉGION SOUS- OPTIQUE AVEC CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LÉSIONS ACQUISES DU CERVEAU ET DU CERVELET; par le P Mo
faire que de repro- duire le dessin schématique de l'auteur. Les lésions corticales anciennes ou récentes amènent chez R
ui ont été plus ou moins profondé- ment atteintes à la suite de ces lésions . Le signe -j- indique une dégénérescence complè
ar- tie du noyau atteint; le trait horizontal signifie absence de lésions secondaires. Parmi les considérations générales
. Divers médecins portent des diagnostics différents, redoutant une lésion médullaire ou ccrébrospinale. Tous les médi- ca
es secondaires dans la substance blanche DE la MOELLE, par SUITE de lésions DE la QUEUE DE cheval; par L. 0. DARKSCIIE1VITS
a donc une relation de cause à effet entre cette alté- ration et la lésion de la queue de cheval. Les altérations des fibres
dégénérescence ascendante des fibres sensitives, dépendaient de la lésion de la queue de cheval. Ceci rap- pelle les alté
pelle les altérations des mêmes fibres radiculaires antérieures par lésion du sciatique chez les cobayes; altérations compar
ance grise, et qui subissent la dégénérescence descendante dans les lésions transverses du segment lombaire et dorsal donna
rs la cloison, composent le champ ovale. Voici deux observations de lésion transverse par compression entre la 4° et la 6°
par A. Marguliès. (Neurolog. Cei2ti-albl.,XV, 1896.) Observation de lésion isolée des racines postérieures ; figures. Il s
faisceaux du cordon latéral dans les pyramides du côté opposé à la lésion , et en même temps une faible dégénérescence du mê
temps une faible dégénérescence du même système du même côté que la lésion . On connaît les explications proposées par les
on rencontre la dégénérescence du système en question du côté de la lésion ; - 3° par quoi est produite cette dégénérescence.
nérescence du cordon latéral dans les pyramides du même côté que la lésion commence à l'entre- croisement des pyramides. C
ou désir d'une grossesse ; 2° la pseudo-grossesse dans laquelle une lésion primordiale, définie et connue, est le prétexte d
l'autre ; 3° il existe des cas, enfin, dans lesquels on ne note ni lésion physique ni incitation psychique, et qui se rap
ses, urticariennes, pemphigoïdes, eczématiformes, gangreneuses. Ces lésions paraissent relever toutes d'un même processus v
En clinique : 4° la localisation de l'infection (unilatéralité des lésions nerveuses périphériques et des lésions infectieus
infection (unilatéralité des lésions nerveuses périphériques et des lésions infectieuses; -croi- sement des lésions nerveus
veuses périphériques et des lésions infectieuses; -croi- sement des lésions nerveuses centrales et des lésions infectieuses;
infectieuses; -croi- sement des lésions nerveuses centrales et des lésions infectieuses; localisation systématique de l'in
ection du poumon. Mais cette infection est encore favorisée par les lésions des centres nerveux, comme l'hémorragie cérébra
ntres nerveux, comme l'hémorragie cérébrale, le ramollissement, les lésions bnlbaires, etc..., par cer- taines névroses, co
ûlures, etc.). L'auteur nous indique ensuite par quel mécanisme les lésions nerveuses livrent le système pulmonaire à l'inf
ympathique. Quant aux formes anatomiques auxquelles aboutissent les lésions , elles relèvent de l'espèce ou des espèces micr
psychose systématisée peut, cela est tout naturel, se compliquer de lésions cérébrales (hémorragie, ramollissement, etc.).
, c'est dans le côté correspondant que se développent plus tard les lésions en foyer. L'éréthisme plus marqué dans un hémis
'expression de M. Christian', tantôt une démence vraie avec ou sans lésion en foyer, la lésion pouvant ou non être en rapp
ristian', tantôt une démence vraie avec ou sans lésion en foyer, la lésion pouvant ou non être en rapport avec l'état path
et plus l'évolution de celui-ci est rapide. Chez les dégénérés la lésion anatomique semble plus étendue dès le début; l'
, rien de notable.- Pou- mon droit (295 grammes) ne présente aucune lésion . Poumon gauche (440 grammes), très forte conges
Les coupes pratiquées sur les masses centrales ne révèlent aucune lésion . (Pl. II, fig. 2.) Hémisphère droit. Les circon
e saurions nous prononcer. III. C'est à cinq ans que débutent les lésions qui ont eu pour conséquence : 1° l'i'diotie; 2°
ence : 1° l'i'diotie; 2° l'hémiplégie droite; 3° l'épilepsie. Les lésions , sur lesquelles nous reviendrons tout à l'heure,
contractées par le malade. 3° Huit années après l'apparition des lésions cérébrales encéphalite - qui s'était traduite c
qu'il s'agit là d'une forme assez rare de sclérose cérébrale. Comme lésions consécutives nous devons mentionner : 1° l'é- p
paississement du crâne notablement plus accusé à gauche côté de la lésion cérébrale,'qui contribuait, avec une grande quant
réagit à son tour sur la cellule. Mais en ce qui touche la folie la lésion de la cellule est la condition primitive : par
ient d'y avoir recours est hérissé de diffi- cultés. Il. Dans les lésions traumatiques récentes, lorsque des symp- tômes
en la considérant comme le premier pas dans le traitement local des lésions cérébro-médullaires; elle présente de grands av
ent de la totalité des cas, l'épilepsie a pour cause originelle une lésion de la tête. 2° Dans une proportion de cas beaucou
braux, avec atrophie cérébrale, sclérose ou kystes consécutifs à la lésion primitive. 3° Dans l'état actuel de la science
4° Dans le très petit nombre de cas recon- naissant pour cause une lésion de la tête, l'habitude convulsive est si puissa
cale, ce qui rend le procédé difficilement défen- dable. 7° Plus la lésion primitive est récente, plus les chances de succ
céré- brale et 2° hydrocéphalie compliquée de malformations ou de lésions telles que l'absence du corps calleux ou du cerve
t pour base l'hérédité névropathique; mais l'hérédité directe de la lésion est rare; Bourneville en a pourtant cité un cas
ons, et qu'il fait suivre de quelques remarques sur l'origine de la lésion . R. M. C. XXX. La folie DE l'amour, étude sur
une paralysie de la naissance (on sait que Gowers désigne ainsi les lésions du système nerveux qui se produisent au moment
d'une thrombose des veines cérébrales dans la première enfance. Une lésion aiguë des cornes doit également être mise hors
ont des exemples de symptômes mentaux et nerveux déterminés par des lésions traumatiques du cerveau ayant probablement donn
re avec dépression ayant été traitée avec succès, les symptômes des lésions en foyer font défaut, et il ne sub- siste que l
oyer font défaut, et il ne sub- siste que les effets généraux de la lésion cérébrale. Le second est surtout intéressant à
à rapprocher du premier : il présente les symptômes bien nets d'une lésion en foyer, avec confusion des idées et démence s
vulsives correspondent bien à ce que faisait prévoir le siège de la lésion ; mais ce qui est curieux c'est qu'il n'y ait ja
sseur de IIeildeberg. R. M. C. XXXIII. Etats mentaux associés DES lésions viscérales chez l'homme sain; par Henry HEAD. (
res que l'on peut appeler indirects parce qu'ils ne s'associent aux lésions viscérales que par l'intermediaire du système ner
fièvres, les intoxications, les blessures et les opérations, et les lésions cardiaques, et l'ordre de cette énuméra- tion p
nations de l'ouïe, telle qu'on l'observe dans la phtisie, dans les lésions cardiaques et après la fièvre typhoïde; 4° Il n
mentaux dis- paraissent dans la grande majorité des cas ; dans les lésions cardiaques et dans la phtisie ils peuvent alter
et reparaître de temps en temps ; mais dans quelques cas, dans les lésions du rein par exemple, ils ne disparaissent qu'avec
microscopique- ment, anomalies de structure cellulaire, sans aucune lésion de nature inflammatoire). Au point de vue éti
t le diagnostic dans le premier cas; dans le second, l'absence de lésions oculaires et la longueur de la survie trancheront
le prouve, c'est l'absence de toute rigidité muscu- laire, de toute lésion des muscles; c'est aussi la façon dont elle s'a
me avec l'aliénation, par Bannister et Aider Brumer; Eludes sur les lésions produites par l'action de quelques poisons sur
« constater une véritable anosmie tenant vraisemblablement « à une lésion tabétique des nerfs de l'olfaction. « Appareil
troubles qui nous occupent ne sont pas fatalement le résultat d'une lésion portant sur le nerf olfactif ou sur le glosso-
es décharges électriques; les sensations de flamme dérivant de la lésion du nerf optique se transforment en tourments impo
ement touchés dans certaines formes du tabes, c'est-à-dire que leur lésion s'accompagne spécialement d'un ensemble de symp
de la déglutition, avec parésie du voile du palais, répondant à la lésion du nerf facial et du nerf grand hypoglosse ;
une déperdition considérable des forces du malade et impliquant la lésion des nerfs dont la fonction est la sécrétion sal
paupières. Ces quatre groupes de symptômes relevaient tous de la lésion d'autres nerfs crâniens et démontraient le tabes
lades ne se plaignent pas en général. Anatomie pathologique. Les lésions qui commandent les symptômes précédents sont en
s précédents sont encore très obscures. Il semble cependant que les lésions sont en rapport avec ce qu'on observe dans les
ue les cordons postérieurs et les racines spinales présentaient des lésions classiques du tabes, cela pour établir avec cer
salivaires ont été trouvées énormes et congestionnées'. Les autres lésions étaient les suivantes : Nerf glosso-pha1'yngien
histologique de ces glandes a montré qu'il existe en pareil cas des lésions inflammatoires du parenchyme glandulaire. Voir Kl
le picro-carmin, la méthode de Weigert et celle de Pal, on voit les lésions suivantes dont les figures ci-jointes, faites a
rées avec altération très profonde de la myéline. Le maximum de ces lésions se trouve dans les racines qui vont du bulbe ol
aminés au microscope par les mêmes méthodes. Ils présentaient des lésions intenses, mais pas exactement semblables à celles
ais toutes les cellules du ganglion étaient loin de présenter cette lésion qui était disséminée sous forme d'îlots de cellul
indubitable. Les branches de ces nerfs étaient grêles, mais sans lésions dégénératives marquées. Le bulbe rachidien offr
sans lésions dégénératives marquées. Le bulbe rachidien offrait des lésions au niveau des noyaux grêles. Les cellules gangl
dèrent comme des centres olfactifs et gustatifs ? ), a mon- tré des lésions banales, mais accusées, d'atrophie et de dégé-
nerveux, surtout des tubes nerveux et des capillaires. Toutes ces lésions ont sans doute leur importance. Mais z es s
troubles de l'odorat et du goût chez les tabétiques ? Quelle est la lésion qui préside à ces symptômes ? Est-ce la seule a
monter du côté du bulbe et de l'encé- phale on trouvait encore des lésions . Il en est de même du ganglion de Gasser et de
le début.-Cette question revient donc à se demander où débutent les lésions du tabes. Sans insister sur ce point, il suffir
tion de nerfs différents suivant les cas, c'est-à-dire, soit par la lésion des nerfs de .la sensibilité spé- ciale (nerfs
UBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 279 sont en cause. Leur lésion est suffisante, sinon nécessaire. Ces nerfs son
es symptômes relèvent des nerfs de la sensibilité générale dont les lésions entraînent secondairement la perte ou la perver
multiples au cours du tahes. Ils reconnaissent pour cause soit une lésion des nerfs de la sensibilité spéciale,du glosso-
nsibilité spéciale,du glosso- pharyngien et de l'olfactif, soit une lésion des branches du tri- jumeau qui commandent la n
et la conserva- tion des fonctions cérébrales dans les cas de grave lésion de tel ou tel département encéphalique ». Ce
névraxe : elle protège le tissu nerveux contre toutes les causes de lésion pouvant provenir de l'ambiance. Sans la gaine d
s brachial des deux côtés; et ensuite la limitation précoce de la lésion permanente au nerf circonflexe droit et au nerf t
au nerf thoracique postérieur gauche. R. DE Musgrave CL\Y. XLIV. Lésions DES nerfs PÉRIPHÉRIQUES : CINQ observations ; par
radial, traitée par la suture secondaire. Le quatrième cas est une lésion du plexus brachial. La cinquième se rapporte à
ur rappelle les théories qui ont été invoquées pour expliquer cette lésion et constate qu'à l'heure actuelle les preuves p
réposées au même muscle ou au même groupe musculaire. Du côté de la lésion les réflexes pro- fonds sont exagérés, les supe
perficiels diminués ou absents. Dans les deux cas de l'auteur où la lésion siégeait à la région cervicale, il y avait du m
du myosis et de l'abolition du réflexe cilio- spinal du côté de la lésion ; les trois observations qu'il publie montrent
raissent avoir d'étroites relations : en effet, tandis que dans les lésions unilatérales de la moelle, les deux fonctions son
e s'entre- croisent pas dans la moelle, du moins au niveau même des lésions observées, puisque si, dans les lésions de la m
du moins au niveau même des lésions observées, puisque si, dans les lésions de la moelle, cette fonction est abolie, c'est
s les lésions de la moelle, cette fonction est abolie, c'est que la lésion est bilatérale. Parmi les cas où cette fonction
manière sérieuse, l'auteur n'en connaît aucun qui se rapporte à une lésion unilatérale; et, en réalité, devant l'absence d
enfants. Ces faits montrent la parenté de ces diverses formes de lésions héréditaires des voies motrices; paralysie spinal
pareils cas d'artério-sclérose peuvent aisément être pris pour des lésions chroniques progressives (tumeurs) ; les maux de
les maux de tête ne sont pas rares, non plus que les vomissements ( lésions du bulbe). Comme dans la plupart des cas de ce
thrombose. On ne range aujourd'hui dans les myélites que les cas de lésions médullaires plus ou moins primi- tives, transve
e croit au premier abord de démontrer la nature inflammatoire d'une lésion médullaire. On n'a pu le faire avec certitude q
te consécutive à l'anémie grave (sclérose systéma- tique combinée : lésions prédominantes des cordons latéraux et postérieu
s. De même les toxines du typhus, les toxalbumines du choléra- La lésion intéressait surtout les cordons postérieurs et la
de Weigert, la méthode de Golgi peut être utile pour l'étude des lésions de la névroglie ; il a pu mettre en évidence, dan
aux empoi- sonnés par des toxines bactériennes présentent les mêmes lésions , permettent d'admettre que dans le cas du malad
des autres couches de la même circonvolution. On ne trouve pas de lésions de ce genre dans les autres circon- volutions c
la circonvolution calcarine (couche des noyaux). Ln-OFF. XXVIII. Lésion du plexus brachial; par M. KORNILOFF. L'auteur
ts chromatophiles et vice versa. Dans le cas de tabes simple, ces lésions de la colonne de Clarke existent aussi, mais mo
moelles d'hémiplégiques ou dans celles qui ne présentaient pas de \ lésions grossières, les cellules de la colonne de Clarke
'homme tous les mouvements ne sont pas abolis au même degré par une lésion cérébrale et que le malade ne les recouvre pas
s régions de fibres qui dégé- nèrent de haut en bas dans les cas de lésions supérieures. Ceci permettait donc d'affirmer l'
teurs cités plus haut, il s'agit de dégénérescence à la suite d'une lésion importante intéressant un point élevé de la moell
e lésion importante intéressant un point élevé de la moelle, ici la lésion est plus voisine de la région lombaire. Il s'agit
riser l'examen par la méthode de Marchi. On trouva au-dessous de la lésion d'abord une dégénérescence totale des cordons a
che éclaire complè- tement la question en montrant à la suite d'une lésion cervicale d'une part la dégénérescence continue
al est susceptible de suppléer le centre du langage détruit par une lésion , à condition que cette lésion se produise len-
le centre du langage détruit par une lésion, à condition que cette lésion se produise len- tement. P. RELLAY. XLII. Sém
presque tous il existait dans l'encéphale, les reins, le coeur, des lésions vasculaires diffuses et en général de ces altér
eut quelquefois exercer une influence heureuse sur le décours de la lésion valvulaire. Cette observation concerne une dame
se souvenir aussi que l'on ne se trouve pas toujours en présence de lésions valvulaires, mais que les ano- malies ou les ir
manifestations motrices était de nature à faire penser plutôt à une lésion circonscrite qu'à une affection diffuse comme la
lérose multiple, sans penser à la paralysie générale. A l'autopsie, lésions habituelles de la méningo- encéphalite, atrophi
a plupart des auteurs se con- tentent de dire que l'on a trouvé les lésions typiques de la paralysie progressive. Quelques-
ix-neuf ans) à 1185 (homme de vingt ans). Alzheimer insiste sur les lésions des ganglions de la hase (dégénérescence). 9° F
OCIÉTÉS SAVANTES. 387 3° L'épilepsie corticale ou jacksonienne, par lésion en foyer des centres moteurs ou des faisceaux q
i sont les prodromes d'affec- tions cérébrales organiques (tumeurs, lésions vasculaires par allié- rome, syphilis; paralysi
mier plan : les troubles moteurs, qui pourraient faire penser à une lésion en foyer, ne se manifes- tent que peu de temps
ues. Chez les premiers malades où prédominent les manifestations de lésions en foyer, l'examen ophtalmoscopique, répété fré
pour l'étude des altérations des éléments nerveux. Il a examiné les lésions du système nerveux produites chez le chien par
d'éléments normaux à côté d'éléments très altérés; 3° dé- but de la lésion au niveau de l'origine du cylindre-axe. Comme d
tinguent des apoplexies avec hémiplégie habituelle- ment observées ( lésions de la capsule interne), que par la localisa- ti
s rendent compte de la fréquence des récidives des hémorragies. Les lésions des vaisseaux ne sont pas aussi généralisées et
beinner. Les résultats de l'autopsie, sont faciles à distinguer des lésions de la paralysie générale et de la démence sénil
s foyers hémorragiques, mais l'artériosclérose n'est alors qu'une lésion accessoire. Au point de vue du diagnostic diffé
e modification de la substance chromatophile. La répa- ration de la lésion n'est possible que losrque le noyau de la cellule
cles, la diminution rapide de leur électro-sensibilité l'absence de lésions des troncs nerveux et la polyurie du début de l
ste sujet, vient d'étudier les localisations, sur l'axe spinal, des lésions de la syphilis héréditaire. Rappelant les observa
ées à l'hérédo-syphilis semble s'affir- mer, cette connaissance des lésions spinales spécifiques ayant évolué pendant la vi
volué pendant la vie intrautérine n'est pas sans intérêt, ces mêmes lésions expliquent suivant le point où elles prédominent
ale n'avait pas joué un rôle déterminant. C'est la réalité de ces lésions que M. Gasne s'est attaché à dé- montrer ; les
re suggestives, le résultat des recherches de l'auteur à propos des lésions congénitales ne saurait laisser de doute : ayant
és, issus de parents syphiliti- ques, quatre fois il a constaté des lésions destructives grossières, visibles en quelque so
grossières, visibles en quelque sorte à l'oeil nu, et sept fois des lésions indé- niables de filtration nucléaire et d'alté
de filtration nucléaire et d'altération vasculaire. La na- ture des lésions les rapproche absolument de celles qu'on constate
a communication récente de M. Déjerine démontrant l'existence d'une lésion médullaire isolée dans certains cas de maladie de
ritation et la transmettant au centre réflexe. Il faut en somme une lésion irrita- tive, agissant sur un organisme prédisp
e Calmeil n'avait pas varié en 18592 : « Il arrive un moment où les lésions ne comportent plus que des mou- vements singuli
par suite d'un continuel fro'ttement sur ses draps. Chez tous, ces lésions ont disparu en quelques jours sous l'influence
ander s'ils ne sont pas sous la dépendance de quelque complication ( lésions de la moelle ou des nerfs périphériques). Quant
ptômes spasmodi- ques. S'il est vrai que ces symptômes dépendent de lésions médullaires ', on pourrait caractériser cliniqu
ui ont accompagné la naissance de cet enfant, c'est aux pro- fondes lésions cérébrales engendrées durant les derniers mois
se double, la chorée spasmodique et l'idiotie ; groupe résultant de lésions si diverses et de locali- sation si capricieuse
s de paralysie ascendante aiguë, principalement au point de vue des lésions ana- tomiques ; 2° de rechercher, d'après les c
ultérieurs en ce que les symptômes cliniques sont imputables à des lésions très étendues, intéressant tout l'axe cérébro-s
ce grise du cerveau et delamoelle, etsur les cornes antérieures. La lésion avait les caractères d'une inflammation, exsudati
ration des autres éléments de tissu. Le caractère peu accusé de ces lésions dans la région sacrée explique l'intégrité des
uelle l'agent toxique affecte principalement le système nerveux. La lésion siège le plus ordinairement dans la moelle mais o
structure avec ou sans dégénérescence des racines antérieures. Les lésions que l'on rencontre dans les autres parties de l
rébro-spinal sont de même nature. La possibilité de la présence des lésions caractéristiques de la paralysie de Landry dans
d'un cas unique, publié il y;a vingt ans par Déjprine : lorsque la lésion inté- resse les nerfs périphériques, on constat
que les cas où l'autopsie a été négative ne présentaient pas les lésions vasculaires bien accentuées de la poliomyélite an
inguer, à l'aide des seuls phénomènes cliniques les divers types de lésions . R. DE Musgrave-Clay. LV. UN cas d'aphasie amné
ue de supposer, comme dans cette dernière mala- die, l'existence de lésions des cornes antérieures. R. DE l\IUSGRAVE-CLAY.
espérer de la guérison, quelle que soit la gravité apparente, d'une lésion cérébrale. R. M.-C. ' ' REVUE DE PATHOLOGIE NER
ue son âge. Coeur volumineux, deuxième bruit accentué ; mais pas de lésion cardiaque. Pouls de fréquence et de rythme norm
rmale sans sucre ni albumine. A l'examen ophtalmoscopique, pas de lésion . Céphalalgie oc- cipitale sourde, sans exacerba
ussi bien d'ailleurs que toutes celles qui sont nécessitées par des lésions consécutives aux affections de l'oreille, soit
et des muscles de la face. Il ne parait y avoir évidem- ment aucune lésion importante del'écorce, mais plutôt une altéra-
riphérique de la moelle entière; dans l'intumescence cervicale, les lésions étaient d'une gravité remarquable, toute la par
rès le durcissement de la moelle épinière, le microscope décèle des lésions myélitiques assez graves et d'une forme très si
en bonne concordance avec l'expérience géné- rale, à savoir que les lésions de la substance grise ont pour consé- quence co
sensibilité cutanée (syringo- myélie, hématomyélie), pourvu que la lésion ne soit pas limitée aux cornes antérieures, et
urs les plus puissants de la neurasthénie. Les cas accompagnant des lésions traumatiques, de même que les cas dépendant do
cule. Les portions latérales n'étaient pas envahies. Toutefois, la lésion s'étendait davantage du côté gauche que du droit.
ce qui leur était dit. Ces symptômes sont souvent associés avec la lésion de la première circonvolution temporale gauche
e faite, c'est en effet sur cetle circonvolution que fut trouvée la lésion . Dans un des cas, notamment, il existait deux tac
t cervical sont plus souvent atteints que sa portion dorsale. Si la lésion est limitée aux cornes anté- rieures, on observ
e la paralysie motrice et de l'atrophie muscu- laire, tandis que la lésion des cornes postérieures produit des troubles se
rice, atrophie musculaire, anesthésies diverses se rattachent à des lésions bien localisées, tandis que d'autres symp- tôme
, contractions spasmodiques, troubles réflexes, se rattachent à des lésions plus étendues ou à des formes combinées. 476
se, la paralysie est d'ordinaire complète au-dessous du siège de la lésion . L'atrophie musculaire accompagne la paralysie
n. L'atrophie musculaire accompagne la paralysie motrice quand la lésion siège dans la substance grise. Les troubles senit
bstance grise. Les troubles senitifs varient suivant le siège de la lésion (tabès, syringomyélie). Les douleurs sont surto
aciles à différencier. Dans le tabès, ces désordres résultent d'une lésion des cordons postérieurs interceptant le cours des
érose latérale amyotrophique, la démarche spasmodique résulte d'une lésion bien différente intéressant les cordons moteurs
st d'un précieux secours. L'absence du réflexe rotulien indique une lésion des cornes postérieures (tabès). ou des cornes
ais ils peuvent aussi s'observer dans des névrites indépendantes de lésions médullaires. L'auteur résume ensuite dans un ta
la fin du mois d'août phénomènes paraplégiques correspondant à une lésion dont le siège serait à la limite de la moelle d
le lombaire. Pendant un temps très court quel- ques symptômes d'une lésion unilatérale. Paralysie totale de la vessie et d
MM. ÂLEXANDMFF et Mm·on. Intervention chirurgicale dans deux cas de lésion de la moclle épinière et du cerveau chez des enfa
riété des convulsions par le degré et non par la localisation de la lésion de l'écorce cérébrale. M. Ryi3,rorp. De la narc
coleptique, qui accompagne quelquefois l'hystérie, l'épilepsie, les lésions car- diaques et les lésions du foie. ' La nar
uelquefois l'hystérie, l'épilepsie, les lésions car- diaques et les lésions du foie. ' La narcolepsie, d'après l'avis du ra
leptique existait depuis dix-huit ans et accompagnait toujours une lésion optique, et quand le malade s'en débarrassa la na
de la substance cérébrale autour de ces derniers indiqua que cette lésion dépendait d'une infection par une espèce de stl
ue du tabes médullaire soulève un double problème : topographie des lésions d'une part; caractères histologiques du process
an ouvre la troisième période, en admettant l'origiue primitive des lésions des racines postérieures; cette formule radicul
remier problème anatomo-patholo- gique, celui de la topographie des lésions médullaires du tabès. La première partie de son
des cordons postérieurs. Puis, l'auteur passe à la topographie des lésions médullaires tabétiques. Il a pn étudier les cou
des fibres longues lombo- sacrées, peut aussi être produite par une lésion primitive, toute locale, au cours d'un tabès ce
ans participation de la cellule originelle. 493 BIBLIOGRAPHIE. La lésion est, avant tout, une lésion primitive, quelle que
ule originelle. 493 BIBLIOGRAPHIE. La lésion est, avant tout, une lésion primitive, quelle que soit la zone atteinte, en
, 23L Bibliographie, 69, 15.'t, ? 53, =e17, 490. BRACIIIIL. Les lésions du plexus , par Korlinoff, 357. BHO\CIIO-PULI
Lèpre. Influence des maladies aiguës sur la -, par Todd, 52. * Lésions . Etats mentaux associés à des - viscérales, par
Hel'toghe et Masoin, 472. Narcolepsie, par n ybakoff, 184. Nerfs. Lésions des - périphériques, par Williams, 328. Nerve
u du cerveau, par Ablecoff, 61. Syringomyélie consécutive à une lésion de la moelle par Alexan- droff et Minor, 481.
68 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ent soutenable mais il ne nous semble pas nécessaire d'invoquer une lésion du système nerveux périphérique pour expliquer
ès épileptiformes, etc.Enfin Klippel et Durante ont insisté sur les lésions vaso-paralytiques des viscères, et il n'est pas
re du gros orteil et la flexion plantaire du pied. Dans cinq cas de lésion cérébrale organique, Schaefer (Neurol. Ctrbl. 1
ien son antagoniste. Dans un cas de coma profond, où aucun signe de lésion locale ne pouvait être décelé, S. diagnostiqua
cale ne pouvait être décelé, S. diagnostiqua grâce à ce réflexe une lésion en foyer qui fut ensuite vérifiée. L. retrouv
ouva ce symptôme chez 7 hémiplégiques et chez 3 pa- raplégiques par lésion spinale en voie d'amélioration, mais il pense q
thologique du dos du pied serait donc plus,fréquent dans les cas de lésion de la moelle; dans les paraparésies, il serait,
urait une certaine valeur dans les cas où se pose la question d'une lésion du faisceau pyramidal malgré l'absence du signe
e en revue plusieurs cas d'hémiplégie capsulaire ou cor- ticale, de lésions pontiques, de « paralysie progressive » de l'enfa
ées dues à des troubles circulatoires de la subsance grise ou à des lésions opératoires de la périphérie de la substance blan
rieures ne sont qu'à peine altérées, on ne peut donc in- voquer une lésion secondaire de ces racines et de leurs cellules
mmencent régulièrement par le même groupe musculaire parétique ; la lésion en foyer met tout d'abord un centre en acti- vi
tous les autres. Dans certaines attaques, l'excitation partie de la lésion trouvait, dans son cheminement dans le cortex, ce
ment par compression jointe à la réaction des parois du crâne : une lésion dans la substance blanche, excitant l'écorce pa
V, 16. p. 748 à 753, 16 août 1906.) , Homme de 75 ans, nombreuses lésions viscérales, profond affai- blissement intellect
belleux droit. Il décrit, d'une façon peut être un peu confuse, les lésions histologiques et leur topographie ; nombreux fo
imentale est beaucoup plus aigu ; elle est aussi dans la nature des lésions ganglionnaires décrites dans le 'tabes ; dans l
ux, et ensuite un état de stase ou d'anémie cérébrale résultant des lésions artérielles. Dans plusieurs cas où M. Turner a
it (peut-être due à un anévrysme concomitant de l'aorte, ou à une lésion du noyau spinal du XI ou du noyau ambigu du X (Wa
du noyau ambigu du X (Wallen- berg). Localisation probable de la lésion . Moitié gauche du bulbe : dis- soc. croisée av
tte, l'A. lui- même en 1890, Rossolimo, avaient déjà rattachés à la lésion de ces fibres. Dans 8 cas antérieurs semblabl
e coïncidait avec une dis- sociation croisée de la sensibilité ; la lésion était donc toujours très limitée. De plus, comm
a moelle cervicale. L'A. discute encore la pathogénie du nystagmus ( lésion du no- yau de Deiters) ; des troubles du goût,
légère déviation de la langue à droite. A l'autopsie pas d'autre lésion des centres nerveux que sclérose de la corne d'
semble pas devoir éclairer beau- coup le problème, attendu que des lésions que l'on considérait au- trefois comme caractér
s'accompagnant de myosis et de fièvre, il y a lieu de songer à une lésion mésocéphalique. F. TISSOT. XI. Poliomyélite dif
investigation biopsique. F. TISSOT XIII. Un cas d'acromégalie avec lésion de l'hypophyse et de la selle turcique ; par GA
facile des toxines ; cette absence, bien constatée par Klippel, de lésions vasculaires dans la démence précoce explique la
Séance du 27 mai 1907. Présidence de M. DENY. Surdité complète par lésion bilatérale des lobes temporaux. Troubles aphasi
e de ramollissement cérébral et vraisemblablement attribuable à des lésions bilatéra- les des lobes temporaux ; 2° surdité
é corticale ; 3° cécité psychique des mots. Déficit intellectuel, lésion de la région de Weernicke, lésions pro- ductric
e des mots. Déficit intellectuel, lésion de la région de Weernicke, lésions pro- ductrices d'anesthésie : tout est réuni ic
convolution pariétale ascendante n'est pas mo- trice. L'étude des lésions corticales dans la sclérose latérale amyo- trop
.et la cap- sule. Dans les trois cas, l'étude de la topographie des lésions corticales (des fibres et des cellules) montre
spect tout à fait normal des fibres, par la méthode de Pal ; pas de lésion cellulaire ; présence de quel- ques très rares
ormule urinaire de l'hys- térie,mais le microscope peut déceler des lésions organiques qui resteraient facilement latentes
M. L. Marchand et M. Olivier. A côté des hyper- thermies dues à des lésions du système nerveux, il y a lieu de décrire des
ment aux hyperther- mies, qui sont généralement en rapport avec des lésions ai- guës encéphaliques, les hypothermies sont e
ai- guës encéphaliques, les hypothermies sont en rapport avec des lésions cérébrales à évolution lente, et sont un signe
L'examen des urines n'a décelé ni sucre, ni albumine. A l'autopsie, lésions classiques de la paralysie gé- nérale. Pas de l
A l'autopsie, lésions classiques de la paralysie gé- nérale. Pas de lésions du foie, de la rate et des reins. 2° Obs. : Déb
sser pro- gressivement à 28°5 au moment de la mort. A l'autopsie, lésions de méningo-encéphalite diffuse subaiguë. Pas de
autopsie, lésions de méningo-encéphalite diffuse subaiguë. Pas de lésions microscopiques des reins et du foie. 3° Obs. :
tex ; athéro- matie cérébrale et nombreux foyers lacunaires. Pas de lésions microscopiques du foie, des reins, de la rate.
artient au groupe des formes vasculaires de la lues cerebralis. Ses lésions sont diffuses et d'intensité variable ; elles s
fonctions supérieures (l'intellect, etc.) sont très réduites. Les lésions anatomiques sont : a) macroscopiques : Leptu- m
ion des notions de la person- nalité, de l'orientation, etc. 6. Les lésions vasculaires inflam- matoires oblitérantes des a
nous n'avons jamais observé d'accidents nerveux im- putables à des lésions médullaires ou cérébrales. Quand l'ani- mal suc
ans sa symptoma- tologie ne peut être uniquement conditionné par la lésion des cordons postérieurs ou par celle des nerfs
homas. L'anatomie pathologique peut nous expli- quer par les seules lésions du système nerveux la symptoma- tologie si vari
tendre à voir des résurrections dans les cas avancés, alors que les lésions destructives sont nombreuses et indélébiles, ma
re de la vie intra-utérine. Les coupes sériées montrent les mêmes lésions que dans les agénésies ordinaires. Les régions
table et aucun signe ne permettait de rapporter l'affection à une lésion cérébrale médullaire ou névritique. Tubes ataxo
on cérébrale médullaire ou névritique. Tubes ataxo-spasmodique sans lésions des cordons latéraux ; ta- bes dorsalis avec fa
dans les régions dorsale et lombaire supérieure, était le siège de lésions vasculaires dis- séminées. Ce malade qui a eu a
début de son tabès une syphilide tertiaire a dû, par le fait de ses lésions vasculaires. subir une dystrophie médullaire do
é- sent, peuvent avoir parfois une plus grande importance que les lésions radiculaires. " z Nouvelles recherches sur l'hi
ramifications collatérales pouvant se ramifier à eur tour en Y. Les lésions dégénérati- ves consistent dans la présence de
l'accumulation de substances in- terfibrillaires e1 dans l'axolyse lésions qu'on rencontre égale- ment dans le bout périph
statations ana- tomo-pathologiques. Dans la paralysie générale, les lésions du système nerveux s'y schématisent et s'y écla
rs, enfin l'ataxie des oculo-moteurs sans ataxie locomotrice. Les lésions radiculo-ganglionnaires du zona. M. André Thoma
la 3e paire droite avec parésie dissociée de la 3e paire gau- che ; lésion vraisemblablement unique intéressant la 3° paire
gauche. Le tremblement est-il ici de l'asynergie cérébelleuse, par lésion du pé- doncule ? En tout cas l'affection est pr
ie alterne associée à un syndrome spasmodique dû probablement à une lésion du faisceau géniculé. MM. H. CLAUSE et LEJONNE
rétine ; M. Déjérine a vu cette réaction très nette dans un cas de lésion calcarine. Anatomie pathologique de l'hystérie.
ie pathologique de l'hystérie. M. CLAUDE a trouvé dans deux cas des lésions d'épaississement méningé et d'atrophie médullai
uer les proli- férations névrogliques (gliomes) ou consécutives aux lésions en foyer. Les auteurs qui ont tenté d'élucider
. 1 .. Aucune hérédité. Pas de passé pathologique connu, sauf des lésions tuberculeuses du 2e degré aux sommets des pou-
visions terribles, sont la cause d'actes impulsifs, inconscients, LÉSIONS ANATOMIQUES ATTRIBUEES A LA DEMENCE PRÉCOCE. 185
rage par leur apparition soudaine et imprévue. REVUE CRITIQUE Des lésions anatomiques attribuées à la démence précoce ;
recherches anatomiques . Celles-ci ont eu pour objet de trouver des lésions dont la constatation pût confirmer l'existence
téressant.dans un travail d'ensemble, de résumer et de comparer les lésions décrites par les auteurs dans les cas intitulés
Leroy. Dénient précoce, mort phti- sique avec stéatose hépatique et lésions cellulaires toxique de l'écorce cérébrale. Bull
(16) William Rush DuKTOx. American Journal o/ Insall/til 1903.) , LÉSIONS ANATOMIQUES ATTRIBUÉES A LA DÉMENCE PRÉCOCE. 187
tre travail d'Alz- heimer(14). Il est question dans ces ouvrages de lésions trouvées principalement dans les cas de cataton
CRITIQUE. des termes d'une communication d'Alzheimer (1) sur les lésions anatomiques trouvées dans des cas de délire aig
pu nous procurer l'examen détaillé. Avant d'entrer dans l'étude de lésions proposées comme substratum anatomique de la dém
her de remarquer le peu d'importance attachée par les auteurs aux lésions pouvant dépendre de l'affection intercurrente a
ire la part d'une affection secondaire qui n'a rien à voir avec les lésions démentielles. D'après le résumé clinique des ob
(5) Kahlbaum. - Gmppirllng der pscl(ischen liranlcheilert 1863. \ LÉSIONS ANATOMIQUES ATTRIBUÉES A LA DÉMENCE PRÉCOCE. 189
pathologiques (1). C'est ainsi que Victor Parant'fils comparant les lésions du cas de Dunton avec celles décrites par Alzhe
ucoup étaient neuronophagées. Or cette femme mourut phtisique ; les lésions cellulaires sont généralement de cet ordre, ell
égénérescence grais- seuse massive du foie, permet de rattacher les lésions cellulaiies à un processus toxique lié à l'insu
re soit exactement la moitié. Si l'on envisage d'autre part que les lésions décrites par les auteurs sont principalement de
lusions absolument précises en ce qui con- cerne la comparaison des lésions par régions. Ce sont les zones de projection et
gie pathologique de Cornil et Hau- vier tome II. (2) L. marchands Lésions des neuro/ibrillcs des cellules p ! Jl"lIllll-
ttalcs.(Socitlé de Biologie, 22 octobre 1904 et Congrès de 1906.) LÉSIONS ANATOMIQUES ATTRIBUÉES A LA DÉMENCE PRÉCOCE. 191
Si laissant de côté les restrictions précédentes,on envi- sage les lésions nerveuses rapportées dans les différents travau
« démence précoce », on constate qu'il a été rencontré d'abord des lésions extra-cérébrales. Ellespor- tent le plus souven
rations congénitales plus qu'à une encéphalopathie ac- quise. Les lésions les plus importantes portent sur les mé- ninges
x. Dans leurs cas, Laignel-Lavastine et Leroy n'ont trouvé aucune lésion inflammatoire, aucune réaction méningée,ni conj
alté- rations de neuronophagie. D'après Klippel et Lhermitte, les lésions se localise- raient sur les centres d'associati
intacts. Il y aurait absence de réaction méningée, absence de toute lésion vasculaire : on ne trouverait pas de réaction d
iologiques suivantes : Nissl est amené par la présence constante de lésions cel- LÉSIONS ANATOMIQUES ATTRIBUÉES A LA DÉMENC
antes : Nissl est amené par la présence constante de lésions cel- LÉSIONS ANATOMIQUES ATTRIBUÉES A LA DÉMENCE PRECOCE. 193
un fondement anato- mique ; il consiste en phénomènes de gliose, en lésions des vaisseaux sanguins et lymphatiques, en acti
nombre d'inflammations, ou de dégéné- rescences du cerveau, où les lésions portent sur l'ensem- ble des tissus de l'organe
les lésions portent sur l'ensem- ble des tissus de l'organe. Cette lésion élective du neu- rone appartiendrait exclusivem
ne et de la névroglie (tissu neuro-épithélial), on trouverait des lésions des éléments vasculo-conjonctifs (leucocytes, e
logique. Klippel et Lhermitte interprètent de la façon suivante les lésions trouvées par eux aux autopsies, cette interprét
or- respondant à l'ordre chronologique de leur développe- ment.10 Lésions préalables inconstantes, d'origine congé- nital
hie du neurone avec évolution granulo-pigmentaire antici- pée. 3° Lésions consécutives ; arrêt de croissance portant sur
s degrés divers, sur l'organisme tout entier. Il y aurait enfin des lésions relevant de la maladie intercurrente. Pour La
1907, t. II. 13 194 REVUE CRITIQUE veaux de déments précoces, les lésions sont souvent com- parables entre elles s'ils en
es s'ils en jugent par leurs deux cas examinés. Ils pensent que ces lésions sont de même or- dise, et si elles ont été moin
degré. De même, ils tiennent, avec raison, un grand compte d'autres lésions dégénératives, en particulier du foie, et ont t
avec la démence précoce. Doutrebènte et Marchand insistent sur la lésion mé- ningée qu'ils ont trouvée dans le cas publi
dans le cas publié par eux, et ils discutent les rapports de cette lésion avec la démence. Les caractères histologiques d
épaississements ménin- gés montrent que l'on est en présence d'une lésion ar- rêtée dans son évolution ; malgré les quelq
natomo-pa- thologique existe à la période confirmée de la démence LÉSIONS ANATOMIQUES ATTRIBUÉES A LA DÉMENCE PRECOCE. 195
Mais Doutrebente et Marchand expliquent de la façon suivante les lésions méningées trouvées par eux et cette absence ord
confusion mentale guérissent avec intégrité de l'intelligencè, les lésions n'ont pas été suffi- samment prononcées ou n'on
conclure que le syndrome démence précoce re- lève de deux ordres de lésions bien distinctes : des lé- sions portant sur les
s portant sur les méninges et les différents tissus du cortex ; des lésions exclusives des cellules pyramidales. Il y aurai
en pathologie nerveuse notam- ment des maladies dégénératives avec lésions facilement visibles, mais dont l'explication no
avard, paraplégique et jargonaphasique.A l'autopsie on trouva une lésion temporale double ; à gauche l'insula ainsi que l'
INS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 209 nerveux, indépendante de toute lésion saisissable et souvent rebelle à tout traitemen
zona et peut être attribué à un phénomène de vaso-dilata- tion par lésion des filets sympathiques. Ataxie oculo-motrice d
du coeur, à propos des troubles vaso-moteurs et en particulier des lésions cuta- nées comme du pemphigus.Vous savez que be
mie pathologique qui veut toujours voir sous son microscope quelque lésion . On oublie trop qu'à côté de l'anatomie patholo
aura des vertiges pendant la marche et à l'arrêt de l'appareil. La lésion bilatérale de la Ville paire explique comment i
pas la notion du sens de l'espace se noient lorsqu'ils plongent. La lésion unilatérale du nerf vestibulaire se compense à
ulaires d'Ewald ; on conçoit qu'il ne saurait en être de même si la lésion est bilatérale. L. WAIIL. XXI. - Sur un cas d
accidents qui furent essentiellement fugaces. Au point de vue des lésions anatomiques les auteurs pensent qu'il s'agit en
ions anatomiques les auteurs pensent qu'il s'agit en l'espèce d'une lésion atteignant la presque totalité des systèmes méd
des cornes antérieures. Quant au diagnostic du siège en hauteur des lésions on ne peut guè- re en fixer que la limite supér
niveau du deu- xième segment dorsal de la mo lle. La nature de la lésion , d'après les rares autopsies faites dans ces ca
ermettrait de la réunir aux atrophies musculaires secondaires à des lésions médullaires ou névritiques, de telle sorte que
aire, un brightique. Ainsi s'explique l'hémorrhagio cérébrale et la lésion mitrale y est tout à fait étran- gère. G. C.
donnant issue à du pus mal lié. L'examen sans anesthésie révéla une lésion osseuse inattendue, les t"ajets fistuleux condu
les mêmes signes somatiques. Nouvelle interven- tion partant de la lésion reconnue et remontant le long du canal rachidie
sont sains. Du côté du système nerveux on ne trouve aucun signe de lésion organique, quant aux troubles de la nature hystér
que ces parties du système nerveux n'aient pas été conservées. Ces lésions facilitèrent sans doute la produc- tion des esc
noyau du IV est en rapport étroit avec le III ; ils constatèrent la lésion des deux noyaux du IV dans des cas de paralysie
dinger-Westphal'schen Kerne Que deviennent les noyaux moteurs après lésion des n. pér., et sur le rôle des noyaux d'E. W.
e complète des cellu- les du même côté ; dans la partie inférieure, lésion plus accusée dans le territoire dorsal du noyau
qu'il y ait eu ou non, simultanément, ophthalmoplégie extérieure et lésion des au- tres noyaux oculomoteuis. B. conclut
olue (perte de la réaction à la convergence). La localisation de la lésion productrice de l'imm. réfl. dans la substance g
mpagnée de myosis, celui-ci ren- drait vraisemblable l'existence de lésions de la moelle cervicale et d'un faisceau allant
ch est tout hypothéti- que. La cause est donc vraisemblablement une lésion du cerveau postérieur, ou bien un trouble de l'
- ment admis. B.a vu souvent manquer,dans la pégé avec Argyll, la lésion que plusieurs auteurs (Reichardt, Gaupp et Wolff)
fréquente, aux périodes avancées de la pégé de l'im'm. réfl. et des lésions des cordons posté- rieurs et l'on sait que dans
x de quatre déments préco- ces a permis à l'auteur de constater des lésions de tous les éléments constitutifs de l'écorce c
ions de tous les éléments constitutifs de l'écorce cérébrale. Les lésions les plus accentuées occupent la courbe la plus pr
ales, les cellules de Betz et les cellules polymorphes. Ce sont des lésions chroniques de Nissl avec atrophie et déformatio
des cellules satellites que l'on rencontre dans ces régions. Ces lésions cellulaires, qui sont vraisemblablement d'origine
veux d'une malade atteinte de paraplégie spastique progressive ;les lésions sont limitées àla moelle. Injections arachnoï
qui avaient été traumatisés dans sa jeunesse. Monoplégie crurale. Lésion cérébrale congénitale. .)I.LONG lit le procès-v
ites par lui;dans un cas de monoplégie crurale, il s'agissait d'une lésion typique du lobule paracentral et des parties su
olutions frontale et pariétale ascendante ; dans l'autre, c'est une lésion de l'hémisphère droit, produite dans la vie inf
logiques. Malformations congénitales ; syringomyélie congénitale ou lésions diffuses du système nerveux. Il. DUFOUR prése
dans le pli interfessier, nous découvrons sur la fesse gauche deux lésions exactement con- tiguës : l'une est une plaque d
r de gangrène humide.Nous cher- châmes inutilement à cette dernière lésion une origine syphilitique. De plus.selon toute v
lcération, la plaque de gangrène sèche, l'ecchymose fessière et les lésions calcanéennes de- vaient être contemporaines et
Un fait digne de remarque est l'indifférence de la malade pour ses lésions . Elle marche, enlève et remet ses bas sans paraît
es hypochondriaques.Ces sensations nous montrent d'ailleurs que les lésions ont eu sûrement leur origine dans le cours de la
commun, à savoir l'instabilité des synthèses élé- dentaires. Cette lésion du mécanisme mental doit avoil joué un rôle pri
e, comme aujourd'hui dans son décours. Etudier de plus près cette lésion et ses effets nous entraînerait à comparer, au
nous contenterons de rappeler que, pour les uns, elle est due à une lésion d'ailleurs inconnue du systè- me nerveux, tandi
ie dans laquelle l'examen histologique des muscles démon- trait une lésion très profonde des fibres striées et dans ce cas o
nfants, l'autopsie permit de faire les mêmes constatations : pas de lésions macroscopiques ; lésions microscopi- ques compl
de faire les mêmes constatations : pas de lésions macroscopiques ; lésions microscopi- ques complexes, intéressant les fib
: hémiatrophie du cerveau et du crâne. Mêmes expériences mais avec lésion bilatérale : atrophie des deux hémisphères et mi-
alie ventriculaire. Chiens et chats d'un mois : les mêmes séries de lésion n'entraînè- rent que des résultats bien moins m
ergence ou réaction à l'accom- modation d'un seul côté, indique une lésion du M. 0. C., seul nerf que parcourt alors l'exc
te que les méthodes « qui permettent de distinguer facile- ment les lésions de la P. G. de celles de la démence sénile, l'art
chiatrie à débrouiller le chaos des formes observées. Les quelques lésions notées dans les psychoses dites fonctionnel- le
laufs bei Erkrankung des Stirnhirns. (Trouble des mouvements par lésion du lobe frontal) ; par HARTMANN, de Graz. (Ctrbl.
chi., XXIX, f. 218, p. 585 à 593, 1er août 1906.) S.rappelle que la lésion du tabes est bien moins systématisée qu'on le c
té- rieurs secondaire à la compression. · S. remarque que la même lésion se retrouve dans la P. G., no- tamment dans le
tamment dans le cortex que rien ne permet encore de distinguer des lésions purement dégénératives des éléments nerveux de le
inflammatoire ; qu'il est enfin impossible de préciser la part des lésions qu'il constata dans la pio- duction de la dégén
XXVII. - Ueber Hemiplegie bei intakter Pyramidenbahn. Sur l'h. sans lésion de la voie pyr. par SPIELMEYER,de Fribourg-en-
onsidère comme l'origine de ses fibres. L'hémiplégie relève donc de lésions siégeant au-delà des cellules de projection. (3
é de la glande, (Observation I), ou bien elle est associée avec des lésions dégénératives de la glande dont l'état des cell
u'il soit possible cependant de déterminer dans quelles mesures les lésions constatées sont responsables des phéno- mènes h
probable que souvent les accidents hystériques se greffent sur des lésions organiques plus ou moins accusées et trouvent d
t avoir une importance pour le diagnostic parce qu'elle indique une lésion organique ; mais la présence de ce phénomène réfl
présence de ce phénomène réflexe n'exclut pas la possibilité d'une lésion médullaire. F. TISSOT. Asile d'Aliénés DE RODEZ
ment envahies par la tuberculose ; sou- vent la moelle présente des lésions d'oedèmo qui peuvent aboutir en foyers de nécro
rveuses ; leur siège n'est pas toujours en rapport avec celui de la lésion ; puis surviennent los signes de compression ra
de compression radiculo-médullaire, qui recon- naît pour cause des lésions des racines et des cordons postérieurs. Le sign
hidien qui, mesurée au manomètre, peut atteindre 40 cent. d'eau. La lésion primitive, uniquement mécanique, siège au nivea
(« zone fragile » de Na- geotte). Secondairement se produisent des lésions parenchyma- teuses (désintégration granuleuse,
es réserves sur la préexistence de la psychopathie originelle et de lésions organiques. Ch. Bu z XXXVIL-Des principaux sign
inski) avec ceux qui sont dus à un tremblement hys- térique ; si la lésion est organique la trépidation cesse aussitôt qu'on
attention à la possibilité d'un élément névrosique surajouté à une lésion organique, ce qui n'est pas tou- jours facile.
ement du pouls, crise épi- leptiforme ; importance pathogénique des lésions cardiaques ; par MM. OuLUOVT et LÉON (Bull. méd
avec hémiparésie et hémi-dysesthésie, large volet cutanéo-osseux ; lésions méningo-encéphaliques incurables ; guérison opé
istance des crises. L'intervention permit de voir sur le vivant des lésions anciennes résultant de méningite et cette obser
ut particulièrement chez ces sujets des épis- taxis, et surtout des lésions cutanées, herpès urticaire, impétigo, · REVUE D
ssement des os du crâne. Parfois un abcès du cervelet succède à une lésion de voisinage du sinus latéral. Con- tre les abc
aux et médians, de la sclérose des noyaux gris,ce qui indiquait une lésion ancienne. L. WAHL. XXVII. Ein Fall von Erb'sc
e,mais d'une parésie bien diffé- rente de celles que produisent les lésions du nerf facial, et telle, au contraire, que pou
illeurs rare après l'hémiplégie. Il est vraisemblablement lié à des lésions des cellules motrices, la simple excitation de
e transmission pa- raissant a priori insuffisante à le produire. La lésion peut être loca- lisée dans la région thalamique
ales suivant la pré- dominance des symptômes et la localisation des lésions : formes frustes sensitives comprenant les troi
obser- vation d'aphasie motrice suivie d'autopsie dans laquelle une lésion limitée à la circonvolution de Broca et à la su
oca et à la substance blanche sous- jacente, sans propagation de la lésion à la substance blanche des régions voisines, ai
nsable pour étudier la topographie et l'étendue de n'importe quelle lésion cérébrale, les lésions corticales en foyer, mêm
topographie et l'étendue de n'importe quelle lésion cérébrale, les lésions corticales en foyer, même les plus minimes, éta
hasie motrice dite corticale ou de Broca peut être produite par une lésion limitée à la partie anté- rieure de la zone du
ge, c'est-à-dire à la zone de Broca, sans participation aucune à la lésion primitive de l'opercule rolan- dique, des circo
ique des membres inférieurs, lymphocytose abon- dante, existence de lésions diffuses à côté des plaques de sclérose, dégéné
nerveux, périvascularite évidente. Pour expliquer r la présence de lésions diffuses à côté des plaques scléreuses, il faut
mettre l'association d'une sclérose en plaques pri- mitive avec des lésions de myélite secondaire. F. TISSOT. BIBLIOGRAPHIE
ale et à la démence sénile. Les auteurs étudient l'amnésie dans les lésions organiques cir- conscrites et dans les lésions
t l'amnésie dans les lésions organiques cir- conscrites et dans les lésions organiques disséminées. ' Aux fonctions amnésiq
doigts bien déterminés, ces troubles ne peuvent pas dépendre d'une lésion des bran- ches des nerfs digitaux plus ou moins
s fortes et ils ne sont compréhensibles que comme un symptôme de la lésion EMPOISONNEMENT PAR LES HO ? 1RDS CONSERVÉS EN 1
rent bien que, outre ce processus, il faut reconnaître encore une lésion des filets nerveux les plus minces dans le voi-
Il est impossible d'expliquer l'ataxie aiguë dans notre cas par une lésion quelconque du système nerveux cen- tral. « L'at
l et de la par- tie postérieure du lobe temporal surtout de T 3. La lésion de la face interne prédomine sur les circonvolu
artie antérieure. Le corps strié n'offre rien de parti- culier. Les lésions de mccningo-encèphalile occupent F 1 et F 2, la
x sont complètement abolis,ce qui est toujours en rappoi t avec une lésion de la moelle correspondant à la racme de leur a
e parfois en défaut. Il semble donc qu'il faille autre chose qu'une lésion irritative d'un centre pour produire l'hallucin
mble disparate d'affections nerveuses, sous le pré- texte que leurs lésions nous sont inconnues ; aujourd'hui il n'est plus
investigation. A s'en rapporter aux symptômes cor- respondants, ces lésions sont assurément moins graves,moins fixes, moins
ons sont assurément moins graves,moins fixes, moins tenaces que les lésions organiques proprement dites, mais il y a tout l
et la chorée, parce qu'elles offrent les caractères des maladies à lésions et que ces lésions sont en partie connues. Il éli
e qu'elles offrent les caractères des maladies à lésions et que ces lésions sont en partie connues. Il élimine encore l'hyp
ompression de la queue de cheval, dans l'autre à une compression ou lésion organique de la moelle sacrée. Sclérose en plaq
des yeux et l'hémiplégie dont il suivait le sens, déterminé par des lésions de siège et de nature dif- férentes. Son existe
t du pouls, crise épilcpti- forme ; importance pathogéni- que des lésions cardiaques, par Oulmont et Léon, p. 377. Conc
r DucostC, 1>. 77, - précoce. Voir7f/t;s.VnirApt'n.t.fe. Des lésions analomiques attri- buées à la précoce, par Ri-
lontaire, . par F. Régnault, p. 306. Lèpre. Voir Syringomyélie. Lésions . Voir Zona. anatomi- ques. Voir Démence. Lipo
e cheval, par Claude et'l'ou- charcl, p. 465. Monoplégie crurale. Lésion cé- rébrale congénitale, par Long, p. 303. br
r Bevan Lewis, p. 365. Noyaux moteurs. Que devien- nent les après lésion des n. pér. et sur le rôle des d'E. \1'. par
erne assoeiée il un syndrome spasmodique dû pro- bnblcmenl il une lésion du fais- ceau génieulé, par Claude et Lejonne
ais et Rose, p. 302. Malformations congénitales, congénitale ou lésions diffuses du système ner- veux,' par Dufour, p.
Conception du -, par Berntieim, p. 160. ataxo-spasmodique sans lésions des cordons latéraux. dorsalis avec faibles alt
brûlures par suggestion, par Fartez, p. 304. des mouvements par lésion du lobejironlaLpar Hart- mann, p. 368. Syndrome
d'une paralytique générale, par Rodier et Bncka, p. 81. Zona. Les lésions radiculo-gan- glionnaires du zona, par Tho- m
69 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
logiques ? Nous ne pensons pas que les stigmates soient dus à des lésions locales des appareils sensoriels, des muscles, de
ent et isolément. Cela ne dépend que du siège et de l'étendue de la lésion nerveuse, et il n'y a pas de règle fixe pour qu
tes dans l'hystérie les anesthé- sies absolues, profondes, dont les lésions organiques ne peu- vent reproduire qu'une faibl
nt délimitées. Si le bras se trouve paralysé en conséquence d'une lésion corticale organique, il y a presque toujours auss
e par contre avec quelle ténacité la sensibilité persiste en cas de lésion nerveuse. 36 CLINIQUE NERVEUSE. Si. l'on sect
sera moindre en étendue et intensité qu'on ne s'y attend. Si une lésion inflammatoire attaque les nerfs spinaux ou les ce
éléments nerveux qui ne sont pas complètement détruits. En cas de lésion cérébrale, on connaît la fréquence et la durée de
relation entre ces deux séries de faits et les circonstances de la lésion . Nous avons dit que le nombre moindre des fibre
us importante pour le premier qu'elle n'est pour le dernier. Si les lésions un peu étendues de l'écorce ne réussissent pas
de ces paralysies. Assurément il faut s'adresser à la nature de la lésion pour obtenir cette explication difficile. Dans
cation difficile. Dans les paralysies organi- ques, la nature de la lésion joue un rôle secondaire, ce sont plutôt l'étend
rôle secondaire, ce sont plutôt l'étendue et la localisation de la lésion , qui dans les conditions données de structure d
que, que nous avons rele- vés. Quelle pourrait être la nature de la lésion dans la para- lysie hystérique, qui à elle seul
situation, indé- pendamment de la localisation, de l'étendue de la lésion et de l'anatomie du système nerveux ? M. Char
nerveux ? M. Charcot nous a enseigné assez souvent que c'est une lésion corticale mais purement dynamique ou fonctionnell
tion est loin d'être à l'abri de l'équivoque. Qu'est-ce donc qu'une lésion dynamique ? Je suis bien sûr que beaucoup de ce
ucoup de ceux qui lisent les oeuvres de M. CrrARCOT, croient que la lésion dynamique est bien une lésion, mais une lésion
euvres de M. CrrARCOT, croient que la lésion dynamique est bien une lésion , mais une lésion dont on ne retrouve pas la tra
RCOT, croient que la lésion dynamique est bien une lésion, mais une lésion dont on ne retrouve pas la trace dans le cadavr
bien qu'elles ne persistent pas nécessairement après la mort, des lésions organiques vraies, qu'elles soient légères et fug
TÉRIQUES. 39 Il est nécessaire que les paralysies produites par les lésions de cet ordre, partagent en tout les caractères
soient tout à fait gra- tuites. Si on lit a qu'il doit y avoir une lésion hystérique » dans tel ou tel centre, le même do
oir une lésion hystérique » dans tel ou tel centre, le même dont la lésion organique pro- duirait le syndrome organique co
espondant, si l'on se sou- vient qu'on s'est habitué à localiser la lésion hystérique dyna- mique de même manière que la l
à localiser la lésion hystérique dyna- mique de même manière que la lésion organique, on est porté à croire que sous l'exp
la lésion organique, on est porté à croire que sous l'expression « lésion dynamique » se cache l'idée d'une lésion comme
re que sous l'expression « lésion dynamique » se cache l'idée d'une lésion comme l'oedème, l'anémie, qui, en vérité, sont
t des affections organiques passagères. J'affirme par contre que la lésion des paralysies hystériques doit être tout à fait
s. IV. - Je tâcherai enfin de développer comment pourrait être la lésion qui est la cause des paralysies hystériques. Je n
ère de la paralysie organique céré- brale. , Je prendrai le mot « lésion fonctionnelle ou dynamique » j dans son sens pr
cette circonstance, il n'est pas possible d'éviter d'envisager les lésions organiques par ce moyen. J'essaierai de montr
ierai de montrer qu'il peut y avoir altération fonction- nelle sans lésion organique concomitante, sans lésion gros- sière
altération fonction- nelle sans lésion organique concomitante, sans lésion gros- sière palpable du moins, même au moyen de
indépendante de toute notion de l'anatomie du sys- tème nerveux. La lésion de la paralysie hystérique sera donc une altéra
le moi dont le corps de l'individu forme une partie importante. La lésion serait donc l'abolition de l'accessibilité asso
nous l'avons pu former d'après l'enseignement de M. Charcot, que la lésion dans les paralysies hystériques ne consiste pas
ques de M. Charcot, nous avons réussi à montrer de quelle nature la lésion ou plutôt REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
détaillées. Observation 1. Paralysie des deux pattes postérieures, lésions inflam- matoires frappantes dans la substance g
ents, des deux côtés. Dégéné- rescence des racines correspondantes. Lésions des quatre ganglions spinaux cervico-inférieurs
x cervico-inférieurs. Entre la moelle et les ganglions en question, lésion des manchons de myéline, persistance des cylind
ues. - Observation V. Mort subite par intoxication suraiguë. .Mêmes lésions . En réalité, douze faits témoignent de l'existe
its cliniques et aux constatations anatomo-pathologiques. Quant aux lésions du coeur, du poumon, des reins, ou les rencontr
TROIS FRÈRES ET SOEURS SOUS LA FORME DE PARALYSIE PROGRESSIVE, AVEC LÉSIONS VASCL'LAIRES ÉTENDUES, PROBABLEMENT DUE A UNE S
Psychiat., XXIV, 1.) Dans la paralysie générale, peut-il y avoir lésion concurrente de tout le système nerveux périphér
ente de tout le système nerveux périphérique ? Existe-t-il entre la lésion de ce dernier et les processus pathologiques du
mplète de 145 malades, 118 hommes,27 femmes. En ce qui concerne les lésions spinales de la paralysie générale, celles qui s
cordons postérieurs seuls- enfin la troisième catégorie a trait aux lésions des cordons latéraux seuls. Il est imposible d'
d'établir si, chez les paralytiques généraux syphilitiques, il y a lésion exclusive ou pré- dominante des cordons postéri
ériphé- rique. P. K. V. LES arrêts DE développement psychique par lésions DE la TÊTE DE L'ENFANT AVANT, PENDANT L'ACCOUCH
es altérations des fibres à myéline, il existe presque toujours des lésions cellulaires et vascu- laires, il est permis de
laires et vascu- laires, il est permis de se demander quelle est la lésion qui com- mence la première, est-ce celle de la
ffections DES lobes temporaux : - UN cas DE SURDI-MUTITÉ; UN CAS DE LÉSIONS DU LOBE TEMPORAL GAUCHE SANS SURDITÉ VERBALE CH
ervation d'un cas de surdi-mutité dans lequel l'autopsie révéla une lésion destructive ancienne des deux lobes temporaux.
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 2° Observation d'un cas de lésions destructives anciennes du lobe temperal gauche
bservation clinique, quelques détails importants. L'autopsie et les lésions constatées sont l'objet de la part, de M. Bulle
la part, de M. Bullen, de judicieux commentaires. R. M.-C. XXII. LÉSIONS NÉCROSCOPIQUES (DONT PLUSIEURS sont D'UNE interpr
es formes chirurgicales de cette maladie et celles qui dépendent de lésions de régions déterminées du système nerveux; 2" l
la syphilis cérébrale, et comme critérium anatomo-pathologique les lésions de la syphilis; c'est en vertu de ces critérium
opose le nom de paralysie géné- ralisée. Pour M. Mairet, toutes les lésions syphilitiques du cerveau pourraient donner nais
ues du cerveau pourraient donner naissance à l'aliénation mentale ; lésions cir- conscrites, localisées à foyer unique ou à
parties constitutives des hémisphères; il ne faut pas confondre les lésions syphilitiques avec les lésions qu'il appelle ba
phères; il ne faut pas confondre les lésions syphilitiques avec les lésions qu'il appelle banales, coïncidant avec la syphi
oïncidant avec la syphilis ou produites à son occasion; ce sont ces lésions qui ne guérissent jamais qui causent l'incurabili
écemment par M. Letulle pour les bacilles de la tuberculose. III. Lésions des éléments nerveux. Les éléments nerveux sont
ent par places. Il est difficile de se rendre compte exactement des lésions des cornes antérieures, car si elles sont défor
ent cervical. Les racines antérieures ne présentent pas non plus de lésions bien visibles; elles se colorent encore très bi
ulièrement à droite (fig. 6). Mais cette 122 PATHOLOGIE NERVEUSE. lésion ne parait pas donner lieu à une dégénérescence se
tention de l'étudier bientôt à nouveau dans un autre travail. IV. Lésions des nerfs et des muscles. - Les gros troncs nerve
rares et toutes les autres sont complètement saines. En somme, les lésions des nerfs et des muscles sont très peu impor- t
ysiologique, il n'est pas possible de se rendre un compte exact des lésions qui amènent les différents troubles sensitil's.
ne permettent pas toujours d'apprécier exactement l'étendue de la lésion destructive ; puis les notions que nous avons sur
ne postérieure et les fais- ceaux blancs environnants subissent une lésion à peu près 126 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. analogu
admettre actuellement que ces symptômes sont sous la dépendance de lésions placées au voisinage des com- missures de la mo
a concordance entre les symptômes pré- sentés pendant la vie et les lésions constatées après la mort. Les lésions des corne
sentés pendant la vie et les lésions constatées après la mort. Les lésions des cornes antérieures dans le renflement cervi-
région dorsale. , Il Il f' , '1 .<. u '" 'j..1 ,t l, Il 1 1 La lésion considérable du faisceau pyramidal, attaqué direc
de folie pellagreuse. et chez ,~ lequel on trouva à l'autopsie les lésions de la syringomyélie ? Les seuls faits cliniques
e année de son second internement à une méningite chronique ; les lésions avaient deux sièges différents' : la région front
écrites sous le nom de paralysies du plexus brachial tiennent à une lésion non pas du lacis du plexus, mais bien des racin
t ascen- dante plutôt que descendante; mais on peutadmettre que les lésions commencent à,la'foisdansles différents points d
nt un système continu, -surtout' dans les cordons postérieurs ? Les lésions spinales seules sont, insuffisantes pour expliq
tous. les symptômes qui trouvent leur raison dans la diffusion des, lésions à tout le système nerveux. Les troubles sensiti
les sensitifs, la céphalée, les vertiges s'explique- raient par des lésions corticales; en tenant compte, bien entendu, des
s les cas précités, la glycosurie trouve'son expli- cation dans des lésions du. plancher du quatrième ventricule dans les p
e sujet d'unei de ses observations amène l'auteur à conclure que la lésion essentielle consiste en un processus inflammatoir
ion des 2 tiers supérieurs de la; PA. D'où l'auteur 'conclut qu'une lésion de la PA peut' léser le sens musculaire à l'exc
de l'aphasie correspondant, d'après .le schéma de,Wernicke, à une' lésion , des, voies, sensorielles trans- - corticales e
nsorielles trans- - corticales et motrices, ou d'après Moelé,,à une lésion , des icentrés des images d'articulation .verbal
des images d'articulation .verbale. On pourrait aussi penser à [une lésion des faisceaux qui joignent les centres des images
ce de«cécité verbale, au point de vue anatomique par l'absence) de ( lésion intéressant les, çirconvo-- lutions'' motrices,
ruit. La possibilité de la perte de l'écriture, en, dehors de toute lésion des frontales, se comprend facilement si l'on a
nostic hésite entre une hémiplégie organique et une hémiplégie sans lésions . ,1 ' . P. Keraval. 'J r i '.<-,, , , (1 1
iation de la langue, concomitants ne sauraient être rattachés à des lésions périphériques. Il y a lieu d'admettre une lésio
e rattachés à des lésions périphériques. Il y a lieu d'admettre une lésion des fibres pupillaires de t'oculo-motéur commun g
ires de t'oculo-motéur commun gauche. -. Le siège et la cause de la lésion restent' 'obscurs. Il 'a lieu'de e penser à un
s ici grande valeur pathogéniqüe. La'n'ature' et la disparition des lésions de la sensibilité, si fl'équeÍ1tes'ch(iz les méla
mme incurables. Les hallucina- tions persistantes indiqueraient des lésions organiques sans espoir' d'amélioration.' 1\1 :
- cède. Elles sont indiquées dans la paralysie générale, dans les lésions localisées de l'écorce qui ne sont pas de celles
iliter l'action des bro- mures. Dans l'épilepsie symptomatique de lésions cérébrales, on doit administrer ces médicaments
t lui-même ou faisait faire des planches murales représentant les lésions des maladies qu'il décrivait, procédés qu'il ap
n cas de para- lysie radiculaire de la première paire dorsale, avec lésion hémilaté- rale de la moelle, d'origine Iraumati
ractions fibi o-leizdii2etises dans les paralysies spasmodiques par lésions organiques spinales et dans la contracture spas
b..., Revel) et l'hydro- céphalie compliquée de malformations ou de lésions , par exemple, l'absence de corps calleux , l'ab
L'encéphale étant enlevé en totalité, on n'aperçoit encore pas la lésion , mais lorsqu'on veut écarter la scissure jnlel'-h
névroglie, les autres à des cellules gan- glionnaires. .. , 2° Lésions secondaires du cerveau. J'ai déjà fait remarquer
orme, comme son siège pourrait le faire supposer. Malgré toutes ces lésions la branche antérieure de la capsule interne est
res,les cellules ganglionnaires et névrogliques neprésentent aucune lésion appréciable en aucun point de l'écorce, mais l'ét
fibres irradiées de la substance blanche. Il nous faut étudier les lésions de ces différentes couches dans les diverses ré
de Broca. , Le lobe frontal droit, d'une façon générale, subit une lésion parallèle à celle du gauche, mais moius intense
ssent dans le fond des sillons plus en avant que du côté opposé. La lésion est beaucoup plus marquée à la face interne de
, mais est répartie sous forme de plaques. Dans le lobe pariétal la lésion redevient plus intense; à gauche, dans la parti
ez mal fournies. Dans la par- tie postérieure du lobe pariétal la lésion est encore plus avancée. A droite les fibres so
ons tan- dis que les faces latérales sont presque normales; cette lésion , plus faible à droite, est beau- coup moins i
écorce. UN CAS DE GLIOME l'OEUH.O-FOlOIATIl'. 293 lobe frontal la lésion est à son maximum; elle diminue à mesure que l'
exclut l'idée d'altérations cadavériques. D'ailleurs le maximum des lésions siégeant toujours à la superficie, dans les poi
raction de la dégénérescence des fibres à myéline tangentielles, la lésion destructive est beaucoup moins étendue qu'elle ne
rt une im- portance d'autant plus grande que dans beaucoup de ces lésions traumatiques, même étendues, des lobes frontaux,
oubles qu'un change- ment de caractère et d'humeur dans huit cas de lésions variées des lobes frontaux. 1 D'autre part, o
e ces fibres, que j'ai décrite plus haut, au premier rang parmi les lésions qui ont amené une démence si rapide et si profo
la Société médicale des hôpitaux, j'ai montré l'existence de cette lésion , j'ai cru devoir la rattacher à la compression
l'influence de la compression et ici l'intensité plus grande de la lésion à la face supérieure, des circon`y,olu- tions,
ui appartiennent à ma première observation, avec la description des lésions dans le deuxième cas (fig. 25 à 31). Je Fig. 25
t on commence à soupçonner selon toutes probabilités les fonctions ( lésions en foyers associées). Maintenant M. Neisser ins
e secondaire. 3° On peut la suspecter après la mort en présence des lésions suivantes : a) oedème local intense de l'un ou
ette embolie dans les cas qui ont été indiqués sans qu'il existe de lésion appré- ciable du système osseux ou des tissus s
recon- naître que quelques formes d'aliénation mentale liées à une lésion cérébrale sont cependant sous l'étroite dépenda
reux d'ailleurs que l'in- fluence du milieu soit réelle, car si les lésions organiques des centres nerveux étaient la cause
n après deux ans'de maladie.' 'w nr l ? L'nutopsie ne révèle pas de lésions , pas plus dans les nerfs périphé- riques que da
érie non plus qu'à la névrite périphérique. Peut- être s'agit-il de lésions de l'écorce cérébrale qui, dans, l'état actuel
n relative au mémoire de M. LEYDEN. -j)7 ? /g/t<e chor21- que et lésions systématiques de la moelle. M. JOLLY. En effet,
ire. Les trois cordons sont lésés. On y voit : foyers dissémi- nés, lésions systématiques, lésions disséminées. Ce qui prouve
sont lésés. On y voit : foyers dissémi- nés, lésions systématiques, lésions disséminées. Ce qui prouve que des formes très
que de la paralysie spinale spasmodique. Mais cela n'empêche que la lésion de tels et tels cordons ne se tra- duise par de
exes patellaires disparais- sent, on est autorisé à admettre que la lésion des cordons latéraux s'est compliquée d'une alt
l'on n'est pas toujours en situation de se représenter nettement la lésion . Quant aux autres on parvient à en dépister l'a
ération d'après la symptomatologie. Ce qui revient à dire qu'il y a lésions combinées de cordons médullaires. J'insiste sur
llaires. J'insiste sur cette expression qui vaut mieux que celle de lésions systématiques parce qu'elle ne préjuge point de
r le dia- gnostic d'affection systématique combinée dans les cas de lésion des cordons postérieurs et latéraux, à la condi
es n'être point secondaires. C'est ainsi en outre qu'il existe-'des lésions communes auxicordons latéraux et posté- rieurs,
e des cordons latéraux sont au -point de vue anatomique dûs à des lésions systématiques combinées. Quant au tabes il y a li
Charcot et Leyden n'ont-ils pas, dans cette affection, décrit des lésions des cornes antérieures ? Le système nerveux périp
ajoute qu'il importe peu que ce processus s'étende sous la forme de lésions diffuses, disséminées ou systématiques, que la
nts faibles, faut-il pour cela la rejeter ? S'i est certain que des lésions combinées de certains cordons de la moelle prod
és spasmodiques tiennent au mode d'expansion et à l'intensité des lésions dans les deux territoires de la moelle, dans ! le
ment qu'il y ait des cas de tabès avec paralysie tenant à une autre lésion , et qu'en certains SOCIÉTÉS SAVANTES. 33d cas
ne autre lésion, et qu'en certains SOCIÉTÉS SAVANTES. 33d cas une lésion combinée de plusieurs faisceaux- n'évolue en- pré
ues, il convient de ranger sous ce nom, comme l'a fait Vulpian, les lésions des faisceaux de la moelle; sans doute l'idée d
and on ignore s'il s'agit- d'une dégénérescence secondaire ou d'une lésion autonome. La sclérose latérale amyotrophique n'
s. Enfin je n'ai vu qu'un tabes typique se soit associé à une autre lésion : les affections systématiques combinées sont des
nées,' sont devenus permanents par suite de la complication d'une lésion organique. Dans l'espèce, il ne serait pas imposs
st douteux que tous les symptômes cérébraux, qui ne relèvent pas de lésions anatomiques persistantes, soient sans plus ample
duit une affection organique, évidemment la première tenait à une lésion de même nature. C'est pourquoi j'ai voulu démontr
aissent également participer cette hypertrophie; il n'existe aucune lésion des articulations. L'accroissement du volume de
893. Nu 81 ARCHIVES DE NEUROLOGIE ANATOM1E PATHOLOGIQUE SUR UNE LÉSION SYSTÉMATISÉE DU CERVELET ET DE SES DÉPENDANCES
affec- tion. La nécropsie a montré une sclérose du cervelet avec lésions secondaires de la protubérance. Comme les cas de
ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des symptômes cliniques de la maladie et des lésions bulbo- protubérantielles qui l'accompagnent, d'
qui disparaissent sous les bandes ventriculaires, sans que SUR UNE LÉSION SYSTÉMATISÉE DU CERVELET. 355 celles-ci soient
Nous ne vou- lons rapporter de son autopsie que ce qui a trait aux lésions des centres nerveux. Le cerveau paraît absolu
rations, et c'est à lui que nous devons l'interprétation exacte des lésions qu'elles révèlent. La protubérance est comme
r au-dessus du bulbe, au-devant des pyramides et les recou- SUR UNE LÉSION SYSTÉMATISÉE DU CERVELET. 357 vrant en sautoir.
n marquer cet aspect singulier qui ne se retrouve dans aucune autre lésion protubérantielle. Toutes nos coupes ont été col
mide avec ses faisceaux conjonctifs antéro-pos- térieurs. SUR UNE LÉSION SYSTÉMATISÉE DU CERVELET. 359 peut constater au
ibrillaire, ni aucun corps cel- lulaire. Il s'agit sans doute d'une lésion relativement ancienne. Les parolives sont repré
voies pyramidales; 2, 2', faisceaux transversaux sclérosés. SUR UNE LÉSION SYSTÉMATISÉE DU CERVELET. 361 glosse serpentant
ed du pédoncule. Si nous jetons un coup d'oeil d'ensemble sur les lésions que nous avons décrites sur nos coupes successi
res. Les dégénérescences bulbo-protubérantielles consécutives aux lésions cérébelleuses sont depuis longtemps connues. En
ogies pour ne pas tenter de les rapprocher. Dans les deux cas, à la lésion cérébelleuse, étaient associées la sclérose des
ntation (Mar- chi 2, etc.) et l'anatomie pathologique des cas où la lésion était localisée à une moitié du cervelet, nous
1 Pierret. Note sur un cas d'atrophie périphérique du cervelet avec lésion concomitante des olives bulbaires. (Arch. de Phys
leux moyens; ces cellules disparaissent également dans les vieilles lésions descendantes des voies pyramidales. Leur situa-
re lequel plaide l'extrême rareté des troubles de ce genre dans les lésions cérébelleuses. Les expériences de Flourens2 et
du cervelet sont bien connues et aujourd'hui indiscutables : leur lésion a été décrite en détail dans l'observation de M.
el cervelletlo. (Riv. sperim. di med. leg. NI 1-2, 1881.) SUR UNE LÉSION SYSTÉMATISÉE DU CERVELET. 363 dis que dans notr
en restait aucune trace. On sait que les olives dégénèrent dans les lésions atrophiques du cervelet ; ce rapport est encore
trajet qui relie normalement le cervelet aux olives, trajet que la lésion aurait simplement souligné. Dans cette hypothès
erminant l'exposé de l'observation clinique, ne relevaient d'aucune lésion médullaire, et c'est à la lésion cérébelleuse s
n clinique, ne relevaient d'aucune lésion médullaire, et c'est à la lésion cérébelleuse seule ou aux lésions secondaires q
e lésion médullaire, et c'est à la lésion cérébelleuse seule ou aux lésions secondaires qui en dépendent qu'il faudra deman
e des centres nerveux. Traduction Siraud, 1889, r p. 207. SUR UNE LÉSION SYSTÉMATISÉE DU CERVELET. 365 tion de la maladi
a priori. Ces symptômes d'incoordination sont communs à toutes les lésions cérébelleuses (ramollissement, tumeur, etc.), e
ément ce cas comme' venant à l'appui de sa thèse sur la latence des lésions des hémis- phères. A ces rares exceptions près
sinus caverneux. Pour le vertige en particulier, sa rareté dans les lésions de déficit pures, comme l'atrophie, où sont si
e et atrophie du cervelet. (Lyon médical, 20 avril 1890.) SUR UNE LÉSION SYSTÉMATISÉE DU CERVELET. 367 tement à la parti
tel point que, de par leur rareté, de par leur fréquence dans les lésions d'autres points de l'axe encéphalomédullaire, ils
tôt propres, dit Nothnagel, à faire repousser le dia- gnostic d'une lésion cérébelleuse qu'à mettre sur sa voie. Or, nous
gne qui est pour ainsi dire caractéristique de la sclérose dans les lésions du cervelet : les troubles de la parole 3. Nous
Arch. f. Psych. u. Nervenkrankheilen, t. VII, p. 98-123. SUR UNE LÉSION SYSTÉMATISÉE DU CERVELET. 369 Menzel : parole p
s'ils n'offriraient pas une indépendance rela- tive vis-à-vis de la lésion cérébelleuse, et s'ils ne seraient pas dus à un
ercice physiologique de l'articulation des mots, accorderait à leur lésion , par simple action de voisinage, un rôle pertur
tte revue rapide des symptômes de la sclérose céré- belleuse et des lésions bulbo-protubérantielles qui l'accom- pagnent, o
n bibliographique exacte de cette observation de Vulpian. SUR UNE LÉSION SYSTÉMATISÉE DU CERVELET. 371 1 motivée par la
ncidence qui peut s'expliquer, comme on l'a fait remarquer, par une lésion du noyaurdu spinal qui contribue simultanément
6 et 10 oct. 188f. Plia- ryngeal and laryngeal nystagmus. SUR UNE LÉSION SYSTÉMATISÉE DU CERVELET. 373 plus il y avait e
st autorisé à une explication différente, légitimée par l'étude des lésions secondaires de la protubérance. L'atrophie des
mettent normalement en relation avec les fais- ceaux pyramidaux, la lésion en un mot de cette commissure qui rattache le c
la coordination de leurs mou- vements, ni découvrir la trace de sa lésion . ' Si nous jetons maintenant un coup d'oeil rét
près avoir apporté notre contin- gent à l'anatomie pathologique des lésions bulbo-protubéran- tielles qui accompagnent l'at
que de certaines cellules corticales, quelle que soit d'ailleurs la lésion qui provoque cette instabilité. La décharge d'u
gent nocif. La paralysie générale serait l'effet non de la forme de lésions matérielles, mais de leur consti- tution chimiq
ude clinique et anatomo- pathologique). Etude de la topographie des lésions dans les cor- dons postérieurs et dans la corne
e des parties altérées et des nerfs périphériques. B. Quelle est la lésion anatomique primitive du tabes ? Sont-ce les élé
perte des réflexes patellaires; elle tient très probablement à la lésion de la zone d'entrée radiculaire postérieure, entr
XXVI. 26 402 revue d'anatomie ET DE physiologie pathologiques. '. LÉSIONS ANATOMIQUES DANS UN CS DE BLÉPHAROPTOSE C0,NGNl-
ti- caux), dépendent du lobe occipital correspondant, puisque les lésions encéphalomalaciques, hydrocéphaliques, traumatiqu
ns dans ces derniers dépend de la différence de localisations des lésions dans le lobe occipital. La dégénérescence seconda
oit dans les faisceaux pyramidaux; en outre de celle-ci, il y a des lésions de cellules. Mais ce que nous ignorons, c'est l
s de la bibliographie montrent qu'il s'agit dans l'espèce des mêmes lésions que celles qui frappent les cellules nerveuses
te de la moelle. L'auteur conclut que la chorée tient toujours à la lésion des pyra- mides. Quand cette lésion passe inape
e la chorée tient toujours à la lésion des pyra- mides. Quand cette lésion passe inaperçue c'est qu'il y a dans l'or- gane
e la mélancolie, il est assez commun de ne rencontrer aucune grosse lésion appréciable; et lors même que des lésions appréci
e rencontrer aucune grosse lésion appréciable; et lors même que des lésions apprécia- bles existent, elles ne sont nullemen
ilatation des ventricules sont rares ; toutefois la première de ces lésions serait plus fréquente dans la mélancolie, et la s
alité ; cette égalité se maintient en ce qui touche le siège de ces lésions (ganglions delà base ou couches superficielles)
a même proportion que dans la démence, bien que, dans celle-ci, les lésions athéromateuses des artères soient environ cinq
la dilatation des ventricules, et d'une façon générale, les autres lésions ne s'observent, dans l'épilepsie, que de loin en
ition d'un léger stra- bisme gauche vint indiquer l'existence d'une lésion plus grave. L'examen ophlhalmoscopique révéla l
mois plus tard, la santé générale parait encore améliorée, mais les lésions du nerf optique sont aggravées, adroite la pupi
posi, d'accord avec le professeur Kundrat, pense qu'il s'agit d'une lésion hypertrophique de la peau ; le cer- veau n'ayan
et insiste tout particulièrement sur le fait que, les signes d'une lésion de la moelle épinière que l'on n'observe qu'à t
rhagicus. Le D''Mouratov pense qu'on peut expliquer tous les cas de lésion biennorrhagique du système nerveux soit par la
ro- pathique, soit par la névrite et que, dans le cas de Leyden, la lésion peu prononcée de la moelle épinière ne suffit p
optique produite par la carotide dilatée; mais il n'y avait pas de lésions microscopiques de par l'artério-sclérose. Les onz
tons que certains médecins y ont vu la simulation. M. MOELI. Des lésions de la calotte dans le pont de Vauole avec démon
s masticateurs, alors que l'anatomie patholo- gique lui montraitune lésion unilatérale du noyau moteur du triju- meau. On
rs d'origine centrale à propos d'un cas dans lequel on trouva une lésion au foyer de la partie la plus externe de la couch
ou les fibres radiculaires sont lésés, mais non point quand il y a lésion des trac- tus centraux que régit immédiatement
ique, la syphilis céré- brale et l'affaiblissement intellectuel par lésion cérébrale circons- crite. Enfin la troisième cl
mère, quel- ques sangsues. Pourquoi ? On avait sans doute cru à une lésion organique. Et pourtant c'était bien l'hystérie
des étaient des hystériques, que des troubles rapportés à certaines lésions organiques pouvaient bien n'être que des manife
ce,' ainsi, que, du | temps pendant lequel l'animal a survécu à, là lésion ; 2° le processus anatomique ressemble en soi à
LAfILATÉR.1LE, DE la moelle avec atteinte du trijumeau du côté delà lésion ; par L. STIEGLITZ. (Neui'olog. Cen- rrt'al6l.;
ressive des'membres supérieurs et inférieurs. Evidemment il y a une lésion au-dessous de l'entrecroisement des pyramides à
ÉS SAVANTES. 493 ? 1 r - ,1'i'M. - · .t.-t oedème qui .dépend d'une lésion de la corne postérieure^du même ' c6té,(voir Rô
ale à'diverses formes'de'dégénérescence musculaire. On rencontre la lésion quetLanghans'et'Kopp rat- tachent à la cachexie
s'et'Kopp rat- tachent à la cachexie thyroïdienne et qu'ils nomment lésion des bourgeons musculaires,.Ierfd'autr6 ? affect
ces) et les a observés de un à cent dix-sept jours à la suite de la lésion . Au nombre des processus observés dans le bout
e d'ailleurs dès la qua- trième et cinquième semaine qui suivent la lésion des nerfs dans les gaines lymphatiques adventic
fections du système nerveux, par Dourdorfi; 419. , Blépharoptose, lésions anatomiques dans un cas de - congénitale, par
ez les oiseaux, par , rsaac Ott, 57. '. ""11. ' "" - Calotte, des lésions de la ? dans le 'pont de Varole, par lliceli ?
Ii-;Pal'(, Gièse, 132; ; Iitres Cas d'a- .11.11esthésie duc à' une. lésion de it., laj circonvolution ,du ? par Th. '(.
héréditaires, par La- " grange, 258 ? .Vv' r r . Dégénérescence, lésions spéciales à "diverses formes de musculaire, p
r H. Meige, 343. Lathyrisme, deux cas de -, par Semidalov, 418. Lésions , microscopiques par Ed. Goodall, 59.. f LÉTII
é-; , corce cérébrale, par, L'âne, 57. 1 MvËnTE ? chronique/, et, lésions systématiques de la -moelle, par - Leyden, 33
r4 ! t 11111 W f lu' , 1 ' Psychique,' arrêt de développement par lésions de la tête de l'en- *'fani avant, , pendant l'a
70 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rouble de la sensibilité ni de la motilité. Tout ici indiquait une. lésion nerveuse centrale, grave, et probablement céréb
ling n'a-t-il ' '' pas dit que les fibres les plus résistantes à la lésion de la paralysie n générale sont celles qui, che
l'écorce du cerveau, qu'elle obéit à des lois, que ce n'est pas une lésion diffuse au hasard. P. Keraval. 60 REVUE d'aNATO
u, y compris la protubérance et'le bulbe, ne présente pas de grosse lésion . Les deux moitiés antérieures des deux lobes fr
la part des symptômes acces- soires, dus à Faction à distance de la lésion qui occasionne l'ictus, et se rendre compte de
et de la déglutition du début tenaient aune action à distance de la lésion ; ils ne tardèrent pas à disparaître. Les troub
parler, bien qu'étranger à la Société, a trouvé chez ce malade des lésions labyrinthiques anciennes, très accusées, et des
malade des lésions labyrinthiques anciennes, très accusées, et des lésions assez intenses de l'oreille moyenne avec paraco
mènes suspensifs plutôt que des phénomènes de déchet organique. Les lésions oculaires qu'il présente correspondent aux lésion
t organique. Les lésions oculaires qu'il présente correspondent aux lésions auriculaires anciennes qu'elles accompagnent so
auriculaires anciennes qu'elles accompagnent souvent. Néanmoins les lésions labyrinthiques ne suffisent pas pour expliquer la
pure. Il n'y a d'autre part aucun trouble du langage intérieur. Les lésions périphériques jouent en tout cas un grand rôle
13r-,qsKi. L'examen voltaïque du vertige étant négatif, il y a une lésion bi-auriculaire. ' " "' Faciès de Sphinx dans la
La moelle épinière avait conservé son volume normal, il y avait des lésions des faisceaux de Bur- dach dans la région dorso
s l'enseignement de Pierre Marie, l'hémiplégie des vieillards et sa lésion anatomique : les lacunes de désintégration céré
e matières, eschares) ; il peut succomber à l'hémorragie cérébrale, lésion qui est peut-être née de la lacune. Les lacunes
'il faut dis- tinguer « entre les malformations acquises dues à des lésions céré- brales survenues dans la vie foetale ou !
voisinage de l'état normal, est souvent devenu ainsi parce que une lésion de ses centres nerveux a existé un moment donné
ntres nerveux a existé un moment donné. Il a eu la chance que cette lésion fut légère, ou peu étendue, ou évoluât heureuse-
étendue, ou évoluât heureuse- ment. Mais chez un idiot profond, la lésion peut aussi rétrocéder, et il n'est heureusement
une maladie. ' III. Diagnostic des maladies de la moelle. Siège des lésions ; par le Professeur Grasset. (Les actualités mé
n second chapitre, l'auteur fait l'étude du diagnostic de siège des lésions , en hauteur. Après avoir établi les principes gén
re et l'apparition de la contracture spasmo- dique consécutives aux lésions de la voie pyramidale, il en est une qui attrib
eu après, parésie des branches de la troisième paire droite. Pas de lésions du fond de l'ceil. Légère faiblesse du bras et
le début de l'affection. Autopsie. Les organes ne présentent pas de lésion macrosco- pique intéressante. Nous avons examin
, à bords polycycliques taillés ci pic, comme on l'observe dans une lésion de déficit par ramollissement. Si nous' suivons
e fort bien comment a pu se '-produire par le fait d'une tumeur une lésion de déficit bien loca- lisée ; c'est là un fait
iqué aussi l'intégrité du pied des deux pédoncules cérébraux. Une lésion ainsi placée a détruit la troisième paire gauche
n ainsi placée a détruit la troisième paire gauche qui présente des lésions de dégénérescence (méthode de.Marchi et de Weig
a marche progressi- vement envahissante de la tumeur. De semblables lésions existent mais à un bien moindre degré dans la t
ième paire droite. Nous n'insistons pas : elles sont semblables aux lésions classiques de la dégénérescence wallérienne obs
elations entre le tableau symp- tomatique observé et le siège de la lésion . CAS DE PAPILLOME ËP1THÉUQIBK DU NOYAU ROUGE 95
eux troisièmes paires, complète à gau- che, incomplète à droite, la lésion ayant alors franchi la ligne médiane. Nous sign
erte du sens stéréognostique, perte du sens articulaire), dus à des lésions des voies sensitives cérébrales, ne s'accompagn
tifs favorise l'apparition. de l'ataxie des mouvements, du moins la lésion d'un autre appareil est indispensable. Or chez
ilibre et à régulariser les mouvements volontaires. C'est donc à la lésion du noyau rouge gauche et par suite du pédoncule
lajambe du côté droit, dont l'apparition a pu être facilitée par la lésion de la voie sensitive. Notre malade présentait
, 2- série, t. XIV. 7 98 CLINIQUE NERVEUSE. membres du côté de la lésion ; ces faits consistaient en lésions bulbo-protu
ERVEUSE. membres du côté de la lésion ; ces faits consistaient en lésions bulbo-protubérantielles et se caractérisaient d'u
sie motrice vraie du bras et de la jambe gauche du côté opposé à la lésion , et par des paralysies des nerfs crâniens et un
des nerfs crâniens et une asynergie cérébelleuse du côté même de la lésion . M. Babinski met l'asynergie céré- belleuse sur
il est natu- rel que les troubles d'asynergie siègent du côté de la lésion bulbo-protubérantielle. Notre cas est un peu di
ue l'asynergie cérébelleuse atteint les membres du côté opposé à la lésion ; la raison en est dans l'entrecroisement des p
ment des pédoncules cérébelleux supérieurs, de telle sorte qu'une lésion du noyau rouge gauche agit en réalité sur le pédo
ôté que la paralysie des nerfs crâniens, c'est-à-dire du côté de la lésion bulbo-protubérantielle, dans le cas actuel elle
drome de Weber puisque, comme les troubles moteurs consécutifs à la lésion de la voie motrice pédonculaire, elle siège du
pposé aux nerfs crâniens atteints, c'est-à-dire du côté opposé à la lésion . En résumé, nous pouvons conclure de l'étude de
blement intentionnel et asyner- gie des membres du côté opposé à la lésion pédonculaire. Nous ne poursuivrons pas plus loi
jours du pédoncule cérébral gauche, ils peuvent dépendre de grosses lésions pédonculaires, de déficit, ayant atteint le fai
nterne du pied du pédoncule et qu'elles sont le siège maximum des lésions dans le cas de syndrome protubérantiel par artéri
, comme le mon- trent les cas de d'Astros et de Souques, de petites lésions lacunaires du cerveau ou de la protubérance; on
, dans des cas plus rares, la dysarthrie pédonculaire est due à des lésions limitées de la calotte du pédoncule, tubercule,
- bles d'incoordination de la parole, véritable glosso-ataxie par lésions portant sur le système commissural cérébello- b
adopter pour cet ensemble symptomatique une pathogénie univoque, la lésion du pédoncule cérébelleux supérieur au niveau du
la moelle par le faisceau pyramidal. On comprend dès lors que la lésion de la voie pyramidale doit entraîner une lape·lo2
rice n'est plus con- trebalancée par l'action modératrice et que la lésion des centres d'excitation du tonus musculaire, e
gération généralisée des réflexes ; ils siègent du côté opposé à la lésion pédonculaire. A l'autopsie nous trou- vons excl
nc que les troubles moteurs des membres ont été déter- minés par la lésion de la voie cérébelleuse supérieure, inter- romp
ndes affections mieux connues parce qu'on avait pu déterminer leurs lésions anatomiques. Nous avons naturelle- ment divisé
s une réserve pour ce dernier terme : nous pensons qu'il existe des lésions bien caractérisées suscep- tibles de les expliq
ence d'un vice de réfraction, d'une anomalie congé- nitale ou d'une lésion de l'oeil. Nous avons noté du strabisme dans qu
convergent intermit- tent. Hm -(- 0,'75 à la lcératoscopie. Pas de lésions du fond de I'oeil. Inéralié pupillaire très net
mus horizontal. Rien d'anormal dans les milieux oculaires. Aucune lésion du fond d'oeil. Pas de strabisme. Ilm z- 0,75 V =
s exister constamment. . 0. G. Em... V= 1 0. D. Myopie de 9 D. sans lésions choroï- diennes (cet oeil a du strabisme diverg
aires. Il n'y a pas de strabisme. Emmétropie. Pas d'anomalies ni de lésions des yeux. ' TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAG
èlement observée 3 : il semble que ces sortes de sujets aient leurs lésions calquées les unes sur les autres (obs. 1 et 2,
e saurait en effet regarder ces types comme les représentants d'une lésion centrale progressive- ment croissante d'après l
pu se rencontrer dans nombre d'affections céré- brales sans que la lésion paraisse avoir de territoire spécial; .pourtant
e sur l'absence de précision de la localisation topographique de la lésion trouvée à l'autopsie. Toutefois les altérations
s accompagnées de troubles de la motilité des muscles de l'oeil, la lésion siégeait plusieurs fois au niveau du pli courbe
me les corps restiformes. « L'apparition du nystagmus à la suite de lésions de cette région n'a rien qui doive nous étonner
ingue du nystagnus vrai accentué et très apparent, qui dépend d'une lésion bulbaire ou cérébral, les secousses nystagmifor
sculaires, soit par des troubles nutritifs des muscles résultant de lésions vasculaires et de modifications du sang (Spring
blement intentionnel a été reproduit par Pasternotsky au moyen de lésions des cordons antérieurs de la moelle et de la part
uve- ments anormaux comme la chorée, l'athétose, dans cer- taines lésions de l'encéphale tend aussi à démontrerle rôle de
Peut être même dans certains cas serait-on en droit d'invoquer des lésions plus grossières : des foyers multiples d'hémorr
rait rattacher ce vice de fonctionnement du système ner- veux à une lésion systématisée. Néanmoins et pour spécieuse qu'el
r stade, l'atteinte légère du système nerveux s'accompagnerait de lésion diffuses et rudimentaires de nature indéterminée,
Raymond et Cestan. A un degré plus avancé répondant peut être à des lésions plus disséminées et en certains points plus pro
re une tendance à la 120 PATHOLOGIE NERVEUSE. systématisation des lésions . Enfin nous trouvons un chaînon . intermédiaire
proposons, nous avons cru devoir les faire connaître. De pareilles lésions sont heureusement longtemps compatibles avec la
se des hallucinations. Il parait bien établi d'au- tre part que des lésions organiques survenues soit dans le trajet sensor
ui entre en jeu sous l'influence, soit de la même cause, soit d'une lésion organique ou d'une idéation quelconque. G.D. XI
aires, et par conséquent il doit se rencontrer dans tous les cas de lésion transversale complète de la moelle, alors que l
l'exposé des symptômes qui traduisent le mode de répercussion d'une lésion cancéreuse des vertèbres sur REVUE D'ANATOMIE E
réflexions sur le diagnostic, le pronostic et le traitement de ces lésions . G. Derny. XIII. Anesthésie des nerfs sensitifs
admet que le trouble moteur de son malade doit être attribué à une lésion fonctionnelle irritative du système téléneurona
trente-trois ans, atteinte de manie chro- nique : la gravité de la lésion paraît ici en désaccord avec la vio- lence du t
s cas de névrose traumatique où l'on soupçonnerait volon- tiers une lésion , sans oser l'affirmer, en l'absence de signes obj
GIE NERVEUSE. doit jamais oublier qu'ils peuvent coexister avec une lésion orga- nique, et l'auteur cite un cas, très prob
ie : hémisphère gauche, 526 grammes; hémisphère droit, 551 grammes. Lésions de mériiigo-encéphcilite diffuse, mais les lobes
confirme le dia- gnostic de paralysie générale. L'existence d'une lésion bien localisée au centre de l'audition chez un
sie, etc. Cette variété symptomatique tient à la prédominance des lésions au niveau de certains territoires corticaux et pl
S SAVANTES. 169 lièrement des centres de la région postérieure. Les lésions , elles- mêmes, affectent alors des caractères s
ucinations et la constatation de symptômes habituellement dus à des lésions en foyer, ne doivent pas faire écarter, comme o
roubles psychiques, intermittents ou passagers," et n'ac- cusant de lésion hépatique que par cette altération fonctionnelle
ls cas sont rares chez l'homme et ne peuvent exister que quand la lésion s'est produite à un âge où la suppléance est enco
e même quantité d'eau physiologique, de sérum normal sans que des lésions se manifestent. Au contraire, les injections des
ù un halo clair les sépare de la masse protoplasmique. Toutes ces lésions sont obtenues indifféremment avec tel ou tel séru
omme le leur a montré l'expérimentation. Enfin, par l'ana- lyse des lésions histologiques, ils estiment que dans leur cas la
oison sclérosant : chloroformo-bacilline d'Auclair). L'aspect des lésions est particulièrement intéressant, à cause de l'
4° folie en rapport avec les névroses ; 5° délires secondaires aux lésions organiques cérébrales (tumeurs, traumatisme, coup
e action traumatique directe et que n'accompagnaient point d'autres lésions oculaires ou périoculaires, consistait en une d
, une légère dépression, d'aspect punctiforme, sans traces d'autres lésions (ftg. 15 et 16). Le 25 juillet, la dépression a
s de la cornée (fig. 30 et 31). Le 4 septembre. Absence complète de lésions oculaires. Le malade est toujours l'objet de so
ont peu nom- breuses, elles ont toutefois le mérite de présenter la lésion dont il s'agit, dans des conditions relativemen
l'encontre de ce qui se passe dans cette dernière affec- tion où la lésion de l'organe comporte rapidement un carac- tère
imple dépression d'un point plus ou moins limité de la cornée, sans lésions anatomiques appréciables, quoique en relation a
, de la kératite neuro- paralytique, laquelle, caractérisée par des lésions dystro- phiques profondes (abcès indolents, kér
cèdent, que, quels qu'en soient le mode et l'intensité, cer- taines lésions des centres nerveux encéphaliques exercent sur
i ont donné l'idée des fonctions du corps thyroïde; n'est-ce pas la lésion de la SOCIÉTÉS SAVANTES. 247 troisième circon
ue la plupart des tics sont non pas des accidents commandés par des lésions acquises du système ner- veux, mais bien qu'ils
omme vient de le dire M. Crucliet, qu'une hémiplégie soit due à une lésion organique ou fonctionnelle des centres moteurs, e
t dus à des rappels, d'oiigiiie toxique ou infectieuse, d'anciennes lésions cérébrales. Par opposition à ces deux cas et po
stérie ? A côté de l'anatomie pathologique qui cherche a déceler la lésion organique, il y a la physiologie et la psychologi
ndes qui arrachent la substance grise sous-jacente. De ce centre la lésion va en rayon- nant pour ainsi dire dans tous les
le quatrième ventricule et le ventri- cule latéral gauche. Pas de lésions circonscrites. Pas d'athérome artérielle. 310 '
Poumons, rien de spécial. Coeur, mou, teinte feuille morte, sans lésions valvulaires. Aorte souple. Reins : l'un parait gr
s sommes malheureusement réduits à des hypothèses : Influence de la lésion cérébrale due à l'al- coolisme chronique, troub
els (crampes, fourmillements, dysesthésies, hallucinations) et de lésions anatamo-pathologiques (stéatose et sclérose). Ces
toire primitive, ou bien une paralysie générale associée à d'autres lésions d'en- céphalite due à l'alcoolisme, ou bien à u
prédominance et l'irrégularité de certains troubles et de certaines lésions : crampes, étourdissements, ictus plus fré- que
s'il s'agit de troubles pas- sagers, ou si l'on doit incriminer des lésions cérébrales de para- lysie générale. Ici la ponc
e les malades étaient des épileptiques ou des aliénés atteints de lésions ou de troubles graves du système nerveux central
sur l'état général de l'organisme ne saurait être contesté, et-ses lésions placent ainsi les malades dans un état d'inféri
ale. L'étal du fond de l'ceil chez les paralytiques généraux et ses lésions initiales. 1111. Ianv.vr, et G. IiAVIInT. Les
aincu que jus- qu'à ce jour il n'avait été produit aucune image des lésions de la papille en rapport probable avec les modi
arante-deux paralytiques, sur les cinquante et un, présentaient des lésions du fond de l'oeit ; il n'y avait guère que ceux q
lente, à longue évolution, il a été impossible de trouver aucune lésion ophthalmoscopique. - Deux autopsies arrivées à
nées fournies par l'examen ophthalmoscopique, on trouve qu'à des lésions prononcées, cliniquement constatées, correspondai
nt des altérations avancées des éléments anatomiques, et qu'à des lésions à peine perceptibles à l'ophtalmoscope correspond
proliféré. (Ce mémoire paraîtra in exlenso avec les figures.) Les lésions histologiques de l'écorce dans les atrophies du c
cutive à une sclérose cérébrale infantile. Dans ces trois cas, la lésion a été trouvée identique. Sur une dentelure dont
onc pas-tou- jours être considéré comme étant le représentant d'une lésion pri- mitive du cervelet. Contribution à l'élu
névrites et des polynévrites toxiques ou auto- toxiques, tantôt des lésions dues à la compression et à l'en- vahissement. -
plets ou surtout diversement associés par suite de la diffusion des lésions . De plus, les troubles moteurs sont en général
crâne ou au dehors. A la partie antérieure de la base du crâne, les lésions cancéreuses sont le plus souvent primitives (sinu
ille et Brissaud. et qu'avec ces auteurs nous considérons comme des lésions d'inflammations chroniques, ces productions cel
tage d'être basée à la fois sur les caractères cliniques et sur les lésions anatomiques de ces tumeurs. Cette classification
par les sarcomes solitaires des mé- ninges sur le tissu nerveux, la lésion la plus fréquente, bien con- nue, relève de la
is nous tenons à insister sur l'extrême lenteur avec laquelle cette lésion parait évoluer dans la plupart des cas. En effe
lement cervical, la moelle présentait, au- dessus et au-dessous des lésions habituelles de la compression lente, un volume
amenant ainsi une certaine gêne dans la circulation médullaire, les lésions pré- cédentes doivent être attribuées, au moins
'une névroglie. Par la méthode de Nissl, on relève l'existence de lésions inté- ressant un certain nombre d'éléments isol
é des noyaux, zone de dégé- nérescence pigmen taire. Ces diverses lésions sont particulièrement accusées sous le lobe fro
sont moins encore dans le lobe occipital. D'une façon générale, les lésions sont comparables chez les deux frères avec une
e est absolument fausse chez l'homme. M. Brissaud objecte que des lésions destructives de la totalité des fibres pyramida
es d'accord pour admettre l'hypei,pflectivité tendineuse dans les lésions de la capsule interne. Je réclame la preuve du fa
s le tronçon inférieur. Je pense que tout dépend de la nature de la lésion : si celle-ci est brusque, il y a flaccidité co
nt d'une paraplégie spasmodique, et chez lequel il diagnostiqua une lésion équivalant ci une section Or, chez ce patient,
alors que la sensibilité au contact a persisté jusqu'à la mort. La lésion élait donc incomplète. ' M. de Buck s'appuie
sistance où l'iu- fection secondaire s'installe, évolue et forme la lésion tabétique. Les origines infectieuses ou toxique
ino-basilaires, à cet âge; 4° dans cette constatation que, dans les lésions organiques du sys- tème pyramidal, le réflexe d
troubles fonctionnels ne peut qu'être rapportée à une connexité de lésions des centres qui président aux langages articulé
moelle étaient intactes, sauf une légère diminution de volume. Les lésions des vaisseaux étaient caracté- SOCIÉTÉS SAVANTE
stématisation aucune, ayant débuté par les fibres à myéline, et des lésions vasculaires chroni- ques qui indiquent l'import
e a confirmé le dia- gnostic, et l'examen histologique a montré les lésions cérébrales. ' hépatiques, rénales de la maladie
e, 2 à pneumocoques, 1 à entérocoques et' 1 à bacille d'Eberth. Ces lésions , ni constantes, ni régulières, siègent en génér
, les prolongements pâles, les bords échancrés (neuronophagie). Ces lésions étaient très accentuées dans 4 cas, légères dan
aire chronique à la 3° période. Au contraire, dans les 4 cas où les lésions furent très accentuées, il y avait eu méningite
de ce même processus, et ne diffèrent que parla distri- bution des lésions et par la rapidité de leur évolution. De lu mor
outre une rupture du coeur p'us ou moins étendue, il a constaté des lésions des valvules, de l'aorte et de certaines artère
que le foie, les reins. Dans les deux derniers cas, il y avait des lésions des coronaires, athérome dans l'un, infarctus dan
la possibilité d'autres formes de paramyo- clonus produites par des lésions organiques du cerveau. Les leucomdines de la su
ne famille de névropathes, indemne de paralysie ou de symptô nés de lésions en foyer. A la suite de l'administration de Kl,
r entre ces trou- bles sensitifs érotiques et ceux qui dépendent de lésions nerveuses l¡i8 8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
sont sous la dépendance, sinon exclusive, du moins prépondérante de lésions intra-spinales du tabes. R. C. XXI. Note sur de
qui, quel que soit l'apport ajouté par la syringomyélie ou d'autres lésions médullaires, renferme l'ensemble décrit par Duche
s, renferme l'ensemble décrit par Duchenne et Aran et rattaché à la lésion bien connue des grosses cellules des cornes ant
ve, trois termes caractérisés anatomo- pathologiquement par la même lésion du même appareil nerveux pris en des étages dif
Salpêtrière, n° 5, 1899.) Si les cas d'amyotrophie succédant à une lésion articulaire, à une arthropathie infectieuse ou
d'inoculer les microbes qui se sont développés. A. Fenayrou. XXX. Lésion traumatique des nerfs de la queue de cheval et du
5° paire lombaire et les li racines sacrées sont intéressées, et la lésion porte plus sur les racines postérieures que sur
s une forme de troubles de motihté dont la cause anatomique est une lésion cérébelleuse, et qui dépend d'une perturbation
gie entre ces deux ordres de mouvements. En résumé, d'une part, les lésions cérébelleuses sont capables de provoquer, dans
oigts. Le syndrome oculo-palpébral peut être occasionné par la même lésion , puisque le grand sympathique, qui se-rend à la
ndineux dans les membres inférieurs, se comprend si on admet que la lésion de la substance grise s'est étendue au cordon l
au bord interne qu'au côté externe du membre, fait supposer que la lésion s'est propagée aux racines du plexus brachial e
mort en trois jours. Consi- dérations sur l'évolution clinique des lésions cérébrales préco- ces de nature artérielle au c
sa face tuméfiée ; il y avait en outre de la diplopie. Pas d'autre lésion . On se trouve en présence d'une paralysie faciale
e dé- montre que cet ensemble de symptômes peut être imputé à une lésion unique siégeant dans la partie antéro-latérale ga
ment de symptômes plus ou moins systématisés, sont réalisés par une lésion minime, n'ayant en apparence aucune relation de
est attirée par la discordance entre les symptômes observés et les lésions trouvées. En effet, pas une seule fibre du fais
st avant tout un nombre suffisant de gardiens. Simon. XI. Sur les lésions cellulaires corticales observées dans six cas de
gine toxi-infectieuse, à forme de confusion mentale, accompagnés de lésions cellulaires corticales. Comme dans deux cas'pub
dans deux cas'publiés précédemment, les caractères prin- cipaux des lésions cellulaires corticales sont : gonflement de la ce
délire au cours des maladies aiguës, tendent à faire considérer ces lésions cellulaires comme en relation avec l'empoisonne
de s'atrophier et de disparaître à la suite de la section ou de la lésion de leur pro- longement périphérique; qu'il est
llules - spinales, il y a lieu de présumer l'origine secondaire des lésions cellulaires cérébrales observées. E. B. XII.
rmédiaire des deux feuillets pleuraux. Ceux-ci ne présentent pas de lésions différentes de celles de la plèvre gauche en gé
coupe; les parois muscu- laires très atrophiées et flasques. Pas de lésions valvulaires. Nous avons dit que la péricardite
taté une destruction totale de l'entrecroisement des pyramides avec lésion des faisceaux constitutifs des cordons antérieurs
stème conducteur de la sen- sibilité des parties profondes, dont la lésion entraine une diminu- tion ou la perte de cette
ulgaire (principalement au cervelet). , Le tabès commence par une lésion de la zone d'entrée des racines postérieures et
rieurs : c'est une dégénérescence du premier neurone centripète. La lésion des racines est segmen- taire. Mais dans chac
pliquée est une affection systéma- .tique combinée. Aux précédentes lésions s'ajoute : la dégénéres- cence des voies sensit
eich, est une modalité cérébelleuse dans laquelle nous trouvons une lésion systématique des centres coordinateurs du cerve
aladie de Friedreich ou du tabès est cérébelleuse. Elle tient à une lésion des faisceaux des cor- dons postérieurs et laté
un malade donné dans le cours du temps. S'il diminue, c'est que la lésion génératrice s'amé- liore ; s'il augmente, c'est
ts de mélancolie. 1° Cela est démontré par plus de cinquante cas de lésions trau- maliques de la tubérosité pariétale ou de
ivers degrés de la mélancolie, doit nécessairement nous révéler une lésion : on a fourni dans ce travail des preuves expé-
qui tous deux sont atteints dans la mélancolie ; 3e Que dans les lésions de cette région, l'augmentation de la pression
uestion ici de localisation, ce terme étant compris dans le sens de lésion en foyer. En effet, dans une maladie mentale, l
anatomique et qui lui permet de résister plus avantageusement à la lésion subie. G. D. XLV. Tumeur du thalamus optique ;
ns sur les relations de cause à effet qui peuvent exister entre les lésions cardiaques et les troubles mentaux. Les autopsi
troubles mentaux peut, dans une assez large mesure, dépendre de la lésion cardiaque : il est clair par exemple que dans '
dans l'ensemble, les psychoses sont plus fréquentes dans les cas de lésion aortique; elles participent alors de la manie e
te- fois, il ne faut pas s'attendre à trouver entre la nature de la lésion cardiaque et la forme du délire une relation qu
ent une prudente réserve dans l'appréciation des rapports entre les lésions du coeur 512 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. et
sous l'influence de cette hypertrophie passagère, voir éclater des lésions cardiaques jnsqucs-la latentes et d'origine rhu
de poly- névrite et ces mêmes aliénés présentent effectivement des lésions de polynévrite avec retentissement sur la moell
la moelle : l'auteur en rapporte trois observations probantes. La lésion du nerf est-elle primitive ou secondaire à une lé
probantes. La lésion du nerf est-elle primitive ou secondaire à une lésion centrale ? La moelle est incontestablement lésé
pour le cerveau. Il était, en tout cas, intéressant de constater la lésion des nerfs périphériques d'une catégorie d'alién
iquer la chorée par des embolies fines, et Letschenow avance que la lésion se trouve dans les couches optiques. Clouston a
u sang ainsi modi- fié sur certaines parties du système nerveux. La lésion anato- mique la plus fréquemment rencontrée à l
ssus imprégnés de toxines ; il établit un parallèle entre les fines lésions de capillaires des divers tissus hépatique, céréb
action du corps thyroïde. D'autre part, il y a dans la poitrine des lésions qui suflisent à expliquer l'accélération des batt
ysie pseudo-bulbaire est, le plus géné- ralement, le résultat d'une lésion bilatérale des hémisphères. Dans 536 SOCIÉTÉS S
insiste sur le point que le signe qui porte son nom caractérise la lésion pyramidale mais n'en indique ni la hauteur, ni
volume, au niveau des grandes cellules de la substance grise, avec lésions secondaires des racines antérieures, des nerfs pé
ici plusieurs malades chez lesquels il existe incontestablement une lésion de l'appareil cérébelleux et qui présentent très
ette- ment ce phénomène. Ce trouble est donc la conséquence d'une lésion cérébelleuse.' Il fait défaut dans les affectio
atrophie mus- culaire, par Wilhelm Magnus, 42 ? Histologie. Les lésions histolo- giques de l'écorce dans les atro- ph
dermoïde du cerveau, par J. Halva, 62. Larmes. Voir Mystiques. LÉSIONS CELLULAIRES CORTICALES. Voir Troubles mentaux.
ar Rouby, 380. Moelle. Diagnostic des maladies de la -, siège des lésions , par Gras- set, 68. Essais d'excitation élec-
ir Ilyper- acuité, Nerfs sensitifs et moteurs. Voir Anesthésie. Lésion traumatique des de la queue de cheval et du c
et Mercier, 331. L'état du fond de l'oeil dans - générale et ses lésions initiales, par Kei@aval et Raviat-1, 356. Obser
oyages dans le traite- ment des mentaux, par Savage, 444, Sur les lésions cellulaires corticales observées dans 6 cas d
71 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ession née à la péri- phérie n'est plus perçue soit par suite d'une lésion des voies de conduction, soit par la destructio
guer d'une part les troubles du sens muscu- laire consécutifs à des lésions des voies de conduction, où le ma- lade conserv
ouvements volontaires, et d'autre part les troubles consécutifs aux lésions des centres, en prenant le mot centre non plus
laire, est l'exemple clas- sique de troubles du sens musculaire par lésion des voies de con- duction centripète. C'est l'é
cences est impuis- sante à combler cette lacune et d'autre part les lésions de cette partie de l'encéphale sont à la fois t
cas pour que leur étude puisse fournir des notions certaines. Les lésions de la capsule interne sont ¡,l'encontre fréquemme
l'hémianesthésie n'existe que dans deux cas : 1° Lorsqu'il y a une lésion thalamique détruisant les fibres ter- minales d
uites; pour réaliser cette condi- tion il faut une très volumineuse lésion capsulaire. Ces auteurs admettent donc que les
faisceau rétro-lenticulaire est composé de fibres visuelles et les lésions siégeant à ce niveau produisent l'hémianopsie.
tre en tout cas que dans l'hémi plégie cérébrale vulgaire due à des lésions . capsulaires empiétant plus ou moins sur la cou
existe sera attribué a des phénomènes hystériques surajoutés il la lésion or- ganique. Il n'en est pas de même lorsqu'il
la fréquence des troubles de la 1 Tripier. De l'anesthésie dans les lésions cérébrales. (Revue de méde- cinq, 1880,) 3Lte
vations. Dans ces deux cas il admet qu'on doive les rapporter à une lésion de la partie postérieure de la capsule. Cette a
orlem. Vladimir Aluratov 2 se base pour établir le diagnostic d'une lésion corticale avec une lésion capsulaire sur ce que
se base pour établir le diagnostic d'une lésion corticale avec une lésion capsulaire sur ce que dans les lésions de celte
une lésion corticale avec une lésion capsulaire sur ce que dans les lésions de celte dernière partie le sens musculaire ser
ns musculaire est plus ou moins lésé chez les individus porteurs de lésions en foyer siégeant dans la zone rolandique, dans
, Abba se croit en ' Henri Verger. Les anesthésies consécutives aux lésions vaso-7no- trices. (Thèse de Bordeaux, 1897.)
inion et tend à rattacher toutes les anes- thésies cérébrales à une lésion de la partie postérieure de la capsule interne.
blier que les troubles du toucher actif existent également avec des lésions des voies de conduction centripète. Georges G
gligeable en clinique, juste- ment parce que cette perte révèle une lésion assez importante. Dans les études que nous avon
e nous avons rapporlés dans notre thèse inaugurale il s'agissait de lésions intéressant l'écorce rolandique. Par suite et é
tion, angoisse, loquacité; atrophie bilatérale des interosseux sans lésion périphérique. Le pronostic n'est cependant pas
ux de démence familiale de IIomen, de rattacher avec précision, aux lésions sy- philitiques du système nerveux, celles de l
et dont la pachyméningite a été constatée à l'autopsie sans autres lésions , a pu cliniquement présenter successivement tous
ïdienne du goitre exophtalmique. Il admet qu'à côté des cas où la lésion thyroïdienne est primi- tive, il en est d'autre
ne est primi- tive, il en est d'autres d'origine nerveuse, ou cette lésion est se- condaire et relate un certain nombre de
résultats reste toujours subordonnée à la rapidité d'évolution des lésions anatomiques de la maladie. A. Fenayrou. X. Le r
olue de découvrir à l'autopsie soit à l'ceil soit au micioscope une lésion quelconque capable de rendre compte de l'état c
lade sont en parfait état, et de constater aussi l'absence de toute lésion rénalp. Dans les cas de néphrite il ne faut pas
ge de la tumeur plu- sieurs des symptômes paraissaient indiquer une lésion de la base, au voisinage de la protubérance et
de l'épilepsie, la céphalalgie frontale plaidaient en faveur d'une lésion voisine des centres de la face et du bras, dans l
ces troubles soient appréciables que, malgré la localisation de la lésion , l'hémiplégie soit très faible. Ces cas sont ra
imple diminution de fonctions des capsules surré- nales sans grosse lésion anatomique, et se traduisant par une as- thénie
éningite cervicale hyperlrophique est associé le plus souvent à des lésions syringomyéhques de la moelle, consi- dérables ;
-myelite tuberculeuse, dont chacune présente une évolu- tion et des lésions histologiques spéciales. La première est une fm
n bel exemple de myélite parenchymateuse primitive, qui évolue sans lésions méningée, interstitielle ou vasculaire, sous fo
eux suppurés, avec dégénération de cellules géantes chro- matolyse, lésions de la capsule interne, etc. 86 SOCIÉTÉS SAVANTE
Je sais bien qu'on a voulu faire aussi un rapprochement entre les lésions anatomo-pathologiques des deux maladies qui rel
sive, en atten- dant le moment où la connaissance suffisante de ses lésions anatomiques permettra d'en faire une psychose o
isait, le 21 août 1897 : 1° Dans les cas graves, avec autopsies, de lésions traumatiques de la moelle, à la suite de fractu
suite, pour un processus tuberculeux. Leyden a déjà indiqué que la lésion tuberculeuse, carcinomateuse, ou sarcomateuse d
as pendant le décubi- tus dorsal. Dans l'espèce, on concluait à une lésion de l'articula- tiou atloïdo-occipitale et à la
on de l'articula- tiou atloïdo-occipitale et à la propagation de la lésion au trou condylien antérieur, pour les raisons s
per- pendiculaire, par leur extrême circonscription, révélaient une lésion de l'articulation de la première avec la deuxiè
rs une dégénérescence descendante dans la pyramide du même côté. La lésion du centre du facial se traduit par une dégénéres-
de ; on trouve des fibres dégénérées par toute la pyramide dans les lésions du centre du trijumeau et de l'hypoglosse. Au n
vont du côté opposé. Ces fibres peuvent être, en ce qui concerne la lésion du centre du facial, suivies tout près de son n
l, suivies tout près de son noyau ; il n'en est pas de même pour la lésion du centre du trijumeau et de l'hypoglosse. La
même pour la lésion du centre du trijumeau et de l'hypoglosse. La lésion du centre cortical de l'hypoglosse révèle un entr
nt ; on voit simplement des fibres dans le voisinage du noyau. La lésion des centres corticaux du trijumeau et du centre i
re jusque dans la moelle jusqu'au cordon latéral du côté opposé. La lésion isolée du centre cortical de n'importe quel ner
énérescence de toutes les fibres des pyramides qui dégénèrent après lésion du centre cortical d'un nerf crânien quelconque.
er à l'aide de cinq observations favorables, le déve- loppement des lésions , l'extension de la substance de soutène- ment,
éphalique. Le second groupe dépend, lui, de la place occupée par la lésion du système nerveux central ; il constitue les a
que quand il n'existe pas de cordon antérieur des pyra- mides, une lésion de la capsule interne d'un hémisphère cérébra i
nal de Marie ou le fais- ceau marginal antérieur de Loewenthal. Une lésion expérimen- tale de la moelle cervicale du chien
tion chez les amputés, ce qui prouve que la réparation complète des lésions centrales n'a lieu qu'après le réta- blissement
cérébrale (thèse de Coulbault, 1881), ne s'explique ici ni par une lésion des os (Virchow), ni par la syphilis (Huber). L
re guère que dans l'épilepsie, la paralysie générale et cer- taines lésions locales. Cette inégalité tient dans la paralysi
ques de l'oeil, toutes les présomptions sont plutôt en faveur d'une lésion cir- conscrite, ou d'une syphilis cérébrale plu
ns un cas spécial de tabès. M. Klippel. Cette moelle présente des lésions sur toute la hauteur des cornes antérieures, et
nte des lésions sur toute la hauteur des cornes antérieures, et des lésions des racines posté- rieures dans la région dorsa
présente une légère sclérose diffuse. Donc, malgré l'abondance des lésions , dans ce cas, il n'y a de lésions cornu- radicu
use. Donc, malgré l'abondance des lésions, dans ce cas, il n'y a de lésions cornu- radiculaires postérieures que dans la ré
rtain que les dégénérations secon- daires des racines postérieures, lésion exogène, constituent tout le tabès ? Il faudrai
ent tout le tabès ? Il faudrait donner une part plus importante aux lésions endogènes, la moelle étant malade par elle-même
par elle-même; et ne faut-il pas dans 'ce cas aussi considérer les lésions lombaires diffuses comme nées sur place et non
ur place et non pas secondaires ? M. Déjerine. La participation des lésions endogènes est encore bien difficile à détermine
nérations.. Mais dans le cas cité, le malade étant tuberculeux, ces lésions lombaires peuvent bien n'être que des lésions c
tant tuberculeux, ces lésions lombaires peuvent bien n'être que des lésions cachectiques. M. Dupré. De plus le malade était
e. Elles sont ordinairement locales, petites', associées à d'autres lésions qui en précisent la pathogénie. Leur symptoma-
IÉTÉS SAVANTES. M. JORFROY demande ce qu'a été l'évolution ; si les lésions ont commencé dans la région cervicale pour pren
Philippe et Oberthur. M. Philippe. Tout tend il démontrer que les lésions de début ont apparu dans la région cervicale (s
la région cervicale (s. pachyméningitique), mais les deux ordres de lésions ont toujours évolué indépendamment l'un de l'au
offroy. L'intérêt de la question serait maintenant de savoir si les lésions de la moelle et celles des méninges ne mar- che
n petit ramol- lissement de la circonvolution linguale et une autre lésion analogue à la face inférieure du cervelet du cô
ont ou alterner mutuellement. Presque toujours l'amélioration de la lésion bacillaire est accompagnée de la rémission ou de
théorie était incomplète. Dans les cas de paraplégie flasque et de lésion < transversale totale de la moelle cervico-d
s réflexes de la partie du névraxe située au-dessous du siège de la lésion . Quand l'interruption anatomique ou fonc- tionn
ymale, etc. Le rire et le pleurer spasmodiques- sont causés par des lésions bilatérales des aires motrices du cer- veau, ou
des lésions bilatérales des aires motrices du cer- veau, ou par des lésions capsulaires, abolissant l'inhibition volon- tai
y est démontré en particulier que l'hallu- cination résultant d'une lésion d'un lobe occipital doit affec- ter partielleme
uretères ou dans la région vésicale. L'urèthre est indemne de toute lésion : seuls les bords du méat sont rouges et quelqu
s l'enfance, pas d'incontinence nocturne d'urine, plus tard, aucune lésion suffisante des organes uro-génitaux qui soit un
nd par l'intégrité des voies d'excrétion de l'urine et l'absence de lésions vésicales douloureuses. Enfin, le défaut d'obse
ste donc pas plus d'hyperexcitabilité muqueuse ou musculaire que de lésions anatomiques. Les organes périphériques du réfle
irritables en tous points sem- blables à celle de notre malade : de lésions organiques, point, dans l'appareil urinaire com
aits déjà connus de vessies irritables simples, sans coexistence de lésions organiques : à côté de la vessie cystalgique, c
isation. Le fait qui précède méritait d'être connu. D'habitude, les lésions qui ont produit une hémiplégie peuvent détermin
la lecture des obser- vations. Si l'on se trouve en présence d'une lésion extra-cérébrale, l'enlever largement. Si, au co
entre moteur cortical du bras droit. Il n'existe à ce niveau aucune lésion ni de l'os, ni des méninges, ni du cortex. Sans
Dans certains cas, cette déchéance est purement fonctionnelle, sans lésions appa- rentes des organes; dans d'autres, elle e
de, il convient de soigner, non seulement l'état local s'il y a une lésion , mais encore de traiter le malade comme un épil
s une lois pour toutes que la folie est le symptôme d'une véritable lésion du cerveau, une maladie comme toutes les autres,
hisie; mais même dans les autres autopsies on a toujours trouvé des lésions pulmonaires. Une recrudescence de tuberculose d
e que dans ceux qui se ratta- chaient à la phthisie, et en fait des lésions se sont rencontrées dans presque toutes les aut
ent étudiée dans les périodes de début, mais si l'on se reporte aux lésions nombreuses qui ont été cons- tatées dans les fa
rigine. En tout cas l'athé- tose vraie reconnaissant pour cause une lésion pyramidale définie, on peut comprendre la resse
rma promptement la guérison. Je pourrai par contre citer des cas de lésions organiques où le signe des or- teils a fait déf
mène des orteils fût nécessairement sous la dépendance d'une grosse lésion du système pyramidal; j'ai dit que ce phéno- mè
-moteur com- mun gauche d'autre part. A l'autopsie, on trouve des lésions bilatérales dans la région pédonculaire ; dans
tronc basilaire et la communicante postérieure. La filiation des lésions est la suivante : entérite nodulaire en- globan
et foyer de ramollissement dans le pondécule. La topographie des lésions intra-pédonculaires explique physio- logiquemen
propos de la première malade, il n'y a pas lieu de s'étonner si une lésion cérébelleuse a reproduit le syndrome de la sclé
ent d'un pronostic assez bénin, soit à cause de la curabilité de la lésion médullaire, soit au contraire parce que le mala
un délire actif de persécu- tion, à l'autopsie duquel on trouva des lésions du faisceau posté- rieur. M. Anglade insiste su
d'équivalents cliniques). Discussion. M. S. KORNILOFF croit que les lésions trouvées chez le deuxième malade de M. Mouratow
mplement d'une artérite syphilitique, car il faudrait pour cela une lésion trop élec- tive des artères destinées aux noyau
dendrites basi- laires des cellules pyramidales se soumettent à la lésion plus tard. Les épaississements et les gonflemen
valent souvent des gonflements sphériques, et il n'y a pas ici de lésion préalable des dendrites terminales. Plus la tempé
x. (L'Année psychologique, 1896, 2° année.) Azoulay et KLIPPEL. Des lésions histologiques de la paralysie générale étudiées
entale de Belgique, 1898. mars, n° 88.) KurpEL (et A70ULY). - Des lésions histologiques de la paralysie générale étudiées
vcARO. (Riv. di put. ner0. et ment., fasc. II, 1899.) XXIX. Sur les lésions des éléments nerveux dans le cours de la périto
ressée que tardivement, enfin, si les symptômes rappellent ceux des lésions cérébelleuses. J. SÉGLAÓ. XXXIII. Extirpation
di /'ren., fasc. II, 1899.) L'auteur tend à démontrer : 1° que les lésions dégénératives ascendantes des cordons postérieu
différente du sang dans le tissu nerveux. C'est seulement quand la lésion de la cellule nerveuse devient irréparable, que
tes. En pareil cas, dans la région de l'écorce où prédominent les lésions de ramollissement, d'atrophie, d'oedème, d'anémie
ue ; puis lespariétales et tempo- rales, enfin les occipitales. Les lésions siègent toujours dans lesdeux hémisphères, plus
e) alors que la moelle cervico-dorsale était le siège principal des lésions . Quant à l'interprétation de l'exagéra- tion du
agéra- tion du réflexe rotulien, elle est difficile en l'absence de lésions du faisceau pyramidal (le phénomène des orteils
comme guide, n'ont pu amener la découverte de l'aiguille. Aussi les lésions déterminées par ce corps étranger sont-elles co
ènes qui engagent à admettre, à côté de la sclérose en plaques, des lésions syringomyéliques dont la topographie fonctionne
leur à la percussion de la zone rolandique, etc. Le diagnostic de lésion tuberculeuse au niveau de la zone rolan- dique
ggèrent à W. Sinkler, l'idée d'une prédisposition héréditaire à des lésions du système nerveux, et d'un défaut de développe
ue sur- tout intéressant par l'examen histologique très complet des lésions . Les modifications pathologiques des cellules n
user ces altérations cellulaires, mais il est très probable que les lésions méningées sont suffisantes pour les expliquer.
ouble fonctionnel. 11 est probable qu'une relation existe entre ces lésions anatomiques et la débilité mentale du sujet obser
e les mani- festations acromégaliques se produisent, il faut que la lésion soit complète, c'est-à-dire atteigne le tissu g
du langage : deux caractères, en général liés à l'exis- tence d'une lésion nettement circonscrite, et qu'il est exceptionnel
ivalent à peu près à la destruction de la région intéressée par une lésion circonscrite telle qu'un ramollissement. L'enlè
blanche) qui déterminent des symp- tômes relevant habituellement de lésions circonscrites. M. Marie n'a jamais vu de cas de
ices comme le sien où se trouvent un très grand nombre de malades à lésions circonscrites, plus certainement que dans les s
une hémorragie cérébrale qui entraîna la mort détruisit et noya la lésion primitive. M. Marie pense néanmoins que les thé
échet. M. JEFFROY. 11 y a souvent discordance entre l'étendue des lésions de la paralysie générale et le degré minime des s
que la malade était une paralytique générale avec prédominance des lésions sur le lobe temporal. M. Sérieux. La rareté d
x et à évolution tabétique ultérieure ; c'est le diagnostic avecles lésions des premières racines lombaires, avec les pseudo-
c, non d'une méralgie paresthésique, mais d'une pseudo-méralgie par lésion traumatique radiculaire. Je n'ai insisté, dans
aient véritablement trompeur. Les pseudo-méralgies radiculaires par lésion vertébrale sont du reste d'ordinaire d'un diagn
e la clinique : en présence d'une pseudo-méralgie radi- culaire par lésion de la colonne vertébrale, il faut mobiliser celle
ci en présence d'une pseudo-méralgie réflexe, il faut traiter la lésion viscérale et d'ordinaire cervico interne qui en e
antes communications à la Société de biologie sur la pathogénie des lésions cérébrales, révèlent par les considérations qui
rées ; les sujets choisis ont été : de l'idiotie liée à « certaines lésions cérébrales ; des actes impulsifs dans les « dif
, sont d'une réelle importance au point de vue de la pathogénie des lésions cérébrales. En 1884, sur la question délicate d
y ait hyperesthésie aux centres et à la périphérie, la nature de la lésion n'est pas la même. La cause dans les deux cas e
, ce sont des percep- tions sans objet; à la périphérie, il y a une lésion réelle, la névrite alcoolique, bien étudiée par
ce sont de vraies douleurs, des douleurs réelles provoquées par la lésion . Voilà pourquoi, tout en les signalant dans nos
0 injections ; et au mois de septembre de la même année, il eut une lésion de la capsule interne à gauche, qui paralysa du
ès 1700, Théodore Bonet ' parle des troubles de la digestion et des lésions des organes digestifs ; quelques années plus ta
n à la localisation de la conscience musculaire basée sur un cas de lésion traumatique de la tête ; par WL. Mu- nanow. (Nw
es en question sont les vectrices de ces combinaisons. En fait, les lésions circons- crites même profondes dues à un proces
s étaient fortement dégénérées. Voici maintenant une observation de lésion traumatique du cerveau comparable à une expérim
ué par Zernow au moyen de son encé- phalomètre permet d'établir une lésion du crâne avec destruc- Archives, 2' série, t. I
ibilité normale au thorax et au tronc. Si nous avions affaire à une lésion des voies conductrices nous aurions une anesthé
aurions une anesthésie d'un autre type et autrement disposée. Si la lésion de la capsule interne se traduit surtout par' une
tion qui coïncident avec la région motrice. Il y a, par conséquent, lésion surtout du milieu, mais aussi du tiers supérieur
nte d'endar- térite syphilitique, elle produit, de bas en haut, les lésions de la moelle. Elle fournit une chaine anastomot
elle monte très haut, malheureusement le bulbe manque. En bas, la lésion étant limitée à la moelle cervicale, les parties
'est la dégénérescence de la virgule de Schultze, consécutive à une lésion des racines postérieures. Quel rapport affecte
rsale a provoqué la dégénérescence de la virgule de Schultze et une lésion réelle, quoique faible, d'une zone postéro- méd
peut être perdu si l'un de ces centres est lésé. 2° Dans le cas de lésion périphérique, c'est-à-dire quelque lésion dans
t lésé. 2° Dans le cas de lésion périphérique, c'est-à-dire quelque lésion dans ou entre le centre du lobe pariétal et les t
ouble. 3° Le centre de perception peut être atteint par suite d'une lésion du cerveau, dans le cas d'apoplexie par exemple
e vue on peut grouper les épileptiques en 4 catégories : 1° grosses lésions cérébrales, telles que ramollisse- ments locali
nique, syphilis en tant que virus, saturnisme, etc., sans signes de lésion cérébrale localisée ; 3° cas hystéroïdes, assez
se demander si la manie alcoolique n'est pas la conséquence d'une « lésion de décharge » analogue à celle de l'épilepsie.
observe dans la manie épileptique. Pourquoi n'y aurait-il pas une lésion de décharge semblable aussi ? Quant à la perte de
le. M. Touche communique des des- sins de deux cerveaux portant des lésions du cunéus, des lobules fusiformes et de l'hippo
rd, puis par lui et Brissaud. Ils insistent sur la multiplicité des lésions constatées à l'oeil nu et au microscope avec le
ne éten- due plus ou moins considérable. - Cette multiplicité des lésions permet d'écarter avec beaucoup de vraisemblance
un gliome, ou mieux, un neurogliôme ganglio-cellulaire. Pareilles lésions étendues à la totalité du cerveau et même an cerv
ncordanls et proportionnels par rapport au degré et à l'étendue des lésions . De même dans les maladies de la moelle épinièr
lissement du cunéus du lobule fusiforme et du précunéus gauche avec lésion du bourrelet du corps calleux. L'autre est une
ue, d'après les faits cités, consisterait fréquemment en une double lésion des lobes occipitaux ; les cas les plus intéres
s cas les plus intéressants reconnaissent pourtant généralement une lésion du seul lobe gauche (au moins chez les droitier
latéralité. La cécité psychique est probablement possible avec une lésion purement corticale bien que dans toutes les obser
par défaut de localisation dans l'espace est probablement due à une lésion corticale des deux lobules pariétaux inférieurs,
tactile (localisée) du membre supérieur serait déter- minée par la lésion du tiers moyen des deux circonvolutions péri- r
me. L'exa- men sthétoscopique de l'appareil respiratoire dénote des lésions de tuberculose pulmonaire avancée surtout à gau
a lèvre inférieure est, vers la commissure gauche, le siège d'une lésion trophique se présentant sous l'apparence d'une la
ités. « Les hallucinations sont aux centres sensoriels et à leurs lésions ce que l'épilepsie est aux centres moteurs. » C'e
ues ne sont en réalité que des illusions sensorielles. Par suite de lésions de l'oreille il y a production affective de bru
veau hyperesthésie. RECUEIL DE FAITS. Idiotie symptomatique de lésions destructives du lobule de l'Insula et de scléro
ne. - Psezida- kyste comblant l'espace demeuré vide par suite de la lésion qui a détruit en partie le lobe temporal droit,
vulsions, intelligente; 2° notre malade. IDIOTIE SYMPTOMATIQUE DE LÉSIONS DE L'INSULA. 495 Antécédents personnels. - Pas
s abondants à la paupière inférieure. Les yeux ne présentent pas de lésions apparentes, les iris bleu clair, les pupilles,
ien et rejette dès qu'il est vide. Après le IDIOTIE SYMPTOMATIQUE : LÉSIONS DE L'INSULA, ETC. 497 repas, elle met ses doigt
ie est complète. Température après décès. IDIOTIE SYMPTOMATIQUE : LÉSIONS DE L'INSULA, ETC. 499 notablement plus petite q
- Il existe au niveau de tout le lobe tempo- ral et de l'insula une lésion ancienne constituant un pseudo-kyste, rempli de
d'Ammon et de ce qui reste de la circonvolution de l'hippocampe. La lésion inté- resse tout le lobe temporal aussi bien la
ètres du pied de PA. Tout le lobule de l'insula est compris dans Id lésion . - A la place des digi- tations on trouve une p
4 millimètres de la bandelette optique (PL. IV). Autour de cette lésion principale,-lobe temporal, insula les circonvol
einte de la scissure de Sylvius et lobule de l'insula), une zone de lésions moins accusées. Autour de cette zone les circon
e d'Ammon, le tiers antérieur de la circon- IDIOTIE SYMPTOMATIQUE : LÉSIONS DE L'iNSULA, ETC. 501 volution de l'hippocampe,
lanche, atrophiée, dure. - Le lobule de l'insula ne présente aucune lésion ; il possède trois digitations bifurquées. Des d
ions comparatives : 502 RECUEIL DE FAITS. IDIOTIE SYMPTOMATIQUE : LÉSIONS DE L'INSULA, ETC. 503 III. L'idiotie était abso
che de substance nerveuse ayant encore une certaine épaisseur. La lésion primitive nous paraît être celle qui a détruit le
cissure de Sylvius. Elle nous semble pou- voir être attribuée à une lésion vasculaire (oblitération) du tronc sylvien et d
us petites que le tronc et les bran- ches du côté gauche. A cette lésion s'est ajoutée une encéphalite qui a eu pour con
rt des cir- convolutions entourant le premier foyer. Cette double lésion a entraîné un arrêt de développement de tout l'
(pédoncule, protubérance, etc.). Rappelons aussi pour mémoire, les lésions méningitiques. Un dernier point à signaler c'es
re, les lésions méningitiques. Un dernier point à signaler c'est la lésion de l'extrémité antérieure du lobe temporal gauc
en- due, à celle qui a porté sur tout le lobe temporal droit. Ces lésions symétriques ne sont pas rares et, en général, l'u
rs plus touché que l'autre 1. Une coupe transversale, montre que la lésion de l'insula s'arrête à l'avant-mur. REVUE D'A
le corps genouillé externe Voici une observation dans laquelle une lésion limitée du corps genouillé externe a produit un
avec les deux moitiés rétiniennes ; 2° l'amaurose consécutive à la lésion de la bandelette optique, du corps genouillé exte
el de l'oeil opposé toujours beaucoup plus marqué que du côté de la lésion ; la déchéance du champ visuel est limitée dans
ans les deux yeux, lacune plus considérable dans l'oeil opposé à la lésion . 510 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
é une hémianopsie homonyme des deux yeux, avec, du côté opposé à la lésion , réaction pupillaire hémiopique : Ce qui prouve
radiculaires ; cette leçon tend à démontrer que la localisation des lésions pourra peu à peu être poursuivie jusque dans le
eur, chez le chien tout au moins, et un groupe externe. L'étude des lésions de réaction à dis- tance produites par la secti
s trouvent leur confirmation dans divers faits cliniques : cas de lésions alrophiques du noyau du facial avec participation
ffmann. Remak, Bernhardt, Fazio, Londe, etc. A. 1ENAYRGU. LXXXIH. Lésion en foyer de la capsule interne. Paralysie laryngé
laryngée accompagnant le syndrome de Weber fût en rapport avec une lésion de la partie antérieure du pédoncule cé- rébral
dans l'hémiplégie alterne et son absence dans les hémi- plégies par lésions cérébrales. A. rENAYROU. 516 6 REVUE DE PATHOLO
la moelle. Ils sont inté- ressés dans toute leur longueur, mais les lésions frappent surtout les parties postérieures et mé
eaux. Ces symptômes sont des (roubles oculo-pupillaires relevant de lésions de la substance blanche de la moelle. L'auteu
origine purement péri- phérique ; sa cause intime est toujours une lésion des centres ner- veux, l'irritation des nerfs p
'une affection rare, étudiée récemment par le Dl' Pitres et dont la lésion centrale 52 : 2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
pàle, le cervelet et la moelle ne présentaient rien. Pas de grandes lésions dans les reins; on trouve une cystite et le rét
econdaire des faisceaux pyramidaux, qui ne pût non plus résulter de lésions périphériques ou radiculaires, de sorte qu'il f
ils en extension, signalé par Babinski, indiquant l'existence d'une lésion de la voie pyramidale, est un symptôme de la pl
mple syndrome capable de servir de masque à des affections et à des lésions organiques très dissemblables, il était nécessa
deux yeux sans modifications appréciables du fond de l'oeil et sans lésion du nerf optique ou du cerveau, avec retour prog
survie a été possible en raison de la localisation très limitée des lésions du bulbe. M. MARIE. - Nous voyons en effet peu
es. A l'autopsie on trouva la substance grise saine dans la moelle. Lésions de névrite sans lépromes ni bacilles dans les n
poradique diagnostic avec l' -, par Koplek, 243. symptoma- tique. Lésions de l'insula, par Bourneville et Belin, 495. I
r Bloch, 351. - avec autopsie par van Gehuchten, 516. Péritonite. Lésions des éléments nerveux dans la , par perfora- t
72 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
o ? ... , ."< , , )uui euuu urm91 us toute autre cause que dune lésion rénale.... je, e111 ,` qrut tt.- 'Oks.41l M) w
à, cheval- sur. l'angle, d'une table ; )qu'il il en est resuite une lésion intérieure qui s'est traduite immédia- ment par
ès Horsiëy ces transpositions de sensation" seraient liées àL , une lésion de la zone rolandique. ' t ·1 >'#<* ? v v 1
subarachhoïdien. Dans tous il y avait atrophie marquée du cerveau, lésion évidente de la,pie-mère et endartérile chroniqu
un'cas seulement;' la' dure-mère paraissait-atteinte, encore celte lésion pouvait-elle n'être que secondaire. L'auteur pa
isée aux membres infé- rieurs, et, admet-on, sous, la dépendance de lésions médullaires,' on l'observe parfois dans la myél
es a déjà été signalée, on l'a même expliquée par la présence d'une lésion , dont dépendraient les deux phénomènes, située
1UNOPLÉGIE1'ERSISTaNTE DU MEMBRE INFERIEUR GAUCHE CAUSÉE PAR ' UNE* LÉSION TRÈS LIMITEE DE LA CAPSULE INTERNE iDROITE;"Ipa
riés peuvent ne déterminer aucune espèce de paralysie; 2° que les lésions , destructives très circonscrites, siégeant dans l
s, les os de la face, sauf parfois )e maxillaire inférieur dont les lésions sont toujours peu considérables, elle at- teint
sidérables, elle at- teint constamment les os symétriques, mais les lésions prédomi-, nent toujours sur l'un d'eux. ... ? ,
agnostic. Le traitement-, échoue, parce, que, z sans f doute;4, les lésions 4 sont' de nature, sclérotique, ù mais ! pendan
du de leur force. On ne peut savoir si la marchel est ataxique, des lésions articulaires ne permettant pas à la malade de f
neuf jours après le début de la paraplégie. A l'autopsie : pas de lésion visible à l'aeil nu. Au microscope, les méninges
ontre l'origine vasculaire de ceux-ci ? Toutlporte àicroire que ces lésions sont) des lésions identiques trouvées dans la p
sculaire de ceux-ci ? Toutlporte àicroire que ces lésions sont) des lésions identiques trouvées dans la première observatio
et mort par maladie intercurrente, érysipèle. L'autopsie montre des lésions autres que celles notées' chez' les deux sujets
c une importance réciproque très inégale; A remarquer enfin que les lésions veineuses appa- raissent les premières'et qu'el
tent ordinairement, dans-la suite, toujours plus prononcées que les lésions artérielles.f i-«.r --, Archives, t. XXVIII. 4
. -Comme conclusion : 'On ne peut pas encore, au point de vue des lésions ,' différencier d'une façon précise les méninge-my
l'accident de décembre 1886. 11 y a eu, selon toutes probabilités, lésion des racines spinales de- la queue-, du-, cheval
tés, lésion des racines spinales de- la queue-, du-, cheval ? cette lésion , déjà améliorée en décembre 1888, a< terminé
- tamment chez les gâteux, les agités,ou les malades 'atteints de lésions organiques; 7 ? le {grand bain, chaud est indiqué
; , *& , M. SIOLI présente des coupes du cerveau dans un cas de lésion du lobe occipital. 11 y avait complète amaurose
base ni au trajet de la bandelette optique, on dut penser .. à une lésion des deux lobes occipitaux et, étant donné l'ancie
1894. ? 90. ARCHIVES DE NEUROLOGIE 'i ANATOMIE PATHOLOGIQUE DES LÉSIONS IIISTOLOGIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE ÉTUDIÉE
. 2 Soc. de Biologie, 12 mai 1891. 3 Berl. Klin. Wochens, 1894. LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 83 loin
de la méthode. A titre de document, et afin de pouvoir comparer les lésions obtenues par la méthode de Golgi avec les résul
alysie générale progressive à évolution lente, à forme démente avec lésions destructives, épaississeaneut des mé- ninges, é
peau était brûlante. Pas d'herpès. Cetle fièvre a duré un mois et lésions histologiques de la paralysie générale. 85 le D
4). Encéphale. Les artères de la base ne sont pas athéromateuses. LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 87 Les
A PARALYSIE GÉNÉRALE. 87 Les éléments cellulaires offrent aussi des lésions . Les cellules cé- rébrales dans les différentes
normale. Dans la substance blanche, les vaisseaux offrent les mêmes lésions que dans la substance grise; peut-être sont-ell
prolongements protoplasmiques. Peut-être encore la marche de ces lésions s'expliquerait-elle aussi par le fait que le corp
dales le sont beaucoup moins. Peut-être cette moindre fréquence des lésions des petites pyramides vient de ce qu'elles s'im
. Cellules pyramidales de l'écorce temporale d'un mélancolique. Mêmes lésions qu'en A, B, C, D, mais à un moindre degré. LÉ
colique. Mêmes lésions qu'en A, B, C, D, mais à un moindre degré. LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 89. par
du cervelet présentent des altérations analogues. En comparant ces lésions à celles que montre la figure ci-jointe dans la m
analogue mais à un moindre degré. On vient de voir quelles sont les lésions obtenues par la méthode de Golgi. Si nous les c
ien d'une altéra- tion si intéressante. 1 Mais en présence de ces lésions , une double question se pose : S'agit-il d'alté
t cette maladie ? et, en second lieu, quel rapport existe entre les lésions et les symptômes observés pendant la vie ? En
bservés pendant la vie ? En premier lieu, il ne s'agit pas ici de lésions purement cadavériques, puisque sur des sujets m
te atrophie du panache périphé- rique et, en un mot, l'ensemble des lésions citées plus haut. En établissant la présence de
maladie qui nous occupe ; mais, de plus, elle nous fait voir cette lésion avec un ensemble complexe de par- ticularités n
si dans la rage, ainsi que l'a vu Golgi lui-même, on rencontre des lésions analogues, cela n'ôte rien à ce fait que dans l
'étiole et s'atrophie. Il nous a semblé que dans cette maladie, les lésions déli- cates que nous venons de mentionner sont
E EXPÉRIMENTALE DES MANIFESTATIONS NERVEUSES. 109 il a constaté des lésions médullaires primitives, très nettes et très éte
ivers animaux. Notons princi- palement ;' de la conjonctivite ; des lésions tro'pho-cutanées remarquables, consistant en un
d'autopsies d'indi- gènes qu'ils ont faites, ils ne trouvent aucune lésion organique im- putable à l'opium, différenciant
et demi a vécu trois mois après l'opération. L'autopsie montre des lésions inflammatoires au niveau de la plaie opératoire
r inconstante, mais parfois excessi- vement violente, causée par la lésion nerveuse elle-même. C'est en réalité le tableau
atteint d'adénome du nerf optique. Affection bilatérale sans autres lésions du fond de l'oeil. On cons- tate, dans la papil
llumé pour marque de sa présence, et punition de son insolance sans lésion de la créa- ture, et si telle estoit la volonté
r Mausel Sympson. , Deux observations d'épilepsie idiopathique sans lésion microsco- pique appréciable à l'autopsie. Ni pa
nette des troubles aux extenseurs de la jambe, la bilatéralité des lésions , l'absence des douleurs caractéris- tiques et l
rès rapides d'un cancer de l'intestin. L'autopsie fit découvrir des lésions anciannes d'encéphalite dissé- minées à la surf
ire une hémiplégie infantile si elle eût été plus étendue, et d'une lésion médullaire localisée, contemporaine de celle-ci,
s la conclusion qui s'en dégage légitimement, à savoir que les deux lésions ont dû se développer sous l'influence d'une mêm
cas récents de MM. Déjérine, Berckan et Sérieux. A l'autopsie, les lésions sont localisées dans l'hémisphère cérébral gauc
cas l'agraphie aura existé sans qu'à l'autopsie on ren- contre une lésion du centre moteur graphique. Mais chez certains
fonctionnels et que nous osons regarder comme indépendants de toute lésion matérielle. Il faut,' à nos yeux myopes, de trè
ute lésion matérielle. Il faut,' à nos yeux myopes, de très grosses lésions , et nous nous glorifions quand une cicatrice, u
ait de céphalées, de palpitations; elle avait une arthralgie sans lésions appréciables du genou gauche. J'essayai de faire
nc d'une façon tout à fait exacte le procédé par lequel se font les lésions dans cette affection. Pour quelques-uns (Joffroy
nerveux (tabes, sclérose latérale amyotrophique) ne seraient qu'une lésion surajoutée, secondaire, due indirectement à l'a
ra- tions des nerfs périphériques seraient sous la dépendance des lésions qu'a provoquées dans les centres nerveux l'agent
anta l'anatomie pathologique, s'il est vrai qu'elle nous montre les lésions des nerfs périphériques comme ayant une intensité
Nous connaissons aussi des cas dans lesquels ont été constatées des lésions du nerf optique qui est en somme une portion de l
el point que la tendance générale est aujourd'hui de considérer les lésions de la moelle comme concomitantes à celles des n
s davantage à déclarer qu'ils sont indemnes. Quant à ce qui est des lésions des nerfs périphériques eux- mêmes, quelque int
es diverses, et même simplement chez les vieillards, on observe des lésions des nerfs périphériques tout à fait analogues,
re que l'altération des nerfs périphériques puisse être due à des lésions de la substance grise médullaire alors que dans l
le de la polyné- vrite avaient invoqué cette hypothèse que dans les lésions des centres les parties qui dégénèrent les prem
lynévrite, on désigne des altérations nerveuses indépendantes d'une lésion des. centres nerveux ! On en distingue deux gra
légères ou, même imperceptibles, se manifeste exclusivement par des lésions de ses portions périphériques; cela me parait d
une autre que nous devons aussi exposer. Au lieu de subordonner la lésion du cylindre-axe à, une modification dynamique d
x qu'on a l'habitude de rattacher à des névrites périphériques, des lésions plus ou moins marquées; c'est ainsi que dans qu
n'est pas absolument décisif. On sait, en effet, qu'à la suite de lésions expérimentales des nerfs, dont l'origine périphér
et qui a présenté pendant la vie des troubles nerveux, de grosses lésions de la périphérie des nerfs et des lésions moins m
ubles nerveux, de grosses lésions de la périphérie des nerfs et des lésions moins marquées dans les centres trophiques, on
s, et il est encore permis de dis- cuter sur la valeur relative des lésions des nerfs et des altérations spinales. Voici
terme, névrite périphérique, ne doit pas impliquer l'idée que les lésions des nerfs sont primitives, qu'elles sont l'origin
fonctionnels qu'ils occasionnent sont causés non seulement par des lésions histologi- quement perceptibles, mais aussi par
par des modifications de nature dynamique, et qu'en définitive les lésions des nerfs ne peuvent être considérées que comme
r. On y arrivera en reprenant pas à pas et avec soin et rigueur les lésions périphériques des nerfs,'en étudiant notamment
ueur les lésions périphériques des nerfs,'en étudiant notamment les lésions périiiévritiques celles de la gaine lamelleuse
nds muscles qu'ils traversent. Vanlair a vu, de plus, que de telles lésions peuvent être aussi suscitées par la dyscrasiest
sont pas, à un degré quelconque, déve- loppées sous l'influence de lésions analogues et locales des nerfs. Bref, je conclu
igine centrale reconnaissent également deux variétés suivant que la lésion préexistante des centres nerveux siège au nivea
me. Il en est de même pour l'alcoolisme chronique, à l'heure où les lésions cérébrales définitives ont compromis l'in- tégr
eurs, entre le tabès et les névrites périphériques. Il rappelle les lésions de l'ataxie locomotrice : sclérose des cordons po
). La plupart des patholo- gistes s'accordent à reconnaître que les lésions des racines posté- rieures sont secondaires et
nérescence des fibres radiculaires, il faut invoquer l'existence de lésions dynamiques, ce qui n'est jusqu'à présent qu'une
de départ peut être localisé, à titre d'hypothèse, comme celui des lésions du système sensitif, dans les cellules nerveuses.
supposé que les altérations des nerfs étaient primitives et que les lésions cellulaires qu'on observe parfois n'en étaient
bservation de névrite d'origine externe ayant donné naissance à des lésions spinales comparables à celles qui appartiennent a
stématisée et j'en ai fourni la preuve en établissant qu'à côté des lésions de l'axe médullaire il existait dans cette affe
risent la para- lysie générale progressive, lorsque l'extension des lésions tabé- tiques du cortex a donné naissance à une
on du délire ne nous donneront pas la solu- tion du problème. Les lésions de l'organisme sont capables de réagir sur les
revue ces nouvelles espèces patholo- giques : alcoolisme, névroses, lésions circonscrites et diffuses des centres nerveux.
e. Des délires systématisés peuvent aussi surgir à l'occasion des lésions circonscrites du cerveau. Je dis à l'occasion, ca
eur de croire que le délire en dépend. On sait combien de malades à lésions encéphaliques circonscrites encombrent nos sall
élire se surajoute à cette déchéance de la fonction, actif quand la lésion est faible ou débute, effacé quand cette lésion
ion, actif quand la lésion est faible ou débute, effacé quand cette lésion est étendue ou progresse, on peut dire que le s
rédisposé. Dans son étude sur les « troubles intellectuels liés aux lésions circonscrites du cer- veau » (1890), M. Lwoff a
LES PSYCHOSES.. 283 délire systématisé chez des sujets atteints de lésions circons- crites. Dans sa thèse sur « les psycho
us ces faits, la prédisposition joue le rôle le plus important ; la lésion cérébrale n'a été que la cause détermi- nante d
a cause détermi- nante du délire. L'activité des délires dans les lésions circonscrites du cerveau est en raison inverse
circonscrites du cerveau est en raison inverse de l'intensité de la lésion . Que dire alors de ces délires, dont je me prop
chez celui où tout mécanisme cérébral est rompu, où, en face de la lésion maxima, il n'y a plus qu'anar- chie complète de
l n'y a plus qu'anar- chie complète des fonctions. Mais quand cette lésion ne fait que débuter, quand elle tàte, pour ains
capsule interne; cette dégénérescense dépend exclu-' sivement de la lésion du territoire moteur. Le corps calleux est donc
e modèle d'ostéotome crânien est destiné à supprimer les chances de lésion du cerveau et à faciliter la section oblique au
; - par les Drs Enriquez et Hallion. Dans ses recherches sur les lésions du système nerveux par le poison diphtérique, S
ion ont trouvé, dans un certain nombre de segments médullaires, des lésions intéressantes de la moelle ainsi que des racine
des lésions intéressantes de la moelle ainsi que des racines. Les lésions radiculaires rentrent dans la catégorie des névri
laires rentrent dans la catégorie des névrites périphériques. Les lésions médullaires, très accentuées, ont consisté en con
symptômes paralytiques et du tremblement qui semblent indiquer des lésions nerveuses centrales. (Revue neurologique , mai
pi 316 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. XI. DES lésions DU système NERVEUX par LE poison diphtérique ?
eux ou interstitiel) des nerfs phériphériques, et toutes les autres lésions n'ont qu'une si- gnification secondaire. D'un
apparaît tardivement et constitue un phénomène secon- daire. Les lésions des muscles ont un caractère variable, mais dans
de pa- ralysie, l'auteur a trouvé dans les nerfs correspondants des lésions en rapport avec l'intensité et la localisation
vec l'intensité et la localisation des phénomènes paré- tiques. Ces lésions frappent surtout les ramifications nerveuses arri
épaissies. Les cordons de Goll sont pris dans leur totalité et leur lésion s'étend en se réfléchissant à la façon d'une bord
la zone voisine de la commissure postérieure on observe les mêmes lésions que sur la coupe précédente. Au niveau des racine
pe précédente. Au niveau des racines posté- rieures on constate des lésions , mais légères. De plus, on trouve ici la lésion
es on constate des lésions, mais légères. De plus, on trouve ici la lésion dans la zone latérale dés cordons postérieurs.
éninges avec périartérite, dans les cordons posté- rieurs les mêmes lésions que sur la coupe précédente, et au niveau SOCIÉ
cédente, et au niveau SOCIÉTÉS SAVANTES. 325 des postérieures des lésions qui, sans être profondes, le sont plus que sur
ans les cordons latéraux (faisceau pyramidal croisé) on n'a plus la lésion constatée plus haut, mais seulement un très léger
des cellules de la corne antérieure et de la colonne de Clarke. La lésion des racines est loin d'atteindre ce qu'on voit
coupes de la région lombaire il y a de la méningite spinale, pas de lésions dans les cordons antéro-latéraux, et une lésion
spinale, pas de lésions dans les cordons antéro-latéraux, et une lésion totale des cordons postérieurs s'avançant jusqu'à
la péri- phérie. Si nous jetons un coup d'oeil sur l'ensemble des lésions rencon- trées sur ces différentes coupes, nous
celles du tabès par plusieurs points de détail : d'abord par les lésions des cornes antérieures qui s'observent rarement à
des différences, tant au point de vue des symptômes qu'à celui des lésions . Un cas DE neurasthénie (TYPE Beard-Charcot) ;
ble du pariétal sur toute l'étendue de la dé- pression, mais aucune lésion méningée, ni corticale ; le chirurgien se conte
ypémanie, hypocondrie, etc.). D'après l'orateur, l'existence de ces lésions serait une preuve de la tendance de ces maladies
s A myéline M. RENAUT (de Lyon).-L'obstacle principal à l'étude des lésions des nerfs à myéline consiste dans les altératio
fait des injections et qui renferment des nerfs à explorer : leurs lésions auront été saisies telles qu'elles sont au mome
trouvent élucidés. Il est clair qu'il en serait de même de toute lésion de la gaine ou de la fibre nerveuse consécutive à
e développement unique, mais qu'elle reconnaît aussi pour cause des lésions pathologiques. Il semble que ce sont les lésion
i pour cause des lésions pathologiques. Il semble que ce sont les lésions anatomiques qui l'emportent. Il conviendrait donc
dont le cer- veau a été arrêté dans son développement à la suite de lésions pathologiques. H. Nous arrivons maintenant au
a fonction. Or, il se trouve justement que dans les affections avec lésions destructives nous n'avons eu à enregistrer que
citation sur une région où la peau est anesthésiée par suite d'une lésion nerveuse périphérique ; au contraire, ils se prod
ie sensorielle surajoutée à une hémia- nopsie permanente. Sur LES LÉSIONS ANATOMIQUES DE LA SYÏUNGOMYÉDE. M. Brissaud a f
e proportion fort respectable. Cette albuminurie est-elle due à une lésion rénale légère ou à une action bulbaire ? On ne
gère polyurie des paralytiques, la faible densité de l'urine et les lésions rénales constatées par M. A. Voisin et par l'un
M. A. Voisin et par l'un de nous, puissent faire pencher vers une lésion rénale peu développée. Peptones. Nous avons rec
la circonférence crânienne augmenta de trois quarts de pouce, sans lésions cérébrales ni mentales appré- ciables. (British
udie plus particulièrement les paralysies des muscles des yeux, les lésions laryngées, les altérations du sens de la pression
ation de ce signe permettra de poser un diagnostic précis entre une lésion organique et une lésion essentielle. Certains phé
tra de poser un diagnostic précis entre une lésion organique et une lésion essentielle. Certains phé- nomènes pathologique
périphériques, les deux pneumogas- triques du cou sont normaux. Les lésions de la moelle épinière, très nettement prononcée
es, appartiennent incontestablement au tabès incipiens. Quant aux lésions bulbaires, sur lesquelles les auteurs appellent
nte du Lriju- meau. Quelle est la signification pathologique de ces lésions ana- tomiques ? appartiennent-elles purement et
émités supérieures et inférieures. , Etiologie. Tare héréditaire et lésions traumatiques du dos. Pathogénie. La maladie déb
ités supérieures. Avec le temps, par compression, se produisent des lésions de la moelle (Obs. III). Evolution lente, mais
TALE. li 07 dent. La démence ne se produit que lorsque de nouvelles lésions cérébrales interviennent (sénilité, athérome).
s visuelles, auditives, gustatives, etc. A l'autopsie on trouva des lésions de niéningo-ëncéphalite/dis ? REVUE DE patholog
nnalité a parfois commencé à subir des altéra- tions profondes. Ces lésions de la personnalité sont dues, moins aux trouble
es égales réagissent normalement. Pas de paralysie oculaire, pas de lésions du fond de l'oeil. Acuité 452 CLINIQUE MENTALE.
, nous sommes à peu près fixés sur le siège que doivent occuper les lésions pour produire l'hypersécrétion rénale. Depuis d
ieure et bregmatique du crâne, Duret ne trouva pas à l'autopsie des lésions au siège du traumatisme, mais des foyers hémorrha
'homme. En sacrifiant ces lapins, Kahler remarqua que c'étaient les lésions atteignant la partie caudale du pont et la partie
é, dans des cas de polyurie, l'intégrité du bulbe et l'existence de lésions traumatiques ou spontanées dans les hémisphères
éfaut. Nous ne voulons pas dire que tous les cas de polyurie sans lésions dépendent de la grande névrose. Il y a, au moins,
elés, en parlant de la po- lyurie traumatique, font supposer que la lésion qui la produit doit siéger dans le bulbe. Les f
it doit siéger dans le bulbe. Les faits de polyurie organique par lésions , siégeant en d'autres points du système nerveux c
les examens anatomiques ont été surtout pratiqués à l'occa- sion de lésions déjà anciennes, ayant plus ou moins perdu leurs
de moyens d'investigation. On sait positivement aujourd'hui que des lésions considérables de la moelle peu- vent passer ina
ie de paraplégie syphili- tique, par exemple, on ne trouvait aucune lésion grossière de ce genre, on déclarait simplement
ffuse de la moelle.se rencontrait beaucoup plus fréquemment que les lésions spécifiques gros- sières (Heubner, Homolle, Jul
os- sières (Heubner, Homolle, Julliard, etc.). Le processus de la lésion était d'ailleurs bien conforme à celui des néofor
bien n'avoir ici qu'une influence prédisposante et ne pas agir par lésion directe ? 2 La solution définitive que la bacté
rché à déterminer expérimentalement quelle pouvait être la part des lésions vasculaires dans les myélopathies syphiliti- qu
centrales aiguës. Elles semblent plus parti- culièrement liées aux lésions des vaisseaux nourriciers impor- tants de la mo
moelle ; mais il faut reconnaître que les guérisons radicales des lésions médullaires parvenues à la période des paralysies
daire de la moelle (région cervicale). 470 ANATOMIE PATHOLOGIQUE, lésions méningées du côté de la base du cerveau, des nerf
parait touchée pri- mitivement (fig. '13). Le point de départ des lésions médullaires est dans la pie- mère et l'espace s
aires est dans la pie- mère et l'espace sous-arachnoïdien. Dans les lésions de date récente, on y constate une infiltration
tion sanguine. Et ce fait cadre assez bien avec la prédominance des lésions vasculaires dans les formes qui rappellent, aus
«tes syphilitiques. On ne saurait guère les rechercher que dans les lésions récentes. Ayant eu précisément l'occasion d'exa
égénérés, ils sont tous orientés dans le sens des travées de la Les lésions sont analogues à celles des myélites centrales
ctieuses communes, la tuberculose seule parait capable de créer des lésions anatomiquement identiques aux précédentes. La d
revient à l'oblitération des artères spinales dans le mécanisme des lésions précédentes. Nous avons adopté, en le modifiant
de l'épendyme'. Or, dans tous les cas, nous avons retrouvé la même lésion , consistant en foyers de 2,a ? nol- ' Ces derni
bstance blanche présentent au bout de plusieurs jours seulement des lésions dégénératives. Sans aucun doute, cette systémat
onnaitre en détail le mode expérimental que nous avons suivi et les lésions consécutives que nous avons cons- tatées. Nul d
dullaire. 1 La technique expérimentale que nous avons suivie et les lésions anatomiques immédiates que nous avons pu produi
Dès longtemps le premier de ces deux auteurs avait soutenu que la lésion destructive du lobe moyen du cervelet produit une
autre cas rapporté en détail, l'insuccès fut dû à la récidive de la lésion sarcomateuse comme le confirma l'examen microsc
e de dire qu'il existe un centre de coordination des lettres et une lésion de ce centre; la dyslexie n'est pas due à la lé
lettres et une lésion de ce centre; la dyslexie n'est pas due à la lésion d'un centre de coordination des lettres. Deux o
E PATHOLOGIQUES. 48-Dà capacités et d'incapacités de travail), sans lésion en foyer (paralysie générale avec athéromasie);
pour certaines des formes en question, attendre la découverte de lésions anatomiques encore absentes; ainsi, dans la folie
che, la terminaison, plus encore que dans les mala- dies mentales à lésions qui permettent de relier entre eux les phé- nom
rolongée qui par exemple est observée chez les vieillards, dans les lésions organiques du cerveau, chez les diabétiques, le
ong pour s'amender. 11 est donc permis de supposer l'exis- tence de lésions graves des cellules, des tubes et des vaisseaux
les cas où l'autopsie a pu être faite, on a trouvé dans les uns des lésions atteignant les nerfs périphériques, le cerveau et
eau et même la moelle. Pour quelques-unes on n'en a pas trouvé. Les lésions des nerfs, plus souvent recherchées, ont été qu
erchées, ont été qualifiées polynévrites. ' Dans un cas ce sont des lésions de névrite parachymateuses (Pierret, Alix Joffr
arachymateuses (Pierret, Alix Joffroy), dans les autres ce sont des lésions dégénératives en tout semblables à l'altération
t, Th. Gr. Stewart, Korsakow,- Strumpell, Mueller). A côté de ces lésions ambiguës des nerfs, il en existe du côté de l'e
euvent être divisées en deux groupes. Dans les uns, on constate des lésions nettes inflammatoires ; dans les autres, il n'y
nettes inflammatoires ; dans les autres, il n'y a pas apparence de lésions . Dans le premier cas, les lésions doivent être
autres, il n'y a pas apparence de lésions. Dans le premier cas, les lésions doivent être rapprochées de celles observées da
ésultats négatifs, à l'oeil nu, on ne peut conclure à l'absence des lésions microscopiques. En résumé, dans les cas nets, q
des névrites; beaucoup se rattachent aux intoxications avec ou sans lésions nerveuses connues. Quelques-unes sont à rejeter
t de ma- BIBLIOGRAPHIE. 513 ladies absolument spéciales ; ataxie, lésions du cervelet, myélites diffuses, en plaques, com
nctionnait d'une manière aussi anormale. A la théorie bulbaire, par lésion de cet organe on peut répondre que les lésions
théorie bulbaire, par lésion de cet organe on peut répondre que les lésions bulbaires sont très rares dans le goitre exopht
les quatre autopsies personnelles du professeur Joffroy, il y a des lésions du corps thyroïde, et il faut remarquer ainsi que
déjà été faite par le professeur Renaut (de Lyon) qu'on trouve les lésions les plus diverses. L'hypertrophie du thymus, pl
erëtf arrive à cette conclusion que le rire est dû dans ce casa une lésion des couches optiques. Dans l'observation suivan
des couches optiques. Dans l'observation suivante, il s'agit d'une lésion des radicules de la queue de cheval par prolifé
n néoplasme de la partie inférieure de la colonne vertébrale. Cette lésion a déterminé non seulement de l'anesthésie des r
s ré- gions. Or, ces particularités s'expliquent par ce fait que la lésion de la queue de cheval a eu lieu plus haut que d
on singu- lière de la paralysie sensitive et motrice dans un cas de lésion des parties latérales et inférieures du bulbe.
ment de la vue, de l'ouïe, du goût, de l'odorat du côté droit. La lésion , d'après Beeliteréff, a dû porter dans ce cas sur
isme, atteinte en outre de tuberculose pulmonaire et vertébrale. La lésion vertébrale 'ayant son siège au niveau de la pre
rique, myélite expérimentale , par Enriquez et Hallion, 315 ; des lésions du système nerveux par le poison -, par Stcherb
ique, Iar Nagy,t02. Occipital, coupes du cerveau dans un cas de lésions du lobe , par Sioli, 65. OEil, rapports de l'
e de la a par Lannois, 327. Paralysie générale progressive, les lésions histologiques de la étu- diées d'après la métho
la moelle et des nerfs dans la-, par Pitres et Sabrazès, 318; les lésions anatomiques de la -, par Renaut, 339; par Sch
73 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
onduire l'observateur non prévenu à penser qu'il existe quelque grave lésion vertébrale. Quoiqu'il en soit, elle est suffisa
où l'affection paraît devoir être rattachée non plus cette fois à des lésions insaisissables à nos moyens d'investigation mais
insaisissables à nos moyens d'investigation mais bien à une véritable lésion organique plus ou moins profonde du nerf sciatiqu
comme conséquence des chocs nerveux avec ou sans accompagnement d'une lésion traumatique chirurgicale. Et, dans ces conditio
re ou binoculaire concentrique du champ visuel sans accompagnement de lésion ophthalmoscopique de la rétine ou des milieux. Sa
'absolu dans ce genre, — mais on peut affirmer qu'à part le cas de la lésion de la partie postérieure de la capsule interne, l
les névroses qui nous occupent, bien qu'il s'agisse d'affections sans lésions organiques appréciables, se montrent habituelleme
. — Hémiparaplégie spinale croisée (syndrome de Brown-Séquard), par lésion traumatique de la moelle épinière dans sa moiti
; on ne la rencontre guère dans l'espèce, que lorsqu'il s'agit d'une lésion de la partie postérieure de la capsule interne et
vant nous, sur la moitié latérale droite de la moelle épinière que la lésion a porté. Vout n'ignorez pas, très certainement,
e la lésion a porté. Vout n'ignorez pas, très certainement, que les lésions de ce genre sont graves au premier chef. Je vois
ce que suivant une fort importante remarque de Brown-Séquard dans ces lésions hémilatérales de la moelle épinière, une simple p
eu de signaler parmi les causes qui peuvent produire le syndrome, les lésions de nature très diverse, myélite, tumeurs intra-sp
miner la compression. Mais il suffira de parler de ce qui concerne la lésion traumatique ; c'est l'espèce du reste que Brown-S
leusement — ce qui comme on l'a dit, n'est pas tout à fait rare — la lésion expérimentalement provoquée. En quoi consiste don
alors ce qu'on observe : A. Du côté gauche (côté correspondant à la lésion spinale) — plusieurs des données qui vont suivre
lus ou moins haut sur l'abdomen ou le tronc, suivant la hauteur de la lésion spinale : elle est limitée de ce côté par une lig
la colonne des cornes antérieurs de la substance grise du côté de la lésion , il faut admettre, dis-je que cette altération n'
i signale généralement l'existence d'une compression spinale ou d'une lésion organique desfaisceauxpostérieurs. Je veux parler
dysesthésie, autant qu'on sache, paraît appartenir exclusivement aux lésions organiques spinales et qu'on ne le voit pas se co
ue cela Fig. 16. devrait être dans les cas, comme le nôtre, où la lésion est supposée avoir porté au niveau des troisième
ressant exemple d1hémiparaplégie spinale avec anesthésie croisée, par lésion traumatique de la moelle épinière, terminé par la
xemple, la limite d'anesthésie du côté droit placée trop bas pour une lésion de la moelle située au niveau de la 3e ou 4e vert
me de Brown-Séquard chez notre malade,et je rattache ce syndrome à la lésion traumatique delà moelle épinière. Mais je n'irai
tentif a fait reconnaître qu'il n'existait en réalité aucune trace de lésion pulmonaire et l'on a été conduit à admettre qu'il
is pouvoir affirmer que le syndrome de Brown-Séquard relève ici d'une lésion spinale organique et nullement de la lésion toute
-Séquard relève ici d'une lésion spinale organique et nullement de la lésion toute dynamique ou fonctionnelle, en tout cas non
RIÈME LEÇON 1° Attaque de sommeil hystérique ; 2° Amyotrophie par lésion articulaire ; 3° Deux cas de paralysie faciale
e cause articulaire, autrement dit d'une amyotrophie consécutive à la lésion d'une jointure. Je ne m'étendrai pas, Messieurs
l'a fait voir (Société anatomique, novembre 1887 et janvier 1888) la lésion supposée des cellules des cornes antérieures a pu
amyotrophie articulaire, alors même qu'elle a été déterminée par une lésion banale, porter un pronostic trop favorable. La
mmuns. Elles paraissent toutes anatomiquement caractérisées par une lésion des nerfs périphériques, — névrite périphérique d
nerfs périphériques, — névrite périphérique des auteurs — et par des lésions dégé-nératives des muscles correspondants ; ces l
— et par des lésions dégé-nératives des muscles correspondants ; ces lésions entraînent après elles tout un ensemble symptomat
e. Mais aujourd'hui encore, on peut, si je ne me trompe, à côté des lésions qui relèvent de la paralysie alcoolique, discerne
la paralysie infantile, tandis que, dans la paralysie alcoolique, ces lésions sont à peu près uniformément répandues dans toute
econnaître chez notre homme, même aujourd'hui, ce qui appartient à la lésion des cornes antérieures spinales, et ce qui est la
e qui aujourd'hui est ici l'affection dominante vraiment active ; les lésions de la paralysie infantile spinale, aggravées un m
lieu de rappeler que les affections nerveuses d'ordre dynamique, sans lésions appréciables, ne sont pas, tant s'en faut, toujou
n ce moment que cette attaque de rhumatisme a laissé, après elle, une lésion de l'endocarde marquée actuellement par un souffl
aircissements à vous donner; tout ce qu'on peut dire, c'est qu'aucune lésion organique grossière n'explique ces terminaisons-l
doute, il n'y aura certainement pas lieu d'invoquer l'influence de la lésion mitrale dont l'auscultation nous a fait reconnaît
itrale dont l'auscultation nous a fait reconnaître l'existence; cette lésion date cle loin, elle représente le résidu d'un pro
le part ailleurs nous ne rencontrons dans ces organes de signes d'une lésion quelconque appréciable par nos moyens d'investiga
us intenses quant aux mouvements, si elles ne sont pas compliquées de lésions viscérales, évoluent le plus souvent sans tourner
sue fatale. Bien évidemment, ces accidents-là ne relevaient pas d'une lésion organique appréciable par nos moyens d'investigat
diverses, qui s'offrent en pareille .occurrence compliqués ou non de lésions organiques. On pourrait dire, si je ne me trompe,
ction nerveuse purement dynamique, c'est-à-dire ne relevant pas d'une lésion matérielle appréciable, cette afïection-là consis
etite plaie ci-dessus décrite, elle ne présentait heureusement aucune lésion traumatique de quelque importance. Une fois debou
s de la sensibilité, pas d'autres stigmates, pas d'anesthésie, pas de lésion du goût, de l'odorat;etc.,etc. Maisun rétrécissem
n en dise, pareil symptôme ne se voit guère, à part un ou deux cas de lésion organique aujourd'huipassablement déterminées, en
Il s'agit, je suppose, de déterminer les effets que produisent les lésions destructives limitées étroitement aux cornes anté
- : • . ¦ ....... * permet de lé résoudre. Dans nombre de cas, les lésions qu'on rencontre dans la moelle épinière, chez les
insi que Cela se voit bien lorsqu'il s'agit de la région lombaire, la lésion peut ne pas se montrer uniformément répandue sur
soit objectifs soit subjectifs clans les membres affectés ; la seule lésion des cornes antérieures ne les comportant pas: fai
la paralysie infantile de date ancienne correspond nécessairement une lésion scléreuse et cicatricielle de la substance grise
une lésion scléreuse et cicatricielle de la substance grise spinale, lésion indélébile désormais, toujours présente et que no
à titre de complications, ou mieux d'affections secondaires, diverses lésions médullaires et en particulier une forme d'amyotro
visuelle du côté droit. Mais celle-ci n'est pas la conséquence d'une lésion atrophique du nerf optique correspondant, puisque
pareil moteur de l'œil. Tabès (Ataxie locomotrice). — Paralysie par lésion d'un nerf moteur de l'-ml (noyau bulbaire ou tnêr
d). Les symptômes hystériques ne reconnaissent pas, vous le savez, de lésions organiques appréciables: c'est une loi qui s'appl
ux symptômes oculaires qu'à tous les autres. De fait, il n'y a pas de lésion du fond de l'œil, appréciable à l'examen ophthalm
aques, est la conséquence d'une névrite optique. Alors, même quand la lésion du nerf en est arrivée à la période atrophique,il
tant qu'il s'agit d'une affection caractérisée anatomiquement par des lésions organiques relativement grossières, la rapprochen
s semaines, a donné ce qui suit : Affection purement nerveuse. Aucune lésion organique,conservation du réflexe binauriculaire
e, a produit dans le cordon nerveux, au niveau du point comprimé, les lésions de la myélite transverse, comment comprendre, dis
aussi altérées de la dure-mère, deviennent nécessairement ie siège de lésions plus ou moins profondes. Ces lésions se traduisen
nnent nécessairement ie siège de lésions plus ou moins profondes. Ces lésions se traduisent pesant la vie par des symptômes que
naître qu'à la longue se produisaient nécessairement sur ce point les lésions de la myélite transverse (3) avec toutes leurs co
ascendantes et descendantes. Il est remarquable, messieurs, que des lésions aussi prof ondes, — celles de la dure-mère aussi
ère étant intacte, la moelle l'étant également, et n'accusant que des lésions attribuables à une compression médiate et non tub
1883, n°s 47 und 52), Pick (Real EncyclopadAe, art. Ruckenmark), les lésions de la moelle dans la paraplégie par compression,
de myélites spontanées ou de tumeurs intra-spinales dans lesquels les lésions occupent très habituellement dès leur apparition
énomènes cliniques devait nous conduire à reconnaître que la part des lésions organiques supposées a été ici vraiment effacée.
part des lésions organiques supposées a été ici vraiment effacée. Ces lésions , bien certainement, n'ont pas joué d'autre rôle q
ques spinales ne pourraient guère se rencontrer que dans le cas d'une lésion profonde de la substance grise centrale et dans c
dans ce cas, en effet, les troubles anesthésiques, — expression d'une lésion des racines du plexus brachial— eussent été précé
hoses : par le fait de la repro duction, dans une certaine mesure des lésions organiques spinales, la malade a éprouvé des doul
écembre 1887. quitte pour la peur, car il n'avait souffert d'aucune lésion traumatique de quelque importance. Chez lui, l'hy
tabès. Déjà nous avons parlé de « l'impuissance » en dehors de toute lésion organique. Apart ces cas-là, les essais n'ont pas
embres inférieurs résultant de troubles circulatoires cardiaques sans lésion orificielle appréciable (cœur forcé). L'œdème a c
Chez un homme âgé de 51 ans, tabétique confirmé ne présentant aucune lésion cardiaque et n'étant pas sous le coup de crises l
la conséquence d'une otite, non pas seulement d'une otite grave avec lésions osseuses, mais encore d'une simple otite catarrha
nous n'insisterons pas sur ce dernier point, notre avis étant que les lésions cérébrales en foyer, hémorragie ou ramollissement
oint les résultats ont été rassurants ; il n'existe aucun signe d'une lésion viscérale quelconque; les poumons en particulier,
naturam ». Ouelle est la raison de cette fièvre ? existe-t-il quelque lésion viscérale qui aurait échappé à notre examen cepen
e les sujets chez lesquels l'aphasie motrice reconnaît pour cause une lésion organique, alors même qu'ils ont conservé les mou
remise ; ce n'est pas cela qu'il nous faut. Il y a des aphasiques par lésion organique qui sont capables de copier exactement
rfaitement intactes ; tandis que lorsqu'il s'agit d'aphasie liée aune lésion organique, il est de règle que toutes les mémoire
peut contribuer à distinguer celle-ci des parésies ou paraplégies par lésions organiques de la moelle épinière, qu'elle pourrai
anvier 1889 fait reconnaître l'existence d'une amaurose complète sans lésion organique à gauche, le champ visuel du côté droit
dépister le clinicien en lui faisant redouter le développement d'une lésion organique cérébrale : C'était à la fin de novem
, pour ainsi dire absolu de la rigidité spasmodique : l'absence d'une lésion quelconque des jointures ; les troubles de la sen
olyopie monoculaire à gauche avec micropsie ; dyschromatopsie, pas de lésion papillaire ni pupillaire. — Abolition du goût et
formément à la règle ordinaire, le réflexe rotulien par le fait de la lésion spinale tabétique, eût fait complètement défaut ?
forme d'accès d'automatisme ambulatoire, développée à la suite d'une lésion trau-matique et les analogies qui existent entre
qu'ily a une véritable con-nexité entre ces troubles viscéraux et la lésion spinal e, appartient à M. Delamarre, auteur d'une
gés tabétiques aussi bien que les troubles gastriques, relèvent d'une lésion plusieurs fois constatée des noyaux bulbaires du
essaire pour s'en rendre compte d'imaginer la complication de quelque lésion organique de l'estomac, étrangère au tabes. Il es
e nous fîmes de son état nous apprit ce qui suit. Aucun signe d'une lésion viscérale organique quelconque. En dehors de l'ém
ni d'abolition des réflexes, aucun des symptômes pouvant révéler une lésion organique spinale. Cependant soulevé hors du lit,
x que dans la grande majorité des circonstances l'abasie relève d'une lésion purement dynamique. Mais il faut compter sur les
de ces groupes puisse être plus ou moins gravement intéressé par une lésion organique. Mais, comme il est vraisemblable qu'en
sion organique. Mais, comme il est vraisemblable qu'en pareil cas, la lésion ne sera pas étroitement localisée dans tel ou tel
ulaires et dont un des caractères est de ne pas être subordonné à une lésion des parois artérielles. A cela se bornent, pour
reste paraît être assez rare. C'est qu'en effet, il s'agit ici d'une lésion purement dynamique, car rien ne permet de suppose
permet de supposer que, par exception, l'abasie relève chez lui d'une lésion organique. Il bénéficiera donc du caractère purem
s-nous tout d'abord de ce qui est relatif aux membres inférieurs. Les lésions à relever portent à la fois sur le mouvement et s
i que certaines études récentes tendraient à l'établir, non pas d'une lésion spinale, mais bien d'une lésion des nerfs périphé
tendraient à l'établir, non pas d'une lésion spinale, mais bien d'une lésion des nerfs périphériques, classe dans laquelle, en
où très certainement il n'existe 1. Numéro du 23 mars 1887 pas de lésion spinale appréciable par nos moyens actuels d inve
uesou vaso-moteurs,tels que l'œdème, l'empâtement, la peau lisse, les lésions des ongles enfin, y sont vulgaires. Nous voilà
nes antérieures de substance grise, constituant, on peut le dire, une lésion indélébile: je l'ai pour mon compte rencontrée pl
après la cessation de la maladie qui lui avait donné naissance. A ces lésions spinales, à titre de faits consécutifs, correspon
ophie des nerfs et des muscles signalée plus haut, il faut y voir des lésions fixées,défînitives, dont onne doit attendre aucun
passez-moi le mot, ne se rallumera plus. Peut-on en dire autant de la lésion cicatricielle de la moelle épinière ? Cela certes
che aux parties voisines? Ainsi se produiraient, par propagation, des lésions spinales nouvelles évoluant soit dans le mode sub
s'agit-il ici ? L'affection myopathique est-elle la conséquence d'une lésion primitivement développée dans la moelle épinière,
est-elle, au contraire, primitive elle-même et indépendante de toute lésion des centres nerveux? Après quoi, la myopathie éta
hercher si elle se rattache vraiment par une relation quelconque à la lésion spinale datant de l'enfance. Ce sont là, vous le
s d'établir qu'il ne s'agit pas là d'un groupe homogène. En effet les lésions qu'on peut rencontrer clans les cas qui portent e
r ainsi dire, le caractère anatomique fondamental du groupe. C'est la lésion des cornes antérieures de substance grise et, plu
(type Duchenne-Aran) ; ils sont caractérisés anatomique-ment par une lésion exactement, systématiquement, limitée aux régions
ément anatomo-pathologique est représenté : 1° dans la moelle par une lésion systématiquement limitée aux cornes grises antéri
'ailleurs une condition nécessaire, sine qua non, et parfois la seule lésion appréciable ; 2° dans les racines motrices et l
es motrices et les nerfs moteurs, par une atrophie, conséquence de la lésion spinale; 3° enfin dans les muscles par des lésion
, conséquence de la lésion spinale; 3° enfin dans les muscles par des lésions trophiques également consécutives à l'altération
nte, je désignerai sous le nom de deutéropathiques. Ici, en effet, la lésion des cornes antérieures etdescellules nerveusesest
nte aussi, mais elle n'est qu'un fait de seconde date, consécutif. La lésion originelle siège encore dans la moelle épinière,
ontrer complexe et variable, car, de fait, il n'est peut-être pas une lésion élémentaire chronique de la moelle épinière qui n
généralisée à marche progressive se développe indépendamment de toute lésion de la moelle épinière et, le plus souvent aussi,
s entretenir... de certaines amyotrophies qui ne relèvent pas r d'une lésion spinale et qui sont susceptibles cependant... de
sive, il faut se garder de céder à l'envie de tout expliquer par la « lésion des cornes spinales antérieures.Cette lésion a so
tout expliquer par la « lésion des cornes spinales antérieures.Cette lésion a son domaine pathogénique, fort vaste déjà, « il
ire remarquer en outre qu'on ne rencontre chez lui aucune trace de la lésion bulbaire, qui, plus de trois ans après le début d
des amyotrophies spinales protopathiques.Ici, je vous le rappelle, la lésion spinale d'où procède l'atrophie musculaire est sy
, chez les sujets qui portent en eux les reliquats ineffaçables de la lésion spinale infantile, il n'est pas très rare, je le
a forme subaiguë et plus particulièrement de la forme chronique de la lésion systématique des cornes antérieures de substance
st que, comme dans celle-ci, le substratum anatomique consiste en une lésion systématiquement localisée dans les cornes antéri
y y a cette différence, toutefois, que dans la maladie d'enfance, la lésion évolue constamment suivant le mode aigu, tandis q
vers la même époque, j'ai émis le premier peut-être l'opinion que les lésions cicatricielles des cornes antérieures que laisse
s l'avons dit, au type Duchenne-Aran, et suppose, par conséquent, une lésion systématiquement limitée aux cornes antérieures s
antérieures spinales. Or, il serait impossible, de comprendre qu'une lésion développée, en quelque sorte accidentellement, au
éveloppée dans les cellules ganglionnaires est le point de départ des lésions de la paralysie infantile spinale. (Nord. med. Ar
its où, dans ces conditions là, même sans éclater, elle a produit des lésions diverses plus ou moins sérieuses, la syncope etc.
uées ou blessées par la chute de la foudre en globe. « D'ailleurs les lésions produites sur l'homme, par la foudre en globe, ne
n fasse, elles ne sont pas durables. Elles ne s'accompagnent d'aucune lésion organique appréciable et guérissent, spontanément
r étendue sont généralement en rapport avec le siège et l'étendue des lésions produites par l'étincelle ; ainsi, si la lésion a
ège et l'étendue des lésions produites par l'étincelle ; ainsi, si la lésion atteint le bras, c'est le bras qui sera paralysé
ion, cependant si naturelle, il aime mieux imaginer je ne sais quelle lésion cérébrale en foyer, localisée je ne sais comment,
ubles urinaires, etc., rien en un mot qui révèle l'une quelconque des lésions organiques spinales connues. Il y a à observer
de ce que l'on pourrait appeler l'abasie ou l'astasie relevant d'une lésion organique du cervelet. C'est, vous l'avez compris
difficile de trouver dans la science un certain nombre d'exemples de lésions cérébelleuses, accompagnées de cette impuissance
e névrite optique, les vertiges de translation, etc., révéleraient la lésion cérébelleuse, tandis que la coexistence des stigm
au contraire, ces troubles sensitifs et sensoriels relèvent-ils d'une lésion organique en foyer, localisée dans les parties
l y a huit ans, et qui reconnaîtraient la même origine : seulement la lésion organique, probablement un foyer de ramollissemen
de ces groupes puisse être plus ou moins gravement intéressé par une lésion organique. » Mais comme il est vraisemblable qu'e
ion organique. » Mais comme il est vraisemblable qu'en pareil cas, la lésion ne sera pas étroitement localisée clans tel ou te
figure chez lui, je le suppose, comme le résultat d'une extension des lésions primitivement développées dans la capsule interne
interne et probablement dans les régions antérieures des hémisphères, lésions d'où relèvent l'hémiplégie transitoire, l'hémi-hy
ucoup à faire. 1. Sur l'hémianesthésic sensitive et sensorielle par lésion de la capsule interne, voir les Leçons de mardi 1
bien que ce ne soit pas là, tant s'en faut, une règle absolue, les lésions dites dynamiques des centres nerveux cèdent volon
s dites dynamiques des centres nerveux cèdent volontiers la place aux lésions anatomiquement constatables. Est-ce donc qu'il
tre dans le cas deSob...re précédemment étudié, l'abasie relève d'une lésion organique en foyer, intéressant par exemple, dans
, s'il s'agissait vraiment comme on le supposait tout à l'heure d'une lésion encéphalique, en foyer,à peu près nécessairement
e 1882, dans une série de travaux importants, appris à rattacher à la lésion syringo-myélique un certain nombre de troubles fo
autrefois, d'une façon générale et indistinctement, à désigner toute lésion cavitaire occupant les parties centrales de la mo
, soit ramassé en tumeur qui détermine la formation de la plupart des lésions cavitaires dont nous avons à nous occuper. C'est
brachiale : ce dernier cas est de beaucoup le plus fréquent, et si la lésion se traduit alors par des symptômes moteurs, on co
ures, puis vers les cornes antérieures de substance grise, à titre de lésion consécutive, soit par infiltration néoplasique,so
re des faisceaux postérieurs, peuvent être à leur tour envahis. Les lésions que la gliomatose produit dans la moelle sont ind
es hauts et des bas, elles procèdent par poussées. La formation des lésions cavitaires n'est pas nécessaire, cela est clair,
des éléments nerveux est seule la condition indispensable. Parmi les lésions , d'ailleurs, il en est qu'on peut dire intrinsèqu
les en pathologie spinale, prévoir quelle sera la symptomatologie des lésions de cet ordre, localisées de de la moelle indépe
ie. — Péritonite. — Mort. — Autopsie. — Syringomyélie. En outre de la lésion spinale on signale particulièrement dans cette no
e que l'ont faite les travaux récents (Fig. 104). Nous savons que les lésions étendues et durables des faisceaux Fig. 104. —
grise centrale, nos connaissances, en ce qui concerne les effets des lésions des cornes antérieures, paraissent à peu près déf
roduction d'une amyo-trophie. Celle-ci se développe rapidement, si la lésion spinale évolue suivant le mode aigu (paralysie sp
type Aran-Duchenne et de la scélérose latérale amyotrophique, que les lésions limitées à la région des cornes antérieures de su
ibilité peuvent être alors affectés à l'exclusion des autres, que les lésions de .ces cornes quand elles sont profondes, déterm
à revenir tout à l'heure. On ne connaît pas encore les effets d'une lésion isolée des commissures. Cependant quelques faits
grands groupes: 1° Symptômes intrinsèques, c'est-à-dire relevant des lésions limitées aux diverses régions de la substance gri
l'hystérie. Un troisième groupe de symptômes répond à une série de lésions cutanées ou sous-cutanées, osseuses ou ligamenteu
e de cette dénomination l'on sous-entende à peu près toujours que les lésions dont il s'agit relèvent plus ou moins directement
éprimées ou au contraire des chéloïdes. Après cela on signalera des lésions sous-cutanées; tels sont certaines boufis-sures d
parables à celles qui se voient dans la forme dite hypertrophique des lésions articulaires tabétiques (3). J'ai observé pour mo
ervice, tendrait à établir que la syringomyélie peut s'accompagner de lésions trophiques viscérales. En effet le sujet en quest
emarquer déjà, dans quelles régions de la substance grise siègent les lésions d'où dérivent les troubles trophiques divers qui
n quelque sorte directement les troubles fonctionnels produits par la lésion gliomateuse des diverses parties de la substance
s morbide; plus souvent elle s'est produite en conséquence de quelque lésion accidentelle. C'est ainsi que la pyoémie a pu sur
appartenir en propre. En somme, ces symptômes révèlent seulement la lésion plus ou moins profonde que subissent les éléments
rouver toujours,plus ou moins accentués, toutes les fois que dans les lésions les plus diverses par leur nature, gliomateuses o
du diagnostic de la syringornyélie,nous nous bornerons, à propos des lésions organiques spinales qui peuvent la simuler, aux r
insi qu'on l'a dit la vision n'est nullement modifiée : pas traces de lésions opthalmoscopiques, pas de rétrécissement du champ
e centrale, localisée dans les régions qu'occupent habituellement les lésions spinales dans la pachyméningite cervicale hypertr
tés 1. Loc. cit. fig. 2 et 3. ainsi qu'il suit : 1° Il existe des lésions articulaires ayant entraîné la rigidité de la joi
Rétractions fibro-tendineuses dans les paralysies spasmodiques par lésions organiques spinales, dans les paralysies alcooliq
tre il s'agit, au contraire, d'une affection purement dynamique, sans lésions matérielles appréciables ; je veux parler de la c
être prévue dans un cas où le point de départ de la paralysie est une lésion inflammatoire des nerfs périphériques. De fait, l
riques. De fait, les troubles vasomoteurs, l'œdème, l'empâtement, les lésions des ongles, la peau lisse sont fréquents dans les
Fig. 28 — — (Champ visuel)...... 124 Fig. 29. — Chorée aiguë grave ( Lésions cardiaques) ....... 128 Fig. 30,31.'—H)stéro-ne
rasthénie (Champ visuel) ...... 137 Fig. 32. — Paralysie infantile ( Lésions médullaires, région lombaire) 141 Fig. 33 — — du
ns médullaires, région lombaire) 141 Fig. 33 — — du membre supérieur ( Lésions médullaires)............. 146 Fig. 34. — Ataxie
— (Sensibilité............ 478 Pages. Fig1. 103.— Syringomyélie ( Lésions médullaires)......... 491 Fig. 104. — Coupe de
. —'¦ Hémiparaplégie spinale croisée (syndrome de Brown- Séquard) par lésion traumatique de la moelle épinière dans sa moitié
Attaque de sommeil hystérique.............. 63 2°. Amyotrophie par lésion articulaire......... 72 3°. Deux cas de paralys
— Rétractions fibro-tendineuses dans les paralysies spasmodiques par lésions organiques spinales dans les paralysies alcooliqu
musc. sp. prog. —Pronostic 419. — Protopathiques, 412, 415. — Sans lésions médullaires, 413. Attaques de sommeil. (Voy. au
la), 448.— et hystérie, 543, 549. — Hystérie et neurasthénie, 457. — ( Lésions produites parla), 446, 447. Fulguration. — (Par
t des rétractions tendineuses, 538# Pachyméningite par Mal de Pott ( lésions ), 182. Page, 30, 288. Paget, 194. Panaris a
09. — Hérédité, 144, 146, 408.— (Infirmités résultant de la), 143. — ( Lésions de la) 141, 142, 408. — Période de réparation, 14
s, 186, sq., 192. Pott (Mal de). — Rétractions tendineuses, 539. — ( Lésions de la pa-chyméningite par mal de), 182. — Myélite
ophiques,518, 519. Syringomyélie. — et maladie de Morvan, 498. — et lésions trophiques viscérales,498. — etpachyméningite cer
rédité, 502. — Importance pour les localisations médullaires, 494. — Lésions , 491, 492. — Localisation, 491, 492. — Œdèmes,
74 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e qu'il s'agisse uniquement d'une question d'anatomie, et que cette lésion respecte toujours chez l'adulte un centre qu'el
le premier avait établi l'intégrité du facial supé- rieur dans les lésions cérébrales comme signe différentiel avec la par
un degré plus ou moins grand, et suivant le siège, l'étendue de la lésion cérébrale et certaines dispositions individuelles
cial supérieur comme le facial inférieur. L'au- topsie montra une « lésion corticale unique, ramollissement jaune, situé d
rieure était intacte. Le pli courbe ne présente aucune espèce de lésion . Sur la coupe de Flechsig on voit que le ramollis
nférieure, mais sur cette coupe encore le pli courbe est intact, la lésion s'arrête au premier sillon temporal. En faveu
facial supérieur était assez marquée. Le cortex ne présente aucune lésion , mais sur la coupe de Flechsig nous voyons la l
résente aucune lésion, mais sur la coupe de Flechsig nous voyons la lésion suivante : la partie antérieure du noyau lentic
rée. A l'autopsie le cortex de l'hémisphère gauche ne montre aucune lésion . Sur la coupe de Flechsig, ' Cité par Pugliese.
itons a signalé un fait célèbre de ptosis et paralysie faciale avec lésion cérébrale très combinée ; Landouzy 1 a consacré
ie. Quelle différence y a-t-il entre les deux cas ? Dans l'un, la lésion est périphérique ; elle a frappé exclusivement le
les autres nerfs moteurs de la face. Dans l'autre, il s'agit d'une lésion centrale, ayant frappé les centres d'origine de
ticale. Pourquoi ce centre cortical ne serait-il pas atteint par la lésion qui donne l'hémiplégie au même titre que celui
de ses mouvements volon- taires ; mais sa tonicité, par suite de la lésion centrale, est diminuée du côté paralysé et sa p
'expliquer cette contradiction paradoxale, si on n'admet pas que la lésion cérébrale a frappé le centre originel du moteur
ébrale a frappé le centre originel du moteur oculaire. En résumé la lésion cérébrale paralyse du même coup toute la moitié
. , Comment le moteur oculaire commun peut-il être atteint par la lésion ? Nous ne voulons pas faire ici toute la discus-
tée ou anxieuse. La mélancolie a été rangée parmi les psychoses, sa lésion anatomique n'étant pas encore connue. Les cen
de nombreuses pustules d'acné et de comédons. Il n'y a pas trace de lésions externes. Les extrémités thoraciques et abdo- m
re et osseux médiocrement développés, ne présente aucune trace de lésions ou violence. Les pupilles égales, réagissent % la
lade atteint de paralysie ascendante aiguë. à l'autopsie duquel des lésions très notables ont été constatées dans REVUE D
s rachidiennes comprises dans les coupes paraissaient normales. Ces lésions , très prononcées au niveau du renflement lombai
enist and ivcuî,ologist, janvier 1898.) Xi. Syphilis cérébrale avec lésions étendues des nerfs crâniens ; par le D1' Presto
envahis- sante, irrégulièrement répartie mais avec prédominance des lésions du côté gauche. (The .tentst and iyeui-ologist,
yokymie dans le saturnisme concordant avec la rareté rela- tive des lésions spinales antérieures dans la paralysie saturnine,
ance et la moelle. Dix ligures hors texte reproduisent ces diverses lésions . (lnenicccz Journal of insanity, octobre 1807.)
autopsie avec renseignements précis sur le siège et la nature de la lésion . Ce chapitre diagnostic constitue une véritable
tion scléreuse, véritable névrite interstitielle hypertrophique, et lésions cellulaires sur toute la hauteur de la moelle.
ivise ces états apoplectiques en : 1° état apo- plectique lié à une lésion organique des centres nerveux; 2° état apoplect
ilité labyrinthique et que les causes étiologiques sont surtout les lésions de l'oreille moyenne et quelquefois celles de l
ille moyenne et quelquefois celles de l'oreille interne et externe, lésions dont la cause est évidemment multiple mais plus
ce qui regarde les pieds bols, à rester confinée, dans l'étude des lésions squeletti- ques et du manuel opératoire à leur
pposer; il est de la plus haute importance de ne pas oublier que la lésion est d'ordre secondaire, que c'est un trouble tr
non accompagnés d'impotence doivent également être rattachés à une lésion du système ne' : veux développée chez le foetus e
syphilitique chez l'enfant. M. Soocail : Contribution à l'étude des lésions spinales dans la pa- ralysie générale. M. MAURt
jAcnoïK. Maladie du jeune chien, 7'a)Y ? t'e infan- tile et chorée. Lésions microbiennes du système nerveux central. Biochu
séquent, il semble que l'analgésie ulnaire puisse se présenter sans lésions de la moelle épi- nière ni des nerfs périphériq
mentales à type dépressif, et principalement dans les affections à lésions soit d'organisation, soit de désorganisation. C
e tableau. Nous trouvons le plus d'analgésiques chez les déments ( lésions de désorganisation), où la proportion est de 87/1
sorganisation), où la proportion est de 87/100, et chez les idiots ( lésions d'organisation) où elle est de 85/100. Vienne
Etat physique.- Le malade est de taille moyenne, très amaigri ; des lésions de décubitus aux deux régions trocantériennes; te
de la pie-mère, de l'arachnoïde et de la substance cérébrale. Cette lésion surtout fréquente est presque caractéristique de
s rétrécies. Dans 3 p. 100 environ des cas, nous avons trouvé les lésions confirmées de la paralysie générale ; ici la méla
) d'une paralysie générale dépressive à début mélancolique. Comme lésions viscérales dont l'influence sympathique est adm
ades ont succombé à la suite de la tuberculose dont on a trouvé les lésions à l'autopsie. Dans un cas nous avons trouvé des
ussi une autopsie complète est-elle nécessaire pour interpréter les lésions rencontrées dans ces cellules. Dans les deux ca
complète démontra l'absence d'aucune autre maladie, d'aucune autre lésion organique en sorte que les altérations cellulaire
la première période de la syringomyélie; elles correspondent à une lésion du neurone sensoriel périphérique sur l'un des
ouveau-né, on peut suivre des conducteurs sensoriels, tandis que la lésion d'autres territoires s'accompagne le plus habit
asedow est hystérique (Charcot), c'est pourquoi on ne trouve pas de lésions . Mais elle peut être due parfois à des toxines
infectieuses ; elle est alors aussi purement fonctionnelle (légères lésions du plancher du quatrième ventricule). Elle peut
u quatrième ventricule). Elle peut encore émaner du tabes avancé; lésion du faisceau solitaire de Mendel. La théorie de
ré. De même on peut se demander si l'aphasie a été produite par une lésion du centre ou par la section des fibres unissant
ait été régulièrement soignée. M. Joffroy. On rencontre'souvent des lésions de syphilis ter- tiaire associées aux lésions h
rencontre'souvent des lésions de syphilis ter- tiaire associées aux lésions habituelles de la paralysie générale. On peut i
il n'y a que 3 paralytiques généraux. M. Ballet. La coexistence des lésions tertiaires avec celle de la méningo-encéphaliqu
ronique soit une quatrième période de la diathèse spé- cifique. Les lésions de la paralysie générale sont des lésions ana-
iathèse spé- cifique. Les lésions de la paralysie générale sont des lésions ana- logues à celles que peuvent produire toute
uelle peut répondre l'anatomie pathologique. M. Vallon. Puisque les lésions de la paralysie générale sont dues à une toxine
xoedème a toujours une caractéristique iden- tique, l'existence des lésions thyroïdiennes- que la. glande soit atrophiée, a
utre part, le professeur Depaul invoque la congestion cérébrale, la lésion rénale et l'altération du sang pour expli- quer
craintes excessives provoquées, le plus souvent par l'existence de lésions cutanées, et quelquefois mais rarement par la pos
s cheveux, de la pelado- phobie. L'herpès génital est de toutes les lésions des organes géni- taux externes, celle qui enge
est obsédée par la crainte justifiée ou non du développement d'une lésion cutanée sur le visage de sa fille, obsession qu
tte dernière). M. Thibierge recommande d'associer le traitement des lésions cutanées existantes et des troubles fonctionnel
s chercheurs originaux sur ces questions. Il pousse l'analyse des lésions histologiques des centres nerveux et des viscèr
centres nerveux et des viscères jusqu'à y distinguer des groupes de lésions dont chacun a une origine et une valeur spécial
même syndrome alors que ces types se distinguent néanmoins par leur lésion , leur aspect clinique, leur diagnostic. Les alt
ations périphériques du système nerveux ne sont point omises et les lésions viscérales sont l'objet d'un examen non moins a
rches histologiques de M. Klippel lui permettent de rapporter à des lésions distinctes les symptômes paralytiques et dément
sser à l'encéphalite confirmée avec symptômes persistants. Avec les lésions spinales, les formes tabétiques, scléreuses, névr
, distinguer deux groupes : 1° Celles qui s'adressent aux grosses lésions de l'utérus ou des annexes : à celles-là corres
es subjectifs accompagnant REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 221 des lésions souvent insignifiantes et qui constituent le doma
la lèpre. Du reste, si la lèpre est une maladie micro- bienne, ses lésions et ses symptômes primordiaux sont localisés dan
une influence directe sur le développement de la démence du fait de lésions irritatives du système nerveux produites soit par
rter à cette maladie ; un squelette du musée Uupuytren présente des lésions semblant se rapporter une évolution identique.
lade, ni dans la marche des accidents, n'a permis de soupçonner une lésion syphilitique. L'auteur croit pouvoir expli- que
réaction de dégénérescence faisait défaut, ce qui indiquait que la lésion des racines nerveuses avait été relativement lé
le syndrome de dégénérescence totale indique l'incurabi- lité de la lésion . En tous cas, il est nécessaire de continuer long
longtemps, (vingt ans) après l'énucléa- tion de l'oeil opposé pour lésion accidentelle traumatique. Dans une observation
souvent l'occasion de relater des observations d'idiotie due à des lésions méningitiques ou encéphaliques, consé- cutives
c. Démences. Dans la démence sénile et dans la démence liée à une lésion cérébrale circonscrite (ramollissement, hémorra
choses séniles et la ? -- dives. Lwoff. De l'état mental dans les lésions circonscrites du cerveau. (Thèse, Paris, 1890.)
n'y a plus de présent, mais le passé lui-même s'est évanoui. Les lésions en foyer peuvent à leur tour survenir et entraî-
iser ses conceptions; aussi sont-elles moins bien coordon- nées. La lésion anatomique semble plus étendue dès le début. l'
ts [définitifs. L'étude du système nerveux central et notamment des lésions des cellules dans les infections et les auto-in
ment une des particularités les plus intéressantes et les ' Ballet. Lésions corticales el médullaires dans la psychose polyné
les neurones moteurs, ont des tendances naturelles à réparer leurs lésions ; toutefois, le processus de répa- ration est pl
érations sur le traitement du mal de Pott font suite à l'exposé des lésions , et six photographies de préparation de la moel
ronostic favorable alors que l'ab- sence du réflexe est un signe de lésion organique et aggrave' le pronostic. Peu de temp
Sur les six faits relatés dans ce travail quatre concernaient une lésion de la partie cervicale de la moelle et deux une l
ernaient une lésion de la partie cervicale de la moelle et deux une lésion de la partie dorsale supérieure. Trois fois l
x (trois figures photographi- ques). L'étiologie congénilale de ces lésions semble pouvoir être rapportée à un accouchement
et prolongé (hémorragies cérébrales postérieures). Cliniquement les lésions occipitales se traduisirent particulièrement pa
mus, l'atrophie optique et l'imbécillité. D' Marie. XXIV. Un cas de lésion localisée du quatrième ventricule; par Water CA
usion mentale primitive, à l'autopsie desquelles ils ont trouvé des lésions cérébrales importantes. Ces malades, du sexe fé
mps tuberculeuses et présentaient de la dégénérescence du foie avec lésions de cirrhose ; chez toutes deux, la symptomatologi
était la même, associée chez l'une à des signes manifestes et à des lésions accusées de polynévrite. Les lésions cérébrales
des signes manifestes et à des lésions accusées de polynévrite. Les lésions cérébrales constatées sur des coupes colorées p
du noyau, jusqu'à la chromatolyse complète. Il n'existait pas de lésions vasculaires, de diapédèse, ni de prolifération in
malade atteinte de psychose polynévritique, ont été obser- vées des lésions (déformation cellulaire, migration du noyau, ch
em- bres supérieurs présentaient la même altération. L'absence de lésions vasculaires, l'intégrité de la gangue névro- ni
aires, l'intégrité de la gangue névro- nique et la prédominance des lésions au niveau des régions de la moelle correspondan
ce dernier signe n'a qu'une valeur très relative, à établir que les lésions médullaires étaient des lésions secondaires, c'
ur très relative, à établir que les lésions médullaires étaient des lésions secondaires, c'est-à-dire consécutives à la poly-
-à-dire consécutives à la poly- névrite et engendrées par elle. Les lésions cérébrales aussi n'étaient peut-être pas primit
lindraxile est altéré. La nature de l'agent toxique, producteur des lésions constatées n'a pas été déterminée avec précisio
ion; on était en droit d'incri- miner à la fois la tuberculose, les lésions hépatiques et l'alcoolisme ; mais il n'a pas ét
PATHOLOGIQUES. XXVII. Sur un cas de paralysie ascendante aiguë sans lésion histolo- gique des nerfs et de la moelle; par l
u niveau du noyau des nerfs mixtes, ne laissaient apercevoir aucune lésion . Le cerveau était normal sur les coupes. ' Il
, de remarquer que même dans certains cas de maladie de Landry avec lésions , il n'y a pas de parallélisme entre l'évolu- ti
elleux, couche des grains et cellules de l'ur- kinje, atrophie sans lésion vasculaire. (Revue neurologique, oct. 1898.) E.
connaître, en raison de l'interprétation à donner sur de pareilles lésions rencontrées sur des cerveaux d'aliénés. Dans le
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.- 317 XXXIV. Sur les lésions des cordons postérieurs dans la moelle des lépr
l sont les suivantes : 1° dans certains cas de lèpre, il existe des lésions des cordons postérieurs occupant avec une prédi
oll, les faisceaux en virgule, les Uiangles cornu-marginaux; 2° ces lésions coïnci- dant avec un minimum d'altérations des
ans les moignons d'amputés et les sections expérimentales, pas de lésions vasculaires, mais seulement-dès cellules et des f
er (non strié et innervé par le sympathique) ainsi qu'à celle d'une lésion concomitante au moins fonctionnelle du noyau ce
nique'qui ne doit pas être confondu avec elle, ensuite parce que la lésion qui le provoque est non pas sous-corticale, mai
nation des localisations fonctionnelles de la capsule interne : les lésions destructives de la capsule interne ne donnent pas
té- rieures avec destruction de grosses cellules pyramidales. Les lésions principales ont leur siège dans la substance gris
pales ont leur siège dans la substance grise péri-épendymaire : ces lésions se localisent surtout à la région dorsale et le
eur nature est inflammatoire. C'est secondairement qu'on trouve des lésions des cornes grises antérieures et des grosses ce
les branches du nerf facial du même côté. Symptômes bulbaires sans lésions respiratoires et circulatoires sérieuses. Sympt
gération des réflexes tendi- ueux, hémihyperesthésie droite. Aucune lésion des sphincters. Pas de lésions des muscles de l
eux, hémihyperesthésie droite. Aucune lésion des sphincters. Pas de lésions des muscles de l'oeil. Accès de rire forcé. 5°
e cérébrale. Le syndrome pseudo-bulbaire est dM le plus souvent aux lésions du noyau lenticulaire et de la capsule interne
autres; 6° la myosite ossifiante progressive semble provenir d'une lésion des centres nerveux ; le processus ossifiant co
un rapport entre les noevi étendus, surtout ceux de la face, et les lésions cérébrales se traduisant par l'idiotie, les affec
ue étiologique, par le rôle provocateur joué par l'irritation d'une lésion nasale (polype) et par l'alcoolisme aigu, qui e
Weir-Mitchell; mais cette tachypnée s'est manifestée au cours d'une lésion pulmonaire véritable (pleurésie diaphrag- matiq
plus, un état psychique spé- cial vient se greffer sur ces diverses lésions (basophobie) et enrayer cérébralement la marche
fond du quatrième ventricule on trouve même des hémorrhagies. Les lésions sont moins prononcées dans la protubérance, l'éco
imer (Marcel), de Paris. Prix Portai : 600 francs. Question : Des lésions des centres nerveux et des reins, causées par l
droite, c'est-à-dire du même côté où pénétra l'arme, seulement une lésion circonscrite au faisceau pyramidal, d'où l'hémi
o-latérale, qui comprend le faisceau pyramidal. Avec de pareilles lésions , comment expliquer les symptômes observés ? Pour
évélations du microscope, qui dénotent dans tous les cas toutes les lésions fines de l'artérite chronique. De cette artérit
ouble mental et 2 améliorations ; Enfin sur 8 opérations pour des lésions vaginales, il y eut seule- ment 3 améliorations
que la psycho- névrose serait à la fois la cause et\le résultat des lésions nerveuses. Jl faudrait alors faire intervenir,
roubles gastro-intestinaux, de l'anesthésie viscérale, ou. même des lésions du système nerveux. Ici, il est incontestable que
eillit cette opinion ; l'association de troubles cérébraux et d'une lésion polynévritique parut singulière, mais bientôt la
entaux à physionomie clinique variée qui s'associent d'habitude aux lésions et symptômes delà polynévrite et qui recon- nai
toujours la même cause que la polynévrite elle-même. En effet, les lésions névritiques et les lésions cérébrales produi- s
la polynévrite elle-même. En effet, les lésions névritiques et les lésions cérébrales produi- sant les troubles mentaux ne
au lendemain, si tant est qu'elle soit réparable complètement. Ces lésions existent-elles ? On les a recherchées et jusqu'
igmen- taires des cellules, mais on n'avait pas trouvé la véritable lésion cérébrale. M. Ballet a eu la bonne fortune de t
s délires oriniques et dont il a pu exa- miner histologiquement les lésions . L'examen des nerfs décela les lésions banales
miner histologiquement les lésions. L'examen des nerfs décela les lésions banales de la polynévrite : dégénérescence wallér
lobule paracentral) montra les mêmes altérations cellu- laires. Ces lésions cellulaires présentent trois grands caractères :
aller jusqu'à la projection hors de la cellule et chromatolyse. Ces lésions limitées aux grandes cellules pyrami- dales son
érique (Nissl, Marinesco, Dutil et Ballet). M. BALLET fait voir ces lésions par de nombreuses et très belles projections. U
e, c'est de savoir si la substance toxi-infectieuse a déterminé les lésions en agissant directement sur la cellule parla ré
ctuellement se prononcer avec certitude sur le fait de savoir si la lésion cérébrale est primitive ou secondaire. Cette se
également pour la fibre blanche. On peut donc dire qu'il existe des lésions cérébrales dans les psychoses polynévritiques.
les toujours ? Non. M. Ballet, dans certains cas, n'a pas trouvé de lésions cellulaires. Dans un cas, dont il donne l'obser
it-elle pas eu le temps d'être altérée profondément. En résumé, ces lésions ont une grande importance au point de vue de la
ales. Peul-être arrivera-t-on par la connaissance plus profonde des lésions histologiques des cellules cérébrales à diviser
Anglade demande à poser quelques questions à M. Ballet à propos des lésions cellulaires qu'il a décrites. Quel est le degré
M. Ballet attribue aux divers 390 .SOCIÉTÉS SAVANTES. ordres de lésions qu'il nous a décrites comme formant un subs- tr
truction de la trame achroma- tique, expansion~du cylindraxe. Cette lésion est importante sans doute, mais elle s'observe
nérale, dans l'épilepsie, l'éclampsie. M. Ballet pense-t-il que ces lésions suffisent à expliquer les psychoses polynévriti
t pas encore en possession d'un moyen permettant de reconnaître des lésions de cette trame. La chroma- tolyse constatée ind
t impossible de définir le rôle des diverses intoxications dans les lésions qu'il a constatées dans les cellules. Des causes
ion de l'excitabilité galvanique et faradique prouvent qu'il va une lésion . Peut-être avons-nous affaire à une association
vons-nous affaire à une association bysléro-orgamque ; toutefois la lésion organique parait aussi certaine que possible pour
i certaine que possible pour une malade encore vivante. Et s'il y a lésion , ce ne peut être qu'une sclérose en plaques.
localiser, mieux qu'à l'aide des autres caractères, le siège de la lésion , en distinguant le tremblement SOCIÉTÉS SAVAN
tomatologie spéciale : 2° ter- rain hystérique; 3° absence de toute lésion cardiaque. Or, cet accès angineux a été la copi
il ne suf- fit pas de convaincre le malade qu'il ne présente aucune lésion cardiaque, il faut encore et surtout le prémuni
ce cas, plus efficace que toute intervention médicamenteuse. Les lésions Itisiologiqiies du système nerveux central dans l
autour des cellules pyramidales en voie d'atrophie. L'existence de lésions à la fois parenchymateuses et interstitielles d
guérison, les idées délirantes disparurent. M. Bidon pense que les lésions utérines sont tantôt causes, tantôt simplement
uement la mort dans un accès. A l'autopsie, rien au cerveau, pas de lésions de la colonne verté- brale ni des méninges médu
ÉTÉS SAVANTES. 403 les rapports de l'arthrite tuberculeuse et de la lésion médullaire. Ce fait leur paraît une démonstrati
n. Quant à la cause de cette thrombose, elle relève probablement de lésions tuberculeuses, mais elle n'a pu être démontrée
ntôt inconstante ou nulle; d'autres fois il y a eu albuminurie avec lésions rénales. Toutefois cette albuminurie n'est ordi
ieure, plus prononcé aux endroits hypertrophiés. La coïncidence des lésions musculaires avec l'affaiblissement des facultés
wnikoff invite l'auteur à donner une description plus détaillée des lésions médullaires dans le cas en question. S. SOUIi
d'origine corticale ; 2° d'origine subcorticale, c'est-à-dire avec lésions de la subs- tance blanche du cerveau, celles du
e, extra-corticale et subcor- ticale en rapport avec le siège de la lésion dans les centres ou dans les faisceaux de commu
pour lui, le mutisme devait être classifié sui- vant le siège de la lésion dans tel ou tel autre centre de mé- moire verba
des adultes et des enfants d'origine corticale et extra-corticale ( lésions de l'o- reille moyenne ou interne), nous propos
rganiques, il faut ranger : . 1e L'aphasie motrice, consécutive aux lésions de la troisième APERCU GÉNÉRAL DES VICES DE L
pouvoir parler ' ; 3° L'aphasie auditive (surdité verbale) due aux lésions de la première circonvolution temporale. Par dé
ment ; . 3° L'alexie isolée (cécité verbale) survenant en cas de lésion de la scissure interne (flissura calcarina). Le s
prend : 1° l'aphasie auditive d' association se produisant dans les lésions de la circonvolu- tion du pli courbe (g. supram
Y alexie d'association ou cécité verbale d'asso- citation en cas de lésions du pli courbe (g. supraangularis). Le malade li
mouvements'. Enfin, il existe des formes mixtes dans lesquelles les lésions orga- niques se compliquent de symptômes pureme
encore à l'imitation de l'entourage ; dans le second, il existe des lésions de l'oreille et de l'appareil arti- culateur.
s dans la large acception du terme ; il y en a peu qui tiennent aux lésions pathologiques du tissu célébrai en l'absence de
hystérique donne souvent lieu à des méprises. Ne constatant pas de lésions organiques de nature à expliquer la cécité, les
diverses reprises par plusieurs oculistes qui, ne découvrant aucune lésion , crurent à de la simulation ; il s'agissait en
ialement sur les cellules nerveuses, dont les auteurs décrivent les lésions dans le cerveau, le cervelet et la moelle épini
poignet se trouve dans la partie interne du nerf. G. DFNY. XLIV. Lésion de la bandelette optique et du pédoncule du côté
phie droite du cervelet. L'auteur fait remonter la production de la lésion au septième mois intrautérin. II. Jeune homme p
'il ne peut s'agir que de myélite transverse dorso-lombaire dont la lésion doit être située au niveau ou au-dessous du cen
une altération de la substance grise, des racines et des nerfs. Ces lésions expliqueraient, d'après M. Brissaud, sans être
out dans la profondeur et sur les bords du sillon de liolando ; les lésions prédominent vers la partie supéro-interne de ces
et Spiller, etc. Les mèninijes spinales sont épaissies. Ce sont les lésions de névrite périphérique qui prédominent sur la co
st probable que l'emploi de la mé- thode de Nissl aurait décelé des lésions dans les cellules des cornes antérieures. C'est
la formecéé6ro-spizznle décrite par Little, en 1862. Elle dépend de lésions survenues pendant les accouchements difficiles.
s'est accompagnée d'hé- morragies méningées qui ont été suivies de lésions scléreuses, comme dans les cas analogues de Sar
ne déviation conjuguée de la tête et des yeux. Le malade regarde sa lésion . Pupilles très resserrées, température normale.
er exactement la part qui revient à 1'llystéio-traumatisiiie et aux lésions méningo-corticales. Néanmoins, l'intensité du t
déviation conjuguée de la tête et des yeux à gauche. Il regarde sa lésion . Sensibilité abolie'au niveau des membres paralys
ois très accusée, est la conséquence d'un processus destructif. Ces lésions n'ont rien de spécifique. Autour des cellules p
es des deltoïdes et craquements arucu- lalres, par Féré, 327. Les lésions histologiques du système nerveux central dans
is, 213. Lèpre anesthésique. par Ilersmau, 6î. Lépreux. Sur les lésions des cor- dons postérieurs dans la moelle des
ibution a la connaissance de l' externe, par Homen, 6G. Optique Lésion de la bandelette, par Maheim, 474. Parmasie.
s un cas de- saturnine, 66. Sur un cas de - aseendante aiguë sans lésion histologique des neifs et de la moelle, par G
ne observation nouvelle, par Roques, 321. Syphilis cérébrale avec lésions éten- dues des uelfs crâniens, par Pres- ton,
umeurs 1\TPA-CRAIC\\ES, par Fer- rier, 310. Ventricule. Un cas de lésion loca- lisée du qnatneme ventricule, par Carr,
75 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s troubles de la parole qu'il a présentés. Nous n'avons trouvé de lésions de la motilité du côté du voile du palais que c
voir faire rapporter le bé- gaiement à des causes périphériques. La lésion pri- mitive consisterait ainsi, non pas dans un
de myélite dont il s'agit me semble résider dans la comparaison des lésions observées. L'évolution symptomatique a été la m
e a été la même dans les deux cas et néanmoins, on relève entre les lésions de l'un et de l'autre de notables différences ;
au-dessus du foyir principal, vers le cerveau, on constate que les lésions persistent, même jus- qu'au niveau de la troisi
lus élevée de la moelle qui ait été à notre disposition. Mais les lésions diminuent d'intensité et d'étendue; à l'oeil nu,
oins consi- dérables. Au niveau de ces foyers, on observe les mêmes lésions que plus bas : altération spéciale des vaisseau
leux et le noyau indis- tinct. En dessous du foyer principal, les lésions vont également en dimi- nuant, mais on en trouv
nes aiitérieuresparaisseiitlout àfait nor- males. Réflexions. Des lésions qui viennent d'être décrites, la plus frappante
et la cinquième paire dorsale, du moins c'est à ce niveau que les lésions atteignent leur plus haut degré d'intensité. A
dirigeant vers l'extrémité supérieure de la moelle, on voit que les lésions persistent mais diminuent d'étendue et d'intens
des corps amyloïdes se rencontrent dans les deux subs- tances. Les lésions de la substance blanche sont peu prononcées : -.
granula- tions (voir fig. 10, d). Vers la partie inférieure, les lésions vont en diminuant, mais on en trouve encore des
e pigmentaire plus ou moins avancée. Réflexions. - En comparant les lésions qui vien- nent d'être exposées avec celles que
onsidé- rable, selon le sens transversal. Du foyer originaire, la lésion s'est propagée dans les deux directions, sur to
un signe de syphilis et l'autopsie n'a constaté sur aucun organe de lésions spécifiques. Au surplus, l'existence d'une myél
nstance, il a pu résulter certaines diffé- rences dans l'aspect des lésions . RECUEIL DE FAITS SUR UN CAS DE TETANOS CHEZ
pinière et particulièrement sur la partie supérieure, bulbaire. Les lésions trouvées aux autopsies dans la moelle sont sans
s, et les moyens d'investigation manquent pour les dé- couvrir. Les lésions macroscopiques et microscopiques qu'on trouve a
d elles existent, elles provoquent seulement, par leur présence, la lésion intime et élémentaire qui nous échappe. Au poin
mais on ne saurait voir entre ces troubles d'é- quilibration et la lésion dû lobule pariétal qu'une simple coïn- cidence
le pariétal qu'une simple coïn- cidence car on a observé cette même lésion chez des sujets qui n'ont présenté aucun de ces
ces 'phénomènes. Pour qu'une relation directe entre le siège d'une lésion et le trouble fonc- tionnel correspondant soit
yotrophique (Beevoor), dans le spasme hystérique, et dans un cas de lésion organique du cerveau probablement bulbo-protubé
ossible de savoir s'il y avait eu syphilis. L'auteur diagnostiqua : lésion centrale du centre commun des oculomoteurs comm
bant les deux oculo-moteurs communs, surtout celui de droite. Cette lésion périphérique et irrégulièrement disséminée des
que d'une observation. Il s'agit d'une ophtalmopiégie nucléaire par lésion des noyaux nerveux du tronc ducerveau et en par
a gravité des phénomènes généraux, quelque intenses que fussent les lésions pathogénétiques des syn- dromes toxiques, la mo
Pas de râles; pas d'albu- mine. Mortdeux jours plus tard. Autopsie. Lésions caractéristiques et généralisées du système aor
e se terminant par de la contrac- ture ; malgré la superficie de la lésion centrale, il existe une bande dégénérative parl
ntrale, il existe une bande dégénérative parlant du centre de cette lésion , traversant la zone correspondante du centre ov
te; par F. Flechsig. (Ibid.) D'après une observation concernant une lésion (ramollissement) limitée aux lobules linguaux d
atrophie n'est pas caractéristique de la paralysie gé- nérale ou de lésions parentes, puisqu'on la rencontre dans une catég
cas, -l'atrophie des fibres intracorticales marche de pair avec les lésions athéromateuses. Nous avons aussi rencontré une
t alcooliques ; les deux autres ne présen- taient ni alcooli-me, ni lésion des vaisseaux, ni atrophie des fibres intracort
s et des vaisseaux, d'oedème cérébral ou de folie systématique avec lésion cardiaque; on pourrait l'appeler nutri- tive, l
aucun cas de paralysie générale avancée, ou ne notera l'absence de lésions des cellules nerveuses, seulement, beau- coup d
ngement, car, dans un cas de dégénérescence des cordons de Goll par lésion de la queue de cheval, l'auteur ne put trouver la
gyribreves fron- tales semblent faiblement dessinés. P. K. XVII. LÉSION ANATOMIQUE CHEZ UN INDIVIDU N'AYANT PRÉSENTÉ DE P
la publication d'une observation dans laquelle, à la suite d'une lésion des lobes pariétal et temporal d'un hémisphère, i
PACE situé au-dessous DE la DUIOE-MÈllI'; du cerveau (y compris LES LÉSIONS DÉCRITES SOUS LE NOM DE 1',\CdnnNINGITE) chez les
s, on peut en toute certi- tude exclure l'origine Lraumatique de la lésion , il y a cependant des raisons suffisantes d'adm
émorrhagie capable de provoquer la mort du malade. R. M. C. XXIX. Lésion d'un hémisphère du cervelet avec dégénérescence d
; les symptômes ne manquaient pas pour révéler la propagation de la lésion à la substance grise : l'atrophie mus- culaire
e se fit avec les ongles, au rectum et peut-être à la prostate, des lésions assez graves, qui donnèrent lieu à des accident
de l'équilibre mental. Dans l'autre cas, le choc déterminé par une lésion physique parait avoir été le point de départ de
rend accidentellementlasyphilis, est atteint d'abord d'une sorte de lésion en foyer du cerveau qui plus tard dégénère eu e
aitement spécifique. P. K. XVIII. UN cas DE FOLIE circulaire avec lésions anatomiques, par A.-l3. WOLLIlU'OER. (Neurohg.
lions delà base, le bulbe et la protubérance ne présen- tent pas de lésions . Tuméfaction de la névroglie et déchéance de qu
syphilitique y joue le principal rôle. Il existait aussi de graves lésions cardiaques, rénales et pulmonaires (hypertrophie
tion, de la circulation, du larynx ; on ne constata pas non plus de lésions marquées à l'ophllialmoscope; ni atrophies, ni
décrites par Tuczek. Discussion. - M. SCHULTZE. N'y aurait-il pas lésion de tout le système artériel de l'écorce ? M. Br
és. C'est par un mécanisme analogue que se pourrait expliquer cette lésion chez les paralytiques généraux. Ne conviendrait
e nom de paralysie géné- rale tabétique, la paralysie générale avec lésion des cordons posté- rieurs de Thomsen. 111. OLnH
il sa plus simple expression, la pareso-anatgésie n'est plus que la lésion de la irophicité médullaire. En s'étendant du cen
syndrome ; il y a des épilepsies qui toutes sont symptomatiques de lésions et d'altérations fonctionnelles très diverses.
; aux bureaux du Progrès médical. Cette affection reconnait comme lésion anatomique des cavités creusées dans le tissu d
e foetale était déjà bien connue. Mais il était étrange de voir les lésions se localiser dans des cas semblables au domaine
ais ce n'est pas seulement dans cette branche- du sciatique que les lésions de la névrite, car c'est d'elle évidemment qu'i
contraire ont conservé leur excitabilité. Ici la localisation des lésions a encore été plus étroite que dans les cas préc
talité du nerf sciatique poplité externe qui a été envahie par la lésion , mais seulement le nerf tibial antérieur. L'inté-
hors. En résumé, pendant quinze jours, les signes sont ceux d'une lésion non seulement du sciatique, mais encore de tous
à l'état normal et ce n'est en définitive qu'après neuf mois que la lésion se li- mite nettement au domaine du sciatique p
sujet de l'observation sui- vante, les conditions de production des lésions ner- veuses, ne sont plus tout à fait les mêmes
l'on peut fort bien admettre que le plexus ait été englobé dans la lésion du petit bassin. Nous possédons l'observation f
rien de plus ici. De même que dans le saturnisme, l'alcoolisme, les lésions nerveuses se localisent de pré- férence aux tro
nvoquer comme cause de la sciatique, ni traumatisme obstétrical, ni lésions du bassin. Il s'agit ici d'une complication de
adie, elle nous échappe, mais du moins on ne peut incriminer aucune lésion des bran- ches d'origine du nerf dans le bassin
les troubles- de la sensibilité sont notablement moindres et les lésions musculaires pré- dominent, bien qu'on n'ait pas
, qui existe à un haut degré, n'est plus exacte- ment connexe aux lésions des muscles. Mais auparavant, rappelons en
é est restée indemne. On ne saurait d'ailleurs, pour localiser la lésion au domaine de telle ou telle branche ner- veuse
nées, nous paraissent par- faitement suffisantes pour conclure à la lésion des di- verses branches nerveuses. Observatio
e par l'hérédité, s'est-elle affirmée avant ou après le début de la lésion du nerf ? C'est ce que nous ne pouvons affirmer
vrai, jamais décrite jusqu'aujourd'hui, que dans la sciatique par lésion traumatique des branches d'ori- gine du nerf da
eil pratiquée par mon interne, M. Castagne, ne révèle pas de graves lésions : les deux papilles sont légèrement décolo- rée
ou céré- 1ro-splIJale; nous sommes portés à penser que le siège des lésions MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT. 193 anatomiq
ur 300 vieillards, il l'a constatée six fois seule- ment. - - Les lésions anatomiques qui sont le point de départ du trem-
isséminés, plus ou moins étendus, de sclérose périvasculaire. Ces lésions ne me paraissent pas aussi banales qu'à De- man
, il est vrai, que beaucoup de vieillards pré- sentent de pareilles lésions sans avoir jamais tremblé et que ces altération
, et s'il n'existe pas, derrière les symptômes de la névrose, une lésion organique qui les provoque et les entretient. La
d'après lui, bien [des maladies considérées comme la conséquence de lésions organiques ne sont pas autre chose que des mani
le trouble fonctionnel de l'altération organique. la névrose de la lésion . Ajoutez encore, pour com- pliquer le problème,
t, apportant chacun le cortège de leurs symptômes respectifs. Les lésions organiques peuvent se développer chez une hysté-
nelle, devienne elle-même organique et aboutisse tardivement à une lésion . Rappelez-vous le cas, aujourd'hui classique, de
chez notre malade, les symptômes qui pourraient faire croire à une lésion et, si elle existait, où faudrait-il la localis
n ne peut s'empêcher, en présence de ces phénomènes, de songera une lésion mésocéphalique, àlaparalysie labio-glosso- lary
e groupement symptomatique correspond, au dire de Bene- dikt, à une lésion pédonculaire. Supposez que, au lieu de rester d
re cas et le syn- drome de Benedikt. Nous aurions donc affaire aune lésion du pédoncule. Je crois toutefois qu'il est bon
malade n'étant alors qu'une hystérique) ou si l'on a affaire à une lésion organique consistant dans la présence d'une tum
tumeur ou d'une plaque de sclérose. Il peut se faire, enfin, que la lésion , purement fonc- tionnelle au début, soit devenu
ic est naturellement réservé. Qu'il s'agisse de la névrose ou de la lésion , il est plutôt sombre en raison de la longue du
choue dans ce sens, j'entreprendrai le traitement classique de la lésion . Il me parait utile de commencer par la névrose,
e parait utile de commencer par la névrose, car le traitement de la lésion organique dispose de ressources infini- ment re
onnel reste sans effet, nous devrons concentrer nos efforts vers la lésion et mettre en usage, d'un côté la révulsion fréq
- tôt, elles représentent le type classique de l'hémi- plégie par lésion cérébrale vulgaire : paralysie du bras, de la j
ons de Bourdon, de Klebs ', de Poelchen2); elle est due alors à des lésions cérébrales facilement reconnaissables. Les pa
autopsies n'ont presque rien appris relativement à la nature des lésions : la mort n'est presque jamais le fait de la pa
n'est presque jamais le fait de la paralysie. On a bien trouvé des lésions diverses, 1 Klebs.- Recherches sur l'intoxicati
renchymateuse au dé- but ». ' Une autre fois, Klebs a observé des lésions des muscles à côté de celles des nerfs chez un
s à côté de celles des nerfs chez un individu qui succomba avec des lésions nerveuses après avoir été paralysé du bras et d
admettre que les altérations musculaires ne sont que secondaires. Lésions nerveuses centrales. Les désordres que l'oxyde
apillaires , les hémorragies méningées s'observent souvent, mais la lésion la plus caractéris- tique, celle que l'on a obs
mode de production de ces paralysies doit varier : il n'y a pas de lésion pathogénique com- parable. Il en est. ici com
érose en plaques. C'est bien l'agent toxique qui est la cause de la lésion cérébrale; quant à son mode d'action, on l'igno
te, on voit un coup de queue de billard déterminer, sans la moindre lésion traumatique appa- rente et pendant une paire de
nte, les troubles de la sensibilité ne peuvent être attribués à une lésion d'un nerf; nous n'in- sisterons pas sur ce diag
es, tétanie avortée, 238 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. infection, lésions organiques de la moelle, troubles hystériques,
e observation. - Paralysie, probablement par contre-coup, due à une lésion de la base du crâne.- Seconde obser- vation. Pa
veux et exophtalmie. Il est en revanche à remarquer que, dans les lésions organiques des centres nerveux, la convergence de
i que les accidents génito-vésicaux, on arrive à diagnostiqueur une lésion centrale. La discussion du fait ne permet pas d
isse après elle de la surdité verbale avec paeapleusie. Diagnostic. Lésion circonscrite de la première temporale et des fi
éléments nocifs, même en quelques années seulement, déterminer une lésion organique du muscle cardiaque ou des artères du c
ent sur la marche de la maladie. Comme dans la syphilis cérébrale à lésion diffuse, le traitement spécifique n'agit pas su
t inférieure des deux ascendantes atrophiées, du côté droit : cette lésion en foyer, qui constitue le résidu d'une ménin-
'asile (convulsions épileptiformes, affaiblis- sement intellectuel, lésion des cordons postérieurs avec disparition du phé
. K. ' 266 revue d'anatomie ET de physiologie pathologiques XXXII LÉSIONS anatomiques dans un cas DE paralysie DIPIITHÉ-
e sur l'atrophie thyroïdienne chez les idiots, d'après lequel cette lésion , diagnostiquée par le simple palper sur le viva
e ne sont pas tou- jours en rapport avec l'importance apparente des lésions trauma- tiques. M. DUBUISSON présente les piè
de substance est due à un trouble vasculaire ayant déter- miné une lésion destructive. M. SOLLIER fait observer qu'il y a
s aux circonvo lutions du cerveau normal. Quant à la pathogénie, la lésion parait SOCIÉTÉS SAVANTES. 279 M. DENY (de Par
; elle succomba à une pneumonie lobulaire du lobe supérieur gauche; lésions atéleclasiques avec bronchite purulente. Une in
llucinations olfactives, hallucinations peut-être provoquées par la lésion organique mais qui sûrement ont passé inaperçue
rçues pendant bien longtemps. Le traitement spécial l'a guéri de sa lésion locale, mais elle parait avoir augmenté les tro
e la paralysie générale par intoxication, l'ordre de succession des lésions est renversé : nous subordonnons la conges- tio
p- titude de ce tissu à proliférer suffisamment pour produire les lésions de la paralysie générale. Une révolte à Ville-E
firmation. Le lobe frontal est, dans l'espèce, le plus affecté ; la lésion n'y manque jamais, surtout dans le gyrus rectus
antes. 291 des pièces microscopiques à l'appui de leur travail. Les lésions mi- croscopiques sont indépendantes de la ménin
ubles ; on le rencontre chez beaucoup d'artério-scléreux, même sans lésions valvulaires de l'aorte. M. Grasset fait rentrer
pouls lent permanent, il n'admet pas comme cause de ce dernier les lésions du coeur seulement, ou la compression du bulbe,
ensitivo-sensorielle , qui pourtant peut reconnaître pour cause une lésion organique du sys- tème nerveux. Ce n'est cepe
articularités que nous avons indiquées ait été l'ex- pression d'une lésion organique du système nerveux, ou bien encore ai
il est établi que l'hémianesthésie peut être sous dépendance d'une lésion organique de la capsule interne. L'hémianesthés
er la formule précédente. Rien n'empêche en effet d'admettre qu'une lésion organique puisse occuper le territoire cérébral
peut en effet permettre d'éliminer complètement l'hypothèse d'une lésion organique et même de certaines névroses, et men
A. Tabès. Nous avons examiné 38 tabétiques dont 22 présentaient des lésions du fond de l'oeil. Chez les 16 malades avec le
ues, où le passage des impressions lumineuses est entravé par une lésion siégeant sur le parcours compris entre la rétin
ncoordonnés. Voici donc des symptômes qui nous indiquent combien la lésion de la mémoire était pro- fonde puisqu'elle s'ét
es hémisphères entièrement. Et quand nous considérons les effets de lésions cérébrales partielles chez l'homme, nous avons
rieurs n'inté- resse pasla conscience de l'individu, car, quand une lésion de la capsule interne sépare les fibres sensiti
sphères cérébraux, il reste tou- jours la question de savoir si les lésions n'ont pas causé une perte ou une paralysie de q
pendant des termes métaphysiques quand nous étudions les effets des lésions de l'écorce cérébrale. Nous avons affaire à des
ertains faits cliniques qui semblent. indiquer un rapport entre des lésions des lobes antérieurs et la perte de la parole c
a relation spéciale entre l'aphasie et l'hé- miplégie droite et les lésions de l'hémiplégie gauche : mais le rapport entre
émiplégie gauche : mais le rapport entre l'aphémie ou aphasie et la lésion d'une région plus particulièrement limitée de l
strié ont une fonction mo- trice. L'irritation ou des « discharging lésions , » de ces circonvo- Recle. expérim. sur les fon
ause de ce fait, vu la remarque faite par Hughiinges Jackson que la lésion due il une maladie est souvent giossiere, mal d
és. La difficulté de distinguer les effets directs ou indirects des lésions cérébrales a fourni à f3rown-Séquard des argument
die cérébrale sont dus à quelque influence dynamique exercée par la lésion sur des régions situées à distance (et probableme
moruntée à M. Exiler d'après l'examen d'un certain nombre de cas de lésions de l'hé- misphère gauche vous montre la diversi
isphère gauche vous montre la diversité extraordinaire du siège des lésions accompagnées par les mêmes symptômes. On verra pa
nées par les mêmes symptômes. On verra par exemple que, quoique les lésions qui causent une affection du membre supérieur s
t il y a à peine un point de la convexité de l'hé- misphère dont la lésion n'ait pas produit le même résultat. C'est sur c
centres absolus et relatifs ; les centres absolus sont ceux dont la lésion produit, invariablement, les centres relatifs; ce
lésion produit, invariablement, les centres relatifs; ceux dont la lésion produit seulement fréquemment le même symptôme. C
Pitres2, que lorsque l'écorce a enflamme ou se congestionne par une lésion traumatique, elle devient excitable par les exc
ue latérale. C'est la démonstration expérimentale des « discharging lésions p, décrites par Hughlings Jackson. Il a été aus
dans les muscles. Voici par exemple une observation en faveur d'une lésion extracérébrale, en faveur en un mot d'une ophta
diffuse simple de la substance blanche. La première forme émane des lésions en foyers corticales ou médullaires. La seconde
llissements superficiels du cerveau ne différerait pas de celle des lésions analogues qui frappent les membres ou les autre
res ET résultats DE pesées DES lobes cérébraux d'hommes atteints DE lésions ANATOMIQUES, par Tu. ! \1EYNERT. (Jahrb. f. Psy
rts pondéraux respectifs, chez 40 hommes et 25 fem- mes atteints de lésions et de divers types d'aliénation mentale, ainsi
LVI. DES TROUBLES DE la VUE ET DE leur hiérarchie par rapport aux LÉSIONS du lobe occipital; par MOOREN. (Neurol. Centralbl
tué en deçà de la paire antérieure des tubercules quadrijumeaux. La lésion concomitante de la tige du nerf optique peut en
ontalement dirigé mesure 1 pouce et demi à deux pouces, indique une lésion cérébrale, qu'il y ait ou non lésion du fond de
emi à deux pouces, indique une lésion cérébrale, qu'il y ait ou non lésion du fond de l'oeil, notamment une paralysie géné
visuel hé- mianopsique ou une lacune centrale suppose toujours une lésion , une perte de substance; se rappeler à cet égar
est évident que le lobe occipital, sans être détruit, peut, par une lésion diffuse, donner naissance à un complexus sympto
e, ne se manifestent que lorsque les excitations déterminées par la lésion occipitale ont été assez fortes pour engendrer
e départ dans une affection oculaire, dépendent géuéf aloment d'une lésion de l'oeil droit. Cetfe lésion de l'oeil droit n
ulaire, dépendent géuéf aloment d'une lésion de l'oeil droit. Cetfe lésion de l'oeil droit ne doit pas abolir la vision, m
hallucinations de l'ouïe du côté droit. Démence rapide. Diagnostic. Lésion dans le voisinage du lobe temporal gauche; puis
sidérées comme des troubles des dépendances de la peau; de même les lésions des appareils liga- menteux compris dans le cha
A. Churchill. Hale White. The etlect upon the bodily température of lésions of the corpus 8t1'iatum and optic Thalamus. Bro
t folie puerpérale, par Séglas et Sollier, 273, 386. Amputations, lésions nerveuses après les -, par Homen, 266. Anthro
eynert,432. Cervelet, tumeurs du -, par Bern- heim et Simon, 70 ; lésion d'un hémisphère du -avec dégé- nérescence de
par Campbell, 107; gémellaire, par Euphrat, 110; circulaire avec lésions anatomiques, par Wollerner, 111 ; héréditaire,
iqne dans la hallucinatoire, par Hoppe, 96; - troubles de la - et lésions du lobe occipital, par Mooren, 434. 'Zones
76 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- tisme, mais leur domaine ne correspond nullement au siège de la lésion . D'ailleurs, dans cette hypothèse, il resterait à
onnent bien; le coeur, les poumons ne présentent pas de signe d'une lésion quelconque. Non encore réglée. L'état mental n'
besoin, de cette toux brève, non accompagnée d'expectoration ni de lésion pulmonaire, survenue à l'âge de deux ans et dem
paralytiques , des originaux qui figurent au nombre des ' Pour les lésions en foyer du cerveau qui, selon toute vraisemblanc
rs dans les trois autres observations, nous voyons la paralysie par lésion * cérébrale figurer constamment au nombre des an
ôté paternel. Et puis, pourquoi ne pas prendre en considération les lésions en foyer alors que l'on ac- cueille volontiers
s commémoratifs des malades ? Que si l'on objecte la banalité de la lésion , n'est-il pas permis d'opposer la fréquence recon
tracisme l'accident qui en est une des manifestations ? Dès lors la lésion , tout comme la diathèse qui lui a donné naissan
G, f. 511;. 40 .PATHOLOGIE NERVEUSE. DE LA MALADIE DES TICS. des lésions relevant de la superposition de deux maladies, de
doivent s'ajouter l'alcoolisme (Obs. III), et vraisemblablement les lésions en foyer du cer- veau (Obs. I, II, III et IV).
aires et personnels aptes à nous faire concevoir les soupcons d'une lésion organique. Chez la pre- mière malade, le diagno
en faveur de l'hystérie, puisqu'il est très rare et tardif dans les lésions organiques. L'on doit à M. Charcot le mérite d'
outes les formes d'aphasie avec les mêmes caractères comme dans les lésions organiques. Nous ne pou- vons entrer dans des d
'origine périphérique, à cause de sa situa- tion du même côté de la lésion cranienne. Du reste, Bo... jouit du parfait fon
pasmodique; or, ce fait se concilie très mal avec l'hypothèse d'une lésion orga- nique datant de quatre ans. L'attitude
solu. Non seulement la paralysie faciale peut être absente dans les lésions capsu- laires, mais la paralysie peut respecter
ant au seul membre supérieur. V. Jouffroy. Monoplégie brachiale par lésion de la capsule interne. (Progr. méd., 5 déc. 188
rre, que l'interprétation en était très difficile, en admettant une lésion organique. Comme conclusion, l'absence d'une ét
e. Avec ces caractères, la douleur ne saurait être attribuée ni aux lésions des nerfs ni des muscles, ni des os et encore m
l'a plus abandonné. Or, c'est une cognition vulgaire que dans les lésions de l'épine dorsale, les jambes se paralysent; c'e
otilité dans ses membres gauches, afin de se persuader que la grave lésion cranienne n'avait pas produit de dommages sur l
tte hypothèse. Dans ce cas particulier, comme dans l'urémie, il y a lésion primitive du rein et em- poisonnement consécuti
mitive du rein et em- poisonnement consécutif. Dans l'épilepsie, la lésion rénale n'existe pas, il y a seulement lésion de
. Dans l'épilepsie, la lésion rénale n'existe pas, il y a seulement lésion de la fonction sécrétoire qui est sous la dépen
ion sécrétoire qui est sous la dépendance du système nerveux. Cette lésion de fonction agit à un moment donné comme une lé
nerveux. Cette lésion de fonction agit à un moment donné comme une lésion pri- mitive du rein et les symptômes convulsifs
lsifs s'identifient presque avec les premiers. D'ailleurs, quelle lésion peut expliquer le mal comitial ? Des localisati
PSYCHOLOGIQUE. tiques sont d'ailleurs là pour protester contre une lésion unique déterminante. Aussi, nous pensons que l'
oubles nutri- tifs est due à l'hérédité qui transmet aussi bien les lésions que les troubles et les aptitudes aux fonctions
; in British med..lourn., nov. 1869. LA FOI QUI GUÉRIT. 75 NJ les lésions de ce groupe sont, malgré leur apparence contrair
syphilitique certaine, amaurose et convulsions faisant supposer une lésion de la base et de l'écorce. L'épilepsie est jack-
la base et de l'écorce. L'épilepsie est jack- sonienne, donc il y a lésion de l'écorce; mais, comme on a signalé l'épileps
ie partielle consécutive à une localisation quelconque ou même sans lésion organique de l'encéphale, il pourrait subsister
porencépbalique occupant le lobe frontal de l'hémisphère droit. Ces lésions sont rapportées par l'auteur à une encéphalite de
ème dépend de l'absence totale ou partielle, ou tout au moins d'une lésion de la glande thyroïde.' G.D. XII. DE la prése
d'admettre que l'élément congestif a subi un temps d'arrêt, que les lésions inflammatoires se localisent et que les parties
es saines suppléent au fonctionnement des parties atteintes par une lésion définitive. L'observation citée par l'auteur mo
a substance grise est pâle, décolorée, la pulpe cérébrale ramollie, lésions d'une paralysie générale arri- vée à une périod
sultante d'une hémorrhagie cérébrale foudroyante consécutives à des lésions vasculaires pré- coces qui ne sont pas rares ch
utanés excessifs ; dans la myélite transverse élevée ; quand il y a lésion anatomique du système nerveux accompagnée d'excès
i de cette assertion douze obser- vations avec autopsies. C'est une lésion systématique primitive, non inflammatoire, n'ay
quatrième branche de la sylvienne gauche; enfin, dans l'intervalle, lésion , par poussées, du lobe occipital droit. Dégénér
chiat., XXIII, i.) Chez l'homme, il est de règle, dans les cas de lésions cérébrales Il'-) REVUE. D'ANATOMIE ET DE PHYSIO
ntérieur. La dégénérescence a lieu par l'évolution suc- cessive des lésions suivantes. Tuméfaction et augmentation de volnm
yau suivant l'équateur ou le long de seg- ments égaux, est due à la lésion traumatique. On observe encore la fragmentation
circonstances, ils se multiplient aux endroits malades, lorsque les lésions occupent les régions privilégiées (périphérie d
us de néoplasmes syphili- tiques anciens et très limités et non des lésions récentes disséminées sur les méninges et le cer
s les cas de para- lysie générale où l'on constate des symptômes de lésions en foyer, symptômes d'ordinaire brusques et dis
UE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 115 à l'autopsie des lésions circonscrites de la couche optique, tandis que
de paralysie générale typique. On constate dans le premier cas une lésion des cordons latéraux, dans le second, une altér
té de ces cas, il y en a d'autres dans lesquels on ne trouve pas de lésions dans l'écorce ni au-dessous. Il serait bon auss
oites et gauches du champ visuel. De là l'opinion qu'il y avait une lésion autochtone des trousseaux optiques, situés en a
a. L'existence de la cécité psychique indique la bilatéralité de la lésion , car il n'y a que des altérations bilatérales d
pressées et impérieuses, elle indique qu'il s'agit de symptômes de lésions en foyer. Discussion : I%I.SCRUELE partage comp
L'auteur cite cinq observations de psychopathies dues à de simples lésions de l'épicrâne en ces points. Il conclut que les s
Sur les altérations de la partie cen- trale d'un nerf moteur après lésion de sa partie périphérique. - Une Archives, t. X
ar l'auteur sur des cobayes lui impose la conclusion suivante : une lésion d'un nerf moteur cranien, aussi bien que d'un n
onstate autant dans la racine que dans le noyau du facial les mêmes lésions , l'atrophie des cellules était pourtant un peu
sur l'hypoglosse donnèrent des résultats identiques. Autant pour la lésion des nerfs spinaux mixtes (n. ischiadicus). Sont
ite qui détermine la paralysie du facial s'expli- queraient par les lésions consécutives des éléments cellulaires des centr
nts cellulaires des centres nerveux. On pourrait invoquer ces mêmes lésions pour expliquer la pathogénèse au moins de certa
ovsky sur l'extension et l'arrachement du nerf sciatique suivies de lésions des parties centrales (substance grise de la mo
cours d'une neurile multiple peuvent survenir consécutivement des lésions de la moelle; en dehors, bien entendu, de ces cas
elle; en dehors, bien entendu, de ces cas bien connus il existe une lésion simultanée de la moelle et des nerfs provoquée
iner fait voir une -malade et donne son observation sous le titre : Lésion traumatique de la moelle et de l'épine dorsale.-
SOLIMO pense pouvoir rapporter l'atrophie de la langue à une légère lésion des fibres trophiques dans la racine ascendante
e de Schulze et M. le pro- fesseur KOJEVNIKOFF croient plutôt à une lésion du noyau de l'hy- poglosse. M. le Dr IiORNILO
e 1000 dia- mètres. Les auteurs passent successivement en revue les lésions que subissent ces plaques dans la section expér
l'atrophie du type Duchenne-Aran, ont pour caractères communs une lésion nécessaire des cornes antérieures de substance
hie des muscles, etc. Elle avait été reconnue comme indépendante de lésions de la moelle et des nerfs, par Eulenbourg et Co
èses se présentent : la pre- mière est pessimiste ; il s'agit d'une lésion organique, spinale, téphromyélique à marche pro
omyélique à marche progressive et fatale; la seconde optimiste : la lésion est de nature dyna- mique et, malgré les appare
semblable atrophie ? On peut rejeter tout d'abord l'hypothèse d'une lésion né- vritique que l'état des réflexes tendineux
uscles rendent inadmissible. Il en est de même de l'hypothèse d'une lésion céré- brale, que rien ne nous autorise à envisa
On peut en envisager une autre plus favorable, l'hypothèse d'une lésion purement dynamique à laquelle je faisais allu-
bien des choses qui ne cadrent pas tout à fait avec l'hypothèse de lésion spinale organique, ne fût-ce que l'absence d'un
a trois ans, les signes de la tuberculose pulmonaire au début. Les lésions du poumon par- 1 On trouvera l'examen détaillé
Autopsie (3 avril 1891). A l'ouverture du thorax, on constate les lésions ordinaires de la tuberculose pulmonaire chronique
Les muscles des éminences thénar et hypothénar sont indemnes. Les lésions sont symétriques aux deux membres supérieurs. M
Illiéinatoxyline et la laque au chromo-cuivre hématoxylique. Les lésions dans les muscles atrophiés étant parfaitement ide
ais relativement peu intense. Brachial antérieur. On y constate des lésions analogues mais plus intenses encore, quant au d
unités musculaires qui persistent dans le champ du microscope. Les lésions des vaisseaux "sont également plus prononcées.
quelques réserves. Au cas, toutefois, où elles constitueraient des lésions accidentelles, leur valeur au point de vue de l
rti dans les débats qui se sont élevés sur la pathogénie de cette lésion . A. Théorie centrale. Pour Erb 1, les myopathie
s observer, en raison de l'analogie invoquée entre les effets des lésions d'ordre dynamique et d'ordre organique, des altér
spécialement attirée sur ces orga- nes, n'avons pu constater aucune lésion des petits nerfs intra- musculaires. B. Théor
ions que nous venons de rappeler, nous pensons que le mécanisme des lésions pour- rait être interprété de la façon suivante
tte année à la Salpêtrière, on est vivement frappé de constater des lésions otiques ou fonctionnelles des plus graves chez
, reconnaissent pour cause un léger eczéma, un amas de cerumen, une lésion insi- gnifiante. Entre la lésion et ses manifes
er eczéma, un amas de cerumen, une lésion insi- gnifiante. Entre la lésion et ses manifestations, il y a l'homme malade au
tifs les plus terribles de l'ouïe ne prouvent pas l'existence d'une lésion de l'appareil de transmission, de ce qui est trop
ique otologique à ne pas trop facilement conclure en l'absence'de lésion objective qu'il n'y a pas de lésion auriculaire.
lement conclure en l'absence'de lésion objective qu'il n'y a pas de lésion auriculaire. Loin des regards, l'oreille n'a-t-
a son mode réac- tionnel propre, caractéristique. On ne trouvera de lésions que dans le cas de propagation d'une otite moye
lésions que dans le cas de propagation d'une otite moyenne ou d'une lésion du rocher. L'expression des souffrances des ner
xité et la durée des phénomènes mor- bides sont plutôt l'apanage de lésions limitées au labyrinthe, et la variabilité et l'
intensité des symptômes n'était pas en rapport avec la légèreté des lésions . Ces cas sont fort nombreux ; et l'unilatéralit
uches froides, après avoir résisté aux meilleurs pansements de la lésion locale. Nous avons vu ainsi rapidement s'amender,
t été séché, cicatrisé, mais le labyrin- thisme résistait. Né de la lésion voisine, il durait sous l'influence de l'état n
irop d'iodure de fer. Les maladies du système nerveux, avec ou sans lésions systématiques ou en foyer, retentissent sur l'a
naître une neurasthénique à ces variations de l'acuité auditive, la lésion auriculaire étant de sa nature immobile et fixe
vertiges, et cependant à l'exploration on peut ne [découvrir aucune lésion ou une altération insignifiante des appareils d
De cet examen il résulte que la surdité n'a pas sa cause dans une lésion objective ; or, elle est bilatérale, et très fort
p prolongé, les pertes sanguines, les diarrhées continues; s'il y a lésion de l'organe auditif les désordres sous l'influenc
iges de Ménière, soit pour leurs bourdonnements, offrant ou non des lésions chroniques sclé- reuses des oreilles, peu facil
insi il a été possible au Dr Gradenigo de reconnaître de vieilles lésions otiques oubliées au moyen du courant électrique,
uffit à les rendre cataleptiques ; et tout cela peut exister sans lésion . Cependant quand on suit les malades, on s'aperço
econnaît comme otiques à leur allure bien caractéristique, quand la lésion est labyrinthique d'emblée, s'il y a surdité; m
lement sous nos yeux un certain nombre de cas de surdité dues à des lésions cérébrales ou intra- crâniennes. Ils ont pour l
ur des signes auriculaires au point de vue de la localisation de la lésion dans les centres nerveux. Observation CCCLIII.
(sourde) sur la droite. Evidemment cela indique que le siège de la lésion cause de surdité gauche n'est pas central; ce n
lésion cause de surdité gauche n'est pas central; ce n'est pas une lésion du foyer sensoriel : nous savons que dans l'hém
et des con- ducteurs des actes réflexes que se trouve sans doute la lésion ; et probablement au niveau de la protubérance a
s répétition, ne sont point suffisants pour nous faire songer à une lésion irritative du cerveau (méningite chronique ou s
uempell (deux observations); 3° Troubles psychiques consécutifs aux lésions céphaliques, qui n'ont rien de rare. Jamais le
iche bibliographie, huit observations, avec autopsies, montrent des lésions nucléaires ou l'interruption de la conduclibili
lude clinique, anatomo-patbologique et microscopique très complète. Lésions disséminées occupant tous les systèmes et tous
ujours ascendante peut servir à déterminer le point de départ de la lésion anatomique, et son extension de dedans en dehor
- ment. (Américanjoumal of insanity, 1891.) . B. XXI. Deux cas DE LÉSION traumatique du cerveau; par le Dr DEWRY. Dans
ts à une affection du cerveau; mais le cerveau ne présentait pas de lésions macrosco- piques, et il n'a pas été soumis à l'
les hystériques, tout en rétrocédant du reste, se rattachent à des lésions occupant les centres nerveux. L'amblyopie chr
l'hystérie ou anesthésie rétinienne tient probablement aussi à une lésion . M. Leber a, dans un cas d'hystérie grave chez
début, permirent simultanément d'étabiir sûrement l'existence d'une lésion des régions corticales motrices du côté droit :
écutifs ci une affection organique des canaux semi-circulaires. Ces lésions portent sur les canaux semi-circulaires horizon
en marchant. Aucune autre espèce de symptômes cérébraux. Voici les lésions histolo- giques : 1° Dans les deux caisses tymp
gioblastes. Les troubles de l'équilibre émanent dans l'espèce de la lésion des canaux semi-circulaires. M. FUEasTivEa. De
ieux attribuer l'état des phalangettes à une stase produite par des lésions artérielles et à l'hydrocéphalie congénitale, tou
trice était excessivement douloureuse. Il s'agit probablement d'une lésion de la tibiale, car, outre l'oedème bleu, on con
° quelle est la réaction galvanique du nerf optique dans les cas de lésions organiques et d'altérations fonctionnelles de l
q ans ; ils furent tués par une paralysie des muscles du tronc avec lésion secondaire des poumons. Furent épargnés les mus
à l'étude du délire du col- lapsus. Ce délire est la conséquence de lésions profondes de l'or- ganisme ; il succède à des m
écrit cet état anatomique sous le nom de gliose. M. J. STEINER. Des lésions de plusieurs nerfs crâniens par un z84 SOCIÉTÉS
statation que, dans les régions dorsale et cervicale inférieure, la lésion occupe, dans le faisceau de Goll, un segment si
dorsale et cervi- cale inférieure. Il est des cas dans lesquels la lésion porte sur les fibres des deuxième et troisième
les fibres des deuxième et troisième stades de développement. La lésion est alors surtout accusée dans la partie moyenne
nt représentées par -les gommes et les artérites, celles-ci par des lésions inflammatoires - et y établit l'apparente analo
ouvent possible d'après les caractères de siège et d'évolutions des lésions . L'auteur y passe en revue les symp- tômes et l
oubles, malgré le traitement montre que ceux-ci se rapportent à des lésions non spécifiques. L'ouvrage se termine par des c
e ressemble, à ce point de vue, beaucoup à la paralysie spinale par lésion de la corne antérieure; mais dans notre cas les
que totalement et l'atrophie musculaire est très peu prononcée. Une lésion organique de "l'écorce du cerveau (centre du br
oplégie brachiale gmche hystéro-trauma- tique, sclérose en plaques. Lésion organique des nerfs des muscles deltoïde et sou
violent que le malade a reçu sur l'épaule gauche ? S'agit-il d'une lésion du plexus ou de ses racines L'apparition immédi
aucoup les limites que peut atteindre l'anes- thésie dans le cas de lésion du plexus ou de ses racines. Par sa topographie
le aux anesthésies hystériques etl'on ne saurait guère imaginer une lésion organique centrale ou périphérique susceptible
arence contradictoires est due en partie au choc traumatique et aux lésions organiques qu'il a produites dans le plexus bra
troubles hystériques locaux que le traumatisme a fait naître. A la lésion du plexus doivent être rapportées la paralysie
l'épaule est restée immobile en raison de la nature orga- nique des lésions auxquelles se rattachait la paralysie de ses mu
où les muscles du dos avaient été profondément touchés, où même la lésion avait frappé spécialement un côté, et où on ne
que la myopathie, dans sa dernière période, s'est compliquée d'une lésion de vertèbres. Mais pour- quoi cette lésion, à q
, s'est compliquée d'une lésion de vertèbres. Mais pour- quoi cette lésion , à quelle cause la rattacher ? Telle est la que
ntanée. Voilà donc deux faits qui semblent établir l'existence de lésions osseuses dans les myopathies, et nous portent un
considérer les divers types 1 HaUion.J ? oct</Ke primitive avec lésions osseuses; fracture spon- tanée probable. (Franc
tion tro- phique des vertèbres de même nature probablement que la lésion musculaire. RECUEIL DE FAITS UN CAS SINGULIER
des malades. C'est dire que les guérisons ne sont que relatives. La lésion de l'activité psycho-motrice persiste, puisqu'e
externe, d'une 376 () REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. seule et même lésion des centres idéo-moteurs. (Annules médico- psyc
re l'altération de la personnalité qu'elle suppose et qui en est la lésion profonde. Comme le disait M. Faire ! au Congrès
ir publier cette observation moins à cause de -la rareté même de la lésion qu'à cause du temps relativement long qui s'est
e du temps relativement long qui s'est écoulé entre le moment où la lésion s'est produite et celui où la malade a succombé
ntre l'hématome de la dure-mère ou la pachyméningite interne et les lésions artificiellement créées par l'injection pratiquée
ceux de la choree rhumatismale que, quelle que soit la nature de la lésion , on est amené à lui attribuer le même siège; les
lytiques généraux, on ne rencontre que très accidentellement les lésions osseuses si communes dans la syphilis; on fait en
d'ailleurs. M. Weber. Présentation d'un encéphale d'un enfant avec lésions por encéphaliques symétriques dans les hémisphè
au point de ressembler à s'y méprendre à un maniaque; les malades à lésions circonscrites offrent aussi le même aspect. D'a
les jeunes gens par une rare excep- tion, et ne relevant pas d'une lésion connue des centres ner- veux=. Une se fait pas
qui n'ont aucune action sur les accidents similaires dépendant de lésions organiques ; 3° ils se montrent très rarement iso
oubles graves du mouvement ne pouvaient être expliqués par aucune lésion grossière et déterminée des centres nerveux. Dans
liminer l'une après l'autre toutes les suppositions relatives à des lésions matérielles des nerfs, de la moelle ou de l'encé-
nmoins, les différentes articulations ne présentent pas signe d'une lésion quelconque; seulement si on cherche à les mou-
é jusqu'ici dans la sclérose latérale amyotrophique, dans un cas de lésion organique bulbo- protubérantielle et dans le sp
obnubilation de l'odorat, de l'ouïe. Les premiers accom- pagnent la lésion du faisceau pyramidal ou manifestent l'alté- ra
tiennent uniquement à ce dernier ordre de causes. L'hypothèse d'une lésion des cordons latéraux doit être écartée d'emblée
, les vomissements, les troubles du langage, les convulsions et les lésions de la sensibilité. It faut-remarquer toutefois
ment certains cas où le trouble mental est sous la dépendance d'une lésion organique qu'il s'agit alors de re- chercher et
tions consécutives du système nerveux cen- tral survenant après des lésions périphériques. Suivant les rapporteurs, le poin
s périphériques. Suivant les rapporteurs, le point de départ de ces lésions péri- phériques n'est pas l'arthrite ou le phle
rkchévitch lui-même, expériences qui l'ont amené à conclure que les lésions des troncs nerveux périphériques entraînent non
nomènes cliniques par cette influence simultanée, plutôt que par la lésion consécutive du centre. M. L. Miner suppose qu
M. L. Miner suppose qu'il existe des symptômes survenant après une lésion périphérique qui ne sont pas de nature spinale, c
à des dégénérescences complètement identiques deux des côtés; 3° la lésion de l'écorce et la section du corpus callosum si
Séance du 2 mai 1892 '. Présidence de M. GERSTENBERG. M. ROLLER. Lésions du crâne et du cerveau chez les aliénés. Il s'a
en démontrant que dans les cas accompagnés de troubles visuels, la lésion n'avait pas seulement détruit la couche cortica
e la suspension sur les troubles oculaires des malades atteints des lésions médullaires », par le Dr Vorotinski; a Sur les
; fibres de la substance grise des cavités du , par Schuetz, 109; lésions trau- matiques du , par Dewey, 268 : action d
action de quelques médica- ments snr le -, par Kroepelin, 279; lésions du crâne et du dans la folie, par Roller, 473.
de la substance grise de la -, par llinor et Kuo- blauch, 111; - lésions trauma- tiques de la-, par Minor, 131 ; dével
Gortinsky, 117; altération de la partie cen- trale d'un -, après lésion de la partie phéiiphérique, par Dark- chevitc
, 272; Arnaud, 370. Néphrite choréique, par Thomas, 276. Nerfs, lésions de plusieurs crâ- niens par un traumatisme chi-
, 438; ascendante de Landry, par Mouratof. 132; - bul- baire sans lésions , par Senator, 270 ; troubles sensitifs dans l
77 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
oyées jusqu'à ce moment. Pour le peintre comme pour l'anatomiste, les lésions organiques se partagent en deux grandes classes,
ste, les lésions organiques se partagent en deux grandes classes, les lésions de forme et les lésions de texture. Rien de plus
ues se partagent en deux grandes classes, les lésions de forme et les lésions de texture. Rien de plus facile que de rendre les
l est vrai en thèse générale que les léalone orgariicp.oG comparée am lésions de fonctions eorrespondantes constituent un ordre
t incomplet qu'il est, est bien propre à éveiller l'attention sur les lésions si peu connues des ganglions nerveux. 1ère Livr
si l'on n'y portail remède. Y avait-il quelque rapport entre ces deux lésions ? L'affection du rein pouvait s'être propagée au
ement insensible, un malaise général révèlent seuls l'existence d'une lésion organique aussi profonde, et c'est souvent par ha
très-solide, d'un blanc jaunâtre. Du reste, ce malade avait, outre la lésion du rein, des tubercules innombrables dans les pou
mons, tant il est vrai qu'il est excessivement rare de rencontrer des lésions organiques sans complication, à moins qu'elles ne
e et le défaut complet d'induration. i°. Sous le point de vue de la lésion dans les organes de la circulation, nous voyons e
vec si peu de moyens d'hématose. Il reste maintenant à interpréter la lésion organique en elle-même : or nous ne pouvons nulle
indications thérapeutiques de la (*) Pièce donnée par M. Fischer. lésion congéniale connue sous le nom de pieds-bots, et m
litération. Ce fait prouve encore la corrélation qui existe entre des lésions en apparence si dissemblables; le pied-bot, le dé
onséquence thérapeutique, qui découle de la connaissance exacte de la lésion matérielle, c'est que les moyens de redressement
muscles s'atrophient et deviennent entièrement graisseux. Toutes ces lésions sont un obstacle à la guérison, mais je ne crois
attention et le thorax et l'abdomen : aucune douleur, aucun signe de lésion . Soupçonnant néanmoins l'inflammation latente de
s ii6 livraison. i dans tous les sens, ne donnait aucun indice de lésion . Prescript. : 12 grains de sulfate de quinine dan
l'exploration la plus attentive ne me permette de reconnaître aucune lésion , j'ai la conviction intime qu'il existe une infla
facile de voir qu'à ces différences de coloration correspondaient des lésions d'organisation. On pouvait encore reconnaître à l
s le matin ; point de douleur: aucun organe ne donnant d'indice d'une lésion quelconque. — Quinze jours de maladie, accès inte
e de la rate. (planche v, figure 3, iie livraison.) De toutes les lésions de la rate, les plus remarquables sont sans contr
ne orangé, indice constant d'extravasation sanguine antérieure. Cette lésion s'accompagne d'adhérences filamenteuses, fibreuse
ment de la rate chez des individus qui présentent d'ailleurs d'autres lésions capables d'expliquer les symptômes observés penda
mplète. Je ne puis mieux comparer cette altération de Ja rate qu'à la lésion mécanique qui résulterait du broiement de cet org
rganisation de la rate. Il me semble que l'interprétation de ces deux lésions , relativement au rôle qu'elles ont joué dans la m
maladie m'avait dissuadé de cette idée : je ne pouvais soupçonner de lésion que dans le foie ou l'estomac. A l'ouverture, nou
coup de la nature de la stéarine. » Mais c'est peu de constater une lésion organique, si l'on ne cherche à remonter aux symp
), me permettra de comparer les symptômes observés pendant la vie aux lésions rencontrées après la mort. Cette observation est
Les organes thoraeiques et abdominaux n'ont offert à l'examen aucune lésion notable. » (*) Observations sur des altérations
u de l'émaciation générale la graisse a pu être sécrétée autour d'une lésion aussi grave. Mais, dans les cas de cette espèce,
a raconté qu'il avait souvent rencontré de la matière grasse dans des lésions organiques de divers ordres. Il m'a cité trois ca
admettre assez librement le doigt indicateur. La coïncidence d'une lésion dans la circulation du cœur et d'une apoplexie pu
primitivement dans tous les tissus et consécutivement dans toutes les lésions organiques, quelles qu'elles soient (inflammation
les delà digestion; il est même certain que le malade a succombé à la lésion du poumon. — Un jeune homme de vingt ans, affecté
de toute l'extrémité supérieure, mourut avec tous les symptômes d'une lésion grave de la respiration. La base du poumon droit
rdé la gangrène du poumon comme une phthisie ulcéreuse : du reste, la lésion organique présente un grand nombre de variétés; t
Il succomba à une hydropisie des ventricules du cerveau : pour toute lésion dans le poumon, je trouvai, non point un foyer pu
aître son insuffisance en thérapeutique; son rôle est de constater la lésion , celui de la médecine clinique est de chercher et
se voient les altérations crétacées les plus considérables. Voilà la lésion organique la plus commune de l'aorte ascendante.
onstance commémorative d'un coup me portent à penser qu'il existe une lésion organique du foie, dont l'ascite ne serait qu'un
peu d'intensité des symptômes, depuis huit jours, dénotent une de ces lésions qui ne portent pas dans l'économie un trouble gén
, la cause évidente de la production organique : je ne connais pas de lésion dans l'organisation qui ne puisse reconnaître une
POPLEXIE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. On ne saurait méconnaître dans la lésion organique de la moelle, représentée planche vi, i
brale, nous reconnaîtrons aisément dans le cas actuel trois ordres de lésions qui appartiennent à des époques bien distinctes :
ère. Comparons maintenant les symptômes éprouvés pendant la vie aux lésions observées après la mort. Je rapporte au foyer a
immédiate comme dans l'expérience que je citais à l'instant. Cette lésion a été précédée pendant environ six mois d'une dou
t sous la forme hémiplégique ou paraplégique, tiennent toujours à une lésion de la moelle épinière ou de ses prolongemens céré
u'elles ont subi ce travail d'inflammation? Quoi qu'il en soit, les lésions cadavériques, rapprochées des symptômes, confirme
science sous le rapport de l'anatomie pathologique de la goutte. La lésion matérielle de la goutte, celle qui lui est exclus
mbre d'articulations, l'ordre « de développement et l'intensité de la lésion sont dans un rapport direct, j'ai presque dit né-
tales de l'organisation, semblent en quelque sorte respectées par les lésions organiques quelles qu'elles soient ; ces lésions
e respectées par les lésions organiques quelles qu'elles soient ; ces lésions circulent tout autour, mais ne les envahissent pr
opérations chirurgicales. Ne soyons pas étonnés de cette identité de lésions consécutives dans deux ordres de cas en apparence
, la forme ataxo-adyna-mique qu'elle revêt, sont propres à toutes les lésions graves des viscères importans à la vie, à la pneu
ocèle, afin de pouvoir puiser dans la connaissance approfondie de ces lésions , les moins connues peut-être de la chirurgie, les
proclamée, que nos tissus sont inaltérables, que ce que nous appelons lésions morbides sont des produits nouveaux , vivant d'un
infection générale, et presque toujours les malades succombent à des lésions de même nature dans les viscères, soit que ces lé
ccombent à des lésions de même nature dans les viscères, soit que ces lésions aient précédé ou coexisté, soit qu'elles aient su
ns l'acte de la respiration, le larynx est sujet à un grand nombre de lésions , dont l'effet commun le plus grave est l'interrup
garde le cas représenté figure i comme devant être placé à côté d'une lésion décrite par Bayle sous le titre d'angine laryngée
focation analogue au croup. Enfin, je viens de découvrir cette même lésion dans une observation très-circonstanciée, publiée
ions. — Le malade a évidemment succombé à l'affection laryngée, et la lésion des poumons est restée, pour ainsi dire, inaperçu
xiste-t-il des phthisies laryngées primitives, indépendantes de toute lésion pulmonaire? J'ai recueilli quelques faits cliniqu
. (planche m, ve livraison). Au milieu de l'innombrable tribu des lésions organiques dont notre économie est suscep^ tibie,
'intégrité parfaite de tous les autres organes, qui, comme toutes les lésions locales qui sont à la portée des moyens chirurgic
, je crois devoir ranger cette altération dans cette grande classe de lésions organiques caractérisées par la transformation d'
es vérités métaphysiques et morales. Le règne animal tout entier, les lésions physiques et organiques du cerveau sont là pour d
t ordre que je me propose de décrire et de figurer successivement les lésions du cerveau que l'on rencontre dans l'idiotie, lés
cessivement les lésions du cerveau que l'on rencontre dans l'idiotie, lésions qui rendent parfaitement compte de l'état de dégr
oit immédiatement les ordres de la volonté, est sujet à une foule rie lésions ; et telles sont la délicatesse et l'importance de
a parfaite harmonie entre les symptômes observés pendant la vie et la lésion observée après la mort : la torpeur générale, la
leurs mouvemens et dans toutes leurs perceptions, et qui, pour toute lésion , n'ont présenté qu'un endurcissement extrême de l
is j'affirme que l'étude approfondie comparative des symptômes et des lésions cadavériques, une éducation soutenue et bien diri
e méningite comateuse. Une jeune fille entre dans un hôpital : aucune lésion apparente des fonctions; mais morosité, stupeur;
nifestée du coté de l'hémisphère apoplectique, preuve évidente que la lésion cérébrale a été sans influence directe sur le dév
laire? Reste maintenant à déterminer la part que prend chacune de ces lésions aux symptômes observés lors de leur coexistence ;
urs faits que l'accumulation d'une certaine quantité de sérosité sans lésion des parois ventriculaires peut avoir lieu impuném
hnoïdien de la base, épaissi et demi-opaque. Ne trouvant pas dans ces lésions la raison suffisante des symptômes, j'examine la
la meilleure preuve qu'on puisse invoquer en faveur de l'acuité de la lésion , car dans combien de cas des altérations bien plu
déplorable de voir périr tant d'individu* jeunes et vigoureux par une lésion aussi circonscrite et aussi bien définie. Ïl ex
ôt épidé-mique, dont le caractère anatomique le plus constant est une lésion plus ou moins profonde des follicules muqueux, so
C'était une tradition à FHôtel-Dieu, depuis longues années , que les lésions anatomiques qui accompagnent les fièvres graves;
amique, maligne, ataxique, soporeuse, typhoïde, etc. Néanmoins, toute lésion aiguë et grave d'un organe important à la vie peu
ne peut donc, sans faire le sacrifice du siège de la maladie et de la lésion qui la constitue essentiellement, conserver la dé
it d'exemple plus frappant de l'influence du mode de vitalité sur les lésions organiques. Il arrive néanmoins assez souvent que
ataxiques, et sa maladie n'avait duré que douze jours. Quelquefois la lésion est bornée aux follicules isolés ; d'autres fois,
licules agminés qui sont principalement affectés. Plus fréquemment la lésion porte en même temps sur les uns et sur les autres
sensible à l'extérieur, et un œil médiocrement exercé reconnaît-il la lésion à la simple inspection du bord convexe de la fin
é ou la chronicité de la marche, la succession ou la simultanéité des lésions , les conditions dans lesquelles se trouve l'écono
e, ou bien par une influence atmosphérique ordinaire, par un foyer de lésion organique, sont autant de données qu'il faut fair
as dans lesquels l'inflammation des ganglions mésentériques paraît la lésion principale, l'inflammation folliculeuse n'étant n
t souvent de front sur le même intestin. Quelquefois on rencontre ces lésions à divers états qui attestent qu'elles ne sont poi
toire de la maladie jette une vive lumière sur l'interprétation de la lésion organique, et à une recrudescence des symptômes r
des symptômes répond une altération organique nouvelle. A côté d'une lésion parvenue à son summum d'intensité, on trouve une
A côté d'une lésion parvenue à son summum d'intensité, on trouve une lésion commençante; à côté d'une lésion à moitié cicatri
on summum d'intensité, on trouve une lésion commençante; à côté d'une lésion à moitié cicatrisée se rencontre une lésion à son
commençante; à côté d'une lésion à moitié cicatrisée se rencontre une lésion à son summum d'intensité. XII. Il est une autre
tion. L'état du péritoine n'est pas moins digne d'intérêt. Lorsque la lésion est bornée aux follicules et à la muqueuse, l'alt
té appelées symptomatiques ; ou plutôt, on les a dénommées d'après la lésion locale; quant aux secondes, dans lesquelles l'éta
mes aussi graves que ceux dont je viens de faire 1 enuméra-tion à une lésion aussi circonscrite du canal intestinal ? N'est-il
que de l'entérite folliculeuse aiguë ne découle pas directement de la lésion organique, au moins en reçoit-elle un jour tout n
ins en reçoit-elle un jour tout nouveau, et l'étude approfondie de la lésion locale nous permet d'expliquer un grand nombre de
es, malignes ou ataxiques, laissaient presque toujours après elles la lésion que nous avons décrite, il dut se présenter cette
on que nous avons décrite, il dut se présenter cette question : Cette lésion est-elle le point de départ de tous les symptômes
elle gouvernée par elle ? XXXVI. M. Petit, tout en admettant que la lésion locale est le point de départ, le foyer de tous l
mptômes, qu'en un mot elle précède la fièvre; tout en regardant cette lésion comme une inflammation, n'a nullement modifié la
II. L'école physiologique, partant de ce même principe, savoir que la lésion locale est le foyer de tous les symptômes, que ce
ir que la lésion locale est le foyer de tous les symptômes, que cette lésion locale est une inflammation, une gastro-entérite;
neuses, la langue desséchée et qui sont encore sous l'influence d'une lésion extrêmement grave. Qu'on se garde bien de les éco
omine en terminant ces généralités, c'est qu'on ne trouve pas dans la lésion anatomique de l'entérite folliculeuse aiguë la ra
Je perds sans regret, médicalement parlant, des malades affectés de lésions graves qui ont désorganisé sourdement ou brusquem
ai perdu, sans déplorer mon impuissance, des malades qui n'ont pas de lésion suffisante pour expliquer la mort. Le moment n'es
r commémoratifs, nous recueillons qu'il (?) L'étude comparative des lésions organiques ne tarde pas à apprendre que si les va
es lésions organiques ne tarde pas à apprendre que si les variétés de lésions sont innombrables, les espèces sont beaucoup moin
de cet ouvrage. On ne saurait croire combien de fois je rencontre des lésions identiquement les mêmes. 7e. Livraison. Pl. 2.
e : sous elle la séreuse présentait çà et là du pointillé rouge. La lésion folliculaire était circonscrite à la fin de l'int
lliculaire était circonscrite à la fin de l'intestin grêle IG ; cette lésion consistait dans des escarres E, E irrégulières, q
dans les autres cas d'entérite folliculeuse, on ne trouve pas dans la lésion anatomique la raison suffisante de la mort. 7e.
ecin ne sont avertis par aucun phénomène morbide de l'existence d'une lésion cérébrale. Mais tôt ou tard la compression exercé
(*) Il y a lieu de s'étonner du silence des auteurs au sujet de cette lésion . Graff, en 1820, disait que jamais on n'avait obs
vont se multiplier en proportion de l'attention qu'on donnera à cette lésion . quinze jours après son entrée. Pendant tout le
trer, en même temps que l'altération récente qui a donné la mort, une lésion organique antérieure très-considérable, dont rien
nt à la compressi-bilité de ce viscère, lui permet de supporter, sans lésion notable dans ses fonctions, des compressions énor
ns. Réflexions. ¦—Il s'en faut bien que, dans cette observation, la lésion organique rende un compte aussi exact de tous les
t des maladies de cet organe, maladies qui nous présentent tantôt des lésions extrêmement graves pour expliquer des symptômes t
ent graves pour expliquer des symptômes très-peu intenses, tantôt des lésions légères pour expliquer des symptômes fort graves.
ces proviennent sans doute de la différence de siège, d'étendue de la lésion , et plus encore peut-être de la rapidité de l'obl
te incomplète. — Facultés intellectuelles ordinaires. — Atrophie sans lésion organique de Vhémisphère gauche du cerveau (*).
ons, des usages auxquels elles sont destinées, découlent toutes leurs lésions spéciales et les formes particulières que revêten
leurs lésions spéciales et les formes particulières que revêtent les lésions qui leur sont communes avec les autres parties du
qui tomba d'un lieu élevé, et mourut quelques heures après. Parmi les lésions graves qu'il présentait, M. Marjolin crut reconna
int de vue anatomique ; et bien qu'elle constitue le plus souvent une lésion consécutive, cette usure me parait devoir appeler
grand cul-de-sac de l'estomac qu'ils avaient recueillis; aussi cette lésion , peu généralement connue, netait-elle étudiée que
n décrites par Chaussier et Percy, ne sont que le dernier effet d'une lésion organique qui consiste dans le ramollissement gél
cru devoir donner à cette maladie, est une description abrégée de la lésion anatomique qui la constitue. Ce ramollissement n'
rche propres, un traitement spécial, et enfin laissant après elle une lésion anatomique spéciale ; de telle sorte que les prat
tômes, établir d'une manière positive, et le siège et la nature de la lésion . Or, les symptômes ayant beaucoup d'analogie avec
pour l'esprit qui ne saisit pas la corrélation des symptômes avec la lésion ; mais je la donne telle qu'elle est, comme une pi
soit envahi; que les tissus propres sont incapables par eux-mêmes de lésion organique, si vous en exceptez l'hypertrophie et
nné, à l'ouverture des cadavres d'individus morts des suites de cette lésion , de voir que ces individus aient pu digérer et vi
de l'épigastre ne donne pas la preuve matérielle de l'existence d'une lésion organique de l'estomac, le diagnostic offre d'éno
et la membrane fibreuse qui la soutient sont le siège primitif de la lésion . L'altération de la membrane fibreuse m'a toujour
e kinkina, dont l'usage ne fut continué que quelques jours. Mais la lésion organique, quelle qu'elle soit, marche avec rapid
mac. Le tissu artériel, qui échappe par son peu de vitalité à tant de lésions organiques et souvent au cancer lui-même, ne peut
du traitement dans cette maladie, comme d'ailleurs dans toutes les lésions de l'estomac, consiste donc dans un tâtonnement m
cle artériel gastrique; et tel est le calibre de cette artère, que sa lésion ne peut pas ne pas être suivie d'une hémorrhagie
6 va nous fournir des exemples d'ulcères chroniques de l'estomac avec lésion tantôt de l'artère coronaire stomachique et tantô
de l'artère coronaire stomachique, tandis que la seconde est due à la lésion du tronc lui-même. Il est singulier de voir l'art
a paroi postérieure de Vestomac. Hématémèse et déjections sanglantes. Lésion de U artère splénique. Un portier, âgé de cin
bservateurs modernes ayant constaté la fréquence et la gravité de ces lésions , n'hésitent pas à les regarder comme la cause la
chez des individus brillans de santé, il répugnait d'admettre que la lésion viscérale avait précédé la solution de continuité
e, d'une autre part, l'observation avait appris qu'un grand nombre de lésions organiques existent à l'état latent ; en outre, l
es périodes de symptômes tout-à-fait en harmonie avec des périodes de lésion . xie livraison. 1 V. Les abcès viscéraux étan
même marche, etc. » « Si maintenant on réfléchit i° que toutes ces lésions surviennent dans le cours d'une phlébite ; -2° qu
tissu altéré on trouve ordinairement un tissu sain ; 5° que les mêmes lésions peuvent être observées dans les mêmes organes à l
s le plus grand nombre de cas de l'observation de ce viscère dont les lésions leur ont paru rendre un compte suffisant des phén
jourd'hui comme une vérité démontrée que dans les plaies de tête, les lésions viscérales, soit du foie, soit des poumons, soit
périeure. Il ne me fut pas donné de saisir le lien qui unissait cette lésion avec les abcès viscéraux. Il n'y a pas long-tem
11 n'existait d'ailleurs aucune trace ni de saignée au pied, ni de lésion externe qui pût rendre compte de la phlébite. Le
outre des phlébites spontanées sans cause externe appréciable et sans lésion correspondante ou analogue dans d'autres parties
t la dyspnée, la toux et autres accidens qui annoncent évidemment une lésion de l'organe principal de la respiration. Je dois
tions analogues qu'on peut considérer comme trois périodes de la même lésion . La rate, plus volumineuse que de coutume, étai
adhérant une division considérable BAP de l'artère pulmonaire. Ces lésions viscérales constatées, il importait d'aller à la
égal volume disséminées sur son pourtour, et qui sont dues, non à une lésion de tissu, mais au développement des follicules mu
tructure toute vasculaire ne permettent pas de les confondre avec les lésions précédentes. La 4istinction entre les polypes f
oie. Avant de discuter les questions relatives à la nature de cette lésion , décrivons ses caractères anatomiques, si exactem
it encore le cas d'un autre individu qui offrait en même temps que la lésion du foie, un rétrécissement considérable du pylore
que toujours il existe, soit dans les poumons, soit dans le cœur, des lésions plus graves dont les symptômes masquaient ceux qu
ns et principalement dans celles des organes digestifs, attestait une lésion plus ou moins profonde. IV. L'ascite me paraît
hérapeutique, font le désespoir des praticiens qui, en présence d'une lésion aussi grave et toujours nécessairement mortelle,
rer comme une troisième variété de tissu cancéreux, ou bien comme une lésion composée, l'altération suivante que j'ai rencontr
états divers sous lesquels le tissu du foie peut se présenter dans la lésion qui nous occupe, méritent de fixer toute notre at
urs cancéreuses du foie peuvent exister indépendamment de toute autre lésion organique , ou bien concurremment avec plusieurs
de vie , j'ai dû conclure que l'isolement ou la circonscription de la lésion , n'excluait pas son siège dans le tissu du foie l
lé rebord des fausses-côtes, une dureté qui dénote manifestement une lésion de cet organe. En effet, le malade dépérit à vue
le-même, est encore augmentée parles complications ou combinaisons de lésions qui ont si souvent lieu dans ce genre de maladies
à la contemplation stérile des diverses périodes de la maladie et des lésions qu'elle laisse après la mort, à une médecine symp
est inconnue : l'exploration de l'abdomen ne me fait découvrir aucune lésion : la pression la plus forte ne développe aucune s
et de l'estomac explorées avec le plus grand soin, ne présentaient ni lésion , ni sensibilité'. Ne pouvant me rendre un compte
ie. ( V. Entozoaires, Dictionn. de Méd. et de Chir. pratiques.) Cette lésion , qui a été pour moi l'objet d'une étude particu
nt les vomissemens ont lieu, se trouve, moins dans des différences de lésions organiques que dans la susceptibilité individuell
enser que les rétrécissemens du pylore qui ne sont pas accompagnés de lésions organiques de la muqueuse-gastrique, permettent i
rme avec hypertrophie considérable de ses parois. Il n'y avait aucune lésion au pylore, mais dans la partie du duodénum qui lu
er ce double fait important : i° que la péritonite n'est pas la seule lésion dont s'accompagne cette maladie; i° que les moyen
a phlébite utérine s'observe presque toujours indépendamment de toute lésion , soit du péritoine, soit de ses annexes, la prése
re très fréquente. V. On conçoit qu'au milieu de cette multitude de lésions , il est bien difficile de faire la part du rôle q
multanément dans le typhus puerpéral, eu l'absence de toute espèce de lésion dans le système lymphatique. J'ai donc été forcé
observation qu'on lira plus bas, dans laquelle je trouvai pour toute lésion du pus dans les vaisseaux lymphatiques, sans la m
u'on attribue souvent à une maladie postérieure à l'accouchement, une lésion qui lui est antérieure. Typhus puerpéral mortel
t des trompes. Fièvre puerpérale. Mort le neuvième jour. Pour toute lésion cadavérique, pus dans les vaisseaux lymphatique
ue j'aie rencontré de maladie puerpérale mortelle, offrant pour toute lésion du pus dans les vaisseaux lymphatiques utérins; m
nite circonscrite. Le traitement applicable à l'une ou l'autre de ces lésions doit convenir d'ailleurs à l'inflammation des vai
ine et entière : ce défaut de revivification du sang tient moins à la lésion de la respiration dans ses phénomènes mécaniques,
à la lésion de la respiration dans ses phénomènes mécaniques, qu'à sa lésion dans ses phénomènes vitaux. XVIII. Le refroidis
s l'invasion est brusque et la maladie foudroyante. On conçoit qu'une lésion préparée de longue main, doive, lorsqu'elle éclat
oive, lorsqu'elle éclate, produire des effets bien plus graves qu'une lésion qui se déclare brusquement et sans antécédents.
Choléra asphyxique rapidement mortel; point de réaction ; pour toute lésion , quantité très considérable de liquides dans les
ssance. XX. Dans tous les cas précédens, nous n'avons trouvé aucune lésion qui puisse expliquer la mort; une couleur rose-pâ
je répondrai par des faits qui constatent, d'une part, l'existence de lésions matérielles très prononcées, chez des individus q
bout de quelques heures, et d'une autre part, l'absence de ces mêmes lésions chez des individus qui ontvécu plusieurs jours; j
s dans un état d'agonie, et dont les intestins ne m'ont offert aucune lésion remarquable. Les observations suivantes présent
s la poitrine; mais il serait peu rationnel de rapporter la mort à la lésion anatomique, si disproportionnée aux symptômes qu'
dans le cas de mort, j'ai rencontré, dans le gros intestin, les mêmes lésions anatomiques que dans la dysenterie. 5° Enfin, q
ndis que lorsque la mort a été voisine de la période de réaction, les lésions anatomiques ont été très prononcées. Il semble, l
rêle. L'observation suivante peut être considérée comme le type des lésions de fonctions et d'organes, observées chez les ind
mais encore aux agents antérieurement administrés. L'absence de toute lésion dans le cerveau, doit nous rendre circonspect sur
dant, dans l'observation précédente, à l'état comateux, attestent les lésions profondes portées sur le système nerveux. Je fera
ont la nature est connue lorsqu'on connaît d'une manière positive les lésions anatomiques qui la constituent ou qui l'accompagn
constituent ou qui l'accompagnent; telles sont les phlegmasies et les lésions organiques en général; il en est d'autres dont la
maladies syphilitiques, pour lesquelles les questions de siège et de lésion ne sont que des questions secondaires : la nature
s, en Angleterre et en Ecosse, Paris, i83a, in-8°. entière dans les lésions anatomiques, puisqu'il côté des cas où ces lésion
entière dans les lésions anatomiques, puisqu'il côté des cas où ces lésions ont été très prononcées, nous trouvons d'autres c
caractères de cette maladie. i° 11 n'est pas moins évident que les lésions anatomiques les plus remarquables ont leur siège
le gros intestin et la partie inférieure de l'intestin grêle; que ces lésions consistent tantôt dans le développement des folli
me dans la gangrène de la muqueuse intestinale; mais qu'aucune de ces lésions n'est constante, et qu'il serait impossible à l'a
ésenté, a appartenu à un cholérique ou à tout autre individu; que les lésions anatomiques, bien loin d'être proportionnées à l'
les données fournies par l'anatomie pathologique. i ° L'absence de lésion matérielle, constante, uniforme, l'a fait ranger
e irritation sécrétoire de la muqueuse gastro-intestinale. Mais les lésions d'organes n'étant qu'un effet, et dans tous les c
Dans le choléra, au contraire, l'économie tout entière participe à la lésion , et on peut admettre l'une ou l'autre de ces mani
ession de pouls, extinction de voix_, tous symptômes qui dénotent une lésion profonde du système nerveux viscéral; et les mala
éral; et les malades succombent à ces accidents nerveux, alors que la lésion locale est très peu considérable. Plus je réflé
carde, l'hydro-thorax , l'ascite, le purpura hemorrhagicum, voilà des lésions dont l'affinité n'est point équivoque et qui tien
lobules représentent des grains glanduleux parfaitement distincts. La lésion des poumons est si fréquente chez le fœtus, que j
ant la vie intrà-utérine, c'est que ces organes peuvent présenter des lésions beaucoup plus profondes que chez l'adulte. Obse
ieu du reste du poumon, des noyaux d'infiltration. Je pense que cette lésion peut dater du moment de la naissance. Observati
e portion de l'organe de la respiration. Du reste, je pense que cette lésion ne remonte pas avant l'époque de la naissance.
rhe pulmonaire. Cet enfant qui paraissait vivace, présenta pour toute lésion , quelques lobules imperméables par infiltration s
orts avec des pustules syphilitiques ont succombé à des pneumonies ou lésions des poumons, antérieures à la naissance. Observ
ons, dans le croup, l'inflammation pseudo-membraneuse du larynx, sans lésion aucune de la muqueuse pharyngienne. Cepeudant dan
-thique. Presque toujours elle est consécutive ou symptomatique d'une lésion grave du canal intestinal, et se manifeste à une
usieurs des malades observés par M. Billard avaient en même temps des lésions graves dans d'autres organes; un seul, âgé de qua
d'autres organes; un seul, âgé de quatre jours, n'a présenté d'autre lésion que l'ulcération de l'estomac. Quant au siège p
encéphale chez le foetus, on ne sera point étonné de la fréquence des lésions de développement auxquelles cet organe est exposé
sions de développement auxquelles cet organe est exposé; et parmi ces lésions , l'hydrocéphalie ventriculaire tient sans contred
té d'articuler nettement les sons ; ce qui lui fit soupçonner quelque lésion vers le cerveau. Il fut appelé plusieurs fois à l
-membrane organisée, le placenta n'est exposé qu'à un petit nombre de lésions , dont plusieurs ne paraissent pas avoir été bien
ltanée du placenta et de la surface correspondante de l'utérus. Les lésions du placenta me paraissent devoir se rapporter aux
ces deux organes ( Desault et Bichat ) , soit par la simultanéité de lésions du foie et du cerveau (M. Richerand). L'antique t
foyers. Il est probable que dans ce cas le malade aurait résisté à la lésion du foie, si d'autres lésions plus graves n'étaien
dans ce cas le malade aurait résisté à la lésion du foie, si d'autres lésions plus graves n'étaient venues la compliquer. Chez
mique ou typhoïde porté au plus haut degré, l'absence de symptômes de lésion dans les autres organes, peuvent faire soupçonner
des moyens dirigés contre l'infection miasmatique. L'état local, les lésions d'organes ne sont évidemment que des effets qui s
ni imperforation de l'anus, ni exstrophie, ni déviation des membres, lésions qu'on a vues quelquefois coïncider avec le spina
fois une hémorrhagie spontanée, une autre fois une hémor rhagie par lésion de l'ombilic, qui devint funeste. Le cas d'hémorr
FOETUS (XVIIe livr., pl. I.) Atrophie des circonvolutions. Les lésions des circonvolutions cérébrales et cérébelleuses c
un point très intéressant de l'histoire pathologique du cerveau. Ces lésions beaucoup plus fréquentes qu'on ne le croit ordina
ur uniformité, ne peuvent faire connaître qu'un certain nombre de ces lésions . Le soin avec lequel je fais enlever les méning
es cicatrices si remarquables et si variées, qui sont la suite de ces lésions ; je ne m'occuperai, pour le moment, que de l'atro
é par la couche optique et le corps strié plus ou moins altéré. Cette lésion est le plus souvent congéniale. Je possède quelqu
eurs tous les organes, peut éprouver pendant la vie fœtale, les mêmes lésions que pendant la vie extra-utérine, et que générale
e pendant la vie extra-utérine, et que généralement chez le fœtus ces lésions peuvent être portées, sans occasioner la mort, à
is cette importance est-elle particulière à ces circonvolutions ? une lésion aussi considérable qui siégerait dans les circonv
générale de la prostate. L'hypertrophie de la prostate est une des lésions les plus graves des voies urinaires (i)î Cette hy
Fobstacle qu'elle apporte à l'émission des urines, et nullement à la lésion organique elle-même. La difficulté d'uriner dont
poplectiques ; en sorte qu'en prenant pour base de la nomenclature la lésion organique, on peut admettre une apoplexie muscula
Les muscles de la vie de relation ne sont pas à l'abri de semblables lésions . Dans le scorbut parvenu à sa dernière période, o
vre de lait. Il peut se manifester tantôt en l'absence de toute autre lésion , tantôt dans le cours d'une péritonite puerpérale
les articulations, soit dans les gaines tendineuses. Résumé. Trois lésions bien distinctes existaient chez ce sujet: i° une
ontraire contractée. La langue est large , humide , sans déviation ou lésion de sensibilité ; point de gêne dans la déglutitio
s vieillards, dont le cerveau est sujet à un si grand nombre d'autres lésions . Il résulterait des faits que j'ai eu occasion
rt survenir par une cause étrangère aux tubercules de l'encéphale: la lésion encéphalique n'est souvent révélée que par l'auto
éjà épanchée ne serait pas impossible. Si l'étude superficielle des lésions morbides semble condamner l'art au rôle de simple
semble condamner l'art au rôle de simple spectateur, une fois que la lésion morbide est établie , l'étude approfondie de ces
e fois que la lésion morbide est établie , l'étude approfondie de ces lésions apprend à ne désespérer jamais en faisant connaît
des accidents, le tableau des commémoratifs, tout nous indiquait une lésion fort grave du cerveau (je penchais pour un abcès
; i° un tissu mélanique bien distinct de toutes les autres formes de lésions avec lesquelles il peut d'ailleurs se combiner. C
e lui-même. Une question ressort immédiatement de la coexistence de lésions aussi multipliées et du même ordre. Y a-t-il simp
ltipliées et du même ordre. Y a-t-il simple coïncidence de toutes ces lésions ? Y a-t-il entre elles relation de cause à effet?
ns ? Y a-t-il entre elles relation de cause à effet? Enfin toutes ces lésions reconnaissent-elles une cause commune? Il me se
les cellules qui n'offre aucune analogie avec le suc cancéreux. Cette lésion rentrerait-elle dans la catégorie des cancers des
ut à-la-fois; tandis que dans les cas que j'ai décrits et figurés, la lésion serait limitée à la membrane médullaire; je serai
e détruite comme la substance blanche. Ce ne sont pas là les seules lésions dont les circonvolutions soient susceptibles. On
he celluleuse très fine, colorée en jaune, atteste l'ancienneté de la lésion qui pénètre dans l'anfractuosité correspondante.
, disposées soit par stries irrégulières, soit par excavations. Cette lésion se remarque aussi dans plusieurs anfractuosités.
iennent sans doute de différences dans le siège, dans l'étendue de la lésion , et plus encore peut-être dans la rapidité de l'o
de l'apoplexie avec foyers, on peut saisir la filiation de toutes ces lésions anatomiques : savoir, apoplexie avec foyers, apop
llissement inflammation, phlébite des sinus et des veines cérébrales, lésions que semblait d'abord séparer un intervalle consid
côté gauche, tenait uniquement à des différences dans l'étendue de la lésion . Si les deux hémisphères avaient été également af
mollissement blanc pultacé. Il y a deux choses à considérer dans la lésion connue sous le nom de ramollissement du cerveau :
embres paralysés, ou plutôt alternative de rigidité et de flaccidité, lésion du sentiment beaucoup plus profonde que dans les
Salpêtrière. Réflexions. — Cette observation prouve : Qu'il est des lésions de la substance cérébrale trop circonscrites pour
diverses régions de l'abdomen ne fait découvrir aucune tumeur, aucune lésion appréciables; face pâle, bouffie. Au mois de ma
De l'utilité â(* Hgurvn en anatomie pathologique. Mode d'exécution. LÉSIONS BJE L'AFPÂREII de la locomotion. Vices de confd
ations. Considérations sur l'apoplexie pulmonaire en général. . 4". LÉSIONS SE X.'APPAREIL SE IA CIRCULATION Maladies du cœ
onniventeset desparoisde l'intestin. Observations et réflexions. S: LÉSIONS SE L'APPAREIL SES SENSATIONS ET SE L'INNERVATION.
culeuses. Observations et considérations générales.............. 6° LÉSIONS DES ORGANES GÉNITO-URINAIRES. Maladies d u rein
78 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
Il y a donc une série de désordres du système osseux qui dérivent des lésions des muscles, une série d'affections musculaires e
nt l'être indépendamment du système nerveux. De là une autre série de lésions osseuses et musculaires, les lésions qu'on peut a
erveux. De là une autre série de lésions osseuses et musculaires, les lésions qu'on peut appeler indépendantes, qui, à leur tou
légère, divers organes s'affectent rapidement sous l'influence de la lésion primitive d'un seul, et l'on a pu dire avec vérit
eindrons à aucune classification systématique, et nous grouperons les lésions osseuses, tantôt d'après leur siège, tantôt d'apr
ches anatomo-pathologiques, on n'est pas d'accord sur la nature de la lésion primitive qui constitue le mal vertébral et qui a
es osseux et fibreux du rachis. On a pendant longtemps rapporté cette lésion à la carie; mais les vertèbres malades ne présent
la solution de continuité ; mais il n'est nullement prouvé que cette lésion constitue généralement toute la maladie dans le p
te chronique, et qui entraînerait la destruction de ces ligaments, la lésion des vertèbres et toutes les suites du mal vertébr
e, d'autres fois une arthrite, ou même la réunion de plusieurs de ces lésions . Il faut ajouter que la nécrose y joue également
voit manifestement que les ligaments ont été le point de départ de la lésion ; le dernier ligament intervertébral a disparu. Qu
e de la maladie. Je me résume : on distingue dans la production des lésions ana-tomiques deux genres de début, dont l'un se s
ple d'une affection commençante. La déformation peut même manquer, la lésion restant bornée à la surface ou au centre du ligam
a taille. (1) J'ai décrit deux périodes du mal vertébral : l'une de lésion , d'altération des tissus; la seconde de fragmenta
a colonne se coupe au niveau du point malade. J'aurai à poursuivre la lésion dans les parties autres que la portion du rachis
lles servent, en quelque sorte, de gaine dans une certaine étendue. Lésions concomitantes. — Voilà ce que j'avais à vous dire
à vous dire sur-la réparation de l'affection vertébrale. Je passe aux lésions existant dans un point autre que le siège même du
'opèrent donc dans la statique du tronc. Il ne faut pas confondre ces lésions avec celles que produit le rachitisme. rapproch
es données du cadavre. Voyons comment on reconnaît pendant la vie les lésions révélées par l'autopsie ; c'est l'objet du diagno
. 2 Je distinguerai ici trois périodes, différentes de celles de la lésion anatomique. 1" période. — Une première période,
naperçues. Explorez donc les vertèbres, et vous trouverez souvent des lésions qui auront échappé à d'autres médecins. Les paren
ion , deux courbures longues, étendues, sans gibbosité : ce sont deux lésions entièrement différentes. Cette colonne est celle
suffira d'avoir indiqué que l'erreur est possible. Diagnostic de la lésion . — Encore un mot sur la diagnose de la lésion qui
ble. Diagnostic de la lésion. — Encore un mot sur la diagnose de la lésion qui constitue l'affection vertébrale; on a ici pl
tre la nature de l'altération. Si nous savions bien distinguer chaque lésion qui peut provoquer la destruction des vertèbres,
Il y a pourtant quelques indices qui peuvent faire présumer à quelle lésion on a affaire. Boyer va plus loin : quand il exist
ismale ; elle peut aussi, à tout âge , se développer à la suite d'une lésion traumatique, d'un coup, d'une chute; probablement
é. g III. — Abcès par congestion. Quelle que soit la nature de la lésion , quel que soit son siège, elle tend à produire du
trouve à ce sujet des distinctions peu fondées dans les auteurs. Des lésions toutes semblables peuvent entraîner ou non des ab
abcès, se voient plutôt dans l'affection tuberculeuse; mais d'autres lésions , la carie, la nécrose, l'ostéite, leur donnent ég
t les poumons étaient comprimés par un foyer purulent dépendant d'une lésion des vertèbres. Dans la plupart des abcès par co
ente. D. Abcès ossifluents. — D'autres abcès, produits par diverses lésions osseuses ayant un autre siège que le corps des ve
ou bien être attribuée à une névralgie, à la coxalgie, etc. § IV. — Lésions de l'innervation. — Paralysie. Ces lésions cons
coxalgie, etc. § IV. — Lésions de l'innervation. — Paralysie. Ces lésions consistent en troubles de la motilité et de la se
tensité, et ils varient, du reste, avec la gravité, la profondeur des lésions de la moelle et des nerfs. La moelle est quelquef
troubles fonctionnels ne se trouvent pas toujours en rapport avec la lésion matérielle. Il y a une sorte d'antagonisme entr
la même nature, n'ont pas une origine exactement semblable. Dans les lésions superficielles, il y a peu de désordres fonctionn
es nerveux, en général, sont plus graves. On observe deux sortes de lésions de l'innervation dans le mal de Pott : tantôt il
d'action plus ou moins complète des fibres nerveuses. En effet, la lésion qui correspond aux différents degrés de paralysie
la paralysie.—Ces différents degrés de paralysie correspondent à des lésions plus ou moins profondes de la moelle. 1° Compre
e, le cordon rachidien. 2° Altération de ta moelle. — Il existe des lésions plus graves, correspondant à des degrés plus avan
us graves, correspondant à des degrés plus avancés de la maladie. Ces lésions sont celles de la substance même de la moelle, te
le résultat d'autopsies des plus intéressantes, offrant cet ordre de lésions . Si la moelle est malade, les symptômes sont géné
généralement plus intenses. D'après M. Duchenne (de Boulogne) (1), la lésion de la moelle est grave s'il y a abolition de l'ir
n nerveuse était peu profonde chez ce sujet. Suivant le siège de la lésion , la paralysie affecte une étendue différente de p
vu, dans l'abolition des mouvements volontaires, et coïncide avec la lésion des parties antérieures de la moelle. Vous savez,
la motilité, les faisceaux postérieurs présidant à la sensibilité. La lésion plus fréquente des parties antérieures du centre
t pas un cas de mal vertébral. Cet enfant est ra-chitique. Quant à la lésion des membres abdominaux, on pourrait se tromper su
répéter cette phrase. Quels que soient les symptômes, le degré de la lésion , que le malade soit jeune ou vieux, homme ou femm
qu'en raison des circonstances dans lesquelles elle se développe. Des lésions consécutives, telles que des escarres, des hydrop
la maladie osseuse, favoriser l'évolution des phases curatives de la lésion qui existe, ostéite, carie, nécrose, tubercules,
ation énorme de l'épine. En faisant tous ses efforts pour borner la lésion , on remplit en même temps une deuxième indication
enfant a eu un abcès de la cuisse qui n'était pas, je crois, lié à la lésion des vertèbres. Comme il appartenait à une salle d
es tiraillements sur le point du rachis malade et peuvent aggraver la lésion . Au surplus, si l'on voulait recourir à l'orthopé
é l'histoire du traitement pour le premier cas, en ce qui concerne la lésion vertébrale proprement dite; ce traitement s'appli
leuse, que, par conséquent, les cautères sont impuissants à guérir la lésion , bien qu'ils soient utiles contre quelques-uns d
mplies de pus provenant probablement de la fonte des tubercules. La lésion a détruit presque entièrement deux vertèbres, les
rasme; elle a été véritablement lente à mourir. Encore un mot de la lésion osseuse chez cette malade. Il n'y a pas ramolliss
l'atlas, celle de l'articulation occipito-atloïdienne; ce sont là des lésions que nous ne retrouvons, dans le reste de l'épine,
également pour siège les autres articulations. On ne connaît bien les lésions de la synovite sous-occipitale que par l'autopsie
onnet (1) a brièvement indiqué, en les rapportant au rhumatisme , les lésions anatomiques et les phénomènes observés pendant la
La maladie peut occuper l'intervalle de deux ou trois os. Diverses lésions accessoires accompagnent parfois cette synovite :
nt offrir des altérations secondaires. II. Affection osseuse. — Les lésions primitives qui lui donnent lieu sont, comme dans
ication fréquemment altérés. Ces organes peuvent-ils être le siège de lésions vitales ? N'y rencontre-t-on que des lésions méca
ent-ils être le siège de lésions vitales ? N'y rencontre-t-on que des lésions mécaniques? Les chirurgiens sont divisés d'opinio
à ce sujet. La plupart d'entre eux refusent d'admettre l'existence de lésions vitales, et ne voient dans les maladies des carti
pense que les cartilages, vivant à leur manière, sont susceptibles de lésions pathologiques vitales, différentes toutefois de c
es est un phénomène fréquent; mais avant qu'il ait lieu , on voit une lésion des os qui les supportent, ostéite, carie, nécros
, la région occipito-vertébrale revêt des aspects divers ; tantôt la lésion réside dans les masses latérales de l'atlas ; il
e, dans la synovite, le mouvement réflexe; cela dépend du siège de la lésion . L'action réflexe des muscles produit, suivant le
ite, et la hauteur des os est sensiblement diminuée de ce côté. Cette lésion est, à mon avis, l'effet d'une maladie de la natu
de mon excellent collègue M. Gillette, une pièce où l'on constate une lésion encore plus considérable. L'enfant sur laquelle e
e seconde espèce du mal vertébral. La moelle peut éprouver d'autres lésions ; on a publié un fait d'hémorrhagie centrale du co
natomie pathologique de la maladie, étudions celle de la guérison. La lésion si grave qui nous occupe, développée dans le vois
lement se trouver consacrées par la forme pathologique du canal, sans lésion des fonctions du système nerveux. L'ankylose a
x de l'atlas en arrière. DÉFORMATION DE LA TÊTE ET DU RAGHIS. — Les lésions causées par l'affection sous-occipitale ne se bor
u : c'est une gibbosité dépendant d'un mal vertébral ordinaire. Cette lésion suffirait seule pour expliquer l'attitude de la t
i les arrêts de développement. Je ne puis admettre cette théorie. Les lésions de circulation sanguine sont la cause principale
aux arthrites chroniques. Sans doute, outre l'influence évidente des lésions de circulation sur les arrêts de développement et
alité des deux moitiés du corps, on peut admettre une influence de la lésion de l'innervation produisant ce qu'on appellera, s
oujours praticable. (1) Neuvième leçon, 13 juillet 1855. 6. IV. lésions nerveuses. — Les signes fournis par la lésion de
illet 1855. 6. IV. lésions nerveuses. — Les signes fournis par la lésion de la moelle et du cerveau ajoutent aussi aux moy
oit l'attitude donnée à la tête ; la contracture symptoniatique d'une lésion articulaire ou osseuse est intermittente ; elle e
la position de l'extrémité céphalique. Je passe à un autre genre de lésions , dont je parlerai d'abord d'une manière générale,
re cause comprend à son tour deux variétés : dans l'une, il n'y a pas lésion des organes locomoteurs ; dans l'autre, ces organ
issance à un torticolis permanent. h. Le torticolis produit par des lésions de l'appareil locomoteur est aigu ou chronique, o
s un seul sens; elle est égale dans toutes les directions s'il y a eu lésion articulaire. Supposons qu'il y ait ankylose, on l
te période de son existence, à des inflexions, des tiraillements, des lésions nerveuses. On a reconnu, chez les monstres, des t
imait le cordon rachidien. L'anesthésie fut le premier symptôme de la lésion médullaire. Quand il rencontre l'une de ces aff
de la maladie le nom d'arthrite, mais celui $arthralgie, parce que la lésion n'est pas bornée aux articulations et qu'elle por
u mot coxalgie, c'est-à-dire pour dénommer d'une manière générale des lésions articulaires très-diverses, qui se traduisent par
. Bonnet a émis ce principe général, que l'on améliore constamment la lésion des os en rendant aux parties leur attitude norma
torticolis musculaire. II. Traitement de l'affection osseuse. — La lésion osseuse sous-occipitale est traitée généralement
sé sous les yeux, des considérations applicables à un grand nombre de lésions . Ainsi, en vous faisant connaître les affections
ankyloses (1) Dixième leçon, 20 juillet 1855. qui succèdent à ces lésions ; elles donnent naissance à une déformation qui se
voit fréquemment à la suite des luxations pathologiques, bien que ces lésions puissent présenter d'autres formes de pseudarthro
première période est infiniment moins claire dans ce dernier ordre de lésions . Le déplacement est déjà opéré à l'époque de la n
t faire valoir pour et contre cette troisième explication. D'autres lésions , telles que le gonflement du tissu graisseux du f
us de valeur est tirée de la ressemblance, de la presque identité des lésions , dans les luxations congénitales et les luxations
si l'on perçoit quelques légères différences entre ces deux ordres de lésions . Ce qu'il y a de plus vraisemblable, c'est que
morales congénitales et forme un signe précieux pour différencier ces lésions des luxations traumatiques anciennes. J'ai le reg
ravaz semblent présumer qu'elle peut exister dans ces deux classes de lésions , parce que la tête, d'abord intra ou juxta-cotylo
spèces de luxations, traumatiques, pathologiques, congénitales. Cette lésion est la règle dans les luxations traumatiques, et
on légère d'un côté introduit des différences dans les résultats. Une lésion articulaire détermine-t-elle une attitude fixe de
embarrassant. Cependant, à la vue seule, on peut encore découvrir la lésion ; on est frappé de la brièveté des cuisses ; si l
ifférentiel des luxations coxo-fémorales.— On peut confondre avec ces lésions différentes dispositions ana-tomo-pathologiques d
ologique ou coxalgique, congéniale, peut être confondue avec d'autres lésions qui produisent un raccourcissement du membre, et
cause de brièveté du membre. Voilà donc quatre cas déterminés par une lésion ayant son siège au voisinage de la cavité cotyloï
tilité secondaire : elles peuvent exister au même degré dans d'autres lésions . Je ne m'arrête pas à quelques causes de raccou
luxation simple de la hanche ; une grandmante de l'enfant portait une lésion semblable. La luxation est sans doute congeniale
obscurité qui enveloppe le diagnostic différentiel des deux ordres de lésions , si l'on ne possède d'autres caractères que ceux
nnes ont pu croire que la luxation était traumatique; mais, après une lésion de cette nature, les fonctions sont plus fortemen
le au bout d'un petit nombre de jours. On rencontre, lors même que la lésion ne date que de dix jours , des obstacles dont le
des pseudarthroses du fémur : c'est l'existence d'une coxalgie. Cette lésion était regardée, avant Dupuytren, comme la cause u
prochés. Cette division est importante au point de vue de l'élude des lésions de l'action musculaire; on la retrouve dans les a
ition à celui qu'on peut appeler égal ou uniforme. II. Nature de la lésion musculaire. — Quelle est la lésion musculaire à l
al ou uniforme. II. Nature de la lésion musculaire. — Quelle est la lésion musculaire à laquelle se lie la déviation des yeu
Dans l'autre cas, le strabisme est causé par une maladie réelle, une lésion nerveuse, un spasme qui dépend lui-même de causes
erf. L'anatomie pathologique confirme ce que je viens de dire de la lésion musculaire; j'ai fait plusieurs autopsies, et j'a
ême temps qu'ils établiront ce qui est relatif au diagnostic de cette lésion . jer caSi — cc premier malade est un garçon de
éprouver quelque incertitude relativement à la véritable nature de la lésion . 1° Dans le premier de ces cas, il s'agit du st
lu du droit externe. La vision était un peu affaiblie à gauche. Cette lésion étail peut-être congénitale peut-être aussi éta
affections des muscles eux-mêmes, soit qu'elles proviennent de leurs lésions propres ou des lésions du système nerveux. Ces af
eux-mêmes, soit qu'elles proviennent de leurs lésions propres ou des lésions du système nerveux. Ces affections ont pour consé
eints de paralysie incomplète, provenant du mal vertébral ou d'autres lésions , et qui offrent divers exemples de pieds équins
faiblement rétracté. C'est en quelque sorte un premier degré de cette lésion musculaire. Chez le second, le triceps sural rési
es les fois que l'enfant né pied bot porte en outre des marques d'une lésion nerveuse ou musculaire, analogue à celles qui pro
ps, et dans une étendue en rapport avec le siège et l'étendue de la lésion du système nerveux. L'étude des monstruosités enc
t. Mais le pied bot peut se montrer, à la naissance, sans traces de lésion primitive du système nerveux ou musculaire. Gomme
ement se trouve, tantôt dans un état pathologique antérieur, dans une lésion nerveuse primitive, tantôt principalement élans l
er; aussi le pied bot est-il très-commun dans les monstres, même sans lésion du système nerveux. c. Varus talus. — Le varus
stion s'il importe de guérir le pied bot. Ce n'est pas assurément une lésion qui menace la vie ou quelque grande fonction ; ma
r toute pression dans ce point. Si l'escarre est superficielle, celte lésion peut encore guérir sans suppuration; il se forme
beaucoup moindres , mais cependant en rapport avec l'ancienneté de la lésion . Dans l'âge adulte, les douleurs causées par l'
rf, en portant le ténolome trop au delà de la limite du tendon. Cette lésion serait plus grave que celle de la veine saphène.
est qu'un roman. L'inflammation se développe, comme dans toutes les lésions traumatiques des tissus vivants chez les animaux
lle de la section, on fait naître une légère douleur. On traite les lésions accidentelles qui se manifestent après la ténotom
sme, tout est contraste. La première de ces deux affections est une lésion purement mécanique , qui n'affecte que la surface
ment les articulations, et qui est presque toujours consécutive à une lésion du système musculaire. (1) Onzième leçon, 1er a
ème musculaire. (1) Onzième leçon, 1er août 1856. L'autre est une lésion dynamique, vitale, qui s'attaque au cœur même de
de certaines parties des os chez le fœtus, etc. J'écarte toutes ces lésions qui ont plus ou moins d'affinité avec le rachitis
main de maître. § 1er. — anatomie pathologique du rachitisme. I. Lésions du système osseux. — Le fait le plus général, dan
rche anormale de l'ossification, de la formation des os ; ce sont les lésions de texture qui en dérivent dans presque toutes
pongoïde accumulées au voisinage des cartilages épiphysaires. Si la lésion était peu avancée, la guérison peut être complète
se; les fémurs sont peu courbés; les membres supérieurs droits. II. Lésions des parties molles. — (1) Nous avons étudié les a
t sur leur texture intime. La plupart sont des effets consécutifs des lésions osseuses. Quelques-unes précèdent ou accompagnent
ifs des lésions osseuses. Quelques-unes précèdent ou accompagnent ces lésions , soit à titre de complications, soit parce qu'ell
Je ne connais pas d'observations modernes faites sur ce point. Les lésions du tube digestif n'ont d'ailleurs rien de spécial
aissent, dans des cas exceptionnels, produire à la fois les premières lésions et la seconde. F. Le système musculaire des enf
rtères d'un enfant rachitique de deux à trois ans. III. Origine des lésions rachitiques. — L'anatomie pathologique n'est pas
1. réduits au dernier degré de marasme, ne présenter encore que les lésions du rachitisme latent; tandis que d'autres, dont l
(1) Les signes anatomiques vous sont déjà connus : ce sont toutes les lésions rachitiques, osseuses ou autres, perceptibles à l
nsible, en général, que leurs courbures sont plus fortes, tant que la lésion n'est pas entrée dans sa troisième période. L'â
et l'habitude extérieure du corps; des troubles de la locomotion; des lésions de l'innervation, douleurs, exaltation de la sens
ela explorer avec soin tous les organes, s'assurer qu'il n'y a pas de lésions plus importantes que celle des os. C'est surtout
même produire un commencement de lordose. Chez cet autre enfant, la lésion est plus avancée, et la même manœuvre ne peut réd
formation. La faiblesse des muscles sacro-spinaux concourt, avec la lésion rachitique, à la production de celte forme de cyp
Le renversement de la tête est alors d'autant plus prononcé, que la lésion est plus rapprochée du cou et l'inclinaison en av
orrigées par les déviations de l'autre , quel que soit le siège de la lésion primitive. Les causes qui agissent en premier l
s, et il y a deux lordoses, l'une au-dessus, l'autre au-dessous de la lésion . (1) Voy. p. 63. (2) Archives générales de mé
par leur contraction tonique, peut-être par un spasme dépendant de la lésion encéphalique , à attirer l'un vers l'autre la'têt
crite par M. Houel (2) et déposée au Musée Dupuy-tren sous le n° 160 ( lésions de l'appareil digestif), semble encore démontrer
nou, vous avez encore un exemple d'une scoliose sympto-niatique d'une lésion des membres inférieurs. Le sujet se tient sur la
t, à de grands désordres des cavités spianchniques , spécialement aux lésions des centres nerveux et à celles que l'on connaît
egré de généralité qu'il convient de leur donner. L'existence d'une lésion nerveuse concomitante est sans doute un motif de
itive, lorsque d'ailleurs on trouve les muscles rétractés. Mais cette lésion manque parfois, dans certains cas d'éventration,
ains cas d'éventration, par exemple, et il faut alors, ou admettre la lésion nerveuse sans preuves, ou recourir à une autre ex
erveuse, analogue à celle de quelques fœtus rendus monstrueux par des lésions du système nerveux. Cette espèce de courbure qu
x, perte d'appétit, trouble des digestions, diarrhée, amaigrissement, lésions diverses de l'innervation , etc. Sans doute on fe
yncope ; tantôt ce sont de véritables modifications de nutrition, des lésions organiques. Les maladies du cœur sont une des cau
a succombé. Divers auteurs, Delpech (2) entre autres, ont parlé des lésions fonctionnelles de la moelle épinière ou même du c
lier. Il résulte de cet exposé que, malgré l'intégrité ou le peu de lésion de plusieurs fonctions, la scoliose d'un haut deg
abdomen, malgré une diminution notable de hauteur, ne présente pas de lésion fonctionnelle sensible; tous ses viscères paraiss
s ai dit du peu de différence qui existe souvent, au point de vue des lésions fonctionnelles, de la viabilité, entre les courbu
croyez sans peine; on ne sait pas d'ailleurs bien au juste à quelles lésions du rachis s'appliquait celte manœuvre. Mais Hip
, réduisent encore les efforts que l'on peut exercer sans risque. Une lésion mortelle du colon iliaque succéda, dans les premi
s parties molles extérieures, cause de gêne, de douleurs, de diverses lésions fonctionnelles, est diminuée par l'emploi de ces
............. 9 Troisième période. Réparation................. 12 Lésions concomitantes..................... 15 1° Denuda
ar débilité des enfants et des vieillards...... 25 Diagnostic de la lésion . ,................... § III. — Abcès par conges
.............. D. Abcès ossifluent.................... ^3 § IV. — Lésions de l'innervation. — Paralysie.......... ib. I.
ts du sujet. ... 80 III. Déformation...................... 83 IV. Lésions nerveuses.................... 84 V. Abcès......
I. Variétés du strabisme................... 1*8 II. Nature de la lésion musculaire............... 144 1° Strabisme par
69 § Ier. —¦ Anatomie pathologique du rachitisme.......... ib. ï. Lésions du système osseux................. ib. A. Premi
............ 293 3° Effets des déformations.............. 296 II. Lésions des parties molles................. 298 III. Or
I. Lésions des parties molles................. 298 III. Origine des lésions rachitiques.............. 305 .§ IL —Diagnostic
79 (1891) Anatomie pathologique de la moëlle épinière : 45 planches en héliogravure avec texte explicatif
ue confirmer d'une manière générale ces données, en montrant qu'une lésion limitée à tel ou tel de ces départements se tra
ais, dans un organe aussi délicat que l'est la moelle, déterminer des lésions exclusivement bornées, par exemple, à certains
'en douter. La maladie au contraire produit journellement de telles lésions , et l'anatomie topographique de la moelle nous le
orts entre les troubles fonctionnels constatés durant la vie et les lésions révélées par l'autopsie.... » « Ces deux points
st pas seulement l'anatomie pathologique contemplative, étudiant la lésion en elle-même et pour elle-même que nous devons
erres inconnues. Les anciens faisceaux postérieurs, par l'étude des lésions systématiques, avaient été décomposés déjà en d
autre côté, le médecin praticien qui fréquemment entend parler de ces lésions , mais n'a pas souvent l'occasion de les constat
omo-pathologique de la moelle épinière, sinon à l'histologie fine des lésions de cet organe, ont abouti à des résultats consi
és de pathologie, quand il aura eu sous les yeux l'image exacte des lésions répondant à leurs descriptions. La presque tota
mais seulement les indications sommaires relatives à la nature des lésions , à leur distribution, à la région de la moelle
n des planches, d'y joindre des schémas semblables sur lesquels les lésions seraient indiquées par des parties teintées cor
la figure est indiquée sur le schéma par les parties teintées. Les lésions vasculaires se voient également, même à ce faib
la région dorsale inférieure et colorée par la méthode de Pall. Les lésions sont disséminées et atteignent leur summum d'inte
région cervicale inférieure, et colorée par la méthode de Pall. Les lésions sont presque exclusivement cantonnées dans les co
a région lombaire supérieure et colorée par la méthode de Pall. Les lésions sont localisées dans la partie centrale de la sub
resque tout le cordon latéral gauche est envahi également, mais les lésions y sont moins accentuées, elles existent plus faib
stance fondamenlale des cordons antéro-latéraux sont respectés par la lésion qui de plus présente celte particularité d'être
ntées chacune à des sujets différents. PLANCHE XIV FIGURE 27. LÉSION COMBINÉE. Région cervicale. Coupe 1"dtICLIÉB da
région cervicale et colorée par la méthode de Pall. Il s'agit d'une lésion des cornes antérieures combinée à une sclérose de
anglionnaires diversement alté- rées. PLANCHE XV . Figure 29. LÉSION COMBINÉE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans
don latéral. E-Z. Cordons postérieurs sclé- rosés. FIGURE 30. LÉSION COMBINÉE. Cordons postérieurs. La figure représ
n des tubes nerveux remplacés par du tissu de sclérose, ainsi que des lésions vascu- laires. A-A. Tissu de sclérose. B. C
ion cervico-dorsale et colorée par la méthode de Pall. On y voit la lésion des cornes antérieures, et la légère dégénération
min, et vue à un fort grossissement (obj. 4, Vérick). On y voit les lésions des cellules et leur disparition en du tissu fibr
la région cervicale et colorée par la méthode de Pall. On voit les lésions des cornes antérieures et la dégénéralion seconda
antérieure. La figure montre à un fort grossissement un point de la lésion de la corne antérieure de la préparation précéd
<r la méthode de Pall. Il s'agit d'un cas de tabès au début, les lésions sont cantonnées dans les zones radicu- laires m
e il un cas de tabès au début provenant du service de Westphal. Les lésions sont tout à fait analogues à celles d'un cas ra
celles d'un cas rapporté récemment par M. Raymond (Topographie des lésions spinales du tabès au début. Revue de médecine,
dans la région cervicale et colorée par la méthode de Weigert. Les lésions occupent, d'une façon classique, la presque total
iquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. La lésion occupe son siège habituel dans les cordons postér
Vaisseaux. Les figures 51-52-53 ont trait au tabès classique, avec lésions typiques des cordons postérieurs et proviennent
ale et colorée par la méthode de Weigert. Il s'agit d'un cas où les lésions étaient particulièrement intenses dans les région
ombaire et dorsale, aussi cette préparation montre-t-elle surtout les lésions secondaires du cordon de Goll, les faisceaux de
armin. On voit un tissu de sclérose, avec des corps hyalins, et des lésions vasculaires. A. Tissu de sclérose. B. Tube ne
la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. On y voit la lésion particulièrement intense à la partie postérieure
eau du renflement cervical et colorée par la méthode de Weigert. La lésion , contrairement à celle de la figure précédente, a
, 57 et 58 représentent des préparations de tabès dans lesquelles les lésions présentent t des sortes de variétés du type nor
la préparation de la figure précédente, pour montrer le détail des lésions . .4. Corne antérieure. B. Corne postérieure.
Westphal. l. Partie moyenne de la zone radiculaire sclérosée. .1. Lésion vasculaire. Figure 60. SCLÉROSE LATÉRALE, AMY
e dans le renflement cervical et colorée par la méthode de Pall. La lésion est visible dans la zone des faisceaux pyramidaux
ans la région dorsale moyenne et colorée par la méthode de Pall. La lésion est strictement cantonnée dans les faisceaux pyra
et vue à un grossissement fort (obj. 4, Vérick). On y distingue les lésions des cellules ganglionnaires des cornes antérieu
iquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. La lésion occupe toujours la zone des faisceaux pyramidaux,
k). On y voit la disposition fasciculaire du tissu scléreux, et les lésions vasculaires. A-A. Faisceaux fibreux. B. Corps
quelque sorte la justification embryologique de la localisation des lésions dans les myélites systématiques dont nous avons p
e Pall. On y voit très nettement la distribution systématique de la lésion reproduite, de plus, sur le schéma. - A. Corn
ion lombaire et colorée par la méthode de Pall. La distribution des lésions est tout il fait conforme aux descriptions classi
uée dans la région dorsale et colorée par la méthode de Pall. Mêmes lésions , d'apparence un peu différente que dans la figure
ns la région dorsale moyenne et colorée par la méthode de Pall. Les lésions semblables sont plus accusées encore que dans la
la détruisant en partie, la substance grise. Malgré retendue de la lésion , il n'y a pas de dégénération nette des faiscea
otrophique et la Syringomyélie, ce dont rend compte l'apparence des lésions . L'observation ainsi que l'examen néc ? opsi(lite
80 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
. Il n'avait pas à cette époque, pas plus qu'aujourd'hui, de graves lésions de l'oreille, pas d'écoulement. L'examen otolog
r M. Gellé, montre qu'il s'agit d'un simple vertige de Ménière avec lésion scléreuse de l'oreille qui ne parait pas avoir
la mar- che. L'index et le petit doigt seuls sont indemnes de toute lésion , sauf un certain degré de rétraction du tendon
suivis de nécrose des phalangettes avec issue d'os au dehors. A ces lésions s'ajoute l'anesthésie spéciale occu- pant la ma
qui est bien franchement hystérique. Supposer ici l'existence d'une lésion de la partie postérieure de la capsule interne
roit; de la micromégalopsie, de la diplopie inter- mittente. Pas de lésions du fond de l'oeil; les pupilles sont égales et
'il serait trop long d'exposer en cette place, à faire entrer cette lésion dans la catégorie des ecchymoses spontanées des
tèbres avec tassement et écra- sement de celles-ci, telles sont les lésions qui donnentle plus habituel- lement naissance a
itrine. On peut suivre pas à pas chez cette femme les progrès de la lésion vertébrale par la succession des signes qu'elle
ong des deux cuisses et au niveau des fesses. Toute la marche des lésions se dessine sous les yeux du clinicien avec une
ues à l'égal de l'atrophie muscu- laire concomittante. Toutefois la lésion primordiale de la substance grise peut être seu
ALPETRIERE. qui diffèrent entre elles par la nature et le siège des lésions et par leurs causes ». M. Raymond est porté à
vation (d'Eisenlohr) passible d'une critique du même genre, car les lésions spinales constatées à l'autopsie du malade ont
s autrefois par M. Charcot. On sait que notre maître pensait que la lésion de la poliomyélite était due à une altération ¡pr
ires, alors que Roger, Damaschino et Roth émet- taient l'avis d'une lésion plutôt vasculaire et interstitielle. L'occasion
ties visiblement atteintes, on constate sur les pièces fraîches des lésions de sclérose type. Sur les coupes (après durciss
. Dans la région dorsale et dans la région cervicale, il existe des lésions analogues de la substance grise des cornes anté
partager son opinion, l'analogie supposée antérieurement entre les lésions de la paralysie infantile et de la paralysie spin
lle, une atrophie très prononcée des cellules ganglionnaires. Cette lésion atteint son maximum d'intensité au niveau des ren
, et qu'à l'instar de ces formes aiguës, elle devait dépendre d'une lésion atrophique des cellules ganglion- naires des co
e pas de vaisseaux ail- leurs, même à un fort grossissement. Pas de lésions du côté de la macula ni à la périphérie. OEil
s tard au moment voulu et de pouvoir constater alors le progrès des lésions que j'obser- vais aujourd'hui. C'est pourquoi,
rmer mon diagnostic en constatant l'extension et l'augmentation des lésions , je donne ici cette observation, intéressante s
iqué par M. le Dr Parinaud, a donné les résultats suivants : aucune lésion du fond de l'oeil. La réduction de l'acuité visue
l'absence d'affection broncho-pulmonaire, de la prédominance des lésions sur la face et des déformations peu accusées des
iblissement et une lenteur notable aussi bien dans l'hémiplégie par lésions organiques que dans l'hémiplégie par trouble so
s les impotences de la langue, que ces impotences soient dues à des lésions anatomiques grossières du cerveau ou à des trou
n lumière les troubles nerveux, les phénomènes respiratoires et les lésions pulmonaires chez les fumeurs de narghilé. - M
ps écoulé depuis le début. On peut dire, en thèse générale, que les lésions sont d'autant plus avancées qu'on est plus éloi
continuées, peut donner lieu à des complications cardiaques avec lésions tricuspidiennes. Aussi n'est-il pas rare de voir
sur le reste des sujets, je n'ai pas pu constater l'existence d'une lésion pulmonaire quelconque, sauf du côté du pharynx un
son tour, retentissant sur le centre circulatoire, donne lieu à des lésions ventriculaires, le plus souvent du côté droit.
E LABIO-GLOSSO-LARYNG1 : E ET A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalo
atrophie musculaire, en insistant sur le caractère systématique des lésions . Négligeant à dessein les paralysies musculaires
Sans doute l'ophthalmoplégie externe pourrait être réalisée par une lésion des centres .corticaux régissant les muscles des
xterne devienne admissible, il faut aller plus loin et localiser la lésion dans la partie terminale du nerf. Il estpossibl
ible, ditMoebius, que cesymptôme se produise sous l'influence d'une lésion périphérique frappant les nerfs extérieurs du g
la pression et légère ancsthésio du territoire de la 2° branche. La lésion nucléaire paraît invraisemblable. 1. MoelJius,
ebius concernant la possibilité d'une ophthalmo- plégie externe par lésion périphérique des nerfs moteurs. Cette fois l'ex
s pas oublier qu'il ne s'agit là que d'un fait isolé, tandis que la lésion nucléaire a déjà été rencontrée trente et une foi
bres radiculaires des nerfs de l'oeil, on ne put révéler la moindre lésion appréciable à nos moyens d'investigation. Par c
e losso-pharyngien, quelques branches du trijumeau présentaient des lésions déjà fort appréciables; le phrénique, les inter
l'oeil à la paralysie s'oppose à ce diagnostic ? Evidemment non; la lésion nucléaire peut frapper en même temps la colonne m
ale antérieure subaiguë, qui anatomiquement est représentée par une lésion des cornes antérieures de la substance grise spin
égards à la paralysie bulbaire inférieure. Dans les deux cas il y a lésion isolée et systématique des noyaux moteurs, les
l'existence de la paralysie glosso-labio-laryngée dégagée de toute lésion des faisceaux latéraux, il faut ajouter aujourd
ire au 12 avril. Ni syphilis, ni diphthérie. L'auteur croit à une lésion centrale nucléaire. GEORGES GUIGNON, Chef de
re; /, aspect spécial pris par la corne antérieure à la suite de la lésion du groupe des cellules antéro- externes. Fig.
aine lymphatique et les parois des artères sont épaissies. Cette' lésion capitale des cornes antérieures s'accompagne d'un
à fait particu- lière (PL XXXII, fig. f). D'autre part cette même lésion n'est pas exactement symétrique par rapport aux
nges ne présentent non plus aucune altération. Région dorsale. -Les lésions ont .ici la même distribution, mais elles sont
. Dans toutes les parties altérée*, le système vasculaire offre des lésions très accusées. Certaines artérioles SJllt tout
e de la fibrine. Région lombaire. Bien que très évidente encore, la lésion n'est pas aussi accusée que dans les régions su
ple. Muscles. - Les divers faisceaux d'un même muscle offrent des lésions très inégales. L'altération dominante est la sclé
tomiques sont par contre caractéristiques. Nous avons affaire à une lésion intéressant systématiquement la substance grise
onstatée pendant la vie, et il laquelle la malade a succombé. Celte lésion a entraîné consécutivement la dégénération 198
tre aussi que des névrites dégénératives peuvent coexister avec des lésions profondes des cornes antérieures. III La conn
aire le 3 janvier 1890. Autopsie. - Nous passons sous silence les lésions tuberculeuses des poumons et des autres organes
euses des poumons et des autres organes, pour ne mentionner que les lésions du système nerveux. \ Le cadavre est très éma
cro-carmin, et par la méthode de Weigert. D'une façon générale, les lésions sont assez semblables dans les divers muscles,
trouve leur endothélium tuméfié et proliféré. On observe les mêmes lésions sur les vaisseaux lympathiques. b. Sur des coup
mpathiques. b. Sur des coupes longitudinales, on remarque les mêmes lésions scléreuses : on observe aussi que la plupart de
respiration est facile, régulière, les poumons ne présentent aucune lésion . Le coeur bat normalement, sans souffle. Le malad
abolition des réflexes, une démarche légèrement ataxique, enfin des lésions du pied droit qui rappellent ce que l'on a décr
sthésie. Mais peut-elle trouver une explica- tion légitime dans les lésions du tabes ? Herzen ayant observé, dans un cas de
et la thermo-anesthésie complète appar- tiendrait de préférence aux lésions d'origine centrale. 1. Ziehl, Deutsche merl. n'
otre malade pourraient donc à la rigueur s'expliquer par les seules lésions propres au tabes. Mais il est juste de faire re
econde, comme un effet de la propagation à la substance grise de.la lésion des cordons postérieurs ? C'est là une troisièm
al et de l'abducens ne peut guère s'expliquer autrement que par une lésion de ces deux nerfs au niveau de la partie inféri
veau de la partie inférieure de la protubérance. S'agit-il là d'une lésion nucléaire, por- tant sur les noyaux d'origine ?
'origine et leur point d'émergence. Quelle est la nature de cette lésion protubérantielle dont la présence nous explique
cial et du moteur oculaire externe, du côté droit. ^ i Mais cette lésion est loin d'expliquer tous les phénomènes présenté
rcule situé dans la moitié droite de la protubérance. En effet, les lésions de la protubérance, lors- 1 qu'elles s'accompag
dehors de cette sciatique déformante, le malade ne présente aucune lésion appréciable. Les divers viscères sont normaux. Le
ériode dans les muscles paralysés, en raison directe du degré de la lésion de leur innervation; retour après un certain te
que. Au point de vue des résultats de l'examen microscopique, les lésions observées ont consisté, en ce cas, en des altérat
ce mot : l'histoire clinique, comme la distribution anatomique des lésions plaident également contre cette hypothèse. Il
ns aux membres supé- rieurs, qui offraient, en somme, le maximum de lésions . Ainsi qu'on l'a vu, les troncs nerveux de ce m
très petit nombre de fibres dégénérées, et cela au point que leurs lésions à cet endroit seraient presque contestables. 1.
es-uns de ces rameaux qui se rendent à des fascicules sclérosés. La lésion n'est vraiment très marquée que sur les rameaux
fascicules secondaires fortement altérés eux-mêmes. En somme, les lésions des nerfs sont tout à fait parallèles à celles
bien, comme l'avait pressenti cet observateur, la conséquence d'une lésion des cellules ganglionnaires des cornes antérieure
présentons une intensité exceptionnelle et peu en rapport avec une lésion primitive des nerfs périphériques. Au point d
cas offre des difficultés d'interprétation. il est entendu que les lésions de l'axe spinal ne pouvaient être incriminées.
e suffit, paspour expliquerl'atrophie. On pourrait supposer, que la lésion du tronc nerveux a été intense autrefois, et que
ion générale elle- même n'est pas déterminée. La distribution des lésions qui atteignent leur maximum aux extré- mités se
les trophiques bilatéraux survenus chez des chiens à la suite d'une lésion cérébrale. Quant à l'influence trophique des
émiplégie, avec atrophie musculaire, dans lequel l'absence de toute lésion des nerfs périphériques et de la moelle épinière
supposer que ces cas ressortissent, jusqu'à un certain point, à.une lésion primitive des centres cérébraux, lésion réparée o
u'à un certain point, à.une lésion primitive des centres cérébraux, lésion réparée ou indéterminée au moment de l'examen n
réalité, selon les prévisions de cet auteur, sous la dépendance de lésions des cornes antérieures de la moelle. 2° On obse
a confusion diagnostique, qui ne recon- naissent pas pour cause des lésions appréciables de la moelle épinière. 3° On ne pe
éjà été formulée, mais dans un sens plus restreint, est celle d'une lésion de l'arc neuro-musculaire (cellules cérébrales
c'est la bilatéralité, la symétrie et la localisation parfaite des lésions . - La planche XLII et la figure 741 nous dispen
des deux pieds est une preuve objective de l'inégale ancienneté des lésions (cir- conférence des pieds, à droite 38 centimè
considère que la configuration extérieure et l'unilaléralilé de la lésion . Outre ces caractères matériels, nous avons men
YSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGME ET A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalo
'abducens et du trochléaire. Le fait est inté- ressant en ce que la lésion paraît localisée et éteinte depuis longtemps. »
orsqu'on leur enlève l'orbiculaire des paupières, il en résulte des lésions non du noyau du facial au bulbe, non plus que de
osse qui ne puisse être paralysé, car c'est vraisemblablement à une lésion nucléaire qu'il convient d'attri- buer la dévia
culaire externe et du pathé- tique avec glycosurie et polyurie : la lésion peut donc frapper la colonne motrice bulbo-prot
terne commençait à s'éclaircir, et j'étais autorisé à penser que la lésion initiale siégeait à l'origine même du moteur-oc
aralysie rhumatismale ou a frigore sans songer à la rattacher à une lésion centrale. La marche de la maladie nous aurait p
ns- tate une paralysie complète du moteur externe gauche sans autre lésion oculaire; grande excitation, insomnie, terreurs
ence de la polyurie et l'oplthalmoplégie permettent de localiser la lésion traumatique au plancher du 1° ventricule. Au bout
s du 3e ventricule et détruit les centres photo-moteur et irien. La lésion de ces centres se traduit par la parésie ou la pa
mmence par la mydriase et la paralysie de l'accommodation. Puis, la lésion saute des centres photo-moteur et irien du côté
ger à une paralysie péri- phérique d'origine intra-cranienne, à une lésion de la base du crâne. On ne peut admettre que le
malade, est un symptôme caractéristique quoique non constant d'une lésion de la région nu- cléaire. L'observation de Li
c de l'ophlhalmoplégie nucléaire doit être formulé. A mesure que la lésion descend et gagne les noyaux bulbaires le péril
isse voir qu'une congestion légère des enveloppes ménin- gées, sans lésion des centres nerveux : cerveau, bulbe, moelle épin
L'accommodation demeura normale. Dresgen rapporte la maladie à une lésion des noyaux bulbaires et rapproche son observati
obertson. Réac- tion lente à la lumière. Réflexes conservés. Aucune lésion du fond de l'oeil. Les fonctions visuelles, sau
tion de MM. Charcot, Peter, Troisier et Mou- tard-Martin. Outre les lésions oculaires sur lesquelles nous reviendrons plus
z Pas de modification du champ visuel ni de dyschromatopsie. Pas de lésion du fond de l'oeil. Au mois de mai 1890 : les
strique. Laissant donc pour l'instant le noyau de la 10e paire,, la lésion monte les échelons de la colonne motrice, saute
x cas de paralysie progressive de tous les nerfs crâniens les mêmes lésions de dégénérescence inflammatoire dans les noyaux m
e supérieur et des cellules des cornes antérieures de la moelle. La lésion de la colonne motrice est en effet la seule qui
nature intime de ce processus si nous n'avions pour nous guider les lésions trouvées dans la paralysie spinale antérieure c
n avant par quelques auteurs, mais est-elle capable de produire une lésion aussi nettement systé- matisée ? En supposant m
ont nous extrayons ces planches est destiné à faciliter l'étude des lésions de la moelle épinière. La distribution topographi
resque tout le cordon latéral gauche est envahi également, mais les lésions y sont moins accentuées : elles existent, plus fa
ce fondamentale des cordons antéro- latéraux sont respectées par la lésion , qui présente de plus cette parti- cularité rem
planches suivantes (XLVIII, XLIX, L), qui montrent les degrés de la lésion , énorme dans la première, à peine accusée dans la
é- rose latérale descendante s'y remarque également. Il s'agit de lésions de myélite diffuse dans la planche LI : la pièce
érose que nous représentons est figurée à un fort grossissement. La lésion inflammatoire estsurtout remarquable par les al
81 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
la lenteur et la traîtrise du retentissement qui résulte de leur lésion . Pour se faire une juste idée des fibres d'asso
ceux que nous avons rencontrés jusqu'ici, et matériel- lement, les lésions du centre médullaire adjacentes au bord externe
e rechercher ce que deviennent, dans les observations relatives aux lésions situées sur la région que nous venons de décrir
même. Pour cette dernière partie, il est bon de constater que les lésions de la substance grise qui tapisse le fond des s
dons-leur quelles sont les manifestations qui surviennent quand une lésion siège : 1° Sur le trajet du bord externe du ven
; 4° Quand l'intégrité de la troisième frontale coïncide avec une lésion de l'insula. A. Hémisphère gauche. Je me serv
Thé- rapie médicale de Gintrac'. 1 D Pitres.-Recleerches sur les lésions du centre ovale des hémisphères cérébraux étudi
es. Paris, 1877. 2 Clozel de Boyer. Etudes topographiques sur les lésions corticales des hémisphères du cerveau. Thèse po
is, Germer-Baillière, 1868. DES IRRADIATIONS CAPSULAIRES. il 1 1° Lésions situées sur le trajet du bord externe du ventri-
le trajet du bord externe du ventri- cule latéral. Ces sortes de lésions peuvent être directes ou indi- rectes, suivant
e perte absolue de la parole,' une aphasie permanente. En fait de lésions directes, je ne trouve qu'une ob- servation, el
servation I (résumé). Hémiplégie incomplète. Aphasie persistante. - Lésions du centre ovale '. Négociant, soixante-dix-neuf
s gouttes d'une sérosité un peu trouble. Dans cette observation, la lésion occupe sans doute plus que les faisceaux capsul
ier la valeur physiologique; j'aurai oc- casion d'en reparler. 2° Lésions situées loin du bord externe du ventricule laté
Gintrac, je place une observation de M. Dieulafoy, dans laquelle la lésion , au lieu d'être adjacente au noyau caudé, siége
ieulafoy). (Obs. XXVIII de la thèse de M. Pitres (résumé). Aphasie. Lésion de la substance ' blanche avoisinant la troisiè
le rapport de la DES IRRADIATIONS CAPSULAIRES. <3 nature de la lésion , le fait de M. Dieulafoy en diffère sous le rap
parler le langage de M. Pitres, dans l'observation de Gintrac, la lésion siégeait sur le sommet du faisceau de la troisi
en droit d'affirmer que, dans l'observation deM. Dieu- lafoy, la lésion portant sur une partie passive à côté d'une par
res extra-nucléaires ont pu être atteintes, soit par extension delà lésion principale, soit par coïncidence; qu'il y ait p
ce de la troisième frontale est restée tout à fait étrangère à la lésion . Dans celui de Boinet, les méninges étaient épa
tance du tissu médullaire était légèrement diminuée. Entre ces deux lésions , épaisseur considérable du tissu sain. Ce fait,
xistait une épaisseur considérable de tissu sain entre cette légère lésion et le grand foyer de destruction. Ce dernier fo
orts vers les phénomènes pathologiques qui pouvaient provenir des lésions de la substance médullaire, a essayé d'en déter
llaire, a essayé d'en déterminer la topographie [Recherches sur les lésions du centre ovale, Pitres, 1877); mais je l'ai dé
existait une épaisseur considérable de tissu sain entre les deux lésions , et se croit eu droit de n'accorder qu'unesimple
sions, et se croit eu droit de n'accorder qu'unesimple mention à la lésion légère. On voudra bien nous permettre, sans man
s ? Cinq milli- mètres. Par conséquent, pris à part, dégagé de la lésion légère, l'ancien foyer hémorrhagique devait DES
ulafoy et comme nous le constaterons de nouveau à propos d'autres lésions du même genre. Cependant, au lieu d'uneextempor
Lelong. Ce caractère trouve sa raison d'être, à notre avis, dans la lésion dite légère signalée par Broca. Cette condition
l'aphasie et que celle-ci était véritablementla consé- quence de la lésion légère située sur le bord externe du noyau caud
audé. Les cliniciens conviennent, d'ailleurs, que la nature de la lésion qui produit l'aphasie est presque toujours le r
lectuelle, il travailla ré- gulièrement et ne présenta plus que des lésions isolées de l'intellect. Ce dernier état se ma
tions pariétales contiguës. L'auteur rattache l'état de l'ouïe à la lésion du lobe pariétal; malheureusement il existait en
résence des corps étrangers; il est regret- table seulement que les lésions ne soient pas indiquées avec plus de détails. -
r conséquent, l'auteur considère cette atlection dépen- dante d'une lésion centrale et bien circonscrite. 11 la localise dan
riques, c'est à une lé- sion voisine de celle-ci, c'est-à-dire aune lésion bulbaire qu'il fau- drait rapporter les arthrop
rolongée dans la syphilis cérébrale, il rattache ce phénomène à des lésions arté- rielles et insiste sur l'influence du tra
s, etc. Plusieurs autopsies faites chez des idiots ,et montrant des lésions cérébrales et méningées plus ou moins étendues
Un ca d'arthropathies chez un ataxique. Les auteurs considèrent les lésions articulaires comme de nature rhumatismale, vu l
aques demt : M ! </6-s)tc- 1 halite corticale et non point à des lésions du centre ovale, et des corps opto-strie·. comm
sement énorme qui va parfois jusqu'à l'oblitération complète. Les lésions cérébrales de la méningite tuberculeuse sont de
processus est bien inflammatoire et non nécrobiotique parce que les lésions consistent dans une tuméfaction des cellules de
cérébral récent et un ramollissement ancien; dans ces deux cas, les lésions observées diffèrent complètement de celles qui
e tableau de I'épilepsie partielle (épilepsie jacksonnienne, ou par lésion céré- brale). Cette notion résulte de plusieurs
mal, analogue à celui qu'on observe chez les individus atteints de lésion cérébrale 1 P. nicher. - Eludes cliniques sur l
epsie partielle hystérique) présente avec l'épilepsie partielle par lésion cérébrale, il existe des signes qui permettent
te épilepsie partielle de celle qu'on voit se produire au cours des lésions du cerveau, l'absence de toute élévation de la
qui se rapporte, on va le voir, à un cas d'épilepsie partielle par lésion cérébrale. Ce signe négatif, c'est l'absence de
; «-ne ! «>i(< us ) 1fnmoi6)fuoi.hBt} L'autopsie a révélé des lésions intéressantës`>dû'cêiveâtirdônt on trouvera
tcecile'particulier; quelaplla- ësie''arex'isté' en dehors de`toute lésion ,nôu seulement de - l'écorce^deila 1 troisième !
t r J . L't' ... 2LJ .L7L proposons. En précisant le siège de la lésion nous trouvons qu'il occupe une plus grande éten
capsule interne', d'où l'insensibilité constatée; d'autre part, la lésion interceptant "un1 plus'1 grand nombre de faisce
partie inférieure de la frontale ascen- dante était en dehors de la lésion . Cependant, la raison d'être de l'aphasie pourr
ons-nous dit, bien qu'à l'ceil nu rien ne fit prévoir une semblable lésion (OBS. V). Nous n'avons pas trouvé un seul fait
l "" f'd ! - ,< ? " . , nr . Intégrité de la troisième frontale, lésion du faisceau pédiculo- frontal inférieur, du noy
vant notre théorie. En effet, dans l'observation de M. Déjerine, la lésion n'embrasse ni le noyau caudé, ni les irradiatio
rieur du côté gauche donne lieu à l'aphasie; mais bien que seule la lésion du sommet de cefaisceauoutroucproduitl'aphasiep
met de cefaisceauoutroucproduitl'aphasiepermanente; tandis que la lésion du reste de ce tronc n'amène que l'a- phasie tr
des cas dans lesquels 4° La perte de la parole coïncide avec une lésion de l'in- sula et l'intégrité de la troisième fr
l'intégrité de la troisième frontale. ' .H* i i sa L'aphasie par lésion insulaire n'est- pas commune ! - M. Clozel de B
s par lui, il ressort pour nous ces caractères : 1° Que souvent les lésions insulaires s'accompagnent d'un trouble du langa
cevoir une réponse satisfaisante.. Par exemple, pourquoi dans les lésions insulaires,,observe;t-on,souvent un trouble du
lacée qu'à la partie anté- rieure de l'insula pour troubler par ses lésions les usages de la substance médullaire confinée
ur produire, quand elle est lésée, des phénomènes de voisinage. Une lésion localisée, soit au fond de la partie supérieure
ccompagnera que de l'un de ces phénomènes. -Mais supposons que la lésion , au lieu de siéger dans le premier district, co
'aphasie que celles des mêmes par- ttjCsjiu z Enfin, trois faits de lésions locali- ses dans ]'insula.idr1oit, , publiés to
3rr> ? pa»i Itptli ! lr " ` . auto at lememliè.,^ Jifil nu ? 1 ? Lésions silcy'ée, s ? tr le .bord externe du ventricule l
Z1 Cette remarquable etexceptionneiïe observatidn'con- tient deux lésions pathologiques, aux quel 1 es"r'c"o'i'rês ponden
ire^ressortir quefl'inté- rêt qui se rattache à la première dece7eg lésions . ""lA'-ma connaissance, c'est un fait unique da
yenne, l'autre à-la,cérébrale antérieure.- iir.1 , - 89 f .2° Lésions situées loin du bord externe du ventricule îo")
ns les faits de Dieulafoy et de Hughlings-Jackson, ' le siège de la lésion est le même. Dans l'un comme -dans l'autre, ell
orticale de la troisième frontale. Mais dans celui de Dieulafoy, la lésion s'est produite subitement (hé- morrhagie), d'où
Irn-11 ? . /-t, f , . fir,,t,Dansle1faitiderrHughlings-Jackson, la' lésion s est ')')ULt,jj, Jit.ih.tttfL attt ? j ? )Vi01
ssants, dans la Revue de Médecine, 10 juillet 1882, sous ce titre : Lésions localisées à l'insula. En voici le résumé ' :
le but de luire mieux saisir 1 importance Lle l'éteil(ille (le la, lésion par rappûrtf auc`'téôilblés·pliàsi<tués; j'ar'
nt doublement précieuses pour,/ nous, parce qu'elles présentent des lésions absolument); localisées à l'insula droit, et qu
dans le premier. Pourquoi Simplement, ce,nous semble, parce que la lésion était moins étendue dansA ce cas que dans les d
ourt avec,'ellesqb - trn - cfét 1 par la petitesse relative de sa lésion , à'déiiioii e à" 1 . , ? < ? i- avdurtl pr
tra-nucléaires. Nul doutè'qù'è,s'i ? â,alls,q chacun de ces cas, la lésion eût été plus profonde; cee simple trouble de la
s'ciëïîce ! qu'il en emploie d'impropres ? 1 Ceci correspond à'des' lésions de's''circonvolutions frontales; et. en i effet
lle qui étaient parsemées d'îlots plus ou moins rapprochés de cette lésion ; 3" que les îlots étaient aussi nottementvisibl
tionsTutan'écYèir'le's 'troubles digestifs G° ^'l'autopsie', les*1 lésions rles' plus remarquables-' étaient1 le' ramollis
? rualades,qsaps poti ? malpl'ôprelt3lessur duéuir,,çlfc;'clu (avec lésion osseuse ? ) il y a sept ans. Début de la maladie,
dégénérescence périphérique qui, dans les cas de longue durée de la lésion , se produit à une place déterminée, car les seg
e la relation pathogénétique entre les altérations de Monakow et la lésion des tractus sensibles. ' . ! - Séance du 21 s
étendu que les troubles vaso-moteurs et trophiques émanaient, de la lésion du faisceau solitaire. Ce faisceau, 'pour le pr
te la parole sur un cas de tabès avec symptômes encéphaliques d'une lésion en foyer. Un homme de cin- quante et un ans. ma
rès vasculaire et très injecté, est, de même que le fond même de la lésion , infiltré de cellules granuleuses : ces altératio
nte qu'elle affecte en Hspagne provoque fréquemment l'apparition de lésions tubercu- leuses ou scrofuleuses et surtout de l
ium est le meilleur médicament. La méningite tuberculeuse quand ses lésions sont surtout loca- - Usées en un point peut ser
. fixes; ses localisations cérébiales sont analogues à celles des lésions organiques. P. M. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Des r
S'agissait-il d'une simple hystérique ou d'une épilep- tique par lésion cérébrale ? Le tableau symptomatique autorisait
communément à la suite des attaques d'épilepsie partielle due à une lésion cérébrale. Si Ang... ne peut mouvoir son bras q
térique qu'elle fût, elle pouvait être simultanément atteinte d'une lésion du cer- veau, et de fait, ses attaques, comme o
çonner ni la syphilis, ni l'alcoolisme, ni le saturnisme, ni une lésion corticale du cerveau, et encore moins l'épilepsie
e l'épi- lepsie partielle (épilepsie jacksonnienne, épilepsie par lésion cérébrale) ; . 4° La fausse épilepsie partielle
as de tubercules. Sur le poumon droit (430 gr.) on trouve les mêmes lésions , mais moins Ancuivrs, t. VIII. 29 306 RECUEIL
ins que le gauche qui est un peu plus ferme. On n'y constate aucune lésion micros- copique.=La protubérance et le bulbe (c
sente trois branches bifurquées. Toutes les parties occupées par la lésion sont en retrait sur les parties saines environn
iltrée (pseudo-kyste). ' ! rois coupes verticales pratiquées sur la lésion montrent que le U08 ftLCU131L Lli i· ? ul's.
nt un peu moins volumineux que ceux du côté sain. Au niveau de la lésion , la pie-mère, comme nous l'avons dit plus haut,
se con- tracturèrent. III. C'est quatre ans après le début de la lésion initiale qu'apparaît l'épilepsie d'abord sous l
ordinaire, entre autres l'élé- vation de la température. IV. Les lésions cérébrales trouvées à l'autopsie n'intéressent
e pariétal inférieur, et 5° la moitié antérieure du pli courbe. Ces lésions expliquent parfaitement les phénomènes éprouvés
ÉBRALES. 3H l'autopsie nous a montré que, au niveau de sa zone, les lésions étaient beaucoup moins prononcées et même nulle
ure de la frontale et de la pariétale ascendantes. Relativement aux lésions de l'extrémité postérieure de la deuxième circo
xions. Les détails consignés dans l'observation, la description des lésions notées à l'autopsie et que représentent fidèlem
centres sont contigus, mais ils ne se confondent pas, car certaines lésions limitées du dépar- tement en question se sont t
fluence des plus délétères sur le développe- ment de cette zone. La lésion porte spécialement sur les cellules pyramidales
i- jumeau antérieur, sans toucher à aucun de ces deux organes (la lésion inévitable d'une partie de la commissure moyenne
écissement du champ visuel dans les deux yeux ; du côté opposé à la lésion , rétrécissement dont les allures ont été identiqu
postérieur de cet organe engendre une hémiopie homonyme qui, si la lésion n'est que faible, porte sur un seul oeil. Concl
déri- vent, non de la destruction de la couche optique, mais de la lésion simultanée de la substance grise centrale adjac
moelle sont dures et élastiques. Le microscope montre qu'à côté des lésions de la démence paralytique le cerveau est le siè
Ol.oGll : \EIL\'13USE. 331 (Obs. V) met en lumière le même ordre de lésions , mais celles-ci dérivent d'unetumeurpériméningé
ues entre le tabes et la dégénérescence secondaire qui succède à la lésion de la queue du cheval. Si l'on considérait les
ni dans la moelle allongée, ni dans le pédoncule cérébral et que la lésion des cornes antérieures est la plus âgée. Le plus,
entissement de la conductibilité DES impressions SENSIBLES DANS LES LÉSIONS DES NERFS PÉRIPHÉRIQUES; par Ÿ. I : IlI7. - B.
e progressif, mais ne donnant aucune indication sur la nature de la lésion . La terminaison apoplectiforme faisait penser à
. La capsule interne cou- tient donc les fibres centrifuges dont la lésion entraîne la dégéné- rescence secondaire, et les
l a actuellement neuf faits de démence paralytique présentant cette lésion , qui se décomposenten quatre femmes, cinq homme
étal infé- rieur, du lobe occipital. L'extension et l'intensité des lésions si- gnalées ne sont pas en rapport avec la lept
décomposition par exemple). Pour admettre que cette atrophie est la lésion primitive Voy. drcltives de Neurologie, t. VII,
les moteurs précoces des paralytiques généraux en relation avec des lésions d'un autre ordre en ces organes).-Le dernier mé
ltérations. Cette extension de l'atrophie indique dans l'espèce une lésion centrale portant sur certains centres trophique
des ganglions spi- naux du grand sympathique que l'on constate les lésions les plus accentuées du même genre. Partout les
. penche pour cette dernière opinion, par deux raisons : ln cette lésion n'a que très rarement fait défaut dans les cervea
e Ceylan; 3" personne ne s'est risqué à établir un lien entre cette lésion et des phéno- mènes observés sur le vivant. Tou
été plongés dans l'alcool furent examinés ; tous deux offraient les lésions de la sclérose. En résumé, dans les cas où l'al
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 3,51 i XXXVIII. Paralysie générale par lésion DU crâne; par .IullItS IICKLE. (Jourlral of men
, p. 544.) L'auteur constate que, dans les cas qu'il a observés, la lésion crânienne lui a paru jouer plussouvent le rôle
on soit trompé parles apparences; on ne sait jamais en effet si la lésion n'a pas laissé après elle une altération perman
ie générale a fait son apparition plus ou moins longtemps après une lésion crânienne ; dans l'une, le traumatisme du crâne
ier cas, on avait assigné comme cause à la paralysie géné- rale une lésion de l'épine dorsale; mais il parait démontré qu'il
ar Van der Kolk, par Taylor et par d'autres obser- vateurs, que les lésions que l'on rencontre habituellement en pareil cas
, adhérent à l'arachnoïde pariétale; selon toute probabilité, cette lésion a été la cause immédiate de la mort. Cerveau
as pénétré profondément. L'examen histologique montre nettement les lésions de la sclé- rose, surtout sur les coupes qui co
ralytique, qu'il a lui-même publiée, et dans laquelle on voyait des lésions microscopiques semblables, mais moins avancées,
ltiloculaire de la moelle spinale et de la moelle allongée ou à une lésion cérébelleuse avec dégénérescence secondaire des
trent, d'après M. Schultze, que l'affection est constituée par 'une lésion systématique de certains tractus et, en tout ca
opliie musculaire. Faut-il donc imputer la myosite ossifiante à une lésion des cornes antérieures de la moelle ou plutôt,
s troubles manifestes des mouvements ou de la vue, alors qu'ici une lésion profonde jusqu'à l'irradiation de la substance
it, ce sont les couches corticales gauches qui devraient réceler la lésion pathogénétique. Les con- vulsions de la face et
le centre mo- teur des deux extrémités, et le centre de la vue. La lésion dé- riverait de l'appareil circulatoire (apople
u moins passagèrement, cette faculté. C'est dire que le degré de la lésion est moindre que pour l'alexie et qu'elle n'a pas
l'ischémie opiniâtre et répétée des glomérules finit par amener une lésion persistante de la membrane du glomérule et par
rocède à sa communication annoncée : Contribution au diagnostic des lésions prolubérantielles. Ce mémoire sera publié in ex
ux de la base sont scléreux, surtout les artères sylviennes. Pas de lésions dans les hémisphères, ni dans les ventricules.
sentent aucune ano- malie. Dans la moelle épinière on rencontre les lésions de l'ataxie locomotrice; leur origine et, dans
y a une contradiction topographique ; comment, en effet, relier les lésions de l'écorce c'est-à-dire de l'écorce du lobe occi
de 81 pages. New- York, 1880. Putnam's sons. Starr (A.). Cortical lésions of the Bt'a«i. A collection a7ad una- 1 sis of
étéronyme latérale, 343. Hémiathétose aiguë du côté gauche sans lésion en foyer, 82. Hyoscyamine (action de l') par
age, 214 ; (anatomie patho- logique de la), par Mendel, 234, (par lésion du crâne), 351; (troubles trophiques dans la),
les (ralentissement de la con- ductibilitédesimpressions-dans les lésions des nerfs périphéri- ques), par Erb et Westphal
'hémisphère malade et de se rendre compte du retentisse- ment de la lésion sur les circonvolutions non lésées. 112 EXPLICA
endre compte par comparaison des mo- difications déterminées par la lésion sur les circonvolutions non atteintes. Les lobu
82 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
au qui, ayant examiné le malade le 4 1 juin 1883, a noté : « Pas de lésions oculaires. » Observation XXI. Accident provoqué
dans son intéressant travail à accepter à tort la pos- sibilité de lésions systématiques survenant par l'em- ploi des scap
aphandres; c'est ce qui est indiqué par son passage suivant : « Les lésions peuvent être plus sys- tématisées encore dans l
ssie, du rectum et des organes génitaux, démontre évidemment que la lésion consécutive aux embolies et à l'infiltration ga
gions postérieures de la partie dorso- lombaire de la moelle. Cette lésion doit être certaine- 60 CLINIQUE NERVEUSE. men
iques. Nous n'avons jamais observé les symptômes qui dérivent de la lésion des cornes antérieures, à savoir : l'absence de
alade de l'O.BsrRYATION XXVII sont des symptômes indépendants de la lésion et dus à l'intoxication alcoo- lique. Avec un
Analyse. Il n'est pas difficile de reconnaître que le siège de la lésion initiale du cas que nous venons de décrire long
nguement est extra-spinal, extra-myéli- tique. C'est le siège de la lésion aux méninges de la région cervicale de la moell
les engourdissements de ce membre. Dans l'espace de deux jours, la lésion méningée, en raison de son extension à la moell
la formation d'un foyer de myélite transverse, consécutivement à la lésion mé- ningée. Quant aux symptômes spastiques, e
ransverse qui, elle aussi, nous le répétons, est consécutive à la lésion méningée. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS UN CAS
te affection, on le sait, produit toujours, même chez l'adulte, une lésion par défaut des fonctions psychi- ques. Comme no
arfaitement constituée, qu'elle a ses symptômes particuliers et une lésion anatomique constante. ' REVUE CRITIQUE GRAN
'ANAtOMtE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 111 i neuf ans. Sorte de lésion systématique combinée, caractérisée par la dégé
e Clarke. Mais l'hémiplégie unique du malade, la locali- sation des lésions des cordons postérieurs à la moitié supérieure
ur forme au sein des cordons postérieurs , l'absence d'ataxie et de lésions transversales permettent d'éliminer l'idée de t
re bien précis. P. IEIt 1\' : 1L. VII. Contribution A l'étude DES lésions DE L\ zone motrice DU cerveau; par 1V. Koe.nig.
impossible d'assigner à l'aberration mentale une autie cause que la lésion cardiaque ou le trouble général de l'appa eil c
rculatoire : dans les cas de cet ordre, il n'est pas douteux que la lésion cardiaque joue le rôle d'une cause prédisposant
ntérieure à l'ad- mission du malade, on peut préciser l'origine des lésions consta- tées. ' R. M. C. SOCIÉTÉS SAVANTES
anie reconnaîtrait comme cause, selon M. Voisin, diverses sortes de lésions , de la connexité des hémisphères cérébraux ; on
émisphères cérébraux ; on trouverait de même dans la mélancolie des lésions de la base microscopiduement différentes. 1 18
but et ensuite, parce que beaucoup de psychoses n'évoluent pas. Les lésions ana- tomiques que M. A. Voisin parait considére
davantage entrer en ligne de compte, parce que le plus souvent ces lésions n'existenl pas. La cause des maladies men- tale
ses affections mentales, dus en grande partie à la connaissance des lésions cérébrales pour une partie d'entre elles : Le s
conds. Le D'' J. Wiglesworth considère la monomanie comme due à une lésion des plexus cérébraux chargés du contrôle et de
des plexus cérébraux chargés du contrôle et de la coordination. Ces lésions débute- raient par les régions inférieures de l
neraient fréquemment l'ataxie locomotrice lorsque se produisent les lésions des centres optiques. Le D'' Conolly Norman adm
allucinations; pour lui c'est une alloclioti des dégénéré', dont la lésion réside dans des malformations des circonvolutions
ation, comme on l'avait si- gnalé précédemment, saut dans le cas de lésions des os du nez. La paratdéhyde, la quinine, et l
ur un hémisphère avec atro- phie des membres du côté opposé ; cette lésion aurait pour l'au- teur comme cause primitive, u
tion fébrile, septique aiguë, chronique, etc.), ou bien, soit à une lésion cérébrale organique, soit à un trouble fonc- ti
lyse chacun des syndromes dans ses rela- tions avec les différentes lésions , localisées en tels ou tels points de tels ou t
altérations, ainsi que les troubles fonctionnels déterminés par la lésion des divers nerfs. Il a de cette façon très heur
t de surdité verbale, consultant un auriste qui, ne trouvant aucune lésion de l'appareil ' Giraudeau. Note sur un cas de s
nce n'est pas capable de parler très nettement du siège exact de la lésion dans ces affections, et nous devons nous conten
localisations des centres sensoriels. Dans la surdité verbale, la lésion est généralement supposée dans la première et p
r l'évidence cli- iiico-patholo-ique'. Dans la cécité verbale, la lésion est localisée par la majorité des observateurs
par les différents observateurs; et la loca- lisation exacte de la lésion produisant la cécité ver- bale est encore à éta
ement des troubles de la substance grise, en rapport direct avec la lésion actuelle, ce qui était iné- vitable. Dans ses d
pie plus ou moins durable dans les deux yeux, du côté opposé à la lésion , -à cause de la paralysie des deux rétines du c
à cause de la paralysie des deux rétines du côté correspondant à la lésion . Cette condition de l'hémiopie, d'abord indiqué
bord indiquée par Munk, a été, par er- reur, attribuée par lui à la lésion du lobe occipital seul, ce qui est dû à l'imper
evait les deux lobes occipitaux, sans déterminer de symp- tôme de lésion de la perception visuelle, étaient dus à ce que
malade de son service, chez lequel, après la mort, il trouva une lésion des deux lobes occipitaux 2. Dans le même ar- t
1888, p. 132. 22'l Il PATHOLOGIE NERVEUSE. topsie on trouvait des lésions profondes des deux lobes occipitaux, où un cert
que dans l'hémianopsie de cause cérébrale, d'origine corticale, la lésion occupe à peu près la même région que celle qui
iologistes sont arrivés, laissent la question de localisation de la lésion de l'aphasie sen- sorielle encore indécise. En
n des altérations pathologiques dans la démence sénile. Beaucoup de lésions pathologiques peuvent être considérées comme de
rvelet, les cellules de Purhinje seules sont atteintes, quoique les lésions artérielles soient aussi avancées que dans les
ance sont aussi'le siège de la même dégénérescence. En général, les lésions atrophiques de la moelle épinière sont moins av
L'intensité de ce processus dégénératif est en raison directe de lésions vasculaires. -Systématisation des éléments anat
perse dans la substance grise du corps dentelé. Systématisation des lésions pathologiques et expérimentales. Comme exemple
réflexe dans les expériences faites jusqu'à présent, est due à une lésion de la commissure posté- rieure. . Maladies à
s'appuyant sur d'autres cas analogues, il a émis l'hypothèse d'une lésion passagère de la partie supérieure du plancher du
sagère de la partie supérieure du plancher du quatrième ventricule, lésion s'étendant à l'aqueduc de Sylvius et comparable
la conduction du sens mus- culaire, comme semblent le démontrer les lésions du tabes. Or, la conservation du sens musculair
s maintenant les travaux qui se rapportent à la systématisation des lésions pathologiques ou expérimen- tales et des troubl
ues ou expérimen- tales et des troubles fonctionnels causés par ces lésions . Voies conductrices de la sensibilité et du mou
idents au moment de sa production, parce qu'à cette époque déjà les lésions de la myélite avaient altéré la moelle à ce niv
éroses multiloculaires, affections combinées des cordons); dans les lésions hémilatérales de la moelle (mouvement associé u
va- niques minuscules (une observation), même dans ces maladies à lésions . P. K. IV. Contribution a la question de l'acou
ielle de la sensibilité (gliome central de la moelle cervicale ? ). Lésion de la zone radiculaire des nerfs cervicaux gauc
els. Dans l'observation IV, il s'y ajouta, en sus, des symptômes de lésion .cérébrale. Diagnostic, confirmé par l'autopsie
'oasis de cellules dégé- nérant dans leur totalité à la suite d'une lésion de l'écorce; B, un système d'association relian
gite plus ou moins circonscrite de la fosse moyenne du crâne), avec lésion , diffuse du lobe frontal ou de ses enveloppes,
des troncs radiculaires des nerfs moteurs des yeux. Aucune autre lésion organique à l'appui de la syphilis. Issue rapidem
s cellules de l'oculomoteur commun qui commandent au droit interne ( lésions siégeant entre les tuber- cules quadrijumeaux e
hal fut le seul symp- tôme névropathique observé pendant la vie. La lésion fut consti- tuée : dans la moelle dorsale, par
à cette occasion passer sous les yeux de la Société le dessin d'une lésion du lobule paracentral qu'il a observée chez une f
vée chez une femme; atteinte de folie à double forme. C'est à celte lésion .qu'étaient 96 6 SOCIÉTÉS SAVANTES. dues les
rdons postérieurs et les parties postérieures des cordons latéraux ( lésion symétrique bilatérale associée). Géné- ralement
aux radiculaires dans les cordons postérieurs sont épargnées, ou la lésion n'y est que faible. L'étude microscopique parai
stance grise est normale (pré- paration à l'appui). Analogie de ces lésions avec celles de t'ergo- tisme, du lalhyrisme, de
il arrive à récupérer le nom qui leur convient. D'après l'étude des lésions , on est en droit d'admettre une altération inte
ques bilatérales. On attribue d'ordinaire la cécité psychique à des lésions de l'écorce occipitale; mais, à côté de la pert
ais, à côté de la perte des images commémoratives optiques due à la lésion de l'écorce du lobe occipital, il faut aussi fa
es, il est vrai fort intéressants : 1° l'hérédité, 20 les signes et lésions de l'alcoo- lisme aigu et chronique. Quelques p
opinions ont été dès l'origine fort différentes sur les suites des lésions après sections partielles de la moelle épinière.
ubles du début, il reste une paralysie du membre correspondant à la lésion , paralysie qui se dissipe ensuite progressiveme
hénomènes de déficit des phénomènes collatéraux ou d'arrêt, dus aux lésions destructives de l'écorce céré- brale, soit expé
u. Car si la méthode d'excitation expérimentale de l'écorce, si les lésions irritatives du cerveau réalisées par les maladi
mènes ne lui paraît pas toujours avoir été exact. Dans les cas de lésions corticales unilatérales, ou même de lésions bil
exact. Dans les cas de lésions corticales unilatérales, ou même de lésions bilatérales peu étendues, les phénomènes paraly
tifs collatéraux ou d'arrêt, de nature transitoire. Dans les cas de lésions étendues bilatérales du cerveau, il existe, il
observe, en quelque temps et en quelque cas que ce soit, après une lésion déterminée du cerveau. » (Ve Mém., 1884.) Lucia
SIOLOGIE. comme des exceptions à la loi; il faut supposer que les lésions déterminant ces phénomènes divergents n'ont pas
rveau doivent être constants, tandis que les effets collatéraux des lésions sont variables, on possède un critérium pour di
manifestent, comme les phénomènes de déficit, du côté opposé à la lésion . L'extirpation de la zone céré- brale symétriqu
les phénomènes de déficit au maximum de la vue ou de l'audition par lésion corticale, sont plus ou moins accusés, selon le
clinique. Les mêmes lois doivent diriger le savant dans l'étude des lésions plus ou moins circonscrites ou diffuses du cerv
e. Voyons comment Seppilli juge applicables aux cas cliniques des lésions localisées du cerveau humain les règles posées
mple du mouvement volontaire d'un membre, il réunit tous les cas de lésions cérébrales dans lesquels la motilité de ce memb
urée intacte. Puis il reporte sur un schéma du cerveau toutes les lésions révélées dans ces cas par l'autopsie. Ce qui re
ubdivise en trois ce critérium, selon qu'il s'agit des effets des lésions cérébrales homonymes , non homonymes, suc- cess
les, asymétriques ou symétri- ques, le dernier caractère, celui des lésions successives, n'ayant guère d'application en cli
cherché estaltérée, puis il reporte et superpose surunschéma les lésions révélées par l'autopsie, de manière à faire res
t, en se fondant surtout sur l'étude des monoplégies pures et des lésions qui les déterminent, que les centres fonctionne
des troubles de la motilité du membre supérieur du côté opposé à la lésion . On peut, si l'on est dili- gent, rassembler un
quer, on devrait laisser reposer l'an- cienne. » III. Critère des lésions minima avec phénomènes de déficit au maximm. Th
bre possible d'observations régulières, le siège et l'extension des lésions minima, qui ont produit la paralysie permanente
er à des cas cliniques comparables entre eux à tous égards ; 2° les lésions rencontrées doivent occuper la même région de
les au moins en partie, pour pouvoir déterminer le territoire de la lésion minima, commun à tous les cas particuliers et r
e qu'ils ne répon- draient pas à tout ce que postule le critère des lésions minima avec phénomènes de déficit au maximum.
ne physiologique des centres moteurs de l'écorce sur le critère des lésions minima soulèverait les mêmes objections que le
des phénomènes sub- jectifs qui accompagnent, chez les animaux, les lésions de l'écorce cérébrale. En outre, les maladies d
Certains troubles de la vision que Goltz avait considérés comme des lésions du sens des couleurs et du sens de l'espace, on
omène, d'un phénomène qui est surtout si connu spécialement par les lésions nerveuses qui l'accompagnent, il est difficile
re cas, n'est pas une preuve par- lante contre la possibilité d'une lésion des faisceaux postérieurs, et que même, au cont
me se manifestent en géné- ral dans le système nerveux soit par une lésion des nerfs périphériques, soit, sinon aussi fréq
s plus souvent qu'on ne le croit en général, ou bien encore par une lésion des faisceaux postérieurs, de la moelle épinièr
s heures, mais des mois et des années; nous avons là des véritables lésions cérébrales, qui coexistent avec celles de la mo
sa régression, etc., ne laissent aucun doute sur la nature de cette lésion fort rare. COMPLEXITÉ DES ACCIDENTS SURVENANT
la gangrène ; enfin tout fut inutile ; la gangrène amena de grandes lésions auxquelles le malade résista, gardant l'appétit e
ion de ce fait et de quelques autres exposés plus haut à propos des lésions du grand sympathique. Tout ce qui vient d'être
re exposé a pu se convertir en névrose, mais dépend certainement de lésions de nutrition qui ont peu frappé les centres psy
10 les centres psycho- intellectuels ont, les premiers éprouvé des lésions de nutri- tion par surcroit d'activité, ou par
nt considérés, à la Salpêtrière, comme négatifs au point de vue des lésions oculaires. Ils ne figurent donc pas non plus da
de Aleu2,o- logie, 1885). Cette paralysie, qui parait relever de la lésion d'un centre spécial, se distingue entre autres
espond à l'anesthésie des deux moitiés gauches des rétines et à une lésion de l'hémisphère gauche. Chez le n° 132 où l'hém
a Faculté de médecine, médecin de l'hôpital Saint-Antoine. V. DES LÉSIONS PATHOLOGIQUES DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL' DANS.
gétaux, inanition) le système nerveux présente tou- jours les mêmes lésions : l'atrophie simple des cellules ner- veuses, l
fiinoff au sujet de la valeur pathologique de la vacuo- lisation. Lésions du système nerveux central produites par les dé-
eux mis à nu; l'animal était tué par la décharge et on trouvait les lésions suivantes : t Les cellules de l'écorce étaient
te noire. Les cellules des cornes anté- rieures offraient les mêmes lésions que celles de l'écorce. Dans une seconde série
sacrifiés qu'au bout d'un certain temps. Le microscope montrait des lésions dégénératives des cellules ganglionnaires et la
ont opaques, ont perdu leurs prolongements et sont vacuolisées. Ces lésions existent dans toute l'écorce; elles sont moins
sidérablement; il en résulte une asphyxie céré- brale qui amène les lésions décrites. Influence de la nicotine sur les cent
les de la myélite centrale aiguë. Dans l'intoxication chronique, la lésion empiète sur la substance blanche. Dans l'intoxi
oelle dans l' empoisonnement par l'arse- nic. Suivant M. Popoff, la lésion prédominante est une inflammation parenchymateu
e tissu interstitiel des nerfs est sain, ou peu altéré. Souvent les lésions médullaires sont absentes ; s'il en existe, elles
gir plus ou moins sur les autres éléments. La nature atrophique des lésions dans cette affection indique un trouble profond
du système nerveux central. Dans le bulbe et dans la moelle, les lésions sont les mêmes. M. Rosenthal n'a pas trouvé de lé
moelle, les lésions sont les mêmes. M. Rosenthal n'a pas trouvé de lésions analogues dans les maladies autres que celles c
dans les maladies autres que celles causées par l'in- fection. Les lésions observées dans certaines maladies du coeur étai
es dues à la névrite multiple ; 2°, les paralysies consécutives aux lésions diphtéritiques soit des vaisseaux, soit des mén
symptômes complexes tout à fait différents de ceux des premières. Lésions des nerfs périphériques dans la phtisie, D'après
D'après le D'' Japp, dans tous les cas de de phtisie, il existe des lésions des nerfs mixtes. Ces altérations relèvent de l
mités des membres inférieurs. Elles peuvent exister sans la moindre lésion du cerveau et de la moelle. On trouve plus souv
es avec hypéresthésie et anesthésie dans le domaine du même nerf. Lésions des ganglions des nerfs périphériques dans la lèp
sclérosées. La cellule devient petite et perd son noyau. Une autre lésion est la vacuolisation : le protoplasma forme un
évrite interstitielle : en effet dans la névrite parenchymateuse la lésion peut porter exclusivement soit sur les fibres s
r les fibres sensitives, soit sur les fibres motrices (exemple : la lésion due au curare); la névrite interstitielle -au c
psie. S'il s'agissait comme semble le soutenir M. Platonoff d'une lésion des cornes antérieures de la moelle et des noyaux
. Levine, les ganglions du nerf vague sont des lieux d'élection des lésions dans les maladies infec- tieuses. Dans la fièvr
me nature dans les gangliinodosi du nerf vague. Dans la phtisie les lésions du nerf vague sont habituellement attribuables
ent attribuables à la compres- sion par des ganglions tuméfiés. . Lésions du système, nerveux sympathique dans la paralysie
s la paralysie générale a fait découvrir à M. Popoff deux ordres de lésions : 1° d'un côté un épaississe- ment des parois d
tres formes de l'aliénation mentale, on trouve exactement les mêmes lésions du sympathique. Il en résulte que les troubles
ction périphérique continue, agissant sur les centres nerveux . Les lésions observées sont strictement limitées à la substa
ssus inflammatoire ; leur nature est purement atrophique. Les mêmes lésions ont été décrites à la suite de différentes caus
holo- gique de la paralysie alcoolique. 11 veut démontrer que les lésions périphériques ont souvent pour cause des lésions
démontrer que les lésions périphériques ont souvent pour cause des lésions atrophiques des cellules de la corne antérieure
es nerveuses chez les animaux privés de leur glande thy- roïde. Les lésions ressemblent à celles de l'inanition. . MM. Rose
s préparations de M. Ro- zowitch l'exactitude de sa description des lésions nerveuses chez les animaux privés de la glande
es avaient été ceux de cette maladie, sans complication. La seule lésion consistait en deux plaques de sclérose, identique
ocalisation anormale du cerveau (para- lysie siégeant du côté de la lésion , avec entre-croisement ,. presque complet du fa
e Médecine, 1886. 478 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Popoff. Des lésions de la moelle épinière dans l'intoxication arsen
de Neurologie : .' physionomie bestiale, face pâle, mate, bouffie; lésions chroni- ques des paupières qui sont gonflées ;
ves ci un traumatisme. Le trauma peut donner naissance à de grosses lésions mécaniques, mais aussi chroniques et insidieuses,
e corps strié et près du sillon de Rolando. (Ce dernier d'après les lésions pathologiques.) M. le Dr HANE dit qu'il ne faut
logiques.) M. le Dr HANE dit qu'il ne faut pas conclure d'après une lésion pathologique, ces centres pouvant n'être que de
servations d'épilepsie consécu- tives à l'hémiplégie cérébrale.-Les lésions de cette sorte d'épilepsie, de même que celle d
ales sensitives et motrices. Quand il y a anesthésie, on trouve une lésion plus profonde. M. le Dr C.-K. Mills pense qu'il
profonde. M. le Dr C.-K. Mills pense qu'il y a un grand nombre des lésions des centres moteurs corticaux sans anesthésie,
S. M. le Dr Alleu STARR dit qu'il est fort difficile de juger des lésions entraînant les troubles de la sensibilité, à caus
certains cas d'hémi- plégie, l'hémisphère normal-peut compenser les lésions de l'autre. M. le Dr Séguin admet les localisat
ilepsie jacksonienne dans des cas de tumeurs cérébrales ou d'autres lésions corticales. Une dysestésie spéciale précède sou
ires. Il pense que l'atrophie à type péronéal a peut-être les mêmes lésions que le type Aran-Duclieune. Il propose de cla
ur des mouvements, exa- gérations des réflexes dus sans doute à une lésion organique. Le pronostic de ces troubles est gra
té psychique, par Freund,310. Aprosexie, par Guy, 301. Arsenic ( lésions de la moelle dans l'empoisonnement par 1'), 463
abète et aliénation mentale, par Lieb, 314. Electricité statique ( Lésions du sys- tème nerveux produites par l'), 461.
niens (paralysie des), par iloebi il s, 292. Nerfs périphériques ( lésions des dans la phthisie), t65; - dans la lèpre,
uction des quar- tiers de-continue), par Poetz, 299. Sympathique ( lésions du système dans la paralysie générale, 467. S
83 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
7.) I. En opposition avec cette étiologie, nous avons indiqué une lésion pathogénique nouvelle quenous avons rencontrée co
à nombreux d'hémorrhagie cérébrale qui ont passé sous nos yeux. Cette lésion consiste en une altération du système artériel du
fréquentes, qui ont leur indépendance, leur physionomie propre, leurs lésions spéciales, et qui toutes résultent de la rupture
rale résulte de la rupture d'anô-vrysmes miliaires : que la véritable lésion hémorrhagipare c'est la production de ces anévrys
d'abord nous prémunir. On pourrait penser que ces anévrysmes sont une lésion , sinon constante, au moins très fréquente dans la
t très rares chez les individus qui ne présentent à l'autopsie aucune lésion des centres nerveux, ou plutôt chez ceux où l'on
z souvent en nombre quelquefois considérable, indépendamment de toute lésion athéromateuse des artères de la base ou des branc
ous le nom de gaîne lymphatique. Elle est caractérisée encore par des lésions de la tunique adventice et aussi par des modifica
nt de dehors en dedans, ce qui justifie ce nom de périartérite. Cette lésion s'observe sur les artérioles de tout calibre qui
usculeuse tantôt généralisée, tantôt limitée à certains points. Cette lésion de la musculeuse consiste en une altération des f
de la sylvienne gauche à son origine. La coexistence de ces diverses lésions nous a fait penser que la périartérite scléreuse
maient le diagnostic porté. Quant à la détermination anatomique de la lésion et de ses causes pathogéniques prochaines, elle a
;(le côté de l'hémiplégie n'a pas été noté, non plus que celui de la lésion cérébrale) ; quelques sangsues ayant été i. Obs
e énorme,les valvules sigmoïdes sont légèrement scléreuses, mais sans lésion de canalisation. Les autres organes n'ont pas été
valvules aortiques sont légèrement incrustées de sels calcaires, sans lésion de canalisation. L'aorte est très athéromateuse e
ans le troisième, et un peu dans le ventricule latéral gauche. Pas de lésions anciennes de l'encéphale ; anévrysmes miliaires c
hale ne sont nullement athéromateuses. Le cœur est volumineux, sans lésions de structure ni de canalisation. —Les reins sont
tites artères clans le foyer et dans les corps striés. Pas d'ancienne lésion encéphalique. — Artères de la base très peu altér
es des méninges. Le cœur était normal, à parois un peu friables, sans lésions val-vulaires. — L'aorte, dans toute son étendue,
es artères de la base sont athéromateuses. Le cœur est énorme, sans lésions valvulaires. L'orifice pulmonaire mesure G centim
pèse 445 grammes. L'aorte présente clans une plus grande étendue les lésions de l'athérome au premier degré. Les reins sont co
rmal pèse 330 grammes ; ses valvules sont un peu épaissies, mais sans lésions de canalisation. —L'aorte présente quelques plaqu
t hypertrophié, ses parois ont plus de 3 centimètres d'épaisseur. Les lésions valvulaires consistent seulement en un certain de
ompl. t. ix, Hémorragie cérébrale. 4 L'autopsie, indépendamment des lésions des artères qui se rapportent à la gangrène, mont
es sigmoïdes et mitrales quelques végétations verruqueuses, mais sans lésions de canalisation. Le tissu musculaire du cœur n'ét
La capsule blanche interne de Burdach a été détruite au niveau de la lésion , et l'on trouve clans le pédoncule cérébral, la p
u même côté. Dans les parties de l'hémisphère gauche symétriques à la lésion , on trouve plusieurs anévrysmes miliaires. D'autr
ent athéromateuses, le cœur normal, les reins un peu petits mais sans lésions appréciables. Obs. LVI. Salpêtrière, Saint-Alex
iers temps, elle eut quelques attaques épileptiformes, et mourut sans lésions nouvelles le 8 octobre 1867. A Vautopsie, on tr
hères sont criblées d'anévrysmes miliaires. Le cœur est petit, sans lésion des orifices et sans altérations de sa structure.
se déclare, et il meurt le 21 décembre. A Vautopsie, on trouve les lésions de la paralysie générale; puis dans le lobe posté
uses. Le cœur petit, graisseux, pesant 230 gr. ne présentait pas de lésions valvulaires. L'aorte offre quelques plaques athér
inférieurs, meurt de pneumonie le 27 mars 1868. Indépendamment des lésions pulmonaires, on trouve à Vautopsie, une large cic
se 390 grammes. Les parois du ventricule gauche sont épaisses; pas de lésions valvulaires. La crosse de l'aorte et l'aorte abdo
. Le cœur présente un peu d'hyperthrophieau ventricule gauche, sans lésion des orifices; il pèse 310 gr. Les reins pèsent en
nullement athéromateuses. A ces 77 observations où. la nature de la lésion ne saurait être mise en doute et où l'existence d
prêter à quelques contestations, et où la nature hémorrhagique de la lésion n'aurait pas été parfaitement reconnaisable. Gomm
à l'existence d'un foyer hémorrhagique, mais où les caractères de la lésion n'étaient peut-être pas suffisamment accusés. Ces
deux hémisphères. Le cœur est sain, les reins sont petits, mais sans lésion appréciable. Obs. LXXXVII. Salpêtrière. — Vulpi
ches. Qu'elles résultent de l'hémorrhagie ou du ramollissement, les lésions signalées dans les observations qui précèdent ne
qu'il faut voir dans une observation publiée par M. Dieulafoy (1). La lésion , considérée d'abord comme une hémorrhagie cérébra
. Les anévrysmes miliaires ont été vus en coïncidence avec d'autres lésions des centres nerveux. Ainsi, dans un cas recueilli
core chez deux des malades, cette hypertrophie était compensatrice de lésions valvulaires, ce qui ramène à 36, 36 °/° la propor
ois seulement ou 32,65 fois sur 100, ces organes présentaient quelque lésion capable de gêner la circulation et d'augmenter la
la majorité des cas d'hémiplégie à début brusque, déterminée par une lésion du cerveau, lorsque la mort doit rapidement s'en
schare des hémiplégiques se rencontre dans les cas les plus divers de lésion du cerveau : à la suite des hémorrhagies intra-en
, sur vingt-huit cas d'hémiplégie à début brusque, déterminée par une lésion du cerveau et suivie de mort dans un bref délai,
fesses Il faut nécessairement admettre que, sous l'influence de la lésion du cerveau, les actes de la nutrition ont dû épro
s gratuites qui n'expliquent rien. On sait, en effet, que certaines lésions cutanées (zonaj se voient à la suite d'altération
de voisinage. Un tableau symptomatique tout différent résulte de la lésion du tiers postérieur de la même capsule. On se tro
lité générale, mais aussi une anesthésie sensorielle. Ce fait, qu'une lésion limitée d'un hémisphère peut produire un trouble
plégie commune, l'hémianesthésie, ensemble symptomatique dépendant de lésions distinctes des masses centrales des hémisphères,
soit comateuses, soil convulsives, et où l'on a trouvé, entre autres lésions in Ira-crâniennes, des concrétions pseudo-membran
-banel, Obs. I.) 2. 5e série. Des cas où l'on a trouvé entre autres lésions intra-craniennes des poches pseudo-membraneuses r
n, même dans des cas 1. 6e série. Cas où l'on a trouvé entre autres lésions intra-crâniennes du pus ou des concrétions flocon
rand nombre d'observations 1. Des cas oh l'on a trouvé entre autres lésions mira-crâniennes, des poches pseudo-membraneuses r
essairement ici l'hémorrhagie. la relation entre les symptômes et les lésions ne paraîtra pas, ce nous semble, très difficile à
ucune altération. On enlève la voûte crânienne ; on voit aussitôt une lésion de la dure-mère et une lésion des os du crâne. No
voûte crânienne ; on voit aussitôt une lésion de la dure-mère et une lésion des os du crâne. Nous allons les décrire l'une ap
ulente peu abondante. Sur la dure-mère, au point correspondant à la lésion du crâne, on trouve une fausse membrane organisée
re pas de traces de pus ni même de vascularisation inflammatoire. Les lésions semblent parfaitement limitées à la surface conve
res d'un accès presque sans interruption. A l'autopsie, on trouve une lésion du pariétal gauche et un abcès dans la cavité ara
ervation présente de l'intérêt sous plusieurs points de vue : 1° La lésion du crâne que Ton a trouvée chez ce malade ne semb
exostoses de la, face interne du crâne, soit aux caries du rocher. La lésion présentée par notre malade consiste en une sorte
rforation de l'os à ce niveau. Ce sont là les principaux traits de la lésion offerte par notre malade, et ni dans les articles
c la nôtre, elle en diffère cependant notablement par l'étendue de la lésion , par la perforation des os, par la maladie du roc
lques exemples que nous venons de rapporter, et où l'on peut voir des lésions crâniennes analogues à celles qu'offrait notre ma
ffrait notre malade, ne doivent pas nous empêcher de conclure que ces lésions sont rares. 11 n'est pas fréquent non plus d'ob
dus des séances de la Soc. de Biol., p. 72, obs. de M. Titon). 2e Les lésions trouvées à l'autopsie expliquent-elles les phénom
és pendant la vie de notre malade ? Peut-on indiquer la marche de ces lésions , et pour ainsi dire leur âge, par la marche de la
ions, et pour ainsi dire leur âge, par la marche de la maladie ? La lésion initiale a certainement été l'affection du pariét
t. Le malade de I'Obs. I, n'a rien présenté de semblable, bien que la lésion des os fut chez lui plus étendue et surtout beauc
le rapport qu'on cherche à établir entre le trouble fonctionnel et la lésion d'organe soit démontré être un rapport constant ;
ltration granulo-graisseuse de la substance cérébrale est la première lésion appréciable. Elle peut être reconnue déjà vingt-q
ramollissement ancien, ce symptôme paraît devoir être rattaché à une lésion consécutive de la moelle épinière (sclérose consé
ie. XII. Sur quelques arthropathies qui paraissent dépendre d'une lésion du cerveau ou de la moelle épinière (1). Parmi
s qui peuvent se développer dans les membres, à la suite de certaines lésions traumati-ques ou spontanées des nerfs périphériqu
vent être affectées encore, sous l'influence plus ou moins directe de lésions portant, non plus cette fois sur les nerfs périph
bres paralysés, chez les sujets frappés d'hémiplégie à la suite d'une lésion de l'un des hémisphères du cerveau. 1. ÀRTHROPA
ses jointures des membres inférieurs, même au genou droit, malgré les lésions dont cette articutation est fe siège. Les doute
pre à démontrer que l'arthropathie qui nous occupe peut aboutir à des lésions très accentuées, sans être modifiée toutefois dan
o-diaux, et quelquefois même, peut-être, des extrémités osseuses, des lésions tantôt àpeine accusées, tantôt au contraire plus
tantôt àpeine accusées, tantôt au contraire plus ou moins profondes, lésions qui, en général, ont survécu, et qui, une fois (O
du moins, les probabilités de l'analogie. B. On sait que certaines lésions de l'axe médullaire ont pour effet à peu près con
a vu le splia-cèle survenir aux talons vingt-quatre heures après une lésion du racliis (1). Un homme tombé d'un lieu très éle
ipation des racines et des ganglions spinaux lombaires ou sacrés à la lésion médullaire, puisque celle-ci ne dépassait pas par
de la région dorsale. D'ailleurs, il existe des faits bien avérés de lésions spontanées, exclusi-ment bornées au tissu de la m
urs à la suite des blessures rachidieimes, que dans les cas où il y a lésion des ganglions spinaux lombaires ou sacrés. (Die t
faut pas oublier que les troubles de la nutrition, provoqués par une lésion de la moelle, prennent quelquefois pour siège les
s analogie avec celle que nous avons observée chez les alaxiques. Les lésions de la moelle capables de déterminer la production
hèse de M. Mougeot (4). Quelque variées qu'elles puissent être, ces lésions de l'axe médullaire qui provoquent ainsi, dans di
ure ou l'at-trition d'une partie de l'organe, comme dans le cas d'une lésion traumatique ; par la compression comme dans le ma
tiers à la section de la moelle épinière et ne présenter aucune autre lésion de nutrition dans les parties paralysées, qu'une
venir dans les membres atteints d'hémiplégie, à la suite de certaines lésions du cerveau—du ramollissement par exemple ou de l'
nt qui se produisent dans les membres paralysés, en conséquence d'une lésion cérébrale, résultent généralement d'une irritatio
oire qui s'est emparé des membranes synoviales sous l'influence de la lésion encéphalique. En ce qui concerne les douleurs exa
sensibilité cutanée [tarait un peu !. Voir : Corail.— Notes sur les lésions des nerfs et des muscles dans les hémiplégies! Co
eur base, les orifices correspondants ne présentent d'ailleurs aucune lésion de canalisation. Plaques athé-romateuses non ulcé
apparition de ces symptômes et celle des douleurs articulaires. Les lésions articulaires étaient surtout prononcées à l'épaul
ltf qui a été rencontrée dans le genou droit. Chez cette femme, les lésions articulaires ont été remarquables par leur dévelo
développement de l'artrhite des hémiplégiques. En second lieu, les lésions de la dégénération secondaire de la moelle étaien
ne saurait être ramenée au groupe arthro pathies consécutives à une lésion des nerfs périphériques. Les observations qui v
ion des parties molles, lorsqu'il s'agit de jointures superficielles; lésions inflammatoires, en général très-prononcées de la
éler que par des symptômes relativement obscurs en même temps que les lésions anato-miques sont elles-mêmes à peine ébauchées.
sité des symptômes est loin d'être toujours proportionnée à celle des lésions , ainsi qu'on pourra s'en convaincre par l'exemple
lement libres. Le bulbe rachidien et le cervelet ne présentent aucune lésion appréciable. De petits noyaux cancéreux se voie
endant, les altérations de la synoviale étaient très prononcées ; ces lésions peuvent même rester absolument latentes, ainsi qu
une altération analogue des gaines tendineuses, concurremment avec la lésion des synoviales articulaires, chez plusieurs autre
urvenant chez les sujets frappés d'hémiplégie, en conséquence d'une lésion cérébrale, nous paraît suffisamment établie, et n
iaux, les parties ligamenteuses n'ont paru présenter jusqu'ici aucune lésion concomitante, du moins appréciable à l'œil nu. Pa
ent être le siège apparent, mais qui ne dépendent pas cependant d'une lésion matérielle des parties périphériques. Quelle es
aux articulations des membres atteints d'hémiplégie à la suite d'une lésion cérébrale ? Sur cette question nous serons 1. I
lus ancienne, il n'est pas rare de rencontrer clans les jointures des lésions plus ou moins profondes, et bien différentes de c
ins profondes, et bien différentes de celles dont il s'agit ici ; ces lésions sur lesquelles j'ai appelé l'attention ailleurs (
ophique, celle de la myélite descendante secondaire, puisque ces deux lésions peuvent faire complètement défaut (Obs. Il et III
tte, est enfin, dans l'espèce, évidemment inadmissible. Reste donc la lésion du cerveau ; mais par quelle voie, suivant quel m
que la paralysie vasculo-motrice, déterminée chez les animaux par une lésion expérimentale, peut persister pendant plusieurs m
ticulier, n'apparaissent jamais dans ces parties, qu'à la suite d'une lésion traumatique, — à la vérité souvent fort minime, —
ral du sujet (2). Au contraire, dans le cas d'hémiplégie, suite d'une lésion du cerveau, l'arthrite et 1. Polet. —Etude sur
s, sur l'anesthésie des hystériques et sur l'anesthésie cérébrale par lésion organique. — Métalloscopie ; métallothérapie (1).
se font sentir également dans les cas d'hémianesthésie cérébrale par lésion organique. A. Deux cas d'hémianesthésie de caus
rès mécl., 1877, n° 20.) B. Nouveau cas d'hémianesthésie liée à une lésion organique du cerveau (hémorrhagie cérébrale). Rét
. « J'ai vu, de plus, des anesthésies datant de dix ans, dues à des lésions cérébrales, montrer la môme série de phénomènes;
e mon dire deux cas dTiémichorée avec hémianesthésie, qui relèvent de lésions anciennes. Ce sont des malades connus et éprouvés
romatopsie ne sont pas propres à l'hystérie. On sait qu'à la suite de lésions de la partie postérieure de la capsule interne, p
z les hystériques hémianesthésiques, l'achromatopsie a pour cause une lésion cérébrale. Le traitement par la métallothérapie d
rticipation des sens supérieurs, (V... etO...), en conséquence, d'une lésion organique du cerveau, laquelle avait produit du m
gauche, elle est de plus à peu près complètement aveugle par suite de lésions profondes des globes oculaires datant de l'enfanc
xister dans certains autres états morbides, et être la conséquence de lésions particulières de l'encéphale. L'hémianesthésie
uer une paralysie hystérique d'une paralysie due à une myélite, à une lésion matérielle de la moelle? A côté de cette jeune fi
ux malades je provoque également ces trois phénomènes classiques delà lésion des faisceaux latéraux de la moelle. Il faut donc
° le chemin de retour ou nerfs moteurs. L'on conçoit très bien qu'une lésion portant sur l'une quelconque de ces trois parties
îner une modification du réflexe normal ; et, suivant la nature de la lésion , il y aura abolition ou exaltation du réflexe. Da
ène, pourraient être reproduites ici à l'appui du siège central de la lésion dynamique qui y donne naissance. Mais nous avon
égénération secondaire du faisceau pyramidal, à la suite de certaines lésions en foyer. En pareil cas, par suite de l'exaltatio
moindre excitation périphérique dans l'hystérie, comme dans le cas de lésion organique, et plus encore dans la première, les c
ogique et thérapeutique. De fait, nous savons déjà que dans certaines lésions des nerfs ou de leurs centres trophiques, le cour
tres moyens n'avait pu procurer.. Dans l'hémianesthésie cérébrale par lésion organique, elle peut ramener la sensibilité sans
1888. PLANCHES EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE I. Fig. 1. — Lésions de la périartérite diffuse. A, Artère dont les
. 156 XIV. Sur quelques arthropathies qui paraissent dépendre d'une lésion du cerveau ou de la moelle épinière............
s, surl'a-nesthésie des hystériques et sur l'anesthésie cérébrale par lésion organique. — Métalloscopie : métallothérapie.....
, caractères de la—, p. 290; — diagnostic de la—, p. 291. ParIétal, lésion spéciale du —, p. 143. Périartéiute scléreuse,
84 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ntrent certaines méningites, certaines épilepsies symptomatiques de lésions encéphaliques. Dans la période qui suit la dixi
ire ; il en est qui se lient la verge et s'occasion- nent ainsi des lésions plus ou moins graves. Chez une femme à accès pé
Les cas d'athétose double sont assez rares. On n'en connaît pas la lésion détermi- nante. On a signalé la sclérose cérébr
cette leçon de médecine opératoire, l'auteur estime que, seules les lésions encéphaliques superficielles, limitées, d'origine
rfs petits sciatiques et honteux internes, d'autre part; ou bien la lésion est intra-médullaire, et alors elle intéresse les
supposition qui répond à la réalité. En effet, si l'on admet une lésion extra médullaire intéressant les filets radiculai
-à-dire certains nerfs de la queue de cheval, il faudrait que cette lésion intéressât symétriquement les racines de tous c
, le cas d'Oppenhuim entre autres. Il termine en établissant que la lésion doit être un hématome. Le début brusque des acc
té et des membres de l'autre. Ces formes d'hémiplégie indiquent une lésion protubérantielle et peuvent pré- senter diverse
, sans aphasie motrice ou sensorielle, fait qui exclut déjà toute lésion centrale ou pédonculaire. La lésion ne pouvant ex
lle, fait qui exclut déjà toute lésion centrale ou pédonculaire. La lésion ne pouvant exister qu'au delà du point où le fa
gauche et atrophie de toute la moitié gauche de la langue, donc la lésion siégeait au noyau de l'hypoglosse ou au-dessous
u au-dessous, par conséquent dans la région bulbaire. En résumé, la lésion intéressait à la fois l'hypoglosse gauche et le
tion, il tendait à rétrocéder. Quel est le siège et la nature de la lésion cause de ce syndrome ? M. le Dr Raymond rappell
voisinage des pédoncules cérébelleux supérieur et moyen. Une telle lésion pro- duira donc, en fin de compte, tous les sym
ion est donc que le jeune malade est atteint de une ou de plusieurs lésions en foyer, à la partie supérieure de la protubér
errière l'aqueduc de Sylvius el à gauche. Quant à la pathogénie des lésions , M. Raymond l'explique par une artérite infecti
s, telle l'amyotrophie forme Charcot-Marie; due manifestement à des lésions nerveuses avec réaction de dgé- nérescence et c
mmédiates d'une fracture du crâne, l'autopsie montra, en dehors des lésions dépendant de la fracture, les modifications suiva
a fait l'examen macroscopique et histologique, sept montraient des lésions dis- tinctes, dont plusieurs pouvaient être inc
syphilitiques s'accompagnent plus fréquemment qu'on ne le croit de lésions organiques, qui, sans être forcément malignes,
itation spinale qui chez le syphilitique se mon'.re accompagnée des lésions locales les plus diverses en soi légères mais c
'irritation spinale commune s'accom- pagne aussi souvent de petites lésions locales centrales et périphé- riques, qu'il y a
e soupçonner en pareil cas l'importance pri- mordiale de semblables lésions en réalité primigènes, autonomes, causes réelle
ve du sens ther- mique relevant non d'une syringomyélie, mais d'une lésion cen- trale organique qui est apparue avec l'irr
phal, il y a lieu de croire que la paralysie péronière tenait à une lésion de la moelle lombaire, qu'il y avait, par suite
e termi- nale. Chez un malade dont le coeur était le siè ! 2 : e de lésions de dégénérescence, se produisit une paralysie a
inique; en outre il y un grand nombre de modifications secondaires ( lésions de la moelle consta- tées par J\11nnich dans l'
cellules de la corne antérieure étaient également intéressées. Les lésions por- taient surtout sur les cellules du groupe
ur structure. La substance grise des hémisphères ne présente pas de lésions macroscopiques. Nombreux foyers de ramol- lisse
de ne sont pas tout à fait identiques. Dans ces cas il s'agirait de lésions vasculaires siégeant dans l'écorce seu- lement
nt plus étendue qu'on a affaire à des racines plus inférieures. Les lésions radiculaires sont plus accentuées du côté gauch
de Goll la place qui a été constatée maintes fois à la suite des lésions des racines lpmbo-sacrées ou de leur 'section exp
nt de rappeler que si Schultze 1 avait pensé pouvoir attribuer à la lésion des racines une dégénération descendante en vir
générées dans le sens descendant ne le fussent pas à la suite de la lésion destructive de la moelle et dans ce cas il ne p
tions déjà signalées de Barbacci, de Hoche où consécutivement à une lésion destructive de la moelle, variant comme hauteur
s. Pour lui la pellagre, maladie d'ori- gine endogène détermine des lésions au niveau de la zone cornu-commissurale et dans
u'un trajet assez court. Quant aux faits ou consécutivement à des lésions radiculaires, à côté des lésions ascendantes de
aux faits ou consécutivement à des lésions radiculaires, à côté des lésions ascendantes de la moelle, existait une zone cor
compression de la moelle ne devront dégénérer qu'au voisinage de la lésion et dès qu'on s'en éloignera on ne devra plus le
antérieure cornu-commissu- rale est saine ; mais au voisinage de la lésion , dans la région dorsale supérieure, que voyons-
à la suite de compres- sion de la moelle, ou restant intact lors de lésions localisées aux racines postérieures. Les fais
s sur la présence seule de fibres à myéline intacte dans les cas de lésions des nerfs de la queue de cheval que l'on peut e
nie que par les cas de dégénérescence descendante consécutive à une lésion médullaire haut placée. Barbacci 2 montre qu'
contrôlée par ce fait que dans notre cas et d'autres à la suite de lésions des nerfs de la queue de cheval ces mêmes zones
tée de cette façon. Arrivé à la fin de cette étude voyons quelles lésions seront la conséquence d'une compression de la m
il y aura toujours le faisceau à long trajet. Au point de vue des lésions tabétiques on pourrait expliquer par cette mani
BOISSIER, Ancien interne des Agiles d'aliénés de la Seine. Peu de lésions nerveuses sont d'un diagnostic plus générale- m
ne erreur 2 », et Gendrin insinue qu'on ne saurait distinguer cette lésion dont les signes se confondent avec ceux de tant
montées grâce à la longue durée de son cas, à l'unilatéralité de la lésion , et à la rigueur de l'examen des phénomènes ; m
tat ordinaire. Une série de sections méthodiques ne montrent aucune lésion dans le cerveau proprement dit; la subs- tance
rticulier à noter pour les autres organes. Il n'y avait donc pas de lésions macroscopiques de paralysie générale ; pas de g
roscopiques de paralysie générale ; pas de granulations du calamus, lésion si précoce dans cette maladie; pas d'adhérences
ale infanlile. La seconde partie est consacrée aux myélopalhies par lésions vertébrales, par syphilomes des enve- loppes ou
e- loppes ou de la moelle elle-même; aux méningites spinales; aux lésions radiculaires, aux méningomyélites, au ramollissem
ir les microcéphales par ossification prématurée primitive, et sans lésions profondes de l'encéphale. Il faudra pour cela a
l'alcoolisme, l'épuisement consécutif aux étals d'agitation, et les lésions graves du système nerveux, éveiller le soupçon de
xe patellaire manque d'une façon permanente, il faut penser à une lésion organique des cordons postérieurs ou des nerfs qu
tion du nombre des vaisseaux dans les cordons postérieurs. Mais ces lésions sont banales chez les vieillards et, chez les s
umé, il faut convenir que le signe de Westphall peut exis- ter sans lésions bien prononcées. ' M. NEISSEIi. Dans toutes les
bides insolites, et souvent en apparence inexplicables. L'étude des lésions de la queue de cheval comprend deux intéressant
ents cliniques variables suivant la localisa- tion différente de la lésion . L'important en effet est le diagnostic topogra
oordinalion motrice plus grave qu'elle ne devraitêtre delà part des lésions organiques. L'amélioration rapide qu'on cons- t
n'est pas là une amélioration dans le sens d'une rétro- cession des lésions anatomo-pathologiques du tabès. Ce n'est qu'une
corps est moins coordonné que le côté droit, de sorte que les mêmes lésions qui. ont pour conséquence de troubler la coordi
des microbes ou par des toxines microbiennes, et que même certaines lésions organiques des centres nerveux, telles que cell
a conséquence probable d'infections anciennes ayant déterminé des lésions locales indélébiles. Enfin, des statistiques auss
un système d'idées délirantes, lorsque l'on ne peut invoquer ni une lésion crânienne ou cérébrale, ni une cause toxique ou
de l'origine de ces bruits, il comprend bien qu'ils sont liés aux lésions de ses oreilles. Pendant longtemps, pendant des m
jet et celle-ci est interprétée par le malade. Dans tous ces cas de lésions auriculaires, il se produit, en somme, une impr
endre au moment de cette sorte d'hallucination- écho consciente. La lésion périphérique constatée était une otite catarrha
n possible entre certains phénomènes hallucinatoires et cer- taines lésions corticales tardives. La lésion terminale des cent
ènes hallucinatoires et cer- taines lésions corticales tardives. La lésion terminale des centres sensoriels serait l'about
es vaso-moteurs, Pitres l'attribue à leur paralysie, Gaksewicz aune lésion de l'endothélium, Alelehofî admet, avec la majo
us en plus, les artères sont dans un état de spasme permanent et la lésion des parois vasculaires se produit sous la forme
hélium, d'hémorragies dans l'épaisseur des parois vasculaires et de lésions cellulaires périvasculaires. Plus tard surviennen
t de lésions cellulaires périvasculaires. Plus tard surviennent des lésions des nerfs dont la nutrition est perturbée. Toutes
des lésions des nerfs dont la nutrition est perturbée. Toutes ces lésions ont été constatées par Alelekoff dans un cas d'oe
es cas passagers, il est grave pour les cas durables, à cause des lésions profondes qu'il provoque après un certain temps.
nt fonctionnel, dans quel cas il est la manifestation précise d'une lésion organique. Il est impossible aujourd'hui de rien
maladie orga- nique : il peut être déterminé dynamiquement par les lésions . Dans 2 cas j'ai vu ainsi le tremblement dispar
le tremblement résiste absolument à la suggestion : il est lié aux lésions organiques. Dans la maladie de Basedow, on ne s
ules anormalement développés. Les coupes ne font constater aucune lésion ou tumeur interne pouvant expliquer l'épilepsie.
de la capsule blanche interne due à une hémorragie. Comparant cette lésion à celle qu'a signalée M. Parisot (partie postér
un malade dont la paralysie faciale recon- naissait pour cause une lésion de la capsule interne. Présentation d'une malad
La parole automa- tique existe, la parole volontaire est lésée. La lésion n'a donc pas atteint le pied de la troisième ci
t de la mère pendant la grossesse, en ce qui concerne : ma- ladies, lésions , chagrins, surmenage, etc... La délivrance s'es
il été atteint : de fièvre typhoïde ou intermittente, de méningite, lésions de la tête, coup de soleil, chlorose ou anémie,
ur fréquence, leur abondance et leurs causes ? '1 Leurs résultats ? Lésions des organes génitaux ? Maladies des organes gén
scles intéressés, on reconnaît le point de la moelle atteint par la lésion . On observe ordinairement encore divers trouble
culation, etc. Tels sont les principaux symptômes observés quand la lésion retentit à la fois sur les nerfs de la queue de
mond analyse tous ces symptômes et il conclut à l'exis- tence d'une lésion qui siégerait au niveau de la seconde vertèbre
mond. Ces deux myélites présentent les mêmes symptômes et les mêmes lésions macroscopiques, mais le microscope fait découvr
protoplasma très réduit, ce sont ces éléments qui caractérisent les lésions vasculaires des myélites sy- philitiques, mais
atteintes, mais non profondément. En somme la caractéristique de la lésion consiste en la surabondance de leucocytes polyn
lésion consiste en la surabondance de leucocytes polynucléaires, la lésion est donc de nature pyogène. Quelle est la natur
tomba rapidement en marasme et mourut en décembre 1892. Autopsie. Lésions syphilitiques au foie. De nombreux nerfs périph
e du tissu conjonctif, mais les fibres nerveuses sont saines. Cette lésion est de nature syphili- tique. Les centres nerve
moelle saine, les vaisseaux nourriciers ont leur calibre libre. Les lésions vascu- laires consistent en une infiltration, p
cellules em- bryonnaires à noyaux ronds, la présence de nombreuses lésions syphilitiques siégeant ailleurs que dans la moe
syphilitiques siégeant ailleurs que dans la moelle, démontre que la lésion qui siège dans celle-ci, est aussi de nature syph
gré la similitude d'allure et la res- semblance dans l'ensemble des lésions , ces deux myélites sont, l'une non syphilitique
sté- rie. L'auteur pense qu'il s'agit d'une myopathie sans aucune lésion nerveuse centrale ou périphérique. Il se base sur
actuel, à une paralysie du sphincter vésical indépendante de toute lésion organique. En effet, en explorant la vessie ave
ours après l'arrivée. Autopsie. Dans aucun organe on ne trouve de lésions tuber- culeuses. Les altérations sont toutes mé
cence dans le voisinage des gommes, mais sans systématisation. Leur lésion dominante est la sclérose embryonnaire, il s'ag
rs conviennent que le diagnostic anatomique se base surtout sur les lésions vasculaires périphériques, qui sont évidemment
ubercules dans les viscères. En réalité, la nature syphilitique des lésions médul- laires est certaine. REVUE DE PATHOLOG
erme bien des points intéressants. D'abord il est surprenant qu'une lésion aussi étendue et aussi destructive ne se soit m
nifestée que dix jours avant la mort. Cette anomalie s'explique, la lésion au début a pu n'intéresser que les cornes antér
ensibilité des régions inférieures, puisque dans tout l'étage de la lésion les portions médianes et postérieures des cor-
nsitives des susdites régions aboutissent précisément à l'étage des lésions lesquelles, on l'a vu, ont désorganisé la subs-
laire héréditaire est congénitale, l'enfant est souvent mort-né, la lésion consiste alors en uneruéningo- REVUE DE PATHOLO
embryonnaire. Ordinairement on trouve en même temps diverses autres lésions syphilitiques, des arrêts de développe- ment pa
arce que l'examen du fond de l'oeil n'indique pas la présence d'une lésion syphilitique du cerveau, parce qu'il n'y a pas
ont exposées et disculées. Il est facile d'établir qu'il existe une lésion systématisée de différentes parties de la colon
ue comment ou peut comprendre anatomique- ment la propagation de la lésion des noyaux moteurs supérieurs de la moelle aux
de la moelle aux noyaux moteurs du bulbe, et la propagation de la lésion de ces derniers aux noyaux d'origine de la troisi
, par exemple, les autres indépendantes, les autres causées par des lésions doubles en foyer. Exposé analogue à propos REVU
309 de l'ophtalmoplégie externe qui peut dépendre du tabes, d'une lésion cérébrale localisée, d'une compression du moteur
formes multiples dans la couche optique gauche. La nature de ces lésions indique la syphilis d'une façon certaine. (Rivist
lennorrhagie ? Le gonocoque a la propriété de provo- quer de graves lésions dans les organes revêtus de muqueuses, le micro
1878. L'oedème également est d'origine nerveuse, s'il tenait à une lésion du coeur, comme il est considérable, il y aurait
de confusion avec hallucina- tions. Quand les signes ordinaires des lésions en foyer du cerveau font défaut ou sont peu acc
roduit et alors se manifestent des symptômes caracteristiques d'une lésion en foyer (maux de tête, parésies, troubles de l
chose. On peut conclure aussi de cette observation que certaines lésions en foyer du cerveau sont capables de déterminer c
niveau des circonvolutions fron- tales. P. SÉRIEUX. II. UN cas DE lésion DE la bandelette OPTIQUE ET DU pédoncule CÉRÉBR
as eu d'autopsie, l'auteur se voit autorisé à placer le siège de la lésion au niveau de la bandelette optique et du pédonc
dre à la face (plagioprosopie), au thorax, à tout le tronc. C. LA LÉSION DE L'OSTÉITE déformante DE PAGET; par MM. GILLES
la maladie de Paget étaient des troubles trophiques dépendant de lésions médullaires. Il donne, dans cet ai ticle, les rés
e au microscope à l'état frais. Après l'avoir durcie, on trouve des lésions des cordons postérieurs qu'aucun trouble, pen-
ses douloureuses. L'examen anatomique de l'organe révèle soit une lésion scléreuse, soit une dégénérescence amyloïde des c
rarement d'origine purement spinale ; 3° la nature et le siège des lésions anatomiques ou fonctionnelles varient dans les
ques ou fonctionnelles varient dans les divers tremblements; 4° ces lésions donnent naissance à un ensemble de faits paraly
s de retrécissement du champ visuel, pas de dyschromatopsie, pas de lésion du fond de l'aeil. L'ouïe est légèrement affaib
goureuses. Mais, la commission n'a pas retrouvé sur leurs mains les lésions que l'accusation signalait comme des effets cor
PATHOLOGIE MENTALE. 385 génie des troubles psychiques observés aux lésions des nerfs du globe oculaire. Il rappelle le rap
e ramollissement cérébral parfois l'hémorragie et les tumeurs. La lésion peut porter sur le centre cortical (aphasies cort
ension de la parole entendue et lue avec paraphasie et agraphie. La lésion de ce syndrome porterait sur le tiers postérieu
so- lument indépendants de l'aphasie et de l'agraphie ayant leurs lésions à des points différents, et il expliqua leur coïn
ns à des points différents, et il expliqua leur coïncidence par des lésions multiples. M. Mirallié, se basant sur de nombre
sans que l'autre disparaisse cependant complètement, selon que la lésion s'étend du côté de la première temporale ou du cô
Tels sont les signes cliniques que présente un malade frappé d'une lésion de la zone du langage qui occupe les circonvoluti
paralysies générales on peut constater des aphasies vraies, si une lésion de la maladie existe au niveau du centre du lan
rer. Il cite l'observation de M. Bar où l'autopsie révéla une seule lésion localisée au pied de la deuxième frontale (loca
lvienne et ses branches. Les aphasies vraies sont produites par les lésions de cette zone du langage, tous les modes du lan
langage inté- rieur est altéré. Les aphasies pures résultent d'une lésion des fibres de conduction centripète ou centrifu
es de ces observations s'accompagnent de dessins des 406 ' VARIA. lésions du cerveau, de reproductions de l'écriture altéré
fait morbide, la traduction phénoménale, interne ou externe, d'une lésion somatique que le milieu moral ambiant t peut fa
accusent et les troubles psycho- moteurs initiaux montrent que les lésions de la volonté sont primitivement dominantes che
justement M. Cotard : « Le délire se greffe moins aisément sur les lésions de la volonté, que sur celles de la sensibilité
onnaissance, la seule, suivant une célèbre école philosophique. Les lésions de la volonté pro- duisent plutôt une altératio
ions. Cette origine entrevue, le moi se modifie et s'altère par les lésions psycho-motrices, comme le milieu se modifie et
ices, comme le milieu se modifie et s'altère sous l'influence des lésions psycho-sensorielles. » 1 Séglas. Idées de négat
ue chez les persécutés religieux; entrainant d'emblée, chez eux des lésions , du dédoublement de la personnalité. C'est un p
ion de la moelle, et il fait voir qu'il s'agit chez ce malade d'une lésion localisée de la moelle au niveau de la seconde
e, alors que les nerfs des muscles thora- ciques sont paralysés, la lésion siège en effet au-dessous de l'origine du plexu
cation usuelle : immobilisation du tronc, révulsifs au niveau de la lésion , faradisation des muscles paralysés, etc., abou
efaitque la compression ne provoque pas toujours dans la moelle des lésions bien importantes. Il arrive qu'on note, pendant
rine; il a suivi de nombreux traitements mais sans résultat. Aucune lésion vésicale ou urétrale, pas de calcul, les urines
s arthropathies seraient ainsi sous la dépendance, non plus d'une lésion médullaire, mais de lésions nerveuses multiples p
ainsi sous la dépendance, non plus d'une lésion médullaire, mais de lésions nerveuses multiples périphé- riques disséminées
témoins, c'est-à-dire chez les lapins opérés mais non inoculés. La lésion du centre d'innervation du rein constitue donc
avec le temps. Camuset. LV. DES polynévrites EN rapport avec LES lésions secondaires ET LES LÉSIONS PRIMITIVES DES CELLU
LV. DES polynévrites EN rapport avec LES lésions secondaires ET LES LÉSIONS PRIMITIVES DES CELLULESNERVEUSES ; par M. l iti,,
ntre que les polynévrites déterminent dans les centres .nerveux des lésions constantes mais d'origine se- condaire : ces lé
s .nerveux des lésions constantes mais d'origine se- condaire : ces lésions constituent la réaction nécessaire d'un centre
ntiennent moins de substance chromatique, en d'autres termes que la lésion porte essentiellement sur le kinétoplasma. Les
nerfs eux-mêmes, sur un certain trajet, sont intacts, tandis que la lésion périphérique porte surtout sur les ramuscules n
tout sur les ramuscules nerveux ou sur les troncs d'émer- gence. La lésion cellulaire est, par suite, produite à distance.
ence. La lésion cellulaire est, par suite, produite à distance. Les lésions secondaires des centres médullaires dans les poly
t pu passer inaperçues. Enfin, dans les polynévrites comme dans les lésions des centres nerveux consécutives à la section ner
toplasma subit des modifications notables. A partir de ce moment la lésion névritique est irréparable. (Revue neurologique,
la région de la surdité verbale. Quant au diagnostic du siège de la lésion , l'intégrité du langage intérieur permet d'adme
tégrité du centre cortical de la surdité verbale, par conséquent la lésion serait sous-corticale, et comme l'ouïe est resp
ée et qu'il n'y a pas de surdité psy- chique, la localisation de la lésion serait sur le faisceau unissant le centre de ré
enlraîne, elle peut s'associer d'autres symptômes indicateurs de lésions synoviales ou articulaires. Les craquements artic
que l'examen du malade suffit pour clore le débat sur le siège des lésions nerveuses poltiques et autorise à dire qu'elles
r l'une et l'autre à la fois. Importance pronos- tique parce qu'une lésion radiculaire est toujours fonctionnelle- ment mo
ion radiculaire est toujours fonctionnelle- ment moins grave qu'une lésion médullaire. Importance thérapeu- tique enfin, p
tique enfin, parce que le chirurgien, qui ne peut rien contre les lésions médullaires, peut, dans un très petit nombre de c
es lésions médullaires, peut, dans un très petit nombre de cas de lésions radiculaires, être autorisé à intervenir. (Revue
sités pour la convergence et blépharoptose gauche, indiquant que la lésion empiète sur la gauche; dès le troisième jour, e
omalie à signaler, la pyramide droite est double. A noter aussi une lésion accidentelle, un foyer hémorragique ancien dans
ue des vais- seaux avec des altérations des parois vasculaires. Ces lésions , dis- tinctes de celles que l'on tiouve dans la
t peu étendus, cicatrices dans l'écorce de l'hémisphère droit, avec lésions diffuses généralisées. Moelle : poliomyélite an
(A.), Kohne et Gilles de la Tourette, 474. Bandelette 01' 1 Inu. Lésion de la - et du pédoncule cérébral, par 11a- ha
85 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
rable; oedème pulmonaire ; arythmie ; souffle tricuspidien ; pas de lésion mitrale. Sous l'influence de la digitale les ur
alité, notamment au niveau de l'épine ;'l,'acromion est énorme ; la lésion est symétrique. Les clavicules, très volumineus
de l'oreillette droite ; teinte feuille morte du myocarde ; pas de lésions valvulaires. Quelques taches atl1éromaleuses su
cor- tication facile des méninges. Cerveau mou, oedémateaux; pas de lésions macroscopiques. De même pour le cervelet, le bu
eds, les os de la face, sauf parfois le maxillaire inférieur dont les lésions sont toujours peu considérables, elle atteint c
sidérables, elle atteint constamment les os symétri- ques, mais les lésions prédominent toujours sur l'un d'eux ». Or, en c
e si l'examen macroscopique des centres ner- veux n'a pas révélé de lésions évidentes, il convient d'attendre que les pro-
iffère sensiblement de l'hé- mianopsie homonyme qui survient, si la lésion est au-dessus du tractus options. Dans l'hystér
our être différencié des parties blanches ou grises adjacentes. Les lésions du segment postérieur de la capsule interne au vo
que, on peut en toute certitude conclure à la nature spécifique des lésions . Il n'en a point été autrement chez notre malad
git là surtout de pachyméningite externe. La syphilis produit cette lésion beaucoup plus rarement que la précédente, mais le
e syphilitique, thèse de Paris, 1893.) Il n'est pas douteux que les lésions syphilitiques limitées aux méninges ne soient l
PLÉGIE SPINALE AVEC ANESTHÉSIE CROISÉE D'ORIGINE SYPHILITIQUE Les lésions traumatiques de la moelle épinière et en particul
s pas trouvé de bande anesthésique au niveau du siège présumé de la lésion médullaire et des nerfs qui émer- gent en ce po
pilles sont égales, le réflexe lumineux est un peu affaibli. Pas de lésions du fond de l'oeil. La malade se plaint de verti
illance, de palpi- tations ; battements du coeur réguliers ; pas de lésion d'orifices. Pas de fièvre. Traitement : frict
n doute sur l'exis- tence d'une atrophie musculaire consécutive aux lésions des cornes anté- rieures. D'autres amyotrophi
différence anatomique essentielle lui avait échappé : l'absence de lésion nerveuse, le muscle étant primitivement atteint.
YOTROPHIE PRIMITIVE 185 A. Les amyotrophies de cause spinale ou par lésion des nerfs périphé- riques. B. Les myopathies
on des nerfs périphé- riques. B. Les myopathies primitives, où la lésion porte uniquement sur la libre musculaire, tantô
ires liées à des poliomyélites antérieures secondai- res a d'autres lésions spinales. Le type de ce groupe est la sclérose la
ou maladie de Charcot (1). On rencontre d'ailleurs incidemment des lésions du même genre dans la myélite transverse et la
degré de l'atrophie, affections probablement indépendantes de toute lésion de la moelle ou des troncs nerveux. 1° Paraly
pelées plus haut, ne seraient pas produites toutes les deux par une lésion des nerfs ou de la moelle ? La lésion dans le c
tes toutes les deux par une lésion des nerfs ou de la moelle ? La lésion dans le cas des myopathies dites primitives, surv
vie des modifications électriques ordinaires, et, après la mort, la lésion anatomique trop peu accusée, échapperait aux inve
facile en effet de proclamer, après autopsie, l'absence complète de lésions du système nerveux, et, pendant la vie, un change
s d'amyotrophies que l'on range dans les myopathies primitives sans lésion nerveuse, et cependant l'on a constaté pendant
lans la maladie confirmée, sont, vous le savez, constituées par des lésions aussi variées et aussi considérables qu'il est
ction douloureuse. Mais alors les douleurs sont indépendantes de la lésion articulaire. Elles sont la conséquence de la di
e en constate la gravité apparente et soudaine. Le mal est fait; la lésion est acquise et définitive. Voilà ce qu'il impor
Mais la part qui revient aux influences extérieures est faible ; la lésion arti- culaire préexistante J'emporte sur les ca
édecins et les chirurgiens ne pouvaient se résoudre à avouer qu'une lésion aussi grossière leur avait totalement échappé : e
ndent en neuropalliologie. Chaque jour, nous voyons rattacher à une lésion des centres nerveux des troubles multiples qui
à la pathogénie, et maintenant ma tâche devient plus difficile. Les lésions primitives désarticulations sont peu fréquentes.
a suite de la raréfaction du tissu spongieux. La fréquence de cette lésion vous est connue, et vous savez aussi qu'elle es
lade qui présente d'autres manifestations très démonstratives de la lésion spinale dont nous le supposons atteint. Pour le
r le moment, supposons que nous ayons la preuve matérielle de celte lésion : ne pensez-vous pas que nous la trouvcrions pr
tre que les dislropliies articulaires sont sous la dépendance d'une lésion bulbaire, it ! i'y a pas bien loin. Celte hypot
u ioicsrLaissons de côté, pour l'illstant, celle des tissus mous. Les lésions hy- pertro171liantes du périoste ne sont pas mo
pertro171liantes du périoste ne sont pas moins irrécusables que les lésions atro- phiantes. Le mot d'ostéite ne satisfait p
rable de la région tibio-tarsienne avec une éruption purpurique. La lésion osseuse du pied gauche date déjà de plusieurs a
e ici (rig. 1), pour vous convaincre de la similitude absolue des lésions articulaires et de l'oedème con- comitant avec
ère ni à la convergence. Dans l'oeil droit, kératite inters- Pas de lésions du fond de l'oeil. Au point de vue de la sensib
cutanés ou vasculaires. . Arthropathies. Dans lés deux épaulés les lésions sont identiques. L'épaule n'a plus son relief a
dehors bien entendu des crises de douleurs fulgurantes. Malgré ces lésions , la ma- lade se sert encore passablement de ses
ariage. L'enfant était mort mais ne présen- tait, paraît-il, aucune lésion cutanée. Du reste, la malade nie la syphilis et n
leurs, qu'il s'agisse d'atrophie ou d'hypertrophie, la nature de la lésion est toujours identique. L'observation I en sera
thies plaident plutôt, au point de vue pathogénique, la cause d'une lésion spinale que celle d'une névrite périphérique.
ébut. Pour conclure,' alors même due l'on prouverait l'existence de lésions articulaires dans la scoliose syringo-myéiique
ce de douleur explique l'étonnement du malade lorsqu'il découvre sa lésion soit en travaillant, soit à son réveil. Il faut
n effet si on ne les a pas déjà consta- tées, on découvre alors des lésions articulaires profondes. Il est pour ainsi dire
a-capsulaires.Dans d'autres cas qui semblent plus rares, au lieu de lésions bypertropbiques on trouve au contraire les os en
au contraire les os en voie d'atrophie. Signalons en passant les lésions de la diaphyse des os ; ce sont soit des fractu
IENS AVEC LES APOPHYSES ÉPINEUSES I Le diagnostic de niveau des lésions de la moelle est devenu, en dehors de son intér
n est pas moins suffisante pour permettre démettre le doigt sur une lésion médullaire il travers le rachis, et guider une in
celles dé la mâchoire inférieure sont cariées. ' ' ' . , ' ' : , Lésions articulaires. L'épaule droite est augmentée de vo
ion spéciale de J'anesthésie qni n'est pas celle de l'hystérie, des lésions articulaires qui ne se rencontrent pas dans l'hys
éduction et enfin l'absence d'atrophie musculaire notable. Puis les lésions nerveuses à la suite de la luxation de l'épaule
1892. (3) VERIIOOGEX. Dissociation de la sensibilité dans un cas de lésions des nerfs du plexus brachial. Journal de médeci
Mentionnons la lèpre nerveuse ; les troubles de la sensibilité, les lésions trophiques, des amyotrophies existent dans cett
de la face palmaire des doigts; les panaris, l'unilatéralité de la lésion . D'autre part, nous avons les troubles trophiqu
e type Morvan, décrite par Charcot. Quant à la localisation de la lésion médullaire, nous avons vu que les lésions muscu
nt à la localisation de la lésion médullaire, nous avons vu que les lésions musculaires sont peu prononcées, le processus mor
ôté droit est principalement atteint, il doit en être de même de la lésion ; enfin elle occupe le membre supérieur, le sièg
de la lésion; enfin elle occupe le membre supérieur, le siège de la lésion est donc le ren- flement cervical. Notre cas
type commun. Tout d'abord la marche ; l'affection a débuté par des lésions trophiques ; la sco- liose a été un des premier
uite d'un traumatisme peu important, ont dû être favorisées par une lésion trophique latente. Les lésions trophiques et se
ant, ont dû être favorisées par une lésion trophique latente. Les lésions trophiques et sensitives sont localisées sur le m
gique de la syringomyélie décrite déjà par les au- teurs CI). Les lésions articulaires sont prépondérantes, et lui imprimen
s notre cas. D'autre part, le malade porte des traces nombreuses de lésions osseuses et articulaires. La scoliose relevait
ns du bras. Ce cas vient à l'appui de la théorie attri- buant à des lésions trophiques les déviations vertébrales dans la syr
é incidemment des oedèmes et du purpura ; il existe encore d'autres lésions , soit de l'appareil vasculaire, soit du muscle
ques, d'ordre purement viscéral, se manifestent, en dehors de toute lésion apparente, avec une netteté qui ne permet pas de
on plus que les capsules surrénales, dont la tuberculisation est la lésion sine qua non de la maladie d'Addison, sont dest
trage zur Ncrvcnlrophik. Neurol. Cent·alG., 1892 ; et Sur un cas de lésion traumatique du trijumau et du facial avec trouble
infiniment plus vulgaires. Mais dans tous, quels qu'ils soient, la lésion semble invariablement la même : vous avez nommé l
il y en aune dans les nerfs périphériques ; et l'appréciation d'une lésion nerveuse, basée sur la per- sistance ou la disp
les vaso-moteurs. - Nous avons noté la douleur comme prodrome de la lésion articulaire; nous avons insisté sur ce fait que
Ils peuvent constituer dans quel- ques cas l'unique symptôme de la lésion . Habituellement accessoires ils sont remarquabl
vons vu d'autre part qu'il existait des degrés dans l'intensité des lésions depuis le plus simple cra- quement jusqu'à la d
athologique et pathogénie. Ce chapitre comporte deux divisions : 1° Lésions articulaires et périarticulaires ; 2° Lésions de
e deux divisions : 1° Lésions articulaires et périarticulaires ; 2° Lésions de la moelle, des nerfs, etc. La première par
c. La première partie de cette étude, seule, a été faite. Quant aux lésions nerveuses qui tiennent sous leur dépendance l'a
ffection appartient au domaine de l'interprétation par hypothèse. Lésions articulaires et périarticulctires. Elles ont été
t de Sokoloff, etc. Ces opérations nous renseignent surtout sur les lésions de l'articulation des coudes pour laquelle on est
athogénie. Les arthropathies syringomyéliques dépendent-elles d'une lésion médullaire ? et de laquelle ? Telles sont les que
la pre- mière question ne nous paraît pas douteuse : C'est bien la lésion médul- laire qui entraîne l'arthropathie. Ne vo
embres supérieurs sont de beaucoup les plus fréquentes parce que la lésion siège de préférence a la partie supérieure de la
cement de leur histoire, c'est dans la moelle que l'on a cherché la lésion causale (Charcot et.JofTroy) (1). Mais on ignor
usale (Charcot et.JofTroy) (1). Mais on ignore encore quelle est la lésion médullaire de l'artropatllie. Tout ce qu'on peu
aire pour le moment c'est de chercher le rapport qu'il y a entre la lésion médullaire inconnue et les troubles trophiques ar
guère l'arthrol)a- thie qu'avec une arthrite déformante ou avec une lésion articulaire pure- ment traumatique. L'arthrit
pourra être diflicile de se prononcer d'emblée sur la nature d'une lésion articulaire (luxation par exemple) consécutive à
'historique plusieurs (1) MAIIINI;CO et Si : ou : us. Sur un cas de lésion traumatique du trijumeau et du facial. Arch. de
lable à ce que nous avons observé dans la syringomyélie. Jamais les lésions articulaires de la lèpre ne remontent au-delà d
dans l'arthropathie revient aux influences extérieures est faible; la lésion centrale préexistante l'emporte sur les causes
e à leur dé- but ou pendant leur cours, mais par l'addition à leurs lésions essentielles trophiques de lésions infectieuses
urs, mais par l'addition à leurs lésions essentielles trophiques de lésions infectieuses : l'arthropathie n'est plus alors un
pproche les ar- thropathies secondairement infectées d'un groupe de lésions articulaires moins connu encore : les arthrites
rvation, plus pro- bante au point de vue de la nature trophique des lésions articulaires, l'ar- thropathie de cause tabétiq
té du membre, soit sur la peau même qui recouvre l'arti- culation ; lésion viscérale : uréthrite, cystite, pneumonie. En som
pour être appréciés à leur valeur exacte, un examen d'ensemble des lésions articulaires qui peuvent faire partie du cortèg
troubles trophiques. Bien souvent, au contraire, il s'agit là d'une lésion de cause arthritique ou trau- matidue, méme che
correspondantes, la dissection peut seule ré- véler l'intensité des lésions . 2° Une forme destructive où tout au con- tra
êt pronos- tique du mal perforant disparaît devant la gravité des lésions articulaires : il reste sim- plement un auxilia
es existant dans la syringo- myélie, les fractures vertébrales, les lésions des nerfs. Nous croyons préférable de réu- nir
ou même sous celui de pied trophique qui rappelle non seulement les lésions articulaires mais encore les lésions connexes con
qui rappelle non seulement les lésions articulaires mais encore les lésions connexes constantes du tissu cellulaire et de l
loi : la ténacité et la durée habituelle- ment plus grandes pour la lésion articulaire que pour le mal perforant; loi que
ies du mal perforant, sauf dans les variétés les plus atténuées, la lésion osseuse joue un rôle beaucoup plus considérable
s, la lésion osseuse joue un rôle beaucoup plus considérable que la lésion synoviale : ce ne sont donc pas, somme toute, d
'arthropathies ankylosantes préférant, quelque soit le niveau de la lésion nerveuse, les petites articulations de la main ou
souvent, presque constamment, les arthro- pathies consécutives aux lésions chirurgicales delà moelle sont de pu- res curio
me et hydarthrose, relevaient bien probablement tous les deux de la lésion médullaire : en tout cas rien autre, dans l'état
u droit), des ligaments très distendus, des cartilages érodés. sans lésions osseuses même au microscope. Un peu de a M
es Fig. 86, 87, et 88. - Pied tabétique. A. Aspect clinique et B lésions osseuses (vues en place et après écartement de l'
inoculations et cultures. En somme les altérations articulaires par lésion chirurgicale de la moelle affectent généralemen
ès tout le contraire. Il faut que le malade apprenne à craindre une lésion dont il se soucie peu, n'en souffrant pas, et qu'
èse, mais aux extrémités ostéo-articu- laires elles-mêmes ? Si la lésion causale est une myélite guérissable et guérie, un
en escompter un .semblable dans les arthropathies que surveille une lésion 'médullaire incurable- : tabes ou syringomyélie;
loff, chez un syeingomyé- tique dont il réséqua le coude atteint de lésions destructives énormes, note que, « six mois plus
ion de toutes les parties osseuses malades s'impose : l'étendue des lésions osseuses et la gravité des accidents infectieux
rrain sur lequel on opère dans tous ces cas terrain modifié parla lésion nerveuse médullaire ou névriti- que, offre des
me éveillé de notre part les premières craintes sur l'existence d'une lésion nerveuse que nous diagnostiquions à cetle époqu
s, toute influence fâcheuse de l'interven- tion sur la marche de la lésion médullaire. A. Chipault. LES MIRACLES DE SAIN
gie de Pans, juin 1892). (2) Il en est naturellement ainsi de toute lésion intéressant l'appareil labyrinthique périphériq
travail de Weber. Tantôt il s'agit d'hémiplégie vulgaire due à une lésion pé- donculaire, mais sans participation de l'oc
che avec une hémiplégie totale droite, on devra diagnos- tiquer une lésion du pédoncule cérébral gauche. » Ce point d'histor
x en famille.' La contagion a donc été possible et le diagnostic de lésion tuberculeuse semblé vraisemblable,' sans être t
Acuité visuelle normale. DEUX CAS DE SYNDROME DE WEBER 369 Pas de lésions du fond de l'oeil. Pas de rétrécissement du champ
ions. Dans ces deux cas, il s'agit du syndrome typique de Weber. La lésion principale intéresse le pédoncule et le nerf de
auche et la paralysie du moteur oculaire commun droit indiquent une lésion pédonculaire droite ; dans la deuxième, c'est l
nt droite du voile du palais, ce qui semblerait en rapport avec une lésion diffuse et extensive. Quanta l'atrophie des nerfs
règle dans les néoplasmes intra-cràniens. ' Quant à la nature de la lésion , elle est peut-être identique dans les deux cas
sible et, en l'absence de tout stigmate de syphilis, en présence de lésions avancées du sommet et des antécédents tubercule
d'intervenir seulement deux fois : la première il s'agissait d'une lésion médullaire basse, récente, avec compression os-
e, récente, avec compression os- seuse permanente, la seconde d'une lésion radiculaire : ce sont, j'y ai insis- té depuis
, s'était fait au niveau de la partie dorso- lombairo du racbis une lésion dont le seul symptôme local était une vive doul
culté. En fin juillet, il ne gardait plus, pour tout symptôme de sa lésion médullaire, qu'une parésie rectale il peu près
acée un peu il gauche de la ligne médiane, et comme stigmates de la lésion médullaire, qu'un légère parésie rectale sans a
ion des 4° et 5e racines cervicales gauches ci l'exclusion de toute lésion médullaire actuelle : très pro- bablement du re
t qui est resté de Paralysie glosso--lll,ùio-larYlIgée.. 1 . ' La lésion des noyaux bulbaires inférieurs qui en est le sub
visage conserve au contraire toutes ses qualités expressives. Si la lésion reste limitée, les sourciliers, les frontaux, les
ient intéressés : dans les paralysies, dites pselldo-vulvaires, par lésions corti- cales ou sous-corticales, par lésions ba
pselldo-vulvaires, par lésions corti- cales ou sous-corticales, par lésions basilaires ou névritiques, et peut- être même s
les, par lésions basilaires ou névritiques, et peut- être même sans lésion organique (cas de Wilks, Oppenheim, Eisenlohr,
86 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a clirmmtine csta]'etat.di<n ! S.Unpentseute ! nentd ! re(p)eces lésions sont nettement plus accuseesagauc ! )e qu'à dro
ant seule com- plètement respectée. ' Nous n'avons contate aucune lésion dégénérative, ni de* fibres motices, ni tln. li
mer, et repoussant le bulbe vers la droite sans déter- miner aucune lésion dégénérative des libres motrices ou sensitives,
ns des bruits du coeur; des vieillards et des individus porteurs de lésions cardiaques ont très bien toléré le médicament.
e la protubérance. D'autre part, l'hémis- phère gauche présente des lésions de méningite chro- nique. - L'hémisphère droit
des vertiges et de la tendance à la déché- ance, avoir été liée aux lésions do méningite plutôt qu'à la sclérose cérébrale.
n épaississement considérable de la calotte crânienne du côté de la lésion cérébrale, sans qu'il y ait eu, d'ailleurs, aug
'un des hémisphères ou encore,'et c'est ici le cas, quand, il une lésion en foyer ou une sclérose al/'Ophique, s'ajoute
igus cl chroniques. 8. Mais leur importance, en tant, que signes de lésions ana lonlopaLllOlogilj1H's s'étant produites pen
canal verté- bral. Une pression relativement faible a déterminé des lésions histologiques graves comparables surtout aux al
tions identiques mais moindres de la corne antérieure gauche. Ces lésions peuvent ne s'être produites que peu de temps avan
ntralblatt, XXIH, 1901, n"' 2 et 3). 31. BIE1.SCHOVSKY décrit les lésions qu'il a observées chez cinq malades dont la moe
, qu'un serait tenté de considérer la sclérose en plaques comme une lésion primitive de ces manchons, mais le processus pa
lus en plus convaincu que dans la vraie sclérose en plaques, il y a lésion de la substance blanche cL de l'axochromatenine
le long de l'épine de l'omoplate : celle-ci pourrait prove- nir des lésions accessoires. (Figures.) Enfin, au début, le mal
irectement, au plexus car- diaque. P. 11ERA ? 1L. XIII. Un cas de lésion traumatique de protubérances sans lésion du crâ
RA ? 1L. XIII. Un cas de lésion traumatique de protubérances sans lésion du crâne, par ST-ORLOwsKt. (Neurolog. 'Cel1- tr
, mais pas l'ltémianee- thésie. 11 y a lieu de, croire qu'il y a eu lésion du côté droit de la protubérance, et, par suite
e territoire nucléaire de l'auditif est bien trop grand pour qu'une lésion circonscrite de J11'o[ub"I'an('e l'ull'aÎnu une s
onvient de rattacher les troubles de l'é- quilibl'e constatés ; une lésion du tronc de l'auditif peut encore les produire.
centres : rien ne s'oppose à ce que la démence y soit primaire. Les lésions hosto- pathologiques de la chorée chronique ren
rdre encéphalilique, gliolique, dege- nératif, etc. Ces différentes lésions reconnaissent vraisemblable- ment une étiologie
dégage de l'ensemble de ces recherches c'est qu'il n'existe pas de lésions spécifiques de la paralysie géné- rale et que l
bre d'éléments cellulaires sclérosées. G. 1). '111. Hypertrophie et lésions (tumeur) du ganglion sym- pathique cervical dan
athique cervical gauche. Les centres nerveux ne présentaient aucune lésion macroscopi- que ni microscopique. En présence
le, mais à un délire d'origine infec- tieuse ou toxique. Quant à la lésion du sympathique cervical, elle aurait seulement
-cutané, oedème dur, cya- nose de la peau, etc. Sans nier que des lésions nerveuses, incontestables dans le cas présent (
onnés tantôt par un spasme des vaisseaux (hys- tériques) ou par une lésion des tuniques artérielles, tantôt par des lésion
ériques) ou par une lésion des tuniques artérielles, tantôt par des lésions centrales avec dégénérescences périphériques (idi
iliaire et du sphincter irien. M, Schullze pense qu'il s'agit d'une lésion du noyau de l'oculomoteur commun, probablement
ique cutanée multiple, l'auteur estime que le siège prin- cipal des lésions qui commandent les 1)I'IICPSlb 'aO-I1lf){l'UI'S p
de quelques irritations périphériques anormales qui a provoqué les lésions vasculaires ayant abouti à la sclérose et à la
rattacher à un trouble grave de la glande hépatique. noter que les lésions liistulogiqneb constatées au niveau des lobes f
e domaine du sciatique poplité externe. 31. Lovvenleld croit aune lésion simultanée des corncsanterieu- res grises, des
dans ce cas purement spnsilif et trophique. 11 s'est greffe sur ces lésions de l'ostéopathie hyllerlnoltltitluc tltt grand tr
qu'on douve dans l'hémiplégie ou dans la monoplégie brachiale par lésion centrale, et j'estime que, l'affection doit dépen
al1'aibli,spmenL de l'équi lilH'e cinl'- tique dans certains cas de lésion do l'appareil cérébelleux. YJvrit" ,cl1sitivo-m
e du pied dès le 3e jour de l'exer- cice et par la prédominance des lésions au pied droit due à une longue course sur la se
reil cérébelleux et dont lescymp- tômes permettent de localiser les lésions au niveau du bulbe (foyers de ramollissement mu
heurté par une portière et pro- jeté : outre une plaio il. la tète, lésions internes, hématurie, trois semaines de lit. I
aine du nerf op- tique en 32 cas ; la gaine présentait en outre des lésions inflam- matoires en 23 cas ; dans 15 elle {o(ai
ale au gonflement oedémateux et. inflammatoire. P. Keraval. XXIV. Lésions microscopiques du noyau du pneumogas- trique da
interne de la racine ascendante \ ago-g 10sso-phaJ'yngil'nne, Iêmes lésions , mais d'un nombre moins grand de cellules dans
t, l'oeil du côté opposé qui souffre le plus. 4. Chez le ch ien, la lésion des lobes frontaux détermine surtout des signes
est atteinte, c'est l'attention. La vision distincte souffre d'une lésion de la portion antérieure d'un segment interne e
s deux côtés depuis le centre visuel jus- qu'à l'écorce motrice. La lésion du pli courbe fournit une Rmhl 0- pie légère, d
sion distincte), dans l'oeil opposé, avec cécité j)S) chique.6. Les lésions organiques de l'écorce engendrent l'achrnmalopsie
incte paraissant t être en avant. 8. \os préparations relatives aux lésions de la face interne du lobe occipital chez le si
s de la couche optique, les corps quadrijumeaux antérieurs. 9. La lésion organique de l'écorce, du moins chez le chien et
ion pour les il1la¡ ? t'spl'o\euanLde autres centres percepifs. Les lésions de la zone du langage démontrent que les images v
le progressive, parce que l'on sait bien que dans celte maladie les lésions sont très diffuses, . commencent le plus fréque
lles qui produisent le plus de dom- mage il l'intelligence sont les lésions des zones perceptives du langage, et spécialeme
ement delà zone auditive, que Ftechsig- desi- gne avec le n° 5. Les lésions de la zone visuelle donnait aussi des résultats
presqu'idonliquos, mais seulement chez les personnes cultivées. Les lésions très Nendnesdu lohe temporal ne produisent llas
zone auditive du langage. La perle de l'intelligence à la suite de lésions de la grande xoneparielo-occipito-temporaie est
plus profond et le plus grave. Il existe une seule zone, dont les lésions ne produisent jamais de troubles sensoriels ou
l'enfance mais que Dejerino a déjà signalée et dont il a étudié les lésions , tant au niveau du cortex de t'oper- cule rotan
? . L'aphasie motrice transcorticale est pro- duite non pas par la lésion de la voie de communication B. M. du schéma do
é. Il n'est question, dans ce mémoire, que de l'amnésie verbale par lésion en foyer du cerveau. Est-elle le symptôme de
foyer du cerveau. Est-elle le symptôme de la surdité verbale, d'une lésion du cen- (re des images phonétiques des moLs ' ?
jamais présenté d'interruption dans les fonc- lions sexuelles. Les lésions cérébrales microscopiques constatées chez le ca
icales et sulcorli- i- cales du facial supérieur qui tiennent à une lésion des centres du facial supérieur s'accompagnent
yeux en même temps, il peuL aussi leriner l'mil correspondant à la lésion tandis qu'il maintient ouvert l'oeil opposé ; mai
par la ponction indique si oui ou non les méninges participent à la lésion et j)arconse(jnentdon)ieune indication opératoi
on opératoire précise ; 5° liémorrhagics spinales, 11lt\lIin- gécs, lésions traumaliques, thrombose des sinus. Le liquide é
vec accidents épilepLifol'l1H's, à l'aulopciu duquel on trouva (les lésions (lilfuses,une gomme du cervelet avecpachyméningil
odes délirantes ? M.DouTREBENTE. Plusieurs années. M. Pactet. Les lésions diffuses permettent de penser à la paralysie gé
Vauchiso, présentant le syn- drome de Korsakolf. Pour expliquer les lésions de polynévrite observées à L'autopsie, les aute
cher une trop grande im- portance à la chromalolyse. Ce sont là des lésions banales con·la- tées souvent dans la tuberculos
a tuberculose et la lièvre typhoïde. M. Ballet reconnaît que si les lésions des cellules no sont pas spécifiques d'une psyc
une psychose polynévrifique, elles n'en constituent 1 pas moins une lésion tendant à attribuer une certaine durée à l'inju
deux paralytiques généraux, v l'aululr.ie desyuels on trouva des lésions de la moelle, caractérisées par une myélite avec
attache une grande importance au couchage, dans la production de la lésion cutanée qui se transforme plus tard en escharre
, Moreau (de Tours), PACTnr. Toulouse. 158 sociétés savantes. Les lésions des neurofibrillcs dans la paralysie générale.
n outre asynergie cé- rehetleube et diadococinésie. 11 s'agit d'une lésion du pédoncule cérébelleux au-dessus de son entre
jeune lillealteinle d'épilepsio partielle droite avec stigmates de lésions p) ramidalesqu'on ne decùlequ'en les recherchan
es en conclut que la maladie de Parkinson doit bien être due il une lésion inconnue et non au lait d'une névrose, et la si
ié, le centre cortical, s'il existe, ne pourrait pas être unique. Lésions de la névralgie sciatique. M. Thomas trouve dan
rté précisé- ment sur la région des corps genouillés externes. La lésion commence dès la pointe du lobe occipital et rend
rejoignent, il n'est plus question de foyer. La profondeur de la lésion est variable et. atteint jusqu'à 10 mm. ; cepen
ns déj relevé que le point 1. confirme l'opinion émise au sujet des lésions de cette région par M. de Mo- nakow. Il en résu
- nés, tandis que Probst arrive au même résultat par l'étu- de de lésions chez l'homme et d'expériences faites sur des an
sation des dégénéres- cences secondaires dépend sans doute plus des lésions directes des faisceaux que de l'étendue du foye
u- tion granulo-pigmenlaire r des cellules, et, d'autre part, des lésions consécutives, que caractérise « la destruction
sur la peau, alopécie, etc., qui peuvent gagner en profondeur. Ces lésions sont d'une symétrie parfaite sur les régions ho
ogues des jambes et .des pieds : cependant, il y a prédominance des lésions du côté sur lequel l'animal se couche. L. W.
ssemblance absolue entre les troubles cérébelleux et ceux dus à des lésions du labyrinthe : cet organe étant toujours dans un
LOGIE PATHOLOGIQUES. phénomènes morbides des méningites. Il y a des lésions de la substance nerveuse elle-même déjà signalé
y a une diminution con- sidérable de la substance chromatique, des lésions diverses du noyau, de la déformation protoplasm
e; les cellules neuropliages envahissent les éléments déformés. Ces lésions peuvent exister aussi bien dans le cortex que d
leurs une relation très étroite entre les symptômes et le siège des lésions . Mais l'into- xication générale domine la scène
un certain nombre de cas. Le méninâisme est probablement dû il des lésions qui sont compatibles avec une 1'estitutio ncl i
e, rien présenté de particulier; il n'existait [point d'ailleurs de lésions profondes du cerveau. Tous les organes du corps
téraux que dans les cordons antérieurs. En outre, au-dessus de la lésion , tout le territoire des mêmes faisceaux contien
réaction dégénérative, l'allure des réflexes, tout cela élimine une lésion des nerfs. Tout porte à croire à l'existence de
nstante, bien que plus variable en intensité et en étendue, que les lésions de la mu- queuse. Granuleuse, amyLoïdeou mixte,
le purement musculaire comme le veut Maurice de Fleury ? Est-ce une lésion des branches sympathiques, aboutis- sant aux mé
antérieure ». Gualdi rapporte un cas clinique sans autopsie où les lésions classiques de la maladie de Uupu)- tren étaient
es rares autopsies pratiquées jusqu'à ce jour n'ont pas ré- levé de lésions pathognomoniques. On a signalé quelques altéra-
du point central analogue à ce qui se passse dans l'hémianopsie par lésion anatomique du cervelet, desquelles elle se dist
t dégénérées, les cordons postérieurs pcuvenl demeurer indemne ? La lésion des cordons postérieurs peut doncêtre indépenda
pendante de celle des racines postérieures. - Or, ce n'est pas la lésion des racines postérieures qui occa- sionne le (a
acines postérieures qui occa- sionne le (abcs, mais inversement, la lésion des cordons posté- rieurs s'étend aux racines.
n des cordons posté- rieurs s'étend aux racines. Le tabès est une lésion lneutlo-sysLt;ntalil«e,enclogène,clui com- merc
s plus voisines du cordon postérieur et aussi les racines posté- la lésion de la one C7;ar<'o<-P;['f)vt est la conditi
THOLOGIE NERVEUSE. coma, l'apathie, la démence ; il n'existe pas de lésions anatomi- ques ; ces troubles sont probablement
ure toxique.. , , Les symptômes cérébraux spéciaux, ou symptômes de lésions en foyer se traduisent ou non par des lésions m
iaux, ou symptômes de lésions en foyer se traduisent ou non par des lésions macroscopiques. u). Ceux qui ne se traduisent p
es lésions macroscopiques. u). Ceux qui ne se traduisent par aucune lésion bihle à l'oeil nu émanent probablement d'une mé
mettent pas de découvrir, ú). Ceux dans lesquels on constate une lésion macroscopique dérivent : a) de tumeurs métaslatiq
ent repro- duit par l'autre. Ce symptôme lient à une disposition ou lésion organique très ancienne. La seule présomption d
e la lVr) et une cécité par atrophie papillaire. La concomitance de lésions importantes dans le domaine des 11, III, IV, V,
bien que par une méningile de la base ; or c'est précisément celte lésion que nous avonssignatee comme conslanle, ou pres
de la confusion ; ce syndrome se rencontre d'ailleurs dans d'autres lésions ol'gal1 ¡(lUeS du cer\"cau, t l'llps que les t Ul
du même côté que la tumeur. La cause doit en être cherchée dans la lésion d'une partie des faisceaux céré- belleux. Les d
n du Congrès de Bruxelles, fauteur arrive à colle conclusion que la lésion initiale et fondamentale delà paralysie général
des deux 'jeux, que cette destruction. soit large ou limitée : une lésion li- ^mitée provoquera une courte hémianopsie ;
tée : une lésion li- ^mitée provoquera une courte hémianopsie ; une lésion large et profonde engendrera une hémianopsie pr
sie soit provoquée par la section de la bandelette optique, par une lésion du corps genouillé externe, ou par la destructi
ouillé externe, ou par la destruction de l'écorce du cerveau. Une lésion limitée de la région occipitale ne donne souvent
bles oculaires d'un oeil et celle des troubles de l'aulce. Dans les lésions limitées, par exemple, parfois la perle de la v
s sans toutefois être définitive. Il semble qu'en certains cas de lésion étendue de l'écorce d'un hémisphère portant sur
du côté opposé. Mais de nouvelles recherches sont nécessaires. La lésion de la face interne de la partie postérieure d'un
ces de section de la bandelette optique correspondante. Bien que la lésion ait été rigoureusement superficielle, ces désor
\issl, portant sur les divers étages de la moelle dans deux cas de lésion de la queue de cheval et de tabès incipiens. Conc
uzov.(1\ouu.Iconoy. de la 'salpêtrière, n° r 1, IDU1.) A côté des lésions caractéristiques 'du tabès, on trouve dans cer-
sions caractéristiques 'du tabès, on trouve dans cer- tains cas des lésions porLantsur les cordons latéraux, les cordons de
actère systématique. En comparant la topographie et le degré de ces lésions avec les lésions méningitiques et lym- phatique
ue. En comparant la topographie et le degré de ces lésions avec les lésions méningitiques et lym- phatiques qui les accompa
tiquesd que leur distribution parait réglée par la distribution des lésions méningitiques et lymphatiques. Cette constatati
ons cellulaires dans les ganglions rachidiens des lahé- tiques. Ces lésions consistent principalement en un procesus (l'a-
nolées aux dilférenls étages de la moelle permet de conclure qu'une lésion médullaire localisée ne produit la vaso-haral5-
èremcnldiflicile al ec le torticolis spasmodique essentiel dû à des lésions irrilalives accompagnées de douleur et persistant
évralgique el paraît dépendre autant d'une action musculaire que de lésions articulaires. 11. C. \L\ ? Déformations rachidi
ture hystérique, ayant produit de la contracture à l'occasion d'une lésion des origines du sciatique (névrite apopleclil'o
me des hémiplégiques a été attribué à une localisation spéciale des lésions nerveuses (noyau caude. capsule interne, 312 RE
c la goutte : le trouble de la nutrition des élé- ments nerveux par lésion des parois artérielles y esl représenté ; l'ass
n outre peut occasionner une névrite multiple. P. KERAVAL 1. LIV. Lésion par arme à feu des nerfs optique et ocu- lomote
de 33 ans, avait gardé le lit pendant trois mois puis avait eu une lésion annexielle cinq ans plus lard. Quelque temps ap
l'anatomie pathologique mais il est possible qu'elle soit due à une lésion des sécrétions internes de l'ovaire ou de la th
gauche qui partent du nerf optique droit. Il esl supposable que la lésion a eu lieu à l'entrecroisement même, car, si tou
r examiné avec soin les di- vers motifs plausibles, et notamment la lésion des racines ner- veuses de la moelle plus voisi
RVEUSE. leur guérison, le milieu entre celles, très favorables, par lésion des nerfs périphériques, et les paralysies d'un
nfirme les résultais antérieurs en insistant sur la consistance des lésions d'endo et de péri-arlérile, la lésion vasculair
stant sur la consistance des lésions d'endo et de péri-arlérile, la lésion vasculaire étant le point de départ de la lésio
péri-arlérile, la lésion vasculaire étant le point de départ de la lésion du système ner- veux. Quant au traitement, on d
tion puerpérale peut chez un sujet prédisposé, créer du délire. Les lésions infectieu- ses de l'appareil génital, graves ou
s téguments cutanés, dépourvues de toute sensibilité à raison d'une lésion transverse de la moelle, ne s'opposent souvent
'une néphrite inlerslilicllo explique la rOl ? \bten('edl's d('l1'\ lésions qui s'excluent généralement. G. C. KEVLE D'ANAT
là vessie d'origine sous-corticale est donc bilaté- l'ale - 110 Les lésions superficielles n'entraînent pas d'incontinence.
sont ces deux que nous avon, constatées également dans nos 3 cas à lésions différen- tes, jamais nous n'avons rencontré l'
riculaire en excès ; la substance nerveuse est mulle, il exisle des lésions inflammatoires à tous les niveaux de la subs- t
dégénéré elles nerfs hypoglosses. En même temps, on rencontre les lésions classiques de la syringomyélie médullaire. L. WAH
e histologique révèle un l'ojer de méningo-tnyéliie légère avec des lésions vas- culaires particulièrement accentuées du cô
as- culaires particulièrement accentuées du côté des veines : les lésions congestives dominent la scène. ramollissement peu
\'itlal, Lépine et Lyonnet) aux toxines typhiques que sont dues les lésions et on est autorisé à penser que c'est par là vo
épendymaire. Le cerveau peut d'ailleurs être atteint, lui aussi, de lésions de même nature 448 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
en particulier les voies optiques et au- ditives périphériques. Les lésions sont d'abord vasculaires, carac- térisées par d
de cocaïne loco dolenti supprime la douleur et où par conséquent la lésion causale est au niveau des terminaisons nerveuse
nesthésie totale y com- pris le trijumeau sans troubles sensoriels, lésion probable de l'is- thme de l'encéphale . ' Hém
troubles radiculaires de la sensibilité permettent de localiser la lésion dans la substance grise médullaire entre G8 et DI
kyste colloïde du corps pituitaire, un goitre fibre-colloïde et une lésion des deux surrénales, épithéliome et adénome.
e. Il y a un certain parallé li",ll1e entre la forme clinique elles lésion *. - t - IIèmot'l'hayie sous-pin-nxc·rienrm. -
, ainsi qu'une petite fille, enfant d'une de ces trois dernières. Lésion bulbo-protubérantielle unilatérale. M. Souques
trouble de la sensibilité, ni des réflexes ni des vasomoteurs. Une lésion de l'angle bulbo-cérébelleux aurait in- téressé
la branche cochléaire de l'auditif qui n'a jamais été atteinte, la lésion doit donc siéger dans l'intérieur du bulbe et de
hypothermie à droite, le pouls capillaire est, petit de ce côté. La lésion est bulbaire. bibliographie. 453 Paralysie bu
pour objet l'étude pratique de l'a- natomie pathologique (fumeurs, lésions inflammatoires,, princi- pales lésions des tiss
tomie pathologique (fumeurs, lésions inflammatoires,, princi- pales lésions des tissus, organes et appareils). Il comprendra
t des préparations histologi- ques, des caractères propres à chaque lésion et des méthodes techniques à employer dans chaq
ande. Lecture. La de la pensée et les rayons N, par Kotik, 135. Lésion . Un cas de traumati- que des protubérances sans
néralisée, par Rudler, 312. Neuromyosite. Voir Stasobaso- phobie. Lésions de - sciati- Névralgie. Lésions de - scia li-
omyosite. Voir Stasobaso- phobie. Lésions de - sciati- Névralgie. Lésions de - scia li- tique, par Thomas, 100. Essai d
Histopathologie de la générale, par de Buck, 56. Hypertrophie et lésions (tu- meur) du glanglion sympathi- que cervica
rocessus d'auto-intoxication, Voir Psychoses.- Protubérance, Voir Lésion . Voir Tumeurs. Purpura. Voir Démence -pré-
au- rotique familiale de Sachs, par Frey, 52. Formes frustes de lésions du pyramidal, par Babinski, 159. Les alté- ra
87 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
instant dans des diagnostics erronés en prenant pour une maladie à lésion organique une affec- tion qui n'en comporte pas
s paralysies hystéro-traumati- ques pour éliminer l'hypothèse d'une lésion organique. Dans les névrites consécutives au tr
c'est qu'on observe chez certains animaux auxquels a été faite une lésion unilatérale de la moelle épinière des phénomène
istorique de la question du rétablissement des mouvements après une lésion partielle de la moelle épinière, il est peu ric
raissent simultané- ment dans des régions différentes du corps. Une lésion des- tructivedes deux tiers supérieurs des circ
sensitivo-motrices de ces parties et, en même temps, déterminer une lésion irrita- tive du tiers inférieur de ces circonvo
es membres ; 2° des convul- sions de la face. Quant à la nature des lésions qui, chez l'homme, produisent ces convulsions,
e l'épilepsie partielle peut être aussi bien la conséquence d'une lésion anatomique organique de l'écorce que l'effet d'un
e d'une lésion anatomique organique de l'écorce que l'effet d'une lésion purement dynamique ou fonctionnelle. Hitzigvitl
fin, les irritations pathologiques, les traumatismes cérébraux, les lésions irritatives de la zone motrice provo- quent la
0), Luciani, après avoir insisté sur les effets épi- leptogènes des lésions destructives de l'écorce et des trauma- tismes
rique. Luciani établit que des chiens nés de parents ayant subi des lésions circonscrites de la zone motrice, treize et neu
réquence et de durée. Seppilli, qui en fit l'autopsie, ne trouva ni lésion organique appréciable du cerveau, ni anomalie de
es accès d'épilepsie partielle sont-ils toujours déterminés par des lésions circonscrites de l'écorce cérébrale, ainsi qu'on
brachial, facial, etc.), où l'on ne trouva, à l'autopsie, aucune lésion organique de l'écorce cérébrale, mais seulement u
haque fois qu'on observe l'épilepsie partielle, il doit exister une lésion organique de l'écorce cérébrale (adhérences, ra
elle qu'il a recueillis, Seppilli a toujours noté, il est vrai, des lésions de l'écorce, mais c'est que, selon lui, les obs
st que, selon lui, les observateurs n'ont publié que des cas où des lésions bien nettes se rencontraient à l'autopsie. La v
ons bien nettes se rencontraient à l'autopsie. La vérité est que la lésion qui provoque l'épilepsie partielle peut être de
itation des centres moteurs corticaux. Seulement ce n'était pas une lésion organique qui avait déterminé l'affection, mais
e s'étaient produits ; pourtant à l'autopsie on ne découvrit aucune lésion en foyer, mais une méningite diffuse, sans adhé
Donc, l'épilepsie partielle, loin d'être un symptôme exclusif d'une lésion organique, et plus spécialement d'une néoplasie
organique, et plus spécialement d'une néoplasie, peut exister sans lésions en foyers appréciables, et dépendre d'une lésio
peut exister sans lésions en foyers appréciables, et dépendre d'une lésion purement fonctionnelle, ce qui n'est, à la véri
lle, ce qui n'est, à la vérité, qu'une manière de parler, car toute lésion fonction- - Belle paraît bien impliquer une alt
ltat de décharges des éléments moteurs de l'écorce céré- brale, les lésions irritatives qui provoquent ces décharges peuven
u sans convulsions concomi- tantes, selon le siège et l'étendue des lésions provocatrices, mais ici la démonstration anatom
motrice » de l'écorce cérébrale. Il paraît bien, toutefois, que les lésions pathologiques ou expé- ' Meynert. Psychiatrie.
observations cliniques recueillies par Seppilli. Quant au siège des lésions , il résulte de ces observations que, souvent ex
près, tous ces cas d'épilepsie corticale sont la conséquence d'une lésion plus ou moins étendue des circon- ' volutions d
e et cons- 116 REVUE CRITIQUE. tant entre le siège cortical de la lésion provocatrice et les groupes musculaires où l'ac
née ou musculaire n'étant pas en rapport constant avec le siège des lésions corticales. Ce nouveau résultat négatif est dû
causes. Charcot et Pitres ont d'ailleurs fait remar- quer que c les lésions corticales susceptibles de provoquer l'épilepsi
psie J acksonienne doivent avoir une topographie moins fixe que les lésions capables de provoquer des paralysies per- manen
auteurs italiens, de la doc- trine de la diffusion des effets d'une lésion , même circonscrite, qu'implique la théorie de l
Si tous les malades ne réagissent pas de la même manière contre une lésion capable de produire une forme nosologique bien
tielle ? L'épilepsie doit toujours être symptomatique de quelque lésion anatomo-pathologique. Silvestrini admet toutefois
e, car « on ne peut nier, dit-il, que tantôt l'épilepsie dépende de lésions des centres nerveux proprement dits, tantôt d'u
é des cas, l'épilepsie jacksonnienne est toujours provoquée par une lésion corticale,. elle peut l'être aussi quelquefois
r une lésion corticale,. elle peut l'être aussi quelquefois par une lésion sous-corti- cale 2. Du moins un cas, probableme
ble. L'hémisphère droit 1 « L'épilepsie peut être provoquée par une lésion de n'importe quel point du manteau cérébral ou
antes, le lobule paracentral et les circonvolutions pariétales. Les lésions s'étendaienl à la substance blanche et atteigna
tion des parésies ou des paralysies de la motilité consécutives aux lésions destructives de l'écorce, Seppilli les invoque
tomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. rieure (paralysie bulbaire). Lésion symétrique des noyanx des nerfs moteurs qui pre
qui prennent naissance dans le cerveau et le bulbe, combinée à une lésion symétrique des noyaux des nerfs spinaux, cervic
ne dilatation du canal central de l'organe intra-rachidien avec les lésions classiques; ex- périences à l'appui chez les an
servations) ; analyse minutieuse de ses éléments morbides et de ses lésions , bibliographie consciencieuse, rien n'y manque.
l'absence de convulsions musculaires isolées. L'autopsie révéla des lésions microscopiques expliquant comment l'écorce pouv
XIV. Des altérations DE la substance GRISE DE la MOELLE dans LES lésions DES cordons latéraux; par FUEIiSTNEB. (Neurol. Ce
ns latéraux plus ou moins altérés, quelle qu'ait été la forme de la lésion ini- tiale (dégénérescences descendantes, paral
laire spasmodique DE l'enfance INDIQUE-T-IL LE SIÈGE cérébral DE la lésion ; par Fr. ZIEHL. (Neurol. Centralbl., 1889.)
ous-arachnoidiennes. P. K. XVIII. Du GENRE et DE la fréquence des lésions DE la moelle dans la paralysie progressive ; pa
z quatre. Sur les six cas précédents, il y avait quatre exemples de lésions médullaires. ' P. K. ) , XIX. Contribution A
é de la moelle ; dégénérescence atrophique des nerfs périphériques, lésions inflammatoires, hémorrhagiques et scléreuses du
des lobes pariétaux est donc identique à celle qui se rattache aux lésions des cordons postérieurs. Cette dernière se comp
mme pos- sible de rattacher la forme observée par le rapporteur aux lésions des lobes frontaux du cerveau. M. RoTU, rappe
se. Parmi les signes convaincants du caractère systématique de la lésion médullaire, le plus important est la disposition
n médullaire, le plus important est la disposition symétrique de la lésion . Cependant ce signe ne doit pas être considéré co
s nettement péri- vasculaires et par conséquent se rattachant à des lésions diffuses possèdent également une tendance, non
iens syphilitiques des symptômes sembla- bles à ceux du tabes où la lésion médullaire n'est pas primitive parenchymateuse,
pliquer la guérison des maladies qui paraissent déterminées par des lésions organiques et qui en réalité se trouvent sous l
e se trouve contre-indiquée. Ainsi, par exemple, la vieillesse, une lésion organique du coeur, etc... sont-elles des contr
circonspect, mais que prises en elles-mêmes, la vieil- lesse ou une lésion organique du coeur ne constituent pas des contr
UN CAS DE PARALYSIE RADICULAIRE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE, AVEC LÉSION UËMILATËRALE DE LA MOELLE, D'ORIGINE TRAUMATIQU
les postérieurs de l'avant-bras, les extenseurs. La physionomie des lésions rappelle l'atrophie musculaire du type Duchesne
tômes se rencontrent dans la syringomyélie; ils, indiquent que la lésion atteint les cordons latéraux. Il s'agirait dans
dans la syringomyélie; ils doivent être sans doute attribués à la lésion du centre cilio-spinal. M. Bruhl les a ren- con
syringomyélique de la sensibilité ? Peut- elle être produite par la lésion d'un nerf périphérique ? Elle n'est donc pas sp
ion du nerf brachial cutané interne, et laissez-moi imaginer que la lésion originelle porte sur la première paire dorsale,
médian qui donne lieu à la même observation'. Eh bien ! une même lésion peut expliquer tous les phénomènes que le bras
omènes que le bras du malade nous a présentés. Admettez que cette lésion porte sur le premier nerf dorsal, et vous vous
spé- cial et ce syndrome est caractéristique non seulement d'une lésion radiculaire de la première paire dorsale, mais
lésion radiculaire de la première paire dorsale, mais encore d'une lésion portant sur cette paire ner- veuse au niveau du
le cubital. Mais ce n'est pas tout d'affirmer l'existence de la lésion et de la localiser, il faut en trouver la cause,
nt réalisées, puisque nous avons déterminé nettement le siège de la lésion rachi- dienne. . Nouvelle iconographie de la
l'avant-coin, ou le lobule quadrilatère droit ; c'est-à-dire que la lésion a lieu de l'autre côté et un peu plus en arrièr
e de suivre pas à pas les troubles fonctionnels correspondant aux lésions cérébrales, au sur et à mesure qu'elles se sont p
cérébrale, que les convulsions correspondent presque toujours à des lésions de la surface du cerveau ou des méninges, et le
de la surface du cerveau ou des méninges, et les paralysies, à des lésions centrales. Si ce fait laissait encore quelque d
les autopsies les plus scrupuleuses sont sté- riles, et lorsque des lésions sont apparentes, elles sont presque toujours d'
ion. De là des épilepsies plus ou moins étendues, correspondant aux lésions des parties TRAUMATISME AVEC PERFORATION DU CRA
à cette propriété qu'ils doivent leur effet sédatif. En résumé, les lésions trouvées à l'autopsie de ce cerveau, les signes
rémité postérieure, oit elles passent immédiate- ment du côté de la lésion . Moscou, juin 1889. DE L'APPAREIL NERVEUX CEN
tions peuvent être peu compliquées; mais nous n'y trouvons aucune lésion , du moins avec les moyens d'investigation dont no
cas, la maladie reconnaissait pour cause un traumatisme (9 fois une lésion du crâne et 1 fois un coup de feu à l'aine) : e
e, mais s'en séparant assez par la marche, - la gravité et même les lésions anatomiques pour mériter de ne pas être confond
clinique nous paraît insuffisante dans l'étude d'affections où la lésion cérébrale joue un rôle aussi considérable. M. M
a- lysie générale correspondent à une période déjà avancée de ses lésions anatomiques ; tant que l'on n'aura pas, à l'aide
ers de ramol- lissement. Du neuvième au onzième mois, on trouve des lésions plus diffuses. » On trouve donc d'abord comme
e à la para- lysie générale. M. Charpentier étudie à son tour les lésions macroscopiques variées, résultant de l'intoxica
atée chez 43 de ses paralytiques autopsiés. (Note sur la rareté des lésions viscérales dans la paralysie générale.) L'étu
l'autopsie les adhérences classiques de la pie-mère et en outre des lésions viscérales caracté- ristiques de l'alcoolisme (
s adhérences méningées. Les autres ne piésentaientni adhérences, ni lésions alcooliques, en dépit de leurs antécédents et d
tique dénommé paralysie générale sans qu'à l'autopsie on trouve des lésions caractéristiques de la paralysie générale, c'est-
lysie générale, mais il peut y avoir paralysie générale sans cette lésion caractéristique; 7° La théorie de l'intoxicat
erait de l'em- poisement chronique par l'alcool, aussi bien par les lésions ana- tomiques, que par les troubles de la sensi
sences des liqueurs peuvent être, d'après ces expériences, cause de lésions analogues à celles de la paralysie générale de
la paralysie générale des aliénés. Il considère au contraire que la lésion primordiale siège dans la cellule, en un mot qu
'en- céphalites parenchymateuses évidemment préexistantes à toute lésion interstitielle. M. JoFFROY répond qu'il a fait
de préférence les portions de circonvolutions dans les- quelles las lésions étaient le moins avancées, les lésions intersti-
utions dans les- quelles las lésions étaient le moins avancées, les lésions intersti- tielles lui ont alors paru peu accent
c'est l'élément noble, la cellule, qui est la première touchée. La lésion de la cellule est rarement seule, mais seule elle
esque constante des troubles de l'intel- ligence correspondant à la lésion de la cellule. Dans l'alcoolisme, la cellule es
t vrai qu'à l'autopsie le microscope décèle la coexistence des deux lésions , comme dans la paralysie générale, le mécanisme
t qu'un peu ou poin d'encéphalite interstitielle, mais pas trace de lésions parenchyma- teuses. M. Pierret prend acte de
erret prend acte de ce que M. Magnan vient de dire au - '.sujet des lésions qu'il a lui-même constatées dans les cellules, in
s dans les cellules, indé- pendamment de la question de date de ces lésions . M. MORDRET lit ensuite une observation de méni
éférences pour la théorie soutenue par M. Magnan qui fait jouer aux lésions vasculaires et interstitielles le rôle principa
e c'est là le substratum anatomique essentiel de l'affection. Cette lésion de la cellule doit être mise à l'étude, paral-
t justifier ces tentatives. M. RÉViLLET (de Cannes). Déformation et lésions pathologiques du ne : chez l'idiot. « Chez l'id
n sur un cas d'halluci- nations persistantes de la vue, liées à une lésion intra-crânienne et s'accompagnant d'atrophie de
e, qu'au point de vue de la physiologie psychologique. En outre des lésions de l'appareil oculaire, produisant une double h
atrophie de la rétine. Ce dernier fait tendrait à démontrer que des lésions dégé- nératives, tout aussi bien que des lésion
démontrer que des lésions dégé- nératives, tout aussi bien que des lésions irritatives, d'un appareil sensoriel peuvent ac
s. 1° Conclu- sions générales : 1° au point de vue de la nature des lésions . Les aliénés ne présentent aucune maladie ocula
stration tonique du coeur chez certains cardiaques qui, porteurs de lésions cardiaques en apparence composées, pré- sentent
rieure gauche et en particulier du pied. M. Oppenheim ? Un cas de lésion combinée des cordons de la moelle épinière dans
alanue, respiration haletante. Autopsie. Légère hydro- céphafe avec lésion combinée des cordons postérieurs latéraux et an
s latéraux et antérieurs de la moelle, mais de faible intensité. La lésion des fais- ceaux pyramidaux dans les cordons lat
it. On n'a pas examiné le pathétique, mais on a rencontré les mêmes lésions dans le noyau de l'oculo- moteur externe. Chez
alalgies par moments. Aucun symptôme tabétique. On diagnostique une lésion gommeuse du tronc de l'oculomoteur commun et du
fs intercostaux ? Faut-ily voir plutôt l'association fortuite d'une lésion gommeuse des deux nerfs oculo- moteur et trijum
90). M. Mam. Trois cas d'altération du nerf optique à la suite de lésions du lobe occipital du cerveau, présentation des pi
me, même a l'examen macroscopique, sur le nerf du côté opposé aux lésions . La troisième observation comporte une cécité toi
semaines après le début de la chorée. A l'autopsie, on trouvait des lésions de la paralysie générale. Sous le microscope, on
uenza, éprouvé une récidive. M. ËM)nNGHAUS. Y a-t-il là-dessous des lésions anatomiques. 11f. Krarv. - Nullement. M. FUER
oren- céphalie se compose de troisstades. Elle montre encore que la lésion de l'hémisphère droit entraîne une dégénérescen
nsibilité et de la motilité géné- rale se montrent surtout dans les lésions du cerveau antérieur, les altérations de la sen
érieur, les altérations de la sensibilité spéciale surtout dans les lésions du cerveau postérieur. Il y a aussi une bonne a
es changements de caractère, devenant hargneux et agressif dans les lésions antérieures, doux et tranquille dans les lésion
agressif dans les lésions antérieures, doux et tranquille dans les lésions postérieures du cerveau des animaux. Nous relevon
itères approximatives, qui permettent d'apprécier les résultats des lésions destructives du cerveau et Sapilli (d'Imola), f
amburini découvrirent en 1878 l'hémianopsie bilatérale homonyme par lésion du gyrus angulaire d'un côté et localisèrent le
sur la peau. Elle sera utile pour la médication topique de diverses lésions locales, en par- ticulier pour les dermopathies
s hémiopiques homonymes accompagnant ou précédant l'hémianopsie par lésion organique, dans la migraine, l'épilepsie et dan
t des branches au plexus brachial, ce qui arrive souvent, ou si les lésions intéressaient le plexus cervical, on aurait à c
e des symptômes nous permet de loca- liser exactement le siège delà lésion , siège situé dans un plan oblique passant en ha
une diminution de l'excitabilité faradique, ce qui montre que la lésion , tout en intéressant la cinquième racine du plexu
hésie décrite plus haut est devenue un symptôme pathognomonique des lésions radi- culaires brachiales totales depuis les tr
nt donnée la courte distance qui sépare ces derniers du siège de la lésion .' Dans le cas qui nous occupe, on a constaté un
es observations et recherches expérimentales de 111"° Klumpke, à la lésion du rameau com- muniquant du -grand sympathique
les du ganglion spinal ont été vus dans un cas d'herpès soster. Des lésions du ganglion cardiaque ont été trouvées en diffé
IV. Altération DE la bandelette OPTIQUE ET DU serf OPTIQUE dans les lésions du lobe occipital du cerveau, par C. Moeli. (.-11
1'Ch. f.Psych.,XXU,l.) 1.) . , Deux observations montrant que les lésions cérébrales du lobe occipital atteint pendant so
REVUE D'ANATOMIË ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 401 L'analyse des lésions consécutives et leur judicieuse interpréta- tio
lus petit, à la face inférieure du lobe moyen gauche. Puis, comme lésions récentes : une congestion généralisée de la subst
noisette, d'où le sang a fusé dans le quatrième ventricule. , Les lésions anciennes indiquent qu'il y a eu des congestions
e TOUTE spéciale ayant revêtu la FORME DE démence progressive, avec lésions AN ATOMIQUES parti- culières; par E.-A. HOMES.
a névroglie, des vaisseaux, des cellules, des fibres nerveuses, des lésions de la moelle, comparées aux altéra- tions que l
ossible, dès le principe, de rattacher l'aliénation men- tale à des lésions physiologiques ou anatomo-patholoiques. Il faud
la langue, sur toute la face y compris le front. On diagnostique : lésion du lobe frontal et peut-être de la protubérance
laces. On ne cons- tate aucun élément qui puisse faire rattacher la lésion à une l1émor- rhagie, à un gliome résorbé, à un
'à la surface. Reste l'hypothèse d'un ramollissement chronique sans lésion vasculaire primigène. Seuls Wernicke et Naunyn
, 1890 5. M.Oppenheim. Association de névroses fonctionnelles à des lésions organiques du système nerveux. Voy. Neurol. Cen
phénomènes du tabès étaient antérieurs au traumatisme, mais que la lésion accidentelle avait donné un coup de fouet à la
ssance. Toutefois d'autres cas sont dus à une peur soudaine ou aune lésion produite chez la mère pendant la gros- VARIA. 4
n 1891. P. A. Davis. Write (H.). On the position and value of those lésions of the braÍ11 which cause a rise of température
ies primitives de l'humeur, par Cramer, 142; de la vue liée à une lésion intra- crànienne, par Chaumier, 261. H1· : \I
Moelle épiniére, voies motrices de la-, par Rossolimo, 52, 189; - lésions de la substance grise de la - dans les lésions
solimo, 52, 189; - lésions de la substance grise de la - dans les lésions des cordons latéraux, par Fuerstner, 128 ; -
bregia, 134 ; affec- tions systématiques de la -, par Minor, 146; lésions combinées de la dans l'enfance, par Oppenheim
ar Delbrueck, 129 ; - altérations des - optiques à la suite de la lésion du lobe occi- - pital, par lI1oeli, 273; - raci
, 203. OPTIQUE, altération de la bandelette et du nerf - dans les lésions du lobe occipital, par Moeli, 'F00. Oreille,
he, par Sperling, 269 ; - générale, progressive, fré- , quence et lésions de la moelle dans la , par Iioeberlin, 129 ;
, par Targowla, 266. Strabisme, comme indication du siège de la lésion cérébrale dans la rigidité spasmodique de l'en-
88 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
tira à la formation de l'abcès cervical, qui évoluera cette fois sans lésions concomitantes du côté de l'endocrâne. Disons que
igastrique. Elle rappellera qu'à côté de l'abcès cervical, qui est la lésion visible, tangible, il existe une autre lésion end
ès cervical, qui est la lésion visible, tangible, il existe une autre lésion endocrânienne, latente, mais autrement grave. C
ndocrânienne, latente, mais autrement grave. Ce sont, en effet, ces lésions endocrâniennes, et non pas l'abcès cervical, qui
it spontanément soit à la suite d'interventions mtra-tympaniques avec lésion du canal demi-circulaire externe ou arrachement d
par Jansen, que l'infection du labyrinthe succède de préférence à une lésion de la fenêtre ovale ou aune érosion du canal demi
a caisse. Y a-t-il, en effet, fistule au niveau du promontoire ou une lésion de la fenêtre ronde? Le limaçon sera seul contami
pyohémiques au cours des vestibuhtes. En i883, Jansen a signalé une lésion intéressante qui doit souvent servir de trait d'u
emble résulter d'une observation de Schùlzke que l'évolution de cette lésion peut être absolument silencieuse. Voici cette obs
tions, dans un champ opératoire restreint et toujours modifié par les lésions de l'ostéite chronique. Voilà certes, de quoi ren
la caisse atteinte d'ostéite. Rarement, elles sont aussi liées k une lésion du sinus carotidien comme dans l'observation suiv
its. Il fallait en déduire que la première hémorragie provenait d'une lésion du sinus carotidien (1). L'ulcération de la car
s la région sous-ombilicale de la membrane. Elle indique toujours une lésion de l'attique — l'otite épi-tympa-nique — lorsqu'e
dans les otites suppurées chroniques. Dans les affections aiguës, la lésion du nerf réside au niveau de la portion tympanique
ysie faciale par compression endocrânienne, de celle produite par une lésion directe otitique, attendu que, presque toujours,
nt, à la paralysie faciale, qui ne se modifiait en rien, s'ajouta une lésion opératoire sérieuse et gênante, l'atrophie du tra
vec la dure-mère: elles peuvent donc servir de trait d'union entre la lésion otitique et l'infection endocrânienne. (Kôrner, M
al; elle se complique souvent de méningite, d'abcès cérébelleux comme lésion de voisinage, d'abcès multiples encéphaliques d'o
es de pyobémie otitique, l'une avec thrombo-sinusite, et l'autre sans lésions apparentes du canal sinuso-jugulaire. Cette derni
ermet d'apercevoir le golfe, il est difficile de se rendre compte des lésions existantes ; le curettage est très malaisé, parti
également susceptible de servir de trait d'union entre l'otite et la lésion dure-mérienne. On trouve, en effet, les foyers d'
si Ton considère que Y ostéite de la corticale endocrânienne est une lésion presque constante des mastoï-dites. A ce point de
exactement, sur le territoire cortical de la scissure calcarine. Leur lésion unilatérale produit l'hémianopsie latérale homony
rieure de la deuxième temporale. C'est le centre de Wernicke, dont la lésion produit la surdité verbale. Centre de l'auditio
s des mots est situé au niveau de la circonvolution du pli courbe. Sa lésion produit la cécité verbale. Centre de la vision
que occupent l'écorce de la convexité des deux lobes occipitaux. Leur lésion entraîne la cécité psychique qui met le malade da
qui occupe le pied de la troisième circonvolution frontale gauche. Sa lésion abolit «le souvenir du procédé qu'il faut suivre
ig, n'ont pas encore une signification physiologique déterminée. Leur lésion n'entraîne donc pas de trouble spécial. La sphère
ou aphasie motrice vraie, la surdité verbale et la cécité verbale par lésions de ces centres forment le groupe des aphasies cor
. C'est que, par suite de cette union intime des trois centres, toute lésion portant sur un point quelconque de la zone de Fre
ntit inévitablement sur les autres. (( L'aphasie motrice domine si la lésion siège au centre de Broca; la surdité verbale domi
i la lésion siège au centre de Broca; la surdité verbale domine si la lésion a détruit la partie supérieure de la première tem
upérieure de la première temporale; la cécité verbale domine avec une lésion du pli courbe, mais toujours en même temps on tro
s. » (( En d'autres termes, jamais de forme pure d'aphasie avec une lésion de la zone du langage, toujours altération de tou
avec altération plus marquée des images directement détruites par la lésion . » (Mirallié.) Substance blanche. — La substanc
r et intégrité de la notion du mot. Dans la cécité verbale pure, la lésion a détruit les fibres d'association qui retient le
et les circonvolutions. Il n'est donc pas étonnant qu'au début cette lésion reste absolutement latente, puisqu'elle atteint d
diaires, relevant de la topographie et de l'importance variable de la lésion . Depuis Bergmann, on range les symptômes des ab
era seulement une diminution de l'acuité auditive du côté opposé à la lésion cérébrale. D'après Korner, cette surdité d'origin
nt été posé, cette constatation permettait d'en préciser le siège. La lésion devait vraisemblablement occuper la partie postér
isemblance, à des phénomènes réflexes ou de compression, et non à une lésion du faisceau pyramidal lui-même. L'opération confi
ussi dans la coordination des mouvements. Il est donc probable que sa lésion doive se traduire par des troubles de l'équilibre
que, il sera impossible de déterminer si ces troubles dépendent d'une lésion centrale (faisceau de Turck ou cervelet), ou bien
néraux dus à une infection ou à l'hypertension crânienne, indique une lésion de l'écorce de la zone rolandique. Un malade de
née d'hémianopsie latérale homonyme. On doit en conclure alors que la lésion occupe la frontière occipito-temporale. L'inter
sie motrice pure dans l'abcès cérébral. Troubles de l'odorat. — Une lésion capable d'agir à distance sur la capsule interne,
smie. Ces troubles olfactifs siégeront toujours du même côté que la lésion cérébrale, étant donnée la non-décussation des fi
Après une hémi-extirpation du cervelet, on voit, du côté opposé à la lésion et à l'émergence du pédoncule cérébelleux supérie
euse chez l'homme semblent au contraire démontrés par ce fait que les lésions purement corticales du cervelet entraînent une at
misphères agissant plutôt sur les muscles des membres antérieurs. Les lésions localisées à l'écorce des hémisphères n'amènent a
s, si bien étudiées par Luciani et Thomas. Chez l'homme atteint d'une lésion du cervelet (abcès, tumeur), ou peut observer la
sale..................................................... 43 — sans lésions apparentes du rocher et du sinus.................
symptomatologie de l'abcès cérébelleux ne relève pas seulement de la lésion du cervelet. Elle traduit aussi des altérations d
t une intensité et une modalité presque caractéristiques, — non de la lésion cérébelleuse en elle-même, mais de sa topographie
papillaire, signe excellent de l'hypertension crânienne qui, dans les lésions du cervelet, se montre 89 fois sur 100, selon Dup
yeux, le nystagmus, l'exagération du réflexe patellaire du côté de la lésion ; parmi les seconds, nous citerons les paralysies
dérable dans les tumeurs du cervelet, qui ne s'accompagnent jamais de lésions labyrinthiques. L'ataxie cérébelleuse se caract
véritable hémiplégie, pouvant donner le change et faire croire à une lésion du cerveau. Drummond commit cette erreur sur un e
rvé la déviation conjuguée de la tête et des yeux du côté opposé à la lésion . Thomas établit on ces termes la physiologie pa
e patellaire est régulièrement et manifestement exagéré du côté de la lésion ... « Aussi, dit Jendrassik, presque dans tous les
la lésion... « Aussi, dit Jendrassik, presque dans tous les cas d'une lésion cérébelleuse avec abolition des phénomènes du gen
Ballance donnent à l'exagération du réflexe patellaire du côté de la lésion , à la parésie homonyme du membre inférieur et à l
plication endrocrànienne qui, comme nous le verrons, est rarement une lésion isolée. On arrivera ainsi à établir, non seulemen
solée. On arrivera ainsi à établir, non seulement le diagnostic de la lésion , mais souvent aussi celui de sa topographie. La p
rrhéiques, permettra de déceler les foyers d'ostéites révélateurs des lésions profondes encéphaliques. On doit donc la considér
que sûrement un abcès encéphalique; il s'agira presque toujours d'une lésion du lobe temporo-occipital gauche : 2° On soupço
mastoïdien achevé, on poursuivra l'intervention en se guidant sur les lésions osseuses. Si elles siègent sur le tegmen antri
ous les symptômes de localisation des abcès otitiques répondent à une lésion sous-corticale qui interrompt les différents fais
ade, et pour être sûr de le respecter au cas ou il n'offrirait pas de lésions concomitantes. Si on rencontrait le sinus en proc
ans l'enfoncer à plus de 2 I/a centimètres, pour éviter à coup sûr la lésion des noyaux centraux ainsi que des nerfs et vaisse
beaux travaux de Korner, que l'abcès cérébelleux est tout d'abord une lésion corticale, presque toujours en rapport avec un fo
t chirurgical. Thèse de Paris, 1896. Deciiaume-Moncfiarmont (F.), Des lésions des sinus veineux dans les traumatismes du crâne.
uberculeuses. Thèse de Paris, igo3. Luys (G.), Considérations sur les lésions traumatiques des sinus de la dure-mère. Thèse de
hebdomadaire, rgoo. Napieralski (Th.), Le vertige voltaïque dans les lésions de l'appareil auditif. Thèse de Paris, igor. Ok
re seront, dans chaque cas particulier, en rapport avec l'étendue des lésions osseuses. La figure i reproduit seulement le poin
qui appartiennent au groupe sinuso-digastrique. C'est là que siège la lésion osseuse dans la mastoïdite de Bezold (mastoïdite
89 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
avec des résultats obtenus du traitement. Que l'on considère les lésions anatomo-pathologiques des maladies sys- tématis
a névroglie. Dans les formes interstitielles de l'inflammation, les lésions sont les mômes, mais elles se produisent dans l
xiques par la suspension se rencontrent chez les mala- des dont les lésions ne sont pas encore trop avancées. Dans les périod
moins, dans les dégénérescences secondaires et dans les maladies à lésions disséminées. En effet, dans les maladies à lésion
s les maladies à lésions disséminées. En effet, dans les maladies à lésions systématiques, . les symptômesmorbides sont la
x intacts et la suspension peut devenir utile même dans les cas des lésions en foyer avec dégénérescence secondaire d'autan
stèmes. Ceci paraît improbable à première vue. Il paraîtrait que la lésion étant la même, l'ac- tion devrait être identiqu
ale amyotrophique où on trouve des paralysies spas- modiques et des lésions des cellules des cornes antérieures, les résultat
. 891, 1859. FIUClJ ! OEICJI. Wratsch, 8, p. 191, 1890. - Lombroso. Lésions produites chez les animaux soumis à la suspensi
, qui dans ces cas élèvent la température. Il n'existe pas alors de lésion matérielle à proprement parler et l'explication n
spécial des fonctions nerveuses et la dépendance non nécessaire de lésions anatomiques appréciables, considérant l'apyrexie,
ns. Les examens les plus minutieux ne permirent pas de découvrir de lésion orga- nique. Qu'avait donc la malade ? Est-il p
souffert du tout : de sorte que, non seulement on ne trouva pas de lésion viscérale, mais encore on peut affirmer qu'eu éga
t 41° 3. Pendant la période fébrile, on ne put point reconnaître de lésion viscé- raie. L'hyperthermie céda brusquement et
n que chez une hys- térique il peut se développer des maladies avec lésion , surtout quand c'est un cas exceptionnel. . L
d'élément pathologique dans l'urine confirma la non exis- tence de lésion rénale et je crois que dans des cas analogues d'a
T.'ATII1;TOS); DOUBLE. 77 Déformations du tronc et des extrémités. Lésions articu- laires, etc. Déviations de la colonne v
hiques osseux sont inconnus dans l'athétose double, en revanche les lésions articulaires survenant en conséquence des mouve
jà, cela va sans dire, la maladie est constituée anatomiquement; la lésion spinale existe. Le mot prodromique caractérise
t d'un homme âgé de 28 ans qui a débuté dans le tabes par de graves lésions articulaires. Son histoire est assez simple. Bien
son lit. Or il n'existe chez lui, nous nous en sommes assuré, aucune lésion organique du conduit de l'urèthre ni de la vess
s qui, sans nul doute, répondent à des lo- calisations précises des lésions médullaires dont on déterminera la topo- graphi
me reste plus qu'à vous rappeler en quelques mots quelles sont les lésions anatomiques qui se traduisent par les manifestati
s vertèbres, altérations qui entraînent souvent, comme on sait, des lésions médullaires consécutives. Les autres déviations n
compression spinale, au moins dans l'immense majorité des cas. Des lésions médullaires consécutives aux déviations rachidien
rtain degré de méningite, parfois signalée comme accompagnant k les lésions spinales caractéristiques, on encore un processus
. Los doigls présentent des déformations qui paraissent tenir à des lésions des articulations interphalangiennes, et sont p
réso-analgésie... Elle ne paraît pas en rapport avec l'existence de lésions artlwopatliques des membres... En revanche, il y
ans un intéressant travail, a réuni trois cas, observés par lui, de lésions vertébrales chez des tabétiques. Ainsi qu'il le r
variété très particulière, un groupe homogène, qui ressortit à des lésions anatomiques bien définies. A côté de celte vari
re, par pneumonie. L'autopsie et l'examen histologique révèlent les lésions tabétiques des cordons postérieurs. En outre, l
ion ». A l'autopsie, sclérose des cordons postérieurs de la moelle. Lésions intenses des racines postérieures lombaires et
ent sont succinctes en ce qui concerne les caractères cliniques des lésions rachidiennes. Le mode de début est in- téressan
on. pratiquée pendant cette ma- noeuvre, ne décèle nettement aucune lésion , aucune mobilité anormale des corps vertébraux.
sentent des analogies frappantes. Par leurs traits essentiels, les lésions ta- bétiques du rachis, arthropathies et fractu
as suspendu leurs occupations habituelles quand s'est manifestée la lésion rachidienne. Le début est brusque. Presque su-
noeuvre, des craquements nets. Le rachis peut être, au-dessus de la lésion fondamentale, diversement dévié, surtout dans l
mme aux os du tarse. Voici comment Pitres et Vaillard décrivent ces lésions dans l'observa- tion de Bad... « La colonne v
E LA SALI'1 ? l'RfliG. tèbres lombaires qu'existent les plus graves lésions . La première est pres- que totalement détruite.
s. Ce n'est là qu'une hypothèse. II. Déviations ne relevant pas tic lésions osléo-arllrrohatiyues localisées. Indépendammen
re, les affections médullaires énumérées s'accompa- gnent toutes de lésions systématisées, bilatérales, sensiblement symélri-
. 161 Ainsi qu'il était naturel de le penser, c'est dans les cas de lésions mus- culaires bilatérales, symétriques, que se
iations antéro- postérieures : cyphose ou lordose. Au contraire des lésions musculaires unilatérales, asymétriques, entraîn
t été observées surtout, sinon même ex- clusivement, il la suite de lésions paralytiques, la scoliose, au contraire, est pl
en- sation dorsale. Si les muscles spinaux dorsaux participent à la lésion , il se produit une seule et longue courbure lat
iations. Ces déviations se produisent dans le plan médian, quand la lésion porte sur les muscles extenseurs ou fléchisseurs
e présente pas d'altérations notables, nous n'a- vons pas trouvé de lésions cardiaques chez nos malades ; les désordres car-
l'hydrocéphalie avec idiotie. Il est évident que l'absence de toute lésion constatée à l'autopsie rend ab- solument inutil
rès adhérent. Peu à peu la croûte se dessèche, devient noirâtre et la lésion se termine par une cicatrice brunâtre à bords b
Charcot Nous nous sommes enfin demandé s'il ne s'agissait pas là de lésions air- tificiellement provoquées par des brûlures
ssé de la voir avant sa complète guérison. Bibliographie bornée aux lésions gangreneuses de la peau survenant chez les hysté-
s ces conditions ; le phénomène inverse prouve- rait à coup sûr une lésion surajoutée à la contraction musculaire, el le p
les faits rapportés que de pures coïncidences. La pathogénie de ces lésions osseuses est en tous cas mal connue. Cer- tains
mann (8). Peut-être y aurait-il lieu parfois de rechercher dans les lésions médul- laires associées à la vésanie l'agent in
12. (5) Biaute, Annales méd. psych., nov. 1876. (6) Voir Talamon, Lésions osseuses et articulaires liées aux maladies du sy
cique devenue quadrangulaire, (1) Ilallion, Myopathie primitive des lésions osseuses ; fracture spontanée probable; France
ropathies tabétiques, bien ca- ractérisées par des symptômes et des lésions d'un genre particulier. 2° Les déviations verté
révèlent v 15 218 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. une lésion plus ou moins localisée des vertèbres.; Rien de p
qu'elles appartiennent surtout à des affections systématisées, avec lésions le plus souvent symétriques. Ce sont : la syringo
tte partie, où l'on a voulu localiser des centres vaso-moteurs, des lésions nerveuses capables de causer une altération des
s seraient frappés cha- cun pour leur compte. Rien ne prouve que la lésion nerveuse soit néces- sairement la première en d
t-hémiplégi- que qui suit si fréquemment l'hémiplégie infantile par lésions cérébrales. Dans ce cas l'état mental souvent a
as- similation qu'il conviendrait, d'après lui, d'établir entre les lésions céré- brales infantiles qui entraînent l'athéto
s d'abord que Hammond supposait dans l'athétose l'exis- tence d'une lésion des ganglions intra-crâniens et de la portion sup
ive qui, elle aussi, n'est pas précédée des signes ordinaires d'une lésion cérébrale. Il existerait entre l'athétose doubl
est de 8 y compris les nôtres. On peut dire qu'on n'a pas trouvé de lésions constantes jusqu'à présent, ce sont des lésions
n n'a pas trouvé de lésions constantes jusqu'à présent, ce sont des lésions organiques, variables ou banales, quoique dans le
faisceaux pyramidaux et les circonvolutions n'ont rien révélé comme lésions . Dans les faits de Putnam, la première autopsie
à faire usage. L'examen macroscopique n'a fait reconnaître aucune lésion ; l'examen microscopique ayant porté sur la par
triés et la capsule interne présentent une disposition normale sans lésion appré- ciable. La moelle examinée à l'oeil nu s
grise était intacte. En somme, absence, variabilité et banalité des lésions , ainsi peuvent se résumer nos connaissances au
- tose double. En ce qui concerne le mécanisme suivant lequel les lésions , lorsqu'on en a constaté, peuvent produire l'at
qu'il s'agit de savoir quels peuvent être le siège et la nature des lésions . Massalongo, tout récemment, pense qu'il s'agit
la première fois par Clay-Schaw est une véritable entité morbide, à lésion probablement cérébrale mais encore inconnue ou
être dans le même cas, sans vouloir préjuger de la localisation des lésions chez l'une et les autres. Si nous nous rappelon
lmonaire. Autopsie le 17, 24 heures après la mort. Tète. - Pas de lésion du cuir chevelu. Les bosses pariétales et frontal
s adhérente à sa surface interne, est lisse et ne présente point de lésion . Les fosses frontales, temporales, occipitales
rofonds : les bords des circonvolutions sont un peu carrés ; pas de lésion apparente ; pas d'aspect chagriné des circonvolut
odeur gangréneuse très prononcée. Poumon gauche (120 gr.), pas de lésion . Coeur (60 gr.). -Pas de liquide dans le périca
uelques caillots dans les cavités ; trou de Botal oblitéré ; pas de lésion d'orifice, péricarde normal. Estomac. Pas de lé
litéré ; pas de lésion d'orifice, péricarde normal. Estomac. Pas de lésion ; la muqueuse forme des plis nombreux dus à la
S. 1° L'athétose double paraît être une affection autonome, sur les lésions de laquelle nos connaissances actuelles en anat
ois aux divers orga- nes encéphaliques, et aux principaux genres de lésions qui les peuvent frapper. Or, il est constant
. Or, il est constant que le cerveau par exemple peut présenter des lésions du foyer, c'est-à-dire collectées dans une même
330 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTIUHHM. moins étendue, et des lésions disséminées en des régions très distinctes et p
omine le tableau clinique et commande les symptômes. S'agit-t-il de lésions du foyer ? la maladie offre d'ordinaire un type r
rdinaire un type régulier, unila- téral ou symétrique. S'agit-il de lésions disséminées ? tout est sans aucun ordre, sans l
et souvent très étroitement de celle qui se rattache aux maladies à lésions matérielles. La ressemblance est parfois si fra
teurs soient étudiés parallèlement avec les iésions en foyer et les lésions disséminées de l'encéphale. Aux lésions en foye
les iésions en foyer et les lésions disséminées de l'encéphale. Aux lésions en foyer sera consacrée la première partie de c
ions en foyer sera consacrée la première partie de ce travail ; aux lésions dissémi- nées, la deuxième partie. Avant de c
méde- cin à décider si tel syndrome est le fait de l'hystérie ou de lésions nerveu- ses organiques. C'est surtout vrai lors
rganiques du système nerveux; il en a fourni deux exem- ples où les lésions avaient suivi l'hystérie (1), le professeur Grass
) ont rapporté plusieurs observations où l'hystérie avait suivi les lésions . La thèse de Souques vient par de nouveaux fait
une analogie de siège anatomique, et, mutais mutandis, localise la lésion dynamique, d'après les données four- nies par l
lésion dynamique, d'après les données four- nies par l'examen de la lésion organique correspondante. Et ceci nous conduit
HYSTÉRIE SIMULATRICE DES MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE AVEC LÉSIONS EN FOYER Chez l'enfant comme chez l'adulte, les
ÉPHALE AVEC LÉSIONS EN FOYER Chez l'enfant comme chez l'adulte, les lésions du foyer, variables dans leur nature et dans le
ient évidemment la première place par l'importance et le nombre des lésions dont il est le siège ; mais chez l'enfant, la par
ge ; mais chez l'enfant, la participation de l'écorce cérébrale aux lésions du cerveau est une règle plus constante que che
en premier lieu, avec leurs syndromes hystériques simulateurs, les lésions en foyer de l'écorce cérébrale cliez les enfants,
ire sur un sujet aussi vaste. Nous aurions voulu parler ensuite des lésions du cervelet et des formes d'hystérie qui pouvai
ions du cervelet et des formes d'hystérie qui pouvaient simuler ces lésions . Mais les fonctions de cet or- gane sont encore
ose simu- latrice qui sont encore à trouver. En ce qui touche les lésions des pédoncules cérébraux et de la protubé- ranc
s la première partie de notre travail, en faisant remarquer que les lésions de l'appareil de la vision peuvent servir de tran
la vision peuvent servir de transition natu- relle entre les vraies lésions en foyer de l'encéphale et les lésions dissémi-
natu- relle entre les vraies lésions en foyer de l'encéphale et les lésions dissémi- nées des méninges, dont les rapports a
orce cérébrale. De même que nous avons déjà choisi dans l'étude des lésions en foyer du cerveau l'étude plus spéciale des l
s l'étude des lésions en foyer du cerveau l'étude plus spéciale des lésions de l'écorce et de l'hystérie simu- latrice corr
us allons faire encore un nouveau choix et ne considérer, parmi les lésions corticales du cerveau, que celles des localisa-
certains que les centres moteurs dont on peut prédire à coup sûr la lésion correspondante par le tableau du syn- drome rév
allèlement les syndromes hystériques simulateurs de chaque forme de lésion des cen- tres moteurs. Or, ces formes varient
tres moteurs. Or, ces formes varient surtout suivant l'étendue des lésions : c'est ainsi que les hémiplégies totales d'ori
ue les hémiplégies totales d'origine corticale sont produites par des lésions étendues de la zone motrice. Les paralysies p
rice. Les paralysies partielles sont produites au contraire par des lésions li- mitées des mêmes circonvolutions (Charcot e
t nos divisions relatives aux syndromes hystériques simulateurs des lésions corticales du cerveau. (1) Charcot et Pitres, L
es facteurs essentiels « la participation de l'écorce cérébrale aux lésions (abstraction faite de la nature et même de la loc
qu'on la retrouve dans l'article de M. Marie. La prédominance des lésions corticales et de l'atrophie partielle du cer- v
rmettront de fixer le diag- nostic en faveur de la névrose ou de la lésion organique. Après ce double travail, l'interprét
(2). L'atrophie des membres peut faire complètement défaut dans les lésions corticales des enfants : c'est la règle la plus
e, bien qu'on la considère le plus souvent comme symptomati- que de lésions cérébrales, peut se rencontrer néanmoins dans d'a
hèse (1878), distinguait une forme primitive, indépendante de toute lésion nerveuse organique. La thèse récente de Michaïl
ue l'hémiathétose, elle a perdu son droit de cité exclusif dans les lésions organiques des centres ner- veux. M. Raymond lu
rquable thèse (1875), à côté des cas d'hémichorée où il a trouvé la lésion classique de la capsule in- terne, signale beau
res cas où les mouvements choréiformes étaient le résultat d'autres lésions , ce qui n'est pas fait pour augmenter le prestige
qu'à plus ample information dans le cadre des symptômes propres aux lésions orga- niques. Quand elle existe dans l'hémipl
spasmo- dique infantile, on n'hésiterait pas à se prononcer pour la lésion organi- que des centres nerveux. Mais les dif
n, et de là, chez ses parents. Le médecin appelé ne constata aucune lésion des téguments, ni fracture, ni entorse; mais il
qu'au premier abord on est tenté de considérer comme atteint d'une lésion cérébrale organique à forme hémiplégique et à c
oche du type clinique de l'hé- miplégie spasmodique infantile, avec lésions organiques; 2° Par quels signes il s'en éloigne
la disproportion entre l'impotence fonctionnelle du ma- lade et sa lésion supposée, les hémiplégiques de cet ordre pouvant
eu de rejeter l'idée d'une hé- miplégie spasmodique infantile, avec lésions organiques du cerveau. Il restait donc à discut
e pariétal droit, très près de la ligne moyenne de la tête. Cette lésion est la dernière reçue par notre malade, et le poi
st pas accom- pagnée de myosis, de cataracte, ni d'astigmatisme par lésion de la cornée, chez un individu qui n'est pas âg
line, des fibres nerveuses et la formation de substances colloïdes, lésions qui seraient le résultat d'une secousse violente
s quelques-uns de ces cas, le trouble nerveux est le résultat d'une lésion réelle des tissus produite par le choc cérébral
d. Quand on coupe le grand sympathique, les vaisseaux du côté de la lésion se dilatent; en fara- disant le bout périphériq
pide. Il en ressort que l'hémorrhagie cérébrale doit être suivie de lésions curables et incurables. Le choc est un état passa
légie cérébrale est due à un ef- fort régénérateur de la nature. La lésion de l'hémorrhagie est énorme, le travail régénér
rme, le travail régénérateur de la nature doit être énorme comme la lésion et la résultante de ce travail lui doit être ég
es résultats de la faradisation de la région claviculaire. Moins la lésion est prononcée, plus notre traitement est effica
90 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
e service, des cas de diarrhée cll1'o- nique, séreuse, en dehors de lésions graves de l'in- testin et d'autres liées, au co
sions graves de l'in- testin et d'autres liées, au contraire, à des lésions graves, telle que la tuberculose intestinale. N
isphères sont égaux et mesurent 16 cent, et demi de longeur. Aucune lésion ni 28 CONCEPTION durant la folie. anomalie de
érieur, congestion manifeste. A gauche, le lobe inférieur offre les lésions de la broncho-pneu- monie ; il est dense, friab
misphère cérébral droit, sans qu'on puisse en inférer qu'il y a une lésion sérieuse. « Il faut bien se rappeler, dit Cruve
n collaboration, un certain nombre d'exemples de ces deux genres de lésions , si intéressantes et de cause tout à fait diffé
anormalement ouverte. On prévoit qu'il doit y avoir là un début des lésions que nous allons trouver très intenses sur l'hém
et de la pariétale ascendantes, en haut et en bas, on constate les lésions de la méningo-encé- phalite. Lobe pariétal. -
e la pariétale infé- rieure, ainsi que sur le lobule du pli courbe, lésions pronon- cées de méningo-encéphalite. Ce dernier
du lobe pariétal et du lobe temporal jusque dans le lobe occipital. Lésions méningitiques très limitées. Lobe temporal. - R
tiques très limitées. Lobe temporal. - Rien à noter si ce n'est les lésions de méningo-encéphalite sur toute la temporale s
tes les circonvolutions de cette face inférieure sont normales avec lésions de méningo-encéphalite sur la partie moyenne du
e considérable de la couche optique et du noyau caudê. A part cette lésion , la face externe du cerveau ne présente rien de
les circonvolutions (Planche I). Sur la face interne rien à noter. Lésions de méningo- encéphalite sur la moitié antérieur
nous paraissent suffisantes' pour démontrer la congé- nialité de la lésion qui a abouti à la production du pseuclo-13.ste
à notre avis, la conséquence et non l'origine. IV. C'est à cette lésion que se rattachent l')témi-. 56 PS)JUDo-POItçNCF
apidement de plus en plus fré- quents, nous semhlent relever de ces lésions bien plutôt que de la pseudo-porencéphalie. C'e
ement mécLico-péclagoyiq7.ce. La coexistence, clans ce cas, d'une lésion congénitale en foyer avec hémiplégie compliquée
ne présente rien d'anormal. Tout le lobe temporal (et c'est là la lésion essentiellement im- portante de notre observati
mporo-occipital, la moitié antérieure présente exactement les mêmes lésions que nous avons constatées sur la face externe,
temporo-occipital de la face inférieure. - On se souvient qu'à ces lésions correspond une atrophie marquée, des tubercules
i- ques, de la protubérance et de la pyramide bulbaire. Autopsie, lésions pulmonaires, etc. 61 Hémisphère gauche : Face e
it, sur la moitié antérieure du lobe temporo-occipital, les mêmes lésions que nous avons signalées sur la face oxterne, ell
ues que du côté droit. Nous avons donc, sur l'homsphëre gauche, une lésion sem- blable à celle de l'hémisphère droit et sy
sans sclérose ni agénésie, ce qui est en rapport avec le siège des lésions . Mensurations de la tête. Porencéphalie vraie
ans nombre de cas analogues, il est probable que, chez Vois..., les lésions relevées à l'autopsie sont congénitales. La gra
la remarque judicieuse de Cru- veilhier, que « chez le foetus, ces lésions peuvent être portées, sans occasionner la mort,
(1). » Ainsi qu'il arrive fréquemment, en semblable occurence, les lésions sont cloubles et symétriques. (Voir p. 70, 71,
rconvolutions complètement anormale et tenant à la pré- sence d'une lésion ayant frappé le milieu de cette face, la région
ayant frappé le milieu de cette face, la région rolando-sylvienne, lésion que nous allons d'abord décrire. La scissure de
ontale dans le ventricule latéral correspondant. Il s'agit là d'une lésion bien définie sur laquelle nous aurons l'occasio
n' qui semblerait au premier abord être de même nature que : ° la lésion précédemment décrite. Cette deuxième racine, en
ut simplement déviées de leur trajet nor- mal par la présence de la lésion porencéphalique. La frontale ascendante serait
à étudié. - La couche optique, CO, et le noyau caudé, NC, sont sans lésion . Face inférieure. Elle n'offre rien de bien int
ement, qui consiste en une porencéphalie. vraie et le comparer à la lésion pathologique, la pselUlo-po1'encéplwl ie, obser
ologique, cotte observation nous permet de décrire à nouveau, une lésion anatomique, sur laquelle nous avons eu maintes
titude de nos descriptions antérieures. Puis nous comparerons cette lésion une autre qui peut la simuler - mais grossièrem
ORENCÈPHAME vraie et pseudo-porencéphalie. décrit minutieusement la lésion de l'hémisphère, cérébral gauche, que nous avon
développement. Les différents processus pathologi- ques donnent des lésions qui peuvent plus ou moins simuler la porencépha
rencéphalie. Essayons de montrer comment les caractères même de ces lésions vont expliquer leur processus d'évolution, ou,
es termes, comment l'évolution va justifier les caractères de ces lésions et leur donner, dans l'un ou l'autre cas; un ca
ent pas ou qu'elles ont été déviées de leur trajet normal. 5° Les lésions que nous qualifions de çépltnlie peuvent être c
férence et non la moins importante, qui sépare ces deux genres de lésions . Quel est le processus pathologique capable d'a
eilhicr, il s'agirait d'encéphalite; d'autres auteurs invoquent des lésions hémorrhagiques. Nous croyons qu'il s'agit là de
d'ordre vasculairc et nous nous basons sur- tout sur le siège de la lésion qui occupe presque tou- jours la région périsyl
vec une légère prédominance pour le côté gauche de la moelle.' La lésion est faite sur un type assez spécial : en effet, l
asculaires (septa et septula des fais- ceaux blancs) semble être la lésion principale ; en effet les tubes nerveux sont tr
s axes. Pour terminer l'exposé des carac- téres histologiques de la lésion , nous ajouterons que cette lésion est ancienne,
arac- téres histologiques de la lésion, nous ajouterons que cette lésion est ancienne, datant, au moins, de plusieurs mois
e pour caractériser un processus jeune et en pleine évolution. La lésion , ainsi constituée, n'est point limitée au fais-
-IALITB; examen microscopique. 81 ou moins sclérosés. Là encore, la lésion paraît être de date ancienne. Par contre, si
élinique. En résumé, nous croyons pouvoir affirmer l'existence de lésions médullaires déjà anciennes, qui ne paraissent p
ires déjà anciennes, qui ne paraissent plus en train d'évoluer. Ces lésions consistent dans l'épaississement des septa et s
s corticaux trop nombreux pour permettre une étude systématique des lésions . Nous avons pratique des coupes sur quelques fr
ouches plus profondes de la méninge révèle un autre aspect. Là, les lésions paraissent être en pleine activité : les amas c
stituantes. Il est, d'abord, facile de constater que le maximum des lésions commence au-des- sous de la couche moléculaire
eurs fragments de l'hémisphère droit, qui présentait le maximum des lésions visibles à l'oeil nu. En certaines régions, not
picro-carmin de Ranvier et par l'hématoxyline alunée de Boehmer. Lésions méningées. - Les méninges molles (pie-mère et a
ale, on peut dire que leur épaississement marche de pair avec les lésions corticales sous-jacentes. Remarquons aussi sa g
e a été un épaississement assez considérable des méninges molles. Lésions corticales. - Les lésions corticales nous ont p
assez considérable des méninges molles. Lésions corticales. - Les lésions corticales nous ont paru se présenter suivant d
ments jusqu'au niveau des cellules pyramidales; mais le maximum des lésions siège nette- ment au niveau des fibres tangenti
aire), et au niveau de la région dorsale, ne présente guère que des lésions d'ordre dégé- nératif. Ainsi, le faisceau pyram
ation et la percussion des pou- mons et du coeur ne décèlent aucune lésion . Abdomen régulier ; rien à la percussion du foi
ans notre climat, pour s'assurer de la réalité de la mort. V. Les lésions constatées à l'autopsie peuvent se résumer ains
n retrait par rapport à la surface des circonvolutions voisines. La lésion intéresse environ deux centimètres de la longue
res. Face interne. - On trouve, comme nous l'avons dit, les mômes lésions de sclérose atrophique, intéressant les trois q
latéral, la couche optique (CO) et le corps strié n'offrent aucune lésion . - Signalons l'épaisseur considérable des deux
ent moteur. Microscopiquemenl, il a été impossible de trouver des lésions . La pie-mère et les vaisseaux ne sont pas épaissi
itablement les IDIOTIE, ÉPILEPSIE, ENTÉRITE CHRONIQUE. 109 graves lésions destructives des lobes frontaux et l'arrêt de d
persistance de la fontanelle antérieure. - Description du cerveau : lésions des circonvolutions ; - hydrocéphalie ventricul
et nullement nerveux. - Mère, morte à 47 ans, probablement d'une lésion organique du coeur. Elle était plus âgée que son
e du lobe occipital. Nombreuses adhérences sur le lobe pariétal. La lésion atrophique est surtout intense au ni- veau du p
opsie, du reste, ne révèle aux viscères (sauf à l'encéphale) aucune lésion macros- copique. V. Les lésions de l'hémisphè
scères (sauf à l'encéphale) aucune lésion macros- copique. V. Les lésions de l'hémisphère gauche, au niveau de la zone mo
ès-violent, atteint d'une arthrite du genou droit ; il présente des lésions de syphilis héréditaire oculaire reconnues par
tations diverses de la syphilis héréditaire, mais rare- ment des lésions cérébrales aboutissant à l'idiotie ou même à l'
même à l'épilepsie. Chez notre malade, l'autopsie n'a décelé aucune lésion macroscopique de nature syphilitique. III. L'
démence épileptique, tandis que dans un autre groupe on trouve des lésions de méningo-encépha- lite très prononcées, en ét
rrénale droite (5 gr.) ; capsle sur- rénale gauche ('t gr.), aucune lésion macroscopique. Gan- glions mésentérirlues engor
les rapprochés. Cette diarrhée nerveuse ( ? ) n'était liée à aucune lésion macroscopique de l'intestin. V. Il ne nous rest
ns anatomo-pathologiclues afin de faire connaître les différentes lésions qui produisent les idioties. Nous serons moins
réagissant bien il la lumière. Aucun trouble fonctionnel, aucune lésion des yeux. Le champ visuel est naturel. D... con
forme grave de l'épilepsie. Thèse de Paris. COULBAUT (G.). - Des lésions de la corne d'Ammon dans l'épilepsie. Thèse de
91 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
ifférant les unes des autres par des symptômes cliniques et par des lésions anatomo-patho- logiques. A côté des idioties pa
ralisée, rappelant tout à fait par ses caractères anatomi- ques les lésions de la paralysie générale. Nous avons eu l'occas
natomie pathologique, nous nous bornerons à noter : 1° l'absence de lésions sur la partie su- périeure des circonvolutions
es lé- sions de la substance grise; la singulière disposition des lésions du corps strié; 3° l'absence de dilatation des ve
l'absence de dilatation des ventri- cules latéraux; 4° l'absence de lésions de l'isthme et du cervelet. Enfin, contrairem
rose tubéreuse ou hypertrophie- que ; - caractères; - distribution. Lésions des corps striés. - Lésions rénales. Hépatisati
- que ; - caractères; - distribution. Lésions des corps striés. - Lésions rénales. Hépatisation pulmonaire. Boni..., Erne
olli sur une faible épaisseur à ce niveau. Le restedu lobe offre la lésion d'une pneumonie franche au début; le tissu ne c
s arborisations vasculaires. Hémisphère droit. Il n'existe pas de lésions sur les cir- convolutions orbitaires, Les diffé
anche. A côté de la netteté macroscopique et de la similitude des lésions qu'on a pu trouver jusqu'ici en pareil cas, nous
. 69.) Celui qui va suivre est d'autant plus intéres- sant, que les lésions étaient parvenues a une période très avancée de
mets sont sains. Le coeur pèse 170 gr. et n'est le siège d'aucune lésion valvulaire ; quelques caillots cruoriques dans l'
cule droits, du sang fluide dans le gauche ; rien à l'aorte. Aucune lésion de l'oesophage, de l'estomac ni de l'intestin g
culeuse, que la diarrhée n'a laissé aucune trace (1) et passons aux lésions cérébrales qui, à notre avis, méri- tent tout p
t indurée. (Dans la Planche I, M. Leuba a bien rendu l'aspect des lésions que nous avons décrites). C'est, croyons-nous,
ites). C'est, croyons-nous, la première fois que l'on signale des lésions de ce genre chez un enfant de douze ans ; tout le
ieurs mois par la mort, et dans lesquels nous n'avons relevé aucune lésion macroscopique. Nous publierons prochainement un
l rappelle trois cas de para- lysie générale où il a trouvé la même lésion , caractérisée par la sé- paration de la substan
rc le cas qui précède, nous en possédons d'autres, dans lesquels la lésion était aussi accusée mais plus circonscrite. M
175 grammes chacun, se décortiquent facilement et n'offrent aucune lésion à l'oeil nu. Aucune al- tération de la uessie n
elles ont été en déclinant, en même temps que sont survenues les lésions articulaires. Vers 1875, les accès d'épilepsie
ueuse est épaissie, noirâtre, avec de nombreuses arborisations. Ces lésions sont surtout mani- festes du côté droit. Les ga
lésés. Le tissu encéphalique est ferme ; nulle part on ne trouve de lésions ou de foyers, non plus que d'anomalies dans la
Bien que survenues dans le cours d'une ataxie, nous pensons que les lésions articulaires no sont ici autre chose que les ma
tion par plaques des surfaces osseuses; telles sont les principales lésions que nous avons rencontrées dans le cas actuel ;
ux, et, au niveau do ces jointures, même nature et même degré de la lésion , c'est- à dire : tuméfaction, gêne des mouvemen
on que de l'état anatomique, les véritables caractères que revêt la lésion articulaire, d'origine médul- laire, tels que l
és : « l'une dans laquelle l'atrophie serait, pour ainsi dire, la lésion capitale; l'autre, dans laquelle il y aurait une
pathies, a permis d'établir un départ nettement tran- ché entre les lésions propres à chacune de ces deux affec- tions. Tou
ÉPILEPSIE SYMPTOMATIQUE. Hémiplégie. - Epilepsie symptomatique. -- Lésions du lobule de l'insula; par \I\I. l3or,avcvrr.ri
du lobule de l'insula; par \I\I. l3or,avcvrr.ri eV Bonnaire. Les lésions limitées exclusivement au lobule de l'insula so
sivement au lobule de l'insula sont très rares ; le plus souvent la lésion intéresse, à des degrés divers, les circonvolut
le cas qu'on va lire et que nous publions à titre de document - la lésion avait détruit entièrement toutes les digitation
uit le lobule de l'insu la à droite. - Dégénérations seconda.ires.- Lésions pulmonaires. Carr... François, âgé de 54 ans,
t de l'ictus primitif, le malade n'a présenté d'autres symptômes de lésion encéphalique, durant ce laps de temps, que des
est constitué par un putrilage gris ardoisé, avec un liquide sa- LÉSIONS DU LOBULE DE L'iNSULA. 81 nieux, noirâtre et fé
Surcharge graisseuse principalement sur la face antérieure. Pas de lésions valvu- laircs. Le ventricule gauche renferme un
; Fig. 2. C, Corps calleux. - CS, Corps strié. z 0, Couche optique. LÉSIONS CONSÉCUTIVES. 83 paroi du ventricule latéral es
3). Sur la coupe des masses centrales grises, on ne découvre pas de lésions en foyer. La capacité du ventricule est peu sen
restait forte ; rien en un mot ne faisait pressentir l'existencedes lésions pulmo- naires, à marche chronique, que nous avo
nique, que nous avons rencontrées à l'autopsie. Le développement de lésions organiques graves, sans réaction appréciable, n
Nous croyons inutile de revenir sur le caractère et le siège de la lésion . Toutefois, nous devons signaler l'absence d'ap
sion. Toutefois, nous devons signaler l'absence d'aphasie, avec une lésion de la partie posté- rieure de la troisième circ
de toute la face convexe de l'hémisphère droit, consé- quence d'une lésion survenue à trente-six ans. Quel est le rôle de
ence d'une lésion survenue à trente-six ans. Quel est le rôle de la lésion du lobule de l'insula dans cette atrophie ? Y.
nt, 86 ÉPILEPSIE IDIOPATHIQUE. nous permet de ne considérer cette lésion , dans le cas actuel, que comme un simple troubl
rcurrentes. - Constipation opiniâtre. - Mort. Autopsie : Absence de lésions cérébrales ; lésions in- testinales ; calculs b
ation opiniâtre. - Mort. Autopsie : Absence de lésions cérébrales ; lésions in- testinales ; calculs biliaires ; . ostéomal
testinales ; calculs biliaires ; . ostéomalacie : des- cription des lésions osseuses. Lenorm..., Elise, âgée de 43 ans, est
maladies cérébrales ; - H. de Boyer, Études topographiques sur les lésions corticales des hémisphères cérébraux ; Ferrier,
ù sont consignées la plupart des observations connues relatives aux lésions du lobule de l'insula. EPILEPSIE IDIOPATHIQUE.
TION INTESTINALE : MORT. 91 hranes 1145 gr. Nous ne trouvons aucune lésion des mé- ninges, qui sont parfaitement transpare
rde en dedans ; cet organe ne pèse que 800 grammes ; sans offrir de lésions appréciables, la vésicule contient six calculs
très rare de l'épilepsie et nous terminerons en notant l'absence de lésions des méninges et de la substance grise chez une
e démence épileptique, comme celui qui précède, on ne trouve aucune lésion , 'tandis que, dans d'autres cas, en apparence s
que, dans d'autres cas, en apparence semblables, on décou- vre des lésions très accentuées de znéozizyo-etcé2lzalite chron
es circonvolutions occipitales. Au point de vue macrosco- pique, la lésion se présente sous forme d'une dépression en napp
sur ce point, à savoir que l'autopsie ne nous a montré au- cune des lésions susceptibles d'être rattachées à la rou- geole
ait pas été donné de constater de par l'ouverture nous cadavre, la lésion que constater dévoilée l'auscultation. 'route-
e l'auscultation. 'route- constater, par l'ouverture du cadavre, la lésion 1 nous particularité digne dévoilée l'auscultat
ô- pitàl. Rougeole. - Mort pendant l'éruption. Au- topsie. Pas de lésions viscérales appréciables. - Atrophie partielle d
nde de 4 à5 cent. Reins, 60 gr. Ces divers organes n'offrent aucune lésion . Tête. Tandis que la base du crâne est normale,
le second jour de l'éruption sans que l'autopsie ait décelé aucune lésion pulmonaire ou autre susceptible d'expliquer cet
rente heures après la mort. - Thorax. Le poumon gauche présente les lésions de la broncho- pneumonie dans sa totalité. - Le
s'élève à 41°, le malade meurt et, à l'autopsie, nous trouvons les lésions d'une broncho-pneumonie rubéolique, c'est-à-dir
. - Rougeole. - Mort à la période d'invasion. -Au- topsie. Pas de lésions viscérales thoraciques ou ab- domina les. Conge
surface des hémisphères. Cervelet et isthme : poids 140 gr. Pas de lésions . S'agit-il, ici, d'une rougeole ? Tout en incli
d'un épais enduit noirâtre. L'examen de la bouche ne décèle aucune lésion . T. R. 38° ; ipéca. Soir : T. R. 40°,2. 4 fév
sang. Souvent, chez les sujets qui succombent, on ne trouve pas de lésions locales suffisantes pour rendre compte de la mo
ronchopneumonie, en hépatisation rouge. Mais nous croyons que cette lésion n'a été que consécutive, et, en quelque sorte,
s, en outre, constaté l'exis- 156 ÉPIDÉMIE DE ROUGEOLE. tence des lésions scorbutiques, telles que les signale Bar- rier
mitrale.-Du côté du foie, de l'intestin, du larynx, se voyaient les lésions communes de la rougeole, que nous avons déjà'si
s de chaque observation, les différents phénomènes cliniques et les lésions variées qu'on peut rencontrer dans la rougeole.
S. respiratoire qui s'est trouvé presque constamment le siège des lésions surajoutées. Les trois cas de mort, publiés par
aladie. Dans deux des' autopsies il existait bien, il est vrai, des lésions de broncho-pneu- monie, un noyau d'hépatisation
p. 36). BOUliN, 12 zip EXPLICATION DES PLANCHES. Planche VII. Lésion du lobule de l'insula L I , foyer ancien ayant
riétale ascendante dont l'extrémité inférieure est atrophiée. T1, lésion de la première circonvolution temporo-sphénoï-
olutions. TRAVAUX PUBLIÉS EN 1881 * Thèses. COULBAULT (G.). Des lésions de la corne d'Ammon dans l'épilepsie. Brochure
92 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ener une mort rapide, ne trouvaient pas leur explication dans des lésions corrélatives, ou dans lesquels des symptômes en
r que s'il y avait là une cause plus fréquente et plus puissante de lésions de la moelle épinière, elle n'avait rien de spé
nn, Lockhart Clarke, M. Donnel, comme rattachant à la commotion des lésions consé- cutives, telles que : l'ataxie, les amyo
cas seuls où le traumatisme a atteint la moelle, sans y produire de lésions en foyer, et où les troubles COMMOTION DE LA MO
en évidence, est l'influence des traumatismes sur la production de lésions consécutives dont l'importance dépasse de beauc
ésions consécutives dont l'importance dépasse de beaucoup celle des lésions primitives. Un fait que j'ai observé et que je
sains ; le coeur petit présente quelques taches laiteuses ; pas de lésions valvulaires. Le foie est volumineux, brun clair
. Les cavités contiennent plusieurs calculs. La vessie présente les lésions de la cystite chronique, teinte brune de la muq
dans le baume de Canada dis- sous dans le chloroforme. Outre les lésions que nous décrirons bientôt, et qui existent aus
s la considérer dans le cas actuel comme réellement pathologique. Lésions constatées. Les lésions suivantes ont été cons-
cas actuel comme réellement pathologique. Lésions constatées. Les lésions suivantes ont été cons- tatées sur les préparat
cellules nerveuses grosses, nombreuses, sont saines. En résumé, les lésions constatées sont les suivantes : lo Sclérose com
s leur présence constitue un des caractères les plus évidents de la lésion du faisceau pyramidal croisé. Fi(;. 4.- Celli
e doux et timide, pouls 82 : léger souffle anémique de base, sans lésions , le malade n'ayant du reste jamais eu de rhumatis
atoire, par exemple, et dans un cas d'épilepsie symptomatique d'une lésion traumatique de la cuisse. Mandt 3, en opposit
concert avec l'absence d'atrophie générale de l'hémisphère, que la lésion s'était effectuée après l'époque du développement
les mutilés (vivisection), de ramollissements cérébraux anciens, de lésions traumatiques du cerveau chez l'homme, ont été s
volution comparée de ces quatre faits leur permet d'affirmer que la lésion (gliomateuse) débute presque tou- jours dans la
tance grise centrale, les mêmes allures que lorsqu'il résulte de lésions uniques. P. K. IV. De l'hystérie considérée dan
ostiquer et classer ces étals, il faut s'attacher tout d'abord à la lésion organique et à l'altération fonctionnelle qui l
m, l'uni- latéralité des accidents de la face excluent l'idée d'une lésion protubérantielle ou bulbaire ; l'atteinte exclu
s et de K I., il est impossible de se prononcer sur la nature de la lésion . L'auteur examine, en terminant, la patho- géni
ssion minutieuse après laquelle l'auteur admet qu'elle est due à la lésion médullaire et n'est autre chose que l'expressio
qu'elles constituent la majeure partie de l'organe, tandis que la lésion réelle n'occupe qu'un espace irès limilé. 11 y a
ine in- tellectuelle si complète qu'on e-t contraint d'admettre une lésion matérielle des cellules nerveuses, que nous ne
onostic fâcheux ; les secondes se pro- longeraient sans danger. Aux lésions somatiques graves corres- pondraient les psycho
la moitié droite du cerveau ; quant à déterminer s'il s'agit d'une lésion corticale, d'un épanche- ment dans les membrane
re eu même temps qu'elles feront tomber son intelligence. Quant aux lésions anatomiques, ce seront probablement des lé- sio
ut passer par M. Les déductions pathologiques, les voici : I. Une lésion du point M provoque l'aphasie du type Broca ca-
ure; ils peuvent encore copier. 4 le SOCIÉTÉS SAVANTES. 11. Une lésion du point détermine 1'(tl)htisie sciiso-iello, tic
la dénomination d'aphasie partielle, centrale et péri- phérique. La lésion de AM s'appellera aphasie de conductibilité int
erruption soit le moins frustes possible, est-il nécessaire que les lésions soient très rappro- chées des points M et A.
les lésions soient très rappro- chées des points M et A. VIII. La lésion de la voie OA entraîne la cécité graphique isolée
s sem- blables a ceux de la paralysie bulbaire, en rapport avec des lésions encéphaliques à tendance centrale. Dans les der
s de ce genre qu'on peut classer en deux catégories : 1° Le cas à lésion étendue du cerveau, interrompant les tractus qu
intenses que la malade essaya, une fois, de se suicider. Autopsie. Lésion fort étendue siégeant de préférence dans la subs-
, avec foyer de ramollissement rouge au milieu du corps calleux. La lésion des hémisphères portait surtout sur les parties
s entre les circonvolutions ascendantes et la cap- sule interne. La lésion se continuait en bas, mais en diminuant d'inten
est un mouvement linéaire, parce qu'il s'installe à ! a suite d'une lésion symétrique de l'encéphale. SOCIETES SAVANTES.
les unes sont symptomatiques d'un trouble mental congénital, d'une lésion des organes nerveux centraux (exemple : idiotie
otifs. D'abord, chez les mélancoliques, il y a lieu de redouter des lésions causées par l'alimentation forcée. En second li
uditif ne se rencontrent pas dans le tabes alors qu'on y trouve des lésions du nerf optique. Discussion : M. le professeu
giques. Or, voici l'autopsie d'un homme mort trois jours après une lésion de la colonne cervicale. Les lésions macroscopiqu
omme mort trois jours après une lésion de la colonne cervicale. Les lésions macroscopiques consistent en un foyer circonscr
es cordons postérieurs, à une distance assez éloignée du lieu de la lésion ; c'est la même situation, la même disposition qu
comprend toutes les psy- choses dont la genèse ne dérive pas d'une lésion encéphalique directe. Les sensations pathologiq
Campa, le siège anatomique de celle maladie ou, pour mieux dire, sa lésion anatomique réside dans l'appareil de la génératio
laire non compensée. Dans les cas dont on a pu faire l'autopsie, la lésion anatomique rencontrée a été la dégénérescence g
e provoque pas seulementdes troubles fonctionnels; mais aussi des lésions anatomiques véritables par action trophique. A
ques véritables par action trophique. A défaut d'examen direct, ces lésions seraient révélées par les états variables de la
ions de ses variations. (Ai-cit. de phys., 2° série, t.VU ) Sur les lésions corticales du cerveau. (Arclv. de plzys., 2e sé
anatd'm'iqùe' fait peu de temps après l'accident, n'a révélé aucune lésion appréciable de l'organe; 2° ceux dans 'lesquels
appréciable de l'organe; 2° ceux dans 'lesquels"' on rencontre des lésions circonscrites qui n'expliquent pas la nature ni
x dans lesquels l'examen fait tardivement n'a" fait voir" que des lésions consécutives; 4° ceux dans lesquels il n'y a pa
que où les procédés d'examen ne permet- taient de constater que des lésions grossières. Cette objection leur ôte-t-elle tou
un temps relativement peu considérable n'a pasrévélé de traces de lésions primitives. Voici, d'ailleurs, un cas analogue
la mort dans la période primitive, il l'est moins de trouver des lésions dont l'étendue et le siège ne ren- dent pas com
le épinière. L'examen minutieux du cerveau n'y fit découvrir aucune lésion ; mais'une section longitudinale de la moelle mo
nce. 11 était nettement limité, et on ne put découvrir aucune autre lésion dans les portious adjacentes ou autres de la mo
, p. b4. commotion DE la moelle épinière. 119 la sensibilité à la lésion visible, le caillot sanguin, il n'en est pas de
te où j'ai vu la mort survenir presque immédiate- .ment sans autres lésions appréciables qu'un foyer de -contusion très sup
'un des hémisphères du cerveau. Dans des cas de cette nature, les lésions visibles sont plutôtdes témoins de l'intensité
ssive avec paralysie labio-glosso- laryngée. Le point de départ des lésions parait avoir été dans les méninges du bulbe et
énérescence de la moelle et, à la' fin de' la région cervicale, des lésions anciennes indiquant évidemment l'existence d'un
précoce de larges escharres de décubitus qui se ratta- chaient à la lésion primitive de la moelle. D'après ces considérati
lablement aux dépens des enve- loppes delà moelle; la nature de ces lésions autorise à croire que la violence antérieure n'
d'accord. L'expérimentation sur les animaux tend à établir que les lésions du cerveau ne peuvent déter- miner qu'un seul t
démontre que si on peut observer l'hémianopsie en conséquence d'une lésion cérébrale, on rencontre au moins aussi souvent
cassement du champ visuel, surtout marqué droite (fig. 1); pas de lésions du fond de I*o-il. le Ier avril 1884. - Le pédo
bes inférieurs des deux poumons. Cette autopsie nous montre une lésion du carrefour sensitif ana- logue à celles que n
mianesthésie des hystériques permettra peut-être de déterminer la lésion dynamique à laquelle il faudra faire remonter l
isM Parinaud a constaté une hémianopsie droite des plus nettes sans lésions du fond de l'oeil (fig. 5). Mort le 24 décembre 1
rconvolution temporo-occipitale adjacente. Il n'existe aucune autre lésion dans la profondeur. Insuffisance aortique ; pne
ue : elle nous offre encore une exception, nous voyons en effet une lésion de la face interne du lobe occipital, au lieu d
ffet une lésion de la face interne du lobe occipital, au lieu d'une lésion du lobule pariétal infé- rieur ou de son voisin
anatumo-pathologiques. Elle reconnaît ordinairement pour cause une lésion de la ré- gion du carrefour sensitif. » On re
gion du carrefour sensitif. » On remarquera qu'en somme toutes les lésions qui déter- minent des troubles delà vision, siè
en examinant de près les résul- tats des autopsies on peut voir des lésions assez rapprochées déterminer des troubles diffé
sont aptes à éprouver des troubles identiques en conséquence d'une lésion destructive de même siège, ou en d'autres terni
être qu'hémianopsiques et que d'autres encore ne peuvent avec une lésion identique ne présenter que des troubles com- bi
nécropsie ; observation suivie de quelques remarques relatives à la lésion primitive du cordon latéral des pyramides; par
iagnostic. D'abord, dégénéres- cence multiloculaire de la moelle en lésion associée de certains cordons, en réservant la p
M. Westphal, une paralysie spinale spasmodique, en rapport avec la lésion des cordons latéraux; t'atteinte concomitante d
nt rien à voir avec la dégénérescence secondaire descendante. Cette lésion , de même que les formes associées de destructio
jonctif fibrillaire. Les manifestations cliniques qui émanent de la lésion combinée des cordons postérieurs et latéraux diff
ut. Chez le paralytique général, au contraire, la topographie des lésions énoncées correspond simplement à de la faiblesse
ion des phéno- mènes du genou, parce que, jamais, dans l'espèce, la lésion des cordons latéraux n'atteint le même degré qu
ent unilatérales, la tête et les yeux regardent le côté opposé à la lésion ; 3° les troubles du sens musculaire, assez fré-
ocessus, mais le trouble étant transitoire, on peut affirmer que la lésion n'est pas grossière. IV. M. Zacher a observé ch
alors, sur ces entrefaites, la cause patbogénétique s'atténue, si la lésion physiologique s'améliore, on voit la sitiophobi
odique ou continue souvent accompagnée de convulsions). C'est à des lésions traumatiques qu'il faut rapporter les tmublus m
es autres modes d'irritation du système nerveux pétipltériquu après lésion cephatique. Les premières sont de préférence de
sur la psychose ultérieure, ce qui s'explique d'autant mieux que la lésion cérébrale ne correspond pas toujours à l'endroi
encore quand le traumatisme a laissé après lui des résidus locaux ( lésion en foyer, cicatrice calleuse). 11 faut attribue
ions sur les organes des sens. --d0° L'épilepsie consécutive du des lésions céphaliques obscurcit considérable- ment le pro
choses réllexes, ainsi que dans les cas où l'autopsie confirmait la lésion traumatique. D'ailleurs, il faut exiger la cons
anatomopatliologi(lu*. 11 est rare que l'on trouve à l'autopsie des lésions traumatiques (fractures crâniennes, etc.) et leur
oubles mentaux qui l'accompagnent, surtout s'il ne s'y joint aucune lésion des tissus ou des liquides autre que celles qui
rendus, voir surgir alors la sénilité précoce simple, déga- gée des lésions aulres que celles de la vieillesse; mais, nous le
fondées et incontestables d'autres éléments étiologiques morbides, lésions du foie, diabète, impaludisme, etc. De la sénil
iabète, impaludisme, etc. De la sénilité précoce simple sans autres lésions que celles de la vieillesse il ne fut pas quest
ltérés, elle cesse de l'être pour ceux' qui restent étrangers à ces lésions tout en se laissant envahir par le complexus si
aiement des douleurs. Mort au bout de quinze jours à la suite d'une lésion dans la veine jugulaire, indépendante de cette
ourte durée. Riedel5 (Aix-la-Chapelle, 1882) communique deux cas de lésions de l'épine dor- sale d'origine traumatique, qui
u déchi- rure du feuillet viscéral de l'arachnoïde dans le cas de lésions des vaisseaux sous-arachnoïdiens; c'est assez d
s, doivent prédominer. L'hématomyélie d'origine traumatique, sans lésions de la colonne vertébrale est rare, mais il en e
rreur possible, mais nous avons vu combien il est rare, isolé des lésions de la colonne vertébrale. Dans ces cas, comme l
une certaine irritation propre à faire craindre pour plus tard des lésions plus profondes. Ces premiers troubles n'ont pas
sensibilité et de la nutrition qui caractérisent la myélite. Les lésions de la deuxième période sont ici bien po- sitive
signalée sur une coupe de la corne antérieure droite. Comme aucune lésion particulière n'a été révélée en ce point par le
. Ne pouvant nier les faits, il en a cherché l'explication dans des lésions qu'on rencontre réelle- ment quelquefois, mais
Lockhart Clarke, par la raison qu'il est impossible d'expliquer des lésions systématiques provenant d'une violence extérieu
portée réfute péremptoire- ment cette critique. La pathogénie des lésions consécutives, me paraît complètement démontrée
démontrée par les recherches anato- miques. Ce sont évidemment des lésions inflamma- toires aboutissant à la sclérose. Dan
otre observa- tion, l'évolution des accidents, aussi bien que les lésions , trahissent l'existence d'une myélite franche.
use traumatique. Telle est aussi celle d'Erichsen sur la nature des lésions tardives de la commotion. Symptomatologie. Nous
e dans l'état actuel de la science ; 2° Elle peut être l'origine de lésions inflammatoires consécutives; 3° Ces lésions i
eut être l'origine de lésions inflammatoires consécutives; 3° Ces lésions inflammatoires peuvent présenter la forme de my
autres. La base du crâne est moins développée ti droile (côté de la lésion ) qu'à gauche (côté paralysé) ; les fosses y son
de l'hippocampe, y compris la corne d'Aiimoiz. Comme on le voit, la lésion forme une sorte de cercle oblique d'avant en ar
sorte de membrane; le foyer qui les intéresse se confond avec la lésion qui a détruit la partie antérieure du corps calle
répondant à l'hémiplégie. f) Nous ne nous appesantirons pas sur les lésions trouvées à l'autopsie. Nous en avons donné une
ntres moteurs de Hitzig. Le même auteur a a publié plusieurs cas de lésion de la région motrice de l'écorce du cerveau, da
skranlcezz. (drc/t. f. psychiatrie, 1882.) 3 Bechterew. Ueber die lésion der mo<0)'t ! c/te't zone des growkizns (St-
observés du côté de l'oeil. M. Féré a observé que, dans le cas des lésions cérébrales et dans l'hystérie, il existe un rap
cordé au meilleur travail relatif à l'idiotie, et de préférence aux lésions anatomiques des centres nerveux dans l'idiotie.
lité, l'ab- sence de tremblement, permettent d'exclure l'idée d'une lésion organique du système nerveux et de se rallier à
ence de troubles moteurs et d'atrophie plaide contre l'existence de lésions syringomyéliques. M. Mendel. Comment expliquer
tions sensitives de la moitié droite delà face s'expliquent par une lésion de la racine ascendante droite du trijumeau dan
de M. SAKAKY, pièces relatives à des préparations microscopiques de lésions des nerfs périphériques ' , M. WesTPHAL fait re
rations périphériques des nerfs sensitifs dans un cas de tabès avec lésion centrale (atrophie dégénérative du nerf fémoro-
es nerfs périphériques peuvent être seuls lésés sans qu'il y ait de lésion tabétique centrale (neuro-tabes périphérique).
emporale à la suite d'une fracture traumatique de la base du crâne ( lésion du chiasma). Séance du 10 mars 1884. Présiden
à la vessie. SOCIÉTÉS SAVANTES. 429 Conclusion : Il s'agit d'une lésion à évolution chronique oc- cupant la moelle cerv
s comme causes. Dans un exemple de traumatisme pathogé- nétique, la lésion du système nerveux se manifesta essentielle- me
s tabétiques, on ne trouve qu'une proportion infiniment faible de lésions syphilitiques du foie, des reins, du cerveau. Le
u'il existe une prédisposition préparatoire, soit, par exemple, une lésion des parois vasculaires, permettant le passage à
orme et de la scissure de Sylvius qui est de préférence exposé à la lésion ? Il s'agit ici de rapports topographi- quesdes
et la paraplégie spasmodique, des enfants qui sont atteints d'une lésion pathologique du cerveau, ainsi que les expérience
ité musculaire. Les paralysies qui ne sont pas symptomatiques d'une lésion or- ganique sont également justiciables de la g
lors des régions corres- pondantes à la destruction osseuse et à la lésion inflamma- toire. Ces escarres sacrées détermine
meilleur travail manuscrit relatif à l'idiotie et de préférence aux lésions anatomiques des centres nerveux dans l'idiotie.
lliod of giviug potassium iodide in very large doses for the la ter lésions of syphilis; more especiali'ty syphilis of the ne
phériques (maladies des et du sympathique), par Seelimnller,135;-( lésions des\ 1126. Neurasthénie dyspeptique , par S
s leur présence constitue un des caractères les plus évidents de la lésion du faisceau pyramidal croisé. FtG. 4.- Cellul
93 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
oit- vent très étroitement, de celle qui se rattache aux maladies à lésions matérielles. Et la ressemblance est parfois si
RIQUES « SIMULATEURS ». r, mique, et, mutatis mutandis, localise la lésion dynamique d'après les données fournies par l'ex
la lésion dynamique d'après les données fournies par l'examen de la lésion organique correspondante. Et ceci nous conduit
ution des accidents; s'assurer, en un mot, que rien ne relève d'une lésion organique. (b) Dans le second. cas, il s'agit d
se hystérique ? L'hystérie ne serait-elle pas ici un symptôme de la lésion spinale et n'aurait-elle pas de carac- tères pa
guérison complète est possible, malgré la persistance de certaines lésions spinales, et encore n'est-elle 10 NOUVELLE ICON
bien difficile de concevoir la disparition complète, absolue, d'une lésion médullaire organique. Nous croyons, pour dire tou
n ont magistralement tracé les caractères. Ils ont établi entre les lésions ana- tomiques et les symptômes observés pendant
us révèlent le substratum de la névrose. Mais, ici comme là, il y a lésion .. Et en attendant le contrôle de l'histologie,
normale. Les pupilles sont égales et réagissent normalement. Pas de lésions du fond de l'oeil. Pas de nystagmus. Le malade
endant toutes ces manifestations phénoménales ne relèvent pas d'une lésion organique cérébro-spinale, mais bien de l'hysté
partie du côté droit, etc. ; que son amau- rose ne relève d'aucune lésion ophtlialmoscopique, qu'il a enfin des attaques
dif auquel se sont développés les accidents plaident déjà contre la lésion organique. Les éblouissements, les vertiges, ne
la vue rentrent aussi dans la catégorie hystérique : amblyopie sans lésion du fond de l'oeil. L'embarras de la parole lui-
insi dire abolis dans le côté paralysé, ce qui éloigne l'idée d'une lésion organique. Le tremble- ment a débuté brusquemen
ion considérable de l'acuité visuelle pour les deux yeux ? ? Pas de lésions du fond de l'oeil. Achromatopsie complète bilat
e l'examen anatomo-patholo- gique ne montra aucune sclérose, aucune lésion du système nerveux central. M. Babinski, dans
clérose médullaire, aucune névrite périphérique. L'absence de toute lésion spécifique ne saurait autoriser à admettre que le
ues épilepti- formes ; mort par bronchite. A l'autopsie, absence de lésions du système nerveux. C'est là une observation qu
un ulcère de l'estomac, etc., si on ne trouve pas à la nécropsie la lésion soupçonnée, on aura le même droit de créer de n
pour elle que la vraisemblance. Il est problable, du reste, que des lésions organiques existantes ont dû passer inaperçues
secours du microscope est absolument nécessaire pour découvrir des lésions qu'on ne voit pas à l'oeil nu. D'autre part, le
en des yeux fait par M. le Dr Badal (de Bordeaux), ne révèle aucune lésion . Depuis lors, Ch... a pu parler très distinctemen
layfair, en lui disant que je n'avais trouvé aucun signe évident de lésions organiques. M. Playfair me répondit : « X... va
stérie, tous rapportés à la névrose et où l'au- topsie a révélé des lésions organiques, il s'agit là très évidemment de ces
epuis la date de son entrée à l'Ilôtel- Dieu jusqu'à ce moment, les lésions n'avaient point augmenté du côté des membres su
dioptr.. ..... -. (.\t Pas de dyschromatopsie. ' . ? ., " Pas de lésion du fond de l'oeil. - - Rétrécissement du champ
x et très certaine- ment différents les uns des autres. Ce sont des lésions primitives pou- vant frapper le cerveau de l'en
ne infectieuse. Quoi qu'il en soit, ces modifica- tions relèvent de lésions d'espèces différentes. Traumatisme. Le traumati
ies sont curables ou susceptibles d'un traitement quel- conque. Ces lésions , au surplus, sont souvent associées il des épaiss
s antagonistes sont un moyen de diminuer une douleur amenée par une lésion , par exemple dans le' cas de contracture en fle
dance (suivant une théorie qui semblait naguère très acceptable) de lésions organiques du système nerveux périphérique, qu'
me paraissaient, je l'avoue, ne pouvoir être expliqués que par une lésion organique des centres nerveux, je diagnostiquai
ons eu affaire à un hystérique et non pas à un malade atteint d'une lésion organique des centres ner- veux. La deuxième
t psychique. Cela prouve qu'il n'était pas sous la dépendance d'une lésion organique. Par 1. Voy. le Il* 1, t. Ir, 1891.
erdiction pour les tumeurs malignes. Mais il est un autre groupe de lésions : tuberculose verté- brale, tumeurs extra-médul
ttent de localiser, sur la hauteur du rachis, le siège précis de la lésion . Cette étude a été déjà faite par les auteurs q
t un autre qui s'impose aujourd'hui, c'est celui de la nature de la lésion , du moins pour ce qui concerne l'hystérie. L'hy
ucune relation avec la distribution des nerfs, aucun rapport avec une lésion spinale. Cette anesthésie est limitée en avant
a moelle, le mal de Pott ne pourraient expliquer ces accidents. Une lésion encéphalique ne les expliquerait pas davantage.
lysie des membres inférieurs, etc., tout pouvait faire croire à une lésion médullaire. M. Charcot démontra que tous ces ph
45 (d'après Thornburn)' Distribution de l'anesthésie dans diverses lésions des nerfs de la queue de cheval (compressions,
l'anesthésie dans les paraplégies hystériques ne répondent ni à une lésion des nerfs des membres inférieurs, ni à une lési
épondent ni à une lésion des nerfs des membres inférieurs, ni à une lésion spinale; elles ne sont pas anatomiques; elles son
ique de M. Charcot. Elles ne sauraient répondre, disons-nous, à une lésion de la moelle ou des nerfs. Qu'on en juge plutôt
'affirmer, à coup sûr, la présence exclusive de l'hystérie ou d'une lésion spinale : c'est la distribution de l'anesthésie
eures de l'anesthésie cutanée sont en rapport avec la hauteur de la lésion ou de la compres- sion médullaire. Elles sont r
ne hauteur variable (fin. 46, au, 48). L'anesthésie consécutive aux lésions des nerfs a une distribution bien différente. C
es pieds et les jambes, la fièvre, etc., plaideront plutôt pour une lésion médullaire. En somme, on peut admettre trois gr
me, on peut admettre trois groupes de signes différentiels. Pour la lésion spinale, on aura : 1° Des signes de présomption
Si, dans ces conditions, on ne trouve aucun stigmate d'hystérie, la lésion médullaire' suffira à tout expliquer. Si l'hystér
es renseignements utiles. Le début est d'ordinaire brusque s'il y a lésion de la moelle. Au contraire, les paraplégies hys
SIE GLOSSO-LAB10-LARYL\GÉE ET A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalo
alysie nucléaire des yeux par l'atrophie musculaire progressive. La lésion descendante, après avoir porté sur le plancher
es intenses. L'inflammation de l'oeil gauche était si violente, les lésions étaient telles, que le médecin conseilla l'énuclé
, sur les tempes, sur les joues et les parties latérales du cou. La lésion la plus remarquable est une altération de toute
siège d'une infiltration oedémateuse. Sur les membres inférieurs, la lésion est moins prononcée, mais se retrouve cependant
oie décroissante. Au menton même on constate une plaque. Toutes ces lésions sont très nettement arrêtées, on y constale une i
aturée des sutures, acrocéphalie, scaphocé- phalie, etc.), ou à des lésions osseuses (syphilis), à de simples troubles de l
YSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGÉE ET A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalo
Nous avons donc dans notre cas la démonstration de ce fait qu'une lésion symétrique (en partie) des noyaux des nerfs moteu
olioencéphalitc supérieure et inférieure) peut se combiner avec une lésion symétrique des noyaux siégeant dans le renfleme
polioencéphalite, mais c'est surtout l'analogie qu'il y a entre la lésion nucléaire des muscles spi- naux symétriques et
a entre la lésion nucléaire des muscles spi- naux symétriques et la lésion nucléaire des muscles symétriques bulbo-cérébra
bulbaire supérieure. La localisation essentiellement variable de la lésion spinale entraîne des différences considérables
gnes tant positifs que négatifs au point de vue du diagnostic de la lésion spinale, diag- nostic que vient encore corrobor
p plus d'intérêt, eu égard à la localisation la plus habituelle des lésions . Qu'il soit debout ou assis, le malade a toujours
e inférieure sont venus s'adjoindre les signes qui caractérisent la lésion de la moitié supérieure du bulbe, l'ophthalmopl
phalite dans laquelle il n'existe au contraire aucun symptôme de la lésion des faisceaux pyramidaux. Il n'est pas besoin d
mobile. Ce fait se produira dans les cas, rares il la vérité, où la lésion bulbaire supérieure, se propageant à la moelle
s'y méprendre aux cas que nous avons mentionnés et dans lesquels la lésion , ayant débuté dans le bulbe supérieur, s'étend en
e générale progressive, psy- chose. Dans ces autopsies il s'agit de lésions atrophiques et dégéné- ratives des cellules mot
cours de ce travail. Nous terminerons ce chapitre par l'exposé des lésions dans la polioencéphalite aiguë et subaiguë, de
s Vs'aggravent rapidement. Mort le 20 août. 71 l'autopsie, pas de lésion centrale ni périphérique. Les noyaux oculo-motcur
loration, étaient absolument normaux. Ni atrophie des faisceaux, ni lésions interstitielles. Rien 1" noter Il l'examen des
utres phénomènes en apparence d'origine centrale peuvent relever de lésions périphériques. En tout cas il n'est pas vraisembl
L'examen histologique fait par M. Bewan-Lewis démon Ira, outre les lésions ordinaires des faisceaux postérieurs, l'existen
re les lésions ordinaires des faisceaux postérieurs, l'existence de lésions manifestes des noyaux d'origine des nerfs oculo
s. Telles sont la 3. paire gauche et la 6- paire. Histologiquement, lésions spinales très-prononcées, sclérose des cordons
et des corps resti formes. A partir de l'origine de la 6- paire, lésions très prononcées. Le processus initial paraît êt
ophie des sterno-mastoïdiens et des trapèzes qui témoignaient de la lésion au niveau du spinal. Il assimile ce processus s
yngée et à la sclérose latérale amyotrophique. La localisation de ces lésions anatomiques établit seule les différences clini
ordons de Goll étaient sclé- rosés dans toute leur étendue, mais la lésion ne remontait pas jusqu'au bulbe. Au niveau des
montait pas jusqu'au bulbe. Au niveau des 4° et 5° nerfs sacrés, la lésion débordait les cordons de Goll et paraissait der
voisinage de la zone radiculaire; il partir de la région dorsale la lésion était strictement limitée aux cordons de Goll.
la moelle et du bulbe. ' DE L'OPHTHALMOPLÉGIE EXTERNE. 239 des lésions nucléaires et signala dans la partie supérieure d
Le noyau oculomoteur est très atrophié dans toule son étendue. Les lésions toutefois ne sont pas aussi avancées que dans le
aru sur cette question. Polioencéphalite aiguë et subaiguë. Aux lésions plus atrophiques qu'inflammatoires de la polioenc
rtour. Sur une coupe antéro-postérieure on peut voir que : 4° cette lésion part en avant de la commissure postérieure qu'ell
homsen seul a guéri presque complètement au bout de trois mois. Les lésions constatées dans les autopsies sont très caractéri
ne a fourni des résultats analogues tandis que l'autre a révélé des lésions un peu différentes. En effet, il existait une d
tactes. En outre, Thomsen, dans les deux cas, a trouvé comme unique lésion médullaire des hémorrhagies à la face postérieure
contre laquelle il n'y a pas de remède médical, mais aussi par des lésions arti- culaires oupéri-articulaires. Ces lésio
ais aussi par des lésions arti- culaires oupéri-articulaires. Ces lésions articulaires paraissent dues principalement à un
vait succédé un certain degré de rétraction accompagnée de quelques lésions des tissus fibreux-articulaires. Aussi conseilla-
s. La rotule était immobile, même dans le sens trans- versal. Ces lésions étaient plus manifestes et plus accentuées du côt
omatologie de la maladie de Morvan pouvait relever tout entière des lésions spinales de la syringomyélie1. A son tour, notr
ièce de cinq francs, à demi détergées et bourgeonnantes. Toutes ces lésions étaient completements indolentes; ni le panaris
'avant-bras et du bras. Mais on retrouve sur ce membre une série de lésions trophiques cuta- nées. Au bras et à l'épaule, d
ces panaris, de ces plilyctènes, de ces furoncles, de ces multiples lésions d'allure inflam- matoire qu'on trouve parsemées
YSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGÉE ET A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalo
nom de poliomyélite aiguë, et si nous tenons ces dernières pour une lésion systématique, nous devons faire de même pour le
i, nous pouvons dire que cette région du cerveau est susceptible de lésion systématique non seulement dans la forme chroni
fisamment' ! expliqués, n'est pas faite pour écarter le diagnostic de lésion spinale l ' et, à plus forte raison, pour admet
te racine se bifurquer avant de se souder à l'anthélix. Certaines lésions pathologiques, telles que l'olhémalome cicatrisé
oscope, outre qu'il pourra donner des notions pour le diagnostie de lésions papil- laires symptomatiques d'affections coexi
avec toutes ses variétés, terme impropre, car il s'agirait là d'une lésion de développement '. 1. M. )e D' Crnet, qui a ou
(vieillards), leur usure (ongles rongés et macérés des idiots), les lésions trophiques dont ils peuvent être atteints (arth
gauche incomplète, la disparition de la diplopie, et on songea aune lésion en foyer, probablement vers la protubérance. »
rant qu'on risque facilement de confondre ces paralysies « avec des lésions organiques ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SI
i est le siège des stigmates de la névrose, éloignent toute idée de lésion spinale. L'hystérie seule est évidemment en cau
uis cinq ans, cette paraplégie persiste. Peut-on éliminer ici toute lésion organique ? Les phénomènes observés sont excess
iagnostique une paralysie spasmodique de nature saturnine due à une lésion des nerfs périphériques ou des muscles. L'anesthé
cette douleur qui existe encore aujourd'hui avait fait songer à une lésion des vertèbres. Dans ce temps-là, se montra un peu
uliens et trépida- tion spinale, pouvait bien éveiller l'idée d'une lésion organique de la moelle. Mais elle avait été pré
inatta- quable, quoiqu'on ait songé, à l'hôpital de Pouilly, à une lésion médul- laire. L'hystérie n'est pas douteuse, la
resta en suspens. La malade mourut, et, à l'autopsie, en dehors des lésions intestinales de la dothiénenlérie, on ne trouva
avait des attaques d'hystérie, qu'on n'a trouvé à l'autopsie aucune lésion , on peut en conclure avec certitude rétrospecti
s- tible. 13 juillet. Pas de rétrécissement du champ visuel. Pas de lésions oculaires. 13 novembre. La malade est confinée
ites, érodées, écartées les unes des autres, mal implantées. Pas de lésions rachitiques. Pas de scoliose. Cas. XI (personne
de supposer le siège et l'étendue rela- tivement considérable de la lésion . Cette lésion, qui siège avant tout dans la moi
siège et l'étendue rela- tivement considérable de la lésion. Cette lésion , qui siège avant tout dans la moitié gauche de
oparésie crurale gauche). On pourrait, il est vrai, soupçonner deux lésions indépendantes; mais cette hypo- thèse, défendab
ie. Les divers viscères examinés à ce moment ne présentaient aucune lésion ; il il n'y avait aucun stigmate sensitivo-senso
à la production de la paraplégie. Quant à déterminer quelle est la lésion , nous ne le pouvons encore. Actuellement la con
est plus rare dans l'hystérie. La cystite purulente appartient aux lésions organiques; les 376 . NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
aralysies toxiques ou infectieuses. Il faudra encore éliminer les lésions encéphaliques et médullaires. Ce n'est pas dans
ner les lésions encéphaliques et médullaires. Ce n'est pas dans les lésions organiques des hémisphères cérébraux qu'il faud
Hypermétropie avec astigmatisme. Les pupilles sont normales. Pas de lésions du fond de l'oeil. Pas de rétrécissement du cha
ls ne sont pas sous la dépendance d'une paralysie oculaire ni d'une lésion du fond de l'oeil, tous phéno- mènes qui font i
grandeur, réagissent mal à la lumière etàl'accom- modation. Pas de lésions ophthalmoscopiqlles du fond de l'aeil. Achromatop
tique. L'amblyopie très prononcée qu'il présente ne relève d'aucune lésion ophthalmoscopique. Il offre de plus une achromato
'on ne concevrait pas dans la sclérose des cordons postérieurs sans lésions pupillaires. Il est vrai, et nous devons le fai
nfirmiers et quille l'hôpital quatre jours après son entrée. Pas de lésions cardiaques. Pas de troubles viscéraux. Les urines
ère son malade comme un pseudo-tabétique. cl Il n'a pas, dit-il, de lésions indélébiles de la moelle épinière. C'est un de
sthésie cérébrale et ataxie locomotrice. Contribution à l'étude des lésions diffuses dans le tabès. Il serait difficile de
la capsule in- terne, et il s'évertua à démontrer la diffusion des lésions tabétiques. « On se fait, dit-il, une fausse id
ée comme une maladie diffuse cérébro- spinale pouvant entraîner des lésions du côté de la capsule interne. » Si la théorie
comotrice. Son malade mourut, et, à l'autopsie, on ne trouva aucune lésion macroscopique ou microscopique du système ner-
tive qu'il espérait rencon- trer, l'auteur se trouva en présence de lésions étendues de la moelle cervico-dorsale et du bul
étendues de la moelle cervico-dorsale et du bulbe. Et de pareilles lésions n'avaient donné lieu durant la vie à aucun symp
est justiciable d'une interprétation. Il est notoire que toutes les lésions et toutes les anomalies congénitales du système
névropathique coexistent sou- vent chez un même sujet, soit que la lésion organique cérébro-spinale ait provoqué l'hystér
ause de la mort, même chez les gens qui étaient porteurs de grosses lésions , reste ignorée, et, d'autre part, un hystérique
trophie de la papille, signe d'drgyll Roberlson, signe de Westphal, lésions osseuses et articulaires (frac- t1res spontanée
ons aux doigts ; l'avant-bras est plus ou moins touché; au bras, la lésion est moins étendue. Il y a toujours au pli du co
des plaques au niveau des genoux et des malléoles; aux cuisses les lésions sont moin- dres. Cette distribution semble bien
ues et à l'expérimentation. Rien, a priori, ne s'oppose à ce que la lésion dynamique des cornes antérieures qui produit l'
inconstantes il est vrai, n'étant pas en rapport avec l'intensité des lésions musculaires, l'auteur ne les considère-t-il pas
me centre trophique. Les nerfs périphériques ne présentaient aucune lésion . Mais nous devons faire remarquer que ces amyotro
nce, tous caractères qui, vu la loca- lisation et la symétrie de la lésion , auraient pu faire songer à une atrophie spinal
usc. Les pupilles sont égales et réagissent bien à la lumière. Pas de lésions du fond de l'oeil. Malgré l'amaurose dans la vi
istence de cette réaction pour éliminer l'hystérie et rapporter les lésions à une affection spinale ou à une névrite périphér
st normale à droite, abolie à gauche. Mais cette surdité tient aune lésion de l'oreille. A ce propos, M. le D'' Gcllé nous a
a remis la noie suivante : « Surdité gauche remontant à deux ans : lésion suppurative, adhérences du tympan ; audition bo
uelle : la malade compte seulement les doigts. Amaurose droite sans lésions ophthalmoscopiques qui puissent l'expliquer. Le
ouloureuse, perle du goût et de l'odorat d'un côté, amau- rose sans lésion du fond de l'oeil, etc.1. Mais toute la symptomat
lle consécutive. Nous ne croyons pas davantage qu'il s'agisse d'une lésion spinale, d'une véritable paralysie infantile av
trophie de la main. En effet, nous avons déjà écarté l'hypothèse de lésion organique de la. moelle. Reste l'atrophie céréb
la motilité, de la nutrition et de la sensibilité, on constate des lésions nombreuses. Troubles moteurs et trophiques de l
ence de deux amyotrophies distinctes d'origine : l'une relève d'une lésion organique, l'autre d'une altération dynamique. Le
omatologie n'est en somme que la marque, visible, extérieure, d'une lésion localisée à la substance grise de la moelle; el
iquement par des signes identiques à ceux de la gliomatose. Que les lésions de la moelle soient hémorrha- giquesou gliomatc
reproduit par toute destruction de la substance grise. Eh bien, une lésion purement fonctionnelle, dyna- mique comme on di
hémiplégie gauche avechémianesthésie complète ne peut relever d'une lésion organique de l'encéphale, et ici nous partageon
ées..., qui s'offrent en pareille concurrence compliquées ou non de lésions organiques*. » Ces quelques lignes donnent une
ue la localisation de certains symptômes semblait faire prévoir une lésion localisée dans l'hémisphère gauche du cerveau. Ce
e chirurgien eût éprouve un grand embarras, en ne découvrant aucune lésion grossière dans le point incriminé. L'existence
ion grossière dans le point incriminé. L'existence fréquente de ces lésions diffuses, s'étant manifestée, pendant un certai
qu'il n'existe pas de signes de com- pression. La coexistence de lésions prédominantes dans l'hémisphère gauche avec des
re le diagnostic entre le pseudo-tabes et l'ataxie locomotrice avec lésions organiques. Le docteur Charlon(30), de l'Amériq
? 50. Queue de cheval (Distribution de l'anesthésie dans diverses lésions des nerfs de la-), 3,1, 34, 35, 3G, 37, 38, 39,
94 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
ésigner sous le nom de myopathies spinales ou de cause spinale. Une lésion Irophique des muscles, plus ou moins étendue et p
s affections que nous allons décrire. Toutes sont déterminées par une lésion qui siège exclusivement, ou à peu près, sur les c
siège la substance grise centrale. Dans ces myélites centrales, la lésion inflammatoire porte in-distinctement sur tous les
font dé-faut dans les myopathies spinales. En somme, Messieurs, les lésions du système musculaire de la vie animale, se tradu
oin ; quant au gonflement de la rate, il est toujours consécutif à la lésion du foie dans la cirrhose, tandis qu'ici la rate a
ltat d'une modification morbide de l'inner- nation centrale. Or une lésion permanente et appréciable de la moelle n'est pas
de déterminer, par l'examen microscopique, la véritable nature de la lésion . M. J. Parrot rapporte les résultats nécroscopiqu
uve évidente qu'il ne s'agit pas d'amas errants de la mucédinée. La lésion ne se présente pas dans le gros intestin sous le
ans les points qui doivent arriver à l'hôpatisation, mais aussi comme lésion concomitante occupant, soit les parties non hépal
ut un membre ou seulement d'une région d'un membre, dans lesquels les lésions continuent à progresser au con-traire, pendant un
semble s'accuser •plus vite, dans cette maladie, que dans les cas de lésions des nerfs mixtes où elle est cependant très-rapid
ie pourra aller jusqu'à 5 ou 6 centimètres, bien que, dans ce cas, la lésion musculaire soit restée localisée dans un ou deux
un retour complet des fonctions des muscles, être suivie cependant de lésions trophiques osseuses qui persistaient toute la vie
de trouver un exemple plus propre à établir l'in-fluence directe des lésions du système nerveux central sur la nutri-tion des
e mode de développement des accidents2. A partir de l'époque où les lésions sont devenues définitives dans certains muscles,
. § III. Je vais essayer actuellement de vous faire connaître les lésions que les recherches récentes ont fait constater da
qui vient de vous être présenté. Nous traiterons en pre-mier lieu des lésions des muscles, et en deuxième lieu des lésions du s
ons en pre-mier lieu des lésions des muscles, et en deuxième lieu des lésions du système nerveux. 1° Lésions des muscles. Je
des muscles, et en deuxième lieu des lésions du système nerveux. 1° Lésions des muscles. Je serai bref sur ce qui est relatif
pète, un fait plutôt exceptionnel. En sommeil paraît constant que les lésions irritatives prédominent sur les lésions dites pas
mmeil paraît constant que les lésions irritatives prédominent sur les lésions dites passives. Nous verrons bientôt que, contrai
trouve dans l'atrophie musculaire progressive de cause spinale. Les lésions dont il s'agit paraissent s'accuser de bonne heur
tion et de la surcharge graisseuse, se surajoutent habituellement aux lésions qui ont é!é décrites plus haut. Des amas de granu
iques. Qu'il me suffise pour le moment de vous faire remarquer que la lésion spinale qui, dans la paralysie infantile, ne fait
ladie. Mais, c'estlàun point qui réclame denouvelles recherches. 2° Lésions du système nerveux. -— Lésions spinales. Les lési
i réclame denouvelles recherches. 2° Lésions du système nerveux. -— Lésions spinales. Les lésions spinales dont je vais vous
recherches. 2° Lésions du système nerveux. -— Lésions spinales. Les lésions spinales dont je vais vous entretenir, constituen
m-mun accord, désigné la moelle épinière, comme étant l'organe où les lésions primordiales et fondamentales de la paralysie inf
uellement entre les mains de mon ami M. Duchenne (de Boulogne)1. La lésion des cellules nerveuses motrices dans la paralysie
rompe, l'étude qui a le plus contribué a déter-miner le caractère des lésions spinales de la paralysie infantile, est celle que
-loppement et offraient des déformations caractéristiques2. Ici les lésions étaient extrêmement accentuées et elles régnaient
nts— et c'est là un fait qu'il convient de faire ressortir — où cette lésion des cellules était la seule altération que l'exam
on sert de fondement, nous nous sommes cru autorisé à admettre que la lésion des cellules nerveuses motrices, qui se trouve dé
i ont été recueillis depuis la publication de notre travail. Ainsi la lésion des cellules motrices se trouve expressément sign
m'en a été faite par M. Duchenne (de Bou-logne) 3. Enfin, cette même lésion existai de la manière la plus nette dans trois no
position, je ferai ressortir ce qui suit : Si sur certains points les lésions de la névroglie envahis-sent la plus grande parti
de paralysie infantile spinale occupant le membre inférieur droit. La lésion porte exclusivement sur le groupe antéro-exlerne
re, voire même d'un groupe entier de cellules nerveuses, est la seule lésion que l'examen histologique permette de constater:
us les caractères de la structure normale. Dans d'autres régions, les lésions de la névro-glie pourront se montrer beaucoup plu
gions altérées de la moelle épinière , dans les cas récents , que des lésions relativement minimes et nullement proportionnées,
ertains cas, du processus morbide aux faisceaux antéro-latéraux. La lésion en question des cellules nerveuses, à en juger d'
s inflammatoire. Il me reste à mettre les symptômes en présence des lésions et à rechercher comment ceux-là dérivent de celle
l'œil, ce qui semble indi-quer qu'elle peut être symptomatique de la lésion des centres ner-veux qui cause la stupeur. Acti
mitivement osseux, ou primitivement musculaire. Ainsi, dans le cas de lésion des vertèbres, les leviers osseux étant tout d'ab
nérescence granulo-graisseuse. Je ne vous énumérerai pas les diverses lésions verté-brales qui peuvent amener ces désordres : a
s appelées rhumaslismales sont, à n'en pas douter, accompagnées d'une lésion de tissu, qui n'est autre chose qu'uu très-léger
GRIFFE CUBITALE ANATOMIE PATHOLOGIQUE GRIFFE CONSÉCUTIVE A UNE LÉSION TRAUWATIQUE DU NERF CUBITAL par ii. duret, in
-unguéal des rameaux digitaux du cubital était-elle la cause de cette lésion assez net'e-ment caractérisée. La région dorsal
jà épanoui est adhérent à la peau et à la cicatrice. L'étude de ces lésions de la cicalrice rend facilement compte des désord
rme de plaque paraissant occuper la paroi abdominale. L'étendue des lésions faisait un contraste frappant avec la Symp-tomato
ous les viscères étaient sains, car, en ce qui concerne l'estomac, la lésion n'affectait que les ganglions situés le long de l
ion ; 2d La résection n'est réellement indiquée que dans les cas de lésion des épiphyses. La balle traversant le tissu spong
e la tumeur du testicule. L'antopsie nous a permis de constater les lésions suivantes : Dans h cavité crânienne, léger épanch
aisseux si prononcé dans ceux de la jambe. GRIFFE CONSÉCUTIVE A UNE LÉSION TRAUMATICHE DU NERF CUBITAL par h. duret, int
trophie de la portion interne du court fléchisseur du pouce, dans les lésions du nerf cubital, j'ai recherché si je pourrais co
permettront de mieux comprendre les varia-tions rencontrées dans les lésions , dans les maladies, suivant les espèces que l'on
se, tu-meur charbonneuse), le fait capital qui ressort de l'étude des lésions cadavériques, c'est l'altération profunde subie p
fois pourriture dans le langage imagé des bergers, dépend aussi d'une lésion profonde de la nu-trition et d'une altération du
ées. 1° Ce sont des plaies n'intéressant que les parties molles, sans lésion d'organe important. Elles ne sont pas très-graves
. 2° Les plaies compliquées sont celles qui sont accompagnées de la lésion d'un organe ou d'un viscère plus ou moins importa
Peltier passe aussi en revue les plaies par régions, les plaies avec lésion des vaisseaux, des nerfs ; les plaies pénétrantes
achées à une cause périphérique, sont, en réalité, subordonnées à des lésions siégeant dans certaines régions bien déterminées
-torisa à déclarer, dans ce temps-là, qu'on n'avait pas affaire à une lésion cérébrale en foyer. Un autre trait distinctif q
on pas absolument spécifique, parce que nous verrons bien-tôt que des lésions cérébrales grossières, circonscrites à certains d
ions ont presque toujours un point de départ commun, c'est-à-dire une lésion de nutrition. Elles peuvent donc coexister, mais
avoir lieu avant terme ou bien être retardé. Dans le premier cas, la lésion s'étendant jusqu'à l'orifice interne, les contrac
t du sinus caverneux ne devait plus se borner à la simple mention des lésions anatomiques observées sur le cadavre. Les symptôm
tomiques observées sur le cadavre. Les symptômes, conséquences de ces lésions , concordent si bien avec les données physiologiqu
t la symptomatologie de cette affection. La connaissance exacte de la lésion et des conséquences qu'elle entraîne, du côté de
n certain temps. Les com-plications les plus ordinaires consistent en lésions des nerfs moteurs des muscles de l'œil (paralysie
5 mai 1872. Nécropsie. — Le cœur est de volume normal, il n'y a de lésion ni de la fibre ni des orifices. — Au sommet de ch
canal rachidien, on ne trouve dans la moelle et ses enveloppes aucune lésion visible à l'œil nu. Vexamen micro-scopique du cor
en micro-scopique du cordon médullaire y a démontré Vabsence de toute lésion , du moins pour la région lombaire, qui seule a ét
e, celles qui ont trait à la nécrose phosphorée, à la suppuration des lésions traumatiques interstitielles, à la mort subite du
de la mastication et de l'exercice de la parole. V. Suppuration des lésions traumatiques interstitielles. — Depuis John Hunte
s traumatiques interstitielles. — Depuis John Hunter, on sait que les lésions traumatiques se comportent tout différemment, sui
ence et en réalité.— La suppuration se montre surtout dans les cas de lésions sous-cutanées intéressant une cavité naturelle ou
Il s'est fait là une véritable inoculation interne, dans laquelle la lésion traumatique antérieure, représentant l'action de
temporaires dans les paralysies, les contractures musculaires et les lésions de nutrition. — dails la séance du 20 mars 1872,
nse secours dans le traitement des diverses paralysies, contractures, lésions de nutrition. Remak l'avait déjà prouvé; et une e
xanthématique et en ont fait une affection spontanée dans laquelle la lésion traumatique, quand elle existe, ne jouerait que l
n symétrique par rap-port à ce même axe : 0m,61. En dehors de cette lésion , l'enfant est bien constituée et jouit d'une parf
-e. dupuy, interne des hopitaux de paris — suite — IV. Des diverses lésions qui compliquent parfois Vélongation.—-Très-souven
pertrophie est simple, c'est-à-dire qu'elle ne s'ac-compagne d'aucune lésion réellement inflammatoire. Dans ce cas, le museau
'étendue était à peu près celle d'une pièce d'un franc. Ces dernières lésions s'accompagnent géné-ralement d'une hypersécrétion
an-guinolente. Enfin, l'hypertrophie peut se compliquer de diverses lésions ou affections utérines plus sérieuses : tantôt ce
es complications sont sans gravité. 11 n'en est plus ainsi lorsque la lésion , au lieu de rester limitée au col, s'étend au cor
xistence d'un vaginisme essentiel par ce seul fait de l'absence d'une lésion bien déterminée. Douleur et spasme réflexe, voilà
inage d'une artère, de se tenir en garde contre la pos-sibilité d'une lésion de ses tuniques, ainsi que le prouvent deux ob-se
gir avec les courants continus sur les centres nerveux, même dans les lésions périphériques. C'est là le moyen le plus sûr d'av
a clavicule. Nous n'électrisions jamais l'avant-bras, et cependant la lésion locale s'est, dans la plupart des cas, améliorée
u des membres inférieurs qui sont atteints en premier lieu et dont la lésion est la plus grave. Ce sont également ces mêmes mu
rejeter notre premier diagnostic, et nous fûmes forcé d'admettre une lésion centrale. Notre malade, sur de nouvelles instance
Charcot1 peut nous aider à déterminer facilement la localisation. La lésion très-limitée doit, en effet, se trouver dans cett
man-quons de détails, qu'est survenue l'hypertrophie du cœur. A cette lésion doit être rattachée l'attaque apoplectique sympto
me, au vo-lume et à la position de l'organe, l'auteur étudie les (il) Lésions hématiques : 1° hypérémie; 2° inflammation; 3° hé
articulier à cet organe. III. La troisième partie est consacrée aux Lésions de nutrition : Io atrophie : par lésion de la t
e partie est consacrée aux Lésions de nutrition : Io atrophie : par lésion de la texture de la rate (échine-coques, car-cino
adies des vaisseaux de la rate : lu maladies de l'artère splé-nique : lésions traumatiques, spontanées (ulcérations, anévrysmes
anévrysmes, oblitération) ; 2° maladies des veines de la rate. VII. Lésions traumatiques de la rate : Io contusions; 2° plaie
it tombée, alors qu'on pou-vait considérer comme à peu près guérie la lésion artérielle qui l'avait amenée dans le service.
trice. Certes, pas plus qu'aucun autre agent, elle ne peut guérir des lésions orga-niques profondes qui ont fait disparaître un
ë: la mort arriva quarante-huit heures après. A l'autopsie, outre les lésions d'une péritonite généralisée, on trouva une conge
etite cavité remplie de pus et de. fausses membranes. Ces dernières lésions semblent évidemment avoir été le point de départ
attira le premier notre attention, et que nous allons étudier. » La lésion musculaire a pour conséquence l'amoindrissement d
de l'homme gauche. Chez un malade, la syphilis se traduisit par des lésions unilaté-rales, de même chez un autre, la scrofule
chez un autre, la scrofule. Cette disposition mor-bide préexiste à la lésion , dit l'auteur, et il suffit d'une circonstance so
Le cœur est bien à gauche, on n'y entend aucun bruit anormal. Pas de lésions pulmonaires appréciables. Distance d'un acromio
olide, est tombée dans le coma. Temp. axil. 38°,4. Puis. 84. Aucune lésion des organes thoraci-ques ou abdominaux. — Le 20 a
a malade succombe le lendemain sans convulsions. Autopsie. — Aucune lésion des méninges cérébrales et n ehi-diennes. La subs
hi-diennes. La substance corticale du cerveau a l'aspect et porte les lésions microscopiques de la démence. — Les vaisseaux de
les à différents degrés de transformation. Je ne signale qu'ici une lésion de la veine méningée moyenne droite : celle-ci a
s poumons sont le siège d'un emphysème très-développé ; au-cune autre lésion appréciable dans les organes. — Le lobe droit du
e fœtus à terme, — certain degré de dégénérescence graisseuse. Aucune lésion importante du coeur, — myocarde légè-rement grais
sines avant de déterminer le mode de produc-tion des symptômes et des lésions qu'on peut y observer. Dans l'hypothèse faite p
peu renversé, en sorte qu'au premier abord on pourrait prendre cette lésion pour un abaissement simple de la matrice. Mais il
vention thérapeu-tique qu'ils réclament. Il est rare d'observer des lésions de voisinage dans les cas d'élon-gations hypertro
nférieur était disséqué par celle-ci, était exempt de toute espèce de lésion anatomique. Il nous semble plus probable que l'
lle. Tous les ces qu'il rapporte sont au contraire le ré-sultat d'une lésion de la moelle ou de la colonne vertèbre-cervicale.
ches. Paris, Ad. Delahaye, éditeur. « Si, dans le mal vertébral, la lésion osseuse est le point de dé-part de la maladie, c'
al, la lésion osseuse est le point de dé-part de la maladie, c'e^t la lésion nerveuse qui en constitue le tableau symptomatiqu
domine, à une certaine période, toute la scène morbide. » C'est cette lésion nerveuse et les sym-ptômes qui s'y rattachent que
ue et le siège et la nature. La dure-mère, irritée au voisinage de la lésion osseuse, s'enflamme dans sa partie superficielle
es caractères du tissu nerveux enflammé ; on reconnaît de plus que la lésion est générale, cest-à-dire qu'elle occupe aussi bi
traînée dans tous les sens par de véritables tourbillons de sclérose, lésions de la substance grise dont les cornes sont atroph
scendante. Celle-ci s'arrête ordinairement aune faible distance de la lésion ; mais, dans un cas, elle remontait à une grande
ons postérieurs. Lorsque le malade meurt guéri de sa paraplégie, la lésion de la moelle semble, au premier abord, n'avoir su
tte élude, l'auteur passe ensuite rapidement en revue, les nombreuses lésions qui, en dehors du mal vertébral, peuvent comprime
phénomènes qui se produisent dans les parties situées au-dessus de la lésion et reconnaissant pour cause la propagation de la
e amène peut présenter deux formes spéciales : l'hémiplégie liée à la lésion d'une seule pyra-mide, et la paraplégie cervicale
l'altération de la moelle est elle-même intimement liée au sort de la lésion osseuse et lorsque celle-ci vient à guérir, elle
dérivés, dans l'état actuel de la science, d'au-cune cause, d'aucune lésion , et sont pour les praticiens une énigme indéchiff
, l'auteur reconnaît que souvent, suivant le siège et la nature de la lésion qui provoque l'ic-tère, la couleur de ces matière
r Brierre de B. (Anal. E. Teinturier), 82. Griffe consécutive à une lésion du nerf cubital, par Duret, 71, 146. G ripât, 5
eudarthrose de la), par Gom-bault, 145. L Uabbé (L.), 129, 521. Lésions traumal iquesinterstitielles(Sup-puration des), 2
95 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tractions fiiJro-teI1lEneliscs dans les paralysies spasmodiques par lésions organiques spinales et dans la contracture spas
oordination des mouvements de la marche. Il ne s'agissait pas d'une lésion anato- mique du système nerveux, mais d'une alt
t pas été suivies d'autopsie; il est difficile de reconnaître les lésions qui les ont produites. D'autres sont suscepti-
ns enfin en discutant le 51 1 CLINIQUE NERVEUSE. diagnostic de la lésion qui chez notre premier malade a pu produire les
Séquard cité plus loin), ou encore celles qui ressortis- sent à une lésion nerveuse centrale d'ordre réflexe. Les éphidros
dans lesquelles cet auteur a appliqué au diagnostic du siège de la lésion dans la paralysie faciale les résultats que don
également normales. Tous les viscères sont sains : il n'y a aucune lésion du coeur ou do l'aorte, aucune tumeur appréciab
e un gliome s'étendant jusqu'au corps strié. On trouva en outre des lésions du grand sympathique cervical. Le ganglion cerv
ffet l'un des rares cas où l'autopsie ait été faite et eu égard aux lésions du sympathique qui y sont signalées, nous auron
l'occasion d'y revenir plus loin. B. - Dans une deuxième classe la lésion n'est plus centrale, mais.elle affecte le grand
d'après les expériences de MM. Vul- pian et Liégeois, une semblable lésion ganglionnaire en quelque sorte destructive aura
dans cette observation, sur laquelle nous insistons à dessein, une lésion déjà signalée par 1 Fr. Franck. Art. Grand Symp
n quelques minutes. La pupille réagit normalement à la lumière. Une lésion des ganglions du sympathique cervical reste pos
un trau- matisme ancien, il en est d'autres où il n'y a eu aucune lésion antérieure et dans lesquels l'éphidrose est d'ord
. 1° Altération matérielle du système nerveux cen- tral ; ; 2° Lésion du cordon cervical du grand sympa- thique ; 3
al ; ; 2° Lésion du cordon cervical du grand sympa- thique ; 3° Lésion des nerfs de la face (facial ou surtout tri- ju
re que l'on doit classer les observations où l'on n'a noté aucune lésion apparente dans les différents organes. M. Bar-
re ovale, puisque au-dessus de la décussation on ne constate pas de lésions . Les altérations vasculaires du système nerveux
processus dégénératif cérébro-spinal, puisqu'on ne constate pas de lésions inflammatoires dans les cordons latéraux, la su
strabisme ou ptosis), tantôt des affections viscérales simulant des lésions organiques graves du côté de l'estomac des inte
chez les paralytiques jénér raux à forme ataxique, au moment où les lésions , qu'elles débu- tent parla moelle ou qu'elles s
i maintenant un cerveau de singe chez lequel on avait déterminé une lésion très étendue des circonvolutions cen- trales ga
ement géné- ralisée. M. le professeur 1 oEns'rwa (d'Ileidelberâ). Lésions spinales dans, la paralysie progressive. Il y a
trois ans). Un troisième groupe comprend les faits dans lesquels la lésion atteint avec les faisceaux pyramidaux, les trac
: lé- sions en plaques des faisceaux pyramidaux. Sixième groupe : lésion des tractus latéraux cérébelleux, des faisceaux p
faisceaux pyramidaux, des cordons postérieurs. - Septième groupe : lésion combinée des faisceaux pyramidaux et des cordon
ous ces divers faits, on arrive à cette constatation que, malgré la lésion des faisceaux pyramidaux, il ne se produit pas
exes tendi- neux. Maintenant est-ce que, étant donné ces diverses lésions spi- nales, les altérations cérébrales de la pa
e la sensibilité dans tous ses modes; intégrité du sens musculaire. Lésion avec enfoncement des deux tiers supérieurs du par
e blanche de la moelle, le premier résultat peut être, même par une lésion mécanique, une tuméfaction étendue de cylindrax
par des troubles intellectuels, des convulsions épileptiformes, la lésion des cordons postérieurs (quatre autopsies déjà co
n n'a eu à constater de progression ni dans la démence ni dans la lésion des cordons postérieurs (analogie avec des lésion
émence ni dans la lésion des cordons postérieurs (analogie avec des lésions semblables produites par d'autres poisons). Une
ropre (dysgraphie pure). En tous cas la dyslexie est un symptôme de lésion en foyer; sa lésion doit résider dans l'hémisphèr
re). En tous cas la dyslexie est un symptôme de lésion en foyer; sa lésion doit résider dans l'hémisphère gauche, si l'on
s, comme il existe aussi quelques cas de cécité verbale isolée avec lésion de la pariétale inférieure, lésion siégeant seule
as de cécité verbale isolée avec lésion de la pariétale inférieure, lésion siégeant seulement un peu plus en arrière, ce s
réserve, surtout quand on a trouvé, comme dans l'espèce, d'autres lésions de l'écorce, en matière de localisation, de génér
à dire que l'altération envisagée au lieu indiqué est fatalement la lésion de la dyslexie. Il convient donc simple- ment d
de l'inconstance ou de la constance, de la contradic- tion même des lésions et de leur localisation clinique dans le présen
plus de quatre semaines environ, est tout simplement un symptôme de lésion en foyer du cerveau et comporte sans exception
mporte sans exception un pronostic mortel; dans tous les cas, cette lésion a pris sa source, quel qu'en ait été le mode d'
entre les troubles de la motilité dans la paralysie générale et les lésions de la couche corticale des circonvolutions fron
a sensibilité, de la préoccu- pation de sa santé. Sans parler de la lésion des nerfs périphériques, nous ne connaissons pa
s ne connaissons pas d'autre affec- tion qui pourrait provoquer une lésion progressive des cornes postérieures et antérieu
nesthésie partielle et analgésie sous forme hémiplégique. Plus tard lésion du coté opposé. Pa1'eslhésies. Douleurs. IIypoc
ent pas douter que, dans ce cas également, nous ayons affaire à une lésion des cornes postérieures de la moelle épinière e
e affection périphérique, nous n'avons pourtant pas affaire à une lésion des nerfs périphériques : 1) La sensibilité est
e quelque cause locale d'origine traumatique ou autre produisant la lésion de tous les nerfs du membre supérieur droit au-
tance parle contre une pachyméningite cervicale hypertrophique. Une lésion de la substance grise dans la moitié droite du
upant la surface totale du corps. Ce tableau remarquable de vaste lésion d'élection, rigoureusement systématique (au poi
e relève le plus souvent d'une altération purement dynamique sans lésion matérielle appréciable, et nos observations mon
rougeur ni chaleur de la partie atteinte, on est en présence d'une lésion irritative qui intéresse soit le nerf vertébral
res supérieurs commun aux filets sudoraux et irido-dilaiateurs. Une lésion siégeant en ces points n'intéresse pas le systè
s. Eu résumé, ce syndrome-mydriase-éphidrose serait le fait d'une lésion irritative, soit du tronc du sympa- thique csrv
production de tels phéno- mènes. Il est, en effet, des cas où la lésion siégeant au ni- veau du bulbe et même dans l'en
topsie. Il semble donc exister des éphidroses faciales dues à une lésion de l'encéphale. Elles seraient produites soit p
à une lésion de l'encéphale. Elles seraient produites soit par la lésion directe de l'écorce cérébrale, soit par retenti
et obscurcir le diagnostic de la maladie. J'ai pu m'assurer de ces lésions plusieurs fois et démontrer que c'est toujours
es de M. Pierret mettent donc ce fait hors de doute : c'est que les lésions de l'ataxie locomotrice portant uniquement sur
et dont le siège iden- tique répond à un substratum anatomique, la lésion des bandelettes externes et de la substance gri
ym- pathique cervical qui ont été signalées en l'absence de toute lésion correspondante du tronc du nerf, que faut-il en
tamment sur le ganglion cervical supérieur du sym- pathique. Ces lésions peuvent-être ramenées à une hypertrophie du gan
ongestion et thrombose veineuse. Bartholow tend à expliquer par des lésions ganglion- naires, les faits dans lesquels on ne
ions du sympathique, et il n'est pas éloigné de chercher dans une lésion similaire l'explication des phénomènes morbides
laire l'explication des phénomènes morbides qu'il a observés. Ces lésions des ganglions ne paraissent pas cepen- dant êtr
ous rallier à l'opinion des auteurs que nous venons de citer. Une lésion des ganglions cervicaux du sympathique peut ame
veux qui la traversent. il est donc avéré, pour conclure, que des lésions de l'encéphale de la moelle, du tronc et des ga
inefficace. La sueur n'est ici que la manifestation lo- cale d'une lésion qui intéresse soit le système grand sympathique
une préoccupation de tous les instants. Pour la traiter, c'est à la lésion cen- trale qu'il faut logiquement s'adresser. N
ud). Bouveret. - Sueurs morbides, thèse, agrég., 1880. Poiteau. - Lésions du sympathique cervical, th., 1809. Beaudaire.
e constate dans les cavi- tés thoracique et abdominale aucune autre lésion digne d'être rapportée. L'encéphale pèse z160
e, poids : 160 gr. On ne constate ni adhérence de la pie-mère, ni lésion en foyer, etc. Hémisphère gauche. La.-scissure
r la nature desquels il est encore dif- ficile de se prononcer. Les lésions portent surtout sur l'hémisphère cérébral droit
es présentés par le malade auraient été sous la dépendance de cette lésion ; mais nous ne sau- rions lui attribuer de même
ériodes biolo- giques. Elle figure dans la classe des maladies sans lésions démontrables du cerveau, parmi celles qui sont
ptômes d'aliénation mentale et son internement dans un asile, à une lésion du coeur, insuffisance aortique, etc. Mais nous
mourut de pneumonie et l'examen le plus minutieux ne révéla aucune lésion du système cérébro-spinal. Quoi qu'il en soit,
toutes les parties du cerveau et de ses enveloppes ne révèle aucune lésion appréciable autre qu'un léger épaississement av
c induration fibreuse du paren- chyme pulmonaire sous-jacent. Cette lésion ancienne et silen- cieuse affecte surtout le so
t à fait étrangère. L'au- 8H REVUE CRITIQUE topsie, en dehors des lésions de tuberculose avancée, ne ré- véla rien du côt
ne hystérique, dynamique, ou bien est-il sous la dépendance d'une lésion cérébrale : hémorrhagie, ramollissement, tu- me
re reste normale ou s'élève à peine d'un demi à un degré ; dans les lésions du cerveau : hémor- rhagie, ramollissement, tum
t bénin. Au contraire, la contracture rapide des membres dans les lésions organiques du cerveau est rare; de plus, elle en-
exclusif de l'hystérie, car on l'observe aussi (Raymond') dans les lésions en foyer siégeant dans la région lenticulo-opti
ussi que les hémianesthé- sies sensitivo-sensorielles à la suite de lésions cérébrales sont extrêmement rares ; elles tende
sposés. Nous nous en tenons donc à l'hémianesthésie organique par lésion du carrefour sensitif. Eh bien, si celle-ci exist
ts esthésio- gènes puissent restaurer la sensibilité abolie par une lésion organique. » En effet, M. Vulpian a montré que
chez des ataxiques, chez des hémiplégiques hémi- anesthésiques par lésion cérébrale. M. Grasset2 a rapporté également un
un cas de même ordre relatif à un hémiplégique hémianesthésique par lésion du cerveau. Il résulterait même d'une observati
rieur (Lebreton', Dumontpallier2), évidemment indépendantes d'une lésion centrale. Pour terminer, nous ne confondrons pa
; la température ne dépassa pas 37° 5 ; l'autopsie ne révéla aucune lésion . M. Legrand du Saulle analysait à ce propos une
le diagnostic. Nous avons dit que l'autopsie n'avait révélé aucune lésion du système nerveux chez le malade de Legrand du
s moins de quatre ans et sept mois et demi. L'autopsie révéla les lésions de la paralysie générale. Nous en tenant exclus
m de syndromes épisodiques des héréditaires. D'ailleurs, dans les lésions cliniques de M. Magnan et dans les thèses faite
hémis- phère ; la substance corticale en estseulement un peu pâle. Lésions de la dysenterie. Au microscope, on trouve dans
e centre acoustique des images phoné- tiques se trouve détruit. Les lésions portaient dans l'espèce sur l'hémisphère gauche
mmis par un homme atteint d'alcoolisme chronique, chez lequel des lésions cérébrales définitives ont compromis l'intégrité
étiques se présenta et ces autopsies révélèrent l'exis- tence d'une lésion habituelle, toujours semblable à elle-même : la
s nerfs rachidiens. La plupart des auteurs con- sidérèrent alors la lésion médullo-radiculaire comme le substratum anatomi
ement une maladie sine materiâ, une névrose; qu'elle n'avait pas de lésions spécifiques primitives et que les altérations r
a moelle sont les organes de l'ataxie, on conçoit très bien que les lésions étendues de ces organes, quelle que soit du res
si on peut s'exprimer ainsi, l'organe du tabes, car c'est avec les lésions de cette région que coexistent les symptômes ca
tique, c'étaient des tabétiques, mais c'étaient des tabétiques sans lésions organiques, car ils gué- rirent tous après quel
possibles, et, à mon grand étonnement, je n'y pus constater aucune lésion inflammatoire ou dégénératrice. Quelle que so
nte ; l'articulation coxo-fémorale ne parait être le siège d'aucune lésion . L'incoordination motrice existe seulement dans
ERVEUSE. ni des nerfs périphériques. A peine trouve-t-on quelques lésions dans certains nerfs viscéraux. Tel est le fait
e plaignait. Cependant l'autopsie n'a pas permis de découvrir les lésions habituelles du tabes. En faut-il conclure que l
reconnaître si un symptôme nerveux quelconque est déterminé par une lésion organique préexistante ou s'il est le résultat
ctionnel. Les accidents qui paraissent relever le plus sûrement des lésions organiques, tels que l'hémiplégie, l'hémianesth
u de tabes, quoiqu'on ne trouve à l'autopsie de ces derniers aucune lésion en foyer pouvant expli- quer le coma et la mort
arie du rocher, en un mot toutes les paralysies se rattachant à une lésion bien déterminée, nous n'avons visé que les hémi
de la prédisposition nerveuse dans une mala- die s'accompagnant de lésions anatomiques qui, nous le savons, consistent en
illeurs l'étude des réactions électriques. » En quoi l'existence de lésions anatomiques, alors même que celles-ci seraient
trice, la paralysie infan- tile, ne sont-elles pas des affections à lésions bien déterminées et nettement caractérisées ? e
r un diagnostic rétrospectif. Nous avons déjà parlé incidemment des lésions rencontrées à l'autopsie de malades dont nous a
bservé assez longuement et suivi d'autopsie ayant montré, outre des lésions cérébrales plus ou moins disséminées, une lésio
montré, outre des lésions cérébrales plus ou moins disséminées, une lésion cérébelleuse à laquelle il nous semble possible
les cérébelleux ont leur consistance normale. On ne constate pas de lésions macroscopiques des hémisphères cérébraux. Les v
ux, la gracilité du lobule quadrilatère et du corps calleux. - La lésion la plus importante et paraissant la plus ancien
it, 65 grammes, gauche 35 grammes). C'est là incontestablement la lésion initiale, la plus prononcée de toutes celles obse
pression ne nous donnant aucune idée de la nature ou du siège de la lésion , nous l'ap- pelons nous vertige marin, espérant
douze ans plus tard, paralysie générale.- Anato- mie pathologique. Lésions tabétiques; lésions de la folie systéma- tique
, paralysie générale.- Anato- mie pathologique. Lésions tabétiques; lésions de la folie systéma- tique (Ieptoméningite chro
ntraux fonctionnels, en attendant qu'on en ait indiqué, démontré la lésion ; en tout cas, l'hystérie doit être résolument é
ites à l'asile de Palerme, l'auteur trouve soixante-quinze fois des lésions de coeur sur cent aliénés. L'hypertrophie du ve
la surcharge et la dégénérescence graisseuse du myocarde, sont les lésions qu'on observera le plus souvent. Ces al- térati
e de l'admis- sion, recherchant quelle pouvait être l'influence des lésions du quatrième ventricule sur la production du su
e ambitieux par exemple, est tout autre, selon qu'il repose sur des lésions psycho-motrices, lésions de la volonté, ou sur
est tout autre, selon qu'il repose sur des lésions psycho-motrices, lésions de la volonté, ou sur des lésions psycho-sensor
sur des lésions psycho-motrices, lésions de la volonté, ou sur des lésions psycho-sensorielles, lésions de la sensibilité.
ces, lésions de la volonté, ou sur des lésions psycho-sensorielles, lésions de la sensibilité. Analysant le délire ambiti
ité de la sensibilité des organes génitaux chez les paraplégiques à lésions spinales (Westphal). M. Siemerling. Des asiles
t cubital. Les petites branches musculaires sont très affectées. La lésion consiste en une atrophie dégénérative avec mult
éance du 10 janvier 1887. - Présidence DE M, Westphal. M. WESTPHAL. Lésion anatomique en un cas de phénomène du genou n'ex
e qui constitue la limite entre les régions dorsale et lombaire, la lésion des cordons postérieurs avait atteint la zone d
égénérescence grise des cordons postérieurs. M. KOENIG. Deux cas de lésion de la zone motrice du cerveau. - Ces deux cas o
e un processus anatomique diffus (hématome dure- mérien étendu avec lésion corticale également étendue). Dans l'autre, il
des localisations cérébrales; quand le microscope ne decèle pas de lésions secondaires, c'est qu'il n'y en a pas. M. OTTO
HEIM. Sur un cas de paralysie bulbaire chronique pro- gressive sans lésion anatomique. - Jeune fille de vingt-neuf ans. '
. Faiblesse des extrémités ; troubles de la parole comme ceux des lésions bulbaires, troubles de la mastication et de la dé
ée : deux ans, puis aggravation, pneumonie, mort. Absolument pas de lésion . Donc névrose à symptômes bulbaires. Séance du
re); du myosi- avec rétrécissement de la fente palpébrale à droite ( lésion du cen. tre ciliospinal), de l'anhidrose du côt
férieure du côté opposé qu'on le ren- contre ; il s'agit donc d'une lésion transverse hémilatérale localisée au segment le
utopsie et étude bislologi(lue confirma- tives. C'est décidément la lésion des cornes antérieures de la moelle Archives, t
nerfs et la marche de leurs fibres, il ne peut guère y avoir qu'une lésion fasciculée de leur tronc au niveau de l'entrecr
ble paralysie de l'oculo-moteur externe, M. Remak ne connaît pas de lésion cérébelleuse (issue du vermis supérieur et comp
sont manifestes, dans certaines leçons où il s'agit de l'étude des lésions destructives du cerveau. Enfin M. le pro- fesse
M. Franck passe ensuite à l'examen des résultats fournis par les lésions destructives, localisées, du cerveau; mais ici la
les excitations cérébrales. Les troubles moteurs consécutifs aux lésions expérimentales produites chez divers animaux sur
e motrice et non motrice, détermi- née en se basant sur l'étude des lésions circonscrites; 2° les ré- gions du centre ovale
96 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nfusion mentale ainsi constituée est un symptôme de l'épilepsie, de lésions cérébrales en foyer, de la mélancolie, de la ma
ndent aux différents organes, pour le diagnostic du siège exact des lésions viscérales. Quant aux tissus sous-cutanés, l'au
l'anatomie normale et sur les faits cliniques dans lesquels il y a lésion limitée de la moelle ou des racines. Il pense q
resthésie. P. S. 111. SUR LES TROUBLES SENSITIFS PRODUITS par UNE LÉSION localisée DE la moelle; par Hale WHITE. (B7-ain
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. V. Importance relative DES LÉSIONS histologiques FINES DE L'ÉCORCE CÉRÉURALE DANS
certain degré, causales. Il est cependant plus que probable que la lésion primitive de la cellule nerveuse est la conditi
maladie. P. S. VI. Cas DE fracture DE la COLONNE vertébrale avec LÉSION DE la moelle; par TiiUNNICLIFFE. (Bi-ain, part.
445.) Les symptômes étaient au-dessous de la ligne passant par la lésion : perte complète de sensibilité au toucher, à la
éflexes profonds, patellaire, ou du coude, absents. Au-dessus de la lésion existait une zone étroite de sensibilité diminu
. A l'autopsie, on voyait sur la coupe de la moelle au niveau de la lésion de nombreuses taches hémorrha- giques aussi bie
. UN cas DE dégénération descendante DU LEMNISCUS, CONSÉCUTIF A UNE lésion du cerveau; par Alex. 13RUCE. (Brain, part. IV, 1
dus à l'irritation inflammatoire du nerf, irritation qui amène des lésions de la cornée. ' ' P. S. . XIII. Classificatio
dans les cordons postérieurs à droite, à peu près là où siègent les lésions du tabes; il est très probable que les douleur
inique d'une observation de tumeur de la protubérance. LiNs- mener. Lésions anatomiques trouvées chez un malade, atteint d'a-
. Présentation d'un malade atteint de myosite ossifiante. RRDLICII. Lésions anatomiques de la paralysie agita ? zte. DE Fra
Hirschl. Présentation d'un cas d'a- myotrophie spinale. C. 141AYEn. Lésions anatomiques de la moelle dans les tumeurs céréb
atéral. Le cerveau sera examiné après durcisse- ment. On décrira la lésion en détail dans un mémoire qui sera publié. M.
tre prudent en matière de localisations quand on veut apprécier les lésions du cerveau des paralytiques généraux. Mais il e
graphie contemporaine. M. Wernicke. En pareil cas, suivant moi, les lésions anato- miques des psychopathies antérieures et
est nécessaire, je le crois, de faire cette hypothèse, car toute lésion progressive est incurable. La lésion ne peut en e
ire cette hypothèse, car toute lésion progressive est incurable. La lésion ne peut en effet porter que sur des fibres etde
porter que sur des fibres etdes cellules nerveuses, le genre de la lésion ne peut alors ressembler qu'à celui de la névri
es névroses devaient correspondre, comme toutes les maladies, à une lésion qu'il s'efforçait de découvrir. Ce n'est pas qu
rison. Ces paraly- sies sont ou purement névrosiques ou liées à une lésion du système nerveux central ou périphérique; ces
on, que le béribéri est une mala- die générale infectieuse dont les lésions portent sur les divers organes, les muscles, le
mphatiques, se por- tent en somme très bien. Suis-je menacé d'une lésion ou quasi-lésion, de la paralysie ? Puis-je amél
ysbasies à laquelle appartient le cas suivant'. III. Dysbasie par LÉSION organique DU système nerveux. A la consultation
service d'ollicier, ce qui rend peu vraisemblable l'hypothèse d'une lésion organique. dysbasies d'origine nerveuse. 89 E
nie. Cette division des vésanies ou troubles psychopathiques sans lésions est particulièrement intéressante. Elle donne sat
èse de physiologie pathologique la plus logique. Ils pensent que la lésion circonscrite surajoutée dans l'hémisphère oppos
mènes paralytiques dans cette forme de la maladie seraient dus à la lésion des racines spinales. Quant à l'étiologie, M.Po
l, 30 juin et 7 juillet 1894.) Dans le cas observé par Villard, les lésions de l'ostéo-arthropathie étaient cantonnées au n
ordons postérieurs. Toutes ces altérations auraient pour source les lésions syphilitiques des vaisseaux céré- braux et les
i,aiii, part. II, 1894, p. 198.) On ne connaît guère que dix cas de lésion de la moelle dans l'anémie pernicieuse. Le prem
eux ans. L'aspect clinique était celui d'une sclérose combinée. Les lésions médullaires étaient également celles de l'ataxi
(Brain, part. IV, 1893, p. 562.) A l'autopsie, hémisphère droit : lésion très petite de la frontale ascendante en haut;
phère droit : lésion très petite de la frontale ascendante en haut; lésion plus importante de la partie supérieure de la p
le ascendante et de la partie adjacente du lobe pariétal supérieur; lésion de la seconde circonvolution occipitale, consis-
pacité de parler; parésie du côté gauche; coma; mort. A l'autopsie, lésions vulgaires de paralysie générale. Sclérose de l'
auteur n'ose pas se prononcer sur le rapport de causalité entre les lésions nerveuses et artérielles. Deux planches histologi
paralysie alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté (côté de la lésion ), et des membres, du facial et de l'hypoglosse de
mbres, du facial et de l'hypoglosse de l'autre (côté opposé à la la lésion ). Etant données d'une part l'absence de trouble
se présente guère dans la lèpre. Et même dans l'un des deux cas, la lésion était ma- nifestement une syringomyélie, affect
que inconnue dans la lèpre. En conséquence, soit qu'on envisage les lésions des nerfs péri- phériques, soit qu'on envisage
ire dont le parasite peut être assez facilement démontré, comme les lésions que la lèpre provoque ont souvent des caractère
e par les poumons, présentait un mal de Pott cervical accompagné de lésions chroniques des méninges et de la moelle indépen
tait atteinte d'une leptomyélite chronique diffuse légère, dont les lésions conco- mitantes permettaient seules d'établir l
e poussée de méningo- myélite aiguë et récente qui, à la faveur des lésions vasculaires, a déterminé une hématomyélie; et l
chose de plus que les paralytiques sans attaques. En dehors de la lésion et du trouble congestif contemporain, j'ai pens
s de l'urémie. J'en trouve la preuve dans l'existence de nombreuses lésions viscérales chez les paraly- tiques, en dehors d
ombreuses lésions viscérales chez les paraly- tiques, en dehors des lésions imputables à l'encéphalite. On les rencontre or
qu'on constate à l'autopsie. M. BRIAND. On ne peut affirmer que les lésions trouvées à l'autopsie sont cause et non effet.
n symptôme tabétique, elle ne paraît point liée de préférence à une lésion des cordons postérieurs. Les lésions des paraly
point liée de préférence à une lésion des cordons postérieurs. Les lésions des paralytiques portant partout, il. est super
ésentait une analgésie unilatérale du cubital, M. Cramer trouva une lésion bilatérale et symétrique des cordons latéraux,
ble, les altérations s'opposaient au rétablis- sement du malade. La lésion occupait aussi toute l'aire transverse de la mo
phénomènes hystériques, quand ils persistent, peuvent entraîner des lésions . Pour donner un exemple frappant, dans le pied
ngrène était un phé- nomène surajouté et ont fait jouer un rôle aux lésions vascu- laires (endartérite oblitérante. Mendeno
artérite oblitérante. Mendenold, Weiss, Gold- schmidt, etc.) ou aux lésions des nerfs trophiques. (Wigles- worth, Samuel, K
oïa, Verwirrtheit désignent des variétés d'aliénation mentale, sans lésions , ayant pour élé- ment symptomatique principal l
aux intoxications ; les délires dus aux névroses ; les délires par lésions organiques de l'encéphale; les formes délirantes
C'est une forme intermédiaire entre les psychoses et les folies "à lésions accentuées et profondes ; elle revêt souvent le c
omie) consécutive à la ma- nie, à la mélancolie, à la paranoïa, aux lésions cérébrales orga- niques, à la sénilité, la para
grâce à de nom- breuses préparations, à reconstituer en totalité la lésion anato- mique, avec tous ses degrés de siège et
ormal les diverses coupes de la moelle, on relève de suite, dans la lésion des cordons postérieurs, deux maxima absolus d'
emières racines cervicales et en bas vers.la première dorsale. La lésion porte surtout sur le faisceau de Burdach et mieux
se compose la zone radiculaire postérieure. Parallèlement à cette lésion du faisceau de Burdach, on observe une autre lé
èlement à cette lésion du faisceau de Burdach, on observe une autre lésion qui correspond au centre ovale de Flechsig, leque
s ci-dessus indiqué appartenant à la zone radiculaire moyenne. La lésion , dans le cas présent, porte donc sur des aires co
s ictus apoplectique impliquait incontestablement l'existence d'une lésion cérébrale de peu d'étendue. ' e6 REVUE DE PAT
rices, c'est la capsule interne. Le diagnostic de M. Blocq fut donc lésion de la capsule interne à la suite de désordres v
part. II, p. 263.) Un cas de paralysie pseudo-bulbaire due à des lésions dans cha- que capsule interne; dégénérescence d
probable que dans le cas d'idées fixes sans folie, il n'y a aucune lésion , et que celle-ci n'apparaît que lorsque le malade
ps son rôle nocif dans l'économie : mais, le foie restant lésé, ses lésions s'effectuent, sourdement et brusquement l'insuffi
confu- sion mentale, n'était qu'un délire toxique secondaire à une lésion hépatique, ce que l'autopsie a permis de vérifi
fois pour origine première des pulsations auriculaires tenant à une lésion de l'oreille ou des oreilles (otite moyenne ; p
pas de troubles moteurs sensitifs ou sensoriels. Ceci indique une lésion de lobes frontaux, sans la région motrice. La syp
au côté où prédomi- naient les convulsions, Lissauer pensait à une lésion cellulaire aiguë dans le territoire cortical, c
le territoire cortical, correspondant aux membres intéressés; cette lésion aurait été vérifiée par l'examen histologique.
mploi systématique de cette dernière dans un grand nombre de cas de lésions cérébrales localisées, recueillis dans son vaste
ntrer au cours de la paralysie générale, dans la sénilité, dans les lésions cérébrales circonscrites, dans la confusion menta
e, quand Huglings Jackson vint démontrer par ses tra-' vaux que des lésions localisées à certaines circonvolutions céré- br
minée. Il doit y avoir des altérations fonc- tionnelles et même des lésions comme celles que M. Chaslin a trouvées dans le
elles que M. Chaslin a trouvées dans le tissu névroglique; mais ces lésions relèvent probablement, comme nous essayerons de
niques du cerveau consécutives à l'alcoolisme et les rapprocher des lésions de même nature qui se traduisent par la paralys
aiguë de la confusion mentale ou paranoïa aiguë, est fonction d'une lésion organique du cerveau, quelle qu'en soit l'origi
ns localisées. Le diagnostic ne pouvait donc pas être douteux : une lésion irrita- tive siégeant dans la région psycho-mot
et intéressant le centre du bras droit. Quant à la nature de cette lésion , on devait peiiser d'abord à une hémorragie ou
qu'un foyer ou kyste hémorragique ou embolique puisse agir comme lésion irritative, on en trouve assez d'exemples dans la
te consécutif la continuation des attaques. Quant au siège de cette lésion , il était hors de doute qu'elle intéressait le
et Horsley1, au premier sillon frontal de l'homme. Le siège de la lésion irritative en question serait donc la circonvolut
ur et moyen de la région motrice de la surface convexe. Que cette lésion fût la cause non seulement des convulsions loca
cerveau, au point de départ des convulsions, un kyste hémorragique, lésion à coup sûr irritative et sans tendance à guéris
esthésie de la sensibilité générale et perte du sens musculaire par lésion cérébrale corti- cale. A l'autopsie on a consta
surtout les cornes anté- rieures. Appareil vasculaire très altéré. Lésion des racines anté- rieures et postérieures. Figu
nale antérieure. Il n'y aurait pas lieu, suivant lui, d'admettre la lésion primitive des cellules nerveuses au sens de la th
t ce que l'on va rechercher pour le publier plus tard. P. K. XXV. Lésions ANITOh10P.1TII0LOCIQUES DU plan incliné DE BLUMEN
du plan incliné. Ils dépendent des organes nerveux atteints par les lésions de ce dernier. Troubles de la pa- role en rappo
stance de la paralysie flasque des extrémités intérieures, avec une lésion transverse totale de la moelle siégeant si haut
ent ce qu'avait annoncé Bastian quand il disait : , « Lorsqu'il y a lésion transverse totale de la moelle au niveau des ré
us les réflexes cutanés et tendineux des régions sous-jacentes à la lésion font défaut, la paralysie reste flasque, la vessi
'auteur met en relief l'encéphalite disséminée caractérisée par une lésion des vaisseaux, dès hémorrhagies, la proliférati
ltération des fonctions psychiques. Il faut également s'airêter aux lésions de la moelle, presque égales, chez les deux mal
presque égales, chez les deux malades quoi qu à des degrés divers. Lésions irrégu- lières, non systématiques, d'origine ii
amment de l'appareil vascu- laire. Malgré cela, il n'y avait pas de lésion des faisceaux pyramidaux (observation I) tandis
cordons postérieurs présentaient (dans l'observation II) les mêmes lésions diffuses et indéterminées. Elude critique paral
s latérales anormalement délicates. Il y a donc eu, en somme, une lésion qui s'est produite avant que l'encéphale ne fût
développement ! qui a de préférence frappé l'hémisphère gauche ; la lésion de la moelle émane donc de celle de l'écorce. L'a
orne antérieure correspondante. L'auteur se rattache à l'idée d'une lésion vasculaire syphilitique ayant porté sur le lobe
philitique ayant porté sur le lobe occipital gauche et provoqué des lésions histologiques diffuses de J'écorce. Puis, peu d
plancher du qua- trième ventricule; peut-être y découvrirait-on la lésion primor- diale de cette fatale maladie. (America
orst, Leyden, Rosenheim, Senator. On ne trouve aucune cause à cette lésion qui atteint systématiquement nerfs et muscles.
yau avec le pathétique. M. Kraske présente deux malades atteints de lésions intra-cra- niennes qui ont nécessité l'interven
léger coup au niveau de la région auriculaire du côté gauche, sans lésions apparentes, fut six semaines plus tard, pris de
as de trouble intellectuel; sommeil agité. Aucun signe d'urémie, de lésion phy- sique du cerveau, de fièvre intermittente,
es malades étant mort subitement, l'examen microscopique révéla une lésion des cordons postérieurs, sans atteinte des corn
a pas d'identité entre le tabès et la paralysie générale, car la lésion des cordons latéraux est secondaire et ne dépend
. C'est dans un de ces accès qu'elle mourut. Puisqu'il n'y a pas de lésions , il s'agit, en pareils cas, d'une forme morbide
it encore. L'autopsie révéla une association de syringomyélie et de lésion combinée des cor- 'dons de la moelle semblable
Il y a lieu de rattacher la parésie'spasmodique des extrémités à la lésion des faisceaux pyramidaux; l'intégrité des zones
diculaires, notamment dans la moelle lombaire, explique pourquoi la lésion simultanée des cordons postérieurs n'em- pêchai
ce grise, et à l'interruption des faisceaux conducteurs. C'est à la lésion des cordons postérieurs qu'il faut avant tout f
t tou- jours soit d'une hémianopsie véritable en rapport avec une lésion encéphalique, soit du simple rétrécissement conce
1·'éré. Conl. à l'élude des troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrales. 1882. ' Chareot. Leçons du mardi, I
Potherat qui a bien voulu examiner son état. Il n'a observé aucune lésion sérieuse et quoique cette personne n'ait que qu
réciss'ement concentrique du champ-visuel, a dans son11 cerveau une lésion quelconque qui exerce une - double compression
ec soin,"éveilleraient'tout naturellement la pensée es plus graves' lésions ^'encéph'aliques1. Le^cas pourrait' être ajouté
au a bien voulu taire de cette malade, démontre qu'il 1 n'ya aucune lésion du fond de l'oeil.Tous ces symptômes'même ? )....
elà'eütlieulque la·réparation·s'effectue : Enfin indépendamment des lésions que nous avons lol)servéà-s dans'le sang -dé ce
s acci- dents. ' ? z . On,ne;peut)évidemment pas,songer,ici à une, lésion complète définitive,du centre dulangage.puisque
passager. Du^reste les autopsies n'ont, jamais montré, la, trace de lésions anciennes ou récentes àjce niveau. Cependant cett
endant cette aphasie 'ne^diffère de, l'apllasie, ordinarrerdont, la lésion 'est connue. que par son ,évolution : , Il' est
peut, s'accompagner, des mêmes symptômes que l'on constate dans les lésions des diversas artiesdu s stème nerveux.-Nous ayo
urs après à''constater qu'il"n'y avait là que de la congestion, les lésions tuberculeuses ayant porté seulement sur les org
les symptômes qûél'oü,àttrib`uè comniuiémentët avec justesse à des lésions . Peut-être des lésions auraient-elles fini, par
àttrib`uè comniuiémentët avec justesse à des lésions. Peut-être des lésions auraient-elles fini, par se, produire si les ch
r progressivement, d'une façon irrémédiable. Peut-être y a-t-il des lésions , mais jusqu'ici elles nous ont échappé. Les m
due à un trouble dyna- mogénique des cellules de l'écorce ou à des lésions microsco- piques inflammatoires de ces mêmes ce
on sur plusieurs crânes, la nature des symptômes, font penser à une lésion de la capsule interne. La paralysie, limitée d'
ese dans la névrite périphérique; d'autre -part on sait que dans la lésion simultanée des cordons postérieurs -et latéraux
nifestent chez les tabé- tiques, il est indispensable que, outre la lésion de l'appareil sensitif, il existe encore une lé
e que, outre la lésion de l'appareil sensitif, il existe encore une lésion de l'appareil moteur. Eu cas de modifications s
ouvements "cloniques apparaissent, il est indispensable qu'il y ait lésion simul- tanée des fibres motrices périphériques,
atteint de paraplégie avec parésie du membre supérieur droit. La lésion médullaire s'étendait à toute la moelle depuis la
lles indiquent, excepté dans ces deux dernières maladies, qu'il y a lésion organique. XXXIX. Contribution A la théorie des
itaire; ces deux auteurs ont pu rendre des animaux épileptiques par lésion du sciatique et de la moelle et par lésions irr
animaux épileptiques par lésion du sciatique et de la moelle et par lésions irritatives du cer- veau ; ils ont constaté que
critique ne nous semble pas pouvoir s'accorder facilement avec une lésion permanente du système nerveux. Cette lésion aur
r facilement avec une lésion permanente du système nerveux. Cette lésion aurait d'ailleurs échappé jusqu'ici à tous les ob
tent pas encore d'apprécier, il resterait à expliquer comment cette lésion fixe ne détermine les accès qu'à de certains mo
logiques de la patho- 446 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. logie, qu'une lésion entraîne des symptômes qui en sont la manifesta
iste. Faudrait-il donc admettre que, dans l'épilepsie, il y ait une lésion chaque fois réparée, et chaque fois reproduite ?
e ordinaire, n'ayant pas conscience de ce qui s'est passé. S'il y a lésion , elle doit cependant persister encore. Si l'on
métrique. On constate que l'excitabilité des régions voisines de la lésion est considérablement augmentée. En outre au bou
me par le traitement thy- roïdien. M. Clouston décrit ensuite les lésions corticales observées dans une autopsie de myxoe
s'il n'existe pas d'affection chro- nique du rein, de syphilis, de lésion organique du cerveau, de dépression du crâne;
les- quelles l'intervention chirurgicale peut être utile, sont les lésions médullaires par compression, quand elles siègen
ar compression, quand elles siègent aux régions inférieures, et les lésions des racines. Première observation. Homme de vin
bibliographie. 481 intoxication des centres nerveux surajoutée aux lésions chroniques de la méningo-encéphalite ; 2° on pe
ie générale, il est peut être bon de faire abs- traction des seules lésions du système nerveux central et de voir dans cert
nséquences d'un trouble grave de la nutrition sous la dépendauce de lésions des viscères autres que le cerveau et la moelle
s. 4° Cette urotoximie trouverait sa cause non seulement dans des lésions rénales qu'on observe fréquemment, mais aussi dan
sions rénales qu'on observe fréquemment, mais aussi dans d'au- tres lésions des viscères tels que le foie. 5° Les paralytiq
nt nom- breuses en dehors des poly névrites récemment signalées les lésions viscérales chez les paralytiques généraux ; fré
sclérose, qui peut être considérée comme trait d'union entre les lésions observées. 7° Des indications utiles découlent
the relation of Dricases of the Spinal Cord lo the Distribution and Lésions of the Spinal Blood T'essel. Bro- chure in-8°,
on des ordres -, par J. Mackensie, 34; troubles- produits par une lésion localisée de la moelle, par H. White, 35. Sex
s, par Schmidt, 321. Vertébrale, fractures de la colonne - avec lésion de la moelle, par Thunniclilfe, 30. Vésicaux,
97 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
elques médecins et pour nous, sont des enfants malades, atteints de lésions ner- veuses plus ou moins profondes ou de dégén
e pour le prix Belhomme relatif à l'idiotie et de préfé- rence -aux lésions des centres nerveux dans l'idiotie. 4 IDIOTIE C
te sur ce dernier lobe quelques petites ecchymoses ponctuées. Les lésions sont les mêmes qu'à gauche. Sur la plèvre pariéta
dur que d'habi- tude, sans qu'on puisse y constater à l'oeil nu de lésions de néphrite interstitielle (épaisseur de la cou
ct du cerveau des nouveau-nés, sorte d'aspect gélatiniforme. Pas de lésion en foyer; pas d'induration de la corne d'Ammon
es. Le foie, la rate, les reins, les poumons ne présentent pas de lésions qui méritent d'être notées. Cependant, du côté dr
naissance est l'une des causes peut-être las plus fré- quentes des lésions qui aboutissent à l'idiotie. (B.) - Les autres
hette, mais ne savait pas se servir de couteau, il n'offrait aucune lésion du tube digestif, sauf des hémorroïdes. Il ne pou
ce, soit à l'étranger. L'idiot est loin de présenter toujours des lésions macroscopiques grossières^beaucoup ne sont atte
lésions macroscopiques grossières^beaucoup ne sont atteints que de lésions structurales, ne se décèlant quelquefois à l'oe
rundler3, et offre un grand intérêt par suite de la constatation de lésions identiques à celles qui ont été rencontrées dan
e eo sang. Quelques sugillations pleu- rales. - Poumon droit, mêmes lésions . Rate : longueur : 8 c. et demi, poids 75 gr. -
i par-là trouble et gris jau- nâtre. - Rein droit (1415 gr.), mêmes lésions . Langue hypertrophiée avec plusieurs impression
rès français de chirurgie. 96 IDIOTIE CRÉTINOÏDE. myxoedème d'une lésion grave ou de l'absence de la glande thyroïde. La
émie consécutive à la paralysie des dilatateurs de la glotte, à une lésion des rameaux du grand sym- pathique, à l'altérat
inéale, à l'action de l'acide phénique pendant l'opé- ration, à une lésion des troncs nerveux, situés dans le voisinage de
scères occupent leur place normale. Coeur (40 gr.) en systole, sans lésions , ex- cepté que le trou de Botal n'est pas compl
s autres parties de la base de l'encéphale sont symétriques et sans lésions . Nulle part la pie-mère n'offre de granulations
ont com- muns avec la circonvolution du corps calleux qui est mal LÉSIONS DE LA PROTUBÉRANCE. 117 délimitée. La scissur
ps strié, la corne d'Ammon, le corps calleux ne présentent pas de lésions . Les coupes pratiquées sur divers points des hé-
utres pratiquées sur chacun des hémisphères ne laissent voir aucune lésion . Les deux hémisphères sont égaux, malgré l'inég
petit que le côté droit. Dans la substance blanche, on remarque une lésion descendante des divers cordons latéraux, les fa
cordons latéraux, les faisceaux cérébelleux étant respectés. Cette lésion est plus étendue du côté gauche. La pie-mère y
démarcation brusque entre le tissu sclé- rosé et le tissu sain. La lésion est très avancée. Il n'existe à peu'près plus d
ssement, qu'il faut chercher, est, à ce niveau, le seul signe de la lésion descendante des cordons. Tout le long de la moe
aux de notre observation, d'ébaucher le tableau cli- nique de cotte lésion . 120 TUBERCULOSE DE LA PROTUBÉRANCE. OBSERVAT
misphères. Cervelet et isthme, 155 grammes. La pie-mère du cervc- LÉSION DE LA PARIÉTALE ASCENDANTE GAUCHE. 135 let se d
oids du poumon droit, 151 grammes. Le coeur (80 grammes) est sans lésions ; orifices nor- maux. Péricarde sain. Abdomen
e foie, indépendamment des granulationsadul- tes. Dans la rate, les lésions sont semblables, mais il y a beaucoupplus de no
ertébrale. Laissant de côté 140 RELATION ENTRE LES symptômes et LES lésions . les organes thoraciques et abdominaux, nous ne
relèverons que les particularités relatives aux méninges. Là, les lésions tuberculeuses se sont présentées sous l'aspect
il y a une cor- rélation très nette entre le siège prédominant des lésions s et les symptômes les plus saillants. Les lési
prédominant des lésions s et les symptômes les plus saillants. Les lésions méningiti- ques, qui avaient déterminé une légè
s sous l'influence de l'édu- cation, puisqu'il s'agit non pas d'une lésion qui a produit tous ses effets, mais d'une lésio
agit non pas d'une lésion qui a produit tous ses effets, mais d'une lésion en voie d'évolution et parfois, comme ici, tout
rès la mort 38°; une heure après, 36°; deux heures après, 3'i°. * LÉSIONS DIPHTHÉRITIQUES. 147 Autopsie le 18 juin, à 8 h
. Dans son ensemble, l'encéphale (955 gr.) est mou et lourd. Pas de lésions en foyer. On trouve des adhérences delà pie-mèr
a em- porté avec elle une portion de la substance grise. La môme lésion se retrouve sur la pariétale ascendante, la front
es grosses cellules, on observe, vu la grosseur des éléments, des lésions plus nettes. Les cellules sont diminuées de nombr
n peut observer sur les coupes. Sur une coupe du lobe pariétal, les lésions sont absolument du même ordre, mais plus avancé
s cellules pyramidales moyen- nes que l'on retrouve l'évolution des lésions cellulaires telles que nous venons de l'indique
posent toujours des deux mêmes éléments, sclérose interstitielle et lésion des cellules pyrami- dales, évoluant parallèlem
blement, des secousses, accidents susceptibles d'être rattachés aux lésions produites par l'alcoolisme. Les troubles intell
r, l'alcool ayant produit, sur son cerveau en voie d'évolution, des lésions définitives. Dans ces conditions le pronostic é
s convulsifs chez Enderl... depuis son entrée à Bicêtre. III. Les lésions trouvées à l'autopsie sont celles d'une méningo
ayant aussi atteint les lobes frontaux. La sclérose céré- brale, lésion ordinaire de l'alcoolisme, explique bien les tr
e l'enfance, l'atrophie cérébrale. Elle est, ici, consécutive à des lésions aiguës graves ayant détruit complètement les lo
e congestion à la base; les bron- ches contiennent du muco-pus; les lésions sont les mêmes sur le poumon gauche (25 gr.).
. A droite, au point correspondant, il paraît avoir existé une môme lésion ac- tuellement cicatrisée. La plupart des viscè
s de la scissure interpariétale sont atrophiés et font partie de la lésion sous-jacente. - Le lobule pariétal inférieur, l
ccipital, le lobule de l'insu la sont entièrement com- pris dans la lésion qui a donné lieu à la formation du grand pseudo
ses différents bords, compris dans le grand pseudo-kysto ou dans la lésion environnante ; il est, par ses autres parties,
RIPTION DES CIRCONVOLUTIONS. rieur est complètement compris dans la lésion kystique. Le lobe temporo-occipital n'existe pa
iculaire externe, assez profonde, limite par sa lèvre inférieure la lésion siégeant sur le lobe occipital. La scis- sure p
- dons sur ce sujet (1). - III. A quelle époque s'est produite la lésion dont l'au- topsie nous a révélé les cicatrices,
là d'un cas d'idiotie complète. Quant à la cause, c'est-à-dire à la lésion anatomique qui l'avait déterminée, nous avouons
oximativement dans quelle mesure l'enfant est perfectible. V. Les lésions découvertes à l'autopsie ont été décrites plus
une atrophie de la bandelette optique droite. La multipli- cité des lésions , la formation consécutive de pseudo-kystes nous
, la formation consécutive de pseudo-kystes nous font penser que la lésion primitive était un ramollis- sement probablemen
i nous semble contredite par notre observa- tion : «Si, dit-il, les lésions se produisaient des deux côtés, une mort prompt
e cérébrale, » On a yu, en ef- fet, que chez Ren... il existait des lésions très étendues, portant non seulement sur l'un d
somme, les cinq couches de la substance grise ne présentent pas de lésions nettes; la substance blanche offre des lésiuns
ses qui rayonnent dans la substance grise. Du côté de celle-ci, les lésions sont les mêmes pour les cinq couches; la vascular
ÉROSE diffuse DE la MOELLE. L'hippocampe du côté gauche a les mêmes lésions que la première frontale; il existe des foyers
ns les cornes postérieures. Les cordons blancs ne présentent qu'une lésion diffuse, un épais- aissement du tissu interstit
cé encore, et l'atrophie des éléments nerveux portée très loin. Ces lésions sont générales et diffuses. Il n'y a nulle part
ré l'atrophie plus marquée du côté gauche du corps, il n'y a pas de lésions en foyers à droite, ceci n'est pas rare dans le
n foyers à droite, ceci n'est pas rare dans les cas semblables. Les lésions assez légères d'ailleurs observées du côté des
rva- tion suivante, curieuse à divers titres, va nous montrer des lésions aussi de nature inflammatoire, mais offrant des
circonvolutions ; lé- sions consécutives de la substance blanche ; lésions diffuses d'encéphalite chronique ; lésions de l
e la substance blanche ; lésions diffuses d'encéphalite chronique ; lésions de la subs- tance grise et de la substance blan
lite. 183 Cou et thorax. Le larynx et la trachée n'olfrent aucune lésion . Le thymus persiste en partie. - COi'PS thyroïde
vés à dif- férentes reprises pendant la vie, n'ont pas déterminé de lésions bien prononcées de la muqueuse intestinale. 1
ès petits foyers de ramollisse- ment et semblent correspondre à une lésion plus avancée que l'état chagriné qui coexiste s
tiques de la Faculté. - L'hémisphère droit n'a pas été examiné, les lésions étant d'apparence semblable des deux côtés. Les
sphériques très peu abondants, s'amincit aux points extrêmes do la lésion et disparait dans la couche superficielle de la s
our de la plupart d'entre eux; ils morcellent la substance grise. Lésions de la substance blanche. - Dans la substance blan
nstituées par lo même tissu fibrillaire que dans la précédente; les lésions de la substance grise au pourtour du foyer sont
et fortement colorés. Dans la substance blanche, on voit les mêmes lésions que dans les préparations précédentes; les vais-
étendu que celui que nous avons décrit sur lo frontal, montrent des lésions absolument semblables, mais la traînée descenda
it affaire à de véritables foyers hémorrhagiques en ce point. Les lésions d'encéphalite au voisinage présentent les mêmes
plus volumineux sont entourés d'une paroi fibrillaire nette. Mômes lésions que plus haut dans la substance grise. Cervelet
dorsale. - L'aspect est le même de tout point. Moelle lombaires Les lésions sont les mêmes, la tuméfac- tion des cellules e
ur, ont OU. examinés sur des coupes et ne présentaient pas d'autres lésions que leur état légèrement alrophique, semblable
état légèrement alrophique, semblable 1 celui qu'on trouve dans les lésions do dénutrition. 192 RÉSULTATS DU TRAITEMENT.
allons revenir, nous constatons dans tout l'axe cérébro-spinal les lésions ENCÉPHALITE. 193 diffuses, portant à la fois
n détaillé du coeur et des autres organes ne nous a point montré de lésions vasculaires, ni d'autres foyers hémorrhagiques;
is nous ne pouvons préciser quelle est l'influence de cette seconde lésion sur la première. Dans la moelle, l'altération d
e complète; après quoi, les débris de la cellule s'éliminent. Los lésions de la substance blanche, tant dans le cerveau q
l- tiples, distribués sur les hémisphères. Nous pensons que cette lésion , qui a été rarement signalée à cet âge, les ra-
rprétée de façon à expliquer d'autres formes également curieuses de lésions trouvées chez les idiots. TÉRATOLOGIE. 195
oncés. - Pupilles con- tractiles très resserrées. Iris gris. Pas de lésion oculaire. La fente palpébrale gauche parait lég
nous avaient fait penser que, à l'autopsie, nous trouve- rions des lésions plus ou moins profondes, et, en particu- lier d
eu indifféremment dans un sens ou dans l'autre. Dans notre cas la lésion siège sur les septièmes cartila- ges costaux dr
0 gr.) est très congestionné; le lobe inférieur est splé- nisé. Les lésions de broncho-pneumonie sont surtout marquées à la
sseuse assez prononcée. Le myocarde est sain et on ne trouve pas de lésions valvulaires, ni de taches ecchymotiques. Abdome
98 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
elle est la meilleure qu'on puisse employer pour la topographie des lésions cen- trales. Mais, au lieu de la faire de dehor
nes brisées, formant un angle rentrant ' Pitres. Recherches sur les lésions du centre ovale. Paris, 1877. 2 Brissaud. Contr
xécutent tous les mouvements avec l'exacti- tude que permettent les lésions articulaires dont ils sont le siège. Nous n'i
il n'y a pas de méprise possible, et, ceci établi, insister sur les lésions articulaires. Un premier point à noter est la
., elles siègent au coude, h Vépaule gauche, à épaule droite. Ces lésions articulaires ne sont pas d'une très grande fréq
LES ARTHROPATHIES TABÉTIQUES. 77 prédisposés aux arthropathies. Les lésions présentent chez B... une symétrie évidente; les
Sur un autre malade de notre service, les deux genoux offrent les lésions caractéristiques de l'arthropathie. Nous nous s
li- cité des arthropathies sur un même ataxique et symé- trie des lésions , ressortent des cas rapportés par Michel et réu
nts articulaires, six, c'est-à-dire plus du quart, présentèrent des lésions multiples. La fréquence des arthropathies est d
E NERVEUSE. res. Ces observations montrent encore la symétrie des lésions , car cinq fois elles furent symétriques et une
t pas un simple effet du hasard. M. Charcot a fait observer que les lésions articulaires surviennent à une époque peu avanc
notre malade. Voici dans quelles circonstances sont survenues les lésions de l'épaule gauche. Le 21 novembre 1880, dans l
mpe, du moins au début. L'ataxie a peu de tendance à produire des lésions du tissu fibreux. Il est, en outre, remarqua- b
articulation. Selon nous, la rupture tient très probablement à la lésion du tissu osseux, à une sorte d'arrachement au v
es accidents et il est difficile déjuger de ce qu'étaient alors les lésions . Dans un cas de M. Bourceret', cependant, l'art
ne meule. » Il est difficile de savoir exactement ce que sont les lésions au début, à cause de la destruction très rapide
l'examen des pièces d'arthropathies anciennes, c'est l'inégalité de lésions , souvent observée des deux surfaces articulaire
vait disparu avec la portion de l'os situé dans son voisinage ; les lésions de la tête humérale étaient relativement peu co
si facile à explo- rer, grâce à l'atrophie des muscles, quoique les lésions remontent à une période ancienne, elles intéres
et arthropathies, dans l'ataxie locomotrice, reconnaissent une même lésion anatomique disséminée par foyers dans toute l'é
ité réflexe chez les grenouilles décapitées. Schiff a, par diverses lésions cérébrales, déterminé une diminution unilatéral
faradication d'une portée limitée du tégument dans l'anesthésie par lésions cérébrales, l'intoxication satur- 7M' ? ! C, l'
hémisphère entraîne l'hémiopie des deux yeux, du côté opposé à la lésion . Ainsi, un animal auquel on enlève d'abord le pli
n- traîne qu'une très légère modification du goût, imputable à la lésion de quelques filets de la corde. 2° La section d
jamais hypertrophiée. Le DJuLIUS Mickle lit une «Note sur un cas de lésion du cerveau » . L'heure avancée ne permet pas
e. Quant à l'anatomie pathologique, elle est encore à faire ; les lésions qu'on a signalées du côté du système nerveux, tel
ue est ensuite étudiée avec soin et, en premier lieu, il décrit une lésion àpeu près constante, non encore signalée de l'a
étape plus avancée du processus pathologique. L'existence de cette lésion est pour beaucoup dans la présomp - tion, qui l
aphasie un trouble de ces diverses manifestations de la pensée sans lésion générale de l'intelligence, ni des organes,de l
nct tion très nette entre ce qu'il nomme amblyopie aphasique sans lésion ou amblyopie amnésique, et l'aphasie accompagnée
anee opllaalmoscopzqece, pratiqué par Galezowslip, ne révéla aucune lésion . Pendant plus de douze jours, le malade a pu s'
euses recherches physiologiques et a cité deux cas de cécité avec lésion du lobe occipital. En 1874, Hitzig admettait qu'u
é avec lésion du lobe occipital. En 1874, Hitzig admettait qu'une lésion destructive du lobe occipital produisait la cécit
n fond scientifique. Les cas de cécité et de surdité des mots, avec lésion siégeant dans les points indiqués, viennent à l'a
verbale : le nom de l'objet est non avenu pour le malade.' '- Si la lésion siège dans l'ap- pareil'de transmission, on aur
du centre auditif au centre de la formation des mots, que siège la lésion : nous aurons la surdité des mots. Le malade en
dité des mots, le défaut de compréhension des mots sans qu'il y ait lésion de l'organe de l'ouïe, l'état intellectuel étant
uit par des gestes expres- sifs et ne présente en même temps aucune lésion de l'appareil auditif. A l'autopsie, on trouva
citées par MM. Kahler et Pick, inté- ressàntes quant au siège de la lésion , ne sont pas très com- clinique ne fait pas ass
amen de l'ouïe, pratiqué par M. le docteur Gellé, n'a relevé aucune lésion dé l'appareil auditif. Il'est facile de ne pa
ute voix. Il est bien entendu, que ces malades ne présentent aucune lésion de l'oreille. *ï Quant à l'argument que la plup
ge bizarre des symp- tômes que je viens de décrire. S'agit-il d'une lésion plus spé- cialement localisée sur les méninges,
ésion plus spé- cialement localisée sur les méninges, ou bien d'une lésion portant atteinte, plus profondément; dans la su
it, sans aucun doute, congénitale. Il est digne de remarque que ces lésions nerveuses coïncident souvent 'avec' des névrose
e, douze n'ont présenté aucun symptôme qui pût faire soupçonner une lésion du système nerveux.' Des qua- torze autres ? hu
ze malades seulement présentaient des troubles en rapport avec la lésion "' '; ' ' r ' ' Le diagnostic est souvent diffic
déjà publiées. L'auteur rappelle les diverses théories proposées ; lésion du trijumeau ou des fibres sympa- thiques conte
nerveux (Eulenburg) ; trouble vaso-moteur de la région (Stilline) ; lésion du ganglion sphéno- palatin déterminant une con
rwinkel) ; irritation permanente du grand sympa- thique (Brunnes) ; lésion des cellules trophiques du facial (Hammond) ; n
ici de ces viscéralgies idiopathiques souvent con- fondues avec des lésions organiques, et, d'autant plus volontiers traité
(métrites, etc.) ; le mécanisme en tout cas est identique et les lésions , comme plus haut, ne joueraient le rôle que de ca
de nous occuper '. » P. K. V. DES relations étiologiques ENTRE LES lésions DE la CORNE D'AMMON ET l'épilepsie ; par Wilhel
opie, et mentionne les sources bibliographiques. La fréquence des lésions de la corne d'Ammon chez les épi- leptiques n'e
alité du processus ; les diffé- rences proviennent du degré dont la lésion a progressé suivant le côté que l'on examine. O
anière des excitations périphériques (cicatrices irritées ou autres lésions extérieures) pour déterminer l'accès, y compris
la corne d'Ammon malade, sans que jamais on pût, admettre que la lésion , ainsi localisée, fût secondaire à une altération
249 VII. SUR le1 priapisme persistant 'et ' non attribuable A UNE LÉSION DU'SYSTÈME NERVEUX CENTRAL; paru. PEABODY. 7VeM
eutsch.médie. Wochensch. 1880) témoignent encore de l'extension des lésions à plusieurs systêmés de la moelle. A L'éXelripl
ut ; intégrité de la sensibilité rétinienne, et, d'ailleurs, pas de lésions à l'ophthalmoscope. Guérison en quinze jours. Le
ie cardiaque parve- nue dans l'artère sylvienne ayant déterminé des lésions dans le noyau lenticulaire, le pédoncule cérébr
; fait rares. Considérant comme démontrée l'existence constante des lésions artérielles dans les hémorrhagies cérébrales de
ières périodes de la syphilis, Lechner recherche quelles sont ces lésions et surtout-quel est leur mode de début ; après'av
eld, Cornil et Ranvier, Iôster,, Lancereaux, etc., il admet que les lésions initiales siègent non pas dans la tunique exter
tement celle de Arndt,; qui- veut que l'anévrysmer miliaire soit la lésion , primitive, et,il'athérome des artérioles.et de
itive, et,il'athérome des artérioles.et des, artères seulementf·une lésion secondaire, produitei par la premiàre,l il, est
daire, produitei par la premiàre,l il, est porté à croire que, les ( lésions débutent [par les- capillaires, pour n'apparaît
it à hésiter qu'entre la paralysie progres- sive des aliénés et une lésion cérébrale localisée. Si la première trouvait se
; - . ,.a . , 7 , . , - T1 XV. DES phénomènes DE vertige dans LES lésions DE l'oreille ; par,B. Baginsky. {Séance de l'Ac
il rapporte tous les troubles statiques observés à la suite de leur lésion à une blessure concomitante du cerveau dans le
s paralysies limitées ; on peut également rechercher le siège de la lésion , dans les cas de spasme limité, dans la chorée.
u'x ? j.cpnvulif ? délira.nt) auxquels, se rattachent en* fait-, de lésions , jl'hyperémieetl'oedëme,,des centres (typerez,
aphie psychique'y, e-st. ièpésent6., Apyrexie complète.' Toutes les lésions alléguées constituent autant d'hy- 'pthèsesPâth
antes qui suivent : syphilis dans 67 cas (39 hommes et 28 femmes) ; lésions traumatiques de la tête dans 42, cas, (31 homme
,Il tiques et psychiques sont les mêmes. , ? r i ri, 1 1 ni . Les lésions anatomiques se résument ainsi : : 'dégénères- '
éo'-membrahes''étëndùes''dè*Ia dure-mère; dans la majorité des cas, lésions 'primitives des méninges(-et troubles de la cir
-t < z ,If Le fond'de l'oeil`peut,être normal,=ou présenter des' lésions qui ne sont pas, toujours égales des deux côtés
r des' lésions qui ne sont pas, toujours égales des deux côtés; ces lésions sont habituellement de la congestion ou de l'oe
igri Ne serait-ce pas elle, qui, chez l'enfant, aurait entraîné une lésion de l'écorce cerébrale, hémi- 111 F4.1 f 1111ti,
rapprochées des hallucina- tiens seraient pour lui un garant de la lésion du nerf acoustique pour ui un garan 1 wlm ... h
centres, nerveux danssebservations/rapprochée de l'inconstance des lésions dans les autres faits, liridérnontre que, le dé
par organisation, s'aban- des excentriques ; ceux qui par suite de, lésions , ou de vices orga- - 1 niques sont dépourvus du
dans la troisième circonvolution frontale du côté gauche et qu'une lésion siégeant en ce point détermine l'aphasie tandis
u'une lésion siégeant en ce point détermine l'aphasie tandis qu'une lésion de la région .correspondante à droite ne s'ac-
on de la troisième frontale est atteint, mais j'y vois aussi que.la lésion s'étend plus loin et enveloppe t'insula ; de sort
ue j'ai observé maintes fois des apha- siques ne présentant que des lésions rigoureusement limitées à l'in- sula et dont la
d'une femme sourde pendant de ,très longues années qui présente une lésion en ce point. Je fais, depuis longtemps, les mêm
elation d'un grand nombre d'expériences; la plupart ont trait à des lésions .cérébrales qu> médullaires provoquées chez
s'leurs"détailscet''aec6mpagnées 302 BiBLIOGRAPHI des schèmes'des lésions cérébrales produites. Expériences' 76 à'95) : O
deux, en arrière' du sillon 'crucial, et dans six, expériences les lésions ont été produites dans d'autres par- lies du ce
compagne d'une augmentation de la chaleur produite. Par contre, les lésions produites à une certaine distance de ce centre
celui dé Rémÿ (Soc. anat. deParzs,,18î5"p.,158),dans lesquels des lésions des ganglions intra-cérébraux ou du pont de Varol
lles il y a eu une élévation locale de la température à la suite de lésions du mésocéphale (p. 158). ' ' ' ' r , f ), ,/
'organisme tend à rétablir l'équilibre thermique, compromis par ces lésions nerveuses. Enfin, il était néces- saire 'de voi
h. FÉRÉ. ? q, il 1 : n' , f) si ti u t u , - Il h 1 ' J.iq . - VII. Lésion du nerf sciatique poplité externe dans les fractu
ête du péroné, soit.par arrachement,' soit par choc direct, est une lésion rare. Les rapports du' sciatique poplité, exter
ciatique poplité, externe avec cette partie de l'os, expliquent les lésions de ce nerf, ! tantôt contusion, tantôt tiraille
lité et de la motilité sont très variables suivant la gravité de la lésion : ils sont souvent définitifs. Le traitement pa
use qui se termina par des convulsions cloniques et laimort. Aucune lésion ne fut constatée'a l'autopsie. Les antécédents
embryologie)' par M.'Uuval, 162; Relations étiologiques entre les lésions de la;=et l'epilepsie, ''t.par Sommer, 246. 1 P
(p f 4nintriv ? Epilepsie (relations étiologiques ? n entre tles i lésions f de - la corne sl. d'Ammon 1 et, l'), ? parr,
, ,, Il,l 1 , , . t Oreille (des phénomènes de vertiges "dans les lésions de l'),, pansa- giiisky,'267. - .191 Paralysi
la maladie, 278. Priapisme (persistant et non attri- buable à une lésion du système ? nerveux), parjPeabody, 249. 1(1 Pr
3 Sauteurs (les) du Maine, par Beard, Sciatique Poplité externe ( lésions ' : du) dans les fractures de la tête ri du p
éguin, s48 ·· 1 . t a 316 TABLE DES MATIÈRES. Vertige (dans les lésions de l'oreille), par Bagmsky, 257. Viscérales (
99 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
une anatomie patholo- gique qui est l'ensemble le plus complet des lésions qui caractérisent la myélite diffuse. Il rappor
raux, les altérations plus ou moins grandes de la sensibilité à une lésion des cornes posté- rieures, les troubles fonctio
fonctionnels de la vessie et du rectum à une grande diffusion de la lésion spinale. Comme on le voit rien de plus typique
UCHENNE. 27 Î tance grise de la moelle. Quant à la hauteur de ces lésions ; la participation de la face et des yeux indique
es de cette substance. En somme, il s'ait là d'une combinaison de lésions systématiques et diffuses de (la. substance grise
bles des sphincters qui dénotent l'extension en pro- fondeur de ces lésions . Enfin, après un temps d'arrêt, la lésion des c
en pro- fondeur de ces lésions. Enfin, après un temps d'arrêt, la lésion des cornes antérieures reparaît et devient z po
éciale et, malgré l'autorité de Vulpian, non par pré- dominance des lésions dans l'aire des cornes antérieures, mais par ex
nsion, par propagation de ces mêmes' 4 L'AMNÉSIE HYSTÉRIQUE. 20 lésions qui ont leur origine dans les cellules ganglion-
remarquer en terminant que ce mé- lange, que cette combinaison des lésions systéma- tiques des cornes antérieures avec les
tion de la mémoire considérée dans son ensemble peut être due à une lésion par- ticulière de telle ou telle des opérations
ous arriverons ainsi par une sorte d'élimina- tion à reconnaître la lésion fondamentale qui caractérise ces amnésies et le
Il peut y avoir, il y a même certainement, des amnésies dues à une lésion de ce genre. Supposons une des- truction défini
ien affirmer d'absolu, je vous dirai que je ne crois même pas à une lésion de ce genre recherche peut être quelquefois trè
as encore dans ce phénomène de la reproduction que nous trouvons la lésion qui constitue l'amnésie hystérique K Mais où
t oubli est très réel, très pénible pour le sujet; c'est une petite lésion psychologique et ce n'en est pas moins une infir-
re, loin de son mari et de ses enfants qui pleurent après elle. Une lésion , pour être morale n'en est pas moins réelle et
it d'une éducation raffinée et que, par conséquent, il suffit d'une lésion extrêmement fine pour la supprimer. Revue con-
e l'on peut dire, c'est que la dyslexie idiopathique provient d'une lésion de l'hémisphère gauche et qu'elle indique toujo
de ses mains. La dyslexie a pour subs- tratum anatomique de graves lésions cérébrales (oblitération des vaisseaux), la cla
de paralysie bulbaire, de polioencéphalite antérieure sous forme de lésion des- cendante partie des noyaux oculomoteurs, d
es faits à évolution subaiguë, avec tendance à la propagation . des lésions sur les noyaux du quatrième ventricule et sur les
ne demi-heure, voire plusieurs heures. 2° Troubles permanents par lésions de la substance cérébrale. a. hémianopsie homonym
ngle antérieur ou postérieur du chiasma. 3° Troubles permanents par lésion de fo;il. a. Agrandissement du punctum coecum (
s méridiens irrégulièrement. c. Diminution de l'acuité centrale par lésions anatomiques des milieux (hémorrhagies, décollem
origine périphérique. Peut-être faut-il penser ta possibilité d'une lésion des régions psychiques. La dé- mence, dont le m
onction et leur décours dans le temps; - 9° Le diagnostic local des lésions cérébrales est, en temps que science des faits,
pas nécessai- rement une atrophie des faisceaux pyramidaux. Or, une lésion de ceux-ci est la conditio sine qua non de la s
res qu'est due l'hémorrhagie cérébrale. L'in- fluence trophique des lésions du cerveau est nettement prouvée : eschare form
nsi que tous les appareils. L'auteur a été amené à conclure que les lésions du squelette dans l'acromégalie sont toutes con
s du squelette dans l'acromégalie sont toutes conditionnées. par la lésion du tissu osseux, qui, dans ce cas, consiste dan
es nerfs rachidiens, 'dans des trous de conjugaison, dans le cas de lésions osseuses rachidiennes excessives, compression q
nerveux, les am- blyopies et amauroses (troubles de la vision sans lésion du fond de l'oeil) peuvent se diviser en persis
L'hémiopie transitoire, à part les cas qui tirent leur origine de lésions organiques de l'encéphale ', peut être la forme d
dans l'écorce cérébrale. Or, les localisations différentes de cette lésion , au début de la maladie, peuvent nous rendre co
tude approfondie de la connexion des phé- APHASIE MOTRICE PURE AVEC LÉSION CIRCONSCRITE. 31 nomènes morbides dans l'épilep
es, étaient accompagnés de paralysie des membres et de la face avec lésions correspondantes de l'hémisphère gauche 1. Cep
e et l'atrophie de la troisième circonvolution a été aussi la seule lésion correspondante révélée par l'autopsie. » Une fi
ille. Progrès médical, 1874, n" 20 et 21. APHASIE MOTRICE PURE AVEC LÉSION CIRCONSCRITE. 233 ans, fut plus courte; la troi
s- sance. Le diagnostic s'impose d'aphasie motrice incomplète par lésion du pied de la troisième frontale. Nous dessinon
ltation nettement mitrale, le malade a le APHASIE MOTRICE PURE AVEC LÉSION CIRCONSCRITE. 235 . faciès d'un aortique, teint
droit entame notablement la substance blanche sous-jacente. Aucune lésion daus les noyaux gris de la base ni dans les ven
utre symptôme qu'un affaiblissement cérébral vague. A gauche, une lésion d'étendue minime, strictement localisée au centre
yer que nous avons constaté ne mesure pas APHASIE MOTRICE PURE AVEC LÉSION CIRCONSCRITE. 237. l'étendue réelle du centre d
t qu'une idée très approximative de l'étendue que devrait avoir une lésion sur le pied de la troisième frontale pour déter
ice complète et définitive. Ce qu'il faut retenir ici, c'est qu'une lésion très circonscrite sur une partie du pied de la
tout ictus, c'est-à-dire tout processus brusque aboutissant à une lésion cérébrale, si circonscrite qu'elle soit, détermin
ndue cécité verbale a été passagère, et qu'il n'y a aucune trace de lésion aux lieu et place où on localise la mé- moire d
s évidente la relation qui existe entre le symp- tôme aphasie et la lésion de la circonvolution frontale de l'hémis- phère
orme partielle et unilatérale, se montraient concurremment avec des lésions corticales d'aspect divers, dénotant une irritati
suive dans les sensa- tions et la locomotion; et pourquoi une autre lésion parfaitement similaire, portant sur un autre te
entraînera une perte hé- miopique de la vision. Pourquoi aussi, une lésion de l'écorce, sui- vant ses caractères et sa pos
on peut observer des désordres plus ou moins marqués à la suite de lésions affectant les centres corticaux qui commandent
tionnelle de la parenté empiriquement établie entre l'aphasie et la lésion de la région que nous savons maintenant être le
nt des indications diagnostiques, sur la position de telle ou telle lésion , et en nous guidant d'une façon certaine dans n
é. - Nous avons appris aussi, au cours de nos recherches, que les lésions du cerveau peuvent à la longue devenir la cause d
même moins. Mais les améliorations dans le traitement approprié des lésions chirurgicales, c'est-à-dire de celles où le dia
les. Macewen conclut avec raison, que cessymptômosindiquaient L une lésion irritative du centre brachio-facial à la partie l
oique bien des cas de fractures par enfoncement et autres formes de lésions traumatiques puissent sembler guérir spontané-
accident; il vivait heureux dans sa famille. Il n'y avait point de lésion appa- rente qui puisse donner l'explication dè
chose écrile. Ces symptômes indiquaient l'existence probable d'une lésion du pli courbe gauche. La trépanation de cette
pas douteux que l'épilepsie puisse être aussi causée, soit par une lésion directe du cerveau directe lui-même, ou indirec-
vait pris pour guides. Dans l'épilepsie traumatique provenant d'une lésion existante de la substance cérébrale, le tissu c
er épileptogène qui peut être excisé et cela, sans qu'il existe une lésion organique évidente, d'après le principe que l'e
succès, depuis que l'indication de leur siège et de l'étendue des lésions qu'elles entraînent a été donnée par la connaissa
désordre de la parole, de la surdité verbale qui répondaient à une lésion de la circonvolu- tion temporale supérieure. Un
ment que nous pou- vons apporter un remède à de grosses maladies ou lésions du cer- veau, presque exclusivement, et je crai
appareil cortical. P. KERAVAL. V. Contribution A la topographie DES LÉSIONS BULBAIRES dans la sclérose latérale A3LTOTROPII
pathologiques. 261 jusque dans le pédoncule cérébral. Ainsi donc : lésions des nerfs crâniens périphériques dont les noyau
égénérescence des nerfs périphériques de la moelle consécutive à la lésion des cornes antérieures, tient à d'autres condit
a dégénérescence des nerfs crâniens périphériques, consécutive à la lésion de leurs noyaux d'origine. Peut-être, en ce qui
itales de la substance grise. Voir description et figures) ; 2° les lésions myélitiques, de cause in» connue. Ce qui est in
observa- tions, le trouble de la motilité doive être rattaché à une lésion du noyau lenticulaire. XX. UN cas d'atrophie
XX. UN cas d'atrophie musculaire spinale PROGRESSIVE COMPLIQUÉE DE LÉSION DES NOYAUX BULBAIRES ET DE L'ÉCORCE; par A. ÂLZHE
rs, du pneumogastrique, de l'acous- tique, dans le corps optostrie; lésions diffuses des cellules nerveuses de l'écorce. -
l'axe spinal. Intégrité complète des organes sensoriels. En un mot, lésion de la substance grise du cerveau et de la moell
que. Ce qui est très rare, c'est la symétrie et la bilatéralité des lésions des noyaux nerveux homologues, avec une telle p
l n'y aurait là qu'une question de degré, ou plutôt d'étendue de la lésion cérébrale. Dans les deux espèces morbides, il y
i contractures). La première aurait pour facteur la propagation des lésions corticales à la substance blanche (l'hémiplégie
einte des fais- ceaux conducteurs), tandis que dans la seconde, les lésions reste- raient localisées à l'écorce. x Quant
ue l'hypéresthésie qui, d'ordinaire, s'installe, -aussitôt après la lésion , du côté parésié, l'absence du sens muscu- lair
é- ditaire atypique. P. K. XXII. UN cas d'atrophie musculaire par lésion articulaire (ATRO- PHIE MUSCULAIRE AR11 ! ROl'A
; par L. DAIIKSCHEWITSCH. (Nell- rol. Centralbl., 1891.) Mort par lésion organique du coeur (artérios-cléroses, rétrécisse
de fixation. Les troubles du sens du lieu, qui se montrent dans les lésions du lobe occipital, tiennent à la perte d'un gra
syphilis cérébrale certaine, mais à l'autopsie on ne trouve pas de lésions circonscrites, pas de foyers limités du cerveau
tale congé- nitale, les excès alcooliques, la shok traumatique, des lésions du crâne, le surmenage physique. Quant aux fo
chaque grossesse, les accidents reparaissaient. Il croit que des lésions de la substance musculaire président à la paralys
lus ; tantôt en rapport avec des phénomènes démentiels résultant de lésions localisées; tantôt faisant partie de la symptom
ue complète de sclérose des faisceaux blancs. Au point de vue des lésions cérébrales, les vaisseaux sont peu enflammés, l
as plus que le résultat du trouble de la nutrition pro- duit par la lésion vasculaire et l'on doit en venir à la théorie de
doit en venir à la théorie de l'encéphalite parenchymateuse, de la lésion primitive des cellules nerveuses. Il est à rema
s nerveuses. Il est à remarquer que, dans ce cas, on rencontre la lésion dans l'encéphale dans les grandes comme dans les
randes comme dans les petites cellules et que dans la moelle, si la lésion atrophique était prédo- minante à la région cer
REZ (du Mans) a observé récemment un cas de paralysie générale sans lésions macroscopiques. M. DoUTRrBENTF,. Le cas que AI.
cérébrale ? M. JOFF&oY. La syphilis n'est pas en cause dans les lésions ana- tomiques que je viens de décrire. Que les
ite scléreuse) sur le cortex de tabétiques«qui n'ont pas de délire, lésion qui a été retrouvée depuis Jendrassik. La forme
présent confondues dans le cadre de la paralysie générale due à des lésions diffuses d'emblée, mais il me parait nécessaire d
paralytique et à la mort. L'autopsie a montré dans le cer- veau les lésions très nettes et très accusées qui sont considérées
chow); 2° cerveau normal mais réduit (Vogt); 3° altération foetale, lésions pathologiques (Bourneville, Hill, Hutchinson).
ssification anticipée des sutures » chez les « microcéphales. » Les lésions décrites, hydrocé- phalie, sclérose, etc., « co
. C'est une forme intermédiaire entre les psychoses et les folies à lésions accentuées et profondes; elle revêt souvent le
faire constater les anomalies de développement congénitales et les lésions qu'ils présentent, et que, malgré tous ses mérite
descen- dantes, l'auteur distingue celles qui sont consécutives aux lésions du cerveau et celles qui sont entraînées par de
aînées par des altérations de la moelle elle-même. En deux cas, les lésions des faisceaux pyrami- daux dominent, mais, lors
cas, les lésions des faisceaux pyrami- daux dominent, mais, lors de lésions de la moelle, il existe, en outre, des dégénéra
ésentent : soit à la suite d'altérations du neuraxe, soit après des lésions des racines posté- rieures. M. Marie justifie p
, par l'intérêt qui s'attache à la constitution de ces racines, des lésions desquelles dépend une grosse partie de la patho
s de ce tableau, c'est que le diagnostic d'épilepsie sensitive, par lésions de l'écorche, fut posé et main- tenu pendant lo
te symptomatologie pour- rait bien s'adapter avec l'hypothèse d'une lésion organique culte pendant l'hypnose, tandis qu'au
s parésies ou paralysies persis- tantes, de rigidité pupillaire, de lésions endoculaires, parlent contre l'hypothèse d'une
pillaire, de lésions endoculaires, parlent contre l'hypothèse d'une lésion organique, en considérant par- ticulièrement qu
être admise sinon à titre d'exception très rare. En supposant une lésion organique du cerveau, nous devrions admettre de
été unique, devient presque absurde dans notre cas dans lequel les lésions seraient multiples. De plus, ella n'est pas con
toutes les couleurs ; rétrécissement du champ visuel à 60°. Pas de lésion du fond de l'oeil. OEIL Droit. - Rétrécissement
trécissement du champ visuel à 65°. Légère dis- cromatopsie. Pas de lésion du fond de l'oeil. Motilité. Cha... résiste trè
crise,' trouveraient une explication tout à fait naturelle dans une lésion organique située au niveau de la circonvolution
. Cette succession de phénomènes n'est pas rare dans l'histoire des lésions corticales etce n'est pas ici le lieu d'insiste
iques ; de là, il fut adressé à la Salpêtrière, comme suspect d'une lésion organique du cerveau. , Ce qui contribuait à re
ient à l'examen de la crise en elle-même, le diagnostic d'une grave lésion organique s'impose. Si l'on cherche à interpréter
enser. Elle peut s'observer dans l'hystérie aussi bien que dans les lésions organiques. - Pour confirmer la nature hystériq
xtrémité inférieure; c'est bien là le syndrome qui correspond à une lésion du lobule parencentral. Et tel en effet fut le
s : 1° Depuis trois ans que la maladie dure, on n'observe pas des lésions de motilité ni de l'exagération des réflexes. La
dait complètement la connais- sance (ce qui, dans l'hypothèse d'une lésion organique, aurait dû constituer un signe non do
Nous devons enfin considérer l'absence de tous les phé- nomènes de lésions organiques du cerveau, et d'un autre côté la pr
trouve pas cette allure-là dans le bredouillement symptomatique des lésions organiques. En outre, dans notre cas, il n'y av
les de la vision que l'on rencontre chez plusieurs hémiplégiques, à lésion céré- brale permanente et localisée. » i b).
mparfaitement symétrique) ne pourrait nullement s'expliquer par une lésion des bandelettes ou des nerfs optiques, et il fa
ettes ou des nerfs optiques, et il faut absolument la rapporter aux lésions hémisphériques corticales ou sous-corti- cales.
sphériques corticales ou sous-corti- cales. Nous savons que plus la lésion est proche de l'écorce (dans la partie postérie
pique scintillant, nous sommes conduits à admettre dans ces cas une lésion corticale, dans un foyer où vont aboutir les po
cas pathologiques de Wetter, de Pick et autres, en nous prouvant la lésion uni- latérale des centres visuelles de l'écorce
de la thèse de Raullet (31). l'amblyopie transitoire. 429 à une lésion des bandelettes ou des centres visuels bruts, pla
it s'accompagner d'hémiplégie et de convulsions hémichoréiques, par lésion concomittante de la couche zonulaire. Quant aux
ux. Il doit donc s'agir, dans l'amblyopie transitoire, de simples lésions dans les centres visuels de l'écorce, d'accord en
e un signe du siège superficiel (centres et fibres corticaux) de la lésion . La cécité verbale est très souvent accompagnée
verbale est très souvent accompagnée de l'aphasie, même lorsque la lésion principale siège, comme dans le cas de l'amblyo
t à distance, des centres visuels corticaux. Seule- ment lorsque la lésion d'une hémisphère est profonde, et atteint les f
e vont pas jusqu'à l'aphasie complète, telle qu'on la rencontre par lésion de la circonvolution de Broca, ou des voies qui
lyopie transitoire (Charcot, Féré, Raullet), que le plus souvent la lésion siège dans l'hémisphère gauche '. Ajoutons, que
térale monoculaire ne nous étonnera pas si, au lieu de penser à une lésion partielle de la bandelette, du chiasma ou du ne
rapprochés (Fano-Com- pérat). Nous pouvons bien supposer que les lésions purement dyna- miques, circulatoire et par suit
titlle) peuvent par leur répétition fréquente devenir l'occasion de lésions organi- ques permanentes. C'est ainsi, que le
ianopsie typique, complète et perma- nente, doit se rapporter à une lésion directe ou indirecte d'une bandelette (Charcot)
pa- raison des amblyopies et hémiopies persistantes (par suite de lésions organiques) plusieurs particularités qui établiss
rtout dans ce dernier cas, où les troubles corticaux tiennent à des lésions qui vont devenir organiques. VI. Au point de vu
- Contribution à l'étude des troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrales. (Th. de Paris, 1882.) 27. Charcot.
. Injuries of the spine and spinal cord without apparent mechanical lésion and ner- vous shock ni their surgical and medic
n'est autre que le nucléole rapetissé. M. BRIE. Des symptômes de lésions en foyer dans la paralysie géné- rale. Les atta
ralysie géné- rale. Les attaques congestives tiennent souvent à des lésions en foyer, d'ailleurs cliniquement caractérisées
niques et cloniques de la main droite. L'autopsie montre, outre les lésions de la paralysie générale, une atrophie extrême
t Wernicke, il s'agissait d'une aphasie motrice transcorticale avec lésion des faisceaux sensoriels transcorticaux. On tro
ntile spasmodique, croit que dans les cas de ce genre, il s'agit de lésions cérébrales organiques congénitales ou se produisa
alades. (Publié dans le Neurolog. Cenircilblatt '.) M. BRASCII. Des lésions artérielles dans la syphilis cérébrale avec pré
elles ne produit rien. M. SJCJCnJ.wc présente des préparations de lésions anatomiques dans la paralysie infantile spinale
çon passagère ou pas du tout. Dans la céphalée d'oiigine organique ( lésions cérébrales), elle exerce une atténuation parfois
nce du 11 janvier 1892. Présidence DE M. JOLLY.. Discussion sur les lésions anatomiques dans la paralysie infantile : M. HI
ifférence de coloration des deux sympathiques ; il n'y avait pas de lésion des pneumogastriques ni des corps restiformes.
des altérations nettes. M. LEYDEN. De la myélite chronique et des lésions systématiques de la moelle. Entre la sclérose,
près la fonction physiologique ; ces derniers, Vulpian les appelait lésions systémati. ques. Telle est la naissance des lés
tromper. Eh bien ! en pareil cas, l'autopsie révèle l'existence de lésions scléreuses. D'autre part, la sclérose dans la m
et disséminée sous la forme diffuse, à son tour en rapport avec les lésions systé- matiques. En ce qui regarde les lésion
n rapport avec les lésions systé- matiques. En ce qui regarde les lésions systématiques, elles reposent sur un édifice do
NÉVROSES traumatiques, par Oppen- hein, 498. Noyau lenticulaire, lésions en foyer du , par Kébold, 285, Nymphomanie ET
e d'or et de sodium dans la , par Boubila, IIadjès et Lossa, 487; lésions en foyer dans la-, par Brie, 495; - aphasie d
, Moreau de Tours, Aubanel, 330; Baillarger, 364. Protubérance, lésions en foyer de la, par Markowski, 264. PSYCHOSES
s cérébrales produites par la congénitale, par Erlen- meyer, 274; lésions artérielles dans la , par Brasch, 503; - du s
100 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
souffrant d'une hémiplégie ordinaire sous la dépendance de quelque lésion organique du cerveau, vous vous apercevrez que, e
l est très rare. On sait, en effet, combien sont insignifiantes les lésions histologiques que présentent les muscles contra
légèrement modifié l'attitude vicieuse. Chez l'une, il existait une lésion articulaire, chez l'autre une sorte d'ankylose
s rétractions, et faire la part de ce qui revient au spasme et à la lésion fibreuse, dans la pro- duction de la déformatio
oir complètement disparu, si ce n'est fait déjà. Mais, à gauche, la lésion est bien moins avancée. L'attitude de la main n
ffi- sante. L'examen des yeux a été fait par M. Parinaud : pas de lésion du fond de l'oeil. Pas de paralysie des muscles
irait à elle seule pour écarter toute idée de rapprochement, si les lésions anatomiques bien connues dans ce dernier cas ne
buer les déformations qui sub- sistent malgré la constriction à des lésions autres que la contracture. Quoi qu'il en soit,
tent à élucider relativement à la question proposée : Quelle est la lésion exacte que nous avons cru pouvoir qualifier de
eront la base. D'après ces données, dans la majorité des faits, les lésions paraissent être exclusivement tendineuses. Or,
à fait particulière. ' Si le spasme pcutdisparaîtrespontanément, la lésion fibreuse, elle, de- meure indélébile et maintie
nt l'absence du spasme musculaire, et se rendre compte du siège des lésions fibreuses, puisque l'exploration pendant la narco
s réuni les tracés respiratoires de cent trente épileptiques sans 1 lésions pulmonaires. Ces tracés ont été pris en dehors de
paralysie des extenseurs peut survenir progres- sivement après une lésion traumatique du sciatique poplité externe, nous
us haut, de médiocre importance et peuvent être confondues avec des lésions rhumatismales possibles au niveau de l'articulati
poplité externe ayant été touchés, on est en droit d'en déduire une lésion de ce nerf. Com- ment se fait-il alors qu'une d
ction abolie est la motilité, puis vient la sensibilité, lorsque la lésion est plus accentuée. On est donc en droit de pen
la lésion est plus accentuée. On est donc en droit de penser que la lésion du tibial antérieur a été plus forte que celle
sensibles de la jambe : ce sont eux les premiers atteints dans les lésions du nerf sciatique. Un fait vient confirmer cett
ns du nerf sciatique. Un fait vient confirmer cette hypothèse de la lésion du tibial anté- rieur, c'est la douleur ressent
ractures de l'extrémité supérieure du péroné. Le mécanisme de cette lésion n'est pas toujours analogue à celui que nous av
rte de consoli- dation de sa fracture. ' Quant au pronostic de la lésion du nerf sciatique poplité externe, il est loin
udes vicieuses. Cette rétraction musculaire s'accompagne souvent de lésions dans le tissu fibreux périarticulaire, lesquelles
inante de celui-ci sur ses antagonistes. Cependant, ajoute-t-il, la lésion devient indélébile après quelque temps, et la pos
tractile. Dans les deux appareils, un des éléments reste indemne de lésions , l'autre étant altéré; d'une part, l'articulati
ophique a eu pour résultat de mettre obstacle à la production de la lésion cutanée. Ch. FEUE, Médecin de BicéLre. CINQ
cuité visuelle est de 1/2. A l'oplitalmoscopc on ne constate aucune lésion du fond de l'oeil. Les réflexes pupillaires sont
Pas de nystagmus. Les réflexes pupil- laires sont conservés. Pas de lésions du fond de l'oeil autres que celles delamyopie
i NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. mémoire, ont trait à des lésions des grands os longs des membres et des articula
nous avons observé le premier exemple de cette affection... « Ces lésions symétriques du pied, se présentant en dehors de t
e chez un ataxique avéré, nous parurent devoir être rapprochées des lésions osseuses ci articulaires, si fréquentes chez les
du pied, dans laquelle les os et les articulations sont le siège de lésions ana- logues à celles qu'offrent, dans les mêmes
vons aussi observé un cas. On comprend d'ailleurs aisément que la lésion puisse avoir envahi une plus ou moins grande pa
ondes'que le pied arthropalhique entraîne, par le fait t même de sa lésion , du côté de son écartement latéral et de son angl
obligé de se ser- vir de béquilles. Enfin, s'il est des cas où la lésion atteint son maximum en quelques semaines, il en
atteint son maximum en quelques semaines, il en est d'autres où la lésion évolue par poussées succes- sives à la suite de
ées. - Lorsque la déformation semble diminuer, ce n'est pas que les lésions se soient réparées; nous verrons en effet, en t
n de l'hydarllirose et de l'oedème des tissus péri-articulaires. La lésion des extrémités articulaires per- sistc toujours
l'autre pied sur lequel il est impossible de trouver la plus petite lésion osseuse ou articu- laire. Dans les artllropat
e ou articu- laire. Dans les artllropathies du pied, le siège des lésions est presque tou- jours le même. - On peut dir
artie de son cartilage. Cependant il existe encore par places; , la lésion est moins avancée que sur le calcanéum. ' Les a
grité absolue des faisceaux antéro-tateraux. Région cervicale. La lésion se présente avec des caractères identiques à ce
sable et peut avoir des' inconvénients..l'ajouterai que souvent les lésions périphériques à l'articulation, la péri-arthrit
va pas jusqu'à la tension complète, dans la crainte de produire des lésions de l'artère poplitée, englobée probablement dan
itées à cause du raccourcissement des muscles. Il n'existe aucune lésion trophique, et la sensibilité est normale. L'état
ires dont la vitalité de la contractilité était restée intacte. Les lésions articulaires étaient presque nulles et semblabl
cicatrices qu'ils ont laissés à leur suite permettent de mettre ces lésions sur le compte de la scrofule. Au mois de novemb
it le sujet d'une leçon de M. le professeur Charcot qui compare les lésions qu'elles onf présentées avec celles que portait l
euse, les pieds furent ra- menés dans la position normale. Mais les lésions périphériques nécessitèrent des séances de mobi
e ou médul- laire laissent quelquefois, après leur disparition, des lésions perma- nentes dans certains groupes musculaires
ains groupes musculaires et dans les tissus périarticu- laires. Ces lésions entretiennent des attitudes vicieuses indélébiles
tacte et peut retrouver toutes ses propriétés physiologiques. Les lésions périarticulaires consistent dans un épaississemen
ceau sur la physionomie, tout en produisant dans les extrémités ces lésions qui conduisent à des déformations permanentes,
ehors des habitudes de cette névrose, alors que le malade porte des lésions qui peuvent en rendre compte suffisamment. Ains
côté de la sciatique, mais le tronc est incliné du côté opposé à la lésion et le rebord costal est très rapproché de la cr
IV. Anatomie pathologique. - M. Bail décrit trois degrés dans les lésions anatomiques des arthropathies liées à l'ataxie lo
aites, M. le. professeur Damaschino a le plus souvent rencontré ces lésions de la synoviale qui consistent dans le développ
lhropalhies tabétiques du pied ce- sont les os qui pré- sentent les lésions les plus accusées : les épiphyses sont rapidement
té et une légè- reté inusitées. Du côté du tibia et.du péroné les lésions osseuses et articulaires sont les mêmes : les m
oles sont déformées, élargies, les gouttières plus profondes. Les lésions osseuses et articulaires sont très étendues : cel
ion I, la déformation du pied était loin d'être en rapport avec les lésions articulaires et osseuses que nous avons trouvée
ines muscu- laires. Au point de vue histologique, on constate les lésions de l'ostéite raréfiante : les canalicules de Ha
i, M. le professeur Damaschino a observé la grande prédominance des lésions spinales à la région lombaire. Le premier fait
s les cordons de Burdach, indiquaient toutefois qu'il s'agissait de lésions tabétiques et non pas seulement d'une sclérose
on regarde les arthropathies tabétiques comme une conséquence d'une lésion du système nerveux. « La physiologie et la path
aurait le dire en ce moment. » M. Charcot crut tout d'abord à une lésion des cornes antérieures. Une autopsie faite par
uteurs qui, en Angleterre, rattache l'ar thropathie tabétique à une lésion du système nerveux : il croit que l'arthropathi
es nerfs sensibles : l'arthropathie serait, d'après cet auteur, une lésion des nerfs périphériques. 1 Ce sont les travau
». Nous croyons que ces arthropathies sont sous la dépendance des lésions nerveuses. Les autopsies ne sont pas encore assez
réfuter cette théorie, de considérer la marche, les symptômes, les lésions anatomiques de l'arthropathie tabétique : ces g
alé le pied bot tabétique. Ce n'est pas un pied bot osseux, car les lésions articulaires sont nulles ou insignifiantes; c'e
hie, parce que l'attention se trouvait exclusivement attirée sur la lésion articulaire,et que les malades, sans tenir comp
dant que l'évolution morbide peut se terminer promp- tement, et les lésions peuvent alors être peu étendues, ou tout au moi
tard évoluer de nouveau et aboutir, dans la majorité des cas, à une lésion durable, privant le membre de toute fonction.
observation, les troubles nerveux tardifs qui peuvent résulter des lésions traumatiques anciennes de la moelle épinière. L
Gllrlt' 1 un certain nombre de faits instructifs à cet égard. Des lésions médullaires par fracture vertébrale nous avons cr
, à travers une plaie des téguments. En effet, ces deux variétés de lésions se ressemblent au point de vue des résultats.
. -, . - - . - - Sans nous étendre longuement sur le diagnostic des lésions anato- miques de la moelle qu'on pourrait dédui
emarques suivantes : Le fait le plus intéressant est celui-ci : les lésions existent surtout, 222 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
es médullaires (froid, excès, etc.) vinrent ajouter leur action aux lésions préexistantes, et de voir cette .action s'exercer
s allons rapporter l'histoire, il y ait une légère prédominance des lésions sur un côté du corps, chez aucun d'eux nous ne
premier malade, épaississement de la peau du côté atrophié. Pas de lésions cutanées appréciables à la vue. Il n'en est pas d
hôpital de Château-Thierry le 28 mars dernier. Depuis ce temps, les lésions du pied droit, et particulièrement le durillon du
mais néanmoins très net. Il n'y a pas de déviation latérale. Celle lésion paraît pou- voir être rapportée à une fracture
pas 228 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. douteux que ces lésions aient été favorisées dans leur production par l
aît relever nettement du traumatisme. Mais par quel mécanisme ? Les lésions de la moelle dorsale, ainsi que l'a démontré Br
psie, et cette -épilepsie- ne se déclare'que quelque temps après la lésion médullaire. Il ' semble donc que notre observatio
teur Henri llenrot, 1877, Reims; et Notes de clinique médicale, Des lésions anatomiques et de la nature du my.l'oedème, par l
iques. Au premier plan, un mort est étendu, il est nu et couvert de lésions syphilitiques ; qui, -bien qu'assez grossièreme
éruption caractéristique. Qui pourraitse tromper â l'aspect deoe.s lésions et quelle autre maladie pourrait les produire si
ermis de croire aussi quelepeintreacopié son sujetsorlamm ? car les lésions paraissent figurées avec une grande vérité. H y a
is, rl 11" la main qui fait suite à ce bras, ne voyons-nous pas des lésions osssm&&5 absolument acceptables. Quant
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