minutes on vint à son secours, mais on ne put le mettre debout, ses
jambes
se dérobant sous lui. Il fut transporté chez un
s du lit, mais à peine avait-il touché le sol qu'il s'aperçut que ses
jambes
lui refusaient tout service; en même temps il é
nt une heure environ, par des mouvements convulsifs des bras et des
jambes
. Après cette première crise survinrent des douleu
lever, mais il fut forcé pour marcher de prendre des béquilles, la
jambe
droite étant paralysée. Tou- tefois, les crises
nt du reste atrophiés en partie; le segment inférieur du membre, la
jambe
, obéit uniquement aux lois de la pesanteur et fai
ayant, nous l'avons dit, conservé un certain degré de tonicité, la
jambe
droite reste dans la rectitude phy- siologique,
èrement votre attention sur le caractère spécial du mouvement de la
jambe
paralysée lorsque la malade marche, lequel, dan
en marchant, elle a une allure particulière pour porter en avant la
jambe
paralysée; elle porte d'abord le tronc du côté
t, devant un malade tel que en s'en tenant au simple aspect de la
jambe
et du pied on s'exposerait bien peu à commettre
savoir que, de la comparaison des deux cas, il résulte que c'est la
jambe
la plus paralysée qui possède le plus de chance
lui, au bout de ce temps, son entourage constate que le bras et la
jambe
droite sont inertes et contractures. Sabouche n
ant la deuxième, le malade commence à mouvoir un peu son bras et sa
jambe
; au cours des deux mois suivants laraideur va en
e heures, il ne peut que balbutier le mot « manger ». Le bras et la
jambe
droits sont raides, comme dans la première atta
on bras droit est contracture en demi-flexion et porté en arrière; la
jambe
droite est contracturée dans l'extension, le pi
e » et se débat violemment. Lorsqu'il revient il lui, le bras et la
jambe
droite sont contracturés, mais cette contracture
heures. Quelque temps après, se produit une grande amélioration; la
jambe
et le bras, jusqu'alors légèrement impotents, r
est obligé de le quitter à nouveau, le côté droit devenant faible, la
jambe
raide et les céphalées nocturnes reprenant avec
N,OTE SUR L'ANATOMIE MORPHOLOGIQUE. 25 faiblesse excessive dans les
jambes
en même temps que de douleurs dans le cou-de-pi
fois avant que la pointe ne touche le sol. L'examen révèle que la
jambe
droite est co : itracturée en extension ; lors-
ésiste très peu aux mouvements de flexion forcée; la résistance de la
jambe
est encore moindre. L'état général est resté
tères dont persistent les traces indélébiles (pl. IV). Sur les deux
jambes
se voient quelques varices. L'examen de la sens
e est également plus 1 faible à la face qu'au bras, au bras qu'à la
jambe
. Il existe un bracelet d'hypercsthésie au nivea
aques de même nature 1 du côté droit : à la partie antérieure de la
jambe
, à la partie postérieure du coude, au niveau de
e à conserver le lit. C'est brusquement, tout' d'un coup, que les
jambes
se raidirent toutes droites en extension, repré
durs et immobilisés. Depuis ce moment jusqu'à il y a deux mois les
jambes
ont conservé ces caractères. La diarrhée, d'a
à la suite d'un bain de pied trop chaud (au dire de la malade), les
jambes
redevinrent tout à coup souples, et purent être
e père et la' mère de la malade. , Les muscles du mollet et de la
jambe
ne sont pas durs, % la jambe joue; facilement s
lade. , Les muscles du mollet et de la jambe ne sont pas durs, % la
jambe
joue; facilement sur la cuisse au gré de la vol
est. conservée et l'on s'en assure aisément en essayant de plier la
jambe
étendue, j lorsqu'on dit à la malade de résiste
t à coup arrêté par un obstacle brusque, et la main qui soutient la
jambe
pendant cette manoeuvre perçoit la sensation d'
out intacte ; mais la malade affirme, qu'à un certain moment, j les
jambes
auraient été insensibles, ainsi que l'aurait cons
soignait à cette époque, en les lui piquant avec une épingle. Les)
jambes
auraient un peu maigri; elles ne présentent aucun
13 juillet, la marche est facile; tous les mouvements du pied sur la
jambe
sont aisés et non douloureux, il y a toujours u
M. Blin, externe du service. (Résumé.) Contracture hystérique de la
jambe
gauche. - Intervention chirurgicale pendant la
vers l'âge de quinze ans est restée plusieurs mois au lit avec les
jambes
enflées; elle est très nerveuse mais n'a jamais
e malgré l'avis du médecin : la marche est pénible, claudicante, la
jambe
à demi contrac- turée : les attaques reviennent
e lit pen- dant huit jours, se lève pendant quinze autres jours, la
jambe
toujours raide, se recouche et ainsi de suite,
l'application d'un appareil plâtré. A la suite de cette opération la
jambe
devint extrêmement douloureuse et il s'y forma
ions superficielles. L'appareil fut retiré au bout de deux mois; la
jambe
conser- vait sa déformation. et de plus était a
ifié. M... reste assise dans son lit, penchée sur le côté droit, la
jambe
gauche dans l'extension forcée, la droite légèrem
échie : ce der- nier membre est souple et n'est pas contracture. La
jambe
gauche contrac- turée dans l'extension porte à
porte à la face interne du pied et il la face antéro-esterne de la
jambe
des cicatrices de foyers de suppuration. Ce qui f
du lit, parlant sur le bord interne. En même temps que le pied, la
jambe
a subi un ccrlain degré de torsion en dedans. L
même temps que la position vicieuse, on constate de l'atrophie de la
jambe
gauche : les circonférences de la jambe et de l
onstate de l'atrophie de la jambe gauche : les circonférences de la
jambe
et de la cuisse sont inférieures d'un centimètr
e sont inférieures d'un centimètre à celles de l'autre membre. La
jambe
est aussi le siège de douleurs, non seulement lor
S NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. électrique complet de la
jambe
contracturée n'a pu être fait à cause de l'immi
'immobilisation n'ont rien pu contre la contracture, mais encore la
jambe
malade offre depuis ce temps des troubles diver
ses journées, ne pouvant presque plus se lever ni se tenir sur ses
jambes
. Elle res- tait là, dans l'angle de la grande s
Et l'ayant pris par la main droite, il le souleva; et aussitôt ses
jambes
et ses pieds s'affermirent. « Et s'élançant, il
à la lettre du texte sacré, ont représenté des infirmes perclus des
jambes
. Raphaël nous montre un rachitique dont les deu
gmates de la lèpre atrophique. Ce malheureux est assis à terre, les
jambes
ramenées sous lui et enveloppées de bandelettes
dit de regarder le plafond. Pendant la marche, Seltz... écarte les
jambes
et frappe le sol du talon. Mais, ce qui se rema
n conservée dans les divers groupes de muscles. C'est ainsi que, sa
jambe
étant étendue sur la cuisse, si on cherche à la f
il résiste, on ne peut y arriver; de même, en sens contraire, si sa
jambe
étant fléchie on cherche à l'étendre. Aux membres
égèrement renversé sur son bord interne. Lorsque la malade lient sa
jambe
étendue, elle ne peut conserver celle situation
a jambe étendue, elle ne peut conserver celle situation sans que la
jambe
soit aussitôt animée d'oscillations. La force mus
projetés de côté, et le talon frappe violemment le sol. Souvent les
jambes
s'enchevêtrent l'une dans l'autre, et la malade
nde faiblesse générale; la malade fut incapable de se servir de ses
jambes
pendant un mois ou deux, de même les facultés d
nstabilité générale de tout le corps, les bras remuent, de même les
jambes
, mais ces mouvements ont peu d'am- plitude. D
mmençant un peu au-dessus du genou, circulairement, elle envahit la
jambe
et le pied dans leur totalité (fig. 22, 23). Le
l'articulation libio- tarsienne des deux côtés. Lorsqu'on saisit la
jambe
par le milieu et qu'on lui imprime des mouvemen
e lève et se tient debout, on remarque qu'il écarte lar. gement les
jambes
, la pointe des pieds étant portée en dehors ; le
conditions mêmes, il ne marche que très difficilement, il lance les
jambes
en avant il la façon des ataxiques et est incapab
membres inférieurs; si, lorsqu'il est assis on lui dit de lever une
jambe
en l'air, on remarque que le pied est agité de
n après, il se serait produit des douleurs et du gon- flement de la
jambe
gauche, accident qui fut qualifié de sciatique pa
rojection des pieds, frappement du talon, etc. La station debout, les
jambes
rapprochées et les yeux fermés, est impossible
taxie et dans la sclérose en plaques. Comme l'ataxique il lance les
jambes
en avant et frappe fortement le sol du talon; l
s-ci. Voici la note remise par M. Terrillon : État à l'arrivée. Les
jambes
sont dans la demi-flexion. La peau, au niveau d
eux. Lajambe droite est un peu plus étendue que la gauche. Les deux
jambes
sont de suite fixées dans des gouttières plàtré
n cas rapporté par Brandi en 1877, compliquait une luxation de la J
jambe
en avant. Des faits analogues ont été publiés réc
ur prévenir la chute et ressent distinctement un craquement dans la
jambe
gauche sur laquelle portait le corps. Elle tomb
n'accusait de douleur qu'à la partie supérieure et externe de la ;
jambe
. \ Au niveau de la tête du péroné, point où la
ps crural el cette contraction ayant eu lieu dans la position de la
jambe
fléchie sur la cuisse, l'action principale du ,
'une noisette, mobile latéralement, s'élevant dans la flexion de la
jambe
sur la cuisse, s'abaissant dans l'extension. Ce
later. Il en est de même pour le cas de Perrin, où le malade eut la
jambe
prise entre le sol et le corps de son cheval qu
y : « On comprend très bien, dit-il, que la partie inférieure de la
jambe
étant fixée en flexion légère par la rencontre
, le biceps en ait dû agir plus efficacement. » L'impotence de la
jambe
et la douleur se trouvent au début de toutes le
ue, d'autres fois localisée à la partie supérieure et externe de la
jambe
, dans tous les cas très vive. Ce n'est que dans
broussaille et le malade retombe en arrière; le corps porte sur la
jambe
gauche dont le pied est fortement tourné en dedan
ment tourné en dedans en même temps que toute la face externe de la
jambe
porte à terre. , Il ressent immédiatement une d
sur le point de perdre connais- sance. La face antéro-externe de la
jambe
est couverte d'ecchymoses qui s'accentuent quel
très vives irradiant jusqu'à la partie supérieure et externe de la
jambe
. Le malade ne peut mettre le pied gauche à terr
gement lorsque, étant couché, il tenait son pied demi fléchi sur la
jambe
, la plante appuyée contre un plan résistant, pour
e pied dans cette position. A la partie externe et supérieure de la
jambe
, à un ou deux centimètres au-dessous de la tête
6 centimètres de largeur le long de la région antéro-externe de la
jambe
et s'arrête au niveau de la jonction du tiers m
ois vésicatoires au tiers moyen de la partie latérale externe de la
jambe
, repos au lit pendant vingt et un jours. État a
ès haut, sinon le pied traînerait à terre par la pointe. Lorsque la
jambe
est levée suffisamment, on voit le pied retomber
rne touchent le sol les premiers. En un mot, le malade steppe de la
jambe
gauche. Aspect. La jambe gauche ne présente auc
miers. En un mot, le malade steppe de la jambe gauche. Aspect. La
jambe
gauche ne présente aucun amaigrissement ; sa cir-
onférence est à peine inférieure de quelques millimètres à celle delà
jambe
droite, ce qui, du reste, est normal. Pàlpati
tion. Lorsqu'on palpe la partie supérieure de la face externe de la
jambe
gauche, on constate que la tête du péroné est not
uniquer au pied gauche aucun mouvement volontaire de flexion sur la
jambe
, ni aux orteils de mouvements d'extension sur l
e. Il n'offre aucune résistance : 1° si le pied étant fléchi sur la
jambe
, on cherche à l'étendre; 2° si le pied étant dans
xistait à la face dorsale du pied et à la face antéro-externe de la
jambe
, il n'existe plus qu'une sensation d'engourdiss
un cal exubérant et paralysie totale des muscles exten- seurs de la
jambe
. Résection du cal et dégagement du nerf. Guérison
un cas de paralysie dite rhumatismale des muscles extenseurs de la
jambe
, dans lequel existaient de la douleur et de l'a
a consultation, un malade atteint de paralysie des extenseurs de la
jambe
droite, accompagnant une plaque d'engourdissement
. 36) innerve la partie la plus externe de la face antérieure de la
jambe
jusqu'au niveau de la mal- léole externe. Le ne
cutanée péronière se rejoignent au niveau du tiers supérieur de la
jambe
. Dans les deux tiers inférieurs, ces deux zones s
, envoie sous la peau un rameau grêle et dirigé dans le sens de la-
jambe
. Ce rameau émet sur son parcours une série de r
G, 36. - Distribution des nerts cutanés ae in face antérieure de la
jambe
. -A. Nerf crural. - B. Nerf sapliène interne. -
ue ces péroniers latéraux sont les muscles les plus sensibles de la
jambe
: ce sont eux les premiers atteints dans les lé
st-à-dire dans la zone qui remonte à la partie antéro-externe de la
jambe
. Or, le malade a remarqué que dans cette zone,
de vicieuse est due à la prédominance des muscles postérieurs de la
jambe
sur ceux de la région antérieure. Lorsque la co
érieure. Lorsque la contracture occupe les muscles de la cuisse, la
jambe
est fléchie sur la cuisse, soit complètement, s
e à la suite de laquelle elle a conservé une grande faiblesse de la
jambe
gauche qui est atrophiée; le bras gauche serait
LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. circulairement, elle' envahit la
jambe
et le pied dans leur totalité. » Nous n'ignoron
ui se trouve sur la gauche a le nez à demi rongé par un ulcère; ses
jambes
atrophiées le condamnent ;1 se traîner sur son
LA SALPÊTRIÈRE. Vers la droite, un malheureux béquillard montre une
jambe
oedé- matiée enveloppée d'une bande qui laisse
et enfantes ! droit et bien conformé. S'il est porté, c'est que ses
jambes
sont égale- ment malades; on peut distinguer en
ouloureuse provoque une congestion avec gonflement des pieds et des
jambes
, qui deviennent rouges et chauds; mais tous ces
e spasmodique des membres inférieurs, avec flexion à angle aigu des
jambes
sur les cuisses. Cette position vicieuse avait
endaient comme des cordes rigides quand on essayait de redresser la
jambe
. En même temps, on constatait dans le creux pop
'artère poplitée, englobée probablement dans le tissu fibreux. La
jambe
droite est un peu plus étendue que la gauche. Les
. La jambe droite est un peu plus étendue que la gauche. Les deux
jambes
sont immédiatement fixées dans des gouttières plâ
près elle une rétraction tendineuse des muscles posté- rieurs de la
jambe
. -- La rétraction musculaire avec déformation d
Ce l'il[ à celle époque qu'apparut subitement la conll;2clure Iles
jambe
* immobilisant les pieds dans l'altitude de l'éq
ls suivantes : les pieds fortement fléchis forment avec l'axe de la
jambe
un allgle 1 l'ès obtus, l'axe du pied étant pre
btus, l'axe du pied étant presque sur la môme ligne que celui de la
jambe
. Sur le dos du pied existe une tuméfaction arro
s mouvements spontanés sont très limités. La flexion du pied sur la
jambe
est presque complètement abolie. Ce n'est qu'aprè
sme, produite primitivement par une con- tracture des muscles de la
jambe
avec prédominance d'action des muscles de la ré
alade éprouve des douleurs extrêmement violentes dans les bras, les
jambes
et la région dorso-lombaire. En même temps, les
as, les jambes et la région dorso-lombaire. En même temps, les deux
jambes
sont atteintes de contractures qui immobilisent l
este au lit pendant six semaines et ensuite elle s'aperçoit que ses
jambes
sont immobiles; à partir de cette époque, elle
vier 1883, pour entrer dans le service de M. Joffroy. L'état de ses
jambes
en avril 1885 était suivant (pl.1VII) : Les deu
à la suite d'une paralysie alcoolique occupant les muscles des deux
jambes
, avaient eu des troubles trophiques du groupe mus
, les muscles postérieurs aussi, mais les muscles postérieurs de la
jambe
elle tendon d'Achille, manifestement trop court
des convulsions à la suite desquelles il a gardé un écartement des
jambes
, lesquelles sont fléchies, et il ne peut marche
dont il s'est aperçu pour la première fois, c'est une faiblesse des
jambes
; cette faiblesse lui était révélée en ce sens q
aiblesse lui était révélée en ce sens qu'il sentait quelquefois ses
jambes
se dérober sous lui. De plus, ' tandis qu'aupar
lerons en temps et lieu. III. Alex... peut rester debout avec les
jambes
écartées et les yeux ouverts. Mais dans cette p
er, si on ne le soutenait pas. S'il fermait les yeux, même avec les
jambes
écartées, il lui serait impossible de se tenir
rappe le sol avec violence, tellement il a besoin de son appui. Les
jambes
se détachent du sol avec une certaine brusquerie,
ant motrice que statique. Le ma- lade peut bien fléchir, étendre la
jambe
, le pied, la cuisse, et diriger le membre dans
faiblesse, l'état des muscles de mon malade : 1° Fléchisseurs de la
jambe
; 2° fléchisseurs de la cuisse; 3° fléchisseurs
fléchisseurs du pied et extenseurs des orteils ; 4° extenseurs de la
jambe
; 5° extenseurs du tronc; G0 fléchisseurs du cou
quiet, paraît agité : il remue conti- nuellement soit ses bras, ses
jambes
, ses pieds. Ces mouvements, qui n'ont rien de c
ne disposition particulière. On peut dire que, presque partout, aux
jambes
comme aux bras, la sensibilité est émoussée, nota
x jambes comme aux bras, la sensibilité est émoussée, notamment aux
jambes
. En effet, la sensibilité douloureuse n'est nulle
ne égale exactitude. Je touche mon malade à la partie moyenne de la
jambe
, il accuse l'attouchement au 162 NOUVELLE ICONO
sous du genou, il localise l'impres- sion à la partie moyenne de la
jambe
. Je le touche dans un point circonscrit du moll
ante du pied. Il en est de même pour beaucoup d'autres points de la
jambe
et de la cuisse; mais, par contre, la plupart d
plantaire du métatarsien du gros orteil égale 4 centimètres ; pour la
jambe
, 8 centimètres; pour le genou, 6 centimètres. C
MENTS CHEZ UN EPILEPTIQUE. 165 relève, mais il ne tient pas sur ses
jambes
. Il se livre à des mouvements bizarres avec ses
DE RAPHAËL. 171 firme assis à terre et qui étale au grand jour ses
jambes
et ses pieds contrefaits. Saint Pierre, d'un ge
Lucnous dépeint ainbi : « Il y avait à Lystra un homme perclus des
jambes
qui était boiteux de naissance et qui n'avait j
ifficilement. Le pied nous montre sa face plantaire, pendant que la
jambe
est vue par sa face antérieure. C'est là une dé
en droit de nous demander si Raphaël, dans la représentation de la
jambe
mise en pleine lumière, n'a pas, de parti pris, a
oles parais- sent élargies. La forme générale de la cuisse, de la
jambe
, du mollet, est parfaitement normale (circonfér
s, le dos, plusieurs petites tumeurs de molluscum pendulum. t Aux
jambes
, on trouve quelques varices, mais leur développem
même de me convaincre que le malade appréciait presque partout aux
jambes
des différences de un degré dans deux applicati
hermique entre la région des plaques ciuesthésiqucs et le reste des
jambes
. Mais je le répète, il fallait pouvoir apprécie
l est assez remarquable que le refroidissement ne s'étende pas à la
jambe
. Jamais d'oedème. Le malade ignore le moment du
r examen, j'avais cru que seulement la force des fléchisseurs de la
jambe
était diminuée. Toutefois, des recherches ul- t
s'ajoute un léger oedème des malléoles qui peut même s'étendre à la
jambe
; et cela dans des conditions telles, qu'il n'es
urs du torse; les cuisses sont un peu fléchies sur le bassin et les
jambes
sur les cuisses (Pl. XXXIX). La saillie postéri
droit; ces donleurs descendirent dans la cuisse jusqu'au genou. La
jambe
droite était devenue plus raide à la suite de c
fait défaut dans les régions antéro- externe et antéro-interne des
jambes
, tandis que le tiers supérieur de la région pos
'avait pas de fièvre. Au bout de six mois, il pouvait imprimer à sa
jambe
gauche des mouvements de latéralité. De temps z
antécédents héréditaires. La malade dit avoir eu une fracture de la
jambe
droite dans son enfance ? Réglée à quinze ans;
de plus en plus difficile. Il y a deux ans, douleurs vives dans la
jambe
droite et déformation consé- cutive du premier
ormation analogue, quoique moins marquée, au niveau du genou droit;
jambes
de polichinelle; des deux côtés, il existe des
iquer une amputation du pied chez un malade « dont la faiblesse des
jambes
et l'ataxie avaient déjà atteint un haut degré
sentés et l'empressement du père et l'incertitude de l'aveugle. Les
jambes
courent et les bras tendus en avant hésitent. L
e de la porte grande ouverte ? Le petit chien qui se jette dans ses
jambes
comme pour l'arrêter ne semble-t-il pas avertir
e sol était senti. Le malade raconte qu'il guidait difficilement sa
jambe
droite; que celle-ci était, pendant la marche,
cette époque aussi s'accentuèrent des crampes douloureuses dans la
jambe
gauche, crampes survenant surtout la nuit et forç
ères, chagrins de famille, pertes d'argent, etc.) les crampes de la
jambe
gauche et les dou- leurs fulgurantes de la jamb
les crampes de la jambe gauche et les dou- leurs fulgurantes de la
jambe
droite acquièrent une grande intensité; et, à c
claudication légère; il marche à petits pas. Il projette un peu la
jambe
droite en avant, mais celle projection n'a rien
e soit le pôle appliqué sur le membre, on ne constate pas, entre la
jambe
droite et la jambe gauche, de différence notable
iqué sur le membre, on ne constate pas, entre la jambe droite et la
jambe
gauche, de différence notable comme réaction au
dant le décubitus dorsal prolongé. Crampes fréquentes dans les deux
jambes
, mais surtout dans le pied gauche. Le sujet n'a p
r les faces antérieure et interne. Elle est plus con- sidérable aux
jambes
qu'aux cuisses : la face postérieure de la jambe
on- sidérable aux jambes qu'aux cuisses : la face postérieure de la
jambe
droite est toutefois assez sensible. Enfin les
e augmentée. En tout cas, il y a constamment sensation de froid aux
jambes
et surtout aux pieds; ce phé- nomène semble êtr
nomène semble être exclusivement subjectif. Le malade sent mal ses
jambes
dans son lit. Chatouillement parfaitement perçu
issement qui se traduisit par une atrophie très considérable. « Mes
jambes
étaient comme des bâtons, » nousj dit-il. De plus
l se leva. Il ne pouvait marcher qu'à l'aide de deux béquilles, ses
jambes
étant très faibles et très grêles. Plus tard, il
de douleur obtuse au niveau des lombes, quand il était fatigué. Ses
jambes
devenaient bleuâtres quand il marchait. Six moi
tendue d'une pièce de cinquante centimes. Sur la face externe de la
jambe
droite, cicatrice pigmentée, circulaire, grande c
sent dès que le malade veut soulever des fardeaux un peu lourds. La
jambe
droite serait maintenant plus faible que la gauch
es sensations pénibles s'éten- dirent bientôt aux fesses, puis à la
jambe
gauche et à la jambe droite, enfin elles gagnèr
s s'éten- dirent bientôt aux fesses, puis à la jambe gauche et à la
jambe
droite, enfin elles gagnèrent successivement le
sa tête. La force des membres inférieurs est diminuée surtout dans la
jambe
droite; M. B... marche habituellement avec l'ai
il, les genoux présentent, par rapport à la partie antérieure de la
jambe
, une saillie notable qui donne il la jambe l'aspe
partie antérieure de la jambe, une saillie notable qui donne il la
jambe
l'aspect d'une courbe à concavité antérieure tr
volume. : . Sur le dos des pieds et la face antéro-externe de la
jambe
se- trouvent quelques taches pigmentaires ; des
s taches pigmentaires ; des varices assez développées se voient aux
jambes
et aux cuisses. ' La face (pi. XLIX) présente u
e même des jumeaux et des muscles de la région antéro-externe de la
jambe
. Le corps thyroïde est à peine perceptible ; il
pte de la courbure, 35.4. L'ACROMÉGALIE. ? A1 Circonférence de la
jambe
au niveau des malléoles, 25. Plus grande circon
aient attaquées d'un gonflement, comme on dit, à pleine peau. Les
jambes
paraissent à la première inspection ne point cadr
ent en relation avec les diverses arti- culations, spécialement aux
jambes
, un assez grand nombre de tumeurs (cinquante en
ascitique pendant quelque temps, et éprouva de fortes douleurs aux
jambes
qui lui rendirent dans la suite les mouvements
se ne présentent aucune hypertrophie, mais à partir du milieu de la
jambe
et du milieu de l'avant-bras vers en bas le mem
dentaires et dépassait un peu les , incisives. C'est à peine si ses
jambes
pouvaient le porterait marchait en s'ap- puyant
t normaux. Il n'y a pas de paralysie; le malade peut remuer bras et
jambes
, cependant les mouvements sont lents ; il faut
l'est resté. C'est seulement dans les deux dernières années que les
jambes
devinrent douloureuses, particulière- ' ment le
rès notable; mais, d'après la conviction du malade, les bras et les
jambes
n'auraient éprouvé aucune mo- dification en lon
re, le scrotum et les testicules sont certainement atrophiés. Les
jambes
et les bras sont d'une maigreur qui contraste ave
les trois doigts du ani9ü Enfin le front, l'abdomen, le bras et la
jambe
gauche sont courants d'une éruption caractérist
formes un peu sévères de la maladie. Dans l'éruption qui couvre la
jambe
et le bras droîl ne trouvons-nous pas les signe
, 39. Nerfs (distribution des cutanés de la face antérieure de la
jambe
, 36. Paralysie agitante (attitude dans la), 81,
a dans le Rhône, où il resta la tête sous l'eau quelques minutes, les
jambes
prises sous la terre éboulée. On le sortit de là,
e transpiration beaucoup plus abondante que du côté opposé. Rien à la
jambe
. Quatre ans plus tard, c'est-à-dire il y a troi
Hanot (1888]. Aucun nouvel accident depuis cette époque, sauf que la
jambe
du côté gauche commença à s'affaiblir comme le br
Pas de troubles bien accentués dans la position et les mouvements des
jambes
. Le bras droit n'est pas agité pendant la marche,
à la mensuration, les bras également, ainsi que les cuisses et les
jambes
. Le malade est d'ailleurs parfaitement musclé, sa
ir. A ce moment, il essaie de se lever, mais ne peut se tenir sur ses
jambes
qui tremblaient violemment. On le reconduit chez
en plaques. Mais procédons. Je dis au malade de se dresser sur ses
jambes
et de se tenir debout. Immédiatement vous voyez l
t, avec tourment, combien il avait vu de ses camarades « pris par les
jambes
», dans ce dur métier de chauffeur. Enfin, le 26
de jours, lorsque le tremblement apparut graduellement, dans les deux
jambes
d'abord, puis dans les membres supérieurs. Il ent
s quand le malade est tranquillement couché. Mais, dès qu'il lève une
jambe
ou veut saisir un objet, le tremblement apparaît
les, savoir : les mâchoires, les épaules, les mains, les cuisses, les
jambes
; elle y cause tantôt une douleur et tantôt une e
elle y cause tantôt une douleur et tantôt une enflure, dont celle des
jambes
est la plus remarquable. On peut toujours observe
ne marque. Le plus souvent aussi l'enflure n'existe qu'à une des deux
jambes
. Du reste elle ressemble tellement à celle des hy
auche en talus. En même temps se développe au niveau du pied et de la
jambe
un œdème considérable. C'était un œdème dur, bien
existait une hyperesthésie exquise et des douleurs spontanées dans la
jambe
et le pied. Ces phénomènes durèrent environ un
appréciable d'un gonflement assez considérable, de la cuisse et de la
jambe
droites. Il s'agissait d'une tuméfaction dure, ne
une affection du périoste, fit deux longues incisions au niveau de la
jambe
. Je n'ai pas besoin do dire qu'on ne trouva pas l
ment, etc.) Enfin, quelques mois après la guérison de - l'œdème de la
jambe
droite, elle fut prise des mêmes phénomènes au ni
auche, est exactement la même. Ce redressement de la position de la
jambe
, pour l'amener à être au même niveau que l'autre,
nou (partie interne) et de la hanche. — Lapercussion sur le genou, la
jambe
fléchie, est également douloureuse dans la hanche
culier à la partie postérieure du bras. L'anesthésie a disparu à la
jambe
; à la cuisse elle s'est trans- formée, ainsi qu
masse, soit de la totalité du membre, soit d'un segment de ce membre,
jambe
ou cuisse, dans son entier. Elle ne prédomine poi
vingt-six ans, atteint d'une sciatique gauche datant de deu* mois. La
jambe
de ce côté était (1) Lefebvre. — Des paralysies
crire la distribution normale des branches motrices du sciatique à la
jambe
. Rappelons seulement en deux mots que le sciatiqu
obligé d'employer le forceps. Pas de douleurs ni de crampes dans le3
jambes
pendant le travail. Presque aussitôt après, la ma
endant le travail. Presque aussitôt après, la malade ne sent plus ses
jambes
qui sont comme engourdies et deviennent douloureu
me engourdies et deviennent douloureuses. Au bout de huit jours, la
jambe
droite étant redevenue normale, la gauche reste c
o-vaginale. Etat actuel (5 novembre 1866). — Atrophie notable de la
jambe
gauche (3 centimètres de différence sur la circon
étraction des muscles fléchisseurs. Sensibilité moins nette qu'à la
jambe
droite. — Perte des réflexes. — Point douloureux
ier et fourmillements dans la plante du pied. — Refroidissement de la
jambe
malade. L'électrisation des muscles de la régio
lade. L'électrisation des muscles de la région antéro-externe de la
jambe
ne produit aucune contraction. Les muscles du mol
e de Lefebvre. Observation II (résumée). —Paralysie partielle de la
jambe
gauche consécutive a l'accouchement. — (Lefebvre.
ôt à l'état normal. Sensibilité obtuse à la partie antérieure de la
jambe
, en dehors du tibia, à la face dorsale du pied. T
ce que l'état de chacun des muscles de la région antéro-externe de la
jambe
est indiqué par l'exploration électrique. Obser
électrique. Observation1 III (résumée). — Paralysie partielle de la
jambe
gauche consécutive a l'accouchement. (Lefebvre. T
garda encore le lit pendant deux mois, souffrant moins, mais ayant la
jambe
gauche impotente. Enfin, six mois après son accou
pied se pose sur le sol en deux temps. Amaigrissement notable de la
jambe
. Sensibilité très obtuse à la partie antéro-exter
de la jambe. Sensibilité très obtuse à la partie antéro-externe de la
jambe
, à la face dorsale du pied et surtout au gros ort
vait une différence de trois centimètres entre la circonférence de la
jambe
droite e celle de la jambe gauche. Remarquons q
s centimètres entre la circonférence de la jambe droite e celle de la
jambe
gauche. Remarquons que cette paralysie et cette
renant sa connaissance, qu'elle avait perdue depuis la délivrance. La
jambe
et la cuisse pouvaient remuer, mais non le pied n
r, mais non le pied ni les orteils. Douleurs spontanées le long de la
jambe
, jusqu'à l'extrémité des orteils. La sensibilité
t pas sentie sur le dos du pied droit et à la partie antérieure de la
jambe
droite. L'électrisation ne provoque aucune cont
ours, l'électrisation ramène les mouvements dans la cuisse droite, la
jambe
restant paralysée et insensible (elle ne sentait
électricité). Au bout de deux mois la sensibilité revient un peu à la
jambe
; enfin, après neuf mois, la malade peut remuer
alade peut remuer un peu ses orteils, mais non étendre le pied sur la
jambe
. En marchant, le pied tombe et traîne. On const
rteil. Atrophie musculaire manifeste à la région antéro-externe de la
jambe
et anesthésie dans la même région. Egalement anes
se dégagent èn partie grâce au traitement électrique employé, mais la
jambe
tout entière reste prise, c'est-à-dire que les de
e vésicatoires sur le côté gauche de l'abdomen. Puis douleurs dans la
jambe
et le pied gauches qui « étaient comme engourdis
es engourdissements font bientôt place à une véritable paralysie delà
jambe
et du pied. La cuisse se fléchit surle bassin ; l
ssement du pied impossible ; il tombe, semblant prolonger l'axe de la
jambe
. Flexion possible et même énergique. Mouvements d
douleur abolie « dans toute l'étendue de la face antéro-externe de la
jambe
et sur le dos du pied ainsi qu'au talon. Sur les
ibilité est intacte à la plante du pied et dans toute l'étendue de la
jambe
, sauf la région que nous avons indiquée. » Poin
olaire externe. « L'électrisation des muscles antéro-externes de la
jambe
les trouve absolument insensibles ; au contraire
Deux mois et demi après l'entrée (novembre 1883), on remarque que la
jambe
a notablement diminué de volume. Ainsi dans un
avec paralysie et atrophie dègènèrative des muscles extenseurs de la
jambe
, et anesthèsie dans le domaine du nerf sciatique
fesse gauche. Il n'y eut point alors de douleurs dans la cuisse ni la
jambe
. Le traitement consista uniquement en frictions à
point péronier. La troisième atteinte fut une des plus violentes, la
jambe
entière fut prise. A la quatrième attaque elles f
mais eu de symptômes d'une affection cardiaque, jamais d'oedème des
jambes
. Il n'a jamais subi d'opérations chirurgicales en
état actuel est le suivant : Il présente au plus haut degré, pour la
jambe
gauche seulement, tous les caractères de la dé-ma
t s'exécutent très nettement. L'examen électrique des muscles de la
jambe
vient d'ailleurs confirmer complètement les résul
l existe un léger degré de diminution de volume de la cuisse et de la
jambe
du côté gauche, à peine appréciable en réalité et
ofonde, n'influe pas d'une manière sensible sur le volume total de la
jambe
. La différence est à peine d'un demi-centimètre e
-centimètre en ce qui concerne la circonférence de la cuisse et de la
jambe
gauches comparativement avec le côté sain. Les
La sensibilité est normale sur tout le corps, sauf au niveau de la
jambe
gauche où il existe une anesthésie sur laquelle n
est tenu de travers. Les troubles de la sensibilité qui occupent la
jambe
gauche sont distribués de la façon suivante : 1
hez le malade de l'Observation VII. a) sur la face antérieure de la
jambe
: ligne oblique en bas et en dedans jusqu'au tiers
mbe: ligne oblique en bas et en dedans jusqu'au tiers inférieur de la
jambe
; puis descendant verticalement en bas en laissan
e du péroné, descend obliquement en dedans jusqu'au tiers moyen de la
jambe
, puis verticalement en laissant indemne la moitié
de la face antérieure et les deux tiers de la face postérieure de la
jambe
. (V. la Fig. 21.) Fig. 22. — Aneslhésie à la ch
externe du pied est presque indemne et que la face postérieure de la
jambe
est prise dans une étendue beaucoup moindre^ (V.
plus considérable. L'anesthésie ne commence que vers le milieu de la
jambe
. Elle comprend la face externe, une petite bande
iblesse du membre, telle que la malade ne pouvait se tenir debout, la
jambe
ployant sous elle. Ces fortes douleurs ont duré e
également d'engourdissements de toute la région antéro-externe de la
jambe
gauche. A première vue, il semble qu'il existe
gré d'atrophie des muscles de cette région. Mais les dimensions de la
jambe
n'ont pas beaucoup diminué. Varices considérables
diminué. Varices considérables. CE lème de la partie inférieure de la
jambe
. Démarche.— Le pied est complètement tombant. L
à la douleur conservée à la cuisse, atténuée à la face externo de la
jambe
, exagérée sur le dos du pied. Sensibilité a la
. Sensibilité a la chaleur. —« Hypoesthésie à la face externe de la
jambe
. Sensibilité du froid diminuée dans la même régio
malie de réaction dans les muscles de la région antéro-externe de la
jambe
. La malade ayant parlé de troubles utérins, d'u
ndant avoir eu affaire à une véritable paralysie des extenseurs de la
jambe
. Le pied tombant, la démarche de stepper, l'absen
ction de dégénérescence des muscles de la région antèro-externe de la
jambe
. Mart..., cinquante ans. artiste peintre. Les a
ique non complètement absente. — Pas d'atrophie de la cuisse ni de la
jambe
. L'épaisseur de la couche adipeuse sous-cutanée e
t, rappelons en quelques mots la distribution des nerfs cutanés de la
jambe
, qui est loin d'être simple. Un coup d'œil jeté s
plité externe fournit des nerfs cutanés à la plus grande partie de la
jambe
et du pied. Les deux tiers externes de la jambe,
s grande partie de la jambe et du pied. Les deux tiers externes de la
jambe
, la presque totalité du clos du pied, moins une b
Fig. 25.— Distribution des nerfs cutanés de la face antérieure de la
jambe
(d'après Flower). a. Nerf crural (nerf saphène
(branche du poplité externe). à la peau de la région externe de la
jambe
, suivant une bande beaucoup plus large en bas qu'
Fig. 26,— Distribution des nerfs cutanés de la face postérieure de la
jambe
(d'après Flower). a. Nerf petit sciatique. —
atre ans. En 1855, au mois de janvier, apparition de douleurs dans la
jambe
droite, très vives au niveau du mollet. Le pied e
e en marchant ; en montant les escaliers elle est obligée de lever la
jambe
d'une façon exagérée, car la pointe du pied qui t
gère claudication. Elle remarque en même temps l'amaigrissement de la
jambe
. Le seul traitement employé consiste en : frict
e. Elle se plaint de fourmillements, d'élancements dans le pied, la
jambe
et surtout la région postérieure de la cuisse. On
rence mesure 1 centimètre et demi de moins à droite qu'à gauche. A la
jambe
la région antéro-ex-terne surtout, mais aussi les
u du coude-pied; cicatrice d'ulcère variqueux à la face interne de la
jambe
. Un peu d'oedème des malléoles. Le membre inférie
e gauche. Il existe en effet une différence de plus de 2° 0. entre la
jambe
droite et la gauche en faveur de cette dernière.
bord externe du pied droit et de la demi-circonférence externe de la
jambe
droite (zone sensitive du sciatique poplité exter
e de la douleur, appuyée sur le pied droit. Dans la progression de la
jambe
droite on voit bien le mouvement de steppage. L
s extenseurs et de tous les muscles de la région antéro-externe de la
jambe
, avec atrophie et réaction de dégénérescence. Pui
s, consistant en un certain degré de faiblesse des fléchisseurs de la
jambe
et de quelques muscles de la cuisse, avec un amai
postérieure de la cuisse, descend le long de la partie externe de la
jambe
et gagne le bord externe du pied. Peu de jours ap
reprend son service pendant deux mois, souffrant toujours. Parfois la
jambe
droite fléchit, se dérobe, si bien qu'il tombe à
e. Ce n'est pas la douleur qui le fait tomber, mais la faiblesse delà
jambe
droite. Au bout de deux mois de service il pren
t et à la fin de la marche. C'est au niveau delà partie externe de la
jambe
et du pied qu'il souffre le plus. Une dizaine de
rait, en éclair » qui partent en même temps des deux extrémités de la
jambe
et se rejoignent vers la partie médiane. Par la
oint plantaire. La pression en masse des muscles delà cuisse et de la
jambe
est sensible. La recherche des points douloureu
, la pression des muscles, l'exécution des mouvements du pied et delà
jambe
font apparaître des crampes douloureuses. Ces cra
le membre inférieur doit être étendu, raide, le pied dans l'axe de la
jambe
, la pointe du pied tombante et portée en dedans,
ontrecarrer un spasme plus ou moins généralisé à tout le membre. La
jambe
se fléchit sur la cuisse jusqu'à l'angle droit et
a un certain degré de parésie, il existe aussi de la contracture ; la
jambe
, la cuisse, le pied ne pré-, sentent aucune flacc
si on le pique légèrement. Enfin dans toute la région externe de la
jambe
, dans un territoire limité en avant parla crête t
tibiale,en arrière par la ligne médiane et la face postérieure de la
jambe
il y a anesthésie complète; — et au pied, dans un
membre, c'est-à-dire que la cuisse et la partie postero-interne de la
jambe
, troubles eux-mêmes identiques à ceux de la moiti
ui comprend toute la cuisse, la face interne et postero-interne de la
jambe
, la partie la plus interne du dos et de la plante
la chaleur et au froid; la seconde, limitée à la partie externe de la
jambe
et à la plus grande partie du pied, est atteinte
ues. Ce ne sont pas les seuls. La démarche du malade, qui traîne sa
jambe
mi-paralysée, mi-contracturée, est typique et por
cet homme à la nature hystérique de l'anesthésie qui occupe comme une
jambe
de pantalon tout le membre inférieur du côté droi
autrement chez M... et considérant les caractères de l'anesthésie en
jambe
de pantalon du membre,inférieur droit,anesthésiea
qui insiste sur l'excitation génésique provoquée par le mouvement des
jambes
, et ce ne serait, pour cet auteur, que par l'inte
ne, a dû changer d'état à cause des crampes qu'elle éprouvait dans la
jambe
* droite. Depuis, elle ne s'en est point ressentie
, la nuit, elle éprouvait des crampes douloureuses dans le pied et la
jambe
, surtout à droite; elle les mettait sur le compte
Vers le mois de mai 1890 apparaissent les premières douleurs dans la
jambe
droite. Ce sont d'abord comme des courbatures dou
hit et étend sans peine et sans douleur la cuisse sur le bassin et la
jambe
sur la cuisse. La résistance aux mouvements de fl
rtout sur la fesse gauche, et si on lui ordonne de se lever, c'est la
jambe
gauche qui porte tout le poids du corps. Debout,
che qui porte tout le poids du corps. Debout, la malade repose sur la
jambe
saine. La jambe droite est légèrement ployée sur
ut le poids du corps. Debout, la malade repose sur la jambe saine. La
jambe
droite est légèrement ployée sur la cuisse et le
en est très peu distant. La marche se ressent de la faiblesse de la
jambe
droite et surtout de la chute du pied. Le moind
scend en bas jusqu'au genou, dont elle occupe la région externe. La
jambe
et le pied malades semblent présenter une légère
douloureuse à la pression et pendant la marche. Dans le pied et la
jambe
, sensations de picotement, chatouillement, surven
une atrophie notable des muscles, qui va croissant de la cuisse à la
jambe
, atrophie que le tableau suivant indique : Fig.
de de 1 centimètre celui du pied sain (à la région médiotarsienne).
JAMBE
. DROITE. GAUCHE. 10 cent, au-dessous de l'extré
alie dans l'espèce. Quand on veut fléchir le pied de la malade sur la
jambe
, à un moment, on est arrêté par une résistance qu
urs. Le malade se plaignait, en outre, de violentes douleurs dans les
jambes
, survenant la nuit principalement: « J'ù les pied
s descendaient le long de la région postérieure de la cuisse et de la
jambe
et se montraient plus particulièrement localisées
rs que les groupes voisins sont respectés ; certains mouvements de la
jambe
et du pied sont compromis, tandis que les autres
ar Seeligmuller. D'après liasse, il n'est pas rare de voir les deux
jambes
atteintes; seulement, dans ces cas, la douleur d'
, n'en a connu qu'un seul qui est mort des suites d'une amputation de
jambe
, après avoir été bien portant toute sa vie. Il a
indemnes. Les cuisses ont conservé leur forme normale, ainsi que les
jambes
. La résistance à tous les mouvements de la cuisse
e les jambes. La résistance à tous les mouvements de la cuisse, de la
jambe
et du pied est considérable des deux côtés. Mais
eux côtés. Mais on remarque dans divers muscles de la cuisse et de la
jambe
, à droite et à gauche, des secousses fibrillaires
res assez intenses pour faire trembler les pouces. Mensurations :
Jambe
, partie moyenne du mollet. . Cuisse, tiers infé
lever et marcher, une soixantaine de jours après l'accident, que ses
jambes
étaient lourdes et le portaient difficilement. A
prononcée au plus haut point au bras, à l'épaule, à la cuisse et à la
jambe
. Le ptosis était très accusé à gauche, et le mala
her; mais bien vite il remarqua que les genoux fléchissaient, que les
jambes
le portaient difficilement, qu'elles étaient lour
portaient difficilement, qu'elles étaient lourdes; ce fut d'abord la
jambe
gauche qui lui parut faible, puis ce fut le tour
abord la jambe gauche qui lui parut faible, puis ce fut le tour do la
jambe
droite. Une foisà genoux, il ne pouvait se rele
auche. De la cuisse. . j à J cent, de lajotuie. 38 1/2 38 1/2 De la
jambe
à 20 cent, du bord supérieur de la rotule........
vers les muscles atrophiés. Enfin toutes les masses musculaires de la
jambe
et de la cuisse présentent une mollesse remarquab
plan du lit. L'action du triceps est tout à fait nulle : étendue, la
jambe
retombe entraînée par son propre poids. La jambe
nulle : étendue, la jambe retombe entraînée par son propre poids. La
jambe
se fléchit assez bien sur la cuisse, mais sans of
orce. Action des péroniers très minime. Action du triceps nulle, la
jambe
ne peut s'étendre sur la cuisse; elle se fléchi
comme une forte saillie entre la cuisse et la partie supérieure de la
jambe
: on dirait un genou atteint d'hydarthrose ; cet
d'être nouvellement ciré, lorsqu'il se fit en tombant une fracture de
jambe
au niveau du tiers inférieur. On lui appliqua un
s malades (Obs. IV). Lorsque l'atrophie a envahi les extenseurs de la
jambe
, on observe la démarche de stepper, caractéristiq
par jour et n'est pas suivi d'hypéresthésie. Pas de douleurs dans les
jambes
, mais il se produit facilement dès que le malade
nseurs du pied, principalement à droite. Le malade étant assis et les
jambes
élevées, si on veut lui faire redresser la pointe
es orteils; simple diminution d'excitabilité des autres muscles de la
jambe
et de la cuisse. A gauche réaction partielle de d
orteils, et une diminution de l'excitabilité des autres muscles de la
jambe
et de la cuisse. Ainsi dans ce cas, c'est à l'a
elez qu'autrefois on avait noté dans les muscles des extenseurs de la
jambe
droite, qui était et qui est encore la plus malad
s malade, une réaction de dégénérescence complète, et dans ceux de la
jambe
gauche, seulement une réaction de dégénérescence
é faradique et galvanique des muscles de la région antéro-externe des
jambes
, qui, bien qu'assez considérable, n'est cependant
éprouve toujours, au niveau des pieds et de la partie supérieure des
jambes
, une sensation de chaleur exagérée, de brûlure mê
ation de chaleur exagérée, de brûlure même, qui le force à sortir ses
jambes
hors du lit. En réalité, la température n'est nul
parler d'abord de cet œdème des pieds et de la partie inférieure des
jambes
qui a existé autrefois chez notre homme, mais q
us, pendant la nuit, il souffre souvent de violentes crampes dans les
jambes
et de fourmillements dans les pieds et les mains.
icible et dont il ne peut parler aujourd'hui encore sans émotion. Ses
jambes
tremblent sous lui et menacent de se dérober; au
léchi presque à angle'droit sur le bras et ne pouvait être étendu; la
jambe
était en extension sur la cuisse et ne pouvait êt
elle put faire quelques pas hors de sa chambre. Elle « traînait » la
jambe
encore en octobre 1889. Lorsqu'on lui dit de mont
ndemain matin, voulant se lever, il éprouve de la faiblesse dans la
jambe
droite ; il en résulte une claudication légère qu
nt il marche n'est pas sans analogie avec celle du tabès: il lance la
jambe
gauche de côté et d'autre, à chaque pas qu'il fai
adiant à la face interne de la cuisse et à la face antérieure de la
jambe
sur le trajet des muscles adducteurs de la cuisse
ed gauche avait une tendance marquée à se tourner en dedans et que sa
jambe
gauche avait plus de peine à se fléchir sur la cu
on du membre inférieur ne s'est plus jamais faite complètement. Cette
jambe
se porte plus difficilement en avant, elle peut à
gauche spasmodique, La contracture est très prononcée au bras et à la
jambe
, mais davantage à la jambe. Pendant la marche, l'
racture est très prononcée au bras et à la jambe, mais davantage à la
jambe
. Pendant la marche, l'avant-bras est à demi fléch
age à la jambe. Pendant la marche, l'avant-bras est à demi fléchi, la
jambe
est raide, se meut tout d'une pièce, oscille de d
très exagérés. L'épilepsie spinale provoquée persiste indéhnément; la
jambe
trépide spontanément, dans certaines positions, s
la main fermée. Voyez comme cette malade marche « en fauchant » de la
jambe
gauche. Aussi bien, je vais vous lire un passage
arche, elle offre une allure particulière qui a pour but de porter la
jambe
paralysée en avant. Elle porte son tronc sur le c
sur le côté opposé à la paralysie et repose le poids du corps sur la
jambe
saine ; puis elle jette en avant la jambe paralys
se le poids du corps sur la jambe saine ; puis elle jette en avant la
jambe
paralysée et lui fait décrire un mouvement de cir
uche, depuis six ans. Il marche le corps penché en avant, traînant la
jambe
derrière lui, raclant le sol. Le second a la même
rieur qu'au membre supérieur du côté gauche. Il traîne aujourd'hui la
jambe
et balaie le sol en marchant. Regardez la face, v
our essayer de le dissiper. Sa femme remarqua alors qu'il traînait la
jambe
droite et qu'il s'exprimait avec quelque difficul
s et qui, à deux reprises différentes, ont occasionné une fracture de
jambe
. Aux renseignements fournis par l'anamnèse, si
à une corde tendue au travers de la chambre, mais les mouvements des
jambes
étaient toujours très irréguliers, la parole touj
5. (G. G.). ont débuté. Puis des fourmillements apparurent dans la
jambe
et dans le bras. Les troubles parétiques augmentè
motive et très impressionnable. Il y a cinq ou six ans elle eut les
jambes
enflées pendant quelques jours. En même temps, el
ndant quelques jours ; il a pu continuer son travail. Toutefois ses
jambes
se sont mises il faiblir; dès les premiers jours
noncer il se mellre au travail, tant à cause de la faiblesse de ses
jambes
, qu'en raison des sensations pénibles qu'il épr
ssibilité de se tenir debout, sans assistance, même en écartant les
jambes
; sitôt qu'on l'abandonnait à lui-même, il se m
es orteils, les mouvements de flexion et d'extension du pied sur la
jambe
, de la jambe sur la cuisse, de la cuisse sur le b
es mouvements de flexion et d'extension du pied sur la jambe, de la
jambe
sur la cuisse, de la cuisse sur le bassin étaie
manifestement abaissée, aux mains et aux pieds. Le malade avait les
jambes
émaciées, les éminences thénar et hypothé- nar
rieur, d'abord dans les muscles de la cuisse, ensuite dans ceux des
jambes
, enfin dans ceux du pied. Aux membres supérie
lui imprime se font sans force. POLYNÉVRITE ET POLIOMYÉLITE 7 La
jambe
droite résiste mieux que la jambe gauche. En ou
POLYNÉVRITE ET POLIOMYÉLITE 7 La jambe droite résiste mieux que la
jambe
gauche. En outre, Ch... ne peut se tenir sur la
La sensibilité objective est conservée sous toutes ses formes. La
jambe
étant placée dans l'extension, on note au creux p
ntestinaux aigus, sous la forme de vomissements et de diarrhée. Les
jambes
se sont mises à faiblir ; les membres inférieur
ir de cette époque, il s'aperçut qu'il se fatiguait vite et que ses
jambes
avaient de la peine à le porter. Cette fatigue se
t de la peine à le porter. Cette fatigue se manifesta d'abord il la
jambe
gauche, puis à la jambe droite. Il ressentait aux
r. Cette fatigue se manifesta d'abord il la jambe gauche, puis à la
jambe
droite. Il ressentait aux pieds des fourmillement
dès qu'il se reposait. Il dut de nouveau interrompre son travail. Ses
jambes
se raidirent. Il ne les pliait que très diffici
se levait pour marcher, il était un moment sans pouvoir remuer ses
jambes
et devait se soutenir pour ne pas tomber. La du
it las et devait se re- poser. Il remarqua, il ce moment, que ses
jambes
avaient diminué de volume. Il consulta son méde
à Lamalou. Il trouva dans cette station un peu de. soulagement, ses
jambes
étaient moins raides, mais il ne pouvait pas en
. Celle-ci est un peu moindre pour le groupe des péroniers aux deux
jambes
.. Une atrophie également très sensible des vastes
MASSON & Cre, Editeurs. MALADIE DE THOMSEN A FORME FRUSTE 17
Jambe
droite. Jambe gauche. A 0,13 centimèt. au-desso
Cre, Editeurs. MALADIE DE THOMSEN A FORME FRUSTE 17 Jambe droite.
Jambe
gauche. A 0,13 centimèt. au-dessous de l'angle
s est très sensiblement dimi- nuée. Elle l'est plus dans ceux de la
jambe
que dans ceux de la cuisse. Plus dans le jumeau
squ'on percute brusquement les muscles du malade à la cuisse, ;1 la
jambe
ou aux bras, on provoque une contraction toniqu
r dans les membres supérieurs ce qu'il a ressenti au début dans ses
jambes
. En effet, cette impotence fonctionnelle et cel
int en premier ' lieu les petits muscles des pieds, puis ceux de la
jambe
en commençant par les extenseurs des doigts, pu
s bras Faiblesse des malades se plat- tante et faible ; fai- et des
jambes
; dé- jambes ; démarche gnenl. blesse et trembl
sse des malades se plat- tante et faible ; fai- et des jambes ; dé-
jambes
; démarche gnenl. blesse et tremble- marche vac
ressentir une plus haut, commen- tard (il l'âge de 14 faiblesse des
jambes
ça à ressentir une ans) la pcaroledevint t en m
ROIS CAS D'ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 25 Olga S. Michel S. Nicolas S. La
jambe
droite vacillante. Les plié- à peu, d'une façon
59 cm. 1 m. 78 cm. (longueur des (longueur des jam- (longueur des
jambes
: ])es 78 cm. 5). jambes : 78 cm.). Dentition.
gueur des (longueur des jam- (longueur des jambes : ])es 78 cm. 5).
jambes
: 78 cm.). Dentition. Les dents sont Les dents
s du Dans l'attitude corps. debout vacille . Reste debout les .
jambes
largement écartées. Impossi- ble de se tenir
se tenir im- Il \em. J \eul. 1 mobile ? suruneseu- Idem. Idem. le
jambe
, surtout sur la jambe droite . Dans l'attitud
eul. 1 mobile ? suruneseu- Idem. Idem. le jambe, surtout sur la
jambe
droite . Dans l'attitude as- sise le corps ne
rouve Boite un peu de dans la démarche : de l'incertitude a )a la
jambe
droite (ge- titube surtout marche. Souvent nou
des plantes.La mus- qui concerne la voûtées. culature des cuisses
jambe
gauche. Le La circonférence est d'un développe-
d'ano- à gauche : 44 ; ments sont nor- malies visibles de celle des
jambes
maux et ne présen- conformation. Le adroite : 3
ite de quoi remarqua, en même temps qu'une certaine faiblesse de la
jambe
droite, une incertitude crois- sante de la déma
mblement. Démarche ataxique de nature cérébelleuse. Instabilité des
jambes
; impossibilité de se tenir sur une. seule jamb
. Instabilité des jambes ; impossibilité de se tenir sur une. seule
jambe
. Développement considéra- ble de la musculature
ne. seule jambe. Développement considéra- ble de la musculature des
jambes
. Exagération des réflexes rotutiens. Sen- satio
agération des réflexes rotutiens. Sen- sation de lassitude dans les
jambes
. Parésie du nerf pathétique droit. II. - Michel
ataxi- que. Instabilité. Impossibilité de se tenir sur une seule
jambe
. Démarche ataxique, cérébelleuse. Développement
sidérable des muscles des jam- bes. Sensation de lassitude dans les
jambes
. Plantes voûtées. Exagération des réflexes rotu
che ataxique, cérébelleuse. Impossibilité de se tenir sur une seule
jambe
. Sensation de lassitude dans les jambes. Exagér
té de se tenir sur une seule jambe. Sensation de lassitude dans les
jambes
. Exagération des réflexes rotuliens. Clonus du
ômes ; 4° Instabilité des membres inférieurs ; attitude debout, les
jambes
lar- gement écartées ; impossibilité de se teni
r- gement écartées ; impossibilité de se tenir debout sur une seule
jambe
; 1° Démarche ataxique de nature cérébelleuse ;
taxique de nature cérébelleuse ; 60 Sensation de lassitude dans les
jambes
: 7° Exagération des réflexes rotuliens chez to
'éclosion de l'ataxie héréditaire, et notamment : traumatisme de la
jambe
avec immobilité consécutive durant trois mois, da
her, les cuisses se serraient fortement l'une contre l'au- tre, les
jambes
se raidissaient en extension pendant que les pied
isses sont rigides, tournées en dedans, les genoux se touchent, les
jambes
par l'adossement et la rotation des genoux sont
(pied équin-varus). A la palpation les mus- cles des cuisses et des
jambes
sont rigides et les tendons d'Achille sem- blen
on veut vaincre la con- tracture et la rigidité des cuisses et des
jambes
; celle-ci se résout en parti- culier quand l'e
quille ou distrait, alors quelquefois les cuisses s'écartent et les
jambes
se fléchissent, mais on ne peut vaincre la contra
quer des sangsues à la région cervicale et des vésicatoires sur les
jambes
; on eut même recours il une saignée. Après guéri
ent progressivement; le tronc avait une tendance il se cambrer; les
jambes
restaient écartées. Les souliers s'usaient par
ux déviés en dehors, les pieds en équerre surtout le pied droit. La
jambe
a constam- ment une tendance à fléchir sur la c
end de la le cervicale, de la 8" et de la Ire dorsale. F, bande de la
jambe
el du pied sur le territoire de la Sa lombaire
est doté d'une grosse bedaine qui fait craquer ses aiguillettes. Sa
jambe
droite ramenée sous le fauteuil, la gauche allo
n panier d'osier, un voile noir sur la tète, une fraise au cou, les
jambes
nues, un pied chaussé hors du panier, l'autre d
t chausses blanches, est ligoité corps et bras sur un fauteuil, les
jambes
allongées en avant. Il s'abandonne, épuisé, aux
nte aux parties sous-jacentes. Dans les deux tiers inférieurs de la
jambe
, le long du bord antérieur du tibia, la peau est
lper l'impression du cuir. , Le pied est placé à angle droit sur la
jambe
. L'extension est impossible. Aucun trouble de s
et remontant en bande jusqu'au pli sépa- rant le dos du pied de la
jambe
(fig. 1). A la face antéro-externe de la cuisse
èrement déprimées. Atrophie en masse du bras, de la cuisse et de la
jambe
du côté droit, l'atrophie musculaire est surtou
ce la pigmen- tation du membre inférieur gauche et l'atrophie de la
jambe
qui existent encore actuellement. État actuel
e de moins en longueur que du côté droit. Mêmes proportions pour la
jambe
. CAS DE SCLÉRODERMIE ET DE VITILIGO- CUEZ DES E
anter, descendant sur la face antéro- externe de la cuisse et de la
jambe
, et formant au-dessous du genou une sorte de ja
atrophie très accentuée des muscles et d'un raccourcissement de la
jambe
. Si la sclérodermie congénitale parait être inc
ulaire progressive souvent familiale, débutant par les pieds et les
jambes
et atteignant plus tard les mains » qui porte leu
, le demi-membra- neux, le demi-tendineux sont bien conservés. A la
jambe
, l'atrophie atteint tous les muscles. Le membre
iale; la cuisse est en adduction, légèrement fléchie sur lebassin, la
jambe
et le pied sont projetés en dehors, fléchis sur
n adduction et en varus équin forme un angle plus que droit avec la
jambe
, l'extrémité inférieure des os de la jambe, par s
e plus que droit avec la jambe, l'extrémité inférieure des os de la
jambe
, par suite de cette position du pied, fait une
re. La cuisse est en abduction légèrement fléchie sur le bassin, la
jambe
et le pied sont rejetés en dedans, le pied en var
etés en dedans, le pied en varus équin forme un angle obtus avec la
jambe
, les extrémités inférieures du tibia et du péro-
rand adducteur est un peu pâle. , Les muscles antéro-externes de la
jambe
droite sont de couleur vieille cire, les muscle
ambe droite sont de couleur vieille cire, les muscles jumeaux de la
jambe
sont constitués par de simples amas de graisse,
nt constitués par de simples amas de graisse, tandis que ceux de la
jambe
droite sont un peu charnus. Les interosseux ain
paraissent dégénérés. Muscles de la région antp1'o-exteJ'/le de la
jambe
gauche. - Sur des coupes transversales, les lés
sidérable. - b) Lésions des troncs nerveux de l'avant-bras et de la
jambe
consistant en sclérose légère, bien nette seule
ion debout nécessite un point d'appui; quand elle est prolongée les
jambes
et les masses saillantes des cuisses, augmentent
surément, car elle a le pied gauche posé sur une chaufferette et la
jambe
droite (1) N° 204 delà collection. Bois, Signé.
ici un détail inattendu : la jeune femme, qui écarte légèrement les
jambes
, tient dans sa main gauche un objet rougeâtre q
roitesse du thorax et l'invraisemblable min- ceur des fémurs et des
jambes
. Lorsque tout l'effort thyroïdien se porte vers
ci. Elle se plaint aussi de douleurs dorsales, de douleurs dans les
jambes
et dans la plante des pieds. Le traitement comm
ans ses urines. Durant sa seconde grossesse, elle a vu les veines des
jambes
se gonfler considérablement et, à l'heure actue
nguent par leurs proportions fines et élan- cées. Les fémurs et les
jambes
sont très longs ; la poitrine est extrêmement é
celle des sujets précédents ; seulement, les cuisses et le bas des
jambes
sont quelque peu oedématiés, ce qui leur donne la
nférieure de l'avant-bras, aux membres inférieurs les muscles de la
jambe
et du pied, les muscles des régions antéro-exte
dans les nerfs de l'avant-bras et du poignet, dans les nerfs de la
jambe
qu'au niveau des nerfs de la racine du memhre qui
de coloration normale ou un peu pâles, tandis que les muscles de la
jambe
présentent un aspect de vieille cire ou sont tr
sont le siège d'altérations comparables à celles des muscles de la
jambe
, tandis que les muscles de l'avant-bras sont mi
usées et la gra- cilité subite que présentent les avant-bras et les
jambes
. En effet aux membres inférieurs, l'atrophie fr
portée en dedans, le malade marche sur le bord externe du pied, les
jambes
un peu écartées, comme s'il avait des échasses.
pied, les jambes un peu écartées, comme s'il avait des échasses. La
jambe
est mince, la cuisse est atrophiée en jarretièr
membres inférieurs et remontent des pieds jus- qu'à la moitié de la
jambe
sous forme de crises d'élancements qui durent dix
anesthésique à la moitié externe du sein droit. Hy- poesthésie à la
jambe
gauche jusqu'au genou ; à la jambe droite, l'hypo
sein droit. Hy- poesthésie à la jambe gauche jusqu'au genou ; à la
jambe
droite, l'hypoesthésie s'arrête au tiers antéri
e du pied gauche. Les deux fesses et à gauche le bord externe de la
jambe
sont également insensibles : il y a seulement dim
rteils, 3" ; face plantaire droite : racine du gros orteil, 3". Aux
jambes
la piqûre est ressentie comme un pincement. I
comme un pincement. III. Température. - A. Face antérieure. - A la
jambe
droite hypoesthé- sie à la chaleur et à la jamb
antérieure. - A la jambe droite hypoesthé- sie à la chaleur et à la
jambe
gauche dans la région périmalléolaire. A la cuiss
a cuisse du même côté. Hyperesthésie au froid en ceinture. , A la
jambe
droite, en avant, le chaud est perçu comme froid
près le début, la malade commence à ressentir des douleurs dans les
jambes
et dans les cuisses ; ces douleurs sont fulgurant
malade éprouve des douleurs passant rapidement en éclairs dans les
jambes
; elle ressent également des douleurs qu'elle com
roite, s'étendant à gauche depuis les orteils jusqu'au milieu de la
jambe
; plaque d'hypoesthésie au bord externe de la c
roite ; à gauche, celle-ci s'étend du pied au tiers inférieur de la
jambe
. II. Douleur. A. Face antérieure. Hypoalgésie à
e passant par l'ombilic jusqu'à une ligne obli- que allant aux deux
jambes
depuis le tiers inférieur du bord interne de la c
l'articulation du genou au tiers supérieur de la face externe de la
jambe
. Hyperesthésie, au froid, occupant tout le tronc
ésie du canal. cette époque elle éprouve des douleurs dans les deux
jambes
, se produisant principalement vers quatre heure
leurs en ceinture. Pendant que ces phénomènes s'accentuaient, les
jambes
devinrent plus fai- bles ; elle arrivait à tomb
a face antéro-interne. Hyperalgésie en bande il la face externe de la
jambe
gauche jusqu'au dernier orteil, et au pied droi
ie au froid descendant plus bas que l'hy- peresthésie au chaud à la
jambe
droite. B. Face postérieure. - Thermo-hyperesth
einture, et à. ans après seulement, des douleurs fulgurantes dans les
jambes
. La gène de la marche a débuté à ce moment, mai
ielle (PI. LVII). I. Tact. A . Face antérieure. - Hypoesthésie à la
jambe
droite depuis l'articulation tibio-tarsienne ju
ce postérieure. - L'hypoesthésie existe aux plantes des pieds et la
jambe
droite jusqu'au pli fessier. Cet amoindrissement
upeser l'urinai avec certain geste des bras et certaine posture des
jambes
qui font de sa con- sultation une manière de pa
s souffrances. Ajoutons que l'on ne constate, ni au pied, ni sur la
jambe
, aucun trou- ble de la sensibilité tactile ou d
it faire suivant la méthode dite d'lix-la-Clapelle, d'abord sur les
jambes
, puis sur les cuisses, puis sur le ventre, etc. A
au bout de quelques minutes de marche une grande souffrance dans la
jambe
droite. Il est obligé de s'arrêter une dizaine de
tente douloureuse par oblitération artérielle ; mais l'examen de la
jambe
malade nous amène à une autre supposition. Cett
amen de la jambe malade nous amène à une autre supposition. Cette
jambe
qui garde, même dans les grandes douleurs, la mêm
garde, même dans les grandes douleurs, la même co- loration que la
jambe
saine, dont la température ne se modifie pas, don
au mollet, mais encore à la cuisse. Après 10 minutes de marche, la
jambe
est entièrement raide et l'on croit observer une
il ne pense ni à la marche ni à sa 356 F. RAYMOND ET PIERRE JANET
jambe
. Dès qu'il regarde sa jambe droite ou dès qu'il e
i à sa 356 F. RAYMOND ET PIERRE JANET jambe. Dès qu'il regarde sa
jambe
droite ou dès qu'il essaie de marcher tous les
utes insupportable et qui amène, à sa suite, la raideur de toute la
jambe
. Le malade sent très bien que la flexion des or
une claudication intermittente, c'est un spasme des orteils. Cette
jambe
ne présente aucun autre trouble du mouvement ; si
le ma- lade et si on lui commande avec fermeté chaque mouvement des
jambes
, il peut exécuter des pas gymnastiques sans spa
e gymnastique portant, non pas précisé- ment sur le mouvement de la
jambe
, mais sur l'attention à ce mouvement. Ils devai
ucation se faisait facilement. Malheureusement, la guérison de sa
jambe
, était à peine obtenue que Db... eut à souffrir
de bien conformé, très robuste; 2 hernies inguinales, varices aux 2
jambes
. ' La main droite présente les doigts écartés l
s'assied et se recouche facilement. Les mouvements des bras et des
jambes
se font bien. Le malade marche bien. Les omop
rche assez bien ; même les yeux fermés, il peut se tenir sur chaque
jambe
. Sensibilité : douleurs lancinantes et fourmill
ons ce- pendant que la paralysie infantile n'avait intéressé que la
jambe
droite. Observation IL Paralysie infantile du
lets chez un maître de ballet (IIall11110nd); par les muscles de la
jambe
chez un maçon qui, pendant son travail, faisait s
ant son travail, faisait supporter tout le poids du corps sur cette
jambe
(Hammond). Parmi les malades présentant le mode
alysie infantile dans les premières années de la vie ; début par la
jambe
paralysée et par les muscles surmenés des avant
r pied plat gauche datant de l'enfance. Le malade a remarqué que la
jambe
gauche a toujours été plus maigre que la droite
ent des mollets et des régions musculaires antéro-internes des deux
jambes
. Circonférence des jambes à la partie moyenne,
ns musculaires antéro-internes des deux jambes. Circonférence des
jambes
à la partie moyenne, 27 centimètres des deux cô
dans le mode de débul par les avant-bras et 372 9 G. ÉTIENNE les
jambes
, ce cas, de même que l'observation II, présente e
ophie progressive a très nettement débuté si- multanément et par la
jambe
antérieurement atteinte par la paralysie infant
s muscles de la face n'a pas progressé. Les muscles des bras et des
jambes
, ont sensiblement gardé le même vo- lume. L'i
. 5 ; gauche, 42 centimètres. Circonférence, partie moyenne de la
jambe
droite, 31 cent. 5 ; gauche, 31 centimètres.
3,5 c. m. La sensibilité à la piqûre est normale partout, sauf aux
jambes
où elle est très légèrement retardée (au niveau
multiples individus qui tombent, se contusionnent ou un bras ou une
jambe
, qui reçoivent un traumatisme violent, qui ont
upé il fendre un tronc d'arbre, reçoit à la partie antérieure de la
jambe
gauche un éclat de bois qui lui fit une plaie c
ent, le malade qui n'avait pas cessé de travailler, remarqua que sa
jambe
s'était affaiblie et qu'elle avait diminué de v
située exactement à la paroi moyenne de la région antérieure de la
jambe
gauche, elle n'était nullement douloureuse. Il
sidérable de tout le membre inférieur portant sur les muscles de la
jambe
, de la cuisse, de la fesse et ne prédominant pa
e légère érallure avec contusion au niveau du tiers inférieur de la
jambe
gauche. Il put se relever aussitôt et faire une a
de faiblesse dans le membre inférieur; bientôt il s'aperçut que sa
jambe
avait maigri ; il vint consul- ter. Le membre i
bre inférieur était notablement atrophié dans ses trois seg- ments (
jambe
, cuisse et fesse) ; toutefois l'atrophie prédomin
2) Charcot, loC. cit. 392 G. GUILLAIN ment dans les muscles de la
jambe
. Atrophie simple, sans contractions fibrillaire
igé de s'aider d'une canne pour marcher. L'amyotrophie porte sur la
jambe
, la cuisse, la fesse, elle est diffuse. Il n'y a
, dont nous avons rapporté plus haut l'observation, qui reçoit à la
jambe
un éclat de bois et qui fait dans la suite une at
éclat de bois et qui fait dans la suite une atrophie massive de sa
jambe
, avait continué son travail. L'employé de commerc
de commerce, qui sur le marchepied d'un wagon tombe et s'érafle la
jambe
, fait une longue mar- che après l'accident et n
rière il y a deux ans; il ce moment la marche était impossible, les
jambes
sautant dans tous les sens. Elle aurait eu des cr
. A. Face antérieure. Analgésie remontant jusqu'à la moi- tié de la
jambe
droite, hyperalgésie aux membres supérieurs et au
manifestée, il y a 8 ans, par de la gène dans les mouvements de la
jambe
gauche ; elle a éprouvé en même temps de la dip
près elle eut du ptosis de la paupière gauche. Les troubles dans la
jambe
gauche sont restés à peu près stationnaires pen
lons et la plante des pieds. Il y a trois ans, les mouvements de la
jambe
droite qui, jusque-là, était restés absolument no
II. Température. A. Face antérieure. A la chaleur, hypoesthésie aux
jambes
, à la face externe des cuisses et à la main droit
s, la malade, âgée de 43 ans, éprouva de la faiblesse dans les deux
jambes
; elle chancelait dans l'obscurité, la marche de
rouges plus prononcées et plus rapidement visibles au thorax qu'aux
jambes
. La recherche de la sensibilité à la piqûre, fa
31 kilogr. et 33 à droite. La malade ressent actuellement dans les
jambes
des élancements brusques et passagers, ils augm
sus-auriculaire. IL DouLEUR. - A. Face antérieure. - Analgésie aux
jambes
, depuis le pied jusqu'aux genoux ; hypoalgésie
e 2 secondes au milieu de la cuisse , de 4 secondes au milieu de la
jambe
; de deux secondes à la face dorsale du pied. A
A droite le retard est de 2 secondes au milieu de la cuisse et de la
jambe
; de 4 secondes à la face dorsale du pied. FR
sale des pieds, re- montant à droite jusqu'au tiers inférieur de la
jambe
; on trouve aussi de l'hy- poesthésie en demi-c
ite jusqu'au creux poplité, à gauche jusqu'au tiers inférieur de la
jambe
. Il existe une plaque d'anesthésie sur la fesse
DE GOTIIARD il a été atteint, il y a dix ans, d'une paralysie de la
jambe
droite. Elle a deux enfants, et n'a pas fait de
Hyperesthésie au chaud à toute la partie supérieure du corps et aux
jambes
jusqu'à i'articu)ation tihio-tarsienne. Hypoest
tion. Rien de plus exact que l'attitude effondrée de son corps, une
jambe
repliée, l'autre allongée en avant, le talon ra
re, cet incident ne dépare nullement sa somptueuse beauté. : Si ses
jambes
ne la soutiennent plus, du moins repose-t-elle su
ntracture incomplète (en flexion pour la main, en extension pour la
jambe
) sans paralysie faciale. Quelques mouve- ments
he est très raide ; la rigi- dité est notablement plus marquée a la
jambe
gauche, l'extension et la flexion volontaires s
minime importance, « C'est, répondit-elle, une grosse enflure de la
jambe
droite, qui dure depuis près de cinq ans ». A
et la cheville ont commencé à gros- sir, puis l'enflure a gagné la
jambe
et s'est arrêtée au genou. Aucune chute, (1) Vo
u début de cette tuméfaction, non plus que les années suivantes. La
jambe
et le pied sont restés gros, durs au toucher, t
eux. Il a bien fallu porter un bas et une chaussure plus larges, la
jambe
est devenue un peu lourde à mouvoir, mais la marc
née. Au demeurant, la jeune fille paraissait considérer sa « grosse
jambe
» comme une infirmité de vieille date avec laqu
enflure volumineuse, défigurant tous les con- tours. Cuisse, genou,
jambe
et pied disparaissent, noyés dans une sorte de
, ici surtout, le « pantalon de zouave » de l'éléphantiasis. Sur la
jambe
, on chercherait en vain à reconnaître en avant
fformité est rendue plus saisissante encore par comparaison avec la
jambe
saine qui conserve un irréprochable modelé. A
rs sont réguliers, les formes correctes. Et il en est ainsi de la
jambe
gauche : elle est indemne du haut en bas. Une d
droit, survenu sans douleurs et sans fièvre, cantonné au pied et à la
jambe
pendant plusieurs années et ayant récemment env
diminuée sur toute la moitié droite du corps : tête, bras, tronc et
jambe
. C'était une hémi-hypoesthésie nettement arrêté
ant la ligne médiane et accompagnée d'une anesthésie en botte de la
jambe
et du pied droit. Par surcroît, on découvrait une
et confirma tous les dires de Fe... Chez elle aussi, l'enflure des
jambes
avait débuté vers l'âge de 13 ans au moment de
rent envahies simul- tanément, et depuis près de quatre ans, pieds,
jambes
et cuisses sont dé- formés à l'extrême, tuméfié
ransparente, et les bandes que la jeune fille enroule autour de ses
jambes
dessinent des sillons assez longtemps persistants
témoignent. Elles excèdent d'au moins dix centimètres celles d'une
jambe
normale. Il est facile de s'en rendre compte en
ile de s'en rendre compte en prenant pour terme de comparai- son la
jambe
saine de la soeur cadette, qui est à peu près de
le que son aînée. On constate en outre que chez cette dernière la
jambe
droite est nota- blement plus grosse que la gau
auche cm. cm. cm. cm. Au niveau des malléoles 29 28 32 23 de la
jambe
(p. moy.).... 42 39 42 31 du genou 43 38 H 1 32
ital St-Louis où elle fut soignée, dit-elle, pour une «phlébite ». La
jambe
droite était plus grosse, plus rouge, et extrêm
, elle aussi, depuis sa treizième année, atteinte d'une enflure des
jambes
en tous points com- parable à celle que présent
té de la même façon, par les deux pieds, pour enva- hir ensuite les
jambes
; toutefois, il n'a jamais dépassé le genou. No
tion cardiaque ni rénale ; elle n'a jamais été malade ; ses grosses
jambes
, qui sont effectivement l'image exacte de celle
ubles de la sensibilité. Rien qu'une difformité symétrique des deux
jambes
portant sur le tissu cellulaire sous-cutané.
ction. Son pied droit, le cou-de-pied et la moitié inférieure de la
jambe
du même côté sont notablement tuméfiés. Et c'es
ore, un peu moins blanc ici que chez la mère et les deux soeurs. La
jambe
gauche est indemne ; mais rien ne dit, fait rem
rnels par conséquent, ont été l'un et l'autre porteurs de « grosses
jambes
» qui res- semblaient à celles des enfants. L
ge de 25 ans,était oedématié des deux mem- lires inférieurs, pieds,
jambes
et cuisses. Il mourut brusquement, parait-il, e
ait trop de quoi. Celui-ci, comme sa soeur, n'avait que des grosses
jambes
, les cuisses étaient respectées. Il aurait eu,
it village de la Brie, présente, elle aussi, la même difformité des
jambes
, et des jambes seulement, comme sa fille, et l'
a Brie, présente, elle aussi, la même difformité des jambes, et des
jambes
seulement, comme sa fille, et l'un de ses fils.
t est certifié, affligé de la même façon des deux pieds et des deux
jambes
, les cuisses étant respectées. ' Arrière grand-
près la fin du siècle dernier, ne tenait pas lui-même ses « grosses
jambes
» d'un héritage pathologique encore plus reculé
araissant à l'âge de la puberté, occu- pant tantôt les pieds et les
jambes
, tantôt la totalité des membres infé- rieurs, e
un cas intitulé : Eléphantiasis noslras symétrique du pied el de la
jambe
. Cette observation diffère notablement des nôtres
depuis l'âge de 18 ans d'oedèmes partiels (pieds, mains, avant-bras,
jambe
, scrotum), indolores, apparaissant brusquement
t douloureux en plaques symétriques à la partie antérieure des deux
jambes
, rappelant l'aspect de l'éléphantiasis, survenu
es les parties du corps, y déterminant « une enflure dont celle des
jambes
est la plus remarquable... » telle due « quand
este aucune marque »... et qui « le plus souvent n'est qu'à une des
jambes
». La description de l'auteur anglais semblait
espondait bien à la loca- lisation la plus ancienne de son enflure (
jambe
et pied). Au-dessus, la cuisse, l'oedème étant
e femme de 32 ans, hystérique, qui fut atteinte d'éléphantiasis des
jambes
et des pieds à Page de 15 ans. D'abord l'oedème
é des hôpitaux de Rome (1896) a signalé un oedème des deux pieds et
jambes
survenu chez une hystérique; mais les mains éta
es membres inférieurs, présentait en outre un oedème symétrique des
jambes
. L'oedème était dur, très résistant, douloureux
terminait brusquement par un (1) Geoiiges moyeu, Eléphanliasis des
jambes
chez une hystérique, Soc. de med. de Berlin, 1
la troisième poussée d'oedème la tuméfaction persista, surtout à la
jambe
droite où elle atteignit des pro- portions cons
t en arrière jusqu au pli fessier, le pied demeu- rant normal. La
jambe
gauche était également oedématiée, dure, mais nor
'un homme de 32 ans chez lequel, à la suite de douleurs vives de la
jambe
droite, survint un oedème mou, et indolore du p
a jambe droite, survint un oedème mou, et indolore du pied et de la
jambe
. LE TROl'H(DÉME CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE 469 C'e
eurs. L'enflure était très développée au niveau de la cuisse, de la
jambe
, de la face dorsale du pied, nulle à la fesse,
s caractères indiqués par M. Debove (considérable à la cuisse, à la
jambe
et sur le dos du pied, nul à la l'esse, au creux
L'hypertrophie avait atteint des proportions énormes, réalisant aux
jambes
cet aspect de l'éléphantiasis connu sous le nom d
onnait le nom d' oedème rhumatismal chronique (1). OEdème dur des
jambes
et des pieds, plus marqué à droite, donnant la-
n oedème des extrémités inférieures, plus accentué aux pieds et aux
jambes
, et s'arrêtant au genou. Les caractères clini
ration (1 168) : Mme W., indemne. La soeur de Mme W. : oedème d'une
jambe
. 2e génération : Joseph W., fils de Mme W. : oe
jambe. 2e génération : Joseph W., fils de Mme W. : oedème des deux
jambes
. (1) RtCocnoN.Cas familiaux '0'dëMM aigus et ré
nombre de neuf. 4. enfants indemnes. 4 enfants avec oedème d'une
jambe
. 1 enfant avec oedème des deux jambes. 4e gén
4 enfants avec oedème d'une jambe. 1 enfant avec oedème des deux
jambes
. 4e génération : A. Les enfants de Lydia, 2e fi
fants de Charité, 6e fils de Joseph W. 3 indemnes. 1 oedème de la
jambe
. E. Les enfants de Sally, 7e fille de Joseph W.
nts de Julia, ge fille de Joseph W. 3 indemnes. 1 oedème des deux
jambes
. ? 0 génération : Comprenant 48 membres, sur lesq
omprenant 48 membres, sur lesquels li-3 indemnes. 1 oedème des deux
jambes
. 4 oedème d'un pied. 6e génération : Sur les
es nombreux enfants connus. 1 oedème d'un pied. 1 oedème des deux
jambes
. Cette étonnante généalogie peut se passer de c
er seulement que dans la famille W.. l'oedème n'a jamais dépassé la
jambe
. On a vu que dans notre exemple, il avait plusi
hérique envahit un ou plusieurs seg- ments du corps (les pieds, les
jambes
, les cuisses). , Si une seule moitié du métamèr
yeux tout au moins. On voit des jeunes gens qui poussent tout en
jambes
, d'autres tout en tronc, on en voit chez qui la
jà la diversité des localisations : un seul pied, les deux pieds, une
jambe
, (1) La distribution métamérique de certaines a
rnal de Neurologie de Bruxelles, 1S99, no 9. 480 HENRY MEIGE deux
jambes
, un membre inférieur tout entier, ou les deux à l
ntait un oedème dsytrophique du membre supérieur gauche. Toute la
jambe
gauche depuis la racine de la cuisse jusqu'aux or
hie ci-jointe donne la physionomie. On voit par comparaison avec la
jambe
saine, combien la déformation est considérable.
esures de circonférence des membres in- férieurs est le suivant :
Jambe
droite. Jambe gauche. Circonférence au niveau d
onférence des membres in- férieurs est le suivant : Jambe droite.
Jambe
gauche. Circonférence au niveau des malléoles..
'hui. La sensibilité est intacte dans ses divers modes sur toute la
jambe
oedématiée (tact, chaleur, froid, douleur, humi
eur, humidité, etc.). xii 32 482 A. VIGOUROUX La motilité de la
jambe
est entièrement conservée ; les mouvements de f
a jambe est entièrement conservée ; les mouvements de flexion de la
jambe
sur la cuisse ne sont limités que par l'épaisseur
épaisse au niveau du creux poplité : les mouvements du pied sur la
jambe
sont très libres. La malade n'éprouve pas de do
jambe sont très libres. La malade n'éprouve pas de douleur dans la
jambe
et n'en a jamais éprouvé. Elle marche facilemen
r chez elle. Sa démarche est normale, elle tire cependant un peu la
jambe
quand elle est fatiguée : la seule gêne qu'elle
ée : la seule gêne qu'elle éprouve, dit-elle, est celle d'avoir une
jambe
plus lourde que l'autre : mais lorsqu'elle n'épro
lorsqu'elle n'éprouve pas de fatigue elle marche sans boiter. La
jambe
droite, le tronc, les bras, la face, sont entière
poque de la puberté, à (le treize ans, qu'elle s'est aperçue que sa
jambe
gauche était plus grosse que l'autre, mais elle
s que nous connaissons la ma- lade le rapport volumétrique des deux
jambes
n'a pas varié, non plus que leur aspect. - L'
'à droite. Etat ichthyosique des téguments de la face interne de la
jambe
droite. Les orteils sont en extension légère pa
corps, par exemple à l'une des moitiés de la face, à un bras ou à une
jambe
. Historique. — Nous nous bornerons ici à quelqu
R----marche en boitant. Il lui est impossible de se tenir sur la
jambe
droite seule. Droite. Gauche. Circonférence d
timètres au-dessus de la rotule........ 32e 3uc Circonférence de la
jambe
à 10 centimètres au-dessous de la rotule.........
ètres au-dessous de la rotule.........2oe,5 27e Circonférence de la
jambe
au niveau des malléoles......20e,5 21e Circonfé
enne. Développement assez marqué,et au même degré, de varices sur les
jambes
depuis deux ans. — Poids : 30 kilogr. Dans ce c
à 10 cent, au-dessus de la rotule.. . 36e 41e Circonférence de la
jambe
à 10 cent, au-dessous delà rotule loc 29e Circo
rfois ; la malade s'incline sur le côté gauche ; quelquefois aussi la
jambe
fléchit tout à coup. Les différents modes de la
10 cent, au-dessus de la rotule ... 32 36,5 Circonférence de la
jambe
à 10 cent. au-dessous de la rotule........ 25
ent. au-dessous de la rotule........ 25 27 Circonférence delà
jambe
au niveau des malléoles. . 22 22,5 Circonférenc
au est moins grande qu'au membre supérieur. Au palper, le genou et la
jambe
sont plus frais à droite qu'à gauche. Les diffé
ce du froid extérieur est la même. Au palper, la main, le genou et la
jambe
du côté droit sont plus froids que les régions co
ve l'enfant, on constate qu'elle ne se tient que difficilement sur la
jambe
qui répond au bras paralysé. Dans la marche, l'en
be qui répond au bras paralysé. Dans la marche, l'enfant traîne cette
jambe
, le pied se renverse. En un mot, les membres d'un
qui ont duré neuf heures n'ont frappé que la moitié droite du corps :
jambe
, bras, bouche. Au réveil, elle était paralysée et
eil, elle était paralysée et ne pouvait du tout mouvoir le bras et la
jambe
du côté droit. Trois mois se passent, alors elle
u côté droit. Trois mois se passent, alors elle marche en traînant la
jambe
et quelques mouvements redeviennent possibles au
jambe et quelques mouvements redeviennent possibles au bras. Bras et
jambe
étaient alors « comme du chiffon, sans vie. » C'e
Cire, à 10 cent, au-dessus de la rotule. . 45,5 49,5 Cire, de la
jambe
à 10 cent, au-dessous de la rotu'.e........ 31,5
ras. L'infirmière l'a soutenue dans sa chute et l'a assise contre ses
jambes
. Gr... avait tout le corps roide, mais on ne saur
14 ans; — les convulsions, affirme-t-on, étaient plus fortes dans la
jambe
que dans le bras. Emma les sentait venir : elle s
ent par des mouvements provoqués. La malade plie, allonge, soulève la
jambe
avec une certaine force. Pas d'atrophie musculair
7e 51e Cire, à 10 cent, au-dessus delà rotule 36 38,5 Cire, de la
jambe
à 10 cent, au-dessous de la rotule.. 27 31,5 Ci
er arc de cercle. La déambulation s'accompagne d'un tremblement de la
jambe
qui s'accuse quelquefois davantage quand la malad
ccuse quelquefois davantage quand la malade s'arrête et appuie sur la
jambe
paralysée. La parole est passablement embarra
e à la Sal pêtrière., les convulsions étaient plus fortes dans la
jambe
que dans le bras du côté paralysé. Abordons mai
ep-sie.— Aura. —Tremblement des membres paralysés.— Sept abcès sur la
jambe
paralysée.— Modification de l'épilepsie. — Attitu
e, à cet age, il n'y avait pas de différence de volume entre les deux
jambes
. De 3 ans et demi jusqu'à 10 ans, les accès ont
vait des mouvements convulsifs que l'on qualifie d'agitation, dans la
jambe
et le bras du côté droit. Rougeole à 3 ans ; au
e. A 10 ans (1870), sept abcès se sont développés sur le pied et la
jambe
paralysés. Des incisions ont été pratiquées ; il
entimètres au-dessus de la rotule........ 31 33 Circonférence de la
jambe
à 10 centimètres au-dessous de la rotule.........
entièrement. Elle marche en fauchant (à droite) et fléchit plus de la
jambe
paralysée que de l'autre. La colonne vertébrale
paraît en dehors d'eux. De plus, il s'est produit, autrefois,, sur la
jambe
paralysée sept abcès qui ont laissé des cicatrice
ès « qui revenaient souvent, » et une série d'abcès sur le bras et la
jambe
paralysés. Les accès ont continué, l'apparition
ceux du cou-de-pied limités. — Les poils sont moins développés sur la
jambe
droite que sur la gauche. — Il existe des cicatri
On assure, en tous cas, que, dans la marche, elle ne traînait pas la
jambe
. • Environ un an plus tard, M... eut, durant une
èrent après elles un certain degré de paralysie; l'enfant traînait la
jambe
droite. De 5 ans et demi à 6 ans et demi, la pa
jambe droite. De 5 ans et demi à 6 ans et demi, la paralysie de la
jambe
droite ne s'est pas aggravée. Le membre supérieur
e. Six mois après son entrée, on remarqua des accès d'agitation de la
jambe
droite qui duraient une trentaine de secondes. La
egré d'irritabilité. En octobre 1875, les accès d'agitation de la
jambe
droite sont devenus plus forts et Vagitation, c'e
is, les caractères vibratoires des convulsions circonscrites à la
jambe
droite pendant quelque temps ; ensuite leur exten
le même sens; la commissure labiale gauche est rétractée ; — puis, la
jambe
gauche et la moitié correspondante de la face son
e fléchie sur l'avant-bras. Une demi-heure plus tard, le bras et la
jambe
du côté gauche étaient de nouveau contractures et
antôt plus, tantôt moins intense. P... se lève, marche en traînant la
jambe
et offre une attitude vraiment curieuse (Pl. VIII
ent tous absolument souples. 30 nov. — Contracture habituelle de la
jambe
gauche. Quand on la soulève et qu'on fléchit le p
te plusieurs fois. Elle gesticule, fait aller très-bien le bras et la
jambe
gauches. Elle était maintenue par un lien sur un
s du côté gauche. Les mouvements provoqués, la flexion du pied sur la
jambe
ne déterminent pas aujourd'hui de trépidation.
t tirée à gauche (Pl. IX). Le cou est très-tendu. Les bras et les
jambes
sont dans l'extension et rigides, les membres du
tude des doigts n'est pas * toujours la même : le pouce, l'index La
jambe
gauche s'élève au-dessus du lit et est prise de p
lit et est prise de petites secousses tétanifor-mes et rapides. — La
jambe
droite n'abandonne pas le lit et est immobile.
e que les accès se multiplient, on voit les membres du côté droit, la
jambe
en premier lieu, être envahis par la rigidité d'a
extension, et le pied est en varus équin; — Puis, il survient dans la
jambe
seule, des secousses tétaniformes. — Les membres
alade est assise, les bras sont allongés presque horizontalement, les
jambes
sont dans l'extension et soulevées, cle telle sor
Les bras et Planche XI. HYSTÉRO-EPILEPSIE ÉTAT NORMAL les
jambes
sont allongés, rigides. Le pied gauche, en va-rus
; — mains sans cesse agitées ; dans la marche, flexion fréquente des
jambes
, surtout de la gauche ; souvent la pointe du pied
de deux phases : a) Tout le corps seroiditjles bras sont fléchis, les
jambes
allongées. La face est pâle, immobile et tournée
mordre, mâchonne largement. On remarque des mouvements du ventre, des
jambes
et des bras qui s'allongent et se fléchissent.
ts ... Oh ! non ! Oh ! non... (Elle essaie d'écarter quelqu'un de ses
jambes
)... Vous n'avez pas honte... dans ma pauvre posit
e 8). Elle dit que, après l'injection, sa bouche se dessèche, que ses
jambes
tressautent et qu'elle s'endort. Elle perd moins
si on la soutient sous les deux bras. Elle traîne considérablement la
jambe
gauche, sur laquelle elle ne peut se tenir et qui
crampes; les divers phénomènes ont gagné peu à peu le cou-de-pied, la
jambe
et le genou qu'elles n'ont pas dépassé. — A droit
—La contracture du pied et du genou gauches persiste. V... dit que sa
jambe
est froide et douloureuse à la pression. Applic
urmillements, « sensation de desserrement, comme si on me dénouait la
jambe
, » ensuite sentiment de pesanteur). — La paralysi
° le phénomène du tendon rotulien, qui consiste en ce que, lorsque la
jambe
étant placée sur le bras de l'opérateur, si l'on
le bras de l'opérateur, si l'on frappe un coup sec sur le tendon, la
jambe
est soulevée par deux ou trois secousses, ce qui
873. — Secousse?. — Tremblements, sauf-, paralysie, contracture de la
jambe
droite ; — contracture dit bras droit ; — dispari
vait pas se servir de son bras qui retombait, ni marcher parce que la
jambe
fléchissait et se pliait. Au bout de huit jours,
ber les objets qu'elle tient dans la main droite, et traîne un peu la
jambe
correspondante qui lui parait lourde. La sensib
fermés, on imprime différentes positions aux doigts, au bras ou à la
jambe
, elle ne sait plus indiquer, sans erreur, l'attit
vements de latéralité de la tète, mouvements brusques des bras et des
jambes
, ce qui constitue une seconde phase. — Enfin, ell
34 attaques. T. R. 38°. 3 décembre. — Hier, dans l'après-midi, la
jambe
droite était prise do tremblement dès que. le pie
secousses dans tout le corps. Quand elle s'est levée, ce matin, sa
jambe
droite tremblait; à partir de 8 heures et demie,
La compression, pratiquée à 9 heures, a mis fin aux mouvements de la
jambe
. 5 décembre. — De minuit à 7 heures, sommeil tr
t elle pleure. Elle a aussi des crampes très-douloureuses dans la
jambe
. Les mouvements de déglutition, les mouvements
refuse de donner des détails. 6 décembre. — Paralysie absolue de la
jambe
droite. La malade ne peut la fléchir, ni l'allong
est possible qu'à l'aide de deux personnes, L... s'appuie bien sur la
jambe
gauche; mais la droite reste en arrière, tournée
mmeil assez tranquille, interrompu toutefois par des douleurs dans la
jambe
droite. Au réveil, contracture très-prononcée du
s, les convulsions cloniques tétaniformes, sont très-marquées dans la
jambe
gauche, et légères dans la droite. T.R. 37°, 6.
9 décembre. — Ce matin, à 4 heures, la contracture persistait. — La
jambe
droite a commencé à sauter très-fortement, puis a
nt un peu engorgées. 12 décembre. — Durant la nuit, crampes dans la
jambe
paralysée. — De 8 à 10 heures 11 attaques. Revenu
s 11 attaques. Revenue à elle, X... raconte qu'elle a éprouvé dans la
jambe
des « fourmis » et des crampes qui l'auraient « f
nquième attaque de la sixième, on s'est aperçu que la paralysie de la
jambe
droite avait cessé, car la malade la pliait et l'
s, nous vérifions la disparition de la paralysie : X... se sert de sa
jambe
, dans laquelle il n'y a plus aucune sensation pat
yeux étant ouverts, elle est capable de se tenir sur l'une ou l'autre
jambe
et de marcher en regardant ses pieds. Le pied dro
décembre. — Les règles ont fini le 12 au soir. — X... déclare que la
jambe
droite est encore faible ; elle ne peut en effet,
droite est encore faible ; elle ne peut en effet, se tenir sur celte
jambe
seule. 1877. 6 janvier. — 31 atla ques ; qu
ns l'extension; la cuisse est en outre dans l'adduction tandis que la
jambe
est un peu écartée ; le pied est en équin. Le m
inuit à 2 heures, dix attaques durant lesquelles la contracture de la
jambe
gauche s'est dissipée. — Constipation depuis quat
ale ; — rétention d'urine ; — perte de la notion de position des deux
jambes
. 21 février. — Les vomissements ont cessé : gar
— A 5 heures, secousses du tronc qui se fléchissait en avant; — de la
jambe
et surtout du bras droit. Ces secousses étaient a
ion de la contracture du bras après la quatrième attaque et de la
jambe
après la cinquième. Période de délire. — X... c
cture. — Hé-mianeslhésie droite complète; —hémianalgésie gauche. —Les
jambes
sont solides ; toutefois, dans fa marche, X... es
ouveaux baisers... Elle sourit, exécute des mouvements du ventre, des
jambes
). «Tu recommences... Ça n'y est pas (bis)... » (E
e d'amyle. — Soir: T. R. 38°. 3 juin. — Ce matin, tremblement de la
jambe
droite remplacé une demi - heure plus lard par un
souvent animés de mouvements. — X..... prétend « qu'on lui tire la
jambe
du talon à la fesse, comme avec un fil de fer. »
la à 5, 6.... 10 reprises différentes. En même temps, les bras et les
jambes
sont animés de grands mouvements cloniques de fle
uffés. En revenant à elle, ce jour-là, L... pleure, se plaint de sa
jambe
droite « qui se retire. » Elle est, en effet, con
lques minutes, se dissipent. L... demande à boire. La douleur de la
jambe
droite reste aussi intense et la contracture des
ge. » Bientôt, le bras se détend, se fléchit, devient libre ; puis la
jambe
se fléchit à son tour et exécute à cinq ou six re
de flexion et d'extension. En un mot, il y a une sorte de folie de la
jambe
, semblable à celle que nous avons décrite pour la
l'hospice même; elle se débat, résiste : « Je ne décroiserai pas les
jambes
... » Cet Emile lui reproche de faire la cour aux
pprochés ; les épaules sont soulevées. X... prétend ne pas sentir ses
jambes
; la droite reste rigide. Dans la marche, le pied
nte esttremblot-tante. Les bras sont rigides, contournés, secoués. La
jambe
droite est allongée et rigide; la gauche simpleme
elle se rappelle qu'on a essayé d'allonger sa langue, de fléchir ses
jambes
, etc. 7novembre. — Depuis le 1er novembre, chor
férieur, qui était allongé, se fléchit, la cuisse sur le bassin et la
jambe
sur la cuisse; dans ce mouvement, le talon seulem
cond temps. centimètres des genoux. Si- multanément le bras et la
jambe
, du côté droit, s'allongent; le bras et la jambe
nément le bras et la jambe, du côté droit, s'allongent; le bras et la
jambe
du côte gauche demeurent tranquilles. {Fig. 6). L
on ovarienne droite fait cesser la contracture des mâchoires et de la
jambe
, mais le bras droit se contracture et la langue r
on étant abandonnée, la contracture disparaît au bras et revient à la
jambe
. Les mâchoires conservent leur liberté. Inhalat
rait, je ne savais pas ce que cela voulait dire.. . Il m'écartait les
jambes
... Je ne savais pas que c'étaitunebêtequiallaitme
ysionomie est souriante, exprime le bonheur. L... remue doucement les
jambes
et le bassin. ¦ Je serai forcée de le dire à pa
mal... non, vous n'y arriverez pas. » (Elle croise énergiquement les
jambes
, résiste violemment à C... qui veut la prendre de
chi en travers du dos ; — du bras gauche demi fléchi en avant ; — des
jambes
dans l'extension; les pieds sont en varus équin.
e ; qu'on re-» marqua entre autres postures, une telle extension » de
jambes
, qu'il y avoit sept piés de longueur d'un » pié à
suite d'attaques, elle a été affectée d'une véritable paralysie de la
jambe
droite. e) Vanestkésie, \d.parésie, ]a.paralysi
s, variétés, attitude du crucifiement, extases. — Contracture de la
jambe
droite. — Hallucinations de la vue et de l'ouïe.
age. Après une série, la malade assure avoir eu une contracture de la
jambe
droite, puis et successivement du bras correspond
elles s'ajoutent, mais non constamment, des mouvements de flexion des
jambes
, et des contorsions sur place du tronc. c) Phas
échit en avant et retombe brusquement sur le lit, avec mouvements des
jambes
, etc. Parfois, le corps se met en arc, ne reposan
anche XXXV1XI. ATTITUDES PASSIONNELLES BÉATITUDE le front et la
jambe
, avec interversion brusque ; 2° par une décharge
ttaques, A... conserve, pendant une demi-heure, une contracture de la
jambe
droite. 23 juin. — La malade a vu, cette nuit,
- - R. exerce depuis 1878 la profession de mégissier. De ce fait sa
jambe
droite. est constamment exposée à l'air et à l'
ns, l'affection actuelle semble avoir débuté insi- dieusement par h
jambe
droite qui se recourbe en dedans dans sa totalité
e recourbe en dedans dans sa totalité. Puis la-déformation gagne la
jambe
gauche; en même temps le malade « se tasse », s
l sort amélioré. En septembre crises douloureuses au niveau de la
jambe
droite sur la- quelle il ne peut s'appuyer ; ce
Son attitude rappelle celle des grands singes anthropomorphes. Les
jambes
sont torses, le corps ramassé sur lui-même penc
ès considérable entre les deux genoux. Les deux segments, cuisse et
jambe
, contribuent à la dé- formation. Les os sont co
um : Diamètre antéro-postérieur = 8 cent. 1/2 Hauteur - = 5 cent.
Jambe
. Le tibia est très augmenté de volume ; courbé da
in (pi. III), et ne s'en tenir qu'a l'incurvation du grand os de la
jambe
, il serait bien difficile d'établir un diagnostic
pproche du type commun , , " 1. (1) Planche V. 1. Squelette de la
jambe
droite.atteinte d'ostéite déformantedePaget. -
4 ? T. vu, PL. 1. ' OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET Déformation des
jambes
et faciès. (Cas de Thibierge.) L. BATTAILLE ET
mme un bassin de femme. Les déformations du thorax, des bras et des
jambes
donnent au malade debout l'attitude typique de
debout l'attitude typique de la maladie de Paget. FI. se tient les
jambes
écartées, en arc de cercle, le corps penché en
origine de cet ictus. Il faut noter en particulier la rai- deur des
jambes
et la position des pieds juxtaposés en extension,
ns cette station, l'homme est debout portant également sur les deux
jambes
qui sont en extension. Les pieds qui se louchent
station de la tête sur la colonne vertébrale et pour la station de la
jambe
sur le pied, elle est ruinée pour le resle du c
, pour constater que les muscles triceps fémoraux, extenseurs de la
jambe
sur la cuisse, sont dans le relâchement; de même
nsion de l'articulation du genou. DE LA STATION 77 Station (les
jambes
sur les pieds. L'articulation tibio-tarsienne n
ous la peau du cou-de-pied les tendons des muscles antérieurs de la
jambe
. Nous avons vu que la ligne de gravité du corps
le poids du corps au lieu d'être supporté éga- lement par les deux
jambes
, se trouve presque complètement reporté sur une
rt plus qu'il affermir l'équilibre. La pression de cette der- nière
jambe
sur le sol est fort minime, et ne dépasse pas de
ui par de légers mouvements contribue à l'y ramener (Fig. 28). La
jambe
sur laquelle le corps s'appuie prend le nom de «j
(Fig. 28). La jambe sur laquelle le corps s'appuie prend le nom de «
jambe
por- tante ». Si cette jambe est la droite, on
lle le corps s'appuie prend le nom de «jambe por- tante ». Si cette
jambe
est la droite, on dit que l'homme hanche il droit
d'abord un mou- vement autour de l'articulation coxo-fémorale de la
jambe
portante, rota- lion autour d'un axe sagittal e
que l'autre est déplacée en avant et cela d'autant plus que .la la
jambe
fléchie est davantage portée dans le même sens, e
enfin le bassin tout entier est déplacé latéralement du côté de la
jambe
portante. Ce dé- placement latéral est nécessit
ncline en haut et en dehors. L'axe des hanches penche du côté de la
jambe
fléchie, et l'axe des épaules incline aussi mais
ernal tombe sur le milieu de l'articu- lation tibio-tarsienne de la
jambe
portante. L'axe du torse, c'est-à-dire la ligne
portant, le torse dans son ensemble est comme déjeté du côté de la
jambe
fléchie. Dans le premier cas, au contraire, le
s l'un par rapport à l'autre, tendent à se rapprocher du côté de la
jambe
fléchie et il s'éloigner du côté de la jambe po
pprocher du côté de la jambe fléchie et il s'éloigner du côté de la
jambe
portante. Tout ce qui précède devient la raison
g. 28). Nous commencerons parles extrémités inférieures. Les deux
jambes
offrent un contraste frappant non seulement par l
r la conformation même des parties. C'est ainsi que le mollet de la
jambe
portante est tendu, accusant nettement les diff
ne semblent pas avoir le même volume. Vue de face, la cuisse de la
jambe
portante est étroite, son diamètre transversal
pour ainsi dire, et que l'acte de soulever légèrement le pied de la
jambe
fléchie ne modifiera que bien peu l'altitude géné
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Aussi l'inclinaison du corps du côté de la
jambe
portante est-elle un ca- ractère obligé de tout
médiane. Elle s'accompagne en outre d'inclinaison en arrière si la
jambe
est portée en avant et d'inclinaison en avant si
rière si la jambe est portée en avant et d'inclinaison en avant si la
jambe
est portée en arrière. La plupart du temps, l
s, qui entourent le bassin. En premier lieu, le moyen-fessier de la
jambe
portante est contracté pour empêcher la chute l
ste des fléchisseurs, tenseur du l'ascia lata et couturier. Si la
jambe
est portée en arrière c'est au contraire la contr
bien curieuse il étudier dans la station sur un pied suivant que la
jambe
est portée en avant ou en arrière. Si nous prio
té de maintenir la rectitude du tronc en- traîné par le poids de la
jambe
portée en avant, pendant que de ce même côté. l
téro-postérieur par le contact constant des doigts de pied ou de la
jambe
elle-même avec le sol, de sorte qu'en somme l'a
t des pieds et dont les grands côtés sont égaux à la longueur de la
jambe
. Lorsque le corps est droit (Fig. 29). la lig
t fatigante à cause de la contraction exagérée des extenseurs de la
jambe
, destinée à empêcher la flexion de la cuisse sur
urs de la jambe, destinée à empêcher la flexion de la cuisse sur la
jambe
. Mais si cette flexion de la cuisse sur la jamb
e la cuisse sur la jambe. Mais si cette flexion de la cuisse sur la
jambe
s'accomplit, il arrive que les fesses prennent
de l'homme ci genoux. Nous avons vu plus haut que là hauteur de la
jambe
mesurée du sol à l'interligne articulaire est éga
urs de tête. Or un homme à genoux est en réalité un homme moins les
jambes
. On pourrait dire qu'il pose à terre par la face
s dire deux mois ici. Il s'agit de la station sur un genou, l'autre
jambe
étant fléchie et portée en avant. Celle altitud
poids du corps porte principalement sur le genou à terre ou sur la
jambe
fléchie et que cette dernière est verticale plu
ondition d'établir un contre-poids en avant, soit en allongeant les
jambes
, soit en fléchissant un genou et en s'y accro-
il existe encore quelques cicatrices déprimées et arrondies sur les
jambes
. L'infection syphilitique est restée silencieus
ètres. Elle résiste assez énergiquement, quand on veut flé- chir la
jambe
sur la cuisse ; au contraire elle n'oppose qu'une
insignifiante à l'extension, quand on lui commande de maintenir sa
jambe
fléchie. Nol..\ ICONOCR. DE LA S AI PÉTRI f R
la tête sur le tronc, le tronc sur les cuisses, les cuisses sur les
jambes
, et ces dernières mo- biles sur les pieds. La s
des muscles quadriceps fémoraux chargés d'assurer l'extension de la
jambe
sur la cuisse ; leur rôle étant inutile pour le m
laire paraît absolument nécessaire à la fixation en équilibre de la
jambe
sur le pied. La pesanteur, entraînant le corps en
peut être empêchée que par l'action des muscles posté- rieurs de la
jambe
et en particulier du gros muscle gastro-cnémien.
d Teuton qu'elles ibiieii t'le principal rôle dans la station de la
jambe
sur le pied. Mais ici'chez'notre" malade il ne
e en évidence le rôle des rétractions tendineuses des muscles de la
jambe
dans le mécanisme de la station debout, il. P. Hi
les sujets normaux et le pied se place aisément à angle aigu sur la
jambe
. Il est complètement impossible au con- traire
imputable à la faiblesse des muscles de la région antérieure de la
jambe
, mais bien à la rétraction qu'ont subie ceux de l
vincible que l'on rencontre lors- qu'on veut fléchir le pied sur,la
jambe
; à peine peut-on, dans la majorité des cas, ar-
e on voit la face dorsale du pied continuer le plan antérieur de la
jambe
: tels sont les pieds- bots signalés dans les o
ence du raccourcissement des muscles de la région postérieure de la
jambe
consiste en ce fait que les malades, lorsqu'ils m
e du pied place celui-ci dans une position telle qu'il fait avec la
jambe
un angle aigu ou- vert en avant. Chez nos malad
us pouvons donc en conclure que sous le rapport de la station de la
jambe
sur le pied, nos malades, au lieu d'être placés p
ntrent très nette- ment nos photographies instantanées, où les deux
jambes
étant écartées il la manière d'un compas les 2
son tour. Je désignerai par moment de la verticale, l'instant où la
jambe
portante devient verticale et où sa direction e
be portante devient verticale et où sa direction est croisée par la
jambe
oscillante. Et ce moment nous servira pour divi
ur. Dans une 2° phase (celle qui suit le moment de la verticale) la
jambe
portante est. oblique en sens inverse, et la jamb
la verticale) la jambe portante est. oblique en sens inverse, et la
jambe
oscillante est an- térieure. Ce sera le pas ant
appui. DE LA STATION ET DE LA MARCHE CHEZ LES MYOPATHIQUES 139 la
jambe
portante dans le but de rapprocher le centre de g
e pas directement en avant. Elle est oblique, tournée du côté de la
jambe
qui est postérieure. Pendant tout le pas postérie
re de ce mouvement parait être à l'articulation coxo-fémorale de la
jambe
portante, pendant que l'articulation de la jambe
coxo-fémorale de la jambe portante, pendant que l'articulation de la
jambe
oscillante occupe la périphérie. Mais ce n'es
sé sous silence. Pour Giraud-Tenlon le bassin s'élève du côté de la
jambe
oscil- lante. Il dit que ce mouvement d'élévati
mouvement d'élévation du bassin est nécessaire pour permettre à la
jambe
oscillante d'accomplir son oscillation sans heurt
anées nous montrent que le bassin incline légèrement du, côté de la
jambe
oscillante. Mais cette inclinaison est fort légèr
nt d'inclinaison latérale qui se produit à chaque pas du côté de la
jambe
portante. En somme tous ces mouvements du torse
iers entrer en contraction à chaque pas sur la hanche du côté de la
jambe
portante et celte contraction dure tout le temp
uve en même temps rejeté du côté opposé, c'est-à-dire du côté de la
jambe
portante. Quelle est la raison de ces deux ph
es cuis- ses, tandis que les avant-bras sonl bien développés et les
jambes
hypertro- phiées, les modifications spéciales d
otre malade. Elle aurait débuté à 15 ans par une faiblesse dans les
jambes
qui s'est accentuée peu il peu. A Ivry, elle po
nné un coup sous les jarrets ». Cela d'ailleurs lui arrive encore. La
jambe
gauche, ajoute-t-elle, a toujours été plus faib
orte que la droite. Tandis que la malade peut avec effort élever la
jambe
droite jusqu'à l'horizontale (triceps crural) e
s, on ne peut qu'à grand peine amener le pied il angle droit sur la
jambe
. Il existe assurément un certain degré de rétract
54 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE région postérieure de la
jambe
(-istro-enémiens). La résistance est un peu mie
très rapidement vaincue. Or, de tous les segments des membres la
jambe
, et surtout le mollet est la région qui à le mi
é de faiblesse des muscles, tant dans le mouvement de flexion de la
jambe
sur la cuisse que dans le mouvement d'abais- se
fi- cilement, grâce a une chaise ; elle grimpe alors le long de ses
jambes
. Rien d'appréciable à l'oeil dans la forme des
'en accuse pas la sensation. Pas de tremblement des mains. Mais les
jambes
naeollelit par- fois pendant la marche. La dé
hie vraie ou fausse des reliefs musculaires, ou bien (comme ici aux
jambes
) combler les méplats de l'atrophie au point de
étache avec peine le talon du lit et ne peut maintenir longtemps sa
jambe
étendue sur la cuisse quand le pied est soulevé.
également très faibles, elle Ilécllit volontairement assez bien la
jambe
sur la cuisse, mais n'offre aucune résistance à s
- l , ., ' -, » triceps fémoral : 40 C. très faibles; " : , (Aux
jambes
le volume des muscles parait sensiblement normal,
llon interfessier très élargi. Les cuisses sont très amaigries. Les
jambes
et les pieds semblent respectés. UN CAS DE MYOP
ble, ils produisent avec une énergie assez grande l'extension de la
jambe
sur la cuisse et s'opposent encore assez bien à
et n'opposent qu'une résistance minime il l'extension passive de la
jambe
. Vaste interne : notablement atrophié ; à 15mll
C. encore très faibles ; il 0 C. encore faibles. Les muscles de la
jambe
, les muscles antëro-externes comme les muscles
plus faible peut-être qu'a l'état normal ; l'extension du pied sur la
jambe
est également forte et dans cette position la r
que nous avons indiquées ci- dessus. Dans la station debout, les
jambes
sont écartées, les deux pieds repo- sant sur le
re. Atrophie musculaire progressive de Leyrlen (3) débutant par les
jambes
. Type frrcio-scapulo-h2lzzérrrl de Landouzy-Déj
ins. Le long supinateur est atrophié autant que les autres muscles.
Jambes
. À gauche, la flexion peut se faire un peu, mais
tué, le gauche un peu moins. On peut ramener le pied à angle sur la
jambe
; mais il revient tout de suite à sa position pri
(PI. XXII). L'atrophie semble un peu moins accusée au bras et à la
jambe
gauches que du celé droit ; mais il n'y a pas u
tilité faradique, sauf dans les fléchisseurs de l'avant-bras et les
jambes
au-dessous des genoux où il y avait au con- tra
d'une façon sensible dans les fléchisseurs de l'avant-bras et de la
jambe
. La contractilité galvanique estaussi en généra
accrue dans les fléchisseurs des avant-bras des deux côtés et de la
jambe
gauche seulement, et ici K. C.C est presque égal
ort que dans la normale ; de môme aussi pour les flé- chisseurs des
jambes
On se rend bien compte de ce fait en appliquant
retardée. La force de contraction des fléchisseurs des bras et des
jambes
, bien que beaucoup plus grande que celle des au
la malade est incapable de se nourrir toute seule. Les bras et les
jambes
sont repliés sur eux-mêmes par les contractures
ru. La circonférence des membres gauches (bras, avant-bras, cuisse,
jambe
) excède celle des membres droits de 1/4 de ponc
ta- bleau II. « Avec les courants induits, les fléchisseurs de la
jambe
et surtout ceux de l'avant-bras sont assez exci
rapprochent l'un de l'autre. Dans les fléchisseurs du bras et de la
jambe
l'excitabilité galvanique est légèrement accrue
le Christ guérissant des malades. ; L'atrophie des muscles de la
jambe
qui accompagne souvent les pieds- bots y est bi
. Vous entendez, lorsqu'il fait porter le poids de son corps sur sa
jambe
droite, le craquement de sa join- turc. Compa
s des sortes de pseudartliroses identiques a celles des bras et des
jambes
d'un polichinelle. Mais il est rare que l'évoluti
de 45 ans dont la démarche est franchement ataxique : il lance ses
jambes
il droite et a gauche et les laisse retomber en t
lle ressentit des douleurs dans le genou gauche et s'aperçut que la
jambe
de ce côté était oedé- mateuse. Déjà le genou l
ont absolument méconnaissables. Le condyle externe à disparu ; la
jambe
forme avec la cuisse un angle obtus ouvert en d
: inconti- nence d'urine, impuissance sexuelle, dérol)cmciil des
jambes
, sensation de lapis sous les pieds, etc. En ce
t mois. Brusquement, sans douleurs préalables, sans traumatisme, sa
jambe
droite s'est infiltrée et son genou s'est défor
ontrées au niveau de la cuisse gauche, et, plus tard, au niveau des
jambes
(région du tibia en particulier). Ces douleurs, p
fait son apparition dans les membres infé- rieurs, d'abord dans la
jambe
et le pied gauche. En 1871, elle était déjà très
involontaires cboréiformos dans les membres, inférieurs (cuisses et
jambes
).- Ces mouvements amyotaxillties sont assez étend
bilité objective, anesthésie complète dans les deux pieds. Dans les
jambes
, les cuisses et le tronc jusqu'à la région mammai
es inférieurs : ni parésie, ni incoordination, ni déro- blement des
jambes
. Elle travaillait et marchait sans gêne et sans f
ments ni des douleurs mais une simple sensation de déviation dans la
jambe
NOUV. ICONOCR DL LA SALPÊTRii.RL T. VII, PL. XX
marchant avec quelque difficulté mais sans douleur. Elle regarde sa
jambe
, no remarque qu'un peu d'enflure au genou gauche,
: le genou, dit-elle, était deux fois plus gros que maintenant; la
jambe
, dans son tiers supérieur, était aussi un peu e
droit était énormément enflé, plus gros qu'il n'est aujourd'hui. La
jambe
tout entière et le pied du même côté étaient pa
ndant fi5 jours. Cependant, tout le mois de février, le genou et la
jambe
restaient oedématiés. Le Dry... lui avait propo
1889, où elle rentra, dans le service de M. Tillaux. L'oedème de la
jambe
avait alors disparu. De juin il septembre 1889,
ur (les genoux. Le membre inférieur gauche est dévié et déformé; la
jambe
se fléchit sur la cuisse jusqu'à l'angle droit. A
extension n'est pas limitée. Lorsque le membre est en extension, la
jambe
est très déviée en dedans et son axe forme avec c
s de l'article. Quant au membre inférieur droit, la flexion de la
jambe
est loin d'aller jusqu'à l'angle droit. L'exten
araît alors dans une atti- tude vicieuse très accusée : l'axe de la
jambe
forme avec celui de la cuisse un angle obtus ou
arche, la sensation d'épais tapis sous les pieds, le dérobement des
jambes
, la démarche ataxique. Pendant cl mois, fréquem
béquilles ou sans canne devient impossible. Environ 1 mois après, la
jambe
gauche se mit il enfler à sou tour mais sans at
auche se mit il enfler à sou tour mais sans atteindre le volume de la
jambe
e droite. Le malade entre alors dans le servi
230 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE cuisse et dans toute la
jambe
, il gauche dans le mollet et dans le pied. Ces cr
onsidérable ; la pression ne détermine aucun godet persistant ; les
jambes
au contraire, qui sont également d'un volume anor
pour le malade en s'appuyant sur une canne, la cuisse forme avec la
jambe
un angle il sommet externe. Le membre inférieur
: cuisse 51, cm., mollet fil cul. Le malade peut se tenir sur cette
jambe
et, lorsqu'il marche avec ses béquilles, c'est el
jointures atteintes, il dit simplement : les articulations des deux
jambes
dans leur ensemble (saromtliche). DES ARTllIt01
une étoffe aux plis durs, s'appuie du genou droit sur un rocher. La
jambe
gauche est tendue, mais non raidie ; le pied re
e. On peut lui reprocher surtout la position du bras droit et de la
jambe
gauche, complètement tendus suivant la môme lig
t la môme ligne oblique, tandis que le m ... Il bras gauche et la
jambe
droite sont repliés tous les deux. Il y a dans ce
le malade eut un gonflement considérable de la région externe de la
jambe
gauche, d'où, dit-il, est sorti un séquestre minc
que, le côté droit du tronc devint proéminent. La tuméfaction de la
jambe
dura deux ans ; clic fut indolore, sauf au début,
Réformé du service militaire pour cicatrice adhérente au niveau de la
jambe
gauche, et non pour anomalie de conformation du
poignet est affaibli à droite, normal il gauche. Secousses dans les
jambes
, survenant pen- dant la nuit; ceci peut être at
malade n'est pas gênée par la difformité ; il traîne légèrement les
jambes
par suite de faiblesse iiiiisciii- laire, mais
hruits cardiaques voilés ; foie augmenté de volume ; faiblesse des
jambes
. Ni sucre ni albumine dans l'urine. Etat psychiqu
DE LA SENSIBILITÉ 279 D'abord, on peut admettre que la raideur des
jambes
après une marche exces- sive phénomène bien con
nution de la sensibilité il la douleur et à la température aux deux
jambes
. Chez le sujet de Lloyd il n'y avait pas non pl
d'arthro- patllie du genou et de fractures multiples spontanées de
jambe
; IIoschtet- ter et Leroy, Vincent, l'ont noté
pathie tabétique du genou, dans le cas de M. Marchand qui amputa la
jambe
pour un pied tabétique, dans un cas analogue qu
au poignet chez une syrin- gomyélique, le professeur Verneuil à la
jambe
et M. Poncet à la cuisse pour des arthrites sup
itude aussitôt qu'elle varie. Mais il cherche les mouvements de ses
jambes
comme l'aphasique cherche l'articulation de ses
on a pu dire plaisamment d'un boiteux « qu'il louchait un peu d'une
jambe
», nous dirons de notre ataxique qu'il bégaie d
, nous dirons de notre ataxique qu'il bégaie des deux. Il jette ses
jambes
à la rencontre des attitudes segmentaires que s
tomber, si on ne la retient pas. Quand elle marche, elle traîne la
jambe
, mais ne penche pas. On note enfin une Ieérailc
ui prescrivit des frictions au baume opodcldoch. Le 15 janvier sa
jambe
droite se mit traîner; il disait à sa mère qu'il
ux. Examen du malade à son entrée. Riv. Henri arrive en traînant la
jambe
droite péniblement. Pendant la marche le pied d
rche le pied droit est porté en avant avec une certaine raideur. La
jambe
résiste peu aux mouvements provoqués. L'avant-b
t-bras est contracturé en flexion absolument impotent tandis que la
jambe
peut encore être élevée au dessus du plan du lit.
e du creux poplité, du mollet et toute la moi- tié inférieure de la
jambe
, y compris le pied. Sur le membre inférieur gauch
anesthésie cru- rale s'est effacée; les régions anesthésiques de la
jambe
, du pied, de la fesse ne sont plus que légèreme
est d'abord pénible ; le malade est obligé de soulever fortement la
jambe
gauche à chaque pas, la pointe du pied étant nota
Station du tronc sur les cuisses, 19. Station des cuisses sur les
jambes
, 20. Station des jambes sur les pieds, 21. St
cuisses, 19. Station des cuisses sur les jambes, 20. Station des
jambes
sur les pieds, 21. Station (équilibre de la), 1
forts. La force musculaire est conservée dans les bras et dans les
jambes
; cependant les extrémités droites (qui ont conse
t de la dothiénentérie. A 52 ans, en 1893, il a eu les pieds et les
jambes
gelés et c'est cette gelure qu'il attribue tous
la face antérieure qui porte une petite cicatrice d'excision. A la
jambe
le long de la face externe, aussi bien à droite
terminante de cette éruption subite fut cette gelure des pieds et des
jambes
. à laquelle le malade attribuait tous ses maux;
elé prescrit des bains; en la sor- tant du bain on constate que ses
jambes
sont paralysées, « le pied et la jambe avaient
du bain on constate que ses jambes sont paralysées, « le pied et la
jambe
avaient grossi démesurément et étaient tout noirs
cramponnées ; on le croirailparaplégique. Il s'essouffle vite : ses
jambes
faibles et molles ne peuvent se tendre. Evacué
se cramponner au bras du fau- teuil, cambrer les reins, agiter ses
jambes
, crisper ses poings, rouler des yeux furibonds,
ut en ventre, coiffé d'un vaste feutre emplumé. Il s'avance sur ses
jambes
minuscules, tenant un urinai à la main. Et la l
Claesie (Nicolas), petit, monstre horriblement t bossu et court de
jambes
, au nez orné de vastes besicles, qui, à l'aide de
ut une hyperesthé- sie généralisée de la peau surtout accentuée aux
jambes
et au tronc. La malade ,ainsi qu'il a été dit,
debout.Dans son lit elle conserve tous les mouvements des bras, des
jambes
et même du tronc, mais la force en est diminuée.
nence d'urine. Depuis un an raideur, faiblesse, dou- leurs dans les
jambes
, vertiges, ouïe, odorat, goût ont été toujours no
e, ne répond pas, ne réagit t pas quand on la pince. Main droite et
jambes
, mouvements spontanés. Main gauche inerte, tris
du 1er métatarsien. Sphacèle de la plaie opératoire : amputation de
jambe
. Mort trois jours après. Autopsie. - Organes sp
ns la rue. En même temps il commença à éprouver dans les pieds, les
jambes
et les cuisses des douleurs aiguës lancinantes
ces douleurs alternaient avec la sensation de lancement brusque des
jambes
en avant ou de soubresaut des tendons. Cet état r
s la forme térébrante. La marche devient tout à fait hésitante, les
jambes
sont lancées à droite et à gauche. La vue s'aff
alade devient très grave. Le 6 juin, on pratique l'amputation de la
jambe
au tiers inférieur. Mort le 9 juin. Autopsie.
e la marche. Quinze ans après, fracture spontanée des deux os de la
jambe
gauche. Signes non douteux de tabes. Arthropa
alade ressentit un craquement accompagné d'une vive douleur dans la
jambe
gauche. Elle put s'accrocher à son lit et éviter
. Dès le premier examen, on constate une fracture des deux os de la
jambe
gauche, siégeant à l'union du tiers inférieur a
e, le sens du lieu rien près com- plètement anéanti : Elle perd ses
jambes
dans son lit. Il n'a pas été constaté d'autres
ses de douleurs fulguran- tes extrêmement violentes, imprimant à la
jambe
des soubresauts fréquents, qui s'opposent il un
ngt- sept ans, elle ressentit brusquement une forte douleur dans la
jambe
droite à type fulgurant, s'accompagnant de faib
e Ch... s'est aperçue que depuis deux mois elle jette davantage les
jambes
en avant et en dehors pendant la marche. Celle-ci
TÉO-ARTHROPATHIES VERTÉBRALES DANS LE TABES 139 Circonférence de la
jambe
mesurée à 8 centimètres au-dessous du bord infé-
urée à 8 centimètres au-dessous du bord infé- rieur de la rotule.
Jambe
D. : 30 centimètres. Jambe G. : 34 centimètres.
us du bord infé- rieur de la rotule. Jambe D. : 30 centimètres.
Jambe
G. : 34 centimètres. L'état de la malade reste
e, encore plus accentuée dans le sens de l'extension du pied sur la
jambe
et donnant il celui-là le caractère du pied tab
tres. Ils sont absolument insensibles. La malade perd souvent ses
jambes
dans son lit. Elle n'a pas la notion de positio
ies de la hanche et du genou droits. La marche est impossible : les
jambes
sont lancées follement de tous côtés et la mala
les membres inférieurs et bientôt après il perd la direction de ses
jambes
, surtout dans l'obscurité. De temps en temps il f
rche avec peine, à cause de son ataxie et du raccourcissement de sa
jambe
droite, que ne compensent pas suffisamment les
nviron. Peu après, elle a souffert de douleurs fulgurantes dans les
jambes
et dans les genoux ; enfin, au cours de sa dern
ui l'étreint au 148 GIBERT niveau des reins et du bas-ventre. Ses
jambes
deviennent lourdes de plus en plus, sans être a
ndineux sont abolis. L'hypotonie est remarquablement accentuée. Les
jambes
sont impotentes, bien plus du fait des arthropa
le siège d'un oedème dur où le doigt s'enfonce avec difficulté. La
jambe
et le pied ont leur volume normal. La radiograp
dire depuis douze ans, sont survenues des douleurs en éclair dans les
jambes
. Mais ces douleurs, quoique violentes, étaient
rendort. Mais le lendemain, au saut du lit, elle s'aperçoit que sa
jambe
droite est énorme, elle essaie quelques pas, mais
t qu'elle boite atrocement et se recouche. Pendant 3 ou 4 jours, sa
jambe
est restée, de la hanche au cou-de-pied, enflée,
reffer sur cet état chronique, à savoir une enflure à début par les
jambes
, et vite généra- lisée à tout le corps. A not
corps. A notre examen, nous le trouvons en pleine anasarque. Les
jambes
sont démesurément enflées, et on y constate de va
ntimètres de circonférence, tandis que.le genou droit mesure 40. La
jambe
du côté gauche est plus courte de 0,10 centimèt
tte époque. Pas de troubles de sphincters, pas de douleurs dans les
jambes
. La fièvre continue et avec elle le délire; ce dé
s muscles antéro-externes, triceps surral et vaste interne des deux
jambes
, seuls muscles qui ont été examinés ; on ne const
le Iit.Le 11 octobre 1895,pa- ralysie flasque sans douleur des deux
jambes
et des deux bras mais beaucoup plus marquée du
l'attention est attirée par l'atrophie musculaire du bras et de la
jambe
droite, atrophie plus marquée à la racine des mem
rtout à droite. Les ré- Ilexes tendineux et osseux du bras et de la
jambe
du côté droit sont abolis. L'exa- men électriqu
ions normales ; mais droite, dans les muscles antéro-externes de la
jambe
, dans les muscles de la face postérieure de la
ars un mois après le chancre induré par une douleur sourde dans les
jambes
, au niveau des mollets et dans les bras. Parésie
; depuis 2 mois nouvelle éruption cutanée ; enfin la faiblesse des
jambes
augmente tout d'un coup en novembre 1895 et le
tion prononcée de la sensibilité tactile au niveau du pied et de la
jambe
droite ; les sensibilité thermique est conservé
et station verticale impossible, vacillante, masses musculaires des
jambes
douloureuses il la pression avec engourdissements
daires. Traitement antisyphilitique. Le 8 octobre 1834 parésie des
jambes
et engourdissements et élancements. Les trouble
ion progressive très rapi- de. Le 22 février, elle peut fléchir les
jambes
, le 27 remuer les orteils. Dispa- rition des do
ent de progresser. A la fin de 1891, le malade peut mouvoir bras et
jambes
; le sens musculaire est intact, sans ataxie. P
le est revenue. La face n'a cependant pas été déviée. Le bras et la
jambe
étaient complètement inertes, engourdis, et par
ès, elle a pu imprimer quelques mouvements au bras cependant que la
jambe
restait engourdie. Etat actuel. Lorsqu'au comme
ent votre atten- tion sur le caractère spécial des mouvements de la
jambe
paralysée lorsque la malade marche, lequel, dan
marchant, elle a une allure particu- lière pour porter en avant la
jambe
paralysée ; elleporte d'abord le tronc du côté
in ; alors, par une action de circumduction, elle porte en avant la
jambe
paralysée, faisant décrire au pied un arc de cerc
faut . tout d'abord distinguer l'allure de la marche suivant que la
jambe
.ma- lade est oscillante ou portante. Dans le
rieur reposer par terre et le talon relevé, ainsi que le pied de la
jambe
antérieure dans une position inverse, on consta
pieds reposent à plat sur le sol (fig. II). Quant à l'attitude des
jambes
, on voit que la jambe antérieure saine est légè
sur le sol (fig. II). Quant à l'attitude des jambes, on voit que la
jambe
antérieure saine est légèrement fléchie sur la
mbe antérieure saine est légèrement fléchie sur la cuisse et que la
jambe
postérieure est presque en extension. . Le pi
s le moindre mouvement. Il y a parfois dans le pas postérieur de la
jambe
malade, un léger soulèvement du talon avec abaiss
'aide du cinématographe. Semaine médicale, 5 juillet 1899. FiG. Il (
Jambe
malade oscillante). 180 M. G. 1\L-\RINESCO re
r, le pied est horizontal sur le sol, il s'avance pé- niblement, la
jambe
oscillante présentant un très léger degré de flex
l commence à se relever en même temps qu'il s'incline du côté de la
jambe
porlante, de manière qu'après avoir franchi la
ressé, mais il conserve en même temps son inclinaison du côté de la
jambe
portante. Immédiatement après le torse est redr
n avant ni incliné de côté. Pendant le parcours du pas antérieur la
jambe
malade étant oscillante, le tronc reste droit et
de ce pas qu'il s'incline de-nouveau en avant. L'attitude des deux
jambes
au moment de la verticale et lorsque la jambe m
L'attitude des deux jambes au moment de la verticale et lorsque la
jambe
malade franchit ce moment est la suivante : la ja
et lorsque la jambe malade franchit ce moment est la suivante : la
jambe
portante est fléchie d'une façon manifeste, la
suivante : la jambe portante est fléchie d'une façon manifeste, la
jambe
oscillante malade est étendue, le tronc forteme
llante malade est étendue, le tronc fortement incliné du côté de la
jambe
portante et légèrement penché en avant. Au comm
pas antérieur et pendant toute la durée de ce pas, la flexion de la
jambe
portante diminue tandis que la jambe os- cillan
ée de ce pas, la flexion de la jambe portante diminue tandis que la
jambe
os- cillante étendue s'avance en avant comme mi
ire remarquer que le pas malade parvient à se mettre en avant de la
jambe
portante saine, et que les deux pas sont à peu
pas sont à peu près égaux ; quant à leur durée, le pas fait par la
jambe
normale s'exécute beaucoup plus rapidement (fig
(fig. II). Si on examine à présent l'allure de la marche lorsque la
jambe
maladeest portante, on constate l'état suivant
ormal parce que depuis le début, les deux pieds reposent à plat. La
jambe
malade est en extension, la jambe normale oscil
les deux pieds reposent à plat. La jambe malade est en extension, la
jambe
normale oscillante en légère flexion, flexion q
on plus si accentuée. Depuis le commencement de l'oscillation de la
jambe
normale FIG. III (Jambe normale oscillante).
puis le commencement de l'oscillation de la jambe normale FIG. III (
Jambe
normale oscillante). UN CAS D'HÉMIPLÉGIE HYSTÉR
maximum à la fin du pas antérieur. Nous avons remarqué, lorsque la
jambe
malade était oscillante, qu'au moment de la ver
e le tronc était forte- ment penché de côté, par contre, lorsque la
jambe
normale l'est devenue - son tour, l'inclinaison
t devenue - son tour, l'inclinaison latérale du tronc du côté de.la
jambe
portante ne semble pas être si indiquée. ' Si
uer l'allure du pas antérieur de celle du pas postérieur lorsque la
jambe
ma- lade est oscillante. Dans le pas postérieur
le pas postérieur la malade tire après elle et avec grand effort la
jambe
inerte, laquelle ne quittepas le sol. Ceteffort s
e l'obstacle a été vaincu et que la malade a amené à grand'peine la
jambe
à la verticale, il lui est devenu facile de la po
nc de mes recherches que la malade ne traîne pas tout simplement la
jambe
comme l'a admis Todd, mais que le transport de la
mplement la jambe comme l'a admis Todd, mais que le transport de la
jambe
malade est plus complexe qu'on ne Pavait pensé to
larité intéressante à relever, c'est la manière dont se comporte la
jambe
non paralysée lorsqu'elle passe à la phase d'osci
itesse de ce dernier étant très grande. D'autre part la flexion de la
jambe
oscillante n'est pas si accusée qu'à l'état nor
organique, j'ai mis en relief la même particularité à savoir que la
jambe
non paralysée lorsqu'elle devient oscillante ne
lorsqu'elle devient oscillante ne présente pas du tout l'allure de la
jambe
normale. Mais ce qui distingue l'allure de la j
l'allure de la jambe normale. Mais ce qui distingue l'allure de la
jambe
oscillante non paraly- sée dans les deux hémipl
que le pas antérieur avance très vite pour se mettre en avant de la
jambe
malade tandis que dans l'hémiplégie organique c
1AnIl'iESCO Si on examine à présent l'allure delà marche lorsque la
jambe
malade est portante, on constate l'élat suivant
ormal parce que depuis le début, les deux pieds reposent à plat. La
jambe
portante malade est en extension, la jambe norm
ieds reposent à plat. La jambe portante malade est en extension, la
jambe
normale oscillante en légère flexion, flexion qui
ussi moins accentuée. Depuis le commencement de l'oscillation de la
jambe
normale le tronc commence à se pencher en avant
imum à la firi'tlu pas antérieur. Nous avons remarqué, lorsque la
jambe
malade était oscillante, qu'au moment de la ver
cale le tronc était fortement penché décote ; par contre lorsque la
jambe
normale l'est devenue à son tour, l'inclinaison l
t devenue à son tour, l'inclinaison latérale du tronc du côté de la
jambe
portante ne semble pas être si indiquée. Il est
ndiquée. Il est vrai cependant que ce n'est pas dans l'allure de la
jambe
non pa- ralysée qu'il faut chercher la distinct
side toute dans la manière qu'emploie la malade pour transporter sa
jambe
inerte pendant la marche. Dans l'hémiplégie org
l'hémiplégie organique, comme je l'ai constaté antérieu- rement, la
jambe
malade oscillante est animée d'un certain degré d
r et présente le talon relevé ; ce qui fait que la propulsion de la
jambe
est facilitée. ' Dans l'hémiplégie hystérique a
ère dont le pied est mis en mouvement pour se mettre en avant de la
jambe
portante, celles de traîner ou balayer ne me se
ou balayer ne me semblant pas propres pour désigner l'allure de la
jambe
paralysée dans le pas antérieur. Ce qui caracté
es efforts con- sidérables que fait la malade pour faire avancer la
jambe
paralysée. Tau- dis que dans l'hémiplégie organ
out à fait en arrière. Comme la ma ! adenopeut pas s'appuyer sur la
jambe
paralysée l'excursion de la jambe normale est p
! adenopeut pas s'appuyer sur la jambe paralysée l'excursion de la
jambe
normale est plus courte que celle de^la jambe p
sée l'excursion de la jambe normale est plus courte que celle de^la
jambe
paralysée. Après avoir établi la nature hystéri
région cla- viculaire, au dos, près de l'omoplate, aux lombes, à la
jambe
. La patho- logie a également fait connaître l'e
lttrouvechez un homme atteint de varices lymphatiques du derme à la
jambe
gauche, sans oedème, dans la région du triangle
ses genoux, l'opéré, misérablement- vêtu, est assis par terre, les
jambes
croisés, faisant avec la main un geste de défense
époque on l'autorisa à se lever et on constata qu'elle traînait la
jambe
gauche, assez pour rendre la marche difficile.
ne malade s'est remise à marcher. Actuellement les mouvements de la
jambe
gauche sont bien revenus, elle saute à cloche pie
a défécation. Le sixième jour après l'opé- ration il peut remuer la
jambe
gauche, le septième il peut prononcer quelques
mouvements dans leur in- tégralité, la contracture a disparu de la
jambe
et du pied droits. Le membre su- périeur peut e
entôt on s'aperçut qu'il ne pouvait se servir ni de son bras ni de sa
jambe
du côté droit. De plus il était dans l'impossib
ut de suite, on est frappé de son allure particulière. Il traîne la
jambe
droite et la pointe du pied est tournée en dehors
pied est tournée en dehors. De temps en temps, il fléchit sur cette
jambe
, le corps est à demi-penché en avant et à gau-
gauche est paralysé, l'enfant marche avec difficulté, il traîne la
jambe
et avance le pied en fauchant. La paralysie du br
d en fauchant. La paralysie du bras est plus grande que celle de la
jambe
et la paralysie de la main est surtout marquée. P
complètement guérie, mais le malade marche avec une bé- quille, la
jambe
gauche étant notablement plus courte que l'autre
ctions, et des mouvements saccadés des lèvres surtout à gauche. Les
jambes
étaient fléchies~et corps plié sur les jambes com
surtout à gauche. Les jambes étaient fléchies~et corps plié sur les
jambes
comme s'il était assis,,Il n'y avait aucune sor
fermer l'oeil gauche), le bras et aussi, mais à un degré moindre, la
jambe
. Il n'avait pas d'hémianesthésie. Il s'était as
aines et rentra chez lui au bout de 3 mois avec assez de forces, la
jambe
était plus' vigoureuse que le bras. Un l'a tenu e
l y avait aussi une perte évidente de force dans la face et dans la
jambe
. Il pouvait marcher plusieurs milles en se reposa
ille droite, et s'aperçut qu'il ne pouvait mouvoir ni le bras ni la
jambe
gauches. Il fit tomber des objets avec sa main
ubresauts étendus à tout le membre : il est difficile de fléchir la
jambe
sur la cuisse au delà de l'angle droit. La marc
d'élévation du bassin. Les hémiplégiques hystériques traî- nent la
jambe
et le pied ne quitte pour ainsi dire pas le sol.
mité d'une chaudière à vapeur qui fit explosion. Il fut blessé à la
jambe
droite et conçut de cet acci- dent une violente
te. Molil,ilé. - Depuis deux ans la malade ne peut se tenir sur ses
jambes
dont les mouvements sont tout à fait incoordonn
et la consistance des objets mis dans sa main. Elle ne perd pas les
jambes
dans le lit, mais quand on déplace xm 17 258
égère diminution de volume. L'atrophie s'est manifestée surtout aux
jambes
: le gras du mollet, à droite, mesure dix- huit
(véritable pied-bot tendineux). A gauche, la flexion du pied sur la
jambe
est incomplète, gênée par des brides fibreuses.
tuliens abolis. Réflexes plantaires conservés ; la malade retire la
jambe
en bloc quand on pique la plante du pied. App
ns les plantes des pieds). En 1882, glissade non douloureuse sur la
jambe
gauche dans un escalier, trois mois après incerti
882, en descendant un escalier, il glissa sur trois marches avec sa
jambe
gauche : à ce moment, il ressentit nette- men
solidement bâti. Coloration du visage nor- male. Ataxie des deux
jambes
. Abolition ries réflexes rotuliens. Douleurs la
ur des postes en retraite. En 1886, douleurs rhumatismales dans les
jambes
. Cinq ans après, fourmillements et picotements
la région sacrée. En 1881, apparition de mouvements vacillants des
jambes
dans la marche, marche les jambes écartées, ten
tion de mouvements vacillants des jambes dans la marche, marche les
jambes
écartées, tendance à tomber en avant, qui se mont
Eu 1866, apparaissent des « douleurs rhumatismales » dans les deux
jambes
et dans les épaules. D'après son dire, elles au
a d'abord de l'hésitation dans la marche : celle-ci s'exé- cute les
jambes
de plus en plus écartées. Dans la station debout,
ilibre en avant; il n'évita une chute qu'en écartant vi- vement les
jambes
et en rejetant le corps en arrière. Depuis ce t
rieure du tronc, quelquefois le tronc tout entier, plus rarement les
jambes
. La durée de ces convulsions, plus souvent clon
ques s'y ajoutent. Le bassin ne fait que de courtes excursions, les
jambes
sont fléchies sur les genoux, les pieds ne se l
sis, moitié couché jusqu'à ce que quelqu'un l'aide à soulever ses
jambes
et à se coucher. Quand on observe le malade, da
onneur. En 1865, douleurs fulgurantes de grande intensité, clans la
jambe
gauche, avec sensation de raideur musculaire. E
certitude de la station debout et de la marche. En 1880, marche les
jambes
écar- tées, talonnante. En 1883, en portant une
orps à se pen- cher en avant. Phénomène de Romberg. Ataxie des deux
jambes
. Diminution re- marquable des douleurs, diminut
le date de 1865. A cette époque, douleurs fulgurantes dans les deux
jambes
, surtout à gauche, accompagnées de raideur muscul
de raideur musculaire. En 1868, apparition de paresthésies dans les
jambes
, douleurs fulgurantes plus violentes. Depuis
té, sensation de dérobement du sol. En 1880, marche talonnante, les
jambes
écartées. En 1883, survint un accident. En hiss
e de mille manières. L'attitude du malade est penchée en avant, les
jambes
écartées, le regard fixé il terre. Les pieds jo
, il chancelle prêt à tomber. Il marche maladroitement en lançant les
jambes
de côté. Les talons seuls frappent d'abord le s
endant. Elle devient très sensible au froid et perd quelquefois ses
jambes
dans son lit. Un jour, par hasard, elle constata
miers troubles de la marche. Le sol lui paraît moins résistant, ses
jambes
moins fortes. Descendre un escalier ou un trottoi
dans la station debout, les talons joints. La station sur une seule
jambe
est difficile les yeux ouverts, impossible les
musculaire est normale partout : la ;l : ¡]ad¡> ne perd plus ses
jambes
. Elle a conservé la notion de position de ses mem
t pris de douleurs à type fulgurant, siégeant dans les pieds et les
jambes
, arrivant par crises. Ces douleurs n'étaient ce
que normalement. Le malade se plaint beaucoup de la raideur de ses
jambes
, ses pieds lui paraissent serrés comme avec une
eculons. Il ne se tient pas avec assurance sur l'une ou sur l'autre
jambe
: les yeux fermés, il vacille et tombe. En marcha
ont de la raideur dans les deux pieds, une lourdeur gênante dans la
jambe
droite, puis des douleurs véritablement fulgurant
t, dans la marche, les yeux fermés. La station debout sur une seule
jambe
est possible les yeux ouverts, très difficile les
ou correspondante est saine. Des deux côtés, les muscles des deux
jambes
ne sont pas atrophiés. Sur la face externe de l
es des deux jambes ne sont pas atrophiés. Sur la face externe de la
jambe
gauche, la partie inférieure, existe une tache ec
des membres inférieurs sont conservés. Le malade ne perd jamais ses
jambes
dans son lit : il conserve toujours très nettemen
ble, les yeux ouverts ou fermés. Le malade peut même rapprocher les
jambes
et réunir les talons. La station sur le pied ga
pas en talon- nant assez fortement, mais sans lancer follement ses
jambes
à droite et il gauche. Il peut même marcher les
s. Lorsqu'elle est debout, la base de sustentation est élargie, les
jambes
très écartées, les coudes en abduction, le corp
l'a aidé à prendre cette attitude, elle doit de nouveau écarter les
jambes
pour rester en équilibre. L'antépulsion et la r
sûre d'elle; elle suit à peu près une ligne droite, sans lancer les
jambes
comme l'ataxique, mais chaque pas ne se fait qu
tant dans la station debout, il ne se produit pas de dérobement des
jambes
; à' peine ubserve-t-on quelques fai- bles osci
é ni de l'autre. Il peut ramasser des objets placés, soit entre ses
jambes
, soit à droite, soit à gauche sans être entraîné,
ude, les hésitations. Nous lui de- mandons encore de lever les deux
jambes
en extension et en adduction ; ce mouvement pro
PONTO-CÉRÉBELLEUSE 345 Pendant la station debout, non seulement les
jambes
, mais' aussi les bras sont écartés du corps. Il
genoux. Il ne peut naturellement se tenir en équilibre sur une seule
jambe
. Il s'assied et se couche seul par terre, mais
ut d'abord qu'il n'existe aucune ataxie des membres inférieurs, les
jambes
ne sont nullement lancées. Les pieds et les b
r peur de tomber au moment même où il ne reposera que sur une seule
jambe
; c'est pour cela sans doute que tout le corps
rophie. Il éprouve seulement un peu plus de difficulté à croiser la
jambe
gauche sur la droite, que la droite sur la gauc
rte de l'équilibre ou de chutes; le malade ne peut se tenir sur une
jambe
, c'est l'instabilité immédiate, et la chute immin
il ne trouve près de lui un point d'appui. Pendant la marche, les
jambes
sont écartées, les membres supérieurs en abduct
'ils sont sur le point de perdre sans cesse; aussi écartent-ils les
jambes
pour élargir leur base de sustentation et être pl
des membres inférieurs, les mouvements choréiformes des bras et des
jambes
, le tremblement de la tête, les oscillations du t
ux du coude et du poignet sont normaux. Dans la station debout, les
jambes
sont écartées et les gros orteils en hyperextensi
ète de la sensibilité sous tous ses modes sur la face externe de la
jambe
et des deux côtés. Rappelons qu'une de leurs so
ustentation est élargie; il leur est impossible de se tenir sur une
jambe
. La démarche est incer- (1) Babinski, Société d
à gauche et amaurose double. Il ne lui restait qu'une parésie de la
jambe
gauche, une contracture des doigts du même côté e
main. La parole était difficile, mais incomplètement supprimée. La
jambe
n'avait souffert en rien. Au bout de quelque te
juin 1891, il vint à la polyclinique à l'occasion d'un accident à la
jambe
, pour lequel il réclamait une indemnité. On ne
rouvé qu'un seul cas de paralysie du bras gauche avec parésie de la
jambe
gauche et diminution de la sensibilité du côté ga
levé retombe lourdement sur le plan du lit, il en est de même de la
jambe
du même côté, tandis que les membres gauches peuv
bsolument aucun signe de paralysie. Peut-être 'Li-aine-t-il un peu la
jambe
et sa sensibilité est-elle un peu émoussée, mai
er, mais lorsqu'elle est debout et qu'elle marche elle tire un peu la
jambe
. Son état mental est stationnaire. Elle ne peut
MIPLÉGIE TRAUMATIQUE 395 point correspondant au centre moteur de la
jambe
et du bras..... On opéra après éthérisation. Le
nsulter à l'hôpital pour quelques douleurs qu'il éprouvait dans les
jambes
. Là on reconnut pour la première fois l'existen
on note un prurit cutané, quelques douleurs lan- cinantes dans les
jambes
, une sensation de sécheresse permanente de la bou
La réflec- tivité et la sensibilité plantaires sont normales. Les
jambes
présentent des varices très accusées. Les tégum
u, la sensibilité est diminuée dans tous ses modes aux pieds et aux
jambes
jusqu'à une ligne circulaire passant au-dessus de
comme la longueur exagérée de la cuisse par rapport il celle de la
jambe
. Il manque d'ailleurs bien des signes ordinaires
ation assise, le pied se met il peu près dans le prolongement de la
jambe
; le malade a bien le « pied tombant » (PI. LXIII)
n'ayons point besoin d'insister ; le malade « grimpe le long de ses
jambes
» ; mais une fois que la main qui porte l'objet
erdre l'équilibre, redresser légèrement le tronc en fléchissant les
jambes
sur la cuisse]; il tend à s'accrou- pir, abaiss
ive à s'asseoir ; il se met ensuite il quatre pattes., redresse les
jambes
et recommence avec un insuccès égal les manoeuvre
mouvements du rachis. Préoccupés sans cesse de fai- blesse de leurs
jambes
, pour employer leur expression favorite, ils ne
colonne vertébrale est atteinte d'os- téo-arthropathie se tient les
jambes
écartées, le corps penché en avant, si penché q
l'immobilité complète. Le regard suit le chemin à parcou- rir, les
jambes
sont lancées follement à droite et à gauche, les
bassin. Au fond, adroite, entrait en béquillnnt un liomme avec une
jambe
coupée. DAVID Teniers LE JEUNE, ses fils, et
ue : Le patient, vu de face, est assis sur une chaise boiteuse, une
jambe
en avant, l'autre repliée sous le siège, le bra
aiiient de par- tout ; ses bas pareillement refusent de couvrir ses
jambes
et c'est miracle s'il a conservé ses souliers.
claviculaire, luxation trapézo-métacarpienne, fracture spontanée de
jambe
, craquements articulaires généralisés, etc. Le
tabé- tique, confiné au lit est dans l'impossibilité de mouvoir ses
jambes
, il se déplace en se soulevant sur ses bras, ma
on motrice des membres inférieurs domine, surveille la folie de ses
jambes
, il se penche en avant pour diriger sa marche et
aussi correcte que lui permettait l'incoordination mo- trice de ses
jambes
. L'immobilisation, pense l'auteur allemand, a fav
, mais bien celui du gauche. Le bras et l'avant-bras, la cuisse et la
jambe
droite restent immobiles, même lors du pincemen
st plus éloigné, diplopie... vertiges. Autres symptômes : bras et
jambe
faibles du côté droit, sensibilité plus petite,
s en fixant le sol et progresse ainsi lentement en traînant un peu'
jambe
gauche il ne peut ni sauter ni courir..... Le cho
- sie du côté gauche de la face. 20. - Paralysie incomplète de la
jambe
gauche. 30. - ..... et jours suivants, améliora
ibilité égale des deux côtés. La marche est encore incertaine et la
jambe
gauche un peu raide, le ge- nou ne se fléchit p
uparavant et le talon frappe tout d'abord le sol. La station sur la
jambe
gauche et sur la pointe du pied est impossible.
i. En marchant il se sert d'une canne et sautille ou tire un peu la
jambe
droite. Les champs visuels sont reproduits dans
ntégrité. Le sujet marche bien, se tient facile- ment debout sur la
jambe
droite et n'oscille pas les yeux fermés. Réflex
sistait une paralysie complète du bras droit et une paré- sie de la
jambe
droite...,. Au mois de mai de l'année suivante
ée suivante les troubles de la motilité sont surtout accentués à la
jambe
droite . Observation XXIX. H. SCHLOEFFIOE.
ontinuèrent ensuite dans la moitié droite du visage et gagnèrent la
jambe
droite. Depuis il n'a pas eu d'autres convulsions
ue la droite. Le territoire du facial droit ainsi que le bras et la
jambe
sont complètement paralysés. Il est gâteux. Au
nt légèrement fermés. Le bras levé en l'air, retombe pa- ralysé, la
jambe
gauche gît légèrement tournée en dehors, elle est
conservée. Le malade peut marcher seul, mais il traîne fortement la
jambe
du côté droit, la pointe du pied droit regardan
quand il revint à lui, il était paralysé des deux bras et des deux
jambes
. Il se fil électriser pendant un mois, puis sur
e dans l'extension complète, l'épaule gauche est un peu baissée et la
jambe
du même côté traîne un peu, mais très peu. Le m
' Le malade ne peut marcher saus une canne, il traîne fortement la
jambe
, le genou est légèrement fléchi. ' xm 36 55
ormale. L'aphasie du début a disparu. 19 mars. La paralysie de la
jambe
gauche [a complètement disparu, les mouvements
BLIOGRAPHIE 1801. SAUTEMOUCEOE. - Observation sur une paralysie des
jambes
, survenue à la suite d'un coup sur la léte. lié
ssis sur une chaise, les vêtements en désordre, le corps raidi, les
jambes
croisées, les poings serrés. La tète maintenue pa
tant montré à l'âge de la puberté, occupant tantôt les pieds et les
jambes
, tantôt la totalité des membres inférieurs et gén
re est vivante et bien portante, mais elle présente un oedème de la
jambe
gauche sur lequel nous aurons à revenir (Obs. II)
ut une bronchite simple, sans hémoptysie, à la fin de la- quelle sa
jambe
droite devint subitement grosse, tendue, rouge, m
.douloureuse, sans plaie ni excoriation. A dater de cette époque la
jambe
resta volumineuse, mais elle n'y éprouvait de f
debout.' - A 20 ans, elle se fit amener à l'Hôtel-Dieu pour-cette
jambe
; on lui fit gar- der le lit, la jambe en éléva
er à l'Hôtel-Dieu pour-cette jambe ; on lui fit gar- der le lit, la
jambe
en élévation, ce qui parut diminuer l'oedème, mai
e qu'à ce moment la pression avec le doigt laissait un godet sur la
jambe
et le pied et qu'on lui trouva aussi un peu d'o
la jambe et le pied et qu'on lui trouva aussi un peu d'oedème de la
jambe
gauche qu'elle ignorait. A 24 ans, elle se mari
s, elle se marie; elle dit qu'à ce moment elle était maigre, que sa
jambe
droite était toujours grosse et était devenue dur
grossesse pénible avec vomissements jusqu'à la fin. En même temps la
jambe
droite augmenta nettement de volume et la malad
ement de volume et la malade fut gênée par le développe- ment de la
jambe
gauche à laquelle elle n'avait pas pris garde jus
dureté et l'épaississement de la peau ont fait de lents progrès aux
jambes
. En hiver les jambes deviennent aisément cyanos
ement de la peau ont fait de lents progrès aux jambes. En hiver les
jambes
deviennent aisément cyanosées avec sensation de f
de la rotule. Mais la peau n'y a pas la même consistance. - Sur la
jambe
, le doigt rencontre une dureté ligneuse et ne peu
roite. 1 A la fin de cette même année, elle vint nous faire voir sa
jambe
droite qui présentait un peu au-dessus de l'art
huit mois, elle en est beaucoup, plus gênée. L'oedème occupe les deux
jambes
, augmente le soir, diminue par le repos de la n
gèrement l'empreinte du doigt. Il occupe la partie in- férieure des
jambes
, les malléoles et le dos du pied. Aucune lésion
ques semaines avancer sans béquilles, puis la paralysie reparut, les
jambes
devinrent raides, le dos se voûta petit à petit
ver cependant à vaincre cette raideur; le malade ne peut mouvoir la
jambe
droite ; il soulève de quelques centimètres la
eut mouvoir la jambe droite ; il soulève de quelques centimètres la
jambe
gauche au-dessus du plan du lit. Réflexes ? Le
s, sur l'abdomen, jusqu'à la ceinture ; en certaines régions sur la
jambe
droite, à par- tir du genou en particulier, la
st intacte sur le tronc et les cuisses, diminuée notablement sur la
jambe
gauche, abolie sur la jambe droite. La sen- sib
es cuisses, diminuée notablement sur la jambe gauche, abolie sur la
jambe
droite. La sen- sibilité à la piqûre d'une épin
e fontaine, un infirme est assis, exhibant le pilon qui remplace sa
jambe
absente. Peut-être a-t-il eu maille à partir au
, un autre une opération sur l'oeil, un troisième une incision à la
jambe
, un quatrième une extraction de dent; le dernier
ocalisations segmentairespour la main, l'avant- bras, le pied et la
jambe
, tandis que pour le bras et la cuisse, les locali
premier symptôme de sa maladie a été l'incertitude de la marche, la
jambe
droite étant particulièrement maladroite ; ces tr
d'adduction et d'abduction de la cuisse se font à peu près bien. La
jambe
soulevée, le pied tombe, la pointe en bas et en
s bras ne lui permettent pas de se soutenir ni de grimper sur ses
jambes
. Ses muscles ne présentent aucune ré- tractio
ski le con- traste de la paralysie presque complète des muscles des
jambes
avec l'in- tégrité de leurs réactions électriqu
ns son lit ; elle soulève ses cuisses avec ses mains pour tenir ses
jambes
en demi-flexion, cette position étant moins pén
uscles de la cuisse, les mouvements de flexion et d'extension de la
jambe
sur la cuisse sont très faibles, la malade doit
doit se servir de ses mains pour relever les cuisses et mettre les
jambes
en demi-llexion. 36 LONG Les muscles de la ré
demi-llexion. 36 LONG Les muscles de la région postérieure de la
jambe
et de la plante du pied fonctionnent encore un
dedans, mais les muscles exten- seurs (région antéro-externe de la
jambe
) ne peuvent relever ni la pointe du pied ni les
s souvent, elles déterminent un pied varus équin, une flexion de la
jambe
sur la cuisse. Parfois, mais très rarement ces
la tête s'immobilise par impossibilité de la flexion en avant; les
jambes
s'affaiblissent et se plient en flexion de tell
'ailleurs les rétractions musculaires s'exa- gèrent lentement ; les
jambes
se fixent en flexion forcée et dès lors le malade
e sur la pointe des pieds, les cuisses fléchies sur le bassinet les
jambes
fléchies sur les cuisses, le thorax porté en avan
malade incline comme chez les myopathiques le tronc pour dégager la
jambe
oscillante ; cette jambe exécute uu pas de 20 c
les myopathiques le tronc pour dégager la jambe oscillante ; cette
jambe
exécute uu pas de 20 centimètres et normalement
nte; le malade incline en- suite son tronc sur elle pour dégager la
jambe
du côté opposé et ainsi de suite. Sa démarche n
d'appui. Les cuisses sont fléchies à angle droit sur le bassin, les
jambes
à angle droit t sur les cuisses, les pieds en é
. Mollet : droit, 22 gauche, 22 La flexion passive complète de la
jambe
sur la cuisse est possible, se fait même avec h
nt une bonne excitabilité électrique ; les muscles antérieurs de la
jambe
(jambier antérieur et extenseurs des orteils) pré
ire, très faible. La flexion active et passive de la cuisse vers la
jambe
est un peu affaiblie. L'extension passive de la
uisse vers la jambe est un peu affaiblie. L'extension passive de la
jambe
sur la cuisse est complète à droite, limitée au
isante aussi bien il droite qu'a gauche. L'extension du pied sur la
jambe
active et passive est bien conservé à droite et
ervé à droite et à gauche, mais à gauche, la flexion du pied sur la
jambe
est limitée par la rétraction des muscles du mo
es muscles du mollet et par la parésie des muscles antérieurs de la
jambe
. Les mouvements des orteils se font bien à droi
uisse pour le vaste externe et surtout pour le vaste interne ; à la
jambe
, l'excitabilité est assez fortement diminuée da
muscles du mollet, c'est une flexion plus ou moins prononcée de la
jambe
sur la cuisse, c'est, beaucoup plus rarement, l
ur déplacer son centre de gravité et faciliter les mouvements de la
jambe
oscillante; il présente une cyphose dorso-lomba
ractions musculaires viennent fixer ses cuisses sur son bassin, ses
jambes
sur ses cuisses et il peut ainsi abandonner le
tain degré de rétraction du biceps. Impossibilité d'extension de la
jambe
gauche sur la cuisse par rétraction musculaire.
périeurs. Rétraction et flexion de la cuisse sur le bassin et de la
jambe
sur la cuisse, pied varus équin. Démarche en fl
arche de crapaud. « Au mo- ment où le poids du corps se porte d'une
jambe
sur l'autre, la jambe est en flexion complète s
mo- ment où le poids du corps se porte d'une jambe sur l'autre, la
jambe
est en flexion complète sur la cuisse et le tal
s que le malade parélique est immobilisé à jamais sur un siège, les
jambes
fléchies, les pieds tombants. On peut dès lors su
n des muscles du mollet que des muscles de la loge antérieure de la
jambe
; on ne pouvait donc admettre que la déformation
t sa maladie est caractérisée par faiblesse et amai- grissement des
jambes
, faiblesse et amaigrissement qui cependant lui pe
maladie parait station- naire, immobilisée ; l'affaiblissement des
jambes
a été précédé pendant un temps assez long, par
l y a environ 26 ans par des douleurs assez 54 SOCA violentes aux
jambes
, ces douleurs étreignaient quelquefois la jambe c
SOCA violentes aux jambes, ces douleurs étreignaient quelquefois la
jambe
comme un étau ; d'autrefois partant des pieds,
amais, car en elfet elles sont toujours restées cantonnées dans les
jambes
. Les douleurs arrivaient à toute heure capricieu-
nzaine d'années,etd'une façon sensible pour la malade, la force aux
jambes
a commencé à diminuer, d'une manière surtout rema
arche. En même temps et proportionnellement, d'après la malade, les
jambes
maigrissaient et aussi la partie inférieure des
a malade détache sans effort les pieds du sol, mais fléchit trop la
jambe
sur la cuisse, le pied s'ap- pliquant sur toute
ée. Dans le lit. - La malade présente une conformation spéciale des
jambes
. Il y a d'abord un contraste frappant entre la
raste frappant entre la racine et l'extrémité des membres, entre la
jambe
très amaigrie et cylindrique et le tiers inférieu
D'AMYOTROPHIE A TYPE CHARCOT-MARIE 55 qui la connaît très bien, la
jambe
et le tiers inférieur de la cuisse sont très am
conservé leur volume et leur forme normale. Ses pieds, lorsque les
jambes
sont pendantes, sont légèrement en équin ou équin
ée dans les adducteurs, assez conservée dans les fléchisseurs de la
jambe
sur la cuisse, très faible quoiqu'encore assez co
servée dans le triceps crural, dans les muscles antéro-externes des
jambes
et dans ceux du pied. En examinant la malade,
que est éteinte ou très affaiblie dans les muscles des cuisses, des
jambes
et des pieds. Elle est presque partout éteinte,
lique un corps légèrement chauffé, sur la partie antérieure de la a
jambe
la malade dit : c'est chaud. Si on applique le mê
la plante des pieds. Elle ressent quelquefois du fourmillement aux
jambes
et accuse des sensations de chaleur, de brûlure
e est affaibli. On constate quelques phénomènes vaso-moteurs, les
jambes
sont froides, quelque peu cyanotiques, quoique
ès difficile de l'affirmer, à cause de la couleur de la malade. Ses
jambes
, à son dire, sont souvent enflées, et elle insi
ent c'est ce que nous trouvons chez notre malade. Les muscles de la
jambe
sont très atteints, ceux de la cuisse le sont bea
rouve que le muscle fessier est bien moins pris que les muscles des
jambes
et ceux des cuisses. En effet dans ces derniers
. Tous les autres symptômes sont concordants, faux gonflement des
jambes
, phénomènes vaso-moteurs, piétinement sur place,
nels, sont bien évidemment dus à la dispa- rition des muscles de la
jambe
, disparition par suite de laquelle l'articu- la
s et ne peut être conservé que par un mou- vement de totalité de la
jambe
, replaçant celle-ci dans une position plus conv
place. Nous avons encore tous vu aussi, des cas de paralysie de la
jambe
, tout aussi considérable, mais relevant de caus
bien affaiblie, conservait cependant assez de force aux muscles des
jambes
, et j'estime que celle force était très suffisant
de, et elle s'affais- sait comme si elle était inerte, comme si ses
jambes
étaient subitement SUIt UN NOUVEAU CAS U·A\110'
t déjà étonnant pour une personne qui con- serve assez de force aux
jambes
. Cependant si on permettait à la malade de s'ap
esse dans les arti- culations du genou et du cou-de-pied droit;' la
jambe
était comme dévissée dans ces articulations. Un
es phénomènes pareils apparurent dans les mêmes articulations de la
jambe
gauche ; le malade trébuchait et tombait souven
et tombait souvent, tantôt sur les genoux, tantôt sur le dos ; les
jambes
fléchissaient et le malade commença à marcher a
anne ; au début de la marche, le malade marchait difficilement; les
jambes
étaient peu mobiles, mais après avoir marché qu
le malade marchait assez facilement, mais pas longtemps : dans les
jambes
apparaissait une faiblesse progressive et le mala
t, le malade se tient droit, regarde en avant. Aux premiers pas les
jambes
fonctionnent dif- ficilement, mais ce phénomène
des douleurs fortes après un processus inflammatoire au genou de la
jambe
droite, le plus intéressé (rhumatis- me ; gonor
ncèrent, ils s'affaiblirent et disparurent en dernier lieu dans les
jambes
, tandis qu'aux membres su- périeurs ils sont ex
des muscles de la région postérieure des cuisses, des muscles de la
jambe
et des pieds ; 2° Une aneslhésie, totale on dis
occupe la partie médiane de la face postérieure des cuisses et des
jambes
, le bord externe de la jambe et du pied, quelqu
a face postérieure des cuisses et des jambes, le bord externe de la
jambe
et du pied, quelquefois toute la surface du pie
s dans les lombes, et il ne pouvait plus remuer ni les pieds ni les
jambes
; c'est à peine si, avec ses membres inférieurs
affection de la queue de cheval. Dans la quinzaine qui a suivi, les
jambes
se sont mises à maigrir ; elles ont été envahie
les de la région postérieure de la cuisse et tous les muscles de la
jambe
étaient paralysés, à gauche; les con- tractions
crural s'effectuaient sans force; les muscles fléchis- seurs de la
jambe
sur la cuisse étaient indemnes. Adroite, la paral
par le sacrum mis à nu. Elle était très douloureuse. La peau des
jambes
était épaissie, rugueuse, jaunâtre ; les poils ét
resse les muscles de la face postérieure de la cuisse et ceux de la
jambe
. A droite, elle affecte les mêmes muscles, moins
muscles de la face postérieure de la cuisse, tous les muscles de la
jambe
et du pied, par l'intermédiaire du nerf sciatique
fessiers ; muscles de la face postérieure des cuisses ; muscles des
jambes
et des pieds, tandis que les muscles innervés p
uisse, plus rarement la partie médiane de la face postérieure de la
jambe
et le bord externe du pied. Il ne sera pas supe
sément la terre » et plus loin des « défauts concernant le port des
jambes
et des pieds ». Dans ces deux chapitres, l'auteur
. Nous avons une petite fille de sept ans, atteinte aux bras et aux
jambes
, l'ad- duction des cuisses augmente de jour en
s souffrant depuis 2 ans d'une faiblesse croissante des bras et des
jambes
. La parésie se transforma peu à peu en une paraly
La parésie se transforma peu à peu en une paralysie des bras et des
jambes
. Les muscles étaient rigides et présentaient aux
e la mâchoire, de la langue, de la nuque, des bras, du tronc et des
jambes
). Anatomiquement existait une dégénérescence sy
gralement, Arthur peut faire les mouvements de marche, écarter les
jambes
, monter un escalier alors qu'il en était arrivé
des membres inférieurs, qui empêche l'enfant de se soutenir sur les
jambes
. Le volume des mollets est normal, mais ils pré
avoir encore le sentiment très net qu'on bougeait leur bras ou leur
jambe
; ce qui serait absolument inexplicable avec l'hyp
ait avec difficulté, comme « tordu sur lui-même » et en traînant la
jambe
. La parole était devenue difficile, il articula
duirait un fil de fer lentement in- troduit de bas en haut dans les
jambes
. Ces douleurs n'ont donc pas le carac- tère des
fléchisseurs et extenseurs comme s'il se sentait peu solide sur les
jambes
. Les réflexes patellaires sont exagérés. Sens
a zone temporale gauche on provoque un mou- vement de flexion de la
jambe
droite avec extension du gros orteil. , ? t Les
a de la difficulté à se tenir debout et accuse de la faiblesse des
jambes
. La paralysie faciale, non visible il l'état de r
main droite que de la main gauche : il se tient difficilement sur les
jambes
, qui sont faibles, mais il n'accuse pas de plus
urne la tête à droite ; les bras s'agitent convulsivement, puis les
jambes
. Le malade ne s'est pas mordu la langue et n'a
devenait lourd et qu'il pouvait difficilement s'en servir, puis la
jambe
est de- venue faible ; cependant la marche, quo
torsionne, il se raidit surtout du côté gauche, étend et écarte les
jambes
, appuie la tête sur l'épaule gauche, il tient sa
ôtés était loin d'être comparable à ce qu'elle est actuellement. La
jambe
était à demi-fléchie, et le pied déjà légèrement
le pli longi- tudinal qui sépare à la partie postéro-interne de la
jambe
une grosse masse adipeuse (PI. XXXI). L'artic
r, au voisinage du genou. Celui-ci semble complètement ankylosé. La
jambe
, très en flexion, remonte en arrière et plutôt
nture. Le pied, très en varus, remonte contre la face interne de la
jambe
. La plante regarde directement en haut ; le tal
à autre. Ce pied garde quelques mouvements actifs par rapport à la
jambe
, dans le sens de la torsion interne ou de la supi
ne force grâce à quelques muscles qui s'insèrent au squelette de la
jambe
. On ne retrouve pas l'inser- tion du tendon d'A
un peu d'hyperlro- phie des poils sur la face antéro-interne de la
jambe
, hypertrophie qui ne se retrouve pas sur le mem
les li- gnes de soudure entre les trois os (rotule, fémur, os de la
jambe
). Ces deux derniers forment ensemble un angle a
tule allongée, sou- dée à eux. L'extrémité supérieure de l'os de la
jambe
ne présente aucune trace de structure sur l'épr
ucune trace de structure sur l'épreuve diographique. Cet os de la
jambe
, assez volumineux, est unique. Sa face antérieure
le segment basilaire est bien développé, mais où le segment distal (
jambe
ou avant- bras) est plus ou moins atrophié, le
l y a sou- vent une atrophie plus ou moins marquée de la cuisse. La
jambe
est for- tement. fléchie. Le genou, étroit, a d
en bas. Il en résulte que l'ensemble du pied est très mobile sur la
jambe
. Très réduit dans ses di- mensions, le pied a l
ractères cliniques seraient or- dinairement les suivants : l - La
jambe
et le pied sont très raccourcis, mais on ne dit p
le cas que nous venons d'exposer. Quel est celui des deux os de la
jambe
, dont l'absence constitue le caractère saillant d
ilement soutenu. Le gros os qui forme à lui seul le squelette de la
jambe
diffère totalement du péroné, et par son diamètre
le cas présent, où nous constatons, au contraire, la flexion de la
jambe
sur la cuisse, le pied en- roulé en varus, le t
pied en- roulé en varus, le tarse réduit il un seul os, l'os de la
jambe
i,ecLiligne., Il s'agiraitdoncd'un casatypique,
nou ankylosé en flexion, la rotule fusionnée au condyle interne, la
jambe
très atrophiée, la plante du pied regardant en ha
ec celle de la planclie.... est frappante, on voit le squelette de la
jambe
constitué par un seul gros os, dans lequel Klau
frappe chez lui c'est l'aug- mentation en longueur des bras et des
jambes
. Membre inférieur . Distance de l'épine iliaque
ves depuis 4 ans. La marche rendue dangereuse par le dérobement des
jambes
et l'incoordination progressive est impossible
u 3 années qui suivirent, elle eut plusieurs fois du dérobement des
jambes
, puis la faiblesse et l'ataxie en- vahirent pro
mbres inférieurs ; au bout de 5 à 6 mois, elle était faible sur ses
jambes
qui s'étaient amaigries. Après un an la fai- bl
on ne trouve comme méritant d'être retenu que des douleurs dans la
jambe
droite sous forme de crampes et de fourmillemen
actuel 1900. Troubles de la marche, la malade talonne et lance les
jambes
. Signe de Romberg, incoordination et faiblesse
ine ; à la même époque apparition des douleurs fulgurantes dans les
jambes
. Etat actuel (1896). Incoordination des membres
gastrique et dans la région lombaire; puis vertiges, dérobement des
jambes
, chutes ; depuis huit mois la marche est devenu
ste une zone d'hyperesthésie au tact. Pendant la station debout les
jambes
sont très écartées; la malade avance à petits p
une infection secondaire au niveau de gommes ulcérées siégeant à la
jambe
gauche : la malade s'affai- blit assez rapideme
troubles de la marche. Depuis deux ans douleurs très vives dans les
jambes
survenant surtout la nuit, troubles oculaires, la
assifs,on ne rencontre une certaine raideur musculaire que dans les
jambes
, encore cette raideur est-elle peu accentuée. P
abinski, du décubitus dorsal, les cuisses fléchies sur le bassin, les
jambes
sur les cuisses, les pieds écartés l'un de l'au
parvenu à l'âge de 18 ans, des exostoses sur les os des bras et des
jambes
. Ces exostoses allèrent en se multipliant au po
limination de séquestres au niveau de la partie inférieure des deux
jambes
, des deux dernières phalanges de l'index du médiu
emière fois (mai 1894) l'existence, dans la partie inférieure de la
jambe
gauche, de quelques petites exostoses auxquelle
la peau s'étant ulcérée au niveau d'une des saillies osseuses de la
jambe
gauche, le malade demande son admission à l'Hôtel
e a recouvré l'usage de ses membres ; il traîne cependant encore la
jambe
droite. Les trajets fistuleux ne tardent pas à
tives sont les épreuves ra- diographiques du bras droit et des deux
jambes
. Elles permettent de voir des exostoses plus ou
de la diaphyse. Au niveau de la partie inférieure et externe de la
jambe
gauche, on note une disparition complète du pér
r. Lorsque la mer atteignit ses genoux, il leva alternativement les
jambes
; ensuite il se mit à courir à droite et à gauch
ctères du torticolis mental, associé à des spasmes du bras et de la
jambe
du même côté. En présence du signe des orteils,
dans la course, ou du moins ne semble pas entraver le mouvement des
jambes
à cette allure rapide. Elle monte et descend le
nde hauteur. En dehors de la marche et de l'écriture, le bras et la
jambe
exécutent, avec force et souplesse, les mouveme
se serait produit, il y a quatre mois,des troubles vaso-moteurs de la
jambe
gauche, que nous n'avons pu observer, sous form
entôt suivi des spasmes des mus- cles fléchisseurs du pied et de la
jambe
, à gauche d'abord, et plus tard des deux côtés,
une boiterie gauche, provoquée par une contraction exa- gérée de la
jambe
sur la cuisse. Nouvelle Iconographie DE la SALP
0, les troubles de la marche reparaissent, cette fois dans les deux
jambes
. Il peut courir sans difficultés, tandis que la
préférait marcher à recu- lons, dès qu'il en avait le prétexte, ses
jambes
obéissant mieux ; il marchait toujours ainsi en
conservé l'intégrité de leur force, seule, la flexion du pied sur la
jambe
paraît un peu affaiblie, surtout à gauche. Quan
ent. . Quand Vig. est couché ou assis, il peut faire exécuter à ses
jambes
tous les mouvements, sans trace de raideur ou d
le gauche se contente de le suivre, sans jamais le dépasser. Les
jambes
se déplacent avec grande difficulté. Tout le corp
du dos viennent, par instant, exagérer encore cette flexion, et la
jambe
qui suit ce mouvement estentralnée trop haut ;
use, à proprement par- 396 DESTARAC ]or ; parfois, cependant, les
jambes
s'embarrassent, et l'on remarque quelques faux
e malade, et qu'on lui demande d'élever et de porter en avant cette
jambe
gauche qui est toujours en retard, il le fait,
rps en avant, il peut encore, par un effort de volonté, rendre à la
jambe
une partie de ses mouvements, et lui faire exécut
e à se détacher du sol. Dans la marche à reculons, le mouvement des
jambes
est plus libre et se fait sans effort : la gauc
s la déviation forcée de la tête mais de faibles déplacements. .Les
jambes
, le tronc et les épaules sont aussi ébranlés par
'extrémité des membres in- férieurs. Elle va en s'atténuant de la
jambe
vers la plante du pied. Pas de dissociation.
du fascia lata se contractent à 2 centimètres, les mus- cles de la
jambe
à 9 centimètres et 11 centimètres. Quand on exp
thésie de l'extrémité des membres inférieurs, remontant jusqu'à mi-
jambe
. Ils sont- aussi de peu d'importance dans le Frie
ombant. Elle n'est pas non plus cérébelleuse. Vig.ne marche pas les
jambes
écartées et en titubant ; il n'est pas obligé de
où un effort plus grand des antagonistes et une détente brusque. La
jambe
gauche ne peut même vaincre cette résistance po
ODIQUE 407 troubles de la coordination des mouvemenls complexes des
jambes
, des mains,des muscles de la face, l'occasion d
s fesses, dans la partie postérieure des cuisses et jusque dans les
jambes
. Elles étaient beaucoup plus intenses à gauche qu
e se pencher du côté le plus douloureux; en outre, elle traînait la
jambe
gauche. Elle vint nous consulter à la Salpêtrière
oici qu'en février 1901 les douleurs firent leur réapparition dans la
jambe
droite qui, restée beaucoup plus forte que cell
éprouvait toujours en- core des douleurs très supportables dans la
jambe
droite, le long du mollet. Par la pression on n
ques; seuls les mouvements de flexion et d'extension du pied sur la
jambe
, les mouvements de latéralité des pieds, les mo
et il était facile de s'y opposer. La malade soulevait aisément les
jambes
au- dessus du plan du lit. Par contre, la mal
her sans se maintenir ac- crochée aux meubles, et elle traînait les
jambes
, surtout celle de gauche. Les réflexes rotulien
ître un mois plus tard. Cette fois elles irradiaient jusque dans la
jambe
, sur le 478 RAYMOND trajet du sciatique, et e
du pied. Plus tard, l'anes- thésie a envahi la face postérieure des
jambes
. Enfin l'examen des poumons a fait constater un
e, à la partie médiane de la face postérieure de la cuisse et de la
jambe
et, à gauche, à la planté du pied. Déjà la dist
n effet, les téguments de la face postérieure de la cuisse et de la
jambe
tirent leur innervation sensitive du premier se
gauche la sensation d'engourdissement se propa- gea peu à peu à la
jambe
, à la cuisse, à la hanche. Le malade se mit à res
ut des accidents. On se contenta de le purger, sans s'occuper de sa
jambe
. Au bout de six jours, il demanda à quitter l'hôp
inférieurs. Vous voyez qu'il boite, en marchant, et qu'il traîne la
jambe
gauche. De ce même côté, le pied est ballant ; il
rimer des mouvements de latéralité. Les mouvements de flexion de la
jambe
sur la cuisse se font sans vi- gueur, contraire
ux muscles de la face postérieure de la cuisse, aux mus- cles de la
jambe
et du pied. Nous nous trouvons donc de nouveau en
e n'a aucune force ; le malade est obligé d'é- carter fortement les
jambes
pour ne pas mouiller ses chaussures. Il a parfa
ment, dans le membre inférieur gau- che, au pied d'abord, puis à la
jambe
et à la cuisse suivis de près par des douleurs
des muscles de la face postérieure de la cuisse, des muscles de la
jambe
et du pied, à gauche. Atrophie, très nette, des
de froid dans le pied gauche. Ces sensations anormales ont gagné la
jambe
, la cuisse et la hanche, du même côté. Elles on
appuyant sur une pédale, avec son pied gauche, il s'aperçut que sa
jambe
gauche était frappée d'une certaine faiblesse. 11
pas mouil- ler ses chaussures, le malade était obligé d'écarter les
jambes
. Le lundi suivant, B... dut prendre le lit, en
de grippe. La difficulté pour uriner subsistait. L'impotence de la
jambe
gauche était allée en augmentant. C'est tout au p
deux chaises; il était presque complètement privé de l'usage de sa
jambe
gauche. Les douleurs de reins le gênaient beauc
deux cannes. A gauche, la cuisse seule semble obéir à la volonté; la
jambe
est comme pendante, et en marchant, le malade l
alade ne peut pas davantage imprimer de mouvements volontaires à sa
jambe
gauche, qui est pendante comme une masse inerte.
ct et à la température ; l'anesthésie est surtout très accusée à la
jambe
et à la partie inférieure de la cuisse; à la fa
décubitus dorsal, après avoir fléchi la cuisse sur le bassin et la
jambe
sur la cuisse, replace le membre dans sa positi
près normal, l'extension de la cuisse sur le bassin et celle de la
jambe
sur la cuisse sont exécutées presque synergiqueme
gauche, le mouvement est bien différent : dans un premier temps, la
jambe
s'étend brusquement sur la cuisse et le talon e
marche est impossible sans soutien ; la démarche est ébrieuse, les
jambes
fortement écar- tées, le talon frappant le sol,
ie. Il avait une aura sensitive tantôt dans le bras, tantôt dans la
jambe
gauche. A l'autopsie « on est immédiatement fra
vements athétosiques. Pas d'atrophie manifeste ni au bras ni à la
jambe
; seulement le membre supérieur droit présente
retire ses vêtements : c'est d'abord la déviation si accusée de sa
jambe
gauche en genu valaum ; et c'est, d'autre part, l
. La déformation énorme du membre inférieur gauche (la cuisse et la
jambe
forment un angle ouvert en dehors d'environ 135
béquilles ; il fait alors de grandes enjambées inégales, suivant la
jambe
sur laquelle repose le poids du corps. A marche
nt de ce membre infirme, ou peut dire que le volume des bras et des
jambes
est régulier et que, ni aux poi- gnets (circonf
t, qui le représente sous l'uniforme d'un grand cuirassier, dont la
jambe
gauche est parfaitement rectiligne. En août 1898,
s pour une entorse tibio-tarsienne gauche; cl il cette épo- que, la
jambe
était absolument droite » ; ce n'est donc qu'à )'
voir que les géants sont grands et les nains petits surtout par les
jambes
, le corps étant dans les deux cas très voisin d
ouce au-dessus de la même moyenne. L'étendue de cet allongement des
jambes
, responsable de cette taille excessive, peut être
consistance normale, en dehors des adhérences cicatricielles de la
jambe
droite ; nulle part elle n'est plus épaisse, durc
frappant est l'accroissement des pieds. A la face antérieure de la
jambe
droite, cicatrice profonde résultant de la carie
; épaississement notable de la moitié inférieure du tibia droit. La
jambe
gauche, non difforme, est plus longue et plus grê
ès grande fatigue. Le malade boite, en raison de l'inégalité de ses
jambes
. La respiration se fait la bouche ouverte. Les
ai 1894. - Ouverture spontanée de deux petits abcès au niveau de la
jambe
droite. Guérison rapide. Août 1894. Amygdalite.
TILISME 57d Pas d'exostoses, sauf quelques ostéophytes aux os de la
jambe
. Les épiphyses sont plus inégales que les diaph
T INFANTILISME 575 Les pieds ne sont pas allongés en proportion des
jambes
, ni des autres par- ties du corps. Pied droit e
apparence très particulière. Le taureau, toujours bien plus bas sur
jambes
que le boeuf de sa race, a surtout des membres po
Paris, 1867, p. 115. 576 LAUNOIS ET noY taille, hébétés. Leurs
jambes
sont monstrueuses par longueur. Les nègres du p
t de la puberté, Ainsi, un eunuque cl'Alim- Pacha, qui a de longues
jambes
, était fait comme les autres quand il était jeu
ngues jambes, était fait comme les autres quand il était jeune. Les
jambes
n'ont grandi d'une manière démesurée que depuis l
mbes», secte mystique de castrés volontaires en Russie, qui ont les
jambes
très prolongées par rapport aux cuisses (3).
debout à droite, tenant de la main gauche son tronc de palmier. Ses
jambes
sont nues ; les pieds, sans être disproportionnés
te, le corps, les membres inférieurs tremblent. En outre il traîne la
jambe
droite. Le tremblement des mains est analogue
hmécs antéro-postérieurcs. De même, lorsqu'il étend ses bras ou ses
jambes
, le tremblement se montre dans ces membres. Il ce
te tremble (n'étant pas appuyée). Si on dit au malade de croiser sa
jambe
gauche sur sa jambe droite, le tremblement de la
pas appuyée). Si on dit au malade de croiser sa jambe gauche sur sa
jambe
droite, le tremblement de la première FIG, ? -
le mouvement est exécuté. Si on fait aussi étendre les mains ou les
jambes
, le tremblement se manifeste. Lorsqu'on lui fait
quée. La démarche n'a pas le caractère ébrieux; il traîne un peu la
jambe
gauche. La fatigue, les émotions, les contrariété
ans secousses; il marche sans trembler, en traînant légè- rement la
jambe
droite. Au point de vue moteur, il ne lui reste q
ans le service de M. Moizard; il en sortit presque guéri. Pourtant sa
jambe
gauche était toujours plus faible, le bras du m
e d'ataxie ébrieuse peu marquée sans doute mais qui fait dévier les
jambes
de la direction voulue. La langue est tremblant
Depuis ses attaques d'éclampsie, elle a constamment gardé le lit, ses
jambes
étant complètement paralysées. Rien du côté des
les orteils du pied gauche. Le 12, on dit à la malade de lever les
jambes
au-dessus du plan du lit, elle parvient à le fa
s jambes au-dessus du plan du lit, elle parvient à le faire avec la
jambe
droite qu'elle soulève à une hauteur de 15 centi-
plan du lit. Elle arrive également à fléchir de quelques degrés les
jambes
sur les cuisses. Le 10 juin, la malade peut s'ass
isses. Le 10 juin, la malade peut s'asseoir sur le bord du lit, les
jambes
pendantes, sans l'aide de ses mains; de même elle
jambes pendantes, sans l'aide de ses mains; de même elle remet ses
jambes
en place sans le secours de personne. Les mouveme
ouvait faire des mouvements spontanés de flexion et d'extension des
jambes
et des cuisses. La sensibilité cutanée était tr
us l'avons vue marcher ainsi : elle progresse assez facilement, les
jambes
un peu écartées, traînant un peu le pied droit,
d'habitudes sobres. Au printemps de l'année dernière, souffrant des
jambes
, se sentant faible, perdant l'appétit, il alla
palement à l'occasion de la marche, et qui, marquée surtout dans la
jambe
gauche, s'étendait rapidement à toute la moitié
pait la face, le cuir chevelu, la plus grande partie de la peau des
jambes
, le cou-de-pied, etc. Vers la fin de l'année de
archait sur de la ouate. D'ailleurs, quand il s'appuie sur elle, la
jambe
est prise d'une trépidation qui devient de plus
plus inégale, sur la surface cu- tanée. Sur la face antérieure des
jambes
, bien que l'hyperesthésie ait beaucoup diminué,
poinls du corps. La peau est toujours sudorale, particulièrement aux
jambes
. Depuis peu de temps, on s'est aperçu, en faisa
re typhoïde en 1871. Plus tard, il ressent de la faiblesse dans les
jambes
, des douleurs dans la région sacrée et les membre
rticulaires et en ceinture. Miction pénible. Tremble- ment dans les
jambes
et les bras des deux côlés. Céphalalgie et facies
que lentement et en tremblant. Ce tremblement disparaît dès que les
jambes
reposent sur le plan du lit. La flexion etl'ext
es jambes reposent sur le plan du lit. La flexion etl'extension des
jambes
sont possibles, mais lentes, hésitantes et acco
oisins de lit. En novembre, il com- mença à se lever. Il marche les
jambes
écartées, poussant lentement ses pieds devant l
le malade avait des crises convulsives. Il agitait les bras et les
jambes
, et renversait forte- ment la tête en arrière.
es membres inférieurs] ne tremblent pas. Quand il veut marcher, les
jambes
sont comme soudées et l'affaissement musculaire
et il s'aperçoit que, lorsqu'il reste quelques instants debout, sa
jambe
droite tremble. Ce phénomène se dissipe peu à peu
rd de sa force et est animé d'un tremblement analogue à celui de la
jambe
. La jambe recommence à trembler quand le malade v
orce et est animé d'un tremblement analogue à celui de la jambe. La
jambe
recommence à trembler quand le malade veut marche
enu et il lui fallait boire et manger de la main gauche. De même la
jambe
droite était agitée d'un tremblement spastique
de cinquante-trois ans. Paraplégie spasmodique. Ne peut fléchir les
jambes
, quoique M. Playfair le lui ait vu faire la veill
te époque, elle avait perdu instantanément l'usage du bras et de la
jambe
gauches et l'avait re- couvré après un séjour e
verte d'une peau de che- vreau. Fréquemment, elle ne sait où est'sa
jambe
; et, quand elle se lève de son lit, celle-ci l
manque de tomber par suite d'étourdissements. Il lui semble que sa
jambe
gauche est plus faible que la droite. Les réfle
n'en a connu qu'un seul qui est mort des suites d'une amputation de
jambe
, après avoir été bien portant toute sa vie. Il
emnes. Les cuisses ont conservé leur forme nor- male, ainsi que les
jambes
. La résistance à tous les mouvements de la cuis
les jambes. La résistance à tous les mouvements de la cuisse, de la
jambe
et du pied est considérable des deux côtés. Mais
x côtés. Mais on remarque dans divers muscles de la cuisse et de la
jambe
, à droite et à gau- che, des secousses fibrilla
ever et marcher, une soixantaine de jours après l'accident, que ses
jambes
étaient lourdes et le portaient difficilement.
l'atrophie était prononcée au bras, à l'épaule, à la cuisse et à la
jambe
. Comme on peut le voir sur la planche, le ptosis
r; mais bien vite il remarqua que les genoux fléchissaient, que les
jambes
le portaient diffi- cilement, qu'elles étaient
taient diffi- cilement, qu'elles étaient lourdes; ce fut d'abord la
jambe
gauche qui lui parut faible, puis ce fut le tou
ord la jambe gauche qui lui parut faible, puis ce fut le tour de la
jambe
droite. Une fois à genoux, il ne pouvait se rel
mme une forte saillie entre la cuisse et la partie supérieure de la
jambe
: on dirait un genou atteint d'hydarthrose ; ce
d'être nouvellement ciré, lorsqu'il se fil en tombant une fracture de
jambe
au niveau du tiers inférieur. On lui appliqua u
elle fait le geste de rejeter ses draps au pied du lit, allonge ses
jambes
, place ses mains le long de son corps comme si
choses étant ainsi, si l'on ordonne au malade d'élever une de ses
jambes
en la maintenant étendue, ou de placer ses bras d
le tremblement redouble encore. Il avance ou bien en hésitant, les
jambes
écartées, ou bien en raidissant les membres inf
t eu beaucoup de peine à le maintenir. Il voulut se lever, mais ses
jambes
trem- blaient très fort et se dérobaient à chaq
ez lui en voiture. Il se mit au lit en arrivant. Il remarqua que sa
jambe
gauche tremblait plus fort que la droite. Il se
ôt repris de ver- tiges. Le lendemain, toujours tremblant sur ses
jambes
, il se rendit à pied, mais soutenu par deux per
re environ. Quand il revint à lui, il tremblait non seule- ment des
jambes
mais de tout le corps, ses dents claquaient. Le m
. Le malade accuse de lui-même cet affaiblissement du bras et de la
jambe
gauches. A l'exploration dynamométrique on obti
'est pas telle que le malade ne puisse exécuter avec son bras et sa
jambe
tous les mouvements qui lui sont prescrits, et ce
ement prennent alors une amplitude plus grande; le malade raidit la,
jambe
en posant le pied sur le sol. Il éteint par cet a
inférieurs est celle que présente le sujet quand il est assis, les
jambes
étant fléchies il angle droit, et les pieds repos
, il fut réveillé brusquement par un tremblement très intense de la
jambe
droite. Les secousses envahirent, au bout de qu
Quand il est assis, les pieds reposant à plat sur le sol, les deux
jambes
trépident et les talons, alter- nativement soul
cousses qui se succèdent irrégulièrement. Quand le malade tend la
jambe
en avant ou lorsqu'il se lève, la trépidation s
le tremblement cesse aus- sitôt, il reparaît dès qu'il soulève ses
jambes
. Les sphincters fonctionnent nor- malement. Il
el sur la hanche droite), il veut se relever mais ne peut pas; ses
jambes
flageolent sous lui; on le porte dans une pharmac
ventre. Après deux mois de séjour au lit il veut se lever, mais ses
jambes
ont peine à le supporter, et c'est avec difficult
un sac de plâtre il ressent une douleur plus vive dans le dos; ses
jambes
se dérobent et il tombe par terre avec une paraly
nts dans les membres inférieurs. C'est comme si elle n'avait pas de
jambes
, dit- elle, et elle tombe paraplégique. L'anest
a; les four- millements, les engourdissements dans les pieds et les
jambes
, la fièvre, etc., plaideront plutôt pour une lé
muscle ciliaire, et l'atrophie très accusée est étendue à toute la
jambe
droite. Certains muscles ne réagissent plus au
st à cette époque qu'apparurent les premiers phénomènes du côté des
jambes
: un jour qu'il se promenait sur le pont du batea
pouvait bouger son membre inférieur droit d'un centimètre (orteils,
jambe
, cuisse). Le capitaine lui ordonna un bain chau
e souvient qu'il ne pouvait garder ni son urine ni ses matières. La
jambe
gauche n'a jamais été atteinte. Il refusa de se
xten- seur commun des orteils, extenseur propre du gros orteil à la
jambe
, aussi bien que les muscles abdominaux au tronc
e pesée le 2 mai pèse 53 livres. Le 15 mai, seconde poussée'sur les
jambes
, élevurcs rouges saillantes, à bords élevés, ma
1, l'éruption s'était généralisée, moins accusée cependant dans les
jambes
. « C'étaient, disent les parents, des boutons g
cuisses et de la partie inférieure du visage, moins nombreux sur les
jambes
et sur les mains. Le front et les pieds auraien
ade eut très peur, elle se mil à trembler de tous ses membres ; ses
jambes
se dérobaient sous elle, elle dut s'arrêter un in
l'escalier qui de sa salle conduit au jardin de l'in- firmerie, ses
jambes
semirent tout à coup à trembler très fort; elles
tilité. La malade est très faible. Elle se soutient à peine sur ses
jambes
, qui fléchissent il chaque pas. Elle ne peut marc
un peu plus intense qu'avant cette ébauche d'attaque. De plus, ses
jambes
étaient plus faibles, se dérobaient sous elle en
vements alternatifs de flexion et d'extension de la cuisse et de la
jambe
. Quand la malade est assise, elle trépide exacte-
our recommencer aussitôt. Quand on ordonne à la malade d'étendre sa
jambe
en la soulevant au-dessus du sol, les secousses d
paraît quand la malade, passant ainsi du repos à l'action, étend sa
jambe
et la soulève. En outre, la fréquence des oscil-
où leur direction devient transversale. La face antéro-externe, la
jambe
, le pied sont relativement peu touchés. Si on
bre 1881. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 191 que sa
jambe
et son bras droits devenaient faibles; il obtint
tremblement du membre supé- rieur droit était devenu incessant; la
jambe
droite commençait aussi à trem- bler. Les troub
ise ». Au sortir de cette première attaque, Claw... remarque que sa
jambe
et son bras droits tremblaient plus fort, que c
le sur la face dorsale du poignet droit et une longue éraflure à la
jambe
gauche. Ces blessures ne saignaient pas, ne lui c
ce moment il éprouva un malaise général; ses forces faiblirent, ses
jambes
se dérobaient sous lui. Il dut cesser de travai
t cesser de travailler, et, après avoir fait panser son poignet et sa
jambe
blessés, il alla se coucher. Mais il était dans
Au sortir de cette seconde attaque elle remarqua que son bras et sa
jambe
du IL côté droit tremblaient, ce tremblement a
ur son lit, le tremblement disparaît. Et alors, si elle soulève une
jambe
ou un bras, le tremblement apparaît souvent, ma
de l'épilepsie. Mais il ne se produit que lorsque le sujet tient sa
jambe
étendue sur une chaise, ou appuyée le talon sur l
lorsqu'il l'élève horizontalement. Par contre, quand le malade a sa
jambe
fléchie à angle droit, le pied reposant à plat
ment, mais ces manoeuvres ne sonl efficaces qu'à la condition que la
jambe
soit placée dans l'une des attitudes favorables
sivement il est allé s'accroissant en intensité et en fréquence. La
jambe
a commencé à trembler il y a deux mois. Depuis
pparaissent pas simultanément au bras et à lajambe. Tantôt c'est la
jambe
qui tremble, le bras restant au repos, et vice ve
terre; de là la boiterie. Mais elle se sent aussi solide sur celte
jambe
droite que sur la gauche. Elle peut se tenir debo
e. L'atrophie apparaît alors à la main, au bras et à l'épaule, à la
jambe
, d'un seul côté ou des deux côtés à la fois, suiv
alors que les adducteurs sont intacts et que les fléchisseurs delà
jambe
sur la cuisse possèdent encore une certaine pui
conscience et se plaint d'avoir constamment froid aux pieds et aux
jambes
. La perte des réflexes, l'absence de douleurs,
malade commença à aller mieux. Il reprit peu à peu à l'usage de ses
jambes
, fit quelques pas à l'aide de béquilles d'abord
lades (obs. XXVI). Lorsque l'atrophie a envahi les extenseurs de la
jambe
, on observe la démarche de stepper, caractéristiq
le premier cas, il s'agit d'une double rétraction des muscles de la
jambe
et de la cuisse ayant succédé à une contracture d
es ci gardaient le lit avec une attitude vicieuse et permanente des
jambes
, sont actuel- lement guéries et marchent facile
ÉTRACTIONS MUSCULAIRES. '951 observait les phénomènes suivants : la
jambe
était entièrement fléchie sur la cuisse, le pie
n : un amaigrissement considérable. Quand on cherchait à étendre la
jambe
, on oblenait un léger résultat aussi- tôt limit
harcot conseilla d'opérer la section des tendons et de redresser la
jambe
dans un appareil plâtré. L'opération fut pratiq
au moyen d'un petit ténotome mousse. Un redres- sèment modéré de la
jambe
fut maintenu provisoirement avec de la ouate et
, semblable après avoir obtenu, par FIG. 51. - Aspects divers de la
jambe
gauclie : 1° après la pose du premier appareil;
te manuscrite, les renseignements suivants sur son état actuel : « La
jambe
pouvait s'étendre complètement; les muscles du
consécutive avec flexion des deux cuisses sur le bassin et des deux
jambes
sur les cuisses, les pieds étant en exten- sion
t le mois de novembre, une douleur névralgique se dé- clara dans la
jambe
droite, avec tous les caractères d'une sciatique.
ccalmies de quelques "semaines. Bientôt la douleur s'étendit à la
jambe
gauche et gagna la région des reins. En même te
ps apparaissait une contracture très prononcée des muscles des deux
jambes
et des deux cuisses. La malade occupait dans le l
e pouvait quitter. Tous les mouvements étaient impos- sibles. Les
jambes
demeuraient fléchies sur les cuisses et celles-ci
a été dit plus haut. En exerçant quelques tractions légères sur les
jambes
, on pro- voquait un léger degré d'extension. Il
; il semblait que le raccourcissement des muscles postérieurs de la
jambe
et du tendon d'Achille ne jouaient ici qu'un rôle
rnies de ouate. Au bout de huit jours, il fut possible d'étendre la
jambe
de 45 degrés en- 254 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
e mentionnerai de suite que le résultat obtenu fut meilleur pour la
jambe
gauche que pour la jambe droite. Le genou droit s
ue le résultat obtenu fut meilleur pour la jambe gauche que pour la
jambe
droite. Le genou droit semblait présenter des a
ble, en employant une grande violence, de redresser complètement la
jambe
gauche. Pour la jambe droite je renonçai il obt
grande violence, de redresser complètement la jambe gauche. Pour la
jambe
droite je renonçai il obtenir un résultat aussi c
et. Le 20 septembre, les gouttières étaient de nouveau enlevées. La
jambe
gauche complètement étendue sur la cuisse resta
ns appareil. Je fis un redressement aussi absolu que possible de la
jambe
droite et la mis pendant quarante-cinq jours da
s craquements; les muscles fonctionnaient assez bien. Lorsque les
jambes
furent suffisamment redressées pour permettre d'e
uter qu'il est très intense des deux côtés, dans le décubitus et la
jambe
fléchie au bord du lit. On ne provoque pas la t
ier; à cette époque il commença à se plaindre de faiblesse dans les
jambes
, de lourdeur de tôle; de temps en temps on put
inations visuelles. Ces symptômes augmentèrent de jour en jour; ses
jambes
devinrent si faibles que le malade dut rester con
DE L'O1'llTIiALdI01'LIsGIE EXTERNE. 265 lincte, les mouvements des
jambes
sont possibles, mais très faibles; de plus ils
usqu'à l'âge de la perbuté (on retrouve encore sur les mains et les
jambes
les traces indélébiles d'éruptions successives
bras en prona- tion, la paume de la main appliquée à la cuisse, les
jambes
rappro- chées, les pieds en équerre; cela fait,
emain il éprouva de l'engourdissement et des fourmillements dans sa
jambe
droite, qui lui paraissait « endormie ». Néan-
oïde nette. Pas d'atrophie musculaire. La mensuration au niveau des
jambes
et des cuisses ne donne aucune différence de volu
gauche, 43. Lorsqu'on fait marcher le malade, il va en traînant la
jambe
droite. Troubles urinaires. Depuis quatre jours
pontanées, mais alors elles suivent une direction inverse. Les deux
jambes
sont constamment écartées et forment un angle a
le. Quand elle progresse, les pieds sont ren- versés en dehors, les
jambes
légèrement fléchies sur les cuisses (celles-ci
haut et par en bas ; en haut jusqu'à la face, en bas jusque dans la
jambe
. Au-dessus de la limite supérieure, au-dessous
roite : ainsi à la face, au front, sur le cuir chevelu; en bas à la
jambe
, au pied et. à la plante du pied gauche. L'applic
che. Depuis quelques semaines, elle a la sensa- tion de pieds et de
jambes
en caoutchouc. Quand on lui fait fermer les yeu
y reste trois mois et en sort sans amélioration aucune du côté des
jambes
. Au contraire, dans les derniers temps, elle ne p
favorable de l'état général sans aucune amé- lioration du côté des
jambes
. Lundi matin même, vers neuf heures et demie, l
a souplesse. Le côté gauche est toujours sensible et elle traîne la
jambe
; mais nous acceptons ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉR
l'a conduite à essayer, et elle a marché. - 24 février 1882. - La
jambe
gauche est toujours un peu raide en mar- chant
au commencement de juillet, la malade ne peut plus se tenir sur ses
jambes
, et dans le commencement du mois on se décide à
ssait pas à faire d'abord. Au membre inférieur gauche, y a, pour la
jambe
, un certain mouvement d'extension et de flexion.
d'extension et de flexion. La malade est capable de soulever cette
jambe
d'une vingtaine de centimètres au-dessus du sol
près la première attaque, elle ne pouvait plus marcher du tout; ses
jambes
, complètement molles, ne pouvaient la soutenir.
moindre fardeau sur la tète sans les réveiller. A la même époque, ses
jambes
sont devenues raides insensiblement et faibles;
is, elle a gardé com- plètement le lit, ne pouvant se tenir sur ses
jambes
. Elle a pu ensuite se relever et marcher, mais
mence à marcher difficilement, ressentant de la faiblesse dans les
jambes
, de sorte qu'elle est obligée de quitter son mé
nce à se mettre en pied-bot interne. Elle soulève difficilement les
jambes
au-dessus du plan du lit. La démarche est spasm
main matin, elle éprouva en se levant une grande faiblesse dans les
jambes
, qui faiblirent : elle tomba sur ses genoux et
ou- voir se relever ; quand elle se releva, elle ne sentait pas ses
jambes
, mais souffrait horriblement. Quoique très gêné
ver à son atelier. Là, elle voulut se mettre à la machine, mais ses
jambes
refusèrent tout ser- ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉR
n ; peu à peu la paraplégie. se modifie; la malade remue un peu les
jambes
dans son lit, et c'est seu- lement au bout de v
peu les membres inférieurs au-dessus du plan du lit; la flexion des
jambes
sur les cuisses est très incomplète et très diffi
lui dit de descendre de son lit, elle transporte avec ses mains ses
jambes
sur le bord du lit, puis se laisse glisser jusqu'
, l'enfant allait mieux; apyrexie complète, mais insensiblement les
jambes
refusent la marche et la station debout. « Il y
ieurs sont contracturés en extension com- plète. Les cuisses et les
jambes
sont en adduction forcée, au contact; elles se
rs, '- Le petit malade en s'éveillant ce matin s'est figuré que ses
jambes
allaient mieux; il lui semble qu'il pourrait marc
ophie musculaire sont indiscutables. Si l'on doit deviner celle des
jambes
que le dessinateur ne montre pas, mais qui ont
A vingt-cinq ans, accès épileptiques. Pieds bots. Contracture de la
jambe
gauche. Thorax aplati dans sa partie supérieure
s d'une année une contracture des muscles extenseurs du pied sur la
jambe
. La diathèse de contracture, lorsqu'elle est gé
inférieur du même côté est respecté. Lorsqu'on pince\ le bras ou la
jambe
du petit malade, celui-ci témoigne vivement qu'il
en quand on le lui ordonne, sans trace de paralysie. Si on pince la
jambe
de ce côté, il la retire, mais moins vivement e
s vomissements. Le 2G juillet, elle veut se lever dans la nuit, ses
jambes
fléchissent et elle tombe sans con- 1. Voy. les
ulut essayer de se lever et constata à son grand étonnement que ses
jambes
étaient paralysées. On essaya de la mettre debo
s jambes étaient paralysées. On essaya de la mettre debout mais ses
jambes
se dérobèrent sous elle, surtout la jambe droite
a mettre debout mais ses jambes se dérobèrent sous elle, surtout la
jambe
droite et elle serait tombée si on ne l'avait s
nets, elle s'aperçoit alors que son côté droit est paralysé, que sa
jambe
traîne, qu'elle refuse la marche et elle est obli
rend durant trois jours, puis cette monoplégie gauche disparaît. La
jambe
droite et le membre supérieur du même côté rest
. Deux ou trois mois après cet accident, elle s'est aperçue que ses
jambes
devenaient faibles; elle pouvait cependant vaqu
res inférieurs faisait des progrès ; parfois, durant la marche, ses
jambes
se dérobaient sous ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQ
s, paraît-il, très difficilement, appuyée sur une canne, jetant ses
jambes
à droite et à gauche, le sol donnant à ses pied
s du plan du lit; ils restent dans l'attitude normale du repos, les
jambes
légèrement fléchies, les pieds en varus équin.
à peine ébauchés ; il en est de même des mouvements de flexion des
jambes
sur les cuisses et des cuisses sur le bassin, a
cune espèce de notion de la position de ses membres ; elle perd ses
jambes
dans son lit; la nuit, elles sont quelquefois p
'on essaye de la faire marcher soutenue par deux aides, on voit ses
jambes
se dérober, rester immobiles et suivre mécaniqu
re mécaniquement les divers mouvements imprimés au tronc, comme les
jambes
d'un tabétique arrivé à la période paralytique.
; crises gastriques accompagnées de vomisse- ments ; dérobement des
jambes
, perte du sens musculaire, paresse- vésicale, d
évidemment de l'hystérie; elle rend compte aussi du dérobement des
jambes
et de la perte du sens musculaire ainsi que du
s heures du matin; elles étaient vives, rapides et sillonnaient les
jambes
, surtout celle du côté droit (il était obligé de
jambes, surtout celle du côté droit (il était obligé de sortir les
jambes
du lit); elles étaient tellement violentes qu'ell
en plaques. Il présen- tait en même temps un oedème du pied etde la
jambe
gauches. M. le profes- seur Dieulafoy fit le di
se servir d'une canne et se fatigue aisément. Au lit, il soulève ses
jambes
avec peine, brusquement, sans proportionner l'e
les membres inférieurs est diminuée. Lorsqu'on essaye de fléchir la
jambe
en extension, on triomphe de cette résistance mai
membres infé- rieurs. Ces douleurs se sont montrées d'abord dans la
jambe
gauche, sous forme d'éclairs, parcourant rapide
anesthésie au talon et aux orteils, hyperesthésie il la voûte. Les
jambes
présentent des plaques au niveau des genoux et
ain- tenant à souffrir. » Et'en effet le malheureux patient dont la
jambe
est couverte d'ulcères est en train de subir un
ait, mais aussitôt abandonné il reprenait sa position primitive. La
jambe
droite était aussi dans la flexion, quoique à un
s. Souvenl, la nuit, elle sent des tiraillements douloureux dans la
jambe
et dans le bras droits puis des battements de c
seudohypertrophie avec parésie assez sensible. Le périmètre donne :
jambes
, il droite, 35 cent. z, il gauche, 33 cent.; cuis
e malade s'était aperçu, à la fin de son séjour à l'hôpital, que sa
jambe
cl son bras droits diminuaient de volume. Au bo
augmenté, toujours marquée surtout à la main, au bras droit et à la
jambe
droite. L'anesthésie généralisée n'est com- plè
out d'abord d'une façon générale que, si le malade peut mouvoir ses
jambes
dans son lit, elles sont trop faibles pour sout
ice ni de trémulation épileptoïde du côté gauche. Lorsqu'on plie la
jambe
du malade et qu'on lui dit de s'opposer au mouv
imètres 1/2, tandis que celui du côté opposé en présente 45 1/2. La
jambe
du côté gauche a 23 centimètres de largeur, et ce
nges sont d'ailleurs normalement en flexion sur les premières. A la
jambe
, l'atrophie est à peu près totale. Le relief du
ce se fait régulièrement et normalement. La partie inférieure de la
jambe
et le pied sont toujours refroidis. Les tégu- m
gauche. A la cuisse, les mouvements d'extension et de flexion de la
jambe
sur la cuisse sont plus aisés qu'à gauche; l'at
e temps qu'une douleur profonde; il lui semble que « son bras et sa
jambe
ne sont plus à lui ». Le dynamomètre donne 41 à l
NT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 473 elle se tient mieux sur ses
jambes
et ne souffre plus d'insomnie. Mais après la hu
avant que Mesmer s'était vanté d'avoir guéri d'une « hydropisie des
jambes
». Le malheur fut que Court de Gébelin mourut q
ération environ 48 heures sans mou- vement et sans connaissance, la
jambe
de devant allongée et les muscles tendus. Le
temps en temps il se relevait un peu de sa position couchée sur les
jambes
de devant et touten restant immobile dans un ét
nscient, il émettait des sons plaintifs, tout en exécutant avec les
jambes
antérieures des mouvements saccadés. Il vivai
ement, il a souffert de douleurs rhumatismales dans les bras et les
jambes
et surtout au pied gauche. La maladie actuelle
Etant assis dans un jardin public, V. sent une vive douleur dans la
jambe
gauche ; il rentre chez lui en marchant avec pe
membre inférieur droit. Le membre inférieur gauche est faible ; la
jambe
ne peut être ni fléchie, ni étendue complètemen
dans la marche, le malade se plaint de souffrir de son pied, et'de sa
jambe
gauches et, même au repos, il a parfois des dou
, en s'appuyant sur des cannes ou sur les meubles et en traînant sa
jambe
gauche. Autopsie. Le diagnostic posé, penda
, craignant une gangrène en- vahissante, il se laisse amputer de la
jambe
droite à 10 centimètres au-dessous de l'articul
ent difficile ou anormal ; il sait seu- lement qu'il est né avec la
jambe
gauche « plus forte », c'est-à-dire plus grosse
vec la jambe gauche « plus forte », c'est-à-dire plus grosse que la
jambe
droite, et que cette difformité a toujours persis
ndant presque tout ce temps et portait des fardeaux ; sans doute sa
jambe
gauche était-elle un peu lourde, elle ne l'empê
ait pourtant pas de se livrer à ce dur métier; cette lourdeur de la
jambe
était plus marquée le. soir, la journée faite, sa
re heures, il ne peut plue rester debout et doit se coucher, car sa
jambe
, devenue un peu plus volumi- neuse, s'engourdit
ssous, il est plus volumineux que le membre correspondant droit, la
jambe
a la forme d'un cylindre ; en bas, existe au ni
enté également de volume, mais dans des proportions moindres que la
jambe
. Tandis que le cylindre d'oedème paraît se term
e et inférieure ; si l'on exerce, sur la partie inférieure des deux
jambes
, une pression légère il l'aide du doigt et qu'on
alors qu'elle persiste quelques instants à droite. La peau de cette
jambe
oedématiée a l'air remplie, distendue, par endroi
ne durant que quelques instants ; c'est à la partie supérieure de la
jambe
qu'on a le plus de chance de le provoquer; dans
u'a la face dorsale ; il est beaucoup moins accusé que' celui de la
jambe
; il est blanc, sans godet, indolore, dur, non
d a l'aspect du pied plat. Dans le sillon qui sépare l'oedème de la
jambe
de celui du pied, se voient de fines arborisati
es arborisations vasculaires existent aussi à la face externe de la
jambe
, au niveau de la limite supérieure de l'oedème ;
dentes, et rougeâtres le soir comme le matin. La face interne de la
jambe
porte, dans son tiers inférieur, une petite cica-
ste autant sur l'autre membre. Les poils sont' plus rares sur cette
jambe
que sur l'autre ; ils manquent 70 COURTRLLE\IO\
lation évi- dente avec l'état général, il n'existe, pas plus sur la
jambe
gauche qu'en un autre point du corps, aucun tro
utanée ou articu- laire. Mais la température est plus élevée sur la
jambe
difforme que sur l'autre : la différence est év
). Les deux pieds ont la même longueur ; il en est de même des deux
jambes
(36 centim. de l'extrémité supérieure du péroné
soir an moment du coucher, sauf pour le pied : la différence, à la
jambe
gau- che, est de 1 il 2 centimètres et demi ent
petit noevus fileux ;'1 la face interne de la curie gauche. ' La
jambe
saine n'a pas de varices et pas trace d'oedème.
uy (d'Amiens), ont été prises le malade couché sur le dos, les deux
jambes
sur un même plan,l'une un peu plus tournée que l'
ne des deux images, on voit avec évidence que le squelette des deux
jambes
a les mêmes dimensions. On voit encore sur la r
es a les mêmes dimensions. On voit encore sur la radiographie de la
jambe
gauche deux détails intéres- sants : d'une part
une couche fibre-adipeuse dense. Enfin sur la radiographie de la
jambe
gauche se dessine très nettement une des grosse
elle est rosée ou rouge dans la partie moyenne. et inférieure de la
jambe
; cette coloration s'accentue encore à la fin d
mention ; dans le cas de Sicard et Laignel-Lavastine, tandis que la
jambe
avait un oedème dur, le pied était le siège d'un
tait une impression de froid et quel- ques engourdissements dans la
jambe
, elle était prise, en outre, dans la station de
; elle se tenait un instant sur un pied léger, pendant que l'autre
jambe
était levée et tendue en arrière par un effort
t, de lourdeur dans la main gauche, de sensation de chaleur dans la
jambe
gauche et de fourmillement dans les extrémités de
ablation de la saphène interne droite pour varices et ulcères de la
jambe
. Depuis 3 mois elle ressentait des douleurs dan
res de la jambe. Depuis 3 mois elle ressentait des douleurs dans la
jambe
droite en même temps qu'un affaiblissement progre
, en marchant, et sans ressentir de douleurs, elle s'aperçut que sa
jambe
gauche devenait lourde et qu'elle ne pouvait plus
r, la marche est impossible sans aide ; la malade s'écroule sur ses
jambes
. Soutenue, elle steppe de la jambe droite ; elle
e ; la malade s'écroule sur ses jambes. Soutenue, elle steppe de la
jambe
droite ; elle traîne l'avant-pied droit. La f
lle à droite pour les mouvements actifs et passifs du pied et de la
jambe
, est conservée à gauche. Le rétlexe achilléen, nu
) une anesthésie tactile, douloureuse et thermique du pied et de la
jambe
, remontant sur la face interne de la jambe jusqu'
ermique du pied et de la jambe, remontant sur la face interne de la
jambe
jusqu'à 4 centi- mètres au-dessous du genou, su
Inc. 1. - Anesthésie tactile, douloureuse et thermique du pubis, à la
jambe
et au pied à droite dans le domaine des 1r*, 20
pigment, qui parais- sent consécutives à des gommes cutanées de la
jambe
droite. La malade ne se plaint pas de douleurs
uisse, innervés par le nerf sciatique, et les muscles postérieurs des
jambes
sont relativement moins touchés que les autres.
exion et résister un peu aux mouvements pas- sifs d'extension de la
jambe
sur la cuisse. RD. complète dans les muscles des
er segment sacré. Peut-on reproduire ces attitudes du bras et de la
jambe
en contracture, par percussion périphérique, c'
Gilberl, vol. VIII,, p. 458. ' xxi 11 158 NOICA chisseurs de la
jambe
, fléchisseurs de la cuisse), tandis que les muscl
nger le membre inférieur (extenseurs de la cuisse, extenseurs de la
jambe
, fléchisseurs plantaires du pied), ou bien ne s
e passe dans un segment quelconque du côté sain : avant-bras, bras,
jambe
ou cuisse non paralysés, que ce mouvement soit
. Saint-Dizier (Haute-Marne). OEDÈME PERSISTANT HÉRÉDITAIRE . DES
JAMBES
' AVEC EXACERBATIONS AIGUËS PAR W. B. HOPE
u à peu. Vers 1899, alors que la fillette était âgée de 11 ans, les
jambes
, des orteils aux genoux, étaient toutes deux si
Ils retenaient l'oedème dans une certaine mesure ; sans bandages,les
jambes
devenaient énormes. La petite malade ne prése
très activement. A aucun moment il n'y eut d'oedéme ailleurs qu'aux
jambes
. . Aucune difficulté à respirer; pas de tendanc
rien qui ait une apparence causale à l'égard de l'entlure ferme des
jambes
ou qui puisse donner une indication sur la natu
onduisit la jeune fille au Dr FIope, ce ne fut pas en raison de ses
jambes
, mais à cause de ses yeux ; il y avait alors un
njonctivite ne fut qu'un accident sans connexion avec l'enflure des
jambes
. Celle dernière avait l'apparence d'un éléphantia
dernière avait l'apparence d'un éléphantiasis modéré ; l'état t des
jambes
est celui qu'on retrouvera en 1906, mais l'oedème
mais l'oedème était cepen- dant d'une intensité moindre.L'état des
jambes
demeura sans changement de 1899 à 1904 ; c'est
métatarso-phalangienne du gros orteil du pied droit. L'enflure des
jambes
n'était pas augmentée à ce mo- moment, et l'éta
e pudendum était redevenu nor- mal, la douleur avait disparu et les
jambes
étaient comme auparavant chroniquement tuméfiée
ssentit une douleur in- tense et continue dans sa cuisse et dans sa
jambe
du côté droit, du liga- ment de Poupard jusqu'à
126, et sa respiration était de 52 par minute. La cuisse droite, la
jambe
, le pied, exactement à partir de la ligne du liga
pensait provoquer une défaillance. Du côté gauche, la cuisse et la
jambe
étaient chaudes aussi, mais elles n'étaient ni
Guy's Hospital du le' novembre au 1er décembre 1906. L'état de ses
jambes
à ce moment est montré par les photographies ci-
rter au niveau du quadriceps extenseur fémoral ou des muscles de la
jambe
dans sa région postérieure. Les muscles tibiaux a
Poupard, formant une limite nette et précise où la tuméfaction des
jambes
commence. Le système génital n'était anormal qu
pas davantage de télangiectasies, la malade avait constaté que ses
jambes
et ses pieds devenaient rapidement engourdis et
arbre généalogique - OEDÈME PERSISTANT HEREDITAIRE 185 sa vie les
jambes
très enflées ; mais nous n'avons pas pu savoir da
eut deux enfants, William et Hannah. Ce William était atteint des «
jambes
enflées » et il eut des « attaques ». Il mourut
il eut des « attaques ». Il mourut en 1870. Hannah aussi eut les «
jambes
enflées » et des « attaques ». Elle mourut en 1
Tucker junior eut deux enfants, Eliza et Alfred. Eliza avait les «
jambes
enflées » avec des « attaques ». Elle se maria,
red est encore vivant, il est complètement indemne de l'enflure des
jambes
; ses enfants le sont également, autant qu'il nou
Mary, Hunsley, William, Harriet et Lucy. Elisabeth, qui avait les «
jambes
enflées », s'en fut en Amérique ; on croit qu'e
risseur. Il fut atteint pour la première fois de cette enflure des
jambes
à l'âge de 9 ans. L'oedème fut de suite persist
x malgré son âge. L'oedème affecte la face dorsale des pieds et les
jambes
jusqu'aux genoux; là, il s'arrête brusquement. La
pas très bien l'enflure, parce que le malade garde constamment ses
jambes
bandées, sachant par expé- rience quel volume e
et ne purent être replacés ; lorsqu'il revint le soir chez lui, ses
jambes
, jusqu'aux genoux, étaient très grosses ; mais
nfants, Ellen, Rose, Emma, et trois autres, l'une (Ellen) eut les «
jambes
enflées » et les « attaques aiguës » (V. ci-des
l mourut phtisique, sans enfant. Harriet eut dès sa jeunesse les~ «
jambes
enflées » et les « attaques aiguës ». Elle mour
ditaire. Thomas Wherrell qui est actuellement âgé de 48 ans a les «
jambes
enflées » dans une mesure assez modérée, et il
de son père Henry,et cela pour la même raison, c'est-à-dire que ses
jambes
sont toujours maintenues par un bandage. L'oedème
s maintenues par un bandage. L'oedème est davan- tage marqué sur la
jambe
droite que sur la gauche, mais les deux jambes
n- tage marqué sur la jambe droite que sur la gauche, mais les deux
jambes
sont affectées jusqu'aux genoux et pas plus hau
s rétri- buée afin d'échapper à toute responsabilité. L'enflure des
jambes
sur- vint lorsqu'il eut atteint l'âge de 18 ans
qu'il tomba soudain à terre, se débattant des deux bras et des deux
jambes
, l'écume à la bouche. La convulsion dura environ
Nous avons des renseignements sur deux « attaques aiguès » dans ses
jambes
; elles furent semblables à celles que nous avons
em- blaient dilatées et gorgées de sang. La partie supérieure de la
jambe
était normale. Le tiers inférieur de la jambe,
rtie supérieure de la jambe était normale. Le tiers inférieur de la
jambe
, la cheville et le pied étaient aug- mentés de
région à la partie supérieure du triangle de Scarpa. Le pied et la
jambe
étaient moins enflés et moins rouges ; le lende
ent jusqu'à 8 heures, moment où sa température s'éleva beaucoup. Sa
jambe
droite, qui lui faisait mal de- puis 4 heures d
ature était de 103° F., la fréquence du pouls de 108 par minute. La
jambe
droite était chaude, plus enflée que d'habitude,
t à 98° F., la fréquence du pouls-à 78 par minute, la douleur de la
jambe
s'en était allée et l'enflure était reve- nue à
enry fut normal. On ne sait s'il a des enfants. Silas n'a pas les «
jambes
enflées ». Il a eu des convulsions dans son enf
se porte bien. Alfred est normal. Bessie commença à avoir les «
jambes
enflées » à l'âge de 9 ans et l'eedéme s'étendi
t en 1901, laissant cinq enfants dont l'un, une fille, a déjà les «
jambes
enflées ». Les en- fants sont en Egypte et il n
le d'Hannah Wherrell, eut deux enfants, tous deux libres du mal aux
jambes
. Les enfants de Hunsley Wherrell. Hunsley, fi
ly et trois autres sont tous normaux. Ellen souffre à la fois des «
jambes
enflées » et elle a eu des « atta- ques aiguës
ans, elle était de santé parfaite ; alors sans cause apparente ses
jambes
commencèrent à être affectées de l'infirmité fami
ment, pendant sa dernière grossesse, elle n'en eut aucune. Les deux
jambes
ont été attaquées; une fois la jambe gauche fut
lle n'en eut aucune. Les deux jambes ont été attaquées; une fois la
jambe
gauche fut prise avant que la jambe droite ait ét
ont été attaquées; une fois la jambe gauche fut prise avant que la
jambe
droite ait été entièrement OEDÈME PERSISTANT HÉ
rent environ 15 minutes, les mains de- viennent toutes bleues et la
jambe
devient rouge, plus enflée que d'habi- tude. El
iés à l'exception d'Alice Wherrell elle- même. Les mensurations des
jambes
d'Ellen prises le 17 septembre 1907, immédiatem
enfants qui jusqu'à maintenant ne présentent aucune tendance aux «
jambes
enflées ». Les enfants de Thomas Wherrell. Th
intenant âgée de 12 ans, a commencé à être atteinte de l'oedème des
jambes
. Son état n'est pas encore très mauvais, mais e
encore très mauvais, mais elle est obligée de tenir constamment ses
jambes
bandées faute de quoi l'enflure deviendrait ex-
mentation de volume est symétrique, affecte moins les pieds que les
jambes
et elle s'ar- rête brusquement juste au-dessus
é comme une plaque d'érysipèle. Les veines, sur la cuisse et sur la
jambe
, étaient de- venues plus visibles qu'à l'état n
02° F. et la. fréquence du pouls de 96 par minute. La rougeur de la
jambe
droite était plus générale, le pied était davanta
existaient encore mais considérablement diminués. Le 9 juillet, la
jambe
et le pied étaient encore enflés et nettement rou
ge brillant en petit nom- bre, au contour arrondi. Le 10 juillet la
jambe
commença à faire mal dans l'après-midi ; pendan
us une lame de coton alors qu'au même moment la tem- pérature de la
jambe
gauche prise de la même manière était de 95° 4 F.
sur la photographie elle est à peu près de même importance aux deux
jambes
. Une semblable « attaque aiguë » survint du côt
s, le plus jeune enfant, est normal jusqu'ici en ce qui regarde ses
jambes
, mais il est sujet à des attaques d'épilepsie.
is; ni l'un ni l'autre n'ont montré jusqu'ici aucune tendance aux «
jambes
enflées ». mais il est trop tôt pour dire qu'il
l'administration de l'extrait thyroïdien n'améliore pas l'état des
jambes
. Il est évident qu'il existe une cause locale d
trice. OEDÈME PERSISTANT HÉRÉDITAIRE 193 Relations entre les «
jambes
enflées » et les « attaques aiguës ». Avant de
saire de dire quelques mots sur les rapports exis- tant entre les «
jambes
enflées » et les « attaques aiguës » que tous ou
omme cause de l'oedème. Mais le fait très remarquable est que les «
jambes
enflées » sont produites graduellement sans qu'
s qu'on puisse leur attribuer une cause ; et même dans un cas les «
jambes
enflées » existaient quelque vingt-cinq ans avant
ation sanguine qu'il fallait. Une distension visible des veines des
jambes
est une rareté dans les obser- vations. Les pie
tions de l'oe- dème angioneurotique, tout en restant localisées aux
jambes
au lieu de changer de place et d'affecter le co
une famille dont d'autres membres sont atteints de trophoedème* des
jambes
a été notée par d'autres observateurs, et le fait
semblent sont les suivants : 1° Limitation absolue de l'oedème aux
jambes
. 2° Absence de toute cause discernable de l'oed
isposition familiale à l'affection. 4° Absence de douleurs dans les
jambes
pâles et enflées (cela existait dans nos cas en
r plus tard (formes héréditaires). Semblablement le trophoedème des
jambes
peut être congénital et exister à la naissance
plupart des cas, à l'excep- tion du bandage solide et constant des
jambes
. Plusieurs de nos malades ont atteint l'âge de
utres encore. Rien n'apporta la moindre modification à l'état de la
jambe
. Un observateur a obtenu des avantages dans un ca
e bonne heure la nature de l'affection et de tenir dès le début les
jambes
constamment entourées 198 HOPE ET FRENCH d'un
que l'oerlème était bien avancé. On eût pu croire que l'oedème des
jambes
aurait pu cons- tituer un obstacle fâcheux à la
suspendu pour tout le cours de la grossesse. Ce fait que l'étal des
jambes
n'est pas rendu plus mauvais par la grossesse c
us saillant, disons-nous, est l'aedéme persistant et indolore d'une
jambe
ou des deux jambes survenant apparemment sans cau
s-nous, est l'aedéme persistant et indolore d'une jambe ou des deux
jambes
survenant apparemment sans cause, et en dehors
lesquels nous préférons celui de «oedème héréditaire persistant des
jambes
», ou maladie de Milroy. L'affection frappe aussi
ographie de la Salpêtrière, 1902. MEYER Georges). Elephantiasis des
jambes
chez un hystérique. Berliner medicinis- che Ges
1, 1903. Souques. Elephantiasis nostms symétrique du pied el de la
jambe
. Nouvelle Ico- nographie de la Salpêtrière, 189
lièrement l'attention sur le ca- ractère spécial du mouvement de la
jambe
paralysée, lorsque le malade marche, mouvement
en marchant, elle a une allure particulière pour porter en avant la
jambe
paralysée : elle porte d'abord le tronc du côté o
n ; alors par une réaction de circumduction, elle porte en avant la
jambe
paralysée, faisant décrire au pied un arc de ce
et se met en marche (supposant qu'il s'agit d'hémiplégie droite) la
jambe
saine gauche donne l'impulsion nécessaire pour
les bé- quilles, et, en raison du peu de stabilité de cet appui, la
jambe
n'accom- plira qu'une oscillation de faible amp
faible amplitude, soit un pas de petite étendue. Au moment où cette
jambe
saine prend de nouveau son appui, la jambe mala
ndue. Au moment où cette jambe saine prend de nouveau son appui, la
jambe
malade, elle, non seulement est incapable d'aid
eut même arriver au niveau de l'autre. C'est en s'ap- puyant sur la
jambe
saine et en se penchant en avant que, à l'aide. d
e, démarche hémiplégique flasque, dans laquelle le malade traîne sa
jambe
presque à la façon de l'hémiplégie hystérique,
par Todd : quelques-uns de ces ma- lades, il est vrai, traînent la
jambe
paralysée comme si elle était morte et n'accomp
que leur double pas, du côté paralysé et presque égal à celui de la
jambe
saine. Cela encore à mon avis est une forme de
une forme de démarche paradoxale, car en effet le malade traîne la
jambe
paralysée seulement dans la partie presque pass
ments du tronc compensateurs constants et rationnels pour porter sa
jambe
malade au même niveau que la jambe saine, c'est-à
nts et rationnels pour porter sa jambe malade au même niveau que la
jambe
saine, c'est-à-dire, lorsque le pied sain est à
r le corps en arrière et de faire de violents efforts, en tirant sa
jambe
gauche en avant - avec une lisière pour faire a
tout à fait t le contraire de celle-ci : elle traîne passivement sa
jambe
comme une pièce de matière inanimée. Chacune de
l'hémi- plégique hystérique marche sans même toucher le sol avec sa
jambe
ma- lade ; d'autres fois la démarche ressemble
tous les moments d'une démarche.] Le malade traîne passivement sa
jambe
paralysée, qui est dans une abduction exagérée,
plit dans cette position des mouvements égale- ment actifs avec ses
jambes
. En le faisant reculer, il porte activement en
ieur, dans lesquels le patient, lors- qu'il marche, boite, jette la
jambe
en avant on en dehors, un peu à la manière d'un
je viens de décrire. Ici encore l'enfant inclinait son tronc sur la
jambe
malade et de plus battait très nettement,en march
r pendant la marche son tronc sur le côté sain pour graviter sur la
jambe
de ce côté, l'inclinait sur la jambe malade. Ce
côté sain pour graviter sur la jambe de ce côté, l'inclinait sur la
jambe
malade. Ce même malade fut guéri par suggestion
it. Ce même malade marchant à quatre pattes traînait passivement sa
jambe
droite qui faisait, le malade étant debout, le
PI. XXXV). Voici encore une malade qui, au moment d'appuyer sur sa
jambe
gau- che, plie trois fois rythmiquement le pied
ire marcher à quatre pattes, ou le faire tenir debout sur une seule
jambe
, etc.) pour constater la paradoxal té de la dém
les jours précédents. Elles ont augmenté d'intensité au niveau des
jambes
. Le ? 1.- Malgré le repos au lit durant toute l
« celle d'un homme ivre », amenait des exacerbations au niveau des
jambes
. En outre apparaît pour la première fois la dip
des mains et des avant- bras est absolue. De même la paralysie des
jambes
. Par contre, la motilité était conservée dans l
UN CAS DE POLIENCÉPHALO-MYÉLITE AIGUE 259 Mobilité plus grande des
jambes
et des pieds tant à droite qu'à gauche : adduc-
es. Le 13. - L'amélioration continue. La flexion, l'extension de la
jambe
et du pied, l'abduction et l'adduction de ce de
ond d'oeil. Le retour des fonctions des membres est complet pour la
jambe
. Il est moins accusé pour les membres supérieur
ée ; caractère difficile. L'enfant marche en traînant légèrement la
jambe
droite ; il n'existe pas de raideur dans le membr
téraux succéder à l'excitation de la plante du pied : flexion de la
jambe
et adduction de la cuisse, contrac- tion du ten
té paralysé et du côté sain, un mouvement de flexion du pied sur la
jambe
. Ce phénomène hétérogène avait déjà été entrevu
droit provoque l'extension de l'orteil, et la flexion du pied sur la
jambe
, selon le mode aujourd'hui classique ; l'excita
it s'étend ; mais par cette excitation le pied droit s'étend sur la
jambe
, au lieu de se fléchir comme tout à l'heure. Nous
ontrolatéral d'extension, avec exten- sion également du pied sur la
jambe
(dissociation du réflexe pathologique ordinaire
ieurs est complète; le malade ne peut se tenir debout, il lance ses
jambes
d'une manière désordonnée, aussi loin que le lu
remontent à des chutes acci- dentelles de la première enfance ; la
jambe
gauche au-dessous du genou une large cicatrice
a pas d'asynergie avec les muscles des extrémités inférieures ; les
jambes
restent fixées au sol en exécutant l'épreuve de
les mouvements passifs' brusques de flexion et d'exten- sion de la
jambe
sur la cuisse ; cette résistance disparaît complè
fet 146 centimè- tres ; de taille très svelte et élancée il a les
jambes
très longues par rapport au tronc. De conformat
aurait observé des mouvements convulsifs, surtout du bras et de la
jambe
gauches. Morsure de la langue. Durée de la cris
ir du bras gauche. Dès une année plus tard (mai 1905) parésie de la
jambe
gauche et diminution de la vue. Trois mois aprè
ne bouge pas spontanément le bras gauche. Elle ne meut également la
jambe
gauche que sur ordre, mais elle peut la fléchir
qu'elle sent venir la crise. Les convulsions débutent au bras et à la
jambe
gau- ches. Déviation de la tête à droite. Lorsq
d'angoisse. Dès 1906 : réflexes tendineux exagérés au bras et à la
jambe
gauches. Pas de contracture. La sensibilité à l
bras gauche et à la moitié gauche du thorax, pas à la face ni à la
jambe
. Atro- phie accentuée des nerfs optiques. Dis
n'eurent pas un caractère Jacksonien net. A l'entrée à l'hôpital la
jambe
et le facial gauche étaient également déjà paré
issance subite, mais de courte durée. Un peu plus tard, parésie des
jambes
. 1903, hémiparésie et anesthésie du côté gauche
août 1906, on nota : hémiparésie droite, plus forte au bras qu'à la
jambe
; sensibilité conservée. C'est maintenant la pupi
itrine, où il I finit par produire un décubitus profond. Les deux
jambes
se plièrent de plus en plus, de telle façon que l
e les bras d'un sujet hypnotisé dans l'attitude de l'adoration, les
jambes
se mettent à genoux pour ainsi parler. Quand la
ent àse perpétuer en vertu du mécanisme de l'habitude. La vue d'une
jambe
pa- ralysée suffit à mettre en jeu la propriété
cessive- ment, dit-il, de la tête, de la poitrine, du ventre et des
jambes
. Tantôt il passé au contraire des semaines enti
et des membres inférieurs-radius pour l'avant- bras, tibia pour la
jambe
se traduit par un tableau symptomatique ri- gou
ez les deux soeurs,on remarque un allongement très considérable des
jambes
dont le développement est excessif, comparé à cel
mère aussi. Elle ôte les bas et nous voyons un petit pansement à la
jambe
droite (tiers inférieur.) J'enlève le pansement e
uérison de l'aphonie elle souffrit la nuit de douleurs atroces à la
jambe
et au pied droits, et que le lendemain malin elle
, et que le lendemain malin elle présentait au côté in- terne de la
jambe
(où nous voyous l'ulcération) une plaque jaune, a
uit, elle n'avait plus souffert du tout. Elle avait toujours pansé sa
jambe
avec de la vaseline horiquée « comme les brûlur
ille n'avait donc parlé à personne de la nouvelle ulcéra- tion à la
jambe
par crainte, disait-elle, de donner des inquiétud
la jeune fille à l'hôpital, je faisais moi-même le pan- sement à la
jambe
, deux fois par semaine. Le bandage était constitu
imperméable, une bande de gaze, enfin de l'ouate qui enveloppait la
jambe
depuis la pointe du pied jusqu'au tiers inférie
récautions. Un soir la malade est atteinte de douleurs atrcces à la
jambe
. La soeur de service ne quitte plus la malade j
u pansement et je coupe le bandage amidonné : au côté interne de la
jambe
(PI. LXV) j'observe une plaque plus étendue que l
sur la surface antérieure de la cuisse et sur la face externe de la
jambe
, plaques qui présentaient une analogie frappant
pl.), 325. l'aEacu et HOPE. 1)Edéme persistant hérédi- taire des
jambes
avec exacerbations ai- guës (1 Pl.), 177. et
(i pl.), 90. HoPE et FRENCH. OEdHne persistant héré- ditaire des
jambes
avec exacerbatiuns aigu," (1 pl.), 177. IIULT
rotule, exécuter volontairement un fort mouvement d'extension de la
jambe
sur la cuisse et donner à l'observateur l'impress
cupant le domaine d'un des membres inférieurs vous constatez que la
jambe
qui est le siège du mal est plus froide que l'aut
ignant de ressentir des douleurs violentes dans un bras ou dans une
jambe
et que vous constatiez que le membre en questio
s continues, qu'elles surviennent par crises et siègent tantôt à la
jambe
, tantôt à la cuisse, parfois à droite, parfois à
lit de son fils ; plusieurs fois par jour il l'invite à remuer ses
jambes
et lui demande si elles ne s'affaiblissent pas, s
tude à l'état normal, une flexion de la cuisse sur le bassin, de la
jambe
sur la cuisse, du pied sur la jambe et des orteil
la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse, du pied sur la
jambe
et des orteils sur le méta- tarse. Du côté para
le donne lieu aussi à une flexion de la cuisse sur le bassin, de la
jambe
sur la cuisse et du pied sur la jambe, mais les
a cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du pied sur la
jambe
, mais les orteils, au lieu de se fléchir, exécute
ntre autres mouvements réflexes, tels que la flexion du pied sur la
jambe
, de la jambe sur la cuisse, de la cuisse sur le
ouvements réflexes, tels que la flexion du pied sur la jambe, de la
jambe
sur la cuisse, de la cuisse sur le bassin, que je
nt réflexe des orteils. Il importe que les muscles du pied et de la
jambe
ne soient pas en état de contraction, et pour o
e qu'on se propose de pratiquer et de lui faire fermer les yeux. La
jambe
doit être légèrement fléchie sur la cuisse, et le
ur le lit par son bord externe ou bien sera privé de tout appui, la
jambe
étant relevée et soutenue par l'expérimentateur
sairement le pied dans le mouvement de flexion qu'il exécute sur la
jambe
à la suite de l'excitation de la plante ; si donc
les orteils, entraînés passivement vers la partie antérieure de la
jambe
, peuvent donner à un observateur inattentif l'ill
t doivent être essayées successivement en cas d'incertitude : -. i"
Jambes
croisées ; c'est une position difficile pour les
on difficile pour les gens corpulents : 2" Le sujet est assis ; les
jambes
font avec les cuisses un angle obtus ; les pied
che de l'obser- vateur. fin Le sujet est assis sur une table, les
jambes
pendantes. B. Réflexe ACHILLEE\ ou du triceps S
de quitter le lit, il convient de l'examiner couché sur le côté, la
jambe
légèrement fléchie sur la cuisse, l'extrémité d
uand le choc porte sur le tendon tricipital ('). La flexion de la
jambe
sur la cuisse, consécutive à la percussion du t
nstaté aucune trace d'érection ni d'éjaculation. Soulevant alors la
jambe
droite, j'ai obtenu très manifestement le réflexe
e du pied ». On recherche ce signe en pro- cédant ainsi : tenant la
jambe
immobile dans la main gauche et saisissant l'ex
ec la main droite, l'observateur fléchit brusquement le pied sur la
jambe
sans l'abandonner. Il y a trépidation épileptoïde
tenu en l'absence de toute contraction volontaire des muscles de la
jambe
; alors seulement on a le droit de considérer la
u'on invite alors les sujets en expérience à étendre le pied sur la
jambe
et à résister un peu au mouvement de flexion qu
érieur se manifestant principalement par une flexion du pied, de la
jambe
et de la cuisse ; ce mouvement est brusque, de
et, d'autre part, les mouvements réflexes de flexion du pied, de la
jambe
et de la cuisse. En ce qui concerne le premier
nerveux central, les mouvements réflexes de flexion du pied, de la
jambe
et de la cuisse sont manifestement exagérés. Le
gue, et la zone réflexogène plus étendue. La flexion du pied, de la
jambe
et de la cuisse est parfois portée à son degré le
, est ordinairement circonscrite à la plante du pied, elle gagne la
jambe
, la cuisse et souvent elle envahit le tronc. En
osant sur le parquet, on excite les téguments de la cuisse ou de la
jambe
par la faradisation. Quand les réflexes de défe
la peau de la face dorsale du pied ou de la partie inférieure de la
jambe
. Sous cette action le pied se fléchit, parfois
rovoque généralement une flexion très prononcée de la cuisse, de la
jambe
et du pied (Bechtereff, Marie et Foix). A vrai di
façon de la grenouille qui cherche à essuyer l'acide déposé sur sa
jambe
») ne convient pas aux réflexes que nous avons en
l'adulte normal, les mouvements réflexes de flexion du pied, de la
jambe
et de la cuisse s'associent à la flexion des orte
amidal, et présentant phéno- mène des orteils, la compression de la
jambe
avec une bande d'Esrnarch peut en même temps exag
rch peut en même temps exagé- rer la flexion réflexe du pied, de la
jambe
et de la cuisse et faire disparaître l'extension
'épaule ainsi que par une chute du pied et de la main ; lorsque les
jambes
sont pendantes, l'angle que forme le pied avec
orsque les jambes sont pendantes, l'angle que forme le pied avec la
jambe
est plus grand du côté paralysé ; quand l'avant
s facilement du côté de la paralysie que du côté sain à soulever la
jambe
en exerçant une traction de bas en haut. Ce phé
eur les uns sur les autres : le pied se relève et se fléchit sur la
jambe
, celle-ci sur la cuisse, la cuisse sur le bassi
cte le type d'extension : la cuisse s'étend alors sur le bassin, la
jambe
sur la cuisse et le pied sur la jambe ; le memb
étend alors sur le bassin, la jambe sur la cuisse et le pied sur la
jambe
; le membre inférieur tout entier s'allonge au
ir. Ajoutons enfin qu'une flexion réflexe très forte du pied sur la
jambe
peut se produire, les autres segments du membre
tenir, entre autres mouvements réflexes, une flexion du pied, de la
jambe
et de la cuisse. S'agit-il là d'un réflexe iden
de la zone plantaire, par exemple à la face dorsale du pied ou à la
jambe
, on est en droit d'affirmer qu'il y a exagérati
sion de la voie pyramidale, l'excitation de la partie interne de la
jambe
. Il nous reste maintenant à interpréter les réf
ades chez lesquels l'excitation du tégument du dos du pied ou de la
jambe
provo- que simultanément un mouvement de retrai
s) et me bornant à observer les mouvements exécutés par le pied, la
jambe
et la cuisse. Voici en quoi consistent ces réac
ngle, le pincement de la peau de la région dorsale du pied ou de la
jambe
, notamment à sa partie inférieure, il se produit,
outre une contrac- tion du fascia lata, une flexion du pied sur la
jambe
, de la jambe sur la cuisse, de la cuisse sur le
ntrac- tion du fascia lata, une flexion du pied sur la jambe, de la
jambe
sur la cuisse, de la cuisse sur le bassin ; l'a
e suivant les malades. Souvent, elle occupe seulement le pied et la
jambe
et s'arrête approxima- tivement au genou, mais
point. Dans certains cas, tandis que l'excitation du pied et de la
jambe
donne lieu au mouvement habituel, c'est-à-dire à
je m'occupe : le pincement de la peau de la partie inférieure de la
jambe
est suivi d'une flexion du pied et d'une extens
e la jambe est suivi d'une flexion du pied et d'une extension de la
jambe
sur la cuisse ; j'ai particu- lièrement observé
te modalité chez des malades plus ou moins contrac- turés, dont les
jambes
, qui d'habitude se maintenaient en extension, a
lexion du pied, accentuait un peu, pour commencer, l'attitude de la
jambe
en flexion, laquelle était immédiatement suivie
iatement suivie d'un fort mouvement en sens inverse qui ramenait la
jambe
en extension. Parfois, quel que soit le sens du
ta que Brissaud a très bien décrite et d'une flexion du pied, de la
jambe
et de la cuisse. Ce sont là les mêmes mouvements
i elle peut provoquer un mouvement de flexion de la cuisse et de la
jambe
, ne donne jamais lieu à la flexion du pied. Je cr
er sur ce point. Sans doute, le retrait de la cuisse et celui de la
jambe
qu'on peut observer alors semblent volontaires
de pincer la peau du dos du pied ou de la par- tie inférieure de la
jambe
. J'insiste auprès de ceux de mes auditeurs qui
nique, le pincement de la peau en diverses parties du pied et de la
jambe
peut provoquer à la fois ces deux réactions. Ma
vait pas trace de réaction de dégénérescence dans les muscles de la
jambe
. M. Walshe récuse cette Observation à cause du
du dos des pieds, le mou- vement réflexe de flexion du pied, de la
jambe
et de la cuisse associé à la flexion nette de t
spasmodiques intermittents accentuant la flexion des cuisses et des
jambes
, il est dit expressément que le réflexe cutané pl
. Il m'est arrivé alors d'observer, après avoir pincé la peau de la
jambe
ou du dos du pied, la flexion des orteils assoc
l n'existe pas de réaction de dégénérescence dans les muscles de la
jambe
. Avant de terminer ce chapitre, je ferai remarq
: tandis que l'excitation des téguments de la partie interne de la
jambe
provoquée par le frottement ne détermine à l'ét
ement de retrait brusque de tout le membre : flexion du pied sur la
jambe
, de la jambe sur la cuisse, de la cuisse sur le b
ait brusque de tout le membre : flexion du pied sur la jambe, de la
jambe
sur la cuisse, de la cuisse sur le bassin, avec
plégie en flexion que les réflexes tendineux des fléchisseurs de la
jambe
sur la cuisse n'étaient pas du tout au-dessus de
ent brusquement les membres inférieurs, flé- chissent la cuisse, la
jambe
et le pied, les allongent ensuite avec une gran
rai, mais d'une manière à peu près normale ; elle ne traîne pas ses
jambes
; elle ne fauche pas; la pointe du pied ne butte p
n'est qu'ultérieurement qu'elle s'étendrait à tout le pied et à la
jambe
; les réflexes deviennent de plus en plus forts
peau de la face antérieure de la cuisse détermine l'extension de la
jambe
et la contraction tonique du quadriceps ; quelque
a flexion réflexe du pied obtenue par le pincement de la peau de la
jambe
est particulièrement lente : le pied, après s'ê
ne forte extension du gros orteil, la triple flexion du pied, de la
jambe
et de la cuisse, et une contraction du tenseur du
ons-la un instant. Nous voyons d'abord quelle est son attitude. Ses
jambes
sent ramassées vers elle. Examinons-la de plus pr
re que nous avons déjà deux fois rencontré : flexion du pied sur la
jambe
, de la jambe sur la cuisse, de la cuisse sur le
vons déjà deux fois rencontré : flexion du pied sur la jambe, de la
jambe
sur la cuisse, de la cuisse sur le bassin. «
n dépla- cement vers le membre inférieur du côté sain en pinçant la
jambe
saine ; et si alors on pinçait la jambe du côté
du côté sain en pinçant la jambe saine ; et si alors on pinçait la
jambe
du côté malade, le bras s'élevait de nouveau et
est évident que la triple flexion consécutive à une excitation de la
jambe
, de la cuisse ou de l'abdomen ne pourrait avoir
avoir une autre signification que la triple flexion du pied, de la
jambe
et de la cuisse. M. Riddoch fait observer que l
pping réflexe et qu'elle accompagne l'extension de la cuisse, de la
jambe
et du pied. Mais il est à remarquer qu'à l'état p
ple flexion à l'état physiologique : la flexion de la cuisse, de la
jambe
et du pied ressortissant aux réflexes de défens
atteint d'une lésion de la voie pyramidale fléchit la cuisse et la
jambe
, il se produit en même temps une flexion du pie
xécuter. Inversement, la flexion du pied entraîne une flexion de la
jambe
et de la cuisse. Ainsi les trois mouvements éléme
nsion. Lorsque, étant couché sur le ventre, il cherche à fléchir la
jambe
, nous constatons que son bassin se soulève, c'e
n du couturier, qui est à la fois fléchisseur de la cuisse et de la
jambe
. Mais si maintenant nous opposons une résistanc
fisante à l'éléva- tion du bassin, nous voyons que la flexion de la
jambe
devient plus faible et parfois même impossible.
t alternativement cette résistance on s'assure que la flexion de la
jambe
est proportionnée à celle de la cuisse, et on a
rac- tion de ce muscle et devrait plutôt faciliter la flexion de la
jambe
. Nous devons donc rechercher une autre cause.
devons donc rechercher une autre cause. Pour que la flexion de la
jambe
ne puisse se produire malgré une forte contract
n antagoniste des muscles extenseurs. Or, ceux des extenseurs de la
jambe
qui ont leur point d'attache supérieur sur le fém
rieur, fixé en haut à l'os iliaque, qui opposera à la flexion de la
jambe
une résistance plus grande, lorsque la cuisse s
sse sur le bassin, diminue la résistance opposée à la flexion de la
jambe
. Nous voyons donc que, dans l'exemple choisi, l
, et voici quel semble être le mécanisme du phénomène : tant que la
jambe
reste étendue, la flexion de la cuisse éloigne
peut s'effectuer sans un certain relâchement des fléchisseurs de la
jambe
. Si ce relâchement fait défaut, comme cela a li
, la flexion de la cuisse entraîne inévitablement une flexion de la
jambe
. En ce qui concerne la flexion de la jambe à l'
lement une flexion de la jambe. En ce qui concerne la flexion de la
jambe
à l'occasion de la flexion du pied, elle s'expl
he au fémur. Quant à la flexion du pied associée à la flexion de la
jambe
, elle pour- rait être attribuée en partie au re
ent aussi à l'état physiologique : il est plus facile de fléchir la
jambe
quand la cuisse est fléchie que lorsqu'elle est
on très prononcée de la cuisse a pour conséquence une flexion de la
jambe
; l'extension du pied peut s'accomplir avec une
sse poussée à son extrême limite s'accompagne d'une extension de la
jambe
. Mais, chez l'homme normal, les mouvements conj
eg- ment un mouvement de flexion ou d'extension, on constate que la
jambe
et le pied se fléchissent ou s'étendent simulta
février 1920, au cours d'une marche, d'une crampe violente dans la
jambe
droite, qui dure à peine quelques secondes, mais
u trois fois. Puis, le malade s'aperçoit de troubles sensitifs à la
jambe
gauche et de lourdeur dans le bras droit. L'aff
ir, au commandement, des mouvements d'extension et de flexion de la
jambe
et de la cuisse, d'abduction et d'adduction de
qu'il incline la partie supérieure du corps en arrière, fléchit la
jambe
sur le pied et la cuisse sur la jambe et portan
corps en arrière, fléchit la jambe sur le pied et la cuisse sur la
jambe
et portant ainsi les genoux en avant, maintient s
, la cuisse est d'abord fléchie de façon exagérée sur le bassin, la
jambe
n'étant que légèrement fléchie sur la cuisse ;
e légèrement fléchie sur la cuisse ; puis, dans un second temps, la
jambe
est fléchie fortement sur la cuisse, et la cuis
ns les membres inférieurs sont plus graves; le malade marche avec les
jambes
écartées, en oscillant continuellement et ses m
que le malade, ayant reposé brusquement et avec bruit sur le sol sa
jambe
oscillante, a terminé son premier pas, il ne pe
state qu'il y réussit en fléchissant dans une mesure appropriée les
jambes
sur les pieds et les cuisses sur les jambes ; c'e
e mesure appropriée les jambes sur les pieds et les cuisses sur les
jambes
; c'est tout le corps, de la tête aux pieds, qu
sont portés en avant. Au contraire, le malade en question garde les
jambes
verti- cales et à peu près immobiles, les pieds
sol : au début de l'acte, la cuisse se fléchit sur le bassin et la
jambe
ne s'étend que légère- ment sur la cuisse, puis
e ne s'étend que légère- ment sur la cuisse, puis l'extension de la
jambe
devient plus énergique et la pointe du pied arr
à replacer le membre dans la position primitive, on voit d'abord la
jambe
se fléchir sur la cuisse, tandis que la cuisse
, tandis que la cuisse ne se meut que légèrement ; puis, lorsque la
jambe
est en demi-flexion sur la cuisse, celle-ci s'é
rapprocher le talon de la fesse en un seul temps, la flexion de la
jambe
sur la cuisse et celle de la cuisse sur le bass
a position primitive par extension simultanée de la cuisse et de la
jambe
. On conçoit que dans l'un et l'autre cas les mo
ment est décomposé : lorsque la cuisse est fléchie démesurément, la
jambe
ne l'est que légèrement, la flexion de la jambe
ie démesurément, la jambe ne l'est que légèrement, la flexion de la
jambe
n'étant forte que dans un second temps. Dans l'
- ments de flexion et d'extension de la cuisse sur le bassin, de la
jambe
sur la cuisse et du pied sur la jambe sont exéc
a cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du pied sur la
jambe
sont exécutés simultanément ; qu'ils SÉMIOLOGIE
cuisse se fléchit énergiquement, tandis que le fonctionnement de la
jambe
est d'abord nul ou très faible ; il commence se
un mot, la flexion de la cuisse sur le bassin et l'extension de la
jambe
sur la cuisse ne sont pas synchrones. N'y a-t-i
bétique. Le malade, en même temps qu'il fléchit la cuisse, étend la
jambe
, porte le pied en avant d'une manière démesurée
ujet est couché sur le dos, les cuisses fléchies sur le bassin, les
jambes
légèrement fléchies sur les cuisses, les pieds
bout sans tituber, bien plus difficile de se tenir immobile sur une
jambe
que de sauter à cloche-pied. « Dans les affecti
iampères. P. F, C. forte. Muscles de la région antéro-externe de la
jambe
gauche. Avec 35 volts et 53 milliam- pères, N.
pas très prononcés ; en effet, les divers mouvements du pied sur la
jambe
peuvent être exécutés dans une certaine mesure.
sure. En ce qui concerne l'excitabilité voltaïque des muscles de la
jambe
, il est à noter que la secousse de fermeture es
ue la fusion des secousses serait encore plus nette au pied qu'à la
jambe
, et l'observation confirme cette idée. Chez les m
pe l'un d'eux, atteint depuis plusieurs mois d'une névrite des deux
jambes
. La réaction de dégénérescence paraît complète pa
ttitude de légère abduction et de rotation interne). Il traînait la
jambe
du même côté. Une amé- lioration survint qui co
oins exten- sibles qu'à droite et le pied ne peut se fléchir sur la
jambe
plus qu'à l'angle droit. Ainsi le côté où les e
genou ; au début de l'acte, la cuisse se fléchit sur le bassin et la
jambe
ne s'étend que légèrement sur la cuisse, puis l
mbe ne s'étend que légèrement sur la cuisse, puis l'extension de la
jambe
devient plus énergique et la pointe du pied arr
à replacer le membre dans la position primitive, on voit d'abord la
jambe
se fléchir sur la cuisse, tandis que la cuisse ne
e, tandis que la cuisse ne se meut que légèrement, puis, lorsque la
jambe
est en demi-flexion sur la cuisse, celle-ci s'éte
t que d'une façon très imparfaite les mouve- ments de flexion de la
jambe
sur le pied et de la cuisse sur la jambe, qu'acco
ve- ments de flexion de la jambe sur le pied et de la cuisse sur la
jambe
, qu'accomplit dans cet acte, pour maintenir son
ct et à la température ; l'anesthésie est surtout très accusée à la
jambe
et à la partie inférieure de la cuisse ; à la fac
décubitus dorsal, après avoir fléchi la cuisse sur le bassin et la
jambe
sur la cuisse, replace le membre dans sa position
rès normal, l'exten- sion de la cuisse sur le bassin et celle de la
jambe
sur la cuisse sont exécutées presque synergique
gauche, le mouvement est bien différent : dans un premier temps la
jambe
s'étend brusquement sur la cuisse et le talon e
une tendance à maintenir les cuisses fléchies sur le bassin et les
jambes
fléchies sur les cuisses, que les membres infér
ccompagnés de douleurs qui accentuent la flexion des cuisses et des
jambes
. Les réflexes tendineux et le réflexe cutané pl
est en état de flexion, d'adduction et de rotation en dedans et la
jambe
est fléchie au point que le talon est en contact
le talon est en contact avec la cuisse ; le pied est fléchi sur la
jambe
et les orteils sont étendus sur le pied. La Fig
e ; toutefois, on ne parvient pas à étendre d'une façon complète la
jambe
sur la cuisse ni à porter la cuisse en rotation
PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE au sacrum, aux cuisses, aux
jambes
et aux pieds. Il y a de l'incontinence d'urine et
ux membres infé- rieurs ; parfois la percussion des muscles de la
jambe
donne lieu, en même temps qu'à une contractio
nt abolis. Les cuisses sont fortement fléchies sur le bassin et les
jambes
sont en état de flexion forcée sur les cuisses.
al. Examen anatomique. Le cadavre est couché en chien de fusil, les
jambes
sont rétractées. A l'ouverture du canal rachidi
peine si elle peut imprimer quelques mouvements de latéralité à la
jambe
gauche; mais on peut facile- ment et sans provo
actures ; des deux côtés la cuisse est fléchie sur le bassin, et la
jambe
, en flexion sur la cuisse, forme avec celle-ci un
celle-ci un angle droit ; les tractions exercées pour redresser la
jambe
sont douloureuses et sont suivies de mou- vemen
ed provoque des mou- vements très étendus de flexion du pied sur la
jambe
et d'extension des orteils sur le métatarse.
s membres provoquent des douleurs et des mouvements spasmodiques ; la
jambe
fait avec la cuisse un angle aigu, mais le talo
rmanente et très marquée de la cuisse sur le bassin ainsi que de la
jambe
sur la cuisse, accompagnée de douleurs qui se m
it d'un malade atteint de paraplégie spasmodique avec flexion de la
jambe
sur la cuisse portée à un tel degré d'intensité
e ferai remarquer que l'excitation des téguments des cuisses ou des
jambes
par le pincement, l'application de corps froids
dorsal spasmodique. Les cuisses sont fléchies sur le bassin, et les
jambes
fléchies sur les cuisses; cette flexion est plus
peut provoquer chez certains sujets par le pincement de la peau des
jambes
, des cuisses et même du tronc, par l'applicatio
ce sont les mouvements de flexion de la cuisse sur le bassin, de la
jambe
sur la cuisse et du pied sur la jambe qui le pl
a cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du pied sur la
jambe
qui le plus généralement prédomi- nent. Ils se
oedème, de la cyanose et une hypothermie prononcée du pied et de la
jambe
du côté droit, avec surex- - (') 11 est bien en
nt de départ et qui aboutit aux muscles exten- seurs du pied sur la
jambe
, mais qu'il n'indique ni la nature de cette alt
epuis plusieurs années à des accès de douleurs fulgurantes dans les
jambes
. Il y a quelques semaines, elle a été prise d'une
acile à produire. Le signe du gros orteil est très net à droite (la
jambe
gauche a été amputée). Les réflexes crémastérie
ganes génitaux externes, à la face postérieure des cuisses et de la
jambe
droite, et à la région plantaire. En même temps.
ur droit en même temps que ce membre s'affaiblit : « Je traînais la
jambe
», dit la malade. Ces phénomènes s'accentuent,
portait bien jusqu'en 1891, époque où il eut une « phlébite » de la
jambe
gauche puis de la jambe droite, et resta de ce
91, époque où il eut une « phlébite » de la jambe gauche puis de la
jambe
droite, et resta de ce fait 8 mois alité. Il re
au lever, de gêne de la marche, il a des crampes quand il étend les
jambes
et ressent des fourmillements dans les genoux et
aideur les mouvements de flexion de la cuisse sur le tronc et de la
jambe
sur la cuisse ; il étend au contraire facilement
isse ; il étend au contraire facilement la cuisse sur l'abdomen, la
jambe
sur la cuisse et le pied sur la jambe ; dans tous
t la cuisse sur l'abdomen, la jambe sur la cuisse et le pied sur la
jambe
; dans tous les mouvements, le membre (') Socié
t troublé aux orteils ; la notion de position est conservée pour la
jambe
et la cuisse. 1 Deuxième malade (cinquième cas)
modiques involontaires de flexion de la cuisse sur le bassin, de la
jambe
sur la cuisse et du pied sur la jambe ; ces mouve
a cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du pied sur la
jambe
; ces mouvements, qui sont bilatéraux, se produ
éfense obtenus par le pincement ou par le froid et le chaud sur les
jambes
et les cuisses ; ces réflexes de défense s'observ
exion et d'extension du pied et le surlendemain elle peut fléchir les
jambes
sur les cuisses. Le 24 mars, le chaud et le f
froid commencent à être nettement perçus au niveau des pieds et des
jambes
. Le 6 avril, tous les mouvements des orteils, d
mbes. Le 6 avril, tous les mouvements des orteils, des pieds et des
jambes
sont revenus. 378 P21RAPLICIES - AFFECTIONS DE
la tête, le cou et les épaules et de faiblesse progressive dans les
jambes
. Rien à relever dans ses antécédents héréditair
ivante : elle se fatiguait au bout de quelques minutes, sentait ses
jambes
comme coupées et était obligée de s'arrêter ; a
toutefois, les vertiges et les étourdissements subsistèrent et les
jambes
commencèrent à s'affaiblir, ce qui rendit rapid
qui consistent comme d'habitude en une flexion de la cuisse, de la
jambe
et du pied. Ces mouvements relativement faibles a
normales dans les membres infé- rieurs : « des énervements dans les
jambes
, et le soir, comme un agacement se tra- duisant
surtout du côté gauche : elle n'est plus absolument maîtresse de ses
jambes
, qui « ne lui obéissent pas toujours et se plie
tenir debout. Cependant au lit, elle peul encore remuer un peu les
jambes
. (1) Nous avons eu l'occasion de signaler cette
ent brusquement les membres infé- rieurs, fléchissent la cuisse, la
jambe
et le pied, les allongent ensuite avec une grande
rès léger mouvement de flexion et d'extension de la cuisse et de la
jambe
gauches. Après une nouvelle période de trois se
rable. Vers le 27 février, ces mouvements deviennent plus nets à la
jambe
gauche, mais restent extrêmement faibles à droi
Au mois de décembre de la même année elle arrive à étendre les deux
jambes
. Au mois de février 1913 elle se met, pour la p
rai, mais d'une manière à peu près normale : elle ne traîne pas ses
jambes
, elle ne fauche pas, la pointe du pied ne butte
extension, avec contracture extrêmement accentuée. Pour fléchir la
jambe
sur la cuisse, il nous faut déployer une force
nir ainsi une réaction très nette consistant en une extension de la
jambe
et de la cuisse et provoquée par l'excitation d
un soulagement; les membres inférieurs deviennent moins raides ; la
jambe
droite peut exécuter de petits mouvements de fl
lioré. Nous l'avons revue le oo novembre ; 1 incoordination de la
jambe
droite a totalement disparu. La malade marche pre
outre se manifestent des troubles delà marche, des dérobements des
jambes
provoquant des chutes. Ces troubles s'accentuent
ontracture est telle qu'elle rend impossible tout mouve- ment de la
jambe
; toutefois la malade arrive à la fléchir après q
ment de l'articulation du genou par des mouvements passifs. Mais la
jambe
ne tarde pas à reprendre sa position primitive en
fense, ne déterminent ni mouvement de la cuisse, ni mouvement de la
jambe
, ni flexion réflexe du pied (criterium de l'e
t et avec le plus d'intensité sont, à la cuisse : le triceps ; à la
jambe
: les muscles de la région antéro-externe. L'affe
sse sont un peu atrophiés ; cependant l'extension et la flexion de la
jambe
sur la cuisse, du côté droit, sans être normale
doigts, dans les muscles du mollet et de la région antérieure de la
jambe
. Tous les muscles dont la contractilité volitio
traire, on peut obtenir des deux côtés une extension du pied sur la
jambe
en percutant le tendon achilléen ainsi qu'une fle
e si l'on s'aperçoit qu'un soi-disant paraplégique se tient sur ses
jambes
et marche quand il croit ne pas être observé ; ma
hystérique : « J'ai placé, dit-il, le long de la face interne de la
jambe
et du pied une bande de papier à timbres-poste.
es. Dans l'exploration de ces réflexes, on doit donc s'assurer que la
jambe
, le pied et en particulier les orteils ne se ra
cupant le domaine d'un des membres inférieurs vous constatez que la
jambe
qui est le siège du mal est plus froide que l'aut
art une large zone anesthésique sur la face dorsale du pied et à la
jambe
. «Il s'agit bien ici, concluait Ballet, d'une c
tait ainsi, en particulier, dans plusieurs cas de contracture de la
jambe
en flexion. , Ces recherches, avec notation p
l s'agit souvent de transfixions de l'avant-bras, de la main, de la
jambe
, du pied et, particularité intéressante, les trou
iens associée à la parésie du pied, la contracture en flexion de la
jambe
, les pieds bots et les greffes des orteils ; la m
plus net, toutefois on l'observe égale- ment dans les muscles de la
jambe
, dans ceux de l'avant-bras et dans le quadricep
gts que l'on recourbe en arc de cercle une surflexion de la cuisse (
jambe
étendue) qui dépasse de beaucoup l'angle droit,
tendue) qui dépasse de beaucoup l'angle droit, une surflexion de la
jambe
combinée à de la sur- flexion de la cuisse, mou
nt le degré de diminution de volume des masses musculaires : à la
jambe
du côté malade le périmètre est par exemple de 3
lante du pied, moins accusée à la face dorsale et moins encore à la
jambe
dont elle occupait les deux tiers inférieurs. C
éuo-oéfïexe). Un soldat présentait, à la suite d'une blessure de la
jambe
gauche, un mode de déambulation singulier const
essure à la région du genou, d'une contracture en exten- sion de la
jambe
avec contracture du pied en varus équin et atroph
teurs notables, par exemple certaines contractures en flexion de la
jambe
sur la cuisse. Au deuxième mécanisme semblent rép
sque aujourd'hui, étant assise, la malade peut mettre sans aide ses
jambes
dans l'extension complète et les élever à 4o cent
fortement contractures. Il arrive spontanément à fléchir un peu la
jambe
sur la cuisse, mais ce mouvement se fait très len
mesure de s'opposer aux mouvements passifs, de temps en temps, les
jambes
se fléchissent involontaires sur les cuisses. Des
malade peut se tenir debout avec l'aide de quelqu'un, mais les deux
jambes
sont croisées l'une sur l'autre. Le 20 novemb
re, il peut, soutenu par un infirmier, faire quelques pas, mais les
jambes
se croisent l'une l'autre pendant la marche. Le
t la marche. Le 25 novembre, il fait quelques pas sans appui et les
jambes
ne se croisent plus. Enfin, aujourd'hui, 3o nov
que et faradique ; il en est de même du groupe antéro-externe de la
jambe
gauche. L'asymétrie thermique persiste. En ré
es, rendant le malade absolument impotent, incapable de mouvoir ses
jambes
, de se mettre sur son séant, de tourner la tête,
tout mouvement volontaire. Ils sont contracturés, en adduction, les
jambes
en extension sur la cuisse, les pieds en extens
s jambes en extension sur la cuisse, les pieds en extension sur les
jambes
et il est difficile de modifier mécaniquement cet
inférieurs, principalement à la face interne de la cuisse et de la
jambe
ganches, on détermine des mouvements spasmodiques
nt très mal perçus, particulièrement à l'extrémité inférieure de la
jambe
gauche. Il n'y a pas de troubles trophiques cutan
côté gauche. D'autre part on constate sur une étendue notable de la
jambe
gauche une ulcé- ration produite par une brûlur
i le talon du lit et d'exécuter un petit mouvement de flexion de la
jambe
sur la cuisse ; les troubles de sensibilité se
auche, les mouvements volontaires de la cuisse sur le bassin, de la
jambe
sur la cuisse et du pied sur la jambe sont très
la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du pied sur la
jambe
sont très étendus, quoique encore laborieux. A
cuisse sur le bassin, mais elle est encore incapable de fléchir la
jambe
sur la cuisse ; la raideur a beaucoup diminué.
ncement de décembre 1910. Il accuse des douleurs très vives dans la
jambe
gauche; la démarche est lente et défectueuse :
est lente et défectueuse : le sujet porte le poids du corps sur la
jambe
saine. On constate la rigidité de la colonne ve
nous. Le sujet se plaint de douleurs dans les reins, dans les deux
jambes
et plus spéciale- ment dans le membre inférieur
est un peu plus faible que le droit. La circonférence maxima de la
jambe
gauche est de 33 centimètres, tandis que celle
DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. t0 CLINIQUE NERVEUSE. mord son bras; la
jambe
droite est fléchie sur la cuisse et le membre i
auche est appliqué le long du corps, les doigts dans la flexion; la
jambe
gauche est étendue sur la cuisse. Le malade res
ssement du membro inférieur gauche n'est plus appréciable; les deux
jambes
paraissent avoir la même force. Mais la paralys
res des membres et voici ce qu'on constate : la circonférence de la
jambe
gauche est pareille à celle de la jambe droite
te : la circonférence de la jambe gauche est pareille à celle de la
jambe
droite ; entre le bras gauche et le bras droit,
Les éminences thénar et hypothénar gauches sont un peu aplaties. La
jambe
gauche est plus grêle que la droite; le plus gr
. Une plaque pourra donner des symptômes de tabes ataxique dans une
jambe
; mais l'autre jambe n'aura rien, ou présentera
ner des symptômes de tabes ataxique dans une jambe ; mais l'autre
jambe
n'aura rien, ou présentera des phénomènes tout
résentera des phénomènes tout différents. Alors même que les deux
jambes
seraient prises, bien souvent alors un bras se
thésie DE cause cérébrale avec MOUVEMENTS anormaux du bras ET DE la
jambe
; par le Dr RAYMOND, médecin de l'hospice des In
avec aphasie : cette hémiplégie portait sur la face et le bras; la
jambe
en était indemne; la guérison fut lente, et lor
as droit eut recouvré une cer- taine force, il devint, ainsi que la
jambe
, les muscles de la face et ceux de l'articulati
é de s'aliter. T =37°,5; couché sur le dos, il meut péniblement les
jambes
, mais ne présente aucune anomalie du côté de la
disparu; la motilité a reparu, quoique faible, dans les bras; Ifs
jambes
tendent à récupérer leurs fonctions. Une semaine
es portant surtout sur le côté droit et empiétant sur le bras et la
jambe
correspondants. Guérison com- plète vers la fin
ues analytiques. P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES. 113 blissement dans les
jambes
qui, quelques semaines plus tard, s'accroissait
urde-muette. Examen : extrémités inférieures froides, notamment les
jambes
et les pieds, avec coloration rouge bleuâtre de
. Actuellement, convalescence, il n'existe plus que de l'ataxie des
jambes
et encore est-elle relativement faible. Discuss
ce dernier, que c'est la tension de la charpente muscu- laire de la
jambe
occasionnée par la situation du malade qui rend
bord externe du plateau tibial, 3 ? cent. et demi. Longueur de la
jambe
au bord extérieur du plateau tibial à la pointe
ées à gauche et l'amyotrophie porte sur la fesse, la cuisse et la
jambe
. Voici les chiffres qu'on obtient en faisant des
et alors, par un mouvement de circumduction, projette en avant la
jambe
paralysée, de telle sorte que le pied décrit un
ion (sténose oesophagienne). Un de ses frères avait des ulcères aux
jambes
. Le malade lui- même souffrait, dans sa jeuness
ouleurs dans la région du mésogastre. Ces douleurs s'étendirent aux
jambes
et au pénis. A la fin du mois d'août 1881, Mo
un sentiment de lassitude, auquel se joignirent des douleurs aux
jambes
avec tranchées et tiraillements. Ces douleurs se
dant la nuit, le malade eut un peu de fièvre, les tiraillements aux
jambes
augmentèrent; mais cependant, sous l'influence
branes muqueuses sont pâles, la peau est pâle, sèche, Sur- tout aux
jambes
et aux bras; le tissu cellulaire sous-cutané est
UË. 199 droit, se trouve une cicatrice atrophique, il n'y a sur les
jambes
ni plaies ni cicatrices. En examinant la poitri
et l'émission de l'urine est difficile. Le malade ne peut remuer la
jambe
gauche et le bras droit, tandis qu'il peut légè
et le bras droit, tandis qu'il peut légèrement ramener vers lui la
jambe
droite et remuer un peu la plante des pieds. Il
te quantité. En outre, on remarque encore une lésion vasculaire. La
jambe
droite se présente plus pàle que la gauche; et
dant la vie du malade par une faiblesse assez considérable dans les
jambes
et par les élancements qu'il y ressentait. Mais
ate progressivement, céphalalgies, lassitudes, élancements dans les
jambes
, affection rhumatismale avec troubles mentaux,
ard, il présente suc- cessivement de la paralysie spasmodique de la
jambe
gauche, une incontinence complète de l'urine et
es sphinctériens anovési- caux (constipation), de l'ataxie dans les
jambes
, du ralentisse- ment dans laperceplion des impr
. Asseoir l'individu sur le bord d'une table, de façon à ce que les
jambes
pendent mollement, aussi mortes que possible ;
sie; intégrité du sens musculaire ; douleurs dans les bras et les
jambes
; gros troncs nerveux sensibles à la pression; aff
uche accompagnées de sensations de tremble- ment dans le bras et la
jambe
, du même côté. Aux diverses phases d'améliorati
llement l'attitude présente (flexion des cuisses sur le bassin, des
jambes
sur les cuisses, pieds varus-équin) ; la parole
s le malade lui imprime des secousses tandis qu'il exécute avec les
jambes
des mouvements de fronde, enfin, la raideur cro
février 1883, il a été atteint de paraly- sie : paralysie des deux
jambes
et du bras droit, la première fois, paralysie d
e des deux jambes et du bras droit, la première fois, paralysie des
jambes
, la seconde. Du 14 août à novembre 1883, E... s
s peu et avec beaucoup d'efforts. La sensibilité à la douleur des
jambes
a presque disparu, et celle du toucher est moins
USSES. 267 dance à des tiraillements et à des contractures dans les
jambes
. En outre, E... souffre de vomissements irrésis
à propos de la paraplégie, que lorsqu'on lui demande de soulever la
jambe
, ou de faire mouvoir le pied, il ne répond point
ant son enfant tomber du lit, s'est mis sur les pieds, bien que ses
jambes
fussent paralysées alors. Le malade a quitté l'
nts rebelles, etc.; 2° l'inconstance des dérangemeuts nerveux : les
jambes
d'E... ont été paralysées deux fois et la paral
e sujet, 268 CLINIQUE NERVEUSE. privé de la faculté de remuer les
jambes
, se lève sous l'empire de la frayeur. Tout cela
Mais, en même temps, il commença à éprouver des douleurs dans la
jambe
gauche, à Faîne, dans le dos. Ensuite, en présenc
nsuite, en présence d'un médecin militaire, R... perdit l'usage des
jambes
et de la parole. C'est dans cet état qu'on l'am
aint aussi d'avoir mal lorsqu'on presse les gros troncs nerveux des
jambes
. La sensibilité à la douleur dans les jambes et
ros troncs nerveux des jambes. La sensibilité à la douleur dans les
jambes
et dans la partie inférieure du tronc a disparu
Les réflexes tendineux de la rotule sont extrêmement exagérés. Les
jambes
sont à moitié paralysées;- y a contracture des
tracture des muscles posté- rieurs de la cuisse, qui fléchissent la
jambe
, et rigidité des 270 CLINIQUE NERVEUSE. pieds
dans le dos disparait; couché, le malade peut facilement lever les
jambes
et les tenir en l'air quelque temps. Il ne peut m
même pas de le faire. Pressé d'obéir, il se lève cependant sur les
jambes
, mais elles sont fléchies dans les ge- noux et
eds. Le 10 novembre, R... commence à marcher auprès de son lit, les
jambes
toujours courbées; mais il ne marche que d'aprè
; mais il ne marche que d'après l'ordre pressant. Il se met sur les
jambes
d'une manière particulière : il appuie ses bras
om- mence à marcher facilement, mais sa démarche est étrange. Les
jambes
sont un peu fléchies dans les genoux; le dos est
s, sont causées par une certaine rigidité des muscles du dos et des
jambes
. Les jambes sont encore faibles; après une marc
s par une certaine rigidité des muscles du dos et des jambes. Les
jambes
sont encore faibles; après une marche de peu de d
une journée. La démarche est toujours la même; la sensibilité des
jambes
est rétablie; mais on voit toujours la même faibl
mais on voit toujours la même faiblesse et le même tremblement des
jambes
après la marche. L'anam- nèse montre que le mal
venu de l'exercice, il se sentit tout à coup privé de l'usage de la
jambe
gauche, ensuite de la droite; la paralysie dura
ecommença aussi inopinément que la première fois. Etat présent : la
jambe
gauche est com- plètement paralysée ; les piqûr
sidérable- ment exagérés des deux côtés. Couché, il peut relever la
jambe
droite, la fléchir et remuer les doigts. Le pie
15 janvier, lorsque le malade fut apporté pour que je l'examine, la
jambe
droite était aussi tout à fait para- lysée ; le
cutanés sont exagérés; la sensibilité tactile et douloureuse de la
jambe
gauche est notablement émoussée, celle de la dr
est notablement émoussée, celle de la droite est normale; dans les
jambes
, on observe des tiraillements et une rigidité m
ner- veux. Traitement : galvanisation du dos et faradisation des
jambes
. Après quatorze séances, on observa un mieux tell
oelle épinière. Le patient peut alors facilement uriner, remuer les
jambes
dans son lit, même se mettre sur les jambes lor
ment uriner, remuer les jambes dans son lit, même se mettre sur les
jambes
lorsqu'on le soutient et, en s'appuyant sur la
, quitter sa chaise et se placer sur son lit; les tiraillements des
jambes
se sont affaiblis. Le 27 février, il pouvait se
. La démarche offrait la particularité suivante : B... avançait les
jambes
sans faire quitter le plan- cher, par suite de
ntre à l'hôpital le 27 mai 1884, atteint d'une paralysie des deux
jambes
. Des questions préalables expliquèrent qu'il vena
ortir de l'hôpital, où il était entré à cause d'une paralysie de la
jambe
droite. La maladie actuelle s'était déclarée subi
larée subite- ment : en revenant d'une revue, il perdit l'usage des
jambes
et, cinq jours après son entrée, à l'hôpital, l
ade donne tout de même de fausses indica- tions. La sensibilité des
jambes
a disparu. La faculté de mou- voir le bras droi
egré très restreint ; le poing est fermé, la faculté de mouvoir les
jambes
est presque nulle; les mou- vements passifs cau
lis ; sur le gauche il n'y en a pas. Une rigidité des muscles de la
jambe
droite, des tressaillements et des tiraillement
e côté. Le 21 juillet, le malade est en état de soulever un peu les
jambes
dans son lit; la miction devient plus facile; i
que de vives douleurs dans le dos et de fortes convulsions dans les
jambes
et le bras gauche. Les mêmes crises se répètent
e dos courbé en arrière, les coudes fléchis, les poings fermés, les
jambes
en état d'extension, perte de la connaissance.
tion de la douleur et de la température. Les réflexes tendineux des
jambes
sont fortement exagérés; on observe un clonus d
serve un clonus dorsalis au pied droit; le ma- lade peut fléchir la
jambe
gauche dans toutes les articulations, et il est
caractère, savoir : tremblement du bras gauche; spasme tonique à la
jambe
gauche; flexion du coude gauche ; la tête se re
OUPES RUSSES. 275 Au mois de février, il fait librement mouvoir ses
jambes
dans son lit, il peut marcher à côté de sa couc
t, il peut marcher à côté de sa couche, mais les contrac- tures des
jambes
, quand il bouge, reparaissent comme aupara- van
, il tombe assis. Le malade a quitté l'hôpital avec une parésie des
jambes
, le 8 juin 1885. Dans ce cas, nous trouvons l
ouvert, le matin il a senti une faiblesse dans les bras et dans la
jambe
gauches, et, le 30 décembre, ces membres étaien
t à fait paralysés. Le 2 janvier, on a constaté une faiblesse de la
jambe
et du bras droits. A son entrée à l'hô- pital,
et une hémiopie, ainsi qu'une impossibilité de mouvoir à volonté la
jambe
et le bras gauches. Ce qui fait une différence
que le malade peut tout de même marcher, malgré la paralysie de la
jambe
gauche. En marchant il traîne la jambe malade;
r, malgré la paralysie de la jambe gauche. En marchant il traîne la
jambe
malade; la jambe saine est fléchie au genou; el
lysie de la jambe gauche. En marchant il traîne la jambe malade; la
jambe
saine est fléchie au genou; elle ne touche le p
che le plancher que de la pointe du pied ; un trem- blement dans la
jambe
gauche ; le bras droit levé le plus haut trembl
est vers cette époque aussi qu'il eut de violentes trépidations des
jambes
. Tous ces phénomènes disparurent vers la vingt
que D... était atteint d'un diabète insipide. Le 12 septembre, les
jambes
de D... commencèrent à trembler; le tremblement
s minutieux fit voir une rigidité des muscles de la cuisse et de la
jambe
, même lorsque D... était couché; la sensibilité
e la maladie, il eut plu- sieurs accès de violents tremblements des
jambes
; étendu sur le dos, il jetait les jambes de di
violents tremblements des jambes ; étendu sur le dos, il jetait les
jambes
de différents côtés, frappait des pieds le plan
l'hôpital le 2 août 1885. Il souffrait de douleurs sourdes dans les
jambes
. Un QUELQUES cas d'hystérie dans LES troupes RU
die ces dou- leurs se renouvelèrent plusieurs fois, mais celles des
jambes
l'impatientèrent excessivement. L'enflure des a
e, et donna les résulats suivants : la sensibilité tactile des deux
jambes
est bien affaiblie, celle de douleur a complète-
On remarque une contracture dans les deux genoux de manière que les
jambes
font un angle aigu avec les cuisses. L'articula
rticulation coxo-fémorale sont un peu plus faciles; l'extension des
jambes
n'est que passive 280 CLINIQUE NERVEUSE. jusq
jusqu'à un certain degré, et amène alors une forte trépidation des
jambes
, accompagnée de douleurs. Les muscles des jambe
trépidation des jambes, accompagnée de douleurs. Les muscles des
jambes
sont flasques, mais la réaction aux deux espèces
même que dans les genoux et une douleur sourde continuelle dans les
jambes
. L'anamnèse nous rapporte que le sujet était re
ait resté trois mois alité à la maison avec la même contracture des
jambes
et que les douleurs sourdes avaient été les mêm
, La mère du patient avait souffert de tiraillements convulsifs des
jambes
, de sorte qu'elle ne pouvait tenir son enfant s
lutio arsenicalis Fowleri, galvanisation du dos et faradisation des
jambes
; mouvements passifs des jambes. Sous l'influen
nisation du dos et faradisation des jambes ; mouvements passifs des
jambes
. Sous l'influence de ce traitement, au bout de
s, il marchait avec des béquilles. Assis, il balance facilement les
jambes
sans qu'on puisse y remarquer de tremble- ments
lever et sans fléchir les genoux; il s'y ajoute une trépidation des
jambes
. Les troubles de la sensibilité sont restés les
est aussi normale. Le malade se plaint de douleurs sourdes dans les
jambes
. Les antécédents montrent que, dix-huit mois au
r les paupières, le globe oculaire roule en bas. Un tremblement des
jambes
; les muscles des membres inférieurs sont relâch
L'attaque de convulsions dura une couple de minutes, après quoi la
jambe
gauche, le bras du même côté restèrent contract
'attaque est précédée d'un violent mal de tête, de tremblements des
jambes
et d'un spasme douloureux du pha- rynx. Dans la
u pha- rynx. Dans la nuit du 27, le malade a des trépidations des
jambes
et des hallucinations. Le 30 décembre, il se sent
en opisthotonus ou plcurosthotonus, de môme qu'en convul- sions des
jambes
qui se fléchissent à toutes les articulations.
r la première fois, j'ai réussi à le faire marcher un peu; mais les
jambes
tremblent; les muscles des membres inférieurs s
tion accélérée. Ensuite, le malade étend subitement les bras et les
jambes
, courbe le dos en arrière en arc de cercle, se fr
s, pendant près de quatre minutes, garde la position suivante : les
jambes
sont à l'état d'extension, les bras aussi, éloi
tent de côté, les genoux sont fléchis, ou bien, au contraire, les
jambes
sont raides, les muscles sont à l'état de tension
E DANS LES TROUPES RUSSES. 291 quand il marche, on voit que l'autre
jambe
est aussi contracturée à l'articulation tibio-t
Aux membres inférieurs, la bouffissure est surtout prononcée aux
jambes
et aux pieds dont la peau est plus ou moins cyano
lioration au point de vue de la marche ; il est plus solide sur les
jambes
, mais manifeste toujours une grande répu- Fig.
sur la poitrine; les mains et les pieds devinrent très froids, les
jambes
très faibles et la démarche incertaine. Elle fu
is; sur les joues pendantes et flasques et sur les pieds et sur les
jambes
, où la circulation est si pauvre qu'il y a un é
subitement; aussi elle ne marche jamais sans appui à sa portée. Les
jambes
semblent incapables de porter le poids du corps
é pendant deux mois ; actuellement, il marche en traînant un peu la
jambe
droite, soulève le bras droit, peut mettre la I
encore cette laxité des téguments que nous avons déjà signalée. Les
jambes
sont assez bien conformées, mais les genoux son
le pied est gros, court et ra- massé, mais il est assez cambré, la
jambe
est plus longue que le fémur et l'avant-bras es
lle était incapable de marcher et tombait dès qu'elle était sur ses
jambes
. Les tibias étaient courbés en dehors quoique s
iminue, surtout à droite; la marche s'appe- santit, face vultueuse.
Jambes
infiltrées; sensation de froid; culo- ration ja
matiée, plus pâle qu'avant l'opération. Fatigue et crampes dans les
jambes
oedématiees; absence de mémoire de plus en plus
décembre 1880. Fin mars 1881, cachexie pachydermique, faiblesse des
jambes
. Le malade fait avec peine 2 kilom. L'anémie s'
'appétit, de la soif et du goût, maladresse des mains, lourdeur des
jambes
. 1 Annales médico-psychologiques , mars 1884, p
bonne santé jusqu'à la fin de 1881. Alors oedème pal- pébral et des
jambes
jusqu'aux genoux, 'avec albuminurie passa- gère
orte anémie, pâleur de la peau, faiblesse très grande et oedème des
jambes
; au bout de quelques mois, amélioration. 25°
létée par cette autre. La compression permanente mais modérée d'une
jambe
, en déterminant dans les régions innervées par
orte sur deux observations de mono- plégie typique du bras ou de la
jambe
avec épilepsie corticale. Dans les deux cas le
chute, il eut un traumatisme de la hanche, et depuis il boite de la
jambe
droite. Début. - L'affection actuelle a débuté
onnaissance. Il se rappelle bien qu'il ne pouvait remuer ni bras ni
jambes
, que ses membres, soulevés par le médecin appel
peut à peine tenir son verre et le porter à sa bouche. Du côté des
jambes
tous les mouvements sont possibles, mais sans f
ant, s'aider de ses bras, trop faibles pour se fixer à un appui. La
jambe
gauche est, dit-il, plus faible que la droite.
mbe gauche est, dit-il, plus faible que la droite. Ajoutons que les
jambes
deviennent rapidement bleuâtres pendant la marc
xagérés. Pas de trépidation épileptoïde. On remarque, en piquant la
jambe
et surtout la cuisse gauches, que la contractio
stant connaissance. Voulant se relever, elle s'aperçut que ses deux
jambes
étaient incapables de se mouvoir. On la transpo
Le sol n'est pas senti pendant la marche. Au lit, la situation des
jambes
est nettement perçue. Il existe de l'anesthésie
cuisses; moitié inférieure des faces externe et antéro-externe des
jambes
; face dorsale du pied jusqu'au voisinage de son
atrophie sensiblement symé- trique des deux membres inférieurs. Les
jambes
sont plus atrophiées que les cuisses. Le tricep
es et les poils ne sont pas altérés ; la partie inférieure des deux
jambes
et la face dorsale des pieds sont tachetées de pe
semblant en effet il une engelure. Sur la face antéro-externe de la
jambe
droite, deux taches d'un rouge violacé, réguliè
ce de sortie. Aussitôt frappée, l'enfant s'affaissa sur le sol, les
jambes
paralysées refu- sant tout service. On la tra
place à la rétention, el, en même temps, peu à peu, de flasques les
jambes
devinrent raides. De plus, quelques jours après
il devint très difficile de les écarter l'nn de l'autre. Bientôt la
jambe
droite se mit en demi-flexion, la cuisse se por
é commençait à reparaître; l'incontinence était moins complète; les
jambes
restaient toujours raides, en adduction forcée.
Marie D... commença également à pouvoir écarter volontairement les
jambes
l'une de l'autre, mais ce ne fut qu'au bout de
et de faire quelques pas rendus plus difficiles par ce fait que la
jambe
gauche, qui était toujours plus raide que la dr
sol que lorsque l'enfant inclinait le tronc à gauche et mettait la
jambe
droite en demi-flexion. Lentement, peu à peu, l
'enfant au lit dans le décubitus dorsal, on observe qu'alors que la
jambe
droite est dans la rectitude, la jambe gaucheest
, on observe qu'alors que la jambe droite est dans la rectitude, la
jambe
gaucheest légère- ment fléchie et portée en add
demi-flexion, les deux genoux s'arc-boulant l'un contre l'autre, la
jambe
droite rejetée en dehors pour élargir la base d
tre l'autre, passant ainsi alternativement l'un devant l'autre, et la
jambe
gauche, qui est plus spasmodique que la droite,
droite. Congestion pulmonaire droite. Con- tractures légères de la
jambe
droite. Amendement de tous les phénomènes en un
nt privée de mouvements actifs, du moins notablement parésiée. La
jambe
gauche présente une certaine diminution de la con
partie de la poi- trine. 10 décembre. Un peu de contracture de la
jambe
droite. La motilité volontaire revient un peu d
vanique. Le malade marche assez facilement, il traîne légèrement la
jambe
droite. Les signes pulmo- naires ont beaucoup d
Ja moelle lombaire, développement de douleurs fulgurantes dans la
jambe
droite, plus tard dans le membre supérieur du mêm
ment dans les parties affectées et de brûlure dans les pieds et les
jambes
, elle n'avait rien éprouvé de vraiment pénible.
ne s'étendait pas au-dessus des malléoles, et quoiqu'il y eût à la
jambe
droite de grosses veines variqueuses, il n'y avai
du milieu de la plante du pied 11 pouces ? - Les avant- bras et les
jambes
ne montrent aucune augmentation de volume. La p
périphériques. Les cuisses paraissent tout à fait nor- males ; les
jambes
présentent une augmentation de volume modérée; qu
s. Depuis quatre ans, disparition des douleurs dans les bras et les
jambes
. Dès le début de la maladie, faiblesse générale
on la trouve à plat ventre par terre, toute raide, les bras et les
jambes
étendus, une main étendue, l'autre fermée. En mêm
plus de même chez les ataxiques qui oscillent si souvent sur leurs
jambes
, et qui, de peur de perdre l'équilibre, saisiss
arier considérablement, tan- tôt il tourne sur l'une ou sur l'autre
jambe
, tantôt il marmotte des mots inintelligibles pa
arquée et en voie d'augmentation ; la malade marche en traînant les
jambes
comme une vieille femme. Appétit petit, mais soif
se, musculature molle. On est frappé de la maigreur des bras et des
jambes
que rend d'autant plus saillante la différence de
lum sont aussi de dimensions énormes. Pour ce qui est des longues
jambes
, ou remarque tout d'abord le dévelop- pement ex
pression rebroussent sous forme d'un large bourrelet (iig. 37). Les
jambes
certainement trop longues sont assez maigres, l
e il s'est battu en duel, mais qu'à la première passe est tombé « à
jambes
rebindaines » comme eût dit Rabelais. Naturelle-
ortante. A cette époque, elle ressent une douleur très vive dans la
jambe
, puis dans la fesse gauche, douleur qui s'accom
tion prochaine d'un abcès qui ne s'est du reste jamais montré. La
jambe
devient raide (comme un morceau de bois) et se pl
re. 1883), la malade restant toujours couchée, on s'aperçoit que la
jambe
est raccourcie et que le pied se met en équin d
n lui donne des béquilles; elle ne marchait tout d'abord qu'avec la
jambe
droite, puis peu à peu, grâce, suivant elle, à
rs ainsi armée de pied en (- : il) pendant deux ans et demi. - La
jambe
droite semblant se fatiguer beaucoup, on y appliq
ncore; elle fut atteinte à G ou 8 ans d'une affection osseuse de la
jambe
, qui entraîna une longue suppuration. Elle avait
tombe à lerre. Tous les membres sont raidis, les bras en croix, les
jambes
légèrement écartées, le pouce serré dans la mai
ois, les bras sont agités de petits mouvements de peu d'étendue ; les
jambes
légèrement écartées sont contracturées dans l'e
eau aux Offices à Florence, Saint Côme et saint Damien enlevant une
jambe
gangrenée et toute noire à un malade; de Andréa P
n lui pose. Il marche la tête penchée en avant, le dos arrondi, les
jambes
écartées, appuyant surtout le talon sur le sol, i
e des bras, au niveau des pectoraux, sur la partie antérieure de la
jambe
, la partie forte des épaules, à la région lomba
tuel (28 février). - B... marche encore passablement en traînant la
jambe
droite, il est venu à pied d'Ivry il l'hospice de
ti- tude des membres. Les avant-bras sont étendus sur les bras, les
jambes
sur les cuisses, de telle sorte que les quatre
isait une certaine amélioration. Après chaque séance, le bras et la
jambe
malades étaient moins engourdis, plus souples;
a sortie elle était, dit-elle, aussi impotente de son bras et de sa
jambe
gauches que lors de son entrée à l'hôpital. En
Leurs mouvements sont rapides cl'précis, tandis que les bras et la
jambe
du côté gauche raidis et comme soudés dans l'at
ses hanches et décrivant à chaque pas un mouvement de faux avec sa
jambe
gauche; elle frotte le sol de la pointe du pied a
spasme de la face et du cou. , Le bras droit est anesthésique; la
jambe
droite l'est également, sauf au niveau du genou
s'est aperçu que le côté gauche devenait faible, que le bras et la
jambe
n'avaient pas leur vigueur ordinaire. Quelques jo
cause quelconque à ce qui lui est arrivé, aujourd'hui le bras et la
jambe
gauche sont complètement paralysés, Le F... est h
l peut encore marcher, mais c'est en tirant avec peine après lui sa
jambe
gauche qui traîne sur le sol. IIémianesthésie gau
, en sorte qu'il fut réduit à ne marcher qu'avec des potences ; ses
jambes
et ses pieds devinrent froids comme du marbre e
inférieur était contracturé en extension : la cuisse étendue sur la
jambe
et sur le bassin : le pied en extension (fig. 59,
pointe du pied relevée. Pendant la station droite, on voit sur la
jambe
gauche qui cherche à conserver l'équilibre, la
d'abaisser la pointe du pied, de même quand on essaye de fléchir la
jambe
sur la cuisse. En soulevant tout le membre, on
Cette modification de la contractilité s'observe sur les muscles des
jambes
des deux cotes avec une prédominance pour la
s muscles des jambes des deux cotes avec une prédominance pour la
jambe
contracturée. Mais les réactions des deux jambe
dominance pour la jambe contracturée. Mais les réactions des deux
jambes
laissent bien moins d'écart entre elles qu'il n
s d'écart entre elles qu'il n'y en a entre les réactions des deux
jambes
d'une part et celles des bras d'autre' part. Pa
générescence n'existe pas pour les muscles diminués de volume de la
jambe
. contracturée. Insuccès de la médication par
s accès. Pendant ces accès on note une trépidation clonique dans la
jambe
gauche qui se géné- ralise mais reste toujours
'il est debout par exemple, on voit les oscillations débuter par la
jambe
gauche, d'abord lé- gères et très rapides; puis
ressemblant à une série de secousses. Ces secousses, partant de la
jambe
gauche, se généralisent successivement au bras ga
e, dans l'attitude hanchée (pl. XXXIX) le pli fessier du côté de la
jambe
portante se creuse profondément et forme comme un
120", soit 51 de moins que la moyenne (120° à 130°). Les os de la
jambe
et du pied sont, eux aussi, volumineux, par exemp
oids et perclus de cette impotente ? Les nerfs et les muscles de la
jambe
gauche se trouvent tellement relâchés que cette
muscles de la jambe gauche se trouvent tellement relâchés que cette
jambe
pend beaucoup plus que la droite et qu'il, ne l
sse l'embrasse, la soulève, et la malade se soutenant un peu sur sa
jambe
droite, se servant d'une canne qu'elle tient du m
Elle étoit complète, disent les maîtres de l'art, sur la cuisse, la
jambe
et le pied gauche, et incomplète sur la langue, s
le se trouva dans l'impuissance absolue de faire aucun, usage de sa
jambe
qui étoit toujours d'un froid glaçant et d'une
le joignit à tout, cet attirail une seconde lisière qui tenoit à sa
jambe
gauche et qui étoit passée autour de son bras dro
tour de son bras droit, par le moyen de laquelle tirant en avant sa
jambe
gauche de toutes ses forces avec sa main droite
viner par signes ce qu'elle vouloit dire... Au reste, sa main et sa
jambe
gauche restèrent toujours dans'le même état san
e prière elle sent un serrement et un mouvement dans le talon de sa
jambe
paralytique qui est le signe aussi bien que l'i
ut mouvement agit avec facilité et avec force ; cette cuisse, cette
jambe
et ce pied qui n'éloient plus pour elle qu'un poi
prière, elle sent un serrement et un mouvement dans le talon de sa
jambe
paraly- tique...» La paralysie s'en est allée,
dizaine de jours Quelque temps après, apparut le tremblement de la
jambe
et du bras droits. Ce tremblement succédait aux a
, les doigts fléchis, les mains déviées vers leur bord cubital. Les
jambes
au con- traire étaient flasques et lui refusaie
ersista tel qu'après la chute; les bras restèrent contracturés, les
jambes
flasques. La vessie et le rectum fonction- naie
rmalement ; pas d'écorchures au sacrum. Au bout de quatre mois, les
jambes
allaient mieux, mais le mouvement ne revenait q
u'il voulait mettre pied il lerre et essayer de se soutenir sur ses
jambes
paralysées, la vue se trou- blait, il éprouvait
cher, on lui mit au bout de quelque temps un appareil plâtré sur la
jambe
gauche remontant à un travers de doigt au-dessu
entorse avait fait placer plusieurs vésicatoires tout le long de la
jambe
avant de poser l'appareil qui resta en place pend
89). - C... marche avec une béquille placée sous le bras gauche, la
jambe
gauche paraissant trop courte pour que le talon
remblement hysté- rique très accentué auquel participe également la
jambe
. De plus, Cah... ne peut préciser l'époque exac
s, savoir : les mâchoires, les épaules, les mains, les cuisses, les
jambes
; elle y cause tantôt une douleur et tantôt une
lle y cause tantôt une douleur et tantôt une enflure dont celle des
jambes
est la plus remarquable. On peut toujours obser
aucune marque. Le plus souvent aussi, l'enflure n'est qu'à une des
jambes
. Du reste, elle res- semble tellement à celle d
sibilité restent les mêmes. 28jwùi. Dans la nuit, tremblement dû la
jambe
et du bras droits : durée : 30 secondes, suivi
été pris d'un tremblement très rapide et très fort du bras et de la
jambe
du côté droit. Ce tremblement a persisté plus d
s, avec quelques dé- placements de la tête, quelques mouvements des
jambes
et des bras d'ordre banal, il se met à parler à
tion forcée. Le jour suivant, le pied et la partie inférieure de la
jambe
sont envahis assez rapidement par un oedème dur,
r gauche ; le pied se place dans l'attitude du pied bot talus et la
jambe
est immo- bilisée en extension, de telle sorte
L'oedeme qui occupe tout le pied et les deux tiers inférieurs de la
jambe
est énorme, donnant aux deux segments du membre u
Le 7 mars de la même année, pareil accident se produisit à l'autre
jambe
. A son tour, le membre inférieur gauche fut envah
tuméfaction malléolaire gauche, sensation de froid intense dans la
jambe
gauche. En avril, la jambe gauche est envahie tou
uche, sensation de froid intense dans la jambe gauche. En avril, la
jambe
gauche est envahie tout entière par un oedème d
s chaude à la palpation et mesurée à 5 centi- mètres de plus que la
jambe
droite. Température poplitée : à gauche 37°7, à
che 37°7, à droite 35"6 C. Bientôt l'oedème envahit à son tour la
jambe
droite. Le ` ? 1 mai, l'cedème dur persiste des
se localise particulièrement au niveau de la malléole externe de la
jambe
gauche. Il subit des alternatives d'augmentation
qui presse laisse très difficilement sa trace. La température de la
jambe
gauche est inférieure de un quart à trois quarts
est inférieure de un quart à trois quarts F. comparée à celle de la
jambe
droite. L'oedème subit des variations il l'ap-
emi. Cas II (très incomplet). Femme trente-sept ans, hystérique; la
jambe
gauche est le siège d'un oedème très apparent a
à attaques, hémiparésie et hémi- anesthésie gauche. OEdème des deux
jambes
, surtout de la jambe gauche, prin- cipalement m
e et hémi- anesthésie gauche. OEdème des deux jambes, surtout de la
jambe
gauche, prin- cipalement marqué pendant les pre
nait très faiblement le godet de l'oedème. Le tissu aréolaire de la
jambe
gauche paraissait plus ferme que celui de la ja
aréolaire de la jambe gauche paraissait plus ferme que celui de la
jambe
droite. On le voit, feedème se superpose presqu
malade dont la région dorsale est photographiée ici, présente sur les
jambes
quelques pustules d'ecthyma disséminées. Rien q
thyma simple, une d'entre elles siégeant à la face antérieure de la
jambe
gauche a déjà provoqué deux hémorrhagies abonda
nt atteints de séborrhée du cuir chevelu; et l'un deux portait à la
jambe
et sur le pied deux anciens placards d'eczéma.
s tard, il a commencé il ressentir des douleurs fulgurantes dans la
jambe
gauche. Actuellement, ces douleurs reviennent enc
es membres inférieurs. Sens musculaire : aboli : le malade perd ses
jambes
dans le lit. Examen des yeux (17 juillet 1889).
revint lui, il cons- tata qu'il ne pouvait remuer ni le bras, ni la
jambe
du côté droit. La face était déviée vers la gau
battre. Lorsqu'il revint à lui, au bout de cinq minutes environ, la
jambe
et le bras droit étaient parésiés à un haut deg
ion. Lorsque le malade se tient debout, il écarte notablement les
jambes
l'une de l'autre. Le membre inférieur droit est a
ration du sens musculaire. Pen- dant la marche, le malade traîne la
jambe
droite directement d'ar- rière en avant, sans f
ble que le membre droit et le malade ne peut se tenir debuut sur sa
jambe
gauche. Diminution de la force musculaire au me
exes plantaires et patellaires du côté gauche. 30 septembre. - La
jambe
est plus forte, et l'anesthésie y est moins com
omoplate. Anes- thésie de la cuisse, de la partie postérieure de la
jambe
. Anesthé- sie du côté gauche delà face. Zones h
sie très ' : 20 PATHOLOGIE NERVEUSE. marquée de son bras et de sa
jambe
du côté droit et de la difficulté de la parole.
intervalles, une projection en avant, violente et spasmodique de la
jambe
droite. 11 résulte très nettement de l'interrogat
olés. Ultérieurement, la malade a traîné pendant quelques mois la
jambe
droite, ne s'appuyant sur ce membre pendant la ma
remplacés chez la jeune fille en question, par la projection de la
jambe
droite, phénomène tout à fait analogue à la pro
tion à la lumière conservée. Contrac- ture de l'avant-bras et de la
jambe
droits. Un peu d'arhythmie cardiaque; bruits pu
désir, tant qu'on lui viendra en aide, de recouvrer l'usage de ses
jambes
. R. M. C. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
des suspendus : 4° mal dePott, avec faiblesse dans les reins et les
jambes
empê- chant de marcher; amélioration au bout de
e, soit de la totalité du membre, soit d'un segment de ce membre,
jambe
ou cuisse, dans son entier. Elle ne prédomine p
t-six ans, atteint d'une scia- tique gauche datant de deux mois. La
jambe
de ce côté était un peu plus maigre in loto que
TIQUE. 149 * tion normale des branches motrices du sciatique à la
jambe
. Rappelons seulement en deux mots que le scia-
n peut se résumer ainsi : '150 PATHOLOGIE NERVEUSE. sent plus ses
jambes
qui sont comme engourdies et deviennent ('doulo
ngourdies et deviennent ('douloureuses. Au bout de huit jours, la
jambe
droite étant redevenue nurmale, -la gauche rest
ico-vaginale. Etat actuel (5 novembre 1866). Atrophie notable de la
jambe
gauche (3 centimètres de différence sur la circ
étraction des muscles fléchisseurs. Sensibilité moins nette qu'à la
jambe
droite. Perte des ré- flexes. - Point douloureu
ier et fourmillements dans la plante du pied. Refroidissement de la
jambe
malade. L'électrisation des muscles de la régio
de. L'électrisation des muscles de la région antéro-externe de la
Jambe
ne produit aucune contraction. Les muscles du mol
de Lefebvre. - OBSERVATION II (résumée). Paralysie partielle de la
jambe
gauche consécutive à l'accouchement. - (LEFFBVR
à l'état normal. ( Sensibilité obtuse à la partie antérieure de la
jambe
, en dehors du '( tibia, à la face dorsale du pi
ue l'état de chacun des muscles de la ré- gion antéro-externe de la
jambe
est indiqué par l'ex- ploration électrique. O
on électrique. Observât/on III (résumée). Paoalysie partielle de la
jambe
gauche consécutive à l'accouchement. (LEFEBVRE.
ste encore au lit pendant deux mois, souffrant moins, mais ayant la
jambe
gauche impotente. Enfin, six mois après son acc
ed se pose sur le sol.en deux temps. Amaigrissement notable de la
jambe
. Sensibilité très obtuse à la partie anléro-ext
e la jambe. Sensibilité très obtuse à la partie anléro-exteme de la
jambe
, à la face dorsale du pied et surtout au gros o
it une différence de trois centimètres entre la circonférence de la
jambe
droite et celle de la jambe gauche. Remarquons
entimètres entre la circonférence de la jambe droite et celle de la
jambe
gauche. Remarquons que cette paralysie et cette
nant sa connaissance, qu'elle avait perdue depuis la délivrance. La
jambe
et la cuisse pouvaient remuer, mais non le pied
mais non le pied ni les orteils. Douleurs spontanées le long de la
jambe
, jusqu'à l'extrémité des orteils. La sensibilit
pas sentie sur le dos du pied droit et à la partie antérieure de la
jambe
droite. L'électrisation ne provoque aucune cont
rs, l'électrisation ramène les mouvements dans la cuisse droite, la
jambe
restant paralysée et insensible (elle ne sentai
tricité). Au bout de deux mois la sensibilité re- vient un peu à la
jambe
; enfin, après neuf mois, la malade peut remuer
ade peut remuer un peu ses orteils, mais non étendre le pied sur la
jambe
. En marchant, le pied tombe et traîne. On con
eil. Atrophie musculaire manifeste à la région antéro-externe de la
jambe
et anesthésie dans la même région. Egalement an
égagent en partie grâce au traitement électrique employé, mais la
jambe
tout entière reste prise, c'est-à-dire que les
- catoires sur le côté gauche de l'abdomen. Puis douleurs dans la
jambe
et le pied gauches qui « étaient comme engourdis
gourdisse- ments font bientôt place à une véritable paralysie de la
jambe
et du pied. La cuisse se fléchit sur le bassin;
sement du pied impossible; il tombe, semblant prolonger l'axe de la
jambe
. Flexion possible et même énergique. Mouvements
uleur abolie « dans toute l'étendue de la face antéro-externe de la
jambe
et sur le dos du pied ainsi qu'au talon. Sur le
ilité est intacte à la plante du pied et dans toute l'étendue de la
jambe
, sauf la région que nous avons indiquée ». Poin
airè externe. r c L'électrisation des muscles antéro-externes de la
jambe
les trouve absolument insensibles; au contraire
eux mois et demi après l'entrée (novembre 1883), on remarque que la
jambe
à notablement diminué de volume. Ainsi dans u
epa ! 'as : e et atrophie dégénérative des muscles extenseurs de la
jambe
, et anesthésie dans le domaine du nerf sciatiqu
sse gauche. Il n'y eut point alors de douleurs dans la cuisse ni la
jambe
. Le traitement consista uniquement en frictions
oint péronier. La troisième atteinte fut une des plus violentes, la
jambe
entière fut prise. A la quatrième attaque elles
mais eu de symptômes d'une affection cardiaque, jamais d'oedème des
jambes
. Il n'a jamais subi d'opérations chirurgicales
tat actuel est le suivant : Il présente au plus haut degré, pour la
jambe
gauche seulement, tous les caractères de la démar
LICATION DE LA SCIATIQUE. 163 L'examen électrique des muscles de la
jambe
vient d'ailleurs confirmer complètement les rés
existe un léger degré de diminution de volume de la cuisse et de la
jambe
du côté gauche, à peine appréciable en réalité et
onde, n'influe pas d'une manière sensible sur le volume total de la
jambe
. La ditfé- resce est à peine d'un demi-centimèt
timètre en ce qui concerne la cir- conférence de la cuisse et de la
jambe
gauches comparativement avec le côté sain. ,
La sensibilité est normale sur tout le corps. sauf au niveau de la
jambe
gauche où il existe une anesthésie sur laquelle n
est tenu de travers. Les troubles de la sensibilité qui occupent la
jambe
gauche sont distribués de la façon suivante :
tête du péroné, et limitée ainsi : a) sur la face antérieure de la
jambe
: ligne oblique en bas et en dedans jusqu'au ti
: ligne oblique en bas et en dedans jusqu'au tiers inférieur de la
jambe
; puis descendant verticale- ment en bas en lai
du péroné, descend obliquement en dedans jusqu'au tiers moyen de la
jambe
, puis verticalement en laissant indemne la moit
de la face antérieure elles deux tiers de la face postérieure de la
jambe
. (V. la fig. 11.) 2 Sensibilité à la températur
xterne du pied est presque indemne et que la face postérieure de la
jambe
est prise dans une étendue beaucoup moindre. (V
us considérable. L'anesthésie ne commence que vers le .milieu de la
jambe
. Elle comprend la face externe, une petite band
sse du membre, telle que la malade ne pouvait se tenir debout, la
jambe
ployant sous elle. Ces fortes douleurs ont duré e
galement d'engourdissements de toute la région antéro-externe de la
jambe
gauche. A première vue, il semble qu'il existe
d'atro- phie des muscles de celte région. Mais les dimensions de la
jambe
n'ont pas beaucoup diminué. Varices considérabl
iminué. Varices considérables. OEdème de la partie inférieure de la
jambe
. Démarche. Le pied est complètement tombant. La
la douleur conservée à la cuisse, atténuée à la face externe de la
jambe
, exagérée sur le dos du pied. Sensibilité à l
Sensibilité à la chaleur. - Hypoeslhésie à la face externe de la
jambe
. Sensibilité au froid diminuée dans la même régio
ant avoir eu affaire à une véritable paralysie des extenseurs de la
jambe
. Le pied tombant, la dé- marche de steppe ? \ l
ion de dégénérescence des muscles de la région antéro-externe de la
jambe
. Mart..., cinquante ans, artiste peintre. Les a
ique non complètement absente. Pas d'atrophie de la cuisse ni de la
jambe
. L'épaisseur de la couche adipeuse sous-cutanée
lons en quelques mots la distribu- tion des nerfs cutanés de la
jambe
, qui est loind'êtresimple. Un coup d'ceil jeté
ité externe fournit des nerfs cutanés à la plus grande partie de la
jambe
et du pied. Les deux tiers externes de la jambe
grande partie de la jambe et du pied. Les deux tiers externes de la
jambe
, la pres- que totalité du dos du pied, moins un
5. - Distribution des nerfs cutanés de la face an- térieure de la
jambe
(d'après Fower). a. - Nerf crural (nerf saphè
- soire du saphène externe, à la pau de la région externe de la
jambe
, suivant une bande beau- coup plus large en bas
. - Distribution des nerfs cutanés de la face pos- térieure de la
jambe
(d'après Fower). a. Nerf petit sciatique. - b
ans. En 1855, au mois de janvier, appa- rition de douleurs daus la
jambe
droite, très vives au niveau du mollet. Le pied
en macchant; en montant les escaliers elle est obligée de lever la
jambe
d'une façon exagérée, car la pointe du pied, qu
re claudication. Elle remarque en même temps l'amaigrissement de la
jambe
. Le seul traitement employé consiste en : frict
Elle se plaint de fourmillements, d'élancements dans le pied, la
jambe
et surtout la région postérieure de la cuisse. On
nce mesure 1 centimètre et demi de moins à droite qu'à gauche. A la
jambe
la région antéro-externe surtout, mais aussi le
u- de-pied ; cicatrice d'ulcère variqueux à la face interne de la
jambe
. Un peu d'oedème des malléoles. Le membre inférie
gauche. Il existe en effet une différence de plus de 2° C. entre la
jambe
droite et la gauche en faveur de cette dernière
rd externe du pied droit et de la demi- circonférence externe de la
jambe
droite (zone sensitive du scia- tique poplilé e
de la douleur, appuyée sur le pied droit. Dans la procession de la
jambe
droite on voit bien le mou- vement de steppage.
extenseurs et de tous les muscles de la région antéro-externe de la
jambe
, avec atrophie et réaction de dégénérescence. P
consistant en un certain degré de faiblesse des fléchisseurs de la
jambe
et de quelques muscles de la cuisse, avec un am
et à latin de la marche. C'est au niveau de la partie externe de la
jambe
et du pied qu'il souffre le plus. Une dizaine de
it, en éclair » qui partent en même temps des deux extrémités de la
jambe
et se rejoignent vers la partie médiane. Par
t plantaire. La pression en masse des muscles de la cuisse et de la
jambe
est sensible. La recherche des points douloureu
pression des muscles, ' l'exécution des mouvements du pied et de la
jambe
font apparaître des crampes douloureuses. Ces c
membre inférieur doit être étendu, raide, le pied dans l'axe de la
jambe
, la pointe du pied tombante et portée en dedans
trecarrer un spasme plus ou moins généralisé à tout le membre. La
jambe
se fléchit sur la cuisse jusqu'à l'angle droit et
un certain degré de parésie, il existe aussi de la contracture; la
jambe
, la cuisse, le pied ne présentent aucune flaccidi
on le pique légèrement. Enfin dans toute la région externe de la
jambe
, dans un terri- toire limité en avant par la cr
biale, en arrière par la ligne médiane et la face postérieure de la
jambe
il y a anesthésie com- plète ; - et au pied, da
mbre, c'est-à-dire que la cuisse et la partie postéro-interne de la
jambe
, troubles eux- mêmes identiques à ceux de la mo
comprend toute la cuisse, la face interne et postéro-interne de la
jambe
, la partie la plus interne du dos et de la plan
haleur et au froid; la seconde, limitée à la partie externe de la
jambe
et à la plus grande partie du pied, est atteinte-
ues. Ce ne sont pas les seuls. La démarche du malade, qui traîne sa
jambe
mi- paralysée, mi-contracturée, est typique et
t homme à la nature hystérique de l'anesthésie qui occupe comme une
jambe
de pantalon tout le membre inférieur du côté dr
rement chez M... et considé- rant les caractères de l'anesthésie en
jambe
de pan- talon du membre inférieur droit, anethé
, aussi bien au repos que pendant les mouvements. Les bras et les
jambes
, surtout à gauche, sont également animés de mouve
lement localisé dans le bras gauche et, à un moindre degré, dans la
jambe
gauche. Qu'est ce tremble- ment ? Comment le cl
l'on produit, vous le savez, en étendant fortement le pied sur la
jambe
; - les tremblements passagers, ceux par exemple
: il est nul, ou à peu près, au repos complet. Quand le bras ou la
jambe
est solidement appuyée, il ne tremble pas du to
ou le mou- vement voulu est terminé, dès que la tête, le bras ou la
jambe
ont trouvé un point d'appui qui leur permet de
rement rythmées d'extension et de flexion , directes du pied sur la
jambe
, de la jambe sur la cuisse, et de la, cuisse su
es d'extension et de flexion , directes du pied sur la jambe, de la
jambe
sur la cuisse, et de la, cuisse sur .le bassin.
ie, les extenseurs étaient également touchés à l'avant-bras et à la
jambe
du même côté du corps. Cette localisation spéci
été touché; dans le cas auquel nous faisons allusion (Alberti 2) la
jambe
droite au sortir de la période comateuse était
nerte, le pied tourné en dehors,' l'impotence fonctionnelle de la
jambe
et l'insensibilité du pied complète. Au membre
- plégie par lésion cérébrale vulgaire : paralysie du bras, de la
jambe
et d'une partie de la face du même côté; tantôt
sentait, avec une paralysie des extenseurs de l'avant-bras et de la
jambe
, de l'anesthésie à la face dorsale de la main e
rut de pyohémie après avoir pré- senté une paralysie complète de la
jambe
droite; les résultats de l'autopsie furent les
vec des lésions nerveuses après avoir été paralysé du bras et de la
jambe
droite. Dans les nerfs, au niveau des parties e
Chez une malade qui présentait une paralysie des extenseurs de la
jambe
, de l'avant-bras et du nerf facial du même côté
er de tremblement; rien du côté de l'articulation du genou ni de la
jambe
. Ces mouvements coïncident exactement avec la c
ain temps auparavant, avant de s'endormir, des convulsions dans les
jambes
. Traitement recons- tituant; KBr 6 grammes. Il
e. Ce phénomène s'est depuis répété et a été suivi de flexion de la
jambe
et de la cuisse droites. Enfin en mars 1882, à
ions du coude et des articulations phalangiennes; paraly- sie de la
jambe
droite contracturée dans le sens de l'extension.
ncapable, même soutenue, de se tenir et de marcher : elle lance ses
jambes
de côté et d'autre comme une ataxique. Une fois
ticulier; sensibilité diminuée aux membres infé- rieurs surtout aux
jambes
; perte du sens musculaire et articulaire pour l
urtout aux jambes; perte du sens musculaire et articulaire pour les
jambes
et les pieds des deux côtés, surtout à gauche;
té gauche, avec hémianesthésie cutanée de la région externe de la
jambe
. ' Enfin, après une nouvelle période de cinq jo
jà avant son accouchement elle se plaignait quelquefois d'avoir les
jambes
glacées, de ne pouvoir tenir allongée la jambe
quefois d'avoir les jambes glacées, de ne pouvoir tenir allongée la
jambe
gauche, d'avoir les mains trop chaudes, d'avoir
haudes, d'avoir mal au bout des doigts, dans les poignets, dans les
jambes
et dans les pieds. Mais ces douleurs paraissent
apercevoir ses persécuteurs, et elle criait : «Oh ! mes pieds, mes
jambes
! » Un tremblement nerveux s'ensuivait qui la s
ait, dans ses douleurs, avoir des jarretières qui lui serraient les
jambes
; elle demandait qu'on les descende, qu'on délie
t son mari c'était comme des anneaux qu'elle avait aux pieds et aux
jambes
. On voyait parfois comme des empreintes de cord
comme des empreintes de cordons qui auraient serré avec force ses
jambes
dans le bas près du pied, ce qui représente le br
sont très profondes, le front très étroit. 392 CLINIQUE MENTALE.
jambes
, depuis la tubérosité du tibia jusqu'au-dessus de
douleurs spontanées très vagues siégeant particulièrement dans les
jambes
, mais on n'en déter- mine aucune par pression.
» On la soutient alors et elle fait mine de marcher en lançant ses
jambes
comme nous l'avons dit, et cela tout en répétan
encore très ingambe, elle se tient debout et marche en écartant les
jambes
, afin d'élargir sa base de sustentation. Elle p
puis retom- bent dans leur état de repos, se tenant tantôt sur une
jambe
, tan- tôt sur l'autre. Ils sont incapables de s
l'air, ils volaient la tête rétractée, le tronc à moitié levé, les
jambes
pendantes, heurtaient les obstacles ou tomhaien
postérieurs. Néanmoins, il peut maintenir son équilibre; assis, les
jambes
tendent à s'étendre ou sont dans une situation
as de para- lysie complète. 11 glissait sur une surface unie et ses
jambes
avaient de la tendance à s'étendre sous lui, au
ibli par une suppuration prolongée, à la suite d'une réection de la
jambe
: pendant dix jours, on constate du désordre dans
placer sous vos yeux (Fig. 1 et 2).. A la partie antéro-externe de la
jambe
gauche vous remarquerez l'existence d'une simpl
. Du vivant du malade, on avait constaté une anesthésie totale à la
jambe
droite et dans le côté droit du tronc. En 1894,
sie totale dans la moitié gauche du tronc, à la cuisse gauche, à la
jambe
et au pied droits. Je vous signalerai ensuite u
s décrire. Il y a un an V... remarqua il plusieurs reprises que ses
jambes
se déro- baient sous elle. A la même époque des
lle sent bien le sol sous ses pieds. Le phénomène du dérobement des
jambes
n'existe plus. Il n'y a pas d'ataxie du mouveme
i- festent d'autres signes non moins importants : le dérobement des
jambes
, les crises de douleurs fulgurantes dans les me
le ma- lade a remarqué peu après le début de son affection que ses
jambes
, ses cuisses ^ même diminuaient (en ce temps ou
nisme et du rachitisme. Ces êtres grotesques, a corps rabougri, aux
jambes
minuscules et torses, au crâne monstrueux, au f
e, presque nu, tenant une torche renversée clans la main droite, la
jambe
gauche cou- verte d'une draperie et accompagné
Iuli Concursu, lacrimis immobilisé. Le héros est resté debout. La
jambe
gauche porte, il elle seule, pres- que tout le
Turnus. Bien qu'affaibli par sa blesssure, et bien qu'il sente ses
jambes
fléchir sous lui (le dictamne, parait-il, ne fa
ice; il était ce- pendant très gêné par une lourdeur invincible des
jambes
, une fatigue con- tinuelle, qui ne lui permetta
ment le bras à un de ses compagnons; 'tout à coup; dans la rue, ses
jambes
fléchirent : il s'affaissa sur le sol. Cet ictu
e il raconte les détails de son accident. Complètement paralysé des
jambes
, il fut relevé et transporté chez lui; depuis c
ieurs, du pelvis, de la région clorso-lombaire. (Fig. 10.) Les deux
jambes
sont étalées symétri- quement surje lit, les pi
romes, dans laquelle le malade n'éprouvait que de la lour- deur des
jambes
, des fourmillements, une certaine difficulté de l
Jusqu'à 3 ans, elle ne peut marcher; à cette époque elle traîne la
jambe
droite et commence à trembler. Elle ne marche en
les membres et surtout les extrémités, mains et pieds. Le bras, la
jambe
se laissent en- core traverser par les rayons X
seuses. Voici d'abord une très belle photographie d'une fracture de
jambe
. (PI .' XIV). Cette fracture était incontestabl
iture, mais ni -les sabots du cheval, ni- les roues n'ont touché la
jambe
blessée, et cependant bien qu'il n'y ait qu'un se
ES PAR LA METHODE DE ROENTGEN A. Luxation du coude. 13. Fracture de
jambe
. QUELQUES APPLICATIONS CHIRURGICALES DE PHOTOGR
s raisons de la difficulté de réduction de certaines frac- tures de
jambe
. Toujours est-il que cette fracture avait été mal
hé le déplacement de se reproduire. Je dois dire qu'en examinant la
jambe
, on ne se douterait pas qu'il existe un pareil ch
la sainte : un enfant genoux avec une main-bote, un hom- me dont la
jambe
gauche est en contracture (probablement un hystér
oisé et montagneux. Le possédé est assis par terre, les bras et les
jambes
garrottés à l'aide de solides armatures de fer
uvert d'un vêtement jaune-orange, tout en loques, laissant a nu ses
jambes
et ses avant-bras. Le désordre de son costume s
uche la main tombe flasque et comme paralysée sur l'avant-bras. Les
jambes
sont raides, en extension forcée, et les pieds, a
droit semble violemment ramené derrière les reins et la pose de la
jambe
droite laisse supposer que le pied est contract
re, souvent même s'arracher des poignées de cheveux. L'attitude des
jambes
est moins typique; on sent que l'artiste a été
e bas-âge. S... n'a commencé à marcher que vers l'âge de 4 ans. Les
jambes
étaient raides, les pieds en varus-équin frotta
Le lendemain, il marcha encore avec une canne mais eni traînant la
jambe
. Le membre inférieur droit resta sain ; pas de
atigue vient très vite. La station debout n'est possible que si les
jambes
sont écartées, que les yeux soient ouverts ou fer
d'une faiblesse des membres inférieurs avec ataxie des bras et des
jambes
. Pas de troubles de sensibilité. A il ans, on la
france et sans aucun symptôme appréciable ? devenir « faiblesur ses
jambes
». Bientôt il n'a plus marché que péniblement, di
rs l'àge de 12 ans, début de l'affection par de la raideur dans les
jambes
et des douleurs déchirantes sur le dos des pieds
r, sa mère a voulu la poser par terre, mais elle s'est affaissée; ses
jambes
étaient flasques et paralysées. , ' Elle ne d
alité un peu plus élevée, car il faut tenir compte de la flexiondes
jambes
sur les cuisses et des cuisses sur le bas- sin.
de telle sorte que les 2 genoux sont accolés l'un à l'autre. Les
jambes
sont fléchies sur les cuisses. Il existe au nivea
rteils se regardent. Enfin les deux pieds sont en extension sur les
jambes
. En résumé : varus équin et de plus rotation fo
de plus rotation forcéo du pied en dedans par rapport a l'axe de la
jambe
. ' La marche est complètement impossible. Les d
l'attitude vicieuse qu'ils ont prise et qu'on ne peut réduire. Les
jambes
mesurent 32 centimètres depuis la pointe de la ro
e une hyperesthésie très marquée des 2 pieds ; une hypoeslhésie des
jambes
et cuisses il partir du cou-de-pied ; un retard t
ari. (décédé) l'ait eue.. · 31 octobre. Mouvements plus étendus des
jambes
; sphincters paralysés. Dit que sa'vue est meil
ovembre. Peut détacher les bras du corps ; meilleurs mouvements des
jambes
; paralysie des sphincters. 28 novembre. Peut m
ent est revenu graduellement ; sensibilité parfaite des bras et des
jambes
; même état des sphincters. 15 décembre. Amél
asseoir sur son lit, mouvoir les doigts, les mains, les bras et les
jambes
dans toutes les directions ; sensibi- lité parf
ptômes paralytiques qui envahissent d'abord le bras gauche, puis la
jambe
gauche, puis le bras droit et enfin la jambe dr
e bras gauche, puis la jambe gauche, puis le bras droit et enfin la
jambe
droite. Sensibilité intacte des membres paralysés
un service d'hôpital ; pas de douleurs ; il pou- vait soulever ses
jambes
du plan du lit, mais il ne pouvait-marcher. Gra
uriner et d'aller à la garde-robe. Quelques fourmillements dans les
jambes
. Vers le 15 août, fourmillements dans le bout d
un mieux considérable. Les vertiges commen- cent à disparaître, les
jambes
sont plus solides. Vers le 20 octobre, il peut
'très amélioré, mais conservant toujours une certaine faiblesse des
jambes
, Il continue à prendre l'iodure. - Le 1er févri
tefois, il existe certaines zones de la ré- gion antéro-externe des
jambes
et de la face dorsale des mains où la sensibi-
oment de sortir pour travailler elle se sentit tellement faible des
jambes
qu'il lui était impossible de marcher ; de même
per- puis, et de constipation opiniâtre. , " Elle avait,dans les
jambes
,des sensations douloureuses avec engourdissement
ement et il lui semblait qu'il aurait fallu lui tirer fortement les
jambes
pour faire dis- paraître cet engourdissement. E
elle doit encore s'observer quand elle veut faire quelques pas. Ses
jambes
sont lourdes et faibles; lorsqu'elle est debout
on gonflé. Elle ne sait pas, eu outre, où elle place exactement ses
jambes
quand elle les remue. D'une façon générale, tou
embres in- férieurs, on constate que les muscles des cuisses et des
jambes
ont conservé leur volume normal. Les réflexes
sise, elle sent le siège sur lequel elle repose et ne perd plus ses
jambes
dans le vide lorsqu'elle ferme les yeux ; le sign
e l'affection sont du reste tout fait nettes : ce sont, au cou, aux
jambes
, aux bras, des ci- catrices gaufrées et polycyc
lle-ci dans une certaine mesure et on arrive à fléchir légèrementja
jambe
sur la cuisse. Le petit malade peut lui-même fl
re brusquement : il la façon d'un ressort. Les fléchisseurs de la
jambe
sur la cuisse ont quelque énergie mais une fai-
vés aussi, sont plus atteints. Quant aux diffé- rents muscles de la
jambe
, leur impuissance est complète. ' Les réflexes
s. Les sensations de tact simple ou de piqûre sont moins nettes aux
jambes
et à la face dorsale des pieds qu'aux cuisses. La
isses. La face plantaire des pieds est un peu plus sensible que les
jambes
. La sensation de froid, moins facilement accusé
cutanés.' Pas de troubles vaso-moteurs. Tronc. L'hyperesthésie des
jambes
s'arrête en avant vers le milieu du triangle de
est impossible de ne pas retrouver la déformation ra- chitique des
jambes
sur une foule de statuettes égyptiennes, la confo
font voir des êtres horrible- ment contrefaits, à grosses tètes, à
jambes
cagneuses, construits sur le type des nains que
de son esprit. Sa taille est droite et bien formée, ses genoux, ses
jambes
et ses pieds sont dans les proportions exactes
naît aisément les traces dans l'incurvation des os des membres, des
jambes
surtout (en parenthèses on en X), dans la confo
es cuisses naissent comme deux bourgeons énormes que terminent, des
jambes
et des pieds boursouflés. , . Les plis de la pe
re débordant sur la supérieure, repose sur des épaules carrées. Les
jambes
très courtes sont manifestement arquées et les
un peu tournés en dedans. Cet individu grotesque, « nabot, ragot, à
jambes
courtes et tortues' z suivant la description qu
torse dispa- rail entre sa tête énorme et son volumineux séant. Les
jambes
écartées, il essaye d'entraîner dans sa danse l
La largeur de ses chausses dissimule mal l'arc disgra- cieux de ses
jambes
en parenthèses. Il doit être assez âgé, si l'on e
ïté de sautille, n'offre pas de particularités bien saillantes. Les
jambes
sont disposées de telle sorte que leur difformi
ied droit, ne permet de saisir qu'une très 'légère, incurvation des
jambes
. ' La face, encadrée au carré par la coupe des
rachitisme, on en verrait l'in- dice dans la forme des membres, des
jambes
principalement. Celles-ci sont au contraire rég
libre du torse sur le bassin. , Le modelé des bras, comme celui des
jambes
, est assez vague.On recon- (1) Gaz. hebd. de mé
llio-tarsiens externes, des muscles de la loge antéro-externe de la
jambe
et des muscles péroniers, est évidente. C'en es
n individu normal : c'est la flexion de la cuisse sur le bassin, la
jambe
étant en extension. Pour la rechercher, nous co
, et parfois au delà. Si alors l'opérateur saisit dans ses mains la
jambe
du malade, il peut continuer le mouvement beaucou
ntaire, présentaient une consistance (1) Si en effet on fléchit les
jambes
sur les cuisses, le même mouvement s'exécute sa
toute autre représentation des membres d'un tabétique au repos. Les
jambes
flottent au gré de la pesanteur, et le relâchem
supporté, lorsqu'au bout de six semaines environ on observa sur les
jambes
plusieurs plaques rou- ges qu'on vint vite me m
iliai- res siégeant au pourtour des poils. Il y en avait dix sur la
jambe
gauche et douze sur la droite, groupées princip
urs l'érup- tion était complète, il y avait dix-huit plaques sur la
jambe
gauche et 37 sur la droite, présentant à peu pr
janvier 1896, il présente une éruption de purpura limitée aux deux
jambes
, il a commencé à s'en apercevoir la veille. On
jambes, il a commencé à s'en apercevoir la veille. On voit sur la
jambe
droite onze plaques et sur la jambe gauche 9 plaq
evoir la veille. On voit sur la jambe droite onze plaques et sur la
jambe
gauche 9 plaques présentant un aspect assez uni
L'ÉPILEPSIE 205 En dehors de ces plaques, on remarque sur les deux
jambes
un grand nom- bre de pétéchies miliaires isolée
. Cette éruption coïncide avecuu oedem&'assex prononcé des deux
jambes
remontant presque au milieu du mollet. Pas d'al
ses dou- leurs et ses cris devinrent tellement insupportables, ses
jambes
si faibles, qu'il fallut abandonner ce projet.
gion hypogastrique, sur les parties antérieures des cuisses et des
jambes
, sur les parties latérales du voisinage, sur le
ale avec des contorsions effroyables, dans le col, les bras, et les
jambes
. Cet accès passé, la malade restait attachée sans
ndre qu'elle ne restât estropiée ; cela passa ensuite au col et aux
jambes
, quand elle était debout. Toutes les parties de
une forme oliviire. < Depuis ce temps, une grande faiblesse de
jambes
empêche la malade de sortir de son lit, les dif
e se plaignait néanmoins de vives douleurs, principalement dans les
jambes
, je lui ordonnai une potion anodine que je lui ré
érale avec des contorsions effroyables dans le col. les bras et les
jambes
, le corps s'é- 246 NOUVELLE 1CONOGR11'L11G DE '
e ait eu de la paraplégie hystérique : « une grande fai- blesse des
jambes
qui empêchait la malade de sortir de son lit ».
la région hypogastrique, sur la région antérieure des cuisses, des
jambes
, sur le visage, sur les bras et les avant-bras, c
ifficulté... Le pied au contraire est en quelque sorte vissé sur la
jambe
comme par une bottine orthopédique : c'est un p
échirements aigus, comme si on lui promenait une scie le long de la
jambe
. Leur intensité fut la cause d'un séjour au lit
ent le signe de Westphal, une ataxie aisément cons- tatable pour la
jambe
droite : quelquefois, dit-il, ses mains sont malh
sont : A. Une paralysie passagère' mais totale des extenseurs de la
jambe
droite, s'accompagnant d'atrophie musculaire ;
e novembre 1894, B... fut pris de sensa- tion de dérobement dans la
jambe
droite. Il fléchissait du côté droit en marchan
t de la fonction du membre. Si l'on interroge B... sur l'état de sa
jambe
au moment où la paralysie fut complète et déter
s les mouvements suivants ne pouvaient être exécutés : a) Elever la
jambe
au-dessus du plan du lit; b) (La cuisse soulevé
lit; b) (La cuisse soulevée et reposant sur la main du médecin, la
jambe
fléchie sur la cuisse par son propre poids.)
la jambe fléchie sur la cuisse par son propre poids.) Etendre la
jambe
sur la cuisse. Les mouvements des muscles de la
Etendre la jambe sur la cuisse. Les mouvements des muscles de la
jambe
étaient encore faciles à exécu- ter. Il remuait
latique chez B... n'est pas localisée à la langue. Si on lui met la
jambe
dans l'une des positions sur lesquelles MM. Frenk
lles MM. Frenkel et Faure (1) ont de nouveau attiré l'attention (la
jambe
étendue sur la cuisse, la cuisse fléchie à angl
he gauche, mais il ne souffre pas. Il constate en même temps que sa
jambe
a peine à le porter. Cependant, il lui est poss
endemain, reprend son travail.Deux jours après ce léger accident,la
jambe
devient impolenle,ce qui oblige le malade à prend
, l'é- paule et la poitrine nues, tient entre ses mains croisées sa
jambe
droite repliée contre son corps. Il hurle sous
convulsé et le geste qu'il fait en serrant de toutes ses forces sa
jambe
con- tractée, traduisent sa souffrance avec une
atigue est prompte à se montrer. Très vite l'enfant fléchit sur ses
jambes
, des deux côtés également. Du reste les membres
orteil. Dans les autres mus- cles de la région antéro-externe de la
jambe
l'excitabilité électrique ne présente pas de mo
on leur brise les membres, qu'on leur broie les os du pied et de la
jambe
, qu'on les pique, qu'on leur larde les chairs,
de ce que le contact des couver- tures du lit avec les pieds et les
jambes
leur devient insupportable. De même, à l'abolit
res : engourdissement, fourmillements, piqûres et brûlures dans les
jambes
, fortes douleurs rhumatoïdes dans les épaules.
s l'impossibilité de clore les paupières, de remuer les bras et les
jambes
; elle avait des crampes dans les muscles des mol
ation à la surface du corps. Puis la fillette devint faible sur ses
jambes
; au bout de dix jours elle ne pouvait plus marc
336 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE clos de la région de la
jambe
, jambier antérieur, exten- seur propre du gros
des dou- leurs violentes et des raideurs dans les pieds et dans les
jambes
. Mais bientôt la parésie envahit les membres ;
embres ; plus tard ses pieds et ses mains se sont para- lysés ; les
jambes
sont devenues le siège de crampes et de douleurs
diaient jusque dans le bassin. On a constaté de t'hyperesthésie aux
jambes
. L'analyse des urines a décelé la présence de l'a
rester limitée aux extrémités des membres, gagner tout au plus les
jambes
et les avant-bras (1), et alors elle peut se comp
intéressent sur- toutjes muscles de l'avant-bras, les muscles de la
jambe
; elles entraînent des déformations caractérisé
re à larges bords. « Le chirurgien, qui se tient derrière lui, la
jambe
droite posée sur l'escabeau, explore soigneusem
réditaire, XLIV, XLV, XLI et XLVII. Luxation du coude, fracture de
jambe
(photographies Roentgen), XIII, XIV. Mains co
ue depuis les genoux jusque la racine des cuisses (V. PI. I). Les
jambes
sont assez bien proportionnées, toutefois elles s
anche, on sent malgré tout qu'il est trop long pour les bras et les
jambes
. Le ventre est porté en avant et les hanches se
mporté de la Phéni- cie.Sur les tombeaux où il figure, il est gros,
jambes
courtes, nez épaté)). Dans cette description su
t évidemment plus courts qu'à l'état normal : les avant-bras et les
jambes
ont presque la longueur des mains et des pieds
t-bras, les cuisses ayant aproximativement la même longueur que les
jambes
, Etant debout, au repos (V. Pl. V), les membres
eurs faces dorsales respectivement du côté de l'avant-bras ou de la
jambe
, en formant un angle aigu, ce qu'il n'est pas p
e peut fléchir ni étendre complètement l'avant-bras sur le bras, la
jambe
sur la cuisse et de même on n'obtient que des m
sie 37 y compris le pouce, 11 centimètres) ; cuisse 21 centimètres,
jambe
21 centi- mètres, pied 20 centimètres. * Tron
= 39 cm. 5, la longueur de la cuisse = 17 cm. 5, la longueur de la
jambe
= 19 centimètres, la longueur du pied = 13 cm. 5.
e de ce phénomène, la proéminence des muscles antéro-externes de la
jambe
très développés (Porak et Durante), existe auss
t avec une grande vitesse, vraiment extraordinaire pour ses petites
jambes
; il jongle habilement avec un couteau et une lan
oit a perdu toute faculté de mouvement (la hanche aussi bien que la
jambe
et le pied). Aujourd'hui la malade est sans con
e de fausses réponses quand on applique le froid ou le chaud sur sa
jambe
et son pied droits). Les XIe et Xe côtes sont d
s dans la région dorsale inférieure, le dernier temps aussi dans la
jambe
droite. La colonne vertébrale est peu mobile et p
de temps en temps quand on examine sa sensibilité thermique sur la
jambe
et le pied droit. Pendant son séjour à l'hôpita
e percussion de la rotule provoquait des mouvements cloniques de la
jambe
(du côté droit ce réflexe est surtout vif). Trépi
rs intolérables. De temps en temps des soubresauts automatiques des
jambes
et même du tronc. La dose de 0,025 de morphine
on constatait déjà clans les 6 pre- miers mois de la maladie que la
jambe
droite était plus faible que la gauche, que les
ouché elles se calmaient. Il y a un an apparurent des crampes de la
jambe
gauche. Le malade se plaint encore d'une sensat
ns ces mouvements et dans la sensibilité. La force muscu- laire des
jambes
est normale. Pas d'ataxie. Pas d'atrophie visible
nt de douleurs le long de la face postérieure de la cuisse et de la
jambe
droite et d'un engourdissement sur la fice extern
ient une douleur le long de la face postérieure de la cuisse, de la
jambe
et du pied; les réflexes du tendon d'Achille di
et des douleurs le long de la face postérieure de la cuisse, de la
jambe
et du pied droit, sont expliqués par la compres
bien naître la douleur de la face postérieure de la cuisse et de la
jambe
, la pareslhé- sie du bord externe du pied avec
epuis deux mois ces douleurs se sont propagées dans la région de la
jambe
gauche le long de sa face autérieure. A ce moment
eure. A ce moment il n'y avait pas de douleurs au sacrum ni dans la
jambe
droite. Ce n'est que depuis quelques jours que
ment, boitant un peu du côté gauche (comme dans la sciatique). La
jambe
gauche est plus faible que la droite. Il ne peut
es orteils nor- maux. Atrophie visible sur la face antérieure de la
jambe
. La jambe droite ne présente rien de notable pa
nor- maux. Atrophie visible sur la face antérieure de la jambe. La
jambe
droite ne présente rien de notable par rapport
térieure de la cuisse gauche, finalement à la face antérieure de la
jambe
gauche et au dos du pied. Quelques mois après,
sont tout à fait normaux. 62 FLATAU Les masses musculaires de la
jambe
gauche sont atrophiées et réagissent mal au cou
ue de douleurs et de troubles sensitifs sur la face postérieure des
jambes
et dans la région du périnée. En résumant tou
4 jours au contraire elle préfère se reposer sur le côté droit. La
jambe
droite lui fait mal mainte- nant au moindre mou
ès un lavement et alors « ça coule »). ' Depuis trois semaines la
jambe
gauche est devenue plus faible et depuis 2 jour
ut le membre gauche et gonflement de ce membre. Hyperesthésie de la
jambe
. Depuis 3 semaines, réten- tion et incontinence
e musculaire du membre droit est normale. La force musculaire de la
jambe
gauche est diminuée principalement dans le segm
ns canne. Il se plaignait d'engourdissement et de fourmillement des
jambes
. On constata alors la présence du phénomène de
ral pendant la durée de la maladie, il se plaignait davantage de la
jambe
gauche. L'affaiblissement des membres croissait t
il marche lentement avec effort. La marche est paréto-spastique. La
jambe
est plus touchée, un peu ataxique. Le malade ne
avec les membres inférieurs, surtout avec celui du côté gauche. La
jambe
droite est levée en masse à la hauteur de 7 cen-
èbre lombaire. Le matin il marche habituellement mieux. La nuit les
jambes
se plient automatiquement, de temps en temps il
atiquement, de temps en temps il y a des secousses, surtout dans la
jambe
droite. 23. - La marche est toujours la même. L
marche est toujours la même. La nuit, contractions musculaires aux
jambes
, surtout adroite. Sensation de constriction en
908. Résumé. Il y a 6 mois, il a ressenti des paresthésies des deux
jambes
, puis des membres inférieurs tout entiers. Lesj
e notable. La marche est paréto-spastique, impossible sans aide, la
jambe
gauche plus faible, la tonicité musculaire augmen
gauche plus faible, la tonicité musculaire augmentée dans les deux
jambes
, les réllexes tendineux exagérés. Le phénomène de
et la toux. La nuit, des contractions automatiques des muscles des
jambes
. Les vertèbres lombaires inférieures sont doulo
iter. La douleur du côté gauche de même que l'affaiblissement de la
jambe
droite augmenta continuellement pendant quelque
ements de la main droite et de la tête. Le tronc est immo- bile. La
jambe
droite immobile absolument. La gauche peut encore
que les doigts s'étendent lentement et se mettent en abduction. La
jambe
droite peut être étendue seulement jusqu'à l'angl
ied et les orteils conservent des mouvements passifs suffisants. La
jambe
gauche a les muscles adducteurs contractures au
nc (plus notable du côté gauche) et troubles considéra- bles sur la
jambe
et le pied gauche (à droite les troubles seulemen
droite vers la hanche, exécuter des mouvements plus amples avec sa
jambe
gauche. Pendant son séjour â l'60- TUMEURS DE L
le courant électrique a contracté les fléchisseurs des mains et des
jambes
et les a laissés dans telle position forcée.
ur. Voici en quoi consiste le phénomène. Le malade étant debout les
jambes
écartées et les bras croisés sur la poitrine, s
i fait fléchir le tronc sur le bassin, en lui disant de tenir 1 les
jambes
droites on observe qu'à un certain moment (lorsqu
oment (lorsque le tronc a presque atteint la ligne horizontale ) la
jambe
du côté paralysé fléchit d'un certain degré tan
la jambe du côté paralysé fléchit d'un certain degré tandis que la
jambe
saine reste raide (PI. VIII). , Avant de tenter
a donc deux conditions nécessaires pour que, dans ce mouvement, les
jambes
restent raides. Dans un premier temps, une suff
un premier temps, une suffisante distension des fléchisseurs de la
jambe
sur la cuisse ; et dans un second temps une contr
et dans un second temps une contraction normaledes extenseurs de la
jambe
. i Tout obstacle la distension normale des prem
contraction; ! normale des seconds aura pour effet la flexion de la
jambe
. ¡ Il Iconographie DE la J.1LI'C1RIRE. T. XXI
NOUVEAU SIGNE d'hÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 89 Cela dit, la flexion de la
jambe
dans l'hémiplégie organique est-elle due à une
de la contraction du quadriceps pour s'opposer à la fle- xion de la
jambe
. 1 Cependant j'incline à croire que la cause pr
s dorsal, si on lui soulève passivement et alternativement les deux
jambes
, comme pour provoquer le phénomène de Lasègue,
nomène de Lasègue, on observe que du côté sain, on peut soulever la
jambe
sans flexion jusqu'à environ 65 ou 70 degrés.
qui limitent une extension ultérieure. Si on dépasse 70 degrés, la
jambe
fléchit sur la cuisse. ' Du côté malade, au con
la jambe fléchit sur la cuisse. ' Du côté malade, au contraire, la
jambe
fléchit entre 40 et 50 degrés et on voit alors
la paralysie des extenseurs on n'aurait pas obtenu la flexion de la
jambe
avec ce procédé puisque la' jambe est soulevée
urait pas obtenu la flexion de la jambe avec ce procédé puisque la'
jambe
est soulevée passivement. , Cette hypertonie de
d'autres symptômes d'altération du système pyramidal, soit dans la
jambe
même, soit dans le membre supérieur ou dans le
( pars znferioe, fentorispui-gatcaliginem o( ! ulnr ? 4"1). Or les
jambes
du courlis de terre présentent d'après nurtrov un
x membres inférieurs. En effet Marguerite traînait légère- ment les
jambes
en marchant et ses pieds avaient tendance à se po
r qu'avec une paire de béquilles, ses pieds 102 BERTOLOTTI et ses
jambes
étaient complètement atrophiés et les rétractions
on- traste qu'il y a entre l'extrémité et la racine des bras et des
jambes
. Le corps de Marguerite est plutôt lourd ; ses
Main de Marguerite. 6. Main d'Aurélie. 8. Main d'Elisabeth. 4.
Jambes
et pieds de Marguerite. MALADIE FAMILIALE DÉGEN
tion et d'abduction. Les mouvements de flexion et d'extension de la
jambe
sur la cuisse sont très peu valides. Les réflex
ever qu'une certaine rigidité. Dans les deux tiers inférieurs de la
jambe
et aux'pieds, la peau se présente rouge, cyanos
ux extrémités inférieures est rigoureusement limitée aux pieds, aux
jambes
et au tiers inférieur des cuisses. Il s'agit do
atre travers de doigt au-dessus du genou et atteint son maximum aux
jambes
et aux pieds qui sont réduits dans un état d'at
nt moins avancée que chez la soeur. Les mouvements des pieds sur la
jambe
sont complètement abolis, les mou- ÉTUDE CLINIQ
CAS DE MALADIE FAMILIALE 115 vements de flexion et d'extension des
jambes
sur les cuisses sont encore pos- sibles. Les
des membres inférieurs. Ses genoux sont eh adduction forcée.et les
jambes
sont dans une position qui rappelle celle de la
ractions tendineuses à peine ébauchées au gros orteil. Atrophie des
jambes
en jarretière. Type amyotrophique Charcot- Mari
sparues.Les mollets,bien que flous, sont encore assez prononcés, la
jambe
d'Elisabeth n'est pas une jambe de coq véritabl
us, sont encore assez prononcés, la jambe d'Elisabeth n'est pas une
jambe
de coq véritable comme nous l'avons relevé chez s
ucune trace de durillons. L'atrophie musculaire ne s'arrête pas aux
jambes
, mais elle remonte plus haut, jusqu'aux cuisses
rs de doigt au-dessus de la rotule. La flexion et l'extension de la
jambe
sur la cuisse se font assez bien, la flexion de
hie en manchette à l'avant-bras et en jarretière à la cuisse. Aux
jambes
les troubles trophiques sont plus accusés dans le
x sont pris, nous avons alors cette conformation particulière de la
jambe
de coq (Sainton). ' On connaît de même les trou
à l'articulation scapu- lo-humérale, parésie du bras droit et de la
jambe
droite, troubles trophi- ques des articulations
mmencè- rent à faiblir, trois jours après ils étaient paralysés. La
jambe
droite était hypotonique, la gauche hypertoniqu
lléens abolis, les plantaires normaux. Sensibilité troublée sur les
jambes
. La paralysie des membres inférieurs est devenue
s dorsales. La malade avait constamment la sensa- tion de froid aux
jambes
et des douleurs qui apparaissaient et croissaient
le début de la maladie; ils consistaient en un affaiblissement des
jambes
qui furent atteintes de paralysie en quel- ques
d'Achille abolis. Sensation de froid et douleurs paroxystiques aux
jambes
. Les sphincters fonctionnaient norma- lement. L
en quittant le lit il est tombé et depuis ne peut plus mouvoir les
jambes
. Eu même temps il s'est produit une réten- tion
trique manque). Troubles sensitifs (tactiles : sur les pieds et les
jambes
; douloureux : dans les segments distaux des me
iblissement de ce sens sur les membres inférieurs, abolition sur la
jambe
et le pied droits). Le sens des attitudes est a
les sent pas. Aux membres inférieurs elle sent les piqûres sur les
jambes
et les pieds.Incontinence de l'urine et des matiè
lectrique affaiblie dans les muscles masséters, affaiblissement des
jambes
, respiration difficile et mort). A l'autopsie o
it, comme le disait un de mes maîtres, à coller un emplâtre sur une
jambe
de bois. Peu importe, semhle-t-il au premier
e, partie supérieure du dos, la teinte marbrée de la peau des bras,
jambes
, cuisses elle cyanose des mains et des pieds. La
s qui semblent exagérés : lorsqu'on percute le tendon 'rotulien, la
jambe
est vivement projetée,mais au lieu de retomber im
s, en particu- lier par les extenseurs du bassin fléchisseurs de la
jambe
. Si ces muscles sont paralysés, lorsque le suje
lement disparaît lorsque le sujet couché à plat ventre fléchit les'
jambes
à angle droit (signe de Seeligmuller) ; dans le
adipeux y est abondant. Les réflexes patellaires sont normaux. Les
jambes
sont légèrement arquées avec leur convexité au
'achondroplasie EST-ELLE HÉRÉDITAIRE 255 dans le cas précédent, les
jambes
sont un peu arquées avec convexité à l'extérieu
e la tête était bien plus grosse), les bras et particulièrement les
jambes
étaient énormément raccourcis. Ces faits sont a
érieures et ce raccourcissement est aussi du type rhizomélique. Les
jambes
se présentent un peu recourbées avec leur convexi
issement est toujours du type rhizo- mélique. Dans tous les cas les
jambes
sont un peu arquées avec leur con- vexité au de
tout le corps, surtout abondante sur le dos, aux avant-bras et aux
jambes
. Pharynx rouge. Palpables, les glandes cru- ral
s de l'épine iliaque antérieure supérieure : 41 centimètres ; de la
jambe
à 15 centimètres de la pointe de la rotule : 30 c
ieur gauche. - Trophie normale. Circonférence de la cuisse et de la
jambe
comme à droite. Les mouvements actifs sont tous p
membres infé- rieurs. Depuis quelques semaines, affaiblissement des
jambes
. Enfin, depuis peu, l'urine s'élimine plus souv
n, la face antérieure de la XXIII 21 314 FLATAU cuisse et de la
jambe
(on ne peut pas l'affirmer pour la face postérieu
musculaires. Le malade se plaint de contractions involontaires des
jambes
pendant la nuit. Il urine plus souvent et par gou
faibles mouvements des gros orteils. Contractions involontaires des
jambes
. Pour les mouvements passifs des genoux, la tonic
augmentée. La sensibilité tactile est conservée sur l'abdomen et les
jambes
. La sensibilité douloureuse est très affaiblie
es inférieurs et de l'abdomen. En même temps, affai- blissement des
jambes
. Troubles urinaires et troubles du côté du rect
réflexes patellaires étaient très vifs. Contractions spontanées des
jambes
pendant la nuit. Dix jours avant l'opération, la
e, le tonus musculaire un peu exagéré. Extensions involontaires des
jambes
. Affaiblissement de la sensibilité jusqu'à la l
aux membres inférieurs et à la partie inférieure de l'abdomen ; les
jambes
commençaient à enfler, parfois elle était oblig
dans les deux membres, mais la douleur est un peu affaiblie sur la
jambe
gauche. La sensibilité thermique est affai- bli
pération sur le sacrum. Quelques mois après, sensation de froid aux
jambes
et au bas-ventre. Puis (un an 1/2 avant l'opérali
on n'a pas cherché la tumeur plus longtemps. Après l'opération, les
jambes
de la malade furent complètement paralysées et so
s. La marche était encore possible et ne causait pas de fatigue. La
jambe
gauche était lourde et faible. Ce ne fut que l'
nce d'utinp. Les dernières semaines elle souffre de crampes dans la
jambe
droite. Elle ne peut pas rester couchée sur le cô
une pièce de cinq francs s'est formée sur la face postérieure de la
jambe
gauche, trois plus petites dans la région de la
ficilement. Constipation. 9 décembre. De fortes douleurs dans les
jambes
et sensation de cons- triction en ceinture dans
uit il y a souvent des contractions spontanées dans les muscles des
jambes
, surtout à droite. 31. - Accès de douleurs dans
re dans la cuisse droite. Des paresthésies moins prononcées dans la
jambe
gauche. Des crampes dans les jambes. Les troubl
thésies moins prononcées dans la jambe gauche. Des crampes dans les
jambes
. Les troubles moteurs et sensitifs sont les mêmes
s dans le ventre (surtout à droite), sous le rein droit et dans les
jambes
. Elle ne dor- mit pas de toute la nuit.Hier les
se sont calmées un peu.Aujourd'hui, engourdissement et crampes des
jambes
. Constipation. L'urine vient diffi- cilement. -
e dos provoque les douleurs. La malade peut être assise mettant les
jambes
pendantes en dehors du lit ; elle doit pour- ta
eu tendu.Des douleurs moyennes dans le sacrum et le bas-ventre. Les
jambes
sont étendues. Les phénomènes spastiques sont m
36° 80. Affaiblissement. Grande soif. Fortes contractions dans les
jambes
. Paralysie complète spastique. La plaie est bonne
t des matières fécales. De très fortes contractions des muscles des
jambes
. Phénomènes spastiques. 26. T. 37°. Pouls 112
te. Des fortes douleurs dans la moitié gauche. Des crampes dans les
jambes
. La plaie n'a pas de pus, mais ne guérit pas. '
genou et du cou-de-pied gauche de même qu'un affaiblissement de la
jambe
gauche. FiG. 27. Dégénérescence des voies pyram
perdu complètement et tout d'un coup la possibilité de mouvoir ses
jambes
. Cet état resta station- naire pendant neuf moi
ion, difficulté d'uriner. Depuis quelques semaines, crampes dans la
jambe
droite. Elle ne-peut pas rester couchée sur le
omplète de type spastique (tonus musculaire exagéré surtout dans la
jambe
gauche), réflexes tendineux exa- gérés, phénomè
eds, de ser- rement dans le ventre, des contractions spontanées des
jambes
surtout de la droite. Les douleurs sont surto
dans les orteils droits, de brûlures dans la cuisse droite. Dans la
jambe
gauche les paresthésies n'atteignaient pas un t
evenant par accès, les contractions spontanées dans les muscles des
jambes
, l'affaiblis- sement des membres tout au début
fin de la première année de la maladie elle s'est couchée avec les
jambes
normales et le malin suivant se réveilla tout à
marchait bien (Auparavant elle souffrait seulement de douleurs. la
jambe
gauche était légèrement affaiblie). Un certain te
nt. Ensuite ont disparu les faibles traces mêmes des mouvements des
jambes
. Il faudrait aussi attirer l'attention du côté
vec une certaine difficulté. Il n'avait, point de douleurs dans les
jambes
. La force musculaire dans les bras diminua peu à
s avant son entrée à l'hôpital, il a remarqué l'affaiblissement des
jambes
. Quand il quittait sa voiture pour entrer dans un
nne. De temps en temps, courts tressaillements musculaires dans les
jambes
. Pas d'atrophie musculaire. Le réflexe patellai
e côte, en arrière à la Ve apo- physe épineuse. Engourdissement des
jambes
. 20. Escarre fessière. 22. Le ventre est ball
allonné. Des douleurs courtes, des tiraillements pas- sent dans les
jambes
. 24. Douleurs brûlantes aux mains. Rétention de
eu à peu la force musculaire des mains diminua, en- suite celle des
jambes
. L'état du malade au moment de son entrée à l'hô-
sans aide. Soutenu il marchait en chancelant. Tonus musculaire des
jambes
normal. De temps en temps des secousses muscula
s tantôt croissaient, tantôt dimi- nuaient. Anesthésie complète des
jambes
et des régions du coude. Incon- tinence de l'ur
régions du coude. Incon- tinence de l'urine. Paralysie complète des
jambes
avec abolition des réflexes patellaires et anes
ophie muscu- laire, affaiblissement suivi de paralysie complète des
jambes
, troubles urinaires et de la défécation, anesth
des jambes, troubles urinaires et de la défécation, anesthésie des
jambes
et du tronc jusqu'à une certaine limite et aux
trois ans, la malade commençait à éprouver une vive douleur dans la
jambe
droite ; la douleur ne la quittait pas jour et nu
encore marcher en boitant. La douleur se localisait au début dans la
jambe
, puis a envahi le genou droit et la hanche droi
dans la jambe, puis a envahi le genou droit et la hanche droite. La
jambe
droite était assez' raide. Les mouvements dans
n de la hanche sont limités depuis '' trois ans. Les douleurs de la
jambe
droite persistent jusqu'au moment actuel.Il y a
be droite persistent jusqu'au moment actuel.Il y a neuf semaines la
jambe
gauche est devenue douloureuse. En même temps s
te. Elles sont plus fortes la nuit. Outre cela, douleur de toute la
jambe
gauche, sensation de tiraillement dans la droite,
voulant quitter le lit et ne put se relever seule. La douleur de la
jambe
droite est réapparue, puis aussi la douleur sou
ble. La malade a commencé d'éprouver une sensation de froid dans sa
jambe
droite (comme si elle se trouvait plongée dans
rs en ceinture, du côté, les paresthésies (la sensation comme si la
jambe
droite 362 FLATAU était dans la neige), l'i
es mouvements de complète flexion de la cuisse sur le bassin, de la
jambe
sur la cuisse, et d'byperextension des pieds so
dans notre service. Ces symptômes consistaient en une douleur de la
jambe
gauche, puis de tout le membre inférieur gauche
te la moitié gauche du'corps. Trois jours plus tard, douleurs de la
jambe
droite. L'affaiblissement graduel des membres i
t et dans la région droite du sacrum. Contractions spontanées de la
jambe
droite. Paraplégie spas- (1) E. Flatau et N. S'
l'avant-bras. Par contre réapparut la sensibilité du pied et de la
jambe
gauche et du pied droit. Deux jours après l'opé
d'un courant passant à travers toute la moitié gauche du corps, la
jambe
gauche se contractait. Un mois après le début de
ambe gauche se contractait. Un mois après le début de la maladie , sa
jambe
gauche devient raide d'une manière sporadique p
ière sporadique pendant la marche, les dou- leurs envahissent cette
jambe
de même que les contractions spasmodiques noctu
Il se plaint d'une sensation de tiraille- ment et de crampe dans la
jambe
gauche et de douleurs intenses nocturnes dans l
oit être soutenu d'un côté et s'appuie sur une canne de l'autre. La
jambe
gauche est plus faible que la droite. Les mouve
La jambe gauche est plus faible que la droite. Les mouvements de la
jambe
gauche provoquent des contractions spasmodiques
était émoussée dans cette région d'une façon moins prononcée sur la
jambe
et le pied gauche. La sensibilité douloureuse e
'un coup. La paraplé- gie est complète. Contractions spontanées des
jambes
. Rétention, parfois incon- tinence de l'urine.
de la difficulté d'uriner. Un mois après le début de la maladie la
jambe
gauche est devenue raide. A ce moment on consta
étaient mouillées de sueur, tandis que l'inférieur restait sèche. La
jambe
gauche s'affaiblissait de plus en plus. La sens
depuis les mamelons en bas et sur le membre supérieur gau- che, la
jambe
gauche était un peu épargnée. Il y avait donc le
es membres inférieurs étaient exagérés. Contractions spontanées des
jambes
. Phénomène de Babinski bilatéral. Rétension de
s douleurs ; 2° la paralysie toujours croissante et débutant par la
jambe
gauche avec un faible Brown- Séquard et finissa
l'épigastre, dans les vertèbres dorsales in- férieures et dans les
jambes
. Dans le Vle casd'Oppenheim (Monographie de 190
ns la moelle dorsale moyenne, les douleurs, principalement dans les
jambes
. Dans le cas de Heilbronner également les doule
s le cas de Heilbronner également les douleurs irradiaient vers les
jambes
, bien que la tumeur se trouvât entre les VIe et
vical ; les premières pa- resthésies (thermiques) sont apparues aux
jambes
, etc. Parfois les douleurs irradiaient dans le
Ie observation, la malade se plaignait de sensation de brûlures aux
jambes
, de serrement et d'engourdissement dans le ven-
douleurs se produisant pendant la défécation et irradiant dans les
jambes
. Dans le cas de Raymond ces douleurs constituèr
férieurs sont apparues d'un coup avec un rapide affaiblissement des
jambes
et des troubles uri- naires. Dans le cas décrit
la région du plexus lombaire. Elles irradient généralement vers les
jambes
. Les symptômes médullaires correspondent au typ
t ne pouvait pas se placer dans sa gaine cutanée, une pesanteur des
jambes
, la faiblesse dans la région sacrée, un engour-
mbre entier au-dessus du plan du lit. Il parvient aussi à ployer la
jambe
gauche sans pourtant soulever le talon. Tous le
à exécuter la Oexion initiale de la cuisse sur le bassin, et de la
jambe
sur la cuisse. On ne peut fournir d'indications
ntes : Testa (tête). Sesta. Roma (Rome). Si...si...si... Gamba (
jambe
). Si...si...si... Sur l'invitation qui' lui est
le rapport du développement des différents segments des bras et des
jambes
est absolument normal ; il n'y a pas de micromé
veil sexuel. Extrémités supérieures et inférieures. Les bras et les
jambes
sont de proportions normales en rapport au tron
Aucun signe distrophique de la peau et des ongles. Les bras et les
jambes
sont plutôt gras, mais le dessin des muscles est
de poils assez abondants à la surface dorsale des avant-bras et des
jambes
. Les tissus adipeux très réduits ne cachent auc
ius (raccourcissement distal du cubitus, proximal du radius) ; à la
jambe
un raccourcissement du tibia ; les os du côté,e
oissance est plus localisé il frappe de préférence le pé- roné à la
jambe
, cubitus à Pavant-bras ; il entraine alors second
l'opération la ma- lade a recouvré la sensibilité du pied et de la
jambe
gauches et du pied droit. Deux jours après l'op
ne s'évacuait normalement, sensibilité tac- tile et douloureuse des
jambes
normales, retour des mouvements des or- teils à
peuvent longtemps persiste ! ' ce\'- tains symptômes spastiques aux
jambes
, les réflexes exagérés, la trépida- tion, la ré
aissance peu pro- fonde de la configuration de l'os principal de la
jambe
. Notre artiste a donc commis de lourdes erreurs
me auraitsou- vent placé deux os dans la cuisse, et un seul dans la
jambe
. Au milieu du XIXe siècle, il est arrivé à Reth
e ce même membre inférieur gauche clans toutes ses parties, cuisse et
jambe
surtout. — La différence, à cet égard, entre les
du mot (Voy, Fig. 11 bis.) Par une sorte d'anomalie fort curieuse, la
jambe
presque tout entière, au-dessus du creux poplité,
enir debout, marcher. La mère. —Non, monsieur. Au commencement, ses
jambes
étaient agitées comme le reste; mais depuis quelq
e tenir debout ; vous [voyez, quand on cherche à la faire marcher ses
jambes
se fléchissent sous elle, s'embarrassent l'une da
forts. Elle ne pouvait presque plus parler, laissait tout tomber. Les
jambes
sont faibles presque depuis le commencement, mais
dire vingt-trois jours après la leçon du 30 octobre. La paralysie des
jambes
a disparu depuis une Huitaine de jours. L'amélior
cependant encore quelques mouvements involontaires dans les bras, les
jambes
et la tête. La parole est redevenue distincte, pe
quand elle marche on la voit, de temps à autre, lancer follement ses
jambes
à droite et à gauche. Rien d'anormal au cœur. Le
e couteau dans le dos. Seulement je suis tombé tout à coup ; c'est ma
jambe
gauche qui s'est dérobée sous moi. Il m'a semblé
t ma jambe gauche qui s'est dérobée sous moi. Il m'a semblé que cette
jambe
était cassée, brisée, qu'elle ne m'appartenait pl
. On m'a aidé à me relever et j'ai essayé de me tenir debout. Mais ma
jambe
gauche s'y est refusée et je me suis affaissé de
gauche partie moyenne, 39 c. ; cuisse droite, partie moyenne, 43 c. ;
jambe
gauche, partie moyenne, 26 c. ; jambe droite, par
droite, partie moyenne, 43 c. ; jambe gauche, partie moyenne, 26 c. ;
jambe
droite, partie moyenne, 33 c. C'est donc une atro
e de cette chute. M. Charcot (au malade) : Veuillez mettre à nu vos
jambes
et vos cuisses, dépouillez-vous de votre pantalon
ur droit, vous le voyez (fig.jl8)la musculature de la cuisse et de la
jambe
est bien celle d'un athlète, comme je vous le dis
bres autant que possible. Alors l'action des muscles extenseurs de la
jambe
devient tellement puissante qu'il se produit Fi
nt que (Même signiflcation des lettres dans le font la cuisse et la
jambe
droites. A' ,B', C ^ précédent.) montre au cont
au contraire 1 angle ouvert en ar- r rière que font la cuisse et la
jambe
gauches, ainsi que la tuméfaction apparente {Croq
rappant. En effet, ce membre dans toute son étendue, cuisse, fesse et
jambe
, est très manifestement amaigri (fig.18,19,20,21)
lata (A) est relativement conservé li) A, Fesse. — B, Cuisse. — C,
Jambe
. portant toutefois tout particulièrement sur le
s ; seulement celle-ci est un peu moins prononcée. extenseurs de la
jambe
. Partout les reliefs musculaires sont relativemen
t entier, surtout en ce qui concerne les mouvements d'extension de la
jambe
, était fort prononcée. C'est évidemment d'une p
e se fait dans la marche physiologique la cuisse sur l'abdomen, et la
jambe
sur la cuisse, de façon à soulever les pieds anor
démarche classique du tabétique qui, à chaque pas, lance en avant sa
jambe
étendue et frappé du talon le sol, en produisant
ses muscles. Voici ce que cet examen permet de constater. Les deux
jambes
et les deux cuisses sont considérablement atrophi
est plus prononcée qu'à droite. Gauche Droite Circonférence de la
jambe
à 10 centimètres au-dessous de la rotule. 24 c.
oncé à gauche qu'à droite. Les deux membres inférieurs, surtout aux
jambes
et aux genoux, sont froids au toucher, surtout à
surtout à gauche. C'est pourquoi le malade entoure habituellement la
jambe
et le pied de ce côté d'un matelas d'ouate recouv
le pied, qui autrement serait ballant, fléchi à angle droit sur la
jambe
: disposition qui a pour effet de rendre pour ce
ous parlerons plus tard cle l'anesthésie cutanée qui se montre sur la
jambe
et le pied gauches ; je me borneà signaler pour l
ncipaux muscles atrophiés. A gauche, presque tous les muscles de la
jambe
sont atrophiés. Les extenseurs plus encore que le
nterne est conservée). Cependant de ce côté le malade peut étendre la
jambe
sur la cuisse et opposer, dans l'attitude fléchie
cia lata est complètement atrophié, ce qui fait que l'extension de la
jambe
sur la cuisse est complètement impossible. Aux
les principaux résultats,fournis par l'exploration électrique : A la
jambe
gauche, tous les muscles sont inexcitables, tant
citabilité est seulement diminuée sans inversion de la formule. Ala
jambe
droite, le jambier antérieur est inexcitable par
ccentués. C'est ainsi qu'alors le malade souffrait surtout dans les
jambes
de douleurs vives et rapides rappelant jusqu'à un
te, tout cela l'empêchait habituellement de dormir. Alors la peau des
jambes
et des pieds était peu sensible aux piqûres, mais
ux piqûres, maison ne pouvait presser les tendons et les muscles, des
jambes
surtout, sans provoquer une vive douleur. Enfin l
scles, des jambes surtout, sans provoquer une vive douleur. Enfin les
jambes
et les pieds étaient chauds, œdématiés, tuméfiés.
s, ainsi que les douleurs nocturnes ; la tuméfaction des pieds et des
jambes
s'accentuait, etc., etc. En même temps le malade
e put reprendre son travail qu'il ne quitta plus qu'en 1887. Mais les
jambes
étaient toujours faibles, et la démarche du stepp
xpliquer par aucune raison cet acte stu-pide. Les douleurs dans les
jambes
et les cuisses, les pituites, les insomnies, les
mps été anormale, un peu claudicante. « Il n'était pas solide sur ses
jambes
, il ne pouvait rester longtemps debout et lorsqu'
st bien conservé à gauche, tandis qu'à droite il n'existe plus — à la
jambe
gauche tous les muscles sont pris, extenseurs et
et fléchisseurs ; seul le long péronier est en partie épargné — à la
jambe
droite, enfin, parmi les extenseurs, le jambier a
tandis que l'extenseur commun est très bien conservé. Sur cette même
jambe
, les muscles fléchisseurs du pied sont détruits e
gauche très nettement accusée, une anesthésie presque absolue sur la
jambe
et le pied gauches. Les troubles sensoriels sont
onnés ; soudain il lance ses bras de chaque côté du tronc, croise ses
jambes
avec un grand luxe de mouvements ; il parle très
il le fait brusquement et, une fois debout, il sautille tantôtsur une
jambe
, tantôt sur l'autre, inclinant son corps d'un c
t les grimaces les plus insensées, croise et décroise constamment ses
jambes
; plie le tronc en avant et peu après le renverse
traire, ceux-ci occupent la cuisse et les deux tiers supérieurs de la
jambe
gauche ; disposition croisée du reste fort singul
t le matin, dans le jour. J'ai eu aussi plus tard une éruption sur la
jambe
gauche qu'on a appelée un eczéma variqueux. M.
omplètement défaut, la peau du membre est froide, livide surtout à la
jambe
et au pied et couverte d'une sueur gluante. Le pi
lles sont absolument nulles dans tous les muscles de la cuisse, de la
jambe
et du pied et après trois mois de tentatives thér
rès nette et complète, pour la plupart des muscles. Les muscles de la
jambe
ne répondent plus aux excitations. Ici encore n
areilles à celles que j'avais eues dans le dos, dans les pieds et les
jambes
d'abord, puis dans les bras et les mains, et un p
ns pas tout, procédons par ordre; parlez-moi d'abord des douleurs des
jambes
, puisqu'elles sont les premières en date, voulez-
ue j'ai eues dans le dos. Il me semblait que dans les pieds, dans les
jambes
, dans les cuisses, on me donnait par-ci par-là, d
me donnait par-ci par-là, des coups de couteau ; ou bien j'avais les
jambes
traversées par des lames de feu; cela me partait
pas je souffre encore d'un sentiment de brûlure. Il me semble que mes
jambes
sont dans un brasier. M. Charcot : Vous êtes sû
ont les douleurs dans les mains? sont-elles aussi fortes que dans les
jambes
? montrez exactement où elles siègent. La malad
mais là, elles ne sont pas aussi vives que lorsque je les ai dans les
jambes
; du reste, ce sont aussi de grands élancements.
tes ne se sont pas montrées encore dans les cuisses, les pieds ni les
jambes
. Il est possible, en effet, que ces douleurs fulg
e douleurs. M. Çharcot: Est-ce des douleurs dans le dos ou dans les
jambes
dont vous parlez ? La malade: Je n'ai plus souv
ouvent sensible au moindre attouchement ; mais c'est des douleurs des
jambes
dont je parle ; ce sont ces douleurs qui souvent
aisait craindre d'être précipitée dans le vide. De temps en temps mes
jambes
fléchissent tout à coup, même sans douleurs, au n
giving way of the legs ».Nous l'appelons, nous, « l'effondrement des
jambes
». A la malade : Voulez-vous vous lever, s'il v
, qu'ici, presque à chaque pas, il y a une esquisse du dérobement des
jambes
dont je parlais tout à l'heure (giving way of the
stphal, une exaltation très manifeste de la secousse produite dans la
jambe
par la percussion des tendons rotuliens. Cesphéno
en est suivie de trois ou quatre secousses brusques d'extension de la
jambe
, et si les percussions sont répétées rapidement u
pidement un certain nombre de fois, vous voyez, à un moment donné, la
jambe
rester étendue sur le genou qui devient pour un t
le avait souffert autrefois ; et, en même temps, elle avait senti ses
jambes
s'affaiblir et devenir raides comme dans l'ancien
erveux. T. II, p. 104 et suiv. ¿0 tête et du tronc en avant ; les
jambes
sont devenues raides ; la marche est réellement d
e tumeur blanche au pied pour laquelle il a subi l'amputation de la
jambe
. Lui, a toujours été un peu faible, presque malin
erticale, la région lombaire présentant une cambrure assez forte, les
jambes
traînantes, surtout la droite. Ce sont les douleu
t complètement disparu. Le malade est devenu bien plus solide sur ses
jambes
: c'est au point qu'il peut marcher seul. La mict
n est plus de même chez les ataxiques qui souvent oscillent sur leurs
jambes
et qui, menacés de perdre l'équilibre, saisissent
aque instant ; fort souvent, quand il est debout ou qu'il marche, ses
jambes
se dérobent sous lui tout à coup. Les douleurs fu
enfait signalé. Au malade: Comment s'est produite la fracture de la
jambe
dont il est question dans votre observation? Le
ut. Autrefois j'étais menacé de tomber à chaque instant parce que mes
jambes
faiblissaient tout à coup ; cela ne m'arrive plus
arfois incontinence d'urine. Sensation de coton dans les pieds et les
jambes
; réflexes rotuliens absents, pas de signe de Romb
de peut faire d'assez longues courses sans se servir de sa canne, ses
jambes
ne se dérobent plus sous lui. Les douleurs vives
la marche, sans qu'il éprouve la moindre sensation vertigineuse, les
jambes
fléchissent sous lui tout à coup. Deux fois même,
rotuliens sont très faibles. Plusieurs fois, il y a eu dérobement des
jambes
; ces mêmes particularités, nous allons les retro
ut, redresse la tête et se courbe légèrement en arrière :lesbras, les
jambes
, le tronc se raidissent alors dans l'extension. L
tout de suite fatigué lorsqu'il se tient debout ou qu'il marche; ses
jambes
sont très faibles, dit-il, et il y éprouve des se
eure et interne de la cuisse, sur la face interne et antérieure de la
jambe
, sur toute l'étendue du pied. 36 Sur ces deux
ue portant à la fois sur les extenseurs et sur les fléchisseurs de la
jambe
et de la cuisse. La chute a été la conséquence d'
Quand avez-vous ressenti pour la première fois vos douleurs dans les
jambes
? La malade. — Monsieur, il y a à peu près trois
le plus souvent. La malade. — Au voisinage du genou, tantôt dans la
jambe
droite, tantôt dans la gauche ; je les sens aussi
des douleurs fulgurantes dans le tabès. (A la malade) Est-ce que vos
jambes
fléchissent quelquefois quand vous avez vos doule
me surprennent je suis menacée de tomber; mais quelquefois aussi mes
jambes
fléchissent sans douleurs. J'ai aussi parfois de
de très vives douleurs fulgurantes ; aussitôt elle pousse un cri, ses
jambes
se dérobent et elle tombe sur les genoux, le gauc
l, de douleurs dans la région sacrée et d'une grande fatigue dans les
jambes
; pas de douleurs de tête cependant; mais le somm
é et tombe à travers l'ouverture béante de la cave. Il se fracture la
jambe
droite et la cuisse gauche. Il reste huit jours d
ans ce temps-là, j'ai commencé à marcher difficilement en lançant les
jambes
comme je le fais aujourd'hui. M. Ciiarcot : C'e
la toutes ses forces et continua sa route clopin-clopant, traînant sa
jambe
gauche dont il souffrait beaucoup. Enfin il arriv
du monde. Il peut se tenir sur un seul pied. Je lui dis d'écarter ses
jambes
, de se fendre comme dans l'escrime, il exécute sa
e viens d'indiquer, il glisse sur le sol, plutôt qu'il ne marche, les
jambes
raides, ou pour le moins se fléchissant à peine,
et progresser en sautant comme une pie, à cloche-pied, tantôt sur une
jambe
tantôt sur l'autre et c'est ainsi que,pendant qui
de brusques flexions du bassin sur les cuisses et des cuisses sur les
jambes
, assez analogues à ce que l'on voit se produire l
que l'on voit se produire lorsqu'une personne se tenant raide sur ses
jambes
reçoit à l'improviste un coup sec sur le creux du
au moment même où la malade se baisse, les cuisses se fléchir sur les
jambes
et le tronc se fléchir sur le bassin, la tête épr
accès : parfois si ces douleurs le prennent pendant qu'il marche, les
jambes
fléchissent tout à coup, involontairement et il e
nitivement à lui. 11 s'aperçoit alors qu'il portait sur chacune des
jambes
, à la partie externe des mollets, une brûlure pro
peu dans les salles de l'hôpital. Mais il se sentait très faible des
jambes
et il y éprouvait une certaine raideur. Néanmoins
sentant si déprimé et en voyant les grandes plaies qui couvraient mes
jambes
et ne guérissaient point que, désormais, je ne po
Vous êtesfrappés tout d'abord, en examinant la malade,de voir que les
jambes
sont en permanence et symétriquement fléchies sur
orme et rapidement développé, qu'ont subi les masses musculaires, aux
jambes
particulièrement, mais aussi aux cuisses. Il ne s
lisse et luisante, et que s'il n'y a pas de gonflement œdémateux des
jambes
et des pieds, ces parties-là prennent lorsque les
rties qui puissent être affectées; les tendons des fléchisseurs de la
jambe
et le tissu fibro-cellulaire qui entoure le genou
réquemment et en un sentiment de brûlure, occupant principalement les
jambes
et les pieds. Ces sensations douloureuses s'exasp
spèrent la nuit; la malade s'en plaint amèrement, « on dirait que mes
jambes
sont dans du feu », tels sont les termes dans les
un cas de paralysie alcoolique. Dans ce cas, il y avait flexion de la
jambe
sur la cuisse, et de la cuisse sur le bassin élev
e la peau, sur les pieds principalement et sur le tiers inférieur des
jambes
; elles se manifestent également, et d'une façon
elle éprouvait la sensation d'eau bouillante qui lui coulait sur les
jambes
et qui la brûlait. Elle disait souvent qu'on lui
s à monter son cinquième étage. Il lui arrivait souvent de sentir ses
jambes
fléchir tout à coup et se dérober sous elle. Le 1
de la fosse iliaque droite, tantôt du testicule gauche, tantôt de la
jambe
droite, tantôt de ces divers points en même temps
endineux, portant sur l'avant-bras droit, surtout sur la cuisse et la
jambe
du môme côté, et qui paraît s'être développée trè
côté, et qui paraît s'être développée très rapidement. Il y a sur la
jambe
et la cuisse de ce côté,comparées aux parties cor
c — de la cuisse droite, 37cc — de la cuisse gauche, 39oc — de la
jambe
droite, 32co — de la jambe gauche, 34 cc. 2. Ba
37cc — de la cuisse gauche, 39oc — de la jambe droite, 32co — de la
jambe
gauche, 34 cc. 2. Babinski. De l'atrophie muscu
ndant. Puis cela a été le tour des cuisses. Mais, pour ce qui est des
jambes
, elles sont restées depuis l'époque considérablem
urs, la coloration violacée et les rugosités que présente la peau des
jambes
et des pieds, en même temps que l'application de
re homme, la première à l'âge de 14 ans portant sur les deux os de la
jambe
gauche, la seconde à l'âge de 30 ans sur l'huméru
'amaigrissement considérable qu'aux membres inférieurs présentent les
jambes
par le fait de la paralysie d'enfance ; il semble
du Père-Lachaise où les « obus pleuvaient dru ». Il y fut blessé à la
jambe
gauche, peu grièvement d'ailleurs par ur. éclat d
te fatigué : il éprouvait quelque peine à monter les escaliers, les
jambes
lui semblaient faibles, comme paralysées, les pie
je aperçu sur ma gauche la boule de feu,que je me sentais frappé à la
jambe
gauche, renversé à terre, et bientôt après je per
harcot : Parlez-nous de ce choc que vous dites avoir ressenti dans la
jambe
gauche. Le malade : Je l'ai ressenti au moment
ied gauche au-dessous des chevilles, mais aussi en même temps dans la
jambe
et la cuisse gauches, le côté gauche du tronc et
i repris un peu confiance, mais j'ai eu grand mal à me mettre sur mes
jambes
; elles me semblaient excessivement lourdes; on a
M. Charcot: Le voilà donc qui se met en marche, boitant, traînant la
jambe
gauche, tout tremblant, obsédé, assure-t-il, cons
ever; mais une fois debout j'ai failli tomber : il me semblait que ma
jambe
et ma cuisse droites étaient en coton; elle ne me
ortir de ma chambre, et je suis même descendu dans la rue,traînant la
jambe
, mais après quelques pas, je n'en pouvais plus, e
le mât de hune, quand la foudre le blessa ; et, bien qu'il sentît ses
jambes
raides et hors d'état de lui rendre service, il e
près de Montargis ; en tombant elle crut qu'elle avait le bras et la
jambe
cassés. Lorsque le Dr Gastillier arriva auprès d'
assez de force pour se servir de béquilles et venir au secours de la
jambe
paralysée; cela dura pendant dix ou douze jours,
pour le moins, a été affecté, puisque suivant le récit de D...cy, sa
jambe
gauche, au moment où il s'est relevé pour se mett
ée qui occupe en avant la partie antéro-externe de la cuisse et de la
jambe
gauche, et s'étend en arrière sur la fesse, sur l
esse, sur le tiers externe de la cuisse, sur le tiers inférieur de la
jambe
et sur le pied (voir le schéma fig. 9fi) ; elle p
l'aura. Le 23 juillet, le malade dit qu'il se sent aussi fort de la
jambe
gauche que de la droite. Le dynamomètre donne pou
eût pas de fièvre, on remarqua que cet enfant « ne tenait pas sur ses
jambes
. Il lui était en effet impossible de marcher et d
outenir l'enfant sous les bras et quand on lui disait de marcher, les
jambes
s'agitaient comme celles d'un enfant en lisières,
aler : la mère serait morte d'une maladie de la moelle épinière ; ses
jambes
étaient complètement paralysées et, dans les dern
nterrompue ici par un mouvement d'extension brusque, qui maintient la
jambe
rigide. Gela fait que le malade progresse les jam
qui maintient la jambe rigide. Gela fait que le malade progresse les
jambes
raides, en précipitant l'allure de manière à rapp
haleur, soit de douleur. La même chose a lieu sur toute l'étendue des
jambes
et des pieds et sur le quart inférieur des cuisse
chauffait devant une cheminée, il laissa se produire sur l'une de ses
jambes
, une brûlure au premier degré. Plus tard, alors q
elle sur la face dorsale du poignet droit et une longue éraflure à la
jambe
gauche. Ces blessures ne saignaient pas, ne lui c
à ce moment il éprouva un malaise général; ses forces faiblirent, ses
jambes
se dérobaient sous lui. Il dut cesser de travaill
ut cesser de travailler; et après avoir fait panser son poignet et sa
jambe
blessée, il alla se coucher. Mais il était dans u
it accentué, de même que la céphalée constrictive ; il sentait que sa
jambe
et son bras droit devenaient faibles ; il obtint
. Le tremblement du membre supérieur droit était devenu incessant; la
jambe
droite commençait aussi à trembler. Les troubles
alade. Au sortir de cette première attaque, Glaw... remarqua que sa
jambe
et son bras droit? tremblaient plus fort, que ces
é droit. Le membre supérieur droit est un peu moins affaibli que la
jambe
. Le malade peut exécuter avec son bras droit tous
spinale n'était plus en jeu. Cependant une flexion à angle droit des
jambes
sur les cuisses et non plus à angle aigu comme au
a rotule, et dans le creux poplité la rigidité des fléchisseurs de la
jambe
sur la cuisse, et de plus cet examen fit éprouver
aplégies par compression, la flexion des cuisses sur le bassin et des
jambes
sur les cuisses est en général très prononcée (ca
ndemain, quand il voulut se lever, il était paralysé du bras et de la
jambe
gauche; il était incapable de mouvoir ces membres
le malade put se lever et marcher, sans trop boiter, sans traîner la
jambe
malade. Celle-ci néanmoins restait très affaiblie
nt lents et comme inhabiles. Le malade ne peut se tenir debout sur la
jambe
gauche; dès qu'il soulève le pied droit pour port
mbre inférieur gauche,celui-ci fléchit aussitôt. Dans la marche, la
jambe
gauche est plus lente à exécuter les divers temps
stasie. (Voy.aussi Abasie.)— 360, 471, ataxique, 366. —Dérobement des
jambes
, 364. — Durée, 482. — et hémiplégie capsulaire, 4
— Tabétique,84, 157, —Tabétique et Suspension, 201. Dérobement des
jambes
dans le Tabès, 157. Deséquilibrés, 16, 93, 349.
15, 468. Ecriture dans l'abasie, 359. Edwards, 68. Effondrement des
jambes
, 157. Electriques (Réactions).— dans la paralys
les, 333. — Crises vésicales, 333. — Démarche, 346. — Déro-bement des
jambes
, 157, 277, 278. 279. — Diagnostic avec abasie, 36
nt la vie n'ont été que ceux d'une hémiplégie banale, le bras et la
jambe
étant paralysés du côté opposé a la lésion sans q
rticales 21 Observation Aura de la sensibilité musculaire dans la
jambe
gauche. Convulsions épileptiques généralisées d
tristesse; elle commençait toujours par une aura localisée dans la
jambe
gauche. Ce n'était pas une sensation de fourmil
tion, une crainte (receio) comme il l'appelait, qui montait dans la
jambe
. En même temps le malade portait ses mains sur
tre ayant la physionomie tout à fait changée. Il avait retroussé la
jambe
gauche de son pantalon, montrait cette jambe to
Il avait retroussé la jambe gauche de son pantalon, montrait cette
jambe
toute nue, et disait, dans un état d'angoisse : «
« Il m'est arrivé un grand malheur cette nuit : on m'a tordu cette
jambe
, et il me semble que je né peux pas aller passe
e de plus belle : « Ne me dites pas ça. Oui, vous voyez bien que ma
jambe
est tordue et bien tordue et je vous prie de me
angage il pleurnichait, et, tout étonné, tâtonnait fiévreusement sa
jambe
. Cet état s'est prolongé pendant cinq jours san
onomie angoissée. Il montrait son pied gauche sans chaussette et sa
jambe
avec le pantalon retroussé. DE L'ÉPILEPSIE SY
S CORTICALES 23 Je tiens à ce que vous m'examiniez ce pied et celle
jambe
, disait-il ; ils sont tordus, je n'ai jamais eu
mais on me l'a tordu tout de même. Crois-tu qu'on puisse tordre une
jambe
ou un pied sans produire de douleur ? Il a l'
transitoires que je tiens à signaler : C'était une lourdeur dans la
jambe
gauche, sans impotence, sans la moindre faibles
s la moindre faiblesse. Il marchait très bien, ne traînait pas la
jambe
, n'avait aucune parésie; mais il se plaignait q
as la jambe, n'avait aucune parésie; mais il se plaignait que cette
jambe
était devenue « bien plus lourde que l'autre ».
cutanée et les réflexes étaient normaux. Une fois, en examinant la
jambe
lourde pour bien m'assurer qu'il n'y avait aucu
quelle je la mettais : il avait perdu le sens musculaire dans cette
jambe
. Notre malade a eu une série d'attaques, et en
'un, sympto- matique début de l'attaque par une aura localisée à la
jambe
gauche ; l'autre, anatomique - existence d'une
début constant par une aura de sensation motrice localisée dans la
jambe
gauche. Eh bien, après l'étude magistrale que I
sensation de lourdeur que le malade accusait plusieurs fois dans la
jambe
gauche, immédiatement après les convulsions, et q
l'hémisphère droit et la localisation invariable de l'aura dans la
jambe
gauche montrent bien qu'il s'agit d'une lésioii é
du lobule pariétal supérieur est le centre du sens musculaire de la
jambe
, conclusion à laquelle nous fûmes amenés, sans
e hypo- chondriaque, franchement épileptique, qu'il rapportait à sa
jambe
gauche : il se plaignait de ce qu'on la lui ava
dans la journée de contracture du côté gauche (la face, le bras et la
jambe
). Elle était raide « comme un morceau de bois »
ain, elle peut marcher n'éprouvant plus qu'une certaine raideur de la
jambe
et une hyperesthésie des membres et du tronc re
raillement des cheveux. Ce n'est pas tout. Comme les agitations des
jambes
peuvent, elles aussi, faire dévier la main de l
des poings, ces contractions des bras, ces mouvements brusques des
jambes
, que le maître hollandais n'a jamais omis d'indiq
éditeur, 1895, p. 241. >1 5 Fig. 1. - Ux double pas. - La
jambe
portante est figurée par des traits pleins, la
le pas. - La jambe portante est figurée par des traits pleins, la
jambe
os- cillante par des traits poin- tillés. 6
ps suivie de relâchement brusque et dont l'effet est de projeter la
jambe
en avant. Ici rien de semblable : en effet la j
de projeter la jambe en avant. Ici rien de semblable : en effet la
jambe
au lieu d'être étendue se fléchit et se porte en
t ainsi que tandis que, dans la marche ordinaire, les orteils de la
jambe
qui devient portante, ou antérieure, ne s'appliqu
e s'appliquent sur le sol que presqu'au moment où les orteils de la
jambe
postérieure quittent le sol, ici le pied de la
orteils de la jambe postérieure quittent le sol, ici le pied de la
jambe
antérieure est bien appliqué sur le sol, alors
deux pieds portent à la fois dans toute leur étendue sur le sol. La
jambe
oscillante arrive fléchie sur le sol, le genou
e révèle avec énergie tout particulièrement sur le quadriceps de la
jambe
portante, pendant tout le- cours du pas postéri
pui (d'après une phot. inst. de ;\1. Londe). 12 PAUL RICllEH La
jambe
portante ne se redresse que bien après avoir pass
portante ne se redresse que bien après avoir passé la verticale. La
jambe
oscillante d'abord fléchie, comme dans la marche
ent. L'effort musculaire le plus violent existe au quadriceps de la
jambe
portante pendant le pas postérieur, puis, au mo
ambe portante pendant le pas postérieur, puis, au mollet de la même
jambe
, lors du pas antérieur et pendant la phase du d
mais le plus curieux il considérer, ce sont les mouve- ments des
jambes
. La longueur du pas est exagérée. Et la jambe
s mouve- ments des jambes. La longueur du pas est exagérée. Et la
jambe
oscillante projetée en avant arrive en flexio
us prononcée que tout à l'heure. L'extension ne survient que sur la
jambe
portante seulement et tout à la fin du pas anté
e à faire. Nous savons, en effet, que, dans la marche ordinaire, la
jambe
oscil- lante arrive au contact du sol en extens
sol. Il en résulte que, dans l'intervalle d'un pas, ce muscle de la
jambe
oscillante est tour tour dans un état de contract
e contraction et de relâchement se produit sur le même muscle de la
jambe
portante ; au début du pas, la contraction se m
traction, jusqu'au moment où le pied prend contact avec le sol, la
jambe
en flexion. A ce moment le même muscle, au lieu
a « marche en flexion » (1). Cette méthode consiste à maintenir les
jambes
fléchies tant qu'elles sup- portent le poids du
, à ne les étendre qu'au moment de la propul- sion, à ne fléchir la
jambe
pendant son oscillation que juste assez pour qu
possible en extension complète, la flexion n'intervient que sur la
jambe
oscillante ; et c'est en extension exagérée que c
ontalement t en avant, les mains fermées. Pour marcher, on lance la
jambe
en avant, presque en extension, le pied va se p
égèrement tourné en dehors. Il ne faut pas écarter démesurément les
jambes
sous peine de perdre en vitesse. En même temps
nt les jambes sous peine de perdre en vitesse. En même temps que la
jambe
gauche, le bras gauche est poussé en avant et s
quement presque sur toute la surface du tronc. Les muscles des deux
jambes
sont distinctement atrophiés en comparaison des
trophiques, comme : taches de vitiligo et atrophie des muscles des
jambes
. Les altérations de la sensibilité et les troub
e métier con- sistait à former avec ses pieds des mottes de ton. La
jambe
droite, ankylosée dans toutes ses articulations
s muscles antérieurs et postérieurs de la cuisse, les muscles de la
jambe
, surtout les postérieurs, et ankylose les hanch
une 0..., il s'avançait péniblement, le torse fortement cambré. Les
jambes
élaient cagneuses, les pieds diffor- mes, le ve
sa majorité. Il ne me- sure guère plus d'un mètre de hauteur ; ses
jambes
sont courtes, son torse est long, sa tête est g
ette anomalie. Pour la même raison, il. figuré le genu valgum de la
jambe
droite el le pied bot varus gauche que présenta
tiques, avec leurs grosses télés, leurs ventres saillants, et leurs
jambes
contrefaites, comme les portraits des ancêtres de
pières du même côté,de la faiblesse et de l'engourdissement dans la
jambe
et dans le pied qui se refroidissait faci- leme
de la pesanteur et de la gêne dans les mouvements du pied et de la
jambe
droite. Quelquefois même au repos, les orteils s'
n interne de la cuisse, par l'ossification de la patte d'oie. Les
jambes
et les pieds, comme les avant-bras et les mains,
lans musculaires antérieurs des membres supé- rieurs, du tronc, des
jambes
, oatété partout à peine touchés pir l'oîsificitio
endant en bas jusqu'au tiers supérieur de la face postérieure de la
jambe
en s'épaississant et s'élargissant de plus en plu
férieure, elle atteint en effet les deux tiers de l'épaisseur de la
jambe
. Elle constitue une espèce de pont très solide, j
posé. Le tendon d'Achille est tendu comme une corde. Les os de la
jambe
sont gros à leur partie inférieure, immédiatement
ncoordi- nation tabétique avancée ; quand on lui dit de croiser les
jambes
, il hésite un instant, puis lève brusquement la
croiser les jambes, il hésite un instant, puis lève brusquement la
jambe
à'une grande bailleur au-dessus du lit. Autant
servée sans être abolie ; il lui arrive quelquefois de per- dre ses
jambes
dans le lit. Douleurs en ceinture légères et si
dans sa marche ; parfois même, elles sont si fortes qu'il sent ses
jambes
s'affaisser sous lui et qu'il tombe à terre. Au l
sur un escabeau très bas, le chirurgien debout der- rière lui, une
jambe
posée sur le siège, fait sur le crâne une incisio
son état, remarqua que sa démarche devenait titu- bante et que ses
jambes
se fatiguaient vite ; en même temps, elle perdit
se mit à éprouver un sentiment de malaise général. La faiblesse des
jambes
alla en s'accentuant, ainsi que les allures chanc
avait frappé au plafond. Plus que jamais elle était faible sur ses
jambes
, et elle trébuchait en marchant. L'anorexie dev
st plus accusée que jamais. Lorsque la malade essaie démarcher, ses
jambes
s'embarrassent l'une dans l'autre, et elle tombe
bles que le dos des mains. Autour du 1 /3 moyen de la cuisse, de la
jambe
, de l'épaule et de l'avant- bras la sensibilité
es, mais n'avait aucune force. Jamais il n'a pu se soutenir sur les
jambes
, même un instant. Il semblait dépourvu de toute
t plus développée que la gauche, surtout au niveau du bras et de la
jambe
. Autre observation très curieuse du Dl Gnéiiiot
lait pas. ne reconnaissait personne. Paralysie spasmodique des deux
jambes
et du hras droit. Réflexes des genoux et du poi
intéresse les masses mus- culaires de la cuisse, du mollet et de la
jambe
, et les os. La différence de circonférence d'un
ence de circonférence d'un côté à l'autre est de 8 centimètres à la
jambe
, à 95 centimètres au-dessus de la pointe de la ma
parties molles, des mensurations sont prati- quées sur les os de la
jambe
de chaque côté. Le péroné sain mesure 39 centim
courcissement résultait et d'une demi-flexion avec rétraction de la
jambe
sur la cuisse et d'un arrêt dedé- veloppement.
tion de substance osseuse s'élevant jusqu'à la partie moyenne de la
jambe
. Marche très difficile. Grâce l'emploi prolon
u-dessus de la rotule droite appartenant au droit antérieur. Sur la
jambe
droite, à trois pouces au-dessous de l'articulati
t au tibial antérieur et l'extenseur commun des orteils. Toute la
jambe
est enllée, ses veines sous-cutanées sont très dé
un oeuf de pigeon. A la même hauteur, sur la face postérieure de la
jambe
, il en existe une autre, comme un oeuf de poule,
ur et le vaste externe. Refroidissement objectif et subjectif de la
jambe
droite. Ossification de tous les muscles inteross
ent ; elle est très dure. Pendant ce processus la température de la
jambe
gauche était tombée tandis que l'oedème continuai
l à son niveau. OEdème du bras gauche à partir du milieu. Idem à la
jambe
et à la cuisse gauches, mais moins. Absence de
ode, elle détermine l'immobilité par les douleurs qu'elle occasionne.
Jambes
et pieds normaux. Cypho-scoliose droite près
ne légère adduction aussi ; le bassin est saillant il gau- che. Aux
jambes
et aux pieds, une mobilité limitée. Les os du s
ication complète du muscle crural. Atrophie de la musculature de la
jambe
; hypertrophie considérable des aponévroses. M
on contient également un noyau osseux. Atrophie des muscles de la
jambe
; sur l'extrémité supérieure de la diaphyse du
ont en grande partie ossifiés. Les muscles de la cuisse droite, des
jambes
et des avant-bras, les muscles de la paroi abdo
égion ischiatique ; les muscles ischiatiques, de la cuisse et de la
jambe
droites sont intacts. La jambe droite peut arrive
ischiatiques, de la cuisse et de la jambe droites sont intacts. La
jambe
droite peut arriver jusqu'à l'angle droit avec
gauche fait un angle droit avec le tronc ; il en est de même de la
jambe
avec la cuisse. Le malade peut se promener dans l
la cuisse. Le malade peut se promener dans la cham- bre, grâce à sa
jambe
saine et attaché à une chaise. Il prend les alime
de changement dans la cuisse gauche qui reste à angle droit sur I.i
jambe
. Dans l'extrémité inférieure droite, au contraire
la démarche avait quelque chose de maladroit, mais les bras et les
jambes
étaient entièrement libres. Ultérieurement des gi
ez considérable, s'est développée dans les muscles adducteurs de la
jambe
droite, près de leur insertion au fémur. Obus
se droite normales ; la flexion sur le tronc arrive jusqu'à 80°. La
jambe
droite se fléchit sur la cuisse de 50°. La moti
cuisse ; celle arcade abolit l'extension et limite l'abduction. Les
jambes
et les pieds sont nor- maux, sauf une difformit
côté des tendons,nn noyau osseux comme une noisette. Flexion de la
jambe
d'environ 150°. Le genou droit est libre. Rien da
jambe d'environ 150°. Le genou droit est libre. Rien dans les deux
jambes
. Absence de la première phalange des gros orteils
r l'extension , résul- tat : 5 mois après, extension complète de là
jambe
gauche et disparition de la flexion de la hanch
abduction plus grande. Depuis 8 jours, tendance à la flexion de la
jambe
gauche ; on y trouve une infiltration plus grande
tration plus grande du creux poplité et un oedème très modéré de la
jambe
gauche. Le malade n'a jamais éprouvé de douleur
xterne donnent une excitation normale. Idem pour la musculature des
jambes
avec une excitation di- recte. Ons. XXII.- Ca
ait obligée de se tenir debout pour écrire. A 12 ans, abcès de la
jambe
droite qui suppura pendant 3 mois. Pendant ce t
, d'où troubles de la parole. Plus tard raideur du genou droit ; la
jambe
droite semblait aussi plus courte que la gauche
ite semblait aussi plus courte que la gauche. En 1881, abcès à la
jambe
gauche. En 1882, aggravation de l'état de la ma-
ette place. Bassin penché vers la gauche ; ankylose des hanches. La
jambe
gauche est dans l'extension, l'adduction et la
l'extension, l'adduction et la rotation interne. Légère flexion de la
jambe
droite subluxée avec ankylose complète du genou
ilité faradique dans les muscles les moins atteints (face, abdomen,
jambes
), existe même avec un courant faible; elle est
9.; actuellement elle est de 1,5G quand il se tient de- bout sur la
jambe
droite, de 1,53 quand il repose sur la jambe gauc
tient de- bout sur la jambe droite, de 1,53 quand il repose sur la
jambe
gauche. Ces - différences de stature tiennent :
; 2° à l'ankylose en flexion de la cuisse gauche; la station sur la
jambe
gauche accentue la flexion du corps eu avant ;
as du bassin, ce qui augmente le raccourcis- sement apparent de- la
jambe
gauche. Le malade semble donc plus petit qu'au-
toujours d'un côté ou de l'autre. Il se porte ordinairement sur la
jambe
droite; dans cette position, le membre infé- ri
mouvements. UN CAS DE SPONDYLOSE RüIZ0111LIQUE 323 l'ankylose, la
jambe
gauche est légèrement fléchie, le pied gauche tou
eu de temps), le membre gauche, vertical, est dans la rectitude, la
jambe
est étendue sur la cuisse ankylosée, le corps est
à droite et tournée vers la gauche. Lorsque le malade repose sur la
jambe
droite, l'antitragus se trouve sur une vertical
t impossible. Membres inférieurs . Lorsque le malade est couché, la
jambe
gauche est plus courte que la droite (élévation
lorsqu'il garde l'immobilité étant couché, assis, ou debout sur la
jambe
droite il ne souffre pas; et même s'il marche len
est douloureuse. Celle-ci se produit : si la station debout sur la
jambe
droite est très prolongée ; au bout de quelques
ès prolongée ; au bout de quelques minutes la station debout sur la
jambe
gauche devient pénible ; la marche ordinaire pe
ulièrement irradie le long de la face externe de la cuisse et de la
jambe
gauche, jusqu'au-dessous du genou. Cette douleu
ffection a eu trois étapes douloureuses. D'a- bord la douleur de la
jambe
droite se portant quelquefois dans la jambe gauch
- bord la douleur de la jambe droite se portant quelquefois dans la
jambe
gauche. Aucune ankylose n'a marqué ce début.
arche, remarquons encore une fois, que lorsque Duf... repose sur la
jambe
droite en extension, son genou gauche est toujour
e pied droit, nous voyons que le poids du corps repose à gauche, la
jambe
droite est portée en avant, Duf... s'appuie sur
rojection de celui-ci en avant. Duf... porte de plus en plus sur la
jambe
droite, le corps est légèrement soulevé (B) (la h
rotation nécessaire ni visible). Duf... s'appuie tout a fait sur la
jambe
droite et le mem- bre inférieur gauche plus cou
nou gauche se trouve en avant du genou droit. Ultérieurement (C) la
jambe
gauche s'étend sur la cuisse et le pied vient r
du membre droit qui s'exécute alors. Puis Uuf... se porte sur la
jambe
gauche qui se met verticalement en extension, F
ie supérieure du corps est redressée lorsque Duf... se porte sur la
jambe
droite (A, B, C) ; le corps penche fortement en a
lorsque Duf... se porte sur le membre inférieur gauche vertical, la
jambe
étant en exten- sion sur la cuisse (D, E, F).
mouvements normaux d'extension et de flexion de la cuisse et de la
jambe
droites (E, F). Suivant que la longueur du pas
tion sur sa hanche gauche. Si, étant debout Duf... veut croiser une
jambe
sur l'autre, il exécute facile- ment de la jamb
. veut croiser une jambe sur l'autre, il exécute facile- ment de la
jambe
droite les mouvements de flexion et d'adduction n
d'adduction nécessaires pour la porter en avant et en dehors de la
jambe
gauche. De la jambe gauche, ce mouvement ne peu
ires pour la porter en avant et en dehors de la jambe gauche. De la
jambe
gauche, ce mouvement ne peut s'effectuer que gr
s'effectuer que grâce à la rotation de tout le corps y com- pris la
jambe
gauche. Cette torsion autour de la jambe droite p
ut le corps y com- pris la jambe gauche. Cette torsion autour de la
jambe
droite porte la cuisse gauche en avant et en de
et suivant son expression, il faut qu'il « s'enroule » autour de la
jambe
droite. Le malade ne peut guère écarter les jam
le » autour de la jambe droite. Le malade ne peut guère écarter les
jambes
, malgré que la droite puisse encore exécuter de
r ôter son pantalon, il laisse glisser celui-ci à mi-jambe, retire la
jambe
droite (la cuisse de ce côté a conservé la plus
on propre poids au-dessous du genou gauche; en fléchissant alors la
jambe
sur la cuisse, le pantalon est soulevé à la porté
VIII, 6). Quand il veut s'asseoir sur une chaise. Duf... fléchit la
jambe
gauche, porte son corps en avant, ce qui (par s
auche en arrière ; il exécute la fin du mouvement en fléchissant la
jambe
droite, et en se laissant tomber sur le siège.
ermettre à sa cuisse gauche de se placer presque verticalement ; la
jambe
gauche est très fléchie, à peu près horizontale (
lace sa main droite sous sa cuisse droite, puis raidissant ses deux
jambes
, il se laisse tomber à droite et en arrière tou
, la « dou- leur de reins » du malade avec ses irradiations dans la
jambe
gauche. En résumé : Ankylose de la colonne vert
noux ; il fient plutôt son équi- libre en reposant seulement sur sa
jambe
droite plus longue, et sur la pointe de son pie
ographie de l'irradiation sur la face externe de sa cuisse et de sa
jambe
gauche fait penser à un terri- toire radiculair
bien en relation avec la limitation des mouvements du bras et de la
jambe
. Mais en ce qui con- cerne le grand pectoral, p
e les douleurs à caractère fulgurant qui se propagent dans les deux
jambes
, surtout à gauche, à l'occasion d'un ébranlemen
rres- pondant du cou. Du côté droit, l'épaule est plus élevée, la
jambe
est plus grosse et plus lon- gue, la sensibilit
ôté gauche hypertrophié est plus gros et plus long que le droit, la
jambe
droite étant plus volumineuse que la gauche. L'
objet par terre, de faire de grandes inspirations. Rien dans les
jambes
. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 391 His
iable de la circonférence; on a en effet, à la partie moyenne de la
jambe
: A gauche 26 1/2, à droite 27 1/2, et à la p
tous les réflexes tendineux du côté gauche, soit au bras, soit à la
jambe
. A la jambe on produit avec une grande facilité
lexes tendineux du côté gauche, soit au bras, soit à la jambe. A la
jambe
on produit avec une grande facilité le phénomèn
mouvements généralisés. Qnand elle essaya de se mettre debout, ses
jambes
, 1 fléchissaient alternativement et se jetaien
onique suivie d'un léger tremblement particulièrement sensible à la
jambe
et au bras droits. Bientôt survenaient des mouvem
r sur une chaise et montait l'escalier difficilement. Le bras et la
jambe
gauches n'étaient presque pas mobiles, le bras
as et la jambe gauches n'étaient presque pas mobiles, le bras et la
jambe
droits n'arrivaient pas a 90° au genou et au co
ux. Au-dessus et au-dessous des exostoses de 2, 3 centimè- tres. La
jambe
gauche est libre indépendamment des hyperostoses
tait l'école, mais il boitait par suite d'un raccourcissement de la
jambe
droite avec pied-bot varus équin. A 14 ans raid
rine, du dos et des bras est ossifiée on dégénérée. Les muscles des
jambes
sont plus ou moins atteints ; les fessiers, le qu
autres constatations, on fil celle d'une anesthésie complète de la
jambe
droite et d'une hyperesthésie de la jambe gauche
anesthésie complète de la jambe droite et d'une hyperesthésie de la
jambe
gauche ; ces désordres de la sensibilité remont
re semaines, le malade, à son grand étonnement, s'est aperçu que sa
jambe
paralysée était de temps autre agitée par des tre
it se comportaient d'une façon absolument normale. Au contraire, la
jambe
gauche se maintenait en extension sur la cuisse ;
dessus du plan du lit, mais il lui était impossible de maintenir la
jambe
élevée et fixe. Celle-ci exécutait des mouvements
it pas à retomber sur le lit. Puis, les mouvements de flexion de la
jambe
sur la cuisse étaient très limités, à gauche ; ai
r gauche. Avec cela le malade se plaignait d'éprouver dans les deux
jambes
, mais dans celle de gauche principalement, des
t de trou- bles vaso-moteurs, on constatait que dans l'altitude des
jambes
pendan- tes, le pied gauche devenait plus rapid
ôté de la lésion, on constatait de l'hyperesthésie du pied et de la
jambe
, remontant jusqu'au-dessus du genou. Au memhre
és qu'ils sont par une rigidité spasmodique. C'est la flexion de la
jambe
sur la cuisse qui est la moins gênée. L'exaltatio
on dorsale, l'axe de ce pied ne peut se rappro- cher de l'axe de la
jambe
, au delà de l'angle droit. Je vais faire marche
férieurs dénotent un certain degré d'émaciation de la cuisse et de la
jambe
gauche. Vous voilà au courant de toutes les c
btient qu'à la condition de rompre la symétrie du corps humain. Une
jambe
se fléchit, le bassin s'incline latéralement, u
n, le poids du corps au lieu d'être supporté également par les deux
jambes
comme dans la station droite, se trouve presque
roite, se trouve presque complètement reporté sur une seule ; cette
jambe
demeure dans l'extension comme une colonne rigi
ffermir l'équilibre. Le bassin s'incline latéralement du côté de la
jambe
fléchie, pendant que la colonne vertébrale subi
n droite, ils sont obliques tous deux, se rapprochant du côté de la
jambe
fléchie et s'éloignant du côté de la jambe portan
approchant du côté de la jambe fléchie et s'éloignant du côté de la
jambe
portante. Il résulte de ce qui précède qu'il se
pétition, à l'époque de la croissance, de la station hanchée sur la
jambe
droite, n'est point étrangère à la genèse de cell
sus-jacent : soit le bras avec l'avant-bras, soit la cuisse avec la
jambe
, soit le bras seul ou la cuisse seule. L'hémimé
ndra les Amèles imparfaits, monstres privés en vérité de bras et de
jambes
, mais présentant dans une ou plusieurs des quatre
topsie. 2. IsEnHLanInI, 1800. - Garçon mort-né, privé de bras et de
jambes
; à la place des membres inférieurs se trouvent
rée à Paris, au Palais-Royal, dans un bocal d'alcool ; sans bras ni
jambes
; le bas du tronc présentant une ressemblance a
ent avec son étrange monstruosité : elle était privée de bras et de
jambes
! Les trois phototypies de la Planche III repré
d ambulant qui vendait des grandes poupées de carton n sans bras ni
jambes
, et que cette rencontre l'avait beaucoup impressi
ire d'un membre existant et ayant acquis tout son développement, la
jambe
ou l'avant-bras et mieux encore le pied ou la m
e cependant. En 1891 apparaît sur le thorax,l'avant-bras droit, les
jambes
un psoria- sis syphilitique qui persiste encore
d'une chaise, s'assoient, retirent leur soulier, et, soutenant leur
jambe
avec leurs mains croisées sous le jarret, posen
r une grossière chaise de bois, se penche en avant pour soutenir sa
jambe
droite à l'aide de ses deux mains croisées sous l
e chaise boi- teuse, les mains croisées sous le jarret, soutient sa
jambe
droite dont le pied nu repose par le talon sur
ne chaise, de profil, le haut du corps penché en avant, soutient sa
jambe
droite avec ses deux mains croisées sous le jar
peau est ac- croché, pose son pied nu sur un cube de bois, tient sa
jambe
entre ses mains croisées et se penche en avant.
. C'est un cas d'oedème et avec cyanose des mains, des pieds et des
jambes
(observ. XVI) au cours de la syringomyélie conf
ittents. Il lui est arrivé parfois de ne plus pouvoir marcher ; ses
jambes
se ployaient. Pendant l'hiver ses mains se tumé
s épau- les, les cuisses sont écartées, légèrement fléchies sur les
jambes
. Elle est dans l'impossibilité de les rapproche
billot, le patient maintient d'une main son talon et de l'autre sa
jambe
gauche appuyée sur son genou droit : pauvre chemi
ncé dans les chairs, il en extraira la racine. Vieil- lard sec, aux
jambes
maigres, au visage anguleux, coiffé d'un béret à
n escabeau, se penche en avant pour regarder son mal et soutient sa
jambe
sur ses mains croisées. . Devant lui, un vieux
une caisse, le talon posé sur le coin d'une table, tenant ferme sa
jambe
entre ses deux mains, il geint douloureusement pe
iAEN Brouwer. Musée des Offices, Florence. , 138 HENRY MEIGE La
jambe
droite se cache sous le fauteuil, mais la gauche
débordante, les manches retroussées, est assise sur une chaise, la
jambe
droite sortant toute nue de ses cottes relevées
bitants étonnés et rieurs, tandis que les gamins accourent à toutes
jambes
, délaissant leurs jeux pour l'escorter et faire
de faire un com- merce prospère. A ce guérisseur réjoui, dont les
jambes
se trémoussent avec tant d'ai- sance, qui n'ach
lion insignifiante de la moelle, sa flexion sur un sujet assis les
jambes
éten- dues produit une élongation de cet organe
e supprimer les accidenls de la suspension en fai- sant fléchir les
jambes
sur le tronc, soit directement (Bonuzzi) (5), soi
du bord libre. Le patient s'assied bien d'aplomb sur la table, les
jambes
étendues, la poulie située dans leur intervalle
gle du dossier, afin d'éviter le glissement du corps en avant ; les
jambes
sont maintenues dans la rectitude, les pieds repo
VRAIE DE LA MOELLE 151 réfléchissant sur la poulie située entre les
jambes
du sujet, la traction d'horizontale devient ver
t après, il s'est trouvé dans l'impossi- bililé de se tenir sur ses
jambes
et de marcher. Le lendemain, on-a constaté le r
apophyses épineuses et à droite. D'abord, la victime a eu les deux
jambes
paralysées, ainsi que de la réten- tion d'urine
sé était de nouveau en état de mouvoir ses membres inférieurs et sa
jambe
droite. La para- lysie motrice subsistait à gau
le sujet pouvait faire d'assez longues courses, mais il boitait; sa
jambe
gauche, atrophiée, était pendante. Dans un cas
le malade était en état de marcher sans appui; les mouvements de la
jambe
droite étaient un peu incoordon- liés au bout d
e, affaibli à gauche, la température locale était moins élevée à la
jambe
droite qu'à la jambe gauche (2). Charcot (3), d
la température locale était moins élevée à la jambe droite qu'à la
jambe
gauche (2). Charcot (3), dans ses leçons du mar
eau en état de mar- cher sans trop de peine ; il traînait un peu la
jambe
gauche. La main gau- che serrait avec moins de
oublié à s'occuper de toute autre chose que de la direction de ses
jambes
). D'autre part, la parole est souvent automatiq
a pas les grosses joues, le torse arrondi, les muscles potelés, les
jambes
relativement courtes qui caractérisent l'in- fa
n peu à gauche de la ligne médiane. Le patient était faible sur ses
jambes
, mais, soutenu par des aides, il put se rendre
z lui. Quand il eut repris ses sens, il ne pouvait plus re- muer la
jambe
droite ; de plus ce membre le faisait beaucoup so
te- ment après l'accident on a constaté une paralysie motrice de la
jambe
gauche et une anesthésie dans toute l'étendue d
examinant les membres inférieurs, le raccourcissement de l'une des
jambes
frappait à première vue : le malade boitait un pe
enfants. Sa femme est morte en 1884.. B... travaillait assis, les
jambes
croisées. Pour essayer les vêtements à ses clie
es béquilles. Il repose sur le sol par son pied droit, alors que la
jambe
gauche légèrement fléchie a son talon à 20 cent
tre dans les côtes. Pendant la marche, B... se sert seulement de la
jambe
droite. Les aisselles appuyées sur deux béquill
uilles, il laisse le pied droit en avant, fléchissant légèrement la
jambe
sur la cuisse. Le pied en abduction repose sur le
, qui repose sur le plan du lit par sa face interne, fait t avec la
jambe
un angle de 130° environ ouvert en dehors. .Les
dedans. A droite, les mouvements du pied s'accomplissent tous. La
jambe
droite étant fléchie, le malade la met en extensi
it. A gauche les mouvements du pied sont limités, l'extension de la
jambe
ne dépasse pas un angle d'environ 150° ouvert en
ment répartis, plus nombreux à la cuisse à droite qu'à gauche, à la
jambe
gauche qu'à la droite. L'atrophie musculaire tr
en montant sur le cou, et en descendant sur l'avant-bras et sur la
jambe
. La face, les mains et les pieds avait conservé
ches violacées qui auraient apparu postérieurement à l'hémiplégie ;
jambe
droite contracturée en demi-flexion sur la cuis
rotule : cuisse droite, 43 centimètres ; gauche, 41 cen- timètres ;
jambe
droite, 12 centimètres au-dessous de la rotule, 3
assis pouille un tout jeune enfant, qui se tient debout entre ses
jambes
. Son geste indique qu'il a fait une victime : e
férences en grosseur et en longueur se retrouvent si on examine les
jambes
en adop- tant les points de repère de M. Paul R
les jambes en adop- tant les points de repère de M. Paul Richer. La
jambe
gauche depuis l'extrémité du grand trochanter j
ol, le pied reposant à plat, 37 centimètres, en tout 70. Cette même
jambe
gau- 372 F. RAYMOND ET PIERRE JANET che nous
us forte dimension du mollet 30 cent. 1/2. Les mêmes mesures sur la
jambe
droite donnent : longueur de la cuisse 38 centi
jambe droite donnent : longueur de la cuisse 38 centimètres, de la
jambe
41 centimètres, en tout 79 ; dimension de la cu
et 44 centimètres, dimensions du mollet 29 cent. 1/2. En résumé la
jambe
gauche est plus courte de 9 centimètres, la cui
let gauche est également plus gros que le droit d'un centimètre. La
jambe
gauche est de beaucoup plus courte et Fig. 5. A
vation vertébrale. 378 E. BRISSAUD ET HENRY MEIGE La cuisse et la
jambe
sont très fortes. A première vue, la jambe paraît
RY MEIGE La cuisse et la jambe sont très fortes. A première vue, la
jambe
paraît oedé- mateuse à cause du développement e
peu particulière les extrémités inférieures; les avant-bras et les
jambes
et surtout les pieds et les mains. '« Nous ne c
aux doigts très élargis dans toutes leurs dimen sions. Les deux
jambes
sont incurvées en pa- renthèses, la droite prin
ns la paraplé- gie ; la malade ne pouvait se tenir debout, mais ses
jambes
étaient encore capables de quelques mouvements
ité externe surtout du côté gauche. Il se forma un peu d'oedème des
jambes
, puis une eschare sacrée, et plus tard il y eut
'auteur, aux lésions de l'arthrite sèche. Le malade était resté les
jambes
pliées et les cuisses inclinées pendant la duré
nt ans. A 30 ans, par suite de faiblesse croissante des bras et des
jambes
il fut obligé de cesser tout travail. De- puis
crire mais il enfile encore une aiguille. Atrophie musculaire des
jambes
(PI.XLVIII). Les cuisses ont conservé leurvolum
servé leurvolume normal qui contraste fortement avecla maigreur des
jambes
. La faiblesse des membres inférieurs est surven
s trophiques aux membres inférieurs : rougeur érythémateuse sur les
jambes
; léger oedème des pieds. Hernie inguinale droi
LA LÈPRE DANS L'ART 423- les mains, les avant-bras, les pieds, les
jambes
, et face tout particulière- ment. Dès lors le
cles du pied, les extenseurs en particulier, puis les muscles de la
jambe
, fléchis- seurs du pied et péroniers, créant de
aux. On y voit un aveugle, - un infirme appuyé sur une béquille, la
jambe
oedématiée, et enveloppée d'une bande, un enfan
XLVIII bis). Ils sont au nombre de six : L'un d'eux porte sur une
jambe
un bandage soigneusement fait dont les « renver
est bien encore un Lépreux qui s'appuie sur un bâton, un pilon à la
jambe
gauche, le pied droit informe dans une chaussure
bras droit vers les Apôtres ; il a le front entouré d'un linge. Sa
jambe
droite, nue et à demi allongée semble déformée pa
x sont debout, au second plan : l'un, barbu, les mains jointes, les
jambes
nues,- une bande enroulée au-dessus du pied gauch
plan, un homme en vêtement bleu est à demi étendu par terre, les
jambes
nues et ramassées sous le corps, s'appuyant sur
l'avant-bras semble immobilisé dans la demi-flexion (Fig. 3). Des
jambes
il est assez difficile de saisir les contours,
ches dans les musées d'Italie (Fig. 4). Le torse, les bras et les
jambes
nus, un linge autour de la ceinture, il présent
x aussi des malades, l'un atteint d'un ulcère, ou d'une plaie de la
jambe
, l'autre de quelque infirmité l'obligeant à s'app
e de Lépreux dans les figurations d'estropiés privés de pieds ou de
jambes
, dont les moignons sont entourés de linges et q
infirme est assis, joignant les mains, une béquille à côté de lui. Sa
jambe
gauche, demi-nue, est entourée, ainsi que le pi
e défiguré. Un troisième s'avance, soutenu sur deux bé- quilles, la
jambe
gauche repliée et entourée de linges. A Sienne,
, mais pourvu d'une large barbe, se traîne sur deux béquilles ; ses
jambes
sont entourées de bandes, et ses chaussures fen
i, sorte de cul-de-jatte fui rampe à l'aide de supports à mains. La
jambe
droite, nu.e, est oedéuatiée et ulcérée; la gauch
leur facies caractéristique, leurs articulations noueuses et leurs
jambes
incurvées. « Il nous parait difficile, disent-i
icilement. Le pied droit nous montre sa face plantaire pondant que la
jambe
est vue par sa face antérieure. C'est là une dé
déformations considérables des pieds et la musculature puissante des
jambes
. Raphaël en effet semble avoir souvent atténué,
e aux aveugles, l'ouïe aux sourds, la parole aux muets, l'usage des
jambes
aux boiteux, la santé aux Lépreux, et aux infir
raîne à genoux, faute de pieds, car il n'a plus que des tronçons de
jambes
. Des gouttières en bois munies de supports serven
arence moins sévèrement frappé par la maladie, car il lui reste une
jambe
à peu près entière ; encore ce résidu de membre
ertainement inspiré de réalités pathologiques observées par lui. La
jambe
gauche, tronquée à son extrémité inférieure, le p
maintiennent un pilon sur lequel repose le genou. Du côté droit, la
jambe
et le pied existent encore, mais dans quel la-
mis le pied en équinisme droit, sur le prolongement de l'axe de la
jambe
: aussi le membre repose-t-il sur la pointe du pi
on peut penser que l'hémiplégie siège à gauche. C'est cependant la
jambe
droite qui paraît touchée, si l'on en juge par so
sonniers chargés de chaînes, dont l'un, plus durement traité, a.les
jambes
serrées entre deux planches. . A droite, la Sai
eux, à demi-vêtu, tend une sébille vers l'Evêque. Il est assis, les
jambes
bizarrement repliées et entre-croisées, dans un
sur les genoux ; ses deux pieds ont disparu, et les moignons de ses
jambes
entourées de linges sont maintenus par des cour
voit partout, sur la poitrine, sur le dos, sur les bras et sur les
jambes
Ce pitoyable Lépreux ne peut plus se servir de
t sur les jambes Ce pitoyable Lépreux ne peut plus se servir de ses
jambes
. Celles-ci, emmaillottées de chiffons, sont mai
n'a rien, le bras gauche est couvert de taches d'un brun rouge, la
jambe
est entourée de bandes à travers les- quelles s
, couverts de grosses et de petites taches d'un brun rougeâtre. Une
jambe
qu'on ne sait pas au juste à qui rappor- ter, p
rts de taches rouge brun. Il est assis par terre et c'est sa propre
jambe
, que l'on voit au premier plan, le genou mis à nu
s l'Al't). 450 HENRY MEIGE « Ce malheureux est assis à terre, les
jambes
ramenées sous lui et enve- loppées de bandelett
l est à genoux, tournant le dos au spectateur, et montrant ses deux
jambes
mutilées. Sur le bras gauche levé pour tendre la
ie musculaire sont indiscuta- bles. Si l'on doit deviner celles des
jambes
que le dessinateur ne montre pas, mais qui ont
trois doigts du milieu. Enfin le front, l'ab- domen, le bras et la
jambe
du côté gauche sont couverts d'une éruption car
79 et seq. 456 HENRY MEIGE maladie. Dans l'éruption qui couvre la
jambe
et le bras du côté droit, ne trouvons-nous pas
autour du cou soutient ses deux bras croisés sur la poi- trine. La
jambe
gauche, portée en avant, est déformée par un oedè
ne. La cuisse au-dessus du genou, est en- tourée de linges. L'autre
jambe
est dissimulée par l'étoffe dont le bas du corp
bres sont amaigris et déformés, les membres inférieurs surtout ; la
jambe
gauche est entourée d'une bande, et le pied env
un homme est vu de dos, à demi-nu ; il a perdu le pied droit, et sa
jambe
entourée de linges repose sur une gouttière à p
les cordes tendi- neuses. Tout le corps semble momifié. Les deux
jambes
ramassées et croisées semblent immobilisées par u
à gauche, un infirme assis par terre, des béquilles à ses côtés, la
jambe
droite repliée, comme desséchée. de couleur bru
pas les bras, cachés sous de misérables loques ; mais au bout d'une
jambe
encore bien musclée on entrevoit un pied informe;
nd'peine, se soutenant avec une béquille sous l'aisselle gauche. La
jambe
gauche, privée de son pied, entourée de linges,
mônes. L'un d'eux, à droite au premier plan, se tient à genoux, les
jambes
entourées de linges, maintenues dans des goutti
outtières en bois, s'appuyant de la main droite sur un chevalet. La
jambe
droite est amputée au niveau de la cheville. La
e tableau, un autre infirme, demi-nu, se tient debout sur une seule
jambe
, deux béquilles sous le bras, un pilon sous la ja
sur une seule jambe, deux béquilles sous le bras, un pilon sous la
jambe
droite qui est enveloppée de linges. Le haut de
sage et des mains. On pourrait en dire autant des Infirmes dont les
jambes
ulcérées et oedématiées sont enveloppées de bande
avec des béquilles, une cliquette à la main. Des chiens lèchent ses
jambes
et ses bras couverts de plaies qui n'ont d'ailleu
ent et sont suivis de mouvements cloniques très-étendus des bras, des
jambes
et du tronc : c'est cette période qui nécessite l
ète se porte en arrière, les bras s'étendent, le tronc se raidit, les
jambes
deviennent rigides. Alors, le crucifiement est co
s est injectée, les pommettes sont colorées, moyennement chaudes. Les
jambes
s'allongent, les bras s'écartent lentement du tro
) b) Période clonique. — Au bout de deux minutes, les bras et les
jambes
se détendent, la malade secoue la tête de gauche
sont étendus le long du corps, rigides, les doigts sont fléchis ; les
jambes
sont allongées et dans l'adduction. La rigidité e
oni que.-Cris perçants, répétés, mouvements désordonnés des bras, des
jambes
; rotation rapide de la j tète; projection du bass
vantage et de lui faire exécuter de grands mouvements des bras et des
jambes
, comme si elle voulait se défendre, M. Charcot l'
disparaît complé*-iement. — Le lendemain, elle envahit de nouveau la
jambe
droite et, le 16, elle n'est pas modifiée : le me
côtés du ventre, douleurs auxquelles a succédé une contracture de la
jambe
droite: la jambe est dans l'extension ; la hanche
douleurs auxquelles a succédé une contracture de la jambe droite: la
jambe
est dans l'extension ; la hanche, - le genou, le
intenant les talons avec les mains, on dit à la malade de fléchir les
jambes
sur les cuisses, on constate que la jambe gauche
à la malade de fléchir les jambes sur les cuisses, on constate que la
jambe
gauche est moins faible que la droite. Il en est
gauche est moins faible que la droite. Il en est de même, quand, les
jambes
étant fléchies et les mains appuyées contre elles
la soutient. — Elle saute, crie et tantôt ramène ses jupes entre les
jambes
, tantôt les soulève pour chasser les serpents.
e cou est violemment tendu; tout le corps est rigide; les bras et les
jambes
sont dans l'extension, les mains contournées et f
ller, les cheveux rejetés en arrière, flottaient sur les épaules, les
jambes
étaient légèrement fléchies sur les cuisses; ou b
à 11 h. 30, les secousses se montraient et dans les bras et dans les
jambes
qui étaient rigides et à demi-fléchies;les pieds
er les secousses mais non fa rigidité. 11 heures 45. — Lebras et la
jambe
du côté droit sont absolument libres; le pied est
tes. Elle est énervée, a envie de crier, éprouve dans les bras et les
jambes
des sensations qu'elle compare à des fils qui se
qu'un animal quelconque, une souris par exemple,grimpe le long de ses
jambes
. Puis, elle reporte les mains à la tète, reparle
qu'elle rabat en arrière; frappe l'oreiller de sa tète, le lit de sa
jambe
gauche. En même temps, il s'écoule delà bouche un
mouvements du tronc, projection du bassin, agitation des bras et des
jambes
. Compression ovarienne : Détente générale, déli
suite, G... recommence à causer: « Oh! là là! que je souffre dans les
jambes
. » — La jambe droite est allongée, 8 la gauche
ommence à causer: « Oh! là là! que je souffre dans les jambes. » — La
jambe
droite est allongée, 8 la gauche un peu fléchie
me dirigée. Tout le corps est rigide. Les pieds sont envarus équin.La
jambe
droite est allongée, la gauche un peu fléchie. Le
.La jambe droite est allongée, la gauche un peu fléchie. Les bras, la
jambe
gauche, sont pris parfois de secousses violentes;
peu souriante ; G... soupire profondément; les bras sont souples; les
jambes
sont toujours rigides. La malade semble regarder
egarder ; puis, les yeux sont fixes, le corps est immobile. Alors, la
jambe
droite, seule, conserve de la rigidité. La physio
ulier, que nous connaissons peu. On dit qu'elle tient les bras et les
jambes
en l'air, croisés, tortillés et qu'elle cause san
le droit; les pieds sont en varus équin. Compression ovarienne.— La
jambe
gauche se décroise, devient souple, ainsi que les
es yeux effarés ; parle entre ses dents, envoie des baisers, lève les
jambes
en l'air et conserve cette position pendant un qu
sse, embrasse sa main, se couche sur son lit, se découvre, écarte les
jambes
, murmure des paroles inintelligibles, regarde en
extase : les yeux sont largement ouverts, les bras sont en croix, les
jambes
allongées, rapprochées ; tout le corps est rigide
nt la piquer avec leur bec; ou ramassant vivement ses jupes entre les
jambes
pour se défendre contre les serpents, sautant en
e Ler... lorsque, dans son délire, elle se plaint de douleurs dans la
jambe
qui a été mordue par un chien, lorsqu'elle se pla
ui a été mordue par un chien, lorsqu'elle se plaint qu'on lui tire la
jambe
ou le pied ? Quant au souvenir des faits d'ordre
chemars, voyait l'homme au chien; elle éprouvait des crampes dans les
jambes
, était sujette à destremblements , à des c faible
ance à la syncope, de vertige et d'engourdissement dans le bras et la
jambe
gauches. 23 février. — Outre Y hyper-esthésie o
e des phénomènes cardiaques, M... a été prise d'une contracture de la
jambe
et du pied gauches. La marche était impossible ta
ed gauches. La marche était impossible tant le pied était dévié et la
jambe
pesante. La contracture a disparu au bout d'une d
faite exclusivement d'après nos notes personnelles. prétend que sa
jambe
est devenue progressivement moins lourde et que l
(l) Voir page 53. remonte en haut et se place derrière la tète ; la
jambe
gauche se fléchit sur la cuisse en croisant la ja
ère la tète ; la jambe gauche se fléchit sur la cuisse en croisant la
jambe
droite ; quelquefois, la jambe gauche se met perp
e fléchit sur la cuisse en croisant la jambe droite ; quelquefois, la
jambe
gauche se met perpendiculairement au lit, ou bien
ns l'adduction ; la cuisse est légèrement fléchie sur le bassin et la
jambe
sur la cuisse; le pied est en varus équin ; les o
uque, des doigts (fléchisseurs) ; d'autres fois, il lui semble que la
jambe
ou le bras du côté droit se retirent, se rapetiss
ais pas de peurs ni de visions. La marche est difficile parce que les
jambes
sont lourdes et douloureuses. Quelquefois, il se
re inférieur est différente : la cuisse est fléchie sur le bassin; la
jambe
est à angle droit sur la cuisse et le pied en var
ient à elle, vomit, a ses idées mélancoliques. Son bras est libre, la
jambe
allongée; elle marche en boitant. Au bout de quel
ieurs se dressent en l'air, s'entre-croisent doublement (cuisses et
jambes
) de même que chez Rosalie Ler... (1). Nouvelle ad
s muscles de la moitié gauche de la face se convulsent; le bras et la
jambe
droite, qui étaient libres deviennent rigides et
t, le bonheur. On observe, à ce moment, des mouvements du ventre; les
jambes
s'infléchissent, M... retombe sur son lit et exéc
ais viens donc ! viens donc ! » Agitation: M... se débat, jette les
jambes
de tous côtés, essaie de défaire les manches de s
sur le bassin et les genoux remontent jusqu'à l'avant-bras droit; les
jambes
sont si fléchies que les talons touchent les fess
corps qui est en quelque sorte ramassé sur lui-même. Les bras et les
jambes
sont entre-croisés ; la physionomie est ingrate,
Après avoir accompli quelques mouvements rapides, Mv.. allonge les
jambes
et demeure tranquille pendant une minute environ;
endre connaissance et réclame de l'éther. « Çà me fait drôle dans les
jambes
... Çà me fait bien à moi... là,...au cœur...Ce pe
couche tout de son long, écarte les bras, agite les doigts, remue les
jambes
, se couche sur le côté droit, se rasseoit, regard
ut, à côté d'elle, la main droite appuyée sur la poitrine; frotte ses
jambes
, s'appuie sur un lit, saute. Elle tombe dans des
urs qu'elle ne veut pas qu'on en lende. Elle allonge et fléchit les
jambes
, écarte les genoux, balance lentement le tronc. S
'il y a des hommes dans la salle. lui échappe en partie. Elle a les
jambes
lourdes, ce qui rend la marche difficile. La face
matin, palpitations cardiaques très-pénibles, puis tremblement de la
jambe
droite; parfois, le tremblement envahit le bras d
le tremblement envahit le bras droit et. plus rarement, le bras et la
jambe
gauches. Le tremblement prédomine, en général, du
it que l'application de bracelets d'or monnayé sur l'avant-bras et la
jambe
du côté gauche (anesthésie), pendant 15 minutes,
gues années qu'il a eu des manifestations d'érysipèle, surtout à la
jambe
droite. Taille : 1 m. 70. Poids : 99 kil. Crâne
l souffre de douleurs dans les membres inférieurs, surtout dans les
jambes
et les pieds, douleurs qui durent depuis quelqu
s, de type à la fois charnu et acromé- galique ; les pieds de même.
Jambes
grosses, avec un développement prononcé de leur
aisément, les malades ramassent des objets par terre sans plier les
jambes
et se penchent facilement de côté. Cependant po
ier temps était la position en chien de fusil, ou la tête entre les
jambes
. Le moindre mouvement ou changement de position
de la douleur, de rester couchés pliés en deux, « la tête entre les
jambes
», suivant l'expression pittoresque de l'un d'eux
juillet 1915. 126 LÉRI Toute une série d'oedèmes des pieds et des
jambes
ont été constatés par Roger chez des malades év
les avoi l' plus rapidement sectionna avec son coupe-coupe les deux
jambes
et emporta les chaussures toutes pleines de leu
rtement quand il tourne à gauche. Il ne peut pas se soutenir sur la
jambe
droite, même avec les yeux ouverts. Adiadococ
ilement à droite qu'à gauche. Aux membres inférieurs, il soulève la
jambe
gauche à 30 centimètres, la jambe droite plus f
membres inférieurs, il soulève la jambe gauche à 30 centimètres, la
jambe
droite plus facilement encore. Le malade arrive
Localité de contamination. - Courbes... Début. Douleurs dans les
jambes
depuis le 16 mai. Fièvre dès le début à 39°. Cé
des articulations. T. : 36°9. Le malade élève difficilement les deux
jambes
jusqu'à la verticale. Les mouvements des membre
s, troubles. Constipation. Le malade soulève très difficilement les
jambes
au-dessus du plan du lit. Il se meut très diffi
je constate une paraplégie complète; impossibilité de soulever les
jambes
et le pied, ni de remuer les orteils. Le malade
. Hoé... Début. Du 1er au 6 mai. T. de 38° à 39°, douleurs dans les
jambes
; le malade pouvait remuer les jambes, mais ne
38° à 39°, douleurs dans les jambes ; le malade pouvait remuer les
jambes
, mais ne pouvait se tenir debout, les jambes fl
alade pouvait remuer les jambes, mais ne pouvait se tenir debout, les
jambes
fléchissaient. En traitement à l'hôpital de du
ulaires sont moins vives. La douleur du tibia existe toujours. La
jambe
droite peut se détacher quelque peu du niveau du
phie considérable des muscles des mollets, très flasques. 4 juin. -
Jambe
droite s'élève à 32 centimètres au-dessus du plan
ambe droite s'élève à 32 centimètres au-dessus du plan du lit. , La
jambe
gauche peut s'élever de 18 centimètres au-dessus
auche peut s'élever de 18 centimètres au-dessus du plan du lit. Les
jambes
peuvent se maintenir en l'air assez facilement.
e la sortie, la marche est facile, le malade un peu faible. sur ses
jambes
. Examen bactériologique. 4 juin. Wassermann nég
s, survenues rapi- 204 ÉTIENNE dement dans les genoux et dans les
jambes
; douleurs osseuses lancinantes, surtout nocturn
ntes, surtout nocturnes. Les douleurs s'accompagnent de raideur des
jambes
et de difficulté à la marche. Le premier jour
ée. A l'inspection, aucune modification objective des genoux ou des
jambes
. Les membres inférieurs sont en contracture, les
rtes contractures : le malade ne peut que difficilement fléchir les
jambes
. Réflexes très exagérés, phénomènes du pied très
on- tracture est très amoindrie et le malade fléchit facilement les
jambes
. Les réflexes sont sensiblement normaux, encore
le. 1er juin. Plus aucune douleur. Souplesse parfaite dans les deux
jambes
. Réflexes normaux. Le malade marche facilement.
presque en plein travail, apparition de douleurs violentes dans les
jambes
; impossibilité subite de marcher. Dès le lende
r. Dès le lendemain, le malade ne pouvait plus se tenir debout, les
jambes
fléchissaient. Douleurs très vives, comparées à
Langue fortement saburrale. Inappétence, un peu de diarrhée. Les
jambes
sont amaigries, les masses musculaires des mollet
r de l'ombilic. Démarche en se dandinant, cherchant un appui. Les
jambes
sont en contracture. Force musculaire amoindrie.
adie. 1er juin. Nuit calme, sans aucune douleur. La contracture des
jambes
est moindre, les mouvements de flexion sont plus
t. Brusque le 7, par de la fièvre, des douleurs très vives dans les
jambes
, empêchant tout mouvement, mais le malade aurait
ureuse, puis paré- sie des membres inférieurs. 4. Elévation de la
jambe
gauche à 32 centimètres au-dessus du plan du li
2 centimètres au-dessus du plan du lit facilement ; élévation de la
jambe
droite à xi centimètres, plus difficile- ment.
iqûre existe, bien atténuée. 8. - Pas de douleurs dans les membres,
jambe
engourdie, sans force. 42. Réflexe du genou exa
ied gauche à 35 centi- mètres, avec effort. Il s'affaisse sur ses
jambes
, fait quelques pas en étant très soutenu. La se
en étant très soutenu. La sensibilité est revenue. 19. - Elève la
jambe
à 44 centimètres à droite, 38 à gauche, avec addu
38 à gauche, avec adduc- tion. Peut marcher en fléchissant sur les
jambes
. Réflexes des genoux normaux. Orteils en flexio
le 10 mai, par des crises douloureuses dans les os, les muscles des
jambes
et des cuisses. Inappétence. Aurait eu depuis lor
burral des voies digestives. Piqûres de puces eczématisées aux deux
jambes
. 21. Exagération des réflexes rotuliens. 2 ju
sculaire normale. Marche pénible, hésitante avec flottement sur les
jambes
, sans douleur. Le mouvement d'élévation de la j
tement sur les jambes, sans douleur. Le mouvement d'élévation de la
jambe
au-dessus du plan du lit est limité et hésitant
alonnante ; fléchissement sur les genoux. 19. Légère flexion sur la
jambe
gauche, léger talonnement. 28. - Le fléchisseme
Le malade, très fatigué par une marche de 600 mètres, fléchit sur la
jambe
gauche. Observation VIII. Boy... Oscar-Erne
lité de contamination. - Hoév... Début. Le 2 mai, douleurs dans les
jambes
avec faiblesse. Du 15 au 30, la température se
lente au début. Symptômes à l'entrée. Douleurs lancinantes dans les
jambes
et les pieds, surtout vives au voisinage des ar
4, puis elle s'abaisse. 19 mai. Douleurs vives dans les muscles des
jambes
, du genou, au bas de la jambe; atrophie muscula
Douleurs vives dans les muscles des jambes, du genou, au bas de la
jambe
; atrophie musculaire rapide; faiblesse persistant
he, sensation de faiblesse. Le malade se tient difficilement sur la
jambe
gauche. 12. Démarche légèrement talonnante sur
ment sur la jambe gauche. 12. Démarche légèrement talonnante sur la
jambe
droite. 28. Fléchit encore un peu sur les genou
nnement. Hoév... Début. - Vers le 10 mai, par des douleurs dans les
jambes
, au niveau de la crête du tibia, surtout noctur
17, aurait eu pen- dant quelques jours 38°. Fléchissement sur les
jambes
. Symptômes à l'entrée. - Sensation de fatigue.
. Démarche un peu hésitante. Le malade peut se porter sur une seule
jambe
. 12. - Le malade peut se tenir sur la jambe dro
se porter sur une seule jambe. 12. - Le malade peut se tenir sur la
jambe
droite et sur la jambe gauche, mais en fléchiss
jambe. 12. - Le malade peut se tenir sur la jambe droite et sur la
jambe
gauche, mais en fléchissant légèrement sur la j
roite et sur la jambe gauche, mais en fléchissant légèrement sur la
jambe
droite. 28. Fléchit encore sur les genoux, en d
éminé à 7 h. Etat psychique flou ; nuit agitée. Douleurs dans les
jambes
et dans les cuisses. Douleurs à la pression dans
T. : 37°6. Pas de taches rosées. Teinte ictérique de la peau. Les
jambes
sont extrêmement douloureuses. Nouvelle ponctio
éphalée persiste, mais beaucoup moindre, ainsi que les douleurs des
jambes
. Constipation. , 19. - Dans les masses musculai
crée. La céphalée a disparu. Quand on demande au malade de lever la
jambe
au-dessus du plan du lit, il n'y arrive pas ; m
lein travail, apparition subite de douleurs violentes dans les deux
jambes
avec impossibilité subite de marcher; dans l'ob
ai, apparition brusque de fièvre et dé douleurs très vives dans les
jambes
empêchant le mouvement ; dans l'observation VII
nt ; dans l'observation VIII, le mai, douleur et faiblesse dans les
jambes
(de même dans les observations IV, II, III) ; c
s IV, II, III) ; crises douloureuses dans les os et les muscles des
jambes
et des cuisses, avec inappétence dans l'observa-
vasion éclate souvent par des douleurs vives dans les mus- cles des
jambes
; douleur osseuse parfois (obs. X et V) ; souvent
ouleurs spontanées, lan- cinantes, à exacerbation nocturne dans les
jambes
et les genoux, s'accom- pagnent d'emblée de rai
les jambes et les genoux, s'accom- pagnent d'emblée de raideur des
jambes
et de difficulté de la marche. Dans l'observati
malade ne peut se lever à cause de la faiblesse et des douleurs des
jambes
. Dans l'obser- vation V, apparition subite, pre
bite, presque en plein travail, de douleurs très violentes dans les
jambes
, avec impossibilité de marcher ; puis dès le len-
r ; puis dès le len- demain, le malade ne peut se tenir debout, les
jambes
fléchissant sous lui. Hellier signale le début
ie des membres inférieurs : le malade ne peut plus se tenir sur ses
jambes
, non plus parce qu'il a mal, mais parce qu'il f
que partielle ; dans l'observation XI, le malade ne peut élever la
jambe
au-dessus du plan du lit ; mais quand on soulève
de fatigue extrême dans l'observation X, à de la faiblesse dans les
jambes
(obs. VIII) ; dans l'observation VII, Jour.... a
bres inférieurs, le malade ne pouvant que difficilement fléchir les
jambes
, avec marche spasmodique. De même, la démarche
ent n'avait pu se tenir debout, commence à pouvoir se tenir sur ses
jambes
, tente avec un appui d'abord, puis livré à lui-mê
faiblesse et de lassitude ; le malade se tient difficilement sur sa
jambe
gauche; au 25e jour, la démarche plus facile es
sitante, l'élévation des pieds étant très limitée et hésitante, les
jambes
flageolantes; le 24e jour, le malade peut march
ade peut marcher, mais très difficilement, les pieds traînants, les
jambes
fléchissantes; au 30e jour, démarche hésitante; a
e avec fléchissement sur les genoux ; au 39e, légère flexion sur la
jambe
gauche ; au lise, le fléchissement des genoux per
linique. Le malade raconte que depuis un mois il a des douleurs des
jambes
lors des mouvements ou des efforts, mais surtou
assium. Etat à l'entrée à la clinique. Il se plaint de douleurs des
jambes
. On ne trouve aucune éruption syphilitique, mai
) ( ? ). . 18. Le malade est revenu à la clinique. Les douleurs des
jambes
ne sont pas diminuées. Les éruptions cutanées a
iatique cause un peu de douleur. Pas de troubles de la motilité aux
jambes
. Sensibilité au tact et à la douleur normale. Réf
la douleur est normale. Maintenant pas de réflexes rotuliens. A la
jambe
gauche, il y a un réflexe achilléen faible. Les
et. Cet après-midi, le malade a des douleurs très intenses dans les
jambes
, et il se tourne dans son, lit et se lamente to
par les symptômes du côté des nerfs périphériques. Les douleurs des
jambes
ont été le phé- nomène le plus imposant, et ell
matite et du tremblement d'où est venu plus tardivement parésie des
jambes
, marche difficile et avec des jambes écartées, qu
u plus tardivement parésie des jambes, marche difficile et avec des
jambes
écartées, quelquefois douleurs aux jambes, pas
che difficile et avec des jambes écartées, quelquefois douleurs aux
jambes
, pas d'anesthésie ailleurs, mais la sensibilité s
nt (pendant les six dernières semaines de la vie) une paralysie des
jambes
. La moelle et le cerveau très mous (weich). Le di
leau clinique d'une poly- névrite avec douleurs très vives dans les
jambes
. Depuis, guérison constatée. Dans ces cas d'int
frictions. Pendant ce temps, des douleurs intenses ont commencé aux
jambes
. Le malade était au lit et s'est plaint jour et
sommeil et il ne pouvait manger. Depuis, on a constaté parésie des
jambes
, sensibilité normale, les troncs ner- veux sens
ibles à la pression, les réflexes exagérés, ataxie considérable des
jambes
, un peu d'ataxie des membres supérieurs et une pa
étaient marqués surtout aux membres supérieurs, peu développés aux
jambes
. Une anesthésie considérable, réflexes tendineu
ts. Le malade est venu à la clinique à cause de douleurs fortes aux
jambes
. Il pouvait parler de la première éruption de s
ied. C'est environ six mois après l'accident qu'il s'aperçut que sa
jambe
droite maigrissait, aussi bien en avant qu'en a
nous est adressé. L'atrophie est en effet extrêmement prononcée. La
jambe
droite est presque réduite à l'aspect d'un pilo
èrement, surtout le premier. A première vue, c'est l'atrophie de la
jambe
et du pied droit qui frappe, si bien que le mal
aussi à un moindre degré certes, mais d'une façon évidente, sur la
jambe
et le pied du côté opposé. La jambe gauche n'a
is d'une façon évidente, sur la jambe et le pied du côté opposé. La
jambe
gauche n'a plus sa forme tronconique normale, ell
es ou des sensations de fourmillements dans les cuisses ou dans les
jambes
. Aucun tronc nerveux ne présente d'augmentation
auche ; l'excitabilité mécanique des muscles antéro- externes de la
jambe
est presque nulle des deux côtés ; celle des musc
atrophie très pro- noncée de toute la musculature des pieds et des
jambes
et une atrophie légère de la partie inférieure
s prononcée du côté droit, et, comme il a subi un traumatisme de la
jambe
droite, on a tendance au premier examen à croire
atrice. D'ailleurs, il suffit d'un peu d'attention pour voir que la
jambe
droite n'est pas seule atteinte, que la jambe g
tion pour voir que la jambe droite n'est pas seule atteinte, que la
jambe
gauche l'est également, à un moin- dre degré, m
le lourd travail qu'elle fait à la campagne n'a jamais fatigué ses
jambes
. Si l'on examine l'état actuel de la malade, on
qui respecte les extrémités et la tête, de telle façon que tête et
jambes
donnent l'impression de ne pas appartenir au mê
tricipital. Trophicité. - Il y a des plaques de leucodermie sur les
jambes
. Les organes des sens sont normaux. Attention e
uille. L'inspection montre de suite un grand raccourcissement de la
jambe
droite. Voici les détails de l'examen radiograp
trouvait en même temps des anomalies bilatérales du squelette de la
jambe
. (1) P. HALBRON, Un cas de phocomélie et hémimé
penchant à la colère. Les malades disent qu'ils ont les bras et les
jambes
rompus, mais ils ne s'alitent que lorsque le fris
x membres inférieurs qu'aux membres supérieurs, plus mar- quée à la
jambe
gauche qu'à la jambe droite* Elle peut se tenir d
qu'aux membres supérieurs, plus mar- quée à la jambe gauche qu'à la
jambe
droite* Elle peut se tenir debout et mar- XXVII
on la soutient. Elle peut se tenir à croupetons en fléchissant les
jambes
, et se tient très bien assise. L'attidude des mai
ontracture et de parésie. Ainsi, en marchant, l'enfant fauche de la
jambe
gauche ; ses bras sont collés au corps, 304 . d
ysie du bras gauche en forte contracture. Paralysie spartique de la
jambe
du même côté. C'est-à dire une hémi- - plégie c
aralysie de la face et, en dernier lieu, apparut la paralysie de la
jambe
. 2° Des accès jacksoniens qui ont pris le côté
ns de rayons X et elle a déjà commencé des massages au bras gela la
jambe
gauches encore paralysés, mais flasques. Il y a
d'hémiplégie du côté gauche, avec complète paralysie du bras et de la
jambe
gauches, ainsi que de la partie gauche de la fa
peut parvenir à faire des mouvements défensifs avec les bras et les
jambes
. Le signe de Babinski se produit en extension a
mais oublie immédiatement qu'elles ont été chez lui. Parésie de la
jambe
et du bras gauche. 21. Le patient devient raide
deur prononcée de la nuque. Le signe de Lasègue se produit aux deux
jambes
. Du reste, une certaine augmentation de tonus dan
ions contrastent avec l'atrophie considérable de la cuisse et de la
jambe
. Il est assez régulièrement sphérique ; la peau e
galie, on a trouvé un épaississement évident des os du crâne et des
jambes
(Voir l'exa- men radiographique du crâne, fig.
tal, s'étendre de tout son long; les épaules touchent le sol et les
jambes
sont étendues. Il ne présente aucun phénomène o
d'avril, il reste complètement alité, couché sur le côté droit, les
jambes
fléchies sur les cuisses, les cuisses sur le bass
0 jours, on le laissa étendu snr le lit, avec extension au niveau des
jambes
, et contre : extension sur le tronc. Puis on ce
sillon transversal au-dessus de l'ombilic. Il peut se tenir sur ses
jambes
sans aides, pendant une ou deux minutes ; mais
s jambes sans aides, pendant une ou deux minutes ; mais bientôt ses
jambes
sont prises de tremblement et le malade cherche
inférieur droit est normale. A gauche, la flexion volontaire de la
jambe
sur la cuisse est incomplète, et l'adduction prov
her le malade sur le dos, les deux omoplates touchent le sol et les
jambes
sont complètement étendues, c'est-à-dire que l'ex
tomber ; il est resté à terre, le tronc fléchi sur le bassin et les
jambes
sur les cuisses. Tout son corps était enseveli,
e, il s'étend de tout son long, et les épaules touchent le sol, les
jambes
bien étendues. . Le 16 novembre, on fait subir
le bassin un angle de 120 à 130 degrés. Le corps repose plus sur la
jambe
gauche que sur la droite qui est légèrement flé
à redresser le tronc, l'occiput et les épaules touchant le sol, les
jambes
étant à peu près complètement étendues. Il est
ait à ce moment de fortes dou- leurs dans la région lombaire et ses
jambes
fléchissaient. Il avait en même temps des maux
de renard », le 10 août 1916, accroupi sur la pointe des pieds, les
jambes
fléchies sur les cuisses et les cuisses sur le
te, les deux omoplates sont au même niveau et touchent le sol, .les
jambes
sont eu extension. On ne voit pas de plis trans
la région lombaire. Il n'avait pas de plaie, mais une ecchymose aux
jambes
. Aidé de ses camarades, il a pu marcher pour ga
gauche. La mère a souvent noté que, si l'on cherchait à fléchir les
jambes
raides de l'enfant en appuyant la plante du pied
ent constamment en équin direct; ils ne peuvent être fléchis sur la
jambe
car il existe une rétraction manifeste du tendo
e grise (onguent mercuriel). « Ces frictions rendaient, dit-elle, les
jambes
plus souples ». Le diagnostic de tabes spasmo
osait que sur les orteils. Lorsqu'on voulait fléchir le pied sur la
jambe
, on sentait que des 2 côtés le ten- don d'Achil
soudure du tendon était parfaite. Le pied pouvait être fléchi sur la
jambe
norma- lement. Au mois de juin 1894, le pied-
ux. La mère a spontanément remarqué, il plusieurs reprises, que les
jambes
devenaient « plus molles », c'est-à-dire que le
que l'ensemble de sa santé s'est amélioré depuis. Déc. 1894. « Les
jambes
ont toujours de la ten- dance à se raidir ; l'e
ct et à la douleur était émoussée, et par places très affaiblie aux
jambes
et aux cuisses, plus à gauche qu'à droite. ' Le
t sèche. - ,ter septembre ( ! 0° jour de la maladie). Bras, face et
jambe
gauches très tuméfiés. Taches purpuriques sur l
ras, face et jambe gauches très tuméfiés. Taches purpuriques sur la
jambe
gauche. 4 septembre. Persistance de l'oedème. P
rt. Peau écailleuse sur tout le corps. Pigmentation des bras et des
jambes
. Plèvres, péritoine, péricarde et coeur normaux
abcès osseux. Le genou en est resté déformé. Tous les muscles de la
jambe
gauche sont d'ailleurs atrophiés. Les bras sont
voit encore les cicatrices, sur la fesse, la cuisse, le genou et la
jambe
, ainsi- qu'à l'avant-bras. ' . En résumé il est
Au genou el au jarret, même enveloppement adipeux, ainsi qu'à la
jambe
. Le pied est étroit et plat. Le bras et l'avant-b
Angelo marche l'échiné un peu ployée, les cuisses fléchies sur les
jambes
, à petits pas, d'une allure hésitante et serran
ment d'élévation. i Les mouvements d'extension et de flexion de la
jambe
sur la cuisse, de la cuisse sur le bassin s'exé
vous ren- drez compte* facilement. Voyez avec quelle exagération sa
jambe
gauche se fléchit sur la cuisse, voyez comme le
de déambulation : c'est le steppage. Notre malade steppe donc de la
jambe
gauche et cela d'une façon très prononcée. Indé
né- rescence dans tous les muscles du groupe antéro-exte1'lle de la
jambe
gauche A. droite, l'excitabilité électrique des
teurs et abducteurs de la cuisse ; une atrophie des mus- cles de la
jambe
et du pied, prédominante dans le domaine d'innerv
; mais au réveil, quand elle voulut se lever, elle s'aperçut que sa
jambe
gauche était paralysée. Cette paralysie était fla
ecine dans le service de M. le Dr B,,ti-tli', pour la paralysie de la
jambe
gauche. , t 1 Voici, en quelques mots, les pr
se servir d'un bâton. Léger oedème à partir du 1/3 inférieur de la
jambe
gauche et sur le dos du pied. Réflexe patella
he un peu diminué, le droit, est normal. Douleur à la llexion de la
jambe
sur la cuisse. Hyperesthésie cutanée à la régio
vertébrale. Sur la cuisse gauche, à la partie inféro-externe de la
jambe
et sur le dos du pied, quelques plaques d'anest
lans son lit me frappa. Elle s'était couchée sur le côté gauche. La
jambe
droite libre, était en flexion forcée.' D'une f
façon permanente, il existait dans presque toute l'étendue de cette
jambe
droite une douleur sourde, profonde, pénible, q
ancements douloureux, mais infiniment moins pénibles que ceux de la
jambe
droite, et survenant à des intervalles plus éloig
ed droit ; une diminution de la sensibilité à la face externe de la
jambe
, clans la région péron iére. 1 Enfin, à la pa
(9 octobre 1883), qu'elle commença par éprouver une douleur dans la
jambe
gauche qui apporta une gêne assez sérieuse pour
utant par le pied gauche (février 1894), a successivement envahi la
jambe
et la cuisse. Plus lard (novembre 1894), le bras
assez forte (39°). En voulant quitter son hamac il s'affaissa ; ses
jambes
étaient paralysées et fiasques. On le transport
es de son atteinte de paralysie. Actuellement, il est impotent delà
jambe
gauche qui est ballante, atro- phiée. Il peut e
auche qui est ballante, atro- phiée. Il peut encore se servir de sa
jambe
droite, qui a été moins touchée que celle de ga
e à un ingénieux appareil dont il est muni, et qui lui maintient la
jambe
gauche, il peut marcher sans trop de diffi- cul
façon progressive. Elle débute habituellement par les muscles de la
jambe
et du pied d'un côté, pour envahir ensuite les pa
plus souvent limitée à la partie postérieure de la cuisse et de la
jambe
, c'est-à-dire à une zone innervée par le petit sc
s fessiers et à ceux de la région postérieure de la cuisse et de la
jambe
, c'est-à-dire à un ter- ritoire innervé par des
malade, ainsi que vous avez pu le voir, marchait en steppant de la
jambe
malade. Habituellement aussi la difficulté de l
e sur la région du sa- crum s'est montrée une paralysie motrice des
jambes
, avec de l'engour- dissement, de la rétention d
gion fessière inférieure, à la face postérieure de la cuisse et des
jambes
, à la face plantaire des pieds (ou à la totalité
ion postérieure de la cuisse et à ceux de la face postérieure de la
jambe
, proviennent surtout des racines supérieures SU
es de la région postérieure de la cuisse, de tous les muscles de la
jambe
et du pied ; anesthésie de la face postérieure
t du pied ; anesthésie de la face postérieure de la cuisse et de la
jambe
, de la région plantaire, ou de toute la surface
a région postérieure de la cuisse, et à la totalité des muscles des
jambes
et des pieds. L'examen électrique des muscles par
LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 105 tie postéro-latérale de la
jambe
; enfin, au pied, l'anesthésie ne respecte qu'u
nger de place qu'en les prenant avec son bras droit, en poussant sa
jambe
gauche avec sa droite, ce qui est resté ainsi jus
nsi jusqu'à la nuit du 11 au 12 août 1731. Que même sa cuisse et sa
jambe
gauches se retirèrent de façon qu'elle avoit un
ofond pour y pouvoir mettre le poing, et que, comme les nerfs de la
jambe
s'étoient retirés, cette jambe paroissoit considé
poing, et que, comme les nerfs de la jambe s'étoient retirés, cette
jambe
paroissoit considérablement plus courte que l'a
tte jambe paroissoit considérablement plus courte que l'autre... Sa
jambe
gauche étoit toute retirée en arrière et comme re
; déjà son bras a repris la vie, la chaleur et le mou- vement ; sa
jambe
retirée et desséchée se déploie el s'allonge ; dé
t; elle se lève seule,elle se soutient sur le bout du pied de cette
jambe
qui depuis si longtemps étoit beaucoup plus cou
agnant d'atrophie musculaire. En effet, au bout de huit mois, « ses
jambes
se desséchèrent si entièrement NOUV 1CONOOB. DF
scles élévateurs, del- toide, grand dentelé ; dans la flexion de la
jambe
sur la cuisse, celle-ci demeu- rant dans le voi
le bassin est maintenue horizontale. Dans ce cas, l'extension de la
jambe
est produite par l'extenseur triceps fémoral, qui
ps fémoral, qui entre encore en contraction dans le mouvement de la
jambe
en sens inverse, etc., etc... Dans tous les c
et abaissement de l'épaule s'observent du même côté, du côté de la
jambe
qui supporte tout le poids du corps. Le hanche-
n est fréquente celle sorte de station, il suffit d'admettre que la
jambe
droite est celle qui supporte le plus souvent le
de la peau du dessus du pied gauche et de la surface antérieure de la
jambe
gauche. L'anesthésie de la peau comprend toutes
ns. Anesthésie à la douleur des extrémités gauches. Faiblesse de la
jambe
gauche. Grâce il un traitement fortifiant, l'eczé
nées d'un eczéma récidivant du dessus des mains, des cuisses et des
jambes
. Anesthésie il la la douleur des extrémités sup
Anesthésie il la douleur des mains, des bras, de la poitrine et des
jambes
. (Fig. 44) , XI. Un soldat de 25 ans est affect
gau- che, qui s'est trouvé paralysé en même temps que le bras et la
jambe
du côté droit. Ce serait donc encore un type d'
ble. Depuis un an, il a quelques vertiges, des soubresauts dans les
jambes
et s'aperçoit que sa langue et la prononciation
, on le relève et c'est alors qu'il s'aper- çoit que son bras et sa
jambe
du côté droit sont paralysés. La face reste in-
té des membres. Du côté gauche, le bras est parfaitement normal, la
jambe
a un peu perdu de sa force, mais a gardé tous ses
e en flexion. L'avant-bras est fléchi à angle droit sur le bras, la
jambe
à angle aigu sur la cuisse, le pied venant touche
oitre parenchymateux. Pas d'oedème, Il existe une contracture de la
jambe
sur la cuisse droite et de l'avant-bras sur le br
ciale, il constate que ses douleurs de tète, de l'entre-côte et des
jambes
augmentent. Il se fait alors construire un casq
ureux, l'un le dos complètement tourné et la tète baissée tient les
jambes
, l'autre, de profil, maintient d'une main le br
ex- plique mal cependant la nécessité de faire lier les bras et les
jambes
d'un homme pour le mettre il la porto, quand un
nt intéres- sant par ses attitudes et son faciès, a les bras et les
jambes
emprison- nés dans des menottes en l'et- qui pa
el l'affection paraissait avoir débuté, huit ans auparavant, par la
jambe
droite pour se généraliser ensuite à presque tout
anches serrées aux poignets, fendue sur le côté et laissant voir sa
jambe
droite prise dans une sorte de maillot blanc. Ses
ou. L'opéré est un gros petit »homme à ventre tout rond, et courtes
jambes
. Il est assis sur un massif fauteuil de bois fi
s et d'estropiés ; un cul-de-jatte qui se traine sur le ventre, les
jambes
en l'air, atteint au summum des difformi- tés h
duquel on voit comme le goulot d'une bouteille. Bien campé sur ses
jambes
, le corps rejeté en arrière, audacieusement, il
le femme tout à fait grotesque est assise dans un grand panier, une
jambe
passée par dessus le bord, un pot en équilibre
etit malade accusait quelques fourmillements insignifiants dans les
jambes
. 1 Depuis cette époque, nous avons revu l'enfan
le clonus du pied y fait défaut. Vous voyez que, dans la marche, la
jambe
droite traîne et que le pied correspondant frot
haut par la contraction des muscles de la partie postérieure de la
jambe
; celle-ci est étendue sur la cuisse et la cuiss
ourmis lui couraient partout dans le corps, dans les bras, dans les
jambes
, dans la tête. ' - 1 ils, , Elle était agitée p
la malade avait des bâillements et sentait sa boule l'étouffer. Les
jambes
ne furent pas prises. La durée de cette crise f
é- cédentes et se montrant tous les quinze jours. Cette fois, les
jambes
sont prises ; la malade a de la raideur et de l'e
elle pouvait marcher. Ce n'est qu'au bout de 5 ou 6 crises que les
jambes
ont été envahies, les crises allant d'ailleurs en
urs du quatrième mois, encore plus accusées que précé- demment. Les
jambes
sont contracturées ; les cuisses en adduction; le
emment. Les jambes sont contracturées ; les cuisses en adduction; les
jambes
en rotation interne ; les pieds, en extension f
raissent les crises tétaniformes avec participation des bras et des
jambes
comme précédemment. Le tronc et la face ne sont p
"; Glace). Mêmes zonos anesthésiques sur la partie inférieure de la
jambe
s'arrêtant ;1 l'articula- 290 NOUVELLE ICONOGRA
plir de hauts faits d'armes. Aujourd'hui, il est bien mal loti : sa
jambe
droite, repliée et racornie, repose sur un pilo
son ventre respec- table sanglé d'une ceinture de cuir, ses petites
jambes
prises dans des bas blancs mal tirés et les pie
llection Steengracht se trouve un curieux estropié, amputé des deux
jambes
, marchant sur les ge- noux à l'aide de courts p
ffé d'un haut bonnet, proprement vêtu ; un petit tablier couvre ses
jambes
, il sa ceinture pend une trousse de couteaux.
grossier tabouret de bois, le bas tombé sur la cheville laissant la
jambe
à nu; sur sa tête est un bonnet jaune avec un g
lle ressentit une sorte d'engour- dissement et de faiblesse dans la
jambe
etlepied droits; lepied était glacé. La malade
e continua à marcher durant 5 jours encore, mais la faiblesse de la
jambe
droite augmenta au point qu'elle dut s'aliter; el
e 4 douches. Le lle jour de la mala- die l'engourdissement gagna la
jambe
gauche; le lendemain cette jambe, sur laquelle.
la- die l'engourdissement gagna la jambe gauche; le lendemain cette
jambe
, sur laquelle.la malade s'appuyait en prenant s
rès intense et très per- sistante de froid qui occupe le pied et la
jambe
droite et s'arrête au-dessus des mollets. Elle
bres supérieurs ; seuls les muscles de la région anté- rieure de la
jambe
, les péroniers, les muscles de la région postérie
me temps la malade éprouvait une certaine difficulté à marcher, ses
jambes
ployaient sous elle et elle avait la sensation de
Le 26 octobre 1892 la malade ressentit un engour- dissement dans la
jambe
droite, qui devint bientôt impotente; au bout de
ôté du sphincter anal. Deux jours après le début des accidents la
jambe
gauche se prenait de la même façon que la droit
violacées ou noirâtres sur les pieds et à la partie inférieure des
jambes
; ces marques, qui paraissent avoir été ecchymotiq
y détermine la formation d'un godet profond; à la face externe des
jambes
on voit des vergetures violacées qui sont la co
e produit quelquefois des mouvements spasmodiques involontaires des
jambes
, surtout de la jambe droite ; ce sont des secou
des mouvements spasmodiques involontaires des jambes, surtout de la
jambe
droite ; ce sont des secousses rapides qui se pro
s avant la para- plégie définitive, douleurs paroxystiques dans les
jambes
. A part cela, l'évolution des accidents et leur
. Prédominance sur les muscles de l'épaule gauche et sur ceux de la
jambe
droite, face légère- ment atteinte, hypertrophi
quelques jours il ne peut depuis se servir de son bras gauche, ses
jambes
com- mencent a perdre leurs forces il y a sept
ents se font assez facilement excepté le mouvement de flexion de la
jambe
sur la cuisse, couché le malade ramène dillicilei
ent atrophiés dans tous les segments du membre mais surtout dans la
jambe
: le pied est dans une position vicieuse, il es
ension que ceux de flexion. L'atrophie des masses musculaires de la
jambe
semble porter autant sur les muscles de la part
de la région antéro- latérale, cependant la flexion du pied sur la
jambe
est impossible, tandis que le malade résiste as
assez péniblement surtout depuis trois mois. Le malade s'avance les
jambes
écartées, le pied droit dont la pointe tombe lé
ons relevées à la date du 12 novembre 1895 : au lieu qu'à gauche la
jambe
a 24 centimètres de circonférence au tiers infé
e a surtout porté sur les muscles de la région antéro-externe de la
jambe
. Nous pensons qu'il s'agit dans ce cas d'une my
t le ment- 1 bre supérieur droit s'est mis trembler et plus tard la
jambe
droite. La mâchoire inférieure tremble depuis d
la même marche qu'à droite : d'abord le membre su- périeur, puis la
jambe
qui, même actuellement, n'est que peu- atteinte.
nt penché en avant, les avant-bras fléchis et collés au corps ; les
jambes
demi-fléchies en un mot l'aspect d'un vieillard
ocalisés d'abord à la main droite, ont envahi peu à peu le bras, la
jambe
du même côté, puis le côté opposé du corps, de
le corps de l'homme sain en qua- tre segments : tête, cou, tronc et
jambes
. Les axes de ces différents segments sont. resp
erser en arrière, est au contraire très incliné en avant. L'axe des
jambes
subit aussi une inclinaison de sens inverse pour
u moins voûté, comme s'ils étaient toujours prêts à se.lever. Les
jambes
ne sont jamais repliées en arrière sous le sièg
ion des réflexes patellaires, finalement une paralysie complete des
jambes
. Accidents qui rétrocèdent sous l'influence d'onc
de d'un coude sur l'oreiller, tire à lui le tronc et finalement les
jambes
après lui. Pour se lever du lit, il laisse pend
tant, non syphilitique. D'abord douleurs avec affaiblissement de la
jambe
gauche et né- vralgie intercostale du même côté
s muscles, diplopie, sensation defroid intense et.continue dans les
jambes
; paralysies dissociées du sens de la températu
s. On les rencontre moins souvent sur la poitrine, le ventre, les
jambes
. Parmi les tatoués il y avait : 66 criminels d'ha
ons donné un manuel opératoire pour le traitement de l'ataxie des
jambes
et posé quelques indications et contre-indication
ion, abduc- tion, etc. , Mouvements coordonnés simples : lever la
jambe
à une cer- taine hauteur, llécbir l'avant-bras
plus ou moins com- pliqués. - Pour le traitement de l'ataxie des
jambes
on a recours aux exercices suivants : 1° Exerci
ces au lit. Le malade étant couché sur un lit ou sur un canapé, les
jambes
nues, la tête soulevée pour qu'il puisse voir s
anapé, les jambes nues, la tête soulevée pour qu'il puisse voir ses
jambes
. Dans cette position il devra exécuter successi
adduction et de nouveau retour à la ligne médiane. ? 6° Lever la
jambe
d'une seule pièce, sans faire de mouvements de
jambe d'une seule pièce, sans faire de mouvements de zigzag; 7° la
jambe
étant levée faire des mouvements d'ad- duction
duction et d'abduction dans l'articulation coxo-fémorale ; 8° la
jambe
étant levée, faire avec celle-ci des mouvements d
ulation coxo-fémorale en décrivant avec le pied un cercle; 9° Les
jambes
sont allongées et rapprochées l'une de l'autre,
'asseoir dans son lit, sans s'appuyer sur ses mains et sans que les
jambes
bougent ; 10° le même mouvement avec cette diff
les fera plus régulièrement on lui demandera de ne pas regarder ses
jambes
pendant qu'il fait les exercices, et enfin il d
raitement il est très important que les malades puissent voir leurs
jambes
. Exercices d'équilibre statique. Le malade est
e 166 . ' CLINIQUE NERVEUSE. gymnastique; z,161, se tenir sur une
jambe
; 17° en se tenant sur une jambe fléchir légère
mnastique; z,161, se tenir sur une jambe ; 17° en se tenant sur une
jambe
fléchir légèrement le genou. - Exercices de loc
13, 1893). 168 clinique NERVEUSE. et repris confiance dans leurs
jambes
, à des promenades d'une longueur insensée, et i
bilise le corps, il élargit la base de sustention, en écartant les
jambes
et en plaçant les pieds au dehors. Pour remédier
nsibilité de l'articulation du genou, il la supprime, en tendant la
jambe
au maximum et en avançant la jambe d'une seule
u, il la supprime, en tendant la jambe au maximum et en avançant la
jambe
d'une seule pièce. Pour s'orienter dans l'espac
ination motrice était développée, d'une façon-inégale dans les deux
jambes
. Or, si on étudie les tabé- tiques de près', on
euf malades on n'en trouvera qu'une seule (Cas. V) chez laquelle la
jambe
droite était plus incoordonnée que la ' Fournie
p. 333. , , TRAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE TABES DORSALIS. 1 75
jambe
gauche. Ce n'est pas seulement l'ataxie qui est p
hode de Frenkel fait ressortir encore davantage l'infériorité de la
jambe
gauche chez le tabétique. C'est toujours celle-
. C'est toujours celle-ci qui s'améliore le moins vite. C'est cette
jambe
que le malade qualifie de mauvaise. C'est la ja
ite. C'est cette jambe que le malade qualifie de mauvaise. C'est la
jambe
gauche qui lui « refuse d'obéir». Il nous semble
tellement vive, qu'ils poussent des cris et retirent violemment la
jambe
. Cette sensasion se produit indépendamment de l'a
rner dans son lit. Désordre le plus complet dans les mouvements des
jambes
. Les deux pieds dans la position de varo-équin,
ins intenses. Tous les malades affirment qu'ils sentent mieux leurs
jambes
, qu'ils les « perdent moins » dans le lit, que
eux leurs jambes, qu'ils les « perdent moins » dans le lit, que les
jambes
sont moins froides et moins engourdies. Les mal
e différentes paresthésies : sen- sation de bandes trop serrées, de
jambes
en coton, de rai- deur, etc. Nous n'avons jamai
urés après le moindre effort musculaire, ils se sentent lourds, les
jambes
en plomb, ils accusent des contractions et des
dizaine de nuits) une forte crise de douleurs fulgurantes dans les
jambes
éclata. Le professeur Germain Sée diagnostiqua
l marchait déjà très difficilement en s'appuyant sur une canne. Les
jambes
étaient lourdes et le pied gauche lui semblait
c de l'ex- trait testiculaire. Elles n'ont aucune influence sur ses
jambes
, dont l'incoordination s'aggrave de plus en plu
malade ne reconnaît pas la position qu'on donne à ses pieds et aux
jambes
. Dans les articulations des genoux et des hanch
ut les pieds joints. 11 ne peut pas non plus se tenir sur une seule
jambe
. Aussitôt qu'il ferme les yeux, il chancelle et
l ne frappe pas le sol avec le talon, il ne déplace pas non plus la
jambe
d'une seule pièce. Il a plutôt la démarche titu-
le fait trébucher. Après avoir marché pendant quelques minutes, les
jambes
devien- nent lourdes, et il a toutes les peines
. Même dans son appartement il se sert d'une canne pour marcher. La
jambe
gauche a tous les mouvements plus incoordonnés
a de temps en temps des douleurs fulgurantes aux pieds et dans les
jambes
. La crise dure parfois plusieurs jours et empêc
ment tous les exercices, même les plus difficiles (se tenir sur une
jambe
, marcher sur la pointe des pieds, marcher à rec
gagnèrent d'abord la tête et le tronc, puis les bras et enfin les
jambes
. Au bout de vingt-cinq jours, l'affection resta s
tension peu marqués et de très faible amplitude à la cuisse et à la
jambe
, plus accentués aux pieds qui, tour à tour, éte
es fessiers, ceux de la région postérieure de la cuisse, ceux de la
jambe
et du pied, ainsi que le sphincter anal, le relev
nt alors elle se limite à la face postérieure de la cuisse et de la
jambe
, régions innervées par le nerf petit sciatique
orne presque toujours aux muscles postérieurs de la cuisse et de la
jambe
, tous muscles innervés par des branches du plexus
ans environ par des douleurs vagues dans la région lombaire et aux
jambes
, sur- tout du côté gauche. Quelque temps après
omènes prémonitoires consistant en douleurs violentes dans les deux
jambes
, douleurs survenant par REVUE DE PATHOLOGIE NER
. Prédominance sur les muscles de l'épaule gauche et sur ceux de la
jambe
droite, face légèrement atteinte, hypertrophie
les extrémités sont violacées. OEdème considérable des pieds et des
jambes
avec température très basse de la peau. A l'aus
lade en voulant se lever le matin de son lit, s'est aperçue que ses
jambes
- ne la portaient pas et elle s'est affaissée p
paralysée, puisqu'elle se rappelle bien qu'elle pouvait remuer ses
jambes
au lit. C'est dans cet état qu'elle fut transport
douleur. A cette époque la malade ne pou- vait pas se tenir sur ses
jambes
, ni se servir de ses mains. On était forcé de l
onne ou fait un noeud à son jupon. Extrémités inférieures. Les deux
jambes
sont également et uniformément amaigries. La fo
La force musculaire est bonne. Un peu plus faible cependant dans la
jambe
gauche. Rien d'anormal aux articulations. Sen
lement bien sentis. Sensibilité musculaire et articulaire. < :
Jambe
droite. Dans cette jambe la malade sent tous les
sibilité musculaire et articulaire. < : Jambe droite. Dans cette
jambe
la malade sent tous les mou- vements qu'on impr
s mou- vements qu'on imprime aux différentes articulations de cette
jambe
. TRAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE TABES DORSALIS.
és, elle exécute tous les mouvements régulièrement sans saccades.
Jambe
gauche. Ici la malade ne sent pas du tout les mou
pas du tout les mouve- ments qu'on imprime aux articulations de la
jambe
. Les yeux fer- més, elle exécute les mouvements
nomène est également pro- noncé à gauche et à droite. Motilité.
Jambe
droite. Il n'y a aucun trouble d'incoordination d
Jambe droite. Il n'y a aucun trouble d'incoordination dans celte
jambe
. La malade exécute tous les mouvements avec une
e régularité absolue, les yeux ouverts ainsi que les yeux fermés.
Jambe
gauche. Le pied gauche se trouve dans une positio
quin par suite d'un relâchement des muscles antéro-ex- ternes de la
jambe
. Ce n'est qu'avec beaucoup de peme que la malad
e que la malade arrive à redresser le pied. Les mouvements de cette
jambe
sont fortement incoordonnés. Cette incoordinati
u'avec le pied droit, en rejetant le corps fortement en arrière. La
jambe
gauche ballotte, comme si elle était complèteme
out la malade est incapable de con- tracter un seul muscle de cette
jambe
. On les sent du reste com- plètement flasques.
marche pas. Soutenue des deux côtés sous les bras elle saute sur sa
jambe
droite, ou glisse sur le pied droit. La jambe g
ras elle saute sur sa jambe droite, ou glisse sur le pied droit. La
jambe
gauche balance dans tous les sens et reste comp
UE NERVEUSE. lonté à amener des contractions dans les muscles de la
jambe
gauche. On commence à sentir une certaine résis
e gauche. On commence à sentir une certaine résistance dans cette
jambe
. Elle apprend successivement à exécuter toute la
partir du moment où elle commence à s'appuyer convenablement sur la
jambe
gauche le progrès devient de nou- veau très rap
in- sensibilité articulaire et musculaire persiste toujours dans la
jambe
gauche. Dans le courant de juin la malade fait
tude et le lendemain en voulant se lever elle s'est aperçue que ses
jambes
ne la. portaient pas et elle éprou- vait des do
a surface des pieds et à la plante, de trente à vingt secondes à la
jambe
jusqu'au genou. A la cuisse de cinq à trois sec
température est normale. 3lotilité. - Les muscles des bras et des
jambes
sont bien con- servés et la force musculaire es
s inférieures. Les yeux fermés, la malade ne sait pas où sont ses
jambes
et elle n'a aucune notion de la position qu'on le
s par suite d'une forte contrac- tion des muscles postérieurs de la
jambe
. TRAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE TABES DORSALIS.
Elle pousse des cris d'angoisse. Si on la déplace, elle laisse les
jambes
en arrière qui s'enchevêtrent. Debout elle n'est
ut elle n'est pas capable de faire un mouvement quelconque avec ses
jambes
. Réflexes. Les réflexes rotuliens et plantaires
ris a dominer assez convenablement les contractions musculaires des
jambes
. Elle corrige bien la position vicieuse des pie
le peut se retourner et s'asseoir dans son lit. Elle sent mieux ses
jambes
, qui ne sont plus pour elle un corps étranger l
ster, la malade parlait tout de suite d'une bonne et d'une mauvaise
jambe
. C'est la gauche qui était la mauvaise jambe. En
onne et d'une mauvaise jambe. C'est la gauche qui était la mauvaise
jambe
. En effet la coordination s'améliorait beaucoup
fet la coordination s'améliorait beaucoup plus lentement dans celle
jambe
que dans la jambe droite. Mais la partie la plu
n s'améliorait beaucoup plus lentement dans celle jambe que dans la
jambe
droite. Mais la partie la plus difficile du tra
de se fatiguer, commence à sentir une certaine lassi- tude dans les
jambes
. A cette époque aucun autre phénomène mor- bide
écembre 1893 cette lourdeur des senoux s'accentue, la faiblesse des
jambes
augmente plus particu- lièrement dans la jambe
e, la faiblesse des jambes augmente plus particu- lièrement dans la
jambe
gauche qui bientôt est incapable de la porter.
resque titubante. A ce moment la malade souffre de crampes dans les
jambes
très dou- loureuses. La faiblesse augmente touj
continu, d'un engourdissement aux membres inférieurs. Elle perd les
jambes
dans son lit. Quand elle marche elle ne sent pa
ations des membres inférieurs, et exécute les yeux ouverts avec les
jambes
, très régulièrement, tous les mouvements qu'on
e monter des escaliers. L'incoordination est plus accentuée dans la
jambe
gauche que dans la droite. Les réflexes rotul
re de longues promenades toute seule. Elle se sent d'aplomb sur ses
jambes
, les genoux ne fléchissent plus. Le 15 juin la
maladie. En août et septembre 1892 douleurs ful- gurantes dans les
jambes
et à la partie inférieure des cuisses, dou- leu
e sauf à la plante des pieds, où la sensibilité est assez vive. Aux
jambes
la sensibilité est obtuse. Le pincement et la p
ins aussi longs. Ces douleurs, toujours localisées aux pieds et aux
jambes
, ne dépassent pas le genou, empêchent souvent l
ations, ni du degré de contraction de ses muscles. Si on croise ses
jambes
, elle ne sait pas quelle jambe est dessus, laqu
on de ses muscles. Si on croise ses jambes, elle ne sait pas quelle
jambe
est dessus, laquelle dessous. Le pied droit est
légèrement renversé en varo- équin. Les différents mouvements des
jambes
au lit ^flexion, extension, TRAITEMENT DE L'ATA
ement. Elle marche en frappant du talon le sol et en dépla- çant la
jambe
d'une seule pièce, de temps en temps, les genoux
nades dans le jardin, monte et descend les escaliers. Elle sent ses
jambes
plus déliées. Depuis longtemps, elle n'est plus
que. Cependant la malade affirme qu'elle se sent plus ferme sur ses
jambes
. Elle marche sans canne, sort dans le jardin, f
mois d'août 1893 douleurs fulgu- rantes dans les cuisses, dans les
jambes
et aux orteils. A cette époque le malade marcha
'L'ATAXIE DANS LE TABES DORSALIS. 3S1 Extrémités inférieures. - Les
jambes
sont uniformément mai- grès, mais la force musc
la douleur aux extrémités inférieures. Hyperesthésie au froid aux
jambes
et sur tout le corps, excepté les bras, le cou et
son lit sans s'appuyer sur ses mains. S'il essaie de le faire, ses
jambes
se lèvent en l'air, surtout la gauche. Assis. E
de ressort et son corps est projeté en avant. Une fois debout, les
jambes
du malade sont agilées par des mouvements conti
essaie bien de faire un pas en avant, mais il lève démesurément la
jambe
, la lance par terse e avec le bord externe du p
vec le bord externe du pied Les pieds se lèvent. Tout d'un coup une
jambe
se lève malgré lui. Le corps reste en arrière. Br
que le malade est agité par des mouvements de la grande chorée. Les
jambes
se croisent, les pieds s'enchevè- trent et le m
m- mencé à se manifester, on a toute suite pu s'apercevoir que la
jambe
gauche obéissait moins et restait plus désordonné
issait moins et restait plus désordonnée dans ses mouvements que la
jambe
droite. Le traitement a eu chez ce malade une i
en péchant la crevette, il sentait en marchant une raideur dans les
jambes
. En essayant de courir il s'aperçoit que la cou
eures. Sensibilité.-Le frôlement n'est pas senti sur la surface des
jambes
, y compris la plante des pieds, jusqu'à la haut
embres inférieurs. Le froid est bien senti sur toute la surface des
jambes
, le chaud moins nette- ment. Phénomène planta
autres articulations ne présentent rien d'anormal. Les muscles des
jambes
sont très bien développés et la force musculair
on, extension, adduction, abduction). Elle est plus accusée dans la
jambe
gauche que dans la droite. Debout. Le malade
Il déplace la TRAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE TABES DORSALIS. 385
jambe
d'une seule pièce, jette le pied en dehors et fra
n'a pas été modifiée par le traite- ment. L'anesthésie tactile des
jambes
s'est un peu améliorée. Elle existe cependant t
e légère amélioration dans la sensibilité musculo-articulaire de la
jambe
droite. Ainsi dans l'articulation du genou et d
l'articulation du pied droit et dans toutes les articulations de la
jambe
gauche le malade sent qu'on imprime des mouveme
1891, le malade tombe de bicyclette et se fracture le péroné de la
jambe
droite avec luxation du pied. A la suite de cet
ure. Au mois de mars 1893 le malade sent de la gêne en marchant. La
jambe
gauche restait en arrière. A cette époque le si
la figure pendant la toilette. L'incoor- dination motrice dans les
jambes
se développe très rapidement. Vers la fin de l'
rémités inférieures. Sensibilité. - Anesthésie tactile sur toute la
jambe
droite jusqu'au pli inguinal; le toucher est norm
ollet et sur la surface antérieure de la cuisse. Sur le reste de la
jambe
gauche anesthésie tactile. Anesthésie tactile s
lante et sur le dos des pieds. Ce retard est moins prononcé sur les
jambes
jusqu'aux genoux. Un peu d'hypoesthésie à la piqû
avec un certain retard et persiste pendant quelques secondes. Les
jambes
sont maigres, mais la force musculaire est bien c
o-équin par suite d'un relâchement des muscles antéro-externes delà
jambe
. Par un effort de volonlé le malade parvient à
ofonde (articulaire, musculaire) est profondément troublée aux deux
jambes
. Si on lui croise les jambes, le malade, ayant
re) est profondément troublée aux deux jambes. Si on lui croise les
jambes
, le malade, ayant les yeux fermés, ne sait pas
se les jambes, le malade, ayant les yeux fermés, ne sait pas quelle
jambe
est dessus, laquelle dessous. Il n'a aucune not
et il ne sait pas apprécier le degré de contraction des muscles des
jambes
(les yeux fermés naturellement). Tous les mouve
des jambes (les yeux fermés naturellement). Tous les mouvements des
jambes
au lit, même les plus simples, sont très irrégu
r s'asseoir il ne fléchit pas les genoux, mais se laisse tomber les
jambes
raides. Les pieds volent en l'air quand il tomb
e. Pendant la marche les genoux fléchissent brusquement, tantôt une
jambe
refuse de suivre, et le malade reste comme collé
es pieds joints. Il peut se tenir pendant quelques secondes sur une
jambe
. Enfin il exécute assez bien tous les exercices
oration de la sensibilité musculo-articulaire. Si on lui croise les
jambes
, il reconnaît main- tenant quelle jambe est des
aire. Si on lui croise les jambes, il reconnaît main- tenant quelle
jambe
est dessus, laquelle est dessous. Le malade aya
l'âge de cinq ans. Début du tabes.- En 1882, le malade sentait ses
jambes
lourdes, il lui semblait qu'il marchait sur du
lait qu'il marchait sur du coton. Il n'était pas très ferme sur ses
jambes
. A cette époque sensation de ceinture serrée et d
erg dès le début. En 1885, douleurs fulgurantes dans les pieds, les
jambes
et dans les trois derniers doigts de la main ga
e qui l'accompagne. Dès le début de la maladie, c'était toujours la
jambe
gauche qui était la plus mauvaise, elle lui obé
ieures. Sensibilité. Le toucher est normal sur toute la surface des
jambes
, excepté à la plante des pieds, où le malade se
ard est de quatre à cinq secondes. A mesure qu'on monte le long des
jambes
ce retard diminue. Il disparaît à la hauteur des
aux articulations. Incoordinaton.- Couché. Quand le malade lève la
jambe
droite d'une seule pièce, il se produit un mouv
pied est dirigée en dehors. Ce phénomène est plus prononcé dans la
jambe
gauche, puisqu'elle est violemment entraînée en
e, si le malade essaie de s'asseoir sans s'appuyer de ses mains les
jambes
se sou- lèvent, surtout la gauche. Debout. Le
Debout. Le malade ne peut pas rester debout les pieds joints. Les
jambes
et les pieds sont agités de mouvements. Le pied g
survenue dans la première enfance, et ayant en outre un bras et une
jambe
frappés d'impotence fonctionnelle. La mère, div
préciable de violentes douleurs dans la partie postérieure des deux
jambes
. Le moindre mouvement des membres, la moindre p
ortes à gauche. L'examen élec- trique fait constater, dans les deux
jambes
, une légère diminution del'excitabilitégalvaniq
noux semblent normaux; quand il est debout, la cuisse forme avec la
jambe
un angle obtus ouvert en avant, la tuberosilé tib
ns le Rhône, où il - resta la tête sous l'eau quelques minutes, les
jambes
prises sous la terre éboulée; on le sortit de l
transpiration beaucoup plus abondante que du côté opposé. Rien à la
jambe
. Quatre ans plus tard, c'est-à-dire il y a troi
e M. IIanot; aucun nouvel accident depuis cette époque, sauf que la
jambe
du côté gauche commença s'affaiblir comme le br
de troubles bien accentués dans la position et les mouve- ments des
jambes
. Le bras droit n'est pas agité pendant la marche,
résultats identiques à la mensuration, les bras, les cuisses et les
jambes
également. Le malade est d'ailleurs parfaitemen
vers la partie moyenne du dos et au niveau de l'épaule droite. Les
jambes
n'étaient pas paralysées; elles n'étaient pas n
près elles des cicatrices étoilées, blanchâtres. Sur la peau de- la
jambe
, de la cuisse et du genou droit des bulles semb
degré très prononcé de contracture des avant-bras sur les bras, des
jambes
sur les cuisses et des cuisses sur le bassin, l
membre inférieur, la différence est notable entre la cuisse et la
jambe
, de même qu'entre le haut et le bas de la jambe,
tre la cuisse et la jambe, de même qu'entre le haut et le bas de la
jambe
, où il acquiert son minimum d'épaisseur. On v
à la suite d'une contrariété, avait été prise d'un tremblement des
jambes
et des membres supérieurs qui gênait considérab
s (attitude du serment pour les membres supérieurs; extension de la
jambe
pour les membres infé- rieurs, etc.). Par con
arent, soit que le malade se tînt debout, soit qu'il fut assis, les
jambes
fléchies à angle droit sur les cuisses, et la p
alors d'une sensation d'agacement dans les genoux, il écartait les
jambes
comme pour assurer son attitude, mais le dérobe-
eoir. Pendant la marche, ces flexions brusques et involontaires des
jambes
gênaient notablement le malade. Il marchait les
ontaires des jambes gênaient notablement le malade. Il marchait les
jambes
écartées, avec un léger balancement du tronc ca
rs mois, il présentait, lui aussi, ce phénomène de dérobement des
jambes
qui- n'existait chez Hacq... que dans les période
tant faite, ce trouble fonctionnel très particulier (dérobement des
jambes
) est-il uniquement dû au tremblement ? est-il u
Marie. C'est précisément parce que ce trouble moteur (dérobement de
jambes
) se voit communément chez les malades de cette
, un peu au-dessus de la rotule (le malade étant assis ou tenant sa
jambe
horizontalement étendue). Lorsque les oscillati
igué qu'autrefois. Pendant le jour il avait cons- tamment « mal aux
jambes
» ; c'était une sorte d'énervement, d'agacement,
ur ses membres inférieurs ; il était obligé d'écarter largement les
jambes
pour garder l'équilibre lors- qu'il était sur s
unesontdes membres postérieurs d'homme, quelquefois seule- ment des
jambes
et des pieds de bouc. Leur tête est plus humaine
matin, elle avait ressenti une vive douleur à la face interne de la
jambe
droite. Elle fut toute sur- prise en s'habillan
be à l'eau en jetant l'épervier; la corde s'embarrasse autour de sa
jambe
gauche et le retient au fond de l'eau : toute l
'accident et, un beau matin, elle se réveille contracturée des deux
jambes
: tous les cas sont coulés dans le même moule.
t aucune déformation de la colonne vertébrale, aucune faiblesse des
jambes
. C'était seulement la douleur qui l'obligeait à
rs, la malade ressentait une espèce de fatigue continuelle dans les
jambes
et une faiblesse qui s'accentuait de plus en plus
alité de paraplégie. La force est conservée parfai- tement dans les
jambes
et les cuisses, sauf pour la résistance au mouv
sses, sauf pour la résistance au mouvement passif d'extension de la
jambe
sur la cuisse. Cela provient, non pas d'une fai
la constipation est plutôt son état habituel. Jamais d'oedème des
jambes
; rien au coeur; rien dans la poitrine. On peut
gauche; à la cuisse 40 et demi à droite, 38 et demi à gauche; à la
jambe
, 29 des deux côtés. La longueur des divers segm
re supérieur est égale des deux côtés; mais au membre inférieur, la
jambe
mesurée de l'interligne articulaire du genou à
gauche. Température de surface : bras droit, 83 ? bras gauche, e°8;
jambe
droite, 39o9; jambe gauche, 81°8. La sensibilité
de surface : bras droit, 83 ? bras gauche, e°8; jambe droite, 39o9;
jambe
gauche, 81°8. La sensibilité parait intacte sur
dit- il, que « plusieurs de ses camarades avaient été pris par les
jambes
» ; il craignait de voir la faiblesse déjà très
ez lui cons- tamment alité, jusqu'au 2 mars. Comme la faiblesse des
jambes
et le Irem- blement général persistaient, il se
s'apaise, sans dispa- raître jamais complètement; le dérobement des
jambes
cesse de se pro- duire et le sujet reprend sa m
t toujours un peu troublées. Après chaque attaque, la faiblesse des
jambes
et le tremblement s'accroissent; cela dure 3 ou
tive et très impressionnable. . Il y a cinq ou six ans elle eut les
jambes
enflées pendant quelques jours. En même temps,
ui disent. Il progresse à grands pas, le tronc penché en avant, les
jambes
écartées. Il évite de marcher sur les rayons de s
ème infirme du même bas-relief, sain des membres supé- rieurs, a la
jambe
gauche contracturéc en flexion, la pointe du pied
pied dirigée en bas dans la forme du pied-bot équin direct. L'autre
jambe
est saine, car ce malade ne possède qu'une seul
ersé, sa tète tournée sur la droite et il gesticule des bras et des
jambes
. En haut à gauche, le diable s'enfuit sous la f
membres. Le membre inférieur gauche est complètement paralysé, la
jambe
droite a conservé quelques mouvements de l'articu
vant-bras gauche est paralysé; une heure après, c'est le tour de la
jambe
droite. Le lendemain tous les membres sont para
la réaction de dégénérescence (examen de Erb) dans les muscles des
jambes
, et de l'absence de contraction dans ceux des cui
re de quelques légers four- millements à la plante des pieds et aux
jambes
. Pendant les premiers jours de septembre 1884,
ui prête. Il y a presque impossibilité de remuer les cuisses et les
jambes
; pieds tombants. Elle se plaint de fatigue, est
eptembre, elle est moins fatiguée, elle peut remuer quelquefois les
jambes
, plier très légèrement les genoux, mais ne pent
lètement, de telle sorte que son tronc arrive à former un Lavée les
jambes
. Les réflexes cutanés sont conservés à la plant
bes. Les réflexes cutanés sont conservés à la plante du pied et aux
jambes
. Les troubles s'aggravent, la respiration est d
ons de l'accoucheur de Lariboisière en font foi. Les cuisses et les
jambes
ne présentent rien de particulier à signaler.
e fatigue facilement, elle ressent de légers élance- ments dans les
jambes
et dans les pieds. Jamais de douleurs la nuit.
perdu connaissance, car elle se souvient très bien qu'elle vit ses
jambes
et ses bras se paralyser peu à peu et qu'elle e
. C'est dans cet état qu'elle entre le 20 décembre à l'hôpital; les
jambes
n'étant encore nullement atteintes car elle put
Atrophie considérable des muscles du bras et de l'avant- bras. Les
jambes
jouissent de quelques mouvements. Insomnie presqu
non atrophié). Membres inférieurs. Elle se tient assez bien sur ses
jambes
. Les muscles des cuisses sont amaigris et non a
Diarrhée colliquative qui épuise la malade. OEdème cachectique des
jambes
(pas d'albuminurie). Ne se lève pas. Pilules de
a malade se plaint de ne pouvoir marcher sans souffrir beaucoup des
jambes
et du dos. Elle accuse des élancements douloure
- ment augmenté aux pieds et aux mains. Les muscles du tronc, des
jambes
et des bras sont toujours indemnes. La malade vaq
ude. En dépit du traitement les douleurs persistèrent, limitées aux
jambes
, plus particulièrement au niveau des chevilles.
lièrement au niveau des chevilles. Puis vinrent des crampes dans la
jambe
et la cuisse, crampes très douloureuses, se répét
n bien précise du sol sur lequel il marchait; il ne lançait pas les
jambes
et ne frappait pas du talon, mais il avait de l
à monter ou à descendre l'escalier et sentait de temps en temps les
jambes
se dérober sous lui au point de lui faire perdre
t rapide comme l'éclair suivant la partie externe de la cuisse, l'a
jambe
et s'échappant par le talon ; il éprouva égalemen
coups d'épingle dans les mêmes régions. La sensation de froid aux
jambes
, de glace sous la plante des pieds restait pers
sous forme de petits traits qui,partant des parties profondes de la
jambe
, s'échappent par la peau. Elles sont peu vives
alade résistant bien aux mouvements de flexion et d'extension de la
jambe
et du bras qu'on cherche à produire, les mains
nceau est bien senti partout, sauf au niveau de la partie interne des
jambes
et du dos du pied sur une faible étendue. Sur l
(le passage du pinceau est senti). Au niveau de la face interne des
jambes
et du pied elles indiquent que le passage du pinc
s phénomènes ont débuté. Puis des fourmillements apparurent dans la
jambe
et dans le bras. Les troubles parétiques augmentè
, lorsqu'il s'est aperçu qu'il ne pouvait étendre complè- tement sa
jambe
droite sans éprouver une douleur assez vive dans
ne la provoquent pas davantage, à l'exception de l'extension de la
jambe
, qui la ramène ou l'exaspère. La position assis
tphysiologiquement. L'exten- sion est pénible et incomplète. A la
jambe
, les mouvements volontaires et provoqués de flexi
punément la cuisse sur le bassin, suivant le procédé de Lasègue, la
jambe
droite étant préalablement fléchie. Dans le cas
r du côté malade est légèrement fléchi (la cuisse sur le bassin, la
jambe
sur la cuisse), dans une attitude favorable à l
e, du moins en apparence, car il ne pouvait toujours pas étendre sa
jambe
droite. Nous verrons du reste plus loin que sa
raviver : le malade étant assis, il suffit de lui dire d'étendre sa
jambe
droite, ou plutôt de l'étendre soi-même de forc
e phy- siologiques. Si, par exemple, on dit au malade de fléchir sa
jambe
droite sur la cuisse, il le fait avec facilité
ayé, le malade étant assis, de pratiquer l'exten- sion forcée de la
jambe
, et nous n'avons réussi qu'à faire crier le patie
e signe de Lasègue et l'impossibilité de l'extension complète de la
jambe
. En outre, l'atrophie musculaire est aussi marqué
aussi marquée qu'aupara- vant : il y a toujours à la cuisse et à la
jambe
un centimètre de diffé- rence au détriment du m
provoquées par une manoeuvre spéciale, l'extension incomplète de la
jambe
et l'amyotrophie, les autres phénomènes ont dispa
tion assise, ainsi que nous l'avons déjà dit, que l'extension de la
jambe
droite sur la cuisse est incomplète et provoque
arest. UN CAS D'ÉLÉPHANTIASIS NOSTRAS SYMÉTRIQUE DU PIED ET DE LA
JAMBE
On a cru pendant longtemps que l'éléphantiasis
époque elle a toujours ressenti de la douleur, des crampes dans les
jambes
avec fatigue rapide dans la marche. En 187, ell
st progressivement accru; il a gagné peu à peu le cou-de-pied et la
jambe
correspondante. Du côté gauche, le gonflement e
volume et les déformations des pieds et de la moilié supérieure des
jambes
; c'est la bilatéralité, la symétrie et la local
qui a débuté par le pied, est limitée actuellement au pied et à la
jambe
, ou plus rigoureusement à certaines régions de ce
un sillon profond répondant à l'articulation tibio-tarsienne. La
jambe
et le cou-de-pied forment une série de bosselures
droit, seulement la tuméfaction est un peu moins considérable, à la
jambe
notamment, où elle ne dépasse pas le tiers infé
démateuses localisées au pied, au cou-de-pied et à une partie de la
jambe
. Cette localisation régulière- ment circonscrit
si redoute-t-elle tout examen et tout déplacement. Les pieds et les
jambes
enveloppés d'une épaisse couche d'ouate, les couv
pas quitté le lit : sans mouvements, à demi assise sur son lit, les
jambes
écartées et légèrement fléchies, elle garde con
représente (fig. 75) un éléphantiasis des Arabes siégeant aux deux
jambes
et affectant, comme dans notre cas, une symétri
re la un fait exceptionnel. « Subjectivement, l'éléphantiasis de la
jambe
n'est pénible que parce qu'il empêche de se ser
Le 8 juin, parésie de tous les extenseurs des mains, faiblesse des
jambes
. La malade quitte la clinique. (.(Evidemment, e
73. Eléphantiasis nostras (Un cas d' symétrique du pied et de la
jambe
), par Souques, 281. Graisse (Du rôle de la - da
terminant la contraction des muscles de la région postérieure de la
jambe
et, quelquefois, de légers mouvements d'extensi
e de la jambe et, quelquefois, de légers mouvements d'extension des
jambes
sur les cuisses. Les réflexes tendineux des mem
pieds détermine de forts mouve- ments de flexion des pieds sur les
jambes
; différentes contractions sont quel- quefois c
vée. Le malade exécute des mouvements d'extension et de flexion des
jambes
sur les cuisses, d'une façon normale, quand il
la tête, le cou et les épaules et de faiblesse progressive dans les
jambes
. Rien à relever dans ses antécédents héréditair
ivante : elle se fatiguait au bout de quelques minutes, sentait ses
jambes
comme coupées et était obligée de s'arrê- ter ;
toutefois, les vertiges et les étourdissements subsistèrent et les
jambes
commencèrent à s'affaiblir, ce qui rendit rapid
qui consistent comme d'habitude en une flexion de la cuisse, de la
jambe
et du pied. Ces mouvements relative- ment faibl
autrefois,mais il marche bien et longtemps, n'a pas de dérobement des
jambes
, ne tombe jamais. Il ne lâche jamais les objets
es con- tractions involontaires, des crampes, des redressements des
jambes
, des trem- blements spastiques augmentant sous
d gauche ; redresse tant soit peu le genou droit. Douleurs dans les
jambes
. La limite supérieure de l'insensibilité descend
revient à l'état normal ; seule la chaleur se fait moins sentir aux
jambes
et aux pieds, et il arrive au malade de prendre
apparaissent dans le mol- let droit et dans la cuisse, puis dans la
jambe
gauche. Le malade,contraint sou- vent à s'alite
s rapides, engourdissement douloureux de la plante des pieds et des
jambes
. Clonus du pied ; phénomène bilatéral de Babinski
une proportion assez forte, lorsqu'on lui soutenait avec la main la
jambe
qu'il avait levée. Dès lors, les mouvements libre
roidissement douloureux (d'abord dans les pieds et les orteils) des
jambes
, surtout dans la droite, au point qu'il fallait l
e marcher, puis finitpar devenir incapable du moindre mouvement des
jambes
. Après un mois d'incontinence d'urine partielle
que apparurent des paresthésies thermiques principa- lement dans la
jambe
droite et depuis plusieurs mois des paresthésies
e et pour la première fois, douleurs légères et passagères dans les
jambes
et sous la poitrine. Depuis 6 semaines elle per
électrique, qui, rapide comme l'éclair, parcourt la profondeur des
jambes
. Depuis un mois accroissement de la parésie de
- lation de la hanche ; soulevée, elle ne peut être maintenue et la
jambe
retombe sur le lit; la malade ne peut accomplir
e retombe sur le lit; la malade ne peut accomplir l'abduction de la
jambe
. Par contre, si on lui soulève la jambe, la mal
accomplir l'abduction de la jambe. Par contre, si on lui soulève la
jambe
, la malade redresse avec effort et de façon ins
iante le genou plié, et elle peut dans une faible mesure ramener la
jambe
vers la ligne médiane ; lui arrive-til de tenter
l de tenter un effort pour vaincre la résistance afin de baisser la
jambe
, elle l'accomplit dans une mesure très in- sign
s du pied droit ne bougent pas. Mouve- ments correspondants avec la
jambe
gauche un peu plus libres, plus fortes ; toutef
'abdomen. 30. - Douleurs avec tiraillement dans le sacrum, dans les
jambes
. Le ma- lade ne se rend pas compte de la direct
On le voit souvent traverser les cours, affairé, traînant un peu la
jambe
gauche, plus courte depuis un ac- cident ; niai
et écrit. En cherchant à s'évader, L... sauta un mur et se cassa la
jambe
. Le jour même où il quitta l'asile, Carnot fut as
décrit un type renversé. C'est-à- dire : progression normale de la
jambe
puralysée vers le côté contraire, et alors, an
és par Bergeron, ces secousses se sont généralisées au bras et à la
jambe
gauches. Henoch a minutieusement étudié la mala
». Les secousses musculaires siégeaient sur divers segments : tête,
jambes
, bras, etc. La maladie était extrêmement opiniâ
être localisés à la tèle (PI. XVII, fig. C et D), aux bras et à la
jambe
droite ou plus généralisés au tronc et aux membre
es épaules, une petite rotation de la tête et un entraînement de la
jambe
droite. Pour bien détermi- ner la rapidité de c
produisent des mouvements de projection latérale, de surposition des
jambes
, de flexion des orteils conjointement ou séparé
des jambes, de flexion des orteils conjointement ou séparément, des
jambes
sur les cuisses et des cuisses sur le tronc. Ce
mbres infé- rieurs. Alors surviennent des flexions des orteils, des
jambes
sur les cuisses et des cuisses sur le tronc, et
ch le malade était quelquefois réveillé par une brusque flexion des
jambes
. C'est même le mouvement le plus étendu qu'il sig
é- tails)... » Tout ce qu'il dit est exact. « Je me suis cassé la
jambe
à la porte de la 4e section (exact)... «Mon bea
on a l'impression que sous un tronc d'adulte, on voit adaptées les
jambes
d'un enfant de 5 ou 6 ans. La brièveté des memb
ette du même segment d'un membre. Un tel fait est plus évident à la
jambe
où le péroné, étant moins raccourci que le tibi
rédominaient aux extrémités distales des membres ; les cuisses, les
jambes
, les pieds et les mains étaient fort raccourcis
l a des poils sur le thorax, sous les aiselles, sur le pubis et aux
jambes
. Il a les cheveux bruns, et se rase complètemen
ural est supérieur à 100. Les cuisses sont grosses et charnues, les
jambes
légèrement arquées en dehors de sorte que les m
ormations particulières. Les muscles des fesses, des cuisses et des
jambes
sont très bien développés. Les pieds sont moins
s sur tout son corps : visage, thorax, abdomen, aisselles, puhis et
jambes
, tout en est recouvert. La peau est brunâtre. L
lieu de 52, on a 47.1, et le raccourcissement est aux dépens de la
jambe
z1.8 au lieu de 23) et de la cuisse, avec prépond
e brièveté anormale, les membres inférieurs sont bien conformés.Les
jambes
apparaissent un peu arquées, pour le développemen
la tête du péroné n'arrive pas à l'articulation. Les deux os de la
jambe
sont robustes, de forme normale avec un développe
s les endroits où le squelette est formé par deux os (avant-bras et
jambe
), sont recourbées parallèlement. Chez Frassi la
nné que le premier cas de microsomie, celui-ci a, par' exemple, les
jambes
presque normales, landis que Frassi les beaucoup
ure à la normale, tandis que, comme nous avons dit, la longueur des
jambes
s'éloigne bien peu de la mesure de l'homme type
né semble prendre part à l'articulation du genou. La longueur de la
jambe
, de la tête, du péroné au bord inférieur de la
er à l'interligne de l'articulation du genou : 18 cen- timètres. La
jambe
, de la tête du péronée (qui prend part à l'articu
roite : 48 centimètres ; gauche : 50 centimètres. La longueur de la
jambe
droite ; 24 centimètres ; gauche : 23 centimètres
gère hypoesthésie tactile du gland ainsi que de la face externe des
jambes
. Hypoesthésie vibra-. toire de la colonne verté
érence de la cuisse : 57 centimètres (vers son milieu), celle de la
jambe
: 35 centimètres. . Malheureusement on n'indiqu
ite taille de ce malade due en partie aussi à l'état de flexion des
jambes
sur la cuisse présenté par lui. Chez le troisiè
des membres inférieurs présentent. des particularités analogues. La
jambe
est beaucoup plus courte que la cuisse. Nulle par
tigué. Quelques jours après il perdit graduellement la motilité des
jambes
, ensuite celle des bras, de sorte qu'il restait c
c'est-à-dire que la malade tient le genou légèrement fléchi, et la
jambe
renversée en dehors, le pied s'appuyant sur le li
e inférieur droit on n'observe rien d'anormal. Les dimensions de la
jambe
gauche à l'endroit du tiers moyen mesure 23 cen
Au contraire les muscles péroniers et les muscles postérieurs de la
jambe
réaction- nent bien. An courant galvanique, l
mber à gauche, quand il reste debout; quand il marche, il traîne la
jambe
gauche ; la ligne de sa marche présente une dév
l'on est frappé par la taille du malade. Il est en effet « tout en
jambes
», et a des membres supérieurs d'une lon- gueur
orte il peu près exclusivement sur le segment distal 1 (avant-bras,
jambe
). Le segment proximal (bras, cuisse) est sensible
me intensité. L'apparition des plaques de morphée, locali- sées aux
jambes
, coïncide avec le commencement de l'amélioration.
symétriques. Excepté deux, situées sur la partie antéro-externe des
jambes
, toutes occupent la face postérieure de celles-
x plaques antéro-externes sont les moins sy- métriques, celle de la
jambe
gauche est située au niveau de l'union du tiers
rs inférieur avec les deux tiers supérieurs, tandis que celle de la
jambe
droite se trouve immédiatement au-dessus et en
ne. La première plaque apparue est celle de la partie moyenne de la
jambe
droite ; elle est la plus profonde et elle est
produit une espèce d'étranglement du mollet. Regardée de profil, la
jambe
apparaît amincie brusquement. On voit très bien c
modification sclérodermiquc. Dans le cas I il dit que la peau de la
jambe
est épaissie par une sclérose ; dans le cas XII,
la sclérodermie et la pigmentation de la partie antéro-externe des
jambes
. Dans les cas II et VIII, il s'agit seulement d
la manière suivante : il se produit des oedèmes indolores aux deux
jambes
, lesquels rétrocèdent après 4 semaines, sauf à la
observé deux plaques de sclérodermie sur la face antéro-externo des
jambes
. Rasch (2) a vu une femme de 26 ans, atteinte d
yxiant, une exophtalmie prononcée, le pouls il 150, de l'oedème des
jambes
, de l'insomnie, un amaigrissement considérable
le nôtre, où les plaques sclérodermiques occupent exclusivement les
jambes
. Dans de telles conditions il est plus probable
telle que cette position est devenue insoutenable pour elle. Les
jambes
présentent une déformation singulière ; vus de pr
r qu'elle affectait de préférence la face, le cou, les mains et les
jambes
, mais qu'à l'inverse de ce qui se passe dans la m
maladies vénériennes, mais la malade affirme qu'il présente sur les
jambes
des cicatrices qu'il attribue il des morsures de
près qu'il fut admis, on s'aperçut qu'il avait de l'oedème des deux
jambes
. Il raconta qu'il n'y avait là rien d'extraordina
l raconta qu'il n'y avait là rien d'extraordinaire, attendu que ses
jambes
étaient ainsi enflées depuis sa naissance et que
aissance et que même d'autres per- sonnes de sa famille avaient les
jambes
enllées. Alors il me vint à l'esprit que nous n
fia mes prévisions. - Regardons cet homme, on voit de suite que ses
jambes
, par comparai- son avec les cuisses et tout le
rps, sont plus grosses que celles d'une personne normale, et que la
jambe
droite est plus grosse que la gau- che (Pl. XLV
grosse que la gau- che (Pl. XLVII). Nous voyons également que les
jambes
ne sont pas partout de la même grosseur, mais q
st remarquablement distendu. Quand on presse un peu sur la peau des
jambes
, il s'y marque une empreinte, qui dure un certa
fortement, c'est- à-dire en sécrétion. L'examen radiologique d'une
jambe
nous a montré que le périoste est peu atteint.
ous pouvons admettre qu'il y a de l'oedème dans tous les tissus des
jambes
. L'oedème est assez dur et il se limite aux jam
s les tissus des jambes. L'oedème est assez dur et il se limite aux
jambes
; il est plus fort en arrière et aux chevilles
Quand nous regardons, ce qu'il y a encore à remarquer à la peau des
jambes
, nous trouvons qu'elle est en général rugueuse, q
er aux pieds que les ongles sont anor- malement petits. La peau des
jambes
est aussi plus foncée de couleur qu'à l'état no
e couleur rose tirant sur le rouge. La tem- pérature de la peau des
jambes
est normale et n'a jamais été, pendant le séjou
fatigué qu'une autre personne, mais assure qu'il n'a jamais mal aux
jambes
, et de plus, après avoir été questionné, il racon
uins ; pas de ganglions tuméfiés dans les aines, pas de varices aux
jambes
; ni phlegmasia alba; ni phlébite. Les radiogramme
phlegmasia alba; ni phlébite. Les radiogrammes qui ont été pris des
jambes
ont montré qu'il n'y a rien d'anormal dans les os
S 3(9 J'appris, du père, que son (ils à la naissance avait déjà les
jambes
enflées sans que la cause lui soit connue et qu
ts ou même arrière-grands-parents, ni ceux de sa femme aient eu les
jambes
enflées. Les parents du malade ont huit enfants
enfants. De ces huit enfants, il y en a trois qui ont un oedème des
jambes
, dont on s'est aperçu dès la naissance, tandis
e féminin ; elle est venue au monde avec de l'oedème à une des deux
jambes
; elle n'est pas mariée. Le troisième enfant es
du sexe féminin ; elle est venue au monde avec de l'oedème aux deux
jambes
; elle est mariée, mais n'a pas d'enfants. Le q
t est notre malade, qui est venu au monde avec de l'oedéme aux deux
jambes
et qui en a aussi au scrotum ; il n'est pas mar
le, il y a un certain nombre de mem- bres, qui ont de l'oedènle des
jambes
, et de plus que des enfants d'un des membres qu
mbres qui n'en a pas lui-même, ont des enfants avec de l'oedème des
jambes
. Chez tous les membres de celte famille qui ont d
ade, à un cas d'anomalie, dans lequel existe l'oedème chronique des
jambes
; et dans lequel l'oedème est congénital et fami
me. Chez le plus grand nombre l'oedème chronique se trouve aux deux
jambes
; un petit nombre seulement a de l'oedème à une
uve aux deux jambes ; un petit nombre seulement a de l'oedème à une
jambe
. Comme on le voit chez la plupart l'oe- dème se
ne jambe. Comme on le voit chez la plupart l'oe- dème se limite aux
jambes
et, seulement en quelques cas, comme dans les e
stème des vaisseaux lymphatiques ; l'oedème du scrotum et celui des
jambes
ont très probablement la même cause. Nous devon
ano- malie de vaisseaux lymphatiques qui puisse causer l'oedème des
jambes
. Il est plus probable que les anomalies des vai
justifiée l'observation de Milroy, dans laquelle I'oedème des deux
jambes
de son malade disparut, après qu'il eut retiré
XLIX, Band. 4. Iloii, et French. OEdème persistant héréditaire des
jambes
avec exacerbations aiguës. Nouvelle Iconographi
). 13, 14 et 15. L'opéré éprouve une sensation d'éclatement dans la
jambe
. L'insomnie est totale. Les calmants donnés à h
au membre inférieur. La résistance aux mouvements de flexion de la
jambe
sur la cuisse est très énergique,' celle aux mo
vements sont très rapides. ,360 BEN ON rax est plutôt long et les
jambes
courtes : celles-ci sont bien musclées : la che-
l met sa main droite sur son visage, etc. Quelquefois il croise les
jambes
, puis les décroise. Il fait aussi des mouvement
it, il porte les mains en arrière pour se protéger. Il met alors la
jambe
droite sur la cuisse gauche, frappe de la main dr
le malade reste immobile. Euphorie. Il a croisé sponlané- ment ses
jambes
. Il se gratte l'oreille droite. Netteté du dessin
ment ses jambes. Il se gratte l'oreille droite. Netteté du dessin des
jambes
: mus- cles contractés. 362 BENON Examen so
Mais la malade se plaint d'avoir moins de force dans le bras et la
jambe
du côté droit, elle sent sa jambe droite plus l
moins de force dans le bras et la jambe du côté droit, elle sent sa
jambe
droite plus lourde et plus maladroite que la gau-
it mal. Il n'y a aucun trouble moteur portant sur les bras ou les
jambes
. La parole est bien conservée. All... peut siff
c difficulté les objets à sa bouche; il ne marche pas et replie ses
jambes
sur lui-même si on veut le mettre debout; s'int
endre enfin des points d'appui sur les malléoles et grimper sur ses
jambes
et ses cuisses. Sensibilité. L'examen de la sen
de la macroglossie. Quand le malade se met à marcher, l'ataxie des
jambes
est évidente ; elle a commencé il y a quelques
onie musculaire, surtout des muscles de la partie postérieure de la
jambe
{genu recurvatvm) et de la cuisse. Les réflexes
flexion des orteils, les muscles de la région antéro- externe de la
jambe
restant flasques. Mais nous insisterons immédiate
loration élec- trique des muscles de la région antéro-externe de la
jambe
: il n'existe à leur niveau aucune réaction de
ci lorsque nous 474 MARIE ET BOUTTIER imprimons un mouvement à la
jambe
, le pied est secoué dans tous les sens : il est
ocalisée, portant sur les muscles de la région antéro-externe de la
jambe
. L'unilatéralité de cette déformation constitué
excitabilité complète des muscles de la région antéro-externe de la
jambe
: l'existence de traces de D. R. à droite perme
, localisés au niveau des muscles de la région antéro-externe de la
jambe
du côté gauche, auraient déterminé une attitude
a suite d'une fièvre typhoïde. La faiblesse a gagné ensuite l'autre
jambe
, de telle sorte que le malade ne pouvait plus m
passée il a été obligé de garder le lit à cause de la faiblesse des
jambes
qui se dérobaient sous lui dans la station debout
répétition du même mouvement provoque la contracture du membre. La
jambe
gauche est tout à fait immobilisée. La motilité
rotuliens sont tous les deux exagérés, le mouvement d'extension de la
jambe
est parfois accompagné d'une trépidation. Les r
ses côtes. Il sent des fourmillements et des engourdisse- ments des
jambes
. La sensibilité tactile, thermique et douloureu
Le malade entre le 16 avril 1911 à l'hôpital pour la faiblesse des
jambes
qui est tellement prononcée que la marche est tou
ois de septembre 1910, mais pendant ce mois la force musculaire des
jambes
faiblit tellement qu'il dut recourir aux béquille
membres inférieurs qui sont maintenus dans l'attitude suivante : la
jambe
gauche reste en extension, à la droite le genou
en extension qu'en se servant de ses mains. Atrophie musculaire à la
jambe
et aux cuisses. - La motilité active des memb
tient aussi la trépidation épileptoïde. Babinski positif. r. A la
jambe
gauche les mêmes réflexes sont abolis. Clonus et
e, il sentait pour- tant parfois des élancements douloureux dans la
jambe
gauche, qui descen- daient jusqu'à la plante du
e du pied. Avec le progrès de la maladie, la force musculaire de la
jambe
gauche a fai- bli, et le malade n'a plus pu mar
Depuis 3 semaines des douleurs atroces dans les lianes et les deux
jambes
re- tiennent le malade au lit. Etat présent.
iens sont abolis. Atrophie musculaire massive dans la cuisse et les
jambes
. Sensibilité tactile, douloureuse et thermique pr
minutes, puis tout est revenu dans l'ordre. 6. - La musculature des
jambes
est flasque, sans être atrophiée. Les dou- leur
nte des troubles du sens coenesthé- sique, ainsi, il dit sentir les
jambes
énormément gonflées. 13. - Les douleurs se sont
ngendrent des douleurs. 26. - Il garde l'attitude de la flexion des
jambes
sur la cuisse et de celle- ci sur le bassin. L'
n. L'extension est possible, mais douloureuse. Les mouvements de la
jambe
sont un peu plus libres ; il ne peut pourtant rel
ons. 3 mars. Le malade peut relever, étant en décubitus dorsal, les
jambes
au-dessus du plan du lit, mais pas jusqu'à la v
nter quelques pas, il s'appuie sur les meubles du salon, écarte les
jambes
pour agrandir la base de l'équilibre. La démarc
vive douleur. Ces phénomènes douloureux reviennent par accès. Ses
jambes
tremblent et fléchissent ; elle est prise par mom
, 1 un en avant, l'autre en arrière (fig. 4). D'autres fois c'est une
jambe
que la con-tracture envahit, et Gen..., comme pou
lit. Toujours son regard est fixé sur le même point. Ses bras et ses
jambes
commencent à se contracturer. Une fois au lit,
émesurément, et im-mobile, ne cesse de fixer le point imaginaire. Les
jambes
sont contracturées dans l'extension et ses bras d
le. Quelques instants après elle avait ses attaques. gauche et la
jambe
droite; les muscles présentaient aussi de l'hyper
démarche est mal assurée, les malades ne sont pas « solides sur leurs
jambes
». Celle du côté hémianesthésique surtout fléchit
le avait commis un crime » et parfois elle s'affaisse subitement, ses
jambes
lui refu-sant tout service. Il se produit souve
côté droit du corps. Il lui semble qu'on lui donne des coups sur les
jambes
. Elle a des secousses clans les deux jambes et le
i donne des coups sur les jambes. Elle a des secousses clans les deux
jambes
et le bras gauche. Sa main gauche est prise d'un
cture commence ha-bituellement par le bras gauche, envahit ensuite la
jambe
droite, puis les autres membres. Le bras gauche
a jambe droite, puis les autres membres. Le bras gauche et les deux
jambes
sont contracturées dans l'extension, le bras droi
Puis l'ovarie droite augmente d'intensité, la douleur descend dans la
jambe
droite et jusqu'au bout du pied droit, en même te
énie est très accusée dans tout le côté droit. Elle traîne presque la
jambe
droite qui fléchit souvent sous son poids. Et cep
rête, j'ai des milliers de fourmis dans la plante des pieds, dans les
jambes
. Il faut que je marche. » Elle éprouve des seco
Elle éprouve des secousses dans les bras, dans le ventre et clans les
jambes
, surtout dans la jambe droite. Les secousses sont
es dans les bras, dans le ventre et clans les jambes, surtout dans la
jambe
droite. Les secousses sont plus fortes la nuit.
upérieure du tronc se soulève et quitte l'oreiller. En même temps les
jambes
s'étendent, les pieds étant en extension forcée,
tion. Ces mouvements se répètent trois ou quatre fois de suite. Les
jambes
sont en même temps animées d'un mouvement analogu
moment élevé au-dessus de la tête avant de redes-cendre (fig.18). Les
jambes
non seulement se fléchissent, mais s'élèvent et s
pronation. Ce mouvement est répété plusieurs fois. En même temps les
jambes
reproduisent un mouvement analogue, se fléchissen
et. Les poings sont fermés, ou les trois premiers doigts étendus. Les
jambes
se fléchissent et s'étendent alternative-ment, se
ings fléchis et tordus, passent alternativement devant la figure. Les
jambes
s'élè-vent, le tronc se contourne. La malade se t
gorge se gonfle. Les brasse redres-sent, fléchis et contractures, les
jambes
se fléchissent, le tronc se contourne. b) Immob
re; grincement, ondulation du ventre, quelquefois un peu d'écume. Les
jambes
s'élèvent et se fléchissent. Bientôt les jambes
un peu d'écume. Les jambes s'élèvent et se fléchissent. Bientôt les
jambes
se détendent brusquement, et commentent les grand
cumulant en quelque sorte les difficultés, soulève le plus souvent la
jambe
droite et ne repose plus que sur un seul pied F
. — Grands mouvements du tronc. pui avec ses pieds sur son lit, les
jambes
étant à demi fléchies. Au lieu d'être exécuté p
corps, ce grand mouvement est reproduit d'une façon analogue par les
jambes
seulement, ou bien la tête et les jambes particip
d'une façon analogue par les jambes seulement, ou bien la tête et les
jambes
participent à la fois au mouvement (fig. 48). F
n rapide. Elle se redresse, jette les bras de tous côtés, fléchit les
jambes
pour les étendre brusquement, se- coue la tête
nd en même temps qu'elle subit un mouve-ment de rotation rapide ; les
jambes
frappent le lit, se fléchissent et s'étendent bru
lèvent et s'abaissent lentement en formant une sorte de moulinet, les
jambes
se flé-chissent et s'étendent avec lenteur; puis
en dehors et frappent le lit suivant le rythme de la respiration; les
jambes
se fléchissent et s'étendent en suivant la même m
s, les poings Fig- 58. — Attitude passionnelle. fermés; une seule
jambe
, la droite, estétendue et contracturée, la jambe
fermés; une seule jambe, la droite, estétendue et contracturée, la
jambe
gauche est demi-fléchie, et relativement molle (f
sur le lit, lui attacha la tête, les deux bras enjeroix, et une-seule
jambe
, la jambe droite. richer. 7 Après cette scène
, lui attacha la tête, les deux bras enjeroix, et une-seule jambe, la
jambe
droite. richer. 7 Après cette scène, qu'on po
res 20. Après un moment de calme la respiration devient saccadée, les
jambes
se contracturent, s'élèvent et se croisent, les b
r... exécute aussi les grandes salutations, les grands mouvements des
jambes
, les soulèvements du tronc, qui ca-ractérisent pl
tomber brusquement en arrière sur l'oreiller, avec des mouvements des
jambes
...; elle se débat... 1. Rourneville et Regnard,
la nuit qu'il m'a tout avoué, il aurait mieux fait de se casser une
jambe
... Me marier!... jamais de la vie, jamais un homm
ans une grande agi-tation.) De grâce, délivrez-moi... On me tient les
jambes
... Ils me laissen toutes ces vipères monter dans
mouvements (soulèvements du tronc, grandes salutations, agitation des
jambes
, etc.), d'une troisième période avec un délire tr
iode, n'est habituellement pas douloureuse. Elle atteint un bras, une
jambe
, ou bien une partie de la face, la langue..., etc
e qu'il y a là-dedans? (Elle se frappe la tète.) Ça va mieux!... (Les
jambes
sont toujours contracturées). Laisse-moi, je t'en
es des infirmières qui la maintiennent.) » Bientôt la contracture des
jambes
cesse. Elle fait de grands gestes avec les mains.
pas remarqué que ce fût plutôt dans une oreille que dans l'autre. La
jambe
droite est contracturée dans l'extension, le pied
Vigouroux, en appliquantes pôles d'un aimant à peu de distance de la
jambe
gauche qui est libre, en détermine la contracture
mbe gauche qui est libre, en détermine la contracture, pendant que la
jambe
droite, qui était contracturée, recouvre sa soupl
les poignets légèrement fléchis, les doigts fermés sur le pouce, les
jambes
étendues et fortement serrées l'une contre l'autr
siège; les deux bras, croisés derrière les cuisses, élèvent les deux
jambes
presque verticalement, et maintiennent les genoux
ccède à cette agitation. Assise sur son lit, les bras croisés sur ses
jambes
, elle contemple...; sa physionomie respire le con
renons pas bien la signification. Assise sur son lit, elle croise les
jambes
, saisit son pied droit et se met à sucer son gros
aidit en s'enfonçant dans son lit, le tronc s'incurve en arrière, les
jambes
à demi fléchies, les bras élevés au-dessus de la
sauts, cris, arc de cercle en avant (emprostotonos), les bras et les
jambes
étendus (fig. 45); d'un bond la malade se jette s
attitude que rappelle la figure 45. Le tronc est courbé en avant, les
jambes
étendues et soulevées au-dessus du lit, les bras
dre en pronation le long du corps. Le tronc s'incurve en avant et les
jambes
se fléchissent. Après un court moment d'immobilit
eviennent se placer le long du corps et restent dans l'extension, les
jambes
sont demi-fléchies. Ondulation du ventre, la resp
les draps et l'oreiller avec les dents, mais sans rien déchirer. Ses
jambes
se fléchissent et s'étendent brusquement tour .à
ande attaque hystérique. PREMIÈRE OBSERVATION1. Contracture de la
jambe
gauche. Hemianesthésie du même côté. Légère atrop
ou gauche est toujours douloureux, la contracture est toujours là, la
jambe
toujours rigide et légèrement atrophiée. On conti
tre, durant le sommeil ou pendant qu'elle est au lit, on a pu voir la
jambe
ramenée en arrière en demi-flexion. Un jour, co
e-huit heures après elle était de retour à Passy. Elle marchait, la
jambe
gauche moins souple que l'autre, mais la con-trac
ion fraîchement délivrée. On reprit les douches. La sensibilité de la
jambe
était revenue. Mais la légère atrophie n'avait en
spécial qui nous occupe en ce moment. La contracture permanente de la
jambe
gauche dont la nature a été méconnue par d'éminen
de boule, une douleur violente du côté de l'utérus, de la raideur des
jambes
. La malade marchait sur la pointe des pieds jusqu
ants une atti-tude bizarre, les mains passées sous les cuisses et les
jambes
levées perpen-diculairement. Souvent alors les me
ments de projection du bassin; puis attitudes illogiques variées (les
jambes
en l'air), parmi lesquelles on distingue Yarc de
Saintes, un exemple fort intéressant de contracture hystérique de la
jambe
droite, survenue à la suite d'un trauma-tisme (le
ait immobilisé dans la flexion, la cuisse fléchie sur le bassin et la
jambe
sur la cuisse, de telle façon que le talon toucha
s s'établirent, la malade ne conservait plus que la contracture de la
jambe
qui ne céda que bien plus tard, vers l'âge de dix
de rejette la tête en arrière, les mains se crispent. Les bras et les
jambes
s'agitent en Pair et sont animés de mouvements si
ne quin-zaine de jours par une contracture qui a envahi le bras et la
jambe
gauches. La main repose sur l'épigastre, les doig
frais ; il décrit des oscillations très marquées et très brusques. La
jambe
et la cuisse contracturées se fléchissent sur le
doigts dans la ceinture de son jupon et il est mis en lam-beaux. Les
jambes
sont dans la demi-flexion sur la cuisse, et le ba
ouvements de rotation en dedans et en dehors autour de l'épaule ; les
jambes
sont forte-ment fléchies sur les cuisses, celles-
enoux et renversée brus-quement en arrière, tandis que les pieds, les
jambes
et les cuisses se re-courbent et sont lancés en a
aux membres inférieurs, on voit la cuisse fléchie sur le bassin et la
jambe
sur la cuisse, parfois tout le membre est étendu;
contourne ses membres, crispe ses doigts, puis il s'agite, jette les
jambes
à droite et à gauche, projette fortement son corp
es deux côtés, faisant tour à tour fléchir et étendre les bras et les
jambes
. Après les convulsions toniques apparaît le tét
convexité abdominale; puis elle rejette violemment sur le matelas les
jambes
rapprochées, et recom-mence cet exercice de clown
andis que le corps forme un arc à concavité antérieure et que l'autre
jambe
s'élève, le pied tendu montrant l'espace. Duran
, les mains jointes, dans l'attitude de la prière; tantôt assise, les
jambes
étendues, la tête penchée et les bras croisés, el
té et des yeux hagards ; le corps est comme ramassé sur lui-même, les
jambes
et les cuisses rappro-chées du tronc ; ou bien la
é et comme tordue sur elle-même, ou encore couchée sur le ventre, les
jambes
rapprochées de l'abdomen, les deux mains se cacha
èrement la violence. Un mouvement de giration, imprimé aubras ou à la
jambe
, ren-doit bientôt à tout le corps sa souplesse na
uentes, et de plus d'une heure de durée. — Paralysie du bras et de la
jambe
gauches qui dura six semaines. — Anurie pendant q
enou, un peu plus rouge et plus volumineux qu'à l'état normal. » La
jambe
est froide; le ventre ballonné, douloureux à la p
édard. Après plusieurs bonds très élevés sur son lit, elle jetait ses
jambes
en avant sur le bord' du lit, comme si elle eût v
xation de l'épaule, où l'on entendait se produire des craquements. La
jambe
était fléchie com-plètement sur la cuisse et le p
La jambe était fléchie com-plètement sur la cuisse et le pied sur la
jambe
; mais ces mouvements de flexion étaient tellement
es convulsions clo-niques du côté gauche de la face, du bras et de la
jambe
gauches, tandis que le côté droit était pris de r
a crise s'éteint insensiblement. Les malades étendent les bras et les
jambes
, bâillent et éternuent quelquefois (sternutatio s
corps étendu dans toute sa longueur devient graduellement raide, les
jambes
sont légèrement écartées, les bras i-ressés forte
plète, et dans la position du pied qui, maintenu à angle droit sur la
jambe
, ne repose sur le lit que par le talon. § 2. —
d'incliner le tronc en avant, de sou-lever le bras et de fléchir les
jambes
; cependant le tronc peut s'infléchir en arrière.
doigt, à la tète seule, à la partie supérieure du corps, sans que les
jambes
y participent. » Le |)lus souvent il n'y a pas
la main, la phalan-gette entre le troisième et le quatrième doigt. La
jambe
se contracture dans l'extension, le pied se place
. Elle est contracturéc du bras gauche dans une demi-flexion et de la
jambe
droite dans l'extension. De temps à autre, elle e
la contracture est instable, elle quitte le bras pour reparaître à la
jambe
, et vice versa; elle envahit même transitoirement
nous voyons Gen... à la visite du matin, elle est contracturéc de la
jambe
droite seulement, le pied est en varus équin. Peu
nous la trouvons au lit et contraclurée ainsi qu'il suit : Les deux
jambes
et le bras gauche sont dans l'extension, le bras
ras droit se soulève un peu et est animé de courtes oscillations. Les
jambes
tremblent légèrement, mais principalement la jamb
oscillations. Les jambes tremblent légèrement, mais principalement la
jambe
droite. Puis il se produit une ou deux inspirat
gère cyanose. Des secousses soulèvent les deux bras et aussi les deux
jambes
. Mouvements de déglutition bruyants. Piespiration
s la flexion. Les membres inférieurs sont demi-tléchis et croisés, la
jambe
droite par-dessus la jambe gauche. Par instants
nférieurs sont demi-tléchis et croisés, la jambe droite par-dessus la
jambe
gauche. Par instants, survient une attaque épil
Les grands mouvements toniques du début sont exagérés, les bras, les
jambes
et tout le corps se contournent étrangement. La r
ent au lit, ils s'entrecroisent souvent par une adduction forcée; les
jambes
, parfois fléchies, se croisent diversement; les b
malade restait dans celte position pendant une demi-heure, ayant les
jambes
pliées et si fortement appliquées contre les cuis
. Tantôt elle se renversait en arrière, ou, flé-chissant fortement la
jambe
, elle faisait toucher ses talons aux protubérance
sait |)lus ce qu'(dle veut, C(; qu'elle fait; accuse des douleurs aux
jambes
, à la nuque, enfin à l'épigastre; agite son bras
piclbis elle se jette à terre, frappe alternativement des bras et des
jambes
; son corps s'arque tantôt devant, tantôt derrière
étese porte en arrière, les bras s'étendent, le tronc se raitlit, les
jambes
de-viennent rigides. Alors, le crucifiement est c
ieure, et les mains étaient renversées, la paume tournée en avant; la
jambe
gauche était un peu infléctiie et le bassin légèr
at-taques : par instants le malade s'agitait, lançait les bras et les
jambes
au hasard, ou bien se levait sur son lit et s'éla
pendant, dans le cours de cette première grossesse, elle avait eu les
jambes
enflées et une légère bouffissure du visage. L'
es signes de trouble intellectuel. On lui applique des sinapismes aux
jambes
et elle se rétablit, pour retomber presque aussit
le, on donne un coup sur le gong, elle est subitement immobilisée, la
jambe
levée, le corps penché en avant, comme dans l'act
lève le bras droit, la malade lèvera le bras gauche, de même pour la
jambe
et si l'expérimentateur se penche à droite, la ma
a malade les mouvements les plus variés non seulement des bras et des
jambes
, mais de la face et de tout le tronc, comme ouvri
x sortes. Les uns terribles : elle voit des bêtes qui lui piquent les
jambes
, elle crie : « Maman Beaufils! à mon secours, cha
s traits sont contractures. Les bras s'élèvent et se fléchissent, les
jambes
sont raidies dans l'extension, le tronc se creuse
dans laquelle on les a mis et retombent brus-quement sur le lit. Les
jambes
sont contracturées dans f extension, rapprochées
vantables. Elle s'agitait, on ne pouvait la contenir; elle levait les
jambes
, étendait brusquement les bras, cherchait à s'arr
es suivants : Insomnie, éblouissements, fourmillements dans bras et
jambes
. Sentiment d'étouffement et de strangulation quan
isparu (sous-nitrate de bismuth, vésicatoires à partie inférieure des
jambes
) et sont remplacés par des attaques qui, générale
otement con-tinuel. Elle avait les mâchoires collées; ses bras et ses
jambes
restaient dans 1. Bourdin. Traité de la catalep
? » — Elle fait faire quelques mouvements pénibles à son bras et à sa
jambe
droite. Ces deux membres gardent cependant les at
e que Henrot a appelé la cata-lepsie synergique. On lui lève les deux
jambes
en l'air. « Savez-vous où sont vos jambes? » — El
gique. On lui lève les deux jambes en l'air. « Savez-vous où sont vos
jambes
? » — Elle élève légèrement les épaules en signe d
tique. Nous la laissons quelques instants les deux bras et les deux
jambes
levés perpendiculairement au lit, pour voir si el
de la face; les bras s'élèvent et se contournent en s'abaissant; les
jambes
se fléchissent et s'étendent; le tronc s'incurve
, on lui fourrait des épin-gles et des aiguilles dans les bras et les
jambes
, sans qu'elle donnât aucun signe de douleur; il n
e même tant qu'on les y laissait. On la mit debout pour faire sur ses
jambes
les mêmes épreuves, et pour donner aux jambes et
bout pour faire sur ses jambes les mêmes épreuves, et pour donner aux
jambes
et aux bras en même temps des attitudes différent
comble, et il est impossible, malgré tous nos efforts, de fléchir les
jambes
sur les cuisses. A quatre heures du soir, et sa
u mettre la m.alade, le tronc faisant un angle avec le le bassin, les
jambes
relevées, le menton s'appuyant sur le sternum, to
ude où nous l'avions placé. Même indépendance du pied vis-à-vis de la
jambe
, de la main vis-à-vis du bras. Nous avons pu voir
ment limi-tés nous ont conduit à des résultats identiques ; ainsi, la
jambe
fléchie sur la cuisse, la pression des muscles ga
ras derrière le dos. Pouls à 96. 9 h. 55 minutes. — Les bras et les
jambes
sont secoués violemment, comme par des décharges
isse, la malade semble à l'agonie et accuse un froid glacial dans les
jambes
dont la tempé-rature n'a cependant pas varié. Tou
est humide. » Tremblement marqué des mains, un peu moins accusé des
jambes
, frémissements des muscles delà face, surtout en
al à la tète, des picotements sur toute la peau, des crampes dans les
jambes
. « Il se dit être empoisonné, ça le travaille d
se tourne quand on l'appelle, cependant il est encore faible sur les
jambes
, le regard est vague. Í L'animal est revenu c
ement; il tombe tout à coup, perd connaissance, agite les bras et les
jambes
; la face devient grimaçante ; de l'écume se mont
act et au pincement; il a un tremblement considérable des bras et des
jambes
, des lèvres et de la langue, surtout quand celle-
maux de tête, des étourdisse-ments, des douleurs dans les bras et les
jambes
, une faiblesse dans les membres inférieurs qui le
ue, il avait parfois des secousses brusques dans les bras et dans les
jambes
. Le 29 juin, il se montre inquiet, préoccupé, pré
ait, en même temps que le réffexe cherché, un léger soubre-saut de la
jambe
du côté opposé. Nous-même avons eu l'occasion d'o
n du tendon rotulien détermine souvent un mou-vement analogue dans la
jambe
du côté opposé. Chez une de nos malades dont nous
e d'hystéro-épilepsie qui a duré trois jours, demeure paralysée de la
jambe
gauche. La paralysie est flasque et la malade tra
pied. Les mêmes phénomènes spasmodiques sont également obtenus sur la
jambe
droite, mais à un degré beaucoup moindre. L'anest
de semblable ne se produisait lorsque l'aimant était appliqué sur la
jambe
droite. Mais ce qui est encore plus digne d'int
. 192, obs. XVI. Hémiplégie droite. Aphasie. Chute et contusion de la
jambe
droite, suivies de contracture douloureuse du mem
rrive à quelques centimètres des ge-noux. Simultanément le bras et la
jambe
, du côté droit, s'allon-gent; le bras et la jambe
ément le bras et la jambe, du côté droit, s'allon-gent; le bras et la
jambe
du côté gauche demeurent tranquilles, (Fig. 101).
s sont appliqués l'un à la tête, au front, par exemple, l'autre à une
jambe
ou à la région ovarienne. Le sens du courant n'a
-bras ; il s'en montre une semblable sur la face antéro-externe de la
jambe
du même côté. On voit donc que toute action sesth
e voulait goûter du poisson ou du vin, lui renversant les bras et les
jambes
et l'haussant en haut. » Les susdits tourments
et lui baillait horrible-ment la question, renversant les bras et les
jambes
, faisant cliquer les os, et rendant tous les doig
nèrent la même torture durant une heure, lui tournant les bras et les
jambes
et puis tout le corps, faisant cliquer les os et
orcée : qu'on remarqua, entre autres postures, une telle extension de
jambes
, qu'il y avait sept pieds de longueur d'un pied à
s d'Isaacarum, qui le renversa deux fois et lui remua les bras et les
jambes
avec des frémissements et des tremblements : que
ois son pied gauche par-dessus Fépaule à la joue, tenant cependant la
jambe
embrassée du même côté : que durant toutes ces ag
ours ouverts sans cligner : qu'il lui fit après cela une extension de
jambes
en travers qui fut telle, qu'elle touchait du pér
le visage lui pendaient en arrière jusqu'au dessous de la moitié des
jambes
et assez proche 1. Traité des marques des possé
n habit, et ainsi elle ne se tient plus surlebanc quede la moitié des
jambes
... »Dagon opérant sur la mère du Saint-Esprit p
ar c'est enremuant premièrement l'orteil, et puis le pied, et puis la
jambe
, et puis la cuisse, et puis le ventre, et puis la
les yeux fermés sans aucun mouvement, on lui re-muait les bras et les
jambes
comme si c'eût été de la laine, et n'en pouvait-o
, dans les derniers temps de ses crises « ne pouvait se tenir sur ses
jambes
, ni à peine remuer les bras; j'ai essayé (c'est l
t bornée aux parties supérieures, la piqûre était vivement sentie aux
jambes
, tandis qu'elle ne l'était point aux bras, dans l
ras de ce côté (gauche) : dès lors, une insensibilité entière dans la
jambe
, dont elle ne peut presque se servir, dès lors un
rent d'une force épouvantable ; tout son corps et même son bras et sa
jambe
paralytiques s'agitèrent avec tant de violence qu
orsqu'elle fut ce jour là sur le tombeau, dit la mère, son bras et sa
jambe
gauches s'agitèrent avec plus de force que jama
arrêter la force des secousses qu'elle donnait avec ce bras et cette
jambe
. » Nous apprenons plus loin cet autre détail in
causaient un tremblement et un raidissement dans les bras et dans les
jambes
.) Je fus retirée de dessus le tombeau sans aucun
. » Cette demoiselle Hardouin était « affligée de paralysie sur les
jambes
¦depuis six ans, et depuis deux sur le reste du c
ois ou quatre personnes assez fortes. Pendant quelques intervalles la
jambe
gauctie et les deux bras ont frappé violemment et
lé et contourné les os : et en cet état les avait soudés à ceux de la
jambe
, ce qui rendait ce pied d'une difl'ormité hideuse
dessous... Je l'examinai avec d'autant plus d'attention que, comme sa
jambe
gauche s'agitait avec une extrême force dans les
bien de la peine à la i-etenir. Dans ces agitations, elle cognait sa
jambe
gauche avec tant de force qu'elle aurait dù natur
lle se met à faire inalgré elle des violents mouvements des bras, des
jambes
, de toutes les parties qui sont suscep-tibles de
lsionnaire, qui se trouvait présente, branler la tête, les mains, les
jambes
et tout le corps, comme si ces parties eussent ap
uent, qui les balancent; tantôt en se faisant tirailler les bras, les
jambes
, le sein, en se renversant la tête en bas, les ja
r les bras, les jambes, le sein, en se renversant la tête en bas, les
jambes
en l'air, et en donnant mille autres signes d'ind
... en secouant rudement la tête, en frappant des mains, en ruant des
jambes
, en se tourmentant comme de vrais démoniaques. On
de gros bâtons et des bûches; on leur frappe les reins et les os des
jambes
pour les redresser, dit-on, par ce moyen. 11 ne p
je n'eus plus sous les yeux qu'une horrible confusion de têtes et de
jambes
s'agitant pêle-mêle sur le sol. Telle était la vi
ommencement d'incapacité à mouvoir à volonté la tête, les bras et les
jambes
, une humeur capricieuse, etc. Le visage rougissai
r amour du Seigneur, leur lavait les pieds, leur drait la vermine des
jambes
et de la tête moult souvent, et curait leurs plai
euse. Elle se mit à marcher comme une femme ivre, titubant, bras et
jambes
écartées. Une certaine ataxie des membres supérie
es membres inférieurs et elle garde la notion de la position de ses
jambes
qui ne se perdent pas dans son lit. La force mu
te. Vous voyez qu'elle oppose une certaine force à la flexion de la
jambe
sur la cuisse, qu'elle relève bien la pointe de s
onstatez surtout, messieurs, c'est un tremblement statique des deux
jambes
, une grosse incoordination motrice apparaissant
Remarquez encore l'hypotonicité très marquée de la cuisse et de la
jambe
. Notez enfin que ni les masses musculaires, ni le
ale. La malade est très faible ; si l'on essaye de la soulever, ses
jambes
plient sous elle et l'on est obligé de la soute
fort, bien le sol sur lequel elle repose. Soutenue, elle lance ses
jambes
en avant ; elle talonne fortement. Evi- demment
apprend qu'il y a six mois, elle titubait, avançant à pas inégaux,
jambes
écartées, ni mieux, ni plus mal à la lumière ou
la grosse incoordination. Essaye-t-elle de fléchir ou d'étendre la
jambe
sur la cuisse ? Ces mouve- ments se font mal, l
d'étendre la jambe sur la cuisse ? Ces mouve- ments se font mal, la
jambe
étant envoyée brusquement à droite ou à gauche.
arquer qu'elle a de la peine à marcher. Elle vacille un peu sur ses
jambes
, le pied se tord, se met de côté. En même temps
portée et, une fois à terre, il lui est difficile de se relever. La
jambe
gauche en parti- culier se refuse au service. E
se soulever dans son fauteuil provoque des crampes qui mettent les
jambes
, les pieds, les orteils en extension forcée. Le
locomotion est donc devenue impossible par paralysie motrice de la
jambe
gauche qui traîneetpar l'incoordination par dyses
jambe gauche qui traîneetpar l'incoordination par dysesthésie delà
jambe
droite. Il n'y a pas de douleurs le long des me
s 1903, époque où nous constatons les modifications suivantes. La
jambe
gauche a recouvré depuis quelque temps déjà un pe
térieure des deux membres. SCLÉROSE MÉDULLAIRE 21 à droite. Cette
jambe
droite, longtemps insensible au froid, retrouve c
on en- trecroisement médullaire (trauma du pied droit, plégie de la
jambe
gauche),ce- lui cité par Charcot (3). Il s'agit
ise, de vives douleurs dans les ! ombes, les flancs, le ventre, les
jambes
qui réclament impé- rieusement le lit. Je const
- ment ; elle est paralysée des deux membres inférieurs, même de la
jambe
droite qui avait été indemne jusque-là. L'essai
ient antérieurement, Enfin de jour en jour la motilité reparut à la
jambe
gauche la première, celle qui avait été plégiée
qui après des mois ou des années d'infirmi- tés, ont retrouvé leurs
jambes
et leur santé, méritent cependant qu'on s'en oc
raux qui ramèneraient facilement des retours dysesthésiques dans la
jambe
droite, de combattre l'obé- sité, le ralentisse
ni marcher, sans tomber en avant,alors qu'il remuait fort bien ses
jambes
dans son lit et qu'il semblait avoir conservé t
en avant. Il ne peut se tenir debout ni marcher sans écar- ter les
jambes
, à cause des oscillations du tronc dont il corrig
jamais eu de sensation vertigineuse (PI. IV). Quand il marche, les
jambes
se détendent comme un ressort, cependant il n'y
appliquant sur le sol. 4° Assis, pour toucher un objet du pied, la
jambe
et la cuisse se détendent en deux temps. - Ce
s évidente de la masse sacro-lombaire du côté correspon- dant il la
jambe
oscillante. Carlel (2) ,élè\'ede Marey ,auquel
rai seulement les spinaux qui entrent en contraction dit côté de la
jambe
oscillante, et le deltoïde..... (1). » Contract
une laçon un peu blil. un pian Horizontal . rreuous par exemple la
jambe
oscillante au milieu de son oscillation, à l'inst
SCLES SPINAUX DANS LA MARCHE (H Lamy.) A. Moment de la verticale (
jambe
droite oscillante) Contraction des muscles spinau
Contraction des muscles spinaux du côté droit. B. Pas antérieur (
jambe
droite oscillante) à l'instant qui précède immédi
ujours sur le membre inférieur gauche. C. 'Début du pas postérieur (
jambe
gauche oscillante). Li contraction des spinaux a
ractérise le relâchement du muscle. c) Suivons l'oscillation delà
jambe
dans le pas antérieur; le même aspect de la rég
e (fig. 5 et 6). Ainsi, durant tout le temps de l'oscillation de la
jambe
, le quadrilatère dorso-lombaire est asymétrique :
I. VIII, B et C). Fig. 3. Moment de la verticale dans le pas (
jambe
gauche oscil- lante). Fig. 4. Moment de l
icale (jam- be droite os- cillante). Fig. 5. Pas antérieur (
jambe
droite oscillante). Fig. 6. Début du pas
e). Fig. 6. Début du pas postérieur ou fin du double appui (
jambe
gauche oscil- lante). 56 LAMY On peut ain
i correspond au moment précis de la prise de contact du talon de la
jambe
oscillante avec le sol, autrement dit au début
e antéro-postérieur passant par l'articulation coxo- fémorale de la
jambe
portante. Ce serait au moyen fessier (P. Richer)
côté le plus élevé du bassin est toujours celui qui correspond à la
jambe
suspendue, au moins dans les trois premiers qua
s premiers quarts de son mouvement. C'est une nécessité pour que la
jambe
oscille sans heurter le sol....» On pourrait ob
rajectoire, déclare que le grand trochan- ter s'élève du côté de la
jambe
oscillante, et qu'il atteint son maximum d'élév
il atteint son maximum d'élévation au milieu de l'oscillation de la
jambe
correspondante. Inverse- ment il s'abaisse du c
uscle en question n'élève pas le bassin pendant l'oscillation de la
jambe
du même côté; mais, loin de s'élever, le bassin
opposé avec le sol. Elle dure tout le temps de l'oscillation de la
jambe
. 4° Cette contraction, dans la marche, est liée
ment et il y a un petit espace ovalaire très allongé entre les deux
jambes
. Chez nos malades au contraire, dans la même at
bassin et même dans les formes les plus accusées par la flexion des
jambes
sur les cuisses, l'an- kylose faible n'existant
laisser partir sans rançon s'il le guérissait d'un vieil ulcère de
jambe
. Mais la guérison devant être longue, un marché
il s'étend. L'enfant, assis sur la Vierge, repose naturellement, la
jambe
droite demi-fléchie et la gauche à demi étendue.
étendue. Le pied droit est immobile. Le pied gauche, fléchi sur la
jambe
, est touché par la main de l'adorateur au nivea
cchio, où le gros orteil droit est étendu de même que le pied et la
jambe
de l'enfant (3), la Vierge adorant l'Enfant Chr
lesjambes écartées, à pas inégaux, avec une flexion exagérée de la
jambe
sur la cuisse, dénotant une certaine asynergie
il n'existe pas d'asynergie. Un léger tremblement statique agite la
jambe
lorsqu'elle est étendue. Les réflexes rotuliens
on lente et progressive d'une incertitude plus ou moins marquée des
jambes
pendant la station et pen- dant la marche ; par
me premiers phéno- mènes, des douleurs fulgurantes ou non, dans les
jambes
et dans les lom- bes. Puis, en un espace de tem
eu musclés ; obésité remarquable. Mou- vements des bras libres, les
jambes
par contre sont ankylosées. Examen dé- taillé i
ison des cris que pousse la malade dès qu'on la touche, surtout aux
jambes
. Amaurose presque complète ; elle distingue à p
exagérés ; la contracture des adducteurs empêchait l'écartement des
jambes
; elles restaient étendues, les pieds en equino
extrêmement spastique. Le ma- lade étant couché, les mouvements des
jambes
s'exécutent sans difficulté. Gâ- tisme. Exitus
globes oculaires, et de l'autre par une hémiplégie du bras et de la
jambe
, atteignant très lé- gèrement ta force motrice
meurs cérébrales, démarche ébrieuse, hémipa- résie du bras et de la
jambe
droite. Légère asymétrie de la face déviée à gauc
ire, ni autre trouble trophique. Le malade marche à petits pas, les
jambes
écartées et raides, l'équilibre dynamique dans
malade a eu un accès de mouvements spasmodiques dans le bras et la
jambe
droite sans perte de conscience, pouls petit, res
de crampes musculaires dissociées dans le domaine du bras et de la
jambe
droits ; ces spasmes eurent d'ailleurs une asse
s-jacent. Lorsqu'elle revient à elle, elle ne peut se servir de ses
jambes
. Rien ne semblait faire prévoir à la malade par
complète des membres inférieurs. La malade ne peut pas soulever les
jambes
au-dessus du plan du lit ; à plus forte raison,
petit surviennent des contractures (le malade peut se soutenir sur sa
jambe
gauche paralysée). Depuis son ictus l'enfant
en baguettes de tambour très nette. L'enfant marche en trainant sa
jambe
gauche, son avant-bras gauche reste fléchi à an
ctère segmentaire asymétrique ; ils frappaient une main, ou bien la
jambe
, l'avant-bras... La température locale était touj
méfié. Vers midi le pied avait le volume normal. Parfois c'était la
jambe
qui se présentait en fiée. Le malade observa ces
is mois environ. Depuis cinq ou six mois le malade a reconnu que la
jambe
et le pied n'ont plus repris leur volume normal
ses courses pendant toute la journée sans souffrir de l'état de sa
jambe
, laquelle, peut-être, est légèrement plus tuméfié
auche. Au-dessous du genou le membre est nota- blement tuméfié : la
jambe
n'a plus sa forme normale, elle a la forme d'un
près sa sortie de l'hôpital. Il avait pris l'habitude de se bander la
jambe
avec une bande de flanelle, laquelle de la poin
e la main de notre quatrième observation, et le trophoe- dème de la
jambe
de notre sixième observation étaient dus à des lé
liothèque, qui représente une scène chirurgicale, une amputation de
jambe
. Ce vi- trail date de 1660. La scène, assez b
'un de ces chirurgiens néophytes, à genoux, se contente de tenir la
jambe
qu'il s'agit d'amputer; son rôle ne demande que d
nographie DE la SALPÊTRIÈRE T. XVIII. 1>1. XXXII AMPUTATION DE
JAMBE
Vitrail de la Bibliothèque Bodleyenne, à Oxford
D 233 retournée. Ce jeune opérateur scie hardiment les chairs de la
jambe
. On peut douter de l'excellence de ce procédé o
le et ra- pide incision a précédé cette manoeuvre. On voit sur la
jambe
deux solides ligatures, l'une un peu au-dessus de
es scènes chirurgicales analogues représentant des ampu- tations de
jambe
, figurées à l'occasion d'un épisode bien connu de
cette peinture, à tous égards très remarquable, l'amputation de la
jambe
est terminée ; on aperçoit nettement la section d
il a des crampes, des soubresauts douloureux dans les muscles de la
jambe
et du pied, rarement dans ceux de la cuisse. Le
du haut' de son corps, en même temps qu'il se met en station sur la
jambe
gauche. Puis, il fait, dit-il, « tourner ses rein
e côté sain, qui est destiné à porter tout le poids du corps sur la
jambe
saine, il existe, sans doute, une autre cause q
e en chien de fusil ; les cuisses sont fléchies sur le corps et les
jambes
fléchies sur les cuisses. Il est impossible d'éte
es jambes fléchies sur les cuisses. Il est impossible d'étendre les
jambes
. Les orteils sont en flexion forcée, le réflexe
un petit pois, mais en même temps on constatait une contracture des
jambes
sur les cuisses et des cuisses sur le bassin qu
A son entrée à l'asile, le malade est très agité. Il porte aux deux
jambes
des ecchymoses, traces de contusions récentes.
rémastériens sont nuls. M... marche en talonnant et en écartant les
jambes
;'il présente nettement le signe de Romberg. M.
erg et démarche ataxique. Foie petit, douleurs lancinantes dans les
jambes
. Etat de la sensibilité impossible à déterminer.
lles qu'il fut toujours alité ; il se plaignit de douleurs dans les
jambes
, il maigrit bien que s'alimen- tant suffisammen
es de feu le long de la co- lonne vertébrale, des frictions sur les
jambes
, de l'iodure de potassium. Il aurait été présen
te en chien de fusil. Les cuisses sont fléchies sur le tronc et les
jambes
sur les cuisses , l'extension est impossible.
comme les paumes des mains, elle n'a pas creusé en profondeur. Les
jambes
sont tou- jours rétractées. L'affaiblissement
it avec hydarthrose ; le genou gauche se prit également et les deux
jambes
se contractèrent. Il était dans un état de prof
Le 9 mai 1903, elle est renversée par une voiture et se fracture la
jambe
droite, ce qui nécessite son entrée à l'hôpital
u-dessus du plan du lit. Elle ne peut imprimer aucun mouvement à sa
jambe
, à son pied, il ses orteils. Cela tient en part
orteils. Cela tient en partie à la contracture très prononcée. La
jambe
est dans l'extension sur la cuisse, le pied dans
ôt en extension. A la partie inférieure de la face antérieure de la
jambe
, on voit la cicatrice de son ancienne fracture.
ains et dans les membres inférieurs avec tendance au dérobement des
jambes
. On note à ce moment, comme épisode intercurrent,
impossible de tenir un bras élevé, elle n'arrive pas à soulever les
jambes
au-dessus du plan du lit. Les mouve- ments de l
à s'asseoir sur le bord du lit. Elle prend alors successivement ses
jambes
avec ses mains, les range l'une à côté de l'aut
on lui demande de se coucher par terre, elle esquisse la flexion des
jambes
sur les cuisses et des cuisses sur le bassin, p
ar exemple, « le pied tuméfié est directement uni au cylindre de la
jambe
tuméfiée, et l'amoindrissement de la circonfére
bilisé pendant trois mois dans une gouttière pour une « fêlure de la
jambe
» causée par un coup de pied de cheval. Mais'un
de blan- chisseur, à cause de faiblesse dans les reins et dans les
jambes
qui déjà com- mençaient à s'incurver. A parti
s symptômes de l'ostéite déformante s'accusent de plus en plus. Les
jambes
faiblissent, deviennent arquées ; les genoux ne p
t plus entrer en contact. Il ressent des douleurs très vives dans les
jambes
. Un chapeau acheté en 1901 devient peu à peu tr
icatrices d'ulcères variqueux, surtout à la partie antérieure de la
jambe
droite. Les poumons sont emphysémateux, avec qu
isant. Il a com- mencé vers 70 ans à présenter des déformations des
jambes
et à se voûter. Ceux qui l'ont connu me disent
mé ces renseignements : « Mon grand'père avait une tête énorme. Ses
jambes
étaient très arquées. » Une petite fille enfin
de Paget chez un sujet qui avait l'at- titude caractéristique, les
jambes
arquées, la tête énorme et qui grossissait enco
deux frères. Richard (1887) dit que le père de son malade avait les
jambes
arquées. Dans les observations de Robinson (1886-
é pris alors d'étourdisse- ments et de tremblement nerveux dans les
jambes
, qui lui rendaient la station debout difficile.
s de llomberq. Ni ataxie, ni parésie. Etat spasmodique marqué des
jambes
. Faiblesse des mains sans tremblement. Exagér
pides du membre supérieur. 11 août 1903. Démarche à petits pas, les
jambes
écartées, le pied droit 406 BALLET ET ROSE es
vation de la force musculaire. Pas d'ataxie. Raideur musculaire des
jambes
et de la nuque. Les réflexes tendineux sont exa
u, les autres doigts plus ou moins étendus suivant le moment. Les
jambes
à moitié fléchies ne touchent pas le sol, les pie
plus forte à gauche qu'à droite, ayant les mêmes caractères qu'aux
jambes
. Les mouvements spontanés sont très lents et ma
tation (défaut d'attention ? ).Il se plaint de picotements dans les
jambes
.- Sphincters normaux L'intelligence semble un p
ouvements fibrillaires et un peu d'ataxie. Démarche : elle tient la
jambe
droite un peu raide, elle marche lentement, fro
Début de l'affection il y a un an et demi. En 1866 : mouvements des
jambes
possibles, mais lents et tremblants. Tremblemen
a bouche. Parole comme chez le frère. Raideur du dos, du cou et des
jambes
, moins intense dans les bras. Réflexes très forts
l'âge de 14 ans, brusquement, par des douleurs dans les pieds, les
jambes
, les genoux et les épaules. Les douleurs étant de
uparavant ; il lui semblait surtout que la force dans les bras et les
jambes
avait beaucoup diminué. Peu de temps après, il
e produit des fossettes sur leur face inférieure. Les muscles de la
jambe
, les fléchisseurs et les extenseurs sont de même
omplètement, de sorte que la convexité de la face postérieure de la
jambe
est remplacée par une surface plane. Nous tro
t pris également, mais à un moindre degré. La circonférence de la
jambe
est au milieu, à 19 centimètres au-dessus de la
encore plus fortes aux épaules. Il prétend même que les pieds, les
jambes
et les épaules étaient enflés. Une semaine après,
che. Lorsqu'il avait des douleurs, il avait l'habitude de tenir les
jambes
fléchies sur les cuisses et les cuisses sur le
'abdomen, mais il ne peut l'écarter. Le mouvement d'extension de la
jambe
sur la cuisse ne se fait plus, il existe seu- l
t, il y a seulement une nuance quand on s'oppose à la flexion de la
jambe
sur la cuisse. La sensibilité générale, superfi
alement développés, le pubis est re- couvert de poils abondants, la
jambe
sur toute sa surface et la cuisse sur la face p
un pied plat, légère- ment valgus, immobilisé à angle droit sur la
jambe
. Les saillies tendineuses des muscles contractu
e pression en pression, on remonta le long de la face interne de la
jambe
, jus- qu'au genou, l'enfant continuant à signal
mme debout ne se tient pas volontiers symétrique- ment sur les deux
jambes
, mais bien plutôt il se met en position hanchée :
'enfant se plaignait de grande faiblesse dans les reins et dans les
jambes
; elle pouvait à peine se porter. Un médecin ordo
plaint, dit-elle à plusieurs reprises, de souffrir horriblement des
jambes
et de ne plus pouvoir se porter. » Sur la malad
ngueur entre eux. Aucune atrophie muscu- laire à la cuisse, ni à la
jambe
. Les mouvements provoqués sont normaux à la han
iffi- ciles par une légère contraction des muscles extérieurs de la
jambe
: les mou- vements spontanés sont certainement
certainement modifiés, l'enfant lève avec quelque dif- ficulté ses
jambes
à quelques centimètres seulement au-dessus du pla
omme ébrieuse, les bras en balancier ; pendant les premiers pas ses
jambes
la soutinrent à peu près, puis le corps pencha à
men elle boite légèrement, se plaignant encore de douleurs dans les
jambes
. Il est de toute évidence que ATTITUDES VICIEUS
que la région lombaire était souple ; quand on soulevait les pieds,
jambes
demi-fléchies, les reins se creusaient. Car de
t plus accusé, relativement, pour la cuisse et le bras, que pour la
jambe
et l'avant-bras, et n'intéresse que peu le pied
lement plus 488 PORAK ET DURANTE longs chez le nouveau-né que les
jambes
et l'avant-bras, sont, en général, plus courts
dait à un diamètre de 5 1/2 cent. pour la cuisse et de 3 1/2 pour la
jambe
. Dans une autre observation (1902) la longueur
nsversal 1,7 cent. ; la longueur de la cuisse ainsi que celle de la
jambe
: 2,6 cent. et leur diamètre transversal 2 centim
petit malade de Lepage, que nous avons eu l'occasion d'examiner, la
jambe
semblait avoir une notable convexité externe ; la
e- loppement des muscles de la région externe de la cuisse et de la
jambe
qui exagère la convexité externe dessinée par l
'est-à-dire que la cuisse et le bras, normalement plus longs que la
jambe
et l'avant-bras, sont plus courts que ces dernier
rv. de Véron, Soc. obstétr. de France, 1905). Courbure des os des
jambes
. Fractures d'un humérus, du radius du côté opposé
s conservent une certaine prédominance en longueur sur les os de la
jambe
et de l'avant-bras. Les os ainsi raccourcis att
aut l'interligne articulaire, ce qui explique peut-être pourquoi la
jambe
forme avec la cuisse un angle ouvert en dedans.
elques cas, cependant, le raccourcissement de l'avant-bras et de la
jambe
devient excessif, de sorte que le fémur et l'humé
re et à l'élargissement du plateau tibial que P. Marie attribue les
jambes
arquées en dehors si fréquentes chez ces malade
ée it la vue par la proémi- nence des muscles antéro-exterues de la
jambe
très développés. Les doigts sont d'égale longue
bres des éiéphantiasiques. En remuant les bras, les avant-bras, les
jambes
et les cuisses, on reconnaissait manifestement
vantes : Le pied droit du calcanéum au gros orteil = 16 cent. 8. La
jambe
de l'interligne articulaire à la malléole exter
ques (le bras. et la cuisse sont plus courts que l'avant-bras et la
jambe
).Dans dix cas d'achon- droplasie où on a pris l
tres, l'avant-bras = 15 centimètres, la cuisse = 21 centimètres, la
jambe
= 23 centimètres.Dans le cas de Variot (cité pa
entimètres,l'avant-bras =17 cent. 7, la cuisse = 23 centimètres, la
jambe
= 24 centimètres. Chez le malade Claudius le br
tres, l'avant-bras = 15 centimètres, la cuisse = 1S centimètres, la
jambe
= 22 cent. 2. Dide et Leborgne chez leur malade
is d'après la photographie la cuisse semble être plus courte que la
jambe
. Dans d'autres cas lamicromélie rhizométiqueest
ètres, l'avant-bras = 14 centimètres ; la cuisse 22 centimètres, la
jambe
= 19 centimètres. Dans l'un des cas d'Apert (le
semble que dans ce cas, la cuisse est elle aussi plus longue que la
jambe
. Dans certains cas, ainsi que nous l'avons dit,
lade de Ces- tan,le bras = 13, l'avant-bras = 22, mais cuisse et la
jambe
sont éga- les. Dans le cas de Villaire-Cahèche
cent. 1, l'avant-bras = Il cent. 1 ; la cuisse = 14 centimètres, la
jambe
= 15 centimètres. Il résulte de tous ces faits
nt. 5 ; l'avant-bras = 16 centimètres ; la cuisse = 18. cent. 5, la
jambe
= 17 centimètres. La micromélie rhizomélique es
à leur dégraissage incomplet. Fio. 7. Les os de la cuisse et de la
jambe
du même malade comparés à ceux d'un adulte norm
e. Le calcanéum arrive normalement à s'articuler avec le cuboïde.
Jambe
. - L'interprétation et la description se font ici
es altérations présentées dans le bassin, dans la cuisse et dans la
jambe
. Nous avons déjà vu qu'on ne peut songer ni à u
e du tibia. De cet os, il n'a que la position au bord interne de la
jambe
. Il présente la constitution des os courts, spo
re observation nous n'observons pas de cicatrices sur la peau de la
jambe
. Nous ne croyons pas en effet à l'influence des b
uxée en avant et sous la peau, presque au niveau du dos du pied; la
jambe
constituée par un péroné infléchi, pro- fondéme
t, dans les observations d'absence totale ou partielle des os de la
jambe
on observe souvent une olygodacty- lie, et l'ec
ectrodactylie se trouve du côté affecté par l'absence de l'os de la
jambe
, tibial ou péronéal [Nélaton (87)]. Lannois et IÚ
nature a laissé indemnes les bras et les avant-bras tandis que les
jambes
et les cuisses sont si profondément lésées ? L'
es n'ont rien à faire, les difformités des segments proximaux de la
jambe
sont ainsi évidemment dues à une influence méca-
ifficile pour une raideur qui s'installait progressivement dans ses
jambes
. Néanmoins il put faire le métier de balayeur pen
ne peut pas se tenir debout; il reste à demi-assis sur son lit les
jambes
écartées. Incontinence des matières et d'urine.
des matières et d'urine. A cause de l'oedème il ne peut remuer ses
jambes
que très difficilement, mais les bras ont conse
urt le lende- main. Résumé CLINIQUE. Raideur progressive dans les
jambes
, tremblement in- tentionnel, nistagmus, parole
PE ARAN-DUCHENNE d'origine SYPHILITIQUE Radiographie des os de la
jambe
droite et de l'avant-bras gauche. (Launois).
omme une pièce de cinq francs, à la région moyenne et externe de la
jambe
. Des cicatrices de même nature se rencontrent à
irmatif sur ce point que la première lésion de la peau, celle de la
jambe
droite, est apparue à la suite d'un coup à la fin
it en dedans. Il semblerait que l'action des muscles externes de la
jambe
soit tou- jours inférieure à celle des muscles
leur simplicité extrême à toute critique médicale, tels les bras et
jambes
de bois qui, par centaines, en d'autres lieux,
place une main sur cette saillie, on sent, pendant la flexion de la
jambe
, une crépitation rappelant celle de petits os q
e l'é- piphyse et de la diaphyse existe une couronne d'épines. La
jambe
gauche est très déformée ; le mollet, du fait d'u
bia, très élargie, fait une saillie marquée à la face interne de la
jambe
. L'extrémité supérieure du péroné est très végé
uses sur les extrémités métatarsiennes et pha- langiennes. . A la
jambe
droite, les exostoses sont moins volumineuses ; i
neuses. Par suite du raccourcissement du membre inférieur droit, la
jambe
gauche est toujours à demi-fléchie sur la cuisse.
nstituée par du tissu éburné, extrêmement dur. Le squelette de la
jambe
n'est pas moins modifié que celui de la cuisse. L
ne sous-périostée. Son père et son grand-père paternel avaient, aux
jambes
et aux bras, depuis leur enfance des tumeurs anal
otre malade une augmentation de volume de la malléole externe de la
jambe
droite ; elle alla progressivement en augmentan
nte que lorsqu'il était enfant, il remarqua les tuméfactions de ses
jambes
, lui-même les jugea de nature osseuse. Ces tume
tir aucun dommage. Actuellement, il présente : 1° Une tnmeur à la
jambe
gauche près du condyle supérieur interne du tib
se environ comme une noisette. 3°-4° Deux tumeurs symétriques de la
jambe
droite. 5° Une tumeur plus grosse que les précé
articulations deve- naient de plus en plus amples ; de façon qu'une
jambe
, par exemple pou- vait être, avec facilité, jet
ue jour son absinthe et a depuis quelques mois des crampes dans les
jambes
, des aigreurs le matin et de l'insomnie. Il y a
Il y a 15 jours, il était très faible, avait des douleurs dans les
jambes
et les reins et de violents maux de tête. Depui
é ; derrière ces deux curieux, que menace un chien réfugié dans les
jambes
nues et décharnées du bonhomme, on remarque un
et Rose), XLVII. Ambroise Paré (DEnoVE), XII à XV. Amputation de
jambe
(Henry MElGE), XXXII. Aphasie amnésique (ILaL
lignes (l'intersection entre elles et avec les cloisons profondes; la
jambe
et surtout lavant-bras en offrent de nombreux exe
isse des triceps, à l'avant-bras les cubitaux et les extenseurs, à la
jambe
les extenseurs et les jambiers, etc.) Partout le
e dans ses quatre fractions: la portion pelvi--fémorale,la cuisse, la
jambe
et le pied. i° Portionpelvi-fémorale (Pl. 5, 7,
teurs, les uns et les autres séparés par des gaines secondaires. 3°
Jambe
. (Pl. 12 et i3.) L'aponévrose jambière, composée
fragmens confondus en une seule membrane, environne circulairement la
jambe
, et vient s'insérer de chaque côté , en avant, su
ncore que le tiers antérieur de l'épaisseur du membre. Eu arrière, la
jambe
offre deux groupes musculaires; le plus superfici
s superposées : sous l'aponévrose, et dans la moitié supérieure de la
jambe
, les loges des jumeaux, et au-devant, dans toute
ons, il faut considérer comme continuation des loges musculaires delà
jambe
, la série des coulisses tendineuses divergentes q
pour íes divisions secondaires, aux autres fractions des membres, la
jambe
et l'avant-hras, le pied et la main. Dans chaque
latérales, et renferme seulement les trois muscles fléchisseurs de la
jambe
, dont la saillie se prononce au-clehors. La pea
interne qui sépare les adducteurs de la cuisse des fléchisseurs de la
jambe
. Extérieurement cette région est parcourue en dia
en avant, du droit antérieur, et, en arrière, des fléchisseurs de la
jambe
, par l'interposition de la cloison aponévrotique
n sillon circulaire de rétrécissement, la naissance des muscles de la
jambe
, cette région, dont la surface est très inégale,
articulation fémoro-tibiale. Au-dessous de cet os, la naissance de la
jambe
est marquée par une saillie osseuse que forme la
ponévrose superficielle, intermédiaire à celles de la cuisse et de la
jambe
, qu'elle réunit, et dont elle forme l'attache sur
tement des muscles fléchisseurs à la cuisse, et des deux jumeaux à la
jambe
, et circonscrivant en profondeur le creux du jarr
igne courbe à concavité inférieure, indiquant le pli de flexion de la
jambe
sur la cuisse. Parties composantes. i° Peau. Li
où il est le plus facile d'y remédier par les moyens chirurgicaux,
jambe
, La jambe se divise en six régions, dont deux c
e plus facile d'y remédier par les moyens chirurgicaux, jambe, La
jambe
se divise en six régions, dont deux constituées p
t une antérieure, osseuse ou tibiale. Par extension, on rapporte à la
jambe
l'articulation tibio-tarsienne, que l'on divise e
és les régions malléolaires externe et interne. Dans son ensemble, la
jambe
a la forme d'un cône aplati en avant et en dedans
le se compose de deux feuillets, l'un, superficiel, étendu à toute la
jambe
, constitue proprement l'aponévrose d'enveloppe ou
ux, qui se détachent du groupe précédent à la partie inférieure de la
jambe
pour passer derrière le péroné et sous la malléol
onfiguration, délimitation. Étendue à toute la face postérieure de la
jambe
, dont elle renferme la masse musculaire principal
ns musculaires du jam-bier antérieur et des muscles postérieurs de la
jambe
. Parties composantes. i° Peau. Épaisse, d'une t
êt le périoste, elle est difficile à détacher dans l'amputation de la
jambe
, et ne se cicatrise qu'avec lenteur dans les cas
en bas, cette région, formée par le pli de flexion articulaire de la
jambe
avec le pied, est dirigée horizontalement avec un
ssent une incurvation en dedans, et changent leur nom de tibiaux à la
jambe
en celui de pédieux sur la face dorsale du pied.
travers par les deux malléoles, et termine la face postérieure cle la
jambe
par l'extrémité du tendon d'Achille. Déprimée cle
de triangle alongé, correspondant à la conversion des muscles cle la
jambe
en tendons sous-malléo-laires. Inférieurement ell
ace plantaire. Le bord interne, sur lequel se répartit le poids de la
jambe
par l'astragale, est très épais ; l'externe, au c
ssion est possible. On se rappelle le malade auquel limiter amputa la
jambe
par ce procédé. La section des chairs ne fut pas
possible, parla pelote d'un compresseur, dans le creux du jarret, la
jambe
demi fléchie; mais comme elle est douloureuse par
avantage par la compression de l'artère fémorale. 3° Artères de la
jambe
et du pied. \J artère tibiale postérieure est acc
rieure est accessible en deux points : à l'extrémité inférieure de la
jambe
, entre le tendon d'Achille et les tendons fléchis
rne et en avant des tendons du couturier et du droit interne; pour la
jambe
, un peu au-dessous du genou, entre le tibia et le
partie interne du bras avec le tronc, du bras avec lavant-bras, de la
jambe
avec la cuisse à l'état de flexion forcée ; de la
s fractions du corps différentes, telles que le bras et le tronc , la
jambe
et la cuisse, il y a peu à craindre la récidive,
embres : à l'avant bras, les tendons extenseurs ou fléchisseurs; à la
jambe
, plus spécialement, le tendon d'Achille, mais, au
ur le ventre, le tendon d'Achille tourné en haut vers l'opérateur, la
jambe
et le pied maintenus par un aide, le chirurgien p
lles des membres avec rétraction. Lear siège le plus habituel esta la
jambe
et surtout à lavant-bras, ces deux fractions des
point où l'on doit piquer et la bande nouée sur le côté externe de la
jambe
. Assis sur une chaise basse au-devant du malade e
conseille également, d'aprèsBoyer,que pour les pelotons variqueux des
jambes
ou pour les varices que leur position rend gênant
te restriction donne, pour le point le plus bas, le tiers moyen de la
jambe
, et, pour le point le plus élevé, la partie infér
opératoire. Prc ^édé ordinaire. Le malade couché en supination, la
jambe
étendue, rapprochée du chirurgien placé en dehors
ant que l'on agit à la partie moyenne ou à la partie supérieure de la
jambe
, chercher, à l'œil ou au toucher, soit le sillon
aponévrotique , qui maintient les muscles postérieurs profonds de la
jambe
; appliqué sur la face postérieure du jambier post
son fil, en amenant vers soi. 2° Ligature vers le tiers moyen de la
jambe
. Les préceptes ana-tomiques sont ici plus diffici
uscles proéminent, l'artère tibiale postérieure, au tiers moyen de la
jambe
, est placée de un à un et demi centimètre plus en
ue de la longueur de la plaie. 3° Ligature au tiers supérieur de la
jambe
. L'artère est encore ici plus éloignée de la surf
gine de l'artère correspond un peu au-dessus du tiers supérieur de la
jambe
et un peu en dedans de la partie moyenne du diamè
ar ce muscle, le jumeau interne, et la peau. Procédé opératoire. La
jambe
demi-fléchie et placée comme il a été dit plus ha
'on ait apporté à les mettre dans le relâchement par la flexion de la
jambe
et l'extension du pied. Sur le vivant, le fouette
ig. 3) '. Situation. Logée profondément à la face postérieure de la
jambe
, dans le sillon qui longe le bord interne du péro
rt péronier latéral, on ne la lie guère qu'à la partie moyenne cle la
jambe
, au-dessous des jumeaux, entre les péroniers et l
ur sa face interne, la face antérieure tournée vers le chirurgien, la
jambe
dcmi-fléchie, le pied étendu et relevé sur son bo
i. Procédé de M. Lisfranc. Comme pour les deux autres artères de la
jambe
, ce chirurgien prescrit de diriger l'incision obl
ade du soléaire sur la ligne médiane, et au cinquième supérieur de la
jambe
, elle est légèrement flexueuse en demi - flexion,
la losange inscrite par les masses musculaires des fléchisseurs de la
jambe
pour le triangle supérieur et des jumeaux pour l'
périeur de la plaie dans l'écartement des muscles fléchisseurs cle la
jambe
et vers 1 angle inférieur clans l'écartement des
oller avec le bec de la sonde cannelée. Faire fléchir médiocrement la
jambe
sur la cuisse pour mettre les muscles clans le re
e, la cuisse dans l'abduction et légèrement fléchie sur le bassin, la
jambe
fléchie sur la cuisse, et l'articulation supporté
le sillon qui sépare le vaste interne des muscles fléchisseurs de la
jambe
. Pour y procéder, l'incision doit avoir dix centi
et sûr pour toutes les maladies de même genre qui ont leur siège à la
jambe
, quand la ligature d'une des artères locales n'of
nt couchée sur son côté externe, légèrement fléchie sur le bassin, la
jambe
demi-fléchie sur la cuisse, la face antérieure du
re deux os, comme au métacarpe ou au métatarse, àl'avant-bras ou à la
jambe
, il suffit de faire basculer ce corps avec une ti
t à la fesse, dans l'épaisseur de l'avant-bras, de la cuisse et de la
jambe
. Deux procédés opératoires sont applicables au
latif à cette articulation. Le malade doit être couché sur le dos, la
jambe
étendue; le genou affecté, soutenu par un coussin
ait affecté d'une ankylosé du genou avec déviation considérable de la
jambe
en dedans, au point que le pied ne pouvait en auc
amovible, pour en obtenir la soudure dans cette nouvelle position. La
jambe
étant ainsi redressée, le pied regardait le sol.
s, sont assez nombreux; il en résulte ordinairement une soudure de la
jambe
et du pied : cependant chez le malade de Rumsey i
est nécessaire, enlever les extrémités inférieures des deux os de la
jambe
conjointement avec la partie supérieure de l'astr
tion est d'enlever à la fois l'extrémité inférieure des deux os de la
jambe
en commençant par la résection du péroné. Premi
cond temps. Pour pratiquer la résection du tibia (pl. 5g, fig. 1), la
jambe
étant couchée sur son côté externe, faire une inc
lte de cette opération est largement ouverte sur les deux côtés de la
jambe
et permet de réséquer facilement avec la gouge ou
au moyen d'une semelle et de deux attelles fixées sur les côtés de la
jambe
. Procédé de M. Roux. Le malade couché sur une t
dé de M. Roux. Le malade couché sur une table garnie d'un matelas, la
jambe
appuyée sur un coussin, faire, avec un bistouri c
r les os altérés. Procédé de l'auteur (pl. 60, fig. l\, 5 et 6). La
jambe
reposant sur sa face postérieure est maintenue da
e pénétreront du premier coup jusqu'à l'os. Faisant alors incliner la
jambe
légèrement en dedans, on rasera exactement, avec
comme accessoire dans la composition des deux tiers supérieurs de la
jambe
, cette condition permet d'enlever sans inconvénie
i° Extraction du corps du péroné par M. Seutin (pl. 61, fig. 1). La
jambe
reposant sur son côté interne, pratiquer le long
mité supérieure du péroné. Procédé de l'auteur (pl. 61, fig. 4). La
jambe
dcmi-fléchic reposant sur sa face interne, sentir
rsion des temps opératoires, et donne exactement le même résultat. La
jambe
placée dans la demi-flexion, pratiquer au-dessous
ion des os comme clans le procédé de Moreau. Procédé de M. Sjme. La
jambe
fléchie à angle droit sur la cuisse, tracer au-de
t tout aussi bien fait de ne pas s'écarter pour les amputations de la
jambe
. AMPUTATIONS DE LA MAIN. Quand la science eut
ffre des dispositions anatomiques à peu près analogues à celles de la
jambe
. Les muscles nombreux accumulés sur les faces ant
. méthode circulaire. On se sert des mêmes instrumens que pour la
jambe
, seulement le couteau inter-osseux est plus étroi
soutient la portion à retrancher enveloppée d'un linge. Comme pour la
jambe
, l'opérateur est toujours placé en dedans; cett
seux. On emploie à cet effet deux procédés qui sont les mêmes qu'à la
jambe
. 2° Procédé ancien adopté par M. Velpeau. L'ava
rêles qui parcourent la cuisse dans toute son étendue, du bassin à la
jambe
. Aussi M. Malgaigne, commentant les idées de Ix
inaires, d'une scie à phalange, de ciseaux de Liston et de pinces. La
jambe
pendante hors du lit, l'artère comprimée par un a
pératoires, appuie sur ce double principe: i° de ne jamais amputer la
jambe
, toutes les fois qu'on peut attaquer le pied sans
de maladie des articulations tarso-métatarsiennes. AMPUTATION DE LA
JAMBE
DANS LA CONTINUITÉ (pl. 82-83). Généralités. D'
nerons à tracer ici l'histoire des applications spéciales faites à la
jambe
, sans nous occuper cle nouveau des idées générale
nous devons en esquisser l'anatomie. Anatomie. Si nous examinons la
jambe
dans son ensemble, nous signalerons d'abord la pr
squelles il n'y a pas de régularité possible clans l'amputation de la
jambe
, sont à peine soupçonnées des chirurgiens clu moy
er la peau afin d'en recouvrir la plaie fut remis en pratique pour la
jambe
soit à l'aide de lacs, par Guy de Chauliac, soit
des points les plus intéressans de l'histoire des amputations cle la
jambe
, c'est le choix du lieu où l'opération doit être
IR E. Anatomie. C'est à trois pouces au-dessus des malléoles que la
jambe
présente le moins d'épaisseur et de résistance, t
être remplacé par un bistouri droit. Le malade couché sur un lit, les
jambes
pendantes, l'artère est comprimée par un aide au
bord le tendon d'Achille et successivement tous ceux qui entourent la
jambe
, diviser les chairs inter-osseuses, passer le rét
n, ordinairement prompte et sans reaction très prononcée, on tient la
jambe
fléchie légèrement sur la cuisse et appuyée sur u
lémi et Robert. Incision semi-circulaire sur la face antérieure de la
jambe
, à huit centimètres et demi au dessus des malléol
AMPUTATION AU LIEU D'ÉLECTION. Historique. A. Paré voulait que la
jambe
fléchie sur la cuisse pendant l'amputation fût en
Fabrice de Hilden la description d'un procédé pour l'amputation de la
jambe
, qui se rattache singulièrement à celui d'Héliodo
iodore et qui n'a été mentionnée nulle part : La manche appliquée, la
jambe
fixée sur le banc, il coupait d'abord les chairs
d'un véritable rétracteur, et pendant la cicatrisation fléchissait la
jambe
sur la cuisse pour diminuer l'impulsion des artèr
de et des aides. Le malade est couché sur un lit, le tronc élevé, les
jambes
pendantes, un aide comprime l'artère sur le pubis
ndantes, un aide comprime l'artère sur le pubis, un autre soutient la
jambe
et relève les chairs, un troisième fixe le pied e
baisser. La cuisse droite est fléchie à angle droit sur le bassin, la
jambe
sur la cuisse, le pied repose à plat sur le sol;
le sol; la cuisse gauche est fléchie à angle obtus sur le bassin, la
jambe
à angle aigu sur la cuisse, la tubérosité de l'is
hion s'appuie sur le talon, et la pointe du pied sur le sol: les deux
jambes
sont écartées pour assurer la solidité des mouvem
ération doit être poursuivie de la manière suivante. Premier temps (
jambe
gauche). Marquer avec le pouce gauche le commence
et fléchi et le coude élevé en décrivant un demi-cercle par-dessus la
jambe
pour appliquer le tranchant du couteau sur la fac
n de la main gauche sur le manche, exécuté vers la face interne de la
jambe
après un temps d'arrêt imperceptible. Ce tour de
u bord interne du tibia et finisse au milieu de la face externe de la
jambe
; d'un angle à l'autre de cette incision à convexi
le à celui en deux temps , qui s'exécute ainsi : porter par-dessus la
jambe
le talon du couteau sur la face externe du péroné
ns l'espace inter-osseux antérieur, le retirer et le reporter sous la
jambe
, la pointe en haut, sur la face externe du péroné
idées qu'on y rattachait, la méthode à lambeau, créée d'abord pour la
jambe
, resta dans la science, s'étendit même, mais elle
. Procédé de Verduin modifié. Le chirurgien placé en dedans pour la
jambe
droite, en dehors pour la gauche : inciser les té
rs pour la gauche : inciser les té-gumens de la face antérieure de la
jambe
à quatorze millimètres en dedans du bord interne
dessus de l'angle du lambeau. Pendant la durée de la cicatrisation la
jambe
est étendue sur la cuisse. Ce procédé n'est que
us de peau que de muscles, fait remonter les tégumens et tirer sur la
jambe
. Il veut que le chirurgien soit toujours placé en
né, l'inclinaison du couteau suivant la direction connue des os de la
jambe
, suffisent toujours pour éviter un inconvénient q
er le péroné et faire sortir l'instrument à la face postérieure de la
jambe
, tailler de haut en bas un lambeau externe long d
un des plus rationnels qu'on puisse imaginer pour l'amputation de la
jambe
au lieu d'élection : le tibia est tout entier rec
moignon présente un coussinet très précieux si l'on veut employer la
jambe
artificielle de Verduin; en un mot, ce procédé ré
ut, nous semble justifiée par la situation superficielle des os de la
jambe
, par leur volume et la nécessité de les recouvrir
ulaire est la meilleure qu'on puisse employer dans l'amputation de la
jambe
. Nous sommes forcés de ratifier ce jugement porté
hode n'est peut-être pas en harmonie complète avec la structure de la
jambe
. Cependant, si, laissant de côté les raisons faus
nne une réunion prompte, et qu'elle facilite peut-être l'emploi de la
jambe
artificielle, que Verduin avait aussi inventée à
res aussi loin que possible du tronc ; principe qu'on a violé pour la
jambe
par des raisons qui demandent à être révisées.
si ne donnerons-nous pas à la cuisse, comme nous l'avons fait pour la
jambe
, une très grande extension à l'historique de proc
che des muscles superficiels, qui parcourent la cuisse du bassin à la
jambe
: pour eux, le phénomène de la rétraction primiti
ouce de chaque main. Le malade couché le tronc sur un lit, les deux
jambes
pendantes dans toute leur étendue, est contenu pa
r sont ainsi distribués : l'un comprime l'artère, l'autre soutient la
jambe
malade; un troisième est chargé de maintenir les
t la fatigue de l'opéré. Pour diminuer la rétractilité musculaire, la
jambe
est légèrement fléchie sur la cuisse, et la cuiss
Mais tous ces préceptes sont ici d'une moindre importance que pour la
jambe
. Procédé ordinaire modifié de J.-L. Petit (pl.
Premier temps. Le chirurgien, prenant la position assignée pour la
jambe
, porte le couteau par-dessous le membre, sur sa f
ntin. Le membre dans l'abduction, la cuisse étendue sur le bassin, la
jambe
fléchie sur la cuisse, couper les chairs de la pa
erne; le membre dans l'adduction, la cuisse fléchie sur le bassin, la
jambe
fléchie sur la cuisse, diviser les parties molles
iquait à la cuisse est le même que celui que nous avons donné pour la
jambe
; il revient à celui de Vermale: seulement la diss
poids sur toute la surface de la plaie, et de faciliter l'usage d'une
jambe
de bois sur laquelle le moignon reposerait sans c
plantaire; pl. 80, fig. 3, 4, 5). Le malade couché en supination, la
jambe
demi-fléchie et le pied fixé par un aide1 au-dess
x et on les maintient par des bandelettes agglutinatives (fig. 5); la
jambe
est couchée demi-fléchie sur sa face externe. A
e au-devant de l'autre, auxquelles le scaphoïde est intermédiaire. La
jambe
verticale sur le pied posant horizontalement à pl
s deux os. Procédé de Chopart (pl. 81, fig. 1 et 2). Pied droit. La
jambe
fixée comme il a été dit précédemment, le pied sa
ns décrire. Procédé de M. Baudens(v\. 83 bis, fig. i, 2, 3et 4). La
jambe
fixée par un aide, et le pied suspendu librement
disséquer à grands coups sur les os et relever circulai rement sur la
jambe
le vaste lambeau cutané ovalaire qui résulte de l
de a lambeaux. — Procédé de Hoin (pl. 84). Le membre étant étendu, la
jambe
saisie au-dessous de la rotule avec la main gauch
u, les ligamens et les autres tissus fibreux. Fléchir alors un peu la
jambe
, diviser avec la pointe du couteau les ligamens c
imparfaite; puis, offrant le couteau en plein, achever de fléchir la
jambe
pour amener vers soi la tête du tibia, et, contou
mens latéraux; écarter les surfaces osseuses en fléchissant un peu la
jambe
, détacher les cartilages semi-lunaires, couper le
sse. Méthode ovalaire.—Procédé de M. Baudens(p\. 91, fig. 6). i° La
jambe
placée dans l'extension, commencer à treize ou qu
anée semi-circulaire qui remonte obliquement sur l'un des côtés de la
jambe
, contourne en arrière le creux du jarret, à un tr
fait aujourd'hui, l'artère comprimée par le pouce d'un aide; enfin la
jambe
soutenue par un autre aide, et la cuisse saisie p
eau interne et antérieur, et petit lambeau externe et postérieur). La
jambe
dans l'extension, piquer avec la pointe du coutea
41. — De la première rangée des os du tarse, 241. == amputation de la
jambe
. Sus-malléolaire, 242. — Au lieu d'élection, 243—
ion fémorale externe. 54. Région du genou. 55. Région poplitée.
JAMBE
. 56. Région jambière antérieure externe. 57.
e. D. Loge musculaire du grand fessier supérieur (abducteur de la
jambe
). 16. Nerfs fessiers. 17. Artères et veines
ins fournis par les perforans. 18. Filamens des nerfs sciatiques.
JAMBE
. A, B, C, D. Tendons des muscles internes de la
ICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES, VAISSEAUX ET NERFS DE LA
JAMBE
ET DU PIED. ADULTE, DEMI-NATURE. Figure i. —
TURE. Figure i. — Plan antérieur. Figure 2. — Plan postérieur de la
jambe
et dorsal du pied. Figure 3. — Surface plantair
loge du jumeau interne, vue au profil. A la partie inférieure de la
jambe
se voient : 1° En dedans : 15. Vaisseaux et nerfs
a. Figure i. — Plan de section horizontale de la partie moyenne de la
jambe
. Figure 3. — Plan de section transversale du pied
gros orteil. 11, 11, 11. Contour de l'aponévrose d'enveloppe de la
jambe
. C. Vaisseaux tibiaux antérieurs. Artère, veine
de la saphène interne ; la bande (a), nouée sur le côté externe de la
jambe
, produit la réplétion des veines. (1) est la sail
aplatie dans sa moitié supérieure par les tendons fléchisseurs de la
jambe
. énumération des parties. A. Tumeur anévrisma
Muscle poplité. N. Tendons des muscles fléchisseurs internes de la
jambe
(demi-tendineux, demi-membraneux et droit interne
EURE ET PÉDIEUSE. ADULTE, DEMI-NATURE. DISPOSITION GÉNÉRALE. La
jambe
droite est couchée sur un oreiller, appuyée sur s
L'ARTÈRE TIBIALE ANTÉRIEURE. 1° (A et A2) Au tiers SUPÉRIEUR de la
jambe
. 1. Section de la peau. 2. Section de l'aponé
e de l'aiguille de Deschamps. 2° (B ET B2) Au TIERS INFÉRIEUR DE la
jambe
. 1. Section de la peau. 2. Section de l'aponé
ITION GÉNÉRALE. Cette planche comprend trois figures Figure 1. La
jambe
droite, demi-fléchie, est couchée sur un oreiller
périeures. Figure 3. Ligature de l'artère péronière au milieu de la
jambe
droite, appuyée par sa face interne sur un oreill
ntre ses deux veines. 2° (B et B2) Fig. 2. Au tiers inférieur de la
jambe
. I. Section de la peau. — 2. Section de l'aponé
e la sonde cannelée. 3° (C et C'2) Fig. 2. Au tiers supérieur de la
jambe
. La plaie est maintenue écartée en avant par le
uisse. Figure 3. Grand couteau inter-osseux pour l'amputation de la
jambe
. Figure 4. Couteau droit pour l'amputation du b
raction successive des deux extrémités articulaires des deux os de la
jambe
et au besoin de celle de l'astragale. L'extrême d
inverse. — H, plan de section de l'extrémité inférieure des os de la
jambe
. Sur le tibia rampe la veine saphène interne (I),
te le talon, la gauche (c) servant à contenir la partie moyenne de la
jambe
. L'opération étant supposée terminée, voici les
orme leur adhérence ou leur cicatrice commune. Figure 1. MOIGNON DE
JAMBE
AMPUTÉE. Nous devons ce cas à l'obligeance de M
s pour achever la section. a, b, Mains d'un aide qui contiennent la
jambe
et l'extrémité tarsienne du pied sur lequel on op
ire de chacun des orteils. e, f, Mains d'un aide qui contiennent la
jambe
et l'extrémité tarsienne du pied sur lequel on op
le eoueau. a, Main d'un aide qui fixe l'extrémité inférieure de la
jambe
. b, Autre main du même aide qui contient l'extr
iformes. m, Mains d'un aide qui fixent l'extrémité inférieure de la
jambe
. n, Main gauche du chirurgien qui embrasse l'ex
e suivante. u, Main d'un aide qui fixe l'extrémité inférieure de la
jambe
. v, Main gauche du chirurgien qui saisit l'extr
plantaire. a, Main d'un aide qui fixe l'extrémité inférieure de la
jambe
. b, Main gauche du chirurgien qui embrasse le p
plantaire. g, Main d'un aide qui fixe l'extrémité inférieure de la
jambe
. h, Main gauche du chirurgien qui incline en ba
Pl.81. N.H. Jacob. d'après nature par Rogat. AMPUTATION DE LA
JAMBE
. A1 ) LI LTE, ï)EM I - N A T UR E. AMPUTATION
airs. c, Main d'un aide qui contient l'extrémité inférieure de la
jambe
. d, Main gauche du chirurgien qui fixe l'extrém
d, Main gauche du chirurgien qui fixe l'extrémité supérieure de la
jambe
au-dessus de la section. e, Main gauche du chir
ique. f, Main d'un aide qui contient l'extrémité inférieure de la
jambe
. g, Main gauche du chirurgien qui fixe la parti
e. g, Main gauche du chirurgien qui fixe la partie supérieure de la
jambe
au-dessus de la section, et en même temps rassemb
rès nature par N.H. Jacob. Imp. Becquet, Paris. AMPUTATIONS DE LA
JAMBE
. ADULTE DEMI -NATURE. FIGURES 4, 2 ET 5. AMPU
A JAMBE. ADULTE DEMI -NATURE. FIGURES 4, 2 ET 5. AMPUTATION DE LA
JAMBE
A DEUX LAMBEAUX. ( Procédé de Vermale modifié.)
UN LAMBEAU. (Au-dessous du lieu d'élection.) (Partie inférieure de la
jambe
. — Membre droit.) FIGURE 4. Section du lambeau.
ain gauche du chirurgien qui contient l'extrémité inférieu re de la
jambe
, p, Main d'un aide qui fixe le pied. q, Couteau
Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. AMPUTATIONS DU PIED ET DE LA
JAMBE
. ADULTE, DEMI-NATURE. FIGURES 1, 2, 3, 4. Amp
points de suture. FIGURES 7, 8, 9. Amputation sus-malléolaire de la
jambe
(procédé de M. Lenoir). Figure 7. Surface de la
éfinitive copiée d'après nature. FIGURES 10 et 11. Amputation de la
jambe
a lambeau externe et postérieur (procédé de M. Sé
tuée. Elle se compose, en dedans, aux deux tiers de l'épaisseur de la
jambe
, du plan horizontal de section des os et des chai
aie, le lambeau retenu par cinq points de suture. FIGURES 12 et 13.
Jambe
artificielle de M. Miles pour faciliter la locomo
lle de M. Miles pour faciliter la locomotion après l'amputation de la
jambe
, sur-tout dans la région malléolaire. L'appareil
gion malléolaire. L'appareil se compose d'un pied artificiel et d'une
jambe
lacée qui n'est autre chose qu'une boîte de récep
DE HOIN.) ADULTE, DEMI-NATURE. FIGURE A. SECTION CUTANÉE. La
jambe
étant en demi-flexion, la figure représente le pr
b. Main gauche du chirurgien qui fixe l'extrémité supérieure de la
jambe
. c. Main droite du chirurgien armée du couteau
. Main gauche du chirurgien qui attire l'extrémité supérieure de la
jambe
en avant et en bas, pour faciliter en arrière la
supporte l'extrémité inférieure de la cuisse, tandis qu'il tient la
jambe
de l'autre main. g. Main gauche du chirurgien,
chirurgien qui gouverne l'extrémité supé- rieure de la cuisse , la
jambe
au-delà étant supportée par un aide. e. Main dr
antérieur. g. Main gauche du chirurgien qui gouverne la cuisse, la
jambe
au-delà étant supportée par un aide. h. Main
uboïde sur le même plan. Figure A. Amputation sus-malléolaire de la
jambe
par la méthode mixte de l'auteur, comprenant un l
le plan de section des chairs et des os. Figure 5. Amputation de la
jambe
à son quart supérieur par l'incision ovalaire de
enue aussitôt à elle comme d'un rêve. « Mon enfant a un bras et une
jambe
qui ressemblent à ceuxdumen()iantetdufm''mec0tè
faible que le gauche, qu'il marchait en tortillant et trai- nant la
jambe
, que ses mains étaient en crochet : «les doigts,
t retiré un petit os du genou droit et qu'on lui aurait maintenu la
jambe
dans l'extension pendant quarante jours, à l'ai
avait les genoux collés et qu'il lui était impossible d'écarter la
jambe
droite sans douleur, symptômes qui n'existaient
épart, mon père me portait sur ses épaules et j'écar- Lais bien les
jambes
, dit l'enfant. » En raison de son infirmité et
ble pas déformé, mais les mouvements sont très circonscrits. · La
jambe
est fléchie à angle droit, c'est à peine si on pe
e sens de l'extension et de l'abduction; l'extension complète de la
jambe
sur la cuisse est impossible; les mouvements du p
el ET moral.' 17 avant-bras, sur la face externe des cuisses et des
jambes
. Poils assez abondants sur la partie inférieure
imparfaite. Mouvements de latéralité très limités. B... soulève la
jambe
, la plie, la porte en dehors et en dedans, mais t
cale qui, comme la marche, n'est possible qu'avec des béquilles, la
jambe
gauche est un peu fléchie, portée en dedans et
evé. La cuisse droite croise la gauche au-dessus de son genou et la
jambe
droite croise la gauche au-dessous de son genou
t de l'examen on observe un léger tremblotement des muscles de la
jambe
. - La notion de position est normale. En ce qui
t d'hémiplégie et que le père prétend que son fils a un bras et une
jambe
qui ressemblent à ceux du mendiant. Les convuls
gros et plus faible que le gauche, qu'il marchait en traînant la
jambe
droite et que les mains étaient en crochet. III
le ; b) par une hémiplégie du côté droit, par une paralysie de la
jambe
gauche, et enfin c) par l'altitude des mains en
celui qu'on observe à la hanche gauche. Quant à l'attitude de la
jambe
droite, à l'ankylose du genou, à la déformation
ions étaient limitées au bras droit, l'autre bras n'avait rien, les
jambes
n'étaient pas raides. Les convulsions durèrent
gauche, on peut fléchir successivement la cuisse sur l'abdomen, la
jambe
sur la cuisse. A droite, ces mouve- ments se fo
nférieurs conservent une attitude de flexion, avec croisement de la
jambe
droite sur la gauche. Une contracture difficile
ncore de dents. Marche nulle; l'enfant ne sait pas se tenir sur les
jambes
. Les cheveux étaient très abon- dants dès la na
bande dn 3 cent. 1/2 de hauteur, qri est treuil) lot- tante. Les
jambes
sont égale- mcnt baumes. mais la lipoma- tose
s pseudo-lipomes. Il en est de même au-devant de la ro- tule. Les
jambes
sont rectili- ges, Les mollets sont volu- min
m. au plus. - L'enfant se tient un peu et momentanément sur les
jambes
. Elle parait bien appuyer la plante des pieds
quand elle est contente. Elle commence à se tenir mais mal sur les
jambes
la mère essaie de la faire sauter sans y parven
t en chute bru-que sans cris avec mouvements convulsifs des bras et
jambes
. Il se relevait seul, parait-il, une fois la cr
é cela se porte assez bien et ne se plaint que de douleurs dans une
jambe
. - Mère, très nerveuse, a été à deux reprises d
rendre de nouveau à marcher et il ne put le faire qu'en traînant la
jambe
; le bras était inerte ; lorsqu'il recommença i
s retombe un peu. Le malade étant couché, si on lui dit de lever la
jambe
droite, on voit ce mem- bre se roidir et être p
erniers temps ne peuvent plus être articulés. Il n'allonge plus ses
jambes
, il a un i-ertaiii degré de contracture. Quand
, il a un i-ertaiii degré de contracture. Quand on veut défléchr la
jambe
gauche, l'on n'y parvient pas. Le membre supéri
les yeux sont hagards, il agite fré- quemment son bras gauche et sa
jambe
droite, cherche à mordre ceux qui l'approchent,
t. - Depuis sa dernière période de grands accès (21 et 25 juin) ses
jambes
ne le supportent plus ; elles ontten- dance à s
ment. Les eschares, dont une ait sacrum et deux sur le haut de Ih
jambe
droite, qui étaient en bonne voie de guérison, se
cée du genou ; cou-de-pied souple, légère raideur des orteils. La
jambe
est légèrement fléchie sur la cuisse, tandis que
le poignet (Pif], 13). D... marchait en traînant assez fortement la
jambe
. Ainsi que cela est constant, quoique variable
d'mère maternelle, morte à 74 ans, à. la -i suite d'une fracture de
jambe
. - Grand-père maternel, mort aliéné, à la suite
? INGO-1NCi,.I'H.1,LITF CHRONIQUE. naissance, les yeux tournés, la
jambe
et le bras droits raidis. Rien à gauche. Pas de
, le côté droit reste plus faible que le gauche. L'enfant traîne la
jambe
droite, peut cependant sai- sir les objets de l
ique où elle ne séjourna pas 24 heures. Elle en sort en traînant la
jambe
, avec la parole très embarrassée, et la figure
es cuisses se fléchissent très bien sur le bassin, les pieds et les
jambes
sont mobilisés très aisément. Ni rai- deur, ni
se, Per... est devenue incapable de se servir de ses membres. Ses
jambes
fléchissent, elle tremble constamment. (Fia..17 e
en flexion à angle aigu. Les cuisses fléchies sur le bassin, les
jambes
sur les cuisses. La contracture est tenace et trè
sont dans l'adduction et dans la flexion complète sur le tronc. Les
jambes
sont fléchies, les talons sur les fesses. L'enf
un peu moins prononcée ; on peut davantage fléchir la cuisse et la
jambe
. Eschares au début au niveau de la tubérosité i
t qu'accé- lérer la tendance vers la déchéance : traînement de la
jambe
droite, embarras de la parole, congestion delà
à marcher. Elle ne s'y prête guère, mais pourtant fait aller ses
jambes
. 1 ? 10 avril. - Il n'y a plus de croûtes du cu
, témoigne ses préférences. Elle est de plus en plus solide sur les
jambes
, veut être continuelle- ment debout, se tient b
tendance à la syncope et au refroidissement, l'affaiblissement des
jambes
, etc. M. DEBOYE. Il est important de signaler
liorée; au bout de 1 : ) mois, l'enfant courait très bien ; mais la
jambe
gauche est toujours restée plus faible. Qant au
ralysie est incomplète, l'enfant marche, court même, en trainant la
jambe
. Il n'y a pas de contracture, le -réflexe rotul
parce que, à la suite d'accès, il a de la peine à se tenir sur les
jambes
et est de plus en plus en déchéance. Il en sort
Père, bien portant, cultivateur, sobre. - Mère, douleurs dans les
jambes
, pas de migraines. Aucun cas de. démence ou de
t un peu rejetée en arrière, le tronc arqué, les bras pendants, les
jambes
molles. Légère palmature entre les deuxième et
mais pour un moment seulement. Quand il marche, il fléchit sur ses
jambes
, et prend le bras de la personne qui l'accompag
tatinés sur le tronc, contractu- res. - Marche à 6 ans et demi, les
jambes
fléchies. - Développement de la parole au même
Il était aussi beau que les autres. » (5) Elle ne sait pas si les
jambes
étaient raides et si les genoux se collaient à
t ce temps, constata que sort enfant était tout ratatiné, que ses
jambes
pouvaient être allongées, mais se « remontaient
'était alors un bel enfant, mais il ne pouvait pas se tenir sur ses
jambes
et, lorsqu'on essayait, « il poussait des cris de
rière et la tête latéralement ; il avait les « yeux en l'air. » Les
jambes
seraient raides depuis l'âge de 11 mois ; alors e
les étaient encore « ratatinées ». A 6 ans et demi, il marchait les
jambes
fléchies, les genoux collés l'un contre l'autre
gauche est plus élevé que le droit, et on ne peut pas appliquer la
jambe
sur le lit. Sa mère prétend que, il la maison,
e lit. Sa mère prétend que, il la maison, quand on le couchait, les
jambes
s'étaient allongées et que, il mesure qu'il s'e
ans ce genou. A droite la raideur est moindre, on peut appliquer la
jambe
sur le lit, et il n'y a pas de craquements. Il
f; il n'éprouve aucune douleur, n'a jamais d'élancements dans les
jambes
, etc. Les fonctions digestives, respiratoires e
inférieurs. Au lit, flexion des cuisses sur le bassin, flexion des
jambes
sur les cuisses. Genoux accolés l'un contre l'a
e les pieds au-dessus du plan du lit en fléchissant lé- gèrement la
jambe
, il ne parait pas pouvoir les élever sans cette
genou droit il 0,12 cent. au-dessus du plan du lit. La Ilexion des
jambes
est à peu près la même des deux côtés, et peut
nt fortement en dehors, exagérant en quelque sorte l'écartement des
jambes
. Le talon gauche ne porte pas sur le sol. Dan
marche le tronc est incliné légèrement en avant, les cuisses et les
jambes
fortement fléchies, autant que dans l'attitude
arrière et en avant, lui servant en quelque sorte de balancier. Les
jambes
ont l'attitude en V contrairement à d'autres ca
usqu'à la barrière (2 kilomètres environ). La station sur une seule
jambe
, le saut sont impossibles. La coin'se, assez ra-
assez abondants sur les cuisses, peu abondants sur le pourtour des
jambes
. Poils noirs, abon- dants, frisés au niveau du
es cuisses en adduction très prononcée sur le bassin; flexion des
jambes
en abduction forcée, sur les cuisses ; déforma-
dont la pointe est exagérément portée en dehors. Cette attitude des
jambes
en V renversé (¡\.) est à mettre en parallèle a
que. Il marché très tard, et il a tou- jours marché lourdement, les
jambes
écartées. Ses premiers mouvements ont toujours
, et était sou- vent en retard, mais bientôt il les rejoignait, ses
jambes
s'étant assouplies. De même, pendant l'exercice
té. En août 1885, aggravation considérable des troubles moteurs aux
jambes
et aux bras. Il en arrive à marcher très diffic
jambes et aux bras. Il en arrive à marcher très difficilement, les
jambes
fortement écartées pour élargir sa base de sust
cés, plusieurs douleurs fulgurantes, subites, aiguës, traversant la
jambe
droite seule, de haut en bas. Les 3 mois précéden
à plus longs intervalles. De plus, il ne pouvait rester debout les
jambes
rapprochées, ni marcher les yeux fermés. La par
forte, mais de 2 ou 3 kilogs seu- lement. Si on lui fait étendre la
jambe
sur la cuisse, on arrive facilement la fléchir
point, à celle d'un ataxique. Il marche, en effet, en écartant les
jambes
et en les lançant en dehors. De plus, lorsqu'il e
les lançant en dehors. De plus, lorsqu'il est debout, il tient les
jambes
écartées, et, si on les lui fait rapprocher, il v
se (courant stabile) à travers un membre tout entier (bras, cuisse,
jambe
) on produit facile- ment l'apparition de mouvem
hémi-anesthésie farado- cutanée de tout le côté gauche (face, bras,
jambe
) : quand on lui faradise la peau av ec la bross
tives, petites et de forme irrégulière apparurent aux bras et il la
jambe
gauche. L'appareil digestif ne parut pas altéré
ied bot varus ni valgus. Mouvements très limités des cuisses et des
jambes
. Face. Ce qui frappe en premier lieu chez le ma
dû il ce que les cuisses sont raides et fléchies sur le bassin, les
jambes
au contraire se plient bien. Pendant tout ce te
position en varus, tantôt la flexion ou l'extension du pied sur la
jambe
, avec supériorité notable de l'extension. Ces m
rs ont rencontré des mouvements involontai- res qui fléchissent les
jambes
sur les cuisses, les cuisses-sur le bassin, et
Chez le malade de Massalongo, on remarquait des mou- vements de la
jambe
gauche pendant le sommeil. Kurella déclare, que l
ent l'un contre l'autre, les cuisses sont fléchies sur le bassin, les
jambes
écartées ; en même temps les bras sont habituel
er pour un moment par un spasme passager, le talon se relever et la
jambe
traîner sur la pointe des orteils. A côté de ce
nsité qu'aux doigts, même indépendance dans leurs mouvements. Les
jambes
et les cuisses sont presque tranquilles. Cou. t
a même direction, les cuisses rappro- chées, les genoux collés, les
jambes
très écartées, les muscles de la face se con- v
la iiiilideestciiiibrée, ensellée, renversée en arrièrect raide, les
jambes
sont légèrement fléchies sur les cuisses et les
n assez grande quantité. Les cuisses sont à peu près normales : les
jambes
sont plutôt courtes. Les bras assez forts. M. P
es oscillations latéra- les du pied, et en une légère flexion de la
jambe
sur la cuisse se produisant si- multanément et
hissent sur le bassin, les genoux rapprochés l'un contre l'autre, les
jambes
écartées, les pieds tournés en dedans, reposant
des positions forcées, les pieds se transformentenpieds-bots : les
jambes
quelquefois se ramènent sous les fesses du mala
t de l'obliger à marcher sur les genoux et la partie antérieure des
jambes
. Les muscles du cou; immobilisés par le spasme,
des troubles articulaires, des douleurs dans les pieds et dans les
jambes
. Ces douleurs sont vives ; elles le prennent tout
rière au som- met du sacrum. Un autre rapport de la hauteur de la
jambe
avec celle de la cuisse, pris avec d'autres poi
tête 1/2 à la longueur de la cuisse en arrière, 1 tète 1/2 ou 3/ de
jambe
puisque la jambe mesure 2 tètes. Cette proporti
gueur de la cuisse en arrière, 1 tète 1/2 ou 3/ de jambe puisque la
jambe
mesure 2 tètes. Cette proportion est utile il r
u médius mesure exactement deux tètes, ce qui est la longueur de la
jambe
, celle de la cuisse et distance que l'on retrou
atives aux proportions moyennes de l'homme sain. La hauteur de la
jambe
prise chez le malade du sol à l'interligne articu
ut à environ cinq centimètres. Voyons maintenant le rapport de la
jambe
à la cuisse vue par sa face in- terne.et postér
: ,S COXO-I'É11OHALGS. 135 type, doit mesurer 1 tète 1/2 ou 3/4 de
jambe
. La jambe de notre homme mesure 45 centimètres.
-I'É11OHALGS. 135 type, doit mesurer 1 tète 1/2 ou 3/4 de jambe. La
jambe
de notre homme mesure 45 centimètres. Les 3/4 d
jet atteint d'une scoliose très prononcée, qui était faible sur ses
jambes
et qui ne pouvait marcher el se tenir debout que
bientôt de l'affaiblissement et de la raideur apparaissent dans la
jambe
droite, et au bout d'une année d'exer- cice de
de ses membres supérieurs. Les béquilles s'embarrassaient dans ses
jambes
el risquaient tout instant de le faire choir. 5
née, quand elle est trop pénible, Il se couche en travers de son lit,
jambes
pen- dantes d'un côté, tête pendante do l'autre
de la paralysie a été le suivant : en 1880, main droite : en 1885,
jambe
droite : en 1888, main gauche ; vers janvier 1891
: en 1885, jambe droite : en 1888, main gauche ; vers janvier 1891,
jambe
gauche. La relation entre l'intensité des trouble
haut en bas jusqu'à devenir nulle Ù partir du tiers inférieur de la
jambe
. Au froid (glace). Môme répartition, avec celte d
ion d'examiner. L'atrophie frappait le membre supérieur droit et la
jambe
gauche. Le membre inférieur gauche était raccourc
oup plus difficile ». Le 11 novembre 1885, fracture spontanée de la
jambe
gauche'. Le 26 novembre, la malade examinée pré
paresthésies variées, surtout dans la région lombaire. L'ataxie des
jambes
date de 1881. Actuellement il persiste un grand
loc. ci ? ). lleinricll, 52 ans, cocher. En 1865, douleurs dans les
jambes
, surtout à gau- che, avec sensation de raideur
pour but d'atténuer la douleur en portant le poids du corps sur la
jambe
saine. La vigilance musculaire qui maintient cell
ici, comme dans la variété croisée, porter le poids du corps sur la
jambe
saine. Mais l'inclinaison du tronc tend à produ
ts de sciatique. Ceux-ci évitent de porter le poids du corps sur la
jambe
douloureuse, ceux-là sur la jambe paralysée. Le
e porter le poids du corps sur la jambe douloureuse, ceux-là sur la
jambe
paralysée. Les uns et les autres, dans la stati
es anciens) voici ce qu'on rencontre. Le bassin est incliné vers la
jambe
paralysée, qui est demi-fléchie. Comme dans le
rs, frappait les bras et les cuisses plus que les avant-bras et les
jambes
, le côté droit plus que le côté gauche. Elle ét
feste dans la sciatique. Le dépla- cement du poids du corps vers la
jambe
saine a pour effet une scoliose croisée. En d
symp- tôme avec la raideur du membre ; au commencement de 1891, la
jambe
droite commençait à être envahie, et depuis 15
t la même attitude ; la main en pronation repose sur la cuisse : la
jambe
est fléchie ; le pied présente un certain degré
sol, est porté, directement en avant et retombe lourdement, puis la
jambe
gauche est à son tour portée en avant comme dans
entier, le bras par exemple, ou un segment de membre, la cuisse, la
jambe
. On voit, alors, bientôt apparaître une contrac
nes et droits antérieurs pour la cuisse, les gastrocnémiens pour la
jambe
, que l'on constate le plus facilement ces mouve
héréditaire. C'est la démarche titubante. Le malade progresse, les
jambes
écartées en chancelant comme un homme ivre. A u
t pas seulement la parésie mus- culaire, mais encore la raideur des
jambes
qui s'oppose à la locomotion. Les malades s'ava
malades s'avancent péniblement et à petits pas, c'est à peine si la
jambe
se plie dans l'articulation du genou et que les p
locomotrice, il calmait les crises douloureuses en introduisant les
jambes
dans la caisse de résonnance. A la suite d'un cer
flées, la langue sale, l'haleine fétide (PL XXXIV, XXXV). Sur les
jambes
, la peau est couperosée et il y a un léger oedème
aire et le talon, sensibilité conservée à la voûte plantaire ; à la
jambe
, anesthésie du tiers inférieur de la face antér
re inférieur droit : au pied, anesthésie limitée aux orteils ; à la
jambe
et à la cuisse, l'anesthésie occupe les mêmes rég
Entre temps, il s'est brûlé sans le savoir, à la face externe de la
jambe
droite ; cette brûlure assez étendue a laissé (
clans' les mollets, surtout quand il voulait étendre ou fléchir les
jambes
. Vers la même époque, sont survenus aux deuxpie
es phénomènes paralytiques .dans le territoire des extenseurs de la
jambe
. Tous ces accidents l'ont décidé à faire quelqu
s est impossible. La force musculaire est à peine diminuée dans les
jambes
; elle est normale au niveau des cuis- ses : le
it, trois au pied gau- che, qui sont indolents et rebelles. , Aux
jambes
on aperçoit quelques varicosités et sur la face e
ambes on aperçoit quelques varicosités et sur la face externe de la
jambe
droite une cicatrice (Pl. XL) pigmentée, vestige
ain droite qui présente la réaction complète de dégénérescence. Aux
jambes
, le nerf scia- tique poplité externe est inexci
i se contractent. Démarche manifestement spasmo- dique (en canard),
jambes
rapprochées, genoux raides, un certain degré de t
ation. Au repos, on arrive assez facilement il vaincre la raideur des
jambes
, mais cette rigidité empêche de se rendre bien
duction ; les genoux tendent à s'entrecroiser. Flexion complète des
jambes
sur les cuisses. Les pieds sont en extension pres
eurs ces mouvements sont très irré- guliers et très imparfaits, les
jambes
s'entrecroisant et les pieds portant sur le sol
lacé, mais le cou est trop long, le torse trop court et surtout les
jambes
beaucoup trop longues rela- tivement aux cuisse
, pour les dimensions du membre inférieur et particulièrement de la
jambe
, une assez grande incertitude, outre que des me
lui-même, il est aisé de relever des in- certitudes. Par exemple la
jambe
dessinée page 29, par la position du talon, donne
lme (le palme mesure quatre travers de doigt) dans la hauteur de la
jambe
, six fois depuis le dessus de la rotule jusqu'a
du genou, au tubercule antérieur du tibia, et la septième traverse la
jambe
, la huitième touchant le sol. La jambe est do
et la septième traverse la jambe, la huitième touchant le sol. La
jambe
est donc proportionnellement plus longue que dans
nter. Il n'en est pas moins vrai que, si l'on prend la mesure de la
jambe
du sol à l'interligne articulaire du genou, on
ce du sol il l'épine iliaque. On trouve aussi que la longueur de la
jambe
, du sol au-dessus de la ro- tule, égale la haut
eu le torse aux dépens de la cuisse. D'autre part, la hauteur de la
jambe
est bien la même dans les deux canons, elle mes
lé il 20 ans. La cuisse acquiert 5 fois sa lon- gueur primitive. La
jambe
s'accroît dans le rapport de 1 à 5,52. Chez l'e
ette personne en présence de son père, il est cloué sur place : ses
jambes
se dérobent sous lui, sans qu'il perde connaissan
pantalon, afin d'en diminuer les secousses ; il traînait un peu la
jambe
droite, le pied légèrement dévié en dedans. La
eur droit qui est constamment agité de mouvements choréiformes ; la
jambe
droite croise la gau- che en passant pardessus,
peut faire disparaître, quand on a soin de maintenir solidement la
jambe
opposée, de façon à rendre indépen- dants les m
. Leur forme est la même, c'est-à-dire arythmique, désordonnée à la
jambe
comme au bras ; ils s'exagèrent également par l
férences : leur nombre est géné- ralement plus fort au bras qu'à la
jambe
, 60 à 80 pour la jambe, 100 à 120 pour le bras
est géné- ralement plus fort au bras qu'à la jambe, 60 à 80 pour la
jambe
, 100 à 120 pour le bras à la seconde ; leur amp
de ; leur amplitude est également plus considérable au bras qu'à la
jambe
. Enfin, les orteils du pied droit ne sont pas, co
t l'un aux mouvements du bras droit, l'autre aux mou- vements de la
jambe
droite ; ils représentent l'attitude de repos de
illations est à la minute de 180 pour le bras droit, de 120 pour la
jambe
droite. Ce ne sont pas là des chiffres absolus, c
nuée dans la moitié gauche de la face, dans le bras, le tronc et la
jambe
du même côté. Nous observons une analgésie du c
sultats que j'obtiens. Dans les cas d'inflammation des tissus de la
jambe
d'origine traumatique, rhumatismale ou syphilit
as où l'inflammation réside dans la partie la plus inférieure de la
jambe
ou à l'extrémité du pied, aux orteils par exemp
seule- ment elle calmait immédiatement la douleur qui siégeait à la
jambe
et à la cuisse, mais aussi la douleur qui résid
un coussin ou une peau de fauve, dans le décubitus latéral droit, la
jambe
' gauche demi fléchie, la tête appuyée sur le b
nis est en érec- tion complète ; et tonte' l'altitude du corps, les
jambes
légèrement fléchies, le bassin porté en avant;
maphrodites. Hanche à droite, le fils de-Mercure et de Vénus a les
jambes
recouvertes .d'une, draperie, dont une extrémit
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. douleur d'aucune sorte. Les
jambes
ne fléchirent pas sous lui, il put rester de- b
marche. Il peut l'aire d'assez lon- gues promenades à pied mais les
jambes
sont lourdes et il ne peut courir. Les divers m
reste très difficile de se lever, car elle ne peut se tenir sur ses
jambes
, celles-ci se dérobant sous elle. Elle peut les d
'moins évidente. Lorsqu'on la maintient assise sur le bord du lit les
jambes
pendantes, on voit les pieds devenir violacés e
ouvrir d'une sueur légère ; il existe dans le tiers inférieur des 2
jambes
un empâtement diffus très manifeste gardant l'e
e. Puis il cessa de le voir. En 1870 (22 ans d'âge), sentant que la
jambe
faiblit, il entre à la Pitié dans le service de
médius. Vers la même époque apparut le phénomène du dérobement des
jambes
, à la suite d'une sorte de secousse ressentie d
pendant deux ans, vingt-huit kilomètres par jour. Mais bientôt ses
jambes
faiblissent. Il heurte les cailloux sur les grand
tionnellement il peu près dans le même état qu'en 1889. Quant aux
jambes
, on serait fort tenté au premier abord de croire
re. Le bras se plie à angle droit sur le devant de la poitrine ; la
jambe
est raide et allongée ; le pied légèrement tour
t (durée de quelques secondes). Les crampes passent ensuite dans la
jambe
droite qui se raidit et enfin daus la face du côt
epliformes ; début par la main droite, puis secousses étendues à la
jambe
et il la face du côté droit, doulou- reuses dan
établissement de la mens- truation, ont débuté des douleurs dans la
jambe
gauche. Un peu plus tard, la jambe droite a été
ont débuté des douleurs dans la jambe gauche. Un peu plus tard, la
jambe
droite a été atteinte à son tour et pendant sept
cades accompagnées de craquements, comme le doigt à res- sort. La
jambe
tourne en se fléchissant et en s'étendant sur son
n gonflement qui remonte à quatre travers de doigt sur le bas de la
jambe
et occupe le tarse. Le pied est déjeté en dedans.
end peu à peu le sensorium. L'hé- miplégie est complète et flasque,
jambe
, bras, face inférieure et supé- rieure (signe d
a 15 jours, en revenant de son travail, il a senti brusquement ses
jambes
fléchir sous lui et il s'est affaissé dans la r
se relever lui-même et regagner son domicile; mais la faiblesse des
jambes
a encore progressé dans les jours suivants, au
orants plantaires, excoriations des mains, bulles peniphigoides aux
jambes
et aux avant-bras, chute et cldstro- phie des o
insensible sur une faible étendue ; pour s'en assurer, il expose sa
jambe
à la flamme d'une bougie et brûle ses chairs ju
ette époque, un travail assez pénible exécuté dans l'eau laisse les
jambes
engourdies, courbaturées et les genoux endoloris
e qui limiterait la moitié interne de l'aire de la cuisse. Toute la
jambe
et tout le pied sont Fig. J et 10. LÈPRE SYST
sur deux petits espaces situés l'un à la partie supéro-interne de la
jambe
, l'autre en arrière, un peu au-dessus de la rég
ssion. Douleurs spontanées. Sensation de constriction élastique des
jambes
; fourmillements et picotements sur les pieds p
ite. Au niveau des cuisses, résistance et contractilité normales.
Jambes
. Résistance plus grande à gauche qu'à droite et c
des yeux), de l'anal- gésie avec thermo-aneslhésie aux bras et aux
jambes
. Les nerfs cubitaux étaient tuméfiés, indurés e
ensation de houle qui monte du nomhril vers la gorge. Le bras et la
jambe
gauches se convulsent les premiers, perte de co
re) il éprouva pour la première fois la sensation de dérobement des
jambes
; c'était en montant un escalier. Il avait rem
1 jours environ. Après cette saison i I avait plus de force dans sa
jambe
et se trouvait mieux d'une façon générale. Il p
5 heures dans une foire où il était allé pour vendre une jument; sa
jambe
droite fléchit com- plètement sous lui au point
endant 2 jours de douleurs très pénibles, mais fixées dans toute la
jambe
. Il resta 3 mois au lit sans bouger la jambe dr
s fixées dans toute la jambe. Il resta 3 mois au lit sans bouger la
jambe
droite qu'on lui avait défendu de remuer. Il n'
piscine). Au bout de 7 à 8 jours il eut encore du gonflement de la
jambe
droite surtout vers les chevilles. Maintenant e
; mais ces douleurs ne sont pas aussi \ ives que les dou- leurs de
jambes
. Autres symptômes. - Le malade signale de l'eng
space de plusieurs centimètres enlre les cuisses, les genoux et les
jambes
(pl. 1). Pour se tenir en équilibre le malade r
cannes et cela est à peine suffisant. Force musculaire intacte à la
jambe
gauche, un peu diminuée à la jambe droite. Moin
t. Force musculaire intacte à la jambe gauche, un peu diminuée à la
jambe
droite. Moindre résistance au mouvement d'exten
un chatouille- ment qui n'existe pas à gauche. Un peu de retard aux
jambes
pour la sen- sibilité à 50° ou à 0°. Pas de t
'observation de M. Raymond où il excitait une « anesthésie des deux
jambes
presque complète (1) ». A cela rien d'étonnant
Veut se lever ; mais à peine a-t-il mis pied à terre qu'il sent ses
jambes
se dérober sous lui et qu'il est contraint de s
qui avait été llasque jusqu'ici, s'accompagne de contracture : les
jambes
se fléchissent par instant sur les cuisses, la ra
'influence du traitement spécifique : le malade peut dé- tacher les
jambes
du plan du lit. Mais bientôt, à la suite d'un nou
ment. 166 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. tracturés, les
jambes
demi-fléchies sur les cuisses. Quelques mouvement
eux côtés la trépidation spinale par le redressement du pied sur la
jambe
. Les masses musculaires de la cuisse et de la j
du pied sur la jambe. Les masses musculaires de la cuisse et de la
jambe
dans leur ensemble sont amaigries : le groupe ant
ies : le groupe antéro- latéral est manifestement atrophié aux deux
jambes
; il existe uu méplat très prononcé à ce niveau
périeurs et inférieurs gauches sans ictus. ' ' La paralysie de la
jambe
gauche s'est établie progressivement en 15 Ù 20 j
Le bras gaucho guérit au bout de quinze jours. En novembre 1891 la
jambe
gauche recouvre ses mouvements. A mesure qu'ils
mollet est le siège d'une douleur persistante. A cette époque, la
jambe
droite se paralyse en 8 jours. Au moment où le
r droit, t, dans le courant du mois de janvier. La malade traîne la
jambe
d'abord et fauche ensuite. Février 1892. Même
malade ne peut marcher qu'en s'appuyant sur une canne et soutenue. La
jambe
droite est jetée en avant, fauche en décrivant
nvier 1893, survient en quelques jours une faiblesse croissante des
jambes
, surtout de la jambe droite. La marche a été diff
n quelques jours une faiblesse croissante des jambes, surtout de la
jambe
droite. La marche a été difficile de- puis cett
ténué. Seulement, quand on commande au malade de presser le pas, la
jambe
droite est visiblement gênée par la raideur, et
La démarche est légèrement spasmodique ; le malade traîne un peu la
jambe
gauche, qui se fléchit difficilement lorsqu'il ve
pied sur le sol. Etant assis, il lui est impossible de croiser les
jambes
l'une sur l'autre. La vessie est très peu prise,
ion 2 la vulve. A quelque temps de là, elle ressentit dans les deux
jambes
des douleurs sourdes qu'elle localise d'une faç
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Depuis 3 semaines, faiblesse dans les
jambes
et il n'en pouvait plus à la fin de sa journée.
n'est pas allé une seule fois il la garde-robe et la faiblesse des
jambes
a été en augmentant. Le 25 mai, il entre à la S
r le membre inférieur dans l'extension, lors- qu'il est soulevé, la
jambe
retombe de son propre poids. Tous les mouvements
ère fulgurant, dans le dos, dans la partie interne des cuisses, les
jambes
, les pieds, sans localisation plus précise. L
rache des cris au malade. Le contact est perçu partout sauf dans la
jambe
et dans le pied gauches (fait qui n'existait pas
nesthésie au contact, au chaud et au froid modéré sur le pied et la
jambe
gauche). Le sens musculaire est parfait. Amélio
sions toniques dans tous les muscles du membre. Il en est ainsi aux
jambes
, alors même que le malade n'a pas conscience de
s inférieurs, dans le rachis ; de la faiblesse et de la raideur des
jambes
; des troubles vésicaux. Ceux-ci peuvent précéder
en faisant une promenade il sent une faiblesse croissante dans les
jambes
, et il est obligé de rentrer chez lui. Les jours
parfaitement libres. Depuis cette époque, il n'a cessé d'avoir les
jambes
faibles, surtout la droite; jamais cependant il
ême sans canne : mais elle est visiblement gênée par la raideur de la
jambe
droite. Le genou ne se fléchit pas et la pointe
se fléchit pas et la pointe du pied frotte le sol à chaque pas. La
jambe
gauche est beaucoup plus'souple ; et grâce à elle
et la piqûre sont moins bien sentis à gau- che qu'à droite (sur la
jambe
et sur le pied). Le froid est perçu comme douleur
veau ; mais celle-ci reste gênée, principalement par la raideur des
jambes
qui ne tarde pas à apparaître. Examiné à 5 mois d
la sensibilité objective se bornent à une paresthésie au froid sur la
jambe
et le pied du côté opposé (syndrome de Brown-Sé
phalées. En 1886, il remarqua pour la première fois sur la peau des
jambes
, des bras, de la poitrine, une éruption assez d
er le pas, la marche est visiblement gênée. Il traîne légèrement la
jambe
droite; parfois la plante du pied frotte sur le
droite; parfois la plante du pied frotte sur le sol. En outre cette
jambe
est raide, elle se plie diffi- cilement dans le
Le malade se plaint seulement de ressentir des fourmillements dans la
jambe
et dans le pied du côté droit. Ces fourmillemen
e année (un an après son chancre), il ressentit de la faiblesse des
jambes
, et des engourdissements légers dans les ! 1) Syp
ation momen- tanée de la paraplégie en juin 1890. Un beau matin ses
jambes
se dérobent sous lui, et la marche devient impo
rche se fait bien, à l'aide d'une simple canne ; il écarte bien les
jambes
en marchant, fait d'assez grands pas, mais la p
grands pas, mais la pointe du pied frotte souvent contre le sol. La
jambe
gauche surtout est raide, ne se fléchit pas pen
nible par instant. II prétend éprouver tous les soirs dans les deux
jambes
des douleurs fulgurantes, qui s'ac- compagnent
qui s'ac- compagnent de contractions spasmodiques des muscles. Les
jambes
s'étendent et se fléchissent tour il tour indép
tombé par terre en se levant pour se mettre en marche. Souvent ses
jambes
s'embarrassaient l'une dans l'autre. n'a éprouv
sur la chaise. Une fois assis, il lui est impossible de croiser les
jambes
l'une sur l'autre. Examinés au lit, les membres
tension complète, rigidité permanente des muscles aux cuisses et aux
jambes
- cette rigidité est très marquée, mais elle n'
mplète du membre ne le permet pas. Le pied est à angle droit sur la
jambe
: on n'obtient pas un relâchement suffisant des m
ilepsie spinale. Les mouvements volontaires (flexion, extension des
jambes
, abduction) sont limités et gênés visiblement p
La percussion du tendon rotulien amène une projection brusque de la
jambe
en avant, avec plusieurs secousses du muscle tr
l autre n'éprouve comme avertissement qu'un peu de fatigue dans les
jambes
le matin même du jour où il tombe paralysé. Ou bi
a toutes ses forces et continua sa route clopin dopant, traînant sa
jambe
gauche dont il souffrait beaucoup. Enfin il arriv
laires ; et ses douleurs qui ne cessent jamais passent du bras à la
jambe
, de la main au pied, pour reparaître a l'ancienne
que nulle, et douloureuse pour le coude, l'épaule, le poignet. La
jambe
gauche est traînante. Les mouvements du genou dou
ste toujours de la même façon à la face et au bras, on observe à la
jambe
des différences, qui tiennent à la situation du
tanés sont secs, rudes au toucher et se rident facilement; ceux des
jambes
et des pieds sont plus pâles et plus froids que
31. - Apparition de périostite limitée dans la région moyenne de la
jambe
gauche. 2 août. Le volume de l'articulation cub
un nouveau phé- nomène apparut : un tremblement dans le bras et la
jambe
du côté droit, trem- blement qui persiste encor
un tremblement qui in- téresse tout le côté droit du corps : bras,
jambe
et tête. Il a franchement l'allure d'un tremble
ointe du pied. De plus le haut du corps est rejeté en arrière. La
jambe
gauche traîne encore un peu. Un autre symptôme
is il est raide. La déformation de la main gauche, la parésie de la
jambe
du même côté s'observent encore. Toutefois S.....
anée est nettement limitée à toute la moitié gauche du corps (bras,
jambe
, face). (Côté hémiplégie). La sensibilité est b
mbo-sacrée. Douleurs vagues dans les membres, surtout le bras et la
jambe
droits ; le poi- gnet de ce côté a été le siège
urvatum est une affection caractérisée par une hyperextension de la
jambe
sur la cuisse. Signalée pour la première fois che
tale, luxation en avant, subluxation antérieure, renversement de la
jambe
en avant (Lannelongue), contracture de la jambe a
renversement de la jambe en avant (Lannelongue), contracture de la
jambe
avec extension, stiff-kull, genou tendu (Tampli
éformation du genou gauche, caractérisée par l'hyperexteusion de la
jambe
sur la cuisse ; cette attitude anormale s'est p
arder en dedans ; la cuisse est en légère flexion sur le bassin, la
jambe
légèrement fléchie sur la cuisse; la hanche por
L'examine-t-on de face, on constate que l'axe de la cuisse et de la
jambe
décrit une légère concavité tournée en dedans ;
on à faire contracter celui-ci en commandant au malade de raidir sa
jambe
et de la soulever ainsi au-dessus du plan du lit,
ntre surtout la possibilité d'une hyperextension considérable de la
jambe
sur la cuisse. Le malade étant étendu sur une tab
ètres. · Il existe, de plus, un léger mouvement de latéralité de la
jambe
en dedans, vers la ligne médiane. L'état des
ticulier les muscles de la partie postérieure de la cuisse et de la
jambe
sont bien développés. En aucun point, il n'exis
à celui de notre sujet qui ne présente ni gêne de la flexion de la
jambe
, ni sensation de bride, de corde résistante ten
ord, il résulte des discussions précédentes, que la déviation de la
jambe
en avant peut affecter trois modalités diverses,
rconstances que sur le sujet de M. Potel : pendant la flexion de la
jambe
, la rotule s'enfonçait profondément dans l'interl
édé est peu intéressant : debout, le poids du corps reposant sur la
jambe
gauche, il a le genou droit fléchi, comme s'il
r son pied à terre. Le pied est d'ailleurs en flexion forcée sur la
jambe
. En regardant avec soin, on peut voir que la bé
lever, sans doute pour faire un pas en avant ? Du côté gauche, la
jambe
est en extension, le poids du corps repose sur
. Puis deux infirmes, dont l'un a subi autrefois l'amputation de la
jambe
gauche au lieu d'élection. Il ne porte malheure
ons trouvé à peu près nu. Les parties découvertes, c'est-à-dire les
jambes
, la face et le cou. sont parsemées de petites t
assis sur le fût d'une colonne, on voit un pauvre infirme, dont la
jambe
droite est entourée d'un bandage ; il tient de la
cture Renaissance. Sur le seuil du temple, un infirme est assis, la
jambe
droite enveloppée de linges, le pied nu, peut-ê
bas, une femme s'avance péniblement sur deux longues béquilles, ses
jambes
trop faibles à demi fléchies, les pieds nus. Son
eux enchaîné encore, car le possédé de Saint-Rombaut avait les deux
jambes
enserrées dans des fers semblables. Dans ce m
on aperçoit la figure d'un malade ; un autre pèlerin est assis, les
jambes
pendantes, à l'arrière de la voiture. A côté, sur
a piscine un homme est renversé sur le dos,élevant le moignon de sa
jambe
droite amputée nettement par un trait circulaire
tre lui tourne le dos, les deux genoux reposant sur deux pilons, la
jambe
gauche pliée à angle droit,la droite relevée pa
les genoux. L'un d'eux, qui porte un petit enfant sur son dos, a la
jambe
droite complètement disloquée au ni- veau du ge
nier est encore armé de béquilles et s'avance sur un seul pied ; sa
jambe
et sa cuisse gauches repliées en flexion ne peuve
dant plusieurs jours. Il reprit cependant ses occupations, mais ses
jambes
restaient raides et lourdes, et il se plaignait
s, et quand il était au lit il perdait la notion de position de ses
jambes
. Il entre à l'hôpital le 14 février 1898. Dans
n trouve notés les symp- tômes suivants : démarche spasmodique, les
jambes
sont en extension, le pied en varus équin, le g
achés au tronc, les parties intermédiaires, avant- bras et bras, ou
jambe
et cuisse, étant- avortées. Chez les hémimèles, a
n développé, mais les parties périphériques, avant-bras et main, ou
jambe
et pied, font défaut en totalité ou en grande par
les mains ouvertes, et un petit diable noir s'accole étroitement à sa
jambe
gauche. Le second est couché sur le sol. L'arti
e. De l'autre, le malade semble chercher à se relever. Une de ses
jambes
est repliée sous lui, l'autre est levée dans la d
portant. A deux enfants dont l'un à la suite d'une affection de la
jambe
gauche, subit, vers 26 ans, une opération qui f
illimètres. Cuisse droite, face an- téro-externe : 7 millimètres.
Jambe
gauche, face antéro-externe : 11 millimètres. Jam
7 millimètres. Jambe gauche, face antéro-externe : 11 millimètres.
Jambe
droite, face an- téro-externe : 9 millimètres.
gne médiane. 3° A la main, face dorsale et face palmaire. 4° A la
jambe
dans toute l'étendue d'une molletière ayant pour
par le malade. 1° A gauche. - 1° Au poignet et a la main. 2° A la
jambe
dans toute l'étendue d'un bas ayant pour limite s
dant de finesse tactile : face externe du bras ; face externe de la
jambe
; dos ; face antéro-externe de la cuisse ; thor
rtent pas le poids du corps, sont saisis en pleines convulsions. La
jambe
droite est raidie en extension, le pied rétracté
mbe droite est raidie en extension, le pied rétracté en flexion, la
jambe
gauche, au contraire, se relâche légèrement, comm
n 3 têtes 1/4, dont 1 tête 3/4 pour la cuisse et 1 tête 1/2 pour la
jambe
, la distance qui sépare l'acromion de l'extrémi
es 1/2 au lieu de 3 têtes 1/4, dont partie égale pour la cuisse et la
jambe
, NOUVELLE Iconographie DE la SALPÜRILRL T. XIV.
IE 279 9 au lieu de 1 tète 3/4 pour la cuisse et i tête 1/2 pour la
jambe
(chiffre normal). Le bras mesure 13 centimètres
les segments occupés par les os longs, bras, avant-bras, cuisses et
jambes
; au contraire, les mains et les pieds sont moin
de l'épine iliaque antéro-supérieure à l'interligne du genou) et la
jambe
(de cet interligne au sol) mesurent 28 et 29 ce
I. XLI RADIOGRAPHIES D'ACHONDROPLASIQUES Avant-bras et poignet. -
Jambe
et genou. (E. -4pe-1). ==^ Masc;;ol1 & C
ment extraordinaire qu'ils puissent les exécuter avec leurs petites
jambes
et cela témoigne d'une vigueur peu ordinaire. Une
le se rappelle avonreu, dans son enfance, la poitrine bombée et les
jambes
arquées, mais ces stigmates se seraient amendés
t subi une opération qui aurait consisté dans un redressement de la
jambe
droite ( ? ). On aurait également constaté à cett
nnaissance, d'une hé- morrhagie auriculaire et d'une fracture de la
jambe
droite. A l'âge de 12 ans, pendant qu'elle joua
rée simple, chorée électrique el chorée fibrillaire, dérobement des
jambes
, par suite d'une frayeur éprouvée à 7 ans. - Empl
se laissa tomber sur une chaise, ne pouvant plus remuer ni bras ni
jambes
, mais trem- blant de tous ses membres. Il ne ma
et se rappelle encore les mouve- ments désordonnés des bras et des
jambes
qui se produisaient spontanément et troublaient
yait quand il était fatigué : parfois, avant qu'il put s'asseoir, ses
jambes
se* < dérobaient, il s'affaissait et devait
On le porta à l'infirmerie, puis à l'hôpital. Le tremblement des
jambes
a cessé de lui-même le 28, 'le tremblement des
sans autre trouble. Rarement l'accès dé- bute par un dérobement des
jambes
avec astasie,abasie, Ce dérobement des jana- be
rs : le soubresaut des bras, le sursaut du corps, le dérobement des
jambes
, le tremblement, la polyurie même sont les mani
pparaît dans toute la splendeur de sa difformité. Il est trapu, les
jambes
fortes, arquées ; mais surtout on remarque l'exig
tableaux de Fausto Boccnr, représentent des nains à grosses têtes,
jambes
et bras minuscules, mis en déroute par des poussi
otilité : buttait à chaque instant, se sentait moins solide sur ses
jambes
. Puis il titube comme un homme ivre. La parole de
Il y a de l'atrophie moins marquée dans la région antéro-externe des
jambes
. 2 mars. - Mort du malade à li. 1/2 du soir.
sociés, la coordination des mouvements même compliqués (flexion des
jambes
, retrait du corps pour fuir une sensation désagré
oit un tableau repré- sentant un sein dont le bout est tombé et une
jambe
en contracture. « Le trou profond d'où sortait
le. Mais en découvrant la malade, nous remarquons, an niveau de ses
jambes
, les déformations caractéristiques de la maladi
lEITZ auparavant, la surveillante de son dortoir avait remarqué ses
jambes
torses, elle l'avait vue rester d'habitude couc
murs est légèrement exagérée, les rotules sont normales. Les os des
jambes
sont extrêmement déformés, tant t tibias que pé
écarte les deux ta- lons. Les épiphyses inférieures des os des deux
jambes
sont d'ailleurs parfaite- ment conservées, de f
ne espèce de la peau ou des ongles. Les muscles de la cuisse et des
jambes
ont subi une atropliie extrêmement marquée. L
bi- furcation et au delà. En effet, les fémorales, les artères des
jambes
des deux côtés sont indurées, inégales et forte
parties du squelette les plus atteintes, c'est-à-dire les os des deux
jambes
, et ceux de l'avant-bras droit. Examen des os
ueux et déformé, au point où il touchait au cubitus. Les os de la
jambe
droite sont fusionnés complètement dans leurs 2/3
V, Pl. 1.\' MALADIE DE PAGET (Hndeln et Heit1) Squelette de \.\
jambe
. UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 419 phy
ette tendance à la fusion des os juxta- posés, fusion réalisée à la
jambe
droite. Cette particularité n'existe pas dans la
422 HUDELO ET nEITZ souvent les épiphyses inférieures des os de la
jambe
sont normales dans la maladie de Paget). Une sé
uche avec association de mouvements de flexion et d'extension de la
jambe
gauche, 122 k. 82. - Décroissance lente du travai
il du médius gauche avec association de mouvements de flexion de la
jambe
droite : 98 k. 22. La dernière série donne encore
La fatigue ne se manifeste pas de la même manière quand c'est une
jambe
ou l'autre qui agit. Dans le cas d'association de
ou l'autre qui agit. Dans le cas d'association des mouvements de la
jambe
droite, quand la fatigue arrive, ce sont d'abord
ents du médius qui deviennent pénibles et impossibles tandis que la
jambe
peut encore se mouvoir ; dans le cas d'associat
encore se mouvoir ; dans le cas d'association des mouvements de la
jambe
gauche,c'estla fatigue de la jambe qui se manif
association des mouvements de la jambe gauche,c'estla fatigue de la
jambe
qui se manifeste la première. Quand le travail
mbe qui se manifeste la première. Quand le travail s'est arrêté, la
jambe
est dans l'impossibilité de s'étendre, et pour
sentent le tra- vail exécuté en même temps que des mouvements de la
jambe
du même côté montrent une excitation plus forte
re, des fléchis- seurs des doigts du côté opposé, des muscles de la
jambe
du côté cor- respondant ou du côté opposé si fa
erdre ses sens à la belle phlébotomisée ? ...Toujours est-il queses
jambes
se dérobent sous elle et que sans la prompte assi
é de Pédiatrie (28 dé ? 1901) un cas d'Eléphanliasis congénital des
jambes
et des pieds, qui a peu peu disparu. 468 UENRY
nous signa- lent sa présence sur un seul pied, les deux pieds, une
jambe
, les deux jambes, un membre inférieur tout enti
t sa présence sur un seul pied, les deux pieds, une jambe, les deux
jambes
, un membre inférieur tout entier, ou les deux à l
sa première malade, l'affection semble même croisée (bras droit et
jambe
gauche). Chez la dernière, les deux membres sup
aces et quelques papules blanchâtres. Rares plaques d'urticaire aux
jambes
. A part cela, tout va bien. 18. Convalescence f
nt de présenter une grande différence dans les proportions des deux
jambes
. Nous ne vîmes la fillette que le 13 septembre
matin, en raison d'un peu d'oedème qui s'accumule dans le bas de la
jambe
pendant la station debout. Nous avons dit que,
enfant marchait avec facilité; elle traîne cependant quelque peu la
jambe
et il arrive que le poids du membre cause parfo
, l'épiderme n'en a pas moins été rugueux et fendillé, au bas de la
jambe
en particulier. Nous nous rappelons d'autant mieu
77 La température dé la peau parait être légèrement plus basse à la
jambe
hyper- trophiée. Les deux membres inférieurs
riode fébrile initiale, le débutdu mouvement bypertrophique dont la
jambe
est le siège ; en un mot, à le rendre contemporai
nt asy- métrique. Il en est de même chez Alice, le bras droit et la
jambe
gauche sont seuls intéressés. Enfin, dernier ar
'hyper- trophie du bras existe rarement seule, et quand celle de la
jambe
l'accom- pagne, elle est généralement moins dév
s réaction et parait s'accroître encore actuellement. La cuisse, la
jambe
et le pied sont atteints au même degré et l'aff
n peu d'cedème qui se surajoute à la lésion principale au bas de la
jambe
et sur le pied, après la station debout. La pea
ui en mourut. Réglée à 14 ans, elle s'aperçut à cette époque que sa
jambe
gauche prenait du développement par enflure.Cet
irmité. L'enflure ne commence qu'au-dessous du genou et comprend la
jambe
sous la forme d'un volumineux ovoïde qui se ter
permettant alors à l'endure d'envahir le pied. Au dire de Mme G.la
jambe
, le matin, serait fort diminuée de volume. Le car
eurs SUR UNE FORME D·II1P);ItTR01'llIL DES MEMBRES 493 3't : i la
jambe
droite. La peau est blanche, saine, sans varices,
lade 3 jours auparavant, soutirait également d'une lymphangite à la
jambe
à la suite d'un impétigo. Les deux soeurs parta
u'en novembre 1900 il nous fut présenté pour la première fois. La
jambe
droite est considérablement hypertrophiée. Le mol
rs sont uniformément gros, cylindriques, en colonnes (Charcot). Les
jambes
sont grosses, oedémaliées, aussi grosses que les
cultés. La malade se tenait généralement étendue, ayant souvent les
jambes
enflées. Renseignements recueillis : le père
ion cardiaque, ni troubles rénaux. X... indique elle-même que ses
jambes
ont grossi progressivement. De temps en temps,
bes ont grossi progressivement. De temps en temps, elle sentait ses
jambes
plus tendues, devenir plus rouges, luisantes, e
, sont possibles. Ainsi X... lève, bien que très difficilement, ses
jambes
, lorsqu'elle est couchée, à la hauteur de quelq
de sous les bras, on voit que les mouvements de locomotion des deux
jambes
sont à peu près nuls. Comme la photographie l
musculaires, nous notons au contraire une hy- pertrophie énorme des
jambes
, des pieds et de la cuisse, à consistance dure
de l'asymétrie de la tête et du corps ; ils prétendent que les deux
jambes
étaient tout d'abord aussi fortes l'une que l'a
e droit. L'hypertrophie est plus accentuée sur la cuisse que sur la
jambe
et sur le pied. Autant qu'on peut s'en assurer
ndis que la cuisse droite se dévie un peu en dehors. Inversement la
jambe
gauche se dirige en bas et,en dehors et la jamb
rs. Inversement la jambe gauche se dirige en bas et,en dehors et la
jambe
droite un peu en dedans. , Les membres supérieu
obilité relative; l'extension, il est vrai, n'est pas complète ; la
jambe
ne peut faire avec la cuisse un angle maximum d
minimum descend aux environs de dos. Les mouvements du pied sur la
jambe
et des orteils sur le pied sont aussi très limi
. u , .. , , . " . 520 E. AfERT portionné, mais qu'en revanche la
jambe
et surtout la cuisse sont très diminuées de lon
urcissement notable de la colonne vertébrale, de la cuisse et de la
jambe
. Aussi, sur les photogra- phies, les membres su
te. La bande a été roulée déjà deux ou trois tours sur le bas de la
jambe
, et le chef libre reste plié plusieurs fois dans
t absorbé la ciguë, il vient, pour hâter la mort, de se plonger les
jambes
dans un bassin d'eau chaude. On voit, sur son b
ANDRAN'f, au Musée de Berlin, représentant le philosophe assis, une
jambe
dans le bain, l'autre tendue vers le médecin qui
s mensurations, est dû au développement des deux segments cuisse et
jambe
- sans que l'un ou l'autre soit plus particulière
rd du pavillon (Meyer). Son torse et ses bras sont peu musclés, ses
jambes
le sont davantage. La peau, qui n'est pas très
lles gigantesques semblent fréquentes chez les eunuques ; que leurs
jambes
sont d'une longueur exagérée par rapport à la h
, trapus; GIGAN'IISME, INFANTILISME ET ACRO.IÉGALIE 23 de petites
jambes
. Voilà, en tout cas, de quoi penser qu'une autre
en exagérant la croissance en longueur des extrémités, surtout des
jambes
; aussi bien que sur le (1) Ce qui explique la d
cuisses sont d'habitude demi.fléchies et il en est de même pour les
jambes
. Les triangles de Scarpa des deux côtés très év
récis. Le réflexe rotulien est conservé bien que le mouvement de la
jambe
ne se produit pas à cause des rétractions ci-de
ue tout le temps couchée, la tète enfon- cée entre les épaules, les
jambes
fléchies. Cette malade succombant, nous avons p
pact. La moelle a une coloration jaune-rougeâtre. Dans les os de la
jambe
, la moelle est jaune. Le tissu compact des diap
fre depuis 3 ou 4 ans de faiblesse et douleurs rhumatiques dans les
jambes
. Il présente lui aussi des troubles psychiques, p
s, à l'extrémité proximale de l'humérus et du fémur, à celles de la
jambe
, ainsi que certaines altérations du bassin. Ou
Un jour, en pleurant, elle raconte que son père vient de se casser la
jambe
. En réalité, son père est décédé depuis plus de
avec son père qui était bouclier, souffrait de varices, et a eu la
jambe
cassée. Pas de signes de polynévrite. (1) Obs
ette maladie, il eut des convulsions dans le bras gauche et dans la
jambe
droite. Dix mois avant son entrée à l'hôpital,
venant à chaque mouvement dans la colonne verté- bra ! e et dans la
jambe
droite. S'est fait traiter pendant l'an 1903 à la
rradiées qui, de la ré- gion lombaire, se propagèrent dans toute la
jambe
droite. Durant les deux pre- mières années de l
aignait de douleurs à la région lombaire qui irra- diaient dans les
jambes
. Il est mort le 14 août 1904 après avoir séjourné
ne hémoptysie. Depuis trois mois il ressent des dou- leurs dans les
jambes
et à la région lombaire et, depuis un mois, il ne
chesont des mouvements limités, toutes les antres articulations des
jambes
et des bras sont intactes. Absence d'osléophyte
t et plusieurs mois après, dans l'articulation du cou de-pied de la
jambe
droite. En un an, l'affection se pro- page succ
efois même presque sans effort. Un malade de Charcot s'est cassé la
jambe
en tirant sa botte..1 ces arthropathies et à ce
l'atrophie est grande aux muscles de la v face antéro-externe de la
jambe
, où l'on remarque une cavité creuse au lieu de
s gens de pied a son bas de chausse gauche rabaissé pour montrer sa
jambe
entourée d'une bande roulée à la partie inférieur
de bandes qui lui enveloppent le mollet. Le troi- sième soldai a la
jambe
droite enveloppée comme l'a le capitaine, et auss
losangiques ; l'un des soldats s'appuie sur une potence ; ses deux
jambes
sont pansées, mais le dessin du Triumphe ne per
rien à leur envier. Nous avons assez bon couraigc Se n'estoit que
jambes
nous faillent, Et ses emplastrez au visage....
... Ils out en effet la face couverte l'emplastres; l'un d'eux a la
jambe
entourée d'un double tour de bandes, et sur l'E
peu effondré (fig. 3). Le porte-enseigne a aussi des emplastres aux
jambes
et sa ligure parait déformée. Mais c'est dans l
Uans l'estampe de Blois le quatrième rang montre des emplâtres, une
jambe
pansée et un nez effondré. A n'en pas douter le p
umphe on voit à ce rang un bandage spiral du bras et un autre de la
jambe
. Au cinquième le premier soldat a le pied nu en
n'est qu'amer ; La preuve se peult veoir par nous. La goutte aux
jambes
et genoux Nous faict le Puy d'Amours comprendre
s sont bien lotis ; se traînant avec des béquilles en potences, les
jambes
enlourées de bandes en spirales ou croisées, ou c
ar de Dame Vérolle bien gorgiaseest traîné par deux personnages aux
jambes
entourées de bandages. Le Pourpoint donne pour la
abotais. Dans les Bagages (PI. XXV) abondent les nez effondrés, les
jambes
ban- dées (remarquer le deuxième personnage por
.XXX), parce que ceux qui en sont attaqués marchent en écartant les
jambes
comme s'ils étaient à cheval; aussi plus d'un a
194 SOUQUES La sensibilité n'est pas abolie : le malade retire les
jambes
quand on les pique mais retire moins la droite
ssion à "infirmerie, elle fit une hémiplégie droite complète, bras,
jambe
, face, avec hypoesthésie de toute la moitié du
igne de Babinski, mais, avec une légère flexion de la cuisse sur la
jambe
. La malade subit une large trépanation et succo
x ans et demi, et se rappelle d'avoir entendit dire qu'il avait les
jambes
un peu tordues. Aujourd'hui on constate seuleme
toujours de souffrir quelque part, fluxion de poitrine, douleurs de
jambes
, rhumatismes, etc. On fait venir G. avec sa fem
elle s'est réveillée un matin avec = la la figure de travers ». La
jambe
et le bras du même côté étaient parfaitement libr
la face supérieure du gros orteil et sur la partie inférieure de la
jambe
. ' Il s'était le matin même présenté à la Consu
gale contractée en décembre dernier. A la partie inférieure de la
jambe
droite et sur la face antérieure on note une ci
note d'ailleurs des varices des veines superficielles au niveau de la
jambe
droite et du genou. Nous avons vu enfin que l
e avec contracture en flexion : cuisses fléchies sur le bassin, les
jambes
fortement fléchies sur les cuisses, la jambe dr
es sur le bassin, les jambes fortement fléchies sur les cuisses, la
jambe
droite en adduction sur la jambe gauche, les pied
ement fléchies sur les cuisses, la jambe droite en adduction sur la
jambe
gauche, les pieds fléchis sur les jambes avec r
be droite en adduction sur la jambe gauche, les pieds fléchis sur les
jambes
avec rotation en dedans, en varus équin ; le bo
rique très intense. Impossibilité de provo- quer la déflexion de la
jambe
sur la cuisse; rétraction musculo-tendineuse..
jambe sur la cuisse; rétraction musculo-tendineuse.. Flexion de la
jambe
sur la cuisse : à droite, 75° ; à gauche, 63°.
fasciculaires des adducteurs et des muscles de la face interne des
jambes
. Abolition des réflexes cutanés adaptés. Dispar
ctions de la malade, lorsque l'on pique diverses zones cutanées des
jambes
. Pas de troubles sphinctériens. NOUVELLE Icon
ments d'oreille ; mouvements de trombone de la langue ; flexion des
jambes
sur les cuisses, pied gauche en varus équin ; r
e étant couché dans son lit, si nous lui demandons de sou- lever la
jambe
en l'air - le genou en extension on observe : que
plus évidentes, si on lui recommande de se maintenir sur une seule
jambe
, etc. Tous ces troubles deviennent plus accentu
p plus difficile : les pieds plus écartés, les pas plus courts, les
jambes
et le corps oscillant nettement, et même LE MÉC
dans la rue, surtout quand il a trop marché et se sent fatigué, ses
jambes
chancellent, si bien quelquefois que les personne
reproduire encore une fois. Ajoutons que le malade ne jette pas la
jambe
en l'air et ne talonne pas. Il descend avec diffi
nique : le malade étant couché dans son lit, et s'il veut soulever la
jambe
en l'air le genou en extension cette jambe osci
et s'il veut soulever la jambe en l'air le genou en extension cette
jambe
oscille en dehors ou en dedans, et même elle co
e sur le parquet luisant. Il nous semble que la comparaison avec la
jambe
de notre ataxique, qui oscille quand le malade
dans le sens qu'il veut, et ne glisse plus quand il veut maintenir la
jambe
à une hauteur fixe. Ilétait logique alors de
qu'est- ce qui est troublé chez le tabétique ataxique, pour que sa
jambe
oscille indépendamment de sa volonté ? Au déb
ssible, tant était grand l'angle que faisaient les cuisses avec les
jambes
. Quant l'hypotonie des articula lions coxo-fémo
ouvert, on observait chez lui que, dès l'instant qu'il soulevait la
jambe
en l'air, il apparaissait des contractions muscu-
es pendant l'exécution d'un mouvement volontaire, ou pendant que la
jambe
est simplement soutenue en l'air, gardent un de
pent l'articulation coxo-fémorale, mais aussi dans les muscles des
jambes
et des pieds, quand le malade, par exemple, res
ontaire, car aussitôt que le malade laisse, par exemple, reposer la
jambe
sur le lit, ou s'il est couché, les contractions
ibre et de tomber. Il est certain qu'en faisant des grands pas, les
jambes
oscillent plus facilement ; mais si les malades o
: Si le malade est couché dans son lit,on observe qu'il soulève la
jambe
en l'air, la maintient à une hauteur fixe sans os
serré comme il est, il se sent plus sûr de lui, plus solide sur ses
jambes
. La station bipède est presque parfaite, et même
ue parfaite, et même j'ai vu des malades se maintenir sur une seule
jambe
, chose qu'ils étaient incapables de faire avant
imités, ils sont suffisants comme longueur, ils sont réguliers, les
jambes
n'oscillant plus latéralement, de sorte que le
être main- tenue quand l'individu cherche à se tenir sur une seule
jambe
, ou s'il veut sauter à cloche-pied, etc. Dans t
ce moment-là chez une personne normale, pendant qu'elle soulève la
jambe
en l'air, on n'observe rien en apparence, c'est-à
e bouge sous la peau. Au contraire, chez l'ataxique, pendant que la
jambe
oscille latéralement, on observe sous la peau de
es les articulations du bassin sur les cuisses, des cuisses sur les
jambes
, des jambes sur les pieds, se trouvent maintenu
ulations du bassin sur les cuisses, des cuisses sur les jambes, des
jambes
sur les pieds, se trouvent maintenues immobiles
fin un dernier exemple. Le malade est debout, s'il veut soulever la
jambe
avec l'intention de marcher, la jambe risque d'os
debout, s'il veut soulever la jambe avec l'intention de marcher, la
jambe
risque d'osciller en dedans ou en dehors, et si
isparaît, le muscle est relâché ; et si nous abaissons lentement la
jambe
sur le lit, le muscle est tout le lemps mou.
traction. Cette contraction disparait ensuite rapidement dès que la
jambe
repose complètement sur le lit. On comprend ce ph
nétique du membre. Regardonsunataxique, à qui on dit de soulever la
jambe
en l'air ; son membre oscille en dedans ou en d
malade marche et doit s'appuyer à un moment donné seulement sur une
jambe
, sont d'autant plus difficiles que, dans ces ca
e sait si on s'aperçut à sa naissance qu'elle avait les bras et les
jambes
anormalement courts ; mais elle raconte qu'elle
TU Les cuisses sont courtes, épaisses, un peu arquées en avant; les
jambes
dessinent une légère courbe à concavité interne
leur buste est développé, mais les membres sont un peu courts, les
jambes
surtout ; en môme temps, leur système pileux prés
s reparurent dans l'après-midi, beaucoup plus vives et gagnèrent la
jambe
du même côté; il se produisit alors des mouve-
in : il s'agit de frilosité (notée trois fois), de crampes dans les
jambes
, d'en- gourdissement des extrémités un peu refr
s crises ressemblant à de la tétanie ; il aurait eu de l'oedème des
jambes
. Pendant la convalescence, il vit tomber ses ch
maladie infectieuse qu'une rougeole bénigne ; à 16 ans, fracture de
jambe
assez mal consolidée (cal exubérant).A 21 ans, se
pendant plusieurs jours ; il affirme qu'il n'avait pas d'oedème des
jambes
et il a entendu dire qu'il n'avait pas d'albumine
chasser. Il se plaint de vives douleurs dans les lombes et dans les
jambes
; bien qu'on soit en plein été, il a constammen
précis. Les fractu- res des os de l'avant-bras, celles des os de la
jambe
sont particulièrement propices à l'étude des fa
ns son lit dans la position dorsale, ou assis dans son lit avec les
jambes
croisées. Du côté de la tête, on ne remarque ri
tance qu'il oppose aux mouvements que nous voulons imprimer à cette
jambe
elle est nulle. Les mouvements actifs du membre
ouper son pain, le patient se soulevait sur son séant, croisait ses
jambes
et mettait une planche carrée de bois sur ses gen
le genou, tout en maintenant le pied correspondant renversé sur la
jambe
, il ne pouvait pas le faire. Il n'était capable
us faisons avec nos membres inférieurs. Par exemple, pour porter la
jambe
en avant, quand on veut marcher, il faut, non p
combiné : c'est-à-dire il faut fléchir la cuisse sur le bassin, la
jambe
sur la cuisse et renverser le pied, et dans un te
ur gauche des troubles du premier groupe, parce que, en relevant la
jambe
en l'air, elle oscillait latéralement ; de même
rai que ces oscillations n'étaient pas grandes, car il soulevait la
jambe
à peine à une hauteur de 20-30 centimètres. En
la planche, de tomber de son lit. Quand il est assis, il croise les
jambes
l'une sur l'autre, et incline son corps un peu en
corps un peu en avant. Le malade ne peut pas rester assis avec les
jambes
étendues, sans que le corps ne tombe en arrière
corps ne tombe en arrière (Cette position de rester assis avec les
jambes
étendues est relativement difficile, même pour
is. A partir de cette époque, le malade a commencé à sentir que ses
jambes
devenaient lourdes, qu'il se fatiguait vite, et i
en. Le malade étant couché au lit, si on lui demande de soulever la
jambe
en l'air, il la soulève brusquement et au delà
; de même, il la laisse tomber trop rapidement. Quand il soulève la
jambe
en haut, elle oscille latéralement, surtout en
d il veut toucher le genou en tenant les yeux fermés, il fléchit la
jambe
du membre avec lequel il veut toucher le genou op
peine faire péniblement quelques pas dans la salle, en rejetant ses
jambes
plus qu'il ne faut, ne posant jamais les pieds
squement et plus fort qu'il ne faut. De même aussi, pour fléchir la
jambe
sur la cuisse, dans l'action de toucher avec un
ucher avec un talon le genou opposé, il fléchit plus qu'il ne faut la
jambe
494 NOICA sur la cuisse correspondante. De mê
ICA sur la cuisse correspondante. De même pour marcher, il jette la
jambe
trop fort, et quand il veut s'asseoir ou se lev
ition nécessaire pour pouvoir s'appuyer dessus, et une fois sûr des
jambes
, il se préoccupe de ses cannes, les arrange aussi
la pression est abolie. Il localise mal les piqûres sur la peau des
jambes
et des pieds, et toujours avec un certain retar
un léger réflexe crémastérien gauche. - Quand le malade soulève la
jambe
en l'air, celle-ci oscille latéralement, et tom
yeux ouverts, mais si ayant les yeux fermés nous lui déplaçons les
jambes
, il cherche en vain à se soulever, car, quoiqu'il
pointe du pied qui est en avant, et fléchit légèrement le genou de la
jambe
qui est restée en arrière, tout prêt à porter c
ain ? Parce que le malade a peur qu'en s'appuyant seulement sur une
jambe
celle qui est devant il risquerait de perdre so
te du pied. Mais notre demande de marcher, il se décide à porter la
jambe
de derrière en avant, ce qu'il fait, une fois q
sur le bord du lit et sur sa canne. Mais ce mouvement de porter la
jambe
en avant, il ne fait pas comme une personne nor
nota plus haut que normalement, puis après, il étend rapidement la
jambe
et se hâte de mettre le pied par terre - presqu
ur qu'il ne reste pas trop longtemps en l'air, appuyé sur une seule
jambe
. Pendant l'exécution de ce mouvement, il survei
es yeux, on observe qu'il relève le pied plus haut qu'avant, que la
jambe
oscille un peu latéralement, et qu'elle est rejet
ses talons. On lui de- mande alors de faire un pas en avant avec la
jambe
droite, pendant que nous lui recommandons de su
ents du membre fléchissent plus qu'il ne faut, et quand il étend la
jambe
et qu'il veut poser le pied par terre, nous nous-
ce phénomène. Le ma- lade met le pied plus en dehors, parce que sa
jambe
étant suspendue en l'air se met à osciller, et
lui; il ne peut pas se rendre bien compte de l'oscilla- tion de sa
jambe
. Voilà pourquoi le pied se pose en dehors de la l
musculaire nécessaires à la gradation du mouvement il étend trop sa
jambe
en avant, et puis, quand il veut poser le pied
de, après avoir fait un pas ou deux, avec les yeux fermés, perd ses
jambes
dans l'espace et ne sait plus les conduire. P
trophiés et les mouvements de renversement des pieds sur le dos des
jambes
, sont conservés. Conclusion de la deuxième part
ou moins intense et brutal; 2° de l'effondrement par dérobement des
jambes
, comme chez le tabétique ou le vertigineux laby
lui, la sensation est très différente de celle du « dérobement des
jambes
» sous le tronc, avec fléchissement réel et par-
t des mouvements compensateurs de la tête,. des bras et surtout des
jambes
; 1. La sensation vertigineuse comprendrait pour
vertige vrai (indépendant de tout fléchisse- menton derobement des
jambes
) un rôle beaucoup plus enace et accessoire. Le
être rem- placé par un état vertigineux léger, du treinbleinent des
jambes
, une sensation de dérobeinent du sol; la migrai
sans sensation vertigineuse; 2° l'effon- drement par dérobement des
jambes
, trouble cérébelleux; 3° des trou- bles oculo-m
d'obnubiiation de la vue, de pâleur de la face, de défaillance des
jambes
. Le vertige des hauteurs, très différent du ver
vec obscurcissement de la vue, brouillards ou lueurs, faiblesse des
jambes
et troubles de l'équilibre, olJl7lllJillti(Ill
m sont pour le moins inutiles ; on pourra mettre des sinapismes aux
jambes
. Dans les intoxications, les tractions rythmées d
lus intellectuel). Le malade qui pourra tendre la main, croiser les
jambes
, ne pourra plus monter un escalier, danser, sau
tout d'abord la région excitée, le plus exactement possible (pied,
jambe
, bras, etc.), puis de montrer avec son index le p
et les noter sur un schéma En écart de *2-"> centimètres sur les
jambes
ou les bras. de4-*> centimètres sur le dos s
; un autre accusait les élèves du service de s'être appuyés sur sa
jambe
et de lui avoir fait mal. alors qu'en réalité, on
ENSIBILITE OBJECTIVE. 5'2 ! ) inférieurs, sur la face externe de la
jambe
.(5° racine lombaire) et sur la plante des pieds
plus souvent les membres supérieurs et le tronc, plus rarement les
jambes
. Ordinaire- ment symétriques, ils sont plus rar
tiers inférieur de la cuisse, la face postérieure et moyenne de la
jambe
, la ré- . 1. Pour certains auteurs, la face pos
hille. la plante du pied (S2 + SI); la région antéro- externe de la
jambe
et le dos du pied (L5+S,). (Voir schéma de Seit
acines lombaires, c'est- à-dire la face interne et antérieure de la
jambe
et de la cuisse. Les limites supérieures précis
ans la névrite lépreuse.. Ici l'anesthésie peut envahir le pied, la
jambe
, etc., et s'arrêter brusque- ment au niveau du
des os. Le signe de Lasègue (flexion de la cuisse sur le bassin, la
jambe
étant en extension sur la cuisse) est un moyen
par exemple, le malade perd parfois la notion de l'existence de ses
jambes
. Chez l'aliéné, la recherche des perturbations
a cuisse, il la face antérieure; du genou, il la face interne de la
jambe
, au bord interne du pied jusqu'au gros orteil. La
nt violents ; ces paroxysmes sont rappelés par des mouvements de la
jambe
, la toux, la défécation, l'eter- nuement. Les d
à la partie postérieure, et inférieure de la malléole externe. A la
jambe
la pression sur les masses musculaires du molle
uvent être provoquées par la manoeuvre dite de Lasèguc. Lorsepie la
jambe
est fléchie sur la cuisse on peut amener une fl
ondition le nerf sciatique est élans le relâchement; mais, quand la
jambe
est étendue sur la cuisse, on ne peut amener la f
ne douleur plus ou moins vive au niveau du pied, des orteils, de la
jambe
, douleur ressentie par le malade quand la pointe
ra possible. Le malade se placera sur une chaise : il allongera ses
jambes
à demi, de façon qu'elles forment avec les cuis
ec fruit le réflexe rotulien en commandant au malade de croiser les
jambes
et de placer sans la raidir l'une des cuisses s
ses sous la cuisse du malade de façon à la soulever et à laisser la
jambe
pendante. " [CRO UZON. ) 428 . RÉFLEXES. .
r le bord d'un lit ou sur le bord d'une table ou d'un plan dur, les
jambes
restant pendantes. b) Le malade est couché. Si
ôté opposé, on soulèvera ainsi le membre à examiner en plaçant la
jambe
en demi-flexion sur la cuisse. On pourra encore
e. On pourra encore placer le membre inférieur en abduction et la
jambe
en demi-flexion sur la cuisse de telle façon
29 ce réflexe; on le percevra encore par le procédé de Walbaum (une
jambe
est croisée sur l'autre, on place une main à de
propulsion du pied en avant, que le pied repose sur le sol, que la
jambe
soit pendante ou qu'elle repose sur le plan du li
et brusque en regardant le plafond Guttmann soulève la cuisse et la
jambe
avec deux serviettes Feix place le malade sur l
difficulté de la percussion; la présence de graisse ou d'oedème des
jambes
nécessitent en effet une percussion beaucoup plus
e suivre la technique suivante' : Le malade étant assis, on met ses
jambes
dans le relâchement en leur donnant l'altitude
te alors le tendon rotulien, on voit, en outre de l'extension de la
jambe
sur la cuisse qui se produit du côté percuté, u
contralatéral des adducteurs. Le malade étant couché, on placera la
jambe
; à percuter comme il a été indique'' précédemme
soulève la cuisse en passant la main sous elle, ou bien on place la
jambe
en demi-flexion sur la cuisse et la cuisse en a
s l'altitude suivante : flexion à angle droit ou à angle aigu de la
jambe
sur la cuisse et abduction de la cuisse. Dans cel
sculaire et a pour résultat un mouvement d'extension du pied sur la
jambe
. ' Pour l'apprécier, il faut que le malade se m
e solidement à la fois sur ses genoux et sur la face antérieure des
jambes
et non sur les genoux seuls; on lui recommander
ant sa flaccidité, en vérifiant la mobilité parfaite du pied sur la
jambe
et en provoquant, par la palpation des muscles
par la palpation des muscles du mollet, l'extension du pied sur la
jambe
. On percute alors le tendon d'Achille qui est t
; on voit se produire le léger mouvement d'extension du pied sur la
jambe
, la face plantaire tend à regarder en haut, puis
lléen n'amène pas seulement un mouvement d'extension du pied sur la
jambe
, mais est le point de départ d'une série de mou
série de mouvements rythmés et saccadés d'extension du pied sur la
jambe
. Si l'on cherche à s'opposer RÉFLEXES. 453 à
ÉFLEXES. 453 à ces mouvements par la .flexion forcée du pied sur la
jambe
, ils se pro- duisent d'une façon continue et ré
on le recherche, le malade étant couché ou assis, en plaçant sa
jambe
en demi-flexion sur la cuisse et en détermi-
isse et en détermi- nant brusquement une flexion du pied sur la
jambe
; le pied est animé de secousses d'extension r
réflexes un peu forts qui se raidissent en étendant le pied sur la
jambe
quand l'observateur cherche à. faire la flexion
qui le différencie du tabès vulgaire : démarche avec trainement des
jambes
. paraplégie, signe de Babinski (Pierre Marie et
qu'elle atteigne les libres motrices. Si la névrite porte sur la
jambe
et respecte la cuisse, les réflexes achilléens
ude il l'état normal, une flexion de la cuisse sur le bassin. de la
jambe
sur la cuisse, du pied sur la jambe, et des ortei
la cuisse sur le bassin. de la jambe sur la cuisse, du pied sur la
jambe
, et des orteils sur le métatarse. « Du côté p
le donne lieu aussi à une flexion de la cuisse sur le bassin, de la
jambe
sur la cuisse, du pied sur la jambe, mais les o
la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse, du pied sur la
jambe
, mais les orteils, au lieu de se fléchir, accusen
alade doit être placé de telle façon que les muscles du pied, de la
jambe
soient dans un relâchement complet. Dans ce but,
ent complet. Dans ce but, si le malade est couché, on lui laisse la
jambe
étendue, on évite de lui demander aucun mouveme
sur son genou et cherche à obtenir un relâchement des muscles de la
jambe
et de la cuisse. On procède alors il l'excitation
e du pied, on voit qu'ils consistent dans la flexion du pied sur la
jambe
, de la jambe sur la cuisse, de la cuisse sur le b
voit qu'ils consistent dans la flexion du pied sur la jambe, de la
jambe
sur la cuisse, de la cuisse sur le bassin et par
de la région anale, par exemple la position couchée sur le dos. les
jambes
relevées. Réflexe buccal. Toulouse et Vurpas on
plètement abolis, mais, quand on cherche à mettre le malade sur ses
jambes
, on voit qu'il ne peut se tenir debout. D'une f
ieur; pour le membre inférieur, mécanisme du raccourcissement de la
jambe
, mécanisme de l'abduction de la jambe. Ces méca
sme du raccourcissement de la jambe, mécanisme de l'abduction de la
jambe
. Ces mécanismes fonctionnels auraient, pour Grass
émi- plégiques, il était impossible d'élever simultanément les deux
jambes
au-dessus du plan du lit, bien qu'ils puissent
du lit, bien qu'ils puissent lever alternativement l'une et l'autre
jambe
. Les membres ne sont, pas seuls frappés dans l'
l'impossi- bilité de se tenir debout tient à un fléchissement de la
jambe
paralysée sous le poids du corps ; parfois l'im
sser traîner en arrière d'une façon tout à l'ait caractéristique la
jambe
paralysée, mais malgré tout ils marchent. La
jambicr antérieur qui se produit dans le mouvement de flexion de la
jambe
sur la cuisse, c'est donc un mouvement associé.
, sur un plan dur de préférence, il faut lui demander de fléchir la
jambe
sur la cuisse, et, pour amplifier l'effort dans
du jambier anté- rieur se produire quand un hémiplégique fléchit la
jambe
en marchant (Brissaud). Ce phénomène du jambier
rs ei, on cherche à plier les cuisses sur le bassin sans fléchir la
jambe
sur la cuisse ; c'est en réalité une manoeuvre ab
ce mouvement, on sent insensiblement se produire une flexion de la
jambe
sur la cuisse. Cosigne de Kernig ne s'observe p
us l'avons vu, consiste dans une contracture des fléchisseurs de la
jambe
. Ce phénomène, comme Bull l'a fait remarquer, n'e
de s'asseoir, il y a instinctivement un mouvement de flexion de la
jambe
sur la cuisse. Le mouvement de s'asseoir sans flé
e la jambe sur la cuisse. Le mouvement de s'asseoir sans fléchir la
jambe
sur la cuisse ne peut se faire que par l'interv
gles Ù base opposée, le supérieur ayant les cuisses pour côtés, les
jambes
dessinant les contours du second. Les pieds son
e afin de maintenir l'équilibre que l'impuissance des muscles de la
jambe
menace il tout instant de faire perdre. Ces p
, dont l'aboutissant est une démarche saccadée, avec projection des
jambes
bien au delà de la dis- tance appropriée et cho
tiples contorsions du tronc, du visage, des membres supérieurs. Les
jambes
sont jetées latéralement, niais avec beaucoup m
ouveau mettent parfois sur la voie du diagnostic. Dressés sur leurs
jambes
, ils ne peu- vent progresser qu'en sautillant;
a rétention d'urine avec miction vraie. Le malade garde le lit. Les
jambes
en hyperextension sont croisées par adduction f
nt parfai- tement normaux. Mais vient-on à les mettre debout, leurs
jambes
se dérobent sous eux, et ces malades tombent co
de, une fatigue précoce et infinie dans les membres inférieurs. Les
jambes
sont lourdes; tout déplacement demande un effor
ion légère de la cuisse sur le bassin, les genoux en adduction, les
jambes
divergentes, mais les pieds en varus équin reve
de l'abolition des réflexes, de l'atrophie musculaire intense avec
jambe
de polichinelle, de l'aholition ou du moins de
ienne. On observe alors soit une démarche spastique (trainement des
jambes
) au lien d'une démarche ataxique, soit de la pa
évolution se fait en deux temps; il y a d'abord affaiblissement des
jambes
lent et progressif, avec douleurs dans la conti-
rs du membre) . des muscles postérieurs de la cuisse (flexion de la
jambe
) et du groupe autero- externe des muscles de la
flexion de la jambe) et du groupe autero- externe des muscles de la
jambe
et des muscles du pied (avec déforma- lions div
tribuent au grand fessier. Toutefois, quand le sujet est assis. les
jambes
fléchies, les pieds reposant sur le sol, la contr
uisse. Lorsque les muscles se contractent, le sujet étant assis, la
jambe
allongée, le talon reposant sur le sol, le mouv
d la partie externe de l'aponévrose fémorale et est extenseur de la
jambe
sur la cuisse, de plus il fléchit la cuisse et
xterne, branche du crural. Physiologie. - Le couturier fléchit la
jambe
sur la cuisse, fléchit la cuisse sur le hassin,
, en prenant son point fixe sur le fémur et sur le bassin, étend la
jambe
sur la cuisse et fléchit la cuisse sur le bassi
ale du genou et l'empêche ainsi d'être pincé dans l'extension de la
jambe
sur la cuisse. Dans la paralysie du quadriceps,
e. Le droit interne est adducteur de la cuisse, fléchis- seur de la
jambe
sur la cuisse, rotateur de la cuisse en dedans qu
de la jambe sur la cuisse, rotateur de la cuisse en dedans quand la
jambe
est fléchie. Pectine. Insertions. Le pectine s'
546 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. Le biceps détermine la rotation de la
jambe
en dehors, le demi-tendi- neux la rotation en d
dedans. Ces mouvements de rotation ne sont pas pos- - sibles si la
jambe
est étendue sur la cuisse à cause de la dispositi
s de rotation se pro- duisent au contraire pendant la flexion de la
jambe
, ils sont plus étendus en dehors qu'en dedans.
ors qu'en dedans. Quand ces muscles prennent leur point fixe sur la
jambe
, ils étendent le bassin sur la cuisse. L'extens
énient, le malade est obligé de fléchir anormalement le pied sur la
jambe
. Il faut noter aussi que les ligaments postérieur
car les muscles paralysés ne peuvent plus limiter l'extension de la
jambe
. ' MUSCLES DE LA JAMBE . Région antérieure.
ne peuvent plus limiter l'extension de la jambe. ' MUSCLES DE LA
JAMBE
. Région antérieure. Jambier antérieur. Inser
siologie. Le jambier antérieur fléchit énergiquement le pied sur la
jambe
, le tord légèrement en dedans, il porte l'extrémi
ux. Le muscle exten- seur détermine aussi la flexion du pied sur la
jambe
, Duchenne a bien montré que telle était sa prin
us faiblement la seconde. Secondairement, il fléchit le pied sur la
jambe
, le porte en dedans et lui imprime un mou- veme
hysiologie. - Le long péronier latéral est extenseur du pied sur la
jambe
, il produit la torsion du pied en dehors, il main
rieur. '. . Physiologie. - Le poplité fléchit avec peu d'énergie la
jambe
sur la cuisse et détermine à la jambe fléchie u
fléchit avec peu d'énergie la jambe sur la cuisse et détermine à la
jambe
fléchie un mouvement de rotation en dedans. ,
ogie. Le jambier postérieur est faiblement extenseur du pied sur la
jambe
. D'après Duchenne il porte le pied dans l'adducti
férents muscles (voir pp. 542, 545, : ici9, 544). L'extension de la
jambe
sur la cuisse (quadriceps fémoral), la flexion de
re et interne de l'articulation du genou, à la partie interne de la
jambe
et au bord interne du pied. Paralysie du nerf s
bial subit une élongation du fait de rhyperextensiou du pied sur la
jambe
. Le sciatique poplité externe innerve les muscl
lité externe innerve les muscles de la région antéro- externe de la
jambe
et les péroniers. Quand il est paralysé la pointe
. La différence dans l'étendue du mouvement du pied, suivant que la
jambe
, est on n'est pas fléchie, atteint 50° à ! 0°;
pour que la flexion dorsale du pied soit rendue impossible quand la
jambe
est étendue alors qu'elle est possible quand le g
erne ont pour fonction de relever le pied et de le rapprocher de la
jambe
; dans cette action ils sont appelés à vaincre n
est pas de même de la seconde, les muscles jumeaux et plantaire la
jambe
est en extension que quand le genou est plié, ce
e la face antérieure et les deux tiers de la face postérieure de la
jambe
. La paralysie du sciatique poplité interne a po
nséquence la para- lysie des muscles de la région postérieure de la
jambe
et des muscles de la plante du pied; les mouvem
rus, la rétraction de l'avant-bras sur le bras, la rétraction de la
jambe
sur la cuisse. La palpation des muscles rétra
facio-scapulo- huméral, alors que les muscles, non seulement de la
jambe
, mais de la cuisse même ne présentaient encore
t tombe t'ré- quement; il ne court pas, ne saute pas; il écarte les
jambes
, renverse le corps en arrière et semble calcule
ère et semble calculer tous ses pas; il redoute de se tenir sur ses
jambes
et demande qu'on le porte. , L'examen révèle al
s premiers atteints sont presque toujours les muscles du mollet; la
jambe
est épaissie dans son ensemble et les jumeaux f
alades un aspect tout à fait caractéris- tique. Ils se tiennent les
jambes
écartées, les pieds regardant en dehors, le tro
ant ainsi du mieux qu'ils peuvent la faiblesse des extenseurs de la
jambe
et de la cuisse et la lordose paralytique résul
« en canard », inclinant à chaque pas le tronc et l'appuyant sur la
jambe
qui repose à terre. Ils ne peuvent courir. `
ils sont ainsi à genoux, ils s'inclinent d'un côté pour dégager la
jambe
opposée et posent un pied sur le sol, puis dégage
opposée et posent un pied sur le sol, puis dégagent de même l'autre
jambe
et posent l'autre pied; ils sont ainsi « à quatre
tre pattes » ; ils grimpent alors avec leurs mains le long de leurs
jambes
, puis le long de leurs cuisses et de leurs lomb
uve- ments que la paralysie pseudo-hypertro- phique : station les
jambes
écartées, les pieds en dehors, lordose lombaire
] Fig. 5. 31YOPalhique. Le malade ne peut se tenir debout que les
jambes
écartées, le tronc renversé en arrière. On vo
, rarement plus tard, par l'atrophie des muscles des pieds et des
jambes
. Exceptionnellement le début peut se faire par
nt au pied tous les muscles, en particulier les interosseux, à la
jambe
les muscles anléro- externes, les péroniers, le
] lig. 9. Amyotrophie Charcot- Marie. Atrophie considérable des
jambes
et des pieds, jambes de ('0'1, pieds creux et c
ie Charcot- Marie. Atrophie considérable des jambes et des pieds,
jambes
de ('0'1, pieds creux et cambrés, orteils en
ils sont en griffe. Le pied est plus ou moins ballant au bout d'une
jambe
mince, effilée, sans saillie du mollet. A la cu
à fait caractéristique de l' « atrophie en jarretière » ; quand les
jambes
sont rappro- chées, il reste un espace entre
steppant, les cuisses lan- cent, pour ainsi dire, à chaque pas la
jambe
et le pied ; quand il y a une forte luxation
nellement des douleurs violentes, plus souvent des crampes dans les
jambes
, dans les mains, dans les cuisses. Les troubles d
thésie peu pro- noncée, parfois dissociée, localisée aux pieds, aux
jambes
ou aux mains. Cette rareté des troubles sensiti
- çant par l'épaule et le bras ; tardivement elle envahit aussi les
jambes
et les pieds, puis les avant-bras et les mains.
celle de l'àmyolrophie Charcot-Marie : début par les pieds- et les
jambes
(pied bot vai'us équin, souvent pied de Fnedrei
stitielle hy- pertrophique (malade de Pierre Marie). Atrophie des
jambes
et des pieds, atrophie des mains, cypho- scol
ou le tronc, tout à fait exceptionnelle- ment par les pieds et les
jambes
(cas de Raymond et Philippe) ('). Le premier mu
r les petits muscles du pied et par les fléchisseurs du pied sur la
jambe
, puis gagne les fléchisseurs de la jambe et ceux
léchisseurs du pied sur la jambe, puis gagne les fléchisseurs de la
jambe
et ceux de la cuisse, enfin les extenseurs en r
es muscles les plus atrophiés; on voit par exemple assez souvent la
jambe
se fléchir modérément sur la cuisse. L'excitabi
les de la région postérieure de la cuisse et tous les muscles de la
jambe
; pour le plexus lombaire dans le domaine du nerf
nte rapide des muscles du pied et des muscles antéro-externes de la
jambe
provoque l'attitude I. Maiigouliès. Th. de Pari
se marque d'abord par t'anestbésie, générale- ment douloureuse, des
jambes
, des doigts, de la bouche, puis des cuisses, de
paralysie et l'atro- phie envahissent d'abord les extenseurs de la
jambe
et de l'avant-bras, tardivement le tronc, le ph
commence aux membres infé- rieurs par les muscles des pieds et des
jambes
, elle atteint parfois les membres supérieurs, l
t flexion des autres. Puis l'atrophie envahit les muscles de la
jambe
et surtout les mus- cles antéro-exter- nes,
ments de latéralité sont conservés et même exagérés. L'atrophie des
jambes
est souvent très considérable ; elle peut remon
é des membres; d'abord membres inférieurs : pieds, extenseurs de la
jambe
; puis mem- bres supérieurs : mains, avant-bras;
tronc; diaphragme; viscères; membres infé- rieurs rarement : pieds,
jambes
, cuisses; évolution lente (sauf sclérose latéra
sur les statues d'Hercule les saillies musculaires des bras et des
jambes
, surtout des biceps et des quadriceps fémoraux,
llC îles muscles, surtout rcux des membres inférieurs, cuisses el
jambes
, le « large l'on (le taureau ». ·. TU Il HYPE
re maintenue que grâce à une contraction synergique des muscles des
jambes
et de la plupart des muscles des membres inféri
le pied se détache du sol ou du plan du lit, s'élance en l'air, la
jambe
étendue, décrit des zigzags dans le sens horizo
ordonnés, quand ils essayent de marcher, non seulement lancer leurs
jambes
dans tous les sens, mais encore faire avec leur
il. LRRI.] Fig. ? Incoordination ataxique. - Le ma- lade lance la
jambe
en marchant; il ne peut marcher qu'en soutenant
nt rompu par une sorte de fai- blesse subite, de « dérobement » des
jambes
( « giving way of the legs » de Th. Blizzard) :
t coucher et en fléchissant a-demi ses cuisses sur le bassin et ses
jambes
sur ses cuisses ; dans cette attitude on observe
ulement la marche et la station, mais même tout mouvement utile des
jambes
dans le décubitus, sans aucunement atteindre les
nt la marche, tous les symptômes s'exagèrent : le malade avance les
jambes
largement écartées, lentement, à petits pas, il s
cer pour ainsi dire passivement son tronc en même temps que ses
jambes
avancent par des mouvements actifs. Dans cette
. Dans ces conditions, un individu normal fléchira simultanément la
jambe
et la cuisse, le pied quittera le sol sans s'en
la fesse. Un asynergique cérébelleux fléchira d'abord la cuisse, la
jambe
restant étendue, et soulèvera ainsi très haut le
pied au-dessus du sol, puis, dans un deuxième temps, il fléchira la
jambe
, et, dans un troi- sième temps, il étendra la c
soulèvement du pied par flexion de la cnisse, exten- sion de la
jambe
, extension de la cuis- se. Chacun de ces mo
e de croiser ses bras, d'étendre et d'écarter légère - ment ses
jambes
, et de chercher ainsi à s'asseoir. Un sujet
mètres en avant du genou. Au lieu de fléchir la cuisse et Rendre la
jambe
simultanément et progressivement, comme le ferait
croisés, on le prie de s'asseoir. L'individu 'normal (A) laisse ses
jambes
appliquées sur le sol. L'asynergique (B) soulèv
mbes appliquées sur le sol. L'asynergique (B) soulève très haut ses
jambes
, mais ne lève pas le tronc et ne peut s'asseoir
sse et soulèvera très haut le pied, puis, il étendra brusquement la
jambe
et viendra frapper du pied la main de l'observa
eux . exécutera en sens inverse les mêmes mouvements, flexion de la
jambe
, extension de la cuisse, et frappera le sol par
tte chaise. Un individu normal fléchirait lentement la cuisse et la
jambe
en faisant glisser celle-ci le long du rebord d
le genou bien plus haut qu'il n'est nécessaire, puis il fléchit la
jambe
et, abaissant brusquement le genou, vient le cogn
ronc en arrière. L'individu normal (A) iléchit le genoux et porte les
jambes
en avant en même temps qu'il porte la tète et l
porte la tète et le tronc en arrière. L'asynergique (B) laisse ses
jambes
étendues, le tronc seul se meut sur les cuisses;
temps qu'il porte le tronc en arrière, fléchit les cuisses sur les
jambes
et les jambes sur les pieds pour maintenir son
orte le tronc en arrière, fléchit les cuisses sur les jambes et les
jambes
sur les pieds pour maintenir son équilibre; un
quilibre; un asynergiquc penche le corps en arrière en laissant ses
jambes
droites, et tombe en arrière bien avant d'avoir a
quc ; B) Chez un tabétique ataxique. Les sujets sont couchés, les
jambes
levées et demi lléclües : la pose a été la même
le dos, on lui fléchit légèrement les cuisses sur le bassin et les
jambes
sur les cuisses, les pieds étant écartés l'un de
eurs; passage à la position assise, les bras restant croisés et les
jambes
étendues; b) malade assis : toucher avec le pie
leuse : le malade étant couché, main- tenir les pieds en l'air, les
jambes
et les cuisses demi fléchies. L asynergie peut
s très caractéristiques. Comme un cérébelleux, le malade marche les
jambes
écartées, en titubant, en festonnant, en décriv
; mais en même temps, comme un ataxique, il s'avance en lançant les
jambes
en avant*et en dehors et en laissant retomber s
abétique. Le malade festonne en marchant, mais surtout il lance ses
jambes
; il ne talonne pas pourtant, car il cause de l'at
position debout, nécessitant le maintien en équilibre sur une seule
jambe
plus prolongé que dans la marche, con- stituent
ls. 1° Exercices alternatifs de chaque membre inférieur. Fléchir la
jambe
au genou et à la hanche en glis- sant le talon
au commandement de l'éducateur; le compliquer en faisant porter la
jambe
Iléchie en abduction, puis la faisant ramener e
is la faisant ramener en adduction avant de l'étendre. Hécinr une
jambe
en glissant le talon sur le tibia de l'autre jamb
ndre. Hécinr une jambe en glissant le talon sur le tibia de l'autre
jambe
, jusqu'à amener le talon sur la rotule, l'étend
ent. [A. LÉRI 1 790 TRAITEMENT DES INCOORDINATIONS. Fléchir une
jambe
sans glisser le talon, mais en le soulevant au-de
dans l'angle formé par la cuisse et la rotule, sur le milieu de la
jambe
, sur le cou-de-pied, sur les orteils; dans tous c
it à côté du genou, extension à mi-jambe, talon sur le milieu de la
jambe
, talon sur le la même hauteur, extension jusqu'
s en divers points de la paumc de la main du médecin. Fléchir une
jambe
, l'élever de façon à la mettre à angle droit avec
droit avec la cuisse, l'étendre et la reposer doucement; élever une
jambe
allongée, la fléchir à angle, droit sur la cuis
ée, la fléchir à angle, droit sur la cuisse, l'étendre; fléchir une
jambe
, la mettre à angle droit sur la cuisse, l'étend
ements dissemblables. Exemples : . 1° Fléchir et étendre les deux
jambes
, les malléoles et les genoux res- tant en conta
sant les talons sur le lit ou en les soulevant. 2° Fléchir les deux
jambes
, étendre l'unc, la replier, étendre l'autre, la
es étendre toutes deux : mêmes variations possibles. 5° Fléchir une
jambe
, l'étendre en même temps qu'on fléchit l'autre;
temps qu'on étend l'autre; glisser le talon sur le tibia de l'autre
jambe
pendant que celle-ci se fléchit et s'étend; flé
pendant que celle-ci se fléchit et s'étend; fléchir et étendre une
jambe
en la glissant sur le lit et l'autre en la soul
de bois : la jarretière est fixée à diffé- rentes hauteurs sur une
jambe
, le talon opposé doit venir reposer sur le disq
s en corrigeant successivement : l'exagération de la rotation de la
jambe
en dehors, de façon que l'angle du pied et de la
romptitude des mouvements (non pas la brusquerie du déplacement des
jambes
, mais le raccourcissement des intervalles) néces-
tiellement pour but de soutenir le tronc pendant les mouvements des
jambes
, alors qu'il importe au premier chel' d'éduquer
l importe au premier chel' d'éduquer le tronc en même temps que les
jambes
, son équilibre sur les membres inférieurs étant
DES INCOORDINATIONS. 1 réapprendre à se tenir en équilibre sur une
jambe
pendant que l'autre, fléchie, se soulève et se
et se porte en avant, puis à soulever tout le poids du corps sur la
jambe
placée en avant qui se redresse. On voit combien
r, il est indispensable, avant d'étendre les genoux, de ramener les
jambes
sous le corps et en arrière, puis de fléchir le
bres inférieurs, et le plus léger chan- gement dans la position des
jambes
ne va pas sans un changement corres- pondant da
thésie qui rend difficile le maintien en équilibre du tronc sur les
jambes
. Les exercices de coordination du tronc devront
es exercices répétés : 1° à à porter tout le poids du corps sur une
jambe
par une inclinaison latérale du tronc, en même
par une flexion de la cuisse, puis s'avance par une extension de la
jambe
; 2° à incliner ensuite le corps en avant de faç
iellement de deux gouttières, l'une pour la cuisse, l'autre pour la
jambe
, réunies au niveau du genou par une articulation
trop fixe et recommande, pour les tabétiques très incoordonnés des
jambes
et du tronc, l'emploi d'une très large ceinture
écessaire l'emploi des divers appareils que pour la rééducation des
jambes
. Voici un certain nombre d'appareils décrits pa
au des membres inférieurs, il faut demander au malade d'étendre les
jambes
. Azoulay et Regnault (Congrès de Caen, 1894) ont
proprement dit : c'est plutôt une agitation au niveau des bras, des
jambes
, de la langue, dans tout le corps, sauf à la tê
alade et. quand le pied repose sur le sol par la pointe, on voit la
jambe
se mouvoir suivant un mouvement de pédale, quel
ligne médiane pendant la marche, dans l'élévation trop grande de la
jambe
, quelquefois les troubles peuvent être au contr
est au repos, les mouvements ne l'abandonnent pas, les pieds et les
jambes
s'agitent comme par une sorte de piétinement.
u'aux membres supérieurs; on les constate également au niveau de la
jambe
et delà cuisse. 2. Rigidité musculaire. La ri
inférieurs, on peut constater la flaccidité des fléchisseurs de la
jambe
, elle permet la flexion exagérée de la cuisse s
50° : le membre inférieur peut être placé au contact du tronc et la
jambe
vient se placer sur le côté de la joue (fig. 1)
position du port d'armés (fig. 2). L'hypotonie des extenseurs de la
jambe
permet, dans la flexion du genou, de faire touc
é du tronc et le malade repose sur le sol par la face interne de la
jambe
, du genou et de la cuisse. Les extenseurs du
quand ils sont en hypotonie, permettent une extension maxima de la
jambe
sur la cuisse, cette extension dépasse la ligne
de normale ; il y a hyperextension et la cuisse peut faire, avec la
jambe
, un angle obtus ouvert en avant : c'est le genu
ertains phéno- mènes les troubles de la marche, le dérobcment des
jambes
(giving way of thc legs), la flexion brusque
exagérer leurs mouvements en avant et placer leur tête entre leurs
jambes
. D'autre part, la mobilité des vertèbres peut éga
eux membres inférieurs, soil plus souvent un seul bras ou une seule
jambe
. Le trophoedème est le plus fréquent et le plus
int de sclérose cérébrale avec ses contractures, son strabisme, ses
jambes
croisées en ciseaux, sa microcéphalie, l'hémi-
des déformations analogues; les os longs de l'avant-bras- et de la
jambe
sont aussi hypertrophiés, surtout à leur extré-
d'autres malformations tératologiques : raccourcissement des deux
jambes
, ectrodactylie (4 orteils à gauche, 3 à droite)
s cas toujours relativement minime au cou-de-pied et au genou, à la
jambe
et à la cuisse. Le pied des géants est sembla
forme un gros bourrelet circulaire, que la partie inférieure de la
jambe
est plus volumineuse que la partie moyenne et que
11qlte. Pied massif, hypertrophie de l'extrémité inférieure de la
jambe
et, il un moindre degré, de son extrémité supér
hronique suite d'érysipèle, de' phlébite, etc., prennent surtout la
jambe
et le pied et donnent aux membres inférieurs un a
souvent atteints les uns 'après les autres, le pied tout entier, la
jambe
, la cuisse même peuvent se sphacéler, soit d'embl
lformations et de troubles du développement; mais les muscles de la
jambe
et du pied sont intacts, contrairement aux autr
ce est grande. Il y a des troubles trophiques et vaso-moteurs de la
jambe
et du pied, la peau est froide, violacée, le me
de ces muscles. Les principaux muscles fléchisseurs du pied sur la
jambe
sentiejannxcr antérieur et l'extenseur commun d
-bol talus direct. Les principaux muscles extenseurs du pied sur la
jambe
sont le triceps sural et le long péronier latér
es cas, le pied-bot est généralement un varus équin spasmodique; la
jambe
est contracturée en demi-flexion sur la cuisse
la flaccidité et à l'ato- nie de l'ensemble des muscles de la
jambe
et à l'allon- gement des liga-' ments et tend
is'il ne devient pas spasmodique, les muscles antéro-externes de la
jambe
et ceux du mollet restant mous et flasques. Le
sont amaigris et mous, notamment les muscles antéro-externes de la
jambe
; les réflexes tendineux sont diminués ou abolis
s par le sciatique poplité externe, muscles antéro-externes de la
jambe
, péroniers latéraux et pédieux. Le jambier anté
, généralement peu prononcé parce que les muscles postérieurs de la
jambe
sont presque toujours touchés à un certain degr
l'adulte avec contracture, le pied est en extension modérée sur la
jambe
, en équin ou varus équin; la jambe et la cuisse
est en extension modérée sur la jambe, en équin ou varus équin; la
jambe
et la cuisse sont aussi presque toujours en exten
rande envergure. JI'L. Longueur de la cuisse. LN. Longueur. de la
jambe
au sommet de la malléole interne. . t1 : \TIIIt
s; de la cuisse partie moyenne ; maxima du mollet; minima de la
jambe
, au-dessus des malléoles. Avant d'aborder l'étu
nellement plus que les membres supérieurs, et les avant-bras et les
jambes
plus que les bras et les cuisses. La main elle
nt surtout les diaphyses. Les os s'épaississent et s'incurvent. Les
jambes
arquées supportent un tronc courbé en avant; les
développer chez les adolescents les membres inférieurs surtout. Ces
jambes
« en peuplier », ces membres d' « éctiassicrs »
à angle de grande ouverture, et du reste, sans iracture nécessaire,
jambes
et bras pré- sentent des courbu- res à grand
les rapports métriques anormaux entre l'envergure et la taille, la
jambe
et l'avant-bras, etc. (Y. Anthropométrie clinique
cule infantile. Stigmates osseux. Quelquefois l'enfant a eu dans la
jambe
des s douleurs osseuses, nocturmes et persistan
uleur vive au niveau du pied, d'une crampe violente au niveau de la
jambe
. Il s'agit, en ce cas, d'une piqûre d'une racin
icale, 1905, p. 845. .. IA. LÉBI.1 1178 RADIOLOGIE.. Ces deux
jambes
sont également déformées, mais : dans le Rachitis
hies prises sur le vivant, clichés du D teg'I'os1, . Fig. 1 et 2.
Jambes
: A) d'un nachitique, B) d'un Par/étique. RADIO
s, était depuis deux ans dans l'impossibilité de faire usage de ses
jambes
, son tronc était fléchi et sa colonne vertébral
un des orteils; 16. Nerf tibial postérieur. C. Points moteurs de la
jambe
(face anti;ro-estcrne). 1. Jambier antérieur; 2 E
ur, sur la partie inférieure de la face antérieure et externe de la
jambe
pour le membre inférieur. Au lieu de la galva
e sur la partie inférieure , NÉVRALGIE SCIATIQUE. 1 ? ) : . de la
jambe
ou sur le mollet. Si la sciatique est double on o
sciatique est double on opère successi- vement sur l'une et l'autre
jambe
, ou bien sur les deux jambes à la fois en réuni
e successi- vement sur l'une et l'autre jambe, ou bien sur les deux
jambes
à la fois en réunissant au même pôle de la batt
e par un fil bifurqué les deux plaques placées sur l'une et l'autre
jambe
. Pour le reste, intensité du courant, durée de
es électrodes humides sous les pieds, ou à la partie inférieure des
jambes
, et on les relierait par un fil bifurqué au pôle
tion, physiologie, 58'1. - de la cuisse, para- lysies, 542. de la
jambe
, paralysies, 546. - de la main, paralysies, 534
continuels, mou, flasque, sans force pour se tenir sur ses petites
jambes
et il ne prononçait même pas les premiers mots. D
A deux ans, cet enfant n'était pas encore en état de se tenir sur ses
jambes
; la mère était obligée de le traîner d'une cha
santé très précaire ; il n'était pas même capable de se tenir sur ses
jambes
; il était pâle, maigre, avec un gros ventre ba
ester en repos, il balance le corps, se frotte les mains, remue les
jambes
; debout, son corps est entraîné de côté et d'aut
équilibre. La démarche est un peu titubante, le malade écartant les
jambes
en marchant; elle est aussi spasmodi- que : les
spasmodi- que : les pieds sont tenus fléchis à angle droit sur les
jambes
, de sorte qu'ils talonnent un peu ; les orteils
sensibilité ne révèle rien de spécial : J... dit ressentir dans les
jambes
des douleurs dont il ne peut préciser la nature.
t de côté, il appuie son pied gauche sur un escabeau et soutient sa
jambe
avec les deux mains placées sous le jarret. C
filiforme et très ra- pide. Les mouvements passifs des bras'et des
jambes
s'effectuent sans diffi- culté. On ne constate
ce de la sensibilité à la dou- leur dans la partie inférieure de la
jambe
. Au côté gauche du visage on constate toujours
consultation, se cambre, se renverse, écarte les cuisses, croise les
jambes
et cache de ses bras son visage et ses seins en
pas tuméfiées. Le genou est porté en dehors. Il y a du genu varum (
jambes
en 0). Le tibia ne présente pas d'irrégularités
t, mais, tou- jours sans aucun relief. A la face antérieure de la
jambe
et sur la face dorsale des pieds, la peau sembl
disposition semblable et tantôt asymétrique elle s'arrête aux deux
jambes
(face antérieure) et aux pieds qui, ainsi que nou
s génitaux, aux paupiè- res, à la face, aux mains, aux pieds et aux
jambes
, tout le reste est pachyder- misé, et, pour don
rallèlement pro- portionnelle à l'épaississement des téguments. Aux
jambes
et aux pieds la sen- sibilité pour le plan anté
des racines sacrées et de leurs gaines méningées. Les lésions de la
jambe
ne peuvent influer que sur le réflexe achilléen :
toujours unilatérales. Un traumatisme atteint fréquemment une seule
jambe
. Les varices,si fréquentes aux mollets, sont pa
uentes. A 26 ans, contu- sion violente à la partie supérieure de la
jambe
droite. Le réflexe achilléen, faible à gauche e
al est tombé également, et S..., couché sur le sol, l'a reçu sur la
jambe
elle pied gauches. Le réflexe achilléen, normal à
plaie, par coup de pied de cheval, à la partie supéro-interne de la
jambe
gauche ; a été immo- bilisé pendant 5 jours ; p
3 mois, contusion du pied gauche et de l'extrémité inférieure de la
jambe
gauche ; a séjourné 9 jours à l'infirme- rie. L
ment normal à gauche et nul à droite. Il se fatigue plus vite de la
jambe
droite que de la gauche. Il ne s'est jamais pla
re partie dans les nerfs qui servent à tourner le dos et remuer les
jambes
pour s'enfuir, et partie en ceux qui élargissent
r le reste du corps ; mais les rapports de longueur du tronc et des
jambes
ne sont pas sensiblement modifiés. L'aspect un
FEIL Les mouvements de la tête sont seuls limités ; les bras et les
jambes
sont légèrement atrophiés, mais conservent des
hie, bruit de galop, assourdissement des bruits. Reins : Albumines,
jambes
enflées. Foie : Gros, débordant de deux- traver
ion des genoux se trouve un peu réduite pendant l'oscillation de la
jambe
, la longueur du pas devient plus courte. ' Ma
des mouvements de ce dernier, il s'incline chaque pas du côté de la
jambe
fixée, mais celle inclination a un rayon beaucoup
r quelques tremblements fibrillaires, rares, dans les muscles de la
jambe
gauche. Le malade fait un deuxième séjour à l'H
vêtements ou attacher des souliers. Depuis trois mois envi- ron, la
jambe
gauche est moins forte que la droite, et depuis u
avant-bras gauche. Des secousses analogues sont sur- venues dans la
jambe
gauche depuis 6 mois, et plus récemment dans Je b
e normale à droite, tandis qu'elle est diminuée à gauche (cuisse et
jambe
). Réflexes tendineux abolis aux membres inférie
les vaso-moteurs. - Refroidissement des extrémités. La cuisse et la
jambe
gauches sont plus froides que la cuisse et la jam
La cuisse et la jambe gauches sont plus froides que la cuisse et la
jambe
droites. Sphincters. - Pas de troubles vésicaux
ble du quadriceps crural et une atrophie en masse des muscles de la
jambe
. Les troubles moteurs qui en résultent produisent
du radial ; à la cuisse, les troncs du crural et du sciatique ; à la
jambe
, le nerf tibial antérieur. A l'examen macrosc
sales et longitudinales des muscles de la loge antéro-externe de la
jambe
et des extenseurs de l'avant-bras. Les lésions
-bras droit', aux membres inférieurs, une parésie des muscles de la
jambe
et de la cuisse, prédominante à gauche. Contrac
ans la première enfance d'une atrophie des muscles des pieds et des
jambes
, avec extension plus tardive aux mains et aux a
l'atrophie a commencé à l'âge adulte et a atteint t les muscles des
jambes
et ceux des mains et des avant-bras; mais chez
nt-bras,et apparition de contractions fibrillaires; les muscles des
jambes
n'ont été pris que deux ou trois ans plus tard. P
uis la première enfance, une atrophie partielle des mus- cles de la
jambe
; les mains n'ont été prises que plus tard. Chez t
ophie progressive, datant de l'enfauce, intéressant les muscles des
jambes
et ceux de la main droite. A l'examen histologi
est familiale, avec début dans l'enfance, a frappé les muscles des
jambes
, puis ceux des mains, des avant-bras et ceux du
lL1NG (1). - Début de l'atrophie entre et 7 ans par les muscles des
jambes
, extension consécutive aux cuisses et aux membres
tés des membres, vers l'âge de 20 ans ; extension aux muscles de la
jambe
, de la face antérieure de la cuisse, de l'avant-b
psychopathique. Début de l'atro- phie à 12 ans par les muscles des
jambes
avec crampes fréquentes ; extension progressive
on de GIERL1CH (2). Hérédité similaire ; atrophie des muscles de la
jambe
, pied-bot ; aux membres supérieurs, atrophie des
DE CASS)RER ET Maas (3). - Début vers 39 ans, par les mus- cles des
jambes
. Atrophie musculaire, refroidissement, cyanose ;
G cutanée altérée seulement aux pieds, sensations pénibles dans les
jambes
; diminution de la réaction de la pupille droit
actuelle ; à partir de cette époque il s'aperçoit, en effet, que sa
jambe
gauche s'affaiblit progressivement, il ressent en
service du professeur Raymond, les douleurs se sont atténuées dans la
jambe
gauche, mais persistent à droite avec leurs mêm
lle est souple et la percussion en est indolore. La faiblesse de la
jambe
gauche a considérablement augmenté en même temp
flexe plantaire se fait en flexion. On constate de l'atrophie de la
jambe
gauche. En 1903, l'état est sensiblement le mêm
diminué d'intensité, par contre le malade accuse tout le long de la
jambe
gauche,et particulièrement au niveau du pied, des
che est complètement aboli et le ré- flexe plantaire est normal; la
jambe
gauche est toujours faible, et elle ne peut sou
examiné à nouveau au cours d'un séjour qu'il fait à l'hôpital. Les
jambes
, fortement variqueuses, sont très atrophiées, sur
ieure de la cuisse. Les troubles moteurs sont toujours limités à la
jambe
gauche,mais ils se sont considérablement accrus.
xécu- ter aucun mouvement volontaire, il est tombant et ballant, la
jambe
ne peut être fléchie sur la cuisse, par contre
septembre de la même année, les troubles moteurs sont apparus à la
jambe
droite, surtout dans les muscles innervés par le
che. Les proéminences des masses musculaires des fléchisseurs de la
jambe
et aussi celles du quadriceps extensor sont moins
mesures suivantes : 326 VMINGAZZ1N1 pas à étendre complètement la
jambe
, ni à fléchir la cuisse (lorsque la jambe est é
s à étendre complètement la jambe, ni à fléchir la cuisse (lorsque la
jambe
est étendue). Lorsqu'il est debout et arrêté,
étendue). Lorsqu'il est debout et arrêté, ou qu'il s'appuie sur sa
jambe
gauche, le malade est capable de se soutenir sa
soutenir sans oscillations. Si, au contraire, il s'ap- puie sur la
jambe
droite, il lui vient dans la jambe des tremblemen
contraire, il s'ap- puie sur la jambe droite, il lui vient dans la
jambe
des tremblements et il perd plus facilement l'é
ressemblances cliniques avec une ma- ladie de Paget localisée à la
jambe
droite. Comme l'affection était nette- ment d'o
lleur de nuit que dans le courant de l'année dernière, parce que sa
jambe
, devenue très déformée et douloureuse, le rendait
e supérieure de la crête tibiale, rugueuse et irrégulière. li. Même
jambe
en 19 11 ; eczéma et ulcération accidentelle ; ag
DE PAGET 335 clavicules ne sont pas particulièrement saillantes. La
jambe
gauche est nor- male, mais, pour élargir sa bas
tte saillie est tout particulièrement frappante quand on regarde la
jambe
de profil ; la crête tibiale est nettementconvexe
ieur. En arrière le mollet fait une saillie à peu près normale, et la
jambe
ne présente pas la concavité postérieure que l'
és et l'extrémité des pieds est tournée en dehors : la cuisse et la
jambe
paraissent ne faire qu'un et décrivent ensemble
uche. Quand les membres inférieurs sont rapprochés, la cuisse et la
jambe
droites forment ensemble un arc dont le membre
une échelle, le poêle tomba d'une hauteur de 1 mètre environ sur sa
jambe
droite en glissant le long du bord antérieur du
ffrir réellement, le malade sent de plus en plus « le travail de sa
jambe
; elle gonfle et devient dure comme du bois par l
rnes. 336 LËRI ET LEGROS Dans le,courant de 1911, le volume de la
jambe
semble avoir sensiblement augmenté à la suite d
illet, des gamins lui ayant jeté des briques, il a été atteint à la
jambe
malade d'une blessure superlicielle qui suppura
e superlicielle qui suppura et lui fut d'autant plus pénible que la
jambe
était déjà gonflée et sensible; vers la même ép
douleurs violentes et profondes en coups de couteau. Depuis lors la
jambe
est de plus en plus volumineuse et dure et «ne
E ET MALADIE DE PAGET (A. Léri et G. Regros). Radiographies de la
jambe
: A) dans la maladie de Paget typique (jambe B de
). Radiographies de la jambe : A) dans la maladie de Paget typique (
jambe
B de 1.1 planche précédente). B) du malade H...
aire allusion. S'agit-il donc d'une maladie de Paget limitée à la
jambe
droite ? s'agit- il d'une ostéopathie traumatiq
de de Thibierge etGauducltaux (mars 1910) s'était fracturé les deux
jambes
treize ans avant les déformations qui atteignir
ans,il se fil une contu- sion au niveau de la partie moyenne de la
jambe
gauche ; dès ce moment, le malade est très caté
ait jamais eu de douleurs ; 48 ans après seulement, il se cassa la
jambe
droite ; à la suite de ce nou- veau traumatisme
t, tirer la langue, fermer les yeux. Il s'asseoit dans son lit, les
jambes
pliées légèrement sur les cuisses, les mains sur
sort du cabinet où nous l'examinons plus calme ; il vacille sur ses
jambes
, son regard est fixe. Il assiste, immobile et m
démarche est spastique ; le malade avance lentement en écartant les
jambes
; couché, il déplace les membres, surmontant la r
tance au moyen d'un effort sensible, lorsqu'il s'agit de soulever les
jambes
éten- dues, surtout la gauche ; on constate cep
ut plus marcher seul, chancellement, chute ; fourmillement dans les
jambes
. 15. La pupille droite légèrement plus élargie
èrement plus élargie que la gauche. 21. Sensation de froid dans les
jambes
et les pieds. 31. Dans les articulations des ha
les membres inférieurs. - 17. Réapparition de fortes douleurs aux
jambes
. 22. - Douleurs aux jambes. Paraplégie. Exagéra
17. Réapparition de fortes douleurs aux jambes. 22. - Douleurs aux
jambes
. Paraplégie. Exagération des réflexes tendineux.1
Phénomène de Babinski. Rétention complète d'urine. 25. Douleurs aux
jambes
et aux bras. Augmentation de la paralysie des m
alade. C'était à cause de la progression rapide de la faiblesse des
jambes
, malgré les oscillations constatées des trouble
ura que peu de temps. Plusieurs mois après, il s'est aperçu que ses
jambes
et ses bras, surtout du côté droit, commençaient
toujours associée à d'autres mouvements des orteils, du pied, de la
jambe
. Le signe de Marie-Foix est positif quand la ma
lombo-sacrée et en avant sur la face antérieure des cuisses et des
jambes
. Ici, on dirait qu'elle est plus manifeste à ga
ns, et se traîne jusqu'au bord du lit ; à ce point elle bascule les
jambes
au dehors et, par un dernier effort, se lève. C'e
besoin, pour maintenir l'équili- bre vertical, de fléchir aussi les
jambes
; d'autre part, comme c'est le membre droit qui
rs pour ne pas tomber. xxv 213 418 E M0N1Z II e sent faible des
jambes
: la marche devient de plus en plus pénible et
i droite les yeux fermés. Il se maintient mieux en équilibre sur la
jambe
gauche que sur la jambe droite. Quand il s'appu
. Il se maintient mieux en équilibre sur la jambe gauche que sur la
jambe
droite. Quand il s'appuie sur celle-ci il perd
cette perturbation n'existe pas. Il y a catalapsie cérébelleuse des
jambes
. Il y a nystagmus spontané, horizontal, plus pi
Elle se plaint de faiblesse et surtout du côté droit, le bras et la
jambe
, mais cette faiblesse est plus prononcée à la j
, le bras et la jambe, mais cette faiblesse est plus prononcée à la
jambe
. Il lui est difficile de coudre : l'aiguille lu
n pour aucun des côtés. Pas de Romberg. Elle s'équilibre mal sur la
jambe
gauche et pis encore sur la droite. La mar- che
ec qui il se promenait et quelquefois il frappait maladroitement la
jambe
droite con- tre la jambe gauche. Il est tombé u
quelquefois il frappait maladroitement la jambe droite con- tre la
jambe
gauche. Il est tombé une fois chez lui sur le côt
erd l'équilibre les yeux fermés. Il ne peut pas se maintenir sur la
jambe
droite seule, même les yeux ouverts. La march
us sans perte de connaissance. A la suite, parésie du bras et de la
jambe
droite. En 1905, lors d'un premier examen, on con
xiste une ankylose en demi-flexion des deux genoux. L'extension des
jambes
est impossible. Les mouvements des hanches sont r
puis huit ans environ, elle présente en outre des douleurs dans les
jambes
. Ce sont des douleurs lancinan- tes qui passent
dysménorrhée. A 22 ans, elle s'aperçoit que, sans aucun doute, ses
jambes
grossissent et non le reste du corps. L'oedème
t et non le reste du corps. L'oedème aurait envahi; par étapes, les
jambes
, les cuisses et les fesses. Elle est examinée
e, recouvrant les mem- bres inférieurs. Les pieds sont normaux. Les
jambes
ont conservé leur forme générale. Au niveau des
ou ébauche, à ce niveau, l'aspect de la culotte de zouave. Les deux
jambes
sont moins déformées; les pieds sont in- demnes
de Debove la disposition segmentaire de la tuméfaction limitée aux
jambes
, aux cuisses et aux fesses, la marche ascendant
a taille rappelle celle d'une guêpe. Les fesses, les cuisses et les
jambes
ont un développement anor- mal. La peau y est
s, ont les mêmes dimensions. Membres inférieurs. Les cuisses et les
jambes
ne présen- tent pas de différence appréciable.
de celle-ci pour travailler, man- ger, etc. Elle traine à peine la
jambe
gauche en marchant. Nulle douleur dans le côté
tat de mal était constitué. Description d'un accès. a) Début. Les
jambes
, d'abord, et surtout la gauche, se fléchissent
ion la plus complète. Le chatouillement, le pincement (bras, tronc,
jambes
), ne pro- duisent aucun mouvement réflexe. Il e
mployé chez notre malade (sinapismes répétés sur les cuisses et les
jambes
, purgatifs, glace sur la tête, sulfate de quini
ladie, on s'est aperçu que Léontine avait de la faiblesse dans la
jambe
droite, faiblesse qui persista pendant trois mois
tin, au moment du réveil. Avant l'accès, Br... a dans les bras, les
jambes
, le tronc, des secousses subites, rapides. A-t-
Elles continuent encore à 10 heures 9 ? Her... est camisolée et ses
jambes
sont main- tenues par des liens. Les attaques o
- pendue, succèdent les convulsions cloniques. c) Les bras et les
jambes
se tortillent; la malade se plaint : oh ! là là
naissance, L... était paralysée et contracturée du côté droit. Ma
jambe
et mon bras, dit-elle, étaient tout retournés. .
- sance revient, mais incomplètement. L... crie qu'on lui tire la
jambe
, le bras ou la tête, qu'elle a des animaux dans l
la motilité du côté droit; L... serre peu et marche en traînant la
jambe
. La sensibilité à la douleur et à la températur
ns le côté droit du ventre et des fourmillements dans le bras et la
jambe
du côté droit. Elle dit être souvent réveillée
tête se porte à droite. Les membres sont pris de convulsions. Les
jambes
sont tantôt fléchies sur la cuisse, tantôt allong
uteur de la bouche. Parfois, elle cherche à se mordre le bras ou la
jambe
et,en pareille circonstance, c'est surtout à la
tre. Bientôt, en effet, les membres se roidissent de nouveau, les
jambes
sont prises de tremblement ; les lèvres et les jo
. se ré- veille, exécute de grands mouvements pendant lesquels la
jambe
droite elle-même se fléchit à demi. Ler .. pousse
voit des voleurs, essaie de se déchirer la . figure, les bras, les
jambes
, où elle a des « fourmiches, » se plaint de dou
gauche, et l'usage de ce membre reparait... Soir. - Le bras et la
jambe
gauches sont libres. La sensi- bilité est aboli
dos. 9 mars. Soir. Deux attaques de 2 à 3 heures. A 5 heures, les
jambes
sont contracturées, fléchies et croisées l'une su
es. - La connaissance est revenue vers 8 heures. Les cuisses et les
jambes
sont fléchies, la cuisse droite est placée entr
s et les jambes sont fléchies, la cuisse droite est placée entre la
jambe
et la cuisse gauches. Le bras gauche est étendu,
tude. L... pleure et se plaint de douleurs vives dans les bras, les
jambes
et la tète. A 9 heures 1/2, nouvelle attaque tr
eures 1/2, nouvelle attaque très-courte, à la suite de laquelle les
jambes
se sont étendues. Le bras gauche est dans la fl
uche. Actuellement (6 heuresl, le bras est retourné dans le dos, la
jambe
gauche est normale. La malade annonce qu'elle v
e et la main frappe le dos; ou bien le bras entoure le jarret de la
jambe
gauche qui est perpendiculaire au tronc ou appl
rcer la langue ou un large pli de la peau du bras, du ventre ou des
jambes
(1). La description minutieuse que nous avons t
nnais- sance. Quelques mois après, elle aurait eu une enflure des
jambes
et surtout du ventre : « Partout où je posais les
'1 el' octobre, à l'envoyer à l'hô- pital Necker. A ce moment, les
jambes
n'étaient plus enflées ; il n'y avait d'autre p
ntrée, elle s'aperçut, qu'elle avait une paralysie du bras et de la
jambe
gauches qui étaient « comme unesguenille, » pou
n moins prononcée. Quand on cherche à le soulever par la cuisse, la
jambe
s'élève et le genou ne se ploie qu'en partie, d
s'élève et le genou ne se ploie qu'en partie, de telle sorte que la
jambe
n'est pas totalement fléchie sur la cuisse, qua
promise dans le côté droit : la main ne serre plus avec énergie. La
jambe
est 158 HYSTÉRO-I.PILEPSIE. raidc, dit la mal
bien que le malade ac- cuse encore quelque faiblesse, le bras et la
jambe
ont récu- péré, au moins en partie, leurs fonct
partie, leurs fonctions. Le bras gauche est absolument inerte et la
jambe
corres- pondante offre toujours un exemple frap
on a noté une paralysie ab- solue avec flaccidité du bras et de la
jambe
du côté droit. De temps en temps, la cuisse cor
st impuissante à sai- sir son crachoir. - Elle écarte légèrement la
jambe
et la cuisse droites ; c'est la malade elle-mêm
gitation choréiforme déjà signalée et qui se remarque aussi dans la
jambe
correspondante. Le membre inférieur est flasque
e dix heures du soir à minuit. Ce ma- tin, on note : rigidité de la
jambe
droite et du poignet droit (la contracture n'a
osition ; quelquefois, cependant, la main s'élève vers l'épaule; la
jambe
exécute à peine de légers mouvements de totalit
une autre, caractérisée surtout par des convulsions cloniques : la
jambe
et le bras du côté droit exécutent des mouvemen
sion. 21 mars. Il n'y a pas eu de nouvelle attaque. Le bras et la
jambe
du côté droit sont redevenus libres. 9 avril. D
, l'inhalation étant continuée, on voit cesser la contracture de la
jambe
gauche et diminuer celle du bras gauche. Alors,
doigts se sont fléchis de nouveau, ensuite l'avant-bras; enfin, la
jambe
gauche s'est contracturée tout d'un coup. Soir.
pable de se promener dans la cour de l'infirmerie, en trainant la
jambe
et en s'aidant d'une canne. - Les digestions sont
és. Comme toujours, le bras gauche est dans la demi flexion et la
jambe
gauche dans l'extension. Quant aux membres du côt
ollée sur la cuisse gauche qu'elle croise par sa partie moyenne. La
jambe
est fortement fléchie et dis- posée de telle so
e voulait. Dans cette lutte, tout d'un coup, on s'aperçoit que la
jambe
droite, qui, jusqu'alors, avait été fléchie, s'ét
a malade descendre de son lit. Quand elle fut debout, on vit que la
jambe
gauche, elle aussi, avait recouvré ses mou- vem
as encore tout à fait normale. La malade s'appuie facilement sur la
jambe
gauche, mais elle la soulève avec difficulté, c
e : Elle doit être lancée tout d'un coup pour ètre placée devant la
jambe
droite, dont les mouvements, d'ailleurs, sont b
voyons Etch... levée ; elle s'est déjà promenée dans la salle. Ses
jambes
sont encore faibles; quelquefois, les genoux fl
able de se tenir alternativement et sans appui sur l'une ou l'autre
jambe
. Elle distingue, avec l'oeil gauche, les traits
qu'elle rêvait beaucoup, qu'elle avait des cauchemars.- Les deux
jambes
sont également solides; de temps en temps, cram
d'une pièce comme une statue de bois et il ne fait un mouvement des
jambes
que pour retrouver instinc- tivement son équili
ns son lit, couché sur le côté gauche, pelotonné sur lui- même, les
jambes
repliées en demi-flexion, les bras également demi
tère depuis deux ans environ : il se plaignait de douleurs dans les
jambes
, de sentir ses idées disparaître ; il disait à so
la même maladie, seulement le dos était moins courbé, bien que les
jambes
fus- sent plus prises et, particularité importa
is la même série de symptômes se reproduit; elle sent peu à peu ses
jambes
plus faibles ; un an et demi ou deux ans après,
qu'une amplitude très faible de quelques degrés aux mouvements de la
jambe
, qui étaient fort douloureux. Aujourd'hui,1la m
les masses musculaires sont flasques et paraissent amoindries ; les
jambes
, en particulier, sont plutôt cylindriques que fus
YMOND ET BABONNEIX siers, ni dans les muscles de la cuisse et de la
jambe
aucun trouble des réac- tions électriques. La p
nc, forment un angle ouvert en avant, les deux derniers : cuisse et
jambe
, forment un angle ouvert en arrière. Les lésion
, les malades soient des mannequins en bois dont les mouvements des
jambes
s'effectueraient autour d'un axe transversal pass
par de la faiblesse dans les membres inférieurs. Cette faiblesse des
jambes
cependant ne l'empêcha pas de vaquera ses occup
t le plus habituellement. Sa démarche est lente, il marche avec les
jambes
un peu écartées, il titube et se balance à chaq
enou. Pour atteindre un objet avec le pied, il dirige moins bien la
jambe
droite que la gauche ; au moment d'atteindre le b
titubante, le corps est agité d'oscillations antéro-latérales, les
jambes
sont légèrement écartées. Le malade hésite beau
bes sont légèrement écartées. Le malade hésite beaucoup à porter la
jambe
qui fait le pas et il la porte très rapidement
rappant ensuite légèrement le sol avec toute la plante du pied. Les
jambes
sont tenues étendues dans la démarche et les pi
s. Quinze jours après la guérison, il ressent des douleurs dans les
jambes
et éprouve de la peine à marcher. Il n'avançait
lement une légère diminution de la sensibilité à la piqûre aux deux
jambes
. La parole est légèrement spasmodique et zézaya
peu spéciale. C'est ainsi que les trois malades lancent un peu les
jambes
et talonnent légèrement et que chez deux malade
ades en outre on observe une certain raideur dans la démarche : les
jambes
sont tenues étendues et les pieds frottent légè
douleurs dans les membres infé- rieurs et de légère hypalgésie aux
jambes
; à noter la parfaite intégrité de la sensibili
Tho- mas où on lit « le malade marche en titubant et en lançant les
jambes
, et (1) Mingazzini, Beilrag zum studium der Kle
légers troubles urinaires, les douleurs et la légère hypalgésie aux
jambes
. On pourrait également se demander si la raréfa
e la malade étant attirée dès lors de ce côté, elle remarque que la
jambe
droite commence à se déformer. Au mois de mai 1
frappe an premier abord, c'est une déformation très accentuée de la
jambe
droite. Côté droit. - 1° Le tibia présente le m
que celle-ci en avant des muscles de la région antéro-externe de la
jambe
est anormalement accessible sur une étendue de 2
dans le mémoire même de Paget, où des ulcéra- tions tertiaires des
jambes
coïncidaient avec les déformations osseuses. En
dure, application d'onguent napolitain sur la face antérieure de la
jambe
). Il en esl résulté une disparition rapide et m
: 48 centimètres. Différence : + 27 cent. 5. Circonférence de la
jambe
droite : 58 cent. 5. Chez l'adulte normal : 36
re une légère atrophie diffuse généralisée à tous les muscles de la
jambe
et surtout accusée dans ceux de la région antérn-
nt libres. Les mouvements passifs d'extension de la cuisse et de la
jambe
ont subi, eux aussi, une certaine limitation. L
complètement étendue passivement et le mouvement d'extension de la
jambe
est aussi arrêté avant d'atteindre l'amplitude
arrêté avant d'atteindre l'amplitude normale. Dans la flexion de la
jambe
au contraire, on ne rencontre pas de résistance
bre présente d'une fa- çon très nette l'aspect connu sous le nom de
jambe
de polichinelle. Les muscles fessiers gauches p
e flaccidité mani- feste, mais l'atrophie est surtout évidente à la
jambe
où elle atteint tous les muscles dans toute leu
tefois beaucoup plus atrophiés que ceux du mollet. L'atrophie de la
jambe
gauche est de beaucoup plus marquée que celle d
gauche est de beaucoup plus marquée que celle déjà décrite dans la
jambe
droite. Le membre inférieur gauche est de 6 cen
les vaso-moteurs très manifestes, accusés surtout au ni- veau de la
jambe
et du pied ; la peau est très froide et violacée.
mbe et du pied ; la peau est très froide et violacée. Tandis que la
jambe
droite est abondamment pourvue de poils, la jambe
ée. Tandis que la jambe droite est abondamment pourvue de poils, la
jambe
gauche est ab- solument glabre. L'excitabilité
ntraire, offre d'une façon très nette l'aspect connu sous le nom de
jambe
de polichinelle, et le ta- bleau typique de la
endineux), el d'une paralysie flasque loca- lisée aux muscles de la
jambe
gauche, Ceux-ci sont atrophiés, le pied gau- ch
lition des réflexes tendineux et de la R. D. dans les muscles de la
jambe
). Une observation particulièrement intéressante
3 ans, minus habens, présente une paralysie spinale infantile de la
jambe
droite, avec raccourcissement, forte atrophie mus
t présenté à plusieurs reprises des douleurs rhumatismales dans les
jambes
. Ni trace ni souvenir d'accidents spé- cifiques
inte d'une fracture compliquée et infectée du tiers inférieur de la
jambe
gauche, ayant longtemps suppuré,et devenue le poi
eune fille de 25 ans atteinte à 12 ans à la partie inférieure de la
jambe
gauche d'une piqûre de mouche charbonneuse, poi
ées de lymphite qui aboutissent à l'éléphantiasis occupant toute la
jambe
gauche jusqu'au ni- veau du genou, pour de là d
e énorme, cylindrique, blanc, dur, totalement indolore, de toute la
jambe
gauche, s'arrêtant net au-dessus du genou. Cette
ent blanc, lisse, qui s'étendit peu à peu au cou-de-pied, puis à la
jambe
jusqu'au genou, puis en 1902 envahit la cuisse
nt duré deux ans ; dans la dernière année elles ont envahi aussi la
jambe
. - 1 Concomitant avec ces douleurs la cuisse du
douleurs à ce segment pen- dant la première année, envahit aussi la
jambe
pendant la deuxième. s En même temps que les do
s à l'augmentation du membre qui n'inté- resse donc que le pied, la
jambe
et la cuisse. - Ainsi que nous l'avons déjà dit
s localisées dans la hanche et la cuisse gauche, puis aussi dans la
jambe
de ce même côté, Une tuméfaction accompagnée d'
vésiculeuse apparut en même temps à la cuisse, puis plus tard à la
jambe
et au pied. Les orteils furent respectés. Le dé
fessière ne participe pas à l'oedème. Il n'intéresse que la cuisse,
jambe
elle pied, respectant les orteils. On peut donc
e* SUR UN CAS DE TROPHOEDÈME CHRONIQUE 163 Seulement plus tard la
jambe
et le pied furent envahis à leur tour. Cette pr
lâche par disparition de celle-ci ? ? Aux membres inférieurs, les
jambes
semblables à des poteaux présentent à la hauteu
l'autre bride et sépare l'adipose diffuse de la cuisse de celle de la
jambe
; ici, comme au membre supérieur, l'adipose est
lisse, adhérente sans souplesse, difficile à pincer et présente aux
jambes
surtout un léger degré de sclérème. Les orifice
es vari- cosités. Au tiers inférieur de la face postérieure de la
jambe
gauche a existé il y a un an un ulcère des dime
ifficiles à identifier ; par exemple, ceux de la face externe de la
jambe
, ceux de l'avant-bras, ceux des parties latéral
la forme du grand pectoral droit, le modelé du genou, du côté de la
jambe
portante, le peu de précision des muscles de la
portante, le peu de précision des muscles de la face externe de la
jambe
gauche qui rappelle l'écorché de Bandinelli ; e
, notamment au sujet du grand pectoral. Par contre, les bras et les
jambes
sont plus corrects. Mais sur une vue postérieure
à droite et à gauche, alors que le sujet ne porte que sur une seule
jambe
; et l'on sait combien la sta- tion hanchée mod
té à se servir de sa main droite et traîna pour la première fois la
jambe
droite. En même temps il constata une chute lég
mais il nous dit que quand on lui appliquait un objet froid sur la
jambe
droite, il éprouvait une sensation de violente
de para- lysie appréciable du voile du palais. Dans la marche la
jambe
droite étendue reste toujours en arrière de la ga
: Il existe une atrophie très marquée des membres du côté droit. La
jambe
gauche mesure, au milieu du mollet, 34 centimè-
leu-noires (coudes, omoplates, côtes, région sacrée, épine iliaque,
jambes
, talons). Pen- dant 13 jours l'état s'aggrava.
, à son lever on observa qu'il avait beaucoup de faiblesse dans les
jambes
, pouvant à peine marcher avec soutien, raison pou
e levant on observa qu'il ne pouvait se tenir debout, parce que les
jambes
lui faisaient défaut, et qu'il lui en coûtait d
nt au poids du corps ; l'enfant ne pouvait pas non plus mouvoir les
jambes
. Les parents ne peuvent pas assurer si, au débu
ivementjusqu'au 20 octobre, date à laquelle elle pouvait mouvoir la
jambe
droite en tous sens et la soulever assez haut, et
re du milieu de la cuisse, et un et demi au tiers supérieur de la z
jambe
. Je conseillai de continuer le traitement, mais
xion plantaire, un peu faible dans la flexion et l'extension de la'
jambe
. A la cuisse la flexion et l'adduction sont très
cou : tous les muscles sont normaux. Démarche : L'enfant marche les
jambes
écartées en se dandinant, et en faisant oscille
nça à devenir plus faible. Il y a peu près un an que F... traîne la
jambe
droite ; deux mois après, la jambe gauche est dev
eu près un an que F... traîne la jambe droite ; deux mois après, la
jambe
gauche est devenue raide à son tour et depuis s
fficulté pour marcher : en effet la démarche est spasmodi- que, les
jambes
sont raides et le malade les traîne difficilement
font d'une façon spasmodique mais avec assez de force; pourtant la
jambe
droite est évidemment plus faible et on s'en ap
Huet n'a montré qu'un peu de diminution simple sur les muscles des
jambes
paraissant plus accentuée sur les muscles antérie
ment à mesure que l'on descend, et en particu- lier au niveau de la
jambe
droite la sensibilité aux trois modes est évidemm
4 jours. Depuis plusieurs mois les membres et surtout le bras et la
jambe
droits présentent un tremble- ment qui s'accent
04, troubles psychiques nets, tremblement accentué du bras et de la
jambe
droite. Exitus en janvier 1905 au cours d'une c
t peut-être pas sans intérêt clinique de rappeler que le bras et la
jambe
droite du malade furent affectés d'un mouvement d
imélie abdominale ; il a fait l'amputation pour faire appliquer une
jambe
artificielle à pied articulé. La mère avait vu, d
ce externe du long cartilage qui représente le tibia (seul os do la
jambe
ici). Jambe. Pas de muscles à la région antérie
long cartilage qui représente le tibia (seul os do la jambe ici).
Jambe
. Pas de muscles à la région antérieure. En arrièr
fascia à la partie externe de l'extré- mité supérieure du tibia.
Jambe
. Il n'y a pas de muscles à la région antérieure.
sur le côté externe du fémur, et correspond au collet du pilon. La
jambe
, après s'être articulée là, remonte obliquement e
rieure de la cuisse est pour ainsi dire couchée sur la moitié de la
jambe
qui correspond au fé- mur ; l'autre moitié de l
moitié de la jambe qui correspond au fé- mur ; l'autre moitié de la
jambe
vient se placer dans l'angle formé par les cuis
e trouvent tout près de l'extré- mité de la verge pendante. Dans la
jambe
nous n'avons pu sentir qu'un os, et cet os, lég
oné, et, ce qui sem- blerait manquer, c'est la moitié interne de la
jambe
. Nous n'avons pas décou- vert de rotule. Le pie
mplanté sur la face interne (antérieure), de ce qui re- présente la
jambe
, deux centimètres au-dessous de la face interne d
s orteils viennent aboutir juste au niveau du pli de jonction de la
jambe
avec la cuisse ou jarret. Le talon forme un moi
distinguer les os du tarse qui semblent soudés à l'os unique de la
jambe
. Le métatarse existe au complet. On distingue t
élie est réduite à sa plus simple expression, car l'un des os de la
jambe
, quoique normalement constitué, existe très nette
i longue et aussi volumineuse que la gauche ; il n'y a pas trace de
jambe
; près de l'extrémité libre du membre incomplet,
s à part, sans articulation du genou. Est-ce une cuisse, est-ce une
jambe
? Toujours est-il que ce segment de membre s'arti
est ankylosé en flexion, la rotule fusionnée au condyle interne, la
jambe
très atrophiée, la plante du pied regardant en
e, saisit des objets, les ramasse terre, défait la chaussette de la
jambe
gauche, etc. L'extrémité du moignon est lisse,
e fois des vomissements bilieux. Il se plaint d'une faiblesse de la
jambe
droite, qui remonterait à qua- tre mois. En out
9 novembre 1905. Le malade se plaint de ne pouvoir se tenir sur ses
jambes
d'une façon solide, et qu'il est un peu faible du
de tomber en arrière. La force ne paraît pas plus diminuée dans une
jambe
que dans l'antre. Les réllexes rotuliens sont
tombe à droite ; si on essaie de le faire marcher en le tenant, ses
jambes
se dérobent sous lui, surtout la droite. Il y a
ses, l'une très vaste couvrant toute la partie antéro-interne de la
jambe
avec maximum au niveau du creux poplité ; une 2
, une ecchymose analogue s'étendait à toute la région externe de la
jambe
, surtout foncée dans le creux poplité, chez un
: épiphyses spongieuses, diaphyse compacte. Le fonctionnement de la
jambe
est très restreint, compris dans un angle d'en-
le, ce qu'explique suffisamment la configuration de la hanche. La
jambe
est à peu près normale sauf la longueur (34 cent.
e, ce qui donne un aplatissement de la partie supéro- externe de la
jambe
. Le genou ne possède pas de rotule. ' Le pied p
isait une petite bosse » à l'avant-bras gauche ainsi qu'au niveau des
jambes
. Il n'a jamais été malade. Bien musclé, d'aspec
est très faible ainsi que l'extension ; la flexion et l'extension des
jambes
out presque disparu ; la mobilité du pied est n
n électro-faradique a démontré l'hypoexcitabilité des muscles de la
jambe
, particulièrement remarquable à la région postéri
n ré- gime. Deux ans plus tard,c'est-à-dire à l'age de ô ans, les
jambes
et les cuisses ont commencé à se tuméfier d'une
malade, mais elle a refusé catégoriquement. Les circonférences des
jambes
et des cuisses donneront une idée de l'agran- d
on recherche les réflexes-patellaires on sent une résistance de la
jambe
à la flexion ou à l'extension, qui s'oppose à l
rès le coucher, j'ai des « inquiétudes » très désagréables dans les
jambes
, dans l'articulation du genou, jusqu'aux pieds.
use de la tête. 5° Les fourmillements, les « inquiétudes » dans les
jambes
, sont sou- vent le fait d'une fatigue nerveuse.
dans les muscles de la face, de la langue, et jusque dans ceux des
jambes
. 30 Il ne faut jamais prédire l'avenir d'un suj
us ; il m'est impossible d'étendre complètement ses avant-bras, ses
jambes
; le mouve- ment est aussitôt arrêté par une vé
mité au côté gauche. Depuis deux ans, cet homme a remarqué que sa
jambe
gauche se fati- Nouvllle Iconographie DE lA SAL
main, mais présentant les mêmes carac- tères. Ces tremblements des
jambes
cessent pendant la station verticale, pendant l
jourd'hui une triade sym- ptomatique : démarche avec traînement des
jambes
, paraplégie extension des orteils qui nous perm
présentait la triade symptomatique, dé- marche avec traînement des
jambes
, paraplégie, extension des orteils. C'est le pr
ice de Bicêtre. Observation VI de la thèse de Sureau : douleurs des
jambes
, incontinence d'urine, myosis, abolition des ré
e nom de réflexe planti-digital ; le second, dans les muscles de la
jambe
qui agissent sur le pied, réflexe planti-tibial
troisième enfin, dans les muscles de la cuisse qui fléchis- sent la
jambe
sur la cuisse et celle-ci sur le bassin, réflexe
réactions, à la fois, dans les muscles des orteils, dans ceux de la
jambe
et dans ceux de la cuisse. Ceci démontre que le
nché eu avant, la tête relevée pour pouvoir regarder devant lui, la
jambe
droite en arrière, et rappelle beaucoup l'attitud
et se raidir. Il y eut par périodes des douleurs dans les bras, les
jambes
, et même parfois dans les testicules. La toux
er un objet à terre il doit plier les genoux. La marche se fait les
jambes
écartées avec oscillations du tronc. Il a peine à
alement des douleurs en ceinture, dans les côtés, mais pas dans les
jambes
. ' , Depuis 18 mois (octobre 1900), le cou est
espondante. - 1 Marche. - Se fait avec oscillations du tronc et les
jambes
écartées, mais reste facile et assez alerte.
tronc formant un angle ouvert en avant, les 2 inférieurs, cuisse et
jambe
, un angle ouvert en arrière. Vu de face il ra
ci l'expression de la face n'est pas altérée. La marche se fait les
jambes
écartées, les genoux déjetés en dehors, avec os
és à droite. Cette attitude s'exagère pendant la marche. Dès qu'une
jambe
quitte le sol, il y a menace de chute, quelques
prochées en adduction, les genoux serrés l'un contre l'autre ; les
jambes
écar- tées en ogives, les talons écartés et les
alade couché peut à peine imprimer quelques légers mouvements à ses
jambes
. Pas de contracture, un peu de raideur musculai
val. Le cavalier est assis par terre à côté de son coursier ; il a la
jambe
.droite repliée et supportant la jambe gauche q
té de son coursier ; il a la jambe .droite repliée et supportant la
jambe
gauche qu'il élève vers le saint. Celui-ci touc
droite, il bénit le possédé. Celui-ci, à demi-nu,marche vers eux les
jambes
demi-fléchies; un petit démon s'échappe de sa b
ont l'ascite volumineuse contraste avec la maigreur ex- cessive des
jambes
et du thorax. La branche germanique de l'art by
de 15 ans. (Pl. XX.). Son torse, ses bras, sont peu musclés ; ses
jambes
le sont davantage Tout le corps est enveloppé'
eurs ne présentent rien de particulier que quelques va- rices de la
jambe
et quelques troubles trophiques de la peau, comme
onstate quelques différences entre lafaçon dont se meuvent les deux
jambes
, le pied gauche traîne particulièrement dans la m
ns appui, mais reste un peu pénible et la ma- lade traîne un peu la
jambe
surtout quand elle marche de flanc vers la gauche
igine pulmonaire à laquelle nous pouvons rap- porter cet oedème des
jambes
. Il n'y a pas d'albumine dans les urines. La
ardivement. La malade avait eu avant son hémiplégie de l'oedème des
jambes
et elle présenta il des signes d'insuffisance m
ignait pour la première fois « de lassi- tude et de douleur dans la
jambe
droite ; il existait à ce moment à la partie in-
pas trouvé de porte d'entrée. Le malade garda le repos au lit ; sa
jambe
fut entourée de com- presses d'eau phéniquée tr
tense, langue sèche, urines noires. Un érythème recouvrait toute la
jambe
et cachait toute apparence de lymphangite. Les en
chose qui préoccupe ses parents est une augmentation de volume de la
jambe
. On constate un gonflement du membre inférieur
ate un gonflement du membre inférieur droit portant sur le pied, la
jambe
et la cuisse ; il est régulier de sorte que le me
ail1toll et R. Voisin). CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DU TROPBOEDÈME 191
jambe
est plus grosse à la fin de la journée. La force
s. L'examen hématologique a été fait par piqûre de la main et de la
jambe
. Les résultats n'ont montré aucune diffé- rence
eux membres; voici d'ailleurs l'examen hématologique : Sang de la
jambe
droite malade : G. R : 3.150.000. G. B : 6.00
? lement. » ' 25. La malade s'est aperçue vers le 17 mai que ses
jambes
présentaient des taches rouges. Elle nous les m
r moyenne d'une pièce de 20 centimes. A la face posté- rieure de la
jambe
et sur le dos du pied, les taches purpuriques tou
PLASIE 201 Ce même caractère se retrouve aux membres inférieurs, la
jambe
est plus longue que la cuisse. Cette dispropo
Partie supérieure » 28. Membre inférieur : Longueur totale de la
jambe
de l'épine iliaque antérieure et supérieure jus-
et aux membres inférieurs, surtout sur la face antéro-externe de la
jambe
). Retard dans la transmission des sensations. A
uin 1902 par des étourdisse- ments, des vertiges, du dérobement des
jambes
, de l'agoraphobie; puis les troubles de la marc
oisis à dessein trop amples et trop longs, les épaules carrées, les
jambes
raides, ils ont l'air d'embryons de soldats allem
es oreilles ne sont point accessibles à la juste mesure, toutes les
jambes
n'ont pas la même souplesse ni la même longueur
vu des goitreux en grand nombre. J'ai vu des gestes des bras et des
jambes
, dont l'extrême brusquerie, l'ardeur irrésis- t
, si elle y persiste, les bras tombent. Elle éprouve aussi dans les
jambes
une fatigue qui augmente par l'exercice, et surto
out : la malade, sans l'aide d'autrui, s'affaisserait sur ses propres
jambes
. Il n'y a pas, cependant, de diminution de volu
mois il tombe, et à partir de ce moment il marche mal, parce que sa
jambe
gauche se déforme, malgré le port d'un appareil o
hyse fertile de l'un des deux os qui constituent le squelette de la
jambe
ou de l'avant-bras. L'existence à un moment donné
diminuée. Vers la fin de la vie, contractions tendineuses dans les
jambes
. Pied en équin direct. Autopsie (1). - Moelle e
26 ou 27 ans par crampes dans les mollets, fourmillements dans les
jambes
et par l'affaiblissement dans les membres infér
de Romberg. ' Les réflexes rotuliens plutôt exagérés. Il écarte les
jambes
en marchant, mais ne les projette pas, ne les t
. Douleurs lombaires. Sensibilité tactile et à la piqûre abolie aux
jambes
et aux pieds ; très diminuée aux avant-bras et
. 1894. - Scoliose dorsale à convexité gauche. Le malade raidit les
jambes
comme sous l'influence d'un effort volontaire.
des lésions médullaires. Hunter (3) trou- vant une paralysie d'une
jambe
au cours de la maladie de Friedreich émet l'hyp
ommes âgés qui s'avancent en gesticulant, et en fléchissant sur les
jambes
. Ce groupe est malheureusement relégué au trois
: l'un sautant sur les deux pieds, en contorsionnant son bras et sa
jambe
droite ; l'autre dansant sur la pointe d'un seul
roite ; l'autre dansant sur la pointe d'un seul pied, en levant une
jambe
en l'air, avec des agitations bizarres des bras.
ent un peu pro- noncé, particulièrement au niveau des muscles de la
jambe
. L'état géné- ral, qui était resté bon jusqu'al
eurs, le sciatique et le crural à la cuisse, le tibial antérieur à la
jambe
, et en outre de très nombreuses branches intra-
ormaux. Du côté des membres inférieurs on note la peine à élever la
jambe
droite au-dessus du plan du lit. Trépidation ép
mure, prie avec ferveur. Derrière lui, et à moitié fléchi sur les
jambes
, un évêque soulève sa mitre, comme pour saluer
s'aliter. Depuis une dizaine de jours. il avait ressenti déjà à la
jambe
gauche quelques douleurs fugaces. Le 6 il aurai
0 selles. Il s'est levé seulement pour aller aux cabinets, mais ses
jambes
le portaient à peine. On a pensé à une fièvre typ
e gauche peu. Les autres muscles comme la veille. 12 octobre.- La
jambe
droite semble reprendre de la force. Le grand p
- Etat stationnaire. T. : matin, 36.7; soir, 37.7. 14 octobre. - La
jambe
droite a assez de force, quoique encore faible ;
malade exécute de légers mouvements d'extension et de flexion de la
jambe
sur. la cuisse. Etat stationnaire pour les membre
soir, 37.5. Pouls : 104. Respiration normale. 15 octobre. - La
jambe
droite prend de plus en plus de force ; la gauche
t. T. : soir, 37.5. Pouls : 84. Respiration normale. 18. - La
jambe
droite a repris beaucoup de force, le bras droit
on. Mais le malade a eu la nuit de violentes douleurs dans les deux
jambes
et n'a pas dormi. On constate (peut-être cela e
latéral droit. Le côté gauche est presque complètement paralysé. La
jambe
gauche est demi-fléchie ainsi que la droite ; l
est demi-fléchie ainsi que la droite ; le malade ne peut étendre la
jambe
gauche ni l'élever au- dessus du plan du lit ;
dessus du plan du lit ; il peut la fléchir un peu. Il peut étendre la
jambe
droite mieux que la gauche. Les pieds tombent e
que la gauche. Les pieds tombent et ne peuvent être fléchis sur la
jambe
. Paralysie des membres supérieurs plus complète
rextension et tombant pres- que dans le prolongement de l'axe de la
jambe
. Le malade ne peut les relever volontairement e
- tervalle des faisceaux nerveux. L. Muscles nrrléro-externes de la
jambe
droite. Dégénérescence graisseuse très avancée
lques fibres de volume très variable. Muscles antéro-externes de la
jambe
droite (Planche LX, L2 M). Même 446 LÈm ET N-IL
ans une masse conjonctive-graisseuse. Muscles antéro-externes de la
jambe
gauche. Même substitution grais- seuse à peu pr
sculaire à forme segmenlaire occupant les avant-bras et surtout les
jambes
. - Début il a quatre ans par des douleurs, de la
uelle remonte à quatre ans : on lui fit remarquer qu'il lançait les
jambes
en marchant. Lui-même ne s'apercevait que d'un pe
en marchant. Lui-même ne s'apercevait que d'un peu de gêne dans la
jambe
gauche. Deux ans plus tard il eut des douleurs as
vite que sa démarche n'est pas celle d'un tabétique : il lance les
jambes
en avant, mais bien dans la ligne droite, la poin
e trouve-t-elle tout simplement dans l'atrophie musculaire des deux
jambes
. Celle-ci est très accusée, surtout si on regar
uit par une difficulté marquée dans le fléchissement du pied sur la
jambe
et par l'impossibilité pour le malade de releve
bras droit, soit dans les muscles de la région antéro-externe de la
jambe
. Avec le courant interrompu rapide appliqué sur
urviennent concurremment du steppage par atrophie des muscles de la
jambe
et des douleurs à caractère fulgurant qui, joints
i comme localisation, puisque ce sont surtout les avant-bras et les
jambes
qui sont atteints, à l'exclusion des muscles de
as alors que la musculature était vo- lumineuse à la cuisse et à la
jambe
. Les muscles atrophiés présentaient la réaction
pathique depuis 17 ou 18 ans, avec atrophie généra- lisée, sauf aux
jambes
, présente depuis ,ans un phénomène singulier :
athique généralisée avec conservation des muscles postérieurs de la
jambe
. Le même état persiste actuellement comme il es
sensibles. Un peu plus tard, à 17 ans, elle voit apparaître sur ses
jambes
des pla- 460 GÉNÉVII1EII ques grandes comme l
ivement, pour laisser alors transsuder du liquide. En même temps la
jambe
était enflée, gardant en godet l'em- preinte du
ne plaque analogue à celles qu'elle avait précédemment eues sur les
jambes
. Mais au lieu de rester pâle quelques jours seu
insi pendant six mois (lig. 1 et 2). Prise ensuite de paralysie des
jambes
, elle est obligée d'entrer à l'hôpi- tal, où on
de nouveau chez sa mère ; c'est pour y voir bientôt apparaître, à la
jambe
gauche, une nouvelle plaque livide, blanc mat :
uel qui puisse expliquer les accidents gangreneux qui débutent à la
jambe
gauche. Sur la face interne de celle-ci, on con
en que moins étendue, apparais- sait sur la face externe de la même
jambe
: tache livide d'abord, légère- ment soulevée,
erte, hébété, reste constamment debout près de la porte. OEdème des
jambes
et des pieds. 27 janvier 1904. Mutisme absolu,
'on veut obtenir de lui. Poses fatigantes indéfiniment conservées :
jambes
fléchies sur les cuisses, tronc penché en avant
état de stupeur, le malade'fait un mouvement brusque de recul de la
jambe
quand on appuie le doigt. Ce symptôme a été sig
De plus le malade présente (planche LXIII) à la face externe de la
jambe
droite, à la partie antéro-interne et à la face p
ÉRATIONS TROPHIQUES CHEZ DEUX DÉMENTS CATATONIQUES 467 rieure de la
jambe
gauche, 3 ulcérations consistant en une eschare c
situées l'une à la face interne et au-dessus des ulcérations de la
jambe
gauche, l'autre à la partie externe et supérieure
de la jambe gauche, l'autre à la partie externe et supérieure de la
jambe
droite. Ces taches érythémateuses, mesurant 30 à
très nettement limités. 10 juillet. - Les troubles trophiques de la
jambe
commencent à se cicatri- ser, mais on en consta
: « Je veux m'en aller, laissez-moi m'en aller. » Les mains, les
jambes
et les pieds sont le siège d'une hyperhydrose int
importantes au nombre de S, siègent à la face postérieure des deux
jambes
et à la face interne de la jambe gauche ; les aut
nt à la face postérieure des deux jambes et à la face interne de la
jambe
gauche ; les autres existent aux régions suivan
mois de juin sont encore plus nombreuses ; nous en comptons 23 aux
jambes
, 5 à la ceinture pelvienne, o à la région scapu
voi- sinante. Les cicatrices plus anciennes qui siègent surtout aux
jambes
, se com- posent d'un tissu violacé, asphyxique.
une parole. 30 juin. - Nous remarquons que le malade présente à la
jambe
ganche, un peu au-dessous du milieu et sur le b
r vineuse moitié moins grande qu'elle, à contours mal limités. La
jambe
gauche est très oedématiée depuis le pied jusqu'a
ème blanc élastique du dos du pied, offre une profonde eschare à la
jambe
gauche. Nous sommes certainement ici en présenc
là plus de quarante que je bois, et je ne peux pas me tenir sur mes
jambes
.. ) Le docteur Balouard représenté sur cette gr
vait éprouvé une certaine difficulté à mar- cher, il tenait mal ses
jambes
et ne pouvait courir. Cela dura plusieurs mois,
atrophié en masse, l'enfant se relevait en grimpant le long de ses
jambes
, comme un myo- pathique, mais le réflexe rotuli
er les signes d'une sciatique double, avec hypoesthésie diffuse aux
jambes
et aux cuisses, atrophie muscu- laire sans alté
e, la station verticale un peu prolongées. Deux mois plus tard, les
jambes
deviennent lourdes, s'affaiblis- sent rapidemeu
considérable de tous les segments du membre inférieur droit (pied,
jambe
, cuisse), simple paré- sie pour tous les segmen
genoux et des cuisses ; léger oedème de la moitié inférieure de la
jambe
droite. Les sphinc- ters semblent fonctionner n
obile la colonne lombaire : elle ramasse les objets à terre entre ses
jambes
, et en s'accroupissant sans fléchir la colonne
tuellement la cuisse droite, avec irradiation jusqu'au milieu de la
jambe
; elles existent au repos surtout la nuit, sont e
ilibre ; en la faisant marcher soutenue par un aide, on voit que la
jambe
gauche steppe et (1) LONG et llincxenn. Revue N
ellectuelle, il m'est arrivé avec une intense poussée eczémateuse aux
jambes
, et avec des troubles gastriques assez importan
de torpeur, plutôt physique qu'intellectuelle. Il a des varices aux
jambes
. La fétidité de la sueur est quelquefois insupp
a déjà souffert depuis sa jeunesse de douleurs dans les bras et les
jambes
, mais par accès, par intervalles. Il se souvient
ercevez pas grand'chose d'ex- traordinaire tant que les bras et les
jambes
sont couverts. Tout au plus serez- vous frappés
vers, les genoux en flexion, comme s'il ne savait pas où mettre les
jambes
, ou comme si le lit était trop court. Dès que j
normale, un corps d'une petite circonférence, mais les bras et les
jambes
, surtout les mains et les pieds, les genoux, le
ement au tableau clinique de cette maladie remarquable. Le peau des
jambes
mince, lisse, luisante, pas facile à soulever, co
s le sens contraire à la température, qu'on peut constater aux deux
jambes
de notre malade, avec une sensibilité au tact e
nit de fortes dou- leurs dans les extrémités, spécialement dans les
jambes
, lorsqu'il avait été couché découvert pendant q
me petit corps, l'expression infantile, la même station debout, les
jambes
et les pieds énormes, surtout à droite ; mais les
très longs et minces, au dos courbé, aux longs bras et aux longues
jambes
maigres, les doigts longs, les phalangettes épais
gie avec contracture en flexion des cuisses sur le bassin, et de la
jambe
sur la cuisse. L'ankylose des articulations est c
us fluide. Cet oedème remonte jusqu'au genou, ce qui donne aux deux
jambes
l'aspect de deux poteaux arron- dis. Mais entre
arron- dis. Mais entre le dos du pied et la partie inférieure de la
jambe
, au niveau de l'articulation tibio-tarsienne on
elle est noirâtre pour diminuer progressivement jusqu'au milieu de la
jambe
. Tranchant sur cette teinte bleu-noir de l'oedè
La teinte bleu-foncé ne remonte que jusqu'au tiers inférieur de la
jambe
. Le bourrelet d'oedème au-dessus des orteils, t
ins gélatineuse. Nous mettons en regard les mensurations des deux
jambes
prises d'abord avant le traitement (septembre 1
ème qui les déforme complètement et un étranglement à leur base. La
jambe
présente une infiltration un peu moins tendue s
os deux malades impotentes, restent toute la journée immobiles, les
jambes
pendantes ; de plus, il existe chez elles un état
fesses, qui sont très proéminentes, et au niveau des cuisses et des
jambes
, où les reliefs muscu- laires sont exagérés (Pl
e plus courts que les avant-bras ; les cuisses plus courtes que les
jambes
, ce qui n'est pas chez la malade. CoHcmoH.Je pe
e ou fait défaut pour ainsi dire. Les muscles des avant-bras et des
jambes
sont fort diminués de volume. Or les déformatio
à l'âge de 4 ans : encore se tenait-elle très difficilement sur ses
jambes
, tombant constamment en avant parce qu'elle appuy
ade l'affirme absolument. Ces lésions des pieds sont symétriques,
Jambes
: des deux côtés on remarque une diminution marqu
côtés on remarque une diminution marquée des muscles ; de plus, la
jambe
est légèrement déviée en dehors (genu valgum) et
en Z de baïonnette Axe de la cuisse, oblique en dedans. Axe de la
jambe
, oblique en dehors. Axe du pied, oblique en ded
du pied et trébuche souvent. Elle ressent de la faiblesse dans ses
jambes
et ne peut rester plus d'une demi-heure debout.
a marche ; au printemps de l'année 1903, elle s'est aperçue que ses
jambes
deve- naient plus faibles et qu'il lui était pé
e temps assise ; elle y met une lenteur toute particu- lière et ses
jambes
lui paraissent toute raides. Cette raideur diminu
enade, au bout de trois quarts d'heure à une heure, elle sent que ses
jambes
redeviennent raides et très douloureuses et en
est d'ailleurs peu développé. * A part des douleurs au niveau des
jambes
, douleurs assez vives mais diffuses, apparaissa
t un peu plus accentuées sur le dos des pieds et sur la surface des
jambes
que sur les FiG. 12 et 13. 10 novembre 1905. To
arrière et à droite. On n'en remarque aucune au cou, aux mains, aux
jambes
, aux pieds. En résumé : distribution topographi
que la paralysie brachiale fut beaucoup plus marquée' du côté de la
jambe
malade, voilà de quoi convaincre, même l'esprit l
sant presque pas à la lumière. Ataxie de la langue, des bras et des
jambes
. Marche presque impossible, spastique. Réflexes
t plus facile vers la fin de la vie. Les mouvements des bras et des
jambes
se firent de plus en plus faibles, bientôt la s
vien- nent des douleurs bilatérales dans les membres inférieurs, la
jambe
droite puis la jambe gauche se rétractent, la s
rs bilatérales dans les membres inférieurs, la jambe droite puis la
jambe
gauche se rétractent, la sensibilité objective es
Au contraire, dès que les malades se sont alités, les muscles de la
jambe
subissent une diminution assez rapide en même t
a jambe subissent une diminution assez rapide en même temps que les
jambes
primitivement dans l'extension se placent en fl
des muscles adducteurs que sur celui des fléchisseurs. Bientôt, les
jambes
se placent en adduction, les cuisses en flexion s
se placent en adduction, les cuisses en flexion sur le bassin, les
jambes
en flexion sur les cuisses, les pieds en extensio
on et l'extension surtout ne peuvent s'accomplir complète- ment, la
jambe
forme un angle obtus avec la cuisse, les muscles
bitus latéral, les cuisses complètement fléchies sur le bassin, les
jambes
repliées sur elles-mêmes, le mollet entrant en co
sion des muscles, du quadriceps fémoral, du groupe postérieur de la
jambe
ou de la cuisse fait pousser des cris au malade,
t absent ; et s'il existe une douleur très vive à l'extension de la
jambe
, son siège n'est pas du tout sur le trajet du s
ent en flexion bien que celle-ci soit toujours moins accusée qu'aux
jambes
. L'extension complète de l'avant-bras sur le bras
périeurs ; à cette époque la rétraction est très développée sur les
jambes
tandis qu'elle manque constamment dans les autres
Le manchon fibreux qui constitue l'aponévrose d'engaine- ment de la
jambe
est augmenté d'épaisseur. Sa section circulaire p
eur de la cuisse (biceps, demi-membraneux, demi-tendineux) et de la
jambe
(triceps et fléchisseurs profonds, jambier post
rofonds, jambier postérieur) ; ceux de la loge antéro-externe de la
jambe
sont toujours bien moins altérés. Suivant que l
s sembla- bles à celles que nous avons relevées sur les muscles des
jambes
. L'examen des articulations est ici de la plus
bre muscu- laire. C'est ainsi que dans un cas, certains muscles des
jambes
présen- taient outre une densification extrême
e la cuisse (38 à droite, 40 à gauche à la région moyenne) et de la
jambe
: il résulte de celle-ci un léger pied-bot. Les
nne) et de la jambe : il résulte de celle-ci un léger pied-bot. Les
jambes
étant symétriques, il y a 78 centimètres de l'é
re ; cette différence est due en grande partie au déjettement de la
jambe
en dehors. Celui-ci est tel que l'axe du tibia
: 1° Excitabilité au courant faradique : A gauche : normale à la
jambe
; un peu exagérée au bras. A droite : normale a
s mus- cles postérieurs de la cuisse; abolie dans les muscles de la
jambe
. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière T. I
2° Excitabilité au courant galvanique : Normale dans les bras et la
jambe
gauche. Diminuée dans le droit antérieur et le
a cuisse ; diminution et contrac- tion lente dans les muscles de la
jambe
avec contraction à distance' du cou- turier, de
avec volu- bilité : récrimination contre ceux qui lui ont fait une
jambe
orthopédique qui ne va pas ; récit d'un procès
roulement du dos ; mouvements des hanches ; étirement des bras, des
jambes
, du cou ; frottement du nez ou des yeux..... Ac
et de la plante étaient normaux : ceux de la face postérieure de la
jambe
et de la cuisse présentaient des lésions analog
les nerfs plantaires cutanés, les nerfs de la face postérieure de la
jambe
et de la cuisse, les nerfs de la queue. Exame
lantaires, mais dégénérescence des nerfs de la face postérieure de la
jambe
et de la cuisse, soit exclusivement dans le ter
, au périnée, à la queue, aux faces postérieures des cuisses et des
jambes
, à la région plantaire. Examens iustologiques.
pe. Au. contraire, état normal des nerfs cutanés de la queue, de la
jambe
et de la plante. Observation IV. Chat adulte. S
a queue, de la croupe et du périnée, de la face posté- rieure de la
jambe
et de la plante de la patte. Examens IrISTOLOGI
de la fesse, du périnée, de la face postérieure de la cuisse et de la
jambe
. Examens HISTOLOGIQUES. Les ganglions spinaux d
elle présenta des troubles visuels, une paralysie progressive de la
jambe
droite, des troubles de la sensibilité et du sens
droit et dimi- nution de la sensibilité de la main droite et de la
jambe
gauche. Enfin ap- parurent une contracture dans
e et de la jambe gauche. Enfin ap- parurent une contracture dans la
jambe
droite, le clonus du pied et l'exa- gération de
ont suppuré, et vers l'âge de 15 ans des suppurations au niveau de la
jambe
droite. A 16 ans il a été sujet à des douleurs
rs il s'aperçut que sa marche devenait pénible et qu'il traînait la
jambe
droite tandis que la gauche fonctionnait encore
un peu fléchies sur le bassin. Les pieds sont en exten- sion sur la
jambe
. Les divers segments des membres inférieurs sont
trouve quelques éléments jusqu'à la partie supérieure du thorax. La
jambe
gauche présente une desquamation par larges squ
nt. Les muscles des membres inférieurs sont atrophiés, surtout à la
jambe
; les membres supérieurs sont, eux aussi, quoiq
ompa- rable à une secousse électrique qui tout d'un coup frappe ses
jambes
et ne laisse au malade que le temps de prendre
péniblement chez lui et il se cou- che. A ce moment le malade a la
jambe
droite paralysée et le membre supé- rieur droit
quatre mois dans le service et c'est pendant celte pé- riode que la
jambe
gauche s'est prise à son tour. Depuis 1892 il e
. 354 GIUNI0 CATOLA La flexion, l'extension de la cuisse et de la
jambe
sont abolies. L'abduction est nulle, l'adductio
on brusque sans perte de connaissance avec paralysie complète de la
jambe
droite et faiblesse du bras du même côté. Plus
droite et faiblesse du bras du même côté. Plus tard,paralysie de la
jambe
gauche et troubles moteurs qu'on considère comm
après le passé du malade (bronchites à répétition, crampes dans les
jambes
, pollakiurie nocturne, etc.) le diagnostic semble
lier : les fémurs et les tibias sont fortement courbés en avant,les
jambes
sont écar- tées, le tronc et le cou sont fixés
t la réaction de dégénérescence dans le groupe antéro-externe de la
jambe
droite. 17 et 18. - L'enfant deux crises de dys
ants. - Le petit malade en question avait depuis plusieurs mois les
jambes
faibles et n'avait pu apprendre à marcher, puis
ès les mêmes signes de faiblesse se constatent à la main droite. La
jambe
gauche devient, en même temps, lourde et insensi-
alade ayant par mégarde laissé couler de l'eau bouillante sur cette
jambe
n'a pas souffert de la brûlure. La maladie progre
La maladie progressait très len- tement, depuis un an seulement la
jambe
droite est un peu faible. A cause des progrès d
re inférieur droit il existe un peu d'amyotrophie des muscles de la
jambe
avec une diminution de la force musculaire dans l
out, implorant la pitié en faveur d'un malheureux à genoux, dont la
jambe
droite est enveloppée de bandages, 476 HEITZ. -
e Rembrandt. Ajoutons que ce pauvre aveugle est encore estropié aux
jambes
et qu'il marche le genou gauche fléchi sur un pil
rimitive béquille qu'il maintient d'une main contracturée. Comme la
jambe
droite semble aussi s'appuyer difficilement sur
à l'c £ ge de quatorze ans. Début de l'atrophie par les muscles des
jambes
s'étendant plus tard aux nitis- cles des mains.
supérieurs avec im- possibilité de marcher la nuit. Dérobement des
jambes
. Signe de Romberg : Nystagmus dynamique. Myosis
it pour se mettre en marche, il titubait alors et oscillait sur ses
jambes
. Jusqu'à l'âge de vingt et un ans, ces accidents
interosseux, l'atrophie paraît moins prononcée. Les muscles des deux
jambes
480 DEJERINE ET ANDRÉ-TnOMAS sont notablement
flexion dorsale, et avec les muscles de la région postérieure de la
jambe
, un très léger degré de flexion plantaire, ne mo-
r degré de varus. <; 'J La force musculaire des cuisses et des
jambes
est assez développée. Les mus- cles-présentent
ibrillaires. Le malade marche en talon- nant,lançant légèrement ses
jambes
en avant et de côté, il ne marche pas en ligne
ieurs, sensibilité tactile très altérée. Nulle sur les pieds et les
jambes
, elle commence à réapparaître au niveau des genou
t pervertie par places, c'est ainsi qu'une piqûre d'aiguille sur la
jambe
droite détermine une sensation de brûlure. Même
ment dans sa marche, parfois même elle est si forte, qu'il sent ses
jambes
s'affaisser sous lui et qu'il tombe à terre. Au
stent également et quand il les ressent, il met instinctivement ses
jambes
en extension. La durée de ces douleurs est de q
e très peu progressé depuis cette époque, et la force des bras, des
jambes
, est encore à l'heure actuelle (mars 1893) très
incoordination ont augmenté, le malade se sent moins assuré sur ses
jambes
. Il peut marcher, aller facilement à pied depuis
l ne ressentait que rarement autrefois, à savoir, le dérobemeut des
jambes
(Giving way of llae legs) des auteurs anglais. Ce
coupes longitudinales des muscles de la région antéro-externe de la
jambe
montrent encore plus clairement toutes les phases
ed-bot varus extrêmement prononcé. Atrophie extrême des muscles des
jambes
et des cuisses plus marquée à la périphérie. Atro
le abolie complètement jusqu'au niveau du tiers supérieur de chaque
jambe
; réapparaît peu à peu en (1) Dejerine et Sotta
ultats suivants : Contractilité faradique abolie dans les muscles des
jambes
, des cuisses et des mains, diminuée aux avant-b
jambier antérieur. Ils steppent avec brus- querie, soulevant leurs
jambes
d'une manière saccadée et les lançant en dehors
bout les talons rapprochés et sans soutien, ils oscillent sur leurs
jambes
et ne peuvent se tenir immo- biles. Si, dans ce
dans ces cas n'atteindrait que les muscles propres du pied et de la
jambe
, tandis que dans les nôtres l'atrophie musculaire
larités cliniques, telles que la pseudohyperlrophie des muscles des
jambes
, l'asymétrie de l'atrophie dans les muscles des m
ceinture de plomb J. A 26 ans, il ressent des picotements dans les
jambes
, qui s'affaiblissent uu mois plus tard, et pass
blissent uu mois plus tard, et passe 9 mois à l'hôpital, alité, les
jambes
« raides comme des barres de fer ». Le repos ca
r séjour à l'infirmerie, les douleurs redoublèrent, pendant que les
jambes
s'affai- blisaient.Quelques jours plus tard, br
professeur Ray- mond, avec une paraplégie complète aux pieds et aux
jambes
, moins marquée aux cuisses, prédominant dans le
amaigrissement diffus des masses musculaires, surtout prononcé aux
jambes
; 520 ALQU1EU à l'examen électrique : simple
dorsales, avec irradiations le long du rachis. 3 mois plus tard, la
jambe
gauche devient raide et se paralyse, puis la dr
it presque constamment des vertiges ; il oscillait sur lui-même les
jambes
écartées, sans déplacement des pieds. Il marcha
e les jambes écartées, sans déplacement des pieds. Il marchait, les
jambes
écartées, en festonnant et s'appuyait sur les l
gt- neuf ans. Alors il commence à ressentir des douleurs dans les
jambes
, des picotements à la plante des pieds, des cramp
le malade, bien qu'amélioré, n'était pas encore très solide sur ses
jambes
;.[mais il continua à aller mieux et tout dispa
eu àpeu. Il y a sept mois, le 19 mai 1897, survient un oedème de la
jambe
gauche pour lequel le malade entra à Lariboisiè
a des douleurs lombaires et une parésie des membres inférieurs : la
jambe
droite est la plus faible des deux ; de ce côté i
des deux ; de ce côté il existe du clanus du pied. Pas d'oedème des
jambes
(2 grammes d'albumine par litre ; quantité d'ur
'aidant volontiers des mains ; il élève au-dessus du plan du lit sa
jambe
gauche beaucoup plus facilement qu'il ne fait p
é à la douleur est diminuéeaux deux membres inférieurs, et plus aux
jambes
qu'aux cuisses.- Il y a diminulion et perversio
male ; 4, ; sensibilité à la piqûre diminuée il droite et plus à la
jambe
qu'à la cuisse, légèrement diminuée à gauche ;
iennent brusquement des contractions douloureuses qui font plier la
jambe
droite sur la cuisse et celle-ci sur le bassin. L
le-ci sur le bassin. Le malade, quoique s'aidant des mains et de sa
jambe
gauche, ne peut ensuite étendre son membre infé
nvolon- taires se font plus fréquentes ; elles fléchissent les deux
jambes
, mais plus particulièrement la droite; elles su
devient perma- nente ; D... ne peut plus parvenir seul à étendre sa
jambe
; on arrive pourtant, avec un effort, à vaincre
urtant, avec un effort, à vaincre cette contracture et à étendre la
jambe
sur le plan du lit. Fig. 2. - 1, sensibilité au
re : diminuée des deux côtés, davantage du côté gauche, et plus aux
jambes
qu'aux cuisses; 3, sensations thermiques : perv
8 CLINIQUE NERVEUSE. Le 28 avril, la contracture permanente de la
jambe
droite en flexion a disparu, mais les contracti
t même distribution à droite qu'à gauche, sont plus marqués sur les
jambes
que sur les cuisses et l'abdomen, plus marqués
la chaleur (3) sont plus marqués à gauche qu'à droite, et plus aux
jambes
qu'aux cuisses et à l'abdomen. PARAPLÉGIE SPASM
SPASMODIQUE. 9 côté droit (fig. 3). Quand on essaie de déplacer une
jambe
, la con- tracture entraine le bassin et le memb
s se produisent toutes les fois que le malade essaie de mouvoir ses
jambes
. En juin, le malade demeure constamment couché
onstamment couché sur le côté droit, maintenant, par le poids de sa
jambe
gauche, sa jambe droite étendue ; s'il vient à
sur le côté droit, maintenant, par le poids de sa jambe gauche, sa
jambe
droite étendue ; s'il vient à se retourner, la
mbe gauche, sa jambe droite étendue ; s'il vient à se retourner, la
jambe
droite se con- tracture aussitôt en flexion.
uellement une moins grande différence entre la sensibilité des deux
jambes
. Le même état persiste sans se modifier sensibl
e ; sensibilité à la piqûre diminuée sur la cuisse droite et sur la
jambe
gauche, très diminuée sur la jambe droite ; sen
sur la cuisse droite et sur la jambe gauche, très diminuée sur la
jambe
droite ; sensibilité thermique légèrement troublé
bilité thermique légèrement troublée 10 CLINIQUE NERVEUSE. sur la
jambe
droite, diminuée et complètement pervertie sur
E. sur la jambe droite, diminuée et complètement pervertie sur la
jambe
gauche. En somme double syndrome de Brown- Séqu
égie spasmodique avec dissocia- tion syringomyélique. En mars, la
jambe
droite est toujours la plus mauvaise; exagérati
a douleur à peu près également atteinte des deux côtés, et plus aux
jambes
qu'aux cuisses ; sensibilité thermique diminuée
s d'une façon atténuée à droite, tandis qu'à gau- che, surtout à la
jambe
, il y a perversion complète et retard de la per
analgésie était complète, la thermo-anesthésie était absolue sur la
jambe
gauche. Ainsi la sensibilité au contact quoique
que la gibbosité apparut à l'âge de trois ans, que la faiblesse des
jambes
se montra quatre mois plus tard, et qu'au bout
oéminence des trois premières vertèbres thoraciques, l'atrophie des
jambes
avec paralysie la contmc- ture des tendons du j
ulement. Plus tard la thermo-anesthésie etl'analgésie ontenvahi les
jambes
, faces antérieures et postérieures. En l'absenc
que notre malade ait pu marcher pendant de longues années, avec les
jambes
raides ? Comment se fait-il qu'on voie tous les
syphilitiques qui marchent, quoique péniblement, assez vite, les
jambes
raidies par un reliquat de méningo-myélite ? Le
x membres inférieurs, récupèrent très facilement l'usage de leurs
jambes
, et viennent de nouveau en état de faire de lon-
rs vers le tronc du patient. Dans le procécédé d'IIégar ou fixe les
jambes
dn patient sur une table et on fléchit le corps
très connu sous le nom d'appareil d'élongation,.et qui, fixant les
jambes
du patient, permet d'amener son corps graduelle
jambes du patient, permet d'amener son corps graduellement vers les
jambes
(fig. 8). Dans son ensemble, et par son applica
l l'a modifié avantageusement. Cet auteur recommande de fléchir les
jambes
sur les cuisses et la tête vers les genoux, en
ondel l'attache au moyen d'une courroie, qui embrasse le cou et les
jambes
fléchies. Plus on raccourcit la courroie, plus
. il. 38 ' THÉRAPEUTIQUE. - les extrémités passent entre les deux
jambes
. Les poids sup- plémentaires nous permettent d'
tement en position hori- zontale. On tire un peu le patient par les
jambes
pour l'étendre davantage. A ce moment on déclen
ère. Il tourne difficilement et paraît surtout peu solide sur ses
jambes
bien qu'il n'y ait pas de paralysie proprement di
ente. Le malade, assis, peut librement et .sans douleur mouvoir ses
jambes
et ses pieds; dès qu'il marche, ou du moins au
s mol- lets, devenant promptement très vives; engourdissement des
jambes
, contracture des muscles, difficulté de marcher,
hancre syphilitique, fut atteint subitement d'une para- lysie de la
jambe
gauche avec analgésie et thermo-anesthésie au n
la jambe gauche avec analgésie et thermo-anesthésie au niveau de la
jambe
droite, incontinence des matières, exagération
d'une grippe d'accidents comateux, puis de parésie des bras et des
jambes
avec abolition des réflexes tendineux et cutané
cause. Les troubles moteurs portaient surtout sur les muscles des
jambes
, des pieds et des éminences thénars, avec intégri
ilité pupillaire, l'altération du réflexe rotulien, l'analgésie des
jambes
, les change- ments de la parole et de l'écritur
accident. Prodromes : malaise général, troubles de coordination des
jambes
. Puis, trois heures après l'accident, coloratio
atteinte de tics des muscles du cou, de la nuque, des bras et des
jambes
. Ce spasme est intermittent et ne semble lié à au
phène interne fut rompu, une icthyose SOCIÉTÉS SAVANTES. 87 de la
jambe
, associée à un mal perforant, guérit ainsi que ce
oie des photographies de malades atteints d'oedème unilatéral de la
jambe
consécutif ou non à des périodes fébriles, d'un
visage couperosé, les conjonctives injectées, mais les bras et les
jambes
sont remarquablement musclés et dénotent une vi
rette et Chipaut, il résulte que la flexion forcée du corps sur les
jambes
étendues produit une élongation des organes ner
is de douleurs fulgurantes, se déclarant surtout la nuit et dans la
jambe
gauche, parfois dans la jambe droite. Il y a tr
déclarant surtout la nuit et dans la jambe gauche, parfois dans la
jambe
droite. Il y a trois ans le malade sentait son ge
pendant la marche; impossible de marcher sur une ligne droite, les
jambes
croisées et à reculons. Nous avons commencé n
ue, monte et descend l'es- calier très bien. Pas d'anesthésie de la
jambe
, sent facilement la piqûre d'épingle et la diff
isées et finissent souvent par se loca- liser sur une portion de la
jambe
ou du pied. Tantôt elles n'apparaissent qu'à la
n et les pointes de feu. Ces douleurs sont localisées dans les deux
jambes
et causent au malade de l'insomnie. Nous avons co
lle passait à l'appa- reil de Gilles de la Tourette, elle avait ses
jambes
raides et alour- dies pendant plusieurs jours.
and je suis venue à la Salpêtrière je n'avais pas d'ataxie dans les
jambes
; je marchais très bien et insensiblement j'ai p
ination. Elle ne marchait pas, ne voyait pas clair et déplaçait ses
jambes
en plèin désordre. Nous avons commencé par le m
oisième et quatrième vertèbres dorsales. Les bras sont intacts, les
jambes
parésiées : il existe de la diminution de la se
nte du pied, le gros orteil s'étend, puis le pied se fléchit sur la
jambe
et la cuisse se fléchit sur le bassin. L'excita
tion ; le sommeil vient au bout d'une minute. Je lui fais sentir la
jambe
droite qui exécute des mouvements de flexion et
s sentir la plante du pied droit. Le pied fléchit et s'étend sur la
jambe
, la cheville craque, la plante brûle un peu. Les
le un peu. Les mouvements de flexion et d'extension s'étendent à la
jambe
droite et à la cuisse. Je constate en même temp
du pied -)-1. La plante brûle de moins en moins ; la flexion de la
jambe
sur la cuisse s'accentue, ainsi que la supinati
ville : craquements à chaque mouvement d'exten- sion du pied sur la
jambe
-(-Mouvements très intimes de flexion des quatr
heville se débloque au bout de cinq minutes. - Sentez la peau de la
jambe
: mouvements de flexion, d'exten- sion, d'abduc
vements de flexion, d'exten- sion, d'abduction et d'adduction de la
jambe
. Le membre supé- lieur droit exécute des mouvem
tes. Sentez le mollet : mouvement de flexion et d'extension de la
jambe
et de la cuisse. Le pied ne fléchit plus -(- Il y
le tout disparait au bout de dix mi- nutes. ' - Sentez l'os de la
jambe
: mouvements de flexion et d'extension aux memb
membres inférieurs et supérieurs ? Louis se plaint qu'on frotte sa
jambe
, que l'on ronge son tibia + Tout est libre au b
ia + Tout est libre au bout de huit minutes. Sentez le pied et la
jambe
: mouvements de flexion et d'exten- sion des me
entez le genou droit : mouvements de flexion et d'exten- sion de la
jambe
sur la cuisse, de pronation et de supination du
s, sauf le pouce. Il y a de très légers mouvements extenseurs de la
jambe
et du pied. Sentez le membre supérieur droit :
Quand j'étais à Marseille, M. Vial me faisait faire l'exercice des
jambes
et des bras et le côté me faisait mal z- On me
ce qui m'est arrivé cette nuit : (Et il raconte la scène); j'ai les
jambes
qui me trem- blent depuis. Ce n'est rien, va z-
publient un cas fort curieux d'ano- malies de la main droite, de la
jambe
et du pied gauches, chez une malade atteinte de
bre existe et a acquis tout son développement; mais, par contre, la
jambe
ou l'avant-bras, mieux encore, le pied ou la ja
, par contre, la jambe ou l'avant-bras, mieux encore, le pied ou la
jambe
font défaut ou sont restés à l'état rudi- menta
NTALE. lade, sont limitées à la main et à i'avant-bras droits, à la
jambe
et au pied gauches. Les racines des membres, le
ne du pied. Démarche spastique. Certaine atrophie des muscles de la
jambe
droite sans raideur, mais avec simple diminution
re hypoesthésie thermique au pied et à la partie inférieure de la
jambe
du côté gauche. Le sens musculaire est affaibli d
ulaire est affaibli des deux côtés, mais plus particulièrement à la
jambe
droite. Parfois accès de douleurs dans la jambe
rticulièrement à la jambe droite. Parfois accès de douleurs dans la
jambe
droite, où l'on trouve aussi les traces d'une b
dani la marche et à la station debout, puis sensation de froid à la
jambe
droite, atrophie des muscles de la jambe droite e
is sensation de froid à la jambe droite, atrophie des muscles de la
jambe
droite et les phéno- mène sspastiques. G. Ros
semestre, je fus extraordinairement tourmenté par une blessure à la
jambe
qui me causait peu de douleur, mais qui m'empêc
mon mal, que Dieu me prit la vie. En même temps que je sentais mes
jambes
lourdes comme du plomb et agitées d'un tel trem
que je me levais, cette pénible lourdeur et le tremblement dans les
jambes
. Je me réjouis lorsque je partis de nouveau pou
naissance, un oedème chronique des pieds, et de la pachydermie des
jambes
jusqu'à hauteur des genoux. Les pieds sont go
u des pieds et la consistance différente de la peau à la région des
jambes
. Celle-ci, en ce point, est pachydermique, rigi
res, c'est-à-dire qu'elle est moins prononcée aux avant-bras et aux
jambes
, encore moins dans les parties inférieures des
XIII. 22 338 SOCIÉTÉS SAVANTES. lepsie partielle débutant par la
jambe
gauche et se terminant par des convulsions géné
la renverse et aurait eu de violentes secousses dans les bras, les
jambes
et les muscles de la face ; la perte de connais
s de la langue et de la lèvre supérieure. 28. Petite ecchymose à la
jambe
droite. - - 30. La malade, se sentant mal à son
s secondes se déclarèrent de violentes secousses dans les bras, les
jambes
et les muscles de la face, pendant qu'une écume
de 1 à 3 centimètres, qu'elle a remarquées depuis hier au soir à sa
jambe
gauche. 27. Cessation des poudres de seigle erg
tion des poudres de seigle ergoté. Douches. 29. Les ecchymoses à la
jambe
gauche ont disparu. Ce matin, léger saignement
rées, écume à la bouche. Puis convulsions cloniques des bras et des
jambes
, mouvements de rotation de la tête, avec violen
nglotant, elle tourne plusieurs fois sur elle-même, les bras et les
jambes
étendus ; puis elle reste couchée pendant quelq
riture ne lui profite pas, il est mort ou presque mort, n'a plus de
jambes
». Refus d'aliments : il n'existe plus, et n'a
ataxie a, dans l'espèce, précédé de longtemps l'affaiblissement des
jambes
. Cette ataxie présentait le caractère cérébelle
ésentait le caractère cérébelleux : à une époque où les muscles des
jambes
ne trahis- saient aucune faiblesse, le malade t
s extrémités, sur- tout de l'épaule, du bras, de la cuisse et de la
jambe
. Certains muscles, comme le deltoïde, le rhombo
entes douleurs de tête, vomissements, hémiplégie du bras et de la
jambe
, issue mortelle dans le coma avec gâtisme. La mor
qui ont atteint d'abord les muscles du côté droit du corps (bras et
jambe
), puis se sont propagés aux muscles corresponda
on des nerfs crâniens, et les bras sont atteints aussi bien que les
jambes
. Il est fâcheux qu'on ne puisse fournir aucune
n an. A cette époque,C ? est devenue sujette à des douleursdans les
jambes
; elles revenaient par accès, principalement -la
icke, faisait défaut. Indépendamment des accès de douleurs dans les
jambes
, dont je vous ai déjà parlé, et qui laissaient
ture ne lui profite pas, il est mort ou presque mort, n'a plus de
jambes
, rien ne va plus. Paralysie générale probable, bi
rose en plaques, bredouillement' scandé et lent, asynergie de la
jambe
droite, exagération de tous les réflexes tendineu
nt réflexe. On observe sur ce malade une contracture du triceps de la
jambe
; le tendon d'Achille est fortement tendu; un trem
'Achille est fortement tendu; un tremblement nerveux du pied et de la
jambe
se manifeste dans les mouvements de flexion forcé
l, fut traité par les cautères. Malgré cette révulsion énergique, les
jambes
s'affaiblirent, la paralysie augmenta et devint c
e la brièveté des cuisses ; si l'on compare leur longueur à celle des
jambes
, on a un rapport différent de celui qui s'observe
is la différence est énorme ; chez un de nos enfants, ta longueur des
jambes
mesure 35 centimètres, celle des cuisses 25 centi
arçon a beaucoup moins d'cnsellure, qu'il écarte assez facilement les
jambes
et se trouve plus libre dans ses mouvements. Les
on et l'extension seules se passent entre l'astragale et les os de la
jambe
; dans les deux autres, adduction et abduction , l
s varus, valgus, s'entendaient toutefois aussi bien des courbures des
jambes
, qui rapprochent ou écartent les pieds, que des p
'autres, la belle Hélène elle-même, avaient les genoux cagneux ou les
jambes
courbes? » On trouve encore dans des écrits pub
on voit après l'immobilité qu'entraîne le traitement des fractures de
jambe
; si l'on a laissé la pointe du pied s'abaisser e
tains muscles dans beaucoup de maladies douloureuses du pied ou de la
jambe
, produit des effets analogues. C'est ainsi, par e
ulaires consécutifs. L'enroulement du cordon ombilical autour de la
jambe
a été aussi invoqué comme produisant des contract
nsion, jusqu'au point où le pied est replié sur le côté interne de la
jambe
, il y a bien des degrés ; nous en établirons troi
angle obtus. Dans le deuxième, l'axe de l'avant-pied et celui de la
jambe
se rencontrent à angle droit. Dans le troisième
, et rapprocher encore davantage le gros orteil du côté interne de la
jambe
, comme on le voit surtout chez les nouveau-nés. L
d bot en varus du premier degré. Le pied forme un angle obtus avec la
jambe
; le talon porte à peine; la base de sustentation
rophie des gastrocnémiens de ce côté, comparés aux muscles de l'autre
jambe
. La mère nous dit que la jambe du pied bot est pl
côté, comparés aux muscles de l'autre jambe. La mère nous dit que la
jambe
du pied bot est plus courte que l'autre. Les abdu
ser en dehors. La paralysie n'est pas complète dans les muscles de la
jambe
, car il y a encore quelques mouvements latéraux.
remiers orteils, et bien légèrement. On sent encore les muscles de la
jambe
, mais ils sont déjà bien atrophiés. Le poids du c
bot ne se produit qu'après leur entière ossification. Les os de la
jambe
peuvent participer aux déformations du squelette
on de Chopartou après l'ampu'a ion sus-malléolaire, les muscles de la
jambe
, n'ayant plus lieu d'exercer leur action, s'atrop
ie sa cause, comme le spina-bifida, l'absence des os du pied ou de la
jambe
; ou bien un autre effet d'une même cause, comme l
très-large et très-solide, étendue du mollet à la fesse, maintient la
jambe
fléchie sur la cuisse; à la naissance, il y avait
he. Vous en voyez un exemple sur ces deux moules qui représentent les
jambes
d'un sujet atteint de spina-bifida. Nous distin
ue le varus se complique habituellement de l'extension du pied sur la
jambe
, le valgus tend généralement à s'associer un cert
us prononcée; l'avant-pied peut être fléchi sur le côté externe de la
jambe
, comme il l'est dans le varus sur son côté intern
is principaux : 1° Dans un premier degré, la flexion du pied sur la
jambe
est seulement bornée; elle atteint l'angle droit
é; on ne s'aperçoit pas de ce léger défaut dans la station simple, la
jambe
étant dans une direction verticale; toute la plan
se sur le sol; le talon est à peine soulevé. Mais, dans la marche, la
jambe
ne peut accomplir en entier son mouvement d'arc
ns la station , par l'extension permanente du pied, qui forme avec la
jambe
un angle obtus. 3° Dans le troisième degré, cet
mplètement effacé, l'axe du pied est dans la direction de l'axe de la
jambe
; le talon est encore plus élevé au-dessus du sol
'une part, il s'abaisse avec l'astragale; le talon se rapproche de la
jambe
; la peau se plisse en travers, au niveau du tendo
um, dont la facette supéro-postérieure répond en arrière aux os de la
jambe
. Le reste du pied ne présente quelquefois aucun
enfant marche; un valgus, quand il appuie à terre; et enfin, quand la
jambe
est soulevée, il y a un équin légèrement varus. L
troisième degrés. — Dans un deuxième degré, la flexion du pied sur la
jambe
produit un angle moindre que l'angle droit. Enfin
i aigu que l'axe du pied est bien près d'être parallèle à l'axe de la
jambe
. Ces deux derniers degrés résultent d'un affaib
'est plus saillant au delà du tibia ; il est reporté en dessous de la
jambe
, à laquelle il fait suite, et qu'il termine comme
re par une extrémité conique. De la flexion généra e du pied sur la
jambe
, de l'abduction légère qui s'y joint, dérivent le
plus ou moins élevée au-dessus du sol, plus ou moins rapprochée de la
jambe
; elle peut être plus ou moins déviée en dehors.
a face dmsale, plus courte, se rapproche du côté antéro-exlerne de la
jambe
. Elle lui est même souvent accolée à la naissance
s ne diffèrent que per ia manière dont ils se joignent aux os de la
jambe
. Seulement, dans le talus pied creux entier, on r
, à constater quelles sont la conformation, la direction des os de la
jambe
et de la cuisse, leur longueur comparée à celle d
us, dans le varus et le valgus directs, il suffit qu'une main fixe la
jambe
, tandis que l'autre agit sur le pied et l'attire
'occuper de la flexion qu'après avoir ramené le pied suus l'axe de la
jambe
, ou l'avoir dérouté, comme on dit, c'est-à-dire a
ant le valgus, remédier au talus, produire l'extension du pied sur la
jambe
. C'est ce qu'on opère, comme dans le varus, simul
e genre : il commence par faire plusieurs tours de bande au bas de la
jambe
, et laisse pendre à son côté interne un premier c
, c'est la pièce podale ou pédienne; l'autre est placée le long de la
jambe
, c'est la pièce jambière ou tibiale. 1° Partie
n y retrouve une lalonnière , morceau de cuir embrassant le bas de la
jambe
, fermé en avant par un lacet, et terminé par deux
le pied bot. C'est ordinairement la rétraction des fléchisseurs de la
jambe
qu'on observe dans ce cas. Revenons à la descri
, s'il s'agit d'un varus, est un tuteur qui reste placé le long de la
jambe
; il est attaché en haut par une jarretière formée
sens de la flexion. L'extrémité supérieure du levier est fixée à la
jambe
, non immédiatement comme dans les autres appareil
culation destinée à produire la flexion ou l'extension du pied sur la
jambe
. Je préfère, dans ce cas, deux montants articulés
cle rembourré, prenant son point d'appui à la partie supérieure de la
jambe
, en arrière dans le pied équin, en avant dans le
e. Il ne reste plus qu'à ramener le levier vers le côté externe de la
jambe
, dont on l'approche plus ou moins suivant la rési
ibreuses, et qu'ils soulèvent peu la peau. On les divise au bas de la
jambe
ou au côté externe du pied, suivant le relief qu'
, tandis que le court ne peut être coupé isolément qu'au pied. A la
jambe
comme au pied, la section sous-tertdineuse est pe
enter les difficultés; aussi vaut-il mieux l'attaquer plus haut, à la
jambe
. Aucune partie importante n'avoisine immédiatem
rteils jusqu'au-dessous de la malléole, et si on fait la section à la
jambe
, au-dessus ou en arrière de la malléole, on divis
ficile de l'atteindre sûrement. En pareil cas, c'est donc encore à la
jambe
qu'il faut faire la section. Il nous reste à pa
fléchisseurs des orteils. Quoique ces muscles aient été divisés à la
jambe
, ils y sont trop profondément placés pour qu'il c
le pied est dans l'adduction, les muscles fléchisseurs du pied sur la
jambe
sont paralysés, et ne se contractent même pas par
t, le poids du corps suffit pour ramener le pied à angle droit sur la
jambe
; mais aussitôt que le pied est soulevé ou qu'il n
es, ceux-ci sont remarquables par leur origine : ils représentent les
jambes
de l'unique sujet opéré par Delpech, en 1816. Ce
déviation du pied en dehors que vous observez encore sur le moule. La
jambe
est restée atrophiée, et sa gracilité contraste,
et sa gracilité contraste, comme vous le voyez, avec le volume de la
jambe
gauche, qui est normal. Voici des moules de plu
e dirigée en arrière, et le pied ne pose que par son bord externe. La
jambe
est un peu atrophiée. On applique aussitôt l'appa
au temps des Arabes. On lit dans Fernel qu'un soldat avait les os des
jambes
, des bras, des cuisses, mous et flexibles comme d
t Un père dit que son fils a les pieds un peu en dedans, quand ses
jambes
sont toutes tordues. » (1) Fernel, De abditis r
ent quae cornua lunœ, In rhytio poteras, Phœbe, lavarc pedes. « Tes
jambes
, Phcebus, ressemblent au croissant de la lune, tu
nt subsister en partie et l'os rester plus faible ; ces deux os de la
jambe
, tirés de la collection de M. Broca, en sont un e
es plis profonds et nombreux qui les sillonnent transversalement. Les
jambes
offrent une légère courbure congeniale ; vous voy
forment la parenthèse; ils sont courbés en dehors, surtout les os des
jambes
. D'après la mère, cette courbure serait congénita
plus fréquemment et le plus fortement atteintes étaient les os de la
jambe
; puis venaient les os de l'avant-bras, et en der
périeurs. Mais elle se voit à peu près aussi souvent au fémur qu'à la
jambe
; seulement celle-ci subit ordinairement de plus g
es procéderaient successivement de bas en haut, » depuis les os de la
jambe
jusqu'aux membres supérieurs, au rachis et au crâ
urs, et, dans les uns et les autres, le segment inférieur, 19. la
jambe
, Pavant-bras, avant le segment supérieur, le bras
r l'action de ses muscles, du psoas-iliaque par exemple. C'est à la
jambe
qu'on observe le plus de variétés dans la courbur
plus commune; elle peut être parr tielle ou générale- Quand les deux
jambes
sont ainsi conformées, et que les fémurs sont en
ins sur les pièces que j'ai pu voir, le tibia et le péroné de la même
jambe
sont courbés en sens contraire, comme l'a déjà fa
contraire, comme l'a déjà fait remarquer M. Depaul. Les os de chaque
jambe
dessinent ainsi la lettre O, ou une sorte de D, l
tant moins marquée que celle du tibia. Les causes des courbures des
jambes
sont variées. Nous retrouvons encore ici l'influe
chait à huit mois; mais, depuis ce moment, il n'a pu se tenir sur ses
jambes
. Aujourd'hui, il commence à faire quelques pas sa
s. Aux membres inférieurs, il y a une légère courbure des fémurs; les
jambes
sont presque droites et les genoux déviés en deda
primé latéralement; chapelet très-prononcé; le rachis droit; les deux
jambes
, courbées en dehors, forment la parenthèse; les f
e, dans la courbure du fémur; des muscles de la couche profonde de la
jambe
, dans les diverses courbures du tibia et du péron
dérable des membres inférieurs avait réduit sa taille à un mètre. Les
jambes
sont non-seulement contournées, mais encore aplat
allongé par la flexion exagérée du pied dans une forte courbure de la
jambe
en avant. Une brièveté absolue, suffisante pour
ibia en avant et en dehors. Les tendons de la partie inférieure de la
jambe
décrivent, dans un cas pareil, des spires, avant
ette dis- position change tout à fait l'action des extenseurs de la
jambe
. G. Chez les rachitiques, les vaisseaux et les
aux marchés. Les jeunes chiens contractent souvent des courbures des
jambes
, surtout au train de devant, qui porte plus direc
e serait pas de cette manière que se seraient perpétués les bassets à
jambes
torses, par suite d'une affection rachitique des
osé à attribuer à la seule action du poids du corps les courbures des
jambes
qui affectent des enfants jouissant, en apparence
depuis six ans. Les membres inférieurs sont tellement déviés, que les
jambes
forment avec les cuisses un angle droit saillant
que deux mois, le rachitisme n'a encore affecté que le thorax et les
jambes
; celles-ci sont courbées, bien que l'enfant n'ait
e sur ce montant. On a ajouté un second montant au côté interne de la
jambe
, pour donner plus de fixité à l'appareil. Il impo
ormé, le flanc droit légèrement déprimé. Il a eu le rachitisme et ses
jambes
sont un peu torses. IVe cas. — Fille de onze an
ts de locomotion, les enfants peu exercés ou peu robustes jettent les
jambes
de côté et d'autre, portent le bassin de droite e
on pouvait saisir la colonne vertébrale comme on saisit le pied ou la
jambe
. Mais, si l'on veut agir immédiatement sur le rac
tor incomplète). Période clonique : grands mouvements du tronc, des
jambes
. avec soulèvement du ventre, qui offre, comme d
re. Parfois, il se produit des secousses des épaules, des bras ou des
jambes
. P. à 84; R. à 18. — La malade est revenue à elle
munément. 13 décembre. — Deux plaques de cuivre, appliquées sur les
jambes
, au niveau des jarretières, font revenir la sensi
M. Vigouroux a fait appliquer des plaques de cuivre sur le bras et la
jambe
du côté droit. — W... distingue toutes les couleu
etites secousses convulsives, qui bientôt envahissent les bras et les
jambes
. Au bout de quelques secondes, elles sont remplac
condes. c) Période de délire. — Attitude de la sirène, corps tendu,
jambes
fléchies à angle droit sur les cuisses, bras gauc
.. se met en sirène, couchée sur le côté gauche et sur le ventre, les
jambes
fléchies sur les cuisses, etc. Regard effrayé; pu
ravers de la partie supérieure de la poitrine, le mot août sur chaque
jambe
, Salpêtrière sur le ventre. Une bande érythémateu
ssinent en relief; ces phénomènes apparaissent plus lentement sur les
jambes
que sur la poitrine et le ventre. 1er septembre
inférieur, a presque tout à fait disparu. Il n'y a plus rien sur les
jambes
. Hier, W... s'est cachée jusqu'à onze heures du s
e le cherche. 2° Visage souriant. Paupières fermées. Mouvements des
jambes
: « Mais non, je ne sens rien. » Rit, se tortille
es prodromes ordinaires, la malade devient entièrement rigide : les
jambes
sont allongées et rapprochées ; les bras sont rig
eur, facile à vaincre et conservent l'attitude qu'on leur impose, les
jambes
pendant 5 minutes, les bras durant 8 minutes. O
ousses dans les membres du côté gauche, des inquiétudes dans les deux
jambes
, principalement la gauche ; elle s'imagine aussi
persiste. — Après s'être assuré de l'existence de l'anesthésie sur la
jambe
gauche, on applique un collier de plaques de zinc
en 15 minutes. 14 janvier. — Application des plaques de zinc sur la
jambe
gauche (9 h. 1/2). A 10 3/4, la sensibilité comme
sibilité a reparu à droite, l'anesthésie a envahi de nouveau toute la
jambe
gauche. —A 10 heures et demie, application de pla
... est tourmentée encore par des fourmillements dans les doigts, les
jambes
; elle a des impatiences dans tous les membres.
ques secondes après l'excitation. La malade est très faible sur ses
jambes
; elle oscille en marchant. Elle tremble beaucoup
a cire. — Pendant la nuit, douleurs dans les mains, les poignets, les
jambes
, les mollets; crampes dans les plantes des pieds.
supportable sur les bras, reste très douloureuse sur le tronc et aux
jambes
. Langue saburrale, tremblante, ainsi que les lè
sucre ni albumine dans les urines. Le tremblement des mains et des
jambes
est encore très marqué. — T. R. 38°. — Soir : T.
ves, elle voyait le diable. « Il était grand, avait des écailles, des
jambes
terminées par des griffes; il étendait les bras c
encore et pour laquelle elle est entrée à l'hôpital Lariboisière. Les
jambes
étaient rigides. Là, on lui a fait des cautérisat
igides. Là, on lui a fait des cautérisations avec le fer rouge sur la
jambe
gauche. Pendant son séjour, les genoux ont été le
tenir debout. La paralysie est plus prononcée à gauche. A droite, la
jambe
étant fléchie, si on demande à la malade de l'all
centimètres à gauche, 44 à droite), aussi contrastent-elles avec les
jambes
qui sont amaigries presque uniformément et ont un
l. La malade a souvent des secousses à peu près également dans les
jambes
et dans les bras, secousses qui la font sauter et
tres. La surcharge graisseuse est générale ; proportionnellement, les
jambes
et les cuisses sont moins développées. H... man
s. Le cou-de-pied est souple. Le genou est raide; quand on fléchit la
jambe
sur la cuisse, on éprouve une certaine résistance
s fois, les craquements persistent. — La hanche est libre. Les deux
jambes
sont dans l'extension avec tendance à l'adduction
contracture générale persiste; elle est plus marquée aux bras qu'aux
jambes
et à la jambe gauche qu'à la droite. Les selles e
nérale persiste; elle est plus marquée aux bras qu'aux jambes et à la
jambe
gauche qu'à la droite. Les selles et les urines s
ral. Durant les deux derniers jours, elle a eu des secousses dans les
jambes
et dans le bras gauche qui est engourdi ; — dans
s, qui étaient dilatées, se contractent promptement. Nystagmus. — Les
jambes
ne sont plus rigides, mais simplement raides. 1
he. — Même état des membres inférieurs. De temps en temps, les deux
jambes
sont prises spontanément de trépidation. Parfois,
n. Parfois, pour la provoquer, il suffit de soulever l'une ou l'autre
jambe
. La sensibilité est abolie sur tout le corps, s
e au niveau des malléoles..... 33 c. 5 33 c. 5 Pendant l'examen, la
jambe
gauche est prise spontanément de trépidation. La
étant placé sur le front, ou le ver-tex, l'autre sur le rachis ou la
jambe
droite, nul résultat. La malade présente une iner
eux éléments humides, les électrodes placés sur le front et l'une des
jambes
, sans produire aucun effet appréciable 1. 1879.
é le lit depuis dix-huit ans. Il en est résulté un amaigrissement des
jambes
et un certain degré Xatrophie musculaire. Les pie
t le dos jusqu'à l'extrémité du corps et en continuant le long de ses
jambes
jusqu'aux pieds avec l'intention de maintenir l'é
jet soit endormi. Alors, vous faites des passes sur les genoux et les
jambes
, pour attirer le fluide en bas, suivant l'express
e chaise, ensuite on frictionnedes muscles du dos, des cuisses et des
jambes
, et on place les pieds sur une deuxième chaise :
bras, etc.. ; — on détermine des contractures variées des muscles des
jambes
, des pieds, etc. (pieds-bots artificiels.) — En e
'en a pas souvenance. Elle se plaint de fatigue, de douleurs dans les
jambes
, d'envie de dormir, de douleurs dans la tête, de
rçus ni d'un côté ni de l'autre, sauf au niveau du pied gauche, de la
jambe
et du pied à droite. — La muqueuse des conduits a
et dans l'attitude de la sirène : elle est couchée sur le ventre, les
jambes
fléchies vers le dos, les mains portées en arrièr
, elle se réveille tout d'un coup, comme s'il y avait un effort. (Les
jambes
ne tournent pas.) Après avoir endormi S... et l
ié droite du sque- lette est malade, frappée au niveau des os de la
jambe
, de la cuisse, de la rotule, du bassin, et des
ses membres inférieurs à l'air extérieur, la main appliquée sur la
jambe
gauche, saine, a une sensation de frais; sur la c
une sensation de tiède, et une sensation de chaud, au niveau de la
jambe
du même côté (très malade). La température es
l'autre malade. La malade peut marcher ; elle le fait sans que ses
jambes
ne se croisent « en ciseaux » ; mais le membre
de sabre » (Lannelongue). Sur les radiographies comparées des deux
jambes
, on voit manifestement que l'un est sain, tandi
surélevée par rapport à celle du côté opposé ; en réalité toute la
jambe
droite est plus chaude que la gauche, mais à un
il y a 5 degrés de différence de température locale entre les deux
jambes
.Et pourtant, nous voulons insister sur ce point,i
ilogrammes à droite ainsi qu'à gauche. Seuls les fléchisseurs de la
jambe
sont moins énergiques à droite que du côté oppo
e peut marcher que si on la soutient sous les bras : elle lance les
jambes
, celles-ci sont très faibles et fléchissent.
tement impotente et ataxique, racontant qu'elle s'était fracturé la
jambe
gauche deux ans au- paravant, et qu'un premier
ait de même impossible, non cause de phénomènes douloureux dans les
jambes
, mais en raison de l'oppression et de la douleu
r vite ou longtemps, il ressentait des douleurs très vives dans les
jambes
et les pieds : ces- douleurs deve- naient si vi
es ou- vriers employant la machine à coudre, et qui avaient dans la
jambe
correspondante une crampe professionnelle. Re
rtaine angoisse, et il ressent des fourmil- lements jusque dans les
jambes
. La crampe, et l'angoisse, cessent dès qu'il lâ
ras et même les doigts ; elle peut aussi fléchir sa cuisse gauche, sa
jambe
,son pied, leur donner des mouvements d'adductio
nablement de sa main et de son bras droit. En marchant, il traîne la
jambe
, qui est légèrement contracturée, et décrit un
nuée. Les autres appareils ne sont pas touchés. Le malade traîne la
jambe
en marchant ; les doigts de la main et l'avant-
aissance, la mère s'aperçut qu'il avait une très grosse tête et les
jambes
et les bras très courts. Il se développa normalem
un adulte normal, le dos plat, la lordose lombaire, les bras et les
jambes
extrêmement courts, très musclés, les pieds et
39 Les cuisses sont courtes, épaisses, un peu arquées en avant, les
jambes
courtes massives, légèrement arquées en dehors
é par le développement énorme des muscles delà région externe de la
jambe
. A gauche il y a un faux aspect de genu valgum
ulations iléo-fémurales. Les muscles des fesses, des cuisses et des
jambes
sont extrêmement dévelop- pés, forts et tonique
côté ; bientôt cette douleur augmenta d'intensité, remonta dans les
jambes
, et se manifesta dès que l'artiste voulait repr
un tourneur (obs. CCV) chez lequel les fléchisseurs du pied sur la
jambe
se contracturaient dès qu'il l'appliquait sur la
ut varus équin, malgré la conser- vation des masses musculaires des
jambes
. La main gauche est très atrophiée, surtout l'é
hiques. Début ! 'age de 16 ans par l'épaule et le bras droit. Puis,
jambe
gauche et les autres membres. Actuelle- ment, i
ns le triceps. Les membres inférieurs sont ankylosés en flexion, la
jambe
formant avec la cuisse un angle de 90°. L'atrop
nt le siège de rétractions avec ankylose du genou, et flexion de la
jambe
sur la cuisse. Le faciès ne présente pas d'altéra
quadriceps et de la racine du membre ; l'enfant ne peut étendre la
jambe
sur la cuisse et l'angle formé par les deux seg
e bassin, mais ne peut être étendue complètement. Les muscles de la
jambe
sont mieux conservés, ou ne peut obtenir de réfle
Pour s'asseoir, il se fléchit à angle droit sur ses cuisses et ses
jambes
où ses mains prennent point d'appui pour limiter
siège, puis il relève le tronc en grimpant de ses mains le long des
jambes
. Enfin s'il est couché il se place sur le ventr
eds. Lorsqu'il les a atteints il grimpe pareillement le long de ses
jambes
. L'examen électrique qui fut fait l'époque par
reste assis sur une chaise où on est forcé de le faire asseoir, ses
jambes
se refusant à porter le corps qui se dérobe sur
ieure ; dans le lit elles sont en flexion et abduction totale ; les
jambes
caractéristiques par le volume des mollets sont
cuisses sont en demi-flexion sur le bassin, flexion iden- tique des
jambes
s'accompagnant d'abduction extrême ; les deux pie
- lement réduite. Le malade ne peut ni marcher, ni se tenir sur ses
jambes
. Dans le lit il peut simplement mobiliser certa
. Le pied a conservé ses mouvements de latéralité, par rapport à la
jambe
il peut exagérer un peu son extension, mais tou
tendu et saillant. Les mouvements de la cuisse sur le bassin, de la
jambe
sur la cuisse ont presque totalement disparu, i
l'hypertrophie empiète du reste sur la partie latéro-externe de la
jambe
, on la retrouve à la partie interne du triceps,
la pseudo- hypertrophie et l'atrophie réparties inégalement dans la
jambe
et la cuisse, les troubles trophiques des extré
: il remarqua en effet que sa démarche devenait pénible et que ses
jambes
prenaient une attitude vicieuse. Sa jambe gauch
enait pénible et que ses jambes prenaient une attitude vicieuse. Sa
jambe
gauche fut la première à se déformer. Quelque t
avec sa bosse un peu déviée du côté gauche, sa tête en poire et ses
jambes
courbées en dedans. Ce n'estqu'en examinant le
d, de même l'omoplate est plus volumineuse, le bras plus long et la
jambe
plus déformée. A part cette exagération de la d
e d'une ellipse. Par leur incurvation antérieure les cuisses et les
jambes
sont courbées en avant. Cette déformation est s
n avant. Cette déformation est surtout accentuée à .a hauteur de la
jambe
où le tibia rappelle beaucoup la déformation en
tons ici (PI. XXXIII) on peut faire les mêmes remarques que pour la
jambe
, mais il s'agit en tout cas d'un degré d'altéra
euse du côté gauche. En effet le thorax, les épaules, les bras, les
jambes
et les mains sont nettement plus altérés du côt
ulement au dos du pied, mais également à la partie inférieure de la
jambe
. Cet oedème n'est pas dépressible ; il est moins
mnie presque complète. Sous l'influence de l'alitement continu, les
jambes
et les pieds oedématiés ont diminué de volume,
; hallucinations auditives ; asthénie neuromusculaire. L'oedème des
jambes
est très prononcé. Ni sucre, ni albumine dans les
voix qui lui disent qu'elle est sale, malpropre, etc. L'oedème des
jambes
forme un bourrelet de deux centimètres environ
re séparée des régions voisines par des sillons très profonds. A la
jambe
, l'oedème ne commence qu'a la partie moyenne et
étrique aux deux membres inférieurs, mais il est plus accentué à la
jambe
droite. La peau est de couleur rosée et d'une tem
partie moyenne 38 centimètres ; celle de la partie inférieure de la
jambe
droite 49 centimètres. La circonférence du pied
moyenne est de 37 centimètres ; celle de la partie inférieure de la
jambe
gauche de 39 centi- mètres (La planche XXXVI re
i- veau des orteils et des pieds, mais à la partie inférieure de la
jambe
l'in- filtration va en progressant de haut en b
depuis 15 ans ; en 1896, elle a été atteinte d'une paralysie de la
jambe
droite qui est surve- nue progressivement ; au
t surve- nue progressivement ; au début, elle traînait un peu cette
jambe
, puis la pa- ralysie a progressé lentement, pen
tout le tégument, plus accentuée à la face antéro-externe des deux
jambes
. Il n'existe pas de zone d'anesthésie complète.
un ulcère de la cornée de l'oeil droit, s'est accrue. La peau de la
jambe
droite est le siège d'une manifestation icthyos
6°5-37°5). Dès ce moment la malade accuse de vives douleurs dans la
jambe
gaucho qui aurait été fortement con- tracturée.
e dos, les cuisses en légère flexion d'abduction sur le bassin, les
jambes
en légère flexion sur les cuisses, les pieds en s
t les jours suivants ; les douleurs diminuent légère- ment dans les
jambes
; l'incontinence urinaire et fécale persiste. E
l'état de la malade reste stationnaire ; les mouvements étendus des
jambes
restant impossible, les troubles vésicaux persist
scles, dégénérescence surtout accentuée au niveau des muscles de la
jambe
. Nous signalerons comme lésions caractéristique
par les atroces douleurs du début et la contracture initiale de la
jambe
gau- che. Aux lésions interstitielles succédaie
maladie, et de plus un cas (très léger, seulement une parésie d'une
jambe
, qui a disparu en peu de temps) dans l'automne
d elle a quitté le lit, les parents ont observé qu'elle traînait la
jambe
droite. Le 26 mars une ponction lombaire était
re le 20 août 1907. Le lendemain elle ne pouvait s'ap- puyer sur la
jambe
droite. Il n'y a jamais eu de raideur de la nuque
échi. Le 22 janvier, au matin, il ne pouvait plus s'appuyer sur ses
jambes
et leur incompétence musculaire a augmenté dans
vait des vomissements et il a remarqué pendant la même nuit que ses
jambes
étaient faibles, quand il a essayé de quitter l
ouleurs. Quelques jours après il a res- senti des douleurs dans les
jambes
et a observé aussi une faiblesse des jambes. Le
nti des douleurs dans les jambes et a observé aussi une faiblesse des
jambes
. Les douleurs ont persisté trois semaines, mais
lus prononcée pour ces derniers. La malade ne peut se tenir sur ses
jambes
, si on ne l'y aide pas. Il y a une lordose de la
s le même temps des secousses involontaires appa- raissent dans les
jambes
. Le 19 novembre, nous constatons pour la premiè
ctile est un peu diminuée au pied droit et à la face externe de' la
jambe
droite. En même temps la per- ception des mouve
ais jamais de contacts légers (comme ceux faits avec du coton). Aux
jambes
également elle sent quelquefois des contacts asse
ique où il suffit de frôler avec le drap ou de saisir légèrement la
jambe
avec la main pour provoquer de fortes contrac-
près le début de la maladie), il y a encore quelques mouvements des
jambes
qui provoquent des douleurs. Si la rai- deur de
ques se sont présentés dans 5 ; sur les 7 cag avec parésie des deux
jambes
, ces symptômes étaient présents dans 4, et sur le
ent tombé malade le 8 juin avec des douleurs intenses dans les deux
jambes
; aussi en même temps la céphalalgie devenait trè
au lit, elle peut sans trop de diffi- cultés étendre et fléchir ses
jambes
; mais la résistance musculaire aux mouve- ment
rrurier, entre à l'hôpital St-Louis, pour un ulcère variqueux de la
jambe
gauche. , L'attention est appelée immédiatement
Rappelons la présence de varices, qui sont la cause de l'ulcère de
jambe
pour lequel le sujet est entré à l'hôpital. O
s une disproportion très évidente entre la longueur exagérée de ses
jambes
et le développement du tronc. On est de même to
on avec le tronc ; il n'y a pas disproportion entre la cuisse et la
jambe
qui sont toutes les deux très lon- gues. La rég
t lourd et épais ; il est plus en disproportion en comparaison à la
jambe
de ce qu'est la main comparée au bras. Le talon
dont l'interprétation n'est pas douteuse. Les radiographies de la
jambe
et du pied nous montrent aussi une très nette d
nt est exa- géré en rapport à celui des autres os du torse et de la
jambe
. A cet égard, nous ferons même observer que les
e la jambe. A cet égard, nous ferons même observer que les os de la
jambe
sont au niveau du cou-de-pied très minces en ra
lade ne peut pas lever les bras jusqu'à la verticale ; il lève les
jambes
au lit ; la sensibilité est conservée dans la r
ou faible. Tous les réflexes distendus, aussi bien aux bras qu'aux
jambes
, sont exagérés, surtout du côté gauche. Léger c
piration, une diminution : de la sensibilité, des douleurs dans les
jambes
, sans lésions des grandes articulations. On note
ctile et à la douleur sur le gros orteil, sur la face interne de la
jambe
et sur une bonne partie de la face plantaire du
ençait à réapparaître vers le bas et, de- puis le tiers moyen de la
jambe
jusqu'au pied tout entier, cette sensibilité étai
conférence en moins, du côté gauche, au niveau du tiers moyen do la
jambe
quatre centimètres en moins, au détriment du mê
antaire des pieds. Aux vibrations du diapason : hypoesthésie sur la
jambe
droite et, d'une façon moins évidente sur la pl
it : en marchant et en courant nous faisons vibrer le squelette des
jambes
. Ces vibrations agiraient comme un excitant d'o
ncher, il glissa et tomba ; peu après,vers le tiers inférieur de la
jambe
se forma une plaie qui suppura et dure encore.
extension. La rotule est mobile. Au tiers médian et inférieur de la
jambe
, la peau pré- sente sur une certaine étendue un
tre membre inférieur. La force est relativement conservée : avec la
jambe
droite il soulève 14 ki- logrammes, avec la gau
e l'étiologie syphilitique de l'os- téite, c'est l'ulcération de la
jambe
; sa longue durée, sa grande surface, sa situat
un examen plus attentif sa localisation au tiers in- férieur de la
jambe
, alors que les ulcérations syphilitiques se trouv
e de Lippi. Je m'arrêterai peu sur les images radiographiques de la
jambe
et du bras droit parce que des résultats vraime
des altitudes catatoniques et cataleptoïdes. Il garde les bras, les
jambes
dans les positions les plus incommodes pendant lo
inférieur droit au niveau du genou, de la face antéro-externe de la
jambe
et du deuxième orteil. Ces troubles trophiques
ueur. Sa largeur est un peu moindre. La région antéro-externe de la
jambe
droite est le siège des troubles les plus accus
sont encore apparentes. L'ulcération de la face anté- rieure de la
jambe
droite a déterminé une cicatrice nacrée de 3 cent
tilité des mem- bres inférieurs est mieux conservée ; cependant, la
jambe
gauche est plus faible que l'autre. Le réflexe
ymptôme de Kernig est très peu déve- loppé ; car on peut relever la
jambe
, avec le genou étendu, de façon à former un ang
tact et à la douleur semblait émoussée au niveau des cuisses et des
jambes
, mais l'émotivité et le défaut d'attention de l
et le début de l'affection. D'après le père, l'enfant, très gros, aux
jambes
cerclées, n'aurait jamais pu marcher de façon p
nférieurs, devint plus pénible encore par suite de la raideur de la
jambe
droite : l'enfant traînait le pied droit. Depui
eur droit. Dans la station debout, l'enfant se porte surtout sur la
jambe
gauche. La main droite est froide et cyanosée.
it et n'étend qu'avec une certaine difficulté les avant-bras et les
jambes
. En effet, on constate dans les fléchisseurs et d
dans les fléchisseurs et dans les extenseurs des avant-bras et des
jambes
, pendant les mouvements passifs, un léger dégré
membres inférieurs la force des fléchisseurs de la cuisse et de la
jambe
est presque nulle, tandis que celle des extenseur
avec le tiers antérieur de la plante du pied droit. Il traîne cette
jambe
en marchant, il présente pendant la marche aussi
s en flexion. On constate une atrophie générale, plus prononcée aux
jambes
où les mollets sont presque complètement dispar
ue complètement disparus. On ne peut pas complètement défléchir les
jambes
, la rétraction des muscles fléchisseurs s'y oppos
Aux membres inférieurs il exécute avec difficulté la flexion de la
jambe
, son extension est incomplète. Dans l'articulat
arche. Le malade ne peut marcher que soutenu, et alors il tient les
jambes
fléchies aux genoux et les pieds écarlés. Le pied
ude en flexion, c'est-à-dire la cuisse fléchie sur l'abdomen, et la
jambe
sur la cuisse. Mais cette attitude n'est pas fi
La circonférence de leurs différents segments est la suivante : La
jambe
, à 12 centimètres de la malléole externe : D. 24
e la malléole externe : D. 24 centimètres ; G. 23 centimètres. La
jambe
, à 20 centimètres de la malléole externe : D. 29
yant à la rampe et en se sou- levant plus avec ses bras qu'avec ses
jambes
. Ces troubles diminuent dans les journées froid
Membres inférieurs. - Pas d'attitudes vicieuses des cuisses et des
jambes
. Dans les pieds on voit que la concavité de la
upérieur de la rotule). D t 32 centimètres. G : 33. Circonférence
jambe
(15 cm. au-dessous du bord supérieur de la rotule
soulèvement des membres inférieurs, le patient ne peut pas tenir la
jambe
sur la même ligne que la cuisse, mais forme avec
e est plus soulevée. Le patient ne peut pas étendre complètement la
jambe
sur la cuisse, mais il peut la fléchir entièrem
complète. La force muscu- laire dans la cuisse est modérée; dans la
jambe
elle est presque nulle pour le mouvement d'exte
D : 29 centimètres ; G : 31 centimètres de circonférence. Pour la
jambe
, 15 centimètres au-dessous du bord inférieur de l
Il réussit avec peine à étendre un peu et à fléchir quelque peu la
jambe
. Il ne peut pas mouvoir les pieds (excepté une
t peut développer dans les mouvements possibles (des cuisses et des
jambes
), est très faible. MU 43 654 ALESSANDRINl D
isit des deuxcôtés une paralysie de quelques muscles antérieurs des
jambes
et du pied et par conséquent un pied en griffe
mença à se produire une atrophie associée à parésie des muscles des
jambes
et des cuisses surtout à droite ; ce trouble s'
lieu furent ceux qui étaient voisins des paralysés (les muscles des
jambes
). L'atrophie musculaire peut encore atteindre o
A l'âge de 35 ans il se produisit une parésie avec atrophie dans la
jambe
homonyme, associée à des atrophies du del- toïd
émiplégie spastique, mais où il est noté que la circonférence de la
jambe
paralysée était de deux centimètres et demi plu
utre membre inférieur par suite d'une poliomyélite ; cette dernière
jambe
était atrophique el flasque, toutefois le réfle
ures. Au commencement de septembre, il a senti des dysesthésies aux
jambes
et aux pieds, des sensations de fourmil- lement
une diminution de l'excitabilité très marquée pour les muscles des
jambes
, mais nettement développée aussi pour les autre
le courant induit, est très diminuée, surtout pour les muscles des
jambes
. Aux muscles interosseux des mains on ne peut o
orce pour faire l'extension du genou ne peut vaincre le poids de la
jambe
. Tous les mouve- ments des cuisses sur le bassi
qu'avec des béquilles et n'ait pu se servir que très-faiblement de la
jambe
gauche, qui appuyait un peu à terre quand il se r
illie très-accusée en avant et en dedans. Diamètre du genou, 0m,29.
Jambe
. On ne sent pas la crête du tibia, évidemment émo
29. Jambe. On ne sent pas la crête du tibia, évidemment émoussé. La
jambe
paraît un peu plus grosse que la cuisse. Les musc
des plus accu-sées, apparence du pied de Chinois (voy. Planche 1); la
jambe
est assez fortement fléchie sur la cuisse et ne p
ien qu'elle lui a rendu et lui rendrait moins de services que l'autre
jambe
, laquelle peut être étendue. Côté gauche. Quelq
...... 32 — Longueur du pied................. 19 — Diamètre de la
jambe
.............. 22 — Diamètre de l'articulation t
ale forme une convexité en avant. Quoique bien fortement atteinte, la
jambe
gauche est moins complètement compromise que la d
trophie musculaire plus ou moins complète. L'action des muscles de la
jambe
sur le pied est à peu près abolie; à peine les or
e légers mouvements de flexion et d'extension. Les fléchisseurs de la
jambe
sur la cuisse et les adducteurs de la cuisse, le
nnait l'examen précédent : Des deux côtés, les muscles du pied, de la
jambe
, delà cuisse, qui se remuaient sous l'influence d
constata que les muscles du côté gauche de la face, du bras et de la
jambe
gauches, étaient dans un état de mouvement contin
enir debout ou de marcher. Au moment de son entrée à l'hôpital, ses
jambes
, ses bras, et le tronc étaient le siège de mouvem
déformations essentielles, boitaient à peine et se tenaient sur leurs
jambes
une bonne partie du jour, il dit même avoir vu qu
'abord par un sentiment de chaleur commençant le plus souvent par les
jambes
et s'étendant ensuite au reste du corps, s'accomp
ier accident, elle fut prise subitement de roideur dans le bras et la
jambe
du côté droit : ces membres étaient contractures,
dont l'état était désespéré. Il avait une fracture comminutive de la
jambe
gauche avec suppuration abondante : depuis huit j
ent sur le dos, la tête légèrement relevée, la bouche ouverte ; les
jambes
fléchies et écartées doivent reposer, non pas sur
ans l'accomplissement des mouvements de flexion et d'ex-tension de la
jambe
sur la cuisse. Au mois d'avril 1871, c'est-à-di
orps de l'os ; de là, elle s'étend jusqu'à la partie supérieure de la
jambe
, après avoir envahi l'articulation du genou. En a
malléoles, ainsi que la dilatation variqueuse de quelques veines delà
jambe
de ce côté. La marche n'est pas absolument impo
lique le peu de gène sur-venu durant la vie dans la circulation de la
jambe
malade. Voyons maintenant ce qu'est devenue l'a
disons en terminant que le poids de cette énorme masse, y compris la
jambe
, était de 17 kilogrammes. Examen histologique d
Ciiarcot) à la suite d'une affection thoracique. — Elle portait à la
jambe
droite une fracture non consolidée, datant de l'â
gauche et la cuisse droite ayant acquis un dé-veloppement normal, la
jambe
de ce côté contraste avec eux par son petit volum
des mouvements fort restreints. Le pied, constamment fléchi sur la
jambe
, ayant subi un mou-vement de torsion sur son axe
rès-notable-ment aminci. État des muscles. — Tous les muscles de la
jambe
présentent une coloration jaune très-prononcée ;
ains points, et en rapport avec la flexion perma-nente du pied sur la
jambe
; les deux facettes articulaires antérieures s'ava
ire présentent à peine cet état graisseux si prononcé dans ceux de la
jambe
. GRIFFE CONSÉCUTIVE A UNE LÉSION TRAUMATICHE DU
servir pour manger; il ne peut porter sa fourchette à sa bouche. Les
jambes
sont agitées d'un tremblement considérable; le ma
l'intoxication mercurielle. 11 s'aperçut d'abord que ses bras et ses
jambes
perdaient de leur force; puis ses bras commencère
n tel degré qu'il ne pouvait presque plus se servir de ses mains. Ses
jambes
n'étaient atteintes que d'un tremblement léger. L
ne prend que difficilement son verre pour le porter à sa bouche. Ses
jambes
tremblent également beaucoup, il y éprouve parfoi
s ; le tremblement a un peu diminué dans les membres supérieurs ; les
jambes
tremblent toujours beaucoup. 15 mai. Les mains
mains ne tremblent presque plus après 13 bains ; l'amélio-ration des
jambes
est moins sensible. \0 juin. Le malade marche m
cher de sa bouche. Cependant il n'avait encore rien ressenti dans les
jambes
; il allait et venait comme d'habitude. Mais le 1
comme d'habitude. Mais le 17 janvier, lorsqu'il voulut se lever, ses
jambes
refusèrent de le porter et il tomba par terre. Il
porter et il tomba par terre. Il n'avait rien éprouvé d'anormal ; ses
jambes
étaient agitées d'un tremblement très-violent que
e se servir de ses deux mains pour porter son verre à sa bouche ; les
jambes
ont été épargnées, et c'est à peine si on y aperç
es instants, il lui fut impossible de se tenir de-bout; ses bras, ses
jambes
étaient agités d'un tremblement violent. Pen-dant
ui rendait la préhension des objets difficile et même impossible. Ses
jambes
tremblaient également beaucoup, la malade ne pouv
lé quelques jours, quelle fut reprise de tremblement. Les bras et les
jambes
tremblaient autant que la première fois. Elle ren
ldès. Cet enfant est porteur d'une malfor-mation rare, intéressant la
jambe
et le pied du côté droit et diffé-rant des cas or
Description de la malformation. — La difformité porte surtout sur la
jambe
et le pied droits. La cuisse de ce côté offre un
outefois les surfaces ar-ticulaires ne paraissent pas déformées. ha
jambe
droite est notablement plus courte que l'autre '.
cal d'une ancienne fracture. Par le fait de cette incur-va! ion de la
jambe
en arrière, le tendon d'Achille fait une forte sa
ent et un peu en dehors, on arrive sur le péroné. Les deux os de la
jambe
paraissent avoir subi une sorte de torsion et, au
ition du pied, qui est tout à fait déjeté en de-hors et forme avec la
jambe
un angle presque droit, la face plan-taire regard
à la longueur de l'autre ; ce qu'il fait en fléchissant fortement la
jambe
sur la cuisse, mais ce moyen est très-fatigant et
28 ans, fut admis à l'hôpital pour des ulcé-rations ecthymateuses des
jambes
remontant à dix mois. La dernière siégeait sur le
s petites taches purpurines sur les pieds et la partie inférieure des
jambes
. Il y avait, en outre, depuis la veille au soir,
en outre le siège de varicosités nombreuses, sur-tout au niveau de la
jambe
et du pied. Dans ces régions, les veines superfic
ux à la hauteur du menton, les membres supérieurs croisés au-tour des
jambes
et prenant sur elles un point d'appui. La malade
malgré la cessation de la rigidité cada-vérique, la flexion des deux
jambes
n'en persiste pas moins. Les muscles uniformément
DE LA JAMBE CLINIQUE CHIRURGICALE HYPERTROPHIE CONGÉNITALE DE LA
JAMBE
ET LIPOMES MULTIPLES notes recueillies par m. p
ency. Il est atteint d'une hypertrophie générale et congénitale de la
jambe
gauche qui, à son dire, a un peu augmenté dans ce
qui, à son dire, a un peu augmenté dans ces dernières années. Cette
jambe
est le siège d'une tuméfaction très-considérable,
ur, comme on peut s'en con-vaincre en piquant successivement les deux
jambes
avec une épingle. En un certain point, au-dessu
phie considérable semble s'arrêter à l'aponévrose superficielle de la
jambe
. Toutefois le squelette est aussi notable-ment hy
g du côté malade que du côté sain. Il en résulte un allongement de la
jambe
qui est parfaitement évident sur la Planche XXII
mbe qui est parfaitement évident sur la Planche XXII ; on voit que la
jambe
droite est certainement allongée ; le malade est
'ailleurs les mesures qui ont été prises comparativement sur les deux
jambes
: Distance du bord supérieur de la rotule à la
plantaire........... Circonférence du genou.............. — de la
jambe
au tiers supérieur . . , . — — au tiers inférie
rie quelque-fois beaucoup. La sensibilité persiste dans le bras et la
jambe
gauches. 7 septembre. — Les accès deviennent pl
eur droit est moins paralysé que le bras : V... fléchit et allonge la
jambe
, mais il ne lui est pas possible de se soutenir s
ision est moins nette. En même temps la marche devient difficile, les
jambes
fléchissent et ne peuvent plus porter le malade.
ade s'en préoccupât, car durant le jour il était calme. Peu à peu les
jambes
commencèrent à s'affaiblir, et un matin, en se le
lui est arrivé de tomber plu-sieurs fois dans la suite, parce que ses
jambes
ne pouvaient plus le porter, mais sans qu'il eût
avantageux. Chez la femme atteinte de contracture hystérique dans la
jambe
droite, la contracture était tellement forte, que
oici les principaux points qui ont été améliorés : la sensibilité des
jambes
est plus grande, les mouvements lorsqu'elle est c
nt plus faciles et plus éten-dus, et elle peut mieux se tenir sur ses
jambes
. Les actions réflexes, qui étaient très-prononcée
rouve de soubresauts. Enfin elle peut mieux retenir ses urines et ses
jambes
, qui étaient enflées tous les soirs, ne présenten
mois d'août dernier. Elle nous montre que la malade peut fléchir ses
jambes
et que les pieds sont revenus à peu près à leur s
vements sont plus fréquents pendant la nuit, et plus marqués dans les
jambes
que dans les bras; mais les douleurs ont disparu
monstrueux et n'avait pas de tête. Elle prétend qu'il remua les deux
jambes
aussitôt après sa naissance, et ne donna ensuite
tres, mais il est en demi-flexion de la cuisse sur le bassin et de la
jambe
sur la cuisse. Il est aussi en rotation en dehors
en dehors. Sa circonférence à la base est de 11 cent. 1/2. Les deux
jambes
sont terminées par des pieds bots valgus (voy, Pl
e l'utérus remontait jusqu'au sternum, le ventre était en besace; les
jambes
rectilignes et très-longues ne présentaient aucun
fœtal, noté par M. Bailly chez certaines rachitiques, sont, comme les
jambes
, très-longs et rappellent ceux des quadrumanes.
e levait et mangeait à son appétit. L'infiltration avait disparu. Les
jambes
s'étaient dégonflées très-rapidement. Elles ne pr
es injections, 112. Iodisme, 112. Iodure de potassium, 201. ë
Jambe
(Pseudarthrose de la), par Gom-bault, 145. L
70. Poulain, 253. Prépuce [voy. Epithelioma). Pseudarthrose de la
jambe
, par Gom- bault, 145. Psychologie morbide, par
des or-ganes génitaux ....... 141 Planche XV. Pseudarthrose de la
jambe
............ 143 Planche XVI. Myomede la grande
es inférieurs.....227 Planche XXII. Hypertrophie con-génitale de la
jambe
.....252 Planche XXIII. Epithélioma ul-céré de l
o- gression quoique lente s'effectue aussi bien, mais bientôt les
jambes
commencent à faiblir, elles plient sous le poids
En juillet 1888, sa mère remarqua des mouve- ments désordonnés des
jambes
, lorsqu'on essaya de la mettre de- bout. Dans l
e du dossier de son siège ou qu'on essaye de la faire tenir sur ses
jambes
. Il suffit d'asseoir l'enfant, le dos appuyé, ou
le en redressant la tête. La malade, assise et consciente, meut ses
jambes
les yeux ouverts, et sans incoordination, elle ne
e dans une sorte de fauteuil à roues, qu'elle fait avancer avec ses
jambes
et qu'elle deplace avec une grande agilité. 11
ontrariétés. Depuissix mois, elle a remarque une faiblesse dans les
jambes
, qui a augmenté beaucoup dans le dernier mois;
e. Tantôt spontané, tantôt pro- voqué par l'extension énergique des
jambes
ou par la percussion du membre ou le relèvement
pendant un an, avant qu'on remarque les mouvements désordonnés des
jambes
; il s'agit donc encore d'un début lent. Dans l
sième observation, une demoiselle a remarqué une faiblesse dans les
jambes
pendant cinq mois, qui, seulement le sixième mo
de la scissure de Rolando, ils sont combinés avec la flexion de la
jambe
et de la cuisse. Avec des excitations minima, o
in est indiqué par I, figures 5, 6, 7. Au-dessous du centre de la
jambe
, et en partie au-devant de lui, occupant le tie
'fiuger's Arehiu., 1883. Fig. 2. Arm bras ; - Head, tète ; - Leg,
jambe
; - Mouth, bouche ; Fool, pied ; Toes, orteils;
rdes vocales. Les centres pour la tête et les yeux, le bras et la
jambe
, s'éten- dent au delà de la marge de l'hémisphè
du pelvis ; en arrière, l'extension de la hanche, la flexion de la
jambe
et enfin, les mouvements du pied et des orteils
sont complètement séparés les uns des autres. Aucun mouvement de la
jambe
ne provient de l'excitation du centre de la fac
a face ni les mouvements de la face de l'excitation du centre de la
jambe
. Les centres de la jambe et de la face sont ain
de la face de l'excitation du centre de la jambe. Les centres de la
jambe
et de la face sont ainsi entièrement différenci
ons unies, c'est-à-dire la fonction des mouvements du bras et de la
jambe
ou du bras et de la face. La véritable explicat
du membre antérieur opposé. - 4, 1 éti-.tetiori et adduction de la
jambe
du côte opposé. - i, élesatlon de 1 ? ce flexion
. 7. - Hémisphère gauche du cerveau d'un lapin. 1, avancement de la
jambe
antvicure ou opposée -4, 4, rétraction avec adduc
ollets ; intéressant d'une façon prépondérante les extenseurs de la
jambe
, du pied et des orteils; rarement assez prononc
z vu s'avancer péniblement, appuyé sur deux cannes, boitant de la
jambe
gauche, il ne peut la détacher du sol qu'en se
partient à toutes les paralysies ou parésies des exten- seurs de la
jambe
. Mais vous avez constaté aussi que notre malade
u tremblant, indécis; la marche est donc très difficile, puisqu'une
jambe
est à demi paralysée et que l'autre est hésitan
ents, quelque- fois même avec un tremblement léger, surtout dans la
jambe
gauche. Mais, au lieu de survenir brusquement c
ifestèrent peu à peu, augmentèrent d'intensité de jour en jour à la
jambe
gauche et bientôt disparurent à peu près complè
la jambe gauche et bientôt disparurent à peu près complètement à la
jambe
droite. L'incertitude des mouvements était rapp
ts que le malade nous fournit à cet égard : « Tantôt je levais la
jambe
gauche comme si je marchais sur des oeufs, et je
ar terre, comme si elle ne m'avait pas appartenu. C'était comme une
jambe
paralysée. » Ces caractères, Messieurs, vous av
vous en assurer, subsistent aujourd'hui. Lorsque le malade lève la
jambe
gau- che (comme s'il marchait sur des oeufs), i
mme s'il marchait sur des oeufs), il steppe; et lorsqu'il traîne sa
jambe
, il a, comme il le suppose avec raison, une imp
pend inerte, comme dans la paralysie hystérique limitée à une seule
jambe
, et il est assez remarquable que la paralysie m
é des phénomènes rparétiques. Lorsque le malade steppe, il élève la
jambe
en contractant le triceps crural, le pied resta
triceps crural, le pied restant vertical et inerte ; il n'élève sa
jambe
d'ail- leurs que pour empêcher le pied (dont le
l s'agit de le ramener d'arrière en avant. Et lorsqu'il traine sa
jambe
derrière lui, c'est tout simplement parce que les
t impuissants eux-mêmes à exécuter le mouvement d'éléva- tion de la
jambe
. Ainsi, tantôt l'impuissance est limitée aux se
x seuls extenseurs du pied, en d'autres termes, aux muscles de la
jambe
, et alors le malade steppe; tantôt elle intéresse
t elle intéresse simul- tanément ces muscles et les extenseurs delà
jambe
, c'est-à-dire les muscles de la cuisse. Ce n'es
quelque temps, les muscles de la cuisse ne peuvent plus élever la
jambe
, le steppage devient impossible, le membre traîne
avez pu constater que la DES CENTRES TROPHIQUES DE LA MOELLE 161
jambe
gauche, dans son ensemble, a diminué de volume. I
ture (fig. 12), et représentant le sujet se tenant debout sur ses
jambes
raides. Les saillies du triceps crural, des jambi
oite. En d'autres termes, quoique le malade se tienne raide sur ses
jambes
, sa rotule tombe en quelque sorte, parce que le
Le repli n'existe pas à droite, parce que le malade peut raidir la
jambe
, c'est-à-dire contracter .on triceps. Il ' P. R
'autres termes, lorsque notre malade se tient debout, raide sur ses
jambes
, les muscles de sa cuisse droite sont contractés,
out trouble musculaire ; il regarde avec attention où il marche, sa
jambe
gauche est brusquement élevée par un ren- verse
tronc, et elle retombe non moins brusquement sur le sol ; enfin, la
jambe
droite, qui ne présente aucun de ces phénomènes
tteint, vous avez déjà pu faire la diffé- rence. Il ne lance pas la
jambe
en avant et il ne talonne pas : il steppe. Le r
. Le soin avec lequel le malade suit des yeux les mouvements de ses
jambes
n'appartient pas non plus en propre au-tabès. L
sibles ; la personne mise sur ses pieds s'affaise complètement, ses
jambes
sedérobent sous lui, comme dans le « Giving way
euxième observation. La personne soutenue pourra encore avancer ses
jambes
, en rappelant les mouvements que font les enfan
'exécution 2. - On sait généralement que la peur peut paralyser les
jambes
(schrecklaehmung).-Or, justement la peur est un
ure du corps pouvaient être excités de suite par l'irritation de la
jambe
opposée en arrière de la section, mais seulemen
e la section, mais seulement avec difficulté par l'irritation de la
jambe
du même côté. Pour que les impressions de la ja
irritation de la jambe du même côté. Pour que les impressions de la
jambe
opposée puissent produire facilement des mouvemen
vait aucun trouble de la sensibilité tactile ou douloureuse dans la
jambe
opposée le jour après l'opé- ration. Le plus lé
g. 25), il y avait une paralysie motrice * presque complète dans la
jambe
du même côté, mais la sensibilité n'était pas a
musculaire du mem- bre opposé; car s'il était capable de mouvoir sa
jambe
droite intentionnellement dans toutes les direc
ux étaient fermés, l'animal était tout à fait incapable de tirer sa
jambe
d'aucune position dans un but déterminé. Dans
tactile. Dans un cas3, le sens musculaire paraissait perdu dans la
jambe
paralysée, mais dans ce cas il y avait une anes
esthésie du bras du même côté et probablement aussi par suite de la
jambe
. Dans un, il semblerait qu'on n'ait fait aucune
e et du rectum. En avril 1889, il se plaignit d'une faiblesse de la
jambe
gauche qui se dissipa après quelques mois; à ce
jambe gauche qui se dissipa après quelques mois; à cette époque, la
jambe
droite fut prise et est restée atteinte, devena
ons de Clin, méd ? 1867, p. 45. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 263
jambe
droite est parétique et raide. Le réflexe patella
ès, exagéré et il y a une contracture marquée du pied. Dans cette
jambe
, toutes les genres de sensibilité sont normales.
vements qu'on communique à son membre. Il y a de la faiblesse de la
jambe
gauche et le réflexe patellaire est augmenté. I
ion. Dans un autre cas, le malade devient subitement paralysé de la
jambe
gauche et anesthésique à droite. Il a décou- ve
ésique à droite. Il a décou- vert ce fait par l'insensibilité de sa
jambe
gauche à l'eau chaude, que son autre jambe ne p
ar l'insensibilité de sa jambe gauche à l'eau chaude, que son autre
jambe
ne pouvait supporter. - A l'époque de mon exame
amen, un mois après l'attaque, il avait guéri de sa paralysie de la
jambe
gauche, mais à droite il était toujours insensibl
de la vie du bras droit (impotence absolue avec atrophie) et de la
jambe
du même côté (atrophie, simple parésie), à la s
chi presque à angle droit sur le bras et ne pouvait être étendu; la
jambe
était en extension sur la cuisse et ne pouvait
e put faire quelques pas hors de sa chambre. Elle « traînait » la
jambe
encore en octobre 1889. Lorsqu'on lui dit de mont
des maux de tête et des douleurs dans les extrémités, surtout à la
jambe
gauche, tellement violentes, qu'elles empêchaie
de douleurs dans les genoux, qu'il ne peut fléchir. Les muscles des
jambes
sont contractures. Cette contracture qui s'éten
Verre oranges Il se jette sur quelqu'un et fait des mouvements de
jambe
et de main comme s'il était à cheval. (Les hussar
lera, ça reprendra. On devrait lui mettre deux bâtons pour tenir la
jambe
droite... Ether. De nouveau, hallucinations d'a
s de vomissements, crachement de glaires.) Pincements des bras, des
jambes
. (Quand on agit sur le rûtéanes- tbésique, elle
ent qui me pique ! Un serpent, oui ! Holà ! Holà ! Piqûres sur la
jambe
. - Un rat qui me grimpe aux jambes. (Il remonte
ui ! Holà ! Holà ! Piqûres sur la jambe. - Un rat qui me grimpe aux
jambes
. (Il remonte ou redescend suivant la direction
ieds. Il gourmande vigou- reusement un spectateur qui regardait les
jambes
de la malade. Il la prend dans ses bras, la por
aces et des signes évidents de malaise. L'animal pouvait bouger ses
jambes
librement et saisissait solide- ment les objets
en général l'anesthésie affectait tout le côté opposé, face, bras,
jambe
et tronc. Donc on ne peut pas conclure à l'exis
la zone motrice de la convexité de l'hémisphère, les centres de la
jambe
, du pied et du tronc étant seulement partiellemen
A l'exception de légers mouvements de flexion de la cuisse et de la
jambe
, le membre inférieur droit était faible, et ie
re de Rolando de l'hémisphère gauche, produisit une paralysie de la
jambe
droite, sans trouble de la sensibilité, suivie
nts du tronc, les muscles de la hanche et quelques mouvements de la
jambe
. - Cependant, pour que ces mouvements soient en
s autres singes, un animal qui a subi l'opération reste courbé, les
jambes
et les pieds étendus (ou au plus les han- ches
çant en s'aidant avec les mains, et par la flexion des hanches, les
jambes
traînent à terre, la surface dor- sale des orte
D'où, dans la paralysie corticale, le bras est plus paralysé que la
jambe
et les mouvements distants» » du bras plus que le
es paralysies limitées ou une monoplégie de la face, du bras, de la
jambes
en rapport précis avec les résultats obtenus pa
par lésion du lobule paracentral, 15 de paralysie du bras et de la
jambe
par lésion du lobule paracentral et du tiers supé
re paralysé, mais cela disparut le jour suivant. Dans l'autre ', la
jambe
se gangrena après avoir pré- senté de l'anesthé
- senté de l'anesthésie. Des 15 cas de paralysie du bras et de la
jambe
par lésion du lobule paracentral et du tiers supé
sens de la localisation des doigts de la main droite, la face et la
jambe
entièrement normales. M. Horsley entre- prit un
ou aurait été complètement 30 CLINIQUE NERVEUSE. abolie. Dans les
jambes
, il avait des douleurs comme des éclairs qui pa
n corset de fer. Souvent aussi, il éprouvait des secousses dans les
jambes
qui se fléchissaient ou s'étendaient tout d'un
perdait plus ses urines et pouvait alors se tenir un peu sur ses
jambes
et s'en fut dans sa famille; mais là, au bout d'u
is là, au bout d'un mois, il fut repris de telles douleurs dans les
jambes
qu'il dut rentrer à l'hôpital de Toulon; on lui
s être trop fatigué; il se sentait seulement, le soir, toujours les
jambes
un peu raides, surtout au niveau des genoux, la
viron dix heures par jour. Au commencement de 1875, il sentit ses
jambes
devenir plus faibles, elles ployaient sous lui,
nt, il ne put reprendre son travail qu'au bout de quinze jours, les
jambes
étaient, elles aussi, devenues plus faibles. De
issements, cela durait quelques jours, puis disparaissait, mais les
jambes
étaient de moins en moins fortes. Puis les cris
ts. Etat actuel (13 juin 1883). Motilité. Le malade lève bien les
jambes
, étant dans son lit et frappe bien avec son pied
fermer les yeux, il tombe en arrière. La force des fléchisseurs des
jambes
semble un peu diminuée, celle des extenseurs de
isseurs des jambes semble un peu diminuée, celle des extenseurs des
jambes
est normale, les fléchisseurs et extenseurs des
aque crise a duré une journée. Le 5 avril, il peut se tenir sur ses
jambes
. et marcher un peu à J'aide de deux appuis. Dep
che du malade est nette- ment ataxique, il projette brusquement ses
jambes
en marchant. Le talon touche le sol un peu avan
démarche est incer- taine, mais il ne projette plus brusquement ses
jambes
et il ne frappe pas le sol ; le mouvement de re
pe pas le sol ; le mouvement de ressort est très léger; il sent ses
jambes
plus fortes et peut faire une heure de chemin san
gardé le lit à peu près un mois ; à cette époque, il a eu dans les
jambes
des douleurs qui les parcouraient tout d'un cou
p, comme des éclairs. Au bout de ce temps, il a pu se tenir sur ses
jambes
, et marcher un peu, en s'aidant de deux appuis.
ois de septembre suivant, il n'avait plus aucune faiblesse dans ses
jambes
et faisait de longues courses sans se fatiguer. I
pour avoir un appui; il oscille quand il essaye de se tenir sur une
jambe
. Il ne peut, lorsqu'il marche, ni s'arrêter bru
des Observations XX et XXI est tout à fait typique : projection des
jambes
avec déviation latérale, coups du talon sur le
se tenir sur une D35 ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRE ? . 49
jambe
, l'impossibilité de s'arrêter brusquement ou de
- dérable de son syndrome tabétoïde, car il ne projetait plus ses
jambes
, il ne frappait plus le soi, le mouvement de re
us le soi, le mouvement de ressort était très léger, il sentait ses
jambes
plus fortes et pouvait faire une heure de chemi
flexes sont complètement abolis des deux côtés; la projection de la
jambe
qui suit chaque coup porté sur le tendon rotuli
s; quand on titille la plante de ses pieds, il no contracte pas ses
jambes
. Les picotements d'aiguille n'ont pas cessé de
de la main sur le tendon rotulien fait projeter deux, trois fois Ja
jambe
, parfois même provoque un petit mouvement d'add
s plus bizarres les plus hétéro- clites données à ses bras ou à ses
jambes
. Il y a là un moyen très sérieux de déjouer la
t diagnostic de l'insuffisance aortique; 2° fracture compliquée des
jambes
et signes, et diagnostic de l'érysipèle de la fac
ent à yeux clos; à quarante-cinq ans, douleurs lancinantes dans les
jambes
et hyperesthésie cutanée très prononcée; la même
ués plus haut, j'ai constaté l'absence du réflexe rolulien dans une
jambe
(dans l'autre l'examen était impossible à cause
s parties profondes des articulations atteintes qu'à la surface des
jambes
(dans ces dernières, la sensibilité à la températ
l, la malade souffrait de froid et de douleurs lancinantes dans les
jambes
, et d'une sensation de ceinture très marquée. P
orsqu'elle ferme les yeux, la malade tombe à l'ins- tant. Force des
jambes
parfaitement normale; pas d'atrophie. Sensibili
re assez normal. Réflexes rotuliens totalement abolis dans les deux
jambes
. (Je crois nécessaire de faire remarquer que tous
née. Souffre, depuis un an, d'après son dire, d'un malaise dans les
jambes
et depuis trois mois ne les meut qu'à grand'pei
ns et les extrémités supérieures sont dans un état normal. Dans les
jambes
, douleurs lancinantes et térébrantes, sensation
ypique très forte. Les réflexes rotuliens sont abolis dans les deux
jambes
. Antécédents. -La malade est mariée. Sept ans a
s du nerf sciatique ; ces douleurs se firent d'abord sentir dans la
jambe
droite.seulement ; parfois douleurs fulgu- rant
vient, quand ils sont clos, ataxique, surtout en ce qui concerne la
jambe
gauche et la malade chancelle ; le même fait se
fait se remarque lorsque la malade, couchée dans son lit, remue les
jambes
; elle ne peut arriver à poser son talon gauche
r l'ataxie, nous lui avons dit de faire. La force anus- culaire des
jambes
est intarte. La sensibilité, en toutes ses branch
e normale. Les réflexes rotuliens manquent absolument dans les deux
jambes
. Antécédents. Le père et la mère de la malade é
s dans les fesses et les reins et des douleurs déchirantes dans les
jambes
; dans ces dernières, se fait remarquer une sen
les yeux sont ouverts; quand elle les .ferme, la malade tombe.- La
jambe
gauche est la plus atteinte ; .dans la droite,
peau des fesses, où elle est réduite à zéro. Hyperesthésie dans la
jambe
droite ; dans la gauche, anes- thésie tactile d
dans la fesse gauche ; dans les endroits indiqués, et dans les deux
jambes
, analgésie; une piqûre fait l'effet d'un simple
iques. Exagération marquée de la sensibilité au froid dans les deux
jambes
. Les réflexes rotuliens manquent absolument.
e ou cinq ans de très violentes douleurs « rhumatismales » dans les
jambes
. Bientôt après l'apparition de la maladie, l'ab
rotu- lien fut constatée par les médecins. Etat actuel. Dans les
jambes
douleurs lancinantes terribles ne permettant pa
(, 1-Robert- son dans les deux yeux. Ataxie lors des mouvements des
jambes
, la malade étant au lit; cette dernière tombe l
thésie de la muqueuse du canal urinaire et du rectum. Dans les deux
jambes
, absence totale des réflexes rotuliens. Antécéd
mais cepen- dant la force est normale dans les bras comme dans les
jambes
. Contractilité électrique intacte. Ataxie très
rtson dans les deux yeux; par places, plaques d'anesthésie dans les
jambes
(analgésie sur- tout) ; dans d'autres endroits,
up aux crises néphrétiques. Réflexes rotuliens abolis dans les deux
jambes
. Antécédents. Lapatienle appartient à la classe
f ans, moment où appa- .rurent les douleurs a tiraillantes dans les
jambes
, la malade ne se plaignit de rien. Observatio
e, trente-six ans. En 1883, resseutitpour la première fois dans les
jambes
de violentes douleurs lancinantes typiques qui
; à part cela, elle marche bien. Quelquefois elle ressent dans les
jambes
, en même temps que les douleurs lancinantes, des
es d'hyperesthésie, et paresthésies de divers genres. Dans les deux
jambes
, analgésie extrême, retard dans la transmission d
la malade sent à peine le contact des objets chauds. Force dans les
jambes
excellente. Réflexes rotuliens totalement abolis.
appui. A midi, il peut mar- cher sans appui, traînant toutefois les
jambes
. Il a pu rendre seul ses urines. Enfin, le so
ment du casque, le plongeur est pris de douleurs constrictives à la
jambe
gauche et bientôt d'une hémiplégie gauche. Il n
pied à plat sur le lit en fléchissant la cuisse sur le bassin et la
jambe
sur la cuisse, on voit que, malgré lui, dès que l
ment (saillie du tendon), de sorte que le pied se fléchit sur la
jambe
, tandis que son bord interne s'élève (flexion dor
à s'appuyer sur le lit, tout disparait ; dès que le malade étend la
jambe
, la contracture reprend, et ainsi de suite cette
uite cette contracture est donc liée à l'extension volontaire de la
jambe
. P. K. III. Des modes d'examen ET D'L'TEltl't
ion. Après la coqueluche, il se développa une paré- sic d'abord des
jambes
, puis des bras, des muscles de la nuque et du d
ement de faiblesse parétique, mais même d'aucune faiblesse dans les
jambes
, de quelque nature que ce soil. Ajoutons que ÉT
c'est-à-dire depuis près de deux ans, la force dans les bras et les
jambes
n'a absolument pas varié et que maintenant comm
ytique. Lorsque I... est couché, il accomplit avec l'une et l'autre
jambes
les mouvements actifs par saccades, par secouss
ctifs par saccades, par secousses; cela se remarque surlout dans la
jambe
droite; quand il veut redresser sa jambe droite
e remarque surlout dans la jambe droite; quand il veut redresser sa
jambe
droite pliée, il ne le fait pas directement, ma
fait pas directement, mais avec une secousse : il étend d'abord la
jambe
avec effort, puis, quand le mouvement d'extensi
e tout d'un coup. Quand il a les yeux fermés, il lève trop haut les
jambes
et les lance tantôt trop en dehors, tantôt trop
s. Il ne peut absolument pas poser le talon sur le genou dé l'autre
jambe
et, même quand il a les yeux ouverts, tous ses
e les yeux, il tombe. Sa dé- marche est très caractéristique : ses.
jambes
, font une quantité de mouvements superflus, se
uche aussi. Dans les membres inférieurs, un assez grand espace à la
jambe
gauche est privé de sensibilité, dans les ré- 3
eption des endroits que nous venons d'indiquer dans les bras et les
jambes
, endroits, où elle est réduite à zéro. Cet affa
ntact. Quant à la température, le malade la distingue à peine aux
jambes
, même avec un écart de 20°; le plus souvent, il n
en indiquer la po- sition. Dans la région des nerfs peroniers de la
jambe
gauche une température de 330 n'est pas ressent
ième et troisième derniers doigts; dans les membres inférieurs, les
jambes
(du genou au pied); dans le tronc, la moitié dr
blie par places, par exemple, dans la région des nerfs saheni de la
jambe
droite où elle est réduite à zéro par endroits,
iore, mais les douleurs térébrantes se montrent de nouveau dans les
jambes
. Jusqu'au 28 décembre, la situation du malade e
d on le soutenait. Les douleurs lancinantes augmentèrent dans les
jambes
; il en était de même des douleurs térébrantes da
es diverses; symptôme deRomberg; symptôme de West- plial aux deux
jambes
; la faculté de reconnaître la position d'un me
va presque jusqu'à l'impossibi- lité de marcher, la force dans les
jambes
est normale jusqu'à maintenant, de même que la
, et en même temps s'aperçoit qu'il ne peut plus se tenir sur ses
jambes
. On le ramène à Rhodes, où il s'adresse d'abord à
de la partie inférieure du corps était complète et portait sur les
jambes
, les cuisses, la vessie et le rectum, Aux douleur
terminées. Disons, d'abord, que ce tremblement occupe les bras, les
jambes
, les lèvres, les yeux, tout le corps quelquefoi
ommencent des mouvements précipités, des tremblements des bras, des
jambes
, des lèvres, des paupières... qui ne cessent qu
à reparaitre aux avant-bras, puis aux doigts, puis à la main, à la
jambe
et aux orteils. Le phénomène intéressant consis
ct. Voici son observation : Observation. Père., éléphantiasis de la
jambe
gauche. Sceur hémiplégique. Rien de particulier
hau- teur. Son père a souffert longtemps d'un éléphantiasis de la
jambe
gauche; il mourut épuisé à soixante-huit ans. La
yotrophies spinales progressives (1° type de la main; 2° type de la
jambe
dont une forme, la forme péronéale), Il. Dystroph
parfaitement quoi qu'on en ait dit. Il y a un tabès de surmenés des
jambes
par la marche, comme il y a un tabès des trépid
ionnés; mais encore de l'obliga- tion de se tenir longtemps sur ses
jambes
, de faire un travail. Si le voyageur n'est pas
e malade le tabès s'est développé sous l'influence du surmenage des
jambes
sur un fond névrotique. 1 Raymond. Art. Tabes
douleurs fulgurantes, présente de l'anesthésie plantaire, perd ses
jambes
dans le lit; elle serait susceptible de faire c
hors de l'eau dans la piscine, durent explorer avec les mains leurs
jambes
à partir des hanches pour savoir à qui il appar
à la base de la poitrine ; trois ou quatre jours après, il sent les
jambes
fléchir sous lui; la marche de- vient difficile
e par moment que ses genoux vont fléchir. Il marche en jetant ses
jambes
, talonne au moins par moments. Il lui est impossi
le malade marche beau- coup plus mal, titube facilement, lance ses
jambes
d'une ' Voir Nouveau Montpellier médical, décem
ullement de ce fait que le malade n'est plus à même de regarder ses
jambes
, j'ai fait devant vous l'expérience sui- vante
perte d'équilibre et cependant, il lui était impossible de voir ses
jambes
. Il ne peut se tenir sur un pied, que les yeux
successivement divers poids aux pieds; on lui commande de plier sa
jambe
sur la cuisse, ce qui pro- voque la contraction
pieds; ici c'étaient les muscles de la région antéro-externe de la
jambe
qui intervenaient. Dans tous les cas le malade
n précoce, développé sans syphilis anté- rieure chez un surmené des
jambes
, avec une hérédité ner- veuse. C'est sur ce p
des gastrocnémiens. D'ail- leurs, si l'on examine attentivement la
jambe
de la malade au moment où le choc a lieu, on co
de ce côté demi-fléchi est appliqué sur la poitrine; flexion de la
jambe
droite, dont le pied frappe le barreau de la ch
gomatiques et des dilatateurs de l'aile du nez. Assise à terre, les
jambes
étendues, les mouvements restent les mêmes pour
s mêmes pour la face, les membres supérieurs et le tronc, mais la
jambe
droite se met en flexion (position du tailleur as
, on observe une légère flexion de la cuisse sur l'abdomen et de la
jambe
sur la cuisse; puis, le pied est ramené à terre
né à terre, mais sans phénomène de choc. En outre, pendant que la
jambe
droite est ainsi fléchie, la jambe gauche, sur la
e choc. En outre, pendant que la jambe droite est ainsi fléchie, la
jambe
gauche, sur laquelle repose la malade, est le s
les fois qu'ils se produisent, la malade saute à cloche-pied sur la
jambe
gauche. Comme nombre, les mouvements sont très
à se toucher l'épaule, il ne peut pas sans l'aide du bras tirer la
jambe
hors du lit. De plus tous les mouvements sont t
énible et exacerbait ses douleurs lombaires ; en outre de cela, ses
jambes
, particulière- ment la jambe gauche, étaient tr
urs lombaires ; en outre de cela, ses jambes, particulière- ment la
jambe
gauche, étaient très faibles. Il s'aperçut encore
ans être très intense ; au contraire, la faiblesse du bras et de la
jambe
alla continuellement en augmentant, de telle fa
cline légèrement le tronc vers sa droite; parfois il fauche avec sa
jambe
gauche à la façon des organiques, parfois il je
t abolie dans les deux membres de gauche. Le bras aussi bien que la
jambe
, aussitôt qu'ils sont soulevés, retombent lourd
érieur, il ne peut fléchir sa cuisse sur le bassin sans soutenir sa
jambe
avec la main droite et encore le mouvement est
oite et encore le mouvement est très peu accentué. La flexion de la
jambe
sur la cuisse est possible en Ja soutenant un p
ure différente. . 3° Les crises de rachialgie et la paralysie de la
jambe
droite, survenue brusquement à la suite d'une d
estion a achevé son oeuvre; elle se révèle avec une paralysie de la
jambe
droite sur la nature de laquelle il n'y a pas à
nature de laquelle il n'y a pas à se tromper. Le malade traîne sa
jambe
d'arrière en avant, de la façon la plus caractéri
lysie prédomine dans le bras. Pour ce qui est de la paralysie de la
jambe
, nous devons nous rappeler comment B... se trou
une cognition vulgaire que dans les lésions de l'épine dorsale, les
jambes
se paralysent; c'est donc à son auto-suggestion
cette explication très probable. Pourquoi la paralysie frappa la
jambe
gauche ? Pour ce fait, l'explication suivante n
ient les parois du temple d'hymnes votives et surtout de bras, de
jambes
, de cous, de seins en matière plus ou moins préci
rs les mêmes dans les sanc- tuaires les plus vénérés. Ces bras, ces
jambes
de marbre ou de cire sont des représentations i
oule se trouvait ' la photographie de la jeune fille, droite sur sa
jambe
, désor- mais débarrassée de sa contracture. A p
nger de place qu'en les prenant avec son bras droit, en poussant sa
jambe
gauche avec sa droite, ce qui est resté ainsi j
1 au 12 août 1731. Que même LA FOI QUI GUÉRIT. 83 sa cuisse et sa
jambe
se retirèrent de façon qu'elle avoit un creux a
ofond pour y pouvoir mettre le poing, et que, comme les nerfs de la
jambe
s'étoient retirés, cette jambe paroissoit consi
poing, et que, comme les nerfs de la jambe s'étoient retirés, cette
jambe
paroissoit considérablement plus courte que l'a
tte jambe paroissoit considérablement plus courte que l'autre... Sa
jambe
gauche étoit toute retirée en arrière et comme
up; déjà son bras a repris la vie, la chaleur et le mouvement; sa
jambe
retirée et desséchée se déploie et s'allonge; déj
; elle se lève seule, elle se soutient sur le bout du pied de cette
jambe
qui depuis si longtemps étoit beaucoup plus cou
ncore là le cas de la demoiselle Coirin qui ne peut se servir de sa
jambe
atrophiée pour monter en voiture, que vingt jou
e. « Mais, dit explicitement le narrateur, sa main, sa cuisse et sa
jambe
droite ne rengraissèrent pas dans le moment, ma
alade ne peut plus marcher, elle ne peut même presque pas lever ses
jambes
dans son lit; rétention d'urine continue (calhété
malade s'améliora de beaucoup après faradisation des muscles de la
jambe
: Les dou- leurs cessèrent, elle regagna la pos
nnel ne l'avait annoncé) que son membre inférieur gauche, cuisse,
jambe
et pied, ces deux derniers segments surtout, av
mis de constater. L'atrophie porte sur les muscles du pied, de la
jambe
, de la cuisse et de la fesse. Elle prédomine à
ed, de la jambe, de la cuisse et de la fesse. Elle prédomine à la
jambe
; l'attitude du membre est à peu près nor- male
fait il y a quelques jours à titre d'essai), sans ressentir dans la
jambe
atrophiée un sentiment de fa- atrophie d'un mem
ifficulté. 11 y a un an en montant dans une voiture il se heurte la
jambe
contre le marche-pied et se fait une petite plaie
vée prendre un bain. Et là, dans sa baignoire, il s'aperçoit que sa
jambe
gauche est beaucoup plus petite que l'autre. Il e
u- voir travailler, Le soir même, dans sa chambre, en montrant sa
jambe
à son frère il eut une deuxième crise de nerfs. E
membre inférieur gauche intéressant les deux seg- ments du membre (
jambe
, cuisse et fesse), cette atrophie est très pron
rovoqués avec résistance de la part du malade, les mouvements de la
jambe
, de la cuisse, du pied gauche sont un peu moins
ns le second, elle continue la marche, en jetant plus follement ses
jambes
. L'explication généralement admise du signe de
dit pré- cédemment qu'il sentait le sol, qu'il appréciait avec ses
jambes
des différences de poids très légères; mais il
insensible. C'est vers le mois de janvier 1884 que la faiblesse des
jambes
s'est fait remarquer. Il est arrivé plusieurs f
lusieurs fois qu'en marchant, la malade est tombée (non pas que les
jambes
fléchissent, mais parce qu'elle butte, n'ayant pa
assez considérable aux mouvements passifs. De même la flexion de la
jambe
sur la cuisse est forte aussi. L'adduction est as
ied faible. Le groupe des muscles de la région antéro-externe de la
jambe
est certainement affaibli des deux côtés. Quelq
s jumeaux, et non sur les muscles de la région antéro-interne de la
jambe
. Formes extérieures. La clavicule, des deux côt
érieurs. Membres supérieurs. Les muscles du pied sont sains. A la
jambe
, seuls les péroniers et l'extenseur commun sont a
omber, titubation, bourdonnements d'oreilles et sueurs froides, les
jambes
se dérobent, la vue se trouble. La raréfactio
gauche. Aujourd'hui sa face est normale, mais elle traîne encore la
jambe
droite ; l'oreille gauche est restée sourde dep
and'- mère maternelle morte assez âgée à la suite d'une fracture de
jambe
aurait été extravagante, « Elle était comme un
ses excès alcooliques. Elle prit alors froid, eut de l'oedème des
jambes
. Un médecin qui l'examina prétendit qu'elle était
r chez elle et qu'il cherchait à les imiter. 'il écarte souvent les
jambes
et arrive ainsi à faire le grand écart. Au ré
ez les ours du Jardin des Plantes. Peu après, il se campe sur ses
jambes
écartées ; le torse rejeté en arrière, la tête
USE. 269 En somme, le clou entré au niveau du centre moteur de la
jambe
, avait probablement lésé sur un point sous-jacent
pt ans. A trente-six ans (1885), douleurs lancinantes dans les deux
jambes
, douleurs en ceinture; en 1889 fourmillements d
deux jambes, douleurs en ceinture; en 1889 fourmillements dans les
jambes
, parésie vésicale, diminution de la virilité, f
ssement dans la conductibilité des sensations douloureuses dans les
jambes
, hypéresthésie au ni- veau du dos; réflexes cut
iminuant jusque vers le coude. Affai- blissement peu accentué de la
jambe
droite. L'anesthésie peut même occuper tout le
sur le côté externe du tibia, qui occupait la face antérieure de la
jambe
gauche. Lorsqu'il marchait, ce membre se cyanos
taient susceptibles d'adduction et les doigts se fléchissaient; les
jambes
, adduction normale et croisement. Les parties gén
de jours, et à grand'peine. Il n'était cependant paralysé, ni des
jambes
ni des bras. Il ne tremblait pas encore. 11 n'ava
ômes de sclérose en plaque. Cela commença par de la titubation; ses
jambes
n'étaient pas et n'ont jamais été raides, mais
les parents nous ont fournis, commença par de la faiblesse dans les
jambes
, à l'âge de sept ans; on se souvient que les moll
de la peine à monter les escaliers, et offre de l'hypertrophie des
jambes
. Le tableau suivant permet de bien saisir les p
e, et, de plus, il montre une peine considérable à se tenir sur ses
jambes
. On le voit alors porter son tronc fortement en a
ucher le sol qu'avec la partie antérieure des pieds, et écarter ses
jambes
; puis il se met à marcher très lentement, à petit
à donner à son corps la position ver- ticale qu'en prenant sur ses
jambes
une série de points d'appui avec ses mains, ce
appareil. Dans le co urant de l'année 1889, l'atrophie apparaît aux
jambes
, aux cuisses, au tronc et s'accentue un peu plu
et au mois d'avril 1891 nous revoyons le ma- lade. L'atrophie des
jambes
, des cuisses, du tronc et des bras est très évi
indemne, les autres parties du;corps sont atrophiées; en outre, la
jambe
gauche paraît légèrement plus amaigrie. De chaque
rations entière- ment de tête. Il ne sait pas écrire. La peau des
jambes
est un peu froide et violacée. Voix faible et r
\ingt-trois ans, apparition d'ulcères à la partie antérieure des
jambes
, ulcères qui ont persisté. Un an plus tard, appar
é- sentent une légère flexion de la cuisse sur le bassin et de la
jambe
sur la cuisse ; par rapport à leur écartement, il
dépôt de cris- taux d'oxalate et de phosphate de chaux. OEdème des
jambes
. En quelques mois la mélancolie avait disparu,
n' voit que le malade fait porter tout le poids de son corps sur la
jambe
valide. Le tronc se penche vers le côté sain en
une certaine valeur diagnostique consiste dans l'atti- tude de la
jambe
et du pied du côté malade chez les sujets attei
sujets atteints de déviation rachidienne. Selon M. Ba- binski, la
jambe
serait légèrement fléchie sur la cuisse, et la
problème. , . Un sujet sain qui se tient debout, 'tout droit, les
jambes
parallèles et symétriques (fig. 9), répartit le
emple, évite de faire porter la moitié du poids de son corps par sa
jambe
droite. Il déplace son centre de gravité de tel
mbe droite. Il déplace son centre de gravité de telle façon, que la
jambe
gauche porte le poids du corps tout entier. Si
le poids du corps tout entier. Si les deux 14 CLINIQUE NERVEUSE.
jambes
restent parallèles, comme dans le cas précé- de
France. La flexion de la cuisse sur le bassin et la flexion de la
jambe
sur la cuisse sont des positions favorables à l
e le pied au-dessus du sol. On peut donc voir des malades dont la
jambe
endolorie ne touche au sol que par la pointe du
endolorie ne touche au sol que par la pointe du pied, tandis que la
jambe
saine, portant tout le poids du corps, repose s
pose sur sa face plantaire (fig. 11). Il peut même arriver que la
jambe
étant fortement fléchie, le pied soit maintenu
et ainsi se trouve réalisée la loi, formulée par M. Babinski : la
jambe
du cûlé malade est légèrement fléchie ; sa plante
L'attitude en question s'appelle le hanchement. Mais pour que la
jambe
fléchie puisse entrer en con- tact avec le sol,
ue la jambe fléchie puisse entrer en con- tact avec le sol, l'autre
jambe
demeurant droite, il faut que le bassin s'incli
centre de gravité passerait, en effet, par la plante du pied de la
jambe
malade, ce qui ne se peut pas (lig. 13). Le rac
ES SCOLIOSES DANS LES NÉVRALGIES SCIATIQUES. 17 1 du bassin vers la
jambe
fléchie, que l'intervalle costo- iliaque du côt
place- ment du centre de gravité vers la verticale passant par la
jambe
saine. Forcément, le malade tend à fléchir la j
assant par la jambe saine. Forcément, le malade tend à fléchir la
jambe
endolorie, pour qu'elle ne traîne pas sur le so
itude hanchée. Alors même qu'il ne souffre pas, un sujet qui aune
jambe
plus courte que l'autre, incline le tronc du côté
une jambe plus courte que l'autre, incline le tronc du côté de la
jambe
la plus longue. Celle-ci, en effet, doit porter
elle-ci, en effet, doit porter tout le poids du corps, y compris la
jambe
courte qui n'appuie pas sur le sol. Tel est, pa
exemple, le cas de l'hémiplégie, avec ou sans contracture, où la
jambe
du côté paralysé ne peut plus servir à la pro-
lle a, en marchant, une allure particulière pour porter en avant la
jambe
paralysée : elle porte d'abord le tronc du côté
sujet sain. Le procédé consiste à augmenter la longueur d'une des
jambes
avec une semelle épaisse, l'autre jambe étant d
nter la longueur d'une des jambes avec une semelle épaisse, l'autre
jambe
étant dépourvue de chaussure. Celle-ci pend à c
vertébrale s'incline du côté sain, c'est-à-dire du côté de la seule
jambe
dont on se sert. Si, au lieu de sauter, le suje
t celui sur lequel le sujet s'appuie, puisque c'est le côté de la
jambe
la plus longue, c'est de ce côté que se pro-
instantanément abolie, le malade se refuse à appuyer sur le sol la
jambe
dont il ne souffre plus. Son appréhension est m
t. Avec elles réapparurent la boiterie et l'attitude vicieuse de la
jambe
caractérisée par la rotation du pied en dedans.
pression d'un point quelconque du trajet du nerf- La flexion de la
jambe
et de la cuisse sont à peu près impossibles. Ce
te contraction active de ses muscles, on peut faire exé- cuter à la
jambe
et à la cuisse des mouvements passifs d'extension
de flexion qui sont assez bien tolérés. On remarque, en élevant la
jambe
au-dessus du plan horizontal du lit, que jusqu'à
te, et le malade demande grâce. La flexion de la cuisse, lorsque la
jambe
est fléchie, peut être poussée plus loin (signe
pied provoque un tremblement épileptoïde passager. La raideur de la
jambe
et de la cuisse ne permet pas de les fléchir fa
côté droit le résultat est le même, quoique moins caractérisé. La
jambe
et la cuisse gauches sont notablement amaigries,
t le repos. Elles ne réapparaissent que lorsque le malade remue ses
jambes
dans son lit. Les mouvements passifs de flexion
mmence par s'asseoir ; puis, se tournant tout d'une pièce, les deux
jambes
parallèles, et comme soudées au bassin, il arri
qu'au bord de son lit, et alors seulement il se décide à fléchir la
jambe
sur la cuisse : Il peut se tenir debout en s'appu
elques pas, mais il éprouve une singulière difficulté à écarter ses
jambes
l'une de l'autre; elles ont encore besoin de pa
r de l'allongement t du membre. L'angle formé par la cuisse et la
jambe
est ouvert en dehors. L'allongement, toutefois,
ois dans le genou gauche; il lui est impossible de s'appuyer sur sa
jambe
. Fig. 16. DES SCOLIOSES DANS LES NÉVRALGIES.
ce diagnostic : l'en- sellure qui se produisait quand on élevait la
jambe
à plus de 45 degrés au-dessus du plan du lit ;
phéno- mène du pied peut apparaître au moment où on sou- lève une
jambe
fracturée. Les autres signes de contracture, et
ais, comme il ne souffre pas, comme il peut s'appuyer même sur sa
jambe
malade, il n'a pas besoin de prendre l'attitude
'attitude hanchée, c'est-à-dire de s'appuyer exclusivement sur sa
jambe
saine. Dans la névralgie lombo-sciatique spasmo
côté contrac- turé. Comme il évite de poser à terre le pied de la
jambe
malade, il est contraint de faire porter tout le
il est contraint de faire porter tout le poids de son corps sur la
jambe
saine. Or, le dépla- cement de son centre de gr
par exemple, le bras gauche qui porte le seau, c'est surtout sur la
jambe
droite que le sujet s'appuie. S'il s'appuyait à
mbre \ Or, dans la sciatique, le malade fléchit presque toujours sa
jambe
; donc, il diminue l'intervalle qui sépare la pl
sépare la plante du pied du fémur : par conséquent il raccourcit sa
jambe
. 1 Il n'y a qu'une exception à cette règle ; el
e s'effectue quand le sujet prend son point d'appui sur une seule
jambe
: c'est l'attitude dite hanchée. Le rapprocheme
e côté sain, qui est destiné à porter tout le poids du corps sur la
jambe
saine, il existe, sans doute, une autre cause q
te iliaque; la cuisse est légèrement fléchie sur le bassin, et la
jambe
sur la cuisse. La douleur spasmodique de tout l
était impossible de marcher normale- ment. Pas trace deparésie des
jambes
ni d'ataxie loco· motrice. Tous les mouvements
e un pas et sentit que lorsqu'il voulait s'efforcer de marcher, ses
jambes
menaçaient de se dérober sous lui. A. partir de
me fatiguer, sans recevoir les chocs dont j'ai parlé plus haut, mes
jambes
s'alourdissent et j'en traîne une plus que l'au
raire, le malade est très fortement musclé, surtout des bras et des
jambes
. Il serre également bien des deux mains.-Tous l
le. 26. - La sensibilité reparait jusqu'à la partie moyenne de la
jambe
; plus d'albumine dans les urines. Traitement. Ea
une sensation de brûlure à ses membres paralytiques et surtout aux
jambes
. Paralysie de la vessie qui débordait le pubis
e façon constante, des paralysies sensitivo-motrices du bras, de la
jambe
, de la face. Les fonctions des sens spéciaux on
ises : 102 RECUEIL DE faits. guillotiner. » Elle voit- brûler les
jambes
de son frère. a Eteins- donc le feu, maman, on
e s'il avait des secousses dans les épaules. Il faiblissait sur ses
jambes
. Le soir, il tremblait encore. Tout lui faisait
le normale qui reçoit un choc léger sur le ventre des muscles de sa
jambe
ne réagit pas par une évidente contraction musc
ionne absolu- ment le sciatique ou tout l'appareil musculaire de la
jambe
. C'est donc bien une manifestation centrale. P.
s frappés, à l'intérieur de la bière. Effrayé, il s'enfuit à toutes
jambes
et arriva chez lui où il tomba évanoui. Il raco
ont un aspect oedémateux; les ongles n'ont rien de particulier; les
jambes
pré- sentent une légère concavité en dedans, de
s notamment au niveau de l'ensellure du dos, du tiers inférieur des
jambes
, des pieds. Au niveau de ceux-ci, les plis sont
un refroidisse- ment successivement : une ataxie très prononcée des
jambes
, un certain degré d'ataxie dans les bras, le si
haud de 45 à 50°, mais sans toucher à la poitrine ni à la tête; les
jambes
sont seules enserrées de toutes parts, ainsi qu
duit des battements et des pulsations dans les pieds, puis dans les
jambes
, finalement par tout le corps; uue seule abonda
s douleurs : elle rappelait celle du canard. L'avancement d'une des
jambes
déterminait le soulèvement du bassin du côté corr
l du corps. Mouvements spontanés laborieux : impossible de lever la
jambe
; grande diffi- culté à se dresser sur son séant
hine, d'une sorte de syncope suivie d'impotence fonctionnelle de la
jambe
droite; les stigmates de l'anesthésie hystériqu
r jour et n'est pas suivi d'hypéresthésie. Pas de douleurs dans les
jambes
, mais il se produit facilement dès que le malad
eurs du pied, principalement à droite. Le malade étant assis et les
jambes
élevées, si on veut lui faire redresser la poin
ils, et une diminution de l'excitabilité des autres muscles de la
jambe
et de la cuisse. SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉ
ez qu'autrefois on avait noté dans les muscles des extenseurs de la
jambe
droite, qui était et qui est encore la plus mal
de, une réac- tion de dégénérescence complète, et dans ceux de la
jambe
gauche, seulement, une réaction de dégéné- resc
faradique et galvanique des muscles de la région antéro-externe des
jambes
, qui, bien qu'assez consi- dérable, n'est cepen
prouve toujours, au niveau des pieds et de la partie supérieure des
jambes
, une sen- sation de chaleur exagérée, de brûlur
ion de chaleur exagérée, de brûlure même, qui le force à sortir ses
jambes
hors du lit. En réalité, la tem- pérature n'est
rler d'abord de cet oedème des pieds et de la partie inférieure des
jambes
qui a existé autrefois chez notre homme, mais q
e soins hygiéniques. Les premiers sont exercés à se tenir sur les
jambes
à l'aide des barres parallèles (Fig. 1), à marche
à courir; sa démarche était égale, quoique précipitée, élevant ses
jambes
alternativement d'une manière assez uniforme. Ce
cice à pied, quand, tout à coup, il sentit que le mouvement de ses
jambes
s'accélérait malgré sa volonté et que ce mouvemen
nt, monter à son appartement, diriger à sa volonté le mouvement des
jambes
, mais qu'il sentait et qu'on voyait manifesteme
pendant huit à dix jours, les accidents se sont bornés là ; puis la
jambe
droite a été prise, enfin le bras et tout le cô
ue de paralysie du côté gauche de la face avecpertedusentimentde la
jambe
gauche, et, bientôt après, il ressentit une gra
ient violemment à cou- rir, la malade ne s'arrêtait que lorsque ses
jambes
se croisant, rendaient ainsi toute locomotion i
ice plus petite, plus déprimée, au tiers supérieur et externe de la
jambe
gauche ; une cicatrice de même nature au-dessou
tres, puis il semble éprouver quelque difficulté à se tenir sur les
jambes
, trébuche à plusieurs reprises sans tomber, acc
dcsdont on enve- 40 DE l'épilepsie PROCURSLVE. loppait une de ses
jambes
contusionnée). - Une fois montés sur le premier
hémiplégie droite consécutive; ce côté est resté plus faible, et la
jambe
droite est plus courte que la gauche ; iln'a pa
é pour montrer son durillon. A 10 h. 19, trépidation légère de la
jambe
gauche, puis du bras gauche et enfin du bras dr
puis du bras gauche et enfin du bras droit ; ces trépidations de la
jambe
gauche cessent momentanément, et l'agitation du
u- che s'arrête quelques secondes après celles du bras droit ; la
jambe
gauche est alors reprise de trépidation. La face
ai le mal que j'ai, » et à ce moment l'agitation recommence dans la
jambe
et le bras gauches ; la face devient très rouge.
la face devient très rouge. - A 10 h. 24, trépidation légère de la
jambe
gauche. D'habitude la crise durait moins longte
t pris d'un tremblement gé- néral; il s'incline en arrière, puis la
jambe
gauche est agitée de secousses cloniques; de la
ien, on avait remarqué qu'il maigrissait, qu'il fléchissait sur les
jambes
. 9 décembre. - La température à 30°, le soir du
en, les bras s'écartent lentement du tronc jusqu'à angle droit; les
jambes
s'écartent également de 50 centimètres envi- ro
ace, elle est pourpre. -Lorsque l'accès est passé, il fait allerles
jambes
à droite et à gauche, les ramènent sur la poitr
long du thorax; il y a de la raideur des deux côtés. On dégage les
jambes
de dessous le lit. A ce mo- ment, la tête se me
Période clonique. - 1° La face se tourne à droite, le bras et la
jambe
correspondant sont animés de convulsions clonique
e relève il une distance de 20 ou 50 centimètres du plan du lit; la
jambe
droite reste horizontale. La tète se reporte à
igraineuse, ni nerveuse ; elle a eu, il y a deux ans, un abcès à la
jambe
droite avec fistule. [Père, enfant naturel, mort
Rougeole vers trois ans, puis beaucoup de dartres. - Fracture de la
jambe
droite à huit ans (chute d'une charrette). Etat
s gauche était pa- ralysé et que l'enfant remuait moins bien la
jambe
correspondante. Dans les premiers temps, il n
ement n'est devenu possible qu'au bout de cinq ou six mois. Les
jambes
sont toujours res- tées faibles, surtout la g
e qu'on lui demande. 12 juillet. - Maisonh... peut se tenir sur ses
jambes
, mais la marche est titubante et il tomberait s
es deux côtés. Il ne peut pas remon- ter seul sur son lit. Les deux
jambes
sont roides, surtout la gauche. - Gâtisme compl
fficultés de la marche et chutes par exagération des mouvements des
jambes
. - Difficulté de man- ger et de boire due aux m
t d'un état chloréique. L'enfant ne peut, seul, se soutenir sur les
jambes
; s'il marche ou remue les bras, il ne peut pre
poulie lui donne de la force ; il se soutient un peu mieux sur les
jambes
et fait un pas en avant. - 1862. Juin : Les yeux
e la face. - Assis, il reste relativement tranquille ; cependant la
jambe
droite est parfois soulevée, le genou vient buter
roite est parfois soulevée, le genou vient buter contre l'autre. La
jambe
gauche parait rester immobile. Il repose ses ma
du bras droit. C'est ce bras qui est le plus faible - ainsi que la
jambe
correspon- dante - et qui présente les mouvemen
sur le ventre ; les cuisses rapprochées, les genoux en contact, les
jambes
rejetées de côté. On note des mouvements des do
ents des doigts de la main droite, des épaules, de la tête et de la
jambe
droite. Ces mouvements sont à certains jours be
, et rapprochées de telle sorte que les genoux sont en contact; les
jambes
très écartées sont fléchies. Si la station vert
te davantage et il semble que, parfois, le talon touche le sol. Les
jambes
, surtout la droite sont agitées de quelques mou
ce musculaire n'est nullement affaiblie. Il parvient, à fléchir les
jambes
allongées lorsqu'on cherche à s'y opposer. Le dyn
char- retier, mort en 1871 à la Pitié, à la suite d'une fracture de
jambe
compliquée qui avait nécessité l'amputation. 11
sions portaient sur les yeux ; on ne peut rien dire des bras ni des
jambes
. Ces convulsions ont duré huit à dix jours avec d
sont légèrement fléchies sur l'abdomen, les genoux rapprochés, les
jambes
un peu fléchies sur les cuisses; les pointes de
les articulations tibio- tarsiennes. Les muscles postérieurs de la
jambe
sont contracturés. Le second orteil est croisé
xes de la plus grande étendue. Quand il veut, par exemple, lever la
jambe
, elle se plie à angle droit sur la cuisse qui se
u'on l'assiste. Il y a un progrès notable dans les mou- vements des
jambes
; il essaye de s'habiller lui-même, dit : « Atte
s sur le devant du tronc et tient sa main droite avec la gauche; la
jambe
droite est croisée sur la gauche. De temps en t
me direction ; les cuisses sont rapprochées, les genoux collés, les
jambes
très écar- tées, les muscles de la face se conv
uscles, les cuisses se rapprochent, les genoux sont en contact, les
jambes
très écartées. Dans la marche les membres infér
lérose en plaques, on note au début une parésie affectant une seule
jambe
, puis gagnant l'autre; plus tard une paraplégie
qu'il ne convient, l'athétosique ne projette pas brusque- ment ses
jambes
de côté à l'instar d'un polichinelle et ne s'éc
durant longtemps, qu'à l'occasion des mouvements, débutent par les
jambes
envahissent plus tard les membres supérieurs et
la langue malgré lui, fléchit et détend violemment les bras ou les
jambes
et souvent glisse de sa chaise. La brusquerie et
e plus pro- noncée : le choréique fléchit subitement tantôt sur une
jambe
tantôt sur l'autre; il est projeté de côté, en
lle attribue à ce qu'elle avait comme une faiblesse subite dans les
jambes
; elle s'est trouvée mal et a eu des lypothymies
lle ressentit une faiblesse, qui l'obligea de s'appuyer au mur. Ses
jambes
fléchissaient et tout tournait autour d'elle. C
ois, sa mère étant allée voir, à l'hôpital, son mari, qui avait une
jambe
cassée, trouva, en rentrant, toute la vaisselle
n de ces régions. Les cuisses sont très volumineuses, ainsi que les
jambes
; les mollets ont 43 cent. de circonférence. P
égales et contractiles. Nous fîmes appliquer des sinapismes sur les
jambes
, les cuisses et à la nuque, fric- tionner le tr
à droite. Cheveux et sourcils bruns. Quelques poils bruns sur les
jambes
. La sensibilité générale est la même des deux c
xercer sur moi l'incorporation. Elle était étendue sur mon lit, les
jambes
sur mon ventre. Une nouvelle odeur me suffoqua,
'une sorcière dont parle Boguet (1), « il estoit en- trappé par les
jambes
et ne pouvoit pas crier. » (1) Discours exécrab
l'attitude était surtout remarquable. L'un se tenait tantôt sur une
jambe
, tantôt sur l'autre, les bras étendus ou élevés
apper quelques mots incohérents. Le second, moins la suspension des
jambes
, affectait une pose analogue. Il semblait agité
le jarret pendant que le sujet fléchissait de toutes ses forces la
jambe
sur la cuisse. Il est certain que ce mode d'exp
un mouvement simple comme la flexion des doigts ou la flexion de la
jambe
sur la cuisse, mais ils sont incapables d'accom
s malades ne pouvaient ni se tenir en équi- libre, ni sauter sur la
jambe
du côté paralysé, taudis qu'ils le faisaient sa
oste qu'on le reconduisit à l'hôpital. Il se tenait à peine sur ses
jambes
et pourtant il n'avait pas bu. Arrivé à la grille
naissance, assez brutalement pour casser un banc et se meurtrir les
jambes
. Ce deuxième accès fut semblable au premier, et
d ou fermer les yeux, il tom- bait. Quand il marchait, il jetait la
jambe
, ses bras lui faisaient l'effet d'être de plomb
et inférieurs sont bien conformés; il y a une légère atrophie de la
jambe
droite, qui, autrefois, a subi une triple fractur
tache et barbe grises, autrefois châtains, poils roux au pubis; les
jambes
sont presque glabres. Pas de trace d'adénite, n
hérique chez une hémiplégique ; mais cette contracture porte sur la
jambe
saine. OusERvmoN. Hémiplégie droite <<'cf
t;'cf<me71'o)'ee;)')'n<(t<Mtt périphérique et cltoc sur la
jambe
gauche ; ptti,(ii)légie spasi71o- cliluc. M.
jours, les mouvements revinrent, d'abord dans le bras, puis dans la
jambe
; mais tandis que le bras a repris à peu près co
is que le bras a repris à peu près complètement ses fonc- tions, la
jambe
est toujours restée faible. Le malade pouvait cep
nnée dernière, vers le mois de mars, il commença à remarquer que sa
jambe
droite s'affaiblissait un peu et que la jambe gau
ça à remarquer que sa jambe droite s'affaiblissait un peu et que la
jambe
gauche était un peu moins solide. Cet état s'ac
tua peu à peu; il rit une saison à Néris. Quaud il revint, ses deux
jambes
étaient à peu près aussi faibles l'une que l'au
aisément. C'est alors qu'on lui donna le conseil de frictionner sa
jambe
paralysée avec de la pommade stihiée (vers le moi
tihiée (vers le mois de no- vembre 1881). A partir de ce moment, la
jambe
droite se raidit, et la jambe gauche s'affaibli
mbre 1881). A partir de ce moment, la jambe droite se raidit, et la
jambe
gauche s'affaiblit de plus en plus et prenait éga
it pen- dant plusieurs jours; et quand il voulut se lever, les deux
jambes
étaient tout à fait raides, dans l'adduction, l
anne et soutenu d'autre part par une personne. Il s'avance les deux
jambes
serrées l'une contre l'autre, eu faisant de pet
it au bout d'un instant prendre une expression d'inquiétude, et ses
jambes
se incitent à trembler. Lorsqu'il est assis il
répidation cesse pour reparaître quand on lui fait croiser les deux
jambes
l'une sur l'autre : on voit alors le pied qui sup
lement se produisent avec la même intensité, que l'on agisse sur la
jambe
droite ou sur lajambegauche. Le malade affirme
ebout, se produit plus fréquemment et avec plus d'intensité dans la
jambe
gauche, qui lui semble aussi plus raide. Quand
spasmodique avait subi une recrudescence depuis la veille. Les deux
jambes
avaient repris à peu près leur rigidité primiti
les membres infé- rieurs. Immédiatement après il s'était senti les
jambes
raides et il était resté dix heures sans pouvoi
is quand il se considérait comme guéri de son hémiplégie; mais sa
jambe
gauche est toujours un peu raide et tremble encor
et qui présentait, avec une certaine faiblesse intermittente des
jambes
, divers troubles céphaliques permettant de faire
ileptiques une fracture de la clavicule et une fracture complète de
jambe
. Dans le premier cas, malgré l'absence de dépla
asard dix jours après l'accident. Elle mouvait en tous sens pied et
jambe
, et ne voulut jamais croire à sa maladie, qui g
, peut lui rendre beaucoup de services, tandis qu'au contraire la
jambe
correspondante s'est progressivement contracturée
tives assez fortes : la langue s'embarrassait alors davantage, les
jambes
refusaient leur service, tandis que l'anxiété gra
on considé- rable de l'extrémité in- férieure. Fig 10. Os de la
jambe
gauche. Usure et déformation de la surface arti
ue des fractures de l'hu- mérus gauche de l'avant-bras droit, de la
jambe
gauche. (N° 11.) 1° Humérus gauche (Fig. 35). C
dure osseuse, il y avait deux réu- nions par du tissu fibreux. 3°
Jambe
gauche. (Fig. 17). Les deux os sont fracturés,
it (face posté- rieure). Fig. 17. - Fractures des deux os de la
jambe
gauche (face pos- térieure). LÉSIONS OSSEUSES
se tenir ferme et droit sur ses 220 REVUE de pathologie NERVEUSE.
jambes
pendant un quart d'heure d'abord, puis une demi-h
- mettre la marche à l'aide d'une béquille; mais en même temps la
jambe
du côté malade était prise d'une incoordination q
de cet idiot pré- sente depuis l'âge de deux ans une parésie de la
jambe
gauche, et des accès convulsifs datant de sa on
is du même côté. A part l'exagération du phénomène du genou dans la
jambe
droite contrastant avec l'absence du phénomène
iquement par une hémiplégie portant à la fois sur le bras et sur la
jambe
. Dans cette hémiplégie, le tronc ainsi que la f
face ne sont pas intéressés, le bras est beaucoup plus pris que la
jambe
. Elle ne s'accompagne pas de troubles de la sensi
r le mur auquel il s'appuie, l'objet auquel il s'est cramponné. Ses
jambes
se dérobent ; le sol s'enfonce sous ses pas ; u
ire de négation s'accentue de plus en plus, Mm' E... n'a ni bras ni
jambes
, toutes les parties de son corps sont métamor-
parce qu'elle ne peut avaler, de marcher, parce qu'elle n'a pas de
jambes
;.elle ne veut ni se rêver, ni se coucher, ni s'
supplie qu'on lui ouvre les veines, qu'on'lui coupe les bras et les
jambes
, qu'on lui ouvre le corps pour s'assurer qu'ell
, parce qu'il n'a pas de bouche, de marcher, parce qu'il n'a pas de
jambes
. M. C... tire ses oreilles et dit qu'il n'a pas
et qu'il ne pourra jamais achever de mourir; il prend son bras, sa
jambe
, son mollet en disant : « Cela ne se décrochera
suit la colonne vertébrale, et se répand dans les bras et dans les
jambes
, semblable à une secousse électrique; en même t
urdissements et des fourmillements dans les membres inférieurs; les
jambes
lui semblent lourdes ; il est encore bon marche
rieurs se trans- forma en une paraplégie complète,qui débuta par la
jambe
gauche, puis prit la jambe droite. L'irritation
ne paraplégie complète,qui débuta par la jambe gauche, puis prit la
jambe
droite. L'irritation réflexe était tellement accr
eurs chutes subites par suite d'alfaiblissenlent ins- tantané de la
jambe
gauche. 1 On diseuses of tltc bi-(iiii as (i re
, parésie du côté gauche, douleurs fulgurantes dans les bras et les
jambes
. Les vertiges que l'on observe quelquefois- peu
rande. Il a une sensation de pesanteur; à chaque moment, il sent sa
jambe
fléchir et marche timidement. Il a souvent des
ent des crampes localisées surtout, mais non exclusivement sur la
jambe
droite. Jamais de douleurs spontanées, pas de fou
ble de deux côtés, excitabilité galvanique un peu plus faible at la
jambe
droite (les muscles répondent mieux au poiu pos
; sensation de fourmillement et d'engourdissement du -pied et de la
jambe
gauches. En mar- chant le malade traîne un peu
ed et de la jambe gauches. En mar- chant le malade traîne un peu la
jambe
droite. Les extrémités supérieures sont normale
rsal, soudain et énergique du pied droit; les autres réflexes de la
jambe
n'ont pas lieu. L'excitabilité faradique et gal
urdissements et des fourmillements dans les pieds, les mains et les
jambes
. Les réflexes du tendon rotulien et de la peau
à University Collège Aos ? Il recouvra lentement la force dans les
jambes
, mais la der- nière fois qu'on le vit, le réfle
dans son état de santé habituel, et pendant qu'il se promenait, sa
jambe
gauche fléchit subitement sous lui, et en quelque
ôté des bras et des mains, mais ne pouvant, disait-il, remuer les
jambes
en aucune façon. Celles-ci paraissaient du reste
complète de l'anesthésie et retour de quelques mouvements dans les
jambes
. Le 16, il peut se lever et marcher, soutenu, e
es- sion prononcée. Enfin, au bout de dix semaines, parésie de la
jambe
gauche qui présente les mêmes troubles de la sens
essus scléreux. Observation II. Raideur et affaiblissements de la
jambe
droite développés graduellement en six ans, pui
eloppés graduellement en six ans, puis s'étendant ra- pidement à la
jambe
gauche. Parésie vésicale.,Faibles manifes- tati
u côté de la sensibilité. Au moment de l'admission, paralysie de la
jambe
avec rigidité/Phénomènes tendineux ac- cusés. T
présenté des mouvements choréiformes limités au bras droit et à la
jambe
droite ; ces mêmes mouvements existent et sont
des des membres du côté gauche (le bras étant dans la flexion et la
jambe
dans l'extension), une diminution du réflexe ten-
s, si on les rapproche de l'anesthésie incomplète que présentait la
jambe
gauche, et d'un certain degré d'hyperesthésie q
duisit successivement plusieurs fractures, savoir : une fracture à la
jambe
droite, une autre à la partie supérieure du fémur
ce membre inférieur. Ainsi la face postérieure de la cuisse et de la
jambe
regardent en dedans; la tête du péroné et le cond
e bord interne du pied malade embrasse dans sa concavité le bas de la
jambe
du côté sain. Je ne sais si je m'abuse , mais l
t de quatre à cinq lignes; le membre était porté dans l'adduction, la
jambe
fléchie sur la cuisse, la pointe du pied tourné e
sur le mouvement et sur le sentiment; mais elle est incomplète : les
jambes
se meuvent un peu, sans pouvoir, à beaucoup près,
e cas analogues. La malade se tient couchée sur le côté gauche, les
jambes
fléchies sur les cuisses, et celles-ci sur le bas
un liniment fondant. Dans le principe, la faiblesse était bornée aux
jambes
, qui manquaient souvent sous la malade et la fais
flement, se portèrent successivement au membre supérieur droit et aux
jambes
. Elles cédèrent à deux fortes saignées et à une a
ous des muscles jumeaux etsoléaires, nécessitèrent l'amputation de la
jambe
, et qui présentèrent l'artère tibiale grossie et
chairs du mollet désorganisées et la partie postérieure des os de la
jambe
plus ou moins profondément cariée, ces tumeurs sa
iers supérieur et distinctsdans leurs deux tiers inférieurs. Les deux
jambes
,réunies dans toute leur longueur, sont formées pa
r M. Lenoir à la même Société. Dans ce cas, les deux fémurs, les deux
jambes
, les deux pieds, sont distincts; mais les deux me
x cavités cotyloïdes distinctes, deux fémurs, quatre os pour les deux
jambes
: les deux pieds étaient parfaitement distincts.
i même vestige de pied: le membre inférieur unique se termine par une
jambe
incomplète, qui finit en pointe très aiguë, si bi
l,lesquels sont dirigés suivant la même ligne ou disposés à angle. La
jambe
est constituée par un seul os. C'est là la forme
u'on ne concevrait pas, dans cette théorie, pourquoi les cuisses, les
jambes
et les pieds, qui sont contigus chez le fœtus, n'
sa face postérieure est en avant ; ia l'articulation du fémur avec la
jambe
, dont la région postérieure est en avant ; 3° le
ndyles réunis; les éminences latérales, chacune par un condyle. lia
jambe
est représentée par un moignon , que constitue la
résulte que l'axe des deux pieds qui est perpendiculaire à l'axe des
jambes
décrit une courbe à concavité supérieure ; que le
tégument commun, que les pieds réunis forment un angle droit avec la
jambe
. La figure 2', grandeur naturelle, donne une idée
ndeur naturelle, donne une idée parfaite des rapports du pied avec la
jambe
et de la forme des deux pieds, vus par leur face
inclinaison latérale des membres inférieurs, en vertu de laquelle les
jambes
formaient, avec les cuisses , un angle extrêmemen
ette figure qui représente le fœtus vu par la face antérieure. A la
jambe
, les faces internes des tibias sont en avant, les
s pyramidaux, carrés, jumeaux et obturateurs externe et interne. A la
jambe
, JR représente les jumeaux et soléaires à l'état
er antérieur JA, extenseur commun EC,et extenseur propre EP de chaque
jambe
, sont confondus en une masse charnue, de laquelle
garde directement en dehors, et la situation du pied par rapport à la
jambe
, situation telle que le pied est renversé de deho
ambier antérieur et extenseur appartiennent à la région externe de la
jambe
. Les figures 6, 7, 8, représentent le squelette
en arrière. Celle-ci est beaucoup plus petite que la première. A la
jambe
, les péronés sont situés de chaque côté de la lig
médiane, et, par conséquent, au lieu d'occuper le côté externe de la
jambe
, ils en occupent le côté interne. Au pied, les os
al. Il est bon de remarquer que le mouvement de rotation subi par les
jambes
et les pieds est identiquement lemême. Fig. 7.
e, la rotation inégale des deux fémurs et à-peu-près égale des os des
jambes
apparaît dans tout son jour. Au tarse, les deux c
, qui présente la syrénie à son premier degré, les fémurs, les os des
jambes
sont parfaitement distincts, ainsi que les orteil
qu'on voit souvent à la peau qui avoisine des ulcères chroniques des
jambes
. Cette couleur ardoisée est au contraire très c
Le 16 juillet 1810, la malade, couchée sur le côté gauche, ayant les
jambes
fléchies sur les cuisses et celles-ci sur le bass
uleur décote, et, deux jours après , cette douleur se transporta à la
jambe
avec tant d'intensité, qu'elle faisait taire cell
ême jour, la douleur du bras était devenue plus forte que celle de la
jambe
. Ne voit-on pas dans tout cela une cause de malad
er la cause morbide, elle est allée encore exercer ses ravages sur la
jambe
. Le 29 juillet, la cuisse devint douloureuse ; po
er impunément ses ravages, on ordonna l'application d'un cautère à la
jambe
; mais ce cautère ayant été appliqué par un élève
été appliqué par un élève peu instruit à la partie postérieure de la
jambe
, on le fit supprimer et appliquer antérieurement.
un mois et demi de grossesse; infiltration qui avait débutée par les
jambes
, s'étendit à toutes les parties du corps, et même
e d'une phlébite capillaire hémorrhagique de la peau du pied et de la
jambe
. Cette femme n'appartenait pas à mon service. Son
que, passant par hasard, je fus frappé de la couleur rouge-violet des
jambes
de ce sujet, et je fus curieux de m'assurer de l'
at des membres inférieurs : couleur lie-de-vin violacé uniforme de la
jambe
gauche jusqu'au dessous du genou. La plante et le
u genou. La plante et le dos du pied offraient la même coloration. La
jambe
droite n'offrait cette couleur livide qu'en dedan
n chez les vieilles femmes de la Salpêtrière, que de voir la peau des
jambes
se couvrir de taches, de plaques d'ecchymoses plu
reuse, et qui oblige les malades à garder le lit. Ce scorbut aigu des
jambes
(car les membres présentent, en effet, tous les c
rhagie spontanée de la peauy du tissu cellulaire et des muscles de la
jambe
. Une vieille femme entra dans mes salles en mar
novembre i83y, salle Saint-Luc, avec une tuméfaction douloureuse des
jambes
et des pieds , sans tache de sang et ecchymose su
avec ecchymose sous-épidermique, occupant le moitié inférieure de la
jambe
ganche. Il y avait en même temps douleurs vives,
es cas de contusion. Au moment où. la malade guérie allait sortirf la
jambe
droite fut prise tout-à-coup des mêmes symptômes
tirf la jambe droite fut prise tout-à-coup des mêmes symptômes que la
jambe
gauche. On aurait dit d'une très forte contusion,
voisinage de l'articulation du pied et au dos du pied; le reste de la
jambe
présenta une légère tuméfaction jaunâtre : tout p
ation des artères. première observation. — Gangrène spontanée de la
jambe
chez unefemme affectée de cancer des parois ado
alade accuse une douleur très vive dans les muscles postérieurs de la
jambe
droite, douleur que le moindre contact exaspère.
s du même côté : la gangrène s'étend rapidement au pied, au bas de la
jambe
, à toute la région antérieure et externe delà ja
ed, au bas de la jambe , à toute la région antérieure et externe delà
jambe
. L'exploration de l'artère fémorale me fait recon
occupe le pied en entier, toute la région antérieure et externe de la
jambe
et la partie inférieure des régions postérieure e
exactement délimitée. Le pied est desséché et momifié. La peau de la
jambe
est également desséchée. Il n'y a pas d'odeur gan
naire. Si la malade avait vécu plus long-temps, la momification de la
jambe
aurait été complète. Les figures 2 et 3 représe
le derme était noir. La malade se plaint de douleurs très vives à la
jambe
et principalement à son côté antérieur, le long d
vait la malade. Application de sangsues Je long du côté externe de la
jambe
, siège principal de la douleur. Du reste, les b
ers orteils. Le 11, la grangrène avait envahi le côté externe de la
jambe
, siège de la douleur et de l'application des sang
parties « vivantes, et j'ai vu que les muscles de la cuisse et de la
jambe
étaient réduits en bouillie rou-« geâtre, que le
imal est mort le 24 juillet, avec une gangrène sèche du pied et de la
jambe
, ïi y avait plusieurs abcès gangreneux dans l'épa
d'une fièvre légère, fut pris d'une douleur extrêmement vive dans la
jambe
droite qui devint pâle et, froide. Le troisième j
ied paraît complètement gangrené. Les douleurs se concentrent dans la
jambe
. Le dix-neuvième jour, l'amputation de la cuisse
insi, j'ai vu dans un hôpital de province un homme dont le pied et la
jambe
momifiés ne tenaient plus que par les os au reste
le. Plus bas, les battemens artériels ne sont plus perceptibles. La
jambe
et le pied sont décolorés, blancs, sans aucune tr
érieur droit.—Le iermai, froid, insensibilité complète du pied, de la
jambe
et de la moitié inférieure de la cuisse. 80 sangs
exprimé du poumon comme d'une éponge. Cœur sain. Les muscles de la
jambe
, de la cuisse et du pied droit sont sains comme c
Les artères collatérales de la cuisse n'ont pas été examinées. A la
jambe
, les artères tibiales et péronières étaient consi
, âgée de G7 ans , à la Salpêtrière depuis 4 ans pour des dartres aux
jambes
, couchée au n° 4» salle Saint-Alexandre, est entr
t huitième côtes; que depuis un an, il éprouvait des crampes dans les
jambes
, surtout dans la jambe droite ; que parfois les o
puis un an, il éprouvait des crampes dans les jambes, surtout dans la
jambe
droite ; que parfois les orteils et les genoux se
l, le malade accuse deux grandes douleurs : i ° des douleurs dans les
jambes
, depuis les genoux jusqu'à la plante des pieds; 2
ractions musculaires ; le malade éprouve souvent des crampes dans les
jambes
, surtout dans la jambe droite ; dans d'autres cas
e malade éprouve souvent des crampes dans les jambes, surtout dans la
jambe
droite ; dans d'autres cas, ces crampes sont acco
s tantôt de mouvemens de flexion, tantôt de mouvemens d'extension des
jambes
sur les cuisses. Tels étaient les caractères de
nuit ; sentiment de feu dans la moelle des os, et surtout le long des
jambes
; d'autres fois, jambes glacées de froid. JNous a
dans la moelle des os, et surtout le long des jambes ; d'autres fois,
jambes
glacées de froid. JNous avons vu que les douleurs
et douloureuses. Le malade se sert de ses mains pour transporter ses
jambes
à droite et à gauche. Toujours ceinture ou barre
spiration, et cette gêne s'annonce immédiatement par la lassitude des
jambes
qui sont comme coupées, l'exercice devient un écu
synapismes promenés sur les membres inférieurs, des vésicatoires aux
jambes
, le retireraient de cet état asphyxique et me per
ucosités rougeâtres et écumeuses. L'air frais, l'attitude assise, les
jambes
pendantes, les pédiluves sinapisés suffisaient to
. Il y avait habituellement un léger œdème à la partie inférieure des
jambes
derrière les malléoles. (i) Ce cas est celui qu
tion d'un chevalier âgé de 65 ans, qui, ayant été guéri d'ulcères aux
jambes
, devint sujet à des douleurs rhumatismales, et mo
que à la Salpêtrière, je n'ai pas vu guérir un seul ulcère ancien des
jambes
, sans qu'il en soit résulté, au bout de trois moi
ons, se plaint d'une céphalalgie frontale atroce (Deux sinapismes aux
jambes
, saignés au bras), tout-à-coup, pendant l'écoulem
dans une flexion permanente, à ce point que la région postérieure des
jambes
touche la région postérieure des cuisses. Les ort
sseurs est telle qu'on éprouve la plus grande difficulté à porter les
jambes
dans le sens de l'extension, et que lorsque cette
lacement de M. Rostan. Je trouvai cette femme dans l'état suivant :
jambes
fortement fléchies en arrière sur les cuisses , e
s rigidité des muscles fléchisseurs de la cuisse sur le bassin et des
jambes
sur les cuisses. La rigidité s'arrête aux genoux;
sur les cuisses. La rigidité s'arrête aux genoux; car les muscles des
jambes
et des pieds sont au contraire dans un état de fl
rmières sont obligées de se placer au pied du lit et de tirer sur les
jambes
de toutes leurs forces. Lorsqu'on étend les jam
de tirer sur les jambes de toutes leurs forces. Lorsqu'on étend les
jambes
et qu'on les abandonne brusquement à elles-mêmes,
malade pour la mettre sur le bassin , on est obligé d'arc-bouter les
jambes
contre la chaise, faute de quoi les talons viendr
limites que celles que leur apportent les fesses pour la flexion des
jambes
sur les cuisses, et la paroi antérieure de l'abdo
pour les prévenir autant que possible, on est obligé de contenir les
jambes
étendues avec des draps passés en travers et fixé
alade comparait à la sensation de la brûlure, et qui s'étendaient aux
jambes
et aux cuisses. L'attitude des pieds était remarq
ent fléchis sur le métatarse, et les pieds, fortement étendus sur les
jambes
, restaient immobiles dans cette attitude. La m
ité existait encore, mais incomplète, dans les muscles qui meuvent la
jambe
et la cuisse. La malade fut placée dans la divi
engourdissement ou fourmillement. Au lit, elle meut assez bien les
jambes
. Levée, elle marche à l'aide de deux personnes qu
le long des nerfs sciatiques, et à la partie interne des cuisses. Les
jambes
et les pieds, d'abord respectés, ne tardèrent pas
e dit un jour qu'elle éprouvait un engourdissement douloureux dans la
jambe
gauche, et que son pied tournait sous elle , si b
urs, la malade se plaint de douleurs sourdes aux pieds, puis aux deux
jambes
. Ces douleurs ou plutôt cet engourdissement occup
ambes. Ces douleurs ou plutôt cet engourdissement occupent surtout la
jambe
droite. Borné d'abord à la partie inférieure de
surtout la jambe droite. Borné d'abord à la partie inférieure de la
jambe
droite, l'engourdissement douloureux envahit prog
rdissement douloureux envahit progressivement toute la longueur de la
jambe
jusqu'au genou, qui reste une limite pendant sept
lade peut marcher, mais en vacillant sur les pieds. Les muscles de la
jambe
sont à-la-fois douloureux et affaiblis. Du reste,
A cette période, je croyais à une affection rhumatismale limitée à la
jambe
, et il me semblait revoir un des cas de cette épi
. Traitement. Frictions , deux vésicatoires à la partie interne des
jambes
. Le 27mai,la paralysie douloureuse, ou engourdi
horax est douloureux. Tout le corps est sensible à la pression ; la
jambe
droite n'est plus aussi douloureuse que les jours
ompression domine seulement dans la portion de moelle qui répond à la
jambe
droite. Il est évident que le cerveau est sain. I
s'assoupit par mo-mens et est réveillée par les douleurs spinales.
Jambes
très lourdes, marche très pénible. La malade , qu
dos et quelquefois jusqu'au bas de l'épine dorsale. Crampes dans les
jambes
, quelquefois engourdissement de la jambe gauche.
e dorsale. Crampes dans les jambes, quelquefois engourdissement de la
jambe
gauche. Tristesse profonde, dont rien ne saurait
a distraire. Le 11 juillet, je crains le retour de la paralysie. La
jambe
droite est lourde, engourdie, douloureuse à la pr
s de gomme gutte de deux grains. Le 12, paralysie douloureuse de la
jambe
droite. Lorsque la malade fait un grand effort de
e pourrait faire quelques pas, mais non sans une affreuse douleur. La
jambe
gauche est libre. Absence complète de douleur, lo
1a paralysie par douleur ou plutôt l'engourdissement douloureux de la
jambe
droite, s'est étendu jusqu'à la hanche. Parfois é
sont continuées. Le 15, l'engourdissement des orteils a cessé ; la
jambe
droite peut être mue sans trop de douleur. Les
lques jours avec un engourdissement et une faiblesse notable dans une
jambe
Mademoiselle Honoré entra le 14 mai et ce n'est q
motions fréquentes dans tout le corps. Sensibilité des pieds et des
jambes
presque nulle ; perception extrêmement lente. La
rsonnes qui la supportent, le train inférieur reste en arrière et les
jambes
se croisent. Les membres supérieurs sont affaibli
mi fléchis, et qu'elle ne peut étendre; cependant elle meut un peu la
jambe
gauche. L'extension forcée est douloureuse. Mem
oratifs. Au début, en 1818 , engourdissement, dans le pied et dans la
jambe
du cote gauche; plus tard engourdissement dans le
mbe du cote gauche; plus tard engourdissement dans le pied et dans la
jambe
du côté droit. Eclairs de douleurs très vives , s
eurs sont complètement atrophiés, les pieds fortement étendus sur les
jambes
, les orteils fortement fléchis. Je me demande si
uis six ans, sans cause connue.Il y a six ans 9 elle s'aperçut que la
jambe
gauche résistait à sa volonté au point de la fair
volonté au point de la faire tomber dans la rue. Trois mois après, la
jambe
droite se prit comme la gauche. Les membres supér
es gens du peuple. Depuis un an, elle éprouvait dans les pieds et les
jambes
, mais surtout dans la plante et au dos des pied
était exposée à des chutes fréquentes; si bien qu'elle se fractura la
jambe
il y a dix-huit mois. Maintenue dans un appareil
s comme support; si je l'engage à faire quelques pas, elle traîne ses
jambes
qui fléchissent sous elle, en se croisant. Elle i
uvemens volontaires, douleurs très vives, continuelles aux pieds, aux
jambes
, aux cuisses et aux reins. Il semble à la malade
ine de jours. Douleurs continuelles dans les reins , les cuisses, les
jambes
et les pieds. Elle redoute le plus léger contact.
rs des cuisses et des pieds ont cessé. La malade ne se plaint que des
jambes
, qu'elle dit être chaudes comme du feu. Le 12 aoû
sa résistance, on levât la malade et on la forçât à se tenir sur ses
jambes
, on vit peu-à-peu les membres inférieurs, qu'elle
e se soutient et marche avec un peu d'aide, mais elle tremble sur ses
jambes
: évidemment le membre inférieur gauche est plus
tout à droite. La malade meut volontairement les orteils, le pied, la
jambe
; mais lorsqu'on soulève le membre, elle ne peut
huit mois environ, par des fourmillemens à la plante des pieds et aux
jambes
: bientôt les bras tremblèrent, la malade devint
ore marcher et coudre. Il y a trois mois, elle commença à traîner les
jambes
, et principalement la jambe gauche. Lorsqu'elle é
trois mois, elle commença à traîner les jambes, et principalement la
jambe
gauche. Lorsqu'elle était obligée de sortir pour
la main droite qui était plus forte que la main gauche : souvent ses
jambes
ployaient sous elle; souvent encore elle faisait
lacées par la paralysie, qui, en quelques heures, passa des pieds aux
jambes
pour envahir la totalité des membres inférieurs.
veut travailler de son état, mais il lui est impossible de rester les
jambes
croisées et la tête baissée dans l'attitude du ta
ois elle est inégale : ainsi j'ai vu un paraplégique dont la peau des
jambes
était notablement sensible aux pincemens, aux piq
ire des muscles, d'un muscle, de quelques faisceaux musculaires de la
jambe
ou de la cuisse, sans mouvement appréciable. Ces
pour le placer sur son fauteuil, il fallait étendre préalablement les
jambes
sur les cuisses et les maintenir violemment dans
jet de 45 ans, et étaient situées l'une à la région postérieure de la
jambe
gauche, l'autre à la région fessière droite, au-d
e de 18 ans, du canton de Berne (1612), dont les bras, le dos et. les
jambes
étaient couverts de cornes, parmi lesquelles il y
ar d'autres excroissances de même nature. Toute la peau des bras, des
jambes
et des pieds avait un aspect horrible : elle étai
atiquée, des sangsues appliquées aux jugulaires, des vésicatoires aux
jambes
, des synapismes sont apposés. J'essaie de faire b
eil. Les contractions spasmodiques s'éloignent; elles cessent dans la
jambe
d'abord, puis dans le bras. Le 3i octobre, les
: la malade ne peut marcher qu'à l'aide d'un support ; le bras et la
jambe
conservent néanmoins la plus grande partie de leu
cette malade me parla d'une contusion qu'elle disait avoir reçue à la
jambe
gauche, et me montra une petite tumeur sous-cutan
, l'os coxal, le fémur droit FD, le fémur gauche FG, une partie de la
jambe
gauche JG, et enfin une partie de l'avant-bras ga
s droite et gauche. — FD, le fémur droit; FG, le fémur gauche; JG, la
jambe
gauche; PD, le pied droit ; ABG, l'avant-bras gau
tion du rectum. 16e liv., pl. m, p, 2. — Idem, par une contusion à la
jambe
; par une phlébite occasionée par une saignée. 16
saignée. 16e liv., pl. ni, p. 3. — Deux abcès dans l'épaisseur de la
jambe
. 17e liv., pl. ni, p. â. — Abcès multiples dans l
vingt-cinquième jour par suite d'un phlegmon diffus sous-cutané de la
jambe
. Foyer apoplectique dans le centre médullaire de
par oblitération des artères. Observations. Gangrène spontanée de la
jambe
chez une femme affectée de cancer des parois ados
du pied-bot n'est pas comme il le pense dans la courbure des os de la
jambe
. 2e liv., pl. iv, p.g. BELLADONE. Sur l'emploi
., pl. v, p. 3. --Abcès hépatiques, suite d'une contusion légère à la
jambe
. 16e liv., pl. ni,p. 3. CONVALESCENCE. Difficul
on du rectum. 16e liv., pl. m, p. 2. — Idem, par une contusion à la
jambe
; par une phlébite occasionnée par une saignée. P
ar oblitération des artères. = Observations. Gangrène spontanée de la
jambe
chez une femme affectée de cancer des parois ados
rhagie spontanée de la peau, du tissu cellulaire et des muscles de la
jambe
. = Hémorrhagie spontanée du tissu cellulaire sous
ramollissement gélatiniforme de l'estomac. 10e liv., pl. 1, ntp. 4.
JAMBE
. Phlegmon diffus sous-cutané delà jambe. 5e liv.,
c. 10e liv., pl. 1, ntp. 4. JAMBE. Phlegmon diffus sous-cutané delà
jambe
. 5e liv., pl. vi, p. 2. — Abcès hépatiques, suite
, pl. vi, p. 2. — Abcès hépatiques, suite d'une contusion légère à la
jambe
. 16e liv. , pl. m, p. 3.— Deux abcès dans l'épais
la jambe. 16e liv. , pl. m, p. 3.— Deux abcès dans l'épaisseur de la
jambe
. 17e liv., pl. m , p. 5. — Gangrène spontanée de
sseur de la jambe. 17e liv., pl. m , p. 5. — Gangrène spontanée de la
jambe
chez une femme affectée de cancer des parois ados
tion du genou et dans le tissu cellulaire libre de la cuisse et de la
jambe
. Inflammation des vaisseaux lymphatiques utérins,
dans les articulations tarsiennes. Deux abcès dans l'épaisseur de la
jambe
. Un abcès dans l'épaisseur du muscle extenseur co
s l'anasarque. 3e liv., pl. v,p. 4.—Phlegmon diffus sous-cutané de la
jambe
. 5e liv., pl. vi, p. a.—Phlegmon diffus du thorax
ation du genou et dans le tissu cellulaire libre de la cuisse el delà
jambe
. Inflammation des vaisseaux lymphatiques utérins
dans les articulations tarsiennes. Deux abcès dans l'épaisseur de la
jambe
. Un abcès dans l'épaisseur du muscle extenseur co
rhagie spontanée de la peau, du tissu cellulaire et des muscles de la
jambe
. Hémorrhagie spontanée du tissu cellulaire sous-c
ont été sans cesse en augmentant et ont gagné le creux poplité, la
jambe
et le pied. Ces douleurs avaient les caractères
lade en éprouve aussi lorsqu'on cherche à étendre complètement la
jambe
sur la cuisse On réveille les douleurs en compr
eds porte à terre de deux côtés, mais appuie davantage à droite. La
jambe
droite est légèrement fléchie sur la cuisse. Ce
e externe, d'où les douleurs gagnent la partie antéro-intcrne de la
jambe
et la partie posté- rieure de la cuisse. U appl
ue dans le creux poplité, le long de la partie anléro-externe de la
jambe
jusqu'à la partie postérieure de la région dors
hanter ou que l'on presse sur le talon, après avoir fait étendre la
jambe
. Quand le malade est debout, on constate qn'il
st sur le dos, la cuisse est légèrement fléchie sur le bassin et la
jambe
sur la cuisse. La déformation que nous venons d
ter ou que l'on presse sur le talon après avoir fait éten- dre la
jambe
. Les différents caractères que nous ve- nons d'
culations du cou-de-pied et du genou droits, sauf l'extension de la
jambe
sur la cuisse, qui fait souffrir la malade, n'e
es membres inférieurs. Dans l'OBSERVATiON I (sciatique gauche) la
jambe
droite est légèrement fléchie sur la cuisse, et l
ariétés; parfois, lors de la station avec le secours d'un aide, les
jambes
s'embarrassent l'une dans l'autre, ou se fléchi
« l'enfant ne marchait pas encore, mais il pouvait se servir de ses
jambes
et sautait comme une pie, tantôt sur un pied, t
Lorsqu'on le met debout en le mainte- nant sous les aisselles, ses
jambes
fléchissent sous lui comme impuissantes à le po
jeter le pied en avant comme pour donner un coup de pied, tenir les
jambes
horizontalement, mettre les pieds sur les barre
lement, mettre les pieds sur les barreaux de la chaise, croiser les
jambes
l'une sur l'autre, il accomplit tous ces actes
gueur musculaire des membres inférieurs eu lui faisant étendre la
jambe
et en lui ordonnant de résister a la flexion qu'o
it-il, il n'a jamais fait de rêves dans lesquels il marchait. Les
jambes
ne présentent rien d'anormal : ni amaigrissement,
iers; notre sujet, plus effrayé que les autres, se sauvait à toutes
jambes
. Le soir il se relira dans sa chambre, pâle et
(car ils se trouvaient au séminaire de Cosence), toutd'un coup les
jambes
lui manquèrent, tellement qu'il lui fut impossi
mbre, il mit les pieds à terre, mais il ne put pas se tenir sur ses
jambes
, ni même s'éloigner du bord du lit. Quand on vo
it qu'il fût soutenu de chaque côté et il avançait ainsi ; mais ses
jambes
faisaient avec son corps une sorte de plan inclin
mbres s'allongent pendant le sommeil. Elle peut cependant lever les
jambes
de dessus le lit, mais elles re- tombent rapide
échis, sans la moindre diffi- culté, et la malade résiste quand, la
jambe
étendue, on veut la fléchir, mais la résistance
sans transition. Quand elle fait effort elle parvient à étendre ses
jambes
taudis que dans son lit cela lui est impossible
son lit cela lui est impossible. Debout, soutenue par des aides les
jambes
restent à demi fléchies, sans mou- vements inco
dans des flexions du bassin sur les cuisses et des cuisses sur les
jambes
assez analogues à ce que l'on voit se produire lo
e l'on voit se produire lorsqu'une personne se tenant raide sur ses
jambes
reçoit à l'improviste un coup sec sur le creux
u moment où la malade se baisse, les cuisses se fléchissent sur les
jambes
, et le tronc se fléchit sur le bassin, la tête
: au moment où la gêne ap- pâtait on voit une cuisse fléchir sur la
jambe
, et le bassin sur la cuisse, en même temps le t
vant puis en arrière, piétinant sur place sans pouvoir avancer, les
jambes
fléchissent puis s'étendent, le tronc se porte en
marche paraissent indépendants de ces ces altérations. re- pos, les
jambes
ne présentent rien d'anormal, sinon un état vari-
ents qu'on im- prime à ses membres inférieurs, et ne peut garder la
jambe
éten- due horizontalement : les mouvements qu'e
flexions brusques du bassin sur les cuisses et des cuisses sur les
jambes
. Pendant la marche ces mouvements s'exagèrent c
avant. Les'secousses sont inégales, et se produisent sur les deux
jambes
. Les pieds ne traînent pas sur le sol comme pour
nte-cinq ans qui éprouvait depuis quelque temps de la faiblesse des
jambes
, des maux de tête, etc., lorsque survint une pa
jambes, des maux de tête, etc., lorsque survint une paralysie de la
jambe
droite. La céphalal- gie limitée au côté droit
long du thorax; il y a de la raideur des deux côtés. On dégage les
jambes
de dessous le lit. A ce mo- ment, la tête se me
Période clonique. - 10 La face se tourne à droite, le bras et la
jambe
correspondant sont animés de convulsions clonique
seconde hémiplégie s'adjoignent de violentes douleurs dans les deux
jambes
et de l'entéralgie constituant des accès accomp
s supérieures. En juin, hypéralgésie, amaigrissement prononcé des
jambes
et du bras droit; un peu de glycosurie. Fin juin
Pendant longtemps après, paralysie des extrémités droites et de la
jambe
gauche. Exagération des réllexes cutanés et ten
lgré l'ap- pui de deux personnes; parésie musculaire, surtout de la
jambe
droite; épuisement des réflexes patellaires à d
r un chan- gement de sensibilité dans le membre inférieur droit; sa
jambe
lui semblait étrangère, il y éprouvait une cert
ans le bras droit un état semblable à celui qu'il éprouvait dans la
jambe
et présentant des variations d'intensité consid
LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 171 malade marche beaucoup et bien ; la
jambe
droite et plus lourde subjectivement. Membres s
e NERVEUSE. peut-on lui faire lancer un coup de pied, croiser ses
jambes
sous lui, atteindre avec le pied le but qu'on lui
s les ais- selles de chaque côté, on le voit fléchir comme si ses
jambes
étaient de coton, et il s'affaisserait s'il n'éta
onstate di- vers mouvements contradictoires et incoordonnés : les
jambes
paraissent comme disloquées et s'embarrassent l
he en restant semblables; il y a même flexion de la cuisse sur la
jambe
et du tronc en avant, suivis de redressement ay
chaque pas. Même alors, l'extension con- sécutive à la flexion des
jambes
peut être à ce point intense qu'elle détermine
it : « Lors- que la malade, est au lit, elle peut bien étendre la
jambe
sur la cuisse, et elle résiste assez énergiquemen
mar- cher, les enfants font des mouvements alternants avec leurs
jambes
lorsqu'on les tient de façon à ce que leurs pie
prochés. Quand on lui dit de se tenir debout, elle ploie sur ses
jambes
et manque de tomber; elle n'évite la chute que pa
dit ces simples mots : « Tu ne penses plus marcher. » Aussitôt les
jambes
fléchissent, et elle tomberait, si on ne la mai
se relève à une distance de 20 ou 50 centimètres du plan du lit; la
jambe
droite reste horizontale. La tête se reporte à
ort apparente; les incrédules lui enfonçaient des épingles dans les
jambes
et ->7-7 REVUE CRITIQUE. dans les cuisse
s bien noté M. Keser (Sein, méd.) dans l'observation deCh... « A la
jambe
, ' L'hypnotisme et les étals analogues au point
la promenade, quand cette paralysie est complète, le malade tire sa
jambe
après lui, comme si elle était morte, balayant
que (papille étranglée). Au milieu de janvier 1887, paralysie de la
jambe
et du bras droits; mort fin janvier dans le ste
l'obscurité. Quand le malade voulait marcher les yeux- fermés, ses
jambes
se dérobaient sous lui, la sensation de dénivelle
de la journée, en s'ap- puyant sur une canne. Il s'avance alors les
jambes
très écartées, comme s'il n'était pas sûr de co
vec le secours de la vue, il peut se tenir un instant sur une seule
jambe
, mais aussitôt qu'il ferme les paupières, il perd
ibre et est obligé, pour ne pas tomber, de se remettre sur les deux
jambes
. , SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES. 347 L'énergie
s membres inférieurs est normale. Quand on dit à Pur.. de tenir ses
jambes
étendues et qu'on essaie de les fléchir de forc
dynamomètre placé dans le jarret marque, quand le malade fléchit la
jambe
sur la cuisse, 19 kilos du côté droit et 24 kil
alade se rend très bien compte des déplacements qu'on imprime à ses
jambes
, il reconnaît les posi- tions qu'on leur donne,
occupent ses membres inférieurs. Il ne lui arrive pas de perdre ses
jambes
dans son lit. La sensibilité cutanée est obtu
ité cutanée est obtuse. Les piqûres pratiquées sur les pieds et les
jambes
sont perçues avec un léger retard et avec un dé
des fesses et éclatant tout à coup « comme des fusées » dans les
jambes
et les cuisses. Dans leurs intervalles, il y a so
'a jamais eu de convulsions. Depuis deux ans,poussées d'eczéma à la
jambe
gauche. La mère de Th.... qui accompagne son fils
igraineuse, ni nerveuse ; elle a eu, il y a deux ans, un abcès à la
jambe
droite avec fistule. [Père, enfant naturel, mort
Rougeole vers trois ans, puis beaucoup de dartres. Fracture de la
jambe
droite à huit ans (chute d'une charrette). Etat
qui tremblaient plus que les autres. C'est alors qu'il a fléchi ses
jambes
sur le plancher, tandis qu'en même temps, il a
uscles, les cuisses se rapprochent, les genoux sont en contact, les
jambes
très écartées. Dans la marche les membres infér
lérose en plaques, on note au début une parésie affectant une seule
jambe
, puis gagnant l'autre; plus tard une paraplégie
qu'il ne convient, l'athétosique ne projette pas brusque- ment ses
jambes
de côté à l'instar d'un polichinelle et ne s'éc
durant longtemps, qu'à l'occasion des mouvements, débutent par les
jambes
envahissent plus tard les membres supérieurs et
la langue malgré lui, fléchit et détend violemment les bras ou les
jambes
et souvent glisse de sa chaise. La brusquerie et
e plus pro- noncée : le choréique fléchit subitement tantôt sur une
jambe
tantôt sur l'autre ; il est projeté de côté en
hanche gauche ayant varié d'intensité et ayant finalement envahi la
jambe
droite, depuis peu même l'épaule droite. Affaib
idérables de la sensi- bilité et du sens musculaire. Atrophie de la
jambe
gauche dans les régions de la cuisse et du moll
eures sans douleur. Diplopie. Alité le 3 février 1886 : parésie des
jambes
, bras pendants, délire. Le 26, désordre très pr
Réaction dégénérative du terri- toire du radial, des extenseurs des
jambes
, et, mais moindre,dans les muscles des membres
ie des petits muscles de la main du côté droit, de la parésie de la
jambe
du même côté avec des accidents spasmodiques, d
du même côté avec des accidents spasmodiques, de l'anesthésie de la
jambe
gauche (analgésie partielle et anesthésie à à l
, des troubles peu accentués de la déglutition, de la faiblesse des
jambes
et des troubles dans l'évacuation de l'u- rine.
tétanos, mais en différanl et occupant l'extrémité supérieure d'une
jambe
. Sera publié en détail '. P. Keraval. ' V. Revu
tiraillements douloureux, quelques fourmillements dans le pied et la
jambe
du côté gauche. Son intelligence était nette et l
par sa localisation, le tuberculome explique le début constant par la
jambe
gauche des phénomènes convulsifs et leur limitati
s elle fait le geste de rejeter ses draps au pied du lit, allonge ses
jambes
, place ses mains le long de son corps comme si el
p-tiques. — (Med. Obozr. XXXIII.) dans les extrémités, surtout à la
jambe
gaucho, tellement violentes, qu'elles empêchaient
e de douleurs dans les genoux, qu'il ne peut fléchir. Les muscles des
jambes
sont contractures. Cette contracture qui s'étend
Verre orange. — Il se jette sur quelqu'un et fait des mouvements de
jambe
et de main comme s'il était à cheval. (Les hussar
illera, ça reprendra. On devrait lui mettre deux bâtons pour tenir la
jambe
droite... » Ether. — De nouveau, hallucinations
de vomissement, crachement de glaires.) Pincements des bras, des
jambes
. — (Quand on agit sur le côté anesthésique, elle
rpent qui me pique ! Un serpent, oui ! Holà! Holà! » Piqûres sur la
jambe
. — « Un rat qui me grimpe aux jambes. (Il remonte
! Holà! Holà! » Piqûres sur la jambe. — « Un rat qui me grimpe aux
jambes
. (Il remonte ou redescend suivant la direction de
de pieds. Il gourmande vigoureusement un spectateur qui regardait les
jambes
de la malade. Il la prend dans ses bras, la porte
vient, passe avec agilité sous la table, entre les chaises, entre les
jambes
des assistants et pousse de temps en temps un lég
peu rauque quelques cris inarticulés; alors elle cherche à mordre la
jambe
de M. Charcot, court de nouveau, passant sous la
nt sous la table, renversant une chaise, puis elle semble flairer les
jambes
des gens. Son oncle dit que c'est ainsi que la cr
e, transformée en chatte, se promenait à quatre pattes, ne voyait les
jambes
des personnes qui étaient là que pour les mordre,
Elle en a eu deux à la suite desquelles elle est restée paralysée des
jambes
. La seconde attaque s'est produite pendant la mes
verser les flammes. Oh ! voilà que j'ai le feu à mes jupons. Oh ! mes
jambes
qui commencent à rôtir. Ah ! voilà un petit espac
aignées. Oh ! ils courent après moi. En voilà un qui me monte sur les
jambes
; il grimpe, il grimpe après ma cuisse. Ah ! je l
la mesure, puis elle a des mouvements choréiques dans les bras et les
jambes
.) « ..... Mais c'est une inondation. En voilà-t
s. On la relève, mais elle boite comme si elle s'était blessée à la
jambe
dans sa chute au fond du puits.....puis elle sa
tte pauvre bête, comme elle a la tête baissée et la queue entre les
jambes
. On dit, quand ils ont comme cela la queue entr
tre les jambes. On dit, quand ils ont comme cela la queue entre les
jambes
, qu'ils sont enragés..... « ..... Cette femme-l
ça reprendra... On devrait lui mettre deux bâtons pour lui tenir les
jambes
bien droites... Tu dis que ça ne servira pas à gr
lire. Puis nous faisons quelques pincements de la peau du bras, de la
jambe
: t Voyons, Charles ! taquin '. Je Charcot, t.
un serpent, oui... Holà! Holà! » Des piqûres d'épingle le long de la
jambe
lui donnent l'hallucination de rats qui lui coure
jambe lui donnent l'hallucination de rats qui lui courent le long des
jambes
, montant ou descendant suivant que les piqûres mo
ois enfants d'un de ces oncles sont malades ; ils sont « pris par les
jambes
. » L'un d'eux marche les jambes très écartées (?)
ont malades ; ils sont « pris par les jambes. » L'un d'eux marche les
jambes
très écartées (?). L'autre a « une espèce de para
les jambes très écartées (?). L'autre a « une espèce de paralysie des
jambes
», il traîne ses pieds. Le troisième a la jambe g
èce de paralysie des jambes », il traîne ses pieds. Le troisième a la
jambe
gauche en flexion forcée d'une façon permanente d
militaire. Pendant sa convalescence, il était un peu sourd, avait les
jambes
enflées et des troubles assez accentués de la mém
qu'on l'y faisait travailler comme tailleur; il est paralysé des deux
jambes
. Il vient de Saint-Urbain où cette paralysie s'es
on s'aperçut que la malade ne pouvait plus marcher, qu'elle avait les
jambes
comme paralysées. C'est dans ces conditions qu'
ie superficielle, il a remarqué aussitôt des engourdissements dans la
jambe
du côté contusionné et bientôt une certaine gêne
gique. Au reste, la démarche esta peine troublée, si ce n'est que les
jambes
se dérobent de temps à autre sous lui. La démarch
é sont multiples. Le malade se plaint d'engourdissement dans les deux
jambes
, de la sensation imparfaite du sol (il lui semble
rtants). Deux ans avant son mariage, il a eu un eczéma variqueux à la
jambe
gauche où on voit actuellement des varices et une
s moteurs se sont notablement accrus ; fréquemment dans la marche ses
jambes
se dérobent sous lui. 11 marche, dit-il, comme un
homme ivre, et il est connu dans son quartier sous le sobriquet de «
jambe
de laine ». Débat du diabète. — En 1883, il y a
aine ». Débat du diabète. — En 1883, il y a sept ans, il avait à la
jambe
un ulcère variqueux qu'on ne parvenait pas à guér
ais il éprouve des agacements, des fourmillements permanents dans les
jambes
, sensations qui n'ont, dit-il, rien d'analogue au
sur une canne progresse en.déviant de la ligne droite, en jetant ses
jambes
à droite et à gauche. Cette démarche qui n'a rien
ritable, à cause d'un degré assez accentué d'atrophie des muscles des
jambes
avec prédominance sur les extenseurs du pied. D
es douloureuses. » En outre, il se plaint de dérobements brusques des
jambes
, d'effondrements qui, joints à l'incoordination,
n abcès, puis un troisième. « Pendant ces six mois l'infirmité de mes
jambes
, écrit-il, n'a cessé de s'accroître, et maintenan
ant que nous avons signalées et d'engourdissement dans les pieds, les
jambes
et les mains, qui le gênent pour s'habiller. 11 a
e l'absence de ses pieds. « J'ai conscience d'un corps au bout de mes
jambes
, mais je ne puis rien dire de sa forme ni de ses
abétique. Le malade ne peut marcher sans aide; il jette follement ses
jambes
en dehors et talonne fortement. Et cependant il n
syphilitique, se plaint depuis de longues années de faiblesse dans la
jambe
droite qui l'empêche de marcher longtemps. Depuis
s il présente des dépôts goutteux articulaires. 11 éprouve dans les
jambes
des douleurs qui ne revêtent point le caractère l
milial de l'affection, incoordination motrice se manifestant dans les
jambes
et les bras, d'abord sous forme d'incertitude, pu
commencement de l'année 1889 qu'il s'est aperçu d'une faiblesse de la
jambe
gauche, qui alla en augmentant jusqu'au mois de j
rs localisées à gauche étaient surtout prononcées à la cuisse et à la
jambe
. Elles étaient devenues nettement lancinantes et
e la force musculaire est très net de ce côte pour le bras et pour la
jambe
; la résistance aux mouvements passifs dans tous
malade, qui s'était aperçu depuis longtemps qu'il traînait un peu la
jambe
gauche. Pas d'atrophie musculaire. Pas de tre
cause de l'augmentation du vertige et d'une sorte de dérobement de la
jambe
gauche. Il souffre de violents maux de tête. Le
e. Puis il cessa de le voir. En 1870 (22 ans d'âge), sentant que la
jambe
faiblit, il entre à la Pitié dans le service de V
médius. Vers la même époque apparut le phénomène du déro-bement des
jambes
, à la suite d'une sorte de secousse ressentie dan
in sont assez limitées. L'abduction et l'adduction sont possibles. La
jambe
ne peut être étendue sur la cuisse. L'extension d
ceps de la cuisse, muscles de la région postérieure, extenseurs de la
jambe
), l'inversion de la formule (P F c N F c) avec af
te d'un mouvement d'adduction et de rotation du membre supérieur. Les
jambes
sont lancées en dehors, la pointe en avant et le
la pointe en avant et le talon soulevé. En même temps qu'il lance la
jambe
d'un côté, il exécute une sorte de dandinement du
à pied, pendant deux ans, 28 kilomètres par jour. Mais bientôt ses
jambes
faiblissent. Il heurte les cailloux sur les grand
portionnellement à peu près dans le même état qu'en 1889. Quant aux
jambes
, on serait fort tenté au premier abord de croire
a de durée variable, consistant en secousses brusques des bras et des
jambes
et un frissonnement général. Vertiges quotidien
nt à la cuisse, puis contracture des orteils, secousse et raideur des
jambes
; enfin, étouffement et accès. Plus rarement même
ar des accès d'abord nocturnes., dans l'un desquels il s'est cassé la
jambe
, puis diurnes et nocturnes. Accès très fréquents,
ce. Père asthmatique. Deux sœurs, dont l'une est paralysée des deux
jambes
et l'autre est migraineuse. Début à l'âge de 5
un motif, un matin en se mettant au travail, il sentit tout à coup sa
jambe
gauche « se plier », se contracturer, et quelque
i-heure immobile, comme endormi, et, au sortir de cet état, il eut la
jambe
gauche parésiée. A partir de cette époque et pe
s, constituées de la même façon que la première : aura, partant de la
jambe
gauche; perte de connaissance quelques instants a
des attaques incomplètes, ressemblant à de l'épilepsie partielle : la
jambe
gauche se raidissait, était agitée de secousses c
de perte de connaissance ; seulement, dès cette époque, le bras et la
jambe
droits devinrent insensibles, presque complètemen
ablement ataxique. (Il avait des accès de douleurs vives, lançait ses
jambes
en marchant.) Antécédents personnels. — Le mala
fle- ment de la main et une augmentation considérable du volume des
jambes
et (1) Meyer, Sur un gonflement éléphantiasique
des jambes et (1) Meyer, Sur un gonflement éléphantiasique des deux
jambes
avec troubles vaso- moteurs d'allure particuliè
omènes vaso- moteurs aux extrémités : les orteils, les pieds et les
jambes
sont le siège d'une coloration livide et froids
emar- qué lui-même que les avant-bras devenaient plus petits. Les
jambes
et les cuisses ne paraissent pas atrophiées. '
la malléole interne, envahit peu à peu tout le cou-de-pied, puis la
jambe
jusqu'au genou. Il disparut d'abord par le repos
lade pouvant aller et venir, et se chausser sans douleurs ; puis la
jambe
gauche augmenta de nouveau. Il s'y joignit bien-
902. A cette époque, on constatait une augmentation de volume de la
jambe
gauche s'arrêtant au genou et prédominant dans le
nou et prédominant dans les régions sus-malléolaires. La peau de la
jambe
gauche, blanche, lisse, douce au toucher était
et de l'oedème mou que sur la face dorsale du pied. Au niveau de la
jambe
la peau avait une résistance élastique. La pressi
hyperesthésie doulou- reuse généralisée, mais ne modifia en rien la
jambe
gauche. Bien plus la tuméfaction, localisée d'a
n la jambe gauche. Bien plus la tuméfaction, localisée d'abord à la
jambe
gauche, envahit, quoi- que légèrement, la cuiss
emeure pour gagner progressive- ment, et par étapes circulaires, la
jambe
, la cuisse du même côté. Il s'étend même par l'
des centres corticaux intéressés, mais celle de nos bras ou de nos
jambes
, et que, lorsqu'on nous marche sur le pied, nou
ant les membres, Chutes fréquentes avec sensation de dérobement des
jambes
; il était incapable de se relever seul ; on le
açon continuelle et progressive. « Tout, dit-il, est porté dans les
jambes
. » Etat actuel. Malade confiné au lit, dans l'i
gts de pied et une ébauche du mouvement, d'extension du pied sur la
jambe
. Au moment où se produit ce mouvement on voit un
ourrelet très réduit en hauteur entourant la face postérieure de la
jambe
comme une cra- vate (V. photogr.). Pas de rel
ras ; pour les membres inférieurs, les pieds, la face postérieure des
jambes
114 LANNOIS ET POROT au niveau des mollets, l
ce ; il n'a eu ni maux perforants, ni douleurs fulgurantes dans les
jambes
, ni chute spontanée des ongles ; il déclare n'a
) . MONSTRUEUSE DÉFORMATION DU TIBIA DROIT 12U C'est l'état de la
jambe
droite qui frappe le plus l'observateur (PI. XXIV
sversal maximum ne dépasse pas 6 centimètres. D'avant en arrière la
jambe
mesure 14 à li centimètres dans son plus grand di
* continue et progressive. « La déformation la plus saillante de la
jambe
est celle du tibia, convexe en avant et en dehors
t. La photographie que nous publions montre le malade appuyé sur sa
jambe
droite, rejetant en arrière la jambe gauche qui
montre le malade appuyé sur sa jambe droite, rejetant en arrière la
jambe
gauche qui ainsi n'atteint pas le genou droit : e
ée en dehors, elle repose sur le condyle exlerne du fémur. - A la
jambe
gauche apparaissent les grosses malformations. El
: on remarque immédiatement deux déformations, une cour- burede la
jambe
qui forme un arcà concavité postérieure, et une d
ans. Depuis l'intervention chirurgicale, la position du pied sur la
jambe
est normale. L'appui se fait surtout sur la par
paraît à la partie interne et brusquement elle est remplacée par la
jambe
petite et grêle. Une photographie représentant
petite et grêle. Une photographie représentant le malade assis, les
jambes
ainsi rapprochées l'une de l'autre, nous montre
ité, permettant quelques mouvements latéraux; dans la flexion de la
jambe
sur la cuisse, la jambe exécute un mouvement de r
mouvements latéraux; dans la flexion de la jambe sur la cuisse, la
jambe
exécute un mouvement de rotation prononcé et sa
dans la saillie de la racine du membre. A la face postérieure de la
jambe
, le triceps est grêle, mais se contracte énergi
ne, le jam- bier antérieur par sa contraction exagère le valgus. La
jambe
semble avoir une certaine mobilité sur la cuiss
on du cou-de-pied est très mobile. L'enfant imprime facilement à sa
jambe
des mouvements étendus de flexion et d'extensio
légère cyanose et un développement pileux très marqué au niveau des
jambes
. Le pied gauche est un peu froid. A la partie e
orps de la malade. laissant cependant à nu la région ombilicale. La
jambe
droite se perd en arrière dans l'ombre sous les
lle que se porte toute l'attention du médecin et de son aide. Cette
jambe
est énorme, tuméfiée, doublée de volume par un oe
peut-être même dessinée d'après nature. La partie inférieure de la
jambe
est également gonflée d'oedème; mais, en outre,
qui, assis sur le pied du lit, soulève d'une main le bandage de la
jambe
malade et de l'autre main se bouche le nez pour
xacte représentation d'une affection oedémateuse et ulcéreuse de la
jambe
. Les exemples d'oedèmes des membres inférieurs
vance péniblement, sur deux béquilles, un pauvre diable demi nu. Sa
jambe
droite est entou- rée d'un bandage fort soigneu
uméfiée. Le pied nu est énorme, très oedémaliô sur sa face dorsale.
Jambe
et pied sont d'ailleurs tuméfiés et contrastent
malade porte encore un bandage. Est-ce un oedème vari- queux de la
jambe
, est-ce quelque gangrène, ou peut-être une lèpre
e, à droite, un homme qui s'a- vance, soutenu par des béquilles; sa
jambe
gauche est entourée d'une bande soigneusement e
reçoit du Saint une pièce de monnaie, a le pied droit tuméfié et la
jambe
entourée d'une bande. De même, sur une peintu
maladies, au musée de Bâle, j'ai signalé un malade demi-nu dont la
jambe
est envahie par un oedème énorme, couvert d'ulcér
blessés, j'ai vu encore une fresque représentant un infirme dont la
jambe
droite est considéra- blement oedématiée. Rie
adie aient choisi les gonflements oedémateux et les ulcérations des
jambes
de préférence à d'autres affections. Ce sont ma
jours plus tard, des douleurs de même nature se produisirent dans la
jambe
droite, entraînant une impotence complète du me
résence d'une brûlure au 2e degré, siégeant à la face externe de la
jambe
gauche, et produite par le contact d'une boule d'
rs se seraient encore montrées s'il fauten croire la malade dans la
jambe
droite,puis dans la jambe gauche ; mais les carac
rées s'il fauten croire la malade dans la jambe droite,puis dans la
jambe
gauche ; mais les carac- tères de ces troubles
te moyenne droite, d'hémorrhoides, de douleurs rhumatoïdes dans les
jambes
; la glycosurie jointe aux autres manifestations
pro- portionnée à la taille ; mais la cuisse est plus longue que la
jambe
. Ces déformations caractéristiques avaient perm
pée. La musculature des extrémités inférieures, notamment celle des
jambes
, est très développée, ce qu'on ne peut pas attr
le et ses deux bras, tandis que deux aides maintiennent chacune une
jambe
et que 1 a sage-femme pratique l'accouchement.
équin, déterminée par la force inégale des différents muscles de la
jambe
. Ici le pied n'était pas en équin, mais il y av
ents s'éten- dent maintenant à tout le côté gauche, au bras et à la
jambe
. Après beau- coup d'alternatives, elle se raidi
de tout son corps : la tête rem'ue fortement comme les bras et les
jambes
. Ce tremblement est si considérable, et la figu
ts du bras et de la main se font avec aisance. Dans la marche, la
jambe
droite est plus faible et le pied droit tend à
r ensemble, par l'absence d'un seul des os de l'avant-bras ou de la
jambe
, absence coïncidant le plus souvent avec celle
ce dorsale se continue insensiblement avec la face antérieure de la
jambe
. La voûte plantaire n'existe plus : le pied par
sain. Vient-on à saisir le pied et à essayer de le mobiliser sur la
jambe
, on s'aper- çoit que l'articulation tibio-tarsi
és dans l'aine correspondante. Pas d'atrophie de la cuisse et de la
jambe
droites. Si l'on fait tenir le malade debout, s
). ARTHROPATHIE NERVEUSE TRAITÉE PAR LA RÉSECTION 259 continue la
jambe
en ligne droite ; au bout de quelques instants, c
orteils appuie sur le sol, puis le pied se met à angle droit sur la
jambe
, il parait vraiment se tasser jusqu'au moment o
solide au lieu d'un moignon que lui aurait laissé une amputatien de
jambe
. La radiographie faite au moment du [départ du
l existe une ankylose presque complète à angle droit du pied sur la
jambe
; il n'y a plus de suppuration. La sensibilité qu
ition, il avait du vertige,de la faiblesse, un tremblement dans les
jambes
et il lui semblait qu'il allait tomber. Il pouv
eurasthénie. En outre, il souffrait de douleurs passagères dans les
jambes
et dans la région du sacrum. Il sentait une pre
s la terre, d'avoir de l'atrophie des muscles, et d'être comme si ses
jambes
n'avaient pas de base solide et ne pouvaient fo
torsionne, il se raidit surtout du côté gauche, étend et écarte les
jambes
, appuie la tête sur l'épaule gauche, il tient s
ique sans doute avait « le cerveau torturé, puis le coeur, puis les
jambes
, puis les bras, et même tout le corps ; enfin, ve
mba dans une grave maladie dont il demeura avec une im- potence des
jambes
et des membres..., mutisme et un état intellectue
îné ; - dans le cas présent par le pied et par la main gauche ; ses
jambes
sont nues, il n'a sur le corps qu'une mau- mauv
pied dont le développement est hors de proportion avec celui de la
jambe
. On peut faire les mêmes constatations si l'on
raire, il n'y a plus opposition entre l'état du pied et celui de la
jambe
, l'infiltration étant uniquement répartie. La s
olement au moindre bruit, au plus léger mouvement de la main ou des
jambes
du cavalier ; vers 6 ans, la gourmandise et la do
'enfant est^ici nettement représenté : le lange, qui flotte sur les
jambes
, est déjà maintenu à la ceinture par quelques sol
Paris, Gaultier etMagnier). Sur quelques caractères anatomiques des
jambes
des statues égyptiennes (Revue de l'Ecole d'Ant
exagérés à droite; vomissements; augmentation de la paralysie de la
jambe
droite. Trépanée à Saint-Antoine le 24 mai 1898
isme peu marqué : cependant, cauchemars la nuit, crampes dans les
jambes
. Pas de traumatismes céphaliques. Caractère ner
apparaissent. L'enfant trébuche fréquemment, tombe facilement, ses
jambes
fléchissent, elle marche mas, aussi bien le jou
dé à l'administration du calo- mel. ter mai. - La faiblesse de la
jambe
droite augmente lors- que l'on fait marcher la
la jambe droite augmente lors- que l'on fait marcher la malade, sa
jambe
droite se dérobe sous elle; elle tomberait iL d
t assise, elle exécute 8 CLINIQUE NERVEUSE. assez bien avec ses
jambes
les mouvements commandés. Elle n'éprouve pas de
oi. Elle a crié après, s'est débattue, remuait bien les bras et les
jambes
; a la suite, écoulement de sang par la bouche
ées intenses, vomis- sements alimentaires et bilieux, parésie de la
jambe
droite et réflexe rotulien exagéré de ce côté ;
à sa mère physiquement. A l'âge de six ans,il commence à traîner la
jambe
gauche, puis une tumeur blanche du genou gauche
tules au genou gauche. A l'âge de 15 ans, c'est-à-dire en 190'f, la
jambe
droite s'affaiblit, ellc plie sous le poids du
-dire du côté paralysé, apparaît du tremblement continuel; puis les
jambes
et les bras des deux côtés sont animés par inte
ché, ses membres inférieurs sont fléchis dans tous les segments, la
jambe
sur la cuisse, la cuisse sur le bassin. Le memb
a vue qui est perdue au bout de deux ans. - A 15 ans, parésie de la
jambe
, puis du bras, du côté droit. Diminution progre
alement un certain intérêt : à l'atrophie de tous les muscles de la
jambe
et du pied droits correspondait en effet une di
ocaliser dans le premier de ces groupes le centre des muscles de la
jambe
et dans le second celui des muscles du pied ave
varie beaucoup avec le mouvement considéré. Ainsi la flexion de la
jambe
sur la cuisse est 1res faible, l'extension, au
c les secours des fléchisseurs de la cuisse et des extenseurs de la
jambe
. Les réflexes des membres inférieurs, tant tend
rolonge en haut par une bande prenant toute la moitié externe de la
jambe
, tant en avant qu'en arrière et s'arrêtant au-des
acté en flexion, la cuisse repliée il angle obtus sur le bassin, la
jambe
fléchie sur la cuisse, le pied est tlh ié en va
e tous les mouvements volon- taires tant aux brasqu'au tronc et aux
jambes
. Une fois les mus - des bien misen mouvement, c
gressivement la marche. S'il veut accélérer brusquement le pas, ses
jambes
se raidissent, et il tomberait s'il voulait conti
mouvements, puis, après avoir fait deux en [rois pas,il écarte les
jambes
, fauche légèrement, s'ar- rête une dizaine de s
uée. Phosphaturie simple. Aurait eu, à Saint- Antoine, l'oedème des
jambes
avec albuminurie passagère. Les premiers auteur
des individus jeunes ou des enfants dans le décubitus la- Léral, la
jambe
en flexion, ou sur le ventre, en relâchant les mu
efois part le semi-membraneux elle semi-tendineux ; parfois même la
jambe
se fléchit sur la cuisse. Plus rarement, les ab
jambe se fléchit sur la cuisse. Plus rarement, les abducteurs de la
jambe
entrent en jeu. Souvent les mouvements sont trè
du creux poplité en descendant le long de la face postérieure de la
jambe
, on obtient la flexion plantaire du pied et des
ce ligament, vous obtenez un lé- ner mouvement de projection de la
jambe
, ou au moins la main appliquée sur le triceps y
asseoir le patient sur une chaise large et élevée de fa- ! ;on que la
jambe
appuie, sur le bord antérieur du siège et fasse
ique delà face antérieure du tibia se traduit par l'extension de la
jambe
. Il se manifeste dans les paralysies organiques.
s adducteurs de la cuisse quand le malade est couchésur le dos, les
jambes
fléchies ; une extension de la jambesouvent accom
le patient est déboutées jam- bes légèrement fléchies. 3° Si, la
jambe
étant croisée sur l'autre et pendant librement,
et adduction en dedans de la cuisse avec mouvement en dehors do la
jambe
. 4° Le heurt de la malléole externe peut avoir
xe de la malléole interne e manifeste souvent par l'extension du la
jambe
, en certains cas par la rotation du pied en deh
fatigue anormale localisée. Celle sensation siège de préférence aux
jambes
; elle s'y montre du très bonne heure et à un d
uisent; parfois aussi le malade ressent alors des douleurs dans les
jambes
, mais, il a beau être las, il arrive, par un ef
il a beau être las, il arrive, par un effort de volonté, à lever la
jambe
encore assez haut. Ceci indique j ustemenL un r
un rétrécissement ou une oblitération des artères affè- rentes des
jambes
, un trouble fonctionnel des vasomoteurs et une
muscles se contractent. Le siège des douleursetparesthésics est la
jambe
, généralement le pied, le mollet, plus rarement
ut plu- profondément que sur les muscles de l'a\anL-Ij['llsl'lde la
jambe
. )1. Marie confirme et. montre l'importance méd
sins de la racine du membre. Le pied se place en ex- tension sur la
jambe
; lesorteils restent immobiles. Les membres supé
ée de chercher un appui pour ne pas tomber. Pen- dantia marche, ses
jambes
se dérobent sous elle, el elle tombe fréquemmen
génitaux, à l'abdomen, au dos, respec- lant la face, les mains, les
jambes
et les pieds. Les troubles nerveux étaient cara
à la partie externe 222 SOCIÉTÉS SAVANTES. de la cuisse, de la
jambe
et du pied. Plus tard apparurent des troubles u
jets sain* en leur recommandant d'étendre légèrement le pied sur la
jambe
, ce qui explique lu clonus chez les hystériques
nous voilà »; et il joue avec les autres enfants. Il grossit et ses
jambes
pren- nent de la force. 250 THÉRAPEUTIQUE
our, ni la nuit. Il cherche à se déshabiller seul, et y arrive. Ses
jambes
se sont fortifiées et aujourd'hui il marche (Fi
able, courait de tous côtés, bavardait à l'école, faisait aller ses
jambes
, ses pieds, ses mains, on aurait dit qu'elle étai
p de pied à une idiote, pousse une petite, mal équilibrée sur ses
jambes
; en gifle une autre sans aucune raison, elle marc
hevaux,. Saillie osseuse à l'oc- ciput, au niveau du coup. Varices,
jambe
gauche. Varicocèle. Pas de hernie. Hémoptysies
ait toujours du côté droit. Ça a commencé par le bras droit puis la
jambe
droite, puis les quatre membres. Ne se souvenait
me depuis : l°est tombé du haut des fortifications et s'estbrisé la
jambe
droite ; 2° coup de corne d'un taureau lui ayan
t les cellules qui représentent le début de la région motrice de la
jambe
dans la moelle : un peu plus bas, le centre du
groupes secon- ilaires, lescellules altérées qui correspondent à la
jambe
forment t un groupe assez étendu, bien circonsc
occupe le niveau le pins élevé parmi les centres des muscles de la
jambe
parce que, des fibres lombo-sacrées formées par
s pelils groupes qui sont en relation avec les autres muscles de la
jambe
. Ce sont, on dedans de ce centre et sur le même p
érieure du groupe central, Une partie des centres des muscles de la
jambe
est d'ailleurs ici restée indemne, tandis que c
nouveau groupe de cellules, en arrières de celui des muscles de la
jambe
; c'est le groupe post-postéro-laLral d'Onuf ;
ne reste qu'un seul groupe de ceux qui innervent les muscles de la
jambe
; c'est le centre des gasll'o- cnémiens. Le gro
ations précédentes sur la localisation des muscles du pied et de la
jambe
. Ici encore peu de cellules lésées dans leurs r
es constants du tabès ; elle peut s'observer dans les muscles de la
jambe
(gastrocnémiens), de la hanche, des mem- bres s
MENTALE. hies, des idées fixes et de persécution du dérobemcnt des
jambes
de la taihlesse musculaire. 11 devient parfois
a souffert de violents maux de (été, de douleurs, des blessures aux
jambes
et d'accès d'angoisse. Les soeurs du père n'ont
ne mangeait, ni ne buvait seule, ne pouvait pas se tenir sur les
jambes
, la parole était nulle. Elle gâtait nuit et jour.
nfant est obligée de séjourner à l'infirmerie, ayant des abcès à Si
jambe
malade. C'est grand dommage, car l'en- fant est
érent avec tout le monde. Les mouvements brusques des bras et des
jambes
ne lui permettaient pas de se donner les soins de
corps de la jeune Bossa a été décapité ; Mlle Toselli eut les deux
jambes
broyées, le poignet gauche et le pied droit sec
jours été en progressant depuis trois ans envi- ron. Paralysé des
jambes
, puis de la langue,puis à un moindre degré des
petits pas sans, pour ainsi dire, détacher les pieds du sol ; la
jambe
gauche est plus paralysée que la droite. Le réfle
roite seulement; il n'y a ni trépidation, ni signes de Babinski. La
jambe
et la cuisse gauches surtout sont très amai- gr
est telle que quand l'infirmier le porte sur la chaise, les deux
jambes
restent horizontales. La rigidité est moins accen
au corps, marchant difficile- ment à tout petits pas en traînant la
jambe
droite. Sa parole est incompréhensible, aucune
e du côté droit du corps est profondément atro- phiée, surtout à la
jambe
et au pied qui, au lit, se met en équin varus ;
en moins de deux centimètres à la cuisse et d'un centi- mètre à la
jambe
gauche. Aux membres supérieurs, l'atrophie, sur
des réflexes du genou, surtout à gauche ; clonus du pied et de la
jambe
du même côté. Démarche non spasmodique. mais gêné
pasmodique. mais gênée, maladroite,avec raideur prédominant dans la
jambe
gauche. Pas d'atrophie musculaire apparente aux
fait insidieusement. Il s'aperçut d'abord qu'il faiblissait sur ses
jambes
, il avait des vertiges, était gêné dans l'usage d
u grand pectoral. Dé- marche spasmodique, il marche en écartant les
jambes
, déta- chant à peine les pieds du sol, et en tr
vant. bras droit est de 29 cm. : celle du gauche de 23. Celle de la
jambe
droite est de 3G ; celle de la gauche de 3 1/2.
ses sont égales. En somme, l'atrophie atteint surtout le bras et la
jambe
gauches. Aux mains, les éminences thénar et hyp
dif- ficultés pour les exercices de gymnastique en raison de ses
jambes
qui sont encore faibles. Malgré toutes ces diffic
st très douce et sait se faire aimer de toutes ses compagnes. Ses
jambes
se fortifient peu peu, enfin, l'enfant est par-
mais tombait à chaque instant, car elle n'était pas solide sur ses
jambes
. Elle gâtait nuit et jour, pleurait à chaudes l
ement à ce qu'on lui demande. Elle marche bien, tout en traînant sa
jambe
malade, ce qui ne l'em- pêche pas de courir, de
it en bas, et déterminer ainsi des troubles de sensibilité dans les
jambes
. Quoique'ces hypesthésies 1 Emil Redlich. DiePa
u'il a fait construire pour la recherche du réflexe du genou sur la
jambe
en équilibre 2. « Plus récemment, il a fait c
e parésie, sans atrophie musculaire, des muscles anté- rieurs de la
jambe
. Le cas que nous venons de rapporter vient auss
plète de la région seroto-pénienne. Rapi- dement, les muscles de la
jambe
se sont atrophiés, ceux de la cuisse restant in
stérieure de la cuisse gauche et des faces antéro-externes des deux
jambes
, avec légère dissociation syringo-myélique à la
de sa division, il prend - ho CLINIQUE MENTALE. la fuite à toutes
jambes
pour s'évader. L'expérience plusieurs fois réit
ttention sur lui. On constata qu'il avait maigri, qu'il portait aux
jambes
une éruption huileuse suivie d'ulcérations. En
io-glossal spasmodique (Charcot) du même côté ou du côté opposé. La
jambe
est ordinairement plus affectée que le bras, et
à droite, et frappant les muscles de la région antéro-externe de la
jambe
et le mollet ; pied bot varus équm/paraty- tiqu
ssibilité des mouvements des pieds, difficulté des mou- vements des
jambes
. Abolition des réflexes rotuliens; signe d'Argyll
t, les mains arcboutées sur un meuble. Il fléchissait légèrement la
jambe
droite sur la cuisse en s'ap- puyant de tout so
be droite sur la cuisse en s'ap- puyant de tout son poids sur cette
jambe
demi-fléchie et en déta- chant l'autre du sol.
ments; mais ces derniers s'arrêtaient aussitôt qu'il remet- tait la
jambe
en extension. Chez mon malade ce phénomène était
z mon malade ce phénomène était unilatéral et ne portait que sur la
jambe
droite. Deux cas de Paralysie alterne. Troubles
la plante des pieds, ..iL la face postérieure de la cuisse et de la
jambe
droite, à la face dorsale de l'avant-bras gauch
a paralysie s'est manifestée, sans prodromes. Brusquement une seule
jambe
, la gauche, a refusé tout service. Le malade re
r de cultivateur. Ce n'est qu'avec diff1culté ! et en trai- nant la
jambe
qu'il put regagner son logis, distantid'environ d
les phénomènes persistèrent tels quels : pendant tout ce temps, la
jambe
était « comme morte » et le sujet était dans l'
plas- mes de 'farine de moutarde.1 Enfin, durant cette période,' la
jambe
- avait maigri et, à l'heure actuelle, elle ser
ns, à la suite d'un. accident, Henri G....eut unefrac- .turc .de la
jambe
. droite, soignée par le Dr Tanguy ; sans qu'il y
existé. Le malade étant déshabillé présente un léger steppage de la
jambe
'gauche. 'Au -surplus, le -sujet s'est aperçu l
e son soulier s'accroche aux aspérités du sol. Il dit encore que sa
jambe
n'est pas aussi « vive » que l'autre et qu'il s
réflexes rotuliens. On ne constate pas de troubles trophiques à la
jambe
jadis atteinte, sauf au niveau des ongles des o
e gauche. IL existerait aussi une sensation de froid plus vive à la
jambe
gauche, surtout en marchant. Il n'existe pas
uche. Cette douleur s'accompagnait d'une sensation de froid dans la
jambe
gauche, allant du pied au genou. Enfin cette mê
oid dans la jambe gauche, allant du pied au genou. Enfin cette même
jambe
devenait plus lourde sans cepen- dant qu'il y a
mois, puis disparurent. Mais le sujet conservait une boiterie de la
jambe
gauche qui persista une année. Huit mois aprè
que le malade tra- vaillait encore aux champs, il s'aperçut que la
jambe
droite deve- nait plus faible. Les phénomènes o
'accompagna d'une boi- terie du reste moins marquée que celle de la
jambe
gauche. Pendant que s'accusaient ces symptômes,
elle de la jambe gauche. Pendant que s'accusaient ces symptômes, la
jambe
gauche, la première prise, maigrissait et s'atr
A la suite de cette dure besogne, il ressent une faiblesse dans la
jambe
gauche. Il nie tout abus d'alcool, dit ne pas fai
siégeaient sur le trajet du sciatique gauche, la faiblesse dans la
jambe
correspondant fut consécutive. Il dit encore qu
examen, il existait une sensation de froid dans le pied gauche, la
jambe
du même côté était plus faible et présentait un
s, il n'y a pas de pied bot. ' MENSURATIONS DE LA CUISSE ET DE LA
JAMBE
. Cuisse droite à 14 centimètres au-dessus de la
gauche à 14 centimètres au-dessus de la rotule, 43 cent. 1/2.. La
jambe
gauche est manifestement plus petite que la droit
sse résultant d'une chute faite à l'âge de treize à quatorze ans.
Jambe
gauche à 15 centimètres au-dessous du bord supéri
mètres au-dessous du bord supérieur de la rotule, 30 cent, 1 2. '
Jambe
droite à 1;i centimètres au-dessous du bord supér
timètres au-dessous du bord supérieur de la rotule, 32 cent. 1/4.
Jambe
gauche à 22 centimètres au-dessous du bord supéri
mètres au-dessous du bord supérieur de la rotule, 21 cent. 1/2. 1
Jambe
droite à 22 centimètres au-dessous du bord supéri
res. 11 n'existe pas de contractions fibrillaires des muscles de la
jambe
gauche. 11 n'y a pas de signe de Babinski. Le
ubjective. Le sujet se plaint seulement d'un peu de faiblesse de la
jambe
gauche après un fort travail. Il n'y a pas de d
de l'odorat ni de l'ouïe. Troubles vaso-moteurs. - Pas d'oedème des
jambes
. Pas de trou- bles vaso-moteurs au moment de l'
eurs au moment de l'examen, mais lorsque le malade se réchauffe, la
jambe
du côté gauche se recouvre d'une rougeur manife
e la deuxième et; la troisième attaque une certaine faiblesse de la
jambe
gauche. avec une douleur vague- dans les mollet
pendant huit jours et finit par disparaître complètement : les deux
jambes
étaient prises. Le malade steppait fortement de
s deux jambes étaient prises. Le malade steppait fortement des deux
jambes
(le sujet imite de lui-même la marche telle qu'
qu'il prétend. Le sujet étant debout ne peut fléchir le pied sur la
jambe
. Ce mouvement est surtout à peine esquissé du c
miers temps de sa dernière attaque, lorsqu'il se tenait debout, ses
jambes
fléchissaient sous lui. La marche faisait dispa
supérieur de la rotule. Droite, 43 cent. 5; gauche, 43 cent. 5. -
Jambes
: 17 centimètres au-dessous du bord supérieur de
s réflexes roluliens, une atrophie très nette'de la cuisse et de la
jambe
gauche par rapport à leurs congénères dû côté o
que). La paralysie débutait par les bras ou le plus souvent par-les
jambes
. Elle durait- huit à dix heures et atteignait s
quand le malade copiait de la musique, la paralysie envahissait la
jambe
et le bras inactifs, le bras actif ne se prenai
abortives se caractérisaient uniquement par des douleurs dans les
jambes
. Après les crises persistaient' de l'excitation,
tait complète. Dans le second cas l'ulcère siégeait au milieu de la
jambe
gauche et datait de quatre années. Il avait une
ic du côté gauche de la face, 1 de tremblement avec douleur de la
jambe
droite, 1-de douleur lombaire aiguë avec impossib
t jeune plus il y a de probabilités pour qu'on voie les muscles des
jambes
subir la dégénérescence grais- seuse en même te
s précoce. Laehr ne l'a vue qu'une fois pré- céder l'anesthésie des
jambes
. On ne sait pas encore si cette forme d'anesthé
Dans tous les cas observés par l'auteur la maladie a débuté par les
jambes
, et dans un quart des cas, elle s'y est limitée
septembre 1898, en état de paraplégie complète ayant débuté par la
jambe
droite, et envahi - ensuite la gauche. Réten- t
, et envahi - ensuite la gauche. Réten- tion d'urine : Sur les deux
jambes
, mais surtout sur la droite, anesthésie à distr
t, il remuait très peu ses membres, mais moins mal les bras que les
jambes
. Il ne pouvait se retourner dans son lit qu'en
aines circons- tances, par exemple quand on le caresse. Au lit, les
jambes
res- tent allongées, les bras collés contre le
ent ensuite leur attitude primitive. La trépidation épileploïde des
jambes
, quand on les allongeait, est nettement décrite
ès spontanés de contracture. Si on essayait de le faire sauter, les
jambes
étaient prises de trépi- dation et restaient en
que lorsqu'on le pinçait il y avait un mouvement de flexion de la
jambe
. Si on le cognait, il y avait un mouvement réflex
piqûre bien profonde pour provoquer un très léger mouvement de la
jambe
gauche. A droite, la force musculaire est beaucou
bouche est sale, le trismus toujours très marqué. La parésie delà
jambe
gauche n'augmente pas. L'incontinence des urines
que deux sangsues derrière chaque oreille, des sina- pismes sur les
jambes
et les pieds et des ventouses sèches sur la poi
la, je veux mourir ! Une souffrance terrible agitait son pied et sa
jambe
de mouvements spasmodiques. Le docteur ne riait p
pied se soulève plus du côté malade que du côté sain, tandis que la
jambe
se fléchit sur la cuisse, bien moins à droite q
t eu une première attaque de convul- sions, limitée au bras et à la
jambe
gauches. Les attaques se sont répétées, dans la
uis quelque temps, mais il lui restait une parésie du bras et de la
jambe
gau- ches. Deux mois plus tard, le malade, qui
appréciables. On procéda à la détermination du centre moteur de la
jambe
, à l'aide de l'excita- teur électrique ; la sub
it porté en supination; la tête se tournait à droite; le bras et la
jambe
gauches se raidissaient. Bientôt la tête se tou
s gauche, aux- quelles s'associaient des secousses semblables de la
jambe
gauche et de la moitié gauche de la nuque. Jama
ne peut absolument pas marcher, ou bien il ne peut se tenir sur les
jambes
, parce qu'elles se jettent de côté et d'autre,
aralysie faciale ; 3° Le bras reprend ses fonctions plus tôt que la
jambe
; 4° Les paralysies des muscles des yeux sont d
laire. B. 1° Les paraplégies hystériques, celles en particulier des
jambes
, s'accompagnent en grande partie d'anesthésie ;
omen et le long des cuisses : la sensibilité du bas du tronc et des
jambes
était abolie ; le pouls était normal, la tempér
ngt-quatre heures, la motilité avait commencé à se rétablir dans la
jambe
gauche, et vers la fin du second jour elle étai
le malade, et outre les symptômes déjà indiqués, il constate que la
jambe
droite est inca- pable du moindre mouvement, qu
onsidérable de l'état général, de la parole et des mouvements de la
jambe
. Mais ultérieurement il se développa un état sp
nt il se développa un état spasmodique des muscles du bras et de la
jambe
, et deux ans après le début de l'hémiplégie la
ne Falet, doué d'une poigne solide, le rattrapa et le remit sur ses
jambes
. 446 ' FAITS DIVERS. Il lui fallut ensuite so
malade avait un mois, il souffrit d'une attaque convulsive dont la
jambe
et le membre supérieur droit restèrent paralysé
ait vaincre une grande résistance pour la séparer quelque peu. La
jambe
en flexion sur la cuisse, celle-ci légèrement sur
it dédier aux soms du ménage, que, la rigidité de son bras et de sa
jambe
ayant disparu] il lui était facile de l'habille
era qu'il souffrit d'une attaque convulsive, dont le bras et la .
jambe
droits restèrent ballants, el ce ne fut seulement
oduite deux ans auparavant. Bras contracture en flexion. Paralysie.
Jambe
légalement rigide. Hëuexes tendineux exagérés.
main. Pied bot varus équin. Spasticité dans tous les segments de la
jambe
gauche, exagération des réflexes tendineux. L'e
oit en la prenant entre ses genoux : un drap est enroulé autour des
jambes
du malade, et un aide 'agenouillé à côté des ja
oulé autour des jambes du malade, et un aide 'agenouillé à côté des
jambes
saisit les poignets et les abaisse, en évitant
on chez, l'homme à l'état physiologique,, avec facilité, lorsque la
jambe
est dans la demi-flexion. Même dans cette attit
muscles de la partie antérieure de la cuisse et pos- térieure de la
jambe
sont fort petites ; elles nous, ont paru néanmo
itions identiques, un temps perdu plus considérable que ceux de 'la
jambe
. li '"Nous ne voudrions pas qu'on se méprît sur
istance ils font reconnaître un 48-iv \" PATHOLOGIE. ataxique. La
jambe
oscillante est d'abord fléchie, puis lancée en
, s'abaisse et vient violemment heurter le sol du talon. Quant à la
jambe
portante, elle est rigide, contracturée. Comme
leur inégale tonicité. Voyons en détail chacun des mouvements de la
jambe
oscillante. Lorsqu'un ataxique veut mettre un p
mètres de l'autre pour faire un pas, il contracte les muscles de la
jambe
marchante au maximum ; aussi dépasse-t-il le bu
examinant la direction de la rotule. Lorsque le sujet abaisse la
jambe
, il contracte encore ses muscles au maximum, e
, et le talon vient heurter violemment le sol ; l'abaissement de la
jambe
ne se fait pas avec une énergie moindre que sa
ments et des brûlures sur la peau, des crampes dans les bras et les
jambes
. Ces hallucina- tions et ce nouveau délire ne t
debout et à lui faire faire quelques pas. Elle remue les bras, les
jambes
; mais les mouvements sont faibles. Traitement t
eu une maladie cutanée dans l'enfance et a eu récemment, sur les
jambes
, des taches bleues qui ont disparu sous l'influen
s sont fléchies à angle droit sur le bassin, dans l'adduction ; les
jambes
sont fortement fléchies, les talons viennent s'
us. Les hanches sont raides, les genoux rigides. Oud... allonge les
jambes
, mais ces mouvements sont très limités. 12 ma
La cuisse droite est dans l'adduction et fléchie sur le bassin ; la
jambe
est fléchie sur la cuisse ; le pied est plat, en
e interne de la cuisse. La malade est incapable de se tenir sur ses
jambes
. Des deux côtés, on remarque des cicatrices et
u des grands trochanters et du sacrum. Attitude. --D'ordinaire, les
jambes
sont fléchies et croisées et cela aussi bien au
ues petites convulsions fibril- laires des muscles du pied et de la
jambe
. du côté droit exclu- sivement, qui vont en aug
culations du cou-de-pied, du genou, du même côté, se raidissent; la
jambe
droite se soulève ou s'éloigne de l'axe du corps
survient quelques convulsions cloniques modérées du bras et de la
jambe
du côté droit. Il n'y a ni ronflement, ni écume
ce point : début des convulsions par les muscles du pied et de la
jambe
du côté droit, envahissement du bras droit et d
du membre inférieur gauche sont très limités; le malade soulève la
jambe
dans le lit, avec la plus ' Debove. Recherches
t à une faible hauteur. Il marche en remor- quant laborieusement sa
jambe
malade. Le membre supérieur ne peut se mouvoir;
disparu. Le malade marche, et même court facilement sans traîner la
jambe
. Le bras gauche se meut sans gêne aucune, au dy
empérature est à 38° dans l'aisselle du côté sain. Sinapismes aux
jambes
et aux cuisses. - Purgation.-Lave- ment à la gl
s. - La paralysie semble céder un peu. - La malade peut soulever la
jambe
et le bras. Elle se plaint toujours de la doule
rsiste; il y a même quelques douleurs spontanées dans le bras et la
jambe
du côté paralysé. - La malade peut facilement s
était éveillée. Souvent une chute de température se faisait dans la
jambe
au moment où une élévation se manifestait à la
ure et supérieure, le scalène est près de la troisième frontale, la
jambe
répond à un centre étendu vers la région postér
ue cela se fait par un acte de sa propre volonté, on place alors la
jambe
paralysée à côté de la première, et l'enfant doit
. Cet exercice doit être répété jusqu'à ce que les muscles des deux
jambes
se contractent simultanément et par l'action de
ig. 11, on peut voir les contractions des muscles postérieurs de là
jambe
; -PJ, et celles,-dès muscles'antérieurs/A J, in
"remplacée par celle des muscles de la partie postérieure' de la
jambe
. Le tracé fourni par'ëês' muscles 'est. dicr'ot
x est exagéré, * et chaque contraction des muscles antérieurs de la
jambe
fig.n 1/ ,. A : J., contrac- tion'qui est elle-
hénomène du pied ? P J, tremblement des muscles pos- térieurs de la
jambe
: A J, tremblement des muscles antérieurs ? D,
plus de 12 heures; figure décomposée; à la suite, paralysie de la
jambe
droite';le bràs du même côté aurait été aussi un
en conformés, sauf, pour le pied droit qui est un peu fléchi sur la
jambe
et dont la voûte plantaire pré- senteune concav
sans boiter, appuyant surtout sur le talon. Elle traîne un 'peu' la
jambe
. La motilité et la sensibilité sont intactes fn
lle-ci consis- tait dans une adduction des cuisses avec flexion des
jambes
. Toute tentative de séparer les genoux fortemen
tentative de séparer les genoux fortement pressés ou d'allonger les
jambes
était très douloureuse. Dans l'automne de la mê
au bras droit, mais atteignant par moments les deux bras et même la
jambe
droite. Le ventre était rétracté, la tache méni
autant dé causes' adjuvantes 'de la 'maladie, qui débuta" dans1 les
jambes
après' une fatigue'ànormalëy'Le "malade* de l'Ô
choire est plus rigide ; opisthotonos ; les muscles des bras et des
jambes
, aussi bien que ceux de la nuque et du dos, son
ois mois présentait une paralysie avec contracture du bras et de la
jambe
droite ; le coude était fléchi, la main fermée,
oit ; on trouvait les cuisses appliquées contre l'abdomen, et les
jambes
contre les cuisses ; on trouvait la tête et le
on arrivait aisément à lui rendre son attitude normale. Quant à la
jambe
droite, elle traînait à terre. La malade, enfin
nou gauche, plus élevé, reposer sur le genou droit. La cuisse et la
jambe
sont fléchies l'une sur l'autre, à angle aigu,
r face postérieure. Des deux côtés enfin, le pied est fléchi sur la
jambe
, encore à angle aigu ; et sa face dorsale répon
angle aigu ; et sa face dorsale répond à la face antérieure de la
jambe
. Ces anomalies dans la disposition du squelette
vée des deux côtés, il n'y a pas de paralysie ni de contracture des
jambes
; les réflexes plantaires sont normaux. Le bras
nuit que le jour. Il n'a jamais marché, mais, au lit, il tenait ses
jambes
allongées ; depuis son passage à l'asile Sainte
pas le lit, dans lequel il a constamment J'attitude suivante : les
jambes
sont tout à fait fléchies sur les cuisses, fléc
38°, 4.. - Soir : T. R. 39°, 6. L'emphy- sème a gagné le dos et la
jambe
droite. Quelques gros râles dans la base des po
Il est gâteux. 7 octobre. L'enfant se tient difficilement sur les
jambes
; il est très oppressé dès qu'il fait quelques p
s, et des ulcérations au niveau du sacrum et des tro- chanters. Les
jambes
ont une tendance à se placer dans la flexion ;
logue (dans le cas supposé, c'est la partie antéro-externe de la
jambe
), il se produit une zone sensible; et sur l'autre
terne de la jambe), il se produit une zone sensible; et sur l'autre
jambe
dans le point symétrique une plaque d'anesthési
nt par exemple. Onvoit alors les zones sen- sibles du bras et de la
jambe
s'étendre graduellement et se rencontrer sur le
l'autre avant-bras sur le point symétrique (homologue) et à chaque
jambe
sur la face antéro-externe (points analogues).
du bras. MÉTALLOSCOPIE, MÉTALLOTHÉRAPIE, -,ESTHÙSIOGÈNES. 425 Aux
jambes
, les choses se sont passées d'une façon analogue
gros orteil, long extenseur commun des orteils, fléchisseurs de la
jambe
). Si, d'après cela, on fléchit rapidement et avec
s lesquels on constate une paralysie plus marquée du bras que de la
jambe
. Certains cas même, dans lesquels il semble n'y
ent contracturée à la suite d'un traumatisme qui avait porté sur sa
jambe
para- lysée. L'auteur signale encore l'atroph
exemple à son comptoir, surtout dans la soirée, il éprouve dans les
jambes
une sensation de malaise qu'il ne peut définir.
son enfance, il éprouve parfois un fourmillement singulier dans les
jambes
et les pieds. Après des mois d'intervalle, la s
ureuse mais pénible et oblige à faire des mouvements brusques des
jambes
, que le malade ne peut réprimer qu'à grand'peine.
chez elle des mouvements bizarres, inexplicables, des mains et des
jambes
, en même temps que son visage grima- çait. Lais
de la tête de droite à gauche et d'avant en arrière. Le bras et la
jambe
du côté droit sont plus fortement atteints que
pressante, la patiente réussit à maintenir au repos un bras ou une
jambe
, c'est aux dépens d'autres groupes musculaires
boute de la main gauche à la table', en même temps qu'elle fixe ses
jambes
aux pieds de la chaise ou du meuble qui se trou
lette de celle-ci, elle y couche sa tête, tandis qu'elle engage ses
jambes
dans l'ouverture du meuble ou qu'elle fixe soli
nt de 3 ans, jusque-là bien portant, se plaint de douleurs dans les
jambes
. La nuit suivante, il est pris d'une fièvre int
aît dans les membres droits, mais le malade ne peut se sentir de sa
jambe
gauche qu'un mois après. Il entre une première
dant de la face. Au moment de l'entrée la motilité reparaît dans la
jambe
et la sensibilité dans les deux membres. Quelqu
e, entérorrhagies, pneumonie hypostatique, émaciation, oedème des
jambes
), qui met fin aux désordres intellectuels, pendan
é"de voii, la peau des .».u.r,^ , . r . ? n..... · mrimtmt od 1J0
jambes
et des cuisses se couvrir temporairement d une
Il 's'accrochait auxrebordsdes.trottoirs; ? et devait mar- cher les
jambes
écartées. Il n'y a-jamasei strabisme, ni diplop
accrochant a la rampe, n ayant aucune notion de la situation de ses
jambes
. Depuis cette époque, la marche à l'obscurité .
a démarche est caractéristique (démarche'de pan- tin); il lance les
jambes
, les projette en dehors, frappe du talon ;' par
>i0>n G ? La sensibilité générale est.très, amoindrie aux deux,
jambes
. Iespiqus, le pincement ppÉtre-pereus,,doivent
liésiau nombre de deux, situées à la région 3tolarjpatte.d'oie>9(
jambe
gauche). Il dit à ce propos avoir remarqué, que
b'I 299'I01 J1LI6 insmaiôgèl ub 2 ? bms'fa ? erned cuisses et des
jambes
so'uver' 1. 3r n zn 'éru'po'n m ntm x' illJl : 1
et des jambes so'uver' 1. 3r n zn 'éru'po'n m ntm x' illJl : 1 ,
jambes
son*» "<W «m*A fti{ ! ftl ? Jf ! 'n ? )3f ?
A 2 heures, le*28, le malade aperçut sur la face antérieure .de la
jambe
droite, le long de^la crête du tibia, des taches
du tibia, des taches nom- breuses occupant toute la hauteur ''de la
jambe
,1 d'une colora- : . i : n. 'Ih f. ? " ,UI· U,IJU
diarrhée peIdâii 1 s ûi oi - " .i 'nriL nÿ 1H·,g3 tantôt dans la
jambe
/droité, tantôt- dans, s amber gauche, coudpi&am
1 rI m , mement liées aux douleurs que le malade éprouve dans les
jambes
? EIlessuiventces ' douleurs ? omdu' moins île' m
des soins en ville. Il y à 18 aTis ? avioIeiiifd6uleurs ! dahs''Ie
jambes
/tà caractère, franchement fuIgUranpriespour des
crises douloureuses, il voyait habituelle- ment apparaître, sur ses
jambes
, des taches ecchymotiques. Il cndBaîlftimAaie ,
, ^10*0) =9000001 J'IOd ûS"^ cji cîA«.»[U<iJ JlJjoaiii i(j de la
jambe
; quand les douleurs occupaient Je ,rgyc(ep c'ét
stractions, oublis, incertitude dans les mouvements des bras et des
jambes
, parésie des extrémités gauches, strabisme de l
tômes d'une lésion en foyer (contracture du bras et paralysie de la
jambe
du même côté), compliqués de thromboses veineus
tour. A cette, hémiplégie gauche s'ajoutent des thromboses de/ la
jambe
jusque là indemne ainsi qu'une très légère parési
parésie des extrémités supérieures. Anesthésie presque complète des
jambes
et du tronc. Cécité, surdité, dégénérescence pr
nt testiculaire indolore, spontané, sans cau- ses appréciables; les
jambes
étant ce jour-là encore plus froides que de cou
s ou une seule, tantôt iso- lément, tantôt s'étendant aux bras, aux
jambes
, mais rarement à tout le corps. Cet engourdisse
Dans quelques cas, les bras sont pris, et souvent un bras et une
jambe
sont atteints d'une manière prédominante ou exclu
es. Lorsque, dit l'au- teur, on voit un blessé en fureur secouer sa
jambe
fracturée, on est fortement tenté de pratiquer
rdinaire à une moitié du corps, ou même à une région, face, bras ou
jambes
; elle a surtout été bien étudiée depuis 1868,
aules, se ren- verse, le bras gauche devient raide et s'allonge, la
jambe
est également rigide dans l'extension avec pied
e dans l'extension avec pied varus équin ; puis il survient dans la
jambe
seule des secousses tétaniformcs. Les membres d
r couché sur le côté, la RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 29
jambe
légèrement fléchie sur la cuisse, l'extrémité du
ïde du pied ». On recherche ce signe en procédant ainsi : tenant la
jambe
immobile dans la main gauche et saisissant l'ex
la main droite, l'obser- vateur fléchit brusquement le pied sur la
jambe
sans l'abandonner. Il y a trépidation épileptoï
tenu en l'absence de toute contraction volontaire des muscles de la
jambe
; alors seulement on a le droit de considérer l
qu'on imite alors les sujets en expérience à étendre le pied sur la
jambe
et à résis- ter un peu au mouvement de flexion
nt réflexe des orteils. Il importe que les muscles du pied et de la
jambe
ne soient pas en état de contraction, et pour o
e qu'on se propose de pratiquer et de lui faire fermer les yeux. La
jambe
doit être légèrement fléchie sur la cuisse et l
ur le lit par son bord externe ou bien sera privé de tout appui, la
jambe
étant relevée et soutenue par l'expéri- mentate
sairement le pied dans le mouvement de flexion qu'il exécute sur la
jambe
à la suite de l'excitation de la plante ; si do
les orteils, entraînés passiv ement vers la partie antérieure de la
jambe
, peuvent donner à un observateur inat- tentif l
: tandis que l'excitation des téguments de la partie interne de la
jambe
, provoquée par le frottement avec le manche d'un
e de Babinski qui peut aussi être provoqué par une excitation de la
jambe
, et que ce n'est pas la surface interne de la j
xcitation de la jambe, et que ce n'est pas la surface interne de la
jambe
mais plutôt sa sur- face externe ou encore mieu
osant sur le parquet, on excite les téguments de la cuisse ou de la
jambe
par la faradisation. Quand les réflexes de défe
t contracté au maximum : ce sont principalement les jumeaux de la
jambe
, et souvent ces muscles seuls, qui sont susceptib
ge; enfin, il est possible de hâter leur disparition en étendant la
jambe
sur la cuisse et en fléchissant le pied sur la ja
en étendant la jambe sur la cuisse et en fléchissant le pied sur la
jambe
. Ordinairement, le muscle, après avoir été mis
ble de RADIOTHERAPIE DANS LES AFFECTIONS SPINALES 109 mouvoir ses
jambes
, de se mettre sur son séant, de tourner la tête,
s facilement du côté de la paralysie que du côté sain à soulever la
jambe
par une traction de bas en haut. Ce phénomène
es, des mouvements forcés, de la latéropulsion, de l'écartement des
jambes
, de la titubation ébrieuse, des vertiges, du ny
t que d'une façon très imparfaite les mou- vements de flexion de la
jambe
sur le pied et de la cuisse sur la BABINSIiI. I
la cuisse sur la BABINSIiI. Io 116 AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE
jambe
, qu'un individu normal accomplit dans cet acte af
sol : au début de l'acte, la cuisse se fléchit sur le bassin et la
jambe
ne s'étend que légèrement sur la cuisse ; puis
e s'étend que légèrement sur la cuisse ; puis l'exten- sion de la
jambe
devient plus énergique et la pointe du pied arr
erche ensuite à reprendre la position ! primitive, on voit d'abord la
jambe
se iléchir , sur la cuisse, tandis que celle-ci
tandis que celle-ci ne se meut ; que légèrement ; puis, lorsque la
jambe
est en demi-flexion, la cuisse s'étend brusque-
vements de flexion et d'extension de la cuisse sur le bassin, de la
jambe
sur la cuisse et du pied sur la jambe sont exécut
a cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du pied sur la
jambe
sont exécutés simul- tanément et en quelque sor
cuisse se fléchit énergiquement, tandis que le fonctionnement de la
jambe
est d'abord nul ou très faible ; le mouvement d
ent de la jambe est d'abord nul ou très faible ; le mouvement de la
jambe
commence seulement ou ne devient très apparent
en un mot, la flexion de la cuisse sur le bassin et l'extension de la
jambe
sur la cuisse ne sont pas synchrones. N'y a-t-i
décrivent avec précision les troubles asynergiques qui occupaient la
jambe
droite. Raymond et Cestan (Revue neurologique,
Revue neurologique, t')02, p. 463) ont constaté de l'as)ner- gie la
jambe
droite dans un cas d'endothéliome épithélioïde du
côté opposé, sans dégénérescence médullaire». L'hémiasynergie de la
jambe
droite figure dans les faits précités de Soderbcr
. 11 y a donc une dissociation entre les mouvements du tronc et des
jambes
qui rentre dans la grande asynergie décrite par M
s se trouvait constamment dans une autre phase de la marche que les
jambes
. Quand le tronc était déjà pen- ché en avant, q
'il avait donc accompli déjà de son côté le mouvement en avant, les
jambes
étaient encore en arrière et se trouvaient seulem
et est couché sur le dos, les cuisses flé- chies sur le bassin, les
jambes
légèrement fléchies sur les cuisses, les pieds
bout sans tituber, bien plus difficile de se tenir immobile sur une
jambe
que de sauter à cloche-pied. « Dans les affecti
occupant tout le côté droit du corps jusqu'au cou, prédominant à la
jambe
et à la partie inférieure de la cuisse et intéres
décubitus dorsal, après avoir fléchi la cuisse sur le bassin et la
jambe
sur la cuisse, remet le membre dans sa posi- ti
astriques. — Arthropathie des deux genoux, avec hydarthrose énorme et
jambe
de Polichinelle des deux côtés (pé-riode de défor
vient qu'il y avait, durant la vie, une luxation en dehors, et que la
jambe
était disposée de façon à faire un angle obtus av
la tête. — Raideur des pieds. — Douleurs des genoux. — Faiblesse des
jambes
. — Douleurs fulgurantes. — Incoordination des mou
ont apparues des douleurs dans les genoux et de la faiblesse dans les
jambes
. Bientôt elle ne put marcher que soutenue par les
urantes. Elles se montraient par crises, traversaient les genoux, les
jambes
ouïes cuisses « comme des éclairs. » D'un autre c
leurs fulgurantes, apparaissant par crises, occu-pant tantôt toute la
jambe
, tantôt la cuisse, et persistant, pendant quarant
de notion de position, parfois la malade est obligée de chercher ses
jambes
et prend la gauche pour la droite. La force muscu
z fortes pour faire pleurer la malade. La marche est impossible ; les
jambes
se jettent en dehors, parfois les deux du même cô
du pavé de la sa le. Assise, il lui est impossible de disposer de ses
jambes
pour se relever; si on la soulève pour la remettr
(Loiret). Le blessé était un jeune zouave que l'on avait amputé de la
jambe
pour une plaie par éclat d'obus. Au bout de quelq
e inférieur gauche est fléchi, le talon accolé à la fesse droite ; la
jambe
droite descend dans l'excavation pelvienne. Le co
e, robuste mal-gré son grand âge, a été atteint d'un coup de feu à la
jambe
gauche au moment où il maraudait dans les champs
8°,4.— Soir: P. 96; T.Ax. 59u,2. 22 nov. Pas de souffrances dans la
jambe
; sommeil passable. La tuméfaction du genou a cep
a rotule projetée en avant. La percussion donne un son tympanique. La
jambe
est œdématiée. — Après avoir enlevé l'attelle ant
venait urgent, pour renouveler le pansement, de sortir chaque jour la
jambe
de sa gouttière : ce- qui n'aurait pu se faire sa
meurt au 3e jour. (Boeckel.) Un garçon de 16 ans tombe en courant, la
jambe
porte; \e lendemain, vives douleurs. Entre, cinq
n du froid humide. C'est un garçon de 9 ans, pris de douleurs dans la
jambe
gauche, après des courses pro-longées dans les fo
la fois la moitié inférieure de la cuisse et le tiers supérieur de la
jambe
. (Ibid,, p. 165.) —L..., atteinte d'une arthropat
165.) —L..., atteinte d'une arthropathie delà même jointure, avait la
jambe
correspondante uniformément gonflée depuis la che
moins rouge, est encore douloureux et le gonflement s'est étendu à la
jambe
et au pied... » (P. Dubois, Étude sur quelques po
on de constriction et de froid autour de la poitrine, L'extension des
jambes
était encore possible, mais la marche im-possible
le dos de la droite et sur la deuxième join ure du pouce gauche. Les
jambes
étaient paralysées au point q 'elles ne pouvaimt
2 avril : les mains ont leur aspect normal et ont perdu leur roideur.
Jambes
plus libres.— A partir de là, amélioration non in
rs et, en même temps, rougeur diffuse et gonflement des jointures des
jambes
et des poignets. Le gonflement n'était pas dû à u
nférence de la cuisse (tiers inférieur). 55 cent. 58,5 cent. — delà
jambe
(jarretière).. . . '25,5— 28 — — du mollet.....
arfois ; la malade s'incline sur le côté gauche; quelquefois aussi la
jambe
flé-chit tout à coup. Les différents modes de s
et 35°,8. Une inflammation érythémateuse des téguments œdématiés des
jambes
survint sans accroître la température et, chose p
ocation imminente. Vomissements abondants. Impuissance à soulever les
jambes
, que le malade dit ne plus sentir. Pupilles très-
isse (partie moyenne)............ 39 — 41,5 — Circonférence de la
jambe
(jarretière) ,26 — 28 — — de la jambe (mollet).
41,5 — Circonférence de la jambe (jarretière) ,26 — 28 — — de la
jambe
(mollet). . 27 — 31 — — du cou de pied .... 22
de la main et des avant-bras. supérieur. Au palper, le genou et la
jambe
sont plus frais à droite qu'à gauche. Les diffé
ans, à convexité regardant en dehors (voy. Planche XVIII). Les os des
jambes
offrent des courbures en sens inverse, c'est-à-di
ge en dedans. — Les cuisses mesurent 25 centimètres de lon-gueur; les
jambes
, 25 centimètres et demi; le membre entier, 62 cen
ns le service de M. Giraldès, le malade ne pouvait mouvoir ni bras ni
jambes
, à cause des vives douleurs que provoquaient ces
és de la poitrine en arrière. Pas d'affection cardiaque probable. Les
jambes
ne sont pas œdématiées. 11 janvier. Le malade e
te, confir-mer le précédent. Observation V. — Hébétude. — Œdème des
jambes
. — Attaque apoplectiforme; ses caractères. —Abais
mur paraît ne pas exister ou être réduit à l'état rudimentaire, et la
jambe
semble s'articuler directement avec le bassin; ma
de circon-férence ; le pied est bien conformé ; les mouvements de la
jambe
sont assez li-mités. Membre inférieur gauche. —
e, et par suite les mouvements du pied im-priment des mouvements à la
jambe
. — B, embouchoir qui saisit tout ce qui existe du
itude forcée. Ainsi la cuisse est fortement étendue sur le bassin, la
jambe
sur la cuisse. Le pied offre la déformation de re
que. Dans ce dernier cas, la flexion permanente de la cuisse et de la
jambe
, si j'en juge d'après mes observations, est un fa
est point modifiée pendant le sommeil chloroformique, les muscles des
jambes
et des cuisses sont notablement atrophiés, la con
actérisés d'hystérie, d'une contracture douloureuse des muscles de la
jambe
gauche. Cette contracture, qui imprime au pied l'
ans, elle pa-raît définitive (juin 1870). Plusieurs des muscles de la
jambe
ont subi une atrophie profonde ; ils présentent,
-ticulier, de la branche poplitée externe et de ses rameaux qui, à la
jambe
, est le nerf le plus vivement affecté. Un autre
dante, le pansement est fait matin et soir. 7 décembre. L'œdème des
jambes
a presque disparu. 11 n'y en a plus qu'aux malléo
it été fortement déviée à gauche durant deux mois. La paralysie de la
jambe
aurait com-mencé à diminuer au bout de deux mois.
Octobre 1865. Bronchite. Mai 1866. Bronchite. — La malade traîne la
jambe
droite en marchant. Elle ne peut se servir de son
x bras qu'aux mains. De même pour les membres inférieurs, le pied, la
jambe
, le genou et la cuisse, mais à un moindre degré,
eux côtés. T... marche avec facilité; cependant elle traîne encore la
jambe
, comme elle le faisait en 1862. Les pieds sont, à
us habituels. On a cité encore l'ascite, l'œdème et les ulcères des
jambes
, les hémorrhagies par diverses voies, etc.; nous
malade présente une coloration rouge, érythéma-teuse des pieds et des
jambes
, qui, à la main, semblent glacés. Iln'y a pas, du
produit que si l'on exerce une pression assez forte. — Les veines des
jambes
ne sont pas dilatées. 16 octobre. Dans les prem
s s'opèrent mieux; deux selles diarrhéiques. L'œdème des pieds et des
jambes
reste le même. 10 nov. Le malade a bien dormi:
malade, la tumeur offrait le volume de la tête d'un nouveau-né, et la
jambe
se trouvait fléchie à angle droit sur la cuisse ;
pas en rapport avec le volume de l'anévrysme. — La tumeur même et la
jambe
étaient le siège d'une vive douleur : ce symptô
à l'articulation du genou. Il reste une paralysie des muscles de la
jambe
et une anes-thésie partielle des téguments qui le
nté pendant plus d'un an une sorte d'eczéma fortement sécrétant des
jambes
, et une sorte de pityriasis très étendu du cuir c
înait plutôt qu'elle ne marchait, à demi-courbée sur elle-même et les
jambes
écartées;— phénomènes généraux: inappétence, trou
là scrofule, et sa peau, fine et colorée, présente aux cuisses et aux
jambes
des varices superficielles dont la cause réside d
dance à apparaître au dehors. La malade fut reportée à son lit; les
jambes
furent maintenues demi-fléchies sur un coussin pa
sses furent toujours maintenues rapprochées par une serviette, et les
jambes
fléchies sur les cuisses reposèrent sur un coussi
. Elles ne se sont jamais ulcérées depuis la guérison. En 1844, les
jambes
furent couvertes de plaies ; il y avait un suinte
tes de plaies ; il y avait un suintement abondant et, à la suite, les
jambes
furent chargées de croûtes jaunâtres. Probablemen
un autre point du corps. Pendant six ans il fut bien portant ; les
jambes
cependant étaient quelquefois enflées le soir.
ade revient à Saint-Louis pour la même ma. ladie qu'en 1844. Aux deux
jambes
suintement, qui empèse le linge, croûtes jaunâtre
guéri, et porte pendant quelque temps des bas lacés. Peu à peu ses
jambes
se guérirent complètement. Il y a trois ans seu
nt. Il y a trois ans seulement qu'une nouvelle éruption envahit les
jambes
. Pendant un an il se soigna à peine. Puis il vit
e de cade. Les grosseurs se multipliant, il entre à Saint-Louis. La
jambe
gauche, dansletiers inférieur, est couverte de no
ui d'une petite noix. Le volume total du membre est augmenté, et la
jambe
est recouverte de croûtes assez adhérentes, sans
sans suintement, qui remontent jusqu'au voisinage du genou. Sur la
jambe
droite, croûtes moins épaisses, sans hypertrophie
ite, croûtes moins épaisses, sans hypertrophie papillaire. — Les deux
jambes
présentent des dilatations variqueuses considérab
bain tous les deux jours, et pendant le reste de la journée, les deux
jambes
sont enveloppées dans de la toile vulcanisée. A
es par jour. On continue les bains amidonnés et l'enveloppement des
jambes
. Le malade reste au lit. Les croûtes tombent pe
caractères bien tranchés de cette maladie à la partie supérieure des
jambes
, et, par l'effet du traitement, les tubercules s'
au brunâtre et luisante comme on le voit si souvent dans l'eczéma des
jambes
arrivé à la période squameuse terminale. Quoi q
e le grand dentelé gauche, et que les extenseurs du rachis et de la
jambe
sur la cuisse sont presque détruits. Cette atroph
alade, et ce n'est que tout récemment que la tuméfaction énorme de sa
jambe
l'a décidé à entrer à l'hôpital. Depuis trois a
s de grands détails sur l'aspect général de ce membre. Eléphantiasis,
jambe
d'éléphant, ce mot dit tout ( i ). Je ne dois pas
t aux caractères spéciaux que présente ce gonflement; il diffère à la
jambe
et à la cuisse. A la jambe il est uniformément du
ue présente ce gonflement; il diffère à la jambe et à la cuisse. A la
jambe
il est uniformément dur, vous sentirez sous le do
mineux que le droit, est relativement beaucoup moins développé que la
jambe
. Toutes les formes du membre sont effacées. La pe
'un point intéressant à vous signaler : dans le tiers inférieur de la
jambe
, sur la face externe du membre, vous avez peut-êt
nche XXI) : Entre ses deux membres abdominaux se trouve une troisième
jambe
dont l'insertion se fait au périnée en avant de l
it possible de reconnaître le mode de conformation de l'article. La
jambe
proprement dite possède un squelette unique et se
uscles, le .deltoïde^ le biceps, le grand pectoral, les muscles de la
jambe
, comme M. Demarquay l'a montré à la Société anato
s difformités possédaient deux anus. Dans notre cas, il existe deux
jambes
bien développées; l'une d'elles est affectée d'un
ient progressivement, à commencer par ceux des mains, des bras et des
jambes
, pour gagner ceux du tronc; ce phénomène est du p
e deux centimètres que le gauche. — La malade, en marchant, traîne la
jambe
droite. Elle se sert de ses deux bras, mais préfé
nvulsions toniques des membres inférieurs ont été très marquées et la
jambe
gauche, — non paralysée — s'est fléchie énergique
autre côté, elle marchait facilement, en traînant toutefois un peu la
jambe
. Ces phénomènes s'expliquent sans difficulté par
une partie du tronc. Cet érysipèle gagna ensuite la cuisse droite, la
jambe
et le pied du même côté, et, au bout d'une trenta
le servent à exercer les plus invalides aux premiers mouvements des
jambes
et des bras. Les jeux usités en récréation, sou
marcher, mais même de se tenir debout. Il faut donc exercer leurs
jambes
et pour cela, de même qu'à Bicêtre, nous les pl
as; nous leur faisons pratiquer des frictions stimulantes sur les
jambes
et les cuisses, et nous leur faisons exécuter des
e tête contre les murs. - Blépharite. - Parole et marche nulles :
jambes
de plus en plus faibles. 1891. Accès de colère
térieurement, lorsque l'enfant a commencé à se tenir un peu sur les
jambes
, il n'a pas re- marqué de différence ; mais que
marqué de différence ; mais que, au lieu de faire des progrès les
jambes
devenaient de plus en plus faibles. Sch.. ne voul
ixe son attention sur rien. Se met en colère, agite ses bras et ses
jambes
quand on l'examine. Tête ronde, assez dévelop
nel et grand'mère maternelle, sobres, morts, l'un avec, « un mal de
jambe
» ( ? ) l'autre à 69 ans, asthmatique ( ? ). Troi
rois semaines la mar- che est devenue possible, mais en traînant la
jambe
; la parole est revenue peu à peu vers la même é
sibilité. La sensibilité à la douleur paraît abolie au niveau des
jambes
; elle semble exister à un faible degré à partir d
t : la cuisse est à-peu-près fixée en demi-flexion et adduction. La
jambe
est en flexion complète sur la cuisse et le pie
ur la cuisse et le pied est fléchi autant qu'il est possible sur la
jambe
. Les orteils sont en flexion et le gros orteil
en flexion presque complète sur le bassin avec légère adduction. La
jambe
est en flexion complète sur la cuisse, le pied
ne peut ni s'habiller ni se déshabiller. Il ne se tient pas sur ses
jambes
. Il est facile de fixer son atten- tion. 1 ?
à partir de 15 ou 16 mois. Il se tient actuellement un peu sur les
jambes
, mais il ne marche pas. Les premières convulsio
onvulsions cloniques qui siégeaient surtout dans le bras droit. Les
jambes
étaient moins agitées, ainsi que le bras gauche
ines. Les membres inférieurs font dans la situation suivante : la
jambe
gauche passe en avant de la droite, au niveau du
gauche passe en avant de la droite, au niveau du cou- de-pied ; les
jambes
sont demi-fléchies sur les cuisses. Ces dernièr
iarrhée. Il ne marche pas et tient continuellement dans son lit ses
jambes
repliées. -Les yeux, atteints de cécité, restent
mplètement immobile. A 2 ans, il ne pouvait encore se tenir sur ses
jambes
. Ce ne fut que vers les premiers mois de 1890 (
té droit fut paralysé, on remarqua une diminution de longueur de la
jambe
droite mais l'on ne nota pas alors d'asymétrie
ontracture intense. La cuisse est en demi-flexion sur le bassin, la
jambe
en demi-flexion sur la cuisse, le pied en posit
ncomplète car parfois l'enfant seul étend presque com- plètement la
jambe
. - Le membre inférieur gauche n'est le siège d'
rable, frappe rapidement la partie antérieure Rougeole. 137 de la
jambe
gauche ou le genou. Souvent, en même temps, la
on forcée en dedans, frappait rapidement la partie antérieure de la
jambe
gauche ou le genou. En même temps et souvent, l
syncope à trois mois et peu grave, un oedème assez considérable des
jambes
; on ne sait s'il y eut de l'albuminurie. - Acco
ur de chez la nourrice, un état de demi-contracture des bras et des
jambes
. Les parents auraient aussi noté dès cette époq
39°, 8. 17 juillet. Raideur de la nuque, du bras droit, et de la
jambe
droite. L'enfant est constipé; il n'a de selle qu
il a eu des convulsions à 6 mois, et a porté « des mécaniques aux
jambes
» jusqu'à 118 -ans. Sa taille n'atteint que 1 mèt
n'atteint que 1 mètre 20 de hauteur. Il n'a. marché qu'à 5 ans. Ses
jambes
sont éga- les. -- Deux tantes maternelles sont
r rap- port à l'autre. Genu valgum droit. L'enfant remue bien ses
jambes
, mais ne marche pas. Sensibilité générale norma
abre. Quelques poils noirs et courts à la partie antéro-interne des
jambes
. Périnée glabre. 192 État DE MAL épileptique.
sition normale. puis tous les muscles reviennent en résolution. Les
jambes
n'ont présenté que de légers mouvements cloniqu
ont ensuite manifestés à gauche. Les cuisses sont en adduction, les
jambes
en légère abduction. Durée une minute à peine.
oujours la même position : flexion des cuisses sur le bassin et des
jambes
sur les cuisses. Les pieds sont régulièrement con
218 DESCRIPTION DU malade. face). Il tordait peu ses bras et ses
jambes
. Les convulsions se sont de nouveau montrées à
quelques poils très fins et très rares sur les avant-bras et les
jambes
. Rion sous les aisselles. - La verge est petite,
ombe de lui-même. La cuisse est également fléchie sur le bassin, la
jambe
sur la cuisse et le pied est en position normal
émoraux. A droite, la cuisse est légèrement en rotation interne, la
jambe
en demi-flexion; le pied est en extension forcé
te avec vomisssements bilieux. - Deux mois plus tard, parésie des
jambes
, affaiblissement de la vue; puis paralysie et céc
isses, qui font avec l'abdomen un angle aigu; on ne peut étendre la
jambe
. - Traitement : bains salés, exercice des joint
membres inférieurs, une amélioration notable : les mouvements de la
jambe
sont beaucoup plus libres. L'enfant peut l'éten
ion est la même sur les deux pieds; elle est dure, sans oedème. Les
jambes
sont d'une couleur érythémateuse. Les ganglions
t pas engorgés. l.a douleur est assez nette à la palpation des deux
jambes
au niveau de Gangrène DES extrémités inférieure
us de l'autre. - .Panse- ment humide phéniqué des pieds et des deux
jambes
. 20 octobre. - La rougeur des jambes gagne touj
phéniqué des pieds et des deux jambes. 20 octobre. - La rougeur des
jambes
gagne toujours de bas en haut, avec les mêmes c
ipèle gagne des deux côtés, mais s'éteint à la partie moyenne de la
jambe
gauche. A droite, il atteint les téguments qui
vu qu'il en était de même pour son père dans l'enfance.) Alors les
jambes
s'affaiblissent, puis sont prises de mouvements
rs. - La grand'mère maternelle morte assez âgée d'une fracture de
jambe
, aurait été extravagante. « Elle aurait été comme
e ses excès alcooliques. Elle prit alors froid, eut de l'oedème des
jambes
. Un médecin qui l'examina prétendit qu'elle éta
er chez elle et qu'il cherchait à les imiter. Il écarte souvent les
jambes
et arrive ainsi il faire le grand écart. Au réf
ez les ours du Jardin des Plantes. Peu après, il se campe sur ses
jambes
écartées; le torse rejeté en arrière, la tête l
quel âge elle a commencé à dire quelques mots et à se tenir sur ses
jambes
; il sait seulement que, sous ce rapport, elle
lle marche les bras demi-fléchis et en avant, le tronc incliné, les
jambes
écartées lançant les membres inférieurs en avan
tons d'acné. Poils sur la face antérieure et antéro-externe de la
jambe
. Réflexes rotuliens normaux. Pieds grands, incurv
ICO-PÉDAGOGIQUE. 331 tenir debout. Affaiblissement prédominant à ta
jambe
gauche. Gâtisme. Tournoiement de la tête. - Bal
plètement « gâteux ;;il lui était impossible de se tenir debout. La
jambe
ci gauche.paraissait un peu plus faible que la
profonde, mais indubitable. « L'enfant commence à se tenir sur ses
jambes
, ne gàteplus « que : par moments, demande le va
d'amélioration, même il un degré très notable. On fortifie leurs
jambes
avec la balançoire-trem- plin ; on leur apprend
s heures de classe. Son attention qui était aussi vagabonde que ses
jambes
se fixe, il écoute, répond aux questions qui lu
ive des membres infé- rieurs ; l'expiration se fait en ramenant les
jambes
et en abaissant les bras (1). Les mains sont ta
lle commence même à faire quelques phrases et emploie le verbe. Les
jambes
jadis très faibles sont devenues solides, l'enf
ques diflicultés pour les exercices de gymnastique en raison de ses
jambes
qui sont encore faibles. Malgré toutes ces diff
pour embarras gastrique ; 1 llour zens ; 1 pour frac- ture de la
jambe
; 1 pour fracture compliquée de l'humérus. Vac
omme si on l'écorchait ». S'approchc-t-on de lui, il projette les
jambes
de tous côtés, essayant cle frapper. Si on veut l
ngles bien plantés. Membres inférieurs assez longs, cuisses fermes,
jambes
grêles ; pieds courts et plats. 2° État physi
se joindra pas à ses compagnes pour jouer. La marche est lente, les
jambes
sont écartées, les genoux se maintiennent en de
els; toutefois, un frère de la grand'mère avait une " paralysie des
jambes
". Ni frère, ni sceur. - Il ne semble pas qu'il
ils roux. Anus normal. Les bras, les avant-bras, les cuisses et les
jambes
sont recouverts d'un léger duvet. Dès les premi
baissée ; il marche à grands pas irréguliers, le jarret tendu, les
jambes
écar- tées, la pointe du pied frappant le sol a
légère flexion, la cuisse dans une légère flexion sur le bassin, la
jambe
dans une légère flexion sur la cuisse. Premiè
inférieurs. Forme et volume normaux. Cuisse fléchie sur le bassin,
jambe
fléchie sur la cuisse, le pied est en position
jambe fléchie sur la cuisse, le pied est en position normale sur la
jambe
. Orteils, voûte plantaire normaux. Mouvements v
à donner au malade sont nombreuses : on peut lui faire croiser les
jambes
l'une sur l'autre, on peut le faire asseoir sur
le malade sur une chaise, on lui commande d'étendre à moitié les
jambes
sur les cuisses en laissant toutefois reposer ses
les cuisses en laissant toutefois reposer ses pieds sur le sol. Les
jambes
doivent alors former un angle obtus il 135° ave
cuisses. On conseille au malade de ne pas se raidir, de laisser ses
jambes
molles. On percute alors le tendon rotulien. Le
le membre dans le relâchement. Si l'on percute alors le tendon, la
jambe
s'étend sur la cuisse. Re/7exe contralateral
qu'il est exagéré. Si le malade est couché, on place une des deux
jambes
, la droite par exemple, en flexion sur la cuiss
t légèrement la cuisse du malade, il se produit uue extension de la
jambe
gauche et, en même temps, du côté droit le réfl
i près que possible du dossier de la chaise et de ne pas raidir ses
jambes
. On s'assure du relâchement de ses muscles du m
es muscles du mollet en les palpant ou en mobilisant le pied sur la
jambe
, on frappe alors clu marteau le tendon d'Achill
clu marteau le tendon d'Achille : on voit le pied s'étendre sur la
jambe
, la plante du pied tendant à passer du plan ver
te en une série d'extensions rythmiques et saccadées du pied sur la
jambe
. Le clonus du pied peut, du reste, être recherc
lade et en cherchant à provoquer la flexion forcée du pied sur la
jambe
, le pied s'anime des secousses d'extension rythmi
alade craintif qui, au moindre attouchement, fléchit le pied sur la
jambe
et simule ainsi l'extension des orteils. Le réf
out le bassin fléchi sur les cuisses, le corps penché en avant, les
jambes
éloignées, le malade écartant ses fesses de ses
alade écartant ses fesses de ses mains. b. Couché sur le dos, les
jambes
en l'air, les fesses écartées. c. Le malade cou
en l'air, les fesses écartées. c. Le malade couché sur le flanc, la
jambe
de ce côté allon- gée, l'autre jambe fléchie.
malade couché sur le flanc, la jambe de ce côté allon- gée, l'autre
jambe
fléchie. Réflexes pharyngé et pnlpèbral. - Nous
n. Dans la nuit, vomissemments ali- mentaires. La faiblesse des
jambes
est moins prononcée. Le médica- ment est susp
t. L'éry- thème inguinal adisparu. 14 juin. - Tremble- ment des
jambes
qui oblige de maintenir le malade au lit, pou
nés, la figure était de côté. Il ne pou- vait plus se tenir sur les
jambes
. La mère l'a repris et l'a placé à côté de son
ande pas à manger, mastique mal, est gâteux. Le développement des
jambes
ne parait pas proportionnel à celui des bras. -Pa
ient qui piaffe. Au moment même où s'ac- complit ce mouvement de la
jambe
, un des bras ou les deux. sont portés dans une
avec faible pression pour le corps et pression plus forte pour les
jambes
et les pieds- 176 Epilepsie : hydrothérapie.
icrements mais avec dcux jours de retard. Légères démangeaisons aux
jambes
. 1902. 19 mari. - En avril, fréquentes douleurs
omprenait pas. Il n'a jamais eu de perte de con- naissance. Les
jambes
seraient deve- nues raides et comme anky- los
es bras sont devenus contrac- turés vers la même époque que les
jambes
, c'est-à-dire après la rougeole. Cou sans rai
t depuis quand. Aurait eu aussi des mou- vements nerveux. Les
jambes
seraient deve- nues raides vers 3 ans. On ne
ur une chaise. La cuisse est légèrement fléchie sur le bassin, la
jambe
sur la cuis- se ; les genoux se touchent et l
bassin, la jambe sur la cuis- se ; les genoux se touchent et les
jambes
.s'écartent très légèrement en dehors. Les pi
mière, les cuisses sont légè- rement fléchies sur le bassin, les
jambes
sur les cuisses. Les pieds sont en équin très
1902. Ja)it;t'e) ? La contracture a augmenté : les cuisses et les
jambes
sont plus fléchies qu'autrefois, le varus équin d
est en contact avec la partie antérieure de l'abdomen et que les
jambes
sont appliqués contre la face postérieure des c
r la face externe du bras au-dessous de la tête de l'humérus. Les
jambes
sont complétement fléchies sur les cuisses, collé
é- niques. Quant aux premiers, on leur apprend à se tenir sur les
jambes
à l'aide des barres parallèles, à marcher soit
u bord externe du plateau tibial, 3 cent, et demi. Longueur de la
jambe
au bord extérieur du plateau tibial à la pointe
Aux membres inférieurs, la bouffissure est surtout prononcée aux
jambes
et aux pieds dont la peau est plus ou moins cyano
lioration au point de vue de la marche ; il est plus solide sur les
jambes
, mais manifeste toujours une grande répu- gnanc
sur la poitrine; les mains et les pieds devinrent très froids, les
jambes
très faibles et la démarche incertaine. Elle fu
is; sur les joues pendantes et flasques et sur les pieds et sur les
jambes
, où la circulation est si pauvre qu'il y a un é
bitement; aussi elle e ne marche jamais sans appui à sa portée. Les
jambes
semblent incapables de porter le poids du corps
é pendant deux mois ; actuellement, il marche en traînant un peu la
jambe
droite, soulève le bras droit, peut mettre la B
encore cette laxité des téguments que nous avons déjà signalée. Les
jambes
sont assez bien conformées, mais les genoux son
le pied est gros, court et t'a- massé, mais il est assez cambré, la
jambe
est plus longue que le fémur et l'avant-bras es
lle était incapable de marcher et tombait dès qu'elle était sur ses
jambes
. Les tibias étaient courbés en dehors quoique s
iminue, surtout à droite; la marche s'appe- santit, face vultueuse.
Jambes
infiltrées; sensation de froid; culo- ration ja
matiée, plus pâle qu'avant l'opération. Fatigue et crampes dans les
jambes
oedématiees; absence de mémoire de plus en plus
cembre 1880. - Fin mars 1881, cachexie pachydermique, faiblesse des
jambes
. Le malade fait avec peine 2 kilom. L'anémie s'
'appétit, de la soif et du goût, maladresse des mains, lourdeur des
jambes
. 1 Annales médico-psychologiques, mars 1884, p.
bonne santé jusqu'à la fin de 1881. Alors oedème pal- pébral et des
jambes
jusqu'aux genoux, avec albuminurie passa- gère.
orte anémie, pâleur de la peau, faiblesse très grande et oedème des
jambes
; au bout de quelques mois, amélioration. 250
te d'un bain froid, il resta deux ans sans pouvoir bouger, avec les
jambes
raides ; la partie supérieure du corps était sa
accidents reprirent plus forts que jamais. Il se tenait mal sur ses
jambes
, se cognait à droite et à gauche, était très gê
la partie supérieure du dos; quelques poils à la partie externe des
jambes
. Che- veux châtains ; sourcils peu épais ; cils
ité. Les mouvements des bras s'exécutent librement, mais ceux des
jambes
sont plus difficiles et l'enfant, à certains mo
difficiles et l'enfant, à certains moments, est très faible sur ses
jambes
. On ne note rien de particulier du côté des gra
comme ne se tenant pas sur ses no TUBERCULOSE DE LA PROTUBÉRANCE.
jambes
. A son entrée dans le service, le malade marchait
ours, le malade est abattu. Si l'on essaie de le mettre debout, ses
jambes
fléchissent et ne peuvent le porter [paralysie
regard reste très vif. Il n'y a pas d'anesthésie apprécia- ble des
jambes
ni du reste du corps. - Le réflexe rotulien est
ne contracture plus marquée qu'aux bras. La sensibilité cutanée des
jambes
est également amoindrie. Pas de mouvements fibr
de maux de tête. Plus tard, faiblesse paralytique du bras et de la
jambe
droite : le malade ne pouvait plus marcher. D
rique normale. Le bras gauche est sain. Extrémités inférieures. -
Jambe
droite étendue, pied-bot équin, raideur moins a
se qu'il est suscep- tible d'amélioration. Il marche en traînant la
jambe
droite, qui est raide. Etat actuel. Poids 14
'abdomen. Cicatrice à la face interne de la partie inférieure de la
jambe
gauche (brûlure probable). Poils relativement a
Pas de grincements de dents. Un peu de raideur persistante de la
jambe
droite et du bras droit; raideur du tronc. Ins-
idité cadavérique nulle au cou et au bras droit; presque nulle à la
jambe
droite; assez prononcée au coude gauche; plus m
é droit, ayant laissé des traces sérieuses, affaiblisse- ment de la
jambe
droite et amaigrissement du bras. INCURABILITÉ.
nfant venait bien en nourrice, toutefois il avait du rachitisme des
jambes
qui étaient « en cerceau. » A 2 ans seulement,
on enfant en janvier 1886. A cette époque, il ne marchait plus, ses
jambes
, ses bras étaient mous, incapables de déployer
de l'idiotie; elle s'étonnait de ce qu'il ne se tenait pas sur les
jambes
, de ce qu'il ne riait pas comme les autres enfa
tation est difficile, les forces déclinent, l'abdomen est gros; les
jambes
sont grêles. Croûtes d'impétigo du cuir chevelu
droite la cuisse est fléchie obliquement et en dehors du corps. La
jambe
est complètement fléchio sur la cuisse et le ta
sibilité d'un arrêt de développement : R ? ne se tenait pas sur les
jambes
; il n'avait pas encore de dents ; il ne riait
r. L'enfant est couché dans le décubitus dorsal; les cuisses et les
jambes
fléchies ; il en est de même pour les avant-bra
dans le sens de l'abduction. Le fémur droit est un peu incurvé ; la
jambe
droite est fortement courbée en dedans et se te
, comme scléreuse, ainsi que sur la cuisse droite en dehors; sur la
jambe
, elle pré- sente le même caractère. Elle est so
scléreuse sur les bras. On constate une cyanose très prononcée à la
jambe
, mais surtout du pied et des avant-bras. .L'e
us souvent, il reste immobile dans un coin. - Parésie passagère des
jambes
après les accès et durant deux ou trois jours.
uque. Sensibilité générale conservée : Lel.. retire ses bras et ses
jambes
lorsqu'on les pince. Réflexe rotule)), exagéré, a
a rigidité cadavérique, nulle au cou et au bras gauche, légère à la
jambe
gauche et au bras droit, est très marquée à la
e, légère à la jambe gauche et au bras droit, est très marquée à la
jambe
droite. Sugilla- tions violettes au niveau des
s pendant les grossesses suivantes. Pendant la dernière elle eut la
jambe
gauche foulée sous le pied d'un boeuf. La doule
ade dut garder le lit six semaines. L'oedème s'effaça peu à peu. La
jambe
reprit son volume normal. L'accident n'influa p
lis. Quinze mois avant son admission, souffre de douleurs dans la
jambe
droite, puis dans la jambe gauche, puis dans la r
n admission, souffre de douleurs dans la jambe droite, puis dans la
jambe
gauche, puis dans la région lom- REVUE DE THÉRA
on des réflexes, paraplégie, douleurs vives et lancinantes dans les
jambes
et le dos, anesthésie bien marquée dans la jambe
cinantes dans les jambes et le dos, anesthésie bien marquée dans la
jambe
droite. Pas d'atrophie musculaire ni de trouble
des battements de coeur, des douleurs et de la paresthésie dans les
jambes
, j'ai des sensations optiques. Mais, tout bien
epuis cette campagne, il se plaint de douleurs dans les bras et les
jambes
. Incapable, dit-il, d'exercer son métier (il est
, un mois après, je sentais les premiers symptômes de paresse des
jambes
. Je crus à du rhumatisme, et cela se passa. En
fait (pour me servir d'une expression populaire) me tombait sur les
jambes
. Je ne pouvais presque pas marcher. Depuis lors
par jour; le reste du temps, je demeure presque sans mouvement des
jambes
. Dès que je fais quelques pas de trop, il me fa
me remettre. Je n'éprouve pas de douleur proprement dite, mais mes
jambes
sont lourdes, semblent gonfler et s'effondrer s
e bien moins me tenir im- mobile debout. Je ne tiens debout sur une
jambe
les yeux fermés que quelques secondes. Je n'ai
psie. Ma mère vit encore et se porte très bien, mais a eu un mal de
jambes
temporaire non sans analogie avec le mien. Mon
sont : des signes d'irritation dorso-spinale avec douleur dans les
jambes
et grande gêne pour la marche, et des poussées
ollets, plaque dorso-lombaire, angoisse, etc. et l'effondrement des
jambes
qui se dérobent au bout de six ou huit minutes
mobilité presque absolue. Ici, la faiblesse et l'effondrement des
jambes
, phénomènes notés chez les neurasthéniques, pre
terrogé sur ce qu'il éprouve, il accuse une grande fatigue des deux
jambes
, mais surtout de la jambe droite ; il a besoin de
e, il accuse une grande fatigue des deux jambes, mais surtout de la
jambe
droite ; il a besoin de se reposer. A droite, i
. était simplement contraint de se reposer de temps en temps, ses
jambes
devenant, après une marche de faible durée, un
t de quelques côtes à gauche, enfin, fracture sus-malléolaire de la
jambe
gauche. ' Nous avons appris récemment que M. M.
ix minutes, il est contraint de s'arrêter. Il éprouve dans les deux
jambes
une sensation de fai- blesse, et en même temps
et saillie anormale des deux malléoles. Pieds légèrement violacés,
jambes
et cuisses un peu marbrées ; ces troubles de la
à gauche. 90 CLINIQUE nerveuse. Atrophie de la cuisse et de la
jambe
gauches. Cette atrophie, que le malade n'avait
pas remarquée, est très notable. Elle est pro- noncée surtout à la
jambe
, où elle atteint principalement, sinon exclusiv
x extrémités qu'apparaissaient les phénomènes vaso-moteurs. Sur les
jambes
, sur les avant-bras, même sur les seins il se p
encore de l'autre. Douleurs très violentes dans les bras. Rien aux
jambes
. L'accès dura une heure. Rien de particulier à la
erte du pou- voir de localisation des sensations dans le bras et la
jambe
gauches. P. S. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
ses cuisses se fléchissent sur le bassin dans l'ad- dnction, et les
jambes
se fléchissent sur les cuisses; si l'on essaie
l'enfant est émue. Il n'existe nulle part de paralysie des membres.
Jambes
et bras sont mobiles dans tous les sens, mais c
s autres débutent par le pied droit, les convulsions montentdans la
jambe
, le tronc s'infléchit à droite, le bras droit s
attaques, de légères con- vulsions des muscles, des cuisses et des
jambes
du côté droit. 144 SOCIÉTÉS SAVANTES. Formica
excerbations avant les attaques. Parésie actuelle et raideur de la
jambe
droite qui ne sent pas aussi bien que la jambe
lle et raideur de la jambe droite qui ne sent pas aussi bien que la
jambe
gauche; il y a clonus patellaire et achilléen.
ne dorsale. A partir du 12 avril, accidents para- lytiques dans les
jambes
et le tronc, troubles lents du côté de la sensi
précé- dentes. Le 16 avril, il y a paraplégie flasque et totale des
jambes
, des muscles abdominaux et intercostaux inférie
-trois ans, présentait à la partie moyenne de la face interne de la
jambe
une plaque du diamètre de 50 centi- mètres. Ell
s droit s'était déjà montré parétique. Le 16, elle s'aperçut que la
jambe
droite était parétique aussi. Elle croit que la
on quinze jours elle put parler ; la parésie disparut d'abord de la
jambe
; plus tard, au bout déplus d'un mois, le bras
ain droite. Pendant quelques jours après l'opération, le bras et la
jambe
droits restèrent parétiques. Tous les mouvement
isée par des spasmes cloniques du côté de la face, du bras et de la
jambe
gau- che. En décembre, on constate du ptosis et
actuellement broncliopneumonie, paralysie flasque des bras et des
jambes
. Jambe gauche un peu mobile ; à droite, mobilité
lement broncliopneumonie, paralysie flasque des bras et des jambes.
Jambe
gauche un peu mobile ; à droite, mobilité des o
rougeole ? scarla- tine ? ). Huitjours plus lard paralysie des deux
jambes
. Deux semai- nes après ces membres récupèrent l
obilité. Actuellement paralysie flasque des extrémités, surtout des
jambes
. Mort. L'au- topsie montre l'existence d'une my
douleurs dans le corps et les membres, une fatigue intense dans les
jambes
; il éprouvait au même moment de grandes difficult
née, de difficultés dans l'expectoration, d'oedème des pieds et des
jambes
. Intégrité des nerfs crâniens et des sphincters
ation, toussottement continu, faible expec- toration, paralysie des
jambes
, des bras, des muscles du tronc, disparition de
s réflexes tendineux, des réflexes cutanés, oedème des pieds et des
jambes
, sensibilité douteuse à la pression sur les tro
oit et s'étendant au membre supérieur droit; ils respec- "' tent la
jambe
, puis survient une perte complète de connaissance
convulsives suivant la même marche et descendant cette fois dans la
jambe
, toujours à droite; '' perte totale de connaiss
ceux qui persistèrent le plus longtemps furent l'incertitude des
jambes
et l'incapacité de marcher. M. KROEPEDN appelle
put travailler. En février revinrent de violentes douleurs dans les
jambes
et le dos ainsi qu'une extraordinaire faiblesse
t atteint de sclérose en foyer, incapable de marcher (paralysie des
jambes
), de couper son pain, de boutonner son pardessu
hie des muscles du bras droit (type Duchenne-Aran) et moindre de la
jambe
diminution simple de l'excitabilité élec- triqu
nit' par se rétablir mais conserve une' certaine faiblesse dans les
jambes
et le tronc. A partir de 1878, il présente des
rées. En 1890 on constate : une parésie spasmodique des bras et des
jambes
avec exagération considérable des réflexes prof
gération considérable des réflexes profonds une légère ataxie de la
jambe
gauche de l'anesthésie du sens musculaire, du t
n du phéno- mène du genou par le procédé de mise en équilibre de la
jambe
. Nous renvoyons à l'analyse de son mémoire dans
ps est abandonné à la pesanteur et aucun mouvement» des bras etides,
jambes
netpeut/venh\agir comme.protecteur ? én : ambrt
alade Barth..., qui s'est ? fait,, cinq fractures des deux os de la
jambe
pendant sa vie, dans des crises épilep- tiques.
, ? ? f<- ? btH' » ! . fllx,,Hlrîi ? .K ? n' ,1l ? UlUl,0 ? la
jambe
, gauche, en, tombant dans un accès, Je tibiaietai
mbre élevé,. Jar .1 (9t, ,'rir "i.i.kI ? ? , 1 - 1 1. - U n otL d
jambe
.pendant au niveau delà fracture. L appareil fu.re
: i'dans ! 'uiï âccèsjâcetlé 'femme' tombé àaerré et se fracture la
jambe
encore au-mêm'e niveau ? iNous ! l'examinoms,ré
'sa'hâùteur dâns un accès;'la malade se fractura de nouveau la même
jambe
toujours' aux mêmes points : Quand nous la voyo
ans le stertor. Quand on essaie de la faire marcher, elle traîne la
jambe
droite qu'elle ne peut détacher de terre et fra
retrouvé presque tous ses mouvements et presque toute sa force, la
jambe
seule reste atteinte. A partir du 15 mars elle
eule reste atteinte. A partir du 15 mars elle marche en traînant la
jambe
, puis tout disparaît à peu près. Depuis un mois
us marqués à gauche qu'à droite. Depuis 1890, la malade traîne la
jambe
en marchant. Vers la fin de 1892, elle a commen
que. En 1893, la marche se fait par des petits pas sautillants, les
jambes
restant raides; il semble qu'elle va tomber en av
va tomber en avant. Examinée à son lit, en janvier 1894, elle a les
jambes
spasmodi- quement contractées en extension, les
0 janvier 1892, e lie commença à marcher seule, mais en traînant la
jambe
, puis tout disparut à peu près. Quelques mois a
urs sont complètement rigides, les cuisses en adduction forcée, les
jambes
en extension, les pieds en pieds bots varus équ
ertain temps la marche devient irrégulière. Les malades traînent la
jambe
et ne peuvent détacher le pied du sol; ils ont
ons dit. Lorsqu'on examine ces malades au lit, on leur trouve les
jambes
raides légèrement atteintes de contraction spasmo
tendus, les cuisses en adduction, les genoux sont en contact et les
jambes
divergent un peu; les pieds sont étendus et com
détache et les malades progressent à petits pas précipités et les
jambes
raides. Au lit les cuisses sont rapprochées par l
tion épileptoïde bien accusée. Les bras moins pris toujours que les
jambes
sont contractés en demi- flexion. L'intelligenc
ysie fuciale gauche, paralysie totale du bras gauche, parésie de la
jambe
gauche. Pas trace d'hémiauesthésie, mais le mal
En novembre 1890, dans un accès, elle se fracture les deux os de la
jambe
gauche ; appareil plâtré. Guérison. 444 physi
et d'une petite surface de la cuisse droite, ainsi que de toute la
jambe
et le pied du même côté. Onze jours après l'acc
nt je vais lever la table à l'aide du genou gauche ! Elle avança la
jambe
sous la table, leva le genou gauche, et la table,
moins de 20 centimètres. Je la lèverai maintenant à l'aide de deux
jambes
! cria Eusapia, encouragée par le succès. Et elle
jambes ! cria Eusapia, encouragée par le succès. Et elle étendit les
jambes
raides en avant, de façon qu'elles (1) Le « Cou
wski, Wienckowski et autres, et s'inclinant en arrière, leva les deux
jambes
unies droites ensemble. Avec elles la table, que
mouvements, mais il lui était absolument impossible de se servir des
jambes
pour lever la table. Dans ces conditions la grand
, ce que j'aidais moi-même, en tenant ses plis dans ma main, mais les
jambes
du médium restèrent immobiles. » II. Je commenc
, et permet en même temps d'exercer un contrôle passable des mains et
jambes
du médium, visibles dans la chambre, qui est écla
circonstance : le Dr D. s'était placé près du rideau pour observer la
jambe
gauche d'Eusapia, mais comme elle affirmait que c
de se tourner avec la chaise, de s'incliner en arrière et de tirer la
jambe
le plus possible dans la direction de la lampe :
d il tenait les deux mains du médium dans les siennes et que les deux
jambes
du médium (1) Courrier de Varsovie 20. (1) « Co
wicz. « A ce moment, comme j'ai vérifié à l'aide de la main, les deux
jambes
d'Eusapia sans chaussures, seulement vêtues de ba
d'une voix changée : « Vous m'avez enlevé la table pour découvrir les
jambes
du médium. Allez, je vais vous montrer, que je fa
du médium. Allez, je vais vous montrer, que je fais tout à l'aide des
jambes
du médium ! » Ce disant, elle étendit les jambes,
is tout à l'aide des jambes du médium ! » Ce disant, elle étendit les
jambes
, les appuya sur mes genoux de sorte que M. Matusz
deau, les pût toucher, et cria : « Regardez, je frappe la table de ma
jambe
gauche ! » En même temps elle frappait de son pie
rrière le rideau à 2 mètres de distance, des forts coups, comme de la
jambe
contre la table, qui était dans la tente, près du
rd contenance, les mains deviennent froides ; si elle est debout, les
jambes
fléchissent et elle est obligée de s'asseoir, com
ompte-rendu » (p. 4), les rapports suivants : « Le médium embrassa ma
jambe
droite de ses jambes, en serrant très fortement,
, les rapports suivants : « Le médium embrassa ma jambe droite de ses
jambes
, en serrant très fortement, puis quitta ma jambe,
jambe droite de ses jambes, en serrant très fortement, puis quitta ma
jambe
, posant le pied, comme auparavant, sur mon pied ;
s le mouvement de la chaise du médium et vis un léger mouvement de sa
jambe
droite, et un moment après le médium se trouva de
i tranquille, que le médium, à ce qui semble, ne heurta personne. Ses
jambes
étaient alors raides ; après quelques minutes les
ouleurs spontanées. Il y aurait eu également de l'hyperesthésie de la
jambe
. Cet état resta stationnaire jusqu'au mois d'ao
» — « Assis dans l'obscurité à coté d'Eusapia et touchant ses main et
jambe
gauches, je sentis quelque chose gratter sur ma m
e laissant pas de doute sur le soulèvement du tibia Les parties de la
jambe
restèrent dans cette position tout le temps qu'on
a sur le mien du côté intérieur du même genou. C'était visiblement la
jambe
gauche d'Eusapia qui revenait d'une excursion. Ay
se dans la direction d'Eusapia pour rechercher ce qu'elle faisait des
jambes
, je ressentis des attouchements délicats, produit
je ressentis des attouchements délicats, produits probablement par sa
jambe
, quelle avait allongée pour contrôler à son tour
ablement du côté droit. « J'ai supposé, dit-il, qu'elle se sert de la
jambe
gauche, et assis à sa place, je réussis à lever m
e sert de la jambe gauche, et assis à sa place, je réussis à lever ma
jambe
à la hauteur de la tête d'un des voisins. Pendant
n avant et en arrière; cela pouvait lui faciliter le dégagement de la
jambe
(car la main du contrôleur reposait précédemment
osait précédemment sur son genou) et être nécessaire pour allonger la
jambe
gauche. J'ai découvert le moyen dont elle dégage
nt que le Dr A. Moll a supposé Justement cette manière de délivrer la
jambe
chez Eusapia. (2) Je crois devoir remarquer que
. 2° Un moment avant que le rideau me touchât à la hanche, j'ai va la
jambe
gauche d'Eusapia exécuter un mouvement en arrière
le mouvement de la table derrière le rideau, Eusapia avait délivré sa
jambe
gauche et l'avait allongée en arrière. — Par cons
livre, malgré le contrôle apparent, à un moment donné une de ses deux
jambes
pour effectuer ses productions. — D'ailleurs, le
ir lâché la main d'Eusapia pas un seul moment. » Les mouvements de la
jambe
pendant les phénomènes, nous en citerons ultérieu
ble, dans la position habituelle du médium,de mouvoir, à l'aide de la
jambe
, les objets derrière le rideau. « J'ai réussi fac
au. « J'ai réussi facilement à attirer et à repousser, à l'aide de la
jambe
, la petite table avec des sonnettes derrière le r
t toujours : « Et maintenant, Messieurs, permettez-moi de délivrer la
jambe
, ou la main »; le deuxième (N° 14), appelle ses e
l fut démontré que ma botte vide reposait sur mon pied, tandis que ma
jambe
gauche se trouvait derrière le rideau. » M. Ochor
avec une robe si étroite, comme l'avait Eusapia ; 2° qu'Eusapia a les
jambes
exceptionnellement courtes (85 c.), et qu'il lui
nnellement courtes (85 c.), et qu'il lui est difficile de croiser les
jambes
; 3° il arrive que les attouchements ont lieu à l
e exprime une grande agitation ; tout le corps est en mouvement ; les
jambes
se lèvent et les bras battent l'air; le corps est
rouve, dans le genou, une douleur si forte, qu'elle ne peut remuer sa
jambe
: second effet de ce rêve qui devient ainsi patho
lière. Les muscles bien nourris, surtout dans les extrémités (bras et
jambes
), sont plus développés qu'ordinairement chez les
hose des os. La taille assez basse, l'embonpoint considérable, et les
jambes
relativement courtes, la rendent un peu lourde et
une pâleur presque cadavéreuse, épuisé, souvent couvert de sueur. Les
jambes
et les bras sont, pendant les phénomènes, dans un
nue. Huit ans après l'accident, en 1875, la partie inférieure de la
jambe
est mobile en tous sens, les deux extrémités des
de goitre exophtalmique, d'hypertrophie du cœur, avec paralysie de la
jambe
gauche et ulcère variqueux. Elle avait été soigné
ie la disparition du gonflement et de l'ulcère, le redressement de la
jambe
, la possibilité de marcher facilement sans béquil
tète. a On s'étonne de les voir si durs au mal : l'un s'amputait la
jambe
tranquillement en la brûlant avec un tison. Mais
'étendait largement au-dessous de l'ombilic et descendait le long des
jambes
jusqu'aux pieds. Les avant-bras était tout couv
du pli du coude : 24 cent. ; au bras gauche 26. Circonférence de la
jambe
gauche au mollet, 32 cent. ; à la jambe droite 31
che 26. Circonférence de la jambe gauche au mollet, 32 cent. ; à la
jambe
droite 31 cent. Contractilité et sensibilité él
curvation de la colonne vertébrale, se plaignait de douleurs dans les
jambes
, éprouvait de la difficulté à marcher, des douleu
; ce ne fut que huit mois plus tard que les douleurs affectèrent les
jambes
et les genoux. La douleur est décrite par la mala
peresthésie du pied droit. La sensation est normale sur le devant des
jambes
. Les réflexes pédieux sont présents. Les réflexes
du pied gauche et les réflexes rotuliens sont exagérés dans les deux
jambes
. Je considérai la maladie comme étant d'une nat
Après cette immersion, on remarqua qu'elle avait pu mouvoir les deux
jambes
et qu'elle avait gravi seul les quelques marches
rquablement bien et parait très fière de cela. Elle ne traîne pas les
jambes
. En marchant elle tient la tête penchée en avant,
une de nos chrétiennes, comme un taureau épouvanté, s'enfuit à toutes
jambes
et, au hasard, se couche à terre, se relève en po
inzaine de jours plus tard, comme il se plaignait de douleurs dans la
jambe
et la cuisse gauches, M. Bernheim lui proposa de
ôpital, il se serait développé une paralysie du côté droit (bras et
jambe
); il fut ensuite envoyé à Berck dès que la marc
poussé de cri; rigidité géné- rale, puis secousses du bras et do la
jambe
du côté droit; écu- me non sanguinolente ; il n
quand on l'appelle. Il se lève et se soutient difficilement sur les
jambes
; dit qu'il ne se sent pas. Automatisme. - Quelq
. Fig. 1. - Ovale brisé. Fiq. 2. - Pli-cri pour la cuisse et la
jambe
. Fig. 3. - Pièce pour l'oreille. Fig. 4. - Pi
es parties du corps, telles qu'il l'aisselle et à l'extrémité de la
jambe
du côté droit. Avant le traite- ment par l'aima
che, quelques secousses des membres. On ne sait comment étaient les
jambes
et on croit, sans l'affirmer, que le bras gauch
s la situation de l'enfant : il était incapable de se tenir sur les
jambes
; il avait perdu la parole; il était redevenu sa
rqué que R... était comparativement moins faible des bras que des
jambes
; il ne reconnaît personne, pas même sa mère :
e, sem- ble souffrir. Petites secousses dans les bras et dans les
jambes
; quelquefois une secousse agite la tête .brusque-
du corps, le bras droit étendu, les membres inférieurs fléchis, les
jambes
croisées, la gauche passant sur la droite. Les
était pas entière- ment paralysé, qu'il pouvait se soutenir sur les
jambes
, qu'il marchait en sautant ; cette conservation
exostoses en forme de crochet. - Toute la partie supérieure de la
jambe
parait le siège d'une énorme exostose occu- pan
es, l'une à la face interne, l'autre au bord externe du fémur. A la
jambe
, hyperostoso au niveau de l'extrémité supérieur
embres inférieurs, aurait envahi successivement tout le corps ; les
jambes
étaient enflées, on les lui a per- cées pour en
rieurs en procédant de haut en bas, les cuisses d'a- bord, puis les
jambes
et enfin les pieds ; elle est également, revenu
uillement de la plante des pieds amène la contraction réflexe de la
jambe
. Mais de- puis 11 heures, le malade accuse une
perçues; le chatouillement des pieds amène encore la retrait de la
jambe
. T. Ax. des deux côtés, 37°. 7 h. 25 du soir. -
la bouche vers la gauche; dents serrées; opisthotonos; raideur des
jambes
, la gauche à demi-fléchie et en ahduc- tion, la
arloir où on s'est aperçu qu'il avait un peu de faiblesse clans les
jambes
. Purgatif. 9 juitlet. T. R. 38°. Soir : 38°,5
mais peut se tenir assis ; il est incapable de se porter sur les
jambes
; si on veut le placer debout, il s'affaisse, et
sse, et il faut le soutenir ; il semble s'appuyer légèrement sur la
jambe
droite. Les jambes et les pieds sont un peu cya
soutenir ; il semble s'appuyer légèrement sur la jambe droite. Les
jambes
et les pieds sont un peu cyanosés. La sensibili
au chatouillement est égale- ment conservée des deux côtés ; si,les
jambes
étant fléchies, on les pince, C... les soulève.
utre- fois ; C... ne peut toujours pas marcher seul, et reste les
jambes
fléchies ; si on le soutient pour le faire avance
ie inférieure du dos. Membres inférieurs. L'enfant se tient sur les
jambes
lorsqu'il est soutenu, et dans les tentatives q
ensibilité à la piqûre est conservée, l'enfant fléchit un peu les
jambes
; pas de réaction au froid, si on lui projette de
0 grammes. 1882. 25 avril. L'enfant se tient un peu mieux sur les
jambes
; peut marcher en se tenant aux lits, ou soutenu p
- che est très libre. Sch... se plaint d'engourdissement dans les
jambes
et les pieds. Si, le faisant lever, on l'abando
ation persiste, plus ou moins accusée. Sch... se tient bien sur les
jambes
; il peut faire, plusieurs fois, sans être sou-
ux organes génitaux. Sur la face antérieure de la cuisse et de la
jambe
droite, la sensation du toucher existe ; mais l
ion de froid. La perception des tem- pératures est très obscure aux
jambes
et nulle aux pieds. 5° jour. - L'hyperesthésie
ur. Les irritations douloureuses sont perçues au côté externe de la
jambe
gauche et à la face antérieure des deux cuisses
réaction alcaline. 9° jour. Sentiment de pesanteur aux mains et aux
jambes
quand il essaie de les soulever. Un peu plus de
oulever. Un peu plus de mobilité dans 8 . PATHOLOGIE NERVEUSE. la
jambe
gauche que dans la jambe droite ; du côté gauche,
obilité dans 8 . PATHOLOGIE NERVEUSE. la jambe gauche que dans la
jambe
droite ; du côté gauche, légère flexion du geno
ont très douloureuses ; il en est de même sur les cuisses. Aux deux
jambes
, la piqûre est perçue d'une manière normale.
'extension de l'avant-bras sur le bras; le malade leva très bien la
jambe
gauche et tend le genou. La sensibilité des cui
end le genou. La sensibilité des cuisses est redevenue normale. Aux
jambes
le toucher est encore perçu un peu faiblemeut.
n et aux cuisses, la sensation y est encore un peu douloureuse. Aux
jambes
, le froid ne donne que la sensation du toucher.
n de froid. Un corps chaud ou froid ne donne, à la face externe des
jambes
, qu'une sensation de toucher. Il perçoit encore
oit encore confusément la piqûre de l'épingle à la face externe des
jambes
. L'urine est purulente et alcaline; la quan- ti
e provoque pas de contractions. Même résultat à la cuisse gauche.
Jambe
droite : il sent faiblement le courant à la régio
ne produit rien de plus que l'électrisation directe des muscles.
Jambe
gauche : La sensibilité électrique est obtuse com
et de la racine des cuisses, en même temps que de raideur dans les
jambes
et de quelques frissons. Température à 39° hier
pérature à 39° hier soir. Ce matin, persistance de la raideur des
jambes
; les mouve- ments des membres inférieurs provo
sement douloureux dans le bras droit quand il essaie de soulever la
jambe
. La sensation de cercle douloureux existe, aujo
uloureuse; elle n'est pas perçue à la 12 1-) PATHOLOGIE NERVEUSE.
jambe
droite, elle l'est à la cuisse droite et légèreme
E. jambe droite, elle l'est à la cuisse droite et légèrement à la
jambe
gauche. Température du matin 31 ? du soir, 36.
un peu plus étendus à gauche. Le malade ne peut plus soulever les
jambes
, ni se servir de ses mains ; il se meut tout d'un
on. Le malade ne peut imprimer le moindre mouvement aux bras ni aux
jambes
. Température du soir, 39°,la. 104° jour. - Mê
dans une demi-flexion. Impossibilité pour le malade de soulever ses
jambes
, les mouvements passifs y sont très douloureux.
Les mouvements tendaient à se généraliser; ils avaient envahi la
jambe
droite et ce ne fut que vers le mois de juin (183
alancement et d'élévation des bras, de même que simultané- ment les
jambes
, surtout la droite, se fléchissent et se redres-
les abaissant alternativement et levant en même temps assez haut la
jambe
droite. Puis les mouvements s'arrêtaient ou mêm
e d'imitation était telle chez celui-ci qu'en levant les bras et la
jambe
droite il trébuchait et tombait par terre; tout
ements incoordonnés se généralisèrent, ils envahirent les bras, les
jambes
des deux côtés, l'enfant faisait des contorsion
oins fréquents ; du reste, dès 1878, les mouvements des bras et des
jambes
avaient déjà disparu : le malade n'avait plus q
exes rotuliens normaux dans diverses affections chirurgicales de la
jambe
et du cou-de-pied du côté lésé, dans un cas de rh
e paralysie avec raideur du bras et de lajambeducôté droit et de la
jambe
gauche. Sur ces parties on note : intégrité del
e allait s'é- vanouir. La malade peut encore fléchir et étendre les
jambes
dans son lit quoiqu'assez lentement, elle prése
e motrice très peu marquée du bras gauche, et existant à peine à la
jambe
gauche; elle est dans un état de semi-inconscie
de douleurs térébrantes ou de brûlures des plus violentes dans les
jambes
; il lui semble aussi qu'on a rac- courci ses me
es symptômes furent : un affaiblis- sement rapide et progressif des
jambes
et des bras puis des muscles de la nuque. Dès l
rtie postérieure des quatre e extrémités, etpour les extenseurs des
jambes
. D'autres expériences lui ont appris que les ap
ans de l'eau froide; on l'exprime en le tordant, et l'un entoure la
jambe
de telle sorte que les tours secs recouvrent pa
e la branche buccale du facial du même côté, de l'm- puisance de la
jambe
à porter le corps (les mouvements en sont possi
. Il ne se produit pas de ci Les convulsions durent dix minutes; la
jambe
gauche y participe; deux heures de sommeil term
Br et sa réduction à 2 gr. par jour. Pen- dant ce laps de temps, la
jambe
gauche a recouvré sa force; le malade se promèn
presque complète, du refroidisse- ment et de l'engourdissement des
jambes
et, par mo- ments, de la faiblesse de la vue. U
e bruyères, dont il avait conservé l'habitude, il remarqua que sa
jambe
gauche avait perdu de sa force. A partir de ce
e des mus- cles qui soutiennent le tronc que par la faiblesse des
jambes
. Le malade ne pouvait rester assis sans avoir l
était pris de mouvements tantôt dans unejambe, tantôt dans les deux
jambes
, tantôt dans un bras, tantôt dans un bras et un
ns les deux jambes, tantôt dans un bras, tantôt dans un bras et une
jambe
, tantôt dans les quatres membres. Ces mouvement
épètent dans le bras, droit. Le malade secoue deux ou trois fois sa
jambe
droite, DE L INCOORDINATION MOTRICE. 161 tire
a de temps en temps un mouvement choréique isolé d'un bras ou d'une
jambe
, de sorte que les accès convul- sifs sont beauc
équemment la nuit, les crises sont devenues plus fréquentes, et les
jambes
sont prises de nouveau, mais au lieu d'être com
ntorsions les plus ordi- naires, qui consiste à lever le bras et la
jambe
droite en frappant la terre du pied gauche, pos
après les crises, on a remarqué qu'il se tenait moins bien sur la
jambe
droite et qu'il se servait moins bien du bras dro
: peu accentuée; quelques secousses dans les membres surtoutdans la
jambe
droite; pâleurde la face très prononcée. Pasde
mars, 197). 14 juitz. - ll entre à l'infirmerie; il fléchit sur les
jambes
, a 6 accès par jour et autant la nuit. 19 jui
bras sur la tête. Le bassin est projeté en arrière; il fauche de la
jambe
droite; cependant il peut avec effort soulever
depuis huit jours. La motricité est revenue dans le côté droit. La
jambe
seule reste traînante dans la marche. 17 janv
sie alaxique mécanique (anarthrie), enfin de l'ataxie dans les deux
jambes
. Les deux extrémités supérieures sont constamme
nseurs et fléchisseurs des doigts; extenseurs et fléchisseurs de la
jambe
, etc.. (flaccidité et atrophie); les mouvements
le, suivant leb régions explorées. Finalement, paralysie totale des
jambes
, presqu'absolue des bras. Dans le cours de l'af
ta- tion moteurs, s'observent généralement au bras, rarement à la
jambe
ou à la tête. Les uns émanent probablement de par
plégie flasque du bras droit, une hémipa- rébie très accusée de la-
jambe
du même côté (atrophie de ces membres), un nyst
oppement ordinaire, le malade se tenait également bien sur les deux
jambes
et pouvait aisément faire une course assez long
les, ne travaillait point (pas de condamnations); il s'est cassé la
jambe
et est resté trois mois à Lariboisière, et, un
in en nourrice, repris à quatorze mois, il ne se tenait pas sur les
jambes
; il était en mauvais état; la nourrice était deve
que vers le huitième jour, et il était incapable de se tenir sur la
jambe
gauche et de se servir du bras gauche «qui étai
ait prendre quatre bains électriques), mais il a toujours traîné la
jambe
et il la traîne autant aujourd'hui qu'à son ent
ion des liquides par le nez. Depuis trois semaines, incertitude des
jambes
, diplo- pie, impossibilité de lever le bras dro
nou n'existe plus. Le 20 septembre, convulsions fibrillaires des
jambes
augmentant à mesure que la démarche s'améliore. L
on muscle droit), sont peu ou point accusées dans les muscles de la
jambe
; contractions irrégulières du droit de l'abdome
our sur le mécanisme de la production de ce vice de conformation. Les
jambes
, au lieu d'être fléchies sur les cuisses, sont da
des avant-bras, sont situées dans le court intervalle qui sépare les
jambes
. La main et le pied du côté droit MDPD étaient
galement une disposition fort remarquable : c'était une flexion de la
jambe
sur la face antérieure de la cuisse, un diastasis
l'articulation. Les os du pied droit sont évidemment atrophiés. A la
jambe
, l'atrophie portait davantage sur les parties mol
sont destinées à représenter l'état des parties molles et dures de la
jambe
et du pied d'un adulte pied-bot. Les figures i, 2
orme était à peu près du même volume que celle du côté sain ; mais la
jambe
était évidemment atrophiée. La couche adipeuse so
comme celle qui n'est pas sujette aux frottemens. L'aponévrose de la
jambe
était beaucoup plus mince que de coutume et avait
ubi la même progression de décroissement. La figure 1 représente la
jambe
dépouillée de la peau et de l'aponévrose jambière
antes, sont parfaitement indiquées. Fig. 2. Elle représente la même
jambe
vue par sa face postérieure et son côté interne :
interne mince, grêle, mais présentant seul de tous les muscles de la
jambe
la couleur et la texture propres aux muscles ; 7
nte, que le plan du pied-bot n'est plus perpendiculaire au plan de la
jambe
, mais que le plan de l'un est à peu de chose près
ig. 5. Elle représente le pied ramené dans sa direction naturelle, la
jambe
étant verticale. L'écartement qui sépare l'extrém
représente le squelette du pied-bot et de la partie inférieure de la
jambe
d'un vieillard. MI malléole interne articulée a
-même un corps résistant, inflexible : ainsi, dans le cas actuel, les
jambes
, au lieu d'être fléchies en arrière sur les cuiss
est plus renversé que le pied gauche; bien plus, il est atrophié. La
jambe
droite est un peu plus courte que la gauche ; ell
ns renversées sur le bord radial des avant-bras, comprimées entre les
jambes
et les avant-bras et présentant exactement l'aspe
menton, areboutement qui, en s'opposant à l'écartement des pieds, des
jambes
et des cuisses, a pu déterminer la compression la
parallèles, qui passeraient l'un au-devant, l'autre en arrière de la
jambe
, comprendraient la totalité du pied. A quelle con
aponévroses, 3° les muscles. Des os dans le pied-bot. Les os de la
jambe
sont généralement droits chez les jeunes sujets e
re anatomique essentiel du pied-bot est dans la courbure des os de la
jambe
? Non certes, car la courbure de ces os est évidem
du tarse avec la deuxième ; la première rangée est sur la ligne de la
jambe
, la deuxième rangée est sur la ligne du reste du
t suivi le sort de toutes les parties aponévrotiques du pied et de la
jambe
, c'est-à-dire qu'elle était singulièrement aminci
s. L'atrophie, la transformation graisseuse de tous les muscles de la
jambe
, et même de r accessoire du fléchisseur commun, p
res caractères propres à la fibre musculaire, et que conséquemment la
jambe
n'exécutait d'autres mouvemens actifs que ceux im
utive. Se pourrait-il cependant qu'il y eût absence des muscles de la
jambe
dans certains cas de pied-bot. On m'a assuré avoi
ment des muscles et des tendons qui occupent un côté du pied et de la
jambe
et à la contraction de ceux de l'autre côté , de
gsues à l'épigastre, deux sinapismes aux pieds, deux vésicatoires aux
jambes
. Le 12, à peu près à la même heure que la veill
ium. Sinapismes qu'on promène sur plusieurs points : vésicatoires aux
jambes
. — Tous les irritans sont sentis, mais point d'am
pes et l'état grave où nous la trouvions. Déjà des vésicatoires aux
jambes
avaient été placés. Nous prescrivîmes des sinapis
large sous-cutané avec pus infiltré ou ramassé en foyer, occupant les
jambes
et s'étehdant aux cuisses. Réflexions. — La déf
e de laquelle il y eut de la gêne dans les mouvemens du bras et de la
jambe
gauches. Il prit cela pour une affection rhumatis
r fils , interne à la Maison royale de Santé. iiie livraison. i
jambes
; Le malade ne scni absolument rien; la pression e
nteur, un engourdissement qui se prolongeait le long des cuisses, des
jambes
et des pieds. Il attribua cet état à la fatigue d
chercher en toute hâte, parce que le malade ne pouvait pas remuer les
jambes
. Déjà les urines et les matières fécales s'étaien
es fécales s'étaient échappées involontairement. Les cuisses et les
jambes
sont sans mouvement, chaudes sans sécheresse5 l'a
un sentiment de pesanteur et d'engourdissement dans les cuisses, les
jambes
et les pieds : une heure après, invasion des symp
deux heures assis à la petite Provence; en rentrant, il sent que les
jambes
lui manquent ; il a beaucoup de peine à monter le
fourmillement douloureux s'étend à la moitié de l'avant-bras ou de la
jambe
, à tout l'avant-bras, à toute la jambe, à toute u
oitié de l'avant-bras ou de la jambe, à tout l'avant-bras, à toute la
jambe
, à toute une extrémité inférieure; rarement occup
tte et entouré d'une membrane celluleuse. — A la partie interne de la
jambe
j entre l'aponévrose et les muscles, couche de ma
pour une gangrène spontanée du pied et de la moitié inférieure de la
jambe
du même côté (je n'ai pas noté lequel). Le pouls
vec le vin émétique trouble ; deux larges sinapismes aux pieds et aux
jambes
en manière de bottine : saignée du pied le soir.
e lavement purgatif. Troisième saignée au bras. Deux vésicatoires aux
jambes
.—Le troisième et le quatrième jour, toujours même
vingt-cinquième jour par suite d'un phlegmon diffus sous-cutané de la
jambe
—Foyer apoplectique dans le centre médullaire de l
nférieure droite, et je vis que le tissu cellulaire sous-cutané de la
jambe
était infiltré d'une grande quantité de pus. 11 e
eurs reprises, ainsi que trois vésicatoires, un au thorax et deux aux
jambes
; et qu'enfin le sulfate de kinine venait d'être a
de qui aurait un foyer de sang dans l'épaisseur de la cuisse ou de la
jambe
? Tout le temps que le travail d'absorption est
e-cinq ans environ, entre à l'Hôpital de Limoges pour des dartres aux
jambes
. Bientôt survient du dévoiement. Quinze jours apr
, alternativement très-lent et très-précipité. (Deux vésicatoires aux
jambes
; sinapismes; potion éthérée ; calomel.) — Les 2
quefois elle dit à voix basse holà! et porte la main à la tête ou aux
jambes
. La respiration est alternativement très-lente et
lui ont été administrés; que deux vésicatoires ont été appliqués aux
jambes
la veille de son entrée; que, dans le cours de sa
es lavemens avec sulfate de quinine et camphre, deux vésicatoires aux
jambes
et des sinapismes répétés avaient été employés pe
lules camphrées. Un vésicatoire est appliqué alternativement à chaque
jambe
.) — Le 27, ventre ballonné, diarrhée, délire, res
veut pas me laisser partir. ( Sinapismes aux pieds, vésicatoires aux
jambes
.) Le 19, même état. Le 20, la langue est sèche; l
l'aspect de lames cornées. Tai vu plusieurs fois des cicatrices de la
jambe
revêtues d'une lame cornée tout-à-fait semblable
ssible de se lever; mais, lorsqu'on était parvenu à le mettre sur ses
jambes
, il pouvait marcher en traînant ses pieds sans le
veau survinrent. Des sangsues furent appliquées, des vésicatoires aux
jambes
, (*) Observation recueillie et pièce pathologiq
rt est imminente. (Sangsues le long des jugulaires ; vésicatoires aux
jambes
; sinapismes aux pieds; tartre stibié en lavage.)
vaux surmenés, ce sont les articulations du tarse et du carpe avec la
jambe
et l'avant-bras qui sont le siège de l'usure la p
nt à l'ouverture d'un individu qui avait succombé à une amputation de
jambe
, et dont les poumons étaient farcis d'abcès, voya
qui succomba dans l'état typhoïde, à un phlegmon érysipèlateux de la
jambe
. Plusieurs vaisseaux lymphatiques, superficiels e
entent tout-à-fait le caractère cholérique. Grande faiblesse dans les
jambes
, mais point de crampes: la soif n'est pas vive; e
e refroidissement; crampes rares et peu douloureuses aux pieds et aux
jambes
; évacuations très fréquentes de matières cholériq
is semblables à du petit-lait, en même temps crampes aux pieds et aux
jambes
; nausées suivies de vomissements glaireux. Les se
ace, par gorgées. Deux synapismes en bottines autour des pieds et des
jambes
. Le 29, la langue devient sèche et rouge; stupe
che , visqueuse ; crampes rares, bornées aux muscles du pied et de la
jambe
; refroidissement léger de la peau; point de teint
ne douleur; point de soif ; point de vomissements: crampe légère à la
jambe
et aux doigts. Les selles sont abondantes et chol
muscles des pieds, et s'étendent plus ou moins rapidement à ceux des
jambes
, des cuisses, de l'extrémité supérieure, aux paro
rts considérables. Des crampes surviennent dans les pieds et dans les
jambes
; froid des extrémités ; soif ardente On crut la
quelques crampes dans les mollets : lorsque la malade est assise, les
jambes
sont agitées de mouvements involontaires. A la
hoquets très douloureux; respiration lente; point de crampes dans les
jambes
, mais douleurs extrêmement vives sous les fausses
ndre mouvement , crampes qui parcourent successivement les pieds, les
jambes
, les cuisses et les doigts. A la suite de ces cr
le soir. A une heure trois quarts ; tout-à-coup , crampes dans les
jambes
et dans les cuisses : la respiration s'accélère;
Face cholérique; lividité ; pouls petit, fréquent ; crampes dans les
jambes
? oppression épigastrique ; nausées ; refroidisse
ouleur bleue de tout le corps; rigidité dans les membres; flexion des
jambes
sur les cuisses, et de celles-ci sur le bassin; u
s selles cholériques: en même temps froid, face violacée, crampes des
jambes
, des cuisses et des poignets.Un médecin appelé pr
u de riz. Le 12 avril, sur le soir, vomissements ; crampes dans les
jambes
et dans les pieds ; froid. Les accidents ont marc
ammoniacal camphré. Quatre grands sinapismes , deux aux pieds et aux
jambes
, deux aux mains et aux avant-bras ; ils seront su
ues aux apophyses mastoïdes. Glace sur la tête. Deux vésicatoires aux
jambes
. Le 19. Altération profonde des traits; connais
de la reconnaissance aux personnes qui lui donnaient des soins : ses
jambes
, quoique très faibles, lui permettaient encore de
epuis trois mois, couchée sur le dos; à peine pouvait-elle remuer les
jambes
, qui d'ailleurs avaient conservé leur sensibilité
te, les abcès hépathiques furent la suite d'une contusion légère à la
jambe
. Un homme vigoureux était depuis quelques jours
reux était depuis quelques jours à l'hôpital, pour une contusion à la
jambe
. Fièvre précédée de frisson ; saignée; le lendema
deur désagréable. Les cuisses sont à demi-fléchies sur l'abdomen, les
jambes
sur les cuisses, et les orteils sont manifestemen
in , à la visite, ce malheureux me montra la région postérieure de la
jambe
, très volumineuse, tendue, dure, violacée. Il y a
0 sangsues sur l'hypogastre. Le 7, la malade ne se plaint que de la
jambe
gauche, où elle éprouve des élancements ; une pre
e dans l'hypochondre gauche. Le tissu cell ulaire sous-cutané de la
jambe
gauche était infiltré de sérosité jaunâtre. Les a
tion du genou et dans le tissu cellulaire libre de la cuisse et de la
jambe
. Inflammation des vaisseaux lymphatiques utérins
ainsi que le membre abdominal tout entier et plus particulièrement la
jambe
. La respiration est plus libre, mais l'état de la
nou ; de petites phlyctènes se remarquent à la face postérieure de la
jambe
et delà cuisse. La malade se plaint de la gorge :
ouverions une collection de pus dans l'épaisseur de la cuisse et delà
jambe
, entre les muscles et l'os ; mais je n'avais pas
c l'articulation du genou. Elle se prolongeait dans l'épaisseur de la
jambe
, qui présentait également deux vastes collections
t dans les articulations tarsiennes. Deux abcès dans Vépaisseur de la
jambe
. Un abcès dans l'épaisseur du muscle extenseur co
es jours, la malade accusait une douleur à la partie inférieure de la
jambe
et au pied : mais l'examen le plus attentif n'y f
s sous-cutanés se manifestent l'un en dedans, l'autre en dehors de la
jambe
. Un autre abcès se développe dans l'épaisseur des
scrit qui a été représenté figures 5 et 3'. Les abcès observés à la
jambe
avaient leur siège dans le tissu cellulaire sous-
ion radio-carpienne terminé par suppuration ; le 21e jour, abcès à la
jambe
: voilà le résumé de cette observation. Quel rappo
s avant l'apparition de l'hémiplégie, l'enfant s'était plaint dans la
jambe
droite d'une faiblesse qui le faisait chanceler d
djacentes. L'entorse avait été le résultat de l'affaiblissement dè la
jambe
dont les ligaments actifs (les muscles) ne jouiss
e jour où je vis l'enfant avait été très orageuse. U se plaignait des
jambes
, des bras, de tout le corps, et attribuait en gr
rtiments bien distincts. Les nos 25 et 26 représentent la coupe de la
jambe
. On voit le tibia et le péroné au centre des part
vives dans tout te bassin, avec impossibilité de se soutenir sur les
jambes
: bien que les os du bassin ne fussent le siège d
tifs augmentent. (Dix sangsues le long des jugulaires, sinapismes aux
jambes
.) 11 mai : état comateux. Cris plaintifs contin
issance, à la suite de laquelle elle resta affaiblie du bras et de la
jambe
gauches. Ses facultés intellectuelles s'affaiblir
te normalement tous les mouvements excepté un seul, l'extension de la
jambe
sur la cuisse. Les mouvements d'abduction et d'ad
dduction de la cuisse, de flexion de la cuisse sur le bassin et de la
jambe
sur la cuisse, les mouvements isolés du pied, les
olés du pied, les mouvements de flexion et d'extension du pied sur la
jambe
sont libres ; mais l'extension de la jambe fait d
d'extension du pied sur la jambe sont libres ; mais l'extension de la
jambe
fait défaut. Ainsi, quand il veut étendre la jamb
l'extension de la jambe fait défaut. Ainsi, quand il veut étendre la
jambe
placée en demi-flexion, il contracte les extenseu
allonger le membre. Ce sont donc, vous le voyez, les extenseurs de la
jambe
qui sont en défaut, ce sont les muscles innervés
is, il n'oppose qu'une faible résistance à la flexion provoquée de la
jambe
sur la cuisse. En somme, bien qu'il y ait un pe
e mettra à marcher. Vous voyez comment, pour descendre, il soulève la
jambe
droite à l'aide du pied gauche, pour suppléer à l
difficile : cette paré-sie des muscles qui fléchissent le pied sur la
jambe
a disparu depuis. Il importe de remarquer qu'il
malade : ainsi, autrefois, les jumeaux et les muscles antérieurs delà
jambe
ne se contractaient pas également des deux côtés;
fusion en dehors de la distribution du crural, dans les muscles de la
jambe
et du pied. Dans les lésions articulaires de l'ép
membre inférieur, c'est l'exten sion qui prédomine; la cuisse et la
jambe
sont étendues; le pied est dans la flexion planta
la percussion répétée du tendon rotulien et du tendon d'Achille, leur
jambe
se place dans l'extension, tandis que le pied s
sse se fléchit sur le bassin ; dans l'arthrite fongueuse du genou, la
jambe
se fléchit sur la cuisse, etc. On a longuement
nt, très pénible d'ailleurs, de fourmillement dans le pied et dans la
jambe
. b) En outre de la douleur permanente, il exist
agnaient très nettement de secousses cloniquespar suite desquelles la
jambe
était vivement fléchie sur la cuisse. Ajoutons qu
centimètres en faveur des parties correspondantes du côté droit. La
jambe
et le pied gauche sont froids, marbrés de taches
aque, sont conservés et énergiques ; les mouvements d'extension de la
jambe
effectués par Je triceps sont normaux, b) Les mou
e gauche. 2° Les muscles postérieurs de la cuisse, fléchisseurs de la
jambe
. 3° Les muscles qui produisent la flexion plantai
ffaiblissement marqué des fessiers et de la plupart des muscles de la
jambe
. Cette parésie des muscles du côté droit comme
ever ce qui est relatif aux muscles jumeaux et aux fléchisseurs de la
jambe
sur la cuisse. A gauche, l'effet de la faradisati
riées. On peut en dire autant pour les jumeaux; donc la flexion de la
jambe
sur la cuisse et la flexion plantaire du pied pou
s particulier ; Guérison avec rétraction des muscles fléchisseurs des
jambes
. Guérison définitive par l'intervention chirurgic
rqué le séjour de la malade dans son service. Etat à Ventrée. — Les
jambes
sont dans la demi-flexion. La peau, au niveau du
ser l'artère poplilée probablement englobée dans le tissu fibreux. La
jambe
droite est un peu plus étendue que la gauche. Les
reux. La jambe droite est un peu plus étendue que la gauche. Les deux
jambes
sont de suite fixées dans des gouttières plâtrées
, alors même qu'elle est très accentuée, accompagnée de flexion de la
jambe
sur la cuisse et de longue durée, peut guérir ; 2
atteinte d'amyotrophie des membres inférieurs ou plus exactement des
jambes
. Cette atrophie est très prononcée; la malade peu
te particulière. En effet, par suite de l'impotence des muscles de la
jambe
, la pointe du pied tombe quand la malade, dans la
une forme spéciale d'atrophie musculaire progressive débutant par les
jambes
et distincte de la forme de Leyden, (Revue de méd
des victimes de la collision, qui aura été atteinte d'une fracture de
jambe
, par exemple, sera déjà guérie, après une incapac
t minutes. En revenant à lui, il était incapable de marcher, tant les
jambes
étaient faibles et l'on fut obligé de le ramener
is, le cercle se fait en avant, les bras croisés sur la poitrine, les
jambes
en l'air, le tronc et la tête soulevés, les fesse
e s'il cherchait à se débarrasser de quelque reptile qui, enlaçant sa
jambe
, ferait effort pour remonter le long de sa cuisse
e jeune fille souffrant depuis trois ans d'une affection du genou; la
jambe
restait fléchie sur la cuisse ; les douleurs étai
plus, veuillez le remarquer, le membre gauche lout entier, cuisse et
jambe
, est un peu moins volumineux que le droit; sa cir
se pas sur le sol ou n'y repose que très légèrement par la pointe; la
jambe
gauche est en extension et portée un peu en avant
osition debout que l'inégalité de volume des deux cuisses et des deux
jambes
est le . mieux perceptible. Fig. 77. Pour ce
et la teinte violacée des parties, surtout prononcés au genou et à la
jambe
chez notre sujet. Insistons actuellement de nou
même aux endroits les plus hyperesthésiés ; on pouvait imprimer à la
jambe
et à la cuisse les mouvements les plus étendus sa
bassin ainsi produite est la cause du raccourcissement apparent de la
jambe
gauche. M'étant donc décidé à essayer, chez ce
demie environ; puis qu'adviendra-t-il? La douleur reparaîtra dans la
jambe
, acquerra rapidement le degré d'intensité qu'elle
sur ce membre inférieur au-dessus du genou produit la rigidité de la
jambe
, et que la même application faite à quelques cent
ence entre un mouvement volontaire et un mouvement involontaire de la
jambe
, c'est que, tandis que le mouvement involontaire
ffaisse tout d'un coup sur le côlé droit; elle ne peut se relever, sa
jambe
droite ne peut la supporter, son seau a roulé loi
parents. Les jours suivants, 1er, 2, 3 décembre, la paralysie de la
jambe
droite s'amenda légèrement et progressivement ; c
gnée ; au réveil, il y avait de la paralysie avec insensibilité de la
jambe
gauche et de plus, il y avait un muLisme complet.
rière, le 8 novembre 1885. A son entrée, il traîne encore un peu la
jambe
; la paralysie a diminué depuis une huitaine de j
tronc et de la cuisse ; la piqûre est perçue comme un frôlement. A la
jambe
, l'aneslhésie est complète ; au pied, simple anal
constriction de la gorge, de sensation de boule, de douleurs dans les
jambes
, que la malade qualifie de crampes, avec gonfleme
oui, non, à voix basse. La voix revint peu après, et la paralysie des
jambes
disparut également d'une façon complète. Obs. X
epuis 4 ans et demi. Elle avait eu des nausées, des douleurs dans les
jambes
; un jour, en voulant quitter le lit, elle a perdu
mbes; un jour, en voulant quitter le lit, elle a perdu l'usage de ses
jambes
. Durant ces quatre années, les symptômes ont souv
entement et recouvra la parole d'une façon complète. La paralysie des
jambes
disparut plus lentement. Obs. XVI. — (Revue de
forme presque continuel. Pendant que le bras exécute ce mouvement, la
jambe
est au repos complet. Mais essaie-t-on de chatoui
chatouiller n'importe quelle parlie de la moitié droite du corps, la
jambe
droite répond par un tremblement clonique épilept
mplin. Nous en donnons cette année la figure. Comme on le voit, les
jambes
allongées vont frapper sur une planche vertical
ête .contre les Lic·s. -131e1haile, : - Parole et marche nulles, -
jambes
déplus en plus faibles. * ? 1891. Accès de colè
ête avec vomisse- 7ne71ls bilieux. Deux mois plus tard, parcste des
jambes
, affaiblissement de la vue; puis paralysie et c
tions. Traitement nDlCO ? P]DAGOG1QUE. 83, 1886 : Eczéma des deux
jambes
. Lecture presque courante, participe aux exerci
Impossibilité de se tenir debout. Affaiblissement prédominant à la
jambe
gauche. - Gâtisme. - Tournoiement de la tête. B
a ment gâteux ; il lui était impossible de se tenir debout. La «
jambe
gauche paraissait un peu plus faible que la droit
u profonde mais indubitable. « L'enfant commence à se tenir sur ses
jambes
, ne gâte plus « que par moments, demande le vas
800 gr.). Pas de fièvre; céphalalgie; délire. Les douleurs dans les
jambes
persistent. Six ventouses scarifiées sur la rég
. Marche à 4 ans et demi, seulement il était « noué », traînait les
jambes
, marchait difficilement. Convulsions légères à
ttitude. Les cuisses sont légèrement fléchies sur le bassin, et les
jambes
sur les cuisses. Tout le corps est rigide, sans
de de cordons attachés au-dessus du pli lormé par la jonction de la
jambe
et de la cuisse. Fig. 39. HÉMIMÉLIE BI-ABDOMI
sur le côté externe du fémur, et correspond au collet du pilon. La
jambe
, après s'être articulée là, remonte obliquement
re de la, cuisse est, pour ainsi dire, couchée sur la moitié de la,
jambe
, Bourneville, Bicêtre, 1893. il Fig. 40. 16
IMBÉCILLITÉ. ' ' ? .. qui correspond au fémur; l'autre moitié de la
jambe
vient se placer dans l'angle formé parles cuiss
se trouvent tout près de l'extrémité de la verge, pendante. Dans la
jambe
, nous n'avons pu sentir qu'un os et cet os, lég
éroné, et, ce qui semblerait manquer, c'est la moitié interne de la
jambe
. Nous n'avons pas découvert de rotule. HÉMIMÉ
un peu. Quelques mouve- ments se produisirent dans les bras et les
jambes
: mais pas de convulsions proprement dites ni d
. Ces convulsions des yeux ont duré cinq jours ( ? ). Le bras et la
jambe
du côté gauche n'auraient rien présenté de part
çu qu'il avait une faiblesse marquée du côté droit : il trainait la
jambe
de ce côté et laissait tomber les objets sai- s
main correspondante. A 14 ou 15 mois la faiblesse du bras et de la
jambe
augmenta. La mère de Chev ? décrit ainsi les ac
en haut; puis apparaissaient quelques secousses dans le bras et la
jambe
du côté droit seulement. Ni ronflement, ni écum
ssement de la tête. .1 14 mois, têle volumineuse. - Faiblesse de la
jambe
droite. - Début de la parole à.15 mois, de la m
ement d'obtenir des détails. C..... ne marchait pas à 14 mois, la
jambe
droite semblait plus faible que la gauche, sans q
mblements en temps ordinaire, mais, quand il riait, ses bras et ses
jambes
étaient secoués par une sorte de tremblement co
se seraient répétées. A 14 mois, on note un affaiblissement de la
jambe
droite, qui, ultérieurement, à 7 ans, se compli-
mois. Début de l'hy- drocéphalie à la même époque. Contractures des
jambes
et des bras. Etat actuel : plagiocéphalie, pers
esser son métier, ne pouvant à la suite de douleurs se servir d'une
jambe
. Mère, morte à 77 ans de pneumonie ; depuis lon
l- de-jatte, la mère se figura que son enfant n'aurait ni bras ni
jambes
. Au second mois, émotions violentes et fatigues
e, outre son hydrocéphalie, remarqua à ce moment la contracture des
jambes
et des bras qui, depuis, aurait diminué. L'en
s. A 20 mois, outre l'hydrocéphalie, on notait, une contracture des
jambes
et des bras. Fig. 44. Hydrocéphalie : réflexi
usqu'à cinq mois, époque à laquelle il essayait de se tenir sur ses
jambes
et de marcher, A cinq mois (février), l'on cons
gazouillait plus, ni ne riait plus ; il né pouvait se tenir sur ses
jambes
, son regard errait et ses parents dès lors le c
du père. Père, mort à la suite de complications d'une blessure a la
jambe
, faisait d'assez fré- quents excès de boisson (
ront et à l'occiput. Dans la marche, il traîne tout jours un peu la
jambe
gauche. Ses parents ont toujours remarqué une d
, le malade se tient incliné à gauche, les genoux ' juxtaposés, les
jambes
écartées, la hanche droite saillante. - Il diff
it inclinée à droite ou à gauche. Il ne pouvait se soutenir sur les
jambes
. Première dent à 8 mois 1/2. Dentition complète
debout et à lui faire faire quelques pas. Elle remue les bras, les
jambes
, mais les mouvements sont faibles. Traitement t
te ne grossit plus, elle prit sa forme actuelle. L'enfant avait les
jambes
faibles et restait presque continuellement immo
ssée, se tenant les mains et avançant pénible- ment en écartant les
jambes
. Traitement. Exercice passif des articulations.
se servirait assez habilement de ses mains, mais serait faible des
jambes
et tomberait facilement. » Rougeole à 4 ans, op
État actuel. Description de la tête. Cyphoscoliose. Contracture des
jambes
. Gâtisme. Puberté. Menstrua- tion. État mental.
plications d'eau sédative. Elle se sert bien de ses mains, mais ses
jambes
n'ont jamais pu la soutenir. Très émotive, elle
ne. Exercices jour- naliers de gymnastique. Fréquents exercices des
jambes
. Examen de l'étal psychique (juin 1892). Li phy
Parole : 3 ans.-Prop1'elé : 2 ans Marche : 4 ans. - Parésie de la
jambe
droite. Début de l'augmentation de la tête : 5 mo
oir jamais été débauchée; ce fils, qui a 31 ans, a été amputé de la
jambe
, dans son enfance, pour une tumeur blanche à l'
kilogr. Elle a 6 dents ; elle sourit à sa soeur et se tient sur les
jambes
lorsqu'on la sou- tient. 23 avril. La fontane
ette femme, bien portante habituellement, quoique traînant un peu une
jambe
, est frappée d'apoplexie le 2 juin 1866. — Elle r
cédée de prodromes; elle chancelle, mais sans perdre connaissance; la
jambe
droite est d'abord paralysée, puis, au bout de qu
e rigidité. Insensibilité absolue. Mouvements réflexes conservés à la
jambe
droite, nuls à gauche. Léger nuage albumincux cla
Le malade marche bien, et est un peu moins vigoureux du bras et de la
jambe
du côté droit que des membres du côté gauche. La
avec mouvements convulsifs du côté droit de la face, du bras et de la
jambe
du même côté. Le lendemain, 12, la parole est b
uverts et sans regard ; on lui parle, il ne répond pas. Le bras et la
jambe
du côté droit sont complètement paralysés du sent
supérieures aux parties inférieures, se montrent dans fa cuisse et la
jambe
droite. Pendant ce temps, le côté gauche reste pa
oitié droite de la face ; puis tout recommence dans le même ordre. La
jambe
droite reste quelquefois immobile. L'iris du côté
fois à la moitié inférieure de la cuisse et au tiers supérieur de la
jambe
. En ces derniers points, le gonflement ne présent
ticulaire. D'ailleurs, les mouvements de flexion et d'extension de la
jambe
sur la cuisse s'opéraient sans douleur et sans gê
ers attouchements sont cependant bien perçus sur la cuisse et sur les
jambes
. Néanmoins, la notion de position est pour ces me
le s'était rendue par extraordinaire, remarqua avec étonnement que sa
jambe
droite était uniformément gonflée depuis la chevi
à à la partie supérieure de la cuisse et à la partie supérieure de la
jambe
. Le médecin consulté à cette époque aurait consta
lourdement sur le sol, en poussant un cri. Elle crut qu'elle avait la
jambe
cassée. Il lui fui impossible de se relever et l'
e lit, elle avait à peu près complètement disparu à la cuisse et à la
jambe
. Seule, l'articulation du genou était restée volu
nt relâchés. Il n'existe pas de liquide dans la jointure. L'axe de la
jambe
est incliné en dedans et forme avec la cuisse un
ds du corps, et même dans le décubitus dorsal, lorsqu'on imprime à la
jambe
un mouvement qui la porte de dehors en dedans.
sèche. L'extrémité inférieure de la cuisse et le tiers supérieur delà
jambe
sont un peu empâtés, volumineux ; mais les partie
lourdeur et d'engourdissement presque permanent qui siège surtout aux
jambes
et auxpieds. Au contraire, elles ont envahi récem
t libre ; mais quelquefois à leur suite, pendant un jour ou deux, les
jambes
devenaient raides, principalement au voisinage du
fut étonné un soir, on se déshabillant pour se coucher, de trouver sa
jambe
et son genou gauche remarquablement enflés. Ces p
pénible. La tuméfaction commençait au niveau du tiers inférieur de sa
jambe
; elle remontait jusqu'au genou, où elle était sur
ain, au réveil, la tuméfaction avait gagné fa partie inférieure de ta
jambe
. Cependant, il n'existait aucune douteur, et M. B
lus intenses que jamais. Peu de temps après, les accès de raideur des
jambes
se montrent plus fréquents que parle passé. Le ma
attitudes que prennent ses membres inférieurs ; il ne sait pas si ses
jambes
sont écartées ou placées l'une sur l'autre; il es
du lit. Pendant la marche, l'allure est oscillante, chancelante; les
jambes
sont projetées latéralement avec force et retombe
e seule lui suffisait. L'incoordination est des plus prononcées ; les
jambes
sont projetées d'une manière tout à fait caractér
esquels j'appelle ici l'attention : on voit assez souvent la peau des
jambes
et des cuisses se couvrir d'une éruption lichénoï
r au môme instant dans les points symétriques du membre inférieur. La
jambe
gauche jouit maintenant de sa sensibilité et la j
e inférieur. La jambe gauche jouit maintenant de sa sensibilité et la
jambe
droite l'a perdue. Laissons l'aimant continuer
Nous pouvons de môme faire passer la contracture du bras gauche à la
jambe
, gauche ou droite, en y appliquant l'aimant. En u
876. (B.) on voit une petite secousse du membre (il faut fléchir la
jambe
et bien la soutenir en tenant la main sous la par
t bien la soutenir en tenant la main sous la partie postérieure de la
jambe
) ; 3° la trépidation spontanée que l'on produit l
la veille, les réflexes ro-tuliens étaient peu exagérés, surtout à la
jambe
gauche (la malade était hémianestliésique à droit
corps ne participaient en aucune façon aux mouvements réflexes de la
jambe
sur laquelle portait l'excitation. Mais à peine B
don rotulien provoque presqu'aussitôt un mouvement assez étendu de la
jambe
et à oscillations multiples. Ces oscillations par
propage d'abord aux membres supérieurs avant de retentir sur l'autre
jambe
, ce qui est en opposition avec la loi de la symét
faites sur elle, aussi bien sur les muscles des bras que sur ceux des
jambes
, ont donné les résultats suivants : a) Le choc
peu et finalement s'établir aussi bien au bras correspondant qu'à la
jambe
sur laquelle l'excitation avait été directement p
l'œil droit seulement. Les réflexes tendineux sont exagérés aux deux
jambes
, à droite surtout; aux coudes ils sont moins marq
ant les chocs sur le tendon rotulien, la contracture permanente de la
jambe
ne tarde pas à s'établir. On voit l'extension de
nente de la jambe ne tarde pas à s'établir. On voit l'extension de la
jambe
s'accuser par degrés jusqu'à l'immobilisation dan
deux bras sont contractures dans l'extension et la pronation, l'autre
jambe
est également contracturée dans l'extension, le t
elle peut à peine se tenir debout, elle est incapable de marcher, sa
jambe
droite lui refuse tout service. De plus Witt...
re. Ce tremblement augmente peu à peu, puis gagne le bras droit, la
jambe
droite. Les membres du côté gauche conservent leu
La malade se dit très fatiguée ; elle ne peut se tenir debout, ses
jambes
refusent de la porter. Elle a une tendance invinc
comme aux membres inférieurs, plus accusés à gauche qu'à droite. A la
jambe
gauche la trépidation épileptoïde peut être provo
at différent, A la suite de plusieurs coups portés successivement, la
jambe
se roidit dans l'extension et la contracture enva
genoux, le choc sur le tendon rotulien, en outre de la secousse de la
jambe
, provoque un soubresaut dans les deux bras. — Mai
voqué, comme précédemment, des secousses de la face, du bras et de la
jambe
du côté opposé au lieu d'application des tampons
, des mouvements localisés sur le côté opposé du corps —face, bras et
jambes
. — Ces mouvements, i. Séance du 21 janvier 1882
e fait que la contraction paradoxale ne peut se produire, lorsque, la
jambe
étant fléchie sur la cuisse, on rapproche avec la
hissant sur deux poulies (P et P') va s'attacher au gros orteil de la
jambe
en expérience (J). la répétition des expérience
r le genou, il y a une flexion occasionnée par les fléchisseurs de la
jambe
, de même que pour la hanche il y a une flexion de
appétit de¬puis trois jours. Le malade se plaint d'avoir toujours les
jambes
et les pieds froids, tandis qu'il éprouve, au con
tre ans, est couché au n° 2 delà salle Sainte-Foy. Ce malade, dont la
jambe
est figurée dans la planche XIII, occupe depuis c
i¬culations des membres supérieurs ; ses genoux étaient énormes ; les
jambes
s'atrophiaient ; alors il chercha à entrer à Bicê
plète¬ment ankylosé ; la cuisse est en demi-flexion sur le bassin, la
jambe
en demi-flexion sur la cuisse ; le bras gauche es
des ongles. La cuisse est grêle, le genou très-petit, la racine de la
jambe
atrophiée. A partir de ce point le membre inférie
rossissant, de R E VUE PHOTOGRAPHIQ UE DES HOPITAUX ŒDÈME DE LA
JAMBE
SUITE D'UNE LONGUE I M MO 1) I L 1 S A T I ON
tte tuméfaction monstrueuse des pieds et de la partie inférieure delà
jambe
; aussi croyons-nous que, devant ce ré¬sultat, on
es supérieurs, en particulier les avant-bras; les cuisses ; enfin les
jambes
où les croûtes sont très-ra¬res. — Traitement : 2
Une éponge placée dans un sac de taffetas gommé fut placée entre les
jambes
de la malade, pour recevoir l'urine qui s'écoulai
attaque d'épilepsie, se fit une brûlure à la partie inférieure de la
jambe
droite. L'eschare n'a¬vait guère que la hauteur d
voit sur notre photographie, le pied était en extension forcée et la
jambe
semblait étranglée en arrière, au niveau du ten¬d
on les avait ruginés jusqu'au niveau de la surface bourgeonnante delà
jambe
. Celle-ci présentait une plaie de bon aspect; d'a
ette gangrène de tout le pied, à la suite d'une brûlure limitée de la
jambe
, peut être interprété diversement. On peut penser
a phalangine et la phalange ont disparu. • Rien sur la cuisse et la
jambe
gauches. Des cicatrices et des trajets fistuleux
ut être considérée comme insolite par son siège et par sa forme. A la
jambe
, en effet, la scrofule atteint surtout les os et
le Dr Hardy, à l'hôpital Saint-Louis. Celte planche représente une
jambe
d'une jeune fille de 19 ans, sur le tempérament d
ève et descend même se promener au jardin ; néanmoins elle traîne les
jambes
, eten par¬ticulier la droite. État de la malade
nservée aux cuisses. Le froid produit une sensation pénible ; sur les
jambes
la sensibilité semble un peu émoussée; aux pieds,
t aux pieds, principalement dans les appendices, dans les bras et les
jambes
et à la base du thorax. Ces douleurs subites, lan
artie antérieure de la poitrine, des avant-bras, des cuisses, sur les
jambes
, sans que d'ailleurs il n'y ait d'éruption. Ataxi
heures, elle s'était donné, sur la partie inférieure et externe de la
jambe
droite, 1 Du tétanos. — Pathogénie. — Traitemen
gastriques. —Arthropathie des deux genoux, avec hydarthrose énorme et
jambe
de polichinelle des deux côtés (période de déform
l'altération profonde des deux genoux, la malade remue fort bien les
jambes
. — H y a perte com¬plète du sentiment de position
de latéralité. (Voir planche XXXI.) " D'une manière habituelle, la
jambe
est portée en dedans ; elle peut cependant être r
u différente de celle que nous avons décrite pour le membre droit. La
jambe
est portée en dehors, de sorte que les deux genou
s-prononcé; pâleur jaunâtre des téguments; œdème blanc des pieds, des
jambes
et surtout des cuisses ; infiltration du tissu ce
ce qui concerne les mouvements de latéralité. Du reste, au repos, la
jambe
gauche, portée dans l'abduction extrême, forme av
l'autre côté. On fléchit avec facilité et à un degré inaccoutumé les
jambes
sur les cuisses ; les mouvements de latéralité en
mbes sur les cuisses ; les mouvements de latéralité en dedans pour la
jambe
droite, en dehors pour la jambe gauche sont beauc
ments de latéralité en dedans pour la jambe droite, en dehors pour la
jambe
gauche sont beaucoup plus étendus qu'à l'état nor
auche sont beaucoup plus étendus qu'à l'état nor¬mal, surtout pour la
jambe
gauche. En revanche, les mouvements de latéralité
il juillet. Trismus ; douleur dans le cou ; dureté des muscles des
jambes
, des cuisses, de la paroi abdominale. De temps en
moindre modification dans son état. Observation XVIII. — Plaie à la
jambe
, — Tétanos. — Traitement par le chloral. — Mort r
. Marjolin, qui a été pris de tétanos à la suite d'une blessure de la
jambe
, et qui a succombé au bout de 36 à 40 heures, mal
rène du pied droit con¬sécutive à une) de la partie infé¬rieure de la
jambe
, par A. de Mont¬méja, 122. — Du cou suivie de cic
a¬trices et déformations consécutives, par Bourneville, 145 ; — de la
jambe
, par A. de Montméja, 174. Sécrétion (De la) lac
e mo- nocéphalien (face postérieure). 97 Planche XIII..(Edème de la
jambe
98 Planche XIV. Synoviales de la main..........
Néphrite calcú¬lense............172 Planche XXIV. Scrofulide de la
jambe
............174 Planche XXV. Arthropathie de l'é
pendant la nuit, il souffre sou- vent de violentes crampes dans les
jambes
et de four- millements dans les pieds et les ma
ble et dont il ne peut parler aujourd'hui encore sans émotion . Ses
jambes
tremblent sous lui. et menacent de se dérober;
glacés; elle sent des picotements et des fourmillements dans les
jambes
, comme si on l'électrisait; parfois elle sent du
nir : deux se mettent à genoux et pèsent de tout leur poids sur ses
jambes
, deux autres lui immobilisent les poignets. La nu
aîcher, les mains liées par une corde au-devant de la poitrine, les
jambes
attachées au-dessous des genoux par une serviet
malade s'affaisse lourdement. Quand D... est assise sur son lit, la
jambe
pendante, une légère extension de la jambe est
t assise sur son lit, la jambe pendante, une légère extension de la
jambe
est possible, mais on y résiste très aisément.
e, mais on y résiste très aisément. La paralysie est flas- que, les
jambes
inertes, retombent lourdement après avoir été s
s tractions, les tor- sions imprimées aux orteils, aux pieds et aux
jambes
restent com- plètement ignorées. (Voir ftg. 1.)
la température des extrémités inférieures. Au tiers supérieur de la
jambe
gauche existent des taches violacées peu étendu
de la jambe gauche existent des taches violacées peu étendues; à la
jambe
droite, mêmes taches, la plupart lenticulaires
le pli du coude; les secousses sont plus amples, le soulèvement des
jambes
encore plus difficile et plus limité. 7. Mouv
ne sont plus froides ni cyanosées. Le dos, l'abdomen, les bras, les
jambes
sont toujours insensibles pour fous les modes d'e
taient la paraplégie, l'hé- mianeslhésie gauche, l'anesthésie de la
jambe
droite. En février 1889, à la suite d'une attaq
ts désordonnés de D..., que deux hommes se missent à genoux sur ses
jambes
, pesant de tout leur poids, tandis que deux aut
ise ou couchée peut déplacer ses membres avec facilité, fléchir les
jambes
sur les cuisses, les étendre, etc., etc. Si on
la malade, même avec le secours de deux aides, elle fléchit sur ses
jambes
et s'effondre complètement si on l'abandonne à
ns une soirée, battre la mesure avec le pied et agiter vivement ses
jambes
, tan- dis qu'elle voit danser des jeunes filles
ètement paralysé, avec une légère contracture des fléchisseurs ; la
jambe
gauche pré- sentait aussi un léger degré de par
ues sur le bras gauche tout entier. Puis l'accès se propageait à la
jambe
gauche et à la moitié de la face du même côté,
e côté du corps sur les deux extrémités; 4° une forme tonique, la
jambe
, à la suite du réflexe, demeurant raide en extens
lité à la percussion, de l'uniformité de la parésie sur le bras, la
jambe
et le facial inférieur. On trouve à l'autopsie
aite d'assez haut : hémiparésie droite; ataxie des mouvements de la
jambe
et du bras droits ; démarche SOCIÉTÉS SAVANTES.
emain matin, voulant se lever, il éprouve de la faiblesse dans la
jambe
droite; il en résulte une claudication légère qui
la paupière droite. Con- vulsions cloniques du bras gauche et de la
jambe
gauche, avec impossibilité de se tenir sur les
nsi que les réflexes tendineux sont conservés. L'hyperesthésie à la
jambe
gauche postérieure existe toujours; l'auesthésie
parfait. Pendant le repos, le bassin est couché du côté gauche. La
jambe
gauche postérieure est sans mouvement; elle est
eure est sans mouvement; elle est plus maigre et plus froide que la
jambe
droite. Les mouvements volontaires du côté droi
t sans changement. 2 janvier 1886. Les mouvements volontaires de la
jambe
gau- che postérieure commencent à se rétablir.
ation. Les organes pelviens sont normaux. 5. Les mouvements de la
jambe
gauche postérieure sont plus libres. Du reste,
extrémité paralysée. Le bassin se penche souvent du côté gauche. La
jambe
gauche postérieure est plus maigre que la jambe
du côté gauche. La jambe gauche postérieure est plus maigre que la
jambe
droite et les réflexes sont plus sensibles. Quant
z le cobaye une paralysie complète des mouvements volontaires de la
jambe
gauche postérieure, tandis qu'il n'y a aucun ch
eure, tandis qu'il n'y a aucun changement dans les mouvements de la
jambe
droite. La sensibilité est annulée dans 200 ' A
Les organes pelviens sont en ordre. 28. Dans les mouvements de la
jambe
gauche postérieure, on ne remarque qu'un pelita
remarque une certaine faiblesse dans l'extrémité droite; dans la
jambe
gauche elle est normale. 17 mal's. Les mouvemen
mènes suivants : la sensibilité cutanée est tout à fait annulée, la
jambe
gauche postérieure est étendue sans aucune trac
re est étendue sans aucune trace de mouvements volontaires, dans la
jambe
frotte, on remarque une certaine faiblesse, néa
qui lui est tombée entre le tiers moyen et le tiers inférieur de la
jambe
. Paralysie du mouvement et de la sensibilité cu
atte postérieure avec perte de la sensibilité musculaire de la même
jambe
devenue ataxique; exagération des réflexes tendin
rlogerie. Sa démarche est incertaine et chancelante ; il marche les
jambes
écartées, levant les pieds plus haut que d'ordi-
ignes de l'alcoolisme chronique, est depuis Noël 1887 paralysée des
jambes
, elle ne peut quitter la chambre. On constate l
ce, de la région de l'épaule gauche, du bras de ce côté et des deux
jambes
. Il ne lui est possible de marcher qu'à l'aide
possible de marcher qu'à l'aide d'un appui ; elle marche alors les
jambes
écartées, en vacillant et en laissant tomber la
superficielle, il a remarqué aussitôt des engourdissements dans la
jambe
du côté contusionné et bientôt une certaine gêne
tement constitué ; mais il a une atrophie marquée des muscles de la
jambe
droite, provenant, au dire des siens, de con- v
mois et demi, l'enfant mon- tant un poulain glisse et tombe sur les
jambes
à droite del'animal, - continue à tenir les bri
attements violents des membres inférieurs qui ébranlent le lit; les
jambes
sont projetées en l'air, puis retom- bent viole
puis a de grands mouvements tout à lait classiques avec flexion des
jambes
, des cuisses, du tronc, projection des membres
puis de nouveau grands mouvements qui commencent par la llexion des
jambes
sur les cuisses, et dans lesquels il crie. - Re
dents; agitation de tout le corps, le malade remue les bras et les
jambes
, le tronc restant immobile. Cette agitation dure
arrivent presque immédiatement. Elles exis- tent seulement dans les
jambes
et dans les bras et pas dans le tronc. Au début
r, sans pousser de cri. Puis il s'arc- boute sur les épaules et les
jambes
et bondit ainsi trois fois en arrière. Enfin ét
paupières, primacesde la face, petits soubresauts du ventre et des
jambes
. Résolution, puis sommeil apparent avec respirati
ents. Il se retourne et tombe sur le ventre, les bras en croix, les
jambes
écartées.- Secousses dans tous les mem- bres et
Au bout de quelques secondes il s'est retourné sur le ventre, les
jambes
étendues, le bras droit levé. Il se retourne ensu
s, le bras droit levé. Il se retourne ensuite sur le côté droit, la
jambe
droite allongée, la gauche un peu écartée ; le
tourne sur le venlre, puis sur le dos, et encore sur le ventre, les
jambes
allongées l'une contre l'autre; le bras gauche
pendiculaire. Il se retourne brusquement de nouveau sur le dos, les
jambes
allongées, rigides, écartées ; les bras en croi
- 1° Nouvelle période épileptoïde, puis secousses tétaniformes des
jambes
, surtout de la gauche. - 2° Il se retourne brus
l reste tranquille une minute, puis se tourne sur le côté droit les
jambes
écartées et les bras en croix. Il se frappe la
tels que contractures et convulsions cloniques dans les bras et les
jambes
, surtout à droite, dans la langue, sur toute la
remblement des extrémités supérieures. Rigidité des mus- cles de la
jambe
. Pouls plein, régulier, 82 pulsations par minute
oque, douleurs de la main droite ; de temps en temps douleurs de la
jambe
gauche pendant la marche devenue difficile. -
utres doigts de la main droite.' Hypoesthésie et paraesthésie de la
jambe
gauche dont le vo- plume a un peu diminué. Réfl
tion des douleurs, qu'il fut pris brusquement d'affaiblissement des
jambes
, et qu'il s'affaissa sans pouvoir se relever. R
n découvre le malade on voit les membres déjà fortement fléchis (la
jambe
sur la cuisse et celle-ci sur l'abdomen) se fléch
ée, exten- sion des orteils, flexion dorsale du pied, flexion de la
jambe
et ascension du genou. Quelquefois ces derniers
position est très troublée. Les attitudes données aux pieds et aux
jambes
ne sont nullement perçues ; la flexion très marqu
périmètre de 15 centimètres, à droite de 40 centimètres ; les deux
jambes
ont les mêmes longueurs et périmètres. Ici enco
ur plus développé en longueur que son homologue) ; elle respecte la
jambe
gauche, qui garde des dimensions normales et gagn
même, car il n'avance dans tout le quartier, qu'en se servant de la
jambe
droite, sur laquelle il sautille. Mais, et c'
on l'occupe à traire les vaches, il se remet à marcher sur les deux
jambes
comme tout le monde. Il continue à se mouvoir d
quartier, s'il ne reprend pas la situa- tion accroupie, du moins sa
jambe
gaucho reste-l-elle constamment fléchie sur le
que sur la fesse droite et qu'il ne se déplace qu'en sautant sur la
jambe
du même côté. Du réfectoire au dortoir ou dans
res, comme celles de l'ac- croupissement et du sautillement sur une
jambe
, que nous voyons exercer par le travail, n'est
thésie reste limilée pour longtemps aux avant-bras ou aux bras, aux
jambes
ou aux cuisses, aux membranes mu- queuses. Mais
our les orteils : prenant dans notre main gauche et immobilisant la
jambe
du malade par sa partie inférieure, on saisit a
es pour la flexion plantaire du pied gauche ; paresthésies dans les
jambes
avec douleurs musculaires au niveau des mollets
d'équilibre. La marche est lente et rythmique. Elle ouvre plus les
jambes
que nor- malement, ce qui produit une légère in
up de cas, exagérés ; et dans maintes occasions où les pieds et les
jambes
présentent des lésions névri- liques lépreuses,
'autres où avec l'existence des mêmes lésions dans les pieds et les
jambes
, les réllexes ont le type normal et il en est a
ns beaucoup de cas il est aboli. Cependant, lorsque les muscles des
jambes
ne sont pas atrophiés, on peut alors obser- ver
action faradique pour les muscles de la région anté- rieure dans la
jambe
du malade de la figure 22 dont les secousses par
un, par les membres inférieurs, prenant d'abord les pieds, puis les
jambes
, enfin la partie inférieure des cuisses, et cela
es supérieurs. En général, les mains se prennent au mo- ment où les
jambes
sont atteintes. Le début eslessenliellemenl ins
ans, non pour faiblesse ou maladresse des mains, mais parce que ses
jambes
ne pouvaient plus le maintenir longtemps debout
aire progressive envahissant d'abord les pieds et les 180 SOUQUES
jambes
, ne se montrant aux membres supérieurs (mains d'a
: la déformation des pieds et l'atrophie musculaire portant sur les
jambes
et le tiers inférieur des cuisses, toutes lésio
ils ont une certaine tendance à se mettre en griffe. L'atrophie des
jambes
est telle que la saillie des mollets a disparu
quin ; cependant les orteils n'ont pas de tendance à la griffe. Les
jambes
sont très atrophiées et l'atrophie atteint ici le
genou, à la cuisse : les mouvements de flexion et d'extension de la
jambe
, d'extension, de flexion, d'abduction et d'adduc-
ils sont très accusés : refroidissement considérable des pieds, des
jambes
, des genoux, sans qu'il y ait cependant sensati
x pieds, remontant jusqu'aux chevilles et sur la partie externe des
jambes
. DRUX cas d'atrophie musculaire CHARCOT-hlARl E
résumerai ces altérations en disant que les muscles des pieds, des
jambes
et des mains sont iiiexciuibles au courant fara
Le médecin le fait trans- porter à Bicêtre. La faiblesse 'dans les
jambes
ne persiste que quelques jours. z Depuis son en
, les membres inférieurs pliés aux genous, la mise en extension des
jambes
se heurte à des difficultés énormes. Au commenc
Parfois il s'arrête tout à coup, parce qu'il ne peut pas avancer la
jambe
qui est en arrière ; il fait des efforts désesp
t quelque temps, n'était pas capable de détacher sur notre ordre la
jambe
du plan du lit. On remarquait les contractions
bre sur une échelle, qn'il est obligé de s'asseoir constamment, ses
jambes
lui refusant tout service. En 1910, il reste un m
tibiotarsiennes ne sont qu'esquissés. La flexion, l'extension de la
jambe
sur la cuisse et de la cuisse sur le bassin, l'
rois modes : contact, douleur, sensibilité thermique. Au niveau des
jambes
et des cuisses, les troubles de la sensibilité
r pu pendant près de 6 mois jouir de la vie et de l'exercice de ses
jambes
, Mme X... a dû de nouveau se confiner au lit. ado
elle veut se lever pour aller à la selle, mais elle fléchit sur ses
jambes
; on la recouche ; elle pâlit, rougit, vomit de l
t parfois d'accès fébriles attribuables aux plaies gangreneuses des
jambes
, comme ils se sont reproduits plus tard à propo
mêmes allures qu'auparavant. C'est, comme en 1902, la plégie de la
jambe
gauche et la dysesthésie de la droite, qui domi
urviennent les escarres sacrées, rappelant le spha- cèle cutané des
jambes
de 1905 et réclamant le séjour au lit, d'ailleurs
ement des segments situés au- dessous du genou : des deux côtés, la
jambe
est grêle, incurvée et terminée par un pied por
ux premiers orteils. L'axe du pied continue directement celui de la
jambe
, le talon étant reporté en arrière' de la jambe
ctement celui de la jambe, le talon étant reporté en arrière' de la
jambe
, comme si le tibia était courbé, la concavité de
u pied. On ne remarque aucune particularité notable sur la peau des
jambes
. Dans la région des cuisses, on ne constate auc
fré- quent. La théorie est alors la suivante : la compression de la
jambe
entraîne l'atrophie d'un os gênant, d'une maniè
ord, est généralement un cordon relativement mince; s'il entoure la
jambe
il doit déterminer un sillon tout autour de la
'il entoure la jambe il doit déterminer un sillon tout autour de la
jambe
et s'il peut s'ensuivre une amputation, on ne voi
éroné. Si la bride est large, constituant une membrane entourant la
jambe
, il se produira (1) Il. Duubac, De l'absence co
'incurvation du tibia ; elle fera l'effet d'une bande maintenant la
jambe
rectiligne; ou si elle provoque celle incurvation
e; ou si elle provoque celle incurvation; elle ne comprimera pas la
jambe
, car celle-ci sera resserrée non plus sui- vant
fait désordonnées, elles porteraient sur le squelette entier de la
jambe
et du pied; celui-ci serait fortement comprimé
savoir une si remarquable symétrie des dispositions normales, d'une
jambe
à l'autre. Quelle que soit l'hypothèse que l'on
ral portant sur l'organisme entier et localisé dans la région de la
jambe
et du pied. Car il est inadmissible qu'une défo
ent musculaire périphérique. Observation I. Début par raideur de la
jambe
gauche. Six mois après, parésie du bras droit.
A ce moment (commencement de décembre 1882), elle remarque que sa
jambe
gauche devient raide quand elle est assise. Ce
les épaules, etc... Les contractures étaient intermittentes dans la
jambe
gauche ; il n'y en a jamais eu du côté droit. On
ossible qu'avec une chaise que la malade pousse devant elle ; les
jambes
se détachent péniblement du sol, elles y sont com
primitivement localisées dans le membre inférieur gauche gagnent la
jambe
droite. Dans ces moments, les membres sont dans
l'extension, le bord interne du pied porté en dedans et relevé. Les
jambes
sont des barres rigides qui retombent tout d'un
ge d'un oedème assez prononcé, surtout au niveau des pieds et des
jambes
remontant jusqu'aux cuisses. Sur les extrémités d
ssion des couvertures. Légère eschare au talon droit, et sur chaque
jambe
, à la partie postérieure du mollet, eschare de
sont pas contracturés, et en les soulevant, on fléchit aisément la
jambe
sur la cuisse, et celle- ci sur le bassin. Il e
uelques légers mouvements d'adduction, et quelques mouvements de la
jambe
; ainsi, la malade parvient à croiser un peu un
l'un dans l'antre. Lorsque, dans le lit, on veut écarter ses deux
jambes
, on éprouve une notable résistance. Les muscl
l'affaiblissement de la motilité dans les extré- mités inférieures (
jambe
gauche principalement), enfin de l'in- continen
n- continence d'urine et une soudaine et complète paralysie de la
jambe
droite. Au moment de l'examen, il existe de la pa
eneux au sacrum (decubitus) d'amaigrissement considérabe des deux
jambes
avec douleurs lancinantes, convulsions de la jamb
dérabe des deux jambes avec douleurs lancinantes, convulsions de la
jambe
droite, paralysie complète de la vessie (écoule
altéra- tion des muscles de l'extrémité supérieure droite et de la
jambe
du même côté. La moelle ne présente que des per
de morphine, on voit reparaître le phénomène du genou dans les deux
jambes
, avec ses particularités entières. Les injections
pt ans, scarlatine bénigne; cette année, le volume du bras et de la
jambe
gauche s'est accru : on ne peut recueillir plus
âgé de quinze ans, est grand, fluet, et se tient avec peine sur ses
jambes
. Front assez saillant, médiocrement élevé, effa
r les objets et ne dit guère que son nom. Jl se tient mieux sur les
jambes
que le précédent, mais, à l'inverse de lui, il
t méchant et sauvage. La taille est en rapport avec l'âge, mais les
jambes
sont sans force; aussi est-il toujours DES FAMI
, ce qui tient sans doute à ce qu'il se frotte habituellement t les
jambes
et les cuisses l'une contre l'autre en plaçant le
si qu'il avait les membres engourdis, tan- tôt les bras, tantôt les
jambes
. 11 n'a jamais eu d'accès aussi forts que son f
s assez abondants sous les aisselles et au pubis, plusrares sur les
jambes
, les cuisses, et les bras; léger duvet à la lèv
ro- longer l'arrêt du véhicule, il aune peine infinie à soulever sa
jambe
et s'élever sur le marche-pied. La raideur mu
le tronc et les membres supérieurs sont couverts de sueur. Mais les
jambes
restent complètement sèches. Dans la soirée, l'
ibilité. Le côté gauche est hémi-anesthésié et contracture. Mais la
jambe
droite est également contracturée. Le malade en
nt pas d'avoir été contracture du côté droit. Il est faible sur ses
jambes
et se dandine en voulant se tenir debout. La pr
ologie nerveuse. 227 l'ura et des douleuis s rhulllaloïdcs dans les
jambes
, sans fièvre. Bientôt après, il se manifesta un
ements dans les extrémités, enfin survint une paralysie d'abord des
jambes
, puis des bras, sans contractures et avec affai
1 t,l zip. z fait dans-Iequel"la 1 paralysIe 1s'dall limitée à une,
Jambe
. D'où vient1 celle'1 brùtalé"interruption' de'
fièvre cessait; mais la faiblesse, restée à un haut degré dans les
jambes
, rendait la marche dif- ficile. Néanmoins 0...
e s'assied qu'avec beaucoup de peine. A chaque essai de marcher les
jambes
lui tremblent. Parfois on observe un léger trem
r tremblement et une contraction convulsive de quelques muscles des
jambes
même pendant le repos, et alors les jambes se t
de quelques muscles des jambes même pendant le repos, et alors les
jambes
se trouvent dans l'adduction et l'ex- tension e
au. On remarque une rigidité, une tension dans tous les muscles des
jambes
, mais de différents degrés : plus faible dans l
nférieures de la colonne dorsale, et de douleurs continues dans les
jambes
. L'émission de l'urine est plus fréquente et pl
'un refroidissement par une faiblesse et un engourdissement dans la
jambe
droite. Bientôt le malade sentit ces symptômes
jambe droite. Bientôt le malade sentit ces symptômes aussi dans la
jambe
gauche. Ensuite sa marche prit un caractère spa
- Dï'ére, ménagère, n'a jamais été nerveuse, est morte d'un mal de
jambe
. - -Deux frères, qui étaient bien portants et o
périeure; poils abondants au pubis, plus rares aux aisselles et aux
jambes
. Sur le masséter gauche, on trouve une cicatric
l'abdomen, moins abondante dans le dos, presque nulle aux bras, aux
jambes
et au cou; la face est intacte; pas de croûtes
l'enfant est resté couché constam- ment. Depuis son admission, les
jambes
sont fléchies sur les cuisses, et les cuisses s
sses sur le ventre. Quand on le lève, il se tient assez bien sur la
jambe
droite ; mais la jambe gauche reste fléchie. Tr
nd on le lève, il se tient assez bien sur la jambe droite ; mais la
jambe
gauche reste fléchie. Traitement anti-scrofuleu
difications appréciables. Quand on le soutient, l'enfant avance les
jambes
comme pour marcher, mais tout se borne à cet ef
z fréquente ; sonorité normale, râles ronflants aux deux bases. Les
jambes
ont plus de tendance à se fléchir; gonfle- ment
e : la peau est collée sur les os. - L'enfant ne peut tenir sur ses
jambes
; il prend toujours un peu de lait, de viande cr
actures invincibles des quatre membres : le bras gauche et les deux
jambes
sont dans l'extension forcée : à droite, le bras
vec contractures. Au réveil, paraplégie surtout acceu- tuée dans la
jambe
gauche. 17. - Nouvelle attaque de léthargie ave
une ligne tordue eu zigzag ; nausées, vomissements : parésie de la
jambe
gauche, pas de troubles cynesthétiques. 7. Le
tête et les scotomes ont disparu', il ne reste que la parésie de la
jambe
gauche avec anesthésie. 8. Attaque de léthargie
res à onze heures du soir, suivie de contractures. 10. - Les deux
jambes
sont paralysées et insensibles, à cause du pois
des malades qui, à leur arrivée, ne pouvaient se tenir sur leurs
jambes
, ou dont la force baissait rapidement, par suile
, fut prise tout à coup de crampes tétaniques des avant-bras et des
jambes
. Ces crampes se manifestaient par crises qui se
de la perte de la mémoire, des vertiges, une faiblesse extrême des
jambes
, qui lui rendait la marche difficile et presque
raison, et une parésie, marquée d'abord du bras gauche, puis de la
jambe
du même côté. Chez notre troisième malade, un
ain sur l'avant-bras ou de l'avant-bras sur le bras; du pied sur la
jambe
, ou de la jambe sur la cuisse, ou bien encore l
as ou de l'avant-bras sur le bras; du pied sur la jambe, ou de la
jambe
sur la cuisse, ou bien encore l'élévation d'une é
alade depuis le 28 mars 885. V... est incomplètement paralysé de la
jambe
droite; il peut cependant marcher en traînant c
ysé de la jambe droite; il peut cependant marcher en traînant cette
jambe
. Le bras droit est absolument paralysé, flasque
Amaurose par section du nerf optique, tremblement épileptoïde de la
jambe
du côté opposé au point de pénétration du project
ulsions sont précédées d'un aura de la sensibilité musculaire de la
jambe
gauche et suivies de délire hy- pochondriaque,
e et suivies de délire hy- pochondriaque, se reportant à cette même
jambe
. L'autopsie dé- montre l'existence d'un tubercu
xtenseurs de la main et des muscles de la face antéro-externe de la
jambe
. L'hy- pothèse d'une névrite alcoolique doit êt
les bras à quelques tremblements; la contraction des muscles de la
jambe
provoque un léger saut. Les mouvements voulus d
muscles chargés de fléchir la cuisse sur le bassin et d'étendre la
jambe
suivant l'articu- lation du genou, telle est la
, on priera le patient, assis ou couché, de fléchir et d'étendre la
jambe
alternativement; on l'exercera dans la sta- lio
ernativement; on l'exercera dans la sta- lion debout, appuyé sur la
jambe
malade, à fléchir l'articula- tion du genou, ou
r la jambe malade, à fléchir l'articula- tion du genou, ou, la même
jambe
malade demeurant soit bien tendue, soit légèrem
ant soit bien tendue, soit légèrement fléchie, à soulever du sol la
jambe
saine. On aura soin de procéder doucement, prog
dernier; tout d'abord s'il est nécessaire, assis sur une chaise, la
jambe
pendante, ils tenteront de la mouvoir volontaire-
tion insignifiante de la moelle, sa flexion sur un sujet assis, les
jambes
étendues, produit une élongation de cet organe
sitive et motrice du bras droit, et une anesthésie incomplète de la
jambe
droite. Le lendemain ces troubles disparaissaie
uis redresse gra- duellement le tronc en appuyant les mains sur les
jambes
. Dans la névralgie sciatique, la façon dont le
ppuie solidement les deux mains par terre, déplace le bassin et les
jambes
pliées dans les genoux en arrière, entre les de
ré- cipita même d'un premier étage dans la rue et se fractura une
jambe
. Elle voulait fuir, nous a-t-elle dit plus tard,
la connaissance, d'accidents parétiques du facial, du hras et de la
jambe
gauche, les attaques épileptiformes (épilepsiejac
ment à la contraction opisthotonique ; les bras sont fléchis et les
jambes
en extension. Le poids est petit, filiforme pen
alysés et dépourvus de sensibilité; il peut mou- voir librement les
jambes
au lit, mais ne peut marcher. En six jours, la
t-on le tendon patellaire, on produit une secousse dans toute la
jambe
et même dans la jambe opposée. Réflexes cutanés (
llaire, on produit une secousse dans toute la jambe et même dans la
jambe
opposée. Réflexes cutanés (épigas- triques, abd
entrer. L'un des deux éléments syndromiques est noté par dessous la
jambe
sans examen de ses caractères précis, où il y a
cérébrospinale, présente du trouble de la démarche du côté de la
jambe
gauche, il caractère spasmodique ; on constate un
Bientôt là main gauche est prise d'accidents analogues à ceux de la
jambe
132 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. gauche. C
de l'aponévrose palmaire, sans altération de la peau, tandis que la
jambe
gauche est affectée de sclérose musculaire avec r
a malade de continuer ses études au lycée. Au mois de novembre, les
jambes
se mettent à faiblir, et au bout d'une quinzaine
les premiers jours de décembre, il la cli- nique chirurricale. La
jambe
droite se trouve à cette époque atteinte d'une pa
ène du pied à droite. Sensibilité diminuée au tronc et sur les deux
jambes
, mais seulement dans le domaine des nerfs cruraux
ns la partie supérieure du corps. Paralysie inférieure absolue. Les
jambes
sont fixées en exten- sion, les pieds en varo-é
diminuée dans les adducteurs et dans la région antéro-externe de la
jambe
; traces de réaction de dégéné- rescence. Pas de
érieure, externe et interne des deux cuisses et la face interne des
jambes
; le domaine du plexus sacré reste presque intac
d'angoisse, avec sueurs, facies vultueux, contracture extrême de la
jambe
paralysée et menace de tomber. Un traitement ps
e, à l'âge de cinquante-deux ans, toute la moitié postérieure de la
jambe
gauche, l'extrémité des doigts et le talon étai
naient légèrement enflés. La thermanesthésie est complète dans la
jambe
droite jusqu'au tiers supérieur, dans tout le p
e dans les deux membres supérieurs, dans le tiers supérieur de la
jambe
droite, dans la cuisse du même côté et dans la ja
upérieur de la jambe droite, dans la cuisse du même côté et dans la
jambe
gauche. Dans la tête, le tronc et la cuisse dro
douleur est normale, ainsi que dans les deux tiers inférieurs de la
jambe
gauche. Il y a hypoal- "ésie dans toute la jamb
s inférieurs de la jambe gauche. Il y a hypoal- "ésie dans toute la
jambe
gauche et dans le tiers inférieur de la cuisse,
ans une zone étroite qui s'étend sur toute la face antérieure de la
jambe
droite depuis le tiers inférieur jusqu'à l'arti
es ; pas de vomissements. Les mouvements de la main gauche et de la
jambe
gauche sont seulement marqués d'ataxie. L'explo
s impressions lac- tiles. Sensation subjective de faiblesse dans la
jambe
droite dont la force est conservée de même que
la jambe droite dont la force est conservée de même que celle de la
jambe
gauche. Réflexes patellaires très vifs; accélér
s après une désarticulation du genou consécutive une gangrène de la
jambe
droite, la moelle fut fixée dans la formaline i
ouvoir conclure : 1° Que les noyaux d'innervation des muscles de la
jambe
et du pied occupent la partie postérieure des c
é de l'appareil moteur. Cela commence par de la pa- resthésie de la
jambe
qui est bientôt atteinte de paralysie motrice I
st pas rare de voir les symptômes sensitifs et moteurs passer de la
jambe
au tronc et à l'extrémité supérieure. Après avoir
onchite, fièvre légère, habitus anémique), occupant le centre de la
jambe
, le lobule paracentral gauche ; sans doute par
lui seront dus après sa sortie. En attendant, il, est titubant, la
jambe
gauche est plus faible qU.3 l'autre, la langue
partir de cette époque, douleurs dans le dos et faiblesse dans les
jambes
, de même une déformation progressivement croiss
alement des mouvements du cou. Sensation de cons- triction dans les
jambes
; depuis un mois douleurs aiguës dans le bassin
raquements au genou gauche. Certaine atrophie de la cuisse et de la
jambe
droite avec diminution de l'excitabilité électr
ypoesthésie marquée tactile et thermique de la partie externe de la
jambe
droite, en même temps qu'hyperesthésie à la dou
ctobre 1895, avec les symptômes suivants : douleurs fulgurantes aux
jambes
; troubles de la sensibilité générale aux jambes,
urs fulgurantes aux jambes; troubles de la sensibilité générale aux
jambes
, au tronc et aux bras ; ataxie très prononcée d
rbature légère. Le 6 avril, apparition rapide d'une paralysie de la
jambe
droite, le 7 avril, le matin, paralysie brusque
e de la jambe droite, le 7 avril, le matin, paralysie brusque de la
jambe
gauche en même temps qu'une rétention d'urine.
te l'absence des réflexes rotuliens, l'anesthésie complète des deux
jambes
et du tronc jusqu'au niveau de deux travers de
repos, demeure atone et perdu dans le vague. Léger gonflement des
jambes
, phénomène habituel chez la malade, et attribué p
sensibilité générale, se plaignait qu'on lui coupât les bras et les
jambes
; trou- vait des crapauds, des grenouilles, des
er aux lèvres, mouvements de flexion et d'extension des bras et des
jambes
. Le rythme et la rapi- dité des contractions ra
argée, chez qui sur- vinrent, iL la suite d'une blessure grave à la
jambe
et d'une frayeur intense à la suite de cet acci
e, riait volontiers, ne pleurait jamais; il était paralysé des deux
jambes
ainsi que du bras et de la main du côté droit,
ns sensitives, est, pour le bras, d'environ trois secondes; pour la
jambe
d'environ cinq secondes. Le réflexe vascu- lair
atisme aurait particulièrement porté à droite et la paralysie de la
jambe
droite a duré bien plus longtemps que celle de
lysie de la jambe droite a duré bien plus longtemps que celle de la
jambe
gauche rétrocédée au bout de quelques jours; le
dans la pratique thé- rapeutique. La couche motrice des bras et des
jambes
renferme un , nombre énorme de cellules destiné
IiILLf7ES. Chromatolyse dans les - après la désarticulation de la
jambe
, par van Gehnch[en et de liuck, 3 18. Aspect de
il, d'une affection nerveuse après être restée pa- ralysée des deux
jambes
pendant dix-huit mois ; un frère, aujourd'hui â
la suite de laquelle il lui est resté une légère claudication de la
jambe
droite. , 8 PATHOLOGIE NERVEUSE. La paralys
es fréquentes, il avait maigri beaucoup, présentait de l'oedème des
jambes
, de la somnolence. Son état général était assez
à courir; sa démarche était égale, quoique précipitée, élevant ses
jambes
alternativement d'une manière assez uniforme. Ce
cice à pied, quand, tout à coup, il sentit que le mouvement de ses
jambes
s'accélé1'aif malgré sa volonté et que ce mouveme
nt, monter à son appartement, diriger à sa volonté le mouvement des
jambes
, mais qu'il sentait et qu'on voyait manifesteme
pendant huit à dix jours, les accidents se sont bornés là ; puis la
jambe
droite a été prise, enfin le bras et tout le cô
ient violemment à cou- rir, la malade ne s'arrêtait que lorsque ses
jambes
se croisant, rendaient ainsi toute locomotion i
t inerte, ne criait pas, ne prenait pas le sein, ne remuait pas les
jambes
. Elle mourut LI ente-six heures après sa naissa
outre une hernie double et une hydrocèle, ainsi que de l'oedème des
jambes
, surtout à droite ; celle-ci avec une teinte ér
t mois. Vingt-deux ans aupa- ravant, il avait eu un érysipèle de la
jambe
droite ; deux ans après il tomba sur le dos. De
ion de ses membres. Les mouvements sont nuls aux cuisses et aux
jambes
, bien que les muscles puissent encore se contra
t de l'an- née 1384, avec une sensation de chaleur insolite dans la
jambe
droite. Le début de ce trouble fonctionnel est
ènes douloureux. Presque en même temps, le malade s'aperçoit que sa
jambe
est in- sensible aux excitations douloureuses e
uvelle phase survenue non moins brusquement que les précédentes. La
jambe
gauche est le siège de vives douleurs qui rende
iteraient les raisons sui- vantes : Limitation de l'anesthésie à la
jambe
droite, parésie motrice à gauche, puis atrophie
la parésie motrice eût été le symptôme prédominant et enfin que la
jambe
gauche paralysée eût présenté de l'hypéres- thé
mur; - chez un autre, chute de voi- ture, fracture compliquée de la
jambe
gauche, qui n'a guéri qu'après des mois de trai
ien, on avait remarqué qu'il maigrissait, qu'il fléchissait sur les
jambes
. 9 décembre. La température à 36°,G le soir du
en, les bras s'écartent lentement du tronc jusqu'à angle droit; les
jambes
s'écartent également de 50 centimètres envi- ro
ce, elle est pourpre. -Lorsque l'accès est passé, il fait aller les
jambes
à droite et à gauche, les ramènent sur la poitr
ansles régions frontale etoccipitale. Assez souvenldouleurs dans la
jambe
droite, pendant quelques minutes, depuis les orte
jours suivants, accès de forte cépha- lalgie et de douleurs dans la
jambe
droite, accompagnés d'accé- lération du pouls p
de courte durée, suivis à plusieurs reprises de dou- leurs dans la
jambe
droite . 11 arrive assez souvent qu'après le reto
s tremblements, sur- tout dans les bras ; toujours douleurs dans la
jambe
droite, quel- quefois nausées. Dans l'intervall
tes douleurs céphaliques, douleurs violentes à la nuque et dans les
jambes
; parfois aussi vertiges; il lui semble qu'elle
missements, puis retour de la connaissance, fortes douleurs dans la
jambe
droite, mais la malade n'est pas tout à fait en
connaissance s'efface à nouveau ; raideur, difficulté de mouvoir la
jambe
et le bras droits. Emission mécanique de mots;
t est mauvais; des douleurs se font sentir partout, surtout dans la
jambe
droite devenue sensible à la pression même légè
se des empreintes dans la peau; les membres sont en contracture, la
jambe
gauche est croisée sur la droite, les pieds son
que dans l'attaque spontanée elles se fixent derrière le dos). Les
jambes
s'étendent et se croisent l'une sur l'autre, to
aractérisées par des positions différentes des membres. D'abord les
jambes
se décroisent, en même temps qu'il se produit u
lui suggérons d'avoir une paralysie croisée du bras droit et de la
jambe
gauche; la paralysie croisée se produit parfait
les mains fortement enlacées et croisées derrière le dos, les deux
jambes
en exten- sion complète, le pied gauche sur le
n après le début de la maladie se lit remarquer une faiblesse de la
jambe
droite qui se fatiguait et tremblait après une
homme robuste, bien fait, au teint clair. - La peau du dos et de la
jambe
porte des taches pigmentées à la suite de l'ecz
du mollet droit; il ne peut être produit la partie antérieure de la
jambe
. Les réflexes tactiles de la plante du pied son
fficultés de la marche et chutes par exagération des mouvements des
jambes
. Difficulté de man- ger et de boire due aux mou
t d'un état chloréique. L'enfant ne peut, seul, se soutenir sur les
jambes
; s'il marche ou remue les bras, il ne peut pren
poulie lui donn,e de la force ; il se soutient un peu mieux sur les
jambes
et fait un pas en avant. 1862. Juin : Les yeux vo
de la face. - Assis, il reste relativement tranquille; cependant la
jambe
droite est parfois soulevée, le genou vient buter
roite est parfois soulevée, le genou vient buter contre l'autre. La
jambe
gauche parait rester immobile. 11 repose ses ma
du bras droit. C'est ce bras qui est le plus faible - ainsi que la
jambe
correspon- dante - et qui présente les mouvemen
sur le ventre; les cuisses rapprochées, les genoux en contact, les
jambes
rejetées de côté. On note des mouvements des do
ents des doigts de la main droite, des épaules, de la tête et de la
jambe
droite. Ces- mouvements sont à certains jours b
, et rapprochées de telle sorte que les genoux sont en contact; les
jambes
très écartées sont fléchies. Si la station vert
te davantage et il semble que, parfois, le talon touche le sol. Les
jambes
, surtout la droite sont agitées ;de quelques mo
rce musculaire n'est nullement affaiblie. Il parvient à fléchir les
jambes
allongées lorsqu'on cherche à s'y opposer. Le dyn
sions portaient sur les yeux ; on ne peut rien dire des bras ni des
jambes
. Ces convulsions ont duré huit à dix jours avec d
sont légèrement fléchies sur l'abdomen, les genoux rapprochés, les
jambes
un peu fléchies sur les cuisses; les pointes de
les articulations tibio- tarsiennes. Les muscles postérieurs de la
jambe
sont contracturés. Le second orteil est croisé
qu'il fait. Dans la journée,, il reste assis sur un fau- teuil, les
jambes
repliées et croisées très fortement l'une sur l
xes de la plus grande étendue. Quand il veut, par exemple, lever la
jambe
, elle se plie à angle droit sur la cuisse qui se
u'on l'assiste. Il y a un progrès notable dans les mou- vements des
jambes
; il essaye de s'habiller lui-même, dit : « Atte
s sur le devant du tronc et tient sa main droite avec la gauche; la
jambe
droite est croisée sur la gauche. Do temps en t
me direction ; les cuisses sont rapprochées, les genoux collés, les
jambes
très écar- tées, les muscles de la face se conv
ont possibles, bien que plus faibles. Léger mouvement de faux de la
jambe
droite. Les rétlexes roluliens sont à peine exa
jadis. La patiente a gardé le sentiment delà pudeur, elle serre les
jambes
quand nous la découvrons. Le sentiment delà pro
ibre de ses mouvements. Il reste un moment étendu sur le gazon, les
jambes
allongées, les bras en croix, les yeux grands o
s impossibles chez l'homme normal. C'est ainsi, par exemple, que la
jambe
en extension, qui, dans les conditions normales
z les tabétiques, par suite de l'hypotonie des flé- chisseurs de la
jambe
, une élévation plus considérable, telle, parfoi
urer le degré pour une série de groupes de muscles (extenseur de la
jambe
, adducteurs de la cuisse, muscles des membres s
ronc peut gêner la capacité de la locomotion avant que l'ataxie des
jambes
n'ait atteint un degré élevé. La vue sert à r
me et douloureux. La sensibilité générale est un peu diminuée aux
jambes
, mais il localise assez bien. ' La sensibilité
iers moyen symétriquement, mais sans caractère syphilitique. Sur la
jambe
droite une cicatrice irrégulière, étendue, adhé
pour le toucher et la température, celle à la douleur diminuée aux
jambes
, où le malade ne peut pas préciser l'endroit où
même une autre cicatrice à la partie interne et supé- rieure de la
jambe
droite. Les pupilles égales, régulières, réagis-
gnées les unes des autres. La malade présente une ulcération à la
jambe
gauche; plusieurs petites ecchymoses aux membre
haque côté, surtout du côté gauche, à cause de l'ulcé- ration de la
jambe
. Pas de signes de syphilis. Etat psychique. L'a
de la pointe. Il y a des plaques d'anes- thésie et d'analgésie à la
jambe
gauche et à la fesse droite ; aux bras la sensi
ration est cuivrée, mais elles ne sont pas adhérentes à l'os ; à la
jambe
et au pied droits une éruption pustuleuse, plus
eu diminuée aux bras, sur les parties exter- nes des cuisses et des
jambes
où le malade ne peut pas localiser les piqûres.
t aux membres supérieurs ; à t)' centimètres pour les cuisses et la
jambe
gauche ; à 8-10 centimètres pour la jambe droit
es pour les cuisses et la jambe gauche ; à 8-10 centimètres pour la
jambe
droite. Il n'y a pas de signes de syphilis. Le
e par une sensation tout à fait loca- lisée. le plus souvent sur la
jambe
ou la fesse, quelquefois sur le mollet ou la fa
nd il revint à lui, il était paralysé du côté gauche, bras, main et
jambe
. La paralysie d'abord incomplète à la jambe pro
gauche, bras, main et jambe. La paralysie d'abord incomplète à la
jambe
progressa rapidement. Il eut ensuite des vomissem
s el de la main gauches, et une dimi- nution de la sensibilité à la
jambe
. Pas de syphilis dans ses anté- cédents. Réflex
mme de vingt-trois ans qui présentait une paralysie partielle de la
jambe
droite et une paralysie totale du bras droit av
cette unique observa- tion se plaignait de fourmillements dans les
jambes
qui dispa- rurent au sur et à mesure que le tac
ts le tact est resté normal ; 8 avaient des fourmillements dans les
jambes
, 3 des pincements et des tiraillements, 2 des d
commencé à remarquer, en même temps qu'une certaine faiblesse de la
jambe
droite, que sa démarche devenait de plus en plu
sculature des membres inférieurs. Sentiment de lassi- tude dans les
jambes
. Exagération des réflexes rotuliens. Parésie de
uxième phalange de l'index gauche. Plantes voûtées. Instabilité des
jambes
, impossibilité de se tenir sur un seul pied. Dé
musculature des membres inférieurs. Sentiment de lassitude dans les
jambes
. Exagération des réflexes rotuliens, léger clon
les petits mouvements des mains. Ecriture ataxique. Instabilité des
jambes
, impossibilité de se tenir sur un seul pied. Dé
. Démarche ataxique cérébelleuse. Senti- ment de lassitude dans les
jambes
. Exagération des réflexes rotu- liens, clonus d
Plantes voûtées. Hypertrophie vraie des muscles des cuisses et des
jambes
. Parésie du muscle droit ocu- laire interne et
de leur longueur initiale, les paumes des mains de 36 p. 100, les
jambes
, de 23 p. 100; les plantes, de 13 p. 100. Le mont
méthode pour le provoquer. Le patient étant couché sur le dos, les
jambes
allongées, le mé- decin tient avec lui une conv
x ans, tombe et se casse REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 329 9 la
jambe
droite. Après une immobilisation de trois mois, l
ui faire faire quelques pas : il s'affaisse comme une masse sur des
jambes
de coton. 111. V... marchait avant la chute; il
a sensibilité (anesthésie plantaire absolue) sont plus marqués à la
jambe
frac- turée. De plus, le cal volumineux, l'oedè
ace externe, d'où s'écoule un liquide séro-purulent; luxation de la
jambe
en arrière aux mou- vements de flexion du genou
s, elle se livre à une série de mouvements désor- donnés : lève les
jambes
en l'air, montre le poing, crache, rit, tira la
nible, zoopsie, du tremblement dans les mains, des crampes dans les
jambes
, un certain degré d'hypéresthésie musculaire. D
abdominaux existe une para- plégie flasque complète. En élevant les
jambes
sur le plan du lit, elles tombent comme un corp
leurs couleur et volume habituels. Les pieds sont tom- bants et les
jambes
n'opposent aucune résistance aux mouvements pas
ointe d'une aiguille pénétrait dans la région antéro- externe de la
jambe
droite ou dans la partie dorsale du pied cor- r
la malade mouvait le pied dans le sens de l'extension dorsale et la
jambe
était prise de soubresauts. Dans la même région
la blessure médullaire l'anesthésie comprenait le pied droit et la
jambe
correspondante jusqu'à deux centimètres au-dess
plus tard elle avait presque totalement disparu de la surface de la
jambe
, excepté dans une zone étroite située dans sa par
rmilla- ments, des douleurs ; elle se sentait un peu faible sur ses
jambes
; elle se plaignait maintenant de ressentir les
s difficile, pour ne pas dire impossible, de fléchir le pied sur la
jambe
. Le pied était ballant sur la jambe, quand on s
ible, de fléchir le pied sur la jambe. Le pied était ballant sur la
jambe
, quand on saisissait cette dernière et qu'on la
rois ans, par des vertiges. Puis sont survenues une impotence de la
jambe
gauche avec raideur, une liémianesthésie gauche
rès son entrée, le petit malade est pris d'un engourdissement de la
jambe
gauche et de secousses convulsives localisées q
her seul; pour s'asseoir sur le lit, il est obligé de descendre les
jambes
à l'aide de ses mains. Etalprésenl. Intellige
centimètres. Malgré ce volume, la force musculaire du tronc et des
jambes
est insigni- fiante. L'excitabilité électrique
de l'incertitude dans les mouvements surtout en ce qui concerne les
jambes
. Les réflexes rotuliens sont à peine esquissés. L
dème des pieds. Plus tard s'ajoute de l'amnésie et des douleurs aux
jambes
. La faiblesse augmente bien que le malade cesse
uses ou noyaux qui sont en rapport avec l'innervation motrice de la
jambe
et du pied, un premier noyau postéro-latéral al
nt ; les mouvements athétosiques de la main droite ont cessé ; la
jambe
droite est le siège de quelques mouvements sponta
a commissure labiale droite est incessamment attirée en arrière. La
jambe
droite fléchie sur la cuisse contracturée est l
aiblesse dans les deux pieds. Le lendemain, il ne peut marcher, les
jambes
fléchissent. A partir de ce moment, cette paral
e indiqué par Landry. Dans la soirée, la paralysie flasque des deux
jambes
est complète. Nous voyons le malade deux jours
pérature légèrement émoussée, masses musculaires des cuisses et des
jambes
douloureuses à la pression ; pas d'atrophie, pa
bres inférieurs diminue ; cette amélio- ration est plus marquée aux
jambes
; mais la marche est toujours difficile, et lor
SOCIÉTÉS SAVANTES. 501 spontané de ce membre était impossible. La
jambe
gauche était fléchie sur la cuisse, en rotation
tation externe, de sorte que le pied venait toucher le milieu de la
jambe
droite ; les orteils étaient également rétracté
s du membre inférieur gauche sont très brusques et iucoordonués. La
jambe
gauche est légèrement fléchie, le pied en exten
. La paralysie atteignit progressivement les deux pieds, les deux
jambes
, les deux cuisses ; elle suivit la même progressi
ves avec picottement au visage surtout aux joues; douleurs dans les
jambes
« comme si un fluide acre envahissait les mus-
t qu'elle pense à son mari pour éprouver de vives douleurs dans les
jambes
, correspondant à une douleur pareille dans les
pondant à une douleur pareille dans les joues. Si on lui frotte les
jambes
dans ces circonstances, elle a aussitôt mal aux
d'autant MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. '15 plus fort que la friction des
jambes
est plus énergique. Elle sent mal ses membres q
de son mari, elle a mal dormi, elle est énervée, elle a eu mal aux
jambes
et de la diarrhée. Toute la matinée, la typtologi
Il fut pris subitement de convulsions intermit- tentes limitées aux
jambes
, aux bras et à l'abdomen, et qui d'abord bilaté
s reprises, il eut des étourdissements, avec perte de l'usage des
jambes
pendaut une vingtaine de minutes, et de crises ép
n fébrile qui dura huit jours. Aussitôt après, elle peut remuer les
jambes
et marcher sur son lit, sur les bancs, sur les
nose des, 1 extrémités. Lorsque le malade veut se tenir debout, ses
jambes
fléchissent tout de suite et il tombe. Point de
n jour que cette femme sortait du bain, elle remarqua au niveau des
jambes
l'exis- tence de plaques violacées, et rapproch
approcha cette constatation de ce fait que depuis quelque temps les
jambes
étaient quelque peu engourdies; l'éruption n'av
ition, mais cette fois l'éruption s'accompagne de douleurs dans les
jambes
, celles-ci consis- tent en élancements qui des
u niveau des éminences thénaret hypothé- nar, les avant-bras et les
jambes
sont le siège d'un amaigrisse- ment manifeste.
it surtout les muscles des pieds et les muscles antéro-externes des
jambes
, principalement du côté droit, tandis que les m
rce mus- culaire dans les mouvements de flexion des pieds sur les
jambes
, d'extension des mains et des doigts, par l'aboli
sale du pied gauche un oedème dur et élastique ; au niveau des deux
jambes
la peau avait perdu sa souplesse et se montrait
liqueur de Fowler nous avons assisté à l'apparition, au niveau des
jambes
et des cuisses, d'une éruption formée d'éléments
eppage en rapport avec la paralysie des muscles antéro-externes des
jambes
; j'ajoute que quand la paralysie faciale s'obse
nces de contrôle par l'application des* vibrations sur les os de la
jambe
, du bassin, les parties molles de la cuisse, le
u et s'y peuvent propager, par exemple à la moitié supérieure de la
jambe
. L'immobilité permanente de l'animal normal, qu
moral gauche, anesthésie cutanée segmentaire du bras droit et de la
jambe
gauche, exagération des réflexes tendineux, et si
Tète. Très rarement : Membres supérieurs. Siège le plus rare :
Jambe
. M. Gaucher admet que les nævi existent sur tou
re ans, de l'atrophie musculaire à forme segmentaire (avant-bras et
jambes
) avec parésie marquée et steppage. Il a de l'ab
tre-vingts ans après le début de la maladie. Tous les muscles de la
jambe
et du pied ainsi que le troisième adducteur, le
parler dans ce cas d'une topographie segmentaire complète pour la
jambe
et le pied, incomplète pour la cuisse. On pourrai
al de la moelle lombo-sacrée sont en rapport avec les muscles de la
jambe
et du .pied. Dans les premier et deuxième segme
e deux malades dont le premieravait subi la désar- ticulation de la
jambe
d'un côté et l'amputation de la cuisse vers son
elis, De Neef, Bruce, Marinesco, pour la localisation globale de la
jambe
et du pied. Dans le groupement postéro- latéral
, anisi que M. et Mme Parhon l'ont montré expérimentalement pour la
jambe
, chez le chien, des véritables centres musculai
admettre que : les centres des muscles de la face postérieure de la
jambe
sont placés en dedans de ceux de la région anté
érieur est le plus haut situé de tous les centres des muscles de la
jambe
. Celui des deux jumeaux est, par contre, celui
fut à son grand étonnement angoissé, eut des tremblements dans les
jambes
et serait tombé sans l'appui de sa canne. En lo
r et fermez-lui les yeux ou plus simplement empèchez-là de voir ses
jambes
, elle s'ar- rête et ne peut tenir debout. Deman
nicité musculaire. Si on dit à la malade de raidir un bras ou une
jambe
, le temps mis à l'exécution de ce mouvement est
tes de flexions du tronc en tous sens, de moulinets des bras et des
jambes
, de mou- vements continus de la langue, de cont
l n'est pas totalement dégénéré. D'ailleurs lorsqu'on piquait les
jambes
du malade (il s'agissait d'un homme de trente ans
, on commence par pencher le corps à gauche, on se balance sur la
jambe
gauche, on soulève la jambe droite que l'on porte
le corps à gauche, on se balance sur la jambe gauche, on soulève la
jambe
droite que l'on porte plus loin vers la droite,
e sol à une certaine distance de l'autre ; finalement on soulève la
jambe
gauche pour la placer auprès de la jambe droite.
; finalement on soulève la jambe gauche pour la placer auprès de la
jambe
droite. On a fait ainsi un pas à droite. Chez
où il doit le rapprocher du membre gauche. Cela tient à ce que la
jambe
spasmodique a subi un allongement dû à l'extensio
xtension de toutes les articulations du membre inlérieur (Mann). La
jambe
droite étant plus longue que la gauche, elle tr
le traîne sur le sol au moment où le patient doit l'attirer vers la
jambe
gauche; il n'en est pas ainsi quand il s'agit d
ambe gauche; il n'en est pas ainsi quand il s'agit de rapprocher la
jambe
gauche de la jambe droite quand le malade march
est pas ainsi quand il s'agit de rapprocher la jambe gauche de la
jambe
droite quand le malade marche de côté vers le côt
aux conclusions suivantes. Les lésions corticales du centre de la
jambe
et les lésions sous- corticales du centre du br
e foyer se limite à la couronne rayon- nante ; b, «ne parésie de la
jambe
lorsqu'il se produit une des- truction modéréme
images commémoratives des mou- vements. 4. Il se produit dans la
jambe
parétique une atrophie musculaire précoce qui d
te-six ans qui, à la fin de 1899, se plaignait de douleurs dans les
jambes
avec affaiblissement du bras et de la jambe gau
t de douleurs dans les jambes avec affaiblissement du bras et de la
jambe
gauches. Il racontait qu'à l'âge de quatorzeà s
ux mois plus tard, un beau matin, sentiment d'engourdissement de la
jambe
droite avec paralysie du bras etde la jambe gau
d'engourdissement de la jambe droite avec paralysie du bras etde la
jambe
gauches ; pendant quatorze jours cathétérisme et
nécessaires; épreintes vésicales durant quatorze jours en- core. La
jambe
gauche se rétablit complètement en cinq mois; la
e actuellement de l'atrophie avec raccourcissement et raideur de la
jambe
gauche : le réflexe patellaire y est très exa-
les yeux les traces d'une affection spinale aiguë. L'atrophie de la
jambe
gauche, sans accidents paralytiques, tient à ce
du côté gauche, déterminant des troubles de la sensi- bilité de la
jambe
droite ainsi qu'une paralysie vésicale et rectale
il y a six mois une attaque apoplectique à la suite de laquelle la
jambe
et le bras demeurèrent paralysés du côté droit
ts avec raideur de la nuque, convulsions localisées au bras et à la
jambe
droites, etc. On posa le diagnostic de méningit
table tuerie le virent bientôt se diriger vers eux, il frappa à la
jambe
son -beau-frère et son oncle. Ce dernier enfin
, beau- frère du serrurier Stoffel. Chose horrible, les bras et les
jambes
du cadavre avaient été sectionnés. Sur le lit é
inq jours après ( ? ) que l'on constata la raideur du bras et de la
jambe
; le pied n'aurait jamais été tourné. Auparava
, à amplitude assez large, dans le bras gauche, mais aucune dans la
jambe
gauche. Aucune modification du côté droit. Aucu
t le recouvre de même. La cuisse est en extension sur le bassin, la
jambe
en extension sur la cuisse, le pied en extensio
n, la jambe en extension sur la cuisse, le pied en extension sur la
jambe
. Le membre entier est paralysé et en état de co
ion engendrée, par la flexion forcée de la cuisse sur le bassin, la
jambe
étendue (posi- tion de Kernig). Deux observatio
il lui revint un peu de pouls, il lui courut un peu de vie dans les
jambes
, un peu de couleur sur les joues, et il se hâta
davre rigide, embonpoint conservé, cicatrices d'anciens ulcères aux
jambes
; on en voit quelques autres sur le corps et les
e sens de sa longueur; les extré- mités de cet étui qui enserre les
jambes
sont maintenues par deux infirmiers assis. En m
infirmiers assis. En même temps qu'ils assurent l'immobilité des
jambes
horizontalement étendues, ils enferment les bras
plexus brachial, le sciatique, la plupart des nerfs moteurs de la
jambe
antérieure ou postérieure, peuvent être enlevés c
aut le train postérieur de leur corps et lancent bien plus loin les
jambes
postérieures; légère titubation quand ils se ne
lus difficilement les cuisses. Toutefois, elle pouvait déplacer ses
jambes
, mais avec beaucoup de volonté. La peau de son
pouvait voir que les muscles des bras, des mains, des cuisses, des
jambes
et des pieds étaient bien conformés. Il n'y ava
aient présentes, que la jeune fille boitait habituellement des deux
jambes
, ce qui ne provenait d'aucune maladie, mais ven
ce se mit en devoir, avec une lancette à saignées, de lui piquer la
jambe
pour que nous puissions recueillir quelques gou
e poussa aussitôt des gémissements, et fit effort pour ramener sa
jambe
vers elle. Ce fut pour nous l'indice que les sens
de mouvements d'extension correspondants, de façon que le bas de la
jambe
est agité d'une sorte de tremblement; ces secou
en plus souvent qu'au repos assis ou debout, des secousses dans les
jambes
et quelquefois aussi dans le dos, ce qui rend l
ut son corps fut pris de mouvements si désordonnés, les bras et les
jambes
se projetant de-ci et de-là, qu'on fut obligé d
quelquefois accompagnées d'une extension presque téta- nique de la
jambe
. On n'a pas pu constater un influence évidente
et Lôwenfeld constate même alors de très faibles secousses dans les
jambes
. Mais dans notre obser- vation, ainsi que dans
secousses étendues et souvent très intenses, non seulement dans les
jambes
, mais encore dans les muscles du tronc, surtout
sensations de fatigue, ou plutôt d'une sorte de faiblesse dans les
jambes
qui lui causait des difficultés pour marcher. I
uin des deux côtés. Mais si l'on ordonne au malade de soulever sa
jambe
eT de toucher avec son pied levé la main qu'on me
on n'augmente pas. Du reste, on constate, en cherchant à étendre la
jambe
fléchie du malade, après lui avoir dit de s'opp
, à ce point qu'on peut ainsi soulever le malade de son lit, par sa
jambe
fléchie sans qu'elle s'étende. L'incoordination
est plus prononcée à gauche qu'à droite. Si, après avoir soulevé la
jambe
et l'avoir maintenue un instant en l'air, on en
re marcher le malade que soutenu par deux aides; il jette alors ses
jambes
de côté et d autre, décrivant de grands arcs de
amais plaint, et ne ressent encore aucune douleur. Il sent bien ses
jambes
dans le lit, et apprécie les poids qu'on lui fait
oraux, du côté droit, excepté le couturier, des extenseurs des deux
jambes
. Le microscope confirme ces altérations, révèle
aradoxale, soit quand on fléchit, soit quand on étend lepied sur la
jambe
, soit même quand on fait mouvoir les articulati
force ainsi 'la cuisse à se fléchir, légèrement sur le bassin et la
jambe
à se fléchir suri la cuisse.. Dans* une certaine
facile à trouver, il se^produit des oscillations périodiques de la
jambe
, qui augmentent jusqu'à provoquer le heurt du sol
t de 7 vibrations par seconde'. 'L'examen de la vibration de chaque
jambe
, rapproché de l'examen des deux jambes vibrant
men de la vibration de chaque jambe, rapproché de l'examen des deux
jambes
vibrant 2Î-0 REVUE de pathologie NERVEUSE. en
pendant quelques minutes seulement, des mouvements du bras et de la
jambe
du côté droit. Au bout de deux jours, l'explora
ite 24 (côté paralysé). La malade marche maintenant sans traîner la
jambe
; elle a repris le libre usage de son bras et de
ice plus petite, plus déprimée, au tiers supérieur et externe de la
jambe
gauche ; une cicatrice de même nature au-dessou
tres, puis il semble éprouver quelque difficulté à se tenir sur les
jambes
, trébuche à plusieurs reprises sans tomber, acc
lesbandesdont on enve- 336 CLINIQUE NERVEUSE. loppait une de ses
jambes
contusionnée). Une fois montés sur le premier m
hémiplégie droite consécutive; ce côté est resté plus faible, et la
jambe
droite est plus courte que la gauche ; il n'a p
é pour montrer son durillon. A 10 h. 19, trépidation légère de la
jambe
gauche, puis du bras gauche et enfin du bras dr
puis du bras gauche et enfin du bras droit ; ces trépidations de la
jambe
gauche cessent momentanément, et l'agitation du
u- che s'arrête quelques secondes après celles du bras droit ; la
jambe
gauche est alors reprise de trépidation. La face
ai le mal que j'ai, » et à ce moment l'agitation recommence dans la
jambe
et le bras gauches ; la face devient très ronge.
; la face devient très ronge. A 10 h. 24, trépidation légère de la
jambe
gauche. D'habitude la crise durerait moins long
t pris d'un tremblement gé- néral; il s'incline en arrière, puis la
jambe
gauche est agitée de secousses cloniques; de la
reste droit et raide comme un automate et il faut lui pousser les
jambes
l'une après l'autre pour le faire marcher. Du res
1 heure ? Agitation. Il piétine, se débat, remue les bras et les
jambes
. Il jette son oreiller à terre en disant : « Que
rche que si on le pousse et souvent il reste suspendu sur une seule
jambe
. Ne mange pas. On est obligé de lui mettre les
autres endroits. La douleur traverse soudainement l'une ou les deux
jambes
et, dans un cas, elle passait fréquemment d'arr
e difficulté plus grande à faire les premiers pas que « lorsque ses
jambes
étaient échauffées ». ». z En janvier 4883, l
et presque simul- tanément par l'auriculaire de la main droite; les
jambes
étaient à peu près dans le même état qu'auparav
as de troubles vaso-moteurs, pas d'oedème lors même qu'il reste les
jambes
pendantes sur le bord du lit. " ' La trépidat
côté droit, et, dure seulement quel- ques instants. Longueur de la
jambe
de l'interligne articulaire, tibio-fémoral à l'
'extrémité de la maleulle interne = 37 centi- mètres. Le pied et la
jambe
du côté droit sont plus raides qu'à gauche ; il
il a des deux côtés une rigidité très prononcée. , Les muscles des
jambes
et des cuisses font lorsque les jambes sont éte
prononcée. , Les muscles des jambes et des cuisses font lorsque les
jambes
sont étendues dans le lit, une saillie considér
le malade ne peut rester que quelques minutes dans cette position (
jambes
étendues), car il éprouve alors des crampes trè
ed gauche à 40 centimètres environ du plan du lit, peut porter la
jambe
dans l'adduction forcée à droite de la jambe droi
du lit, peut porter la jambe dans l'adduction forcée à droite de la
jambe
droite, mais le mouvement d'abduction est extrê
s mollets. Il est presque im- possible de lui fléchir ou étendre la
jambe
, quand on lui a dit de résister à ces mouvement
s mouvements, tant la force des iléchiseurs et des extenseurs de la
jambe
est bien conservée. Lorsqu'il est debout et qu'
igé pour prendre cette position de se mettre sur le bord du lit les
jambes
pen- dantes. Les mouvements du cou s'accompli
ation très bien prise. A la suite de forts excès, douleurs dans les
jambes
, parfois lancinantes, ataxie devenant plus tard
s souffrent de plus en plus; ils ne peuvent plus se tenir sur leurs
jambes
; ils s'asseoient sur leurs membres pos- térieur
à répéti- tion, l'air triste ; il ravale; il met la queue entre les
jambes
et il baisse les oreilles. Enfin, il s'étend su
ce de-4°, tan- disque la sensibilité s'améliorait en descendant, la
jambe
distin- guait la différence de 111-20. et le pi
ut signaler que l'apparition de petits tremblements cloniques de la
jambe
à la flexion du genou gauche, si le mouvement a
érir d'un état semblable à celui de son amie, qui est infirme d'une
jambe
et s'est fait magnétiser pour cela sans résulta
ours qu'elle est morte, qu'elle n'a plus de corps. Il lui resle une
jambe
gauche, un bras droit et les deux yeux. Elle es
ade; elle a pris la maladie d'une autre et cela lui a immobilisé la
jambe
gauche. Les parties de son corps, qui ne sont p
embrouillée. 16 Juillet. Attitudes cabalistiques : elle croise les
jambes
en se tenant debout pour éviter des malheurs; e
le aiguë, qui devient rapidement complète, de paralysie flasque des
jambes
, de parésie des bras, d'anesthésie, d'absence d
t ayant un pied-bot varus équin et dont le mari s'était fracturé la
jambe
à la partie inférieure pendant la durée de la g
s étendus du décubitus), de contractures et atrophies dans les deux
jambes
. Ces membres ont d'abord été le siège de violen
d bot équin. L'excitabilité électrique des muscles et des nerfs des
jambes
a disparu; à la cuisse, elle a sim- plement dim
re ait été pro- duite par un trouble dans l'irrigation sanguine des
jambes
; on voit facilement survenir ces accidents dans
d'une fièvre typhoïde, il s'est pro- duit une contracture dans une
jambe
; pied bot varus-équin ; forte atrophie du jamb
puyant sur des cannes , mais très diffi- cilement ; il traînait ses
jambes
, dit-il, qui lui paraissaient lourdes et raides
ans son lit. Si on percute le tendon rotulien droit, on voit que la
jambe
droite se projette à deux ou trois reprises suc
eu en arrière et de lever la hanche droite pour pouvoir détacher la
jambe
droite, qui, agitée alors d'un tremblement invo
. A gauche un seul coup suffit pour faire brusquement projeter la
jambe
deux ou trois fois. Le malade est tourmenté de
rotulien est telle que lorsqu'on frappe sur le tendon rotulien, la
jambe
se projette deux ou trois fois et d'une façon t
marche sans béquilles; il frotte moins le sol ; il traîne moins ses
jambes
qui lui paraissent moins lourdes et moins rigid
rrière et de lever la hanche droite pour pouvoir détacher du sol la
jambe
droite et la faire mouvoir, après avoir décrit un
t la faire mouvoir, après avoir décrit un arc de cercle. Quant à la
jambe
gauche, le malade peut très bien faire mouvoir
st seu- lement le droit qui s'use à la pointe parce que c'est de la
jambe
droite que le malade frotte le sol dans sa marc
t est très exalté et chaque coup pro- voque 2 à 3 projections de la
jambe
. Quand on frappe le tendon rotulien gauche, on
ce moment, l'amélioration s'arrête, le malade boite, il traîne ses
jambes
, il frotte le sol en marchant et ses pieds trembl
par le bruit qu'il fait en frottant le sol. Pour détacher du sol sa
jambe
droite et la faire avancer, il est obligé de le
exaltés. Le phénomène du genou des deux côtés est si exalté que la
jambe
à chaque coup du marteau percuteur fait 2 à 3 p
2 à 3 projections, accompagnées d'un mouvement d'adduction de la
jambe
opposée. On observe aussi un phénomène du même
ne du même ordre, qui est le sui- vant. Le malade étant couché, les
jambes
tendues, et dans une position horizontale, quan
ues, et dans une position horizontale, quand on tire de son côté la
jambe
gauche par exemple, on voit que l'autre suit le
nt un mouvement dans le même sens. Quand on lire, au contraire la
jambe
droite, la gauche fait aussi le même mouvement en
coup de marteau percuteur suffit pour projeter plus de deux fois la
jambe
correspondante. Si on multiplie les coups de mart
ment unilatéral et pour ainsi dire monotone. Les fléchisseurs de la
jambe
gauche sont bien plus paralysés que les extense
passagères. A chaque coup du marteau sur les tendons rotuliens, la
jambe
se projette deux ou trois fois d'une façon brus
s muscles anta- gonistes. Pour peu qu'on fléchisse le pied sur la
jambe
, soit le gauche, soit le droit, on provoque un
ement un grand affaiblissement; il a de la peine à se tenir sur ses
jambes
et il reste couché. Pour Béclard la section des
s gauche était pa- ralysé et que l'enfant remuait moins bien la
jambe
correspondante. Dans les premiers temps, il n
ement n'est devenu possible qu'au bout de cinq ou six mois. Les
jambes
sont toujours res- tées faibles, surtout la g
ce qu'on lui demande. 12 juillet. Maisonh... peut se tenir sur ses
jambes
, mais la marche est titubante et il tomberait s
es deux côtés. Il ne peut pas remon- ter seul sur son lit. Les deux
jambes
sont roides, surtout la gauche. Gâtisme complet
des douleurs de tête. Plus lai il, tremblement dans les bras et les
jambes
, parole chevrotante, idées de suicide. Pouls à pe
oup du marteau percuteur ou du bord cubital de la main droite, la
jambe
se projette d'une façon brusque et 356 CLINIQUE
telle que chaque coup est suivi de deux ou trois projections de la
jambe
; il est même des cas où l'excitabitité myélitiq
rrivé parfois de constater, en même temps que la projection de la
jambe
gauche p. e., lorsque le tendon rotulien gauche
s'appuyant sur deux bâtons avec une grande difficulté, traînant les
jambes
qui lui parais- saient lourdes et rigides comme
e, le malade continuait à marcher à l'aide d'un appui, traînant ses
jambes
, frottant le sol, ayant ses membres agités fréque
n- vier 1883, il a pu marcher sans appui, traînant bien moins ses
jambes
, frottant moins le sol, ses membres étant moins r
oncée au membre droit, peu marquée au gauche. Pour faire avancer la
jambe
droite en marchant, il incline son' tronc à gau
agité d'un tremblement rythmique. Il n'en est pas de même pour la
jambe
gauche, qui, étant plus dégagée, peut se détacher
ercuteur por- tés surtout au tendon rotulieu droit font projeter la
jambe
deux à trois fois. Les membres paralysés sont t
t de constriction. Elles choisissent comme siège de prédilection la
jambe
. Pas de troubles trophiques. Sauf un certain de
un plan incliné. Le malade est très souvent pris de secousses; ses
jambes
, de temps en temps, se raidissent en extension
xagéré-. Un coup même sur le tendon roLulien droit fait projeter la
jambe
deux ou trois fois. En répétant les coups de ma
e tronc de son corps de ce côté pour soulever et porter en avant la
jambe
droite qui alors décrit un petit tour et parfoi
Il y a une exaltation des réflexes rotuliens bien plus marquée à la
jambe
droite qui, à chaque coup du marteau, se projet
au lit, il est pris fréquem- ment de contractures passagères : ses
jambes
se raidissent en extension. L'examen de la sens
es), parésie du voile du palais, légers troubles mo- teurs dans les
jambes
qui oscillent pour un rien; absence à droite du
pendant plusieurs années, il ne resle plus qu'une monoplégie de la
jambe
. Finalement, parésie spasmodique des deux jambe
monoplégie de la jambe. Finalement, parésie spasmodique des deux
jambes
, amblyopie, ralentissement de la parole, troubles
e tous les exerci-ces précédents et en plus des exercices combinés de
jambes
et de bras; de tronc et de bras. Nota. Ces exerci
s. Chant à l'appui des pieds et des mains, flexion et extension des
jambes
. Elévation de la cuisse dans la position horizo
bes. Elévation de la cuisse dans la position horizontale. Porter la
jambe
gauche sur la barre gauche. S'asseoir sur la barr
rre gauche et droite en avant des mains. Porter alternativement les
jambes
réunies sur l'une et l'au-tre barre en avant et e
arre fixe. — Barre à Om50 du sol. Tractions. Élever la cuisse et la
jambe
gauche tendue. Appui incliné, tendu et fléchi.
e. Barre à lm60 du sol. Élévation alternative de la cuisse et de la
jambe
. S'élever sur la pointe des pieds en cambrant les
nger la prise des mains. Élévation alternative delà cuisse et de la
jambe
. Élévation simultanée delà cuisse et de la jamb
là cuisse et de la jambe. Élévation simultanée delà cuisse et de la
jambe
. Élévation et ôcartement latéral de la cuisse e
de la jambe. Élévation et ôcartement latéral de la cuisse et de la
jambe
gauche. Elever les pieds à la barre. Placer l
ns. Suspension par les pieds et les mains. Flexion, extension des
jambes
et tractions des bras. Monter et descendre avec
uvement, bras raccourcis. Élévation alternative de la cuisse et de la
jambe
. Élévation alternative des cuisses et des jambes.
de la cuisse et de la jambe. Élévation alternative des cuisses et des
jambes
. Élever simultanément la cuisse et la jambe. Élev
ative des cuisses et des jambes. Élever simultanément la cuisse et la
jambe
. Élever simultanément les cuisses et les jambes.
nément la cuisse et la jambe. Élever simultanément les cuisses et les
jambes
. Monter avec les pieds et les mains et descendre
ions. Suspension par les pieds et les mains. Flexion, extension des
jambes
et tractions des bras. Monter et descendre à l'ai
llongés). Même mouvement (bras raccourcis). Poutre. — Élévation de la
jambe
gauche en avant. Élévation de la jambe gauche sur
is). Poutre. — Élévation de la jambe gauche en avant. Élévation de la
jambe
gauche sur le côté. Élévation de la jambe gauche
e en avant. Élévation de la jambe gauche sur le côté. Élévation de la
jambe
gauche en arrière. Flexion des extrémités inférie
us de la tête. Flexion du corps en arrière. Étant à l'appui de la
jambe
gauche, élévation du corps. Étant à l'appui de
appui de la jambe gauche, élévation du corps. Étant à l'appui de la
jambe
gauche, élever le corps, exten-sion et flexion de
ver le corps, exten-sion et flexion des bras. Étant à l'appui de la
jambe
gauche, flexion latérale du corps. Étant à l'ap
e la jambe gauche, flexion latérale du corps. Étant à l'appui de la
jambe
gauche, flexion latérale du corps et flexion de
lexion latérale du corps et flexion des bras. Étant à l'appui de la
jambe
gauche, flexion du corps en arrière. Sauts. —
successifs surplace. Sauts successifs sur place avec élévation des
jambes
flé-chies. Sauts successifs sur place avec flex
; nous voilà »; et il joue avec les autres enfants. Il grossit et ses
jambes
pren-nent de la force. 1888. — L'enfant n'a sub
jour, ni la nuit. Il cherche à se déshabiller seul, et y arrive. Ses
jambes
se sont fortifiées et aujourd'hui il marche (Fig.
-table, courait de tous côtés, bavardait à l'école, faisait aller ses
jambes
, ses pieds, ses mains, on aurait dit qu'elle étai
Elle ne mangeait, ni ne buvait seule, ne pouvait pas se tenir sur les
jambes
, la parole était nulle. Elle gâtait nuit et jour.
'enfant est obligée de séjourner à l'infirmerie, ayant des abcès à sa
jambe
malade. C'est grand dommage, car l'en-fant est dé
différent avec tout le monde. Les mouvements brusques des bras et des
jambes
ne lui permettaient pas de se donner les soins de
lques dif-ficultés pour les exercices de gymnastique en raison de ses
jambes
qui sont encore faibles. Malgré toutes ces diffic
est très douce et sait se faire aimer de toutes ses compagnes. Ses
jambes
se.fortifient peu à peu, enfin, l'enfant est par-
e, mais tombait à chaque instant, car elle n'était pas solide sur ses
jambes
. Elle gâtait nuit et jour, pleurait à chaudes lar
ectement à ce qu'on lui demande. Elle marche bien, tout en tramant sa
jambe
malade, ce qui ne l'em-pêche pas de courir, de sa
t l'objet de soins réguliers ; on leur apprend à se tenir sur les
jambes
à l'aide des barres parallèles, à marcher soit
âgé de quinze ans, est grand, fluet, et se tient avec peine sur ses
jambes
. Front assez saillant, médiocrement élevé, effa
r les objets et ne dit guère que son nom. Il se tient mieux sur les
jambes
que le précédent, mais, à l'inverse de lui, il
t méchant et sauvage. La taille est en rapport avec l'âge, mais les
jambes
sont sans force; aussi est-il toujours assis. C
ée, ce qui tient sans doute à ce qu'il se frotte liabituellemen les
jambes
et les cuisses l'une contre l'autre en plaçant le
si qu'il avait les membres engourdis, tan- tôt les bras, tantôt les
jambes
. Il n'a jamais eu d'accès aussi forts que son f
assez abondants sous les aisselles et au pubis, plus rares sur les
jambes
, les cuisses, et les bras; léger duvet à la lèv
rte. Mère, ménagère, n'a jamais été nerveuse, est morte d'un mal de
jambe
. - -Deux frères, qui étaient bien portants et o
périeure; poils abondants au pubis, plus rares aux aisselles et aux
jambes
. Sur le masséter gauche, on trouve une cicatric
l'abdomen, moins abondante dans le dos, presque nulle aux bras, aux
jambes
et au cou; la face est intacte; pas de croûtes
l'enfant est resté couché constam- ment. Depuis son admission, les
jambes
sont fléchies sur les cuisses, et les cuisses s
es sur le ventre. Quand on le lève, il se tient 1 assez bien sur la
jambe
droite ; mais la jambe gauche reste fléchie. Tr
on le lève, il se tient 1 assez bien sur la jambe droite ; mais la
jambe
gauche reste fléchie. Traitement anti-scrofuleu
difications appréciables. Quand on le soutient, l'enfant avance les
jambes
comme pour marcher, mais tout se borne à cet ef
z fréquente ; sonorité normale, râles ronflants aux deux bases. Les
jambes
ont plus de tendance à se fléchir; gonfle- ment
rême la peau. est collée sur les os. L'enfant ne peut tenir sur ses
jambes
; il prend toujours un peu de lait, de viande cr
huit pilules, et déjà l'amélioration était sensible. Ce furent les
jambes
qui revinrent les premières sous l'empire de la
la moitié droite de la face, puis envahissement du bras et de la
jambe
du même côté, et enfin des membres du côté gauche
ant, il répand le contenu du verre. Dans la marche, il se cogno les
jambes
et tombe souvent. Il est devenu très émotionnable
ifficile, grimaces incessantes, mouvements continuels des bras, des
jambes
. La marche est difficile, titubante ; les pieds
lève plus haut qu'il ne convient; les CliUIIEE : ÉCRITURE. 51 1
jambes
sont projetées de côté ; l'enfant s'arrête brusqu
nt à suspendre son travail. [Père mort, à 70 ans, d'une enflure des
jambes
, il était sobre. Mère morte à 72 ans de fatigue
ions majeures que je puis citer : En octobre i845, amputation de la
jambe
de Mlle Marie d’Albanel, faite à Cherbourg par le
te-trois ans , incontinence d’urine depuis deux mois, ventre balloné,
jambes
enflées, fièvre dans l’après-midi ; guérison à la
, douleurs rhumatismales , depuis trois mois, à l’épine dorsale, à la
jambe
et au pied droits, marchant avec un bâton ; douze
Luxation du pied, en voie de guérison. Les médecins avaient incisé la
jambe
prétendant qu’il y avait plusieurs abcès. La mala
eux exemple d eléphantiasis, affectant seulement un côté du corps. La
jambe
et le bras du côté gauche ont pris un volume cons
quelques secondes, il fut ¡insensible aux piqûres que je lui fis à la
jambe
, mais la sensibilité reparut immédiato- ment, q
onvenable. 22 mars. Il a été affecté partiellement; ses bras et ses
jambes
furent plusieurs fois soulevés en l’air, et viole
l a une tumeur scrotale depuis dix-huit ans à peu près, et une de ses
jambes
est affectée d’éléphantiasis. Le volume de la tum
éveiller. Il ne sentait pas quand on le piquait ; mais il remuait les
jambes
, murmurait et faisait un mouvement en arrière, ch
s la position en usage pour la lithotomie, les bras passés autour des
jambes
, au-dessous des genoux. Aucune ligature ne fut
é aux piqûres, etc. Le 8. Profondément entrancé, on lui souleva les
jambes
plusieurs fois et on les laissa retomber sur le l
ur une charpaie divisée, dont la partie inférieure était retirée. Ses
jambes
furent placées sur deux chaises, et la tumeur fut
eut des mouvements convulsifs, sans cependant essayer de croiser les
jambes
et de mettre obstacle à mes opérations^ Comme je
ôt achevé ces mots qu’il s'écria 2 » Il y a do la chaleur entre mes
jambes
, oh! cela brûle! Qu’avez-vous mis sur moi, Dr Sah
a depuis douze ans une tumeur scrotale do moyenne grosseur. Ses deux
jambes
sont affectées d’éléphantiasis; il a été sujet à
tié de la face est contractée d’une manière permanente. Le pied et la
jambe
sont étendus et rigides. La langue est déviée, et
sommeil magnétique. Du il. Le malade peut lever l’avant-bras et la
jambe
assez haut sur son lit; il ouvre légèrement la ma
r son séant, et parler assez distinctement; il a repris l’usage de la
jambe
malade au point de pouvoir lui faire supporter le
lever ni se tenir assis. Du icr mai. Il y a apparence de mieux; la
jambe
reprend de la force, mais il ne peut mouvoir le b
t l’ouvrir aisément. Du 7. II marche de nouveau sans bâton; mais la
jambe
engourdie offre une résistance considérable , et
ue le fluide nerveux, des douleurs de tête terribles, des crampes aux
jambes
et aux bras s’emparent du malade; le refroidissem
donnée après trois mois d’inutiles soins; elle n’a plus l’usage d’une
jambe
, qui est d’un mince volume comparée à l’autre, et
rampes commencent : elles se font surtout sentir à l’épigastre et aux
jambes
; surviennent quelques vomissements; quelques inst
magnétique. Quatre heures après avoir été magnétisé , les crampes des
jambes
ont presque disparu, du moins il ne s’en plaint p
gastre , persistent avec autant d’intensité. « Je ne souffre plus des
jambes
, me disait-il d’une voix très- faible, mais l’e
ne suis pas éloigné de croire qu’il ne ressentît pas les crampes aux
jambes
. (L’aphorisme d’IIippo-crate est bien véridique :
action du magnétisme sur ce point, et il recommença à se plaindre des
jambes
et surtout des mollets. Vers neuf heures du soir,
s, point de vomissements. Cependant les douleurs à l’épigastre et aux
jambes
avaient reparu depuis quelques minutes seulement,
sser leurs poils, fuir, se cacher, chercher un refuge jusque dans les
jambes
de leurs maîtres ; et flairer, éventer, non près
tale , et à’éléphan-tome vin. —RI" 96.-25 juin 1840. 12 tiasis à la
jambe
droite. Sa maladie a commencé par une lièvre déca
Khêturmohun Sen, âgé de vingt-un ans, a une tumeur scrolale, et les
jambes
affectées d'éléphant iu-sis, affections précédées
ick, âgé de trente an9, se présente avec une tumeur ordinaire, et les
jambes
affectées d’cléplian-tiasis. Dès la seconde mag
ute la passivité d’un cadavre. » Un léger mouvement eut lieu dans les
jambes
au moment de la ligature des artères. Eveillé au
respectueuse considération. BERTHÉRAND DE LONGPRK. ATROPHIE DE LA
JAMBE
. Le certificat suivant vient de nous être adres
M. Justin Marion, ualif de Chemilly, alors âgé de quinze ans, dont la
jambe
gauche était presque paralysée, privée de sensibi
pour l’enfant, non seulement de marcher, mais encore d’imprimer à sa
jambe
le moindre mouvement articulaire, il y avait affa
endues au malade. « Le traitement dura cinq mois; après ce temps la
jambe
avait recouvré sa sensibilité et sa grosseur ordi
it soumis à la puissance magnétique, soulevait seul et sans effort sa
jambe
, el faisait une promenade de quelques centaines d
ement exacte, tous les mouvements du corps, de la tête, des bras, des
jambes
de ses partners. Les gestes de ces trois messieur
iscontinua pas avant qu’elle fût achevée. Il remua aussi beaucoup ses
jambes
, cherchant à rapprocher ses genoux; mais il ne pu
ain Dey, âgé de trente-cinq ans, est affecté d’éléphanliasis aux deux
jambes
, et d’une tumeur scrotale, depuis dix ans. Cette
le infirmité. 9° Une douleur rhumatismale affectant le bras et la
jambe
gauches, a cédé à une suite de mes-mérisations jo
profond , qu’il éprouva instantanément, à la partie postérieure de la
jambe
, une vive commotion qui le fit boiter pendant qu
: il commence à chanceler; essayant de marcher, il trébuche, car ses
jambes
ne peuvent plus le porter; sa figure avinée prend
gure se faisaient entendre; les muscles, se crispant, raidissaient la
jambe
et lui imprimaient des secousses tellement violen
le regrette pas. Jusqu’à la cinquième séance d’électro-magnétisme, ma
jambe
, qui était raccourcie de trois centimètres, étai
er mon lit. Aujourd’hui, mes douleurs ont successivement disparu ; ma
jambe
commence à devenir plus maniable ; je marche dans
epuis douze ans. 8° Enflure constante du pied droit, et souvent des
jambes
. 9° Tumeurs grosses comme des œufs de pigeon, a
e pendant plusieurs jours par le médecin. Ne pouvant m’appuyer sur ma
jambe
, le lendemain de cette magnétisation j’ai pu repr
d’un bon gendarme gravement hypothéqué d’un mal qui lui garottait les
jambes
; pas moyen de monter en selle, nul pouvoir de se
me concerne. J’élais malade depuis quinze mois; cinq plaies à la
jambe
droite, donl deux très-profondes, me privaient de
me dit que je ne pourrais jamais guérir à Troyes , vu que l’os de ma
jambe
était dans un mauvais état, mais qu’il me ferait
'oreilles, scs yeux se voilent ; il a un commencement de vertige. Ses
jambes
commencent à fléchir, sa tête quitte la position
envahis, quelquefois ensemble; un autre jour c’était le corps et les
jambes
. L’enflure une fois établie, la fièvre, qui l’ava
tique et de ses branches, une chaîne ininterrompue de la fesse à la
jambe
; nul doute* qu'elle ne soit utilisée par la cir
a veine médiane basilique, etc. Les autres, le musculo-cutané, à la
jambe
, etc., sui- vent des branches veineuses de seco
n- drons pour types le saphène interne et le musculo- cutané à la
jambe
. Le nerf saphène interne, dans sa portion jambi
xacte- ment ces dispositions constantes. Sur l'autre face de la
jambe
, et au pied, le nerf musculo-cutané reproduit a
eine superficielle, branche fit. 7. Nerf )712LSC2ll(J-CilEd7tC à la
jambe
. ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES NERFS. 19
elque chose dans le vin qui le rendait rouge et lui coupait bras et
jambes
. Pourquoi faisaient-ils tout cela ? C'était pou
ue. Au reste, la démarche est à peine troublée, si ce n'est que les
jambes
se dérobent de temps à autre sous lui. La démar
sont multiples. Le malade se plaint d'engourdissement dans les deux
jambes
, de la sensation impar- faite du sol (il lui se
nts). Deux ans avant son mariage, il a eu un eczéma .variqueux à la
jambe
gauche où on voit actuelle- ment des varices et
oteurs se sont nota- blement accrus; fréquemment dans la marche ses
jambes
se dérobent sous lui. Il marche, dit-il, comme
omme ivre, et il est connu dans son quartier sous le sobriquet de a
jambe
de laine ». Début du diabète. En 1883, il y a
laine ». Début du diabète. En 1883, il y a sept ans, il avait à la
jambe
un ulcère variqueux qu'on ne parvenait pas à gu
il éprouve des agacements, des four- millements permanents dans les
jambes
, sensations qui n'ont, dit-il, rien d'analogue
ur une canne progresse en déviant de la ligné droite, en jetant ses
jambes
à droite el à gauche. Cette démarcha qui n'a ri
table, à cause d'un degré assez accentué d'atrophie des muscles des
jambes
avec prédomi- nance sur les extenseurs du pied.
douloureuses. » En outre, il se plaint de dérobements brusques des
jambes
, d'effondrements qui joints à l'incoordination
cès, puis un troi- sième. «Pendant ces six mois, ['infirmité de mes
jambes
, écrit-il, n'a cessé de s'accroître, et mainten
t que nous avons signalées et d'engourdissement dans les pieds, les
jambes
et les mains, qui le gênent pour s'habiller. Il a
l'absence de ses pieds. a J'ai conscience d'un corps au bout de mes
jambes
, mais je ne puis rien dire de sa forme ni de se
ique. Le malade ne peut marcher sans aide; il jette follement ses
jambes
en dehors et talonne fortement. Et cependant il n
ilitique, se plaint de- puis de longues années de faiblesse dans la
jambe
droite qui l'em- pêche de marcher longtemps. De
s il présente des dépôts goutteux articulaires. Il éprouve dans les
jambes
des douleurs qui ne revêtent point le caractère
nesthésie au contact et à la douleur sur les deux pieds et les deux
jambes
, s'élevant plus haut en avant qu'en arrière de
idation plantaire. La percussion des tendons des fléchisseurs de la
jambe
et des extenseurs des doigts n'est pas suivie d
nd désordre musculaire. Les cuisses fléchissent brusquement sur les
jambes
(mouvement d'accroupissement), les orteils s'éten
inquante ans. Elle est caractérisée par une faiblesse graduelle des
jambes
avec' rigidité sans spasme paroxystique. La f
cependant s'améliore. Puis, soudain, rougeur et' tuméfaction de la
jambe
droite depuis le milieu de la cuisse jus- qu'en
u tendon putellaire produit non seulement l'élévation brusque de la
jambe
au niveau de l'hori- zontal, mais une secousse
la crise était passée. Au sortir de cet ictus, il se plaignit de sa
jambe
droite qui lui paraissait lourde ; sa parole étai
mal assuré, les pieds fortement tournés en dehors, en écartant les
jambes
, avec un balancement du corps qui rappelle la d
é pratique des maladies mentales : « En marchant ils écartent les
jambes
, se tiennent courbés comme s'ils avaient un tou
coup une sensation d'engourdisse - ment, de fourmillements dans la
jambe
droite. Ces four- millements monlent rapidement
lial de l'affection, incoordination motrice se manifestant dans les
jambes
et les bras, d'abord sous forme d'incertitude,
le avait un mouvement dans les yeux. Elle se sentait faible sur ses
jambes
. Ils achètent une maison il y a quinze mois. Ce
cé à se faire des idées. Elle se forçait à manger; elle sentait ses
jambes
molles comme des chiffes le matin. Puis elle s'
ices très nettes. Il était question de lui faire une opération à la
jambe
. Alors elle a entendu comme une petite voix. La
e, après une amputation de cuisse, motivée par un épithélioma de la
jambe
, ils n'apparurent que le onzième jour et abouti
acité de travail. Voici par exemple, un malade présen- tant dans la
jambe
blessée une zone d'anesthésie circonscrite; il
ayant eu 13 enfants. Thrombose puerpérale de quelques varices de la
jambe
droite; troubles de la respiration soit du fait
ète de la partie inférieure du facial gauche, du bras gauche, de la
jambe
gauche; intégrité de la connaissance et de la s
gue et les oreilles étaient intactes. Lacein- ture du bassin et les
jambes
ne prenaientpas part à l'hypertrophie. L'examen
SAVANTES. 2S1 après l'attaque une légère athétose du bras et de la
jambe
affectés, Plus tard encore il se produisit de l
vait franchi la pote du quai de l'Horloge, et s'en- fuyait à toutes
jambes
. Plusieurs agents se mirent Il sa poursuite, ma
grillage de la petite fenêtre de la cellule. Il passa d'abord les
jambes
et les cuisses, le bassin et une partie du corps
s'agite et brusquement elle se traîne en s'aidant des bras et des
jambes
et parcourt, sans but, différentes parties de l
me rendre utile dans le service, je m'étais chargé d'électriser les
jambes
d'une malade atteinte de para- plégie hystériqu
rode négative et je promenais mon tampon sur les cuisses et sur les
jambes
; quand tout à coup, une remarque accidentelle
ent insensible pouvait sentir le moment où mon' tampon touchait ses
jambes
, pour produire un mouvement à ce moment et seul
HYSTÉRIQUE. 337 -1 anesthésique du côté gauche, incomplètement à la
jambe
, absolument au hras, au thorax et à la figure,
surle tronc, et suivant l'expression consacrée, «chiffonnent n, Les
jambes
se soulèvent alternativement et lentement non con
sses clo- niques font tressauter la commissure labrale gauche et la
jambe
droite. Le tout dure cinq minutes environ. Puis
t de deux enfants pris à dix mois brusquement de faiblesse dans les
jambes
, puis d'atrophie avec parésie des muscles de la
éviée à gauche ; rigidité du bras droit ; exten- sion tonique de la
jambe
gauche; exagération du réflexe rotulien à gauch
iques, avec troubles de la connaissance, tym- panite, paralysie des
jambes
. En dehors des crises, intégrité de l'état ment
ise. Quelque temps après la guérison de la plaie, surviennent dans la
jambe
de vives douleurs, presque continues, mais s'exas
ar M, Vulpian (loc. cit., p. 559) chez l'homme, sur les muslces de la
jambe
, dans un cas de résection d'un segment du nerf sc
pération, les poils furent rasés sur la face antéro-externe de chaque
jambe
et l'on appliqua lesréophores d'une pile, d'abord
cation de la pile. Il n'y a eu de contractions dans les muscles de la
jambe
ni quand j'excitais le nerf, ni quand j'excitais
ouvé de sa propriété perdue. Dans cette expérience, les muscles de la
jambe
, après avoir complètement perdu leur irritabilité
de mes observations à ce sujet. Il n'est pas rare devoir la peau des
jambes
et des cuisses se couvrir temporairement d'une ér
. La malade marchait sans em-barras, sans mouvement de projection des
jambes
, sans frap-per le sol du talon, sans que l'occlus
dans la poitrine. Ventre ballonné. — Sur la face antéro-externe de la
jambe
gauche paralysée, il existe une éruption de zona
une ligne verticale qui descend jusqu'au niveau du tiers moyen de la
jambe
. Un troi-sième groupe siège au cou-de-pied,en ava
accidentelle, comme aux chevilles, à la face interne des genoux, des
jambes
ou des cuisses. Or.il importe de savoir reconnaît
s mêmes phénomènes que ci-dessous ; mais, de plus, on constate que la
jambe
gauche (paralysée du mouvement) est plus chaude q
nt successivement le membre inférieur droit, le bras gau-che, puis la
jambe
correspondante. En 1870, apparut la tendance à la
de côté, etc. ; quelques instants après, elle désire qu'on écarte ses
jambes
, qui ont de la tendance à l'adduction ; bientôt e
nnées une douleur, violente localisée sur le parcours des nerfs de la
jambe
et du pied. Ces parties furent prises les premièr
partie perdue: fréquentes douleurs fulgurantes dans les genoux et les
jambes
; douleurs en ceinture. Mais, à côté de ces phénom
sont dans l'extension ; les cuisses sont étendues sur le bassin, les
jambes
sur les cuisses ; les pieds offrent l'attitude du
hases ultérieures de la maladie, que la flexion de la cuisse et de la
jambe
prédomine sur l'extension. La con-tracture perman
xtrémité de l'un des pieds et qu'on l'étend un peu brusquement sur la
jambe
, il se produit presque aussitôt,dans touteTétendu
deur cadavéri-que (1) ». La faradisationje pincement de la peau de la
jambe
, plus rarement le massage du membre inférieur, l'
aire, fatigue très grande des membres inférieurs, élancements dans la
jambe
droite, affaiblissement delà vue, diplopie.—A 25
t à gauche : tremblement de la tête ; parole difficile : atrophie des
jambes
. — Autopsie : Sclérose du pont de Varole et de se
d, elle eut une fièvre typhoïde à partir de laquelle la faiblesse des
jambes
fit des progrès, d'une façon lente mais continue,
vé par M. Baerwinkel, s'aperçut d'une difficulté des mouvements de la
jambe
droite trois jours après avoir fait une chute dan
e attitude forcée : la cuisse est fortement étendue sur le bassin, la
jambe
sur la cuisse ; le pied offre la déformation du p
ique. Dans ce dernier cas, la flexion permanente de lacuisse et de la
jambe
, si j'en juge d'après mes observations, est un fa
s cette influence, on voit cesser successivement la contracture de la
jambe
droite, puis celle de la jambe gauche, enfin cell
er successivement la contracture de la jambe droite, puis celle de la
jambe
gauche, enfin celle du bras gauche. On laisse Etc
es deux membres inférieurs. sommeil chloroformique. Les muscles des
jambes
et des cuisses sont notablement atrophiés ; la co
i maintenaient la malade, de peur qu'elle ne se blessât, ont senti la
jambe
droite, qui, jusqu'alors, avait toujours été dans
e du pied bute, par instant, contre le pied gauche. Parfois aussi, la
jambe
droite est prise d'un tremblement qui dure cinq à
ge en géné-ral pendant toute la journée : « Alors, je ne sens plus ma
jambe
, dit la malade. » 1873. La faiblesse musculaire
ctérisés d'hystérie, d'une contracture doulou-reuse des muscles de la
jambe
gauche. Cette contracture, qui imprime au pied l'
ns, elle paraît définitive (juin 1870). Plusieurs des muscles de la
jambe
ont subi une atrophie pro-fonde; ils présentent,
rie quelquefois beaucoup. La sensi-bilité persiste dans le bras et la
jambe
gauches. 7 septembre. — Les accès deviennent pl
qu'on appelle vulgai-rement la coupe marinière. Dans cet instant, la
jambe
est étendue sur la cuisse, le pied fléchi sur la
et instant, la jambe est étendue sur la cuisse, le pied fléchi sur la
jambe
, reproduisant d'une façon très accusée le déforma
t dans la même propor-tion, la cuisse s'est fléchie sur le bassin, la
jambe
sur la cuisse, de façon que le talon s'est mis pr
els, on pourrait,envisageant sur-tout les mouvements du bras et de la
jambe
du côté droit, dire que chez G... la chorée est n
, comment un pli épais de la peau de l'avant-bras, de la nuque, de la
jambe
, les plis interdigitaux delà main droite, sont tr
roit, puislegauche simultanément;elle avait,pendant la nuit, dans les
jambes
, des crampes qui la faisaient crier. Elle aurait
es autres. La disposition des mains est la même des deux côtés. Les
jambes
sont rapprochées sans que, toutefois, les genoux
sont rapprochées sans que, toutefois, les genoux se touchent. Si les
jambes
sont écartées, l'équilibre est incertain. Que les
communiquées à la tète par le tronc. Quand la malade est assise, les
jambes
tremblent, les pieds frappent de petits coups ra-
articulations tibio-tarsiennes. Le trembiement est moins intense aux
jambes
qu'aux bras. En effet, il y a de instants où les
d une intensité telle qu'il empêche la malade de dormir. — OEdème des
jambes
. — Eczéma erratique : quand il est très mar-qué,
n temps assise surunfauteuil, plaçant sur une chaise l'une ou l'autre
jambe
. — Front plissé; pattes d'oie très accusées ; pau
tour de la salle en la soute-nant. — Même tremblement des mains, des
jambes
. — Mêmes besoins de déplacement et même sensation
es exercices. Un jour, en montant une échelje, elle ressentit dans la
jambe
gauche une douleur vive avec crispations des orte
, les membres décri-vent de légères oscillations. Dans la marche, les
jambes
fléchis-sent souvent tout à coup et la chute s'en
erre dans une attaque, elle s'est cassé les os d'un avant-bras, d'une
jambe
, Or, jamais ces fractures n'ont été l'occasion du
arante-quatre ans, par de la fai- blesse et de la lourdeur dans les
jambes
. Quelques mois après, s'était montrée dans les
l Saint- Louis. Depuis, l3uch... a eu une éruption eczémateuse à la
jambe
, qui a subi des variations d'intensité, mais a
r, accompagné de grands mouvements de circumduction des bras et des
jambes
et qui se termine de même. 23 janvier. A cinq h
mobile et se fixe en contraction. Les bras se mettent en croix; les
jambes
sont en extension; les pieds croisés. (Altitude d
ouvelle crise. Elle débute par de grands mouvements des bras et des
jambes
; l'enfant tombe. Les convulsions reparaissent a
iolence celle de la phase initiale. Le malade embrasse fortement la
jambe
d'un assistant et s'en sert comme de pivot pour
descendus jusqu'h terre. On a élevé les bras en même temps que les
jambes
, et on les a également main- tenus en extension
impétigo du cuir chevelu et des oreilles, bronchites, eczéma des
jambes
, etc. - Le traitement général de l'hystéro-épil
ronènes ont disparu.-L'eczéma, en voie de guérison, est limité à la
jambe
droite (licl. de Fowler; tisane de séné et pensée
arché à quatre ans, tout d'un coup. Après ses accès, il traînait la
jambe
gauche pendant une demi-heure. Il a parlé à cin
e et grince des dents : il ne fait que commencer à se tenir sur ses
jambes
, mais ne marche pas en- core. Il J novembre.
et le poing fermé. Le membre inférieur est dans l'extension, et la
jambe
en pied-bot équin est tournée un peu en dehors.
Du côté gauche, le membre supérieur se roidit, mais bien après la
jambe
droite et à un degré très faible, car le poing ne
droite et à un degré très faible, car le poing ne se ferme pas. La
jambe
gauche ne se prend qu'un peu plus tard et d'une
ontournés en rotation, la face palmaire étant tour- née en haut. La
jambe
gauche est très raide. Les mouvements cloniques
bre supérieur gauche, mais toujours plus légèrement qu'à droite. La
jambe
gauche ne présente pas toujours de convulsions
nclinait le tête vers l'épaule gauche; le bras du même côté puis la
jambe
étaient, peu après, pris de raideur, et ce n'es
ca- lader le mur d'enceinte, d'où il est tombé et s'est fracturé la
jambe
droite. Le malheureux a été transporté à l'inli
accès de colère, embarras de la pa- role, parésie du bras et de la
jambe
gauche, sans perle de con- naissance. Depuis lo
connaissance qui dure trois heures, puis paralysie du côté gauche (
jambe
, bras et face). Pendant trois mois, elle ne peu
nt de salive, accès de toux, etc. Etat actuel. - Mouvements de la
jambe
intacts. Affaiblisse ment du bras droit et de l
ements de la jambe intacts. Affaiblisse ment du bras droit et de la
jambe
gauche. Le bras gauche est- rigidedans l'extens
rs à la prononciation, des muscles de la face, des bras et même des
jambes
, et coïncide fréquemment avec le strabisme, etc
y a trois ans, il commença à trembler de la main droite, puis de la
jambe
. Aujourd'hui il a de la raideur du cou, de l'im
ie pupillaire qualifiée de ta- bétique par M. Fano. Faiblesse de la
jambe
droite dont le réflexe rotulien est exagéré. Pa
es qui précèdent ou suivent l'attaque 4 et les picotements dans les
jambes
, picotements qui pren- nent quelquefois le cara
régions très circonscrites, au pied, par exemple (Friedreich), à la
jambe
(Leyden), au dos (Leyden, Friedreich), à la nuq
plètement supprimée. Tous les mouvements étaient possibles, mais la
jambe
avait beaucoup perdu de sa force. Quoique le ma
it être de nature rhumatismale. Un peu plus tard, paralysie de la
jambe
droite survenue brusquement. Un traitement de
mbres inférieurs était déjà très manifeste; la malade projetait ses
jambes
en avant et en de- hors. En 1873 se développa u
pt ans. Ces symptômes consistaient en douleurs fulgurantes dans les
jambes
et au niveau des bras, surtout dans la sphère d
baire sont atrophiés. Les muscles des membres inférieurs (cuisse et
jambe
) sont amaigris, mais il semble qu'il s'agisse l
ucteurs de la cuisse (Friedreich) ; d'autrefois elles affectent une
jambe
, DE L HEMIATKOPHIB DE LA LANGUE. : ! Il comme
indre à haute voix et l'a u n agiter convulsivement les bras et les
jambes
. Les convulsions pas- sées, Fauv.. s'est levé d
ilité générale et spéciale est pourtant indemme partout. 1 e A la
jambe
droite existe une plaie fongueuse, résultat d'une
- tement. Pupilles sensibles. Paralysie complète du bras et de la
jambe
. L'articulation des mots est très difficile et le
is lors, embarras de la parole, fourmillements et douleurs dans les
jambes
, change- ment de caractère. Il y a trois mois
de contractures ni de troubles trophiques. Paralysie complète de la
jambe
gauche. - Pas de troubles de la sensibilité. Ex
que diminuée. En somme, hémiplégie gauche, intéressant le bras, la
jambe
et le facial inférieur du Inème côté, et s'acco
s de la parole très accentué. Le malade, ne pouvant se servir de sa
jambe
gauche, garde constamment le lit. Pas d'escarre
age à gauche. Le bras est devenu complètement paralysé ainsi que la
jambe
. A la face, la déviation de la commissure est p
ctures. La piqûre de l'épingle n'est pas sentie ni au bras, ni à la
jambe
. Peu à peu le coma s'établit, la respiration de
homme a été frappé d'hémiplégie droite, ayant intéressé le bras, la
jambe
et la moitié inférieure de la face. A ce moment
flexion et légère griffe de la main; contracture en extension de la
jambe
et impossi- bilité de provoquer le réflexe pate
vec anesthésie, analgésie, disparition des réflexes dans les deux
jambes
, sans ataxie ni signe deRomberg, de la paralysie
apoplectiforme. Démence, gâtisme, impossibilité de se tenir sur les
jambes
; pas de paraplégie. Tendance à tourner la tète
puberté par dès lésions suppuratives chroniques des pieds et des
jambes
, (renseignements incomplets sur ce point), évolua
'âge de vingt et un ans, de la raideur et des tremblements dans les
jambes
, sans modifications du côté des articulations.
absence ou diminution du réflexe tendineux rotulien, parésie des
jambes
entraînant l'incapacité de- se tenir debout et de
s, cette malheureuse, outre ses brûlures sur tout le corps, a eu la
jambe
droite carbonisée. Elle a été transportée à l'h
ite serre avec beaucoup moins d'énergie que la gauche. Il traîne la
jambe
en marchant et est obligé de s'appuyer sur sa b
s, limités et très faibles; le malade peut soulever légèrement la
jambe
et la cuisse gauches; la marche est impossible. I
re, cette femme fut prise de convulsions toniques des bras et des
jambes
. Ces convulsions survenaient par crises qui ne du
uit des convulsions clo- niques ininterrompues dans les muscles des
jambes
et du dos, de la paralysie vésico-rectale. Cyst
. Elle sait lire et écrire, A quinze ans, sa mémoire diminue et ses
jambes
s'allai- blissent au point qu'elle tombe fréque
ité revient quoique pénible l'après-midi dans la cuisse gauche, les
jambes
et les orteils du même côté ; à droite, mou- ve
erratiques dans les extrémités et la région lombaire, faiblesse des
jambes
rendant de temps à autre la marche et la statio
atoiog'ie se traduisit d'abord par divers accès parétiques dans les
jambes
, puis soudain se produisit de la paraplégie rapid
rès une durée de quelques semaines. Par contre, une paralysie de la
jambe
droite resta permanente et existe encore aujour
provoquer la moindre suggestion. Dans cet état, la paralysie de la
jambe
droite disparaît, mais la vue se tiouble et tou
tat s'aggrave progressivement et, en février 1882, il « n'a plus de
jambe
du tout ». C'est vers cette époque que débute l
à la plante des pieds, elle est plus incomplète aux cuisses qu'aux
jambes
; là (aux cuisses) le froid est perçu et dévelop
mbres in- férieurs, surtout à droite. Il éprouve souvent dans les
jambes
des crampes douloureuses, qui sont la principale
e des cordons DU TABES COMBINÉ. 173 tendus qui lui retiennent les
jambes
; en fait, la cuisse et la jambe se contracturen
73 tendus qui lui retiennent les jambes; en fait, la cuisse et la
jambe
se contracturent en extension et tout le membre i
s et bras) vers 1873, mais sont toujours restées moins vives qu'aux
jambes
. Les deux mains présentent, au moins en partie,
des crampes. Ce qui gêne le plus la marche, c'est la raideur des
jambes
. Le malade sent lui-même, dans l'aine et au 'Ar
tendus qui le retiennent; en fait, dans la marche, la cuisse et la
jambe
se con- tracturent en extension, et tout le mem
urdissement dans tout le côté gauche du corps, la joue, le bras, la
jambe
et le tronc, plus marqué dans la main et le pie
paternel succombe aux suites d'un vaste ulcère variqueux d'une des
jambes
. Sans doute, il n'est pas sans intérêt de noter
sent des tournoiements de tête et présente un peu de gonflement aux
jambes
; les altéra- tions du rhumatisme vont être, cet
oins intense et plus courte que la précédente, alors gonflement des
jambes
; celui-ci disparait pour revenir trois mois aprè
s volumineuses autour de sa chaise et de son lit et montant sur ses
jambes
pour se promener sur le tronc et sur les bras;
les. L'enflure des régions malléolaires et du tiers inférieur des
jambes
de la malade diminue beaucoup avec l'administrati
phiés. Le dernier jour de février, on trouve un peu d'oedème à la
jambe
gauche qui est engourdie ; ceci disparait au bout
et la moitié droite de la face, puis envahissement du bras et de la
jambe
du même côté, et enfin des membres du côté gauc
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 251 Dans la marche, il se cogne les
jambes
et tombe souvent. 11 est devenu très émotionnab
ifficile, grimaces incessantes, mouvements continuels des bras, des
jambes
. La marche est difficile, titubante; les pieds
droit frotte le sol et se soulève plus haut qu'il ne convient; les
jambes
sont projetées de côté; l'enfant s'arrête brusq
ate ne paraissant pas augmentés de volume. Le patient tient bras et
jambes
serrés près du corps; les extrémités supérieure
l'affection médullaire en 1870, par de violentes douleurs dans les
jambes
et en particulier dans le genou gauche, comme si
ives douleurs dans les genoux; il lui était impossible de tenir ses
jambes
au repos; au lit, survenait une amélioration, à
la hanche et rapproche la cuisse du ventre sans oser rapprocher sa
jambe
de la face postérieure de la cuisse parce que l
u lieu d'opérer la flexion en question, il préfère étendre toute la
jambe
en arrière, la pointe des pieds demeurant sur l
qui disparaît bientôt. A la Pentecôte suivante, il éprouve sur les
jambes
une sensation de «e froid désagréable, causée p
ant les escaliers : « il les monte plutôtavec les mains qu'avec les
jambes
». A inoël 1883, inappétence passagère, genoux
rature est basse; actuellement, on constate de l'a- .taxie dans les
jambes
, le signe de Romberg ; la perte de la viri- lit
res; ne peut marcher sans canne ; signe de Romberg très accusé ; la
jambe
gauche est moins ataxique que la jambe droite ;
de Romberg très accusé ; la jambe gauche est moins ataxique que la
jambe
droite ; absence de réflexe patellaire; conserv
Quatre jours plus tard, ou constate une paralysie flasque des deux
jambes
; exagération du phénomène du genou, diminu- tio
eurs semaines après, ataxie statique excessivement accusée dans les
jambes
aboutissant finalement à l'impossibilité de se te
éclame pour s'effectuer le concours d'une attention'soutenue. Les
jambes
fléchissent pendant la station debout et celle-ci
de difficulté que le malade arrive à se traîner de lit en lit ; les
jambes
fléchissent, se dérobent à chaque pas, les pied
ibles. Le malade reste confiné au lit; à peine peut-il déplacer ses
jambes
en les fai- sant glisser sur lo plan du lit. Pa
Les douleurs ne cessent point de se faire sentir dans le bras et la
jambe
gauches, surtout pendant la nuit. La paralysie
mbe gauches, surtout pendant la nuit. La paralysie du bras et de la
jambe
droits commence à s'a- mender, quelques mouveme
s'est accentuée du côté droit. Le malade peut mouvoir le bras et la
jambe
, mais la force musculaire est- très amoindrie;
qu'il semble être « comme si le chien devrait être mené à remuer sa
jambe
». L'expérience suivante est encore plus intére
a diplopie; plus tard relâchement des sphincters, puis atteinte des
jambes
, surtout de la gauche. Actuellement pas de trou
t. XI, p. 156. DU TABES COMBINÉ. 381 il fait un mouvement avec la
jambe
du même côté. Tombe assez souvent, non qu'il s'
marche incertaine et chancelante, difficultés à se tenir sur une
jambe
ou à monter sur une chaise, etc. L'influence de
se, il y a deux ans,coliques avec irradiations lancinantes dans les
jambes
s'aggravant vers la fin de la gestation; pendan
plus souvent des phénomènes paralytiques légers (lassitude dans les
jambes
, ptosis faible), mais gare aux phénomènes exces
lièvre; il est visible- ment épuisé, peut à peine se tenir sur ses
jambes
. Pouls petit, fréquent et facile à déprimer. Tr
tte dernière campagne, il éprouve des douleurs dans les bras et les
jambes
. Incapable, dit-il, d'exercer son métier de-potie
taques épilepti- formes avec convulsions localisées au bras et à la
jambe
gauches ; ,; ces attaques, d'abord simples, s'a
que, paraplégie symétrique bilatérale avec atrophie des muscles des
jambes
et des cuisses, avec pieds en varus équin, oedè
u'il se fit avec un rasoir des entailles au bras gauche et aux deux
jambes
, vers le cou-de-pied. Il pensait, dit-il, être pl
ir des singeries. Je suis devenu sourd de l'oreille droite. J'ai la
jambe
gauche pleine de varices I a Attention que la b
emps que les autres membres, et moins actif dans ses mouvements. La
jambe
était tordue jusqu'à l'âge de cinq ans, elle ne
localisée n'explique pas les troubles de la moitié du bras et de la
jambe
gauche. Faut- supposer une lésion unique intéress
n de gêne et de pesanteur dans le bras gauche, puis paralysie de la
jambe
gauche avec hémianestésie. Un an après il y avait
tête n'existe plus. Le bras gauche est complètement paralysé, la
jambe
restant un peu moins atteinte. Les réflexes demeu
de minutes. La résolution devient complète, sauf pour le bras et la
jambe
du côté droit qui demeurent con- tracturés ; le
de la malade exprime la souffrance et elle fléchit légèrement sa
jambe
droite; la piqûre du côté gauche, même forte, ne
oduit un léger engourdissement du bras droit puis une paresse de la
jambe
du même côté plus prononcée, enfin une hémiplég
RVEUSE. des vomissements, un engourdissement d'un bras puis de la
jambe
, de la difficulté de la parole. A la fin de la jo
ouvrant sa bouche quand on le lui demandait, mouvant son bras et sa
jambe
gauches. A 9 heures, elle entra dans le coma, l
tion verticale. Signe de Romberg. Impossibilité de se tenir sur une
jambe
même les yeux ouverts. Démarche extrêmement incer
la faible hauteur de 40 centimètres à peine lui fait plier les deux
jambes
. Incapable de sauter en avant et en hauteur de
lexe radial. Pas de signe de Romberg ; elle se tient même sur une
jambe
sans grandes oscillations. Démarche normale, non
êmement marqué; elle tombe. Impossibilité de se tenir sur une seule
jambe
à droite ou à gauche. Dans la marche en avant,
s adducteurs et fléchisseurs de la cuisse et les fléchisseurs de la
jambe
. Les extré- mités inférieures sont tombanles, f
ouche les opérés pendant deux heures et deux fois par jour avec les
jambes
fixées. Lorenz met sur les genoux des opérés de
pupilles; parésie du muscle droit interne de l'oeil droit et de la
jambe
droite; ataxie des membres inférieurs plus pron
périeure à la pointe de la rotule, est de 41 centimètres; celle des
jambes
, de la rotule à la malléole externe, de 34 cent
s fulgurantes; 5° engourdissement, fourmille- ments, dérobement des
jambes
; 6° démarche ataxique; 7° défail- lance génital
ur; car le traitement lui don- nera les forces nécessaires dans les
jambes
. Et c'est ce qui arrive. Elle quitte le ht et s
début par frisson et fièvre, le lendemain, para- lysie brusque des
jambes
et de la langue; ensuite, convulsions avec pert
uestions. Pas de paralysies, légère rigi- dité dans les muscles des
jambes
; ataxie et tremblement de mains; parfois tremb
nerf musculo-cutané. Troubles de la sensibilité très prononcés aux
jambes
et aux pieds, il dissocia- tion s rinomyéltque,
x-huit ans fait un faux pas et tombe. Paralysie croissante des deux
jambes
; plus tard amélio- ration progressive. Il reste
blée. Hypoesthésie thermique aux régions postéro- externes des deux
jambes
et aux plantes des pieds. Les sphincters et les
- plégie inférieure complète. Douleurs violentes au sacrum et aux
jambes
: Rétention d'urine. Amélioration notable à parti
ie brusque des deux bras. Il n'y eut ni ver- tige, ni faiblesse des
jambes
. A l'examen, on constate une paralysie complète
our la recherche de l'albumine qui est négative. Pas d'oedème des
jambes
. Les facultés intellectuelles sont intactes ; l
emars depuis quatre à cinq mois, des pituites, des crampes dans les
jambes
. Depuis le mois de février 1897. il avait des h
s, les pituites, le pyrosis, des vomissements, des crampes dans les
jambes
et le tremblement des mains. Quelques mois après
dans l'observation IV. Le malade éprouve des élancements dans les
jambes
; et, à mesure que cette excitation augmente elle
paru. Gabriel se replie sur lui-même, puis brusquement projette les
jambes
et les bras de tous côtés et renverse la tète en
rdre tout ce qui est à sa portée, ses pro- pres mains, ses bras, la
jambe
de l'infirmier, une serviette, etc. Il fait les
mière fois le tendon rotulien a conscience de la projection de sa
jambe
en avant, encore que ce mouvemont soit parfaiteme
prouva au bout de quelques mois des douleurs ful- gllmnles dans les
jambes
comparables au passage d'une étincelle 41 : 2 R
e aucune diminution dans les symptômes tabétiques. Par moments, les
jambes
du malade fléchissent, le laissant tomber à ter
ne X... éprouve des engourdisse- ments, des fourmillements dans les
jambes
et les pieds, voit des mouches noires voltiger
Ses parents se changent en éléphants, en sangliers et ont tous des
jambes
de girafe. Son père le regarde fumant sa pipe d
r, le faire rentrer en terre, lui arracher les yeux, lui couper les
jambes
. Pendant ces crises qui durent une ou deux heur
suit la déchéance intellectuelle, l'amai- grissement augmente, les
jambes
enflent et le malade s'alite en juin 1899, pour
parition d'une 478 RECUEIL DE FAITS. phlegmatia alba dolens de la
jambe
droite, vient affirmer l'exis- tence d'un cance
(bassin ou épaule) et que les parties inférieures desdits leviers (
jambe
, avant-bras) se trouvaient entravées dans leurs m
ceps crural, car ils reposent les genoux relevés. Le décubitus, les
jambes
allongées, ne se voit que longtemps après qu'il
e ceux de l'enfant plus âgé, com- parativement aux extenseurs de la
jambe
. Le développement de la cuisse donne plus tard
rébrale, en portant atteinte aux adducteurs et aux extenseurs de la
jambe
, modifie la forme et la situation du pli cutané
suivies de faiblesse et d'une grande difficulté à marcher, mais les
jambes
, au lit, conser- vaient leur mobilité. Puis est
ial est fixé. P. KERAYAL. LXI. Un cas de monoplégie spinale de la
jambe
droite; par .1. Weil. (Neurol. Ccnll'albl., XVI
, XVII, 1898.) La soudaine apparition d'une paralysie flasque de la
jambe
droite, succédant à des douleurs instantanément
u droit par excitation mécanique en rapport avec le lancement de la
jambe
droite. Diagnostic. L'absence de fièvre exclu
de convulsions de la moitié gauche du corps comprenant le bras, la
jambe
, la face; la tête est tournée à gauche ainsi qu
dantes ? Ce serait possible, car l'hémiplégie droite est mobile, la
jambe
est très peu atteinte ; il existe une sensibili
des réflexes tendineux patellaires; de l'hypoesthésie cutanée de la
jambe
gauche. En un mot la plupart des uerfs cra- nie
e la main gauches ; enfin, au bout de quelques jours, parésie de la
jambe
gauche avec sensation de froid et fourmillement
tégrité des nerfs craniens. Atro- phie des muscles du bras et de la
jambe
gauches ; mouvements spasmodiques dans le bras
s si, pendant la marche, on constate un léger affaiblissement de la
jambe
gauche, et cet affaiblissement n'existe évidemm
thoracique ; puis, se produit une parésie du bras droit et de la
jambe
du même côté, finalement, du côté gauche, si bien
langue, de la parole, de la déglutition paralysie flasque des deux
jambes
faiblesse des réflexes patellaires d'ailleurs é
ité; il existe : une anesthésie à la douleur et au toucher des deux
jambes
; une diminution de tous les modes de la sensibi
vec ce travail pénible, debout, exigeant un effort considérable des
jambes
. C'est exactement le même surmenage que celui d
du même . côté. Si l'on commande au malade de marcher, il lance les
jambes
avec une incoordination manifeste, tandis que l
core dans d'autres mouvements volontaires des bras mais surtout des
jambes
, Elle doit être attri- buée, suivant l'auteur,
aines. Dans sa jeunesse,elle a eu quelques éruptions dartreuses aux
jambes
. [Père mort d'une affection gastro-intestinale
: a eu également pendant plus de 15 ans une éruption dartreuse aux
jambes
. Mère, morte subitement à 66 ans; était très ne
.. se rétablit au bout de deux jours et put marcher sans traîner la
jambe
. Comme par le passé, les crises con- vulsives r
ce des convulsions à gauche, on nota une paralysie du bras et de la
jambe
de ce côté. L'enfant eut alors beaucoup de fièv
que dans le troisième qu'il put commencer à marcher en traînant la
jambe
. - Dans la suite, la paralysie de la jambe a di
à marcher en traînant la jambe. - Dans la suite, la paralysie de la
jambe
a diminué, mais il la traîne encore et le pied
te qu'on le recondui- sit à l'hôpital. Il se tenait à peine sur ses
jambes
et pour- tant il n'avait pas bu. Arrivé à la gr
naissance, assez brutalement pour casser un banc et se meurtrir les
jambes
. Ce deuxième accès fut semblable au premier, et
ond ou fermer les yeux, il tombait. Quand il marchait, il jetait la
jambe
, ses liras lui faisaient l'effet d'être de plom
tache et barbe grises, autrefois châtains, poils roux au pubis; les
jambes
sont presque glabres. Pas de trace d'adénite, n
e un oreiller à la tête ; me fait signe qu'on lui a fait mal à la
jambe
. Les zones hystérogènes se montrent beaucoup pl
érine, le malade éprouvait de temps à autre des élancements dans la
jambe
droite déterminant la flexion subite du membre.
re. Les élancements ont augmenté en 1869-1870, et ont gagné l'autre
jambe
. Alors, il servait dans la garde nationale, Del
la marche : « ses pieds se jetaient en avant quand il marchait; ses
jambes
s'en allaient à droite et à gauche, comme s'il
trouva étendu sur le sol, incapable de se relever, plus faible des
jambes
qu'auparavant, avec la respiration embar- rassé
lexion, reste fixé dans la rotation en dehors à un point tel que la
jambe
repose directement sur sa face externe. L'artic
relief la déformation articulaire. Les mouvements spon- tanés de la
jambe
sont nuls; on peut exagérer la flexion, mais la
nent davantage en dehors ; il y a une véritable sublu- xation de la
jambe
en dedans. Le gonflement de l'article ne permet
u repos forcé, après quoi, il recommença à marcher en traînant la
jambe
et en se soutenant sur une canne. Les accès d'é
mbre 18GG). De temps en temps, il lui prend des faiblesses dans les
jambes
, accompagnées, pa- rait-il, de douleurs ; et cl
s incomplets. 1879. 8 mars. OEdème prononcé des pieds, modéré aux
jambes
, rien aux cuisses. 9 mars. Urine assez colorée,
iques ; jamais de constipation. Sensibilité normale. 1880. Mai. Les
jambes
ont enflé dans les premiers jours du mois. Le 9
s, pendant environ une demi-heure, on observait une faiblesse de la
jambe
gauche dans la marche. En dehors des accès, cel
général ; persistance de la dyspnée. T. R. 38°,G. (Sinapismes aux
jambes
). Soir : T. R. 39°,2. 25 janvier. Souffle tubai
convulsions, on remar- quait une grande faiblesse du bras et de la
jambe
du côté atteint. Jamais il n'y aurait eu de fiè
9. Octobre. Etat actuel. Le malade a de la peine à se tenir sur les
jambes
. Il est gâteux, non salace ; on le dit très aff
- sisté plusieurs mois. Aujourd'hui, il s'affermit un pou sur les
jambes
, avance les pieds pour marcher; celui du côté B
la forme d'un fin piqueté rouge. Il fait défaut sur les bras et les
jambes
. En môme temps, diarrhée abon- dante, avec un l
it, mais mal, et marchait, mais avec beaucoup de faiblesse dans les
jambes
. Propre à trois ans. Pas de renseignements sur
l'élixir polybromuré. 1886. 7 avril. - Erythème noueux sur les deux
jambes
. 23 avril. -- Traitement : deux capsules de bro
n y voit,moins bien pourtant que sur la photographie, les mains, la
jambe
et le pied gauches notablement augmentés de vol
t peu abondants, les dents sont toutes détériorées. Les bras et les
jambes
sont courts, le ventre n'est pas très gonflé. C
la blépharite ciliaire. L'enfant a bavé jusqu'à 10 ans. Les os des
jambes
se sont recourbés à 12 ans et sont devenus noue
gourme. Quelque temps après sa chute, elle aurait eu un abcès de la
jambe
droite; l'enfant n'a jamais eu de fièvres érupt
relativement peu accusés. - Les cuisses sont courtes ainsi que les
jambes
; les fémurs sont arqués, le gauche plus que le
arqués, le gauche plus que le droit; les genoux sont noueux; les
jambes
aussi sont courtes et offrent des déformations ra
se. Les divers segments des membres sont gros, trapus; les os des
jambes
sont incurvés. Les pieds et les mains sont gonf
e. Légère desquamation furfuracée au niveau des avant-bras et des
jambes
. Quatra cicatrices de vaccin sur le haut des bras
a mère, cachés par la chair du bout des doigts.) Les cuisses et les
jambes
sont également courtes. On trouve 21e au niveau
Elle ne se sert pas du tout de ses mains et ne se tient pas sur les
jambes
. Son sommeil est prolongé. Elle paraît très sen
du Pacha (Cas. VI du 1er mé- moire) ; celle d'un éléphantiasis delà
jambe
chez le père d'une autre malade(OBS. IV du2" mé
ousser de cri. Il est tombé comme une masse. Rigidité générale, les
jambes
allongées et écartées et les bras en croix, la
equel il retombe. Flexion violente, puis mouvements désordonnés des
jambes
, en même temps qu'il se gratte la poitrine. - A
cercle passager. Retombe étendu avec même attitude des. bras et des
jambes
que tout à l'heure. - A 10 h. 9, tortillements
- Arc de cercle. , 156 UNE FAMILLE D'HYSTÉRIQUES. Extension, les
jambes
écartées. Ecume abondante. Sitôt qu'on lui lais
eposant sur les talons et sur la tête, puis sur le genou gauche, la
jambe
droite étant étendue et la tête soulevée avec le
. Ecume abondante. Repos. Arc de cercle transitoire. Extension, les
jambes
écartées, les bras eu croix. Yeux légèrement co
9 h. 38. A 9 h. 40, on le trouve couché sur le parquet, étendu, les
jambes
allongées et légèrement écartées. Bras étendus
s sont rapprochées. Nouvel arc de cercle. Agitation. Repos. Bras et
jambes
écartées en X. Pupilles dilatées, égales (9 h.
0 h. 7. Il est ensuite éten- du, les bras au-dessus de la tête, les
jambes
allongées, les pieds écartés. Il est alors immo
er- més, le pouce par-dessus; les quatre membres sont raides, les
jambes
écartées. Nouvel arc de cercle, après lequel i !
sa chemise et se gratte le devant de la poitrine. La tête et les
jambes
sont raides; la face est tournée à droite, puis à
'y voyais assez pour me diriger. » Après sa douche la faiblesse des
jambes
et les éblouissements ont disparu. Mais au bout
qui restent fixes. Pas de bourdonnements d'oreilles. Faiblesse des
jambes
. Il laisse tomber les objets qu'il tient, mais
n, je l'attrapperai et le ferai guillotiner. » Elle voit brûler les
jambes
de son frère. « Eteins- donc le feu, maman, on
e s'il avait des secousses dans les épaules. Il faiblissait sur ses
jambes
. Le soir, il HYTÉR-LO -ÉpiirpslE. 169 trembla
es' d'amélioration, môme à un degré très notable. On fortifie leurs
jambes
avec la balançoire-tremplin (Fiy. 1); on leur a
ques. - Un arrière grand-père maternel mort aveugle et paralysé des
jambes
; l'autre arrière-grand-père maternel, alcooliqu
vulsions à trois ans suivies d'hémiplégie et de contracture de la
jambe
gauche. Début de l'épilepsie à 3 ans et demi. I
percussion, souvent répétée, amène une véritable tétanisation de la
jambe
. Il existe également de la trépidation épilepto
Pas de tremblement ni d'incoordination lorsque la malade soulève sa
jambe
au-dessus du plan du lit. Peau des extrémités f
actères. Les mouvements provoqués de la cuisse sur le bassin, de la
jambe
sur la cuisse, du pied sur la jambe, doivent va
la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse, du pied sur la
jambe
, doivent vaincre une certaine résistance;. Le p
paru. Gabriel se replia sur lui-même, puis brusquement projette les
jambes
et les bras de tous côtés et renverse la tête e
mordre tout ce qui est à sa portée, ses propres mains, ses bras, la
jambe
de l'infirmier, une serviette, etc. Il fait les
. - Toute la soirée IL, se plainl de malaise, de lassitude dans les
jambes
, et cette; fatigue, il la rossent encore le len
ême, puis le corps reste en spirale, la tête tournée il droite, les
jambes
portées il gauche. Une rigidité générale envahi
hemise, il est impossible de la lui arracher. En lui maintenant les
jambe
? on sent comme un fourmille- ment sous la peau
eurs inspirations, fait une grimace de répulsion, flé- chit sur ses
jambes
et se laisse aller comme une masse. Il est reco
t lui réapprendre à marcher. Il ne commença à pouvoir user de ses
jambes
et de ses bras qu'au bout de deux mois. C'est il
rmale à mesure que disparaissait l'état parétique des bras et des
jambes
, au bout de six mois. A cette date, on remarqua q
a face, postérieure des cuisses et sur la partie antéro-interne des
jambes
. Description du tremblement : Très léger trembl
rre approche de la bouche. Il ne peut se tenir debout sur une seule
jambe
que les yeux soient fermés ou non. La résistanc
be. Il monte et descend les escaliers avec une flexion exagérée des
jambes
, la pointe des pieds en dehors. Les pieds sont
. Dans la marche, qui se fait en fau- chant, il écarte beaucoup les
jambes
et lève les pieds. Le côté droit est toujours p
us l'influence de la fatigue, en rentrant à Bicêtre, il boite de la
jambe
droite et que, couché, la tète saute sur l'orei
n observe dans l'a,thétose. Dans la station assise, les bras et les
jambes
sont immobiles ; seule, la tête tremble, mais m
dès le début. Il a toujours été plus prononcé dans le bras et la
jambe
du côté droit. Il ne s'est jamais accompagné d'
oups du talon sur le sol. Bras étendus, puis fléchis sur le bassin,
jambes
fléchies sur les cuisses. Quelques mou- vements
le premier il 28 mois de convulsions, l'autre d'une maladie à la
jambe
( ? ). - Deux autres soeurs sont'bien portantes d
ois, « il était gros et constipé comme il l'avait toujours été, les
jambes
se croisaient et se fléchissaient quand on voul
- Jamais on a pu fixer son regard. Peu de temps avant l'entrée les
jambes
commençaient à se fléchir sur les cuisses et le
uit, dit sa mère, j'étais obligée de me lever pour lui allonger les
jambes
. Les pieds ont commencé à se dévier à 7 ans. »
s de tout mouve- ment. Les cuisses sont fléchies sur le bassin, les
jambes
sur les cuisses, les pieds sur les jambes, le g
échies sur le bassin, les jambes sur les cuisses, les pieds sur les
jambes
, le gauche est, de plus, en adduction forcée. L
caractères, à la portion moyenne de la région antéro-externe de la
jambe
droite : une autre cicatrice, sillon- gée, est
sez développée faisant contraste avec le peu de développement de la
jambe
et du pied, très atrophiés. Bxten- sion de la j
loppement de la jambe et du pied, très atrophiés. Bxten- sion de la
jambe
impossible à cause de la rétraction des muscles
ur est très proéminent. Contracture très intense des cuisses et des
jambes
, la contracture est vaincue plus facilement il
s. Poils très abondants au pénil, en assez grande; quantité sur les
jambes
. Testicules et verge bien développés. 17 juin
evint chez lui. et sa femme étendue par terre et l'enfant entre les
jambes
de la mère. 1898. Il s'occupe il travailler que
nvulsions qui ont duré 3 ? d'heure. Tout le corps était raide ; les
jambes
seules remuaient. Elle se serait réveillée la n
es et en a été quitte pour de fortes contusions à la hanche et à la
jambe
droites. Il a des idées de persécutions, craint
du huitième mois : elle commença alors à se'plaindre d'enflure des
jambes
. M. le Dr Bellemère constata alors l'existence
s sont légèrement in- curvés en dedans, les genoux très gros, et la
jambe
très maigre, hors de proportion avec le reste d
année). En 1875, refroidissement laissant après lui un oedème de la
jambe
droite (disparu depuis); dès lors, les époques
s sont assez souvent accompagnées de douleurs lanci- nantes dans la
jambe
droite. Le 21 octobre 1877,brusquement,sans pro
it, ayant déterminé des convulsions a gauche et une paralysie de la
jambe
gauche. 2" Ramollissement de la circonvolution
bras gauche et un tremblement et une paralysie transitoire de la
jambe
gauche. 3" Ramollissement de la partie postérieur
t, accompagné d'une paralysie du bras gauche et d'une parésie de la
jambe
, de la face et de la langue. 6° Convulsions et
s de la face interne de l'hémisphère. B. Les centres du bras, de la
jambe
et de la face sont plus ou moins distincts anat
oyenne des deux cir- convolutions ascendantes. - E. Le centre de la
jambe
occupe l'extrémité supérieure des mêmes circonv
temps, palpitations de coeur, insom- nie, convulsions cloniques des
jambes
, menstruation irrégulière. L'aggravation de la
l s'agit d'un neicrusthénigue, âgé de trente- cinq ans, traînant la
jambe
droite. Douleurs dans le dos et l'arti- culatio
e relever et peut rentrer à pied chez lui. Que s'est-il passé ? ses
jambes
ont simplement fléchi sous lui sans qu'il s'y a
embre du côté opposé, soit sur l'autre membre du même côté (de la
jambe
au bras et vice oei-sd). Il est fort rare d'aille
ten- sion, le genou droit fortement appliqué contre le gauche; la
jambe
et le pied sont tournés un peu en dehors. (Fig. 1
re supérieur se raidit un peu, mais tou- jours consécutivement à la
jambe
droite, et à un degré très faible ; car le poin
e, et à un degré très faible ; car le poing n'est jamais fermé ; la
jambe
gauche ne se prend qu'ultérieurement, et très l
r l'avant-bras; la face palmaire de la main regar- dant en haut. La
jambe
gauche est également rigide. Les mou- vements c
bre supérieur gauche, mais beaucoup plus faiblement qu'à droite; la
jambe
gauche ne présente pas toujours de convulsions.
che s'accompagne au con- traire e 4,unp, très, forte secousse de la
jambe
. -Cet état d'hyper- excitabilité spinale,- que
ficulté en faisant coucher sur le dos ces individus en question, la
jambe
étant maintenue à demi-fléchie (Remak); qu'il i
ouveaux vomissements; somnolence excessive, soif intense. Le 12, la
jambe
gauche reste en arrière pendant la marche. Le 1
'après être resté quelque temps assis, il se lève pour marcher, ses
jambes
se raidissent, il doit attendre plusieurs secon
produit s'il est resté debout immobile. Ensuite les mouvements des
jambes
deviennent plus aisés. La même particularité a
la rue, le malade veut hâter le pas pour éviter une voiture, ses
jambes
se raidissent, il ne peut avancer et rarement, da
n le poussait, dit-il, il tomberait. Les muscles des cuisses et des
jambes
sont durs et manifestement contractés. Nous lui
n, le poing fermé et un peu soulevé au-dessus du plan du lit ; la
jambe
gauche est aussi dans l'extension et très raide.
ouve- ments convulsifs, le membre supérieur du même côté, puis la
jambe
, sont dans l'extension et raides. Les membres du
nt d'avoir lieu, elle représente son maximum d'intensité. Jamais la
jambe
n'a été prise. Environ deux minutes après ce pr
bras pour le faire marcher; durant un an, il marcha en traînant la
jambe
; enfin, la marche redevint régulière. La main,
inze jours, il a commencé à marcher très doucement, sans traîner la
jambe
gauche, qui était, disait-il, plus douloureuse
t tournée à gauche : la rigidité est plus prononcée au bras etii la
jambe
gauches; les secousses tétaniformes très prolon
s tertiaire estaussien proieàdu tremblementavec affaiblissement des
jambes
, parésie des sphincters; trouble de la parole.
ouffert pendant plusieurs années d'élancements dans les bras et les
jambes
, présenta bientôt de l'affaiblissement gra- due
ertitude de la démarche et finalement une paralysie des bras et des
jambes
. La sensibilité est conservée presque par- 330
que le bras droit est plus fort que le bras gauche, tandis que la
jambe
gauche est plus forte que la jambe droite. II. Qu
ue le bras gauche, tandis que la jambe gauche est plus forte que la
jambe
droite. II. Quant à l'hémiplégie, voici les con
la flexion comme pour l'extension ; 4" dans l'hémiplégie droite, la
jambe
intacte perd plus de sa force que dans l'hémipl
n certain nombre de cas, les extrémités paralysées, notam- ment les
jambes
, sont capables de déployer plus de force que ce
uale gauche, est en outre remarquable par ce fait que le bras et la
jambe
, et en particulier le pied et la main, du même
t impossible : il accuse également des élancements dans les deux
jambes
. Les deux premières attaques durent un mois, la t
ns les extrémités supérieures, une légère rigidité des musclesde la
jambe
, un peu d'augmentation des ré- 1 Voy. Archives
souvient pas du début; pour lui, c'est une maladie congénitale. Sa
jambe
gauche n'a jamais cessé de demeurer dans l'exte
suivant l'articulation du genou et vient appuyer par le pied sur la
jambe
gauche. C'est à l'âge de neuf ans qu'il tenta d
sur le grand oblique de l'abdomen, sur les muscles du bras et de la
jambe
que les ossifications présentent la plus grande
proie à des accès répétés de convulsions tétaniformes dans les deux
jambes
, accès durant chacun entre plusieurs jours et p
dessus du jarret, à déterminer une flexion tétanique, d'abord de la
jambe
soumise à la constriction, puis des groupes mus
la constriction, puis des groupes musculaires homologues de l'autre
jambe
. La jeune fille, atteinte de cette affection, t
lade revient à lui; deux jours après, il récupère la motilité de la
jambe
et, sous peu, il reprend également l'usage du b
che est mal assurée ; le malade s'en va un peu voûté ; traînant les
jambes
et titubant par moments. Cependant il n'a jamai
s'affaisse parfois brusquement par suite d'une grande faiblesse des
jambes
, elle court d'une façon ridi- cule qui fait rir
émiens. Démarche « en canard », le bassin s'inclinant du côté de la
jambe
oscillante. L'examen de la sensibilité électriq
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 67 pouvant se relever. Cuisses maigres,
jambes
et pieds d'aspect nor- mal, simple diminution q
ême monter des escaliers, marchant fortement « en canard » et les
jambes
très écartées. C. > . XI. Un cas d'amyotro
possédé, le possédé n'a absolument rien de l'hysté- rique. Il a les
jambes
tendues et non roidies, le poing fermé natu- re
e C... avait subitement disparu et qu'elle marchait péniblement les
jambes
écartées. Elle lui en fit la remarque, et lui fit
» P. 1(EllnvaL. IV. LE phénomène du genou ET l'équilibration DE la
jambe
; par Sommer. (Jah1'bÜch. f. Psychiat., XI ! ,
QUES. 139 moelleux qui soutient ainsi la cuisse et l'immobilise; la
jambe
de tout son poids, pend en dehors du collier. O
ent s'attacher au-dessus des malléoles par un manchette de crin; la
jambe
ainsi suspendue en équilibre n'a donc plus de p
intervenir la distension des muscles jumeaux. Dans la station des
jambes
sur les pieds, la ligne de gravité passant en a
nsion par le fait des liga- ments croisés. Que l'articulation de la
jambe
avec le pied enfin est fixée par le muscle gast
rs entrent au con- traire en contraction à chaque pas du côté de la
jambe
portante, et cette contraction dure tout le tem
a tient à une inclinaison exagérée latérale du bassin du côté de la
jambe
oscillante, et ensuite à une inclinaison du tronc
. rejeté en son entier du côté opposé, c'est-à-dire du côté de la
jambe
portante. La cause en est dans la faiblesse du mo
ute latérale du bassin ne'se produit que dans l'appui latéral de la
jambe
droite, c'est-à- dire qu'il se produit à gauche
e ressentit des fourmillements, des picotements dans les pieds, les
jambes
et à la partie antérieure des cuisses. Cela s'a
es occupations, elle allait, avançait comme à l'ordinaire, mais ses
jambes
lui paraissaient lourdes; une promenade un peu
our- dissement et de froid très prononcée. En quelques heures ses
jambes
s'affaiblirent au point qu'il lui fut impossible
s. La malade est incapable de 184 CLINIQUE NERVEUSE. soulever ses
jambes
au-dessus du plan du lit. Dans le membre inféri
possibles; mou- vements d'adduction de la cuisse, de flexion de la
jambe
sur la cuisse. Mais ces mouvements sont lents,
s doigts de la main droite. Le 2 mars : L'atrophie des muscles, des
jambes
et des cuisses est très apparente. Les autres s
savoir : le fourmillement, les picotements dans les pieds, dans les
jambes
et à la partie antérieure des cuisses, un certain
à l'hôpital de Stuttgart. Sa marche est encore plus difficile, les
jambes
sont affaiblies. L'extrémité inférieure gauche es
la droite. Quand il voulait marcher, il arrivait quelquefois que la
jambe
gauche se détendait d'elle-même. La marche du m
e malade a ressenti des pincements et des sensations de brûlure aux
jambes
et sur la surface de la plante plus du côté gau
vec les yeux fermés qu'avec les yeux ouverts. Pendant la marche, la
jambe
gauche reste étendue et traînante sur le sol; d
. Le malade se plaint de sensations de lourdeur et de brûlure aux
jambes
. La colonne vertébrale est normale; elle n'est pa
nt plus grande. La fièvre très grande. Le malade ne peut mouvoir la
jambe
gauche, qui est un peu contractée dans le genou
che, qui est un peu contractée dans le genou et à la fesse. Dans la
jambe
droite il y a quelques mouvements possibles.
urs; puis des douleurs en ceinture, un affaiblissement passager des
jambes
qui l'obligea à faire un séjour à l'hôpital, de
e et plantaire; démarche ataxique des plus marquées, dérobement des
jambes
, mais pas d'ataxie des membres supérieurs ; sig
de fibres saines; ces lésions sont moins avancées au niveau de la
jambe
. Les nerfs cutanés des doigts sont encore moins a
t à peu près sains, sauf le cubital. Les muscles antérieurs de la
jambe
présentent une atrophie simple de la plupart de
nt difficile; troubles urinaires. , En janvier 1891, dérobement des
jambes
. ' A son entrée dans le service, les douleurs f
x, parésie du facial, des extrémités du côté gauche : le bras et la
jambe
sont agités de secousses et exécutent t REVUE D
par l'auteur. - * ' ' Après deux jours de vives douleurs dans les
jambes
, la jambe gauche du malade est subitement paral
eur. - * ' ' Après deux jours de vives douleurs dans les jambes, la
jambe
gauche du malade est subitement paralysée et in
itement paralysée et insensible; le len- demain c'est le tour de la
jambe
droite. Anesthésie complète des membres inférie
prise un an avant sa mort de faiblesse et d'engourdissement dans la
jambe
droite, qui allèrent graduellement en augmentan
des éminences thénar et hypothénar et des interosseux. Plus tard la
jambe
gauche fut atteinte comme la droite, puis le br
mplaçant la séche- resse habituelle de la peau, affaiblissement des
jambes
, augmenta- tion du tremblement, tachycardie, vo
artérielle, la mollesse de contraction 'du coeur, l'instabilité des
jambes
, la maladresse des mains et les troubles digest
es cuisses. Dans cette attitude il lui est impossible de mettre une
jambe
sur l'autre; si nous l'aidons jusqu'à ce qu'il
parvienne, il éprouve une certaine difficulté à remettre ensuite la
jambe
dans sa première situation. On dirait que les m
durant chacun près d'une heure, et s'étendant aux exten- seurs des
jambes
, au dos, au larynx, au pharynx, aux muscles des
Aux doses de 0mm,7 on obtient déjà de la paralysie motrice des deux
jambes
, de l'affaissement des muscles abdominaux, sans
é accoutumée. A l'âge de douze ans, raideur et paresthésie dans les
jambes
. A treize REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
e semaine l'enfant peut dire oui et non et elle remue le bras et la
jambe
du côté droit. Au bout d'un mois elle quitte l'
y a presque toujours une perte définitive des réflexes profonds des
jambes
avec paralysie flasque, et quelquefois atrophie
reux parmi ces infortunés sont les impotents incapables de lever la
jambe
; ceux-là, il faut les porter à dos d'homme et,
pérée à gravir les marches, ici ce sera à cause de la faiblesse des
jambes
. L'entrée et le vestibule seront aux gâteux ce
lom- baires, de la sensibilité de ses seins, de lassitude dans les
jambes
.- Caractère insupportable, on est même obligé d
rusquement le ventre en avant en ramenant en arrière les bras et la
jambe
gauche. Début de la coprolalie. - Les spasmes m
e froid dominant entre les épaules. Les jours suivants, il sent ses
jambes
s'affaiblir, en même temps que sur- viennent bi
l'infirmerie du régiment. - l'lois jours après, à la faiblesse des
jambes
s'ajoutaient des douleurs articulaires particu- -
s, une très grande faiblesse de tout le corps et principalement des
jambes
qui ne peuvent plus le supporter. - En outre le
le malade ait beaucoup de peine à se tenir debout. Les muscles des
jambes
ne réagissent point sous l'influence des excita
rticulations, sans tumé- faction ni rougeur. De nouveau il sent ses
jambes
s'affaiblir et sa parole s'embarrasser. - De l'
alysie SOCIÉTÉS SAVANTES. 491 générale au début : l'analgésie des
jambes
. Dans les cas étudiés il s'agissait de paralyti
Kraft Ebing, 'r3. Genou. Phénomène du et équili- bration de la
jambe
par Sommer, ' 135. GLOSSO-PII \P.YliGOEN. Rel
3 juin. Dans la nuit, vomissements alimentaires. La faiblesse des
jambes
est moins prononcée. Le médicament est suspen
llet. L'érythème inguinal a disparu. 14 juin. - Tremblement des
jambes
qui oblige de main- tenir le malade au lit, pou
anéité. Diarrhée, douleurs du ventre et du dos, affaiblissement des
jambes
. Pouls : 120. Matin : T. R. 37°,4. Soir : 38°.
HÉRAPEUTIQUE. 12 juillet. - La diarrhée a disparu, la faiblesse des
jambes
est moindre. Pouls : 120. Urine : 500 grammes.
férieurs signalons une légère incurvation à con- cavité interne des
jambes
et le rapprochement des genoux en dedans, l'épa
remplaçant la sécheresse habituelle de la peau; affaiblissement des
jambes
, augmentation du tremblement, tachycardie, vomi
de gauche. L'ataxique a une marche caractéris- tique, il lance ses
jambes
en avant et en dehors, Delannoy fait aller ses
il lance ses jambes en avant et en dehors, Delannoy fait aller ses
jambes
de tous côtés, il gigote et titube comme un hom
bras, de la cuisse. Finalement sont pris ceux des avant-bras et des
jambes
, et, en tout dernier lieu, les muscles des main
par l'auteur est un cas de sclérodermie circonscrite, siégeant à la
jambe
droite depuis la cheville jusqu'au genou. Quelq
parfaitement le bras et les doigts du côté droit, et guère mieux la
jambe
droite. Il comprenait ce qu'on lui disait, mais
rtout le bras, l'avant-bras, l'épaule, la face, et plus rarement la
jambe
du côté droit. Six jours après l'accident, une
nt à l'état convulsif. Il est arrivé quelquefois, cependant, que la
jambe
droite et le bras gauche ont été envahis, mais ja
troubles sensoriels dont il était le siège, alors que la face et la
jambe
n'étaient que très légèrement t affectés, renda
te on constate l'état suivant : la parésie de la face, l'état de la
jambe
ne sont pas modifiés; le bras gauche se meut pl
upination. Il reste un peu de parésie du côté gauche de la face; la
jambe
gauche est un peu faible, et le réflexe du genou
r, je ne vais plus être maître de moi, attachez-moi les bras et les
jambes
! En effet, Poinsignon se mit à écumer et à rug
ents actifs des cuisses sont pos- sibles quoique faibles ; ceux des
jambes
sont encore plus faibles ceux des pieds sont pr
alement. Les réflexes patellaires n'existent pas. Les muscles de la
jambe
et de la cuisse sont douloureux à la pression d
tactile, est amoindrie sur les pieds plus que dans la région de la
jambe
et de la cuisse. Certain mouvement des pieds, l
. - Père, bien portant, cultivateur, sobre. Mère, douleurs dans les
jambes
, pas de migraines. Aucun cas de démence ou de p
t un peu rejetée en arrière, le tronc arqué, les bras pendants, les
jambes
molles. Légèie palmature entre les deuxième et
baire. La méthode ordinairement employée pour le rechercher (les
jambes
étant croisées) est suffisante quand le réflexe e
ux de l'angle de la bouche, puis ceux du - bras et enfin ceux de la
jambe
du même côté. Cet état convulsif dura cinq heur
ait à être soigné pour une plaie siégeant à la partie interne de la
jambe
droite. Pendant son enfance, le malade avait un
dans le dos, et d'engourdissements et de fourmillements dans les
jambes
et les bras, qui devinrent douloureux au toucher.
séjour au lit. Pendant l'état paralytique, il remarqua que ses deux
jambes
étaient enflées et que leurs veines, ainsi que
abdomen, étaient saillantes ; c'est après avoir gratté l'une de ces
jambes
enflées qu'il vit apparaitre la plaie pour laqu
use que très modérément des unes et des autres. Les veines des deux
jambes
sont variqueuses, et sur l'abdomen l'épigastriq
se sont aggravées et ensuite propagées aux - bras, au tronc et aux
jambes
. Ces spasmes sont partiellement maî- trisés par
les individuellement, ainsi qu'une certaine incoordination dans les
jambes
et les bras des deux côtés. On disait que la
d de fourmillements dans la plante des pieds et d'une faiblesse des
jambes
qui augmenta peu à peu. Bientôt cet homme fut a
es de grandeur, immobilité pupillaire réflexe, hypoalgésie dans les
jambes
(moindre à la parlie supérieure du corps); atro
d de fourmillements dans la plante des pieds et d'une faiblesse des
jambes
qui augmenta peu à peu. Bientôt cet homme fut a
, par exemple, détermine la contrac- tion réflexe des muscles de la
jambe
pouvant aller à la flexion de l'articulation du
nou. La percussion périarticulaire des tendons ou des muscles de la
jambe
peut produire le même résultat, la jambe étant
ons ou des muscles de la jambe peut produire le même résultat, la
jambe
étant étendue. C'est, pour l'auteur, de la. somma
bras et avant-bras, du tronc à partir de la troi- sième côte et des
jambes
; absence des réflexes tendineux; paralysie de l
ou six secondes plus tard, le malade secoue et retire violemment la
jambe
et éprouve une forte douleur, le long du passag
enue aussitôt à elle comme d'un rêve. « Mon enfant a un bras et une
jambe
qui ressemblent à ceux du mendiant et du même c
faible que le gauche, qu'il marchait en tortillant et trai- nant la
jambe
, que ses mains étaient en crochet : «les doigts,
t retiré un petit os du genou droit et qu'on lui aurait maintenu la
jambe
dans l'extension pendant quarante jours, à l'ai
avait les genoux collés et qu'il lui était impossible d'écarter la
jambe
droite sans douleur, symptômes qui n'existaient
emble pas déformé, mais les mouvements sont très circonscrits. La
jambe
est iléchie à angle droit, c'est à peine si on pe
e sens de l'extension et de l'abduction; l'extension complète de la
jambe
sur la cuisse est impossible; les mouvements du p
SUPÉRIEURES. 455 avant-bras, sur la face externe des cuisses et des
jambes
. Poils assez abondants sur la partie inférieure
imparfaite. Mouvements de latéralité très limités. B... soulève la
jambe
, la plie, la porte en dehors et en dedans, mais t
cale qui, comme la marche, n'est possible qu'avec des béquilles, la
jambe
gauche est un peu fléchie, portée en dedans et
evé. La cuisse droite croise la gauche au-dessus de son genou et la
jambe
droite croise la gauche au-dessous de sou genou
t de l'examen on observe un léger tremblotement des muscles de la
jambe
. La notion de position est normale. En ce qui c
t d'hémiplégie et que Je père prétend que son fils a un bras et une
jambe
qui ressemblent à ceux du mendiant. Les convuls
gros et plus faible que le gauche, qu'il marchait en traînant la
jambe
droite et que les mains étaient en crochet. III
le ; b) par une hémiplégie du côté droit, par une paralysie de la
jambe
gauche, et enfin c) par l'attitude des mains en c
celui qu'on observe à la hanche gauche. Quant à l'attitude de la
jambe
droite, à l'ankylose du genou, à la déformation
lité = 1 divi- sion 1/2 de la largeur d'une pièce de cinq francs.
Jambe
. - Diminution de la sensibilité = 1 division 1/2
e dans les muscles fessiers ainsi que dans ceux de la cuisse, de la
jambe
et du pied. Exploration galvanique. Pas de modi
on du cou-de-pied. Sur le bord interne diminution = 1/2 division.
Jambe
. Diminution de la sensibilité = 1 division dans t
bien que le tronçon du cou sectionné s'est' mis à saigner, les deux
jambes
se sont étendues rigides quel que fût le point
pénibles paresthésies et des douleurs siégeant dans les bras et les
jambes
, symptômes qui ren- daient impossible tout.trav
ettant 494 BIBLIOGRAPHIE. suit en flexion, soit en extension ; la
jambe
se déplace aussi, fléchit légèrement sur la cui
n gauche, étendant l'autre échelle de la main droite élevée, 1 la
jambe
correspondante fléchie, le pied droit placé per-
dans la position inverse, c'est-à-dire le bras gauche allongé et la
jambe
gauche fléchie ; la figure '.) fait voir l'enfa
us fait-on remarquer, ne pourraient y rester long- temps, car leurs
jambes
enflent. La durée ordinaire du séjour est de 10
xact. Voici son observation : Observation. Père, éléphantiads de la
jambe
gauche. - Saur hémiplégique. Rien de particulie
au- teur. Son père a. souffert longtemps d'un éléphantiasis de la
jambe
gauche ; il mourut épuisé à soixante-huit ans. La
migraines et fièvre ty- phoïde. Grand'mère maternelle, parésie des
jambes
. Tante maternelle excentrique. Début de la mala
s, qui était de courte durée, « il ne se souvenait do rien » et les
jambes
restaient, pour peu de temps du reste, plus fai
lèvres. Parole très lente. Conceptions lentes. Affaiblissement des
jambes
plus prononcé à la suite des séries d'accès.
est à demi-assis, le tronc appuyé contre l'infirmier, ratatiné, les
jambes
fléchies, les bras dans la demi-flexion. La face,
st obligé de le laisser au lit parce qu'il ne peut se tenir sur les
jambes
. Il no peut marcher que soutenu des doux côtés,
oloration-rouge brun de toute la partie interne de la cuisse, de la
jambe
et du pied du côté droit, sauf au niveau de la
la cuisse et au tiers inférieur. Sur la partie antéro-interne de la
jambe
où elles sont nombreuses ; enfin, sur la face e
un aspect rubéolique sur la face ; les bras, le dos, et surtout les
jambes
, Pas de bronchite, ni de coryza, ni de lar- moi
uatre jours avec une alène, à la partie supérieure et externe de la
jambe
gauche. 2. Plaque érysipélateuse s'étendant dep
a plaie jusqu'à la partie moyenne du mollet. Inappétence. 4. - La
jambe
est très enflée; la rougeur érysipélateuse qui a
a partie supérieure du creux poplité jusqu'au tiers inférieur de la
jambe
. Douleurs vives la nuit avec élancements. La pa
P. 88. Aspect général meilleur, C... mange avec assez d'appétit. La
jambe
est tuméfiée; l'empâtement s'est étendu de haut
toujours une teinte érysipélateuse, pas de bourrelet; phlyctène. La
jambe
est moins douloureuse; à la pal- pation, sensat
isions sont faites à la partie interne et à la partie externe de la
jambe
jusqu'à l'apo- névrose. Il ne sort pas de pus;
se recolle pas. 12. La fièvre reparait ainsi que la douleur de la
jambe
. Rou- geur et douleur à la pression au niveau d
et un décollement se dirigeant en bas vers le tiers inférieur de la
jambe
, profond et 1 J'avais alors organisé des cours
n avec extrait thébaïque. 26. Guérison complète du phlegmon de la
jambe
. 1887. Janvier. - A l'école, C... devient plus
cette médication et des frictions nombreuses sur les bras et sur les
jambes
, demeura insensible et raide comme un bâton. Al
fortes de linge neuf aspre, rude et chault, assez longuement sur les
jambes
et cuisses ; ont esté appliquées ligatures pr
cuisses ; ont esté appliquées ligatures près des jointures des bras,
jambes
et cuisses, deux à chacun membre qui luy ont esté
oment de son arrivée, la malade était complètement impotente des deux
jambes
: pour lui faire faire quelques pas on était obli
, surtout quand il est levé. A la pression, la partie postérieure des
jambes
est très douloureuse, jusque dans leur quart infé
. De plus, il a mal au larynx quand il respire. Les douleurs dans les
jambes
existent toujours; de plus, les genoux sont sensi
r. Le 29, il va un peu mieux d'une façon générale. La douleur des
jambes
a un peu diminué. J'affecte maintenant de passer
lus que des démangeaisons dans tout le corps, principalement dans les
jambes
, mais n'a plus de douleurs. Il reste levé toute l
après son début, se développèrent en même temps des douleurs dans la
jambe
gauche avec crampes nocturnes dans le mollet, phé
usqu'à l'épitrochlée. Enfin, il indique de la douleur dans toute la
jambe
gauche, à sa face postérieure ; plus marquée auto
sans y déterminer aucune douleur. Il n'a jamais eu de douleur dans la
jambe
droite. — Depuis 8 mois, ces sensations douloureu
e lancinant, ne répondent pas au trajet d'aucun nerf; les nerfs de la
jambe
et de l'avant-bras ne présentent aucune sensibili
la dit paralysée ; elle inhibe sommairement son centre locomoteur des
jambes
et ne peut plus marcher, ni se tenir debout. Peut
ir debout ou à marcher, l'incoordination apparaît. Elle imprime à ses
jambes
des mouvements bizarres, caractérisés spécialemen
es brusques flexions du bassin sur les cuisses et dos cuisses sur les
jambes
, rappelant assez bien, en raison de leur amplitud
que le système de machine à coudre employé comportait un mouvement de
jambes
ayant pour effet de soumettre certains organes à
es contractures psychiques. La fatigue émotionnelle « casse bras et
jambes
», selon l'expression vulgaire. L'influence des r
hambre. Mlle P... fut tellement effrayée qu'elle resta sur place, les
jambes
écartées, sans pouvoir bouger ni appeler au secou
a retirer de cette position, on essaya en vain de rapprocher les deux
jambes
, on la porta dans sa chambre, on lui prodigua des
, tout d'un coup, elle ressentait une vive douleur dans le genou, ses
jambes
fléchissaient involontairement et la malade s'aff
oudre et de tricoter : une vraie charge pour cette pauvre famille. Sa
jambe
droite était comme inerte ; tout au plus pouvait-
degré, pleurait et sanglotait comme un enfant. Puis je m'attaque à la
jambe
inerte, qui se met à fonctionner ; bref, il n'éta
que le sujet, réveillé, se servait de sa main et de son bras et de sa
jambe
à peu près comme s'ils n'avaient jamais été paral
de tête et dérangé de l'estomac. Je ne ressentais aucune douleur aux
jambes
. Ceci avait commencé le 12 août 1880. Le 15, dans
eures du matin, je me lève et m'aperçois que je ne tiens plus sur mes
jambes
. Croyant que c'était la faiblesse, je me remets t
eil. Je veux me lever encore ; mais plus moyen de me tenir debout. La
jambe
était morte. On fit mander en toute hâte le docte
ie infantile. Et tous les docteurs consultés ont été du même avis. La
jambe
agrandi, mais elle est plus courte, plus faible e
pui. Enfin, il se décida à lâcher son bâton, vacilla quelque peu, ses
jambes
semblant impuissantes à soutenir son torse d'herc
commandés : se tenir debout, s'abaisser, se relever, pousser avec ia
jambe
malade contre une planche qui faisait ressort, po
ait d'abord impossible; par exemple se tenir debout uniquement sur la
jambe
malade, en s'appuyant sur mon épaule, puis sur mo
plus longtemps de vous faire savoir des nouvelles sur la santé de ma
jambe
. La cuisse se fortifie chaque jour davantage. L'o
tage. L'on voit les muscles se remuer complètement comme dans l'autre
jambe
au moindre mouvement. De la hanche au milieu de l
e jambe au moindre mouvement. De la hanche au milieu de la cuisse, la
jambe
est à peu près comme l'autre. Enfin tout marche o
ant accroupi, je me balance et je ne tombe plus, ce qui prouve que la
jambe
est plus ferme. Il arrive des jours que je marche
membres inférieurs : l'effort musculaire nécessité pour maintenir une
jambe
en l'air, surtout chez un malade affaibli par la
u son poignet avec la main. D'autres portent constamment au bas de la
jambe
ou de l'avant-bras un collier de cuir percé de tr
ion de la volonté est intact, ainsi que le centre psycho-moteur d'une
jambe
par exemple, et si la continuité existe entre ces
entre ces deux centres et le centre psychomoteur et les muscles de la
jambe
, par l'intermédiaire des filaments nerveux, on ne
des filaments nerveux, on ne voit pas pourquoi la paralysie de cette
jambe
peut durer des années et des années. Ces centres
semaines; mais cet homme avait eu une parésie de tout le côté droit :
jambe
, côté, bras, tout était raidi et douloureux, au p
était atteinte également, la parole difficile ; un peu à la fois, la
jambe
s'était dégagée ; et au moment où il se présenta
enis nous avons créé à Verviers, le malade ne se plaignait plus de sa
jambe
; la langue était encore embarrassée; le bras éta
du membre inférieur, en flexion pour la cuisse, en extension pour la
jambe
. On porta successivement les diagnostics dc név
aient régulièrement chaque semaine. Insensiblement la faiblesse de la
jambe
droite diminua et la malade put faire de petites
diminua et la malade put faire de petites courses. Après deux ans la
jambe
a à peu près repris toute sa vigueur. Le bras res
en arrière, le faciès est atone, le regard vague, la queue entre les
jambes
. Si on le fait marcher, à l'instar des agoraphobe
rine et le ventre la fraîcheur du drap, tandis qu'on exécute avec les
jambes
les mouvements du nageur en pleine Seine. Il para
scalier, le malade éprouve de la raideur quand il veut soulever ses
jambes
, puis, au bout de sept ou huit marches ou même
tions; par exemple, lorsque notre malade veut monter à cheval, la
jambe
gauche, celle qu'il engage dans l'étrier, est tou
, puis quand cette raideur 4 CLINIQUE NERVEUSE. a cessé, c'est la
jambe
droite qui à son tour est fixée en exten- sion
pas dater de l'enfance, mais serait venue pendant la nuit, dans une
jambe
d'abord, puis dans les autres membres; cet homm
comme molle, dit-elle ; elle éprouve par moments un tremblement des
jambes
, avec faiblesse ; on dirait qu'elle va se trouv
qu'en 1861, lorsque, vers la fin de septembre, il s'aperçut que ses
jambes
commençaient à être raides.-La raideur se manif
gue s'est prise, ensuite le bras et le tronc, et en dernier lieu la
jambe
. La crise totale a duré une demi-heure. Quand l'e
ments sont asymétriques et asyner- giques. Ainsi on voit parfois la
jambe
droite en extension forcée avec le pied en équi
oite en extension forcée avec le pied en équin-varus, tandis que la
jambe
gauche est en même temps fléchie sur la cuisse,
en avant, tantôt en arrière, tantôt sur les côtés. Les bras et les
jambes
sont animés de convulsions toniques et clonique
fermées. Les extrémités inférieures se mirent dans l'extension, la
jambe
gauche croisant la droite par-dessus. Les mcmbi
rtoreux, accompagnés de tremblements localisés dans les bras et les
jambes
, quand on lui enlève sa nourriture ou qu'on res
érieur, quand on fléchit brusquement et violem- ment le pied sur la
jambe
; enfin des accès périodiques de congés- 9*) REV
nt-bras gauche, et de troubles considérables dans la motilité de la
jambe
droite. L'examen démontre que le radial gauche
rs moyen de la face dorsale de l'avant-bras gauche ; l'autre sur la
jambe
droite formant un triangle depuis les phalanget
nte jusqu'en 1879 : il ne reste au malade qu'une légère fatigue des
jambes
. Depuis le début de 1879, faiblesse croissante
e. Amaigrissement. Paralysie pres- que complète. Ilyperesthésie des
jambes
. Absence du phéno- mène du genou. Faiblesse des
éno- mène du genou. Faiblesse des bras : parésie du bras et de la
jambe
du côté droit plus accentuée. Catarrhe vésical. M
compris les deux extrémités du même côté. Réflexes cutanés des deux
jambes
normaux ; absence de réflexe patel- laire des d
ient devenues com- plètement impossibles depuis vingt-trois ans. La
jambe
est encore agitée de secousses pendant la nuit,
e tète habi- tuelle, il éprouve de la difficulté à se tenir sur ses
jambes
, il est obligé de chercher des points d'appui s
empérature prise comparativement sur, deux points symé- triques des
jambes
donne, à droite 33°, et à gauche 34°, 2. Etat d
ant les conducteurs, soit sur les deux bras, soit à un bras et à la
jambe
du côté opposé à la section. Il décapite ensuit
se ou présente successivement de la parésie delà main droite, de la
jambe
de ce côté (douleurs podaliquesconcomi- tantes)
de la jambe de ce côté (douleurs podaliquesconcomi- tantes), de la
jambe
gauche, enfin de la main gauche. On ne tarde pa
de l'éminence thénar qui soient complètement paralysés. Toute la
jambe
droite, y compris les orteils, est impotente, mai
roite, y compris les orteils, est impotente, mais non atrophiée; la
jambe
gauche, très faible, ne présente pas REVUE DE P
érieurs. Si celles du bras sont relativement communes, celles de la
jambe
sont, par contre, fort rares. Aussi tous les ca
l'hôpital a débuté, il y a trois mois, par un engourdissement de la
jambe
gauche, qui n'entrava pas complètement la march
inement revêtu les caractères d'un accès d'épilepsie partielle : la
jambe
, le membre supérieur et les muscles de la face
. Les 'autres mouvements, ceux de'la cuisse sur le bassin; : de''la"
jambe
sur la cuisse, du pied sur la jambe, sont' tota
cuisse sur le bassin; : de''la"jambe sur la cuisse, du pied sur la
jambe
, sont' totalement 'abolis ? 1- Le' membre su- p
la veille, c'est un léger oedème au pourtour des malléoles de la
jambe
gauche. ' 1 12 na·s. Motilité, sensibilité, réf
e ' marcher, bien qu'elle sentit un notable affaiblissement\lans la
jambe
gauche. -Le 3, l'affaiblissement du membre avai
ied ? autour dèlllai che= villc, autour delà partie inférieure delà
jambe
, jusqu'au gras du mollet ; il y a une sorte de
La malade se plaint d'avoir éprouve pendant toute, la nuit, dans la
jambe
gaucher dos; douleurs assez/vives,pour, l'avoir
GIE 1\ItVEUS ? , p ", 1 Toujours la même guêtre anestllésique,à 1;L
jambe
,, et rien de plus qu'au1 début. La plaque fossi
9 avril. Elle n'a pas dormi de la nuit, cause.des,doulçurs dans la
jambe
: La paralysie dulmembro. inférieur gauche., est
ce, il tombau terre, et, en revenant à lui; il était paralysé de la
jambe
gauche.. ' . " ' u - Transporté à l'hôpital que
la seconde, la; paralysie, jusqu'à la fin, est Testée limitée.à la
jambe
. sans jamais se gé- néraliser. r , ; n- yi'^ni
it'd'un homme de cinquante et un ans,'ayaht eu une. paralysie dé-la
jambe
droite complète, incurable,3- accompagnée au- d
re sagittale, et chez qui on observa une pa- ralysie complète de la
jambe
droite, puis, au septième jour, une paralysie d
couturière obligeait à rester longtemps assise; s'aperçut'Ique` ses
jambes
eliiiicélaient'(lorsqu'elle voulait se lever; f
pas,imèmè en s.appuyant sur un bâton. Quënd'éllé'veutrmanclier,ises
jambes
; entraînées 'IW1, linj)u 1 l'Il - nt'projetées,
paroineipe- i.titequaytité' de liqwde, et on lieut imprimer 'à'Ila
jambe
des mouvements de latéralité'et'dé rotation'bea
es accès' de douleurs fulgurantes, siégeant d'6'rdinaire''dans]es't
jambes
-et les), cuisses,) quelquefois.. aussi, rniais
ecousse très .brusque suivie d,un. état tétanique qui maintenait la
jambe
étendue pendant. deux pu ·3trois,econaes,Soyyen
rps étrangers intra-articulaires. Les muscles de la cuisse et de la
jambe
ne sont pas sensiblement atrophiés ; ils ont le
t gauche, ont été disséqués depuis, le bassin jusqu'au milieu de la
jambe
. Au, niveau des. muscles fessiers, 'ils, étaien
'ist'eunec'ohtrà6tùre très accusée'dumembre'inférie'u'r gauche'; la
jambe
est' fortement fléçlüëvsiüvlx"cûissë ét'céllé=ci'
ge de douze ans à des tremblements convulsifs dans les mains et les
jambes
. La psychose débute soudain, la nuit, par un déli
de là paralysie géné- rale. On note également des tremblements des
jambes
dans la station debout, de l'exagération du réf
ant, elle avait été soignée à Guy's Hospital pour une parésie de la
jambe
droite avec anesthésie autour de la cheville qu
présente un volume normal. Les mains sont en forme de bêche; les
jambes
sont oedématiées, la droite beau- coup plus que
rdissement à la face, à l'extrémité de la langue, aux bras et aux
jambes
. La force musculaire était affaiblie, la marche
s symp- tômes : il continua à travailler. Mais, tout d'un coup, ses
jambes
enllèrent, et, comme les forces diminuaient, il
s se ferment également des deux côtés. Les membres gauches, bras et
jambe
, sont aussi paralysés; quand on soulève le bras
bras et jambe, sont aussi paralysés; quand on soulève le bras ou la
jambe
droites, ils ne retombent sur le lit que lentem
ne retombent sur le lit que lentement; au contraire, le bras et la
jambe
gauclies, quand on les élève en l'air, retomben
s du côté opposé et peut-être plus particulièrement avec ceux de la
jambe
? CH. 1. , hit, i, SOCIÉTÉS1 SAVANTES; ? PCIÉ'r
lle peut à peine se tenir debout, elle est incapable de marcher, sa
jambe
droite lui refuse tout service. De plus Witt.
e tremblement augmente peu à peu, puis gagne le bras droit, puis la
jambe
droite. Les membres du côté gauche con- servent
La malade se dit très fatiguée; elle ne peut se tenir debout, ses
jambes
refusent de la porter. Elle a une tendance invinc
mme aux membres inférieurs, plus accusés à gauche qu'à droite. A la
jambe
gauche la trépidation épileptoide peut être pro
t différent. A la suite de plusieurs coups portés successivement la
jambe
se roidit dans l'extension et la contracture en
ure, de piqûres d'épingle, de froid, d'eau qui lui courait dans les
jambes
, de torsion et de pression des chairs. En même
différentes hau- teurs. Ainsi, à partir de la saillie du mollet, la
jambe
va s'amincissant beaucoup moins qu'à l'état nor
au repos forcé, après quoi, il recom- mença à marcher en tramant la
jambe
et en se soutenant sur une canne. Les accès d
coup. état mental DES HYSTÉRIQUES. 205 pouls petit' et misérable,
jambes
légèrement infiltrées ? En présence d'un état s
r 1879, étourdissements, fourmillements et engourdissement dans les
jambes
; en octo- bre 1879, bruits anormaux dans les o
anormaux dans les oreilles, douleurs dans la tête, les bras et les
jambes
; en décembre, irritabilité, tristesse, idées d
ts. Un homme de cinquante-neuf ans éprouve des élancements dans les
jambes
, de la faiblesse des extrémités inférieures; on
te réac- tion à l'excitation mécanique du tendon, l'extension de la
jambe
sur la cuisse serait due dans quelques cas à un
un certain retard dans la production du'mouvement d'extension de la
jambe
Cn. F. BIBLIOGRAPHIE. 245 IV. Essai sur le bé
le dos d'un coup de couteau. A l'instant même, le blessé sent ses
jambes
se dérober sous lui et tombe ; il est transporté
t présenter leur intensité normale ; peut- être l'oscillation de la
jambe
, après percussion du tendon rotulien, est-elle
ec certitude et précision les positions variées que l'on donne à sa
jambe
: tantôt et par hasard, il reconnaît la situati
souvent il commet de grossières erreurs, et, par exemple, croit sa
jambe
fléchie alors qu'elle est dans l'extension comp
e d'ajouter qu'avant son accident le blessé avait des varices de la
jambe
gauche. L'examen des diverses fonctions ne nous
s s'accentue de plus en plus, et le malade peut presque soulever sa
jambe
. Le 21 mars, les urines sont troubles, muco-pur
e malade peut marcher sans béquilles, mais en traînant fortement la
jambe
. Le 29 avril, le malade quitte 1'llôtel-Dieu da
perte de connaissance et ronflement, les bras sont en croix, les
jambes
dans l'extension, la malade geint et la résolutio
le bras droit étendu, et le gauche en flexion sur la poitrine, les
jambes
étendues ; la malade ronfle, mousse et geint ;
s et quart, elle se plaint de nouveau de crampes très vives dans la
jambe
droite; puis elle s'assoupit.. A partir de huit
noux, le choc sur le tendon rotulien, en outre de la secousse de la
jambe
, provoque un soubresaut dans les deux bras. Mai
érale était parfaitement conservée. A l'autopsie, les muscles de la
jambe
et du pied n'ont pas été disséqués. Seuls le ce
it à gauche. La parésie est moins prononcée au membre inférieur; la
jambe
traîne à peine pendant la marche, le malade peu
ation, seule- ment le malade ressent encore de la faiblesse dans la
jambe
droite lorsqu'il a marché pendant un certain te
.. se rétablit au bout de deux jours et put marcher sans traîner la
jambe
. Comme par le passé, les crises convulsives red
ce des convulsions à gauche, on nota une paralysie du bras et de la
jambe
de ce côté. L'enfant eut alors beaucoup de fièvre
ns le troi- sième mois qu'il put commencer à marcher en traînant la
jambe
. Dans lasuite, la paralysie de la jambe a dimin
er à marcher en traînant la jambe. Dans lasuite, la paralysie de la
jambe
a diminué, mais il la traîne encore et le pied
servation d'une malade non hystérique offrant une contracture de la
jambe
et qui refuse depuis de laisser examiner son me
pour le malade de voir, tout d'un coup, sa main retomber inerte, sa
jambe
fléchir ou sa face se dévier. La paralysie dure
orce semble normale aux membres inférieurs ; cependant elle sent sa
jambe
droite un peu moins forte; il n'y a pas d'incoo
oute la région lombaire, z fessière et de la partie postérieure des
jambes
. Ce malade est op5-" ' ché depuis une semaine ;
n entrée, il y a une éruption de bulles sur la partie interne de la
jambe
gauche. Ces bulles sont formées par un sou- lèv
nombre de trois ou quatre sur la partie interne infé- rieure de la
jambe
, de la grosseur d'une lentille ; l'une de la 4
imension d'une pièce de 50 centimes sur la malléole interne- Sur la
jambe
droite, presque symétriquement, l'on trouve des t
retrouve les mêmes taches disséminées sur le dos, les fesses et les
jambes
. . Alopécie accentuée sur tout le cuir chevelu.
r tout le cuir chevelu. Anesthésie cutanée généralisée. La peau des
jambes
et des avant-bras est couverte de fines lamelle
Nous en avons vu couvertes de croûtes jaunes peu épaisses. Sur les
jambes
, quelques petites vésicules de même nature. L
égalité pupillaire. Embarras de la parole. ' ' ' La peau des deux
jambes
est sèche, rugueuse au toucher ; elle est couve
s., XL111) dans laquelle il s'agit d'une femme qui, droite, sur ses
jambes
bien tendues, incli- nait le tronc au point d'a
river à placer sa tête à ses pieds, en étreignant en même temps ses
jambes
au plus haut degré ataxiques. Cette diminution
e patient étant couché horizontalement sur une table, si on lève la
jambe
étendue on fléchit la cuisse d'une venue, et dans
u bassin par des angles; surtout si vous avez soin de tracer sur la
jambe
demeurée horizontalement immobile la droite qui
HOLOGIQUES. baires, tandis que le sciatique, qui innerve ceux de la
jambe
, vient des dernières racines lombaires et des p
qu'il parle, de mouvements particuliers : la cuisse se soulève, la
jambe
se fléchit sur la cuisse à angle droit, le pied
ambe se fléchit sur la cuisse à angle droit, le pied s'étend sur la
jambe
de façon que le talon se détache du sol, en mêm
à autre, sont accompa- gnés d'un mouvement subit d'extension de la
jambe
sur la cuisse qui porte la pointe du pied viole
dant ces accès, il y a de très vives douleurs dans les reins et les
jambes
; aucun trouble moteur, aucun trouble du tangag
d'elles, elle éprouve des douleurs très vives dans les bras et les
jambes
, les DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 10
olontaires dans les membres, plus prononcées au bras gauche et à la
jambe
droite. 12. Ce matin on constate de la raideur
roite, opposition du pouce, puis généralisation au côté droit, à la
jambe
gauche, enfin au bras gauche; comme aux levers,
u paralysie des pupilles, gâtisme, amnésie, oedème du pied et de la
jambe
), leur coexistence et l'affaiblissement intelle
vec hésitation de la parole, tremblement des mains et faiblesse des
jambes
. Dans les autres cas aucun change- ment durable
es minutes plus tard, la paralysie gagna les muscles du tronc et la
jambe
droite ; en même temps, parésie de la jambe gau
muscles du tronc et la jambe droite ; en même temps, parésie de la
jambe
gauche, rétention complète d'urine qui dura deux
du corps, à partir de la ligne mamellaire et plus bas (y compris la
jambe
), bien que, dans un degré plus faible; une cert
égères dans le dos, suivies bientôt d'une faiblesse progressive des
jambes
. Au mois de décembre, la jambe droite était déj
t d'une faiblesse progressive des jambes. Au mois de décembre, la
jambe
droite était déjà complètement paralysée, tandis
la jambe droite était déjà complètement paralysée, tandis que la
jambe
gauche n'était que fortement parésiée. A l'exam
de doigt au-dessus de l'ombilic ; celte anasthésie s'étend aux deux
jambes
, à l'exclusion de la face postérieure des cuisses
lusion de la face postérieure des cuisses et de la face externe des
jambes
(zone de distribution du plexus sacré) ; au- de
éraux, ne s'étend pas à tout le corps. Elle se localise surtout aux
jambes
, aux pieds, parfois aux mains. Les régions icht
t complètement dépourvues de poils. Observation XVII. Ichthyose des
jambes
. Coloration des ongles. OEdème des mains. B..
u'elle est conservée sur les autres parties du corps. La peau des
jambes
est rude au toucher, sèche, légèrement par- che
asion 4 ? degré). Observation XVIII. Alopécie légère. Ichthyose des
jambes
. G... Jean, cinquante et un ans, employé de che
eau est sèche. Les dents sont usées. Observation XIX. Ichthyose des
jambes
. Déformation des ongles. J... Gabriel, trente-d
t, gros, rouge. Souriant et béat. Anesthésie cutanée. La peau des
jambes
, jusqu'à la partie moyenne des cuisses, est rug
doigts ont une coloration rouge- brun. Sur la peau des pieds et des
jambes
existe une ichthyose, forme légère, à lamelles
ns une coxalgie gauche. 11 a depuis cette époque une atrophie de la
jambe
gauche et claudi- cation. Anesthésie cutanée gé
les d'huîtres, sont atrophiés et de colo- ration brune. La peau des
jambes
est recouverte de fines lamelles argentées; ell
hevelu dénudé, on trouve quelques pigmentations brunes. La peau des
jambes
est rugueuse, parcheminée; elle se desquame en
phlyctènes étaient disposées à peu près symétriquement sur les deux
jambes
, en assez grand nombre, les unes grosses comme de
n ; elles étaient apparues sur les avant-bras d'abord, puis sur les
jambes
. Le second point important est l'amyotrophie, f
iques et un certain .degré de contracture qui se développe dans les
jambes
à la suite des attaques convulsives qui survien
trémités sont violacées et froides. Membres inférieurs très gras,
jambes
flasques ; l'enfant ne peut se tenir debout. Pi
ce sens, recherche d'un appui pour la main avant de lisquer un pas,
jambe
? écartées, genoux légèrement flé- chis, démarc
ision bonne; station debout difficile, genoux légère- ment fléchis,
jambes
écartées, tendance à tomber, chute en avant ; d
corrosive en quelque sorte, analogue à celle de la clématite sur la
jambe
du vagabond qui exploite l'ulcère variqueux. Le
t d'abord le pied bot tabétique dû à une atrophie des muscles de la
jambe
et aux troubles trophiques des ligaments articu
janvier 1896 survint une faiblesse générale, puis une parésie de la
jambe
gauche, suivie bientôt après d'une difficulté m
e avec diminution de la sensibilité du côté droit du tronc et de la
jambe
droite. Quelques mois plus tard vint s'ajouter
ons du sens musculaire; le malade croyant parfois sentir remuer ses
jambes
alors que celles-ci restaient parfaitement immo
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 487 dans les cas de parésies de la
jambe
, les mêmes mouvements se peuvent produire dans
ent produire dans le membre supérieur, du même côté que celui de la
jambe
(origine périphérique.) Voici une dame de soixa
enou, pour se continuer par un senti- ment de contention marqué. La
jambe
gauche est, à son tour, atteinte, quoique à un
tion. L'examen de la sensibilité des nerfs fémoro- cutanés des deux
jambes
ne fournit pas grand'chose; à droite, sur une é
ération ou d'une absence des réflexes tendineux, de l'analgésie des
jambes
, de troubles de la parole ou de l'écriture à pein
d'une intensité remarquable, pendant lequel toutefois le bras et la
jambe
du côté droit demeurent immobiles. Les convulsion
ation IL Garçon de sept ans. Père alcoolique : en 1897 douleur à la
jambe
droite. Un peu plus tard, traumatisme (coup de
deux ou trois pas avec des contorsions de tronc, puis soudain une
jambe
frappe le sol et s'arrête, menaçant de le faire t
nystagmus, pas de troubles de la parole. La parésie spasmodique des
jambes
survient bien après l'installation primordiale
Bernhardt d'unedouleur occupant ellaface externe de la cuisse et la
jambe
, le tout indiquant une névralgie du plexus lomb
mal- heureuse folle s'abattit sur la chaussée; elle avait les deux
jambes
cassées et le crâne fendu. Cependant elle respi
sculaire est conservé. Il n'existe ni sensations de dérobe- ment de
jambes
, ni soubresauts dans le lit. Le malade n'a jamais
les efforts deviennent impuissants et l'urine coule le long de ses
jambes
. Elle s'arrête alors, et dans le bien-être qui
point que, pour ne plus pisser dans ses draps, ou le long de ses
jambes
dans sa course vers les cabinets, elle installa u
à va craquer + Elle fait toutes sortes de mouvements du pied sur la
jambe
+ ça va craquer + ça craque. Ah ! je me sens mi
es mouvements de flexion et d'extension des orteils, du pied, de la
jambe
z Çà brûle dans le mollet + J'ai des noeuds, de
çà me tiraille encore + çà cuule dans le mollet + c'est froid + ma
jambe
est grosse, lourde, enveloppée de coton z Tiens
lourde, enveloppée de coton z Tiens, je n'ai plus de boules + ma
jambe
devient petite + Les mouvements sont très peu acc
très peu accen- tués + ça ne me fait plus mal. Sentez l'os de la
jambe
: Ça me fait mal, on me le broie + c'est très d
Elle va craquer + Elle cra- que + Je me sens mieux. Sentez votre
jambe
en plein : Elle fait quelques mouvements de rep
jusqu'aux orteils : Le mollet me fait mal + On me ronge l'os de la
jambe
+ Çà craque à la cheville + Je sens ma jambe +
On me ronge l'os de la jambe + Çà craque à la cheville + Je sens ma
jambe
+ Elle ne me fait plus mal. Réveil. Séance de u
l me fait mal en dedans - Elle fait des mouvements de flexion de la
jambe
sur la cuisse - Ça craque dans le genou ? Il y
d'une heure. zig. La cheville me fait mal + On me ronge l'os de la
jambe
. Sentez votre genou : Ça craque + Il devient pl
t + Le genou ne me fait plus mal + On ne me ronge plus l'os de la
jambe
+ La cheville me fait encore mal, là, en arrière
r de faibles mouvements en arc de cercle; elle s'étire, allonge les
jambes
, accuse des picotements, des brûlures; on lui r
pied + c'est vendredi, c'est samedi, je sens mon pied et un peu la
jambe
, j'ai chaud + Je sens la cuisse, je sens la han
siblerie des hémiplégiques; elle mar- chait en traînant beaucoup la
jambe
du côté gauche, se servait un peu de la main de
ments, la main en face de la tête, dans une attitude de défense; la
jambe
droite se prend à son tour ; puis le bras gauch
mme le bras droit, mais sur un plan horizontal inférieur ; enfin la
jambe
gauche. Les membres sont ensuite agités de seco
ur la moelle, il a mal au dos, il boite; il y a de la paralysie des
jambes
et de la vessie, de l'hyperesthésie de la peau du
, faiblesse générale et peut être aussi un état parétique léger des
jambes
. Parésie légère du nerf facial inférieur, absence
Le lendemain de l'entrée, l'enfant eut des crampes aux bras et aux
jambes
. A partir de ce jour amélioration progressive :
Bras et mains commencèrent à perdre leur force; faiblesse dans les
jambes
également. La faiblesse des muscles de la gorge,
dans les divers muscles (muscles de l'oeil et de la gorge, ceux des
jambes
et des bras), est très caractéris- tique de l'a
vous avez été vous-même blessé par une balle qui vous a traversé la
jambe
. Vous avez donc noblement payé votre dette à la
elle pour la violer, des hommes lui tiennent les bras, d'autres les
jambes
et l'on se livre sur elle au coït. Actuellement
au visage, ni à la face antérieure et postérieure des cuisses, des
jambes
, mais elle est très marquée à la plante des pie
(on ne sait pas pour quelle raison) de frictionner la poitrine, les
jambes
et les bras. Cependant, il n'y a aucun fondemen
possible; la démarche ataxique; les douleurs lanci- nantes dans les
jambes
, la sensation d'une ceinture serrant le tronc a
quelque hypérestésie de la sensibilité douloureuse cutanée dans les
jambes
, mais avec la vue qui s'éteint parfaitement, pe
d'épilepsie corticale. Les convulsions commençaient toujours par la
jambe
gauche, se répandaient en haut et, aussitôt ayant
s on remarquait encore des secousses presque quotidiennes dans la
jambe
gauche, accompagnées de douleur très pénible. A l
examen on ne constate rien d'anormal, sauf une légère parésie de la
jambe
gauche. Légère céphalée généralisée. Le fond de
opération, les secousses ont disparu complètement. La parésie de la
jambe
gauche resta in statu quo. Observation II. 1\
cas les troubles vibratoires ne se manifestent que dans les os des
jambes
seulement, tandis que dans les parties du squel
minales; Jaboulay. D'un cas de troubles trophiques du pied et de la
jambe
traité avec succès par distension des filets nerv
ord cantonnés aux bras, les mouvements choréiques se montrèrent aux
jambes
, puis à la tête. La marche était impossible cin
ouve- ments choréiques, ils apparurent en hiver, et atteignirent la
jambe
puis le bras gauche, et ce n'est qu'après deux
que presque nulle. La station debout est presque impossible, les
jambes
paraissent être le siège d'un certain degré de pa
ble, comme nous l'avons déjà dit, Brout... ne peut se tenir sur ses
jambes
sans être soutenu ; l'étude de sa marche est do
ant de cinq à dix centimètres, la pointe légèrement fléchie vers la
jambe
, le talon quittant à peine le sol. Si l'on assi
pour se redressser ensuite, ou bien fléchir le corps en avant. Les
jambes
et les bras sont conti- nuellement en mouvement
résolution complète. Les cuis- ses sont fléchies sur le bassin, les
jambes
sur les cuisses, et l'en- semble est agité de s
clare : une nouvelle eschare commence à la partie postérieure de la
jambe
, au niveau du condyle interne du fémur. Le ma
emier à vingt-huit mois de convulsions ; l'autre d'une maladie à la
jambe
( ? ). - Deux autres SOEW'S sont bien por- tant
dullaires, mais qu'au-dessus du noyau segmentaire des muscles de la
jambe
, du pied, de la main, etc., il doit exister des
perte de la motilité. Souvent de fortes douleurs dans le dos et les
jambes
. Les anesthésies ne surviennent qu'à une périod
u devient hyperesthésique ; il s'y ajoute une certaine rigidité des
jambes
, de la constipation. Léger délire ; douleur de
t devenir excessive. Quelquefois, agitation et secousses dans les
jambes
, vomissements. Tout cet ensemble parait très mena
ur et coma. Convulsions générales fréquentes; raideur du cou et des
jambes
; secousses. Fièvre quelquefois (un tiers des c
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