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1 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
voies lacrymales se composent de deux portions coudées à angle droit, l'une horizontale ou oculaire, l'autre verticale ou nas
ches ter-miné par deux petites palettes criblées de trous et glissant l'une sur l'autre, entre lesquelles il essayait de rete
t préférables par l'expérience, ils rétablissent mieux la voie ; mais l'une et l'autre forme de traitement exigent un temps c
airement borné à la paupière inférieure, mais quelquefois envahissant l'une et l'autre paupière, il force l'œil à rester entr
ACH--Excision de la conjonctive au travers de la peau. Applicable à l'une et l'autre paupière , ce procédé a pour objet, ap
a paupière ; l'incision doit se faire également de la main droite sur l'une ou l'autre paupière, ou l'un et l'autre œil, en p
isième au sixièmejour. L'opération se pratique de la même manière sur l'une ou l'autre paupière ( pl. 5, fig. 6 et 7 ). Après
rir ; c'est le bord interne libre qui s'adapte au bord palpébral pour l'une ou l'autre paupière. Le lambeau mis en place, é
cation. Elles doivent être en assez grand nombre pour n'être écartées l'une de l'autre que de cinq à six millimètres. Il conv
quelques petites bandelettes de taffetas d'Angleterre qui passent de l'une à l'autre. Instrumens ( pl. 2 ). On a beaucoup
es deux méthodes, établit déjà les cas dans lesquels ou doit préférer l'une à l'autre. La théorie erronée de G. deSalicet aya
st libre, soit avec le pouce seul, soit avec deux doigts agissant sur l'une et l'autre paupière, le pouce en bas, l'indicateu
ièce est une tige d'acier d'un millimètre et demi de diamètre reçue à l'une de ses extrémités dans un manche, et terminée à l
et durcie par la trempe. Elle est également contenue dans un manche à l'une de ses extré-mités. L'autre se termine en une poi
les autres pro-cédés où l'on agit sur le conduit auditif, au moyen de l'une de ces canules introduire une première anse dans
les orifices naturels. Les auteurs sont remplis de faits variés de l'une et l'autre nature. Parmi les corps étrangers natu
gine invente un instrument particulier, cijtaôtov JtOAUTtiOV, muni, à l'une de ses extrémités, d'un ciseau destiné à exciser
er la section avec l'instrument tranchant. Si l'opération se fait par l'une des narines, c'est le cas de pratiquer l'excision
rrachement dont elle peut être considérée, en théorie, comme un mode, l'une et l'autre ayant pour objet la destruction du pol
L'arrachement, celle des méthodes qui est la plus employée, est aussi l'une des plus anciennes. Les fils d'Hippocrate, Thessa
peu-à-peu son pédicule jusqu'à ce qu'il se rompe; puis l'extraire par l'une ou l'autre ouverture, suivant qu'il offre plus de
au milieu du fil qui doit y servir; le fil de cou-leur est attaché à l'une de ses extrémités et l'autre fil au milieu, comme
cas où la racine du polype est accessible à la vue et au toucher par l'une ou l'autre narine, antérieure ou postérieure. L'a
u d'épaisseur, est divisée par le cornet inférieur en deux portions : l'une au-dessous, qui constitue le méat inférieur; l'au
labial à distance d'un centimètre et demi, il s'agit de l'étendre de l'une à l'autre commissure, puis de disséquer le lambea
la pointe a pénétré, substituer au bistouri et glisser par la piqûre l'une des lames de ciseaux droits, forts et bien évidés
ire de ciseaux plats et très aigus, en insinuer, d'ar-rière en avant, l'une des pointes un peu au-dessus de la com-missure an
ir la pointe la première. — M. Serres de Montpellier divise en regard l'une de l'autre la membrane muqueuse et la peau; mais
iècle dernier la plupart des chirurgiens opé-raient indifféremment de l'une et l'autre manière; mais, grâce aux efforts de Va
er deux pelotes géniennes qui repoussent les deux moitiés de la lèvre l'une vers l'autre et sont réunies au-devant de la plai
ir contre chair, membrane muqueuse contre membrane muqueuse, sans que l'une des lèvres dépasse l'autre sur aucun point, et tr
ieure. Dès le troisième jour on peut enlever l'aiguille supérieure et l'une des médianes, s'il y en a quatre ou plus. Le quat
er labial, qui, par sa nature, envahit irrégulièrement une portion de l'une ou des deux lèvres et la commissure intermédiaire
génioplastique, chéiloplastique et génio-chéiloplastique, suivant que l'une ou les deux lèvres et la joue sont intéressées à
omme il est représenté sur la figure, est cerné entre deux incisions, l'une semi-elliptique sur la lèvre inférieure et l'autr
d'un même fil ou cordonnet de soie de deux aiguilles qui, introduites l'une après l'autre par l'orifice fistuleux, rendent l'
parotide se présente chirurgicalement comme formée de deux portions : l'une exté-rieure superficielle plate et en quelque sor
pour un cas de cancer où l'on craindrait que la maladie n'eût attaqué l'une des parties osseuses au con-tour. Tout étant di
a mâchoire. Lorsque le kyste est affaissé, saisissant avec des pinces l'une des plaques de l'instrument, on insinue l'autre p
plication de la planche 23. Appréciation. En résumé, de deux choses l'une : ou la mala-die de la langue peut se guérir par
es cordelettes charnues qui constituent les lambeaux adhè-rent encore l'une à l'autre en avant. Il ne reste plus qu'à opérer
, beaucoup plus prompte et plus sûre. Excision. Cette opération est l'une des plus anciennement connues. Hippocrate la décr
me une plume à écrire, l'extrémité de la sonde que l'on introduit par l'une des narines, et que l'on fait glisser avec lenteu
océdé de Boyer (fig. 3). Le chirurgien commence par intro-duire clans l'une des fosses nasales la sonde de Bellocq. Un fil ci
en France est la simple tige de baleine garnie d'une éponge qui forme l'une des extrémités de la sonde préhen-sive de Dupuytr
git d'un corps dur et anguleux, un fragment d'os ou de bois fiché par l'une de ses extrémités dans la paroi de l'œsophage, il
tous les autres ont eu leurs partisans à des époques très différentes l'une de l'autre. Walther choisit pour opérer le quatri
gles générales de cette opération , dont nous avons déjà vu plus haut l'une des indications particulières, sont i°de ne donne
insi un certain nombre de sutures, à quelques millimètres de distance l'une de l'autre, de manière que les anses soient assez
r qu'une aiguille avec un long fil, de manière à pratiquer à la suite l'une de l'autre toutes les sutures, en laissant à chaq
une série de perforations obliques, à 3 ou 4 millimètres de distance l'une de l'autre, en ti-rant à chaque fois avec modérat
ieure, après avoir pratiqué la suture. C'est comme nous l'a-vons vu , l'une des trois indications remplies par le procédé de
ar la face externe. Armant alors d'aiguilles les deux chefs, il amène l'une vers l'autre les deux extrémités de l'intestin ,
emie doigt sert à glisser l'aiguille correspondante au chef interne d l'une des anses de fil, pour percer de dedans en dehors
ransversales de l'intestin. L'auteur se sert de tro viroles en métal, l'une de 2 centimètres environ de longueur su autant de
ivent avoi le calibre; ces deux viroles étant disposées parallèlement l'une l'autre et suivant l'axe de l'intestin (fig. 5),
ôté (fig 6), puis de l'autre, e en repoussant les viroles extérieures l'une contre l'autre, les deux 28 bouts de l'intest
Denans prend un fil, dont chaque bout est armé d'une ai-guille. Avec l'une il pique l'intestin sur l'un des bords des vi-rol
doivent ici nous occuper. Nous dirons donc qu'il y a hernie, lorsque l'une quelconque des parties qui sont contenues dans le
i peuvent sortir sans s'envelopper ainsi. Par exem-ple , le cœcum sur l'une de ses faces n'est point recouvert par le péritoi
lot de l'infundibu-lum représenté par le sac, se nomme col ou collet, l'une des parties les plus importantes à considérer. C'
DE LA HERNIE. Le traitement de la hernie a pour but de satisfaire à l'une de ces trois conditions : i° Prévenir les acciden
abdominale. Or, entre ces deux portions d'une même aponévrose , dont l'une est superficielle et descendante, dont l'autre es
nale du côté du ventre. On aperçoit alors trois fossettes distinctes: l'une , la plus externe, répond préci-sément à l'orifice
a a lieu ordinairement dans la hernie externe. D'une autre part, dans l'une ou l'autre de ces deux variétés de hernies, le co
e-ci fondrait au contact de la peau, mais on peut très bien remplacer l'une et l'autre par un bouchon de caoutchouc proportio
t-il l'abandonner dans la plaie, ou bien le retrancher par rescision? L'une et l'autre de ces deux conduites ont été suivies
emps par la même ouverture, ou, du moins, qu'elles ne soient séparées l'une de l'autre à leur racine que par une bride mince
.). Dans tous les cas, si l'on rencontrait ainsi deux hernies situées l'une au-devant de l'autre, on essaierait de réduire ch
quer le débridement sous-cutané à la hernie étranglée. De deux choses l'une , ou par ce débridement sous-cutané, fait au moyen
ant dans le sac, et pressant celui-ci de façon à appliquer ses parois l'une contre l'autre, amène à la longue un resserrement
ns ce but est appelé entérotome. Il est constitué par deux branches : l'une , dite mâle, qui entre dans l'autre appelée femell
d de la branche mâle qui doit y pénétrer. Ces deux branches, séparées l'une de l'autre, peuvent être réunies à volonté à l'ai
l'on est obligé d'y substituer deux sondes de femme, qu'on introduit, l'une dans le bout supérieur et l'autre dans le bout in
r qu'elles sont bien placées, lorsqu'en cherchant à les faire tourner l'une autour de l'autre, on ne peut y parvenir. Cela pr
strument, et l'on s'assure de nouveau qu'elles ne peuvent pas tourner l'une sur l'autre; autrement il faudrait en recommencer
eux plaques elliptiques ayant f\ centimètres de long sur i de large : l'une de ces plaques présente sur sa (ace interne, près
e la partie inférieure du rectum chez les nouveau-nés, est assurément l'une des plus difficiles à établir par le diagnostic.
ombre placées sur divers points du contour. La fissure à l'anus est l'une des affections dont Pétiologie est le moins connu
ces deux opinions sont également vraies, chacune des deux affections, l'une par rapport à l'autre, pouvant être alternativeme
a peau. La fistule incomplète ou fistule borgne n'a qu'un orifice sur l'une des surfaces tégumentaires et se termine en cul-d
cédé de M. Bermond. L'instrument se compose de deux canules engaînées l'une dans l'autre et longues d'environ 18 à 20 centimè
et faire sortir celles qui bordent l'anus au dedans, puis, saisissant l'une après l'autre avec une forte pince à dissection o
l'intestin se trouvant fixée tant qu'il existe deux anses de fil , si l'une des plaies semblait devoir donner lieu à une fort
les, et qui en rendrait fréquent l'emploi aujourd'hui si rare, serait l'une des plus belles conquêtes de la chirurgie moderne
ns toutefois ouvrir le sac vagi-nal, puis le premier temps exécuté de l'une ou de l'autre manière, il renversait en dehors le
de ces deux pelotes se regardent quand l'instrument est mis en place. L'une des deux pièces d'acier porte dans ses deux tiers
rieur de la peau, le canal déférent repoussé en arrière , on applique l'une et l'autre pe-lote de chaque côté du scrotum derr
el ainsi que les petits écrous des montans à vis , afin de rapprocher l'une et l'autre pelote. 4° Ligaturf. A. Ligature méd
us. M. Ricord passe ses fils ainsi qu'il suit: le malade étant dans l'une des positions déjà indiquées, le chirurgien, armé
tement. L'opération terminée, avec un stylel-aiguillé il introduit de l'une à l'autre incision, et laisse à demeure dans la p
s : celle qui fait le sujet de l'observation de Chopart en pesait 4o, l'une de celles enlevées par M. Gaètani pesait 26 kilog
les doigts ou avec des érignes, il faut saisir les lèvres de la plaie l'une après l'autre, d'abord avec «les pinces, puis a
réservée pour les cas ex-ceptionnels, on voit, d'après les faits, que l'une ou l'autre peut être employée indifféremment dans
cidité du pénis, il présente deux courbures très bien caractérisées : l'une postérieure et inférieure contourne l'arcade pubi
ppement assez considérable pour refouler les deux pa-rois de l'urètre l'une contre l'autre et pour obturer complète-ment le p
a fosse navi-culaire , et dans la troisième les bourses sont séparées l'une de l'autre par une fente sur la ligne médiane, de
ération du CATIIÉTÉR1SME. Il y a deux manières de l'exécuter : dans l'une , on agit par dessus le ventre, et dans l'autre, o
be ordinaire. Cet ouvrage est accompagné de plusieurs plan-ches, dont l'une représente l'introduction de la sonde droite dans
spèce et de toute gros-seur, afin de pouvoir successivement passer de l'une à l'autre, suivant le besoin. Manuel opératoire
se servait d'une canule comme celle de Paré, mais elle était fermée à l'une de ses extrémités par un bouton arrondi porté sur
er un terme moyen et de la faire marcher de front avec la dilatation. L'une et l'autre s'entr'aident et se fortifient. Nous c
hôpitaux , soit en ville, nous serons portés à croire de deux choses l'une : ou que la dilatation seule, ou bien la dilatati
ion. H circonscri-vit la cicatrice de la verge entre trois incisions, l'une en arrière, transversale, et intéressant la parti
Wardrop en a rencontré un cas, et M. Velpeau 8 à io depuis 1825. Chez l'une de ces malades, les excroissances, au nombre de t
Les calculs qui s'introduisent dans l'urètre peuvent s'arrêter dans l'une des trois portions prostatique, membraneuse ou sp
e. Extraction des calculs de la portion prostatique. De deux choses l'une , ou bien le calcul ferme complètement l'urètre et
nstitué par une tige droite, longue de 20 à 25 centimètres terminée à l'une de ses extrémités par une petite pièce arrondie,
e cuillère, concaves en de-dans et convexes en dehors, qui s'écartent l'une de l'autre, par leur élasticité propre, toutes le
Pl. 54 , fig. 5i). Elle est constituée par deux branches qui glissent l'une sur l'autre, de manière à en éloigner ou en rappr
ument, calqué sur le lithomètre, se compose de deux branches glissant l'une sur l'autre lorsqu'il est introduit dans la vessi
canule porte-nœud, gra-duée et par un mandrin courbe à deux brandies. L'une de ces branches, qui est fixe, se termine, à son
) En faisant varier la position du malade et inclinant le bassin vers l'une et l'autre extrémité de ses trois diamètres, à dr
as où la mort du malade, dans les deux premiers mois, est attribuée à l'une de ces causes, circonstance qui aurait dû infirme
es succès qu'on en a déjà obtenus et son innocuité, donne, concernant l'une des affections chirurgicales les plus meurtrières
s droits ou des instrumens courbes. On peut adopter sans inconvénient l'une ou l'autre de ces divisions auxquelles, ainsi que
e qui sup-porte une vis de pression destinée à fixer les deux canules l'une sur l'autre ; 20 Dans cette première canule gliss
litholabe on touche la pierre ; si c'est par l'ex-trémité crochue de l'une de ses branches, ou par leur convexité à droite,
la canule interne. Si la pierre est saisie, le glissement des canules l'une sur l'autre ne peut s'opérer, si ce n'est peut-êt
t tombe dans l'un des trous précédemment faits : alors de deux choses l'une , ou il faut faire basculer le calcul sans le lâch
et l'étau, de desserrer la vis de pression qui fixe les deux canules l'une sur l'autre, et de tirer vers soi le foret en mêm
un mandrin dont la fraise est divisée en deux branches qui s'écartent l'une de l'autre, il l'introduit dans une canule afin d
rvait de deux canules ayant chacune cinq branches, et pouvant tourner l'une sur l'autre, de façon que la canule interne, pouv
is en a imaginé un à quatre branches dont trois sont très rapprochées l'une de l'autre, et la quatrième au contraire assez él
omme une algalie ordinaire, formé de deux pièces glis-sant à coulisse l'une sur l'autre; entre ses mors est cachée une petite
iné un instrument à-peu-près semblable; la seule différence c'est que l'une de ses branches est fixe, et que l'autre exerce s
peut aussi agir par pression et servir pour l'écrasement ; mais comme l'une de ses branches pourrait se casser, il a eu le so
t instrument était formé de deux pièces courbes, glissant à coulisses l'une sur l'autre, et se rappro-chant par l'action d'un
e liquide de l'injection. Lors-que le calcul est pris, de deux choses l'une , ou bien on fixe l'in-strument à l'étau du lit qu
le rapprochement, on les saisissait à pleine main, et on les poussait l'une contre l'autre avec une force qu'on augmentait gr
extrémité, sont pratiquées deux larges ouver-tures situées vis-à-vis l'une de l'autre. Le pavillon est garni d'une boîte à c
résultats. Un aperçu aussi général ne fournirait aucune lumière, car l'une et l'autre opéra-tions ne sauraient être pratiqué
ue l'on apporte dans l'examen comparatif des indications qui motivent l'une ou l'autre opération, il ne faut cependant pas se
en peser toutes les considérations qui peuvent le faire pen-cher vers l'une ou l'autre opération. M. Civiale a parlé le premi
tte extraction devient facile lorsqu'on peut parvenir aies saisir par l'une de leurs extré-mités : c'est ainsi qu'après plusi
ce, de notre pays et de l'humanité, pour ne pas applaudir hautement à l'une des plus belles découvertes de notre époque. Mais
s plus éminens de la chirurgie; aussi constitue-t-elle à notre époque l'une des branches de l'art les plus vastes et les plus
sa base 8 cent. Le raphé le divise en deux parties symétriques, dont l'une , la gauche, est le siège des incisions qu'on prat
ros calculs , serait celle qui se composerait de deux incisions, dont l'une serait oblique à gauche en arrière et en dehors ,
ite au moins la difficulté en citant sur cet objet deux lettres, dont l'une de Ro-mani, adressée à Mariano, est datée de i54o
euse et prostatique de l'urètre et le canal de la vessie, en écartant l'une de l'autre les ex-trémités libres des conducteurs
plus large que ceux dont on se servait alors, et 4° des tenettes dont l'une des branches était terminée par un anneau et l'au
gorgeret, de dedans en de-hors, comme avec le lithotome caché, ou de l'une et l'autre ma-nière, comme avec le bistouri. Cell
un chirurgien instruit se gardera bien de les employer indifféremment l'une pour l'autre. Extraction du calcul. Lorsque la
, ou adhérentes à la vessie, se ren-contrent néanmoins et constituent l'une des circonstances les plus embarrassantes qui pui
à son extré-mité externe et trois ouvertures à son extrémité interne; l'une tout-à-fait au bout, et les deux autres, ovalaire
s. Au devant d'elles était un sillon circulaire dans lequel on fixait l'une des extrémités d'un petit sac de toile ouvert par
(Pl. 65, fig. 1,2, 3,4)- Le malade étant situé et maintenu comme dans l'une des tailles périnéales, le chirurgien introduit l
ge était constitué par une tige aplatie et recourbée à angle droit, à l'une de ses ex-trémités (fig. 4a)- M. Leroy (d'Etiolle
un levier, tandis qu'on tire sur la tenette avec les deux mains dont l'une , placée en supination, embrasse l'instrument tout
, de se servir d'une tenette à forceps dont on introduit les branches l'une après l'autre, en les conduisant sur le doigt ind
-cystique de M. Heurteloup, qui se compose de deux tiges creuses dont l'une sort par l'urètre et l'autre par la plaie, dans l
re, la plupart des chirurgiens pensent que l'on doit avoir re-cours à l'une des deux tailles bilatérale ou latéralisée. Il es
tique, explique comment quel-ques chirurgiens, opérant volontiers par l'une des tailles péri-néales, n'ont recours à la taill
plus vaste relevé statistique que l'on ait fait en chirurgie, et sur l'une des opérations les plus fré-quentes et les plus g
Assurément une balance statistique entre deux branches de l'art, dont l'une compte autant de siècles d'existence que l'autre
ituer une suture, est disposésur l'aiguille, et représente une anse à l'une de ses extrémités. Les aiguilles qu'on emploie do
Il s'agit ensuite de faire pénétrer dans les anses qui se trouvent à l'une des extrémités des fils, et qui sont toutes sur l
z. ia Toucher vaginal. Il y a deux manières de le pratiquer: dans l'une , la femme est debout, et dans l'autre, elle est c
tige qui a le double de la longueur du spéculum, etqui est terminée à l'une de ses extré-mités par une gouttière qu'on fait g
le, les branches de l'instrument qui sont parallèles, pouvant glisser l'une sur l'autre et être sépa-rées, présentent à l'ext
sur le bord des tiges, et se regarder de droite à gauche. On les fixe l'une après l'autre dans la paroi vésico-vaginale, à qu
queuse vaginale, et les lèvres de la fistule, n'étant plus en contact l'une avec l'autre, laissent passer l'urine entre elles
limètres de leur bord, puis on articule les branches et on les ramène l'une vers l'autre au moyen de leurs vis de traverse. L
es situées perpendiculairement à leur extrémité prenante, et glissent l'une sur l'autre comme les deux parties d'un pied de c
rsqu'elles sont fixées dans les lèvres de la fistule, on les poussera l'une contre l'autre et on les maintiendra dans cette p
il fit encore saillir une des lèvres de la plaie avec l'indicateur de l'une des mains, et conduisit dans la vessie, à travers
ent immédiatement entortillés autour d'elles et croisés pour aller de l'une à l'autre. C'est une imitation de la staphyloraph
s, de manière, en tout cas , à rapprocher et à serrer les deux lèvres l'une contre l'autre. La sonde qu'a employée M. Nœgèle
rétractant, il puisse former une espèce" de bouton à deux têtes, dont l'une serait dans le vagin et l'autre dans la vessie.
e double fistule vésico-vaginale et recto-vaginale, on les traiterait l'une après l'autre, et non en même temps, vu l'impossi
nd dia-mètre a 18 millimètres de longueur, et le petit 9 millimètres. L'une de ces branches fut introduite par le vagin dans
ntactes lorsque les plaques sont aussi fortement serrées que possible l'une contre l'autre. Au bout de quelques jours, la par
rtain que, pour les ex-traire, on ne sera pas obligé de pénétrer dans l'une des cavités voisines. Ligature. Lorsque la tume
s toute sa circonférence , et in-complète s'il n'y a qu'une partie de l'une de ses parois qui soit relâchée. La chute complèt
, il ne serait pas prudent d'essayer cette tentative. De deux choses l'une , ou il faut attendre le terme, ou tout au moins q
s ma division, à la Charité, en 18Í7 , n'a point été guérie, « et que l'une des deux malades que j'y ai soumises n'en a re-ce
les. 4° Pessaires à cuvette. Us ne diffèrent des ronds qu'en ce que l'une de leurs faces est convexe, et ils s'introduisent
extrémité supérieure des deux son-des à se rapprocher de plus en plus l'une de l'autre sans cesser d'être parallèles. Un semb
ésitent encore à la pratiquer, il paraît néanmoins qu'elle aurait été l'une des plus anciennement mises en usage. Philoténus,
de la tumeur , on aurait à choisir, suivant le cas , de trois choses l'une : ou inciser le périnée, comme M. Velpeau dit l'a
cal, comme le conseillait Béclard, afin d'en exciser les deux moitiés l'une après l'autre, ou bien, pour la rétrécir, se cont
cancer qui ne doit pas être trop ra-molli. Gouvernant alternativement l'une des érignes de sa main gauche , tandis que l'autr
'entre elles. Méthode opératoire. Il y en a deux principales : dans l'une on fait l'opération par l'hypogastre , méthode hj
ût vu tout de suite ce que Desgranges dé-montra plus tard ; c'est que l'une et l'autre opération ont leurs applications spéci
ine de l'opération césarienne se perd dans la nuit des temps. D'après l'une de ces traditions populaires qui ai- «y ment
et de l'enfant devant seuls déterminer, dans chaque cas, le choix de l'une ou l'autre opéra-tion.-— (e) Tumeurs du vagin. El
xtraire l'enfant. S'il présente la tète ou le siège, on l'extrait par l'une de ces parties, en tirant dessus avec les indicat
omme on le voit, l'opération à faire est fort différente, suivant que l'une ou l'autre circonstance se présente. Les causes
ire ou symptomatique, produite elle-même par une maladie nerveuse est l'une des contre-indications que l'on doit le plus resp
stance qui, d'après ce ténotomiste suffit pour asseoir le diagnostic. L'une et l'au-tre affections cessent par la section du
avec tant d'accord, que si l'opéré place « devant lui deux doigts de l'une de ses mains et fixe l'un des « doigts alternativ
attention à la fonction dont ils sont chargés, car s'ils abandonnent l'une ou l'autre paupière, ils peuvent compromettre tou
oup de ciseaux la membrane muqueuse, et glissant dessous la pointe de l'une des lames, achève de la couper de bas en haut dan
est tournée vers le nez, introduit en se guidant sur le crochet plat l'une des branches sous le muscle, qui doit être coupé
es modérément écartées. On dispose alors de deux ouver-tures situées, l'une au-dessus et l'autre au-dessous du muscle. » De
'œil gauche, de la droite pour l'œil droit, l'autre main devant tenir l'une des éri-gnes pour aider à l'opération; un autre a
ière dont agissent ces instrumens, dits refouleurs des paupières, est l'une des parti-cularités les plus singulières et les p
le cul-de-sac oculo-palpébral de la conjonctive, pour écarter ensuite l'une et l'autre paupière, en causant sur la muqueuse u
urs de M. Guérin, plus larges et coudés d'une manière convenable pour l'une et l'autre paupière, s'appliquent sur la peau à-p
refoulent véritablement, par adosseinent des deux surfaces cutanées, l'une et l'autre paupières, en formant un repli qui s'e
ons qui se pratiquent sur les yeux. Les paupières étant fixées avec l'une des érignes, le chirurgien traverse la conjonctiv
vant que l'œil annonce de la tendance à se porter habituellement dans l'une ou l'autre direction, il ordonne au malade de reg
t cela dans toute la distance qui sépare les dents incisives externes l'une de l'autre ; i" que le ténotome puisse passer, de
constater que tout cet échafau-dage se réduit à deux petites lames : l'une aiguë, à double tran-chant, c'est la lancette à p
ux de la jambe, par leurs tendons, peuvent se trouver rétrac-tés dans l'une quelconque des variétés de pied-bot, et par con-s
ont été mises en usage pour redresser les dé-viations du genou. Dans l'une et l'autre, on pratique préalable-ment la section
rale de la difformité, dont les acci-dens et les variétés s'appellent l'une l'autre et s'enchaînent par une série de phases c
deux lames convexes, portées sur une même tige à quelques centimètres l'une de l'autre , et fait la ponction de part en part,
s par congestion à l'aine, à la cuisse et au dos. Cette application , l'une des plus importantes de celles que j'ai faites ju
moins de cinq à six centimètres de saillie, le chirur-gien en confie l'une des extrémités à un aide, l'extrémité supé-rieure
disséquer, les mors seuls étant différens. — 34. Pince ci cannelure. L'une des extrémités offre en dedans une can-nelure dan
double objet de saisir et de couper la cloison membraneuse, soit que l'une des deux actions suive ou précède l'autre. Tous c
e. Tous ces instrumens sont à coulisse et composés de deux tiges dont l'une glisse sur l'autre. 55. Raphiankistron d'Emden.
7. Trichiasis, et Figure 8. Distichiasis (Demours, pl. 20, fig. 1 ). L'une et l'autre maladie ne se guérissent que par arrac
pharynx, jusque dans la caisse. Ce canal se compose de deux parties : l'une fibro-cartilagineuse, et l'autre osseuse. Il est
un sécateur, se compose d'une tige d'acier glissant dans une ca-nule, l'une et l'autre terminées par un disque tranchant; de
uilles mises en position, et dont chacune perce un trajet pour passer l'une des extrémités du fil. FIGURE 6. Section horizo
isolée (a), est contenue, dans une petite mortaise, à l'extrémité de l'une des branches (b). En fermant l'instrument, elle p
l'arrière bouche, le fil nasal tiré par la main gauche (b) ramène par l'une des narines l'extrémité libre de la sonde, qui se
s fils vont isoler la portion gauche de la tumeur par deux ligatures, l'une horizontale (e) et l'autre antéro-postérieure ou
Le pouce et l'indicateur de la main gauche du chirurgien, appuyée sur l'une et l'autre côte, tendant la peau en travers, l'in
ue externe seul conservé divise, à l'œil, la tumeur en deux portions, l'une extérieure ou scrotale, et l'autre intérieure ou
n, nous y avons figuré le débridement par une incision en dessous, de l'une à l'autre tumeur, en cas d'étranglement. Seulemen
t enchatonné. Figure 12. Vessie à colonnes formant des cavités dans l'une des-quelles est logé un long calcul plat, pirifor
onde et à celle n° 3. Figure il. Sondes droites de M. Amussat, dont l'une se termine par un pavillon évasé. Figure 12. Tu
par deux mors courbes offrant des dents alternes qui se reçoivent de l'une à l'autre. Le jeu lon-gitudinal d'une branche sur
augmente" beaucoup celui des branches qui se recouvrent, et glissent l'une sur l'autre pour s'ouvrir. 32. Autres tenettes
° DIVERS INSTRUMENS POUR LA TAILLE HYPOGASTRIQUE. 35. 36. Curettes; l'une à manche; l'autre offrant une cannelure con-ductr
( Procédé de M. Deyber). La sonde à dard (a), ayant servi à perforer l'une des lèvres de la fistule et l'un des bouts du fil
gèrement sur le museau de tanche pour l'abaisser dans le vagin. Puis, l'une des érignes (c) étant confiée à un aide, le chiru
i ne soit pas trop ramolli par le cancer. Gouvernant alterna-tivement l'une des érignes de sa main gauche (a), tandis que l'a
cia conjonclival ; puis les deux feuillets se prolongent en avant sur l'une et l'autre face du cartilage tarse de la paupière
onctive et du fascia formé par deux pinces à griffes (ligure 7), dont l'une (a) est tenue par un aide el l'antre par la main
FIGURES 1 et 2. Procédé de M. Amussat. (a, b) Mains d'un aide dont l'une lient le crochet élévateur et l'autre (b) la pinc
vec des ciseaux, de la conjonctive (a) soulevée par des erignes, dont l'une (b) est tenue par l'opérateur et l'autre (c) par
vue opératoire, et la figure 2 une vue anatomique sur le profil. Dans l'une et l'autre, le frein de la langue étant soulevé a
c-tion de l'aponévrose plantaire et du court fléchisseur des orteils, l'une des opérations qu'il a fallu faire chez cette mal
2 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
veuses : Y impressionnable et Y excitante. Ces fibres sont distinctes l'une de l'autre par leurs propriétés, peut-être le son
j'apporte ici à son idée première sur le système nerveux. missures, l'une à droite, l'autre à gauche, unissent le ganglion
u terminal. Cette tige est faite de deux moitiés symétriques opposées l'une à l'autre par des surfaces planes et réunies dans
e appelée commissure. Ces deux moitiés ont une organisation pareille. L'une d'elles est la moelle droite, l'autre est la moel
uant chacune un système dis- tinct(l). Toutefois elles sont réunies l'une à l'autre par une commissure, c'est-à-dire par un
. Les cornes frontales des ventricules latéraux sont si rapprochées l'une de l'autre, qu'elle arrivent presque à se toucher
er nettement l'origine des pyramides antérieures, il faut les écarter l'une de l'autre. Cette séparation est assez facile ver
t, suivant lui, composée de deux parties de différente substance dont l'une est de couleur cendrée et l'autre de couleur roug
« Il y a pendant toute la vie deux substances dans le lobe supérieur, l'une extérieure, rougeâtre forme une couche épaisse de
iquement. Deux sillons, disposés en croix, séparent ces quatre masses l'une de l'autre; l'un d'eux est médian, et parfaitemen
Entraînés par leur goût pour les comparaisons obscènes, ils nommaient l'une d'elles vulva, l'autre s'appelait anus. Vieussens
deux grandes expansions qui se développent d'une manière symétrique, l'une à droite et l'autre à gauche, autour des corps st
stibule. Cette ouverture semicirculaire a deux lèvres concentriques ; l'une est inscrite, l'autre est circonscrite. La lèvr
ian. Voilà ce que les anatomistes avaient pris pour deux ouvertures : l'une , la postérieure, était pour eux l'anus ; l'autre,
'arcs fibreux passant d'un côté à l'autre, offre donc deux courbures. L'une transversale suit le sens des fibres. L'autre lon
ntre les deux pédoncules moyens, distingue deux régions dans le cœur. L'une , antérieure, comprend la pointe du cœur, et une p
riétal. Ce sillon est compris entre deux circonvolutions ascendantes. L'une de ces circonvolutions appartient au lobe frontal
Le lobe frontal présente deux faces, comprenant chacune un lobule; l'une , laface inférieure, à peu près plane dans l'homme
t non plus qu'un seul nerf olfactif, qui semblait naître du centre de l'une des deux couches optiques. Les pédoncules, les tu
al inférieur interne. Elle est flanquée de deux bandelettes blanches, l'une plus longue tient au crochet du pli unciforme, l'
e cette épaisseur est rigoureusement comprise entre deux limites dont l'une est le fond du sillon antérieur, et l'autre la pa
ieu de la grande ouverture de la bourse qu'il divise en deux moitiés, l'une supérieure, l'autre interne. Ces ouvertures donne
terminent. Pour découvrir l'origine de ces fibres, il faut séparer l'une de l'autre les deux moitiés du bulbe en les écart
puis elles se rapprochent au-dessus de cette commissure, et s'étalent l'une et l'autre en une lame semi-grise qui forme la pa
est très-court et presque immédiatement divisé en deux branches, dont l'une répond au cervelet médian, etl'autre à son vermis
ammifères, on découvre aisément plusieurs relations fort importantes. L'une est que les volumes relatifs de la protubérance e
oissant irrégulier ; dans ce croissant est tendue comme dans un cadre l'une des lames du septum lucidum que trois feuillets p
a, à cet égard, plusieurs hypothèses dans la science. La première, l'une des plus anciennes du moins, était celle- (1) A
actions légères, nous verrons ces faisceaux se diriger constamment de l'une des couronnes radiantes vers les circonvolutions
ésultats demeure obscurcie par aucun doute. Aucune fibre choisie dans l'une des couronnes radiantes, ne passe à l'autre couro
arence, la vie de chacune de ses moitiés dépend de la vie de l'autre, l'une commande à l'autre et réciproquement; elles subsi
l'autre, l'une commande à l'autre et réciproquement; elles subsistent l'une par l'autre, et leur séparation détruirait en cha
urs, dans l'homme et dans les primates, il y a deux racines au moins, l'une directe, l'autre indirecte; la première s'épanoui
ertèbres; il admet, en conséquence, deux paires nerveuses crâniennes, l'une postérieure, l'autre antérieure. La paire nerve
ées, sous le pédoncule cérébelleux moyen, deux racines accessoires. L'une , de teinte grise, se place au-dessous du pédoncul
Mutinaî, 1779.) Il y a, selon lui, deux racines à la cinquième paire, l'une plus petite qui part de la B. Deuxième série, o
le Glosso-pharyngien, et le Pneumogastrique. Du Glosso-pharyngien ( l'une des portions de la huitième paire de Willis, neuv
racines qu'ils nomment intermédiaires, ils en admettent deux autres, l'une antérieure qui s'incline vers l'olive, puis se re
s optiques étaient, quant à leur importance relative, en sens inverse l'une de l'autre. Quand la racine cérébrale est au maxi
n procédant d'arrière en avant. La première comprend deux régions : l'une postérieure, est Y arrière-cerveau; l'autre vient
in de là ; cette théorie de sécrétions et de stratifications déposées l'une après l'autre a quelque chose de mécanique et de
her du quatrième ventricule était divisé en deux régions secondaires: l'une postérieure horizontale, l'autre antérieure presq
doivent s'unir dans une harmonie définitive, mais le développement de l'une est jusqu'à un certain point indépendant de celui
ant la plupart des auteurs, elle est formée de deux lames distinctes. L'une est le périoste même des surfaces internes du crâ
n, assez peu saillant, sépare incomplètement les fosses cérébelleuses l'une de l'autre. On a donné des noms particuliers à
érisme eussent fait attention à ces veines, sans parois propres, dans l'une desquelles sont contenus des vaisseaux et des ner
les sinus caverneux, donnent les artères ophthalmiques, se recourbent l'une vers l'autre, s'engagent dans l'intervalle qui sé
it-on pas en Amérique deux races autochtones et cependant distinctes, l'une préférant l'état sauvage, l'autre tendant au cont
es termes trois anneaux osseux primitifs composent la voûte du crâne. L'une , postérieure ou occipitale, loge essentiellement
amment chez les mammifères supérieurs deux cavités aériennes séparées l'une de l'autre par une l'loison médiane. Le même type
ctes et simplement unies par des engrènements réciproques, se soudent l'une à l'autre par les progrès de l'âge, et sauf la po
urs. Il faut tenir compte également de la direction de ces sutures. L'une d'elles est particulièrement remarquable à cet ég
l'étendue de cette courbe, eu égard au diamètre occipitofrontal, est l'une des conditions les plus apparentes de la microcep
onditions, considérons les petits espaces vides *****. De deux choses l'une : ou les os, se développant, viendront remplir ce
lle est la déformation cunéiforme de Morton, dont il y a deux sortes, l'une couchée, l'autre relevée. La première était, en u
ée. Dans un quatrième cas, on donnait à la tête une forme carrée. L'une des déformations les plus singulières est celle q
r est d'avoir accepté cette hypothèse, mais surtout d'avoir prévu que l'une des deux racines des nerfs spinaux contient les f
. Toutefois dans l'état normal les deux moitiés de la moelle influent l'une sur l'autre, et de cette influence réciproque rés
. Ley de, 1841. veux dire qu'il divise par une section transversale l'une de ses moitiés, et il trouve que, de ce côté, la
d'un entrecroisement à celle d'une conduction par la substance grise, l'une et l'autre hypothèse étant fondées à peu près sur
és inférieurs tels que les batraciens. Si l'on tranche, dit Van Deen, l'une des moitiés de la moelle d'une grenouille dans la
aut. Mais si les deux sections sont pratiquées à trop peu de distance l'une de l'autre, le sentiment et le mouvement sont éga
paire, de couper l'un des pédoncules cérébelleux moyens, c'est-à-dire l'une des extrémités latérales de la protubérance; l'an
l'un des pédoncules moyens paraît en effet équivaloir à l'ablation de l'une des deux moitiés du cervelet. L'animal ne perdrai
gir, mais il serait dépourvu de celle de coordonner les mouvements de l'une des moitiés de son corps. Les deux côtés agiraien
et la progression sont encore possibles chez les mammifères. Mais si l'une des couches optiques est détruite, l'animal tombe
est soumis à six forces, qui dans l'état de santé se font équilibre. L'une pousse aux mouvements en avant, l'autre aux mouve
par trois ordres de fibres, ou si l'on aime mieux par trois racines. L'une de ces racines (pont de varole) est composée de f
voir qui est appuyée sur des observations anatomo-pathologiques, dont l'une , empruntée à de Lassonne est surtout fort remarqu
aire des atomes, et cela n'est pas chose facile ; car, de deux choses l'une : ou les atomes sont étendus, et alors ils sont d
ire qu'elle est « une des espèces inférieures ou un mode numérique de l'une « de ces puissances ? » Nous nous concevons si
a face profonde. La peau peut donc recevoir des impressions afleclant l'une ou l'autre de ses deux faces. Avant moi, si je
culaire au plan sur lequel les deux points sont tracés, sont toujours l'une à l'égard de l'autre dans une direction parallèle
chacune d'elles. Ce n'est pas tout, deux couleurs différentes, vues l'une auprès de l'autre, ne sont pas absolument telles
le seraient si elles étaient vues isolément. Elles influent en effet l'une sur l'autre et suivant une loi. Cette influence r
loi. Cette influence réciproque que des couleurs juxtaposées exercent l'une sur l'autre est connue sous le nom de contraste s
ssions subséquentes, et deux impressions simultanées sont influencées l'une par l'autre suivant certaines lois; de ces observ
ié de cent manières ces expériences. Parmi celles qu'il a instituées, l'une des plus curieuses est celle-ci : Sur un disque
yant pour centre celui du disque, et dont les spires soient distantes l'une de l'autre d'environ douze millimètres; puis on t
ident quand, de deux impressions qui ont affecté simultanément l'âme, l'une rappelle l'idée de l'autre à laquelle le hasard l
t. Ce fait malheureux se produit trop souvent. Un homme célèbre, dans l'une des plus fameuses académies du monde, ne pouvant
et égard. Ainsi, un certain équilibre s'établit. Or, de deux choses l'une : ou bien la cellule centrale revient absolument
si intimement liée à la faculté de se ressouvenir, que la liberté de l'une suppose l'indépendance de l'autre. Mais s'il est
ces deux facultés. Ce qui le prouve surtout, c'est que l'exercice de l'une diminue l'activité de l'autre. Les sensations exi
bscurcit en général toutes les sensations à la fois; mais quelquefois l'une d'elles survit à coi anéantissement (1). Dans c
e et effrayante que cette double vie, cette double pensée, étrangères l'une à l'autre dans un même sujet, et, dans l'état act
té qu'elle a de percevoir ces images, il lui faudrait, de deux choses l'une , ou toujours veiller, ou s'en- (1) De sera Num.
e, âgée de vingt ans, d'une con^itulion scrofuleuse, se réveilla dans l'une des premières nuits de sa grossesse avec un cri t
ant des traits de ce genre. Mais parmi les illusions du sens interne, l'une des plus curieuses, à coup sûr, est celle par laq
anmoins comme un autre moi-« même, et comme si j'avais deux âmes dont l'une est deposes sédée de son corps, de l'usage de ses
ent, car l'idée d'affirmation est corrélative à celle de négation, et l'une amène l'autre par antithèse. Mais évidemment il n
t à se produire, et qui suppose quelques modifications préliminaires. L'une de ces modifications, et la première en date, est
point, à la cuisse par exemple, l'individu acéphale portait la main à l'une de ses cuisses, et semblait y ressentir de la dou
e; supposons le métier d'un tisserand. Aussitôt que le balancier de l'une sera mis en mouvement, aussitôt que la main de l'
machines brutes et les machines animales, il n'y a qu'une différence. L'une agit et ignore ce qu'elle accomplit; dans l'autre
dre, elles choisissent dans tous les cas des circonstances analogues. L'une habite les champs ou les jardins, une autre les m
esses, et dans la manière d'établir leurs embûches ou leurs filets. L'une tisse une toile sombre, elle l'attache dans un re
es partisans l'ont bien senti (6), aussi, leur refusent-ils à la fois l'une et l'autre, épargnant du moins (1) Arriani. Rer
produisent dans les criminels qu'on a décapités ; or, de deux choses l'une : ou bien le corps agit alors sans la participati
nt souvent un spectacle touchant. Quand le plomb du chasseur a frappé l'une d'elles, ses compagnes l'entourent, l'appellent e
. Il y a alors une combinaison singulière de deux tendances inverses: l'une qui pousse à regarder, et l'autre à détourner les
11 y a deux voies, deux méthodes par lesquelles elles sont exprimées; l'une est Tropique, l'autre Algébrique. Ainsi, dans le
t-il qu'une pensée, qu'une volonté, quand la pensée et la volonté ont l'une et l'autre deux organes distincts? Il ne faut p
cérébral. Ces faits n'indiqueraient-ils pas qu'il y a deux visions, l'une qui émeut directement l'intelligence, l'autre qui
des qualités inséparables d'un même sujet qui est l'âme, et supprimer l'une d'elles, c'est anéantir d'un seul coup toutes les
3 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
il, devenu aujourd'hui, avec le concours de plusieurs autres savants, l'une des plus précieuses collections scientifiques de
beau buste de Leuret, dont on a reproduit un petit nombre d'épreuves. L'une de ces épreuves al dans la bibliothèque de Nancy.
, mais se rendant à des points opposés du corps de l'animal et ayant, l'une et l'autre, des fonctions bien distinctes. Dans u
divisé transversalement par un sillon qui le partage en deux parties, l'une antérieure et l'autre postérieure. Cuvier a appel
nerveux est divisé, par M. Carus, en deux parlies fort distinctes, l'une destinée aux fonctions de la vie organique, l'aut
'analogue du gan-^ glion céphalique des invertébrés ; on peut faire à l'une et à l'autre les mêmes objections. Je ne répétera
leur du printemps les a dégourdis , il se forme une double sécrétion, l'une dans l'ovaire, l'autre dans le testicule : alors
tte d'oie. La double paire de nerfs qui naît de chaque ganglion est l'une au-devant de l'autre dans la sangsue comme dans l
u-devant de l'autre dans la sangsue comme dans le lombric, et non pas l'une au-dessus de l'autre comme cela a lieu pour les r
de manière à former deux cordons ou chaînes ganglionaires, distantes l'une de l'autre et occupant toute la longueur de l'ani
parées naturellement ou très facilement séparables ; elles s'accolent l'une à l'autre, mais ne se confondent pas : c'est le
la direction longitudinale de la moelle et oui,, arrivés au niveau de l'une des doubles racines spinales, entraient dans ce
En haut et en bas sont les deux colonnes nié dullaires bien isolées l'une de l'autre ; dans le ganglion lui-même on suit ce
des ganglions. 9° Les nerfs ont pour la plupart une double origine, l'une dans les fibres longitudinales des cordons médull
es se livrent souvent des combats à outrance. On les voit s'accrocher l'une à l'autre et ne lâcher prise que lorsque l'une d'
n les voit s'accrocher l'une à l'autre et ne lâcher prise que lorsque l'une d'elles a arraché la tête ou un membre de son enn
ême espèce se prêtent mutuellement secours; tantôt elles s'accrochent l'une à l'autre pour tirer dans le même sens et entraîn
n geste se répète constamment entre elles. Toutes ces fourmis vont de l'une à l'autre, en touchant de leurs en-tennes et de l
, et bientôt les deux nouvelles amies, dressées comme deux écureuils, l'une en face de l'autre, sucèrent ensemble la gouttele
mière, ni dernière, elles se prêtent un appui mutuel, vont au secours l'une de l'autre au moment du danger, s'en-tr'aident da
ui les pressent, les reines se reconnaissent et tentent de se diriger l'une contre l'autre, à Tintant un passage leur est ouv
leur permet de se saisir et de se battre. Il faut que dans ce combat, l'une des deux soit mise à mort, car si elles se quitte
a trompe. Les abeilles ne vi-rentpas d'abord ce mouvement, mais enfin l'une d'elles l'aperçut et vint appliquer sa bouche sur
l'instant du jet. «Le 11, aucune des reines n'était encore libérée; l'une d'elles avait dû subir sa transformation le 8 ; e
nsiste, pour les poissons, en un long faisceau médullaire surmonté, à l'une de ses extrémités, de plusieurs renflemens ou lob
premier cas, on découvre, en avant, une commissure blanche qui réunit l'une à l'autre, la partie antérieure des deux lobes op
nférieure et antérieure des ganglions optiques, £ar deux racines dont l'une s'étale sur la partie interne et supérieure du ga
onsidérables chez tous les poissons; ils ont deux racines distinctes, l'une dans le ganglion qui esl situé immédiatement derr
rajet, la racine dont il s'agit se rapproche de celle du côté opposé; l'une et l'autre arrivent au niveau du sillon médian in
encéphale est produit par elle, soit enfin que l'on ne reconnaisse de l'une à l'autre ces deux parties aucun rapport générate
e, sont doubles chez les poissons comme chez l'homme : elles viennent l'une de la face fulcrale, l'autre de la face spinale :
Toutes les fibres ne s'élargissaient pas, et les distances procher l'une de l'autre à -volonté, au moyen d'une vis ; l'obj
ourrir une autre substance solide. Il n'y a pas en effet nutrition de l'une par l'autre, il y a seulement rapport de volume,
très fins, on coupe la moelle épinière de la carpe, en deux moitiés, l'une spinale, l'autre fulcrale, et que l'on place ces
e de chaque côté, c'est-à-dire qu'elle a à-peu-près la forme d'un X ; l'une de ses extrémités, la supérieure, va du ganglion
que les filets nerveux des animaux articulés ont une double origine, l'une par des fibres longitudinales, l'autre par des fi
en est de même pour la moelle épinière. Cependant, jamais je n'ai vu l'une des fibres de la lame optique ou de celles qui cr
alors elles s'élancent dessus;, et l'engloutissent dans leur estomac. L'une d'elles, la raie torpille, a de plus une puissanc
e et la baudroie (v. pl. il) qui sont deux animaux doués de ruse, ont l'une et l'autre un encéphale très différent; l'encépha
Deux racines d'un même nerf, du nerf optique, se voient à sa surface, l'une en dedans et en haut, l'autre en dehors et en bas
e; une dépression qui rappelle la voûte àtrois piliers, les distingue l'une de l'autre, plutôt qu'elle ne les sépare. La surf
lle , entre deux lames de verre, on peut en faisant glisser ces lames l'une sur l'autre, faire mouvoir en sens divers, les
oite passent toutes du côté gauche, et réciproquement, en chevauchant l'une sur l'autre. Pour apercevoir cet entrecroisement,
nerfs, la moelle épinière et l'encéphale ; il ne l'est pas même dans l'une de ces parties considérée isolément ; cependant i
elles, plutôt qu'une division de la même partie. Ceux qui soutiennent l'une ou l'autre opinion n'ont ni complètement tort, ni
ches optiques ont une double destination, et se montrer exclusif pour l'une ou pour l'autre, c'est être également loin de la
. Trois commissures réunissent l'un à l'autre les lobes cérébraux : l'une antérieure et inférieure, située tout-à-fait au b
l-à-l'heure, on voit qu'il est comme formé d'une double lame plissée, l'une intérieure, blanche, l'autre extérieure, d'un gri
nombre varie, suivant les oiseaux, de 10 à 20. 8. Deux commissures, l'une antérieure, l'autre postérieure réunissent entre
dis que, pour le plancher du quatrième ventricule, j'ai noté 0,01083. L'une et l'autre de ces parties sont des prolongemens d
a substance grise et la substance blanche, sont tout aussi distinctes l'une de l'autre dans le cervelet des oiseaux que dans
er, comme son nom l'indique, a un bec dont les mandibules chevauchent l'une sur l'autre : ït s'en sert pour enlever les écail
, et poussaient des cris d'alarme. Après une assez longue hésitation, l'une commença, et, comme à une course de bague, elle d
tance à les examiner, que les auteurs qui ont découvert une partie de l'une d'elles, ne poursuivent pas leurs recherches jusq
la marmotte a des dépressions très faibles; le porc-épic en a trois, l'une à la partie latérale du cerveau, c'est l'indice d
deux circonvolutions, mais la trace seulement, car elles sont soudées l'une à l'autre dans un assez grand nombre de points ,
de celle-ci la seconde. Mais ces deux circonvolu lions sont réunies l'une à l'autre, en avant et en haut de la scissure de
nce, c'est qu'elles sont au nombre de cinq seulement, trois externes, l'une sus-orbitaire et la cinquième interne. La civet
enards, où elles sont, ai-je dit, au nombre de quatre très distinctes l'une de l'autre dans toute leur étendue: dans la civet
circonvolutions externes, chez la civette, trois circonvolutions dont l'une est bifurquée; chez la genette trois circonvoluti
ns qui forme le 9e groupe, n'a en réalité que quatre circonvolutions, l'une interne, la seconde sus-orbitaire, les deux autre
nt, parleur adossement, la ligne médiane du cerveau; elles commencent l'une et l'autre par une extrémité arrondie située derr
munication entre la partie antérieure de la circonvolution interne et l'une des circonvolutions externes, différencie le cerv
tons, il ne ressemble pas à celui des renards, des chats et des ours. L'une des circonvolutions de l'ours, la supérieure, s'e
rapports de l'analogie avec celles des chats et de la civette; enfin l'une d'entre elles est propre aux cochons, car je l'
nquin), en dehors de la circonvolution iv (sanglier), elle est unie à l'une et à l'autre de ces circonvolutions, par un prolo
n arrière et en dehors du cerveau. Un sillon si., si., fig. 1, sépare l'une de l'autre les deux circonvolutions de la convexi
porcs, les chats, etc.; elle est au contraire double et môme triple. L'une de ses divisions, la plus interne, se porte en ar
rieures. En résumé , le phoque a trois circonvolutions cérébrales : l'une interne qui, en arrière, ressemble à la circonvol
dérable de toutes. En arrière, elle est formée de trois parties, dont l'une , la plus extérieure , est profondément sillonnée;
rge commissure grise, appelée commissure moyenne ou molle, qui réunit l'une à l'autre les couches optiques dans une grande
ie de ces fibres se trouve en saiilie et forme une double commissure, l'une 1res large et placée immédiatement derrière l'ori
ux de la moelle. Ce sont deux saillies perpendiculaires et parallèles l'une à l'autre qui régnent le long du sillon spinal, e
rt; et les chevaux hongres le sont plus que les uns et les autres. Si l'une des deux parties principales de l'encéphale s'est
t de 419 grammes, tandis que le cerveau des étalons est de 433; et si l'une d'elles s'est développée de manière à prédominer
une cloison verticale qui divise la cavité du crâne en deux chambres, l'une antérieure et l'autre postérieure, de sorte que l
t plus douces que les jaguars, elles se laissent volontiers caresser. L'une de celles qui sont actuellement à la ménagerie, n
e. Sa demeure est ordinairement composée de deux parties distinctes , l'une pour lui, l'autre pour ses provisions qui sont pa
de derrière et frottait longuement et avec prestesse ses deux pattes l'une contre l'autre (absolument comme lorsque nous nou
chevaux que l'on élève pour les jeux du Cirque. Après avoir assisté à l'une des séances qui se donnent chaque soir au cirque
est très multiplié dans certains pays et notamment dans l'île Bourou, l'une des Moluques, sur le territoire des Alfourous où
n voler pour leur faire des caresses. J'ai vu ensemble deux femelles, l'une de papion, l'autre d'hamadryas; la première avait
ès nette dans les deux figures de Pongo que vient de publier M. Owen. L'une de ces figures représente la tôle d'un jeune Pong
se borner, par exemple, à prendre deux têtes de renard et les opposer l'une à l'autre, mais ne pas étendre la comparaison jus
e à la sociabilité des animaux de telle manière qu'on puisse dire que l'une dépend de l'autre. Les oiseaux, qu'ils soient soc
it aussi et à plus forte raison, pour le coati et le blaireau qui ont l'une des circonvolutions dont il s'agit comme atrophié
oujours coexister chez le même animal, elles doivent être dépendantes l'une de l'autre, comme l'effet l'est de la cause. Or,
4 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
s; si ces deux sortes de capacités auxiliaires, ou plutôt complétives l'une de l'autre, se sont toujours tenues isolées, c'es
comparé à l'orbite; soit pour les membranes séreuses,le péritoine,ou l'une des plèvres, par rapport au péricarde ou à la tun
sculaire sous-cutanée, le tissu analogue sous-muqueux ; puis viennent l'une et l'autre couches musculaires revêtues de chaque
on ne peut être si complète que les sciences diverses ne s'empruntent l'une à l'autre leurs moyens d'investigation, et ne s'é
ences, et en particulier la physiologie, sont parvenues aujourd'hui à l'une de ces époques critiques, si gênantes pour l'ense
e, forment, en pathologie, des cloisons d'isolement de la maladie, de l'une à l'autre surface de l'os, effet qui entraîne des
dre résistance que les produits morbides trouvent à se faire jour sur l'une des deux surfaces cutanée ou muqueuse. Cette asse
n de trajets fistuleux, une communication artificielle s'établit avec l'une ou l'autre surface tégumentaire, ou avec les visc
es sécrétés par les membranes muqueuses trouvent une double issue sur l'une et l'autre surface tégumentaire. En pathologie, l
un certain nombre de parties qui n'y entrent que par fractions ou par l'une de leurs extrémités. Il suffit de la moindre atte
ponévrose et s'anastomose avec le facial. 7° Squelette. Constitué par l'une des moitiés du frontal, il protège l'orbite par l
et de dehors en dedans. Les veines occipitales sont souvent doubles, l'une superficielle, et l'autre profonde, accompagnant
accidentelles ou opératoires, f Squelette. Il est formé seulement par l'une des moitiés de l'os occipital, et n'est sous-cuta
âne par les trous et les sutures, rendent en quelque sorte solidaires l'une de l'autre les circulations veineuses extra et in
exions des différentes parties sont maintenues par trois aponévroses, l'une médiane ou sus-hyoïdienne, très résistante, et de
aux. 4° Vaisseaux. Le triangle sus-claviculaire est, sous ce rapport, l'une des régions les plus intéressantes, et où s'exerc
trique. Elle se renferme entre deux lignes fictives transversales : l'une , sus-ombilicale, passant au-dessous du rebord des
au-dessous du rebord des côtes; l'autre, sous-ombilicale, étendue de l'une à l'autre crête iliaque . entre ces deux lignes e
e haut en bas par la douzième côte et une ligne étendue en travers de l'une à l'autre crête iliaque ; et, horizontalement ell
sseaux spermatiques. La région inguino-abdorninale est certainement l'une des plus importantes de la chirurgie, au point de
nguinal; en arrière, la région médiane sacro-coccygienne, flanquée de l'une et l'autre région fessière; en bas et sur le plan
et qui trace leurs délimitations communes en indiquant la flexion de l'une sur l'autre, offre par sa situation, des rapports
ites déterminées qu'une ligne arbitraire, dirigée horizontalement cle l'une à l'autre épine iliaque postérieure, formant la b
arbitrairement par deux lignes parallèles au sillon cutané principal, l'une 1 Planche i, n° 34; et planche fi. à un pouce
ition, l'étendue et la structure anatomique suffisent pour constituer l'une des régions les plus intéressantes en chirurgie.
ité d'annexé, est généralement considérée comme formant deux régions, l'une antérieure, ou le pli du coude, et l'autre postér
on. Quoique d'une étendue très restreinte, cette région est néanmoins l'une des plus importantes à bien connaître, eu égard a
on métacarpienne de la main. Toutefois il est utile d'y joindre, pour l'une et l'autre, sa portion digitale. La main, en an
e flexion dont trois principales en travers et divergeant en dehors : l'une qui contourne la base de l'émi-nence hypothénar ;
es régions dorsale et plantaire se divise en deux portions inégales : l'une postérieure ou tarso-métatarsienne, qui en forme
rse, et au-dessus la terminaison de l'aponévrose jambière, étendue de l'une à l'autre malléole et renfermant le tendon d'Achi
etit doigt. Le bistouri tenu dans cette situation, de ses deux faces, l'une est supérieure et l'autre inférieure ; son tranch
et faire ressortir le tranchant par le sommet. La section terminée de l'une ou de l'autre manière, en abandonnant la peau à e
s qui entrent successivement dans la manœuvre des grandes opérations, l'une des plus difficiles, et qu'il importe le plus de
. Incision cruciale '. Des deux incisions droites qui la composent, l'une se fait de gauche à droite; l'autre est formée de
bistouri tenu en première position. Quant aux deux autres incisions, l'une doit se faire d'avant en arrière ou vers soi, et
cédât 45 degrés, on conçoit qu'il serait préférable d'avoir recours à l'une de celles que nous venons de nommer. L'incision
16, Kg. a. partant d'une certaine distance du bord, y être ramenées l'une et l'autre. Pour inciser en dedans, on insinue le
- ~-3 Planrhe i5, fig. 3. nueux, on introduit la sonde cannelée par l'une de ces ouvertures, et on la fait ressortir par l'
rois parties, on y emploie deux aiguilles, que l'on insinue lentement l'une après l'autre à travers la base de la tumeur que
préalable suivie d'une ligature, comme il offre les in-convéniens de l'une et de l'autre sans en avoir les avantages, il est
deux portions dont se compose l'instrument, permet de les assujettir l'une à l'autre par une vis de pression; en sorte qu'un
employer deux, qui traversent isolément chaque lèvre correspondante , l'une de dehors en dedans, et l'autre de dedans en deho
lambeau ou une plaie qui a traversé de part en part le bord libre de l'une des lèvres : les côtés étant exactement affrontés
pour permettre l'écoulement des liquides et faciliter le rechange de l'une d'elles qui viendrait à se détacher, sans pour ce
lent, en refoulant par la pression les deux masses charnues latérales l'une à la rencontre de l'autre : on les croise au-deva
lotes liées par un arc métallique et mues par une vis de rappel, dont l'une comprimait le nerf sciatique et l'autre le crural
. Mais si l'artère est d'un moindre volume, par exemple la radiale ou l'une des tibiales, après une première hémorrhagic abon
oigts. Elle se fait avec le pouce isolément ou avec plusieurs doigts. L'une et l'autre manière d'agir est commandée plus part
le principe est le même, le membre étant compris entre deux pelotes, l'une de pression, l'autre d'opposition, réunies par un
par un lacs circulaire et rapprochées par une vis de rappel fixée sur l'une d'elles. (Pl. 18-21.) Procédé d'application. Ap
ue de son trajet ultérieur, les os du crâne formant point d'appui. Si l'une de ses branches est coupée en travers, il suffit
s parois sans couper de prime-abord ; enfin, le fil laissé à demeure, l'une de ses extrémités coupée près du nœud, et l'autre
neutraliser l'excès d'acide. B. Limage des dents. Cette opération, l'une des plus importantes de l'art du dentiste, répond
et de volume, est l'instrument le plus usité; elle est denticulée sur l'une ou sur les deux faces, sur l'un ou sur les deux b
dents de devant, incisives et canines, lorsque l'ablation complète de l'une d'elles a laissé un vide d'un effet désagréable.
. Les préceptes de détails sont différons suivant que l'on agit sur l'une ou l'autre mâchoire. i° Mâchoire inférieure. (P
ace de'deux plaques de verre d'un pouce carré d'étendue; puis accoler l'une à l'autre les deux surfaces enduites, luter le co
plaques de cristal parfaitement planes et polies; mais, au centre de l'une d'elles, était une petite fossette de capacité à
ournir un bouton. Il remplissait cette cavité, et, en faisant glisser l'une sur l'autre les deux plaques, il renfermait ainsi
le sens longitudinal. Il est clair que cette manière d'agir n'est que l'une de ces' nombreuses modifications dont le chirurgi
l'un des deux procédés su i vans. Procédé de M. Lisfranc. Prolonger l'une des incisions latérales du pédicule trois ou quat
que sorte le complément de l'idée précédente. Il consiste à prolonger l'une des incisions jusqu'à la plaie elle-même dont le
contact, deux surfaces que la nature a placées à une grande distance l'une de l'autre, ce qui suppose, en tout état de veill
e est moins pourvu de vaisseaux. On fait rapprocher les deux surfaces l'une del'autre, et, pendant que des aides contiennent
de suppléer à la perte de substance au moyen de l'autoplastique , par l'une quelconque des méthodes indiquées, suivant le bes
a largeur de la paume de la main; 2° les brides partielles limitées à l'une des régions, et nuisant au mouvement des doigts c
également prévenir l'introduction d'une ou de plusieurs sangsues par l'une des ouvertures naturelles, cet accident pouvant d
e. La pression peut être employée de deux manières en sens inverse. L'une , par le vide imparfait ou par soustraction d'une
x tours de bande médiocrement serrés et qu'il assure par une rosette. L'une des mains est employée à soutenir le membre qu'el
e les veines au-dessous sont assez apparentes , soit, à l'avant-bras, l'une des radiales ou cubitales, soit, à la main, la sa
cette dernière et le cœur. On lave, on remplace ensuite le doigt par l'une des compresses graduées, et l'on applique l'autre
bier antérieur et, en pressant avec la pulpe des doigts rassemblés de l'une ou des deux mains, déprimer les chairs le long du
u tissu cellulaire, en promenant nettement la sonde dans le sillon de l'une à l'autre extrémité de la plaie. Faisant alors fl
issement de la circulation, la ligature est à-peu-près indifférente à l'une ou l'autre hauteur, qui ne diffèrent que de six à
re, d'abord sur son côté externe, puis sur l'interne, en l'isolant de l'une ou des deux veines, et enfin glisser la sonde de
aiguillé. ARTÈRES DU COU '. Hors les cas d'opération spéciale sur l'une des régions quelconques du cou , on est dans la n
quelconques du tronc , soit les thoraci-ques, la récurrente iliaque, l'une des branches lombaires ou même l'une des intercos
aci-ques, la récurrente iliaque, l'une des branches lombaires ou même l'une des intercostales. ARTÈRE ÉPIGASTRIQUE. Situa
'. La ligature du grand tronc du membre abdominal est véritablement l'une des conquêtes les plus heureuses de la chirurgie
s devaient être ce qu'ils ont été. La ligature du tronc qui se rend à l'une des moitiés de la masse encéphalique devait donne
dehors. Rien de plus facile alors (pie de lier le tronc ou au besoin l'une des branches latérales. A ce procédé se rattache
d'une veine à une artère blessées en commun, donne passage au sang de l'une dans l'autre ; et l'anévrisme proprement dit, ou
e dans l'histoire de la pathologie, est une affection très commune et l'une des plus dangereuses. Abandonnée à elle-même, dan
umeur se fait avec une bande sur l'artère et une plaque d'opposition, l'une et l'autre fixées par un compresseur (pl. 20 , fi
entre la compression proprement dite et la ligature, et qui tient de l'une et de l'autre, est loin, à notre sens, de valoir
nsiste à placer, sur un même tronc, deux ligatures à quelque distance l'une de l'autre. Vacca allègue que l'espace intermédia
ns, etc. 20 Les autres, d'une forme allongée, peuvent être saisis par l'une de leurs extrémités : tels sont un éclat de bois
liter l'écoulement du liquide, diriger l'incision de manière à ce que l'une de ses extrémités corresponde à la partie déclive
é suivant. 2° Ponction suivie de séton. Faire comprimer la tumeur à l'une de ses extrémités, et sur la saillie qu'elle form
uite le double kyste ; et quand il est complètement vidé, insinuer de l'une à l'autre ouverture une mèche à séton qui doit re
randes mutilations qui résultent de la perte totale d'un membre ou de l'une de ses fractions. Historique. Conserver en part
section à l'amputation et réciproquement? Quelles sont les limites où l'une s'arrêtera pour faire placeà l'autre? Cette quest
culations g in gly moi claies on pratiquera deux incisions latérales, l'une interne, l'autre externe, pour éviter les vaissea
manœuvres, un plus grand espace. Le mal étant limité, deux sections, l'une au-dessous, l'autre au-dessus, sont pratiquées av
Cette opération donne pour résultat le plus simple deux incisions : l'une longitudinale sur le trajet du nerf cubital, l'au
re au moyen cle trois incisions. Les deux premières sont verticales : l'une commence au niveau du grand angle de l'oeil et se
x extrémités de cette première incision en abaisser deux verticales : l'une interne divise la lèvre inférieure sur la ligne m
es extrémités de cette première incision en abaisser deux autres dont l'une divisera la lèvre inférieure, et l'autre se prolo
ls anatomiques généraux qui trouvent leur application aussi bien dans l'une que dans l'autre espèce d'amputation. La forme ap
n isolée des chairs du premier métacarpien et des quatre ; autres par l'une ou l'autre des méthodes indiquées; mais la sectio
rieur (Chélius). Pratiquer deux incisions longitudinales parallèles : l'une sur l'espace inter-osseux, l'autre sur le bord in
anson et Blandin font l'ovale latéral à l'aide de deux incisions dont l'une porte sur le bord interne et supérieur, et l'autr
tout après la section oblique cle l'os; mais on a deux incisions dont l'une a le grave inconvénient de siéger à la face plant
en abaisser deux autres, longues de quatre centimètres et pratiquées, l'une sur la face interne du tibia, l'autre sur le mili
osseux et finit par la cautérisation. Verduin plaçait deux ligatures, l'une contre l'hémorragie, l'autre pour remonter la pea
int où les os seront sciés; en abaisser deux autres perpendiculaires, l'une sur le bord interne du tibia, l'autre sur le péro
les causes de revers dans chacune d'elles et les perfectionner ainsi l'une par l'autre, puisque toutes deux doivent être con
ainsi l'une par l'autre, puisque toutes deux doivent être conservées, l'une pour les cas malheureux où la lésion remonte très
fémur dans une étendue plus ou moins considérable, ils sont soumis à l'une et à l'autre rétraction. Les muscles les plus nom
eusement la diversité des opinions qui avaient cours de son temps sur l'une et l'autre espèce d'amputation. » Aucuns, dit -il
Guillemeau), l'expérience montre qu'il vient aussitôt inconvénient de l'une que de l'autre amputation; et telles plaies ne so
lation carpienne parcourir obliquement la face dorsale pour arriver à l'une des commissures, contourner la rainure digito-pal
n lambeau seini-lunaire, long d'un centimètre et demi, qui s'étend de l'une à l'autre articulation externe : c'est-à-dire , d
droit, tailler sur la face dorsale un lambeau cutané semi-lunaire, de l'une à l'autre apophyse styloïde, en procédant du cubi
tion moyenne si elle en a été écartée, pénétrer à plein tranchant sur l'une des apophyses styloïdes et, d'un seul coup, qui p
légèrement obliques et convergentes, suivant la direction des fibres, l'une interne et antérieure, l'autre externe et postéri
de l'acromion, en faire partir obliquement deux autres en V renversé, l'une vers le bord antérieur et l'autre vers le bord po
la peau et qui descendent de chaque côté jusqu'au bord de l'aisselle, l'une en avant et l'autre en arrière; après que la peau
B. Si les chairs ont été désorganisées dans une certaine étendue sur l'une ou l'autre face du membre, de manière à ne pouvoi
, tantôt une portion de la clavicule, ou les extrémités adjacentes de l'une et de l'autre. M. Larrey a pratiqué plusieurs foi
par la saillie de la tête de cet os. Dupuytren a fait plusieurs fois l'une et l'autre opération et n'a reconnu à la conserva
cette dernière; nous croyons inutile d'en faire la description. Enfin l'une et l'autre méthode peuvent s'appliquer à la désar
des articulations postérieures, de diriger une incision oblique vers l'une des commissures interdigitales, de contourner la
au-devant du scaphoïde. Anatomie. Deux articulations se présentent l'une au-devant de l'autre, auxquelles le scaphoïde est
s cas où les tégumens seraient trop altérés en avant, en arrière ou à l'une et l'autre extrémités du diamètre antéro-postérie
et en dehors, facilite la désarticulation et le passage du couteau de l'une à l'autre face; mais, arrivé à sa base, le coutea
tané externe, avant qu'il envoie une forte branche au médian. 11. L'une des racines du nerf médian. 12, 12. Vaisseaux a
e, pour sortir de la plaie. Fig. 5. Position des deux mains, dont l'une incise et l'autre tend les té-gumens dans l'incis
lon de la lame porte de chaque côté deux petits onglets, tournés vers l'une ou l'autre face. Les onglets inférieurs (d, d), a
mpression : à la tète, par des bandages, dans le cas d'hémorrhagie de l'une des branches de l'artère faciale, de la sous-orbi
orale , dans le lieu de sa bifurcation, pour les cas d'hémorrhagie de l'une ou l'autre de ses branches. COMPRESSION DE L'AR
, de sorte que le même instrument peut servir pour la compression de l'une ou de l'autre artère sous-clavière. 2° Une seco
n quart de cercle à droite et à gauche, pour compenser l'obliquité de l'une ou l'autre clavicule. Cette lame sert de point fi
ension (g) enveloppe tout l'appareil en passant longitudinalement sur l'une et l'autre plaque terminale, où. il est maintenu
he 21 pour celles du pied). Cette pelotte se compose de deux plaques, l'une supportant la pelotte, l'autre fixée sur la premi
chancrure des adducteurs ( fig. 1 ) et se divise en deux artères dont l'une (g) va se jeter dans la fémorale profonde, et don
ant immédiatement passé sous le vaisseau, il ne s'agit que de dégager l'une de ses extrémités et de retirer l'aiguille, qui l
e dans un point quelconque de la longueur de la plaie, ou seulement à l'une de ses extrémités. Détails de la plaie opératoi
sente la ligature du tronc brachio-céphalique par deux procédés. Pour l'une et l'autre opération, le malade est couché sur le
g. 5. Entre deux incisions des parties molles qui se correspondent de l'une à l'autre face de l'os, on a pratiqué un orifice
es parties, une flexion et une extension réelles, et contre-balancées l'une par l'autre, de la portion du pied qui est conser
5 (1857) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Atlas
que présente la première et la seconde circonvolution (fig. 2). Entre l'une et l'autre, le sillon n'est pas complet, comme ch
renard : il y a une espèce de circonvolution supplémentaire + qui lie l'une à l'autre les deux circonvolutions dont il s'agit
et la quatrième des renards et des chats, mais les communications de l'une à l'autre sont tellement nombreuses, que ces deux
lement chez les autres animaux, les circonvolutions 2 et 3 distinctes l'une de l'autre dans toute leur étendue. Le cerveau de
ement en avant et en dedans jusqu'à la ligne S où elles se réunissent l'une à l'autre, pour se diviser ensuite en deux partie
réunissent l'une à l'autre, pour se diviser ensuite en deux parties, l'une , interne qui, par son adossement avec la circonvo
ons antérieures. A. A. Un sillon complet sépare ces circonvolutions l'une de l'autre, comme chez le cochon, le chevreuil, l
e et envoie une de ses divisions aux deux autres circonvolutions + +. L'une des circonvolutions antérieures est coupée en deh
scissure médiane. Les lettres P. A. de la même figure, sont placées l'une en avant, l'autre en arrière de la scissure de Sy
ylvius. I. A, II. A, III. A. Trois circonvolutions antérieures dont l'une , la troisième , est déjà représentée sur la planc
ont on voit le complément sur la figure 4* SINGE PAPIÓN. S, S, S. L'une des circonvolutions supérieures, celle qui fourni
e en S. S. la scissure de Sylvius, et en S. R. la scissure qui sépare l'une de l'autre les deux circonvolutions supérieures,
AA. Partie interne de la troisième circonvolution antérieure. P. L'une des circonvolutions postérieures. 1,1,1,1. Circ
nie à la circonvolution supérieure, parce que le point de jonction de l'une à l'autre se trouve au fond du sil!on\.'La circon
épare les deux circonvolutions supérieures. -h Point de jonction de l'une des circonvolutions supérieures à la circonvoluti
contourne sur le corps calleux , envoie un prolongement qui s'unit à l'une des circonvolutions supérieures, et descend derri
Sillon de Rolando. SS.,S'S'. Circonvolutions supérieures, séparées l'une de l'autre par le sillon de Rolando. (Elles con
A A. Partie interne de la troisième circonvolution antérieure. P. L'une des circonvolutions postérieures. 1.1.1.1. Circon
Circonvolutions supérieures. (Plis ascendants.) S". Prolongement de l'une des deux circonvolutions supérieures vers le lobe
LTE. FACE INFÉRIEURE DU CERVEAU. — ENFANT. FACE LATÉRALE INTERNE DE L'UNE DES MOITIÉS DE L'ENCÉPHALE. ENCÉPHALE DE F1ESCH
(d'après M. Baillarger). a. Premier système, formé de deux couches, l'une blanche superficielle, l'autre grise. a. Deuxiè
'autre grise. a. Deuxième système, également formé de deux couches, l'une blanche, l'autre grise. c. Troisième système pa
'origine des fibres arciformes. e. Pyramides pédonculaires séparées l'une de l'au- tre au point de leur entre-croisement.
s du pédoncule supérieur du cervelet qui suivent la distribution de l'une des branches du faisceau postérieur (g). g. Pro
. C. Hémisphères cérébraux déjà nette- ment divisés en deux masses, l'une correspondant au lobe frontal, l'autre au lobe sp
mmissure molle dont les deux moitiés n'étaient point encore réunies l'une à l'autre. On voit au-dessous d'elle la large c
6 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
sent Rambaud et Renault, partent du vestibule pour former le limaçon, l'une supérieure, l'autre inférieure. Ces deux lames, p
oïde. Le squamosal nous offre à étudier un bord et deux faces, dont l'une est interne et l'autre externe. Le bord compren
la méthode de Welcker, et rapporta toutes les mesures à deux lignes, l'une (ligne a) tangente au bord postérieur du méat, et
ui. Embryologiquement, l'apophyse mastoïde comprend deux portions : l'une antéro-supérieure, développée aux dépens du squam
son niveau le groupe des veines émissaires mastoïdiennes, qui forment l'une des voies de dérivation de la circulation veineus
paroi supérieure, une extrémité inférieure et deux parois latérales, l'une antéro-externe, l'autre postéro-interne. La par
icale externe mastoïdienne. Ricard divise l'apophyse en deux moitiés, l'une antérieure et l'autre postérieure. « La moitié po
irurgicale de l'apophyse». Quelques chirurgiens mènent deux lignes, l'une horizontale, 1 autre verticale, et délimitent ain
Le trajet de chaque canal comprend un sommet et deux branches dont l'une est terminée par un renflement nommé ampoule : ce
ontal.—Il occupe un plan horizontal légèrement concave en bas (Spee). L'une des branches est postéro-interne et l'autre antér
pyème du sac endolymphatique. « Ce sac présentait deux déchirures : l'une artificielle, produite au moment de l'extraction
une veine jugulaire unique: 2° Ceux qui ont deux veines jugulaires, l'une externe ou superficielle, l'autre interne ou prof
ns un cas, (rois scissures convergeant vers le trou stylo-mastoïdien. L'une d'elles, à direction à peu près transversale, pas
walbe repli supérieur, qui la divise en deux zones d'inégale étendue, l'une postérieure, plus petite, plus épaisse, plane, re
rs du conduit. La saillie malléaire la divise en deux portions dont l'une est antérieure et l'autre postérieure. La premièr
s. Urbants-chitsch la divise en quatre segments, par deux lignes dont l'une n'est autre que le diamètre malléaire de Schwalbe
c . « 11 existe, dit-il, anatomiquement deux régions bien distinctes, l'une inférieure, qui ne correspond guère qu'à la fenêt
ait aussi dans la région sous-ombilicale à l'aide de trois incisions, l'une circon-férentielle et deux autres radiées rejoign
s-tache. Aplatie d'avant en arrière, celle-ci comprend deux portions, l'une osseuse et l'autre fibro-cartilagineuse, qu'on a
la surface articulaire reçoit la tête du marteau, et deux apophyses, l'une longue et verticale à extrémité un peu recourbée
La face interne est divisée par un sillon vertical en deux zones dont l'une , l'antérieure, est plus grande que la postérieure
re, une courbure propre qui porte la tête en haut. Des deux branches, l'une est antérieure et l'autre postérieure. La branche
vec le sinus latéral gauche. Ces deux voies ne sont pas indépendantes l'une de l'autre ; elles communiquent par un orifice pl
ce la veine jugulaire interne, dont le trajet comprend deux portions, l'une étendue entre le golfe et l'os hyoïde, l'autre en
qui émane du plexus veineux pharyngien, et deux veines qui viennent, l'une de la vertébrale, l'autre du plexus extra-rachidi
liques postérieurs gagnent le ventricule droit par quatre voies, dont l'une , la plus importante, passe par la jugulaire inter
ine septico-pyohémique. On décrit deux formes de pyobémie otitique, l'une avec thrombo-sinusite, et l'autre sans lésions ap
c la seringue de Pravaz ramène-t-elle du sang normal ? De deux choses l'une : ou bien il s'agit de thrombose pariétale sigmoï
— On peut aborder le golfe de la veine jugulaire par deux voies, dont l'une peut être appelée avec Laurens transtympanique et
isure préoccipitale de Meynert. Elle présente trois circonvolutions : l'une verticale, placée derrière la scissure de Rolando
nulaire, au-dessus et en arrière du bulbe. On lui décrit deux faces : l'une supérieure, séparée du cerveau par le tentorium c
x supérieur et, après entre-croisement, se divisent en deux branches, l'une ascendante et l'autre descendante vers le noyau r
Bechterew et descendais. Là, ses libres se divisent en deux branches, l'une descendante, l'autre ascendante. Les branches des
demi-circulaire horizontal ; elle a reproduit ainsi artificiellement l'une des complications de l'antro-otite suppurée avec
ro-interne de la cavité antro-mastoïdienne, on distingue deux zones : l'une postérieure ou sinusale, l'autre antérieure ou pr
7 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
tait appendu un petit corps recourbé sur lui-même , plus volumineux à l'une qu'à l'autre extrémité, présentant quatre tubercu
ci l'explication de ce fait d'anatomie pathologique que j'ai montré à l'une de mes leçons, et qui a été soumis à la Société a
e ganglion cervical moyen 2G reçoit deux branches considérables, dont l'une provient de la quatrième paire cervicale, et l'au
at naturel (fig. 2), c'est-à-dire qu'elle se divise en deux branches, l'une droite D, l'autre gauche G; mais point de canal a
petit bassin. Le détroit inférieur était divisé en deux ouvertures : l'une , antérieure O', plus petite; l'autre, postérieure
ernité, formé par les soins de madame Legrand. iie livraison. £ l'une de l'autre. Le bassin était dans le même état que
en deux parties bien distinctes dont le volume est en raison inverse, l'une A qui sert à l'articulation astragalo-scaphoïdien
ion, je crois que c'est a priori que Laennec a indiqué les signes que l'une et l'autre fournissent dans l'apoplexie pulmonair
neuse que la précédente, subdivisée elle-même en deux autres tumeurs, l'une inférieure T'A', l'autre supérieure T"A", que sép
et sous-clavière gauches. Cette tumeur était divisée en deux parties, l'une sous-sternaleplus volumineuse, l'autre pré-sterna
représentées fig. 1. Deux tumeurs volumineuses fluctuantes existent, l'une à l'extrémité droite RAD, l'autre à l'extrémité g
he le dépasse et elle forme une saillie sphéroïde assez considérable. L'une et l'autre tumeurs présentent supérieurement un a
ions encép ha loides dé Vestomac et du commencement du duodénum, dont l'une obstruait le pylore. (planche i, ive livraison.
reconnues sur le vivant, lesquelles occupent évidemment leur cavité; l'une , plus considérable, située immédiatement au-dessu
érissées. La figure i , qui offre une coupe de l'estomac au niveau de l'une de ces tumeurs, donne une idée très-exacte de cet
r, dans le cas actuel, la perforation ne peut être le résultat que de l'une de ces deux choses ou bien de l'amincissement ou
fait figurer ici, existaient deux capsules synoviales sous-cutanées; l'une , plus considérable, située entre la peau et la la
rre vésicale et la goutte ; comment ces deux affections se remplacent l'une l'autre chez le même individu ou dans les famille
supérieure et la moitié inférieure de la colonne vertébrale, accolées l'une à l'autre, sont pour ainsi dire parallèles dans u
e du même côté (je n'ai pas noté lequel). Le pouls était insensible à l'une et à l'autre artères radiales. La malade succomba
, présente des traces de cette division dans deux crêtes qui existent l'une le long de la paroi postérieure, l'autre le long
e pus est en contact immédiat avec la veine, et alors, de deux choses l'une , ou bien le pus reste isolé à l'aide des caillots
. Le feuillet libre adhérait en deux points au feuillet testiculaire. L'une de ces adhérences filamenteuses AF a été représen
upe de ce testicule, qui est composé de deux parties bien distinctes; l'une ve livraison. 1 supérieure, plus considérable
pididyme; la tumeur supérieure T, par le corps du testicule. Du reste l'une et l'autre présentent la même altération. C'est u
es fait se tuméfier beaucoup plus que les autres parties de la face ; l'une et l'autre paupières forment un gros bourrelet in
aperçoit quelques brides celluleuses d'un jaune brunâtre qui vont de l'une à l'autre paroi. Réflexions. — On attribuera pe
ur de la protubérance annulaire; de chaque côté par deux lignes, dont l'une est formée par les pédoncules cérébraux, et l'aut
enta, nous verrons qu'il est divisé en deux portions bien distinctes, l'une saine PS qui répond au cordon ombilical du fœtus
pseudo-membraneuse. La forme pustuleuse est lune des plus rapides et l'une des plus graves que puisse affecter l'entérite fo
taxiques. Je me rappellerai toujours qu'un intestin me fut présenté à l'une de mes leçons; c'était l'entérite folliculeuse (
arinée, des pilules camphrées nitrées; deux applications de sangsues, l'une sur la base du poumon gauche qui parut s'indurer,
. Il y avait à la fois dans l'intestin grêle pustules et ulcérations. L'une de ces ulcérations (PU, PU) présentait une large
péritoine seul était intact. Une perforation P existait au-dessous de l'une des plus petites escarres. Il y avait en tout une
e symptomatique d'un foyer apoplectique : on peut même les distinguer l'une de l'autre dans le cas d'instantanéité par quelqu
is qui faisaient présumer avec raison que c'était dans l'intérieur de l'une d'elles que s'était développé le calcul que nous
is qui faisaient présumer avec raison que c'était dans l'intérieur de l'une d'elles que s'était développé le calcul que nous
e pus est en contact immédiat avec la veine ; et alors de deux choses l'une , ou bien le pus reste isolé à l'aide des caillots
ctes qui constituent les os du crâne sont « tout-à-fait indépendantes l'une de l'autre : l'une, interne, appartient au cervea
t les os du crâne sont « tout-à-fait indépendantes l'une de l'autre : l'une , interne, appartient au cerveau; l'autre, « exter
de l'urètre; il avait eu plusieurs syphilis incomplètement traitées; l'une de ces deux causes pouvait avoir amené la maladie
harmonie dans le système osseux, il est rare qu'un os soit déformé à l'une de ses extrémités sans qu'il ne le soit plus ou m
rmée et déjetée en dehors et en arrière, est divisée en deux parties, l'une qui répond encore à la petite tête de l'humérus,
lité de cette mâchoire. Cependant Palfin dit avoir vu l'ankylose de l'une des articulations temporo-maxillaires. Eustachi,
larités que présente le crâne (planche 4) * L'ankylose n'occupe que l'une des articulations temporo-maxillaires, l'articula
quement semblable à celui de deux surfaces rugueuses qui frotteraient l'une contre l'autre. J'obtins le même phénomène sur to
e vraiment articulaire qui borne en avant cette cavité, était plane : l'une et l'autre surfaces étaient rouges ; point de tra
, le pouls lent et inégal, la décomposition de la face sont communs à l'une et à l'autre maladies; mais si l'on considère les
XX. Etudions maintenant les circonstances dans lesquelles surviennent l'une et l'autre altérations. Le ramollissement pultacé
pus habere inciperent. Nous voici revenus à notre point de départ, et l'une des inconnues du problème se trouvant éliminée, c
'attirai une anse intestinale au dehors et j'injectai du mercure dans l'une des veines mésentériques. Chez un chien qui survé
ie ombilicale épiploïque, j'en profitai pour injecter du mercure dans l'une des veinules qui rampent dans l'épaisseur de l'ép
tout récemment à la Maternité une femme qui fut prise de phlébite de l'une des veines superficielles de la glande mammaire;
as droit d'avant en arrière, au-dessous de la partie moyenne du bras. L'une d'elles traversa le membre de part en part, et so
xiste de différence fondamentale entre ces deux formes de gangrène. L'une et l'autre reconnaissent les mêmes causes ; elles
devoir se rapporter à deux variétés principales qui ne s'excluent pas l'une et l'autre, et que beaucoup d'observateurs regard
été molle ; toujours est-il qu'on rencontre souvent ces deux variétés l'une à coté de l'autre; que toutes deux peuvent être l
enaissant circule avec le sang ; et peut-être , dans beaucoup de cas, l'une des sources de ce levain est - elle dans l'inflam
dans une certaine étendue, qu'on vit se former des points blancs sur l'une et l'autre lèvres de l'incision. Surpris de ce ph
ite, soit avec la péritonite circonscrite. Le traitement applicable à l'une ou l'autre de ces lésions doit convenir d'ailleur
C C sépare la cavité utérine en deux poches parfaitement distinctes, l'une droite plus petite, et l'autre gauche plus consid
âche. D'autres tumeurs fibreuses, moins volumineuses, sont situées, l'une sous le péritoine T*F', l'autre sous le péritoine
à décrire. Il est extrêmement probable que la malade aurait résisté à l'une ou l'autre des maladies auxquelles elle a succomb
l'ambulance le vingt avril, à sept heures du soir, avec deux enfants, l'une âgée de vingt-un mois, qui, comme elle , était au
e, l'économie tout entière participe à la lésion, et on peut admettre l'une ou l'autre de ces manières de voir : ou bien que
lanche, w isolées et comme détachées, ayant le volume d'un pois ; sur l'une d'elles, se trouvait un des nerfs de la » quatriè
la face utérine du placenta; on peut en distinguer deux espèces. Dans l'une , c'est une coque osseuse ou plutôt pierreuse, aya
1., la pseudo^membrane était formée de deux couches bien distinctes: l'une superficielle, couenneuse, couleur lie-de-vin, ar
ême que celui que j'ai obtenu par l'injection directe du mercure dans l'une des divisions de la veine-porte du chien ; dans c
es vertébrales, et la présence du liquide dans le rachis; si bien que l'une ou l'autre de ces dénominations est employée pres
été injectées de gélatine colorée, à l'aide d'un tube introduit dans l'une d'elles. L'injection n'a pas pénétré dans la port
sens, maintient les deux moitiés de chaque circonvolution, appliquées l'une contre l'autre, même après la dissection. Il y
nc cette grande différence entre la dilatation et la varice, que dans l'une , il y a intégrité, et que dans l'autre il y a alt
et que dans l'autre il y a altération des parois veineuses; que dans l'une le vaisseau remplit toutes ses fonctions relative
a disposition suivante: une grosse veine très volumineuse, partant de l'une des veines crurales parcourait, en formant divers
olutions à la suite du ramollissement rouge, ou apoplexie capillaire. L'une ou l'autre face des circonvolutions, souvent tout
développement propre à son âge; seulement on n'aperçoit aucune dent à l'une et à l'autre mâchoires. On n'a pu se procurer auc
isseur de la jambe, qui présentait également deux vastes collections, l'une entre les jumeaux et le soléaire, l'autre sous le
es deux altérations sont-elles simultanées ? sont-elles indépendantes l'une de l'autre ? y a-t-il entre elles relation de cau
va de l'un à l'autre orifice. La tumeur n° 2 est ouverte et vide : l'une des moitiés de la poche occupe la lèvre gauche, l
n œuf de pigeon: toutes deux occupent la face supérieure de l'organe; l'une est située en dehors et en avant, Fautre en arriè
qu'il contenait, présente une bridefibreuse que soulève une sonde. De l'une des extrémités de cette bride naissent deux dents
laire DM, qui appartiennent bien évidemment à la première dentition : l'une et l'autre dent sont supportées par un os percé d
tre côté. Dans l'intérieur du kyste se voit une bride fibreuse B, à l'une des extrémités de laquelle sont deux dents que j'
DO paraît être le trou sous-orbitaire. Les deux dents sont appliquées l'une au-devant de l'autre et soudées dans cette positi
s parois, 1° elle est convexe et forme deux tumeurs TC, TC , séparées l'une de l'autre par un sillon vertical; 2° elle est cr
de cheveux C, vues sous un autre aspect. On aperçoit deux dents dont l'une est à découvert et l'autre est enveloppée par le
e à mettre en évidence les deux dents déjà mentionnées. De ces dents, l'une est une molaire DM, l'autre est une canine DC; c'
pileux pourvus de dents m'ont présenté une bride fort remarquable, à l'une des extrémités de laquelle répondent les dents et
vec la vessie, avec le vagin , avec l'utérus, ces kytes s'ouvrir dans l'une ou dans l'autre de ces cavités , ou bien se faire
aissaient formées aux dépens de la peau. Plusieurs étaient lobulées ; l'une d'elles occupait la région temporale droite et pr
Les deux tumeurs lre T, 2e T, sont plus apparentes et plus distinctes l'une de l'autre dans ce dernier sens que dans le premi
cier leur situation à la région occipitale et leur position relative, l'une lre TO occupant la ligne médiane immédiatement de
de ces os. Dans quelques points, on voyait deux masses placées à côté l'une de l'autre. La figure 4 représente une coupe du
e comprendre que le moindre mouvement ait pu déterminer une fracture. L'une de ces tumeurs TC était contenue dans l'épaisseur
a rate. Une femme contrefaite, âgée de soixante-sept ans, portait à l'une des mamelles un cancer avec atrophie de l'organe.
a surface, et présentait en arrière deux ecchymoses circulaires, dont l'une offrait à son centre une petite ouverture. Ces ec
ans d'autres cas, les deux moitiés d'une circonvolution sont séparées l'une de l'autre par une cellulosité jaunâtre. La col
rte d'un mucus épais, filant, rougeâtre; épanchement de sérosité dans l'une des plèvres. ( PLANCHE IV, XXe LIVRAISON.) Ap
ppement de quelques vaisseaux capillaires. Dans l'hémisphère droit, l'une des circonvolutions qui avoisinent la grande scis
matémèse, végétations encéphaloïdes de l'eslomac et du duodénum, dont l'une obstruait le pylore. Observations et réflexions.
8 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
olidaires dans les jeunes animaux que dans l'âge adulte; de sorte que l'une d'elles peut être gravement compromise ou même su
simple rapprochement de ces deux séries vous donnera l'explication de l'une par l'autre, et, par conséquent, une connaissance
n dépôt tuberculeux est quelquefois versé entre le corps vertébral et l'une ou l'autre de ses lames cartilagineuses, et donne
tion de la taille. (1) J'ai décrit deux périodes du mal vertébral : l'une de lésion, d'altération des tissus; la seconde de
urent alors deux biseaux, dont les surfaces obliques, en s'incli-nant l'une vers l'autre, finissent par entrer en contact.
une forme arrondie, parce qu'elle comprend plusieurs vertèbres. Mais l'une d'elles, ou plusieurs d'entre elles, plus saillan
orte, un angle géométrique ; la colonne figure deux droites inclinées l'une à l'autre, le sommet de l'angle étant formé par u
e rachis au-dessus et au-dessous du point malade redressent le tronc. L'une et l'autre de ces formes ont la même valeur au po
données physiologiques qui précèdent, deux sortes de paralysie : dans l'une , les lobes cérébraux seuls cessent d'agir sur les
la preuve du contraire. Deux séries de malades étant données, si dans l'une on emploie les cautères et non dans l'autre, on t
raitées par le seigle ergoté ; le résultat a été complètement nul sur l'une d'elles; les mouvements commencent à reparaître c
éthodes curatives nous sont révélées par l'observation de la nature : l'une doit tendre à faire résorber le pus, l'autre à l'
é la position horizontale. Il y a, en effet, deux formes de luxation; l'une où l'atlas est incliné, l'autre où il est horizon
inhérent à la première cause comprend à son tour deux variétés : dans l'une , il n'y a pas lésion des organes locomoteurs ; da
fut le premier symptôme de la lésion médullaire. Quand il rencontre l'une de ces affections, le chirurgien peut souvent res
nomenclature, une légère inexactitude. Nous avons nommé sus-pubienne l'une de ces luxations ; c'est à tort. La tête fémorale
ances qui appartiennent toutes deux aux luxations pathologiques. Dans l'une , la tête du fémur, exerçant une pression constant
ds sont toujours disposés de telle sorte que les premiers répondent à l'une des trois pièces de l'os coxal, tandis que deux d
ixe du bassin et un autre point bien apparent des membres inférieurs, l'une ou l'autre des malléoles, pat-exemple; l'épine il
cuisses dans les luxations doubles ; elles se portent à la rencontre l'une de l'autre; les genoux se touchent ou même se cro
qui se toucheraient si on superposait les deux membranes en déplaçant l'une d'elles parallèlement à elle-même. Ces deux con
nous est offert par cette jeune fille, employée comme infirmière dans l'une de nos salles. Le strabisme est interne et occu
est lui-même plus éloigné des rétines. Ces deux images se rapprochent l'une de l'autre à mesure que l'objet se rapproche des
cé entre deux alternatives, et il est presque impossible d'échapper à l'une d'elles. Il est arrivé chez ce malade que l'actio
douleur. (1) Pied creux. — Il y a deux sortes de pied creux : dans l'une , la concavité plantaire est augmentée uniformémen
ies plus ou moins étendues. Ces paralysies sont de deux sortes : dans l'une , le mouvement volontaire est seul perdu, les musc
nt en dehors. Sur le côté saillant, on voit trois éminences osseuses; l'une est formée par la malléole interne, l'autre, situ
re en fer, offrant sur chaque bord une plaque mobile mue par une vis. L'une de ces plaques repousse le côté externe, l'autre
de priorité. Tout appareil de pied bot se compose de deux parties; l'une embrasse le pied comme une chaussure, c'est la pi
t à la partie supérieure du levier, sous un angle variable à volonté. L'une des articulations produit une inclinaison dans le
onduisent à ce but. Dans l'un, chaque articulation est une charnière; l'une des pièces a un prolongement qui dépasse cette ch
scles moteurs du pied. Aujourd'hui, deux méthodes sont en présence. L'une a pour principe de diviser, dans chaque forme de
saires, se développe incomplètement dans le rachitisme. Il s'arrête à l'une des phases de son évolution progressive. En eff
s et leurs cartilages, et dans quelques autres points du squelette. L'une de ces couches est du côté du cartilage; M. Broca
pression de ce travail pour savoir si je dois modifier mon opinion. L'une des principales raisons qui empêchent M. Depaul d
r un jour. En voici plusieurs exemples; il est impossible, en prenant l'une de ces colonnes, de dire qu'elle appartient à un
(3) Mémoires de l'Académie des sciences, 1725. C'est en détruisant l'une ou l'autre de ces conditions qu'agissent toutes l
ssent toutes les causes de courbures anormales. g Ier. — Cyphose. L'une des courbures les plus fréquentes, si ce n'est mê
phose est au niveau des premières lombaires, et il y a deux lordoses, l'une au-dessus, l'autre au-dessous de la lésion. (1)
s premières dorsales. Il y a également deux lordoses de compensation, l'une au cou, l'autre aux lombes. Cet enfant présente e
oliose par flexion et la scoliose par déformation, qui diffèrent plus l'une de l'autre que les formes correspondantes de la c
sa flexion latérale. Dans cette attitude du tronc, la tête, le cou, l'une des épaules, un côté du thorax s'abaissent et se
re; la courbure sigmoïde se transforme dans les cas les plus communs. L'une des courbes, ordinairement la dorsale, augmente p
crum, on n'en voit que deux opposées, comme dans une courbure simple, l'une qui écarte les vertèbres du plan médian du corps,
opre à cette affection, comme le croyait Del-pech (1). L'existence de l'une ou de l'autre forme dépend moins de la nature de
3) Orthom., t. I, p. 300; et Atlas, p. 62, 64. les mêmes rapports : l'une d'elles semble s'être portée à droite et l'autre
ique. Ces deux causes de torsion sont le plus souvent réunies; mais l'une prédomine au début de l'affection; l'autre appart
iqué ; il entraîne le reste de l'os dans un mouvement circulaire dont l'une des apophyses articulaires devient le pivot. C'es
la gibbosité est encore simple dans des courbures multiples , lorsque l'une est beaucoup plus développée que les autres. La t
i vu aussi le tronc incliné entraîner le bassin de manière à soulever l'une des hanches ainsi que le membre inférieur corresp
é d'une torsion, ou plutôt d'une rotation du bassin, portant en avant l'une des épines iliaques, de sorte que, dans la progre
s sur deux courbures alternatives, sont distendus sur la convexité de l'une et raccourcis à la concavité de l'autre ; de sort
es, parce que, si ce redressement éloigne leurs attaches au niveau de l'une , il les rapproche au niveau de l'autre. Les tra
rophie causée par la pression des vertèbres déviées à gauche (2). Sur l'une de ces pièces, une forte courbure dorsale gauche
hanche presque toujours dans le même sens, du côté de la concavité de l'une ou l'autre courbure. Ces altitudes sont instincti
pour croître en ligne droite, et supprime , au moins momentanément , l'une des causes les plus actives d'incurvation. Les
à remplir pour faire disparaître les courbures latérales du rachis : l'une est de rétablir la forme symétrique des pièces qu
ement du rachis à la concavité des courbures. C'est donc satisfaire à l'une des indications du traitement de la scoliose, et
vant les expressions de Delpech. On dévide quand on avance les mains, l'une restant toujours derrière l'autre; on aune en pas
l'une restant toujours derrière l'autre; on aune en passant les mains l'une devant l'autre. Cette progression se fait sur d
les exercices de suspension. Elle ne remplit donc encore qu'en partie l'une des indications de la scoliose. De plus, l'exte
qu'une courbure sigmoïde, dont les deux courbes, sensiblement égales, l'une et l'autre peu prononcées, laissent les formes pr
dé par la malade. Celte jeune fille, qui possédait au plus haut degré l'une des facultés de Gall, la philogéniture, désirait
9 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
matière colorante. Un prolongement vasculaire et fibreux, allait de l'une à l'autre surface osseuse et ce prolongement nais
osseux. Le fragment supérieur présente deux avances osseuses : i ° l'une inférieure, en forme de pointe ou de clou AVM, qu
t lâche. Dans le premier cas, les deux surfaces articulaires frottant l'une contre l'autre deviennent lisses, polies, éburnée
ces correspondantes de l'axis et de la 3e vertèbre érodées et mobiles l'une sur l'autre. Les articulations atloïdo-axoidienne
articulaires. Ces surfaces déformées ne se trouvent plus configurées l'une par rapport à l'autre, ne se touchent plus que pa
re elles, de telle façon qu'on ne peut distinguer ce qui appartient à l'une de ce qui appartient à l'autre. Il importe de fai
as quelquefois en hauteur et en épaisseur la hauteur et Pépaisseur de l'une des extrémités articulaires. 5° On pourrait admet
nkylose par accolement ou par fusion. Il est bien évident que, dans l'une ou l'autre espèce de ces ankyloses, le redresseme
éanmoins remplies d'un liquide visqueux, assez analogue à la synovie. L'une de ces grandes géodes contenait du pus. La dispos
perficielles de l'os. Des deux exostoses que présente l'os iliaque, l'une TI remplissait la fosse iliaque interne, franchis
ne TEC. Cette dernière tumeur a été divisée en deux moitiés égales, l'une antérieure, l'autre postérieure par un trait de s
Les deux mains offrent identiquement le même vice de conformation. L'une et l'autre sont réduites aux deux derniers doigts
l'aide d'une synoviale, deux anses tendineuses fort remarquables : i° l'une de ces anses était formée en haut par l'extenseur
de l'articulation se correspondent de telle manière qu'elles exercent l'une sur l'autre une pression considérable et anormale
telle manière qu'il est impossible de distinguer ce qui appartient à l'une de ce qui appartient à l'autre. Dans cette espèce
lle que les deux extrémités osseuses réunies ont à peine le volume de l'une ou l'autre de ces extrémités; 5° L'ankylose amp
4- Face antérieure. Bassin vu en avant : il présente deux ouvertures, l'une postérieure PP, l'autre antérieure P A. L'interva
étalé. On dirait que le bassin a été soumis à une double force, dont l'une aurait agi de haut en bas, en appuyant sur les cr
Ainsi, cette extrémité présente deux trochlées P, P, troiséminences, l'une moyenne, subdivisée en haut,en deux éminences sec
s d'un seul œil ; 2°que la trompe nasale ? formée par deux membranes, l'une cutanée, l'autre muqueuse, entre lesquels se voya
nez est remplacé par une trompe située au-dessus de ces orbites. Dans l'une et l'autre variétés, tantôt les yeux sont parfait
cornées transparentes, juxtaposées, tantôt continues, tantôt séparées l'une de l'autre par un trait linéaire. L'iris suit la
arrondi. Cet appendice est membraneux et constitué par deux membranes, l'une cutanée, l'autre muqueuse, réunies par du tissu c
grosse masse gangrenée se présente aux deux ouvertures, trop petites, l'une et l'autre, pour lui donner issue. Je suis obligé
testin grêle. La ligure 3, xxxvni6 livraison, fournit un exemple de l'une des formes les plus communes de l'étranglement in
imensions. Plusieurs étaient groupées autour de l'orifice œsophagien. L'une d'elles avoisinait le pylore. Toutes étaient excl
ganglions lymphatiques serrés les uns contre les autres, et allant de l'une à l'autre oreille. Nombreux ganglions sur les côt
ous la mâchoire inférieure, ils forment une couche continue allant de l'une à l'autre oreille, le long des côtés du col ils r
ntre ces deux altérations, qui peuvent être tout-à-fait indépendantes l'une de l'autre. A l'appui de cette indépendance de lé
ur est ardoisée : des deux extrémités du cylindre qu'elle représente, l'une , qui regarde la fosse iliaque droite, se continue
testin renversé, en sorte qu'il y aurait deux invaginations complètes l'une dans l'autre; 5° que dans les invaginations de la
s particulière sur les régions sous-ombilicale et sus-ombilicale, sur l'une de ces régions ou sur les deux régions à-la-fois.
e ombilicale, sus-ombilicale, sous-ombilicale, suivant qu'elle occupe l'une ou l'autre de ces trois régions de la ligne blanc
e ces trois régions de la ligne blanche : elle peut également occuper l'une ou l'autre région iliaque, lorsque la ligne blanc
e, l'ombilic se maintient et résiste, « alors il paraît deux hernies, l'une au-dessus et; l'autre au-dessous du nombril; mais
uniqué dans le temps par Dupuytren : Deux hernies ombilicales, dont l'une s étrangle. — Incision longitudinale sur la parti
he vi, xxxvie livraison, représente une hernie inguinale double, dont l'une est formée par l'intestin grêle , et l'autre par
re pour la surface lisse de l'intestin, la surface également lisse de l'une de ces lames superposées. Réflexions. Les relev
a poche, malgré sa transparence, est composée de deux membranes, dont l'une externe se continue avec les enveloppes du cordon
. Le cylindre d'intestin central présente deux tumeurs polypeuses : l'une PM plus considérable occupant la partie supérieur
elles par un grand nombre de lamelles pseudomembraneuses étendues de l'une à l'autre surfaces, et contenant dans leurs aréol
ient avoir été coupées en bec de flûte, et s'être ajustées exactement l'une « contre l'autre dans ce sens. Le point de réunio
ntanément par gangrène, présentait à-la-fois deux invaginations, dont l'une , principale, longue de huit à neuf pouces, avait
considérable que le diamètre vertical, était divisée en deux parties, l'une antérieure et l'autre postérieure aux muscles dro
art de ces ulcérations. La perforation PF avait eu lieu aux dépens de l'une d'elles. L'arc du colon formait au-delà du rétr
par une coloration ardoisée; les deux plaques les plus élevées, dont l'une est indiquée par la lettre C, sont remarquables e
laires et vitales, telles que les lésions organiques, se propagent de l'une à l'autre avec la même facilité que si, primitive
loration non ardoisée. Voici la note que j'ai prise dans le temps sur l'une d'elles : « Intestin grêle parsemé de plaques d
germe du poulet, vaisseaux sans parois, terminés par un renflement à l'une de leurs extrémités. La trame fibreuse au milie
nus qu'il présentait à gauche deux ouvertures, qui n'étaient séparées l'une de l'autre que par une bride. L'ouverture supérie
divers points de son étendue, permet de la diviser en lamelles. C'est l'une des portions les plus épaisses de la membrane qui
kystes sont successivement ouvertes et! offrent la môme disposition. L'une d'elles a le volume d'une orange. La plupart de c
ion ulcéreuse s'établit dans les parois adossées de la vésicule et de l'une ou l'autre de ces parties, et le pus est évacué p
icule et de l'une ou l'autre de ces parties, et le pus est évacué par l'une ou l'autre de ces voies. Dans quelques cas, les a
l'œil il y avait deux tumeurs mélaniques striées de blanc et de noir. L'une de ces tumeurs occupait le point précis où le ner
sont-ils développés simultanément? Les faits militent également pour l'une et pour l'autre manière de voir. En effet, le can
s facile à distinguer Y une de l'autre que ces deux espèces de kyste, l'une se développant sous la capsule propre du corps th
t-il être considéré comme une membrane séreuse de nouvelle formation? L'une et l'autre opinions peuvent être soutenues. On co
complète. La tumeur était divisée en deux parties bien distinctes, l'une sous-cutanée, l'autre sous-musculaire. La dissect
e, à ce sujet, deux séries d'expériences sur les animaux vivans. Dans l'une , j'injecterai du pus dans les veines; dans l'autr
avec la veine iliaque primitive droite, se divisait en deux branches, l'une qui se comportait de la manière accoutumée, l'aut
ait en outre dans les veines sous-cutanées quelques varices simples : l'une de ces varices contenait une phlébolithe PHL. C
ce dernier mode de cicatrisation. La cicatrisation était complète sur l'une de ces artères, incomplète sur l'autre : la membr
ec celle de l'aorte, on enlève facilement des lambeaux qui passent de l'une à l'autre, « et l'examen le plus attentif à la lo
ande étendue, je soupçonnai l'existence de deux tumeurs anévrysmales, l'une pour le côté droit, l'autre pour le côté gauche :
sous-clavière gauches. Le kyste anévrysmal était en forme de bissac ; l'une des poches remontait derrière la première côte et
tricules, dont les parois très fermes pouvaient se maintenir écartées l'une de l'autre par le seul fait de leur élasticité. O
latation et l'adhérence sont-elles connexes, sont-elles indépendantes l'une de l'autre? Aucun auteur n'avait explicitement in
inéaires et distantes d'un pouce de la pointe du cœur étaient situées l'une en devant, l'autre en arrière du bord gauche de c
e gauche; i° Xanévrys/ne partiel, qui occupe une portion seulement de l'une ou. l'autre de ces cavités, et qui me paraîtfdevo
ant, était situé entre deux colonnes charnues, dont la droite formait l'une des deux grosses colonnes charnues du cœur, et do
on interne : ainsi, dans la planche 45 xxxe livraison, ne voit-on pas l'une des perforations occuper la base du ventricule ga
amifications artérielles: mais pour que de deux lésions coexistantes, l'une puisse être considérée comme cause, et l'autre co
les sygmoïdes réunies étaient considérablement épaissies et osseuses. L'une de ces valvules présentait un prolongement osseux
ions morbides tout-à-fait semblables à celles représentées planche i. L'une inférieure était située au milieu des nerfs de la
, digne d'être noté (i) et mis à côté de celui que j'ai rapporté dans l'une des premières livraisons de cet ouvrage. Femme
r qu'elle fait éprouver la sensation de deux barres circulaires, dont l'une occuperait la clavicule, et dont l'autre serait p
considérer comme une lésion morbide opérée sous l'empire delà vie. L'une des articulations du genou m'a présenté une usure
ique, raconte ainsi l'histoire de sa maladie: Elle était portière à l'une des grilles du Luxembourg,et se trouvait à son ép
ches les plus inférieures ; telles étaient deux larges plaques , dont l'une occupait le genou ou le point de réflexion antéri
s épineuses, communiquaient entre elles ; car la pression exercée sur l'une d'elles retentissait manifestement sur l'autre. L
ière de taches T,T,sur plusieurs points de la protubérance annulaire; l'une de ces taches avoisine la cinquième paire; toutes
s vertèbres ? Ces deux lésions pourraient bien ne pas être étrangères l'une à l'autre, puisque la carie n'est autre chose que
ur de l'aile du nez, et intermédiaire à deux membranes tégumentaires, l'une cutanée, l'autre muqueuse. Apoplexie du pédoncu
lin tissu celluleux gris-jaunâtre, infiltré de sérosité, remplissait l'une et l'autre perte de substance. La faux du cerve
s de la manière la plus positive qu'elles sont tout-à-fait distinctes l'une de l'autre. On pourrait à la rigueur objecter que
roprement dit; les deux moitiés des circonvolutions étaient détachées l'une de l'autre, leurs parois tachetées de sang et cou
ébrale avec foyers sanguins, que des degrés insensibles conduisent de l'une à l'autre, si bien que, le plus souvent distincts
orps strié, la face inférieure du corps calleux, et allait constituer l'une des lames de la cloison transparente. Ainsi, le
une ellipse à-peu-près régulière, dont les deux extrémités répondent, l'une au menton, l'autre à l'occiput. Voici d'ailleurs
Le cysticerque offre sur la figure 3"', deux parties bien distinctes, l'une inférieure, formée par la vessie caudale, vide ;
r Lozes. Elles ont appartenu à un sujet de 45 ans, et étaient situées l'une à la région postérieure de la jambe gauche, l'aut
ces productions que constituent évidemment des fibres juxtaposées. L'une de ces cornes a été soumise à l'analyse chimique
e largeur et d'épaisseur : sa densité est de 1,10; de ses deux faces, l'une supérieure, convexe, est sillonnée dans toute sa
ssance offrait une division en deux branches d'inégale longueur, dont l'une se roulait en spire pour envelopper l'oreille, et
sion qui était la trace de la disposition bilobée de la prostate. Sur l'une et sur l'autre figure, on voit que les uretères V
nsversalement dirigée. TD, TG sont deux très petites tumeurs, situées l'une à droite, l'autre à gauche de cet orifice. La f
, était divisée en deux cavités séparées par une cloison incomplète : l'une de ces cavités appartenait au lobe droit, l'autre
de ces poches ne sont séparées les uns des autres que par des brides. L'une des poches était remplie par un calcul fort remar
te à la région du foie et une pleurésie diaphragmatique du même côté. L'une et l'autre étaient pseudo-membraneuses sans épanc
mince. Rien pendant la vie ne m'avait fait soupçonner l'existence de l'une et de l'autre de ces phlegmasies. La fièvre me pa
'hydropisie sans pleurésie proprement dite est plus fréquente encore. L'une et l'autre peuvent être le résultat de l'extensio
ivraison, nous a offert l'exemple de deux productions fibreuses, dont l'une donnait à l'utérus le volume qu'il présente à la
sait du museau de tanche; mais évidemment il ne pouvait naître que de l'une ou l'autre lèvre de cette partie. Or, en examinan
trompes sert aussi de point de ralliement. Il n'est pas rare de voir l'une des trompes à droite et en bas, et l'autre trompe
implement maculées de sang. Je terminerai par deux observations, dont l'une a pour sujet une fille de 11 ans, et dont l'autre
L'orifice inférieur du museau de tanche est plus ou moins déformé; l'une des lèvres, ordinairement la postérieure, est trè
quatre de largeur. Sa forme était celle d'une pyramide à trois faces. L'une de ces faces était antérieure; l'autre postérieur
es anfractuosités du cerveau, étaient à-peu-près contiguës et moulées l'une sur l'autre. La membrane qui tapissait cette cavi
rbite gauche ; x\IIG, mâchoire supérieure ; M1G, mâchoire inférieure, l'une et l'autre vues du côté gauche.—HD, humérus droit
nversant le cœur de bas en haut et en faisant une incision étendue de l'une à l'autre veine-cave inférieure, on pénètre dans
dans une cavité à parois extrêmement minces divisée en deux moitiés, l'une supérieure l'autre inférieure, par une cloison ho
st-ce sur un simple ouï-dire que Konig (i) parle de deux filles unies l'une à l'autre depuis l'appendicexiphoïde jusqu'à l'om
endicexiphoïde jusqu'à l'ombilic, et qui furent heureusement séparées l'une de l'autre, d'abord à l'aide d'une ligature de pl
examen des tumeurs ombilicales présente les particularités suivantes. L'une de ces tumeurs HO est vraiment ombilicale et pass
tions encéphaloïdes de Peslomac et du commencement du duodénum , dont l'une obstruait le pylore. Ue liv. , pl. ï, p. 4.— Quel
duction. 24e liv., pl. v, vi,p. 4, 5. —Deux hernies ombilicales, dont l'une s'élrangle. Incision longitudinale sur la partie
10 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
une de ses compagnes, elle a enfermé des personnes dans un jardin et l'une d'elles a dû escalader la porte pour ouvrir la po
série ancienne, deux attaques nouvelles : la période de délire, dans l'une , était silencieuse, — la malade, couchée sur le d
t après un répit de quelques minutes, d'une ou deux heures au plus. L'une des complications des attaques de W..., la contra
croit la jeune malade, elle aurait eu des insomnies très prolongées ; l'une d'elles aurait duré deux semaines. Elle n'a pas e
la langue qui devient toute noire, ou une contracture des mâchoires : l'une et l'autre disparaissent en provoquant artificiel
l'ovaire, occupent bien, comme nous l'avions annoncé, le côté sain. — L'une des zones est double et symétrique, celle des fla
ions comme un soulagement et il n'est pas rare de les voir recourir à l'une de leurs compagnes afin de se faire donner une at
toutes celles que nous possédons, où la constatation a pu être faite, l'une des régions hystérogènes, la plus active, joue un
e : les rêves, de même que le délire, se présentent sous deux formes, l'une gaie, l'autre triste. Insomnies. — Il n'est pas
é d'augmenter les doses et il se produit une véritable morphio-manie. L'une des hystériques, dont nous avons consigné l'histo
re. — Les lettres sont moins visibles. — Mêmes symptômes. On remplace l'une des injections de morphine avec l'ancienne soluti
ussi la plupart préfèrent-elles ce médicament à tous les autres. Chez l'une d'entre elles, Béch., qui fait exception, on retr
tait malade : elles la trouvèrent assise sur son lit, prête à tomber; l'une d'elles ayant appuyé les mains sur ses épaules po
s vu nous-même les attaques, et nous passons de suite à l'histoire de l'une des malades que nous avons pu observer sérieuseme
oule qui remonte 46 à l'estomac, puis à la gorge. La pression sur l'une ou l'autre de ces régions est douloureuse et rapp
ent de trépidation. Parfois, pour la provoquer, il suffit de soulever l'une ou l'autre jambe. La sensibilité est abolie sur
sent se voir, un grand poêle interceptant la vue. Elles sont jalouses l'une de l'autre. 1er juin. — Le délire persiste, ce
heures, deux éléments humides, les électrodes placés sur le front et l'une des jambes, sans produire aucun effet appréciable
s outre mesure, rient aux éclats sans motif et ne peuvent se retenir; l'une d'elles avait des hallucinations de la vue; la tê
au moyen de l'électrisation localisée. Nos Figures 7 et # montrent, l'une : l'exploration du nerf cubital excité avec un po
ons vu de nos malades tomber en catalepsie, sans cause appréciable; l'une d'elles nous racontait que souvent elle s'endorma
c ce sujet, nous devons dire quel ques mots de deux manœuvres, dont l'une permet d'obtenir les hallucinations provoquées, d
face où l'on voit des « bleus » ; elle a déchiré deux camisoles, dont l'une de force ; elle s'est mise en chemise,' a grimpé
'une de force ; elle s'est mise en chemise,' a grimpé sur la porte de l'une des cours, etc. On l'a fait rentrer en la menaçan
mars. — B... est endormie par le regard en quelques secondes : c'est l'une des malades chez lesquelles les phénomènes de lét
remblement s'observe d'habitude chez les personnes âgées et constitue l'une des variétés du tremblement sémlet elle avait u
néral deux phases qui, assez souvent, se reproduisent plusieurs fois, l'une gaie, l'autre triste et qui s'accompagnent d'ordi
lis artificiel (Planche XXXVIII). — Les Planches XXXIX et XL montrent, l'une , les effets de l'excitation du muscle frontal, l'
11 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
ou pathologiques, préalablement durcis, ces méthodes se complètent l'une l'autre, et c'est à leur em- ploi simultané que
rs de cet ouvrage, car elles sont de beaucoup les plus importantes. L'une est basée sur l'étude des coupes microscopiques
ure du cerveau. L'encéphale se trouve ainsi divisé en deux parties, l'une supérieure comprenant les deux hémisphères, les p
différents procédés de coloration ne donnent pas de bons résultats. L'une et l'autre de ces méthodes devront toujours être
r- tèbres (PV), plus larges en avant et en arrière, et séparées l'une de l'autre par une ligne claire, la gouttière
e soulevées, les lames neurales marchent peu à peu à la ren- contre l'une de l'autre (fig. 11, b et c et fi-. 12), et finis
n. 16). Les deux rétines sont donc à celle époque, très rapprochées l'une de l'autre; plus tard, lorsque, la vésicule encép
pédicule oculaire présente deux crêtes, plus ou moins saillantes dont l'une est antérieure et l'autrepostérieure (fig. 18).
es hémisphères, et divise cette dernière en deux moitiés latérales, l'une droite, l'autre gauche. La dépression médiane ain
ans leurs parties supérieure et postérieure, où elles sont séparées l'une de l'autre par toute la largeur du cerveau inte
minces commissurales, les sutures ou com- missures primitives, dont l'une correspond au plancher (P), l'autre à la voûte
parois latérales du tube mé- dullaire en deux moitiés inégales : l'une antérieure , cylindrique, la lame fondamentale
ugelplatte, hinteres Mark- prisma). Ces deux parties sont réunies l'une à l'autre par une. pièce intermédiaire, d'asp
isseaux inter-costaux et dans la région crânienne, de l'aorte. Dans l'une et l'autre région ils apparaissent, vers la qua
d les deux artères spi- nales antérieures (fig. 26, 27) ; réunies l'une à l'autre par de nombreuses anastomoses trans-
dian antérieur, se rapprochent de la ligne médiane et se fusionnent l'une avec l'autre vers la sixième ou la septième sem
nquième mois. Ces vési- cules sont formées de deux lames appliquées l'une sur l'autre ; la lame supérieure, la plus faibl
inéale, et qui divise la paroi supérieure en deux parties inégales, l'une postérieure, l'autre antérieure. - La partie
ne sphénoïdale. Chaque vésicule hémisphérique présente deux parois, l'une externe, l'autre interne. La. paroi externe est
ame terminale embryonnaire divise la paroi interne en deux régions, l'une antérieure, l'autre postérieure; la région anté
égion préthalamique de la paroi interne, en deux parties inégales : l'une antérieure, l'autre postérieure. La partie antéri
lamique, et le sillon choroïdien divise ce dernier en deux parties, l'une interne, l'autre externe. La partie interne de l'
Dans la région fronto-pariétale, ces deux formations sont séparées l'une de l'autre par le corps calleux, qui fait irrup
e , sillon de ou sillon insulaire, divise l'insula en deux parties, l'une postérieure ou temporale, qui forme la circonvo
donne en avant du sil- lon de Rolando, deux branches verticales, l'une ascendante, l'autre descendante, ces branches c
irconvolution pariétale inférieure se subdivise en deux parties : l'une antérieure, l'autre postérieure. La partie anté
ujours facile de distinguer dans le manteau cérébral deux parties : l'une , le manteau proprement dit, occupe toute la face
stance grise embryonnaire, très épaisse à cette époque, deux couches, l'une interne, l'autre externe. La couche grise inter
e la cellule pyramidale de droite se bifurque après uncourt trajet, l'une de ses branches entre dans la constitution d'une
euses. - b, cellules connectives enveloppant les 3/4 do la filtre ; l'une de ces cellules a son noyau en voie de di- visi
leur aspect, leur consistance, leur structure et leurs fonc- tions. L'une de ces substances présente une couleur grise, l'a
121). Cette division s'opère au niveau d'un étranglement annulaire; l'une des branches de bifurcation se Capsule enùothé-
x branches très grêles, d'aspect moniliforme, qui tantôt s'écartent l'une de l'autre et s'insinuent entre les corps des c
naissance, ainsi que l3eale et Arnold l'ont montré, à deux fibres, l'une droite, l'autre spirale. Les recherches récentes
nt ralliés à cette opinion, l'existence de deux gaines de myéline : l'une interne et continue, la gaine de myéline propreme
du picro-carminate. Ils montrent deux émincllccs termi- nales vues, l'une de face, l'autre de profil. (D'après Ranvier.)
e en général le corpuscule par sa partie médiane, plus rarement par l'une de ses extrémités, et s'y divise soit dichotomiqu
s, séparées par une substance amorphe et disposées en deux couches, l'une interne formée de fibres longitudinales, l'autr
sépare la face inférieure de l'hémisphère en deux parties inégales, l'une antérieure, frontale, l'autre postérieure, sphé
nom de genou supérieur et de genou inférieur, et sont sépa- rées l'une de l'autre par une courbe concave en avant, plu
plus souvent interrompu par des contre- forts qui peuvent aller de l'une à l'autre des cir- convolutions rblandiques (fi
ig. 163). On distingue à cette circonvolution trois par- ties : l'une inférieure, or- 1jitai1'e (oF3), comprise - e
fonde, l'incisrrre du cap (ic), émise par le second sillon frontal. L'une ou l'autre branche de cette base envoie souvent
ivise la circonvolution pariétale inférieure (P2) en deux parties : l'une antérieure, le pli 7zzar,irtal.ntpc-rinur (Gsm)
base, mal délimitée, est antérieure et dont les trois faces sont : l'une externe et convexe, l'autre interne et plane, l
sccndens. ! Première circon- volution occipitale. deux parties, l'une supérieure et postérieure, qui correspond à la pr
. Schnopfhagen distingue deux parties dans le lobule de l'insula : l'une antérieure, la circonvolution antérieure, de l'
appartient au lobe temporal. Ces deux circonvolutions sont séparées l'une de l'autre par un sillon constant, le sillon pr
d'incisures, qui s'irradient dans la face interne du lobe frontal. L'une d'elles se détache au niveau du genou du corps
hées sur la scissure cal- loso-marginale (cm); parmi ces incisures, l'une profonde et constante appartient au sillon sus-
ous-pariétale (sp), le précunéus est formé de deux circonvolutions, l'une antérieure, l'autre postérieure, sépa- rées par
lingual (lg) divise le lobule de même nom en deux circonvolutions, l'une supérieure, l'autre inférieure. Le pli lingual su
ant sur l'embryologie, divise le lobule olfactif en deux par- tics, l'une antérieure, l'autre postérieure. La partie antéri
hent de chaque côté du bec du corps calleux. Parallèles et adossées l'une il l'autre sur la ligne médiane, en avant du be
soit il la notation de Broca; nous n'avons pas hésité à abandonner l'une et l'autre de ces notations, lorsque l'usage av
tres de dia- mètre, très rapprochées delà ligne médiane et séparées l'une de l'autre par un sillon profond (fig. 187). Un
c de Sylvius, divisent chaque pédoncule cérébral en trois régions : l'une postérieure, la, région des tubercules quadrijume
Gudden a pu diviser le pied du pédoncule en deux parties inégales, l'une interne, l'autre externe. La partie interne est é
o divise la paroi latérale du troisième ventricule en deux régions, l'une supé- rieure formée par la couche optique, l'au
corps calleux sur lui-même, et on peut lui considérer trois parties : l'une supérieure, l'autre postérieure, la troisième i
e la corne d'Ammon (fig. 204) et se divise ensuite en deux parties, l'une externe, l'autre interne. La partie externe fai
de la circonvolution du crochet (U). On lui considère deux parois : l'une supéro-externe, l'autre inféro-interne ' et deu
vise les parois latérales du troisième ventricule en deux régions : l'une supérieure, l'autre inférieure. La région supér
one. Obersteiner décrit dans le troisième ventricule deux parties : l'une ver- 'T" "™ ticale, comprise entre les faces in
es verticales xx et 55, divisent le corps strié en trois par- lies, l'une antérieure répondant au segment lenticulo-calldé
. On peut par conséquent lui considérer deux parties ou ré- gions : l'une supérieure ou thalamique, l'autre inférieure ou s
première et deuxième circonvolutions temporales (Tp '1 ), séparées l'une de l'autre par la partie infé- rieure de la cir
e du lobe limbique est toujours comprise entre deux lames blanches, l'une superficielle, d'aspect réticulé, étendue du si
itudinal inférieur (Fli). On peut donc le diviser en deux parties : l'une antérieure, la plus étendue ou lenticulo-ohtique
t et assez profond, le sillon insulaire (i) divise en deux régions, l'une postérieure, la circonvolution, postérieure de
ôme s'est élargi, et ne présente que deux dentelures, correspondant l'une , à la circonvolution postérieure de l'in- sula
taire et celle du lobe slÎcrid+;ta ocah· ? %' complètement séparées l'une de l'autre, par la vallée de ,Sr/loius(G ? e=lbfn
yau, le corps strié, que la capsule interne divise en deux parties, l'une interne, intra-veulriculairc ou noyau caudé, l'au
e (Po). Écorce. - L'écorce ne présente que peu de modifications, de l'une il h'c. 249. - Coupe vertico-transversale de l'
aire, la couche optique et la queue du noyau caudé sont rapprochées l'une de l'autre; elles ne sont sépa- rées en effet q
au moyen, que le locus niger (Ln) divise en deux parties inégales : l'une antéro-inférieure, l'autre postéro-supé- rieure
plexus choroïdes (Pchl) divise la couche optique en deux parties : l'une intra, l'autre extra-venlri- culaire. Dans la r
a substance grise de la corne d'Ammon est subdivisée en deux lames, l'une inférieure, l'autre supé- rieure, par une couch
térieurs de l'hémisphère (voy. fig. de repérage 291) et sectionnent l'une (coupe A), la région thalamique, l'autre (coupe B
érieur de la capsule interne (Cip), formé de deux parties inégales, l'une supérieure, l'autre inférieure. La supérieure c
n sous-thalamique de ce segment postérieur. La capsule interne dans l'une et l'autre de ces régions présente un aspect diff
du ventricule par l'alvéus (Alv) formé de deux couches de fibres : l'une épaisse, fortement colorée contient les fibres
(CAi et suivent toutes les digilalions de cette dernière. Séparées l'une de l'autre dans toute l'étendue de la corne lLl
es, le troisième segment du noyau lenticulaire (putu- men) (il;,) : l'une antérieure, unie à la tête du noyau caudé (NC) do
ées en fascicules très rap- prochés le subdivisent en deux parties, l'une antérieure, l'autre postérieure, et lui donnent
rcule mamillaire esl formé par deux petites masses ganglionnaires : l'une externe, le tubercule mamillaire latéral de Guddc
ealis)(rp) divise la commissure postérieure (cop) en deux parties : l'une antérieure ou ventrale, dont les fibres se port
couches les plus superficielles. Elle est formée de deux parties : l'une postérieure, riche en fibres obliques en dehors
que chaque circonvolution cérébrale est formée de deux substances, l'une blanche en continuité directe avec le centre ov
(fig. 330). Ces deux couches grises, assez épaisses, sont séparées l'une de l'autre par une zone blanche, mince et mal d
t, en détail, la manière dont se terminent les libres appartenant à l'une de ces six variétés. On ne peut envisager ce feut
commun en deux couches intermédiaires, pauvres en cellules, situées l'une au-dessus, l'autre au-dessous de la couche granul
s dans le sens vertical et émettant par leurs pôles deux dendrites, l'une ascendante qui va se rami- fier dans la zone mo
e telle sorte que la deuxième et la quatrième couches se confondent l'une avec l'autre au niveau du corps calleux. Stra
e de la circonvolution godronnée sont adossées, et ne sont séparées l'une de l'autre, que par le feuillet pie- mérien et
régions qui ont chacune des connexions et une structure différentes : l'une est enrapportaveclacirconvolutiongodronnée,l'au
ion godronnée. ' ' . En réalité, ces deux. colonnes sont adossées l'une à l'autre par leurs couches moléculaires (M) qu
e à l'autre par leurs couches moléculaires (M) qui ne sont séparées l'une de l'autre que par le sillon de l'hippo- z camp
es polymorphes. Cajal distingue dans le stratum oriens deux zones : l'une inférieure, l'autre supérieure. La zone inférie
onvolution godronnée. . En réalité, ces deux colonnes sont adossées l'une à l'autre par leurs couches moléculaires, qui n
'une à l'autre par leurs couches moléculaires, qui ne sont séparées l'une de l'autre que par le sillon de l'hippocampe et
e fibre calleuse est donc en réalité composée de plusieurs fibres : l'une est horizontale, et se porte dans l'hémisphère
es, puis internes. La commissure antérieure comprend deux parties : l'une hémisphérique, l'autre olfactive. La partie o
12 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
e dernier lui aura fait la suggestion d'une amnésie complète. Voici l'une des expériences que j*ai faites à ce sujet : Le
ces (section de médecine publique et d'hygiène professionnelle). Dans l'une et l'autre de ces deux assemblées médicales, on a
programme se trouve développé dans deux parties bien distinctes dont l'une est consacrée à l'étude doctrinale. Elle conclut
400 pages et ce serait chose facile, bien que fatigante, de rétorquer l'une après l'autre les très nombreuses inconséquences
orateur rapporte ensuite l'histoire de deux malades de son service. L'une , institutrice, âgée de vingt ans, fut prise, aprè
ever, elle se lève; de s'asseoir, elle s'assied; de tourner ses mains l'une autour de l'autre, elle les tourne. Je lui sugg
pas tout à lait exact : il y a en elle comme deux personnalités, dont l'une me voit, quand l'autre ne me voit pas, et m'enten
s troubles nerveux de diverses sortes. » Mois comment, poursuit-il, l'une telle conviction peut-elle naître naturellement ?
ention du médecin mettent bon ordre à cette comédie (i).— Deux sœurs, l'une de quatorze ans, l'autre de treize, se présentent
à la destruction du tissu. Il est donc légitime de considérer comme l'une des causes du processus inflammatoire la douleur
l est bon de n'aventurer une théorie que lorsqu on peut l'appuyer sur l'une ou l'autre expérience entreprise spécialement à s
tres personnes. Dans la première série d'expériences, M. Smith tenait l'une des mains du sujet, mais cette précaution ayant é
eux catégories de forces apparaissent en quelque sorte comme opposées l'une à l'autre, comme étant l'antithèse l'une de l'aut
quelque sorte comme opposées l'une à l'autre, comme étant l'antithèse l'une de l'autre, comme étant en antagonisme l'une avec
comme étant l'antithèse l'une de l'autre, comme étant en antagonisme l'une avec l'autre. Ici, arrêtons-nous un instant.
ans l'humanité ces types si différents par la prédominance, tantôt de l'une , tantôt de l'autre de ces deux grandes catégories
ispositions a l'astuce, le fond ne varie pas. On se trouve en face de l'une des deux éventualités que voici : Ou bien, c'est
nguer la part de la nature de celle de l'éducation. Loin de s'exclure l'une l'autre, ces deux actions respectives sont intime
le de petites rues, jusqu'à un vieux mur qui enclôt un vaste jardin à l'une ées extrémités delà ville. Arrivé en face du vi
gauche de l'épine, puis le clou; il y a aussi deux zones ovariennes : l'une droite, l'autre gauche, maïs pUjfl hyperesthésiqu
restèrent iïxés en haut sur un objet bridant mis au-dessus du front, l'une d'entre elles, presque aussitôf. tomba à la renve
isin, concernant deux malades endormis et suggestionnés par lui, dont l'une , folle, malpropre, indocile et paresseuse, et l'a
éfrayé les charlatans ci qui alimentent encore la curiosité publique. L'une des plus intéressantes est à coup sûr l'hypcrscui
i, sont en croix, quelquefois élevés au-dessus de la tétc, les jambes l'une sur l'autre dans des positions variables. Penda
intimes, dans les colletés, dans les pensions. M. Charcot a consacré l'une de ses leçons à l'exposition d'accidents de cet o
it les deux images de l'objet, aussi distinctes Tune que l'autre : or l'une des images est fournie par l'œil qui est censé ne
qu'elle Occupe en entier. En outre, deux autres taches se montrent, l'une à droite du sillon antérieur, l'autre dans le cor
et Vulpian, viennent de se dédoubler en deux publications distinctes. L'une de ces publications, sous 1a direction de H. Br
n, par l'apercevoir, telle que je la leur décrivais, mais vaguement ; l'une d'entre elles, cependant, la vit assez nettement
qualité qui doit absolument se rencontrer chez l'opérateur et qui est l'une des conditions sine quà non de la réussite de tel
ue autre simagrée du même genre et je le prie de toucher, à mon insu, l'une des cartes de la figure. Afin de le convaincre qu
pendant qu'en la touchant, il « magnétise » la carte. A mon retour, l'une des personnes présentes, que j'ai soin d introdui
ais sortir â son tour, le prévenant qu'en son absence je magnétiserai l'une des canes, il va sans dire que je ne magnétise ri
, ordinairement spacieuses, bien éclairées et bien aérées, destinées, l'une aux recherches microscopiques, une autre aux rech
vement de la main correspondante ! et ces actions doubles, distinctes l'une de l'autre, elles se manifestent d'une façon sync
iées, telles, pat exemple, qu'une certaine gêne à mouvoir les doigts. L'une d'elles (une dame d'une quarantaine d'années), qu
, déclarant l'avoir vue bouger. Les témoignages varient légèrement de l'une à l'autre. Une personne a déclaré « que la carte
rticulière qu'elle laissera sur le métal, la personne qui aura touché l'une des pièces pendant un instant. La pratique qui do
euf fois sur dL\ il désigne, après les avoir successivement flairées, l'une des pièces don: je n'ai touché aucune en son abse
vibrer de différentes façons plus ou moins complètement indépendantes l'une de l'autre; c'est probablement ce qui a lieu dans
admis par tout le monde {i). Enfin, nous citerons deux expériences, l'une de M. Liégeois, l'autre de M. Bcrnhcim, qui ont l
R. Blondel, secretaires. Le congres sera divisé en deux sections : l'une thérapeutique, l'autre de matière médicale. Chacu
ns d'abord la première série d'objections que les deux Ecoles se font l'une à l'autre ; ce sont les objections que l'on peut
à l'autre ; ce sont les objections que l'on peut appeler vitales, car l'une d'elles, si elle se trouvait justifiée, ruinerait
ur la limite de la raison et de la folie, tantôt les fait entrer dans l'une des catégories que comporte la classification des
autre par des nuances si douces qu'elles se fondent imperceptiblement l'une dans l'autre, sans qu'il soit possible de fixer e
de l'autre. S'il était nécessaire d'attribuer l'épithète de grand à l'une de ces deux formes symptomatiques, ce n'est pas à
ez-vous pas au bout d'un certain temps une impression de chaleur dans l'une des mains, de froid dans l'autre ? Quelle est cel
vos mains qui a froid ? 8* Quand vous tenez les paumes de vos mains l'une à côte de l'autre, et que l'on souffle légèrement
13 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
nant la circulation veineuse de la surface des hémisphères cérébraux. L'une d'elles (fig. 810, t. II) représente précisément
e vue et si quelquefois, nos expériences finies, nous avons demandé à l'une d'elles si elle ne voyait pas quelque chose d'aut
une vive terreur chez la troisième. L'odeur de l'alcool qui donnait à l'une l'idée de bataille et de coups de poings, donnait
ythmée hystérique et à plusieurs reprises des attaques de délire dont l'une en particulier a duré dix jours. Elle a de plus d
eux névroses que nombre d'ob-eervateurs tendent aujourd'hui à séparer l'une de l'autre, malgré les rapports qui les unissent
névrose, l'hystérie maniaque, selon cette conception, représenterait l'une des phases dissociées de l'attaque, la période
. Elle renferme donc, en réalité, deux personnalités qui s'ignorent l'une l'autre. Dans son état n° 2, elle offre les signe
dirons que quelques mots. Nous rappelons que M. Charcot désigne ainsi l'une des trois périodes du grand hypnotisme tel qu'il
manquer complètement.Nous montrerons dans le cours de ce travail que l'une d'elles, la phase passionnelle, qui chez le plus
ques délirantes ont causé grand émoi dans les pays qu'ils habitaient. L'une était une petite fdle de 11 ans, demeurant en Bou
portants. L'un d'eux a des enfants également bien portants, toutefois l'une de ses filles, âgée de 28 ans, boite depuis l'âge
escaliers. En outre, tous les jours, il avait deux attaques de nerfs, l'une le matin à neuf heures, l'autre le soir à la même
minuée du même côté. Enfin il existe deux zones hystérogènes situées, l'une dans la région iliaque gauche, l'autre au-dessus
t souvent spontanée et on peut la provoquer à volonté en pressant sur l'une des deux zones hystérogènes, extrêmement sensible
pressant sur l'une des deux zones hystérogènes, extrêmement sensibles l'une et l'autre. Au bout d'un certain temps on s'ape
espondent exactement à une lettre non accentuée, à un t non barré sur l'une ou l'autre des deux premières. Cette épreuve est
lleurs pas de faire ici, il était cependant intéressant de rapprocher l'une de l'autre ces deux manifestations morbides, la c
psychique par l'état de monoidéisme, aussi nettement appréciable dans l'une que dans l'autre. Peut-on dire qu'il y ait chez
véritablement dans nos faits d'aujourd'hui deux personnes distinctes l'une de l'autre. La première personne, qui est l'ind
us avons été à même d'observer un pareil fait chez deux malades, dont l'une , en particulier, était entrée à la Salpêtrière co
enant, par une étude successive, constater ensemble les caractères de l'une et de l'autre personnalité de la malade. Dans s
ersonne. On en trouvera une preuve bien convaincante dans ce fait que l'une des malades, dont l'observation est plus loin, a
a Tou-rette, « ces deux phases de l'existence sont rendues distinctes l'une de l'autre par ce seul fait que l'oubli existe to
-ci n'a pas non plus la moindre notion de celle-là. Cependant lorsque l'une fait place à l'autre, ou plus proprement lorsque
s'est passé pendant l'état de veille... Il a donc une double mémoire, l'une se rapportant au cours habituel de ses pensées et
personnalité. Celle-ci lui succède immédiatement ; le malade sort de l'une pour tomber dans l'autre, comme certaines passent
liquides dans l'état II. Nous retrouverons un phénomène analogue dans l'une de nos deux observations personnelles. Je ne ra
périodes de transition par l'intermédiaire desquelles elle entrait de l'une dans l'autre ou en sortait, et réciproquement, de
première et liée avec la seconde. Elle passe toutes ses journées avec l'une ou l'autre de ces deux femmes. Elles « font popot
t indociles, insupportables, semant le trouble dans toute la salle. L'une d'elles, moins rusée que l'autre, se targua un jo
lique. J'ai dit plus haut qu'elle s'était liée d'intime amitié avec l'une de ses compagnes, Marguerite F..., passant tout s
stérique, marqué par le dédoublement en deux personnalités distinctes l'une de l'autre : 1° la personnalité B (état B, état s
e plus complet.en deux personnalités distinctes absolument ignorantes l'une de l'autre. Il ne paraît pas en être ainsi dans l
ies distinctes de somnambules hypnotiques, profondément différenciées l'une de l'autre ? Une pareille distinction ne paraît p
'est rencontré dans aucun des autres cas publiés et qui existait chez l'une de nos malades. Je veux parler de ce retour spont
la défense de nos idées. Nous avons à dessein, dans l'observation de l'une et de l'autre, insisté avec soin, dans un paragra
tions identiques des accidents morbides différents, sous prétexte que l'une ne dure que quelques heures, tandis que l'autre s
nt succédées au lieu de coexister. Ou, du moins, si elles coexistent, l'une d'elles est à l'état latent n'attendant peut-être
férieurs fléchis, posés à plat sur le lit et les cuisses en rotation, l'une en dedans, l'autre en dehors. C'est cette positio
soit aura ovarienne, gastrique, cardiaque, etc., soit combinaison de l'une et des autres. On conçoit que dans les cas de ce
.. Léonie, 40 ans, institutrice. Père asthmatique. Deux sœurs, dont l'une est paralysée des deux jambes et l'autre est migr
ice de policlinique, alimenté par la consultation du mardi, constitue l'une des parties les plus importantes de la clinique d
ns le troisième volume des Maladies du système nerveux de M. Charcot. L'une d'elles a paru récemment dans les Archives de Neu
is. Je suis en mesure, Messieurs, de vous montrer expérimentalement l'une au moins des circonstances où cette contagion ner
ion organique du cerveau, à moins d'admettre deux lésions distinctes, l'une dans la capsule interne, l'autre dans l'écorce, c
14 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
i se retourne en haut et se colle au palais. Ses mâchoires se serrent l'une contre l'autre, elle ne peut plus parler. Parmi
également modifiées par les mêmes agents, ce qui ne veut pas dire que l'une ne saurait exister sans l'autre. L'anesthésie cut
ques capables, par leur excitation, de donner naissance aux attaques. L'une est située en arrière, sur la ligne médiane. Semb
usieurs zones hystérogènes, l'attaque occasionnée par l'excitation de l'une peut être arrêtée par l'excita-tion portée sur un
Elle se modifie surtout de deux façons ou par excès, ou par défaut. L'une de ses phases se prolonge au détriment des autres
aut. L'une de ses phases se prolonge au détriment des autres, ou bien l'une de ses phases, ou même deux peuvent manquer. Ces
de cercle hystérique, bien que les mâchoires soient fortement serrées l'une contre l'autre, les traits sont le plus sou-vent
udes illogiques se succéder parfois nombreuses, et la malade passe de l'une à l'autre sans transition. Tantôt elles sont en q
érents tableaux, j'indiquerai la durée de chacun d'eux, notée pendant l'une quelconque des attaques. Secondes.1° Période ép
nous le verrons plus loin en traitant des variétés de l'attaque, que l'une de ces deux périodes peut faire défaut. . Ce qu
rt après elle, elle tente de s'égratïgner la figure; frappe ses mains l'une contre l'autre, parce qu'elle a des « fourmiches
orte que chez cette malade nous pouvons à volonté laisser se dérouler l'une ou l'autre de ses attaques. CHAPITRE VIT FAIT
doigts fermés sur le pouce, les jambes étendues et fortement serrées l'une contre l'autre. Par instants, de légers tressaill
e (elle ne voit pas le violet). Elle possède deux zones hystérogènes, l'une sous-mammaire du côté gauche, et l'autre lombaire
ade n'ont pas diminué, en proportion de la vio-lence des crises, dont l'une a duré une journée entière. Après cette crise et
rême, les yeux se ferment, la face reste pâle, la tête s'incline vers l'une ou l'autre épaule; il paroît rarement des mouveme
boule hystérique, la pâleur de la face, l'inclinaison de la tête vers l'une ou l'autre épaule, et les phénomènes catalep-tifo
es bras se raidissaient avec contorsion ; les mâchoires se choquaient l'une contre l'autre; l'accès, annoncé par des cris déc
attirer l'attention que sur la forme spéciale des crises que présenta l'une de ces malades. On y trouvera de nombreux points
rait pu être blessé si l'on s'était trouvé en contact avec elle. Dans l'une de ces évolutions, elle se frappa avec une telle
des voisines avaient leurs attaques, chacune avec son cachet propre : l'une , de l'épilepsie précédée d'angine de poitrine; un
psie. » Cette proposition est vraie pour les cas bien déterminés de l'une ou de l'au-tre névrose; mais pour tous les cas mo
e-mière période : ' « La face se gonfle... Les mâchoires se serrent l'une contre l'autre, de ma-nière à produire le mâchonn
ont contractures et les arcades den-taires, distantes d'un centimètre l'une de l'autre, ne peuvent être ni rappro-chées, ni é
cinq par jour et leur durée moyenne était de quinze minutes. Pendant l'une d'elles, nous nous avisâmes d'essayer la compress
s désordonnés, de l'écume à la bouche, des cris, des larmes, etc. » L'une de ses sœurs, dix jours après un accouchement, es
-duire toute la série des phénomènes babituels. A une certaine époque l'une de nos malades Dub..., n'était pas icndue catalep
r de l'hospice, prêter son concours à cette solennité. Une autre fois l'une d'elles tombe ca-taleptique en entendant un chien
tée avec succès chez plu-sieurs de nos malades, mais non chez toutes. L'une d'elles, Léonore Rob... n'en cède en rien à Bar..
nt sans qu'il y eût perte de con-naissance. Enfin ehes furent guéries l'une et l'autre dès le lende-main. La première était u
ue la malade était plongée dans la léthargie avec hyperexcitabilité ; l'une succédait 1. H me semble que ce genre de catale
us disions, que, au pis aller, nous ferions, peut-être, réap-paraître l'une quelconque des manifestations antérieures, mais,
r le lit. Les jambes sont contracturées dans f extension, rapprochées l'une de l'autre, les pieds en pied bot équin. Perte
t longue. Deux hallucinations se reproduisent presque invariablement, l'une terrible, l'autre agréable. Dans l'ordre triste,
se ferment. La vue paraît perdue. Un flacon d'ammoniaque placé sous l'une ou l'autre narine ne modifie en aucune façon l'at
aint-Malo, âgée de dix-sept ans, et Olive, sa sœur, furent attaquées, l'une le 11 mars dernier, l'autre le 15 du même mois, d
rne, par S. Jaccoud, Paris 1870, t. p. 406. 4. Ou ne parle guère de l'une qu'on ne parle de l'autre, dit Delasiauve au suje
que l'extase, la catalepsie et le somnambulisme n'ont appartenu qu'à l'une des phases de la maladie; nés dans la période occ
e, la catalepsie, l'extase, le somnambulisme et ces névroses se mêler l'une à l'autre. y A peine son beau-frère l'eut-il qu
état dérive naturelle-ment du premier. L'hallucination qui préside à l'une , l'idée fixe qui dirige l'autre, prennent naissan
Charcot, montrent l'accès de somnambulisme hystérique, pré-cédé, dans l'une , de crises épileptiformes, et, dans l'autre, qui
enre déjà, et dont la durée a été beaucoup plus longue. L'an dernier, l'une d'elle a duré un jour et une nuit. » Une note j
s de condition seconde peuvent se présenter sous deux formes : 1 dans l'une , la malade ressemble à une personne plongée dans
e fdle hystérique qui avait tous les jours deux attaques d'hystérie : l'une à midi, qui était une attaque hystérique convulsi
de l'application métallique, est liée à la disparition simultanée de l'une ou l'autre espèce de sensibilité, dans une étendu
malgré le maintien de l'aimant, les couleurs cessent d'être per-çues l'une après l'autre et précisément dans un ordre invers
ppeler que les auteurs ont distingué deux formes d'hystéro-épilepsie. L'une , hystéro-épilepsie à crises distinctes, dans laqu
ureur n'éclate qu'après l'accès; 145 sont en démence; 8 sont idiotes, l'une d'elles n'est épileptique que depuis sept ou huit
es, des mor-sures, et tout cela sans donner aucun signe de douleur. L'une d'entre elles, Anne Langon, qui avait été atteint
t quelques-unes moins. Mais ceci leur était si commun qu'aussitôt que l'une était tourmentée, au seul bruit, les autres sépar
s trouvons dans les écrits de Michaelis de curieux détails concernant l'une des tristes héroïnes de ce sombre drame, la jeune
s. II arriva encore diverses fois que ces deux mêmes fdies, ou tantôt l'une , tantôt l'autre des autres possédées, dirent pu-b
core plusieurs grandes convulsions comme à la ma-tinée de ce jour; en l'une d'icelles ses pieds paraissaient crochus. Lui a l
étranges convulsions, et semblables à cedes du jour précédent. Durant l'une d'iceUeselles aurait du : « Grandier,mauvais prêt
la vérité... Pen-dant tout ce temps a eu plusieurs convulsions, et à l'une d'icelles s'est levée sur sa couche, sa tête étan
pressé, il se traîna le corps tout courbé, les mains un peu distantes l'une de l'autre sans se joindre, le visage à demi tour
on le bûcher pour un mal-heureux prêtre et la prison perpétuelle pour l'une des religieuses K Au point de vue médical nous
spirituel de la communauté, Thomas Boullé, curé au Ménil-Jourdain et l'une des religieuses, Madeleine Bavent, qui, tout en a
» La sœur Marie de Saint-Nicolas aperçut deux formes -effroyables, l'une repré-sentait un vieil homme avec une grande barb
uis il me dit : Venez communier, je vous montrerai toutes les hosties l'une après l'autre et je vous donnerai celle que vous
tation cérébrale présentant tous les caractères du délire hystérique, l'une offre un bel exemple d'attaque de contorsion avec
, de probité et de suffisance ^ » On leur fit voir cinq religieuses l'une après f autre et à loisir, trois desquelles sembl
oire où étaient les médecins qu'elles n'avaient jamais vus ni connus, l'une d'elles commença à leur dire : « Te voilà l'Emper
rie tomba dans le même état. On les trouva étendues par terre serrées l'une contre f autre, et on les transporta sans qu'elle
les enfants se mirent à ges-ticuler, à tourner rapidement leurs mains l'une autour de l'autre, à parler, crier, jurer et à fa
maisons oii il y avait plusieurs filles ou femmes, il était rare, si l'une devenait malade, que les autres ou quelqu'une d'e
e quelques variétés, parmi lesquelles je relèverai les suivantes. « L'une , la nommée Br... (Jeanne), quarante-huit ans, non
rire Chaque jour les ramène avec une parfaite uniformité. Qui connaît l'une de ce^ représentations les connaît toutes. Nous é
our exprimer leur agitation, le bruit des mains violemment frappées l'une contre l'autre ne tarda pas à s'yjoindre... Beauc
la pécheresse de faveurs spéciales qui varient suivant les sujets. A l'une il se présenta avec « une robe de gloire » et l'e
te, lorsqu'on veut en faire usage, on fait glisser les pièces G et G' l'une sur l'autre, d'autant plus que les dimensioijs en
15 (1911) La pratique neurologique
de vue fonctionnel, il faut distinguer dans la rétine deux parties, l'une centrale, 'très étroite et très sensible, corresp
sidérables il est indispensable, en pratique, d'explorer séparément l'une et l'autre de ces deux régions. La vue donnant
diverses fonctions visuelles. Il arrive souvent, en pathologie, que l'une des fonctions (vision des couleurs) se perd, ta
ètre. EXPLORATION DU NERF OPTIQUE ET DE LA RÉTINE. 1) est placé à l'une des extrémités de l'arc périmétrique, du côté tem
on met sur l'oeil sain un verre rouge. Le malade voit deux images, l'une rouge, l'autre blanche. Souvent la diplopie ne
sphère; un verre rouge couvre un oeil. L'observé voit deux images, l'une blanche l'autre rouge, plus ou moins écartées l
it deux images, l'une blanche l'autre rouge, plus ou moins écartées l'une de l'autre. Grâce à un calcul préalablement fai
rf optique droit se divisent au niveau du chiasma en deux portions. L'une provenant de la rétine temporale reste du côté
des cunéus qui se regardent par leurs faces internes, très voisines l'une de l'autre. Une même lésion les atteint facilem
BLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. trois mètres. Il en voit deux, l'une rouge, l'autre de couleur normale. Étudiez d'ab
causes professionnelles, il faut penser à une affection nerveuse, à l'une de celles que nous avons énumérées, et soupçonn
le gonflement, parotidien, le malade devient brusquement sourd, de l'une ou des deux oreilles a la fois, avec bourdonnem
sur le cervelet ou sur le labyrinthe; ou bien ils n'agi- raient sur l'une ou l'autre de ces parties que par l'intermédiaire
t que, suivant les cas, ces vertiges toxiques devraient entrer dans l'une ou l'autre des catégories ci-dessus décrites, T
les lésions sont énormes, l'anarthrie et l'aphasie de Wernicke sont l'une et l'autre très prononcées, il s'agit, d'une ap
pas à leur disposition à la fois deux images motrices différentes, l'une servant à l'hallucination, l'autre il l'express
sera également d'y être retenue dès que la .sortie sera requise par l'une des personnes ci-après désignées, savoir : Il L
an et d'une amende de cinquante francs il trois mille francs, ou de l'une , ou de. l'autre de ces peines. Il pourra être f
u'à ces dernières années, deux théories se trouvaient en présence : l'une unicisle (Knapp, Dejerine, Long), admettant, pour
lité, nous nous trouvons en présence de deux théories principales : L'une admet la spécificité des sensations tactiles, dou
- tion de. la chaleur de celle du froid; il les confond constamment l'une , avec l'autre. La perte de la sensibilité therm
boîtes en carton fermées (boites de couvre-objet, par exemple), dont l'une est vide, l'autre pleine de sable ou de grains
nt du membre et le malade se fatigue très facilement. On a opposé l'une à l'autre deux formes cliniques : la sciatique-
mandant au malade de croiser les jambes et de placer sans la raidir l'une des cuisses sur l'autre. Le malade étant assis,
u malade d'opposer ses mains en crochet et d'opérer une traction de l'une sur l'autre. L'attention du malade est portée s
vre de Muskens consiste également dans une traction d'une des mains l'une sur l'autre. mais la traction se fait au comman
au-dessus du plan du lit, bien qu'ils puissent lever alternativement l'une et l'autre jambe. Les membres ne sont, pas se
ue présente souvent, le groupement des paraplégies en deux classes, l'une ffaccide, l'autre spasmodique. Celte difficulté v
midal. Elle présente dans son évolution deux périodes dis- tinctes, l'une d'atrophie progressive avec exagération des réfle
euvent être suppléées, aussi sa paralysie n'abolit pas complètement l'une et l'autre. Dans l'acte de grimper, l'avant-bra
oïde du péroné, il envoie généralement deux expan- sions fibreuses, l'une à l'aponévrose jambière, l'autre il la tubérosité
étalarso-phalangionne correspondante se divise en trois languettes, l'une médiane et deux latérales. La languette médiane
mands et anglais divisent le scalène postérieur en deux portions : l'une antérieure ou scalène moyen, l'autre postérieur
èvres peut être considéré comme formé de deux parties différentes : l'une , l'orbiculaire externe, est constituée par lepro-
e la paralysie faciale des nouveau-nés qui reconnaît deux variétés. L'une est due il une lésion du nerf produite par le f
classique de répéter que le larynx a deux fonctions qui s'opposent l'une à l'autre : la phonation qui nécessite le rapproc
seululrr paraît avoir élé observé d'une façon très minutieuse et si l'une des cordes vocales était en position cadavé- ri
ales, irrégulières, striées, dentelées, mal implantées, chevauchant l'une sur l'autre : chez certains, des dents sont abs
, l'atrophie succédant de peu à la para- lysie ; la localisation de l'une et de l'autre dépend uniquement de la distribut
gés de porter cet influx et des muscles chargés de le recevoir. Oue l'une quelconque de ces parties soit t altérée, l'inc
ne sera pas d'ailleurs la consé- quence obligatoire de la lésion de l'une quelconque de ces parties, à \A. LÉRI.] To-1
la conservation des attitudes que dans l'exécution des mouvements, l'une comme l'autre nécessitant la synergie fonctionn
pourra reconnaître pour cause une lésion, de nature quelconque, de l'une quelconque des portions des voies sensitives; o
alors vers le type Friedreich. « Il est possible, dit P. Marie, que l'une et l'autre affection ne soient que des modalité
l'incoordination cérébelleuse et l'incoordination ataxique; ni dans l'une ni dans l'autre ce n'est la force qui fait défaut
dans l'autre ce n'est la force qui fait défaut aux muscles, ni dans l'une ni dans l'autre il n'y a de paralysie ou d'atroph
ir une jambe, l'étendre en même temps qu'on fléchit l'autre; porter l'une fléchie en abduction en même temps qu'on étend l'
pplication d'un appareil, formé essentiellement de deux gouttières, l'une pour la cuisse, l'autre pour la jambe, réunies
rale, distinguer à la. marche des troubles deux étapes distinctes : l'une bul- baire, l'autre spinale. ; Symptômes bulb
ensations de chatouillement sur la luette, dans l'un des yeux, dans l'une des narines, en excitation génitale insolite, etc
ce cas chose sou- vent malaisée faire le départ de ce qui revient à l'une et à l'autre maladie. PXATKHXEUROL. M [ROUS
ation et d'abaissement qui immobilisent les deux lèvres par rapport l'une à l'autre; on dit que le malade marmotte une lita
secousses a la façon d'une décharge électrique qui sont rapprochées l'une de l'autre; elles sont localisées dans certains
ès difficile : ils s'a- vancent en frottant les genoux et la cuisse l'une contre l'autre : quelque- fois, ta flexion pers
xie, au négativisme et au catatonisme, ne sont nullement exclusives l'une de l'autre, le plus souvent elles s'observent alt
t altérée, c'est que l'im- perfection de la volonté est précisément l'une des causes prédisposantes les plus essentielles
e courante, les maux perforants plantaires ne relèvent guère que de l'une ou l'autre de ces deux maladies, tabès ou diabè
les, les poils présentent de nombreuses modi- fications trophiques. L'une des plus remarquables est leur changement de co
corps par exemple. Mais de toutes les atrophies d'origine nerveuse, l'une des plus typiques à coup sûr est l'Iaémiatroplz
sienne. Rappelons également qu'il y a deux types d'arthropathies, l'une atrophi- que à la hanche et à l'épaule, l'aut
cter membraneux sans résistance et sans douleur (Guyon), tandis que l'une et l'autre sont vives dans le cas d'excitabilité
que la déchéance générale du malade en détourne; mais en présence ( l'une ly-onépllrmc, surtout si elle est douloureuse, un
y, etc.) des relations nettes entre le gigantisme et l'acromégalie, l'une et l'autre relevant peut-être des lésions de l'
mains prennent, dès le début, des attitudes variées et changeantes. L'une des plus caractéristiques est la « main de l'cr
t faire leur apparition dans les deux variétés ou n'exister ni dans l'une ni dans l'autre. Très souvent, c'est moins par
du corps humain. Elle emploie deux méthodes' qui se combinent; dans l'une on exprime des mensurations directes, telles qu
ier se trouve sur le prolongement vertical de l'intervalle séparant l'une de l'autre les deux incisives médianes inférieu
plus haut. Les talons doivent être au mur, les pieds d'équerre. Si l'une quelconque de ces conditions n'avait pu être re
g). 7° On colorera les lames, avec deux colorations différentes. A. L'une par une coloration simple, le bleu de Unna éten
colorés en bleu par l'hématoxyline. Après le passage à l'alcool de l'une et l'autre lame, on pourra les éclair- cir au x
>t) avril i ! )(1 ? , ticrcllarcl relate deux observations, dans l'une , il y eut disparition de la céphalée après deux
Dans les formes unilatérales, il arrive que la céphalée se localise à l'une des moitiés du crâne et que la percussion du cô
de dimensions moyennes, et on les placera plus ou moins rapprochées l'une de l'autre sur l'espace à électriser, de façon
le corps; B, quand on applique les électrodes sur la même surface, l'une près de l'autre. Les lignes de llux inertes son
grandes électrodes et de les appliquer aussi éloignées que possible l'une de l'autre en comprenant entre elles les partie
ux électrodes assez grandes que l'on placera diamétralement en face l'une de l'autre de manière que le point à atteindre
eux électrodes sont rapprochées; B, quand elles sont très éloignées l'une de l'autre. F)g. 15 (d'après Erb).Schéma de l
vorable donnée aux électrodes, en les plaçant, par exemple, en face l'une de l'autre dans une situation diamé- tralement
s obtenus avec la méthode d'excitation polaire. Dans cette méthode, l'une des électrodes est large, de façon que la densi
exciter, le plus généralement sur la ligne médiane (par exemple sur l'une des régions suivantes : slernale, cervi- cale p
ane du corps e); 1. Lorsque l'électrode indifférente est placée sur l'une des régions suivantes, ster- nale, dorsale, lom
la figure), par conséquent le courant ne passe pas. Si l'on abaisse l'une des clefs, celle-ci vient prendre contact avec
le cou- rant est de nou- veau ouvert. Sui- vant qu'on abaisse l'une ou l'autre clef on met l'élec- trode explorat
e. Lorsqu'on l'empluie il y a avantage Ù abaisser alternati- vement l'une et l'autre clef de façon à rendre l'électrode exp
f de Morse, à la pédale, ou à la clef double en ne faisant agir que l'une des clefs ('). Dans certains cas, on laisse p
ronome interrupteur. Au lieu d'interrompre simplement le courant de l'une ou l'autre des façons qui viennent d'être dites
er l'énergie du courant en engainant plus ou moins les deux bobines l'une dans l'autre; elle permet aussi de se servir CO
ent, avec un chariot faradique sont fournies deux bobines induites. L'une est constituée par un fil fin, de très grande lon
ine-Tripier. COURANTS FARADIQUES. 1251 Les deux ondes induites, l'une à la fermeture, l'autre à l'ouverture du couran
du courant primaire, sont égales en quantité, mais elles diffèrent l'une de l'autre en ce sens que l'onde induite à la f
nt à notre disposition. Avec les appareils à chariot, dans lesquels l'une des bobines est mobile, on règle l'énergie du c
s appareils faradiques dans lesquels les deux x bobines sont fixes, l'une recouvrant complètement l'autre, on augmente ou
chariots à bobines mobiles; on laisse alors les deux bobines fixes, l'une engainant complètement l'autre; mais généralement
e l'eau ordi- naire ou avec de l'eau salée, sont placées assez près l'une de l'autre sur le nerf ou le muscle au niveau d
le fait d'altérations produites secondaire- ment sur ces cellules, l'une et l'autre de ces conditions paraissant plus fr
aïque en plaçant symétriquement les électrodes dans le voisinage de l'une et l'autre oreille. On prendra, par exemple, deux
itatif résis- tance au voltaïque, mais l'entraînement se fait, pour l'une et l'autre direction du courant, du côté de l'o
désirer pour les mesures des résistances du corps où il existe dans l'une des branches du pont des forces contre-électro-mo
ions déterminées, inégales ou égales. Avec des électrodes inégales, l'une grande, de 1 UU ? par exemple (10e"' de côté) s
e chaque côté du crâne au niveau des apophyses mastoïdes; ou encore l'une des électrodes au niveau d'une apophyse mas- to
egardant d'abord en bas et en. dehors et les deux cornes descendant l'une en avant sur le deltoïde et la partie voisine d
de de deux grandes électrodes appliquées sur la colonne vertébrale, l'une en haut et l'autre en bas. Dans le cas de lésio
s le cas de lésions en foyer il y aura souvent indication de placer l'une des électrodes, généralement la cathode, à la h
rra le combiner avec le traitement dirigé sur la moelle, en plaçant l'une des électrodes il la hauteur de la lésion, s'il s
ltanément en plaçant une électrode sur chaque membre, et en reliant l'une et l'autre par un conducteur bifurqué au même p
sur la face antérieure du corps, mais de placer les deux électrodes l'une sur la région cervico-dorsale, l'autre sur la r
rieurs, ou sur tous les deux, on se sert avec : \\',111- lay, comme l'une des électrodes d'un bain dans lequel on fait plon
la méthode bipolaire et à placer les deux électrodes sur le muscle, l'une à sa partie supérieure, l'autre il sa partie in
s concomitantes des cellules des cornes antérieures. Qu'elles aient l'une ou l'autre de ces ori- gines les complications
sur les muscles nous croyons cependant qu'il y a avantage a placer l'une des électrodes sur la colonne vertébrale. Pour
ire, soit par la méthode labile. Dans ces deux dernières conditions l'une des électrodes est placée vers la racine du mem
myélite. On commencera par la galvanisation continue, en appliquant l'une des électrodes, l'anode de préférence, sur la c
lus souvent à des appiicn- fions' de courants galvaniques continus. L'une des électrodes, l'anode géné- ralement, est pla
paupières fermées, paupière supérieure, ou paupière inférieure, ou l'une et l'autre paupière successivement suivant les ca
courants galvaniques en portant directement sur le voile du palais l'une des électrodes si on emploie la méthode unipola
e au moyen du courant galvanique continu appliqué extérieurement. L'une des électrodes, l'auode de 50 à 6(1 ? est placée
itement que celle indiquée pour les paralysies du larynx en plaçant l'une des électrodes, la cathode, sur la région sus-hyo
le mollet. Si la sciatique est double on opère successi- vement sur l'une et l'autre jambe, ou bien sur les deux jambes à l
ôle de la batterie par un fil bifurqué les deux plaques placées sur l'une et l'autre jambe. Pour le reste, intensité du c
ans danger l'électrisation. La galvanisation continue employée de l'une ou l'autre des manières indiquées se montre sou
ertébrale au niveau de ses origines, une seconde électrode reliée à l'une des spires de l'autre extrémité du petit soléno
trijumeau. Cette électrode, en forme d'e, présente deux échancrures l'une au niveau de l'oeil, l'autre au niveau de la bo
. Deux larges électrodes sont appliquées sur la colonne vertébrale, l'une il la région cervico-dorsale, l'autre à la région
, en forme de tampons de 5 centimètres de diamètre environ, reliées l'une et l'autre au pôle positif, sont placées à la par
lacées de chaque côté de l'abdomen, au niveau des fosses iliaques : l'une des électrodes est reliée à l'un des pôles de l
moyen de deux grandes électrodes de 400 centimètres carrés placées l'une sur les lombes, l'autre sur l'abdomen ; cette d
aradisa- tion carotidienne et la faradisation oculaire ou seulement l'une ou l'autre. On pourrait ajouter aussi la faradi
. Chez quelques malades deux douches par jour peuvent être. utiles, l'une froide tonique le matin. l'autre tiède sédative v
lairement à la première, pour diviser la dure-mère en deux parties, l'une antérieure et l'autre postérieure, que l'on réc
xclusivement des maladies du système nerveux. Elles se complè- tent l'une par l'autre, la première, sous la direction des c
16 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
. Simpson se sert d'une aiguille tubulaire percée de deux ouvertures, l'une près de sa pointe, l'autre près du manche. Lorsqu
-flammation et se rencontre assez fréquemment; on peut y remédier par l'une des opérations que nous indiquerons pour le rétab
t de la voie naturelle, ou par la formation d'une voie artificielle ; l'une et l'autre opération offrent des difficultés et d
vulvo-utérin. Cette oblitération peut être obtenue de deux manières ; l'une nommée épisiovaphie, espèce d'infibulation orient
9 guérisons, 3 guérisons imparfaites, 2 morts, 2 malades non opérées, l'une à cause d'une dysenterie, l'autre à cause d'une h
pérées par M. Simon, nous voyons qu'il n'y pas eu guérison immédiate, l'une traitée par la double suture conservait un pertui
ersales et réduit la hernie de la vessie ; il s'a-git alors de réunir l'une à l'autre ces deux lignes distantes de 2 à 3 cent
le procédé de Velpeau qui est assez expéditif : placez deux érignes, l'une en bas, l'autre en haut, sur la crête mé-diane po
à l'étendue de la cicatrice. Dans un second temps, l'opérateur sépare l'une de Pautre la paroi vaginale et la paroi rectale ;
82. Les ventouses qu'on applique à l'utérus sont de deux es-pèces : l'une imaginée par M. Simpson est la ventouse sèche int
ressort qui unit ces deux parties les maintient alors à angle droit l'une par rapport à l'autre. Le manche étant retiré, on
col avec une sonde de i millimètres. Des deux extrémités de la sonde, l'une a un manche, l'autre est recourbée à partir des 4
inévitable dans le cas de polypes de formes allongées, confondus avec l'une des lèvres et se con-tinuant sans lignes de démar
une aiguille droite un peu large, et chargée d'un fil qu'on attache à l'une des extré-mités de la chaîne. En tirant sur l'aig
s aussi sur l'utérus entier, elle est le plus souvent concentrée dans l'une des deux moitiés du col; de là une division impor
un bec d'oiseau, et l'oritlce se trouve à l'ex-trémité du cône ou sur l'une de ses faces, tantôt il est cylin-drique; parfois
arrivé au pédicule on écarte les 16 deux canules, et pendant que l'une reste fixe, l'autre est por-tée autour du polype
is à Laide d'un mandrin, poussez chaque extré-mité du fil double dans l'une des deux sondes, de manière à les faire sortir pa
es sont longues de a5 centimè-tres, larges de 3 millimètres et demi ; l'une a i mdlimètres d'épaisseur, l'autre n'en a qu'un.
peu plus long, doit rester libre. Les aiguilles sont alors appliquées l'une contre l'autre et liées ensemble au moyen des deu
la tumeur à des hauteurs différentes à droite et à gauche, parce que l'une des branches présente une coulisse sur la li-gne
postérieure de manière à en faire deux moitiés. On s'attaque alors à l'une de ces moitiés, qu'on abaisse avec des érignes pe
atiquées par M. Demarquay (thèse de M. Guyon), il y a eu trois morts, l'une après six semaines, l'autre après deux mois et la
as composée de bosselures ; si, de plus, le corps fibreux a dédou blé l'une des lèvres en l'allongeant; si, enfin, en déprima
s serre-nœuds avec des fils de fer doublés; des aigudles longues dont l'une est chargée d'un cordonnet de soie cirée, et les
tion avec l'opinion des corps savants et sauvèrent chacun une malade; l'une d'elles avait cependant une complication grave, u
il y a deux saillies transversales mousses, triangulaires et pressant l'une sur l'autre quand la pince est fermée. Pour ouvri
au gaz. Figure xv. Porte - caustique terminé par deux cupules, dont l'une est horizontale et l'autre inclinée obliquement.
iction fixe. Figure xu. Pinces de Greenhalgh, à branches glissantes l'une sur l'autre, ce qui permet d'appliquer les mors à
uteurs différentes sur chaque côté du polype. Pour obtenir cet effet, l'une des branches est fendue sur la ligne médiane, et
té sur le col a été attiré à la vulve. Deux pinces de Mu-seux placées l'une d'avant en arrière, l'autre transversalement, le
de l'utérus ; pour l'atteindre, on avive deux surfaces semi-lunaires, l'une située contre le col de l'utérus et l'autre à 4 o
ntestin et se réunissent en un point d'où partent cinq autres brides. L'une d, va s'insérer au côlon gauche ; une seconde e p
que extrémité d'une aiguille ordinaire un peu plus grosse que le fil. L'une d'elles est enfoncée parallèlement à la plaie, en
tact deux plaies avec pertes de substance, situées à quelque distance l'une de l'autre ; mais elle donne surtout un excellent
, lors-qu'ils sont volumineux. Le petit râteau qu'on fait glisser sur l'une des branches ramène le corps étranger dans l'axe
terminent chacun par une partie courbe. Ces deux courbures se placent l'une dans l'autre, et l'instrument peut ainsi être fac
xii. Pince de MM. Robert et Colin, pour saisir les tumeurs du larynx. L'une des branches est fixe et reste sur la tumeur dès
17 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
iliquées; trois pustules volumineuses, non ombiliquées, sur la face : l'une en avant du lo-bule de l'oreille droite ; l'autre
cérations du diamètre d'une tête d'épingle et parfaitement arrondies: l'une d'elle siège dans le grand cul-de-sac de l'estoma
ons tout à l'heure de faire comprendre pourquoi; mais, après lout, ni l'une ni l'autre de ces conditions-là n'est abso-lument
nécro-sique aiguë. « La fièvre typhoïde, dit-il, esl, en particulier, l'une des causes prédisposantes les plus remarquables d
formes, dérivées du type primitif, doivent ici fixer notre attention. L'une d'elles porte, à peu près indifférem-ment, les no
smettre la fièvre typhoïde. Enfin, s'il est vrai que l'on puisse voir l'une de ces deux formes du typhus régner, sous forme é
sont pas deux maladies absolu-ment distinctes et qu'on puisse opposer l'une à l'autre sous les divers points de vue des cause
es tellement identiques, qu'elles ne pou-vaient plus être distinguées l'une de l'autre, et, ce qui serait plus important enco
'autre, et, ce qui serait plus important encore, on les a vues naître l'une de l'autre par voie de contagion. (Magnus Huss, S
il est à peu près impossible, ce nous sem -ble, de prendre parti pour l'une ou pour l'autre des opinions contraires qui divis
cesse, pour prouver leur non-identité de nature, ces deux affections l'une à l'autre, sous le double point de vue des symptô
servation XI, Forestus distingue nettement deux formes de peste. Dans l'une de ces formes, la fièvre pestilentielle est accom
riode), ayant une physionomie bien différente et presque indépendante l'une de l'autre ; mais ce caractère même ne lui est pa
quable. Sur l'avant-bras. on remarque la trace de cinq cjcatrices ; l'une d'elles, située sur le bord externe et un peu pos
pitale entre deux séries de faits, qui sont, chaque jour, confon-dues l'une avec l'autre par un grand nombre de médecins et p
. Tous deux, en effet, sont éga-lement contraires au progrès ; car si l'une encombre la science de faits et d'opinions sans v
me de grandes taches dont chacune recouvre toute une région du corps. L'une d'elles enveloppe le cou dan; toute son étendue ;
s récente, ce dont on s'assure en cherchant à rapprocher leurs lèvres l'une de l'autre. 4° L'absence des poils n'est qu'une
nne. La seule époque où dételles tumeurs pour-raient être distinguées l'une de l'autre est celle où le kyste hydatique de l'o
ntimètres et demi de hau-teur et 2 de largeur; elle occupe la base de l'une des colonnes charnues de la valvule mitrale, colo
ace interne du ventricule, il offre deux bosse-lures très saillantes, l'une de la dimension d'une lentille, l'autre plus peti
re de ces vermicules. Parmi celles qui contenaient encore du liquide, l'une a paru renfermer quelques débris d'une membrane g
x petites ulcérations ayant de 6 à 8 millimètres de diamètre, placées l'une en avant de l'autre. Le fond de l'une est formé p
illimètres de diamètre, placées l'une en avant de l'autre. Le fond de l'une est formé par la tunique cellulaire sous-muqueuse
re. Pour expliquer les lésions, il ne restait donc plus qu'à invoquer l'une ou l'autre des chutes éprouvées pendant la grosse
it plus y avoir de prétexte pour distinguer deux sortes de médecines, l'une agissante et l'autre expectante, à chacune desque
t-être pas sans raison, qu'on est disposé par nature à embrasser soit l'une , soit l'autre de ces tendances thérapeu-tiques. «
tement la médecine expectante de la médecine agissante, et les oppose l'une à l'autre. « Nous appellerons, dit-il, médecine a
lement susceptible de deux manières opposées de diriger les maladies, l'une par des moyens actifs et l'autre en livrant presq
e discernement entre les divers genres de maladies qui peuvent exiger l'une ou l'autre de ces manières, entièrement assorties
ans la nature des choses. Mais il n'y a pas deux espèces de médecine, l'une nécessairement agissante, l'autre toujours expect
l'ex-pectation, n'ont pas produit des succès tellement nombreux, que l'une ou l'autre de ces méthodes ait dû être acceptée d
e se traîner d'un lit à un autre ; souvent ses jambes s'embar-rassent l'une dans l'autre, et alors elle tombe lourdement sur
mais elle projette sans mesure ses jambes, qui s'embarrassent souvent l'une dans l'autre, ou bien le pied droit est lancé en
me faire quelques pas dans les salles, soutenues par des infirmières. L'une d'elles marche pendant près d'un quart d'heure sa
la terre : chaque métal correspondait à l'un des corps célestes et à l'une des parties du corps humain. C'est donc en vertu
qui existait chez cette malade. Mais dans deux observations publiées, l'une par M. Bouchut, l'autre par M. Beguise, il s'agis
18 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
et les lames dorsale et ven- trale sont remarquablement rapprochées l'une de l'autre. On y constate la dis- parition de l
de l'estomac se trouvent deux tumeurs fibreuses sous-péritonéales, l'une au voisinage du pylore, l'autre sur la grosse t
mbreux sujets ont réussi à faire pénétrer dans leur tube digestif par l'une ou l'autre extrémité, du gaz dont la tension po
mère sont morts plus que septuagénaires. Il a eu deux soeurs, dont l'une est morte à 60 ans, tandis que l'autre jouit d'un
avée, présente de chaque côté deux dépressions articulaires situées l'une au-dessus de l'autre, séparées par un rebord mo
mme pour la précédente et nous y joignons aussi deux photographies, l'une , de la colonne vertébrale et du bassin, l'autre,
ou point déformé. On y remarque cependant deux petites exostoses : l'une située immé- diatement au-dessous de la crête i
la vertèbre située au-dessus. Les deux vertèbres sont ainsi soudées l'une à l'autre par cette sorte de pont largement jet
e par cette sorte de pont largement jeté entre le bord supérieur de l'une et le bord inférieur de l'autre : elles sont en
e : elles sont encore maintenues à distance, un centimètre environ, l'une de l'autre, et les deux faces qui se regardent
la colonne vertébrale. Celle-ci présente deux courbures latérales : l'une , la plus apparente, commence vers la dixième do
ante une apophyse ostéophytique en forme de croissant, adhérent par l'une de ses cornes, limitant en haut la nouvelle cavit
ntimètres et demi de hauteur. Les faces sont obli- quement dirigées l'une vers l'autre, de gauche à droite, sans se rejoind
DVIII et nVII) offrent un caractère important : elles sont soudéees l'une à l'autre par toute l'étendue de leurs bords et
s différences non seu- lement d'expression, mais encore d'attitude, l'une étant très inclinée, l'autre presque droite. Il
'placé dessus des planches et s'amusaient à danser à l'extrémité de l'une d'elles. Une des planches glissa, le petit garçon
ment), au niveau du rebord des crêtes iliaques. Aux bras, 2 tumeurs : l'une au-dessus de l'épitrochlée et l'autre au niveau
P. E. LAUNOIS ET R. BENSAUDE également au niveau de chaque cuisse : l'une dans le triangle de Scarpa, l'autre à la partie
es injections interstitielles d'une solution arsenicale, sans succès. L'une de ces injections a déterminé la formation d'un
n revanche ses deux phalanges paraissent peu développées et soudées l'une à l'autre en lé- gère flexion (soudure qui trou
tes plaques jaunâtres, in- durées à la base, douloureuses, siégeant l'une , plus grande, sur la face interne de la lèvre i
ou- reuse.La septième et la huitième vertèbre dorsale sont séparées l'une de l'autre par un grand espace anormal, et sont
de la septième et de la huitième vertèbre, qui sont assez éloignées l'une de l'autre. Mais on ne trouve sur ces vertèbres d
ns son ensemble deux longues courbures scoliotiques de sens opposé. L'une , inférieure, comprend le sacrum, les ver- tèbre
le dos ar- rondi, la tête enfoncée dans les épaules et inclinée sur l'une d'elles qui put être constatée à l'examen du ma
sans peine aller à reculons. Il ne se tient pas avec assurance sur l'une ou sur l'autre jambe : les yeux fermés, il vaci
sible au malade de se redresser : il ne peut pas davantage exagérer l'une ou l'autre des déviations scoliotique ou cyphot
t plus fortes et plus fréquentes. L'année qui le suivit, il perdit, l'une après l'autre, sans la moindre douleur ni trace d
n de ces atrophies à propos de deux observations personnelles, dont l'une suivie d'autopsie, et de mettre en relief un ly
rser en dehors. Lorsqu'on prescrit au malade de croiser les cuisses l'une sur l'autre, à peine le mouvement est-il exécut
que chez un individu nor- mal, mais elles sont bien proportionnées l'une il l'autre. Le nombre et les rapports réciproqu
le d'insister plus longuement sur les raisons qui sont en faveur de l'une ou de l'autre de ces théories, cette question aya
ontre par les élii-eitces matographiées de deux blessures du crâne, l'une offrait un gonflement con- comitant de tout le
ans la bouche. On trou- vait sur la voûte palatine deux cicatrices, l'une il droite de la médiane, à peu de distance de l
uements fins extrêmement nombreux comme si l'on frottait deux râpes l'une contre l'autre. Au poignet on sent l'extré- mit
éro-postérieur, la dernière dans le sens latéral. Le plus souvent à l'une des deux premières s'ajoute la troisième. L'exagé
de redire combien grand a été notre étonnement de rencon- trer chez l'une de nos malades une exception à cette règle (obs.
s courbes de compensation qui s'ajoutent et se mêlent en tous sens. L'une d'elles est plus manifeste : ce peut être une l
ent une ligne discontinue, ponctuée quelque- fois par la saillie de l'une ou de plusieurs d'entre elles, interrompue d'au
oitrine, enfoncée dans les épaules ; celles-ci sontportées en avant, l'une est plus basse que l'autre : Le thorax est déjeté
naires en sont la conséquence. Le malade trouve souvent sa fin dans l'une d'elles. Ce mode de terminaison n'est cependant
le charlatan débite avec sa pou- dre ses insipidités quotidiennes. L'une d'elles, gagnée par les raisons du maitre ès la
le étaient creusées d'é- légantes boites d'ivoire ornées de perles. L'une d'elles artistement façon- née en écaille était
r satisfaire cette passion. Deux poudres sont maintenant à la mode. L'une est la pou- dre de Chypre qui sert à couvrir la
sante mètre de recommandation, et aussi la prudence. Vous en perdez l'une ou l'autre en fumant, en prenant du tabac au ne
cellules ne sont pas en liaison avec les vaisseaux ; pourtant dans l'une d'elles on pouvait voir très nettement une zone p
ions des genoux lui semblent formées de deux grosses billes roulant l'une sur l'autre en tous sens, dès qu'il se tient de
ont de moins en moins horizontales et parallèles, elles s'inclinent l'une vers l'autre surtout dans le sens transversal.
avoir aplati un de ses côtés. Les deux faces s'inclinent rapidement l'une vers l'autre et se con- fondent en un bord tran
ais inégales dans une même vertèbre, d'où une inclinaison des faces l'une vers l'autre. Ces faces sont dépolies, dépourvu
ibre. La piqueuse à la machine, l'employé de bureau restent penchés l'une sur sa couture, l'autre sur ses copies et immobil
rès de son lit. Il va donc créer ainsi deux déviations vertébrales, l'une antéro- postérieure, de meilleur équilibre, l'a
médiairesfaciles à concevoirsi deuxde ces courbures se compliquent l'une l'autre. Dans cette distribution, la plus large
t maximum de pression. Elle va s'aplatir, les faces vont s'incliner l'une vers l'autre ' et dans le sens de la concavité
pplication de deux forces inverses, constantes, de grande intensité l'une et l'autre. La région lombaire est de plus la r
u l'inflammation périphérique de l'encéphale permet-elle d'admettre l'une ou l'autre de ces deux lésions centrales ou la co
ulation du sang dans les vaisseaux. - La lésion la plus légère et l'une de celles qu'on rencontre du reste dans la plup
he. Ces appellations sont défectueuses pour plusieurs raisons, dont l'une va apparaître évidente. L'écriture aryenne (notre
celle de la main droite : au fond, elles ne sont pas plus en miroir l'une que l'autre et elles sont également toutes les
droite puis de la main gauche, les deux écritures seront l'inverse l'une de l'autre, l'une étant en miroir par rapport à
main gauche, les deux écritures seront l'inverse l'une de l'autre, l'une étant en miroir par rapport à l'autre. L'expéri
ie congéni- tale et familiale, avec coexistence d'un épicantus dans l'une d'elles. Pour . (1) Barné V. Barneff, Contrib
qu'elle a commencé à les ouvrir insensiblement. Il semble même que l'une des deux paupières se soit dès le début relevée
rarement il existe une différence de 1 à 3 millimètres en faveur de l'une ou de l'autre ouverture palpébrale(Schenkl, Heu
étant ouverte, il y remarque la dent gâtée, afin de ne pas prendre l'une pour l'autre ; puis avec le déchaussoiril sépare
un atroce martyre : on lui a arraché de son vivant toutes les dents l'une après l'autre. Les hagiographes ne disent pas que
te confusion, il a doté chacune d'elles d'un attribut significatif. L'une des Saintes tient sur ses genoux un bassin de c
nfin, Sainte Apollonie est encore là, avec sa pince emblématique et l'une des dents qui lui furent arrachées. Il est fâch
19 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
t l'amaigrissement vont le plus souvent de pair et peuvent se montrer l'une et l'autre dans une foule d'affections. Il en est
faciliter le rapprochement des bords avivés, je fis deux inci-sions, l'une au-dessus, l'autre au-dessous de la plaie. Enfin,
à 4 centimètres de diamètre. Des trois autres tumeurs principales, l'une siège un peu au-des^ sous de l'angle inférieur de
progressive. En effet, ces deux méthodes de traitement se complè-tent l'une l'autre dans la thérapeutique générale des rétréc
m, prolongement de celui qui recouvre l'amnios, est formé de couches, l'une superficielle, l'autre profonde. Au-des-sous de c
e rein du lapin, s'il était possible d'isoler les parties préposées à l'une et à l'autre fonction. 11 paraît y être arrivé; v
onstantin Paul. Signalons, en terminant, deux thèses d'agrégation ; l'une de M. Gariel, des Phénomènes physiques de l'audit
que impossible, si l'on poussait loin la dissection, de ne pas ouvrir l'une ou l'autre. » En terminant, M. Richet repousse to
stata, pour la première fois, la présence de deux petites grosseurs : l'une d'elles siégeait à la partie externe de l'articul
ement défaut et les différentes faces de l'os ne sont plus distinctes l'une de l'autre. Le périoste à la surface de ce fragme
de nombreux trous-seaux de fibres très-courtes allant directement de l'une à l'autre. Après la section de ces fibres, les su
dents périto-niques pendant les suites de couches. L'auteur y réfute, l'une après l'autre, les différentes hypothèses émises
, cette femme, montée au haut d'un cerisier, tomba à califourchon sur l'une des branches de cet arbre; elle éprouva sur-le-ch
les ouver-tures du cy'indre membraneux ramenées et plissées sur elle, l'une un peu plus haut, l'autre un peu plus bas que le
alade ayant été reportée dans son lit, les cuisses furent rapprochées l'une de l'autre et maintenues à l'aide de mouchoirs pl
Dans la morve, dans le farcin, deux maladies de même nature, puisque l'une peut reproduire l'autre par inoculation, on trouv
x, avant-hier, j'ai mis la même quantité de sulfate de cuivre. Dans l'une , il s'y trouve encore au complet, et le zinc n'es
nditions étaient donc les mêmes pour ces deux piles; seu-lement, pour l'une , nous faisions en même temps traverser la couche
sons arriver les deux extrémités des rhéo-phores des deux piles. Pour l'une , ces rhéophores sont représentés par PM et PN. La
rouvent dans les mêmes conditions de résistance extérieure. Mais pour l'une , dans l'espace MN rempli d'eau, nous faisons de p
ransversale, irrégulière, comme dentelée, la di-vise en deux lèvres : l'une antérieure, plus petite; l'autre, postérieure, pl
ment l'épilepsie, ce n'est pas seulement l'hystérie ; c'est à la fois l'une et l'autre. Telle est, je le répète, la doctrin
ue cela ne soit pas démontré, que les sujets qui sont sous le coup de l'une d'elles soient par là même prédisposés à contract
ans l'bystéro-épilepsic, existent simultanément et marchent sans agir l'une sur l'autre d'une manière sérieuse, chacune d'ell
pigastre et n'affecte pas, en tout cas, la face seule et d'emblée, ou l'une des extrémités, ainsi que cela a lieu dans Yépile
oujours d'une façon aussi régulière ; elles s'enchevêtrent et, tantôt l'une , tantôt l'autre, pré-domine. Chez la nommée Cotte
du cerveau des plaques spéciales et dont la cause était syphilitique. L'une de ces plaques se trouvait à l'ori-gine du nerf f
res ; aussi crut-on prudent d'y appliquer deux ligatures préventives. L'une au-dessus, l'autre au-dessous de la partie dénudé
st légèrement opaque. L'artère sylvienne n'est pas athéromateuse; sur l'une de ses divisions secondaires, se distribuant à la
es de l'aorte sont souples ; l'un des nodules est athé-roinatcux ; de l'une des valvules part une bride celluleuse, filiforme
'infarctus. Les deux sub-stances sont confuses. — H. droit (130 gr.), l'une des moitiés est aussi altérée que le rein gauche;
de France a choisi, celte année, comme objet de son cours l'étude de l'une des questions les plus importantes de la physio-l
issance de l'antagonisme entre les deux portions du système veineux : l'une étant une source d'échauffement, l'autre une sour
e l'aliénation mentale ; et sur ce terrain deux écoles se combattent, l'une admettant, pour les aliénés, une responsabilité l
a le tort de considérer comme solidaires des doctrines indépendantes l'une de l'autre ; de là des coups sans portée. Le posi
ialistes. Pour être voisines, ces questions ne sont pas subor-données l'une à l'autre dans la hiérarchie admise ordinairement
e comme vaincue. Deux nouvelles tentatives d'hémorrhagie ont eu lieu, l'une le 1er juin et l'autre le 6 juin, et ont été amen
minutes; elles seront répétées dix, vingt,, quarante fois et séparées l'une de l'autre par des pauses de une demi-minute, une
membres supérieurs. Le tronc doit être divisé" en trois portions : l'une ventrale, une seconde tboracique, ces deux-là sit
x de Salies de Réarn; sur ce nombre, il y a deux maladies d'Addison : l'une a guéri par-faitement; chez l'autre, la thérapeut
il existe deux digitalines très-distinctes dérivant très-probablement l'une de l'autre : l'amorphe et la cristallisée. Avec c
20 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
la couronne rayonnante se dis- posent en deux couches sagittales : l'une externe, fortement colorée par la laque hématox
Fig. 17), permettent de diviser la capsule interne en deux régions, l'une supérieure en rapport avec la couche optique ré
chez le nouveau-né le pied du pédoncule céi ébral en deux couches, l'une ventrale inférieure ou périphérique, l'autre dors
ses fibres d'association. Ces zones, au nombre de trois, seraient : l'une postérieure, comprenant le lobe temporo- occipi
n la plus étendue : on constate deux plaques jaunes anciennes, dont l'une occupe la partie centrale du cunéus et la lèvre
Le cerveau du cas Heudebert (Fig. 124 à 128) présente deux lésions; l'une intéresse le lobe tem- poro-occipital : nous y
irconvolution pmiélale ascendante et deux lésions cen- Irales, dont l'une occupe le putamen, le segment antérieur de la cap
. 186 à 188), l'hémisphère droit présente deux lésions cen- trales. L'une sectionne, dans la région thalamique supérieure,
lésions dans le domaine de l'artère choroïdienne anté- rieure. L'une sec- tionne la a partie moyenne du segment
ésions dans le domaine do l'arteie e choroidienne anté- rieure. L'une sec- tionne la partie moyenne du segment po
teurs centraux de la vision. nérescence de faisceaux importants. L'une siège dans la partie postérieure du globus pall
des font défaut et les olives bulbaires très saillantes sont séparées l'une de l'autre par un méplat médian qui loge le tro
Fig. 220 et 221. - Cas Richard. Coupes vertico-transversales passant, l'une immédia- lement en arrière, l'autre au niveau d
ur jusqu'aux ganglions de la base où il se divise en deux parties : l'une longe la paroi externe du putamen, forme une caps
ent en abordant les ganglions de la base en deux parties inégales : l'une se poi te en dedans, forme le segment rétrolent
ticulier sur le singe, qu'il existe en réalité deux zones corticales, l'une anté- rieure, l'autre postérieure dont l'excita
sley et Schafer divisent cette zone chez le macaque en deux régions : l'une supé- rieure, la région faciale supérieure dont
tion simultanée de ces trois images et du passage rapide et facile de l'une de ces images à l'autre. Toutes les fois qu'un
econdaires. Chez l'enfant, on distingue dans le tapetum deux couches, l'une mince interne, formée de fines fibres à directi
ionnent, mais peuvent devenir manifestes par la dégéné- rescence de l'une ou l'autre catégorie de fibres consécutive à cert
d donc en réalité chez les mammifères macrosmatiques deux parties : l'une inférieure, formée par la fimbria, l'alveus inlra
ium ; l'autre supérieure, constituée par le fornix longus de Forel. L'une et l'autre partie envoient des fibres dans le sep
voient des fibres dans le septum lucidum et le fais- ceau olfactif, l'une et l'autre concourent à la foimation des piliers
d'élucider celle question. Deux cas de lésions cérébrales récentes, l'une étendue, l'autre limitée, examinées à l'aide de
le du noyau rouge. Cas Ronse. - Il existe dans ce cas deux lésions, l'une sous-corticale, sous-jacente aux circonvolution
02 à 309.) Ici il s'agit d'une double lésion de l'hémisphère droit, l'une sous-corticale, l'autre thalamique. La lésion sou
ge également dans le sens transversal, puis se recourbe, entre dans l'une des lamelles médullaires, émet quelques collatéra
fibres traversent la zona incerta et la divisent en deux parties : l'une interne, sus-mamillaire, qui s'adosse à la subs
es convexes, deux bords et deux extrémités. Les faces convexes sont l'une dorsale ou supéro-inlerne, l'autre ventrale ou
la question n'est pas encore complètement tranchée dans le sens de l'une ou de l'autre de ces deux opinions. Fibres pupi
se diviseraient en abordant le nerf optique en deux branches, dont l'une s'arboriserail dans la rétine et dont l'autre s
melles trans- versales et présentant quatre crêtes saillantes, dont l'une est antérieure, l'autre postérieure, les deux a
ivise la face inférieure de l'hémisphère en deux parties inégales : l'une postérieure, plus petite, qui appartient au lob
ondeur du sillon interlobaires pour en tapisser une de ses faces ou l'une et l'autre de ses faces. Les sillons interlobaire
i- cielles ; d'autres sont profondes dans tout leur trajet, longent l'une des lèvres du sillon ou se portent obliquement
ement du vermis sur les parties latérales, mais se comportent dans' l'une et l'autre région comme celles de la région hém
es hémisphé- riques une face superficielle et deux faces profondes, l'une supéro-anté- TOMK il. 30 Fic. 343. - Le grand
ci est sessile, la lame de concentra- tion commune se continue avec l'une ou l'autre lamelle supérieure du tubercule valv
aces couvertes de nom- breuses lamelles transversales et qui sonl : l'une , inférieure ou superficielle ; l'autre, postéri
ois bords : externe, interne et postérieur, et deux extrémités dont l'une est supérieure, l'autre inférieure. La face ant
obules se réunissent sur trois lames de concentration communes dont l'une est antérieure, les deux autres postérieures. La
infé- rieure. Les lames de concentration postérieures sont situées l'une au- dessus, l'autre au-dessous du pédicule d'in
on prolll- béranliel inférieur, divise cette face en deux régions : l'une supérieure ou pontine, très saillante et caract
de l'autre de 3 u3 ? centimètres. Elle se fait par deux racines, l'une petite ou motrice, située en avant et en deda
phale (Fig. 362 et 36.'i), on la voit constituée par deux parties : l'une postérieure ou supérieure, l'étage postérieur, la
ut, la face ' postérieure du bulbe en bas. Ces régions sont reliées l'une il l'autre par le cervelet; après son ablation,
nt pigmentées. Les fossettes supérieure et inférieure sont séparées l'une de l'autre par une saillie blanche et arrondie,
on de Reil divise le cervelet en deux parties d'inégale épaisseur : l'une , supérieure, mince, comprenant la substance blanc
avec cette dernière, on peul les diviser en trois couches, qui sont l'une superficielle, l'autre profonde, la troisième i
haque pédoncule cérébelleux supérieur comprend donc trois parties : l'une inférieure ou intra-cérébelleuse, l'autre moyenne
), l'olive apparaît formée de deux lames, unies en dehors, séparées l'une de l'autre en dedans par le hile, qui livre pas
céphalique comprend deux régions longitudinales bien dis- tinctes : l'une fail suite à la capsule interne et au pied du péd
tH6, Fig. 362, p. 518 et 365, p. 527), en trois couches qui passent l'une en avant (stratum superficielle, Strs), l'autre e
dans la profondeur, se nattent en se croisant, écartent violemment l'une de l'autre la base des deux cornes antérieures
be consécutive à la section de la voie pyramidale par deux lésions, l'une capsulaire et l'autre pro- tubérantielle. Métho
té du raphé médian en deux colonnes lon- gitudinales, moniliformes, l'une médiane, l'autre latérale. La colonne cellulair
ulée n'apparaît que sous l'aspect de deux zones curvilignes situées l'une en avant, l'autre en arrière du pédoncule céréb
haut el qui s'effilent en bas, où elles sont complètement séparées l'une de l'autre par les fibres des cor- dons postéri
scus. L'olive protubérantielle la divise en deux parties inégales : l'une , volumineuse et interne, qui constitue le ruban d
la moelle épinière, sépa- rant ainsi le bulbe en deux par- ties : l'une postérieure, formée par le noijau de Goll (NCG)
versales de l'étage antérieur de la protubérance en trois couches : l'une , antérieure, le stratum sitpe ? ,ficiale pontis
ment voisin du sillon latéral de l'isthme le divise en deux parties : l'une interne, antérieure et volumineuse, le ruban de
ire divise la cavité du quatrième ventricule (V.J en deux parties : l'une interne, fermée par les plexus choroïdes transver
aissent t distinctes sur cette coupe; elles communiquent en réalité l'une avec l'autre au- dessus de la strie acoustique.
l'olive bul- baire (Oi) permettent de la diviser en deux parties : l'une antérieure ou interoli- vaire, la couche intl'1
leurs rapports avec l'olive, n'autorise à les déli- miter nettement l'une de l'autre, et encore moins à circonscrire dans l
e est située en arrière de la pyramide (Py) et comprend deux lames, l'une antérieure, l'autre postérieure, dentelées et f
gmentation quantitative de volume. Les deux lames se sont [écartées l'une de l'autre, et le feutrage intra-olivaire s'est
ne transversale que la substance grise centrale, se rapprochent ainsi l'une de l'autre, en même temps que le bord postérieu
il nu permet de distinguer deux couches dans l'écorce cérébelleuse, l'une externe, grise ou moléculaire, l'autre inlerne,
ling, il tort à notre avis, a décrit deux zones d'entre-croisement, l'une interne, l'autre externe, séparées par une zone
ntelé et ses noyaux acces- soires de deux zones concentriques, dont l'une , en contact immédiat avec le corps dentelé ou c
partie inférieure de l'olive cérébelleuse, sont faciles à distinguer l'une de l'autre sur toutes les coupes qui intéressen
21 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
ence biologique devront, se prêtant un appui mutuel, et se contrôlant l'une l'autre, marcher du même pas vers le même but. Ma
Point important, ces deux réactions ont reparu simultanément. Pour l'une comme pour l'autre, il n'existe usqu'à présent qu
suplémentaire aura pour siège, soit l'épaule, soit le genou, si c'est l'une ou l'autre de ces articulations qui a été atteint
est caractérisée, dans le? attaques régulières, par 4 périodes, dont l'une , la première, s les apparences de l'épilepsie (ph
l considérablement affecté par la répétition des crises épileptiques. L'une de ces malades offre une anesthésie par plaques e
deux hystériques que je vous ai déjà présentées en maintes occasions. L'une , la nommée B..., 34 ans, a offert, Messieurs,
ue permanente "d'origine traumatique. — Deux observations rela" tives l'une à une femme, l'autre à un homme. — Hérédité. — Gr
culier, à savoir, l'existence d'une contracture spasmodique limitée à l'une des mains, et développée, suivant toute apparence
ourd'hui d'une façon notable, il faut donc distinguer deux périodes : l'une du 3 au 30 mars, la seconde du 1er au 15 avril.
ois de plus, l'existence en pathologie de cette suppression isolée de l'une des formes de la mémoire. Il s'agit, dans ce ca
qui jouit, comme on le verra, même après l'accident qui l'a privé de l'une de ses plus brillantes facultés, d'une grande act
ctions qui, lorsqu'elles sont portées au plus haut point, constituent l'une la surdité, l'autre la cécité verbales. Ainsi, qu
la rigueur, les faire confondre, quoiqu'elles soient bien distinctes l'une de l'autre. Il existe encore une autre forme d'
a paralysie pseudo-hypertrophique de Duchenne? Non Messieurs, ni dans l'une , ni dans l'autre exactement. Il paraît s'agir, en
ement dit sénile. Yoici deux femmes atteintes de ce tremblement: chez l'une , la nommée La..., âgée actuellement de 73 ans, la
entent à des degrés différents les symptômes de la chorée rhythmée. L'une d'elles, la nommée Flor... vous est connue déjà.
année, et avec grand intérêt, les séances de spiritisme que l'amie de l'une d'elles venait présider tous les deux jours. Cett
e débutentpas immédiatement après lui ; c'est-à-dire qu'à l'époque où l'une des victimes de la collision, qui aura été attein
cle et cousines germaines de la mère épileptiques ; deux filles, dont l'une est hystérique, l'autre hystéroépileptique. Vous
phénomènes que Beard lui assigne dans sa remarquable monographie est l'une des affections nerveuses qui se développent le pl
solument, toujours les mêmes caractères que l'atlaque provoquée. Dans l'une d'elles qui a eu lieu pendant la nuit du 17 mars,
e la sensibilité. Mais une telle altération portant exclusivement sur l'une des cornes antérieures et sur une région très lim
us venons de passer en revue. Ici, il ne saurait être question que de l'une de ces lésions qui échappent à nos moyens actuels
bientôt ; à huit ou dix centimètres de l'œil elles sont bien séparées l'une de l'autre et très nettes. De plus, au moment où
iste chez le premier plusieurs plaques hypéreslhésiques hystérogènes, l'une située sous le sein gauche, une autre sur chacune
eur de long et travaille à la machine dite scie droite, au service de l'une de nos grandes Compagnies de chemin de fer. Le 13
lades ignoraient absolument notre intervention et croyaient fermement l'une et l'autre s'être heurté la hanche pendant une at
utres enfin, mieux doués sous ce rapport que les précédents, tantôt l'une , tantôt l'autre de ces représentations ou encore
cliniques différents, suivant qu'il s'agira d'individus appartenant à l'une ou à l'autre de ces catégories. J.M. C. III.
on seulement homologues, mais, pour ainsi dire absolument superposées l'une à l'autre. En somme, Messieurs, il n'est pas be
ns les deux autres, d'une hémiplégie avec intégrité de la face ; dans l'une de ces deux dernières observations, il y a prédom
l'âge de 3 ans; deux sœurs sont mortes de phtisie, à 24 et 26 ans. L'une d'elles était sujette à des crises de nerfs et à
ui-ci) que se résume le matériel de la faculté du langage ; supprimez l'une quelconque de ces mémoi res partielles et vous
sont rattachés au monde extérieur par deux' lignes (double flèche) : l'une centrifuge, l'autre centripète; c'est que, tout e
ue permanente d'origine traumatique. — Deux observations reía tives l'une à une femme, l'autre à un homme. — Hérédité. — Gr
22 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
et même lésion siégeant dans l'un des pédon- cules cérébraux, dans l'une des moitiés de la protubérance ou du bulbe, peu
étaient porteurs de la même malformation. Il a deux soeurs qui, ni l'une ni l'autre, ne présentent rien d'anormal, ainsi
tête bifide sur laquelle on distingue deux surfaces articulaires : l'une destinée à l'auriculaire normal, l'autre au doi
par une seconde pièce plus petite dirigée en dedans et constituant l'une des dents de la pince. 44 ALBERT LONDE ET HENRY
lièrement, de manière à représenter deux secondes phalanges placées l'une à côté de l'autre. Chacune de ces phalanges éta
uméros de ce journal même. Je prie donc le lecteur de se reporter à l'une de ces trois publications (1). Je me contentera
issance dé deux formes de marche sportive entièrement différentes : l'une que nous avons observée par nous-mème, l'autre qu
t pathogéniques tous différents. Ce- sont deux exemples nouveaux de l'une et de l'autre variété de l'in- fantilisme que n
atres, un peu alrophiques existaient sur le côté gauche du front; « l'une partant de la tête au sourcil gauche, mesurant
deux enfants bien portants. Sa femme a fait deux fausses cou- ches, l'une il cinq et l'autre à six mois. Le malade nie tout
s puissants faisceaux qui entre dans la composition du quadriceps : l'une des rotules attirée en haut peut être alors plu
était composée de deux feuilles, que l'on pouvait facilement séparer l'une de l'autre. Toute la cavité du crâne, était par
ontrer des cellules avec chromatine et des cellules sans chromatine l'une près de l'autre. Pourtant vers la fin de Fio. 9
Liétard, il s'agit vraisem- Llablement d'une étude de Teniers pour l'une de ses nombreuses scènes de chirurgie populaire
x, n'est pas moins attentif. A gauche, deux femmes et deux enfants. L'une d'elles, jeune, un capu- chon sur la tète, tien
ilieu une table de- vant une fenêtre; à gauche, une porte, ouvertes l'une et l'autre sur la cam- pagne ; une cage pendue
mais. Lorsque la malade essaie démarcher, ses jambes s'embarrassent l'une dans l'autre, et elle tombe tantôt d'un côté, t
ux nerfs acoustiques. Sans doute deux tumeurs symétriques, siégeant l'une à droite, l'autre à gauche, aux points où le ne
jet de savoir à quel genre de sensibi- lité de la peau est destinée l'une ou l'aulre terminaison nerveuse prouve que nous
le aux pi- qûres. Les petites parties de la peau, qui sont à côté l'une de l'autre, ne possè- dent pas au même degré de
dans les comptes rendus de la Société pathologique de Londres. Dans l'une d'elles, il exis- tait une synostose si complèt
s quelques dents que je constate sur lui, à l'âge d'un an, en 1890, l'une (incisive médiane supérieure droite) présente s
tologiques du renflement lombaire, ne constata pas de diminution de l'une des cornes antérieures, pas-de sclérose : Il fa
rva pendant longtemps. Etat du malade en 1836. - Mâchoires accolées l'une à l'autre. Mouvements des lèvres libres. 11 se
ement dans les pectoraux, grands dorsaux et masses sacro-lombaires. L'une d'elles, longue de 10 pouces 1/2, large de 8/10
extrémités; la portion sternale offre seulement des bandelettes, dont l'une siège à la partie moyenne du musclé, près du st
t la courte portion du biceps. Il se bifurque en deux branches dont l'une suit le tendon commun au coraco-brachial et à la
physes s'insèrent sur l'extrémité inférieure de l'humérus gauche ; l'une d'elles, partie du condyle interne, se prolonge
de la clavicule, la masse excuse se divise en forme de fourche dont l'une des branches se lixe au tiers externe de la cla
sur le bord inférieur du muscle, partent des expansions osseuses ; l'une d'elles, arciforme, va vers l'angle inférieur de
en haut,elle envoie également une lamelle, qui bientôt se bifurque, l'une des branches va sous la portion claviculaire du g
sseuses qui se prolongent dans les adducteurs et le droit interne ; l'une d'elles, très volumineuse, suit le trajet du pe
cervical se divisant au niveau de la 7° cervicale en deux branches, l'une allant horizontalement en dehors, l'autre en ba
de l'autre étaient ainsi manifestement en rapport et s'expliquaient l'une par l'autre. » En géné- ral, lorsqu'un organe e
u même côté étaient, comme les organes auxquels elles se rendaient, l'une beaucoup plus petite, l'autre sensiblement plus
e frontal hypertrophié est le siège de deux saillies plus marquées; l'une d'elles occupe la région de l'apophyse orbitaire
e l'écorce cérébrale amincie, en forme de mem- brane. Ainsi donc, l'une des causes les plus fréquentes des monstruosi tés
s, elle eut il la tête des tuméfactions comme des noisettes situées l'une à l'occiput, d'autres à la partie supérieure de l
eau est mobile à leur niveau. Les mieux développées siègent au dos. L'une d'elle commence dans la profondeur de l'ais- se
ie et dure. Des angles de cette masse partent deux cordes osseuses, l'une il droite et l'autre à gauche ; elles se termin
rand pendant sa vie ; il devient plus illustre encore dans la mort. L'une de nos gloires nationales les plus pures, il rest
le soit touché. Nous n'avons pas l'intention de nous occuper ici de l'une ou de l'autre de ces variétés. Le grand dentelé n
à l'atrophie d'origine spi- nale ou myopathique. Des trois autres, l'une concerne un homme qui, à la suite d'une chute d
toïcliea; Le tlastoïllo-la2caércll, qui se divise en deux portions, l'une antérieure el l'autre postérieure ; - Le trap
iodes sont moins distinctes, elles se confon- - dent successivement l'une dans l'autre ; : f ." .1 " 3u La myosite ossifi
édecine ou pour la peinture ? ' 11 apparaissait également doué pour l'une on l'antre carrière. La- borieux et réfléchi, i
ltait souvent une découverte précieuse, parfois même la révélation ( l'une maladie in- connue jusqu'ici. ' L'artiste, qu
s, Charcot couvrait le papier posé devant lui de rapides esquisses, l'une dans l'autre enchevêtrées. Tantôt un paysage, tan
23 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
ccède la suppuration et avec elle la destruction du tissu pulmonaire, l'une et l'autre révélées par l'expectoration purulente
été liées, un fil est passé à travers le filet de la langue et fixé à l'une des épingles qui servent à pratiquer une suture e
nsion considérable. Bientôt, elle forma deux tumeurs distinctes, dont l'une occupait l'espace compris entre les dents et la j
avance au niveau de la partie antérieure des lèvres, en les éloignant l'une de l'autre et ne laissant pour toute ouverture qu
e (nucléus) contient trois à quatre cents œufs ayant deux enveloppes. L'une externe, membraneuse, plissée, ratatinée (conserv
effectuer la superposition des plans pour constituer la région. Sur l'une et l'autre face des organes mobiles, on lit le no
tine et sur le corps vitré. Je dis sur ces deux parties de l'œil, car l'une est corrélative de l'autre, d'une manière absolue
in¬suffisance des données, ne peuvent être rapportés avec certitude à l'une des formes d'aphasie sus-mentionnées. Avons-nou
en disant qu'à la paume de la main il existe deux gaines synoviales: l'une externe, plus petite, qui accompagne le tendon du
ètres de diamètre et 5 à 10 millimètres de hauteur. Lorsqu'on détache l'une de ces croûtes, opération qui s'effectue avec ass
e résultat définitif des deux opérations faites à un mois de distance l'une de l'autre fut... une aggravation de l'état de la
un cordon fibreux qui se terminait de chaque côté en se bifurquant : l'une des branches de bifurcation était la trompe de Fa
ar reposait sur des faits de deux ordres : 1° l'action bien connue de l'une et de l'autre de ces substances sur l'iris ; 2° s
nscrit ; 2° sur la face postérieure de l'avant-bras, deux cicatrices, l'une enfoncée, l'autre plate ; 5° en avant deux autres
ossède seulement sa phalangine et sa phalangette ; elles sont placées l'une sur l'autre dans la demi-flexion. La jointure cor
ns. Les fontanel¬les. — Quoique l'artère radiale soit par sa position l'une des plus faciles à explorer, et tienne pour cela
simultanément deux ampoules et deux aiguilles sur le même cylindre. L'une des ampoules appuyait sur le cœur, l'autre était
dans le cas où l'affection est chronique, on aura à la placer dans l'une des quatre grandes classes que nous avons énuméré
l'observateur d'une façon aussi simple. Elles se compliquent souvent l'une et l'autre, de sorte qu'on pourra observer des lé
synoviale de l'articulation scapulo humérale qui forme deux saillies, l'une en avant vers le bord antérieur du deltoïde, l'au
us bizarres : tantôt ils ressemblent à des branches de corail, tantôt l'une de leurs extrémités est allon¬gée et aplatie en f
agies réflexes peuvent être produites par deux formes de congestion : l'une due à une paralysie vaso-motrice, l'autre con¬séc
ons pu déjà puiser dans notre première observation. En exposant ainsi l'une après l'autre l'histoire de nos malades tout en a
tion bien facile à constater. Les surfaces articulaires sont écartées l'une de l'autre par le liquide épanché, de sorte qu'on
e absolu, et si l'on représentait par deux lignes les oscillations de l'une et les oscilla¬tions de l'autre, ces deux lignes
24 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
ale d'un côté et la pathologie de l'autre, elle les relie étroitement l'une à l'autre en même temps qu'elle se confond avec e
décider si telle particularité de forme ou de structure appartient à l'une ou à l'autre. Les rapports qui relient l'anatom
un point où il se divise en deux branches secondaires qui s'écartent l'une de l'autre sous un 1 4° édition, fig. 141. 2
auses les plus banales. J'en ai dit assez, je crois, pour justifier l'une des proposi-sitions que j'émettais au début de ce
ordres de lésions se développent parallèle-ment, ou si, au contraire, l'une d'elles précède l'autre et do-mine en quelque sor
ux de pouvoir étayer nos descriptions de trois observations inédites. L'une de ces observations appartient à M. le docteur Mo
tisation chronique : « Dans le premier cas, deux excavations séparées l'une de l'autre occupaient la partie postérieure du lo
onie chronique avec la pleu-résie chronique partielle, en effet, dans l'une et l'autre cir-constance, il y a matité absolue,
smus chronicus. Stockholm, 1832, p. 18. 3 Paris, 1831, obs. 39, 44. L'une de ces observations est tirée des Annales de ha m
rait donc par un double abus du terme qu'on appellerait carnificalion l'une quelconque des lé-sions de la péripneumonie chron
ryonnaire ou de tissu réticulé, suivant que le follicule appartient à l'une ou l'autre des deux variétés i. Ainsi se trouve
blables à celles qui constituent la roséole typhoïde et des sudamina. L'une des observations qui se trouvent à la suite de l'
ait, sans effort, le diviser à l'aide du couteau en minces lamelles ; l'une de ces vertèbres (la troisième) était aplatie, co
quatre femmes, atteintes de cancer utérin, l'oblitéra-tion absolue de l'une des artères sylviennes par un caillot fibri-neux,
cas, l'existence d'un thrombus qui occupait l'extrémité inférieure de l'une des artères humerales et se prolongeait à une cer
de la symptomatologie et de l'anatomie pathologique de cette maladie, l'une des plus intéressantes du cadre nosologique, et d
e maladie, l'une des plus intéressantes du cadre nosologique, et déjà l'une de celles qui ont été le plus sérieusement tra-va
icularités principales qui nous paraissent avoir un certain intérêt : l'une est relative à l'état des globules rou- ges, et
nte du cœur. Cette concrétion se divise par en haut en deux parties : l'une pénètre dans l'artère pulmonaire, l'autre passe e
, assez liquide. Ce pus était contenu dans deux poches placées à côté l'une de l'autre, dont les parois blanches, assez ferme
ymptômes alaxo-ady-namiques 3. On a vu plusieurs fois dans les cas de l'une ou de l'autre catégorie survenir un ictère plus o
u dans le ventri-cule droit, et surtout celui d'un caillot adhérent à l'une des pe-tites végétations fibrineuses de la face v
cemment à la Société un foyer purulent dé-veloppé dans l'épaisseur de l'une des valvules mitrales. V. Sur la mort subite
vant cinq heures, elle se plaignit d'une légère douleur siégeant dans l'une des cuisses. La malade attribua celle douleur à l
de l'artère pulmonaire et l'oblitération des veines par un caillot ; l'une de ces alté-rations doit-elle être considérée com
re pulmonaire est donnée par l'observation IX. Dans ce cas, en effet, l'une des extrémités du caillot extrait de l'artère a p
t aux parois artérielles. La friabilité des membranes vasculaires est l'une des conséquences les plus or-dinaires del'artéril
rois dégénérées d'une tumeur anévrismale, la présence ou l'absence de l'une ou l'autre des tuniques artérielles et que, par c
se rompre dans le ventricule droit ; dans le ventricule gauche ; dans l'une ou l'autre oreillette ; dans l'artère pulmonaire
uche ; dans l'une ou l'autre oreillette ; dans l'artère pulmonaire ou l'une de ses branches : dans la veine cave inférieure o
ns reposaient directement sur le pansement ; et le doigt, plongé dans l'une ou l'autre des deux ouvertures, parvenait, sans r
re cancéreuse ou tuberculeuse, coïncident avec les signes généraux de l'une ou l'autre diathèse. Elles pré-sentent une matité
la toux et d'autres symptômes ration-nels sont quelquefois communs à l'une et l'autre maladie. Quand les signes physiques fo
mi-nale. Cette règle n'est cependant pas absolue, ainsi que le prouve l'une des observations de Gairdner. Le cancer du pylo
poumons, du cœur ou des gros troncs vasculaires qui en émanent: c'est l'une des variétés de l'angine de poitrine. Il est évid
emps le mémoire d'Aran, sur l'ouverture des anévrismes aortiques dans l'une ou l'autre oreillette, le travail de Wade, sur le
able, peuvent s'arrêter dans la portion terminale de l'aorte, ou dans l'une de ses bifurcations primitives. b) A une distan
ication intermittente observée dans un cas d'oblitération complète de l'une des artères iliaques primitives 1. L'observatio
des hémorragies gastro-intestinales plusieurs fois répétées, et dont l'une , d'une intensité extrême, a déter-miné la mort.
ion intermittente observée dans un cas d'oblité- ration complète de l'une des artères iliaques primitives....... 572 VIII
25 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
e quelque chose d’efïicace pût se rencontrer dans sa médecine ou dans l'une des vôtres, est-ce qu’il n’y aurait pas eu recour
associations, soi-disant confraternelles, les médecins qui pratiquent l’une ou l'autre de ces méthodes. D'autre part, l’ill
n soulagement. Mais en prenant pour la première fois une cuillerée de l’une des potions, elle a dit que le médicament devait
mun les phénomènes que nous produisons à leurs regards. Si c’est « l'une force de la nature qu’émanent les merveilles que
équentes,des •théories plus ou moins hasardées, se détruisant souvent l’une l’autre; mais aucun système rationnel, basé sur d
ie, reconnut que deux potions douli elle ignorait le contenu, avaient l’une un goût de soufré, l’autre un goût d'ail; la prem
er- vatio», le talent et la facilité d’élocution ne manquant ni à l'une ni à l'autre des parties opposées. n Je vous de
arées par l'Atlantique, mais même entre deux personnes assises auprès l’une de l’autre et qui 11e manifesteraient leur pensée
e l'autre, comme s’ils étaient deux personnes distinctes et séparées, l’une dans l’état ordinaire et l’autre dans la crise. D
de magnétisme , donnée par M. X..., qui magnétisait deux dames, dont l’une jouait très-bien aux cartes pendant son sommeil m
e. Dans cet état, je la faisais voyager et il arrivait de deux choses l'une , ou elle ne faisait, lorsque je l’envoyais dans d
ité , unit ensemble les molécules matérielles et les tient enchaînées l’une à l’autre; mais cette cohésion elle-même nous pré
ture, lorsqu’il est simple, est soumis soit en plus , soit en moins à l’une de ces deux influences : plus il est pur, plus ce
es deux influences, soit qu’il y ait égalité de composition, soit que l’une ou l’autre domine. Toutefois, comme tous les corp
à un degré différent et suivant une certaine échelle de gradation, de l’une ou de l’autre de ces influences, les mots positiv
lle se frictionna avec une sorte de frénésie, changeant de main quand l'une était fatiguée, — Laissez-la faire, dis-je, jus
ères de voir conduisent à des résultats extrêmement différents : dans l’une , une simple contravention de police et une amende
r. Elles se consultèrent, se levèrent et me liront signe d'approcher. L’une d’elles s’agnouilla devant ma mère, et cacha sa
remis aux mains d’une personne de la société. Elleest priéede choisir l’une des faces du dé et de le tourner devant elle, de
e. «Seconde expérience: Une personne C3t priée d’écrire son nom sur l’une des cartes du casier, qui est ens iite mêlée aux
né cette réponse. 41. Tréfeu le fait entrer. Le cardinal sort et tire l’une après l’autre des cartes qui laissent voir le chi
— nous dirons que si deux substances distinctes constituent l'homme, l'une matérielle et l’autre immatérielle, ce que, du re
Ï59. 10 on quelque sorte sa personnalité, qui est comme absorbée, l'une manière extérieure seulement, il est vrai, par so
cherché à stimuler leur zèle à l’occasion de deux brochures récentes, l'une de M. Mabru, l’autre de M“* Mongruel : tous deux,
nt dans la rue, s’arrêtent et entament une conversation assez animée. L’une de ces dames, que je sais sensible à l'action mag
mative. Alors on fit asseoir les deux femmes sur deux chaises placées l’une près de l’autre, leurs talons reposant sur des co
mille de médiums disséminés dans une foule de contrées fort éloignées l’une de l’autre, se fussent concertés pour exécuter to
dans mon salon où je me trouvais avec les malade«, allaient au-devant l’une de l'autre* se prenaient par la main, s’embrassai
it aussitôt en elles. Alors les malades consultaient indifféremment l’une ou l’autre de ces somnambules, et il était bien r
uand un malade désirait les consulter toutes deux, la prescription de l’une était en général approuvée par l'autre. Cependant
cendante du côté du néant, une série ascendante du «côté de lui-même. L’une vous est connue par vos propes « sens et parles i
uilibre des deux forces de la lumière astrale ; augmentez l'action de l’une des deux, l’autre cédera aussitôt. Or, si l’appar
e, nous trouvons devant les olives deux corps appelés pyramides, dont l’une occupe la droite et 1 autre la gauche. Eh bien, d
trouve encore divisé horizontalement en deux cavités qui communiquent l’une avec l’autre. La cavité supérieure ou oreillette
le toucher, elle reconnut, au milieu de plusieurs pièces de monnaie, l’une d'elles sur laquelle on avait soufllé, et elle an
r au soir pour la première fois, grâce à la bonno volonté d’un ami, à l’une de ces séances gratuites rue J.-J. Rousseau, 12,
on du Potet. « L’ami désigné plus liant, M. G...... et M“' de...... l’une de mes parentes, avaient voulu m’accompagner.
nt martyr. Mais un jour, partie de Carthage, elle s’était arrêtée sur l’une de ses terres, au bord du (leuve Bagrada, quand,
Brougbam. « Et, se carrant dans son fauteuil, il croisa ses jambes l’une sur l’autre, se moucha, jeta les yeux autour de l
«On l’entoure, on écoute avec anxiété..., et sa bourbe laisse tomber, l’une après l’autre, les lettres suivantes : « C, H,
le vrai ou le faux de cette science encore au berceau, et d’en faire l’une des branches de l’art de guérir, réservée exclusi
i deux cordes de même longueur et de môme tension sont placées auprès l’une de l’autre, et que l’une d’elles soit mise en mou
gueur et de môme tension sont placées auprès l’une de l’autre, et que l’une d’elles soit mise en mouvement par un archet de v
ront à l’unisson quand elles seront posées sur une même table et près l'une de rautre. C’est en vertu du même principe que de
istre appel au prince des enfers, éprouvèrent une pénible émotion, et l’une d’elles avoua qu’elle ne pouvait envisager sans e
ement, il le prie de fermer la bouche. 11 lui presse alors les lèvres l’une contre l’autre avec le bout de ses doigts, et lui
ération de M. Dar-ling. Quant aux résultats, ils sont identiques dans l’une et l’autre méthode, à tel point que sous ce rappo
26 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
es cri novembre 1880 à la réception temporaire des malades du dehors, l'une pour les femmes, l'autre pour les hommes^ Les l
laire cérébro-spinale,que nous avons observée il y a quelques années, l'une des plaques scléreuses avait envahi, vers le mili
ophie progressive liée aune lésion irritative des cellu-les motrices. L'une , protopathique, relève exclusivement delà lésion
guère possible de rattacher la production des douleurs fulgurantes à l'une quelconque des lésions suivantes : 1° atrophie de
éterminer l'irritation. — Une ulcé-ration végétante, qui siégeait sur l'une des valvules sigmoïdes de l'aorte, paraît avoir é
éciable. — A la queue de cheval, du côté gauche, on trouve, accolée à l'une des racines spinales postérieures qui donnent ori
ique, bien qu'elles soient, à tous égards, parfaitement indépendantes l'une de l'autre. Toutes 1. Archives générales de méd
nc d'établir un parallèle entre ces deux affections, en les comparant l'une à l'autre sous le triple rapport des symptômes, d
es émotions morales vives. Cette dernière cause parait assez commune. L'une des malades que vous avez vues fut atteinte dans
qu'elle est tirée hors de la bouche. Parfois les lèvres sont accolées l'une contre l'autre, comme serrées, de telle sorte que
antes en avant, comme s'il y avait une contraction qui les maintienne l'une contre l'autre ; il s'ensuit que les sillons naso
s : les lèvres s'écartent ii peine, les mâchoires sont comme accolées l'une contre l'autre. La langue est animée d'un tremble
ou provoquées par certaines attitudes, trémulations qui caractérisent l'une des variétés de l'épilepsie spinale. Ces derniers
ativement à l'étiologie et à la thérapeutique de cette affec-tion. Ni l'une ni l'autre ne comportent de longs développements,
e, trois paraissent relatifs à la paralysie agitante (2 femmes âgées, l'une de 51 ans et l'autre de 61 ans et un homme âgé de
cet état de dépression mentale, des troubles psychi-ques qui revêtent l'une ou l'autre des formes classiques de l'aliénation
e davantage en relief le rôle vraiment prédominant de lovaralgie dans l'une des formes de l'hystérie. ^émmmmmm Vous xrene
ave, je veux parler de 1 liystéro-pp ile\ « ie. Supposons que, chez l'une de ces femmes, l'accès vienne d'éclater. La malad
x pour pouvoir faire passer sous vos yeux deux malades qui présentent l'une la forme hémiplégique, l'autre la forme paraplé
ement l'épilepsie, ce n'est pas seulement l'hystérie; c'est à la fois l'une et l'autre. Telle est, je le répète, la doctrin
ue cela ne soit pas démontré, que les sujets qui sont sous le coup de l'une d'elles soient, par là même, prédisposés à contra
ans l'hystéro-épilepsie, existent simultanément et marchent sans agir l'une sur l'autre d'une manière sérieuse, chacune d'ell
pigastre et n'affecte pas, en tout cas, la tête seule et d'emblée, ou l'une des extrémités, ainsi que cela a lieu dans Xépile
d'une façon aussi régulière ; elles s'enchevêtrent parfois et, tantôt l'une , tantôt l'autre, prédomine. Chez la nommée C... e
ne activité, nous les avons vues déterminer, très fréquemment, tantôt l'une , tantôtl'autre phase de l'attaque et quelquefois
est obligée de tourner le corps. Quelquefois les lèvressont accolées l'une contre l'autre, mais, le plus souvent, la bouche
oitié gauche. Maintenant les lèvr'es sont presque toujours accolées l'une à l'autre, la supérieure est ramassée, plissée ;
t raides toutes les deux. Les arcades dentaires ne sont pas pressées, l'une contre l'autre. Il semblerait que la malade rap
extension. La malade parvient, mais avec une grande lenteur, à porter l'une et l'autre de ses mains à la face. Les membres
une partie de son temps assise surunfauteuil, plaçant sur une chaise l'une ou l'autre jambe. — Front plissé; pattes d'oie tr
de la guérison. — Nouvelle observation (Planches VII et VIII.) Dans l'une de ses conférences cliniques de l'an dernier à la
, de l'impossible et de l'illogique. Ces attitudes sont fort variées, l'une des plus communes est l'arc de cercle: la ma-lade
nai-rement les hallucinations de la malade ; le tableau a deux faces, l'une gaie et l'autre triste : dans l'ordre gai, la mal
première période : « La face se gontle... Les mâchoires se serrent l'une contre l'autre, de manière à produire le mâchonne
Coupe horizontale du cervelet, faite de façon à reployer facile-ment l'une sur Vautre les deux parties ainsi divisées symétr
27 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
inisme proprement dit est plus manifeste dans d'autres pein- tures. L'une d'elles représente un personnage entièrement nu,
leur donne une grande puissance. Les cuillers exactement appliquées l'une sur l'autre sont courbées sur les côtés pour pe
e sonde creuse (L) à double courbure, avec une ouverture ovalaire à l'une des extrémités. On a trouvé aussi des sondes pour
nt solidaires les unes des autres dans l'écartement qu'on imprime à l'une d'elles seulement. Lorsque l'ins- (1) D. : lloa
ment est fermé, c'est-à-dire quand les trois valves sont appliquées l'une contre l'autre, il est environ de la grosseur du
gine des '1"° et 2° paires dorsales, renferme deux grosses tumeurs, l'une gauche, l'autre droite, FIG. 13. Moelle cervico
droite plus basse (Fig. 13) ; mais elles sont assez peu dis- tantes l'une de l'autre, pour que, sur certaines coupes, dans
blancs, colonne grise, racines. Nous ne décrirons donc en détail que l'une d'elles, la tumeur gauche supérieure, par exemp
teur de la gomme droite, les deux artères sont totalement envahies, l'une d'elles, même, présente, d'une façon indubitabl
catégories utiles, pour les be- soins de la description, à séparer l'une de l'autre. La première comprend les enfants mo
la vie aucune marque de syphilis, ni aucun symptôme mor- bide. Chez l'une d'elles, il y avait une débilité extrême ». Che
Marguerite, dans l'église de Ste-Marguerite, à Cortone (1). Dans l'une , on voit des infirmes venant implorer leur guéris
es a;b5' t vue des phénomènes paralytiques. En résumé, il s agit ( l'une malade qui, a I âge de 49 ans, est prise de phé
alement. . L'articulation de la hanche des deux côtés est le siège ( l'une luxation en ar- rière,; la cavité cotyloide est
empêchait pas du reste d'être anormalement et fâcheusement mobiles l'une sur l'autre. - On le voit, quelque peu nombreus
ditions seules ne suffisent point. En effet, dans certains états où l'une et l'autre se trouvent réalisées, nous n'avons
l'ab- sence de ces attitudes chez ceux qui manquèrent seulement de l'une d'entre elles : amyotropliques (perte de la ton
oumis au traitement pouvaient être'divisés en trois catégories : 1° L'une , la plus nombreuse, comprenant 71,31 0/0 des obse
ues Martin, qui, de sa femme Junille Chai- gnet, eut cinq filles. L'une d'elles, Geneviève, alors âgée de trente ans, éta
etères, qu'il n'y a que l'examen de la dis- position de la malade Ù l'une ou à l'autre de ces affections, qui puisse aide
e passagères, s'accompagnent fréquemment d'a- trophie musculaire. L'une et l'autre marchent de pair; l'évolution de l'atr
e l'atrophie qui se montre le plus souvent à la période d'état; que l'une , la lrc, est passagère et curable, l'autre stab
z B... n'est pas localisée à la langue. Si on lui met la jambe dans l'une des positions sur lesquelles MM. Frenkel et Fau
nt la vie aucune trace de syphilis, ni aucun symptôme morbide, Chez l'une d'elles il y avait une débilité ex- trême. .
pas de prolongements apparents. Sou- vent sur une coupe, on trouve l'une des cornes antérieures plus atteinte que l'autr
orte en deux moitiés suivant un diamètre légèrement obli- que. Dans l'une sont refoulées les racines serrées lès unes contr
ous ne connaissons pour le moment que deux Opérations sur l'épaule, l'une de D. Teniers le Jeune, l'autre d'Adriaen Brouwer
en jeu une polynévrite ou une myélite. Je crois avoir mon- tré que l'une et l'autre de ces deux éventualités se trouvent r
e forme ataxique pure, qui offre de la ressemblance avec le 'tabès, l'une et l'autre forme relevant d'une névrite multipl
l y a une amaurose alcooli- que, il existe une amaurose arsenicale, l'une et l'autre curables. De même qu'il y a un tremb
e LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 353 réduite à l'une de ses moitiés où se distingue encore assez nette
pant pour ainsi dire en deux parties le contenu du canal rachidien, l'une en avant de la fente est formée par la moelle t
er envahi par la tumeur qui refoule les deux méninges et les sépare l'une de l'autre, celles- ci conservent leur structur
'ongle figure assez bien, mais très atténuées, deux vagues séparées l'une de l'autre par une légère dépression intermédiair
eau du thorax, on voit très nettement une double bosse, ré- pondant l'une à la saillie sternale et l'autre à la cyphose cer
28 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
cinq ans, et fut... ; (,7e : wnc), sont atteintes ; elles ont guéri l'une sans " complications, l'autre après avoir offer
gâteux. ' « Deux cours, de dimensions également très restreintes, l'une de 16 mètres sur G, l'autre de 18 mètres sur 12,
écial. et en même temps devrait être astreint à suivre les cours de l'une des Ecoles d'infir- mières. Ce n'est qu'à cette
é deux enfants bien portants; deux sont vivantes et bien portantes; l'une a cinq enfants bien portants. - Pas d'aliénés,
on se rapprochent de la ligne médiane, les faces des mains tournées l'une contre l'autre, les poings fermés et les membre
le il fut traité à l'hôpital. En 1886 il eut treize attaques. -Dans l'une d'elles, il s'est cassé deux DEUX NOUVELLES OBS
nnent plus fréquentes, revenant tous les huit ou quinze jours. Dans l'une d'elles, il fut victime d'un escroc qui le déva
tre, puis sur le dos, et encore sur le ventre, les jambes allongées l'une contre l'autre; le bras gauche allongé le long
s curieuses qne nous avons publiées à des époques différentes ( l). L'une d'elles, celle de l'enfant Merl..., est compara
inférieur droit croise complètement le gauche, les cuisses collées l'une contre l'autre, le genou droit reposant par la
fication est plus avancée. Nulle part les dentelures ne chevauchent l'une sur l'autre. Au niveau de l'angle antérieur des
euse, irré- gulière, bien développée, et montre deux incisures dont l'une complète (l'inférieure) sépare cette circonvolu
pariétale mo- yenne est dédoublée en avant en deux branches allant l'une au sillon port-rolandique, l'autre descendant p
étal inférieur; cette scissure est également dédoublée en arrière : l'une de ses branches va se perdre en avant, l'autre
descend en serpentant et se divise en bas en deux branches allant, l'une à la partie postérieure de la bran- che antérie
es, observées la suite des accès se manifestaient sous deux formes, l'une mélan- colique, l'autre maniaque. Dans la premi
te que les faces internes des lobes frontaux ne sont pas adhérentes l'une à l'autre; elles ne sont pas non plus acccolès
nte une double origine. La première et la 2me pariétales sont unies l'une à l'autre par un pli au-dessous du pli courbe.
t encore ajoutée aux précédentes : l'asphyxie à la naissance. C'est l'une des causes que nous rencontrons le plus souvent
paternelle et d'être retrouvé à la préfecture de police. C'est dans l'une de ces fugues qu'il aurait eu peur, car à la suit
dur au toucher. Deux petites tumeurs de même volume se rencontrent l'une sur le pied de la pariétale ascendante, l'autre
29 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
de, nom deD..u! » — Une jeune fille âgée de quinze ans, appartenant à l'une des premières familles de la ville deX..., jeune
nt accusé l'existence de deux formes bien distinctes de l'affection : l'une relativement bénigne, quelque intense et douloure
; tantôt, au contraire, l'hystérie est seule présente, tantôt enfin, l'une et l'autre se montrent coexistantes, combinées en
la faire marcher ses jambes se fléchissent sous elle, s'embarrassent l'une dans l'autre, et si on ne la soutenait pas elle t
a été frappé de paralysie infantile. Nous avons mentionné déjà que l'une de ses sœurs, plus jeune que lui, se livre volont
x, par le concours de circonstances provocatrices appropriées, tantôt l'une , tantôt l'autre des espèces morbides dont l'ensem
ire pathologique de B...ot l'existence de deux périodes successives : l'une , la première, marquée par la production de la par
ns, les plus vulgaires et la diathèse nerveuse s'associent volontiers l'une avec l'autre pour créer, en clinique, les combina
ertainement peu commune. Plusieurs points ou plaques hystérogènes : l'une d'elles, la principale, occupe l'aine et une part
gle, c'est la neurasthénie et l'hystérie, soit isolées soit combinées l'une avec l'autre en proportions diverses, qui s'offre
son de deux névroses parfaitement autonomes, d'ailleurs indépendantes l'une de l'autre nosographiquement, mais qui semblent a
pendantes l'une de l'autre nosographiquement, mais qui semblent avoir l'une pour l'autre une grande affinité et coexistent en
s antérieures de substance grise, tantôt aux deux, tantôt seulement à l'une d'entre elles ; j'ajouterai, que même dans les co
marquer souvent, que dans deux affections en apparence fort éloignées l'une de l'autre, à savoir l'ataxie locomotrice et l'hy
'autre, à savoir l'ataxie locomotrice et l'hystérie. S'agit-il ici de l'une ou de l'autre ? Avant de rien décider laissons pa
e d'affinité qui fait qu'on les rencontre très vulgairement combinées l'une avec l'autre dans des proportions et dans des rel
ent de souplesse. Il semble que les apophyses épineuses soient fixées l'une à l'autre; ces mouvements sont d'ailleurs extrême
ouleurs du mal de Pott. D'autres plaques de même caractère se voient, l'une au niveau du creux poplité du côté droit, l'autre
e s'est manifesté à la suite de quelques séances, puis, à la suite de l'une d'elles, une véritable syncope ce qui a nécessité
une série d'oscillations.de trépidations menues, brèves, se succédant l'une l'autre avec une grande rapidité. De tous-les 3
entre les deux névroses rivales, comme une lutte pour la prééminence, l'une cédant le pas lorsque l'autre paraît, et inversem
técédents de MmeP... signale dans son passé deux attaques d'hystérie, l'une à l'âge de 19 ans, l'autre à l'âge de 20 ans ; ma
re » pendant lesquels elle ne perdait connaissance qu'incomplètement: L'une de ces attaques s'étant un jour prolongée beaucou
st marié, et depuis il a encore été sujet à des fugues du même genre. L'une d'elles entre autres a été remarquable à la fois
roubles gastriques dans Vataxie locomotrice progressive. Paris 1866.— L'une des observations publiées par l'auteur a été recu
ployé au ministère de la guerre. L'observation a été recueillie comme l'une de celles citées plus haut, à l'hôpital du Val-de
ite, il n'est plus aussi difficile, sans doute, de comprendre comment l'une de ces fonctions pourra être dérangée ou même com
ne lui reste plus qu'un frère. Ce frère s'est fracturé plusieurs fois l'une des cuisses sous l'influence de causes banales, i
tique. Ce frère a eu six enfants dont quatre sont morts en bas-âge. L'une des fillettes qui ont survécu, âgée aujourd'hui
euses créatures bien dignes d'exciter la compassion. On peut dire que l'une et l'autre ont été touchées du doigt par la fatal
mbes, elles sont restées depuis l'époque considérablement atrophiées, l'une et l'autre, surtout la gauche. De plus il s'était
otre homme. Mais ici.il y a de?, distinctions à établir. S'agit-il de l'une des formes quelconques des amyotro, hies spinales
'un mécanisme qu'il s'agira de déterminer ; il est possible aussi que l'une et l'autre relèvent au contraire, séparément, d'u
s symp-tomatiques lesquelles pendant longtemps les ont fait confondre l'une avec l'autre, mais dont le pronostic, quoad vitam
e une petite déchirure à peine roussie du pantalon, et une rupture de l'une des bottes. On comprend aisément qu'un choc beauc
e temps que, cliniquement, les troubles moteurs quiappar tiennent à l'une , diffèrent foncièrement de ceux qui appartiennent
ux sujets, les analogies paraissent fort étroites entre les deux cas. L'une de ces femmes, cependant, est atteinte de chorée
ndis que l'autre est sous le coup des tics généralisés; eh bien, chez l'une , comme chez l'autre, vous voyez ces mouvements oc
ères qui nous permettront d'établir, à coup sûr, cette distinction. L'une de nos malades, la nommée J... est âgée de 21 ans
s membres; pas de troubles urinaires, etc., rien en un mot qui révèle l'une quelconque des lésions organiques spinales connue
rtains points et présentait plusieurs ulcérations. C'est au niveau de l'une d'elles que s'est faite la perforation. cette f
s et celle d'employé aux écritures, professions qu'il a dû abandonner l'une et l'autre il y a cinq ans, en raison des progrès
our qu'il se chauffait devant une cheminée, il laissa se produire sur l'une de ses jambes, une brûlure au premier degré. Plus
énique des plus nets à l'hystérie. Si, actuellement, les symptômes de l'une et l'autre névrose se trouvent réunis chez ce mal
30 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
infirmer, ont, de plus en plus, manifesté à nos yeux l'évidence de l'une et de l'autre. En ce moment, pour un travail, d
ns et d'irritation en plus; ce qui explique la transition facile de l'une à l'autre. Le pro- nostic et le traitement doiv
e source de lumière, que deux bougies stéariques ordinaires placées l'une à droite, l'autre à gauche de la malade; chacun
ore les maladies qu'elle a pu faire ; elle avait deux hernies, dont l'une s'étrangla à soixante ans et fut opérée avec su
re mort de vieillesse à quatre-vingt-huit ans et demi. Deux soeurs, l'une bien portante, mère de sept enfants en bonne sa
. Quaud il revint, ses deux jambes étaient à peu près aussi faibles l'une que l'autre ; mais il pouvait encore marcher asse
d'autre part par une personne. Il s'avance les deux jambes serrées l'une contre l'autre, eu faisant de petits pas et en
ion cesse pour reparaître quand on lui fait croiser les deux jambes l'une sur l'autre : on voit alors le pied qui sup- po
peu d'esprit phi- losophique que de vouloir confisquer au profit de l'une d'entre elles, de l'expérimentation par exemple
l'aphasie ataxique n'est la paralysie. Il s'agit là de la perte de l'une des facultés de l'intelligence, celle d'inter-
la Société médico-psychologique, et doit être inscrite d'urgence à l'une des séances. Deux éminents aliénistes ' ont été i
ÉS SAVANTES. 133 permet pas encore d'asseoir un jugement précis sur l'une quel- conque de ces formes; l'examen minutieux
e III permet de s'en rendre compte. Deux courbes y sont tracées : l'une est un exemple remarquable de faible résistance;
e tra- vaux complémentaires qui ont fait de cette forme de vésame l'une des mieux connues dans ses symptômes, dans sa m
a maladie de Ménière confirmée. Elle se présente sous deux formes : l'une , grave, ne laissant nulle trêve au patient; l'a
ont tantôt dilatées, tantôt contractées; quelquefois (deuxième cas) l'une est dilatée, l'au- tre contractée. Lorsqu'il y
cès alcooliques déterminent la folie. En tout cas, le divorce, pour l'une de ces causes, ne devrait pas être prononcé san
) siégeant à la SOCIÉTÉS SAVANTES. 255 convexité, du côté gauche. L'une d'elles occupe la région supérieure de la sciss
en lumière deux observations communiquées par le docteur DnozDA. En l'une d'elles, il s'agissait d'un individu apporté sa
, d'après le Médical Record, n'apporte guère de preuve en faveur de l'une ou de l'autre opinion. Nouveau Journal. Nous ve
tstincts. (Braizt, p. 368 à 370, octobre 1881. ])Ctlx observations, l'une d'un homme avec des détails intéressants; l'aut
portées au suicide. Les hommes n'avaient aucun attrait pour elles; l'une d'elles a refusé plusieurs mariages; l'hymen ex
s; l'une d'elles a refusé plusieurs mariages; l'hymen existait chez l'une d'elles, et probablement les deux n'avaient jam
l'école, et plus tard elles étaient chargées d'emplois subalternes. L'une d'elles avait un bec-de-lièvre. Chez l'une, exi
s d'emplois subalternes. L'une d'elles avait un bec-de-lièvre. Chez l'une , existaient des périodes d'excitation et de dép
le soir, dans son lit, il reportait sa pensée, alternativement, sur l'une ou l'autre de ces jeunes filles, et il lui fais
- coup plus complexes. La cataracte diabétique est regardée comme l'une de ses formes. Elle peut coexister avec les lés
ré, résulte de l'excitation incessante déterminée par le frottement l'une sur l'autre de l'arachnoïde et de la dure- mère
on de la téré- benthine. Il y avait quelques contusions de la tête, l'une por- tant sur l'occipital gauche, et une autre
s la cavité crânienne la présence de trois nodosités sarcomateuses. L'une d'elles, de la grosseur d'un pruneau, développé
rts bourdonnements d'oreilles : deux observations à l'appui. Dans l'une il s'agissait d'une hystérique ovarienne dont les
arbitre. On se trouve alors en présence de deux théories : suivant l'une , la volonté agirait à la façon d'une force prép
31 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
, 67, et 37 malades). Juin : 5 dans les cours; 6 aux environs, dont l'une au parc de Montsouris. Juillet : 3 dans la ma
é pris du croup et a succombé. Les deux malades ont été placés dans l'une des chambres d'isolement du bâtiment des gâteux
sons longitudinal, ce qui serait d'autant plus facile qu'il y a, à l'une des extré- mités, deux portes correspondant cha
d'a- liénés (imbéciles ou idiots n'ayant plus d'accès), soit dans l'une des divisions de l'hospice (malades n'ayant plu
les formes déjà nombreuses que l'on peut distinguer dans l'idiotie, l'une des plus curieuses et des moins connues est ass
tuméfactions mollasses semblables à de petits lipomes diffus ( ? ). L'une d'elles est située à la partie droite de la bas
'une bonne CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 21 1 santé, non nerveuses, ont l'une , trois garçons, l'autre, un garçon, tous bien p
ns, on ne sait de quoi. - Deux suceurs bien portantes, sans goitre, l'une a deux enfants, l'autre quatre qui n'ont rien p
it seul avec la cuiller et la four- 1 L'asphyxie à la naissance est l'une des causes peut-être las plus fré- quentes des
chow, l'ossification pré- maturée des sutures, la synostose, serait l'une des principales causes du crétinisme. Or, nous
se ressemblaient tellement, que leur mise ne pouvait les distinguer l'une de l'autre. La simple inspection de la photogra
cissure de Sylvius. Il existe deux scissures parallèles frontales : l'une , plus postérieure, longe la fron- tale ascendan
rrondies, irrégulières, ayant 1 centimètre do diamètre, se touchant l'une l'autre, entourées .d'une zone d'un gris rougeâ
nsidieuse de la méningite tubercu- leuse, et aussi de l'histoire de l'une des formes de l'idiotie. Observation. Père mort
parents. Un frère jouit d'une bonne santé, ainsi que deux soeurs, l'une est mariée, a des enfants qui n'ont jamais eu de
aintenant, en dehors de ses colères; il aime à se frotter les mains l'une contre l'autre (son père fait souvent de môme)
plus souvent, Ren... place les deux mains sur la nuque, appliquées l'une sur l'autre. Sur la bourse droite, on constate
ec un sillon en Y, et présente deux courbes si- nueuses, répondant, l'une à la scissure frontale parallèle, l'autre au si
s crises nerveuses que l'on croit être de l'épilepsie. Deux soew's; l'une expatriée au Brésil; l'autre mariée, sans enfan
es antécédents au point de vue héré- ditaire. Nous rappellerons que l'une des grand'mères pa- ternelles de l'enfant était
ne des grand'mères pa- ternelles de l'enfant était épileptique; que l'une des grand'- mères maternelles était migraineuse
us du nombril, se trouvent quatre rides cutanées qui se réunissent; l'une des rides ou sillons cutanés descend entre les
t la tête penchée; ses mains sont ramenées en avant de la poitrine, l'une sur l'autre; il mar- che en traînant les pieds
la marche de la température centrale, nous offre deux ascensions : l'une qui répond à la période convul- sive, l'autre à
sillon qui se bifurque près de son origine en deux branches, dont l'une , l'antérieuro, est peu profonde et semble continu
32 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
olue est bien faite pour nous étonner. Prenons d'abord pour exemple l'une des affections les plus fréquentes dans cet hospi
âge sénile ; aujourd'hui, je me propose d'appeler votre attention sur l'une des affections chroniques qui se rencontrent le p
agit du rhumatisme articulaire chronique, qui con-stitue, à coup sûr, l'une des infirmités les plus ordinaires du sexe fémini
tudiant successivement ces deux maladies, pour les rapprocher ensuite l'une de l'autre, et les comparer entre elles. Peut-êtr
que, la goutte se présente sous deux formes principales, qui méritent l'une et l'autre une description spéciale. 11 ne faut
quelque temps, d'autant plus que cette étude vous permettra de saisir l'une des différences les plus essentiel-les entre l'es
endre. En second lieu, l'affection viscérale se présente souvent sous l'une des formes qu'elle revêt habituellement lorsqu'el
ces deux affections peuvent coexister, sans exercer aucune influence l'une sur l'autre. Nous reviendrons sur ce point. VII
de goutte bien authentiques ; mais M. Rayer a signalé l'existence de l'une et l'autre maladie, sinon chez le même individu,
chez tous les sujets d'une même famille. Garrod nous apprend que dans l'une des grandes maisons d'Angle-terre, l'aîné de la f
enne du gros orteil. Cela tient peut-être à ce que cette jointure est l'une des plus éloignées du centre cir-culatoire; cela
nconnnue à la Salpêtrière, le rhumatisme chronique est, au contraire, l'une des infirmités les plus communes dans cet établis
viscérales. L'endocardite et la péricardite, par exemple, constituent l'une des données fondamentales du rhumatisme articulai
t de ce qui existe dans la goutte aiguë, et c'est là, sans contredit, l'une des distinctions les plus im-portantes qui sépare
refois émise par Laënnec. 11 existe un certain degré de vérité dans l'une et l'autre opinion. L'endocardite existe, et la m
ocardite; c'est là un des côtés les plus originaux de la question, et l'une des conquêtes les plus récentes de la science.
n résulte des ramollissements, tantôt rouges, tantôt blancs, qui sont l'une des causes les plus fréquentes des hémiplégies ch
gines sur les phalanges. La première de ces deux lésions est sou-vent l'une des premières déformations qui signalent le début
ois Je point de départ du rhumatisme noueux. La grossesse est aussi l'une des causes de cette affection. Dans un travail qu
fond commun, une prédisposition articulaire, un état arthritique d'où l'une et l'autre tire leur origine. DIX-HUITIÈME LEÇO
de la même manière sur l'organisme, même en admettant qu'elles soient l'une et l'autre également efficace pour com-battre la
ésente deux courbes thermométriques que je veux mettre en parallèle : l'une concerne une femme de soixante-quinze ans, faible
us auriez, si vous n'étiez pas prévenus, grand peine à les distinguer l'une de l'autre. Aussi, lorsque Wunderlich (loc. cit.)
e avec laquelle elles se produi-sent, s'accommoderaient assez bien de l'une ou de l'autre de ces suppositions, que nous n'adm
é prises dans le cours d'une grossesse, accou-chèrent naturellement ; l'une d'elles allaita son enfant, bien qu'elle fût dans
trique et stethoscopique les signes évidents d'une affection du cœur. L'une de ces malades est âgée de soixante ans et l'autr
es, mais qui nous ont paru pouvoir être rapportés^ pour la plupart, à l'une quelconque des nombreuses cornées cristallines qu
surface chez les goutteux. Il distingue deux formes de lésion rénale, l'une portant sur le contenu épithélial des tubes, qui
ées, mais qui nous ont paru pouvoir être rapportés pour la plupart, à l'une quelconque des cornées cristallines que peut revê
us attentif fait reconnaître la présence de concrétions tophacées sur l'une et l'autre oreille externe, et d'un tophus au voi
appréciables. Il existe de nombreuses et volumineuses concrétions sur l'une et l'autre oreille externe. Trois de ces concréti
vité de l'hélix, au voisinage de l'extrémité supérieure de l'oreille; l'une d'elle consistait en une espèce de kyste du volum
veloppés au x^oisinage de quel-ques-unes des articulations des mains; l'une et l'autre oreille externe présentent des concrét
«3° Enfin, on peut observer des cas simples, purs, où l'in-fluence de l'une ou de l'autre de ces causes se dessine dans toute
dialgique, avec pyrosis. Il portait une petite concrétion tophacée, à l'une des oreilles, sur le rebord de l'hélix. Un accès
nt « faire la bouche de lapin » pour employer les expressions même de l'une des malades. Le tremblement envahit quelquefois
33 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
cepté la laine bleue qu'il dit noire. En lui montrant deux étoffes, l'une , bleue et l'autre noire, le malade dit qu'elles s
égorie peut être subdivisée en deux groupes. Comme représentants de l'une rappelons les malades, décrits par Ormerod, par
lus anciennes et différentes qu'il a totalement fait disparaître. L'une de ces habitudes évanouies aujourd'hui doit être
retenir aujourd'hui de l'amyotrophie Charcot-Marie, c'est-à dire de l'une des espèces morbides élevées sur les ruines de
u'à des'variations familiales, et il y aurait des cas de passage de l'une à l'autre. Mais, pour établir celle unité on s'es
cérébrale) occupant soit le lobe pariétal ou le lobe frontal, soit l'une et l'autre de ces régions, ou alors le lobe tem
représentation corticale absolument dis- tinctes et indépendantes : l'une siégeant au niveau du lobe préfrontal, l'autre
nc en deux 196 . LA SALLE ARCHAMBAULT voies nettement distinctes, l'une , la voie fronto-rubrique, l'autre, la voie oper
e deux voies motrices essentiellement et primitivement distinctes : l'une , la voie cortico-rubro-spinale laquelle régit l
é de leur siège, se trou- vaient néanmoins situées sur le trajet de l'une quelconque des voies afférentes du noyau rouge.
autre se rencontrent avec une certaine fréquence, la coexistence de l'une et de l'autre, non seulement sur le même indivi
ment avec la phalange. Sa hase présente deux facettes articulaires, l'une correspondant à l'extrémité inférieure du métac
nous nous trouvons dans l'incapacité de séparer ce qui appartient à l'une de ce qui appartient à l'autre. Il semble bien,
s deux observations de Joffroy (1), qui sont assez explicites. Dans l'une , la paralysie a suivi et dans l'autre elle a pr
e M. A. Léri. L'un de nous a eu l'occasion d'en publier trois, dont l'une suivie d'autopsie. On trouvera l'historique et l'
Thèse de Paris, 4f3. 298 SOUQUES, BAUDOUIN ET LANTUFJOUL cèdent : l'une est en apparence hure et simple, et l'autre est s
récises. Ici, dans une certaine mesure, cha- cun d'eux correspond à l'une des rangées carpiennes. Il ne paraît guère poss
e montre, pour les deux phalangettes, une forme nettement anormale. L'une et l'autre sont asymétriques, tout spé- cialeme
tout se passe comme si les deux formations osseuses convergeaient, l'une vers l'autre. Nous n'enten- dons pas dire que l
que nous puissions actuellement comprendre dans quelles conditions l'une ou l'autre éventualité se réalise. Le fait qu'e
pendant, son extrémité présente trois petites dépressions cutanées, l'une près du bord interne, l'autre près du bord exte
ions aux deux extrémités.- Ses deux lèvres sont en contact immédiat l'une avec l'autre, l'externe plus saillante que l'in
bsence congénitale du péroné est, de toutes les anomalies des os, , l'une des plus communes. Cliniquement étudiée par d'émi
tent une réserve prudente. A la vérité, on ne voit pas bien comment l'une ou l'autre pourraient aboutir à l'anomalie qui
de maladies qui, au point de vue pathogénique, n'ont rien de commun l'une avec l'autre. Il s'est rencontré maintes fois q
t qui, pourtant, au point de vue pathogé- nique, n'ont rien à faire l'une avec l'autre. Ces deux maladies sont l'épi- lep
es qui, au point de vue patho- génique, sont absolument différentes l'une de l'autre et qui, au point de vue clinique, se
haliqiie), car ce serait un travail presque interminable de séparer l'une de l'autre toutes les formes presque innombrabl
ssentielle. Pourtant, pathogénétiquemenl., elles n'ont rien à faire l'une avec l'autre : les maladies infectieuses susdites
que les épilepsies essentielle et cérébrale peuvent se transformer l'une dans l'autre ; ce spécialiste autorisé dit textue
- 382 BOLTEN braies et l'essentielle ne peuvenl jamais se changer l'une dans l'autre : la première est un processus pri
énie si diamétralement différente, ne peuvent jamais se transformer l'une dans l'autre, bien qu'elles se res- semblent be
riences sur l'épilepsie essentielle se complètent très heureusement l'une l'autre : grâce à des recherches poursuivies pend
rathyroïdes fonctionnant mal ne reti- reront rien de ce volet et ni l'une ni les autres n'en fonctionneront mieux. Cela n
dans la plus grande majorité des cas, être distinguées cliniquement l'une de l'autre ; les particularités de l'attaque au
l'irritabilité. L'instabilité, psychique, motrice ou viscérale, est l'une des caracté- ristiques de la débilité nerveuse
34 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
liôme perlé n'a généralement aucune tendance à s'étendre et constitue l'une des tumeurs les plus bénignes. Par contre, l'ép
de droite, je divise la surface cicatricielle en deux moitiés égales, l'une antérieure et l'autre postérieure. Cette incision
eux sutures adossées par leur base et par leurs surfaces saignantes : l'une que j'appellerai suture vaginale ou muqueuse, et
es demi-fléchies sur un coussin passé sous le creux poplité et fixées l'une contre l'autre à l'aide d'une serviette pliée en
. Ses lèvres étaient très épaisses au repos, elles restaient écartées l'une de» l'autre et l'inférieure était tombante. Son o
e plus souvent, sinon toujours, chez des sujets atteints de syphilis; l'une et l'autre affection se montrent rebelles au trai
ont analysé comme il suit un important mémoire de M. L. Lefort, lu à l'une des dernières séances de l'Académie de médecine :
erne du membre, vous avez peut-être remarqué deux petites cicatrices, l'une d'elles présentant en un point une petite ouvertu
ormale, on trouve, s'articulant avec elle, deux phalanges terminales: l'une interne, vers le bord radical, est simple et se p
articulée par son milieu, et que ses deux extrémités se sont repliées l'une sur l'autre. 8° Les quatre derniers orteils de
occupent le milieu de la région; elles sont libres et indépendantes; l'une d'elles est légèrement plus développée que l'autr
deux anus. Dans notre cas, il existe deux jambes bien développées; l'une d'elles est affectée d'un pied-bot. Entre ces deu
il génital externe se compose de deux vulves parfaitement conformées; l'une antérieure, est de beaucoup supérieure en volume
dies chirurgicales, se divise lui-même en deux sections principales : l'une consacrée au diagnostic des tumeurs en général, l
ectueux de cette opération. Il est en effet difficile de ne pas léser l'une ou l'autre corde vocale, et cette lésion est suiv
e bonne ventilation. Elle se compose de deux toiles, partout séparées l'une de l'autre, et qui livrent passage à une couche d
aux-tentes de campagne, sont une modification de la tente américaine. L'une sert de salle d'opération et de salle de garde po
de bifurcation à l'aide d'un presse-artère faisant office de robinet. L'une descendant jusqu'à terre se rendait dans une cuve
rètre ; calculs vésicaux) ; 2°,sur la périostitephlegmoneuse diffuse, l'une des mieux exposées et des plus complètes du volum
35 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
courbe indicatrice de la tension vasculaire doivent être conformes l'une à l'autre : il n'en est rien et ces deux courbes
ormes existent séparément, simultanément ou par trans- formation de l'une en l'autre ; peu importe aussi qu'elles aient d
dépression et d'excitation, mais fait des fugues indirectement dans l'une et l'autre. Il n'est d'ailleurs ni méchant, ni ma
érieures. Cette méningite avait deux localisations pré- dominantes, l'une aux parties antéro-latérales de la région cer-
lcux ca clur tlerjuunca lillcs gué- 1511 SOCIÉTÉS SAVANTES. ries, l'une par suggestion, l'autre par suggestion et corrucl
çaises de Divonnc-les-Cains (Ain) et Evian-les-Bains (lite Savoie), l'une et l'autre peu distantes de Genève et de Lausan
vidu, de deux pensées,de deux volontés. de deux actions distinctes, l'une dont il a la conscience, l'autre dont il n'a pa
nt;ces formes étaient aptes par conséquent à acquérir dans la suite l'une ou l'autre symétrie et celle-ci fut commandée a
ient bien orientées, il-faut que le mouvement d'un objet passant de l'une dans l'autre ne présente aucune discontinuité ; c
ehors. Donc,si les deux moitiés du champ visuel sont bien orientées l'une par rapport à l'autre, cela ne tient pas à l'or
ment des gros vaisseaux. : des deux artères omphalomésentériques, l'une disparaît toujours de bonne heure (la droite chez
ent puis se fusionnent ; puis les deux somatopleures se sou- dent l'une à l'autre sur la ligne médiane et forment pont
reconnus aliénés ; des aliénés dits criminels. Cette section est l'une des plus intéressantes ; elle comblera une grav
permis de la discuter : mais elle n'a encore été examinée que par l'une de nos grandes assemblées délibérantes ; des mo
revision'de la loi de 38 ont déjà vu le jour, ont été ballottés de l'une à l'autre Chambre qu'il est bien permis de supp
ts du mont Gencruso. La surface de l'asile comprend deux portions : l'une septentrio- nale, sur colline, de plus- de G he
ces, mais deux séries d'associations, séries dont, le plus souvent, l'une est réglée d'avance.Chez les sujets à synthèse
ce groupement s'accompagnera de paraly- sie ou d'anesthésie, ou de l'une et de l'autre diversement réparties. Si le grou
ALE DU CORPS. 20J attachée, De celle-ci il fait deux paits, rejette l'une et adopte l'autre : « La subconscience de M. Ja
pressions et états de conscience anciens, dont le réveil- constitue l'une des personnalités alternantes, ont eu leur sièg
ssibilité de trois per- sonnalités successives chez le même sujet : l'une d'elles (la normale, dit-il) étant celle de l'ê
celui d'un sujet qui « entretient en même temps deux conversations, l'une par écrit, l'autre verbalement. » (p. 38). Cet
talepsie est invitée à se laver les mains et les frotte vive- ment l'une contre l'autre. « Ferme-t-on un oeil du sujet,
raient parfaitement indépendantes ; elles seraient même étrangères- l'une à l'autre. Mais le rôle de l'Auteur était juste
le de l'Etre complet... est éner- gique, consciente et raisonnable. L'une et l'autre sont in- térieures car comment cottc
n rapport détaillé, conformément aux dispositions ci-des- sus, sous l'une des peines portées à l'article 63 ci-après : 3°
cesse également d'y être retenue dès que la sortie est requise par l'une des personnes ci-après désignées, savoir : 1° L
es d'alcool ont très nettement montré l'existence de deux périodes, l'une primitive caractériséo par la stimulation des c
térie soi-disant monosymptomatique est un mythe. Or il arrive que l'une de ces' manifestations s'expliquera par de l'amné
tantes. -, Notre écorce cérébrale est formée de deux parties : l'une postéro-latérale où sont répartis tous les centre
vie s'était déroulée normale- ment.La transformation progressive de l'une à l'autre, qui s'est faite inconsciemment, lui
quent : « Les facultés des deux individus ont donc réagi, celles de l'une sur celles de l'autre.... elles se sont multipl
celles de l'une sur celles de l'autre.... elles se sont multipliées l'une pàr l'au- tre et le résultat.... a été non une
volition ; intégration de ces faits en deux séries distinctes, dont l'une est quelquefois de son côté dédoublée (périodes
autant plus vraisemblable que les trois cons- ciences se raccordent l'une à l'autre : elles auraient donc quelque chose d
ience » à chaque étape considérée. L'Auteur reconnaît deux périodes l'une où la vie psychique est tout entière l'oeuvre d
de cinquante francs (50 fr.) à trois mille francs (3.000 fr), ou de l'une de ces deux peines seulement. ART. 65. - Toute
e amende de seize francs (16 fr.) à deux cents francs (200 fr.). ou l'une de ces deux peines seulement. Toute personne pr
l'époque ces croisades d'enfants qui succédèrent aux autres et dont l'une dut être rapatriée, du moins ce qui en survivai
igestives et aériennes supérieures. Les deux questions restées dans l'une étaient : Métrorrhagies, Coma. domination des I
s le déterminisme des centres céré- braux. Cependant de deux choses l'une : ou l'on admet les localisa- tions cérébrales,
complications coexistantes qui fixe pour le malade l'indication de l'une des stations thermales étudiées. Il va sans dir
s sentiments qui en facilitent la pénétration suivent deux gammes : l'une dans le ton de la peur, l'autre de l'émotion te
, Leipzig). AVIS A NOS ABONNES. - L'échéance du 1 ? juillet étant l'une des plus importantes de i'année, nous prions- i
36 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Lorsque le malade se tient debout, il écarte notablement les jambes l'une de l'autre. Le membre inférieur droit est animé d
membre inférieur, il exisLe trois petites zones sensibles, situées l'une à la partie anté- rieure, l'autre à la partie p
et la folie, l'auteur analyse trois observation personnelles. Dans l'une (Obs. 1), la chorée et les troubles psychiques
particulièrement ici de deux séries de coupes transverses émanant : l'une , d'un foetus, de six mois, dans la moelle allon
et de la cloison transparente sont complètement séparées, éloignées l'une de l'autre : le système des fibres longitudinales
exemple de deux jumelles ayant toujours vécu côte à côte, atteintes l'une à trente- huit ans, l'autre a quarante, de foli
l d'harmonie psychique, l'esprit humain est doué de deux activités, l'une con- servatrice, l'autre novatrice qui se font
n double arc de cercle dont les branches se croisent à angle droit; l'une sert pour la suspension sous les aisselles, la
t débutant de préférence par les membres supérieurs où l'on observe l'une des trois formes de Archives, t. XX 9 130 var
nques. Les can- didats sont libres de concourir, à leur choix, dans l'une ou l'autre des régions. Au sur et à mesure des
ignés par voie de tirage au sort parmi les docteurs qui remplissent l'une ou l'autre de ces fonctions dans un des asiles
s, 2 fr. 75. Avis A NOS abonnés. - L'échéance du 1" Juillet étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
é soutenues, toutes deux basées sur l'a- natomie du sciatique, mais l'une ne parait pas beau- coup plus satisfaisante que
ployé de chemin de fer, est mort d'un accident, et deux soeurs dont l'une est morte à trente-sept ans, d'une affection du r
égale et simultanée des muscles antagonistes. Voilà pourquoi, dans l'une des deux positions précédentes, nous notons hab
rmais distinguer les tremblements suivant qu'ils se produisent dans l'une ou l'autre des trois circonstances suivantes :
avec ses quatre périodes, soit par l'attaque simplement bornée à l'une de ces quatre périodes, soit encore par la crise
la para- lysie n'est qu'un symptôme- peut présenter deux formes, l'une chronique, l'autre aiguë. Dans le pre- mier cas
soit propre, et, plus encore quo pour les mono- plégies, il y a, de l'une à l'autre, aussi bien dans la na- ture des symp
disparaît peu après. Il y en a deux observations très nettes. Dans l'une , due à M.Lancereaux3, la paralysie ne s'est mon
ERNHARDT, (Centralbl. f. Nervenheillc, 1888.) Trois observations. L'une de paralysie périphérique unilatérale par press
g. Zeitsch. f. Psych., XLIV, 1.) L'auteur relate deux observations. L'une , d'après lui, doit être considérée comme appart
acune d'elles est revêtue sur ses quatre faces de lames électrodes. L'une des cham- bres est en communication avec un pôl
alysie générale ordinaire, le traitement restant sans influence sur l'une comme sur l'autre. M. RIST croit que les diff
conques. Les candidats sont libres de concourir, à leur choix, dans l'une ou l'autre des régions. Au sur et à mesure de
ignés par voie de tirage au sort parmi les docteurs qui remplissent l'une ou l'autre de ces fonctions dans un des asiles
e sont morts et parmi ces derniers l'un a succombé à une méningite. L'une des soeurs est très impres- sionnable ; elle a
les et nullement en rapport, par suite, avec leur volume (et encore l'une d'elles est .notée comme man- quant souvent), f
ifs) une communication directe par des fibres nerveuses étendues de l'une à l'autre ? C'est ce qu'il s'agit maintenant d'
iques récents, qu'il faut distinguer plusieurs espèces de mémoires; l'une , mémoire élémentaire appelée aussi organique, l
nsorielles, de façon à ce que, par suite de cette asso- ciation, si l'une d'elle s'effaçait, une autre pût suffire pour ré-
i suivent l'application des électrodes dans des régions si voisines l'une de l'autre, ni de l'absence totale des réactions
nce de l'accommodation, tandis que, sous l'influence de la lumière, l'une des deux seule réagit. M. Heddoeus présente sa
subir les épreuves du concours devant le jury qui fonctionnera dans l'une ou l'autre des régions, devront adresser leur dem
. Le feu aurait eu son point de départ dans une buanderie annexée à l'une des salles. - Sous ce titre : Précautions contr
37 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lade on constate que la colonne vertébrale présente deux courbures, l'une occupant la région lombaire à concavité droite,
iliaque. La colonne vertébrale présente deux courbures latérales, l'une inférieure, à concavité droite, l'autre supérieur
auche. La colonne vertébrale présente une double courbure latérale, l'une inférieure à concavité gauche, l'autre supérieure
lle du côté opposé. La colonne vertébrale, présente deux courbures, l'une inférieure occupant la région lombaire, à conca
iliaque. La colonne vertébrale pré- sente deux courbures latérales, l'une inférieure à concavité droite, l'autre supérieu
opposé. La colonne vertébrale présente une double courbe latérale, l'une inférieure à concavité gauche, l'autre supérieu
observe aussi sur les deux des- sins une double courbure latérale, l'une inférieure à concavité droite, l'autre supérieu
oujours la même; on note constamment une double déviation latérale, l'une inférieure correspondant à la région lombaire à
de la station avec le secours d'un aide, les jambes s'embarrassent l'une dans l'autre, ou se fléchissent sur le bassin,
mettre les pieds sur les barreaux de la chaise, croiser les jambes l'une sur l'autre, il accomplit tous ces actes rapide
outre mesure, rient aux éclats sans motifs, ne peuvent se retenir; l'une d'elles avait des hallucinations de la vue ; la
QUE ; par PEHZOEUS. (Neurol. CenGralbl., 1886.) Deux observations : l'une d' hypercrinie salivaire avec douleurs dans la
forme. Suivant qu'existe ou que prédomine chez tel ou tel individu l'une de ces modalités de la faculté totale ou l'une
tel ou tel individu l'une de ces modalités de la faculté totale ou l'une des facultés du sens de la forme, l'individu en
- croisement du vermis de Slilling et se divise en deux branches. L'une de ces branches aboutit à l'acoustique; l'autre d
és déguisé et mal outillé, de voir si, dans le cours de la maladie, l'une des cinq con- ditions précédentes ne se trouve
donnés : les jambes paraissent comme disloquées et s'embarrassent l'une dans l'autre, ou bien les membres, souples au l
n effet, amoindries, abolies ou troublées, également ou inégalement l'une par rapport à l'autre, et l'oil rangera aisémen
une par rapport à l'autre, et l'oil rangera aisément nos faits dans l'une de ces catégories. On conçoit, du reste, qu'il
ier abord, semblent séparées, mais qui, en réa- lité, se rattachent l'une à l'autre par des cas intermé- diaires qui font
faveur de l'origine corticale; mais il semble, par contre, que dans l'une au moins des observations (la dixième), l'affec
de départ d'une suggestion d'impuissance motrice se réalisant sous l'une des formes que nous nous sommes attaché à décri
nt, au cours de la maladie, la verbigération peut se transformer en l'une quelconque de ces autres formes. En outre à côt
paralytiques généraux, une à trois injections sous-cutanées de 0,25 l'une aurait provoqué 6 à 8 heures de sommeil, sans a
de délire chronique diagnostiqué par MAI. Magnan, Garnier, Briand. L'une de ces malades n'avait pas d'hallucinations, ma
un rapport détaillé, conformément aux dispositions ci-dessus, sous l'une des peines portées à l'article 67 ci-dessus.
posté- rieurs de la moelle, deux régions tout à fait distinctes : l'une centrale (cordons de Goll), qui peut être scléros
ataxique. La malade a trois soeurs qui toutes sont très nerveuses; l'une d'elles (t fréquemment des attaques convulsives
ui, en moins de trois ans, fut atteint de trois paralysies faciales l'une du côté droit et les deux autres du côté gauche
eaux faits de ce genre (Cel2lîalbl. f. Nerven7aeilk., 1886). Dans l'une de ces observations, il est question d'un homme
, a eu deux enfants très bien portants. D'autres soeurs sont mortes l'une de ' Début par un tremblement, pas de délire.
aideurs, simulant la contracure, étaient des plus développées. Chez l'une d'elles, surtout, qui avait l'habi- tude de ten
lhbaum ajoute qu'au cours de la maladie elle peut se transformer en l'une quelconque des formes dont il la distingue aupa
M. Séglas nous présente deux photographies de la malade D... : sur l'une , la tête est fortement fléchie, l'occiput très
ire entrer forcément dans le cadre des dégénérés tout individu dont l'une des bosses frontales sera aplatie, ou dont le ver
éressantes de délire ambitieux systématisé chez des dégénérés; dans l'une d'elles notamment, le délire ambitieux remonte
dans le septième paragraphe de l'article 16, il sera passible de « l'une des peines portées à l'article 67 ci-après. » La
38 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
ipéties. La fin de l’année a été marquée par deux de ces productions, l’une au Vaudeville, Pênicaud te Somnambule, l’autre, l
e dans son centre, et dont les deux parties, pile et face, se vissant l'une sur l'autre, laissent entre elles un espace secre
essus que du dessous, étaient, dit-il, à l’effigie de Louis-Philippe, l'une de 1857, l'autre de 1835. Il indiqua ensuite l'ef
t seule chez elle , occupée à lire un journal. M" Ogier vint sonner à l’une des portes de l’appartement que j'occupe. La so
vais que lui dire l d i non me paraljsa.,, tellement qu’il m'écliappa l'une de ce, phrase, où l'e,pril «'’en défam-• Ne VOU'
approfondie, les vieilles assises de nos annales nationales. Voici l’une de ses notes à l'article de Jeanne-d'Arc : « Il
r deux personnes , d’un commun accord ou quelquefois contre le gré de l’une d’elles, et annulé légalement par la mort d’une d
humains que l'âme avait fuits, se convulsionna tant que l'on voulut. L’une des tôles roulant ses yeux hagards et grinçant sa
ée, ni les soins empressés, incessants, donnés à la pauvre malade par l’une de ses sœurs, véritable modèle d’abnégation, de d
mer sa véritable destination. Ces deux sociétés, loin d’être animées, l’une à l’égard de l’autre, de sentiments d’envie ou de
lui avaient été dérobés. La personne qui lui apparaissait ainsi était l’une des deux servantes qui, en ce moment même, dormai
rentes parties de la chambre. A la fin , deux jeunes dames, assises à l’une des extrémités de la table, s'assurèrent qu’il ét
la capitale de la civilisation pendant la première quinzaine d’avril, l’une de mes premières visites fut pour la somnambule,
saisissement impossible à décrire. Cette dame était souffrante. Dans l’une des séances suivantes, — car frappée, émue jusqu’
aussi elles sont tellement liées entre elles qu’elles se transforment l’une dans l’autre ; la chaleur en lumière, en électric
oses qu'on ne pouvait identifier, et qui souvent passaient rapidement l’une dans l’autre comme les vues dissolvantes. Mais
ques semaines à peine, et qui étaient décédées à un mois d’intervalle l’une de l’autre ! Je ne vous parlerai pas de ma doul
de ce drapeau, bien moins encore de frapper d’exclusion au profit de l’une de ces catégories l’étude ou la pratique d’une qu
côté de la vérité, c’est pour que nous ayons le mérite de les séparer l’une de l’autre : le.travail est notre lot, parce que
hoirs, composaient tous les objets mouvables dans cette chambre. Avec l’une des cordes j’attachai solidement les mains du méd
végétales et animales, trouva toutes ces conditions favorables dans l’une des plaies de la tète de cette enfant, où ¡1 se g
int que la sensibilité ou l’activité musculaires, suivant qu'on coupe l’une ou l’autre. Mais une fois cette constatation fait
de paralysie accidentelle locale, qui laissent subsister quelquefois l'une ou l’autre seulement des deux facultés, prouvent
organique se rendant au foie, aux reins, etc., ou plus généralement à l’une des glandes, la sécréton de la bile, de l’urine,
, comme les nerfs blancs, est composé de deux parties distinctes dont l’une est chargée de la fonction d’assimilation (approp
dullaire est identique avec l’ensemble, se reproduit intégralement de l’une quelconque de ses parties ; puis, nous élevant da
on une relation qui ne peut manquer d’intéresser nos lecteurs : « A l’une des dernières séances de la Société des Patriarch
aduit plus tard et déclaré très-pur, traitent d’un incident survenu à l’une des réunions précédentes des Patriarches. Le médi
milieu d'une nombreuse société ; et, sur l’invitation qui fut faite à l'une des personnes de vouloir bien donner la main à la
r deux personnes, d’un commun accord, ou quelquefois contre le gré de l’une d’elles, et annulé légalement par la mort de l’un
s contre le gré de l’une d’elles, et annulé légalement par la mort de l’une des deux parties. Cet engagement peut se renouvel
main, saintMartin, saint Grégoire le Thaumaturge, saint Bernard, etc. L’une des maladies qui fut souvent guérie par ces saint
, etc. Voici commentle biographe de saint Erme, l’abbé Anson, raconte l’une de ces visions d’après Flagbert, l’un des discipl
t les possédées de Loudun. « Ces pauvres sœurs du Quesnoy tombèrent l’une après l’autre comme par l’effet d’une épidémie da
issancc. » Les jeusnes accomplis, « les trois messes furent célébrez, l’une de Notre-Daine, « la seconde du Saint-Sacrement,
sse de Ligne et du célèbre docteur Desprez, qui rappelèrent à la vie, l’une , son enfant, l’autre, sa femme , que les médecins
ans les premiers règnes sont le résultat de différentes combinaisons ( l'une partie des cinquante-quatre éléments répandus dan
la contagion. Qui osera dire alors que les souffrances et la mort de l’une , que le salut physique de l’autre sont la rétribu
. On peut leur dire, au propre comme au figuré, lux fada est. » « A l’une de nos séances dernières , un étranger vint dépos
re, avant que de communier, vous demandâtes à Dieu ii deux grâces : l’une de vous ôter le désir et le courage de « faire la
l’envie de chanter, et, suivant le désir du public, il fit entonner à l’une d’elles le chant national, par l’effet de sa volo
39 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
pourrait, en somme,distinguer trois périodes dans cette évolulion, l'une de début caractérisée par des troubles de la sens
taches d'un rouge violacé, régulièrement arrondies, à bords peu nets; l'une a les dimensions d'une pièce de cinq francs ; l
D... commença également à pouvoir écarter volontairement les jambes l'une de l'autre, mais ce ne fut qu'au bout de dix-hu
pas; lesjambes sont moins raides et se laissent écarter facilement l'une de l'autre. On voit en somme, chez cette derniè
trophiques cutanés, on trouvait : de l'épaississement de la peau de l'une des cuisses, des lésions érythémateuses et ulcé-
ire inférieur, de sorte que les dents ne pouvaient plus s'appliquer l'une sur l'autre. La langue devint plus épaisse, la
père et sa mère sont vivants, ainsi que plusieurs frères et soeurs; l'une de celles-ci est entrée en religion. Au couvent
de ses deux pieds de larges phlyctènes qui viennent de s'y former : l'une siège à droite au niveau du talon antérieur; les
iges qui paraissent varier considérablement, tan- tôt il tourne sur l'une ou sur l'autre jambe, tantôt il marmotte des mo
ons d'une hauteur de sept ou huit centimètres et qui sont situées : l'une , à trois travers du doigt au-dessus du pli du c
que et cataleptique du grand hypnotisme; lorsque la malade est dans l'une de ces dernières phases et que l'on presse sur
alade est dans l'une de ces dernières phases et que l'on presse sur l'une de ses articulations douloureuses ou que l'on frô
st également pâmée. Plusieurs personnes s'empressent autour d'elle. L'une approche de son visage un linge imprégné de for
centimètre carré, adhérentes par toute leur surface, ou détachées à l'une de leurs extrémités. Ces écailles juxtaposées, de
résultent deux variétés qui pourraient être désignées sous le nom, l'une de sclél'osique, l'aulre de lymphatique. Quant
nd, mais large, déformé, et laisse facilement distinguer deux lèvres, l'une antérieure, l'autre postérieure, toutes deux pl
it accompagnée de deux circonstances qui ne sont point ordinaires : l'une , qu'il ne pouvait souffrir de voir de l'eau san
erf acoustique chez les hystériques, je fus surpris, en ordonnant à l'une de mes malades de tirer la langue au dehors, de v
ersai de G centimètres, soit 1 centimètre de plus que la normale pour l'une et l'autre dimension, tandis que la hauteur est
reizième vertèbre dorsale porte à droite deu facettes articulaires, l'une située sur la partie latérale du corps, l'autre s
ns les deux autres d'une hémiplégie avec intégrité de la face; dans l'une de ces deux dernières observations il y a prédo
sont en état de contracture ou de paralysie. lien a été ainsi dans l'une des trois observations suivantes que notre maitre
tive. Six petites lignes transversales avaient été tracées voisines l'une de l'autre, dans la région deltoïdienne droite;
1° l'attaque convulsive aux quatre périodes; 2° l'attaque bornée à l'une de ces périodes ou avec prédominance de cette p
sur trois périodes de vingt-quatre heures ; de ces trois périodes, l'une (21 novembre) est fébrile : T. M. ;9°,4; S.38°,
(21 novembre) est fébrile : T. M. ;9°,4; S.38°,2. Des deux autres, l'une est apyrétique : T. M. 37°,4; S. 37°, 3 (4 déce
currente, embarras gastrique, angine légère, etc.. z Le 11 janvier, l'une de nos malades, Dufr..., vingt-six ans (pl. XLVII
Entre ces deux facettes, crête peu accentuée. Le cartilage passe de l'une à l'autre. Le sommet de la facette costale est
40 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
t à rendre superflues les différentes méthodes, souvent en opposition l’une à l’autre, mais ù les rapprocher et A les concili
magnétisation ; quoi qu’il en soit, elle s’est dignement acquittée de l’une et de l’autre fonction. Le 16 février, dans la
la main de Mesmer et qui sont en noire possession, nous ignorions que l'une d'elles, le p> éscut mémoire, eût été publié.
ai ion des humeurs et conséquemment do la vie animale. Le défaut de l’une de ces deux actions ou do cette réaction en arrêt
mme dépendante, soit de l’irritabilité, soit de l'irritation, soit de l’une et de l’autre ensemble. Il existe par conséquent
M. Prideaux a répété la même opération sur deux autres personnes. L’une d’elles, dit-il, ¿tait à ce point insensible que,
chirure. «Or j’ai,con-« tinue-t-il, le moyen Ac suspendre, à mon gré, l’une « ou l’autre de ces facultés, l’autre restant int
On nous promet des renseignements sur deux qui viennent de se former l’une fi Cherbourg, et l’autre à Versailles; le préside
n’en est rien. Un magnétiseur m’en a ainsi enlevé deux, sans façon : l’une dont le traitement avait été si long, si laborieu
i, le magnétiseur parvient à former un instrument; et, de deux choses l’une : ou on le lui gâte, ou on ne lui permet pas de 4’
e peut être prouvé physiquement. Les anciens ont voulu trouver dans l’une des différentes parties de l’encéphale le siège d
pendant tpois ou quatre heures, quelquefois même plus de six heures. L’une de ces malades est un étrç faible en apparence ;
jumelles ou sœurs pour être frappées en môme temps du môme mal? Non, l’une est Allemande, l'autre Russe; elles ne se connais
Russe; elles ne se connaissent que depuis qu elles sont à l’hôpital. L’une est réglée, l’autre ne l’est pas, mais elles ont
s des commissaires; nous arrivons sans bruit jusqu’au lieu qui recèle l’une des malades ; qu’elle soit éveillée ou non , je l
peuvent se voir et causer ensemble ; elles sont entièrement guéries. L’une me remercie en quelques mots de français qui me v
t trop apercevoir. Ces deux guérisons ont été solides et durables : l’une des deux malades s’est mariée et habite Reval, l’
rvaient une sensibilité douloureuse que je ne pouvais faire cesser. L’une de ces malades nié voyait avec plaisir. L’autre,
us les yeux de l’autorité, qui ne s’est jamais op- posée à l’usage « l’une mélluule présentée comme un nouveau moyen de comb
un jour le spirituel et savant M. Tissot, de l’Académie Française, à l’une des séances de l’institut oratoire, dont nous fai
jeunes personnes du moins de vingt ans, remarquablement belles, dont l’une avait été présentée chez M. La-fontaine par M°“ l
e ne jouer que des airs tendres, el de préférence des airs religieux. L’une d’elles demanda à plusieurs reprises V Ave-il ari
oui sou|tçon do tromperie, el de s’élre voulu prêter à une jonglerie. L’une est devenue extatique en la magnétisant contre l’
ez, je vous en prie,\’Ave-Maria, répétait dans son sommeil magnétique l’une des deux intéressâmes somnambules, et dans ce mom
tarlier. Il a trouvé trois sources sur le territoire de celte ville : l'une près de la tuilerie; une seconde près des sources
Lien, quoiqu’elles fussent sé] arées par une grande distance, et que l’une occupât le premier étage et l'autre le second, au
ât le premier étage et l'autre le second, aussitôt que je magnétisais l’une , l'autre tombait en crise. Ki n cependant n’avait
alors il est cadavre; ainsi, le musicien laisse l'instrument brisé en l'une de ses parties. Si l'homme matériel est boiteux,
es avec le plus grand succès dans l’élal d'insensibilité magnétique : l’une , l’ampulalion du bras par le doclour Jolly sur ma
t de la théorie ù l'application , il a magnétisé deux personnes, dont l'une , au bout de quelques minutes, a offert de curieux
41 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
poids et le volume de ce corps. Sont-elles seulement trop écartées l'une de l'autre, on diminue l'épaisseur de cette règ
jusqu'à ce que, pour la retenir, les lèvres s'appliquent exactement l'une sur l'autre et longtemps. Le même exercice se r
chambres pour les maladies épidémiques ; nous en avons mis 12 dans l'une des salles de l'infirmerie et les autres ont ét
ent des autres : deux destinées aux malades agités et furieux sont, l'une , capitonnée sur toutes ses faces, porte et murs
ge. Dans ces deux cellules la fenêtre ( ! ) Nuus avons employé pour l'une des portes le judas inventé par M. Palu, serrur
et sont envoyés à l'asile d'Auxerre. Toutefois, nous avons vu dans l'une des salles de femmes, plusieurs aliénées, entre
f enfants : deux garçons vigoureux et sept filles. Parmi celles-ci, l'une est morte jeune, succombant à une affection que
alades. L'existence d'an- (11 L'asphyxie à la naissance nous paraît l'une des causes les plus communes de l'idiotie. 22
grands-pères maternels; 6° les accidents cérébraux qui ont enlevé l'une de ses soeurs. II. Jusqu'à l'âge de 13 ans, l'e
III. - Nous devons insister sur la marche de la température durant l'une des séries, celle du mois de janvier et sur cel
uite d'un voyage, durant lequel elle aurait eu froid. 3 soeurs dont l'une , aliénée, est à l'Asile de Dôle depuis 4 ans (l
é- rales manquent, les incisives médianes sont larges et séparées l'une de l'autre par un intervalle de deux millimètres;
cave, adressait des injures à sa tante. Il avait là deux cousines, l'une de vingt, l'autre de vingt-un ans, il n'a pas ess
ine de l'Etat. Les candidats devront être docteurs en médecine de l'une desdites Facultés de l'Etat et de nationalité f
culté de médecine de l'Etat. Les candidats devront être docteurs de l'une desdites Facultés de l'Etat et de nationalité fra
42 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
objets de cette teinte. Il y a donc là deux phobies très distinctes l'une de l'autre : la phobie du rouge, la phobie du b
e pour se donner une contenance. Un jour, interpellé au passage par l'une -des ouvrières, il rougit et trembla si violemm
se entre le putamen et la paroi anté- rieure du ventricule latéral. L'une des racines, correspondrait à l'arrière de la p
lement reconnaître dans les granulations deux substances distinctes l'une de l'autre : une substance fondamentale qui pre
lié l'observation dans son intégrité. M. TouLousE. De deux choses l'une : M. Zola connaîtrait ou ignorerait l'existence
deux variétés cliniques dans la para- lysie générale à son déclin. L'une serait caractérisée par la simple ataxie des mo
18\10,) AVIS A NOS ABONNÉS. L'échéance du 31 DÉ- CG'1113RT étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
règlement, comme la magistrature est la gardienne de la loi, et que l'une pas plus que l'autre n'a la liberté de laisser
on autorisation* est soumise au visa de celui-là, or de deux choses l'une : ou ce visa est une simple formalité et alors
se différencient davantage : ils se spécialisent par exagération de l'une des propriétés au détriment des autres. » (Leço
ression à l'écorce. Ces deux cellules agissent non pas directement, l'une sur l'autre, mais toujours par l'intermédiaire
29 Chacune des cellules nerveuses entre en relations alternatives l'une avec l'autre, car les ramifications terminales de
e une série de bouteilles de Leyde qui se déchargent successivement l'une après l'autre et l'une dans l'autre. En d'autre
es de Leyde qui se déchargent successivement l'une après l'autre et l'une dans l'autre. En d'autres termes la déséquilibrat
se qui, les auteurs le reconnaissent, est loin d'être démontrée.) L'une et l'autre des malades présentaient d'ailleurs de
e-croisent et il est souvent malaisé de démêler ce qui appartient à l'une ou à l'autre ; 3° il existe des cas, enfin, dan
êves au moyen du mouvement des lèvres. Ses réponses sont faites par l'une ou l'autre des formes du langage de transmissio
rmulée intérieurement à l'aide de paroles, revêt, selon les sujets, l'une ou l'autre classe d'images verbales. Ceci a don
es insérées dans les annales médico-psychologiques (1882), et dues, l'une à MM. Reverchon et Pages, l'autre à M. Lapointe
e, soixante- quatorze ans, en bonne santé. Un frère a deux filles : l'une , forte et intelligente, aurait eu, au moment de
mi-frères mater- nels et un neveu, deux frères et deux soeurs, dont l'une est arriérée, qui ont eu tous des convulsions.
urage. Il en est de même daus la troisième observation où l'on voit l'une des deux soeurs, plus intelligente que l'autre,
ans la monographie de M. Pierret nous trou- vons deux observations, l'une 3 où le goût est aboli d'un côté; l'autre où il
sibilité, les dou- leurs, les symptômes visuels qui appartiennent à l'une et non à l'autre des deux maladies. Il semble e
rat. - Un autre point qui se dégage de cette étude et qui constitue l'une de ses conclusions, c'est que les nerfs de l'odo-
s ou commis- surales, rendent impossible la poursuite anatomique de l'une Archives, 2° série, t. III. 19 9 290 REVUE CR
e par mois au lieu de deux, on fit un grand pas vers la guérison. A l'une des époques, elle fut prise d'un hoquet incoerc
raste, ne pourrait-on pas induire (con- clure serait prématuré) que l'une de ces maladies est due à une insuffisance et l
spital. C'est un bâtiment en bois, à un seul étage, avec deux ailes l'une pour les hommes, l'autre pour les femmes. Les f
uvons admettre que les cellules situées dans deux régions éloignées l'une de l'autre, de l'écorce cérébrale, entrent en c
on entrée ce jeune homme a remarqué l'appari- tion de deux tumeurs, l'une sur la fesse gauche, l'autre sur le bras du mêm
l'individualité psychophysique. Elles s'influencent réciproquement l'une l'autre, tout en restant cependant distinctes d
ont d'abord deux cas d'hystérie traumatique chez des infir- mières. L'une , âgée de vingt-cinq ans, fut frappée au front par
don- nant sur une vaste galerie éclairée sur le chemin de ronde; à l'une des extrémités de cette galerie, un réfectoire-
certains principes qu'il importe de res- pecter lorsqu'on ajoute à l'une ou l'autre des deux ailes une construction nouv
s, une tentative de viol et une ten- tative d'assassinat accomplies l'une et l'autre, en dehors des parloirs, dans une pi
l est symétrique. Le fémur (poids 1,250 gr.) a une double courbure, l'une à convexité antérieure, l'autre à convexité int
s cas, notamment, il existait deux taches de ramollissement ancien, l'une de 3 centimètres de diamètre, sur le pied de la
e et la folie morale ne sont que l'exagération de cet état mental : l'une dans la sphère intellec- tuelle, l'autre dans l
i francs. AVIS A NOS ABONNÉS. - L'échéance du 101' JUILLET étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
43 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lcoolique ou syphilitique et il ne fallait pas songer à rapporter à l'une plutôt qu'à l'autre de ces causes les lésions o
es de la rééducation, dont elle ignore le développement actuel : ni l'une ni l'autre ne sont plus de mise aujourd'hui.
as où la rééducation n'a rien donné s'expliquent, à notre avis, par l'une des raisons suivantes : certaines contre-indica
Avec Hoffding, l'auteur conclut que l'individualité psy- chique est l'une des limites positives de la science, nous touchon
ième Congrès international de médecine, il fit deux communications, l'une sous ce titre : « Quelques considérations sur l
eipzig, 1902. AVIS A NOS ABONNÉS.-L'échéance du le' JANVIER étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
llucinations, elle ne combat plus les idées délirantes de sa fille; l'une et l'autre se communiquent leurs persécutions,
tout touchait les parties génitales; puis elle serrait les cuisses l'une contre l'autre avec force en les frottant et les
'tgt'e, n'G. 1901.) Trois observations de trophoedème intéressant : l'une (enfant de vingt mois) le membre inférieur gauc
nature et d'origine différentes. M. Leclerc ne prend parti ni pour l'une , ni pour l'autre hypothèse, devant les opinions s
on de la cuisse. Parfois il est difficile de classer les faits dans l'une ou l'autre de ces catégories. C'est ainsi que d
gine de poitrine, mais avec une évolution toute différente, puisque l'une est une affec- tion passagère et transitoire, l
de masque hémifacial en un mot. Ce masque porte deux échancrures, l'une au niveau de l'oeil. l'autre au niveau de la mu
quelle intensité faut-il s'arrêter ? Cette question est sans doute l'une des plus importantes, attendu que les auteurs q
sur les principes que nous venons de passer en revue est à coup sûr l'une des meilleures ^thérapeutiques et nous l'avons
culaire n'a pas de valeur diagnostique comme pathognomonique pour l'une ou l'autre forme de maladies mentales; on l'obser
ané- vrisme), des rapports fréquents, la cause toxique qui produit l'une des maladies amenant aussi l'autre. Et puisque
vomissements, ni de cépha- lalgie; en ce temps on arracha au malade l'une des dents ; immé- diatement après l'opération l
s imprimés en noir qu'en rouge, mais il distingue bien les couleurs l'une de l'autre. Vision des deux 5 yeux : . En lis
deux 5 yeux : . En lisant, il ne perd pas les lignes et passe de l'une à l'autre régulièrement. L'ouïe est normale des
ue en deux ou plusieurs petits prolongements protoplasmatiques. Sur l'une des préparations on pouvait voir comment dans l
n'y ait eu qu'une simple coïncidence entre la prière en question et l'une de ces rémissions. Mais il se peut aussi que ce
opération (résection) dont la malade porte du reste la cicatrice, l'une sur le nerf maxillaire inférieur, l'autre sur le
la suite du brouillard. Cette crise a duré trois semaines et a été l'une des plus violentes, et la plus longue que la ma
elu les tumeurs plus disséminées sont beau- coup plus volumineuses; l'une atteint la grosseur d'une noix; deux ou trois c
générale chez des imbéciles, rappelait deux observations analogues l'une de More), l'autre de M. Christian et ratta- 361
ynthèse psychique d'où résulte l'abstrac- tion, ou la négligence de l'une des images sensorielles et la locali- sation de
XOFF ont fait la descrip- tion de deux malades avec présentation de l'une d'elles. Fillette de sept ans, née à terme et s
prolongés; on ne peut dire pour sûr d'aucun malade, qui a supporté l'une des maladies sus-nom- Arcuives, 2- série, t. XV
ie au contraire, surtout chez les femmes, doit être envisagée comme l'une des mala- dies mentales la plus fréquente. Co
ent unis- sent entre elles l'hysthérie et la neurasthénie ou encore l'une NOUVELLES OBSERVATIONS DE NÉVROSE D'ANGOISSE. 4
'à ce jour dans un type morbide unique. Les causes qui agissent sur l'une des parties du sys- tème nerveux, fatigue, into
res à l'abbaye de Port-Itoval, et, à l'occasion de la profession de l'une d'elles Magdeleine, il donna 1000 écus à la com
'avoit eu que trente ans 2 ». Elle avait deux parentes religieuses, l'une Geneviève de la Haye à Port-Royal, l'autre 11"« d
tteint de la « fièvre très violente » qui l'empoi ta en huit jours. L'une apparut en 1649, l'autre au* commencement de 1650
t sériées, les auteurs établissent la loi suivante : « Etant donnée l'une quel- conque des anomalies de la gestation, l'o
rouble de conscience di, courte durée. Les anomalies sexuelles dans l'une ou l'autre forme sont très sou- vent observées
d'une portière à isoler optiquement les deux parties de la salle : l'une sert de dortoir pour les convalescents (6 lits)
a cellule réservée aux aliénés criminels possède deux grilles, dont l'une protège la fenêtre et l'autre se trouve placée de
ion lente de la pupille à l'accommodation et à la convergence, dont l'une , celle de Strasburger, est le prodrome faible d
rcha à leur rencontre, leur présentant au visage un bâton arraché à l'une de ses chaises et dont elle se servait comme d'
berg. Bucarest. AVIS ANOS ABONNÉS.Z'ëcAëaHce du 1er JUILLET étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
44 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
do travaux, dont nous vous entretenons aujour- d'hui, va réaliser, l'une des réformes réclamées par vous et par le Conse
ûteuse ; la construction de la nouvelle section sera, au contraire, l'une des constructions hospitalières les plus économ
des douleurs d'estomac sans accidents nerveux. Elle a deux filles : l'une d'elles a eu des convulsions, mais elle est intel
étale qui se trouve ainsi transformée en deux scissures distinctes, l'une parallèle au sillon de Rolando et se prolongean
qui coupe en quelque sorte l'hémis- phère cérébral en deux parties, l'une antérieure (lobe frontal et région pariétale),
on de scarlatine, ou des deux ; donnant par contagion la rubéole ou l'une des deux autres ; probabilité do scarlatine - à
mme il sépare la varicelle de la variole : c'est qu'une atteinte de l'une ne met pas à l'abri de l'autre. Déplus, tandis
uence telle que celle qui vient d'être citée, est sans exemple dans l'une et l'autre maladie. Elle parait se rap- procher
ue, se développant, comme cela arrive souvent, entre deux épidémies l'une de rou- geole, l'autre de scarlatine, suivant o
es l'une de rou- geole, l'autre de scarlatine, suivant ou précédant l'une ou l'autre, ses caractères peuvent être modifié
uvent être modifiés au point de se rapprocher il quelques égards de l'une ou l'autre fièvre éruptive... Un grand point pr
ole, non avec la scarlatine, et qu'elles se ressemblent quelque peu l'une l'autre, comme la varicelle et la variole. Sembla
etto absence d'immunité de la roséole et de la rou- geole vis-à-vis l'une de l'autre est, à elle seule déjà, une raison s
it pas d'accès depuis un an, nous avions de- mandé son passage dans l'une des divisions de l'hospice. HÉMORRHAGIE CÉRÉBRA
et que nous avions demandé son passage du quartier des aliénés dans l'une des divisions de l'hos- pice, il a été frappé d
ution et s'insère sur la frontale ascendante par deux insertions, l'une do niveau faisant partie du bord supérieur, l'aut
acilement par les extrémités supérieures, qui sont plus rapprochées l'une de l'autre. Dans les cas où l'union se fait par
d de la Seine; ils se cachaient entre deux harques qu'ils mettaient l'une sur l'autre. Il avait l'habitude d'écrire tout
y eut pendant huit jours, tous les jours, des rapports sexuels avec l'une des femmes. Il con- tinuait, d'ailleurs, à se m
excès de boisson. Son père a été aliéné, il a fini par succomber. L'une de ses grand'mères est morte d'une congestion c
r. L'une de ses grand'mères est morte d'une congestion cérébrale; l'une de ses grand'tantes s'est suicidée; une tante a
45 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
que des phrases entières aient été presque textuellement empruntées à l'une de nos communications. Dans un autre volume sur
psychique et le maintient. Ces deux manières d'arriver au sommeil, l'une par autosuggestion et l'autre par suggestion, pré
tres sections ont été aussi très bien représentées à ce congrès, dont l'une des excursions, celle de Belfort. a eu le caractè
ot Avec M. Charroi, qui vient de mourir à l'Age de uns, disparaît l'une des gloires de la science française, s évanouît u
eption dans un centre, -mouvement communiqué ; ils doivent être, pour l'une comme pour l'autre vie et sous la haute direction
uvent plusieurs de ces habitudes sont associées et la constatation de l'une d elles doit faire songer à l'existence des autre
tat, quand il est provoqué, leur est transmise par un endormeur. Dans l'une ou l'autre occurrence les dormeurs profonds sont
ggestions beaucoup moins graves dans les deux cas cités précédemment, l'une refuse de trahir son secret parce qu'elle a donné
re, je recevais toujours la même réponse : Parce que je pouvais faire l'une très facilement et l'autre m'était impossible.
à peu ramener le mouvement. Et effectivement au bout d'une demi-heure l'une première séance la malade pouvait remuer les doig
es ont accompagné» partout. Ils ont fin le pavs natal pour échapper ù l'une et a l'autre; niais nulle part ils n'ont encore r
alles. La plus grande sert de cabinet d'électricité. Des deux mitres. l'une sert de laboratoire de chimie et de microseopie,
nne parole. M. Metschinikoff est un trait d'union entre la science de l'une el de l'autre nation. Aussi peut-on dire que les
é un malade, qui, dans le sommeil hypnotique distinguait parfaitement l'une de l'autre les deux faces «l'un feuillet de papie
fut sans gravité. Au bout de huit à dix jours, elle était guérie. A l'une de mes dernières visites, lui avant appliqué, un
rmeraient dans cette opinion. Le bégaieinent hystérique a été décrit « l'une façon isolée par M. Gilbert Ballet chez un malade
u public, deux erreurs bien déterminées relativement à l'épilepsie. — L'une de ces erreurs, c'est «que tous les épilepliques
duire avec précision et sans hésitation; — quand, après la réception « l'une impression complexe, les phénomènes de mouvement
entre deux séries de phénomènes de mouvement à l'étal naissant, dont l'une finalement prévaut, et se traduit par uue série d
n de leur état, telle est la condition nécessaire de la production de l'une et de l'autre. La désintégration moléculaire es
ur la première fois, la malade peut souiller une bougie. En outre, ni l'une ni l'autre «les hernies, qui s'échappaient aiséme
s-ci constituent des tendances motrices déjà fortes. Si, parmi elles, l'une arrive à cire prépondérante soit par elle-même so
s naissantes, qui constituent le complcxus appelé délibération. Et si l'une de ces désintégrations uaissautes, de ces volonté
qu'il y a eu conscience d'une lutte entre des forces contraires dout l'une est devenue victorieuse. L'n homme qui doit se le
. Et d'abord Mme G... était très hypnotisable. Son mari a déposé, à l'une des audiences de la Cour d'assises, qu'un jour, r
e pourtant qu'il n'en est pas ninsi et j'en trouve la preuve dans l'une des conclusions de M. Ribot lui-mème. quelque pos
ie. Dans une quatrième expérience, je place mes deux sujets, debout l'une endormie, l'autre. Mlle Eugénie G... éveillée cl
le et d'hygiène qui intéressent tous les états : 2° Le francais osi l'une des langues ofliciollcs du Congrès, pelle qu'empl
t me les donne; je les mets en poche. Au bout de quelques instants, l'une des personnes présentes regarde a l'endroit où se
t plus supporter certaines odeurs. Dans une salle d'hvsté-riques. que l'une d'elles tombe en catalepsie, toutes les autres se
unique comporte, avec trois examens oraux, deux thèses écrites, dont l'une de droit romain obligatoire, il n'y aurait désorm
46 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ique. En somme, l'hystérie et la vésanie ne sont point subordonnées l'une à l'autre, ce sont deux 1 H. d'Olier. - De la c
d'une combinaison d'une névrose et d'une psychose, non subordonnées l'une à l'autre. Il en est de même dans le goitre e
sont atteints de deux affections combinées, mais non subordonnées l'une à l'autre; il n'y a point de lypémanie tabétique,
ttent à la fois d'en déterminer les limites. Ces affections, dont l'une (l'ataxie locomotrice) est très commune, tandis
tique, mais à une sclérose diffuse. On s'en assurera en comparant à l'une de nos figures, à la figure 7 (PL. II) par exem
tinctes, il peut être dini- cile, dans certains cas, de rattacher à l'une ou à l'autre de ces espèces certaines scléroses
ien portants ; l'un a cinq enfants en bonne santé. Deux soeurs dont l'une a cinq enfants et l'autre deux, sans affections
rminer chez lui l'aphasie cataleptique, en lui soulevant subitement l'une et l'autre paupières pendant qu'il compte à hau
104 REVUE CRITIQUE. Six enfants : deux filles mortes de bronchite, l'une à sept mois et demi, l'autre à dix-sept mois; p
x d'aucune sorte. Deux tantes du côté paternel n'ont jamais marché; l'une est morte à six ans. - Une cousine germaine du
circonvolution frontale, assez régulière, présente deux insertions, l'une au niveau du bord supé- rieur, l'autre à trois
iv., band XI, p. 263. Bonn,, 1874. VARIA. 137 pourraient suppléer l'une l'autre. Dans la commotion cérébrale, au contra
recon- naissance de dix substances composées, avec dissertation sur l'une . Le jury a exprimé le regret qu'un droguier, do
par les commissures. C'est à peine si le malade peut les rapprocher l'une de l'autre; il y a im- possibilité absolue à si
es 3 et les deux maladies peuvent marcher de pair sans s'influencer l'une l'autre \ C'est surtout avec la chorée que le r
t Clarke rapporte à cet égard plusieurs observations intéressantes, l'une personnelle, les autres empruntées à divers aut
ystème sensitif, de la maladie de Duchenne, nous paraît à la fois l'une des données les mieux établies et l'une des plu
enne, nous paraît à la fois l'une des données les mieux établies et l'une des plus belles découvertes de ces quarante der
Charcot, est intéressante à cause du siège exceptionnel occupé par l'une des vésicules, le plancher du quatrième ventric
interdiction sont deux choses distinctes et nullement conséquentes l'une de l'autre, puisque la plupart de nos aliénés ne
'être un peu long et de scinder notre analyse en deux parties, dont l'une envisagera le Danemark, et l'autre, la Suède et
des circon- volutions. Sur des coupes verticales, très rapprochées l'une de l'autre, on découvre, dans le noyau intra-ve
es veines extérieures et en partie versent leur sang dans le sinus. L'une d'elles, la veine diploïque frontale, s'unit d'
t. » r Formes. M. 0. Koerner a essayé de distinguer deux formes : l'une simple ou idiopathique ; l'autre symptomatique
iots ou imbé- ciles à l'asile) et les trois autres sont atteints de l'une des formes de l'aliénation mentale (sur quatre
a seconde série de faits concerne l'asphyxie locale des extrémités. L'une des observations est remarquable par l'unilatéral
fier. Je devais tout à votre bienveillanee, je lui dois aujourd'hui l'une des années de ma vie médicale, dont les souvenirs
de permettre à votre secrétaire général de prononcer son éloge dans l'une de vos séances solennelles. L'un des fondateurs
rajet. Deux coupes sont soumises à l'examen des membres du Congrès; l'une d'elles pro- vient du chevreuil, l'autre de l'h
ques que les aliénés ne manquent pas d'introduire dans les bouches. L'une des ailes latérales est le sejoli- du médecin-a
, Moreau (de Tours), J. Voisin, Bourneville, Charpentier et Deny. L'une des objections principales formulée par M. Fovill
47 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
blable. IV. Acromégalie et maladies de Grâces. Deux observations, l'une d'acromégalie relativement récente et améliorée p
G. Fischer. AVIS A NOS ABONNÉS. - L'échéance du 1er jANFlER étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
iées de telle manière que le cou- rant reste fermé tant qu'on tient l'une des clefs abaissée ; il est ouvert si on l'aban
courant galvanique. Dans ce groupe ne figurent que deux névrites, - l'une avec exagération de l'excitabilité du nerf au cou
de ces réformes. La manière de procéder à l'égard des criminels est l'une des grosses questions sociales de l'heure actue
a perte de l'écriture; mais il y a aussi des cas de perle isolée de l'une ou l'autre de ces deux facultés. Archives, 2°
it à sup- poser que, dans la démence, la faculté musicale doit être l'une des dernières à disparaître, et c'est en effet
On peut donc admettre ici l'existence de deux lésions de décharge, l'une ayant pour siège un petit territoire de la circ
ons au moins et âgés de moins de trente ans. Il y a deux épreuves : l'une écrite, de trois heures, l'autre orale, de quinze
font, seuls, deux visites par jour dans leur division respective : l'une à 7 heures du matin, l'autre l'après-midi. Chac
ent des boissons, ses grands parents étaient atteints d'hémiplégie; l'une des soeurs du malade a eté sujette à une maladi
n seconde il n'avait aucun souvenir de sa condition première : dans l'une de ces conditions, il était droitier, dans 206
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. l'autre il était gaucher; dans l'une il parlait anglais, dans l'autre il se servait
ie infectieuse partie d'une des veines pulmonaires a pénétré dans l'une des branches de la cérébrale moyenne droite, et q
010g. Cent·albl., XIII, 1894.) Il s'agit de deux observations, dont l'une avec autopsie, qui témoi- gnent de l'existence
llules; discussion avec Rosin. Conclusions. - Si nous caractérisons l'une des parties fondamen- tales du corps de la cell
s filles hystéro-épileptiques, sans antécédents héréditaires ; chez l'une d'elles les attaques se montrèrent en même temp
truation. Douleur au niveau de l'ovaire chez les deux malades. Chez l'une la pression ovarienne provoque et suspend les a
des idées de persécution et des états passagers d'excitation. Chez l'une on constatait de l'hémianesthésie. La thérapeutiq
subir les épreuves du concours devant le jury qui fonctionnera dans l'une ou l'autre de ces régions, devront adresser leur
celles de l'abdomen, étaient saillantes ; c'est après avoir gratté l'une de ces jambes enflées qu'il vit apparaitre la p
lusieurs crises épileptiformes, et meurt dans le coma qui succède à l'une d'elles. Observation IL - Femme de quarante-six
orale droite, au point d'entre-croisement de deux droites formées : l'une par l'allongement du bord supérieur de la cavit
gment médullaire à une citerne recevant l'eau par deux bouches dont l'une représente les nerfs centripètes viscéraux, et
ON APPARENTE DES TROUBLES PSYCHIQUES CHEZ DEUX MANIAQUES ATTEINTES, L'UNE DE FIÈVRE TYPHOÏDE, L'AUTRE DE SUPPURATION ABON
très courte durée. Deux malades seule- ment atteintes simultanément l'une de fièvre thyphoïde grave, l'autre d'adénite av
s troubles psychiques qui s'est maintenue pendant environ un mois : l'une , avec toutes les apparences d'une démence mania
te combinaison de symptômes est rare, et le rattachement primitif à l'une des deux formes est toujours possible. Les re
ts, qu'il existe deux types ou deux variélés de paralysie générale, l'une qui se présente associée à la sclérose postérie
n que le fait ne puisse guère être prouvé, il semble que ce soit là l'une de= causes importantes de l'augmentation du nombr
ar Macpherson LAWRIE. (British medical journal, 19 janvier 1893.) L'une des malades était âgée de quarante-trois ans, l'a
O. Dans les deux observations citées par l'auteur, et ayant trait l'une à un cardiaque de soixante ans, l'autre à un card
es chaînes de neurones qui constituent des systèmes physiologiques. L'une de ces chaînes de neurones constitue le système
ent qu'une piqûre lorsque les deux épingles sont à 15 milli- mètres l'une de l'autre. 2° Côté droit. L'anesthésie occupe,
Pour ces rai- sons, au lieu de le faire passer à dix-huit ans dans l'une des sec- tions du quartier des aliénés, nous l'
enir son placement, justifié par ses infirmités et sa maladie, dans l'une des divisions de l'hospice. L'autorisation étan
influence sur la douleur, elles sont inversement proportionnelles l'une à l'autre.-Les muqueuses sont moins sensibles que
onctionnels. Quand plus tard s'effectue la spécialisation génitale, l'une des fonctions se développe, l'autre demeure lat
un traitement psychique. Deux méthodes peuvent être employées. Dans l'une il ne faut pas laisser SOCIÉTÉS SAVANTES. 491
48 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dixjours, clic a des cri- ses d'excitation désordonnée au cours de l'une desquelles elle se coupe légèrement un doigt en
eule épileptique que nous ayons parmi ces enfants. Deux autres ont, l'une des ver- tiges très fréquents, la seconde des c
onvulsives ra- res. Après quelques hésitations, les nourricières de l'une comme celle de l'autre,ont fini par s'accoutume
. Est-il nécessaire en effet de signaler deux assiettes cassées par l'une d'elles dans un petit moment d'irritation ! A
. les trois épileptiques dont il a été question plus haut et dont l'une était en outre porteur d'un toenia. Chez beauco
qui place celle-là en dehors et en face de celui-ci ; qui fait agir l'une contre l'autre ! Or, pourquoi, s'il vous plaî
uf, et que chacune des cellu- les du stade II contient en puissance l'une des moitiés de cet or- gane. » A ce texte de
de l'oeuf : « Cha- cune des cellules du stade II contient, dit-il, l'une des moitiés de cet organe ». Ainsi est-ce préci
je le puis croire constitué primitive- ment par deux cellules dont l'une sera née dans la partie droite de l'oeuf, l'aut
moitiés latérales, pendant le développement du tronc, sont séparées l'une de l'autre, sur la ligne médiane, par la plaque
r l'épithélium in- testinal comme formé de deux parties distinctes, l'une droite, l'autre gauche. Or ce qui précède n'e
que telle était la rè- gle et que la première segmentation séparait l'une de l'autre la moitié ventrale et la moitié dors
provoqué deux fois sur lui-même des spasmes cloniques en compriment l'une des carotides, et déclare que « l'occlusion bru
nations con- sistaient en mouvements ou sensations de mouvements de l'une ou de l'autre main indifféremment, sensations g
les affections mentales, en montrant les symptômes justiciables de l'une et l'autre pathologie. Dans un bref avant-propo
elle est tombée, principalement dans le procès récent de Tiiaw, est l'une des plus déplorables phases du sujet. C'est néc
mélancolie simples, idiopathiques, non récidivan- tes qui demeurent l'une et l'autre des entités au même titre que la fol
FALRET fils : « La médecine légale de cette affection sera toujours l'une des plus difficiles de la pathologie mentale, à
des de Golgi et d'Ehr- lich, c'est-à-dire des méthodes qui donnent, l'une exclusivement, l'autre surtout, la forme des ce
ité du système nerveux; elles peuvent, par conséquent, se compenser l'une par l'autre, et nous pouvons trouver leurs trou
t psychi- chique, deux grandes fonctions qui doivent être combinées l'une avec l'autre, et se trouver dans de bonnes cond
mie de médecine, 5 février 1907) · On sait que le nerf vestibulaire, l'une des branches de la VIGIE paire est le nerf du s
dehors et la thérapeutique scientifique de l'aliéna- tion découlent l'une et l'autre des connaissances médicales des méde
pourront grouper sous une même direction deux sections différentes, l'une de garçons, l'autre de filles. Art. 4. La sub
olliciter une sensation et son trouble trophique concomitant que si l'une el l'autre ont été emma- gasinés déjà dans l'ac
n peu spéciaux. Intoxica.. tion suraiguë par l'alcool à brûler chez l'une des codélirantes. Par LE DT G. G. DE CLI : It
n'ayant eu qu'une collaboration inter- mittente, mais s'étant donné l'une à l'autre une stimu- lation énergique et des id
ne voulais pas vous en parler. » Nous nous sommes fait redire par l'une et par l'autre, séparément, nombre de fois cet
éménagé encore, aperçoit dans un restaurant deux femmes suspectes ; l'une est la mère.l'au- tre est la soeur de Nelly Dor
eux aliénées de foime différente qui sont venues en contact,et dont l'une a exercé sur l'autre une induction, en ajoutant
e Mme Granet, et par leurs suggestibilités res- pectives, dues chez l'une à l'humilité déjà connue, chez l'autre aux trou
actif) ; l'idée de l'hostilité ambiante a satisfait d'emblée chez l'une des deux une tendance mélancolique plutôt qu'un
écouvrons sur la fesse gauche deux lésions exactement con- tiguës : l'une est une plaque de gangrène sèche, violacée, de fo
contre la simulation. Le Piof. Raymond rapporte deux observations, l'une de pem- phigus qui lui paraît authentique, l'au
es et jusqu'à celle de Savoie (1857).Enfin il présente deux malades, l'une appartenant au service du Prof. Déjérine et att
28 ans, qui ont été atteints de fièvre hystérique et qui ont, guéri l'une sous la menace d'un divorce, 376 REVUE DE PATHO
rémission plus ou moins courte, pour se terminer par la mort, après l'une on l'autre période, ou parla guérison. Ici, il
les déterminer Des lors, l'expert n'aura aucune difficulté à faire l'une des trois réponses suivantes : 1. Cet acte est pl
peu spé- ciaux. Intoxication suraiguë par l'alcool à brûler chez l'une des codctirantcs, par Cléram- bault, p. 321.
49 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
s musculaires sacro- lombaires, injections bien supportées, quoique l'une d'elles ait donné lieu à un petit durillon phle
. Mais chez les femmes nous avons pu observer deux cas de scoliose, l'une dor- sale gauche, l'autre dorsale droite, la pr
100 DEBOVE que l'homme qui l'a voulu empoisonner n'appartient ni à l'une , ni il l'autre religion, mais était un libertin
re de bien grandes et grosses pierres solides, on trouva au milieu de l'une d'icelles un gros crapaud vif, il n'y avait auc
lorence, nous nous souvenons surtout de trois adorations des Mages, l'une de Bartolo di M. Fredi, la seconde de SimoneMarti
point de vue du phénomène de Babinski, sont comme la contre-épreuve l'une de l'autre (1). Dans l'une, petit dessin à l'aqua
e Babinski, sont comme la contre-épreuve l'une de l'autre (1). Dans l'une , petit dessin à l'aqua- relle (2), les pieds de
s dorsales, sa tête était constam- ment oscillante ou retombait sur l'une ou l'autre épaule. Du côté des yeux, on notait
dans les maladies des glandes closes, à l'occasion des troubles de l'une d'elles, l'inlrégrité des autres glandes peut jus
landes à fonctions corré- latives contrebalancent l'insuffisance de l'une d'elles par des hypertrophies compensatrices. U
écédé cette manoeuvre. On voit sur la jambe deux solides ligatures, l'une un peu au-dessus de la cheville, l'autre au-des
onc sur une même plaque, en donnant au malade le temps de passer de l'une à l'autre entre les deux poses. Cet artifice
lle prend alors successivement ses jambes avec ses mains, les range l'une à côté de l'autre, comme des corps étrangers, et
e une série de cas de passage pour lesquels nous pourrons passer de l'une à l'autre forme, nous affirmons que dans l'étio
pétition de principe, dire qu'elles se soutiennent et se fortifient l'une l'autre. Il est vrai que dans le rachitisme il
éphalie et l'anencéphalie, que l'on distingue assez ordinairement t l'une de l'autre, possèdent en commun la plupart des ca
riations que l'on observe ne s'appliquent pas plus spé- cialement à l'une qu'à l'autre. Et quant au caractère fondamental,
nt nullement fondées. Les embryons que Dareste prétend appartenir à l'une ou l'autre de ces modifications congé- nitales
e nerveux, Jules Guérin devait presque fatalement tomber juste pour l'une ou l'autre d'entre elles. C'est ce qui a eu lie
ver de bas en haut et de dehors en dedans pour venir à la rencontre l'une de l'autre se 'souder et circonscrire le trou occ
rtébrale des Pseudencéphaliens pré- sente deux particularités, dont l'une est à peu près constante, dont l'autre ap- part
elle, et l'on n'ob- serve rien qui ressemble, de près ou de loin, à l'une des scissures de l'encé- phale. Le tissu lui-mê
st négligeable, il n'y a qu'une différence de degré. On peut relier l'une et l'autre par une série de transitions ménagée
tte néo- formation présente deux régions assez nettement séparées : l'une superficielle où les vaisseaux sont petits, nom
la substance grise et la substance blanche se distinguant nettement l'une de l'autre. La moelle a une coloration semblabl
e. Avant d'essayer de ranger le tableau offert par ces malades dans l'une ou l'autre des maladies familiales connues, nou
ritable état mental chez cette malade, et par là elle se rapproche de l'une des malades de Trénel qui était atteinte de dém
es et la sclérose en plaques ne prouve qu'une chose, c'est que dans l'une et l'autre de ces maladies il s'agit d'un proce
ême cause peut, suivant son degré d'in- tensité, donner naissance à l'une ou à l'autre de ces affections ; j'ajoute, à l'
deux épiphyses coopèrent très inégalement à l'allongement total, et l'une fournit souvent un travail 5 à 6 fois plus cons
ommune et où il est facile de l'étudier, on connaît deux variétés : l'une il membres droits, l'autre à membres torses. Cett
, croyons-nous, cher- cher à"aïsimiler ces deux affections, puisque l'une , la dysplasie périostale relève d'une hyperacti
pèce de cellules (musculaire dans un cas, osseuse dans l'autre). Dans l'une et l'autre forme morbide, les altérations bisto
in : le cinquième doigt présente trois phalanges complètes fléchies l'une sur l'autre. Toutes les phalanges sont unies pa
éralement et du bas en haut. Les phalanges se présentent fléchies l'une sur l'autre et superposées et apla- ties et ell
nt fléchies du côté distal envers le côté proximal, et latéralement l'une sur l'autre ; de sorte qu'il en résulte un amas
s a fourni aussi l'occasion de voir tous les arguments en faveur de l'une et de l'autre théories. On doit reconnaitre que d
s logique d'admettre que les deux lésions ont évolué indépendamment l'une de l'autre ou que, s'il existe un lien entre el
préco- cité de l'invasion, soit dans la rapidité de la propagation. L'une ou l'autre de ces deux circonstances, ou toutes
la pseudencéphalie. J'ai retrouvé une indication du même ordre dans l'une des observations que M. Paul Bar a bien voulu me
qu'il soit toujours facile de dissocier nettement ce qui revient à l'une et ce qui dépend de l'autre. Chez un certain, n
ors, d'étaler les pièces squelettiques : celles-ci restent accolées l'une à l'autre, délimitant le trou occipital. La vit
développées. On en compte quatre au voisinage du condyle interne : l'une , peu développée, est arrondie ; la se- conde, a
condyle ex- terne existent deux productions osseuses volumineuses ; l'une d'elles s'est re- courbée de façon à constituer
e de la tumeur que nous pourrons parler avec certitude en faveur de l'une ou de l'autre en- tité morbide. D'un autre côté
s à droite qu'à gauche. Les photographies représentent le sujet : l'une , les bras au corps, avant-bras en flexion, dans
cune modi- fication soit intervenue dans son état. , S'agit-il de l'une des formes si variées, si complexes et encore mal
ne déterminent directement aucun trouble trophique appréciable dans l'une quelconque des ébauches en voie de développement.
ême ténuité. Les deux circonstances sont également possibles ; dans l'une et l'autre, tou- tefois, il n'est pas douteux q
rence. Si l'on analyse avec quelque attention cette théorie, sous l'une ou l'autre de ses formes, on est rapidement con
u pla- centa : d'ailleurs on ne voit pas bien sous quelle influence l'une ou l'autre de ces deux parties sont venues au c
ontrer une fois de plus l'inutilité des désignations spéciales pour l'une quelconque des modalités connues. " 3. Pseude
un vieillard obèse, chauve et de mine hypocrite, les mains croisées l'une sur l'autre, NOUVELLE Iconographie DE la Salpêt
50 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
et que je vous ai présentés à mes leçons du mardi, des exemples de l'une et l'autre forme ; je m'empresse de vous dire que
om- baire. 7n Cervicale. Les deux zones sclérosées se rapprochent l'une de l'autre par leur extrémité supérieure. 6e
mes différents, et peut-être un plus grand nombre, ne sont séparées l'une de l'autre qu'à la région lombaire ; à la régio
re qu'à la région lombaire ; à la région sacrée elles se continuent l'une avec l'autre dans l'observation I, où elles son
cune ligne de démarca- tion. Pour faire la part de ce qui revient à l'une et à l'autre, il faut s'a- dresser aux observat
au-dessus du renflement lombaire ; dans ces observations, en effet l'une des formations endogènes à grosses fibres, le t
tate la sclé- rose des faisceaux pyramidaux du cordon latéral et de l'une des deux pyra- mides. Le cordon postérieur es
rices dessinent plus particulièrement des défor- mations nasales. L'une , la treizième, portant la légende : Estran calien
défaire », représente les trois Parques, trois affreuses vieilles. L'une file assise sur une chaise, une autre tient un ba
syphilis, ni blennorrhagie ; il a eu deux congestions pulmonaires, l'une à 19 ans, l'autre à 22 ans. Il exerçait le méti
ppar- tenant au même corps cellulaire, n'est pas uniforme ; souvent l'une des dendrites se distingue beaucoup des autres
nt sur elles de petits grains siégeant à une distance presque égale l'une de l'autre, plus foncés que la substance interm
r. Salpêtr., 1901, n° 3). 162 . - HEITZ' en ont relevé plusieurs. L'une d'elles est extraite d'un manuscrit d'Aix-la- C
es. Parmi les fresques de l'église de Reichenau (lac de Constance), l'une représente l'exorcisme du possédé de Gérasa. Su
ue : de même, les cellules ne disparaissent pas indifféremment dans l'une ou l'autre région ; cette raréfaction se produi
r nous distingue- rons deux ordres de proliféra lions capsulaires : l'une est primitive et se fait L de dedans en dehors;
nt par les IV" et Va segments, où l'on voit toutes les transitions de l'une à l'autre de ces lésions. Ainsi, dans la corne
re pour une para- lysie faciale et des paralysies oculaires situées l'une et l'autre du côté droit. La première chose qui
ée de 29 ans. Elle avait donné le jour à 4 enfants : 2 filles, dont l'une est morte de fièvre typhoïde à 18 ans, et 2 gar
s la bilatéralité, la symétrie des lésions pour ainsi dire calquées l'une sur l'autre. Enfin l'on pourrait songer encore
aussi cette fertilité et cette exubérance. L'exemplaire reproduit est l'une des innombrables productions analogues. Tentons
sommes aussi en présence de l'amentia (amelltÙ¿ Meynel'ti), mais de l'une de ses formes, plus favorable, à marche plus ra
tant soit peu stable ; les inepties se sui- vent et cèdent la place l'une à l'autre. Tout est si embrouillé dans la tête du
conscience même de sa propre personnalité est troublée à l'extrême ; l'une de nos malades se disait être tantôt le fils du
oit du cane- vas à l'autre, elles embrouillent et cassent les fils. L'une d'elles (n° 3) brode parfois jusqu'à ce que le
des dangers imaginaires. Le malade porte des croix, des amulettes. L'une de nos paranoïques s'affublait toujours en marc
rieures, à savoir une compression à travers la pie-mère spi- nale : l'une et l'autre atrophies seraient dues à une compress
ère des vaisseaux. C'est ainsi que sur des coupes de la 2e lombaire l'une des cornes antérieures offre un foyer bémorrhag
s antérieures. Cette cavité est arrondie, mais au niveau de la base l'une des cornes postérieures se poursuit par un prolon
et la grande cavité centrale semble n'être que l'épanouissement de l'une d'elles. Fentes et cavités sont des lésions de
it donc que deux conceptions absolument opposées se font jour, dont l'une met en jeu l'existence même de la syringomyélie.
ssentiellement distincte. Les faits que nous rapportons constituent l'une des variétés, mais loin de les distraire, nous so
ole que nous venons d'étudier rapidement reconnaissent souvent pour l'une de leurs principales causes un phénomène dont v
ent de faire la remarque que les troubles de l'écriture constituent l'une des premières et des plus saisissables mani- fe
rtants. ' A eu deux soeurs et un frère. Ses deux soeurs sont mortes l'une à 2 ans, l'autre à 2 ans 1/2, le malade ignore
ments humides au sublimé). On remarque de plus deux taches situées l'une à la face interne et au-dessus des ulcérations
es. Cornevin (5) si- gnale l'absence de l'arrêt de développement de l'une des conques auricu- laires, des anomalies de di
ns spontanées,répétées,indépendantes de mouvements de défense, sont l'une des formes les plus fréquentes de la rétivité che
51 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
fussent, par ailleurs, les relations existantes entre les accès de l'une et ceux de l'autre. À la vérité, on ne saurai
ie dont les accès sont caractérisés par deux période ? régulier es, l'une de dépression et l'autre d' excitation ». « E
IVE. 5 caractérisé par l'existence régulière, de deux pério- des, l'une d'excitation, l'autre de dépression ». C'est ce
sion sont en réalité des accès a double forme frustes dans lesquels l'une des phases morbides reste méconnue de l'entoura
nce précoce simple ou fruste, l'auteur en décrit deux autres : dans l'une , on observerait, eu plus de l'affaiblissement i
190G, 11- 1.) Deux observations d'ivresse délirante passagère dont l'une , for- fuite et involontaire, est survenue chez
rieure horizontale et une partie postérieure à peu près verticale ; l'une et l'autre se continuent direc- tement en dedan
des neurologistes ne lorment qu'une seule et même science, puisque l'une et l'au- tre étudient le même objet, appliquent
es albuminoïdes. La destruction de cellules provoque deux réactions l'une , très forte, aboutit à la production d'une subs
Ces trois sortes de lésions ne paraissent pas, en général, dépendre l'une de l'autre, mais toutes trois dépendent de l'en
été décrites sous le nom de « pigment jaune » paraissent dériver l'une de l'autre et représenter les phases succes- si
euse, exalte, au con- traire, l'activité de la cellule névroglique. L'une réagit par la mort, l'autre par la prolifératio
nt à son grand étonnement.Demême, si l'on prend chaque articulation l'une après l'autre, et si on lutte contre le malade
ettre que ce* segment fonctionnel offre une tare hérédi- taire dans l'une quelconque de ses parties, qui prédomine tantôt
oulé entre les deux faits n'a été ni trop long, ni trop court. Dans l'une ou l'autre de ces alternatives, 20 CONGRÈS DE
aphique est soumise àl'influence de trois constantes ou paramètres, l'une positive(tendant à élever la courhe),les deux a
existent réellement et revêtent la forme de confusion mentale sous l'une quelconque de ses variétés, délire onirique, dé
ente ans de distance, de deux célébrités de nationalité différente, l'une françaiseet l'au- tre anglaise, sont assez nets
lles,d'abord vivant ensemble dans des conditions identiques, puis l'une d'elles se marie plus tôt, l'autre plus tard. Une
lus tôt, l'autre plus tard. Une a des enfants, l'autre n'en a pas ; l'une est heureuse dans sa vie conjugale, la seconde
ulier chez les deux en même temps et pendant qua- tre jours. Jamais l'une ne lut malade sans que l'autre ne le fut aussi
à des personnes qui a valent l'habitude de les voir, de les prendre l'une pour l'autre. Par plaisanterie, elle les avait su
qu'elles étaient aussi instruites et aussi excellentes musiciennes l'une que l'autre. De tout temps leur cal'actère,'éga-
ors dans la plus étroite et la plus charmante intimité, sans secret l'une pour l'autre, partageant la même chambre et jus
enlacées. Le mariage les sépara pour la première fois de leur vie : l'une , dont le mari habitait la ville, resta et garda
intensité telle que le placement d'urgence dans un asile s'imposa. L'une nous fut confiée, l'autre fut placée par son ma
uivre et comparer séparément car, bien entendu, nous les isolâmes l'une de l'autre et nous les laissâmes dans l'ignorance
ment blessé, il porto à la région précordiale deux blessures, dont l'une seulement est pénétrante et a intéressé le poumon
substances, au moins, entrent dans la constitution de ce nucléole : l'une achromatique et l'autre chro- matique. C'est da
ir blessé trois personnes il coups (le couteau, un foie est tué par l'une d'elks, PERPIGNAN, 2 septembre. (Par dépê- VA
lireuil-le- ver (Oise). Le feu venait de se déclarer à deux meules l'une de FAITS DIVERS. 415 gerbes, l'autre de pai
ébraux et enfin d'un examen histologiste dû à M. le Dr ITALO Rossi. L'une des particularités de cette observation consist
a lésion est encore et surtout vasculo-conjonctive. La démence dans l'une et l'autre variété esl. due à l'abrasion, la se
asse du cadre. AVIS A NOS ABONNÉS. L'échéance du le JANVIER étant l'une les plus importantes de Tannée, nous prions ins
52 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
alcooliques qui présente deux affections cutanées intéressantes : l'une , de nature parasitaire et du res- sort de la de
oins, de comparer l'effort de préhension qu'il peut développer avec l'une ou l'autre main. '11 PATHOLOGIE NERVEUSE. F
e à tem- pérature locale aux deux régions symétriques du corps dont l'une était couverte d'une large papule ortiéeartific
rte d'une large papule ortiéeartificielte. Voici les résul- tats de l'une de nos expériences à ce sujet : DBRMONEUROSE ST
une coïncidence assez heureuse deux affections rares de la peau, l'une parasitaire, ]'autre, d'ori- z gine vaso-motric
égard de l'urticaire dite spontanée et les causes occasionnelles de l'une de- meurentsans action sensible sur l'apparitio
spasmodique fait sa station définitive. Maintenant, de deux choses l'une , ou bien ce syn- drome rétrograde, cette rétrog
pnotisme comprend donc deux catégories de sujets bien distinctes; à l'une appartiennent ceux qui présentent des caractère
cipe et en pratique. En principe, deux objections se sont élevées : l'une de lierthier qui est puérile (il s'agit de la dif
s elles m'étaient arrivées, mais ce qui est certain, c'est que chez l'une et chez l'autre, peu de temps après avoir fait
ait qu'elles marchaient sur du coton. On a pu constater aussi, chez l'une et chez l'autre, des plaques d'anes- thesie cut
inuer ses piqûres. M. Christian. Si le malade veut bien entrer dans l'une de ces maisons de santé ouvertes, rien de mieux
cesse également d'y être retenue, dès que la sortie est requise par l'une des personnes ci-après désignées, savoir : 1° Le
es causés à l'un de ceux-ci. La peine est tout d'abord appropriée à l'une et l'autre fonction, puis appliquée qu'elle est
ine de l'Etat. Les candidats devront être docteurs en médecine de l'une desdites Facultés de l'Etat et de nationalité f
culté de médecine de l'Etat. Les candidats devront être docteurs de l'une desdites Facultés de l'Etat et de nationalité fra
terminé le 19 novembre. La lecture des compositions a eu lieu dans l'une des salles de la caserne Lobau (annexe de 1'llô
43, iG et 18. Avis A nos Adonnés. L'échéance du 1 ? janvier étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
nerveuses, le tabes et la paralysie se rencontrent aussi souvent l'une que l'autre (soixante-six cas de tabes, soixante-
rtielle. De ce type nous avons deux observations intéressantes dont l'une est un exemple de paralysie de la face et du me
age de l'optimum au pessimum et vice- versà, le muscle se repose de l'une ou l'autre fatigue. Terminaisons nerveuses péri
racine antérieure du même nerf (prolongement du nerf vestibulaire). L'une de ces branches pénètre dans le noyau anté- rie
es forment une racine postérieure et une racine antérieure séparées l'une de l'autre par de la substance grise. La racine
eut l'interpréter de diverses manières. La pensée du jury a pu être l'une de celles-ci : ou le fait n'a pas été commis pa
cette espèce des mesures de sénat. 323 5 précaution et de combler l'une des lacunes les plus importantes qui aient été
à cette stupéfiante assertion c que deux per- sonnes donnant à côté l'une de l'autre font de l'hypnotisme sans le savoir»
terminée de l'écorce sont plus complexes. Au lieu de deux périodes, l'une dans laquelle les phénomènes de déficit se comp
a prouve évidemment que les méthodes manquent de précision ou que l'une d'elles est moins précise que l'autre. La plus
tabes et la paralysie progressive se rencontrent aussi sou- vent l'une que l'autre, et chez les Russes de 4 à 5 fois p
s aucun cas paralytique. Lorsque I... est couché, il accomplit avec l'une et l'autre jambes les mouvements actifs par sac
solution complète de continuité en deux pointes différentes, dont l'une était à la partie du tube submergé et l'autre à c
la hauteur des deux grands trochanters, on voit aussi deux plaies ; l'une a amené la destruction de la peau ; dans l'autr
f enfants : deux garçons vigoureux et sept filles. Parmi celles-ci, l'une est morte jeune, succombant à une affection que
able étude de Ai. Ribot se divise en deux parties bien distinctes : l'une , sous le titre d'Introduction, est l'exposé de la
53 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
ont bien portants. Une autre soeur se porte bien. Deux sont mortes, l'une en bas-âge, l'autre à 14 ans, de phthisie. Anté
suspension, les deux gouttières sont réunies par des courroies dont l'une passe en avant et l'autre en arrière du corps. Du
t les températures ne devinrent normales qu'a- près trois mois chez l'une et deux chez l'autre, sans que cependant elles
si fréquents chez les hystériques ont joué le principal rôle clans l'une et l'autre occasion. Ayant en considération les
dans la pathogénie de toutes les scolioses on trouve des partisans de l'une ou l'autre de ces deux théories qui en somme n'
unesueur aînée âgéede28 ans bien constituée, qui a deux filles dont l'une a eu des convulsions : un frère âgé de 23 ans e
). Les deux dernières excitations de celle ligne, répétées aussitôt l'une après l'autre, montrent aussi la disparition de
rquer que plusieurs sont absents, sura- joutés, ou font défaut dans l'une ou l'autre composition. Il est très certain (t)
les surfaces articulaires dénudées de leur cartilage frottaient à sec l'une contre l'autre. Les trochanters semblent être
t, on appelle « canon » le rapport des diver- ses parties du corps, l'une de ces parties, dite module, étant prise pour u
nche. Mais ces deux mesures, tronc et membre inférieur, chevauchent l'une sur l'autre d'une demi tète, d'où il suit que la
ôt simplement une courbure dorsale, tantôt deux courbures inverses, l'une dorsale, l'autre lombaire ou dorso-lombaire. \
auche jusqu'à la 9° dorsale. La 4e et la 5e lombaires sont séparées l'une de l'autre par un inter- valle très exagéré, da
lle et Guérard (1) deux observations qui tendraient à le démontrer. L'une appartient à Valentiner (2). Il s'agit d'une femm
sa partie inférieure est obtenu par la lutte entre deux puissances, l'une passive, c'est le poids du tronc qui lend il en
mbre malade est toujours plus ou moins fléchi. Alors de deux choses l'une . Ou bien la plante du pied repose sur le sol par
blement communiquée par M. Bourneville, la mort est survenue : chez l'une à la suite d'une pleuré- sie purulente, chez le
ou bien une rotation de la colonne vertébrale, en vertu de laquelle l'une des épaules, l'une des épines iliaques proéminent
n de la colonne vertébrale, en vertu de laquelle l'une des épaules, l'une des épines iliaques proéminent davantage en ava
position du bassin et celle du membre inférieur malade, solidaires l'une de l'attire, sont variables. Ce qui est constant,
pétition des excitations. 1° Avec des interruptions rares, espacées l'une de l'autre de plusieurs secondes, ou autrement
avoir des enfants sains. En ce qui concerne les autres symptômes de l'une et l'autre affections, la plupart se confondent
mouvements involontaires d'al- lure athétoïde qui s'observent dans l'une des maladies que nous venons d'énumérer. Puis n
oir discuter ici la pathogénie de ces mouvements involontaires dans l'une et l'autre maladie, il nous semble qu'il existe
même cas, sans vouloir préjuger de la localisation des lésions chez l'une et les autres. Si nous nous rappelons la descri
lus long, et M. Sappey tient le milieu avec deux séries de mesures, l'une dans laquelle le membre su- périeur est plus co
lances sont donc nombreuses et importantes dans les deux maladies ; l'une peut copier l'autre sans cesser d'être elle-même.
images : à huit ou dix centimètres de l'oeil elles sont bien séparées l'une de l'autre et bien claires. En outre, quand on
ux statues d'hermaphrodites couchés provenant de la villa Borghèse. L'une d'elles est considérée comme un chef-d'oeuvre d
ue classer ces divers hermaphrodites en deux catégories distinctes, l'une dans laquelle les formes féminines sont parfait
54 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
bien distinctes, lesquelles peuvent se montrer isolées, indépendantes l'une de l'autre, ou, au contraire, entrer en combinais
épendantes l'une de l'autre, ou, au contraire, entrer en combinaison. L'une de ces formes pourrait être désignée sous le nom
ent, nous avions dans nos salles, presque côte à côte, deux malades : l'une , Deg..., que je vous ai fait voir comme un spécim
taxie locomotrice progressive. T 1. Je vous ai entretenus, dans l'une des dernières séances, des crises gastriques et j
mal de Pott, qui guérit en pareil cas, appartient plus spécialement à l'une ou à l'autre des formes décrites par M. Broca. To
enter deux malades chez lesquelles cet heureux résultat a été obtenu. L'une d'elles a été complète-ment paralysée des membres
épaisseur. Je veux actuellement appeler votre attention sur le cas où l'une des moitiés latérales de ce centre est seule lésé
térés, les lésions localisées, d'ailleurs, comme c'est la règle, dans l'une des cornes grises antérieures, con-sistaient en u
dans la réalité, c'est ce dont témoigne, entre autres, l'histoire de l'une des maladies spinales les plus communes chez l'ad
sé som-maire. Deux de ces observations ont été publiées avec détails, l'une par M. Joffroy et par moi (Arch. de physiologie,
r encore dans la même catégorie deux observations publiées récemment, l'une par 1 E. Leyden. — Ueber progressive Bulbcir-pa
à des cas de paralysie générale progressive. (J.-M. G) ropathique. L'une de celles dont la connaissance peut être, sans co
ois la pachy méninge hypertrophiée semble com-posée de deux couches : l'une externe, l'autre interne. Cette dernière, qui par
points de ressemblance qui les rapprochent de sé-parer cliniquement, l'une de l'autre, les deux affections dont il s'agit. C
ui, — groupés sous ce nom, pourraient être ramenés par la critique, à l'une quelconque des formes de l'amyotrophie liée à l'a
que je dois vous signaler. Yous pouvez en étudier les caractères chez l'une d'entre elles, la nommée Oss...2. Vous voyez comm
ous devons envisager maintenant les deux affections que nous opposons l'une à l'autre, au moment où elles sont parvenues au d
çons sur les maladies du système nerveux, 2e édit., t. I, p. 264. 2 L'une des malades présentées dans cette leçon, comme of
a-lique. Et en réalité, Messieurs, c'est, il n'y a pas à en douter, à l'une ou l'autre de ces lésions organiques qu'il convie
ues, était un jour déterminé avec préci-sion, on connaîtrait au moins l'une des régions de l'encéphale où devraient être cher
du corps accessibles à l'œil, espérant y rencontrer les ves-tiges de l'une quelconque des manifestations tardives de cette m
cuser davan-tage. Les éminences thénar et hypothénar sont rapprochées l'une de l'autre ; le pouce allongé repose sur l'index
-bras, ne permettent pas de reconnaître dans ce cas l'intervention de l'une quelconque des influences qui, dans la règle, pré
s chez les malades atteints zYataxie locomotrice, ou ils consti-tuent l'une des variétés de ces crises laryngées tabétiques d
r le fait de cette simple comparaison (Pl. VIII, fig. 4 et 5). Dans l'une , les fibres sont volumineuses de 45 à 90a, toutes
lui, — groupés sous ce nom, pourraient être ramenés par la critique à l'une quelconque des formes de l'amyotrophie liée à l'a
et, la main tout entière et le pied sont affec-tés ; — 3° enfin, chez l'une des malades que M. Charcot a montrées à ses audit
arrondis, plus festonnés. Si, avec M. Charcot, nous plaçons en face l'une de l'autre P... et Gr... (Ors. I), nous constaton
55 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
eux et valides, nous étions parvenu à rendre libre, durant le jour, l'une de ces salles ; mais que, pendant la nuit, l'en
- sieurs de nos jeunes malades. Nous constations le même jour que l'une de ses victimes, Legr... Etienne, était atteint
s catégories n'offrent aucune valeur. En effet, elles comprennent l'une et l'autre des malades qui tendent vers la démenc
e avec l'aspect de taches lenticulaires, blanchâtres, peu épaisses. L'une d'entre elles fait relief au dehors, et refoule
de consanguinité. Sept enfants : 1° et2° deux jumelles (1), mortes l'une à 20 jours, « de faiblesse n, l'autre à six sem
ore les maladies qu'elle a pu faire : elle avait deux hernies, dont l'une s'étrangla à 60 ans et fut opérée avec succès.
isse ; grand-père mort de vieillesse à 98 ans et demi. Deux soeurs, l'une bien portante, mère de 7 enfants en bonne santé
ette région, il y a encore, du même côté, deux inci- sures isolées, l'une dans la circonvolution du corps calleux au nive
a duré six mois, accompagnée d'oedème des extrémités. Deux soeurs, l'une morte à 18 mois, d'un choc sur la tête ; l'autr
dent. Une seule fois il a eu deux séries dans la même journée, dont l'une , dans l'après-midi, a été très courte. Il faut
e, M. Bourneville croyait devoir les classer en deux variétés : « l'une dans laquelle l'atrophie serait, pour ainsi dire,
antécédent morbide chez lui. Il a deux filles de son mariage, âgées l'une de 22 ans et l'autre de 17 ans, toutes deux en
fant un objet tel qu'une clef, un tambourin, etc., il le tient dans l'une des mains, son regard devient fixe mais égaré d
Elle est un peu nerveuse et aurait même eu deux attaques de nerfs : l'une pendant la grossesse, l'autre, il y a dix jours
liments solides. Il présente deux plaques d'eczéma in2pé- tigineux, l'une au niveau du sillon naso-labial, l'autre vers l
Ajoutons, d'ail- leurs, que l'épidémie est demeurée circonscrite à l'une de nos catégories d'enfants. L'une des raison
ie est demeurée circonscrite à l'une de nos catégories d'enfants. L'une des raisons qui nous ont incité à publier la re-
56 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
ieurs que se livrent en moi deux forces ennemies : la vie et la mort. L’une m enflamme, et me souille des pensées brûlantes :
es se dispensent toutes deux. Je vais vous apprendre à les distinguer l’une de l’autre. N’attendez pas de moi un magnifique l
ut à coup leur essor. Vous constaterez deux existences dans l’être; l’une , que les savants étudient depuis le commencement
il agit en liberté sans que l’autre existence se mette de la partie. L’une condamne l’autre, et ses actions seront différent
u ministère public ne devait pas larder à être mise en mouvement. « L’une de ces plaintes émanait d’un marchand de chaussur
n bleu pour marque de sa dignité. « Le roi et la reine se placent à l’une des extrémités de la pièce, près d’une espèce d’a
sur l’inspection seule des bonnets de ces deux enfants, répondit : « L’une d’elles mourra dans deux jours, l’autre sera sauv
i sonl faites par écrit, et y répond dans la séance suivante. Or, à l’une des dernières séances, il avait à répondre à une
ultat pourrait être vérifié par tous. M. Hennequin lui remettrait à l’une des séances , une boite en matière quelconque, bo
sont pas faites pour exalter la théorie des progrès dont la mort est l’une des plus profitables transitions : le Solon-espri
nnes avec lesquelles on l’a mise en rapport; 2° que la déclaration de l’une , l’examen que l’on a fait de l'autre, après trois
personnes, après avoir eu de bonnes relations, se sont brouillées, et l’une d'elles a fait quelques reproches à l'autre. Est-
e représentation, la salle fut comble. Genève se divisaendeuxparties, l’une croyant, l’autre niant. J’assistai à la quatrième
et dit qu’il était assis dans une partie du vaisseau : il avait mal à l’une de ses jambes, qui était nue et décolorée. «On
yons froids, et le second des rayons chauds. Ces émissions, tempérées l’une par l’autre, entretiennent l’accord organique. Ce
nte, quand on a soin de fixer les mains (ou les doigts) en opposition l’une avec l’autre. On ne confondra pas ces courants av
endiculairement à la longueur du corps, et en les écartant rapidement l’une de l’autre (3), elles conviennent à la fin d’une
des Marais au boulevard était garnie de deux tables parallèles, dont l’une était occupée par le président, les membres du Ju
ons fait déjà. Nous démontrons aujourd’hui que l’homme a double vie : l’une , mystérieuse encore, dans laquelle nous pénétrons
qu’ils étaient par les deux grandes écoles médicales, qui s’arrachent l’une l’autre les malades, et sont trop souvent malheur
l’autre les malades, et sont trop souvent malheureusement dépossédées l’une et l’autre par la mort, qui trouve son compte dan
sexe, de tempérament, etc. Elles sont assises à un demi-mètre environ l’une de l’autre, et ainsi magnétisées en même temps, d
ur exemple de ce qui se dit dans celte enceinte, le sujet traité dans l’une des dernières séances : INFLUENCE DE LA MUSIQUE
leur fille. « Monsieur, médit tout à coup la lucide, de deux choses l'une , ou vous m’obéirez ponctuellement, et je reste en
cause du progrès de la science, est déjà sentie par les partisans de l’une et de l’autre. La justice et la vérité peuvent do
peuvent donc entrelacer désormais leurs drapeaux, et marcher, appuyée l’une sur l’autre, à la grande conquête de l’émancipati
dans le monde. Ilm’estarrivédeux malades de Roanne, samedi dernier. L’une , paralysée de tout son corps depuis plus de quatr
e de convulsions se déclara d’une manière si intense, qu’aussitôt que l’une des malades avait donné le signal, à l’instant, e
ourtant pas de ceux qui doutent quand même, et pour me faire croire à l’une ou à l’autre de ces sciences, il suffit de me dém
ement, il le prie de fermer la bouche. Il lui presse alors les lèvres l’une contre l’autre avec le bout de ses doigts, et lui
uvement des bras qu’il empêche, soit en oOl. comprimant les mains l’une contre l’autre par un mouvem ent fort et rapide,
pération de M. Darling. Quant aux résultats, ils sonl identiques dans l’une el l’autre méthode, à tel point que sous ce rappo
s, à la prise de Monterey (Mexique). Pas le plus léger mouvement dans l’une ou l’aulre opération, pas le moindre souvenir au
sans être parfaitement convaincu qu’elles sont tout à fait distinctes l’une de l’autre. Il y a encore entre elles une autre
mit par la pensée à la recherche de l’armoire et de la boîte, trouva l’une et l’autre, pénétra le mystère de l’enveloppe et
scriptions seront ducs à Noël ou à la Saint-Jean, et seront datées de l’une de ces deux pé- ~ riodes la plus rapprochée du te
fois; en février, ce fut le tour de la jambe droite, et, depuis lors, l’une et l’autre sont restées sans aucun mouvement. E
57 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
il a écrites et où il traduit son état par deux sortes d'écritures, l'une émanant de lui-même, l'autre attribuée à une pe
t en outre dans la sphère génito-urinaire, diverses anomalies, dont l'une tout à fait singulière. Depuis la puberté, elle
à l'asile de Bassens. (B.).. asiles d'aliénés. 53 presque égales, l'une pour les cas aigus, et l'autre pour les cas chr
Sommaire. AVIS A NOS ABONNÉS, - L'échéance du let. JUILLET étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
n'a pu être établi. Des 2 malades n'ayant pas de lésions apparentes l'une n'a pu être examinée au pointde vue des annexes
Science, avril 1900.) 1 L'auteur divise son travail en deux parties l'une psychologique, l'autre psycho-physiologique. Au
les psychiques à la puberté, la déviation conju- guée des yeux dans l'une au moins des attaques; l'inconscience REVUE DE
choses; au point de vue clinique, elle diffère du type habituel de l'une et l'autre de ces deux affections. La marche de l
men histolo- gique de deux autopsies de maladie de Friedreich, dont l'une 158 SOCIÉTÉS SAVANTES. 1 présente cette parti
n long couteau, .il se précipita sur la veuve et ses trois, filles. L'une de celles-ci fut tuée, les deux, autres et. la
champ de conscience de cette fonction ' ». Mais qu'on se rallie à l'une de ces trois théories ou qu'on les accepte tout
ono- culaire alternante ou encore par deux visions monoculaÍ1'es, l'une , complète, en rapport avec l'oeil sain, l'autre p
utefois sur l'élimination; et la moralité de l'élimination varie de l'une à l'autre forme, comme elle varie suivant le mome
rveux, on doit distinguer deux classes de paralysies de Landry : 1° l'une , directement para- sitaire, produite par la pré
pays de langue SOCIÉTÉS SAVANTES. 239 française, s'intéressent à l'une des branches de la médecine qui ont le plus pro
et expérimentale que la technique histologique. Ils sont eux aussi l'une des caractéristiques de la seconde moitié du de
tableau clinique, M. Carrier reconnaît deux formes au délire aigu : l'une relativement bénigne et curable, rare (deux obs
esques. Saint- Priest, au confluent du Taurion et de la Vienne, est l'une des contrées les plus fréquentées par les habit
survenus pendant l'éruption ne semblent pas la modifier. Le père de l'une de nos malades, Cast..., nous a affirmé avoir e
lose. Ces deux observations, différentes par leur étiologie, dans l'une , la syphilis héréditaire doit être mise en cause;
sal exceptionnel dans la paraly- sie générale. Elles se rapprochent l'une de l'autre par la forme démentielle habituellem
es difficultés ; généralement, la seconde résulte de la première. L'une résulte de la lésion des neurones moteurs centrau
on enseigne- ment, de distinguer plusieurs variétés de contracture. L'une , que j'appelle volontiers contracture myotoniqu
'obsession. M. L. ARNAUD (de Vanves). - On a appliqué à l'obsession l'une et l'autre des deux théories principales de l'é
u point de vue de l'aspect clinique, ils reconnaissent deux formes, l'une con- tinue, l'autre par accès. Ils distinguent
désir de maternité). Le cas de la reine Voga participe à la fois de l'une et de l'autre de ces classifications. Deux ca
ons du vol, du viol, du meurtre, du faux témoignage sont envisagées l'une après l'autre. Ces suggestions criminelles semb
athologique que l'on puisse attribuer une influenceprédo- minante à l'une ou l'autre de ces causes sur la détermination du
tions de vingt-quatre malades chacuue, complète- ment indépendantes l'une de l'autre, et situées, l'une au rez-de- chauss
chacuue, complète- ment indépendantes l'une de l'autre, et situées, l'une au rez-de- chaussée, l'autre au premier étage.
nnant plus signe de vie. 11 s'était tiré une balle de revolver dans l'une des tempes. La mort avait été instantanée. (Le
e travail, ont paru dans deux revues de psychiatrie ita- lienne : l'une est due à Brugia et Marzocchi13, l'autre à ' Da
formation de deux synthèses psychiques de caractère différent, dont l'une seule est enre- gistrée dans la conscience pers
rouvons en présence d'un certain nombre d'observations importantes. L'une d'elles nous semble assez intéressante pour que
e revêtir chez les sujets prédisposés des propriétés toxiques. Dans l'une ou l'autre hypothèse la méthode de traite- ment
parenchymateuse et la théorie interstitielle peuvent être soutenues l'une et l'autre avec des arguments de même valeur.
nt délivré. AVIS A NOS ABONNÉS. - L'échéance du 1er JANVIER étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
58 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
cune pour leur propre compte, parallèlement, sans influence notable l'une vis- à-vis de l'autre. L'hypothèse qui voudrait
moitié gauche du corps. Il existe en outre des zones hystérogènes, l'une au niveau du pli de l'aine du côté gauche, l'au
e. M... a eu dix frères ou soeurs morts en bas âge pour la plupart. L'une est morte dans un accès d'épilepsie; une autre av
re de quatre enfants : deux meurent en bas âge, deux sont vivants : l'une a des attaques convulsives. En 1882, il perd sa
ent exécuter que de faibles mouvements. Quand elle essaie de porter l'une ou l'autre main à son visage, surtout si elle t
aques d'aphonie, 30 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. dont l'une , de longue durée, n'était liée à aucune paralysie
t. A la fin de décembre ses pau- pières' gauche et droite tombèrent l'une après l'autre. Quinze jours après, ses mains n'
que fois de vingt-quatre à quarante-huit heures. Deux soeurs dont l'une est migraineuse comme la mère. 1. Contribution
e vive terreur chez la troisième. L'odeur de l'alcool qui donnait à l'une l'idée de bataille et de coups de poings, donna
de la période intra-utérine. On y trouve deux dépressions opposées, l'une déterminée par la paroi utérine, l'autre par un
Le crâne est attaqué par une couronne de trépan, de préférence à l'une des extrémités de la brèche qu'on veut produire e
les bords de l'os coupé. Je n'ai jamais ouvert l'artère méningée ou l'une de ses branches, mais je l'ai mise à découvert,
xe situé sur le prolonge- ment d'une ligne passant par le sommet de l'une ou l'autre épaule ; on voit alors celle-ci se d
ucun exemple. Les deux observations qui vontsuivre sont empruntées, l'une à la leçon déjà citée de notre maître M. le pro
s ne sonl efficaces qu'à la condition que la jambe soit placée dans l'une des attitudes favorables que nous venons d'indiqu
re qui a duré deux mois et qui a disparu brusquement. Sept soeurs : l'une d'elles, morte de méningite tuberculeuse; deux
ne d'elles, morte de méningite tuberculeuse; deux sont hystériques; l'une de celles-ci a été traitée à la Salpêtrière pen
e nous avons pu constater l'existence de deux tumeurs gliomaLeuses; l'une était siluée dans la partie postérieure de la cou
u ma- lade, l'existence de ces douleurs violentes qui caractérisent l'une des périodes de la pachyméningite cervicale hyp
férencier nettement les deux affections, l'oeil étant immobile dans l'une et au contraire souvent atteint de nystagmus dans
oculaires notamment) étaient sains. Des' deux autopsies de Thomsen l'une a fourni des résultats analogues tandis que l'a
morceau de glace alternative- ment sur l'un ou l'autre avant-bras, l'une et l'autre main, le malade indique, et cela ;i
parallélisme forcé des deux arcades qui ne peuvent plus s'appliquer l'une sur l'autre, et l'impossibilité de fermer la bouc
d'affections cérébrales de nature indéterminée. Elle a deux saurs : l'une a des attaques d'lads- térie, l'autre est migra
e aigu de 40» environ. Les cuisses sont presque toujours acco- lées l'une à l'autre dans toute leur étendue. Les pieds sont
semble pas contestable : les stigmates sensitifs, la guérison dans l'une , l'amélioration très rapide dans l'autre renden
i n'est ni la paralysie ni la contracture et qui cependant lient de l'une et de l'autre. Il ne se traduit, dans l'état or
musculaires qui, d'abord nettement distinctes, em- piètent bientôt l'une sur l'autre et ne tardent pas à se confondre dans
ait pas impossible que l'individu étant hystérique et syphilitique, l'une et l'autre maladies eussent contribué à la prod
u corps. Anesthésie pharyngée. -Il existe deux zones hystérogènes : l'une dans le flanc droit, l'autre dans la région dor
en a rapporté3 une série d'exemples convaincants. Il fait précéder l'une de ses leçons de considérations nosographiques
d'admettre provisoirement deux variétés d'atrophie hystérique : '1° l'une pure et simple, sans modifica- tions électrique
s dou- 418 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. - loureuses : l'une dans la région ovarienne gauche, l'autre dans la
ien l'oeil amaurotique qui voit, quand on le couvre on constate que l'une des deux images disparait, celle qui correspond
ée de mouvements spasmodiques. Il existe deux zones hystérogènes, l'une dans le milieu de la colonne dorsale, l'autre s
Il y a ici coexistence de deux amyotrophies distinctes d'origine : l'une relève d'une lésion organique, l'autre d'une al
ion normale. Adroite, le grand pectoral n'a que trois digitations : l'une s'insère il la clavicule, la deuxième à la prem
59 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cécité ne datait pas de l'enfancc. Cinq soeurs toutes très myopes; l'une particulièrement voyait à peine ; on ne sait si
la folie dépend uniquement de l'affection goitreuse ; il y a entre l'une et l'autre une relation de cause à effet, et co
dès quenous cherchons à nous rattacher d'une manière exclusive à l'une ou l'autre de ces deux théories. Ici plus que par
tabes confirmé, mais qu'elle précède assez souvent les symptômes de l'une comme de l'autre af- fection, ou que plus exact
xactement, elle s'accompagne ordi- nairement de petits symptômes de l'une et de l'autre maladie, et qui plus tard, pourro
ymptômes de l'une et de l'autre maladie, et qui plus tard, pourront l'une ou l'autre, ou toutes les deux se développer. '
e, ou toutes les deux se développer. ' D'ailleurs, d'ordinaire ni l'une ni l'autre des deux'affec- tions ne se développ
veuglément par le malade. En l'ésumée,[les deux vsyehothérapics ont l'une , et l'autre une action curative psychique incon
e médecin ne devra jamais oublier qu'elles dif- fèrent profondément l'une de l'autre en ce que la supé- SOCIÉTÉS SAVANT
sur la tente du cervelet. Les deux laces inférieures sont séparées l'une de l'autre par une crête saillante, déprimant p
La face convexe de cet hémisphère est donc divisée en 2 surfa- ces, l'une supérieure plane, l'autre externe, séparées par u
te, soeur de la mère du malade, traversa deux crises de mélancolie, l'une il y a 7 il 8 ans durant une gros- sesse, l'aut
lement soeur de sa mère, traversa aussi deux- crises de mélancolie, l'une il y 10 à 12 ans,l'autre il y a deux ans lors d
atre enfants : un fils, le malade en question, et trois filles dont l'une est morte à ! 'age de cinq ans elles deuxautres
le chien. Peut-être aussi s'agit-il de deux anomalies indépendantes l'une de l'autre ; peut-être ne sont-ce pas les libre
ectricité négative des feuilles d'or.(;'est pourquoi celles-ci vont l'une vers l'autre quand on approche le doigt ; elles p
faut, pour y arri- 1\)1', oule\el' clwcune d'elles aH'C les doigts l'une après l'autre. 148 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEU
ettre un calme relatif, elles sont d'autres fois si rapprochées que l'une se produit avant la cessation de la précédente
e vue général on distingue des catégories d'anormaux opposa- bles l'une à l'autre : les convulsifs qui se rapprochent de
sous-cutané. C'est un compas de Bau- delocque à pointes recourbées, l'une des pointes est munie d'une mouche en gutta. ;
hypnotique. M. Damoglou (du Caire). - Ces guérisons intéressent, l'une , un journaliste surmené, tabagique, devenu inca
tantes de la i'emme Schuhinger étaient atteintes d'hypocliondrie : l'une des deux s'est coupé la main gaucho d'un coup d
e général de la dégénérescence, mais que leur rap- port est tel que l'une de ces maladies se joint à l'autre. La syphilis
dans sa monographie. La déduction générale est que la migraine est l'une des manifestations de l'épilepsie, sa forme lat
es et les mêmes sujets, toutes les deux peuvent être l'équivalent l'une de l'autre. C'est pourquoi Cornu déclare catégori
e ; le second idiot; le trcisième s'est suicidé sans aucune raison. L'une des soeurs de la mère est frappée d'aliénation
rmettrons seulement de nous arrêter ici à l'exhibitionnisme comme à l'une des manifestations de l'épilepsie. On entend pa
s,la migraine et l'épilepsie peu- vent se combiner et se substituer l'une à l'autre. 2° Cette combinaison même démontre l
de etc'était sa mère, qui tous les matins.gl's- sait le poison dans l'une de ses poches. Ne pouvant- le corriger, le dire
par Ch. Féré. {Revue de médecine, mars 1905.) Deux observations, l'une d'un sujet prédisposé de 42 ans, avec anomalie
- cès, est constituée par des cellules rondes, fortement pressées l'une contre l'autre, et unies par une substance inte
fortement tassés; 2° la zone de la capsule formée de deux couches : l'une interne, composée de tissu lâche très riche en
ologie, 1905, n° 4.) Des cinq religieuses étudiées dans ce travail, l'une appar- tenait à une famille présentant des sign
tibilité. Des deux dont la cause de la mort a pu être déterminée, l'une mourut d'une affection pulmonaire, probablement d
du canal mchiclien à la bailleur de la région dorsale supérieure ; l'une située entre le canal rachidien et la dure-mère,
60 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
s de pénétration de la lame. Ainsi que vous pouvez vous en assurer, l'une des cicatrices est située immédiatement à droite
, plus aisé de juger par comparaison deux moitiés de moelle, dont l'une correspond à une eclromélie unilatérale et l'au
ement deux têtes arrondies pourvues de sur- faces articulaires dont l'une est destinée à la phalange de l'auriculaire, l'
détaillé des documents figurés relatifs aux Barbiers- Pédicures et l'une des oeuvres les plus délicates du maître flamand.
itant un département du territoire rolandique. Donc, de deux choses l'une : ou la tumeur trahit sa présence par le syn- d
érieur de l'hémisphère. Elle présente, par conséquent, deux masses, l'une sur la face externe, l'autre sur la face intern
it quelques contusions, en particulier deux petites plaies, situées l'une au niveau du coude, l'autre au-dessous de l'omo
ies sur les jambes. Elle est dans l'impossibilité de les rapprocher l'une de l'autre. La malade se sert au contraire de s
. 1/2. Il existe sur la face postérieure deux gouttières parallèles l'une à l'autre, l'inférieure plus accen- tuée que la
tes de MM. Gilles de la Tourette et Marinesco. Dans deux autopsies, l'une relative à un malade de 49 ans, l'autre concern
s-jeanne, probablement remplies de quelque liquide bienfaisant. Sur l'une d'elle se lit, assez mal d'ailleurs, le mot Ros
volumineux est parfaitement sphérique et double dans quelques cas ; l'une des sphères chromatiques est alors plus grande
rentrer dans le schéma classique du syndrome de Brown-Sequard. Dans l'une et l'autre, les symptômes dé- notant la paralys
tisme chronique. Elle ne relève cependant, à n'en pas douter, ni de l'une , ni de l'autre. Elle n'affecte avec la maladie
d'in- fantilisme qui avaient été jusqu'à présent confondues,et dont l'une seule- ment constitue réellement un état d'enfa
foncé, formant un léger relief verruqueux. Ces taches sont isolées l'une de l'autre dans la partie latéro-postérieure du
mètres de largeur. On peut distinguer à ce naevus trois portions, l'une centrale, dans laquelle les taches sont plus di
fection maternelle, infection relativement bénigne, grippe, angine, l'une de ces infections d'un jour, insuffisante pour
être attribués à une lésion du neurone sensitif direct, altéré dans l'une quelconque de ses parties contituantes : 4 gazz-
sieurs séries d'hémi- plégiques on la trouve presque constante dans l'une , rare dansl'autre; aussi l'opinion des auteurs
Deux grosses tumeurs arrondies pendent au bas de son cou, séparées l'une de l'autre parla saillie laryngo-trachéale, cel
rvenir. En examinant les membres inférieurs, le raccourcissement de l'une des jambes frappait à première vue : le malade
our, en Y. Elle donne ainsi naissance à deux branches terminales, l'une des- cendante, l'autre ascendante, qui toutes
plasma des cellules nerveuses coloré ainsi n'apparaît pas uniforme. L'une de ses parties constitutives se colore avec des c
ans notre cas, consistaient principalement en la désagrégation dans l'une ou dans l'autre forme des corpuscules chromati-
seau très fin et peu distinct; entre les - mailles de ce réseau,sur l'une des préparations, on peut observer unesohs- - t
randement redou- tables. N'a-t-on pas dit qu'ils avaient occasionné l'une des dix plaies de l'Egypte ? Allégation contest
ne notable incurvation des membres inférieurs qui n'existaient ni l'une ni l'autre au temps de ses exploits de lutteur.
ans la journée ; elles auront lieu tous les jours aux mêmes heures. L'une des séances journa- 414 FEINDEL ¡¡ères au moi
rs juste, aussi bien que dans les détails du paysage » (1). , Sur l'une de ces fresques nous croyons avoir reconnu un Lép
tes. Mais l'on distingue nettement l'atrophie musculaire qui réduit l'une d'elles à l'état de squelette revêtu par une pe
cette occasion comptent au nombre de ses meilleures productions. L'une d'elles représente le Sermon de Jésus-Christ sur
RTOLO représentant les soins donnés aux malades et aux pauvres. Sur l'une de ces fresques est figuré un homme presque ent
61 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
rieure de l'insula, le centre ovale est constitué par deux parties, l'une active et l'autre passive, l'épaisseur de cette
tat simple sans complication importante. Le groupe des excavations, l'une grande, les autres petites, sem- blent correspo
la science, je ne connais aucun signe permettant de les distinguer l'une de l'autre. La prédisposition à marche fatale n
sations sont confuses : les deux pointes d'un compas assez écartées l'une de l'autre (7 à 8 centim.) ne donnent presque p
muni d'une fente latérale destinée à l'introduction des électrodes. L'une des électrodes étant en contact continu avec les
de ces ? paralysies telle qu'elle figure dans nos notes relatives à L'une des séries d'attaques : la malade vient .d'avoi
ous soutenons. Nous rapportons, comme exemples, deux observations : l'une de Dussaussay, l'autre de Littré. Observation
res nourricières delà pa- role ont une double origine, indépendante l'une de l'autre, l'une appartenant à la cérébrale mo
à pa- role ont une double origine, indépendante l'une de l'autre, l'une appartenant à la cérébrale moyenne, l'autre à-l
usages que celle du côté gauche, usages dont elles sont redevables, l'une et l'autre, non aux cellules de leur écorce, ma
tion, ambition, démence ; un ma- lade toutefois pouvant s'arrêter à l'une quelconque des trois premières phases et s'y fi
riétale ascen- dantes, ces deux circonvolutions verticales, réunies l'une à l'autre sur la face plane de l'hémisphère, de
4't° Sensibilité' et i' ecte » 1* ton ait piiie ei;zÎ2t d êxlrémilésl L'une et i'autre'sdnt'ptus souvent dimihuéés'ou absen
deux ailes, partant du corps du logis principal, sont destinées : l'une , celle du nord, au quartier des femmes; l'autre,
démarche, délurée, l'existence de variétés formant transition entre l'une et l'autre migraines, l'apparition d'attaques d
sition entre l'une et l'autre migraines, l'apparition d'attaques de l'une ou l'autre forme chez le même individu; la tran
l'une ou l'autre forme chez le même individu; la transformation de l'une et l'autre formes par transmission héréditaire.
homsen et la paralysie pseudo-hypertrophique coexis- tent, sans que l'une d'elles soit en rien modifiée par l'autre. Chac
x. Elle envoie, dit Schwalbe, quelques ramifications secondaires. L'une d'elles, notamment, appartient au lobule paracent
tant DES CIRCONVOLUTIONS CERHfiRALHS. 3 1 parfaitement distinctes l'une de l'autre ces deux parties. C'est affaire de t
roca, se composerait de deux circonvolutions concentriques séparées l'une de l'autre par le sillon du corps calleux de Sc
ncomplètes, puisque les nerfs périphériques n'ont pas été examinés. L'une d'elles est, en fait de complexus clinique, un
sie par le baigneur en dehors du bain ou est mise en contact avec l'une des parties du corps qui se trouve en dehors de l
qui témoignèrent à la suite de l'action calmante de cet alcaloide, l'une , épreinlesviolentes et d'évacuations séreuses (vi
outes leurs forces. M. G. Savage ne partage, d'une façon absolue, m l'une ni l'autre de ces opinions extrêmes, et il term
pparition plus ou moins longtemps après une lésion crânienne ; dans l'une , le traumatisme du crâne lui parait avoir joué
nalé assez souvent, n'en est pas moins remarquable; c'est ainsi que l'une des soeurs tombant malade dans une ville, décla
le que l'on décrit ordinairement deux formes d'atrophie cérébrale : l'une dans laquelle on constate un arrêt de développe
e phase dans l'ensemble du processus, et chaque phase res- semble à l'une des périodes de la convulsion des nerfs mourants
62 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
iser : L'an dernier une dame de Paris me présente ses deux filles : l'une a seize ans, elle est grande et bien développée
ble au développement n'est jamais absolue. En effet, de deux choses l'une : ou bien la lésion thy- roïdienne n'est jamais
à une stature exorbitante ; mais il n'y a pas incompatibilité entre l'une et l'autre, il y a de petits hommes et de grand
rs musculaires catatoniques chez des paralytiques gé- nérales. Chez l'une d'elles surtout, qui avait l'habitude de tenir se
es par suite de cette position, la tête fléchie, les yeux fixés sur l'une ou l'autre de ses mains, qu'il remue légèrement à
membres. La maladie se développe sous l'influence de deux causes : l'une , prédisposante, c'est l'hérédité névropathique
osé d'expliquer les caractères de la cyphose hérédo-trauma- tique : l'une , avec Kummel, fait jouer un rôle à l'ostéite raré
rs du sillon longitudinal supérieur gauche, divisé en deux parties. L'une , comprenant la plus grande'partie de l'hémisphè
e lobe il n'est pas rare de constater en plus que la lésion épargne l'une ou l'autre des 3 couches citées, ou qu'elle se ca
maximum de déformations. C'est en premier lieu une double courbure, l'une fortement convexe en avant, l'autre concave en
affec- - tions sont'de nature très analogue, dans ce sens que dans l'une el l'autre le même agent (peut-être infectieux)
commun aux deux affections. Pour Pierre Marie, il ne s'agit ni dans l'une ni dans l'autre de ces deux affections d'une lé
le siège de la lésion, elles ne sont pas strictement indépendantes l'une de l'autre; on rencontre en effet des cas où le
démie, comme celle décrite par Medin, où elles se retrouvent à côté l'une de l'antre. - Il n'est donc pas surprenant de v
s traînées de tissu adipeux. On voit sur la photographie (fig. A) que l'une des loges en contient davantage, d'où son aspec
uses glandes à sécrétion interne. ' Sans vouloir prendre parti pour l'une ou l'autre de ces théories patho- géniques nous
erficiels et de l'autre les muscles profonds. C'était vouloir parer à l'une des insuffisances de l'écorché superficiel. Mal
n serait ainsi facilement établie entre deux régions analogues dont l'une ,disséquée, donnerait l'explication de l'autre,
aréfaction osseuse. La radiographie du coude est fort intéressante. L'une des épreuves a été effectuée de face, l'avant-b
n causée par la croissance d'une tumeur intracrânienne. Telle était l'une des conclusions d'une précédente notice sur ce mê
ents, on sent les deux tubérosités de l'humérus, mais rap- prochées l'une de l'autre, de sorte que l'os, au lieu d'être apl
rois faces ; sur le corps du ra- dius on remarque deux tubérosités, l'une qui est située immédiatement au-des- sous de la
con- formation des extrémités des os normaux. Elles sont rattachées l'une à l'autre par un fort ligament qui représente l
rtère unique ; elle se bifurque au poignet et donne deux branches : l'une , interne, sous-aponévrotique, qui passe sous le
e bifurque au niveaudu tiers inférieur de cet os en deux branches : l'une externe, grêle, se HÉMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉ
ue celle du 5e offre deux facettes articulaires continues regardant l'une en dehors avec laquelle s'articule la 1 Ir° pha
ditications. Sur le cubitus, au lieu de deux surfaces articulaires, l'une pour le carpe, l'autre pour le radius, on voit
de la dimension d'un petit pois ; ces trois zones osseuses siègent, l'une au milieu de l'os, les deux autres assez rapproch
nombre des soldats de la réserve et de l'armée active souffrant de l'une ou de l'autre forme d'aliénation. TABLEAU II.
, de confusion men- tale (dysnoia Korsakowi amentia Meynerti) ou de l'une ou l'autre forme de psychose alcoolique. La dis
ndants du fron- tal interne avec les terminaisons du nasal externe, l'une des divisions de la 3e branche (nerf nasal) de
observation de la thèse de Faisans (1) : série de trois ecchymoses, l'une très vaste couvrant toute la partie antéro-inte
es,plus ou moins proches d'une sphère géométrique, diffèrent si peu l'une de l'autre, surtout par rapport aux circonvolut
les deux affections ne défient pas toute comparaison. Il semble que l'une offre en excès ce qui manque à l'autre. L'achon
ces faits est-elle dans la moelle ou bien dans les racines, ou dans l'une et les autres ensemble ? Pour le moment, puisqu
a été affectée par des infections multiples et on peut supposer que l'une ou l'autre de ces infections a été le point de dé
nerveux ou d'une modification de l'état général de la malade ou de l'une ou de l'autre en même temps, etc. En tout cas c
cer de la ré- soudre et savoir si le phénomène doit être attribué à l'une ou à l'autre cause. Dans ce but, j'ai eu recour
63 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
rvient et persiste. » Il y a dansja théorie de M. Marie deux idées, l'une que la substance grise médullaire est une vérit
x à des destructions partielles de la zone motrice du cerveau. Dans l'une la lésion s'est produite à un âge avancé, dans
arement atteindre séparément deux circonvolutions aussi rapprochées l'une de l'autre que les circonvolutions rolandiques. D
rises le malade couché sur le dos, les deux jambes sur un même plan, l'une un peu plus tournée que l'autre. Malgré la supe
rnée que l'autre. Malgré la superposition du péroné et du tihia sur l'une des deux images, on voit avec évidence que le s
rde leur traitement; de sorte que bien des choses dites au sujet de l'une , conviendraient également à l'autre. Mais cette d
êter maintenant sur deux particularités des ornements du vêlement : l'une , caractéristique plutôt de la démence ; l'autre,
Disrtnisilio n'M/ow;'M-/)/to/otfa..... de G. Prochaska (1812) (dans l'une des figures est aussi représentée la fissure des
plasie sont des dystrophies « com- plémentaires » ou inverses, dont l'une atteint précisément les parties osseuses que l'
ile à faire. Il est certain, au contraire, qu'on a souvent confondu l'une des formes avec l'autre et que beaucoup de cas dé
ce dessin (PI. XXVII),M. X... est de plus en plus persuadé que M... ( l'une des infirmières de l'établissement) est sa femm
onté d'âme, l'acti- vité d'Adeline (nom imaginaire qu'il attribue à l'une des directrices de quar- tier). le tout joint à
onde. A qui ressemble la tête ? Ah ! mon Dieu, c'est à madame S... ( l'une des reli- gieuses de l'Etablissement); ma foi,
u batracien certaine ressemblance avec la conformation du visage de l'une des infirmières et trouva là un motif de dessin a
esque dont notre malade (Pl. XXX), actuelle- ment en crise,a décoré l'une des murailles de sa cour. Elle a un mètre de haut
longuement élaboré, est resté inachevé par suite du départ du malade. L'une des photographies en donne assez bien l'idée.
rmale, mais de ses six enfants, Ellen, Rose, Emma, et trois autres, l'une (Ellen) eut les « jambes enflées » et les « att
avons pas vues, mais qui nous été décrites par une personne qui vit l'une d'elles. A 7 heures du soir environ, il revenai
nt très fréquentes, et il. ne se passe pas plus de trois mois entre l'une et la suivante; cependant, exceptionnellement,
a été sujette à ce que nous avons appelé les « attaques aiguës » ; l'une d'elles a été observée,elle commença le 6 juillet
. La colloïde, d'après Oswald, est constituée par deux substances : l'une contenant tout l'iode delà glande en combinaison
donner de mul- tiples observations, qui présentent les symptômes de l'une et de l'autre de plus en plus atténués. Il est
lades laisse constater dans sa démarche quelque chose de paradoxal, l'une par ses mouvements exagérés, l'autre par sa gra
signe différentiel, puisque les deux positions peuvent exister dans l'une et l'autre affection. Ce qu'il y a de particuli
Les mains numérotées 1 et 3 nous paraissent devoir être rapprochées l'une de l'autre ; de même nous rap- procherons la de
ui-même, rapporte deux observations de poliencépha- 10myélite; dans l'une , outre la paralysie des quatre membres, on nota d
oubles vaso-moteurs cardiaques et oculo- moteurs. Toutefois, dans l'une comme dans l'autre affection on n'a décrit jusqu'
ines. Et selon que les modifications pathologiques prédominent dans l'une ou dans l'autre glande, y aurait détermination de
s'affectent pas au même temps, l'échange variera selon la lésion de l'une ou de l'autre glande. 3° Les altérations se rap
que les deux théories si différentes dans les termes se continuent l'une dans l'autre, font partie d'un seul et même sys
si longtemps que celles-ci ne subiront pas de modification. Mais si l'une d'elles augmente en intensité ou si une nou- ve
action réflexe, rétrécir ou dilater la pupille, diriger l'oeil dans l'une ou l'autre direction, déterminer une expression
classifications actuelles et qui sont rangés un peu au hasard sous l'une ou l'autre rubrique. Je comprendrais que l'on d
ants. Ces extrémités supérieures des trois mélacarpiens chevauchent l'une sur l'autre de telle sorte que les métacarpiens
typiques de la forme d'infantilisme dite de Lorain. Aussi bien chez l'une que chez l'autre nous voyons que l'extrême peti-
, ni d'aucune autre partie du corps» ' ' 1 430 ETTORE LEVI Chez l'une comme chez l'autre les muscles sont peu développé
robablement toujours lésée et que la participation prépondérante de l'une ou de l'autre glande dans les différentes forme
l'égoisine, le défaut complet de toute idée d'altruisme; elles font l'une pour l'autre de petits sacrifices qui leur sont
64 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
DV IKAGNÉTISNE. H Mon cher maître, (( J’assistais dernièrement à l’une de vos séances expérimentales de magnétisme, et j
mblable aflinna- tioli, qui ii-raii un anachronisme aujounl’liui, à l’une (le? années c[ui vinrent peu apnSs le c61t>bre
ine lune de ce mois, cotéé à 117 degrés, et devant être conséqwemmeot l’une des plus foites du siècle, n’a répondu par son él
sorte que, pour employer le langage expressif de M. le docteur Azam, l’une puisse jouer avec les facultés de l'autre, comme
vœux, fermente à ce levain ; qu3 l'angoisse y mêle la brûlante larme, l'une de ces larmes maternelles que recueillent les ang
viter le double écueil de l’incrédulité et de la piété mal éclairée : l’une ne voit qu’illusion et qu’im-pulsionspurement hum
s, 1c» n»’n, 78, 79, du Journal du lUaync-liime. qui était atteint ( l’une aiTection de l'estomac, présentant un caractère t
e; elles acceptèrent, car elles étaient pauvres, mais malheureusement l’une d'elles mourut pendant la traversée, et l’autre,
couvrir le point où ce sens s'était réfugié : ces deux épreuves, dont l'une est comme la contre-épreuve de l’autre, rendaient
mesméi isme et subissait, en 178i, une doubleet sévère condamnation, l’une à la Faculté de médecine, et l’autre au sein môme
u possible — leurs champs reapeciils et empêchent les empiétements de l’une sur l'autre, voilà la tâche que je voudrais voir
si dignes d’observation, deux personnes sérieuses et bienveillantes! l’une , M. le D'Rémilly, jeune praticien de mérite et fi
in du médium, des dessins, des cœWômes et divers graphiques variés. L’une de ces personniCcations latentes, se disant l’Esp
arque : « Les médecins n’ignorent rien, excepté l’art de guérir. « Si l'une de nos théories était« La Science... La grande Sc
t, orque, etc. u La nature, ils l'ont faite double, et ont nommée ; l'une , nature nalu-rante, cause causante, principe prin
ables de notre saison froide et pluvieuse, il recommençait à conduire l’une de ses voitures. Mais il m'aura fallu plus de d
étai un autre jour la même expérience devant quelques personnes, dont l’une avait une grande pratique en magnétisme ; celte f
ctivement le fluide magnétique; 4“ L'imposition ou l’application de l’une ou des deux mains sur la partie malade ; 5' Enf
s mes magnétisations, j’emploie ou les deux mains, ou alternativement l’une ou l'autre, ou même une seule. Il m’arrive souven
ous en avons acquises. De là, quoi qu’on en dise, plusieurs raisons : l’une , la résultante générale des opinions régnantes,
; et, en Tertu de cette définition, on a tour à tour abaissé el élevé l'une et l’autre des deux études, ou contesté la lÉgiti
oit vraisemblablement user d’un véhicule quelconque. De deux choses l'une : ou l’âme se sert de nos organes sensoriels ou e
ore discutées. 8* expérience ; Si dans un tuyau horizontal, fermé à l’une de ses extrémités, on fait couler de l’eau, celle
ent de l'emploi de choses fictives et seu-ales, ces effets sont dus k l'une des deux ées. Les substances de Tbomceopathie dit
rnatives combinées de deux sortes de pôles en directions contraires : l’une enwiiiante; l'autre, dévidante} (1) Voir pour l
rvertie, le trouble se mit entre elles, leurs forces s'uppi>sërent l'une à l'autre au lieu de s'harmoniser, etc... Si l'on
, ne sont point ennemies par leur essence, puisque Dieu lei! a faites l'une et l'autre, et les a unies par te hen sacré de la
ar celle qui discrédite vos propres œuvres. N’est-il pas écrit dans l'une de nos encyclopédies médicales : Généralement les
E D'Ot.ivi.T, (d*m- sûlytes, qu’il crée le CoHseil des Amphictyons, l’une des plus belles pondérations gouvernementales.
acune de ces personnes. Je développai une aUractinn iiTésistibIc chez l'une de ces dames; elle fut forcée de venir placer son
traçai sur le parquet, avec de la craie, un petit cercle, et bientôt l’une des magnétisées (la jeune comtesse enceinte) jeta
ers organes cérébraux ; car tout se tient dans le système nerveüx, et l’une des parties ne peut être influencée sans que les
ves physiques, telles que la para-lysie, l’attraction, la catalepsie, l’une des visiteuses nie pria d’aborder les expériences
femme dont il s’agit était alors enceinte de sept mois. Je pris donc l’une de ses mains,- et, après l'avoir saturée de fluid
s peuvent, dans de certaines conditions, s’étendre indéfiniment. Dans l’une ou 1 autre de ces hypothèses, il y a toujours là
expérience que parla volonté seule on peut produire les mêmes effets. L’une et l'autre de ces pratiques ne sont donc qu’iin m
65 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
i bien queflultkranz n'hésite pas à retenir le palais en dôme comme l'une des altérations les plus typiques de la dysosto
en- viron 67, irrégulièrement distribuées sur la surface du corps ; l'une , plus grosse, existant depuis 19 ans, fait sail
Ces petites tumeurs ne dépassaient pas la racine des membres. Seule l'une d'elles se développa sur le sommet de la tête a
se atypiques, on rencontre encore parfois des formes assez pures de l'une et de l'autre. Telle l'obser- vation suivante d
plus, en outre de l'existence, chez le même sujet, de symptômes de l'une et de l'autre, on a cité au moins une observation
apporter aucune contribution nouvelle à la question, puisque, dans l'une et l'autre hypothèses, son intégrité ne saurait
ce groupe on aperçoit deux femmes, deux voisines ou deux clientes ; l'une âgée et debout en arrière et placée entre les deu
venir que dans notre cas, il y a des particularités apparte- nant à l'une et à l'autre de ces dystrophies. Sans doute, le c
d'une ou de plusieurs glandes à sécrétion interne ; l'altération de l'une d'elles ou de plusieurs, ou simplement le déséq
es réflexes achilléens ou rotuliens est une abolition pathologique. L'une des diverses affections, des nerfs, des racines o
parties d'un visage, pour ce que je n'ay pas accoutumé de les voir l'une sans l'autre; Et voyant du feu, je me ressouvie
elles et leur définition qui posait leur exis- tence indépendamment l'une de l'autre, sans que l'étendue suppose la pensé
léaire, de sorte que dans ces conditions on distingue deux régions, l'une , celle du noyau qui change de forme, la seconde
lui succèdent. Elle a l'aspect de deux apophyses épineuses soudées l'une au-dessus de l'autre. Cette apophyse épineuse e
nte jusqu'à la base du crâne. On ne note que deux zones sombres : L'une , à la base gauche, indice très certainement d'une
s, de nouveau-nés ou d'embryons, deux seulement (0,14 0/0) étudiées l'une parStaderini, l'autre par Dwight avaient 6 ver-
vertèbre ou de deux hémi-vertèbres, situées à une certaine distance l'une de l'autre, et l'une à droite et l'autre à gauc
émi-vertèbres, situées à une certaine distance l'une de l'autre, et l'une à droite et l'autre à gauche. Elle ne fournit p
les peul renfermer une certaine part de vérité, et suivant les cas, l'une ou l'autre doit être invoquée : La sacralisatio
nt nous avons rapporté l'observa- tion s'explique difficilement par l'une quelconque de ces théories. Il s'agissait, nous
, chez l'oeuf de poule comme chez l'em- bryon humain : et c'est par l'une de ces causes que s'expliquent, sans doute, les
ncompatibles avec la vie chez des enfants nés de parents présentant l'une de ces tares. Il n'est point douteux que quelqu
les convulsions furent également notées chez un enfant appartenant l'une des familles décrites par Pierre Marie et Saint
Bien que cette description succincte soit loin d'être complète pour l'une et l'autre notion nosographique, elle met pourt
es premiers atrophiés ; ici, pas de contractions fibrillaires. Dans l'une et l'autre observation, les douleurs font défau
la tumeur entrent en contact, mais restent toutefois indépendantes l'une de l'autre, la( partie anté- rieure du néoplasm
ri, M. Wilson a, chez deux tabétiques pré- sentant une amyotrophie, l'une relativement diffuse, l'autre limitée aux membr
deux cornes. Dans l'un de nos cas, on pouvait même apercevoir dans l'une une minuscule cavité. Ces lésions présentent to
es branches perforantes, quelques-unes, plus importantes, sui- vent l'une le sillon médian postérieur, l'autre le sillon ra
ur le médian, la lésion est presque exactement dimidiée. Tandis que l'une des moitiés du nerf est presque saine, l'autre ap
rva la carie chez une femme de 76 ans. Parmi les malades d'Alquier, l'une se trouva atteinte à l'âge de 70 ans, une autre à
, presque entièrement scléreux, et sur le médian du même côté, dont l'une des moitiés est presque complètement saine, l'a
une hémiplégie aphasique, nos observations 6 et 10 qui concernent, l'une un tabes franc, l'autre un tabes fruste. La d
Les deux valves n'offrent pas de lésions apparentes. On les suture l'une à l'autre par cinq points doubles au catgut. La
des méninges avec opa- cifité et petites hémorragies méningées dont l'une dans la région motrice du côté droit. Le péri
ur liés entre autres facteurs, aux divers degrés d'embonpoint. Chez l'une , les plis de la peau, à la cuisse, suivant les
66 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
sités pratiques, mais devant, philosophiquement, rester associées l'une à l'autre par des liens indissolubles. A l'étra
vrite, les figures 10 et Il nous ont paru très démonstratives. Dans l'une (figure 10), un tube large, T, donne naissance
de, la gaine de myéline semble s'être décomposée en deux parties; l'une interne, A, contiguë au cylindre d'axe, a conserv
habituelle de la lésion, lorsqu'elle est circonscrite, se fait sur l'une des extrémités du segment, ainsi que la figure
rsque la névrite périaxile après s'être cantonnée quelque temps sur l'une des extrémités du segment, tend à l'envahir dan
açon moins nette ; mais ce qu'on constate tout au moins, c'est qu'à l'une des extrémités la lésion est manifestement plus
aire, la lésion procède suivant une certaine loi, qu'elle envahit l'une des extrémités de ce segment avant de frapper s
portion mince occupant la continuité d'une fibre large et située à l'une des extrémités d'un segment interannulaire. On
s^deux formes anatomiques de^ la /névrite parenchymateuse, ne sont - l'une , et l'autre que ' deux effets d'une même cause,
e sujet. Ces deux maladies, le patient les tient le plus souvent, l'une du père, l'autre de la mère. Dans des cas excep-
pas, ou plutôt elle est repré- sentée par deux lames indépendantes l'une de l'autre et très 74 CLINIQUE MENTALE. obliq
en à faire. Pit.. met ses doigts dans sa bouche, frappe ses mains l'une contre l'autre. État actuel (mars 1879). Tète v
res, mamelonnées, dures, formant une saillie de 3 à 5 millimètres ; l'une de ces masses aie volume d'une noisette; une au
es Dent été faites sur des sujets blancs, du sexe masculin, doués l'une intelligence assez élevée et d'une bonne constitu
Toutes étaient fragiles, sans consistance, et dans le voisinage de l'une d'elles on trouva une petite plaque ulcérée. C.
ppartement du médecin, les bains, le gym- nase...) avec deux ailes, l'une pour les hommes, l'autre pour les femmes, etc.
ique. Pour combler cette lacune, deux hypothèses ont été émises : l'une consiste à admettre une diminution progressive
es causes qui la produi- sent, l'épilepsie doit être regardée comme l'une des ' - \. ? . '),\ \ \'\rr t....... 1 plus i
tous les malades l'état mental spécial dont on doit à M. J. Falret l'une des premières descrip- tions (1861), ultérieure
vé, reposer sur le genou droit. La cuisse et la jambe sont fléchies l'une sur l'autre, à angle aigu, et se présentent réc
supérieur (PL. XI, (1), et l'inférieur (Pr,. XI, fz), qui séparent, l'une de l'autre, les circonvolutions frontales. Quan
ur la convexité du cerveau, l'arachnoïde et la pie-mère, adhérentes l'une à l'autre et à la substance grise, sont infiltr
crénelées, les latérales triangulaires ; les canines assez grosses. L'une des petites molaires est en train de percer; le
e placer dans la flexion ; l'enfant les remue d'ailleurs aussi bien l'une que l'autre. A l'auscultation, on trouve quelqu
ent se diviser en deux catégories, à peu près également nombreuses; l'une a perdu les couleurs suivant l'ordre indiqué :
, bleu, jaune, rouge. Donc, suivant que les malades appartiennent à l'une ou à l'autre de ces catégories, la dernière per
les cartons colorés placés devant elle. Selon qu'elle appartient à l'une ou l'autre des deux catégories indiquées plus h
, on fait rapidement sur la région explorée deux séries de piqûres, l'une dans le sens lon- gitudinal, l'autre dans le tr
rsé l'extenseur commun des orteils, se partageait en deux branches, l'une interne, l'autre externe. L'externe restait pla
entre ces deux manières d'être de la masse muscu- laire, et que de l'une à l'autre les transitions se font progressi- ve
sante revue des travaux publiés sur la question ; deux observations l'une de Raggi (de Bologne) l'autre de M. Bail accuse
professionnelles, la forme spasmodique et la forme parétique. Dans l'une , les premiers signes sont de petits. mouvements
de Valleix. Emploi d'un courant constant de 10, puis 20 éléments ; l'une des électrodes est appliquée sur l'apophyse mas
ndes d'application, les arcades dentaires se détachaient rapidement l'une de l'autre; après une deuxième application fait
d'un titre trop général, consiste en deux obser- vations relatives, l'une à un accès de (/p/M'2'MM ! tremeits l'autre BIB
o, que dirigeait alors l'éminent et regretté professeur Carlo Livi, l'une des illustrations de l'Italie. Une démente, att
itres : Chevilles, Vilbrequan, Rabot. A citer le premier couplet de l'une d'elles, tout à fait populaire : 508 FAITS DIVE
fût la distance entre, les deux plaques, lors même qu'elles étaient l'une sur le bras droit, l'autre sur le gauche. M. Dumo
à obtenir 1 Pour être tout à fait exact, nous devons dire que, chez l'une de ces malades, l'hémichorée persiste à un faib
r H. Jackson. ' '" -' q 1 Bramwell admet deux variétés de vertige : l'une due-. à des troubles de' ' la circulation céréb
lique, à notre instigation, a consenti il donner le nom de Seguin à l'une des salles du service des enfants idiots de Bic
67 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
boldt (l), que les mouvements des muscles tl’avaicnt lieu que lorsque l’une d’elles, faisant partie de la chaîtie, en sortait
re, d'après scs expériences, que l’agent nerveux est l’électricité ou l’une de ses modifications. C’était, du reste, l’opinio
ous soumettre les effets que je provoque chez ces deux malades , dont l’une est lucide. Première observation. Mme Josefa
e leurs maris, au bal de l’Opéra. Au milieu de la cohue dM masquëé, l’une d’eltès se trouva tout à coup séparée dë ses den*
t que la renommée a placées avec justice, je crois (car j’ai consulté l’une d’elles), au premier rang du somnambulisme lucide
age dans la télégraphie nautique. lot. MBÏHET, Chronique. -*-*■ A l’une des dernières séances de magnétisme données pat M
r une âme de femme. Une femme peut aimer une autre femme, parce que l’une de ces deux femmes possède une âme d’homme. La
té, que Riéder leur avait prescrit de manger de l'ail et de l’oignon. L’une de ces personnes avait une plaie à la jambe, il l
ins ; on m’introduisit dans une chambre où se trouvaient deux femmes, l’une couchée et l’autre assise; celle couchée me dit :
effets du magnétisme : il a endormi en sa présence la femme Fourier, l’une de ses somnambules; mais le gendarme ayant fait r
saint Paul le croyait. Fourier, scieur de long à Lapécure, mari de l’une des somnambules du prévenu : Ma femme déjà avait
tique : « M. Léaumont magnétisait dernièrement deux jeunes filles ; l’une en élait à sa deuxième séance seulement, lorsque,
séance seulement, lorsque, le 12 janvier, somnambulisées en présence l’une de l’autre, elles furent questionnées sur un navi
e savaient d’avance, mais qu’elles disaient le lire sur la poupe. « L’une d’elles dit : « Il n’arrivera que de demain en
e s’élever au-dessus du maximum habituel des fonctions de rapport, et l’une et l’autre présenter des effets tenant du prodige
t la sagesse, et qui exalte les facultés de l’homme, ne peut détruire l’une des plus vivaces, la mémoire. Il ne faut pas supp
. Quand l’officier chargé de visiter les sacs des hommes entra dans l'une des chambres, un soldai sortit des rangs et vint
nsacré aux démonstrations rigoureuses, évidentes et expérimentales de l’une des plus belles, des plus sublimes branches des c
nstinctive; qu’il est beaucoup plus sûr de se confier exclusivement à l’une d’elles, et que la route que vous indiquez esl to
ne se sont pas présentés. Cinq prévenues seulement sont présentes. L’une d’elles est jeune et jolie; les autres paraissent
vineresses. Il reste à juger deux prévenues présentes à l’audience. L’une d’elles est la dame Elisa Dufay, rue Caumartin, 3
r préparé une grenouille galvanoscopique (i), on en place le nerf sur l’une ou sur les deux cuisses d’une grenouille disposée
es mêmes, remises, ainsi qu’on va le voir ci-après. dances , etc. ; l’une d’elles a reçu (rois assignations le même jour.
otre président avait sollicité l’honneur d’être admis comme membre de l’une de ces Sociétés. Sa demaude fut rejetée « à la pr
esprit s’élève par une suite d’inductions qui dérivent successivement l’une de l’autre, jusqu’aux conceptions les plus abstra
ont des personnes qui déclarent avoir été guéries par Mme Montgruel ; l’une de ces dépositions est assez curieuse, c’cst cell
68 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
s sylviennes et de leurs branches. Une circonvolution en rapport avec l'une de ces branches présente une petite plaque jaune
partie antérieure du ventricule droit, une dans la substance grise de l'une des circonvolutions frontales droites; on en trou
du même côté. — On trouve de plus deux foyers d'hémorrhagie récente, l'une dans le cervelet, l'autre dans le centre ovale de
sieurs anévrysmes miliaires; à la surface cle l'hémisphère droit, sur l'une des circonvolutions occipitales, existe un autre
ns autant de Y atrophie des reins qui a été invoquée à son tour comme l'une des causes de l'hémorrhagie du cerveau, que cette
Si cette hypothèse était fondée, la membrane aurait pu se former cle l'une ou de l'autre des deux façons suivantes. Ou bien,
e la dure-mère et une lésion des os du crâne. Nous allons les décrire l'une après l'autre. A. la face interne du pariétal g
de M. B... actuellement mariées, sont habituellement bien portantes ; l'une d'elles cependant est de constitution assez chéti
es inférieurs ; il ne sait pas si ses jambes sont écartées ou placées l'une sur l'autre; il est tort surpris quelquefois, le
-active. Les deux articulations du coude sont ouvertes et comparées l'une à l'autre ; à droite, les surfaces articulaires s
Les deux articulations radio-carpiennes ont été ouvertes et comparées l'une à l'autre; à gauche, la membrane synoviale est su
uro-paralytique comparable à celle qu'on observe, chez les animaux, à l'une des extrémités inférieures après la section du ne
de l'application métallique; est liée à la disparition simultanée de l'une ou de l'autre espèce de sensibilité, dans une éte
qui ont pris intérêt à ces expériences. Maintenant, de deux choses l'une : ou vous continuez l'expérience, ou vous l'arrêt
Chez ces deux malades, l'insensibilité était absolue et datait, chez l'une de onze ans (R...), et chez l'autre de l'enfance,
ces malades, il n'existe la moindre trace de la diathèse hystérique ; l'une est une femme de cinquante-cinq ans, très calme,
provoque la contraction des muscles qu'il innerve. Ainsi, il suffit ( l'une légère pression faite en avant du lobule de l'ore
s consistent généralement en une anesthésie plus ou moins complète de l'une des moitiés du corps : c'est l'hémianesthésie, dr
ent naissance peuvent également se grouper en deux catégories. Dans l'une , les réflexes tendineux subissent une exagération
. Il affecte la forme d'une ligne sinueuse composée de deux courbes : l'une interne à concavité supérieure, l'autre externe à
ur ou nerfs moteurs. L'on conçoit très bien qu'une lésion portant sur l'une quelconque de ces trois parties suffise pour entr
en même temps, l'indication des résultats obtenus. Sur un cadavre, l'une des moitiés du crâne est enlevée par deux traits
ire à modeler, sont plongées dans l'autre hémisphère, resté en place. L'une , supérieure, est recourbée de façon à contourner
mêmes conditions que précédemment, n'a donné lieu à aucun mouvement. L'une de ces malades présentait à peine le phénomène de
ypnotisme comprend donc deux catégories de sujets bien distinctes : à l'une appartiennent ceux qui présentent des caractères
rysme. Fig. 3. —Arterioles avec trois dilatations anévrysmales dont l'une a éclaté sous l'influence de la pression. Fig.
69 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
cette anfractuosité le nom de circonvolutions de la cavité digitale; l'une d'elles appartient à la face interne du cerveau,
t la traverse surcilière; la seconde est la traverse médio-pariétale, l'une des circonvolutions verticales de Rolando; la tro
rpendiculaire divise en deux parties la face externe de l'hémisphère; l'une de ces parties est antérieure, l'autre postérieur
is du lobe frontal. Le lobe frontal est subdivisé en deux régions : l'une inférieure, plus ou moins concave, répond aux voû
endue; une scissure très-profonde les sépare. Cette scissure, qui est l'une des plus constantes, est parallèle à la scissure
séparent ces plis, nous distinguerons deux scissures prm-cipales : L'une A descend du bord supérieur de l'hémisphère et s'
ux régions bien distinctes par la scissure perpendiculaire interne. L'une de ces deux régions est antérieure ; elle répond
lobe occipital est fort réduit; deux scissures profondes le divisent. L'une sépare l'étage moyen de l'étage supérieur; elle r
es remontent si haut, même dans la femelle, qu'elles ne sont séparées l'une de « l'autre que par une crête sagittale fort sai
séparée, dans l'Homme, par un grand intervalle. Cet intervalle est l'une des particularités les plus remarquables que prés
be central. Deux scissures principales divisent cette face interne. L'une , à peu près horizontale, est étendue de l'extrémi
nterne, comme sur la face externe, est fort inégalement répartie. Sur l'une et l'autre face, à mesure qu'on passe à des êtres
ec le reste de l'organisme. Or ceci peut-être posé : de deux choses l'une ; ou bien chaque pli, chaque région cérébrale est
70 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
A neuf mois, début des convulsions. Il en a eu 5 en trois jours, l'une d'elles, vue par la'mère, aurait duré deux heures
se de ces facultés est loin d'être aussi précise que le soutiennent l'une ou l'autre des deux écoles. R. de MUSGRAVE-CLAY
connues de l'écorce cérébrale ne sont pas nettement différentiables l'une de l'autre, comme l'a- vaient d'abord supposé F
abilité. Suivant les sujets et suivant leur cas pathologique, c'est l'une ou l'autre de ces trois formes qui assure l'eflic
leur sont indispensables, lorsque l'un d'eux, accusé d'avoir violé l'une des lois qui constituent le contrat social comp
tête et une opération sur le pied. Enfin, deux curieuses peintures, l'une de Jérôme Bosch, l'autre de van Hemessem, repré
d Saint-Germain. AVIS A NOS ABONNÉS.Z'ecAësHce du z JUILLET étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
BM.1TEUSE. 125 lcistologigare du cerveau1 font de cette observation l'une des plus complètes, sinon la plus complète, qui
ent parmi ceux que l'on considérait comme apparte- nant en propre à l'une ou l'autre des deux grandes espèces, admi- ses
ue; chez les femmes la jalousie pathologique n'est pas rare comme l'une des manifestations de la dégénérescence hysté-
eul fait déjà exclut l'existence ici du délire de jalousie, comme l'une des formes de la paranoïa raisonnante ; la malade
séquent, dans ces cas la peur obsédante du refroidissement apparaît l'une des particularités symptoma- tiques de l'organi
te, à dix-sept mois, de diarrhée ; la seconde est bien portante; ni l'une ni l'autre n'ont eu de convulsions.- [Son père,
itement et très fortement, en même temps que la tête s'incline vers l'une des épaules avec un mouve- ment de rotation, co
atoire apparaît comme un pro- cessus infectieux très banal et c'est l'une des multiples raisons qui m'ont servi à lui ass
intoxication surajou- tées. III. Les lésions dans leur évolution. L'une des questions qui a le plus préoccupé les auteu
ence hyaline des artères et l'infiltration pigmentaire. Suivant que l'une ou l'autre prédomine ou existe seule, il parait
t normal moyen. Mais plusieurs raisons nous ont décidé à le faire : l'une , d'ordre local, les autres, d'ordre géné- ral.
des ou les boissons. Enfin il n'osa même plus rapprocher ses lèvres l'une de l'autre. Et non seulement il fut ob- sédé pa
l'habitude qu'il avait prise. Il se décida à rapprocher ses lèvres l'une de l'autre, à les humecter avec sa salive, à les
u'il existe un grand nombre de formes tran- sitoires se rapprochant l'une ou l'autre de ces trois catégories sus- mention
ntes à D... du côté paternel ont été atteintes de troubles mentaux. L'une d'elles a été internée à l'asile de Clermont. L'a
nie de Chalfont où deux villas avaient été construites dans ce but, l'une pour des garçons et l'autre pour des filles. Ch
une de ces variétés, nous ne pouvons dire espèces, car il existe de l'une à l'autre de multiples formes de passage, on doit
chloral et l'hy- drate d'amylène. Les sulfones sont certainement l'une des plus précieuses acqui- sitions de la médica
roïdienne chez les malades atteints de ces diverses catégories dont l'une d'elles a eu seize traitements de trois mois depu
térie et de la morphinomanie est très fréquente. Elles peuvent être l'une vis-à-vis de l'autre cause ou conséquence. Le plu
r gauche tenu à la hauteur du coeur, et exécute plusieurs notations l'une après l'autre eu éliminant la première qui géné
sur lesquelles se détachent en relief, admirablement sculptés. sur l'une le vieil hospice de la Salpêtrière, le champ de t
rselle, les révélations zoologiques et cosmographiques, ont toutes, l'une après l'autre, sur la formation et l'organisation
é la sensibilité à la douleur. Les impressions qu'elles conduisent, l'une et l'autre, semblent donc ne pas suivre les mêm
a synthèse psychique'd'où résulte l'abstraction ou la négligence de l'une des images seuso- rielles et la localisation de
rie, loin de se contredire, se complètent heureusement, et que si l'une ne fournit pas la raison de 1'tiniltiéralité, en
oriel seul de l'hallucination met en relief le lien étroit qui unit l'une à l'autre, elle n'explique pas t'unilatéralité.
e l'évolution parallèle de la lésion et de l'hallucination : guérir l'une c'est du même coup supprimer l'autre. Ainsi com
able, tout en étant un clinicien de valeur, car il ne sépara jamais l'une de ses études de l'autre. Et c'était là précisé-
x : 4 francs. AVIS A NOS ABONNÉS. L'échéance du 1JA1'l'llïl étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
71 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
nous occuperons aujourd'hui, pour insister plus particulièrement sur l'une d'entre elles et arriver à la distinguer des autr
lérodermie dac-tylique. Nous allons apprendre maintenant à distinguer l'une et l'autre de la maladie de Morvan. Messieurs,
n, des analogies assez accentuées pour qu'on ait voulu les identifier l'une à l'autre. Je veux parler de lasyringomyélie.Cell
itable plaque hystéro-gène. Deux autres zones hystérogènes se voient, l'une sur le flanc droit, l'autre sur la même région du
le de l'omoplate du côté droit ; 3° deux zones hystérogènes siégeant, l'une près du bord spinal de l'omoplate du côté gauche,
hilitique. Messieurs, A propos d'une malade qui s'est présentée à l'une do nos policliniques du mardi et que je vous ai s
égique ; il se compose essentiellement de deux périodes successives : l'une , la première en date, qui peut être appelée doulo
s héréditaires. — Parents bien portants, vivant encore. 2 sœurs, dont l'une , atteinte de maladie nerveuse, est en traitement
été soutenues, toutes deux basées sur l'ana-tomie du sciatique, mais l'une ne paraît pas beaucoup plus satisfaisante que l'a
employé de chemin de fer, est mort d'un accident, et deux sœurs dont l'une est morte à trente-sept ans d'une affection du re
e peut pas être primitive. La gravité n'est pas spécialement propre à l'une ou à l'autre variété; elle réside dans la durée d
plus légitime que l'on voit parfois les deux affections se confondre l'une dans l'autre. Ainsi la paralysie bulbaire inférie
lement. A la fin de décembre ses paupières gauche et droite tombèrent l'une après l'autre. Quinze jours après, ses mains n'av
re du malade, l'existence de ces douleurs violentes qui caractérisent l'une des périodes de la pachy-méningite cervicale hype
différencier nettement les deux affections, l'œil étant immobile dans l'une et au contraire souvent atteint de nystagmus dans
ils doivent représenter deux maladies autonomes parfaitement séparées l'une de l'autre, malgré les analogies extérieures qui
ant résultat. Il"a montré, en effet, dans deux autopsies successives, l'une publiée en juillet 1890 dans les Archives de méde
ité, et dans la clinique les deux.affections peuvent être distinguées l'une de l'autre par l'existence de l'anesthésie totale
égie alcoolique et la paraplégie diabétique, aussi éloignées du tabès l'une que l'autre. Mais il existe encore d'autres phéno
e peut cependant méconnaître, dans l'espèce, l'importance pratique de l'une d'entre elles ; qui le prennent quelquefois sur
t-être par simple compression; les relations de l'autopsie permettent l'une ou l'autre interprétation. Durant la vie, on avai
tions, suivies d'examen microscopique, publiées il y a quelques mois, l'une par M. Gombault, l'autre par MM. Joffroy et Achar
agnée, comme la première d'ailleurs, de monoplégie brachiale, et dans l'une d'elles les convulsions ont envahi le membre infé
les crises de bâillements sans perte de connaissance de sa voisine. A l'une de ses premières crises, elle se luxa la mâchoire
72 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
eut cependant méconnaître, dans l'espèce,- l'importance pratique de l'une d'entre elles ; cas d'hystérie masculine. à j
». Six enfants, trois vivants; deux filles extrêmement dévotes, « l'une d'elle fréquente à la fois les francs-maçons et l
ou- blement de la personnalité, je me bornerai à mettre en relief l'une des causes qui me paraissent avoir le plus contri
endues; à la jambe droite, mêmes taches, la plupart lenticulaires ; l'une d'elles, plus éten- due a plusieurs centimètres
sait que sous ce nom on a décrit deux maladies bien différentes : l'une , maladie de Dubini, de nature vraisemblablement i
avant qu'un seul nerf olfac- tif, qui semblait naître du centre de l'une des couches optiques. » Ce fait me paraît très
es comme deux cas types d'astasie-abasie. Elles répondent en effet, l'une et l'autre, au complexus symptoma- tique décrit
que ces substances déterminaient des accès d'épilepsie en agissant l'une sur l'écorce cérébrale, l'autre sur le bulbe et
d'une autre nature que l'épilepsie idiopathique ? Ne sont-elles, l'une et l'autre, que deux formes différentes d'une mêm
os- sible de distinguer cette épilepsie de l'autre. » Enfin, dans l'une comme dans l'autre, l'accès peut présenter une au
Progrès médical. Avis A NOS abonnés. L'échéance du 1" Juillet étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
bout d'une demi-heure. Quelques frag- ments osseux sont enlevés ; à l'une des esquilles adhère un petit lambeau de dure-m
es piliers antérieurs. a. Communications directes. Elles ont lieu l'une , par l'extrémité externe ou base de la diagonal
gonale. Je suis disposé à admettre qu'elle se termine à la fois sur l'une et l'autre, mais principalement sur le lobe du co
folie paraly- tique ne peut pas non plus amener cette déduction que l'une de ces deux maladies est engendrée par l'autre.
sabilité partielle n'est point synonyme de responsabilité limitée : l'une se rapporte à l'acte, l'autre à l'in- dividu.
ces exhibitions continuent comme par le passé. Nous avons assisté à l'une de ces séances sur une plage normande devant un
ien réellement deux formes mentales distinctes, pouvant se combiner l'une avec l'autre, mais qu'il n'est pas permis de co
iction, de Dechambre. 332 CLINIQUE MENTALE. III. C'est assurément l'une des particularités les plus curieuses du délire
observé deux malades atteintes d'hémiatrophie faciale progressive. L'une d'elles dont la maladie relevait, d'après cet a
é deux enfants bien portants; deux sont vivantes et bien portantes; l'une a cinq enfants bien portants. - Pas d'aliénés,
on se rapprochent de la ligne médiane, les faces des mains tournées l'une contre l'autre, les poings fermés et les membre
uelle il fut traité à l'hôpital. En 1886 il eut 13 attaques. - Dans l'une d'elles il s'est cassé deux 378 RECUEIL DE FAIT
nnent plus fréquentes, revenant tous les huit ou quinze jours. Dans l'une d'elles il fut victime d'un escroc qui le déval
lre, puis sur le dos, et encore sur le ventre, les jambes allongées l'une contre l'autre; le bras gauche allongé le long
ge intense, qu'est-ce qu'une image faible, quelles causes réalisent l'une ou l'autre qualité ? Telles sont les questions
nt on pourrait diviser les éléments en deux catégories comprenant : l'une les éléments qui devraient accompagner constamm
marques de vésicatoire d'une teinte jaune, légèrement transparente, l'une de la grandeur d'une noix, l'autre de celle d'u
ur. C'était son fils, accroupi sur lui, qui lui serrait le cou dans l'une de ses mains et, de l'autre main, le frappait à
ui désirent subir les épreuves devant le jury qui fonctionnera dans l'une ou l'autre des régions, devront adresser leur d
of physiology. Avis A NOS abonnés. L'échéance du 1" Janvier étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
73 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
de l'observation II. Il fallait du reste s'y attendre puisque chez l'une et l'autre malade l'unique symptôme de myxoedème
l'appa- reil cérébro-spinal présente des malformations multiples : l'une est une hydrocéphale paraplégique avec contract
cou- ronne rayonnante et en avant se divisait en deux parties, dont l'une accompa- gnée du cingulum se rendait au tapetum
tte optique ; il reconnaît deux couches de radiations optiques dont l'une ,la branche externe, croise l'autre, la branche
vent figurées des besicles. Ce sont les fresques de Ghirlandajo ; l'une peinte en 1480 dans l'église Ognissanti à Flore
r lesquelles nous aurons à revenir d'ail- leurs, sont en présence : l'une attribue les déformations, même tardives, du sq
xemple, un pied équin par la seule brièveté des muscles, comme dans l'une des observations de mon premier mémoire sur ce su
méningite à ce qu'il semble, et deux soeurs cadettes jumelles dont l'une est morte dans les premiers mois après sa naissan
ent à la couche de fibres la plus externe du lobe temporo-occipital l'une et l'autre de ces dénominations : faisceau long
u bord interne, cette zone se divise en deux zones secondaires dont l'une se dirige vers le corps quadrijumeau, dont l'autr
assues de croissance dans la substance blanche d'un ganglion sacré. L'une d'elles termine une fibre dont on voit l'origine
bliée en collaboration avec M. le D Papadal;i (Iconogr.,n° 2, 1905). L'une , analogue à nos cas IV et V en diffère cependan
3. Une soeur dit père, rhumatisante. Le malade a deux soeurs dont l'une fut atteinle de chorée et dont l'au- tre, qui a
eloppées en même temps que la région se déformait et qui siégeaient l'une sur la face antéro-interne du bras elles deux a
orme, où brillent quelques ornements. Ses deux mains sont occupées. L'une , la gauche, solidement appliquée sur le crâne d
pte, qu'en pratique, il n'est pas possible de réduire la question à l'une ou l'autre de ces deux solutions, les phénomène
ion deux groupes de fibres en état de dégénéres- cence wallérienne, l'une de 3 à 4 fibres, l'autre de 2 ou 3 (ces fibres se
; on arrive avec peine à écarter un peu les deux cuisses ser- rées l'une contre l'autre. Les membres inférieurs peuvent êt
n sein un savant dont toute l'oeuvre pouvait être revendiquée comme l'une des plus curieuses manifestations de l'art cont
égale tendresse ces deux séduisantes sirènes; elle vous ont inspiré l'une et l'autre des oeuvres d'une rare originalité,
is de la pie-mère. Il y a par conséquent une régénérescence double, l'une partie des racines postérieures et l'autre de l
ique La cicatrice est constituée par deux parties bien distinctes ; l'une , conjonctive formée par la prolifération des él
l existe un kyste qui se prolonge dans le sens de l'axe médullaire. L'une des racines posté- rieures a été sectionnée ent
certaine quantité de ces boules sont constituées par deux couches : l'une , périphérique, pâle, granuleuse ; l'autre, cent
issées selon toute vraisemblance vers la fin du xv° siècle, et dont l'une peut tout spécialement intéresser le méde- cin
roite et à gauche vers le fond, par de grandes cons- tructions dont l'une est encore tout à fait féodale. Dans le paysage q
ple, lui dit-on de se toucher le nez ou une oreille avec l'index de l'une ou de l'autre main, les mouvements de latéralité
une teinte gris rosé. Les cornes postérieures sont très rapprochées l'une de l'autre. Il exsste également un léger degré
ies du reste, il serait exagéré de vouloir à tout prix subordonner, l'une à l'autre, l'altération parenchymateuse et la p
es tuméfiés semblent avoir repoussé les parties voisines et refoulé l'une contre l'autre les cornes postérieures. Mêmes lés
ve, au niveau des cordons pos- térieurs, deux zones dégénérées : 1° l'une à la partie interne des cordons de Bnr- dach, s
nt à la couche de fibres la plus externe du lobe temporo-occipital, l'une et l'autre de ces dénominations : faisceau long
bres du segment postérieur se disposent en deux couches sagittales, l'une externe, l'autre interne. Nous avons étudié dans
Le second cas (cas Dautricbe) a trait deux lésions capsulaires, dont l'une occupe le segment rétrolenticulaire et l'autre
ite par l'auteur : « On constate deux plaques jaunes anciennes dont l'une occupe la partie centrale du cunéus et la lèvre
e dégénérescence indéniablement rétrograde, mais de courte étendue ( l'une de la pyramide bulbaire, l'autre du lemniscus l
'ajouter que ce trait d'union n'emprunte qu'un certain contingent à l'une et l'autre des parties que l'on avait cloisonné
rfs d'origine extra-céré- brale, étaler sur une certaine étendue de l'une et l'autre des régions symétri- ques qu'il dess
antérieures destinées à recevoir les ramifica- tions terminales de l'une des voies motrices. Mais cette écorce rétinienne
entrecroisement quelconque entre les fibres optiques des- tinées à l'une et à l'autre des lèvres calcariniennes ; il ne s'
74 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
les que la maladie a présentées jusqu'alors traduit l'obturation de l'une des artères déformées et athéro- mateuses, et,
esimpicdéséquiiibration, sans que jamais vienne se greffer sur lui, l'une de ces monomanies, l'un de ces syndromes dont n
. L'inversion du sens génital dont nous rappor- tons ici un cas est l'une des modalités les moins fré- quentes de ce synd
e le sang, après la mort, se séparait par le repos en deux couches, l'une inférieure rouge, formée par les globules sangu
e réunion, se commandant a l'aide de deux grandes portes à vantaux; l'une de ces salles est le réfectoire commun, l'autre
ession atteint la hauteur indis- pensable pour presser complètement l'une contre l'autre les parois du vaisseau élastique
res, donne les résultats acquis et se termine par une double liste, l'une étendue, l'autre réduite, celle-ci à titre de m
et se ter- mine par une double liste d'instructions pour le vivant, l'une étendue, l'autre réduite. A côté du travail d
l'empêcher de se tenir debout ou de tenir un objet quelconque de l'une ou l'autre main, ne nous rappelait aucun des ph
chaque bandelette, arrivées au chiasma, se divisent en deux parts : l'une , plus considérable, s'entre- croise avec son ho
cho- pneumonie. Autopsie. On trouva deux tumeurs dans le cerveau, l'une au sommet du lobe frontal gauche, l'autre près
sisté à une associa- tion intéressante de deux sous-diathèses, dont l'une tient à la branche névropathique et l'autre tie
ors les deux maladies « peuvent marcher de pair sans s'influencer l'une l'autre ». (Leudet.) REVUE D'ANATOMIE ET DE PHY
nes des autres. La cellule nerveuse se compose de deux substances : l'une , disposée en réseau, se prolonge manifestement
ue. Après les avoir exposées et discutées, M. Herzen conclut que ni l'une ni l'autre ne peuvent être adoptées intégraleme
distillation de l'urine se rencontrèrent aussi chez deux malades ; l'une d'elles pendant plus de huit jours, jeûna la jo
de fer s'accompagne delà réaction Légal dans l'urine; d'autre part, l'une peut persister des jours durant sans que l'autr
tonurie et iadiacéturie ne seraient pas essentiellement différentes l'une de l'autre. Chez deux enfants atteints de scarl
hologique du tabès. (En allemand.)- Il existe deux sortes de tabès. L'une se rattache à une dégénérescence interstitielle
rations provenant de l'extrémité supérieure du renflement lombaire, l'une des cornes antérieures semble diminuée de volum
rès le premier de ces auteurs, ces deux formes de lésion sont liées l'une à l'autre par un lien étroit de subordination :
ion wallérienne avec la névrite segmentaire. Loin de se subordonner l'une à l'autre, elles seraient les manifestations si
'arc de réflexe du deuxième ordre. Dans les circonstances normales, l'une et l'autre voie est ouverte; dans des cas patho
gissait d'une jeune femme qui, inculpée de vol, avait été jugée par l'une des chambres du tribunal de première instance,
être considéré non plus comme un acte librement exécuté, mais comme l'une de ces sollicitations instinctives qui ne trouv
e par une mince couche de substance cérébrale. Cette tumeur forme l'une des parois d'une cavité contenant un liquide séro
roubles moteurs de 1880 étaient pro- bablement dus à une emhulie de l'une des branches artérielles qui alimentent le lobe
n de s'exprimer; leurs occupations différentes les ont sépa- rées ; l'une d'elles, même, après son mariage est partie pour
e de paix sont quelquefois égayées par des incidents bien drôles. A l'une des dernières audiences d'un des cantons de Lyo
75 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mme qu'ils étaient incapables de satisfaire et alors de deux choses l'une , ou les attouchements opérés par celle-ci déter
s sans résultat. Deux injections sous-cutanées de sérum artificiel, l'une de 1500 grammes, l'autre de 700 grammes lui ont
spéciale établie par un décret royal : l'admission des aliénés dans l'une et l'autre de ces deux colonies nécessite les m
nir que la Belgique se compose de deux portions à peu près égales : l'une septentrionale, où l'on parle flamand, et une mér
trer le succès obtenu par M. Pau de Saint-Martin ; je rappelle qu'à l'une de nos dernières séances, j'ai rapporté le cas
t aujourd'hui d'accord pour admettre deux parties dans la mémoire : l'une essentiellement organique, physiologique, l'aut
Gainche. ' AVIS A NOS ABONNÉS.- L'échéance du le'' JUILLET étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
e bien portant, à l'aide d'un appareil, qui a, alors, deux poulies; l'une est attachée au membre souffrant, l'autre est m
e, ne pouvoir sou- lever la main droite ? Faites tenir les poulies, l'une par la Fis. ,S. Écarquillement des doigts. 94
nt l'appelait « Albertine d'Arc », elle avait des visions sacrées : l'une de ses compagnes lui semblait avoir le visage é
ibution de l'artère sylvienne n'accom-. pagne ni toute l'artère, ni l'une quelconque de ses branches, l'abc sence de tout
ertébrés. D'ailleurs les méthodes de Ileld et Golgi, si différentes l'une de l'autre, fournissent des résultats analogues
Chaque pavillon se compose de deux parties étroitement en rapport : l'une , formant sur le plan la partie horizontale du b
1WW'I) ,diélecl J'iques, Soit deux lames métalliques communiquant l'une avec une source électrique, l'autre avec la ter
te discussion. (B.) .) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 227 I vauché l'une sur l'autre de manière à coexister pendant deux a
le de la paralysie générale présente donc deux variétés cliniques : l'une avec contractures et impotence, d'aulres sans c
e moi, de notre conscience et de notre volonté. Deux grandes voies, l'une sensitive, l'autre motrice, desservent ces com-
istes et aux psychiatres a nécessité la formation de deux sections, l'une pour la neurologie, l'autre pour la psychiatrie
ions du doc- teur A.-A. Govséiew, faites à la fin de 1895 et 1896 : l'une à la Société des Neuropalholoâistes et des Alié
e-mère; l'épaississement et l'opacité de l'arachnoïde, l'accolement l'une il l'autre des membranes, de la dure-mère au cr
aussi bien qu'à la cellule de névroglie, et affectant de préférence l'une ou l'autre région du cerveau, fréquemment dans
oulies ordinaires. La corde qui passe sur ces poulies, est munie, à l'une de ses extrémités, d'un crochet ou d'un récepta
et tapissées de matelas mobiles, renou- velables en cas de besoin. L'une des parois se meut à charnière à sa partie infé
puisque le pavillon a été aménagé en vue du traitement par le lit : l'une est affectée aux sujets excités ou ayant besoin
pacité dépasse 70 mètres cubes. Elles possèdent des doubles portes; l'une d'elles est munie d'une porte massive. Un infir
ge qui peut être divisée en deux parties par des cloisons mobiles : l'une , contiguë à la porte d'entrée, sert de salle à
res, son poids de 39 grammes. Il est surmonté de deux parties, dont l'une est surmontée d'une tige de 5 millimètres de di
mpères. Les électrodes de cuivre de 8 X 2. cm. t'/2 étaient placées l'une sur la fête du chien en expérience à 3 centimèt
ue des neurones), dont les structures diverses dominent tantôt dans l'une , tantôt dans l'autre des circonvolutions. Nou
ive, puisque celui des caractères qui est donné comme particulier à l'une des trois varié- tés est, en réalité, commun à
, comme deux stades d'un même processus; mais, parfois, s'isolant l'une de l'autre, l'obsession et l'impulsion montrent q
saire. Il est bon d'avoir deux sections de surveillance distincte^, l'une pour les malades calmes, l'autre pour les agités.
Paris), et SwiT\LSKf (Lemberg). Il y a lieu de séparer nettement l'une de l'autre deux formes de tabes avec cécité. A.
comprimés s'atrophient, les vertèbres entrent en contact, tournant l'une vers l'autre les faces supérieures de leurs cor
r du trijumeau est com- mandé par deux zones centrales nucléaires ; l'une de ces zones donne la sensibilité à la peau du
y Oficios. AVIS A NOS ABONNÉS.- L'échéance du 1° JflN 'lll étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
76 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
isait que ce n’était qu’une mouche en comparaison de la vertu divine, l’une des assistantes, Madeleine Bavan , tourière du co
ent intervenir pour empêcher l’exécution, ou du moins pour renouveler l’une de ces manifestations terribles qu’on disait avoi
nous rappelons en souriant ces deux têtes blanches s’encensant ainsi l’une l’autre ; mais alors nous étions trop terrifiés p
de la personne laquelle on reconnaissait cette qualité, et que, dans l’une ou l’autre hypothèse, le médium réellement influe
néanmoins « un autre moi-même, et comme si j’avais deux âmes, dont « l’une est dépossédée de mon corps, de l’usage de ses or
Nos recherches sur Eclipse nous ont conduit à indiquer ce même nom de l’une des plus étranges individualités qui figurent dan
hirure. En levant les yeux , il aperçut un corps attaché par le cou à l’une des premières branches. On coupa lac orde. — C’
ription, ce qui, joint au récit général de cette excursion, constitua l'une des plus curieuses séances de magnétisme que j’ai
ra pas de communication entre leur fluide vital ; elles n’éprouveront l'une pour l’autre ni sympathie, ni antipathie. Deu
ais ces rapports vont-ils, peuvent-ils jamais aller jusqu’à remplacer l’une et jusqu’à modifier l’autre? Voilà deux assertion
s. Los faits de sorcellerie et les miracles bibliques se rangent dans l’une ou l’autre de ces catégories, et appartiennent à
ix jours. Deux demoiselles Grégoire, à leur campagne à Vieux-Diens. L’une , mademoiselle Eugénie, traitée pour consomption,
doublements extrêmes, on peut percevoir deux corporéités distinctes : l'une , espèce de nébuleuse, transition médiane, se rapp
ernatives combinées de deux sortes de pôles en directions contraires: l'une envidante; l’autre, Umdnnte; il s’ensuit que, des
e médaille de bronze. Deux mentions honorables ont été proclamées : l’une , accordée à madame Prosper, de Meaux, pour son co
i, le meuble sous l'in/luencc de la volonté; mais ici, de deux choses l’une : ou la volonté agit concurremment avec la force
, tout fait magnétique nécessite l’action simultanée de deux forces : l'une qui ordonne, éclaire et dirige, en vertu de sa pr
leur exagération exclusive des effets bien déplorables en médecine î l’une a voulu faire de la médecine une vaine théorie, l
chez la duchesse de ’**, dans le haut du faubourg Saint-Germain. « L’une des plus remarquables fut celle de la rue de Cau-
la nature a fait ainsi les choses , la vie suit la mort de très-près, l’une poursuit l’autre et ne lui laisse nul repos; cett
ud, on plaça deux êlectrophores. Dès que Schaefler y eut mis la main, l’une des cloches oscilla vers le sud ou l’est, et l’au
partage des opinions ne nous aurait jamais permis d embrasser plutôt l’une que l’autre, si un axiome théologique admis de to
usait plus par signes que les douleurs d’estomac. Elle posa ses mains l’une sur l’autre , l’une prenant successivement les do
s que les douleurs d’estomac. Elle posa ses mains l’une sur l’autre , l’une prenant successivement les doigts de l’autre, com
mais elle n’eut pas de douleurs d’estomac. Le 4, elle ne ressentit ni l’une ni l’autre; son humeur fut très-gaie, et elle pri
le sol épuré peut donner des fruits inconnus jusqu’ici. » A la lin de l’une de ces conversations, le général I.amarlière dema
toutes les personnes qui se sentaient touchées à prendre la parole. A l’une de ces séances, madame S. A. G. se leva pour parl
a su toujours indiquer la nature du minerai et l'épaisseur connue. A l’une il a dit que la galerie avait été découverte sous
ant à l’enfance; et n'aurais-je eu que ce seul mérite en ma vie, ( l'une abnégation complète, que je regarderais mon exist
eux sur moi, et avec les plus grands efforts, il dissipa les maladies l’une après l’autre. Cette opération, soutenue par une
s. Si la chaleur et la lumière sont compagnes presque inséparables, l’une et l’autre n’apparaissent-elles pas dans les phén
iologie sont-elles destinées à rester presque complètement étrangères l’une à l’autre? Ou bien le livre vainement rêvé par
Cette différence polaire n’affecte pas que la vue des sensitifs. Si l’une de leurs mains touche une main, ils éprouvent une
la médecine, ni à modifier la religion, mais à servir de complément à l'une et d'auxiliaire à l'autre, 75, 207, 241. — M. du
77 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re. Hygiène buccale, résection de quelques racines, extraction de l'une d'elles, thérapeutique morale. L'effet purement
é à sa dent de sagesse, que ses deux petites molaires sont séparées l'une de l'autre, et, a de certains moments, que les
, et cette fois, c'étaient les arcades alvéolaires qu'elle pressait l'une contre l'autre. De guerre lasse, on essaya de f
s. La conscience, et l'intelligence, « expression sub- jective de l'une des phases du travail d'acquisition et d'organi
et affaiblie eu même temps; les efforts, assez intenses, sont sums ( l'une prompte résolution musculaire. LES FONCTIONS
S8 CLINIQUE NERVEUSE. dant à démontrer qu'à ces éléments incombe l'une ou l'autre des fonctions spécifiques relatives
dire laquelle de ces deux opinions est la bonne, peut-être même, ni l'une ni l'autre représente la vérité. Car les réaction
pensée consiste en ce que toute conception forme deux images, dont l'une reste sur le foyer de l'idéation, tandis que l'
la malade était bien réel : l'épingle avait traversé le mésentère, l'une de ses branches avait pénétré dans le colon, l'
e trente à trente-cinq ans. Or, à cet âge qui est-ce qui n'a pas eu l'une ou l'autre désaffections étiologiques de M. Cha
xcitation, et il donna soit sur ces périodes soit sur le passage de l'une à l'autre des détails précis que tous par la su
l'obtusion psychique et capable de se dissiper; 2° de deux manies, l'une simple, qui peut se terminer par la démence sim
encore connue, de la substance blanche des circonvolutions comme l'une des lésions principales de la démence paralytique
onstatons pas d'altération de cette substance grise, de deux choses l'une : ou bien nos procédés techniques sont insuffis
ant, par leurs extrémités effilées et dirigées en sens contraire, l'une en dehors dans la substance grise de la corne d
on relève entièrement celle-ci, on les voit toutes deux se détacher l'une de l'autre, et la petite circonvolution se cont
orps godronné sus-calleux; leur développement est en raison inverse l'une de l'autre'. Il me paraît cer- tain, en tous ca
paraît probable dès lors qu'elles 200 ANATOMIE. z sont olfactives l'une et l'autre, au moins dans leur partie postérieu
: « Il s'agit de la transformation et de la corrélation des forces, l'une des plus grandes ques- tions de la science mode
femmes de constitution physique et de caractère moral différents : l'une blonde, anémique, - douce et sensible; l'autre
ablit principalement qu'il existe deux sortes de cécité psychique : l'une corticale, l'autre transcorticale. Dans les deu
ais tous les élé- ments du même muscle en même temps, quoique, dans l'une des observations décrites, il existe une contra
e par simple com- pression ; les relations de l'autopsie permettent l'une ou l'autre interprétation. Durant la vie, on av
hmée hystérique et à plusieurs reprises des attaques de délire dont l'une en particulier a duré dix jours. Elle a de plus
névroses que nom- bre d'observateurs tendent aujourd'hui à séparer l'une de l'autre, malgré les rapports qui les unissen
auloculpabihté, etc). La mélancolie géné- rale, qui peut succéder à l'une des deux formes précédentes, com- prend les deu
M. Th. ROUSSEL remercie la Société qui l'a élu vice-président dans l'une de ses dernieres séances. Toujours attiré par l'é
e non eux centrale et périphériques sont complètement indépendantes l'une de l'autre; elles n'ont de commun que la cause
la folie aiguë M. Roasvxorr a proposé d'en distinguer deux formes : l'une avec stupeur (dysnoia stuperosca), l'autre déli
des cas, une succession de plusieurs périodes d'évolution différant l'une de l'autre d'une façon très notable. Cette circon
78 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es de causes ne sont nullement contraires et peuvent se superposer, l'une constituant le fond de la maladie, et l'autre d
le fils, militaire, est âgé de vingt-quatre ans; des trois soeurs, l'une , est âgée de vingt-cinq ans, anémique, très ner
ve à la dégénérescence des cellules nerveuses; mais est-ce que dans l'une et l'autre affection les émotions psychiques ne t
ces deux névroses ne pourraient-elles pas se ren- contrer associées l'une à l'autre ? L'hérédité qui crée à elle seule la
ls l'hystérie et la maladie des tics convulsifs viennent se greffer l'une sur l'autre 1. » . De cette étude sur la mala
ce, dans des zones de-la surface d'une pièce de cinq francs situées l'une dans la région frontale, au-dessus des sourcils,
la faith-healing, car il nous dit en toutes lettres, en parlant de l'une d'elles, et il en était probablement ainsi des
ion du noyau en une place quelconque, formant des segments inégaux. L'une et l'autre espèce sont des processus équivalent
n, une divergence des quatrième et cinquième apophyses épineuses, l'une était dirigée un peu du côté postérieur et à droi
nné le nom d'asile d'aliénés de Varsovie. Il comprend deux parties. L'une est destinée au traite- ment des aliénés et peu
rois espèces, que des variétés intermédiaires rattachent d'ailleurs l'une à l'autre, sont au fond identiques. Sous des mo
la méthode d'élimination ancienne. Mais souvent les deux causes, l'une générale, prédisposante, . SERVICE OTOLOGIQUE 2
n aspect repoussant. Gouj... ouvre de grands yeux, frotte ses mains l'une contre l'autre, et aspire fortement en serrant
ans une même famille. Il s'agit de deux familles non parentes; chez l'une d'elles, sur quatorze enfants, six présentaient l
nts de pronation et de supination de même. Pour mettre sa main dans l'une ou l'autre de ces positions, le ma- lade la sai
ink3, dans sa thèse, en a rapporté deux nouvelles observations dues l'une à M. Raymond et l'autre à M. Souques. Il nous s
ubita- tive et qu'on peut distinguer en deux grandes classes : dans l'une les malades se préoccupent des questions insolu
délire dzc.touclcer ou crainte des contacts seraientles deux faces, l'une intellectuelle et interne, l'autre motrice et ext
il cite les opinions des auteurs. Ily a, dit-il, deux catalepsies, l'une accompagnée d'hyp- nose et formant une entité d
dineux, la répartition de l'anesthésie, etc., ont permis d'éliminer l'une après l'autre toutes les suppositions relatives
existences psychologiques alternant suc- cessivement2 » ; il a dans l'une des sensations, des souvenirs, des mouvements q
tel signal pour déterminer le somnambulisme de tel ou tel malade : l'une entrera rapidement dans cet état parce que je l
e dans l'attaque, enfin les procédés qui terminaient ou modifiaient l'une réussissaient également à ter- miner ou à modif
dant l'attaque, on constate qu'une émotion ini- tiale, terreur chez l'une , colère chez l'autre, désespoir chez une troisi
Ces deux personnalités ne se bornent pas à alterner, à se succéder l'une à l'autre, elles peuvent coexister d'une façon
s est loin d'être absolue et un phénomène qui a été pro- voqué dans l'une par toute une série d'associations d'idées peut
pas uni- forme ; tandis qu'à droite elles sont fortement appliquées l'une contre l'autre, à gauche, elles sont légèrement
po- sent sur les parties latérales du tronc ou bien sont appliquées l'une sur l'autre contre l'épigastre. Quelle que soit
és ne signifient-elles pas que les deux névroses sont très voisines l'une de l'autre, sinon des manifestations d'une même
'en hypnotisant une personne bien portante, en général on obtiendra l'une des premières phases du petit hypno- tisme de N
79 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ubles de la sensibilité, deux variétés de paraplégie sont à opposer l'une à l'autre : 1° la paraplégie spasmodique avec l
rouges; par places elle est adhérente à la moelle et les tissus de l'une passent à l'autre par transition insensible. La
e D' P. KOULSDJY. L'extension est avec la pendaison et l'élongation l'une des méthodes les plus employées de la suspensio
e de poids, qu'on pose au sur et à mesure sur un plateau, attaché à l'une des extré- mités de la corde, qui le relie à la
e le bassin du patient et de deux coulisses latérales, se terminant l'une par une boucle et l'autre par une courroie. Lor
pproche par l'hérédité; Gowers, du fait de leurs transformations de l'une en l'autre; Mobius trace un parallèle de leurs
(migraineuse) et la migraine (épileptiforme) peu- vent se remplacer l'une l'autre... ; 8° Quand migraine et épilepsie son
escence. L'auteur reconnaît deux formes cliniques assez nettes : 1° L'une caractérisée par un début insidieux, par sa bén
e du cadre. AVIS A NOS ABONNÉS. - L'échéance du 1er JANVIER étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
es. Nous faisons en ce moment l'extension avec notre fauteuil à ' l'une de nos hémiplégiques d'un âge avancé; et pendant
e hémisection de la moelle. Parmi les nombreuses plaques du cerveau l'une d'elles avait complètement sclérosé le nerf opt
r et définir une maladie, non le caractère qu'elle peut présenter à l'une de ses périodes, mais son cours pendant toute l
x deux observa- tions de folie périodique mélancolique simple, dont l'une aboutit à la démence secondaire; 4° observation
femmes atteintes de psammome de la moelle qui ont pu -être suivies, l'une pendant cinq ans, l'autre pendant dix ans. Les
rt employées, la cure anti-syphilitique et la suspension, mais pour l'une et pour l'autre nos observations aboutissent à
demander, dit M. Ribot, si (de la sensibilité et de l'intelligence) l'une estprimaire et l'autre secondaire, si l'une vie
é et de l'intelligence) l'une estprimaire et l'autre secondaire, si l'une vient se greffer sur l'autre et, dans ce cas la
lles peut expliquer une partie et un moment de cet état morbide, ni l'une ni l'autre ne nous paraît rendre compte de ses
t qu'une fois la vie effective et la vie intellectuelle constituées l'une et l'autre, la première ne puisse être influenc
e ne four- nissent que la cause déterminante de l'obssession ; ni l'une ni l'autre ne nous en donne la. cause réelle et p
che était sur son diamètre longitudinal labouré de deux balles dont l'une avait traversé le corps et fut retrouvée plus tar
ctionnement d'origine centrale. Les deux causes sont corré- latives l'une de l'autre. Toute la question est de savoir quell
ieux a dans son service trois femmes ayant des idées de grossesse : l'une .est une persécutée ordinaire, l'autre une démente
deux petites filles du service du De Jeanselme. Ces enfants, âgées l'une de dix mois, l'autre de cinq ans, présentent, d
a paralysie générale de la syphilis (acquise ou héréditarie), comme l'une des causes de la maladie. - . Discussion. 11.
: deux de ces malades étaient employées chez l'auteur en août 1900. L'une , Hannah Ilaiicox, avait du délire reli- gieux,
tionnel de dégénérescence, qui revêt avec plus ou moins d'intensité l'une ou l'autre des formes suivantes : convulsions m
gues. Cependant, deux personnes affirmè- rent avoir vu la fillette, l'une , le jour même de sa disparition, dans un débit
ale ou horizontale, suivant que la ligne de démarcation, qui sépare l'une de l'autre la partie conservée et la partie abo
i désorganise la zone corticale visuelle. Une lésion, qui réalise l'une des deux conditions que je viens de dire, se trad
se présente l'hémianopsie symptomatique d'une lésion qui intéresse l'une des bandelettes optiques dans toute son épaisse
cules cérébraux), c'est signe que les deux bandelettes optiques, ou l'une d'elles, se trouvent lésées à une certaine dist
t. 3° L'hémianopsie symptomatique d'une lésion A, qui inté- resse l'une des bandelettes optiques dans toute son épaisseur
trouve nettement caractérisé dans les lignes suivantes empruntées à l'une des quatre observations du présent mémoire. Le
neurologie. AVIS A NOS ABONNÉS. L'échéance du 1 CI' JUILLET étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
80 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
es, et il ne se fait payer que par les riches. Deux notabilités, dont l’une est un docteur en droit et l’autre un docteur en
ion fut de courte durée : le fait ne se produisit que deux fois, dont l’une en présence de M. le curé, qui, sur son honneur,
, débutant par de violentes secousses ressenties dans les jarrets par l’une des ouvrières placée en face d'Angélique, la poin
riences répétées. Quatre personnes l’ont successivement interrogée. A l’une elle a rappelé, avec toutes ses circonstances, un
çon injurieux. « On place trois chaises à côté les unes des autres. L’une d’elles, à volonté, est chargée d’un poids ima-
de « soie, elles sont agitées, attirées, et parfois s’éloi- • gnent l’une de l’autre. » Il aurait fallu ajouter que cet eff
épingle ; puis des bandelettes agglutinatives ont été appliquées siir l’une et sur l’autre. Le pansement a été terminé à cinq
état modifié par les lois et les mœurs, qu’on appelle civilisé. Ni l’une ni l’autre de ces situations ne montre l’homme
ion, étant un résultat de ces lois, ce n’est que dans le mécanisme de l'une et de l’autre qu’on peut trouver les rapports et
qu’une extension de l’éducation, et la morale offrant des principes à l'une et à l’autre, je crois ces trois objets inséparab
ellement. Leur concours est indispensable; il faut que les données de l’une toujours confirment celles de l’autre; en un mot,
rience. « Si le papier est peint d’un côté, ou doré, argenté, ou si l’une surface est d’un métal plus galvanique (de l'arge
CIENCE. Il est une foi et une raison toute d’intelligence, opposées l’une à l’autre, et éternellement inconciliables entre
ternellement inconciliables entre elles, car elles sont aussi fausses l'une que l’autre. Cette raison qui ne spécule que su
mènent toutes deux à la mort, et c’est pour cela qu’elles sont mortes l'une et l’autr«. Mais assez sur elles; car si leurs
huit personnes se trouvait réunie au château de Bily, en Plsufragan ; l’une d’elles, M. Bl..., en se penchant sur le bord de
enferme donc la liberté, la propriété et la santé; et l’homme attache l’une et l’autre à la s,p-eiété'dortt'fï se fait membre
symptômes de la fièvre imitative envahissent les deux natures faites l’une pour l’autre, mais provisoirement séparées. La fa
imitative rapproche encore des natures qui s’ignoraient complètement l’une l’autre, et ce lien mystérieux tient la place du
ment, chose qu’il était difficile de prévoir, deux nouvelles glandes, l’une supérieure, jetant des racines dans la profondeur
présentent pas le même refroidissement. Si je veux magnétiser, dans l’une ou l’autre circonstance, je diminue le pôle trop
e propriété particulière, non un buste , mais une petite pyramide sur l’une des faces de laquelle on lit : A LA GLOIRE DE M
r le ventre des serviettes chaudes, et s’ordonne : 1° Deux tisanes, l’une de bourrache, l’autre de camomille, à prendre alt
de les communiquer. - Ces moyens sont : La langue el l'écriture; l’une et l’autre sont naturelles ou de convention. La
la société avait le droit de l’exiger, les infractions commises dans l’une d’elles, il n’a pu atteindre les actes de celle q
t de temps à autre, c’est-a- dire aux époques indiquées, je mettais l’une et l’autre en rapport toujours à l’aide d’une mèc
ataire, pensant que celle femme cherchait à commettre un vol, prévint l’une de ses voisines, qui se leva, et tous deux, munis
ne rencontra personne qui ne lui enseignât quelque recette différente l’une de l’autre, chacun lui disant que la sienne estoi
81 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
blanchissage. Comme les années passées, nous avons fait faire par l'une des surveillantes du service le relevé des enfant
chaque touche est attache un élas- tique, qui lui-même est retenu à L'une de l'instrument. Pour faire basculer une touche
ties. - Des 93 malades sortis de la section, 18 ont été dirigés sur l'une des sections d'adultes, 16 ont été transférés,
es asiles, iiifiri-noi-les et les gâteux sont confiés à des femmes. L'une des infir- mières pourrait être chargée due la
rts également poitrinaires, - Un frère bien portant. Deux 4'M;tf) ? l'une en bonne santé, ainsi que son enfant qui, toute
le 19 mars 1873 ; entré dans le service le 28 août 1888. Passé dans l'une des divisions de l'hospice le 3 février 1900.
- loppement qui le rendait difficilement plaçable au dehors, dans l'une des divisions de l'hospice. Nous l'avons revu le
té paralysé quatre ans; les deux autres vers 60 ans. - Deux soeurs, l'une est morte à 78 ans ; l'autre, vivante, a 80 ans
notre malade. Les deux premiers, filles, sont mortes tuberculeuses, l'une à 23 ans, l'autre à 1\1 ans. Elles ne présentai
eu des convul- sions dans l'enfance et louche. De ses deux filles, l'une a eu des convulsions et est strabique. Dans la
chire tout ce qui lui tombe sous la main, frappe la paume des mains l'une contre l'autre. Pas de grincement de dents. - L
de, toujours ouverte. Lèvres peu épaisses, sans saillie exagérée de l'une ou de l'autre. Palais étroit et ogival. Amygdal
on n'a pas de renseignements. Du côté maternel, 8 oncles et tantes; l'une de ces tantes serait morte de folie quelques jo
attaque sans avoir repris connaissance. - 2 des soeurs sont mortes, l'une en couches à 311 ans, l'autre à 56 ans on ne sa
à 56 ans on ne sait de quoi ; l'autre est vivante, en bonne santé. L'une d'elles a eu deux jumeaux : un garçon, actuelle
is eu de convulsions, sont sobres. - Deux tantes maternelles, ont l'une 6, l'autre 5 enfants qui n'ont pas eu de convulsi
duit régulièrement, il peut passer, comme infirme (hémiplégie) dans l'une des divisions de l'hospice. En pareil cas, le
compare à la partie adjacente donnant asile à un hémisphère sain. L'une comme l'autre n'auront fait que s'adapter au poid
mariés et comme leurs enfants sont bien portants. Quatre sielt1's : l'une mariée, sans enfants, est morte usée par la bois-
lles ont des enfants également sains; de ces trois soeurs vivantes, l'une aurait eu des crises de nerfs mal déterminées, da
le postérieure. Les faces internes des lobes frontaux sont accolées l'une à l'autre-. Le bulbe et la protubérance sont bi
82 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uement sur leur coexistence, et s'était surtout efforcé de faire de l'une et de l'autre maladies une entité morbide ' Con
a question de l'influence que les deux maladies ont sur la marche l'une de l'autre, il ne croit pas possible de « rien pr
UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 7 dilatée que la gauche, ni l'une ni l'autre ne réagissent plus à la lumière. D
e; mais il existe une diminution légère du nombre des cellules dans l'une des cornes antérieures ; de ces cellules elles-
ce grise. - A l'étage tout à fait inférieur de la moelle 1 dorsale, l'une des cornes antérieures est très nettement atrophi
es grises. Il existe une asymétrie marquée des cornes antérieures ; l'une d'elles est très amincie, presque étranglée à sa
inuées de nombre ; sur d'autres coupes, au contraire, l'atrophie de l'une des cornes est très marquée et à cette atrophie
moitiés gauches des lèvres étaient pincées, étroilement accolées l'une à l'autre, et, quand le malade souriait, elles ét
sie accompagnant l'acte sexuel. L'auteur apporte deux observations, l'une d'un épileptique chez qui les attaques étaient
s déjà publiées ne saurait, disent-ils, les convaincre en faveur de l'une ou de l'autre, les résultats obte- nus étant pa
. 67 teuse), la clinique peut fournir des probabilités en faveur de l'une ou l'autre. Il pense que le début habituel de l
n- nelle. . AVIS A NOS ABONNÉS. L'échéance du le' JUILLET étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
ôt d'une endartérite, tantôt d'une périartérite, le plus souvent de l'une et de l'autre à la fois. L'épaississement de to
atomie pathologique se prêtent ici un mutuel appui et se contrôlent l'une par l'autre ! Quelque incomplets que soient les
est le conducteur de la sensibilité, l'autre, celui de la motilité, l'une et l'autre pourront être troublées. La lésion d
ditaire ? est-ce la broncho-pneu- monie, ou encore l'association de l'une et de l'autre ? Cas exceptionnel, il est vrai,
sation du sympathique à l'aide de Liés larges électrodes appliquées l'une sur le dos, l'autre sur le ventre et dans lesqu
épilepsie gastrique, il y a aussi une épilepsie intesti- nale, dues l'une et l'autre à l'intoxication résultantde la putréf
avait lieu souvent que vers la z] 0011 ou même la Il 00, comme chez l'une de nos malades, qui a présenté 25 attaques ou v
nsfor- mations qui embellissent la ville nouvelle. Tout vous promet l'une de ces semaines heureuses dont on garde les plu
mon-tour que ces deux branches des sciences médicales se complètent l'une et l'autre, et qu'aujourd'hui rien de solide, r
blèmes qu'elle est chaque jour appelée à étudier et à résoudre, est l'une des branches les plus importantes de la médecin
rNELL. (British medicaL Journal, avril 1898.) Deux observations : l'une d'affection médullaire traumatique au niveau de
s cliniques l'étiologie des troubles psychiques post-opératoires. L'une de ces malades, âgée de soixante-sept ans, hérédi
ions personnellement M. le De Guichard qui, durant la descente dans l'une des carrières, nous a fait visiter en compagnie
ifférenciation, car le pronostic ainsi que le traitement sont, dans l'une et dans l'autre affection, diamétralement opposés
érentiation. Nous ajoutons ici qu'on a constaté sommairement dans l'une et dans l'autre de ces deux formes d'encéphalite
te aucune des altéra- tions suivantes : atrophie, dégénérescence de l'une des tuniques, anévrismes miliaires. Contre un
il a abordé la corticalité. En résumé, l'attention, au moins sous l'une de ses faces ', nous apparaît comme constituée
nes de paysans gros- siers, culbuter trois expéditions successives, l'une de 100 hommes, l'autre de 500, la dernière de 1
dents héréditaires ou collatéraux, une prédisposition indéniable. L'une est une hystérique avérée, l'autre une hystérique
. L'une est une hystérique avérée, l'autre une hystérique fruste. L'une et l'autre sont ries intoxiquées, la première eu
ettent à l'épreuve simultanément deux parties de ce dernier. Et sur l'une de ces parties, ils opèrent de manière à mettre
83 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
il ne doit plus exister d'antagonisme entre deux psy* chologies dont l'une serait descriptive et l’autre expérimentale, la p
gistrer le succès obtenu par M. Pau de Saint-Martin. Je rappelle qu'à l'une de nos dernières séances, j’ai rapporté le cas d’
is et étrangers, familiers avec la pratique de la psychothérapie. A l’une de ses dernières leçons du mardi, le professeur R
t la coordination des mouvements et cette incoordination peut revêtir l’une des trois formes suivantes rchoréiforme, trépidan
première impulsion à la matière. L’affirmative, et la négative, sont, l’une et l’autre, des hypothèses qu’on a tort de présen
la ventriloquie artistique, qui s’y est parfois greffée, représentent l’une et l’autre une très antique illusion, source prem
rapeutiques de l'hypnotisme sont attribuables, non pas au triomphe de l'une des deux doctrines sur l'autre, mais à la concili
t, avec le Congrès dentaire et avec le Congrès de la presse médicale, l’une des petites réunions internationales qui n’ont pa
té très chargées et de nombreuses communications ont été faites. Mais l’une d’elles a particulièrement attiré notre attention
érapeutiques de l'hypnotisme sont attribuables non pas au triomphe de l’une des deux doctrines sur l’autre, mais n la concili
ux personnes qui ont des rapports en perdent toutes deux le souvenir; l’une peut l'ignorer, mais l’autre doit être consciente
ètres de largeur. Elle était éclairée par une seule fenôtre, placée à l’une des extrémités de la pièce, vis-à-vis de la chemi
« Je m'en retire », dit-elle. Toutes ces phobies sont indépendantes l’une de l’autre, ne sont pas sous la dépendance direct
ndépendantes l’une de l’autre, ne sont pas sous la dépendance directe l’une de l’autre. Elles sont des signes de la dégénéres
xe que l’imitation et comme moyen d'action et comme résultats. Mais l'une et l'autre ont un caractère commun : aboutir à un
imer complètement. » Dans la cour, cependant, dans la cour grillée, l’une des agitées expliquait son cas à un congressiste
donné de l’hystérie des définitions diverses, mais qui se complètent l’une à l’autre. « L’hystérie est une forme de désagr
toplasma contenant un noyau et incluse dans une coque ovoïde percée à l’une de ses extrémités d’une ouverture circulaire. Au
me que les extrémités contigués des neurones ne pourraient se séparer l’une de l’autre, il ne s'ensuivrait pas que les commun
interstices des cellules el arrivent à la surface cutanée confondues l’une avec l’autre. La fonction sudorale devient do
age, à Newark (New-Jersey), de deux pygmées dont les tailles ajoutées l’une à l’autre ne dépassent pas 73 pouces. Tous deux f
elui de sa siile et toutes deux exercent la plus détestable influence l’une sur l'autre. La mère de Mm0 C... a deux cauchem
le a constaté qu’une fine gouttelette de sang perlait à la surface de l’une des ecchymoses des seins et formait, au contact d
chimiques qui ont lieu dans l’ovaire. Supposons que ce système suive l’une des voies centripètes ovario-cérébrales, qu’il tr
le mouvement initial ne pouvant même se concevoir. On comprend que l’une des deux personnalités puisse d’unepartrecevoiret
deux brochures de M. le Dr Milne-Bram-well (de Londres), intitulées, l’une Hypnotic and Post-Hypnotic Appréciation of Time;
84 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
equel Yidéo-plastie saura faire germer la suggestion active. Aussi, l'une des principales préoccupations des psychothérapeu
teur de tables tournantes, il y a un dédoublement de la personnalité, l'une , consciente, assiste avec étonnement aux actes au
ion du sommeil hypnotique à l'administration d'un médicament relevant l'une et l'autre de certaines règles de posologie bien
use de nullité de la convention, lorsque les manœuvres pratiquées par l'une des parties sont telles qu'il est évident que, sa
us verrons ces deux personnalités, dans leur imprécision, se pénétrer l'une l'autre. Par nécessité, elle fut amenée à disci
mouvements des doigts ; 2° La combinaison de mouvements différents de l'une et de l'autre main. A cela vient s ajouter, pou
ues menstruelles irrégulières ; parfois très abondantes. Deux pertes, l'une à trois mois, l'autre à cinq mois. La malade est
st des fugues qui ne correspondent point uniquement et complètement à l'une de nos trois grandes variétés cliniques ; témoin
llucinations de l'ouïe qui le tourmentaient sans cesse. C'est pendant l'une de ces périodes que, pour la première fois, il re
Par M. le D' F.-L. Arnaud {de Vanves} On a appliqué à l'obsession l'une et l'autre des deux théories principales de l'émo
oururent, (1) Viesint. III, 267. (2) Nécrologe de Port-Royal. l'une de tuberculose pulmonaire, l'autre à la suite d'u
jet entre. Il prend une des mains de son « conducteur », l'applique à l'une do ses tempes et l'y maintient pendant toute la d
moindre hésitation, après avoir fixé les yeux de celui-qui pensera à l'une des cartes ou à l'un des objets, il a pris et app
lusieurs mois et au cours de laquelle elle avait beaucoup maigri. A l'une de mes visites, elle me raconta son profond chagr
cas, le ventre a présenté les apparences d'une gros* sesse ; chez l'une par un relâchement des fibres striées de l'intest
tissu cellulaire sous-cutané que le même résultat a été obtenu. Chez l'une et l'autre, après le neuvième mois, tout est reve
plus absurde. Ces deux choses du sommeil sont parties inséparables : l'une d'elle est cause et Vautre effet. A chaque inst
ts et simultanés sous l'influence de la môme excitation périphérique. L'une des moitiés du corps, celle dont la sensibilité e
un esprit sur un autre, en relate quelques observations. C'est même à l'une d'elles que nous empruntons textuellement l'exemp
rait comparer la métaphysique et le positivisme à deux pyramides dont l'une — la métaphysique — s'appuie sur sa pointe et l'a
estions. Il pourra prendre trois ou quatre pensées et se les proposer l'une après l'autre. Mais quand on pratique plusieurs
eut aussi prendre plusieurs fois de suite, avec intervalles de repos, l'une ou l'autre des auto-suggestions. Par exemple, o
prendre ces deux autosuggestions plaire. — causer. — et à les répéter l'une après l'autre de la sorte : plaire, causer. — pla
ou six fois l'auto-sug- gestion n° 2 causer; on revient tantôt à l'une , tantôt à l'autre, de la sorte : Plaire, plaire
en un mot la diminution de la situation matérielle ou morale. Quand l'une de ces circonstances est survenue d'une façon ina
trine transformiste se compose de deux thèses tout à fait distinctes, l'une fondamentale, celle de Lamarck, l'autre complémen
85 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
ties. - Des 61 malades sortis de la section, 16 ont été dirigés sur l'une des sections d'adultes de la division des alién
la division des aliénés ; 3 ont été admis comme incu- rables dans l'une des sections de l'hospice ; 45 ont été rendus à
faites non plus conformément au programme ; elles ont été réunies à l'une des extrémités du bâtiment. Aussi sera-t-on obl
es d'assistance et de traitement. Cette préoccupation est également l'une de celles qui vous assaillent. L'idée que nous
nt qu'une piqûre lorsque les deux épingles sont à 15 .milli- mètres l'une de l'autre. ' 2° Côté droit. L'anesthésie occup
Pour ces rai- sons, au lieu de le faire passer à dix-huit ans dans l'une des sec- tions du quartier des aliénés, nous l'
enir son placement, justifié par ses infirmités et sa maladie, dans l'une des divisions de l'hospice. L'autorisation étan
visait aussi la poche en deux parties symétriques mais communiquant l'une avec l'autre. En avant en haut et en dehors la
nel mort d'un coup de sang. Arrière-grands'mères paternelles mortes l'une d'une para- lysie, l'autre d'un cancer du sein.
ien portant. Aucun d'eux n'a eu de convulsions. - Deux soeurs âgées l'une de 30 ans, sans attaques de nerfs, a eu deux en
te que le lobe pariétal offre deux régions très nettement séparées, l'une formée d'une longue circonvolution représentant
une joute. - Mère, 74 ans, en bonne santé. Un frère a deux filles : l'une , forte et intel. ligente, aurait eu, au moment
i-frères maternels et un neveu, deux frères et deux 8(ptij-.s, dont l'une est arriérée, qui ont eu tous des convulsions.
orteils sont souples. (Fig. 19). On observe des eschares au début : l'une à la face interne du genou, delalargeurd'une pi
mois plus tard avec réapparition de l'hémiplégie droite et aphasie l'une et l'autre transitoires. Ces doubles accident
de médecine (1), a consigné l'observation de deux fillettes, âgées l'une de 13 ans et demi, l'autre de 14 ans, atteintes
urvivent sont intelligents et bien portants. (3 garçons, 2 filles ; l'une de celles-ci a une fille de 19 ans, qui n'a pas
ge, nous hésitons entre une des sections de l'Asile comme aliéné ou l'une des divisions de l'Hospice comme incurable. I
86 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
à l'asile Ste-Anne , nous proposions à l'Administration d'évacuer l'une des petites salles affectées aux adultes et de
4 qui n'ont pas d'accidents nerveux ; cinq soeurs bien portantes, l'une a une fille jouissant d'une bonne santé, les autr
s d'argent. » Un frère mort d'une fièvre typhoïde; trois soeurs ont l'une trois enfants, la seconde deux, la troi- sième
elques jours avant son premier accès, il aurait eu un écoulement de l'une des oreilles. A 10 ans, l'enfant étant en Belgi
7 ans. - Grand' mère maternelle bien portante, 67 ans : - 4 soeurs, l'une morte de la poitrine, sans enfants ; les trois
la poitrine, sans enfants ; les trois autres sont bien portantes ; l'une a eu à 40 ans une grossesse gémellaire, elle av
e.A la cuisse, deux exostoses de la grosseur d'une aveline situées, l'une à la face interne, l'autre au bord externe du f
ente deux insertions sur la frontale ascendante simplement séparées l'une de l'autre par un sillon qui coupe complètement
ne n'a une longueur notable, si ce n'est à la partie postérieure où l'une d'elles atteint 1/2 centimètre. - La cavité dig
stérieure,deux autres épines dirigées dans le même sens et longues, l'une de 6 centimètres, l'autre de 1 1/2; une sur la
2 ou 3 attaques par semaine jusqu'à l'âge de 13 ans; à la suite de l'une d'elles, il aurait été atteint d'une paralysie
puis longtemps et que J. Wier a mentionnée. Parlant d'Anne Lengon, l'une des possédées du monastère de Kentorp, il dit :
87 (1934) Oeuvre scientifique
pilles étant inégales et les deux se contractant bien à la lumière, l'une est normale, l'autre rétrécie ; du côté de la pup
plusieurs jeunes filles atteintes de troubles hysté- riques et dont l'une avait son franc parler. Elle vint me trouver quel
l, afin de voir comment se comportent la pha- lange et le métatarse l'une par rapport à l'autre. Je vous présente d'abord
omprime le faisceau pyramidal sans le détruire. La surréflectivité, l'une des manifestations possibles de cette compressi
ration du réflexe rotulien ; mais bien souvent une lésion atteignant l'une de ces articulations ou encore l'articulation c
sceptible de subir à la fois l'action des deux causes antagonistes, l'une tendant à produire la surréflectivité, l'autre
lement par disparaitre, comme on le sait, lorsque deux causes, dont l'une tend à produire de la surréflec- tivité et l'au
à m'occuper, on peut observer deux variétés de rigidité musculaire. L'une ressemble complè- tement à la contracture de l'
cier une dénomination qui les distingue, j'ai proposé d'appliquer à l'une le qualificatif de « tendino-réflexe » et celui
chez un sujet paralysé deux sortes de modifi- cations ressortissant l'une aux réflexes tendineux, l'autre aux réflexes cu
ettre en lumière les caractères qui peuvent permettre de distinguer l'une de l'autre les deux espèces d'hémiplégie faciale
ible que chacune de ces deux interprétations, qui ne s'excluent pas l'une à l'autre, soit applicable à un groupe de faits
formes de rigidité musculaire qui souvent, il est vrai, s'associent l'une à l'autre. L'une de ces formes est constituée p
musculaire qui souvent, il est vrai, s'associent l'une à l'autre. L'une de ces formes est constituée par la contracture v
hésie et limite des réflexes de défense, outre qu'elles constituent l'une pour l'autre un mutuel contrôle, permettent le
peut provoquer à la fois ces deux réactions. Mais, encore une fois, l'une peut se produire sans l'autre. On peut observer
ocier une dénomination qui la distingue, j'ai proposé d'appliquer à l'une le qualificatif de tendin.o ? é flexe et celui
ie de ces réflexes, mais, pour la majeure part, ils se rattachent à l'une des fonctions essentielles de la moelle, c'est-
confirmée. Il y a du reste tous les intermédiaires entre les cas où l'une de ces trois affections est dans son complet dé
utre part, on pourrait inférer que le trouble en question relève de l'une ou de l'autre cause. Mais ce que nous nous z) H
des diverses épreuves puisse à tour de rôle révéler uniquement soit l'une , soit l'autre de ces deux catégories de trouble
tte épreuve est en effet comme le complément de la précédente. Dans l'une , c'est la partie supérieure du corps qui n'acco
vestibule, puis j'ai appliqué les électrodes d'une batterie de piles, l'une immédiatement sur un point de l'appareil labyri
ivant le sens du cou- rant ; avec N. les deux lèvres se rapprochent l'une de l'autre et tendent à se porter en avant; ave
contractilité galvanique. Si nous comparons ces deux observations l'une à l'autre, nous voyons qu'en ce qui concerne le
batterie de piles que nous appellerons bat- terie n° i sont placées l'une à l'extrémité du membre à examiner, l'autre au tr
se serait rendu en vingt heures de Paris à Rouen, villes distantes l'une de l'autre de 160 kilomètres. Pour accomplir pl
de l'eau elles restent environ quatre à cinq minutes aussi froides l'une que l'autre et les veines sous-cutanées sont effa
la longueur de la lésion qui comprime la moelle, elles constituent l'une pour l'autre un mutuel contrôle et par leur union
ue un peu moins stable. Deux nouvelles radiographies sont faites, l'une après injection intradurale de lipiodol à la ré
: la malade est placée en position presque verticale, tête en bas. L'une des deux billes, l'inférieure, reste adhérente au
, igo3, p. 1005. 432 P : 1R : 11'LGGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE l'une par la naissance d'un enfant de sept mois mort-né
ffaire à une association de deux infections de nature diffé- rente, l'une syphilitique, ayant déterminé des lésions chroniq
même cause peut, suivant son degré d'intensité, donner naissance à l'une ou à l'autre de ces affections ; j'ajoute, à l'
blir leur union, on peut dire, en général, que c'est en s'associant l'une à l'autre que chacune d'elles prouve sa réalité
ystérique ont été cependant publiées par G. Ballet, Lebar, Raynaud. L'une d'elles a provoqué une discussion au cours de l
afin de se mettre en garde contre deux sortes d'erreurs consistant l'une à méconnaître la part de l'élément physiopathiq
es élever à 4o centimètres du sol ; elle arrive aussi à les croiser l'une sur l'autre. Il ne faut pas oublier qu'il y ava
plus haut. Enfin, il y a eu deux séances de radiothérapie pure ; dans l'une , la face postérieure du cou a été irradiée pend
debout avec l'aide de quelqu'un, mais les deux jambes sont croisées l'une sur l'autre. Le 20 novembre, il peut, soutenu p
u par un infirmier, faire quelques pas, mais les jambes se croisent l'une l'autre pendant la marche. Le 25 novembre, il f
88 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
amen, deux crises suivies d'accès d'agitation se pro- duisent. Dans l'une , Cing... se réveille en sursaut, s'assied sur s
sthésie musculaire et l'anesthésie tactile, elles allaient rarement l'une sans l'autre. Bourdicault-Dumay 3 confirme la f
d'étiologie : l'alcoolisme, la syphilis peuvent produire aussi bien l'une que l'autre maladie; l'hérédité elle-même jouer
dité elle-même jouera parfois un rôle adju- vant très efficace dans l'une et l'autre. Les deux seuls signes qui, peut-êtr
t sous l'influence de la même cause, sans être nécessairement liées l'une à l'autre. Histologiquement, cette pachyméningi
e lanière libres. Un méde- 94 FAITS DIVERS. , cin qui a assisté à l'une de ces exécutions à l'ile Sakhaline, s'ex- prim
des Carmes. AVIS A NOS ABONNÉS.- L'échéance du ICI' JANVIER étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
ntile. Parmi les quatre soeurs, deux sont choréiques et démentes, l'une âgée de cinquante-deux ans est internée dans un a
a nature de l'agent irritant, elle donne lieu à plusieurs théories. L'une d'elles, très répandue, très acceptée veut que
nsi dans un cas, les deux formes avaient évolué sur la même moelle, l'une au-dessus de l'autre. Cliniquement, la syringom
es, la pollakiurie est simplement fonction de l'hyperdiurèse, car l'une accompagne toujours l'autre; l'exagération de la
tension du muscle vésical. Ces deux théories sont loin de s'exclure l'une l'autre et les quelques données de physiologie
ression est circonscrite par quatre cou- ronnes de trépan distantes l'une de l'autre d'environ 2 centimètres à 2 centimèt
dromes correspondent à des infections et des intoxications diverses l'une de l'autre. Alors que dans les formes, moins gr
ec la nature même de la maladie, et peu- vent être permanentes dans l'une , épisodiques dans l'autre. .. J. SÉGLAS. REVU
malades atteints comme celui-;ci de crétinisme sporadique, et dont l'une était sa soeur, ont également eu de l'ictère.
e FLEURY présente deux cas d'épilepsie sensorielle (auditive). Chez l'une et l'autre de ces malades, les accès se sont d'ab
rent d'une manière très marquée des prolongements cylin- draxiles ; l'une des marques distinctives la plus caractéristique
i beaucoup de variations et ils se disposent à une distance inégale l'une de l'autre. Il faut penser que l'état monilifor
mages sont étroitement unies entre elles, et la mise en activité de l'une d'elles entraine presque fatalement celle de tout
le ont des indi- cations distinctes, au point de vue thérapeutique; l'une donnera des résultats plus favorables que l'aut
sant à Etienne de La Boëtie, les âmes « se meslent et se confondent l'une et l'autre « d'un meslange si universel, qu'ell
puis dire la douleur de tous quand on a appris la fatale nouvelle. L'une de vos malades que vous aimiez, et vous les aim
votre ligne de vie. L'indulgence, telle était votre philosophie. L'une des ambitions de vos élèves sera de laisser après
nques. Les candidats seront libres de concourir, à leur choix, dans l'une ou l'autre des régions. Au sur et à mesure des
ignés par voie de tirage au sort parmi les docteurs qui remplissent l'une ou l'autre de ces fonctions dans un ' Chefs de
d'un des organes sensuels donne lieu à deux sensations distinctes : l'une a pour siège la sphère de l'organe qui subit l'
et palmaires. Si l'on ferme les yeux du malade et qu'on lui frappe l'une de ces parties brusquement avec le doigt : « Ce
je sépare les électrodes et les glisse le long de l'épine dorsale : l'une en haut, l'autre en bas, assez vite, pour que,
rankiinisation de l'appareilgénito- vésical je dirai seulement, que l'une des électrodes avec la MALADIES NERVEUSES A L'H
ion chimique complexe : on y reconnaît net- tement deux substances. L'une apparaît sur de diverses prépara- tions sous fo
er l'acception délimitée des termes particuliers. Deux observations l'une de l'auteur, l'autre de Lissauer et Hahn BIBLIO
avec avidité; crie beaucoup quand, aux repas, elle n'est pas servie l'une des premières : c'est sa seule manifestation in
le professeur Raymond ne se prononçait pas catégoriquement. Dans l'une comme dans l'autre hypothèse, le malade n'avait q
89 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
apparaître des plaques de Reyer ulcérées, saillantes, confluentes; l'une d'elles mesurée atteint 7 centimètres de long et
nt clinique des maladies mentales dans les universités allemandes : l'une antérieure, l'autre posté- rieure aux mémorable
xi- mité des autres cliniques; les étudiants peuvent ainsi aller de l'une à l'autre sans perte de temps (on sait que les
gical Society. AVIS A NOS ABONNÉS. L'échéance du 1" JANVIER étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
nes gens, on trouve deux observations concernant des jumeaux : dans l'une , l'un des frères est atteint de démence prématu
ne permet de conclure qu'elles se rattachent plus spécialement à l'une ou l'autre des formes de folie de nos classificat
Neurologie et DE I'SYCIIIAIltIE, subdivisée en deux Sous-Sections, l'une pour la Neurologie, l'autre pour la Psychiatrie
'appareil nllcléolai1'e est toujours constitué par deux substances, l'une acidophile, l'autre basophile, formant des élémen
erstices des cellules et arrivent il la surface cutanée, confondues l'une avec l'autre. Lafonction sudorale devient donc
e médiane. En même temps, le cheval lui faisait une double morsure, l'une au poignet; l'autre à la cuisse. A l'âge' de ci
eux thèses fort intéressantes à ce point de vue ont été soute- nues l'une à la Faculté de Paris, par M. P. Meunier (Mesure
ux autres sont bien portantes ainsi que leurs enfants. Deux soeurs, l'une morte à dix-sept ans de tuberculose, l'autre, d
r a étudié les paresthésies ; actuellement, il se propose d'étudier l'une des formesl ! es plus rares de paresthésie. la ps
voit qu'il parait y avoir deux formes de paresthésie froide : dans l'une , le symptôme n'est pas limité à certaines zones
ions corrélatives de la structure cérébrale est incon- testablement l'une des études nécessaires et fondamentales sur les
e. Le processus suivant lequel une impulsion peut être transmise de l'une de ces unités structurales à une autre, ne peut
eusement les faits n'autorisent pas encore de pareilles déductions. L'une des principales raisons qu'a l'auteur de rester
y a dans le système nerveux deux variétés principales de cellules : l'une qu'il appelle la cellule nerveuse, produit la s
Il y a, en somme, deux grandes divisions de l'effort hypnotique : l'une emploie pour le produire les moyens déjà indiqués
développées des cavités pathologiques -à paroi névroglique, dont l'une peut être suivie jusqu'à la quatrième dorsale. Il
es parties inférieures de l'axe cérébrospinal sont différentes dans l'une et .dans l'autre classe. , 1° Homme, attaques
Deux vastes salles sont en communication avec les salles de cours : l'une sert de musée, d'où l'on peut amener sur des ta
supérieur droit. Les attaques convulsives se sont reproduites après l'une et l'autre opération. La seconde opération a entr
de ce lait que la découverte et l'étude de l'inhibition constituent l'une des plus grandes oeuvres biologiques du siècle
pas, ou tout au moins ne dépend pas exclusivement de l'abolition de l'une quelconque des fonctions du corps pituitaire ;
m- portantes sont les suivantes : 1° l'inégalité des pupilles, dont l'une est dilatée et l'autre contractée : 2° leur iné
et l'autre contractée : 2° leur inégalité de réaction à la lumière, l'une répondant, l'autre ne répondant pas ; 3° la compl
flammation chronique des ovaires, méritent une attention spéciale : l'une des causes de ces inflammations ovariennes, et de
ée, à des états névropathiques. L'auteur apporte deux observations, l'une d'un épileptique sujet à des vertiges et à des
maintenant la pathologie de la maladie, on y observe deux périodes, l'une de dégénérescence lente, l'autre Se modifica- t
ar G1\Nul.l. (Rio. sp. tii 1894, fasc. 3-i.) Deux observations dont l'une s'accompagne de ces phénomènes dits hallucinati
s de la table et une autre de les porter à sa bouche et les avaler. L'une et l'autre éprouvaient une sorte de contraction d
et que les réflexes précis et rapides du nerf optique (regard dans l'une ou l'autre direction) sont impossibles; les mou
le Sommaire. AVIS A NOS ABONNÉS. L'échéance du 1"' JUILLET étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
90 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
encontrer dans diverses maladies psychiques comme com- plication de l'une ou autre forme typique de maladie men- tale [We
-ouverts ; en arrivant dans son coin, il prenait, à l'instant même, l'une de ses poses favorites, à savoir, il restait co
ur assez relative en dépendance du degré de l'étude scientifique de l'une ou de l'autre spécialité. En général, comme n
sur la sphère motrice, tellement particuliers, qu'ils font supposer l'une ou l'autre modification de sa fonction. Kahlbau
a lecture expressive d'un alphabet slave, comme cela a eu lieu dans l'une de nos observations, ou la pronon- ciation des
e le négativisme présente aussi un symptôme d'inhibition corticale. L'une ou l'autre excitation, pour ainsi dire, une dem
que passe sans suites, comme dans deux de nos observations, et dans l'une des observations du professeur Fehige. Puis sur
elleux supérieur. Ainsi ce pédoncule se bifurque en deux branches l'une monte dans le noyau rouge ; l'autre descend. La b
ois. Louvain. AVIS A NOS ABONNÉS. L'échéance du le''JANVIER étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
exique, au Pérou et surtout à Lima et au Bré- sil où elle constitue l'une des maladies les plus communes (Rendu). Il est
rès l'accès, deux ont des paroxysmes de fureur. Huit sont idiotes ; l'une d'elles n'est épileptique que depuis sept à hui
ques, peu visibles), arrivées à l'âge critique, n'ont plus, par an, l'une qu'un accès, l'autre 7 à 8, mais en , deux ou t
soriel ou bien si d'une façon inusitée aussi, elles sont limitées à l'une des divisions de la sensibilité. Il n'est pas r
lgique, 1903,. n° 108). Ces deux cas concernent deux femmes âgées l'une de cinquante- neuf ans, l'autre de soixante-sep
cerveau. Deux observations servent à illustrer ces considérations : l'une de psychose récidivante qui à la suite du dével
s étapes que l'enfant parcourt en quelques mois; il s'arrête même à l'une de ces étapes; 5° Cette analogie avec le dévelo
e, ayant eu de grandes attaques et qui, au cours d'un voyage, fut l'une des victimes d'une rencontre de trains. Elle fu
iaux à chaque branche de la famille. Tous les individus atteints de l'une ou l'autre des manifestations pathologiques aux
ère est représenté par les- convulsions du second; l'exophtalmie de l'une n'est approchée que de loin, quelquefois, dans
observations très curieuses ont pré- cisé ce mode d'envahissement. L'une d'elles appartient à Bruns, l'autre à Lilienfel
oefficients urotoxiques n'ont 'jamais indiqué d'insuffiance rénale. L'une d'elles fit de la confu- sion mentale, l'autre,
dispositif qui consiste à placer un écran de 5 millimètres sur 3 à l'une des extrémités d'un tube creux de plomb de 5 ce
es déductions suivantes tirées des statistiques. 1° L'infection est l'une des causes les plus puissantes de la prédominan
causes, et peut-être même plus de deux causes ; et tandis que dans l'une des classes l'altération cellulaire parait avoi
sile comme épi- leptique : après deux séries de crises d'épilepsie ( l'une de 36 et l'au- tre 73) en trois jours il fut pr
de des théories des hallucina- tions. Ces théories sont nombreuses, l'une des premières est la théorie psychique, d.ite t
ns quelques développements intéressants. Il termine en disant que l'une des raisons qui lui font adopter la théorie toxém
les guérir promp- tement de leur disposition à l'automatisme. Chez l'une de ces ma- Jades, l'automatisme se traduisait p
lques jours deux morts sont survenues à la suite des mêmes causes : l'une à l'asile de Pau, l'autre à l'asile de Villejui
erveuse, on n'a jamais pu la constater dans les fibres nerveuses de l'une ou l'autre variété. Mais ceci n'implique pas que
ce du nerf; la fragmentation ne présente que l'un des phénomènes et l'une des périodes de la dégénérescence du nerf. W.
ent-ils se transmettre aux descendants et apparaître chez eux comme l'une des nombreuses manifestations de la diathèse vé
sulte souvent les aliénistes sur des mariages entre personnes dont l'une a des aliénés dans sa famille. Si par des combina
erliu, 1904. AVIS ANOS ABONNÉS, -L'échéance du l'I'JUILIE7' étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
91 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
s les autres volumes. Deux traductions de ces le-çons ont été faites, l'une en anglais par M. le Dr Henry H. Millard, (New-Yo
ui avaient fait admettre l'existence dans le foie de deux substances, l'une rouge et l'autre jaune, et vous voyez que le sièg
lles se touchent. Chaque ballon présentera donc deux surfaces planes, l'une supérieure et l'autre inférieure, et quatre faces
vant, était arrondie, sera divisée en deux surfaces planes, regardant l'une en haut, la seconde en bas, et séparées par une a
varier le foyer de l'objec-tif, que l'orifice d'un conduit, situé sur l'une des faces tron-quées et parfois on peut suivre à
s terminales en ce sens que, si la circulation était interceptée dans l'une de ces bran-ches, elle ne pourrait se rétablir qu
produit de sécrétion de la muqueuse de la vésicule ? Nous verrons que l'une des théo-ries, émises sur la formation des calcul
de la vésicule du fiel. On distingue dans ces pa-rois deux tuniques : l'une à la fois muqueuse et musculeuse, l'autre cellule
ication clinique; mais il n'est pas douteux qu'elles ne se rattachent l'une à l'autre par un lien commun. C'est ainsi que l'o
ment à ce dernier point, en vous exposant succinctement le tableau de l'une de ces formes récemment décrites de l'hé-patite i
rès M. Wunderlich, deux cas du même genre concernant deux sœurs âgées l'une de 10 ans et l'autre de 12. Mais, malgré tout, il
le moyen d'un troncule, soit dans la veine cave elle-même, soit dans l'une de ses veines afférentes. Ces veines, par leurs r
de bile. Nous vous avons montré, Messieurs, un exemple de ce genre à l'une des séances de notre cours pratique. (1; Voir l
ive, vous le savez, distingue dans le rein deux régions principales : l'une , la région ou la substance corticale, l'autre, la
(1), j'ai pu constater que ces dépôts se composent de deux parties : l'une centrale, amorphe, occupe le canalicule dont elle
n'envisage-rai ici que les formes subaiguë et chronique primitive. L'une des figures du R. Bright vous offre un type parfa
ue les deux formes de maladie de Bright, caractérisées anatomiquement l'une par le petit rein granuleux, l'autre par le gros
ut au plus un peu tuméfié et granuleux. La coupe ressemble beaucoup à l'une des planches de Y Histologie pathologique de Rind
s toujours, lorsqu'elles sont présentes, de soupçonner l'existence de l'une quelconque des formes d'altération amyloïde, en p
ormes d'altération amyloïde, en particulier l'altération rénale. 1° L'une des circonstances les plus fréquentes est une sup
capillaires des canaux contournés sont en quelque sorte indépendantes l'une de l'autre. Si, en effet, chez la grenouille, on
un système, une théo-rie. Déjà, nous avons entamé Fétude critique de l'une de ces théories, de celle qui a trait à Valbuminu
92 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s apprend qu'il a déjà eu antérieurement deux hémiplégies faciales, l'une il y a trois ans (nerf facial gauche), l'autre
nt une telle parenté qu'il est presque impossible de les distinguer l'une de l'autre. Si l'hystérie de l'homme s'observe
ses ou dégoûtantes. Les épreuves publiques comportent deux parts; l'une d'acrobatisme assez vulgaire et l'autre d'insensi
ie et la pathologie céré- brale. Toutes ces sciences venant en aide l'une à l'autre tendent à s'éclaircir mutuellement et
tions suc- DE LA PERCEPTIBILITÉ DIFFÉRENTIELLE. 51 cessives, dont l'une correspondra au ton a, l'autre au ton b, mais n
rique, porteur de deux affections cutanées rares et intéressantes : l'une , du domaine de la dermatologie pure, est un éryth
ille qui donnerait tous les soins possibles à l'un de ses fils ou à l'une de ses filles aliénés, après même s'être entour
es maîtresses qui l'exploitaient. Un jour, clans une dispute avec l'une d'elles, celle-ci lui lança au front une carafe,
de nour- rice. Croûtes dans les cheveux ; glandes cervicales dont l'une ab- cédée ; pas d'ophthalmies, pas d'otites ; p
onnement. L'auteur distingue à cet égard trois grandes catégories : l'une est caracté- risée par un fond de débilité ment
inions absolument contradictoires et encore incoiiciliées : d'après l'une , que personnifie l'école de la Salpêtrière, il
es se fixent derrière le dos). Les jambes s'étendent et se croisent l'une sur l'autre, toujours la gauche sur la droite.
Pour réveiller la malade, il faut avoir recours à la compression de l'une des zones hypnogèncs, mais de préférence à celle
se plient dans la paume des mains, elle frappe alors les deux mains l'une contre l'autre à plusieurs reprises, puis elle
ns celles de Nancy, ni dans les variétés ou états intermédiaires de l'une ou l'autre école. Comment la classer ? où la pl
L'excitant a donc une double fonction et suivant qu'on fait varier l'une ou l'autre, on mesure deux fonctions différente
sous un angle absolument le même étaient placées deux bougies, dont l'une était tour à tour éloignée et rapprochée, jusqu
ort à soixante ans, on ne sait de quoi. Deux soeurs bien portantes; l'une a trois filles, l'autre a trois filles et un garç
Un frère bien portant, sans enfants. - Trois soeurs bien portantes, l'une a trois enfants en bonne santé.- Pas d'aliénés,
s sur un fau- teuil, les jambes repliées et croisées très fortement l'une sur l'autre. Leur attitude un peu forcée est co
e qui s'est produite, nous avons signé le passage de ce malade dans l'une des divisions de l'hospice. Un nouvel examen de
aire répéter les autres, ce qui lecontrarie : ses lèvres se serrent l'une contre l'autre, les commissures labiales s'abai
ralysie générale. De plus, ces deux maladies peuvent se transformer l'une dans l'autre alternativement; elles présentent
erceptible. Les électrodes sont formées par des aiguilles distantes l'une de l'autre de 4 à 7 millimètres. Les excitation
». Ce travail comprend deux SÉNAT. 421 1 grandes divisions : dans l'une sont groupées les différentes obser- vations d'
s'est efforcé de réunir tout ce qui pouvait aider au traitement de l'une des affections les plus pénibles. Là, plus d'in
des autres moyens de traitement. Georget avait fait remarquer que l'une des principales modi- fications que l'on devait
93 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s de parler (pg. 1). On pratique alors, à un centimètre de distance l'une de l'autre, une série de huit coupes allant dep
'auto et l'hétéro-infection; n'est-il pas admissible en-- effet que l'une et l'autre puissent donnner lés mêmes ,1`c tats
devenant épilepsie ordinaire, est très importante à connaître, .car l'une est gué- 28 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. rissabl
chiat., L, 3, 4.) 10 Observation de folie à deux. Deux soeurs, dont l'une est un élément plutôt passif. Un frère est égal
ant ces placements au manicome, il avait subi deux con- damnations, l'une à deux mois de prison, en 1877, pour port d'arm
nt pas. Couché, on constate que les cuisses sont fortement accolées l'une à l'autre, on a peine à les séparer. Trépidatio
Schumacher. AVIS A NOS ABONNÉS. L'échéance du 1 cr JUILLET étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
n'est pas, disons-le tout de suite, un cas susceptible de confirmer l'une des hypothèses que nous venons d'émettre ; il n
. Elles ont cependant eu des accès comme par le passé. En ce moment l'une et l'autre viennent d'avoir quelques attaques e
ou de féminisme. Et l'auteur donne deux observations détaillées, l'une d'infanti- lisme, l'autre de féminisme, mais au
alcoolique, chez DEUX SOEURS; . par le Dr ZENNER. Il s'agit chez l'une des soeurs, âgée*de trente et un ans, d'idées de
s, sans antécédents héréditaires, et se livrant en secret, à l'insu l'une de l'autre, à leur passion pour les boissons al
ent. D'où vient que dans cha- cune de ces deux circonstances, c'est l'une ou l'autre de ces formes cliniques qui se montr
lègue, M. Pécharman (1893). Ces deux observations sont à rapprocher l'une de l'autre à certains points de vue et démontre
qui offre ici de l'intérêt que l'âge auquel on le voit apparaître. L'une de nos malades a présenté les premiers symptôme
mentaux à quatre-vingt-neuf ans, l'autre à quatre-vingt ans ; chez l'une c'est d'un délire polymorphe qu'il s'agit, chez
Ces interlocuteurs sont d'abord deux somnambules, et la fille de l'une d'elles, auxquels s'adjoignent un certain nombre
ient de causeravec la malade, lui parlant de son pays. Mais bientôt l'une d'elles, Féli- cité, commence à l'insulter, à l
cé de nos malades, de l'intégrité des facultés intellectuelles chez l'une et la systé- matisation d'emblée du délire chez
ation, celle-là se contente de chanter des chansons légères, enfin, l'une d'entre elles n'a eu que du délire de persécuti
que de la théorie thyroïdienne. Des deux médications thyroïdiennes, l'une est chirurgicale, l'autre médicale. A. Traite
nes, peut-être parce qu'elles sont également ingénieuses, défendues l'une et l'autre par des hommes également éminent ? .
^d'antitoxines en excès ou déficit selon que l'on aurait atfaire à l'une ou l'autre de ces affections, basedowienne ou m
que peuvent offrir entre elles deux manifestations mor- bides dont l'une porte nettement l'estampille de ses attaches orig
auer. Dans le bulbe on observe une double zone de dégénérescence, l'une autour du noyau de Goll, comprenant tout le faisc
s entre l'hérédo- ataxie cérébelleuse et la maladie de Freidreich : l'une et l'autre sont surtout une maladie de l'équili
en est deux qui ont jusqu'ici attiré l'attention des observateurs. L'une , connue sous le nom de syndrome Millard-Gûbler,
ec la paralysie de l'abducens du côté opposé,' elle doit répondre à l'une des deux localisations suivantes : ou bien siég
e décomposent en un globule étrange,. le globule conserve parfois à l'une de ses extrémités, voire aux deux, des résidus
du lobe frontal. On sait que ces fibres constituent trois couches : l'une externe, située sous la pie-mère, composée de f
n commun, et cette deuxième moitié sera elle-même partagée en deux, l'une à un bout de la sec- tion et l'autre à l'autre
rie F. Alcan. AVIS A NOS ABONNÉS.-L'échéance du 1er JJNYIER étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
94 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
supérieure des grandes lèvres, qui sont assez développées, écartées l'une de l'autre d'un centimètre, lais- sant passer l
s'accorde bien avec les compagnes de son âge, est serviable. C'est l'une des plus t avancées pour le travail manuel. Cet
cialioîi. AVIS A NOS ABONNÉS. L'échéance du le'' JUILLET étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
eut analyser les phénomènes et nous indiquer la fonction précise de l'une ou l'autre partie, noyau rouge ou faisceau pyra
drome de Weber; il soulève donc deux discussions intéres- santes, l'une d'histologie, l'autre de physiopathologie. Obse
e récente, le tonus musculaire subi- rait deux influences adverses, l'une excitatrice, l'autre modératrice. La première a
gmus remonte à la naissance. Le sujet n'a jamais été malade. Dans l'une des observations qui précèdent l'exagération de
es normaux, altérations morbides de la substance'grise), et tendent l'une vers l'autre. Ce sont de véritables interférences
i avaient subi une intervention sur les organes génitaux internes : l'une a été paralysée du bras droit, l'autre du bras ga
r la différence de netteté qui existe entre l'image et le souvenir. L'une est très floue (l'image), tandis que l'autre (le
ux de forme lenticulaire, sont à la périphérie de la cornée droite, l'une en dehors, l'autre en dedans. 1 ir. 25 à 28.
que la physiologie et la patho- logie de l'esprit doivent s'appuyer l'une sur l'autre et s'éclairer réciproquement. Ain
ÉS SAVANTES. et à l'activité involontaire, et que ce qui diffère de l'une à l'autre, c'est l'excitation, qui est forte da
etc. Je crois que le tic du malade de M. Obreja n'appartient pas à l'une de ces catégories. J'ai ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 27
er à la lecture des deux observations que nous publions ici et dont l'une concerne un délire simultané chez les trois soe
vation I. Folie simultanée chez trois sccuns avec prédomi- nance de l'une d'elles dans ta conduite du délire. Idées de pers
u moyen d'épingles anglaises qui occupaient la place des boutons. L'une portait un chapeau de feutre gris, d'une forme ul
us l'avez bien dit. » - D'autres fois, ces mêmes phrases se suivent l'une appelant l'autre qui la complète ; l'idée, comm
st elle qui prit la direc- tion de leur commerce : des deux autres, l'une faisait les courses, l'aînée prêtait seulement
intercurrentes, d'où une morbidité et une mortalité plus grandes. L'une des causes de l'encombrement provient de ce que l
tous les tabétiques, ou de n'en mercurialiser aucun, suivant que l'une ou l'autre idée théorique nous guide, ou que l'un
cun, suivant que l'une ou l'autre idée théorique nous guide, ou que l'une ou l'autre influence nous a entraînés. Extens
u point de vue mental. Aussi lui a-t-il paru intéressant de relater l'une d'elles, la démence. - A l'autopsie, outre une
s à la promesse de sortir la première, elle répond avec décision. « L'une ne sortira pas sans l'autre ». Comme on les pri
s ». Un événement très important avait eu lieu dans l'intervalle. L'une des trois, Annette, était morte. Il est permis de
ise du délire. Dans ce cas, la rémission serait due à la maladie de l'une d'entre elles, au deuil, au besoin de sympathie
rs idées obsédantes coexistent soit similaires, soit dissemblables, l'une d'elles étant plus ou moins prédominante. Les
d'un phlegmon en bouton de manchettes, formé de deux poches situées l'une en avant, l'autre en arrière du. sternum, et ré
is indépendant, les parois latérales de l'épendune se rapprochent l'une de l'autre et peuvent ainsi emprisonner un segmen
tre solaire était presque entièrement gris. sauf une teinte rouge à l'une de ses extrémités, violette à l'autre : ce malade
t tachycardie . GIL13ERT Ballet et L. DLLHERM. M. Gilbert Ballet, à l'une des dernières séances de la Société, a émis l'o
3 novembre 1902). AVIS ANOS ABONNÉS.Z'ëc/tëce du I"' 1V7 ? étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
95 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
tout ce travail physiologique ; donc la suggestion sait se passer de l'une et de l'autre quand, se substituant au purgatif m
? Les mains, menacées, font appel à toute leur vigueur et se serrent l'une contre l'autre convulsivement, désespérément. C
otrices distinctes, autonomes, indépendantes dans une certaine mesure l'une de l'autre, et non pas seulement aptes.à agir iso
tre de vibration pour de nombreuses cellules nerveuses A' A" A"'. L'une d'elles, A"',_devient point de départ du courant
ifficile. Nous pouvons comprendre ainsi les deux modes de volonté : l'une active, que nous venons d'étudier; l'autre négati
Medicdicinkoie Oboz-renié, et deux analyses nous en ont été données, l'une par la Revue de V Hypnotisme de janvier 1896, l'a
ongé dans un vieil appartement humide et froid. 11 a deux filles dont l'une a été soignée pour une coxalgie tuberculeuse. E
du mouvement. Mais ces deux transformations ne sont pas le complément l'une de l'autre. Le mouvement, lui, peut se convertir
arence, faites sur les hystériques par Charcot et ses élèves, et dont l'une surtout excitait son incrédulité : celle du trans
ence, on lui fit des brûlures aux deux bras, avec un fer rouge ; pour l'une de ces brûlures, on lui suggéra l'absence totale
hallucina-bilité intra post-hypnotique. En quatre séances séparées l'une de l'autre par un espace de deux jours, je crée u
synergique, et ce n'est que par un artifice imposé â l'organisme que l'une des oreilles fait entendre un son, pendant que l'
, elle éprouva une faiblesse extrême, bien plus considérable qu'après l'une quelconque de ses couches précédentes. Mais surto
'Edmond Guernay et, de plus, des étals intermédiaires entre les deux, l'une passant fréquemment imperceptiblement à l'autre.
ction précédente est extrêmement importante, et, si vous avez éprouve l'une ou l'autre forme, vous êtes priés de : a Faire
s de : a Faire à chacun des numéros du questionnaire deux réponses, l'une relative à la première forme, et l'autre à la sec
i, ne s'étant jamais même vues, n'ont pas eu occasion de s'influencer l'une l'autre. La rapidité avec laquelle la menstruatio
ge vraiment maladif ; elles ont commencé à se livrer au premier venu, l'une à quinze ans et l'autre à dix-sept ans. La derniè
condition indispensable à la genèse de toute fausse grossesse. Enfin, l'une et l'autre présentaient un état anormal des organ
re l'envoyait à la cave, il se mettait à trembler et donnait un sou à l'une de ses sœurs pour lui épargner cette corvée. La s
tal de M. Pergins. Les derniers consistaient en deux pièces de métal, l'une apparemment de fer et l'autre de cuivre, toutes d
rt qui n'est ni la psychologie, ni la physiologie, mais l'alliance de l'une et de l'autre ; cette science, Cabanis l'a ébauch
un cheval : mêmes dispositions, même force motrice, même forme ; mais l'une déplace des montagnes et l'autre met en mouvement
développer l'intelligence de l'enfant; cette question est ussurément l'une de celles qui embarrassent le plus le psychologue
t, dit-il, que les conditions mentales opposées peuvent passer de l'une à l'autre par les plus imperceptibles degrés, ou
96 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
Fribourg. Trois conditions sont requises pour qu'il y ail hypnose, l'une qui regarde le sujet, l'autre l'opérateur ; lu tr
articulée. Si ces trois conditions sont réunies, il y a hypnose ; si l'une d'elles manque, l'hypnose n'existe plus. Voilà po
es que son bien réclame ; mais alors l'acte deviendra délictueux pour l'une ou l'autre des causes que je viens d'énumérer, de
phobie par auto-suggestion et la phobie par obsession, correspondant, l'une au type affectif, l'autre au typû intellectuel —
des maladies mentales, et M. le Dr Bérillon fit deux communications : l'une , i° sur Les applications de la suggestion hypnoti
it d'ordinaire ses maîtres par son travail et il occupe régulièrement l'une des premières places dans les diverses compositio
mpression non moins bizarre, l'impression de fausse reconnaissance. L'une d'elles nous écrivait les lignes suivantes : « Me
ssances sont accompagnées d'une véritable sensation de dédoublement : l'une des individualités no fait qu'agir, tandis que l'
réunir en une seule et les arguments que je vais donner répondront à l'une comme à l'autre. 1° Je rappellerai que dans la
Nancy. Au premier siècle de l'ère chrétienne, vivait à Oxyrrhinque, l'une des villes secondaires de l'Egypte moyenne, un ma
e dans l'hypnotisme. Je ne rappellerai que trois de ces observations. L'une a trait à une malade qui depuis deux années était
, plusieurs fois, que cette idée était pleinement acceptée au réveil. L'une des jeunes filles entra si bien dans son rôle que
imaginons un des cas particuliers qu'elles enferment; nous revenons à l'une des sensations originelles, o Notre intelligence,
nnelles. Alors en effet que celles-ci se tiennent et se soutiennent l'une par l'autre, les pseudo-vérités sentimentales son
ablement étudiés par Ribot (*). Ces sentiments suivent deux gammes. « L'une , dans le ton de la peur, se compose d'états pénib
a, et il arriva ensuite que les deux voyageurs durent stationner dans l'une des salles d'attente de la gare de Belfort, où il
uillet IS9V de se suicider en même temps, à Paris, dans la chambre de l'une d'elles, de ne pas subir l'attraction, la fascina
'éludés parmi lesquelles il convient d'en signaler spécialement deux: l'une sur les modifications de l'énergie en fonction de
e vasculaire et la théorie intellectualiste semblent donc être vraies l'une et l'autre lorsqu'elles donnent l'explication rig
goureuse de telle émotion particulière; mais elles sont fausses quand l'une et l'autre séparément prétendent exprimer toute l
avait la science des décrets de Dieu, et qu'il existait deux grâces, l'une , la grftce du salut, dévolue k chacun pour son sa
dite la mère Angélique, et Jeanne Arnauld, dite la mère Agnès, âgées, l'une de cinquante-sept ans, l'autre de cinquante-cinq
llait, tant elle aimait l'office, l'emmener du chœur toute pleurante. L'une et l'autre, enflammées d'amour religieux et pénét
ale, mais les pôles sont intorverlis toutes les cinq minutes, ensuite l'une des plaques passe sur le devant de la poitrine po
MM. Aug. Voisin, Berheim, Forel, von Krafft-lihing ; de ces lettres, l'une des plus intéressantes est celle qui a trait à qu
97 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
il est sans cesse en oscillation de haut en bas et de bas en haut, de l'une à l'autre extrémité, sous l'influence des mouveme
nt homologues, sont formés par deux substances diversement réparties, l'une blanche, l'autre grise, possédant chacune des att
érer cette couche corticale comme composée de deux zones, renfermant, l'une des cellules pyramidales, et l'autre des cellules
s régions de la substance grise périphérique sont en rapport immédiat l'une avec l'autre dans chaque hémisphère et reliées au
horizontal de la dure-mère, nommé tente du cervelet, qui est tendu de l'une à l'autre paroi (Pl. I, 16). Le cervelet a la f
à la substance médullaire, partage la circonférence en deux portions, l'une supérieure et l'autre inférieure. La conformati
iens ou spinaux par deux séries de racines, qui prennent leur origine l'une dans la corne antérieure, et l'autre dans la corn
formation se rattache le noyau de substance grise qui sépare en haut, l'une de l'autre, les portions sensitives des pyramides
Le pédoncule cérébral semble ainsi partagé en deux moitiés blanches : l'une forme Y étage inférieur (pes, crusta) ; l'autre e
). c. Noyau sensitif du glosso-pharyngien divisé en deux portions ; l'une donne naissance aux fibres radiculaires. d. F
gone. Les extrémités postérieures de ces bandelettes, en s'écartant l'une de l'autre pour former les piliers postérieurs du
rieur avec les bandelettes géminées ; elles s'écartent supérieurement l'une de l'autre et laissent entre elles, entre les fib
98 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
supérieure à celle de la moyenne des femmes. Elles sont mariées, et l'une a trois enfants. 2Q Côté maternel. La mère, âgé
de petite taille, mais laborieuses et saines. Elles sont mariées : l'une a eu deux enfants, l'autre un garçon et trois f
bien longtemps ces deux déformations squelettiques marchent de pair l'une à côté de l'autre. Il a des chances de s'acromé
ue la plus caractéristique de son origine. Et alors, de deux choses l'une : ou bien le type infantile du gigantisme est t
lésions, il est très difficile de préciser la part qui re- vient à l'une ou à l'autre de ces glandes dans la production de
e ; comme la psycho-poly- névrite, elle s'observe sous deux formes, l'une aiguë, délirante, l'autre chro- nique ; cette d
ses élèves,que la psychose de Korsakoff et la démence sénile sont, l'une et l'autre, susceptibles de réaliser le tableau
pas toujours évidente, peut offrir un certain intérêt médico-légal. L'une de nos malades accusait un voisin de l'avoir vo
ètres plus haut que l'ombilic et divise l'abdomen en deux parties : l'une , supérieure, est plate et l'autre, inférieure, fa
qui passe à 3 centimètres au-dessus de l'ombilic, en deux parties : l'une , supérieure, qui est plate, et l'autre, inférie
abelais comme prouvant qu'il est dessinateur. Si Rabelais a inspiré l'une et l'autre série d'images les vrais auteurs en
signalaient à tous par deux grandes mains d'étoffe qu'ils portaient l'une sur la tête, l'autre sur la poitrine, par allus
eur quoiqu'il dise Que mon état ne peut celer ne nous montre dans l'une ni l'autre gravure rien de caractéristique. Mais
méningées, sous-arachnoïdiennes, très circonscrites, indépendantes l'une de l'autre et sur l'hémisphère gauche une hémor
rieure des pédoncules cérébraux, dans la région de la calotte, mais l'une située latéralement, respecte l'aqueduc, et ne
itale saillante en dedans. Ludlum (3) dans deux cas de méningite, l'une cérébro-spinale aiguë, purulente, l'autre, tube
ous venons d'énumérer semblent bien démontrer que l'oblitération de l'une des communications entre les ventricules cérébr
de couleur plus foncée. Ces taches occupent en avant et à gauche : l'une la région correspondant à la partie interne de
ll1oro-cutané, mais ces deux nerfs ont des origines assez distantes l'une de l'autre ; il faudrait admettre l'existence à
détache du tissu spongieux une rangée de cellules placées très près l'une contre l'autre et comme creusées dans la substa
ONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 251 être observées séparément, se transformer l'une dans l'autre ou être ob- servées simultanément
. Levi (1), on sait que le nucléole est constitué de deux parties : l'une , centrale, acidophile ou oxyphile, l'autre, périp
les ganglionnaires normales apparaît constitué de deux substances : l'une centrale, oxyphile, l'autre, périphérique, baso
t monili- forme parait dû à la fusion de plusieurs vacuoles situées l'une après l'autre (1) VAN GEHUCHTEN et NELIB, Quelq
ne grande distance du noyau il nous semble peu probable que ce soit l'une de ces formations. S'agit-il d'une formation cr
ons que nous avons un bâton de- la longueur du membre inférieur ; à l'une des extrémités, celle qui va être soulevée en l'a
que la castration de l'adulte peut provoquer une double réaction : l'une toute locale, mal étudiée, et sur- tout surveil
laire des glandes à sécrétion interne, sans qu'on puisse démêler si l'une d'elles a été atteinte primitivement et imprime a
imprime au syn- drome son caractère spécial : ou bien l'atteinte de l'une d'elles est cons- tamment primitive et prédomin
sécrétion interne, la coexistence de 1'liypei-foiie[lotiiiemeiit de l'une avec l'liypofonctionnemeut de l'autre ; elle di
'affecter les autres segments des membres ? 3° Ne s'agit -il que de l'une des caractéristiques ordinaires del'acfondro- p
it-il, plus de force. Il faut que les mains soient bien rapprochées l'une de l'autre, et qu'il les surveille très attenti
che, de tomber de son lit. Quand il est assis, il croise les jambes l'une sur l'autre, et incline son corps un peu en avant
99 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nd étage du grand bâtiment cen- tral de Clark University (fig. 2) : l'une d'elles est vaste; les autres sont de dimension
de laboratoire général et de salle de dépôt pour les instru- ments. L'une des petites est réservée aux expériences chrono-
riaient entre 2(j HISTOIRE ET CRITIQUE. elles de un à quatre ans. L'une disait que voyant soeur Buvée demander des pota
que ces deux dépositions n'avaient point de conformité entre elles, l'une parlant de onze heures, l'autre de quatre heure
dieu Dionysos; dont l'esprit les anime et les possède, de sorte que l'une prophétise' avec de grands gestes et que d'autr
On peut établir deux grandes classes de ces méningo-myélites : dans l'une ^.la pie-mère et l'arachnoïde, sont seules atteint
g examiné. Dans le' numéro précédent, deux 'études sur la question; l'une de Marshall EWELL, Etude micrométrique des glob
Médical news. AVIS A NOS ABONNÉS. ? ecAetce du 1 ? JUILLET étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
omme un tour- billon passer par la tête, avec une rapidité extrême, l'une interrompant l'autre. A un de mes malades, cet
soeur de la Purification a faict la mêsme chose deux ou trois fois, l'une et l'autre pleine de santé, agissant et parlant
s encore plusieurs applications des tabloïdes d'extrait thyroïdien, l'une dans le traitement du psoriasis, trois cas , l'
tion ni abaissement de la température. On peut cependant observer l'une et l'autre. Et M. Bouchaud qui a pu observer plus
giques deviennent le point de départ du délire, mettant en évidence l'une des modalités les plus curieuses du mécanisme c
, est reliée àl'asile par deux longues galeries couvertes qui vont, l'une à la division des hommes, l'autre à celle des f
- tales en rouge sur un petit billet de papier prétendu rendu par l'une des dittes religieuses 'pour marque de délivrance
, chez l'hystérique deux per- sonnalités sont toujours en présence, l'une constituée par' les agrégats de phénomènes subc
ésagrégation du moi qui met en présence deux activités différentes, l'une consciente, l'autre automatique, nous donne la
et indépendantes, deux personnalités alternantes, qui s'ignorent l'une l'autre. Comment peut-on s'expliquer ces vies e
inexpli- cables ; elles sont donc utiles, presque nécessaires. Sans l'une ou l'autre de ces deux hypothèses, est difficil
d'alcooliques. L'alcoolisme, suivant ses effets, mène fatalement à l'une ou à l'autre de ces institutions sociales, et cep
prescrire le régime abstinent dans toute sa rigueur, régime qui est l'une des conditions les plus rationnelles du traitemen
SSIEURS, Deux méthodes sont en présence pour l'étude de la folie. L'une fragmente le grand complexus symptomatique par
t la même, il faudrait bien admettre l'absence de corrélation entre l'une et l'autre, et, par suite, que l'adage post hoc
e circonstances ana- logues amenant des pressions prédominantes sur l'une des parois de la cavité, l'épithélium épendymai
ersonnalité dissociée au cours d'un délire systématisé ancien. Dans l'une de ces observations la malade devenue méga- lom
ersonnalité mais sans opposition entre les deux éléments dissociés. L'une croit avoir son fils dans l'estomac, l'autre 34
deux premières parties, qui constituentle premier volume ont trait, l'une aux maladies de l'encéphale, l'autre à celles de
unes lypémaniaques, les autres mégalomaniaques. Qu'il s'agisse de l'une ou de l'autre de ces deux variétés d'impres- si
u de la région pariétale gauche, deux cicatrices linéaires, longues l'une de 3 et l'autre de 5 centimètres. La première c
lus souvent une myélite transverse dorsale, sous forme de para- 1 L'une dans notre thèse sur la ]Ié)iingo-myélile syphili
a vie voir surgir un trouble que l'on puisse pleinement rattacher à l'une des fonctions psychiques fondamentales. [Quoi q
ni la polynévrite, ni la psychose ne se commandent. Elles dépendent l'une et l'autre de l'infection, de l'intoxication. La
rie Draghr. AVIS A NOS ABONNÉS. - L'échéance du 1e' JANVIER étant l'une des plus importantes de l'année, nous prions in
100 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
t jusqu'où nous sommes disposés à élargir le champ de l'hystérie. L'une de ces discussions sur les limites de l'hystérie
elles rester dans les classifications complètement indépen- dantes l'une de l'autre ? Evidemment non. Il y a, à notre av
de dégagement. Ces veines sont ordinairement au nombre de deux : l'une placée au-dessus ou en avant de la racine nerveus
nel entre les deux glandes soit tel qu'elles puissent se substituer l'une à l'autre pour les besoins de l'économie. Relat
que, le tabes spasmo- dique,etc. Je ne conclus pas à l'existence de l'une ou l'autre de ces affections parce que le table
n aperçoit sur la coupe deux excavations de nature différente, dont l'une disparait bientôt, tandis que l'autre remonte e
ue et de médecine légale, 4891.) Deux observations intéressantes, l'une de dénonciation de crimes imaginaires, faite pa
Fous d'Albert Dürer sur de grandes plaques de faïence qui ornent l'une des façades de son hôtel à Paris. Il pei- gnit
on action toujours effec- tive s'est donc présentée à deux degrés : l'une , incomplète, consistant en une simple atténuati
ais on trouve là encore certaines anomalies embarrassantes : Chez l'une des malades les urines ont continué à se montrer
n de ces dernières expériences. Dans deux cas de confusion mentale, l'une post-puerpérale, l'autre consécu- tive à des fa
enturer que de fonder sur elle seule des distinctions nosologiques, l'une des urines les plus toxiques (9 ce. par kilog.)
s idées il présente deux observations minutieusement prises, dont l'une est un cas typique d'auto-intoxication d'origine
ts morbides à l'intoxication est évident. L'auteur émet deux idées, l'une qui généralise sa première observation, à savoi
ayée pour ces journées a été de 9,415 fr. 40, soit, prix moyen pour l'une , 1 fr. 145. Les prévisions pour 1894 sont de 1
rtent ensuite d'autres observations de persé- cutés possédés : dans l'une , on assiste d'abord à l'évolution d'un délire d
re synergique (consen- suelle), contraste qui existe toujours quand l'une des pupilles du malade est immobile tandis que
« Hélas, monsieur, je ne puis plus prier le bon Dieu ! t me disait l'une sur un ton de désespoir, et aussitôt elle s'écr
d'autre part un fait assez étrange' : la facullé arithmétique étant l'une de celles qui se développent le plus lentement
le plus tardivement chez l'enfant, on pourrait supposer qu'elle est l'une des premières à disparaître chez les déments et
or, on constate souvent qu'elle est peu atteinte, quelquefois même l'une des moins atteintes chez ces deux ordres de mal
accom- « pagnes partout. Ils ont fui le pays natal pour échapper à l'une « et à l'autre; mais nulle part ils n'ont encor
e-t-on au malade d'émettre un son, on-voit les cordes se rapprocher l'une de l'autre en décrivant des oscillations, au lieu
e des corps olivaires, au point correspondant aux cellules Fig. 37. L'une des olives sclérosées, vue à un plus fort grossis
celle attribuée au tremblement dans cette dernière affection; dans l'une et l'autre il s'agit de conducteurs nerveux che
ons. Quand la glotte se fer- mait,.les, cordes parallèles et fixées l'une contre l'autre restaient très légèrement agitée
ésions apprécia- bles existent, elles ne sont nullement spéciales à l'une ou à l'autre de ces deux formes d'aliénation, c
eu douées sous ce rapport sont obligées de dé- chiffrer chaque note l'une après l'autre. M. Tokarsky attire l'attention s
dans la pratique, de rattacher tel ou tel cas observé en clinique à l'une des formes de Krafft-Ebing. Quant à la classifi
ur de pétrole et la saveur de la cire, elle ne pouvait supporter ni l'une ni l'autre. C'était main- tenant du dégoût, de
eau. P. KERAVAL. Avis A Nos abonnés. L'échéance du 1" janvier étant l'une des plus imposantes de l'année, nous prions ins
nt envoie ses émanations dans un second flacon à .deux tubulures. L'une de ces tubulures est munie d'un tuyau de verre qu
ÿinpt6më; c'est l'atrophie" musculaire spinale e,, qui prédominait. L'une d'elles offre'cette particularité qu'elle' pré-
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